Page 188 - La Sainte Bible, qui contient le Vieux et le Nouveau Testament. Edition nouvelle, faite sur la version de Genêve, reveüe et corrigée, enrichie, outre les anciennes notes, de toutes celles de la Bible flamande, de la plus-part de celles de M. Diodati, & de beaucoup d'autres ; de plusieurs cartes curieuses, et de tables fort amples, pour le soulagement de ceux qui lisent l'Ecriture sainte. Le tout disposé en cet ordre, par les soins de Samuel Des Marets, docteur & premier professeur en theologie, en l'université provinciale de Groningue & d'Ommelande, & de Henry Des Marets son fils, ministre du S. Evangile, en l'eglise françoise de Delft
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Chap.XXVIl.                           .‘L.’ E    S     A    C    T     E    S

                    S4- Ou. vent nm…,  14. Mais un peu apres, un 3+ vent        choyent à s’enfuir du navire, ayans ’9 m. cd .n ê                   -nr—-n
                                                                                59 devalc , l’eſqurfen la mer , comme S’llS qu'ils avoyent anpartra‘vfr’ret
                                                                                                                                  m—
                                                                                                                       ,
                                                                                               I
                                                                                                                               u
                                                                                                                                                   J—
                           G' "‘*”' '7‘ tcmpeſtueux, qu’on appelle 7$ Eurocly
                                                                                               6                          retire avec peine dans l
                                                                                euſſent voulu ° laſcher les ancres du WWW, laque,……oiï              a:
                     ’É Ëïlqfflsïym !Le don, ſe leva 3‘ du coſte d’elle.                                                                               u‘u….=L\L.\A“n‘Lr
                                                                                collé ë‘ de laproue.                      ‘ei-cl ?gpl-\ÿ d'unecor.
                         rar—.x uro”.
                    e en
                                                     .
                    ;dard—eſt‘. D'ai‘lrresventdfie I  15 Et le navn'e, eſtant emporté du
                    n-Ïfieglopmm un v…
                    G ler e; mais lemor - vent, tellement qu ll ne pouvou s7 parer  31 Paul dit au Centenrer 8c aux «o G. !und-- 1……
                                                                    .
                                                       ,-
                                                                                ſoldats , ë‘  . Si ceux-cr ne demeurent JJ…  C'‘fl '° “m“ d“
                                                                                                  «
                                                                                                                r
                                                                                                       a
                    temrxrucux- qui ſ°““° au vent, nous fuſmes emportez ï’ ayans
                    de l’Eſt ou de l’Orient , 6c       _            J
                                                                                dans le navire , vous ne pouvez vous ‘È fl “Uni qufflieu
                    exdte beaucoup de va- abandonné le MW” au vent.                                                       avort promis par lon An
                    g‘ſizctâcîiiſizſſiîiïpflçdchç.  16 Et ayans paſſé au deſſous d’une  ſauver.                            Eeäl'érgrœ» que nuluc
                                                                                                                           c              .
                    te  elev'eauco-     '             /  a’       l  K       ,     32 Alors »les _ſoldats couperent les 2.353; aÏÂÎlÊÏaËÊËÏ
                    toqu‘tlgtellemcm que par peçlte Ifle appellee  ClaUd‘l J a grand
                                                                                 cordes de l’eſqurf, &lelaiſſercnt chorr ’5‘". ‘Pî‘ï’î‘îë‘î‘EWŒ‘
                                                                                                                                                    x u L. u-.u rv”.
                    eevenrtempétueuxils en pen-le peuſmes_nous eût-c mami-CS dc         q                                 lrnfarllrbrlrte de levenc
                    fiuent éloignés.   ,    .                                     enbas#                                   ZÎÊZÊSI”EÊÊ’IÏYÂS“®²Ï°’
                     37 Le mot .6. aneopn- lCſquf:                                          o           ï              ï            l’ ‘  ~
                    KI“ZÀPPËËËΑdŸËË‘ë—g  1 7 Lequelayans attiré,4° lesnauton~      33 Et ainſi que le jour approchort, donnesdeDieu, ;Zur 19;
                                                                                 Paulles exhorta tous de prendre quel- 13‘313“ ‘FF’PWT’W”
                    S’Êîlïeufmfflœ s mais mers cherchoyent tous remedes: 4‘ cei                .       .        ’      _      .  qui esneglrge ne
                    lcr ille prend pour re  _er  l  .    d H.    .     '         que63 nourriture, diſant, C eſt auyour- cron ?MAD-cu niais il
                    au vc…, ou le ſourcmr- nans e navxre par e ous. Sc crargnans  d’hu,  “l          . ,   .     ‘s    ,   le renie. Dieu qur avoit
                    billonnant agitoit tille-                          .              1   C quatorzœme jour ,       qu en ordonne de conſerver ch
                    Et en effet ce vent tour— de tomber "a _en Syrte 3 apſ'es ?IVOJI'43 ab
                                                                                        .             G‘           \ -     perſonnes , avoitauſſ  .
                                                                                 attendant_vous elles demeurez ajeunz donne' que les maràËÏs
                     gffglâgmÿàc‘ll‘zgî batu la ſartre,1ls eſtoyent ainſi portez.
                     nir mon? &tqnduësſur  ' .18 Or parce que nous eſhons agirez  & n’avez rien pris.                     feroyent leur devoirdans
                                                                                                                           le vaille-'tu , juſques a (bu
                                                                                    34. je vous exhorte donc que vous debris ; a. u le ſa… de
                     la rouë u vail eau. qur                  .     . .     .
                     s'agpelle ſelon quzlqueæ (file  {Cg-pelle, le jour' luivant 11$  67 preniezquelquenourriture, veu qu’il “î “'“î‘ſſîm‘î” ë‘ "A“
                     uns oplzrlrdlmor, ou l’œil.  rent  C Je .                ,            .                               pôtre pour faire reconneî—
                      a B Ali: en laiflant flot                                    eſt expedient ‘î‘ pour voflre conſerva- ï“1“"""11“r en aban—
                     mie bâccau fou; lac—0:;—  19 Puis le troifiéme jour nousjettaſ—                                        donnant le loin des paſſi
                     d ir d la Provi ence e                   _    r     _       tion : ‘l car il ne cherra de nul de vous gusqu'ilsaroyerrten leur
                     pie:, cou le veutle pouſ- mes de nos propres mains 4‘ l’equrpage
                                                                                 ë’ un cheveu de la teſte                  ‘”quô‘1“""mm“
                                                                                                                           lité à ſa promeſſe déga de
                      'L Petite ille au deſſous. du navire'
                     0319                    '                  _                                  ‘      ‘                nonœ'e, en cherchant leur:
                                                                                    3 5 Et quand il eut dit: ces choſes, 8e fumé en km fineſſe
                     ou auboux de Cru-tc - ar*  zo Et ne nous apparorſſans par plu
                                                                                 pris du pain , ‘ il 7° renditgracesà Dieu ô: e- leur ñaude. Ain
                     pelle'e aujourd’huiflau .
                                      ſieurs jours ni Soleil ni eſtoiles , 8c une
                                                                                                                           li il r: void ue le. d
                     ou , Gai-de.                                                devant tous 2 8C l’ayant rompu    . Il com- de Dieu togchant lacciieris,
                      4e Ou les matelots. à grande tempefie “nous preſſant de Prés’
                      4! Ml; avec cables                              ï          mcnçaà manger.                            P°ſ‘"“’“ſ²s=des"107°"
                     cordages' qu'ilsMoyen toute eſperance de nous pouvorrſauver                              _            neceſſaires pour y arriver ;
                                                                                    3 6 Alors tous ayans pris courage, œ‘ruon peutſormerdcux
                     paſſer lous la quille , pour  ,  . f  fl_ ,
                                                                                                                                       î
                     tenir les côtés du navire,  l avenir ut O CC.               7‘ ſe prirent auſſlà manger.              ſortes de ro P 9° ſition d' _ “
                                                                                        .
                      lus fermes l'un a l'autre ,  '   z     z -                                                           pe même choſe , l’une ab.
                     foutre l‘impetuoſue’ des  21 Mal—s  apres qu Ils eurent Cſté     7 Or nous eſ’nonsau navrreentout ”“ë“‘“îdu“ë‘fi"l‘
                     vagues ù !violencede h 47 long-temps e‘ ſans manger, alors Paul          _          _                 promefie de Dieu , l'autre
                     mer, &ainſi l’empccher    e     . .   ,       _             deux censſorxante 8cſeizeames.            coud tiéonelle , ſur l’uſage
                                      ſe tenant au milieu d eux, dit , O hom                       _                       ou m pris des mo en:
                     de S'entl’ouvrir.  y
                     u: ſfïëgu13.33; ‘3'; mes ! certesrl falort me crorre , 8c nepar..  ~ 38 Et quand IlS furent 7’ raſſaſiez de qui s'y doivent emplgyer;
                                                                                   . Viandes , ilsallegerent le navne,jettant ‘ cu‘mm‘ ‘°“‘°ſ° ‘1“‘
                                                                                                                                      2’
                                                                                                               .
                                                                                                                   .
                                                                                           .
                     fiblc f0“Faim“, mm tir point de Crete , &c 49 gagner ce dom.        f                                  le decret de Dieu abſirlu .
                     plein de roumains , veula                                   7 3 le ble en la mer.                   - 'amene  infailliblement ,
                                                                                                                                        .
                                                                                                                              .
                     côte d’Afrique en un… mage 8c cette perte.                                                            quor que ſanscontrarnte .
                    - M‘”‘°“‘“‘²'        22 Maismaintenant je vous exhorte          39 Or le jour el’tant venu , ils ne re- ksçznſedsreſcondFt-arm
                      4.; Ou, cit/(le: voiler, ou                                cónnorſſoyent point le païs : mais ils ap- mm" ° ‘5 ‘° °‘““°“"
                      mi‘b** L‘“mm“; que vous preniez bon courage : caril n’y                                               ‘z G. aliment.
                      interpretons la ſmie,el                                     perceurent 7+ un golfe ayant 75 un riva   64. All: depuis que la
                      traduit par d'autres Iomi— aura perte aucune entre VOUS quant à         _     l              _       tempête a commence'.
                                                                                                                               ‘l
                      :‘-iiiizyuſiÏcÏrÏL-ÏÈÏÃÎÎË 5° la vie : mais ſeulement du navrre.  -  ge , auquel ils delrberoyent de jetter le , ë s W la tourmente
                                                                                            .
                                                                                      .
                                                                                                                            ÔPGP Ou comme 1-'. f...
                                                                                  navrre, s’ils euſſent peu.               a a ar e.
                      ’— ”- '5‘ P“ 1’ WW!  23 Car cette propre nuit s’eſt preſen—
                      l'antene, ou le bois qui  , \  .  ,     .              .      4.0 C’eſtpourquoi ayant 7‘ retiré les "“5"- VW…“ di*
                      traverſe le mas. avec u te a mor lAnge du Dieu auquel 5‘ Je         .                          .      quelque fois que celui qui
                                                                                  ancres , ils l’abandonnerentà la mer, laſ- fñ'u rem ne mr rien ;
                      Voile ui s’ artac e , bc  -     -     _
                      k, coâæcsiuzmmflq… ſms , 8c auqueljeſers.                                                             comme ilefl dit de jean
                                                                                  chans quand 8e quand 77 les attaches Batiſta, qu’il ç…” venu
                      rſfflcn" m Wed-î‘    24. Diſant, Paul, ne crain point , il
                      met bas enſemble , quand          ,          \              des gouvernaux : 8e l’artlmon eſtant levé m W5“… î" “mm"
                      on cale1115 :lo-:e- h  faut que tu ”ſors preſenté aCeſar: 8c         I   .              .   v         Matt. r r. r s. parte quel-1
                         A .  ac   COU   ï  v   ï      r                       .                                            Èiéte e'ioit fort etharie . à:
                      rnfiajlÿc'handil'ec  pr'airlëipale VOICËI) chu 5 l t a_d0nné tous CCUX qu1  au vent , llS trrerent vers le rivage.
                                                                                             .              ,           .    vie ſemblait un jíxnc
                                                                                    4.1 fMaiseſtanttombes 7' en un lieu continuel = C'eſiainſi que
                      ::ſiïſgëfggc‘rkffl'îë’ navrgent avec tor.
                                                                                  où deuxcourans ſe rencontroyent, ils y S' "“ld’îî‘” “"'îîîP***
                       45 Ou , mmadeba-  2 5 C’eſt pourquoi, ô hommes .' ayez                                                figers . qu’ils étoyent de
                                                                                  heurterent le navrre , 8: la prouë eſtant mem-’s ‘à iïûn ä{anima
                      ËL’ÎÏÑÎJÏËËËÀIÊI bon courage : car je crois à Dieu , qu’il                                           prendre , parce qu ils :t—
                                                                                  fichée demeuroit ferme, mais lapouppe voyeur ſort peu mangé
                      Ë’î‘ ë‘ſ“‘²"°î.“‘ñ²"'Ÿ‘d‘ ſera ainſi qu’il m’a eſté dit.
                                                                                  ſe r0mport par la     . Violence 79 des va- :EL:PÏˌˑJX ,à:
                                                                                             .
                                                                                                                                 1,
                                                                                                                            d
                       ”charge au varflcau . Car  .    _
                      qu’ils en. ayent conſerve  26 Mars “Il faut que nous ſoyons
                                                                                                                            cautqu’elle cxcitoit , en
                      le neceflarre, il patou du jettez c en quelque Ifle
                                                                                  gues'                            7        partie par l’agitation ex—
                      ).zs,1.9,zo,ôrc.                        .
                       4.6 &futſw nour.                               - z     .   traorelinaire du vaiſſeau, en partie par les frayeurs continuelles de la mort, les repas …dinaim ne
                       47 Âme-“immune“   27 (Land donc la quatorziemenurt         s’etoyent pas faits comme durant le beau tems, celui qui avoit le ſoin des proviſions 8e d'en faire
                      *iouts-101‘s’~ “-  futvenue, ï‘ comme nous eſtrons por       la diſh-ibution , l’ayant li long—remsnmiſe , Gt lame à un chacun le loin de ſe ſuflentercomme il
                                                                                  pouvoir: Car autrement,quoi que les Orientaux ſoyent beaucoup plus grands jûneurs , que ceux
                       48 Welques—uns, ſims                  6     .  .
                      p.4" le… np…, c. de- tez àchà en la mer 5 Adriatique, en    de l’Europe , ſi cil-ce que les Medecins tiennent qu’un homme ſain & vigoureux ne peut pas
                                                                                  jûner ablolument ſept jours de ſuite qu’il ne meure. Auſſi le mot G. afin: , que nous interpre
                      r curan ſans rendreleur  -  ~  '          '  '
                      ,EPSmimi,f,{m Fo:- Vrron la mrnurtî les marlnieís eurent o  tons e'm àjeun , ou . far” manger , le pourrait interpreter . [km proviſion , comme ce que nous tu.
                                                                                  duilons Ô- n’aw’s rie”prie , ſe pourrait traduire , ó— n'ai/ci rim meu ,  du commis des vivres ,
                      h mon' qu,… m”…
                                        '
                                                                  ’
                                          '
                      la continuelle rayeur  e prnion que que que contree eur appro  _
                                                                                  appelle’ Sir-”chui des Latins 6e des Grecs . comme ſacharge, &aufli le fiétêtamasdes provi—
                                                                                  fions St des vivres qui fl: diſiribuënt àcharun par tete, ſe comme Sr'tnrcbia. Si mieux nous n’ai_
                      devant les yeux, que chut ChOlt.
                      l, . .   .  u              .                      _         moris qu’ils avoycnt continue quatorze jours à jeun ſans prendre leur reſection ordinaire , eu
                      vÏiÏaÏ-ÏËËÏËÏËË Ë   28 EtJettans la ſonde en bas,1ls trou—  égard a ce que les iûnes des anciens ſecontinuanspluſieurs jours, ſe failbyent par une fort legere
                                                                                  reſection chaque ſoir le plus ſouvent au pain Ge a l'eau.  67 Ou , racer/lei de: vivre: , ae que
                      merci du vent 3c es va- verent  57 Vingt braſſes. purs eſtans paſ _  la diſtribution s’en face de celui qui en a la charge , pour le repas commun de tous.
                      me… (muchomffi
                                                              .
                                                                   ~
                                                  '
                      l’ordinairediûxibmionch ſez un peu plus outre , 6c ayans derechcf  6 8 Mi. afin d'avoir plus de force pour gouverner le biteau , tant que nousy reſtons, 8e plus de
                                                                                  vigueur pour nousſauvcr. au cas qu'il ſe briſe pres de terre. Ceci montre qu’il nous ſalut toujours
                       vivres ceſſoit dans le vaiſ—              -
                      ç…,              fondé , ils trouverentquinze braſſes.      faire oc qui ell de notre devoir , en nous refinant à la volonte' de Dieu, de attendant qu'il face ce
                       &:9 Aîn’îG-"1’°P²‘B“°‘  29 Et craignans qu’ils ne rombaſſent  qu’il lui plaira.  d Man. ro. zo.  69 C. ne ſouffrira pas la moindre perte en ſa lamé
                                                                                   ou en \I1 vie. C’eſi un Hebraïſmc, ôt un terme proverbial. Voi r Rois 1.5 z. Matra 0.30. Lue; r.
                        PÎCVIllll’.
                                       en quelque 5‘ eſcueil , ilsjetterent qua    ’.18.   e [Sm—9.13.7”… 6. u. r Tim-4.3.  7e AflÎpourlebienqueDieulen:
                        se G. l’ame.                                               faiſoit encore, en leur donnant dequoi vivre, 8e de s’en pouvoir ſervir pour ſe fortifier ô: nourrir :
                                                                                                                                                    Au.ud._._i_uu_
                        51 Tous les hommes                         ~    -
                       ſontä Dieu par droit de tre ancres de la POUPPÛ du ”57/175, defi‘  Et c’ell ainſi que 1.() le pntiqlloit d’ordinaire,lldan.t4. r 9. jean 6.1 Lô: SJ’aul exhorte tous les
                                                                                   Chrétiens d’en uier de méme, r Tim. 4.4, 5.  7 r G. nca- auffiprrrenr de la nourirure , c. Pri—
                                                   '
                       creation, &tous les fidc— ſans que leJO urv' lnfl: '          rent leur reſection , à l'exemple de S. Paul.  ~ 72 Et aiuſi reflaurés de la debilire ou.
                       les par droit de redem-
                                          30 Et comme les mariniers cher           leur abflinencc paflëe les avoit jettes, en laquelle ils :Voyente'té fi long—tems , comme fins man
                       tion ; mais l’Apoflre émit                                   ger,veu le peu qu’ils avoyent pris l’eſpacede quatorze jours , dc le peu d’ordre qu’on avoit tenu
                       encore ‘a lui par le titre                                  pour leur reſection , ils peutentchacun mettre la main a l'oeuvre , pour ſoulager 1c navire.
                       particulier du miniflere de ſa l’arrle Gt de ibn emploi a l'Apoſiolat.  5: Ou allifies ôt  7 ;  e'toit le relle de la charge du vaiflſſcau : Car déja ſus r’. r r 6c \r 9. ils avoyent jette' en me”
                       comparoiſſes devant lui.  53 C. il a arrété de les conſerver 6c maintenir pour l’amour de
                                                                                   les autres marchandiſes , &c de l'equipagc méme , tout ce dont ils ſe pouvoyenr plus commode:
                       roi: C’eſl ainſi que Dieu en fabomé épargre ſouvent une mulritudc de me’ehans pour un ſeul
                                                                                   meut paſſer.  74 G. unſein,cu poitrine.  7—5 ou, bord de mer.  76 Ou, leve'.
                       bon. Voi Gen. 18.32.!! [9. ar.  54. L'Apôtreenparle de la ſorte , ou par ”nier-"ture ,
                                                                                   D’autres , aya”: coupe/er ancre: , il: ler [different en la ner.  7 7 F. ler lien: dupe-verni] . del;
                       fondée ſur la confiance qu'il prenoit en la promefle de Dieu . ou par une revelation indefinic
                                                                                   quels ils l’avoyent fait ferme ae attache' , contre l’agitation de la mer , dés- lors qu’ils abandon—
                       qu'il en avoit du Seigneur.  c «ni. si. r.  s; ou, que nom clim.
                                                                                   nercnt le vaiſſeau a la grace du ciel.  f r. Cor. r r. z r ~  7 B G. ‘a un lit“ de deux men .
                        56 C.en I‘Vldm: c’cû proprement cc‘te paniede la mer Mediterrane’e , qui ſe nomme au
                                                                                   e. en un endroit ou il y avoit quelque pointe cu langue de terre couverte d’eau , 5e qui avoit la
                       iourd’lrui le Golfe de Veniſe. Mais les Ancienslui donnent plus d’e’temlu'e', &apellent la mer
                                                                                   mer des deux côtés . ſur laquelle ils échoüerent lcnmvir‘e.  79 Wi encore plus impetucu
                       Adriatique , celle qui outre ce Golfe . comprend la mer Ionique 8e celle de Sicile. Voi Stra—
                                                                                   ſes en ces deux courans , attaquoyenr ô: bâtoyeut mccfiamrnent le derriere du navire , lequel ne  17A'fi
                       bon Iiv. 7.  57 Aſſ. de profondeur.  5 s G. e” quelqunh'mx .ip-ei, ou nadege. ſur
                                                                                   put long-tems reſilier.        -
                       des rochers cachés en l'eau , qu: quelques-uns nomment des bull-ins.
                                                                                                                  4.2 Alors
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