Page 217 - La Sainte Bible, qui contient le Vieux et le Nouveau Testament. Edition nouvelle, faite sur la version de Genêve, reveüe et corrigée, enrichie, outre les anciennes notes, de toutes celles de la Bible flamande, de la plus-part de celles de M. Diodati, & de beaucoup d'autres ; de plusieurs cartes curieuses, et de tables fort amples, pour le soulagement de ceux qui lisent l'Ecriture sainte. Le tout disposé en cet ordre, par les soins de Samuel Des Marets, docteur & premier professeur en theologie, en l'université provinciale de Groningue & d'Ommelande, & de Henry Des Marets son fils, ministre du S. Evangile, en l'eglise françoise de Delft
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Chap. XV I.                             AUX’ROMAINS.
                                                                                                                              103
              S s c qui a ſon origine quant au ſacrifice de l’Evangile‘ 5‘ de
                                                                            27 Car 9’ il leur a íèmblé bon ainſi,  93 G. lin/i leur a-l-r‘l
             celefie du Dieu de verite',                                                                            lui. Ce que l’Apótre re
             ôt que Dieu m'a charge' Dieu, à ce que 5‘ l’oblation des Gentils  8c auſli ils leur ſont "- obligez. " Car fi les  pete derechcſ , pour re
             d’enſeigner de vive voix
                              ‘7 ſoit agreable,eſtant 5 8 ſanctifiée par le Gentils ont eſté participans de ’ï leurs  commander  davantage
             ô: par ecrit.                                                                                        cetc franche, prornte ce
              $6 Non pas celle que S. Eſprit.  _                         biens ſpirituels, ils leur 9‘ doivent auſli  volontaire liberalite . &E
             les Gentils doivent ofſrir                                                                           ainli exlrorter lècreteritcnt
                                I7 j’ai donc dequoi me 59 glorifier
             eux-memes, Rom. rz. 1.                                     adminiſtrerquant 97 aux charnels.          les Romains à ſairel: me'.
             mais celle que je dois oſ  ‘° enjeſus Chriſt, és choſes ë‘ qui appar                                  me ; parce qu'ils ne jon'rl'.
             fiir ô: preſenter à Dieu .                                     28 Apres donc que j’aurai 9" achevé   loyertr pas d'une moindre
             du corps des Gentils.ame tiennent à Dieu.
                                                                        cela , &c que j’aurai 99 conſigne… ce    ptufperire . quelts Grecs.
             mesa la ſoi. &convertis à
                                                                                                                  94 G. ó- 11! [turf-”r n.
             ſa grace par mon minille  I 8‘ Carje ‘²n’oſerois rien dire“3 que frurct, j’irai 1 par vos quartiers en Eſpa
                                                                                                                 devaólr!, e. ilslont tenus
             xe. Voi Malach. r. r r.  Chriſt n’aitfaitpar moi ‘4 pour amener                                      de les afiiller: Cc que l’A
              5 7 Vol de ce mot,Rom.                                    gne.              ~                      pótre ne dit paspourn- .
             1 a. r.         les Gentils à l’obeïſſance , ‘5 par parole,   29 ° Et ²je ſçais que quand jevien    valer lcui liberrlire , mais
              S s C. comme embraſee
                             8c ‘ë par oeuvre:                 '                                                 pour iniinuetdoucement
             de ce ſeu d’en-haut. Voi                                   drai vers vous, j’y viendrai 3  avec une aux Romains , qu'ils y e
            encore Rom. 1 a.. r.                                                                                 toyent pareillement obli
                                19 Avec vertu de lignes &de mira— abondance de benediction de l’Evangi—
              59 All] de ce que par                                                                              ges pour la raiſon qui ſuit.
            mon miniflere j'ai ame  cles, en "7 la puiflànce de l’Eſprit de                                         n 1 (nr.9. 11.0”[.6. 6.
            né un li grand nombre                                       le deChriſt.                               9$ C. la doctrine de
            de Gentils à la foi dej. Dieu: tellement que depuis Jeruſalem  30 Or je vous 4exhortc, freres, 5 par  l‘Evangile de j.Chriſl,en
                             8c ‘ï àl’enviroſin , juſques en ‘9 l’lllyric,
            Chriſt.  b                                                                                           qui ſont caches tous les
              60  ui a  enit mon                                        noſtre Seigneur jeſus Chriſt , 8e par ‘ la  trelors des biens ſpirituels
            miniflSe", Be a etél’au—  7° j’ai fait abonder 7‘ l’EVangile de  dllectron 7 de l’Eſprit, P que vous ² corn  8c ſalutaires qui ſe peu
            teur  principal  de  cc                                                                              vent delitcr. Et ils s’ap
            grand oeuvre par moi, qui Chriſt :
                                                                                                                     .
                                                                                                                             . ñ
                                                                        battrez avec mor, 9 en VOS PHCI‘CS à DICU  pellent les biensdes fide—
            n’en ſuis que la mule in                                             .                               les jmſs,ou del’Egliſe de
            ſtrumentale ſous lui.  20 7² M’eſtudiant ainſi affe'ctueuſe   pour mor 2                               jcruſalem, parce que]. C.
             61 G. qui mum Difu,  ment d’annoncerl’Evangile , 73 non pas                  -   -    -  r          avoir été rino‘ lement
            c. qui le concernent Gr ion                                   3 1 ‘1 Afin queje ſors delrvre ‘° des re- l,……imfjuſſfkpm
            ſervice . comme l’unique où il avoit eſte’ ſait mention de Chriſt :  belles qur ſont en Judée : 8c que 1 ‘ mon gr‘, È" F""ää‘lâ‘jffl PF‘
            auteur de ma vocation,                                          ..      .       ,  .   ,              le  eauueerua—
            de ſes grâces pour y ſour ( afin que je n’ediſiaſſe point 7'- ſur la  admrnrſtratlon que j’ai à falſe ‘² àjeruſa— lem par 50m le monde,
            nir , ô( du ſucces R benc—  fondation d’autrui.)            lem ſoirr  du”           U     S  -      Ela. 2.3. Act. 1:4,8. Et
            diâion de mon minuit:                                                en . e agœa   e   aux   amts~   Rome qui fiut ion profit
                                                                          3 2 ‘ Afin que jeVienne vers vous en j:ggg; fj‘g’gcffi‘c'ä‘ÿ’
            re:Voi cette meme phraze  2 I Mais, ſelon qu’il eſt eſcrit, î Ceux
            tap”: ”n fluo”, Heb. 5-!
             62. C. je ne pourrois en auſquelsil n’a rien eſte’ annoncé de lui,le joye H parla volonte de Dieu, 8c que je gîlcrareilfcpvuvoirdirc
            bonne conſcience  rien  verront: & ceux qui n’en ont rien ouï,        /                               c e.
            avancer de cela , craignant                                 ’ ’ me I'CCI'CC avec VOUS.                ,5 c, qu'ils ſu… ob”
            qu’on l’interprete a ja l’entendront.              '          33  or   r 6  le Dieu de Paix la” avec Êtes reçûs d'eïx , a les re—
                                                                                          '
                                                                                                         *
                                                                                                     ‘
                                                                                                                  és par de ſr :mds bene
            Ltance & à vanité.
                                22 75 C’eſ’c pourquoi aufli, kj’ai eſté
             6 z C. qu’il n'aitaumnt                                    VOUS tous_  An1cn_                       connoi tre a la pareille, de
            opere' efficacement par                                                                                les en rccompenſer en
                             ſouventefois empeſché de venir 7‘ vers ~
            moi , que par aucun autre                                  qudque lbrte.Voi r Cor.9.1 1. Gal.6.6.  97 Alnfi G. mais F. corporel!, c.qui ſont neceſſaires
            de ſes Apôtres, Gal. 2. s .  vous                          pour l’entretcnement de la chaînon du corps, Eplreſ. S .29.  9 s AflI ce voyage Be ce ſervice.
             64 G. ô( F. À I'oberſſànu                                  '99 C. que je l’aurai auſli fidelernent livre’.qu’rl a été confié 5c comme {celle entre mes mains,
                               2; Mais maintenant , veu que je         :unſi que l‘on ſeelle un treſor dans un coffremin qu’il y ſoit inviolable à que rien ne s’en puillè
            der Guru/r , c. comme nos
            lnterpretes le ſupplécnt,  77 n’ai plus de lieu en 7s ces quartiers-ci,  prendre.  r oo AſIÎ'qui a eté produit par la ſoi B: par la charité de ces Egliſes-là: C'eſi ainſi
            pour amener les Gentils,                                   que le nomme leur beucſiceuce , parce que la vrayc foi doit porter de tels fruits & e'rre ouvrante
            deſquels je ſuis principa &c que déja parpluſieurs annéesj’ai l un  par charité, Gal. 5. 6. Ou bien , cete ſubvenriou ſe nomme le fruit , parce que c’e'toit pour les
            lement l'Apótre,à l’obcïſ—                                 rideles de jude’e , comme le ſruit 6: le revenu de leurs biens ſpirituels , qu’ils avoyent commu
            ſance de la ſoi &de l'E— grand deſirde venir versVOUS :    niques aux Gentils.  1 D’autres par der/en vom: G. par ww, c. par votre pais 8c par vôtre
            vangile.                                                   ville. C’était bien le projet de S. Paul; mais la perſocution desjuiſs le fit venir priſonnierä
             6$ Ainſi G.au ſingulier,  24~ Wandje partirai pour aller 79 en  Rome.  o Rom. 1.1 1.  a. Voi de ceci, ſus i.”—  3 G. m pleniſudc de bennírctwn,
            mais F. au pluriel, par pd—  Eſpagne, 3° je viendrai vers vous: car  c. j’apporreiai avec moi une pleine ou ſurabondante bcnediction ſpirituelle , pour vousſortifier
            191” t."- par œuum : Et par                                par mes predications en la doctrine Clireriene , par laquelle l’etemelle benediction de Dieu nous
            la parole il entend la pre “j’eſpere queje vousverrai ²² en paſſant  eſt publree &c promiſe. Ou ſelon d'autres , je vous trouverai tous remplisde la benediction de
            diranon de l'Evangile.                                     l’Evangile.  4 Ou, prie.  5 C. autant que vous aimes le Seigneurjelus : Ou ne le
             66 C. avec beaucoup de pardevers vous,8c queje ſerai là conduit  faires point tant pour moi, ou à mon ſeul égard, que principalement pour l’amour ch.Chri&.
            travail, de difficulté ët de  de 33 par vous, apres avoireſte’ premie—  6 All'. ou de laquelle Dieu veus a ain-.es , Rom. s. 5. ou de celle dont vous aimes Dieuôc
            peine : Ou avec beaucoup                                   vôtre prochain.  7 C. ou dont le S. Elptit nous aime &nous aſſure en nos cœurs , ou
            de lignes ôt de miracles, rement 8+ en partie 35 raſſaſié ë‘ d’avoir  celle qu’il y produit 8c allume par la grace.  p 2 Cor. r . 1 r.  8 C. que VOUS P‘l't'éï
            comme il s’explique au                                     pour moi irrſlamment , ardemment, ëc perſeveramment, commeles ſoldats genereux dans le
            ÿ. ſuiv.        eſté avec vous.      _                     combat s’afliſlcnt mutuellement 8c combattent vigoureuſement juſques ä ce qu’ils remportent
             67 C. l’operation ſecre—  2 5 m Mais pour lepreſent ²7 je m’en  Ia victoire: Moyſe oombartoit contre Arualec par l'e'levarion de les mains , 1€de 1 7. rr. _Et
            le de efficace du S. Eſprit                                  Jacob par ſa perſeverancc en ce combat myſliquc obtint la bencdiction , Gen. 12. 26. Auſh y
            au cœur des hommes vais àJeruſalem ‘3 pour ſubvenir aux    a—t-il long-tems qu'on a dit que les larmes ô: les prieres ſont les armes de l’Egliſe.
            pour leur converſion.                                       9 Aſſ. qui ſont les armes deſquelles les fideles combattent leurs ennemis: Cesdevoits des
             6 s C. dans les pais plus Saints.                         prieres mutuelles entre les fidcles vivans , quiont communication eulemble & qui trempeut
            voiſins de la Paleſhne ,  26 Car il a 89 ſemblé bon 9° aux Ma  reſpectivement en pareilles difficultés , ne s’exercent pas entre les vivans ô: les morts. ni par cmt
            comme l’Arabie , Gal. t.                                   ni pour eux; & il ne s’en trouve aucune trace en la parole de Dieu.  q a. de/Î Jñ :
            17. Damas, Gal. r. r7.  cedoniens 8c aux Achaïens de 9' faire  ro AſiÎ qui rejettent la doctrine de l'Evangile Sr s’y Oppoſcnt, ô: m'ont en haine a ce ſujet. Ils
            Antioche. Act. 1 3. 1. Se                                  tâchetent à Ieruſalcm de faire mourir l’Apôrre , mais il ſur ſauve' de leurs mains. Voi Ac}. :r .
            leucie. Act. 1 a. 4. Cypre, une contribution pour communiqüer  i. 27, 1.1. Et S. Paul ſutâveni qu: tout celaluiarriveroit, Act. 2°. _22. Voi L’îlreſſ. z. 2.
            Act. 1;. 4..  Pamphilic ,                                   r r Wi étoit de configner fidelement les aumónes collectées , deſquelles il etort porteur.
                            aux pauvres d’entre 9² les Saints qui ſont
            ACI. r z. r 3.‘Piſidie, Act.                                1 2 C. aux povres fideles de l’Egliſe de jeruſalem.  1 3 All. parce~ que ce devort :tn-_une
                            àjeruſalem.
            la. 14. Lycaonie , Act.                                    communication de fraternité entre les deux nations, par une occaſion li remarquable. V01 lus
            !4.6. Cilicie, Actu 5.4.1.                                ‘ d‘. :7.8::G.  1 Rom.1.1o. Ô 15. 2;.  r4 C. s’il plait à Dieu &querelle ſoit ſa
            Phrvgic, Act; 16. 6. Galatie , Act. 16. 6. Troas, Act. t6. s. Athenes, Act. 17. r 5. Epheſe,  ſainte volonté. Voi Rom. 1. ro. &Jaq.+ r a. 1+, rs.  rs Gagnant/Bit terne. G. que
            Act. 19. r. Achaic. Act. r 8. 27. Macedone, Act. 16. 10.6( autres. Ou.d la ronde, paſſant ça 8e  je mc repoſe mm mm , afl'. par nôtre mutuelle preſence & entretien reciptoque. Vor de ce mot,
            la d’un paisen l’autre.  69 C’eſt un pais ſitue au long de la mer Adriariquc,ët confinant  Mart. 1 r. 28.  16 C. qui eſt l’Auteur de toute benediction , & la ſource de toute pro—
            àla Macedone , qu’on nomme aujourd’huy Sclavonie.  7o Ou,j’ar deco”)plr 1c ”nm/hr:  ſpcriré, qui nous a procure' la vraye paix par ſon Fils, le prince de la paix,l-.ſ.9.s. 8c qur veut que
            de l'Evangile dej. Cluifl.  7 t C. j’ai rempli tous ces pais—là de la predication 8c connoiſ'  la paix ſe maintiene toûjoursentre ſes enfans. Sous le V. T. Dieu ſe nomme ſouvent l’F-œmcl des
            flute de l’Evangile.  72 Ou, ambùionrmnt, c. par une lainte &louable ambition, menant  armées 5 mais dans le N. il prend le titre de Dieu de paix, Rom.r6.2o. r Corn-s 3- 1 CON J
            peine de precher le premier par tout , aimant mieux planter de nouvelles Egliſes , ou il n’y en  Y. 11,13. Phil.4..9. rTlreſlI5.‘:.5. 2TheſlI3.16- 8c Heb—rz.:o.

            avoit point,un de cultiver celles qui étoyent deja dreſl'ees par mes Coapôtres.  7 3 G. non
            ”’- (un/l mix nomme', c. ou Chriſt n’avoir point encore été connu ni prcche',& où ne ſe trou—
                                                                                   CH AP.      XVI.
            voit aucune trace de ſa connoifiI-rnee 8c de ſa doctrine.  74- C. ſur le fondement déja poſe'
                                                                         1 L’air-it” recommande Phrèenux Romain!,  3 éſàluë'noume’
            par un autre Apôtre. Voi 1 Corint. z. ro. Et d’ici on peutrecueillir que l‘Egliſe de Rome, à la
                                                                       mcnt qru/qutr-nm dcrprincipaua-frcm à ſaur: del’lz'glrſ? , M [mr ”n—
            quelle l'Apôtre ecrit, n'avoir point été exigée par la predication d’aucun des Apôtres ; car autre  danr un honorable ”ſſmutgnlge de [ſur Pine'.  17 .Âdmomm lu Ro
            ment 5. Paul ſi: fût departi de ſa maxime en s'employant li cordialement a ſon inſtrufliou.
                                                                       main! de ſe danmrg rdc de ceux qui mettent dtipnrttalitei (3- duſèan—
             i fifi- $2.- r s.  7 s Ail: pour répandre 8c établir l'Evangile aux pais dans leſquels il n'a—
                                                                       ddl!“ de d't'rrr fige: au bit».  zo .Avec promeſſe que Dieu briſent
            voit point encore e'te’ annonce' , ôt y exiger de nouvelles Egliſes. Voi Rom. r. r z.
                                                                       Sram” deſſin” leu” Finir.  zr Il flrluï l'qur/è del-apn” (lequel-11m
             k Rem. r . 13. 1 Tire/1’. a. r 8 .  7 6 Comme crans déja d’ailleurs infiruits en l’Evangile,
                                                                       frere: , qui t'loyent preidt lui.  24. Et MIMI-e :rr/[n fin Epine , par un
            à convertis à la ſoi de jeſus.  7 7 All) ou l’Evangile ſe doive premreremenr prêcher.
                                                                       plin? fiubair , ó- en rendantgmcei il Dim pour I’aéondtnn rat/alarma
           ‘ 7$ Aflï de Syrie , de Grece & d’Aſie. G. Him-:ſi: Mot qui ſert a exprimer les pars ſitue's ſous
                                                                       defi” Evangu'c.
            les diverſes hauteurs du polc,ôc plus ou moins éloignés de l'equinoxe.  l Ram. r. 1 o. ó
            1 5. 3 2. 1 Theffi 3. ro. a, Tim. r. 4.  79 All. comme je me le ſuis propoſé, parce que l’E—  I  .  oſtre  r Cétc recomrmn la.
                                                                          I    E vous      recommande n          tion ſe fait aux fins deui
            vangile n’y a point encore été prêché z car ce qu’on dit du voyage de S. laques en Eſpagne avant
            que d’etre dec-‘lpité par Herode , eſl une pure ſable.  80 Ail’. ſous le bon plaiſir de Dieu,  ² ſoeur Phebe , laquelle eſt 5 D121- les ſous v. z.
            R s’il lui plait m'en faire la grace. Car l’homme propoſe . mais Dieu diſpoſe, ſous il. 3 2. 8e  .  .  »  â  2. En Cluill.
           Rom. r. 10.  8 t C. je n’en ſuis pas encore bien ailèuré par une particuliere rev-clarion,  couille de l’Egliſe de 4 Ccnchree.  _  .  Ou firvdnre 8c mini.
            mais j’en ai pourtant eſperancc , comme il ſe void Rom. 1 . ro.  82 C. de reglerainſi  2 Afin que vous la ï rccuerllrcz  \hante en l'Egliſe : non
           mon voyage que je paſil-rai par l’ltalic Bt par Rome. Car autrement le plus droit 8c le plus court   pas certes au nriniſierc de
                                                                                                                  _
           pour aller en Eſpagne, ſoit de Syrie, ſoit méme de Grece, n’éroit pas de prendre par l’italie, mais  ‘ au Seioneur, 7 comme il appartient aux la prcdícation ;car ceci ell
                                                                               o                                dctcndu  aux  femmes
           de paſſer entre l'Afrique 5: la Sicile . laiſſant la Sicile 8c l’ltalie a la drorte.  s 3 C. par
           quelques- uns de vôtre corps,pour m’accompagner & m’affiller en l’oeuvre du miniſtere.  l OOl'- !4—34— I Tim-:- l 2. Mais ou comme Diacouiſſcpour le ſervice des malades,1 Tim. 5.9 .1o'
            14. C. en quelque ſorte , comme ſus v. 15.  s 5 G. rempli, c. ſatisfait.  s 6 Le  Ou , ce qui ſemble plus vrailèmblablc , comme ſervant en l’Egliſe a recevoir 5c loger les Chré
           G. afimplement mflîz/ît'zle vom, &c ainſi F. 8c d’autres, c. comme nous le ſrrppléous ici,de votre  riens paŒms ou dcelraſíe'spu méme les Apôtres Sc autres annonciateurs dela Parole de Dieu: Cc
           preſence Be communication.  m Act. r9. 2x. à* 2.4. r7.  87 C. ce qui ſait que je  qui patoît du v‘. ſuivant. Car ainli les Erintcs femmes lè conſacroyeut eu l’klglilè au ſcrviœ publie
           ne me mets point encore en chemin pour aller ‘a vous , c’eſt qu’il me faut de uccellite' aller d’ici  convenable à leurcondition & a leur portée. Voi Luc 8.3.  4 C’etoitl’un des ports de Go
           àjeruſalem.  8 8 G. & F. [Er vant aux fliintcepourporter aux povres .Sc aux neccflireux de  rinthe , duquel voi Act.] 3.1 s. a: ce qui y cil remarqué.  5 Ou. ccm-Hut., c. que VOUS la
           l'E'vlife de Jeruſalem , les collectes qui ont été faites pour‘leur ſubvention , comme il ell dit au  logicz , receviez 8: traittiez amiablemcnt.  6 Can nom du Seigneur , oupourl’amout
           3‘. fixiv.  sg Aſſ. portés ?r cela par leur pure compallion 5c de leur franche volonte’.  de lui , par un devoir non pas limplernent civil . mais ſpirituel Sc Clin-tien , &en la chante qui
            90 G. Car Macadam t‘y- .Adm‘u: ont rrauvz’ban .~ Ou, !I «plu 'a Maude-re à* Adi-lie”. les Egliſes  doit étreindre tous les membres du corps de]. Chtiû.  7 C. comme ilcfi convenable
           ~ de ces provinces-l’a ont voulu ſc porter a ce'te ſubvention .  9 x G.faire une communion,pour  8c à elle qui ell une femme iàiure 8c devore , & ’avous , qui étes bons ô: ſincere; Chrétiens.
           luporm: d’entre mſi-im: de Jen-film.  9 :.- C. les fidcles.   C.tÿgntmwr du Sain”.  ,
                                                                                                        Sain ſs,
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