Page 257 - La Sainte Bible, qui contient le Vieux et le Nouveau Testament. Edition nouvelle, faite sur la version de Genêve, reveüe et corrigée, enrichie, outre les anciennes notes, de toutes celles de la Bible flamande, de la plus-part de celles de M. Diodati, & de beaucoup d'autres ; de plusieurs cartes curieuses, et de tables fort amples, pour le soulagement de ceux qui lisent l'Ecriture sainte. Le tout disposé en cet ordre, par les soins de Samuel Des Marets, docteur & premier professeur en theologie, en l'université provinciale de Groningue & d'Ommelande, & de Henry Des Marets son fils, ministre du S. Evangile, en l'eglise françoise de Delft
P. 257

rm_—









             Chap. X.                            AUX CORINTHIENS.                                                              [23

              2—— ME PE xxz- 9- où  9 Ainſi qu’il n eſt écrit , cIl a ell    3 Certes en cheminant ” en la chair,    rt C. ſelon la eond
                                                                                                                           .
                                                                                                                              t
             le Pro h p ete ccrrtp—tces  d     ,               “f   .                                              tion de la Vie preltntc GI
                          ^
                     (1
             ocrmeslespropnetcs &les paſs, 1 a  011116 aux pauvres,  a Ju  nous ne "guerroyons point U ſelon la comme des1…… ſoi
             g‘êndïfff g; "EYE ſtice “r demeureeternellement.              chair:                                   bles ét’ mcpn'làblcs. Vol
             Ding];r      ct     IO Or ²5 celui qui fournit de ſemen                                               ch. 5. 7.
   ,U !TNA l.’ IA,.- l?
                                                                            4. ‘Car “r les armes de noſtre guerre ‘² Afin“ "PNR-'41.5
                                                                                                         ,
                                                                                    .
                                                                                                                _
                                                                                                                   conduite Bt la converti
                  . r l 7-- 9-                        .      s            ne ſont peint U charnelles, mais “î purſ- tion ent-c les rendues.
              Ï, C.C1benefic_cnce,ou ce au ſemeur, vous veuille auſh ²‘ pour
             ‘ë’ ”M“ “ë “‘“î‘W‘ vair ²7 de pam à manger, &multiplier      — ſantes de par Dieu , b a la deſtruction mm…" ‘du s_ En“.
                                                                                           ~
                                                                                                               ~
                                                                                                                   pour l'avanc 'ment St l’an
                                                                                                  ‘x
              de . comme ce mot ſe
             prend ſouvent en lalan- 13          ’  8C            29      17 des fortereſſes.                      gile, donc‘ qu'il étoit en
                                                                                          _
                                                                                                                   oct égard d'un POW-Oil
                                                                                                            _
              gue ſainte. Voi I’ſ riz.                                       5' “ï Deſtmiſans ‘9 les conſeils 8c divin a invincible, àla
              M. _       h    revenus 3° devoſtrejuſticc.
                                                                                               -                     > ilï  d  «lili—Sk
              ;:…Û‘LÎÑLËLÆà     II Eſtans pleinement enrichis en          ²° toute hauteſſe qurs’eleve “ contre la ;‘H‘œiÿuſiîf;de‘ .2…,
              hpnïënœdïffiïu-PW toute 3‘prompte liberalíté, 3²laquelle      connoiſlànce de Dieu : 8c “ amenans 1“"? “mhim'i°“s: ""î
              étre gratuitement rcrom—  _                            n                                             rTim. r. rs. :Tim-4.
              penſée (en l’etemitebien- fait que par nous graces ſoyent rendues  toute penſée priſonniere à l’obcïſſance 1.7.
              heureu e . Matt. a. 5. 34..  \  -                           ²² dc Chriſt ~     i-                     n c. conduits j... ar.
              Lucrl.,3;.&r6.9,&c. aD-lcu'        I  .   i                                                          ſection humaine . ala ſa
              me; cfpfg‘flggccîuëfiifig  I 2 Car l’adminiſtration de cette     6 Et ayans    24 la vengeance toute gd; , ‘ſumbg‘gfflÿmjf_ -
                                                                                                                               ch
                                                                                                                    On d‘5 ho
              lit. En. $5- io.  ’3 oblation n’eſt pas ſeulement pourſub    preſte contre toute deſobeifiänce, récursl-_Avqi z Cor-dan;
               26 D’autreslc traduiſent  -  .        d   S  .         .   U quandvoſtreObeiſſanceauraeſte     ; ²‘ac- ſouventpcc mÏÎſiſ-xïſiù
                                                                                             ..
                                                                                                                    U
                                                                                                                         DUC
                                                                                                                                 l1
              …5; o, …Wu- 1...... venir aux in igences es aints , mais
                                                                                .                                  clmrr , en diversendroiu
              :15?ngij {g’l’gfggï’g auſſi redonde en ce que plufieurs en ren  complie.                              delèslettrcs.
              ſi fromnir Liz—multiplier vô— dent: graces 34- à Dieu z       7 Regardez-vous les choſes ²7 ſelon a ,EW-6- m8“-     ‘
              "fl ‘DIU-ſl.                    s       n                    l,          P  .     1  ,   f             14. C. les moyens que
               .27 c. le pain quoti.  13 En glorifiant Dieu parle moyen     apparence. Si que qu un e confie en nous employons pour
              KLM-“3““ ſd” r“ 3‘ de l’eſpreuve decette ſubvention, de     ſ01 meſme , qu il eſt a Çhriſt , qu il WWE…,&kswünïh
                                                                                                                   Convertir les hommes ar
                                                                            '_
                                                                                                                s'
                                                                                                        '
                                                                                           s'
                                                                                                  \
               u ?u Prop-eme… W- ce que vous 3‘ vous ſubmettez à 37 la    penſe cela derecheſ en ſor-meſme, que gen-udrcsncclctſiàl’obcffi
              fnſſÏ-ÎÃ  l, ſem: pa: ?dm-dc. confeſſion de l’Evangile de Chriſt: .Sc  comme  . il eſi à Chril’t , pareillement _1, cldſhſiuſmdk.,
                     . C
                                                                                                                     (C
                                                                                                                             .
                                                                                                .
                                                                                                          .
                                                     .
                                                                .
                                                                                                                         .
                                                                                                                       C
                         UCVOUS
                                                                                                                           ll’
                                                     '
               eficence.
              ”z, Ou’ ,HM-,h 5ck de voſtre prompte 8c liberalc communi '   auſſi nousſommes à Chriſt. _                   3,31352;
              urpm-           cation envers eux 8c envers tous.             8 Car ſi je me veux meſmes glorifier PMU» P0lu "Wi-ic!”
                 C. de vôtre benefi-                    .     .            d              z 8          .            les autres par de belles pa—
              Jil’ccfflommcſusm. le  I4. Et 3’ en ce qu’ils prient pour      avantagc de      noſtre purſſance , la- roles, paruomperic, ou
              fm“ &1° “m“ d‘lî‘ vous , 39 en vous deſirant affectueuſe—    quelle le Seigneur nous a donnee ï a ,6 C_ PM,…,ADM
                                                                                       '
                                                                                                                 \ parſorce.
                                                                                                            /
               nelle en :c’te vie confi
              …MMMchim- {Ph ment     4°  pour l excellente grace de Dieu  ²9 cdification, 3° 8c non point à voſtre “-9" l~1Puffl~²"‘=ë<"=‘~
                                                                    '
               e en l’accroiſſement des
                                             ’
                                                                                  .     .               .   .      tu que Dieu y joint , tant
              rituelles «St temporelles.  fur vous.                       deſtruction , je n’en recevrai peint de en rexecuuon de divers
                        ,
              zËoÎs'ſſſzſſÎPſſ"""°°mm° _ I 5' 4‘ Or graces  \ a Dieu de ſon don  ho  _                             miracles ſelon ſa promeſ
                                                       ,
                                                                            nte ' _                                ſezMarcts. zo. qu'en la
               3: G. laque”: pnduit , lnenarrable.                          9 Afin qu il ne ſemble pomtque _je …Wa conviction de,
                                                                                                                   com
                                                                                                                       nction , commo—
                                                                                                        '
                                                                                       s‘
                                                                                                                '
              ou , opere , pur MM action
              diagram ‘a Die-ë 3 aŒ de la part des povres le indi ens , qui obtenanspar nôtre ennemiſe 8c par  vous veuille eſpouvanter 3‘ par des epiſ- cœursparſon Erpm, Act.
              nos mains re ſorflagement &t cete bencficence x ont excités à en loücr St remercier le Seigneur,       rs. 14. &enl'cxttaordi
              qui pourvoit de la ſorte à leurs neceflités , comme il paroît du ÿ. luivant.  3; Ou, ſerum  tres'     naire punition de ceux
                                                                                                                    ui entre renent d’ reli—
                                                                                                          '
                                                                                                     '
                                                                                                 2
                                                                                          ſi
              Jam: Le C. leitourgiafinifie bien toutes ſortes de miniſtere public . comme il a eté remarqué  b_ IO Carlesepiſtres ï (dil'ent-ils)l'ontgmvmsînrem;1cm
              Aa. x 3. z. mais il ſe pourroit prendre ici pour un ſervice ou minillere d'amande ou d’obla
              tion z comme , bien que d’un autre mot , les aumónes 84 les oeuvres de beneficencc le  ren graves & Fortes , mais lapreſence BuiêſuyAct- ”-6
                                                                                                                          O. quel'A
              nomment des ſacrifices, Phil. 4,. r 8. Heb. r 3. r6.  34. C. a ſon honneur 84 gloire.  du corps cſt forble, ’ï 8c la parole con- r7 c-«ſiſizrnrr
                                                                                                                      fl’- I.
                                                                                         s
               3 5 C. par l’cfiai k reconnoifl'ance.  ;6 C. que pat-là ils témoignoyent ex dcclaroycnt
              de s’aſſuietrir volontiers en tout ô: par tout à l’Evangile de j. Chriſt ô: d'en ſaire une bonne ô:  temptible.  pôtre nomme tout ce que
              fincere proſeffion 5 carauffi recommander—il particulierement les œuvres de charité.                      Satan Bt le monde exigent
               3 7 Se ſoûmettans aux devoirs , que ce're franche 84 ſincere confellion de l’Evangile exige  1 I We celui quieſt tel, penſe cela, contre 1- Parole devien
              d’eux. G. rnot a mot de la flobmijflan de n51” unfeflian de l’Evangile dc j‘. Chriſt'. En pluiieurs     & oppoſent au cours de
              exemplaires François ce mot de confefllan dt omis par inadvertance ; car les G. le Sy' laque , les que tels que nous ſommes deparolepar l'EvangileJoitparlaper
                                                                            ~                   _         ‘        1~ecution,ſort arlaſhgtſlſie
              Latinsde F. le retícnent conſiamment.  3 8 C. que les fideles de jeruſalcm e'toyem incités  epiſ’tres ef’tant abſens , tels auſli ſhmmer a‘ Moqumfe dm…,
              par téte beneficcnce a prier plus ardemment pour enracmclques-uns traduiſentÆt :n leur: ſarl-'em
              pour vos” ont envm 'vom mxcfinguliere affui’tion, Bec.  z 9 On le pourrait traduire,vous por  ”0M 3+ de fait ef’tant preſcns.  ‘Mm‘ _il "‘*P‘îffléuuë
              tans une grande affection ; ſort dcfiteux d'entendre tous les jours de bonnes St avantageuſes  d       a.. ÿ. ſurvans. Vor auſli
                                                                            12    Car nous ne nous Oſons pas ch. .. ro, in,…
              nouvelles de vôtre proſperité.  40 C. parce que par nous ô: par d'autres ils ont entendu les
                                                                                                                  '
                                                                                                                    ls Ou,renwrflmi.e.alÏ.
              grandes glaces 8c les dons ex uis que le Seigneur a departis à votre Egliſe, Act. a r . r 8 , r 9.  35 mettre du rang de quelques-uns, ni ſuimffl-ansàlvc… &à
               41 L'Apôtre conclud ain itout le diſcours precedent . pour declarer que l’honneur de la re
                                                                                      -‘
               utation ô: des graces ſuſmentionnées , dont il les avoit loues. ne devoir pas proprement s'attri  accomparei‘ a eux , leſquels  36  ſe recom le Mm… de …me
                                                                                                                 - ſa Parole. Carla railon &
               u'c'r ä eux, mais à Dieu ſeul, afin de les former ainſi à humilité devant lui. Voi l’ſ. Il S. t .
                                                                          mandenteux—meſmes: mais ils 37 n’en— ne doit point entrepren—
                                                                          tendent point qu’ils ſe meſurent eux— d“ d‘ '“ëëîdë‘ſiîîîîgë
                                                                                                                   le , mais doit s’y captive!
                                                                          meſmes 3’ par eux-meſmes 8c s’accom— R -ffluifflir- <°mmcl=ï
                                            CHAP.      X.
                                                                                                 \                 mots luiv. le declarem.
                                t L'initre , au ſujet de ce que quelqunfdux apiifm difizytnt parmi parent eux-meſmes 39 a eux-meſmes.  19 Ou, plutot Inrarſèrr
                               lux , que ſe: epilrnavoſtnr bien quelqu: (baſé de recommandablt , ”un                Mme”: ô: les diſcours,que
                               ”on puſh prefince,  3 traître de la [mi/17mn \ApU/Io/iqur que Drm Im'  forme , conçoit 8: produit la raiſon naturelle de l’homme animal , pour ôter} l'Evangile le re
                               avoit donner pour dont” lu rebelles cnſon [Sali/ê, 4. mm par armer char.  ſpeét qui lui cit deu , 8: le nous rendre ſuſpect ou mépriſable.  zo Afi. de l'induſtrie, dc
                               ardeur-au ſpſſlîutllfhſfflſſ/TIMU à ”la de la part chreu. 8 Tautcfou qt”  la ſorte . ou de la ſagcſſe du monde.  et C. pour s’oppoſer ‘a ce que Dieu ne ſoit connu
                               ee're puiffimce !ui r’rorr dormi: à fd]flſ.‘flſiflfl,non ſur Ir rit/Imam»; Io 215i]  ô( adore’.  :1 Ou , ”Ptit/am rounpenfi'z , c. contenans par cete terreur dans le devoir de
                               la dtmonrrzra contre tel1. non fin!”nrnr abflnt ó- par Ierrmpmzid au/lr pre  l’obcilhriee , lesconſciences de ceux du dedans , Se faiſansqu’auffi ceux du dehors s'y s'aflnjet
                              finr.  r 2. flrrœfbmſie'de cr pouvoir il n Witjufquu in‘ pro vigne l’Evan—  tiſſent.  z; C. de l’Evangile , qui eſi: en effet folie àceux qui periſſent, mais puiſſance 8c
                               gile.  r 5 Nan où d’autres .rt-qe”: depart-wan! travaille’.  16 Et qu’il  ſageſſe de Dieu I1 ceux qui ſont lauvés,r Cor. r . r s ,24.  24. Ceci ne le doit point entendre
                              penfi mnrcfaire/e mime. non [êulemmt Fannie-4x, pour Itifurtifier, mais  de quelque vengeance exretieure .St mondaine ; car J. Chriſi l’avoir interdite a les diſciples.
                               duſſz dim lapai; plus eſſlaigne'r d’eux. r 7 Cc qu’il dinnon [2.11 pour ſ2- loue’,
                                                                         Matt. zo. 2.5. & 1.6. 52.. Mais de la denonciation de la vengeance divine contre les endurcis,
                              fiiñme'me, mmpourfèglorifier mtr’eux de lagune de Dmc.  même en l'exercice dc la diſcipline Eccleſiafiique contre ceux qui ſeproſeſſans membres de
                                                                         l'Egliſe, ccpendantenſeignent ou vivent autrement que le Chriſtianiſme requiert.
                                                                          .2 s C- apres que vous qui étes menés d’un autre eſprit, aure's ſait vôtre devoir.
                                 I      U reſte , moi Paul , je vous       1.6 C. amenée à ſa perfection , ou leincment maniſeſiee- Ce que l’Apótre ſemble ajouter
               1 Ou,exb””.
                                            '
               2. C. debonna'uete' 8c  _  x Pme par fla doucçur 8C a de"  pour addoucir la precedente menace , â afin de les émouvoir a prevenir une telle vengeance par
                                                                         amendement de vie ; veu que meme aux plus endurcis ſe doit donner tems & lieu de repen
              m-nſuctudeMm-H-w- bonnaireté de Chriſt : mm qui 4 en        tance , avant que d’en venira l’extremité contr’cux.  2.7 C. filon 14 ſur: . c. qui ont quel.
               a ”GARE-kei? ſinifie  r      ,  s   .                   .  que luſtre exterieur devant les hommes, & dequoi quelqu'un ſe voudrait glorifier.
              proprement equuetmo- pre ence ſſi”  petit entre VOUS I 1112118  :.8 C. que nous avons rcçû comme Apôtres de j. Cluill plus que ſes autres diſciples; telle
              datation ou clemence , en  ~     '
              EFW…” Main_ abſent fuis hardi envers vous.        ’r
   R*VFQ"~4D<                                                             ment que lcs Apôtres n’ont point ett de ſucceflcurs en ee haut degré de puiſlànce , ni en cete
                                                                         verge Apofloliquc dont il cl! parlé 1 Cor. 4.. z r. non plus qu'en leur Apollolnt.
               4 G mom-fm c é    2 Je vous requrers donc qu citant        c 2 Cor. r 5. ro.  z9 C. pour s'exercer tellement , que les pec'lreurs ne ſoycnt point pre—
              tant PME…, &_ſdonu preſent il ne me faille point ë uſer de  cipités au delèlpoir, mais amenésä la repentancct Voi 1 Cor. 5. 5.8; 2. Cor. a. 6, 7, s.
                                                                          ;o Ainſi J. Chriſi ſe diſoit c'tre venu non pas pour détruire les hommes , mais pour les ſauver,
                                                                         Lue 9. 56. ‘ſean z. r 7. & i 1. 47.  ;r C. que je veuille vous effrayer pat le poids, le ſtyle
              ‘ÈËÎÎËÏ’ŸËËËIËÏH hardreſſe, par cette 7 aſſeurancc ' de la
                                                                         ſerieux , & la gravité de mes lettres, comme ſi je n’olois exercer en preſence ce'tc puLſſancc dont
              afl: ſelon qu'en arloyent  '   '            9            '_  je vous menace. Et ainſi S. Paul reſute une autre calomnie des faux apôtres , comme il le dccld
              “minsñqwgpes’ qui quelle je delibere de me porter liardi
                                                                         re plus au long ci-aprcs.  ;z Aſſ— les {aux apôtres. WclqueS-uns liſent, ce drH/.commc s'il
              â’arflf‘eêlanlifiä taclàoyâpit ment envers quelques-uns ,  qlll nous  -parloir particulierement de l'un d’eux.  3 z C. les diſcours 8c ſes propos , lors qu’il ell
               a or ir e cane u  -  -                            - -      prclènt , n’ont rien de conſidetable ni de relevé.  H. C. pour executer ce que nous
              m… &dmxhomm eſtiment comme li nous 1° cheminions
                                                                         aurons denonce’ par lettres.  d z Car. z. r. (g- 5. te.  35 C. nous ajoindre a eux.
              que l'Apôtre leur avoit     ~
              addreflëes en l’Epître pre— ſelon la chalr'                  Et nous reputcr de leur nombre , ou juger que nous en ſommes.  36 Ou . IPN” W…"
                                                                         eux-mm” , & ainli ſous ÿ. r B. 6c ſont les trompettes de leur propre louange.
              eedente 5 tellement qu’ils                                  37 Ou , ”c [inn point flag”. Le G. porte mot à mot 5 mais Eux , ſe meſurammmm’mtr en eux.
              blàmoyent de lâcheté &t de baſſeſlè, la modefiic & l'humilité defipreſence; mais d’or  me'mn, t'y-ſr." comp-1mm eux-mc’mn avec eux-me'mey, n'ont peint d'intelligence-.c, decouvrent leur dc~
              Pueil intolemble , la vehemente & la jolie ſevetité de ſes lettres.  6 C. que je ne  ſaut de lèns : Aclqucs-uns voulans traduire, ſur Hom nou; mfitrom nour—mm” 21 nounme'me: , (1
               ois  int contraint par eéte inſolente deſobe'iſſanee , d'uſer étant preſent d’une telle bain_  nom comparer” nom—mime: à nom—mûr…, omettent ce mor n’entendent p44. qui montre allés que
              di et les’châtier. I  l 7 C- fermeté de courage.  8 ou G. &t F. par laquelle je  l'Aporte ne parle pas de ſoi & en premiere perſonne, mais de ſes adverſaires ô( en tierce.
              ſon eflimr m :fire partclmrdmcnt, Re.  9 G. oſé, ou avoir oſe'enwnquclqun-um, all'. en  3 s G. en :ux—mûr… , c. que voulans e’trc repute's 8c ellime's &lon l’opinioq qu'ils ont
              ecrivant ou menaçant, lors que je ne ſuis point preſent.  ro C. que nous agiſſions  d’eux-mêmes & ſelon lcut ſuflueuſe imagination , ils ſe meſurent à une faulle & trom
              en nôtre Apoſiolat 3x en nôtre conduite , par des maximes humaines 8c cliarnelles , pour nous  peule toiſe.  39 Ou , avec :ux me’mn '; ſans regarder aux autres . a qui le Sei
              rendre plus conſiderablcs au monde . nous y faire valoir , y avancer nôtre intere't particulier &  gneur a dépani plus d’autorité 6: plus de gta-xs , comme e’toycnt les vrais Apôtres de
              notre propre reputation.                                   LOMB
                                                              a
                                                                                       X 3              13 Mais
      e?
   252   253   254   255   256   257   258   259   260   261   262