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Sélection du webmestre pour l'édification des saints: ― Trilogie des allégories d'Ariel
La voix qui crie dans le désert
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QUI NOUS SOMMES
Nous sommes «comme les balayures du monde, et le rebut de tous.» (1 Cor. 4:13; Lam. 3:45). Nous sommes la cible de diffamations, de discriminations, d'intimidations et d'oppressions de tous genres de la part du christianisme conventionnel et des sectes dites évangéliques. La persécution et la souffrance pour la gloire du nom de Christ ne nous sont pas étrangère (Phil. 1:29) et même nous nous en réjouissons (Ac. 5:41), car nous savons que «Dieu a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages, et Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes. Et Dieu a choisi les choses viles du monde et les plus méprisées, même celles qui ne sont point, pour anéantir celles qui sont.» (1 Cor. 1:27, 28). Nous n'appartenons à aucune église, dénomination, groupe ou secte quelconque. Nous sommes des christiens* libres en Christ et nous refusons de nous mettre «sous le joug de la servitude... avec les infidèles» (2 Cor. 6:14; Gal. 5:1). Notre union est par Dieucidence, selon le conseil de sa volonté souveraine et la gloire de son nom, et nous marchons ensemble avec quiconque se retrouve dans l'émancipation du vent de l'Esprit pour l'amour de la vérité telle qu'elle est révélée dans les Saintes-Écritures, et non dans les conjectures sophistiquées qui lui sont imposées par les apostasiés anciens comme modernes. Nous ne sommes point de foi dite orthodoxe comme la grande majorité le sont, mais individuellement de foi marginale d'un Souverainisme Séparatiste, et nous combattons contre les fausses doctrines de cette première avec toutes les armes de l'Esprit. Nous proclamons la souveraineté de Dieu et la Royauté actuelle de Christ, et non la souveraineté de l'homme avec son libre choix illusoire et les chimères de son royaume millénaire futuriste. Nous reconnaissons le Seigneur Jésus-Christ comme notre Dieu et notre Roi, la seule et unique Personne en Dieu, et nous ne plions le genoux devant aucun homme ou institution. Nous n'avons aucune tolérance pour le mensonge ni pour la manipulation psychologique et textuelle, choses courantes au sein d'un christianisme moderne captieux qui n'est qu'une approximation abjecte de sa réalité intangible. Nous n'avons à répondre à personne pour notre foi sauf au Seigneur Jésus lui-même qui en est la source et le but, et nous n'imposons rien à qui que ce soit. Tous sont libre de croire ce qu'ils veulent et de marcher dans la voie qu'ils ont choisis, mais pour nous nous n'avons aucun choix que de marcher dans la voie de la vérité telle que dictée par l'Esprit et la Parole. * À remarquer que nous utilisons souvent le terme «christien» plutôt que celui de «chrétien» car nous sommes des disciples de Christ et non de Chret. Nous signalons que nous n'avons aucun rapport avec les imposteurs, comme nous voyons sur des Forums particuliers, qui ont usurpés le terme christiens à leur avantage et se l'ont appliqués dans le but d'en séduire le plus grand nombre.
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L’ERREUR TRAGIQUE DE LA PSYCHOLOGIE HUMANISTE
Nature externe ou interne L’erreur tragique de ces derniers temps – sinon de tous les temps depuis la chute dans le jardin d’Éden – a été de croire que tous les maux qui s’abattent sur l’humanité sont de nature extérieure à l’homme. On allèguera les conditions politiques, ou prétextera les situations sociales, on évoquera la mauvaise répartition des richesses économiques et que sais-je encore pour expliquer le malaise de l’homme ainsi que la crise de la société moderne. Mais on a la mémoire bien courte, en oubliant que l’homme a péché dans le plus idéal des environnements en Éden, là où étaient réunies les conditions les plus favorables pour une vie heureuse et pour la communion parfaite avec l’Auteur de sa vie. Dans les explications de nature socio-politiques, il n’est jamais question de repentance ou de conversion. Pour certains, la révolution est devenue un acte de nature religieuse qui remplace – hélas – la foi biblique en le Dieu Souverain et Tout-Puissant, le Seigneur Jésus-Christ. Au salut apporté par Dieu, on substitue le sauvetage opéré par et pour l’homme. En détruisant le monde ancien et l’ordre qui y régnait, les réprouvés et les apostats s’imaginent bâtir une cité nouvelle. Chimères humaines d’hommes incorrigibles, aveugles, conducteurs d’aveugles! N’apprendra-t-on donc jamais que, bâtir avec les gravats, les poutres tordues, les plâtres et les décombres de la Tour de Babel, est tout aussi insensé que d’avoir tenté de la bâtir à neuf au début de notre histoire? L’homme moderne se tourne vers l’État. L’État est devenu sa Providence pour tous ses besoins fondamentaux, y compris celui de la justification. On a dit que toute vie était devenue politique. Ce qui veut dire que l’État, la politique et l’économie, doivent remplacer Dieu et apporter toutes les solutions. Les hommes de tous les temps ont cherché un salut mythique et nos contemporains ne font pas exception. Il ne faut donc pas s’étonner de voir autour de nous, toutes les formes de destruction, aussi bien individuelles que collectives, depuis les guerres et les révolutions violentes, jusqu’à l’abus du sexe de la drogue et de l’alcool. L’éducation moderne, celle qui nie les valeurs morales et spirituelles et qui les rejette comme des anachronismes, accroît plus qu’elle ne diminue l’ignorance et la folie, et elle contribue, à sa manière, à produire la mort. Une certaine vie familiale marquée par l’absence d’autorité et de responsabilité parentale, la dissolution et la dislocation de tout lien dans le foyer causé le plus souvent par l’égoïsme, par une fausse conception de la liberté et le rejet d’une éthique chrétienne sont des signes de cette volonté négative. Nombre de chrétiens ne s’en rendent pas toujours compte; mais il est devenu presque axiomatique de parler de l’homme et d’expliquer ses comportements à partir des postulats théoriques de la psychologie humaniste. La littérature plus ou moins spécialisée et surtout la vulgarisation des grandes théories psychologiques, étend son influence même à la pensée des prétendues églises. Il est vrai que l’humanisme a tellement envahi les mœurs, qu’un domaine de plus ou de moins sous son hégémonie ne trouble guère la sensibilité de la plupart de ceux qui se disent chrétiens! Pourquoi chercher son origine dans des sources hypothétiques et s’empêtrer dans les mythes modernes d’une science prétendument objective lorsque l’Écriture – et notre propre expérience – nous fournissent une ample documentation sur le sujet? Il ne s’agit pas là d’une documentation théorique, mais d’une vérité avec une implication pratique et morale, tout à fait capitales. Du fait même de sa création, l’homme devient une créature et une personne responsable. Mais la psychologie humaniste moderne ne reconnaît pas toujours à l’homme une responsabilité morale. Les défaillances de l’homme, ses manquements, ses erreurs et même ses fautes ne sont expliquées qu’en fonction de son enfance et de ses origines, et non comme étant la conséquence de sa rébellion délibérée contre l’ordre moral établi et révélé par Dieu. Elle néglige ou se refuse de reconnaître que l’homme, promue au rang d’idéologie, justifie et encourage tous les actes d’immaturité et de barbarie de l’homme moderne. Nous assistons, sur ce terrain-là, à la manifestation la plus flagrante d’une imposture parmi les plus subtiles et les plus destructrices. Le mal de l’homme est discuté en termes d’environnement socio-culturel, familial, etc, mais jamais en termes de morale biblique et chrétienne. Par conséquent, jamais comme la faute d’un être tout à fait responsable de son comportement. Le péché est présenté comme un échec plutôt que comme une révolte et une transgression morales qui s’oppose à la loi de Dieu. En analysant la psychologie de l’homme déchu, la culpabilité est le facteur central. L’homme déchu, l’homme qui a chuté dans le péché, est l’homme coupable. La culpabilité, selon l’Écriture, est la conséquence du péché, et le premier péché ou péché original est le désir de l’homme d’être comme Dieu, de renverser la Souveraineté de Dieu et de déterminer ce qui est bien ou ce qui est mal pour lui-même, de ce faire le maître de son destin. Tous les péchés particuliers proviennent de ce péché de base que la théologie nomme «le péché original». Toutefois, en s’analysant lui-même, l’homme évite le terme «péché», il ne trouve aucune place dans sa psychologie ou dans sa sociologie. Le terme «culpabilité» est admis dans le vocabulaire de la psychologie humaniste, mais non celui de «péché». La raison pour ceci n’est pas difficile à comprendre, car le mot «péché» pointe directement à un viol de la loi divine, à la responsabilité, et à Dieu. Ainsi, pour abolir Dieu, la culpabilité devait être séparé du péché et regardé plutôt comme étant un problème scientifique et non religieux, ce qui étouffa la volonté de la vie dans l’homme moderne et déchaîna la volonté de la mort. Il est ainsi évident que Satan opère sur une base Arminienne et que l’humanisme est l’ennemi du christianisme. Nous avons qu'à regarder au sein du mouvement évangélique modernes pour en voir les évidences, surtout chez les Pentecôtistes et les Charismatiques qui ont déformés la justification par la foi pour en faire une justification par le choix, base de leur faux évangile qui glorifie la dignité humaine avec une grâce conditionnelle soumise à leurs caprices.
«Tous ceux qui me haïssent, aiment la mort» (Proverbes 8: 36)
La prostituée, déesse de la liberté française
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