La voix qui crie dans le désert

 

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  ANCIENNE ALLIANCE

 

 

 

 

- PRÉFACE -

Cette édition spéciale de la Bible de Machaira 2018, contient non seulement toutes les références parallèles, mais aussi tous les codes des lexiques Hébreux et Grec de la Concordance Strong française pour chaque mot. On a qu'à cliquer sur les numéros à droite des mots pour ouvrir leurs définitions et trouver le sens qu'ils détiennent dans les originaux Hébreu et Grec. Son texte en entier a été revu mot à mot et précisé d'avantage sur les originaux. Des corrections furent apportées lorsque la nécessité s'imposait afin de suivre les séquences des Codes Strong qui étaient originellement désignés pour la célèbre King James anglaise. Puisque la structure des phrases en anglais est souvent l'inverse du français, il a fallu réajusté le texte dans ces endroits afin qu'il corresponde précisément avec le texte anglais dans l'ajout des Codes Strong, ce qui nous obligea de revoir le sens de chaque mot dans sa langue et son contexte original pour en obtenir une signification précise en français moderne. Pour cela nous avons utilisé des synonymes qui en éclaircisse le sens. Ceci donne pour résultat d'avoir une King James en français moderne qui est libre des influences de l'orthodoxie qui la ternissaient, et encore plus puisqu'un tel travail n'a jamais été entrepris auparavant en aucune langue. La traduction a très peu changée de la Machaira 2016 originale, elle fut plutôt améliorée et précisée d'avantage.

 

Un des éléments remarquables de cette Bible est qu'elle enlève dans son Nouveau Testament beaucoup de préposition, conjonction et articles qui ne se trouvent point dans le Texte Grec Original, mais qui furent ajouté par les traducteurs dans des buts grammaticaux et souvent tendancieux pour supporter l'orthodoxie du catholicisme et du protestantisme. Cela évidemment donne différents sens à plusieurs passages et détourne ou déforme l'enseignement qui s'y trouve. Toutefois ce n'est pas le cas dans notre texte qui veut demeurer fidèle aux originaux. Pour cette franchise et loyauté, notre traduction s'est faite un grand nombre d'ennemis qui n'apprécient aucunement qu'elle soit à l'encontre des principes de l'orthodoxie dans lesquels ils sont depuis si longtemps habitués, c'est à dire conditionnés ou programmés depuis de nombreuses générations. En voici un exemple parmi tant d'autres. Dans Colossiens 1:2 selon les traductions classiques ou traditionnelles, il est écrit «La grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père, et du Seigneur Jésus-Christ.» Mais il y a un sérieux problème ici, car l'article «du» n'est pas dans le Grec original. En enlevant cet article qui a été ajouté dans ce passage afin de causer une distinction entre le Père et le Seigneur Jésus-Christ, il dit clairement: «La grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et Seigneur, Jésus-Christ.», ce qui nous indique que «Dieu notre Père» est nul autre que le Seigneur Jésus-Christ lui-même, et non une deuxième personne à part du Père. En d'autres mots, le Seigneur Jésus est lui-même le Père manifesté dans la chair comme Fils unique. De tels exemples se retrouvent partout dans les traductions du Nouveau Testament d'après les principes de l'orthodoxie, tout cela à cause que les traducteurs conventionnels et ecclésiastique sont sous l'ordre de protéger à tous prix les principes d'une orthodoxie subversive qui séduit les gens simples depuis de nombreuses générations, autrement ils seraient congédiés et perdraient tous les honoraires qui leurs reviennent pour avoir falsifié la Parole de Dieu.

 

Elle porte aussi un grand nombre de synonymes qui éclaircissent davantage la compréhension du texte, ainsi que des agencements grammaticaux et contextuels en italique qui n’infèrent point leur présence dans les Originaux. Bref, elle est une traduction excellente, honnête et précise, un courant d’air frais par rapport aux traductions stéréotypées ou traditionnelles. Cette version de la Bible est disponible sur le site Internet suivant: http://levigilant.com. Quoiqu’il en soit, nous vous conseillons de vous procurer et de lire une Bible dont le Nouveau Testament est basé sur le Texte Reçu Grec. Vous pouvez les identifier facilement par l’inclusion du passage des trois témoins célestes dans 1 Jean 5:7.

 

Pour transparence, signalons que le texte de base pour la Machaira 2018 est celui de la Bible Ostervald 2008 que nous avons choisi à cause de son français moderne. Son texte a été complètement révisé en le comparant à la Bible Martin et à la King James anglaise, dont plusieurs passages furent incorporés, retraduits et précisés sur les originaux. Par Textes Originaux, nous signifions: le Texte Massorétique Hébreu de Daniel Bomber 1524 pour l'Ancien Testament; et le Texte Reçu Grec de Robert Estienne dans son Édition Royale de 1550, compilé par F.H.A. Scrivener en 1894 pour le Nouveau Testament. Ce travail énorme est une première pour une Bible française qui a pour base le Texte Massorétique Hébreu et le Texte Reçu Grec. La Bible de Machaira 2018 vous donne une traduction des originaux Hébreu et Grec qui est d’une précision exceptionnelle jamais vue auparavant. Elle se refuse de donner une traduction stéréotypée et ne suit aucunement le courant théologique de la dite orthodoxie ecclésiastique, comme c’est le cas de presque toutes les traductions et versions de la Bible. Elle n’est donc ni protestante ni catholique, ni évangéliques, ni œcuménique, mais strictement de L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS, Jésus le Messie. Le principal intérêt de cette édition 2018 de la Bible Machaira est d'avoir maintenue, comme ses prédécesseurs, la certitude et l’autorité du Texte Massorétique Hébreu et du Texte Reçu Grec de la Réforme protestante. Comme pour la Bible Martin, c'est un gage de fidélité et d’assiduité envers les écrits bibliques originaux que nous désirons préciser d’avantage en utilisant des termes et des expressions modernes.

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La seule autre Bible française qui contient les Codes Strong sur Internet est la Bible Segond, et celle-ci n'est pas basée sur les mêmes textes originaux que celle de la Machaira 2018. Elle est plutôt une traduction tendancieuse basée sur les textes défectueux et corrompus des Codex Vaticanus et Sinaïticus de la Septante mythique, compilée par Origène d'Alexandrie dans la cinquième colonne de son Hexaple ou Bible à six colonnes, puis ordonné par l'empereur Constantin qui en fit faire 50 copies par Eusèbe de Césarée pour son empire. La Bible de Constantin contenait les apocryphes de l'Épître de Barnabé ainsi que le Pasteur d'Hermas dans son Nouveau Testament. Ces deux Codex, Vaticanus et Sinaïticus sont des frères jumeaux qui furent compilés en 1881  par les deux plus grands apostats de la Critique Textuelle, Wescott et Hort, pour former un nouveau texte grec nommé le Texte Minoritaire ou Texte Néologique qui est en réalité un Texte Catholique qui provient des manuscrits du Vatican, et qui fut adopté pour toutes les versions modernes de la Bible, incluant la Bible Segond. Ces deux apostats présentèrent ce nouveau texte grec au monde sous la prétention qu'il s'agissait du Texte Original. Comme des hypocrites professionnels ils gardèrent le secret que ce nouveau texte grec a utilisé des lectures contenu dans le Textes Reçu Grec pour combler ses lacunes, car il y manquait un grand nombre de passages et de paragraphes, il était donc nécessaire pour eux de faire ainsi afin de cacher le viol de la Parole de Dieu qu'ils entreprenaient. Les passages de Marc 16:9-20 et ceux de Jean 8:1-12 sur la femme adultère, qui ne se trouvent pas dans ces deux Codex, en sont des exemples criant. En plus, il est reconnu que Louis Segond ne croyait pas en la divinité de Jésus-Christ ni en la pleine autorité de la Parole de Dieu. C’est après sa mort que la Société de Genève a réédité une nouvelle version corrigée en 1910 à partir de ce nouveau texte grec. La Bible Segond est en réalité une Bible Œcuménique à laquelle on a enlevé les apocryphes pour la faire passer comme étant une Bible protestante. La traduction de Louis Segond et de son collègue Hugues Oltramare, fut faite sur la base de l’édition critique de Konstantin Tischendorf, un texte corrompu et adultéré fait d’une compilation du Codex Sinaïticus, frère du Codex Vaticanus. Konstantin Tischendorf, un érudit allemand, trouva en 1844 au monastère de Sainte-Catherine dans le désert du Sinaï, plusieurs pages d’un livre qui devait être brûlé et qui attira son attention. Ce livre est composé de la Septante, une partie du Nouveau Testament et des livres apocryphes tels que le livre des Maccabées, de Thobie et de Judith, non reconnus par le canon hébraïque ni par l’Église primitive et les réformateurs. Cette découverte est la preuve que le Nouveau Testament faisait partie de la Septante originale composée par Origène d'Alexandrie. C’est à partir de son travail et de cet ensemble de textes que parurent le Codex Sinaïticus (Sinaï), Vaticanus (Vatican) et Alexandrinus qui furent utilisés ensuite pour les bibles catholiques, la Bible de Jérusalem, entre autres, ainsi que pour les bibles prétendument protestantes comme la Segond et celle du faux prophète J.N. Darby, et plusieurs autres.

 

Le Codex Vaticanus consiste de 759 pages de 10" x 10"1/2, chacune contenant trois colonnes d'environ 41 lignes chaque. Les hypocrites et menteurs du modernisme prétendent qu'il contient la Bible complète, mais la vérité est toute autre. Plusieurs sections y manquent: presque toute la Genèse de 1:1 à 45:28; Psaumes 106 à 138; certaines parties de 1 Samuel, 1 Roi et Néhémie; Matthieu 16:2,3; Marc 16:9-20 où est contenu un espace libre qui indique que ces versets furent enlevés; Romain 16:24; les épîtres au complet de 1 et 2 Timothée ainsi que celle de Tite; Hébreux 9:15 à 13:25; et tout l'Apocalypse. Dans les Évangiles, le Vaticanus ou Codex "B", enlève des mots et des passages en entier environ 1,491 fois. Sur chacune de ses pages il porte les traces de négligences de transcription. Ce Codex dénaturé diffère du Texte Reçu dans les particularités suivantes: Il omet environ 2,877 mots; ajoute 536 mots; substitue 935 mots; transpose 2,098 mots; et modifie 1,132 mots; pour un total de 7,578 divergences verbales (True or False, par: David Otis Fuller).

 

Le Codex Sinaïticus ne contient pas dans son texte corrompu Genèse 23:19-24 ainsi que le chapitre 46; Nombres 5:27 et 7:20; 1 Chronique 9:27 et 19:17; tout le livre de l'Exode et celui de Josué; 1 et 2 Samuel; 1 et 2 Rois; le livre des Juges; Ézéchiel, Daniel, Osée, Amos, Michée; Matthieu 16:2,3; Marc 16:9-20 où il contient un espace pour ces versets, tout comme dans le Vaticanus; Jean 5:4 et 8:1-11; Actes 8:37; Romains 16:9-20; 1 Jean 5:7; et une douzaine d'autres versets. Lorsqu'il est comparé au Texte Reçu, nous y trouvons 9,000 altérations. Le texte du Sinaïticus témoigne de dix tentatives de révisions ou de corrections. Le Dr. Scrivener, un savant biblique compétent, publia en 1864 un document sur la collation de ce Codex avec des notes très intéressantes. Il affirme que «cet ancien manuscrit du 4" siècle est entièrement couvert d'altérations de nature à corriger le texte, dont la grande partie se rapporte au 6" et 7" siècle; et que celles-ci furent faites par dix différents réviseurs» (True or False, par: David Otis Fuller). De ces faits, nous dit le Dr. Fuller, "nous savons que l'impureté du contenu entier du Codex Sinaïticus fut reconnue par les scribes qui tentèrent de le corriger, et ceci depuis son origine jusqu'à ce qu'il soit rejeté et considéré comme étant complètement inutile".

 

Le Codex Alexandrinus, dont l'origine est la même que le Vaticanus et le Sinaïticus, est classé comme un manuscrit d'Alexandrie, ville natale d'Origène. Il est considéré comme étant un manuscrit du 5" siècle. Il contient 773 feuilles dont chacune est divisée en deux colonnes. Il y manque Genèse 14:14-17; 15:1-6; 16:6-10; Lévitique 6:19-23; 1 Samuel 12:17; 14:9; 1 Roi 3:6; Psaumes 69:19 à 79:10; Matthieu 1 à 25:6; Jean 6:50 à 8:52; et 2 Cor. 4:13 à 12:6. Ce Codex fut présenté au roi Charles I, par sir Thomas Roe, de la part de Cyril Lucar, patriarche de Constantinople vers 1627.

 

Ces trois Codex défectueux et corrompus furent utilisés pour compiler le Texte Néologique de la Critique Textuelle subversive et séditieuse afin de séduire le monde entier par une prétention à l'authenticité.

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Un atout de cette édition de la Bible Machaira est de présenter, dans le fil du texte biblique, un grand nombre de références qui se rapportent à des passages parallèles, ainsi que des notes facilitant l'étude biblique et augmentant la richesse de lecture. A part l’excellente Bible calviniste de David Martin, elle est la seule à utiliser de tels renvois qui se rapportent à un même sujet, afin d’éclaircir l’enseignement donné dans un contexte particulier, comme vous voyez dans le passage suivant:

 

Celui qui estime* sa vie, la perdra; mais celui qui abandonnera** sa vie en ma faveur, la retrouvera. Mt. 16. 25; Mc. 8. 35; Lu. 9. 24; Lu. 17. 33; Jn. 12. 25; *aimer, apprécier, chérir, préférer. **abdiquer, capituler, délaisser, démissionner.

 

Machaira est le mot Grec pour Épée et il s’agit ici de l’Épée de l’Esprit qui est la Parole de L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS. Le texte de cette Version est une révision de la Bible de l'Épée 2010, Version leDuc, contenant plusieurs nouvelles traductions dans un très grand nombre de passages. Elle comporte de nombreuses précisions sur les Originaux Hébreu et Grec, surtout dans le Nouveau Testament. Le lecteur habitué aux traductions classiques ou régulières se trouvera perplexe devant plusieurs nouvelles expressions, mais qu'il soit assuré que toutes les précautions ont été prises pour qu'elles demeurent fidèles aux originaux, même si parfois une traduction peut sembler étrange à son entendement. Les traductions ont été vérifiées sur les Lexiques Hébreu et Grec de la Concordance Strong Française, sur l’étymologie des mots dans les Dictionnaires Hébreu-Français et Grec-Français, et sur un Dictionnaire de Synonymes très réputé, et tout cela sous la direction et la puissance de l’Esprit de Christ qui veille jalousement sur sa Parole. Tout ce travail à contribué à éclaircir le texte davantage, surtout dans le Nouveau Testament. Notre but était d'atteindre une clarté d'expression plus limpide et plus compréhensible à tous, sans toutefois départir du sens réel des mots dans leur langue d'origine qui détiennent une grande variété de nuances applicables dans différents contextes. Les nouvelles traductions furent discutées et analysées avec plusieurs afin d'assurer une transmission précise de leurs significations. Nous avons surtout cherché à maintenir l'uniformité de traduction envers certains mots qui n'avait jamais été traduit auparavant. La Bible est pour les simples, et les gens du peuple commun ont besoin de savoir ce qu'elle dit, et non ce que les experts et les savants disent qu'elle dit (1 Corinthiens 1:24-29).

 

Spécifions que cette nouvelle version de la Bible Vaudoise des Réformateurs reflète la position calviniste dans sa traduction, tout comme firent la Bible d’Olivétan, la Bible de Calvin, la Bible de Genève, et la Bible Martin, néanmoins spécifions qu’elle suit plutôt l’hyper-calvinisme des christophiliens (Amis de Christ). De ce fait elle souligne fortement la souveraineté absolue de L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS, la divinité de Christ, et les doctrines de la grâce reconnues sous la désignation de T.U.L.I.P.E., refusant toutefois le reste de la théologie Réformée que nous considérons comme étant captieuse et insidieuse. Cela assure qu'elle demeure libre des influences et des inclinations des religions et dénominations modernes dites chrétiennes, particulièrement des sectes évangéliques, et surtout du pentecôtisme et du charismatisme qui supportent tous la fausse doctrine du libre-choix ou «choix de la foi» (Arminianisme) dans le salut et la sanctification. De ce fait, sa rejection est assurée de la part du christianisme contrefait moderne qui a sombré dans l’hérésie et l’apostasie des derniers temps, et dans le fanatisme de puissances mystiques et spirites de certaines facultés occultes dites venir du Saint-Esprit lorsqu’elles proviennent en réalité d’un esprit de duplicité. Une traduction fidèle qui reflète la lumière de la vérité sera toujours rejetée des réprouvés, cela est le sceau de son authenticité, car les imposteurs préfèrent les ténèbres de leurs raisonnements au rayonnement de la grâce véritable. Elle se garde aussi des impressions et intimidations politiques et religieuses, choses qui peuvent ternir l’esprit des hommes les plus honnêtes.

 

Dans les nouvelles traductions nous avons préféré utiliser l'étymologie pour retourner le plus prêt que possible au sens original des mots dans les originaux Hébreu et Grec, et dans lesquelles nous avons donné une priorité au contexte historique et culturel. Cela nous a porté inévitablement à nous dégager des traductions communes ou classiques en plusieurs endroits pour but de précision. Concernant le NOM d’ELOHIM nous l’avons traduit par L’ESPRIT DES VIVANTS, nous avons aussi traduit le nom de YHWH ou JEHOVAH par L’ADMIRABLE. Ce terme qui fut traduit de l'Hébreu au Grec par «Kurios», c'est à dire «Seigneur» en notre langue, indique que les deux signifie une seule et même chose afin de souligner la divinité de Christ et son identité avec la révélation donnée à Moïse, demeurant ainsi pleinement dans le contexte historique de l'expression connue par le peuple hébraïque au temps de Jésus et des apôtres. Ainsi lorsque la Bible parle du Seigneur Jésus-Christ elle parle littéralement de L’ADMIRABLE Jésus le Messie. Le Grec du Nouveau Testament étant une traduction orale de l'Hébreu doit toujours être traduit en mettant l'emphase sur le contexte culturel et cultuel hébraïque des premiers disciples. Plusieurs autres mots qui ne furent jamais traduit mais transposés ou adaptés en notre langue, soit directement de l'Hébreu ou du Grec, trouvent ici leur inauguration à leurs premières définitions étymologiques. Ainsi le mot «Église», composé du Grec «ek-klesia» ou «appelé hors de», terme singulier qui représente une pluralité, tout comme le mot «Élohim» avec lequel il est étroitement relié, est traduit ici dans son ensemble comme «convoqués à renaître», gardant en mémoire que l’Église est une Convocation à renaître et non une Assemblée cultuelle. De même, dans cette optique, le mot «baptême» retourne à sa signification primaire qu'il détenait sous les rituels de purification de l'Ancienne Alliance pour se traduire par «consacrer, consécration». Nous ne négligeons pas que ce terme prend une différente connotation sous la Nouvelle Alliance de la grâce dans laquelle nous sommes libéré des rituels ou ordonnances de la loi, pour désigner «l'introduction» ou «engagement» de la foi en Christ. Provenant du Grec «baptizo» qui a pour source le verbe «bapto», terme composé de «ba» (un appel) et «apto» (engager, engagement), ce terme nous indique que les élus sont appelés à s’engager» par la puissance et direction de l’Esprit, dans la foi (confiance, assurance) de Christ en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. Il ne s'agit donc plus d'un rituel ou symbole administré avec de l'eau comme sous l'Ancienne Alliance, mais dans le fait que nous sommes assimilés avec Christ dans sa mort et sa résurrection pour devenir une nouvelle créature avec Lui et en Lui éternellement. Tel est la description de renaître, d'être régénéré d'en haut par la puissance de L’ESPRIT DES VIVANTS c'est-à-dire être d’une différente origine depuis avant la fondation du monde. Plusieurs autres mots ont aussi trouvés leur première traduction comme «Satan» qui devient «concurrence» pour indiquer l'esprit de la chair et de la loi qui s'oppose à la liberté de la grâce; le mot «diable» devient la «contrariété humaine ou charnelle» qui indique la faiblesse et la corruption totale de la nature humaine déchue de l’homme (spécifions que la nature humaine de Christ était libre de cette corruption quoique limitée par son corps de chair); et le mot «démons» devient «conscience déréglée» pour indiquer les dérèglements de la conscience (l'âme) engendrés par la culpabilité et les inquiétudes (psychoses) d'avoir transgressé la loi.

 

Nous avons placé l’importance sur l’exactitude des termes originaux, et à plusieurs reprises, nous avons utilisé des synonymes et des termes modernes qui correspondent aux originaux, afin d'obtenir une clarté d’expression qui ne se trouve point dans les traductions stéréotypées ou traditionnelles de la Bible. Aussi la composition de certaines phrases fut restructurée, réajustée et retouchée, lorsque la nécessité s’imposait pour but de fidélité. Nous faisons remarquer aussi que l'expression «JÉSUS LE MESSIE» est la signature officielle de cette nouvelle version de la Bible, car aucune autre ne traduit le nom du Seigneur ainsi. En fait, il ne peut avoir de plus belle signature que le nom de L’ADMIRABLE qui signifie «YHWH le Sauveur choisi» ou plus précisément «L’ADMIRABLE Sauveur», nous indiquant que le Père, le Fils, et l’Esprit sont identique et non trois personnes distinctes. Nous avons fait ainsi à cause que plusieurs s'imaginent que «Christ» est le nom de famille de l'Admirable Jésus qui est l'Esprit des vivants manifesté dans la chair. Vous trouverez cette nouvelle traduction principalement dans le premier chapitre de chaque livre du Nouveau Testament, car nous ne l'avons pas traduit uniformément à travers tout le texte puisque nous l'utilisons comme signature d'introduction seulement, quoiqu'elle peut se trouver dans différents passages qui demandent une telle précision.

 

Nous avisons le lecteur que les mots en italiques ne se trouvent point dans les Originaux, mais sont suggéré par le contexte grammatical, historique, et linguistique. Souvent il s’agit de règles de grammaire à cause des difficultés de traductions, ou encore ils furent ajoutés soit pour éclaircir le sens de la phrase où ils apparaissent, soit pour préciser l’enseignement donné. Avec les italiques nous suivons la pratique des anciennes versions qui ajoutent plusieurs mots en italique pour but de transparence afin de ne pas induire les lecteurs en erreur, contrairement à ce que font les versions modernes tendancieuses. Nous avons été soucieux d'être transparent et de maintenir la saveur de l’ancienne traduction, tout en rendant la beauté du texte intégral inspiré dans un style simple et moderne, comme une lumière qui brille dans les ténèbres. Il est inévitable que certains, habitués avec les versions dénaturées de la Bible, s’imaginent que les mots et les notes en italiques font parti des originaux, c’est pour cela que nous trouvons important de le mentionner.

 

Nous n’avons point honte d’affirmer que la Sainte-Écriture ou Parole de L’ESPRIT DES VIVANTS «respire de la Sainte Présence de Christ», qu'elle exalte L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS et glorifie son nom, c’est à dire qu’elle est inspirée perpétuellement dans les Originaux, leurs copies, traductions et versions fidèles, en proportion de leurs précisions; et qu’elle nous fut et nous sera continuellement préservée providentiellement de génération en génération par notre ESPRIT DES VIVANTS Souverain et Tout-Puissant, L’ADMIRABLE Jésus-Christ, pour la gloire de son Nom et de son Royaume.

 

Jean leDuc

2018

 

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