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MÜLLER, frag. 68, vol. I ; p. 440.
VITRUVE, vol. II, liv. II, ch. I, p. 36, etc.
OWEN, dans DAVIES,
Les Druides
, note p. 437.
BUNSEN,
Hiéroglyphes
, vol. I, p. 497.
SANCHONIATHON, liv. I, p. 46-49.
Voi
Vol. II, p. 104.
Virgile, liv. V, v. 84-88.
WILKINSON, vol. IV, p. 239.
ibid
.
BUNSEN, vol. I, p. 407.
Le mot Purros dans le texte n'exclut pas l'idée de Rouge, car on donnaient au
soleil la couleur rouge, pour l'identifier avec Moloch, le dieu du feu et le
dieu du sang (WILKINSON, vol. IV, p. 288-296). La première idée et la
principale, cependant, c'est celle du feu.
Pour plus de lumière sur ce sujet voir
BUNSEN, vol. I, p. 710.
BRYANT, vol. I, p. 10 et vol. IV, p. 152. Bryant fait venir le mot Alorus de
Alaur, le dieu du feu. J'incline à penser que, d'après l'analogie du nom donné
dans la suite, il vient de Al-Hor, le dieu qui brûle. Mais le sens est toujours
le même.
Ordinairement écrit Mulciber (OVIDE,
De art
.
am
, liv. II, v. 562). Mais le c
romain était dur. À cause de l'épithète Gheber, les Parsis, ou adorateurs du
feu dans l'Inde, sont encore appelée Guèbres.
OVIDE,
De art. am
., ibid. note.
Mythologie païenne illustrée
, p. 66.
ibid
. p. 75.
Nemrod comme roi universel était Khuk-hold, le roi du monde. En tant que
tel il portait les cornes d'un taureau, qui étaient la représentation et aussi
l'emblème de son pouvoir.