Page 178 - La Sainte Bible, qui contient le Vieux et le Nouveau Testament. Edition nouvelle, faite sur la version de Genêve, reveüe et corrigée, enrichie, outre les anciennes notes, de toutes celles de la Bible flamande, de la plus-part de celles de M. Diodati, & de beaucoup d'autres ; de plusieurs cartes curieuses, et de tables fort amples, pour le soulagement de ceux qui lisent l'Ecriture sainte. Le tout disposé en cet ordre, par les soins de Samuel Des Marets, docteur & premier professeur en theologie, en l'université provinciale de Groningue & d'Ommelande, & de Henry Des Marets son fils, ministre du S. Evangile, en l'eglise françoise de Delft
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Chap.XX.                               L E S           A    CTES                                                             *cn-I—.—--_-._
                                                                                 Theſſalonieiens , b Ariflarque , 8C SC- 'DAB-\94945274.
                     Il; Mïàrmœcgu‘ilêtgg hors dela foule, les Juifs 791e pouſſans     cond, 8e c Gaïe Derbicn, 8c‘l Timothée, CËſi'ÎMÏigdg. x c… r.
                      Chréticliis vers reËmpic, en avant. Et Alexandre 79 faiſant ſigne                                                            Y-ñ :—:1z
                                ar 'er
                                                                    .
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                           Il!
                                                                                 8c de 9 ceux d’Aſie,c Tychique, 8c fTro— **d‘act- W L
                     à‘îdë‘hî‘gë “1““ m' de la main  vouloit '° alleouer uc] ue
                                                  z                'O
                      tion.                                                        plume_                                  9 E_t d’icipaioît que ce
                       79 Pour demander au-  au peuple_
                                                                                    5 Ceux-ci donc ei’cant allez devant, ÏÏ‘ÎÏÎÏËŸÏËËËÃËÃL          .HL-_n 'nt
                      dience. Voi Act. n.. r7-  .        .                    -
                      a r 3.16.8( 2r. 4°.  4. Mars quandils eurent connu qu’il                                                                     \me u‘xï- “ ‘
                         u   Ah  'u  —     -   -          -              I       ‘° nousattendirent àTroas.                Îÿfgjs, ‘ËÏÏUË‘ÈËËÃ
                       ’°  ſm “q“ W“ eſtort Juif, une VOIX “ de tous s’eleva,
                      :pit excuſer ce coucou;                                       6 Mais quant à nous, apres lesjours purifient;
                       cpeuple àcontrerems aim_ quaſi par leſpace de deux heures, en
                      PH" dcdcmm                  ’
                                                                                 ” des pains ſans levain, nous n de - ;Tin-i4; ;LP-'521.' 7L7'
                      Durex aux chrétiens la criant, Grande ëfl la Diane des Ephe  ancraſmes de Philippes , 8e vinſmes ,,Ïſſzjîct'²"²9'²î‘”’""      334,4;i.-'L41_A
                      faute de tout le mal.  r
                       81 C. de tous les Gen— lens                               vers eux à Troas ‘3 au bout de cinq 1° AfflPafflkLucqui
                       ,È C_ CZ…
                      tils uiéto entl‘a. que …s  35' Alors  3 z le Greffier ayant appaiſe                                    étoit demeuré avec lui i
                                                                             - ,
                                                                                 jours: là où nous "r ſejournaſmes ſept &ilparledelaſorte pour:
                      ”malo-15 1° Seau-'uc la multitude, dit, Hommes Epheſrens,
                                                                                 jours.                                    rendre ſa narration moins  'câ‘Ll
                                                                                                                                                   I \
                      delaville. mot 6. ...M-z…, 8c qu1 eſt celur des hommes qur ne {ça              l  .                 _  iirjetteieontredit.
                       s; Le
                                                                       .
                                            .
                                                      .
                                                                                    7 Et ‘5 le premierjour 1‘ dela ſemar— " ‘3- “mimi “ï"
                      ſinifie pro ement le Se-
                      “min ”PL …zu—dh“ che que la Ville des Ephefiens   sa  eſtde _                                          :6. r7. Et les fidelcsretc  ſſt!
                                                    '
                                                                                  ne , les diſciples eſtant aſſemblez ‘7 pour noycnt encore ees noms  rr;
                      d'unœmpïe -ouccluiqui diée au ſervice de la grande Diane, 8c à                                       diflinciifs des jours ſolen  H t.
                                                                           .t rp rompre le pain, Paul ( dautant qu’il nelsentrelesjuiſs, r…
                                                  .
                      le garde‘ lit eet_eloge) le 1,.
                      donínc .c. .1113 ville dE— image qure ſt 84_d e cen  e ejupr e .
                                                                                  devort partir lelendemain) " traittoit î““ffl‘ “WM” ï à             '.LJ 'ri 'n r: E‘.
                      plie e, qu’e e eioircom-  i
                       mehgmdknËdU temple  36 ces choſes donc eſtant telles ſans                                            cauſc de l’uſage ancien ſe
                                                                                  de la parole avec eux: 8c eſtendit ſon En 121—01- comme ſon:
                      “cl-B‘ïnchïénïawwï contredit, il faut que vous ſoyez appar
                                                                        s
                      avoitàſon ſervice. I  ſez, 8c que vous ne faſhez rien 5 al eſ  difcoursJufqu’à la minurct.            ;fi-'aïe que I’hilippes
                      grande devotrou quelle
                                                                           \ ,
                                                                    .
                                                               .
                                                                                     8 Or ilyavoir en la chambre haute, “'ëœîî P” ſd” W“
                       »84 Ici nous' ſupp tions  -                                 \    .                                  ques-uns une ville mari
                       le mor d’r‘nMg: .- Car celle \Ourdle'
                                                                                  ou !9 Ils eſtoyent           ,  beaucoup timc,i1faut entendrececi
                       de Diane-qu'on ?dindon  3  Car vous avez amené ces gens ,
                                                                                                                                   .
                                                                                                                                       . .
                                                                                  2° de lampes.                            du port qui en :tort le .
                       au peuple d’Epheſe étre  .   _    .        .  .
                      deſiendluëdejulàitcrzcom- qur ne ſont nr ſacrrleges, nr diffamateurs  _                               plusprocliain._  h
                                                                                     9 Et un jeune homme nommé Eu— ‘ë °“"""””"‘"‘
                       me tel es im  ures ont
                       été de tout repris ſoufre. de VOſtre Deeſſc-  _       .                                               r4 G. ”nfl-”Mim” , afll
                                                                                  tyche, affis ſur une feneſtre , ²‘ eſtant 1mm*          .
                       WM. ‘5…‘ 1°‘ ‘39"?-  8 CÆefi Demetrrus '6 &lesouvriers
                                                                                                                            1$ GJ’un. Voer. r.
                       mes , croit une vrerlie  _       .                         abbattu de profond ſommeil, pendant r. 5.Mart.zs. r. &con—
                       iWag-äâirc, rar up ,ccx- ur ſont avec lui, ‘7 ont quelque cauſe
                                                                                                -   ~                      fete r Cor. x6. 2.. Et ce
                      tarn toûioprs demeurer: 1m .5e contre quelqu aun , OflÊlcnt î ²  plaids, que Paul traittOit de la parole ²² plus i… 531,qu k ion, du
                                                                            '
                            etra, qui etort
                                                               -
                                                                                  longuement , ²² emporté de ſommeil Bds-‘w- Alm- 1- 1°
                                                                  -
                       été ſept fois renouvel—  '  ’ adîs  89 Procon uls ' qu 1  s accu -             _  ,                 auquel l’  liſe s'aflèm
                       tempe, quor qu’i
                                    eut &Il
                                                                                  cheut en bas du trorſreme eſtage, &ſur bloit pif? volontiers
                      f 1%: P'ËC qu’ûm nc ſentl unl autre.                                                                 qu’au Sabbat ,inſpirée de's ~
                                             t
                       çavor pas e ue ema—
                       tiere elle Smic? les uns  39 -Et fi vous demandez quelque   ICVC mort.                               lors ‘a faire ceci par le 8.1i—
                                                                                     Io Mais Paul eſtant deſcendu, 8 ſe &ſi; G a MM vd
                                               «l
                       pretendans que ce fût de Chofè d autre cas’  cela  Pour”. con .
                       l'ebene, 8,: les autrcsdu
                                                                                                   .                    ,       .  s   r.
                                                                                  2‘rpancha ſur lui, &l’embrafl‘a, &dit, Mmzm-Lucn. u
                       50W vigne- on ſailbir clurre en une 9° aſſemblee deuement
                                                                                                         -   .               17 C  m manger en.
                       accroire au peuple qu’el                                   Ne vous troublez peint. car ſon ame ſm… fard,… 1. s_
                       le etait tombée du ciel. convoquée.                        2.5 cſt en 1m'                             Cene du Seigneur, Act. 2.
                       V“ “in“ ’”" 'ë' ""4“  4.0 Car nousſommes en dangerd’eſ                                               L42, 46. I Corinth. rr.
                       Or le but de ce diſcours                _ _                   1 r Et quand il fut remonté: 8c ²‘ eut r- zo. u- zzñErſouscéœ
                       cit de ſaire entendre au [ſe 9! aœuſez  de  ſçdltlon ”pour  ce
                       peuple , qu’ilſin’e'toit pas a .  .  .                                                               partie de la S. Cene 8c des
                                       jOlll‘d’hUl: veu qu’il n’y a cauſe aucune  rompu le pain , ‘7 8c mange , & parlé Agapes, qui. ſervait de
                       craindre que la ville d’E                                       _      '     a  a        *    zz  '  _ clôtureàtourel'aól‘on,ie
                        1 r
                       KÃËIÃÏ'ÊÈË‘ML                          . -              .        tÎtITLPSJUſqu à l aube dujour’  mn  doivent entendre :cures
                               ' dr d "ſſ ×ÎUÎ pour laquelle nous puiflions rendre rai
                       u“ PW“ - WW‘ D=~ ion de cette eſmeute. Et quand Il eut          a l .                                les autres pieces du culte
                                                                                      P                                     public,quiconſiſient enl:
                       mettius le vouloir perſua-  .    .   .        , \ ,           I 2 Et ils amenerent là lejeune hom— lectureëcexplicationde u
                       dcr.            dit ces choſes , 11 bailla conge a l aſſem—
                                                                                                      -
                                                                                        .
                                                                                                                          _ Parole devien, aux tie
                                                                                  IÆ: Yvan?1 dont ils furent   V z,  grande m ,enhpfflmodk ,PM
                        85 C. inconſidere'ment  /
                       ô: par precip'rtarion qui  ce*                                                                        r 8 Le G. :ſimplement
                       efi la marine de la prudence.  86 F. ó—qur‘fonr du mr’ticr au“ Im'. G. art-'fluo , aflÎ pour  n con o ez.
                       faire ces petits temples d'argent.  s 7 G. en: quelque Parole , c. quelque difi'erenr, ou quel        le mot de traiter, oudiſ
                       que affaire.  s a Oil lesjuges ont leur ſeance , 8c donnent audience.  89 G. .An  13 Or eſtant venus au navire, nous eourir,maisi1yfautſous—
                       thyp-m‘ , e. ceux qui ont charge ôe autorité proconſulaire , pour regir dans les Provinces en qua—  fuſmes portezà 3° Aſſos: 8: de là nous ZÎÎZZÎÃÎ,,ΰÆÈÎJ}ΑLÎË
                       lite' de Conſuls Romains. Voi Act. r z. 7 . Mais parce qu’en toute la Province il n’y avoit qu’un  devrons reprendre Paul: car il l’avoir &iv-d‘ "Er-WX”- Ode
                       Proconſul , il ſemble que par les Proeonſuls , s'entendent ici les Lieutenans Gt officiersdu Pro
                       conſirl &Gouverneur de la Province,qui en chaqueville avoyent juriſdiction deleguée de fi part,       mot de traiter eli ici fort
                                                                                   3‘ ainſi ordonné ,voulant quant àluifai— convenable; ear auffiles
                       &c y tenoyent les audiences neceſſaires pour l'adminiſtration de la juſticc—  9° G- &ë F- a]:  recechemin 3² parterre.  ‘mm‘ ”WWW d“
                      FMH-'c leg-tin” , convoquée parcharge 8c par ordre du Magiûmt.  9 r Aſſ- devant le
                       Proconſul.  9 z C. Pour ce qui s'eit fait aujourd’hui par vous , en vous afiemblant ainſi             train}, les fermons &t lio
                                                                                                                             “Ph? w “an
                                                                                                        ~
                                                                                     I4. (Land donc rl nous eutrencon     _ milles ui ſe fiiſoyent au
                       tumultuairemeut &t fins ſujet.

                                                                                   trez à Aſſos, nous le priſmes avec nous , dans les myfleresdumm.
                                                                                   &Vinſmes à 33 Metelin.                   li? D"“ï‘eééîïml’lmï
                                                     C H A P.   X X.                        d            .     \   ,         ent , mm (nom.  _
                                         r S. Paul 1M en Maude”: ('2- en Grue , avec quelque: .Afin riqrm.  I 5 Purs eſ’cant partis de la, lejour en- :o usfidclcs. Pou-én—
                                       6 Eno’mrque’à Plriliſper , il defiend à Tri-M.  7 où au premier jour de  r '  \  l,  d  ~  d  ter le perl] de la perſecu—
                                       [a ſemaine r] [ii-:LIM ó- rompr le pain avec le: drfiiplu continuant fl”  urvant  nous  V1  mes a  en tort  C domaigzyenteoûtumcdc
                                       cour: juſqu'a“ minuit.  9 'Unjenne home , 1511!]th . umblz’dcflzm—  54.  '  . '  '   _ s’aſſem ler le plus ſou
                                       meil ron-ln mort par la farine.  ro Ô"ſb‘ re ufcirr'pxtr Paul.  r 3 _EL-_i  Chros. Le lendemain nous arrrVaſ …t demadm1mm
                                       tontimuntflm voyage je jen-ſde”: ”rive à Milet.  r7 Mande [à 11e” mes à 35 Samos: 8c ayans demeuré à dcsvir-'ln-ou-W-'üns’efi
                                       fin' lu .Am-t’en: d’preſe , air/Zinc}; il rzpnftnuſafidelítíà-fin muni! à               continué iuſquesänous:
                                        leur firvíee.  za. Pndr't n qui lui arriverait le j‘m-ſaler”.  :6 dede  36 Trogylle , lejour enſurvant nous vmſ— mais en leurs aſſemble’es
                        ,-              titre qu'il leur a annonce’ tout le conflil de Dieu.  :.8 Lerexhorreà  ‘ 3  '        nocturne: ils allumoyenc
                                       prendre garde km: le troupeau.  :9 à- 2: veiller contre le: !ouprdan  mes a 7 M llet-  beaucoup de lampes 8c de
                                       gmux 1m' [à devajenrfourrer par-m' eux.  31 PWM “ng-’d’anana  chandelles , pour n’c’tre point blâme! d’y rien commettre de mal-hone'te z encore qu’ils nl
                                        reflant de l’etre nm” lui (7' Infini: du travail deſe- maim.  36 P10]  laiſſerent pas d'en étre calomniés vilainement parmi les Gentils , qui les accuſerent long-tems
                                        lerzenïux (2' prie avec eux , qui le conduiſent ”l grande tri/PNR juſqu'au  d’eteindre la lumiere apres leurs repas achevé , pour ſe polluër pèle-mêle en toute ſone d'ordu—
                                        ”un”.                                      res : Tant y a que ces lampes n'étoyent pas pour cclairer le jour , ce que les Docteurs anciens ont
                                                                                   condamne' aux idolatres de leur tems , mais pour chaſſer les tenebres dela nuit.  ar Ou ,
                                           I OR apres quele troubleſutceſſé,       eſiunt tombe’ en un profond fimmeil. G. emporte' d'un profond ſinn-gil. C’eſt une marque de l'infir—
                                                 Paul ayant appellé les diſci—     mité des hommes, de qui l’attention aux choſes bonnes, ſe relâche facilement.  12. G. drſ;
                                                                                   rawairfart amplement . c. s'étendait fort au long en ion diicours.  :a Oulimr’móm par l.
                       bx \pu-flläe’zfenlesem- ples, 8e les ayant 1 embraflez , ‘partit  fimmn'l.  g r Ron r7. u.. 2 km 4.. 34…  2.4. Omfijel’tafi” lui. Signe de l’ardentç
                       n: lîtpôdrtíllânëdûfſigr: pouraller en Macedone.            afl'eûionde S. Paul , qui le pouſioit z implorer la vertu de Dieu pour rcflui'citer le mort. Vox
                                                                                   r Rois r7. 1.1 - 2. Rois 4. 3+.  25 L’ame c’toit veritablement ſepareſſe de lon mrps . quant
                       gl‘ïgggnäfgoggÿgçf;  2 Et quand il eut cheminé par ces      äl’union naturelle , car il e'toit mort, ſus ÿ. 9. Mais S. Paul parle de la ſorte, ou parce qu’il e’toic
                                                                                   pleinement perſuadé de ſim irrſtantc reſumction, comme Matt. 9. 14. ou parce qu’à cet inflam—
                       ÉQËCËÎÎZËŒ. 31- ss- quartiers-là ,  les eut exhortez parplu  là même , l’ame s'étoit de'ia rciinic miraculeuſement au corps pour lc vivifier ô: animer dercchef.
                                                                                   L'Apôtre le declarant d’abord, ſur le point qu’il le relcvoit, afin d’appaiſer lc trouble. Vignes—
                        a 11…… z.  ~    ſieurs paroles,1lvint ² en Grece.          uns auſſiont penſe' que l’Apôtre pour allure! les fldeles de la prochaine reſutreêtron de ce penne
                       h’âèjî‘cſjiÈÏËËÎŸË    Là où quand ileut 3 eſté trois mois,   homme , leur auroit dit que ſon ame étoit demeurée en lui {quant à fi preſence locale , encore:
                                                                                   qu'elle fut détachée du corps , quant ä l'union naturelle d'ou reiultc la vie. _  26 Vor ſua
                                        d’autant que les Juifs lui dreſſoyent des  1?. 7.  2.7 C. ogoûte’ . ail. des viandes communes 8c ordinaires , pour une ſobre reſection;
                       Attique.
                        z G.f.u't. Voi Act. r5.                                    ce qui anciennement ſe ioignoit à la eelebrarion de la S. Cene , par les Agapes ou feſhns de
                       y. ,zal-.zz,    ,embuſches, s’il euſ’c 4navigé en Syrie,    eharité.dont ilefi parlé expreſſement, jude r.] z.  z! Voi une pareille expreſſion jean 4.6.
                        4 G. mpme ,ou , ”rer”
                        ,n …h c_m h …me a; 5 l’avis fut de retournerpar Macedonc.   :9 C fort contens 8e extremement réjouis . de ce que Dieu par un (i grand miracle, dont leu:  <‘c.-..
                                                                                   convocation avoit été honorée , n’avoir point voulu ſouffrir qu'elle leur eût été lugubre le fix:
                                                                                                                                                    :-S '
                        roſondemer.
                        P‘ Ou,” Winamp     4. Et  6  Sopatcr 7 Bereen  I  le devort  trefle.  , 30 Ville de Myiiepre's de Troas, qui ſe nommoit anſſi Apollonic.  ar Ainir.  /r
                                                                               '
                                                                 ’
                                                                                   G. mais d’autres , commande’.  32. F. à ſied: .~ voulant prendre le chemin de terre , Pour en
                        fla/«rien.      accompagner juſques en Afie: fit des        chemin faiſant prêcher l’Evangile ça a: n.  ;3 G.& F. Mzrylrne. lſle 8e ville de meine nom,  mis-z:-
                         6 D’autres , .So/?parer ,                                 gueres loin d'Affos, en la met Egée.  34. [lle entre Samos 8c Lesbos en la méme mer.
                        auſquels quelques exemplaires ajoûtent,filr de Pyrrlm. Voi de lui Rom. t 6. z r .  7 Ainſi  ;s lfle ſituée aux environs de n , avec une ville de méme nom.  3 a Un promontoire  L’J
                        G. c. habitant ou originaire de Berée.  I G. 8c d‘autres , l'accompagne. Mais il ſemble que  ou cap du mont Mycalcs , avance’ en la mer , diſtant de Samos 40 ſiades.  37 Ville ſituee  -
                        final ne voulut point que ceux-ci l’accompagnaſſent plus loin , a l’exception dc'rrophime,                                  ;IL/l'
                                                                                   ſur lamet en la terre ferme d'ionic . gueres loin d'Epheſe.
                          . a r . :9.                                                                               1.6 Car                        .’.’
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