Page 267 - LES DEUX BABYLONES

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WILSON,
La religion des Parsis
, p. 164, 441, 442.
BILNEY,
Les Réformateurs anglais
, p. 258, note.
BILNEY,
Les Réformateurs anglais
, p. 258, note.
Le Boulevard
, 1852-53, p. 154-157.
PLINE,
Hist. Nat.
, liv. XVI, p. 377. Sous le nom de Saturne, on décernait à
Nemrod les mêmes attributs. Voi
PLUTARQUE,
De Iside
, vol. II, p. 356. E.
DIODORE,
Iconographie
, vol. I, p. 296.
Histoires
, liv. I, p. 62-63.
HOMÈRE,
Hymne à Mercure
, v. 526.
DAVIES,
Les Druides
, p. 418.
OVIDE,
Fastes
, liv. III, vol. III, v. 513, p. 184.
MANILIUS, liv. v, v. 21,P. 164.
WILKINSON, vol. IV, p. 345.
ibid
. vol. V, p. 368.
OVIDE,
Métamorphoses
, liv. V, fab. 6, 8. Ovide parle des larmes que
répandit Proserpine quand, de sa robe déchirée du haut en bas, tombèrent à
terre toutes les fleurs quelle avait ramassées ; cela montrait tout simplement
la naïveté d'un esprit enfantin. Mais ceci est évidemment pour les non-
initiés. Les lamentations de Gérés, intimement rattachées à la perte de ces
fleurs, et la malédiction de la terre qui s'ensuivit bientôt, indiquent quelque
chose d'entièrement différent.
Lucrèce, s'adressant à Vénus, dit ceci : Tibi suaves dedala tellum summittit
flores. Liv. I, v. 6, 7.
Il est évident que cette expression ne signifie pas simplement qu'on doit
l'adorer en sincérité, mais en simplicité, par opposition au culte symbolique
des juifs.