Page 177 - La Sainte Bible, qui contient le Vieux et le Nouveau Testament. Edition nouvelle, faite sur la version de Genêve, reveüe et corrigée, enrichie, outre les anciennes notes, de toutes celles de la Bible flamande, de la plus-part de celles de M. Diodati, & de beaucoup d'autres ; de plusieurs cartes curieuses, et de tables fort amples, pour le soulagement de ceux qui lisent l'Ecriture sainte. Le tout disposé en cet ordre, par les soins de Samuel Des Marets, docteur & premier professeur en theologie, en l'université provinciale de Groningue & d'Ommelande, & de Henry Des Marets son fils, ministre du S. Evangile, en l'eglise françoise de Delft
P. 177
Chap. XIX. DES APOSTRES. 83
2: D'iumuirmmr. “diſputant tous les jours en “l'eſcole l 5° croiſſoit 5' puiflàmment, 8c ſe ren- 5" "WW-'“4
t. traitant des myfleres de . 5 1 G. bt F. aver pmffiin
blem…“ &en conf-m d’un certain “Tyraiinus. forçmt. "- C- grandement 54 beauJ
“’“P‘
h r n r
manrhver-œwmœœu IO Et ²‘ cela continua l’eſpace de 21 h O r comme ces c o es urent h mur”. 2;. Gan.
quil'impugnoyem. .
v. x.
2.3 kmotG.fi/mlhfi- deux ans : tellement que ²‘ tous ceux accomplies, Paul 5 ï propoſa H par l’e— ,z Gſm…,mflm_
'
nifie proprement ”paid-oi
fi, a …Mc des occupa. qui habitoyent ²7 en Aſie, ouïrent la pa- ‘ ſprit de 55 paſſcrpar la Macedone, 8: par f: 3 _G. a; d'autres, me
,. l _ em” m 1 r, .
tions ordinaires: De l‘a il z! ‘ ' - l’Achaie , &d’allcràJeruſalem , diſant, & conclud 'ſin içi-Hz.
M MDP…, m dſſ_ role du Seigneurjeſus , tantJUiſs que
-
tion de l’Eſ rit de D'
' D
,
Apres que J aurai eſte la, il meſaut auſſi n c_ WPm roiäîm
\
z
-
cours &diilertations hou- Grecs.
. ²9 des vertus non
' “ë‘ë touchant la Philo— 1 I ï Et Dieu faiſOit ’ë voir Rome. Be en ſim eipm, ou parle
.
.
ſophie ou la literature, mouvement du S. Eſprit ,
‘ÃËËLËTÊſiÎÏÎÃ-ÎËßËËÃÎ accouſhlmeesa 3°Parles mains dePaul: 22 Et ayans 57 envoyé en Macedo- quiſlui enſinſpin 1e dc—
' ‘ 1' r i i I
mciçi- allie“ Mint' à . 12 De forte que meſmes on portoit ne deux _de ceux 5’ qUi l’aſlilîcoyent, aſí [IL ſË‘JÃQÎÏËÊ'ËMÏ
cesdiſſerranonsôc exerci- d d fi. ſaw” Timothee8< Eraſ’ce, il demeura 3‘535; f“ffl‘ “WS"
ces de; borlnesdlettrcs, e e us ſon corps 3* descouvrecheſs 8:
533332333? ë ë… 3‘ des mouchOirs ſur les malades: 8c . O. Il.
pourun temps en Aſie. ſslx Aff-romcncbcmin
23 lMais en ce temps-là il nomun ÃÊËÎÎPILËÏ l“ ES…“
2+ amorfinifioirptr» leurs maladies ſe departoyent d’eux, 8c
mierement ches les Grecs \ 5, * $6 Erilſemble ueoelu
celuiquiobtenoit&rç,…— les mauvais eſpritsſortoyent hors. grand trouble, acauſe dela doctrine. ,ui …il ém- Pmÿcuhm_
So" quelqu- P°“V°“ ë‘ 13 Alors quelques-uns d’entre les 24. Car un certain nomme Deme— mïfflmïédcbiïu- Or
domination (ur les au . . . . . at u lle l‘ de
tres: Et Pme que ghi- Juifs, 33 exorciſtes, qui 3* trottoyentça trius, 6° qui travaiIIOit d’argenterie, 8c Bom-2;“ il ÏÏÏÎ :235 d
fleurs en abuſiayent la l\ 3 ,. ſaiſOit ‘ï de petits temples d’argent de Ë‘ÃKÀÈ EÏÎ'ÏÎÏÎË'
violence k oppreflion 8c a, 5 eſſayerentdmvoquerle nom du
des inſcrieurs, ce nom ‘ - Diane, l‘ apportoit beaucoup de profit ’- “- 5‘ “WWW
ſample”depuis”…de_ Seigneur .Jeſus ſucrſicíçux qlLlIl avoyent de
. . ire.» ſun-am.
grande? dcpumàn_ .
\i .er celui ou quiparve— mauvaise prits, 6 ans, ous vous ad .. auxouvriers du meſtier : ;7 All'. pour lui [1qu
2 5 Leſquels ‘² ayant aſſemblé, avec ““°"’°“~'î"’ ë‘ "Ml“
ce illegitimeinent 8: par jurOIÎS parJeſus 3 que Paul PſCſClÎC.
les aumônes dcflinccs aux
des mauvaiſes voyes. ou - ~ ‘3 ceux qui travailloyent en ces ouvra— PW"s de Jen-mem -
afflmqoimudkmm I4. ( Et ceux qUi ſaiſoyent cela, eſ—
1 Cor. 4. r7.
miqucchr ,5S .com-ks toycnt ſept certains fils de Sceva Juif, ges-là, il dit, Hommes,vous ſçavezque sa 0.5; F. qui M ſd.
lou: Mais ici ilſſemblc run des 37 Pr.nc.p uxs t )
qu: ce nom ne oit pas l l a aCl'l C3. CUI'S. "- tout noſtre gain vient de cet ou- ZZ’ÎÏËV’IÜÎÏJÎÎË‘ÏÃÊ
f, a 5c . . . lui ſeul ne pouvoir poin:
dÿä’fiâ‘fl’fïfl_ _ 15' Mais l’eſprit malin refpon‘ldant, vrage:
. tout faire.
gomgffâëfefiîifwä dit, 3"Je connOis Jeſus, 3’ 8c ſçais qui 26 Or vous voyez 8c oyez comme i z Cm r- ï
, .g:
non ſeulementa \ Epheſe , mais preſque lasrîligion ciÎÂdÏÏÃÎ
~
6.8( Ed I
ur les exercices dè la eſ’c Paul: mais vous autres +° ui elles
l;koerorique ou dela Philo— P ï ’ q
par toute l’Aſie , ce Paul-ci par ſes per— ZËJËËΒΟ‘Ï‘ÀÜ "M
ſophie , ſelon qu'alors la VOUS - ‘
ville d'EP hefi: e’toit ccle- 16 4l t ’ omme en ureſtortle ma ſuaſioris a deſiourné une grande r'nulti- ,6° G- verve-FWM or
'
'
brc pour la culture des . _ q ſevre, qui travaille ou ul
belleslettres: Mais parle lin eſprit,ſautant ſur eux,8c ’r‘ s’en eſtant tude, diſant que ceux-là ne ſont point ripe 1m l'argent, or.
miniſterede S. Paul cete Dieux, lqui ſont faits de mains. "î‘u’mmîëm’wW‘
&ok ſm confia“. z un rendu maiſtre , 43 uſa de force con
. veur.
ËYËËFÏÆÆÎË tr’eux , de ſorte qu’ils s’enfiurent nuds 27 Et iln’ya pas ſeulement de dan— 6' Ç- de Petites terre—
{cotations en argent du
agdequi diz n‘aim- ëc naVrez de cette maiſon-là. ger pour nous, en ce que ‘ï noſtre fait grand temple de Diane.
;jf _ “‘“ſ‘NP" “‘* . I7 Or cela . Vinta la connOiſiancede 65 ï \ z - / ~ gravccs ou imprimées
d
.
\
ne Vienne a eſtre decrie , mais aufli fi,, des me…“ dar_
:6 C-un grandwmb‘e tous les Jurfs &des Grecs demeurans à que le temple dela grande Diane ‘7 ne Sen" 4° "imams“
ô: preſque tous. . . ſoit plus rieneſtimédu tout, 8c qu’il n’a— ËÏÎHËÏÎË ièmÂÏÂËci:
:7 Ai}: enlîſie mi;i Epheſe: dontla crainte les ſaiſit tous,
$35' ;MXML 8: le Nom du SeigneurJeſus eſtoit ma vienneque ‘5’ ſamajeſtê , que toute l’A— ÊL’LÏÃË' ?XFN-‘LJ
toure la Province en la fie 8c le monde univerſel a en reverence , "ï W“- “mm ë‘
.
ville d’Ephcſe. i8 fEt pluſicurs de ceux qui avoyent ‘9 nevienneauſſi à neant. ËÏËÏZÏÆÃÏË ct;
as C. la parole qui erran—
ÈËÏΑa !îspbcnîfites- chu s venoyent 4+ confeſſans 8: +5 decla 28 Euxdonc , ayant oui' ces choſes, FÊËÎËËËÏËËÎËÎËÎÏ:
.rio ne, on
't I~
furent tout remplis de colere, 8cs’écrie— fg“î‘îi’"“"î‘Îfi'ë‘ſi" P°"²
e M”: 16. zou/167.14. ſans 46 leurs actes.
v. 3. . uvenance dt leur voya
29 c Mpix-acids.ï 19 Pluſieurs auſſi de ceux qui s’eſ rent , diſans, 7° Grande ç/lla des gc; comme encore au
jourd‘hui choſe pareille ſe
. :‘l C 3 \ .
PΑÎEÎXLΑËÎÎ’ËLH‘L toyent adonnez a des "7 choſes curieu EPheſiensñ fait a Lorette R ailleurs.
Û‘Æ‘F.P®"PP‘=,‘ÎÏ“ 1“?— ſes , apporteront leurs livres, &les bruſ 29 Et toute la ville fut remplie de k “‘5‘- "-16
62. G. le: qui” à mon.
duilort ces miracles , mais
l’Apótre n'en croit que lcrent devant tous: dont calculans le confuſion: 8: ils ſe jetterent tom d’un mwxgm-ſſmn:5-1
courage dans 7‘ le theatre, 8c ravrrent 6 poi-:MÏÎËÎ-ſischïgii
l'inlrrume'. t, Act. 5. iz. u .
;l G_ Md…, c, des prix, ils trouverent qu’il montoit à
li ~'eſi~ erou‘aror- s ~ ' ' D m Gaie 8c Arif’tarque Macedoniens , “Ï: ä‘g‘ffifäſitdbù
cggjjjœlïfi R Mm 4 Cinquante mille ‘-9 piecesd argent.
que nous interpreterions zo 5A1nſl la parole du Seigneur 7² compagnons de voyage de Paul. :Tous mon; mât“: entre,
plus convenablement des - :nement no œVlà
”enzima-i. D’autres les appellent desſiw‘m ; mais ce mot ſe prend aujourd’hui pourle linge du o Et comme Paul voulOit entrer l mns.+7mm.i..
quel on enveloppe lesmorts. za. G.fim:lpntliiu,lbrmé du Latin auſli-bien que le precedent; vers le peuple , les diſCiples 73 ne lui per- “f; 6.5, più-PM…“
or les Latins appellent ſmicinctia,(oomme qur dirait en nôtre langue des demiumr:,)ccrtaius de
vantiers ou tabliers de laine , ou de toile , ou quelquefois de cuir , dont on ſe œignoit la mirent point_ nôtre méiicr qui nous
moitié c'uoorps , loir pour ſe nettoyerles_mains , loic pour conſerver ſes habits dans le travail : , doit nourrir, &cete ma—
comme autrefois les Moines , gagnans leurvie du travail de leurs mains , eurent pour le méme 31 Quelques-uns auſſi d entre 7+ les nuſacture qui nous di
uſage des Fuyu/aim , c. des tabliers attachés parles eſpaules , qui de la leur pendoyent ſur la poi Aſiarques qui lui eſtoyent amis, envoyc- PMP“ ‘ 5‘ ‘1"‘ “n “m“
trine , dont ils garaniiſſoyent leurs habits., Au relie il n'y avoir en ces mouchoirs , ni en ces ra— _ _ _ nôtre portion cola ville.
bliers de S. Paul , aucune vertu ni propriete inhercnre , qui conſeràt la ſanté a ceux auſquels on rent vers lui , le prians qu’il ne ſe preſen— ‘6 G- "ï M"-m "prz
_ henſi'on,0u rcicction &nie
les appliquait ; mais Dieu concouroit miraculeuſernent a leur application pour concilier plus
de creancc à la doctrine de ſon Apôtre , 1ans que pourtant ces linges fuſſent mis au reliquaire , taſt pOint au theatre. pris, en ſorte que nous
ou qu'on leur deſerât aucun culte religieux plus qu’à l’ombre de S. Pierre, Act. 5. r 5 . 3 2 Les uns donc crioyent d’un, 8c les "ZXËPHÎÎÎ'P'ÎJÛZ,
3 3 C. couiiireurs de diables, &r qui par certaines obtefiatious (auſquelleson s’entreméloit a la
Veriré le nom de Dieu , mais par ſuperſtition , ou du moins ſans vocation, ) ſe méloyent de chall autres d’autre: car 7‘ l’aſſemblée eſtoit 'im-.5' "c“ "mfflœfflr
ſet les demons de ceux qui en étoyent poſſede's: Et les eſprits malins ccdoycnt ſouvent à leurs . dinaire des hommes ſedi
conjurations , comme nous en avons des exemples en Joſephe , plûtôr par intelligence que par confuſe: &pluſieurs ne ſçavoyent pour dci-xa mechans de Pre
force , afin de fomenrer la (iiperfiition parmi le peuple. _ 34. G. 4114m à l’entour , c.eourans texer la religion en leurs
par le païs, pour faire profil de cc métier. 35 Ou. Entrepriſe”, ſe ſervans du nom cheſus, quelle cauſeilseſtoyent aflemblez. - …Fm-,5, PF,… les ſm
33 Alors 7‘ Alexandre 77 fut avancé "‘1‘“ "1°" ë‘ ‘WW'
comme d’un nouveau formulaire de conjuration. dont mal leur en prit g Le pourtant cet acte ne
peu: étre juge' ſemblable ‘a celui dom il eſt parle’ Marc 9. 3 s. 36 Parce qu’ils voioycnt que mir davantage.
6 8 C.ſaſplcndeur . ſon renom &t \à magnificence. 69 G. [Bir Bric, ou abolie.
Paul an nom de jeſus iettoit fi puiſiammcnt les diables hors des poſſcde’s , ils le voulurent con
70 C. il la ſaut conſerver L*: maintenir en ſon honneur 8: en ion luſtre. 7 r C’éroyent
[refaire , cf'perans d'en tirer plus d’honneur ou plus de profit, s’imaginans que c’étoit de l’efficacc
d' grands ô: ſommet”: Edifices en quelques-unes des principales villes des Payer” , qui étoycnt
du nom ou du mot , & non pas de la puiſſance de vertu dela perlonne de Ielus , qu’ils ne con
uoifl'oyent pas, que procedoit ce miracle. z 7 Voi touchant ces principaux-Sacrificateurs , bâtis par degrés , les uns furies autres , ou tout le peu-[le s'aſſembloir pour voir les jeux ôt les
Matr.2.4. 3 s Ail: qu'il afin nous l’autorité ſouveraine 6: la puiſſance de nous jetter hors. ſpectaclespublics qui s’y celebroyent en l'honneur de leurs faux dieux, ou autrement.
z 9 All. fidele ſerviteur dejcſus,& qui agit en lon nom 8c en (on autorité. 40 C. quel— m «461.20.4— (7- 7.7.7.. è- (claſh—io. 7). lls lestirerent autheatre , commea deſſein
le autorité ave’s-rous de me commander E 41 Agiré 8; poullè en cére violence par l’eſprit de les rendre contables de la majeſté de leur Diane violée par la doctrine Chrétienne.
malin, 42. G. lti ayant maîtriſe’. 4.; Ou , remporta {lu mv , 6: leur pmu/31m. 7; Aſſ— de peur qu’il ne s'expoſh au peril d’etre aſſomme’ par ee peuple forcené.
f Man. 3 . 6. 1,4 Céreconſeflion , plus réelle que verbale , quoi que jointe avec quel— 74. Ils n’e'toyent pas ainſi nommés comme ayans le gouvernement de l'Aſie entre leurs mains;
que expreſſion de leurs plus enormes delicts, preceda ſans doute leur bâtéme, comme celle dont mais e’étoyent certains Sacrificateurs, qui prefidoyent aux theatres & avoyent le ſoin &la
il dl parlé Man-3.1L 4s c- 1C5 œïlſênspêu annonçans- 46 C. leurs crimes 8c plus charge des ſpectacles publics en l’honneur des idoles: Et il ſemble bien que ecux—cirerer-ans
enormes pechés ( ceux particulierement qu’ils avoyent commis , en s’addonuant aux arts illici leur nom & ce qu'il y avoit de dignité temporelle annexé ‘a leur Sacerdoce , avoyent rziioncé à
res & diaboliques de magie 8c ſorrilege, qur croyant alors en grand’ vogue parmi les Epheſiens-) ' l'idolatr'ie , «Sr embraflè la religion Chrétienne . ou du moins n’en étoyen! pas éloignes ; veu
l l’amitié quîls avoyent avec S. Paul , ôt le ſoin qu'ils ſe donnent de ſa coulervaqon , 8c que
les dcrefians publiquement par une ſericuſi: converſion à ).’C. 8c demandans a l'Apótre en la
S. Luc ſemble les joindre aux diſciples qui ne pennirent pas que l’Apótre ſe preſenter_ au theatre
perplexité de leursconſcienccs ,conſeil Et conſolation ſur ce ſuiet. _ 47 C. aux arts illicites
de magic a; de ſortilege , condamnees~ en la Parole de Dieu_: C’eſt ainſi que s’expriment par un 7 5 Le G. ecrit-ſia , ſiniſie proprement une aſſemblée convoquée avec ordre ; mais cete mul
nom plus doux , ces’uoircs 8e diaboliques diſciplines , aulquelles de tout tems les Epheſiens titude s’e'roit aſſembléed’elle—me’me tumulruairement & coufiiſemenr, i". 29. 76 _Quel
ques-uns penſent quece ſoitcelui dont ileſt parle' i Tim. i . zo. & 1 Tim. 4. i4. ennemi Violent
éſoyent ſon nddonncs. 48 G. cinq fou du: mille. 49 Ou, drugmeid’ngcm, châquc
dragmc contée a raiſon de fix ſolsde nôtre monnoye , Marni 8.2%. cha ſe monteroit ‘a la ſomme . 8c envenimé de S.Paul 8c de la verite’ z mais cela n'eſt pas afliiré. Voice qui cil remarque r Tim-r.
d-cnvixonquinzemillcflorinsmu ”ooo flancs. g Efi. 55. ri. !1-ao- 77 MI afin qu’on l’ouit parler.
hors