Page 48 - Héresie du Sabellianisme
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La secte probablement disparu vers le milieu du troisième
               siècle,  et  n'a  jamais  été  nombreuses.  Toutes  nos
               connaissances de celui-ci remonte à Hippolyte. Son

               "Syntagma" (c.205) est résumée dans le Pseudo-Tertullien
               (Praescript., LII) et Philastre, et est développé  par
               Épiphane (Haer., Liv lv.), Son «Petit Labyrinthe" (écrit 139-
               5, cité par Eusèbe,  V, 28) et  son «Philosophumena"
               existent encore, et un fragment «Sur les Melchisédéchiens,
               les Theodotiens et les  Athinganis", publié par Caspari

               (Tidskr. für der Evangel. Luth. Kirke, Ny Raekke, VIII, 3, p.
               307). Mais les Athinganis sont une secte qui apparue plus
               tard,     d'après     le    MELCHISÉDÉCHIENS.           Le
               Monarchianisme  de  Plotin  semble avoir été semblable  à

               celui  des  Theodotiens.  Toutes  les  spéculations  quant  à
               l'origine  des  théories  de Théodote sont fantaisistes. En
               tout cas, il n'a pas encore de relations avec les Ébionites à
               cette époque. Le Alogi a parfois été classés avec les
               Monarchiens.  Lipsius  à son «Épiphane  Quelenkritik»  et
               supposés être encore  philanthropes, en raison de leur

               refus  du Logos, et Épiphane en fait les appels selon
               Théodote une «apopasma de l'Alogi», mais ce n'est qu'une
               supposition, et n'est pas dérivé par lui d'Hippolyte. En fait,
               nous assure-Épiphane (Haer.  51) que les  Alogi (qui est,

               Gaïus  et  son  parti)  étaient  orthodoxes  dans  leur
               christologie, selon la secte extatique des montanistes.



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