Page 44 - La Sainte Bible, qui contient le Vieux et le Nouveau Testament. Edition nouvelle, faite sur la version de Genêve, reveüe et corrigée, enrichie, outre les anciennes notes, de toutes celles de la Bible flamande, de la plus-part de celles de M. Diodati, & de beaucoup d'autres ; de plusieurs cartes curieuses, et de tables fort amples, pour le soulagement de ceux qui lisent l'Ecriture sainte. Le tout disposé en cet ordre, par les soins de Samuel Des Marets, docteur & premier professeur en theologie, en l'université provinciale de Groningue & d'Ommelande, & de Henry Des Marets son fils, ministre du S. Evangile, en l'eglise françoise de Delft
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EVA‘NGÎL'E
                     Chap. X X V l.
                                                                                pées 8c des “ballons, de par lesprinci- 7o çamæshdäregm
                                        35' Pierre lui dit, @and meſmes il
                                                                                paux Sacriſicateurs 8c les Ancrens du     me ;Md-IIÏËSMÎM ÎmÎ-.ñs'
                                                                                           .
                                                                                                                                         s
                                                                                                                                  ,
                                                                                                                  -
                                     me faudroit mourir avectoi, ſieſ’t—-ce que
                                                                                peuple.            _                      “M
                                     je ne te renierai point. Autant auſſi en
                                                                                   4.8 Or celui qui le trahiſſoit, leura
                      5° AT les WWW' dirent 5° tous les diſciples.
                              irt d’appa-
                                                                 ,
                           t
                      ’
                     ÈËEËYÃÎL ſidi; ſermu—  36 ‘ Alors jeſus s’en Vint avec eux voit donné un ſignal , diſant , Celui que
                     ŸÃÎTÃÎÏÏÏÎÎÏMM " en un lieu dit 5² Gcthſemané: 8c dit je baiſerai, c’eſt lui : ſaiſiſſez-le.
                      ï M"â‘+~138²~f“‘ ²²' à ſes diſciples , Sécz—vous ici , juſques  9 Et: incontinent s’approchant de
                      ,Î'ſſo‘ù _il y avoirquq- à cequeJe m’en aille,&que Je prie là.  Jeſus, il lui dit, Maiſtre, bien te foit:
                     1/-  -  C‘Tl  .  n       _        l           ‘    .
                     ÃÏÎËÊ ,ÃÏÊÎËDÎ aïe-inf”)  7 Alors il prit avec ſoi Pierre 8c  &île baiſit.                            c LSM. 20. 9.
                                                                                    50 AlorsJeſuslui dit, 7‘ Compagnon, HL: AWG-WL”
                     “,"ſ"°“""”““² Sal“.î‘ ï’ les deux fils de Zebedée, &commença
                     dit  rs. r. \que demi) \          l   à ' ſt  f        HI"
                      un induſ- ou Chnſt le aeſtreï'œontri e,& e re ort ango e. pour quel ſujet es-tu ici? Alors ils s’ap
                                                              .
                                                     .
                     retiroit  ouvent pour y  8 “ Alors il leur dit , 5‘ Mon ame procherent , &jetterent lesmainsſurje
                     prier.
                      n C’ë‘vî‘qufflë de' s‘eſ’c ſaiſie de triſteſſe juſques àla mort: ſus, &le ſàifirent.
                     pendante de la montagne                                        51 Et voici "l’un de ceux quiejloymt 7z Aſſrirneñlcmm
                     des Oliviers: Et ce mot demeurez ici, 8: ‘7 veillez avec moi.
                      r     d    r  ’
                     ËÏÏÃËŸÈÏdÊÈÏ--ËÏÀ   39 Et s’en allant un peu plus outre, avec Jeſus , avançant la main tira ſon '1°'
                     ""4“ WW' ”mm“ il 5' ſe jetta en terre ſur ſa face, priant eſpée , & en frappa le ſerviteur du ſouve
                      du Syriaquc, bergerie Is                                   rain Sacrificateur, &lui 73 emporta l’o— 73 Mu“ G- Hu“
                     ‘turu- a:  à     8C diſant ,  ‘Mon PCI‘C 3  s, S’il eſt
                      fijmfo_ ITU“ le an, fible, Yque cette 6° coupe ‘l paſſe arrie  reille.                                 "KT—?3.5. .Apoc- ts.
                                                                            '
                       54 P“ W "W" “î‘î‘ re de mOi: z toutefois non point 6² corn   52 Alors Jeſus lui dit , Remets ton ”;Ïjffl de mm“
                      primé une extreme tri-  _      I                           efpée en ſon lieu : d cartous ceux qui au- 1ΰFm°LïïÎmF°h "W‘°
                      **cf-"ï R une EW“ “"- meJe veux, mais comme tu veux.                 .                .             gltnne mation, a; ſans
                     53,9:  't'radeſon  4.0 Puis  .  .   \     .  .
                       in‘, uii’emtuiu denng.
                                                . il Vint afes difCiples , & les ront 7+ pris l’efpée, 7‘ periront parl’ef- chargedu Magiſhar,‘aquj
                                                                                 pée.                         _            ÏZEËÎ,iËËËÎÏlÂÎÎΓ°"‘
                        ’èÿgf‘ë‘ä‘è‘ÿï trouVa dormans, & dit àPierre, Eli-il
                     hmſion “ch …E in!“ poflibleque vous n’ayez peu veiller ‘3 u—    53 Penſes—tu queJe ne puiſſe mainte- ‘LAM-‘AK‘ 31:33;
                      me & cruelle qu il sen            .                        nant prier mon Pere, qui me bailleroit le droit del’c'Pcîe arr-x
                     alloit for'itenix, veu que ne heure avec mOi?                  ſ            1        6 d      l  -    tient. pour punir de
                     P’““°‘"’ “m'y“ ë“ "m  4.1 Veillez 8c priez , que vous n’en  pre entement p us de 7      ouze egions mortiesmeurtners,Gen.
                     loûtenu les tounnens ſans  .    '                    \
                                                                                  ’
                     ‘WW‘ ſm' PW…?- tricz en tentation : ï car 5+ quant a l’e    d. Anges. p                    _          9.6. Rom. 13.4..
                                                                                                                            76 Une legion était
                      tion, que du preſſenti-  _  _  _      ,       .      .        54. Comment donc feroyent accom— parmi 1e- Remi-?Sunn
                     me… de lacolercdeDieu. ſprit z!ëſt prompt , mais la chair cſt fOible.
                                                                                   .      e    .          .  .      ,-     giment , ou bataillon 8e
                     :if: &NTIC d'ct' ſiiiiänch  4.2 Derechef  . il s’en alla pour la ſe  pires ICS  Ecritures 3 9m dlfiflt qu ilfaut cor-ps de cm de guerre.
                                    R
                                                                                 qu’il arrive ainſi?                       Îfsml’âſ‘dqg‘äilfäíîq‘fl'
                     gu’ÿmffïggfgm conde fois, 8c pria, diſant, Mon Pere,
                                                                                    55 A ce meſme inſtant jeſus dit ma quelquefoisdcſixôc
                     nous & en nôtre puce. s’il n’eſt pas poſſible que cette coupe paſ
                                                                                                                   .        uel ueſbis encore  de
                     Eſ .  .  ,  .  Gal.  .  .        .          .      .        77 aux troupes, 7' Vous eſtes ſortis avec Élu-?caſouvemimps
                     y.Î,.’Ë>xÊËe’n Ãue le Sci- ſe arriere de mOi , ſans queJela bOive, ta
                                                                                         l                                 de la legion avoit ſix mil
                        ur ait alors partieulie-  /  '  '                        des eſpees &des baſtons, comme apres lemmes chkd- &fix
                     rge‘iîienr reſſenti en l’ame volonte ſqlt'falte'.  l
                                                                                 79 un brigand, pour me prendre: j’eſtois cms cher-ux à ſes me“
                     Yamenumeſpirimdlc-qtü  4.3 Puis il revmt, 8c les trouva dere        .                          .      &c le nombre complet
                     lui procedoit du fardeau  h f d  q    l           ſt         tous lesJours aſſis entre vous,enſeignant d’une armée Romaine
                     de tous nospeches, dont C C  ormans . car eurs yeux e oyent
                                                                                                                           émit de douze legions: à
                     il s'étoit chargé, ô: qui 65  '                             au temple , 8c vous ne m’avez point quoipw_é…c,a ſm
                     liue'toyentimputésacou—  aPPeranÜs'   _     _  ’
                                                                                     _P                                    alluſion en eelieu.
                     gagna-ion . P‘Wfl’; fa-  4.4. Et les ayant laiſſez , il S en alla de
                                                                                           .           .                    e Pfl 12.. 7. ó- 69. 2,10.
                      lS  UC  01" nous l  lu-      ñ     -      .  ,     .    .
                      Rice d’î- Dieu, r. eſi-œ rechef, &ptia pour la trOiſieme fOiS,di  56 Mais tout ceci eſt advenu, afin 11514.25.
                                                                                             -                                   ~ la    d
                      toutefois qu’il n’y eût                                    que les Ecritures des Prophetes ſoyent ſÃZflÎÆ‘ ’aux :’,ÎÃJÎOEÎ
                      aucune inoxdimon en fantles meſiiies paroles. . _
                                                                                 accomplies. f Alors '° tous les diſciples dg“Ëoiltïcgïvfîié‘îïg:
                      “gslläcnſbfflſffizcmuî  5 Alors ilVintàſes diſciples, &leur
                      garfaiilterefigfnationâeur‘ic dit, ë‘ Dormez d’oreſenavant, &vous l’abandonnerent, 8c s’enfuïrent.    Perdu-delta.
                                        .
                                 '
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                        l
                       b "      ſ '  ~            .  ñ                 .            57 8 Mais ceux qui avoyent ſaiſi Je-      3:35:21'8‘“
                      ‘LÎLËËËZ&ffpfflîêflî repoſez : VOiCi, l’heure eſt prochaine,& le
                      niſieſiè 8c d’angoi e lui  '  ï     a             '  / I   ſus,l’amenerent “ à Caïphe leſouverain f 7°" 19-13. TF 38.9.
                      ſum… \a Mg… de ſon Fils de lhomrne s en va eſtre hvre es         .            \        .               80_C.laplusgran_dpart:
                                                                                 Sacrificateur , ou les Scribes 8€ les An- carriencôcteanrmvucn:
                      humanité. ſelon laqu’cl- mains ‘7 des mechans.               - eiens eſtoycnt aſſemblez.              l s' “gm“ ’“ “un"
                                                                                                                           °
                                                                                                                                   ~ r
                      le ü 'Emi' M" à w…“  4.6 Levez vous 6’ allons~ voici ce -                                            cour du ſouverain Sacri—
                                                   -
                      nos affections naturelles.          ,          _      ,        58 EtPierre le ſuivit de loin , juſques 5“…"- P°“”°i“1“°“°
                      mms choſes hormis le lui qui me trahit s approche.
                      le ſemblable a nous en  ~  ~   '  ’                     _                           _      _         en fetoitla fin.
                      peche'. ch. 2-1 m_4-1s.  4.7 b Et comme il parlort encore , vor  '² à la cour du ſouverain Sacrificateur: S M‘NH- s;— Luce:
                                                                                                                           11. $4.. Jun rs. 17..
                      auſſr ſa Divinité fuipendit  -  ,             -         .
                      Po…unn…, ſe, influer]- cr , Judas l un des douze , Vint , 8: une  8C                                   gr   aines qu’üsl’cu
                                                                                 8  ï offiCiers, pour VOir quelle en ſerOit la ché; gm’ k …WM
                                                                                        '
                                                                                                                       '
                                                                                                      '
                                                                                                                           rent remierement mené
                                                                '
                      …m cn ſon m, P0…
                      ces de joye 8c de confola- 69  grande troupe avec lui , avec des cf _
                                                                                                                               P I
                                                                                 fin.                                       deCaï hc, can 18.13.
                      lui laiſſer ſouffrir ces hor—                                                 .  .         .           s  O , -  al '
                      ribles 8e incomprehenſi—                                      59 h Orles prmcrpaux Sacrificateurs, ,Ê OËÆÎS’ÃMÎ'ÎMJH.
                      bles tourmens , e uivalens en peſanteur Gt grie’vete' aux tourmens etemels , 8c tels qu’il les de
                      voir loûtenir, pour atisfairepleinement a la juffiœ divine pour les pechés de tous fes e'leiLs.  8: les Anciens, &tout le confeil, cher— ”g'fif f2“; VM_
                       u Jean rz. 27 .  s 5 Car étant le redemteur du corps ë( de l’ame , il devoir auſſi
                      mettre ſon ame en oblation pour le peché , Eſa. ç z. io. ô: ſouffrir en corps & en ame pour nôtre choyent de "- faux teſmoignages contre 6-1:
                                                                                              ’.      .     \               S4 AſTI ne demandant
                      redemtion.  5 6 F. cfl toute tri/h , ou , mſi: de ma :it-’r , c. qu’elle eſt comme enceinte le  Jefus,afin qu ils le miſſent a mort:  que quelque couleur de
                      environne'e d’une tres—profonde &t tres-amere triflei'fe.  57 Ce n'étoit pas qu’il implorât
                      leur ſecours 8: celui de leurs prieres 5 mais il vouloit par cete exhortation les fortifier eux  60 ’5 Et n’en trouvoyent pornt.: 8c E‘ËÎËËÎËZÏËLËË
                      me'mes , fi leur infirmité n‘eût point trop prevalu , 6e auſſi les rendre témoins de ſes ſouf
                                                                                 bien que pluſieurs faux teſmoins fuſſent vî‘àlänæ tle’
                      frances.  s s Comme pour montrer le dernier degré de ſon aneantilfemenr.
                                                                                        .                     .        ,        S  .  i  ri  .
                       x Lur 22.41.  59 c’e'toit un ſouhait naturel de). C. entant qu’homine, fous ce'te
                      grande apprelienfion; non pas pour reſiiſèrce qu’il fçavoit lui étre ordonné , pourquoi il étoit  venus,ils n’en trouverentpomtde propres. precedent par tesparoles
                      venu,& a quoi il ne demandoit que de ſatisfaire z mais en la perplexité où l'infirmité humaine le Mais àlafindeuxfaux teſmoins s’appro— ËË‘QÏCÈL‘ŸŸÎÈÆQË;
                      reduifoit fans peche', il s’abandonne ‘a ces defits ô( a ces velle'ires irnpatfitites, pour ſignaler davan—
                      tage par l’extrcmiré d’un telcombat , l'excellence de l’obe'iſſance qu’il a rendue au Pere pour chere”-  n‘entre-112$‘
                                                                                             n               -  o   o  o     c       S a  ~
                      nous , Heb. 5. 7, s.  y Matt. zo— az, 23.  60 C. cete paſſion fi douloureuſe &ſi
                                                                                    61  Et diſent z u CClUl*C1 adlt, lJe ger; mais ilsaſſn’eſn trou
                      amere , Matt. zo. 2.2..  61 Ou , i’m aille.  z 7mn 6. 3 s.  62. Ail: ſelon l’inclination
                      naturelle de tous les hommes , a eviter & refit'r'r leur ruïne & leur deſhuction , laquelle neant  puis défaire le templedeDieu , 8: le re- ËÎËËËJËÎ Paf:ŸÏLÎEÎ
                      moins je foûmcts en tout ‘a ta ſainte volonte' : Et pourtant en ce ſouhait, ou en cete velleïte’ de
                                                                                       en trois-jours_                     voir juridiquement con—
                      ). C. il n'y a point eû du tout d’inordination ni de peché : Et c’efl comme s’il avoit dit , Non
                                                                                                           .      .        damner, & avec quelque
                      pas comme l'infinnite' naturelle, qui eſi en moi, le voudroit z mais comme la foi 8c l’obeïſſmce
                      le veuteri toi. Car ceci s’entend notoirement de la volonté du Seigneur quant à fa nature hu—  62 1‘ Alors le ſouverain Sacriſicateur apparence de iuſiice.
                      maine , mais non pas de ſavolonté divine , entre leſquelles il y a eu de la diverſité fins peche" ,  '7 ſeleva , 8c lui dit, Ne réponS-tu rien?  É’ïſiîä'fflſz
                      8x non pas de la repugnance ni de l'oppoſition.  63 G. n’aw’i—wm [n'a ainfr‘willer ”me heure Z
                                                                                                     '
                                                                                                                           les aroles de . C. 6: leur
                                                                                                                 _ '
                                                                                                 ’
                                                                                     ’
                       a Gal. 5. 17.  64 C. vôtre volonté cil effectivement bonne , enrant qu’elle procede de  tSLËJPCIÎ-CCÎ que temOignent CCUX Cl contre ſms: Cu u “lavoir Point
                      l’operation du S. Eſprit en zele (k faint deſir , mais elle eſt empeche'e ches vous,ôr contrepeſe'e
                                                                                                                           dit , je pu” defai” re rem.
                      par les infirmités & reſiſtances de vôtre nature lâche & rétive 5 & il y a bien plus de ſoibleſſe en  Ol .
                      vôtre chair que vous ne penſeſis.  6 s Ail: de ſommeil, qui les accabloit tant par la continua        le m ' ‘blu-mi c: rm..
                                                                                    63 1 EtJeſus î î ſe teur. Alors le ſou- {k} &‘Îi n-mi. poi…
                      tion de la Veille , que principalement par la grandeur de leur triRefle.  66 ]. C. leur dit
                      ceci par maniere de reproche & de cenſure , comme ſouvent il ſemble qu’on conſent enfin               parlé du temple materiel
                      quslque choſe a un homme , quand il eſt trop tard , apres que pour neant on a eſſayé de l’en  dejeruſalem , mais du temple de ſon corps , comme il ſe Void Jean a. r9.  i JM” a. r9
                      diſſuader: Et c’cſi comme ſi le Sauveur leur diſoit , Je vous ay convié inutilement aveiller ,  k Marc 14. 60.  s7 Et par ce’te action il ſe témoignoit , peu propre a la charge
                      maintenant dormés ſi vousle pouve's , ou plûtôt reconnoiſles quecen’cfl point le tems pour  d'un bon juge , preooeupé d‘une vehemente paſlion ô: d’un injuſie prejugé contre l’accuſé.
                      dormir; car voici venir des gens qui vous réveilleront bien autrement.  67 G. du Perben”.  l Eflz. 5 z. 7. Man. a7. 1:, 14..  sa Tant pour fereloudreà la patience contre les ca—
                                                                                 lomnics dont on l'accueilloit ,8c fe montrer prêt a ſubir une injuſte condamnation entre les hom
                       68 Comme pour montrer de plus en plus la promtitude de fon obe'iſl'anoe , apres avoirvaincu
                      toutes ſes Mil-étions 8: inclinations humain'es 3c naturelles.  b Marc r4.. 4,3 . Luc zz.  mes, afin de nous faire obtenir une juſtification gratuite devant Dieu, qu’auffi pour les convaincre
                      .11.47. jean r8. 3.  69 MI une com agnie entiere dc ſoldats, &lesſerviteursócofii—  par ſon ſilenoe dc leur fauſſcte’ & iniquité, 8: leur faire ſèntir, que ces aecuiàrions fe détruifoyent
                      tiers des principaux Sacrificateurs &t des Smilies. Voi Jean i s. a.  d'elles-memes, 8c etoycnt ſi mal-fondées, qu’il n’étoit pas beſoin d’y répondre ni de les reſuter.
                                                                                                                    "CTL-Im
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