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ce que l'histoire de sa mort signifierait exactement : que la semence du
serpent avait été détruite par la semence de la femme. Cette histoire doit
certainement être née parmi ses ennemis. Mais les idolâtres firent en sorte
d'en prendre ce qu'ils ne pouvaient pas entièrement nier, avec comme
intention évidente, celle de l'expliquer.
PAUSANIAS, liv. VII,
Achaica
, ch. 7.
Voi
THÉOCRITE,
Idylle
, XXX, v. 21-45.
SMITH,
Diction, class
., p. 112.
Times
, correspondance de Berlin, 28 décembre, 1853.
Le lecteur se rappellera que le soleil était une déesse. Mallet dit :
"Ils
offraient la plus grosse bûche qu'ils pouvaient trouver à Frigga, c'est-à-dire
la mère de Balder, celui qu'on pleurait"
(vol. I, p. 132). En Égypte, on
offrait des porcs une fois par an, à la fête de la Lune, à la Lune et à Bacchus
ou Osiris : c'est à ces dieux seulement qu'il était permis de faire une pareille
offrande. (
Elien
. X, 16, p. 562.)
Iste tibi faciet bona Saturnalia porcus. MARTIAL, p. 754.
WILKINSON, vol. y p. 353.
ibid
. vol. II, p. 380.
JUVÉNAL,
Satires
, VI, 539, 540, p. 129.
TITE-LIVE,
Histoire
, vol. I, liv. V, ch. 47, p. 388.
MOOR,
Le Panthéon
, p. 10.
KITTO,
Commentaire illustré
, vol. IV, p. 31.
Le sens symbolique de l'offrande de l'oie est digne d'être remarqué. L'oie, dit
Wilkinson (
Les Égyptiens
, vol. V, p. 227), signifiait en hiéroglyphe, enfant
ou fils et Horapollon nous dit :
"On l'avait choisie pour désigner un fils à
cause de son amour pour ses petits, elle est toujours prête à se livrer au
chasseur pour les sauver ; c'est pour cela que les Égyptiens ont pensé qu'il
était juste de vénérer cet animal."
Ici donc le vrai sens du symbole est donc
le Fils, qui se donne volontairement en sacrifice pour ceux qu'il aime, savoir
le Messie païen.
AMMIEN MARCELLIN, liv. XXIII, ch. 3, p. 355, et MACROBE,
Saturn
.,