Page 41 - Héresie du Sabellianisme
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Hellénique  (probablement  enseigné  par  le  médecin  et
               philosophe Galien).  Bien qu'il y ait  un  certain  désaccord
               sur  la  manière  exacte  de  le  classer,  il  semble  plus

               probable que Paul  de Samosate donna lieu à une forme
               plus avancée de ce  monarchianisme dynamique. Il
               dépersonnalisa  le  Logos  comme  étant  simplement  la
               rationalité inhérente de Dieu, ce qui l'a amené à formuler
               une  doctrine de la homoousia du Logos  et le Père qui a
               nécessairement nié l'existence  personnelle de  la Parole

               avant  son  incarnation.  C'est  pour  cette  raison  que  son
               enseignement sur la fois comme son utilisation du mot
               homoousia ont été condamnés par le synode d'Antioche en
               268.  Toujours  en  travaillant  sur  la  cohérence  de  la

               position  dynamique  monarchienne,  Paul  de  Samosate
               enseigna  que le Saint-Esprit n'était  pas  une entité
               lointaine personnelle, mais simplement une manifestation
               de la grâce du Père.

               Bien d'accord sur la base du monarchianisme dynamique

               à propos de la question fondamentale de limiter le terme
               theos à la  personne  du Père seul, le monarchianisme
               modaliste, aussi connu simplement comme modalisme,
               néanmoins tenta de parler de la pleine divinité du Fils. Les

               premiers Modalistes (deuxième et troisième siècles),
               comme  Noët, Épigones et Praxéas, atteignirent cet
               objectif en identifiant le Fils comme étant le Père lui-
               même.  Ceci  a  mené  à  l'accusation  de  Patripassionisme
               pour  désigner  le  modalisme.  Le  Patripassionisme  est
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