LA DUPLICITÉ DE L'AMOUR CHARNEL DANS L'EXPRESSION DE LA VÉRITÉ
Refonte du document: L'amour de la vérité.
Texte d'Ariel sur la subversion de la vérité par le sentimentalisme religieux.
Par Jean leDuc
Septembre 2021
AIMER SEULEMENT CE QUI EST RÉEL
Le mot amour est clairement un des plus populaires parmi les gens du monde, et aussi parmi les évangéliques du christianisme contrefait moderne. Ce terme est grandement abusé à tous les niveaux de la société moderne, mais surtout au niveau spirituel qui déforme la vérité révélée. Tous reconnaissent que l'amour de la vérité est un attachement à la révélation dans les Saintes-Écritures, et une caractéristique indispensable dans la vie chrétienne, puisque le Seigneur Jésus a dit de Lui-même: «JE SUIS le chemin, la vérité et la vie». Il est souvent dit qu'aimer la vérité c'est d'abord aimer Jésus, et dans le monde évangélique les voies d'un tel amour sont variées et équivoques pour atteindre ce but. L'attachement à Christ et donc à la vérité est ainsi le principe vital qui souffre grandement d'une problématique au niveau de l'interprétation, et pour les sectes évangéliques, il s'agit clairement d'un attachement sentimental plein d'affection ou de tendresse qui réchauffe leur cœur, évidence d'une marche selon la chair et non selon l'Esprit. Cela est largement dû à l'influence de nombreuses femmes qui prennent plus de place et d'autorité, dans ces milieux sectaires de vermines et de parasites. Dans ces milieux de rêveries déplorables, la recherche de ce sentiment de bien-être est pour eux la vérité, et son absence est évidemment le mensonge. Ils marchent ainsi dans la duplicité des illusions de leurs émotions, et qui ne sait que rien n'est plus instable que les émotions. Il n'y a aucune assurance dans une telle démarche, et cela signifie qu'il n'y a aucune foi, car la foi est l'assurance même (Héb. 11:1), et où il n'y a pas de foi il n'y a pas de salut. En d'autres mots, ceux qui marchent par leurs émotions ne connaissent pas la grâce du salut et demeure dans la perdition. Le salut est par la grâce et non par les sentiments ou émotions, autrement nous serions sauvés un jour, perdu l'autre, et sauvé de nouveau le jour suivant. Or aimer Jésus c'est clairement, comme la Bible nous enseigne, un attachement inhérent à tout ce qui est vrai de sa personne et de ses enseignements. Mais ce principe essentiel est déformé et manipulé au sein des nids de vipères évangéliques. Selon eux la Bible nous apprend à marcher dans l'amour, non seulement à faire des études ou écouter des prédications sur l'amour. Mais la grande majorité, si non pas tous, n'ont aucune notion véritable de ce qu'est réellement l'amour et la vérité. Ils marchent seulement selon la conception d'une approximation, issue de leur imagination qui les mène à la perdition. Chez les évangéliques l'amour est un visage à deux faces, une qui regarde vers le monde et l'autre qui regarde vers leur nombril. En d'autres mots, il s'agit d'un narcissisme débridé qu'ils nomment du christianisme, car après tout la Bible n'enseigne-t-elle pas qu'il faut s'aimer soi-même avant d'aimer son prochain? Dans le Grec original le mot «amour» ou «agapao» dont l'étymologie signifie «subir une extrême pression», détient le sens de «renoncement, abnégation, résignation», notion qui incorpore le renoncement de l'Esprit des vivants dans son incarnation pour le rachat de ses élus, ce qui nous indique que l'amour divin est «un sacrifice» et non un sentiment. Tandis que le mot «vérité» désigne ce qui est «absolu» ou «ultime», et rien n'est plus haut que la divinité même de l'Admirable Esprit des vivants. Avoir l'amour de la vérité signifie donc littéralement «être résigné à l'absolu, à ce qui est ultime et suprême», car là seulement réside la certitude. Cet idéal n'est pas réalisable pour l'homme, il nécessite une intervention divine, une révélation directe de la part de l'Esprit des vivants en Jésus-Christ dans sa Parole inspirée, révélation qui est accordée à ses élus seulement. Il ne s'agit donc pas d'un sentiment instable ou émotion changeante, mais d'une déclaration certaine de la Sainte Présence qui vient habiter en nos cœurs, et à laquelle nous sommes résignés en toute humilité pour être dirigés et enseignés dans toutes ses voies. Mais parmi la mouvance évangélique, baptiste, réformée, darbyste, adventiste, messianique, pentecôtiste, charismatique (toutes vagues confondues), et autres vermines de la sorte, il n'y a aucun doute que l'amour de la vérité est un attachement sentimental qui stimule les émotions et qui pousse les gens à ressentir des frissons ou palpitations plaisantes, impressions de sentiments exagérés qui justifient leurs opinions et leurs actions, bonnes ou mauvaises, valorisant ainsi leur libre-choix illusoire et la dignité humaine d'une nature complètement corrompue et esclave de la chair et du péché. Pour eux il s'agit non de l'amour de la vérité ou résignation à la vérité, mais de l'amour de leur vérité, de leurs opinions ou prétentions qu'ils cherchent aveuglement à imposer à tous. En d'autres mots, parmi cette mouvance évangélique infernale, l'amour de la vérité est une décision personnelle issue d'une volonté supposément libre qui dirige le cours sentimental de leur vie. Néanmoins tous n'ont pas la même interprétation sur le sujet, car pour un grand nombre l'amour est avant toutes choses un sentiment bien avant une décision d'aimer. Spécifions que dans l'ambiguïté de l'interprétation évangélique sur l'amour, plusieurs de leurs enseignants affirment qu'il y a une claire distinction entre la décision et les émotions, et en ce sens l'amour même ne serait pas un sentiment mais un principe intellectuel qui l'engendre et stimule les émotions. Quoiqu'il en soit, ces gens décident eux-mêmes d'aimer, car ils s'imaginent être maître de leur destin, la décision ou libre-choix étant le point déterminant dans cette hérésie de l'amour. Un des chefs en file de cette mouvance en Amérique est une femme bien connue, une télévangéliste nommée Joyce Meyer. Voici ce que cette réprouvée dit sur ce sujet: «La marche dans l'amour est composée de plusieurs pas différents, chacun étant une décision à prendre. Il ne faut pas croire que les choses vont se passer automatiquement ! L'amour n'est pas un sentiment, effectivement je n'aime pas les gens en fonction de mes sentiments, mais l'amour est une décision que nous devons prendre. Marchons dans l'amour !». Ce que cette réprouvée enseigne est de la pure perversion, de la prostitution spirituelle très commune dans les bordels évangéliques. Malheureusement le mot «renoncement» a été maladroitement traduit par le mot «amour» dans la majorité des versions de la Bible, ce qui a donné l'opportunité aux sectes dites chrétiennes qu'on nomme des églises, d'abaisser Dieu au niveau de l'homme, c'est à dire qu'elles ont créé Dieu à leur image, faisant du renoncement dont elles n'avaient aucune notion, un sentiment purement humain et charnel qu'elles nomment de l'amour. L'erreur s'est glissée dans le christianisme ecclésiastique à cause que dans l'ancienne culture grecque, le mot qui est désigné comme «amour» en notre langue, porte trois différentes significations: philios désigne l'affection qu'une personne détient pour un autre comme l'amitié, la tendresse, la compassion, etc.. Il s'agit donc en notre langue d'un amour sentimental qui est naturel à l'homme. Nous avons aussi le mot porneos pour décrire l'attraction sexuelle à qui les grecques livraient un culte dans des temples dédiés à la prostitution. Puis finalement nous avons le mot agapaos (agape) qui était utilisé pour décrire les ferveurs mystiques aux dieux ou héros du peuple, et vénérés dans les religions à mystères. Ce terme désignait le dévouement à leurs êtres divins, leurs dieux et déesses, signifiant la détermination d'une personne d'accepter l'inévitable de leur destin dans son service envers son dieu ou son maître, ou à une situation quelconque. Il s'agissait en effet d'une attitude de renoncement et non d'affection ou amour sentimental. Le terme agapao a été choisi par les apôtres qui ont rédigés les écrits du Nouveau Testament en Grec, pour décrire le renoncement dans l'essence de l'existence du Souverain Suprême qui, au temps désigné, renonça aussi à Lui-même en prenant un corps de chair dans le sein d'une vierge, afin de s'offrir en sacrifice expiatoire sur la croix pour le rachat de ses élus. Mais le mot agapao perdit son sens de renoncement avec les traductions latines de la Bible, car le Latin détenait une différente mentalité que le Grec, et attribua injustement à ce terme le sens de philios d'un amour sentimental. On en voit les répercussions dans les doctrines du catholicisme qui surgirent au 4e siècle, et par après dans toutes les générations jusqu'à la nôtre. Même les grands réformateurs du 16e siècle, qui avaient des copies du Texte Grec original, ont gardé cette fausse notion, tellement elle était ancrée dans leur conscience. Ainsi de nos jours on ne parle que de l'amour de Dieu au niveau sentimental qui stimule les émotions, et non plus du renoncement qui implique le sacrifice de soi en faveur d'un autre.
Ce que nous retrouvons parmi les sectes évangéliques est loin d'être «l'amour de Dieu», il s'agit plutôt d'affection et de complaisance, c'est à dire d'un amour charnel ou amour mondain envers les hommes et les choses de ce monde. Tel est le sens du mot «affection» dans le Grec ou «philios», terme qui désigne «amitié, attachement, complaisance, dévotion, dévouement, émotion, inclination, intérêt, passion, penchant, respect, et tendresse». Avoir des émotions est chose normale pour tous, chrétien comme non chrétien, mais cela n'est pas l'amour de Dieu au sens propre du terme «agape, agapao» comme nous avons vu dans le paragraphe précédent. En d'autres mots, l'affection de l'être humain est purement charnelle, elle n'est pas spirituelle et ne peut prétendre à l'être. L'affection dégage des sentiments mondains tandis que l'amour de Dieu est une disposition de renoncement ou de résignation, c'est à dire «un sacrifice» qui peut être désigné aussi comme étant «la résignation sacrificielle» de Dieu pour le rachat de ses élus seuls. Bibliquement parlant, une telle disposition est impossible à l'homme, car personne ne peut se racheter lui-même, aucun ne peut expier ses propres péchés, l'expiation se trouve uniquement dans le sacrifice de la croix. Cette disposition est en Christ et dans le cœur de tous les chrétiens authentiques, en qui l'Esprit de la Sainte Présence de Christ fait sa demeure. Marcher dans le renoncement de Dieu ou plus particulièrement dans la résignation à la vérité, généralement désigné comme l'amour de la vérité, est de se déplacer et progresser dans une telle disposition de confiance en Christ pour toutes choses dans notre vie, déplacement et progression qui ne vient pas de la chair ni de nos efforts, mais de l'Esprit de Christ qui nous pousse à agir dans l'humilité de la résignation, afin d'être dirigé et instruit de Lui pour notre formation à la gloire de son nom. Spécifions que l'expression «amour de Dieu» signifie proprement «renoncement de l'Esprit des vivants», et indique le principe divin de «l'abnégation», c'est à dire de se sacrifier soi-même pour une cause précise afin d'atteindre un but déterminé, comme nous l'indique si bonnement l'apôtre Paul dans ces merveilleux passages de son Épître aux Philippiens:
La notion de l'amour chez les évangéliques est entièrement contraire à la grâce de Dieu, elle se rapporte plutôt à la loi et aux commandements ou décalogue, que ceux sous l'Ancienne Alliance étaient dans l'obligation d'observer sous peine de mort. Nombreux sont ceux parmi les évangéliques et surtout parmi les pentecôtistes et les charismatiques, qui cherchent à se sanctifier eux-mêmes par l'observance des commandements de la loi, afin de se justifier devant Dieu et les hommes. Cette hérésie abominable est plus répandue que nous puissions nous imaginer, ce poison a infecté tous les niveaux du christianisme contrefait moderne, au point même que plusieurs maudissent littéralement la grâce souveraine et inconditionnelle qu'ils nomment l'hypergrâce (grâce suprême), pour adopter une grâce conditionnelle à leurs caprices qui valorise leurs efforts et la dignité humaine qu'on peut nommer l'hypogrâce (grâce soumise) et qui est en réalité une disgrâce. L'obéissance devient ainsi, pour ces réprouvés, une fonction vitale du salut et de sa préservation par la persévérance d'efforts ou de choix personnels, qui le maintiendrait actif dans la vie du croyant insensé qui s'y applique. La subtilité de cette fausse doctrine est presque inimaginable, elle est complètement paradoxale et insupportable, elle est une des pires abominations jamais conçue par l'homme, et on peut la qualifier précisément comme étant une doctrine de rébellion, tellement elle est subversive et exprimée habilement dans une duplicité inouïe pour renverser la grâce de Christ. Leur point de vue général nous est présenté comme tel: «Nous montrons notre amour pour Dieu en observant ses commandements et en appliquant ses principes. Ce n'est pas difficile. Loin d'être pesantes, les lois de Dieu ont pour but de nous aider à mener une vie agréable, réussie et heureuse (Isaïe 48:17, 18). En vivant en conformité avec les conseils de notre Père céleste, nous lui témoignons notre profonde reconnaissance pour tout ce qu'il a fait en notre faveur. Malheureusement, dans le monde actuel, trop peu éprouvent cette reconnaissance. Nous ne voulons pas être indifférents, comme certaines personnes qui vivaient du temps où Jésus était sur la terre. Il a guéri dix lépreux, mais un seul est revenu sur ses pas pour le remercier (Luc 17:12-17). C'est à celui-là, assurément, que nous voulons ressembler, et non aux neuf ingrats !». Un autre évangélique déclare: «Jésus nous fait comprendre que l'important c'est de faire les choses par amour, dans la pratique des commandements, des enseignements ou des instructions du Seigneur. Nous lui obéissons, nous cherchons à faire sa volonté et ce qui lui est agréable, parce que nous l'aimons.» Plusieurs nous disent qu'il faut servir Christ avec affection, mais la Parole de Dieu nous dit le contraire, le seul moyen de servir Dieu et de lui plaire est par la foi et uniquement par la foi (Jean 6:28,29; Héb. 11:6). Un autre évangélique écrit: «Le plus grand commandement: MAÎTRE, quel est le plus grand commandement de la loi ? JÉSUS lui répondit: Tu aimeras LE SEIGNEUR, Ton DIEU, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C'est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second qui lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Matthieu 22:36-39. Aimer LE SEIGNEUR, Son DIEU: C'est obéir à Ses Commandements. Car l'amour de DIEU consiste à garder Ses Commandements, dit 1 Jean 5:3, en rajoutant ceci: Et Ses Commandements ne sont pas pénibles. C'est de l'obéissance à LA PAROLE DE DIEU que dépend le bonheur du chrétien. On ne peut pas prétendre aimer LE SEIGNEUR sans consentir à se soumettre à Sa Volonté. Aimez L'ÉTERNEL, vous qui avez de la piété ! L'ÉTERNEL garde Ses Fidèles, ordonne Psaume 31:24. Quiconque aime L'ÉTERNEL sera délivré de tout mal, selon le Psaume 91:14 qui déclare: "Puisqu'il M'aime, JE le délivrerai; JE le protégerai puisqu'il connaît MON NOM". Aimer LE DIEU D'AMOUR est un signe de reconnaissance envers CELUI qui nous a aimés LE PREMIER, révèle 1 Jean 4:19. C'est pour cela qu'il est écrit: "Tu aimeras LE SEIGNEUR, Ton DIEU, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée, et ton prochain comme toi-même" rappelle Luc 10:27. En effet, quiconque aime Son PÈRE CÉLESTE est un enfant béni. Aimer son prochain: Cela consiste à lui faire ce que tu voudrais qu'il te fasse; comme dit LE SEIGNEUR JÉSUS dans Matthieu 7:12 : Tout ce que voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux, car c'est la loi et les prophètes. Qui n'aimerait pas qu'on lui fasse du bien ? Ou bien qu'on lui témoigne de l'affection ? Lorsqu'on fait le bien, ce bienfait revient vers soi. Car l'âme bienfaisante sera rassasiée, et celui qui arrose sera lui-même arrosé, promet Proverbes 11:25. Suivons l'exemple du Samaritain qui fut ému de compassion et secourut un Juif en détresse, nonobstant le conflit qui existait entre leurs deux peuples, raconte Luc 10:33-37. C'est la mise en pratique du commandement de l'amour envers DIEU et notre prochain qui préserve des conflits dans les assemblées, les familles, et la société.». L'œil vigilant et attentif aura remarqué que la position des évangéliques sur l'amour, comme nous venons de voir plus haut, est basée sur un mélange de passages qui proviennent autant de l'Ancien que du Nouveau Testament, et reliés ensemble pour ériger leur doctrine prétentieuse et répugnante à propos de l'amour de Dieu, de l'amour de la vérité, de l'amour du prochain, et même de l'amour du monde qui est une abomination à Dieu. On voit clairement que leur doctrine est élaborée complètement sur les principes de la loi et non de la grâce. Un des passages principaux qu'ils utilisent pour ériger leur doctrine de disgrâce nous dit clairement que l'amour de Dieu est «le plus grand commandement DE LA LOI», et non de la grâce, et cela est confirmé par le Seigneur Jésus lui-même (Mat. 22:36) qui ne peut mentir comme les évangéliques le font en déformant la vérité. Personne, absolument personne ne peut aimer Dieu de la façon que le Seigneur Jésus le décrit et encore moins son prochain. Les évangéliques ne peuvent même pas obéir parfaitement à la loi de leurs pays, encore moins à la loi de Dieu qui est beaucoup plus rigide et sans pitié. Aucun homme ne peut observer la loi et s'en justifier, la loi a été donné pour manifester le péché et pour nous diriger à Christ afin d'être délivré de son fardeau et de sa condamnation, et non pour continuer à l'observer en prétendant être sous la grâce. Il est clair que les évangéliques n'ont jamais appris à différencier entre la loi et la grâce, ils mettent tout dans un même panier et les gens y pigent comme il leur semble bon. Pourquoi une telle hérésie, pourquoi un tel égarement, pourquoi une telle confusion dans les pensées des évangéliques ? Pourquoi persistent-ils à déformer la vérité sur ce sujet essentiel au salut des âmes ? La réponse est pourtant simple, mais ils se refusent de la voir à cause de leur orgueil et de leur arrogance, qui les maintient captifs dans les chaînes de l'ignorance. La cause est que leur théologie est arminienne, et cela ils ne peuvent même pas le comprendre. Expliquons le d'une façon plus simple à cause de leur cerveaux hébétés, car ils sont tous spirituellement constipés, du fait qu'ils ont tous reçu une puissance d'égarement dans le décret de réprobation. Bref, ils sont tous des disciples du libre-choix, tous se basent sur les principes d'une décision personnelle pour contribuer à leur salut et leur sanctification, par les efforts du «choix de la foi» ou «choix de croire» d'une volonté supposément libre, mais qui est en réalité esclave de la chair et du péché. Ils ne peuvent réaliser que le concept du choix est charnel et mondain. Tel est l'enseignement de l'arminianisme, que les évangéliques en comprennent le sens ou non en change absolument rien. Ils sont les disciples captifs d'une théologie infernale qui les mêmes directement en enfer, et cela Bible à la main tout en chantant des cantiques de louanges, scénario presque inimaginable mais toutefois bien réel. Cette doctrine de rébellion n'est pas nouvelle, elle est en effet la base de la chute dans le Jardin d'Éden, son nom a peut-être changé à travers l'histoire, mais son principe demeure le même. L'illusion du libre choix est ce qui engendre l'hérésie de l'amour tellement populaire parmi les sectes évangéliques du christianisme moderne contrefait. Loin de démissionner de leurs faux raisonnements, ils persistent davantage dans leurs prétentions égoïstes, tout en affichant leurs délires psychotiques comme étant la vérité même. Leur prétention à l'amour de Dieu ne peut faire autre que de les pousser inévitablement dans des voies d'obéissances aux commandements de la loi, qu'aucun ne peut observer, dans une folle tentative de justifier leurs transgressions de la loi qu'ils prétendent observer, sans réaliser que cela est une chose impossible. Mais par obéissance, beaucoup s'imaginent juste et déclarent dans leur prière aimer Dieu plus que tout, ils ne savent pas ce qu'ils disent, c'est leurs émotions qui parlent. Ils s'imaginent plaire à Dieu lorsqu'en réalité ils s'opposent à lui et en sont des ennemis, triste situation des réprouvés qui refusent de voir les conséquences de leur faux amour purement charnel.
Vérité et mensonge sont sans aucun doute opposés l'un à l'autre, il est entièrement impossible que les deux puissent coexister ensemble. Une personne est soit dans la vérité ou dans le mensonge, il n'y a pas de zone grise dans ce domaine. La résignation à la vérité est forcément la haine de la duplicité, on peut la décrire comme étant une soif qui nous pousse à chercher ce qui est derrière les apparences, à découvrir le trésor de la grâce. Agénor de Gasparin, théologien calviniste de l'église réformée, écrivait ceci: «Il est beau, il est bon, ce besoin de vérité ! Par lui on cherche, et par lui on trouve. Elle est idéale, cette soif du vrai ! Par elle l'homme s'élève au-dessus des bas-fonds; par elle, il refuse de se tromper lui-même; par elle, il aspire à ce ciel dont le bonheur se compose en partie de la possession de la vérité; par elle, il entrera, tôt ou tard, en contact avec Celui qui se nomme « le Dieu de vérité ». L'apôtre Paul met en garde contre tout ce qui peut nous influencer à rejeter cette soif de la vérité. Se fermer à la vérité, c'est se fermer à la vie et à tout espoir de salut. Résistons donc aux marchands d'illusions et armons-nous de courage pour découvrir la vérité, même lorsqu'elle ne nous flatte pas. La vérité ne blesse pas le cœur de l'homme sincère, mais elle tranche dans le vif pour le délivrer du mensonge. Ouvrons-nous à l'amour de la vérité». De beaux sentiments, mais malheureusement l'église réformée moderne s'est prostituée à l'idolâtrie du culte de l'intelligence, se croyant sages ils sont devenus fous et ont substitué ce qu'ils nomment l'amour de la vérité pour l'adoration de leurs opinions, suivant ainsi le courant de l'apostasie mondiale évangélique. Nous comprenons davantage pourquoi l'église réformée refuse obstinément de se réformer, car son orgueil démesuré l'aveugle à la vérité. Sa flamme a été éteinte, et elle est devenue une église morte qui ne produit que de la corruption, et qui maintient encore l'hérésie abominable de trois personnes en Dieu (voir: Aberrations trinitaires du dieu à trois faces). Situation vraiment triste lorsque nous considérons qu'à son origine, elle maintenait fortement les doctrines de la grâce qu'elle a tellement diluées, qu'elles demeurent maintenant sans force dans ces milieux idolâtres. Puis elle s'attaque honteusement aux hyper-calvinistes ou christophiliens qui seuls les maintiennent rigoureusement et sans fléchir en ces derniers temps. C'est l'envers de la médaille, d'une église anciennement persécutée, elle est devenue maintenant une église persécutrice contre ceux qui sont possédés par la Vérité de Christ en nous, l'anticipation de la gloire. Signalons que les Christophiliens ne sont pas une église mondaine ou organisation ecclésiastique charnelle; mais une aspiration de la Sainte Présence de Christ en ses élus véritables, qui les anime et les appelle à renaître en une nouvelle vie ou existence éternelle. Du fait qu'ils sont associés à Christ dans une communion intrinsèque indissociable, ils sont nommés les amis de Christ (Jean 15: 15). Il importe aussi de mentionner que la Christologie des «amis de Christ» ou «Christophiliens» est extrêmement radicale et donc complètement centrée sur la Souveraineté absolue de Dieu ou Royauté de Christ qui règne présentement en ses élus seuls. Sa base est un Hyper-calvinisme intransigeant qui ne fait aucune concession à la duplicité du christianisme contrefait moderne. L'hyper-calviniste est fondamentaliste en ce qui concerne les doctrines essentielles de la grâce, fondement de la foi réelle, à savoir Christ en nous qui nous instruit dans la vérité des Saintes-Écritures. Il est inflexible et radical dans sa défensive de la vérité révélée. Spécifions qu'il s'agit d'un radicalisme en faveur de la vérité, et non des institutions ecclésiales charnelles et mondaines frauduleuses qui se disent chrétiennes. La vérité a toujours été tranchante, ferme, invariable, immuable, intransigeante, et ceux qui la proclament ne peuvent se permettre de plier le genou et être accommodant envers les imposteurs. Une vérité qui est complaisante n'est pas la vérité, mais de la duplicité et de la présomption. Évidemment qu'une telle attitude n'est pas appréciée par les tièdes, pour qui la foi est regardée comme étant un sentiment doux et agréable à tous. Ceux qui maintiennent cette position tépide et répugnante, qui est celle des évangéliques modernes, que nous voyons surtout chez les baptistes, les pentecôtistes et les charismatiques, seront vomis de la bouche du Seigneur: «Je connais tes œuvres; je sais que tu n'es ni froid ni bouillant. Oh ! si tu étais froid ou bouillant ! Ainsi, parce que tu es tiède, ni froid, ni bouillant, je te vomirai de ma bouche.» (Apoc. 3:15,16). Or l'Hyper-calvinisme est l'essence même de la réforme spirituelle des derniers temps, et contrairement à ce que disent ses antagonistes qui répandent la désinformation à son sujet, il est purement et solidement biblique. L'Hyper-calvinisme est la position officielle des Christophiliens ou Amis de Christ, et ses défenseurs sont inflexibles et inébranlables. La Vérité divine engendre le renoncement (amour) divin comme principe perpétuel et éternel, ce qui est l'essence même de son existence ou vie éternelle. La lumière de la Vérité est évoquée par une totale honnêteté, humilité et une soumission sans compromis, pour devenir un avec elle par la puissance de la Sainte Présence de Christ qui habite en nous, selon le bon plaisir de sa volonté et la gloire de son Nom, écrit sur notre cœur. Ce n'est qu'en se résignant à la Vérité que le renoncement (amour) divin peut être vécu. Le renoncement (amour) divin est inconditionnel, ce qui signifie qu'il est toujours «renoncement» (amour), il ne cesse jamais d'être abnégation et privation (amour), et ne peut être rien d'autre qu'abnégation (amour). Cependant, un tel détachement (amour), une telle démission (amour) de la raison, ne peut être connu que si on vit dans la Vérité, dans Celui qui est l'Absolu et le Suprême, et cela n'est possible que par la puissance de la Sainte Présence de Christ en nous, qui l'a déterminé ainsi de toute éternité dans son décret d'élection envers ses élus seuls. Le reste en sont exclus dans le décret de réprobation pour leur perdition éternelle. Le renoncement de l'Esprit des vivants, nommé amour de Dieu, ne peut demeurer dans un temple profane plein de non-Vérité et animé par des idées bruyantes, orgueilleuses, égocentriques et sentimentales, poussées par un esprit d'indépendance qui se veut maître de son propre destin par son choix de croire. Dans un tel vacarme et parmi tant de distractions, les murmures de la résignation (amour) ne peuvent être ni entendus, ni pris en compte. La résignation (amour) qui est regardée faussement par les évangéliques comme étant douce, tendre et réconfortante, ne peut s'installer que dans un temple humain où toutes les ombres ont été percées à jour et dissipées par l'Épée de la Vérité; ce temple a ainsi été lavé du mental orgueilleux et du cœur craintif par le sang de Christ qui vient en faire sa demeure. La lumière de la Vérité disperse l'encombrement des pensées charnelles et libère le mental des idées égotiques, des croyances séparatives ou sectaires, et des opinions conceptuelles, qui ne sont au mieux que des déformations ou approximations de la Vérité. La Vérité réduit au silence la langue bien pendue de l'ego, créant ainsi l'espace nécessaire qui permet au renoncement divin d'être entendues par le cœur qui demeure dans le calme et l'assurance de la Sainte Présence de Christ en nous. La Vérité purifie le cœur et l'esprit, elle rétablit ainsi la véritable vision ou perception qui s'empare de notre raison, et nous permet de faire l'expérience du rayonnement de l'abnégation dans le sacrifice de Christ. Elle vide le moi de tout ce qui est faux et crée en nous un sanctuaire, dans lequel le renoncement de l'Esprit des vivants peut alors demeurer en notre lieu secret pour communier avec nous, comme notre Ami le plus intime. Quand le cœur et l'esprit sont unis et ont appris à simplement se résigner à la Vérité pour elle-même, dans sa propre lumière, sans essayer d'ajouter ou d'enlever quoi que ce soit à la Nature déjà parfaite de la Vérité, alors le sacrifice de Christ rayonne en toute plénitude, et nous relève par la puissance de sa résurrection en vue de notre exaltation et glorification éternelle d'une nouvelle existence sans fin. Mais concernant les réprouvés qui demeures dans les ténèbres de l'ignorance, le Seigneur Jésus, notre Admirable Souverain Suprême, a dit: «Et la cause de cette condamnation, c'est que la lumière de ce raisonnement est venue dans cette disposition, et que les hommes préfèrent les ténèbres de l'ignorance plutôt que la lumière de ce raisonnement, parce que leurs agissements sont grandement déréglés. Car quiconque agit en dérèglement hait la lumière de ce raisonnement, et ne vient point à la lumière de cette observation, de peur que ses agissements ne soient rejetés. Mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière de ce raisonnement, afin que ses agissements soient manifestés, parce qu'ils sont produits par L'ESPRIT DES VIVANTS.» (Jean 3:19-21; Bible de Machaira 2016). Les évangéliques n'aiment pas la Lumière de la Vérité, car elle révèle ce qu'il y a de mauvais et faux en eux; ils aiment l'obscurité car elle couvre leurs nombreuses duplicités, et de cette façon ils peuvent plus facilement déformer la vérité afin de manipuler plus aisément les cancres et les crédules. La lumière de la Vérité révèle en effet la tyrannie des ténèbres, les expulsant hors de leur cachette, comme nous voyons de nos jours avec les magouilles du coronavirus, qui aveuglent les réprouvés mais non les élus véritables. La Vérité expose tout le faux qui a été propagé durant d'innombrables générations sur la terre, pour tromper une humanité crédule face à un christianisme contrefait qui séduit de grandes multitudes, et de politiciens crapuleux qui cherchent à dominer sur nous. La Vérité révèle tout et, dans les temps de crise, son Épée est enfoncée dans le cœur du monde par la Volonté divine, afin d'ouvrir le chemin à la résignation pour les élus de l'Admirable Esprit des vivants.
AIMER SEULEMENT CE QUI EST RÉEL Aujourd'hui beaucoup de supposés chrétiens, partout dans le monde, croient que l'amour inconditionnel signifie: tout respecter et tout tolérer (voir: Le poison subtil de la tolérance). Alors ils pensent qu'ils sont aimants quand ils aiment le moi de la personnalité, particulièrement des pasteurs et de leurs entreprises subversives de duplicités. Spécifions qu'en réalité l'amour sentimental qu'ils professent, n'est pas inconditionnel mais conditionnel à leurs efforts, obéissance, ou persévérance, comme nous l'avons déjà mentionné. Cependant même si Dieu serait amour dans le sens sentimental qu'ils le comprennent, ce qui serait contre l'essence même de son existence, la vérité est que «Dieu ne respecte pas les personnalités», il dédaigne l'imposture et il détourne sa face des réprouvés, il hait les ouvriers d'iniquité et fera périr tous ceux qui profèrent le mensonge (Psaumes 5:5,6). Donc, la Vérité ne valide pas le moi de la personnalité, puisque tous sont pécheurs et privés de la gloire de Dieu (Romains 3:23). La Vérité sait que l'idée d'un moi séparé ou indépendant est une illusion, et qu'attribuer de la substance à ce moi est un leurre (artifice spécieux dont l'apparence séduisante est destinée à tromper). Comprenons ici, dans le contexte que nous étudions, que ce qui est réel n'est pas l'aspect physique ou matériel des choses, mais la nature spirituelle de la Vérité comme étant la manifestation concrète de la résignation comme principe de renoncement, qui doit être démontré dans la démarche chrétienne par ceux qui sont résignés à la révélation de la Vérité par la puissance de la Sainte Présence de Christ qui les habite, les dirige et les instruit. La Vérité et le renoncement (amour) ne voient que ce qui est réel dans le sens de cette révélation qui leur donne la certitude de la présence de Christ en eux. La Vérité et la résignation (amour) n'accordent aucune considération à ce qui n'est qu'une illusion, prétention ou opinion. Ainsi, le renoncement (amour) ne peut pas se résigner (aimer) au moi illusoire de la personnalité; le renoncement (amour) ne peut se résigner (aimer) qu'à ce qui est Vrai et certain, parce ce que c'est la réalité de la révélation de Christ en nous, et le mensonge ou duplicité n'habite pas en Christ, tout en lui n'est que certitude (2 Corinthiens 1:19). Les évangéliques, baptistes, réformés, darbystes, pentecôtistes, et charismatiques, pour qui les sentiments sont empreints d'un amour sentimental ou résignation conditionnel, personnel ou intéressé – amour qu'ils ont déterminés comme étant dogmatique et réactif pour tous et chacun – exprime un faux ou pseudo amour. C'est un pseudo amour parce qu'il ne résonne pas dans la Vérité de la révélation de Christ en son renoncement sur la croix. Ce genre d'amour sentimental est passager et ne dure que jusqu'à ce que, la fausseté qui le maintient, est remise en question et exposée à la lumière de la Vérité. Quand elle se sent menacée, l'attirance artificielle de cet amour se transforme rapidement en disgrâce, traits de jalousie, arrogance, intimidations, possessivité, suspicion, méfiance, haine, et agression. Nous en avons amplement de preuves avec la secte exécrable de la sorcière de la Vigerie, Michelle d'Astier, qui est de la troisième vague charismatique; et avec le nègre blanc Christian Becquet, démon réel et gourou malicieux de la secte messianique au Cameroun; les deux étant originalement convertis dans une église baptiste charismatique. Étrange n'est-ce pas que ces deux énergumènes proviennent de la même source pour s'attaquer à la vérité? Car ils ne peuvent tolérer d'être exposés pour ce qu'ils sont, des prétentieux arrogants et malfaisants, des imposteurs qui déforment la vérité à leur guise afin d'obtenir une reconnaissance mondaine pour leur faux ministère, et afin qu'ils puissent se glorifier sur le dos des crédules qui ne demandent pas mieux que de croire en leurs fabulations et leurs balivernes puériles, car ils ne sont pas résignés à la vérité pour être sauvés (2 Thessaloniciens 2:10-12). En cette ère de culture de l'intellect, un grand nombre de prétendus chrétiens sont très occupés par leurs propres versions de la Vérité, mais ceci est le plus grand de tous les leurres, car il n'y a qu'une seule Vérité, qui est la Vérité de Dieu ou Vérité divine de l'Admirable Esprit des vivants. En d'autres mots, il n'y a qu'une seule notion absolue et suprême, celle qui vient de la Sainte Présence de Christ en ses élus. La Vérité n'est ni connaissance, ni sagacité, et pourtant la lumière de la Vérité accorde Sagesse à l'homme qui, dans ses manières d'être, se conforme à elle. La Vérité n'accorde aucune valeur aux croyances et aux opinions. Elle ne se préoccupe pas de tel ou tel point de vue, de telle ou telle idée, qui ne sont que projections d'un esprit ignorant et prétentieux. Toutes les notions conçues par soi-même, provenant de perceptions ignorantes, ne sont pas du tout reconnues par la Vérité, car elles n'ont pas de fondement dans la réalité révélée en Jésus-Christ. La Vérité ne reconnaît que sa propre nature: « ce qui est divinement réel dans l'absolue de son existence. » Aucune mesure d'actions porteuses d'espoir, de paroles étudiées et d'agissements «d'amour et de lumière» ou de «paix sur la Terre» qui n'est pas ancrée dans une authentique réalisation spirituelle de la révélation en Christ, ne peut ouvrir la voie vers la vraie résignation (amour) et la paix éternelle issues de la certitude de cette révélation glorieuse. Au mieux, de telles notions peuvent inspirer les gens à chercher la réalité dans des concepts philosophiques ou théologiques, mais ce n'est que la pure Vérité de la révélation de Christ elle-même qui puisse guérir les pécheurs appelés à la renaissance dans le sacrifice de la croix; rien d'autre qu'Elle ne peut transformer ces cœurs enténébrés pour qu'ils deviennent des fils de la lumière qui habitent dans la lumière véritable de la révélation suprême dans l'humilité du renoncement absolue, car telles sont les paroles de Jésus: «Car quiconque s'élève sera abaissé, et quiconque s'abaisse sera élevé» (Luc 14:11); «Mon instruction, c'est que vous vous sacrifiez les uns pour les autres, comme je m'ai sacrifié pour vous. Nul n'a un plus grand dépouillement (renoncement) que celui qui donne sa vie pour ses amis.» (Jean 15:12,13; Bible Machaira 2016). Le renoncement ou sacrifice arrive toujours derrière l'Épée de la Vérité, parce que les sectes évangéliques sont devenues excessivement induite en erreur, leur conscience étant obscurcie par une fausse identification au Corps de Christ. La résignation à l'absolue ou résignation à la vérité, ne peut pas pénétrer dans le cœur des évangéliques tant que leur cœur résonne dans les émotions d'une densité de fantasmes créés par eux-mêmes, et surtout du fait qu'ils ont été déterminés à cela dans le décret de réprobation. La chrétienté est devenue si polluée, ténébreuse et chaotique de par les chimères et l'ignorance de prétendus chrétiens, que relativement peu de gens peuvent voir ou entendre le murmure délicat du chant éternel de la résignation en Christ qui résonne dans la Vérité. Il est pour ainsi dire inexistant pour la conscience endormie des évangéliques avec toutes ses sectes mystiques et extatiques qui s'extasient devant les délires d'une conscience déréglée. Ainsi la Vérité doit nettoyer et remettre de l'ordre sur le chemin pour le retour ou renaissance de l'abnégation dans le cœur des gens qui se disent chrétiens, ce qui est possible seulement s'ils reçoivent l'appel irrésistible de la grâce, selon le décret d'élection. La Vérité doit préparer un champ fertile dans la chrétienté pour que le renoncement divin puisse de nouveau s'épanouir dans le cœur de ceux qui sont appelés à la grâce depuis avant la fondation du monde. La formidable puissance de la Vérité, c'est à dire de l'essence absolue et suprême de la réelle révélation de Christ, mettra à genoux tout ce qui est faux en ces derniers jours de préparations pour l'apparition finale de la gloire éternelle de l'Admirable Esprit des vivants, afin d'exalter la résignation de Christ et de ses élus sur le trône éternel de la majesté divine.
Ceux qui aiment la Vérité, c'est à dire ceux qui sont résignés à l'absolue de la révélation, et qui sont donc consacrés à servir la Vérité sans compromis ou préoccupation personnelle, se réjouiront grandement de l'éclatement et de la dissolution des principes ténébreux d'un christianisme contrefait, de même que de tous ses mensonges et prétentions. L'apparition finale de la Vérité au dernier jour peut être appelée le Grand Jour de Purification, car c'est précisément ce qui va se passer sur le plan mondial. Une fois que les prolongements tordus des chimères de l'homme seront tranchés par l'Épée de la Justice et jetés dans le Feu, les élus véritables, comme des vases précieux, pourront être remplis à déborder du renoncement de l'Esprit des vivants dans la lumière éblouissante d'une alliance éternelle et céleste. La Vérité est donc le Grand Rédempteur ou Libérateur de tous les élus depuis le début jusqu'à la fin des temps. Sa lumière glorieuse va bientôt nous libérer de l'ombre noire sous laquelle elle a lutté tout au long des âges, pour respirer spirituellement l'essence même de l'Esprit des vivants, et nous serons tous élevés ou exaltés dans un état sublime de joie et de liberté sans fin. Mais beaucoup de supposés chrétiens et de prétendus pasteurs aujourd'hui, craignent encore la manifestation finale de la Vérité. Ceux qui aiment l'obscurité, craignent l'Épée de gloire parce que la lumière de la Vérité qui approche, présage la fin d'un monde corrompu dans lequel ils prospèrent égoïstement, et que la manifestation finale de la Vérité signifie le commencement d'un nouveau monde où la justice et l'équité régneront éternellement. Il ne s'agit donc pas d'un royaume chimérique et temporaire de mille ans sur la terre, comme l'enseignent les imposteurs, mais d'un royaume céleste et sans fin, dans une nouvelle existence glorieuse de merveilles en merveilles. Le Seigneur Jésus nous dit clairement «Mon royaume n'est pas de ce monde» (Jean 18:36), c'est à dire que sa Souveraineté ou Royauté n'est pas de cette disposition charnelle et mondaine, elle est spirituelle, céleste, et éternelle. Mais les évangéliques veulent absolument un royaume terrestre et temporaire, et pour établir leur perversion de la vérité qu'ils déforment à leur guise avec un millénarisme chimérique, ils ont inventés toutes sortes de notions plus absurdes l'une que l'autre, érigeant le tout dans une complexité inouïe de visions utopiques irréalisables qui en séduit de grands nombres, ne pouvant saisir, à cause de leur esprit orgueilleux et égoïste, la pleine vérité des paroles du Seigneur Jésus qu'ils contredisent honteusement. Dans la confusion de leurs de leurs vaines imaginations, nous retrouvons les fausses doctrines suivantes: l'enlèvement secret de l'Église; deux retours de Jésus, un à l'enlèvement et l'autre après une période de sept ans, tandis que pour d'autres il s'agit d'une période de trois ans et demi; un Antichrist politicien qui dominera sur le monde et persécutera les chrétiens; la reconstruction du temple à Jérusalem; le rétablissement de la nation d'Israël comme peuple de Dieu; le rétablissement de la sacrificature lévitique et des sacrifices; la possibilité d'être sauvé après le retour de Jésus; deux résurrections des morts, une à l'enlèvement et l'autre à la fin du mille ans; une guerre littérale avec Jésus et ses anges contre les puissances et les armées des nations; et nombreuses autres insanités de la sorte que les réprouvés gobent comme des friandises. La Vérité apportera en dernier lieu la fin de l'orgueil, de l'égoïsme, de l'indépendance, de la cupidité, de toutes les chimères et de l'égotisme, et la fin du paradigme victime/agresseur, devenu une réalité habituelle pour la majorité des gens aujourd'hui dans le christianisme contrefait moderne. Une transformation prodigieuse se produira en un clin d'œil, lorsque la Vérité surgira du cœur des élus pour les assembler en un seul Corps et tout œil le verra. La lumière qui en jaillira sera tellement grande et tellement puissante qu'elle remplira l'univers au complet, les ténèbres ne pourront point résister et tout ce qui existe, tant des mondes que des étoiles, du règne animal que du règne végétal, et toute la race humaine seront anéanties dans un embrasement effroyable pour faire place au monde nouveau d'une nouvelle race céleste et éternelle. En tant qu'élus, nous nous y retrouverons tous, mais les exclus ou réprouvés périront tous dans le feu dévorant de notre Dieu Souverain, le Seigneur Jésus, l'Admirable Esprit des vivants à qui appartient toute puissance et toute gloire. Malgré cela la défiance évangélique persiste dans sa rébellion et refuse tout changement. C'est toujours le cas dans un monde enténébrée et dysfonctionnelle que la Vérité revient d'abord pour extraire les racines pourries des anomalies erronées qui ont propagé erreur et vice dans le sol profane de l'égoïsme. Au moment de la fin – le Grand Jour de Purification – la Vérité tendra son miroir pour que chacun puisse voir enfin ce qu'il est devenu et quel maître il sert. Au jugement dernier il n'y aura pas d'incroyants, l'homme n'aura plus d'autre choix que de faire face à la Vérité et à lui-même en toute honnêteté, de regarder, voir et pleurer sur sa condition lamentable, alors le trie sera fait, les élus seront séparés des exclus, et chacun sera soit condamner aux peines éternelles ou au bonheur éternel, tel qu'il fut stipulé de toute éternité dans les décrets d'élection et de réprobations.
En toute conscience nous vous disons: « Vivez dans la vérité – c'est-à-dire dans la véracité, dans la sincérité, dans l'authenticité, dans l'évidence et dans l'exactitude de la révélation en Jésus-Christ qu'il accorde à ses élus. » À moins que vous préfériez, comme les évangéliques, la fausseté, le mensonge, la tromperie, l'hypocrisie, l'erreur, la déformation, la manipulation, l'intimidation, la domination et la diffamation, ce qui est impossible pour un élu véritable. Voilà ce qu'un nommé Abel Allen a dit à propos de la vérité: «La vérité est constructive, l'erreur est destructrice. La Vérité élargit l'esprit, l'erreur la contracte. Seule la Vérité prépare l'esprit à recevoir plus de vérité. L'erreur repousse la vérité. Elle invite davantage à l'erreur. La Vérité élargit l'esprit, l'erreur le confond et l'affaiblit. La Vérité émancipe l'homme; l'erreur l'asservit». Qu'y a-t-il de si difficile à comprendre, ce qu'est la vérité ? Pourquoi préférez-vous vivre dans le mensonge ? Il est certes plus facile de vivre dans le mensonge et nos illusions – comme il est plus facile de ne rien faire. La vérité est la justesse et la précision. La Vérité est la Vie, car on ne peut nier la force de vie en Jésus-Christ qui nous fait renaître des décombres de l'incertitude et de la corruption. On peut se nier mais cela n'effacera jamais qui nous sommes, des pécheurs perdus sans la grâce de Jésus-Christ. La Vérité est courage et force, mais sans Christ nous ne pouvons rien. Elle demande de la conviction et de la certitude, et ces choses nous sont attribués gratuitement dans les mérites du sacrifice de la croix. Elle est la rectitude intellectuelle, le raisonnement droit, elle est l'évidence même de la Sainte Présence de Christ. Elle en est l'évidence, comme l'évidence que le soleil se lève à tous les jours, même si parfois il est caché par les nuages. La Vérité est belle telle une fleur qui s'épanouit, la Vérité est douce comme de la musique à nos oreilles. Souvent elle fait mal à entendre, car elle est intransigeante et tranche comme une Épée à deux tranchants, mais elle est nécessaire pour l'équilibre de toute chose dans la vie du chrétien authentique. La Vérité est l'Amour, non pas l'amour sentimental de soi et des autres, mais la résignation envers les frères et les sœurs dans une confiance certaine que Christ les éclairera pour la gloire de son nom, car elle est un gage de confiance, d'ouverture, et de courage dans la démarche de la révélation. La Vérité est une force véritable qui transforme la noirceur en une lumière, selon la puissance de son essence qui est le renoncement divin en Jésus-Christ, l'Esprit des vivants manifesté dans la chair. Elle est la conviction et la certitude de sa Sainte Présence en nous qui nous donne la foi dans ses principes, et l'assurance de la gloire à venir. Cessez de réagir à tout et réfléchissez deux minutes, voyez les deux cotées de la médaille et même les choses sur 360 degrés et non seulement sur un degré. Vous n'avez pas qu'un seul œil mais bien deux, n'est-ce pas ? La loi est claire il y toujours deux coté en toute chose. Il y a le positif (la Vérité) et le négatif (le mensonge) et les différents degrés entre ces deux pôles sont les réalisations progressives de la conscience pour en saisir la révélation sous la direction de l'Esprit des vivants qui en a déterminé les voies. La Vérité est puissante. Elle est évidente, réaliste et clair comme de l'eau de source. La Vérité est le principe, le postulat de ce qui est certain. On est certain d'exister et d'être conscient, on est certain qu'il n'y a aucune certitude sans Christ. Le mensonge est une déviation de la Vérité, une transgression de son essence vitale, et plusieurs marchent dans cette voie tortueuse sous prétention d'être dans la Vérité, lorsqu'ils en ont qu'une contrefaçon. La duplicité met un doute et l'incertitude partout tel un cancer qui ronge l'esprit. On peut bien se faire des accroires mais cela n'en fait pas une vérité factuelle, ce n'est que des impressions d'une approximation trompeuse qui forme des opinions sophistiquées, pour séduire les consciences. La Vérité doit être attestée et être confirmée dans la balance de l'exactitude de la révélation que nous recevons en Christ. La Vérité est une garantie de son authenticité. La Vérité produit les bons fruits de l'assurance de Christ, et le mensonge, les mauvais fruits de la duplicité charnelle. De toute l'histoire humaine le mensonge n'a jamais produit rien de bon, à part sa faible lumière opaque. Le mensonge, la manipulation, les intrigues, les conspirations sont des fruits mauvais qui n'apportent que la destruction. Ils sont les fruits d'une énergie de peur et de lâcheté comme nous retrouvons chez les évangéliques. Il peut être difficile de faire la part des choses. Néanmoins, à ceux qui ont reçu le discernement de l'Esprit des vivants, cela nous apporte la véritable réalité des choses établis dans l'indiscutable certitude que Christ en nous est la Vérité, et qu'il nous enseigne toutes choses en dû temps d'après le bon plaisir de sa volonté souveraine et absolue.
À Christ seul soit la Gloire Amen !
Rédigé par Jean leDuc sous la direction de Christ pour la communauté mondiale des élus.
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