Page 258 - La Sainte Bible, qui contient le Vieux et le Nouveau Testament. Edition nouvelle, faite sur la version de Genêve, reveüe et corrigée, enrichie, outre les anciennes notes, de toutes celles de la Bible flamande, de la plus-part de celles de M. Diodati, & de beaucoup d'autres ; de plusieurs cartes curieuses, et de tables fort amples, pour le soulagement de ceux qui lisent l'Ecriture sainte. Le tout disposé en cet ordre, par les soins de Samuel Des Marets, docteur & premier professeur en theologie, en l'université provinciale de Groningue & d'Ommelande, & de Henry Des Marets son fils, ministre du S. Evangile, en l'eglise françoise de Delft
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Chap. Xl.                        II.   EP_ISTRE DE                  8. PAUL                                                  m

                       4° Ou, M “mg/mn—   I 3 Mais quant à nous , nous ne nous mon 1 imprudence: ²mais encore ſup            r D'autres ,fil-'e .' Ce  ;líï-ín'n—..Li‘l—uu. hymne.
                                                                                             -                              n'cſt pas qu'il ait deſſein
                      rom  oint outre rut/ure, ou  '  '            ~  z      -
                       comfve‘qudqmmf glorifions pomt 4° de ce qui n eſt pOint      portez m0)..                              d’agir ,imprudemnieiit z
                                                                                     2 Car Je ſuis 3 Jaloux de vous d’une ma” “Ã ”WWW”
                       l'ilffi'ni. (maux (In/21,0“, f‘  noſtre  e mals   4.x la me_
                       clic/è: , qmfimt ſin” maſi-re,  I                      _    _               _        _         _      en quelque lorie comme
                      c. qui excedenrla meſure ſure reglee z  42 laquelle meſure Dleu jalouſie 4 de Dieu: car Je vous a1 5 ap— ſvuvem ſont 16'1um
                          D-        r i-               .                  ,             .   6 \              .              dens 8e les fols , en pu
                      SÈME“. ÆÇZËSËÏJ; nous a departie , mm nom glorzſicrom propriez          a un ſeul mari , pour vous llzliant leurs propice
                                                                                                                            oüan es: Ce uel’A "
                       Ii, uiſemeſurentàleur 4.3  D                   -        \ preſenter ï comme une 7 Vierge chaflze a ne ag… MZ id P53,
                                                                                                             ~
                                                                                                                          \
                                                                                             '
                      omÿœduſhk’ ne”…     del’tre parvenus mefines juſques a
                      leur propre pied,8t ne con- vous,                           Chnſt.                                     Fermer ‘la bouche aux
                                                                                                              .
                                                                                                    .
                                                                                                                                      ui s’éle
                                                                                                                            aux apotres ,
                                                                                              ,
                                                                                           .
                      noiſlent pas la faibleſſe                                         Mais Je crains bqu’ainſi que * le deBçnt eux—mêmes”:
                      de leurs epaules , ni juſ  14. Car nous ne nous eſ’cendons
                      9"“ °ù “î {m "“1 pomt nous-meſmes plus qu’il ne faut,       ſerpent a ſedurt Eve 9 par ſa ruſe, ſem- {on Évangileädon “fin;
                                                                                                                             c us lui .
                                                                                                 .
                                                                                                                                    our re dr
                      meublesdela vocation,des
                      traces &dcsdonsdc l’E— 4* comme ſi nous n’eſtions point par  blablement en quelque ſorte vos pen- “ï“ merffläb’ï r bâti‘
                      lpntde Dieu-            ~       \                                                                     leur reputation ſur les
                       e pr.4.7.       venus Jufqucs a VOUS, 4‘ VCU que nous fées ne foyent corrompuës , fi dçflour- NÏIlcsdclificnc.&parce
                       "‘G"“”’fi‘”""”3"' ſommes parvenus" mefines juſques à                                                   moyen trouver plus d‘au
                                                                                  mmt de la 1° ſimplicité quieſt en Chriſt : dk…, e… ,cs C0,,…        &zu;
                      Æclques-uns traduiſent,             _   _              .
                                                                                                                          ~ thi
                                                                                                                                a la l" b ſr d
                                                                                                       D
                                                                                                                   ~
                      filon la mefl-r-dud-PW- vous, par la predication de l’Evangile   4— ‘Car fi quelqu un " venmt- qu1 ...ï'::.....“..::.'.::î °
                      ment,  ue Dieu "amadou.  .
                      qe'pourqriêtre meſſe”, c. de de Chriſt I                    vous preſchaſt n un autre Jeſus que 2 D’autres, me mm.
                                                                                                                                                    …Ligii- x_uu..
                                                                                         ’              ,                   ſipparre': ”ni , étalant mes
                      5,52223‘ ZËUTËËZË   1 5 Ne nous glorifianspOint +5 en ce nous n avons preſche, ou fi vous rece- propres loiianges , ſa…
                      !i éil; fa“ ’ laquelle Dim qui ' ’n qſt pornt de noſtre 'meſure' , erg/l a ‘  Viez un autre Eſprit que vousn avez re mépriſe” Puis que je le
                                                                                                                          _ vous en offenſer ni me
                                                                                   .
                                                                                                      -
                                                   '
                                                                           ’
                                                                                                                  a
                      m. …ſympa—…tpm dire 47 es labeurs d autrui : mais ayans     ceu , ou un autre Evangile que vous ſa“. 13°“ "‘²ïm=°íïl'²“~
                      ËGËËDË‘ËÆËQ 5“; eſperance que voſlre foi 4‘ venant à        n’avez accepté , vous H feriez bien de aCor. iz. a. a. que je
                                                                                                                            tonte de mon Apoſtolat,
                      13°“? 1°‘°“".“° ë‘. la crorſtre en vous, nous ſerons 49 ample  ,                                      n’y cherche  oint ma
                                                                                  lendurer. .     .         _   , _   ,    proprcgloire. rimisvótre
                       onction de notre mini                                                                                                ï
                      fiere. C’efl une compa- ment accreus en ce qui nous aeſté de      ,- Liam J’eſtlme que Je n 31 eſtc en interctôtvotrebien.
                      raiſon tirée de celui qui                                                                             3 D’autres,z.:larmrpour
                      “du... a …hc z dn_ parti 5° ſelon la meſure reglée :        rien moindre que ‘4 les plus excellens 1…… c. pique d’une ,3_
                      eun , ou a chacun ſon           \        .    l  .       .  Apoſtres                                  louſe ſollicitude, par la
                      fonds Po… bâtùjfi …œ  I 6 Juſques a evangelizer es lieux qui
                                                                                               I   *                   ’   crainte qu'on ne vous de*
                        uryſemer, ſbnvigno- ſont 5‘ plus outre que vous : 8c non     6 We fi je’ ſa” U comme quelqu un bauchcdclafm
                       le our  lant .  '  -             .               .      ,           _   \                 .  .       4 C. ſainte 8c ſelon
                       ,f C.Ï]EcD,ÎÏ,,.-,cn_ pOint nous glorifier 5‘ en ce qui a eſſe  du vulgaire a parler, toutefors Je ne le Dieu s. pour l’intcrètdc
                      ‘" “UF“ ë‘ VW…" departi à autrui ſelon la meſure reglée,      .   ñ    6          ~      .    ~      ſa loi  re.
                                                                                                                             g
                                                                                 ſhld‘ pomt ‘  en connorſſance . m2118 nous  5 Ou ’ 9…- 5‘ aimé:
                      mites de nôtre employ  ,  .  ,          ,.
                      roul’avanecmcmdel‘s- aſſaw” 5’ es choſes deja toutes prepa—  avons eſ’cé entierement maniſeſtez en C-ÆÃÏÆÛÆTÉÀPH-_lſt
                      vaiigile ôt la multipli—  z                                                                                      ' ſl  le
                      cation des Egliſes de ſees*                                 toutes choſes ‘7 envers vous.            glahrfpà, & parla rËia
                                          17 f Mais que celui qui ſe glorifie,~ſſ "z-.t   - ñ         -                      .c ' ,  '  '
                      j.Chriſ’t.                                                    ~7 Ar-Je commis une offenſe en ce commeô‘fijgîÿs’Ÿg-ÏËÎ
                       4.4. G. comme ne venant
                      WMi vez-H c- commefi ſeglorifieau Seigneur.                   que je me fuis "abbaiſſé moi-meſme, ‘WWW' .5.1“î- “qui
                                                                                                                           dont etre ſum de la cele—
                      nous n euſlions point             ,     .       .   .       afin que Vous fuſſiez ‘9 élevez? ‘î parce bration desnôccsêtdela
                      deu venir vers vous, pour  1 8 8 Car ce n eſt pOint celur qur ‘4 ſe
                      vousannoncerl’Evangile, recommande ſoi-meſme 3  cfl: S S 2.P                       ‘                  conſommation du maria—
                                                                                  que ²° ſans rien prendreje vous ai ²‘ an- gc, voiPſÏ47.io.Ez.eeh.
                      & que vous euſlies eté
                      hors la ſ here de  ~   ſſ     l      ſi       ‘  '       -
                      “aimé, gc le diſhxiïârä: prouve, mais celui que le Seigneur re  noncé l’Evangile de Dieu.            ;fis-&È ²~ 1‘~ 51"“- 5—
                      nôtre employ legitime.  commande.                              8 J’ai ²² pillé les autres Egliſes , pre  6 Non pasä Moyſe ni ä
                                                                                                                           lL', .~ \ .Cl tir ml
                       45 C. veu qu'en vôtre                                      nant H entretenement 2+ pour vous ſer— äzïâïäíââdcſ‘*
                                                     o
                      _ gard il aroit du moins
                      juſques ou s'étend nôtre miniſlere.  4,5 F. outre ”le/7m. D’autres,-'i fin/inner! par dC-lä les  Vin  a Lev.at.rz.
                      limites'que- le Seigneur nous a poſé: Car l'Apôtre ne pretendoit P33 d'exercer actuellement une  u  *  7 C. éloignée de toute
                      autqnte univerſelle ſur toutes les Egliſes , meine ſur celles qui avoyent été fondées par les autres  9 ²5 Et quand J ef’cors avecvous, 8c fouillyrcôcimpurcrénd
                      Apotres , quor que pourtant tous les Apôtres euſſent une commiſſion illimitée, mais que Dieu  .,  . ‘  .  e .  , - 16  ,  le quelle s’atr‘ſre par la
                                                                          47 C* Où que J avors diſette ,  Je n ai  eſte en corruptionduſiecle.
                      determinOit par les occaſions differentes qu’il leur prcſèntoit pour l’exercer.
                      lEvangile de J. Chriſt a deja été annoncé par d'autres , Rom. i 5 . zo.  4. s C. s'étant for— charge à perſonne: fcar ²7 les freres qui l; ‘ä’î'lz'â'iaïſzgfr'foj;
                      tifiee_& augmentée parla vertu de l'Eſprit de Dieu.  49 Ou , !lat-ri! i aſſ- dans les limites
                      de notre prédication. D’autres , que quand vitrefai'ſer.: artreu'e'. ou, fortifiée, noutſrroni abondam— eſioyent venus ï' de Macedone , ont gancâulèrchmf  r
                      1mm ‘gg-"du , c. dilatés entre vous. On pourroir auffi traduire, nba-144mm”: magnifie}, c. que  ,  .  .  .  .  9  .en tirue,c.o
                      les Corinthiens en la corroboration de leur foi reconnoitroyent &t celebreroyent liberalement ſupplee à ce qui me defaillort: 8cJe me pretexte d’aniitie &dciÎ
                      ſi’m mitiiſiere , ot qu’il n’e’toit nullement ſorti de ſes bornes , en les amenant a]. Chriſt par  fuis gardé de vous eſtre en charge en …È deg…- dfflowcuf &c
                                                                                                                           vouloir élever ‘a un lus
                                                                                    ~
                      “Évangile:  50 G. félon ”être mule , ou . nôtre canon. D’autres , ſelon ”in" department,
                      ail: preſcrit en l’étendue' de nos bornes. Tellement que le mot de regle . ou de canon en ce choſe quelconque, 8c ²² m’en garderai. dcdlgniœ
                      lieu ,  prend pour le diſtrict Bt les limites des provinces &t des villes ou chaque Apôtre devoit     Îo C.ſincerite', ſanslc ‘
                      reſpectivement exercer n fonction. Ce qui s’ajuſte bien avec le il. ſuiv. Car c'cſſ ce que l’Apô—  fard, les fauſſes couleurs , 8c les ornemens empruntés de l’eloquenee ou de la ſageſſe humaine,
                      tre declare ici que leurs faibleſſes ô: leurs defauts rcſireignoyent encore ſon travail, &t l'empe—  par leſquels ces faux apôtrestaclioyent peu à peu de les ſeduire, 8e de les detournet de). Chriſt.
                      choyent juſques alors de voyager vers les provinces plus éloignées , pour y planterl'EvaiTgile:  c Gal. 1.3.  r r Aelquesñuns penſent qu'ici l'Apôtre en veutdeſigner quelqu’un des plus
                      mais_ que quand ces defauts ſeroyent redreſiës, 8e qu'ils ſeroyent convenablement fortifiés en  conſidere's entre ces ſeducteurs z toutefois ceci ſe peut prendre en general pour qui que ce fut :
                      la fon‘qu’alors hardiment 6e ſans arriere—penſee , il paſſerait auſſi à d’autres. Au telle le G. porte  Et le doitentendre par ſuppoſition &t poſé que cela peut étre legitimement, &t non pas abſolu
                      mot q mot en ce verſet , ”Mica .rm eſizerence que 'uîtrefoi erolf/Êmt , nomferanr magnifie? en voui,  ment z voulant dire Par la, que les Corinthiens ſachaus bien qu’il n’y a qu’un jeſus 8c un Evan
                      film mm "51'. tu #band-m : en orte que ce dernier mot ſe peut rippotter. ou ä l’accroiſſement  gile , ils n’avoyent pas raiſon de ſe départir de lui , par qui ils l’avoyent creu &t reçu , pour en
                      abondant de leur ſoi, ou a l’abondante magnificence ou amplification des limites de l'Apôtre,  ecouter d’autres.  i a Ail: duquel vous puiſſiés ſentir plus d'efficace Bt recevoir plus de
                      ou 'de _ſon miniſiere , ou à la regle étenduë ou borne qui lui avoit c'te’ preſcrite : c’eſt  fruit , que de celui que je vous ai annoncé: & ainfi en ſuite, quand il parle d’un apn-e Eſprit,
                      au judicieux lecteur en ce ſiyle ſi concis de l'Apôtre , de choiſir ce qu’il trouvera lc plus  c.d’autres graoes ôt d’autres dons d'ieclui. Voi Gal. r .s . Cc qu’il leur dit par maniere de parler,
                      “Dl/cm“?-   51 C- que par le rétabliſſement de vôtre Egliſe j’aurai moyen de paſſer  pour leurfaire mieux longer a eux-mémés.  r 3 C. vous autie's droit de l’admettre.
                      outre ä precher l’Evangile en d‘autres endroits, ſans toucher ceux ou les autres Apótres ont déja  u, quucs-uns veulent entendre ceci des faux apôtres , qui vouloyent paſſer pour beaucoup
                      travaille, ſelon que Dieu les a addreſſe'es.  5 2 G. en deux mots, en la regle d’autrui, e. en  plus excellens que S.I’aul mémefl‘outefois il vaut mieux l’entendre des vrais Apôtres mémés 8e
                        t , ou un autre a deja obtenu les limites 6e le diſhict de ſa vocation , Bt y a déja preche’. voi  de ceux qui excelloyent parmi eux en credit ôt en dons 5 de l’autorité &tradition deſquels ces
                      Rom- _l $— 20-  _  ;3 C. où il y aurait déja plus qu’à demi beſogne faite. En quoi ſe mé—  ſeducteurs ſe vouloyent fauſſement couvrir entre les Corinthiens; ce qui l’oblige de ſe comparer
                      connOiſſoyent entierement ceux qui s’attribuoycnt tout entre les Corinthiens, comme s’ils euſl  avec eux , pour faire voir qu’en puiſſance, en juriſdiction,en vocation, en autorité, ils n’avoyem
                      ſent donné du coude a l’Apôtre, bien qu’il avoit été le premier fondateur de ce’te Egliſe_  rien eu par deſſus lui : Bien loin de reconnoître Cephas pour ſon Cheſ.8t d’eſſimer que S. Pierre
                      la, en laquelle ils avoyent trouvé les choſes toutes prêtes,ou, comme d'autres traduiſent , toutes  deût paſſer pour le Mon—tque ôt la Pierre angulaire & fondamentale de toute l’Egliſe , ou qu’il
                      dr'eſſees.  ~ f fiſh. oz. rs. Jong. 23. r ſor. r. Sr.  g Pro-v. 7.7. z.  54 Ou  n'exetçât ſon miniſiere que dependamment de lui. Voi Gala—6,9.  r 5 G.ſije[im idiot en
                      comme F. qui fêpnfiſar—me'me.  55 C. eſt trouve' , reconnu &declaréäl'épreuve , e’tre  parole, (voi de ce mot idiote!, r Cor. u,- r 6.) c-ſäns art Oratoire, comme un homme du vulgaire 8c
                      fidele , ſincere 6: de miſe.                                non lettré z aſſ. ſelon que me ?attribuent ccsvanteurs, qui ſe glorifierit tant de leur éloquence &
                                                                                 de leurſageſſe mondaine. Car autrement la ſimplicité du ſtyle de l’Apôtre ſurmonte de beau—
                                                                                 coup en efficace divine &t cn majeſle’, tous lese’crits &t les diſcours les plus beaux des ſages de ce
                                                                                 ſiecle. Voi i Cor. r.: 5 . Bt :.4, s.  r 6 C. en la principale partie de ma charge, qui conſiſtc
                                                                                 ‘a bien oonnoître 8c bien enſeigner le ſècrer dc).Chtiſt ot les myſieres celeſies de la verité qui efl
                                                   CHAP.       XI.               à ſalut.  r 7 Ou. en vom, ou, enm vom, aſſ. par l'efficace, les dons &t les operations, qu’ils
                                                                                 avoyent reſſenti 8e tcçûcn eux par le moyen de ſon Evangile,  r 8 Afl. iulques à m’entre
                                        l L'dpitre pinte/I: de fia je!”ſi'e pour le! (Swim/n'en!, afin de [er  tenir moi-méme du travail de mes mains, ſims vous étre z charge, Act. t 8.3 . Et il ſemble que les
                                      ”tenir en [aſímplícite'de  Chriſi.  3 Et ler convie Ir ne 1"” paint lai]:  faux apôtres , qui mettoyent toutes pierres en œuvre , lui ayent auſſi imputé ceci ‘a blâme,com_  LL»-…r
                                      fil' de'tourner, comme 15'”er fiduite più Sata”.  q, veu que nm  me s’étant ſoi—méme rendu mépriſàble parmi eux , St ayant ſecreternentconfeſſe' par là que ſi]
                                      _ſir-lement quelqun-um dufnux .Apiim, mm au i nul vrai .Apâm de  vocation n'était pas ſi autentique qu’il ſe l’attribuoit:ou bien comme preiugcant les Corinthiens
                                      J. Chriſt , ne [mr pouvait rien procurer , que dej" il: n'tuſſeſint reſt‘.
                                                                                 indignes de rien contribuer à ſon entretien ; etr auſli répond-il ci-deſſous diſtinctement a ees
                                      par lui. l 6 Car il ”e s’etait point ‘vante' parmi eux comme ceux-cr',  deuxchefs.  r 9 Ou, "lulu/JE} 2 aſſ. par deſſus les autres Egliſes deſquelles j’ai tire’ mon en—
                                      mais s’unir porte' fm humblement, ó- n’j avoir point rtfſëd'entrell—  tretien : Ou ſimplement élevés Zi ce haut degré d'honneur ô: de grace , que vous avés obtenu, en
                                      nement , comm: il avoítfait du autre: Eglxfix,“ qui mir arrive'nan PM  comparaiſon de vôtre état precedent, par vôtre vocation ‘aj. Chriſi.  d 1 Cor. 9. r z.  L':.‘1.-uU
                                      par defaut d’affection pour mx ,  n. ;nait pour ôter leur ‘vaine gloire  zo G. damn . c. gratuitement.  2 r G. evangclize'l’Evartçile.  22 C. j'ai reçû 5e
                                      aux faux .Api-”ci fè transformant en .Anger de [lumiere,  xi; Er  tiré d‘elles.ce que vous étié< obligés de me bailler pour mon entretien.  zz Lemot G. ſi
                                      bien que ce ”’th PM agir jugement que de je vanter beaucoup ,  18 il  niſie [4 ſoi/de; parce qu’auſſi le S. Miniſiere eſſ une eſpece de milice.en laquelle nous ſommes ap—
                                      montre neanmoim que ceux—là ne fè pauvojrntglonfler de ne”, der/un'  pelles à la vigilance 8e au comb'at , & à bâtir les murailles de jeruſalem avec la truelle en une
                                                                                                                                                     _ .'I .'Î'J.
                                      il n’euſt droit aufli de ſegloriſier 5  zz môle qu'en flmffmncer ('9- en rm  main Bt l‘épée en l’autre, Nch.4.l 7.  a4. G. pour vâtre ſervice, c. pour votre utilite,& afin
                                      T/.zux pour le nom de). Chriſi , il Icifl-rpaſſoit rom ,  2.8 Outre Ir [Bin  d'avancer vôtre ſalut.  25 Le F. joint la premiere partie dece ÿ. au preced.
                                      qu’il avoit pour toute: Ier Eglifi: ,  32. 6' Ier drfl'lculn'l qu'il de“: e/I  e .Act, zo. 33. 2 Conrad 3. r Theffizg. 2 Thefiaÿs.  26 Le mot G. finifie proprement
                                      figer au ennmeneement defini mini/1ere i Dam”, ou il e'tlaappa dcflmldu  preſſer & ſurcharger tellement quelqu’un, qu’il en perde le fèntiment,comme lors qu‘un de nos  :ÃJÏ‘ÃIÆ’ſſI-ñ'o
                                      par deſſm l” mutniüer ”i une corbeiür.     membres eſſ ſlupcfié 8( cngourdi. D'autres l’interpretent , s’annorichaloit. ou étre oiſifôe deve—
                                                                                 nir lâche en ſon travail,au ptcjudioe de quelqu’un. Voi du même mot 2 Cor. i 2. r 3. r4.
                                                                                  f Philip. 4. r 5.  27 Wi etoyent ſes compagnons d'oeuvre au minil'lere de l'Evangile.
                                         1 A La mienne volonté que vous          a Cor.s.r6,r s. 8e 9. z. Voi auſſi Philip.4.. 1;.  28 Aſſ. de lapandesl’hilippicnsl’hilip.
                                                                                 4. ro, t 5 .mais non pas dcsTheſſaloniciens qui e'toyent de lame'me province,r Theſl. 2.9. lelïfi:
                                                me ſupportaſfiez un petit en
                                                                                 z. s, 9.  29 Ali: encore de même ci-aptés , comme les mots ſuivans l'upliquenr.
                                                                                                                   I0 La.
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