THÉOLOGIE SYSTÉMATIQUE

 

LOUIS BERKHOF

 

mise en page par

Jean leDuc

Mars 2018

 

 

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Voir le texte anglais: http://levigilant.com/Berkhof%20Systematic%20Theology/systematic_theology.html

 

TABLE DES MATIÈRES

 

REMARQUE

 

PRÉFACE

 

PREMIÈRE PARTIE

LA DOCTRINE DE DIEU

L’Être de Dieu:

I. l’Existence de Dieu

II. l’intelligibilité de Dieu

III. rapports de l’être et les attributs de Dieu

IV. les noms de Dieu

V. les attributs de Dieu en général

VI. les attributs Incommunicable

VII. les attributs transmissibles

VIII. la Sainte-Trinité

Les œuvres de Dieu

I. les décrets divins en général

II. la prédestination

III. la création en général

IV. la création du monde spirituel

V. création du monde matériel

VI. Providence

 

DEUXIÈME PARTIE

 LA DOCTRINE DE L’HOMME PAR RAPPORT À DIEU

Homme dans son état d’origine

I. l’origine de l’homme

II. la Nature constitutionnelle de l’homme

III. l’homme comme l’Image de Dieu

IV. l’homme et l’Alliance des œuvres

Homme dans l’état du péché

I. l’origine du péché

II. le caractère essentiel du péché

III. la Transmission du péché

IV. le péché dans la vie de l’humanité

V. la punition du péché

L'homme dans l’Alliance de grâce

I. nom et Concept de l'Alliance

II. l'Alliance de la rédemption

III. Nature de l’Alliance de grâce

IV. le double Aspect de l'Alliance

V. les Dispensations différentes de l'Alliance

 

TROISIÈME PARTIE

 LA DOCTRINE DE LA PERSONNE ET L'ŒUVRE DU CHRIST

La personne du Christ

I. la Doctrine du Christ dans l’histoire

II. les noms et les Natures du Christ

III. l'uni-personnalité du Christ

Les États du Christ

I. l’état d’Humiliation

II. l’état d’Exaltation

Les offices du Christ

I. introduction: L’Office prophétique

II. l’Office sacerdotal

III. la Cause et la nécessité de l’expiation

IV. la Nature de l’expiation

C. théories divergentes de l’expiation

VI. le but et l’étendue de l’expiation

VII. le œuvre intercession du Christ

VIII. les fonctions royales

 

QUATRIÈME PARTIE

LA DOCTRINE DE L’APPLICATION DE L'ŒUVRE DE RÉDEMPTION

I. sotériologie en général

II. l’opération du Saint-Esprit en général

III. La Grâce commune ou générale

IV. l’Union mystique

V. l’appel en général et l’appel externe

VI. régénération et l'Appel efficace

VII. Conversion

VIII. la foi

IX. la Justification

X. sanctification de

XI. la persévérance des Saints

 

CINQUIÈME PARTIE

LA DOCTRINE DE L’ÉGLISE ET DES MOYENS DE GRÂCE

L’église

I. les noms Scripturaire de l’Église et la Doctrine de l’Église dans l’histoire

II. la Nature de l’Église

III. le gouvernement de l’Église

IV. le pouvoir de l’Église

Les moyens de grâce

I. les moyens de grâce en général

II. la parole comme moyen de Grace

III. les sacrements en général

IV. le Baptême chrétien

V. la Cène du Seigneur

 

SIXIÈME PARTIE

LA DOCTRINE DES CHOSES DERNIÈRES

Eschatologie individuelle

I. chapitre d'introduction

Mort physique II.

III. l’immortalité de l’âme

IV. l’état intermédiaire

Eschatologie générale

I. la seconde venue du Christ

II. millénaires vues

III. la résurrection des morts

IV. le jugement Final

V. l’État Final

 

BIBLIOGRAPHIE

 

 

REMARQUE

Présentation de Louis Berkhof

(1873-1957)

Louis Berkhof est né le 13 octobre 1873 à Emmen, Drenthe, Pays-Bas. Il arriva aux États-Unis à l’âge de 8 ans, ses parents y ayant émigré. Déjà, étant adolescent, il fut membre actif et secrétaire de la première Société des jeunes réformés, organisés à Grand Rapids, au Michigan. Les objectifs de cette société étaient d’étudier la doctrine réformée et les principes du calvinisme, par rapport à tous les domaines de la vie. Berkhof avoua plus tard qu’il ne pourrait jamais rembourser ce qu’il devait à la Société des jeunes réformés, car c’est dans son sein qu’il apprit à étudier et à s’exprimer. C’est là aussi qu’il réalisa combien Dieu l’avait pourvu de talents pour travailler dans son Royaume. C’est là encore qu’il ressentit le désir de devenir ministre de Dieu.

C’est en 1893 que Berkhof confessa publiquement sa foi en Christ, à l’Eglise chrétienne réformée de l’avenue Alpine, à Grand Rapids. En septembre de la même année, à 19 ans donc, il entrait à l’Ecole de théologie de l’Eglise chrétienne réformée et, le 16 septembre 1900, il fut consacré dans l’Eglise chrétienne réformée d’Allendale, au Michigan. Moins de deux ans après, son nom figurait sur une liste de candidats potentiels à une nouvelle chaire de théologie exégétique.

Finalement, c’est Roelof Janssen qui fut nommé, car il était docteur en théologie de l’université de Halle, en Allemagne; du reste, il avait étudié à Kampen, aux Pays-Bas. Berkhof décida alors d’approfondir ses connaissances et compléta sa formation par deux années à Princeton (1902-1904), alors le bastion de l’orthodoxie réformée. Il eut comme professeurs B. B. Warfield et G. Vos, tous deux d’inébranlables défenseurs de l’orthodoxie confessionnelle réformée et de l’autorité de l’Ecriture, ce qui incluait son infaillibilité et son inerrance. Berkhof sortit de Princeton avec le grade de bachelier en théologie.

En août 1904, Berkhof prit en charge la paroisse chrétienne réformée d’Oakdale, à Grand Rapids. Il s’y fit rapidement une solide réputation à cause de l’enracinement scripturaire de son enseignement. Outre son travail pastoral, il écrivit un opuscule intitulé « L’éducation chrétienne et l’avenir de notre Eglise ». Enfin, parallèlement, il suivit quelques cours de philosophie par correspondance à l’université de Chicago.

Le comité responsable de l’Eglise ne recommanda pas la reconduction de Janssen dans son poste de professeur. En effet, il existait un conflit latent entre celui-ci et le professeur de théologie systématique, F.M. Ten Hoor, au sujet de l’autorité de l’Eglise sur les études en théologie. De plus, certains l’accusaient d’être plus ou moins critique. Le comité n’ayant proposé personne, c’est le synode de l’Eglise qui s’en chargea et qui nomma son vice-président L. Berkhof au poste laissé vacant par le départ de Janssen.

Louis Berkhof fut installé comme professeur d’exégèse le 5 septembre 1906. De 1906 à 1914, Berkhof enseigna au Calvin Seminary toutes les matières de l’Ancien et du Nouveau Testaments: hébreu, grec du Nouveau Testament, exégèse de l’Ancien et du Nouveau Testament, introduction à l’Ancien et au Nouveau Testament, histoire de l’Ancien et du Nouveau Testament.

En 1911, il publia en hollandais un livre sur l’herméneutique biblique, simple et limpide. En 1937, cet ouvrage fut publié à l’usage des étudiants anglophones sous le titre Principes d’interprétation biblique. Il ne publia qu’un pamphlet « La vie et la Loi dans la théocratie pure ». Vers 1914, la réduction de la charge d’enseignant permit à Berkhof de prendre sa plume. Il écrivit L’archéologie biblique et, l’année suivante, Une introduction au Nouveau Testament.

Malgré une lourde charge professorale, Berkhof écrivit en 1912 Christianisme et vie, qui concernait le christianisme et la culture. L’année suivante parut L’Eglise et les problèmes sociaux, qui fut sa première publication en langue anglaise. Il partait de l’affirmation que l’Evangile de Jésus-Christ était la plus grande force libératrice du monde, applicable même aux problèmes sociaux. L’Eglise avait donc des devoirs sociaux et des responsabilités qui n’étaient pas honorés. D’après Berkhof, l’Eglise était non seulement la communauté spirituelle des croyants, mais aussi une organisation qui avait une tâche précise dans le mouvement des réformes sociales.

L’Eglise, instrument choisi par Dieu, ne se limitait pas à sauver des individus et à les préparer à la vie éternelle; elle devait aussi accomplir, autant qu’il est possible, le Royaume de Dieu sur terre. La Bible contenait de nombreuses directives pour la vie sociale et les ministres de l’Evangile devaient proclamer, sans crainte et en toute clarté, les grands principes de cette même vie.

C’est en 1924 que Berkhof fut appelé à prendre la succession de F. M. Ten Hoor à la chaire de théologie systématique. Il considérait que les matières bibliques préparaient à la dogmatique, qui récoltait les fruits de la théologie biblique.

Après 1926, la polémique théologique sur le prémillénarisme et sur l’autorité de l’Ecriture qui faisait rage à l’intérieur de l’Eglise chrétienne réformée cessa au point de ne jamais revenir avec la même acuité pendant la vie de Berkhof. L’Eglise s’était débarrassée du prémillénarisme, de la menace de la recherche scientifique libre et de la critique biblique, ainsi que du danger d’une conception trop étroite de l’opération du Saint-Esprit dans la vie culturelle humaine. Il en résulta un consensus théologique fondamentalement conservateur et profondément enraciné dans l’orthodoxie réformée traditionnelle confessante. C’est dans ce climat que Berkhof s’engagea dans la recherche théologique, la réflexion, l’enseignement et la publication. En 1928, il publia une étude doctrinale spéciale: L’assurance de la foi.

En 1931, il fallut nommer au Calvin Seminary un directeur plus permanent et administratif. Berkhof était l’homme de la situation. Il avait pendant la même année académique servi de doyen de manière très brillante. De plus, il jouissait de la confiance de l’Eglise et du respect des étudiants. Il fut donc élu président du Calvin Seminary, poste qu’il mena de front avec son professorat pendant treize ans.

En tant que professeur de théologie systématique, Berkhof pensait que sa tâche principale était de présenter la vérité scripturaire de manière compréhensible et dans un ordre logique, d’une façon compatible avec la théologie réformée historique. Il tenta de promouvoir la pensée réformée, en la faisant contraster avec ce qu’il appelait des positions doctrinales aberrantes. Pour étudier une doctrine, il commençait par définir la position réformée et commentait brièvement l’histoire de la doctrine en question. Puis il présentait le fondement scripturaire de la position réformée. Enfin, venaient la discussion et la critique des vues alternatives. Berkhof reprochait surtout à la théologie catholique romaine de faire de l’Eglise hiérarchique la source et l’autorité du dogme. Cependant, ses flèches les plus aiguës étaient dirigées contre la théologie libérale moderne, qui réduisait la théologie à l’anthropologie ou à une simple étude de la religion.

Selon Berkhof, l’objet d’investigation en théologie était la connaissance de Dieu, tel qu’il se révèle dans la Sainte Ecriture. L’homme ne pouvant connaître Dieu comme Dieu se connaît lui-même, il peut quand même le connaître, parce que et dans la mesure où Dieu a choisi de se révéler lui-même. Berkhof affirmait que la connaissance de Dieu forme le contenu de la révélation spéciale. Cette dernière constituait un exposé de la connaissance de Dieu et du concept de la rédemption dans le Christ-Jésus. Si, au sens strict, la révélation spéciale était plus large que l’Ecriture sainte, elle en était synonyme de manière pratique et concrète. Ainsi, l’Ecriture sainte était la source unique de la théologie systématique. Elle était également la seule norme ayant autorité pour juger la vérité formulée et affirmée par la théologie.

Berkhof pensait que la théologie systématique était une entreprise scientifique. L’Ecriture sainte contenait des vérités (des événements et des idées), mais elle ne présentait pas de système logique à recopier purement et simplement. Cependant, les vérités contenues dans la Bible étaient reliées entre elles. Pour Dieu, la vérité était une unité, et la vérité révélée dans la Parole de Dieu un tout organique. De plus, l’homme, créature douée d’une raison, ressentait un besoin irrésistible de comprendre la vérité dans son unité. Ainsi, la tâche particulière du dogmaticien consistait à penser les pensées de Dieu après lui, sous la direction du Saint-Esprit, à assimiler clairement la vérité révélée dans la Parole de Dieu, et à la reproduire logiquement sous une forme systématique. Berkhof rejetait l’usage de la raison spéculative comme source et norme de vérité théologique, mais affirmait la fonction nécessaire de la raison; le but était d’unifier les événements particuliers et les idées contenus dans la Parole de Dieu et de les organiser en un système cohérent de vérité.

Cependant, il ne permettait pas à la raison de fonctionner indépendamment de la foi. En théologie, la foi correspondait à la connaissance révélée de Dieu et était utilisée comme un instrument nécessaire au cœur de l’homme, qui s’appropriait la vérité divine. En un mot, la foi s’appropriait la vérité révélée et la raison l’organisait et la systématisait.

Toujours selon Berkhof, la théologie systématique réformée était une question ecclésiastique. L’Eglise, sous la direction du Saint-Esprit, s’engage dans une activité intellectuelle qui produit le dogme. Lorsque l’Eglise réfléchit sur la vérité de la Parole de Dieu, cette vérité prend une forme bien précise dans la conscience de l’Eglise, et est formulée dans des doctrines clairement définies.

Bien que l’Ecriture demeure toujours la source, la norme et l’examen final de toute vérité dogmatique, les credos et les confessions de foi de l’Eglise fournissent un noyau dans la théologie systématique. Berkhof soulignait que le théologien est toujours le théologien d’une Eglise particulière. Il reçoit la vérité dans la communauté ecclésiale, partage les convictions de l’Eglise et promet d’enseigner en harmonie avec elle, aussi longtemps que la compréhension de la vérité par l’Eglise n’est pas contraire à la Parole de Dieu.

Les écrits dogmatiques principaux de Berkhof provenaient de ses cours et visaient à aider les étudiants. En 1932, sa Systematic Theology fut d’abord publiée en deux volumes sous le titreReformed Dogmatics. Un peu plus tard, dans la même année, parut le Introductory Volume to Reformed Dogmatics. En 1941, une édition révisée de Reformed Dogmatics fut publiée en un volume, Systematic Theology. En 1937, Berkhof écrivit une History of Christian Doctrine, courte et claire. En 1942, il publia un Textual Aid to Systematic Theology, à l’intention des étudiants en théologie systématique. Vinrent encore deux études doctrinales spéciales: The Vicarious Atonement (expiation) through Christ en 1936 et Recent Trends in Theology en 1944, juste avant de prendre sa retraite.

Louis Berkhof peut être critiqué de n’avoir pas été un théologien créatif, ni ayant de l’imagination. Il croyait, en effet, que la théologie réformée avait, depuis Calvin, pris une forme plus ou moins définitive à travers les siècles. Du point de vue de la structure comme du contenu de sa théologie, Berkhof demeura dépendant de Herman Bavinck. Il se détacha légèrement de ce dernier dans sa Systematic Theology en réorganisant les rubriques et la répartition des données. Il citait les noms des théologiens mentionnés, commentait les opinions et donnait les références bibliques.

Berkhof possédait des dons personnels et intellectuels remarquables qui le prédisposaient à l’étude de la dogmatique. Lecteur vorace et savant assidu, il se maintenait au courant des diverses théologies. Il avait cette rare capacité à assimiler une grande quantité de données, à retenir leur contenu essentiel et à les reproduire sous une forme condensée. Il était spécialiste de la définition des termes et des distinctions théologiques. Ses conférences et ses écrits étaient marqués par un esprit pénétrant et ordonné.

Il était réservé, digne, humble et très humain. Il n’était pas du genre « bagarreur » et n’aimait pas la controverse. Toutes ces qualités et ces dons produisirent un théologien qui savait comment présenter la doctrine réformée de manière systématique. Mais il avait aussi la capacité de juger avec précision et justesse les autres théologies.

Quand Berkhof prit sa retraite, en 1944, il avait conservé toute sa vigueur physique et intellectuelle. Il continua à écrire: Aspects of Liberalism, The Kingdom of God (1951) et The Second Coming of Christ (1953). Jusqu’au jour de sa mort, le 18 mai 1957, il a participé à l’élaboration d’articles concernant la doctrine chrétienne.

Aucun théologien, aucun homme d’Église n’a eu un si grand impact sur l’Eglise chrétienne réformée aux Etats-Unis que lui. Pendant les trente-huit ans de sa carrière, il participa directement à la formation de plus de trois cents pasteurs de l’Eglise. Ses travaux dogmatiques devinrent le modèle de l’orthodoxie réformée. Personne n’a été davantage respecté et honoré que lui dans l’histoire de l’Eglise chrétienne réformée. Il occupa une place prépondérante et assura sa réputation théologique en Amérique.

Sa Systematic Theology le fit connaître comme théologien réformé orthodoxe de renommée internationale; on l’étudia dans plusieurs facultés des États-Unis. Certains de ses écrits ont été traduits dans diverses langues étrangères et utilisés dans le monde anglophone, en Europe et en Orient (Chine, Japon, Corée). Il est toujours disponible aux éditions de la Banner of Truth (Edimbourg).

Cependant, malgré sa compétence, il était un homme de grande humilité, respecté et aimé par tous ceux qui le connaissaient. Il possédait le caractère et la marque d’un enfant de Dieu. Impossible pour l’Eglise d’évaluer sa perte, ni de l’effacer de sa mémoire.

Berkhof est connu par son œuvre magistrale qu’est sa Théologie Systématique d’une clarté inégalée à ce jour. Cet ouvrage de référence a été traduit en plusieurs langues. Il continue à être très utilisé de par le monde et ce par toutes les dénominations.

Publiée en anglais en 1932, a été constamment rééditée depuis. Pendant les deux derniers tiers du XXe siècle, elle a exercé une influence considérable comme manuel de base de générations de pasteurs, d’étudiants et de membres des Églises protestantes.

 

Note: Regrettablement la théologie de Berkhof suit le courant de l'orthodoxie générale de l'endoctrinement du protestantisme depuis de nombreuses générations, et est par ce fait fortement trinitaire et extrêmement ecclésiastique. Malgré ces écarts désagréables sa Théologie Systématique est grandement utile pour tous étudiants sérieux de la Bible, surtout ceux de tendance calviniste à cause de son emphase sur la Souveraineté de Dieu et sur la Double Prédestination. Néanmoins celui qui garde à l'esprit qu'il y a une triple conscience d'existence en Dieu dans l'essence des facultés de sa nature divine «sa Volonté, sa Parole, sa Pensée» (la Volition, l'Expression, la Réflexion «la Vie, la Vérité, la Lumière»), et non trois personnes distinctes l'une de l'autre, n'aura pas de problème à comprendre les éléments et les arguments de la Théologie Systématique de Berkhof. Pour expliquer la notion plus clairement: la Volonté de l'Esprit des vivants est la Volition même de l'existence ou Source de la Vie qui correspond au mot Père (car le mot Père signifie aussi Source); la Parole est l'Expression ou engendrement (extension, prolongement) de l'Existence de l'Esprit des vivants dans la Vérité absolue de la certitude en la Source qui correspond au mot Fils (car le mot Fils signifie aussi celui qui est engendré; un engendrement ou prolongement de l'être); la Pensée est la réflexion de la Volition et de l'Expression de l'Esprit des vivants dans sa Présence au sein de la lumière de la Source de l'Existence et correspond au Saint-Esprit (car Saint-Esprit signifie aussi Sainte Présence, celle de l'Esprit des vivants qui est Lui-même la Source et l'Expression de son existence). En d'autres mots, la Source est aussi l'Expression en tant que Sainte Présence, il n'y a pas de distinctions dans l'Esprit Éternel; les trois sont une même activité dans la disposition d'une seule Existence Suprême dont la profondeur est insondable. La triple conscience de l'Esprit des vivants éternel s'est manifesté corporellement dans la chair sous le nom de Jésus, l'enveloppe visible de la Source invisible, la seule et unique Personne en Dieu. Aussi, la réalisation que l'Église n'est pas une institution ou organisation, mais un état d'être, celui d'être appelé vers Christ pour renaître à une nouvelle vie, aidera d'avantage celui qui pénètre dans les extrémités de la Théologie Systématique de Berkhof. Or l'étudiant est encouragé à questionner en profondeur et sagacité tous les arguments qui s'y trouvent afin de former ses propres pensées sur les sujets donnés, sans négliger la prière au Seigneur pour qu'il obtienne la directions de l'Esprit de Christ dans ses réflexions sur ses recherches et ses études. On vous a donné les deux clés pour affronter cette œuvre théologique imposante afin que vous puissiez en soutirer toutes les richesses, en y ajoutant aussi des annotations en caractères italiques rouge. Nous avons aussi ajouté quelques passages supplémentaires pour clarifier l'enseignement donné. Que le Seigneur vous bénisse dans votre aventure, le voyage est ardu, mais la destination est glorieuse et inoubliable.

«Je vous ai écrit ces choses au sujet de ceux qui vous séduisent. Mais l'onction que vous avez reçue de lui, demeure en vous; et vous n'avez pas besoin qu'on vous enseigne; mais comme cette même onction vous enseigne toutes choses, et qu'elle est véritable, et qu'elle n'est point un mensonge, demeurez en lui, selon qu'elle vous a enseignés.» (1 Jean 2:26,27).

 

Jean leDuc

Avril 2018

 

 


 

PRÉFACE

Maintenant que ma Théologie systématique est à nouveau cours de réimpression, la préface peut être très brève. Il n’est pas nécessaire de dire beaucoup sur la nature du travail, puisqu’il a été devant le public pendant plus de quinze ans et a été largement utilisé. J’ai toutes les raisons d’être reconnaissants pour sa réception aimable, pour le témoignage favorable de beaucoup de critiques et le fait que le livre est maintenant utilisé comme un manuel dans de nombreux séminaires théologiques et les écoles de la Bible dans notre pays, et qui ont même présenté des demandes à l’étranger pour obtenir la permission de le traduire dans d’autres langues. Voici les bénédictions dont je n’avais pas prévu, et pour laquelle je suis profondément reconnaissant à Dieu. Lui être tout l’honneur. Et si le travail peut continuer à être une bénédiction dans de nombreuses sections de l’église de Jésus Christ, mais elle augmente ma reconnaissance pour l’abondance de la grâce de Dieu.

L. Berkhof
Grand Rapids, Michigan
1er août 1949.

 


 

PREMIÈRE PARTIE

LA DOCTRINE DE DIEU

L’Être de Dieu

A. Place de la Doctrine de Dieu en théologie dogmatique.

LES OUVRAGES sur la théologie dogmatique ou systématique commencent généralement par la doctrine de Dieu. L’opinion dominante a toujours reconnu comme la procédure plus logique et encore points dans la même direction. Dans de nombreux cas, même ils dont les principes fondamentaux semblent exiger un autre arrangement, continuer la pratique traditionnelle. Il y a de bonnes raisons pour commencer avec la doctrine de Dieu, si nous agissons sur l’hypothèse que la théologie est la connaissance systématisée de Dieu, qui, par qui et à qui, sont toutes choses. Au lieu d’être surpris que la dogmatique doit commencer avec la doctrine de Dieu, nous pourrions bien attendre qu’elle soit une étude de Dieu tout au long dans toutes ses ramifications, du début à la fin. En fait, c’est exactement ce que c’est censé être, mais seulement le premier locus traite directement de Dieu, tandis que le succédant à ceux traitent de lui plus indirectement. Nous commençons l’étude de la théologie avec deux présupposés, à savoir (1) que Dieu existe, et (2) qu’il a lui-même révélé dans sa parole divine. Et pour cette raison, il n’est pas impossible pour nous de commencer par l’étude de Dieu. Nous pouvons tourner à sa révélation, afin d’apprendre ce qu’il a révélé en ce qui concerne lui-même et concernant sa relation à ses créatures. Tentatives ont été faites au cours du temps à distribuer le matériel de théologie dogmatique, de manière à exposer clairement que c’est, non seulement dans un locus, mais dans son intégralité, une étude de Dieu. Cela a été fait par l’application de la méthode trinitaire, qui organise l’objet de la dogmatique sous les trois rubriques suivantes: (1) le père (2) le fils et (3) l’Esprit Saint. Cette méthode a été appliquée dans quelques-unes des œuvres plus tôt systématiques, a été restaurée en faveur de Hegel et peut encore être vu dans de Martensen Christian dogmatique. Une tentative similaire a été faite par Breckenridge, quand il a divisé l’objet de théologie dogmatique (1) la connaissance de Dieu considérée objectivement et (2) la connaissance de Dieu subjectivement considéré. Ni l’un d'entre eux peut être appelé très réussi.

Jusqu’au début du XIXe siècle, la pratique était tout sauf générale pour commencer l’étude de théologie dogmatique à la doctrine de Dieu; mais un changement est survenu sous l’influence de Schleiermacher, qui cherchaient à préserver le caractère scientifique de la théologie par l’introduction d’une nouvelle méthode. La conscience religieuse de l’homme a été substituée à la parole de Dieu comme la source de la théologie. Foi dans l’écriture comme une révélation faisant autoritaire de Dieu a été discréditée et perspicacité humaine basée sur de l’homme propre appréhension émotionnelle ou rationnelle est devenu la norme de la pensée religieuse. Religion a graduellement pris la place de Dieu comme objet de théologie. L’homme a cessé de reconnaître la connaissance de Dieu comme quelque chose qui a été donnée dans les Ecritures et a commencé à s’enorgueillir d’être un chercheur de Dieu. En cours de temps, il est devenu assez commun de parler de Dieu de découverte de l’homme, comme si l’homme jamais découvert lui; et chaque découverte qui a été faite dans le processus a été digne du nom de « révélation ». Dieu s’est établi à la fin d’un syllogisme, ou comme le dernier maillon d’une chaîne de raisonnement ou comme le cap-Pierre d’une structure de la pensée humaine. Dans de telles circonstances c’était mais il est naturel que certains devraient considérer comme incongru à commencer la dogmatique avec l’étude de Dieu. Il est plutôt surprenant que beaucoup, en dépit de leur subjectivisme, poursuivi la disposition traditionnelle.

Certains, cependant, senti l’incongruité et radié de façon différente. Travail de dogmatique de Schleiermacher est consacré à une étude et une analyse de la conscience religieuse et des doctrines qui y est impliquées. Il ne traite pas la doctrine de Dieu phénoménale, mais seulement dans les fragments et conclut ses travaux par une discussion de la Trinité. Son point de départ est anthropologique plutôt que théologique. Certains des théologiens médiatrices sont influencés autant par Schleiermacher qu’ils ont logiquement commencé leurs traités dogmatiques avec l’étude de l’homme. Même de nos jours, cet arrangement est parfois suivi. Un exemple frappant de celui-ci se trouve dans les travaux de O. A. Curtis sur La foi chrétienne. Cela commence avec la doctrine de l’homme et se termine par la doctrine de Dieu. La théologie Ritschlienne peut sembler réclamer encore un point de départ, car il considère la révélation objective de Dieu, pas dans la Bible comme la parole divinement inspirée, mais dans le Christ comme le fondateur du Royaume de Dieu et considère l’idée du Royaume comme la centrale et contrôle tout le concept de théologie. Toutefois, les dogmaticiens Ritschlien tels que Herrmann, Haering et caftan appliquer, du moins officiellement, l’ordre habituel. Dans le même temps, il y a plusieurs théologiens qui, dans leurs œuvres, commencent la discussion de dogmatique correcte avec la doctrine du Christ ou de son œuvre rédemptrice. T. B. Strong établit une distinction entre la théologie et la théologie chrétienne, définit cette dernière comme « l’expression et l’analyse de l’Incarnation de Jésus Christ » et rend l’incarnation du concept dominant tout au long de son Manuel des entités théologiques requises.

B. Preuve de l'Écriture sur l’Existence de Dieu.

L’existence de Dieu est pour nous le grand présupposé de la théologie. Il n’y a pas de sens en parlant de la connaissance de Dieu, sauf si on peut supposer que Dieu existe. La présupposition de la théologie chrétienne est d’un type très précis. L’hypothèse n’est pas simplement qu’il y a quelque chose, une idée ou idéal, une tendance puissance ou ponctuelle, qui peut s’appliquer le nom de Dieu, mais qu’il y a un être lui-même, conscient de soi, personnelle, qui est à l’origine de toutes choses et qui transcende la création toute entière, mais est à la fois immanente dans chaque partie de celui-ci. La question peut être soulevée, qu’il s’agit d’une hypothèse raisonnable, et peut répondre à cette question par l’affirmative. Cela ne signifie pas, cependant, que l’existence de Dieu est capable d’une démonstration logique qui ne laisse aucune place pour le doute; mais il ne veut pas dire que, bien que la vérité de l’existence de Dieu est acceptée par la foi, cette foi repose sur des informations fiables. Alors que la théologie réformée considère l’existence de Dieu comme une hypothèse tout à fait raisonnable, il ne revendique pas la capacité à le démontrer par l’argumentation rationnelle. Le Dr de Kuyper parle ainsi de la tentative de le faire: « la tentative de prouver l’existence de Dieu est inutile ou sans succès. Il est inutile si le chercheur croit que Dieu est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. Et il échoue si c’est une tentative pour forcer une personne qui n’a pas cette pistis au moyen de l’argumentation d’un accusé de réception dans un sens logique. » [Dict. dogme, De Deo I, p. 77 (ma traduction — L. B.).]

Le chrétien accepte la vérité de l’existence de Dieu par la foi. Mais cette foi n’est pas une foi aveugle, mais une foi qui repose sur des preuves, et la preuve se trouve principalement dans l’écriture comme la parole inspirée de Dieu, et secondairement dans la révélation de Dieu dans la nature. Preuve sur ce point l’écriture ne vient pas à nous sous la forme d’une déclaration explicite et encore moins sous la forme d’une argumentation logique. En ce sens la Bible ne prouve pas l’existence de Dieu. Le plus proche, il s’agit d’une déclaration est peut-être dans Hébreux 11:6... « car celui qui vient de Dieu doit croire qu’il est, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent après lui. » Cela présuppose l’existence de Dieu, dans sa déclaration d’ouverture, « au commencement Dieu créé les cieux et la terre. » Non seulement n’il décrit Dieu comme le créateur de toutes choses, mais aussi comme le garant de toutes ses créatures et comme le souverain des destins des individus et des Nations Unies. Il témoigne sur le fait qu’oeuvres de Dieu, toutes choses selon le Conseil de son aura et révèle la réalisation progressive de son grand dessein de la rédemption. La préparation pour ce travail, en particulier dans le choix et la direction de l’ancien peuple de l’Alliance d’Israël, est clairement visible dans l’ancien Testament et l’aboutissement initiale de celui-ci à la personne et le œuvre du Christ se démarque avec une grande clarté sur les pages de la nouvelle Testamen t. Dieu est visible sur presque chaque page des Saintes Écritures comme il se révèle en paroles et en actes. Cette révélation de Dieu est le fondement de notre foi en l’existence de Dieu et cela fait une foi tout à fait raisonnable. Il devrait être fait remarquer, cependant, que c’est seulement par la foi que nous acceptons la révélation de Dieu, et que nous obtenons un réel aperçu de son contenu. Jésus a dit: « si n’importe quel homme va faire sa volonté, il saura de la doctrine, qu’il s’agisse de Dieu ou si je parle de moi, » John 07:17. C’est cette connaissance intensive, résultant d’une communion intime avec Dieu, qui Osée a à l’esprit quand il dit, « et nous le faire savoir, suivons de connaître le Seigneur », Osée 6:3. L’incroyant n’a aucune réelle compréhension de la parole de Dieu. Les paroles de Paul sont tout à fait au point à cet égard: « où est le sage ? où est le scribe ? où se trouve le disputer de cet âge (monde) ? A pas de Dieu faites stupide à la sagesse du monde ? Car, voyant que le monde entier grâce à sa sagesse ne connaissait pas Dieu dans la sagesse de Dieu, c’est le bon plaisir de Dieu à travers la folie de la prédication pour sauver ceux qui croient, » I Cor. 01:20, 21.

C. négation de l’existence de Dieu sous ses diverses formes.

Étudiants en Religion Comparative et missionnaires témoignent souvent du fait que l’idée de Dieu est pratiquement universelle dans la race humaine. On le trouve même parmi les nations et les tribus du monde non plus civilisés. Cela ne signifie pas, cependant, qu’il n’y a aucun individu qui nient l’existence de Dieu en tout, ni même qu’il n’y a pas de bon nombre dans les terres chrétiennes qui nient l’existence de Dieu comme il est révélé dans l’écriture, une personne lui-même et timide de perfections infinies, qui travaille toutes les choses selon un plan préétabli. C’est le refus de ce dernier que nous avons à l’esprit particulièrement ici. Cela peut et a pris diverses formes au cours de l’histoire.

1. négation absolue de l’existence de Dieu. Comme indiqué plus haut, il y a des preuves solides de la présence universelle de l’idée de Dieu dans l’esprit humain, même parmi les tribus barbares qui n’ont pas senti l’impact de la révélation spéciale. Compte tenu de ce fait, que certains vont même jusqu'à nier qu’il y a des gens qui nient l’existence de Dieu, vraies athées; mais ce déni est contredite par les faits. Il est d’usage de distinguer deux types, à savoir, les athées théoriques et pratiques. Les premiers sont des personnes simplement impies, qui, dans leur vie pratique, ne pas compter avec Dieu, mais vivent comme s’il n’y a pas de Dieu. Ces derniers sont, en règle générale, de nature plus intellectuelle et leur refus sur un processus de raisonnement de base. Ils cherchent à prouver par ce qui semble pour eux des arguments rationnels concluantes, qu’il n’y a pas de Dieu. Compte tenu de la semence religionis implanté dans chaque homme, de sa création à l’image de Dieu, il est raisonnable de supposer que personne n’est né un athée. Dans les dernier athéisme résultats d’analyse de l’État moral pervers de l’homme et de son désir d’échapper à Dieu. C’est délibérément ignorer et supprime l’instinct le plus fondamental de l’homme, le plus profond des besoins de l’âme, les plus hautes aspirations de l’esprit humain et les désirs d’un coeur qui tâtonne après certains étant plus élevé. Cette suppression des pratique ou intellectuelle de l’opération de la semence religionis souvent implique des luttes prolongées et douloureuses.

Il ne peut y avoir aucun doute quant à l’existence de pratiques athées, puisque l’écriture et l’expérience témoignent d’elle. Psaume 10:4b déclare des méchants, « toutes ses pensées sont, il n’y a pas de Dieu. » Selon Psaume 14:1 « l’insensé ne dit en son coeur, il n’aucun Dieu. » Et Paul rappelle aux Ephésiens qu’ils étaient autrefois « sans Dieu dans le monde, » Éphésiens 02:12. Expérience témoigne également abondamment de leur présence dans le monde. Ils ne sont pas nécessairement notoirement méchants aux yeux des hommes, mais peuvent appartenir à la soi-disant « homme décent du monde, » même si honorablement indifférent aux choses spirituelles. Ces personnes sont souvent tout à fait conscients du fait qu’ils sont en désaccord avec Dieu, n’ose penser à rencontrer et essayer d’oublier de lui. Ils semblent prendre un plaisir secret en défilant leur athéisme quand ils ont voile lisse, mais ont été connus pour se mettre à genoux pour prier quand leur vie était en danger soudain. À l’heure actuelle, des milliers de ces athées pratiques appartiennent à l' Association américaine pour la promotion de l’athéisme.

Les athées théoriques sont de nature différente. Ils sont généralement de nature plus intellectuelle et tentent de justifier l’affirmation qu’il n’y a aucun Dieu par l’argumentation rationnelle. Prof. Flint distingue trois sortes d’athéisme théorique, à savoir, (1) l’athéisme dogmatique, qui nie catégoriquement qu’il y a un être divin; (2) l’athéisme sceptique, qui met en doute la capacité de l’esprit humain à déterminer, s’il existe ou non un Dieu; et (3) l’athéisme critique, qui maintient qu’il n’y a aucune preuve valable de l’existence de Dieu. Ceux-ci vont souvent de pair, mais même les plus modestes d'entre eux vraiment prononce toute croyance en Dieu une illusion. [Théories anti-théistes, f. p. 4] Dans la présente section, on remarquera, agnosticisme apparaît également comme une sorte d’athéisme, une classification qui nombreux agnostiques renvoyés. Mais il faut avoir à l’esprit que l’agnosticisme concernant l’existence de Dieu, tout en laissant la possibilité de sa réalité, nous laisse sans un objet de culte et l’athéisme tout comme dogmatique de l’adoration ne. Cependant la véritable athée est l' athée dogmatique, l’homme qui fait une affirmation positive qu’il n’y a pas de Dieu. Une telle affirmation peut signifier deux choses: soit qu’il ne reconnaît aucun Dieu d’aucune sorte, qu’elle met en place aucune idole pour lui-même, soit qu’il ne reconnaît pas le Dieu de l’écriture. Maintenant, il y a très peu des athées qui ne pas en vie pratique mode pour une sorte de Dieu pour eux-mêmes. Il y a un nombre bien plus grand qui a théoriquement mis de côté tout et chaque Dieu; et il y a un nombre toujours plus grand qui a rompu avec le Dieu de l’écriture. L’athéisme théorique est généralement ancré dans une théorie scientifique ou philosophique. Monisme matérialiste sous ses différentes formes et l’athéisme vont généralement de pair. L’idéalisme subjectif absolu peut nous laisser toujours l’idée de Dieu, mais nie qu’il y ait une quelconque réalité correspondante. À l’humaniste moderne « Dieu » signifie simplement « l’esprit de l’humanité, » « le sentiment de plénitude, » « l’objectif raciale » et autres abstractions de ce genre. D’autres théories non seulement laissent place à Dieu, mais aussi faire semblant de maintenir son existence, mais certainement exclure le Dieu du théisme, de l'Être suprême et personnel, créateur, protecteur et maître de l’univers, distinct de sa création, et encore partout présentes. Panthéisme fusionne le naturel et surnaturel, le fini et l’infini, dans une seule substance. Souvent, il parle de Dieu comme le motif caché du monde phénoménal, mais ne conçoit pas de lui comme personnels et par conséquent aussi doué d’intelligence et de volonté. Hardiment, il déclare que tout est Dieu et ainsi s’engage dans ce que Brightman appelle « l’expansion de Dieu, » afin que nous recevons « trop de Dieu, » voyant qu’il inclut également tout le mal du monde. Il exclut le Dieu de l’écriture sainte et à ce jour est clairement athée. Spinoza peut être appelé « l’homme ivre de Dieu », mais son Dieu n’est certainement pas le Dieu que les Chrétiens adorent et j’adore. Certes, il ne peut y avoir aucun doute quant à la présence des athées théoriques dans le monde. Lorsque David Hume a exprimé des doutes quant à l’existence d’un athée dogmatique, Baron d’Holbach répondit: « mon cher Monsieur, vous êtes en ce moment assis à table avec dix-sept de ces personnes. » Ceux qui sont agnostiques concernant l’existence de Dieu peuvent différer quelque peu de l’athée dogmatique, mais ils ont, comme ces derniers, et nous laissent sans un Dieu.

2. présenter au jour les fausses conceptions de Dieu impliquant un déni du vrai Dieu. Il y a plusieurs fausses conceptions de Dieu actuelle de nos jours, entraînant un déni de la conception théiste de Dieu. Un bref aperçu des plus importants d'entre eux doivent suffire à cet égard.

a. un Dieu immanent et impersonnel. Théisme a toujours cru en un Dieu qui est la fois transcendant et immanent. Déisme retirés du monde de Dieu et a souligné sa transcendance au détriment de son immanence. Sous l’influence de panthéisme, cependant, le pendule a balancé dans l’autre sens. Il identifié Dieu et le monde et n’a pas reconnu un être divin, distingue et infiniment exaltée au-dessus, sa création. Par le biais de Schleiermacher, la tendance à faire de Dieu continu avec le monde acquise un pied dans la théologie. Complètement, il ne tient pas compte du Dieu transcendant et reconnaît un Dieu seul qui peut être connu par l’expérience humaine et se manifeste dans la conscience chrétienne comme la causalité absolue, auquel correspond un sentiment de dépendance absolue. Les attributs que nous attribuons à Dieu sont en cette vue des expressions purement symbolique des différents modes de ce sentiment de dépendance, des idées subjectives sans n’importe quelle réalité correspondante. Son plus tôt et ses représentations ultérieures de Dieu semblent différer quelque peu, et interprètes de Schleiermacher divergent quant à la façon dont ses déclarations doivent être harmonisées. Brunner semblent être tout à fait correct, cependant, quand il dit qu’avec lui l’univers prend la place de Dieu, si ce dernier nom est utilisé; et qu’il conçoit Dieu comme identique avec l’univers et l’unité se trouvant derrière lui. Souvent, il semble comme si sa distinction entre Dieu et le monde n’est qu’un idéal, à savoir la distinction entre le monde comme une unité et dans le monde dans ses manifestations multiples. Fréquemment, il parle de Dieu comme le « Universum » ou le « bien suprême » et argumente contre la personnalité de Dieu; Cependant, de manière incohérente, parlant aussi comme si nous pouvions avoir communion avec lui dans le Christ. Ces vues de Schleiermacher, qui démontre Dieu en continuation avec le monde, a largement dominer la théologie du siècle passé, et c’est dans cette optique que Barth est à combattre avec son emphase sur Dieu en tant que « entièrement l'autre »

b. un Dieu fini et personnel. L’idée d’un Dieu fini ou des dieux n’est pas nouveau, mais aussi vieux que le polythéisme et l’hénothéisme. L’idée s’inscrit dans le pluralisme, mais pas avec le monisme philosophique ou théologique monothéisme. Théisme a toujours considéré Dieu comme un être personnel absolu des perfections infinies. Au cours du XIXe siècle, alors que la philosophie moniste était dans l’ascendant, il est devenu assez commun afin d’identifier le Dieu de la théologie avec l’absolu de la philosophie. Vers la fin du siècle, cependant, le terme « Absolu, » comme une désignation de Dieu, tomba en disgrâce, en partie à cause de ses implications agnostiques et panthéistes et en partie en raison de l’opposition à l’idée de le « absolu » dans la philosophie et de la désir d’exclure toute métaphysique de la théologie. Bradley a considéré le Dieu de la religion chrétienne dans le cadre de l’absolu, et James ont plaidé pour une conception de Dieu qui était plus en harmonie avec l’expérience humaine que l’idée d’un Dieu infini. Il élimine de Dieu les attributs métaphysiques de l’existence, l’infini et l’immuabilité et rend les attributs moraux suprême. Dieu a un environnement, existe dans le temps et travaille sur une histoire tout comme nous. À cause de la méchanceté qui est dans le monde, il doit être considéré comme une connaissance limitée en ou de puissance, ou les deux. La condition du monde ne permet pas de croire en un Dieu bon infini en connaissances et en puissance. L’existence d’un pouvoir plus grand qui est amical à l’homme et avec qui il peut communier répond à tous les besoins pratiques et les expériences de la religion. James conçu de ce pouvoir comme personnelles, mais il n’était pas disposé à s’exprimer quant à savoir si il croyait en un Dieu fini ou un certain nombre d'entre eux. Bergson a ajouté à cette conception de Jacques l’idée d’un Dieu qui se débattait et croissant, s’inspirant constamment son environnement. Les personnes qui ont défendu l’idée d’un Dieu finie, bien que de différentes manières, sont Hobhouse, Schiller, James Ward, Rashdall et H. G. Wells.

c. Dieu comme personnification d’une idée abstraite simple. Il est devenu tout à fait la vogue en théologie libérale moderne de considérer le nom « Dieu » comme un symbole simple, permanent de certains processus cosmique, une volonté universelle ou puissance, certains noble et complet idéal. La déclaration est faite à plusieurs reprises que, si une fois Dieu créa l’homme à son image, homme maintenant retourne le compliment en créant Dieu à l’image de son (de l’homme). On dit des Harry Elmer Barnes qu’il a dit dans une de ses classes de laboratoire: « Messieurs, nous allons maintenant créer Dieu. » C’était une expression très émoussée d’une idée assez commune. La plupart de ceux qui rejettent la vue théiste de Dieu toujours professer la foi en Dieu, mais il est un Dieu de leur propre imagination. La forme qu’il assume à un moment donné dépend, selon Shailer Mathews, les modes de pensée de ce jour. Si à l’époque avant la guerre, que le modèle de contrôle était celle d’un souverain autocratique, exigeant une obéissance absolue, maintenant c’est celui d’un dirigeant démocratique désireux de servir tous ses sujets. Depuis l’époque du Comte, il y a eu tendance à personnifier l’ordre social de l’humanité dans son ensemble et d’adorer cette personnification. Le soi-disant Meliorists ou théologiens sociaux révèlent une tendance à identifier Dieu en quelque sorte, avec l’ordre social. Et les nouveaux psychologues nous informe que l’idée de Dieu est une projection de l’esprit humain, qui, à ses débuts, est disposée à faire des images de ses expériences et à vêtir leur personnalité quasi. Leuba est d’avis que cette illusion de Dieu a été utile, mais que le temps viendra où l’idée de Dieu ne sera pas plus nécessaire. Quelques définitions servira à montrer la tendance de nos jours. « Dieu est l’esprit immanent de la Communauté » (Royce). Il est « que la qualité dans la société humaine qui soutient et enrichit l’humanité dans sa quête spirituelle » (Gerald Birney Smith). « Dieu est l’ensemble des relations qui constituent l’ordre social de plus en plus de l’humanité » (E. S. Ames). « Le mot « Dieu » est un symbole pour désigner l’univers dans sa capacité de formage idéale » (G. B. Foster). « Dieu est notre conception, née de l’expérience sociale, des éléments personnellement sensibles et personnalité en évolution de notre environnement cosmique, avec lesquels nous sommes liés organiquement » (Shailer Mathews). Il faut difficilement dire que le Dieu ainsi défini n’est pas un Dieu personnel et ne répond pas à la plus profonde des besoins du cœur humain.

D. les soi-disant preuves rationnelles pour l’Existence de Dieu.

En cours de temps certains arguments rationnels pour l’existence de Dieu ont été mis au point et trouvés un pied en théologie en particulier grâce à l’influence de Wolff. Certains d'entre eux ont été pour l’essentiel déjà suggérées par Platon et Aristote, et d’autres ont été ajoutés dans les temps modernes par les étudiants de la philosophie de la Religion. Seulement les plus courantes de ces arguments peuvent être mentionnées ici.

1. L’ARGUMENT ONTOLOGIQUE. Cela a été présenté sous diverses formes par Anselm, Descartes, Samuel Clarke et d’autres. Il a été déclaré dans sa forme la plus parfaite par Anselm. Il fait valoir que l’homme a l’idée d’un être absolument parfait; cette existence est un attribut de la perfection; et que, par conséquent un être absolument parfait doit exister. Mais il est évident que nous ne pouvons pas conclure de pensée véritable existence abstraite. Le fait que nous ayons une idée de Dieu ne prouve pas encore son existence objective. Par ailleurs, cet argument suppose tacitement, comme déjà existant dans l’esprit humain, la même connaissance de l’existence de Dieu qu’il tirerait de démonstration logique. Kant insiste sur l’untenableness de cet argument, mais Hegel l’a salué comme un grand argument pour l’existence de Dieu. Quelques idéalistes modernes suggèrent qu’il pourrait mieux seront précipité dans une forme différente, qui Hocking dénommé « rapport d’expérience ». Simplement parce qu’elle que nous pouvons dire, « j’ai une idée de Dieu, c’est pourquoi j’ai l’expérience de Dieu. »

2. L’ARGUMENT COSMOLOGIQUE. C’est également apparue dans plusieurs formes. En général, il s’exécute comme suit: toute chose existant dans le monde doit avoir une cause adéquate; et si c’est le cas, l’univers doit avoir une cause adéquate, c'est-à-dire une cause qui est indéfiniment grande. Toutefois, l’argument n’a pas exploité une condamnation générale. Hume a appelé la Loi de la causalité elle-même en question, et Kant a souligné que, si chaque chose existante a une cause adéquate, ceci s’applique également à Dieu, et que nous sommes ainsi amenés à une chaîne sans fin. En outre, l’argument ne nécessite pas l’hypothèse que le cosmos avait une seule cause, une cause personnelle et absolue, — et donc loin de prouver l’existence de Dieu. Cette difficulté a conduit à une interprétation légèrement différente de l’argument, comme, par exemple, de B. P. Bowne. L’univers matériel apparaît comme un système d’interaction et donc comme une unité, composée de plusieurs parties. Par conséquent, il doit y avoir un Agent unitaire qui intervient dans l’interaction des différentes parties ou qui est le fondement dynamique de leur être.

3. L’ARGUMENT TÉLÉOLOGIQUE. C’est aussi un argument causal et n’est vraiment qu’une extension du précédent. Il peut être indiqué sous la forme suivante: le monde révèle partout intelligence, ordre, harmonie et le but et implique donc l’existence d’un intelligent et tenace, suffisante pour la production de ce monde. Kant considère cet argument comme le meilleur des trois qui ont été nommés, mais prétend qu’il ne prouve pas l’existence de Dieu, ni d’un créateur, mais seulement d’un grand architecte qui a façonné le monde. Il est supérieur à l’argument cosmologique en ce qu’elle rend explicite ce qui n’est pas indiqué dans le second, à savoir, que le monde contient des preuves d’intelligence et de but et donc conduit à l’existence d’un être conscient et intelligent et tenace. Que cet être était le créateur du monde n’est pas nécessairement. « La preuve téléologique, » dit Wright,[De l’étudiant A la philosophie de la Religion, p. 341.] « indique simplement l’existence probable d’un esprit qui est, au moins dans une mesure considérable, dans la maîtrise du processus mondial, — assez pour compte pour le montant de téléologie apparente interne. » Hegel a traité cet argument comme un valide mais subordonné. Les théologiens sociale de notre époque rejeter ainsi que tous les autres arguments comme tant d’ordures, mais conserver les théistes de nouveau.

4. L’ARGUMENT MORAL. Tout comme les autres arguments, cela suppose aussi différentes formes. Kant a pris son point de départ dans l’impératif catégorique, et il inférer l’existence d’une personne qui, comme le législateur et le juge, a le droit absolu à l’homme de la commande. Dans son estimation, cet argument est bien supérieur à toutes les autres. C’est celui sur lequel il s’appuie principalement dans sa tentative de prouver l’existence de Dieu. C’est peut-être une des raisons pourquoi il est plus généralement admis que tout autre, bien qu’il n’est pas toujours gravé dans la même forme. Certains soutiennent de la disparité souvent observée entre la conduite morale des hommes et la prospérité dont ils jouissent dans la vie présente et le sentiment que cela nécessite un ajustement à l’avenir qui, à son tour, exige un arbitre juste. La théologie moderne aussi utilise intensivement, notamment sous la forme la reconnaissance de l’homme un bien plus haut et sa quête pour une demande de l’idéale morale et nécessitent l’existence d’un Dieu pour donner réalité à cet idéal. Alors que cet argument indique l’existence d’un être Saint et juste, il n’oblige pas la croyance en un Dieu, un créateur ou un être des perfections infinies.

5. L’ARGUMENT HISTORIQUE OU ETHNOLOGIQUE. Pour l’essentiel, cela prend la forme suivante: parmi tous les peuples et les tribus de la terre, il y a un sentiment du divin, qui se révèle dans un cultus externe. Étant donné que le phénomène est universel, il doit appartenir à la nature même de l’homme. Et si la nature de l’homme conduit naturellement à la pratique d’une religion, cela peut seulement trouver son explication dans un être supérieur qui a constitué l’homme un être religieux. En réponse à cet argument, cependant, on peut dire que ce phénomène universel peut provenir d’une erreur ou incompréhension de l’un des progénitures précoces de la race humaine, et qu’au culte religieux dénommé apparaît plus fort parmi les races primitives, et disparaît dans la mesure où ils deviennent civilisés.

Pour évaluer ces arguments rationnels il faut savoir d’abord que croyants n’ont pas eux. Leur conviction concernant l’existence de Dieu ne dépend pas sur eux, mais sur une acceptation croyante de révélation de Dieu dans l’écriture. Si nombreux à notre journée sont prêts à miser leur foi en l’existence de Dieu sur ces arguments rationnels, c’est en grande partie dû au fait qu’ils refusent d’accepter le témoignage de la parole de Dieu. En outre, en utilisant ces arguments pour tenter de convaincre les incroyants, qu'il sera bien de garder à l’esprit qu’aucun d'entre eux peut dire visant l’exploitation d’une conviction absolue. Nul n’a plus d’efforts pour discréditer que Kant. Depuis son époque beaucoup de philosophes et de théologiens ont jeté leur comme totalement inutile, mais aujourd'hui ils gagnent une fois de plus en faveur et leur nombre est en augmentation. Et le fait que de nos jours tant de trouver en eux plutôt satisfaisant des indications de l’existence de Dieu, semble indiquer qu’ils ne sont pas entièrement dépourvue de valeur. Ils ont une certaine valeur pour les croyants eux-mêmes, mais doivent être appelées testimonia plutôt que des arguments. Elles apparaissent comme des interprétations de la révélation générale de Dieu et comme présentant le caractère raisonnable de la croyance en un être divin. En outre, ils peuvent rendre certains services dans la réalisation de l’adversaire. Alors qu’ils ne prouvent pas l’existence de Dieu au-delà de la possibilité du doute, afin de contraindre la sanction, ils peuvent être ainsi interprétés quant à établir une forte probabilité et ainsi faire taire beaucoup de mécréants.

QUESTIONS POUR UNE ÉTUDE PLUS APPROFONDIE. Pourquoi est encline à donner à l’étude de l’homme, plutôt que l’étude de préséance de Dieu dans la théologie de la théologie moderne ? La Bible prouve l’existence de Dieu ou non ? Dans l’affirmative, comment il pour le prouver ? Comment expliquer le général sensus divinitatis chez l’homme ? Y a-t-il des nations ou tribus qui sont entièrement dépourvu d’elle ? Peut la position être maintenue qu’il n’y a pas d’athées ? Humanistes de nos jours devraient être classés comme athées ? Quelles objections sont là pour l’identification de Dieu avec l’absolu de la philosophie ? Un Dieu fini répond-il aux besoins de la vie chrétienne ? La doctrine d’un Dieu finie est limitée aux pragmatiques ? Pourquoi est-il une idée personnifiée de Dieu un piètre substitut pour le Dieu vivant ? Quelle a été la critique de Kant sur les arguments de la raison spéculative de l’existence de Dieu ? Comment devrions nous juger de cette critique ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. II, pp. 52-74; Kuyper, dogme Dict. . De Deo I, pp. 77-123; Hodge, Syst. Theol. I, p. 202-243; Shedd. Dogme de . THEOL. I, pp. 221-248; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 5-26; Macintosh, théol. comme une Science empirique, pp. 90-99; Knudson, la Doctrine de Dieu, pp. 203-241; Beattie, apologétique, pp. 250-444; Brightman, le problème de Dieu, pp. 139-165; Wright, Phil. de Rel de un étudiant., pp. 339-390; Edward, la philosophie de la Rel., pp. 218-305; Beckwith, l’idée de Dieu, pp. 64-115; Thomson, L’idée chrétienne de Dieu, pp. 160-189; Robinson, le Dieu des Chrétiens libéraux, pp. 114-149; Galloway, le Phil. rel., pp. 381-394.

 

II. l’intelligibilité de Dieu

A. Dieu incompréhensible mais encore connaissable.

L'Église Chrétienne avoue d’une part que Dieu est incompréhensible, mais aussi, d’autre part, qu’il peut être connue et que la connaissance de lui est une condition absolue pour le salut. Elle reconnaît la force de la question de Valentin, « Trouveras-tu le fond de L’ESPRIT DES VIVANTS? Trouveras-tu la limite du Tout-Puissant? ? » Job 11:7. Et il ne semble qu’il n’a pas de réponse à la question d’Ésaïe, « À qui donc feriez-vous ressembler L’ESPRIT DES VIVANTS, et par quelle image le représenterez-vous? » Ésaïe 40:18. Mais en même temps, elle est également consciente de la déclaration de Jésus, « Or, c'est ici la vie éternelle, qu'ils te connaissent, toi le seul vrai ESPRIT DES VIVANTS, à savoir Jésus le Messie que tu as délégué. » Jean 17:3. Elle se réjouit du fait que « Et nous savons que le Fils, L’ESPRIT DES VIVANTS même est venu, et il nous a donné l'intelligence que nous puissions connaître le Véritable; et nous sommes en ce Véritable, en le Fils, Jésus-Christ. C'est lui JÉSUS qui est L’ESPRIT DES VIVANTS véritable, et la vie éternelle.  » 1 Jean 5:20. Les deux idées reflétées dans ces passages ont toujours été côte à côte dans l'Église Chrétienne. Au début les pères de l’église parlent du Dieu invisible comme un être inengendré, sans nom, éternelle, incompréhensible, immuable. Ils avaient très peu avancé au-delà de la notion grecque ancienne que l’être divin est absolue existence sans-attribut. En même temps elles aussi avouée que Dieu s’est révélé dans les Logos et peuvent donc être connus pour le salut. Au quatrième siècle Eunomius, arien, a soutenu de la simplicité de Dieu, qu’il n’y a rien en Dieu qui n’est pas parfaitement connue et comprise par l’intellect humain, mais son point de vue a été rejeté par tous les chefs de file reconnus de l’Église. La scolastiques fait une distinction entre la contrepartie et le qualis de Dieu et le fait que nous ne savons pas ce que Dieu est dans son être essentiel, mais qu'on peut savoir quelque chose de sa nature, de ce qu’il est pour nous, car il se révèle dans ses attributs divins. Les mêmes idées générales ont été exprimées par les réformateurs, même si elles ne consentaient pas avec les scolastiques quant à la possibilité d’acquérir la vraie connaissance de Dieu, par la raison humaine spontanée de la révélation générale. Luther parle à plusieurs reprises de Dieu comme Deus Absconditus (Dieu caché), à la différence de lui comme le Deus Revelatus (Dieu révélé). Dans certains passages, il parle même du Dieu  révèlé comme étant toujours un Dieu caché compte tenu du fait que nous ne pouvons le connaître pleinement lui-même par le biais de sa révélation spéciale. Pour Calvin, Dieu dans les profondeurs de son être est à découvrir. « Son essence », dit-il, « est incompréhensible; à cause que sa divinité échappe entièrement tous sens humains. » Les réformateurs ne nient pas que l’homme peut apprendre quelque chose de la nature de Dieu, dès sa création, tout en maintenant qu’il peut acquérir la vraie connaissance de lui qu’à partir de la révélation spéciale, sous l’influence d’illumination de l’Esprit Saint. Sous l’influence de la théologie panthéiste de l’immanence, inspiré par Hegel et Schleiermacher, un changement est survenu. La transcendance de Dieu est amoindrie, ignorée ou niée explicitement. Dieu est ramené au niveau du monde, en continuité avec lui et est donc considéré comme moins incompréhensible, bien que toujours entourée de mystère. Une révélation spéciale dans le sens d’une communication directe de Dieu à l’homme est niée. Une connaissance suffisante de Dieu peut être obtenue sans elle, puisque l’homme peut découvrir Dieu pour lui-même dans les profondeurs de son être, dans l’univers matériel et par-dessus tout en Jésus Christ, étant donné que ce sont des manifestations de tous, mais de l’extérieur du Dieu immanent. C’est par rapport à cette tendance en théologie que Barth maintenant soulève sa voix et fait remarquer que Dieu est introuvable dans la nature, l’histoire, ou dans l’expérience humaine quelconque, mais seulement dans la révélation spéciale qui nous est parvenu dans la Bible. Dans ses déclarations fortes concernant le Dieu caché, il utilise le langage de Luther et de Calvin.

La Théologie réformée détient que Dieu peut être connue, mais qu’il est impossible pour l’homme d’avoir une connaissance de lui qui est exhaustive et parfaite dans tous les sens. D’avoir une connaissance de Dieu serait équivalente à comprendre tout de lui, et c’est tout à fait hors de question: «Finitum non possit capere infinitum. » En outre, l’homme ne peut pas donner une définition de Dieu au sens propre du terme, mais seulement une description partielle. Une définition logique est impossible, car Dieu ne peut être subsumé sous certains genre plus élevé. Dans le même temps, qu'il est maintenu que l’homme peut obtenir une connaissance de Dieu qui est tout à fait adéquat pour la réalisation du but divin dans la vie de l’homme. Toutefois, la vraie connaissance de Dieu peut être acquise qu’à partir de la révélation divine et que par l’homme qui accepte cela avec une foi enfantine. La religion suppose nécessairement une telle connaissance. C’est la relation plus sacrée entre l’homme et son Dieu, une relation dans laquelle l’homme est conscient de la grandeur absolue et la majesté de Dieu comme l’Être Suprême et de sa propre insignifiance totale et sa soumission à Celui qui est élevé et Saint. Et si cela est vrai, il s’ensuit que la religion suppose la connaissance de Dieu chez l’homme. Si l’homme restait tout à fait dans l’obscurité, sans respect de l’Être de Dieu, il serait impossible pour lui d’assumer une attitude religieuse. Il pourrait y avoir aucun respect, aucune piété, aucune crainte de Dieu, aucun service d’adoration.

B. Refus de l’intelligibilité de Dieu.

La possibilité de connaître Dieu a été refusée pour des motifs différents. Ce refus repose généralement sur les limites supposées de la faculté humaine de la cognition, même si elle a été présentée dans plusieurs formes différentes. La position fondamentale est que l’esprit humain est incapable de savoir quoi que ce soit de ce qui se trouve au-delà et derrière les phénomènes naturels et donc nécessairement ignorants des choses suprasensible et divines. Huxley fut le premier à s’appliquer à ceux qui assument cette position, lui-même inclus, les « agnostiques de nom » Ils sont entièrement conformes aux sceptiques des siècles passés et de la philosophie grecque. En règle générale les agnostiques n’aiment pas être stigmatisés comme athées, puisqu’ils ne nient pas absolument qu’il y a un Dieu, mais déclarent qu’ils ne savent pas si il existe ou non et même si il existe, ne sont pas certain qu’ils ont une vraie connaissance de lui et souvent même nient qu’ils peuvent avoir une réelle connaissance de lui.

Hume a été appelé le père de l’agnosticisme moderne. Il n’a pas nié l’existence de Dieu, mais il affirme que nous n’avons aucune vraie connaissance de ses attributs. Toutes nos idées de lui sont et ne peuvent être que des anthropomorphes (changements ou transformations). Nous ne pouvons pas être sûrs qu’il n’y a aucune réalité correspondante aux attributs que nous lui attribuons. Son agnosticisme s’explique par le principe général que toute connaissance repose sur l’expérience. C’était surtout Kant, cependant, qui stimule la pensée agnostique par son examen dans les limites de la compréhension humaine et de la raison. Il a affirmé que la raison théorique sait seulement les phénomènes et qu’elle est nécessairement ignorante de ce qui sous-tend ces phénomènes, — la chose en soi. De là il suivi, bien sûr, qu’il est impossible pour nous d’avoir une connaissance théorique de Dieu. Mais Lotze a déjà souligné que des phénomènes, physiques ou mentales, sont toujours connectés avec quelque substances cachées derrière eux pour connaître les phénomènes, nous connaissons aussi la substance sous-jacente de ses manifestations. Le philosophe écossais, Sir William Hamilton, tandis que pas entièrement d’accord avec Kant, encore partage l’agnosticisme intellectuelle de ce dernier. Il affirme que l’esprit humain ne sait que ce qui est conditionné et existe dans différentes relations, et que, depuis l’absolu et l’infini est tout à fait indépendants, c'est-à-dire qu'il n'existe dans aucune relation, nous ne pouvons obtenir aucune connaissance de celui-ci. Mais alors qu’il nie que l’infini peut être connue par nous, il ne nie pas son existence. Dit-il, « par la foi nous appréhendons ce qui est au-delà de nos connaissances. » Ses opinions étaient partagées quant au fond par Mansel et ont été popularisées par lui. Pour lui aussi il semble tout à fait impossible de concevoir un être infini, bien qu’il professe également foi en son existence. Le raisonnement de ces deux hommes ne transportait pas une condamnation, car il a estimé que l’absolu ou infinie ne peut pas nécessairement exister en dehors de toute relation, mais peut entretenir des relations différentes; et que le fait que nous savons des choses seulement dans leurs relations ne signifient que les connaissances ainsi acquises sont simplement une connaissance relative ou irréelle.

Comte, le père du positivisme, était également agnostique dans la religion. Selon lui l’homme peut savoir rien des phénomènes physiques et leurs lois. Ses sens sont les sources de toute pensée véritable, et il peut rien connaître sauf les phénomènes dont ils appréhendent et les relations dans lesquelles ceux-ci se tiennent les uns aux autres. Les Phénomènes mentaux peuvent être réduits à des phénomènes matériels, et en sciences de l’homme ne peuvent pas obtenir rien au-delà de cela. Même les phénomènes de la conscience immédiate sont exclus et de plus, avec tout ce qui se cache derrière les phénomènes. La spéculation théologique représente la pensée à ses débuts. Aucune affirmation positive ne peut être faite concernant l’existence de Dieu, et par conséquent les théisme et athéisme demeurent condamnés. En fin de comte ils ne font que ressentir le besoin de vivre d’une religion et a présenter la soi-disant « religion de l’humanité » ou Humanisme. Plus encore que Comte, Herbert Spencer est reconnu comme le grand représentant de l’agnosticisme scientifique moderne. Il a été très bien influencé par la doctrine de Hamilton sur la relativité de la connaissance et de conception de Mansel de l’absolu, et à la lumière de ces derniers ont travaillé à sa doctrine de l’Inconnaissable, qui était sa désignation de tout ce qui peut être absolu, tout d’abord ou le summum de la l’ordre de l’univers, y compris Dieu. Il s’effectue sur l’hypothèse qu’il existe une réalité située à l’arrière des phénomènes (univers parallèle), mais maintient que toute réflexion à ce sujet nous jette en contradictions. Cette réalité ultime est totalement impénétrable. Alors que nous devons accepter l’existence d’un pouvoir ultime, soit personnel ou impersonnel, nous ne pouvons former aucune conception de celui-ci. Manière incohérente, il consacre une grande partie de ses Principes de base à l’élaboration du contenu positif de l’Inconnaissable, comme s’il était  en effet bien connu. Les autres agnostiques, qui ont été influencés par lui, sont des hommes comme Huxley, Fiske et Clifford. Nous rencontrons l’agnosticisme également à plusieurs reprises dans l’humanisme moderne. Harry Elmer Barnes dit: « À l’écrivain, il semble tout à fait évident que la position agnostique est la seule qui peut être soutenu par toute personne d’esprit scientifique et critique incliné dans l’état actuel des connaissances. » [Le crépuscule du christianisme, p. 260.]

En outre, les formations figurant aux points précédents de l’argument agnostique ont assumé plusieurs autres, dont voici quelques-unes des plus importantes. (1) l’homme ne sait que par analogie. Nous ne savons que ce qui porte à quelque analogie avec notre propre nature ou expérience: «Similia similibus percipiuntur. » Mais s’il est vrai que nous apprenons beaucoup de choses par analogie, par contre nous apprenons aussi autrement. Dans de nombreux cas, les différences sont les choses qui arrêtent notre attention. La Scholastiques a parlé de la via negationis par lequel elle pense éliminer de Dieu les imperfections de la créature. En outre, n’oublions pas que l’homme est créé à l’image de Dieu, et qu’il y a des analogies importantes entre la nature divine et la nature de l’homme. (2) l’homme sait vraiment seulement ce qu’il peut saisir dans son intégralité. En résumé la position est que l’homme ne peut pas comprendre Dieu, qui est infini, ne peut pas avoir une connaissance exhaustive de lui et par conséquent ne peut pas le connaître. Mais cette position n’entreprenne l’hypothèse injustifiée que la connaissance partielle ne peut être réelle connaissance, une hypothèse qui vraiment invalidait toutes nos connaissances, car il y a toujours des écarts loin de l’exhaustivité. Notre connaissance de Dieu, bien que non exhaustive, peut encore être très réelle et parfaitement adéquate pour notre présent besoin. (3) tous les prédicats de Dieu sont négatifs et donc ne fournissent aucune connaissance réelle. Hamilton dit que l’absolu et l’infini seulement peuvent se concevoir que comme une négation de la pensée; vraiment, ce qui signifie que nous ne pouvons avoir aucune conception d’eux du tout. Mais si c’est vrai que beaucoup de ce que nous prédicat à Dieu est négatif dans la forme, cela ne signifie pas qu’il peut pas en même temps transmettre une idée positive. L’acuité de Dieu inclut l’idée positive de son existence autonome et d’autosuffisance. En outre, des idées telles que l’amour, la spiritualité et la sainteté, sont positifs. (4) il est de toutes nos connaissances par rapport à l’objet de connaissance. Il est dit que nous connaissons les objets de la connaissance, non pas comme ils sont objectivement, mais seulement qu’elles sont liées à nos sens et nos facultés. Dans le processus de connaissance nous faussons leur couleur. Dans un sens, il est parfaitement vrai que toute notre connaissance est subjectivement conditionnée, mais l’importation de l’assertion concernant l’examen semble être que, parce que nous savons des choses seulement par l’entremise de nos sens et nos facultés, nous ne savons pas comment elles sont vraiment. Mais ce n’est pas vrai; dans la mesure où nous avons une connaissance réelle des choses, connaissances correspondant à la réalité objective. Les lois de la perception et de pensée ne sont pas arbitraires, mais correspondent à la nature des choses. Sans cette correspondance, non seulement la connaissance de Dieu, mais toutes les vraies connaissances seraient totalement impossible.

Certains sont enclins à considérer la position de Barth, une espèce d’agnosticisme. Zerbe dit que la pratique de l'agnosticisme domine la pensée de Barth et lui restitue une victime de l'inconnaissance kantienne de la chose en elle-même et le cite comme suit: « les romains (catholiques) ont une révélation du Dieu inconnu; Dieu vient à l’homme, pas l’homme avec Dieu. Même après l’homme de la révélation ne peut connaître Dieu, car il est toujours le Dieu inconnu. En se manifestant pour nous, il est plu loin que jamais auparavant. (Rbr. p. 53) ». [La théologie de Karl Barth, p. 82.] En même temps, il retrouve l’agnosticisme de Barth, comme celle de Herbert Spencer, incompatible. Il dit: « il a été dit de Herbert Spencer qu’il savait beaucoup de choses sur le « Inconnaissable »; tellement de Barth, on peut demander comment il est venu à connaître une grande partie du « Dieu inconnu ». » [Ibid., p. 84.] Dickie parle dans la même veine: « En parlant d’un Dieu transcendant, Barth semble parfois prendre la parole d’un Dieu dont nous ne pouvons jamais savoir quoi que ce soit. » [Apocalypse et réponse, p. 187.] Cependant, il estime qu’à cet égard trop il a changé d’orientation à Barth. Bien qu’il soit parfaitement clair que Barth ne veut pas être un agnostique, on ne peut nier que certaines de ses déclarations peuvent facilement être interprété comme ayant une saveur agnostique. Il insiste fortement sur le fait que Dieu est le Dieu caché, qui ne peut être connu de la nature, histoire ou expérience, mais seulement par son auto-révélation dans le Christ, lorsqu’il se réunira avec la réponse de la foi. Mais même dans cette révélation, Dieu apparaît seulement comme le Dieu caché. Dieu lui-même exactement comme le Dieu caché et par le biais de sa révélation fait nous révèle plus conscients de la distance qui sépare lui d’homme que nous avons jamais été avant. Cela peut facilement être interprétée comme signifiant que nous apprenons par la révélation simplement que Dieu ne peut être connu, alors qu’après tout, nous sommes face à un Dieu inconnu. Mais compte tenu de toutes les que Barth a écrit que c’est clairement pas ce qu’il veut dire. Son affirmation, qu’à la lumière de l’Apocalypse, nous voyons Dieu comme le Dieu caché, n’exclut pas l’idée que par la révélation nous également acquérir beaucoup de connaissances utiles de Dieu alors qu’il entame des relations avec son peuple. Quand il dit que même dans sa révélation Dieu demeure pour nous le Dieu inconnu, il veut vraiment dire, le Dieu incompréhensible. La révélation de Dieu est Dieu en action. Par sa révélation, nous apprenons à connaître dans ses opérations, mais n’acquérir aucune connaissance réelle de son être intérieur. Le passage suivant dans La Doctrine de la parole de Dieu,[p. 426.] est assez éclairante: « sur cette liberté (liberté de Dieu) appuie l' inconcevabilité de Dieu, l’insuffisance de toute connaissance du Dieu révélé. Même le trois-dans-unicité de Dieu nous est révélé qu’en opérations de Dieu. Par conséquent, le trois-en-unicité de Dieu est aussi inconcevable pour nous. D'où, aussi, l’insuffisance de toutes nos connaissances de trois dans l’unicité. La conception avec laquelle il est apparu pour nous, surtout dans les Ecritures, secondairement dans la doctrine de l’église de la Trinité, est une conception de tourments. La conception dans laquelle Dieu existe pour lui-même n’est pas seulement relative: elle est tout à fait séparé de lui. Seulement à la grâce libre de l'Apocalypse il ne dépend pas que l’ancienne conception, sa séparation absolue de son objet est vétérinaire et non sans vérité. En ce sens les trois dans l’unicité de Dieu, comme nous le savons depuis l’opération de Dieu, est vérité. »

C. autorévélation de la condition sine qua non de toutes les connaissances de Dieu.

1. Dieu communique la connaissance de soi à l'homme. Kuyper attire l’attention sur le fait que la théologie comme connaissance de Dieu diffère à un point important de toutes les autres connaissances. Dans l’étude de toutes les autres sciences l’homme se place lui-même au-dessus de l’objet de son enquête et activement suscite d’elle ses connaissances par n’importe quelle méthode qui peut paraître plus appropriée, mais en théologie, il ne tient pas au dessus, mais plutôt sous l’objet de ses connaissances. En d’autres termes, l’homme peut connaître Dieu, uniquement dans la mesure où ce dernier activement se rend connu. Dieu est d’abord l’objet de communication des connaissances à l’homme et ne peut devenir un objet d’étude pour l’homme, dans la mesure où ce dernier s’approprie et se penche sur la connaissance transmise à lui par la révélation. Sans révélation l'homme n'aurait jamais été en mesure d’acquérir une connaissance de Dieu. Et même après que Dieu s’est révélé objectivement, ce n’est pas la raison humaine qui découvre Dieu, mais c’est Dieu qui se révèle à l'œil de la foi. Cependant, par l’application de la raison humaine sanctifiée à l’étude de l’homme par la Parole de Dieu peut, sous la direction du Saint-Esprit, acquérir une connaissance croissante de Dieu. Barth souligne également le fait que l’homme peut connaître Dieu que lorsque Dieu vient à lui dans un acte de la révélation. Il affirme qu’il n’existe aucun moyen de l’homme vers Dieu, mais seulement de Dieu à l’homme et dit à plusieurs reprises que Dieu est toujours le sujet et jamais un objet. La révélation est toujours quelque chose de purement subjective, et ne peut jamais se transformer en quelque chose d’objectif comme la parole écrite de l’Écriture Sainte et ainsi devenir un objet d’étude. Elle est donnée une fois pour toutes en Jésus Christ et en Christ vient aux hommes dans le moment existentiel de leur vie. Bien qu’il existe des éléments de vérité dans ce que dit Barth, son interprétation de la doctrine de la révélation est étrangère à la théologie réformée.

La position doit être maintenue, cependant, que la théologie serait totalement impossible sans une révélation de Dieu. Et quand on parle de l’Apocalypse, nous utilisons le terme au sens strict du mot. Il n’est pas quelque chose dans lequel Dieu est passif, un simple « devient manifeste », mais quelque chose dans lequel il est activement révélant lui-même. Il n’est pas autant dans le sens moderne dans lequel il aurait, une clairvoyance spirituelle approfondie, de ce qui conduit à une découverte toujours plus de Dieu de la part de l’homme; mais un surnaturel agir de communication indépendant, un acte tenace de la part du Dieu vivant. Il n’y a rien de surprenant dans le fait que Dieu peut être connue que si, et dans la mesure où, il se révèle. Dans une certaine mesure, c’est aussi vrai de l’homme. Même après que la psychologie a fait une étude assez exhaustive de l’homme, Alexis Carrell est encore capable d’écrire un livre très convaincant sur l’inconnu de l’homme. « Pour les hommes, » dit Paul, «Car qui est-ce qui connaît ce qui est en l'homme, si ce n'est l'esprit de l'homme qui est en lui? De même aussi, personne ne connaît ce qui est en L’ESPRIT DES VIVANTS, si ce n'est la Sainte Présence de L’ESPRIT DES VIVANTS.» 1 Cor. 2:11. Le Saint-Esprit sonde toutes choses, même les choses profondes de Dieu et leur révèle à l’homme. Dieu lui-même les a fait connaître. Aux côtés de l’archétype connaissance de Dieu, trouvé en Dieu lui-même, il y a également une connaissance et type de lui, donné à l’homme par la révélation. Ce dernier est lié à l’ancienne comme une copie à l’original et ne possède donc pas la même mesure de clarté et de la perfection. Toute notre connaissance de Dieu est dérivé de son autorévélation dans la nature et dans l’Écriture. Par conséquent, notre connaissance de Dieu est d’une part un type analogique, mais d’autre part aussi véridique et exacte, puisque c’est une copie de l’archétype connaissance que Dieu a de lui-même.

2. Connaissance innée et acquise de Dieu (COGNITIO INSITA et ACQUISTA). On fait généralement une distinction entre la connaissance innée et acquise de Dieu. Ce n’est pas une distinction strictement logique, car en dernière analyse, toute connaissance humaine est acquise. La théorie des idées innées est philosophique et non théologique. Les graines de celui-ci se trouvent déjà dans la doctrine des idées de Platon, alors qu’il se produit dans la De Natura Deorum de Cicéron dans une forme plus développée. Dans la philosophie moderne, qui a été d’abord enseigné par Descartes, et qui considère l’idée de Dieu comme innée. Il n’a pas jugé nécessaire de considérer cela comme inné en ce sens qu’elle était consciemment présente dans l’esprit humain depuis le début, mais seulement dans le sens que l’homme a une tendance naturelle à former l’idée quand l’esprit atteint sa maturité. La doctrine a enfin pris la forme qu’il y a certaines idées, dont l’idée de Dieu est le plus important, qui sont innées et sont donc présents dans la conscience humaine dès la naissance. C’est sous cette forme que Locke a justement attaqué la doctrine des idées innées, mais il est allé à un autre extrême dans son empirisme philosophique. La Théologie réformée a également rejeté la doctrine dans cette forme particulière. Et tandis que certains de ses représentants conserve les nom « idées innées », lorsqu'ils en ont donné une autre signification, d’autres ont préféré parler d’un insita Dei cognitio (rameaux ou plante de la connaissance de Dieu). D’une part cette cognitio Dei insita ne consiste pas en des idées ou forme des notions qui sont présentes chez l’homme au moment de sa naissance; mais en revanche, c’est plus qu’une simple capacité qui permet à l’homme de connaître Dieu. Il dénote une connaissance qui résulte nécessairement de la constitution de l’esprit humain, qui est inné que dans le sens qu’elle naît spontanément, sous l’influence de la semence religionis implanté chez l’homme, lors de sa création à l’image de Dieu, et qui n’est pas acquis par le laborieux processus de raisonnement et d’argumentation. C’est une connaissance que l’homme, constitué comme il est, acquiert de la nécessité et comme telle se distingue de toutes les connaissances qui sont conditionnée par la volonté de l’homme. Les connaissances acquises, en revanche, sont obtenue par l’étude de la révélation de Dieu. Elle ne découle pas spontanément à l’esprit humain, mais des résultats de la recherche consciente et soutenue de la connaissance. Elle peut être acquise que par le processus fastidieux de perception et de réflexion, de raisonnement et d’argumentation. Sous l’influence de l’idéalisme hégélien et de la conception moderne de l’évolution, la connaissance innée de Dieu a été trop souligner; Barth rejette en revanche l’existence d’une telle connaissance.

3. Révélation générale et spéciale. La Bible témoigne de la révélation de Dieu à un double: une révélation dans la nature autour de nous, dans la conscience humaine et dans le gouvernement providentiel du monde; et une révélation incarnée dans la Bible comme Parole de Dieu. Il témoigne à l’ancienne dans des passages comme suit: « Les cieux racontent la gloire de L’ESPRIT DES VIVANTS, et l'étendue fait connaître l'œuvre de ses mains. Le jour parle au jour, et la nuit enseigne la nuit. Il n'y a point en eux de langage, il n'y a point de paroles; toutefois leur voix est entendue. » Psaume 19:1-3. « Quoiqu'il n'ait point cessé de donner des témoignages de ce qu'il est, en faisant du bien, en nous envoyant du ciel les pluies, et les saisons fertiles, et en remplissant nos cœurs de biens et de joie.  » Actes 14:17. « Parce que ce qu'on peut connaître de L’ESPRIT DES VIVANTS est manifesté parmi eux, car L’ESPRIT DES VIVANTS le leur a manifesté. En effet, les choses invisibles de L’ESPRIT DES VIVANTS, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient clairement, depuis la création de cet agencement, quand on les considère dans ses ouvrages. De sorte qu'ils sont inexcusables. » Rom. 1:19, 20. De ce dernier, il donne des preuves abondantes dans l’Ancien et le Nouveau Testament. « Et L’ADMIRABLE somma Israël et Juda par chacun de ses prophètes et de ses voyants, leur disant: Revenez de vos mauvaises voies, gardez mes commandements et mes statuts, selon toute la loi que j'ai prescrite à vos pères, et que je vous ai envoyée par mes serviteurs les prophètes. « 2 Rois 17:13. « Il a fait connaître ses voies à Moïse, et ses exploits aux enfants d'Israël. » Psaume 103:7. « Personne n'a jamais vu L’ESPRIT DES VIVANTS; le seul Fils engendré, qui est l'enveloppe visible du Père invisible, est celui qui l'a manifesté dans la chair. » Jean 1:18. « L’ESPRIT DES VIVANTS ayant autrefois parlé à nos pères, à plusieurs reprises et en diverses manières, par les prophètes, Nous a parlé en ces derniers jours d'Israël par son Fils, JÉSUS LE MESSIE, qu'il a établi héritier de toutes choses; par lequel aussi il a fondé les siècles. Et qui, étant la splendeur de sa gloire et l'expression unique de son essence, et soutenant toutes choses par sa Parole puissante, ayant opéré par lui-même la purification de nos péchés, s'est assis à la droite de la Majesté divine dans les lieux très hauts. » Hébreux 1:1-3.

Sur la base de ces données mentionnés dans les Écritures inspirées et infaillibles, il est devenu habituel de parler de la révélation naturelle et surnaturelle. La distinction ainsi appliquée à l’idée de l’Apocalypse est principalement une distinction fondée sur la manière dont elle est communiquée à l’homme; mais au cours de l’histoire elle a également été basé en partie sur la nature de son objet. Le mode de révélation est naturel lorsqu’il est communiqué à travers la nature, c'est-à-dire par le biais de la création visible avec ses lois ordinaires et ses pouvoirs. Elle est surnaturelle lorsqu’elle est adressée à l’homme d’une manière plus haute ou plus sublime, surnaturelle lorsque lorsque Dieu lui parle, soit directement, soit par l’intermédiaire de messagers surnaturellement doués. La substance de la révélation était considérée comme naturelle, si elle pouvait être acquise par la raison humaine de l’étude de la nature; et a été considéré comme surnaturel lorsqu’elle ne pourrait pas être connu de la nature, ni par la raison humaine spontanée. Par conséquent, il est devenu assez fréquent dans le Moyen-âge à opposer raison et révélation, quoique l'Esprit de Dieu puisse éclairer la raison par la Sainte Présence de Christ qui habite ses élus leur donnant une manière de raisonner spirituellement. Dans la théologie protestante la révélation naturelle est souvent appelée un revelatio realis et la révélation surnaturelle un revelatio verbalis, parce que l’ancien s’incarne dans les choses et le second en mots. En cours de temps, cependant, la distinction entre naturelle et surnaturelle de la révélation s’est avérée pour être plutôt ambiguë, puisque toute la révélation est surnaturelle dans l’origine et, comme une révélation de Dieu également dans le contenu de son appréhension. Ewald, dans son ouvrage sur la révélation: sa Nature et Registre [p. 5 f.] parle de la révélation dans la nature comme une révélation immédiate et de la révélation dans les Ecritures, qu’il considère comme la seule qui mérite le nom «révélation » dans toute l’acception, comme médiation de révélation. Une distinction plus courante, cependant, qui a progressivement gagné monnaie, est celui de la révélation générale et spéciale. Dr. Warfield distingue les deux comme suit: « l’une s’adresse généralement à toutes les créatures intelligentes et est donc accessible à tous les hommes; l’autre s’adresse à une classe spéciale des pécheurs, à qui Dieu devrait faire connaître son salut. La première permettant de satisfaire et d’alimenter le besoin naturel des créatures pour la connaissance de leur Dieu; l’autre pour sauver les pécheurs brisés et déformés par leur péché et ses conséquences ». [Révélation et Inspiration, p. 6.] La révélation générale qui est enracinée dans la création, est adressée à l’homme comme être humain et plus particulièrement à la raison humaine et trouve sa finalité dans la réalisation de la fin de sa création, qui est de connaître Dieu et ainsi profiter de communion avec lui. La révélation spéciale est enracinée dans le plan Rédempteur de Dieu, est adressée à l’homme en tant que pécheur, sous entendu les élus seuls, peut être correctement comprise et ouverte uniquement par la foi de Christ et en Christ et a pour objectif de sécuriser la fin pour laquelle l’homme fut créé en dépit de la perturbation causée par le péché. Vu le plan éternel de la rédemption il faut dire que cette révélation spéciale n’est pas venu en tant qu’une arrière-pensée, mais qu’elle était en l’Esprit de Dieu dès le début.

Il y avait des divergences d’opinions concernant la relation entre ces deux mutuellement considérables. Selon la scolastique la révélation naturelle a fourni les données nécessaires pour la construction d’une théologie naturellement scientifique par la raison humaine. Mais alors que cela permis à l’homme d’atteindre une connaissance scientifique de Dieu comme cause ultime de toutes choses, elle ne prévoyait pas la connaissance des mystères, comme la Trinité, l’incarnation et de rédemption. Elle ne pouvait prévoir le mystère de la Trinité puisqu'elle ne peut prévoir une chose qui n'existe pas et qui a du être inventé par la philosophie de théoriciens qui se veulent maîtres sur la Parole de Dieu afin d'obtenir le monopole de la foi et des consciences. Cette connaissance de l'Être de Dieu est fournie par la révélation spéciale qu'aucun théoricien ne peut recevoir. C’est une connaissance qui n’est pas rationnellement démontrable, mais doit être acceptée par la foi et non par les principes de la philosophie platonicienne sur les mystères de l'existence de Dieu. Certains des scolastiques précédents étaient guidés par le slogan « Credo ut intelligam » et, après avoir accepté les vérités de la révélation spéciale par la foi dans une présomption de l'intellect, ont jugé nécessaire d'élever la foi à la compréhension d’une démonstration rationnelle de ces vérités, ou du moins de prouver leur rationalité. Thomas Aquinas, considère cependant que cela est impossible, sauf pour les vérités spéciales en tant que révélation contenue qui faisait également partie de la révélation naturelle. Selon lui, les mystères, qui forment le contenu réel de la révélation surnaturelle, n’admettent pas de démonstration logique. Toutefois, il a conclu qu’il ne pouvait y avoir aucun conflit entre les vérités naturelles et ceux de la révélation surnaturelle. S’il semble y avoir un conflit, il y a quelque chose de mal avec sa philosophie purement humaine et charnelle. Le fait demeure, toutefois, qu’il a reconnu, sans compter que la structure élevés par la foi sur la base de révélation surnaturelle, un système de théologie scientifique sur la fondation de la révélation naturelle, posant ainsi une autre fondation que celle de Christ (1 Cor. 3:11). Dans le premier on consent à quelque chose parce qu’il est révélé, dans le second parce qu’il est perçu comme vrai à la lumière de la raison naturelle. La démonstration logique, qui est hors de question dans l’un, est la méthode naturelle de la preuve dans l’autre.

Les réformateurs rejette le dualisme des scolastiques et visent à une synthèse de la double révélation de Dieu. Ils ne croyaient pas en la capacité de la raison humaine pour construire un système scientifique de la théologie sur la base de la révélation naturelle pure et simple. Mais si par «révélation naturelle» on entend par cela les notions élaborées par l'intellect de l'homme dont la nature est corrompue et esclave de la chair et du péché, donc ils se sabrent eux-mêmes dans leur théologie comme le fait d'ailleurs l'auteur de ce volume à plusieurs reprises. Leur point de vue peut être représenté comme suit: à la suite de l’entrée du péché dans le monde, l’Écriture de Dieu dans la nature est grandement obscurci et relève dans certaines des questions plus importantes des points plutôt sombres et illisibles. En outre, l'homme est frappé d’aveuglement spirituel et est donc privé de la possibilité de lire correctement ce que Dieu avait initialement clairement écrit dans les œuvres de création. Afin de remédier à la situation et éviter la frustration de son but, Dieu a fait deux choses. Dans sa révélation surnaturelle il a republié les vérités de la révélation naturelle, effacé leur idée fausse interprétées en vue du présent besoin de l’homme et par conséquent intégrées à sa révélation surnaturelle de la rédemption. Et en plus de cela il fournie un remède pour la cécité spirituelle de l’homme dans les travaux de régénération et de sanctification, y compris l’illumination spirituelle et ainsi permis à l’homme une fois de plus d'obtenir la vraie connaissance de Dieu, sachant qu'elle porte en elle l'assurance de la vie éternelle.

Lorsque le vent froid du rationalisme a déferlé sur l’Europe, la révélation naturelle a été exaltée au détriment de la révélation surnaturelle. L’homme s’est enivré avec un sentiment de sa propre capacité et de bonté, a refusé d’écouter et de se soumettre à la voix de l’autorité qui lui a parlé dans l’Écriture et s'est reposé en toute confiance dans la capacité de la raison humaine pour le conduire hors du labyrinthe d’ignorance et d’erreur dans l’ambiance claire de la vraie connaissance. Certains ont soutenu que la révélation naturelle était tout à fait suffisante pour enseigner aux hommes toutes les vérités nécessaires, ont néanmoins admis qu’ils puissent les apprendre plus tôt à l’aide de révélation surnaturelle. D’autres ont nié que l’autorité de la révélation surnaturelle était complète, jusqu'à ce que son contenu soit démontré par la raison. Et enfin le déisme dans certaines de ses formes a refusé, non seulement la nécessité, mais également la possibilité et la réalité de la révélation surnaturelle. Selon Schleiermacher l’accent se déplace de l’objectif au subjectif, de la révélation à la religion et sans aucune distinction entre religion naturelle et révélée. Le terme « révélation » est toujours conservé, mais est réservé comme une désignation de la clairvoyance spirituelle plus profonde de l’homme, une idée qui ne vient pas de lui sans sa propre recherche diligente. Ce qu’on appelle la révélation d’un point de vue, peut être appelé découverte humaine de l’autre. Ce point de vue est devenu tout à fait caractéristique de la théologie moderne. Knudson, dit: « Mais cette distinction entre la théologie naturelle et révélée est maintenant largement tombée en désuétude. La tendance actuelle est de dessiner sans forte ligne de démarcation entre la révélation et la raison naturelle, mais de considérer les idées plus élevées de la raison comme elles-mêmes la divine révélation. En tout cas il n’y a rien de fixe à la carrosserie de la vérité révélée, en acceptant le pouvoir qui se dresse contre les vérités de la raison. Toute vérité aujourd'hui repose sur sa compétence d’appel à l’esprit humain. » [La Doctrine de Dieu, p. 173.]

C’est ce point de vue de la révélation qui est dénoncée dans les termes les plus forts de Barth. Il est particulièrement intéressé par le sujet de la révélation et veut mener l’Église à partir du subjectif à l’objectif, de la religion jusqu'à l’Apocalypse. Dans la première, il voit surtout les efforts de l’homme pour trouver Dieu et, dans le dernier « la recherche de Dieu pour l’homme » en Jésus Christ. Barth ne reconnaît pas toute la révélation dans la nature. La révélation n'existe jamais sur une ligne horizontale, mais descend toujours perpendiculairement par dessus. La révélation est toujours Dieu en action, nous montrant que la Parole de Dieu détient quelque chose d’entièrement nouveau à l’homme, quelque chose dont il ne pourrait avoir aucune connaissance antérieure, et qui devient une véritable révélation que pour celui qui accepte l’objet de la révélation par une foi donnée par Dieu. Jésus Christ est la révélation de Dieu, et celui qui connaît le Christ Jésus ne sait rien sur la révélation jusqu'au moment que le Seigneur a déterminé pour qu'il la reçoive, si tel est son bon plaisir pour la gloire de son nom. La révélation est un acte de grâce, par lequel l’homme devient conscient de son état de pécheur et aussi de Dieu, et parvienne à la connaissance de la grâce libre, imméritée, condescendante indulgente en Jésus Christ. Barth l’appelle même la réconciliation. Puisque Dieu est toujours souverain et libre dans sa révélation, il ne peut jamais supposer une forme objective factuellement présente avec certaine limites, à laquelle l’homme peut se transformer à tout moment par son instruction. Par conséquent, cela serait une erreur de considérer la Bible comme la révélation de Dieu en un autre sens que celui d'une compréhension secondaire. Elle est un témoin et une fiche de la révélation de Dieu. Elle peut même, bien que dans un sens subordonné, être la prédication de l’Évangile. Mais grâce à quelque médiation la parole de Dieu qui peut venir à l’homme dans le moment existentiel de sa vie, elle est toujours reconnu par l’homme comme un mot parlé directement à lui et venir verticalement d'en haut. Cette reconnaissance est effectuée par une opération spéciale de l’Esprit Saint, par ce qu’on peut appeler un individuel testimonium Spiritus Sancti. La révélation de Dieu a été donnée une fois pour toutes dans le Christ Jésus: non pas dans son aspect historique, mais dans le super-historique dans lequel les pouvoirs du monde éternel deviennent évidents tel que dans son incarnation, sa mort et sa résurrection. Et si sa révélation est également continue — comme elle l'est —, elle est telle dans le sens que Dieu continue de parler à des pécheurs dans le moment existentiel de leur vie à travers la révélation dans le Christ et la prédication par la Bible. Ainsi, nous nous retrouvons avec des éclairs simples de l’Apocalypse à venir aux individus, dont seuls les élus ont une certitude absolue; et aucun témoin faillibles, ni autre fiche de la révélation de Jésus Christ, — sont une fondation plutôt précaire pour la théologie. Il n’est pas étonnant que Barth a des doutes quant à la possibilité de construire une doctrine de Dieu. L’humanité n’est pas en possession de toute la révélation infaillible de Dieu, sa révélation unique dans le Christ et son extension dans les révélations particulières qui viennent à certains hommes, elle a connaissance que par les dépositions des témoins faillibles.

QUESTIONS pour étude complémentaire: En quel sens peut-on parler du Dieu caché ou inconnu en dépit du fait qu’il s’est révélé ? Comment les scolastiques et les réformateurs diffèrent sur ce point ? Quelle est la position de la théologie moderne ? Pourquoi la révélation est essentielle à la religion ? Comment l’agnosticisme diffère-t-il théoriquement de l’athéisme ? Est le plus favorable à la religion que l’autre ? Comment Kant a-t-elle favorisé l’agnosticisme ? Quelle était la doctrine de Sir William Hamilton de la relativité de la connaissance ? Quelle forme a-t-il pris l’agnosticisme dans le positivisme ? Quelles autres formes a-t-il fallu ? Pourquoi certains parlent de Barth comme un agnostique ? Comment ces frais devraient être satisfaites ? Est la « révélation » un rôle actif ou un passif concept ? La théologie n’est possible sans révélation ? Si non, pourquoi ? La théorie des idées innées peut être défendue ? Qu’entend-on par « cognitio Dei insita ? » La différence entre naturelle et révélation surnaturelle ? Est la distinction entre la révélation générale et spéciale un parallèle exact du précédent ? Les différents points de vue ont eu lieu quant à la relation entre les deux ? Comment la révélation diffère-t-il de découverte humaine ? Barth pense-t-elle en général à la révélation ? Comment est-ce qu’il conçoit de la révélation spéciale ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. II, pp. 1: 74; Kuyper, Dict. dogme., De Deo I, pp. 1-76; Hodge, Syst. Theol. I, p. 191 à 240; 335-365; Shedd, dogme . THEOL. I, pp. 195-220; Quelquefois, Collected Works I, pp. 74-142; Dorner, système de Chr. Doct., I, pp. 79-159; Adeney, la Conception chrétienne de Dieu, pp. 19-57; Steenstra, l’être de Dieu comme l’unité et de la Trinité, pp. 1-25; Hendry, Dieu le créateur; Gilson, raison et révélation au moyen-âge; Baillie et Martin, révélation (un colloque de Aulen, Barth, Bulgakoff, d’Arcy, Eliot, Horton, et le Temple; Warfield, révélation et Inspiration, pp. 3-48; Orr, révélation et Inspiration, pp. 1-66; Cantin, révélation et l’Esprit Saint, pp. 11-127; Dickie, révélation et réponse, Warfield, Calvin et le calvinisme (Calvin Doctrine de la connaissance de Dieu).

 

III. Rapports de l’Être et attributs de Dieu

Certains dogmaticiens consacrent un chapitre ou des chapitres à l’Être de Dieu, avant d’aborder la discussion de ses attributs. Pour cela, par exemple, dans les œuvres de Ebrard, de Kuyper et Shedd. D’autres préfèrent considérer l’Être de Dieu dans le cadre de ses attributs étant donné que c’est dans ce qu’il a lui-même révélé. Il s’agit de la méthode plus commune, qui est suivie dans le Synopsis Purioris Theologiae et dans les œuvres de Turretin, Marck, Brakel, Bavinck, Hodge et Honig. Cette différence de traitement n’est pas indicative d’un grave désaccord fondamental entre eux. Ils sont tous d’accord que les attributs ne sont pas des noms simples à laquelle aucune réalité correspond, ni de séparer les parties d’un Dieu composite, mais des qualités essentielles dans lequel l’Être de Dieu est révélé et avec qui elles peuvent être identifiées. La seule différence semble être que certains cherchent à faire la distinction entre l’Être et les attributs de Dieu plus que d’autres choses.

A. l’Être de Dieu.

Il est évident que l’Être de Dieu n’admet pas de définition scientifique. Afin de donner une définition logique de Dieu, il faudrait commencer par aller à la recherche d’un concept plus élevé, en vertu duquel Dieu pourrait être coordonné avec les autres concepts; et on aurait alors à souligner les caractéristiques qui seraient applicables à Dieu seulement. Telle une génétique- définition synthétique qui ne peut être donné à Dieu, car Dieu n’est pas une des espèces des dieux, qui peut être subsumé sous un genre unique. Au plus seulement une analytique- définition descriptive est possible. Simplement, cela désigne les caractéristiques d’une personne ou une chose, mais laisse l’essentiel étant inexpliquée. Et même cette définition ne peut être complète mais seulement partielle, parce qu’il est impossible de donner une description exhaustive et positive (par opposition à la limite négative) de Dieu. Il s’agirait d'une énumération de tous les attributs connus de Dieu, et ils sont en grande partie négatifs dans leurs caractéristiques.

La Bible ne fonctionne jamais avec un concept abstrait de Dieu, mais toujours le décrit comme le Dieu vivant, qui s’engage dans des relations différentes avec ses créatures, relations qui sont indicatives de plusieurs attributs différents. Dans de Dictaten de Kuyper Dogmatiek [De Deo I, p. 28.] , on nous dit que Dieu, personnifié comme sagesse, parle de son essence dans Prov. 8:14, quand il attribue à lui-même, tushiyyach, un mot hébreu rendu « wezen » dans la traduction de Hollande. Mais cette interprétation est très douteuse, et le rendu anglais « avocat » mérite la préférence, quoique certaines versions portent les termes «sagesse» ou «prudence» ce qui est beaucoup plus précis d'après le texte hébreu. Il a également été souligné que la Bible parle de la nature de Dieu en II Pierre 1:4, mais cela peut difficilement désigner l’essentiel de Dieu, car nous ne sommes pas faits participants de l’essence divine. Mais ce texte ne parle aucunement de «l'essence divine» mais «de la nature divine» du Grec «phusis» dont la signification est que nous participons ou sommes associés à la force, les lois, et l'ordre d'une nouvelle nature que nous avons en Christ. Tandis que par «essence» il faut comprendre ce qui est essentiel à l'Existence divine, les principes intrinsèques ou inhérents de son Être. Faudrait peut-être que les gens fassent plus attention aux mots et leurs contextes lorsqu'ils lisent un texte pour ne pas sauter à des conclusions trop hâtives. Une indication de l’essence de Dieu a été trouvée dans le nom de Jéhovah ou YHWH traduit aussi par l'Éternel et l'Admirable, tel qu’interprété par Dieu lui-même, « JE SUIS CELUI QUI SUIS » (Ex. 3:14). Il est à remarquer que Jésus Lui-même se dit être JE SUIS (Jn. 8:58). Sur la base de ce passage l’essence de Dieu a été trouvé en étant elle-même une notion abstraite. Et cela a été interprété comme signifiant une existence autonome ou permanence autonome ou une indépendance absolue. Un autre passage est cité à plusieurs reprises contenant une indication de l’essence de Dieu, ainsi que l’approche plus proche de vous à une définition qui se trouve dans la Bible, à savoir Jean 4:24, « L'Esprit qui est L’ESPRIT DES VIVANTS nécessite alors que ceux qui l'adorent, l'adorent en raisonnant la vérité. » Cette déclaration du Christ témoigne clairement de la spiritualité de Dieu. Les deux idées dérivées de ces passages se produisent à répétition dans la théologie comme des appellations de l’étant de Dieu. Dans l’ensemble on peut dire que l’Écriture n'exalte un attribut de Dieu au détriment des autres, mais les représente comme existant en parfaite harmonie dans l’Être divin. Il peut être vrai que maintenant un et puis un autre attribut est souligné, mais l’écriture a manifestement l’intention de donner dûment l’accent à chacune d'entre elles. L’Être de Dieu se caractérise par une profondeur, une plénitude, une variété et une gloire bien au-delà de notre compréhension, et la Bible le représente comme un tout harmonieux glorieux, sans les contradictions inhérentes. Et cette plénitude de vie trouve son expression d’aucune autre manière que dans les perfections de Dieu.

Certains des premiers pères de l’Église étaient clairement sous l’influence de la philosophie grecque dans leur doctrine de Dieu et, comme l’exprime Seeberg, n’a pas avancé « au-delà de la simple conception abstraite que l’etre divin est une Existence sans-attribut absolue. » Depuis un certain temps les théologiens étaient plutôt généralement enclins à mettre l’accent sur la transcendance de Dieu et d’assumer la définition de l’essence divine ou l’impossibilité de toute connaissance adéquate. Pendant la controverse trinitaire, la distinction entre l’un essence et trois personnes en la divinité a été fortement soulignée, mais l’essence même de l’avis général est au-delà de la compréhension humaine. Grégoire de Nazianze, cependant, s’aventure à dire: « pour autant que nous pouvons discerner, ho sur et ho theos sont en quelque sorte plus que les autres expressions les noms de l’essence (divine) et de ces ho sur est préférable. » Il considère cela comme une description de l’etre absolu. Conception de Augustine de l’essence de Dieu était étroitement apparenté à celui de Gregory. Au moyen âge aussi il y avait une tendance à nier que l’homme a aucune connaissance de l’essence de Dieu, ou à réduire ces connaissances au minimum. Dans certains cas, un attribut a été identifié comme le plus expressif de l’essence de Dieu. Ainsi Thomas Aquinas a parlé de son aseity ou existence autonome et Duns Scot, de son infinité. Il est devenu assez fréquent aussi de parler de Dieu comme purus actus compte tenu de sa simplicité. Les réformateurs et leurs successeurs ont également parlent de l’essence de Dieu comme incompréhensible, mais ils n’excluent pas tout savoir de lui, bien que Luther a utilisé un langage très fort sur ce point. Ils ont insisté sur l’unité, la simplicité et la spiritualité de Dieu. Les mots de la Confessio Belgica sont tout à fait caractéristique: « Nous croyons tous avec le cœur et avouons avec la bouche, qu’il existe un seul Être simple et spirituelle que nous appelons Dieu. » [Art. I.] plus tard philosophes et théologiens trouves l’essence de Dieu à être abstraite, dans la substance universelle, dans pure pensaient, dans la causalité absolue, dans l’amour, en personnalité et en sainteté majestueuse ou le numineux.

B. La possibilité de connaître l’Être de Dieu.

De ce qui précède, il apparaît déjà que la question quant à la possibilité de connaître Dieu dans son être essentiel engagé les meilleurs esprits de l’église des premiers siècles. Et le consensus de l’opinion dans l’église primitive, pendant le moyen âge et au moment de la réforme, était que Dieu dans son être intime est le One incompréhensible. Et, dans certains cas, le langage utilisé est si fort qu’elle permet apparemment d’aucune connaissance de l’être de Dieu que ce soit. En même temps ils qui l’utilisent, au moins dans certains cas, semblent avoir beaucoup de connaissances de l’être de Dieu. Malentendu peut facilement se traduire d’un échec de comprendre la question exacte à l’examen et de négliger d’établir une distinction entre « savoir » et « comprendre ». La Scholastique a évoqué trois questions à laquelle toutes les spéculations concernant l’etre divin pourrait être réduit, à savoir: un sit Deus? Quid sit Deus? et Qualis sit Deus? La première question concerne l’existence de Dieu, la seconde, sa nature ou essence et le troisième, ses attributs. Dans ce paragraphe, c’est surtout la deuxième question qui appelle une attention. Alors la question est, ce qui est Dieu ? Quelle est la nature de sa constitution interne ? Ce qui fait qu’il soit ce qu’il est ? Afin de répondre adéquatement à cette question, nous aurions à être en mesure de comprendre Dieu et d’offrir une explication satisfaisante de son etre divin, et cela est totalement impossible. Le fini ne peut pas comprendre l’infini. La question de Valentin, « peux tu en recherchant savoir Dieu ? Peux tu trouver le tout-puissant à la perfection ? » (Job 11:7) a la force d’un fort négatif. Et si l'on considère la deuxième question tout à fait en dehors de la troisième, notre réponse négative devient encore plus inclusif. En dehors de la révélation de Dieu dans ses attributs, nous n’avons pas connaissance de l’être de Dieu que ce soit. Mais dans la mesure où Dieu se révèle dans ses attributs, nous avons également une connaissance de son être divin, mais malgré cela notre connaissance est soumis à des limites humaines.

Luther utilise certaines expressions très fortes concernant notre incapacité à connaître quelque chose de l’être ou l’essence de Dieu. D’une part, il distingue entre les Deus absconditus (Dieu caché) et le Deus revelatus (Dieu révélé); mais d’autre part, il affirme également qu’en connaissant le Deus revelatus, nous savons seulement lui dans son mystérieux. Par cela il signifie que, même dans sa révélation de Dieu, a lui-même manifesté pas entièrement, car il est essentiellement, mais quant à son essence reste enveloppée dans l’obscurité impénétrable. Nous connaissons Dieu seulement dans la mesure où il entrera en relations avec nous. Calvin parle aussi de l’essence Divine comme incompréhensible. Il détient que Dieu dans les profondeurs de son être est passé à découvrir. En parlant de la connaissance de la chique et du qualis de Dieu, il dit qu’il est plutôt inutile de spéculer sur les premiers, tandis que notre intérêt pratique se trouve dans le second. Il dit: « ils sont simplement jouer avec des spéculations glaciales dont l’esprit est définie sur la question de ce que Dieu est (quid sit Deus), lorsque qu’il s’agit vraiment de connaître est plutôt quel genre d’une personne, il est (qualis sit) et ce qui est approprié à sa nature. » [Inst. I. 2.2.] Alors qu’il se sent que Dieu ne peut être connu à la perfection, il ne nie pas que nous pouvons connaître quelque chose de nature ou de son être. Mais cette connaissance ne peut être obtenue par des méthodes a priori , mais seulement d’une manière a posteriori par les attributs, qu’il considère comme des déterminations réelles de la nature de Dieu. Ils véhiculent nous au moins quelques notions de ce qui est Dieu, mais surtout de ce qu’il est en relation avec nous.

En traitant de notre connaissance de l’être de Dieu, nous devons certainement éviter la position de Cousin, plutôt rare dans l’histoire de la philosophie, que Dieu même dans les profondeurs de son être n’est pas du tout incompréhensible mais essentiellement intelligible; mais nous devons également orienter clairement de l’agnosticisme de Hamilton et Mansel, selon lequel nous ne pouvons avoir aucune connaissance de l’être de Dieu. On ne peut pas comprendre Dieu, ne peut pas avoir une connaissance absolue et exhaustive de lui, mais nous pouvons sans aucun doute avoir une connaissance relative ou partielle de l’etre divin. Il est parfaitement vrai que cette connaissance de Dieu est possible seulement, parce qu’il a lui-même placé dans certaines relations envers ses créatures morales et s’est révélé à eux, et que même cette connaissance est humainement conditionnée; mais il est néanmoins connaissance réelle et vraie et est au moins une connaissance partielle de la nature absolue de Dieu. Il y a une différence entre une connaissance absolue et une connaissance relative ou partielle d’un être absolu. Il ne faut pas du tout pour dire que l’homme ne sait que les relations dans les peuplements de Dieu envers ses créatures. Pas même serait-il possible d’avoir une bonne conception de ces relations sans connaître quelque chose de Dieu et l’homme. Pour dire que nous pouvez ne savent rien de l’être de Dieu, mais sache que les relations, revient à dire que nous ne lui connaît pas du tout et que lui ne peut pas faire l’objet de notre religion. Le Dr Orr dit: « nous ne saurons pas Dieu dans les profondeurs de son être absolu. Mais nous pouvons au moins connaître dans la mesure où il se révèle dans sa relation avec nous. Par conséquent, la question n’est pas quant à la possibilité d’une connaissance de Dieu dans l’unfathomableness de son être, mais est: peut-on connaître Dieu alors qu’il entame des relations avec le monde et avec nous-mêmes ? Dieu est entré en relations avec nous dans ses révélations de lui-même et suprêmement en Jésus Christ; et nous chrétiens prétendent humblement que, par cette révélation, nous ne connaissons Dieu pour être le vrai Dieu et avoir de réelle connaissance avec son personnage et sera. N’est pas correct de dire que cette connaissance que nous avons de Dieu est seulement une connaissance relative. C’est en partie une connaissance de la nature absolue de Dieu aussi bien. » [Feux de côté sur la Doctrine chrétienne, p. 11.] Les dernières déclarations sont probablement destinées à conjurer l’idée que toute notre connaissance de Dieu est simplement par rapport à l’esprit humain, de sorte que nous n’avons aucune assurance qu’elle corresponde à la réalité telle qu’elle existe en Dieu.

C. L'Être de Dieu révélé dans ses attributs.

Il découle de la simplicité de Dieu que Dieu et ses attributs sont un. Les attributs ne peuvent être considérés comme tant d’éléments qui entrent dans la composition de Dieu, car Dieu n’est pas, comme les hommes, composé de différentes parties. Ni peuvent ils être considérés comme ajouter quelque chose à l’être de Dieu, bien que le nom, dérivé de ad et tribuere, puisse paraître au point en ce sens, aucun ajout a été jamais effectuée à l’être de Dieu, qui est éternellement parfait. Il est souvent dit en théologie que les attributs de Dieu sont Dieu lui-même, comme il s’est révélé à nous. La scolastique a insisté sur le fait que Dieu est tout ce qu’il a. He a vie, lumière, sagesse, amour, la justice et il peuvent être dit sur la base de l’écriture ce qu’il est vie, lumière, la sagesse, l’amour et la justice. Il a également affirmé par les scolastiques, que toute l’essence de Dieu est identique à chacun des attributs, afin que la connaissance de Dieu est Dieu, volonté de Dieu est Dieu et ainsi de suite. Certains d'entre eux est allé jusqu'à affirmer que chaque attribut est identique à tous les autres attributs, et qu’il n’y a aucune distinction logique en Dieu. Il s’agit d’une extrême très dangereuse. Même si on peut dire qu’il existe une interpénétration des attributs de Dieu, et qu’elles forment un ensemble harmonieux, nous nous dirigeons en direction de panthéisme, lorsqu’on exclut toute distinction en Dieu et dire que son existence autonome est son infinité , Son savoir est sa volonté, son amour est sa justice et vice versa. Il était caractéristique des nominalistes qu’ils ont effacé toute distinction réelle en Dieu. Ils avaient peur qu’en supposant que la distinction réelle en lui, correspondant aux attributs attribués à Dieu, ils pourrait mettre en péril l’unité et la simplicité de Dieu et étaient donc motivés par un but louable. Selon eux les perfections de l’etre divin n’existent que dans nos pensées, sans aucune réalité correspondante dans l’etre divin. Les réalistes, en revanche, a affirmé à la réalité des perfections divines. Ils ont réalisé que la théorie des nominalistes, systématiquement effectués, conduirait dans le sens d’un déni panthéiste d’un Dieu personnel et jugeait donc de la plus haute importance de maintenir la réalité objective des attributs de Dieu. Dans le même temps, ils ont cherché à préserver l’unité et la simplicité de Dieu en maintenant que toute l’essence est dans chaque attribut: Dieu est dans l’ensemble, tout à chacun. Thomas Aquinas avait le même but en tête, quand il a affirmé que les attributs ne révèlent pas ce que Dieu est en lui-même, dans les profondeurs de son être, mais seulement ce qu’il est en relation avec ses créatures.

Naturellement, nous devrions nous garder contre la séparation de l’essence divine et les attributs divins ou perfections et aussi contre une fausse conception de la relation dans laquelle ils se tiennent les uns aux autres. Les attributs sont des déterminations réelles de l’etre divin ou, en d’autres termes, qualités qui inhérente à l’être de Dieu. Shedd parle d’eux comme « une description analytique et plus proche de l’essence ». [Dogme. Théol. I, p. 334.] Dans un sens, ils sont identiques, donc qu’on peut dire que les perfections de Dieu sont Dieu lui-même car il s’est révélé à nous. Il est possible d’aller encore plus loin et dire avec Shedd, « toute l’essence est dans chaque attribut et l’attribut dans l’essence. » [Ibid. p. 334.] Et à cause de la relation étroite dans laquelle les deux debout les uns aux autres, on peut affirmer que la connaissance des attributs comporte la connaissance de l’Essence Divine. Ce serait une erreur de concevoir l’essence de Dieu comme existant par lui-même et avant les attributs et les attributs comme additifs et accidentels des caractéristiques de l’etre divin. Ils sont des qualités essentielles de Dieu, qui inhérente à son être même et sont co-existant avec elle. Ces qualités ne peuvent être modifiées sans altérer l’essentiel étant de Dieu. Et puisqu’ils sont des qualités essentielles, chacun d’eux nous révèle certains aspects de l’être de Dieu.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Comment pouvons-nous distinguer entre l’être, la nature et l’essence de Dieu ? Comment les points de vue philosophiques de l’essentiel étant de Dieu diffèrent généralement le point de vue théologique ? Que diriez-vous, la tendance à trouver l’essence de Dieu dans l’absolu, en amour ou dans la personnalité ? Ce qui veut dire Otto lorsqu’il caractérise comme « le Saint » ou « le Junior » ? Pourquoi est-il impossible pour l’homme de comprendre Dieu ? Sin en quelque sorte a-t-elle eu la capacité de l’homme de connaître Dieu ? Y a-t-il une différence entre la conception de Luther et de Barth de « Dieu caché » ? Calvin diffère-t-il d’eux sur ce point ? Luther ne partageait les vues de nominaliste d’Occam, par qui il fut influencé par ailleurs ? Comment les réformateurs, à la différence de la scolastique, considérait le problème de l’existence de Dieu ? Pourrions-nous avoir aucune connaissance de Dieu, s’il était en sans-attribut pur ? Quelles vues erronées des attributs doivent être évitées ? Quelle est la vue correcte ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. I, p. 91-113, Kuyper, Dict. dogme., De Deo I, pp. 124-158; Hodge, Syst. Theol. I, pp. 335-374; Shedd, dogme . THEOL. I, pp. 152-194; Quelquefois, Collected Works, I, pp. 104-172; Dorner, syst de Chr. Doct. I, p. 187-212; Orr, Chr. vue de Dieu et du monde, p. 75-93; Otten, Manuel de l’Hist. de dogmes I, pp. 254-260; Clarke, le Chr. Doct. de Dieu, p. 56-70; Steenstra, l’être de Dieu comme l’unité et de la Trinité, p. 1-88; Thomson, L’idée chrétienne de Dieu, pp. 117-159; Hendry, Dieu le créateur (du point de vue barthienne); Warfield, Calvin et le calvinisme, pp. 131-185 (de Calvin Doctrine de Dieu).

 

IV. Les noms de Dieu

A. Les noms de Dieu en général.

Alors que la Bible rapporte plusieurs noms de Dieu, il parle aussi de le nom de Dieu au singulier comme, par exemple dans les instructions suivantes: « Tu ne prendras le nom du Seigneur ton Dieu en vain, » Exode 20:7; » Comment excellent est ton nom dans toute la terre, » Psaume 8:1; « Tel est ton nom, Ô Dieu, est donc ta louange, » Psaume 48: 10; « Son nom est grand en Israël, » psaume 76:2; « Le nom de Jéhovah est une tour forte; les justes runneth dedans et est sans danger, » Prov. 18:10. Dans ce cas « le nom » se dresse la toute manifestation de Dieu dans sa relation à son peuple, ou simplement pour la personne, afin qu’il devienne synonyme de Dieu. Cette utilisation est due au fait que dans la pensée orientale un nom n’a été jamais considéré comme un simple vocable, mais comme une expression de la nature de la chose désignée. Pour connaître le nom d’une personne devait avoir le pouvoir sur lui, et les noms des dieux différents ont été utilisés dans les incantations pour exercer un pouvoir sur eux. Dans le sens le plus général du terme, puis, le nom de Dieu est son auto-révélation. C’est une désignation de lui, pas tel qu’il existe dans les profondeurs de son être divin, mais comme il se révèle particulièrement dans ses rapports avec l’homme. Pour nous, le seul nom général de Dieu est scindé en plusieurs noms, expressives de l’être de Dieu aux multiples facettes. C’est uniquement parce que Dieu s’est révélé en son nom (nomen editum), que nous pouvons maintenant lui désigner par ce nom sous diverses formes (nomina indita). Les noms de Dieu sont pas d’invention humaine, mais d’origine divine, mais ils sont tous empruntés à la langue humaine et dérivés de relations humaines et terrestres. Ils sont anthropomorphes et marquent une approche condescendante de Dieu à l’homme.

Les noms de Dieu constituent une difficulté pour la pensée humaine. Dieu est l' Incompréhensible un, infiniment exalté avant tout qui est temporel; mais dans ses noms, il descend à tout ce qui est fini et devient comme à l’homme. D’une part nous ne pouvons citer que lui, et d’autre part, il a beaucoup de noms. Comment cela s’explique-t-il ? Pour quelles raisons ces noms sont appliqués au Dieu infini et incompréhensible ? Il faut avoir à l’esprit qu’ils ne sont pas de l’invention de l’homme et ne pas témoigné pour sa perspicacité dans le cours même de Dieu. Ils sont donnés par Dieu lui-même, avec l’assurance qu’ils contiennent, dans une certaine mesure, une révélation de l’être divin. Ceci a été rendu possible par le fait que le monde et toutes ses relations est et était censé être une révélation de Dieu. Parce que le One incompréhensible s’est révélé à ses créatures, il est possible pour l’homme de nommer à la manière d’une créature. Afin de se faire connaître à l’homme, Dieu a dû condescendre au niveau de l’homme, s’accommoder à la conscience humaine limitée et finie et parler en langage humain. Si la désignation de Dieu anthropomorphe noms implique une limitation de Dieu, comme certains le disent, alors ce doit être fidèle à un degré encore plus grande de la révélation de Dieu dans la création. Alors le monde ne révèle pas, mais plutôt dissimule, Dieu; puis l’homme n’est pas liée à Dieu, mais constitue simplement une antithèse à lui; et puis nous sommes enfermés à un agnosticisme sans espoir.

Il découle de ce qui a été dit sur le nom de Dieu en général que nous pouvons inclure sous les noms de Dieu, non seulement les appellatifs par lequel il est indiqué comme un être personnel indépendant et par qui il est adressé, mais également les attributs de Dieu; et puis pas simplement les attributs du divin étant en général, mais aussi ceux qui sont admissibles les personnes séparées de la Trinité. Dr. Bavinck fonde sa division des noms de Dieu sur cette conception large d'entre eux et distingue les nomina propria (noms propres) essentialia nomina (noms essentiels ou attributs) et nomina personnages (noms de personnes, comme père, fils et Saint Esprit). Dans le présent chapitre, nous nous limitons à la présentation de la première classe.

B. l’ancien Testament noms et leur signification.

1. ' EL, ' élohim, et ' ELYON. Le plus simple par laquelle Dieu est désigné dans l’ancien Testament, est le nom de «El, qui est peut-être dérivé de »ul, soit dans le sens d’être premier, étant le Seigneur, ou dans celui d’être fort et puissant. Le nom 'Elohim (sing. Éloah) vient probablement de la même racine, ou de 'alah, à être frappé de crainte; et donc les points à Dieu comme le fort et puissant, ou que l’objet de la peur. Le nom se produit rarement au singulier, sauf en poésie. Le pluriel doit être considérée comme intensive et donc sert à indiquer une plénitude de puissance. Le nom «Elyon est dérivé de »alah, pour monter, à un taux élevé et désigne Dieu comme le haut et exalté One, 14:19, 20; Nombres 24:16; Ésaïe 14:14. On le trouve surtout dans la poésie. Ces noms ne sont pas encore nomina propria au sens strict du terme, car ils servent aussi d’idoles, Psaume 95: 3; 96:5, des hommes, 33:10 de la Genèse; Exode 7:1 et des dirigeants, juges 5:8; Exode 21:6; 22:8-10; PS. 82: 1.

2. ' ADONAI. Ce nom est lié au sens de précédentes. Il est dérivé soit dun (din) ou 'adan, les deux de qui veut juger, de règle et donc les points à Dieu tout-puissant souverain, à qui tout est soumis, et à qui l’homme est lié en tant que serviteur. Dans les temps anciens, c’est le nom usuel par lequel le peuple d’Israël a adressé Dieu. Plus tard, il a été largement supplanté par le nom de Jéhovah (Yahvé). Tous les noms mentionnés jusqu'à présent décrivent Dieu comme la haute et exalté un, le Dieu transcendant. Les noms suivants soulignent le fait que cela glorifié étant daigna à entretenir des relations avec ses créatures.

3. SHADDAI et ' EL-SHADDAI. Le nom Shaddai est dérivé de shadad, d’être puissants et des points situés à Dieu comme possédant tout pouvoir au ciel et sur terre. D’autres, cependant, dérivent de shad, Seigneur. Il se différencie en un point important de 'Elohim, le Dieu de la création et de la nature, en ce qu’il contemple Dieu comme soumettant tous les pouvoirs de la nature et ce qui les rend servile de le œuvre de la grâce divine. Bien qu’il insiste sur la grandeur de Dieu, il ne représente pas lui comme un objet de crainte et de terreur, mais comme une source de bénédiction et de confort. C’est le nom avec lequel Dieu apparut à Abraham, le père des fidèles, Exode 6:2.

4. YAHWEH et Yahvé TSEBHAOTH. C’est surtout dans le nom Yahvé, qui peu à peu supplanté les noms antérieurs, que Dieu se révèle comme le Dieu de grâce. Il a toujours été considéré comme le plus sacré et le plus distinctif nom de Dieu, le nom incommunicable. Les Juifs avaient une crainte superstitieuse de l’utiliser, car ils Lév. 24:16 comme suit: « Celui que nameth, le nom de l’éternel sera puni de mort. » Et donc en lisant les écritures ils substitués pour qu’il soit «Adonai ou 'élohim; et les Massoretes, tout en conservant les consonnes intactes, qui leur sont rattachés les voyelles de l’un de ces noms, généralement ceux de «Adonai. Le calcul réel du nom et sa prononciation originale et le sens sont plus ou moins perdu dans l’obscurité. Le Pentateuque relie le nom avec le verbe hébreu hayah, être, Ex. 03:13, 14. Sur la force de ce passage, on peut supposer que le nom est, selon toute probabilité, dérivé une forme archaïque de ce verbe, nommément hawah. Autant que la forme est concernée, il peut être considéré comme une troisième personne imparfait qal ou hiphil. Très probablement, toutefois, c’est l’ancien. La signification est expliquée dans la pièce n° 03:14, qui est traduit « Je suis que je suis », ou « Je serai ce que je serai. » Ainsi interprétée, les points de nom à l’immuabilité de Dieu. Pourtant, il n’est pas tellement l’immuabilité de son être essentiel qui est en vue, comme l’immuabilité de sa relation avec son peuple. Le nom contient l’assurance que Dieu sera pour les gens de jour de Moïse de ce qu’il faisait pour leurs pères, Abraham, Isaac et Jacob. Il souligne la fidélité de l’Alliance de Dieu, est à son nom propre par excellence, Exode 15:3; PS. 83:19; Osée 12:6; 42:8 d’Ésaïe et sert donc de personne d’autre que le Dieu d’Israël. Le caractère exclusif du nom apparaît dans le fait qu’il ne se produit jamais au pluriel ou un suffixe. Les formes abrégées de celui-ci, notamment dans des dénominations composées, sont Yah et Yahu.

Le nom de Yahvé est souvent renforcé par l’ajout de tsebhaoth. Origène et Jérôme considèrent cela comme une apposition, parce que Yahvé n’admet pas d’un état de construction. Mais cette interprétation n’est pas suffisamment justifiée et peine donne un sens intelligible. Il est assez difficile de déterminer ce que le mot tsebhaoth se réfère. Il y a surtout trois avis:

a. les armées d’Israël. Mais la justesse de ce point de vue peut être mise en doute bien. La plupart des passages cités à l’appui de cette idée ne prouve pas le point; seulement trois d'entre eux contiennent un semblant de preuve, à savoir, j’ai Samuel 4:4; 17:45; II Samuel 6:2, alors que l’un d'entre eux, II Rois 19:31, est plutôt défavorable à ce point de vue. Tandis que le pluriel tsebhaoth est utilisé pour les hôtes du peuple d’Israël, l’armée est régulièrement indiquée par le singulier. Cela milite contre l’idée, inhérente à ce point de vue, que dans le nom de l’étude, le terme renvoie à l’armée d’Israël. En outre, il est clair que dans les prophètes au moins le nom de « Jéhovah des armées » ne fait pas référence à Jéhovah comme Dieu de la guerre. Et si changer le sens du nom, ce qui a causé le changement ?

b. les étoiles. Mais en parlant de l’armée céleste Ecriture utilise toujours au singulier et jamais au pluriel. En outre, tandis que les étoiles sont appelés de l’armée des cieux, ils ne sont jamais désignés l’hôte de Dieu.

c. les anges. Cette interprétation mérite la préférence. Le nom de Yahvé tsebhaoth se trouve souvent dans les connexions dans les anges sont mentionnés: J’ai Samuel 4:4; II Samuel 6:2; Ésaïe 37: 16; Osée 12:4, 5, PS. 80: 1, 4 f.; PS. 89; 6-8. les anges sont représentés à plusieurs reprises comme un hôte qui entoure le trône de Dieu, Genèse 28: 12; 32: 2; Jos. 05:14; Iier Rois 22:19; PS. 68:17; 103:21; 148:2; Ésaïe 6:2. Il est vrai que dans ce cas également le singulier est généralement utilisé, mais ce n’est aucun grave d’objection, étant donné que la Bible indique aussi qu’il y avait plusieurs divisions d’anges, Genèse 32: 2; Deutéronome 33: 2; PS. 68:17. En outre, cette interprétation est en harmonie avec la signification du nom, qui n’a aucune saveur martial, mais est expressif de la gloire de Dieu comme roi, Deutéronome 33: 2; Iier Rois 22:19; Psaume 24:10; Ésaïe 6:3; 24:23; Zacharie 14:16. Jéhovah des armées, est alors Dieu comme le roi de gloire, qui est entouré par des anges, qui gouverne le ciel et la terre dans l’intérêt de son peuple, et qui reçoit la gloire de toutes ses créatures.

C. Les noms dans le Nouveau Testament et leur interprétation.

1. THEOS. Le Nouveau Testament a les équivalents grecs les noms de l’ancien Testament. Pour «El, »élohim, et 'Elyon il a Theos, qui est le plus commun nom appliqué à Dieu. Comme 'Elohim, il peut par hébergement servir des dieux païens, bien que strictement parlant, il exprime la divinité essentielle. 'Elyon est rendu Hupsistos Theos, Marc 5:7; Luc 01:32, 35, 75; Actes à 07:48; 16:17; Hébreux 7:1. Les noms Shaddai et 'El-Shaddai sont rendus Pantokrator et Theos Pantokrator, II Corinthiens 06:18; Apocalypse 1:8; 4:8; 11:17; 15:3; 16:7, 14. plus généralement, cependant, Theos est trouvée un génitif de possession, comme mou, sou, hemon, humon, car en Christ, Dieu peut être considéré comme le Dieu de tous et de chacun de ses enfants. L’idée nationale de l’ancien Testament a fait place à l’individu dans la religion.

2. KURIOS. Le nom de Yahvé est expliquée plusieurs fois par des variations de nature descriptive, comme « l’Alpha et l’Omega, » « qui est et qui était et qui est à venir, » « le début et la fin, » « le premier et le dernier, » Apocalypse 1:4, 8, 17; 2:8; 21:6; 22:13. pour le reste, toutefois, le Nouveau Testament suit la Septante, qui substitue 'Adonaï et cela a rendu par Kurios, dérivé de kuros, puissance. Ce nom n’a pas exactement la même connotation que Yahvé, mais désigne Dieu comme le Mighty One, le Seigneur, le possesseur, le souverain qui a autorité et pouvoir judiciaire. Il sert non seulement de Dieu, mais aussi du Christ.

3. PATER. On dit souvent que le Nouveau Testament a présenté un nouveau nom de Dieu, à savoir, Pater (père). Mais ce n’est pas correct. Le nom du Père est utilisé de la divinité même dans les religions païennes. Il est utilisé à plusieurs reprises dans l’ancien Testament pour désigner la relation entre le Dieu d’Israël, Deut. 32: 6; PS. 103:13; Ésaïe 63:16; 64:8; Jérémie 3:4, 19; 31: 9; Malachie 1:6; 02:10, alors qu’Israël est appelé le fils de Dieu, Ex. 04:22; Deutéronome 14:1; 32:19; Ésaïe 1:2; Jérémie 31: 20; Osée 01:10; 11:1. dans ce cas le nom exprime la relation théocratique spéciale dans laquelle Dieu se trouve en Israël. Dans le sens général de l’auteur ou du créateur, il est utilisé dans les passages suivants du Nouveau Testament: I Corinthiens 8:6; EP 03:15; Hébreux 12:9; James 01:18. Dans tous les autres endroits, il sert à exprimer la relation spéciale dans laquelle la première personne de la Trinité se trouve à Christ, comme fils de Dieu dans une métaphysique ou un sens médiatrice, ou la relation éthique dans laquelle Dieu se présente à tous les croyants dans son Alliance spirituelle. Or le nom de «Père» signifie littéralement «ce qui est la Source, l'Origine, le Concepteur qui engendre toutes choses, le Producteur» et désigne proprement «le Créateur, le Fondateur, le Conducteur, le Générateur» ou encore «l'Ancien des jours». Le Père ou plus précisément «la Source» de toutes existences est un «Esprit» éternel et incorporel qui est sans commencement et sans fin, et dont la disposition de son essence comporte les facultés existentielles de la Volonté, de la Parole, et de la Pensée, ce qui fait de Lui un Être Vivant. Il y a donc une triple conscience d'existence en Dieu dans l'essence des facultés de sa nature divine «sa Volonté, sa Parole, sa Pensée» (la Volition, l'Expression, la Réflexion «la Vie, la Vérité, la Lumière»), et non trois personnes distinctes l'une de l'autre. Cette Source d'Existence Suprême n'est évidemment pas un homme corporel et donc n'est forcément pas «une personne», puisque le mot «personne» se rapporte strictement et uniquement à l'homme corporel comme créature, considéré comme un être de chair et os conscient de son existence, possédant la continuité de la vie psychique et capable de distinguer le bien du mal, et dont la caractéristique prédominante est l'individualité. En d'autres mots, le terme «personne» ne peut s'appliquer à Dieu en aucune façon sans violer la vérité de son existence. Mais l'Église dite chrétienne dans toutes ses branches, groupements ou assemblées, s'obstine et insiste que Dieu est une personne et ajoute en plus dans son viol de la vérité, que nous venons de voir, qu'il y a trois personnes distinctes dans son essence et appelle cela un mystère, ce qui est plutôt un blasphème et une aberration des plus odieuses (Apoc. 13:1-6) puisqu'elle a créé Dieu à l'image de l'homme avec sa trinité loufoque qu'elle s'imagine dans ses écarts exaltés être la vérité même. L'emphase ici est sur le mot «personne» et nous avons vue qu'il est impossible que ce terme puisse être utilisé pour décrire Dieu qui est Esprit (Jean 4:24), car un esprit n'a ni chair ni os (Luc 24:39). Pourquoi donc insister à dire le contraire si ce n'est le fait que l'esprit de la nature humaine déchue recherche constamment à s'élever au niveau de la divinité par la philosophie et par une théologie captieuse et mystifiante, élaborée en principes purement charnel pour donner gloire à l'homme qui en a rédigé les prémisses en un système de pensée purement hypothétique dans le but de dominer sur la foi et les consciences. Or pour expliquer la notion plus clairement d'une triple conscience en Dieu: la Volonté de l'Esprit des vivants est la Volition ou manifestation même de l'existence ou Source de la Vie qui correspond au mot Père (car le mot Père signifie aussi Source); la Parole est l'Expression ou engendrement de l'Existence de l'Esprit des vivants dans la Vérité absolue de la certitude en la Source qui correspond au mot Fils (car le mot Fils porte aussi le sens d'engendrement); la Pensée est la réflexion de la Volition et de l'Expression de l'Esprit des vivants dans sa Présence au sein de la lumière de la Source de l'Existence et correspond au Saint-Esprit (car Saint-Esprit signifie aussi Sainte Présence, celle de l'Esprit des vivants qui est Lui-même la Volition, l'Expression, et la Réflexion de sa propre existence). En d'autres mots, la Source est aussi l'Expression en tant que Sainte Présence, il n'y a pas de distinctions dans l'Esprit Éternel; les trois sont une même activité dans la disposition d'une seule Existence Suprême dont la profondeur est insondable. La triple conscience de l'Esprit des vivants éternel s'est manifesté corporellement dans la chair sous le nom de Jésus, l'enveloppe visible de la Source invisible, la seule et unique Personne en Dieu du fait de son incarnation et de son exaltation ou retour à sa gloire première avec son corps glorifié et transformé qui est donné tous les attributs de la divinité. Le principe ainsi expliqué ne viole en aucune façon la vérité sur l'existence de l'être de Dieu, mais glorifie Jésus comme étant le Dieu Suprême, la Source de toutes existences, c'est à dire «le Père éternel manifesté dans la chair comme Fils». Il ne s'agit donc pas du Fils comme deuxième personne d'une trinité hautement spéculative qui s'est incarné dans la chair, mais du Créateur et Maître de l'univers qui s'est formé un corps dans le sein d'une vierge, se révélant ainsi comme Fils, le seul engendré de la sorte dans toute l'histoire de la race humaine.

V. Les attributs de Dieu en général

A. Évaluation des termes utilisés.

Les nom « attributs » ne sont pas idéales, car elle véhicule la notion d’ajout ou assigner quelque chose à l’un et est donc aptes à créer l’impression que quelque chose est ajouté à l’etre divin. Sans doute le terme « propriétés » est mieux, comme pointant vers quelque chose qui est bonne à Dieu et à Dieu seul. Naturellement, dans la mesure où certains des attributs sont communicable, le caractère absolu de la proprium est affaibli, à cet égard certains des attributs ne sont pas propres à Dieu dans le sens absolu du mot. Mais même ce terme contient la suggestion d’une distinction entre l’essence ou la nature de Dieu et ce qui est bon pour elle. Dans l’ensemble, il est préférable de parler des « perfections » ou des « vertus » de Dieu, avec la compréhension distincte, cependant, que dans ce cas le terme « vertus » ne sert pas dans un sens purement éthique. Ce faisant nous (suite) l’utilisation de la Bible, qui utilise terme arete, rendu vertus ou Excellences, dans I Pierre 2:9; b éviter la suggestion que quelque chose est ajouté à l’être de Dieu. Ses vertus ne sont pas ajoutées à son être, mais son être est le plérôme de ses vertus et se révèle en eux. Ils peuvent être définis comme les perfections qui reposent de l’etre divin dans les écritures, ou sont visiblement exercées par lui dans ses œuvres de création, providence et de la rédemption. Si nous continuons à utiliser les nom « attributs », c’est parce qu’il est couramment utilisé et distinctes étant entendu que la notion de quelque chose est ajouté à l’être de Dieu doit être exclue de façon rigide.

B. Méthode de détermination des attributs de Dieu.

Les scolastiques dans leur tentative de construire un système de théologie naturelle posé trois façons de déterminer les attributs de Dieu, qu’il a désignés comme la via causalitatis, via negationis et par l’intermédiaire d’eminentiae. Par la voie de la causalité nous élever contre les effets que nous voyons dans le monde autour de nous l’idée d’une Cause première, de la contemplation de la création, à l’idée d’un créateur tout-puissant et de l’observation du gouvernement moral du monde , à l’idée d’un souverain puissant et sage. Par le biais de négation nous retirer de notre idée de Dieu toutes les imperfections vus dans ses créatures, comme incompatible avec l’idée d’un être parfait et rendez lui la perfection opposée. En se fondant sur ce principe, on parle de Dieu comme indépendant, infini, incorporel, immense, immortel et incompréhensible. Et enfin, au moyen de l’éminence nous attribuer à Dieu la manière la plus éminente perfections relatives qui nous découvrons chez l’homme, selon le principe que ce qui existe dans un effet, préexiste dans sa cause et même dans le sens le plus absolu en Dieu comme le plus parfait étant. Cette méthode peut faire appel à certains, parce qu’il procède du connu vers l’inconnu, mais il n’est pas la bonne méthode de théologie dogmatique. Il prend son point de départ chez l’homme et en déduit ce qu’il trouve chez l’homme à ce qui se trouve en Dieu. Et dans la mesure où cela rend l’homme la mesure de Dieu. Ce n’est certainement pas une méthode théologique de la procédure. En outre, elle fonde sa connaissance de Dieu sur les conclusions humaines plutôt que sur la révélation de Dieu dans sa parole divine. Et pourtant, c’est la source seulement adéquate de la connaissance de Dieu. Bien que cette méthode pourrait être suivie dans une soi-disant théologie naturelle, il ne rentre pas dans une théologie de la révélation.

Il peut de même des méthodes suggérées par les représentants modernes de théologie expérimentale. On trouvera un exemple typique de ceci dans la théologie comme une Science empirique de Macintosh. [p. 159 et suiv.] Il parle également de trois méthodes de procédure. Nous pouvons commencer avec nos intuitions de la réalité de Dieu, ces certitudes irraisonnées qui sont profondément enracinées dans l’expérience immédiate. L’une d'entre elles est que l’objet de notre dépendance religieuse est tout à fait suffisante pour nos besoins impératives. Surtout les déductions peuvent être tirées de la vie de Jésus et le « Christ » dans le monde. Nous pouvons également prendre notre point de départ, pas dans les certitudes de l’homme, mais dans ses besoins. Le postulat pratiquement nécessaire est que Dieu est tout à fait suffisant et absolument fiable en ce qui concerne les besoins religieux de l’homme. Sur cette base l’homme peut s’accumuler sa doctrine des attributs de Dieu. Et, enfin, il est également possible de suivre une méthode plus pragmatique, qui repose sur le principe que nous pouvons apprendre dans une certaine mesure quelles choses et personnes sont, au-delà de ce qu’ils sont immédiatement perçus comme, en observant ce qu’ils font. Macintosh estime qu’il est nécessaire de faire usage de ces trois méthodes.

Ritschl veut nous à commencer par l’idée que Dieu est amour et nous aurait demande ce qui est impliqué dans cette plus caractéristique de la pensée de Dieu. Car l’amour est personnelle, elle implique la personnalité de Dieu et nous offre ainsi un principe d’interprétation du monde et de la vie de l’homme. La pensée que Dieu est amour porte également en lui la conviction qu’il peut réaliser son dessein d’amour, qui est, que sa volonté est suprêmement efficace dans le monde. Cela donne l’idée d’un créateur tout-puissant. Et en vertu de cette pensée fondamentale nous affirmons également l’éternité de Dieu, puisque, dans le contrôle de toutes choses pour la réalisation de son Royaume, il voit la fin dès le début. Dans une veine semblable, Dr W. A. Brown dit: « nous gagnons notre connaissance des attributs en analysant l’idée de Dieu qui nous a déjà gagnés de la révélation dans le Christ; « et nous organiser de manière à amener les traits distinctifs de cette idée d’expression la plus claire ». [Chr. théol. dans esquisse, p. 101.]

Toutes ces méthodes prennent leur point de départ dans l’expérience humaine, plutôt que dans la parole de Dieu. Ils ont délibérément ignorent l’autorévélation claire de Dieu dans l’écriture et exaltent l’idée de la découverte humaine de Dieu. Ceux qui utilisent ces méthodes ont une idée exagérée de leur propre capacité de découvrir Dieu et à déterminer la nature de Dieu inductif par approuvé « méthodes scientifiques ». Dans le même temps, ils ferment les yeux sur le seul moyen par lequel ils pourraient obtenir vraie connaissance de Dieu, c'est-à-dire sa révélation spéciale, apparemment inconsciente du fait que seul l’esprit de Dieu peut rechercher et révéler les choses profondes de Dieu et leur révéler à nous . Leur méthode même oblige à traîner Dieu jusqu’au niveau de l’homme, pour souligner son immanence au détriment de sa transcendance et de lui faire continu avec le monde. Et comme le résultat final de leur philosophie, nous avons un Dieu fait à l’image de l’homme. James condamne tout intellectualisme dans la religion et soutient que la philosophie sous la forme de la théologie scolastique échoue comme complètement définir des attributs de Dieu d’une manière scientifique, comme il le fait pour établir son existence. Après un appel pour le livre de Job, il dit: « Ratiocination est un chemin relativement superficiel et irréel à la divinité. » Il conclut son analyse par ces mots significatifs: « En toute sincérité, je pense que nous devons conclure que la tentative de démontrer, par des procédés purement intellectuelle, la vérité des délivrances des expériences religieuses directs est absolument sans espoir. » [Variétés de l’expérience religieuse, p. 455] Il a plus de confiance dans la méthode pragmatique qui cherche pour un Dieu qui répond aux besoins pratiques de l’homme. Dans son estimation, il suffit de croire que « au-delà de chaque homme et de façon continue avec lui il existe un plus grand pouvoir qui est amical à lui et à ses idéaux. Tout ce que les faits ont besoin est que le pouvoir devrait être autre et plus grand que notre moi conscient. Quelque chose de plus grand va faire, s’il sera assez grand pour faire confiance à l’étape suivante. Il ne doit pas être infinie, il ne doit pas être solitaire. Il pourrait être concevable même seulement une auto de plus grande et plus divine, en dont le soi présent serait alors l’expression mutilée, et l’univers pourrait éventuellement être une collection de ces selves, à des degrés divers et d’inclusivité, avec aucune unité absolue réalisé en elle du tout. » [Ibid.., p. 525.] Ainsi, nous nous retrouvons avec l’idée d’un Dieu finie. [Cf. Baillie, Notre connaissance de Dieu, p. 251 et suiv. à ce sujet.]

La seule bonne façon de connaître parfaitement fiables les attributs divins est par l’étude de la révélation de Dieu dans l’écriture. Il est vrai que nous pouvons acquérir quelques connaissances de la grandeur et de puissance, la sagesse et la bonté de Dieu à travers l’étude de la nature, mais pour une conception adéquate de ces attributs, il sera nécessaire de se tourner vers la parole de Dieu. Dans la théologie de la révélation, nous cherchons à apprendre de la parole de Dieu qui sont les attributs de l’etre divin. Homme ne pas permis d’obtenir la connaissance de Dieu comme il le fait par d’autres objets d’étude, mais Dieu transmet la connaissance de soi à l’homme, une connaissance que l’homme ne peut accepter et approprié. Pour l’appropriation et la compréhension de cette connaissance révélée, qu'il est, bien sûr, la plus grande importance que l’homme est créé à l’image de Dieu et conclut donc des analogies utiles dans sa propre vie. À la différence de la méthode a priori de la scolastique, qui déduit les attributs de l’idée d’un être parfait, cette méthode peut être appelée a posteriori, puisqu’il prend son point de départ, ne pas dans un être parfait abstrait, mais dans la plénitude de la révélation divine et à la lumière de cela cherche à connaître l’être divin. C. a suggéré des Divisions des attributs.

La question de la classification des attributs divins a retenu l’attention des théologiens depuis longtemps. Plusieurs classifications ont été proposées, plus dont distinguer deux grandes classes. Ces classes sont désignées par des noms différents et représentent les points de vue différents, mais sont essentiellement les mêmes dans les différentes classifications. Ce qui suit est les plus importants d'entre eux:

1. certains parlent des attributs physiques et moraux. Le premier, comme une existence autonome, simplicité, infini, etc., appartiennent à la nature constitutionnelle de Dieu, par opposition à sa volonté. Ce dernier, comme la vérité, la bonté, la miséricorde, la justice, sainteté, etc., qualifie comme un être moral. L’objection à cette classification est que les soi-disant attributs moraux sont tout aussi vraiment naturel (c'est-à-dire d’origine) en Dieu comme les autres. Dabney préfère cette division, mais admet, compte tenu de cette objection, que les conditions ne sont pas heureuse. Il serait plutôt parler d’attributs moraux et non moral.

2. d’autres distinguent entre les attributs absolus et relatifs. Les premiers appartiennent à l’essence de Dieu tel qu’il est considéré en soi, alors que ces derniers appartiennent à l’essence divine, considéré par rapport à sa création. L’un classe inclut ces attributs comme une existence autonome, immensité, l’éternité; et l’autre, ces attributs comme l’omniprésence et l’omniscience. Cette division semble supposer que nous pouvons avoir une connaissance de Dieu tel qu’il est en lui-même, entièrement mis à part les relations dans lesquelles il se tient à ses créatures. Mais ce n’est pas tellement et donc, à proprement parler, toutes les perfections de Dieu sont relatifs, ce qui indique qu’il est en relation avec le monde. Strong évidemment ne reconnaît pas l’objection de conscience et donne la préférence à cette division.

3. encore d’autres divisent les perfections divines immanente ou intransitive comme des attributs qui émanent ou sont transitives. Strong combine cette division avec le précédent, quand il parle des attributs immanente ou absolue et relative ou transitive . Les premiers sont ceux qui ne vont pas de suite et fonctionnent à l’extérieur de l’essence divine, mais qui demeurent immanente, tels que l’immensité, l’éternité, simplicité, etc..; et ces derniers sont par exemple question de suite et produisent des effets externes à Dieu, comme l’omnipotence, la bienveillance, la justice, etc.. Mais si certains des attributs divins sont purement immanentes, tout savoir d’eux semble être exclue. H. B. Smith remarque que chacun d’eux doit être immanent et transeunt.

4. la distinction plus courante est celle entre les attributs incommunicable et transmissibles. Les premiers sont ceux à qui n’a rien d’analogue dans la créature, comme aseity, simplicité, immensité, etc..; ce dernier ceux dont les propriétés de l’esprit humain en charge quelque analogie, puissance, mon Dieu, la miséricorde, la justice, etc.. Cette distinction ne trouvé aucune faveur avec les luthériens, mais a toujours été assez populaire dans les cercles réformées et se trouve dans des œuvres représentatives comme ceux des professeurs Leyden,[Synopsis Purioris Theologiae.] Faire et Turretin. Il a été estimé dès le début, toutefois, que la distinction était intenable sans autre précision, dans la mesure d’un point de vue, chaque attribut peut être appelé transmissible. Aucun des perfections divines sont transmissibles à la perfection infinie dans lequel ils existent en Dieu, et en même temps il y a faibles traces chez l’homme même de ce que l'on appelle incommunicables attributs de Dieu. Parmi les théologiens réformés plus récents, on a tendance à ignorer cette distinction en faveur des autres divisions. Dick, Shedd et Vos conservent l’ancienne division. Kuyper s’exprime comme insatisfait avec elle et pourtant il reproduit dans son virtutes par antithesin et virtutes par synthesin; et Bavinck, après avoir suivi un autre ordre dans la première édition de sa théologie dogmatique, retourne à lui dans la deuxième édition. Honig préfère suivre la division donnée par Bavinck dans sa première édition. Et, enfin, les Hodges, H. B. Smith et quelquefois suivent une division suggérée par le Catéchisme de Westminster. Toutefois, la classification des attributs sous deux chefs principaux, que l'on trouve dans la distinction l’examen, est vraiment inhérente à toutes les autres divisions, afin qu’ils soient tous soumis à l’objection de conscience qu’ils ont apparemment divisent l’être de Dieu en deux parties , ce premier Dieu tel qu’il est en lui-même, Dieu comme l’être absolu, on discute et puis Dieu puisqu’il est lié à ses créatures, Dieu comme un être personnel. On peut dire qu’un tel traitement n’aboutit pas à une conception unitaire et harmonieuse des attributs divins. Cette difficulté peut être évitée, cependant, en le faisant bien comprendre que les deux classes d’attributs nommés ne sont pas strictement coordonnée, mais que les attributs appartenant à la première classe sont admissibles à tous ceux qui appartiennent à la classe de seconde, afin que l'on puisse dire que Dieu est un, absolue, immuable et infinie dans sa connaissance et sagesse, sa bonté et amour, sa grâce et miséricorde, sa droiture et sainteté. Si nous garder à l’esprit et aussi n’oubliez pas qu’aucun des attributs de Dieu sont incommunicables en ce sens qu’il n’y a aucune trace d’eux chez l’homme, et qu’aucun d'entre eux ne sont transmissibles en ce sens qu’ils se trouvent chez l’homme, car on les trouve en Dieu , nous ne voyons pas pourquoi nous devrions déroger à l’ancienne division qui est devenu si familier dans la théologie réformée. Pour des raisons pratiques, il semble préférable de le conserver.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Quelles objections sont là pour l’utilisation des attributs terme appliqué à Dieu ? Les mêmes objections s’appliquent-elles à l’allemande « Eigenschaften » et la Hollande « eigenschappen » ? Quel nom Calvin utilise-t-il pour eux ? Quelle objection est là pour la conception des attributs comme parties de Dieu ou des ajouts à l’etre divin ? Quelles conceptions défectueuses des attributs étaient courants au moyen-Age ? Avez-vous les scolastiques dans leur recherche pour le suivi des attributs un a priori ou a posteriori, une déduction ou une méthode inductive ? Pourquoi la leur méthode est fondamentalement étranger à la théologie de la révélation ? Quelles classifications des attributs ont été proposées en plus de celles mentionnées dans le texte ? Pourquoi est-il pratiquement hors de question de donner une division irréprochable ? Quelle division est suggérée par le Catéchisme de Westminster ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. II, pp. 100-123; Kuyper, Dict. dogme., De Deo I, pp. 268-287; Honig, Geref. Dogme., p. 182-185; Hodge, Syst. Theol. I, pp. 368-376; Shedd, dogme . THEOL. I, p. 334-338; Quelquefois, Collected Works, I, pp. 158-172; Dabney, conférences sur Theol., pp. 147-151; Pieper, Christl. Dogme. I, p. 524-536; Caftan, dogme., pp. 168-181; Pape, Chr. Theol. I, p. 287-291; Steenstra, l’être de Dieu comme l’unité et de la Trinité, p. 89-111.

 

VI. Les attributs incommunicables

(Dieu comme l’Être absolu)

Il a été assez fréquent dans la théologie de parler de Dieu comme l’etre absolu. Dans le même temps, le terme « absolu » est plus caractéristique de la philosophie que c’est de la théologie. Dans la métaphysique du terme « absolu » est une désignation du terrain ultime de toute existence; et parce que le théiste parle aussi de Dieu comme fondement ultime de toute existence, on pense parfois que l’absolu de la philosophie et le Dieu du théisme sont un seul et même. Mais c’est pas nécessairement le cas. En effet la conception habituelle de l’absolu le rend impossible à assimiler avec le Dieu de la Bible et de la théologie chrétienne. Le terme « Absolu » est dérivé du Latin absolutus, un composé ab (de) et solvere (à dévisser), donc moyens quant à l’État ou sans limitation ou restriction. Cette pensée fondamentale a été élaborée de diverses manières, afin que l’absolu a été considéré comme ce qui est exempt de toutes les conditions (inconditionnel ou lui-même), de toutes les relations (la (non relié), de toutes les imperfections (le parfait), ou libre de tous les différences phénoménales ou distinctions, telles que la matière et esprit, être et attributs, sujet et objet, apparence et réalité (le Real, ou la réalité ultime).

La réponse à la question, que l’absolu de la philosophie peut être identifié avec le Dieu de la théologie, dépend de la conception que l'on a de l’absolu. Si Spinoza conçoit l’absolu comme l’un Self-subsistantes étant de laquelle toutes choses particulières sont des modes mais transitoires, identifiant ainsi Dieu et le monde, nous ne pouvons partager sa vision de cet absolu comme Dieu. Lorsque Hegel considère l’absolu comme l’unité de pensée et d’être, comme l’ensemble de toutes choses, qui comprend toutes les relations, et dans lequel tous les désaccords actuels sont résolus dans une unité parfaite, nous trouvons encore une fois impossible de le suivre en ce qui concerne cet absolu comme Dieu. Et quand Bradley dit que son absolue est reliée à rien et qu’il ne peut y avoir aucune relation pratique entre elle et la volonté finie, nous sommes d’accord avec lui que son absolu ne peut pas être le Dieu de la religion chrétienne, pour ce Dieu entrer en relations avec créatures finies. Bradley ne peut concevoir le Dieu de la religion comme autre qu’un Dieu fini. Mais quand l’absolu est défini comme étant la Cause première de toutes choses existantes, ou comme fondement ultime de toute réalité ou comme l’étant lui-même, il peut être considéré comme identique avec le Dieu de la théologie. Il est l’un infini, qui n’existe pas dans les relations nécessaires , car il est autonome, mais en même temps peuvent entrer librement dans des relations différentes avec sa création dans son ensemble et avec ses créatures. Tandis que les attributs incommunicables mettent l’accent sur l’être absolu de Dieu, les attributs transmissibles insistent sur le fait qu’il conclut des relations différentes avec ses créatures. Dans le présent chapitre suivantes perfections de Dieu venir en considération.

A. l’Existence autonome de Dieu.

Dieu est lui-même, c'est-à-dire, il a le terrain de son existence en lui-même. Cette idée s’exprime parfois en disant qu’il est causa sui (sa propre cause), mais cette expression n’est guère précise, puisque Dieu est l’espace-temps, qui existe par la nécessité de son propre être, et donc nécessairement. L’homme, en revanche, n’existe pas forcément et a la cause de son existence en dehors de lui. L’idée d’existence autonome de Dieu est généralement exprimée par le terme aseitas, sens self-son origine, mais les théologiens réformés assez généralement remplacé par le mot independentia (indépendance), comme exprimer, non pas simplement que Dieu est indépendant dans son être, mais aussi qu’il est indépendant de tout le reste: dans ses vertus, de décrets, travaux et ainsi de suite. On peut dire qu’il y a une légère trace de cette perfection dans la créature, mais cela ne peut signifier que la créature, si absolument dépendante, a encore sa propre existence distincte. Mais, bien sûr, cela tombe bien loin d’être lui-même. Cet attribut de Dieu est généralement reconnu et il est implicite dans les religions païennes et dans l’absolu de la philosophie. Lorsque l’absolu est conçu comme l’auto-existant et comme fondement ultime de toutes choses, qui engagerait volontairement des relations diverses avec d’autres êtres, il peut être identifié avec le Dieu de la théologie. Comme Dieu lui-même, il n’est pas seulement indépendant en lui-même, mais provoque aussi tout dépend de lui. Cette existence autonome de Dieu trouve son expression dans le nom de Jéhovah. C’est seulement comme celui auto-existant et indépendante que Dieu peut donner l’assurance qu’il restera éternellement le même à l’égard de son peuple. Indications supplémentaires de celui-ci sont trouvent dans l’affirmation de John 05:26, « Pour que le père a la vie en lui-même, même si a donné il au fils aussi d’avoir la vie en lui-même »; dans la déclaration qu’il est indépendant de toutes choses et que toutes les choses existent seulement par lui, PS. 94:8 ff.; Ésaïe 40:18 ff.; Actes à 07:25; et dans les déclarations laissant entendre qu’il est indépendant dans sa pensée, Rom. 11:33, 34 et dans son testament, Dan. 04:35; ROM. 09:19; Éphésiens 1:5; 04:11. en son pouvoir, PS. 115:3 et à son avocat, Psaume 33: 11.

B. l’immutabilité de Dieu.

L’immutabilité de Dieu est un corollaire nécessaire de son aseity. C’est cette perfection de Dieu par lequel il est dépourvu de tout changement, non seulement dans son être, mais aussi dans ses perfections et dans son application et de promesses. En vertu de cet attribut, il est avant tout devenir exalté et est donc libre de toute adhésion ou diminution de croissance ou décroissance dans son être ou perfections. Ses connaissances et plans, ses principes moraux et volitions restent toujours les mêmes. Même raison nous apprend qu’aucune modification n’est possible à Dieu, car un changement est soit pour meilleur ou pour le pire. Mais en Dieu, comme la Perfection absolue, amélioration et dégradation sont à la fois tout aussi impossible. Cette immuabilité de Dieu est clairement enseignée dans ces passages de l’écriture comme Ex. 03:14; PS. 102:26-28; Ésaïe 41:4; 48:12; Malachie 3:6; ROM. 01:23; Héb. 01:11, 12; Jacques 01:17. Dans le même temps, il y a beaucoup de passages des écritures qui semblent attribuer changer à Dieu. N’a pas celui qui demeure dans l’éternité passe à la création du monde, s’incarner dans le Christ et dans le Saint-Esprit repris sa demeure dans l’église ? Il n'est pas représenté comme révélant et en se cachant, allant et venant, en se repentant et en changeant son intention, ainsi que traiter différemment l’homme avant et après la conversion ? Cf. Exode 32: 10-14; Jonah 03:10; Prov. 11:20; 12:22; PS. 18:26, 27. L’objection impliquée ici s’inspire dans une certaine mesure malentendu. L’immuabilité divine ne doit pas être comprise comme impliquant l’immobilité, comme s’il n’y a aucun mouvement en Dieu. Il est même coutumier dans la théologie de parler de Dieu comme purus actus, un Dieu qui est toujours en action. La Bible nous enseigne que Dieu conclut de multiples relations avec l’homme et, en quelque sorte, leur vie avec eux. Il n’y a changer tour autour de lui, dans les relations des hommes à lui, mais il n’y a aucun changement dans son être, ses attributs, son but, ses motifs d’action ou ses promesses. Le but de créer était éternel avec lui, et il n’y avait pas de changement en lui quand cela a été réalisé par un seul acte éternel de sa volonté. L’incarnation a apporté aucun changement dans l’être ou perfections de Dieu, ni dans son dessein, car il était son bon plaisir éternel à envoyer le fils de son amour dans le monde. Et si l’écriture parle de son repentir, changeant son intention et en modifiant sa relation aux pécheurs, quand ils se repentent, on retiendra qu’il s’agit seulement d’une façon anthropopathic de parler. En réalité, le changement est pas en Dieu, mais chez l’homme et dans les relations de l’homme à Dieu. Il est important de maintenir l’immutabilité de Dieu par rapport à la doctrine pélagienne et arminienne que Dieu est sujet à changement, pas en effet dans son être, mais dans sa connaissance et de volonté, afin que ses décisions sont en grande partie tributaire de l’action de l’homme; par rapport à la notion de panthéiste que Dieu est une éternelle devienne plutôt que d’un être absolu, et que l’inconscient absolu se développe progressivement en personnalité consciente chez l’homme; et plus, contre la tendance actuelle de certains à parler d’un corps fini, du mal et ça grimpe progressivement Dieu.

C. l’infinité de Dieu.

L’infinité de Dieu est que la perfection de Dieu par lequel il est libre de toutes restrictions. En attribuant ce à Dieu, nous nions qu’il sont ou peuvent être des limitations à l’etre divin ou attributs. Cela implique qu’il est en aucune façon limité par l’univers, par ce monde de l’espace-temps, ou confiné à l’univers. Elle n’implique pas son identité avec la somme totale des choses existantes, ni n’il exclut la coexistence des choses dérivées et finis, auquel il a rapport. L’infinité de Dieu doit être conçue comme plutôt intensives qu’extensives et ne doit pas être confondu avec extension infinie, comme si Dieu ont été répartis à travers tout l’univers, une partie étant ici et là une autre, pour que Dieu a sans corps et par conséquent aucune extension. Ne doit elle être considérée comme une notion purement négative, s’il est parfaitement vrai que nous ne pouvons pas former une idée positive de celui-ci. C’est une réalité en Dieu pleinement ne compris que par lui. On distingue divers aspects de l’infinité de Dieu.

1. sa perfection absolue. Il s’agit de l’infinité de l’être divin, considéré en lui-même. Il ne doit pas être entendu dans un quantitatif, mais dans un sens qualitatif; il qualifie tous les attributs transmissibles de Dieu. Puissance infinie n’est pas un absolu quantique, mais une puissance inépuisable d’énergie; et la sainteté infinie n’est pas un quantum infini de sainteté, mais une sainteté qui est, qualitativement exemptes de toute limitation ou défaut. Le même peut être dit de la sagesse et la connaissance infinie et de la justice et l’amour infini. Dit le Dr Orr: « peut-être que nous pouvons dire que l’infini en Dieu est au bout du compte: (a) en interne et d’un point de vue qualitatif, absence de toute limitation et de défaut; (b) l’immense potentialité. » [Feux de côté sur la Doctrine chrétienne, p. 26.] En ce sens du mot, l’infinité de Dieu est simplement identique à la perfection de son être divin. L’écriture, preuve qu’il se trouve dans Job 11:7-10; PS. 145:3; Matthieu 05:48.

2. son éternité. L’infinité de Dieu par rapport au temps est appelée son éternité. La forme dans laquelle la Bible représente l’éternité de Dieu est tout simplement celui de durée à travers les âges sans fin, Psaume 90: 2; 102:12; EP 03:21. Rappelons, qu’en parlant comme il le fait la Bible utilise toutefois, langage populaire et non la langue de la philosophie. Nous pensons généralement de l’éternité de Dieu de la même manière, à savoir, comme durée infiniment prolongée en arrière et en avant. Mais c’est seulement un moyen populaire et symbolique de représentation qui qui est en réalité transcende le temps et il diffère essentiellement. L’éternité au sens strict du mot est abscribed à celui qui transcende toutes les limites temporelles. Qu’il s’applique à Dieu, en ce sens est au moins laissé entendre en II Pierre 3:8. « Temps », dit le Dr Orr, « strictement a lien avec le monde des objets existant dans la succession. Dieu remplit le temps; est dans chaque partie de celui-ci; mais son éternité n’est pas encore vraiment ce qui est dans le temps. C’est plutôt qu’à quelles formes de temps a contraste. » [Ibid.., p. 26.] Notre existence est délimitée par des jours et des semaines et des mois et des années; pas si l’existence de Dieu. Notre vie est divisée en un passé, présent et futur, mais il n’y a aucune une telle division dans la vie de Dieu. Il est l’éternel « Je suis ». Son éternité peut être définie comme cette perfection de Dieu par lequel il est élevé surtout temporelles limites et toute succession d’instants et possède la totalité de son existence dans un présent indivisible. La relation de l’éternité de temps constitue l’un des problèmes plus difficiles en philosophie et en théologie, peut-être incapable de solution dans notre état actuel.

3. son immensité. L’infinité de Dieu peut également être considérée en ce qui concerne l’espace et est alors appelée son immensité. Il peut être défini comme la perfection de l’etre divin par lequel il transcende toutes les limites spatiales et est encore présente dans chaque point de l’espace avec tout son être. Il a un négatif et un positif, récusant toutes les limitations de l’espace de l’etre divin et affirmant que Dieu est au-dessus de l’endroit et remplit chaque partie de celui-ci avec tout son être. Les derniers mots sont ajoutés, afin de contrer l’idée que Dieu est diffusée à travers l’espace, afin qu’une partie de son être est présente dans un seul endroit et une autre partie dans un autre lieu. On distingue trois modes de présence dans l’espace. Corps sont dans l’espace d'une manière restreinte, parce qu’ils sont limités par ce dernier; les esprits finis sont dans l’espace, définitivement, puisqu’ils ne sont pas partout, mais seulement à un certain endroit précis; et en comparaison avec ces deux de Dieu est dans l’espace de manière répétitive, parce qu’il remplit tout l’espace. Il n’est pas absent de toute partie d’elle, ni le plus présent dans une partie que dans un autre.

Dans un certain sens, les termes « immensité » et « omniprésence », tel qu’appliqué à Dieu, indiquer la même chose et peuvent donc être considérés comme synonymes. Il y a encore un point de différence qui doit noter avec soin. « Immensité » souligne le fait que Dieu transcende tout l’espace et ne fait l’objet de ses limites, tandis que « omniprésence » désigne qu’il remplit néanmoins toutes les parties de l’espace avec tout son être. La première met l’accent sur la transcendance et ce dernier, l’immanence de Dieu. Dieu est immanent dans toutes ses créatures, dans sa création toute entière, mais n’est en aucune façon bornée par elle. Dans le cadre de la relation de Dieu au monde il faut éviter, d’une part, l’erreur du panthéisme, si caractéristique d’une grande partie de la pensée de nos jours, avec son refus de la transcendance de Dieu et de son hypothèse selon laquelle l’être de Dieu est vraiment le fond d’un choses de ll; et, d’autre part, la conception déiste que Dieu est bien présent dans la création par potentiam (avec sa puissance), mais pas par essentiam et naturam (avec son être même et la nature) et agit sur le monde à distance. Bien que Dieu est distinct du monde et ne peut pas être identifié avec lui, il n’est encore présent dans toutes les parties de sa création, non seulement par potentiam, mais aussi par essentiam. Cela ne signifie pas, cependant, qu’il est tout aussi présent et présent dans le même sens dans toutes ses créatures. La nature de son séjour est en harmonie avec celui de ses créatures. Il ne demeure pas sur la terre comme il le fait dans le ciel, chez les animaux comme il le fait chez l’homme, dans l’inorganique comme il le fait dans la création organique, dans les méchants comme il le fait dans les pieux, ni dans l’Eglise comme il le fait en Christ. Il y a une variété infinie de la façon dont il est immanent dans ses créatures et dans la mesure où elles révèlent Dieu à ceux qui ont des yeux pour voir. L’omniprésence de Dieu est clairement révélé dans les Ecritures. Ciel et la terre ne peut pas contenir de lui, I rois 08:27; Ésaïe 66: 1; Actes à 07:48, 49; et en même temps, il remplit les deux et est un Dieu à portée de main, PS. 139:7-10; Jérémie 23:23, 24; Actes 17:27, 28.

D. l’unité de Dieu.

Une distinction est faite entre l' unitas singularitatis et la simplicitatis de l’unitas.

1. l’UNITAS SINGULARITATIS. Cet attribut insiste sur l’unicité et l’unicité de Dieu, le fait qu’il est numériquement un et que, comme tel, il est unique. Cela implique qu’il existe, mais un être divin, qu’à partir de la nature de l’affaire, il peut y avoir, mais un seul et que tous les autres êtres existent d’et à travers et vers lui. La Bible nous enseigne dans plusieurs passages qu’il n’y a qu’un seul Dieu véritable. Salomon a plaidé avec Dieu pour défendre la cause de son peuple, « que tous les peuples de la terre sachent que Jéhovah, il est Dieu; Il n’y a point d’autre, » I Rois 8: 60. Et Paul écrit aux Corinthiens, « mais pour nous il n’y a, mais un seul Dieu, le père, qui sont toutes choses et nous en lui; et un seul Seigneur Jésus Christ, par qui sont toutes choses et nous en lui, » j’ai Cor. 8:6. De même, il écrit à Timothée, « car il y a un seul Dieu et un seul médiateur entre Dieu et les hommes, l’homme Christ Jésus, » I Timothée 2:5. D’autres passages ne stressez pas l’unité numérique de Dieu comme ils le font son unicité. C’est le cas dans l’expression bien connue de Deutéronome 6:4, « écoute, Ô Israël; Jéhovah notre Dieu est un seul Jéhovah. » Le mot hébreu 'echad, traduit par « un » peut également être rendu « un seul » l’équivalent de l’allemand « einig » et les Néerlandais « eenig. » Et cela semble être une meilleure traduction. Keil insiste sur ce fait que ce passage n’enseigne pas l’unité numérique de Dieu, mais plutôt que Jéhovah est le seul Dieu qui a le droit du nom de Jéhovah. C’est aussi le sens de ce terme dans Zacharie 14:9. La même idée est magnifiquement exprimée dans la question rhétorique d’Exode 15:11, « qui est comme toi, Ô Jéhovah, parmi les dieux ? Qui est comme toi magnifique en sainteté, craintive en louanges, fait des merveilles ? » Cela exclut toutes les conceptions polythéistes de Dieu.

2. l’UNITAS SIMPLICITATIS. Tandis que l’unité dans ce qui précède définit Dieu en dehors d’autres êtres humains, la perfection en examen est expressive de l’unité intérieure et qualitative de l’etre divin. Quand on parle de la simplicité de Dieu, nous utilisons ce terme pour décrire l’État ou la qualité d’être simple, à la condition d’être exempts de division en parties et par conséquent de compositeness. Cela signifie que Dieu n’est pas composite et qu’il n’est pas susceptible de division dans tout les sens du terme. Cela implique entre autres choses, que les trois personnes de la divinité ne sont pas tellement de pièces dont se compose l’essence Divine, que l’essence et les perfections de Dieu ne sont pas distinctes, et que les attributs ne sont pas surajoutée à son essence. Puisque les deux sont l’un, la Bible peut parler de Dieu comme lumière et de vie, comme la justice et l’amour, permet l’identification avec ses perfections. La simplicité de Dieu découle de certaines de ses autres perfections; depuis son existence autonome, qui exclut l’idée que quelque chose précédé, comme dans le cas des composés; et de son immuabilité, qui ne pouvait pas être fondée de sa nature, si elle était constitué de pièces. Cette perfection était contestée au moyen âge et s’est vu refuser par les Sociniens et les arminiens. L’écriture n’affirme pas explicitement il, mais implique il où il parle de Dieu comme la justice, vérité, sagesse, lumière, vie, amour et ainsi de suite et indique donc que chacune de ces propriétés, à cause de leur perfection absolue, est identique à son être. Dans ses œuvres récentes sur la théologie, la simplicité de Dieu est rarement mentionnée. Beaucoup de théologiens positivement le nier, soit parce qu’il est considéré comme une abstraction purement métaphysique, parce que, à leur avis, il est en conflit avec la doctrine de la Trinité. Dada est d’avis qu’il n’y est pas de composition dans la substance de Dieu, mais nie que lui substance et les attributs sont un seul et mêmes. Il affirme que Dieu n’est pas plus simple à cet égard que les esprits finis. [Syst et trouvailles. Théol., p. 43f.]

QUESTIONS pour une étude plus approfondie. Quelles conceptions différentes de l’absolu nous rencontrer en philosophie ? L’absolu de la philosophie toujours peut être identifié avec le Dieu de la théologie ? Comment Bradley distingue les deux ? Comment le Dieu finie de James, Schiller, Ward, puits et autres, lié à l’absolu ? Comment l’incommunicables attributs de Dieu relier avec l’absolu ? L’immutabilité de Dieu exclut tout mouvement en Dieu ? Dans quelle mesure il exclut-elle changements d’action et des relations ? La perfection absolue de Dieu devrait être considérée comme un attribut ? Pourquoi la Bible représente l’éternité de Dieu comme durée sans fin ? Est-il possible d’harmoniser la transcendance et l’immanence de Dieu ? Comment transcendance est souvent interprétée en théologie moderne ? Ce qui est implicite dans la simplicité de Dieu ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. II, pp. 137-171; Kuyper, Dict. dogme., Deo I, pp. 287-318; Hodge, syst. théol. J’ai, pp. 380-393; Shedd, dogme . Théol. J’ai, pp. 338-353; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 151-154; Quelquefois, Collected Works I, pp. 189-205; Strong, Syst. Theol., pp. 254-260, 275-279; Pieper, Christl. Dogme. I, p. 536-543, 547-549; Knudson, le Doct. de Dieu, pp. 242-284; Steenstra, Dieu comme l’unité et de la Trinité, pp. 112-139; Charnock, Existence et des attributs de Dieu. p. 276-405.

 

VII. les attributs transmissibles

(Dieu comme un esprit personnel)

Que Dieu soit décrit comme «un esprit personnel» ne signifie aucunement qu'Il est une personne. Le terme «personnel» désigne ici le caractère et le pouvoir détenu et exercé par un seul dirigeant. Un terme plus approprié serait que «Dieu est un esprit original» distingué ou imminent dans le sens d'être extraordinaire d'une façon incomparable, inconcevable, et stupéfiante qui exalte son nom comme étant «l'ADMIRABLE». Si les attributs examinés dans le chapitre précédent a souligné l’être absolu de Dieu, ceux qui restent à être considéré comme mettre l’accent sur son caractère personnel. C’est dans les attributs transmissibles que Dieu se distingue comme un consciente, intelligente, libre et l’être moral, comme un être qui est personnel dans le sens le plus élevé du mot. La question a longtemps retenu l’attention des philosophes et est toujours un sujet de débat, si l’existence personnelle est conforme à l’idée d’absolu. La réponse à cette question dépend dans une large mesure le sens on attribue au mot « absolu ». Le mot a été utilisé dans trois sens différents dans la philosophie, qui peuvent être libellés comme l’agnostique, la logique et le sens de causalité. Pour l’agnostique, l’absolu est la non apparentés, dont rien ne peut être connue, car les choses sont connus seulement dans leurs relations. Et si rien ne peut être connue de celui-ci, personnalité ne peut être attribué à ce terme. En outre, étant donné que la personnalité est impensable en dehors des relations, il ne peut être identifié avec un absolu qui est dans son essence même les indépendants. Dans la logique absolue, l’individu est subordonnée à l’universel et le plus universel est la réalité ultime. Telle est la substance absolue de Spinoza et de l’esprit absolu de Hegel. Il peut s’exprimer dans et à travers le fini, mais rien n’est fini ne peut exprimer sa nature essentielle. D’attribuer la personnalité à elle consisterait à limiter à un seul mode d’être et détruirait son caractère absolu. En fait, cette absolue ou ultime est concept seulement abstraite et vide, ce qui est stérile de tout le contenu. La causalité voir de l’absolue représente comme fondement ultime de toutes choses. Il n’est pas tributaire de rien en dehors de lui-même, mais provoque toutes les choses à en dépendre. En outre, il n’est pas nécessairement complètement différent, mais peut entrer dans des relations différentes avec les créatures finies. Une telle conception de l’absolu n’est pas incompatible avec l’idée de la personnalité. En outre, nous devons garder à l’esprit que dans leur argumentation philosophes fonctionnaient toujours avec l’idée de la personnalité tel qu’il est réalisé chez l’homme et perdu de vue le fait que la personnalité de Dieu pourrait être quelque chose d’infiniment plus parfait. En fait, personnalité parfaite se trouve seulement à Dieu, et ce que nous voyons chez l’homme est uniquement une copie finie de l’original. Encore plus, il y a une tripersonalité en Dieu, dont aucune analogie ne se trouve dans les êtres humains.

Plusieurs preuves naturelles, assez semblables à celles produites pour l’existence de Dieu, ont été appelés à prouver la personnalité de Dieu. (1) personnalité humaine exige un Dieu personnel pour son explication. L’homme n’est pas un lui-même et éternel, mais un être fini qui a un début et une fin. La cause supposée doit être suffisante pour tenir compte de l’ensemble de l’effet. Puisque l’homme est un produit personnel, le pouvoir lui originaire doit être personnels. Sinon il y a quelque chose à l’effet qui est supérieur à tout ce qui se trouve dans la cause; et ce serait tout à fait impossible. (2) le monde a en général témoigne de la personnalité de Dieu. Dans sa toute la trame et la constitution, il révèle les traces les plus manifestes d’une intelligence infinie, des émotions plus profondes, plus hautes et plus tendres et d’une volonté qui est tout-puissant. Par conséquent, nous sommes contraints de monter dans le monde au fabricant du monde comme un être de l’intelligence, la sensibilité et la volonté, c'est-à-dire comme une personne. (3) la nature morale et religieuse de l’homme souligne aussi la personnalité de Dieu. Sa nature morale lui impose un sentiment d’obligation de le faire qui est juste, et cela implique nécessairement l’existence d’un législateur suprême. En outre, son caractère religieux constamment l’invite à chercher la communion personnelle avec un être supérieur; et tous les éléments et les activités de la religion exigent en un Dieu personnel tant que leur objet et de la fin. Même soi-disant religions panthéistes témoignent souvent inconsciemment à la croyance en un Dieu personnel. Le fait est que toutes ces choses comme pénitence, foi et obéissance, bourse et amour, fidélité au service et le sacrifice, la confiance dans la vie et la mort, sont sans signification à moins qu’ils trouvent leur objet approprié en un Dieu personnel.

Mais alors que toutes ces considérations sont vraies et ont une certaine valeur comme testimonia, ils ne sont pas les preuves dont dépend la théologie dans sa doctrine de la personnalité de Dieu. Il s’avère pour preuve à la révélation de Dieu dans l’écriture. Le terme « personne » n’est pas appliqué à Dieu dans la Bible, bien qu’il existe des mots, telles que l' hébreu panim et le grec prosopon, qui viennent très proche d’exprimer l’idée. En même temps l’écriture témoigne de la personnalité de Dieu, en plus d’un titre. La présence de Dieu, tel que décrit par l’ancien et du Nouveau Testament, écrivains, est clairement une présence personnelle. Et les représentations anthropomorphes et anthropopathic de Dieu dans l’écriture, même si elles doivent être interprétées ainsi ne pas pour militer contre la spiritualité pure et la sainteté de Dieu, peut difficilement être justifiée, sauf dans l’hypothèse que l’être auquel ils s’appliquent est une vraie personne, avec des attributs personnels, même si elle est sans limites humaines. Dieu est représenté dans l’ensemble comme un Dieu personnel, avec lesquels les hommes peuvent et peuvent converser, dont ils peuvent faire confiance, qui les soutient dans leur procès et remplit leur cœur à la joie de la délivrance et la victoire. Et, enfin, la plus haute de la révélation de Dieu dont témoigne la Bible est une révélation personnelle. Jésus Christ révèle le père de manière parfaite qu’il pouvait dire à Philippe, » celui qui m’a vu a vu le père, » John 14:9. Preuves plus détaillées seront affiche dans la discussion des attributs transmissibles.

A. la spiritualité de Dieu.

La Bible ne nous donne pas une définition de Dieu. L’approche le plus près à quoi que ce soit, comme on le trouve dans la parole du Christ à la femme samaritaine, « Dieu est esprit, » John 04:24. Il s’agit d’au moins une déclaration visant à nous dire ce que Dieu est en un seul mot. Le Seigneur ne dit pas simplement que Dieu est un esprit, mais qu’il est esprit. Et à cause de cette déclaration claire que c’est mais parfaitement que nous devrions discuter d’abord de la spiritualité de Dieu. En enseignant la spiritualité de Dieu théologie insiste sur le fait que Dieu est un être substantielle tout son propre et distincte du monde, et que ce qui est important est immatériel, invisible et sans composition ou extension. Il inclut l’idée que toutes les qualités essentielles qui font partie de l’idée parfaite de l’esprit sont trouvent en lui: qu’il est un être conscient de soi et autonomes. Puisqu’il est l’esprit dans la plus absolue, et dans le plus pur sens du terme, il n’y a en lui aucune composition des pièces. L’idée de la spiritualité de nécessité exclut l’attribution de quelque chose comme corporéité à Dieu et condamne donc les fantaisies de certains des premiers Gnostiques et mystiques médiévaux et de tous ces sectaires de notre temps qui attribuent un corps à Dieu. Il est vrai que la Bible parle de mains et pieds, les yeux et oreilles, la bouche et nez de Dieu, mais ce faisant il parle scouby ou au sens figuré de celui qui transcende loin notre connaissance de l’homme et dont nous ne pouvons parler de manière balbutiant arrière er la manière des hommes. En attribuant la spiritualité, à Dieu, nous affirmons également qu’il n’a aucune des propriétés appartenant à la pour matière, et qu’il ne peut pas discerner par les sens corporels. Paul parle de lui comme « le roi éternel, immortel et invisible » (I Timothée 01:17) et encore une fois comme « le roi des rois et Seigneur des seigneurs, qui seul possède l’immortalité, demeurant dans la lumière inaccessible; qu’aucun homme n’a vu, ni ne peut voir: qui comme honneur et la puissance éternelle, » j’ai Timothée 06:15, 16.

B. attribut intellectuel.

Dieu est représenté dans l’écriture comme lumière et par conséquent aussi parfait dans sa vie intellectuelle. Cette catégorie comprend deux des perfections divines, à savoir, la connaissance et la sagesse de Dieu.

1. la connaissance de Dieu. La connaissance de Dieu peut être définie comme que la perfection de Dieu par lequel il, d’une manière tout à fait unique, sait lui-même et toutes les choses possibles et réelles dans une loi éternelle et plus simple. La Bible témoigne abondamment, comme, par exemple, la connaissance de Dieu dans I Samuel 2:3; Job 12:13; PS. 94:9; 147:4; Ésaïe 29: 15; 40:27, 28. plusieurs points nécessitent une attention dans le cadre de la connaissance de Dieu.

a. sa nature. La connaissance de Dieu diffère en quelques points importants de celle des hommes. C’est archétypal, ce qui signifie qu’il connaît l’univers tel qu’il existe dans sa propre idée éternelle avant son existence comme une réalité limitée dans le temps et l’espace; et que sa connaissance n’est pas, comme le nôtre, obtenues sans. C’est une connaissance qui se caractérise par la perfection absolue. Par conséquent, il est intuitif plutôt que démonstratif ou discursive. C’est inné et immédiatset n’entraîne pas d’observation ou d’un processus de raisonnement. Être parfait, c’est aussi simultanée et pas successifs, alors qu’il voit les choses à la fois dans leur totalité et non fragmentaire une après l’autre. En outre, c’est complet et parfaitement conscient, tandis que la connaissance de l’homme est toujours partielle, souvent indistincte et souvent ne parvient pas à s’élever dans la claire lumière de la conscience. Une distinction est faite entre la connaissance nécessaire et gratuit de Dieu. Le premier est la connaissance que Dieu a de lui-même et de toutes les choses possibles, une connaissance reposant sur la conscience de son omnipotence. Ça s’appelle des connaissances nécessaires, car il n’est pas déterminée par une action de la volonté divine volonté. Il est également connu comme la connaissance de l’intelligence simple, compte tenu du fait qu’il est purement sera un acte de l’intelligence divine, sans action simultanée du divin. La connaissance libre de Dieu est la connaissance qu’il a de toutes les choses réelles, c'est-à-dire, des choses qui existaient dans le passé, qui existent dans le présent ou qui existeront à l’avenir. Elle est fondée sur la connaissance infinie de Dieu de son propre dessein éternel tout complet et immuable et est appelée la connaissance libre, parce qu’il est déterminé par une loi simultanée de la volonté. Il est aussi appelé visionis scientia, connaissance de la vision.

b. son étendue. La connaissance de Dieu n’est pas seulement parfaite en nature, mais aussi dans sa totalité. On l’appelle omniscience, parce que c’est tout-complet. Afin de promouvoir une estimation appropriée de celui-ci, nous pouvons préciser comme suit: Dieu sait lui-même et en lui-même toutes les choses qui viennent de lui (connaissances internes). Il connaît toutes choses comme elles viennent en réalité de pass, passé, présent et futur et les connaît dans leurs relations réelles. Il connaît l’essence cachée des choses, pour qui la connaissance de l’homme ne peut pas pénétrer. Il voit pas que l’homme voit, qui observe seulement les manifestations vers l’extérieur de la vie, mais pénètre dans les profondeurs du cœur humain. En outre, il sait ce qui est possible et ce qui est réel; toutes choses qui pourraient se produire dans certaines circonstances sont présentes à son esprit. L’omniscience de Dieu est clairement enseigné dans plusieurs passages de l’écriture. Il est parfait dans la connaissance, Job 37: 16, regarde pas sur l’aspect extérieur, mais sur le coeur, j’ai Sam. 16:7; J’ai chroniques 28: 9, 17; PS. 139,1-4; Jérémie 17:10, observe les manières des hommes, Deut. 2:7; Emploi à 23:10; 24:23; 31: 4; PS. 1:6; 119:168, sait le lieu de leur habitation, Psaume 33:13 et les jours de leur vie, PS. 37:18. Cette doctrine de la connaissance de Dieu doit être maintenue par rapport à toutes les tendances panthéistes pour représenter Dieu comme le motif inconscient du monde phénoménal et de ceux qui, comme Marcion, Socinus et tous ceux qui croient en un Dieu fini, attribuent à lui seulement un nombre limité connaissance.

Il y a une question, toutefois, que les appels de discussion spéciale. Il s’agit de préconnaissance de Dieu de l’action libre des hommes et par conséquent des événements conditionnels. Nous pouvons comprendre comment Dieu peut connus où les règles de nécessité, mais trouve qu’il est difficile de concevoir une connaissance préalable des actions dont l’homme librement est originaire. La difficulté de ce problème a conduit certains à nier la prescience des actions gratuites et d’autres à nier la liberté humaine. Il est parfaitement évident que l’écriture enseigne la prescience divine des événements contingents, j’ai Sam. 23:10-13; II Rois 13:19; PS. 81:14, 15; Ésaïe 42:9; 48:18; Jérémie 2:2, 3; 38: 17-20; Ézéchiel 3:6; Matthieu 11:21. En outre, il ne nous laisse pas de doute réel quant à la liberté de l’homme. Certes, elles ne permettent pas le déni de l’un des termes du problème. Nous sommes face à un problème ici, que nous ne pouvons résoudre complètement, bien qu’il soit possible de faire une approche à une solution. Dieu a décrété toutes choses et eux a décrété avec leurs causes et les conditions applicables dans l’ordre exact dans lequel ils viennent de passer; et sa prescience des choses futures et aussi des événements contingents repose sur son décret. Cette action a résolu le problème selon la prescience de Dieu est.

Mais maintenant la question se pose, c’est la prédétermination des choses conforme à la volonté de l’homme ? Et la réponse est qu’il n’est certainement pas, si la liberté de la volonté considérée comme indifferentia (arbitraire), mais il s’agit d’une conception injustifiée de la liberté de l’homme. La volonté de l’homme n’est pas quelque chose de tout à fait pour une période indéterminée, quelque chose suspendue dans l’air qui peut être basculé arbitrairement dans les deux sens. C’est plutôt quelque chose d’ancré dans notre nature, liés à nos instincts et les émotions plus profondes et déterminé par notre réflexion intellectuelle ainsi que par notre nature même. Et si nous concevons notre liberté humaine comme lubentia rationalis (autodétermination raisonnable), alors nous n’avons aucun mandat suffisant pour dire qu’il est incompatible avec la prescience divine. Dit le Dr Orr: « une solution de ce problème il y a, bien que nos esprits ne parviennent pas à saisir. En partie il réside probablement, ne pas à nier la liberté, mais dans une conception révisée de la liberté. Pour la liberté, après tout, n’est pas arbitraire. Il y a dans toute action rationnelle un pourquoi pour agir — une raison qui détermine l’action. L’homme vraiment libre n’est pas l’homme incertain, incalculable, mais l’homme qui est fiable. En bref, la liberté a ses lois — lois spirituelles — et l’esprit omniscient sait ce que voici. « Mais un élément de mystère, il faut reconnaître, encore des restes ». [Côté-lumières sur Chr. Doct., p. 30.]

Des théologiens jésuites, luthériens et arminiens suggèrent le soi-disant scientia media comme une solution du problème. Le nom est révélateur du fait qu’elle occupe un terrain d’entente entre le nécessaire et la connaissance libre de Dieu. Elle diffère de l’ancien que son objet n’est pas toutes les choses possibles, mais une classe spéciale des choses en réalité futures; et de ce dernier en ce que son terrain n’est pas le dessein éternel de Dieu, mais l’action libre de la créature comme simplement prévu. [A. A. Hodge, contours de théol., p. 147.] On l’appelle médiation , dit Dabney, « parce qu’ils supposent Dieu arrive chez lui, pas directement en connaissant son propre but à effet il, mais indirectement par son infinie perspicacité dans la façon dans laquelle la deuxième cause de contingent agira, moins compte tenu de circonstances vers l’extérieur, prévus ou produites par Dieu ». [Syst et trouvailles. Théol., p. 156.] Mais ce n’est pas une solution du problème du tout. C’est une tentative de concilier les deux choses qui logiquement excluent mutuellement, à savoir, la liberté d’action dans le sens de pélagienne et un certains prescience de cette action. Des actions qui ne sont en aucune façon déterminée par Dieu, directement ou indirectement, mais dépendent entièrement de la volonté arbitraire de l’homme, peuvent difficilement être l’objet de la prescience divine. En outre, il est inadmissible, car elle conditionne la connaissance divine sur le choix de l’homme, annule pratiquement la certitude de la connaissance des événements futurs et donc nie implicitement l’omniscience de Dieu. Il est également à l’encontre de ces passages de l’écriture comme actes 02:23; ROM. 09:16; EP 01:11; Phil. 02:13.

2. la sagesse de Dieu. La sagesse de Dieu peut être considérée comme un aspect particulier de sa connaissance. Il est évident que la connaissance et la sagesse ne sont pas les mêmes, qu’ils sont étroitement liés. Ils n’accompagnent pas toujours entre eux. Un homme sans instruction peut être supérieur à un érudit en sagesse. Connaissances s’acquièrent par l’étude, mais la sagesse résulte d’une vision intuitive dans les choses. La première est théorique, tandis que la seconde est pratique, faire connaissance inféodé à un but spécifique. Les deux sont imparfaites chez l’homme, mais en Dieu, ils sont caractérisés par la perfection absolue. La sagesse de Dieu est son intelligence qui se manifeste dans l’adaptation des moyens aux fins. Il souligne le fait qu’il a toujours s’efforce d’être les meilleurs bouts possibles et choisit le meilleur moyen pour la réalisation de ses desseins. H. B. Smith définit la sagesse divine comme « cet attribut de Dieu par lequel il donne les meilleurs résultats possibles avec les meilleurs moyens possibles ». Nous pouvons être un peu plus précis et que la perfection de Dieu par lequel il applique ses connaissances à la réalisation de ses fins, d’une manière qui lui glorifie plusl’appeler. Elle implique une fin définitive à laquelle toutes les terminaisons secondaires sont subordonnées; et selon l’Ecriture, cette fin est la gloire de Dieu, Romains 11:33; 14:7, 8; EP 01:11, 12; 01:16. L’écriture se réfère à la sagesse de Dieu dans plusieurs passages et même le représente comme personnifiée dans Proverbes 8. Cette sagesse de Dieu se voit particulièrement dans la création, Psaume 19:1-7; 104:1-34; dans providence, PS. 33:10, 11; ROM. 08:28; et à la rédemption, Romains 11:33; J’ai Cor. 2:7; EP 03:10.

3. la véracité de Dieu. L’écriture utilise plusieurs mots pour exprimer la véracité de Dieu: dans l’ancien Testament «emeth, »Alex, et 'amenet dans le Nouveau Testament alethes (aletheia), alethinoset pistis . Il pointe déjà vers le fait qu’elle comprend plusieurs idées, comme la vérité, l’honnêteté et la fidélité. Lorsque Dieu est appelée la vérité, c’est d’être compris dans son sens le plus complet. Il est la vérité d’abord dans un sens métaphysique, c'est-à-dire en lui l’idée de la divinité est parfaitement réalisée; Il est tout ce qu’il a comme Dieu doit et comme telle se distingue de tous les dieux de ce qu’on appelle, qui sont appelés de vanité et mensonges, PS. 96:5; 97:7; 115: 4-8; Ésaïe 44: 9, 10. Il est aussi la vérité dans un sens éthique et comme telle révèle lui-même car il est vraiment, pour que sa révélation est absolument fiable, nombres 23:19; Romains 3:4; Héb. 06:18. Enfin, il est aussi la vérité dans un sens logique , et en vertu de ce qu’il sait des choses qu’ils sont vraiment et a donc constitué l’esprit de l’homme que ce dernier puisse savoir, non seulement l’apparence, mais aussi la réalité, des choses. Ainsi, la vérité de Dieu est le fondement de toute connaissance. Il faut avoir à l’esprit, en outre, que ces trois ne sont que des aspects différents de la vérité, l’un en Dieu. Compte tenu de ce qui précède on peut qualifier la véracité ou la vérité de Dieu que la perfection de son être en vertu de laquelle il répond pleinement à l’idée de la divinité, est parfaitement fiable dans sa révélation, et voit les choses comme elles vraiment sont. C’est à cause de cette perfection qu’il est la source de toute la vérité, non seulement dans le domaine de la morale et de religion, mais aussi dans tous les domaines de l’activité scientifique. L’écriture est très catégorique dans ses références à Dieu comme vérité, Ex. 34: 6; Nombres 23:19; Deutéronome 32: 4; PS. 25: 10; 31:6; Ésaïe 65:16; Jérémie 10:8, 10, 11; John 14:6; 17:3; Tite 1:2; Héb. 06:18; J’ai John 05:20, 21. Il n’y a encore un autre aspect de cette perfection divine et celui qui est toujours considéré à partir de la plus haute importance. On l’appelle généralement sa fidélité, en vertu duquel il est soucieux de son alliance et répond à toutes les promesses qu’il a faites à son peuple. Cette fidélité de Dieu est de la plus grande importance pratique pour le peuple de Dieu. C’est le motif de leur confiance, la Fondation de leur espoir et la cause de leur joie. Il enregistre le désespoir auquel leur propre infidélité peut conduire aisément, leur donne le courage de continuer en dépit de leurs échecs et remplit leur cœur avec anticipations joyeuses, même quand ils sont profondément conscients du fait qu’ils ont confisqué tous les bénédictions de Dieu. Nombres 23:19; Deut. 7:9; PS. 89: 33; Ésaïe 49: 7; I Corinthiens 1:9; II Timothée 02:13; Héb. 06:17, 18; 10:23.

C. les attribues de la morale.

Les attributs moraux de Dieu sont généralement considérées comme la plus glorieuse des perfections divines. Pas un attribut de Dieu est en soi plus parfaite et glorieuse que l’autre, mais relativement à l’homme morales perfections de Dieu brille avec une splendeur tous leurs propres. Ils sont généralement abordés sous trois chefs: (1) la bonté de Dieu; (2) la sainteté de Dieu; et (3) la justice de Dieu.

1. la bonté de Dieu. Ceci est généralement considéré comme une conception générique, y compris plusieurs variétés qui sont distinguent selon leurs objets. La bonté de Dieu ne doit pas être confondue avec sa gentillesse, qui est un concept plus restreint. On parle de quelque chose de bon aussi, quand il répond à toutes les parties à l’idéal. C’est pourquoi dans notre attribution de la bonté de Dieu l’idée fondamentale est qu’il est dans tous les sens tout ce qu’il a que Dieu devrait être, et donc les réponses parfaitement à l’idéal exprimé dans le mot « Dieu ». Il est bon dans le sens métaphysique de la parole, la perfection absolue et le bonheur parfait en lui-même. C’est dans ce sens que le jeune homme dit Jésus: « Aucun n’est bon sauf un, même de Dieu, » Marc 10:18. Mais puisque Dieu est bon en lui-même, il est également bon pour ses créatures et peut-être donc être appelé les fons omnium bonorum. Il est la source de tout bien et est donc représenté par une multitude de moyens tout au long de la Bible. Le poète chante: « pour toi est la fontaine de la vie; dans ta lumière nous verrons la lumière, » Psaume 36: 9. Toutes les bonnes choses qui les créatures bénéficient dans le présent et attendent à l’avenir, flow pour eux hors de cette fontaine inépuisable. Et non seulement cela, mais Dieu est aussi le summum bonum, le plus grand bien, pour toutes ses créatures, quoiqu’à des degrés divers et selon la mesure dans laquelle ils répondent au but de leur existence. Dans la connexion actuelle nous naturellement soulignent l’éthique bonté de Dieu et les différents aspects de celle-ci, car elles sont déterminées par la nature de ses objets.

a. la bonté de Dieu envers ses créatures en général. Il peut être défini comme la perfection de Dieu, qui l’invite à composer abondamment et gentiment avec toutes ses créatures. C’est l’affection qui le créateur se sent envers ses créatures sensibles comme tel. Il chante le Psalmiste dans l’expression bien connue: « Jéhovah est bon pour tous; et ses tendres miséricordes sont sur toutes ses œuvres.... Aux yeux de tous attendent pour toi; et tu leur donnes leur nourriture en bonne saison. Tu openest ta main et satisfiest le désir de chaque chose vivante, » Psaume 145:9, 15, 16. Cet intérêt bienveillant de Dieu se révèle dans ses soins pour le bien-être de la créature et est adapté à la nature et les circonstances de la créature. Il varie naturellement en degré selon la capacité des objets de le recevoir. Et s’il n’est pas limité aux croyants, ils seulement manifestent une juste appréciation de ses bienfaits, le désir de les utiliser dans le service de leur Dieu et ainsi en profiter dans une mesure plus riche et plus complète. La Bible fait référence à cette bonté de Dieu, en beaucoup de passages, comme PS. 36:6; 104:21; Matthieu 05:45; 06:26; Luc 06:35; Actes 14:17.

b. l’amour de Dieu. Lorsque la bonté de Dieu s’exerce envers ses créatures rationnelles, il suppose que le caractère plus élevé de l’amour, et cet amour peut-être à nouveau être distingué selon les objets sur lesquels il s’arrête. À la différence de la bonté de Dieu en général, il peut être défini comme cette perfection de Dieu par lequel il est éternellement s’installe à l’auto-communication. Puisque Dieu est absolument bon en lui-même, son amour ne peut pas trouver entière satisfaction dans n’importe quel objet en deçà de la perfection absolue. Il aime ses créatures rationnelles pour lui-même, ou, pour l’exprimer autrement, qu’il aime en eux lui-même, ses vertus, son travail et ses dons. Il ne pas même retire son amour complètement de pécheur dans son état actuel pécheresse, bien que le péché de ce dernier est en abomination à lui, puisqu’il reconnaît même dans le pécheur de son porteur d’image. John 03:16; Matthieu 05:44, 45. Dans le même temps, il aime croyants avec un amour spécial, puisqu’il les envisage comme ses enfants spirituels dans le Christ. C’est à eux qu’il communique lui-même dans le sens de la plus complète et la plus riche, avec toute la plénitude de sa grâce et de miséricorde. John 16:27; Romains 5:8; 1 Jean 3:1. Mais une telle description donne la fausse impression que l'amour de Dieu est un sentiment comme chez les hommes. Or l'amour de Dieu (agape, agapao) est loin d'être un sentiment de tendresse plein d'émotions, il est plutôt une attitude de renoncement ou de résignation dans le sens d'un mouvement sacrificiel et perpétuel qui est l'essence même de son Existence, car Dieu se retrouve Lui-même dans le renoncement de Lui-même et cela éternellement dans l'épanouissement de son Existence. Le renoncement est l'enseignement primaire du Seigneur Jésus qui désire que nous soyons résigné à la volonté de Dieu et à la vérité qu'Il nous transmet comme principe de vie. L'amour de la vérité ou résignation aux valeurs absolues et ultimes de l'Esprit des vivants devient ainsi un facteur primordiale dans la vie du chrétien authentique.

c. la grâce de Dieu. Le mot important « grâce » est une traduction de l'hébreu chanan et le grec charis. Selon l’Ecriture, elle se manifeste non seulement par Dieu, mais aussi par les hommes et désigne alors la faveur dont un homme montre un autre, Genèse 33: 8, 10, 18; 39:4; 47:25; Ruth 2:2; 1 Sam. 1:18; 16:22. Dans ce cas il n’est pas nécessairement implicite que la faveur est imméritée dans les échanges entre les hommes. En général on peut dire, cependant, que grâce est le don gratuit de bonté sur qui aucun n’a une réclamation. C’est notamment le cas où la grâce visé est la grâce de Dieu. Son amour pour l’homme est toujours imméritée et lorsque montré aux pécheurs, est même retirée ou indisponible à ceux qui veulent se justifier par les œuvres de la loi, ce qui est l'équivalent aussi d'être justifié par les choix d'une décision personnelle (Gal. 5:4). La Bible utilise généralement le mot pour désigner la bonté imméritée ou l’amour de Dieu à ceux qui sont perdu il et sont par nature en vertu d’une décision de condamnation. La grâce de Dieu est la source de toutes les bénédictions spirituelles qui sont conférés à des pécheurs. Ainsi nous lisons de ceci en Éphésiens 1:6, 7; 2:7-9; Tite 02:11; 3:4-7, la Bible parle souvent de la grâce de Dieu, comme la grâce salvatrice, elle fait également mention de ceci dans un sens plus large, comme dans Ésaïe 26: 10; Jérémie 16:13. La grâce de Dieu est la plus grande importance pour les hommes pécheurs que nous sommes tous, sans exception. C’est par grâce que la voie de la rédemption a été ouvert pour eux, Rom. 03:24; II Corinthiens 8:9 et que le message de la rédemption est allé dans le monde, Actes 14:3. Par la grâce les pécheurs reçoivent le don de Dieu en Jésus Christ par les mérites du sacrifice de la croix qui leurs sont attribués gratuitement, actes 18:27; Éphésiens 2:8. Par la grâce, ils sont justifiées, Rom. 03:24; 04:16; Tite 3:7, ils sont enrichis avec des bénédictions spirituelles, Jean 1:16; II Corinthiens 8:9; II Thessaloniciens. 2:16, et ils héritent enfin le Salut, Éphésiens 2:8; Tite 2:11. Voyant qu’ils n’ont absolument aucun fond en eux-mêmes, ils sont au total dépendantes de la grâce de Dieu en Christ. Dans la théologie moderne, avec sa croyance en la bonté inhérente de l’homme et sa capacité à s’aider lui-même, la doctrine du Salut par la grâce est pratiquement devenu «une cause perdue», une «disgrâce» et même le mot « grâce » a été vidé de tout sens spirituel et disparut des discours religieux. Certains font même de la grâce la puissance d'obéissance aux ordonnances de la loi. Il a été conservé seulement dans le sens de « bienveillance », quelque chose qui est tout à fait externes et qui satisfait à la chair. Heureusement, il existe encore certaines personnes qui remettent l’accent sur le péché et sur une conscience nouvellement éveillée à la nécessité de la grâce divine. La définition scripturaire générale de la grâce dans le décret de Rédemption est «un don accordé sans qu'il soit dû; une faveur inconditionnelle ou bénédiction imméritée accordée par Dieu à ceux qu'il a désigné d'avance en Christ depuis avant la fondation du monde pour leur salut assuré et leur participation dans la gloire éternelle. En d'autres mots, la grâce du salut est limitée et sélective, et elle est entièrement souveraine et efficace dans son appel et son application envers les élus.

d. la miséricorde de Dieu. Un autre aspect important de la bonté et l’amour de Dieu sont sa miséricorde ou tendre compassion. Le mot hébreu plus généralement utilisé pour cela est chesed. Il y a un autre mot, cependant, qui exprime une compassion profonde et tendre, à savoir, le mot rafik, qui est magnifiquement rendu par « tendre miséricorde » dans notre Bible anglaise. La Septante et le Nouveau Testament emploient mot grec eleos pour désigner la miséricorde de Dieu. Si la grâce de Dieu contemple l’homme comme coupable devant Dieu, et par conséquent besoin de pardon, la miséricorde de Dieu contemple lui comme celui qui est de supporter les conséquences du péché, qui est dans un état pitoyable, et qui a donc besoin de l’aide divine. Il peut être défini comme la bonté ou l’amour de Dieu démontré que ceux qui sont dans la misère ou la détresse, quelles que soient leurs déserts. Dans sa miséricorde, Dieu se révèle comme un Dieu compatissant, qui a compassion de ceux qui sont dans la misère et est toujours prêt à soulager leur détresse. Cette miséricorde est abondante, Deut. 05:10; PS. 57:10; 86:5 et les poètes d’Israël ravi de chanter de celui-ci comme immuable depuis toujours, j’ai Chron. 16:34; II Chroniques 7:6; Psaume 136; Ezra 03:11. Dans le Nouveau Testament, il est souvent mentionné aux côtés de la grâce de Dieu, surtout dans les salutations, I Timothée 1:2; II Timothée 1:1; Tite 1:4. On nous dit à plusieurs reprises qu’il est établi que la crainte de Dieu, Exode 20:2; Deut. 7:9; PS. 86:5; Luc 01:50. Cela ne signifie pas, cependant, qu’il est limité à eux, bien qu’ils aiment ça, dans une mesure particulière. Les tendres miséricordes de Dieu sont sur toutes ses œuvres, PS. 145:9, et même ceux qui ne craignent pas de lui partagent en eux, Ézéchiel 18:23, 32; 33: 11; Luc 06:35, 36. La miséricorde de Dieu ne peut pas être représentée par opposition à sa justice. Il est exercé seulement en harmonie avec la plus stricte justice de Dieu, étant donné les mérites de Jésus Christ. Autres termes utilisés pour lui dans la Bible sont « pitié », « compassion » et « bonté ».

e. la patience de Dieu. La patience de Dieu est encore un autre aspect de sa grande bonté ou l’amour. L’hébreu utilise l’expression «erek »aph, qui signifie littéralement « long de visage » et puis aussi « lent à la colère, » tandis que le grec exprime la même idée par le mot makrothumia. C’est cet aspect de la bonté ou l’amour de Dieu en vertu duquel il porte avec le reporté et le mal en dépit de leur désobéissance continue longtemps. Dans l’exercice de cet attribut, le pécheur est envisagé comme continuant dans le péché, malgré les exhortations et les avertissements qui viennent à lui. Elle se révèle dans le report de l’arrêt méritée. L’écriture parle dans Exode 34: 6; PS. 86:15; Romains 2:4; 09:22; J’ai PET. 03:20; II Pierre 03:15. Un terme synonyme d’une connotation légèrement différente est le mot « abstention ».

2. la sainteté de Dieu. Le mot hébreu pour « être Saint, » quadash, est dérivé de la racine qad, qui signifie couper ou se séparer. Il est un des mots religieux plus éminents de l’ancien Testament et est appliqué surtout à Dieu. La même idée est véhiculée par le Nouveau Testament mots hagiazo et hagios. De là, il semble déjà qu’il n’est pas correct de penser de la sainteté principalement comme une qualité morale ou religieuse, comme cela se fait généralement. Son idée fondamentale est celle d’un poste ou de la relation qui existe entre Dieu et une personne ou une chose.

a. sa nature. L’idée biblique de la sainteté de Dieu est double. Dans son sens originel, il indique qu’il est tout à fait distinct de toutes ses créatures et est exalté au-dessus d’eux en Majesté infinie. Ainsi comprise, la sainteté de Dieu est l’un de ses attributs transcendantales, et c’est parfois la perfection suprême et parlée de son central. Il ne semble pas approprié de parler d’un attribut de Dieu comme étant le plus central et fondamental que l’autre; mais si cela était permis, l’accent biblique sur la sainteté de Dieu semblerait justifier ses choix. Il est évident, toutefois, que la sainteté en ce sens du mot n’est pas vraiment un attribut moral , qui peut être coordonnée avec les autres, comme l’amour, de grâce et de miséricorde, mais est plutôt une chose coïncide avec et applicable à tout qui peut être fondée de Dieu. Il est sacré dans tout ce qui lui révèle, dans sa bonté et sa grâce, ainsi que dans sa justice et de la colère. Il peut être appelé la « majesté-sainteté » de Dieu et est mentionné dans ces passages comme Exode 15:11; J’ai Sam. 2:2; Ésaïe 57.15; Osée 11:9. C’est cette sainteté de Dieu que Otto, dans son important ouvrage sur Das Heilige,[fr. TR. The Idea of the Holy.] considère que celui qui est le plus essentiel en Dieu, et qu’il désigne comme « le numineux. » Il considère comme faisant partie de la non rationnel en Dieu, qui ne peut pas être considéré sur le plan conceptuel, et qui comprend des idées telles que « unapproachability absolue » et « overpoweringness absolue » ou « Majesté aweful. » Il éveille chez l’homme un sentiment de néant absolu, une « créature-conscience » ou « créature-sentiment, » conduisant à l’anéantissement absolu.

Mais la sainteté de Dieu a également un aspect spécifiquement éthique dans l’écriture, et c’est avec cet aspect de la question qui nous intéresse plus directement à cet égard. L’idée d’éthique de la sainteté divine ne peut-être pas être dissociée de l’idée de la majesté sainteté de Dieu. Le premier développé à partir de ce dernier. L’idée fondamentale de l’éthique sainteté de Dieu est aussi celui de la séparation, mais dans ce cas, c’est une séparation du mal moral ou de péché. En vertu de sa sainteté, Dieu ne peut avoir aucune communion avec le péché, 34:10 de travail; Hab. 01:13. Utilisé en ce sens, la « sainteté » de mot pointe vers pureté majestueuse, ou éthique Majesté de Dieu. Mais l’idée de la sainteté éthique n’est pas seulement négatif (séparation du péché); Il dispose également d’un positif contenu, à savoir, celui de l’excellence morale ou éthique perfection. Si l’homme réagit à la sainteté de Dieu majestueux avec un sentiment d’insignifiance totale et l’effroi, sa réaction à la sainteté éthique se révèle dans un sentiment d’impureté, une conscience du péché, Ésaïe 6:5. Otto reconnaît également cet élément dans la sainteté de Dieu, mais il insiste sur l’autre et dit de la réponse à celle-ci: « crainte Mere, simple besoin d’un abri contre le « tremendum », ici a été élevé à la sensation que l’homme dans son « profaneness » n’est pas digne de stand en présence de Saint, et que son indignité personnelle entière pourrait souiller même sainteté elle-même. » [L’idée du Saint-Siège, p. 56.] Cette éthique sainteté de Dieu peut être qualifiée de cette perfection de Dieu, en vertu duquel il a éternellement testaments et maintient sa propre excellence morale, a horreur du péché et exigences de pureté dans ses créatures morales.

b. sa manifestation. La sainteté de Dieu se révèle dans la loi morale, implantée dans le coeur de l’homme et par l’intermédiaire de la conscience, et plus particulièrement dans la révélation spéciale de Dieu. Il se détachait en bonne place dans la loi donnée à Israël. Cette loi sous tous ses aspects a été calculée pour faire pression sur Israël, l’idée de la sainteté de Dieu et d’exhorter le peuple de la nécessité de mener une vie sainte. Cela a été l’objet de ces types et symboles comme la nation sainte, la Terre Sainte, la ville sainte, le lieu Saint et la sainte prêtrise. En outre, il a été révélé de la manière dont Dieu a récompensé l’observance de la Loi et les transgresseurs visités avec des punitions terribles. La révélation plus élevée de celui-ci a été donnée Jésus Christ, qui est appelé « the Saints et justes One », actes 03:14. Il reflète dans sa vie la sainteté parfaite de Dieu. Enfin, la sainteté de Dieu est aussi révélée dans l’église comme corps du Christ. Il est frappant de constater, à laquelle l’attention est souvent appelée, cette sainteté est attribuée à Dieu avec une fréquence beaucoup plus grande dans l’ancien Testament que dans le nouveau, bien qu’il se fait parfois dans le Nouveau Testament, John 17:11; J’ai PET. 01:16; Apocalypse 4:8; 6:10. c’est probablement dû au fait que le Nouveau Testament s’approprie ce terme plus particulièrement pour qualifier la troisième personne de la Sainte Trinité que celui dont c’est, dans l’économie de la rédemption, de communiquer la sainteté à son peuple la tâche spéciale.

3. la justice de Dieu. Cet attribut est étroitement lié à la sainteté de Dieu. Shedd parle de la justice de Dieu comme « un mode de sa sainteté »; et Strong l’appelle simplement « transitive sainteté. » Toutefois, ces conditions s’appliquent uniquement à ce qu’on appelle généralement la relative, à la différence de l' absolu, la justice de Dieu.

a. l’idée fondamentale de la justice. L’idée fondamentale de la justice est celui du strict respect de la Loi. Chez les hommes, elle suppose qu’il existe une loi à laquelle ils doivent se conformer. On dit parfois que nous ne pouvons pas parler de la justice de Dieu, parce qu’il n’y a aucune loi à laquelle il est soumis. Mais même si il n’y a aucune loi au-dessus de Dieu, il y a certainement une loi de la nature de Dieu, et c’est le plus haut niveau possible, par laquelle toutes les autres lois sont jugés. On fait généralement une distinction entre l’absolu et le relatif la justice de Dieu. Le premier est la droiture de la nature divine, en vertu duquel Dieu est infiniment juste en lui-même, tandis que la seconde est que la perfection de Dieu par laquelle il maintient lui-même vis-à-vis de toute violation de sa sainteté, et montre à tous les égards qu’il est Saint. C’est à cette justice que l’expression « justice » s’applique plus particulièrement. Fêtes de justice mani lui-même notamment en donnant à chacun son dû, dans le traitement de lui selon ses déserts. La justice inhérente de Dieu est naturellement basique à la justice qui, en ce qui concerne, il révèle avec ses créatures, mais c’est surtout cette dernière, appelée aussi la justice de Dieu, qui appelle une attention particulière ici. Les termes de l’hébreu pour « justes » et de « justice » est tsaddik, tsedhek, tsedhakahet les termes grecs correspondants, dikaios et dikaiosune, qui contient l’idée de conformité à une norme. Cette perfection est à plusieurs reprises attribuée à Dieu dans les Ecritures, Ezra 09:15; Néh. 9:8; PS. 119:137; 145: 17; Jérémie 12:1; Lam. 01:18; Dan. 09:14; John 17:25; II Timothée 4:8; J’ai John 02:29; 3:7; Apocalypse 16:5.

b. Distinctions appliquent à la justice de Dieu. Tout d’abord, il y a une justice rectoral de Dieu. Cette justice, comme le nom l’indique, est la rectitude dont Dieu se manifeste par le souverain de fois le bien et le mal. En vertu de ce qu’il a institué un gouvernement moral dans le monde et imposé une loi juste sur l’homme, avec la promesse d’une récompense pour l’obéissance et les menaces de punition pour le transgresseur. Dieu se distingue en bonne place dans l’ancien Testament comme le législateur d’Israël, Ésaïe 33: 22 et des gens en général, Jacques 04:12, et ses lois sont justes lois, Deut. 4:8. La Bible fait référence à cette œuvre rectoral de Dieu aussi dans Psaume 99:4 et Romains 01:32.

Étroitement liée à la rectoral est la justice distributive de Dieu. Généralement ce terme sert à désigner la droiture de Dieu dans l’exécution de la Loi et se rapporte à la distribution de récompenses et de punitions, Ésaïe 03:10, 11; Romains 2:6; J’ai PET. 01:17. Il est de deux types: (1) la justice rémunératrice, qui se manifeste dans la distribution des récompenses aux hommes et aux anges, Deut. 7:9, 12, 13; II Chron. 06:15; PS. 58:11; Micah 07:20; Matthieu 25: 21, 34; Romains 2:7; Hébreux 11:26. C’est vraiment l’expression de l’amour divin, face à ses primes, non fondée sur le mérite strict, car la créature ne peut établir aucun fondement absolu devant le créateur, mais selon l’accord, Luke et promesse 17:10; J’ai Cor. 4:7. Les récompenses de Dieu sont gracieux et au printemps d’une relation d’alliance qu’il a établie. (2) la justice rétributive, qui a trait à l’imposition de sanctions. C’est une expression de la colère divine. Même dans un monde sans péché il y aurait pas de place pour son exercice, il a nécessairement tient une place très importante dans un monde plein de péché. Dans l’ensemble la Bible insiste sur la récompense des justes plus que la punition des méchants; mais même cette dernière est suffisamment importante. ROM. 01:32; 2:9; 12:19; II Thess. 1:8 et beaucoup d’autres passages. Il est à noter que, alors que l’homme ne mérite pas la récompense qu’il reçoit, il ne mérite pas la peine qui est infligée à lui. La justice divine est initialement et nécessairement obligée de punir le mal, mais ne pas de récompenser bon, Luc 17:10; J’ai Cor. 4:7; Job 41: 11. Beaucoup nient la stricte justice punitive de Dieu et de revendication que Dieu punit le pécheur à lui réformer ou à dissuader d’autres personnes du péché; mais ces positions ne sont pas valides. L’objectif principal de la punition du péché est le maintien du droit et de la justice. Bien sûr, il peut servir soit dit en passant et peut-être même, secondairement, viser, à réformer le pécheur et à dissuader d’autres personnes du péché.

D. les attributs de la souveraineté.

La souveraineté de Dieu est fortement soulignée dans l’écriture. Il est représenté comme étant le créateur, et sa volonté comme la cause de toutes choses. En vertu de son travail de création ciel et la terre et tout ce qu’ils contiennent lui appartiennent. Il est habillé avec une autorité absolue sur les hôtes du ciel et les habitants de la terre. Il soutient toutes choses par sa toute-puissance et détermine les extrémités qui ils sont destinés à servir. Il gouverne en tant que roi dans le sens le plus absolu du mot, et toutes choses sont dépendant de lui et soumis à lui. Il y a une abondance de preuves de l’écriture de la souveraineté de Dieu, mais nous limitons nos références ici à quelques-uns des passages plus significatifs: 14:19; Exode 18:11; Deut. 10:14, 17; J’ai Chron. 29: 11, 12; II Chron. 20:6; Néhémie 9:6; PS. 22:28; 47:2, 3, 7, 8; PS. 50:10-12; 95: 3-5; 115:3; 135: 5, 6; 145:11-13; Jérémie 27: 5; Luc 01:53; Actes 17:24-26; Apocalypse 19:6. Deux attributs réclament de discussion sous ce chef, à savoir (1) la volonté souveraine de Dieu et (2) la puissance souveraine de Dieu.

1. LA VOLONTÉ SOUVERAINE DE DIEU.

a. la volonté de Dieu en général. La Bible utilise plusieurs mots pour désigner la volonté de Dieu, à savoir les mots Hébreux chaphets, tsebhu et ratson et les mots grecs boule et thelema. L’importance de la volonté divine apparaît à bien des égards dans les Ecritures. Il est représenté comme étant la cause finale de toutes choses. Tout en est dérivée; création et préservation, PS. 135:6; Jérémie 18:6; 04:11, gouvernement, Prov. 21:1; Dan. 04:35, de choix et de réprobation, Rom. 09:15, 16; Ep. 1:11, les souffrances du Christ, Luc 22:42; Actes à 02:23, régénération, Jacques 01:18, de sanctification, Phil. 02:13, les souffrances des croyants, 1 Pi. 03:17, vie et destin de l’homme agit 18:21; Romains 15:32; Jacques 04:15 et même les plus petites choses de la vie, Matthieu 10:29. C’est pourquoi la théologie chrétienne a reconnu toujours la volonté de Dieu comme la cause ultime de toutes choses, si la philosophie a montré parfois une tendance à chercher une cause plus profonde dans l’être même de l’absolu. Toutefois, la tentative à la terre tout en étant de Dieu très généralement traduit par le panthéisme.

Le mot « volonté » tel qu’appliqué à Dieu ne toujours pas la même connotation dans l’écriture. Il peut signifier (1) la nature de toute morale de Dieu, y compris ces attributs comme l’amour, la sainteté, la justice, etc..; (2) la faculté de l’autodétermination, c'est-à-dire le pouvoir de décider soi-même à une ligne de conduite ou pour établir un plan; (3) le produit de cette activité, c'est-à-dire le plan prédéterminé ou le but; (4) le pouvoir d’exécuter ce plan et de réaliser ce but (la volonté en action ou omnipotence); et (5) la règle de vie fixées pour les créatures rationnelles. C’est avant tout la volonté de Dieu comme la faculté d’autodétermination qui nous intéresse aujourd'hui. Il peut être défini comme que la perfection de son être par laquelle il, dans un acte plus simple, sort vers lui-même comme le plus grand bien (je. e. prend plaisir à lui-même comme tel) de et envers ses créatures pour son propre nom saké et est ainsi le fondement de leur être et existence. En ce qui concerne l’univers et toutes les créatures qu’il contient, cela inclut naturellement l’idée de causalité. Bref, la Volonté de Dieu est la Vie éternelle dans l'expression de ses réflexions sur Lui-même.

b. Distinctions appliquent à la volonté de Dieu. Plusieurs distinctions ont été appliquées à la volonté de Dieu. Certains de ces trouvé peu de faveur dans la théologie réformée, telles que la distinction entre un antécédent et un conséquent volonté de Dieu, et qu’entre un absolu et une conditionnelle sera. Ces distinctions n’étaient pas seuls responsables à des malentendus, mais ont été interprétées en fait une manière répréhensible. D’autres, cependant, ont trouvé utiles et étaient donc plus généralement reconnus. Ils ont peuvent être déclaré comme suit: (1) de la decretive et la volonté d’adopter de Dieu. La première est la volonté de Dieu par quels buts He ou tout ce qui arrivera, si il veut pour accomplir efficacement les décrets (causatively), ou de permettre qu’elle s’exécute par le biais de l’Agence effrénée de ses créatures rationnelles. Ce dernier est la règle de vie que Dieu a prévu pour ses créatures morales, indiquant les fonctions qu’il impose sur eux. L’ancien est toujours réalisé, alors que ce dernier est souvent désobéi. (2) la volonté d’Eudoxie et la volonté d’eurestia. Cette division a été faite, non pas tant dans le cadre de l’objectif de le faire, car en ce qui concerne le plaisir dans la pratique, ou le désir de voir quelque chose. Il correspond à ce qui précède, cependant. dans le fait que la volonté d' Eudoxie, comme celui du décret, comprend ce qui doit certainement être accompli, tandis que la volonté eurestia, comme celui du précepte, embrasse tout simplement ce que Dieu est heureux de faire ses créatures. mot eudokia ne doit pas nous induire en erreur de penser que la volonté de Eudoxie a référence seulement au bien et pas au mal, Matt. 11:26. C’est à peine correct de dire que l’élément de complaisance ou le plaisir est toujours présente en elle. (3) la volonté de la beneplacitum et la volonté de la signum. L’ancien nouveau dénote la volonté de Dieu telle qu’incarnée par son avocat cachée, jusqu'à ce qu’il a en fait connu par une révélation, ou par l’événement lui-même. Tout testament qui se révèle donc devient un signum. Cette distinction est censée correspondre à celui entre la decretive et la volonté d’adopter de Dieu, mais il peut difficilement dire de le faire. Le bon plaisir de Dieu trouve aussi l’expression dans son adopter sera; et la volonté decretive vient parfois aussi à notre connaissance par un signum. (4) le secret et la révélation sera de Dieu. Il s’agit de la distinction plus courante. La première est la volonté du décret de Dieu, qui est en grande partie cachée en Dieu, tandis que la seconde est la volonté du précepte, qui se révèle dans la Loi et l’Évangile. La distinction est fondée sur le Deutéronome 29: 29. La volonté secrète de Dieu est mentionnée dans Psaume 115:3; Dan. 04:17, 25, 32, 35; ROM. 09:18, 19; 11:33, 34; Éphésiens 1:5, 9, 11; et sa volonté révélée, dans Matthieu 07:21; 12:50; John 04:34; 07:17; Romains 12:2. Ce dernier est accessible à tous et n’est pas loin de nous, Deut. 30: 14; Romains 10:8. Le secret sera de Dieu se rapporte à tout ce qu’il veut soit pour effet ou pour permettre, et qui sont donc absolument fixe. La volonté révélée prescrit les droits de l’homme et représente la manière dont il peut jouir des bénédictions de Dieu.

c. la liberté de Dieu. La question est fréquemment débattue si Dieu, dans l’exercice de sa volonté, agit nécessairement ou librement. La réponse à cette question nécessite une discrimination. Comme il y a une scientia necessaria et une scientia libera, il y a aussi un voluntas necessaria (volonté nécessaire) et un voluntas libera (libre arbitre) en Dieu. Dieu lui-même est l’objet du premier. Il a nécessairement les testaments lui-même, sa nature Sainte et les distinctions personnelles dans la divinité. Cela signifie qu’il aime lui-même et se délecte dans la contemplation de son propre perfections nécessairement. Pourtant il est sous aucune contrainte, mais il agit conformément à la Loi de son être; et ceci, si elle est nécessaire, est aussi la liberté plus élevée. Il est évident que l’idée de causalité est absente ici, et que la pensée de complaisance ou approuvé est au premier plan. Les créatures de Dieu, cependant, sont les objets de sa voluntas libera. Dieu détermine volontairement ce qui et dont il créera, le times, lieux et circonstances, de leur vie. Il jalonne le chemin d’accès de toutes ses créatures rationnelles, détermine leur destin et les utilise à ses fins. Et bien qu’il les dote de liberté, encore sa volonté contrôles leurs actions. La Bible parle de cette liberté de la volonté de Dieu dans les termes les plus absolus, Job 11:10; 33:13; PS. 115:3; Prov. 21:1; Ésaïe 10:15; 29: 16; 45:9; Matthieu 20:15; ROM. 09:15-18,20,21; I Corinthiens 12:11; 04:11. L’Eglise a toujours défendu cette liberté, mais a également souligné le fait qu’il ne peut pas être considéré comme une indifférence absolue. Duns Scot appliqué l’idée d’un testament en aucun sens déterminé à Dieu; mais cette idée d’une volonté aveugle, agissant avec une parfaite indifférence, a été rejetée par l’église. La liberté de Dieu n’est pas l’indifférence pure, mais l’autodétermination rationnelle. Dieu a des raisons de prêt comme il le fait, qui induisent lui choisir une fin plutôt qu’un autre et un ensemble de moyens pour accomplir une extrémité préférence à d’autres. Il y a dans chaque cas un motif qui prévaut, ce qui rend la fin choisie et les moyens choisis la plus agréable pour lui, bien que nous ne soyons pas en mesure de déterminer quel est ce motif. En général on peut dire que Dieu ne peut pas se tout ce qui est contraire à sa nature, sa sagesse ou l’amour, à sa droiture ou la sainteté. Dr. Bavinck souligne que nous pouvons discerner rarement pourquoi Dieu a voulu une chose plutôt qu’une autre, et qu’il n’est pas possible ni même admissible pour nous de chercher un motif plus profond des choses que la volonté de Dieu, parce que toutes ces tentatives d’entraîner à la recherche d’un terrain pour la créature dans l’être même de Dieu, en le privant de sa nature de contingent et en la rendant divin éternel, nécessaire. [Geref. Dogme. II, p. 241.]

d. en ce qui concerne le péché. de Dieu La doctrine de la volonté de Dieu donne souvent lieu à des questions sérieuses. Problèmes posent ici qui n’ont encore jamais été résolus et qui sont probablement incapables de solution par l’homme.

(1) il est dit que si la volonté décrétale de Dieu a également déterminé l’entrée du péché dans le monde, Dieu devient de ce fait l’auteur du péché et veut vraiment quelque chose qui va à l’encontre de ses perfections morales. Les Arminiens, pour échapper à la difficulté, faire la volonté de Dieu afin de permettre le péché dépendre de sa prescience du cours dont l’homme choisirait. Théologiens réformés, tout en maintenant sur la base de tels passages comme actes 02:23; 3:8; etc., que la volonté décrétale de Dieu comprend également les actes pécheresses de l’homme, sont toujours pris soin de souligner que cela doit être conçue de telle sorte que Dieu ne devienne pas l’auteur du péché. Franchement, ils admettent qu’ils ne peuvent pas résoudre la difficulté, mais en même temps faire quelques distinctions précieuses qui s’avèrent utiles. La plupart d'entre eux insiste là-dessus que la volonté de Dieu en ce qui concerne le péché est tout simplement une volonté de permettre le péché et non pas une volonté à effectuer, comme il le fait le bien moral. Cette terminologie est certainement permise, autant il est bien compris. Il faut avoir à l’esprit que la volonté de Dieu afin de permettre le péché porte certitude avec elle. D’autres appellent l’attention sur le fait que, tandis que les termes « seront » ou « à volonté » peut comprendre l’idée de complaisance ou de plaisir, ils mentionnent parfois une simple détermination de la volonté; et que par conséquent la volonté de Dieu afin de permettre le péché n’impliquent qu’il prend plaisir ou pour le plaisir dans le péché.

(2) encore une fois, il est dit que la volonté décrétale et adopter de Dieu sont souvent contradictoires. Son décrèt comprend beaucoup de choses qu’il a interdit dans son adopter sera et exclut beaucoup de choses quelles commandes He dans son testament adopter, cf. Genèse 22; Ex. 04:21-23; IIIème rois 20:1-7; Actes à 02:23. Pourtant, il est très important pour maintenir la decretive et la volonté d’adopter, mais avec la compréhension précise que, bien qu’ils nous apparaissent comme distincts, ils sont encore fondamentalement un en Dieu. Si une solution parfaitement satisfaisante de la difficulté est hors de question pour l’instant, il est possible de faire des approches à une solution. Lorsque nous parlons de la decretive et la volonté d’adopter de Dieu, nous utilisons la mot « volonté » dans deux sens différents. L’ancien Dieu a déterminé ce qu’il fera ou ce qui arrivera; dans le second cas il nous révèle ce que nous sommes en devoir de le faire. [Cf. Bavinck, Geref. Dogme. II, p. 246 ff.; Dabney, syst et trouvailles. Théol., p. 162] dans le même temps, on retiendra que la loi morale, la règle de notre vie, est aussi en quelque sorte l’incarnation de la volonté de Dieu. C’est l’expression de son caractère sacré et de ce que cela exige naturellement de toutes les créatures morales. C’est pourquoi une autre remarque doit être ajouté à ce qui précède. Le decretive et adopter sera de Dieu ne pas entrer en conflit en ce sens que, dans l’ancienne qu’il fait, et selon ce dernier, il n’est pas, prenez plaisir dans le péché; pas plus, en ce sens que, selon l’ancien qu'il n’est pas et selon ce dernier, il le fait, que le salut de chaque individuels avec une volonté positive. Même selon la volonté de decretive Dieu ne prend aucun plaisir dans le péché; et même selon la volonté d’adopter, il ne pas sera le salut de chaque individuels avec une volonté positive.

2. la puissance souveraine de Dieu. La souveraineté de Dieu trouve expression, non seulement dans le divin, mais aussi dans la toute-puissance de Dieu ou le pouvoir d’exécuter sa volonté. Puissance de Dieu peut être appelé l’énergie efficace de sa nature, ou que la perfection de son être par laquelle il est la causalité absolue et la plus haute. Il est d’usage de distinguer entre une potentia Dei absoluta (pouvoir absolu de Dieu) et un potentia Dei ordinata (puissance ordonnée de Dieu). Cependant, la théologie réformée rejette cette distinction dans le sens où il a été entendu par la scolastique, qui prétendaient que Dieu en vertu de son pouvoir absolu pourrait effectuer des contradictions et pourrait même péché et anéantir lui-même. Dans le même temps, elle adopte la distinction comme exprimant une vérité vraie, bien qu’il ne le représente pas toujours de la même manière. Selon Hodge et Shedd pouvoir absolu est l’efficacité divine, telle qu’exercée sans l’intervention des causes secondes; alors que la puissance ordonnée est l’efficacité de Dieu, telle qu’exercée par l’exploitation ordonnée des causes secondes. [Shedd, dogme . Théol. I, p. 361f., Hodge, Syst. théol. 1, pp. 410f.] La vue plus général, est exprimée par Charnock comme suit: « absolu, est ce pouvoir par lequel Dieu est capable de faire ce qu’il ne fera pas, mais il est possible de le faire; ordonnée, est ce pouvoir par lequel Dieu est ce qui il a décrété de faire, c'est-à-dire, qu’il a ordonné ou nommé doit être exercé; qui ne sont pas des pouvoirs distincts, mais la même puissance. Sa puissance ordonnée est une partie de son absolu; car s’il n'avait pas le pouvoir de faire tout ce qu’il pouvait, il ne pourrait pas le pouvoir de faire tout ce qu’il sera. » [Existence et des attributs de Dieu II, p. 12. Cf. aussi Bavinck, Geref. Dogme. II, p. 252: Kuyper, Dict. dogme., De Deo I, pp. 412 f.] potentia ordinata peut être défini comme que la perfection de Dieu par lequel il, par le simple exercice de sa volonté, peut réaliser tout ce qui est présent dans son testament ou un avocat. La puissance de Dieu dans la mise en oeuvre effective se limite à celle qui est comprise dans son décret éternel. Mais l’exercice effectif du pouvoir de Dieu ne représente pas ses limites. Dieu pouvait faire plus que cela, s’il était tellement occupé. En ce sens, nous pouvons parler de la potentia absoluta, ou le pouvoir absolu de Dieu. Cette position doit être maintenue par rapport à ceux qui, comme Schleiermacher et Strauss, soutiennent que la puissance de Dieu se limite à celle qu’il accomplit en fait. Mais dans notre affirmation de la toute-puissance de Dieu, il est nécessaire de se prémunir contre les idées fausses. La Bible nous enseigne d’une part que la puissance de Dieu s’étend au-delà de ce qui est effectivement réalisées, 18:14; Jérémie 32: 27; Zach. 8:6; Matthieu 3:9; 26:53. que donc, nous ne pouvons dire que ce que Dieu n’apporte pas à la réalisation, n’est pas possible pour lui. Mais d’autre part, il indique également qu’il y a beaucoup de choses que Dieu ne peut pas faire. Il peut mentir, pécher, changer, ni renonce à lui-même, nombres 23:19; J’ai Samuel 15:29; II Timothée 02:13; Héb. 06:18; Jacques 01:13, 17. Il n’y a pas de pouvoir absolu en lui qui est divorcé de ses perfections, et en vertu de laquelle il peut faire toutes sortes de choses qui sont intrinsèquement contradictoires. L’idée de la toute-puissance de Dieu est exprimée dans le nom de "El-Shaddai; et la Bible en parle en termes non équivoques, Job à 09:12; PS. 115:3; Jérémie 32: 17; Matthieu 19:26; Luc 01:37; Rom. 1:20; Ep. 01:19. Dieu manifeste sa puissance dans la création, Rom. 04:17; Ésaïe 44: 24; dans les œuvres de la providence, Hébreux 1:3 et à la rédemption des pécheurs, I Cor. 01:24; Rom. 1:16.

QUESTIONS Pour une étude plus approfondie. Dans quels sens différents peut-on parler de la prescience de Dieu ? Comment les arminiens concevoir cette prescience ? Quelles objections sont là pour l’idée du jésuite de scientia média? Comment devons nous juger de l’accent moderne sur l’amour de Dieu comme l’attribut central et déterminant tout de Dieu ? Ce qui est conception d’Otto de « le Saint » en Dieu ? Quelle objection est là pour la position que les punitions de Dieu servent simplement à réformer le pécheur, ou à dissuader d’autres personnes du péché ? Quel est le Socinien et la conception Grotian de justice rétributive en Dieu ? Est-il correct de dire que Dieu peut faire tout en vertu de son omnipotence ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. II, pp. 171-259; Kuyper, Dict. dogme., De Deo I, pp. 355-417; Vos, Geref. Dogme. I, pp. 2-36; Hodge, Syst. Theol. I, p. 393-441; Shedd, dogme . Théol. J’ai, pp. 359-392; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 154-174; Pape, Chr. Theol. I, pp. 307-358; Watson, Théol. Inst. Partie II, Chap. II; Wilmers, Manuel de la Religion Chr., pp... 171-181; Harris, Dieu, créateur et Seigneur de tous, I, pp. 128-209; Discours de Charnock, l’Existence et les attributs de Dieu, III, VII-IX; Bates, sur les attributs; Clarke, La Doctrine chrétienne de Dieu, pp. 56-115; Snowden, la personnalité de Dieu; Adeney, la Conception chrétienne de Dieu, pp. 86-152; Macintosh, la théologie comme une Science empirique, pp. 159-194; Strong, Syst. Theol., pp. 282-303.

 

VIII. la Sainte-Trinité

A. la Doctrine de la Trinité dans l’histoire.

La doctrine de la Trinité a toujours été entourée de difficultés, et il n’est donc aucunement étonnant que l’église dans sa tentative de la formuler, a été à plusieurs reprises tenté de rationaliser et de donner une interprétation de ce qui n’a pas à rendre justice aux données scripturaires. La raison est pourtant simple, comme nous l'avons déjà mentionné plus haut, car la doctrine de la Trinité est une pure invention philosophique hautement spéculative sur l'Existence du mystère de Dieu. Elle est issue du platonisme et n'a aucun rapport avec les Saintes-Écritures sauf en apparence seulement. Nulle part la Bible enseigne-t-elle une telle chimère monstrueuse dans laquelle les théoriciens divisent Dieu en trois personnes distinctes. Ce torchon spirituel a été engendré par l'Église Catholique de la Rome impériale sous Constantin pour devenir le balourd des générations futures. Ce Cerbère théologique a tellement pénétré le psyché humain qu'il est presque impossible de le déloger sans une intervention divine.

1. la période de pré-réforme. Les Juifs du temps de Jésus ont beaucoup insisté sur l’unité de Dieu, et cette insistance a été intégré dans l'Église Chrétienne dite Catholique ou Universelle. C’est ainsi que certains exclu totalement les distinctions personnelles dans la divinité et que d’autres n’ont pas pu pleinement rendre justice à la divinité essentielle des deuxième et troisième personnes de la Sainte Trinité. Appelons ces gens de la résistance les premiers héros de la foi chrétienne qui ont subis la persécutions de la part de ceux qui se disent chrétiens pour avoir maintenue l'unité de Dieu, quoique souvent de façon imparfaite et insuffisante. Le grand philosophe, Tertullien, a été le premier faux chrétien à employer le terme « Trinité » et à élaborer la doctrine, mais sa formulation était déficiente, puisqu’il s’agissait d’une subordination injustifiée du fils au père. Origène d'Alexandrie, qui a donné une directions aux forces de l'apostasie avec son Hexaples dans laquelle il a érigé la Septante originale et dont il en est l'auteur, est allé encore plus loin dans cette direction en enseignant explicitement que le fils est subordonné au père à l’égard de l’essence, et que le Saint-Esprit est subordonné même au fils. Il a nui à la divinité essentielle de ces deux personnes dans la divinité et monté un tremplin pour les Ariens, qui ont nié la divinité du fils et du Saint-Esprit en représentant le fils comme la première créature du père et l’Esprit Saint comme la première créature du fils. Comprenons aussi qu'Origène attribuait la rançon de sacrifice de la croix à Satan, franchement quoi d'autre peut-on s'attendre d'un tel imposteur. Ainsi la consubstantialité du fils et du Saint-Esprit avec le père a été sacrifiée, afin de préserver l’unité de Dieu; et les trois personnes imaginaires de la divinité ont tenté de se distinguer dans le grade. Les Ariens conservaient un semblant de la doctrine des trois personnes dans la divinité, mais cela a été sacrifié par monarchisme, en partie dans l’intérêt de l’unité de Dieu et, en partie, pour maintenir la divinité du fils. Quel artifice lorsque les trinitaires ne font pas mieux. Le Monarchianisme dynamique a vu en Jésus un homme et en l’Esprit Saint une influence divine, tandis que le Modalisme Monarchianisme considéré le père, le fils et le Saint-Esprit, comme simplement trois modes de manifestation assumées successivement par la divinité. Mais cela n'est pas tout à fait exact car il y avait différents camps d'interprétations dans le Modalisme. Celui de Noët et de Praexas, nommé aussi le Patripacisme, voyait en Jésus le Père manifesté dans la chair comme Fils, ce qui est fortement en accord avec les Saintes-Écritures. Tandis que le camp du Sabellianisme voyait en Dieu trois modes intérimaires et successifs, ce qui est une hérésie grossière par rapport à la révélation des Saintes-Écritures.  D’autre part il y avait aussi certains qui ont perdu de vue l’unité de Dieu à un point tel qu’ils établirent un trithéisme idolâtre. Certains des Monophysites ultérieurs, tels que John Ascunages et John Philoponus, sont tombé dans cette erreur. Pendant le moyen-âge le nominaliste, Roscelinus, a été accusé de la même erreur. L’Église a commencé à élaborer sa doctrine de la Trinité au IVe siècle, puisqu'elle n'existait pas auparavant sauf dans les anciennes religions à mystères. Le Concile de Nicée, avec ses déviations subtiles et raffinées, a déclaré le fils d’être co-essentielle avec le père (325 après JC), alors que le Concile de Constantinople (381 AP. J.-C.) a affirmé la divinité du Saint-Esprit, mais pas avec la même précision. Quant à l’interrelation des trois, il a été officiellement professé que le fils est généré par le père (donc deux fois nés), et que le Saint-Esprit procède du père et du fils (lorsqu'il est lui-même le Père et le Fils). À l’est l'aberration de la doctrine de la Trinité a trouvé sa déclaration insidieuse plus complète dans l'œuvre de Jean de Damas et dans l’Ouest, dans l'œuvre d’Augustin De Trinitate. L’ancienne conserve encore un caractère de subordination, qui est entièrement éliminée par ce dernier.

2. la période post-réforme. Nous n’avons aucun développement ultérieur de la doctrine de la Trinité, mais seulement rencontrer à plusieurs reprises certaines des plus anciennes élaborations erronées de celle-ci après la réforme. Les arminiens, Episcopius, Curcellæus et Ltizia, relancèrent la doctrine de la subordination, encore une fois, il semble donc dans le but de maintenir l’unité de la divinité. Ils ont attribué au père une certaine prééminence sur les autres personnes, dans l’ordre, la dignité et la puissance. Une position un peu similaire a été prise par Samuel Clarke en Angleterre et par le théologien luthérien, Kahnis. D’autres ont suivi le chemin indiqué par Sabellius par l’enseignement d’une espèce de Modalisme, comme, par exemple, Emanuel Swedenborg, qui a jugé que l’homme-Dieu éternel s’est fait chair dans le fils et exploité par le Saint-Esprit; Hegel, qui parle du père comme Dieu en lui-même, le fils comme Dieu lui-même objectivant et de l’Esprit Saint comme Dieu revenant à lui-même; et Schleiermacher, qui considère les trois personnes sous trois aspects de Dieu: le père est Dieu comme l’unité sous-jacente de toutes choses, le fils est Dieu comme venant d’une personnalité consciente chez l’homme et l’Esprit Saint est Dieu comme vivant dans l’église. Les Sociniens des jours de la réformation sont déplacés le long des lignes ariennes, mais il sont même allé au-delà Arius, en faisant de Dieu simplement un homme et de l’Esprit Saint un pouvoir ou influence de Christ. Ils étaient les précurseurs des unitaires et aussi des théologiens libéraux qui parlent de Jésus comme un Maître divin et identifient le Saint-Esprit avec le Dieu immanent. Enfin, il y a aussi certains qui, puisqu’ils considéraient l’énoncé de la doctrine d’une Trinité ontologique comme inintelligible, voulaient l'arrêter trop tard et restèrent satisfait de la doctrine d’une Trinité économique, une Trinité telle que révélée dans le œuvre de rédemption et dans l’expérience humaine, comme Moses Stuart, W. L. Alexander et W. A. Brown. Pendant un temps considérable l'intérêt dans la doctrine de la Trinité a diminué, et sa discussion théologique centrée plus particulièrement sur la personnalité de Dieu. Brunner et Barth ont à nouveau appelé l’attention sur son importance. Ce dernier la place très bien au premier plan, discuté dans le cadre de la doctrine de la révélation et consacre 220 pages de sa théologie dogmatique à elle. Matériellement, il dérive de la doctrine de l’Écriture, mais, officiellement et logiquement, il trouve qu’il est impliqué dans la phrase simple, « Dieu parle ». Il est révélateur (père), Apocalypse (fils) et Révélationiste (Saint-Esprit). Il se révèle, il est la révélation, et il est également le contenu de la révélation. Dieu et sa révélation sont identifiés. Il reste aussi Dieu dans sa révélation, absolument libre et souverain. Ce point de vue de Barth n’est pas une espèce de Sabellianisme, car il reconnaît trois personnes dans la divinité. En outre, il ne permet pas une subordination. Il dit: « Ainsi, le même Dieu qui, dans l’unité irréprochable est révélateur, révélation et Révélationiste, est également attribuée en variété irréprochable en lui-même précisément ce triple mode d’être. » [La Doctrine de la parole de Dieu, p. 344.]

B. Dieu Trinité dans l’unité.

Le mot « Trinité » n’est pas tout à fait aussi expressif que le mot de Hollande « Drieeenheid », qui peut simplement signifier «l’état d’être de trois» ou «triplicité d'existence», sans aucune implication quant à l’unité des trois. Il est généralement admis, cependant, que, comme un terme technique en théologie, il inclut cette idée. Il va sans dire que, quand nous parlons de la Trinité de Dieu, nous nous référons à une Trinité dans l’unité et à une unité qui est trine. Mais il s'agit néanmoins d'une tri-unité de personnes distinctes dans l'essence unique de Dieu, ce qui est nul autre que du trithéisme, car trois personnes est l'équivalent de trois dieux, malgré toutes les affirmations du contraire de la part des réprouvés qui veulent dominer sur la foi et les consciences. Comme nous l'avons souligné auparavant, il ne s'agit pas de trois personnes distinctes, mais d'une triple conscience d'existence dans l'unité de l'essence divine, révélant un seul Dieu. La vérité est plutôt qu'il y a une triple conscience d'existence dans l'essence unique de Dieu, et non trois personnes distinctes.

1. la personnalité de Dieu et de la Trinité. Comme indiqué dans ce qui précède, les attributs transmissibles de Dieu soulignent sa personnalité, car ils le révèlent comme un être rationnel et moral. Sa vie se distingue clairement devant nous dans l’Écriture comme une vie personnelle ou plus précisément une vie originale et extraordinaire; et c’est, bien sûr, la plus haute importance de maintenir la personnalité de Dieu, car sans elle il ne peut y avoir aucune religion dans le vrai sens du mot: aucune prière, aucune communion personnelle, aucune confiance ou assurance et aucun espoir. Puisque l’homme est créé à l’image de Dieu, nous apprenons à comprendre quelque chose de la vie personnelle de Dieu, de la contemplation de la personnalité que nous connaissons chez l’homme. Nous devons être prudents, cependant, ne pas de mettre en place la personnalité de l’homme en tant que norme par laquelle la personnalité de Dieu doit être mesurée. La forme originale de la personnalité n’est pas chez l’homme mais en Dieu; C’est archétypal, tandis que l’homme est ectype. Ce dernier n’est pas identique à l’ancienne, mais contient de faibles traces de similitude avec elle. Nous ne devrions pas dire que l’homme est personnelle, alors que Dieu est super-personnel (un terme très malheureux), pour ce qui est super personnel n’est pas personnelle; mais plutôt que ce qui apparaît comme l’imparfait chez l’homme existe dans la perfection infinie de Dieu. La seule différence remarquable entre les deux est que l’homme est uni-personnels, alors que Dieu est tri-personnel. Et cette existence tri-personnel est une nécessité dans l’etre divin et non pas dans n’importe quel sens le résultat d’un choix de Dieu. Il ne pourrait exister que dans tout autre que la forme tri-personnel. Cela a été avancé de diverses manières. Il est très fréquent d’argumenter il de l’idée de la personnalité elle-même. Shedd fonde son argumentation sur la conscience de soi générale du Dieu triune, par opposition à la conscience de soi individuelle particulière de chacune des personnes dans la divinité, car dans la conscience de soi, le sujet doit savoir lui-même comme une objet et aussi percevoir que ce n’est. Ceci est possible à Dieu à cause de son existence trinal. Il dit que Dieu ne pouvait pas être auto contemplatif, self-cognitif et Self communier, s’il n’était pas trinal dans sa constitution. [Dogme. Théol., I, f. p. 393, 251 et suiv., 178ff.] Bartlett présente d’une manière intéressante de diverses considérations pour prouver que Dieu est nécessairement tri-personnel. [Le Dieu Triune, deuxième partie.] L’argument de la personnalité, pour prouver au moins une pluralité en Dieu, peut être mis dans une telle forme comme ceci: chez les hommes, l’ego s’éveille à la conscience que par contact avec le non ego. Personnalité ne développent pas exister isolément, mais uniquement en association avec d’autres personnes. Il n’est donc pas possible de concevoir la personnalité de Dieu en dehors d’une association de personnes égales en lui. Son contact avec ses créatures ne représenteraient pas pour sa personnalité pas plus que le contact de l’homme avec les animaux qui expliquerait sa personnalité. En vertu de l’existence de tri-personnel de Dieu, il y a une plénitude infinie de la vie divine en lui. Paul parle de ce pleroma (plénitude) de la divinité dans Éphésiens 03:19 et col. 1:9; 2:9. compte tenu du fait qu’il y a trois personnes en Dieu, il est préférable de dire que Dieu est personnel que de parler de lui en tant que personne.

2. la preuve SCRIPTURAIRE pour la DOCTRINE de la Trinité. La doctrine de la Trinité est très nettement une doctrine de la révélation, mais d'une révélation extra-biblique. Il est vrai que la raison humaine peut suggérer quelques réflexions à l’appui de la doctrine, et que les hommes ont parfois pour des motifs purement philosophiques abandonné l’idée d’une unité nue en Dieu et a introduit l’idée du mouvement de la vie et de l'auto-distinction. Et il est également vrai que l’expérience chrétienne semble exiger une telle interprétation de la doctrine de Dieu. Dans le même temps, c’est une doctrine qui nous n'aurait pas su, ni pu entretenir avec un certain degré de confiance, sur la base de l’expérience seul, et qui est portée à notre connaissance que par la révélation spéciale de Dieu. Par conséquent, il est primordial que nous nous rassemblons les preuves scripturales pour elle.

a. preuves de l’ancien Testament. Certains les premiers pères de l’église et même certains théologiens plus tard, sans tenir compte du caractère progressif de la révélation de Dieu, a donné l’impression que la doctrine de la Trinité a été totalement révélée dans l’ancien Testament. En revanche, Sociniens et arminiens étaient d’avis qu’il ne figurait pas là du tout. Tous deux sont trompaient. L’ancien Testament ne contient pas une pleine révélation de l’existence de Trinitaire de Dieu, mais contient plusieurs indications de celui-ci. Et c’est exactement ce qui pouvait s’y attendre. La Bible ne traite de la doctrine de la Trinité comme une vérité abstraite, mais révèle la vie trinitaire dans ses différentes relations comme une réalité vivante, dans une certaine mesure dans le cadre de travaux de création et providence, mais surtout par rapport à la œuvre de rédemption. Sa révélation plus fondamentale est une révélation donnée en faits plutôt qu’en mots. Et cette révélation augmente dans la clarté dans la mesure où le œuvre rédemptrice de Dieu se révèle plus clairement, comme dans l’incarnation du fils et de l’effusion de l’Esprit Saint. Et la plus la réalité glorieuse de la Trinité distingue dans les faits de l’histoire, la plus claire les déclarations de la doctrine devenue. La révélation la plus complète de la Trinité dans le Nouveau Testament est dû au fait que le verbe s’est fait chair, et que le Saint-Esprit a repris sa demeure dans l’église.

La preuve de la Trinité a parfois été constatée dans la distinction entre Jéhovah et élohim et aussi dans le pluriel élohim, mais le premier n’est pas tout à fait justifiée, et cette dernière est, à tout le moins, très douteuse, bien que Rottenberg il conserve dans son travail sur De Triniteit en Israels Godsbegrip. [p. 19ff.] Il est plus plausible que les passages dans laquelle Dieu parle de lui-même dans le pluriel, 1:26; 11:7, contenir une indication des distinctions personnelles en Dieu, mais même ceux-ci ne pointent pas une Trinité mais seulement une pluralité de personnes. Encore plus claires indications de telles distinctions personnelles sont trouvent dans ces passages qui se réfèrent à l’ange de Jéhovah, qui est d’une part identifié avec Jéhovah et distingue d’autre part de lui, Genèse 16:7-13; 18:1-21; 19:1-28; Malachie 3:1; et aussi en passages où le mot ou la sagesse de Dieu est personnifiée, Psaume 33: 4, 6; Prov. 08:12-31. Dans certains cas plus d’une personne est mentionnée, Psaume 33: 6; 45: 6, 7 (comp. Héb. 1:8, 9) et dans d’autres Dieu est l’actuel président et mentionne que le Messie comme l’esprit, ou le Messie est l’orateur qui parle de Dieu et l’esprit, Ésaïe 48: 16; 61: 1; 63: 9, 10. L’ancien Testament contient donc une prévision claire de la révélation plus complète de la Trinité dans le Nouveau Testament.

b. les preuves de Nouveau Testament. Le Nouveau Testament porte en lui une révélation plus claire des discriminations dans la divinité. Si dans l’ancien Testament, Jéhovah est représenté comme le Rédempteur et Sauveur de son peuple, emploi. 19:25; PS. 19:14; 78:35; 106:21; Ésaïe 41: 14; 43:3, 11, 14; 47:4; 49: 7, 26; 60:16; Jérémie 14:3; 50:14; Osée 13:3, dans le Nouveau Testament, le fils de Dieu se démarque clairement à ce titre, Matthieu 01:21; Luc 1:76-79; 02:17; John 04:42; Actes 5:3; GAL 03:13; 4:5; Phil. 03:30; Tite 02:13, 14. Et si, dans l’ancien Testament, c’est Jéhovah qui habite entre Israël et dans les coeurs de ceux qui craignent, PS. 74:2; 135:21; Ésaïe 08:18; 57.15; Ézéchiel 43:7-9; Joel 03:17, 21; Zacharie 02:10, 11, dans le Nouveau Testament, c’est le Saint-Esprit qui habite dans l’église, actes 2:4, Rom. 8:9, 11; I Corinthiens 03:16; Galates 4:6; EP 02:22; Jas. 4:5. Le Nouveau Testament offre la révélation claire de Dieu envoyant son fils dans le monde, John 03:16; Galates 4:4; Hébreux 1:6; J’ai John 4:9; et des fois le père et le fils, envoi de l’esprit, Jean 14:26; 15:26; 16:7; Galates 4:6. Nous trouvons le père s’adressant au fils, Mark 01:11; Luc 03:22, le fils de communier avec le père, Matthieu 11:25, 26; 26: 39; John 11:41; 12:27, 28 et le Saint-Esprit prier à Dieu dans le cœur des croyants, Rom. 08:26. Ainsi les personnes séparées de la Trinité sont faits de se démarquer clairement avant nos esprits. Au baptême du fils, le père parle du ciel, et le Saint-Esprit descend sous la forme d’une colombe, Matthieu 03:16, 17. Dans la grande commission, Jésus mentionne trois personnes: «... les baptisant au nom du père et du fils et du Saint-Esprit, » Matthieu 28: 19. Ils sont également appelés à côté de l’autre dans I Cor. 12:4-6; II Corinthiens 13:14; et I Pierre 1:2. Le seul passage parlant de tri-l’unité est I Jean 5:7 (auth. Ver.), mais c’est l’authenticité douteuse et est donc éliminé des dernières éditions critiques du Nouveau Testament.

3. énoncé de la DOCTRINE de la Trinité. La doctrine de la Trinité peut mieux être discutée brièvement dans le cadre de diverses propositions, qui constituent un résumé de la foi de l’Église sur ce point.

a. il y a dans l’être divin, une essence indivisible (ousia, essentia). Dieu est unique dans son étant essentiels ou de nature constitutionnelle. Quelques-uns des premiers pères de l’église utilisé le terme «substance» comme synonyme de « essentia », mais les auteurs postérieurs évité cette utilisationdes étant donné que, dans l’Eglise latine «substantia» a été utilisé comme un rendu de «hypostasis» comme Eh bien à partir de «ousia» et est donc ambiguë. À l’heure actuelle les deux termes « substance » et « essence » est souvent utilisé indifféremment. Il n’y a pas d’objection à cela, autant ne pas oublier qu’ils ont une connotation légèrement différente. Shedd qui les distingue comme suit: « Essence est esse, être et signifie être énergique. Substance de substareet dénote la possibilité latente de.... L’essence du terme décrit Dieu comme une somme totale de perfections infinies; la terme substance le décrit comme le sol sous-jacent des activités infinis. Le premier est, comparativement, un verbe actif; le dernier, un passif. Le premier est, comparativement, spirituelle, le dernier une condition matérielle. On parle de substance matérielle plutôt que de l’essence matérielle. » [Dogme. Théol., I, p. 271.] Puisque l’unité de Dieu a déjà été discutée dans ce qui précède, il n’est pas nécessaire d’y insister en détail dans la connexion actuelle. Cette proposition concernant l’unité de Dieu repose sur ces passages comme Deutéronome 6:4; Jacques 02:19, sur l’existence autonome et l’immutabilité de Dieu et sur le fait qu’il est identifié avec ses perfections que quand il est appelé vie, lumière, vérité, justice et ainsi de suite.

b. il présente un être divin en trois personnes ou subsistances, père, fils et Saint-Esprit. Cela est prouvé par les divers passages dénommés justifiant la doctrine de la Trinité. Pour désigner ces distinctions dans la divinité, écrivains grecs généralement employé le terme hypostasis, tandis que les auteurs latins utilisé le terme personaet parfois de substantia. Parce que le premier était susceptible d’être trompeuse, et celui-ci était ambiguë, le Schoolmen a inventé le mot subsistentia. La variété des termes utilisés souligne le fait que leur insuffisance a toujours estimé. Il est généralement admis que le mot « personne » n’est qu’une expression imparfaite de l’idée. Dans le langage courant, il désigne une personne rationnelle et morale distincte, douée d’une conscience de soi et consciente de son identité au milieu de toutes les modifications. L’expérience enseigne que lorsque vous avez une personne, vous avez également une essence individuelle distincte. Chaque personne est une personne distincte et séparée, en qui la nature humaine est individualisée. Mais en Dieu il n’y a pas trois personnes aux côtés d’et séparé de l’autre, mais seulement personnelles self-distinctions au sein de l’essence Divine, qui est non seulement de manière générique, mais aussi numériquement, une. Par conséquent beaucoup préféraient parler de trois hypostases dans Dieu, trois modes différents, pas de manifestation, comme Sabellius enseigné, mais de l’existence ou de subsistance. Ainsi Calvin dit: « par personne, alors, j’entends une subsistance dans l’essence Divine. — une subsistance qui, bien que liée aux deux autres, se distingue d’eux par propriétés incommunicables. » [Inst I, XIII, 6] Cela est parfaitement admissible et peut éviter malentendus, mais ne doit pas nous faire perdre de vue le fait que les distinctions de soi dans l’être divin implique un « I » et « Tu » et « He », dans l’être de Dieu, qui supposent des relations personnelles entre eux provoquer. Matthieu 03:16; 4:1; John 01:18; 03:16; 05:20-22; 14:26; 15:26; 16:13-15.

c. l'ensemble de l’essence indivisible de Dieu appartient également à chacune des trois personnes. Cela signifie que l’essence divine n’est pas réparti entre les trois personnes, mais il est tout à fait avec toute sa perfection dans chacune de ces personnes, afin qu’ils aient une unité numérique d’essence. La nature divine se distingue de la nature humaine en ce qu’il peut subsister entièrement et indivisiblement dans plus d’une personne. Alors que trois personnes chez les hommes ont seulement une unité spécifique de part nature ou essence, c'est-à-dire, dans le même genre de la nature ou l’essence, les personnes dans la divinité ont une unité numérique d’essence, c'est-à-dire, posséder l’essence identique. La nature humaine ou essence peut être considéré comme une espèce, dont chaque homme a une pièce individuelle, afin qu’il y a une unité spécifique (des espèces); mais la nature divine est indivisible et donc identique en la personne de la divinité. C’est numériquement la même, et par conséquent l’unité de l’essence dans les personnes est une unité numérique. D'où il suit que l’essence divine n’est pas une existence indépendante aux côtés des trois personnes. Il a pas d’existence en dehors d’et en dehors de trois personnes. Si elle l’a fait, il y aurait aucune vraie unité, mais une division qui conduirait dans tetratheism. La distinction personnelle est dans l’essence divine. Comme il est généralement appelé, cela a trois modes de subsistance. Une autre conclusion qui découle de ce qui précède, est qu’il peut y avoir aucune subordination quant à être essentielle de la personne de la divinité à l’autre et donc aucune différence dans la dignité des personnes. Cela doit être maintenue par le subordinationisme de Origen et autres premiers pères de l’église et les arminiens et de Clarke et d’autres théologiens anglicans. La seule subordination dont nous pouvons parler, est une subordination à l’égard de l’ordre et de la relation. C’est surtout quand nous réfléchissons sur la relation entre les trois personnes à l’essence divine que tous les analogies nous manquent et nous devenons profondément conscients du fait que la Trinité est un mystère bien au-delà de notre compréhension. C’est la gloire incompréhensible de la divinité. Tout comme la nature humaine est trop riche et trop plein pour être incorporés dans un seul individu et vient à son expression adéquate que dans l’humanité tout entière, donc l’etre divin se déploie elle-même dans sa plénitude, que dans ses trois plier subsistance du père , Fils et Saint-Esprit.

d. la subsistance et l’exploitation des trois personnes dans l’être divin est marquée par un certain ordre défini. Il y a un certain ordre dans la Trinité ontologique. En subsistance personnelle du père est tout d’abord, le fils en second lieu, et le Saint Esprit troisième. Il faut difficilement dire que cette ordonnance ne sont pas liées à toute priorité de temps ou de dignité essentielle, mais seulement à l’ordre logique de dérivation. N’est ni engendré par le père, ni le produit de toute autre personne; le fils est éternellement engendré du père, et l’esprit procède du père et le fils de toute éternité. Génération et la procession se déroulent au sein de l’etre divin et impliquent une certaine subordination quant à la manière de subsistance personnelle, mais aucune subordination en ce qui concerne la possession de l’essence divine n’est concernée. Cette Trinité ontologique et son ordre inhérent est le fondement métaphysique de la Trinité économique. C’est, mais naturel, donc, que l’ordre existant dans la Trinité essentielle devrait se refléter dans l' ad opéra supplémentaire qui sont plus particulièrement attribuée à chacune des personnes. L’écriture indique clairement cette ordonnance en ce qu’on appelle praepositiones distinctionales, ek, diaet fr, qui sont utilisés pour exprimer l’idée que toutes les choses sont sur le père, par le fils et le Saint Esprit.

e. il y a certaines qualités personnelles par lesquelles les trois personnes sont distinctes. Ils sont également appelés opéra ad intra, parce que ce sont des œuvres au sein de l’etre divin, qui ne sont pas terminés sur la créature. Ils sont des opérations personnelles, qui ne sont pas exécutées par les trois personnes conjointement et qui sont incommunicables. Génération est un acte du père seulement; filiation appartient au fils exclusivement; et procession peut uniquement être attribuée à l’Esprit Saint. Comme opéra ad intra ces œuvres sont distinguent de l' ad opéra supplémentaire, ou les activités et les effets par lesquels la Trinité se manifeste extérieurement. Ceux-ci ne sont jamais oeuvres d’une personne exclusivement, mais toujours des œuvres de l’etre divin dans son ensemble. Dans le même temps, il est vrai que certains de l' ad opéra supplémentaire sont attribuées dans l’ordre économique des oeuvres de Dieu plus particulièrement à une seule personne et plus particulièrement à l’autre. S’ils sont conjointement toutes les œuvres des trois personnes, création est attribuée principalement au père, la rédemption au fils et la sanctification de l’Esprit Saint. Le présent arrêté dans les opérations divines pointe vers l’ordre essentiel en Dieu et constitue le fondement de ce qu’on appelle généralement la Trinité économique.

f. l’église confesse la Trinité comme étant un mystère au-delà de la compréhension de l’homme. La Trinité est un mystère, non seulement dans le sens biblique du terme que c’est une vérité, qui était autrefois cachée, mais est maintenant révélée; mais dans le sens que l’homme ne peut comprendre et rendre intelligible. C’est compréhensible dans certaines de ses relations et les modes de manifestation, mais incompréhensibles dans sa nature essentielle. Les nombreux efforts déployés pour expliquer le mystère étaient spéculatifs plutôt que théologique. Invariablement, elles ont donné lieu à l’élaboration des conceptions tritheistic ou modalistic de Dieu, le refus de soit l’unité de l’essence divine ou la réalité des distinctions personnelles au sein de l’essence. La véritable difficulté réside dans la relation dans laquelle les personnes dans la divinité debout à l’essence divine et un à l’autre; et il s’agit d’une difficulté que l’église ne peut pas supprimer, mais seulement essayer de réduire à sa proportion appropriée par une bonne définition des termes. Elle a jamais essayé d’expliquer le mystère de la Trinité, mais seulement cherché à élaborer la doctrine de la Trinité de telle manière que les erreurs dont il en voie de disparition ont été conjurées.

4. différentes ANALOGIES a suggéré de faire la lumière sur le sujet. Depuis la première date de l’ère chrétienne, tentatives furent faites pour faire la lumière sur les Trinitaires étant de Dieu, sur la Trinité dans l’unité et l’unité dans la Trinité, par analogies tirées de plusieurs sources. Ce sont tous défectueux, on ne peut nier qu’ils étaient d’une certaine valeur au débat trinitaire. Cela vaut en particulier pour ceux issus de la nature constitutionnelle ou de la psychologie, de l’homme. Compte tenu du fait que l’homme a été créé à l’image de Dieu, c’est naturel mais à supposer que, s’il y a quelques traces de la vie trinitaire dans la créature, la plus claire de ces trouveront chez l’homme.

a. certaines de ces illustrations ou les analogies ont été prises de la nature inanimée ou de végétaux, comme l’eau de la fontaine, le ruisseau et la rivière, de la brume montante, les nuages et la pluie ou sous forme de pluie, de neige et de glace; et comme l’arbre avec ses racines, tronc et branches. Ceux-ci et toutes les illustrations similaires sont très défectueuses. L’idée de la personnalité est, bien sûr, tout à fait désireux; et si ils fournit des exemples d’un caractère ou une substance commune, ils ne sont pas des exemples d’une essence commune qui est présente, pas seulement en partie, mais dans son intégralité, dans chacun de ses éléments constitutifs ou les formes.

b. d’autres une plus grande importance ont été tirées de la vie de l’homme, en particulier par la constitution et les processus de l’esprit humain. Ceux-ci ont été considérés comme d’importance particulière, parce que l’homme est le porteur de l’image de Dieu. À cette classe appartiennent à l’unité psychologique de l’intellect, l’affection et la volonté (Augustine); l’unité logique de thèse, antithèse et synthèse (Hegel); et l’unité métaphysique du sujet, objet et sujet-objet (Olshausen, Shedd). En tout cela, nous avons une certaine Trinité dans l’unité, mais aucun tri-personnalité dans l’unité de substance.

c. l’attention a également été appelée à la nature de l’amour, ce qui suppose un sujet et un objet et appelle à l’union de ces deux, afin que, lorsque l’amour a son travail parfait, trois éléments sont inclus. Mais il est facile de voir que cette analogie est défectueuse, puisqu’elle personnes coordonne deux et une relation. Il n’illustre pas du tout une tri-personnalité. En outre, il se réfère seulement à une qualité et pas du tout à une substance possédée en commun par le sujet et l’objet.

C. les trois personnes considérées séparément.

1. LE PÈRE OU LA PREMIÈRE PERSONNE DANS LA TRINITÉ.

- la conscience de la Source de l'existence -

a. le nom «père» tel qu’appliqué à Dieu. Ce nom n’est pas toujours utilisé de Dieu dans le même sens dans l’écriture. (1) parfois, il est appliqué à Dieu Triune que l’origine de toutes les choses créées, I Cor. 8:6; EP 03:15; Hébreux 12:9; Jacques 01:17. Dans ces cas, le nom s’appliqu’à l’un et Trine, il renvoie plus précisément à la première personne, à qui le travail de création est plus particulièrement attribuée à l’écriture. (2) le nom est également attribué à l’un et Trine pour exprimer la relation théocratique dans lequel il se trouve en Israël comme son ancien Testament personnes, Deut. 32: 6; Ésaïe 63:16; 64:8; Jérémie 3:4; Malachie 1:6; 02:10; (3) dans le Nouveau Testament, le nom est généralement utilisé pour désigner le Dieu triune comme le père dans un sens éthique de tous ses enfants spirituels, Matthieu 05:45; 6:6-15; ROM. 08:16; J’ai John 3:1. (4) dans un sens totalement différent, cependant, le nom est appliqué à la première personne de la Trinité dans sa relation à la deuxième personne, John 01:14, 18; 05:17-26; 08:54; 14:12, 13. la première personne est le père de la deuxième dans un sens métaphysique. Il s’agit de la paternité initiale de Dieu, de qui toute paternité terrestre est qu’un pâle reflet.

b. la propriété distinctive du père. Les biens personnels du père est, négativement parlant, qu’il n’est pas engendré ou inengendré et positivement parlant, la génération du fils et la spiration de l’Esprit Saint. Il est vrai que spiration est également une oeuvre du fils, mais en lui, il n’est pas associé à la génération. Strictement parlant, le seul travail qui est particulière au père exclusivement est celle de la génération active.

c. l’annonce de l’opéra supplémentaire attribuée plus particulièrement au père. Tous les ad opéra supplémentaire de Dieu sont des oeuvres du Dieu triune, mais dans certaines de ces œuvres le père est évidemment au premier plan, tels que: (1) conception de le œuvre de rédemption, y compris les élections, dont le fils était lui-même un objet, Psaume 2:7-9; 40: 6-9; Ésaïe 53: 10; Matthieu 12:32; Éphésiens 1:3-6. (2) les travaux de création et providence, surtout à leurs débuts, j’ai Cor. 8:6; Éphésiens 2:9. (3) les travaux de représenter la Trinité, à l’avocat de la rédemption, comme le Saint et juste être, dont le droit a été violé, Psaume 2:7-9; 40: 6-9; John 06:37, 38; 17:4-7.

2. LE FILS OU LA SECONDE PERSONNE DE LA TRINITÉ.

- la conscience de l'Expression de l'existence -

a. le nom «fils» telle qu’appliquée à la seconde personne. La deuxième personne de la Trinité est appelée « Fils » ou « Fils de Dieu » en plus d’un sens du mot. (1) dans un sens métaphysique. Cela doit être maintenue par les Sociniens et unitaires, qui rejettent l’idée d’une divinité de la tri-personnel, voir en Jésus un simple homme et considère le nom de « Fils de Dieu », telle qu’appliquée à lui avant tout comme un titre honorifique lui sont conférés. Il est évident que Jésus Christ est représenté comme le fils de Dieu dans l’écriture, quelle que soit sa position et son travail en tant que médiateur. Il parle de lui comme le fils de Dieu du point de vue pré incarnation, par exemple, dans Jean 01:14, 18; Galates 4:4. (b) il s’appelle le « » fils unique de Dieu ou du père, un terme qui ne s’appliquerait pas à lui, s’il était le fils de Dieu seulement à un fonctionnaire ou un sens éthique, John 01:14, 18; 03:16, 18; J’ai John 4:9. Comparer II sam 07:14; Job 2:1; Psaume 2:7; Luc 03:38; John 01:12. (c) dans certains passages, il est tout à fait évident du contexte que le nom est révélateur de la divinité du Christ, Jean 05:18-25; Hébreux 1. (d) tandis que Jésus enseigne à ses disciples de parler de Dieu et devant lui comme « notre père », il est lui-même parle de lui et adresse à lui, simplement comme le « Père » ou « mon père » et montre ainsi qu’il était conscient d’une relation unique au père, Matthieu 6:9; 07:21; John 20:17. (e) conformément à Matthieu 11:27, Jésus comme le prétend le fils de Dieu une connaissance unique de Dieu, une connaissance comme personne d’autre ne puisse posséder. (f) les Juifs ont certainement comprenaient Jésus de prétendre qu’il était le fils de Dieu dans un sens métaphysique, car ils considéraient la manière dans laquelle il a parlé de lui-même comme le fils de Dieu comme blasphème, Matthieu 26:63; John 05:18; 10:36. — — (2) de façon officielle ou messianique. Dans certains passages, ce sens du nom est combiné avec celui mentionné précédemment. Les passages suivants s’appliquent le nom de « Fils de Dieu » à Christ en tant que médiateur, Matthieu 08:29, de 26:63 (où cette signification est combinée avec l’autre); 27: 40; John 01:49; 11:27. ce Messie-filiation est, bien sûr, liées à l’origine la filiation du Christ. C’est seulement parce qu’il était essentiel et éternel fils de Dieu, qu’il pourrait être appelé le fils de Dieu comme le Messie. En outre, la Messie-filiation reflète la filiation éternelle du Christ. C’est à partir du point de vue de ce Messie-filiation que Dieu est encore appelé le Dieu du fils, II Corinthiens 11:31; Éphésiens 1:3 et est parfois mentionné comme Dieu à la différence du Seigneur, John 17:3; I Corinthiens 8:6; Éphésiens 4:5, 6. — — (3) dans un sens importé. Le nom de « Fils de Dieu » est donné à Jésus aussi compte tenu du fait qu’il devait sa naissance à la paternité de Dieu. Il a été engendré, selon sa nature humaine, par l’opération surnaturelle du Saint-esprit et est en ce sens, le fils de Dieu. Ceci est clairement indiqué dans Luc 01:32, 35 et peut sans doute être inférée également John 01:13.

b. la subsistance personnelle du fils. La subsistance personnelle du fils doit être maintenue par rapport à tous les Modalistes, qui, d’une manière ou d’une autre, nient les distinctions personnelles dans la divinité. La personnalité du fils peut être motivée comme suit: (1) la façon dont la Bible parle du père et le fils aux côtés de l’autre implique que celui est tout aussi personnelle que les autres et est également un signe d’une relation personnelle existant entre la t WO. (2) l’utilisation de l’appelatives « unique » et le « premier-né » implique que la relation entre le père et le fils, tandis qu’unique, peut néanmoins être représentée environ une génération et de la naissance. Le « premier-né » de nom se trouve à 01:15; Hébreux 1:6 et insiste sur le fait de la génération éternelle du fils. Cela signifie simplement qu’il était avant toute la création. (3) l’utilisation distincte du terme « Logos » dans l’écriture pointe dans la même direction. Ce terme est appliqué au fils, pas en premier lieu d’exprimer sa relation au monde (ce qui est tout à fait secondaire), mais pour indiquer la relation intime dans lequel il est le père, la relation comme celle d’un mot à l’orateur. À la différence de la philosophie, la Bible représente le Logos comme personnelles et l’identifie avec le fils de Dieu, John 1:1-14; J’ai John 1:1-3. (4) la description du fils comme l’image, ou même l’image de Dieu dans II Corinthiens 4:4; 01:15; Hébreux 1:3. Dieu distingue clairement dans l’écriture comme un être personnel. Si le fils de Dieu est l’image même de Dieu, il doit aussi être une personne.

c. la génération éternelle du fils. Les biens personnels du fils est qu’il est éternellement engendré du père (brièvement appelé « filiation ») et partage avec le père dans la spiration de l’esprit. La doctrine de la génération du fils est suggérée par la représentation biblique des première et deuxième personnes de la Trinité comme se situant dans la relation du père et fils les uns aux autres. Non seulement les faire le nom « Père » et « Fils » suggèrent la génération de ce dernier par l’ancien, mais le fils est aussi à plusieurs reprises appelé « l’unique, « John 01:14, 18; 03:16, 18; Hébreux 11:17; J’ai John 4:9. Plusieurs éléments méritent l’accent dans le cadre de la génération du fils: (1) c’est un acte de Dieu nécessaire. Origène, l’un des tous premiers à parler de la génération du fils, il a considéré comme un acte dépend de la volonté du père et par conséquent libre. D’autres à plusieurs reprises exprimé la même opinion. Mais il a été clairement vu par Athanasius et d’autres qu’une génération dépend de l’option sera du père rendrait l’existence du contingent fils et voler ainsi lui de sa divinité. Ensuite, le fils ne serait pas égal à et existe nécessairement homoousios auprès du père, du père et ne peut pas être conçue comme inexistante. La génération du fils doit être considérée comme un acte de Dieu, nécessaire et parfaitement naturel. Cela ne signifie pas qu’il n’est pas liée à la volonté du père dans tous les sens du terme. C’est qu'un acte de nécessaire du père sera, ce qui signifie simplement que son corollaire sera se délecte parfait dedans. (2) c’est une loi éternelle du père. Cela découle naturellement de ce qui précède. Si la génération du fils est un nécessaire loi du père, alors qu’il est impossible de lui concevoir comme ne pas générer, il partage naturellement dans l’éternité du père. Cela ne signifie pas, cependant, que c’est un acte qui a été achevé dans le passé lointain, mais plutôt que c’est un acte hors du temps, la Loi d’un éternel présent, un acte continue toujours et encore jamais réalisée. Son éternité résulte non seulement de l’éternité de Dieu, mais aussi de l’immuabilité divine et de la véritable divinité du fils. En plus de cela, il peut être déduit de tous ces passages de l’Ecriture qui enseignent la préexistence du fils ni son égalité avec le père, Michée 5:2; John 01:14, 18; 03:16; 05:17, 18, 30, 36; Actes 13:33; Jean 17:5; 01:16; Hébreux 1:3. La déclaration du Psaume 2:7, « tu es mon fils; ce jour j’ai toi, engendré » est généralement cité pour prouver la génération du fils, mais, selon certains, avec bienséance plutôt douteux, cf. actes 13:33; Hébreux 1:5. Ils présument que ces mots se rapportent à l’élévation vers le haut de Jésus comme roi messianique et à la reconnaissance de lui comme fils de Dieu de façon officielle et devrait probablement être reliés avec la promesse dans II Samuel 07:14, tout comme ils se trouvent dans Hébreux 1:5. (3) c’est une génération de la subsistance personnelle plutôt que de l’essence divine du fils. Certains ont parlé comme si le père a généré l’essence du fils, mais cela revient à dire qu’il a généré sa propre essence, de l’essence de fois le père et le fils est exactement la même chose. Il est préférable de dire que le père génère la subsistance personnelle du fils, mais aussi lui communique l’essence divine dans son intégralité. Mais en faisant cela, que nous devons nous prémunir contre l’idée que le père la première génération de la seconde personne et ensuite communiqué l’essence divine à cette personne, car cela aboutirait à la conclusion que le fils n’était pas générés hors l’essence divine, mais créé à partir de n° chose. Dans le travail de génération, il y avait une communication des délais; C’était un acte indivisible. Et en vertu de la présente communication le fils a aussi la vie en lui-même. C’est en accord avec la déclaration de Jésus, « Pour que le père a la vie en lui-même, même si a donné il au fils aussi d’avoir la vie en lui-même, » John 05:26. (4) c’est une génération qui doit être conçue comme spirituelle et divine. Contre les Ariens, qui a insisté pour que la génération du fils nécessairement implicite de séparation ou la division de l’etre divin, les pères de l’église a insisté sur le fait que cette génération ne doit pas être conçu de manière physique et tourments, mais devrait être considéré comme spirituelle et divine, à l’exclusion de toute idée de division ou de changement. Il n’apporte distinctio et répartition util, mais aucun diversitas et divisio dans l’etre divin. (Bavinck) La plus frappante analogie de celui-ci se trouve dans la pensée de l’homme et prenant la parole, et la Bible elle-même semble pointer vers cela, quand il parle du fils comme le Logos. (5) la définition suivante peut être donnée de la génération du fils: c’est cette loi éternelle et nécessaire de la première personne dans la Trinité, par lequel il, au sein de l’etre divin, est le terrain d’un deuxième personnels subsistance comme son propre et met cette seconde personne en possession de l’essence divine ensemble, sans aucune division, aliénation, ou changer.

d. la divinité du fils. La divinité du fils a été refusée dans l’église primitive par Ébionites et les Alogi, ainsi que par les Monarchiens dynamiques et les Ariens. À l’époque de la réforme les Sociniens ont suivi leur exemple et parlait de Jésus comme un simple homme. La même position est prise par Schleiermacher et Ritschl, par une foule de chercheurs libéraux, particulièrement en Allemagne, par les unitaires et par les modernistes et les humanistes de nos jours. Ce refus est possible uniquement pour ceux qui ignorent les enseignements de l’écriture, la Bible contient une abondance de preuves de la divinité du Christ. [C’est très habilement résumée dans des œuvres comme de Liddon La divinité de notre Seigneur, Le Seigneur de la gloirede Warfield et de Wm. C. Robinson Notre-Seigneur.] Nous trouvons que l’écriture (1) affirme explicitement la divinité du fils dans ces passages comme John 1:1; 20:28; Romains 9:5; Philippiens 2:6; Tite 02:13; J’ai John 05:20; (2) s’applique à des noms divins lui, Ésaïe 9:6; 40: 3; Jérémie 23:5, 6; Joel 02:32 (COMP. AC 02:21); J’ai Timothée 03:16; (3) attribue à lui des attributs divins, comme l’existence éternelle, Ésaïe 9:6; Jean 1:1, 2; Apocalypse 1:8; 22:13, omniprésence, Matthieu 18:20; 28: 20; John 03:13, omniscience, John 02:24, 25; 21:17; 02:23, omnipotence. Ésaïe 9:6; Phil. 03:21; Apocalypse 1:8, immuabilité, Héb. 01:10-12; 13:8, et en général tous les attributs appartenant au père, Colossiens 2:9; (4) parle de lui comme faisant des oeuvres divines, comme création, John 1:3, 10; 01:16; Hébreux 1:2, 10, providence, Luc 10:22; John 03:35; 17:2; EP 01:22; 01:17; Hébreux 1:3, le pardon des péchés, Matthieu 9:2-7; Marc 2:7-10; 03:13, la résurrection et le jugement, Matthieu 25: 31, 32; Jean 05:19-29; Actes 10:42; 17:31; Phil. 03:21; II Timothée 4:1, la dissolution finale et le renouvellement de toutes choses, Héb. 01:10-12; Phil. 03:21; Apocalypse 21:5 et (5) les accords lui divin honneur, John 05:22, 23; 14:1; I Corinthiens 15:19; II Corinthiens 13:13; Hébreux 1:6; Matthieu 28: 19.

e. la place du fils dans la Trinité économique. Il est à noter que l’ordre d’existence dans la Trinité essentielle ou ontologique se reflète dans la Trinité économique. Le fils occupe la deuxième place dans l' ad opéra supplémentaire. Si toutes les choses sont sur le père, ils sont par le fils, j’ai Cor. 8:6. Si l’ancien est représenté comme étant la cause absolue de toutes choses, la dernière se démarque clairement comme la médiation cause. Ceci s’applique dans la sphère naturelle, où toutes choses sont créées et gérées par le fils, John 1:3, 10; Hébreux 1:2, 3. Il est la lumière qui éclaire tout homme dans le monde, John 1:9. Elle s’applique également à le œuvre de rédemption. À l’avocat de la rédemption il prend sur lui d’être caution pour son peuple et d’exécuter le plan du père de la rédemption, PS. 40:7, 8. Il fonctionne cela plus particulièrement dans son incarnation, souffrances et la mort, Éphésiens 1:3-14. Dans le cadre de sa fonction les attributs de la sagesse et la puissance, j’ai Cor. 01:24; Hébreux 1:3 et de la miséricorde et la grâce, sont surtout lui sont imputables, II Corinthiens 13:13; Éphésiens 5:2, 25.

3. LE SAINT-ESPRIT OU LA TROISIÈME PERSONNE DANS LA TRINITÉ.

- la conscience de la Réflexion de l'existence -

a. le nom appliqué à la troisième personne de la Trinité. Alors qu’on nous dit dans Jean 04:24 que Dieu est esprit, le nom s’applique plus particulièrement à la troisième personne dans la Trinité. Le terme hébreu par lequel il est désigné est ruachet le grec pneuma, qui sont tous deux, comme le Latin spiritus, dérivé des racines qui signifient « respirer ». Donc ils peuvent aussi être rendus « breath », Genèse 2:7; 06:17; Ézéchiel 37:5, 6, ou « vent, « Genèse 8:1; Iier Rois 19:11; Jean 3:8. L’ancien Testament utilise le terme « esprit » sans aucune réserve, généralement ou parle de « l’esprit de Dieu » ou « l’esprit du Seigneur » et emploie le terme « Saint-esprit » que dans le Psaume 51:11; Esaïe 63:10, 11, tandis que dans le Nouveau Testament, c’est devenu une appellation beaucoup plus courante de la troisième personne dans la Trinité. C’est une substitution fait que, tandis que l’ancien Testament appelle à plusieurs reprises de Dieu « le Saint d’Israël, » psaume 71:22; 89:18; Ésaïe 10:20; 41: 14; 43:3; 48:17, le Nouveau Testament rarement s’applique l’adjectif « Saint » à Dieu en général, mais il utilise fréquemment pour caractériser l’esprit. C’est vraisemblablement dû au fait que c’est surtout dans l’esprit et sanctifiant ainsi son travail que Dieu s’est révélé comme Saint. C’est le Saint-Esprit qui reprend sa demeure dans le cœur des croyants, qui sépare à Dieu, et qui les purifie du péché.

b. la personnalité du Saint-Esprit. Les termes « Esprit de Dieu » ou « Saint-Esprit » ne suggèrent pas de personnalité autant que le terme « Fils ». En outre, la personne du Saint-Esprit ne semblait pas sous une forme personnelle clairement perceptible chez les hommes, tout comme la personne du fils de Dieu. Ainsi, la personnalité de l’Esprit Saint a été souvent mises en cause et mérite donc une attention particulière. La personnalité de l’esprit a été refusée dans l’église primitive par les Monarchiens et le Pneumatomachians. Dans ce refus, ils sont suivis par les Sociniens dans les jours de la réformation. Encore plus tard Schleiermacher, Ritschl, unitaires, modernistes actuels et tous les Sabelliens modernes rejettent la personnalité de l’Esprit Saint. On dit souvent de nos jours que ces passages qui semblent impliquer la personnalité du Saint-Esprit contiennent simplement des personnifications. Mais les personnifications sont certainement rares dans les écrits de prose du Nouveau Testament et peuvent facilement être reconnues. En outre, une telle explication détruit clairement le sens de certains de ces passages, par exemple John 14:26; 16:7-11; ROM. 08:26. L’écriture pour la personnalité de l’Esprit Saint est tout à fait suffisant: (1), désignations qui sont propres à la personnalité qui lui sont données. Bien que pneuma est neutre, pronom masculin ekeinos sert de l’esprit dans Jean 16:14; et en Éphésiens 01:14 certaines des meilleures autorités ont le masculin pronom relatif hos. En outre, le nom Parakletos est appliqué à lui, Jean 14:26; 15:26; 16:7, qui ne peut être traduit par « confort », ou encore que le nom d’une quelconque influence abstraite. Signifie qu’une personne est indiquée par le fait que l’Esprit Saint comme consolateur est placé en juxtaposition avec Christ comme le Consolateur sur le point de départ, pour lesquels le même terme est appliqué dans I Jean 2:1. Il est vrai que cette expression est suivie du neutres ho et auto dans Jean 14:16-18, mais cela est dû au fait que pneuma intervient. (2) les caractéristiques d’une personne sont attribuées à lui, tels que l’intelligence, John 14:26; 15:26; ROM. 08:16, sera, actes 16:7; I Cor. 12:11 et les affections, Ésaïe 63:10; EP 04:30. En outre, il effectue des actes propres à la personnalité. Il recherche, parle, témoigne, commandes, révèle, s’efforce, crée, intercède, déclenche la mort, etc., Genèse 1:2; 6:3; Luc 12:12; John 14:26; 15:26; 16:8; Actes à 08:29; 13:2; ROM. 08:11; J’ai Cor. 02:10, 11. Ce qui fait toutes ces choses ne peut pas être un simple pouvoir ou influence, mais doit être une personne. (3) il est représenté comme se situant dans ces relations à d’autres personnes, comme l’indique sa propre personnalité. Il est placé en juxtaposition avec les apôtres en actes 15:28, avec le Christ dans Jean 16:14 et avec le père et le fils dans Matthieu 28: 19; II Corinthiens 13:13; I Pierre 1:1, 2; Jude 20-21. Son exégèse exige que, dans ces passages, le Saint-esprit être considéré comme une personne. (4) il y a aussi des passages où l’Esprit Saint se distingue de par son propre pouvoir, Luke 01:35; 04:14; Actes 10:38; Romains 15:13; I Corinthiens 2:4. Ces passages deviendrait tautologique, vide de sens et même absurde, si elles étaient interprétées sur le principe que l’Esprit Saint est simplement un pouvoir. Cela peut être illustré en remplaçant par le nom « Saint-Esprit » tel un mot comme « pouvoir » ou « influence ».

c. la relation de l’Esprit Saint aux autres personnes dans la Trinité. Les controverses Trinitaires précoce conduit à la conclusion que l’Esprit Saint, ainsi que le fils, est de la même essence que le père et est donc consubstantiel avec lui. Et le différend de longue haleine sur la question, si le Saint-Esprit procède du père seul ou aussi de fils, a été finalement réglé par le Synode de Tolède en 589 par l’ajout du mot « Filioque » dans la version latine de la constantinopolitain: « Credimus in Spiritum Sanctum qui a Patre Filioque procedit« (« nous croyons en l’Esprit Saint, qui procède du père et du fils »). Cette procession du Saint-Esprit, brièvement appelé spiration, est sa propriété personnelle. Une grande partie de ce qui a été dit concernant la génération du fils aussi s’applique à la spiration de l’Esprit Saint et ne doit pas être répétée. Les points suivants de la distinction entre les deux peuvent cependant noter: (1) génération est le œuvre du père seulement; spiration est le œuvre de fois le père et le fils. (2) par génération, le fils est activé pour prendre part aux travaux de spiration, mais le Saint-Esprit n’acquiert aucun ce pouvoir. (3) dans un ordre logique génération précède spiration. Nous rappelons, toutefois, que tout cela n’implique aucune subordination essentielle de l’Esprit Saint au fils. Dans spiration ainsi qu’en production, il existe une communication de l’ensemble de l’essence divine, afin que l’Esprit Saint est sur un pied d’égalité avec le père et le fils. La doctrine de la procession du Saint-esprit du père et du fils est basée sur Jean 15:26 et sur le fait que l’esprit est aussi appelé l’esprit du Christ et du fils, Rom. 8:9; Galates 4:6 et est envoyé par le Christ dans le monde. Spiration peut être définie comme qu’éternelle et nécessaire agir de la première et deuxième personnes dans la Trinité, par lequel ils, au sein de l’etre divin, devenu le terrain de la subsistance personnelle du Saint-Esprit, et mettre la Troisième personne en possession de l’essence divine de toute, sans aucune division, aliénation ou changement. p ><p>l’Esprit Saint se trouve dans la plus proche relation possible avec les autres personnes. En vertu de sa procession du père et du fils, l’esprit est représenté comme se situant dans la relation possible le plus proche à la fois des autres personnes.

De 1 Cor. 2:10, 11, nous pouvons déduire, que l’esprit est le même que la conscience de soi de Dieu, mais qu’il est aussi étroitement lié à Dieu le père, comme l’âme de l’homme est avec l’homme. Dans II Corinthiens 03:17, nous lisons: « maintenant, le Seigneur est l’esprit, et là où l’esprit du Seigneur, là est la liberté. » Ici, le Seigneur (le Christ) est identifié avec l’esprit, pas en ce qui concerne la personnalité, mais quant à la manière de travailler. Dans le même passage, l’esprit est appelé « l’esprit du Seigneur. » Le travail pour lequel le Saint-esprit fut envoyé dans l’église le jour de la Pentecôte était fondé sur son unité avec le père et le fils. Il est venu comme le Parakletos prendre la place du Christ et pour faire son travail sur la terre, autrement dit, pour enseigner, proclamer, témoigner, bear witness, etc., comme l’avait fait le fils. Maintenant, dans le cas de fils cette œuvre révélatrice reposait sur son unité avec le père. Juste pour le travail de l’esprit repose sur son unité avec le père et le fils, John 16:14, 15. Remarquez les paroles de Jésus dans ce passage: « il doit glorifier moi; parce qu’il prend de la mine et déclare qu’il te. Toutes les choses que ce soit le père a sont les miennes: donc disais-je, qu’il prend de la mine et déclare qu’il te. »

d. la divinité du Saint-Esprit. La divinité de l’Esprit Saint peut être établie par les écritures par une ligne de preuve assez similaire à utilisés en relation avec le fils: (1) noms divins qui lui sont données, Ex. 17:7 (COMP. Héb. 3:7-9); Actes 5:3, 4; I Corinthiens 03:16; II Timothée 03:16 (COMP. II Pierre 01:21). (2) perfections divines sont attribuées à lui, tels que l’omniprésence, Psaume 139:7-10, omniscience, Ésaïe 40:13, 14 (COMP. Rom. 11:34); J’ai Cor. 02:10, 11, omnipotence, I Cor. 12:11; Romains 15:19 et l’éternité, Héb. 09:14 ( ?). (3) œuvres divines sont interprétées par lui, telles que création, Genèse 1:2; Job. 26: 13; 33: 4, PS. 104:30, rénovation providentielle, régénération, Jean 3:5, 6; Tite 3:5 et la résurrection de la mort, Rom. 08:11. (4) divine est aussi rendre hommage à lui, Matthieu 28: 19; Romains 9:1; II Corinthiens 13:13.

e. le œuvre du Saint-Esprit dans l’économie divine. Il y a certaines œuvres qui sont plus particulièrement sont imputables à l’Esprit Saint, non seulement dans l’économie de Dieu, mais aussi dans l’économie particulière de la rédemption. En général on peut dire que c’est la tâche spéciale du Saint-Esprit pour mener les choses à terme en agissant immédiatement après et dans la créature. Tout comme il est lui-même est la personne qui remplit la Trinité, si son œuvre est la réalisation du contact de Dieu avec ses créatures et la réalisation de le œuvre de Dieu dans toutes les sphères. Il s’ensuit le œuvre du fils, tout comme le œuvre du fils fait suite à celle du père. Il est important de garder à l’esprit, pour si le œuvre de l’Esprit Saint est dissociée de le œuvre objective du fils, faux mysticisme est lié au résultat. Le œuvre du Saint-Esprit comprend les éléments suivants dans la sphère naturelle: (1) la génération de la vie. Comme étant n’est pas le père et la pensée par le fils, alors la vie est médiée par l’esprit, Genèse 1:3; Job. 26: 13; PS. 33: 6 ( ?); PS. 104:30. À cet égard, il met la touche finale aux travaux de création. (2) l’inspiration générale et la qualification des hommes. L’Esprit Saint inspire et qualifie les hommes pour leurs fonctions officielles, pour travail en science et art, etc., Exode 28: 3; 31: 2, 3, 6; 35:35; J’ai Samuel 11:6; 16:13, 14.

D’une importance encore plus grande est le œuvre du Saint-Esprit dans la sphère de la rédemption. Ici on mentionnera les points suivants: (1) la préparation et la qualification du Christ pour son œuvre médiatrice. Il a établi Christ un corps et donc lui a permis de devenir un sacrifice pour le péché, Luke 01:35; Hébreux 10:5-7. Dans les mots « un corps tu préparer pour moi », l’auteur d’Hébreux suit la Septante. Le sens est: tu m’as permis par la préparation d’un corps sacré pour devenir un vrai sacrifice. Lors de son baptême, Christ a été oint du Saint-Esprit, Luke 03:22 et a reçu les qualifications dons du Saint-Esprit sans mesure, John 03:24. (2) l’inspiration de l’écriture. L’Esprit Saint a inspiré l’écriture et ainsi aux hommes la révélation spéciale de Dieu, j’ai Cor. 02:13; II Pierre 01:21, la connaissance de le œuvre de rédemption qui est en Jésus-Christ. (3) la formation et l’augmentation de l’église. Le Saint-Esprit forme et augmente l’église, corps mystique de Jésus Christ, de régénération et de sanctification et il habite comme le principe de la nouvelle vie, Éphésiens 01:22, 23; 02:22; I Corinthiens 03:16; 12:4 et suiv. (4) enseignement et guider l’église. Le Saint-Esprit témoigne au Christ et mène l’église dans toute la vérité. En faisant cela il se manifeste à la gloire de Dieu et du Christ, augmente la connaissance du Sauveur, empêche l’église d’erreur et elle se prépare pour son destin éternel, John 14:26; 15:26; 16:13, 14; Actes à 05:32; Hébreux 10:15; J’ai John 02:27.

QUESTIONS pour une étude plus approfondie. La littérature païenne contient-il des analogies de la doctrine de la Trinité ? Est le développement de la doctrine du début de la Trinité de l’ontologique ou de la Trinité économique ? La Trinité économique peut se comprendre en dehors de l’ontologique ? Pourquoi est la doctrine de la Trinité discutée par certains comme introduction à la doctrine de la rédemption ? Quelle est la conception hégélienne de la Trinité ? Comment Swedenborg a fait concevoir de lui ? Où trouvons-nous le Sabellianisme dans la théologie moderne ? Pourquoi est-ce répréhensible de conclure que la Trinité est purement économique ? Quelles objections sont là pour la conception humanitaire moderne de la Trinité ? Pourquoi Barth traite-t-il de la Trinité de Prolégomènes à la théologie ? Quelle est la signification pratique de la doctrine de la Trinité ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref dogme. II, pp. 260-347; Kuyper, Dict. dogme., De Deo II, pp. 3-255; Vos. Geref. Dogme. I, pp. 36-81; Faire, Godgeleerdheit I, pp. 576-662; Turretin, opéra, Locus Tertius; Hodge, Syst. Theol. I, pp. 442-534; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., pp. 174-211; Curtiss, La foi Chr., pp. 483-510; Harris, Dieu, créateur et Seigneur de tous, I, pp. 194-407; Illingworth, la Doctrine de la Trinité; Adeney, la Conception chrétienne de Dieu, p. 215-246; Steenstra, l’être de Dieu comme l’unité et de la Trinité, pp. 159-269; Clarke, le Chr. Doct. de Dieu, pp. 227-248; Bartlett, le Dieu trinitaire; Liddon, la divinité de notre Seigneur; Mackintosh, la Doctrine de la personne de Jésus Christ; Warfield, le Seigneur de gloire; ibid., L’esprit de Dieu dans l’ancien Testament; et La Doctrine biblique de la Trinité (les deux en Doctrines bibliques), pp. 101 ff.; Ibid., la Doctrine de la Trinité de Calvin (dans Calvin et le calvinisme); Kuyper, Het Werk van den Heiligen Geest, cf. Index; Owen, un discours concernant le Saint-Esprit, cf. Index; Smeaton, le Doct. du Saint-Esprit; Pohle-Preuss, la Trinité Divine.

 

Les œuvres de Dieu

le divin décrète en général

A. la Doctrine des décrets en théologie.

Réformée souligne la théologie la souveraineté de Dieu, en vertu duquel il a souverainement déterminé de toute éternité quelle qu’elle soit arrivera et travaille que son souverain sera dans sa création toute entière, naturelle et spirituelle, selon son plan préétabli. Il est entièrement d’accord avec Paul quand il dit que Dieu « opère toutes choses d’après l’avocat de sa volonté, » Éphésiens 01:11. Pour cette raison que c’est mais naturel qui, en passant de la discussion de l’être de Dieu à celle de le œuvre de Dieu, il devrait commencer par une étude des décrets divins. Il s’agit de la seule bonne méthode théologique. Une discussion théologique de le œuvre de Dieu devrait prendre son point de départ en Dieu, aussi bien dans le travail de création et dans celui de rachat ou de loisirs. C’est seulement émanant, ainsi que liés à, Dieu les œuvres de Dieu d’entrer en considération dans le cadre de la théologie.

En dépit de ce fait, toutefois, théologie réformée est pratiquement seule en mettant l’accent sur la doctrine des décrets. La théologie luthérienne est moins théologique et anthropologique plus. Elle ne pas systématiquement prendre son point de départ en Dieu et examiner toutes choses comme divinement prédéterminé, mais montre une tendance à considérer les choses d’en bas plutôt que d’en haut. Et dans la mesure où il croit en la détermination au préalable, il est enclin à se limiter à celui qui existe dans le monde et plus particulièrement à la bénédiction du Salut. Il est frappant de constater que beaucoup de théologiens luthériens est silencieux, ou tous, mais le silence, respectant la doctrine des décrets de Dieu en général et discuter seulement la doctrine de la prédestination et considère cela comme le conditionnel plutôt qu’absolue. Dans la doctrine de la prédestination, théologie luthérienne montre forte affinité avec l’Arminianisme. Krauth (un dirigeant influent de l’église luthérienne dans notre pays) dit encore: « les vues d’Arminius lui-même, en ce qui concerne les cinq points, se sont formés sous l’influence luthérienne et ne diffère pas essentiellement de ceux de l’église luthérienne; mais sur de nombreux points dans le système développé maintenant connu comme l’arminianisme, l’église luthérienne n’a aucune affinité quoi qu’avec lui et sur ces points serait beaucoup plus sympathiser avec le calvinisme, bien qu’elle n’a jamais cru que pour sortir du pélagianisme, il est nécessaires à l’exécution dans la doctrine de la prédestination absolue. La « formule de concorde » touche les cinq points presque uniquement sur leurs côtés pratiques et sur les tableaux lui-même contre le calvinisme, plutôt par la négation des déductions qui découlent logiquement ce système, que par la condamnation explicite de sa fondamentale théorie sous sa forme abstraite. » [La réforme conservatrice et sa théologie, p. 127f.] Dans la mesure où les théologiens luthériens comprennent la doctrine de la prédestination dans leur système, ils le jugent généralement dans le cadre de la sotériologie.

Naturellement, la théologie arminienne ne place pas la doctrine des décrets au premier plan. En général, que des décrets est habituellement brille par son absence. Pape apporte dans la doctrine de la prédestination qu’en passant, et Miley elle introduit comme une question de discussion. Raymond discute seulement la doctrine de l’élection, et Watson accorde une place importante à cela en examinant l’étendue de l’expiation. Tous rejettent la doctrine de la prédestination absolue et se substituer à elle une prédestination conditionnelle. La théologie libérale moderne il se préoccupait pas de la doctrine de la prédestination, puisqu’il est fondamentalement anthropologique. Dans la « théologie de crise », il est à nouveau reconnu, mais sous une forme qui n’est ni scripturaire ni historique. Malgré son attrait pour les réformateurs, il s’écarte largement de la doctrine de la prédestination, comme il a été enseigné par Luther et Calvin.

B. les noms bibliques pour les décrets divins.

Les oeuvres purement immanente de Dieu (opéra ad intra), il faut distinguer ceux qui influent directement sur les créatures (ad opéra supplémentaire). Certains théologiens, afin d’éviter tout malentendu, préfèrent parler d’opéra immanentia et exeuntia de l’opéraet diviser le premier en deux classes, opéra immanentia en soi, qui sont les personnages de l’opéra ( génération, la filiation, la spiration), et ils sortent des donec immanentia de l’opéra, qui sont l' opéra essentialia, c'est-à-dire les œuvres du Dieu triune, à la différence des travaux de l’une des personnes de la divinité, mais sont immanentes de Dieu, jusqu'à ce qu’ils soient réalisé dans les œuvres de création, de providence et de rédemption. Les décrets divins constituent cette classe des œuvres divines. Ils ne sont pas décrits dans l’abstrait dans les Ecritures, mais sont placées devant nous dans leur réalisation historique. L’écriture utilise plusieurs termes pour le décret éternel de Dieu.

1. ANCIEN TESTAMENT - termes. Il y a quelques termes qui insistent sur l’élément intellectuel dans le décret, tel que «etsah de ya'ats, à son avocat, de donner des conseils, travail 38:2; Ésaïe 14:26; 46:11; gazon yasad, de s’asseoir ensemble en délibération (niphal), Jérémie 23:18, 22; et mezimmah de nabil, à méditer, pour avoir à l’esprit, à la fin, Jérémie 04:28; 51:12; Prov. 30: 32. En outre ces termes qui mettent l’accent sur l’élément volontaire, comme chaphets, inclinaison, vont, bon plaisir, Ésaïe 53: 10; et vont de ratson, s’il vous plaît, être heureux et qui dénote donc plaisir, bon plaisir ou souverain, PS. 51:19; 49:8 d’Ésaïe.

2. NOUVEAU TESTAMENT - mandat. Le Nouveau Testament contient également un certain nombre de conditions importantes. Le terme plus général est boule, désignant le décret en général, mais aussi soulignant le fait que le dessein de Dieu repose sur l’avocat et la délibération, actes 02:23; 04:28; Héb. 06:17. Un autre mot assez général est thelema, qui, telle qu’appliquée à l’avocat de Dieu, souligne le volitif plutôt que l’élément délibératif, Éphésiens 01:11. mot eudokia souligne plus particulièrement la liberté de l’objectif de Dieu et le plus grand plaisir avec lequel il s’accompagne, bien que cette idée n’est pas toujours présente, Matthieu 11:26; Luc 02:14; Éphésiens 1:5, 9. Autres mots sont utilisés plus particulièrement pour désigner cette partie du décret divin concernant dans un sens très particulier de créatures morales de Dieu, et est connu comme la prédestination. Ces conditions seront considérées dans le cadre de la discussion de ce sujet.

C. la Nature des décrets divins.

Le décret de Dieu peut être défini avec le petit Catéchisme de Westminster que «Son dessein éternel selon l’avocat de son aura, selon lequel, pour sa propre gloire, qu'il a prédestinées que ce soit, vient de passer. »

1. le décret divin est un. Bien que nous parlons souvent des décrets de Dieu au pluriel, pourtant dans sa propre nature le décret divin est mais un seul acte de Dieu. Ceci est déjà suggéré par le fait que la Bible parle de lui comme avocat, un but ou une prothèse. Il découle également de la nature même de Dieu. Sa connaissance est immédiate et simultanée plutôt que successives comme la nôtre et que sa compréhension de celui-ci sont toujours complet. Et le décret qui repose sur elle est aussi un acte unique, tout-globale et simultané. Comme un décret éternel et immuable il ne pouvait pas être autrement. Il est, par conséquent, aucune série de décrets en Dieu, mais simplement un plan global, qui englobe tout ce qui vient de passer. Notre compréhension finie, cependant, contraint de faire des distinctions, et cela explique le fait que nous parlons souvent des décrets de Dieu au pluriel. Cette façon de parler est parfaitement légitime, à condition que nous ne perdions pas de vue de l’unité du décret divin et de l’assemblage des différents décrets telle que nous la concevons d'entre eux.

2. la RELATION du décret à la connaissance de Dieu. Le décret de Dieu porte la relation plus proche avec la connaissance divine. Il est en Dieu, comme nous l’avons vu, une connaissance nécessaire, y compris toutes les causes possibles et les résultats. Cette connaissance fournit le matériel pour le décret; C’est la fontaine parfaite, dont Dieu a attiré les pensées qu’il désirait à objectiver. Hors de cette connaissance de toutes les choses possibles, il a choisi, par un acte de son parfait aura, mené par des considérations sages, ce qu’il souhaitait apporter à la réalisation et ainsi formé son dessein éternel. Le décret de Dieu, à son tour, est le fondement de sa connaissance libre ou scientia libera. C’est la connaissance des choses comme elles sont réalisées au cours de l’histoire. Alors que la connaissance nécessaire de Dieu précède logiquement le décret, sa connaissance libre il découle logiquement. Cela doit être maintenue vis-à-vis de tous ceux qui croient en la prédestination une conditionnelle (comme Semi-pélagiens et arminiens), car ils font les décisions préalables de Dieu dépend de sa prescience. Certains des mots utilisés pour désigner le point de décret divin à un élément de préméditation dans le but de Dieu. Ce serait une erreur, toutefois, d’en déduire que le plan de Dieu est le résultat d’une délibération qui implique la myopie ou l’hésitation, car il est tout simplement une indication du fait qu’il n’y a aucun décret aveugle en Dieu, mais seulement un p intelligent et délibérée uniquement.

3. le décret concerne à la fois Dieu et homme Le décret a tout d’abord, référence, aux œuvres de Dieu. Il est limité, cependant, à de Dieu opéra annonce supplémentaire ou actes transitifs et ne sont pas liées à l’essentiel étant de Dieu, ni activités immanente de l’etre divin qui entraînent les distinctions trinitaire. Dieu ne pas décret pour être Saint et juste, ni d’exister tant que trois personnes dans une essence ou générer le fils. Ces choses sont comme ils sont nécessairementet ne dépendent pas la volonté facultative de Dieu. Ce qui est essentiel à l’être de Dieu intérieur peut ne font pas partie du contenu du décret. Cela comprend uniquement l’opéra annonce supplémentaire ou exeuntia. Mais tandis que le décret qui concerne principalement les actes de Dieu lui-même, il n’est pas limitée à ces derniers, mais englobe également les actions de ses créatures gratuits. Et le fait qu’elles sont incluses dans le décret rend absolument certain, bien qu’ils ne sont pas tous effectué de la même manière. Dans le cas de certaines choses Dieu a décidé, pas simplement qu’ils venaient de passer, mais qu’il est lui-même amènerait à passer, soit immédiatement, comme dans le travail de création, ou par le biais de la médiation des causes secondaires, qui sont continuellement sous tension par sa puissance. Il assume la responsabilité pour leur vient de passer. Il y a d’autres choses, cependant, que Dieu inclus dans son décret et rendus ainsi certains, mais dont il n’a pas décidé à effectuer lui-même, comme les actes coupables de ses créatures rationnelles. Le décret, dans la mesure où ce qui a trait à ces actes, est généralement appelé décret permissive de Dieu. Ce nom n’implique pas que la futurition de ces actes n’est pas certaine de Dieu, mais simplement qu’il leur permet de se passer de l’Agence libre de ses créatures rationnelles. Dieu assume qu'aucune responsabilité pour ces pécheresses n’actes que ce soit.

4. le décret de loi n’est pas l’acte lui-même. Les décrets sont une manifestation interne et l’exercice des attributs divins, rendant la futurition des choses certaine, mais cet exercice de l’intelligente dont la volonté de Dieu ne doit pas être confondu avec la réalisation de ses objets dans la création, la providence, et de la rédemption. Le décret de création est pas création elle-même, ni le décret pour justifier la justification elle-même. Une distinction doit être faite entre le décret et son exécution. Dieu donc traitant l’univers que l’homme poursuivra une certaine ligne de conduite, est également tout à fait une chose différente de son commandant lui de le faire. Les décrets ne sont pas abordées à homme et ne font pas de la nature d’une loi de statut; ni ils n’imposent des contrainte ou obligation sur les volontés des hommes.

D. les caractéristiques du décret divin.

1. elle est fondée dans la sagesse DIVINE. Le mot « avocat », qui est l’un des termes par lesquels le décret est désigné, suggère la consultation et mûre réflexion. Il peut contenir une suggestion de l’intercommunion entre les trois personnes de la divinité. En parlant de la révélation de Dieu du mystère qui était auparavant caché en lui, Paul a dit que c’était « à l’intention que maintenant les principautés et les pouvoirs dans les lieux célestes pourrait faire connaître par le biais de l’église la collecteur sagesse de Dieu selon le dessein éternel dont il se proposait en Jésus Christ notre Seigneur, » Éphésiens 03:10, 11. La sagesse du Décret découle aussi de la sagesse dans la réalisation du dessein éternel de Dieu. Le poète chante dans PS. 104:24, « Ô Jéhovah, collecteur comment sont tes œuvres ! Dans sagesse As tu fait tous. » La même idée est exprimée en Prov. 03:19, « Jéhovah par sagesse fondée la terre; par la compréhension il a créé les cieux. » Voir aussi Jérémie 10:12; 51:15. la sagesse de l’avocat du Seigneur peut également être déduite du fait qu’elle est rapide pour toujours, Psaume 33: 11; Prov. 19:21. Il peut y avoir beaucoup de choses dans le décret qui passe l’entendement humain et est inexplicable à l’esprit fini, mais il ne contient rien qui est irrationnelle ou arbitraire. Dieu forma sa détermination avec sage perspicacité et connaissances.

2. elle est éternelle. Le décret divin est éternel en ce sens qu’il se trouve entièrement dans l’éternité. Dans un certain sens, on peut affirmer que tous les actes de Dieu sont éternels, car il n’y a pas de succession des moments de l’etre divin. Mais certains d'entre eux terminent dans le temps, comme, par exemple, de création et la justification. C’est pourquoi nous n’appelons pas leur éternelle mais temporel fortuit. Le décret, toutefois, alors qu’elle se rapporte aux choses en dehors de Dieu, demeure en soi un acte au sein de l’etre divin et est donc éternel au sens strict du mot. Par conséquent, il participe aussi de la simultanéité et la successionlessness de l’Éternel, actes 15:18; Éphésiens 1:4; II Timothée 1:9. L’éternité du décret implique également que l’ordre dans lequel les différents éléments dans ce stand à l’autre ne peut pas être considérée comme temporelle, mais seulement sous le nom logique. Il y a un ordre chronologique réel dans les événements comme effectué, mais pas dans le décret sur les.

3. il est efficace. Cela ne signifie pas que Dieu a décidé d’apporter lui-même passer par une application directe de son pouvoir, toutes choses qui sont inclus dans son décret, mais seulement que ce qu’il a décrété viendra certainement à passer; que rien ne peut contrecarrer son but. Dit le Dr A. A. Hodge: « le décret lui-même fournit dans tous les cas que l’événement se fera par causes agissant de manière parfaitement conforme à la nature de l’événement en question. Ainsi, dans le cas de tous les actes d’un agent moral libre, le décret prévoit en même temps — (a) que l’agent doit être un agent libre. (b) que ses antécédents et tous les antécédents de l’acte en question doivent être ce qu’ils sont. (c) que toutes les présentes conditions de la loi doivent être ce qu’ils sont. (d) que la Loi doit être parfaitement spontanée et libre de la part de l’agent. (e) qu’il sera certainement future. PS. 33: 11; Prov. 19:21; Ésaïe 46:10. » [Les contours de la théologie, p. 203.]

4. il est immuable. L’homme peut et souvent modifie ses plans pour diverses raisons. Il peut être qu’en faisant son plan il manquait de sérieux, qu’il n’a pas entièrement réalisé ce que le plan comportait, ou qu’il manque le pouvoir de le réaliser. Mais en Dieu, rien de tel est concevable. Il n’est pas déficient en connaissances, véracité ou de la puissance. Donc il ne faut pas changer son décret en raison d’une erreur de l’ignorance, ni en raison de l’impossibilité de le réaliser. Et il ne changera pas, parce qu’il est le Dieu immuable et parce qu’il est fidèle et vrai. Emploi à 23:13, 14; PS. 33: 11; Ésaïe 46:10; Luc 22:22; Actes à 02:23.

5. elle est inconditionnelle ou absolu. Cela signifie qu’il n’est pas dépendante dans tous ses détails sur tout ce qui n’est pas partie intégrante du décret lui-même. Les différents éléments dans le décret sont de fait interdépendants, mais rien dans le plan est conditionné par tout ce qui n’est pas dans le décret. L’exécution du plan peut exiger des moyens ou être tributaire de certaines conditions, mais ensuite ces moyens ou conditions on a aussi déterminées dans l’arrêté. Dieu ne pas simplement décret pour sauver les pécheurs sans déterminer les moyens d’effectuer le décret. Les moyens menant à la fin prédéterminée ont été également décrétés, actes 02:23; Éphésiens 2:8; I Pierre 1:2. Le caractère absolu du Décret découle de son éternité, son immuabilité et sa dépendance exclusive sur le bon plaisir de Dieu. Il est refusé par toutes les Semi-pélagiens et arminiens.

6. il est universel ou tout compréhensif. Le décret comprend tout ce que vient de passer dans le monde, que ce soit en physique ou dans le domaine moral, que ce soit bon ou mauvais, Éphésiens 01:11. Il comprend: (a) les bonnes actions des hommes, Éphésiens 21:0; (b) leurs actes méchants, Prov. 16:4; Actes à 02:23; 04:27, 28; (c) événements de contingent, 45:8 de la Genèse; 50: 20; Prov. 16:33; (d) les moyens ainsi que la fin, Psaume 119:89-91; II Thessaloniciens. 02:13; Éphésiens 1:4; e la durée de vie de l’homme, Job 14:5; PS. 39:4 et le lieu de son habitation, actes 17:26.

7. en ce qui concerne le péché, il est permissif. Il est d’usage de parler du décret de Dieu concernant le mal moral comme permissive. Par son décret Dieu a rendu les mauvaises actions de l’homme infailliblement certain sans décider à les effectuer en agissant immédiatement après et dans la volonté finie. Cela signifie que Dieu ne fonctionne pas positivement chez l’homme « et le vouloir et de le faire, » quand l’homme va à l’encontre de sa volonté révélée. Il est soigneusement à noter, toutefois, que ce décret permissif n’implique pas une autorisation passive de quelque chose qui n’est pas sous le contrôle de la volonté divine sera. C’est un décret qui rend le futur acte pécheur absolument certain, mais dans lequel Dieu détermine (a) à ne pas entraver l’autodétermination pécheresse du fini sera; et (b) de réglementer et de contrôler le résultat de cette autodétermination pécheresse. PS. 78:29; 106:15; Actes 14:16; 17:30.

E. les objections à la Doctrine des décrets.

Comme l’a dit dans ce qui précède, seulement la théologie réformée pleinement justice à la doctrine des décrets. Les théologiens luthériens pas, en règle générale, interpréter théologiquement mais soteriologically, dans le but de montrer comment les croyants peuvent dériver confort d’elle. Pélagiens et Sociniens rejeter comme non biblique; et Semi-pélagiens et arminiens Montrez-le favor maigre: certains ignorant complètement; d’autres indiquant seulement pour combattre; et d’autres en conservant seulement un décret conditionné par la prescience de Dieu. Les objections qui lui sont, pour l’essentiel, toujours les mêmes.

1. elle est incompatible avec la liberté morale de l'homme L’homme est un agent libre avec le pouvoir d’autodétermination rationnelle. Il peut réfléchir et de manière intelligente, choisissez, certains se termine et peut également déterminer son action à leur égard. Le décret de Dieu comporte cependant, nécessité. Dieu a décrété pour effectuer toutes choses ou, s’il n’a pas décrété que, qu’il a au moins déterminé qu’ils doivent se passer. Il a décidé au cours de la vie de l’homme pour lui. [Cf. Watson, instituts théologiques, partie II, Chap. XXVIII; Miley, théologie systématique II, p. 271 et suiv.] En réponse à cette objection, on peut affirmer que la Bible ne passe certainement pas sur l’hypothèse que le décret divin est incompatible avec l’Agence libre de l’homme. Il révèle clairement que Dieu a décrété la gratuite des actes de l’homme, mais aussi que les acteurs sont néanmoins libres et donc responsables de leurs actes, 50:19 de la Genèse, 20; Actes à 02:23; 04:27, 28. il a été déterminé que les Juifs devraient se traduire par la crucifixion de Jésus; Pourtant, ils étaient parfaitement libres dans leur ligne de conduite méchant et étaient tenus responsables de ce crime. Il n’y a pas une seule indication dans les Ecritures que les écrivains inspirés sont conscients d’une contradiction dans le cadre de ces questions. Ils font jamais tenter d’harmoniser les deux. Cela peut bien nous empêcher de supposer une contradiction ici, même si nous ne pouvons pas concilier les deux vérités.

En outre, il faut avoir à l’esprit que Dieu n’a pas décrété à effectuer par sa propre action directe que ce soit doit se passer. Le décret divin seulement apporte la certitude sur les événements, mais n’implique pas que Dieu va procéder activement, afin que la question se ramène vraiment dans cela, si certitude précédente est compatible avec l’agent libre. Maintenant, l’expérience nous enseigne que nous pouvons être raisonnablement certains que le parcours de qu'un homme de caractère poursuivra dans certaines circonstances, sans porter atteinte à tout le moins sur sa liberté. Le prophète Jérémie a prédit que les Chaldéens prendrait à Jérusalem. Il savait l’événement à venir comme une certitude, et encore les Chaldéens suivi librement leurs propres désirs dans l’accomplissement de la prédiction. Cette certitude est en effet incompatible avec la liberté pélagienne indifférentes, selon laquelle la volonté de l’homme n’est pas déterminée en quelque sorte, mais il est tout à fait pour une période indéterminée, afin que chaque dont la volonté, il puisse décider dans l’opposition, non seulement pour tous les encouragements vers l’extérieur, mais aussi pour toutes les considérations entrantes et arrêts, penchants et désirs et même à l’état intérieur et tout caractère de l’homme. Mais il est maintenant généralement admis que cette liberté de la volonté est une fiction psychologique. Toutefois, le décret n’est pas nécessairement incompatible avec la liberté humaine dans le sens d’autodétermination rationnelle, selon laquelle l’homme agit librement en harmonie avec ses pensées précédentes et jugements, ses penchants et désirs et son caractère entier. Cette liberté a aussi ses lois, et mieux nous connaissons avec eux, plus sûr, nous pouvons être de quel agent libre va faire dans certaines circonstances. Dieu lui-même a établi ces lois. Naturellement, nous devons nous prémunir contre tout déterminisme, panthéiste, matérialiste et rationaliste, dans notre conception de la liberté dans le sens d’autodétermination rationnelle.

Le décret n’est pas plus incompatible avec Agence libre qu’est de prescience, et encore les opposants, qui sont généralement du type arminiens ou Semi-pélagienne, prétendent croire en la prescience divine. Par sa prescience Dieu sait de toute éternité l' certaine futurition de tous les événements. Elle repose sur son préordination, par lequel il a déterminé leur sécurité future. La volonté arminienne bien sûr, dire qu’il ne croit pas dans une prescience basé sur un décret qui rend certaines choses, mais dans une prescience des faits et des événements susceptibles de dépendre de la volonté de l’homme et par conséquent pour une période indéterminée. Maintenant une telle prescience des actions de l’homme libres est possible, si l’homme même dans sa liberté agit en harmonie avec les lois divinement établies, qui encore une fois apporter dans l’élément de certitude; mais il semble impossible de préconnus les événements qui dépendent entièrement de la décision de la chance d’un testament sans scrupules, qui peuvent à tout moment, quel que soit l’état de l’âme, des conditions actuelles et des motifs qui se présentent à l’esprit , tourner dans des directions différentes. Ces événements ne peuvent être connus d’avance comme possibilités nues.

2. il enlève tous les motifs pour l’effort humain. Cette objection est à l’effet que les gens diront bien sûr que si toutes choses sont inévitable que Dieu a déterminé leur, ils doivent se préoccuper pas quant à l’avenir et il ne faut pas faire des efforts pour obtenir le salut. Mais ce n’est pas correct. Dans le cas de personnes qui parlent après que la mode, c’est généralement la simple excuse de l’indolence et la désobéissance. Les décrets divins s’adressent pas aux hommes comme une règle d’action et ne peut pas être une telle règle, leur contenu connu seulement par le biais et donc, après leur réalisation. Il existe une règle d’action, cependant, incorporée dans la Loi et dans l’Évangile, et cela met les hommes en vertu de l’obligation d’avoir recours à des moyens que Dieu a ordonné.

Cette objection ignore également la relation logique, déterminée par décret de Dieu, entre les moyens et la fin d’obtenir. Le décret comprend non seulement les différents thèmes de la vie humaine, mais aussi les actions humaines gratuites qui sont logiquement avant et sont destinées à apporter, les résultats. C’est absolument certain que tous ceux qui se trouvaient dans le bateau avec Paul (actes 27) devaient être sauvés, mais il était également certain que, pour arriver à cette fin, les marins ont dû rester à bord. Et depuis le décret établit une corrélation entre les moyens et les fins, et les extrémités sont décrétées que comme le résultat des moyens, ils encouragent l’effort au lieu de décourager il. Ferme croyance dans le fait que, selon les décrets divins, le succès sera la récompense du labeur, est une incitation aux efforts courageux et persévérants. Sur la base du décret Ecriture nous exhorte à faire preuve de diligence dans l’utilisation des moyens nommés, Phil. 02:13; EP 02:10.

3. il fait Dieu auteur du péché. Cela, si elle est vraie, serait naturellement une objection insurmontable, car Dieu ne peut pas être l’auteur du péché. Cela découle également de l’écriture, PS. 92:15; Eccl. 07:29; Jacques 01:13; I Jean 1:5, de la Loi de Dieu qui interdit tout péché et de la sainteté de Dieu. Mais l’accusation n’est pas vraie; le décret rend simplement Dieu l’auteur des êtres moraux libres, qui sont eux-mêmes les auteurs du péché. Décrets de Dieu pour soutenir leur Agence libre, de réglementer les circonstances de leur vie et pour permettre à cette Agence libre d’exercer elle-même dans une multitude de lois, dont certaines sont pécheresses. Pour des raisons de bonnes et saintes, qu'il rend ces actes coupables certains, mais il ne pas décret travail mauvais désirs ou choix efficacement chez l’homme. Le décret sur le péché n’est pas efficace, mais un décret permissif ou un décret pour permettre, à la différence d’un décret pour produire, péché par efficacité divine. Aucune difficulté s’attache à un tel décret qui n’attache pas aussi à une simple autorisation passive de ce qu’il pourrait très bien éviter, tels que les arminiens, qui généralement soulèvent cette objection, assument. Le problème de la relation de Dieu au péché reste un mystère pour nous, que nous ne sommes pas en mesure de résoudre. On peut dire, cependant, que son décret pour permettre le péché, alors qu’il restitue l’entrée du péché dans le monde certains, ne signifie pas qu’il se délecte en elle; mais seulement qu’il a jugé sage, dans le but de son auto-révélation, afin de permettre un mal moral, cependant odieux soit-il à sa nature.

 

II. la prédestination

En passant de la discussion sur le décret divin à celui de la prédestination, nous sommes toujours sur le même sujet, mais passent du général au particulier. Le mot « prédestination » n’est pas toujours utilisé dans le même sens. Parfois il est utilisé simplement comme synonyme du terme générique « décret. » Dans d’autres cas, elle sert à désigner le dessein de Dieu sur toutes ses créatures morales. Le plus souvent, cependant, il désigne « l’avocat de Dieu concernant les hommes déchus, y compris le choix souverain de certains et la réprobation juste du reste. Dans la présente discussion, il est utilisé principalement dans le dernier sens, bien que pas tout à fait à l’exclusion de la deuxième signification.

A. la Doctrine de la prédestination dans l’histoire.

Prédestination ne forme pas un important sujet de discussion dans l’histoire jusqu'à l’époque d’Augustin. Pères de l’église antérieure font allusion à elle, mais ne semblent pas encore avoir une conception très claire de celui-ci. Dans l’ensemble ils la considèrent comme la prescience de Dieu en ce qui concerne les actes humains, sur la base duquel il détermine leur destin futur. Par conséquent, il était possible pour Pelagius, faire appel à certains de ces premiers pères. « Selon Pelagius, » dit Wiggers, « préordination de Salut ou de damnation, est fondée sur la prescience. Par conséquent, il n’admettait pas une « prédestination absolue », mais à tous égards une « prédestination conditionnelle ». » [Augustinisme et le pélagianisme, p. 252.] Dans un premier temps, Augustine lui-même était enclin à ce point de vue, mais une réflexion plus profonde sur le caractère souverain du bon plaisir de Dieu l’a amené à voir que la prédestination n’était nullement tributaire de la prescience de Dieu des actions humaines, mais était plutôt la base du divin prescience. Sa représentation sous forme de réprobation n’est pas aussi claire que cela puisse être. Certaines de ses déclarations vont dans le sens que, dans la prédestination de Dieu, foreknows ce qu’il se fera, alors qu’il est aussi capable de préconnus ce qu’il fera pas, comme tous les péchés; et parler des élus comme des sujets de la prédestination et des réprouvés comme sujets de la prescience divine. [Cf. Wiggers, ibid., p. 239; Dijk. Om't Eeuwig Welbehagen, p. 39f.; Polman, De Praedestinatieleer van Augustinus, Thomas van Aquino, fr Calvijn, p. 149ff.] Dans d’autres passages, cependant, il parle aussi des réprouvés comme sujets de la prédestination, afin qu’il ne peut y avoir aucun doute à ce sujet qu’il a enseigné une double prédestination. Cependant, il a reconnu leur différence, consistant en ce que Dieu pas prédestinés à la damnation et les moyens à elle de la même manière comme il le faisait au Salut, et que la prédestination à la vie est purement souveraine, tandis que la prédestination à la mort éternelle est également judiciaire et tient compte du péché de l’homme. [Cf. Dyk, ibid., p. 40; Polman, ibid., p. 158.]

Avis de Augustine a trouvé beaucoup d’opposition, notamment en France, où le semi-pélagiens, tout en admettant la nécessité de la grâce divine pour le Salut, a réaffirmé la doctrine d’une prédestination issue de prescience. Et ils qui a pris la défense d’Augustin se sentaient contraints de céder sur certains points importants. Ils n’ont pas à rendre justice à la doctrine d’une double prédestination. Seulement Gottschalk et quelques-uns de ses amis maintient, mais sa voix était bientôt réduite au silence et semi pélagianisme a pris le dessus au moins parmi les leaders de l’église. Vers la fin du moyen âge, il est devenu tout à fait évident que l’église catholique romaine permettrait une grande latitude dans la doctrine de la prédestination. Tant que ses enseignants maintinrent que Dieu veut le salut de tous les hommes, et non pas simplement des élus, ils pourraient avec Thomas Aquinas vont dans le sens de Augustinianism dans la doctrine de la prédestination, ou avec Molina, suivre le cours du pélagianisme semi, comme ils pensaient que le meilleurs. Cela signifie que, même dans le cas de ceux qui, comme Thomas Aquinas, croyaient à une prédestination absolue et double, cette doctrine ne pourrait se maintenir à travers constamment et il n’a pas déterminante du reste de leur théologie.

Les réformateurs du XVIe siècle tous les préconise la plus stricte doctrine de la prédestination. Cela est même vrai de Melanchton dans sa période la plus ancienne. Luther a accepté la doctrine de la prédestination absolue, bien que la conviction que Dieu a voulu que tous les hommes devraient être sauvés l’a incité à relâcher la doctrine de la prédestination un peu plus tard dans la vie. Il a progressivement disparu de théologie luthérienne, qui considère désormais que ce soit en tout ou en partie (réprobation) comme conditionnelle. Calvin a fermement soutenu la doctrine augustinienne d’une double prédestination absolue. En même temps il a, pour sa défense de la doctrine contre Pighius, insiste sur le fait que le décret sur l’entrée du péché dans le monde était un décret permissif, et que le décret de réprobation devrait être interprété que Dieu ne pouvait pas être l’auteur du péché, ni en aucune manière responsable pour lui. Les Confessions réformées sont remarquablement constants en incarnant cette doctrine, mais ils pas tous l’énoncer avec précision et plénitude égale. À la suite de l’agression arminienne sur la doctrine, les Canons de Dordrecht contiennent une déclaration claire et détaillée de celui-ci. Dans les églises du type arminiens, la doctrine de la prédestination absolue a été supplantée par la doctrine de la prédestination conditionnelle.

Depuis l’époque de Schleiermacher, la doctrine de la prédestination a reçu une forme entièrement différente. La religion a été considérée comme un sentiment de dépendance absolue, une Hinneigung zum WeltallEt, une prise de conscience de la dépendance absolue sur la causalité qui est propre à l’ordre naturel avec ses lois invariables et deuxièmement les causes, qui prédéterminent tous humains se résout et actions. Et la prédestination a été identifiée avec cette prédétermination de la nature ou le lien de causalité universels dans le monde. La dénonciation cinglante de ce point de vue par Otto y en a pas trop sévère: « il n’y pas plus faux produit de la spéculation théologique, pas plus fondamentale falsification des conceptions religieuses que cela; et c’est certainement pas contre ce que le rationaliste sente un antagonisme, car il est lui-même un morceau du rationalisme solide, mais en même temps un abandon complet de l’idée vraie religieuse de la « prédestination ». » [L’idée du Saint-Siège, p. 90.] La doctrine de la prédestination dans la théologie libérale moderne rencontre peu de faveur. Il est rejeté ou modifiée au-delà de la reconnaissance. G. B. Foster il marques comme déterminisme; Macintosh, il représente comme une prédestination de tous les hommes à être semblables à l’image de Jésus Christ; et d’autres réduisent à une prédestination à certains offices ou des privilèges.

De nos jours, Barth a à nouveau attiré l’attention sur la doctrine de la prédestination, mais a donné une interprétation de celle-ci qui n’est pas même lointainement apparentée à celle de Saint Augustin et Calvin. Avec les réformateurs, il tient que cette doctrine souligne la liberté souveraine de Dieu dans son élection, révélation, appel et ainsi de suite. [La Doctrine de la parole de Dieu, p. 168; Roemerbrief (2nd ed.), p. 332.] Dans le même temps, il ne voit pas en la prédestination une distance prédéterminée d’hommes et ne comprend pas l’élection comme Calvin élection donnée. Cela est évident d’après ce qu’il dit à la page 332 de son Roemerbrief. Camfield donc dit dans son essai sur la théologie barthienne, intitulé révélation et l’Esprit Saint:[p. 92.] « Il faut souligner que la prédestination ne signifie pas la sélection d’un certain nombre de personnes pour le salut et le reste pour la damnation selon la détermination d’un inconnu et inconnaissable. Cette idée n’appartient-elle pas à la prédestination appropriée. » Prédestination met homme en crise au moment de la révélation et de la décision. Il condamne dans la relation dans laquelle il se trouve à Dieu par nature, comme pécheur et qui rejette de relation lui, mais il lui choisit dans la relation à laquelle il est appelé dans le Christ, et pour qui il était destiné à la création. Si l’homme répond à la révélation de Dieu par la foi, il est ce que Dieu voulait qu’il soit, un élu; mais s’il ne répond pas, il reste un refus. Mais puisque l’homme est toujours en crise, pardon inconditionnel et rejet complet continuent de s’appliquer à tout le monde en même temps. Esaü peut devenir Jacob, mais Jacob peut également devenir une fois de plus Esaü. McConnachie, dit: « pour Barth, et comme il le croit, St. Paul, l’individu n’est pas l’objet d’élection ou de la réprobation, mais plutôt l’arène de l’élection ou la réprobation. Les deux décisions se rencontrent au cours de la même personne, mais de telle façon que, à partir de l’aspect humain, l’homme est toujours réprouvé, mais vu du côté divin, il est toujours élu.... Le terrain d’élection est la foi. Le motif de réprobation est manque de foi. Mais qui est celui qui croit ? Et qui est celui qui ne croit pas ? Foi et l’incrédulité sont mis à la terre en Dieu. Nous sommes aux portes du mystère. » [L’importance de Karl Barth, p. 240f.]

B. les termes scripturaires pour la prédestination.

Les termes suivants entrent en considération ici:

1. le mot hébreu yada' et le mot grec ginoskein, proginoskein, et pronostic. mot yada"peut simplement signifier « de savoir » ou « prendre connaissance » de quelqu'un ou quelque chose, mais peut également être utilisé dans le sens plus enceinte de « prendre connaissance de l’une avec soin affectueux, » ou « faisant un l’objet d’aimer amour facultatif ou de soins. » En ce sens qu’elle sert l’idée de l’élection, 18:19; Amos 3:2; Osée 13:5. La signification des mots proginoskein et pronostic dans le Nouveau Testament n’est pas déterminée par leur utilisation dans les classiques, mais par l’importance particulière du bla bla". Ils désigne pas simple prospective intellectuelle ou prescience, la connaissance de la simple prise de quelque chose au préalable, mais plutôt une connaissance sélective qui considère avec faveur et en fait un objet d’amour et donc des approches l’idée de la préordination, actes 02:23 (COMP. 04:28); ROM. 08:29; 11:2; I Pierre 1:2. Ces passages simplement perdent leur signification, dans les mots s’imposent le sens de simplement prendre connaissance de l’une à l’avance, pour Dieu foreknows tous les hommes en ce sens. Arminiens même se sentiment contraints à donner aux mots un sens plus déterminant, à savoir, à un avec une certitude absolue dans un certain État ou condition connus. Ceci inclut la certitude absolue de ce futur Etat et pour cette raison est très proche de l’idée de prédestination. Et non seulement ces mots, mais même la simple ginoskein a telle une signification spécifique dans certains cas, I Cor. 8:3; Galates 4:9; II Timothée 02:19. [Cf. Article de C. W. Hodge sur «connus, prescience» dans l' Encyclopédie de la Bible Standard internationale.]

2. le mot hébreu bachar et les mots grecs, eklegesthai et ekloge. Ces mots soulignent l’élément du choix ou de la sélection dans le décret de Dieu concernant la destinée éternelle des pécheurs, un choix accompagné du bon plaisir. Ils servent à indiquer le fait que Dieu choisit un certain nombre de l’humanité et les place dans une relation particulière avec lui. Ils incluent parfois l’idée d’un appel à un certain privilège ou de l’appel au Salut; mais c’est une erreur de croire, comme certains le font, que cela épuise leurs sens. Il est parfaitement évident qu’ils se réfèrent généralement à une élection préalable et éternelle, Rom. 09:11; 11:5; Éphésiens 1:4; II Thessaloniciens. 02:13.

3. les mots grecs proorizein et proorismos. Ces mots se réfèrent toujours à la prédestination absolue. À la différence des autres mots, elles nécessitent vraiment un complément. La question se pose naturellement, Foreordained à quoi ? L’expression désigne toujours la préordination de l’homme à une certaine fin, et de la Bible, il est évident que la fin peut être bon ou mauvais, actes 04:28; Éphésiens 1:5. Cependant, la fin à laquelle ils se réfèrent n’est pas nécessairement la fin, mais il est encore plus souvent un but dans le temps, qui est à son tour un moyen à la fin, actes 04:28; ROM. 08:29; J’ai Cor. 2:7; Éphésiens 1:5, 11.

4. les mots grecs protithenai et PROTHESES. En ces termes l’attention est dirigée sur le fait que Dieu fixe devant lui un plan définitif auquel il adhère fermement. Ils renvoient clairement à dessein de Dieu de prédestine les hommes au Salut en Rom. 08:29; 09:11; Éphésiens 1:9, 11; II Timothée 1:9.

C. l’auteur et les objets de la prédestination.

1. l’auteur. Le décret de prédestination est sans aucun doute, dans toutes ses parties, la loi concomitante des trois personnes dans la Trinité, qui sont l’un de leurs avocats et sera. Mais dans l’économie du Salut, comme elle est révélée dans les Ecritures, l’acte souverain de la prédestination est plus particulièrement attribuée au père, Jean 17:6, 9; ROM. 08:29; Éphésiens 1:4; I Pierre 1:2.

2. les objets de la PRÉDESTINATION. À la différence du décret de Dieu en général, la prédestination a référence à créatures rationnelles de Dieu uniquement. Plus fréquemment, il se réfère aux hommes déchus. Pourtant, elle est également employée dans un sens plus large, et nous l’utilisons dans le sens plus inclusif ici, afin d’englober tous les objets de la prédestination. Il comprend toutes les créatures du rationnel bon Dieu, c'est-à-dire:

a. tous les hommes, bien et le mal. Ceux-ci sont inclus non seulement comme des groupes, mais en tant qu’individus, actes 04:28; ROM. 08:29, 30; 09:11-13; Éphésiens 1:5, 11.

b. les anges, bien et le mal. La Bible ne parle pas seulement des saints anges, marquer à 08:38; Luc 09:26 et des anges méchants, qui a ne gardé pas leur premier État, Pierre II 2:4; Jude 6; mais aussi fait explicitement mention d’anges élus, j’ai Timothée 05:21, par conséquent ce qui implique qu’il y avait aussi non élu anges. La question se pose naturellement, comment doit-on concevoir de la prédestination des anges ? Selon certains, cela signifie simplement que Dieu a déterminé en général que les anges qui sont restés Saintes confirmerait dans un état de félicité, tandis que les autres seraient perdus. Mais ce n’est pas du tout en harmonie avec l’idée biblique de la prédestination. Cela signifie plutôt que Dieu a décrété, pour des raisons suffisants à lui-même donner des anges, en plus de la grâce avec laquelle ils étaient doués de création et qui comprenait une puissance amplement suffisante pour rester Saint, une grâce spéciale de persévérance; et de retenir ce des autres. Il existe des points de divergence entre la prédestination des hommes et celui des anges: (1), tandis que la prédestination des hommes peut se concevoir comme infralapsaire, la prédestination des anges ne peut être comprise comme supralapsaire. Dieu n’a pas choisi un certain nombre hors de la masse tombé des anges. (2) les anges n’étaient pas élus ou prédestinés à Christ en tant que médiateur, mais en lui en tant que chef, c'est-à-dire de se tenir dans une relation ministérielle lui.

c. le Christ en tant que médiateur. Christ a été l’objet de la prédestination dans le sens que (1) un amour particulier du père, distinct de son amour habituel au fils, s’est reposé sur lui de toute l’éternité, j’ai PET. 01:20; 2:4; (2) en sa qualité de médiateur, il a fait l’objet du bon plaisir de Dieu, j’ai PET. 2:4; (3) en tant que médiateur, il a été orné l’image spéciale de Dieu, à laquelle les croyants devaient être conformes, Rom. 08:29; et (4) le Royaume avec toute sa splendeur et les moyens conduisant à sa possession ont été ordonnés pour lui, qu’il pourrait passer ceux-ci aux croyants, Luc 22:29.

D. les sections de la prédestination.

Prédestination comprend deux parties, à savoir, élection et réprobation, la prédétermination des fois le bon et les méchants dans leur but final et pour certains les extrémités qui jouent un rôle déterminant dans la réalisation de leur destin final.

1. L’ÉLECTION.

a. l’idée biblique de l’élection. La Bible parle de l’élection dans plusieurs sens. Il n’y a (1) l’élection d’Israël comme peuple de privilèges spéciaux et de service spécial, Deut. 04:37; 7:6-8; 10:15; Osée 13:5. (2) l’élection des individus à un office, ou à l’exécution de certains services spéciaux, comme Moïse, Ex. 3, les prêtres, Deut. 18:5; les rois, j’ai Samuel 10:24; PS. 78:70, les prophètes, Jérémie 1:5 et les apôtres, John 6: 70; Actes à 09:15. (3) l’élection des individus d’être enfants de Dieu et héritiers de la gloire éternelle, Matthieu 22:14; Romains 11:5; J’ai Cor. 01:27, 28; Éphésiens 1:4; J’ai Thess. 1:4; I Pierre 1:2; II Pierre 01:10. Le dernier est l’élection qui vient en considération ici dans le cadre de la prédestination. Il peut être défini comme agir de cette éternelle de Dieu par lequel il, selon son bon plaisir souverain, et à cause d’aucun mérite prévu à eux, choisit un certain nombre d’hommes pour être les bénéficiaires de la grâce spéciale et du salut éternel . Plus brièvement, on peut affirmer être le dessein éternel de Dieu de sauver certains de la race humaine et par Jésus Christ.

b. les caractéristiques de l’élection. Les caractéristiques de l’élection sont en général identiques avec les caractéristiques des décrets. Le décret d’élection: (1) est l’expression de la souveraine volonté de Dieu, de son bon plaisir divin. Cela signifie entre autres que Christ comme médiateur n’est ne pas la qui poussent, se déplaçant, ou cause méritoire de l’élection, comme certains ont revendiqué. Il peut être appelé la cause médiate de la réalisation de l’élection et la cause méritoire du Salut auquel les croyants sont élus, mais il n’est pas la cause méritoire ou en mouvement de l’élection elle-même. C’est impossible, puisqu’il est lui-même un objet de la prédestination et l’élection, et parce que, lorsqu’il a pris son œuvre médiatrice sur lui à l’avocat de la rédemption, il y avait déjà un nombre fixe qui lui a été donné. Élection précède logiquement l’avocat de la paix. L’amour électif de Dieu précède l’envoi du fils, John 03:16; Romains 5:8; II Timothée 1:9; J’ai John 4:9. En disant que le décret d’élection prend sa source dans le bon plaisir divin, l’idée est également exclue qu’il est déterminé par quoi que ce soit chez l’homme, telles que prévues de foi ou de bonnes œuvres, Rom. 09:11; II Timothée 1:9. (2) il est immuable et rend donc le salut de certains élus. Dieu réalise le décret d’élection par sa propre efficacité, par le œuvre de Salut qu’il accomplit dans le Christ Jésus. C’est son but que certains individus devraient croire et persévérer jusqu'à la fin, et il assure ce résultat par le œuvre objective du Christ et les opérations subjectives de l’Esprit Saint, Rom. 08:29, 30; 11:29; II Timothée 02:19. C’est le fondement solide de Dieu qui se tient, « vu ce sceau, le Seigneur connaît ceux qui sont siens. » Et comme tel il est la source de confort riche pour tous les croyants. Leur salut final ne dépend pas de leur obéissance incertaine, mais a sa garantie dans le dessein immuable de Dieu. (3) il est éternel, c'est-à-dire, de toute éternité. Cette élection divine ne doit jamais être identifiée avec n’importe quel temporelle sélection, que ce soit pour le plaisir de la grâce spéciale de Dieu dans cette vie, pour des privilèges spéciaux et services compétents ou pour l’héritage de gloire ci-après, mais doit être considérée comme éternelle, Rom. 08:29, 30; Éphésiens 1:4, 5. (4) il est inconditionnel. Élection en aucune façon dépend-il de la foi prévu ou les bonnes œuvres de l’homme, comme les arminiens enseignent, mais exclusivement sur le souverain bon plaisir de Dieu, qui est également l’auteur de la foi et les bonnes œuvres, Rom. 09:11; Actes 13:48; II Timothée 1:9; I Pierre 1:2. Étant donné que tous les hommes sont pécheurs et ont confisqué les bénédictions de Dieu, il n’y a aucun fondement pour une telle distinction en eux; et puisque même la foi et les bonnes œuvres des croyants sont le fruit de la grâce de Dieu, Éphésiens 2:8, 10; II Timothée 02:21, même ceux-ci, comme prévu par Dieu, ne peuvent pas fournir une telle base. (5) il est irrésistible. Cela ne signifie pas que l’homme ne peut pas s’opposer à son exécution dans une certaine mesure, mais cela ne signifie pas que son opposition ne prévaudra pas. Ni que cela signifie que Dieu dans l’exécution de son décret domine la volonté humaine d’une manière qui est incompatible avec l’Agence libre de l’homme. Cela ne signifie pas, toutefois, que Dieu peut et exerce une telle influence sur l’esprit humain qu’il veut, PS. 110:3; Phil. 02:13. (6) il n’est pas soumis à l’injustice. Le fait que Dieu favorise certains et passe par d’autres, ne garantit pas la charge qu’il est coupable de l’injustice. Nous pouvons parler de l’injustice que lorsqu’une partie a une créance sur un autre. Si Dieu avait le pardon des péchés et la vie éternelle à tous les hommes, il serait une injustice s’il ne sauvé qu’un nombre limité d'entre eux. Mais le pécheur n’a absolument aucun droit ou réclamation sur les bénédictions qui découlent de l’élection divine. En fait, il a perdu ces bénédictions. Non seulement nous avons pas le droit à l’appel de Dieu pour tenir compte de l’élire certains et d’autres en passant, mais nous devons admettre qu’il aurait été parfaitement juste, s’il n’avait pas sauvé tout, Matthieu 20:14, 15; ROM. 09:14, 15.

c. l’objectif de l’élection. L’objectif de cette élection éternelle est double: (1) l’objectif immédiat est le salut des élus. Que l’homme est choisi ou élu pour le salut est clairement enseigné dans la parole de Dieu, Romains 11:7-11; II Thessaloniciens. 02:13. (2) l’objectif final est la gloire de Dieu. Même le salut des hommes est subordonné à cela. Que la gloire de Dieu est le but le plus élevé de la grâce élection faite très emphatique dans Éphésiens 1:6, 12, 14. L’Évangile social de notre époque aime à insister sur le fait que l’homme est élu au service. Dans la mesure où ceci est conçu comme un déni de l’élection de l’homme pour le salut et la gloire de Dieu, il va clairement à l’encontre de l’écriture. Prises par lui-même, cependant, l’idée que les élus sont prédestinés pour service ou bonnes œuvres est entièrement scripturaire, Éphésiens 02:10; II Timothée 02:21; mais cette fin est inféodée aux extrémités déjà indiquées.

2. RÉPROBATION. Nos normes confessionnelles parlent non seulement de l’élection, mais aussi de réprobation. [Conf. Belg. Art. XVI; Les chanoines de Dort, I, 15.] Augustine a enseigné la doctrine de réprobation, de même que de celle de l’élection, mais cette « doctrine dure » a rencontré beaucoup d’opposition. Catholiques romains, la grande majorité des méthodistes, luthériens et arminiens rejettent généralement cette doctrine dans sa forme absolue. Si on parle encore de réprobation, ce n'est que d’une réprobation issue de prescience. Que Calvin était profondément conscient de la gravité de cette doctrine, il est parfaitement évident du fait qu’il parle de lui comme un «decretum horribile» (terrible décret). [Inst. III. 23. 7.] néanmoins, il ne se sentait pas libre de refuser ce qu’il considère comme une vérité biblique importante. De nos jours, certains spécialistes qui prétendent être réformé rechignent à cette doctrine. Barth enseigne une réprobation qui repose sur le rejet de l’homme de la révélation de Dieu dans le Christ. Brunner, semble avoir une conception plus scripturaire d’élection que Barth, mais rejette la doctrine de la réprobation entièrement. Il admet qu’il découle logiquement de la doctrine de l’élection, mais met en garde contre la direction de la logique humaine en l’espèce, étant donné que la doctrine de la réprobation n’est pas enseignée dans les Ecritures. [Notre foi, p. 32f.]

a. déclaration de la doctrine. Réprobation peut être définie comme ce décret éternel de Dieu par lequel il a déterminé à passer certains hommes par le fonctionnement de sa grâce spéciale et de les punir pour leurs péchés, à la manifestation de sa justice. Les points suivants méritent un accent particulier: (1), il contient deux éléments. Selon la représentation plus habituelle dans la théologie réformée le décret de réprobation se compose de deux éléments, à savoir, preterition ou la volonté de passer par certains hommes; et condamnation (parfois appelé precondemnation) ou la volonté de punir ceux qui sont passés par leurs péchés. Comme tel, il incarne un double objectif: (a) de passer par certains membres de l’effusion de régénération et de la grâce salvatrice; et (b) à attribuer au déshonneur et à la colère de Dieu pour leurs péchés. La Confessio Belgica mentionne seulement le premier, mais les Canons de Dordrecht nommez ce dernier aussi bien. Certains théologiens réformés seraient omettre le deuxième élément du décret de réprobation. Dabney préfère considérer la condamnation des méchants comme le résultat prévu et prévu de leur preterition, privant ainsi la réprobation de son caractère positif; et Dick est d’avis que le décret de condamner devait être considérée comme un décret distinct et pas dans le cadre du décret de réprobation. Il nous semble, cependant, que nous ne sommes pas justifiées en écartant le deuxième élément du décret de réprobation, ni à le considérer comme un décret différent. Le côté positif de la réprobation est si clairement enseigné dans l’écriture comme le contraire de l’élection que nous ne pouvons pas considérer comme quelque chose de purement négatif, Rom. 09:21, 22; 4 Jude. Toutefois, nous devrions remarquer plusieurs points de la distinction entre les deux éléments du décret de réprobation: (a) Preterition est un acte souverain de Dieu, un acte de son simple bon plaisir, dans lequel les démérites de l’homme n’entrent pas en considération, tandis que precondemnation est un acte judiciaire, visitant le péché avec peine. Même supralapsaires sont disposés à admettre que pour condamner le péché est pris en considération. (b) la raison pour preterition n’est pas connue par l’homme. Il ne peut pas être péché, pour tous les hommes sont pécheurs. Nous pouvons seulement dire que Dieu passée certains pour des raisons de bonnes et sages suffisant à lui-même. En revanche, la raison d’une condamnation est connue; C’est un péché. (c) preterition est purement passive, un simple en passant sans action sur l’homme, mais la condamnation est efficace et positif. Ceux qui sont passés par sont condamnés en raison de leur péché. (2) nous devrions nous garder contre l’idée, cependant, que comme les deux élections et réprobation déterminent avec une certitude absolue la fin à laquelle l’homme est prédestiné et les moyens de qui qui se terminent est réalisé, ils impliquent également que dans le cas de la réprobation ainsi que dans celui d’el exion Dieu amènera à passer par sa propre efficacité directe que ce soit, il a décrété. Cela signifie que, même si on peut dire que Dieu est l’auteur de la régénération, appeler, la foi, la justification et la sanctification, des élus et donc par une action directe sur leur apporte leur élection à la réalisation, on ne saurait dire qu’il est aussi le responsable auteur de la chute, la condition injuste et le pécheur actes des réprouvés par action directe sur eux et effets ainsi la réalisation de leur réprobation. Décret de Dieu sans doute rendu l’entrée du péché dans le monde certains, mais il les a prédestinés pas certains au péché, comme il le fit d’autres à la sainteté. Et comme le Dieu Saint, il ne peut pas être l’auteur du péché. La position qui Calvin prend sur ce point dans ses instituts est clairement indiquée dans les délivrances suivants trouvés dans des Articles sur la prédestination de Calvin:

« Bien que la volonté de Dieu est la cause suprême et la première de toutes choses et Dieu tient le diable et tous les impies sous réserve de son aura, que Dieu ne peut néanmoins être dénommée la cause du péché, ni l’auteur du mal, ni est il ouvert à tout blâme.

« Bien que le diable et les réprouvés sont les serviteurs et les instruments de Dieu pour réaliser ses décisions secrètes, néanmoins d’une manière incompréhensible Dieu donc fonctionne en eux et à travers eux quant à ne contracter aucune tache de leur vice, car leur méchanceté est utilisée dans une juste et façon juste pour une bonne fin, même si la manière est souvent cachée de notre part.

« Ils agissent par ignorance et effet qui disent que Dieu est faite à l’auteur du péché, si toutes les choses viennent de passer par sa volonté et l’ordonnance; parce qu’ils ne font aucune distinction entre la dépravation des hommes ainsi que les nominations cachées de Dieu. » [Cité par Warfield, études en théologie, p. 194.] (3) il est à noter que ce dont Dieu a décidé d’adopter certains hommes, n’est pas sa courante mais son extraordinaire, sa régénération, grâce, la grâce qui transforme les pécheurs en saints. C’est une erreur de penser que dans cette vie les réprouvés sont totalement démunies de la faveur de Dieu. Dieu ne limite pas la distribution de ses dons naturels de l’objectif de l’élection. Il ne permet pas même élection et réprobation pour déterminer la mesure de ces dons. Les réprouvés bénéficient souvent d’une plus grande mesure des bienfaits naturels de la vie que les élus. Ce qui distingue efficacement ce dernier de l’ancien, c’est qu' ils sont faits des récipiendaires de la régénération et à la grâce salvifique de Dieu.

b. la preuve pour la doctrine de réprobation. La doctrine de la réprobation découle naturellement de la logique de la situation. Le décret d’élection implique inévitablement le décret de réprobation. Si le tout-sage Dieu, doué d’une connaissance infinie, a éternellement se proposait de sauver certains, puis il a ipso facto se proposait également ne pas à sauver d’autres. S’il a choisi ou certains élus, puis il a par que fait également rejeté d’autres. Brunner met en garde contre cet argument, puisque la Bible enseigne-t-elle pas en un seul mot une prédestination divine au rejet. Mais il nous semble que la Bible ne contredit pas mais qu’il justifie la logique en question. Étant donné que la Bible est avant tout une révélation de la rédemption, il naturellement n’a pas autant à propos de réprobation comme sur les élections. Mais ce qu’il dit est tout à fait suffisant, Matt. 11:25, 26; ROM. 09:13, 17, 18, 21, 22; 11:7; 4 Jude; I Pierre 2:8.

E. supra et infra lapsarianisme.

La doctrine de la prédestination n’a pas toujours été présentée exactement la même forme. Surtout depuis l’époque de la réforme deux conceptions différentes de ce graduellement émergé, qui étaient désignés au cours de la controverse arminienne Infra - et supralapsarianisme. Les différences déjà existantes ont été plus nettement définies et plus fortement accentuées que les résultats des différends théologiques de cette journée. Selon Dr Dijk que deux points de vue à l’étude étaient sous leur forme originale simplement une différence d’opinion sur la question, savoir si la chute de l’homme a été également inscrite dans le décret divin. A été le premier péché de l’homme, qui constitue sa chute, prédestiné, ou était-ce simplement l’objet de la prescience divine ? Dans leur forme originale supralapsarianisme a tenu l’ancienne et infralapsarianisme, ce dernier. En ce sens du mot Calvin était clairement un supralapsaire. Le développement ultérieur de la différence entre les deux a commencé par Bèze, le successeur de Calvin à Genève. Dans ce point en litige se retire peu à peu dans l’arrière-plan et autres différences sont présentées, dont certaines s’avèrent pour être de simples différences d’accent. Infralapsarians plus tard, comme Rivet, Walaeus, faire, Turretin, à Mark et de Moor, tous admettent que la chute de l’homme a été inscrite dans le décret; et des supralapsaires ultérieurs, tels que Bèze, gomar, Peter Martyr, Zanchius, Ursinus, Perkins, Twisse, Trigland, Voetius, Burmannus, Witsius et Comrie, au moins certains sont tout à fait prêt à admettre que, dans le décret de Dieu de la réprobation d’une certaine façon se péché en examen. Nous nous intéressons à l’heure actuelle avec Supra - et infralapsarianisme sous leur forme la plus développée.

1. le POINT EXACT en question. Il est tout à fait essentiel d’avoir une vue correcte de l’exacte ou les points en litige entre les deux.

a. négativement, la différence n’est pas trouvée: (1) dans les points de vue divergents concernant l’ordre temporel des décrets divins. Il est admis sur toutes les mains que le décret de Dieu est un et dans toutes ses parties tout aussi éternelle, alors qu’il est impossible d’attribuer toute succession temporelle qui comprend des éléments divers. (2) dans toute différence essentielle quant à savoir si la chute de l’homme a été décrétée ou simplement l’objet de la prescience divine. Cela peut avoir été, comme le dit le Dr Dijk, le point d’origine de la différence; mais, sûrement, toute personne qui affirme que la chute n’était pas décrétée mais seulement prévue par Dieu, dirait maintenant se déplacer le long de lignes arminiens et non réformées. Supra - tant Infralapsarians admettre que l’automne est inclus dans le décret divin, et que preterition est volonté souveraine d’un acte de Dieu. (3) dans toute différence essentielle quant à la question, si le décret par rapport au péché est facultatif. Il y a une différence d’accent mis sur l’adjectif admissible. Supralapsaires (à quelques exceptions près) sont disposés à admettre que le décret par rapport au péché est facultatif, mais m’empresse d’ajouter qu’il néanmoins permet l’entrée du péché dans le monde une certitude. Et Infralapsarians (à quelques exceptions près) admettra que le péché est inclus dans le décret de Dieu, mais m’empresse d’ajouter que le décret, dans la mesure où ce qui a trait au péché, est permissive plutôt que positive. L’ancien parfois trop insister sur l’élément positif dans le décret sur le péché et ainsi s’expose à l’accusation qu’ils font Dieu auteur du péché. Et ce dernier parfois trop insister sur le caractère permissif de l’arrêté, réduisant celui-ci à une permission de nue et s’expose ainsi à l’accusation de l’Arminianisme. Dans l’ensemble, cependant, supralapsaires répudient catégoriquement toute interprétation du décret qui ferait Dieu auteur du péché; et Infralapsarians sont pris soin de souligner expressément que le décret permissif de Dieu par rapport au péché rend sin certainement future. (4) dans toute différence essentielle quant à la question, si le décret de réprobation tienne compte du péché. Elle est parfois représentée comme si Dieu destiné certains hommes pour la destruction éternelle, simplement par un acte de sa volonté souveraine, sans tenir compte de leur péché; comme si, comme un tyran, il a tout simplement décidé de détruire un grand nombre de ses créatures rationnelles, purement pour la manifestation de ses vertus glorieux. Mais les supralapsaires détestent l’idée d’un Dieu tyrannique et au moins certains d'entre eux précisent explicitement que, tandis que preterition est volonté souveraine d’un acte de Dieu, le deuxième élément de réprobation, à savoir la condamnation, est un acte de justice et certainement tienne compte des Sin. Cela se déroule sur la supposition que, logiquement, preterition précède le décret pour créer et pour permettre la chute, tandis que la condamnation fait suite à cela. La logique de cette position peut être mise en doute, mais il montre au moins que les supralapsaires qui assument, enseignent que Dieu tienne compte du péché dans le décret de réprobation. p ><p>b. positivement, la différence concerne: (1) l’étendue de la prédestination. Supralapsaires comprennent le décret pour créer et pour permettre la chute dans le décret de prédestination, tandis que Infralapsarians se référer au décret de Dieu en général et exclure du décret spécial de la prédestination. Selon la première, l’homme apparaît dans le décret de prédestination, pas aussi créé et déchu, mais aussi certains à créer et à l’automne; alors que, selon ce dernier, il apparaît dedans comme déjà créé et tombé. (2) l’ordre logique des décrets. La question est, si les décrets pour créer et pour permettre la chute étaient moyens au décret de la rédemption. Supralapsaires procéder sur l’hypothèse que, dans la planification de l’esprit rationnel, passe de la fin pour les moyens dans un mouvement rétrograde, afin que ce qui est le premier de conception est le dernier dans l’accomplissement. Ainsi, ils déterminent dans l’ordre suivant: (a) le décret de Dieu de se glorifier et particulièrement pour agrandir sa grâce et la justice dans le salut de certains et la perdition des autres créatures rationnelles, qui existent dans l’Entendement divin, encore que comme possibilités. (b) le décret pour créer ceux qui ont été ainsi élu et réprouvé. (c) le décret pour qu’ils puissent tomber. (d) le décret pour justifier les élus et non élus-de condamner. D’autre part les Infralapsarians suggèrent un ordre plus historique: (a) le décret de créer l’homme à la sainteté et la sainteté. (b) le décret permettant l’homme avoir reculé de l’autodétermination de sa propre volonté. (c) le décret pour sauver un certain nombre de cet agrégat coupable. (d) le décret de laisser le reste dans leur autodétermination dans le péché et de les soumettre à la punition juste qui mérite de leur péché. (3) l’extension de l’élément personnel de prédestination aux décrets pour créer et pour permettre la chute. Selon supralapsaires Dieu, même dans le décret de créer et de permettre à l’automne, avait son regard fixé sur ses élus individuellement, afin qu’il y n'avait pas un seul instant dans le décret divin, quand ils ne s’est pas présenté à une relation particulière avec Dieu comme ses bien-aimés. Infralapsarians, tenir d’autre part, que cet élément personnel ne figure pas dans le décret jusqu’après le décret de créer et de permettre à l’automne. Dans ces décrets eux-mêmes élus figurent simplement dans toute la masse de l’humanité et n’apparaissent pas comme des objets spéciaux de l’amour de Dieu.

2. LA POSITION SUPRALAPSAIRE.

a. Arguments en faveur d’elle: (1) il lance un appel à tous ces passages de l’Ecriture qui mettent l’accent sur la souveraineté absolue de Dieu et plus particulièrement sa souveraineté en ce qui concerne le péché, comme le Psaume 115:3; Prov. 16:4; Ésaïe 10:15; 45:9; Jérémie 18:6; Matthieu 11:25, 26; 20:15; ROM. 09:17, 19-21. Un accent particulier est mis sur la figure du potier, qui se trouve dans plus d’un de ces passages. Il est dit que ce chiffre ne consiste pas seulement insiste sur la souveraineté de Dieu en général, mais aussi et surtout sa souveraineté dans la détermination de la qualité des navires lors de la création. Cela signifie que Paul dans Romains 9 parle d’un point de vue pré-création, une idée qui est favorisée (a) par le fait que les travaux du potier est utilisé fréquemment dans l’écriture comme une figure de la création; et (b) par le fait que le potier détermine chaque navire pour un certain usage et lui confère une qualité correspondante, ce qui pourrait causer le navire demander, mais sans aucun droit, pourquoi tu me faire donc ? (2) l’attention est appelée sur le fait que certains passages de l’écriture donnent à penser que le travail de la nature ou de la création a été ordonné en général alors que contiennent déjà des illustrations de le œuvre de rédemption. Jésus vient fréquemment ses illustrations pour l’élucidation des choses spirituelles de la nature, et on nous dit dans Matthieu 13:35 qu’il s’agissait dans l’accomplissement de la parole du prophète, « J’ai va proférer des choses cachées depuis la Fondation du monde. » COMP. PS. 78:2. Ceci est interprété comme signifiant qu’ils étaient cachés en nature, mais ont été mis en évidence dans les paraboliques enseignements de Jésus. Éphésiens 3:9 est également considérée comme une expression de l’idée que le dessein de Dieu dans la création du monde a été réalisé à la manifestation de sa sagesse, qui attribuerait aux travaux du Nouveau Testament de la rédemption. Mais l’appel à ce passage semble, pour le moins très douteux. (3) l’ordre des décrets, tel qu’accepté par les supralapsaires, est considéré comme le plus idéal, le plus logique et unifiée des deux. Il montre clairement l’ordre rationnel qui existe entre la finalité et les moyens intermédiaires. C’est pourquoi les supralapsaires peuvent, tandis que le Infralapsarians ne peut pas donner une réponse précise à la question pourquoi Dieu a décrété pour créer le monde et permettre la chute. Ils pleinement justice à la souveraineté de Dieu et de s’abstenir de toutes les vaines tentatives de justifier Dieu aux yeux des hommes, alors que les Infralapsarians hésiter, tenter de prouver la justice intérieur de Dieu et encore en fin de compte doit venir à la même conclusion que le Supralapsaires, à savoir que, en dernière analyse, le décret pour permettre la chute trouve son explication que dans le bon plaisir souverain de Dieu. [Bavinck, Geref. Dogme. II, p. 400.] (4) l’analogie de la prédestination des anges semble favoriser la position supralapsaire, car il seulement peut se concevoir comme supralapsaire. Dieu a décrété, pour des raisons suffisantes pour lui-même, d’accorder certains anges la grâce de la persévérance et de retenir ce des autres; et se connecter avec ce justement la confirmation de l’ancien dans un état de gloire et la perdition éternelle de ce dernier. Cela signifie donc que le décret sur la chute des anges fait partie de leur prédestination. Et il semble impossible de concevoir de celui-ci de toute autre manière.

b. Objections à cela: malgré ses prétentions apparente, il ne donne pas une solution au problème du péché. Il aurait pour cela, si il a osé dire que Dieu a décrété pour apporter de péché dans le monde par sa propre efficacité directe. Certains supralapsaires, c’est vrai, ne représentent pas le décret comme l’efficace cause du péché, mais encore ne veux pas être interprété de telle manière que Dieu devient l’auteur du péché. La majorité d'entre eux ne se soucient pas d’aller au-delà de l’affirmation selon laquelle Dieu a voulu pour permettre le péché. Maintenant ce n’est pas d’objection à la supralapsaire dans la distinction de l’infralapsaire, pour aucun d'entre elles n’a résolu le problème. La seule différence est que le premier rend plues prétentions à cet égard que le second. (2) conformément à ses représentations, l’homme apparaît dans le décret divin d’abord comme creabilis et labilis (certains à créer et à tomber). Les objets du décret sont d’abord de tous les hommes considérés comme de simples possibilités, comme des entités inexistantes. Mais un tel décret nécessairement a uniquement un caractère provisoire et doit être suivi par un autre décret. Après que l’élection et la réprobation de ces suit hommes possibles le décret pour les créer et de leur permettre à tomber et cela doit être suivi par un autre décrètent concernant ces hommes dont la création et chute ont maintenant été définitivement déterminé, à savoir le décret de certains élus et de réprouver le reste de ceux qui apparaissent maintenant dans le dessein divin comme de vrais hommes. Supralapsaires prétendent qu’il s’agit d’aucune objection insurmontable parce que, s’il est vrai que sur leur position l’existence réelle des hommes n'a pas encore été déterminé lorsqu’ils sont élus et réprouvées, elles n’existent pas dans l’idée divine. (3) il est dit que supralapsarianisme fait la punition éternelle de la réprouvés que sera un objet de la volonté divine, dans le même sens et de la même manière que le salut éternel des élus; et que cela rend le péché qui conduit à la destruction éternelle, un moyen à cette fin, de la même manière et dans le même sens que la rédemption en Christ est un moyen pour le salut. Si systématiquement réalisées, cela ferait Dieu auteur du péché. Il est à noter, toutefois, que les supralapsaires n’atteint, en règle générale, si pas le décret et stipule explicitement que le décret ne peut être ainsi interprété au point de rendre Dieu auteur du péché. Il parlera d’une prédestination à la grâce de Dieu en Jésus Christ, mais pas d’une prédestination à péché. (4) encore une fois, il est objecté que supralapsarianisme fait le décret de réprobation juste aussi absolue que le décret d’élection. En d’autres termes, qu’il considère réprobation comme purement un acte de souverain bon plaisir de Dieu et non comme un acte de justice punitive. Selon sa représentation péché n’entre pas en considération dans le décret de réprobation. Mais ce n’est guère correct, bien qu’il peut être vrai pour certains supralapsaires. En général, cependant, on peut dire que, bien qu’ils considèrent preterition comme souverain bon plaisir une loi de Dieu, ils habituellement considèrent precondemnation comme un acte de justice divine, qui tient compte sin. Et l’infralapsaire lui-même ne peut pas soutenir l’idée que la réprobation est un acte de justice pure et simple, sous réserve du péché de l’homme. En dernière analyse, il, aussi, doit déclarer qu’il est souverain bon plaisir d’un acte de Dieu, s’il veut éviter le camp arminiens. (5) Enfin, il est dit qu’il n’est pas possible d’interpréter une doctrine utilisable de l’Alliance de la grâce et du Médiateur sur la base du régime supralapsaire. Tant l'Alliance et le médiateur de l’Alliance ne peuvent être conçu que comme infralapsaire. C’est franchement admis par certains supralapsaires. Logiquement, le médiateur apparaît dans le décret divin qu’après l’entrée du péché; et il s’agit du seul point de vue d'où l’Alliance de grâce peut être interprété. Cela aura naturellement une influence importante sur le ministère de la parole.

3. LA POSITION INFRALAPSAIRE.

a. Arguments en faveur de l’il. (1) Infralapsarians appel plus particulièrement à ces passages de l’écriture dans lequel les objets de l’élection apparaissent comme dans un état de péché, étant en étroite union avec le Christ, ainsi que des objets de la miséricorde de Dieu et la grâce, comme Matthieu 11:25, 26; John 15:19; ROM. 08:28, 30; 9:15. 16; Éphésiens 1:4-12; II Timothée 1:9. Ces passages semble indiquer que, dans la pensée de Dieu, la chute de l’homme ont précédé l’élection de certains pour le salut. (2) il appelle également l’attention sur le fait que dans sa représentation de que l’ordre des décrets divins est moins philosophique et plus naturelle que celle proposée par supralapsaires. C’est en harmonie avec l’ordre chronologique dans l’exécution des décrets, qui semble refléter l’ordre dans le Conseil éternel de Dieu. Tout comme dans l’exécution, il est donc le décret un ordre causal. Il est plus modeste de se conformer à cet ordre, juste parce qu’il reflète l’ordre historique a révélé dans les Ecritures et ne prétend pas résoudre le problème de la relation de Dieu au péché. Il est considéré comme moins offensant dans sa présentation de l’affaire et être beaucoup plus en harmonie avec les exigences de la vie pratique. [Cf. Edwards, œuvres II, p. 543.] (3) tandis que les supralapsaires affirment que leur construction de la doctrine des décrets est la plus logique des deux, Infralapsarians faire la même revendication pour leur poste. Dabney, dit: « les supralapsaires (régime) sous le prétexte d’une plus grande symétrie, est en réalité le plus illogique des deux. » [Syst et trouvailles. THEOL, p. 233.] Il est souligné que le régime de supralapsaire est illogique, car il rend le décret d’élection et preterition se référer à des entités, c'est-à-dire aux hommes qui n’existent pas, sauf que les possibilités de nues, même dans l’esprit de Dieu; qui ne sont pas encore exister dans le décret divin et ne sont donc pas envisagé comme créé, mais seulement comme pouvant être créés. Encore une fois, il est dit que la construction supralapsaire est illogique, car elle sépare nécessairement les deux éléments dans la réprobation, plaçant preterition avant et leur condamnation, après la chute. (4) Enfin, l’attention est également appelée sur le fait que les Églises réformées dans leurs normes officielles ont toujours adopté la position infralapsaire, même s’ils ont jamais condamné, mais toujours toléré, l’autre vue. Parmi les membres du Synode de Dordrecht et de l’Assemblée de Westminster, il y avait plusieurs supralapsaires qui ont eu lieu en l’honneur de haut (l’officier présidant dans les deux cas appartenant au nombre), mais à la fois les Canons de Dordrecht et la Confession de Westminster le infralapsaire vue trouve son expression.

b. Objections à cela. Voici quelques-unes des principales objections soulevées contre l’infralapsarianisme: (1) il ne donne pas, ni prétend donner une solution au problème du péché. Mais cela est également vrai d’autres avis, afin que, dans une comparaison entre les deux, cette ne peut pas très bien considérée comme une objection réelle, même si elle est parfois soulevée. Le problème de la relation de Dieu au péché s’est avéré pour être insolubles pour celui, ainsi que pour l’autre. (2) tandis que l’infralapsarianisme peut être actionnée par le louable désir pour se prémunir contre la possibilité de charger de Dieu étant l’auteur du péché, c’est, en faisant cela, toujours en danger de dépassement de la marque, et certains de ses représentants ont fait cette erreur. Ils sont opposés à la déclaration que Dieu a voulu pécher et substituer à elle l’affirmation que He le permettaient. Mais alors la question se pose quant à la signification exacte de cette déclaration. Cela signifie que Dieu simplement a pris connaissance de l’entrée du péché, sans en aucune manière entraver, afin que la chute était en réalité une frustration de son plan ? Le moment que le infralapsaire répond à cette question par l’affirmative, il pénètre dans les rangs des arminiens. Alors qu’il y a eu certains qui a pris cette position, la majorité d'entre eux se sentent qu’ils ne peuvent pas toujours prendre cette position, mais doivent intégrer l’automne dans le décret divin. Ils parlent du décret sur le péché comme un décret permissive, mais étant entendu que ce décret a rendu l’entrée du péché dans le monde certains distinct. Et si on se demander, pourquoi Dieu a décrété pour permettre le péché et donc rendait certains, ils peuvent seulement pointer vers le bon plaisir divin et sont donc en parfait accord avec les supralapsaires. (3) la même tendance à protéger de Dieu se révèle d’une autre manière et expose à un danger similaire. Infralapsarianisme veut vraiment expliquer réprobation comme juge en un acte de Dieu. Il est enclin à refuser explicitement ou implicitement que c’est un acte de la simple bon plaisir de Dieu. Vraiment, cela rend le décret de réprobation un décret conditionnels et conduit dans le giron arminiens. Mais infralapsarians dans l’ensemble ne veulent pas enseigner un décret conditionnels et de s’exprimer prudemment sur cette question. Certains d'entre eux admettent qu’il est erroné de considérer que la réprobation purement comme un acte de justice divine. Et c’est tout à fait correcte. Péché n’est pas la cause ultime de réprobation, pas plus que la foi et les bonnes œuvres sont la cause de l’élection, pour tous les hommes sont par nature morte dans le péché et des offenses. Lorsqu’ils sont confrontés au problème de réprobation, Infralapsarians, trop, peut trouver la réponse que dans le bon plaisir de Dieu. Leur langue peut sembler plus tendre que celle des supralapsaires, mais est également plus susceptible d’être mal compris et après tout prouve pour exprimer la même idée. (4) la position infralapsaire ne rend pas justice à l’unité du décret divin, mais représente les différents membres de celui-ci trop comme parties déconnectées. Premier Dieu décrète pour créer le monde pour la gloire de son nom, qui signifie entre autres choses, aussi, qu’il a déterminé que ses créatures rationnelles devraient vivre selon la loi divine implantée dans leur cœur et doivent louer leur créateur. Puis il décréta afin de permettre à l’automne, par lequel le péché entre dans le monde. Cela semble être une frustration du plan initial, ou au moins une modification importante de celui-ci, étant donné que Dieu décrète pas plus à la pour gloire de lui-même par l’obéissance volontaire de toutes ses créatures rationnelles. Enfin, suivez les décrets de l’élection et la réprobation, qui veut dire seulement une exécution partielle du plan initial.

4. de ce qui a été dit il semblerait à suivre que nous ne pouvons pas considérer Supra - et infralapsarianisme comme absolument antithétique. Ils considèrent le mystère même de différents points de vue, celui de fixer son attention sur l’idéal ou téléologique; l’autre, sur l’ordre chronologique, des décrets. Dans une certaine mesure, ils peuvent et doivent aller de pair. Les deux trouvent un appui dans l’écriture. Supralapsarianisme dans ces passages qui insistent sur la souveraineté de Dieu et l’infralapsarianisme dans ceux qui mettent l’accent sur la miséricorde et la justice de Dieu, dans le cadre d’élections et de la réprobation. Chacun a quelque chose en sa faveur: la première qui n’est pas tenue de justifier Dieu, il repose simplement dans le bon plaisir souverain et Saint de Dieu; et le second, qu’elle est plus modeste et plus tendre et qu’il estime avec les demandes et les exigences de la vie pratique. Les deux sont nécessairement incompatibles; le premier parce qu’il ne peut pas considérer le péché comme une progression, mais doit le considérer comme une perturbation de la création et parle d’une permissive décret; et le second, car en dernière analyse, il doit recourent également à une permissive décretqui rend certains sin. Mais chacun d'entre eux aussi met l’accent sur un élément de vérité. Le véritable élément de supralapsarianisme se trouve en mettant l’accent sur ce qui suit: que le décret de Dieu est une unité; que Dieu avait un but final en vue; qu’il a voulu péché dans un certain sens; et que le travail de création a été immédiatement adaptée à l’activité récréative de Dieu. Et le véritable élément infralapsarianisme est, qu’il y a une certaine diversité dans les décrets de Dieu; que création et chute ne peut pas être considérés simplement comme moyen d’atteindre un but, mais avaient aussi grande importance indépendante; et que le péché ne peut être considéré comme un élément de progrès, mais doit plutôt être considéré comme un élément de perturbation dans le monde. Dans le cadre de l’étude de cette question profonde, nous pensons que notre compréhension est limitée et me rends compte que nous appréhendons les fragments de la vérité. Nos normes confessionnelles incarnent la position infralapsaire, mais ne condamnent pas supralapsarianisme. Il a estimé que ce point de vue n’était pas nécessairement incompatible avec la théologie réformée. Et les conclusions d’Utrecht, adoptée en 1908 par notre église, affirment que, même si elle n’est pas permis de représenter l’opinion de supralapsaire comme la doctrine des Églises réformées dans les pays-bas, c’est tout aussi peu admissible de molester quelqu'un qui chérit ce point de vue pour lui-même.

QUESTIONS pour une étude plus approfondie. Est une prescience des événements futurs qui ne repose pas sur le décret possible en Dieu ? Quel est le résultat inévitable de fonder décret de Dieu sur sa prescience plutôt que l’inverse, sa prescience sur son décret ? Comment la doctrine des décrets diffère-t-il du fatalisme et du déterminisme ? Le décret de prédestination exclut-elle nécessairement la possibilité d’une offre universelle de Salut ? Sont les décrets de l’élection et la réprobation tout aussi absolue et inconditionnelle ou pas ? Ils ne se ressemblent en étant les causes d'où les actions humaines procéder comme effets ? Comment est la doctrine de la prédestination, associée à la doctrine de la souveraineté divine; — de la doctrine de la dépravation totale; — à la doctrine de l’expiation; — à la doctrine de la persévérance des saints ? Les réformés enseignez une prédestination à péché ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. II, pp. 347-425; Kuyper, Dict. dogme., De Deo III, pp. 80-258; Vos, Geref. Dogme. J’ai, pp. 81-170; Hodge, Syst. Theol. I, p. 535-549; II, p. 315-321; Shedd, dogme . Théol. J’ai, p. 393-462; Faire, Godgeleerdheit, I, pp. 670-757; Comrie fr Holtius, Examen van het Ontwerp van Tolerantie, Samenspraken VI et VII; Turretin, opéra, I, pp. 279-382; Dabney, syst et trouvailles Theol., p. 211-246; Miley, Syst. Theol. II, pp. 245-266; Cunningham, Hist. Theol., II, p. 416-489; Wiggers, augustinisme et pélagianisme, p. 237-254; Girardeau, calvinisme et arminianisme évangélique, pp. 14-412; Ibid., The Will dans ses Relations théologiques; Warfield, Doctrines bibliques, pp. 3-67; Ibid., études en théologie, p. 117-231; Cole, le calvinismede Calvin, p. 25-206; Calvin, instituts III. Chap. XXI-XXIV; Dijk, De Strijd sur Infra-fr Supralapsarisme dans de Gereformeerde Kerken van Nederland; Ibid., Om 't Eeuwig Welbehagen; Fernhout, De Leer der Uitverkiezing; Polman, De Praedestinatieleer van Augustinus, Thomas van Aquino fr Calvijn.

 

III. la création en général

La discussion des décrets naturellement conduit jusqu'à l’examen de leur exécution, et cela commence par le travail de création. Ce n’est pas premier dans l’ordre chronologique, mais est également une prius logique. C’est le début et à la base de toute la révélation divine et par conséquent aussi le fondement de toute la vie éthique et religieuse. La doctrine de la création n'est pas énoncée dans l’écriture comme une solution au problème du monde philosophique, mais dans sa signification éthique et religieuse, comme une révélation de la relation de l’homme avec son Dieu. Il insiste sur le fait que Dieu est à l’origine de toutes choses, et que toutes choses lui appartiennent et sont soumis à lui. La connaissance de celui-ci est dérivée de l’écriture seulement et est acceptée par la foi (Hébreux 11:3), même si les catholiques romains maintenir qu’il peut aussi être recueilli de nature.

A. la Doctrine de la création dans l’histoire.

Alors que la philosophie grecque a demandé l’explication du monde dans un dualisme, qui implique l’éternité de la matière, ou dans un processus d’émanation, ce qui rend le monde la manifestation extérieure de Dieu, the Christian Church dès le début a enseigné la doctrine de création ex nihilo et comme un acte gratuit de Dieu. Cette doctrine a été acceptée à l’unanimité du singulier dès le départ. Il se trouve à Justin Martyr, Irénée, Tertullien, Clément d’Alexandrie, Origène et d’autres. Théophile a été le premier père de l’église d’insister sur le fait que les jours de la création ont été des jours littéraux. Cela semble avoir été la vue d’Irénée et de Tertullien aussi et a été selon toute vraisemblance la vue commune dans l’église. Clément et Origène pensaient de la création comme ayant été accomplie en un seul instant indivisibleet conçue de sa description que le travail de plusieurs jours comme un artifice littéraire pour décrire l’origine des choses dans l’ordre de leur valeur ou de simple leur lien logique. L’idée d’une création éternelle, telle qu’enseignée par Origène, a été souvent rejetée. En même temps, certains d'entre les pères de l’église ont exprimé l’idée que Dieu est toujours créateur, même si l’univers créé a commencé dans le temps. Au cours de la controverse trinitaire certains d'entre eux a insisté sur le fait que, à la différence de la génération du fils, qui était un nécessaire loi du père, de la création du monde était un acte gratuit du Dieu triune. Augustin traite le travail de création plus en détail que d’autres ont fait. Il fait valoir que la création était éternellement dans la volonté de Dieu et par conséquent n’apporté aucun changement en lui. Il n’y avait aucun temps avant la création, car le monde a été mis en place avec le temps, plutôt qu’à temps. La question ce que Dieu fait dans les plusieurs siècles avant la création repose sur une interprétation erronée de l’éternité. Alors que l’église semble en général ont eu lieu que le monde a été créé en six jours ordinaires, Augustine a proposé une vision quelque peu différente. Il a fortement défendu la doctrine de la creatio ex nihilo, mais distingue deux moments de la création: la production de la matière et spiritueux hors de rien et l’organisation de l’univers matériel. Il a trouvé difficile de dire quel genre de jours les jours de la Genèse ont été, mais était évidemment enclin à penser que Dieu a créé toutes choses à un moment du temps, et que la pensée des jours était simplement introduit pour faciliter l’intelligence finie. Les scolastiques débattu beaucoup de choses sur la possibilité de création éternelle; certains, par exemple, Alexandre de Hales, Bonaventura, Albertus Magnus, Henry de Gand et la grande majorité des scolastiques nier cela; et d’autres, comme Thomas Aquinas, Duns Scot, Durand, Biel et d’autres affirmant il. Pourtant la doctrine de la création avec ou dans le temps l’a emporté. Erigena et Eckhart ont été exceptionnels dans l’enseignement que le monde créé par émanation. Apparemment les jours de la création étaient considérés comme des jours ordinaires, mais Anselm ont suggéré qu’il pourrait être nécessaire de les concevoir comme différent de nos jours présents. Les réformateurs a tenu fermement à la doctrine de la création à partir de rien par une catastrophe naturelle gratuit dans ou avec le temps et considéré à l’époque de la création en six jours littéraux. Cet affichage est maintenu aussi généralement dans la littérature post-réforme des seizième et dix-septième siècles, bien que quelques théologiens (comme Maresius) parfois parler de création continue. Au XVIIIe siècle, cependant, sous l’influence dominante de panthéisme et le matérialisme, le scientifique a lancé une attaque sur la doctrine de l’église de la création. Il substitue l’idée d’évolution ou de développement à celui de l’origine absolue par un décret divin. Le monde était souvent représenté comme une manifestation nécessaire de l’absolu. Son origine était repoussé des milliers et même des millions d’années dans un passé inconnu. Et bientôt les théologiens étaient engagés dans diverses tentatives d’harmoniser la doctrine de la création avec les enseignements de la science et la philosophie. Certains ont suggéré que les premiers chapitres de la Genèse doivent être interprétés allégoriquement ou mythologique; d’autres, un long délai écoulé entre la création primaire de Genèse 1:1, 2 et la création secondaire des versets suivants; et encore d’autres, que les jours de la création étaient en fait de longues périodes.

B. la preuve scripturaire pour la Doctrine de la création.

La preuve scripturaire pour la doctrine de la création ne se trouve pas dans une partie unique et limitée de la Bible, mais se trouve dans toutes les parties de la parole de Dieu. Il n’est pas constitué de quelques passages épars d’interprétation douteuse, mais d’un grand nombre d’instructions claires et sans équivoque, qui parlent de la création du monde comme un fait historique. Nous avons d’abord le récit élargi de la création trouvée dans les deux premiers chapitres de la Genèse, qui sera examiné en détail lors de la création de l’univers matériel est considérée. Ces chapitres semblent certainement le lecteur impartial, un récit historique, ainsi que l’enregistrement d’un fait historique. Et les nombreux renvois dispersés tout au long de la Bible ne les considère pas dans n’importe quel autre lumière. Ils font tous référence à la création comme un fait de l’histoire. Les différents passages dans lequel ils sont trouvent peuvent être classées comme suit: (1) les Passages qui insistent sur l’omnipotence de Dieu dans le travail de création, Ésaïe 40: 26, 28; Amos 04:13. (2) les passages qui pointent vers son exaltation au-dessus de nature comme le Dieu infini et grand, Psaume 90: 2; 102:26, 27; Actes 17:24. (3) les passages qui se réfèrent à la sagesse de Dieu dans le travail de création, Ésaïe 40: 12-14; Jérémie 10:12-16; John 1:3; (4) les passages concernant la création du point de vue de la souveraineté de Dieu et le but dans la création, Ésaïe 43:7; ROM. 01:25. (5) les passages qui parlent de la création comme un ouvrage fondamental de Dieu, I Cor. 11:9; 01:16. Parmi les mentions plus complète et la plus belles est celle trouvée dans Néhémie 9:6: « Tu es Jéhovah, même toi seul; Tu as fait les cieux, les cieux des cieux, avec toute leur armée, la terre et toutes les choses qui sont à ce sujet, les mers et tout ce qui est en eux, et tu preservest tous; « et l’armée céleste worshippeth toi. » Ce passage est typique de plusieurs autres, moins étendus, passages que l'on trouve dans la Bible, qui mettent l’accent sur le fait que Jéhovah est le créateur de l’univers, Ésaïe 42:5; 45: 18; 01:16; 04:11; 10:6.

C. l’idée de création.

La foi de l’église dans la création du monde est exprimée dans l’article premier de la Confession de foi apostolique, « Je crois en Dieu le père, tout-puissant, créateur du ciel et la terre. » Il s’agit d’une expression de la foi de l’église primitive, que Dieu par sa toute-puissance amené l’univers à partir de rien. Les mots « Créateur du ciel et terre » ne figuraient pas dans la forme originale du credo, mais représentent une addition postérieure. Elle attribue au père, c'est-à-dire, à la première personne dans la Trinité, l’origine de toutes choses. C’est en harmonie avec la représentation du Nouveau Testament que toutes choses sont du père par le fils, et dans l’Esprit Saint. Le mot « Maker » est un rendu de la parole poieten, trouvé dans la forme grecque de la Confession apostolique, tandis que la forme latine a creatorem. Évidemment, elle doit être comprise comme un terme synonyme de « Créateur ». « Pour créer » était compris dans l’église primitive dans le sens strict de « à sortir quelque chose de rien. » Il est à noter que l’écriture n’utilise pas toujours l’hébreu mot bara» et le terme grec ktizein en ce sens absolu. Il est également utilisé ces termes pour désigner une création secondaire, dans laquelle Dieu fait usage de matériel qui existait déjà mais a pas pu produire le résultat indiqué, 01:21, 27; 5:1; Ésaïe 45: 7, 12; 54:16; Amos 04:13; J’ai Cor. 11:9; Apocalypse 10:6. Il les utilise encore pour désigner ce qui verra le jour sous la direction providentielle de Dieu, PS. 104:30; Ésaïe 45: 7, 8; 65:18; I Timothée 4:4. Deux autres termes sont utilisés comme synonyme du terme « de créer, » à savoir « faire » (Hébreux, 'asah; Grec, poiein) et de « forme » (Héb. yatsar; Grec, plasso). Le premier est clairement utilisé dans tous les trois sens figurant aux points précédents: de la création primaire dans Genèse 2:4; Prov. 16:4; Actes 17:24; plus fréquemment du secondaire création, Genèse 1:7, 16, 26; 02:22; PS. 89:47; ainsi que des travaux de la providence dans Psaume 74:17. Ce dernier est utilisé de même de la création primaire, Psaume 90: 2 (peut-être le seul exemple de cette utilisation); du secondaire création, Genèse 2:7, 19; PS. 104:26; Amos 04:13; Zach. 12:1; ainsi que des travaux de la providence, Deut. 32: 18; Ésaïe 43: 1, 7, 21; 45:7. que tous les trois mots sont trouvés ensemble dans Ésaïe 45: 7. Création au sens strict du mot peut être définie comme qui gratuit Loi de Dieu par lequel il, selon sa volonté souveraine et pour sa propre gloire, au début, fait naître l’univers entier visibles et invisibles, sans l’utilisation de matériaux préexistants et ainsi il a donné une existence, distincte de la sienne propre et pourtant toujours dépendante de lui. Compte tenu des données scripturaires figurant aux points précédents, il est évident, toutefois, que cette définition s’applique uniquement à ce qui est généralement connu comme création primaire ou immédiate, c'est-à-dire la création décrite dans Genèse 1:1. La Bible utilise clairement le mot « créer », mais aussi dans les cas où Dieu n’a fait usage de matériaux préexistants, comme dans la création du soleil, lune et étoiles, des animaux et de l’homme. C’est pourquoi beaucoup de théologiens ajoute un élément à la définition de la création. Wollebius définit ainsi: « la créationest qui agissent par qui produit de Dieu, le monde et tout ce qui est dedans, en partie à partir de rien et en partie à partir de matériaux qui est par nature impropre, pour la manifestation de la gloire de sa puissance , sagesse et la bonté. » Pour autant, toutefois, la définition ne couvre pas les cas, aussi désignées dans l’écriture comme travail de création, où Dieu agit par l’intermédiaire des causes secondaires, PS. 104:30; Ésaïe 45: 7, 8; Jérémie 31:22; Amos 04:13 et produit des résultats qui lui seul pouvait produire. La définition donnée comprend plusieurs éléments qui appellent un examen plus approfondi.

1. création est un acte de Dieu TRINE. L’écriture nous enseigne que Dieu triune est l’auteur de la création, Genèse 1:1; Ésaïe 40: 12; 44: 24; 45:12 et cela lui distingue les idoles, PS. 96:5; Ésaïe 37: 16; Jérémie 10:11, 12. Bien que le père est au premier plan dans le travail de création, j’ai Cor. 8:6, il est également clairement reconnu comme une œuvre du fils et du Saint-Esprit. Participation du fils qu’il est indiquée dans Jean 1:3; I Corinthiens 8:6; 01:15-17 et l’activité de l’esprit qu’il s’exprime dans la Genèse 1:2; Job 26: 13; 33: 4; PS. 104:30; Ésaïe 40: 12, 13. Les deuxième et troisième personnes ne sont pas dépendantes puissances ou simples intermédiaires, mais des auteurs indépendants ainsi que le père. Le travail n’était pas divisé parmi les trois personnes, mais l’ensemble de le œuvre, mais de différents aspects, est attribué à chacune des personnes. Toutes choses sont à la fois de père par le fils et dans l’Esprit Saint. En général on peut dire étant est le père, pensée ou l' idée du fils et la vie hors de l’Esprit Saint. Étant donné que le père prend l’initiative dans le travail de création, c’est souvent lui sont imputables sur le plan économique.

2. création est un acte de Dieu gratuit. Création est parfois représentée comme un acte de Dieu nécessaire plutôt que comme un acte libre, selon sa volonté souveraine. Les vieilles théories d’émanation et leurs homologues modernes, les théories panthéistes, rendre naturellement le monde mais un simple moment dans le processus de divine evolution (Spinoza, Hegel) et donc de considérer le monde comme un acte de Dieu nécessaire. Et la nécessité qu’ils ont à l’esprit n’est pas une nécessité relative résultant du décret divin, mais une nécessité absolue qui découle de la nature même de Dieu, de sa toute-puissance (Origène) ou de son amour (Rothe). Cependant, ce n’est pas une position scripturale. Les seules œuvres de Dieu qui sont intrinsèquement nécessaires avec une nécessité résultant de la nature même de Dieu, sont l' opéra ad intra, les œuvres des personnes distinctes au sein de l’etre divin: génération, filiation et procession. Pour dire que la création est un acte de Dieu nécessaire, est également de déclarer qu’il est juste aussi éternel comme ces œuvres immanentes de Dieu. Quelle que soit la nécessité peut être imputée à de Dieu ad opéra supplémentaire, est une nécessité conditionnée par le décret divin et la constitution qui en résulte des choses. C’est qu'une nécessité dépend de la souveraine volonté de Dieu et par conséquent pas nécessaire dans le sens absolu du mot. La Bible nous enseigne que Dieu a créé toutes choses, selon le Conseil de sa volonté, Éphésiens 01:11; 04:11; et qu’il se suffit à lui-même et qu’il n’est pas tributaire de ses créatures en quelque sorte, Job 22:2, 3; Actes 17:25.

3. LA CRÉATION EST UN ACTE DE DIEU TEMPORELLE.

a. l’enseignement de l’écriture sur ce point. La Bible commence par l’instruction très simple, « au commencement Dieu créé les cieux et la terre, » Genèse 1:1. Alors s’adressait à toutes les catégories de personnes, il emploie le langage ordinaire de la vie quotidienne et non le langage technique de la philosophie. Le terme hébreu bereshith (allumé. « au commencement ») est elle-même indéterminée et naturellement donne lieu à la question, au début de ce qui ? Il semblerait préférable de prendre l’expression dans le sens absolu comme une indication de début de toutes les choses temporelles et même du temps; mais Keil est d’avis qu’il se réfère au début des travaux de création. D’un point de vue technique, il n’est pas correct d’assumer cette époque existait déjà lorsque Dieu créa le monde, et qu’il à un certain moment dans l’époque actuelle, appelé « the beginning » amené l’univers. Temps est seulement une des formes de l’ensemble créé l’existence et donc ne pourrait pas exister avant la création. Pour cette raison, Augustine pensé qu’il serait plus exact de dire que le monde fut créé cum tempore (avec le temps) qu’afin de faire valoir qu’elle a été créée en tempore (en temps). La grande importance de la déclaration d’ouverture de la Bible réside dans son enseignement que le monde a eu un commencement. L’écriture parle de cela commence aussi dans d’autres endroits, Matthieu 19:4, 8; Marque 10; 6; Jean 1:1, 2; Héb. 01:10. Que le monde a eu un commencement est aussi clairement implicite dans ces passages dans le Psaume 90: 2, « Avant que les montagnes ont été enfantées, ou jamais tu eusses formé la terre et dans le monde, même d’éternité en éternité tu es Dieu »; et PS. 102:25, « de l’ancien As tu les fondements de la terre; et les cieux sont l’ouvrage de tes mains. »

b. difficultés qui pèsent cette doctrine. Avant le début, mentionné dans Genèse 1:1, nous devons postuler une éternité sans commencement, au cours de laquelle Dieu a existé seulement. Comment devons nous remplir ces âges vides dans la vie éternelle de Dieu ? Qu’a fait Dieu avant la création du monde ? C’est si loin possible de penser à lui comme un Deus otiosus (un Dieu qui n’est pas actif), qu’il est généralement conçu comme purus actus (action pure). Il est représenté dans l’écriture comme toujours à travailler, John 05:17. Peut-on alors dire qu’il est passé d’un état d’inactivité à l’une des actions ? Par ailleurs, comment est la transition entre un non créatives et un État créatif de se réconcilier avec son immuabilité ? Et s’il avait eu le dessein éternel de créer, pourquoi il pas réaliser à la fois ? Pourquoi A-t-il permis l’éternité entière à s’écouler avant que son plan a été mis à exécution ? En outre, pourquoi il choisir ce moment particulier pour son travail de création ?

c. suggéré des solutions du problème. (1) la théorie de la création éternelle. Selon certains, comme Origène, Scotus Erigina, Rothe, Dorner et Pfleiderer, Dieu a créé de toute éternité, afin que le monde, même si une créature et personne à charge, est encore juste comme éternel comme Dieu lui-même. Cela a été avancé de l’omnipotence, l’intemporalité, l’immutabilité et l’amour de Dieu; mais ni l’un de ces nécessairement impliquer ou impliquer. Cette théorie n’est pas seulement contredite par l’écriture, mais elle est aussi contraire à raison, pour (a) création de toute éternité est une contradiction dans les termes; et (b) l’idée de création éternelle, tel qu’appliqué dans le monde actuel, qui est soumis à la loi du temps, repose sur une identification des temps et l’éternité, alors que ces deux sont fondamentalement différents. (2) la théorie de la subjectivité du temps et l’éternité. Certains philosophes spéculatives, comme Spinoza, Hegel et Green, affirment que la distinction entre temps et l’éternité est purement subjective et en raison de notre position finie. C’est pourquoi ils auraient nous atteindre un plus haut point de vue et envisager les choses sub specie aeternitatis (du point de vue de l’éternité). Ce qui existe pour notre conscience comme un temps de développement, il existe pour la conscience divine comme un tout complet éternellement. Mais cette théorie est contredite par l’écriture tout autant que le précédent one, Genèse 1:1; Psaume 90: 2; 102:25; John 1:3. De plus, les réalités objectives se transforme en formes subjectifs de la conscience et toute l’histoire se réduit à une illusion. Après tout, le déroulement du temps est une réalité; Il y a une succession dans notre vie consciente et dans la vie de la nature autour de nous. Ce qui s’est passé hier n’est pas les choses qui sont passent aujourd'hui. [Cf. Orr, Christian vue de Dieu et du monde, p. 130.]

d. Direction dans laquelle la solution doit être recherchée. En relation avec le problème à l’étude, Dr Orr dit correctement, « la solution doit se situer à obtenir une bonne idée de la relation de l’éternité à temps. » Il ajoute que, comme il peut le voir, on n'est pas encore satisfaisante parvenu. Une grande partie de la difficulté rencontrée ici est sans doute dû au fait que nous pensons de l’éternité trop comme une prorogation indéfinie du temps, comme, par exemple, quand nous parlons de l’âge de l’inaction comparative en Dieu avant la création du monde. L’éternité de Dieu n’est pas indéfiniment prolongée fois, mais quelque chose de fondamentalement différents, dont nous ne pouvons former aucune conception. C’est une existence hors du temps, une présence éternelle. La marmotte des Rocheuses passé et un avenir plus lointain sont tous deux présents à lui. Il agit dans toutes ses œuvres, et donc aussi dans la création, comme l’Éternel l’un et nous n’avons aucun le droit de dessiner création comme un acte de Dieu dans la sphère temporelle. Dans un certain sens, cela peut être appelé une loi éternelle, mais seulement dans le sens dans lequel tous les actes de Dieu sont éternels. Ils sont tous comme cas de force majeure, les travaux qui sont effectués dans l’éternité. Cependant, il n’est pas éternel dans le même sens que la génération du fils, c’est un acte de Dieu immanent dans le sens absolu du terme, alors que résultats de création dans une existence temporelle et termine donc dans le temps. [Bavinck, Geref. Dogme. II, p. 452.] Théologiens généralement faire la distinction entre active et passive de la création, la création ancienne attestation comme un acte de Dieu et le second, son résultat, le monde est en cours de création. La première n’est pas, mais ce dernier est, marqué par la succession temporelle, et cette succession temporelle correspond à l’ordre défini dans le décret de Dieu. Quant à l’objection qu’une création dans le temps implique un changement de Dieu, Wollebius remarques que « création n’est pas le créateur mais le passage de la créature de potentialité d’actualité. » [Cité par Warfield, Calvin et le calvinisme, p. 294.]

4. CRÉATION COMME UN ACTE PAR LEQUEL QUELQUE CHOSE EST SORTI DE RIEN.

a. la doctrine de la création est absolument unique. Il y a eu beaucoup de spéculations sur l’origine du monde, et plusieurs théories ont été proposées. Certains déclarés au monde à être éternelle, tandis que d’autres ont vu en elle le produit d’un esprit antagoniste (gnostiques). Certains maintient qu’elle a été faite dans la matière préexistante dont Dieu a travaillé vers le haut en forme (Platon); d’autres détenus qu’il provenait de l’émanation de la substance divine (syrien gnostiques, Swedenborg); et encore d’autres considéraient comme l’apparence phénoménale de l’absolu, le motif caché de toutes choses (panthéisme). En opposition à toutes ces spéculations vaines des hommes la doctrine de l’écriture se distingue dans la sublimité grande: « au commencement Dieu a créé les cieux et la terre. »

b. les termes mentionnés dans les écritures pour «créer. » Dans le récit de la création, comme l’a indiqué dans ce qui précède, trois verbes sont utilisés, à savoir, bara«, »asahet yatsaret ils sont utilisés indifféremment dans les Ecritures, 01:26, 27; 2:7. le premier mot est le plus important. Son sens originel est de diviser, couper, diviser; mais en plus de cela, cela signifie aussi à la mode, de créeret dans un plus dérivés sens pour produire, à généreret à se régénérer. Le mot lui-même n’implique pas l’idée d’enfanter quelque chose de rien, car il sert même de œuvres de la providence, Ésaïe 45: 7; Jérémie 31:22; Amos 04:13. Pourtant, il a un caractère distinctif: il est toujours utilisé de divin et jamais de production humaine; et il n’a jamais un accusatif de matériel et pour qui la raison sert à souligner la grandeur de le œuvre de Dieu. Le mot 'asah est plus général, sens de faire ou de faireet est donc utilisé dans le sens général de faire, faire, fabricationou structuration de. mot yatsar a, plus spécifiquement, le sens de la structuration d’hors pré-matériaux existantset est donc utilisé des navires de façonnage de potier d’argile. Les mots du Nouveau Testament sont ktizein, Marc 13:19, poiein, Matthieu 19:4; themelioun, Héb. 01:10, katartizein, Rom. 09:22, kataskeuazein, Héb. 3:4 et plassein, Rom. 09:20. Aucun de ces mots en eux-mêmes expriment l’idée de création à partir de rien.

c. signification de l’expression «création à partir de rien. » L’expression « créer ou produisez à partir de rien » ne se trouve pas dans l’écriture. Il est dérivé de l’un des apocryphes, à savoir, II. MACC. 07:28. L’expression ex nihilo a été mal interprété tant critiqué. Certains même considéré le mot nihilum (rien) que la désignation d’un certain sujet, dont le monde a été créé, une question sans qualités et sans forme. Mais c’est trop puérile pour être digne d’un examen sérieux. D’autres ont pris l’expression « pour créer à partir de rien » pour signifier que le monde a vu le jour sans une cause et a procédé à critiquer comme entrer en conflit avec ce qui est généralement considéré comme une vérité axiomatique, ex nihilo nihil fit (à partir de rien vient rien). Mais cette critique n’est pas tout à fait justifiée. Pour dire que Dieu a créé le monde du néant n’est pas équivalent à dire que le monde a vu le jour sans une cause. Dieu lui-même ou, plus précisément, la volonté de Dieu est la cause du monde. Martensen s’exprime en ces termes: « le rien dont Dieu a crée le monde sont les possibilités éternelles de sa volonté, qui constituent les sources de toutes les actualités du monde ». [Christian dogmatique, p. 116.] Si l’expression latine «ex nihilo nihil fit», on entend qu’aucun effet ne peut être sans cause, sa vérité peut être admise, mais elle ne peut pas être considérée comme une objection valable contre la doctrine de la création à partir de rien. Mais si il être interprétées comme exprimant l’idée que rien ne peut provenir, à l’exception des matières existantes, il certainement ne peut pas être considérée comme une lapalissade. Ensuite, c’est plutôt une hypothèse purement arbitraire qui, comme Shedd souligne, n’est pas encore titulaire véritable des pensées de l’homme et des volitions, qui sont ex nihilo. [Dogme. Théol. I, p. 467.] Mais même si la phrase exprime une vérité d’expérience commune que les œuvres humaines sont concernées, cela ne veut pas-encore prouver sa vérité en ce qui concerne les travaux de la toute-puissance de Dieu. Toutefois, compte tenu du fait que l’expression « création à partir de rien » est passible d’incompréhension et a souvent été mal comprise, il est préférable de parler de création sans utiliser de matériel préexistant.

d. base biblique pour la doctrine de la création à partir de rien. Genèse 1:1 enregistre le début des travaux de création, et certainement ne représente pas Dieu comme le monde de suite hors matériel préexistant. C’était la création du néant, création au sens strict du mot, et par conséquent la seule partie de le œuvre enregistrée dans Genèse 1, auxquels s’appliquent le terme Calvin. Mais même dans le reste du chapitre Dieu est représenté comme appelant toutes choses par la parole de sa puissance, par une simple fiat divin. La même vérité est enseignée dans ces passages comme PS. 33: 6, 9 et 148:5. Le passage du plus fort est Hébreux 11:3, « par la foi, que nous comprenons que les mondes ont été encadrées par la parole de Dieu, afin que ce que l'on voit n’a pas été fait de choses qui apparaissent ». Création est ici représentée comme un fait qui nous appréhender seulement par la foi. Par la foi, nous comprenons (percevoir, ne comprendre pas) que le monde a été encadré ou façonné par la parole de Dieu, c'est-à-dire la parole de la puissance de Dieu, la fiat divine, afin que les choses que l'on voit, les choses visibles de ce monde, n’ont pas été faites des choses qui apparaissent , qui sont visibles, et qui sont vus au moins occasionnellement. Selon ce passage le monde a été fait certainement pas hors de tout ce qui est palpable pour les sens. Un autre passage qui peut être cité à cet égard est Romains 4:7, qui parle de Dieu, « qui vivifie les morts et appelle ces choses qui ne peut être qu’ils étaient » (Moffatt: « qui fait les morts vivants et appels en cours ce qui n’existe pas »). L’Apôtre, il est vrai, ne parle pas de la création du monde à cet égard, mais de l’espérance d’Abraham qu’il aurait un fils. Toutefois, la description donnée ici de Dieu est générale et est donc également d’une application générale. Il appartient à la nature même de Dieu qu’il est en mesure d’appeler ce qui n’existe pas, et il remet donc en être.

5. LA CRÉATION DONNE AU MONDE UNE EXISTENCE DISTINCTE, MAIS TOUJOURS DÉPENDANTE.

a. le monde a une existence distincte. Cela signifie que le monde n’est pas Dieu, ni n’importe quelle partie de Dieu, mais quelque chose d’absolument distincte de Dieu; et qu’il diffère de Dieu, ne consiste pas seulement en degré, mais de ses propriétés essentielles. La doctrine de la création implique que, même si Dieu est lui-même et autosuffisant, infini et éternel, le monde est dépendant, finis et temporelle. L’un ne peut jamais changer dans l’autre. Cette doctrine est une barrière absolue contre l’idée ancienne d’émanation, ainsi que contre toutes les théories panthéistes. L’univers n’est pas la forme-existence de Dieu ni l’apparence phénoménale de l’absolu; et Dieu n’est pas simplement la vie, ou âme ou la loi interne du monde, mais il jouit de sa propre vie éternellement complète au-dessus du monde, dans une indépendance absolue de celui-ci. Il est le Dieu transcendant, glorieux dans la sainteté, craintive en louanges, fait des merveilles. Cette doctrine est pris en charge par les passages de l’écriture dont (1) témoignent de l’existence distincte du monde, Ésaïe 42:5; Actes 17:24; (2) parlent de l’immutabilité de Dieu, PS. 102:27; Malachie 3:6; Jacques 01:17; (3) établir une comparaison entre Dieu et la créature, le Psaume 90: 2; 102:25-27; 103:15-17; Ésaïe 02:21; 22:17, etc..; et (4) parle du monde comme se trouvant dans le péché ou pécheur, Rom. 01:18-32; I Jean 02:15-17, etc..

b. le monde est toujours tributaire de Dieu. Alors que Dieu a donné au monde une existence distincte de la sienne propre, n’a pas retiré du monde après sa création, il est resté dans le lien plus intime avec elle. L’univers n’est pas comme une horloge qui a été liquidée par Dieu et est maintenant autorisée à ruisseler sans aucune intervention divine plus loin. Cette conception déiste de la création n’est ni biblique, ni scientifique. Dieu n’est pas seulement le Dieu transcendant, infiniment exalté au-dessus de toutes ses créatures; Il est aussi le Dieu immanent, qui est présent dans toutes les parties de sa création, et dont l’esprit est opérationnel dans le monde entier. Il est essentiellementet non pas simplement par potentiam, présent dans toutes ses créatures, mais il n’est pas présent dans chacun d'entre eux de la même manière. Son immanence ne doit pas être interprété comme une extension illimitée dans l’ensemble de tous les espaces de l’univers, ni comme une présence partitive, pour qu’il soit en partie et en partie de là. Dieu est esprit, et juste parce qu’il est esprit, il est partout présente dans son ensemble. Il est censé remplir ciel et terre, PS. 139:7-10; Jérémie 23:24, pour constituer le domaine dans lequel nous vivons et déplacer et l’être, actes 17:28, en vue de renouveler la surface de la terre par son esprit, PS. 104:30, pour demeurer en ceux qui sont d’un cœur brisé, PS. 51:11; Ésaïe 57.15 et dans l’église comme son temple, I Cor. 03:16; 06:19; EP 02:22. Transcendance et l’immanence trouvent son expression dans un seul passage de l’écriture, à savoir, Éphésiens 4:6, où l’Apôtre dit que nous avons « un seul Dieu et père de tous, qui est au-dessus de toutet à travers touset en tout. » La théorie de l’immanence divine a été étendue à la point du panthéisme dans une grande partie de la théologie moderne. Le monde et surtout l’homme, était considéré comme la manifestation phénoménale de Dieu. À l’heure actuelle, il y a une forte réaction à ce poste dans le soi-disant « théologie de crise ». On pense parfois que cette théologie, qui met l’accent sur la « infinie différence qualitative » entre le temps et l’éternité, Dieu comme le « totalement autre » et le Dieu caché et sur la distance entre Dieu et l’homme, exclut naturellement l’immanence de Dieu. Brunner nous donne l’assurance, cependant, que ce n’est pas ainsi. Il a dit, « beaucoup de bêtises a parlé la « théologie barthienne » avoir perception uniquement pour la transcendance de Dieu, et non pour son immanence. Comme si nous aussi ne étions pas conscients du fait que Dieu le créateur soutient toutes choses par son pouvoir, qu’il a mis le cachet de sa divinité sur le monde et a créé l’homme à son image. » [Le mot et dans le monde, p. 7.] Et Barth dit, « étaient morts Dieu lui-même s’il bougeait son monde qu’à partir de l’extérieur, s’il était une « chose en soi » et pas celui de tous, le créateur de toutes choses visibles et invisibles, le commencement et la fin. » [La parole de Dieu et la parole de l’homme, p. 291.] Ces hommes s’opposent à la conception moderne panthéiste de l’immanence divine et aussi l’idée que, en vertu de cette immanence, le monde est une révélation lumineuse de Dieu.

6. la fin définitive de Dieu dans la création. La question de la fin définitive de Dieu dans le travail de création a souvent été débattue. Au cours de l’histoire, la question a reçu notamment une réponse binaire.

a. le bonheur de l’homme ou de l’humanité. Quelques-uns des philosophes antérieurs, tels que Platon, Philon et Seneca, a affirmé que la bonté de Dieu l’a incité à créer le monde. Il voulait communiquer lui-même à ses créatures; leur bonheur était la fin, qu'il avait en vue. Bien que certains théologiens chrétiens sonné avec cette idée, il se développa en particulier par le biais de l’humanisme de la période de la réformation et le rationalisme du XVIIIème siècle. Cette théorie a été souvent présentée de manière très superficielle. La meilleure forme dans lequel il est dit est à l’effet que Dieu ne pouvait pas se faire la fin de la création, parce qu’il se suffit à lui-même et que vous pourriez avoir besoin de rien. Et si il ne pouvait formuler lui-même la fin, puis cela se trouvent seulement dans la créature, surtout dans l’homme et en fin de compte dans son bonheur suprême. La vue téléologique par laquelle le bien-être ou le bonheur de l’homme ou de l’humanité est a la fin de la création, était caractéristique de la pensée de ces hommes influents comme Kant, Schleiermacher et Ritschl, bien qu’ils n’a pas toutes présenté de la même manière. Mais cette théorie ne satisfait pas pour plusieurs raisons: (1) bien que Dieu révèle sans aucun doute sa bonté en création, il n’est pas correct de dire que sa bonté ou l’amour ne pouvait pas s’exprimer, s’il n’y a pas de monde. Les relations personnelles au sein du Dieu triune fourni tout ce qui était nécessaire pour une vie pleine et éternelle de l’amour. (2) il semblerait parfaitement évident que Dieu n’existe pas pour le bien de l’homme, mais l’homme pour l’amour de Dieu. Dieu seul est créateur et suprême bon, tandis que l’homme n’est qu’une créature, qui, pour cette raison, ne peut pas être la fin de la création. Le temporel trouve sa fin dans l’Éternel, l’homme à la volonté divine et pas vice versa. (3) la théorie ne tient pas les faits. Il est impossible de subordonner tout ce qui se trouve dans la création à cette fin et d’expliquer tout en ce qui concerne le bonheur humain. C’est parfaitement évident de l’examen de toutes les souffrances que l'on retrouve dans le monde.

b. la gloire déclarative de Dieu. L’église de Jésus Christ a trouvé la véritable fin de la création, pas dans quoi que ce soit en dehors de Dieu, mais Dieu lui-même, plus particulièrement dans la manifestation extérieure de son excellence inhérente. Cela ne signifie pas que la gloire de recevoir de Dieu des autres est la fin. La réception de la gloire à travers les louanges de ses créatures morales, est un terme inclus dans la fin suprême, mais n’est pas lui-même qui se terminent. Dieu n’a pas créé d’abord de recevoir la gloire, mais de rendre sa gloire existant et manifeste. Les glorieuses perfections de Dieu sont manifestent dans sa création tout entière; et cette manifestation n’est pas prévue comme un spectacle vide, une simple exposition d’être admiré par les créatures, mais vise également à promouvoir leur bien-être et le bonheur parfait. En outre, il cherche à s’harmoniser leur cœur à la gloire du créateur et afin d’obtenir de leur âme, l’expression de leur gratitude et amour et d’adoration. La fin suprême de Dieu dans la création, la manifestation de sa gloire, comprend donc, comme subordonnés se termine, le bonheur et le salut de ses créatures et la réception de la louange des coeurs reconnaissants et adorant. Cette doctrine est pris en charge par les considérations suivantes: (1) il est basé sur le témoignage des écritures, Ésaïe 43:7; 60:21; 61:3; Ézéchiel 36:21, 22; 39:7; Luc 02:14; ROM. 09:17; 11:36; I Corinthiens 15:28; Éphésiens 1:5, 6, 9, 12, 14; 3:9, 10; 01:16. (2) le Dieu infini choisirais presque tout, mais le haut de gamme dans la création, et cette fin pourrait seulement se trouve en lui-même. Si des nations entières, contre lui, mais comme une goutte dans un seau et comme la petite poussière de l’équilibre, alors, sûrement, sa gloire déclarative est intrinsèquement de valeur beaucoup plus grande que le bien de ses créatures, Ésaïe 40:15, 16. (3) la gloire de Dieu est la seule fin qui est conforme à son indépendance et sa souveraineté. Tout le monde est tributaire de quiconque, ou que ce soit, il fait sa fin ultime. Si Dieu choisit quoi que ce soit dans la créature comme sa fin définitive, cela ferait de lui dépendent de la créature à cet égard. (4) aucune autre extrémité ne serait suffisamment étendue pour être la vraie fin de Dieu toutes les façons et travaille à la création. Il a l’avantage de comprenant, de subordination, plusieurs autres extrémités. (5) c’est la seule fin qui est réellement et parfaitement atteint dans l’univers. Nous ne pouvons pas imaginer qu’un Dieu sage et omnipotent choisirait fin destinée à échouer en tout ou en partie, de l’emploi 23:13. Pourtant, bon nombre de ses créatures jamais atteint au bonheur parfait.

c. des Objections à la théorie que la gloire de Dieu est la fin de la création. Ce qui suit est les plus importants d'entre eux: (1), il rend le schéma de l’univers un régime égoïste. Mais nous devons distinguer entre égoïsme et amour-propre raisonnable ou amour-propre. Le premier est un soin excessif ou exclusif pour son propre confort ou pour le plaisir, quel que soit le bonheur ou les droits d’autrui; ce dernier est une diligence pour son bonheur et le bien-être, qui est parfaitement compatible avec la justice, de générosité et de bienveillance envers les autres. En cherchant l’expression de soi pour la gloire de son nom, Dieu n’a pas méconnu le bien-être, le plus grand bien des autres, mais il fait la promotion. En outre, cette objection attire le Dieu infini jusqu’au niveau des finis et même pécheresse de l’homme et lui les juges par les normes de l’homme, qui n’est pas tout à fait justifiée. Dieu n’a pas d’égal, et personne ne peut affirmer tout droit comme vis-à-vis de lui. En formulant sa gloire déclarative la fin de la création, il a choisi le haut de gamme; mais quand l’homme met à la fin de toutes ses œuvres, il n’est pas choisir le haut de gamme. Il s’élèverait à un niveau supérieur, s’il a choisi le bien-être de l’humanité et la gloire de Dieu comme la fin de sa vie. Enfin, cette objection faite surtout compte tenu du fait que le monde est plein de souffrances, et que certaines des créatures rationnelles de Dieu sont vouées à la destruction éternelle. Mais ce n’est pas due à le œuvre créatrice de Dieu, mais vers le péché de l’homme, qui a contrecarré le œuvre de Dieu dans la création. Le fait que l’homme subit les conséquences du péché et l’insurrection ne garantit pas n’importe qui en accuser Dieu d’égoïsme. On pourrait ainsi accusent le gouvernement d’égoïsme pour défendre sa dignité et la majesté de la loi contre tous les transgresseurs délibérées. Auto-suffisance et à l’indépendance. (2) il est contraire à Dieu En cherchant son honneur de cette manière, Dieu montre qu’il a besoin de la créature. Le monde est créé à glorifier Dieu, c'est-à-dire, d’ajouter à sa gloire. Evidemment, ensuite, sa perfection est désireux à certains égards; le travail de création répond à un besoin et contribue à la perfection divine. Mais cette représentation n’est pas correcte. Le fait que Dieu a créé le monde pour sa propre gloire ne signifie pas qu’il avait besoin du monde. Elle ne détient pas universellement chez les hommes, que le travail qu’ils n’effectuent pas pour d’autres, est nécessaire de fournir un manque. Cela peut tenir dans le cas de l’ouvrier commun, qui travaille pour son pain quotidien, mais n’est guère le cas de l’artiste, qui fait suite à l’impulsion spontanée de son génie. De la même manière, il y a un bon plaisir de Dieu, exalté au-dessus de besoin et de la contrainte, qui artistiquement incarne ses pensées en création et trouve plaisir en eux. En outre, il n’est pas vrai que, quand Dieu a fait sa gloire déclarative la fin définitive de la création, il vise principalement à recevoir quelque chose. La fin suprême qu’il avait en vue, n’était ne pas à recevoir la gloire, mais de manifester sa gloire inhérente dans les œuvres de ses mains. Il est vrai que, ce faisant, il causerait également les cieux déclarer sa gloire et le firmament pour montrer son œuvre, les oiseaux du ciel et les bêtes des champs pour un agrandissement de lui et les enfants des hommes pour chanter ses louanges. Mais, en glorifiant le créateur les créatures n’ajoutent rien à la perfection de son être, mais seulement reconnaissent sa grandeur et rendez lui la gloire qui est due à lui.

D. divergentes théories concernant l’origine du monde.

La doctrine biblique n’est pas la seule vue concernant l’origine du monde. Trois théories alternatives, qui ont été suggérées, méritent une attention brève à ce stade.

1. la théorie DUALISTE. Le dualisme n’est pas toujours présenté sous la même forme, mais dans sa forme la plus habituelle pose deux principes de lui-même, Dieu et la matière, qui se distinguent et co-éternel avec l’autre. Cependant, la matière originelle, est considéré comme mais une substance négative et l’imparfait (parfois considérée comme le mal), qui est subordonné à Dieu et est pour faire l’instrument de son testament (Platon, Aristote, les gnostiques, les manichéens). Selon cette théorie Dieu n’est pas le créateur, mais seulement l’encadreur et artificier du monde. Cette opinion est inadmissible pour plusieurs raisons. (a) il ne va pas dans son idée fondamentale qu’il doit y avoir eu quelque substance, dont le monde a été créé dès ex nihilo nihil fit. Cette maxime est vraie seulement comme une expression de l’idée qu’aucun événement ne se déroule sans cause, et est false si il veut affirmer que rien ne peut jamais se faire qu’à partir de matériaux préexistant. La doctrine de la création ne dispense pas une cause, mais considère que la cause tout-suffisant du monde dans la souveraine volonté de Dieu. (b) sa représentation sous forme de matière comme Eternelle est fondamentalement boiteuse. Si la matière est éternelle, il doit être infinie car il ne peut pas être infinie en sens unique (durée) et finis à d’autres égards. Mais il est impossible que deux infinités ou absolus devraient exister côte à côte. L’absolu et le relatif peuvent exister simultanément, mais il peut y avoir qu’un seul absolu et lui-même étant. (c) il est unphilosophical pour postuler a deux substances éternelles, lorsqu’une cause de lui-même est parfaitement adéquate tenir compte de tous les faits. Pour cette raison que la philosophie n’est pas reste convaincu avec une explication dualiste du monde, mais cherche à donner une interprétation moniste de l’univers. d si la théorie suppose — comme il le fait dans certaines de ses formes — l’existence d’un principe éternel du mal, là y a absolument aucune garantie que le bien triomphera sur le mal dans le monde. Il semblerait que ce qui est éternellement nécessaire est tenu de maintenir lui-même et ne peut jamais descendre.

2. la théorie de l’émanation sous diverses formes. Cette théorie est à l’effet que le monde est une émanation nécessaire hors de l’etre divin. Selon lui Dieu et le monde sont essentiellement un, cette dernière étant la manifestation phénoménale de l’ancien. L’idée d’émanation est caractéristique de toutes les théories panthéistes, bien qu’il n’est pas toujours représenté de la même manière. Ici, encore une fois, nous pouvons enregistrer plusieurs objections. a ce point de vue de l’origine du monde nie pratiquement l’infini et la transcendance de Dieu en lui appliquant un principe d’évolution, de croissance et de progrès qui caractérisent seulement le fini et imparfait; et en identifiant les lui et dans le monde. Les objets visibles devenus ainsi mais modifications fugaces d’une essence auto-existant, inconsciente et impersonnelle, qui peut être appelé Dieu, Nature ou l’absolu. (b) il vole Dieu de sa souveraineté en dépouillant lui de son pouvoir d’autodétermination par rapport au monde. Il est réduit au sol caché d'où les créatures nécessairement émanent, et qui détermine leur mouvement par une nécessité inflexible de la nature. Dans le même temps, elle prive toutes les créatures rationnelles de leur indépendance relative et de leur liberté, leur moralité. (c) il compromet aussi la sainteté de Dieu d’une manière très sérieuse. Il rend Dieu responsable de tout ce qui se passe dans le monde, pour le mal, aussi bien en ce qui concerne le bien. C’est, bien sûr, une conséquence très grave de la théorie, d'où panthéistes n’ont jamais été en mesure de s’échapper.

3. la théorie de l’évolution. La théorie de l’évolution est parfois parlée comme si elle pouvait être un substitut à la doctrine de la création. Mais c’est clairement une erreur. Il peut certainement pas être un substitut pour la création dans le sens de l’origine absolue, puisqu’elle suppose quelque chose qui évolue, et ceci doit en dernier ressort être éternelle ou créées, afin que, après tout, l’évolutionniste doit choisir entre la théorie de la éternité de la matière et la doctrine de la création. Au mieux, il pourrait éventuellement servir comme un substitut à ce qu’on appelle création secondaire, par lequel la substance déjà en existence est donnée une forme définie. certains évolutionnistes, comme, par exemple, Haeckel, croient en l’éternité de la matière et attribue l’origine de la vie à la génération spontanée. Mais la croyance en l’éternité de la matière est non seulement décidément non-chrétiens et même athées; Il est aussi généralement discrédité. L’idée qui comptent, avec force comme sa propriété universelle et inséparable, est tout à fait suffisante pour l’explication du monde, conclut la petite faveur aujourd'hui dans les milieux scientifiques. Il est estimé qu’un univers matériel, composé de pièces finies (atomes, électrons et ainsi de suite) ne peut elle-même être infini; et que ce qui est sujette à changement constant ne peut pas être éternel. En outre, il est devenu plus en plus évident que matière aveugle et de force ou d’énergie ne peut expliquer la vie et la personnalité, d’intelligence et le libre arbitre. Et l’idée de génération spontanée est une pure hypothèse, non seulement non vérifiées, mais pratiquement a explosé. La loi générale de la nature semble être «omne vivum e vivo» ou «ex vivo». (b) autres évolutionnistes préconisent ce qu’ils appellent l’évolution théiste. Ceci postule l’existence de Dieu, l’arrière de l’univers, qui travaille dans ce document, en règle selon les lois immuables de la nature et par les forces physiques seulement, mais dans certains cas par une intervention miraculeuse directe, comme, par exemple, dans le cas du commencement absolu , le début de la vie et le début de l’existence rationnel et moral. Cela a souvent été appelé par dérision une théorie « bouche-trou ». C’est vraiment un enfant d’embarras, qui appelle Dieu à intervalles réguliers pour aider la nature sur les abîmes que bâillement à ses pieds. Il n’est ni la doctrine biblique de la création, ni une théorie cohérente de l’évolution, de l’évolution est définie comme « une série de progressive graduelle modifications effectuées au moyen de forces résidents» (Le Conte). En fait, l’évolution théiste est une contradiction dans les termes. Il est tout aussi destructrice de la foi dans la doctrine biblique de la création comme évolution naturaliste; et en appelant à maintes reprises dans l’activité créatrice de Dieu, il annule également l’hypothèse évolutionniste. Outre ces deux points de vue, nous pouvons aussi mentionner évolution créatrice de Bergson et évolution émergente de C. Lloyd Morgan. Le premier est un panthéiste vitaliste, dont la théorie implique la négation de la personnalité de Dieu; et en fin de compte ce dernier parvient à la conclusion qu’il ne peut pas expliquer son soi-disant emergents sans poser quelque facteur ultime qui pourrait être appelé « Dieu ».

 

IV. création du monde spirituel

A. la Doctrine des anges dans l’histoire.

Il y a des preuves claires de la croyance en l’existence des anges dès le début de l’ère chrétienne. Certains d'entre eux étaient considérés comme bonne et d’autres comme mal. Les premiers ont été tenues en haute estime en tant qu’êtres personnels d’un noble ordre, doté de la liberté morale, affecté au service joyeux de Dieu et employé par Dieu au ministre pour le bien-être des hommes. Selon certains des premiers pères de l’église, ils ont eu beau corps éthérés. La conviction générale était que tous les anges ont été créés bons, mais que certains abusé de leur liberté et s’éloigne de Dieu. Satan, qui était à l’origine un ange de rang éminent, était considéré comme leur chef. La cause de sa chute se trouvait dans la fierté et l’ambition pécheresse, tandis que la chute de ses subordonnés a été attribuée à leur convoitant les filles des hommes. Cette opinion était fondée sur ce qui était alors l’interprétation commune de Genèse 6:2. Aux côtés de l’idée générale que les bons anges exerça son ministère à des besoins et du bien-être des croyants, la notion spécifique d’anges gardien pour les églises individuelles et les hommes individuels a été vénérée par certains. Calamités de toutes sortes, tels que les maladies, les accidents et les pertes, ont été fréquemment attribuées à l’influence néfaste des mauvais esprits. L’idée d’une hiérarchie des anges a déjà fait son apparition (Clément d’Alexandrie), mais il a été jugé non approprié à l’adoration des anges.

Comme le temps passait les anges ont continué à être considérés comme des esprits bienheureux, supérieurs aux hommes en connaissance et sans l’engagement des corps matériels bruts. Alors que certains encore attribuée aux fines corps éthérés, il y avait une incertitude croissante quant à si elles ont des organes à tous. Eux qui s’accrochait encore à l’idée qu’ils étaient corporels a fait ça, ce qu’il paraît, dans l’intérêt de la vérité qu’ils ont fait l’objet de limitations spatiales. Denys l’Aréopagite divisé les anges en trois classes: la première classe composée de trônes, les chérubins et les séraphins; le second, de Mights, Dominions et pouvoirs; et la troisième, de principautés, archanges et anges. La première classe est représentée comme jouissant de la plus proche communion avec Dieu; la seconde, comme étant éclairé par le premier; et le troisième, comme étant éclairé par le second. Cette classification a été adoptée par plusieurs auteurs postérieurs. Augustine a insisté sur le fait que les bons anges ont été récompensés pour leur obéissance par le don de la persévérance, qui comportait l’assurance qu’ils ne tomberait jamais. Pride était encore considéré comme la cause de la chute de Satan, mais l’idée que le reste des anges est tombé à la suite de leur convoitant les filles des hommes, bien que toujours soutenu par certains, a été peu à peu disparaître sous l’influence d’une exégèse mieux de Genèse 6:2. Une influence bienfaisante a été attribuée aux anges non déchus, tandis que les anges déchus ont été considérées comme corrompre le cœur des hommes, comme stimulant pour hérésie. et comme engendrant des maladies et des catastrophes. Les tendances polythéistes d’un grand nombre des convertis au christianisme favorisé une inclination à l’adoration des anges. Ce culte a été formellement condamné par un Conseil réuni à Laodicée au IVe siècle.

Durant le moyen-âge il y avait encore quelques qui avaient tendance à supposer que les anges ont un corps éthéré, mais l’opinion dominante était qu’ils étaient incorporels. Les apparitions angéliques ont été expliquées par supposer que dans de tels cas Anges adopté des formes corporelles temporelles fins révélatrice. Plusieurs points ont été en débat parmi les scolastiques. Quant au moment de la création des anges, l’opinion dominante est qu’ils ont été créés en même temps que l’univers matériel. Alors que certains détenus que les anges ont été créés dans l’état de grâce, la plus commune opinion était qu’elles ont été créées dans un état de perfection naturelle seulement. Il y avait peu de différence d’opinion sur la question, si les anges peuvent affirmer être à un endroit. La réponse commune à cette question a été positive, même si on a fait observer que leur présence dans l’espace n’est pas circumscriptive mais définitif, étant donné que seules les instances peuvent être dans l’espace circumscriptively. Alors que tous les scolastiques ont convenu que la connaissance des anges est limitée, les thomistes et Scotists différaient considérablement respectant la nature de ces connaissances. Il a été admis par tout ce que les anges ont reçu infusée connaissance au moment de leur création, mais Thomas Aquinas a refusé, alors que Duns Scot a affirmé, qu’ils pourraient acquérir de nouvelles connaissances par le biais de leur propre activité intellectuelle. Le premier lieu que la connaissance des anges est purement intuitive, mais ce dernier a affirmé qu’il pourrait également être discursif. L’idée des anges gardiens trouvé faveur considérable durant le moyen-âge.

La période de la réforme a apporté rien de nouveau concernant la doctrine des anges. Luther et Calvin avaient une conception vive de leur ministère et en particulier de la présence et la puissance de Satan. Ce dernier insiste sur le fait qu’il est sous contrôle divin, et que, bien qu’il soit parfois l’instrument de Dieu, il ne peut fonctionner que dans les limites prescrites. Théologiens protestants généralement considéré les anges comme des êtres spirituels purs, si Zanchius et Grotius toujours parlent d’eux comme ayant le corps éthérés. Quant aux travaux des bons anges, l’opinion générale était que c’est leur tâche spéciale à la ministre aux héritiers du Salut. Il n’y avait aucun accord général, cependant, concernant l’existence des anges gardiens. Certains ont favorisé ce point de vue, d’autres s’y opposent, et encore d’autres ont refusé de s’engager sur ce point. Notre Confessio Belgica dit dans l’Article XII, qui traite de la création: « il a également créé les anges bon, d’être ses messagers et de servir ses élus: certains d'entre eux sont tombés de cette excellence, dans lequel Dieu créa, en perdition éternelle; et les autres ont, par la grâce de Dieu, est resté inébranlable et continue dans leur état primitif. Les démons et mauvais esprits sont dépravés alors qu’ils sont ennemis de Dieu et toute bonne chose au maximum de leur puissance, comme des meurtriers, je regarde à la ruine de l’église et tous ses membres et par leurs stratagèmes méchants de détruire tout; et sont donc, par leur propre méchanceté, jugée à la damnation éternelle, attend tous les jours leurs tourments horribles. »

Jusqu'à présent que catholiques romains généralement considéré les anges comme de purs esprits, tandis que certains Protestants, comme Emmons, Ebrard, Kurtz, Delitzsch et d’autres, toujours attribuer leur une sorte particulière d’organes. Mais même la grande majorité de ces derniers prendre le contre-pied. Swedenborg soutient que tous les anges étaient à l’origine des hommes et qu’il existent dans une forme corporelle. Leur position dans l’univers Angélique dépend de leur vie dans ce monde. XVIIIe siècle rationalisme hardiment a nié l’existence des anges et expliqué ce que la Bible enseigne sur eux comme une espèce de l’habitation. Certains théologiens libéraux modernes considèrent qu’il est utile de conserver l’idée fondamentale exprimée dans la doctrine des anges. Ils trouvent une représentation symbolique des soins protecteurs et la volonté de Dieu.

B. l’Existence des anges.

Toutes les religions reconnaissent l’existence d’un monde spirituel. Leurs mythologies parlent de dieux, demi-dieux, esprits, démons, genii, heroes et ainsi de suite. C’est surtout chez les Perses que la doctrine des anges a été développée, et beaucoup d’érudits critiques affirme que les Juifs dérivé leur angélologie les Perses. Mais c’est un non prouvées et, pour dire la moins, de la théorie très douteuse. Il ne peut certainement être harmonisé avec la parole de Dieu, dans lequel les anges apparaissent dès le début. En outre, certains grands érudits, qui a fait une étude spéciale du sujet, est venu à la conclusion que l’angélologie persan a été tirée de ce courant chez les Hébreux. The Christian Church a toujours cru en l’existence des anges, mais dans la théologie libérale moderne cette croyance a été abandonnée, mais il considère toujours l’ange-idée utile, puisqu’il imprime sur nous » la puissance de la vie de Dieu dans l’histoire de la rédemption, son providentia specialissima pour son peuple, surtout pour les « petits ». » [Foster, le christianisme et son Expression moderne, p. 114.] Bien que des hommes tels que Leibniz et Wolff, Kant et Schleiermacher, admis la possibilité de l’existence d’un univers Angélique, et certains d'entre eux a même essayé de prouver en argumentation rationnelle, il est évident que la philosophie ne peut ni prouver ni réfuter la existence des anges. De la philosophie, c’est pourquoi, nous passons à l’écriture, qui ne fait aucune tentative délibérée de prouver l’existence des anges, mais assume cela tout au long et dans ses livres historiques nous montre à plusieurs reprises les anges en action. Pas celui qui s’incline devant l’autorité de la parole de Dieu peut douter de l’existence des anges.

C. la Nature des anges.

Cette rubrique de plusieurs points nécessitent une attention.

1. DISTINCTION de Dieu il est créé des êtres. La création des anges a parfois été refusée, mais il est clairement enseignée dans l’écriture. Il n’est pas certain que les passages qui parlent de la création de l’armée céleste (Genèse 2:1; PS. 33: 6; Néhémie 9:6) fait référence à la création des anges, plutôt que la création de l’hôte étoilée; mais PS. 148:2, 5 et 01:16 clairement parler de la création des anges, (comp. Iier Rois 22:19; PS. 103:20, 21). Au moment de leur création ne peut pas être fixé définitivement. L’avis de certains, basé sur Job 38: 7, qu’elles ont été créées avant toutes choses, vraiment ne trouve aucun appui dans les Ecritures. Car autant que nous sachions, aucun travail de création ont précédé la création du ciel et la terre. Le passage dans le livre de Job (38: 7) enseigne, en effet, dans une veine poétique qu’ils étaient présents lors de la création du monde, tout comme les étoiles étaient, mais pas qu’ils existe avant la création primaire du ciel et la terre. L’idée que la création des cieux a été terminée le premier jour, et que la création des anges était simplement une partie de travail la journée de, est également une hypothèse non prouvée, bien que le fait que l’instruction dans Genèse 1:2 s’applique à la terre semble seulement il favorise. Éventuellement la création des cieux n’était pas terminée en un seul instant pas plus que celui de la terre. L’instruction uniquement sécuritaire, il semble qu’ils ont été créés avant le septième jour. Cela découle au moins de ces passages comme Genèse 2:1; Exode 20:11; Job 38: 7; Néhémie 9:6.

2. ce sont des êtres spirituels et incorporels. Cela a toujours été contestée. Les Juifs et beaucoup d'entre les premiers pères de l’église qui leur est attribuée organes aérées ou fougueux; mais l’église du moyen-âge est venu à la conclusion qu’ils sont des êtres spirituels purs. Pourtant, même après que certains théologiens catholiques, arminiens, voire luthériennes et réformées qui leur est attribuée une certaine corporéité, plus subtile et plus pure. Ils ont considéré l’idée d’une nature purement spirituelle et incorporelle comme métaphysiquement inconcevable et aussi comme incompatible avec la conception d’une créature. Ils ont également lancé un appel sur le fait que les anges sont soumises à des limitations spatiales, de se déplacer d’un endroit à placer et ont été parfois vus par les hommes. Mais tous ces arguments sont plus que contrebalancés par les déclarations explicites de l’écriture à l’effet que les anges sont pneumata, Matthieu 08:16; 12:45; Luke 07:21; 8:2; 11:26; Actes 19:12; EP 06:12; Héb. 01:14. Ils n’ont aucune chair et en os, Luc 24:39, ne se marient pas, Matthieu 22:30, peuvent être présents en grand nombre dans un espace très limité, Luke 08:30 et ils sont invisibles, 01:16. Ces passages dans le Psaume 104: 4 (COMP. Héb. 1:7); Matthieu 22:30; et j’ai Cor. 11:10 ne prouvent pas la corporéité des anges. Ni cela est prouvé par les descriptions symboliques des anges dans la prophétie d’Ézéchiel et dans le livre de l’Apocalypse, ni par leur apparition dans les formes corporelles, s’il est difficile de dire, que ce soit les corps dont ils ont assumé en certaines occasions étaient réels ou seulement apparent. Il est clair, cependant, que ce sont des créatures et donc fini et limité, mais ils sont dans une relation plus libre à temps et l’espace que l’homme. Nous ne pouvons pas attribuer leur un ubi repletivum, ni un ubi circumscriptivum, mais seulement un ubi definitivum. Ils ne peuvent être à deux ou plusieurs endroits simultanément.

3. ce sont des êtres rationnels, morales et immortels. Cela signifie qu’ils sont des êtres dotés d’intelligence et de volonté. Le fait qu’ils sont des êtres intelligents ne semble pas suivre à la fois du fait que ce sont des esprits; mais il est également enseigné explicitement dans les Ecritures, II Samuel 14:20; Matthieu 24:36; EP 03:10; J’ai PET. 01:12; II Pierre 02:11. Tandis que pas omniscients, ils sont supérieurs aux hommes en connaissances, Matthieu 24:36. De plus, ils sont doués d’une nature morale et sont comme tels en vertu d’une obligation morale; ils sont récompensés pour l’obéissance et sont punis pour désobéissance. La Bible parle des anges qui sont restés fidèles comme « anges saints, » Matthieu 25: 31; Marquer à 08:38; Luc 09:26; Actes 10:22; 14:10 et ceux qui sont tombés à mesure que le mensonge et le péché, John photos 08:44; J’ai John 3:8-10. Les bons anges sont aussi immortels dans le sens où ils ne sont pas sujet à la mort. À cet égard les saints dans les cieux sont censés être comme eux, Luc 20:35, 36. En plus de tout cela, grande puissance est qui leur est attribuée. Ils forment l’armée de Dieu, une multitude de puissants héros, toujours prêts à faire du Seigneur d’appel d’offres, PS. 103:20; 01:16; EP 01:21; 03:10; Héb. 01:14; et les mauvais anges forment l’armée de Satan, pour détruire le œuvre du Seigneur, Luc 11:21; II Thess. 2:9; I Pierre 5:8.

4. elles sont bonnes en partie et en partie mal. La Bible fournit très peu d’informations concernant l’état d’origine des anges. Nous lisons, cependant, qu’à la fin de son œuvre créatrice de Dieu vit tout ce qu’il avait fait et voici, cela était très bon. En outre, John 08:44; II Pierre 2:4; et Jude 6 suppose un bon Žtat de tous les anges. Les bons anges sont appelés élire anges dans I Timothée 05:21. De toute évidence, ils ont reçu, en plus de la grâce avec laquelle tous les anges étaient doués et qui était suffisant pour leur permettre de conserver leur poste, un spécial grace de persévérance, par lequel ils ont été confirmés dans leur position. Il y a eu beaucoup de spéculations inutiles sur le temps et le caractère de la chute des anges. La théologie protestante, cependant, est généralement satisfaite sachant que les bons anges conservé leur état d’origine, ont été confirmés dans leur position et sont maintenant incapables de pécher. Ils ne sont pas seulement appelés saints anges, mais aussi des anges de lumière, II Corinthiens 11:14. Ils toujours Voici le visage de Dieu, Matthieu 18:10, sont nos modèles dans faire la volonté de Dieu, Matthieu 06:10 et possèdent la vie immortelle, Luc 20:36.

D. le nombre et l’Organisation des anges.

1. leur nombre. La Bible ne contient aucun renseignement précis concernant le nombre des anges, mais indique très clairement qu’il s’agit d’une puissante armée. Ils sont à plusieurs reprises appelés l’hôte du ciel ou de Dieu, et ce terme lui-même déjà pointe vers un bon nombre. Dans Deutéronome 33: 2 on lit que « Jéhovah est venu du Sinaï... à partir de dix milliers de Saints », et dans le Psaume 68:17 le poète chante, « les chars de Dieu sont vingt mille, voire des milliers et des milliers: le Seigneur est parmi eux, comme dans Sinai, dans le sanctuaire. » En réponse à la question de Jésus adressées à un esprit impur, la réponse était, « mon nom est Légion; parce que nous sommes nombreux, » Marc 5:9, 15. La légion romaine n’était pas toujours la même, mais varié à des moments différents de 3000 à 6000, à Gethsémani Jésus dit à la bande qui est venu pour l’emmener en captivité, « ou arbores tu que je ne peux pas supplie mon père, et il me transmet aujourd'hui encore Légion plus de douze s d’anges ? » Matthieu 26: 53. Et, enfin, nous lisons à 05:11, « j’ai vu et j’ai entendu la voix de nombreux anges autour du trône et des êtres vivants et les vieillards. et le nombre d'entre eux était dix mille fois dix mille et des milliers de milliers. » Compte tenu de toutes ces données, il est parfaitement sûr de dire que les anges constituent une société innombrables, une foule imposante. Ils ne forment pas un organisme comme l’humanité, car ce sont des esprits, qui ne se marient pas et ne sont pas nés l’un sur l’autre. Leur nombre total a été créé au début; il n’y a eu aucune augmentation dans leurs rangs.

2. leurs ordres. Bien que les anges ne constituent pas un organisme, ils sont évidemment organisés d’une certaine façon. Cela découle du fait que, à côté du nom général « angel » la Bible utilise certaines dénominations spécifiques pour indiquer les différentes classes d’anges. Le nom « angel », par lequel nous désigner les esprits plus élevés n’est généralement pas un nomen naturae dans l’écriture, mais un nomen officii. Le mot hébreu mal'ak signifie simplement messager et sert à désigner un envoyé par hommes, Job 01:14; J’ai Sam. 11:3, ou par Dieu, Aggée 01:13; Malachie 2:7; 3:1. terme grec aggelos est aussi fréquemment appliquée aux hommes, Matthieu 11:10; Marc 1:2; Luke 07:24; 09:51; GAL 04:14. Il n’y a aucun nom distinctif général pour tous les êtres spirituels dans l’écriture. Ils sont appelés fils de Dieu, Job 1:6; 2:1; PS. 29: 1; 89:6, spiritueux, Héb. 01:14, les saints, PS. 89:5, 7; Zach. 14:5; Dan. 08:13, watchers, Dan. 04:13, 17, 24. Il y a plusieurs noms spécifiques, cependant, qui pointent vers différentes classes d’anges.

a. chérubins. Chérubins sont mentionnés à plusieurs reprises dans les Ecritures. Ils gardent l’entrée du paradis, 03:24, contemplent le propitiatoire, Exode 25: 18; Psaume 80: 1; 99: 1; Ésaïe 37: 16; Hébreux 9:5, et constituent le char sur lequel Dieu descend sur la terre, II Samuel 22:11; Psaume 18:10. Dans Ézéchiel 1 et 4 de l’Apocalypse, ils sont représentés comme des êtres vivants sous diverses formes. Ces représentations symboliques servent simplement à faire ressortir leur extraordinaire puissance et la majesté. Plus que les autres créatures, ils étaient destinés à révéler la puissance, la majesté et la gloire de Dieu et pour garder sa sainteté dans le jardin d’Eden, dans le tabernacle et le temple et dans la descente de Dieu sur la terre.

b. les séraphins. Une classe connexe des anges sont les séraphins, mentionnés seulement dans Ésaïe 6:2, 6. Ils sont aussi symboliquement représentées sous forme humaine, mais avec six ailes, deux couvrant le visage, deux pieds et deux pour l’exécution rapide des commandements du Seigneur. En comparaison avec de chérubins, ils se tiennent comme serviteurs alentour le trône du Roi céleste, chantent ses louanges et sont toujours prêts à faire son appel d’offres. Alors que les chérubins sont les puissants, ils pourraient appeler les nobles parmi les anges. Alors que l’ancien meneur de la sainteté de Dieu, ils servent le but de la réconciliation et ainsi préparent les hommes pour la démarche appropriée à Dieu.

c. principautés, puissances, les trônes et dominions. En plus de ce qui précède la Bible parle de certaines classes d’anges, qui occupent les lieux d’autorité dans le monde Angélique, comme archai et exousiai (les principautés et les puissances), Éphésiens 03:10; 02:10, thronoi (trônes), 01:16, kureotetoi (dominions), Éphésiens 01:21; 01:16 et dunameis (pouvoirs), Éphésiens 01:21; J’ai PET. 03:22. Ces appellations ne pointent pas à différentes sortes d’anges, mais simplement de différences de grade ou dignité parmi eux.

d. Gabriel et Michael. À la différence de tous les autres anges, ces deux sont mentionnés par nom. Gabriel apparaît dans Dan. 08:16; 09:21; Luc 01:19, 26. La grande majorité des commentateurs le considèrent comme un ange créé, mais certains d'entre eux nie que le nom de Gabriel est un nom propre et regarde comme nom commun, qui signifie homme de Dieu, un synonyme de l’ange. Mais il s’agit d’une situation intenable. [Cf. surtout Kuyper, De Engelen dieux, p. 175.] Certains commentateurs antérieures et postérieures voir en lui un être non créé, certains même suggérant qu’il pourrait être la troisième personne de la Sainte Trinité, tandis que Michael était le second. Mais une simple lecture des passages en question montre l’impossibilité de cette interprétation. Il peut être l’un des sept anges qui sont censés se tenir devant Dieu dans Apocalypse 8:2 (COMP. Luc 01:19). Il semble avoir été sa tâche spéciale de médiation et d’interpréter des révélations divines.

Le nom de Michael (litt., « qui comme Dieu ? ») a été interprétée comme une désignation de la deuxième personne de la Trinité. Mais ce n’est pas plus défendable que l’identification de Gabriel avec l’Esprit Saint. Michael est mentionné dans Daniel 10:13, 21; Jude 9; Apocalypse 12:7. Du fait qu’il est appelé « l’Archange » dans Jude 9, et de l’expression utilisée dans Apocalypse 12:7, il semblerait qu’il occupe une place importante parmi les anges. Les passages de Daniel soulignent également le fait qu’il est un prince parmi eux. On voit en lui le vaillant guerrier combattant les batailles de Jéhovah contre les ennemis d’Israël et contre les pouvoirs maléfiques dans le monde des esprits. Il n’est pas impossible que le titre « l’Archange » s’applique aussi à Gabriel et quelques autres anges.

E. le Service des anges.

Nous pouvons distinguer entre ordinaire et un extraordinaire service des anges.

1. leur SERVICE ordinaire. Il s’agit tout d’abord en leur louant Dieu jour et nuit, Job 38: 7; Ésaïe 6; PS. 103:20; 148:2; 05:11. L’écriture donne l’impression qu’ils font ce audible, comme à la naissance du Christ, si nous ne pouvons former aucune conception de ce parler et le chant des anges. Depuis l’entrée du péché dans le monde, ils sont envoyés pour ceux qui sont les héritiers du Salut, Hébreux le ministre 01:14. Ils se réjouissent à la conversion d’un pécheur, Luc 15:10, veille sur les croyants, Psaume 34: 7; 91:11, protéger les plus petits, Matthieu 18:10, sont présents dans l’église, I Cor. 11:10; I Timothée 05:21, apprendre d’elle les multiples richesses de la grâce de Dieu, Éphésiens 03:10; J’ai PET. 01:12 et transmettre des croyants dans le sein d’Abraham, Luc 16:22. L’idée que certains d'entre eux ne servent de tuteurs de chaque croyant trouve aucun appui dans les Ecritures. L’instruction dans Matthieu 18:10 est trop générale pour prouver ce point, bien qu’il semble indiquer qu’il est un groupe d’anges qui sont notamment chargés de la garde des petits. Ni il est prouvé par les actes 12:15, pour ce passage va simplement de montrer qu’il n’y a même parmi les disciples de cette journée de début qui ont cru en anges gardiens.

2. leur SERVICE extraordinaire. Le service extraordinaire des anges a été rendu nécessaire par la chute de l’homme et constitue un élément important dans la révélation spéciale de Dieu. Ils souvent médient spéciales révélations de Dieu, communiquent les bénédictions pour son peuple et exécutent le jugement sur ses ennemis. Leur activité est plus importante dans les grands tournants de l’économie du Salut, comme à l’époque des Patriarches, le temps des quelles, la période de l’exil et de la restauration et à la naissance, la résurrection et l’ascension du Seigneur. La fermeture de la période de la révélation spéciale de Dieu, le service extraordinaire des anges a cessé, à être repris seulement au retour du Seigneur.

F. les mauvaises anges.

1. leur origine. Outre le bon il y a aussi mauvais anges, qui ont plaisir à s’opposer à Dieu et à contrarier son travail. S’ils sont aussi des créatures de Dieu, ils n’ont pas été créées comme des mauvais anges. Dieu vit tout ce qu’il avait créé, et c’était très bon, 01:31. Il y a deux passages de l’écriture qui implique clairement que certains des anges n’ont pas conservé leur original position, mais il est passé de l’État dans lequel elles ont été créées, II PET. 2:4; Jude 6. Le péché spécial de ces anges n’est pas révélé, mais il est généralement considéré consiste en ceci qu’ils exalté eux-mêmes vis-à-vis de Dieu et qu’il aspiraient à l’autorité suprême. Si cette ambition a joué un rôle important dans la vie de Satan et mené à sa chute, il serait à la fois expliquer pourquoi il tenté l’homme sur ce point précis et chercha à lui attirer jusqu'à sa destruction en faisant appel à une ambition similaire possible chez l’homme. Quelques-uns des premiers pères de l’église distinguent entre Satan et les démons subordonnés en expliquant la cause de leur chute. Celui de la chute de Satan a été trouvé dans orgueil, mais celle de l’automne plus générale dans le monde Angélique, dans la convoitise charnelle, Genèse 6:2. Que l’interprétation de la Genèse 6:2 a été progressivement mis au rebut, cependant, pendant le moyen âge. Dans cette perspective, il est plutôt surprenant de constater que plusieurs commentateurs modernes réitèrent l’idée dans leur interprétation de II Pierre 2:4 et 6 de Jude comme, par exemple, Meyer, Alford, maire, Wohlenberg. C’est une explication, cependant, c’est contraire à la nature spirituelle des anges, et sur le fait que, comme Matthieu 22:30 semblerait impliquer, il n’y a aucune vie sexuelle parmi les anges. En outre, cette interprétation, nous allons devoir assumer une double chute dans l’univers Angélique, tout d’abord la chute de Satan, et puis, beaucoup plus tard, la chute entraînant l’hôte des diables qui maintenant sert Satan. Il est beaucoup plus probable que Satan a traîné les autres droit avec lui dans sa chute.

2. leur tête. Satan apparaît dans l’écriture comme le chef reconnu des anges déchus. Il était à l’origine, il semblerait, un des princes plus puissants de l’univers Angélique et est devenu le chef de ceux qui se révoltent et s’éloigne de Dieu. Le nom « Satan » pointe vers lui comme « l’adversaire », pas en premier lieu de l’homme, mais de Dieu. Il attaque Adam comme la Couronne de l’ouvrage de Dieu, œuvres de destruction et est donc appelé Apollyon (le destructeur) et des agressions Jésus lorsqu’il entreprend les travaux de restauration. Après l’entrée du péché dans le monde, il devient Diabolos (l’accusateur), accusant le peuple de Dieu continuellement, 12:10. Il est représenté dans l’écriture comme l’auteur du péché, Genèse 3:1, 4; John 08:44; II Corinthiens 11:3; I Jean 3:8; Apocalypse 12:9; 20:2, 10 et apparaît comme le chef reconnu de ceux qui sont tombés là, Matthieu 25: 41; 09:34; Éphésiens 2:2. Il reste le chef des armées angéliques qui il emmena avec lui dans sa chute et emploie dans une résistance désespérée à Christ et à son Royaume. Il est aussi appelé à plusieurs reprises « le prince de ce (pas, « de la ») monde, John 12:31; 14:30; 16:11 et même « le Dieu de ce monde, » II Cor. 4:4. Cela ne signifie pas qu’il était en contrôle du monde, car Dieu est au contrôle et il a donné toute autorité à Christ, mais il transmettre l’idée qu’il est en contrôle de ce monde mauvais, le monde, dans la mesure où il est éthiquement séparé de Dieu. Cela est clairement indiqué dans Éphésiens 2:2, où il est appelé « le prince des puissances de l’air, de l’esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion ». Il est surhumain, mais pas divin; a un grand pouvoir, mais n’est pas omnipotent; exerce une influence sur une échelle grande mais restreinte, Matthieu 12:29; Apocalypse 20:2 et est destiné à être jeté dans l’abîme, 20:10.

3. leur activité. Comme les bons anges, anges déchus, sont aussi, doués d’une puissance surhumaine, mais leur utilisation de celui-ci contraste malheureusement avec celle des bons anges. Alors que ce dernier perpétuellement louer Dieu, mener ses batailles et lui service fidèlement, à titre de puissances des ténèbres, ils sont décidés à maudissant Dieu, luttant contre lui et son oint et de détruire son travail. Ils sont en constante révolte contre Dieu, chercher à l’aveugle et de tromper même les élus et encouragent les pécheurs dans leur mal. Mais ce sont des esprits perdus et sans espoir. Ils sont même maintenant enchaînés à l’enfer et le puits des ténèbres, et bien que pas encore limité à un seul endroit, pourtant, comme le dit Calvin, faites glisser leurs chaînes avec eux partout où ils vont, II PET. 2:4; Jude 6.

 

V. création du monde matériel

A. le compte biblique de la création.

Autres pays, ainsi que les Hébreux, avaient leurs comptes concernant l’origine de l’univers matériel et de la façon dont le chaos initial a été transformé en un cosmos ou un monde habitable. Certains de ces comptes révèlent des traces de similitude avec le récit biblique, mais contiennent des différences encore plus frappantes. Ils sont en général caractérisées par des éléments dualistes ou polythéistes, représentent le monde actuel comme le résultat d’une lutte acharnée entre les dieux, puis sont très éloignées de la simplicité et la sobriété du récit biblique. Il peut être souhaitable de préfacer notre discussion de ses détails par quelques remarques générales.

1. du POINT de vue d'où la BIBLE envisage le travail de création. C’est une chose importante que le récit de la création, alors qu’il mentionne la création des cieux, s’intéresse pas davantage vers le monde spirituel. Il porte sur le monde matériel uniquement et cela représente avant tout comme l’habitation de l’homme et que le théâtre de ses activités. Il s’agit non pas avec des réalités invisibles comme les esprits, mais avec les choses qui sont visibles. Et parce que ces choses sont perceptibles aux sens humains, ils viennent vers le haut pour la discussion, non seulement en théologie, mais aussi dans les autres sciences et en philosophie. Mais alors que la philosophie cherche à comprendre l’origine et la nature de toutes choses par la lumière de la raison, la théologie prend son point de départ en Dieu, se permet d’être guidé par sa révélation spéciale concernant le travail de création et considère tout à Lui. Le récit de la création est le début de la révélation de Dieu et nous familiarise avec la relation fondamentale dans laquelle tout, homme compris, se trouve à lui. Il souligne la position originale de l’homme, afin que les hommes de tous âges pourraient avoir une bonne compréhension du reste de l’écriture comme une révélation de la rédemption. Alors qu’il ne prétend pas nous donner une cosmogonie philosophique complète, elle contient des éléments importants pour la construction d’une cosmogonie appropriée.

2. l’origine du récit de la création. La question de savoir l’origine du récit de la création a été soulevée à plusieurs reprises, et l’intérêt qu’il a été renouvelé par la découverte de l’histoire babylonienne de la création. Cette histoire, comme il est connu pour nous, a pris forme dans la ville de Babylone. Il parle de la génération de plusieurs dieux, dont Marduk s’avère suprême. Seulement, il a été suffisamment puissant pour surmonter le primeval dragon Tiamat et devient le créateur du monde, que les hommes adorent. Il y a quelques points de similitude entre le récit de la création dans la Genèse et cette histoire babylonienne. Les deux parlent d’un chaos primitif et d’une division des eaux ci-dessous et ci-dessus le firmament. Genèse parle de sept jours, et le compte babylonien est organisé en sept comprimés. Les deux comptes connecter les cieux avec le quatrième époque de création et la création de l’homme avec la sixième. Certaines de ces ressemblances sont de peu d’importance, et les différences des deux comptes sont beaucoup plus importantes. L’ordre hébreu diffère sur de nombreux points de la babylonienne. La plus grande différence se trouve, cependant, dans les conceptions religieuses des deux. Le compte babylonien, à la différence de celle de l’écriture, est mythologique et polythéiste. Les dieux ne pas se tenir debout sur un niveau élevé, mais le schéma et le terrain et se battre. Et Marduk ne parvient qu’après une lutte prolongée, dont taxes de sa force, à vaincre les forces du mal et de réduire le chaos à l’ordre. Dans la Genèse, en revanche, nous rencontrer le monothéisme plus sublime et voir Dieu appelant l’univers et toutes choses par la simple parole de sa puissance. Lorsque le compte Babyloniens a été découvert, beaucoup d’érudits hâtivement supposé que le récit biblique a été dérivé de la source babylonienne, oubliant qu’il existe au moins deux autres possibilités, à savoir, (a) que l’histoire babylonienne est un corrompu reproduction de la narration dans la Genèse; ou (b) que les deux sont issus d’une source commune, plus primitive. Mais cependant peut répondre à cette question, il ne règle pas le problème de l’origine du récit. Comment l’original, qu’elle soit écrite ou orale, venu à l’existence ? Certains la considèrent simplement comme le produit naturel de réflexion de l’homme sur l’origine des choses. Mais cette explication est extrêmement peu probable étant donné les faits suivants: (a) l’idée de création est incompréhensible; (b) la science et la philosophie s’opposent également à la doctrine de la création de rien; et (c), c’est seulement par la foi que nous comprenons que les mondes ont été encadrées par la parole de Dieu, Hébreux 11:3. Nous arrivons donc à la conclusion que l’histoire de la création a été révélé à Moïse ou à l’un des patriarches antérieurs. Si cette révélation a été préalablement mosaïque, il passé dans la tradition (orale ou écrite) d’une génération à l’autre, probablement perdu de sa pureté originelle et fut finalement incorporée dans une forme pure, sous la direction de l’Esprit Saint, dans le premier livre de la Bible .

3. l’interprétation de la Genèse 1:1, 2. certains considèrent la Genèse 1:1 comme la suscription ou le titre du récit de la création entière. Mais ceci est inacceptable pour trois raisons: (a) parce que le récit suivant est relié avec le premier verset de la conjonction hébraïque waw (et), qui ne serait pas le cas si le premier couplet était un titre; (b) parce que, il n’y aurait pas de compte sur cette supposition, que ce soit de la création originale et immédiate; et (c) car les versets suivants ne contiennent aucun récit de la création des cieux à tous. Le plus généralement accepté interprétation est que Genèse 1:1 enregistre la création originale et immédiate de l’univers, Hebraistically appelé « ciel et terre. » Dans cette expression, le « ciel » de mot se réfère à cet ordre invisible des choses où la gloire de Dieu se révèle la manière la plus parfaite. Il ne saurait être considérée comme une désignation des cieux cosmique, si des nuages ou des étoiles, pour ces derniers ont été créés sur le deuxième et le quatrième jour de la semaine de la création. Dans le second verset, l’auteur décrit ensuite l’état original de la terre (COMP. PS. 104:5, 6). C’est une question discutable, que ce soit la création originale de la matière formé d’une partie des travaux de la première journée, ou fut séparée de cela par une période plus courte ou plus longue. Parmi ceux qui s’interposer une longue période entre les deux, certains soutiennent que le monde était à l’origine un lieu d’habitation des anges, a été détruit à la suite d’une chute dans l’univers Angélique et a été ensuite récupéré et transformé en une habitation fit pour hommes. Nous ferons référence à cette théorie de restitution dans une autre connexion.

B. la virginité, ou le travail des jours distincts.

Après la création de l’univers à partir de rien dans un moment de temps, le chaos existant a été progressivement transformé en un cosmos, un monde habitable, en six jours successifs. Avant le travail des jours distincts est indiqué, le. question quant à la longueur des jours de la création exige une brève discussion.

1. examen de la théorie qu’il s’agissait de longues périodes. Certains chercheurs supposent que les jours de Genèse 1 étaient longues périodes de temps, afin qu’elles s’harmonisent avec les périodes géologiques. Estime que ces jours n’étaient pas des jours ordinaires de vingt-quatre heures n’était pas tout à fait étranger à la théologie chrétienne au début, comme le montre E. C. Messenger en détail dans son savant travail sur l’évolution et la théologie. Mais certains d'entre les pères de l’église, qui a laissé entendre que ces jours étaient sans doute ne pas à considérer comme des jours ordinaires, a exprimé l’avis que l’ensemble du travail de création a été fini en un moment de temps, et que les jours constituaient simplement un cadre de travail symbolique, qui facilité la description des travaux de création de façon ordonnée, afin de la rendre plus intelligible pour les finis esprits. Estime que les jours de la création ont été longtemps est venu au premier plan dans ces dernières années, pas, cependant, comme le résultat d’études exégétiques, mais sous l’influence des divulgations de la science. Avant le XIXe siècle, les jours de la Genèse étaient plus généralement considérés comme jours littéraux. Mais, bien sûr, l’interprétation humaine n’est pas infaillible et peut devoir être révisé à la lumière des découvertes plus tard. Si les conflits exégèse traditionnelle, non seulement avec les théories scientifiques — qui sont elles-mêmes des interprétations —, mais avec des faits bien établis, repenser et réinterprétation est naturellement dans l’ordre. On peut difficilement affirmer, toutefois, que les périodes géologiques présumées nécessitent un changement de front, car ils ne sont en aucun cas généralement reconnu, même dans les milieux scientifiques, faits ainsi établis. Certains érudits chrétiens, tels que Harris, Miley, Bettex et Geesink, supposent que les jours de la Genèse sont jours géologiques, et tant Shedd Hodge attirer l’attention sur la concordance remarquable entre le dossier de la création et le témoignage des roches et sont enclin à considérer les jours de la Genèse comme périodes géologiques.

La question peut être soulevée, que ce soit mais possible de concevoir les jours de la Genèse comme de longues périodes. Et puis il faut admettre que mot hébreu yom ne désigne pas toujours une période de vingt-quatre heures dans les Ecritures et ne sert pas toujours dans le même sens, même dans le récit de la création. Il peut que la lumière du jour dans la distinction des ténèbres, Genèse 1:5, 16, 18; jour-lumière et l’obscurité ensemble, Genèse 1:5, 8, 13 etc..; les six jours, pris ensemble, Genèse 2:4; et une durée indéterminée identifiés dans toute sa longueur par quelque trait caractéristique, par ennui, Psaume 20:1, colère, Job à 20:28, prospérité, Eccl. 07:14, ou le Salut II Cor. 6:2. Maintenant, certains soutiennent que la Bible favorise l’idée que les jours de la création ont été des périodes indéfinies de temps et d’attirer l’attention à ce qui suit: (a) le soleil n’a pas été créé avant le quatrième jour, et donc la longueur des jours précédents ne pouvait pas encore être déterminée par l’oreille relation de Th au soleil. Cela est parfaitement vrai, mais ne prouve pas le point. Dieu avait établi de toute évidence, même avant le quatrième jour, une alternance rythmique de la lumière et les ténèbres, et il n’y a aucun motif pour l’hypothèse selon laquelle les jours ainsi mesurées étaient de plus longue durée que les jours plus tard. Pourquoi devrions nous supposons que Dieu a considérablement augmenté la vitesse de rotation de la terre après que la lumière était concentrée dans le soleil ? (b) les jours mentionnés sont jours de Dieu, les jours archétypales, dont les jours des hommes sont simplement ectypal exemplaires; et avec Dieu mille ans sont comme un seul jour, Psaume 90.4; II Pierre 3:8. Mais cet argument repose sur une confusion des temps et l’éternité. Dieu ad intra a pas jours, mais demeure dans l’éternité, exalté jusqu'à maintenant surtout des mesures de temps. C’est aussi l’idée véhiculée par le Psaume 90.4; et II Pierre 3:8. Les seule véritable jours dont Dieu a connaissance sont les jours de ce monde d’espace-temps. Comment s’ensuit-il pas du fait que Dieu est plus haut que les limites de temps, tels qu’ils existent dans ce monde, où le temps est mesuré par jours et des semaines et des mois et des années, qui un jour peut tout aussi bien être une période de 100 000 ans comme l’un des vingt-quatre heures ? (c) le septième jour, le jour où Dieu s’est reposé de sa passion, est censée poursuivre jusqu'à l’heure actuelle et doit donc être considérée comme une période de milliers d’années. C’est le Sabbat de Dieu, et ce Sabbat ne se termine jamais. Cet argument représente une confusion semblable. L’idée de Dieu commence le travail de création à un certain moment, et puis il cesse après une période de six jours, ne s’applique pas à Dieu comme il est en lui-même, mais seulement aux résultats temporelles de son activité créatrice. Il est immuablement le même d’âge en âge. Son Sabbat n’est pas une période prolongée indéfiniment; Il est éternel. En revanche, le Sabbat de la semaine de la création a été un jour longueur égal aux autres jours. Dieu s’est reposé, non seulement, ce jour-là, mais il a aussi béni et sanctifié, mettant de côté comme un jour de repos pour l’homme, Exode 20:11. Ceci s’appliquerait difficilement à l’ensemble de la période depuis la création jusqu'à nos jours.

2. examen de la vue qu’il s’agissait des jours littéraux. L’opinion qui prévaut depuis toujours que les jours de Genèse 1 doivent s’entendre comme jours littéraux. Quelques-uns des premiers pères de l’église ne les considérait pas comme des indications réelles du temps où le travail de création a été achevé, mais plutôt comme une forme littéraire dans laquelle l’écrivain de la Genèse castée le récit de la création, pour photo le travail de création — qui a été vraiment achevé en un moment de temps — de façon ordonnée pour l’intelligence humaine. C’est seulement après que les sciences relativement nouveau de la géologie et de palæontology se sont manifestés avec leurs théories de l’énorme âge de la terre, que les théologiens se manifestèrent une inclinaison pour identifier les jours de la création avec les longues périodes géologiques. Aujourd'hui certains d'entre eux la considèrent comme un fait établi que les jours de Genèse 1 furent des périodes de temps géologiques; d’autres sont un peu enclins à occuper ce poste, mais montrent beaucoup d’hésitation. Hodge, Sheldon, Van Oosterzee et Dabney, dont certains ne sont pas tout à fait opposés à ce point de vue, sont tous d’accord que cette interprétation des jours est mais douteux, voire impossible. Kuyper et Bavinck tenir que, tandis que les trois premiers jours ait été de quelque peu différentes longueurs, les trois derniers étaient certainement ordinaires jours. Naturellement, ils ne considèrent pas même les trois premiers jours comme des périodes géologiques. Vos dans son Gereformeerde Dogmatiek défend la position selon laquelle les jours de la création ont été les jours ordinaires. Hepp prend la même position dans son calvinisme et la philosophie de la Nature. [p. 215.] Noortzij dans der fr de dieux Woord Eeuwen Getuigenis,[pp. 79f.] affirme que mot hébreu yom (jour) dans Genèse 1 ne peut éventuellement désigner quoi que ce soit d’autre qu’un jour ordinaire, mais tient que l’écrivain de la Genèse n’attachait pas une importance à la notion de « jour », mais introduit simplement au sein d’un cadre de travail pour le récit de la création, ne pas indiquer la séquence historique, mais à l’image de la gloire des créatures à la lumière du grand dessein Rédempteur de Dieu. C’est pourquoi le Sabbat est le grand point culminant, où l’homme atteint son véritable destin. Ce point de vue nous rappelle assez fortement la position de certains des premiers pères de l’église. Les arguments avancés pour qu’il ne sont pas très convaincant, Aalders a montré dans son De Eerste Drie Hoofdstukken van Genesis. [p. 232-240.] Ce chercheur de l’ancien Testament contient, sur la base de la Genèse 1:5, que terme yom dans Genèse 1 dénote simplement la période de lumière, par opposition à celle des ténèbres; mais ce point de vue semble impliquer une interprétation plutôt contre nature de l’expression répétée « et il y avait soirée et il y avait le matin. » Il doit alors être interprétée comme signifiant et il y avait soirée précédée d’un matin. Selon m. Aalders, aussi, l’écriture favorise certainement l’idée que les jours de la création ont été les jours ordinaires, bien qu’il n’est pas possible de déterminer leur durée exacte, et les trois premiers jours peut avoir différaient quelque peu depuis les trois dernières.

L’interprétation littérale du terme « jour » en Genèse 1 est favorisée par les considérations suivantes: (a) dans son premier sens du mot yom dénote un jour naturel; et c’est une bonne règle en exégèse, ne pas s’écarter de la signification primaire d’un mot, sauf si cela est requis par le contexte. Dr Noortzij insiste sur le fait que ce mot ne signifie pas simplement rien d’autre que « jour », comme cela est connu par l’homme sur la terre. (b) l’auteur de la Genèse semble se taire nous absolument à l’interprétation littérale en ajoutant, dans le cas de tous les jours, les mots: « et il y avait soirée et il y avait le matin. » Chacun des jours mentionnés a juste un soir et matin, quelque chose qui s’appliquerait difficilement à une période de milliers d’années. Et si il faut dire que les périodes de création étaient jours extraordinaires, chacun consistant en une longue journée et une nuit longue, alors la question se pose naturellement, ce qui allait devenir de toute végétation au cours de la longue, longue nuit ? (c) dans Exode 20:9-11 Israël est commandé à six jours de travail et au repos sur le septième, parce que Jéhovah a fait les cieux et la terre en six jours et se reposa le septième jour. Son exégèse semblerait requiert que le mot « jour » dans le même sens dans les deux cas. Par ailleurs le Sabbat mis de côté pour le reste était certainement un jour littéral; et la présomption est que les autres jours étaient de même nature. (d) au cours des trois derniers jours étaient des jours certes ordinaires, car ils ont été déterminés par le soleil de la manière habituelle. Alors que nous ne pouvons pas être absolument sûrs que les jours précédents ne différaient pas d’eux, tout en longueur, il est très improbable qu’ils diffèrent de leur part, comme des périodes de milliers d’années, diffèrent des jours ordinaires. Peut aussi se demander, pourquoi une si longue période devrait être requise, par exemple, pour la séparation de la lumière et les ténèbres.

3. le travail des jours distincts. Nous remarquons dans le travail de création une certaine gradation, le travail de chaque jour mène jusqu'à et se prépare pour le travail de l’autre, le tout aboutissant à la création de l’homme, la Couronne de l’ouvrage de Dieu, chargée d’assurer la tâche importante consistant à toute la création inféodé à la gloire de Dieu.

a. le premier jour. Le premier jour, la lumière a été créé et par la séparation de la lumière et les ténèbres nuit et ont été constituées. Cette création de la lumière le premier jour a été ridiculisée compte tenu du fait que le soleil n’a pas été créé avant le quatrième jour, mais science elle-même réduite au silence le ridicule en prouvant que la lumière n’est pas une substance émanant du soleil, mais se compose d’éther vagues produites par électrons énergétiques. Notez également que la Genèse ne parle pas du soleil comme la lumière (oupas), mais comme porteur de lumière (ma), exactement ce que la science a découvert qu’il est. Compte tenu du fait que la lumière est la condition de toute vie, c’était mais naturelle qu’il devrait être créé en premier. Dieu a institué également à la fois l’ordonnance de l’alternance de lumière et d’obscurité, appelant la lumière jour et la nuit de l’obscurité. Cependant, on nous dit pas comment cette alternance a été effectuée. Le compte de travail chaque journée de se termine par ces mots: « et il y avait soirée et il y avait le matin. » Les jours ne sont pas considérés de soir à soir, mais du matin au matin. Après douze heures, il y avait soirée, et après un autre 12 heures il y a matin.

b. le deuxième jour. Les travaux de la deuxième journée a également étaient une œuvre de séparation: le firmament a été établi en divisant les eaux ci-dessus et les eaux sous-jacentes. Les eaux ci-dessus sont les nuages et pas, comme certains aurait-il, la mer de verre, Apocalypse 4:6; 15:2 et la rivière de la vie, Apocalypse 22:1. Certains ont discrédité la mosaïque compte sur la supposition qu’il représente le firmament comme une voûte solide; mais c’est tout à fait injustifié, car le mot hébreu Rene ne désigne pas une voûte solide du tout, mais est l’équivalent de notre mot « étendue ».

c. le troisième jour. La séparation se faite encore plus loin dans la séparation de la mer de la terre sèche, cf. PS. 104:8. En plus de cela, le règne végétal de plantes et d’arbres a été créé. Trois grandes classes sont mentionnées, à savoir deshe', c'est-à-dire les plantes sans fleurs, qui ne pas mutuellement fructifier de la manière habituelle; 'esebh, composé de légumes et de céréales produisant des semences; et 'ets peri ou fruits arbres, leurs fruits selon leur type. Il est à noter ici: (1) que, lorsque Dieu dit: « que la terre formulées herbe » etc, ce n’était pas équivalent à dire: laisser les matières inorganiques à développer par ses propres inhérentes de force dans la vie végétale. C’était un mot du pouvoir par lequel Dieu implanté le principe de la vie sur la terre et donc lui ont permis d’enfanter des herbes et des herbes et des arbres. Que c’est une parole créatrice est évident d’après Genèse 2:9. (2) que l’instruction, « et la terre produisit herbe, herbes produisant des semences après leur genre et les arbres portant des fruits, dans lequel est la semence, selon leur espèce » (vs. 12), distinctement favorise l’idée que les différentes espèces de plantes ont été créés par Dieu, et n’a pas développé l’un sur l’autre. Chacun d’eux enfantée semence selon son espèce et pourrait donc ne se reproduire son genre. La théorie de l’évolution, bien sûr, négatifs tous les deux de ces assertions; mais il faut avoir à l’esprit que les deux génération spontanée et le développement d’une espèce à l’autre, sont non prouvées et désormais largement discrédité, hypothèses. [Cf. o ' Toole, l’affaire contre l’évolution, p. 28.]

d. le quatrième jour. Soleil, lune et étoiles, ont été créés en tant que porteurs de lumière, pour servir à diverses fins: (1) pour diviser le jour et la nuit; (2) pour être des signes, c'est-à-dire, pour indiquer les points cardinaux, présager des changements des conditions météorologiques et pour servir de signes d’importants événements futurs et prochains jugements; (3) d’être des saisons et Pendant des jours et des années, c'est-à-dire, pour atteindre l’objectif d’effectuer le changement des saisons, la succession d’années et la répétition régulière des jours de fête spéciales; et (4) pour servir de lumières pour la terre et donc à permettre le développement de la vie organique sur terre.

e. le cinquième jour. Cette journée apporte la création des oiseaux et les poissons, les habitants de l’air et les eaux. Oiseaux et les poissons vont ensemble, car il y a une grande similitude dans leur structure organique. En outre, ils sont caractérisés par une instabilité et la mobilité qu’ils ont en commun avec l’élément dans lequel ils évoluent, en comparaison avec de la terre ferme. Elles conviennent également dans leur méthode de procréation. Notez qu’ils sont, aussi, ont été créées selon leur espèce, c'est-à-dire les espèces ont été créées.

f. le sixième jour. Cette journée apporte l’apogée du travail de création. Dans le cadre de la création des animaux l’expression est une fois de plus utilisée, « Que la terre produise », et ce nouveau doit être interprété que comme il est indiqué au point c. Les animaux ne développaient pas naturellement hors de la terre, mais ont été enfantée par la fiat créatrice de Dieu. On nous dit distinctement dans que le 25e verset que Dieu a fait les bêtes de la terre, le bétail et les choses rampantes de la terre selon leur espèce. Mais même si l’expression mentionne développement naturel, il ne serait pas en harmonie avec la doctrine de l’évolution, car qui n’enseigne pas que les animaux ont développé directement hors du monde minéral. La création de l’homme se distingue par l’avocat solennelle qui le précède: « faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance »; et ce n’est pas étonnant, puisque tout ce qui a précédé n’était qu’une préparation à la venue de l’homme, le œuvre de couronnement de Dieu, le roi de la création; et parce que l’homme était destinée à être l’image de Dieu. Les mots tselem et demuth désigne pas exactement la même chose, mais sont néanmoins utilisés inter-changeably. Quand on dit que l’homme est créé à l’image de Dieu, ce qui signifie que Dieu est l’archétype de l’est que l’homme est l’insupportable; et lorsqu’il est ajouté qu’il est créé selon la ressemblance de Dieu, ce qui ajoute simplement l’idée que l’image est dans tous les sens comme l’original. Dans tout son être, l’homme est l’image même de Dieu.

Avant de passer à du septième jour, il peut être bien pour attirer l’attention sur le parallèle remarquable entre les travaux de la première et celle des seconde trois jours de la création.

1. la création de la lumière. & 4. La création de porteurs de lumière.

2. création d’étendue et de la séparation des eaux. & 5. Création des oiseaux du ciel et les poissons de la mer.

3. séparation des eaux et la terre ferme et préparation de la terre comme une habitation de l’homme et la bête. & 6. Création des bêtes du champ, le bétail et rampant toutes choses; et Man.

g. le septième jour. Le repos de Dieu le septième jour contient d’abord un élément négatif. Dieu a cessé de son travail de création. Mais à cela s’ajoutent un élément positif, à savoir, qu’il prenne plaisir dans son travail achevé. Son repos est comme le reste de l’artiste, après que qu’il a terminé son chef-d'œuvre et maintenant les regards sur elle avec une profonde admiration et de joie et trouve une satisfaction parfaite dans la contemplation de sa production. « Et Dieu vit tout ce qu’il avait fait et voici, cela était très bon. » Il a répondu le dessein de Dieu et correspondait à l’idéal divin. C’est pourquoi Dieu se réjouit de sa création, pour dedans il reconnaît le reflet de ses perfections glorieuses. Son visage radieux éclaire il et est productif de douches de bénédictions.

4. aucun SECOND récit de la création dans la Genèse 2. Il est assez fréquent pour avancée critique supérieure de supposer que la Genèse 2 contient un compte rendu de la deuxième et indépendant de la création. Le premier compte est considéré comme le œuvre de l’Elohist et le second comme celle de la Jehovist. Les deux, dit-on, n’acceptez pas, mais le conflit sur plusieurs points. Selon le deuxième récit, par opposition à la première, la terre est sèche avant la création de plantes; l’homme est créé avant les animaux et que seul, pas comme homme et femme; Puis Dieu créa les animaux, afin de voir si elles seront compagnons fit pour l’homme; voyant qu’ils ne parviennent pas à cet égard, il a crée la femme comme une compagne pour l’homme; et, enfin, il place l’homme dans le jardin qu’il avait préparé pour lui. Mais il s’agit clairement d’une incompréhension totale du deuxième chapitre. Genèse 2 n’est pas et ne prétend pas être, un récit de la création. La suscription 'eleh toledoth, qui se trouve dix fois dans la Genèse, jamais fait référence à la naissance ou l’origine des choses, mais toujours à leur naissance, c'est-à-dire leur histoire plus tard. L’expression remonte à un temps quand l’histoire se composait toujours dans la description des générations. Le deuxième chapitre de la Genèse commence la description de l’histoire de l’homme, organise son matériel en fonction de ce but et ne répète tellement de ce qui a été dit dans le chapitre précédent, sans aucune considération d’ordre chronologique, comme est nécessaire pour l’auteur but du voyage.

5. LES TENTATIVES D’HARMONISER LE RÉCIT DE LA CRÉATION AVEC LES CONCLUSIONS DE LA SCIENCE.

a. l’interprétation idéale ou allégorique. Ce qui donne une importance à l’idée, plutôt qu’à la lettre de la narration. Elle considère Genèse 1 comme une description poétique de le œuvre créatrice de Dieu, cela représentant différents points de vue. Mais (1) il est tout à fait évident que le récit est conçu comme un record de l’histoire et est clairement considéré alors dans l’écriture, cf. Exode 20:11; Néhémie 9:6; PS. 33: 6, 9; 145:2-6; (2) le premier chapitre de la Genèse « manque de presque tous les éléments de la poésie hébraïque reconnue » (fort); et (3) ce récit est inséparablement lié à l’histoire suivante, et est donc plus naturellement considérée comme historique elle-même.

b. la théorie mythique de la philosophie moderne. La philosophie moderne a progressé au-delà de la position précédente. Elle rejette non seulement le récit historique de la création, mais aussi l’idée de création et ce qui concerne le contenu de Genèse 1 comme un mythe incarnant une leçon religieuse. Il n’y a aucune allégorie intentionnelle ici, il est dit, mais uniquement une représentation mythique naïf avec une base religieuse ou le noyau. C’est également à l’encontre du fait que Genèse 1 certainement vient à nous avec la prétention d’être un récit historique, et dans les renvois, mentionnés ci-dessus, il certainement n’est pas considéré comme un mythe.

c. la théorie de la restitution. Certains théologiens ont tenté de concilier le récit de la création avec les découvertes de la science dans l’étude de la terre en adoptant la théorie de la restitution. Elle a été préconisée par Chalmers, Buckland, Wisemann et Delitzsch et suppose qu’une longue période de temps écoulé entre la création primaire, mentionnés dans Genèse 1:1 et la création secondaire décrit dans Genèse 1:3-31. Cette longue période a été marquée par plusieurs changements catastrophiques, entraînant la destruction prétendument décrite dans les termes « déchets et Sub. » Le second couplet devrait alors lire, « et la terre sont devenus des déchets et Sub. » Cette destruction a été suivie d’une restitution, lorsque Dieu a changé le chaos dans un cosmos, un monde habitable pour l’homme. Cette théorie pourrait offrir des explications sur les différentes strates de la terre, mais il n’offre aucune explication des fossiles dans les roches, à moins qu’il est supposé qu’il y avait aussi des créations successives d’animaux, suivies de destructions massives. Cette théorie jamais trouvé faveur dans les milieux scientifiques et ne trouve aucun appui dans les Ecritures. La Bible ne dit pas que la terre est devenue, mais qu’il était des déchets et nul. Et même si le verbe hébreu hayetha peuvent être rendues « est devenu », les mots « déchets et Sub » indiquent une condition informe et non une condition résultant de la destruction. Delitzsch combiné avec cette théorie l’idée que la terre était habitée par les anges, et que la chute dans l’univers Angélique a été la cause de la destruction qui a entraîné le chaos dénommé dans le verset 2. Pour une raison ou une autre, ce point de vue trouve faveur considérable parmi les dispensationalistes de nos jours, qui trouvent le soutien en sa faveur dans ces passages, comme Ésaïe 24:1; Jérémie 04:23-26; Job. 9:4-7; II Pierre 2:4. Mais même une lecture attentive de ces passages est suffisante pour convaincre un qu’ils ne prouvent pas le point en question à tous. En outre, la Bible enseigne clairement nous que Dieu créa ciel et terre « et toute leur armée » en six jours, Genèse 2:1; Exode 20:11.

d. la théorie de concordistic. Cela cherche à harmoniser l’écriture et la science de supposer que les jours de création furent des périodes de milliers d’années. En plus de ce qui a été dit à ce sujet en discutant les jours de la création, nous pouvons maintenant ajouter que l’idée que les strates de la terre point positivement à longues périodes successives du développement de l’histoire de son origine, est simplement une théorie des géologues et une théorie reposant sur des généralisations injustifiées. Nous pourrions appeler l’attention sur les considérations suivantes: (1) la science de la géologie n’est pas seulement jeune, mais il est encore sous l’esclavage de la pensée spéculative. On ne peut considérer comme une science inductive, puisque c’est en grande partie le fruit des a priori ou d’un raisonnement déductif. Spencer a appelé « Géologie illogique » et ridiculisé ses méthodes et Huxley a parlé de ses hypothèses grand comme « non prouvée et non prouvables. » [Prix, les principes fondamentaux de la géologie, p. 29, 32]. (2) jusqu'à l’heure actuelle, il a fait guère plus que gratter la surface de la terre et que dans un nombre très limité de places. En conséquence, ses conclusions sont souvent simples généralisations, basées sur des données insuffisantes. Faits constatés dans certains endroits sont contredites par celles que l'on trouve dans d’autres. (3) même si elle avait exploré des grandes surfaces dans toutes les régions du globe, il pourrait seulement augmenter nos connaissances sur l’état actuel de la terre, mais ne serait jamais en mesure de nous donner des informations parfaitement fiables concernant son histoire passée. Vous ne pouvez pas écrire l’histoire d’une nation sur la base des faits constatés dans sa constitution actuelle et de la vie. (4) géologues une fois repose sur la supposition que les strates de roches trouvées dans le même ordre dans le monde entier; et que, par une estimation du temps requis par la formation de chacun, il pourrait déterminent l’âge de la terre. Mais (a) il a été constaté que l’ordre des roches diffère dans diverses localités; (b) les expériences faites déterminer le temps requis pour la formation des différentes strates, conduit à des résultats très différents; et (c) la théorie uniformitariste de Lyell, que l’action physique et chimique d’aujourd'hui sont des guides sûrs dans l’estimation de ceux de toutes les précédentes fois, s’est avérée pour ne pas être fiables. (Cf. davantage, le dogme de l’évolution, p. 148) (5) après l’échec de la tentative de déterminer l’âge des diverses strates ou roches par leur maquillage minéral et mécanique, les géologues a commencé à faire les fossiles le facteur déterminant. La paléontologie est devenu le sujet vraiment important, et sous l’influence de l’uniformitariste principe de Lyell développé dans une des preuves importantes de l’évolution. On suppose simplement que certains fossiles sont plus âgés que les autres; et si la question est posée sur quelles bases repose l’hypothèse, la réponse est qu’ils sont trouvent dans les roches les plus anciennes. Il s’agit d’un raisonnement tout simplement dans un cercle. L’âge des roches est déterminé par les fossiles qu’elles contiennent et l’âge des fossiles par les roches dans lesquelles ils se trouvent. Mais les fossiles ne se trouvent pas toujours dans le même ordre; parfois, l’ordre est inversé. (6) l’ordre des fossiles maintenant déterminés par la géologie ne correspond pas à l’ordre que le récit de la création nous amène à attendre, alors que même l’acceptation de la théorie géologique ne servirait pas le but d’harmoniser l’écriture et de la science.

6. la DOCTRINE de la création et la théorie de l’évolution. La question se pose naturellement de nos jours, comment la théorie de l’évolution affecte la doctrine de la création ?

a. la théorie de l’évolution ne peut se substituer à la doctrine de la création. Certains parlent comme si l’hypothèse de l’évolution a offert une explication de l’origine du monde; mais il s’agit clairement d’une erreur, car il ne fait aucune une telle chose. L’évolution est le développement, et tout le développement suppose l’existence préalable d’une entité ou de principe ou de force, hors de laquelle quelque chose se développe. Le non existant ne peut pas développer à l’existence. Matière et force ne pourraient pas ont évolué à partir de rien. Il est d’usage pour les évolutionnistes à se replier sur l’hypothèse nébulaire, afin d’expliquer l’origine du système solaire, bien que dans la science de nos jours c’est supplantée par l’hypothèse planetesimal. Mais celles-ci ne portent le problème d’un cran plus loin et ne parviennent pas à le résoudre. L’évolutionniste doit soit recourir à la théorie que la matière est éternelle, soit accepter la doctrine de la création.

b. la théorie de l’évolution naturaliste n’est pas en harmonie avec le récit de la création. Si l’évolution n’explique pas l’origine du monde, il pas au moins donner un rationnel compte de l’évolution des choses dans la matière primordiale et ainsi expliquer l’origine des espèces de plantes et d’animaux (y compris l’homme) et aussi les différents présents phénomènes de la vie, tels que la sensibilité, l’intelligence, morale et religion ? Elle est nécessairement en conflit avec le récit de la création ? Maintenant, il est parfaitement évident qu’évolution naturaliste certainement est en conflit avec le récit biblique. La Bible enseigne que les plantes et les animaux et l’homme apparu sur la scène à la fiat créative du tout-puissant; mais selon l’hypothèse évolutionniste, ils ont évolué hors du monde inorganique par un processus de développement naturel. La Bible représente Dieu comme créant des plantes et des animaux selon leur espèce et produisant semence selon leur espèce, qui est, afin qu’ils reproduiraient leur propre genre; mais la théorie des points d’évolution à des forces naturelles, résidents dans la nature, menant à l’élaboration d’une espèce à une autre. Selon le récit de la création, le végétal et l’animal royaumes et l’homme ont été portées de suite en une seule semaine; mais l’hypothèse de l’évolution les considère comme le produit d’une évolution progressive au cours des millions d’années. L’écriture des photos homme debout sur un plan plus élevé au début de sa carrière, et ensuite descendre à des niveaux inférieurs par l’influence de détérioration du péché; la théorie de l’évolution, en revanche, représente l’homme original comme seulement légèrement différente de la brute et prétend que la race humaine a augmenté, par l’intermédiaire de ses propres pouvoirs inhérents, à des niveaux toujours plus élevés de l’existence.

c. la théorie de l’évolution naturaliste est pas bien établie et ne parvient pas à expliquer les faits. Le conflit dénommé dans ce qui précède serait grave, si la théorie de l’évolution était un fait établi. Certains pensent qu’il est et en toute confiance parler du dogme de l’évolution. D’autres, cependant, correctement nous rappellent le fait que l’évolution est encore qu’une hypothèse. Même si grand scientifique comme Ambrose Fleming dit que « l’analyse attentive des idées connecté avec le terme que évolution montre qu’ils soient insuffisantes comme une solution philosophique ou scientifique des problèmes de la réalité et l’existence. » [Evolution ou création, p. 29.] La même incertitude qui prévaut dans le camp des évolutionnistes est la preuve que l’évolution n'est qu’une hypothèse. En outre, il est franchement admis aujourd'hui par beaucoup de ceux qui continuent à s’accrocher au principe d’évolution qu’ils ne comprennent pas son mode de fonctionnement. On pensait à un moment donné que Darwin avait fourni la clé de l’ensemble du problème, mais que la clé est maintenant plutôt généralement ignorée. Les piliers de la Fondation, sur lequel la structure darwinienne a été élevée, tels que le principe d’utilisation et de non-utilisation, la lutte pour l’existence, la sélection naturelle et la transmission des caractères acquis, ont été enlevés, l’un après l’autre. Ces évolutionnistes Weissmann, De Vries, Mendel, et Bateson, ont tous contribué à l’effondrement de l’édifice darwinien. Nordenskioeld, dans son Histoire de la biologie, parle de la « dissolution du darwinisme » comme un fait établi. Dennert nous appelle pour le lit de mort du darwinisme, et O'Toole dit: « darwinisme est mort, et aucun chagrin de pleureuses ne peut ressusciter le cadavre. » Morton parle de « la faillite de l’évolution, » et le prix de la « fantôme de l’évolution organique. » Darwinisme, ensuite, n’a certes pas d’expliquer l’origine des espèces, et les évolutionnistes n’ont pas été en mesure d’offrir une meilleure explication. Les comptes de loi mendélienne des variations, mais pas à l’origine de nouvelles espèces. Elle fait vraiment loin le développement de nouvelles espèces par un processus naturel. Certains sont d’avis que la théorie de la mutation de la théorie De Vries ou Lloyd Morgan emergent evolution points la manière, mais ni l’un d'entre eux s’est avéré pour être une explication réussie de l’origine des espèces par évolution naturelle pure et simple. Il est maintenant admis que les mutants de Vries sont variétale plutôt que spécifique et ne saurait être considérées comme les débuts de nouvelles espèces. Et Morgan se sent contrainte d’admettre qu’il ne peut pas expliquer son emergents sans retomber sur une puissance créatrice qui pourrait être appelée Dieu. Morton, dit: « le fait est que, en plus de la création, il n’est pas encore une théorie des origines de tenir le terrain aujourd'hui. » [La faillite de l’évolution, p. 182.]

L’hypothèse d’évolution échoue à plusieurs reprises. Il ne peut pas expliquer l’origine de la vie. Les évolutionnistes a cherché son explication dans la génération spontanée, une hypothèse non prouvée, qui est maintenant discréditée. C’est un fait bien établi dans la science que la vie ne peut venir que de la vie antérieure. En outre, il a totalement échoué à produire un seul exemple d’une espèce distincte de l’autre production (organique, par opposition à cépage) espèces. Bateson a dit en 1921: « nous ne comprenons pas comment la différenciation en espèce a vu le jour. Les variations de toutes sortes, souvent considérables, nous tous les jours le témoin, mais pas d’origine des espèces.... Pendant ce temps, bien que notre foi en évolution est inébranlable, nous n’avons aucun compte acceptable de l’origine des espèces. » [Science, 20 janvier 1922.] Ni a évolution pu réussir à affronter les problèmes posés par l’origine de l’homme. Il n’a pas encore réussi à prouver la descente physique de l’homme de l’animal. J. A. Thomson, auteur de The Outline of Science et un premier plan évolutionniste, détient cet homme jamais vraiment était un animal, une féroce créature regardant bestiale, mais que le premier homme surgit tout à coup, par un grand saut, le stock de primates dans un être humain. Beaucoup moins il a été en mesure d’expliquer le côté psychique de la vie de l’homme. L’âme humaine, doté d’intelligence, conscience, liberté, conscience et aspirations religieuses, demeure une énigme non résolue.

d. l’évolution théiste n’est pas tenable à la lumière de l’écriture. Certains les scientistes et les théologiens visent à harmoniser la doctrine de la création, tel qu’enseigné par l’écriture, et la théorie de l’évolution en acceptant ce qu’ils appellent l’évolution théiste. C’est une protestation contre la tentative de suppression de Dieu et lui postule que le travailleur tout-puissant l’arrière de l’ensemble du processus de développement. Evolution est considérée tout simplement comme méthode de Dieu de travailler dans le développement de la nature. L’évolution théiste revient vraiment à ce que Dieu a créé le monde (le cosmos) par un processus d’évolution, un processus de développement naturel, dans lequel il ne pas miraculeusement intervenu, sauf dans les cas où cela est absolument nécessaire. Il est prêt à admettre que le commencement absolu du monde ne pourrait résulter que d’une activité créatrice directe de Dieu; et si elle ne peut trouver aucune explication naturelle, n’accordera aussi une intervention directe de Dieu à l’origine de la vie et de l’homme. Elle a été saluée comme evolution chrétienne, bien qu’il n’est pas nécessairement quelque chose Christian à ce sujet. Beaucoup, sinon opposés à la théorie de l’évolution, ont salué, car elle reconnaît Dieu dans le processus et est censé pour être compatible avec la doctrine biblique de la création. Par conséquent, il est enseigné librement dans les églises et les écoles du dimanche. En fait, cependant, c’est un hybride très dangereux. Le nom est une contradiction dans les termes, car c’est le théisme ni naturalisme, ni création, ni évolution dans l’acception des termes. Et il ne nécessite pas beaucoup de pénétration de voir que m. Fairhurst a raison dans sa déclaration de culpabilité « que l’évolution théiste détruit la Bible comme le livre inspiré de pouvoir aussi efficacement comme le fait l’évolution athée. » [L’évolution théiste, p. 7.] Comme l’évolution naturaliste, il apprend qu’il lui fallait des millions d’années pour produire le monde habitable actuel; et que Dieu n’a pas créé les diverses espèces de plantes et d’animaux et que, alors qu’ils ont produit leur propre genre; Cet homme, au moins sur son aspect physique, est un descendant de la brute et par conséquent a commencé sa carrière à un niveau faible; qu’il n’y a n’été aucune chute dans le sens du mot, mais seulement répété est caduque des hommes dans leurs cours à la hausse; que le péché n’est seulement une faiblesse, résultant de l’instinct animal de l’homme et des désirs et ne constitue pas de culpabilité; que la rédemption est provoquée par le contrôle croissant de l’élément supérieur chez l’homme sur ses penchants inférieurs; que les miracles n’existent pas, soit dans le naturel, soit dans le monde spirituel; que régénération, conversion et sanctification sont simplement naturels changements psychologiques et ainsi de suite. En un mot, c’est une théorie qui est absolument subversive de la vérité de l’écriture.

Certains érudits chrétiens d’aujourd'hui se sentent que la théorie de l’Évolution créatrice de Bergson lui-même rend hommage à ceux qui ne veulent pas laisser Dieu pris en considération. Ce philosophe Français suppose un élan vital, une impulsion vitale dans le monde, comme le sol et l’animation de principe de toute vie. Ce principe vital ne vient pas de la matière, mais est plutôt la cause d’origine de la matière. Il imprègne l’affaire, surmonte son inertie et la résistance en agissant comme une force vivante sur ce qui est essentiellement en train de mourir et jamais crée, pas de nouveau matériel, mais nouveaux mouvements adaptés aux extrémités de ses propres, et crée ainsi très autant que l’artiste crée. C’est la directive et téléologique et pourtant, bien que consciente, ne fonctionne pas selon un plan préconçu, mais c’est peut-être possible. Il détermine évolution elle-même ainsi que la direction dans laquelle l’évolution se déplace. Cette vie jamais création, « dont tous les individus et toutes les espèces sont une expérience, » est Dieu de Bergson, un Dieu qui est fini, qui est limitée au pouvoir et qui est apparemment impersonnel, même si Hermann dit que « nous ne, peut-être, pas aller loin de la vérité en croyant qu’il « la tendance idéale des choses » seront personnelle. » [Eucken et Bergson, p. 163.] Haas parle de Bergson comme un panthéiste vitaliste et non théiste. En tout cas, son Dieu est un Dieu qui est tout à fait dans le monde. Ce point de vue peut avoir un attrait particulier pour le théologien libéral modern, mais il est encore moins en harmonie avec le récit de la création que l’évolution théiste.

QUESTIONS pour une étude plus approfondie. Quelle est la vraie alternative à la doctrine de la création ? Où se situe l’importance de la doctrine de la création ? Les premiers chapitres de la Genèse puissent avoir une incidence quelconque sur l’étude scientifique de l’origine des choses ? La Bible en quelque sorte détermine-t-il le temps où le monde a été créé ? Quels extrêmes sont à proscrire quant à la relation entre Dieu et le monde à l’autre ? La Bible devrait toujours être interprétée en harmonie avec les théories scientifiques largement acceptées ? Quel est le statut de l’hypothèse de l’évolution dans le monde scientifique aujourd'hui ? Quel est l’élément caractéristique de la théorie darwinienne de l’évolution ? Comment expliquez-vous son rejet généralisé à l’heure actuelle ? Comment évolution créatrice de Bergson ou le néo-vitalisme de Hans Driesch affecte-t-elle la conception mécaniste de l’univers ? En quoi est l’évolution théiste une amélioration au cours de l’évolution naturaliste ?

LITTÉRATURE. Bavinck, Geref. Dogme. II. pp. 426-543; Ibid., Schepping de Ontwikkeling; Kuyper, Dict. dogme., De Creatione, pp. 3-127; De Creaturis A, p. 5-54; B. p. 3-42; Ibid., Evolutie; Vos Geref. Dogme. J’ai, De Schepping; Hodge. Syst. Theol. I, p. 550-574; Shedd, dogme . THEOL. I, pp. 463-526; McPherson, Chr. dogme., p. 163-174; Dabney, syst et polémique Theol., pp. 247-274; Harris, Dieu, créateur et Seigneur de tous, I, pp. 463-518; Hepp, calvinisme et philosophie de la Nature, Chap. V; Honig, Geref. Dogme., p. 281-324; Noordtzij, de Dieu der de fr Woord Eeuwen Getuigenis, p. 77-98; Aalders, De Goddelijke Openbaring in de Eerste Drie Hoofdstukken van Genèse; Geesink, de Van Heeren Ordinantien, Inleidend Deel, pp. 216-332; divers travaux de Darwin, Wallace, Weissman, Osborne, Spencer, Haeckel, Thomson et autres sur l’évolution; Dennert, le lit de mort du darwinisme; Dawson, la Bible a confirmé par la Science; Fleming, évolution et création; Hamilton, la base de la foi évolutionniste; Johnson, peut maintenant Christian croient en évolution? McCrady, raison et révélation; De plus, le dogme de l’évolution; Morton, la faillite de l’évolution; O ' Toole, l’affaire contre l’évolution; Prix, les principes fondamentaux de la géologie; Ibid., Le fantôme de l’évolution biologique; Messenger, évolution et la théologie; Rimmer, la théorie de l’évolution et les faits de la Science.

A. le compte biblique de la création.

Autres pays, ainsi que les Hébreux, avaient leurs comptes concernant l’origine de l’univers matériel et de la façon dont le chaos initial a été transformé en un cosmos ou un monde habitable. Certains de ces comptes révèlent des traces de similitude avec le récit biblique, mais contiennent des différences encore plus frappantes. Ils sont en général caractérisées par des éléments dualistes ou polythéistes, représentent le monde actuel comme le résultat d’une lutte acharnée entre les dieux, puis sont très éloignées de la simplicité et la sobriété du récit biblique. Il peut être souhaitable de préfacer notre discussion de ses détails par quelques remarques générales.

1. du POINT de vue d'où la BIBLE envisage le travail de création. C’est une chose importante que le récit de la création, alors qu’il mentionne la création des cieux, s’intéresse pas davantage vers le monde spirituel. Il porte sur le monde matériel uniquement et cela représente avant tout comme l’habitation de l’homme et que le théâtre de ses activités. Il s’agit non pas avec des réalités invisibles comme les esprits, mais avec les choses qui sont visibles. Et parce que ces choses sont perceptibles aux sens humains, ils viennent vers le haut pour la discussion, non seulement en théologie, mais aussi dans les autres sciences et en philosophie. Mais alors que la philosophie cherche à comprendre l’origine et la nature de toutes choses par la lumière de la raison, la théologie prend son point de départ en Dieu, se permet d’être guidé par sa révélation spéciale concernant le travail de création et considère tout à Lui. Le récit de la création est le début de la révélation de Dieu et nous familiarise avec la relation fondamentale dans laquelle tout, homme compris, se trouve à lui. Il souligne la position originale de l’homme, afin que les hommes de tous âges pourraient avoir une bonne compréhension du reste de l’écriture comme une révélation de la rédemption. Alors qu’il ne prétend pas nous donner une cosmogonie philosophique complète, elle contient des éléments importants pour la construction d’une cosmogonie appropriée.

2. l’origine du récit de la création. La question de savoir l’origine du récit de la création a été soulevée à plusieurs reprises, et l’intérêt qu’il a été renouvelé par la découverte de l’histoire babylonienne de la création. Cette histoire, comme il est connu pour nous, a pris forme dans la ville de Babylone. Il parle de la génération de plusieurs dieux, dont Marduk s’avère suprême. Seulement, il a été suffisamment puissant pour surmonter le primeval dragon Tiamat et devient le créateur du monde, que les hommes adorent. Il y a quelques points de similitude entre le récit de la création dans la Genèse et cette histoire babylonienne. Les deux parlent d’un chaos primitif et d’une division des eaux ci-dessous et ci-dessus le firmament. Genèse parle de sept jours, et le compte babylonien est organisé en sept comprimés. Les deux comptes connecter les cieux avec le quatrième époque de création et la création de l’homme avec la sixième. Certaines de ces ressemblances sont de peu d’importance, et les différences des deux comptes sont beaucoup plus importantes. L’ordre hébreu diffère sur de nombreux points de la babylonienne. La plus grande différence se trouve, cependant, dans les conceptions religieuses des deux. Le compte babylonien, à la différence de celle de l’écriture, est mythologique et polythéiste. Les dieux ne pas se tenir debout sur un niveau élevé, mais le schéma et le terrain et se battre. Et Marduk ne parvient qu’après une lutte prolongée, dont taxes de sa force, à vaincre les forces du mal et de réduire le chaos à l’ordre. Dans la Genèse, en revanche, nous rencontrer le monothéisme plus sublime et voir Dieu appelant l’univers et toutes choses par la simple parole de sa puissance. Lorsque le compte Babyloniens a été découvert, beaucoup d’érudits hâtivement supposé que le récit biblique a été dérivé de la source babylonienne, oubliant qu’il existe au moins deux autres possibilités, à savoir, (a) que l’histoire babylonienne est un corrompu reproduction de la narration dans la Genèse; ou (b) que les deux sont issus d’une source commune, plus primitive. Mais cependant peut répondre à cette question, il ne règle pas le problème de l’origine du récit. Comment l’original, qu’elle soit écrite ou orale, venu à l’existence ? Certains la considèrent simplement comme le produit naturel de réflexion de l’homme sur l’origine des choses. Mais cette explication est extrêmement peu probable étant donné les faits suivants: (a) l’idée de création est incompréhensible; (b) la science et la philosophie s’opposent également à la doctrine de la création de rien; et (c), c’est seulement par la foi que nous comprenons que les mondes ont été encadrées par la parole de Dieu, Hébreux 11:3. Nous arrivons donc à la conclusion que l’histoire de la création a été révélé à Moïse ou à l’un des patriarches antérieurs. Si cette révélation a été préalablement mosaïque, il passé dans la tradition (orale ou écrite) d’une génération à l’autre, probablement perdu de sa pureté originelle et fut finalement incorporée dans une forme pure, sous la direction de l’Esprit Saint, dans le premier livre de la Bible .

3. l’interprétation de la Genèse 1:1, 2. certains considèrent la Genèse 1:1 comme la suscription ou le titre du récit de la création entière. Mais ceci est inacceptable pour trois raisons: (a) parce que le récit suivant est relié avec le premier verset de la conjonction hébraïque waw (et), qui ne serait pas le cas si le premier couplet était un titre; (b) parce que, il n’y aurait pas de compte sur cette supposition, que ce soit de la création originale et immédiate; et (c) car les versets suivants ne contiennent aucun récit de la création des cieux à tous. Le plus généralement accepté interprétation est que Genèse 1:1 enregistre la création originale et immédiate de l’univers, Hebraistically appelé « ciel et terre. » Dans cette expression, le « ciel » de mot se réfère à cet ordre invisible des choses où la gloire de Dieu se révèle la manière la plus parfaite. Il ne saurait être considérée comme une désignation des cieux cosmique, si des nuages ou des étoiles, pour ces derniers ont été créés sur le deuxième et le quatrième jour de la semaine de la création. Dans le second verset, l’auteur décrit ensuite l’état original de la terre (COMP. PS. 104:5, 6). C’est une question discutable, que ce soit la création originale de la matière formé d’une partie des travaux de la première journée, ou fut séparée de cela par une période plus courte ou plus longue. Parmi ceux qui s’interposer une longue période entre les deux, certains soutiennent que le monde était à l’origine un lieu d’habitation des anges, a été détruit à la suite d’une chute dans l’univers Angélique et a été ensuite récupéré et transformé en une habitation fit pour hommes. Nous ferons référence à cette théorie de restitution dans une autre connexion.

B. la virginité, ou le travail des jours distincts.

Après la création de l’univers à partir de rien dans un moment de temps, le chaos existant a été progressivement transformé en un cosmos, un monde habitable, en six jours successifs. Avant le travail des jours distincts est indiqué, le. question quant à la longueur des jours de la création exige une brève discussion.

1. examen de la théorie qu’il s’agissait de longues périodes. Certains chercheurs supposent que les jours de Genèse 1 étaient longues périodes de temps, afin qu’elles s’harmonisent avec les périodes géologiques. Estime que ces jours n’étaient pas des jours ordinaires de vingt-quatre heures n’était pas tout à fait étranger à la théologie chrétienne au début, comme le montre E. C. Messenger en détail dans son savant travail sur l’évolution et la théologie. Mais certains d'entre les pères de l’église, qui a laissé entendre que ces jours étaient sans doute ne pas à considérer comme des jours ordinaires, a exprimé l’avis que l’ensemble du travail de création a été fini en un moment de temps, et que les jours constituaient simplement un cadre de travail symbolique, qui facilité la description des travaux de création de façon ordonnée, afin de la rendre plus intelligible pour les finis esprits. Estime que les jours de la création ont été longtemps est venu au premier plan dans ces dernières années, pas, cependant, comme le résultat d’études exégétiques, mais sous l’influence des divulgations de la science. Avant le XIXe siècle, les jours de la Genèse étaient plus généralement considérés comme jours littéraux. Mais, bien sûr, l’interprétation humaine n’est pas infaillible et peut devoir être révisé à la lumière des découvertes plus tard. Si les conflits exégèse traditionnelle, non seulement avec les théories scientifiques — qui sont elles-mêmes des interprétations —, mais avec des faits bien établis, repenser et réinterprétation est naturellement dans l’ordre. On peut difficilement affirmer, toutefois, que les périodes géologiques présumées nécessitent un changement de front, car ils ne sont en aucun cas généralement reconnu, même dans les milieux scientifiques, faits ainsi établis. Certains érudits chrétiens, tels que Harris, Miley, Bettex et Geesink, supposent que les jours de la Genèse sont jours géologiques, et tant Shedd Hodge attirer l’attention sur la concordance remarquable entre le dossier de la création et le témoignage des roches et sont enclin à considérer les jours de la Genèse comme périodes géologiques.

La question peut être soulevée, que ce soit mais possible de concevoir les jours de la Genèse comme de longues périodes. Et puis il faut admettre que mot hébreu yom ne désigne pas toujours une période de vingt-quatre heures dans les Ecritures et ne sert pas toujours dans le même sens, même dans le récit de la création. Il peut que la lumière du jour dans la distinction des ténèbres, Genèse 1:5, 16, 18; jour-lumière et l’obscurité ensemble, Genèse 1:5, 8, 13 etc..; les six jours, pris ensemble, Genèse 2:4; et une durée indéterminée identifiés dans toute sa longueur par quelque trait caractéristique, par ennui, Psaume 20:1, colère, Job à 20:28, prospérité, Eccl. 07:14, ou le Salut II Cor. 6:2. Maintenant, certains soutiennent que la Bible favorise l’idée que les jours de la création ont été des périodes indéfinies de temps et d’attirer l’attention à ce qui suit: (a) le soleil n’a pas été créé avant le quatrième jour, et donc la longueur des jours précédents ne pouvait pas encore être déterminée par l’oreille relation de Th au soleil. Cela est parfaitement vrai, mais ne prouve pas le point. Dieu avait établi de toute évidence, même avant le quatrième jour, une alternance rythmique de la lumière et les ténèbres, et il n’y a aucun motif pour l’hypothèse selon laquelle les jours ainsi mesurées étaient de plus longue durée que les jours plus tard. Pourquoi devrions nous supposons que Dieu a considérablement augmenté la vitesse de rotation de la terre après que la lumière était concentrée dans le soleil ? (b) les jours mentionnés sont jours de Dieu, les jours archétypales, dont les jours des hommes sont simplement ectypal exemplaires; et avec Dieu mille ans sont comme un seul jour, Psaume 90.4; II Pierre 3:8. Mais cet argument repose sur une confusion des temps et l’éternité. Dieu ad intra a pas jours, mais demeure dans l’éternité, exalté jusqu'à maintenant surtout des mesures de temps. C’est aussi l’idée véhiculée par le Psaume 90.4; et II Pierre 3:8. Les seule véritable jours dont Dieu a connaissance sont les jours de ce monde d’espace-temps. Comment s’ensuit-il pas du fait que Dieu est plus haut que les limites de temps, tels qu’ils existent dans ce monde, où le temps est mesuré par jours et des semaines et des mois et des années, qui un jour peut tout aussi bien être une période de 100 000 ans comme l’un des vingt-quatre heures ? (c) le septième jour, le jour où Dieu s’est reposé de sa passion, est censée poursuivre jusqu'à l’heure actuelle et doit donc être considérée comme une période de milliers d’années. C’est le Sabbat de Dieu, et ce Sabbat ne se termine jamais. Cet argument représente une confusion semblable. L’idée de Dieu commence le travail de création à un certain moment, et puis il cesse après une période de six jours, ne s’applique pas à Dieu comme il est en lui-même, mais seulement aux résultats temporelles de son activité créatrice. Il est immuablement le même d’âge en âge. Son Sabbat n’est pas une période prolongée indéfiniment; Il est éternel. En revanche, le Sabbat de la semaine de la création a été un jour longueur égal aux autres jours. Dieu s’est reposé, non seulement, ce jour-là, mais il a aussi béni et sanctifié, mettant de côté comme un jour de repos pour l’homme, Exode 20:11. Ceci s’appliquerait difficilement à l’ensemble de la période depuis la création jusqu'à nos jours.

2. examen de la vue qu’il s’agissait des jours littéraux. L’opinion qui prévaut depuis toujours que les jours de Genèse 1 doivent s’entendre comme jours littéraux. Quelques-uns des premiers pères de l’église ne les considérait pas comme des indications réelles du temps où le travail de création a été achevé, mais plutôt comme une forme littéraire dans laquelle l’écrivain de la Genèse castée le récit de la création, pour photo le travail de création — qui a été vraiment achevé en un moment de temps — de façon ordonnée pour l’intelligence humaine. C’est seulement après que les sciences relativement nouveau de la géologie et de palæontology se sont manifestés avec leurs théories de l’énorme âge de la terre, que les théologiens se manifestèrent une inclinaison pour identifier les jours de la création avec les longues périodes géologiques. Aujourd'hui certains d'entre eux la considèrent comme un fait établi que les jours de Genèse 1 furent des périodes de temps géologiques; d’autres sont un peu enclins à occuper ce poste, mais montrent beaucoup d’hésitation. Hodge, Sheldon, Van Oosterzee et Dabney, dont certains ne sont pas tout à fait opposés à ce point de vue, sont tous d’accord que cette interprétation des jours est mais douteux, voire impossible. Kuyper et Bavinck tenir que, tandis que les trois premiers jours ait été de quelque peu différentes longueurs, les trois derniers étaient certainement ordinaires jours. Naturellement, ils ne considèrent pas même les trois premiers jours comme des périodes géologiques. Vos dans son Gereformeerde Dogmatiek défend la position selon laquelle les jours de la création ont été les jours ordinaires. Hepp prend la même position dans son calvinisme et la philosophie de la Nature. [p. 215.] Noortzij dans der fr de dieux Woord Eeuwen Getuigenis,[pp. 79f.] affirme que mot hébreu yom (jour) dans Genèse 1 ne peut éventuellement désigner quoi que ce soit d’autre qu’un jour ordinaire, mais tient que l’écrivain de la Genèse n’attachait pas une importance à la notion de « jour », mais introduit simplement au sein d’un cadre de travail pour le récit de la création, ne pas indiquer la séquence historique, mais à l’image de la gloire des créatures à la lumière du grand dessein Rédempteur de Dieu. C’est pourquoi le Sabbat est le grand point culminant, où l’homme atteint son véritable destin. Ce point de vue nous rappelle assez fortement la position de certains des premiers pères de l’église. Les arguments avancés pour qu’il ne sont pas très convaincant, Aalders a montré dans son De Eerste Drie Hoofdstukken van Genesis. [p. 232-240.] Ce chercheur de l’ancien Testament contient, sur la base de la Genèse 1:5, que terme yom dans Genèse 1 dénote simplement la période de lumière, par opposition à celle des ténèbres; mais ce point de vue semble impliquer une interprétation plutôt contre nature de l’expression répétée « et il y avait soirée et il y avait le matin. » Il doit alors être interprétée comme signifiant et il y avait soirée précédée d’un matin. Selon m. Aalders, aussi, l’écriture favorise certainement l’idée que les jours de la création ont été les jours ordinaires, bien qu’il n’est pas possible de déterminer leur durée exacte, et les trois premiers jours peut avoir différaient quelque peu depuis les trois dernières.

L’interprétation littérale du terme « jour » en Genèse 1 est favorisée par les considérations suivantes: (a) dans son premier sens du mot yom dénote un jour naturel; et c’est une bonne règle en exégèse, ne pas s’écarter de la signification primaire d’un mot, sauf si cela est requis par le contexte. Dr Noortzij insiste sur le fait que ce mot ne signifie pas simplement rien d’autre que « jour », comme cela est connu par l’homme sur la terre. (b) l’auteur de la Genèse semble se taire nous absolument à l’interprétation littérale en ajoutant, dans le cas de tous les jours, les mots: « et il y avait soirée et il y avait le matin. » Chacun des jours mentionnés a juste un soir et matin, quelque chose qui s’appliquerait difficilement à une période de milliers d’années. Et si il faut dire que les périodes de création étaient jours extraordinaires, chacun consistant en une longue journée et une nuit longue, alors la question se pose naturellement, ce qui allait devenir de toute végétation au cours de la longue, longue nuit ? (c) dans Exode 20:9-11 Israël est commandé à six jours de travail et au repos sur le septième, parce que Jéhovah a fait les cieux et la terre en six jours et se reposa le septième jour. Son exégèse semblerait requiert que le mot « jour » dans le même sens dans les deux cas. Par ailleurs le Sabbat mis de côté pour le reste était certainement un jour littéral; et la présomption est que les autres jours étaient de même nature. (d) au cours des trois derniers jours étaient des jours certes ordinaires, car ils ont été déterminés par le soleil de la manière habituelle. Alors que nous ne pouvons pas être absolument sûrs que les jours précédents ne différaient pas d’eux, tout en longueur, il est très improbable qu’ils diffèrent de leur part, comme des périodes de milliers d’années, diffèrent des jours ordinaires. Peut aussi se demander, pourquoi une si longue période devrait être requise, par exemple, pour la séparation de la lumière et les ténèbres.

3. le travail des jours distincts. Nous remarquons dans le travail de création une certaine gradation, le travail de chaque jour mène jusqu'à et se prépare pour le travail de l’autre, le tout aboutissant à la création de l’homme, la Couronne de l’ouvrage de Dieu, chargée d’assurer la tâche importante consistant à toute la création inféodé à la gloire de Dieu.

a. le premier jour. Le premier jour, la lumière a été créé et par la séparation de la lumière et les ténèbres nuit et ont été constituées. Cette création de la lumière le premier jour a été ridiculisée compte tenu du fait que le soleil n’a pas été créé avant le quatrième jour, mais science elle-même réduite au silence le ridicule en prouvant que la lumière n’est pas une substance émanant du soleil, mais se compose d’éther vagues produites par électrons énergétiques. Notez également que la Genèse ne parle pas du soleil comme la lumière (oupas), mais comme porteur de lumière (ma), exactement ce que la science a découvert qu’il est. Compte tenu du fait que la lumière est la condition de toute vie, c’était mais naturelle qu’il devrait être créé en premier. Dieu a institué également à la fois l’ordonnance de l’alternance de lumière et d’obscurité, appelant la lumière jour et la nuit de l’obscurité. Cependant, on nous dit pas comment cette alternance a été effectuée. Le compte de travail chaque journée de se termine par ces mots: « et il y avait soirée et il y avait le matin. » Les jours ne sont pas considérés de soir à soir, mais du matin au matin. Après douze heures, il y avait soirée, et après un autre 12 heures il y a matin.

b. le deuxième jour. Les travaux de la deuxième journée a également étaient une œuvre de séparation: le firmament a été établi en divisant les eaux ci-dessus et les eaux sous-jacentes. Les eaux ci-dessus sont les nuages et pas, comme certains aurait-il, la mer de verre, Apocalypse 4:6; 15:2 et la rivière de la vie, Apocalypse 22:1. Certains ont discrédité la mosaïque compte sur la supposition qu’il représente le firmament comme une voûte solide; mais c’est tout à fait injustifié, car le mot hébreu Rene ne désigne pas une voûte solide du tout, mais est l’équivalent de notre mot « étendue ».

c. le troisième jour. La séparation se faite encore plus loin dans la séparation de la mer de la terre sèche, cf. PS. 104:8. En plus de cela, le règne végétal de plantes et d’arbres a été créé. Trois grandes classes sont mentionnées, à savoir deshe', c'est-à-dire les plantes sans fleurs, qui ne pas mutuellement fructifier de la manière habituelle; 'esebh, composé de légumes et de céréales produisant des semences; et 'ets peri ou fruits arbres, leurs fruits selon leur type. Il est à noter ici: (1) que, lorsque Dieu dit: « que la terre formulées herbe » etc, ce n’était pas équivalent à dire: laisser les matières inorganiques à développer par ses propres inhérentes de force dans la vie végétale. C’était un mot du pouvoir par lequel Dieu implanté le principe de la vie sur la terre et donc lui ont permis d’enfanter des herbes et des herbes et des arbres. Que c’est une parole créatrice est évident d’après Genèse 2:9. (2) que l’instruction, « et la terre produisit herbe, herbes produisant des semences après leur genre et les arbres portant des fruits, dans lequel est la semence, selon leur espèce » (vs. 12), distinctement favorise l’idée que les différentes espèces de plantes ont été créés par Dieu, et n’a pas développé l’un sur l’autre. Chacun d’eux enfantée semence selon son espèce et pourrait donc ne se reproduire son genre. La théorie de l’évolution, bien sûr, négatifs tous les deux de ces assertions; mais il faut avoir à l’esprit que les deux génération spontanée et le développement d’une espèce à l’autre, sont non prouvées et désormais largement discrédité, hypothèses. [Cf. o ' Toole, l’affaire contre l’évolution, p. 28.]

d. le quatrième jour. Soleil, lune et étoiles, ont été créés en tant que porteurs de lumière, pour servir à diverses fins: (1) pour diviser le jour et la nuit; (2) pour être des signes, c'est-à-dire, pour indiquer les points cardinaux, présager des changements des conditions météorologiques et pour servir de signes d’importants événements futurs et prochains jugements; (3) d’être des saisons et Pendant des jours et des années, c'est-à-dire, pour atteindre l’objectif d’effectuer le changement des saisons, la succession d’années et la répétition régulière des jours de fête spéciales; et (4) pour servir de lumières pour la terre et donc à permettre le développement de la vie organique sur terre.

e. le cinquième jour. Cette journée apporte la création des oiseaux et les poissons, les habitants de l’air et les eaux. Oiseaux et les poissons vont ensemble, car il y a une grande similitude dans leur structure organique. En outre, ils sont caractérisés par une instabilité et la mobilité qu’ils ont en commun avec l’élément dans lequel ils évoluent, en comparaison avec de la terre ferme. Elles conviennent également dans leur méthode de procréation. Notez qu’ils sont, aussi, ont été créées selon leur espèce, c'est-à-dire les espèces ont été créées.

f. le sixième jour. Cette journée apporte l’apogée du travail de création. Dans le cadre de la création des animaux l’expression est une fois de plus utilisée, « Que la terre produise », et ce nouveau doit être interprété que comme il est indiqué au point c. Les animaux ne développaient pas naturellement hors de la terre, mais ont été enfantée par la fiat créatrice de Dieu. On nous dit distinctement dans que le 25e verset que Dieu a fait les bêtes de la terre, le bétail et les choses rampantes de la terre selon leur espèce. Mais même si l’expression mentionne développement naturel, il ne serait pas en harmonie avec la doctrine de l’évolution, car qui n’enseigne pas que les animaux ont développé directement hors du monde minéral. La création de l’homme se distingue par l’avocat solennelle qui le précède: « faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance »; et ce n’est pas étonnant, puisque tout ce qui a précédé n’était qu’une préparation à la venue de l’homme, le œuvre de couronnement de Dieu, le roi de la création; et parce que l’homme était destinée à être l’image de Dieu. Les mots tselem et demuth désigne pas exactement la même chose, mais sont néanmoins utilisés inter-changeably. Quand on dit que l’homme est créé à l’image de Dieu, ce qui signifie que Dieu est l’archétype de l’est que l’homme est l’insupportable; et lorsqu’il est ajouté qu’il est créé selon la ressemblance de Dieu, ce qui ajoute simplement l’idée que l’image est dans tous les sens comme l’original. Dans tout son être, l’homme est l’image même de Dieu.

Avant de passer à du septième jour, il peut être bien pour attirer l’attention sur le parallèle remarquable entre les travaux de la première et celle des seconde trois jours de la création.

1. la création de la lumière. & 4. La création de porteurs de lumière.

2. création d’étendue et de la séparation des eaux. & 5. Création des oiseaux du ciel et les poissons de la mer.

3. séparation des eaux et la terre ferme et préparation de la terre comme une habitation de l’homme et la bête. & 6. Création des bêtes du champ, le bétail et rampant toutes choses; et Man.

g. le septième jour. Le repos de Dieu le septième jour contient d’abord un élément négatif. Dieu a cessé de son travail de création. Mais à cela s’ajoutent un élément positif, à savoir, qu’il prenne plaisir dans son travail achevé. Son repos est comme le reste de l’artiste, après que qu’il a terminé son chef-d'œuvre et maintenant les regards sur elle avec une profonde admiration et de joie et trouve une satisfaction parfaite dans la contemplation de sa production. « Et Dieu vit tout ce qu’il avait fait et voici, cela était très bon. » Il a répondu le dessein de Dieu et correspondait à l’idéal divin. C’est pourquoi Dieu se réjouit de sa création, pour dedans il reconnaît le reflet de ses perfections glorieuses. Son visage radieux éclaire il et est productif de douches de bénédictions.

4. aucun SECOND récit de la création dans la Genèse 2. Il est assez fréquent pour avancée critique supérieure de supposer que la Genèse 2 contient un compte rendu de la deuxième et indépendant de la création. Le premier compte est considéré comme le œuvre de l’Elohist et le second comme celle de la Jehovist. Les deux, dit-on, n’acceptez pas, mais le conflit sur plusieurs points. Selon le deuxième récit, par opposition à la première, la terre est sèche avant la création de plantes; l’homme est créé avant les animaux et que seul, pas comme homme et femme; Puis Dieu créa les animaux, afin de voir si elles seront compagnons fit pour l’homme; voyant qu’ils ne parviennent pas à cet égard, il a crée la femme comme une compagne pour l’homme; et, enfin, il place l’homme dans le jardin qu’il avait préparé pour lui. Mais il s’agit clairement d’une incompréhension totale du deuxième chapitre. Genèse 2 n’est pas et ne prétend pas être, un récit de la création. La suscription 'eleh toledoth, qui se trouve dix fois dans la Genèse, jamais fait référence à la naissance ou l’origine des choses, mais toujours à leur naissance, c'est-à-dire leur histoire plus tard. L’expression remonte à un temps quand l’histoire se composait toujours dans la description des générations. Le deuxième chapitre de la Genèse commence la description de l’histoire de l’homme, organise son matériel en fonction de ce but et ne répète tellement de ce qui a été dit dans le chapitre précédent, sans aucune considération d’ordre chronologique, comme est nécessaire pour l’auteur but du voyage.

5. LES TENTATIVES D’HARMONISER LE RÉCIT DE LA CRÉATION AVEC LES CONCLUSIONS DE LA SCIENCE.

a. l’interprétation idéale ou allégorique. Ce qui donne une importance à l’idée, plutôt qu’à la lettre de la narration. Elle considère Genèse 1 comme une description poétique de le œuvre créatrice de Dieu, cela représentant différents points de vue. Mais (1) il est tout à fait évident que le récit est conçu comme un record de l’histoire et est clairement considéré alors dans l’écriture, cf. Exode 20:11; Néhémie 9:6; PS. 33: 6, 9; 145:2-6; (2) le premier chapitre de la Genèse « manque de presque tous les éléments de la poésie hébraïque reconnue » (fort); et (3) ce récit est inséparablement lié à l’histoire suivante, et est donc plus naturellement considérée comme historique elle-même.

b. la théorie mythique de la philosophie moderne. La philosophie moderne a progressé au-delà de la position précédente. Elle rejette non seulement le récit historique de la création, mais aussi l’idée de création et ce qui concerne le contenu de Genèse 1 comme un mythe incarnant une leçon religieuse. Il n’y a aucune allégorie intentionnelle ici, il est dit, mais uniquement une représentation mythique naïf avec une base religieuse ou le noyau. C’est également à l’encontre du fait que Genèse 1 certainement vient à nous avec la prétention d’être un récit historique, et dans les renvois, mentionnés ci-dessus, il certainement n’est pas considéré comme un mythe.

c. la théorie de la restitution. Certains théologiens ont tenté de concilier le récit de la création avec les découvertes de la science dans l’étude de la terre en adoptant la théorie de la restitution. Elle a été préconisée par Chalmers, Buckland, Wisemann et Delitzsch et suppose qu’une longue période de temps écoulé entre la création primaire, mentionnés dans Genèse 1:1 et la création secondaire décrit dans Genèse 1:3-31. Cette longue période a été marquée par plusieurs changements catastrophiques, entraînant la destruction prétendument décrite dans les termes « déchets et Sub. » Le second couplet devrait alors lire, « et la terre sont devenus des déchets et Sub. » Cette destruction a été suivie d’une restitution, lorsque Dieu a changé le chaos dans un cosmos, un monde habitable pour l’homme. Cette théorie pourrait offrir des explications sur les différentes strates de la terre, mais il n’offre aucune explication des fossiles dans les roches, à moins qu’il est supposé qu’il y avait aussi des créations successives d’animaux, suivies de destructions massives. Cette théorie jamais trouvé faveur dans les milieux scientifiques et ne trouve aucun appui dans les Ecritures. La Bible ne dit pas que la terre est devenue, mais qu’il était des déchets et nul. Et même si le verbe hébreu hayetha peuvent être rendues « est devenu », les mots « déchets et Sub » indiquent une condition informe et non une condition résultant de la destruction. Delitzsch combiné avec cette théorie l’idée que la terre était habitée par les anges, et que la chute dans l’univers Angélique a été la cause de la destruction qui a entraîné le chaos dénommé dans le verset 2. Pour une raison ou une autre, ce point de vue trouve faveur considérable parmi les dispensationalistes de nos jours, qui trouvent le soutien en sa faveur dans ces passages, comme Ésaïe 24:1; Jérémie 04:23-26; Job. 9:4-7; II Pierre 2:4. Mais même une lecture attentive de ces passages est suffisante pour convaincre un qu’ils ne prouvent pas le point en question à tous. En outre, la Bible enseigne clairement nous que Dieu créa ciel et terre « et toute leur armée » en six jours, Genèse 2:1; Exode 20:11.

d. la théorie de concordistic. Cela cherche à harmoniser l’écriture et la science de supposer que les jours de création furent des périodes de milliers d’années. En plus de ce qui a été dit à ce sujet en discutant les jours de la création, nous pouvons maintenant ajouter que l’idée que les strates de la terre point positivement à longues périodes successives du développement de l’histoire de son origine, est simplement une théorie des géologues et une théorie reposant sur des généralisations injustifiées. Nous pourrions appeler l’attention sur les considérations suivantes: (1) la science de la géologie n’est pas seulement jeune, mais il est encore sous l’esclavage de la pensée spéculative. On ne peut considérer comme une science inductive, puisque c’est en grande partie le fruit des a priori ou d’un raisonnement déductif. Spencer a appelé « Géologie illogique » et ridiculisé ses méthodes et Huxley a parlé de ses hypothèses grand comme « non prouvée et non prouvables. » [Prix, les principes fondamentaux de la géologie, p. 29, 32]. (2) jusqu'à l’heure actuelle, il a fait guère plus que gratter la surface de la terre et que dans un nombre très limité de places. En conséquence, ses conclusions sont souvent simples généralisations, basées sur des données insuffisantes. Faits constatés dans certains endroits sont contredites par celles que l'on trouve dans d’autres. (3) même si elle avait exploré des grandes surfaces dans toutes les régions du globe, il pourrait seulement augmenter nos connaissances sur l’état actuel de la terre, mais ne serait jamais en mesure de nous donner des informations parfaitement fiables concernant son histoire passée. Vous ne pouvez pas écrire l’histoire d’une nation sur la base des faits constatés dans sa constitution actuelle et de la vie. (4) géologues une fois repose sur la supposition que les strates de roches trouvées dans le même ordre dans le monde entier; et que, par une estimation du temps requis par la formation de chacun, il pourrait déterminent l’âge de la terre. Mais (a) il a été constaté que l’ordre des roches diffère dans diverses localités; (b) les expériences faites déterminer le temps requis pour la formation des différentes strates, conduit à des résultats très différents; et (c) la théorie uniformitariste de Lyell, que l’action physique et chimique d’aujourd'hui sont des guides sûrs dans l’estimation de ceux de toutes les précédentes fois, s’est avérée pour ne pas être fiables. (Cf. davantage, le dogme de l’évolution, p. 148) (5) après l’échec de la tentative de déterminer l’âge des diverses strates ou roches par leur maquillage minéral et mécanique, les géologues a commencé à faire les fossiles le facteur déterminant. La paléontologie est devenu le sujet vraiment important, et sous l’influence de l’uniformitariste principe de Lyell développé dans une des preuves importantes de l’évolution. On suppose simplement que certains fossiles sont plus âgés que les autres; et si la question est posée sur quelles bases repose l’hypothèse, la réponse est qu’ils sont trouvent dans les roches les plus anciennes. Il s’agit d’un raisonnement tout simplement dans un cercle. L’âge des roches est déterminé par les fossiles qu’elles contiennent et l’âge des fossiles par les roches dans lesquelles ils se trouvent. Mais les fossiles ne se trouvent pas toujours dans le même ordre; parfois, l’ordre est inversé. (6) l’ordre des fossiles maintenant déterminés par la géologie ne correspond pas à l’ordre que le récit de la création nous amène à attendre, alors que même l’acceptation de la théorie géologique ne servirait pas le but d’harmoniser l’écriture et de la science.

6. la DOCTRINE de la création et la théorie de l’évolution. La question se pose naturellement de nos jours, comment la théorie de l’évolution affecte la doctrine de la création ?

a. la théorie de l’évolution ne peut se substituer à la doctrine de la création. Certains parlent comme si l’hypothèse de l’évolution a offert une explication de l’origine du monde; mais il s’agit clairement d’une erreur, car il ne fait aucune une telle chose. L’évolution est le développement, et tout le développement suppose l’existence préalable d’une entité ou de principe ou de force, hors de laquelle quelque chose se développe. Le non existant ne peut pas développer à l’existence. Matière et force ne pourraient pas ont évolué à partir de rien. Il est d’usage pour les évolutionnistes à se replier sur l’hypothèse nébulaire, afin d’expliquer l’origine du système solaire, bien que dans la science de nos jours c’est supplantée par l’hypothèse planetesimal. Mais celles-ci ne portent le problème d’un cran plus loin et ne parviennent pas à le résoudre. L’évolutionniste doit soit recourir à la théorie que la matière est éternelle, soit accepter la doctrine de la création.

b. la théorie de l’évolution naturaliste n’est pas en harmonie avec le récit de la création. Si l’évolution n’explique pas l’origine du monde, il pas au moins donner un rationnel compte de l’évolution des choses dans la matière primordiale et ainsi expliquer l’origine des espèces de plantes et d’animaux (y compris l’homme) et aussi les différents présents phénomènes de la vie, tels que la sensibilité, l’intelligence, morale et religion ? Elle est nécessairement en conflit avec le récit de la création ? Maintenant, il est parfaitement évident qu’évolution naturaliste certainement est en conflit avec le récit biblique. La Bible enseigne que les plantes et les animaux et l’homme apparu sur la scène à la fiat créative du tout-puissant; mais selon l’hypothèse évolutionniste, ils ont évolué hors du monde inorganique par un processus de développement naturel. La Bible représente Dieu comme créant des plantes et des animaux selon leur espèce et produisant semence selon leur espèce, qui est, afin qu’ils reproduiraient leur propre genre; mais la théorie des points d’évolution à des forces naturelles, résidents dans la nature, menant à l’élaboration d’une espèce à une autre. Selon le récit de la création, le végétal et l’animal royaumes et l’homme ont été portées de suite en une seule semaine; mais l’hypothèse de l’évolution les considère comme le produit d’une évolution progressive au cours des millions d’années. L’écriture des photos homme debout sur un plan plus élevé au début de sa carrière, et ensuite descendre à des niveaux inférieurs par l’influence de détérioration du péché; la théorie de l’évolution, en revanche, représente l’homme original comme seulement légèrement différente de la brute et prétend que la race humaine a augmenté, par l’intermédiaire de ses propres pouvoirs inhérents, à des niveaux toujours plus élevés de l’existence.

c. la théorie de l’évolution naturaliste est pas bien établie et ne parvient pas à expliquer les faits. Le conflit dénommé dans ce qui précède serait grave, si la théorie de l’évolution était un fait établi. Certains pensent qu’il est et en toute confiance parler du dogme de l’évolution. D’autres, cependant, correctement nous rappellent le fait que l’évolution est encore qu’une hypothèse. Même si grand scientifique comme Ambrose Fleming dit que « l’analyse attentive des idées connecté avec le terme que évolution montre qu’ils soient insuffisantes comme une solution philosophique ou scientifique des problèmes de la réalité et l’existence. » [Evolution ou création, p. 29.] La même incertitude qui prévaut dans le camp des évolutionnistes est la preuve que l’évolution n'est qu’une hypothèse. En outre, il est franchement admis aujourd'hui par beaucoup de ceux qui continuent à s’accrocher au principe d’évolution qu’ils ne comprennent pas son mode de fonctionnement. On pensait à un moment donné que Darwin avait fourni la clé de l’ensemble du problème, mais que la clé est maintenant plutôt généralement ignorée. Les piliers de la Fondation, sur lequel la structure darwinienne a été élevée, tels que le principe d’utilisation et de non-utilisation, la lutte pour l’existence, la sélection naturelle et la transmission des caractères acquis, ont été enlevés, l’un après l’autre. Ces évolutionnistes Weissmann, De Vries, Mendel, et Bateson, ont tous contribué à l’effondrement de l’édifice darwinien. Nordenskioeld, dans son Histoire de la biologie, parle de la « dissolution du darwinisme » comme un fait établi. Dennert nous appelle pour le lit de mort du darwinisme, et O'Toole dit: « darwinisme est mort, et aucun chagrin de pleureuses ne peut ressusciter le cadavre. » Morton parle de « la faillite de l’évolution, » et le prix de la « fantôme de l’évolution organique. » Darwinisme, ensuite, n’a certes pas d’expliquer l’origine des espèces, et les évolutionnistes n’ont pas été en mesure d’offrir une meilleure explication. Les comptes de loi mendélienne des variations, mais pas à l’origine de nouvelles espèces. Elle fait vraiment loin le développement de nouvelles espèces par un processus naturel. Certains sont d’avis que la théorie de la mutation de la théorie De Vries ou Lloyd Morgan emergent evolution points la manière, mais ni l’un d'entre eux s’est avéré pour être une explication réussie de l’origine des espèces par évolution naturelle pure et simple. Il est maintenant admis que les mutants de Vries sont variétale plutôt que spécifique et ne saurait être considérées comme les débuts de nouvelles espèces. Et Morgan se sent contrainte d’admettre qu’il ne peut pas expliquer son emergents sans retomber sur une puissance créatrice qui pourrait être appelée Dieu. Morton, dit: « le fait est que, en plus de la création, il n’est pas encore une théorie des origines de tenir le terrain aujourd'hui. » [La faillite de l’évolution, p. 182.]

L’hypothèse d’évolution échoue à plusieurs reprises. Il ne peut pas expliquer l’origine de la vie. Les évolutionnistes a cherché son explication dans la génération spontanée, une hypothèse non prouvée, qui est maintenant discréditée. C’est un fait bien établi dans la science que la vie ne peut venir que de la vie antérieure. En outre, il a totalement échoué à produire un seul exemple d’une espèce distincte de l’autre production (organique, par opposition à cépage) espèces. Bateson a dit en 1921: « nous ne comprenons pas comment la différenciation en espèce a vu le jour. Les variations de toutes sortes, souvent considérables, nous tous les jours le témoin, mais pas d’origine des espèces.... Pendant ce temps, bien que notre foi en évolution est inébranlable, nous n’avons aucun compte acceptable de l’origine des espèces. » [Science, 20 janvier 1922.] Ni a évolution pu réussir à affronter les problèmes posés par l’origine de l’homme. Il n’a pas encore réussi à prouver la descente physique de l’homme de l’animal. J. A. Thomson, auteur de The Outline of Science et un premier plan évolutionniste, détient cet homme jamais vraiment était un animal, une féroce créature regardant bestiale, mais que le premier homme surgit tout à coup, par un grand saut, le stock de primates dans un être humain. Beaucoup moins il a été en mesure d’expliquer le côté psychique de la vie de l’homme. L’âme humaine, doté d’intelligence, conscience, liberté, conscience et aspirations religieuses, demeure une énigme non résolue.

d. l’évolution théiste n’est pas tenable à la lumière de l’écriture. Certains les scientistes et les théologiens visent à harmoniser la doctrine de la création, tel qu’enseigné par l’écriture, et la théorie de l’évolution en acceptant ce qu’ils appellent l’évolution théiste. C’est une protestation contre la tentative de suppression de Dieu et lui postule que le travailleur tout-puissant l’arrière de l’ensemble du processus de développement. Evolution est considérée tout simplement comme méthode de Dieu de travailler dans le développement de la nature. L’évolution théiste revient vraiment à ce que Dieu a créé le monde (le cosmos) par un processus d’évolution, un processus de développement naturel, dans lequel il ne pas miraculeusement intervenu, sauf dans les cas où cela est absolument nécessaire. Il est prêt à admettre que le commencement absolu du monde ne pourrait résulter que d’une activité créatrice directe de Dieu; et si elle ne peut trouver aucune explication naturelle, n’accordera aussi une intervention directe de Dieu à l’origine de la vie et de l’homme. Elle a été saluée comme evolution chrétienne, bien qu’il n’est pas nécessairement quelque chose Christian à ce sujet. Beaucoup, sinon opposés à la théorie de l’évolution, ont salué, car elle reconnaît Dieu dans le processus et est censé pour être compatible avec la doctrine biblique de la création. Par conséquent, il est enseigné librement dans les églises et les écoles du dimanche. En fait, cependant, c’est un hybride très dangereux. Le nom est une contradiction dans les termes, car c’est le théisme ni naturalisme, ni création, ni évolution dans l’acception des termes. Et il ne nécessite pas beaucoup de pénétration de voir que m. Fairhurst a raison dans sa déclaration de culpabilité « que l’évolution théiste détruit la Bible comme le livre inspiré de pouvoir aussi efficacement comme le fait l’évolution athée. » [L’évolution théiste, p. 7.] Comme l’évolution naturaliste, il apprend qu’il lui fallait des millions d’années pour produire le monde habitable actuel; et que Dieu n’a pas créé les diverses espèces de plantes et d’animaux et que, alors qu’ils ont produit leur propre genre; Cet homme, au moins sur son aspect physique, est un descendant de la brute et par conséquent a commencé sa carrière à un niveau faible; qu’il n’y a n’été aucune chute dans le sens du mot, mais seulement répété est caduque des hommes dans leurs cours à la hausse; que le péché n’est seulement une faiblesse, résultant de l’instinct animal de l’homme et des désirs et ne constitue pas de culpabilité; que la rédemption est provoquée par le contrôle croissant de l’élément supérieur chez l’homme sur ses penchants inférieurs; que les miracles n’existent pas, soit dans le naturel, soit dans le monde spirituel; que régénération, conversion et sanctification sont simplement naturels changements psychologiques et ainsi de suite. En un mot, c’est une théorie qui est absolument subversive de la vérité de l’écriture.

Certains érudits chrétiens d’aujourd'hui se sentent que la théorie de l’Évolution créatrice de Bergson lui-même rend hommage à ceux qui ne veulent pas laisser Dieu pris en considération. Ce philosophe Français suppose un élan vital, une impulsion vitale dans le monde, comme le sol et l’animation de principe de toute vie. Ce principe vital ne vient pas de la matière, mais est plutôt la cause d’origine de la matière. Il imprègne l’affaire, surmonte son inertie et la résistance en agissant comme une force vivante sur ce qui est essentiellement en train de mourir et jamais crée, pas de nouveau matériel, mais nouveaux mouvements adaptés aux extrémités de ses propres, et crée ainsi très autant que l’artiste crée. C’est la directive et téléologique et pourtant, bien que consciente, ne fonctionne pas selon un plan préconçu, mais c’est peut-être possible. Il détermine évolution elle-même ainsi que la direction dans laquelle l’évolution se déplace. Cette vie jamais création, « dont tous les individus et toutes les espèces sont une expérience, » est Dieu de Bergson, un Dieu qui est fini, qui est limitée au pouvoir et qui est apparemment impersonnel, même si Hermann dit que « nous ne, peut-être, pas aller loin de la vérité en croyant qu’il « la tendance idéale des choses » seront personnelle. » [Eucken et Bergson, p. 163.] Haas parle de Bergson comme un panthéiste vitaliste et non théiste. En tout cas, son Dieu est un Dieu qui est tout à fait dans le monde. Ce point de vue peut avoir un attrait particulier pour le théologien libéral modern, mais il est encore moins en harmonie avec le récit de la création que l’évolution théiste.

QUESTIONS POUR UNE ÉTUDE PLUS APPROFONDIE. Quelle est la vraie alternative à la doctrine de la création ? Où se situe l’importance de la doctrine de la création ? Les premiers chapitres de la Genèse puissent avoir une incidence quelconque sur l’étude scientifique de l’origine des choses ? La Bible en quelque sorte détermine-t-il le temps où le monde a été créé ? Quels extrêmes sont à proscrire quant à la relation entre Dieu et le monde à l’autre ? La Bible devrait toujours être interprétée en harmonie avec les théories scientifiques largement acceptées ? Quel est le statut de l’hypothèse de l’évolution dans le monde scientifique aujourd'hui ? Quel est l’élément caractéristique de la théorie darwinienne de l’évolution ? Comment expliquez-vous son rejet généralisé à l’heure actuelle ? Comment évolution créatrice de Bergson ou le néo-vitalisme de Hans Driesch affecte-t-elle la conception mécaniste de l’univers ? En quoi est l’évolution théiste une amélioration au cours de l’évolution naturaliste ?

LITTÉRATURE. Bavinck, Geref. Dogme. II. pp. 426-543; Ibid., Schepping de Ontwikkeling; Kuyper, Dict. dogme., De Creatione, pp. 3-127; De Creaturis A, p. 5-54; B. p. 3-42; Ibid., Evolutie; Vos Geref. Dogme. J’ai, De Schepping; Hodge. Syst. Theol. I, p. 550-574; Shedd, dogme . THEOL. I, pp. 463-526; McPherson, Chr. dogme., p. 163-174; Dabney, syst et polémique Theol., pp. 247-274; Harris, Dieu, créateur et Seigneur de tous, I, pp. 463-518; Hepp, calvinisme et philosophie de la Nature, Chap. V; Honig, Geref. Dogme., p. 281-324; Noordtzij, de Dieu der de fr Woord Eeuwen Getuigenis, p. 77-98; Aalders, De Goddelijke Openbaring in de Eerste Drie Hoofdstukken van Genèse; Geesink, de Van Heeren Ordinantien, Inleidend Deel, pp. 216-332; divers travaux de Darwin, Wallace, Weissman, Osborne, Spencer, Haeckel, Thomson et autres sur l’évolution; Dennert, le lit de mort du darwinisme; Dawson, la Bible a confirmé par la Science; Fleming, évolution et création; Hamilton, la base de la foi évolutionniste; Johnson, peut maintenant Christian croient en évolution? McCrady, raison et révélation; De plus, le dogme de l’évolution; Morton, la faillite de l’évolution; O ' Toole, l’affaire contre l’évolution; Prix, les principes fondamentaux de la géologie; Ibid., Le fantôme de l’évolution biologique; Messenger, évolution et la théologie; Rimmer, la théorie de l’évolution et les faits de la Science.

 

VI. Providence

Le théisme chrétien s’oppose à la fois une déiste de séparation de Dieu du monde et une confusion panthéiste de Dieu avec le monde. C’est pourquoi la doctrine de la création est immédiatement suivie par celle de providence, qui définit clairement la vue biblique de la relation de Dieu au monde. Alors que le terme « providence » ne se trouve pas dans l’écriture, la doctrine de la providence est néanmoins éminemment scripturaire. Le mot est dérivé du Latin providentia, qui correspond à la grecque pronoia. Ces mots signifient principalement prescience ou prospective, mais acquiert progressivement d’autres importances. Prévoyance est liée, d’une part, avec des plans pour l’avenir et d’autre part, avec la réalisation effective de ces plans. Ainsi la « providence » de mot est venu à signifier la disposition qui Dieu fait assez son gouvernement et la préservation et le gouvernement de toutes ses créatures. C’est le sens dans lequel il est maintenant généralement utilisé en théologie, mais il n’est pas le seul sens dans lequel les théologiens ont employé il. Turretin définit le terme dans son sens le plus large comme désignant la prescience (1), préordination (2) et (3) l’administration efficace des choses décrété. Dans l’usage général, cependant, il est maintenant généralement limité à ce dernier sens.

A. Providence en général.

1. histoire de la DOCTRINE de la PROVIDENCE. Avec sa doctrine de la providence, que l’église a pris position contre les deux, la notion épicurienne que le monde est gouverné par hasard et le stoïcien découvre qu’il est gouverné par le destin. Dès le départ les théologiens ont soutenu que Dieu préserve et régit le monde. Cependant, ils n’ont pas toujours une conception tout aussi absolue du contrôle de toutes les choses divine. En raison du lien étroit entre les deux, l’histoire de la doctrine de la providence suit pour l’essentiel de la doctrine de la prédestination. Les premiers pères de l’église ne présenter aucune vue précise sur le sujet. En opposition à la doctrine stoïcienne du destin et dans leur désir de protéger la sainteté de Dieu, ils parfois trop insisté sur la volonté de l’homme et dans cette mesure, qui manifestent une tendance à nier la règle absolue providentielle de Dieu en ce qui concerne les mauvaises actions. Augustine a ouvert la voie à l’élaboration de cette doctrine. Par rapport à la doctrine du destin et la chance, il a souligné le fait que toutes choses sont préservés et régies par la volonté souveraine, sage et bienveillante de Dieu. Il ne fait aucuns réserves dans le cadre de la providence de Dieu, mais maintenu le contrôle de Dieu sur le bien et le mal qui est dans le monde. En défendant la réalité des causes secondes. Il a préservé la sainteté de Dieu et a confirmé la responsabilité de l’homme. Au moyen-âge, il y avait très peu de controverse au sujet de la divine providence. Pas un seul Conseil s’est prononcé sur cette doctrine. L’opinion dominante était que d’Augustin, qui tout soumis à la volonté de Dieu. Cela ne signifie pas, toutefois, qu’il n’y a pas de vues dissidentes. Pélagianisme limité providence à la vie naturelle et exclus de la vie éthique. Et Semi-pélagiens s’installe dans la même direction, même si elles n’ont pas tous aller aussi loin. Certains scolastiques considérés comme la conservation de Dieu comme une continuation de son activité créatrice, tandis que d’autres ont fait une distinction réelle entre les deux. Doctrine de Thomas Aquinas de la divine providence suit pour l’essentiel celle d’Augustin et tient que la volonté de Dieu, tel que déterminé par ses perfections, préserve et régit toutes choses; tandis que Duns Scot et ces Nominaltists comme Biel et Occam fait tout dépend de l’arbitraire de Dieu. Il s’agissait d’une introduction virtuelle de la règle du hasard.

Les réformateurs souscrit dans l’ensemble de la doctrine augustinienne de la divine providence, bien qu’ils diffèrent quelque peu dans les détails. Tandis que Luther croit en général que providence, il ne pas contraintes de Dieu préservation et gouvernement du monde en général autant que Calvin ne. Il considère la doctrine principalement dans ses paliers sotériologique. Sociniens et arminiens, mais pas les deux dans la même mesure, limité la providence de Dieu en soulignant le pouvoir indépendant de l’homme d’entreprendre des actions et donc de contrôler sa vie. Le contrôle du monde a été vraiment pris hors des mains de Dieu et remis entre les mains de l’homme. Dans les dix-huitième et dix-neuvième siècles providence est pratiquement écartée par un déisme qui représentait Dieu en se retirant du monde après le travail de création; par un panthéisme qui identifie et Dieu et le monde, effacé la distinction entre la création et de la providence, a nié la réalité des causes secondes. Et tandis que le déisme peut maintenant être considéré comme une chose du passé, son point de vue du contrôle du monde se poursuit, dans la position des sciences naturelles, que le monde est contrôlé par un système implacable des lois. Et la théologie libérale moderne, avec sa conception panthéiste de l’immanence de Dieu, on tend à exclure de la doctrine de la divine providence.

2. l’idée de la PROVIDENCE. Providence peut être défini comme qui a continué l’exercice de l’énergie divine, par lequel le créateur conserve toutes ses créatures, est opérationnel dans tout ce qui vient de passer dans le monde et redirige toutes les choses à leur extrémité aménagée. Cette définition indique qu’il y a trois éléments à providence, à savoir, préservation (conservatio, sustentatio), concurrence ou coopération (concursus, co-) et gouvernement ( gubernatio) Calvin, le Catéchisme de Heidelberg et certains des plus récents dogmaticians (Dabney, Hodges, Dick, Shedd, McPherson) parlent de seulement deux éléments, à savoir, préservation et gouvernement. Cela ne signifie pas, toutefois, qu’ils veulent exclure l’élément de la concurrence, mais seulement qu’ils considèrent comme inclus dans les deux autres comme indiquant la manière dont Dieu préserve et régit le monde. McPherson semble penser que seulement quelques-uns des grands théologiens luthériens adopte la division ternaire; mais en cela il se trompe, car il est très fréquent dans les œuvres de dogmaticians hollandais du XVIIe siècle sur (faire, à Marck, De Moor, Brakel, Francken, Kuyper, Bavinck, Vos, Honig). Il a quitté la division plus âgée, parce qu’ils ont voulaient donner à l’élément d’une plus grande importance d’assentiment, pour se prémunir contre les dangers du déisme et le panthéisme. Mais tandis que nous distinguons trois éléments dans providence, nous devrions nous rappeler que ces trois ne sont jamais séparés dans le œuvre de Dieu. Tandis que la conservation a référence à l' être, la concurrence à l' activitéet gouvernementaux à l' orientation de toutes choses, ce financement devrait jamais être entendu dans un sens exclusif. De préservation, il est également un élément du gouvernement, au sein du gouvernement un élément de concursus et concursus un élément de conservation. Panthéisme ne distingue pas entre la création et providence, mais le théisme souligne une double distinction: (a) création est l’appel à l’existence de ce qui n’existait pas avant, alors que la providence continue ou causes de continuer ce qui a déjà été appelé à l’existence. (b) dans l’ancien, il ne peut y avoir aucune coopération de la créature avec le créateur, mais dans ce dernier, il y a un accord de la première Cause avec les causes secondes. Dans l’écriture, les deux sont toujours bien distinctes.

3. IDÉES FAUSSES CONCERNANT LA NATURE DE LA PROVIDENCE.

a. le limiter à la prescience ou prescience plus préordination. Cette limitation se trouve dans certains des premiers pères de l’église. Le fait est, cependant, que lorsque nous parlons de la providence de Dieu, nous ont généralement à l’esprit sa prescience, ni son préordination, mais simplement son activité continue dans le monde entier pour la réalisation de son plan. Nous nous rendons compte que cela ne peut pas être séparé de son décret éternel, mais aussi le sentiment que les deux peuvent et doivent être distingués. Les deux ont souvent été distinguées comme providence immanente et transeunt.

b. la conception déiste de la divine providence. Selon la préoccupation de déisme Dieu avec le monde n’est pas universelle, spécial et perpétuelle, mais uniquement de nature générale. Au moment de la création, il donnait à toutes ses créatures certaines propriétés inaliénables, placées en vertu des lois invariables et laissé les faire travailler leur destin de leurs propres pouvoirs inhérents. Pendant ce temps il simplement exerce une surveillance générale, pas des agents spécifiques qui apparaissent sur la scène, mais des lois générales qu’il a établie. Le monde est tout simplement une machine à qui Dieu a mis en mouvement et pas du tout un navire dont il pilote de jour à jour. Cette conception déiste de la providence est caractéristique du pélagianisme, a été adoptée par plusieurs théologiens catholiques, a été parrainée par le Socinianisme et n’est qu’un des erreurs fondamentales de l’Arminianisme. Il était vêtu d’un costume philosophique par les déistes du XVIIIe siècle et est apparue une nouvelle forme au XIXe siècle, sous l’influence de la théorie de l’évolution et de sciences naturelles, avec son fort accent sur l’uniformité de la nature comme contrôlée par un système rigide des lois implacable.

c. la vue panthéiste de la divine providence. Panthéisme ne reconnaît pas la distinction entre Dieu et le monde. Il absorbe idéaliste du monde en Dieu ou absorbe materialistically Dieu dans le monde. Dans les deux cas, il ne laisse aucune place pour la création et élimine également la providence au sens propre du mot. Il est vrai que panthéistes parlent de la providence, mais leur soi-disant providence est simplement identique avec le cours de la nature, et ce n’est rien d’autre que la révélation de Dieu, une révélation qui ne laisse aucune place pour le fonctionnement indépendant des causes secondes dans aucun sens du mot. De ce point de vue, le surnaturel est impossible, ou, plutôt, le naturel et le surnaturel sont identiques, la conscience libre autodétermination personnelle chez l’homme est une illusion, la responsabilité morale est le fruit de l’imagination et la prière et culte religieux sont superstition. La théologie a toujours été assez prudente conjurer les dangers de panthéisme, mais au cours du siècle dernier, cette erreur a réussi en s’ancrant dans une grande partie de la théologie libérale moderne sous le couvert de la doctrine de l’immanence de Dieu. [Cf. Randall, la réalisation de l’esprit moderne, p. 538.]

4. LES OBJETS DE LA DIVINE PROVIDENCE.

a. les enseignements de l’écriture sur ce point. La Bible enseigne clairement contrôle providentiels de Dieu (1) sur l’univers dans son ensemble, PS. 103:19; Dan. 05:35; EP 01:11; (2) dans le monde physique, Job 37:5, 10; PS. 104:14; 135:6; Matthieu 05:45; (3) sur la création brute, PS. 104:21, 28; Matthieu 06:26; 10:29; (4) sur les affaires des nations, Job 12:23; PS. 22:28; 66:7; Actes 17:26; (5) sur la naissance de l’homme et le sort dans la vie, j’ai Sam. 16:1; PS. 139:16; Ésaïe 45:5; GAL 01:15, 16; (6) sur l’extérieur réussites et des échecs de la vie des hommes, PS. 75:6, 7; Luc 01:52; (7) sur des choses apparemment accidentelles ou insignifiantes, Prov. 16:33; Matthieu 10:30; (8) dans la protection des justes, PS. 4:8; 05:12; 63:8; 121:3; ROM. 08:28; (9) pour fournir les besoins du peuple de Dieu, Genèse 22:8, 14; Deutéronome 8:3; Phil. 04:19; (10) en donnant des réponses à la prière, j’ai Sam 01:19; Ésaïe 5:20, 6; II Chron. 33:13; PS. 65:2; Matthieu 7:7; Luc 18:7, 8; et (11) dans l’exposition et la punition des méchants, PS. 07:12, 13; 11:6.

b. providence général et spécial. Théologiens distinguent généralement providence général et spécial, contrôle de l’ancienne attestation de Dieu de l’univers dans son ensemble et ce dernier, ses soins pour chaque partie de celui-ci par rapport à l’ensemble. Ce ne sont pas deux sortes de providence, mais la providence même exercé dans les deux relations différentes. Cependant, le terme « spécial providence, » peut avoir une connotation plus précise et dans certains cas se réfère à une attention particulière de Dieu pour ses créatures rationnelles. Certains parlent même d’une providence très spéciale (providentia specialissima) en ce qui concerne ceux qui se tiennent dans la relation privilégiée de la filiation à Dieu. Providences spéciales sont des combinaisons spéciales dans l’ordre des événements, comme dans la réponse à la prière, dans la délivrance des ennuis et dans tous les cas dans lequel la grâce et aident à venir dans des circonstances critiques.

c. la négation de la providence spéciale. Il y a ceux qui sont prêts à admettre une providence générale, une administration du monde sous un système fixe de lois générales, mais nie qu’il y a aussi une providence spéciale dans laquelle Dieu se porte avec les détails de l’histoire, les affaires de la vie humaine et en particulier les expériences des justes. Certains soutiennent que Dieu est trop importante pour se préoccuper les petites choses de la vie, tandis que d’autres soutiennent qu’il simplement ne peut pas le faire, depuis les lois de la nature lier ses mains et donc sourire significativement quand ils entendent des prières de la réponse de l’homme de Dieu. Maintenant, il ne faut pas nier que la relation de la providence spéciale des lois uniformes de la nature constitue un problème. En même temps il faut dire qu’il s’agit d’une vue très pauvre, superficielle et non biblique de Dieu, de dire qu’il n’a pas et ne peut pas se préoccuper les détails de la vie, ne peut pas répondre à prière, donner des secours en cas d’urgence ou intervenir miraculeusement dans le nom de l’homme . Une règle que simplement fixées à certains principes généraux pas prêté attention aux détails, ou un homme d’affaires qui n’ont pas à s’occuper des détails de son entreprise, arriverait bientôt chagrin. La Bible enseigne que même les moindres détails de la vie sont d’ordre divin. Dans le cadre de la question, si nous pouvons harmoniser le fonctionnement des lois générales de la nature et de la providence spéciale, nous pouvons seulement signaler ce qui suit: (1) les lois de la nature n’a pas devraient être représentés sous forme de pouvoirs de la nature absolument contrôler tous les phénomènes et des opérations. Ils sont vraiment rien de plus que l’homme, souvent déficiente, description de l’uniformité dans la variété découvert dans la façon dont travaillent les pouvoirs de la nature. (2) la conception matérialiste des lois de la nature comme un système très unie, agissant indépendamment de Dieu et vraiment il est impossible pour lui d’intervenir dans le cadre du monde, est absolument faux. L’univers a titre personnel, et l’uniformité de la nature est tout simplement la méthode ordonnée par un agent de personnel. (3) les prétendues lois de la nature produisent les mêmes effets que si toutes les conditions sont les mêmes. Les effets ne sont pas généralement les résultats d’une seule puissance, mais d’une combinaison de pouvoirs naturels. Même un homme peut varier les effets en combinant une puissance de la nature avec une autre puissance ou les pouvoirs, alors que pourtant, chacun de ces pouvoirs fonctionne en stricte conformité avec ses lois. Et si cela est possible pour l’homme, il est infiniment plus possible pour Dieu. Par toutes sortes de combinaisons qu’il peut apporter des résultats plus variés.

B. préservation.

1. base de la DOCTRINE de la conservation. La preuve pour la doctrine de préservation est directe et inférentielle.

a. preuve directe. La préservation divine de toutes choses est clairement et explicitement enseignée dans plusieurs passages de l’écriture. Ce qui suit n’est que quelques-uns des nombreux passages qui pourraient être mentionnés: Deut. 33: 12, 25-28; J’ai s 2:9; Néhémie 9:6; PS. 107:9; 127,1; 145:14, 15; Matthieu 10:29; Actes 17:28; 01:17; Hébreux 1:3. Très nombreux est les passages qui parlent du Seigneur comme un moyen de son peuple, par exemple, Genèse 28: 15; 49: 24; Exode 14:29, 30; Deut. 01:30, 31; II Chron. 20:15, 17; Emploi à 01:10; 36:7; PS. 31: 20; 32: 6; 34: 15, 17, 19; 37:15, 17,19,20; 91:1, 3, 4, 7, 9, 10, 14; 121:3, 4, 7, 8; 125:1, 2; Ésaïe 40:11; 43: 2; 63: 9; Jérémie 30:7, 8, 11; Ézéchiel 34: 11, 12, 15, 16; Daniel 12:1; Zach. 2:5; Luc 21:18; I Corinthiens 10:13; I. PET. 03:12; 03:10.

b. preuve inférentielle. L’idée de préservation divine découle de la doctrine de la souveraineté de Dieu. Ceci peut seulement être conçue comme absolu; mais il ne serait pas absolue, si quelque chose existe ou est produite indépendamment de sa volonté. Elle peut être maintenue qu’à la condition que l’univers entier et tout ce qui est en elle, est dans son être et son action absolument dépend de Dieu. Il découle également du caractère dépendant de la créature. Il est caractéristique de tout ce qui est une créature, qu’elle ne peut pas continuer à exister en vertu de son propre pouvoir inhérent. Il a le terrain de son être et à la perpétuation dans la volonté de son créateur. Seulement celui qui a créé le monde par la parole de sa puissance, peut faire respecter par son omnipotence.

2. la CONCEPTION correcte de préservation DIVINE. La doctrine de la conservation s’effectue sur l’hypothèse que tous créé des substances, qu’elles soient spirituelles ou matérielles, possèdent une existence réelle et permanente, distincte de l’existence de Dieu, et uniquement ces propriétés actives et passives comme ils l’ont dérivé de Dieu; et que leurs pouvoirs actifs ont un véritable et non pas seulement apparent, efficacité en tant que causes secondes, afin qu’ils soient en mesure de produire les effets propres à eux. Ainsi, il protège contre le panthéisme, avec son idée d’une création continue, qui pratiquement, si ce n’est pas toujours expressément, nie l’existence distincte du monde et donne à Dieu l’agent exclusif dans l’univers. Mais il ne considère pas ces substances créées comme lui-même, puisque l’existence est la propriété exclusive de Dieu, et toutes les créatures ont le motif de leur existence en lui et pas à eux seuls. D'où il suit qu’ils continuent d’exister, non en vertu d’un acte de Dieu simplement négative, mais en vertu d’un exercice positif et continu de la puissance divine. La puissance de Dieu mis de l’avant dans la défense de toutes choses est juste aussi positif que celui exercé en création. La nature précise de son travail dans le maintien de toutes les choses en cours et l’action est un mystère, même si on peut dire que, dans ses opérations providentielles, il héberge lui-même à la nature de ses créatures. Avec Shedd, nous disons: « dans le monde matériel, Dieu immédiatement travaille dans et à travers les propriétés des matériaux et des lois. Dans le monde mental, Dieu agit immédiatement dans et par les propriétés de l’esprit. Conservation jamais va à l’encontre de la création. Dieu ne viole pas en la providence qu’il a établi dans la création. » [Dogme. Théol. I, p. 528.] Conservation peut être qualifiée que continue le travail de Dieu par laquelle il maintient les choses qu’il a créée, ainsi que les propriétés et les pouvoirs dont il leur dotée.

3. CONCEPTIONS erronées de la préservation DIVINE. La nature de cette œuvre de Dieu n’est pas toujours bien comprise. Il y a deux points de vue de celui-ci, qui doivent être évités: (a) qu’il est purement négatif. Selon déisme préservation divine consiste en ceci, que Dieu ne détruit pas le travail de ses mains. En vertu de la création Dieu doué question avec certaines propriétés, placée sous les lois invariables et puis à gauche déplacer pour elle-même, indépendamment de tout soutien ou direction de sans. C’est une déraisonnable, irréligieux et une représentation non biblique. Il est déraisonnable, car il implique que Dieu communiquée subsistance autonome à la créature, tandis que subsistance autonome et auto-sustenation sont des propriétés incommunicables, caractérisant la seul le créateur. La créature ne peut jamais être autosuffisante, mais il y a de jour à jour par la toute-puissance du créateur. C’est pourquoi il n’exigerait pas un acte positif de l’omnipotence de la part de Dieu d’anéantir les existences créées. Un simple retrait de soutien entraînerait naturellement destruction. — Ce point de vue est irréligieux, car elle supprime Dieu si loin de sa création que la communion avec lui devient pratiquement impossible. Histoire témoigne clairement du fait qu’il décrit uniformément mort pour la religion. — Il est aussi non biblique, puisqu’il met Dieu tout à fait en dehors de sa création, alors que la Bible nous enseigne dans plusieurs passages qu’il est non seulement transcendant mais aussi immanent dans les œuvres de ses mains. (b) que c’est une création continue. Panthéisme représente préservation comme une création continue, de sorte que les créatures ou les causes secondes sont conçues comme n’ayant aucune existence réelle ou continu, mais comme émanant de tous les moments successifs de cette mystérieuse absolue qui est le fondement caché de tout choses. Certains qui n’étaient pas panthéistes avaient une opinion similaire de préservation. Descartes a jeté les bases d’une telle conception de celui-ci, et Malebranche poussé cela à l’extrême extrême compatible avec le théisme. Même Jonathan Edwards il enseigne par ailleurs dans son ouvrage sur le péché originel et ainsi vient dangereusement près de panthéisme d’enseignement. Ce point de vue de la préservation ne laisse aucune place pour des causes secondes et par conséquent entraîne nécessairement le panthéisme. Il est à l’encontre de nos intuitions originales et nécessaires, qui nous assurent que nous sommes réels, autodétermination des causes d’action et les agents moraux en conséquence. En outre, il frappe à la racine de l’Agence libre, responsabilité morale, gouvernement moral et donc de la religion elle-même. Certains théologiens réformés utilisent également le terme « création continue »,[Bavinck, Geref. Dogme. II, p. 654; Heppe, dogme., p. 190; McPherson, Chr. dogme., p. 177.] mais ne signifient pas ainsi à enseigner la doctrine à l’étude. Ils désirent simplement insister sur le fait que le monde est maintenu par la puissance même qui l’a créé. Compte tenu de la le fait que l’expression est susceptible d’incompréhension, il est préférable de l’éviter.

C. assentiment.

1. L’IDÉE DE L’APPROBATION DIVINE ET LA PREUVE SCRIPTURAIRE POUR ELLE.

a. définition et explication. Accord peut être définie comme la co-opération de la puissance divine avec tous les pouvoirs subordonnés, selon le pré-établit les lois de leur fonctionnement, amenant à agir et à agir exactement comme ils le font . Certains sont enclins à limiter son fonctionnement, pour autant que l’homme est concerné. pour les actions humaines qui sont moralement bon et donc louable; d’autres. plus logiquement, étendre à des actions de toute nature. Il convient de noter d’emblée que cette doctrine implique deux choses: (1) que les pouvoirs de la nature ne fonctionnent pas par eux-mêmes, c'est-à-dire simplement par leur propre pouvoir inhérent, mais que Dieu est immédiatement opératif dans tous les actes de la créature. Cela doit être maintenue à l’encontre de la position déiste. (2) que les causes secondes sont réels et de ne pas être considéré simplement comme la puissance du dispositif de Dieu. C’est seulement à condition que les causes secondes sont réelles, nous pouvons correctement parler d’une convergence de vues ou la coopération de la Cause première des causes secondaires. Il convient de souligner par rapport à l’idée de panthéiste que Dieu est le seul agent travaillant dans le monde.

b. preuve de l’écriture pour approbation divine. La Bible enseigne clairement que la providence de Dieu s’applique non seulement à l’être, mais aussi pour les actes ou opérations de la créature. La vérité générale que les hommes ne fonctionnent pas de manière indépendante, mais sont contrôlés par la volonté de Dieu, résulte de plusieurs passages de l’écriture. Joseph dit dans Genèse 45:5 que Dieu plutôt que ses frères l’avaient envoyé en Egypte. Pièce n° 04:11, 12, le Seigneur dit qu’il sera avec la bouche de Moïse et lui apprendre ce qu’il faut le dire; et Jos. 11:6, il donne Joshua l’assurance qu’il délivrera les ennemis d’Israël. Proverbes 21:1 nous enseigne que « coeur du roi est dans la main de l’Éternel.... Il turneth il partout où il veut »; Esdras, 06:22, que Jéhovah « avait transformé le coeur du roi d’Assyrie » à Israël. Dans Deut 08:18 rappelle à Israël du fait qu’il s’agissait de Jéhovah qu’il a donné pouvoir pour obtenir la richesse. Plus particulièrement, il ressort également de l’écriture, qu’il y a une sorte de divine coopération dans celui qui est mal. Selon II Sam. 16:11 Jéhovah Bakar Shimei pour maudire David. Le Seigneur appelle également l’assyrien « la tige de ma colère, le personnel dans sa main est mon indignation, » Ésaïe 10:5. En outre, il a fourni pour un esprit de mensonge dans la bouche des prophètes d’Achab, I Rois 22:20-23.

2. erreurs qui sont à proscrire. Il y a plusieurs erreurs contre lesquelles nous devrions nous garder dans le cadre de cette doctrine.

a. qu’il consiste simplement en une communication générale du pouvoir, sans avoir déterminé l’action spécifique en quelque sorte. Jésuites, Sociniens et arminiens maintiennent que l’approbation divine est seulement un général et indifférent Co-operation, alors que c’est la deuxième cause qui dirige l’action jusqu'à sa fin particulière. Comme il est commun à toutes les causes, leur accélération en action, mais d’une manière qui est tout à fait indéterminée. Alors qu’elle stimule la deuxième cause, elle laisse cela afin de déterminer son propre genre particulier et le mode d’action. Mais si c’était la situation, il serait au pouvoir de l’homme de déjouer le plan de Dieu, et la première Cause deviendrait inféodée à la seconde. L’homme serait en contrôle, et il n’y aurait aucune providence divine.

b. qu’il est de telle nature que l’homme fait partie des travaux et une partie de Dieu. La coopération de Dieu et l’homme est parfois représentée comme si c’était quelque chose comme les efforts conjoints d’une équipe de chevaux tirant ensemble, chacun fait sa part. Il s’agit d’une vision erronée de la répartition du travail. En fait, chaque acte est dans son intégralité fois un acte de Dieu et un acte de la créature. C’est un acte de Dieu, dans la mesure où il n’y a rien qui soit indépendante de la volonté divine, et dans la mesure où il est déterminé à partir moment au moment par la volonté de Dieu. Et c’est un acte de l’homme dans la mesure où Dieu il réalise par le biais de l’auto-activité de la créature. Il y a interpénétration ici, mais aucune limitation mutuelle.

c. que le œuvre de Dieu et celui de la créature en concurrence sont co-ordinate. C’est déjà exclu de ce qui a été dit dans ce qui précède. Le œuvre de Dieu a toujours la priorité, pour l’homme est dépendant de Dieu dans tout ce qu’il fait. La déclaration de l’écriture, « Sans moi vous pouvez ne rien faire, » s’applique dans tous les domaines de l’activité. La relation exacte entre les deux est mieux indiquée dans les caractéristiques suivantes de l’approbation divine.

3. CARACTÉRISTIQUES DE L’APPROBATION DIVINE.

a. elle est antérieure et pré-déterminer, non pas dans un temps, mais dans un sens logique. Il n’y a aucun principe absolu de l’auto-activité dans la créature, à laquelle Dieu rejoint simplement son activité. Dans tous les cas, l’impulsion à l’action et mouvement procède de Dieu. Il doit y avoir une influence de l’énergie divine, avant que la créature peut fonctionner. Il est à noter en particulier que cette influence ne se termine pas sur l’activité de la créature, mais sur la créature elle-même. Dieu fait tout dans la nature pour travailler et se déplacer dans le sens d’une fin prédéterminée. Si Dieu permet aussi et invite ses créatures rationnelles, comme deuxième causes, pour fonctionner et qui ne consiste pas seulement en les dotant d’énergie d’une manière générale, mais en les mettant sous tension à certains actes spécifiques. Il opère toutes choses dans l’ensemble, j’ai Cor. 12:6 et qui opère toutes choses, aussi, à cet égard, selon le Conseil de sa volonté, Éphésiens 01:11. Il a donné le pouvoir d’Israël pour obtenir la richesse, Deut. 08:18 et qui opère dans les croyants et le vouloir et de faire selon son bon plaisir, Phil. 02:13. Pélagiens et Semi-pélagiens de toutes sortes sont généralement disposés à admettre que la créature ne peut pas agir en dehors d’un afflux de puissance divine, mais maintiennent que ce n’est pas tellement spécifique qu’il détermine le caractère de l’action en quelque sorte.

b. c’est aussi un accord simultané. Après que l’activité de la créature est commencée, l’efficace de Dieu doit accompagnera à chaque instant, si elle veut continuer. Il n’y a pas un seul instant que la créature fonctionne indépendamment de la volonté et la puissance de Dieu. C’est en lui que nous vivons et se déplacer et qu’il l’être, actes 17:28. Cette activité divine accompagne l’action de l’homme à tous les points, sans voler homme en quelque sorte de sa liberté. L’action reste l’acte libre de l’homme, un acte dont il est responsable. Cette approbation simultanée ne débouche pas sur une identification de la causa prima et la causa secunda. Dans un sens très réel, l’opération est le produit de ces deux causes. L’homme est et reste le véritable sujet de l’action. Bavinck illustre en soulignant le fait que le bois brûle, que Dieu seulement provoque la brûler, mais que formellement cette gravure ne peut être attribuée à Dieu, mais seulement pour le bois comme matière. Il est évident que cette action simultanée est indissociable de l’accord précédent et avance déterminante, mais devrait être distinguée de l’il. Strictement parlant, à la différence de l’accord précédent, se termine, pas sur la créature, mais sur son activité. Car il ne se termine pas sur la créature, il peut dans l’abstrait être interprété comme n’ayant aucune éthiques roulements. C’est ce qui explique que les Jésuites enseignaient que l’approbation divine était simultanée uniquement et non précédente, avance déterminante, et que certains théologiens réformés limité l’accord précédent pour les bonnes actions des hommes et pour le reste vérifié eux-mêmes avec un accord simultané de l’enseignement.

c. c’est, enfin, une concurrence immédiate. Dans son gouvernement du monde, Dieu emploie toutes sortes de moyens pour la réalisation de ses fins; mais il ne fonctionne pas alors dans l’approbation divine. Quand il a détruit les villes de la plaine par le feu, il s’agit d’un acte de gouvernement divin dans lequel il emploie des moyens. Mais en même temps, c’est son assentiment immédiat par lequel il permet le feu à l’automne, de brûler et de détruire. Ainsi, Dieu travaille également chez l’homme en lui dotant d’énergie, dans la détermination de ses actes et poursuivre ses activités tout au long de la ligne.

4. l’approbation DIVINE et le péché. Pélagiens, Semi-pélagiens et arminiens soulever une objection sérieuse à cette doctrine de la providence. Ils soutiennent qu’un accord précédent , qui n’est pas simplement générales mais prédétermine homme à des actions spécifiques, fait de Dieu l’auteur responsable du péché. Les théologiens réformés sont bien conscients de la difficulté qui se présente ici, mais n’hésitez pas à contourner en refusant un contrôle absolu de Dieu sur les actions gratuites de ses créatures morales, puisque c’est clairement enseigné dans l’écriture, 45:5 de la Genèse; 50:19, 20; Ex. 10:1, 20; II Samuel 16:10. 11; Ésaïe 10:5-7; Actes à 02:23; 04:27, 28. ils se sentent contraints d’enseigner: (a) qu’actes pécheurs sont sous contrôle divin et se produisent selon la détermination au préalable et le but de Dieu, mais seulement avec la permission divine, afin qu’il ne provoque pas efficacement les hommes au péché, 45:5 de la Genèse; 50: 20; Exode 14:17; Ésaïe 66:4; ROM. 09:22; II Thessaloniciens. 02:11; (b) que Dieu retient souvent les œuvres pécheresses du pécheur, Genèse 3:6; Emploi à 01:12; 2:6; PS. 76:10; Ésaïe 10:15; Actes à 07:51; et (c) que Dieu dans le nom de son propre dessein outrepasse le mal pour le bien, Genèse 50: 20; PS. 76:10; Actes. 03:13.

Cela ne signifie pas, cependant, que tous sont d’accord pour répondre à la question. s’il existe une activation directe, immédiate et physique de la puissance active de la créature, élimination préalablement déterminer efficacement à l’acte précis et aussi lui permettant de qui agissent. Dada, par exemple, tout en admettant telle une concurrence physique dans la création plus bas, le nie en ce qui concerne les agents libres. La grande majorité, cependant, maintenir également dans le cas des êtres moraux gratuits. Dabney même convient qu’un contrôle de Dieu sur tous les actes de ses créatures est certain souverains et efficace; et par conséquent doit, avec les autres, faire face à la question quant à la responsabilité de Dieu pour le péché. Il donne sa conclusion dans les termes suivants: «, alors, voilà mon image de l’évolution providentielle du dessein de Dieu quant à des actes pécheurs; donc d’organiser et de regrouper les événements et objets autour des agents libres par sa sagesse collecteur et de la puissance, quant à placer chaque âme, à chaque étape, en présence de ces conditions, qui, il le sait, sera une incitation objective suffisante à elle à faire, de ses propres, originaire , libre activité, juste la chose demandée par le plan de Dieu. La Loi est donc homme seul, même si sa présence est efficacement assurée par Dieu. Et le péché n’est de l’homme. Préoccupation de Dieu qu’il est Sainte, tout d’abord, parce que tous ses Agence personnelle en s’arrangeant pour garantir sa présence était sacré; et en second lieu, ses extrémités ou fins sont saints. Dieu ne pas sera le péché de la Loi, pour l’amour de ses péchés; mais seulement veut le résultat auquel la Loi est un moyen, et ce résultat est toujours digne de sa sainteté. » [Syst. théol. polémique, p. 288.] La grande majorité des théologiens réformés, toutefois, maintenir le concours en question et cherche la solution de la difficulté en distinguant la materia et la forma de la loi du péché et en attribuant ce dernier exclusivement pour l’homme. La divine concursus dynamise l’homme et lui détermine efficacement à l’acte spécifique, mais c’est l’homme qui donne la Loi sur la qualité formelle, et qui est donc responsable de sa nature pécheresse. Ni l’un de ces solutions peuvent dire pour donner entière satisfaction, pour que le problème de la relation de Dieu au péché demeure un mystère.

D. le gouvernement.

1. NATURE du gouvernement divin. Le gouvernement divin peut être défini comme cette activité continue de Dieu par lequel il gouverne toutes choses téléologiquement afin de garantir l’accomplissement du dessein divin. Ce gouvernement n’est pas simplement une partie de la divine providence, mais, tout comme la préservation et de la concurrence, le tout, mais maintenant considéré du point de vue de la fin à laquelle Dieu dirige toutes choses dans la création, à savoir, à la gloire de son nom.

a. c’est le gouvernement de Dieu comme roi de l’univers. De nos jours, beaucoup considèrent l’idée de Dieu comme roi comme une idée archaïque d’ancien Testament et seraient substituerait, pour elle, l’idée du Nouveau Testament de Dieu comme père. L’idée de la souveraineté divine doit faire place à celui de l’amour divin. C’est censé être en harmonie avec l’idée progressiste de Dieu dans l’écriture. Mais c’est une erreur de penser que la révélation divine, comme il s’élève à des niveaux toujours plus élevés, a l’intention de nous sevrer progressivement de l’idée de Dieu comme roi et d’y substituer pour lui l’idée de Dieu comme père. C’est déjà contredite par l’importance de l’idée du Royaume de Dieu dans les enseignements de Jésus. Et si on affirmer que cela implique simplement l’idée d’une royauté spéciale et limitée de Dieu, il peut être répondu que l’idée de la paternité de Dieu dans les Évangiles est soumis aux mêmes restrictions et limitations. Jésus n’enseigne pas une paternité universelle de Dieu. En outre, le Nouveau Testament enseigne également la royauté universelle de Dieu dans ces passages comme Matthieu 11:25; Actes 17:24; J’ai Timothée 01:17; 06:15; Apocalypse 1:6; 19:6. il est roi et le père et est la source de toute autorité dans les cieux et sur la terre, le roi des rois et Seigneur des seigneurs.

b. c’est un gouvernement adapté à la nature des créatures qui il gouverne. Dans le monde physique, il a établi les lois de la nature, et c’est grâce à ces lois qu’il administre le gouvernement de l’univers physique. Dans le monde mental, il administre son gouvernement médiatement par le biais des propriétés et des lois de l’esprit et immédiatement, par l’exploitation directe de l’Esprit Saint. Dans le gouvernement et le contrôle des agents moraux, il utilise toutes sortes d’influences morales, tels que les circonstances, motivations, instruction, persuasion et exemple, mais aussi travaille directement par l’exploitation personnelle du Saint-Esprit sur l’intellect, la volonté et la coeur.

2. l’étendue de ce gouvernement. L’écriture déclare explicitement ce gouvernement divin sont universelles, PS. 22:28, 29; 103:17-19; Dan. 04:34, 35; J’ai Timothée 06:15. C’est vraiment l’exécution de son dessein éternel, embrassant toutes ses œuvres dès le début, tout ce qui a été, est ou sera jamais. Mais bien qu’il soit général, il descend également aux détails. Les choses les plus insignifiantes, Matthieu 10:29-31, ce qui est apparemment accidentelle, Prov. 16:33, les bonnes actions des hommes, Phil. 02:13, ainsi que leurs mauvaises actions, actes 14:16, — ils sont tous sous contrôle divin. Dieu est roi d’Israël, Ésaïe 33: 22, mais il gouverne aussi les païens, Psaume 47:9. Rien ne peut être retiré de son gouvernement.

E. extraordinaires Providences ou Miracles.

1. la NATURE des MIRACLES. Une distinction est généralement faite entre ordinaria providentia et providentia extraordinaria. Dans l’ancien que Dieu agit par le biais de causes secondes en stricte conformité avec les lois de la nature, il peut cependant varier les résultats par différentes combinaisons. Mais dans le second cas, il travaille sans la médiation des causes secondes ou immédiatement dans leur fonctionnement normal. McPherson, dit: « un miracle est quelque chose de fait sans avoir recours à des moyens ordinaires de production, un résultat appelé vient directement de la première cause sans la médiation, au moins à l’accoutumée, des causes secondes. » [Chr. dogme., p. 183. Cf. aussi Hodge, Contours de théol., p. 275.] La chose distinctive dans l’acte miraculeux, c’est qu’il résulte de l’exercice de la puissance surnaturelle de Dieu. Et cela signifie, bien sûr, que ce n'est pas provoqué par des causes secondaires qui pourraient être appliqués selon les lois de la nature. S’il s’agissait, il ne serait pas supernatural (au-dessus de la nature), autrement dit, il ne serait pas un miracle. Si Dieu dans l’accomplissement d’un miracle n’a parfois utilisé des forces qui n’existaient pas dans la nature, il utilisés d’une manière qui était hors du commun, pour produire des résultats inattendus, et c’était exactement ce que constituait le miracle. [Cf. Mead, révélation surnaturelle, p. 110.] Chaque miracle est supérieur à l’ordre établi de la nature, mais nous pouvons distinguer différents genres, mais pas des degrés, des miracles. Il y a les miracles qui sont tout à fait au-dessus de nature, afin qu’ils ne sont en aucune façon liés à n’importe quel moyen. Mais il y a aussi des miracles qui sont contra médias, dont les moyens sont employés, mais de telle manière que quelque chose traduit qui est très différent du résultat habituel de ces moyens.

2. la possibilité des MIRACLES. Les miracles sont contestés surtout sur le terrain qu’elles impliquent une violation des lois de la nature. Certains cherchent à échapper à la difficulté en supposant avec Augustin qu’ils sont simplement des exceptions à la nature comme nous le savons il, ce qui implique que, si nous avions une connaissance plus complète de la nature, nous serions en mesure de rendre compte pour eux d’une manière parfaitement naturelle. Mais c’est une situation intenable, puisqu’elle suppose deux ordres de la nature, qui vont à l’encontre de l’autre. Selon le l’huile dans la cruse diminueraient, mais il ne diminue pas après l’autre; selon celui les pains seraient peu à peu consommés, mais selon les autres, ils multiplient. Il doit encore supposer que le système est supérieur à l’autre, si ce n’était pas le cas, il n’y aurait qu’une collision et rien ne se traduirait pas; mais s’il s’agissait, il semblerait que l’ordre inférieur serait progressivement surmonter et disparaissent. En outre, il prive le miracle de son caractère exceptionnel, encore miracles se distinguent comme des événements exceptionnels sur les pages de l’écriture.

Il y a sans aucun doute une certaine uniformité dans la nature; Il existe des lois contrôlant le fonctionnement des causes secondes dans le monde physique. Mais n’oublions pas que ce sont simplement la méthode habituelle de Dieu de travailler dans la nature. C’est son bon plaisir à travailler d’une manière ordonnée et par le biais de causes secondaires. Mais cela ne signifie pas qu’il ne peut s’écarter de l’ordre établi et qu’il ne peut pas produire un effet extraordinaire, qui ne résulte pas de causes naturelles, par une seule volonté, s’il le juge souhaitable pour la fin en vue. Quand Dieu fait des miracles, il produit des effets extraordinaires d’une manière surnaturelle. Cela signifie que les miracles sont nature ci-dessus . Nous dirons également qu’ils sont contraire à la nature ? Plus anciens théologiens réformés n’hésitent pas à parler d’eux comme une violation ou une violation des lois de la nature. Parfois, ils ont dit que, dans le cas d’un miracle, l’ordre de la nature a été temporairement suspendue. Dr. Bruin maintient que ce point de vue est correct dans son Het Christelijk Geloof fr de Beoefening der Natuur-wetenschapet s’oppose aux vues des Woltjer, Dennert et Bavinck. Mais la justesse de cette terminologie plus âgée peut être mise en doute bien. Quand un miracle est interprété les lois de la nature ne sont pas violés, mais remplacés à un moment donné par une supérieure manifestation de la volonté de Dieu. Les forces de la nature ne sont pas anéantis ou suspendus, mais sont seulement contré à un moment donné par une force supérieure aux pouvoirs de la nature.

3. le but des MIRACLES de l’Ecriture. On peut supposer que les miracles de l’Ecriture n’a été effectuées arbitrairement, mais avec un but précis. Ils ne sont pas simples merveilles, expositions de puissance, destinés à exciter l’étonnement, mais ont une signification révélatrice. L’entrée du péché dans le monde rend l’intervention surnaturelle de Dieu dans le cadre d’événements nécessaires à la destruction du péché et pour le renouvellement de la création. C’est un miracle que Dieu nous a donné, sa révélation verbale particulière dans l’écriture, tant sa suprême révélation factuelle en Jésus Christ. Les miracles sont liés à l’économie de la rédemption, une rédemption qui, souvent, ils préfigurent et symbolisent. Ils ne visent pas à une violation, mais plutôt à une restauration de le œuvre créatrice de Dieu. C’est pourquoi nous trouvons des cycles des miracles liés à périodes spéciales dans l’histoire de la rédemption et surtout pendant le temps du ministère public de Christ et de la Fondation de l’église. Ces miracles n’a pas encore entraîné la restauration de l’univers physique. Mais à la fin des temps, une autre série de miracles suivront, qui se traduira par le renouvellement de la nature à la gloire de Dieu, — l’établissement final du Royaume de Dieu dans un ciel nouveau et une terre nouvelle.

QUESTIONS pour une étude plus approfondie. Est la doctrine de la divine providence un articulus purus ou un articulus mixtus? Qui était le premier d'entre les pères de l’église de développer cette doctrine ? Comment Luther et Calvin diffèrent dans leur conception de la providence divine ? Ce qui explique le fait que les arminiens acceptent le Socinien position sur ce point ? Comment devons nous juger de l’affirmation de quelques théologiens réformés que Dieu est la seule vraie cause dans le monde ? Quelles sont les causes secondes, et pourquoi il est important de maintenir qu’ils sont les véritables causes ? Est-ce la doctrine de la divine concursus conflit avec l’Agence libre de l’homme ? Quelle a été la conception de Augustine de miracles ? Pourquoi est-il important de maintenir la miraculeuse ? Les miracles admettent une explication naturelle ? Qu’ils impliquent une suspension des lois de la nature ? Quelle est la signification spéciale des miracles de la Bible ? Peuvent les miracles se produisent encore aujourd'hui ? Ils arrive encore ? Qu’en est-il des miracles de l’église catholique romaine ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. II, pp. 635-670; Kuyper, Dict. dogme., De Providentia, pp. 3-246; Vos, Geref. Dogme., I, De Voorzienigheid; Hodge, Syst. Theol. I, pp. 575-636; Shedd, dogme . THEOL. J’ai, p. 527-545; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., pp. 276-291; McPherson, Chr. dogme., p. 174-184; Drummond, Studies in Chr. Doct., p. 187-202; Le pape, Chr. Theol., I, pp. 437-456; Raymond, Syst. Theol., I, pp. 497-527; Valentine, Chr. Theol., pp. 363-382; Pieper, Christl. Dogme., I, pp. 587-600; Schmidt, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, p. 179-201; Dijk, dieux De Voorzienigheid; Mozley, sur les Miracles; Thomson, Les Miracles chrétiens ainsi que les Conclusions de la Science; Mead, révélation surnaturelle; Harris, Dieu, créateur et Seigneur de tous, I, pp. 519-579; Bruin, Het Christelijke Geloof fr de Beoefening der Natuurwetenschap, pp. 108-138.

 

DEUXIÈME PARTIE

La Doctrine de l’homme en ce qui concerne Dieu

A. LA DOCTRINE DE L’HOMME DANS LA DOGMATIQUE.

La transition entre théologie et anthropologie, c'est-à-dire de l’étude de Dieu, à l’étude de l’homme, est naturelle. L’homme est non seulement la Couronne de la création, mais aussi l’objet d’une attention particulière de Dieu. Et la révélation de Dieu dans l’écriture est une révélation qui n’est pas seulement donnée à l’homme, mais aussi une révélation où l’homme est extrêmement préoccupée. Il n’est pas une révélation de Dieu dans l’abstrait, mais une révélation de Dieu à l’égard de ses créatures et en particulier en ce qui concerne l’homme. C’est un compte rendu des relations de Dieu avec l’humanité et surtout une révélation de la rédemption que Dieu a préparées pour, et pour laquelle il cherche à préparer, homme. Ceci explique le fait que l’homme occupe une place d’une importance capitale dans l’écriture, et que la connaissance de l’homme par rapport à Dieu est essentielle à sa bonne compréhension. La doctrine de l’homme doit suivre immédiatement après la doctrine de Dieu, puisque la connaissance de celui-ci est présupposée dans tous les locus suivants de théologie dogmatique. Il ne faut pas confondre le présent sujet d’étude avec l’anthropologie générale ou la science de l’humanité, qui comprend toutes les sciences qui ont des hommes comme objet d’étude. Ces sciences se préoccupent de l’origine et l’histoire de l’humanité, avec la structure physiologique et les caractéristiques psychiques d’homme en général et des différentes races de l’humanité en particulier, avec leurs ethnologiques, linguistiques, culturelles et développement religieux et ainsi de suite. Anthropologie théologique ne porte que sur ce que dit la Bible concernant l’homme et de la relation dans laquelle il se trouve et doit être maintenue à Dieu. Il reconnaît l’écriture comme sa source et lit les enseignements de l’expérience humaine à la lumière de la parole de Dieu.

B. SCRIPTURAIRE COMPTE D’ORIGINE DE L’HOMME.

L’écriture nous offre un compte deux volets de la création de l’homme, celui de 01:26, 27 et l’autre en Genèse 2:7, 21-23. Critique supérieure est d’avis que l’auteur de la Genèse rassemblé deux récits de création, le premier trouvé dans Genèse 1:1 — 2:3 et le second en Genèse 2:4-25; et que ces deux sont indépendants et contradictoires. Laidlaw dans son ouvrage sur La Doctrine de la Bible de l’homme[p. 25f.] est prêt à admettre que l’auteur de la Genèse fait usage de deux sources, mais refuse de trouver ici deux récits différents de création. Il nie très correctement que dans le deuxième chapitre, nous avons « un autre compte de la création, pour la simple raison qu’il ne tienne pas compte de la création dans son ensemble ». En fait, la partie introductive du narratif partir de Genèse 2:4, « ce sont les générations des cieux et de la terre, lorsqu’ils ont été créés, » vu à la lumière de l’utilisation répétée de l’expression « ce sont les générations » dans le livre de la Genèse , pointez sur le fait que nous avons quelque chose de très différent ici. L’expression fait invariablement, pas à l’origine ou le début de ceux nommés, mais à leur histoire familiale. Le premier récit contient le récit de la création de toutes choses dans l’ordre dans lequel elle s’est produite, tandis que les deuxième choses de groupes dans leur relation à l’homme, sans impliquer quoi que ce soit en respectant l’ordre chronologique d’apparition de l’homme dans le travail créatif de Dieu et indique clairement que tout ce qui précède il a servi à préparer une habitation fit pour l’homme comme le roi de la création. Il nous montre comment l’homme se trouvait dans la création de Dieu, entourée par le monde végétal et animal, et comment il a commencé son histoire. Il y a certaines mentions dans lequel la création de l’homme se distingue à la différence de celle des autres êtres vivants:

1. CRÉATION DE HOMME A ÉTÉ PRÉCÉDÉE PAR UN CONSEILLE DIVIN SOLENNEL. Avant que l’écrivain inspiré enregistre la création de l’homme, il nous conduit, en quelque sorte, dans le Conseil de Dieu, nous familiariser avec le décret divin dans les mots: « faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, » 01:26. L’église a généralement interprétée le pluriel « nous » sur la base de l’existence de Trinitaire de Dieu. Certains chercheurs, cependant, considèrent comme un pluriel de Majesté; d’autres, comme un pluriel de communication, dans lequel Dieu comprend les anges avec lui; et d’autres encore, comme un pluriel d’exhortation autonome. De ces trois propositions, la première est très peu probable, depuis le pluriel de Majesté est née à une date bien ultérieure; le second est impossible, car cela impliquerait que les anges étaient co-créateurs avec Dieu, et que l’homme est également créé à l’image des anges, qui est une idée non scripturaire; et la troisième est une hypothèse tout à fait gratuite, pour lesquels aucune raison ne peut être assignée. Pourquoi une telle exhortation indépendant devrait être au pluriel, sauf pour la raison qu’il y a une pluralité en Dieu.

2. LA CRÉATION DE L’HOMME A ÉTÉ, AU SENS STRICT DU MOT, UN ACTE IMMÉDIAT DE DIEU. Certaines des expressions utilisées dans le récit qui précède celle de la création de l’homme indiquent médiate création dans un certain sens du mot. Remarquez les expressions suivantes: « Et Dieu a dit: que la terre mises en avant des graminées, des herbes, ce qui donne des graines, et des arbres fruitiers portant fruit selon leur espèce » — « Que les eaux pullulent avec des hordes de créatures vivantes »... et, « que la terre produise des êtres vivants après leur genre »; Comparez-les avec l’instruction simple « et Dieu créa l’homme. » Quelque indication de médiation dans le travail de création ne figure pas dans les expressions de l’anciennes, est tout à fait désireux dans ce dernier. Évidemment, le œuvre de Dieu dans la création de l’homme a été pas véhiculée dans tous les sens du terme. Il a fait usage de matériel préexistant en formant le corps de l’homme, mais même si cela a été exclue par la création de l’âme.

3. LA DISTINCTION DE LA PARTIE INFÉRIEURE DES CRÉATURES HUMAINE A ÉTÉ CRÉÉ D'APRÈS UN TYPE DIVIN. En ce qui concerne les poissons, les oiseaux et les bêtes, nous lisons que Dieu a créé les selon leur espèce, c'est-à-dire sur une forme typique de leurs propres. Homme, cependant, n’était pas tellement créé et beaucoup moins après le type d’une créature inférieure. Quant à lui, Dieu dit: « faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance. » Nous verrons ce que cela implique, lorsque nous examinons l’état initial de l’homme et simplement attirer l’attention sur elle ici, afin de faire ressortir le fait que, dans le récit de la création de l’homme, se distingue comme quelque chose de distinctif.

4. LES DEUX DIFFÉRENTS ÉLÉMENTS DE LA NATURE HUMAINE SONT BIEN DIFFÉRENCIÉES. Dans Genèse 2:7 il fait une distinction claire entre l’origine du corps et celui de l’âme. Le corps a été formé de la poussière du sol; dans la production de ce Dieu fait de l’utilisation de matériel préexistant. Dans la création de l’âme, cependant, il n’y avait aucune structuration des matériaux préexistants, mais la production d’une substance nouvelle. L’âme de l’homme a été une nouvelle production de Dieu au sens strict du mot. Jéhovah « il souffla dans narines ses (homme) le souffle de vie; et l’homme devint une âme vivante. » Dans ces simples mots la nature double de l’homme est clairement affirmée, et leur enseignement est corroborée par d’autres passages de l’écriture, par exemple, Ecclésiaste 12:7; Matthieu 10:28; Luke 08:55; II Corinthiens 5:1-8; Phil. 01:22-24; Hébreux 12:9. Les deux éléments sont le corps et le souffle ou l’esprit de la vie c’est insufflé par Dieu et par la combinaison des deux l’homme est devenu « une âme de vie, » qui signifie en l’occurrence tout simplement « un être vivant. »

5. L’HOMME EST À LA FOIS PLACÉE DANS UNE POSITION ÉLEVÉE. L’homme est représenté comme se situant au sommet de tous les ordres créés. Il est couronné comme roi de la création plus bas et est donné la domination sur toutes les créatures inférieures. Comme tel, c’est son devoir et le privilège de faire toute la nature et tous les êtres créés qui ont été placées sous son règne, inféodée à son aura et fin, afin que lui et sa domination tout glorieuse pourraient amplifier le tout-puissant créateur et Seigneur de l’univers , 01:28; Psaume 8:4-9.

C. LA THÉORIE DE L’ÉVOLUTION DE L’ORIGINE DE L’HOMME.

Parmi les différentes théories qui ont été examinées pour expliquer l’origine de l’homme, la théorie de l’évolution à présent tient le champ et donc mérite brèves considérations.

1. ÉNONCÉ DE LA THÉORIE. La théorie de l’évolution n’est pas toujours indiquée dans la même forme. Elle est parfois représentée comme si l’homme est un descendant direct de l’une des espèces de grands singes anthropoïdes maintenant en existence, et là encore, comme si l’homme et plus les singes ont un ancêtre commun. Mais toute divergence d’opinion, il peut y avoir sur ce point, il est certain que, selon l’évolution naturaliste complète qui, descendu des animaux inférieurs, corps et âme, par un procédé parfaitement naturel, l’homme entièrement contrôlé par les forces inhérentes. Un des principaux principes de la théorie est celle de la stricte continuité entre le monde animal et l’homme. Il ne peut pas prévoir discontinuité n’importe où le long de la ligne, pour chaque pause est fatale à la théorie. Rien de ce qui est tout à fait nouvelles et imprévisibles peut apparaître dans le processus. Ce qui se trouve maintenant dans l’homme doit avoir été potentiellement présente dans le germe initial d'où toutes choses mis au point. Et l’ensemble du processus doit être contrôlé de bout en bout par les forces inhérentes. L’évolution théiste, qui semble plus acceptable pour beaucoup de théologiens, considère simplement évolution comme méthode de Dieu de travailler. Il est parfois représenté sous une forme dans laquelle Dieu est simplement appelé à combler le fossé entre l’organique et l’inorganique et entre l’irrationnel et le rationnel, création. Mais dans la mesure à laquelle une opération spéciale de Dieu est supposée, les lacunes sont admis quelle évolution ne peut combler, et quelque chose de nouveau est appelé en cours, la théorie naturellement cesse d’être une pure théorie de l’évolution. On le tient parfois que seul le corps de l’homme est dérivé par un processus d’évolution les animaux inférieurs, et que Dieu a doté cet organe avec une âme rationnelle. Ce point de vue répond avec une faveur considérable dans les milieux catholiques.

2. LES OBJECTIONS À LA THÉORIE. Plusieurs objections peuvent être déclenchées contre la théorie de la descente évolutionnaire de l’homme par les animaux inférieurs.

a. du point de vue du théologien la plus grande objection à cette théorie est, bien sûr, qu’il est contraire à l’enseignement explicite de la parole de Dieu. La Bible pourrait enseigner guère plus clairement qu’il ne le fait que l’homme est le produit d’un acte de Dieu créateur direct et spécial, plutôt que d’un processus de développement du Simien épuisé d’animaux. Il affirme que Dieu forma l’homme de la poussière du sol, Genèse 2:7. Certains théologiens, dans leur empressement à harmoniser les enseignements de l’écriture avec la théorie de l’évolution, donnent à penser que cela peut être interprété comme signifiant que Dieu forma le corps de l’homme hors du corps des animaux, qui est, après tout, mais de la poussière. Mais c’est tout à fait injustifié, puisque aucune raison ne peut être assignée, pourquoi l’expression générale « de la poussière de la terre » doit être utilisée après que l’auteur a déjà décrit la création des animaux et aurait donc pu l’instruction beaucoup plus spécifiques. En outre, cette interprétation est aussi exclue par l’instruction à 03:19, « à la sueur de ton visage tu mangeras pain, jusqu'à ce que tu retourne à la terre: pour out of it as été tu pris: pour la poussière tu es, et à la poussière tu retourneras. » Cela ne signifie certainement pas que l’homme doit retourner à son ancien État animal. Bête et l’homme aussi bien retournent à la poussière. Eccl. 03:19, 20. Enfin, on nous dit explicitement dans I Corinthiens 15:39 que « toute chair n’est pas la même chair: mais il y a une seule chair des hommes et une autre chair des bêtes. » Quant à l’esprit de l’homme, la Bible enseigne explicitement qu’il venait directement de Dieu, Genèse 2:7 et par conséquent ne saurait être considérée comme une évolution naturelle d’une substance déjà existante. En parfaite harmonie avec cette Elihou dit: « l’esprit de Dieu a fait de moi, et le souffle du tout-puissant me donne la vie, » Job 33: 4. En outre, l’écriture enseigne également que homme était à la fois séparé de la création plus bas par un énorme gouffre. Il se tenait à la fois sur un haut intellectuel, moral, et religieux niveau, tel qu’il est créé à l’image de Dieu et reçut la domination sur la création inférieure, 01:26, 27, 31; 02:19, 20; Psaume 8:5-8. Par sa chute dans le péché, cependant, il est tombé de sa succession élevée et ont été soumises à un processus de dégénérescence aboutissant parfois à la bestialité. C’est tout le contraire de ce que nous enseigne l’hypothèse évolutionniste. Selon il homme se tenait sur le niveau le plus bas au début de sa carrière, mais légèrement retiré de la brute et a depuis augmenté à des niveaux plus élevés.

b. la deuxième grande objection est que la théorie n’a aucun fondement adéquat dans les faits bien établis. Il faut avoir à l’esprit que, comme l’a indiqué précédemment, la théorie de l’évolution en général, bien que souvent représenté comme une doctrine établie, est jusqu'à présent rien mais une hypothèse de travail non prouvées et une hypothèse qui n’a pas encore donné toute grande promesse de réussi à démontrer qu’il fixés à prouver. Franchement, beaucoup d'entre les plus éminents évolutionnistes admettent le caractère hypothétique de leur théorie. Ils encore avow se fermes croyants dans la doctrine de la descente, mais n’hésitent pas à dire qu’ils ne peuvent parler avec n’importe quel assurance de son mode de fonctionnement. Quand Darwin publia ses œuvres, on pensait que la clé du processus était enfin trouvée, mais en cours de temps, il a été constaté que la clé ne cadrait pas avec la serrure. Darwin a vraiment dit que sa théorie reposait entièrement sur la possibilité de transmission des caractères acquis, et il est vite devenu l’un des pierres angulaires de la théorie de Weismann biologique que les caractères acquis ne sont pas héritées. Son opinion a reçu confirmation abondante par l’étude ultérieure de la génétique. Sur la base de la supposée transmission des caractères acquis, Darwin s’est entretenu avec grande assurance de la transmutation des espèces et envisagé une ligne continue du développement de la cellule primordiale à l’homme; mais les expériences de Mendel, De Vries et d’autres tendaient à discréditer son avis. Les changements progressifs et imperceptibles de Darwin a fait place pour les mutations soudaines et inattendues de Vries. Tandis que Darwin a assumé des variations infinies dans plusieurs directions, Mendel a souligné que les variations ou les mutations jamais prennent l’organisme à l’extérieur de l’espèce et sont soumis à un droit précis. Et cytologie moderne dans son étude de la cellule, avec ses gènes et les chromosones que les transporteurs des caractères héréditaires, a confirmé cette idée. La nouvelle espèce dite des évolutionnistes ont été avérée aucune espèce de vrai du tout, mais seulement les espèces variétales, c'est-à-dire des variétés de la même espèce. Nordenskioeld dans son Histoire de la biologie des offres auprès un populaire compte des résultats de recherche de l’hérédité, comme reflétant la situation réelle de la phrase suivante: « en raison du grand nombre de faits que l’hérédité-la recherche moderne a mis à jour, chaos règne actuellement en ce qui concerne les points de vue sur la formation des espèces, » p. 613. Les évolutionnistes éminents admettent maintenant franchement que l’origine des espèces est une véritable énigme pour eux. Et tant que c’est le cas, il n’y a pas beaucoup de chance de leur expliquer l’origine de l’homme.

Darwin, dans sa tentative de prouver l’origine de l’homme d’une espèce de singes anthropoïdes invoqué (1) l’argument de la similarité structurelle entre l’homme et les animaux supérieurs; (2) l’argument embryologique; et (3) l’argument d’organes rudimentaires. À ces trois ont été ajoutés plus tard, (4) l’argument dérivé de tests sanguins; et (5) l’argument paléontologique. Mais aucun de ces arguments fournir la preuve souhaitée. L’argument de ressemblance structurale injustifiable suppose que la similitude peut s’expliquer de façon qu’un seul. Mais il peut très bien s’expliquer par l’hypothèse selon laquelle Dieu dans la création du monde animal fait certain typique forme fondamentale dans l’ensemble, afin d’avoir l’unité dans la variété, tout comme un grand musicien s’accumule sa puissante composition sur un thème unique, qui est la fois répétée et encore une fois et à chaque répétition introduit de nouvelles variations. Le principe de la préformation donne une explication suffisante des similitudes à l’étude. La similitude embryologique, tel qu’il est, peut s’expliquer sur le même principe. De plus récentes études biologiques semble indiquer qu’aucune similarité structurelle, mais seulement une relation génétique peut s’avérer affinité ou descente. Autant que les organes rudimentaires sont concernés, plus d’un scientifique a a exprimé des doutes quant à leur caractère vestigial. Au lieu d’être les restes inutiles d’organes d’animaux, il peut très bien être qu’ils servent un but précis dans l’organisme humain. Les tests sanguins dans leur forme originale, tout en soulignant une certaine ressemblance entre le sang des animaux et l’homme, ne prouvent pas de lien génétique, puisque lors de ces essais, qu’une partie du sang, le sérum stérile qui ne contient aucune matière vivante, a été utilisée, bien qu’il soit un fait établi que la partie solide du sang contenant des globules rouges et blancs, est porteur de facteurs héréditaires. Des tests plus tard, dans lequel le spectroscope a été remis en usage et le sang entier a été examiné, prouvé de façon concluante qu’il y a une différence fondamentale entre le sang des animaux et celle de l’homme. L’argument paléontologique est tout aussi peu concluant. Si l’homme est descendu vraiment de singes anthropoïdes, on pourrait s’attendre que les formes intermédiaires serait existent quelque part. Mais Darwin n’était pas en mesure de trouver le maillon manquant pas plus que les milliers de chaînons manquants entre les différentes espèces d’animaux. On nous dit que les progéniteurs précoces de l’homme ont depuis longtemps disparu. Cela étant ainsi, il est toujours possible qu’ils pourraient être trouvés parmi les restes fossiles. Et les scientifiques d’aujourd'hui demandent réellement qu’ils ont trouvé quelques os des hommes très anciennes. Ils ont reconstruit ces hommes pour nous, et nous pouvons profiter maintenant en regardant les photos imaginaires de l’homme Java reconstituée (Pithecanthropus erectus), l’homme d’Heidelberg (Homo Heidelbergensis), l’homme de Neandertal (Homo Neanderthalensis), le Cro-Magnon, l’homme de Piltdown et autres. Ces reconstructions semblent être pris au sérieux par certains, mais vraiment très peu de valeur. Depuis que quelques os ont été trouvés de chacun, et même ceux-ci se sont dispersés dans certains cas, afin qu’il n’est pas certain qu’ils appartiennent à la même entité, elles témoignent simplement l’ingéniosité des scientifiques qui eux reconstruit. Dans certains cas les spécialistes sont absolument pas d’accord quant à savoir si l’OS en question appartenaient à un homme ou un animal. Le Dr Wood, professeur d’anatomie à l’Université de Londres, affirme dans une brochure sur l' Ascendance de l’homme: « je ne trouve aucun occupation moins digne de la science de l’anthropologie que l’entreprise pas démodé de modélisation, de peindre ou de dessiner ces cauchemar photos de l’imagination et les prêts en cours, d’une valeur totalement fausse de la réalité apparente. » [Cité par Allen, évolution dans les soldes, p. 110.] Fleming, un des plus éminents scientifiques aujourd'hui, dit: « le résultat de tout cela est que nous ne pouvons pas organiser tous les fossiles connus demeure de supposé « homme » dans une série lineal avancer progressivement dans le type ou la forme de celle de n’importe quel singe anthropoïde, ou autres mammifères , jusqu'à les types modernes et maintenant existants de vrai homme. Toute supposition ou la déclaration qu’il peut être fait et il est vrai, est certainement inexacte. Il est certainement trompeuse et indiciblement pernicieux de présenter dans des magazines populaires et d’autres publications lues par les dessins d’enfants de gorilles ou les chimpanzés portant la mention « Cousine de l’homme » ou « Parent le plus proche de l’homme », ou de publier parfaitement imaginaires et les images grotesques d’un supposée « Java homme » avec un visage brutal comme un ancêtre de l’homme moderne, comme parfois le fait. Ceux qui font de telles choses sont coupables de l’ignorance ou délibérée fausses déclarations importantes. Elle n’est justifiable des prédicateurs dans la Chaire de raconter leurs congrégations qu’il y a un accord général parmi les hommes scientifiques quant à l’origine évolutive de l’homme d’un ancêtre animal. » [L’origine de l’humanité, p. 75.] Mais le corps de l’homme ne présente pas encore les plus grandes difficultés pour l’évolutionniste. Celles-ci découlent de l’examen de l’élément spirituel chez l’homme, ou ce qu’on appelle généralement « l’origine de l’esprit. » C’est à ce moment que son impuissance devienne plus douloureusement évident. Malgré toutes ses tentatives, il n’a manifestement pas de donner une explication plausible de l’origine de l’esprit humain, ou intelligence (progressivité), langage, conscience et de religion. Cela pourrait être fait observer en détail, mais nous le jugent pas nécessaire. Il y a beaucoup de ceux qui, comme Dennert et Kamal, professent encore à croire en la doctrine de la descente, mais désavoue la méthode darwinienne de l’évolution et la considérer comme un échec presque complet. Pourtant ils ne connaissent pas d’autre méthode qui pourrait prendre sa place. Cela signifie que leur évolution a cessé d’être une science, et est devenue une fois de plus une simple philosophique théorie. Kamal a déclaré: « nous lisons régime sa (Darwin) de l’évolution, comme nous le ferions celles de Lucrèce ou de Lamarck.... Nous sommes à peu près où Boyle fut au XVIIe siècle. » Le témoignage du Dr D. H. Scott est très similaire. Dans un discours devant l’Association Britannique pour l’avancement de la Science, il a fait les déclarations suivantes: « tout est à nouveau dans le creuset.... Est évolution, alors, pas un fait scientifiquement établi ? Non, il n’est pas... C’est un acte de foi — parce qu’il n’y a pas d’alternative. » Création, bien sûr, est ne pas à considérer. Il a ajouté qu’il existe, en sciences naturelles, « un retour au chaos pré darwinienne ». Dr. Fleischmann d’Erlangen écrit: « la théorie darwinienne n'a pas un seul fait pour le soutenir... est purement le fruit de l’imagination. » Encore plus forte est l’affirmation du Dr B. Kidd: « Darwinisme est un composé de présomption étonnante et ignorance incomparable. » [Citations tirées Zerbe, christianisme et faux Evolution, p. 271f.] Ces scientifiques comme Fleming, Dawson, Kelly et le prix n’hésitent pas à rejeter la théorie de l’évolution et à accepter la doctrine de la création. Concernant l’origine de l’homme, Sir William Dawson dit: « je ne sais rien sur l’origine de l’homme, sauf qu’on me dit dans l’Ecriture, que Dieu créa. Je ne sais rien de plus que cela, et je ne sais pas de toute personne qui le fait. » [Cité par W. Bell Dawson, la Bible a confirmé par la Science, p. 146. Cf. aussi ce que la plus tard Dawson dit au Chap. VIII.] Fleming dit: « tout ce que la science peut dire à l’heure actuelle à la lumière de définitivement déterminée et limitée de la connaissance humaine est qu’il ne sait pas et qu’il n’a aucun preuve certain comment, où et quand l’homme était originaire. Si toute vraie connaissance de celui-ci doit venir à nous, il doit provenir d’une source autre que l’anthropologie moderne présente. » [L’origine de l’humanité, p. 76.]

D. L’ORIGINE DE L’HOMME ET L’UNITÉ DE LA RACE.

1. L'ÉCRITURE TÉMOIGNE DE L’UNITÉ DE LA RACE. L’écriture enseigne que tout le genre humain est descendu d’une seule paire. C’est le sens évident des premiers chapitres de la Genèse. Dieu a créé Adam et Eve comme le début de l’espèce humaine et leur ordonna de Soyez féconds et multipliez et remplissez la terre. En outre, le récit ultérieur dans la Genèse montre clairement que les générations suivantes jusqu’au temps du déluge se trouvait dans une relation génétique ininterrompue avec la première paire, afin que la race humaine constitue non seulement une unité spécifique, une unité dans le sens que tous les hommes partagent la même nature humaine, mais aussi une unité génétique ou généalogique. C’est également enseignée par Paul dans Actes 17:26, « et Dieu fait un toutes les Nations de l’homme de s’étendre sur toute la surface de la terre. » La même vérité est fondamentale pour l’unité organique de la race humaine dans la première transgression et de la provision pour le salut de la race dans le Christ, Rom. 05:12, 19; I Corinthiens 15:21, 22. Cette unité de la race ne pas doit s’entendre de façon réaliste, il est représenté par Shedd, qui dit: « la nature humaine est une substance spécifique ou générale créée et où les premiers individus d’une espèce humaine, ce qui n’est pas encore individualisée, mais qui par ordinaire génération est divisée en parties, et ces pièces sont formées dans des individus distincts et séparés de l’espèce. Les substances spécifiques, par propagation, se métamorphose en des millions de substances individuelles, ou des personnes. Un individu est séparé de la masse commune une partie fractionnaire de la nature humaine et constituait une personne en particulier, ayant toutes les propriétés essentielles de la nature humaine. » [Dogme. Théol. II, p. 72.] Les objections à ce point de vue seront définies par une autre connexion.

2. LE TÉMOIGNAGE DE LA SCIENCE À L’UNITÉ DE LA RACE. Science de diverses manières confirme le témoignage de l’écriture quant à l’unité de la race humaine. Hommes scientifiques n’ont pas toujours cru en cela. Les Grecs avaient leur théorie d’autochtonism, selon laquelle les hommes jaillit de la terre par une sorte de génération spontanée, une théorie qui n’a aucun fondement solide, à que ce soit, étant donné que la génération spontanée n’a jamais été prouvée mais plutôt discréditée. Agassiz proposé la théorie de la Coadamites, ce qui suppose qu’il y avait différents centres de création. Dès 1655, Peyrerius a développé la théorie de la Preadamites, qui se déroule sur l’hypothèse qu’il y avait des hommes avant Adam a été créé. Cette théorie a été relancée par le Winchell, qui n’a pas nié l’unité de la race, mais considéré Adam le premier ancêtre des Juifs plutôt que la tête de la race humaine. Et ces dernières années le Fleming, sans être dogmatique en la matière, a dit qu’il y a des raisons de penser qu’il y avait des races inférieures de l’homme qui précède l’apparition d’Adam sur la scène vers 5500 av. J.-C. Tout en inférieure aux Adamites, ils avaient déjà des pouvoirs distincts de ceux des animaux. L’homme adamique plus tard a été dotée de pouvoirs plus grande et plus nobles et probablement destiné à intégrer l’ensemble des autre l’humanité existante allégeance au créateur. Il n’a pas préservé son allégeance à Dieu et c’est pourquoi Dieu a fourni à la venue d’un descendant qui a été l’homme et encore beaucoup plus que l’homme, afin qu’il peut accomplir ce que l’homme adamique omis de faire. Est d’avis que Fleming a été amené à tenir « qui l’incontestablement caucasien branche est seul le calcul de la production normale de la race Adamique, nommément des membres de la race Adamique qui a survécu à l’inondation adoration du Dieu — Noé et ses fils et filles. » [Cf. l’origine de l’humanité, Chaps. VI et VII] Mais ces théories, et chacun, trouvent aucun appui dans les Ecritures et sont contrairement aux actes 17:26 et à tout ce que la Bible enseigne concernant l’apostasie et la délivrance de l’homme. En outre, science présente plusieurs arguments en faveur de l’unité de la race humaine, telles que:

a. l’argument de l’histoire. Les traditions de la race des hommes pointent résolument vers une origine commune et l’ascendance en Asie centrale. L’histoire des migrations de l’homme tend à démontrer qu’il y a eu une distribution d’un seul centre.

b. l’argument de la philologie. L’étude des langues de l’humanité, indique une origine commune. Les langues indo-européennes sont attribuables à une langue commune primitive, un ancien vestige qui subsiste dans la langue sanskrite. En outre, il y a une preuve qui démontre que l’égyptien ancien est la liaison reliant l’indo-européen et la langue sémitique.

c. l’argument de la psychologie. L’âme est la partie la plus importante de la nature constitutionnelle de l’homme, et psychologie, il ressort clairement du fait que les âmes de tous les hommes, à quelque tribus ou des nations qu’ils appartiennent, sont essentiellement les mêmes. Ils ont en commun les mêmes appétits animaux, des instincts et passions, les mêmes tendances et capacités et surtout les mêmes qualités supérieures, les caractéristiques mentales et morales qui appartiennent exclusivement à l’homme.

d. l’argument de sciences naturelles ou de la physiologie. C’est maintenant l’arrêt commune de physiologistes comparatives qui constitue la race humaine, mais une seule espèce. Les différences qui existent entre les différentes familles de l’humanité sont considérés simplement comme des variétés de cette un espèce. Science n’affirme pas positivement que la race humaine est descendu d’une seule paire, mais démontre néanmoins que cela peut être le cas et qu’il est probablement.

QUESTIONS pour une étude complémentaire: Que peut-on dire sur la vue que nous avons dans Genèse 1 et 2 deux différentes et plus ou moins contradictoires récits de création ? Il semble raisonnable de penser que le monde existait des millions d’années avant que l’homme est apparu sur la scène ? L’hypothèse de l’évolution théiste s’harmonise avec le récit biblique de l’origine de l’homme ? Est la notion que le corps de l’homme est au moins dérivé d’animaux tenable à la lumière de l’écriture ? Évolution a mis en place ses arguments sur ce point ? Ce qu’il s’est avéré relativement à la question beaucoup plus difficile de la dérivation de l’âme humaine ? Ce qu’il advient de la doctrine de l’automne dans la théorie de l’évolution ? Quelle est la signification théologique de la doctrine de l’unité de la race humaine ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. II p. 543-565, Hodge, Syst. Theol. II, pp. 3-41; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 107-113; Miley, Syst. Theol. I, pp. 355-392; Alexander, syst. de la Bibl. Theol. I, p. 156-167; Laidlaw, la Bible Doct. d’homme, p. 24-46; Darwin, descente de l’homme; Drummond, l’ascension de l’homme; Fleming, l’origine de l’humanité; O ' Toole, l’affaire contre l’évolution, partie II, Chaps. II et III. Cf. plus loin les travaux sur l’évolution mentionné à la fin du chapitre précédent.

II. la Nature constitutionnelle de homme

Le chapitre précédent est de nature plus ou moins liminaire et ne forme pas, à proprement parler, partie intégrante de la présentation systématique de la doctrine de l’homme dans la dogmatique. C’est ce qui explique pourquoi de nombreux traités de théologie systématique ne parviennent pas à consacrer un chapitre distinct à l’origine de l’homme. Pourtant, il semble souhaitable d’insérer ici, car elle fournit un arrière-plan de raccord pour ce qui suit. Sous la présente rubrique, nous allons examiner les constituants essentiels de la nature humaine et la question de l’origine de l’âme chez les individus qui constituent la course.

A. LES ÉLÉMENTS CONSTITUTIFS DE LA NATURE HUMAINE.

1. LES POINTS DE VUE DIFFÉRENTS QUI ÉTAIENT À JOUR DANS L’HISTOIRE: DICHOTOMIE ET TRICHOTOMIE. Il est d’usage, en particulier dans les milieux chrétiens, de concevoir l’homme comme étant constituée de deux. et seulement deux, parties distinctes, à savoir, corps et âme. Ce point de vue est techniquement appelé dichotomie. Aux côtés de celui-ci, cependant, un autre a fait son apparition, à l’effet que la nature humaine se compose de trois parties, corps, âme et esprit. Elle est désignée par le terme trichotomie. La conception tripartite de l’homme originaire de la philosophie grecque, qui conçoit la relation entre le corps et l’esprit de l’homme à l’autre après l’analogie de la relation réciproque entre le Dieu et l’univers matériel. On croyait que, tout comme ce dernier pourrait entrer en communion avec l’autre qu’au moyen d’une troisième substance ou un être intermédiaire, donc l’ancien pourrait entrer en relations mutuelles de vitales qu’au moyen d’un tiers ou un élément intermédiaire, à savoir, l’âme. L’âme a été considéré comme, d’une part, immatérielle et d’autre part, adapté au corps. Dans la mesure où il a ouvert la nous ou pneuma, il était considéré comme immortel, mais dans la mesure où elle était liée au corps, comme charnels et mortels. Les plus familiers, mais aussi la forme la plus cruelle de trichotomie est que qui prend le corps pour la partie concrète de la nature de l’homme, l’âme comme le principe de la vie animale et de l’esprit comme l’élément rationnel et immortel liées à Dieu en l’homme. La conception trichotomic de l’homme trouvé faveur considérable avec le grec ou l’Alexandrin pères de l’église des premiers siècles chrétiens. Il se trouve, mais pas toujours dans exactement la même forme, Clément d’Alexandrie, Origène et Grégoire de Nysse. Mais après que Apollinaris il employées d’une manière affectant l’humanité parfaite de Jésus, il a été peu à peu discrédité. Quelques-uns des pères grecs toujours respectée, bien que Athanasius et Théodoret explicitement rejeté il. Dans l’église latine les principaux théologiens a nettement favorisé la division binaire de la nature humaine. C’est surtout la psychologie d’Augustin qui donnait d’importance à ce point de vue. Au moyen-âge, il était devenu une question de croyance commune. La réforme a apporté aucun changement à cet égard, bien que quelques petites lumières défend la théorie trichotomic. L’église catholique ont adhéré au verdict de la scolastique, mais dans les cercles du protestantisme autres voix ont été entendues. Au XIXe siècle trichotomie renaît sous une forme ou une autre par certains théologiens allemands et anglais, Roos, Olshausen, Beck, Delitzsch, Auberlen, Oehler, White et Heard; mais il n’a pas rencontré de grande faveur dans le monde théologique. Les récents partisans de cette théorie sont en désaccord quant à la nature de la psuche, ni quant à la relation dans laquelle il se trouve avec les autres éléments de la nature de l’homme. Delitzsch il conçoit comme un efflux du pneuma, Beck, Oehler et Heard, il considère comme le point d’union entre le corps et l’esprit. Delitzsch n’est pas tout à fait cohérente et semble parfois vaciller, et Beck et Oehler admettent que la représentation biblique de l’homme est fondamentalement dichotomique. Leur défense d’une trichotomie biblique peut difficilement dire pour impliquer l’existence de trois éléments distincts chez l’homme. Outre ces deux points de vue théologiques comptait, en particulier depuis un siècle et demi, aussi les points de vue philosophiques du matérialisme absolu et de l’idéalisme absolu, l’ancienne sacrifier l’âme au corps et ce dernier, le corps à l’âme.

2. LES ENSEIGNEMENTS DE L’ÉCRITURE COMME AUX ÉLÉMENTS CONSTITUTIFS DE LA NATURE HUMAINE. La représentation dominante de la nature de l’homme dans l’Ecriture est clairement dichotomique. D’une part la Bible nous enseigne à Découvre la nature de l’homme comme une unité, et non pas comme une dualité, composé de deux éléments différents, dont chacun se déplacent le long de lignes parallèles mais n’unissent pas vraiment pour former un seul organisme. L’idée d’un simple parallélisme entre les deux éléments de la nature humaine, trouvé dans la philosophie grecque et aussi dans les œuvres de certains philosophes ultérieurs, est tout à fait étrangère à l’écriture. Tout en reconnaissant la nature complexe de l’homme, il représente jamais cela comme étant le résultat chez un sujet double chez l’homme. Tous les actes de l’homme sont considéré comme un acte de tout l’homme. Il n’est pas l’âme, mais l’homme qui pèche; Il n’est pas le corps mais l’homme qui meurt; et il n’est pas simplement l’âme, mais l’homme, le corps et l’âme qui est racheté en Christ. Cette unité s’exprime déjà dans le passage classique de l’ancien Testament — le premier passage pour indiquer la nature complexe de l’homme — à savoir, Genèse 2:7: « et Jéhovah Dieu forma l’homme de la poussière de la terre et il souffla dans ses narines le souffle de vie; et l’homme devint une âme vivante. » Le passage entier traite de l’homme: « Dieu forma l’homme... et l’homme devint une âme vivante. » Cette œuvre de Dieu ne doit pas être interprétée comme un procédé mécanique, comme si il forme un corps d’argile et ensuite mettre une âme dedans. Lorsque Dieu forma le corps, il forma ainsi que par le souffle de son esprit l’homme à la fois devint une âme vivante. Job 33: 4; 32:8. le mot « âme » dans ce passage n’a pas le sens que nous attribuons généralement à elle — un sens plutôt étrangère à l’ancien Testament, mais désigne un être animé, et est une description de l’homme dans son ensemble. Le terme hébreu même, nephesh chayyah (âme de vivre ou d’être) est également appliqué aux animaux à 01:21, 24, 30. Si ce passage, tout en indiquant qu’il y a deux éléments chez l’homme, encore insiste sur l’unité organique de l’homme. Et cela est reconnu dans toute la Bible.

Dans le même temps, il contient également des preuves de la double composition de nature de l’homme. Nous devons être prudents, cependant, ne pas d’attendre la distinction plus tard entre le corps comme l’élément matériel et l’âme comme l’élément spirituel, de la nature humaine, dans l’ancien Testament. Cette distinction est utilisé par la suite sous l’influence de la philosophie grecque. L’antithèse — corps et âme, même dans son sens le Nouveau Testament, n’est pas encore trouvé dans l’ancien Testament. En fait, l’hébreu n’a aucun mot pour le corps comme un organisme. La distinction de l’ancien Testament des deux éléments de la nature humaine est de nature différente. Laidlaw, dit dans son ouvrage sur La Doctrine biblique de l’homme:[p. 60.] « L’antithèse est évidemment celle des animaux inférieur et supérieur, terrestre et céleste et divine. Il n’est pas tellement deux éléments, comme deux facteurs s’unir en un résultat unique et harmonieux, — « l’homme devint une âme vivante. » » Il est évident que c’est la distinction dans Genèse 2:7. Voir aussi Job 27: 3; 32: 8; 33: 4; Ecclésiaste 12:7. Une variété de mots est utilisée dans l’ancien Testament pour désigner l’élément inférieur chez l’homme ou des parties de celui-ci, tels que la « chair », « poussière », « bones », « entrailles », « reins » et aussi l’expression métaphorique « maison d’argile, » Job 04:19. Et il y a aussi plusieurs mots pour désigner l’élément supérieur, tels que le « esprit », « l’âme », « coeur » et « l’esprit ». Dès que nous passons de l’ancien au Nouveau Testament, nous rencontrons les expressions antithétiques que plus nous sont familiers, comme « corps et âme, » « la chair et l’esprit ». Les mots grecs correspondants étaient sans aucun doute moulés par la pensée philosophique grecque, mais passée par le biais de la Septante dans le Nouveau Testament et donc maintenu leur force de l’ancien Testament. En même temps l’idée antithétique du matériel et l’immatériel est maintenant aussi connectée avec eux.

Seek trichotomists appui dans le fait que la Bible, comme ils la voient, reconnaît deux éléments constitutifs de la nature humaine en plus de l’élément inférieur ou matérielle, à savoir, l’âme (Hébreux, nephesh; Grec, psuche) et de l’esprit (Hébreux, ruach; Grec, pneuma). Mais le fait que ces termes sont utilisés avec la grande fréquence dans l’écriture ne permet pas de conclure qu’ils désignent les composants plutôt que différents aspects de la nature humaine. Une étude attentive de l’écriture montre clairement qu’il utilise les mots de façon interchangeable. Les deux termes désignent l’élément supérieur ou spirituelle chez l’homme, mais le contempler depuis différents points de vue. Il faut savoir en même temps, cependant, que la distinction mentionnés dans les écritures des deux est en désaccord avec ce qui est assez commun dans la philosophie, que l’âme est l’élément spirituel chez l’homme, puisqu’il est lié au monde animal, tandis que l’esprit est ce même élément dans sa relation au monde spirituel plus élevé et à Dieu. Les faits suivants militent contre cette distinction philosophique: Ruach-pneuma, ainsi que nephesh-psuche, sert de la création brute, Eccl. 03:21; Apocalypse 16:3. Le mot psuche est encore utilisé en référence à Jéhovah, Ésaïe 42: 1; Jérémie 9:9; Amos 6:8 (Hébreux); Hébreux 10:38. Les morts désincarnés sont appelés psuchai, Apoc. 6:9; 20:4. Les exercices plus élevés de la religion sont attribuées à la psuche, marquez 12:30; Luc 01:46; Héb. 06:18, 19; Jacques 01:21. Pour perdre la psuche est de perdre tout. Il est parfaitement évident que la Bible utilise indifféremment les deux mots. Remarquez le parallélisme dans Luc 01:46, 47: « mon âme exalte le Seigneur, et mon esprit a réjoui dans Dieu mon Sauveur. » La formule biblique pour l’homme est dans certains passages « corps et âme, » Matthieu 06:25; 10:28; et dans d’autres, « corps et esprit, » Ecclésiaste 12:7; J’ai Cor. 5:3, 5. La mort est parfois décrite comme l’abandon de l’âme, GEN 35:18; I rois 17:21; Actes 15:26; et puis encore une fois, comme l’abandon de l’esprit, PS. 31:5; Luc 23:46; Actes à 07:59. En outre « l’esprit » et « âme » sont utilisés pour désigner l’élément immatériel des morts, j’ai PET. 03:19; Hébreux 12:23; Apocalypse 6:9; 20:4. la principale distinction scripturale est la suivante: le mot « esprit » désigne l’élément spirituel chez l’homme comme le principe de vie et d’action qui contrôle le corps; alors que le mot « âme » désigne le même élément que le sujet de l’action chez l’homme et est donc souvent utilisé pour le pronom personnel dans l’ancien Testament, Psaume 10:1, 2; 104:1; 146:1; Ésaïe 42: 1; cf. aussi Luc 12:19. Dans plusieurs cas, désigne plus précisément, la vie intérieure comme le siège des affections. Tout cela est tout à fait en harmonie avec la Genèse 2:7, « et Jéhovah Dieu... il souffla dans ses narines le souffle de vie; et l’homme devint une âme vivante. » Ainsi il peut être dit que l’homme a esprit, mais âme est . La Bible souligne donc que deux et deux éléments constitutionnels dans la nature de l’homme, à savoir, corps et esprit ou âme. Cette représentation biblique est également en harmonie avec la conscience de soi de l’homme. Alors que l’homme est conscient du fait qu’il est constitué d’un matériau et un élément spirituel, personne n’est conscient de posséder une âme à la différence d’un esprit.

Il y a deux passages, cependant, cela semble en contradiction avec la représentation habituelle dichotomique de l’écriture, à savoir, j’ai th. 05:23 « et le Dieu de paix lui-même vous sanctifie totalement; et peut-être corps et âme et votre esprit conservés entières, sans faute lors de la venue de notre Seigneur Jésus Christ »; et Héb. 04:12, « Car la parole de Dieu est vivante et active et plus tranchante qu’une épée à deux tranchants et perçant jusqu'à la Division de l’âme et l’esprit, les jointures et la moelle osseuse, prompts à discerner les pensées et les intentions du cœur. » Mais il convient de noter que: (a) il existe une règle sonore dans l’exégèse que déclarations exceptionnelles doivent être interprétées à la lumière de l' analogia Scriptura, la représentation habituelle des écritures. Compte tenu de ce fait, certains des défenseurs de trichotomie admettent que ces passages ne prouvent pas nécessairement leur point. (b) la seule évocation de l’esprit et l’âme à côté de l’autre ne prouve pas que, selon l’Ecriture, ils sont deux substances distinctes, pas plus que Matthieu 22:37 prouve que Jésus considéré du cœur, âme et esprit comme trois substances distinctes. (c) dans I Thessaloniciens 05:23 l’Apôtre désire simplement renforcer la déclaration, « et le Dieu de paix lui-même vous sanctifie totalement, » par une déclaration d’epexigetical, dans lequel les différents aspects de l’existence de l’homme sont additionnées et dans lequel il se sent parfaitement libre de mentionner l’âme et l’esprit, aux côtés de l’autre, parce que la Bible fait la distinction entre les deux. Il ne peut pas très bien pensé d’eux comme deux substances différentes ici, parce qu’il parle ailleurs de l’homme comme étant composée de deux parties, Rom. 08:10; J’ai Cor. 5:5; 07:34; II Corinthiens 7:1; Éphésiens 2:3; Colossiens 2:5. (d) Hébreux 04:12 n’a pas devrait être interprété comme signifiant que la parole de Dieu, ayant pénétré à l’homme intérieur, fait une séparation entre son âme et son esprit, ce qui impliquerait naturellement que ces deux sont des substances différentes; mais simplement en déclarant qu’il entraîne une séparation en deux entre les pensées et les intentions du cœur. [Cf. pour une discussion de la psychologie de l’écriture en particulier, Bavinck, Bijbelsche fr Religionize Psychologie; Laidlaw, la Doctrine de la Bible de l’homme, pp. 49-138; H. Wheeler Robinson, La Doctrine chrétienne de l’homme, pp. 4-150; Delitzsch, système de psychologie biblique; Dickson, utilisation Saint-Paul de termes de chair et esprit.]

3. LA RELATION ENTRE CORPS ET ÂME À L’AUTRE. La relation exacte entre corps et âme à l’autre a été représentée de différentes manières, mais reste en grande partie un mystère. Voici les plus importantes théories relatives à ce point:

a. moniste. Il y a des théories qui partent dans l’hypothèse où le corps et l’âme sont de la même substance primitive. Selon le matérialisme, cette substance primitive est matière et esprit est un produit de la matière. Et selon l’idéalisme absolu et spiritisme la substance primitive est esprit, et cela devient objective à lui-même dans ce qu’on appelle l’affaire. Est un produit de l’esprit. L’objection de conscience à ce point de vue moniste, c’est que les choses tellement différentes que le corps et l’âme ne peut pas être déduit les unes des autres.

b. dualiste. Certaines théories s’engager sur l’hypothèse qu’il existe une dualité essentielle de la matière et l’esprit et présenter leurs relations mutuelles de diverses façons: (1) Occasionalism. Selon cette théorie, suggéré par Cartesius, matière et esprit, chacun travaille, selon les lois propres à lui-même, et ces lois sont tellement différentes qu’il n’y a aucune possibilité d’actions conjointes. Ce qui semble être de nature ne peut être expliquer que sur le principe que, à l’occasion de l’action de l’un, Dieu par son agence directe produit une action correspondante dans l’autre. (2) parallélisme. Leibnitz a proposé la théorie de l’harmonie préétablie. Cela repose également sur l’hypothèse qu’il n’y a aucune interaction directe entre le matériel et le spirituel, mais ne suppose pas que Dieu a produit des actions apparemment communes par interférence continuelle. Il tient à la place que Dieu a fait le corps et l’âme afin que le correspond parfaitement à l’autre. Lorsqu’une motion a lieu dans le corps, il y a un mouvement correspondant dans l’âme, selon une loi de l’harmonie préétablie. (3) le dualisme réaliste. Les simples faits à laquelle nous devons toujours revenir et qui s’incarnent dans la théorie du dualisme réaliste, sont les suivantes: corps et âme sont des substances distinctes, qui n’interagissent pas, bien que leur mode d’interaction s’échappe un contrôle humain et reste un mystère pour nous . L’union entre les deux peut être appelée à une union de la vie: les deux sont organiquement liés, l’âme agit sur le corps et le corps sur l’âme. Certaines des actions du corps sont tributaires de l’exploitation consciente de l’âme, tandis que d’autres ne le sont pas. Les opérations de l’âme sont connectées avec le corps comme instrument dans la vie présente; mais d’après le maintien en existence consciente et l’activité de l’âme après la mort, il semble qu’elle peut aussi fonctionner sans le corps. Cette opinion est certainement en harmonie avec les représentations de l’écriture sur ce point. Une grande partie de la psychologie de nos jours est sans aucun doute va dans le sens du matérialisme. Sa forme la plus extrême se retrouve dans le behaviorisme avec son déni de l’âme, de l’esprit et même de la conscience. Tout ce qu’il a laissé comme un objet d’étude est le comportement humain.

B. L’ORIGINE DE L’ÂME DANS L’INDIVIDU.

1. HISTORIQUES VUES CONCERNANT L’ORIGINE DE L’ÂME. La philosophie grecque a porté beaucoup d’attention au problème de l’âme humaine et n’a pas manqué de faire son influence ressentie dans la théologie chrétienne. La nature, l’origine et l’existence continue de l’âme, étaient tous sujets de discussion. Platon croyait en la préexistence et la transmigration de l’âme. Dans l’église primitive la doctrine de la préexistence de l’âme se limitait pratiquement à l’école d’Alexandrie. Origène a été le principal représentant de ce point de vue et associée à la notion de chute pré temporelle. Deux autres points de vue à la fois ont fait leur apparition et s’est avéré pour être beaucoup plus populaire dans les milieux chrétiens. La théorie du créationnisme affirme que Dieu a crée une nouvelle âme à la naissance de chaque individu. C’était la théorie dominante dans l’église d’Orient et également trouvé des défenseurs dans l’Ouest. Jérôme et Hilary de Pictavium étaient ses plus éminents représentants. Dans l’église occidentale la théorie de Traducianism peu à peu gagné du terrain. Selon ce point de vue, l’âme aussi bien que le corps de l’homme est originaire de propagation. Il est généralement attaché à la théorie réaliste que la nature humaine a été créée dans son intégralité par Dieu et est toujours plus personnalisée que la race humaine se multiplie. Tertullien a été le premier à affirmer cette théorie de la Traducianism, et sous son influence, il a continué à gagner la faveur de l’Afrique du Nord et l’église occidentale. Il semblait s’adapter au mieux avec la doctrine de la transmission du péché qui était actif dans ces milieux. Léon le grand a appelé l’enseignement de la foi catholique. En Orient, on ne trouvé aucune réception favorable. Augustine hésité à choisir entre les deux points de vue. Certains des scolastiques précédents étaient un peu indécis, qu’ils considéraient le créationnisme comme plus probable des deux; mais en cours de temps, il est devenu le consensus d’opinion parmi les Schoolmen que les âmes individuelles ont été créées. Peter le Lombard, dit: « L’Église enseigne que les âmes sont créées à leur injection dans le corps. » Et Thomas Aquinas est allé encore plus loin en disant: « Il est hérétique d’affirmer que l’âme intellectuelle se transmet par voie de génération. » Cela est resté l’opinion qui prévaut dans l’église catholique romaine. Depuis l’époque de la réforme, il y avait une divergence d’opinions parmi les Protestants. Luther s’est exprimé en faveur de la Traducianism, et cela est devenu l’opinion qui prévaut dans l’église luthérienne. Calvin, en revanche, nettement favorisé le créationnisme. Il a dit dans son commentaire sur 03:16: « N’est pas nécessaire de recourir à ce fruit antique de certains auteurs, que les âmes sont dérivées de descente de nos premiers parents. » Depuis l’époque de la réforme, cela a été la vue commune dans les cercles réformés. Cela ne signifie pas qu’il n’y a aucune exception à la règle. Jonathan Edwards et Hopkins en théologie de la Nouvelle Angleterre favorisée Traducianism. Julius Mueller dans son ouvrage sur La Doctrine chrétienne du péché encore une fois mis en place un argument en faveur de la préexistence de l’âme, couplé à celui d’une chute pré temporelle, afin d’expliquer l’origine du péché.

2. PRÉ-EXISTENTIALISME. Certains théologiens spéculatifs, parmi lesquels Origène, Scotus Erigena et Julius Mueller sont les plus importants, prôné la théorie que l’âme des hommes a existé dans un état antérieur, et que certaines occurrences dans cet ancien Etat rendre compte de l’État dans lequel ces âmes se trouvent maintenant. Origène considère présente existence matérielle de l’homme, avec toutes ses inégalités et irrégularités, physiques et moral, comme une punition pour les péchés commis dans une existence précédente. Scotus Erigena détient également que le péché fait son entrée dans le monde de l’humanité dans l’état pré temporelle, et que par conséquent l’homme commence sa carrière sur la terre comme un pécheur. Et Julius Mueller a recours à la théorie, afin de réconcilier les doctrines de l’universalité du péché et de culpabilité individuelle. Selon lui, chaque personne doit ont péché volontiers à cette existence précédente.

Cette théorie est ouverte à plusieurs objections. Il est absolument dépourvue de motivation aussi bien bibliques que philosophique et est, au moins dans certaines de ses formes, basés sur le dualisme de la matière et l’esprit, telle qu’enseignée dans la philosophie païenne, ce qui en fait une punition pour l’âme d’être connecté avec le corps. (b) il fait vraiment le corps quelque chose d’accidentel. L’âme ne fut sans le corps au premier et a reçu ce plus tard. L’homme a été complet sans le corps. Pratiquement, cela efface la distinction entre l’homme et les anges. (c) il détruit l’unité de la race humaine, car il suppose que toutes les âmes individuelles existaient bien avant qu’ils sont entrés dans la vie présente. Elles ne constituent pas une course. (d) il ne trouve aucun appui dans la conscience de l’homme. Homme n’a absolument aucune conscience de telle une existence antérieure; ni se sent-il que le corps est une prison ou dans un lieu de punition pour l’âme. En effet, il redoute la séparation de corps et d’âme comme quelque chose qui n’est pas naturelle.

3. TRADUCIANISME. Selon Traducianism les âmes des hommes sont propagées avec les organes de génération et sont donc transmis aux enfants par les parents. Dans le tôt église Tertullien, Rufinus, Apollinarus et Gregory de Nvssa ont été Traducianists. Depuis les jours de Luther Traducianism a été l’opinion dominante de l’église luthérienne. Parmi les réformés, elle est favorisée par la H. B. Smith et Shedd. A. H. Strong il préfère aussi.

a. Arguments en faveur de Traducianism. Plusieurs arguments sont avancés en faveur de cette théorie. (1) il est dit d’être favorisée par la représentation scripturale (a) que Dieu mais une fois il souffla dans les narines de l’homme, le souffle de vie et puis laissé à l’homme pour propager l’espèce, 01:28; 2:7; (b) que la création de l’âme d’Eve a été incluse dans ce d’Adam, puisque elle est dit être « de l’homme » (I Cor. 11:8), et rien n’est dit sur la création de son âme, 02:23; (c) que Dieu a cessé le travail de création après avoir fait l’homme, Genèse 2:2; et (d) que descendants sont censés être dans les reins de leurs pères, 46:26 de la Genèse; Héb. 7:9, 10. Cf. aussi ces passages comme Jean 3:6; 01:13; Romains 1:3; Actes 17:26. (2) il est pris en charge par l’analogie de la vie végétale et animale, dans laquelle est fixée l’augmentation du nombre, pas par un nombre sans cesse croissant de créations immédiates, mais par la dérivation naturelle de nouveaux individus provenant d’un stock de parent. Mais cf. PS. 104:30. (3) il demande également une prise en charge dans l’héritage des particularités mentales et des traits de famille, qui sont alors souvent tout aussi perceptible comme ressemblances physiques, et qui ne peut être justifiée pour par exemple ou de l’éducation, puisqu’ils sont en preuve même quand parents ne vivent pas à élever leurs enfants. (4) Enfin, il semble offrir la meilleure base pour l’explication de l’héritage de la dépravation morale et spirituelle, qui est une question de l’âme plutôt que du corps. Il est assez fréquent de combiner avec Traducianism la théorie réaliste pour tenir compte de péché originel.

b. Objections à Traducianism. Plusieurs objections peuvent être incitées contre cette théorie. (1) il est contraire à la doctrine philosophique de la simplicité de l’âme. L’âme est une substance spirituelle pure qui n’admet pas de division. La propagation de l’âme semble indiquer que l’âme de l’enfant se sépare en quelque sorte de l’âme des parents. En outre, la question difficile se pose, si elle provient de l’âme du père ou de celui de la mère. Ou cela vient-il de deux façons; et dans l’affirmative, est-ce pas un compositum ? (2) afin d’éviter la difficulté d’évoquer, il faut recourir à l’une des trois théories: (a) que l’âme de l’enfant a eu une existence antérieure, une sorte de préexistence; (b) que l’âme est potentiellement présent dans la graine de l’homme ou femme ou les deux, qui est matérialisme; ou (c) que l’âme est portée en arrière, c'est-à-dire créée en quelque sorte, par les parents, donc ce qui les rend dans un sens créateurs. (3) il se déroule sur l’hypothèse que, après la création originale, Dieu travaille seulement médiatement. Après six jours de la création, a cessé son travail de création. La création continue des âmes, dit Delitzsch, est incompatible avec la relation de Dieu au monde. Mais la question peut être soulevée, ce qui, alors, devient de la doctrine de la régénération, ce qui n’est pas effectuée par causes secondes ? (4) il est généralement attaché à la théorie du réalisme, puisque c’est la seule façon dont il peut rendre compte de culpabilité initiale. En faisant cela, il affirme l’unité numérique de la substance de toutes les âmes humaines, une situation intenable; et aussi ne pas donner une réponse satisfaisante à la question: pourquoi les hommes sont tenus responsables uniquement pour le premier péché d’Adam et non pour ses péchés ultérieures, ni pour les péchés du reste de leurs ancêtres. (5) Enfin, sous la forme vient de l’indiquer, elle conduit à des difficultés insurmontables dans la christologie. Si dans la nature humaine Adam comme un tout péché, et que le péché est donc le péché actuel de toutes les parties de cette nature humaine, puis la conclusion ne peut être échappée que la nature humaine du Christ était aussi pécheur et coupable parce qu’il avait en fait péché en Adam.

4. LE CRÉATIONNISME. Ce point de vue est à l’effet que chaque âme individuelle doit être considérée comme une création immédiate de Dieu, en raison de son origine à un acte de création direct, dont la durée ne peut être déterminée avec précision. L’âme est censée être créé pur, mais unie avec un corps de dépravés. Il ne faut pas nécessairement que l’âme est créée première en séparation de corpset puis pollué par être mis en contact avec le corps, qui semble supposer que le péché est quelque chose de physique. Cela peut simplement signifier que l’âme, bien que remis en étant par un acte de Dieu créateur, encore est préformée dans la vie psychique du fœtus, c'est-à-dire dans la vie des parents et acquiert ainsi sa vie pas au-dessus et en dehors de, mais sous et dans , que le complexe du péché de l’humanité comme un tout est grevé. [Cf. Bavinck, Geref. Dogme. II, f. p. 630]

a. Arguments en faveur du créationnisme. Ce qui suit est les considérations les plus importantes en faveur de cette théorie: (1) il est plus cohérent avec les représentations dominantes de l’Ecriture que Traducianism. Le récit original de création pointe vers une distinction marquée entre la création du corps et celui de l’âme. Celui est enlevée de la terre, tandis que l’autre vient directement de Dieu. Cette distinction est maintenue tout au long de la Bible, où corps et âme ne sont pas seulement représentés comme des substances différentes, mais aussi comme ayant des origines différentes, Ecclésiaste 12:7; ISA 42:5; Zach. 12:1; Hébreux 12:9. Cf. num. 16:22. Du passage en Hébreux Delitzsch même, si un Traducianist, dit, « il peut difficilement être un texte de preuve plus classique pour le créationnisme. » [Bibl. psych., p. 137.] (2) il est clairement beaucoup plus conforme à la nature de l’âme humaine que Traducianism. Le caractère immatériel et spirituel et par conséquent indivisible de l’âme de l’homme, généralement admis par tous les chrétiens, est clairement reconnu par le créationnisme. La théorie de traducian pose d’autre part, une dérivation de l’essence, qui, tel qu’il est généralement admis, implique nécessairement la séparation ou la division de l’essence. (3) il évite les pièges de la Traducianism dans la christologie et fait plus de justice à la représentation mentionnés dans les écritures de la personne du Christ. Il était un homme très, possédant une vraie nature de l’homme, un vrai corps et une âme rationnelle, est né d’une femme, a été effectué dans tous les points comme tel que nous le sommes, — et encore, sans péché. Il a, comme tous les autres hommes, ne partageait pas dans la culpabilité et la pollution de la transgression d’Adam. C’était possible, parce qu’il ne partageait pas la même essence numérique qui ont péché en Adam.

b. Objections au créationnisme. Le créationnisme est ouvert pour les objections suivantes: (1) l’objection plus grave est indiquée par Strong dans les termes suivants: « cette théorie, si elle permet que l’âme est à l’origine possédé des tendances dépravées, rend Dieu l’auteur direct du mal moral; Si elle détient l’âme ayant été créé pur, il rend Dieu indirectement l’auteur du mal moral, par l’enseignement qu’il a mis cette âme pure dans un plan qui sera inévitablement corrompre. » C’est sans doute une difficulté sérieuse et est généralement considéré comme l’argument décisif contre le créationnisme. Augustin a déjà appelé l’attention sur le fait que le créationniste devrait chercher à éviter ce piège. Mais il faut avoir à l’esprit que le créationniste ne, comme le Traducianist, considère pas péché originel entièrement comme une question d’hérédité. Les descendants d’Adam sont pécheurs, ne pas à la suite de leur étant mis en contact avec un corps de péché, mais en vertu du fait que Dieu impute à eux l’origine désobéissance d’Adam. Et c’est pour cette raison que Dieu retient d’eux la justice originale et la pollution du péché découle naturellement. (2) on considère le père terrestre comme engendrement que le corps de son enfant, — certainement pas la partie la plus importante de l’enfant, — et par conséquent ne tient pas compte de la réapparition des traits mentales et morales des parents chez les enfants. En outre, en prenant cette position, qu'elle attribue des pouvoirs plus noble bête de propagation que pour l’homme, pour la bête multiplie lui-même après son genre. La dernière considération est l’un sans grande importance. Et que les similitudes mentales et morales des parents et des enfants sont concernés, il ne doivent pas nécessairement présumer que ceux-ci peuvent être expliquées que sur la base de l’hérédité. Notre connaissance de l’âme est encore trop déficient pour parler avec une certitude absolue sur ce point. Mais cette similitude peut trouver son explication en partie à l’exemple des parents, en partie à l’influence du corps sur l’âme et en partie dans le fait que Dieu ne crée pas de toutes les âmes semblables, mais crée en chaque particulier affaire une âme adaptée à l’organisme avec lequel il w mal être unie et la relation complexe dans lequel il va être introduit. (3) il n’est pas en harmonie avec la relation actuelle de Dieu au monde et sa manière de travailler, car il enseigne une activité créatrice directe de Dieu et donc ne tient pas compte du fait que Dieu travaille à travers les causes secondaires et a cessé de son travail de création. Ce n’est pas une objection très grave pour ceux qui n’ont pas une conception déiste du monde. Il s’agit d’une hypothèse gratuite que Dieu a cessé de toutes les activités créatives dans le monde.

5. CONCLUSIONS. une prudence requise en s’exprimant sur le sujet. Il faut avouer que les arguments des deux côtés sont plutôt bien équilibrés. Compte tenu de ce fait, qu'il n’est pas surprenant qu’Augustine trouvé assez difficile de choisir entre les deux. La Bible ne fait aucune déclaration directe concernant l’origine de l’âme de l’homme, sauf dans le cas d’Adam. Les quelques passages scripturaires qui sont présentés comme favorisant la théorie d’un ou l’autre, peut difficilement être appelé concluante de chaque côté. Et parce que nous n’avons pas d’enseignement clair des Ecritures sur le point en question, il est nécessaire de parler avec prudence sur le sujet. On n’est ne pas censé être sage au-dessus de ce qui est écrit. Plusieurs théologiens sont d’avis qu’il y a un élément de vérité dans les deux de ces théories, qui doivent être reconnus. [Cf. Smith, Chr. théol., p. 169; Dabney, syst et polémique théol., pp. 320 f.; Martensen, Chr. dogme., p. 141; Bavinck, Geref. Dogme. II, p. 630; Raymond, Théol. syst. II, f. p. 35] Dorner suggère même l’idée que chacun des trois théories discuté représente un aspect de toute la vérité: « Traducianism, la conscience générique; Pre-existentianism, conscience de soi ou à l’intérêt de la personnalité comme une pensée divine éternelle distincte; Créationnisme, conscience de Dieu. » [Syst. de Chr. Doct. II, p. 94.]

b. une forme quelconque du créationnisme mérite la préférence. Il nous semble que le créationnisme mérite la préférence, parce que (1) il ne rencontre pas la difficulté insurmontable de philosophique avec lequel Traducianism est grevé; (2) il évite les erreurs christologiques qui implique de Traducianism; et (3), il n’est plus en harmonie avec notre idée de Pacte. Dans le même temps, que nous sommes convaincus que l’activité créatrice de Dieu les âmes humaines d’origine doit être conçue comme étant plus étroitement liées au processus naturel dans la génération de nouveaux individus. Le créationnisme ne prétend pas être en mesure de dissiper toutes les difficultés, mais en même temps, il sert une mise en garde contre les erreurs suivantes: (1) que l’âme est divisible; (2) que tous les hommes sont numériquement d’une même substance; et (3) que le Christ a assumé la même nature numérique qui est tombé dans Adam. [Pour approfondir ce sujet confère notamment l’étude du Dr Honig sur Creatianisme en Traducianisme.]

 

III. l’homme comme l’Image de Dieu

A. VUES HISTORIQUES DE L’IMAGE DE DIEU CHEZ L’HOMME.

Selon l’Ecriture, homme a été créé à l’image de Dieu et est donc liée à Dieu. Traces de cette vérité se trouvent encore dans la littérature païenne. Paul a souligné aux Athéniens que certains de leurs propres poètes ont parlé de l’homme comme la descendance de Dieu, actes 17:28. Les premiers pères de l’église ont été tout à fait accepté que l’image de Dieu en l’homme consistait principalement dans les caractéristiques de rationnel et moral de l’homme et en sa qualité de sainteté; mais certains ont tendance à inclure également les caractéristiques corporelles. Irénée et Tertullien a établi une distinction entre le « image » et la « ressemblance » de Dieu, pour trouver les premiers traits corporels et le second à la nature spirituelle de l’homme. Clément d’Alexandrie et d’Origène, cependant, a rejeté l’idée de toute analogie corporelle et tenue que le mot « image » désignait les caractéristiques de l’homme comme l’homme et le mot « ressemblance, « qualités qui ne sont pas essentiels à l’homme, mais peut être cultivé ou perdu. Ce point de vue se retrouve dans Athanasius, Hilary, Ambroise, Augustin et Jean Damascène. Selon Pélage et ses disciples l’image consistait simplement à cet égard, que l’homme est doué de raison, afin qu’il pouvait connaître Dieu; avec le libre arbitre, alors qu’il était en mesure de choisir et de faire le bien; et avec suffisamment de puissance pour gouverner la création plus bas. La distinction déjà établie par quelques-uns des premiers pères de l’église entre l’image et la ressemblance de Dieu, a été continuée par les scolastiques, bien qu’il n’était toujours pas exprimé de la même manière. L’ancien a été conçu comme incluant les pouvoirs intellectuelle de la raison et la liberté et ce dernier comme étant composée de droiture original. Ceci a été ajouté un autre point de distinction, à savoir, qu’entre l’image de Dieu comme un don naturel pour l’homme, quelque chose appartenant à la nature même de l’homme comme l’homme et la ressemblance de Dieu, ou la justice originale, comme un don surnaturel, qui a servi à une vérification sur le lo Wer nature de l’homme. Il y avait une divergence d’opinion quant à savoir si l’homme était doté de cette justice originale à la fois à la création, ou a reçu par la suite comme une récompense pour une obéissance temporaire. C’est cette justice originale qui a permis à l’homme à la vie éternelle mérite. Les réformateurs a rejeté la distinction entre l’image et la ressemblance et considérée comme originale droiture comme inclus dans l’image de Dieu et comme appartenant à la nature de l’homme dans son état original. Il y avait une divergence d’opinion, cependant, entre Luther et Calvin. Le premier n’a pas cherché à l’image de Dieu dans tous de la dotation en ressources naturelles de l’homme, tels que ses pouvoirs rationnels et morales, mais exclusivement dans la justice originale et donc considéré comme entièrement perdue par le péché. Calvin, d’autre part, s’exprime comme suit, après avoir déclaré que l’image de Dieu s’étend à tout ce dont la nature de l’homme surpasse celle de toutes les autres espèces d’animaux: « par conséquent, ce terme (« image de Dieu ») est dénoté l’intégrité avec laquelle Adam a été accordé lors de son intellect était clair, ses affections subordonné à la raison, tous ses sens dûment réglementés, et quand il attribua réellement toute son excellence aux admirables dons de son créateur. « Et même si le siège principal de l’image divine était dans l’esprit et le cœur ou dans l’âme et ses pouvoirs, il n’y avait aucune partie même du corps dans lequel certains rayons de gloire ne pas briller. » [Inst I. 15:3.] Elle comprenait les richesses naturelles et ces qualités spirituelles désignées comme justice originale, autrement dit, la vraie connaissance, droiture et sainteté. L’image entière était viciée par le péché, mais seulement ces qualités spirituelles ont été complètement perdues. Les Sociniens et certains d'entre les arminiens antérieures a enseigné que l’image de Dieu consiste seulement en domination de l’homme sur la création plus bas. Schleiermacher a rejeté l’idée d’un état initial de l’intégrité et de la justice originale comme une doctrine nécessaire. Car, comme il le voit, la perfection morale ou de la justice et de sainteté ne peuvent être le résultat du développement, qu’il considère comme une contradiction dans les termes pour parler de l’homme comme étant créé dans un état de la justice et la sainteté. C’est pourquoi l’image de Dieu chez l’homme ne peut être une certaine réceptivité pour le divin, une capacité à répondre à l’idéal divin et à croître dans la ressemblance de Dieu. Ces théologiens modernes comme Martensen et caftan sont tout à fait conforme à cette idée.

B. LES DONNÉES SCRIPTURAIRES CONCERNANT L’IMAGE DE DIEU CHEZ L’HOMME.

Enseignements bibliques concernant l’image de Dieu en l’homme garantissent les instructions suivantes:

1. les mots « image » et la « ressemblance » sont utilisés indifféremment et de manière interchangeable et donc ne se réfèrent pas à deux choses différentes. À 01:26 les deux mots sont utilisés, mais dans le vingt-SEPTIEME verset que le premier. C’est évidemment considéré comme suffisant pour exprimer l’idée. Dans Genèse 5:1 que le mot « ressemblance » se produit, mais dans le troisième verset de ce chapitre se trouvent encore les deux termes. Genèse 9:6 contient seulement le mot « image » comme une expression complète de l’idée. Quant au Nouveau Testament, nous trouvons « image » et « gloire » utilisé dans I Cor. 11:7, « image » seul chez 03:10 et à la « ressemblance » seulement dans Jas. 3:9. Évidemment, les deux sont utilisés indifféremment dans les Ecritures. Cela implique naturellement que l’homme a été créé également à la ressemblance de Dieu, et que cette similitude n’était pas quelque chose dont il a été doté par la suite. L’opinion habituelle, c’est que le mot « ressemblance » a été ajouté à « image » pour exprimer l’idée que l’image était aime le plus, une image parfaite. L’idée est que, par la création, ce qui était un archétype en Dieu est devenu ectypal chez l’homme. Dieu était l’original dont l’homme a fait une copie. Cela signifie, bien sûr, que l’homme non seulement porte l’image de Dieu, mais est son image même. Cela est clairement indiqué dans I Cor. 11:7, mais ne veut pas dire qu’il ne saurait également à porter l’image de Dieu, cf. I Cor. 15:49. Certains ont considéré le changement de prépositions en 01:27, «dans notre image, après notre ressemblance, » aussi important. Böhl même inspire l’idée que nous sommes créés à l’image comme une sphère, mais c’est tout à fait injustifiée. Alors que le sens premier de l’hébreu preposition être (rendu « dans » ici) est sans aucun doute, « in », il peut aussi avoir la même signification que la préposition le (rendue « après »), et a évidemment ce sens ici. Remarquez que nous sommes dit à renouveler « après l’image » de Dieu à 03:10; et aussi que les prépositions utilisées à 01:26 sont inversées dans Genèse 5:3.

2. l’image de Dieu dans laquelle l’homme fut créé inclut certainement ce qu’on appelle généralement « justice originale », ou plus précisément, la vraie connaissance, droiture et sainteté. On nous dit que Dieu fait homme « très bon », 01:31 et « debout, » Eccl. 07:29. Le Nouveau Testament indique très précisément la nature de l’état initial de l’homme où il parle de l’homme comme être renouvelée dans le Christ, c'est-à-dire comme étant ramené à un état antérieur. La condition à laquelle il est restauré dans le Christ n’est clairement pas une neutralité, ni bonne ni mauvaise, dont la volonté est dans un état d’équilibre parfait, sauf une vraie connaissance, 03:10, la justice et la sainteté, Éphésiens 04:24. Ces trois éléments constituent la justice originale, qui a été perdue par le péché, mais est retrouvée dans le Christ. Il peut être appelé l’image morale de Dieu, ou l’image de Dieu dans le sens le plus restreint du mot. Création de l’homme dans cette image morale implique que l’état d’origine de l’homme était un de sainteté positive et pas un état d’innocence ou de la neutralité morale.

3. mais l’image de Dieu ne veut ne pas se limiter aux connaissances, droiture et sainteté, qui a été perdue par le péché, mais comprend également des éléments qui appartiennent à la constitution naturelle de l’homme original. Ils sont des éléments qui appartiennent à l’homme comme homme, comme le pouvoir intellectuel, affection naturelle et la liberté morale. Créés dans l’image de l’homme de Dieu a un caractère rationnel et moral, qu’il n’a pas perdu par le péché et qu’il ne pouvait pas perdre sans cesser d’être homme. Cette partie de l’image de Dieu, a en effet été entachée par le péché, mais reste encore chez l’homme, même après sa chute dans le péché. Notez que l’homme, même après que la chute, quel que soit son état spirituel, est toujours représentée comme l’image de Dieu, Genèse 9; 6; J’ai Cor. 11:7; Jac. 3:9. Le crime de meurtre envers son énormité le fait que c’est une atteinte à l’image de Dieu. Compte tenu de ces passages de l’écriture, il est injustifié de dire que l’homme a complètement perdu l’image de Dieu.

4. un autre élément généralement inclus dans l’image de Dieu est celui de la spiritualité. Dieu est esprit, et ce n’est que naturel d’attendre que cet élément de la spiritualité s’exprime aussi dans l’homme comme l’image de Dieu. Et que c’est le cas sont déjà indiqué dans le récit de la création de l’homme. Dieu « il souffla dans ses narines le souffle de vie; et l’homme devint une âme vivante. » Genèse 2:7. Le « souffle de vie » est le principe de sa vie, et le « âme vivante » est l’être même de l’homme. L’âme est unie avec et adapté à un organe, mais peut, si nécessaire, il existe aussi sans le corps. Dans cette perspective, nous pouvons parler de l’homme comme un spiritual étant et comme aussi, à cet égard l’image de Dieu. À cet égard peut être demandé, si le corps de l’homme constitue également une partie de l’image. Et il semblerait que cette question il faut répondre par l’affirmative. La Bible dit que l’homme — non pas seulement l’âme de l’homme, a été créé à l’image de Dieu et l’homme, le « âme vivante », n’est pas complète sans le corps. En outre, la Bible représente meurtre comme la destruction du corps, Matthieu 10:28 et aussi comme la destruction de l’image de Dieu chez l’homme, Genèse 9:6. Nous avons besoin pas chercher l’image dans la substance matérielle du corps; on le trouve plutôt dans le corps comme l’instrument d’ajustement de la libre expression de l’âme. Même le corps est destiné à devenir en fin de compte un corps spirituel, c'est-à-dire, un organisme qui est complètement contrôlée par l’esprit, un instrument idéal de l’âme.

5. encore un autre élément de l’image de Dieu est l’immortalité. La Bible dit que Dieu seul possède l’immortalité, je Timothée 06:16, et cela semble exclure l’idée de l’immortalité humaine. Mais il est parfaitement évident par les écritures que l’homme est aussi immortel dans un certain sens du mot. Le sens est que Dieu seul a l’immortalité comme une qualité essentielle, il a dans et de lui-même, tandis que l’immortalité de l’homme est un fonds de dotation, est dérivé de Dieu. L’homme fut créé immortel, ne consiste pas seulement en ce sens que son âme a été dotée d’une existence sans fin, mais aussi dans le sens qu’il ne porte pas en lui les germes de la mort physique et dans son état d’origine n’était pas soumis à la Loi de la mort. A été menacée de mort comme une punition pour le péché, 02:17, et que cela comprenait la mort corporelle ou physique se manifeste de 03:19. Paul nous dit que sin mis à mort dans le monde, Rom. 05:12; I Corinthiens 15:20, 21; et que la mort doit être considérée comme le salaire du péché, Rom. 06:23.

6. il y a une différence considérable d’opinions quant à savoir si la domination de l’homme sur la création de la plus faible a également formé une partie de l’image de Dieu. Ce n’est pas surprenant compte tenu du fait que l’écriture n’exprime pas lui-même explicitement sur ce point. Certains considèrent le dominion en cause simplement comme un office conféré à l’homme et non comme une partie de l’image. Mais remarquez que Dieu mentionne la création de l’homme à l’image de Dieu et sa domination sur la création plus bas en un seul souffle, 01:26. Il est révélateur de la gloire et l’honneur avec laquelle l’homme est couronné, Psaume 8:5, 6.

C. L’HOMME EN TANT QUE L’IMAGE DE DIEU.

Selon l’Ecriture, l’essence de l’homme consiste en ceci, qu’il est l’image de Dieu. Ainsi, il se distingue de toutes les autres créatures et se dresse suprême comme la tête et la Couronne de la création tout entière. L’écriture affirme que l’homme a été créé à l’image et selon la ressemblance de Dieu, 01:26, 27; 9:6; Jac. 3:9 et parle de l’homme comme étant et portant l’image de Dieu, I Cor. 11:7; 15:49. les termes « image » et « ressemblance » ont été distingués de diverses façons. Certains ont estimé que « l’image » faisait allusion à l’organisme et la « ressemblance », à l’âme. Augustine a conclu que l’ancien dénommé l’intellectuel et celui-ci, à des facultés morales de l’âme. Bellarmin considéré « image » comme une désignation des dons naturels de l’homme et « ressemblance » comme une description de ce qui a été surnaturellement ajoutée à l’homme. Encore d’autres ont affirmé que « l’image » désignait l’inné et « likeness, » la conformité acquise à Dieu. Il est beaucoup plus probable, cependant, comme l’a indiqué dans ce qui précède, que les deux mots pour exprimer la même idée et cette « ressemblance » est simplement un ajout epexegetical pour désigner l’image car la plupart comme ou très similaire. L’idée exprimée par les deux mots est celle de l’image de Dieu. La doctrine de l’image de Dieu chez l’homme est la plus grande importance dans la théologie, pour que l’image est l’expression de ce qui est plus caractéristique chez l’homme et dans sa relation à Dieu. Le fait que l’homme est l’image de Dieu le distingue de l’animal et de toutes les autres créatures. Autant que nous pouvons apprendre de l’écriture même les anges ne partagent pas cet honneur avec lui, si elle est parfois représentée comme si ils le font. Calvin va jusqu'à dire que « on ne peut nier que les anges aussi ont été créés à la ressemblance de Dieu, puisque, comme le Christ déclare (Matthieu 22:30), notre plus haute perfection va consister à être comme eux. » [Inst. I. 15.3.] Mais dans cette déclaration, le grand réformateur n’a pas dûment compte pour le point de comparaison dans la déclaration de Jésus. Dans de nombreux cas, l’hypothèse que les anges ont également été créés à l’image de Dieu résulte d’une conception de l’image qui le limite à nos qualités morales et intellectuelles. Mais l’image comprend également le corps de l’homme et sa domination sur la création plus bas. Les anges ne sont jamais représentés comme seigneurs de création, mais comme esprits envoyés au service de ceux qui héritent Salut tutélaires. Voici les conceptions plus importantes de l’image de Dieu chez l’homme.

1. LA CONCEPTION RÉFORMÉE. Les Églises réformées, à l’instar de Calvin, ont une conception beaucoup plus complète de l’image de Dieu que les luthériens et les catholiques romains. Mais encore ils ne pas tous d’accord quant à son contenu exact. Dada, par exemple, cales, qu’il ne consiste pas à quelque chose d’absolument essentiel à la nature de l’homme, car alors la perte de celui-ci auraient entraîné la destruction de la nature de l’homme; mais seulement dans certains accidens. [Syst et trouvailles. Théol., p. 293.] McPherson, d’autre part, affirme qu’il appartient à la nature essentielle de l’homme et qu’il est dit que « la théologie protestante aurait échappé à beaucoup de confusion et de nombreux perfectionnements doctrinales inutiles et peu convaincants, si elle n'avait pas fait l’objet lui-même l’idée qu’il devait définir le péché comme la perte de l’image, ou de quelque chose appartenant à l’image. Si l’image était perdu homme cesserait d’être homme. » [Chr. dogme., p. 203.] Ces deux, ensuite, semblerait être désespérément à l’écart. Autres différences sont aussi en évidence dans la théologie réformée. Certains limiterait l’image pour les qualités morales de la justice et de sainteté, avec laquelle l’homme fut créé, tandis que d’autres comprendrait la morale de toute nature rationnelle de l’homme et d’autres encore ajouterait également le corps. Calvin dit que la bonne assise de l’image de Dieu est dans l’âme, bien que certains rayons de sa gloire aussi brillent dans le corps. Il trouve que l’image se composait surtout en ce qu’intégrité originale de la nature de l’homme, perdu par le péché, qui se révèle dans la sainteté, la justice et la vraie connaissance. Dans le même temps, il ajoute plus loin « que l’image de Dieu s’étend à tout ce dont la nature de l’homme surpasse celle de toutes les autres espèces d’animaux. » [Inst. I. 15.308.] Cette conception plus large de l’image de Dieu devenue la répandue dans la théologie réformée. Ainsi Witsius dit: « l’image de Dieu composait antecendenter, dans la nature spirituelle et immortelle de l’homme; formaliter, dans sa sainteté; consequenter, dans sa domination. » [Sur les pactes, 1. 2. 11.] Un avis très similaire est exprimé par Turretin. [Opera, De Creatione, Quaestio x.] Pour résumer, on peut affirmer que l’image se compose: (a) dans l’âme ou l’esprit de l’homme, c'est-à-dire dans les qualités de simplicité, la spiritualité, l’invisibilité et l’immortalité. (b) dans les pouvoirs psychiques ou les facultés de l’homme comme un rationnel et moral étant, à savoir, l’intellect et la volonté avec leurs fonctions. (c) dans l’intégrité intellectuelle et morale de la nature de l’homme, se révélant dans la véritable connaissance, la justice et la sainteté, Éphésiens 04:24; 03:10. (d) dans le corps, ne pas comme une substance matérielle, mais comme l’orgue fit de l’âme, partage son immortalité; et comme l’instrument par lequel l’homme peut exercer la domination sur la création plus bas. (e) à la domination de l’homme sur la terre. En opposition les Sociniens, certains érudits réformées est allé trop loin dans la direction opposée, quand ils considéraient ce dominion comme quelque chose qui n’appartenait pas à l’image du tout, mais était le résultat d’une disposition spéciale de Dieu. Dans le cadre de la question, si l’image de Dieu appartient à l’essence même de l’homme, la théologie réformée n’hésite pas à dire qu’elle constitue l’essence de l’homme. Il distingue, cependant, ces éléments de l’image de Dieu que l’homme ne peut pas perdre sans cesser d’être homme, consistant dans les qualités essentielles et les pouvoirs de l’âme humaine; et ces éléments dont l’homme peut perdre et toujours restent homme, à savoir, les bonnes qualités éthiques de l’âme et ses pouvoirs. L’image de Dieu dans ce sens restreint est identique à ce qu’on appelle la justice originale. C’est la perfection morale de l’image, qui pourrait être et est, perdu par le péché.

2. LA CONCEPTION LUTHÉRIENNE. La conception luthérienne dominante de l’image de Dieu diffère sensiblement de celui de l’église réformée. Luther lui-même a parfois parlé comme si il avait une conception large de celui-ci, mais en réalité, il avait une vue restreinte de celui-ci. [Koestlin, la théologie de Luther II, p. 339-342.] Alors qu’il y avait lors de la dix-septième siècle et il existe encore aujourd'hui, certains théologiens luthériens qui ont une conception plus large de l’image de Dieu, la grande majorité d'entre eux la restreindre aux qualités spirituelles avec dont l’homme était à l’origine dotée, autrement dit, ce qui s’appelle la justice originale. En faisant cela ils ne pas suffisamment reconnaissent la nature essentielle de l’homme par opposition à celle des anges, d’une part et de celle des animaux d’autre part. En possession de cette image, les hommes sont comme les anges, qui la possèdent également; et par rapport à ce que les deux ont en commun, leur différence est de peu d’importance. L’homme a perdu l’image de Dieu entièrement par le péché, et ce qui le distingue désormais des animaux a très peu d’importance religieuse ou théologique. La grande différence entre les deux réside dans l’image de Dieu, et cet homme a perdu entièrement. Compte tenu de ce qu’il est aussi naturel que les luthériens devraient adopter Traducianism et par conséquent enseignent que l’âme de l’homme provient comme celle de l’animal, c'est-à-dire par la procréation. Il tient compte également du fait que les luthériens difficilement reconnaissent l’unité morale de la race humaine, mais soulignent fortement son unité physique et la propagation exclusivement physique du péché. Barth se rapproche de la luthérienne que sur la position réformée lorsqu’il cherche l’image de Dieu dans « un point de contact » entre Dieu et l’homme, une certaine conformité avec Dieu et dit ensuite que c’était non seulement ruiné mais même annihilé par le péché. [La Doctrine de la parole de Dieu, p. 273.]

3. L’OPINION CATHOLIQUE ROMAIN. Les catholiques romains ne partage pas tout à fait dans leur conception de l’image de Dieu. Nous nous limitons ici à une déclaration de l’opinion qui prévaut parmi eux. Ils tiennent que Dieu à la création doté l’homme avec certains dons naturels, tels que la spiritualité de l’âme, la liberté de la volonté et l’immortalité du corps. La spiritualité, la liberté et l’immortalité, sont des richesses naturelleset en sont l' image naturelle de Dieu. En outre, Dieu « attempered » (ajusté) les pouvoirs naturels de l’homme à l’un de l’autre, placer la partie inférieure en bonne et due subordination au plus élevé. L’harmonie ainsi créé est appelé justitia — justice naturelle. Mais malgré tout il restait chez l’homme une tendance naturelle des appétits et passions à se rebeller contre l’autorité des puissances plus élevées de la raison et de conscience. Cette tendance, appelée la concupiscence, n’est pas elle-même un péché, mais devient péché lorsqu’il est consenti à la volonté et passe à l’action volontaire. Afin de permettre à l’homme à tenir sa nature inférieure en échec, Dieu ajoute la dona naturalia certains supernaturalia dona. Mentionnons le donum superadditum de justice originale (la ressemblance surnaturelle à Dieu), qui a été ajoutée comme un cadeau étranger à la constitution originale de l’homme, à un stade ultérieur soit immédiatement au moment de la création comme une récompense pour l’utilisation appropriée des pouvoirs naturels. Ces dons surnaturels, y compris le donum superadditum de justice initiale, ont été perdus par le péché, mais leur perte ne pas perturber la nature essentielle de l’homme.

4. AUTRES POINTS DE VUE DE L’IMAGE DE DIEU. Selon les Sociniens et certains d'entre les arminiens antérieures, l’image de Dieu: seulement dans la domination de l’homme sur la création plus bas et, dans ce. Anabaptistes a maintenu que le premier homme, comme une créature finie et terrestre, n’était pas encore l’image de Dieu, mais qu’il pourrait devenir ce que par la régénération. Pélagiens, la plupart des arminiens et rationalistes de tous, avec peu de variation, trouver l’image de Dieu que dans la personnalité libre de l’homme, dans son caractère rationnel, sa disposition éthico-religieux et sa destinée à vivre en communion avec Dieu.

D. L’ÉTAT INITIAL DE L’HOMME COMME L’IMAGE DE DIEU.

Il y a un lien très étroit entre l’image de Dieu et l’état d’origine de l’homme, et donc les deux sont généralement considérés ensemble. Une fois de plus, nous devrons faire la distinction entre les différents points de vue historiques quant à l’état initial de l’homme.

1. LA VUE PROTESTANTE. Protestants enseignent que l’homme a été créé dans un état de perfection relative, l’état de la justice et la sainteté. Cela ne signifie pas qu’il avait déjà atteint l’état le plus élevé d’excellence dont il a été sensible. Il est généralement admis qu’il était destiné à atteindre un plus haut degré de perfection dans le sentier d’obéissance. Il a été, quelque chose comme un enfant, parfait dans certaines régions, mais pas encore en degré. Son état était un préliminaire et provisoire, ce qui pourrait conduire à une plus grande perfection et la gloire ou se terminent par une chute. Il était par nature doté de cette droiture original qui est le couronnement de l’image de Dieu et par conséquent vécu dans un état de sainteté positive. La perte de cette droiture signifiait la perte de quelque chose qui appartenait à la nature même de l’homme dans son état idéal. L’homme pourrait perdre et toujours rester homme, mais il ne pouvait pas perdre et rester homme au sens du mot idéal. En d’autres termes, sa perte signifierait vraiment une détérioration et l’altération de la nature humaine. Par ailleurs, l’homme fut créé immortel. Cela s’applique non seulement à l’âme, mais aussi à toute la personne de l’homme; et donc ne veut pas simplement dire que l’âme était destiné à avoir une existence continue. Ni que cela signifie que l’homme a été élevé au-dessus de la possibilité de devenir une proie à mort; Cela peut seulement affirmer des anges et les saints dans le ciel. Cela ne signifie pas, toutefois, que l’homme, comme il a été créé par Dieu, ne porte pas en lui les germes de mort et ne serait pas nécessairement en vertu de la constitution originale de sa nature mort. Si la possibilité de son devenir une victime de la mort n’était pas exclue, il n’était pas redevable à mort tant qu’il ne pas péché. Il faut avoir à l’esprit que l’immortalité originale de l’homme n’était pas quelque chose de purement négatif et physique, mais était quelque chose de positif et spirituelle aussi bien. Cela signifiait la vie en communion avec Dieu et de jouir de la faveur du très-haut. Il s’agit de la conception fondamentale de la vie dans les Ecritures, tout comme la mort est principalement la séparation de Dieu et de soumission à sa colère. La perte de cette vie spirituelle signifierait la mort et entraînerait aussi la mort physique. [Cf. surtout, Kennedy, Conceptions de Saint-Paul des dernières choses, Chap. III.]

2. L’OPINION CATHOLIQUE ROMAIN. Catholiques romains ont naturellement une vue quelque peu différente de l’état initial de l’homme. Selon leur origine droiture n’appartenait pas à la nature de l’homme dans son intégrité, mais quelque chose a été surnaturellement ajouté. En vertu de sa création l’homme était simplement doté de tous les pouvoirs naturels et les facultés de la nature humaine comme telle, et par la justitia naturalis , ces pouvoirs ont été bien ajustés les uns aux autres. Il était sans péché et vécut dans un état de parfaite innocency. Dans la nature des choses, cependant, il y avait une tendance naturelle des appétits et passions à se rebeller contre les puissances supérieures de la raison et de conscience. Cette tendance, appelée la concupiscence, pas lui-même était le péché, mais pourrait facilement devenir l’occasion et le carburant pour le péché. (Mais voir Romains 7:8; Colossiens 3:5; I Thess. 4:5, auth. ver.). Homme, puis, comme il a été constitué à l’origine, était par nature sans sainteté positive, mais aussi sans péché, quoique accablés avec une tendance qui pourrait facilement entraîner dans le péché. Mais maintenant Dieu a ajouté à la constitution naturelle de l’homme le don surnaturel de la justice original, grâce auxquelles il a été activé pour garder les penchants inférieurs et les désirs en bonne et due un assujettissement trop long. Quand l’homme est tombé, il a perdu cette droiture original, mais la constitution originale de la nature humaine est restée intacte. L’homme naturel est maintenant exactement où Adam était avant il était doté de droiture original, mais avec une plus forte tendance à mal.

3. RATIONALISATION DES VUES. Pélagiens, Sociniens, arminiens, rationalistes et évolutionnistes, tous rabais tout à fait l’idée d’un état primitif de la sainteté. Les quatre premiers sont d’accord que l’homme a été créé dans un état d’innocence, de la neutralité morale et religieuse, mais a été dotée d’un libre arbitre, alors qu’il pourrait se transformer en n’importe quelle direction. Les évolutionnistes affirment que l’homme a commencé sa carrière dans un état de barbarie, dans lequel il était, mais un peu retiré de la brute. Rationalistes de toutes sortes croient qu’un concreated la justice et la sainteté est une contradiction dans les termes. L’homme détermine son personnage par son libre choix; et la sainteté ne peut résulter que d’une lutte victorieuse contre le mal. De la nature de l’affaire, par conséquent, Adam ne pouvait pas ont été créé dans un état de sainteté. Qui plus est. Pélagiens. Sociniens et rationalistes tenir que l’homme a été créé mortel. La mort n’a pas entraîné de l’entrée du péché dans le monde, mais était simplement la fin naturelle de la nature humaine telle qu’elle a été constituée. Adam serait mort en vertu de la constitution originale de sa nature.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Quelle est la distinction précise qui rend Delitzsch entre l’âme et l’esprit dans l’homme ? Comment Heard font usage de la conception tripartite de l’homme dans l’interprétation du péché originel, la conversion et sanctification ? Comment expliquer le fait que les luthériens sont largement Traducianists et réformé largement les créationnistes ? Qu’en est-il l’objection que le créationnisme a pratiquement détruit l’unité de la race humaine ? Quelles objections sont contre le réalisme avec son accession à l’unité numérique de nature humaine ? Ce que critique vous offrirait sur avis de Dorner, que les théories du créationnisme, Pre-existentianism et Traducianism sont tout simplement trois différents aspects de la vérité concernant l’origine de l’âme ? Comment catholiques romains généralement faire la distinction entre « l’image » et la « ressemblance » de Dieu ? Croient-ils que homme perdu son justitia ou la justice naturelle à l’automne ou pas ? Comment ces luthériens qui restreignent l’image de Dieu à la justice l’origine de l’homme expliquer Genèse 9:6 et Jas. 3:9 ?

LITTÉRATURE. Bavinck, Geref. Dogme., II, pp. 566-635; Kuyper, Dict. dogme., Creaturis De C. p. 3-131; Vos, Geref. Dogme. II, pp. 1-21; Hodge, Syst. Theol. II, pp. 42-116; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 292-302; Shedd, dogme . THEOL. II, pp. 4-114; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., pp. 107-122; Dorner, Syst, de Chr. Doct. II, pp. 68-96; Schmidt, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, p. 225-238; Martensen, Chr. dogme., p. 136-148; Pieper, Chr. dogme. I, pp. 617-630; Valentine, Chr. Theol. I, p. 383-415; Pape, Chr. Theol. I, p. 421-436; Raymond, Syst. Theol. II, p. 7-49; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., pp. 219-233; Orr, l' Image chez l’hommede Dieu, p. 3-193; A. Kuyper, Jr., Het Beeld dieux, pp. 8-143; Talma, De Anthropologie van Calvijn, pp. 29-68; Entendu, Le Tri-Partite Nature de l’homme; Dickson, St. Utilise des termes chair et esprit, Paul chaps. V-XI; Delitzsch, syst. de la Bibl. Psych., pp. 103-144; Laidlaw, la Bibl. Doct. d’homme, pp. 49-108; H. W. Robinson, la Chr. Doct. d’homme, pp. 4-150.

 

IV. l’homme dans l'Alliance des œuvres

La discussion de l’état d’origine de l’homme, statut integritatis, ne serait pas complète sans prendre en considération la relation mutuelle entre Dieu et homme et surtout l’origine et la nature de la vie religieuse de l’homme. Que la vie est enracinée dans un Pacte, tout comme la vie chrétienne est aujourd'hui, et que l’Alliance est diversement connue comme l’Alliance de la nature, l’Alliance de vie, l’Alliance édénique et l’Alliance des œuvres. Le prénom, ce qui était assez courant dans un premier temps, a été progressivement abandonnée, car il était susceptible de donner l’impression que cette alliance était simplement une partie de la relation naturelle où l’homme se tenait à Dieu. Les noms des deuxième et troisième ne sont pas suffisamment précis, puisque deux d'entre eux pourraient également s’appliquer à l’Alliance de grâce, qui est certainement un Pacte de vie et également provenu en Eden, 03:15. Par conséquent le nom « Alliance des œuvres » mérite de préférence.

A. LA DOCTRINE DE L’ALLIANCE DES ŒUVRES DANS L’HISTOIRE.

L’histoire de la doctrine de l’Alliance des œuvres est relativement brève. Dans les premiers pères de l’église l’idée de Pacte est rarement trouvée du tout, bien que les éléments qu’il comprend, à savoir la commande probatoire, la liberté de choix et la possibilité de péché et la mort, sont tous mentionnés. Augustin dans son de Civitates Dei parle de la relation dans laquelle Adam était initialement à Dieu comme une Alliance (testamentum, pactum), tandis que d’autres déduit la relation originale de l’Alliance du passage bien connu d’Osée 6:7. Dans la littérature scolastique et dans les écrits des réformateurs, aussi, tous les éléments qui entra plus tard dans la construction de la doctrine de l’Alliance des œuvres étaient déjà présents, mais la doctrine elle-même n’était pas encore développée. Bien qu’ils contiennent certaines expressions qui pointent à l’imputation du péché d’Adam à ses descendants, il est clair que dans l’ensemble, la transmission du péché a été conçue avec réalisme, plutôt que par le gouvernement fédéral. Quelquefois, dit dans son analyse de Calvin instituts: « représentation fédérale n’était pas saisie comme il se doit, mais un réalisme mystique à la place il. » [Recueillies écrits I, p. 619. Cf. Calvin, instituts II, 1.] Le développement de la doctrine de l’Alliance de grâce précède celle de la doctrine de l’Alliance des œuvres et ouvert la voie pour lui. Quand on a vu clairement que l’écriture représente le chemin du Salut sous la forme d’un Pacte, le parallèle qui Paul dessine dans Romains 5 entre Adam et le Christ bientôt a donné occasion de penser aussi comme une Alliance de l’état d’intégrité. Selon Heppe le premier ouvrage qui contient la représentation fédérale de la voie du Salut, a été de Bullinger Compendium de la Religion chrétienne; et Olevian était le véritable fondateur d’une théologie fédérale bien développé, dans lequel la notion de Pacte est devenu pour la première fois le principe constitutif et déterminant de l’ensemble du système. [Cf. le chapitre précieux sur Die Foederaltheologie der Reformirten Kirche dans Geschichte des Pietismus, pp. 204-240 de Heppe.] De la théologie fédérale Églises réformées de la Suisse et l’Allemagne passée aux Pays-Bas et dans les îles britanniques, en particulier en Écosse. Ses premiers représentants aux Pays-Bas étaient Gomarus, Trelcatius, Ravensperger et en particulier de Cloppenburg. Ce dernier est considéré comme le précurseur de Coccejus, qui est souvent appelé improprement « le père de la théologie fédérale. » Au moins en partie, la réelle distinction de Coccejus réside dans le fait qu’il cherchait à se substituer à la méthode scolastique habituelle d’étudier la théologie, qui était assez courante à son époque, ce qu’il considérait une méthode plus scripturaire. À cet égard, il a été suivi par Burmannus et Witsius. Coccejus et ses partisans n’étaient pas les seuls à adopter la doctrine de l’Alliance des œuvres. Cela a été fait par d’autres établissements, comme Voetius, faire, à Marck et De Moor. Ypeij et Dermout font remarquer qu’en ce temps-là qu'un déni de l’Alliance des œuvres a été considéré comme une hérésie. [Geschiedenis der Ned. Herv. Kerk, Aanteekeningen I-11, p. 315.] Les Sociniens a rejeté cette doctrine tout à fait, car ils ne croyaient pas en l’imputation du péché d’Adam à ses descendants; et certains d'entre les arminiens, comme Episcopius, Ltizia, Venema et J. Alting, qui appelaient une doctrine humaine, emboîté le pas. Vers le milieu du XVIIIe siècle, lorsque la doctrine de l’Alliance aux Pays-Bas avait tous mais passé dans l’oubli, Comrie et Holtius dans leur Examen van het Ontwerp van Tolerantie une fois de plus soumis à l’attention de l’église. En Ecosse, plusieurs œuvres importantes ont été écrits sur les alliances, y compris l’Alliance des œuvres, telles que celles de Fisher (Moelle de la théologie moderne), balle, Blake, Gib et Boston. Dit Walker: « la théologie ancienne d’Écosse pourrait qualifier emphatiquement théologie de l’Alliance. » [Théologiens et théologie écossaise, p. 73.] La doctrine énoncée reconnaissance officielle dans la Confession de Westminsteret la Formula Consensus Helvetica. Il est significatif que la doctrine des œuvres s’est entretenu avec très peu de réaction en théologie catholique et luthérienne. Ceci trouve son explication dans leur attitude vis-à-vis de la doctrine de l' imputation immédiate du péché d’Adam à ses descendants. Sous l’influence du rationalisme et de la théorie des Placæus d’imputation de médiation , qui a également été accepté dans la théologie de la Nouvelle-Angleterre, la doctrine de l’Alliance subit progressivement éclipse. Même des érudits conservateurs tels que Doedes et Van Oosterzee aux pays-bas l’a rejetée; et en Nouvelle-Angleterre théologie il fut de courte durée. En Écosse, la situation n’est pas beaucoup mieux. Hugh Martin a déjà écrit dans son ouvrage Le jour des Expiations (publié en 1887): « It has come to pass, nous le craignons, que la théologie fédérale souffre à l’heure actuelle une certaine négligence qui n’augure pas bien pour l’avenir immédiat de l’Église parmi nous. » [P. 25]. Et tandis que dans notre propre pays des presbytériens érudits tels que le Hodges, quelquefois, Breckenridge et Dabney, tenir dûment compte de la doctrine dans leurs œuvres théologiques, dans les églises qu’ils représentent il a pratiquement perdu sa vitalité. Aux Pays-Bas, il y a eu un renouveau de la théologie fédérale sous l’influence de Kuyper et Bavinck, et par la grâce de Dieu, il continue à être une réalité vivante dans les coeurs et les esprits du peuple.

B. LA FONDATION SCRIPTURAIRE POUR LA DOCTRINE DE L’ALLIANCE DES ŒUVRES.

Le déni généralisé de l’Alliance des œuvres, il est impératif d’examiner sa Fondation scripturaire avec soin.

1. LES ÉLÉMENTS D’UNE ALLIANCE SONT PRÉSENTS DANS LE RÉCIT AU DÉBUT. Il faut admettre que le terme « Alliance » ne se trouve pas dans les trois premiers chapitres de la Genèse, mais ce n’est pas revient à dire qu’ils ne contiennent pas les données nécessaires à la construction d’une doctrine de l'Alliance. On aurait difficilement déduire de l’absence de la « Trinité » du terme que la doctrine de la Trinité ne se trouve pas dans la Bible. Tous les éléments d’une Alliance sont indiqués dans les Ecritures et si les éléments sont présents, nous ne sommes pas seulement justifiées, mais, dans une étude systématique de la doctrine, également dans le devoir pour les relier entre eux et de donner la doctrine alors interprété un nom approprié. Dans le cas envisagé deux parties sont désignées, une condition est prévue, une promesse de récompense pour l’obéissance est clairement implicite et une pénalité de transgression est menacée. On peut toujours objecter que nous ne lisons pas des deux parties tant que parvenir à un accord, ni d’Adam comme acceptant les conditions fixées, mais ce n’est pas une objection insurmontable. Nous ne lisons pas d’un accord explicite et acceptation de la part de l’homme soit dans les cas de Noé et Abraham. Dieu et l’homme n’apparaissent pas comme des égaux dans l’un de ces pactes. Alliances de Dieu tous sont de la nature des souveraines dispositions imposées sur l’homme. Dieu est absolument souverain dans ses rapports avec l’homme et a le droit parfait pour fixer les conditions auxquelles celui-ci doit satisfaire, afin de profiter de sa faveur. En outre, Adam était, même en vertu de sa relation naturelle, dans le devoir d’obéir à Dieu; et lorsque la relation de l’Alliance a été établie, cette obéissance est également devenu une question d’intérêt personnel. Lorsque vous entrez dans des relations d’alliance avec les hommes, c’est toujours Dieu qui établit les conditions, et ils sont très gracieux, afin qu’il ait, également de ce point de vue, parfaitement le droit d’attendre que l’homme sera sanction leur. Dans le cas envisagé, Dieu avait que d’annoncer l'Alliance, et l’état parfait dans lequel Adam vécut était une garantie suffisante pour son acceptation.

2. IL ÉTAIT UNE PROMESSE DE VIE ÉTERNELLE. Certains nient qu’il y a aucune preuve de l’écriture pour une telle promesse. Maintenant, il est parfaitement vrai qu’aucune telle promesse ne figure explicitement, mais il est clairement impliqué dans l’alternative de la mort à la suite de la désobéissance. L’implication claire de la punition menacée est que dans le cas de l’obéissance n’entrerait pas mort, et cela ne peut signifier que la vie continue. Elle a été contestée que cela signifierait seulement une continuation de la vie naturelle d’Adam, et pas ce que l’écriture appelle la vie éternelle. Mais l’idée biblique de la vie est la vie en communion avec Dieu; et c’est la vie qu’Adam possédait, bien que dans son cas, il était encore amissible. Si Adam résisté à l’épreuve, cette vie resteraient non seulement, mais cesserait d’être amissible et serait donc levée à un niveau supérieur. Paul nous dit explicitement dans la Rom. 07:10 que le commandement, c’est la Loi, était pour la vie. En commentant ce verset Hodge dit: « la loi a été conçue et adapté à la vie sûre, mais devient en fait la cause du décès. » Cela apparaît clairement dans ces passages comme Romains 10:5; GAL 03:13. Maintenant, il est généralement admis que cette glorieuse promesse de vie interminable n’était en aucune manière sous-entendue dans la relation naturelle dans laquelle Adam s’établissait à Dieu, mais il avait une base différente. Mais pour admettre qu’il y a quelque chose de positif ici, une condescendance spécial de Dieu, est une acceptation du principe de l'Alliance. Il peut y avoir encore quelques doutes sur le bien-fondé du nom « Pacte des travaux », mais il ne peut y avoir aucune objection valide à l’idée de Pacte.

3. FONDAMENTALEMENT, L’ALLIANCE DE LA GRÂCE EST SIMPLEMENT L’EXÉCUTION DE LA CONVENTION INITIALE PAR CHRIST COMME NOTRE CAUTION. Il s’est engagé librement à accomplir la volonté de Dieu. Il s’est placé sous la Loi, qu’il pourrait rachetât ceux qui étaient sous la Loi et n’étaient plus en mesure d’obtenir la vie par leur propre accomplissement de la Loi. Il est venu à faire ce que Adam n’a pas fait, et il l’a fait en vertu d’un accord d’Alliance. Et si tel est le cas, et est l’Alliance de grâce, que Christ est concerné, tout simplement la réalisation de l’accord initial, il s’ensuit que ce dernier doit également avoir été de la nature d’une Alliance. Et comme Christ remplissait la condition de l’Alliance des œuvres, l’homme peut maintenant récolter le fruit de l’accord initial par la foi en Jésus Christ. Il y a maintenant deux modes de vie, qui sont en elles-mêmes, les modes de vie, l’un est le moyen de la Loi: « l’homme qui fait la justice qui vient de la Loi doit vivre ainsi », mais c’est un moyen par lequel l’homme peut ne plus trouver de vie; et l’autre est le moyen de la foi en Jésus Christ, qui a rencontré les exigences de la Loi et est maintenant en mesure de distribuer la bénédiction de la vie éternelle.

4. LE PARALLÈLE ENTRE ADAM ET LE CHRIST. Le parallèle qui Paul attire entre Adam et le Christ dans la Rom., 05:12-21, dans le cadre de la doctrine de la justification, ne peut s’expliquer sur l’hypothèse qu’Adam, comme le Christ, était à la tête d’une Alliance. Selon Paul l’élément essentiel dans la justification consiste en ceci, que la justice de Christ est imputée à nous, sans aucun travail personnel de notre part pour mériter ce. Et il considère cela comme un parallèle parfait à la manière dont la culpabilité d’Adam est imputable à nous. Cela conduit naturellement à la conclusion qu’Adam se trouvait aussi dans la relation de l’Alliance à ses descendants.

5. LE PASSAGE EN OSÉE 6:7. dans Osée 6:7 nous lisons: « Mais ils aiment Adam ont transgressé l'Alliance. » Tentatives ont été faites pour discréditer cette lecture. Certains ont suggéré la lecture « à Adam, » qui impliquerait que certains transgression bien connue s’est produite à un endroit appelé Adam. Mais la préposition interdit cette interprétation. En outre, la Bible ne fait aucune mention de telle une transgression historique bien connue à Adam. L’affiche de la Version autorisée « comme les hommes, » ce qui signifieraient alors, de façon humaine. Pour cela on peut objecter qu’il n’y a aucun pluriel dans l’original, et qu’une telle déclaration serait plutôt inepte, étant donné que l’homme pouvait guère transgresser de toute autre manière. Après tout, le rendu « comme Adam » est le meilleur. Elle est favorisée par le passage parallèle dans Job 31: 33; et est adopté par la Version révisée américaine.

C. LES ÉLÉMENTS DE L’ALLIANCE DES ŒUVRES.

Les éléments suivants doivent être distinguées:

1. LES PARTIES CONTRACTANTES. D’une part, il y avait le Dieu trine, créateur et Seigneur et d’autre part, Adam comme sa créature dépendante. Il convient de distinguer une relation binaire entre les deux:

a. la relation naturelle. Lorsque Dieu créa l’homme, il a de ce fait mis en place une relation naturelle entre lui-même et l’homme. Comme ça, c’est une relation entre le potier et l’argile, entre un souverain absolu et un objet dépourvu de toute réclamation. En fait, la distance entre les deux était si grande que ces chiffres ne sont pas même une expression adéquate de celui-ci. Elle était telle qu’une vie en communion avec l’autre semble être hors de question. Comme la créature de Dieu homme était naturellement en vertu de la Loi et en devoir de le garder. Et tandis que la transgression de la Loi doit le rendre passible d’une peine, la tenue de celle-ci ne constituerait pas une réclamation inhérente à une récompense. Même s’il a fait tout ce qui était exigé de lui, il aurait encore à dire, je ne suis qu’un serviteur non rentable, car j’ai simplement fait ce qu’il était de mon devoir de le faire. Aux termes de cette relation purement naturelle homme ne pouvait pas mérité quoi que ce soit. Mais même si la distance infinie entre Dieu et l’homme a apparemment exclu une vie de communion avec l’autre, l’homme a été créé pour une telle communion, et la possibilité de lui a déjà été donnée à sa création à l’image de Dieu. Dans cette relation naturelle Adam était le père de la race humaine.

b. la relation de l’Alliance. Dès le début, cependant. Dieu a révélé à lui-même, non seulement comme un souverain absolu et le législateur, mais aussi comme un père aimant, cherchant le bien-être et le bonheur de sa créature dépendante. Il daigna de descendre au niveau de l’homme, se révéler comme un ami et à permettre à l’homme d’améliorer sa condition dans le sentier d’obéissance. En plus de la relation naturelle il, un texte de loi positive, gracieusement mis en place une relation de l’Alliance. Il a conclu un Pacte juridique avec l’homme, qui comprend toutes les exigences et obligations implicitement dans la creaturehood de l’homme, mais en même temps ajouté quelques nouveaux éléments. (1) Adam a été constitué le chef représentatif de la race humaine, alors qu’il pouvait agir pour tous ses descendants. (2) il a été temporairement mis à l’épreuve, afin de déterminer si il soumettrait volontiers sa volonté à la volonté de Dieu. (3) il a reçu la promesse de la vie éternelle dans le sentier d’obéissance et ainsi par la disposition gracieuse de Dieu acquis certains droits conditionnels. Cette Alliance a permis à Adam obtenir la vie éternelle pour lui-même et pour ses descendants dans le sentier d’obéissance.

2. LA PROMESSE DE L’ALLIANCE. La grande promesse de l’Alliance des œuvres est la promesse de la vie éternelle. Ils qui nient l’Alliance des œuvres généralement fondent leur refus en partie sur le fait qu’il n’y a aucune trace d’une telle promesse dans la Bible. Et c’est parfaitement vrai que l’écriture ne contienne aucune promesse explicite de la vie éternelle à Adam. Mais la peine menacée implique clairement une telle promesse. Lorsque le Seigneur dit: « car le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement », sa déclaration implique clairement que, si Adam s’abstient de manger, il ne mourra pas, mais sera porté au-dessus de la possibilité de la mort. La promesse implicite ne signifie certainement pas que, dans le cas de l’obéissance, Adam serait autorisé à vivre de la manière habituelle, c'est-à-dire, pour continuer la vie naturelle ordinaire, pour que la vie était déjà le sien en vertu de sa création et par conséquent ne saurait être tenue comme un réemploi Ward pour l’obéissance. La promesse implicite est évidemment celui de la vie élevée à son plus haut développement de béatitude éternelle et la gloire. Adam a été créé en effet dans un état de sainteté positive et a également été immortel en ce sens qu’il n’était pas soumis à la Loi de la mort. Mais il n’est qu’au début de son cours et ne possédait pas encore les privilèges les plus élevés qui ont été dans le magasin pour homme. Il n’est pas encore élevé au-dessus de la possibilité de pécher, pécher et mourir. Il n’était pas encore en possession du plus haut degré de sainteté, ni qu’il a fait profiter de la vie dans toute sa plénitude. L’image de Dieu chez l’homme était toujours limitée par la possibilité d’homme pécher contre Dieu, changeant de bon au mal et en devenant sous réserve du pouvoir de la mort. La promesse de la vie dans l’Alliance des œuvres était une promesse de l’élimination de toutes les limitations de la vie à laquelle Adam était encore soumis et de l’élevage de sa vie au plus haut point de perfection. Quand Paul dit dans Romains 07:10 que le commandement était à la vie, il signifie la vie dans toute l’acception du mot. Le principe de l’Alliance des œuvres est: l’homme qui fait ces choses vivra par celui-ci; et ce principe est réaffirmé maintes et maintes fois dans les Ecritures, Lévitique 18:5; Ézéchiel 20:11, 13, 20; Luc 10:28; Romains 10:5; GAL 03:12.

3. L’ÉTAT de l'Alliance. La promesse de l’Alliance des œuvres n’était pas inconditionnelle. La condition était celle d’obéissance implicite et parfait. La loi divine peut exiger rien moins que cela, et la commande positive ne pas de manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, relatives comme il l’a fait, à une chose indifférente en soi, était clairement un test d’obéissance pure dans le sens absolu du mot. L’homme était, bien sûr, aussi soumis à la loi morale de Dieu, qui a été écrit sur des tablettes de son cœur. Il le savait par nature, afin qu’il ne devait pas être révélée surnaturellement, comme ce fut le test spécial. Essentiellement, la loi morale, comme Adam savait, était sans aucun doute comme les dix commandements, mais la forme était différente. Dans sa forme actuelle la loi morale présuppose la connaissance du péché et est donc principalement négative; au cœur d’Adam, cependant, il devait avoir un caractère positif. Mais juste parce que c’est positif, qu'il n’a pas apporté à sa conscience la possibilité du péché. C’est pourquoi un commandement négatif a été ajouté. Par ailleurs, afin que le test d’Adam peut être un test d’obéissance pure, Dieu a jugé nécessaire d’ajouter aux commandements dont Adam perçu le caractère naturel et raisonnable, un commandement qui était en quelque sorte arbitraire et indifférent. Ainsi, les exigences de la Loi étaient, pour ainsi dire, concentrés sur un seul point. La grande question qui devait être réglée a été, l’homme serait implicitement obéir à Dieu ou suivre les conseils de son propre jugement. Dr. Bavinck dit: « Het proefgebod belichaamde voor dilemme het d’ourlet (Adam): Dieu de mensch, gezag Zijn eigen inzicht, onvoorwaardelijke gehoorzaamheid de zelfstandig onderzoek, geloof de twijfel. » [Geref. Chien., II, p. 618.]

4. LA SANCTION de l'Alliance. La peine qui a été menacée était mort, et ce que cela signifie mieux extraite du sens général du terme tel qu’il est utilisé dans l’écriture et contre les maux qui tombèrent sur les coupables dans l’exécution de la peine. Évidemment, mort au sens plus large du mot est visée, y compris la mort physique, spirituelle et éternelle. L’idée fondamentale scripturaire de la mort n’est pas celui de l’extinction de l’être, mais celui de la séparation de la source de vie et la résultante dissolution ou misère et de malheur. Fondamentalement, il consiste en la séparation de l’âme de Dieu, qui se manifeste dans la misère spirituelle et enfin se termine par la mort éternelle. Mais il comprend également la séparation de corps et âme et la dissolution conséquente du corps. Sans aucun doute l’exécution de la peine a commencé immédiatement après la première transgression. La mort spirituelle est entré immédiatement, et les graines de la mort a également commencèrent à exploiter dans le corps. La pleine exécution de la peine, cependant, n’a pas suivi à la fois, mais a été arrêté, parce que Dieu a immédiatement introduit une économie de grâce et de la restauration.

5. LE SACREMENT (S) de l'Alliance. Nous n’avons aucune information précise dans les écritures concernant la sacrament(s) ou le sceau de cette Alliance. Par conséquent, il y a une grande variété d’opinions sur le sujet. Certains parlent de quatre: l’arbre de vie, l’arbre de la connaissance du bien et le mal, paradis et le Sabbat; d’autres de trois: les deux arbres et le paradis; d’autres encore de deux: l’arbre de vie et le paradis; et encore d’autres d’un: l’arbre de vie. Le dernier avis est le plus répandu et semble être le seul à trouver un soutien dans l’écriture. Nous ne devrions pas penser du fruit de cet arbre comme par magie ou médicalement travaillant l’immortalité dans le cadre d’Adam. Pourtant, c’était en quelque sorte connecté avec le don de la vie. Selon toute vraisemblance, il doit se concevoir comme un symbole nommé ou le sceau de la vie. Par conséquent, lorsque Adam confisqué la promesse, il a été exclu du bénéfice du signal. Ainsi conçu les paroles de 03:22 doivent être comprises sacramentellement.

D. L’ÉTAT ACTUEL DE L’ALLIANCE DES ŒUVRES.

En ce qui concerne la question, que l’Alliance des œuvres soit toujours en vigueur ou a été abrogée au moment de la chute d’Adam, il y a des divergences d’opinions considérables entre théologiens arminiens et réformées.

1. LA VUE ARMINIENNE. Arminiens prétendent que cette Alliance juridique a été totalement abolie à la chute d’Adam et affirment cela comme suit: (a) la promesse a été ensuite révoquée et ainsi annulé le compact et où il n’y a aucun compact il n’y a aucune obligation. (b) Dieu ne pouvait continuer à exacte obéissance de l’homme, que lorsque cette dernière est par nature impossible et il n’était pas activée par la grâce de Dieu, pour rendre le service requis. (c) il serait désobligeant envers la sagesse de Dieu, la sainteté et Majesté d’appeler la créature dépravée à un service d’amour Sainte et indivise. Ils soutiennent que Dieu a établi une nouvelle Alliance et promulgué une nouvelle loi, la Loi de la foi et l’obéissance évangélique, dont l’homme malgré ses pouvoirs ayant une déficience peut prendre lors de l’assisté par l’habilitation permet de grâce suffisante ou commun. Toutefois, les considérations suivantes militent contre ce point de vue: obligation de (a) de l’homme de Dieu n’était jamais enracinée seulement dans l’exigence de l'Alliance, mais fondamentalement dans la relation naturelle dans laquelle il se trouvait à Dieu. Cette relation naturelle a été incorporée dans la relation de l’Alliance. (b) incapacité de l’homme est induite et donc ne pas lui dégage de son obligation juste. Ses limites auto-imposées, son hostilité criminelle et volontaire à Dieu ne privait pas le souverain maître de l’univers du droit d’exiger le service chaleureux et affectueux, qui est son dû. (c) reductio ad absurdum d’avis arminienne est que le pécheur peut gagner l’émancipation complète des obligations justes de pécher. Le plus un péchés de l’homme, plus il devient esclave du péché, incapable de faire ce qui est bon; et le plus profond, il sombre dans cet esclavage qui vole lui de ses capacités pour de bon, il devient moins responsable. Si l’homme continue à pécher assez longtemps, il sera en fin de compte être dégagé de toute responsabilité morale.

2. LA VUE RÉFORMÉE. Même certains théologiens réformés parlent de l’abrogation de l'Alliance juridique et cherchent la preuve pour cela dans ces passages comme Hébreux 08:13. Ceci naturellement posé la question, savoir si et dans quelle mesure, l’Alliance des œuvres peut être considéré comme une chose du passé; ou si et dans la façon de loin, il doit être considéré comme encore en vigueur. Il est généralement admis qu’aucun changement dans le statut juridique de l’homme ne peut toujours abroger l’autorité de la Loi; demande que Dieu est à l’obéissance de ses créatures n’est pas terminée par leur chute dans le péché et ses effets invalidants; que le salaire du péché continue d’être mort; et qu’une parfaite obéissance est toujours nécessaire à la vie éternelle mérite. Cela signifie en ce qui concerne la question à l’examen:

a. que l’Alliance des œuvres n’est pas abrogée: (1) dans la mesure où la relation naturelle de l’homme de Dieu a été incorporée dedans, car l’homme doit toujours parfaite obéissance de Dieu; (2) pour autant que sa malédiction et la punition pour ceux qui continuent dans le péché sont concernés; et (3) dans la mesure où la promesse conditionnelle tient toujours. Dieu pourrait avoir retiré cette promesse, mais n’a pas, Lévitique 18:5; Romains 10:5; GAL 03:12. Il est évident, toutefois, qu’après la chute personne ne peut se conformer à la condition.

b. que l’Alliance des œuvres est abrogée: (1) dans la mesure où il contenue des éléments positifs nouveaux, pour ceux qui sont sous l’Alliance de la grâce; Cela ne signifie pas qu’elle est simplement annulée et méconnu, mais que ses obligations ont été respectées par le médiateur pour son peuple; et (2) comme un moyen désigné pour obtenir la vie éternelle, car il est impuissant après la chute de l’homme.

 

L'Homme dans l’état de péché

I. l’origine du péché

LE problème de l’origine du mal qui est dans le monde a toujours été considéré comme un des problèmes plus profonde de la philosophie et la théologie. C’est un problème qui naturellement se force à l’attention de l’homme, étant donné que le pouvoir du mal est grande et universelle, est un fléau omniprésent sur la vie dans toutes ses manifestations et est une question d’expérience quotidienne dans la vie de chaque homme. Philosophes ont été contraints de faire face au problème et à chercher une réponse à la question quant à l’origine de tout le mal et particulièrement du mal moral, qui est dans le monde. Pour certains il semble tellement une partie de la vie elle-même qu’ils ont cherché la solution pour cela dans la constitution naturelle des choses. D’autres, cependant, étaient convaincus qu’il avait une origine volontaire, c'est-à-dire, qu’il est originaire dans le libre choix de l’homme, dans le présent ou dans quelque existence antérieure. Ce sont beaucoup plus proches de la vérité comme elle est révélée dans la parole de Dieu. Inutile de tergiverser car l'origine du péché est simplement la loi. L'Écriture nous dit que la loi est la puissance du péché (1 Corinthiens 15:56).  Sa source  se trouve en Éden dans la loi d'interdiction que Dieu donna à l'homme (Genèse 2:16,17).

A. HISTORIQUES VUES CONCERNANT L’ORIGINE DU PÉCHÉ.

Les premiers pères de l’église ne parlent pas très certainement sur l’origine du péché, mais l’idée qu’il est originaire de la transgression volontaire et la chute d’Adam dans le paradis se trouve déjà dans les écrits d’Irénée. C’est vite devenu l’opinion qui prévaut dans l’église, en particulier à l’encontre de Gnosticisme, considérée mal comme inhérente en question et ainsi le produit du démiurge. Le contact de l’âme humaine avec la matière à la fois rendait pécheresse. Cette théorie a volé naturellement péché de son caractère volontaire et éthique. Origène a cherché à maintenir cela par sa théorie de pre-existentianism. Selon lui, l’âme des hommes péché volontairement dans une existence précédente, et par conséquent tous entrer dans le monde en état de péché. Ce point de vue platonique était surchargé avec trop de difficultés à rencontrer la large acceptation. Au cours des XVIIIe et XIXe siècles, cependant, elle a été préconisée par Mueller et Rueckert et par ces philosophes comme Lessing, Schelling et J. H. Fichte. En général, les pères de l’Église grecque des troisième et quatrième siècles ont montré une tendance à écarter le lien entre le péché d’Adam et celles de ses descendants, alors que les pères de l’église latine enseigne toujours plus clarté que le présent pécheresse condition de l’homme trouve son explication dans la première transgression d’Adam au paradis. Les enseignements de l’Eglise d’Orient a abouti finalement à pélagianisme, qui a nié qu’il y avait un lien vital entre les deux, alors que ceux de l’église occidentale ont atteint leur point culminant dans Augustinianism qui a insisté sur le fait que nous sommes tous deux coupables et pollué dans Adam. Pélagianisme semi admis la connexion adamique, mais maintenu qu’il ne représentait que la pollution du péché. Durant le moyen-âge, la connexion a été généralement reconnue. Parfois, il a été interprété dans un augustinienne, mais plus souvent de manière Semi-pélagienne. Les réformateurs partageaient les vues de Saint Augustin et les Sociniens ceux de Pélage, tandis que les arminiens déplacés en direction de pélagianisme semi. Sous l’influence du rationalisme et de la philosophie évolutionniste la doctrine de la chute de l’homme et de ses effets mortels sur la race humaine a été progressivement abandonnée. L’idée du péché a été remplacée par celle du mal, et ce mal a été expliqué de différentes façons. Kant il considéré comme quelque chose appartenant à la sphère suprasensible, dont il ne pouvait pas expliquer. Pour Leibnitz, c’était en raison des limitations nécessaires de l’univers. Schleiermacher trouve son origine dans la nature sensuelle de l’homme et de Ritschl, dans l’ignorance humaine, tandis que l’évolutionniste il attribue à l’opposition des propensions inférieures à une conscience morale progressivement en voie de développement. Barth parle de l’origine du péché comme le mystère de la prédestination. Sin apparus à l’automne, mais la chute n’était pas un événement historique; Il appartient à superhistory (Urgeschichte). Adam était en effet le premier pécheur, mais sa désobéissance ne saurait être considérée comme étant la cause du péché du monde. Le péché de l’homme est d’une certaine manière liée à sa petitesse. L’histoire du paradis transmet simplement pour l’information enthousiaste qu’il ne doit pas nécessairement être un pécheur de l’homme.

B. SCRIPTURAIRES DONNÉES CONCERNANT L’ORIGINE DU PÉCHÉ.

Dans l’écriture le mal moral qui est dans le monde se distingue clairement comme le péché, c'est-à-dire comme trangression de la Loi de Dieu. L’homme n’apparaît jamais dedans comme transgresseur par nature, et la question se pose naturellement, comment il a fait acquérir cette nature ? Ce que révèle la Bible à ce sujet ?

1. DIEU NE PEUT PAS ÊTRE CONSIDÉRÉ COMME SON AUTEUR. Décret éternel de Dieu certainement rendu l’entrée du péché dans le monde certains, mais cela ne peut être interprété afin de rendre à Dieu la cause du péché dans le sentiment d’être son auteur responsable. Cette idée est clairement exclue par l’écriture. « Bien que ce soit de Dieu, qu’il devait faire la méchanceté, et du tout-puissant, qu’il devrait s’engager d’iniquité, » Job 34:10. Il est le Dieu Saint, Ésaïe 6:3, et il n’y a absolument aucune injustice en lui, Deut. 32: 4; PS. 92:16. Il ne peut pas être tenté par le mal, et il est lui-même ne tempteth aucun homme, Jacques 01:13. Lorsqu’il créa l’homme, il le créa bonne et à son image. Positivement, il hait le péché, Deut. 25: 16; PS. 5:4; 11:5; Zach. 08:17; Luc 16:15 et a prévu dans le Christ pour la délivrance de l’homme du péché. À la lumière de tout cela il serait blasphématoire de parler de Dieu comme étant l’auteur du péché. Et pour cette raison que tous ces points de vue déterministes qui représentent le péché comme une nécessité inhérente à la nature même des choses devraient être rejetées. Ils implicitement faire Dieu auteur du péché et sont contraires, non seulement à l’écriture, mais aussi à la voix de la conscience, qui témoigne de la responsabilité de l’homme.

2. LE PÉCHÉ PROVIENNENT DU MONDE ANGÉLIQUE. La Bible nous enseigne que dans la tentative de retracer l’origine du péché, nous devons encore aller l’arrière de la chute de l’homme tel que décrit dans Genèse 3 et fixer l’attention sur quelque chose qui s’est passé dans le monde angélique. Dieu a créé une multitude d’anges, et ils étaient tous bons comme ils sortirent de la main de leur créateur, 01:31. Mais une chute s’est produite dans le monde Angélique, dans lequel les légions d’anges s’éloigne de Dieu. L’heure exacte de cet automne n’est pas désigné, mais dans Jean 8:44, Jésus parle du diable comme un meurtrier depuis le commencement (kat' arches), et Jean dit dans I Jean 3:8, qu’il pèche dès le début. L’opinion dominante est que ce kat' arches signifie dès le début de l’histoire de l’homme. Très peu est dit sur le péché qui a causé la chute des anges. De Paul avertissement à Timothée, qu’aucun novice ne devrait être nommé évêque, « lest étant soufflé qu’il chute dans la condamnation du diable, » j’ai Tim. 3:6, nous pouvons vraisemblablement conclure que c’était le péché d’orgueil, d’aspirer à être comme Dieu en puissance et autorité. Et cette idée semble trouver corroboration dans Jude 6, où il est dit que les anges déchus « gardé pas leur propre Principauté, mais laissé leur habitation adéquate. » Ils n’étaient pas satisfaits de leur sort, avec le gouvernement et le pouvoir qui leur sont confiées. Si le désir d’être comme Dieu était leur tentation particulière, cela expliquerait aussi pourquoi ils tentés homme sur ce point particulier.

3. L’ORIGINE DU PÉCHÉ DANS LA RACE HUMAINE. En ce qui concerne l’origine du péché dans l’histoire de l’humanité, la Bible enseigne qu’il a commencé avec la transgression d’Adam au paradis et par conséquent à un acte parfaitement volontaire de la part de l’homme. Le tentateur est venu du monde des esprits avec l’idée que l’homme, en se plaçant en opposition à Dieu, pourrait devenir comme Dieu. Adam a cédé à la tentation et commis le premier péché de manger du fruit défendu. Mais l’affaire ne s’arrête pas là, pour que le premier péché Adam est devenu le bond-serviteur du péché. Que le péché fait la pollution permanente avec elle et une pollution qui, en raison de la solidarité de l’humanité, affecterait non seulement Adam, mais tous ses descendants aussi bien. À la suite de la chute le père de la race pourrait seulement transmettre à sa progéniture une nature humaine dépravée. De celle impie source sin coule comme un flux impur à toutes les générations d’hommes, polluant tout et avec qui il entre en contact. C’est exactement cet état des choses qui fait la question de l’emploi si pertinentes, « qui peut apporter une chose pur de l’impur ? pas un seul. » Job 14:4. Mais même si cela n’est pas tout. Adam a péché, non seulement comme le père de la race humaine, mais aussi la tête représentative de tous ses descendants; et donc la culpabilité de son péché est placée sur son compte, afin qu’ils soient tous passibles de la peine de mort. C’est essentiellement dans ce sens que le péché d’Adam est le péché de tous. C’est ce que Paul nous enseigne dans la Rom. 05:12: « par le péché d’un homme est entré dans le monde et la mort par le péché; et si la mort a passé à tous les hommes, pour que tous ont péché. » Les derniers mots ne peut signifier qu’ils tous ont péché en Adam et péché d’une manière rendre tous passibles de la peine de mort. Il n’est pas péché considéré simplement comme la pollution, mais le péché que la culpabilité qui porte la peine avec elle. Dieu ordonne à tous les hommes soient coupables pécheurs en Adam, tout comme il ordonne à tous les croyants à être justes en Jésus-Christ. C’est ce que Paul veut dire, quand il dit: « alors que grâce à une intrusion, le jugement est venu à tous les hommes à condamnation; Malgré cela à travers un acte de justice le don gratuit est venu à tous les hommes à la justification de la vie. Car par la désobéissance de l’un homme grand nombre ont été apportée pécheurs, même si à travers l’obéissance de l’un les nombreux s’effectuent justes, » Rom. 05:18, 19.

C. LA NATURE DU PREMIER PÉCHÉ OU LA CHUTE DE L’HOMME.

1. SON CARACTÈRE FORMEL. On peut dire que, d’un point de vue purement formelle, premier péché de l’homme consiste dans son manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Nous ne savons pas quel type d’arbre, il s’agissait. Il pourrait être une date ou un figuier ou tout autre type d’arbre fruitier. Il y avait rien de dommageable dans le fruit de l’arbre comme tel. L’alimentation de celui-ci n’était pas en soi pécheresse. car il n’était pas une transgression de la loi morale. Cela signifie qu’il n’aurait pas été pécheresse, si Dieu n’avait pas dit: « de l’arbre de la connaissance du bien et du mal que tu ne mangeras pas. » Il n’y a pas d’opinion unanime quant à la raison pourquoi l’arbre a été appelé l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Une vue assez commune est que l’arbre a été ainsi appelé, parce que l’alimentation de celui-ci serait leur donner une connaissance pratique du bien et du mal; mais ce n’est guère conforme à la représentation scripturaire que homme en mangeant il deviendrait comme Dieu en sachant le bien et le mal, car Dieu ne commet pas mal et par conséquent n’a aucune connaissance pratique de celui-ci. Il est beaucoup plus probable que l’arbre a été ainsi appelé, parce qu’elle était destinée à révéler: a si les futur État de l’homme serait bon ou mauvais; et (b) si l’homme permettrait de Dieu afin de déterminer, pour lui, ce qui était bien et le mal, ou s’engagerait à déterminer cela par lui-même. Mais quelle que soit l’explication peut être donnée du nom, le commandement donné par Dieu, ne pas à manger du fruit de l’arbre tout simplement servi le but de tester l’obéissance de l’homme. C’était un test d’obéissance pure, car Dieu n’a aucunement cherché à justifier ou à expliquer l’interdiction. Adam devait démontrer sa volonté de soumettre sa volonté à la volonté de son Dieu avec obéissance implicite.

2. SON CARACTÈRE ESSENTIEL ET MATÉRIEL. Le premier péché de l’homme était un péché typique, c'est-à-dire un péché dans lequel se révèle clairement la véritable essence du péché. L’essence de ce péché réside dans le fait qu’Adam s’est placé en opposition à Dieu, qu’il a refusé de soumettre sa volonté à la volonté de Dieu, à Dieu de déterminer le cours de sa vie; et qu’il a activement tenté de porter l’affaire sur la main de Dieu et pour déterminer l’avenir pour lui-même. L’homme, qui n’avait absolument aucune revendication sur Dieu, et qui pourrait seulement établir une demande en remplissant la condition de l’Alliance des œuvres, coupé de façon ample de Dieu et a agi comme si qu’il possesed certains droits comme plus contre Dieu. L’idée que le commandement de Dieu était vraiment une infraction relative aux droits de l’homme semble avoir été déjà dans l’esprit d’Eve quand, en réponse à la question de Satan, elle a ajouté les mots, « Ne doit vous toucher, » Genèse 3:3. Évidemment, elle a voulu insister sur le fait que la commande avait été plutôt illogique. Partant de l’hypothèse préalable qu’il avait certains droits comme vis-à-vis de Dieu, l’homme a permis le nouveau centre, qui trouva en lui-même, pour agir contre son créateur. C’est ce qui explique son désir d’être comme Dieu et son doute de la bonne intention de Dieu en donnant la commande. Naturellement on peuvent distinguer différents éléments dans son premier péché. Dans l’intellect, il se révèle comme l’incrédulité et la fierté, dans le testament, comme le désir d’être comme Dieu et dans les affections, comme une satisfaction impie en mangeant du fruit défendu.

D. LE PREMIER PÉCHÉ OU L’AS CHUTE OCCASIONNÉE PAR LA TENTATION.

1. LA PROCÉDURE DU TENTATEUR. La chute de l’homme ont été causée par la tentation du serpent, qui a semé dans l’esprit de l’homme, les graines de méfiance et d’incrédulité. S’il s’agissait sans doute de l’intention du tentateur à cause d’Adam, le chef de l’Alliance, à l’automne, encore qu’il s’est adressé à la veille, sans doute parce que (a) elle n’était pas le chef de l’Alliance et donc n’aurait pas le même sens des responsabilités; (b) elle n’avait pas reçu le commandement de Dieu directement, mais seulement indirectement et serait donc plus sensible à l’argumentation et le doute; et (c) elle aurait sans aucun doute s’avérer pour être l’agent le plus efficace pour atteindre le cœur d’Adam. Le parcours suivi par le tentateur est tout à fait clair. En premier lieu, il sème les graines du doute en appelant la bonne intention de Dieu en question et ce qui semble indiquer que sa commande a été vraiment une violation de la liberté et les droits de l’homme. Lors de l’intervention d’Eve, il constate que la graine a pris racine, il ajoute les graines d’incrédulité et fierté, niant que la transgression se traduira par la mort et clairement notifier son que la commande a été motivée par le but égoïste de garder l’homme dans la soumission. Il affirme qu’en mangeant de l’arbre, l’homme deviendrait comme Dieu. La hauteur des attentes ainsi engendrés induit Eve à regarder attentivement l’arbre et plus elle avait l’air, plus le fruit lui semblait. Enfin, désir emporté et elle a mangé et donna aussi à son mari, et il a mangé.

2. INTERPRÉTATION DE LA TENTATION. Fréquentes tentatives ont été faites et sont toujours faits pour expliquer le caractère historique de l’automne. Certains considèrent le récit entier dans Genèse 3 comme une allégorie, représentant la dépravation indépendants et le changement progressif de l’homme d’une manière figurative. Barth et Brunner considèrent le récit de l’état d’origine de l’homme et de la chute comme un mythe. Création et la chute appartiennent tous deux, pas d’histoire, mais à Super-histoire (Urgeschichte), et par conséquent, les deux sont tout aussi incompréhensibles. L’histoire de la Genèse nous apprend simplement que, bien que l’homme est aujourd'hui incapable de faire du bien et est soumis à la Loi de la mort, ce n’est pas nécessairement le cas. Il est possible pour un homme exempt de péché et la mort par une vie en communion avec Dieu. Telle est la vie incarnée pour nous dans l’histoire du paradis, et il préfigure la vie qui nous sera accordée en lui dont Adam était mais un type, à savoir Christ. Mais ce n’est pas le genre de vie que l’homme vit ou a vécu depuis le début de l’histoire. Paradis n’est pas une localité donnée à laquelle on peut pointer, mais est là où Dieu est le Seigneur, et l’homme et toutes les autres créatures sont ses sujets disposés. Le paradis du passé se trouve au-delà de la pale de l’histoire humaine. Barth, dit: « quand l’histoire de l’homme a commencé; Quand le temps de l’homme avait son commencement; Lorsque le temps et l’histoire a commencé lorsque l’homme a le premier et le dernier mot, paradis ont disparu. » [Recherche de Dieu pour l’homme, p. 98.] Brunner parle dans la même veine, quand il dit: « tout comme à l’égard de la création, nous demandons en vain. Comment, où et quand a cela a eu lieu, aussi est-il à l’automne. La création et la chute, tous deux se cachent derrière la réalité historique visible. » [Homme en révolte, p. 142.]

D’autres qui ne nie pas le caractère historique du récit dans la Genèse, soutiennent que le serpent au moins pas sont à considérer comme un animal littéral, mais simplement comme un nom ou un symbole de convoitise, de désir sexuel, pour raison égaré ou pour Satan. Encore d’autres affirment que, pour dire le moins, la langue du serpent doit s’entendre au sens figuré. Mais tous ces et interprétations similaires sont intenables à la lumière de l’écriture. Les passages qui précèdent et suivent la Genèse 3:1-7 visent évidemment comme un simple récit historique. Qu’ils ont été compris ainsi par les auteurs bibliques, peut être prouvé par de nombreux renvois, comme Job 31: 33; Eccl. 07:29; Ésaïe 43: 27; Osée 6:7; ROM. 05:12, 18, 19; J’ai Cor. 05:21; II Corinthiens 11:3; I Timothée 02:14, et par conséquent nous n’avons pas le droit de tenir que ces versets, qui font partie intégrante de la narration, doivent être interprétés au sens figuré. En outre, le serpent est certainement compté parmi les animaux dans Genèse 3:1, et il ne donnerait pas bonne idée de remplacer le mot « serpent » « Satan ». La punition à 03:14, 15 présuppose un serpent littéral, et Paul conçoit du serpent d’aucune autre manière, II Corinthiens 11:3. Et bien qu’il soit possible de concevoir le serpent que de dire quelque chose dans un sens figuré au moyen d’actions rusées, il ne semble pas possible de penser à lui comme faisant la conversation enregistré dans Genèse 3, de cette façon. L’ensemble de l’opération, y compris la langue du serpent, sans aucun doute trouve son explication dans l’exploitation d’une puissance surhumaine, qui n’est pas mentionnée dans Genèse 3. L’écriture laisse entendre clairement que le serpent était mais l’instrument de Satan, et que Satan était le véritable tentateur, qui travaillait dans et par le serpent, tout comme par la suite, il a travaillé chez les hommes et la peste porcine, John 08:44; Romains 16:20; II Corinthiens 11:3; Apocalypse 12:9. Le serpent était un instrument adapté pour Satan, car il est la personnification du péché, et le serpent symbolise le péché b dans son caractère rusé et trompeur et (b) de son aiguillon venimeux par lequel il tue l’homme.

3. LA CHUTE DE SOLVABILITÉ DE LA TENTATION ET DE L’HOMME. Il a été suggéré que le fait de chute de l’homme ont été causés par la tentation de sans, peut-être une des raisons pour lesquelles l’homme est eux-mêmes, à la différence des anges déchus, qui n’étaient pas soumis à la tentation externe, mais est tombé par les incitations de leur propre intérieur nature. Rien de certain peut dire sur ce point, cependant. Mais quel que soit l’importance de la tentation à cet égard, il certainement ne suffit pas à expliquer comment un être Saint comme Adam pourrait tomber dans le péché. Il est impossible pour nous de dire comment la tentation pouvait trouver un point de contact dans une Sainte personne. Et c’est encore plus difficile d’expliquer l’origine du péché dans le monde angélique.

E. L’EXPLICATION ÉVOLUTIONNISTE DE L’ORIGINE DU PÉCHÉ.

Naturellement, une théorie cohérente de l’évolution ne saurait admettre la doctrine de l’automne, et un certain nombre de théologiens libéraux ai refusé comme incompatible avec la théorie de l’évolution. Il est vrai, il y a certains théologiens plutôt conservateurs, comme Denney, Gore et Orr, qui acceptent, mais avec des réserves, le compte évolutif de l’origine de l’homme et la sensation qu’il ne laisse place à la doctrine de l’automne dans un certain sens du mot. Mais il est significatif qu’ils ont tous conçoivent de l’histoire de la chute comme une représentation mythique ou allégorique d’une expérience éthique ou d’une catastrophe morale réelle au début de l’histoire qui a abouti à la souffrance et la mort. Cela signifie qu’ils n’acceptent pas le récit de la chute comme un récit historique réel de ce qui s’est produite dans le jardin d’Eden. Tennant dans ses conférences Hulsean sur l’origine et la Propagation du péché[Chap. III.] a donné un récit assez détaillé et intéressant de l’origine du péché depuis le point de vue évolutif. Il se rend compte que l’homme ne pourrait pas très bien dérivent sin ses ancêtres animaux, car ceux-ci n’avaient pas de péché. Cela signifie que les impulsions, les propensions, désirs et qualités que l’homme a hérité de la brute ne peuvent pas eux-mêmes être appelées sin. Dans son estimation ceux-ci constituent seulement le matériel du péché et ne deviennent pas des péchés réels jusqu'à ce que la conscience morale se réveille chez l’homme, et ils sont laissés dans le contrôle pour déterminer les actions de l’homme, contrairement à la voix de la conscience et à l’éthique sanctions. Il tient que dans le cadre de son développement homme devint peu à peu un être éthique avec une volonté pour une durée indéterminée, sans expliquer comment une telle volonté est possible où règne la Loi de l’évolution, et ce qui concerne ce sera comme la seule cause du péché. Il définit le péché « comme une activité de la volonté exprimée dans la pensée, parole ou acte contraire à l’opinion de l’individu. à sa notion de ce qui est bon et droit, sa connaissance de la loi morale et la volonté de Dieu. » [p. 163.] Comme la race humaine se développe, les normes éthiques deviennent plus exigeant et l’atrocité des augmentations de péché. Un pécheur environnement ajoute à la difficulté de s’abstenir du péché. Ce point de vue de Tennant ne laisse aucune place pour la chute de l’homme dans le sens généralement accepté du mot. En fait, Tennant rejette explicitement la doctrine de l’automne, ce qui est reconnu dans tous les grandes confessions historiques de l’église. Dit W. H. Johnson: « les critiques de Tennant sont d’accord que sa théorie ne laisse aucune place pour ce cri du coeur contrit qui avoue non seulement de séparer les actes de péché, mais déclare; » J’ai été enfantée dans l’iniquité; Il existe une loi de la mort dans mes membres. » » [Pouvez maintenant Christian croient en évolution ? p. 136.]

F. LES RÉSULTATS DU PREMIER PÉCHÉ.

La première transgression de l’homme a eu les résultats suivants:

1. le corollaire immédiat du premier péché, et n’était donc guère un résultat de celui-ci au sens strict du mot, la corruption totale de la nature humaine. La contagion de son péché se propage à la fois par l’homme entier, ne laissant aucune partie de sa nature intacte, mais vicier toute puissance et la faculté de corps et âme. Cette corruption totale de l’homme est clairement enseignée dans l’écriture, Genèse 6:5; Psaume 14:3; ROM. 07:18. Dépravation totale ici ne signifie pas que la nature humaine a été à la fois aussi complètement dépravée qu’il pourrait éventuellement devenir. Dans le testament cette dépravation s’est manifestée comme une incapacité spirituelle.

2. immédiatement connecté avec ce qui précède a été la perte de la communion avec Dieu par l’Esprit Saint. Il s’agit mais au verso de la corruption totale mentionnée à l’alinéa précédent. Les deux peuvent être combinés dans la même instruction que l’homme a perdu l’image de Dieu dans le sens de la justice original. Il a rompu avec la véritable source de vie et de sainteté, et le résultat était une condition de la mort spirituelle, Éphésiens 2:1, 5, 12; 04:18.

3. ce changement dans l’état réel de l’homme se reflète aussi dans sa conscience. Il y avait, avant tout, une prise de conscience de la pollution, se révélant dans le sentiment de honte et à l’effort de nos premiers parents pour couvrir leur nudité. Et en second lieu, il y avait une conscience de culpabilité, qui s’exprime dans une conscience accusatrice et dans la crainte de Dieu, dont il a inspiré.

4. non seulement la mort spirituelle, mais aussi la mort physique s’explique aussi bien par le premier péché de l’homme. D’un état de mori non posse , il est descendu à un état de non posse non mori. Avoir péché, il a été condamné à retourner à la poussière d'où il a été prélevé, 03:19. Paul nous dit que par un seul homme la mort est entré dans le monde et transmis à tous les hommes, Rom. 05:12, et que le salaire du péché est la mort, Rom. 06:23.

5. ce changement a aussi entraîné un nécessaire changement de résidence. L’homme a été conduit du paradis, parce qu’il représentait l’endroit de la communion avec Dieu et était un symbole de la vie plus complète et la plus grande bénédiction dans le magasin pour homme, s’il continuait inébranlable. Il a été empêché de l’arbre de vie, parce que c’était le symbole de la vie promise à l’Alliance des œuvres.

QUESTIONS pour une étude plus approfondie. Quelles différentes théories existe-t-il quant à l’origine du péché ? Quelle preuve scripturale est là que le péché est originaire du monde Angélique ? L’interprétation allégorique du récit de la chute peut être maintenue à la lumière de l’écriture ? Y a-t-il n’importe quel endroit de la chute dans la théorie de l’évolution ? La volonté de Dieu la chute de l’homme ou il permettait simplement il ? Notre doctrine réformée fait-elle Dieu auteur du péché ? Quelles objections sont là pour la notion que les âmes des hommes péché dans une existence précédente ? Dieu était-il justifié en faisant l’état spirituel de l’humanité en général dépendent de l’obéissance ou non-obéissance du premier homme ? Que veulent dire les Barth et Brunner quand ils parlent de la chute de l’homme comme super historique ? Pourquoi est-ce que la doctrine de l’Alliance des œuvres trouve acceptation si peu à l’extérieur des cercles réformés ? Comment expliquer la négligence généralisée de cette doctrine de nos jours ? Pourquoi est-il important de maintenir cette doctrine ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. III, pp. 605-624; III, pp. 1-60; Kuyper, Dict. dogme., De Foedere, pp. 23-117; De Peccato, pp. 17-26; Vos. Geref. Dogme. II, pp. 32-54; Hodge, Syst. Theol., pp. 117-129; Dabney, syst et trouvailles Theol., pp. 332-339; Alexander, syst. de théol. Bibl. J’ai, pp. 183-196; 216-232; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Ch., pp. 239-242; Valentine, Chr. Theol. I, p. 416-420; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 133-136; Le pape, Chr. Theol., II, pp. 3-28; II, p. 108; Raymond, Svst. Theol. II, pp. 50-63; 99; 111; Macintosh, théol. comme une Science empirique, p. 216-229; McPherson, Chr. dogme., p. 220-242; Orr, l' Image chez l’hommede Dieu; pp. 197-240; Carle, la Bibl. Doct. du péché, pp. 82-89; Talma, De Anthropologie van Calvijn, pp. 69-91; Kuyper, Uit het Woord, De Leer der Verbonden, pp. 3-221; Tennant, l’origine et la Propagation du péché; Ibid., Le Concept du péché.

 

II. le caractère essentiel du péché

Le péché est un du plus triste mais aussi l’un des phénomènes plus courantes de la vie humaine. Il fait partie de l’expérience commune de l’humanité et c’est pourquoi les forces lui-même à l’attention de tous ceux qui ne ferment pas délibérément les yeux sur les réalités de la vie humaine. Certains peuvent pour un temps le rêve de la bonté essentielle de l’homme et de parler avec indulgence des séparer les mots et les actions qui ne mesurent pas aux normes éthiques de la bonne société de simples petites manies et leurs faiblesses, pour que l’homme n’est pas responsable, et qui cède facilement à mesures correctives; mais comme le temps passe et toutes les mesures de réforme externe ne parviennent pas, et la suppression d’un mal ne sert à libérer un autre, ces personnes sont inévitablement désabusés. Ils deviennent conscients du fait qu’ils combattent seulement les symptômes d’une maladie profonde, et qu’ils sont confrontés, non seulement avec le problème des péchés, c'est-à-dire des actions pécheresses distinctes, mais le problème beaucoup plus grand et plus profond de pécher. d’un mal inhérent à la nature humaine. C’est exactement ce que nous commençons à assister à l’heure actuelle. Beaucoup de modernistes à l’heure actuelle n’hésitent pas à dire que la doctrine de Rousseau respectant la bonté inhérente de l’homme s’est avéré être l’un des enseignements plus pernicieuses du siècle des lumières et donne la parole pour une plus grande mesure du réalisme dans la reconnaissance du péché ainsi Walter Horton, qui plaide pour une théologie réaliste et estime que cela nécessite l’acceptation de certains principes marxienne, dit: « je crois que le christianisme orthodoxe représente un profond aperçu de la situation humaine tout entière. Je crois que la difficulté humaine fondamentale est cette perversion de la volonté, cette trahison de la confiance divine, qui est appelée péché; et je crois que le péché est en quelque sorte une maladie raciale, transmissible d’une génération à l’autre en confirmant ces choses les pères chrétiens et le parle des réformateurs Protestants comme des réalistes et pourrait avoir assemblé des masses de preuves empiriques pour appui de leurs affirmations ». [Théologie réaliste, p. 56.] Compte tenu du fait que le péché est réel et qu’aucun homme ne peut obtenir loin de lui dans cette vie présente, il n’est pas étonnant que les philosophes, mais aussi des théologiens se sont engagés à s’attaquer au problème du péché, bien que dans la philosophie il est connu comme le problème du mal plutôt que le p roblème du péché. Nous examinerons brièvement certaines des plus importantes théories philosophiques du mal avant de nous affirmer la doctrine biblique du péché.

A. PHILOSOPHIQUES THÉORIES CONCERNANT LA NATURE DU MAL.

1. LA THÉORIE DUALISTE. C’est l’un des points de vue qui étaient à jour dans la philosophie grecque. Sous la forme du gnosticisme, il a trouvé entrée dans l’église primitive. Il suppose l’existence d’un principe éternel du mal et de cales qui, dans l’esprit de l’homme, représente le principe du bien et le corps, celle du mal. Il est inadmissible pour plusieurs raisons: (a) la position est philosophiquement intenable, qu’il y a quelque chose en dehors de Dieu qui est éternel et indépendantes de sa volonté. (b) cette théorie prive le péché de son caractère éthique en faisant quelque chose de purement physique et indépendantes de la volonté humaine et ainsi vraiment détruit l’idée du péché. (c) il fait aussi loin avec la responsabilité de l’homme en représentant le péché comme une nécessité physique. La seule évasion de péché réside dans la délivrance du corps.

2. LA THÉORIE QUE LE PÉCHÉ EST SIMPLEMENT DE PRIVATIONS. Selon Leibniz le monde actuel est le mieux possible. L’existence du péché qu’il doit considérer comme inévitable. Il ne peut être saisie à l’Agence de Dieu et par conséquent doit être considérée comme une simple négation ou privations, pour lesquels aucune cause efficiente n’est nécessaire. Les limites de la créature rendent inévitables. Cette théorie fait péché un mal nécessaire, étant donné que les créatures sont nécessairement limitées, et le péché est une conséquence inévitable de cette limitation. Sa tentative d’éviter de faire Dieu auteur du péché n’est pas réussie, car même si le péché est une négation simple ne nécessitant aucune cause efficiente, Dieu est néanmoins l’auteur de la prescription dont il résulte. Par ailleurs, elle tend à effacer la distinction entre morale et physique mal, puisqu’il représente le péché comme guère plus qu’un malheur qui s’abattent sur l’homme. En conséquence, il a tendance à émousser les sens de l’homme du mal ou la pollution du péché, de détruire le sentiment de culpabilité et d’abroger la responsabilité morale de l’homme.

3. LA THÉORIE QUE LE PÉCHÉ EST UNE ILLUSION. Pour Spinoza, quant à Leibnitz, le péché est tout simplement un défaut, une limitation dont l’homme est consciente; mais tandis que Leibnitz considère que la notion du mal, résultant de cette limitation, si nécessaire, Spinoza tient que la conscience qui en résulte du péché est tout simplement en raison de l’insuffisance de la connaissance de l’homme, qui ne parvient pas à tout voir sub specie aeternitatis, autrement dit, en unité avec l’essence éternelle et infinie de Dieu. Si la connaissance de l’homme était adéquate, afin qu’il voyait tout en Dieu, il n’aurait aucune conception du péché; Il serait tout simplement inexistante pour lui. Mais cette théorie, qui représente le péché comme quelque chose de purement négative, ne tient pas compte de ses résultats positifs terribles, pour qui l’expérience universelle de l’humanité témoigne de la manière plus convaincante. Constamment menés, il abroge toutes les distinctions éthiques et réduit des concepts tels que « moralité » et « conduite morale » aux phrases vides de sens. En effet, elle réduit toute la vie de l’homme à une illusion: ses connaissances, son expérience, le témoignage de la conscience et ainsi de suite, pour toutes ses connaissances est insuffisante. En outre, il va à l’encontre de l’expérience de l’humanité, que les plus grands esprits sont souvent les plus grands pécheurs, Satan étant le plus grand de tous.

4. LA THÉORIE QUE LE PÉCHÉ EST UN MANQUE DE CONSCIENCE DE DIEU, EN RAISON DE LA NATURE SENSUELLE DE L’HOMME. C’est l’avis de Schleiermacher. Selon lui la conscience du péché de l’homme dépend de sa conscience de Dieu. Lorsque le sens de Dieu se réveille chez l’homme, il est à la fois conscient de l’opposition de sa nature inférieure à elle. Cette opposition découle de la constitution même de son être, de sa nature sensuelle, de connexion de l’âme avec un organisme physique. C’est donc une imperfection inhérente, mais dont l’homme se sent comme le péché et la culpabilité. Pourtant cela n’a aucun Dieu auteur du péché, puisque l’homme conçoit à tort cette imperfection dans le péché. Péché, n’a pas d’existence objective, mais n’existe que dans la conscience de l’homme. Mais cette théorie rend l’homme mal par la Constitution. Le mal était présent chez l’homme même dans son état d’origine, quand la conscience de Dieu n’était pas suffisamment forte pour contrôler la nature sensuelle de l’homme. C’est en opposition flagrante avec l’écriture, quand il tient que l’homme ordonne à tort ce mal être péché et ainsi fait péché et la culpabilité purement subjective. Et bien que Schleiermacher souhaite éviter cette conclusion, il rend Dieu l’auteur responsable du péché, parce qu’il est le créateur de la nature sensuelle de l’homme. Elle repose également sur une induction incomplète des faits, puisqu’il ne tient pas compte du fait que bon nombre des plus odieuses péchés de l’homme ne sont pas pertinentes pour son physique mais pour sa nature spirituelle, comme l’avarice, l’envie, orgueil, méchanceté et d’autres. En outre, elle conduit à des conclusions plus absurdes comme, par exemple, qu’ascèse, en affaiblissant la nature sensuelle, a nécessairement affaiblit le pouvoir du péché; que l’homme devient moins coupable que ses sens n’arrive pas avec l’âge; que la mort est le seul Rédempteur; et que les esprits désincarnés, y compris le diable en personne, n’ont pas de péché.

5. LA THÉORIE DE PÉCHÉ AS MANQUE DE CONFIANCE EN DIEU ET EN OPPOSITION À SON ROYAUME, EN RAISON DE L’IGNORANCE. Comme Schleiermacher, Ritschl insiste aussi sur le fait que le péché est compris uniquement du point de vue de la conscience chrétienne. Ceux qui sont à l’extérieur de la pale de la religion chrétienne et ceux qui sont encore inconnus à l’expérience de la rédemption, ne connaissent pas de celui-ci. Sous l’influence de le œuvre rédemptrice de Dieu, l’homme devient conscient de son manque de confiance en Dieu et de son opposition au Royaume de Dieu, qui est le plus grand bien. NAS n’est pas déterminé par l’attitude de l’homme à la Loi de Dieu, mais par sa relation avec le dessein de Dieu, pour établir le Royaume. Homme impute son échec à donner le dessein de Dieu pour lui-même comme sa culpabilité, mais Dieu considère simplement comme l’ignorance, et parce que c’est l’ignorance, c’est pardonnable. Ce point de vue de Ritschl nous rappelle en revanche de l’opinion grecque que la connaissance est la vertu. Il ne parvient pas totalement à rendre justice à la position biblique que le péché est avant tout la transgression de la Loi de Dieu et donc rend l’homme coupable, aux yeux de Dieu et digne d’une condamnation. Par ailleurs, l’idée que le péché est l’ignorance va à l’encontre de la voix de l’expérience chrétienne. L’homme qui est grevée par le sens du péché certainement ne se sent pas comme ça à ce sujet. Il est reconnaissant, lui aussi, que non seulement les péchés qu’il a commises dans l’ignorance soient pardonnables, mais tous les autres établissements, à l’exception de la blasphème contre le Saint-Esprit.

6. LA THÉORIE QUE LE PÉCHÉ EST L’ÉGOÏSME. Cette position est prise entre autres par Mueller et A. H. Strong. Certains de ceux qui adoptent cette position conçoivent d’égoïsme simplement comme le contraire de l’altruisme ou de bienveillance; d’autres comprennent par ce dernier le choix de soi plutôt que Dieu comme l’objet suprême de l’amour. Maintenant, cette théorie, surtout quand il conçoit l’égoïsme comme un putting de soi à la place de Dieu, est de loin le meilleur des théories nommés. Pourtant il peut difficilement être qualifiée satisfaisante. Bien que tout égoïsme est un péché, et il y a un élément de l’égoïsme en tout péché, on ne peut affirmer que l’égoïsme est l’essence du péché. Péché peut être correctement défini uniquement en ce qui concerne la Loi de Dieu, une référence qui est totalement absente dans la définition de l’étude. En outre, il y a beaucoup de péché dans lequel l’égoïsme n’est pas du tout le principe directeur. Quand un pauvre père voit sa femme et enfants pin loin par manque de nourriture et dans son désir désespéré pour les aider à enfin recourt à vol, cela peut difficilement être qualifiée pur égoïsme. Peut-être même que la pensée de soi était totalement absente. Inimitié à Dieu, dureté de cœur, impenitence et l’incrédulité, sont des péchés tout odieux, mais ne peut pas simplement être qualifiée d’égoïsme. Et certainement que toute vertu est désintéressement ou bienveillance, qui semble être un corollaire nécessaire de la théorie à l’étude, au moins dans une de ses formes, ne détient-elle pas. Un acte ne cesse pas d’être vertueux, quand la performance rencontre et répond à une demande de notre nature. En outre, justice, fidélité, humilité, abstention, patience et autres vertus peuvent être cultivées ou pratiqués, pas comme une forme de bienveillance, mais comme les vertus intrinsèquement excellents, non seulement comme favorisant le bonheur des autres, mais pour ce qu’ils sont en eux-mêmes.

7. LA THÉORIE QUE LE PÉCHÉ CONSISTE DANS L’OPPOSITION DES PROPENSIONS PLUS FAIBLES DE LA NATURE HUMAINE À UNE CONSCIENCE MORALE PROGRESSIVEMENT EN VOIE DE DÉVELOPPEMENT. Ce point de vue a été développé, comme nous l’avons souligné dans ce qui précède, par Tennant dans ses conférences Hulsean. C’est la doctrine du péché, construit selon la théorie de l’évolution. Impulsions naturelles et qualités héritées, dérivées de la brute, constituent le matériel du péché, mais ne deviennent pas réellement péché jusqu'à ce qu’ils sont se livraient à l’encontre du petit à petit réveil des sens moral de l’humanité. Les théories de McDowall et Fiske se déplacent dans le même sens. La théorie présentée par Tennant s’arrête un peu entre la vue biblique de l’homme et celle présentée par la théorie de l’évolution, qui penchaient maintenant à celui et anon de l’autre côté. Il suppose que l’homme avait un libre arbitre, même avant l’éveil de sa conscience morale, alors qu’il était en mesure de choisir quand il a été présenté à un idéal moral; mais n’explique ne pas comment nous pouvons concevoir une volonté libre et pour une période indéterminée dans un processus d’évolution. Elle limite le péché de ces transgressions de la loi morale, qui se sont engagés avec une conscience claire d’un idéal moral et sont donc condamnés par sa conscience comme mal. En fait, c’est simplement la vieille vue pélagienne du péché greffée à la théorie de l’évolution et est donc ouvert à toutes les objections avec lequel le pélagianisme est grevé.

Le vice radical de toutes ces théories, c’est qu’ils cherchent à définir le péché sans prendre en considération que le péché est essentiellement une rupture loin de Dieu, l’opposition à Dieu et la transgression de la Loi de Dieu. Sin doit toujours être définie en termes de relation de l’homme à Dieu et à sa volonté telle qu’exprimée dans la loi morale.

B. L’IDÉE BIBLIQUE DU PÉCHÉ.

En donnant l’idée biblique du péché, il est nécessaire d’attirer l’attention de plusieurs mentions.

1. LE PÉCHÉ EST UN TYPE SPÉCIFIQUE DU MAL. À l’heure actuelle nous entendons beaucoup parler mal et relativement peu de péché; et c’est plutôt trompeuse. Pas tout le mal est un péché. Sin ne doit pas être confondu avec le mal physique, avec ce qui est préjudiciable ou calamiteux. Il est possible de parler non seulement du péché, mais aussi de la maladie comme un mal, mais alors le mot « le mal » est utilisé dans deux sens totalement différents. Au-dessus de la physique se trouve la sphère éthique, où le contraste entre la morale bien et le mal s’applique, et c’est seulement dans ce domaine que nous pouvons parler du péché. Et même dans ce domaine par que n’est pas souhaitable du remplacer le mot « mal » pour le « péché » sans aucune autre précision, ce dernier est plus spécifique que l’ancien. Le péché est un mal moral. Plupart des noms qui sont utilisés dans l’écriture pour désigner le point de péché à son caractère moral. Chatta'th appelle l’attention sur lui comme une action qui se trompe et qui consiste dans une déviation de la bonne manière. "Avel et 'avon indiquent que c’est un manque d’intégrité et de la rectitude, un départ du chemin d’accès désigné. Pesha' se réfère à elle comme une révolte ou d’un refus de soumission à l’autorité légitime, une transgression positive de la Loi et une rupture de l'Alliance. Et Mario' pointe vers lui serait un méchant et coupable par rapport à la Loi. En outre, il est désigné comme coupable par 'asham, comme l’infidélité et de trahison, de ma'al, comme la vanité, par 'avenet comme perversion ou de distorsion de la nature (sinuosité) par 'avah. Les mots correspondants de Nouveau Testament, comme hamartia, adikia, parabasis, paraptoma, anomie, paranomiaet autres, soulignent les mêmes idées. Compte tenu de l’utilisation de ces mots et de la façon dont la Bible parle généralement du péché, il ne peut y avoir aucun doute quant à son caractère éthique. Il n’est pas une calamité qui est tombé sur l’homme à l’improviste, empoisonné sa vie et ruiné son bonheur, mais un parcours mal dont l’homme a délibérément choisi de suivre et qui porte une misère indicible avec elle. Fondamentalement, il n’est pas quelque chose de passif, comme une faiblesse, une faute, ou une imperfection, pour lesquels nous ne pouvons pas être tenus responsables, mais une opposition active à Dieu et une transgression positive de sa loi, qui constitue la culpabilité. Le péché est le résultat d’un choix libre mais le mal de l’homme. Il s’agit de l’enseignement ordinaire de la parole de Dieu, Genèse 3:1-6; Ésaïe 48:8; ROM. 01:18-32; I Jean 3:4. L’application de la philosophie de l’évolution de l’étude de l’ancien Testament ont conduit certains chercheurs à la conviction que l’idée d’éthique du péché n’était pas développée jusqu'à l’époque des prophètes, mais ce point de vue n’est pas confirmée par la manière dont les premiers livres de la Bi ble parler du péché.

2. LE PÉCHÉ A UN CARACTÈRE ABSOLU. Dans la sphère éthique, le contraste entre le bien et le mal est absolu. Il n’y a aucune condition neutre entre les deux. Bien qu’il existe sans doute des degrés dans les deux, il n’y a aucun gradations entre le bien et le mal. La transition de l’un à l’autre n’est pas d’un quantitatif, mais d’un caractère qualitatif. Un être moral qui est bon ne devient-elle pas mal en diminuant simplement sa bonté, mais seulement par un changement qualitatif radical, en se tournant vers le péché. Le péché n’est pas un faible degré de bonté, mais un mal positif. C’est clairement enseigné dans la Bible. Celui qui n’aime pas Dieu est ainsi qualifié de mal. L’écriture ne connaît aucune position de neutralité. Il exhorte les méchants à se tourner vers la justice et parfois parle des justes comme tomber dans le mal; mais il ne contient pas une seule indication que l’une ou l’autre des terres jamais dans une position neutre. L’homme est sur le côté droit ou du mauvais côté, Matthieu 10:32, 33; 12:30; Luc 11:23; Jacques 02:10.

3. LE PÉCHÉ A TOUJOURS RELATION À DIEU ET À SA VOLONTÉ. Les plus âgés dogmaticians s’est rendu compte qu’il était impossible d’avoir une bonne conception du péché sans envisager il par rapport à Dieu et sa volonté et par conséquent a insisté sur cet aspect et habituellement a parlé du péché comme « manque de conformité à la Loi de Dieu. » C’est sans doute une définition formelle correcte du péché. Mais la question se pose, tout ce qui est du contenu matériel de la Loi ? Ce qu’il demande ? Si on répond à cette question, il sera possible de déterminer ce que le péché est dans un sens matériel. Maintenant il n’y a aucun doute que la grande revendication centrale de la Loi est l’amour de Dieu. Et si du matériel point de vue bonté morale consiste dans l’amour de Dieu, puis mal moral doit être constitué dans le sens opposé. C’est la séparation d'avec Dieu, en opposition à Dieu, la haine de Dieu, et cela se manifeste en constante transgression de la Loi de Dieu dans la pensée, de parole et acte. Les passages suivants montrent clairement que l’écriture envisage de péché par rapport à Dieu et sa loi, écrite sur des tablettes du cœur, soit comme donnée par Moïse, Rom. 01:32; 02:12-14; 04:15; Jac. 2:9; I Jean 3:4.

4. LE PÉCHÉ COMPREND TANT DE CULPABILITÉ ET DE LA POLLUTION. La culpabilité est l’État qui mérite condamnation ou d’être passibles de sanctions pour la violation d’une loi ou d’une exigence morale. Il exprime la relation quel péché porte à la justice ou à la peine de la Loi. Mais même si le mot a un double sens. Il peut signifier une qualité intrinsèque du pécheur, à savoir son inaptitude, mal-désert ou culpabilité, ce qui le rend digne de la peine. Dabney parle de cette « éventuelle culpabilité. » Il est inséparable du péché, n’est jamais trouvé dans celui qui n’est pas personnellement un pécheur et est permanente, afin qu’une fois établi, il ne peut pas être enlevé de pardon. Mais il peut aussi signifier l’obligation de satisfaire à la justice, pour payer le châtiment du péché, « culpabilité réelle, » comme l’appelle Dada. [Christ notre pénal se substituer, f. p. 10] Il n’est pas inhérente à l’homme, mais la disposition pénale du législateur, qui fixe la peine de la culpabilité. Elle peut être ôtée par la satisfaction des exigences de la loi justes, personnellement ou par procuration. Alors que beaucoup nient que le péché comprend culpabilité, cela comport pas avec le fait que sin était menacée et est en effet visité avec peine et clairement contredit les déclarations de plaines de l’Ecriture, Matthieu 06:12; ROM. 03:19; 05:18; Éphésiens 2:3. Par la pollution, nous comprenons la corruption inhérente auxquelles sont soumis tous les pécheurs. Il s’agit d’une réalité dans la vie de chaque individu. Il n’est pas concevable sans culpabilité, bien que culpabilité inclus dans une relation penal, est concevable sans pollution immédiate . Pourtant, il est toujours suivi de la pollution. Quiconque se rend coupable en Adam, ainsi, aussi naît avec une nature corrompue. La pollution du péché est clairement enseignée dans ces passages comme Job 14:4; Jérémie 17:9; Matthieu 07:15-20; Romains 8:5-8; EP 04:17-19.

5. LE PÉCHÉ A SON SIÈGE DANS LE CŒUR. NAS ne réside pas dans toute une faculté de l’âme, mais dans le cœur, qui, en psychologie scripturaire, est l’organe central de l’âme, que qui sont les enjeux de la vie. Et de ce centre son influence et les opérations de l’intelligence, la volonté, les affections, en bref, l’homme entier, y compris son corps. Dans son état de pécheur tout l’homme est l’objet du mécontentement de Dieu. Il y a un sens dans lequel on peut dire que sin son origine dans la volonté de l’homme, mais alors la volonté ne désigne pas certains dont la volonté réelle autant qu’il le fait la nature volontaire de l’homme. Il y avait une tendance du cœur qui sous-tendent la volonté réelle lorsque le péché est entré dans le monde. Ce point de vue est en parfaite harmonie avec les représentations de l’écriture dans ces passages comme suit: Prov. 04:23; Jérémie 17:9; Matthieu 15:19, 20; Luc 06:45; Héb. 03:12.

6. LE PÉCHÉ NE CONSISTE PAS EXCLUSIVEMENT DANS LES ACTES MANIFESTES. NAS ne consiste pas seulement dans les actes manifestes, mais aussi dans les mauvaises habitudes et dans une condition pécheresse de l’âme. Ces trois sont associés à un autre comme suit: l’état de péché est la base des habitudes pécheresses, et ceux-ci se manifestent par des actions pécheresses. Il y a aussi les vérité, cependant, dans la prétention qui répète des actions pécheresses conduisent à la mise en place de mauvaises habitudes. Les actes pécheurs et les dispositions de l’homme doivent être visées et trouver leur explication dans une nature corrompue. Les passages visées à l’alinéa précédent étayer ce point de vue, car ils prouvent clairement que l’État ou la condition de l’homme est complètement mauvais. Et si on doit toujours se demander, si les pensées et les affections de l’homme naturel, appelé « chair » dans l’écriture, doivent être considérées comme constituant le péché, il peut être répondu par pointant vers ces passages comme suit: Matthieu 05:22, 28; Romains 7:7; GAL 05:17, 24 et autres. En conclusion on peut dire que péché peut être définie comme le défaut de conformité à la loi morale de Dieu, soit dans la loi, disposition, ou état.

C. LA VUE PÉLAGIENNE DU PÉCHÉ.

La vue pélagienne du péché est très différente de celui présenté ci-dessus. Le seul point de similitude réside en ceci que le pélagienne aussi considère péché en ce qui concerne la Loi de Dieu et la considère comme une transgression de la Loi. Mais dans tous les autres détails, sa conception diffère largement vue scripturaire et augustinien.

1. DÉCLARATION DE LA VUE PÉLAGIENNE. Pélage le Conquérant prend son point de départ dans la capacité naturelle de l’homme. Sa proposition fondamentale est: Dieu a commandé à l’homme de le faire ce qui est bon; C’est pourquoi ce dernier doit avoir la capacité de le faire. Cela signifie que l’homme a un libre arbitre dans le sens absolu du terme, de sorte qu’il soit possible pour lui de se prononcer pour ou contre ce qui est bon et aussi de faire le bien comme le mal. La décision n’est pas tributaire de tout caractère moral chez l’homme, car la volonté est tout à fait pour une période indéterminée. Si un homme va faire bien ou mal simplement dépend de son libre et indépendante sera. Il s’ensuit, bien sûr, qu’il n’y a aucune telle chose comme un développement moral de l’individu. Bien et le mal sont situés dans des actions distinctes de l’homme. Concernant le péché naturellement découle de cette position fondamentale de l’enseignement doctrinal de Pélage. Péché consiste seulement dans les actes distincts de la volonté. Il n’y a aucune une telle chose comme une nature pécheresse, ni y a-t-il des dispositions pécheresses. Le péché est toujours un choix délibéré du mal par un testament qui est parfaitement libre et peut tout aussi bien choisir et suivre le bon. Mais si c’est le cas, alors la conclusion découle invariablement que Adam a été créé pas dans un état de sainteté positive, mais dans un état d’équilibre moral. Son état a été l’un de neutralité morale. Il était ni bonne ni mauvaise et n’avait donc aucun caractère moral; mais il a choisi le cours du mal et ainsi est devenu pécheur. Dans la mesure où le péché consiste seulement en actes distincts de la volonté, l’idée de sa multiplication par procréation est absurde. Une nature pécheresse, si une telle chose doit exister, peut être transmise de père en fils, mais les actes pécheurs ne peuvent pas être propagées donc. Dans la nature de l’affaire, c’est une impossibilité. Adam était le premier pécheur, mais son péché était en aucun cas transmis à ses descendants. Il n’y a aucune telle chose comme le péché originel. Enfants sont nés dans un état de neutralité, compter exactement où Adam a commencé, sauf qu’ils sont handicapés par les mauvais exemples qu’ils voient autour d’eux. Leur évolution doit être déterminée par leur propre choix libre. L’universalité du péché est admise, parce que toute expérience témoigne à elle. C’est en raison de l’imitation et l’habitude du péché qui est peu à peu formé. Strictement parlant, il n’y a, sur le point de vue pélagienne, aucuns pécheurs, mais seulement séparent les actes pécheurs. Cela rend une conception religieuse de l’histoire de la course totalement impossible.

2. LES OBJECTIONS À LA VUE PÉLAGIENNE. Il y a plusieurs objections lourdes à la vue pélagienne du péché, dont voici les plus importants:

a. la position fondamentale que l’homme est tenu responsable par Dieu uniquement pour ce qu’il est capable de faire, est tout à fait contrairement au témoignage de la conscience et à la parole de Dieu. Il est indéniable que, comme un homme augmente dans le péché, sa capacité à faire bonne diminue. Dans une mesure croissante, il devient l’esclave du péché. Selon la théorie de l’examen, cela impliquerait également une atténuation de sa responsabilité. Mais cela revient à dire que sin rachète progressivement ses victimes en déchargeant de leur responsabilité. Le plus coupable un homme, le moins responsable qu’il est. Contre cette position conscience enregistre une forte protestation. Paul ne dit pas que les pécheurs endurcis, qu’il décrit dans Romains étaient pratiquement sans responsabilité 01:18-32, mais les considère comme digne de mort. Jésus a dit des méchants juifs qui fait dans leur liberté, mais manifestent leur méchanceté extrême en cherchant à tuer, qu’ils étaient les esclaves du péché, ne comprenaient pas son discours, parce qu’ils ne pouvaient pas entendre sa parole et auraient mourir dans leurs péchés, John 08:21, 22, 34, 43. bien que les esclaves du péché, ils n’étaient encore responsables.

b. pour nier que l’homme a par nature un caractère moral, est tout simplement lui apportant jusqu’au niveau de l’animal. Selon ce point de vue, tout dans la vie de l’homme qui n’est pas un choix conscient de la volonté, est privé de toute qualité morale. Mais la conscience des hommes en général témoigne du fait que le contraste entre le bien et le mal s’applique également aux tendances, des désirs, des humeurs et des affections de l’homme, et qu’elles ont aussi un caractère moral. Dans pélagianisme péché et la vertu sont réduits à des appendices superficielles de l’homme, en aucune façon liés à sa vie intérieure. Que l’estimation de l’écriture est tout à fait différente apparaît à partir des passages suivants: Jérémie 17:9; PS. 51:6, 10; Matthieu 15:19; Jas 4:1, 2.

c. choix de la volonté qui n’est en aucune manière déterminée par le caractère de l’homme, est non seulement psychologiquement impensable, mais aussi sur le plan éthique sans valeur. Si une bonne action de l’homme se passe tout simplement à tomber comme il le fait et aucune raison ne peut être donnée pourquoi il n’a pas tourner à l’opposé, en d’autres termes, si l’acte n’est pas une expression du caractère de l’homme, il manque de toute valeur morale. C’est seulement comme un exposant de caractère qu’un acte a la valeur morale qui est attribué à ce terme.

d. la théorie pélagienne ne peut donner aucun compte satisfaisante de l’universalité du péché. Le mauvais exemple des parents et des grands-parents vous propose aucune véritable explication. La simple possibilité abstraite de l’homme de péché, même lorsque renforcé par le mauvais exemple, n’explique pas comment, il arriva que tous les hommes ont péché en fait. Comment peut on expliquer que la volonté toujours tourné dans le sens du péché et jamais dans la direction opposée ? Il est beaucoup plus naturel de penser à une disposition générale au péché.

D. LA VUE CATHOLIQUE ROMAINE, DU PÉCHÉ.

Bien que les chanoines et les décrets du Concile de trente sont quelque peu ambiguë dans la doctrine du péché, l’opinion catholique dominante du péché peut être exprimée comme suit: véritable péché consiste toujours en un acte conscient de la volonté. Il est vrai que les dispositions et les habitudes qui ne sont pas en accord avec la volonté de Dieu, sont de nature pécheresse; Pourtant ils ne peut pas être appelés péchés au sens strict du mot. La concupiscence demeure, qui se trouve à l’arrière du péché, pris le dessus chez l’homme dans le paradis et donc précipité la perte de la donum superadditum de justice initiale, ne peut pas être considéré comme péché, mais seulement comme le fomes ou l’essence du péché. La nature pécheresse des descendants d’Adam est principalement seulement une condition négative, consistant en l’absence de quelque chose qui devrait être présent, c'est-à-dire de la droiture original, qui n’est pas essentiel à la nature humaine. Quelque chose d’essentiel est désireux que si, comme certains en attente, la justitia naturalis a été également perdue.

Les objections à cette vue sont parfaitement évidentes d’après ce qui a été dit à propos de la théorie pélagienne. Un rappel simple d'entre eux semblent être tout à fait suffisant. Dans la mesure où elle détient que péché réel consiste uniquement dans un choix délibéré de la volonté et dans les actes manifestes, les objections soulevées contre le pélagianisme sont pertinentes. L’idée originale droiture surnaturellement ajoutée à la constitution naturelle de l’homme, et que sa perte ne porte pas atteinte de la nature humaine, est une idée non scripturaire, comme indiqué dans notre analyse de l’image de Dieu chez l’homme. Selon la Bible concupiscence est un péché, péché réel et la racine de beaucoup de mauvaises actions. Cela a été mis en évidence lors de la conception biblique du péché a été examinée.

QUESTIONS pour une étude plus approfondie. La philosophie n’a réussi à expliquer l’origine du péché ? L’écriture porte l’opinion que le péché n’avait initialement aucune qualité éthique ? Quelle objection est là à penser que le péché est la simple privation ? Devons nous concevons du péché comme une substance ? Dont le nom ce point de vue est associée ? Ce péché existe en dehors du pécheur ? Comment peut-on prouver que péché doit toujours être jugé par la Loi de Dieu ? A Paul favorisent le dualisme grec ancien, quand il a parlé de « le corps du péché » et utilisé la terme « chair » pour désigner l’homme pécheur nature ? Est la tendance actuelle de parler du « mal », plutôt que de « péché » louable ? Qu’entend-on par l’interprétation sociale du péché ? Cette reconnaissance pèche pour ce qu’il est fondamentalement ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. III, pp. 121-158; Kuyper, Dict. dogme., De Peccato, pp. 27-35; Hodge, Syst. Theol. II, pp. 130-192; Vos, Geref. Dogme, II, pp. 21-32; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 306-317; McPherson, Chr. dogme., pp. 257-264; Pape, Chr. Theol. II, p. 29-42; Verger, les théories modernes du péché; Moxon, la Doctrine du péché; Alexander, syst. de la Bibl. Theol. I. p. 232-265; Brown, Chr. théol. contour, pp. 261-282; Clarke, une ébauche de Chr. Theol. p. 227-239; Orr, l' Image chez l’hommede Dieu, pp. 197-246; Mackintosh, christianisme et le péché, cf. Index; Carle, la Bibl. Doct. du péché. pp. 31-44; Talma, De Anthropologie van Calvijn, pp. 92-117; Tennant, le Concept du péché.

 

III. la Transmission du péché

L’écriture et l’expérience nous enseignent que le péché est universelle, et selon la Bible, l’explication de cette universalité réside dans la chute d’Adam. Ces deux points, l’universalité du péché et la connexion du péché d’Adam avec celle de l’humanité en général, donne la parole aux fins d’examen. Alors qu’il y a eu un accord assez général quant à l’universalité du péché, il y a eu différentes représentations de la connexion entre le péché d’Adam et celle de ses descendants.

A. REVUE HISTORIQUE.

1. AVANT LA RÉFORME. Les écrits des apologistes ne contiennent rien de précis concernant le péché originel, tandis que ceux d’Irénée et de Tertullien enseignent clairement que notre condition pécheresse est le résultat de la chute d’Adam. Mais la doctrine de l’imputation directe du péché d’Adam à ses descendants est étranger même pour eux. Tertullien avait une conception réaliste de l’humanité. Toute la race humaine était numériquement et potentiellement présente dans Adam et par conséquent péché quand il a péché et est devenu corrompu quand il est devenu corrompu. La nature humaine dans son ensemble a péché en Adam et par conséquent chaque individualisation des que nature est aussi un péché. Origène, qui a été profondément influencé par la philosophie grecque, avait une opinion différente de la question et guère reconnu tout lien entre le péché d’Adam et celle de ses descendants. Il a trouvé l’explication de la nature pécheresse de la race humaine principalement dans le péché personnel de chaque âme dans un état pré temporel, bien qu’il mentionne également quelque mystère de génération. Augustine a partagé la conception réaliste de Tertullien. Mais il a également parlé de « imputation », il a fait n’oubliez pas l’imputation directe ou immédiate de la culpabilité d’Adam à sa postérité. Sa doctrine du péché originel n’est pas entièrement clair. Cela peut être dû au fait qu’il a hésité à choisir entre Traducianism et le créationnisme. Bien qu’il insiste sur le fait que tous les hommes étaient seminally présents dans Adam et effectivement péché en lui, il est également très proche de l’idée qu’ils ont péché en Adam comme leur représentant. Cependant, son accent était relatif à la transmission de la corruption du péché. Péché est transmis par propagation, et cette propagation du péché d’Adam est à la fois une punition pour le péché. Wiggers affirme l’idée très brièvement en ces termes: « la corruption de la nature humaine, dans toute la course, était la juste punition de la transgression du premier homme, en qui tous les hommes existaient déjà. » [Augustinisme et le pélagianisme, p. 88.] Grand adversaire de Augustine, Pelagius, a refusé un tel lien entre le péché d’Adam et sa postérité. Comme il l’a vu, la propagation du péché par génération impliqué la théorie Traducianist de l’origine de l’âme, qu’il considérait comme une erreur hérétique; et l’imputation du péché d’Adam à personne d’autre que lui-même serait en contradiction avec la droiture divine.

Le point de vue pélagienne a été rejetée par l’église, et les scolastiques pensaient en général selon les modalités indiquées par Augustine, l’accent, tout en étant sur la transmission de la pollution du péché d’Adam, plutôt que sur celle de sa culpabilité. Hugo St. Victor et Peter le Lombard qui s’est tenue que concupiscence réel colore le sperme dans l’acte de procréation, et que cette tache en quelque sorte souille l’âme sur son union avec le corps. Anselm, Alexandre de Hales et Bonaventura a souligné la conception réaliste de la connexion entre Adam et sa postérité. La race humaine entière était seminally présente dans Adam et par conséquent aussi péché en lui. Sa désobéissance était la cause de la désobéissance de la race humaine toute entière. À la même génération de temps a été considérée comme la condition sine qua non de la transmission de la nature pécheresse. Bonaventura, et d’autres après lui la distinction entre culpabilité initiale et de la pollution initiale s’est exprimée plus clairement. L’idée fondamentale, c’est que la culpabilité du péché d’Adam est imputée à tous ses descendants. Adam a perdu la justice originale et ainsi attiré le courroux de la divin. Ainsi, tous ses descendants sont privés de justice originale et que ces les objets de la colère divine. Par ailleurs, la pollution du péché d’Adam est en quelque sorte transmis à sa postérité, mais les modalités de cette transmission a été un sujet de litige entre les scolastiques. Puisqu’ils n’étaient pas Traducianists et ne pouvaient donc pas dire que l’âme, qui est après tout le véritable siège du mal, a été transmise de père en fils par génération, ils ont estimé que quelque chose devait plus être dit pour expliquer la transmission du mal intrinsèque. Certains ont dit qu’il est transmis par l’intermédiaire de l’organisme, qui contamine à son tour l’âme dès qu’il entre en contact avec elle. D’autres, sentant le danger de cette explication il cherchait dans le simple fait que chaque homme naît maintenant dans l’État dans lequel Adam était avant il était doué avec droiture original et donc soumis à la lutte entre la chair non contrôlée et l’esprit. Dans Thomas Aquinas la souche réaliste nouveau apparaît assez fortement, bien que sous une forme modifiée. Il a souligné que la race humaine constitue un organisme et que, tout comme la Loi d’un membre corporel — dire, la main — est considéré comme l’acte de la personne, donc le péché d’un membre de l’organisme de l’humanité est imputé à l’organisme entier.

2. APRÈS LA RÉFORME. Alors que les réformateurs ne partageait pas les scolastiques quant à la nature du péché originel, leur point de vue de sa transmission ne contenait pas d’éléments nouveaux. Les idées d’Adam comme le représentant de la race humaine et de l’imputation « immédiate » de sa culpabilité à ses descendants ne sont pas encore clairement exprimées dans leurs œuvres. Selon Luther nous sommes représentaient coupables par Dieu à cause du péché demeure hérité d’Adam. Calvin parle dans une veine assez semblable. Il maintient que, depuis Adam était non seulement l’ancêtre mais la racine de l’humanité, tous ses descendants sont nés avec une nature corrompue; et que les deux la culpabilité du péché d’Adam et leur propre corruption innée sont imputées à eux comme péché. Le développement de la théologie fédérale introduit l’idée d’Adam comme le représentant de la race humaine au premier plan et a conduit à une distinction plus nette entre la transmission de la culpabilité et de la pollution du péché d’Adam. Sans nier que notre corruption native constitue aussi culpabilité aux yeux de Dieu, la théologie fédérale a insisté sur le fait qu’il existe une imputation « immédiate » de la culpabilité d’Adam à ceux qu’il a représenté la tête de l’Alliance.

Sociniens et arminiens ont tous deux rejeté l’idée de l’imputation du péché d’Adam à ses descendants. Placeus, de l’école de Saumur, défendu l’idée d’imputation « médiation ». Niant toute imputation immédiate, il a conclu que parce que nous héritons d’une nature pécheresse d’Adam, nous méritent d’être traités comme si nous avions commis l’infraction initiale. C’était quelque chose de nouveau dans la théologie réformée et Rivet a eu aucune difficulté à prouver cela en recueillant une longue lignée de témoignages. Un débat s’est ensuivi dans lequel « immédiate » et « médiation » imputation étaient représentés comme des doctrines s’excluent mutuellement; et où il a été fait pour apparaître comme si la vraie question est, si l’homme est coupable aux yeux de Dieu uniquement en raison du péché d’Adam, imputée lui, ou uniquement en raison de son propre péché inhérent. L’ancien n’était pas la doctrine des Églises réformées, et ce dernier ne était pas enseigné en eux avant l’heure de Placeus. Les enseignements de ce dernier se retrouvèrent dans la théologie de la Nouvelle Angleterre et est devenu particulièrement caractéristique de la théologie de la New School (New Haven). Dans la théologie libérale moderne, la théorie de la transmission du péché d’Adam à sa postérité est entièrement discréditée. Il préfère à chercher l’explication du mal qui est dans le monde dans un héritage animal, qui n’est pas elle-même pécheresse. Étrange à dire, même Barth et Brunner, quoique violemment opposés à la théologie libérale, ne considère pas la culpabilité universelle de l’humanité comme le résultat du péché d’Adam. Historiquement, ce dernier occupe une place unique comme le premier pécheur.

B. L’UNIVERSALITÉ DU PÉCHÉ.

Peu auront tendance à nier la présence du mal dans le coeur humain, autant ils peuvent différer quant à la nature de ce mal et sur la façon dont il est originaire. Même les Sociniens et les pélagiens sont prêts à admettre que le péché est universelle. Il s’agit d’un fait qui se force à l’attention de tout le monde.

1. L’HISTOIRE DES RELIGIONS ET DE LA PHILOSOPHIE TÉMOIGNENT DE L’UNIVERSALITÉ DU PÉCHÉ. L’histoire des religions témoigne de l’universalité du péché. La question de l’emploi, « comment un homme sera juste avec Dieu ? » est une question a été posée non seulement dans le domaine de la révélation spéciale, mais aussi en dehors de celui-ci dans le monde païen. Les religions païennes témoignent d’une conscience universelle du péché et de la nécessité de la réconciliation avec un être suprême. Il y a un sentiment général que les dieux sont choqués et doivent être propitiated en quelque sorte. Il y a une voix universelle de la conscience, témoignant du fait que l’homme en deçà de l’idéal et se trouve condamné aux yeux de certains la cheftaine. Autels fumants du sang des sacrifices, souvent les sacrifices de chers enfants, confessions répétées d’actes répréhensibles et des prières pour la délivrance du mal, — pointent tous vers la conscience du péché. Missionnaires trouve cela où qu’ils aillent. L’histoire de la philosophie est révélateur du fait même. Premiers philosophes grecs étaient déjà aux prises avec le problème du mal moral, et depuis leur journée aucun philosophe du nom n’a pu l’ignorer. Ils tous ont été contraints d’admettre l’universalité de celle-ci et qui, en dépit du fait qu’ils n’étaient pas en mesure d’expliquer le phénomène. Il y avait, il est vrai, un optimisme superficiel au XVIIIe siècle, qui rêvait de la bonté inhérente de l’homme, mais dans sa stupidité s’est envolé face à des faits et a été fortement réprimandé par Kant. Beaucoup de théologiens libéraux ont été induits à croire et à prêcher cette bonté inhérente de l’homme comme parole d’Évangile, mais aujourd'hui beaucoup d'entre eux sont admissibles comme l’une des erreurs plus pernicieuses du passé. Sûrement, les nécessités de la vie ne justifient pas cet optimisme.

2. LA BIBLE ENSEIGNE CLAIREMENT L’UNIVERSALITÉ DU PÉCHÉ. Il y a des déclarations directes de l’Ecriture qui pointent vers la culpabilité universelle de l’homme, tels qu’I rois 08:46; PS. 143:2; Prov. 20:9; Eccl. 07:20; ROM. 3:1-12,19,20,23; GAL 03:22; Jac. 3:2; I Jean 1:8, 10. Plusieurs passages de l’Ecriture enseignent que le péché est l’héritage de l’homme de l’époque de sa naissance et est donc présente dans la nature humaine si tôt qu’il ne peut éventuellement être considéré comme le résultat d’imitation, PS. 51:5; Job 14:4; John 3:6. Dans Ephésiens 2:3 dit Paul des Éphésiens qu’ils « étaient par nature des enfants de colère, même que le reste. » Dans ce passage, le terme « par nature » pointe vers quelque chose d’inné et original, par opposition à ce qui est acquis par la suite. Puis, le péché, est quelque chose d’original, dans lequel tous les hommes participent, et qui les rend coupable devant Dieu. En outre, selon l’Ecriture, la mort est visitée même sur ceux qui n’ont jamais exercé une personnelle et consciente à choix, Rom. 05:12-14. Ce passage implique que le péché existe dans le cas des nourrissons avant la conscience morale. Depuis les enfants meurent et donc l’effet du péché est présent dans leur cas, c’est naturel mais à supposer que la cause est également présente. Enfin, l’écriture enseigne également que tous les hommes sont sous la condamnation et donc besoin de la rédemption qui est en Jésus-Christ. Enfants ne sont jamais faits une exception à cette règle, voir les passages précédents et aussi Jean 3:3, 5; J’ai John 05:12. Ce n’est pas contredit par ces passages qui attribuent une certaine justice à l’homme, tels que Matthieu 09:12, 13; Actes 10:35; ROM. 02:14; Phil. 3:6; J’ai Cor. 01:30, pour cela peut être soit la justice civile, justice cérémonial ou Pacte, la justice de la Loi, soit la justice qui est en Jésus-Christ.

C. LA CONNEXION DU PÉCHÉ D’ADAM, AVEC CELLE DE LA PROGRESSION.

1. LE REFUS DE CETTE CONNEXION. Certains nient le lien causal du péché d’Adam avec le péché de l’humanité en totalité ou en partie.

a. pélagiens et Sociniens nier absolument qu’il n’y a aucun lien nécessaire entre notre péché et le péché d’Adam. Le premier péché était le péché d’Adam uniquement et ne concerne pas sa postérité en quelque sorte. Le plus ils admettront, c’est que le mauvais exemple d’Adam a conduit à l’imitation.

b. semi-pélagiens et les arminiens antérieures enseignent que homme hérité d’une incapacité physique d’Adam, mais n’est pas responsable de cette incapacité, afin qu’aucune culpabilité s’attache à elle, et on peut même dire que Dieu est un peu obligé de fournir un remède pour lui. Les arminiens Wesleyan admettre que cette corruption innée implique aussi de culpabilité.

c. la nouvelle théorie de l’école (New Haven) enseigne que l’homme est né avec une tendance inhérente au péché, en vertu duquel sa préférence morale est invariablement faux; mais que cette tendance ne peut elle-même être appelée sin, depuis toujours péché consiste exclusivement en transgression consciente et intentionnelle de la Loi.

d. la théologie de crise souligne la solidarité du péché dans la race humaine, mais nie que le péché son origine dans un acte d’Adam au paradis. L’automne appartient au préalable ou Super-histoire, et est déjà une chose du passé lorsque le Adam historique apparaît sur la scène. C’est le secret de la prédestination de Dieu. L’histoire de la chute est un mythe. Adam s’affiche comme type de Christ, dans la mesure où il peut être vu en lui que la vie sans péché est possible en communion avec Dieu. Brunner, dit: « dans Adam tous ont péché — c'est-à-dire l’instruction biblique; Mais comment ? La Bible ne nous dit pas qui. La doctrine du péché originel est lu dedans. » [Homme en révolte, p. 142.]

2. LES DIFFÉRENTES THÉORIES POUR EXPLIQUER LA CONNEXION.

a. la théorie réaliste. La plus ancienne méthode d’expliquer le lien entre le péché d’Adam et de la culpabilité et la pollution de tous ses descendants a été la théorie réaliste. Cette théorie est à l’effet que la nature humaine constitue, non seulement de manière générique mais numériquement ainsi, une seule unité. Adam possédait la nature entière de l’homme, et en lui il lui-même corrompu par son propre acte volontaire apostatizing dans Adam. Hommes individuels ne sont pas des substances distinctes, mais les manifestations de la même substance générale; ils sont numériquement un. Ce caractère universel de l’homme est devenu corrompu et coupable dans Adam, et par conséquent chaque individualisation de celui-ci dans les descendants d’Adam est aussi corrompu et coupable dès le début de son existence. Cela signifie que le hommes tous effectivement péché en Adam avant le début de l’individualisation de la nature humaine. Cette théorie a été acceptée par certains des premiers pères de l’église et par certains des scolastiques et défendue en plus ces derniers temps par Dr. Shedd. Toutefois, il est ouvert à plusieurs objections: (1) représentant les âmes des hommes comme individualisations de la substance spirituelle générale qui était présent à Adam, il semblerait impliquer que la substance de l’âme est d’ordre matériel et donc à la terre nous inévitablement dans une sorte de matérialisme. (2) il est contrairement au témoignage de la conscience et gardent pas suffisamment les intérêts de la personnalité humaine. Tout homme est consciente d’être une personnalité distincte et donc bien plus qu’un simple passage vague dans l’océan général de l’existence. (3) il n’explique pas pourquoi les descendants d’Adam sont tenus responsables par son premier péché seulement et non pour ses péchés ultérieures, ni pour les péchés de toutes les générations d’ancêtres qui suivirent Adam. (4) ni il ne donne une réponse à la question importante, pourquoi Christ n'est pas tenu responsable de la commission réelle du péché en Adam, car il partage certainement la même nature humaine, la nature qui en fait péché en Adam.

b. la doctrine de l’Alliance des œuvres. Cela implique que Adam trouvait dans une relation de double à ses descendants, à savoir, celle de chef naturel de l’humanité tout entière et celle du chef représentatif de toute l’humanité à l’Alliance des œuvres. (1) la relation naturelle. Dans sa relation naturelle Adam était le père de l’humanité tout entière. Comme il a été créé par Dieu, il a fait l’objet de changement et sans prétention légitime à un état immuable. Il était en devoir d’obéir à Dieu, et cette obéissance ne pas le placent à toute récompense. En revanche, si il a péché, il deviendrait sous réserve de la corruption et à la peine, mais le péché serait seulement sa propre et n’a pas été effectué pour le compte de ses descendants. Dabney soutient que, conformément à la loi qui, comme engendre comme, sa corruption aurait ont transmis à ses descendants. Mais cependant cela peut être — et c’est plutôt inutile de spéculer à ce sujet, ils ont certainement n'aurait pas pu tenir responsables de cette corruption. Ils ne pourraient pas ont été considérés comme coupables dans Adam simplement en vertu de la relation naturelle dans laquelle Adam se tenait à la course. La représentation habituelle réformée est un autre. (2) la relation de l’Alliance. À la relation naturelle dans laquelle Adam se tenait à ses descendants, Dieu a gracieusement ajouté une relation de l’Alliance contenant plusieurs éléments positifs: (a) un élément de la représentation. Dieu a ordonné que dans cette Alliance Adam ne devrait pas être pour lui-même seulement, mais comme le représentant de tous ses descendants. Par conséquent, il était à la tête de la course, non seulement dans une parentale, mais aussi dans un sens fédéral. (b) un élément de probation. En dehors de cette Alliance Adam et ses descendants auraient été dans un État continuel de procès, avec un danger constant de pécher, Pacte garanti cette persévérance persistante pour une période fixe de temps serait récompensée avec la mise en place de l’homme dans un État de sainteté et de bonheur permanent. (c) un élément de la récompense ou la punition. Selon les termes de l'Alliance Adam obtiendrait une revendication légitime à la vie éternelle, s’il satisfait aux conditions de l'Alliance. Et non seulement il, mais tous ses descendants auraient ainsi partagé dans cette bénédiction. Par conséquent, dans son fonctionnement normal, l’arrangement de l'Alliance aurait été d’avantage inestimable pour l’humanité. Mais il y avait une possibilité que l’homme serait désobéir, renversant ainsi le fonctionnement de l'Alliance, et dans ce cas les résultats seraient naturellement conséquence désastreuses. Transgression du commandement Pacte se traduirait par la mort. Adam a choisi le parcours de la désobéissance, lui-même corrompu par le péché, est devenu coupable aux yeux de Dieu et comme tel soumis à la peine de mort. Et parce qu’il était le représentant fédéral de la course, sa désobéissance touché tous ses descendants. Dans son jugement juste Dieu impute la culpabilité du péché premier, commis par le chef de l’Alliance, à tous ceux qui sont liés par le gouvernement fédéral à lui. Et ainsi ils sont nés dans un État dépravé et pécheur aussi bien, et cette corruption inhérente implique aussi la culpabilité. Cette doctrine explique pourquoi seulement le premier péché d’Adam et pas de ses péchés suivants, ni les péchés de nos autres ancêtres, sont imputées à nous et protège également le péché de Jésus, car il n’était pas une personne humaine et donc pas dans l’Alliance des œuvres.

c. la théorie de l’imputation médiate. Cette théorie nie que la culpabilité du péché d’Adam est directement imputé à ses descendants et représente la question comme suit: les descendants d’Adam dérivent leur corruption innée de lui par un processus de génération naturelle et que, sur la base qui dépravation inhérente qu’ils partagent avec lui sont elles aussi considérées comme coupables de son apostasie. Ils ne naissent pas corrompus parce qu’ils sont coupables dans Adam, mais ils sont considérés comme coupables parce qu’ils sont corrompus. Leur état ne repose pas sur leur statut juridique, mais leur statut juridique sur leur condition. Cette théorie, tout d’abord préconisée par Placeus, a été adoptée par les plus jeunes Vitringa et Venema, par plusieurs théologiens de la Nouvelle-Angleterre et par certains des théologiens New School dans l’église presbytérienne. Cette théorie est contestable pour plusieurs raisons: (1), une chose ne peut pas être médiée par ses propres conséquences. La dépravation intrinsèque avec laquelle naissent les descendants d’Adam est déjà le résultat du péché d’Adam et ne peut donc être considérée comme la base sur laquelle ils sont coupables du péché d’Adam. (2) il n’offre aucun objectif que ce soit au sol pour la transmission de la culpabilité d’Adam et de la dépravation à tous ses descendants. Pourtant, il doit y avoir quelque fondement juridique objective pour cela. (3) si cette théorie était cohérente, elle doit enseigner l’imputation médiate des péchés de toutes les générations précédentes pour ceux qui suivent, pour leur corruption mixte est transmise par la génération. (4) il se déroule également sur l’hypothèse qu’il peut y avoir la corruption morale qui n’est pas à la culpabilité de temps même, une corruption qui pas en soi font un passibles de sanctions. (5) et enfin, si la corruption inhérente qui est présente chez les descendants d’Adam peut être considérée comme le fondement juridique pour l’explication de quelque chose d’autre, il n’est plus nécessaire de toute imputation médiate.

 

IV. le péché dans la vie de la Race humaine

A. LE PÉCHÉ ORIGINEL.

L’état pécheur et l’État dans lequel les hommes naissent est désigné en théologie par le nom peccatum originale, qui se traduit littéralement en anglais « péché originel. » Ce terme est mieux que le nom de Hollande « erfzonde, » depuis ces derniers, à proprement parler, ne couvre pas tout ce qui appartient au péché originel. Il n’est pas une désignation appropriée de culpabilité initiale, car ce n’est pas hérité mais imputé à nous. Ce péché est appelé « péché originel », (1) parce qu’il est dérivé de la racine d’origine de la race humaine; (2) parce qu’il est présent dans la vie de chaque individu dès sa naissance et par conséquent ne saurait être considérée comme le résultat de l’imitation; et (3) car il s’agit de la racine vers l’intérieur de tous les péchés réels qui souillent la vie de l’homme. Nous devons nous prémunir contre l’erreur de penser que le terme en quelque sorte, cela implique que le péché qu’elle a désigné appartienne à la constitution originale de la nature humaine, ce qui impliquerait que Dieu créa l’homme pécheur.

1. REVUE HISTORIQUE. Les premiers pères de l’église ne contiennent rien de très précis sur le péché originel. D’après les pères grecs, il y a une corruption physique dans la race humaine, qui est dérivée d’Adam, mais ce n’est pas un péché et n’implique pas la culpabilité. La liberté de la volonté n’est pas affectée directement par la chute, mais il est touchée qu’indirectement par la corruption physique héritée. La tendance apparente dans l’Église grecque a finalement abouti à pélagianisme, démentant catégoriquement tout péché originel. Dans l’église latine, une tendance différente est apparu notamment dans Tertullien, selon laquelle la propagation de l’âme implique la propagation du péché. Il considérait le péché originel comme une souillure péchée héréditaire ou la corruption, qui n’a pas exclu la présence de quelque chose de bon chez l’homme. Ambrose a progressé au-delà de Tertullien au sujet du péché originel en tant qu’Etat et en distinguant entre la corruption innée et la culpabilité qui en résulte de l’homme. Le libre arbitre de l’homme a été affaibli par la chute. C’est surtout à Augustin qui vient de la doctrine du péché originel au développement plus complète. Selon lui la nature humaine, tant physique que moral, est totalement corrompue par le péché d’Adam, afin qu’il ne peut pas faire autrement que le péché. Cette corruption héritée ou le péché originel est une punition morale pour le péché d’Adam. C’est une telle qualité de la nature de l’homme, que dans son état naturel, il peut et va faire mal seulement. Il a perdu la liberté matérielle de la volonté, et c’est surtout à cet égard que le péché originel constitue une punition. En vertu de ce péché, l’homme est déjà sous la condamnation. Il n’est pas simplement la corruption, mais aussi de culpabilité. Pélagianisme semi réagit contre le caractère absolu de la vue augustinien. Il a admis que la race humaine entière est impliquée dans la chute d’Adam, que la nature humaine est entachée de péché héréditaire, et que tous les hommes sont par nature tenté à mal et pas en mesure, en dehors de la grâce de Dieu, d’effectuer des travaux de bonne; mais a refusé la dépravation totale de l’homme, la culpabilité du péché originel et la perte de la liberté de la volonté. Cela est devenu l’opinion répandue pendant le moyen âge, s’il y avait quelques éminents scolastiques qui étaient sur les Augustins ensemble dans leur conception du péché originel. Vue de Anselm du péché originel était tout à fait en harmonie avec celle d’Augustin. Il représente le péché originel comme étant constituée de la culpabilité de la nature (la nature de toute la race humaine), contracté par un seul acte d’Adam et la corruption inhérente qui en résulte de la nature humaine, transmis à la postérité et qui se manifeste par une tendance au péché. Aussi, ce péché entraîne la perte du pouvoir d’autodétermination en direction de sainteté (matière liberté de volonté) et rend l’homme esclave du péché. L’opinion qui prévaut parmi les scolastiques était que le péché originel n’est pas quelque chose de positif, mais plutôt l’absence de quelque chose qui devrait être présente, particulièrement les privations de la droiture original, bien que certains ajouteraient un élément positif, à savoir, un inclination au mal. Thomas Aquinas tenue que le péché originel, considéré dans son élément matériel, concupiscence, mais pris en compte dans son élément formel, est la privation de la justice originale. Il y a une dissolution de l’harmonie dans laquelle la justice originale se composait et dans ce sens original sin peut être appelée une langueur de la nature. Prenant la parole en général, les réformateurs concordaient Augustine, bien que Calvin différente de lui surtout sur deux points, en insistant sur le fait que le péché originel n’est pas quelque chose de purement négative et n’est pas limitée à la nature sensuelle de l’homme. Au moment de la réforme, les Sociniens suivi les pélagiens dans la négation du péché originel, et au XVIIe siècle les arminiens a rompu avec la foi réformée et accepté l’avis de Semi-pélagienne du péché originel. Depuis ce temps divers courants d’opinion ont été préconisées dans les églises protestantes en Europe et en Amérique.

2. LES DEUX ÉLÉMENTS DU PÉCHÉ ORIGINEL. Deux éléments doivent être distinguées dans le péché originel, à savoir:

a. origine culpabilité. Le mot « culpabilité » exprime la relation qui pèche ours à la justice ou, comme les anciens théologiens a dit, à la peine de la Loi. Lui qui est coupable se trouve en relation à la loi pénale. Nous pouvons parler de culpabilité dans un double sens, à savoir, en tant que reatus culpae et reatus poenae. Le premier, qui Turretin appelle « éventuelle culpabilité », est le mal moral intrinsèque-désert d’un acte ou l’État. C’est l’essence même du péché et est une partie inséparable de sa nature pécheresse. Il s’attache uniquement à ceux qui ont eux-mêmes commis des actes pécheresses et l’attache à eux en permanence. Il ne peut être retirée par le pardon et n’est pas supprimé de justification sur la base des mérites de Jésus-Christ et beaucoup moins de pardon simple. Péchés de l’homme sont intrinsèquement mal-méritant même après que qu’il est justifié. Culpabilité dans ce sens ne peut pas être transférée d’une personne à l’autre. Le sens habituel du terme, cependant, dans lequel on parle de culpabilité en théologie, c'est-à-dire reatus poenae. On entend par ce désert de punition, ni l’obligation de restituer la satisfaction à la justice de Dieu pour autodéterminées violation de la Loi. Culpabilité dans ce sens n’est pas de l’essence du péché, mais est plutôt une relation à la sanction pénale de la Loi. S’il n’y avait eu aucune sanction attachée à la méconnaissance des relations morales, chaque départ de la loi aurait été péché, mais il supposait pas passif à la peine. Culpabilité dans ce sens peut-être être révoquée par la satisfaction de la justice, soit personnellement, soit du fait d’autrui. Il peut être transféré d’une personne à l’autre, ou pris en charge par une personne à une autre. Il est supprimé de croyants de justification, afin que leur faire de si intrinsèquement mal-méritant, péchés, pas rendre passibles de sanctions. Semi-pélagiens et les plus âgés arminiens ou Remonstrants nient que le péché originel consiste culpabilité. La culpabilité du péché d’Adam, commis par lui comme le chef fédéral de la race humaine, est imputée à tous ses descendants. C’est évident du fait que, comme la Bible l’enseigne, mort comme la punition du péché transmet à tous ses descendants d’Adam. ROM. 05:12-19; Éphésiens 2:3; I Corinthiens 15:22.

b. la pollution initiale. La pollution initiale comprend deux choses, à savoir l’absence de justice initiale et la présence du mal positif. Il est à noter: (1) que pollution originale n’est pas simplement une maladie, étant donné que certains des pères grecs et les arminiens représentent, mais le péché au sens véritable du mot. Culpabilité s’attache à lui; celui qui nie cela n’a pas une conception biblique de la corruption originale. (2) que cette pollution est ne pas à considérer comme une substance infusés dans l’âme humaine, ni comme un changement de fond dans le sens métaphysique du terme. C’était l’erreur de la Manichæans et de Flacius Illyricus à l’époque de la réforme. Si la substance de l’âme ont été pécheresse, elle devra être remplacée par une nouvelle substance en régénération; mais cela n’a pas lieu. (3) qu’il n’est pas simplement une privation. Dans sa polémique avec le Manichæans, Augustine ne consiste pas seulement a nié que le péché est une substance, mais a également affirmé qu’il s’agissait simplement d’une privation. Il l’a appelé un privatio boni. Mais le péché originel n’est pas seulement négatif; C’est aussi une disposition positive inhérente vers le péché. Cette pollution originale peut considérer de plus d’un point de vue, à savoir, en tant que dépravation totale et incapacité totale.

c. dépravation totale. Compte tenu de son caractère envahissant, pollution héritée est appelée dépravation totale. Cette phrase est souvent mal comprise et demande donc une discrimination. Négativement, cela n’implique pas: (1), que chaque homme est aussi complètement dépravée comme il peut éventuellement devenir; (les 2 que le pécheur n’a aucune connaissance innée de la volonté de Dieu, ni une conscience qui établit une distinction entre le bien et le mal; (3) que l’homme pécheur ne pas souvent admirer caractère vertueux et des actions dans d’autres, ou est incapable d’affection désintéressée et d’actions dans ses relations avec ses semblables; ni (4) que tout homme régénéré sera, en vertu de sa nature pécheresse inhérente, faites-vous plaisir sous toutes les formes de péché; Il arrive souvent qu’une seule forme exclut l’autre. Positivement, cela indique: (1) que la corruption inhérente s’étend à toutes les parties de la nature de l’homme, à toutes les facultés et les puissances de l’âme et le corps; et (2) qu’il n’est aucun spirituel bon, c’est bon par rapport à Dieu, le pécheur du tout, mais seulement perversion. Cette dépravation totale est niée par les pélagiens, Sociniens et arminiens du XVIIe siècle, mais est clairement enseignée dans l’écriture, John 05:42; ROM. 07:18, 23; 8:7; EP 04:18; II Timothée 3:2-4; Tite 01:15; Héb. 03:12.

d. incapacité totale. En ce qui concerne son effet sur les pouvoirs spirituels de l’homme, il est appelé incapacité totale. Ici, encore une fois, il est nécessaire de distinguer. En attribuant une incapacité totale à l’homme naturel nous ne veux pas dire qu’il est impossible pour lui de faire le bien dans tous les sens du terme. Les théologiens réformés disent généralement qu’il est toujours apte à exercer: produit naturel (1); (2) civile justice bonne ou civile; et (3) bon extérieurement religieux. Il est admis que même les renouvelés possèdent certaines vertus, se révélant dans les relations de la vie sociale, dans de nombreux actes et sentiments qui mérite l’approbation sincère et la reconnaissance de leurs compatriotes, et qui répondent aux même avec l’approbation de Dieu, dans une certaine mesure . Dans le même temps, il est maintenu que ces mêmes actions et sentiments, si l'on tient compte Dieu, sont radicalement défectueux. Leur défaut fatal, c’est qu’ils n’êtes pas invités par amour pour Dieu, ou par aucun égard pour la volonté de Dieu comme obligeant. Quand nous parlons de la corruption de l’homme comme une incapacité totale, on entend deux choses: (1) que le pécheur renouvelé ne peut pas accomplir un acte, aussi insignifiant, qui fondamentalement se réunit avec l’approbation de Dieu et répond aux exigences de la loi Sainte de Dieu; et (2) qu’il ne peut pas changer sa préférence fondamentaux pour le péché et de soi à l’amour pour Dieu, ni même faire une approche à un tel changement. En un mot, il est incapable de faire le bien tout spirituel. Il y a soutien Scriptural abondant pour cette doctrine: John 01:13; 3:5; 06:44; 08:34; 15:4, 5; ROM. 07:18, 24; 8:7, 8; 1 Corinthiens 02:14; II Corinthiens 3:5; Éphésiens 2:1, 8-10; Hébreux 11:6. Pélagiens, a toutefois, croient en la capacité plénière de l’homme, niant que ses facultés morales portait une atteinte par le péché. Arminiens parlent d’une capacité de gracieuse, parce qu’ils croient que Dieu donne sa grâce commune à tous les hommes, qui leur permet de se tourner vers Dieu et de croire. Les théologiens de la New School attribuent à l’homme naturel par opposition à capacité morale, une distinction empruntée à la grande œuvre de Edwards Sur la volonté. L’importation de leur enseignement est que l’homme dans son état déchu est encore en possession de toutes les facultés naturelles qui sont nécessaires pour faire le bien spirituel (intelligence, volonté, etc.), mais n’a pas la capacité morale, c'est-à-dire la capacité de donner des directives appropriées à ces facultés , une direction bien agréable à Dieu. La distinction l’examen est avancée, afin de souligner le fait que l’homme est volontairement pécheresse, et cela peut bien être souligné. Mais les théologiens de la New School affirment que l’homme serait capable de faire spirituel du bien s’il voulait seulement de le faire. Cela signifie que la « capacité naturelle » dont ils parlent, est après tout une capacité à faire le bien spirituel réel. [Cf. Hodge, Théol. syst. II, p. 266.] Dans l’ensemble on peut dire que la distinction entre la capacité physique et morale n’est pas un souhaitable, pour: (1) il n’a aucun mandat de perquisition dans les Ecritures, qui enseigne toujours que l’homme n’est pas capable de faire ce qui est exigé de lui; (2) il est essentiellement ambigu et trompeur: la possession des facultés nécessaires pour faire le bien spirituel ne constitue pas encore une possibilité de le faire; (3) « naturel » n’est pas une bonne antithèse de « morale », d’une chose peut être les deux à la fois; et l’incapacité de l’homme est aussi naturelle dans un sens important, c'est-à-dire comme étant accessoire à sa nature dans son état actuel aussi naturellement propagée; et (4) la langue n’exprime pas exactement la distinction importante destinée; ce que l'on entend, c’est que c’est moral et pas physique ou constitutionnel; qu’elle a son terrain, pas dans l’absence de toute faculté, mais dans l’État moral corrompu des facultés et de la disposition du coeur.

3. LE PÉCHÉ ORIGINEL ET LA LIBERTÉ HUMAINE. Dans le cadre de la doctrine de l’incapacité totale de l’homme la question se pose naturellement, si le péché originel puis implique également la perte de la liberté, ou de ce qu’on appelle généralement liberum arbitrium, le libre arbitre. Cette question il faut répondre à la discrimination, en ces termes généraux, on peut y répondre fois négative et positive. L’homme n’en a pas dans un certain sens, et dans un autre sens, il a perdu sa liberté. Il y a une certaine liberté qui est la possession inaliénable d’agent libre, à savoir, la liberté de choisir comme il lui plaît, en plein accord avec les dispositions et les tendances de son âme qui prévaut. L’homme n’a pas perdu aucune des facultés constitutionnelles nécessaires pour lui constituer un agent responsable moral. Il a toujours raison, de conscience et la liberté de choix. Il a la capacité d’acquérir des connaissances et de se sentir et reconnaître la distinction morale et les obligations; et ses affections, tendances et ses actions sont spontanées, afin qu’il choisit et refuse comme il l’entend. En outre, il a la capacité d’apprécier et de faire beaucoup de choses qui est bonnes et aimable, bienveillant et juste, dans les relations, il soutient à ses collègues-êtres. Mais l’homme a perdu sa liberté matérielle, c'est-à-dire la puissance rationnelle afin de déterminer son cours en direction du plus grand bien, en harmonie avec la constitution morale originale de sa nature. L’homme a par nature un biais irrésistible pour le mal. Il n’est pas en mesure d’appréhender et d’excellence spirituelle, de rechercher et de faire des choses spirituelles, les choses de Dieu qui se rapportent au salut de l’amour. Cette position, qui est augustinien et calviniste, est carrément contredite par le pélagianisme et le Socinianisme et en partie aussi par semi pélagianisme et arminianisme. Le libéralisme Modern, qui est essentiellement pélagienne, trouve naturellement de la doctrine, que l’homme a perdu la capacité de déterminer sa vie dans le sens de véritable droiture et sainteté, très offensive, et gloires dans la capacité de l’homme à choisir et à faire ce qui est juste et bon. En revanche, la théologie dialectique (Barthianism) réaffirme fermement l’incapacité totale de l’homme de faire même le moindre mouvement dans une direction Godward. Le pécheur est un esclave du péché et ne peut éventuellement tourner dans la direction opposée.

4. LA THÉOLOGIE DU PÉCHÉ ORIGINEL ET DE LA CRISE. Il peut être bien à ce stade de définir brièvement la position de la théologie de crise ou de Barthianism à l’égard de la doctrine du péché originel. Walter Lowrie correctement dit: « Barth a beaucoup à dire au sujet de la chute — mais rien sur le « péché originel. » Que l’homme est tombé nous pouvons voir clairement; mais la chute n’est pas un événement nous pouvons attirer l’attention dans l’histoire, il appartient incontestablement à la préhistoire, Urgeschichte, dans un sens métaphysique. » [Notre préoccupation avec la théologie de crise, p. 187.] Brunner a quelque chose à dire à ce sujet dans son ouvrage récent sur l’homme en révolte. [Chap. 6.] Il n’accepte pas la doctrine du péché originel dans le sens traditionnel et ecclésiastique du mot. Le premier péché d’Adam n’était pas et n’a pas été effectué pour le compte de tous ses descendants; ni ce péché a lieu dans un état de péché, qui est transmis à sa postérité, et qui est maintenant la racine fructueuse de tous les péchés réels. « Le péché n’est jamais un État, mais c’est toujours un acte. Même d’être un pécheur n’est pas un État mais un acte, parce que c’est d’être une personne. » Dans l’estimation de Brunner l’opinion traditionnelle a un élément indésirable du déterminisme dedans et ne protège pas suffisamment la responsabilité de l’homme. Mais son rejet de la doctrine du péché originel ne signifie pas qu’il ne voit aucun vérité en elle du tout. Il souligne à juste titre la solidarité du péché dans la race humaine et la transmission « de la nature spirituelle, du « caractère, » des parents aux enfants. » Cependant, il cherche l’explication de l’universalité du péché dans autre chose que de « péché originel. » L’homme que Dieu a créé n’était pas simplement un homme, mais une personne responsable créé dans et pour la communauté avec les autres. L’individu isolé n’est qu’une abstraction. « Dans la création, nous sommes une unité individualisée, articulée, un seul corps avec beaucoup de membres. » Si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui. Il poursuit en disant: « si c’est notre origine, alors notre opposition à cette origine ne peut être une expérience, un acte, de l’individu comme une personne... Certes, chaque individu est un pécheur comme individu; mais il est en même temps l’ensemble dans sa solidarité unie, le corps, la réelle humanité dans son ensemble. » Il y avait donc solidarité à pécher; la race humaine s’éloigne de Dieu; mais il appartient à la nature du péché que nous refusons cette solidarité dans le péché. Le résultat de ce péché initial est que l’homme est maintenant un pécheur; mais le fait que l’homme est maintenant un pécheur ne doit pas considérer comme la cause de ses mauvaises actions individuelles. Un tel lien de causalité n’est pas admis, pour tous les péchés que commet l’homme sont une nouvelle décision contre Dieu. La déclaration que l’homme est un pécheur ne signifie pas qu’il est dans un État ou la condition du péché, mais qu’il est effectivement engagé dans la rébellion contre Dieu. Comme Adam nous détourné de Dieu et « celui qui commet cette apostasie peut pas faire autrement que le répéter sans cesse, non pas parce qu’il est devenu une habitude, mais parce que c’est le caractère distinctif de la présente loi. » L’homme ne peut inverser le cours, mais continue à pécher tout le long. La Bible ne parle jamais du péché, sauf comme le fait de se détourner du Dieu. « Mais dans le concept de « être un pécheur » cette loi est conçue comme celle qui détermine toute l’existence de l’homme. » Il y en a beaucoup dans cette représentation, qui rappelle celle de la représentation réaliste de Thomas Aquinas.

5. LES OBJECTIONS À LA THÉORIE DE L’IMPOSSIBILITÉ TOTALE DÉPRAVATION ET TOTAL.

a. elle est incompatible avec l’obligation morale. La plus évidente et la plus plausible objection à la doctrine de dépravation totale et incapacité totale, est qu’il est incompatible avec l’obligation morale. Il est dit qu’un homme ne peut être tenu justement responsable de tout ce dont il n’a pas la capacité requise. Mais l’implication générale de ce principe est un sophisme. Elle peut tenir en cas d’invalidité résultant d’une limitation dont Dieu a imposé sur la nature de l’homme; mais certainement ne s’applique pas dans le domaine de la morale et de religion, comme l’a déjà souligné au cours des précédentes. Nous ne devons pas oublier que l’incapacité à l’examen est imposée à lui-même, a une origine morale et n’est pas en raison de toute restriction que Dieu n’a imposé à être homme. L’homme est impossible à la suite du démarage pervertie dans Adam.

b. elle supprime tous les motifs pour l’effort. Une seconde objection est que cette doctrine supprime tous les motifs pour l’effort et détruit tous les motifs rationnels de l’utilisation des moyens de grâce. Si nous savons que nous ne pouvons pas accomplir une fin donnée, pourquoi devrions-nous utiliser les moyens recommandés pour son accomplissement ? Maintenant, il est parfaitement vrai que le pécheur, qui est éclairé par l’Esprit Saint et est vraiment conscient de sa propre incapacité naturelle, cesse de travail-justice. Et c’est exactement ce qui est nécessaire. Mais il ne tient-elle pas à l’égard de l’homme naturel, car il est complètement bien-pensants. En outre, il n’est pas vrai que la doctrine de l’incapacité naturelle tend à favoriser la négligence dans l’utilisation des moyens de grâce ordonné par Dieu. Sur ce principe, que l’agriculteur pourrait aussi dire, je ne peux pas produire une récolte; Pourquoi devrais je cultive mes champs ? Mais ce serait une folie totale. Dans tous les départements de l’activité humaine le résultat dépend de la coopération des causes que sur lesquels l’homme n’a aucun contrôle. Les motifs mentionnés dans les écritures de l’utilisation de moyens restent: Dieu ordonne l’utilisation de moyens; le moyen ordonné par Dieu est adapté à la fin visée; habituellement, la fin n’est pas atteinte, à l’exception de l’utilisation des moyens nommés; et Dieu a promis à bénir l’utilisation de ces moyens.

c. elle encourage le retard dans la conversion. Il est également affirmé que cette doctrine encourage retard dans la conversion. Si un homme croit qu’il ne peut pas changer son cœur, ne peut pas se repentir et croire en l’Évangile, il se sentira qu’il peut seulement passivement, respecter le temps quand il plaira à Dieu pour changer le sens de sa vie. Maintenant il peut y avoir, et l’expérience enseigne qu’il y ait certains qui en fait adopter cette attitude; mais en règle générale, l’effet de la théorie à l’examen sera différent. Si les pécheurs, à qui le péché a grandi très cher, étaient conscients du pouvoir de changer leur vie à volonté, ils seraient tentés de le reporter au dernier moment. Mais si l'on est conscient du fait qu’une chose très souhaitable est au-delà de la boussole de ses propres pouvoirs, il cherchera instinctivement aide en dehors de lui. Le pécheur qui se sent comme ça sur le Salut, va chercher de l’aide avec le grand médecin de l’âme et reconnaissent ainsi son propre handicap.

B. LE PÉCHÉ EST RÉEL.

Catholiques romains et arminiens minimisé l’idée du péché originel et ensuite développé des doctrines, comme celles du lavement loin du péché originel (bien que non seulement cela) par le baptême et de la grâce suffisante, par laquelle sa gravité est considérablement obscurcie. L’accent est clairement au total sur péchés réels. Pélagiens, Sociniens, théologiens libéraux modernes, et — étrange que cela puisse paraître, la théologie de crise, reconnaissent aussi seulement les péchés réels. Il faut dire, cependant, que cette théologie parle du péché au singulier aussi bien qu’au pluriel, autrement dit, il ne reconnaît pas une solidarité dans le péché, que certains des autres n’ont pas reconnu. Théologie réformée a toujours donné une reconnaissance due au péché originel et à la relation dans laquelle il se trouve à péchés réels.

1. LA RELATION ENTRE LE PÉCHÉ ORIGINAL ET RÉEL. Le premier son origine dans un acte libre d’Adam comme le représentant de la race humaine, une transgression de la Loi de Dieu et une corruption de la nature humaine, ce qui le rendait passibles de la peine de Dieu. Aux yeux de Dieu, son péché était le péché de tous ses descendants, afin qu’ils sont nés pécheurs, c’est dans un état de culpabilité et dans un état de pollution. Péché originel est un État et une qualité inhérente de la pollution chez l’homme. Chaque homme est coupable dans Adam et est par conséquent né avec une nature dépravée et corrompue. Et cette corruption intérieure se trouve la fontaine impie de tous péchés réels. Quand on parle de péché actuel ou peccatum actuale, nous utilisons le mot « véritable » ou « actuale » dans un sens global. Le terme « péchés réels » ne désigne pas simplement des actions extérieures qui sont mises en oeuvre par le biais de l’organisme, mais toutes ces pensées conscientes et volitions qui ressort du péché originel. Ils sont les péchés individuels de loi à la différence de nature héréditaire de l’homme et de l’inclinaison. Péché originel, péché actuel est collecteur. Péché actuel peut être intérieure, comme un doute consciente particulière ou un mauvais design dans l’esprit, ou un désir conscient particulier ou le désir dans le cœur; mais ils peuvent aussi être extérieurs, tels que la tromperie, vol, adultère, meurtre et ainsi de suite. Alors que l’existence du péché originel a rencontré déni généralisé, la présence du péché réel dans la vie de l’homme est généralement admise. Cela ne signifie pas, toutefois, que les gens ont toujours eu une tout aussi profonde conscience du péché. Nous entendons beaucoup de choses aujourd'hui sur la « perte du sens du péché, » bien que modernistes m’empresser de nous assurer que, même si nous avons perdu le sens du péché, nous avons acquis le sens des péchés, au pluriel, c'est-à-dire des péchés réels précis. Mais il n’y a aucun doute là-dessus que les gens ont de façon alarmante perdu le sens de l’atrocité du péché, comme commis contre un Dieu Saint et ont largement pensé simplement comme une violation des droits de ses compatriotes. Ils ne parviennent pas à voir que le péché est une puissance mortelle dans leur vie, incitant de temps à autre leur esprit rebelle, ce qui les rend coupable devant Dieu, et qui leur apporte en vertu d’une décision de condamnation. Il est l’un des mérites de la théologie de crise qu’il appelle l’attention une fois de plus la gravité du péché comme une révolte contre Dieu, comme une tentative révolutionnaire pour être comme Dieu.

2. CLASSIFICATION DES PÉCHÉS RÉELS. Il est absolument impossible de donner une classification unifiée et complète des péchés réels. Ils varient en genre et en degré et peuvent être différenciées de plus d’un point de vue. Catholiques romains établissent une distinction bien connue entre les péchés véniels et mortels, mais avoue qu’il est extrêmement difficile et dangereux de décider si un péché mortel ou véniel. On leur a fait cette distinction par l’instruction de Paul dans Galates 05:21 qu’ils « qui font ces choses (comme il l’a énuméré) n’hériteront pas le Royaume de Dieu. » Commet un péché mortel quand on viole délibérément la Loi de Dieu dans une affaire que l'on croit ou sait qu’il doit pour être important. Il rend le pécheur passible d’une peine éternelle. Et commet un péché véniel quand on transgresse la Loi de Dieu dans une affaire qui n’est pas grave importance, ou quand la transgression n’est pas tout à fait volontaire. Un tel péché est pardonné plus facilement et même sans confession. Pardon pour les péchés mortels peut être obtenu que par le sacrement de pénitence. La distinction n’est pas un scripturaire, car selon l’Ecriture tout péché est essentiellement anomia (injustice) et mérite le châtiment éternel. En outre, il a un effet délétère dans la vie pratique, puisqu’il engendre un sentiment d’incertitude, parfois un sentiment de peur morbide, d’une part, ou de négligence injustifiée de l’autre. La Bible distinguer différentes sortes de péchés, notamment en relation avec les différents degrés de culpabilité y attacher à eux. L’ancien Testament fait une distinction importante entre les péchés commis présomptueusement (avec une main forte), et les péchés commis involontairement, c'est-à-dire, comme le résultat de l’ignorance, de faiblesse ou d’erreur, nombres 15:29-31. Le premier ne pourrait pas être expié par le sacrifice et était puni avec grande sévérité, alors que ce dernier pourrait être ainsi expié et ont été jugé avec indulgence beaucoup plus grande. Le principe fondamental inscrit dans cette distinction s’applique toujours. Péchés commis à dessein, avec la pleine conscience du mal impliqué et avec l’attention nécessaire, sont une plus grande et plus coupable que péchés résultant de l’ignorance, d’une conception erronée des choses ou de faiblesse de caractère. Néanmoins ces derniers sont aussi des péchés réels et faire un coupable aux yeux de Dieu, Galates 6:1; EP 04:18; J’ai Tim 01:13; 5:24. le Nouveau Testament plus clairement nous enseigne que le degré du péché est dans une large mesure déterminée par le degré de lumière possédé. Les païens sont en fait coupables, mais ceux qui ont la révélation de Dieu et de jouir des privilèges du ministère Evangile sont beaucoup plus coupables, Matthieu 10:15; Luc 12:47, 48; 23:34; John 19:11; Actes 17:30; ROM. 01:32; 02:12; J’ai Timothée 01:13, 15, 16.

3. LE PÉCHÉ IMPARDONNABLE. Plusieurs passages de l’écriture parlent d’un péché qui ne peut pas être pardonné, après quoi un revirement est impossible, et pour lesquels il n’est pas nécessaire de prier. Il est généralement connu comme le péché ou blasphème contre le Saint-Esprit. Le Sauveur parle explicitement dans Matthieu 12:31, 32 et parallèles passages; et on croit généralement que Hébreux 6:4-6; 10:26, 27 et John 05:16 également faire référence à ce péché.

a. opinions injustifiées concernant ce péché. Il y a eu toute une variété d’opinions concernant la nature du péché impardonnable. (1) Jerome et Chrysostome pensée de celui-ci comme un péché qui pourra être engagée qu’au cours du Christ séjour sur terre et la tenue qu’il a été commis par ceux qui étaient convaincus dans leur cœur que Christ a accompli ses miracles par la puissance du Saint-Esprit , mais en dépit de leur condamnation a refusé de reconnaître ces miracles comme tel et leur attribue à l’opération de Satan. Toutefois, cette limitation est totalement injustifiée, comme les passages en Hébreux et moi John semble prouver. (2) Augustine, les dogmaticians de Melanchtonian de l’église luthérienne et de quelques théologiens écossais (Guthrie, Chalmers) concevaient de celui-ci comme consistant en impoenitentia finalis, c'est-à-dire, impenitence persistantes dans jusqu’au bout. Une vue connexe est celle exprimée par certains de nos jours, qu’il consiste dans l’incrédulité continue, refus d’accepter Jésus Christ par la foi jusqu’au bout. Mais sur cette supposition, il s’ensuivrait que tous ceux qui sont morts dans un état d’impenitence et l’incrédulité avait commis ce péché, alors que selon l’Ecriture, il doit être quelque chose d’une nature très spécifique. (3) en ce qui concerne leur refus de la persévérance des saints, des théologiens luthériens plus tard enseignèrent que seulement régénérer personnes pouvaient commettre ce péché et a demandé cette opinion dans Hébreux 6:4-6. Mais il s’agit d’une position non scripturale et les Canons de Dordrecht rejeter, entre autres, aussi l’erreur de ceux qui enseignent que le régénérer peut commettre le péché contre le Saint-Esprit.

b. la conception réformée de ce péché. Le nom « péché contre le Saint-Esprit » est trop général, car il y a aussi des péchés contre l’Esprit Saint qui sont pardonnables, Éphésiens 04:30. La Bible parle plus précisément d’un « parler contre le Saint-Esprit, » Matthieu 12:32; Marquer 03:29; Luc 12:10. C’est évidemment un péché commis au cours de la vie présente, ce qui rend impossible la conversion et le pardon. Le péché consiste dans le conscient, malicieux, et rejet délibéré et diffamation, contre preuve et à la condamnation, du témoignage de l’Esprit Saint, respectant la grâce de Dieu en Christ, attribuant de haine et d’inimitié pour le prince des ténèbres. Elle présuppose, objectivement, une révélation de la grâce de Dieu en Christ et une puissante opération du Saint-Esprit; et, subjectivement, une conviction illumination et intellectuel tellement forte et puissante qu’un honnête déni de la vérité impossible. Et puis se compose le péché lui-même, ne pas à douter de la vérité, ni un simple déni de celui-ci, mais en contradiction avec ce qui va à l’encontre de la déclaration de culpabilité de l’esprit, à l’illumination de la conscience et même au verdict du cœur. Pour commettre ce péché homme volontairement, intentionnellement et délibérément attribue ce qui est clairement reconnu comme le œuvre de Dieu à l’influence et l’exploitation de Satan. Ce n’est rien moins qu’une calomnie a décidé de l’Esprit Saint, une déclaration audacieuse que le Saint-Esprit est l’esprit de l’abîme, que la vérité est un mensonge, et que Christ est Satan. Il n’est pas tellement un péché contre la personne du Saint-Esprit comme un péché contre son fonctionnaire travailler en révélant, tant objectivement que subjectivement, la grâce et la gloire de Dieu dans le Christ. La racine de ce péché est la haine consciente et délibérée de Dieu et de tout ce qui est reconnu comme divin. C’est impardonnable, non pas parce que sa culpabilité transcende les mérites du Christ, ou parce que le pécheur est au-delà de la puissance rénovatrice de l’Esprit Saint, mais parce qu’il y a aussi dans le monde du péché, certaines lois et règlements en vigueur, établie par Dieu et maintenu par lui. Et la loi dans le cas de ce péché particulier est, qu’il exclut toute repentance, saisit la conscience, durcit le pécheur et rend le péché impardonnable. Ceux qui ont commis ce péché, nous pouvons donc s’attendre à trouver une haine prononcée à Dieu, une attitude intraitable lui et tout ce qui est divin, plaisir à ridiculiser et de diffamation qui qui est Sainte et absolue indifférence respectant le bien-être de leur âme et la vie future. Compte tenu du fait que ce péché n’est pas suivi par la repentance, nous pouvons être raisonnablement sûr que ceux qui craignent qu’ils ont commis et s’inquiéter à ce sujet, et qui désirent les prières des autres pour eux, n’ont pas commis.

c. Remarques sur les passages dans les épîtres qui en parlent. Sauf dans les Évangiles, ce péché n’est pas mentionné par son nom dans la Bible. La question se pose donc, que ce soit les passages dans Hébreux 6:4-6; 10:26, 27, 29 et j’ai John 05:16 se réfèrent également à lui. Maintenant, il est évident qu’ils parlent tous d’un péché impardonnable; et parce que Jésus dit dans Matthieu 12:31, « c’est pourquoi je vous dis: tout péché et blasphème seront pardonné aux hommes; « mais le blasphème contre l’esprit ne doit pas être pardonné », indiquant ainsi qu’il est, mais un péché impardonnable, ce n’est que raisonnable de penser que ces passages se rapportent à la même péché. Il convient de noter, toutefois, que les Hébreux 6 parle d’une forme particulière de ce péché, comme ne peut se produire dans l’âge apostolique, quand l’esprit se révèle dans les dons extraordinaires et pouvoirs. Le fait que ce ne était pas garder à l’esprit, conduit souvent à l’opinion erronée que ce passage, avec ses expressions inhabituellement fortes, mentionné comme étaient effectivement régénéré par l’esprit de Dieu. Mais Hébreux 6:4-6, en parlant des expériences qui dépassent ceux de la foi temporelle ordinaire, pourtant ne pas nécessairement témoignent de la présence de régénération grâce au cœur.

QUESTIONS pour une étude plus approfondie. Quelles objections sont soulevées à l’idée de la Direction fédérale d’Adam ? Quelle base scripturaire est là pour l’imputation du péché d’Adam à ses descendants ? A théorie des Placeus d’imputation médiate dans aucun rapport avec vue des Amyraldus d’expiation universelle ? Quelle objection Dabney soulève à la doctrine d’imputation immédiate ? Est la doctrine du mal héréditaire la même chose que la doctrine du péché originel, et si non, comment sont-ils différents ? Comment les pélagiens, Semi-pélagiens, et arminiens diffèrent dans leur vision du péché originel ? Comment la doctrine du péché originel affecte la doctrine du Salut infantile ? Que la Bible enseigne que l'on peut être perdu uniquement comme le résultat du péché original ? Quel est le lien entre la doctrine du péché originel et celle de la régénération baptismale ? Ce qu’il advient de la doctrine du péché originel dans la théologie libérale moderne ? Comment expliquez-vous la négation du péché originel dans la théologie barthienne ? Pouvez-vous citer quelques classes supplémentaires de péchés réels ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. III, pp. 61-120; Kuyper, Dict. dogme., De Peccato, p. 36-50, 119-144; Vos, Geref. Dogme. II, pp. 31-76; Hodge, Syst. Theol. II, pp. 192-308; McPherson, Dogme Chr., pp. 242-256; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 321-351; Litton, intro au dogme. THEOL., pp. 136-174; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Ch., p. 242-276; Valentine, Chr. Theol. I, pp. 420-476; Pape, Chr. Theol. II, p. 47-86; Raymond, Syst. Theol. II, pp. 64-172; Wilmers, Manuel de la Religion Chr., p. 235-238; Mackintosh, christianisme et le péché, cf. Index; Girardeau,The Will dans ses Relations théologiques; Wiggers, augustinisme et pélagianisme; Carle, la Bibl. Doct. du péché, pp. 90-128; Brunner, homme en révolte, pp. 114-166.

 

V. la punition du péché

Sin est une affaire très sérieuse et est prise au sérieux par Dieu, bien que les hommes font souvent la lumière de celui-ci. Il n’est pas seulement une transgression de la Loi de Dieu, mais une attaque contre le grand législateur lui-même, une révolte contre Dieu. C’est une atteinte à la justice inviolable de Dieu, qui est le fondement même de son trône (PS. 97:2) et un affront à la sainteté Immaculée de Dieu, qui exige de nous que nous soyons Saints dans toutes sortes de la vie (j’ai PET. 01:16). Dans cette perspective, il est, mais naturel que Dieu devrait visiter péché avec peine. En un mot, d’une importance fondamentale, il dit: « Je suis l’Éternel ton Dieu suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, » Exode 20:5. La Bible témoigne abondamment sur le fait que Dieu punit péché dans cette vie comme dans la vie à venir.

A. LES SANCTIONS NATURELLES ET POSITIVES.

Une distinction assez commune appliquée aux peines du péché, c’est qu’entre sanctions naturelles et positives. Il y a des peines qui sont le résultat naturel du péché, et que les hommes ne peuvent pas s’échapper, parce qu’elles sont les conséquences naturelles et nécessaires du péché. L’homme n’est pas enregistré d’eux par la repentance et le pardon. Dans certains cas, ils peuvent être atténués et même vérifiés par le moyen que Dieu a mis à notre disposition, mais dans d’autres cas, ils restent et servent comme un rappel constant des dernières transgressions. L’homme paresseux s’agit de la pauvreté, l’ivrogne apporte ruine sur lui-même et sa famille, le fornicateur contracte une maladie incurable répugnante et le criminel est accablé de honte et même quand laissant les murs de la prison estime extrêmement difficile de faire un nouveau départ dans la vie. La Bible parle de ces châtiments dans Job 4:8; PS. 09:15; 94:23; Prov. 05:22; 23:21; 24:14; 31:3. mais il y a aussi des punitions positives, et ce sont des peines dans le sens le plus courant et en droit. Elles présupposent pas simplement les lois naturelles de la vie, mais un droit positif du grand législateur des sanctions supplémentaires. Ils ne sont pas les sanctions qui en découlent naturellement de la nature de la transgression, mais les peines qui y sont attachées les transgressions de textes de loi divines. Elles sont superposées par la loi divine, qui est d’une autorité absolue. C’est à ce type de châtiment que la Bible se réfère habituellement. Cela est particulièrement évident dans l’ancien Testament. Dieu a donné à Israël un code détaillé des lois pour la régulation de la vie civile, morale et religieuse et stipule clairement la peine d’être infligée dans le cas de chaque transgression, voir Exode 20-23. Et si beaucoup des statuts civils et religieux de cette loi étaient, sous la forme dans laquelle elles ont été rédigées, destinés à Israël uniquement, appliqueront les principes fondamentaux qu’ils incarnent aussi dans la dispensation du Nouveau Testament. Dans une conception biblique de la pénalité du péché, que nous devrons prendre en compte tant le résultat naturel et nécessaire d’opposition délibérée à Dieu et à la peine légalement fixée et ajusté à l’infraction par Dieu. Il y a maintenant quelques Unitariens et universalistes modernistes qui nient l’existence de toute punition du péché, à l’exception des conséquences aussi naturellement la suite de l’action pécheresse. Châtiment n’est pas l’exécution d’une sentence prononcée par l’etre divin sur le fond de l’affaire, mais simplement l’opération d’une loi générale. Cette position est prise par Washington Gladden, Thayer, Williamson et J. F. Clarke. Ce dernier dit: « la théologie ancienne faite cette sanction (pénalité du péché) consiste en des souffrances infligées le pécheur par un processus judiciaire dans la vie future... Le châtiment du péché, comme la nouvelle théologie enseigne, consiste aux conséquences naturelles de sin.... Le châtiment du péché est un péché. Que ce soit un homme sème qu’il moissonnera aussi. » [Théologie de nos jours, pp. 78-80.] L’idée n’est pas nouvelle; il était présent à l’esprit de Dante, car dans son célèbre poème les tourments de l’enfer symbolisent les conséquences du péché; et Schelling, il avait à l’esprit, lorsqu’il parlait de l’histoire du monde comme le jugement du monde. Il est abondamment évident de l’écriture, cependant, qu’il s’agit d’une conception entièrement non biblique. La Bible parle de sanctions, qui sont en aucune façon le résultat naturel ou les conséquences du péché commis, par exemple en Ex. 32:33; Lévitique 26: 21; Num. 15:31; J’ai Chron. 10:13; Psaume 11:6; 75:8; Ésaïe 01:24, 28; Matthieu 03:10; 24:51. tous ces passages parlent d’un châtiment du péché par un acte direct de Dieu. En outre, selon le point de vue à l’examen il y a vraiment aucune récompense ou la punition; vertu et le vice naturellement comprennent leurs diverses questions. En outre, sur ce point de vue il n’y a aucune raison pour considérer la souffrance comme une punition, pour qu’il ne rejette la culpabilité, et c’est exactement la culpabilité qui constitue la souffrance une punition. Aussi, il n’est souvent pas le coupable qui reçoit la sanction plus sévère, mais les innocents comme, par exemple, les personnes à charge d’un ivrogne ou un débauché. Et, enfin, sur ce point de vue, ciel et l’enfer ne sont pas des lieux de punition future, mais les États d’esprit ou les conditions dans lesquelles les hommes se trouvent ici et maintenant. Gladden Washington exprime cela très explicitement.

B. NATURE ET OBJET DES SANCTIONS.

La « punition » de mot est dérivée du Latin poena, sens peine, expiation ou douleur. Il dénote la douleur ou des souffrances infligées en raison de quelque méfait. Plus précisément, il peut être défini comme cette douleur ou la perte qui est directement ou indirectement causé par le législateur, dans l’apologie de sa justice indigné par la violation de la Loi. Il provient de la justice ou la justice punitive de Dieu, par laquelle il se maintient comme Saint et nécessairement demandes de sainteté et de justice dans toutes ses créatures rationnelles. Punition est la peine qui est naturellement et nécessairement dû partir le pécheur à cause de son péché; C’est, en effet, une dette qui est due à la justice essentielle de Dieu. Les peines du péché sont de deux types différents. Il y a une punition qui est le corollaire nécessaire du péché, car dans la nature de l’affaire sin causes séparation entre Dieu et l’homme, s’accompagne culpabilité et la pollution et le cœur rempli de peur et la honte. Mais il y a aussi une sorte de punition qui se superpose à l’homme de sans par le législateur suprême, tel que toutes sortes de calamités dans cette vie et le châtiment de l’enfer à l’avenir.

Maintenant la question se pose quant à l’objet ou le but de la punition du péché. Et sur ce point il y a des divergences d’opinions considérables. Nous ne devrions pas considérer la punition du péché comme une simple question de vengeance et infligé avec le désir de nuire à celui qui a déjà fait mal. Voici les trois plus importants vues concernant le but de la peine.

1. DE FAIRE VALOIR LA JUSTICE DIVINE OU LA JUSTICE. Turretin dit: « si il y avoir cet attribut comme justice appartenant à Dieu, puis sin doit avoir son dû, ce qui est le châtiment. » La Loi exige que le péché puni en raison de son inaptitude inhérente, indépendamment de toutes autres considérations. Ce principe s’applique à l’administration des lois humaines et divines. La justice exige la peine du transgresseur. Retour de la Loi signifie Dieu, et donc on peut aussi dire que la punition vise à l’apologie de la justice et la sainteté du grand législateur. La sainteté de Dieu nécessairement réagit contre le péché, et cette réaction se manifeste dans la punition du péché. Ce principe est fondamental pour tous les passages des écritures qui parlent de Dieu comme un juste juge, qui restitue à chaque homme selon ses déserts. "Il est le rocher, son œuvre est parfaite: pour toutes ses voies sont jugement: un Dieu de vérité et sans iniquité, juste et droit est celui, « Deut. 32: 4. » Que ce soit loin de Dieu, qu’il devait faire la méchanceté; et depuis le tout-puissant, qu’il devrait s’engager d’iniquité. Pour le travail d’un homme est il rendu à lui et de faire tous les hommes à trouver selon ses voies, » Job. 34:10, 11. « Tu renderest à chacun selon son travail, » Psaume 62:12. « Les justes es-tu, Ô Seigneur et debout sont tes jugements, » Psaume 119:37. « Je suis l’Eternel qui exerce la bonté, du jugement et la justice dans la terre, » Jérémie 09:24. « Et si vous appelez sur le père, qui sans le respect des personnes condamnes selon travail chaque homme de, passer le temps de votre séjour ici dans la peur, » j’ai PET. 01:17. L’apologie de la justice et la sainteté de Dieu et de cette loi juste, qui est l’expression même de son être, est certainement l’objectif principal de la punition du péché. Il y a deux autres points de vue, cependant, qui par erreur mettent quelque chose au premier plan.

2. POUR RÉFORMER LE PÉCHEUR. L’idée est tout à fait au premier plan à l’heure actuelle qu’il n’y a pas de justice punitive en Dieu qui appelle inexorablement à la punition du pécheur, et que Dieu n’est pas en colère contre le pécheur mais aime et n’inflige des souffrances sur lui , afin de lui réclamer et de ramener à la maison de son père. Il s’agit d’une vue non scripturaire, qui efface la distinction entre les sanctions et les punitions. Le châtiment du péché ne procède pas de l’amour et la miséricorde du législateur, mais de sa justice. Si réforme fait suite à l’imposition d’un châtiment, ce n’est pas à cause de la peine en tant que tel, mais est le fruit d’une opération gracieuse de Dieu par lequel il tourne que qui est en soi un mal pour le pécheur en quelque chose qui est bénéfique. La distinction entre le châtiment et la punition doit être maintenue. La Bible nous enseigne d’une part que Dieu aime et châtie son peuple, Job 05:17; PS. 6:1; PS. 94:12; 118:18; Prov. 03:11; Ésaïe 26: 16; Hébreux 12:5-8; 03:19; et d’autre part, qu’il déteste et punit les méchants, PS. 5:5; 07:11; n ° 1:2; ROM. 01:18; 2:5, 6; 11 th. 1:6; Hébreux 10:26, 27. En outre, une punition doit être reconnue comme juste, c'est-à-dire que selon la justice, afin d’être en maison de correction. Selon cette théorie, un pécheur qui a déjà été réformée pourrait ne plus être sanctionnée; ni un au-delà de la possibilité de réforme, pourrait donc qu’il ne pourrait y avoir aucune peine pour Satan; la peine de mort devait être abolie, et le châtiment éternel n’aurait aucune raison d’être.

3. POUR DISSUADER LES HOMMES DU PÉCHÉ. Une autre théorie assez répandue de nos jours, c’est que le pécheur doit être puni pour la protection de la société, de dissuader d’autres de la perpétration d’infractions semblables. Il ne peut y avoir aucun doute là-dessus que cet effet est souvent fixé dans la famille, dans l’État et du gouvernement moral du monde, mais il s’agit d’un résultat faux qui Dieu effets gracieusement par l’infliction de la peine. On ne peut certainement pas le motif de l’infliction de la peine. Il n’y a pas de justice tout en punir un individu simplement pour le bien de la société. Que fait le pécheur est toujours puni pour son péché, et soit dit en passant, cela peut être pour le bien de la société. Et ici encore une fois on peut dire qu’aucune peine n’aura un effet dissuasif, si ce n’est pas juste et droit en soi. Punition a un bon effet uniquement lorsqu’il est évident que la personne à qui il est affligé mérite vraiment le châtiment. Si cette théorie était vraie, un criminel pourrait à la fois seraient mis en liberté, si ce n’était pas de la possibilité que d’autres pourraient être dissuadés de péché par sa punition. Par ailleurs, un homme pourrait à juste titre commettre un crime, s’il était seulement prêt à supporter la peine. Selon ce point de vue punition est en aucune façon s’est échoué dans le passé, mais est entièrement prospective. Mais sur cette supposition, il est très difficile d’expliquer comment il provoque invariablement le pécheur repentant de regarder en arrière et se confesser avec cœur contrit les péchés du passé, que nous remarquons dans ces passages comme suit: Genèse 42: 21; Num. 21:7; J’ai Samuel 15:24, 25; II Samuel 12:13; 24:10; Esdras 9:6, 10, 13; Néh. 09:33-35; Emploi à 07:21; PS. 51: 1-4; Jérémie 03:25. Ces exemples pourraient facilement être multipliés. En opposition à tous les deux des théories considérées comme elle doit être maintenue que la punition du péché est entièrement rétroactive dans son objectif primaire, bien que l’infliction de la peine peut avoir des conséquences bénéfiques, tant pour l’individu et la société.

C. LA PEINE RÉELLE DU PÉCHÉ.

La pénalité avec laquelle Dieu a menacé l’homme dans le paradis était la peine de mort. La mort pour but ici n’est pas la mort du corps, mais la mort de l’homme comme un entier, mort dans le sens biblique du terme. La Bible ne connaît pas la distinction, si commune parmi nous, entre physique, spirituelle et une mort éternelle; Il dispose d’une vue synthétique de la mort et la considère comme la séparation d'avec Dieu. La peine a été réellement exécutée le jour où l’homme a péché, bien que l’exécution complète de celui-ci a été temporairement suspendue par la grâce de Dieu. D’une manière plutôt non scripturaire, certains portent leur distinction dans la Bible et maintiennent que la mort physique ne sont à considérer comme le châtiment du péché, mais plutôt comme le résultat naturel de la constitution physique de l’homme. Mais la Bible ne connaît pas de telle exception. Il nous familiarise avec la peine menacée, qui est mort dans le sens complet du terme, et il nous informe que la mort entre dans le monde par le péché (Rom. 05:12), et que le salaire du péché est la mort (Romains 06:23). Le châtiment du péché comprend certainement la mort physique, mais il comprend beaucoup plus que cela. Faire la distinction à laquelle nous sommes habitués, nous pouvons dire qu’il comprend ce qui suit:

1. LA MORT SPIRITUELLE. Il y a une vérité profonde dans le dicton d’Augustin, que le péché est également la punition du péché. Cela signifie que l’état pécheur et l’État dans lequel l’homme est né par nature font partie de la peine du péché. Ils sont, il est vrai, les conséquences immédiates du péché, mais ils font également partie de la peine de menacées. Péché sépare l’homme de Dieu, et qui signifie la mort, car c’est seulement dans la communion avec Dieu que l’homme peut vivre vraiment vivant. Dans l’état de la mort, qui résulte de l’entrée du péché dans le monde, nous sommes accablés par la culpabilité du péché, une culpabilité qui ne peut être éliminée que par l’oeuvre rédemptrice de Jésus-Christ. Nous sommes donc obligé de supporter les souffrances qui découlent de la transgression de la Loi. L’homme naturel porte le sens de la responsabilité à la peine avec lui partout où il va. La conscience est un rappel constant de sa culpabilité, et la crainte du châtiment souvent emplit le cœur. La mort spirituelle signifie non seulement la culpabilité, mais aussi la pollution. Le péché est toujours une influence corruptrice dans la vie, et il s’agit d’une partie de notre mort. Nous sommes par nature non seulement injuste aux yeux de Dieu, mais aussi impie. Et cette impiété se manifeste dans nos pensées, dans nos paroles et nos actes. Il est toujours actif en nous comme une fontaine empoisonnée polluer les cours d’eau de vie. Et si ce n’était pas pour l’influence restrictive de la commune grâce de Dieu, il rendrait la vie sociale tout à fait impossible.

2. LES SOUFFRANCES DE LA VIE. Les souffrances de la vie, qui sont le résultat de l’entrée du péché dans le monde, sont également inclus dans le châtiment du péché. Péché a apporté des perturbations dans toute la vie de l’homme. Sa vie physique une proie aux faiblesses et maladies, malaises et entraînera souvent des douleurs atroce; et sa vie mentale ont été soumises à pénibles troubles qui souvent volent de la joie de vivre, lui disqualifient pour sa tâche quotidienne et parfois entièrement détruisent son équilibre mental. Son âme est devenu un champ de bataille de pensées conflictuelles, passions et désirs. La volonté refuse de suivre l’arrêt de l’intellect, et les passions exécutent émeute sans le contrôle d’une volonté intelligente. La véritable harmonie de vie est détruite et rend la voie à la malédiction de la vie divisée. L’homme est dans un état de dissolution, qui comporte souvent des souffrances plus poignants. Et non seulement cela, mais avec et en raison de l’homme de que toute la création a été faite sous réserve de vanité et de la servitude de la corruption. Les évolutionnistes en particulier nous ont appris à considérer nature comme « rouge au bec et ongles ». Des forces destructrices sont souvent rejetés dans les tremblements de terre, cyclones, tornades, éruptions volcaniques et les inondations, qui font une misère indicible à l’humanité. Maintenant, ils sont nombreux, surtout à notre époque, qui ne voient pas la main de Dieu dans tout cela et ne considère pas ces calamités dans le cadre de la pénalité du péché. Et pourtant c’est exactement ce qu’ils sont dans un sens général. Toutefois, elle ne sera pas sécuritaire de préciser et de les interpréter comme des sanctions spéciales pour certains péchés graves commis par ceux qui vivent dans les zones sinistrées. Ni qu’il sera sage de ridiculiser l’idée d’un tel lien de causalité qu’existait dans le cas des villes de la plaine (Sodome et Gomorrhe), qui ont été détruits par le feu du ciel. Nous devrions toujours garder à l’esprit qu’il existe une responsabilité collective, et qu’il y a toujours des raisons suffisantes, pourquoi Dieu doit visiter les villes, des districts ou des nations avec les terribles calamités. Il est plutôt étonnant qu’il n’a pas plus souvent visite eux dans sa colère et son déplaisir endolori. C’est toujours bien de garder à l’esprit ce que Jésus disait aux Juifs qui lui avait apporté le rapport d’une catastrophe qui a frappé certains galiléens et évidemment a laissé entendre que ces galiléens doivent avoir été très pécheresses: « Croyez-vous que ces galiléens étaient pécheurs ci-dessus tous les galiléens, parce qu’ils ont subi ces choses ? Je vous le dis, Nay: mais sauf vous repentez, vous périrez tous pareillement. Ou ces dix-huit, sur lesquels la tour de Siloé est tombée et les ont tués, croyez-vous qu’elles étaient coupables surtout les hommes qui habitent à Jérusalem ? Je vous dis vous, Nay: mais, à moins que vous repentiez, vous tout de même périrez. » Luc 13:2-5.

3. LA MORT PHYSIQUE. La séparation de corps et l’âme est aussi une partie de la peine du péché. Que le Seigneur cela avait à l’esprit aussi dans la peine menacée est tout à fait évident de l’explication de celui-ci dans les mots, « poussière tu es et à la poussière tu retourneras », 03:19. Il ressort également de l’ensemble de l’argument de Paul dans Romains 05:12-21 et dans I Corinthiens 15:12-23. La position de l’église a toujours été que la mort dans le plein sens du terme, y compris la mort physique, est non seulement la conséquence, mais le châtiment du péché. Le salaire du péché est la mort. Pélagianisme refusé cette connexion, mais le Synode général de l’Afrique du Nord de Carthage (418) prononcé un anathème contre n’importe quel homme qui dit « qu’Adam, le premier homme, a été créé mortel, afin que s’il a péché ou pas il serait mort, non pas comme le salaire du péché mais par la nécessité de la nature. » Sociniens et rationalistes ont continué l’erreur pélagienne, et encore plus ces derniers temps, il a été repris dans les systèmes de ces théologiens kantienne, hégélienne ou Ritschlian qui font presque péché un moment nécessaire dans le développement moral et spirituel de l’homme. Leur point de vue trouve appui en sciences naturelles de nos jours, qui considère la mort physique comme un phénomène naturel de l’organisme humain. La constitution physique de l’homme est telle qu’il meurt forcément. Mais ce point de vue elle-même salue pas étant donné que l’organisme physique est renouvelée tous les sept ans de l’homme, et que relativement peu de gens meurent de vieillesse et de l’épuisement complet. De loin le plus grand nombre d'entre eux meurent à la suite de maladie et d’accident. Il est également à l’encontre du fait que l’homme ne se sent pas que la mort est quelque chose de naturel, mais il craint comme une séparation artificielle de ce qui appartient à l’ensemble.

4. LA MORT ÉTERNELLE. Cela peut être considéré comme l’apogée et la fin de la mort spirituelle. Les contraintes du présent tombent, et la corruption du péché a son travail parfait. Tout le poids de la colère de Dieu descend sur le condamné. Leur séparation d'avec Dieu, source de vie et de joie, est terminée, et cela signifie la mort dans le plus terrible de sens du mot. Leur état vers l’extérieur est faite pour correspondre avec l’État vers l’intérieur de leur âme maléfique. Il y a des affres de la conscience et de la douleur physique. Et la fumée de leur tourment qui, vers le haut pour toujours et jamais. 14:11. L’examen ultérieur de cette question appartient à l’eschatologie.

QUESTIONS pour une étude plus approfondie. Pourquoi beaucoup de libéraux modernes ne nie tous châtiments positives pour le péché ? Est-ce que la position du tout défendable que les peines du péché se composent exclusivement dans les conséquences naturelles de péché ? Quelles objections vous avez à ce poste ? Comment expliquez-vous l’aversion généralisée à l’idée que la punition du péché est une justification de la Loi et de la justice de Dieu ? Les peines du péché servent-ils aussi comme moyens de dissuasion et comme moyen de réforme ? Quelle est la conception biblique de la mort ? Pouvez vous prouver par les écritures qu’il comprend la mort physique ? Est la doctrine de la mort éternelle conforme à l’idée que la punition du péché sert simplement comme un moyen de réforme, ou un effet dissuasif ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. III, pp. 158-198; Kuyper, Dict. dogme., De Peccato, p. 93-112; Strong, Syst. Theol., pp. 652-660. Raymond, Syst. Theol. II, p. 175-184; Shedd, Doctrine de châtiment sans fin; Washington Gladden, théologie de nos jours, Chaps. IV et V; Kennedy, St. Conceptions des dernières choses, pp. 103-157; de Paul Dorner, syst de Chr. Doct. III, pp. 114-132.

 

L'Homme dans l'Alliance de la Grace

Nom et Concept de l’Alliance

A. LE NOM.

1. DANS L’ANCIEN TESTAMENT. Le mot hébreu pour l'Alliance est toujours berith, un mot de dérivation incertaine. L’opinion plus générale, c’est qu’il est dérivé du verbe hébreu barah, pour couper et contient donc un rappel de la cérémonie mentionnée à 15:17. Certains, toutefois, préfèrent penser qu’il est dérivé du mot assyrien beritu, signifiant « bind ». Ce serait à la fois point au Pacte comme un lien. La question de la dérivation est sans grande importance pour la construction de la doctrine. Le mot berith peut signifier un accord mutuel volontaire (dipleuric), mais aussi une disposition ou arrangement imposé par une partie sur un autre (monopleuric). Sa signification exacte ne dépend pas sur l’étymologie du mot, ni sur l’évolution historique du concept, mais simplement sur les parties concernées. Dans la mesure où une des parties est subordonné et a moins à dire, l’Alliance acquiert le caractère d’une aliénation ou d’arrangement imposé par une partie sur l’autre. Berith devient alors synonyme de choq (nommé loi ou ordonnance), Ex. 34:10; Ésaïe 59:21; Jérémie 31:36; 33: 20; 34:13. c’est pourquoi nous trouvons aussi que karath berith (pour couper une Alliance) est interprétée non seulement avec des prépositionssuis et ben (avec), mais aussi avec lamed (to), Jos. 9:6; Ésaïe 55:3; 61:8; Jérémie 32:40. Naturellement, lorsque Dieu établit une alliance avec l’homme, ce caractère de monopleuric est très bien mis en évidence, pour Dieu et l’homme ne sont pas des parties égales. Dieu est le souverain qui impose ses ordonnances à ses créatures.

2. DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. Dans la Septante, le mot berith est rendu diatheke dans chaque passage où il se produit à l’exception de Deut. 09:15 (marturion) et I rois 11:11 (entole). Le mot diatheke vise uniquement à cet usage, sauf en quatre passages. Cette utilisation du mot semble assez particulière compte tenu du fait qu’il n’est pas le mot grec habituel pour l'Alliance, mais vraiment dénote une dispositionet par conséquent aussi un testament. Le mot ordinaire pour Pacte est suntheke. Les traducteurs n’avait l’intention de substituer une autre idée pour l’idée de Pacte ? Évidemment pas, car dans Ésaïe 28: 15, ils utilisent les deux termes comme des synonymes, il diatheke évidemment signifie un Pacte ou un accord. Il n’y a donc aucun doute à ce sujet qu’ils attribuent cette signification à diatheke. Mais la question demeure: pourquoi ils donc généralement éviter d’utiliser des suntheke et il remplace un mot qui désigne une disposition plutôt qu’un accord ? Selon toute probabilité la raison réside dans le fait que, dans le monde grec, l’idée de Pacte exprimée par suntheke , s’inspire de l’égalité juridique des parties à un tel point, qu’il pourrait pas, sans grande modification, être incorporé dans la Scripturaire système de pensée. L’idée que la priorité appartient à Dieu dans la création de l'Alliance, et qu’il impose souverainement son alliance sur l’homme était absent du mot grec habituel. La substitution du mot dans lequel ce était donc très importante. Le mot diatheke ainsi, comme beaucoup d’autres mots, a reçu une nouvelle signification, lorsqu’il est devenu le véhicule de la pensée divine, ce changement est important dans le cadre de l’utilisation de Nouveau Testament du mot. Il y a eu des divergences d’opinion concernant la traduction correcte du mot considérables. Dans environ la moitié des passages dans lesquels il se produit la Hollande et les Versions autorisées restituent le mot « Alliance » tandis que l’autre moitié elles rendent « testament ». La Version révisée américaine, cependant, rend « covenant » partout, sauf dans les Hébreux 09:16, 17. C’est donc, mais naturel, que la question devrait être soulevée, quel est le sens de Nouveau Testament du mot ? Certains prétendent qu’il a son sens classique d’aliénation ou de testament, partout où il se trouve dans le Nouveau Testament, tandis que d’autres soutiennent que cela signifie testament dans certains endroits, mais que, dans la grande majorité des passages l’idée de Pacte est en bonne place au premier plan. C’est sans doute la vue correcte. Nous nous attendrions à un priorily que l’utilisation du Nouveau Testament serait en général accord avec celle de la LXX; et une étude attentive des passages pertinents montre que la Version révisée américaine est sans aucun doute sur la bonne voie, quand il traduit diatheke par « testament » seulement en Hébreux 09:16, 17. Selon toute vraisemblance, il n’y a pas un seul autre passage où cette interprétation est correcte, ne même pas II Cor. 3:6, 14. Le fait que plusieurs traductions du Nouveau Testament par ce qui suit « testament » pour le « Pacte » dans de nombreux endroits est probablement due à trois causes: (a) le désir de mettre l’accent sur la priorité de Dieu dans le cadre de l’opération; (b) l’hypothèse que le mot devait être rendu autant que possible en harmonie avec les Hébreux 09:16, 17; et (c) l’influence de la traduction latine, qui l’a rendue uniformément diatheke par « testamentum. »

B. LE CONCEPT.

L’idée de Pacte développée dans l’histoire avant que Dieu fait toute utilisation officielle du concept dans la révélation de la rédemption. Alliances entre hommes avaient été faites longtemps avant Dieu établit son alliance avec Noé et Abraham, et cette hommes prêts à comprendre l’importance d’un engagement dans un monde divisé par le péché et les a aidés à comprendre la révélation divine, quand il a présenté relation de l’homme à Dieu comme une relation d’Alliance. Cela ne signifie pas, toutefois, que l’idée de Pacte provenait d’homme et fut ensuite empruntée par Dieu sous une forme appropriée pour la description de la relation réciproque entre lui-même et l’homme. Tout le contraire est vrai; l’archétype de toute alliance vie se trouve dans l’être Trinitaire de Dieu, et ce que l'on voit chez les hommes n’est qu’une pâle copie (insupportable). Dieu ordonna donc la vie de l’homme qui l’idée de Pacte devrait se développer comme un des piliers de la vie sociale, et après elle s’était tellement développée, il l’introduit officiellement en tant qu’expression de la relation existante entre lui-même et l’homme. La relation de l’alliance entre Dieu et l’homme a existé dès le début et donc bien avant la création officielle de l’Alliance avec Abraham.

Alors que le mot berith sert souvent d’alliances chez les hommes, mais elle inclut toujours une idée religieuse. Un Pacte est un Pacte ou une entente entre deux ou plusieurs parties. Il peut être et chez les hommes plus généralement est, un accord auquel parties, qui peuvent se rencontrer sur un pied d’égalité, viennent volontairement après une stipulation minutieuse de leurs obligations mutuelles et de privilèges; mais il peut aussi être de la nature d’une disposition ou d’arrangement imposé par une partie supérieure qui est inférieure et accepté par ce dernier. Il est généralement confirmé par une cérémonie solennelle que la présence de Dieu et obtient ainsi un caractère inviolable. Chacun des parties s’engage à la réalisation de certaines promesses sur la base des conditions stipulées. Maintenant, nous ne devrions pas dire que nous ne pouvons pas parler correctement d’une alliance entre Dieu et l’homme, parce que les parties sont trop inégales et donc se prononcer sur l’hypothèse que l’Alliance de grâce n’est rien d’autre que la promesse de Salut sous la forme d’un Pacte. En faisant cela nous échouerions à rendre justice à l’idée de Pacte comme elle est révélée dans les Ecritures. Il est parfaitement vrai que les deux l’Alliance de travaille et (comme la suite montrera) l’Alliance de grâce sont monopleuric à l’origine, qu’ils sont de la nature des arrangements ordonnés et institué par Dieu, et que Dieu a la priorité dans les deux; mais ils sont quand même des alliances. Dieu daigna gracieusement à descendre au niveau de l’homme et à lui rendre hommage en lui traitant plus ou moins sur le pied d’égalité. Il précise ses exigences et assure ses promesses, et homme assume les obligations ainsi imposées sur lui volontairement et hérite donc de la bénédiction. Dans l’Alliance des œuvres homme pourrait satisfaire aux exigences de l'Alliance en vertu de sa dotation en ressources naturelles, mais dans l’Alliance de grâce, il est activé à leur ne rencontre que par l’influence de régénération et de sanctification de l’Esprit Saint. Dieu travaille chez l’homme et le vouloir et faire, accordant gracieusement sur lui tout ce dont il a besoin de lui. On l’appelle l’Alliance de grâce, parce que c’est une révélation sans précédent de la grâce de Dieu, et parce que l’homme reçoit toutes ses bénédictions en cadeau de la grâce divine.

 

II. L'Alliance du rachat

A. UNE DISCUSSION DISTINCTE DE CE SUJET EST SOUHAITABLE.

Il existe différentes représentations concernant les parties dans l’Alliance de grâce. Certains considère comme la Trinité Dieu et l’homme, soit sans qualification, ou en quelque sorte, qualifiées de « le pécheur, » « les élus », ou « l’homme dans le Christ »; d’autres, Dieu le père, comme représentant la Trinité et le Christ comme représentant les élus; [Westm. Plus grand Cat., Q. 31.] et encore d’autres, depuis les jours de Coccejus, distinguer les deux pactes, à savoir, Pacte de rachat (pactum salutis) entre le père et le fils et, comme sur cette base, l’Alliance de grâce entre le Dieu triune et les élus ou les élus pécheur. La seconde de ces représentations a un certain avantage d’un point de vue systématique. Il peut demander l’appui de ces passages comme romains 05:12-21 et I Cor. 15:21, 22, 47-49 et souligne le lien indissoluble entre le pactum salutis et l’Alliance de grâce. Il met en évidence l’unité de l’Alliance en Christ et est soutenu entre autres par Boston, Gib, Dick, A. Kuyper SR., H. Kuyper et A. Kuyper, Jr. La troisième représentation est plus perspicuous, cependant, est plus facile à comprendre et n’est donc plus utilisable dans une analyse pratique de la théorie de l'Alliance. Il échappe à beaucoup de confusion qui est accessoire à l’autre point de vue et est suivie par la majorité des théologiens réformés, comme faire, à Marck, Turretin, Witsius, Heppe, Hodges, Shedd, Vos, Bavinck et Honig. Il n’y a pas de différence essentielle entre ces deux représentations. Dit m. Hodge: « Il n’y a aucune différence doctrinale entre ceux qui préfèrent l’une instruction et ceux qui préfèrent l’autre; entre ceux qui comprennent tous les faits des écritures relatives à ce sujet en vertu d’un pacte entre Dieu et le Christ comme le représentant de son peuple et ceux qui les distribuent moins de deux ans. » [Théol. syst. II, p. 358; cf. aussi Dabney, LECT sur théol., p. 432; Bavinck, Geref. Dogme. III, p. 240] c’est le cas, le troisième mode de représenter tout ça sans aucun doute mérite la préférence. Mais à la suite il nous devons garder à l’esprit ce que dit Shedd: « bien que cette distinction (entre l'Alliance de rachat et l’Alliance de grâce) est favorisée par les déclarations de l’écriture, il ne s’ensuit pas qu’il y a deux conventions distinctes et indépendantes antithétique pour l’Alliance des œuvres. L’Alliance de la grâce et la rédemption sont deux modes ou phases du un Pacte évangélique de la miséricorde. » [Dogme. Théol. II, p. 360.]

B. LES DONNÉES SCRIPTURAIRES POUR L'ALLIANCE DE LA RÉDEMPTION.

Le nom « avocat de la paix » est dérivé de Zacharie 06:13. Coccejus et autres trouvent dans ce passage une référence à un accord entre le père et le fils. C’était clairement une erreur, car les mots se rapportent à l’union des offices royales et sacerdotales dans le Messie. Le caractère biblique du nom ne peut être maintenu, mais cela, bien sûr, ne déroge pas à la réalité de l’avocat de la paix. La doctrine de cet éternel Conseil repose sur la base scripturaire suivante.

1. écriture indique clairement le fait que le plan de rédemption a été inscrite dans le décret éternel ou le Conseil de Dieu, Éphésiens 1:4 et suiv.; 03:11; II Thessaloniciens. 02:13; II Timothée 1:9; Jac. 2:5; I Pierre 1:2, etc.. Maintenant, nous constatons que dans l’économie de la rédemption il existe, dans un sens, une division du travail: le père est à l’origine, le fils de l’exécuteur testamentaire, et le Saint esprit l’applicateur. Cela ne peut être le résultat d’un accord volontaire entre les personnes de la Trinité, ainsi que leurs relations internes prendre la forme d’une vie de Pacte. En fait, c’est exactement dans la vie trinitaire que nous trouvons l’archétype des alliances historiques, une Alliance dans le sens correct et plein du terme, les parties réunies sur un pied d’égalité, un vrai suntheke.

2. il existe des passages de l’écriture qui non seulement soulignent le fait que le plan de Dieu pour le salut des pécheurs était éternel, Éphésiens 1:4; 3:9, 11, mais également indiquer qu’il était de la nature d’une Alliance. Christ parle de promesses qui lui est faites avant son avènement et à plusieurs reprises fait référence à une commission qu’il avait reçues du père, John 05:30, 43; 06:38-40; 17:4-12. et en Rom. 05:12-21 et I Cor. 15:22 il est clairement considéré comme un représentant responsable, c'est-à-dire la tête d’une Alliance.

3. chaque fois que nous avons les éléments essentiels d’une Alliance, à savoir, parties contractantes, une promesse ou promesses et une condition, là nous avons un Pacte. Dans le Psaume 2:7-9, les parties sont mentionnés et une promesse est indiquée. Le caractère messianique de ce passage est garanti par des actes 13:33; Hébreux 1:5; 5:5. encore une fois, dans Psaume 40:7-9, également attesté comme messianique par le Nouveau Testament (Héb. 10:5-7), l’exprime de Messie, il était prêt à faire la volonté du père va devenir un sacrifice pour le péché. Christ parle à plusieurs reprises d’une tâche que le père a confié à lui, John 06:38, 39; 10:18; 17:4. l’instruction revêt une importance particulière dans Luc 22:29: « Je nomme t’un Royaume, alors même que mon père nommé à moi. » Le verbe utilisé ici est diatithemi, le mot qui dérive diatheke , c'est-à-dire de désigner par testament, testament ou Pacte. En outre, dans Jean 17:5 Christ revendique une récompense, et dans Jean 17:6, 9, 24 (cf. aussi Philippiens 2:9-11), il se réfère à son peuple et sa gloire future comme une récompense lui donnée par le père.

4. il y a deux passages de l’ancien Testament qui relient l’idée de l'Alliance immédiatement avec le Messie, à savoir, PS. 89:3, qui s’inspire de II Samuel 07:12-14 et s’avère un passage messianique par Héb. 1:5; et 42:6 d’Ésaïe, où la personne visée est la servante du Seigneur. La connexion montre clairement que ce serviteur n’est pas seulement Israël. En outre, il y a des passages où le Messie parle de Dieu comme Son Dieu, utilisant ainsi la langue de Pacte, à savoir, Psaume 22:1, 2 et PS. 40:8.

C. LE FILS DANS L'ALLIANCE DE LA RÉDEMPTION.

1. LA POSITION OFFICIELLE DU CHRIST DANS CETTE ALLIANCE. La position de Christ dans l'Alliance de la rédemption est double. En premier lieu, il est garant (Gr. egguos), un mot qui est utilisé uniquement dans Hébreux 07:22. La dérivation de ce mot est incertaine et ne peut donc nous aider à établir sa signification. Mais le sens n’est pas douteux. Une caution est une personne qui s’engage à devenir responsable de ce que les obligations légales d’un autre seront atteint. Dans l'Alliance de rachat, Christ a entrepris d’expier les péchés de son peuple en portant la peine nécessaire et pour répondre aux exigences de la loi pour eux. En prenant la place de l’homme délinquant, et il est devenu le dernier Adam est ainsi également le chef de l’Alliance, le représentant de tous ceux que le père lui a donné. Puis, dans l'Alliance de rachat, Christ est caution et la tête. Il a pris sur lui les responsabilités de son peuple. Il est également leur caution à l’Alliance de grâce, qui se développe hors de l’Alliance de la rédemption. La question a été soulevée, si le cautionnement du Christ à l’avocat de la paix était conditionnelle ou inconditionnelle. La jurisprudence romaine reconnaît deux types de cautionnement, l’un désigné fidejussoret les autres expromissor. Le premier est conditionnel et ce dernier inconditionnel. La première est une caution qui s’engage à payer pour un autre, pourvu que cette personne ne rend pas lui-même satisfaction. Le fardeau de la culpabilité demeure sur la partie coupable jusqu’au moment du paiement. Ce dernier, cependant, est une caution qui prend sur lui sans condition de payer pour un autre, ainsi de délester la partie coupable de sa responsabilité à la fois. Coccejus et son école maintient que dans le Conseil de la paix, Christ est devenu un fidejussor, et que, par conséquent, fidèles de l’ancien Testament n’apprécié aucun complète de pardon des péchés. De Rom. 03:25 qu'ils ont déduit que pour les saints il y a seulement une parésie, un dominant de péché, sans APHEIS ni le pardon complet, jusqu'à ce que Christ a vraiment fait l’expiation pour le péché. Leurs adversaires a affirmé, cependant, que le Christ a pris sur lui sans condition pour rendre satisfaction pour son peuple et par conséquent est devenu une caution dans le sens spécifique d’un expromissor. C’est la position tenable uniquement, pour: (a) croyants de l’ancien Testament a reçu toutes les justifications ou pardon, si la connaissance de celui-ci n’était pas aussi complet et clair, comme il est dans la dispensation du Nouveau Testament. Il n’y avait pas de différence essentielle entre le statut de l’ancien et celui des croyants du Nouveau Testament, Psaume 32: 1, 2, 5; 51: 1-3, 9-11; 103:3, 12; Ésaïe 43: 25; Romains 3:3, 6-16; Galates 3:6-9. La position de Coccejus rappelle celle des catholiques romains avec leurs Limbus Patrum. b théorie des Coccejus rend le œuvre de Dieu en faisant provision pour le rachat des pécheurs dépendante l’obéissance incertaine de l’homme d’une manière totalement injustifiée. Il n’y a pas de sens en disant que le Christ est devenu une caution conditionnelle, comme s’il était encore possible que le pécheur doit payer pour lui-même. La provision de Dieu pour la rédemption des pécheurs est absolue. Ce n’est pas autant dire qu’il ne traite pas et adresse le pécheur comme personnellement coupable jusqu'à ce qu’il est justifié par la foi, pour cela, c’est exactement ce que Dieu ne. (c) en Rom. 03:25, le passage aux quels appels Coccejus, l’Apôtre utilise le mot parésie (dominant ou passant au-dessus), pas les croyants individuels dans l’ancien Testament n’a pas reçu une réhabilitation complète du péché, mais parce que durant la dispensation de vieux le pardon du péché a pris la forme d’une parésie, tant que péché n’avait pas été adéquatement sanctionné dans le Christ, et la justice absolue du Christ n’avait pas été révélée dans la Croix.

2. LE CARACTÈRE DE CETTE ALLIANCE EST ASSUMÉ PAR LE CHRIST. Bien que l'Alliance de la rédemption est le fondement éternel de l’Alliance de grâce, et, autant que pécheurs sont concernés, aussi son prototype éternelle, c’est pour le Christ, une Alliance des œuvres plutôt qu’une Alliance de grâce. Pour lui le droit de l’Alliance originale appliquée, à savoir que la vie éternelle seulement pouvait être obtenue qu’en répondant aux exigences de la Loi. Le dernier Adam Christ obtient la vie éternelle pour les pécheurs en récompense pour l’obéissance fidèle et pas du tout comme don de grâce imméritée. Et ce qu’il a fait comme le représentant et garant de tout son peuple, ils ne sont pas plus en devoir de le faire. Le travail a été fait, la récompense est justifiée et croyants sont faits participants des fruits du travail accompli du Christ par la grâce.

3. LE TRAVAIL DE CHRIST DANS L'ALLIANCE LIMITÉE PAR LE DÉCRET D’ÉLECTION. Certains ont identifié l'Alliance de rachat et d’élection; mais c’est clairement une erreur. Élection a la référence à la sélection des personnes destinées à être les héritiers de la gloire éternelle dans le Christ. L’avocat de la rédemption, en revanche, se réfère à la façon dans laquelle et le moyen par lequel la grâce et la gloire sont préparés pour les pécheurs. Élection, en effet, aussi a référence à Christ et estime avec le Christ, pour les croyants sont censés être élu en lui. Christ lui-même est, en un sens, l’objet de l’élection, mais à l’avocat de la rédemption, il est l’un des contractants. Le père s’occupe avec le Christ comme le garant de son peuple. Logiquement, élection précède l’avocat de la rédemption, parce que le cautionnement du Christ, comme son expiation, est particulier. S’il n’y a aucune élection précédente, il serait nécessairement universelle. En outre, pour ce demi-tour équivaudrait à faire le cautionnement du Christ la terre d’élection, alors que les bases de l’écriture élection entièrement sur le bon plaisir de Dieu.

4. RACCORDEMENT DES SACREMENTS UTILISÉ PAR LE CHRIST AVEC L'ALLIANCE. Christ a utilisé les sacrements de l’ancien et le Nouveau Testament. Il est évident, toutefois, qu’elles ne pourraient pas signifier pour lui ce qu’ils font pour les croyants. Dans son cas, ils pourraient être ni de symboles ni de phoques de la grâce salvatrice; ne pourrait pas joué un rôle important dans le renforcement de sauver la foi. Si nous distinguons, comme nous le faisons, entre l'Alliance de rachat et l’Alliance de grâce, les sacrements étaient alors Christ tous les sacrements de la probabilité de l’ancien, plutôt que de ce dernier. Christ a pris sur lui dans l'Alliance de rachat pour répondre aux exigences de la Loi. Ces avaient pris une forme définie quand Christ était sur terre et comprenait également des règlements religieux positives. Les sacrements faisaient partie de la présente loi, et c’est pourquoi le Christ a dû se soumettre à eux, Matthieu 03:15. Dans le même temps, elles pourraient servir comme joints des promesses dont le père avait donné à son fils. L’objection peut être portée à cette représentation que les sacrements étaient en effet fit symboles et joints de l’enlèvement du péché et de la nourriture de la vie spirituelle, mais de la nature de l’affaire ne pouvaient avoir cette signification pour le Christ, qui n’avait aucun péché et ne doit aucun spiri Tual nourriture. L’objection peut être satisfaite, au moins dans une certaine mesure, en appelant l’attention sur le fait que Christ est apparu sur terre dans une capacité publique et officielle. Bien qu’il n’avait aucun péché personnel et aucun sacrement pourrait donc signifier et sceller lui son retrait, mais il a été fait péché pour son peuple, II Corinthiens 05:21, par être accablés avec leur culpabilité; et par conséquent les sacrements pourraient signifier la suppression de ce fardeau, selon la promesse du père, après avoir terminé son œuvre expiatoire. Encore une fois, bien que nous ne pouvons parler de Christ comme exercice de sauver la foi dans le sens où c’est requis de nous, pourtant, comme le Médiateur qu’il devait exercer la foi en un sens plus large, en acceptant les promesses du père believingly et en faisant confiance au père pour leur accomplissement. Et les sacrements pourraient servir de signes et joints à renforcer cette foi dans la mesure où sa nature humaine était concernés.

D. EXIGENCES ET PROMESSES DANS L'ALLIANCE DE LA RÉDEMPTION.

1. EXIGENCES. Le père requis du fils, qui est apparu dans cette alliance comme la caution et la tête de son peuple et comme le dernier Adam, qu’il devrait faire modifie pour le péché d’Adam et de ceux dont le père lui avaient donné et devraient faire ce que Adam n’a pas fait en gardant la Loi et assurer ainsi la vie éternelle pour tous ses descendants spirituels. Cette obligation figure les indications suivantes:

a. qu’il doit assumer la nature humaine en étant né d’une femme et donc entrer en relations temporelles; et qu’il devrait assumer cette nature avec ses infirmités présentes, bien que sans péché, Galates 4:4, 5; Héb. 02:10, 11, 14, 15; 4:15. il était absolument indispensable qu’il devrait devenir l’un de la race humaine.

b. que lui, qui comme le fils de Dieu était supérieur à la Loi, devrait se placer sous la Loi; qu’il doit entrer, non seulement dans le naturel, mais aussi dans la relation fédérale et pénale à la Loi, afin de payer la peine pour le péché et à la vie éternelle du mérite pour les élus, PS. 40:8; Matthieu 05:17, 18; John 08:28, 29; Galates 4:4, 5; Philippiens 2:6-8.

c. qu’il, après avoir mérité pardon des péchés et la vie éternelle pour le sien, devrait s’appliquer à eux les fruits de ses mérites: réhabilitation complète et le renouvellement de leur vie par le biais de l’opération puissante de l’Esprit Saint. En faisant cela il rendrait tout à fait certain que les croyants seraient consacrent leur vie à Dieu, John 10:16; John 16:14, 15; 17:12, 19-22; Hébreux 2: 10-13; 07:25.

2. PROMESSES. Les promesses du père étaient conforme à ses exigences. Il a promis le fils tout ce qui était nécessaire à l’accomplissement de sa tâche grande et complète, ce qui exclut toute incertitude dans le fonctionnement de cette Alliance. Ces promesses comprennent les suivants:

a. qu’il préparerait le fils un corps, qui serait un tabernacle fit pour lui; un corps en partie préparé par l’Agence immédiate de Dieu et non contaminé par le péché, Luc 01:35; Héb. 10:5.

b. qu’il serait lui conférer avec les dons nécessaires et les grâces pour l’accomplissement de sa mission et en particulier oignent lui pour les offices messianiques en lui donnant l’esprit sans mesure, une promesse qui a été accomplie en particulier au moment de son baptême , Ésaïe 42: 1, 2; 61: 1; John 03:31.

c. qu’il appuierait dans l’exercice de son travail, lui livrerait de la puissance de la mort et ainsi lui permettrait de détruire la domination de Satan et d’établir le Royaume de Dieu, Ésaïe 42: 1-7; 49:8; Psaume 16:8-11; Actes à 02:25-28.

d. qu’il permettrait à lui, comme une récompense pour son travail accompli, d’envoyer l’Esprit Saint pour la formation de son corps spirituel et pour l’instruction, la direction et la protection de l’église, Jean 14:26; 15:26; 16:13, 14; Actes à 02:33.

e. qu’il donnerait à lui une graine de nombreux en récompense de son travail accompli, une graine si nombreux qu’il serait une foule que personne ne pouvait dénombrer, de sorte que finalement le Royaume du Messie serait embrasser les gens de toutes les nations et les langues , PS. 22:27; 72:17.

f. qu’il s’engagerait à lui tout pouvoir au ciel et sur terre pour le gouvernement du monde et de son église, Matthieu 28: 18; EP 01:20-22; Philippiens 2:9-11; Hébreux 2:5-9; et enfin récompenserait lui comme médiateur auprès de la gloire que lui comme le fils de Dieu avait avec le père avant que le monde fût, Jean 17:5.

E. LA RELATION DE CETTE ALLIANCE À L’ALLIANCE DE GRÂCE.

Les points suivants indiquent la relation dans laquelle cette Alliance se trouve à l’Alliance de grâce:

1. l’avocat de la rédemption est le prototype éternel de l’Alliance historique de grâce. Ceci explique le fait que beaucoup combiner les deux dans une alliance unique. Le premier est éternel, c'est-à-dire, de l’éternité, le second, temporelle dans le sens qu’il est réalisé dans le temps. Le premier est un pacte entre le père et le fils comme la caution et la tête des élus, tandis que le second est un pacte entre le Dieu trinitaire et le pécheur élu dans la caution.

2. l’avocat de la rédemption est le fondement solide et éternel de l’Alliance de grâce. S’il n’y avait eu aucun avocat éternelle de la paix entre le père et le fils, il n’aurait pu être aucun accord entre le Dieu triune et des hommes pécheurs. L’avocat de la rédemption, l’Alliance de grâce est possible.

3. l’avocat de la rédemption par conséquent donne également l’efficacité de l’Alliance de grâce, pour en elle que les moyens sont fournis pour la création et l’exécution de ce dernier. C’est seulement par la foi que le pécheur peut obtenir les bénédictions de l’Alliance, et l’avocat de la rédemption s’ouvre à la voie de la foi. L’Esprit Saint, qui produit la foi dans le pécheur, a promis à Christ par le père, et l’acceptation de la façon de vivre par la foi a été garantie par le Christ.

l'Alliance de rachat peut être défini comme l’accord entre le père, ce qui donne le fils comme tête et Rédempteur des élus, et le fils, volontairement prenant la place de ceux que le père lui avait donné.

 

III. Nature de l’Alliance de grâce

Dans une discussion de la nature de l’Alliance de grâce plusieurs points viennent aux fins d’examen, tels que la distinction entre elle et l'Alliance de travaux, les parties contractantes, le contenu, les caractéristiques de l'Alliance et la place du Christ dans l'Alliance.

A. COMPARAISON DE L’ALLIANCE DE LA GRÂCE ET L’ALLIANCE DES ŒUVRES.

1. POINTS DE SIMILITUDE. Les points d’accord sont de nature assez générale. Les deux pactes d’accord en ce qui concerne (a) l’auteur: Dieu est l’auteur des deux; Il a seulement pu établir ces pactes; b les parties contractantes, qui sont dans les cas Dieu et homme; (c) la forme externe, à savoir, la condition et la promesse; (d) le contenu de la promesse qui est dans les deux cas la vie éternelle; et (e) l’objectif général, qui est la gloire de Dieu.

2. POINTS DE DIFFÉRENCE. b dans l’Alliance des œuvres, Dieu apparaît comme créateur et Seigneur; dans l’Alliance de grâce, comme Rédempteur et père. La mise en place de l’ancien a été motivée par l’amour de Dieu et la bienveillance; celle de ce dernier, par sa miséricorde et la grâce spéciale. (b) dans l’Alliance des œuvres homme apparaît simplement comme créature de Dieu, à juste titre associé à son Dieu; dans l’Alliance de grâce, il apparaît comme un pécheur qui a perverti ses voies et ne peut apparaître comme un parti dans le Christ, la caution. Par conséquent, il n’y a aucun médiateur dans le premier cas, alors qu’il y a dans ce dernier. (c) l’Alliance des œuvres dépendait de l’obéissance incertaine d’un homme changeant, tandis que l’Alliance de grâce repose sur l’obéissance de Christ en tant que médiateur, qui est absolu et certain. (d) dans l’Alliance des œuvres l’observance de la Loi est le mode de vie; dans l’Alliance de grâce, c’est la foi en Jésus Christ. Quelle que soit la foi s’imposait dans l’Alliance des œuvres faisait partie de la justice de la Loi; dans l’Alliance de grâce, cependant, c’est simplement l’organe par lequel nous prenons possession de la grâce de Dieu en Jésus Christ. (e) l’Alliance des œuvres a été en partie connu par nature, puisque la Loi de Dieu a été écrite dans le cœur de l’homme; mais l’Alliance de grâce est connu exclusivement par une révélation spéciale de positive.

B. LES PARTIES CONTRACTANTES.

Tout comme l’Alliance des œuvres, donc dans l’Alliance de grâce, Dieu est le premier des parties contractantes, la partie qui prend l’initiative et gracieusement détermine la relation dans laquelle la deuxième partie se tiendra à lui. Il apparaît dans cette Alliance, cependant, non seulement comme un souverain et un Dieu bienveillant, mais aussi et surtout, comme un père bienveillant et indulgent, prêt à pardonner le péché et à restaurer les pécheurs pour sa communion bénie.

Il n’est pas facile de déterminer avec précision qui est la deuxième partie. En général on peut dire que Dieu a établi naturellement l’Alliance de grâce avec l’homme déchu. Historiquement, il n’y a pas d’indication précise de toute limitation jusqu'à ce que nous arrivons à l’époque d’Abraham. En cours de temps qu'il est devenu parfaitement évident, cependant, que cette nouvelle relation de l’Alliance n’était pas censé inclure tous les hommes. Quand Dieu a officiellement créé l’Alliance avec Abraham, il a limité au patriarche et sa postérité. Par conséquent, la question se pose de savoir les limites exactes de l'Alliance.

Les théologiens réformés ne sont pas unanimes pour répondre à cette question. Certains disent simplement que Dieu a fait l’Alliance avec le pécheur, mais cela ne suggère aucune limite que ce soit et ne satisfait donc pas. D’autres affirment qu’il il prit avec Abraham et sa postérité, c'est-à-dire, son naturel, mais surtout son spirituel, descendants; ou, mettre dans une forme plus générale, avec les croyants et leur postérité. La grande majorité d'entre eux, toutefois, soutiennent qu’il est entré dans la relation de l’Alliance avec les élus ou l’élus pécheur dans le Christ. Cette position a été adoptée par plus tôt ainsi que par des représentants plus tard de la théologie fédérale. Même Bullinger dit le « Pacte de Dieu comprend la toute semence d’Abraham, c'est-à-dire les croyants. » Il trouve cela d’être en harmonie avec l’interprétation de Paul de « la graine » dans Galates 3. Dans le même temps, il détient également que les enfants des croyants sont dans un certain sens, inclus dans l'Alliance. [Cf. les citations dans A. J. Van ' t Hooft, De Theologie van Heinrich Bullinger, p. 47, 172.] Et Olevian, co-auteur avec Ursinus Catéchisme de Heidelberg, dit que Dieu a créé l’Alliance avec « tous ceux que Dieu, hors de la masse des hommes perdus, a décidé d’adopter comme des enfants par la grâce et de les doter de foi. » [Van het Wezen des Genade-Verbondts Tusschen Dieu ende de Uitverkorene, l’Afd. I, par. 1.] C’est également la position du faire, Turretin, Owen, Gib, Boston, Witsius, Marck, Francken, Brakel, Comrie, Kuyper, Bavinck, Hodge, Vos et à d’autres.

Mais maintenant, la question se pose, ce qui induit ces théologiens de parler de l'Alliance car préparée avec les élus, malgré toutes les difficultés pratiques impliquées ? Ils n’étaient pas au courant de ces difficultés ? Il ressort de leurs écrits qu’ils étaient pleinement conscients d’eux. Mais ils ont estimé qu’il était nécessaire d’envisager l'Alliance d’abord dans son sens le plus profond, car il est réalisé dans la vie des croyants. Alors qu’ils ont compris que d’autres avaient une place dans l’Alliance dans un certain sens du mot, ils ont néanmoins estiment que c’était une place subordonnée, et que leur relation avec elle a été calculée pour être soumise à la pleine réalisation de celui-ci dans une vie d’amitié avec Dieu. Et ce n’est pas étonnant compte tenu des considérations suivantes:

1. ils ont identifié l'Alliance de rachat et l’Alliance de grâce, qui a estimé qu’il est non scripturaire pour distinguer les deux, naturellement pensaient à elle avant tout comme un Pacte établi avec le Christ comme le représentant en chef de tous ceux que le père avait compte tenu de lui; une Alliance dans laquelle il est devenu la caution des élus et ainsi garanti leur rédemption complète. En effet, dans l'Alliance de rachat seulement les élus entrent en considération. La situation est pratiquement la même dans le cas de ceux qui distinguent les deux pactes, mais insister sur leur relation étroite et représentent l’Alliance de la rédemption comme fondement éternel de l’Alliance de grâce, pour dans le premier seulement la grâce de Dieu, car il est glorifié et perfectionnée dans les élus, vient en considération.

2. même dans l’histoire de la création de l’Alliance avec Abraham, interprété à la lumière du reste de l’écriture, réformé les théologiens trouvés des preuves abondantes que, fondamentalement, l’Alliance de grâce est un Pacte établi avec ceux qui sont dans le Christ. La Bible permet de distinguer une double de semence d’Abraham. Le début de la présente se trouve nettement à 21:12, où nous trouvons Dieu dit à Abraham: « à Isaac sera ta postérité appelée », excluant donc Ismaël. Paul, pour interpréter ces mots parle d’Isaac en tant qu’enfant de la promesse, et par « un enfant de la promesse » il ne veut pas simplement dire un enfant promis, mais un enfant qui n’est pas né de la manière ordinaire, mais, en vertu de la promesse, par une opération surnaturelle de Dieu. Il connecte également avec elle l’idée d’un enfant à qui appartient la promesse. Selon lui, l’expression, « à Isaac ta postérité appellera, » indique que « il n’est pas les enfants de la chair qui sont enfants de Dieu; « mais les enfants de la promesse sont reconnus pour une graine ». Romains 9:8. La même idée est exprimée en gal 04:28, « maintenant, nous, frères, comme Isaac, sont des enfants de la promesse, » et, par conséquent aussi les héritiers des bénédictions promises, cf. vs 30. C’est tout à fait en harmonie avec ce que l’Apôtre dit dans Galates 03:16: « maintenant à Abraham étaient les promesses orales et à sa postérité. Il a dit non et aux semences, à partir de plusieurs; mais à partir de l’un et à ta postérité, qui est le Christ. » La graine n’est pas limitée au Christ, mais comprend tous les croyants. « Et si vous êtes de Christ, alors vous êtes la postérité d’Abraham, héritiers selon la promesse. » GAL 03:29. W. Strong dans son discours des deux pactes attire l’attention sur la subordination suivante dans la mise en place de l'Alliance. Il dit qu’il a été fait » (1) premier et immédiatement avec le Christ le second Adam: (2) en lui avec tous les fidèles: (3) en eux avec leurs semences. » [p. 193.]

3. encore un autre facteur devrait prendre en considération. Les théologiens réformés ont été profondément conscients du contraste entre l’Alliance des œuvres et l’Alliance de grâce. Ils estimaient que dans l’ancien la récompense de l'Alliance dépendait de l’obéissance incertaine de l’homme et par conséquent n’a pas à se matérialiser, tandis que dans l’Alliance de grâce, la pleine réalisation des promesses est absolument certain qu’en vertu de l’obéissance parfaite de Jésus Christ. Sa réalisation est sûre grâce à l’opération de la grâce de Dieu, mais, bien sûr, bien sûr que pour ceux qui participent à cette grâce. Ils se sentaient contraints d’insister sur cet aspect de l'Alliance, en particulier vis-à-vis des arminiens et Neonomians, qui a pratiquement changé dans la nouvelle Alliance des œuvres et dépende Salut une fois de plus le travail de l’homme, c'est-à-dire, sur la foi et évangélique obéissance. Pour cette raison, ils ont souligné le lien étroit entre l'Alliance de rachat et l’Alliance de grâce et même hésitent à parler de la foi comme la condition de l’Alliance de grâce. Walker nous dit que certains les théologiens écossais se sont opposés à la distinction des deux pactes, parce qu’ils ont vu en elle une « tendance... à Neonomianism, ou, comme l'Alliance de réconciliation (c.-à-d., l’Alliance de grâce comme distingué de celui de la rédemption) était externe dans l’église visible, même une sorte de bar à traiter immédiatement avec le Sauveur et l’entrée par une foi s’approprier dans l’union de vie avec lui. » [Théologiens et théologie écossaise, f. p. 77]

4. dans l’ensemble, il semble prudent de dire que théologie réformée prévoyait l'Alliance, ne sont pas directement comme moyen tutélaires à sa fin, mais comme une fin en soi, une relation d’amitié; pas d’abord comme représentant et dont un certain nombre de privilèges externes, un ensemble de promesses, conditionnellement tendis à l’homme, un bon simplement offert à lui; mais surtout comme l’expression de la bénédiction donnée gratuitement, de privilèges, améliorées par la grâce de Dieu à des fins spirituelles, des promesses acceptées par une foi qui est le don de Dieu et d’un produit réalisé, au moins en principe, par le biais de l’opération du Saint-Esprit dans la coeur. Et parce que dans son estimation tous cela figurait dans l’idée de Pacte, et les bénédictions de l’Alliance sont réalisées uniquement dans ceux qui sont en fait sauvé, il a insisté sur le fait que l’Alliance de grâce a été établie entre Dieu et les élus. Mais en faisant cela qu'il n’a pas voulu nier également que l'Alliance a un aspect plus large.

Dr David dit en ce qui concerne ce point de vue: « faut-il se souvenir, comment avec tout cela, que l'Alliance n’est aucunement prévu opération des élections s’éteint, ni que tous les non éluent en dehors de toute relation à cette Pacte-contrôle. C’est un peu zoo signifiait, qui renforce la certitude hors de la conscience-Pacte s’agissant des élections devrait se développer; que dans l’ensemble de l'Alliance-contrôle, également dans l’absolu, complet promet de Dieu, tels qu’ils résultent du résultat des élections doit être surveillé, aussi bien dans la parole et les sacrements; qui a finalement obtenu l’essence de l'Alliance, sa pleine realiseering seulement dans les vrais enfants de Dieu se trouve et pas plus large que l’élection. En particulier sur le second point doit être assurée. Sauf qu’il y en a partout, où l’Alliance de Dieu, un sceau de ce contenu: dans l’hypothèse de la présence de la foi, vous êtes assuré le droit de tous les produits Alliance — sauf que, nous le disons, il y a toujours une déclaration solennelle et verzegeling, dat Dieu en alle uitverkorenen den geheelen omvang des verbonds seront verwerkelijken. » [Autrement dit, « on besoin difficilement dire qu’avec tout cela il ne vise pas que l’administration de l'Alliance provenance de l’élection, ni que tous ceux qui ne sont pas élus se tenir en dehors de toute relation avec cette administration de l'Alliance. Il est prévu beaucoup plus ainsi, que hors de la conscience de l'Alliance renforcé la certitude concernant l’élection doit se développer; que grâce à l’application entière de l'Alliance, l’absolu, tout complet promet également de Dieu, qu’ils délivrent de l’élection, doit garder à l’esprit en relation avec les parole et les sacrements; que, enfin, l’essence de l'Alliance, sa pleine réalisation, se trouve uniquement dans les vrais enfants de Dieu et n’est donc pas plus étendue que l’élection. Il convient particulièrement au deuxième point. Outre que partout, où l’Alliance de Dieu est administré, il y a un sceau ayant ce contenu: dans l’hypothèse de la présence de la foi, vous êtes assuré du droit à toutes les bénédictions de l'Alliance, — sans compter que, disons, il y a toujours un témoignage solennel et sceller, que Dieu réalisera tout le contenu de l'Alliance dans les élus. » De Verbondsleer en de Gereformeerde Theologie, f. p. 46]

L’idée que l’Alliance est pleinement réalisée que dans les élus est un parfaitement scripturaire idée, tel qu’il appert, par exemple, Jérémie 31: 31-34; Hébreux 8:8-12. En outre, il est également inscrit dans la relation dans laquelle l’Alliance de grâce se trouve au Pacte de la rédemption. Si dans le second Christ devient caution seulement pour les élus, alors la substance réelle de l’ancienne doit être limitée à eux aussi. L’écriture insiste fortement sur le fait que l’Alliance de grâce, à la différence de l’Alliance des œuvres, est une Alliance inviolable, dans lequel les promesses de Dieu sont toujours réalisées, Ésaïe 54:10. Cela ne peut pas être prévu sous certaines conditions, car alors il ne serait aucune caractéristique particulière de l’Alliance de grâce, mais s’appliqueraient à l’Alliance des œuvres aussi bien. Et pourtant, c’est exactement un des points importants dans lequel l’ancien diffère de ce dernier, qu’il n’est pas plus dépendant sur l’obéissance incertaine de l’homme, mais seulement sur la fidélité absolue de Dieu. L’Alliance promet certainement se réaliseront, mais — que dans la vie des élus.

Mais maintenant la question se pose, que ce soit dans l’estimation de ces théologiens réformés que tous les non-élus sont à l’extérieur de l’Alliance de la grâce dans tous les sens du terme. Brakel pratiquement prend cette position, mais il n’est pas conforme à la majorité. Très bien, ils ont réalisé qu’une Alliance de grâce, qui, en aucun sens du mot, autres que les élus inclus, serait purement individuelle, tandis que l’Alliance de grâce est représentée dans l’écriture comme une idée organique. Ils étaient pleinement conscients du fait que, selon la révélation spéciale de Dieu dans l’ancien et le Nouveau Testament, l’Alliance comme un phénomène historique se perpétue dans les générations successives et comprend de nombreuses chez qui la vie de l'Alliance est jamais réalisée. Et chaque fois qu’ils désiraient inclure cet aspect de l'Alliance dans leur définition, ils disent que c’est établie avec les croyants et leur postérité. Il faut avoir à l’esprit, cependant, que cette description de la deuxième partie dans l'Alliance n’implique pas que l’Alliance est établie avec les hommes dans la qualité des croyants, pour la foi elle-même est un fruit de l’Alliance. Dr. Bavinck correctement dit: « Maar het verbond der genade gaat aan het geloof vooraf. Het geloof est geen voorwaarde tot het verbond, maar in het verbond; de weg, om al de andere goederen van dat verbond deelachtig te worden en te genieten. » [Autrement dit, « mais l’Alliance de grâce précède la foi. La foi n’est pas une condition au Pacte, mais dans l'Alliance; la façon d’obtenir la possession d’et pour profiter de toutes les autres bénédictions de l'Alliance ». Roeping fr Wedergeboorte, p. 108.] La description « croyants et leurs semences » sert simplement une appellation commode pratique des limites de l'Alliance. La question de l’harmonisation de ces deux aspects de l'Alliance viendra plus tard. L’Alliance de grâce peut être défini comme cet accord gracieux entre le Dieu offensé et la délinquance mais élire pécheur dans lequel Dieu promet le salut par la foi en Christ, le pécheur accepte cette believingly, et promettant une vie de foi et d’obéissance.

C. LE CONTENU DE L’ALLIANCE DE GRÂCE.

1. LES PROMESSES DE DIEU. La principale promesse de Dieu, qui comprend toutes les autres promesses, est contenue dans les mots maintes fois répétée, « Je serai un Dieu à toi et à ta postérité après toi. » Genèse 17:7. Cette promesse se trouve dans l’ancien et du Nouveau Testament plusieurs passages qui parlent de l’introduction d’une nouvelle phase de la vie de l’Alliance, ou se référer à un renouvellement de l'Alliance, Jérémie 31: 33; 32:38-40; Ézéchiel 34: 23-25,30,31; 36, 25-28; 37:26, 27; II Corinthiens 06:16-18; Héb. 08:10. La promesse se réalise pleinement quand enfin la nouvelle Jérusalem descend du ciel de Dieu, et le tabernacle de Dieu est placé chez les hommes. Par conséquent, nous entendons le dernier écho de celui-ci dans Apocalypse 21:3. Cette promesse de grande est temps re-écho et à nouveau dans l’exaltation jubilatoire de ceux qui se tiennent dans la relation de l’Alliance de Dieu, « Jéhovah est mon Dieu. » Cette un promesse vraiment comprend toutes les autres promesses, tel que (a) la promesse des bénédictions temporelles différentes, qui servent souvent à symboliser à ceux d’une nature spirituelle; (b) la promesse de la justification, notamment l’adoption d’enfants et une revendication à la vie éternelle; (c) la promesse de l’esprit de Dieu, pour l’application, pleine et libre, de le œuvre de rédemption et de toutes les bénédictions du Salut; et (d) la promesse de glorification finale dans une vie qui ne finit jamais. Cf. Job 19:25-27; PS. 16:11; 73:24-26; Ésaïe 43: 25; Jérémie 31: 33, 34; Ézéchiel 36:27; Daniel 12:2, 3; Galates 4:5, 6; Tite 3:7; Hébreux 11:7; Jac. 2:5.

2. LA RÉPONSE DE L’HOMME. La sanction ou la réponse de l’homme à ces promesses de Dieu apparaît naturellement sous diverses formes, la nature de la réponse étant déterminée par les promesses. (a) en général la relation entre l’Alliance de Dieu et le croyant seul ou croyants collectivement est représentée comme l’étroite relation entre homme et femme, époux et épouse, un père et ses enfants. Cela implique que la réponse de ceux qui partagent les bénédictions de l’Alliance sera l’un de l’amour vrai, fidèle, confiante, consacrée et dédiée. (b) la promesse générale, « Je serai ton Dieu, » l’homme répond en disant, « J’ai appartiendront à ton peuple » et en jetant son sort avec le peuple de Dieu. (c) et à la promesse de justification pour le pardon des péchés, l’adoption d’enfants et la vie éternelle, il répond en enregistrant la foi en Jésus-Christ et par confiance en lui pour le temps et l’éternité, une vie d’obéissance et de consécration à Dieu.

D. LES CARACTÉRISTIQUES DE L’ALLIANCE DE GRÂCE.

1. C’EST UNE ALLIANCE GRACIEUSE. Cette Alliance peut être appelée un Pacte gracieux, (a) parce qu’en elle, Dieu permet une caution remplir nos obligations; (b) parce qu’il a lui-même fournit la caution en la personne de son fils, qui satisfait aux exigences de la justice; et (c) parce que par sa grâce, a révélé à l’opération du Saint-Esprit, il permet à l’homme à la hauteur de ses responsabilités de l’Alliance. l'Alliance est originaire de la grâce de Dieu, est exécuté en vertu de la grâce de Dieu et se réalise dans la vie des pécheurs par la grâce de Dieu. C’est la grâce du début à la fin pour le pécheur.

2. C’EST UNE ALLIANCE TRINITAIRE. Le Dieu triune est opérationnel dans l’Alliance de grâce. Il a son origine dans l’amour électif et la grâce du père, trouve son fondement judiciaire dans le cautionnement du fils et est entièrement réalisé dans la vie des pécheurs que par l’application efficace de l’Esprit Saint, John 01:16; Éphésiens 1:1-14; 2:8; I Pierre 1:2.

3. C’EST UNE ALLIANCE ÉTERNELLE ET DONC INCASSABLE. Quand on parle de lui comme une alliance éternelle, nous avons la référence à un avenir plutôt qu’à une éternité passée, 17:19; II Samuel 23:5; Hébreux 13:20. Depuis l’éternité peut être attribuée à lui seulement, si nous ne distinguent pas entre elle et l'Alliance de rachat. Le fait que l’Alliance est éternelle implique également qu’il est inviolable; et c’est une des raisons pourquoi il peut être appelé un testament, les Hébreux 09:17. Dieu demeure éternellement fidèle à son alliance et il amènera invariablement à la pleine réalisation dans les élus. Cela ne signifie pas, toutefois, que l’homme ne peut pas et ne se brisera la relation de l’Alliance dans laquelle il se trouve.

4. IL EST UN PARTICULIER ET PAS UNE ALLIANCE UNIVERSELLE. Cela signifie (a) qu’il ne sera pas réalisé dans tous les hommes, comme certains prétendent universalistes, et aussi que Dieu n’a pas voulu qu’il devrait être réalisé dans la vie de tous, comme les pélagiens, arminiens et luthériens enseigner; (b) que, même comme une relation d’Alliance externe il ne s’étend pas à tous ceux à qui l’Évangile est prêché, car beaucoup d'entre eux ne sont pas prêts à être incorporés dans l'Alliance; et (c) que l’offre de l'Alliance ne vient pas à tous, car il y a eu beaucoup d’individus et même des nations qui n’ont jamais faites connaissant avec le chemin du Salut. Certains des anciens luthériens affirment que l'Alliance peut être appelé universel, parce qu’il y a eu des périodes dans l’histoire où il a été offert à l’humanité dans son ensemble, comme par exemple, en Adam, de Noé et sa famille et même à l’époque des apôtres. Mais il n’y a aucun motif pour faire Adam et Noé représentant les bénéficiaires de l’offre de l'Alliance; et les apôtres ne certainement pas évangéliser le monde entier. Certains théologiens réformés, Musculus, Polanus et Wollebius et d’autres, a parlé d’un foedus generale, à la différence de la foedus speciale ac sempiternum, mais en faisant cela dans qu'ils avaient l’esprit de l'Alliance général de Dieu avec toutes les créatures , hommes et bêtes, créés par Noé. La dispensation de Nouveau Testament de l'Alliance peut être appelée universelle en ce sens que, dedans, l'Alliance est étendu à toutes les nations et est non plus limité aux Juifs, comme il était dans l’ancienne dispensation.

5. C’EST ESSENTIELLEMENT LA MÊME DANS TOUTES LES DISPENSATIONS, SI LES MODIFICATIONS DE SA FORME D’ADMINISTRATION. Ceci est contredit par tous ceux qui prétendent que les saints de l’ancien Testament ont été sauvés d’une autre manière que les croyants de Nouveau Testament, comme par exemple, pélagiens et Sociniens, qui détiennent que Dieu a donné une aide supplémentaire dans l’exemple et les enseignements du Christ; les catholiques romains, qui affirment que les saints de l’ancien Testament étaient dans le Limbus Patrum jusqu'à la descente du Christ aux enfers; les adeptes de Coccejus, qui affirment que les croyants de l’ancien Testament apprécié seulement une parésie (un passant au-dessus) et aucun APHEIS (plein pardon des péchés); et aujourd'hui dispensationalistes, qui distinguent plusieurs alliances différentes (Scofield mentionne 7; Milligan, 9) et insistent sur la nécessité de les garder distincts. L’unité de l’Alliance dans toutes les dispenses est prouvée par le texte suivant:

a. l’expression analytique de l'Alliance est le même partout, aussi bien dans l’ancien et du Nouveau Testament: « Je serai ton Dieu. » C’est l’expression du contenu essentiel de l’Alliance avec Abraham, Genèse 17:7, de l’Alliance du Sinaï, Ex. 19:5; 20:1, de l’Alliance de la plaines de Moab, Deut. 29: 13, de l’Alliance davidique, II sam 07:14 et de la nouvelle Alliance, Jérémie 31: 33; Héb. 08:10. Cette promesse est vraiment un résumé tout complet et contient une garantie des bénédictions de l’alliance parfaite le plus. Christ se déduit du fait que Dieu est appelé le Dieu d’Abraham, Isaac et Jacob, que les patriarches sont en possession de la vie éternelle, Matthieu 22:32.

b. la Bible enseigne qu’il y a qu’un seul évangile par que les hommes peuvent être sauvés. Et parce que l’Évangile n’est rien d’autre que la révélation de l’Alliance de grâce, il s’ensuit qu’il y a aussi mais un Pacte. Cet évangile a été déjà entendu dans la promesse de maternelle, 03:15, a été prêché à Abraham, Galates 3:8 et ne peut-être pas être supplanté par un Évangile Judaistic, Galates 1:8, 9.

c. Paul soutient longuement vis-à-vis du judaïsme que la façon dont Abraham obtenu Salut est typique pour les croyants du Nouveau Testament, peu importe qu’ils soient juifs ou gentils, Romains 4:9-25; Galates 3:7-9,17, 18. Il parle d’Abraham comme le père des croyants et prouve clairement que l’Alliance avec Abraham est toujours en vigueur. Il est parfaitement clair à partir de l’argument de l’Apôtre dans Romains 4 et Galates 3 que la loi n’a pas annulée ni modifiée de l'Alliance. Cf. aussi Hébreux 06:13-18.

d. le médiateur de l’Alliance est le même hier, aujourd'hui et éternellement, Hébreux 13:8. Y a-t-il dans nul autre Salut, John 14:6; ni est il un autre nom sous le ciel, qui est donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés, actes 04:12. La graine a promis à Abraham est Christ, gal 03:16, et celles qui sont identifiées avec le Christ sont les vrais héritiers de l'Alliance, Galates 03:16-29.

e. le chemin du Salut révélé dans l'Alliance est le même. L’écriture insiste sur des conditions identiques tout le long, Genèse 15:6, par rapport aux Romains 04:11; Hébreux 2:4; Actes 15:11; Galates 3:6, 7; Hébreux 11:9. Les promesses, pour la réalisation dont les croyants espéraient, étaient également les mêmes, Genèse 15:6; PS. 51:12; Matthieu 13:17; John 08:56. Et les sacrements, mais différant en forme ont essentiellement la même signification dans les deux dispenses, Rom. 04:11; J’ai Cor. 5:7; 02:11, 12.

f. il est conditionnelle et inconditionnelle. La question est posée à plusieurs reprises, si l'Alliance est conditionnelle ou inconditionnelle. Il s’agit d’une question qui ne peut être tranchée sans discrimination prudente, car la réponse sera fonction de point de vue d'où l'Alliance est considéré.

D’une part, l'Alliance est inconditionnel. Il n’y a aucune condition qui peut être considérée comme méritoiredans l’Alliance de grâce. Le pécheur est exhorté à se repentir et de croire, mais sa foi et le repentir ne méritent pas en quelque sorte les bénédictions de l’Alliance. Cela doit être maintenue en opposition à la fois catholique et la position arminienne. Il n’est pas conditionnelle en ce sens que l’homme est censé effectuer dans sa propre force, ce que l'Alliance exige de lui. En ce qui le place devant les exigences de l'Alliance, nous devons toujours lui rappeler le fait qu’il peut obtenir la force nécessaire à l’accomplissement de son devoir que de Dieu. Dans un sens, on peut affirmer que Dieu lui-même remplit la condition dans les élus. Ce qui peut être considéré comme une condition de l'Alliance, est pour ceux qui sont choisis pour la vie éternelle aussi une promesse et donc un don de Dieu. Enfin, l’Alliance n’est pas conditionnelle en ce sens que la réception de toutes les bénédictions distinctes de l'Alliance dépend d’une condition. Nous pouvons dire que la foi est la condition sine qua non de la justification, mais la réception de la foi elle-même dans la régénération n’est pas dépendante de toute condition, mais seulement sur l’opération de la grâce de Dieu en Christ.

D’autre part l'Alliance peut être appelé conditionnel. Il y a un sens dans lequel l'Alliance est conditionnels. Si l'on considère la base de l’Alliance, il est clairement conditionnelle sur le cautionnement de Jésus Christ. Afin d’introduire l’Alliance de grâce, le Christ devait et effectivement, remplissait les conditions prévues à l’origine dans l’Alliance des œuvres, par son obéissance active et passive. Encore une fois, on peut affirmer que l'Alliance est conditionnel jusqu'à la première entrée consciente dans l’Alliance comme une véritable communion de vie est concernée. Cette entrée est subordonnée à la foi, une foi, cependant, qui est elle-même un don de Dieu. Quand nous parlons de la foi comme condition ici, nous nous référons naturellement à la foi comme une activité spirituelle de l’esprit. C’est seulement par la foi que nous pouvons obtenir une jouissance consciente des bienfaits de l'Alliance. Notre connaissance expérimentale de la vie de Pacte dépend entièrement de l’exercice de la foi. Celui qui ne vit pas une vie de foi est, autant que sa conscience est préoccupée, pratiquement en dehors de l’Alliance. Si dans notre domaine de compétence, nous comprennent non seulement le début, mais aussi le déroulement progressif et fin de l’Alliance de vie, nous pouvons considérer sanctification comme condition en plus de la foi. Les deux sont des conditions, toutefois, au sein de l’Alliance.

Églises réformées ont souvent s’est opposée à l’utilisation du mot « condition » dans le cadre de l’Alliance de la grâce. C’était en grande partie due à une réaction contre l’arminianisme, qui employait le mot « condition » dans un sens non scripturaire, et donc à un échec de discriminer correctement. [Cf. Dick, Théol. LECT XLVIII.] compte tenu de ce qui a été dit dans ce qui précède, il semble être tout à fait approprié de parler d’une maladie dans le cadre de l’Alliance de la grâce, pour (1) la Bible indique clairement que l’entrée dans la vie de Pacte est conditionnée à la foi , John 03:16, 36; Actes à 08:37 (ne pas trouvé dans quelques MSS.); Romains 10:9; (2) Ecriture menace souvent des enfants de l’Alliance, mais ces menaces s’applique exactement à ceux qui ignorent la condition, c'est-à-dire qui refusent de marcher dans la voie de l'Alliance; et (3) s’il n’y a aucune condition, Dieu seulement serait lié par l'Alliance, et il n’y aurait pas de « lien de l'Alliance » pour homme (mais cf. Ézéchiel 20:37); et donc l’Alliance de grâce perdrait son caractère comme une Alliance, car il y a deux parties dans tous les pactes.

g. l'Alliance peut en quelque sorte être appelé un testament. Compte tenu du fait qu’un testament est une déclaration absolue et ne connaît aucune condition, s’est demandé si c’est bon à tous d’appliquer le terme « testament » au Pacte. Il y a mais un passage dans le Nouveau Testament où il semble être justifiables pour rendre le mot diatheke par « testament, » à savoir, les Hébreux, 09:16, 17. Il Christ est représenté par le testateur, l’Alliance de grâce, considérée comme un testament, dont la mort devient efficace. Il y avait une disposition testamentaire des bénédictions de l'Alliance, et il est entré en vigueur par le biais de la mort du Christ. C’est le seul passage dans lequel l'Alliance est explicitement appelé un testament. Mais l’idée que les croyants reçoivent les bénédictions spirituelles de l’Alliance d’une manière testamentaire est implicite dans plusieurs passages de l’écriture, bien que la représentation implicite est légèrement différente de celle des Hébreux 09:16, 17. C’est Dieu plutôt que Christ qui est le testateur. Dans l’ancien et le Nouveau Testament, mais surtout dans le second, les croyants sont représentés en tant qu’enfants de Dieu, légalement par adoption et éthiquement par la nouvelle naissance, John 01:12; ROM. 08:15, 16; Galates 4:4-6; J’ai John 3:1-3, 9. Maintenant, les idées de l’héritage et héritage sont naturellement associées à celui de la filiation, et par conséquent il n’est pas étonnant qu’on les retrouve fréquemment dans l’écriture. Paul dit: « et si enfants, puis les héritiers, » Rom. 08:17; Voir aussi romains 04:14; GAL 03:29; 4:1, 7; Tite 3:7; Héb. 06:17; 11:7; Jac. 2:5. Compte tenu de ces passages il est indubitable que l'Alliance et les bénédictions de l’Alliance sont représentées dans l’écriture en héritage. Mais cette représentation est encore basée sur l’idée d’un testament, avec cette différence, cependant, que la confirmation de l'Alliance n’implique pas la mort du testateur. Les croyants sont héritiers de Dieu (qui ne peut pas mourir) et des cohéritiers avec Christ, Rom. 08:17. Il est parfaitement évident que pour le pécheur, l'Alliance a un côté testamentaire et peut être considéré comme un héritage; mais maintenant, la question se pose, si il peut aussi assumer ce personnage pour le Christ. Une réponse affirmative semble être nécessaire compte tenu du fait que nous sommes appelés co-héritiers avec le Christ. Est il alors aussi un héritier ? Peut répondre à cette question par l’affirmative au vu de la déclaration trouve dans Luc 22:29. L’héritage mentionnée ici est la médiatrice gloire du Christ, qu’il a reçue en héritage du père, et qui, lui, à son tour, communique en héritage à tous ceux qui sont siens. Mais bien qu’il y a sans aucun doute un côté testamentaire au Pacte, ce n’est qu’un côté de la question et n’exclut pas l’idée que l'Alliance est vraiment un Pacte. Il peut être appelé un testament, parce que (1) il est dans son ensemble un don de Dieu; (2) la dispensation de Nouveau Testament de celui-ci qui est inaugurée par la mort du Christ; (3) il est ferme et inviolable; et (4) en elle, Dieu lui-même donne ce qu’il demande de l’homme. Pourtant cela ne devrait pas être interprété comme signifiant qu’il n’y a pas deux parties au Pacte, et qu’il est donc absolument monopleuric. Cependant inégale, que les parties en eux-mêmes peuvent être, Dieu condescend à descendre au niveau de l’homme et par sa grâce lui permet d’agir comme le deuxième parti au Pacte. Une Alliance de monopleuric dans le sens absolu du mot n’est vraiment une contradictio in adjecto. En même temps ces théologiens qui soulignent le caractère monopleuric de l’Alliance l’a fait pour mettre l’accent sur une vérité importante, à savoir, que Dieu et l’homme ne satisfont pas aux uns aux autres à mi-chemin dans l'Alliance, mais que Dieu se résume à man et gracieusement établit son l’Alliance avec lui, librement donnant tout ce qu’il demande, et que l’homme est vraiment le seul que les bénéfices de l’Alliance. Il est essentiel, cependant, que le caractère dipleuric de l'Alliance seront maintenues, car l’homme semble vraiment dedans comme satisfaisant aux exigences de l'Alliance dans la foi et la conversion, si c’est seulement que Dieu opère en lui et le vouloir et de faire, selon son bon Pleasure e.

E. LA RELATION DE CHRIST À L’ALLIANCE DE GRÂCE.

Christ est représenté dans l’écriture comme le médiateur de l’Alliance. Le mot grec mesites ne se trouve pas en grec classique, mais se produit en Philo et en plus tard des auteurs grecs. Dans la Septante, qu'il est constaté qu’une fois, Job à 09:33. Le mot anglais « Médiateur », ainsi que la Hollande « Middelaar » et l’allemand « Mittler, » pourraient nous amener à penser qu’il (mesites) désigne tout simplement celui qui arbitre entre les deux parties, un intermédiaire dans le sens général du terme. Il faut avoir à l’esprit, cependant, que l’idée biblique est beaucoup plus profonde. Christ est le médiateur dans plusieurs sens. Il intervient entre Dieu et l’homme, non pas simplement d’intenter une action pour la paix et à persuader, mais comme armé avec puissance plénipotentiaire, pour faire tout ce qui est nécessaire pour établir la paix. L’utilisation de la parole mesites dans le Nouveau Testament justifie notre parlant d’une double médiation du Christ, à savoir, celui de la caution et celui de l’accès (Gr. prosagoge, Rom. 5:2). Dans la plupart des passages où le mot est trouvé dans le Nouveau Testament, il est égal à egguoset par conséquent pointe vers Christ comme celui qui, en prenant sur lui la culpabilité des pécheurs, a mis fin à leur relation pénale à la Loi et restaurés à bon droit relation à Dieu. C’est le sens du mot en Héb. 8:6; 09:15 et 12:24. Dans Hébreux 07:22 le terme egguos s’est appliqué à Christ. Il y a un passage, cependant, dans lequel le mot mesites a une signification qui est plus en accord avec le sens ordinaire du mot « médiateur », comme celui qui est appelé dans d’arbitrer entre les deux parties et à les concilier, à savoir I Timothée 2:5. Ici le Christ est représenté comme médiateur en ce sens que, sur la base de son sacrifice, il rassemble Dieu et l’homme. Le œuvre du Christ, tel qu’indiqué par le mot mesites, comporte deux volets. Il travaille en ce qui a trait à Dieu dans ce qui a trait à l’homme, dans le domaine juridique objectif et dans la sphère morale subjective. Dans le premier, il favorise le déplaisir just de Dieu par l’expiation de la culpabilité du péché, intercède pour ceux que le père lui a donné et il fait effectivement leurs personnes et services acceptables à Dieu. Et dans le second cas, il se révèle aux hommes la vérité concernant Dieu et leur relation avec lui les conditions de service acceptable, persuade et leur permet de recevoir la vérité et dirige et les soutient dans toutes les circonstances de la vie, afin de perfectionner leur « Deliverance ». En faisant ce travail, il emploie le ministère des hommes, II Corinthiens 05:20.

 

IV. le double Aspect de l'Alliance

En parlant des parties contractantes dans l’Alliance de grâce, il a été déjà laissé entendre que l’Alliance peut être envisagée de deux points de vue différents. Il y a deux aspects différents de l'Alliance, et maintenant se pose la question, dans quelle relation ces deux stand à l’autre ? Cette question a été répondue dans différentes manières.

A. UNE ALLIANCE EXTERNE ET UNE ALLIANCE INTERNE.

Certains ont établi une distinction entre l’externe et une interne Alliance. L’Alliance externe a été conçu comme un dans lequel statut d’une personne dépend entièrement de l’exécution de certaines tâches religieuses extérieures. Sa position est tout à fait correcte, s’il le fait ce qui est exigé de lui, un peu dans le sens catholique. Parmi cette Alliance a pris une forme nationale d’Israël. Peut-être personne ne travaille sur la doctrine de l’Alliance externe avec une plus grande cohérence que Thomas Blake. La ligne de démarcation entre l’externe et interne Pacte n’était pas toujours représentée de la même manière. Certains baptême connecté avec l’externe et confession de foi et de l’Eucharistie, avec l'Alliance interne; d’autres pensaient de baptême et de la confession comme appartenant à l’Alliance externe et de l’Eucharistie comme sacrement de l'Alliance interne. Mais le problème c’est que cet ensemble, la représentation se traduit par un dualisme dans la conception de l’Alliance qui n’est pas justifiée par l’écriture; Il donne une Alliance externe qui n’est pas interpénétrée par l’interne. L’impression qu’il y a un Pacte dans lequel l’homme peut prendre une position tout à fait correcte sans enregistrer de foi; mais la Bible ne connaît pas d’Alliance. Il y a, en effet, privilèges externes et les bénédictions de l’Alliance, et il y a les personnes qui aiment ces seuls; mais ces cas sont des anomalies qui ne peuvent pas être systématisées. La distinction entre un externe et un Pacte interne ne tient-elle pas.

Ce point de vue ne doit pas être confondu avec vue sur un autre et connexe, nommément, qu’il y a un externe et un aspect interne de l’Alliance de grâce (faire et autres). Conformément à la présente certains acceptent leurs responsabilités de l’Alliance d’une manière véritablement spirituelle, du cœur, tandis que d’autres acceptent seulement par une profession extérieure avec la bouche et par conséquent ne sont apparemment dans l'Alliance. Faire fait référence à Judas Iscariote, Simon le sorcier, ceux qui ont foi temporelle et autres. Mais le problème est que, selon ce point de vue, le non élu et non-régénérer sont des appendices purement externes au Pacte et sont simplement considérés comme enfants de l’Alliance par nous en raison de notre myopie, mais aucun enfant de l'Alliance à tous aux yeux de Dieu. Ils ne sont pas vraiment dans l'Alliance et par conséquent ne peuvent vraiment devenir briseurs de pacte non plus. Il propose pas de solution du problème dans quel sens le non élu et non-régénérer, qui sont membres de l’église visible, sont des enfants de l’Alliance aussi à la vue de Dieuet peut donc devenir briseurs de Pacte.

B. L’ESSENCE ET L’ADMINISTRATION DE L’ALLIANCE.

D’autres, comme par exemple, Olevian et Turretin, distinguent entre l’essence et l’administration de l’Alliance. Selon Turretin l’ancien correspond à la vocation interne et l’église invisible constituées au moyen de cet appel; et celui-ci, à l’appel externe et l’église visible, comme étant composée de ceux qui sont appelés à l’extérieur par la parole. L’administration de l’Alliance consiste seulement dans l’offre de salut dans la prédication de la parole et dans les autres externes privilèges que tous partager qui ont une place dans l’église, y compris de nombreux non élu. L’essence de l'Alliance, cependant, inclut également l’accueil spirituel de toutes les bénédictions de l'Alliance, la vie en union avec le Christ et s’étend donc aux élus seulement. Cette distinction a certainement contient un élément de vérité, mais il n’est pas tout à fait logique et clair. Alors que l’essence et la forme constituerait une antithèse, essence et l’administration ne sont pas. Ils peuvent soumettre à l’invisible et l’église visible, comme Turretin semble l’intention, ou à la fin ou la réalisation et l’annonce de l'Alliance, comme Olevian comprend la distinction. Mais si l’ancien est destiné, il serait préférable de parler de l’essence et de la révélation; et si ce dernier est destiné, il serait préférable de parler de l’objectif et les moyens de sa réalisation. Ici aussi, la question reste sans réponse, si et dans quelle mesure le non élu est Pacte enfants aussi dans l’yeux de Dieu.

C. UNE ALLAINCE CONDITIONNEL ET UNE ALLIANCE ABSOLUE.

Encore d’autres, comme par exemple, Koelman, parlent d’un conditionnel et un Pacte absolu. Koelman met l’accent sur le fait que, lorsqu’un externe et une interne Alliance sont distinguent, seulement une alliance unique est prévue, et les termes « externes » et « internes » servent simplement à insister sur le fait que tous ne sont pas dans l'Alliance d’exactement de la même manière. Certains sont dedans simplement par une externe confession, à la jouissance des privilèges externes et d’autres par une copieuse acceptation de celui-ci, de jouir de la bénédiction du Salut. De même, il souhaite qu’il soit bien entendu que, lorsqu’il dit que certains sont dans l'Alliance à l’extérieur et sous certaines conditions, il ne signifie pas d’affirmer qu’ils ne sont pas vraiment dans l'Alliance, mais seulement qu’il ne peut obtenir les bénédictions promises de l'Alliance , sauf en se conformant à la condition de l'Alliance. Cette représentation, aussi, sans aucun doute contient un élément de vérité, mais en Koelman, il est lié vers le haut de manière avec la notion d’un externe et un Pacte interne, qu’il s’agit dangereusement proche de l’erreur d’accepter deux pactes, surtout quand il prétend qui durant la dispensation de Nouveau Testament Dieu intègre des nations entières et des royaumes dans l'Alliance.

D. L'ALLIANCE COMME UNE RELATION PUREMENT JURIDIQUE ET COMME UNE COMMUNION DE VIE.

Les théologiens réformés, comme Kuyper et Bavinck Honig, parlent des deux côtés de l’Alliance, l’une externe et l’autre interne. Dre Vos utilise des termes qui sont plus spécifiques, lorsqu’il établit une distinction entre l'Alliance comme une relation purement juridique et Pacte comme une communion de vie. Il y a clairement un cadre juridique et un aspect moral au Pacte. l'Alliance peut être considéré comme un accord entre deux parties, avec mutuelles conditions et stipulations et donc comme quelque chose dans le legal sphère. l'Alliance en ce sens peut exister même lorsque rien n’est fait pour réaliser son objectif, à savoir la condition à laquelle il pointe et pour qui il appelle comme le véritable idéal. Les parties qui vivent en vertu de cet accord sont dans l'Alliance, car ils sont sous réserve des stipulations mutuelles convenues. Dans le domaine juridique, tout est examiné et réglementé de façon purement objective. Le facteur déterminant dans ce domaine est tout simplement la relation qui a été créée et pas l’attitude que l'on tient pour acquis à cette relation. La relation existe indépendamment de son inclinaison ou réticence, l’aime et n’aime pas, à cet égard. Il semblerait que pour être à la lumière de cette distinction que la question devrait être répondu, qui se trouvent dans l’Alliance de grâce ? Si la question est posée avec la relation juridique, et que seulement, à l’esprit et, vraiment, s’élève à la requête, qui sont dans l’obligation de vivre dans l'Alliance et dont on peut s’attendre qu’ils le feront ? — la réponse est, croyants et leurs enfants. Mais si la question est posée dans le but de l’Alliance comme une communion de vie et prend la forme très différente, en qui fait de cette question de la relation juridique dans une communion de vie avec le Christ ? — la réponse ne peut être, que dans la régénération, qui sont dotés du principe de la foi, c'est-à-dire dans les élus.

Cette distinction est justifiée par l’écriture. Il est presque superflu de citer des passages prouvant que l'Alliance est un objectif compact dans le domaine juridique, car il est parfaitement évidents que nous avons un tel compact là où les deux parties conviennent que dans la présence de Dieu pour accomplir certaines choses qui affectent leur mutuelle relation, ou une partie des promesses d’accorder certains avantages sur l’autre, a fourni que ce dernier remplit les conditions qui sont fixées. Que l’Alliance de grâce est un tel compact est tout à fait évident de l’écriture. Il y a la condition de la foi, Genèse 15:6, par rapport aux Romains 4:3 et suiv., 20 ff.; Habacuc 2:4; GAL 03:14-28; Hébreux 11; et il y a aussi la promesse de la bénédiction spirituelle et éternelle, Genèse 17:7; 12:3; Ésaïe 43: 25; Ézéchiel 36:27; Romains 4:5 ff.; GAL 03:14, 18. Mais il est également clair que l’Alliance dans sa pleine réalisation est quelque chose de plus que cela, à savoir, une communion de vie. Elle peut être déjà symboliquement exprimée dans l’acte de décès entre les parties des animaux tués à la création de l’Alliance avec Abraham, Genèse 15:9-17. En outre, il est indiqué dans ces passages comme PS. 25: 14; PS. 89: 33, 34; 103:17, 18; Jérémie 31: 33, 34 (Héb. 08:10-12); Ézéchiel 36: 25-28; II Corinthiens 06:16; Apocalypse 21:2, 3.

Maintenant la question se pose quant à la relation entre le pécheur étant sous la « bond de l'Alliance » car une relation juridique et sa vie dans la communion de l'Alliance. Les deux ne peuvent pas se concevoir comme existant aux côtés de l’autre sans un lien interne, mais doivent être considérés comme étant plus intimement liées entre elles, afin d’éviter tout dualisme. Quand on prend la relation de l'Alliance lui-même volontairement, les deux doivent naturellement vont de pair; s’ils ne le font pas, il s’ensuit une fausse relation. Mais dans le cas de ceux qui sont nés dans l'Alliance, la question est plus difficile. Celui est alors possible sans l’autre ? Est l'Alliance en l’occurrence une relation juridique strict, dans lesquelles ce qui devrait être — mais n’est pas — prend la place de la réalité glorieuse qui symbolise l'Alliance ? Y a-t-il un motif raisonnable d’espérer que la relation d’Alliance attribuera dans une communion de vie; que pour le pécheur, qui est lui-même incapable de croire, l’Alliance va devenir réellement une réalité vivante ? En réponse à cette question, on peut affirmer que Dieu veut sans doute que la relation de l’Alliance devra émettre dans une vie de Pacte. Et il est lui-même garantit par ses promesses concernant la semence des croyants que cela aura lieu, pas dans le cas de chaque individu, mais dans la graine de l'Alliance collectivement. Sur la base de la promesse de Dieu, nous pouvons croire que, sous une administration fidèle de l'Alliance, la relation de l’Alliance sera, en règle générale, être pleinement réalisée dans une vie de Pacte.

E. ADHÉSION À L’ALLIANCE COMME UNE RELATION JURIDIQUE.

En discutant l’adhésion dans l'Alliance comme une relation juridique, il faut avoir à l’esprit que l’Alliance en ce sens n’est pas simplement un système de demandes et promesses, exigences qui devraient être respectées et promesses qui devraient être réalisées; mais qu’elle comprend également une attente raisonnable que la relation juridique externe emportera avec elle la glorieuse réalité d’une vie en communion intime avec l'Alliance de Dieu. C’est la seule façon dont l’idée de l'Alliance est entièrement réalisée.

1. LES ADULTES DANS L'ALLIANCE. Adultes ne peuvent entrer ce Pacte volontairement par la foi et de la confession. De là qu'il s’ensuit que dans leur cas, à moins que leur aveux étaient fausses, entrée dans l’Alliance comme une relation juridique et dans l'Alliance comme une communion de vie coïncide. Non seulement, ils prennent sur eux l’exécution de certaines tâches externes; ni faire ils ont simplement promis en plus de cela, qu’ils exerceront sauver la foi dans l’avenir; mais ils avouaient qu’ils acceptent l’Alliance avec une foi vivante, et que c’est leur désir et leur intention de continuer dans cette foi. Ils entrent dans la vie pleine de Pacte à la fois donc, et c’est la seule façon dans laquelle ils peuvent entrer l'Alliance. Cette vérité est implicitement ou explicitement rejetée par tous ceux qui se connectent à la confession de foi avec une Alliance purement externe.

2. LES ENFANTS DES CROYANTS DANS L'ALLIANCE. En ce qui concerne les enfants des croyants, qui entrent dans l'Alliance par la naissance, la situation est, bien sûr, quelque peu différente. L’expérience enseigne que, bien que par la naissance, ils entrent dans l'Alliance comme une relation juridique, cela ne signifie pas nécessairement qu’ils sont à la fois dans l'Alliance comme une communion de vie. Cela ne signifie pas encore que la relation d’Alliance viendra jamais à sa pleine réalisation dans leur vie. Pourtant, même dans leur cas, il doit y avoir une assurance raisonnable que l'Alliance n’est pas ou ne reste pas de relation juridique une simple, avec des fonctions externes et privilèges, pointant vers ce qui devrait être, mais estégalement aussi ou dans le temps deviendra une réalité vivante. Cette assurance est fondée sur la promesse de Dieu, qui est absolument fiable, qu’il travaille dans les coeurs de la jeunesse de l’Alliance avec sa grâce salvatrice et les transformer en membres vivants de l'Alliance. l'Alliance est plus que la simple offre de Salut, plus encore que l’offre de Salut et la promesse de croire en l’Évangile. Il porte aussi en lui l’assurance, basée sur les promesses de Dieu, qui travaille chez les enfants de l'Alliance « quand, où et comment il veut, » que la foi salvatrice va être forgée dans leur cœur. Tant que les enfants de l'Alliance ne révèlent pas le contraire, nous devrons procéder sur l’hypothèse qu’ils sont en possession de la vie de l’Alliance. Naturellement, le cours des événements peut s’avérer que cette vie n’est pas encore présente; Il peut même se révéler qu’il n’est jamais réalisé dans leur vie. Les promesses de Dieu sont donnés à la postérité des croyants collectivement et non individuellement. Promesse de Dieu de poursuivre son alliance et de l’amener à la pleine réalisation chez les enfants des croyants, ne signifie pas qu’il va doter chaque dernier d'entre eux ayant sauvé la foi. Et si certains d'entre eux continuent dans l’incrédulité, nous devrons garder à l’esprit ce que Paul dit dans Romains 9:6-8. Ils ne sont pas tout Israël qui sont d’Israël; les enfants des croyants ne sont pas tous les enfants de la promesse. C’est pourquoi il est nécessaire de rappeler même les enfants de l’Alliance sans cesse de la nécessité de la régénération et la conversion. Le simple fait que l'on est dans l'Alliance ne porte pas avec elle l’assurance du Salut. Quand les enfants des croyants grandissent et venir aux années de son pouvoir discrétionnaire, il incombe, bien sûr, à leur faire accepter leurs responsabilités Pacte volontairement par une véritable confession de foi. Faute de quoi c’est, à proprement parler, un déni de leur relation de l’Alliance. On peut donc dire que la relation juridique dans lequel les enfants des croyants stand, précède l'Alliance comme une communion de vie et constitue un moyen de sa réalisation. Mais en mettant l’accent sur l’importance de l’Alliance comme un moyen vers une fin, nous insistons pas exclusivement, ni même principalement, les exigences de Dieu et le droit résultant de l’homme, mais surtout la promesse de l’exploitation efficace de la grâce de Dieu dans le cœur du coven enfants de fourmi. Si nous insister sur les responsabilités de l'Alliance seulement ou excessivement et ne pas donner une importance due au fait que, dans l'Alliance de Dieu donne que ce soit il demande de nous, en d’autres termes, que ses promesses couvrent tous ses besoins, nous sommes en danger de tomber dans le piège de l’Arminianisme.

3. LES RÉGÉNÉRÉS DANS L'ALLIANCE. Depuis le précédent qu’il suit que même les personnes régénérés et non convertis peut être dans l'Alliance. Ismaël et Ésaü étaient à l’origine dans l'Alliance, les méchants fils d’Eli étaient des enfants de l’Alliance, et la grande majorité des Juifs à l’époque de Jésus et les apôtres appartenait au peuple de l’Alliance et partagée dans les promesses de l’Alliance, bien qu’ils ne respectaient pas les foi de leur père Abraham. C’est pourquoi la question se pose, dans quel sens ces personnes peuvent être considérées comme étant dans l'Alliance. Le Dr de Kuyper dit qu’ils ne sont pas des participants essentiels de l'Alliance, qu’ils soient vraiment en elle; et Dr Bavinck dit qu’ils sont en foedere (dans l'Alliance), mais pas de foedere (de l'Alliance). Ce qui suit peut être dit au sujet de leur position dans l'Alliance:

a. ils sont dans l'Alliance, que leur responsabilité est concernée. Parce qu’ils se tiennent dans la relation juridique Pacte de Dieu, ils sont en devoir de se repentir et de croire. Si ils ne se tournent vers Dieu et accepter le Christ par la foi, quand ils viennent aux années de son pouvoir discrétionnaire, ils seront jugés comme briseurs de l’Alliance. La relation privilégiée dans laquelle ils sont placés à Dieu, par conséquent, signifie responsabilité supplémentaire.

b. ils sont dans l'Alliance en ce sens qu’ils peuvent fixer prétendent les promesses que Dieu a donné quand il établit son alliance avec les croyants et leur postérité. Paul dit même de ses parents méchants, « qui sont l’adoption et la gloire et les alliances et le don de la Loi et le service de Dieu et les promesses, » Rom. 9:4. En règle générale Dieu rassemble le nombre de ses élus de ceux qui se tiennent dans cette relation de l’Alliance.

c. ils sont dans l'Alliance en ce sens qu’ils font l’objet les soins de l'Alliance. Ils sont constamment réprimandés et exhorte à vivre en conformité avec les exigences de l'Alliance. L’Église les traite comme des enfants de l’Alliance, leur offre les joints de l'Alliance et les exhorte à une utilisation appropriée de ces. Ils sont les invités qui sont d’abord appelées à la Cène, les enfants du Royaume, à qui le mot doit être prêché d’abord Matthieu 08:12; Luc 14:16-24; Actes 13:46.

d. ils sont dans l'Alliance également que les bénédictions de l’Alliance commune sont concernées. Bien qu’ils ne subissent pas l’influence régénératrice de l’Esprit Saint, pourtant ils sont soumis à certaines opérations spéciales et les influences de l’Esprit Saint. L’esprit s’efforce avec eux d’une manière spéciale, convainc de péché, eux éclaire dans une certaine mesure et les enrichit avec la bénédiction de la commune grâce, Genèse 6:3; Matthieu 13:18-22; Hébreux 6:4-6.

Il est à noter que, alors que l’Alliance est une alliance éternelle et inviolable, que Dieu annule jamais, il est possible pour ceux qui sont dans l'Alliance de le casser. Si celui qui se trouve dans la relation de l’Alliance juridique n’entre pas dans la vie de l’Alliance, il est néanmoins considéré comme un membre de l’Alliance. Son omission de satisfaire aux exigences de l'Alliance implique la culpabilité et constitue lui un briseur de Pacte, Jérémie 31:32; Ézéchiel 44: 7. Ceci explique comment il peut y avoir, non seulement temporaire, mais une rupture définitive de l’Alliance, bien qu’il n’y a pas tomber loin des saints.

 

V. les Dispensations différentes de l’Alliance

A. LA CONCEPTION CORRECTE DES DISPENSATIONS DIFFÉRENTES.

La question se pose, si nous devons distinguer deux ou trois ou avec les dispensationalistes modernes, dispenses de sept ou même plus.

1. LA VUE DISPENSATIONALISTE. Selon Scofield « une dispense est une période de temps pendant laquelle l’homme est testé en ce qui concerne l’obéissance à une révélation spécifique de la volonté de Dieu. » [Bible Scofield, p. 5.] Autre explication de ce il dit à la page 20 de son pamphlet sur justement la parole de vérité: « chacune des dispenses peut-être être considéré comme un nouveau test de l’homme naturel, et chacune se termine par le jugement, — marquant son échec. » Chaque dispensation a un caractère propre et est donc distincte qu’il ne peut pas être mélangé avec les autres. Sept de ces dispenses sont généralement distinguées, à savoir, la dispensation d’innocency, de conscience, de gouvernement humain, de la promesse, de la Loi, de grâce et du Royaume. En réponse à la question, si Dieu est alors si volage d’esprit qu’il doit changer sa volonté en ce qui concerne l’homme sept fois, Frank E. Gaebelein réponse (s): « il n’est pas Dieu qui a vacillé. Bien qu’il y a sept dispensations, ils sont tous en un principe, étant partout basé sur le seul critère d’obéissance. Et avait l’homme retrouvé en mesure de suivre les conditions fixées par la première dispensation, les six autres auraient été inutiles. Mais l’homme a échoué. Pourtant, au lieu de rabattre sa créature coupable, Dieu fut ému de compassion et lui donna un procès fraîche dans les nouvelles conditions. Ainsi chaque dispensation se termine avec l’échec, et chaque dispensation montre en avant la miséricorde de Dieu. » [Découvrir la Bible, p. 95.] Il y a des objections sérieuses à ce point de vue. b le mot « dispense » (oikonomia), qui est un terme biblique (Luc 16:2-4; J’ai Cor. 09:17; EP 01:10; 3:2. 9; 01:25; I Timothée 1:4) est ici employé dans un sens non scripturaire. Il dénote une intendance, d’arrangement, ou une administration, mais jamais un temps d’essai ou un temps de probation. (b) les distinctions sont manifestement tout à fait arbitraires. Cela ressort déjà du fait que les dispensationalistes eux-mêmes parfois parlent d’eux car double emploi. La seconde dispensation est appelée la dispensation de la conscience, mais selon Paul conscience était encore le moniteur des gentils dans son jour, Rom. 02:14, 15. Le troisième est connu comme la dispensation du gouvernement humain, mais la commande spécifique en ce qui a désobéi et par conséquent rendu passible de jugement, l’homme n’était pas la commande pour dominer le monde de Dieu — de qui il n’y aucune trace —, mais la commande pour régénérer la terre. Le quatrième est désigné la dispensation de la promesse et est censé pour se terminer par l’octroi de la Loi, mais Paul dit que la loi ne pas annuler la promesse, et que cela était toujours en vigueur dans son propre jour, Rom. 04:13-17; GAL 03:15-29. La dispensation dite de la Loi est remplie de promesses glorieuses et la dispensation dite de grâce ne pas abroger le droit comme une règle de vie. Grace propose d’échapper à la loi seulement comme une condition du Salut — comme il est dans l’Alliance des œuvres —, de la malédiction de la Loi et la Loi comme une puissance étrangère. (c) selon la représentation habituelle de cette théorie homme est sur la droite de probation le long. Il a échoué dans la première épreuve et manqué ainsi la récompense de la vie éternelle, mais Dieu est compatissant et en miséricorde lui donna un nouveau procès. Échecs répétés ont conduit à des manifestations répétées de la miséricorde de Dieu dans l’introduction de nouveaux essais, qui, cependant, conservé l’homme à l’épreuve tout le temps. Ce n’est pas équivalent à dire que Dieu la justice détient l’homme naturel à l’état de l’Alliance des œuvres — qui est parfaitement vrai, mais ce Dieu de miséricorde et de compassion — et donc apparemment pour sauver — donne une chance après l’homme un autre de remplir les conditions toujours différentes et donc d’obtenir la vie éternelle en rendu l’obéissance à Dieu. Cette représentation est contraire à l’écriture, qui ne représente pas un homme déchu comme toujours à l’épreuve, mais comme un échec total, totalement incapable de rendre obéissance à Dieu et absolument dépendant de la grâce de Dieu pour le salut. Bullinger, lui-même un dispensionalistes, bien que de nature quelque peu différente, a raison lorsqu’il dit: « L’homme était alors (dans la première dispensation) ce qu’on appelle « sous probation. » Ceci délimite cette Administration brusquement et absolument; pour l’homme est pas maintenant sous probation. À supposer qu’il en est ainsi, est un sophisme populaire qui frappe à la racine des doctrines de la grâce. L’homme a été essayé et testé et s’est avéré pour être une ruine. » [Comment profiter de la Bible, p. 65.] (d) cette théorie est également source de division dans la tendance, le démembrement de l’organisme de l’écriture avec des résultats désastreux. Les parties de l’Ecriture qui appartiennent à l’une des dispensations sont adressent aux et ont une signification normative, le peuple de cette dispensation et pour personne d’autre. Cela signifie selon les termes du Charles C. Cook « que dans l’ancien Testament, il n’y a pas une phrase qui s’applique pour le chrétien, comme règle de foi et de pratique — pas une commandement unique qui s’impose à lui, car il n’y a pas une seule promesse il lui donnée aux premières loges sauf ce qui est inclus dans le large flux du Plan de rachat car il a enseigné en symbole et de la prophétie. » [Livre de Dieu parlant pour lui-même, p. 31.] Cela ne signifie pas que nous ne pouvons tirer aucune leçon de l’ancien Testament. La Bible est divisée en deux livres, le livre du Royaume, comprenant l’ancien Testament et une partie de la nouvelle, adressée à Israël; et le livre de l’église, consistant en le reste du Nouveau Testament et adressée à nous. Puisque les dispensations se mélangent pas, il s’ensuit que dans la dispensation de la Loi, il n’y a aucune révélation de la grâce de Dieu, et dans la dispensation de la grâce, il n’y a aucune révélation de la Loi comme ayant force obligatoire sur le peuple du Nouveau Testament de Dieu. Si l’espace le permettent, il ne serait pas difficile de prouver qu’il s’agit d’une position tout à fait insoutenable.

2. LA THÉORIE DES TROIS DISPENSATIONS. Irénée parle de trois alliances, le premier se caractérise par la loi écrite dans le cœur, le second, par la Loi comme un commandement extérieur donné au Sinaï et la troisième, par la loi restaurée vers le cœur par le biais de l’opération du Saint-Esprit; et ainsi, suggère l’idée des trois dispensations. Coccejus distingue trois dispensations de l’Alliance de la grâce, première ante legem, le deuxième sub legeet le troisième post legem. Il a fait une distinction très nette, par conséquent, entre l’administration de l’Alliance, avant et après Moïse. Maintenant, c’est sans doute vrai qu’il y a une différence considérable entre l’administration de l’Alliance, avant et après l’octroi de la Loi, mais la similitude est supérieure à la différence, afin que nous ne sommes pas justifiés à coordonner le travail de Moïse avec celui du Christ comme une ligne divisant dans l’administration de l’Alliance. On notera les points suivants de la différence:

a. dans la manifestation du caractère gracieux de l’Alliance. Dans la période patriarcale le caractère gracieux de l'Alliance se détachait plus en évidence que dans la période postérieure. La promesse était plus à l’avant-plan, Rom. 04:13; GAL 03:18. Pourtant même cela pas souligner indûment, comme s’il n’y a aucune charges légales, morales et rituelles, avant l’époque de Moïse et aucune promesse gracieuse pendant la période de la Loi. La substance de la loi était en vigueur avant Moïse et sacrifices étaient déjà tenus. Et gracieuses promesses sont trouvent en abondance dans les écrits de la mosaïques. Le seul véritable point de différence est la suivante: étant donné que la loi constitue pour Israël un rappel explicit des exigences de l’Alliance des œuvres, il y avait un plus grand danger de confondre avec le moyen de la Loi sur le chemin du Salut. Et l’histoire d’Israël nous enseigne qu’il n’a pas échappé au danger.

b. en mettant l’accent sur le caractère spirituel des bénédictions. Le caractère spirituel de la bénédiction de l’Alliance se distingue plus clairement dans la période patriarcale. Abraham, Isaac et Jacob étaient Séjourneurs simples dans la terre promise, habitation là comme des étrangers et des pèlerins. La promesse temporelle de l’Alliance n’était pas encore remplie. Donc il y avait moins de danger de fixer l’esprit trop exclusivement sur les bénédictions matérielles, comme les Juifs l’a fait par la suite. Les premiers patriarches avaient une meilleure compréhension de la signification symbolique de ces possessions temporelles et cherché une cité céleste, gal 04:25, 26; Hébreux 11:9, 10.

c. dans la compréhension de la destination universelle de l'Alliance. La destination universelle de l'Alliance a été plus clairement évidente dans la période patriarcale. Abraham a dit que, dans ses graines, toutes les nations du monde seraient bénies, 22:18; ROM. 04:13-77; Galates 3:8. Les Juifs a progressivement perdu de vue ce fait important et repose sur la supposition que les bénédictions de l’Alliance devaient se limiter à la nation juive. Les prophètes plus tard, cependant, a souligné l’universalité des promesses et relancé ainsi la conscience de l’importance mondiale de l'Alliance.

Mais alors que ces différences existent, il y avait plusieurs points importants dont ont convenu les périodes préalables- et post-mosaïques, et qui ils ensemble diffèrent de la dispensation chrétienne. Alors que leur différence entre eux est tout simplement l’un des degrés, leur différence commune de la dispensation du Nouveau Testament est l’un des contraste. Que vis-à-vis de la dispensation chrétienne, acceptent les deux périodes de l’ancien Testament:

a. dans la représentation du médiateur comme une graine qui était encore à venir. L’ensemble ancien Testament pointe en avant sur la venue du Messie. Ce look forward caractérise la protevangel, la promesse faite aux Patriarches, le rituel ensemble de mosaïque et les grands messages des prophètes.

b. en préfigurant le Rédempteur qui viennent dans les cérémonies et les types. Il est parfaitement vrai que ceux-ci ont augmenté après l’octroi de la Loi, mais ils étaient présents bien avant cette époque. Des sacrifices étaient offerts comme dès l’époque de Caïn et Abel et aussi avait un caractère piacular, pointant vers l’avant pour le grand sacrifice de Jésus Christ. Ceux qui ont servi comme prêtres annoncé la venue du grand souverain sacrificateur. À la différence de l’ancien Testament, le nouveau est commémorative plutôt que prefigurative.

c. en préfigurant les vicissitudes de ceux qui étaient destinés à partager dans les réalités spirituelles de l'Alliance dans la carrière terrestre de ces groupes qui se trouvait en relation de l’Alliance avec Dieu. Le pèlerinage des patriarches en Terre Sainte, la servitude en Égypte, l’entrée en Canaan, tous fait des choses spirituelles vers l’avant à la hausse. Dans le Nouveau Testament, tous ces types atteignent leur accomplissement et donc cessent.

Sur la base de tout ce qui a été dit, il est préférable pour suivre le traditionnel lignes par distinctifs seulement deux dispenses ou les administrations, à savoir, celui de l’ancien et celui du Nouveau Testament; et de diviser le premier en plusieurs périodes ou étapes de la révélation de l’Alliance de grâce.

B. L’ANCIENNE DISPENSATION DE TESTAMENT.

1. LA PREMIÈRE RÉVÉLATION DE L'ALLIANCE. La première révélation de l'Alliance se trouve à la protevangel, 03:15. Certains nient que cela n’a aucune référence au Pacte; et certainement, elle ne vise pas à n’importe quel établissement officiel d’une Alliance. La révélation d’un tel établissement a pu suivre seulement après que l’idée de pacte avait été mis au point dans l’histoire. Dans le même temps 03:15 contient certainement une révélation de l’essence de l'Alliance. Convient de noter les points suivants:

a. en mettant inimitié entre le serpent et la femme, Dieu établit une relation, comme il le fait toujours en faisant un Pacte. La chute a été homme en Ligue avec Satan, mais Dieu brise nouvellement formé alliance en tournant l’amitié de l’homme avec Satan dans l’inimitié et de rétablir l’homme dans l’amitié avec lui-même; et c’est l’idée de Pacte. Cette réhabilitation de l’homme comprenait la promesse de la grâce sanctifiante, car c’est seulement par cette grâce que l’amitié de l’homme avec Satan pourrait être transformé en inimitié. Dieu lui-même a dû inverser la condition en régénérant grâce. Selon toute vraisemblance il forgé à la fois la grâce de l'Alliance dans les cœurs de nos premiers parents. Et lorsque Dieu par sa puissance salvatrice génère l’inimitié à Satan dans le cœur de l’homme, cela implique qu’il choisit le côté de l’homme, qu’il devient homme confédérés dans la lutte avec Satan et établit ainsi pratiquement une alliance offensive et défensive.

b. cette relation entre Dieu et l’homme d’un côté et de Satan sur l’autre côté, n’est pas limitée aux individus, mais s’étend à leurs semences. l'Alliance est organique dans son fonctionnement et inclut les générations. Il s’agit d’un élément essentiel dans l’idée de Pacte. Il sera non seulement une graine de l’homme. mais également un descendant du serpent, c’est du diable et il va être une lutte prolongée entre les deux, dans lequel la semence de l’homme sera victorieuse.

c. la lutte, alors, ne sera pas indécise. Bien que le talon de la semence de la femme va être meurtri, la tête du serpent sera écrasée. Il peut seulement mordre au talon, et par la pratique, cela peut mettre en danger sa tête très. Il subira la part de la semence de la femme, mais la piqûre mortelle du serpent se terminera à sa propre mort. La mort du Christ, qui est dans un sens par excellence de la semence de la femme, se traduira par la défaite de Satan. La prophétie de la rédemption est toujours impersonnelle dans le protevangel, mais c’est néanmoins une prophétie messianique. En dernière analyse la semence de la femme est le Christ, qui suppose que la nature humaine et, mis à mort sur la Croix, gagne la victoire décisive de Satan. Il va sans dire que nos premiers parents ne comprenaient pas tout cela.

2. L’ALLIANCE AVEC NOÉ. L’Alliance avec Noé est évidemment de nature très générale: Dieu promet qu’il ne détruira pas encore toute chair par les eaux du déluge, et que la succession régulière de temps de semences et de récolte, de froid et de chaleur, hiver et d’été, jour et nuit se poursuivra. Les forces de la nature sont bridés, les puissances du mal sont soumises à une plus grande retenue, et l’homme est protégé contre la violence de l’homme et la bête. C’est une alliance qui confère uniquement naturelles bénédictions et est donc souvent appelé l’Alliance de la nature ou de la commune grâce. Il n’y a pas d’objection à cette terminologie, autant il ne traduit pas l’impression que cette Alliance est dissocié complètement de l’Alliance de grâce. Si les deux diffèrent, ils sont aussi plus intimement liées.

a. Points de différence. Les points suivants de la différence est à noter: (1), tandis que l’Alliance de grâce se rapporte principalement, mais non exclusivement, aux bénédictions spirituelles, l’Alliance de la nature assure homme seulement de bénédictions terrestres et temporelles. (2) alors que l’Alliance de grâce dans le sens le plus large du mot ne renferme que les croyants et leur postérité et se réalise pleinement que dans la vie des élus, l’Alliance avec Noé n’était pas seulement universel dans sa création, mais était destiné à rester tout compris. Jusqu'à l’époque de l’opération de l’Alliance avec Abraham, il n’y avait pas de sceau de l’Alliance de grâce, mais l’Alliance avec Noé a été confirmée par le jeton de l’arc-en-ciel, un cachet tout à fait différent de celles qui ont été par la suite liés à l’Alliance de grâce.

b. Points de connexion. Malgré les différences d’évoquer, il y a une connexion plus intime entre les deux pactes. (1) l’Alliance de la nature aussi son origine dans la grâce de Dieu. Dans cette Alliance, tout comme dans l’Alliance de grâce, Dieu donne à l’homme non seulement des faveurs imméritées, mais des bénédictions qui ont été confisquées par le péché. Par nature, l’homme n’a aucune réclamation quelle qu’elle soit sur les bienfaits naturels promis dans cette Alliance. (2) cette Alliance repose aussi sur l’Alliance de grâce. Il a été établi plus particulièrement avec Noé et sa postérité, parce qu’il y a des preuves claires de la réalisation de l’Alliance de la grâce dans cette famille, Genèse 6:9; 7:1; 9:9, 26, 27. (3) il est également un appendice nécessaire (Witsius: « aanhangsel ») de l’Alliance de grâce. La révélation de l’Alliance de grâce dans la Genèse 03:16-19 a déjà souligné les bénédictions terrestres et temporelles. Ceux-ci étaient absolument nécessaires pour la réalisation de l’Alliance de grâce. Dans l’Alliance avec Noé le caractère général de ces bénédictions est clairement mis en évidence, et leur prorogation est confirmée.

3. L’ALLIANCE AVEC ABRAHAM. Avec Abraham nous pénétrer dans une nouvelle ère dans la révélation de l’ancien Testament de l’Alliance de grâce. Il y a plusieurs points qui méritent l’attention ici:

a. jusqu'à l’époque d’Abraham, il n’y avait aucune création officielle de l’Alliance de grâce. 03:15 contient déjà les éléments de cette Alliance, il n’enregistre pas une transaction formelle par laquelle l’Alliance a été établie. Il ne parle même pas explicitement d’une Alliance. La création de l’Alliance avec Abraham marque le début d’une église institutionnelle. À l’époque pré-abrahamique, il n’y avait qu’on pourrait appeler « l’église dans la maison. » Il y a des familles où la vraie religion trouvé expression et sans doute aussi des rassemblements de croyants, mais il était pas définitivement marquée corps des croyants, séparé du monde, qu’on pourrait appeler l’église. Il y avait des « fils de Dieu » et « fils de l’homme », mais ceux-ci ne sont pas encore séparés par une ligne visible de démarcation. À l’époque d’Abraham, cependant, la circoncision a été instituée comme une ordonnance de fermeture, un insigne d’adhésion et un sceau de la justice de la foi.

b. dans le cadre de l’opération avec Abraham, l’administration d’ancien Testament particulariste de l'Alliance a eu son début, et il est parfaitement évident que l’homme est un parti de l’Alliance et doit répondre aux promesses de Dieu par la foi. Le grand central fait souligné dans les Ecritures, est que Abraham crut Dieu, et il a été compté à lui pour la justice. Dieu apparaît à Abraham, encore et encore, répétant ses promesses, afin de susciter la foi dans son cœur et inviter son activité. La grandeur de sa foi était évidente dans sa croire contre toute espérance, dans sa confiance dans la promesse, même lorsque son accomplissement semblait être une impossibilité matérielle.

c. les bénédictions spirituelles de l’Alliance de grâce deviennent beaucoup plus apparent dans l’Alliance avec Abraham, qu’ils l’étaient avant. La meilleure exposition scripturaire de l’Alliance abrahamique est contenue dans Romains 3 et 4 et Galates 3. Dans le cadre de la narration trouvée dans la genèse de ces chapitres enseignent qu’Abraham reçut dans la justification de l’Alliance, y compris le pardon des péchés et l’adoption dans la même famille de Dieu et aussi les dons de l’esprit à la sanctification et éternelle gloire.

d. l’Alliance avec Abraham comprenait déjà un élément symbolique. D’une part, il faisait allusion à des bénédictions temporelles, telles que la terre de Canaan, un nombreux descendants, protection contre et victoire sur les ennemis; et d’autre part, il fait référence à des bénédictions spirituelles. Il faut avoir à l’esprit, cependant, qui n’était pas coordonnées avec l’ancien, mais subordonné à, ce dernier. Ces bénédictions temporelles ne constituait pas une fin en soi, mais servi à symboliser et sont typiques des choses spirituelles et célestes. Les promesses spirituelles n’ont pas été réalisées dans les descendants naturels d’Abraham comme tel, mais seulement chez ceux qui ont suivi les traces d’Abraham.

e. compte tenu de cette mise en place de l’Alliance de grâce avec Abraham, il est parfois considéré comme le chef de l’Alliance de grâce. Mais le mot « tête » est plutôt ambiguë et donc susceptibles de malentendu. Abraham ne peut être appelé le représentant responsable de l’Alliance de grâce, tout comme Adam a été de l’Alliance des œuvres, pour (1) l’abrahamique Alliance n’incluait pas les croyants qui l’a précédé et qui étaient encore dans l’Alliance de grâce, et (2) il ne pouvait accepter le pro mises pour nous, ni croire à notre place, nous dispensant ainsi de ces fonctions. S’il y a une tête représentative dans l’Alliance de grâce, il ne peut être Christ (cf. Bavinck, Geref. Dogme. III, pp. 239 241); mais, à proprement parler, on peut lui considérer comme la tête uniquement sur l’hypothèse que l'Alliance de rachat et l’Alliance de grâce sont un. Abraham peut être appelé le chef de l’Alliance que dans le sens qu’il a été formellement établi avec lui, et qu’il a reçu la promesse de son maintien dans la lignée de son naturel, mais, surtout, de ses descendants spirituels. Paul parle de lui comme le « père de tous ceux qui croient, » Rom. 04:11. Il est clair que le mot « père » ne peut être compris au sens figuré ici, pour les croyants ne doivent pas leur vie spirituelle d’Abraham. Dit m. Hodge dans son commentaire de Romans (04:11): « le mot père exprime communauté de caractère et est souvent appliqué à la tête ou le fondateur d’une école ou une classe d’hommes, dont le caractère est déterminé par la relation à la personne ainsi désignée; comme 04:20, 21. . . . Croyants sont appelés les enfants d’Abraham, à cause de cette identité de nature religieuse ou un caractère, tel qu’il se démarque dans l’écriture comme le croyant; et parce que c’est avec lui que l’Alliance de grace, qui englobe tous les enfants de Dieu, que ce soit Juifs ou gentils, a été réédicté; « et parce qu’ils sont ses héritiers, héritant de la bénédiction promise à lui. »

f. Enfin, nous ne devons pas perdre de vue le fait que le stade de la révélation de Pacte d’ancien Testament qui n’est plus normative pour nous dans la dispensation du Nouveau Testament, n’est pas celle de l’Alliance du Sinaï, mais que de l'Alliance établi avec Abraham. L’Alliance du Sinaï est un interlude, couvrant une période dans laquelle le véritable caractère de l’Alliance de grâce, c'est-à-dire son caractère libre et gracieux, est quelque peu éclipsé par toutes sortes de cérémonies extérieures et formules qui, dans le cadre de la vie théocratique de Israël, placé aux exigences de la loi en bonne place au premier plan, cf. Galates 3. Dans l’Alliance avec Abraham, en revanche, la promesse et la foi qui répond à la promesse sont faites emphatiques.

4. L’ALLIANCE DU SINAÏ. L’Alliance du Sinaï était essentiellement le même que celui établi avec Abraham, mais la forme diffère quelque peu. Ce n’est pas toujours reconnu et n’est pas reconnu par les dispensationnalistes de nos jours. Ils insistent là-dessus que c’était une Alliance différente, non seulement dans la forme, mais pour l’essentiel. Scofield parle de lui comme une Alliance juridique, « alliance mosaïque conditionnelle des œuvres, »[Bib. Réf., p. 95.] en vertu de laquelle le point de test était obéissance juridique comme la condition du Salut. [Ibid., p. 1115.] Si cette Alliance est une Alliance des œuvres, ce n’était certainement pas l’Alliance de grâce. La raison pourquoi il est parfois considéré comme une Alliance inédite est que Paul à plusieurs reprises fait référence à la Loi et la promesse comme formant une antithèse, Rom. 04:13 ff.; GAL 03:17. Mais il est à noter que l’Apôtre ne pas contrastent avec l’Alliance d’Abraham l’Alliance du Sinaï dans son ensemble, mais seulement le droit tel qu’il fonctionnait dans ce Pacte et cette fonction uniquement comme il a été mal compris par les Juifs. La seule apparente exception à cette règle est gal 04:21 et suiv., où les deux pactes sont comparés en effet. Mais ce ne sont pas l’abrahamique et les pactes de Sinaï. L’Alliance qui procède du Sinaï et centres de la Jérusalem terrestre, est placé par rapport à l’Alliance qui procède du ciel et des centres dans la Jérusalem qui est au-dessus, autrement dit, — le naturel et le spirituel.

Il y a clairement des indications dans les Ecritures que l’Alliance avec Abraham n’était pas supplanté par l’Alliance du Sinaï, mais est restée en vigueur. Même à Horeb, le Seigneur a rappelé le peuple de l’Alliance avec Abraham, Deut. 1:8; et quand le Seigneur a menacé de détruire les gens après que qu’ils ont pris le veau d’or, Moïse a basé son plaidoyer pour eux sur ce Pacte, Ex. 32:13. Il les a également assurés à plusieurs reprises que, chaque fois qu’ils se sont repentis de leurs péchés et retournée vers lui, il serait conscient de son alliance avec Abraham, Lév. 26: 42; Deut. 04:31. Les deux pactes sont clairement représentés dans leur unité en 105:8 PS-10: « il est souvenu de son alliance pour toujours, le mot qu’il a commandé aux mille générations, l’Alliance qu’il a faite avec Abraham et sa prestation de serment à Isaac, et a confirmé la même chose à Jacob pour une loi en Israël pour une alliance éternelle. » Cette unité découle aussi de l’argument de Paul dans Galates 3, où il insiste sur le fait qu’un Dieu immuable ne modifie pas arbitrairement la nature essentielle d’une Alliance, une fois confirmée; et que la loi n’était pas destiné à remplacer, mais pour servir les extrémités gracieuses de la promesse, gal 03:15-22. Si l’Alliance du Sinaï était en effet une Alliance des œuvres, dans lequel obéissance juridique était le chemin du Salut, puis ce fut certainement une malédiction pour Israël, pour qu’il a été imposée sur un peuple qui ne pourrait pas obtenir éventuellement Salut par les œuvres. Mais cette Alliance est représentée dans l’écriture comme une bénédiction accordée à Israël par un père aimant, Exode 19:5; Lév. 26:44, 45; Deutéronome 4:8; PS. 148:20. Mais si l’Alliance avec Abraham et l’Alliance du Sinaï étaient essentiellement les mêmes, encore l’Alliance du Sinaï avait certains traits caractéristiques.

a. au Sinaï, l'Alliance est devenu un Pacte véritablement national. La vie civile d’Israël a été reliée avec l’Alliance de telle manière que les deux ne pouvaient pas être séparés. Dans une grande mesure l’église et l’État est devenu un. Pour être dans l’église devait être dans la nation et vice versa; et pour quitter l’église devait quitter la nation. Il n’y avait aucune excommunication spirituelle; l’interdiction signifiait couper par la mort.

b. l’Alliance du Sinaï inclus un service qui contenait un rappel positif des exigences strictes de l’Alliance des œuvres. La loi a été placée très en premier plan, mettant l’accent une fois de plus à l’élément juridique antérieur. Mais l’Alliance du Sinaï n’était pas un renouvellement de l’Alliance des œuvres; dedans, la loi a été faite inféodée à l’Alliance de grâce. Cela est déjà indiqué dans l’introduction aux dix commandements, Exode 20:2; Deutéronome 5:6 et plus loin dans la Rom. 03:20; GAL 03:24. Il est vrai qu’au Sinaï, un élément conditionnel a été ajouté au Pacte, mais il n’était pas le salut des Israélites, mais sa position théocratique de la nation et la jouissance des bénédictions externes qui a été effectuée dépend de l’observation de la Loi , Deut. 28: 1-14. La loi sert un double objectif dans le cadre de l’Alliance de grâce: (1) pour augmenter la conscience du péché, Rom. 03:20; 04:15; GAL 03:19; et (2) pour être un tuteur au Christ, gal 03:24.

c. l’Alliance avec la nation d’Israël comprenait un service détaillée de cérémonial et typique. Dans une certaine mesure, cela était également présent dans la période antérieure, mais dans la mesure où il a été introduit au Sinaï, c’était quelque chose de nouveau. Un sacerdoce distinct a été mis en place, et un continu de prédication de l’Évangile dans les symboles et les types a été introduite. Ces symboles et ces types apparaissent sous deux aspects différents: comme les exigences de Dieu imposé au peuple; et comme un message divin du Salut au peuple. Les Juifs perdu de vue ce dernier aspect et fixe son attention exclusivement sur l’ancien. Ils considéré l'Alliance de plus en plus, mais à tort, comme une Alliance des œuvres et vu dans les symboles et tape un simple appendice à cela.

d. le droit à l’Alliance du Sinaï a également servi Israël comme une règle de vie, afin que l’un Loi de Dieu suppose trois aspects différents, désignées comme la morale, la civile et la loi cérémonielle ou religieuse. Le droit civil est tout simplement l’application des principes de la loi morale à la vie sociale et civique du peuple dans toutes ses ramifications. Même les relations sociales et civiles dans lequel le peuple se tenait entre eux devait refléter la relation d’Alliance dans laquelle ils se trouvaient.

Il y a eu plusieurs opinions divergentes concernant l’Alliance du Sinaï qui méritent l’attention.

a. Coccejus a vu dans le "décalogue" une expression analytique de l’Alliance de grâce, en particulier applicable à Israël. Quand le peuple, après la création de cette Alliance nationale de grâce, est devenu infidèle et fait un veau d’or, l'Alliance juridique du service cérémonial a été institué comme une dispense plus stricte et plus sévère de l’Alliance de grâce. Ainsi, la révélation de la grâce se trouve surtout dans le "décalogue" et celui de la servitude dans la loi cérémonielle. Avant l’Alliance du Sinaï, les pères ont vécu sous la promesse. Il y avait des sacrifices, mais ce n’était pas obligatoires.

b. autres considéré la Loi comme la formule d’une nouvelle Alliance des travaux établi avec Israël. Dieu n’a pas vraiment voulu qu’Israël devrait mériter vie en gardant la Loi, étant donné que c’était devenu totalement impossible. Il voulait simplement pour essayer leurs forces et de les amener à une conscience de leur propre incapacité. Quand ils ont quitté l’Egypte, ils étaient forts dans la conviction qu’ils pouvaient faire tout ce que le Seigneur commanda; mais, au Sinaï, ils découvrent bientôt qu’ils ne le pouvaient pas. Compte tenu de leur conscience de culpabilité le Seigneur rétabli maintenant l’Alliance abrahamique de grâce, à laquelle la loi cérémonielle appartenait également. Il renverse la position de Coccejus. L’élément de la grâce se trouve dans la loi cérémonielle. C’est un peu en ligne avec la vue dispensationalistes de nos jours, qui considèrent l’Alliance du Sinaï comme une « alliance mosaïque conditionnelle des œuvres » (Scofield), contenant dans la loi cérémonielle, cependant, une préfiguration de la rédemption qui viennent dans le Christ.

c. toujours, d’autres sont d’avis que Dieu a établi trois pactes au Sinaï, un Pacte national, une Alliance de nature ou de œuvres et une Alliance de grâce. La première a été faite avec tous les Israélites et était la continuation de la ligne particulariste qui a commencé avec Abraham. Dieu exige l’obéissance externe et promet des bénédictions temporelles. La seconde était une répétition de l’Alliance des œuvres par l’octroi d’un décalogue. Et le dernier un renouvellement de l’Alliance de grâce, comme il a été établi avec Abraham, dans le don de la loi cérémonielle.

Ces vues sont tous désagréables pour plusieurs raisons: (1) ils sont contraire à l’écriture dans leur multiplication des pactes. Il est non scripturale de supposer que plus d’une Alliance a été établie au Sinaï, s’il s’agissait d’une alliance avec divers aspects. (2) ils se trompent en ce qu’ils cherchent à imposer des restrictions indues sur le Décalogue et la loi cérémonielle. Il est bien évident que la loi cérémonielle a un double aspect; et il est clair aussi que le "décalogue", bien que placer les exigences de la loi clairement à l’avant-plan, est inféodé à l’Alliance de grâce.

C. LA DISPENSATION DU NOUVEAU TESTAMENT.

Guère besoin de dire concernant la dispensation de Nouveau Testament de l'Alliance. Convient de noter les points suivants:

1. l’Alliance de grâce, comme elle est révélée dans le Nouveau Testament, est essentiellement la même que celle qui régit la relation des croyants d’ancien Testament à Dieu. Il est tout à fait injustifiée pour représenter les deux comme formant un contraste essentiel , comme le fait le dispensationalisme de nos jours. C’est tout à fait évident des Romains 4 et Galates 3. Si elle parle parfois de lui comme une alliance nouvelle, c’est suffisamment expliqué par le fait que son administration diffère en plusieurs points de celle de l’ancien Testament. Les points suivants indiqueront ce qu’on entend.

2. la dispense de Nouveau Testament diffère que de l’ancien car il est universel, c'est-à-dire, s’étend à toutes les nations. L’Alliance de grâce était à l’origine universelle; son particularisme a commencé avec Abraham et a été continué et se sont intensifié dans l’Alliance du Sinaï. Ce particularisme, cependant, n’était pas destiné à être permanent, mais pour disparaître après qu’il avait atteint son but. Même pendant la période de la Loi, il était possible pour les païens à se joignent au peuple d’Israël et donc de partager les bénédictions de l’Alliance. Et lorsque Christ a apporté son sacrifice, la bénédiction d’Abraham écoulées aux nations; — celles qui étaient loin ont été amenés.

3. la dispense de Nouveau Testament met davantage l’accent sur le caractère gracieux de l'Alliance. La promesse est très bien au premier plan. En fait, il est clairement mis en évidence que dans l’Alliance de la grâce de que Dieu donne librement ce qu’il demande. À cet égard la nouvelle dispensation se connecte vers le haut avec l’abrahamiques plutôt qu’avec l’Alliance du Sinaï, comme Paul fait clairement ressortir dans Romains 4 et Galates 3. Cela ne signifie pas, toutefois, qu’il n’y a pas de promesses gracieuses pendant la période de la Loi. Lorsque Paul dans II Corinthiens 3 oppose le ministère de la justice à celui de l’Evangile, il a en tête, en particulier le ministère de la justice comme il a été entendu par les Juifs plus tard, qui a fait l’Alliance du Sinaï une Alliance des œuvres.

4. Enfin, la dispensation de Nouveau Testament apporte des bénédictions plus riches que la dispensation de l’ancien Testament. La révélation de la grâce divine a atteint son apogée, quand le mot s’est fait chair et a habité parmi les hommes « pleine de grâce et de vérité. » Le Saint-Esprit est répandu sur l’église et hors de la plénitude de la grâce de Dieu en Christ enrichit les croyants avec la bénédiction spirituelle et éternelle. La dispensation actuelle de l’Alliance de grâce se poursuivra jusqu’au retour du Christ, lorsque la relation de l’Alliance est réalisée dans toute l’acception du mot dans une vie de communion intime avec Dieu.

QUESTIONS POUR UNE ÉTUDE PLUS APPROFONDIE. Comment l’introduction de la théorie de l’affect de Pacte la présentation de la vérité dans la théologie réformée ? Pourquoi cette doctrine n’a rencontré peu de faveur à l’extérieur des cercles réformés ? Qui étaient les premiers à introduire cette doctrine ? Ce qui caractérise la théologie fédérale de Coccejus ? Pourquoi certains insistent sur le traitement de l’Alliance de la rédemption et l’Alliance de grâce comme une alliance unique ? Pourquoi d’autres préfèrent-ils les traiter séparément ? Que peut-on dire en réponse au rejet de l’idée de Pacte désinvolte comme une fiction juridique ? Comment Christ être parti et caution dans l'Alliance même ? Contre l’idée de Blake, ce qui peut être dit que l’Alliance de grâce est une relation purement externe ? Quelles objections sont là pour l’idée des deux pactes, l’une externe et l’interne ? Pourquoi Kuyper soutiennent que le Christ et Christ seulement, est le deuxième parti de l’Alliance de grâce ? Dans quel sens il considère-t-elle que l’Alliance de grâce comme une alliance éternelle ? Ce que nous devons penser la tendance du pré-millénarisme moderne, de multiplier les pactes et les dispenses ? Comment commencé dispensationalisme modern ? Comment il conçoit la relation entre l’ancien et le Nouveau Testament ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. III, pp. 199-244; Kuyper, Dict. dogme., De Foedere, pp. 118-154; Ibid., Uit het Woord, De Leer der Verbonden; Vos, Geref. Dogme. II, pp. 76-140; Ibid., De Verbondsleer en de Geref. THEOL.; Hodge, Syst. Theol., II, p. 354-377; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 429-463; H. H. Kuyper, Hamabdil, van de Heiligheid van het Genadeverbond; A. Kuyper, Jr., De Vastigheid des Verbonds; Van den Bergh, Calvijn sur het Genadeverbond; Heppe, Dogme. der Ev-Réf. Kirche, pp. 268-293; Ibid., dogme. des Deutschen Protestantismus, II, p. 215-221; Ibid., Geschichte des Pietismus. pp. 205-240; Faire, Godgeleerdheit, II, pp. 363-412; un Marck, Godgeleerdheid, p. 463-482; Witsius, De Verbonden, pp. 255-299; Turretin, opéra, Locus XII Q. 1-12; Brakel, Redelijke Godsdienst, I, pp. 351-382; Pictet, Theol., pp. 280-284; Strong, discours sur l'Alliance, pp. 113-447; Owen, l’Alliance de grâce; GIB, Contemplations sacrées, pp. 171-389; Ball, un traité de l’Alliance de grâce; Boston, l’Alliance de grâce; Girardeau, La théologie fédérale: son importation et son Influence réglementaire (dans le Volume du Mémorial de la Semi-Centenaire du séminaire de la Colombie); W. L. Newton, Notes sur l’engagement, une étude de la théologie des prophètes (catholique romaine); Aalders, Het Verbond dieux.

 

TROISIÈME PARTIE

La Doctrine de la personne et le œuvre de Christ  

La personne du Christ

A. LA RELATION ENTRE L’ANTHROPOLOGIE ET DE LA CHRISTOLOGIE.

Il y a un lien très étroit entre la doctrine de l’homme et de la doctrine du Christ. L’ancien traite de l’homme, créé à l’image de Dieu et doué avec la vraie connaissance, la justice et la sainteté, mais par une transgression volontaire de la Loi de Dieu spolié de sa véritable humanité et transformé en un pécheur. Il indique à l’homme comme une créature extrêmement privilégiée de Dieu, portant toujours certains des traces de sa gloire originelle, mais encore comme une créature qui a perdu son droit d’aînesse, sa vraie liberté et son original droiture et sainteté. Cela signifie qu’il ordonne à attention, non pas seulement, ni même principalement, à la petitesse, mais à la nature pécheresse de l’homme. Il met l’accent sur l’éthique distance entre Dieu et l’homme, la distance résultant de la chute de l’homme, dont ni l’homme ni anges peuvent combler; et est ainsi pratiquement un appel au secours divin. Christologie est en partie la réponse à ce cri. Il nous familiarise avec le œuvre objective de Dieu dans le Christ afin de combler le fossé et de supprimer la distance. Il nous montre Dieu venue de l’homme, pour éliminer les obstacles entre Dieu et l’homme en respectant les conditions de la loi en Christ et pour restaurer l’homme dans sa communion bénie. Anthropologie souligne déjà que la fourniture gracieuse de Dieu pour un Pacte d’amitié avec l’homme, qui prévoit une vie de communion bienheureuse avec Dieu; mais c’est un Pacte qui n’est efficace que dans et par le Christ. Et c’est pourquoi la doctrine du Christ, comme le médiateur de l’Alliance, doit nécessairement suivre. Christ, caractérisé et prédit dans l’ancien Testament comme le Rédempteur de l’homme, est venu dans la plénitude des temps, tabernacle chez les hommes et d’effectuer une réconciliation éternelle.

B. LA DOCTRINE DU CHRIST AVANT LA RÉFORME.

1. JUSQU'AU CONCILE DE CHALCÉDOINE. Dans la début la littérature chrétienne que Christ se démarque aussi humaine et divine, le fils de l’homme, mais aussi le fils de Dieu. Son personnage sans péché est maintenu, et il est considéré comme un bon objet de culte. Naturellement, le problème posé par le Christ, comme à la fois Dieu et homme et les difficultés liées à une telle conception, n’étaient pas pleinement ressentie par l’esprit chrétien au début et il est seulement apparu à la lumière de la controverse. C’était, mais naturelle que le judaïsme, avec son fort accent sur le monothéisme, devrait exercer une influence considérable sur l’extraction de chrétiens de juif au début. Les Ébionites (ou une partie d'entre eux) se sentait contraint, dans l’intérêt du monothéisme, de nier la divinité du Christ. Ils le considéraient comme un simple homme, fils de Joseph et Marie, qui a été reconnue lors de son baptême à être le Messie, de la descente du Saint-Esprit sur lui. Il y a d’autres dans l’église primitive dont la doctrine du Christ a été construite sur des lignes similaires. Les Alogi, qui ont rejeté les écrits de John, parce qu’ils considéraient sa doctrine du Logos comme, en conflit avec le reste du Nouveau Testament, a également vu en Jésus un simple homme, mais miraculeusement né d’une vierge et a enseigné que le Christ est descendu sur lui au baptême , lui conférant des pouvoirs surnaturels. Pour l’essentiel, c’était aussi la position de la dynamique Monarchiens. Paul de Samosate, son principal représentant, fait la distinction entre Jésus et les Logos. Il considérait le premier comme un homme comme tout autre homme, né de Marie et le second, comme la raison divine impersonnelle, qui a repris sa demeure en Christ dans un sens éminent, depuis l’époque de son baptême et ainsi lui qualifié pour accomplir son importante tâche. Compte tenu de ce refus, il faisait partie de la tâche de la Apologetes début de défendre la doctrine de la divinité du Christ.

S’il y en a certains qui ont sacrifié la divinité à l’humanité du Christ, il y a d’autres qui a infirmé l’ordonnance. Les gnostiques ont été profondément influencés par la conception dualiste des Grecs, en question qui, intrinsèquement mal est représentée comme tout à fait opposé à l’esprit; et en une tendance mystique à considérer les choses terrestres comme des représentations allégoriques de grands cosmique échangeant des processus. Ils ont rejeté l’idée d’une incarnation, une manifestation de Dieu sous une forme visible, car il s’agissait d’un contact direct de l’esprit avec la matière. Harnack affirme que la majorité d'entre eux considéré Christ comme un esprit consubstantiel avec le père. Selon certains, il est descendu sur l’homme Jésus au moment de son baptême, mais lui a laissé avant sa crucifixion; alors que selon d’autres, il a pris un corps simplement phantasmatique. Les Monarchiens Modalistic a également rejeté l’humanité du Christ, en partie dans l’intérêt de sa divinité et en partie pour préserver l’unité de l’etre divin. Ils ont vu en lui simplement un mode ou la manifestation d’un Dieu, en qui ils ont reconnu sans distinction de personnes. Les anti-gnostique et les Pères alexandrins a pris la défense de la divinité du Christ, mais pour leur défense n’échappent pas tout à fait l’erreur de lui représenter comme subordonné au père. Tertullien même enseigné une espèce de subordination, mais surtout de Origen, qui n’a pas hésité à parler d’une subordination quant à l’essence. Ceci est devenu un tremplin pour l’Arianisme, dans laquelle le Christ se distingue par le Logos, la raison divine et est représenté comme une créature avance temporelle, surhumaine, la première des créatures, pas de Dieu et encore plus que l’homme. Athanase a contesté d’Arius et fermement défendu la position selon laquelle le fils est consubstantiel avec et de l’essence même, comme le père, une position qui a été officiellement adopté par le Concile de Nicée en 321. Le semi-Arianisme a proposé une via media en déclarant le fils d’une essence similaires comme le père.

Lorsque la doctrine de la divinité du fils a été officiellement établie, la question se pose naturellement quant à la relation dans laquelle les deux natures dans le Christ debout les uns aux autres. Apollinaire a offert une solution du problème. Accepter la conception grecque trichotomic de l’homme comme étant composée de corps, âme et esprit, il a soutenu que le Logos a pris la place de l’esprit (pneuma) chez l’homme, qu’il considérait comme le siège du péché. Son intérêt principal consistait à assurer l’unité de la personne dans le Christ, sans pour autant sacrifier son véritable divinité; et aussi pour garder le titre de Christ. Mais il l’a fait au détriment de l’humanité complète du Sauveur, et par conséquent sa position a été explicitement condamnée par le Concile de Constantinople en 381. Une des choses dont Apollinaire soutenu était l’unité de la personne dans le Christ. Que ce n’était vraiment en danger est devenu tout à fait évident dans la position adoptée par l’école d’Antioche, qui exagéré la distinction des deux natures dans le Christ. Théodore de Mopsueste et Nestorius a souligné la virilité complete de Christ et conçoit le séjour des Logos en lui comme une simple morale à demeure, tels que les croyants ont également profiter, mais pas au même degré. Ils ont vu dans le Christ un homme side by side avec Dieu, en alliance avec Dieu, en partageant l’objectif de Dieu, mais pas un seul avec lui en l’unicité d’une vie personnelle unique, — un médiateur formé de deux personnes. En opposition à eux Cyrille d’Alexandrie fortement insisté sur l’unité de la personne dans le Christ et dans l’estimation de ses adversaires a rejeté les deux natures. Alors qu’ils ont, selon toute probabilité mal compris lui, Eutychus et ses disciples certainement fait appel à lui, quand ils ont pris la position que la nature humaine du Christ a été absorbée par le divin, ou que les deux ont été fusionnés dans une nature unique, un poste impliquant la refus des deux natures dans le Christ. Le Concile de Chalcédoine en 451 a condamné tous les deux de ces points de vue et maintenu l’unité de la personne ainsi que la dualité des natures.

2. APRÈS LE CONCILE DE CHALCÉDOINE. Depuis un certain temps l’erreur Eutychien a été continuée par les Monophysites et les Monothélites, mais a été finalement surmonté par l’église. Le danger supplémentaire que la nature humaine du Christ serait considérée comme tout à fait impersonnel a été conjurée par Léonce de Byzance, lorsqu’il a fait observer qu’il n’est pas impersonnel mais en personnels, ayant sa subsistance personnelle en la personne du fils de Dieu. Jean de Damas, en qui la christologie de l’Orient a atteint son plus haut développement, a ajouté l’idée qu’il existe une circumincession du divin et l’humain dans le Christ, une communication des attributs divins à la nature humaine, afin que ce dernier est déifié et nous peut dire aussi que Dieu a souffert dans la chair. Il montre une tendance à réduire la nature humaine à la position d’un organe simple ou un instrument du Logos, mais il admet qu’il y a une coopération des deux natures, et que la personne agit et testaments dans chaque nature, bien que l’homme se sont toujours soumis à la div ine.

Dans le Western église Félix, évêque d’Urgel, préconisé l’adoptianisme. Il a considéré Christ quant à sa nature divine, autrement dit, les Logos, comme l’onlybegotten fils de Dieu dans le sens naturel, mais considéré Christ sur son côté humain comme un fils de Dieu par adoption simple. Il a cherché à préserver l’unité de la personne en insistant sur le fait que, depuis l’époque de sa conception, le fils de l’homme a été repris dans l’unité de la personne du fils de Dieu. Ainsi, une distinction a été faite entre un naturel et une filiation adoptive, et ce dernier n’a pas commencé avec la naissance naturelle du Christ, mais avait sa création au moment de son baptême et fut consommé dans la résurrection. C’était une naissance spirituelle qui a fait le Christ le fils adopté de Dieu. L’église a vu l’unité de la personne dans le Christ une fois de plus menacé par ce point de vue, et c’est pourquoi il a été condamné par le Synode de Francfort en 794 AP. J.-C.

Le moyen-âge a ajouté très peu à la doctrine de la personne du Christ. En raison des influences diverses, telles que l’accent mis sur l’imitation du Christ, les théories de l’expiation et l’élaboration de la doctrine de la messe, l’église a conservé une forte emprise sur l’humanité pleine de Christ. « La divinité du Christ, » dit Mackintosh, « est entré en vue plutôt comme l’infini coefficient soulevant l’action humaine et la passion d’une valeur infinie. » Et pourtant certains des scolastiques dans leur christologie énoncés une vue docetic de Christ. Peter le Lombard n’a pas hésité à dire qu’à l’égard de son humanité Christ n’était rien du tout. Mais ce nihilisme a été condamné par l’église. Quelques nouveaux points ont été soulignés par Thomas Aquinas. Selon lui, la personne du Logos est devenue composite à l’incarnation, et son union avec la virilité « entravé » ce dernier de parvenir à une personnalité indépendante. La nature humaine du Christ reçoit une grâce de double en vertu de son union avec le Logos, l' influence de gratia, conférant à lui une dignité spéciale, alors qu’il est même devenu un objet de culte et (b) la gratia habitualis, soutenu dedans sa relation à Dieu. La connaissance humaine du Christ était double, à savoir une infusion et une connaissance acquise. Il y a deux testaments dans le Christ, mais la causalité ultime appartient à la volonté divine, à laquelle la volonté humaine est toujours soumise.

C. LA DOCTRINE DU CHRIST APRÈS LA RÉFORME.

1. JUSQU’AU XIXE SIÈCLE. La réforme n’a pas apporté la grande variation dans la doctrine de la personne du Christ. Aussi bien l’église de Rome et les églises de la réforme souscrit à la doctrine du Christ telle qu’elle a été formulée par le Concile de Chalcédoine. Leurs différences importantes et profondes réside ailleurs. Il y a une particularité de la christologie luthérienne qui mérite une mention spéciale. Doctrine de Luther de la présence physique du Christ dans l’Eucharistie a conduit à la caractéristique luthérienne vue communicatio idiomatum, précisant « que chacune des natures du Christ imprègne les autres (périchorèse) et que son humanité participe dans les attributs de sa divinité. » [Neve, Symbolics luthérienne, p. 132.] Il est jugé que les attributs de l’omniprésence, omnipotence et omniscience ont été communiquées à la nature humaine du Christ au moment de l’incarnation. La question se pose naturellement, comment cela pouvait être harmonisé avec ce que nous savons de la vie terrestre de Jésus. Cette question a conduit à une divergence d’opinions parmi les théologiens luthériens. Certains détenus que Christ mis de côté les attributs divins reçus dans l’incarnation, ou utilisées qu’occasionnellement, tandis que d’autres ont dit qu’il a continué en possession d’eux au cours de sa vie terrestre, mais eux caché ou utilisée seulement secrètement. Certains luthériens semblent enclins à rejeter cette doctrine.

Théologiens réformés a vu dans cette doctrine luthérienne, une espèce de Eutychianism ou de la fusion des deux natures dans le Christ. Théologie réformée aussi enseigne une communication d’attributs, mais il conçoit d’une manière différente. Il est d’avis que, après l’incarnation, les propriétés de ces deux natures peuvent être attribuées à la personne du Christ. La personne du Christ peut affirmer être omniscient, mais aussi, d’avoir, mais une connaissance limitée; peut être considéré comme omniprésent, mais aussi comme se limitant à un moment donné à un seul endroit. Donc nous lisons dans la Confession helvétique: « nous reconnaissons, par conséquent, qu’il y ait dans un seul et même Jésus notre Seigneur deux natures — le divin et la nature humaine; et nous dire que ces sont alors jointes ou Unis qu’ils ne sont pas avalés, confondu, mêlés ensemble, mais plutôt unie ou réunis en une seule personne (les propriétés de chacune d’elles étant sûrs et restantes encore), alors que nous n’adorons pas un Christ, notre Seigneur et non pas deux.... C’est pourquoi nous ne pas penser ni enseigner que la nature divine dans le Christ a souffert, ou que le Christ, selon sa nature humaine, est encore dans le monde et en tout lieu. » [Chap. XI.]

2. DANS LE DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. Sur le début du XIXe siècle, un grand changement a eu lieu à l’étude de la personne du Christ. Jusqu’alors, le point de départ avait été largement théologique et la christologie qui en résulte a été théocentrique; mais au cours de la dernière partie du XVIIIe siècle, il y avait une conviction croissante que les meilleurs résultats pourraient être atteints en commençant plus proche à la maison, à savoir, par l’étude du Jésus historique. Donc ce qu’on appelle « deuxième période christologique » est inauguré. Le nouveau point de vue était anthropologique, et le résultat était anthropocentrique. Il s’est avéré pour être destructrice de la foi de l’église. Une distinction profonde et pernicieuse a été effectuée entre le Jésus historique, délimité par les auteurs des Évangiles et le Christ théologique, qui était le fruit de l’imagination fertile des penseurs théologiques, et dont l’image apparaît maintenant dans la croyances de l’église. Le surnaturel que Christ a fait place à un Jésus humain; et la doctrine des deux natures, pour la doctrine d’un homme divin.

Schleiermacher se trouvait à la tête du nouveau développement. Il considérait le Christ comme une nouvelle création, dans lequel la nature humaine est élevée au plan de la perfection idéale. Pourtant son Christ peut difficilement dire s’élever au-dessus du niveau de l’humain. La singularité de sa personne consiste dans le fait qu’il possède un sens parfait et ininterrompu de l’union avec le divin et réalise également pleinement le destin de l’homme dans son caractère de perfection sans péché. Sa dignité suprême trouve son explication dans une présence spéciale de Dieu en lui, dans sa conscience de Dieu unique. Conception de Hegel du Christ fait partie intégrante de son système panthéiste de la pensée. Le mot devenu chair signifie pour lui Dieu de s’incarner dans l’humanité, pour que l’incarnation vraiment exprime l’unicité de Dieu et l’homme. L’incarnation du Christ était, paraît-il, simplement l’aboutissement d’un processus racial. Alors que l’humanité en général considère Jésus comme un enseignant humain, foi lui reconnaît comme divine et conclut que, par sa venue dans le monde, la transcendance de Dieu se transforme en immanence. Ici nous rencontrons une identification panthéiste de l’humain et le divin dans la doctrine du Christ.

Quelque chose de ce voit aussi dans les théories kénotique, qui représentent une tentative plutôt remarquable pour améliorer la construction de la doctrine de la personne du Christ. Le terme kénose est dérivé de Philippiens 2:7, qui enseigne que le Christ « vidé (ekenosen) lui-même, en prenant la forme d’un serviteur. » Les Kenoticists prendre cela comme signifiant que les Logos devient littéralement, c'est-à-dire, a été transformés en un homme en réduisant (depotentiating) lui-même, en totalité ou en partie, aux dimensions d’un homme et ensuite augmentés dans la sagesse et la puissance jusqu'à ce qu’enfin il redevient Dieu. Cette théorie est apparue sous diverses formes, dont la plus absolue est celle de Gess et pour une temps connu une popularité considérable. Il visait à maintenir la réalité et l’intégrité de la virilité du Christ et de jeter en fort relief la grandeur de son humiliation en ce qu’il, être riche, pour notre bien est devenu pauvre. Il s’agit, cependant, une oblitération panthéiste de la ligne de démarcation entre Dieu et l’homme. Dorner, qui était le plus grand représentant de l’école Mediating, fortement opposés à ce point de vue et remplacé par la doctrine d’une incarnation progressive. Il vit dans l’humanité du Christ l’humanité nouvelle avec une réceptivité spéciale pour le divin. Les Logos, le principe d’auto-effusion en Dieu, lui-même rattaché à cette humanité; la mesure dans laquelle il a fait cela a été déterminée à chaque étape de la réceptivité croissante de la nature humaine pour le divin et n’a pas atteint sa phase finale jusqu'à la résurrection. Mais c’est simplement une nouvelle forme subtile de l’ancienne hérésie nestorienne. Il donne un Christ composé de deux personnes.

À l’exception de Schleiermacher, personne n’a exercé plus d’influence sur la théologie de nos jours que Albrecht Ritschl. Sa christologie prend son point de départ dans le travail, plutôt que dans la personne du Christ. Le œuvre du Christ détermine la dignité de sa personne. C’était un homme simple, mais vu le travail qu’il a accompli et le service qu’il a rendus, nous attribuons à juste titre lui le prédicat de divinité. Il écarte la préexistence, l’incarnation et la conception virginale du Christ, puisque cela ne trouve aucun point de contact dans la croyant de la conscience de la communauté chrétienne. Christ a été le fondateur du Royaume de Dieu, ce qui rend le dessein de Dieu lui-même et maintenant en quelque sorte incite les hommes à entrer dans la communauté chrétienne et à vivre une vie qui est motivée par l’amour. Il rachète l’homme de son enseignement, exemple et influence unique et est donc digne d’être appelé Dieu. Il s’agit pratiquement d’un renouvellement de la doctrine de Paul de Samosate.

Sur la base de l’idée moderne panthéiste de l’immanence de Dieu, la doctrine du Christ est souvent représenté de façon complètement naturaliste d’aujourd'hui. Les représentations peuvent varier considérablement, mais l’idée fondamentale est généralement le même, celui d’une unité essentielle de Dieu et l’homme. La doctrine des deux natures du Christ a disparu de la théologie moderne, et au lieu de cela, nous avons une identification panthéiste de Dieu et l’homme. Essentiellement tous les hommes sont divins, car ils ont tous un élément divin en eux; et ils sont tous fils de Dieu, du Christ ne différant que par degrés. Enseignement moderne sur le Christ est basé sur la doctrine de la continuité de Dieu et l’homme. Et c’est précisément contre cette doctrine que Barth et ceux qui adoptent une optique commune avec lui ont élevé leur voix. Il y a dans certains milieux aujourd'hui des signes d’un retour à la doctrine de deux-nature. Multi-bride avoue dans son ce qui est la foi? que pendant de nombreuses années il affirme avec certitude que l’attribution au Christ de deux natures en une seule personne a dû être abandonnée, mais maintenant voit que cela reposait sur un malentendu. [p. 155.]

QUESTIONS pour une étude plus approfondie. Ce qui était le fond de la controverse christologique dans les premiers siècles ? Quelles sont les erreurs anciennes ont été ravivées par Roscelinus et Abelard ? Quel était le nihilisme christologique en vogue parmi les disciples de Abelard ? Comment a fait Peter le Lombard Découvre Christ ? La scolastique a fait mettre tout nouveaux points en avant ? Où trouve-t-on la christologie luthérienne officiel ? Comment peut-on expliquer les représentations apparemment incompatibles de la formule de concorde ? Quelles sont les objections il l’idée luthérienne que divins attributs peut être fondée de la nature humaine ? Comment les luthériens et les réformés diffèrent dans leur interprétation de Philippiens 2:5-11 ? Comment la christologie réformée diffère-t-il de la luthérienne ? Quelle est la différence principale entre les Christologies récentes et les versions antérieures ? Quelles objections sont là pour la doctrine de la kénose ? Quelles sont les caractéristiques contestables de la christologie moderne ? Comment Barth et Brunner voient-ils Christ ?

LITTÉRATURE: la formule de concorde et de la Confession helvétique; Seeberg, histoire de la Doctrine II, p. 65, 109 f., 154 f., 229 f., 321 f., 323 f., 374, 387; Hagenbach, histoire de la Doctrine II, p. 267-275; III, pp. 197-209, 343-353; Thomasius, Dogmengeschichte II, p. 380-385; 388-429; Otten, Manuel de l’histoire des dogmes II, pp. 171-195; Heppe, Dogmatik des deutschen Protestantismus II, pp. 78-178; Dorner, histoire de la théologie protestante, 95 p. f., 201 f., 322 f.; Bruce, l’Humiliation du Christ, pp. 74-355; Mackintosh, la Doctrine de la personne de Jésus Christ, pp. 223-284; Ottley, la Doctrine de l’Incarnation, pp. 485-553, 587-671; Sanday, Christologies ancien et moderne, pp. 59-83; Schweitzer, la quête du Jésus historique; La Touche, la personne du Christ dans la pensée moderne.

 

II. les noms et les Natures du Christ

A. LES NOMS DU CHRIST.

Il y a en particulier cinq noms qui appellent pour une brève discussion à ce stade. Ils sont en partie descriptives de sa nature, en partie de sa position officielle et en partie des travaux pour lesquels il est venu au monde.

1. LE NOM DE JÉSUS. Le nom de Jésus est la forme grecque de l’hébreu Jehoshua, Josué, Josué 1:1; Zach. 3:1, ou Josué (forme ordinaire dans les livres historiques post-exilique), Esdras 2:2. La dérivation de ce nom commun du Sauveur est voilée dans l’obscurité. L’opinion généralement admise est qu’il est dérivé de racine yasha', hiph., hoshia', pour sauver, mais il n’est pas facile à expliquer comment Jehoshua«, devint Jeshua». Sans doute Hoshea', dérivé de l’infinitif, était la forme originale (cf. num. 13:8, 16; Deut 32:44), exprime simplement l’idée de rédemption. yod, qui est le signe de l’imparfait, peut ont été ajoutés pour exprimer la certitude de la rédemption. Ce serait mieux d’accord avec l’interprétation du nom donné dans Matthieu 01:21. Pour une autre dérivation de Jeho (Jéhovah) et shua, voilà aide (Gotthilf) cf. Kuyper, Dict. dogme. [De Christo, I, f. p. 56] Le nom a été porté par deux types bien connus de Jésus dans l’ancien Testament.

2. LE NOM CHRIST. Si Jésus est le personnel, le Christ est le nom officiel, du Messie. C’est l’équivalent de l’ancien Testament Mashia ' h (à partir de mashach, à l’onction) et donc signifie « l’oint ». Rois et prêtres étaient oints régulièrement au cours de l’ancienne dispensation, Ex. 29: 7; Lévitique 4:3; Juges 9:8; J’ai Sam 09:16; 10:1; II Samuel 19:10. Le roi s’appelait « l’oint de Jéhovah, » j’ai Sam. 24:10. Seulement une seule instance de l’onction d’un prophète est enregistrée, l’I rois 19:16, mais il y a probablement des références à ce Psaume 105:15 et Ésaïe 61: 1. L’huile utilisée dans l’onction de ces officiers a symbolisé l’esprit de Dieu, Esaïe 61: 1; Zach. 4:1-6 et l’onction représentant le transfert de l’esprit de la personne consacrée, j’ai Samuel 10:1, 6, 10; 16:13, 14. l’onction était un signe visible de (a) une nomination au office; (b) l’établissement d’une relation sacrée et la sacrosanctness qui en découle de la personne, oint, j’ai Sam. 24:6; 26:9; II Samuel 01:14; et (c) une communication de l’esprit à l’oint, j’ai Sam. 16:13, cf. aussi II Cor. 01:21, 22. L’ancien Testament se réfère à l’onction du Seigneur dans le Psaume 2:2; 45: 7 et le Nouveau Testament, dans Actes 10:38 et 04:27. Anciennement références se retrouvent également dans PS. 2:6 et Prov. 08:23, mais aujourd'hui hébraïsants affirment que le mot nasak, utilisé dans ces passages, signifie « de mettre en place » plutôt que « d’oindre. » Mais même voir aussi Ésaïe 11:2; 42:1. Christ a été mis en place ou nommé à ses fonctions de donc les points du mot à la réalité de la première chose symbolisée dans l’onction, l’éternité, mais historiquement son onction a eu lieu quand il a été conçu par le Saint-Esprit, Luke 01:35, et lorsqu’il reçut le Saint Esprit, surtout au moment de son baptême, Matthieu 03:16; Marquer à 01:10; Luc 03:22; John 01:32; 3:34. qu'il a servi à qualifier pour accomplir son importante tâche. Le nom « Christ » a été tout d’abord appliqué au Seigneur comme un nom commun avec l’article, mais peu à peu développés dans un nom propre et a été utilisé sans l’article.

3. LE NOM DU FILS DE L’HOMME. Dans l’ancien Testament, ce nom se trouve dans le Psaume 8:4; Dan. 07:13 et fréquemment dans la prophétie d’Ézéchiel. On le trouve aussi dans le Apochrypha, Enoch 46 et 62 et II Esdras 13. La dépendance à l’égard de l’utilisation du Nouveau Testament de celui-ci sur le passage de Daniel est maintenant généralement admis, dans cette prophétie c’est simplement une phrase descriptive et non encore un titre. La transition de l’un à l’autre a été effectuée par la suite et était apparemment déjà un fait accompli lorsque le livre d’Enoch a été écrit. C’est la plus courante auto-désignation de Jésus. Il a appliqué le nom lui-même à plus de quarante reprises, tandis que d’autres abstenu tous, mais il emploie. La seule exception dans les Évangiles est dans Jean 12:34, où il apparaît dans une citation indirecte d’une parole de Jésus; et dans le reste du Nouveau Testament seulement Stephen et John emploient, agit à 07:56; 01:13; 14:14.

Dre Vos dans son travail sur The Self-Divulgation de Jésus se divise les passages dans lesquels apparaît le nom en quatre classes: (a) les Passages qui évoquent clairement la provenance eschatologique du fils de l’homme, comme par exemple, Matthieu 16:27, 28; Marquer à 08:38; 13:26, etc. et parallèles. (b) les passages qui parlent particulièrement de Jésus souffrances, la mort et (parfois) la résurrection, comme, par exemple, Matthieu 17:22; 20:18, 19, 28; 12:40, etc. et parallèles. (c) les passages dans le quatrième Évangile, dans laquelle le côté surhumain céleste et la préexistence de Jésus est soulignée, comme par exemple, 01:51; 03:13, 14; 06:27, 53, 62; 08:28 et ainsi de suite. (d) un petit groupe de passages, dans lequel Jésus se penche sur sa nature humaine, Mark 02:27, 28; John 05:27; 06:27, 51, 62. il est difficile de déterminer pourquoi Jésus préférait ce nom comme une autodésignation. Anciennement le nom était généralement considéré comme un titre énigmatique, par l’utilisation de qui Jésus destiné à voile plutôt qu’aux révèlent sa messianité. Cette explication a été écartée lorsque la plus grande attention a été accordée à l’élément eschatologique dans les Évangiles et à l’utilisation du nom dans la littérature apocalyptique des Juifs. Dalman relancé l’idée et considéré le titre une fois de plus comme « un voiler intentionnelle du personnage messianique sous un titre qui affirme l’humanité de celui qui portait il. » [Paroles de Jésus, p. 253.] La preuve supposée pour cela se trouve dans Matthieu 16:13; John 12:34. Mais la preuve est douteuse; le dernier passage montre même que le peuple a compris le nom messianiques. Dre Vos est d’avis que Jésus a probablement préféré le nom, parce qu’il était plus éloigné retirés chaque possible prostitution juive messianique du Office de le. En appelant lui-même le fils de l’homme, Jésus a dispensé à la messianité son esprit axée sur le ciel. Et la hauteur à laquelle il a levé ainsi sa personne et travail peut bien avoir eu quelque chose à voir avec les hésitations de ses premiers disciples à lui nommer avec la plus céleste de tous les titres. [La déclaration personnelle de Jésus, p. 251 et suiv.]

4. LE NOM DE FILS DE DIEU. Le nom « Fils de Dieu » a été diversement appliquée dans l’ancien Testament: (a) au peuple d’Israël, Ex. 04:22; Jérémie 31: 9; Osée 11:1; (b) aux responsables entre Israël, surtout pour le roi a promis de la maison de David, II sam 07:14; PS. 89:27; (c) aux anges, Job 1:6; 2:1; 38: 7; PS. 29: 1; 89:6; et (d) à des gens pieux dans général, Genèse 6:2; PS. 73:15; Prov. 14:26. Entre Israël le nom a acquis une signification théocratique. Dans le Nouveau Testament, nous trouvons Jésus s’approprier le nom et autres aussi il attribuant à lui. Le nom est appliqué à Jésus dans les quatre sens différents, qui ne sont pas toujours gardées distinctes dans les Ecritures, mais sont parfois combinés. Le nom est appliqué à lui:

a. dans le sens officiel ou messianique, comme une description de l’office, plutôt que de la nature du Christ. Le Messie pourrait être appelé fils de Dieu comme héritier et le représentant de Dieu. Les démons compris évidemment le nom Messianiquement, quand ils l’ont appliquée à Jésus. Il semble avoir ce sens aussi dans Matthieu 24:36; Marc 13:32. Même le nom, tel qu’il est prononcé par la voix au baptême de Jésus et à sa transfiguration, Matthieu 03:17; 17:5; Marquer à 01:11; 9:7; Luc 03:22; 09:35, peut être ainsi interprété, mais selon toute vraisemblance, a une signification plus profonde. Il y a plusieurs passages dans lesquels le sens messianique est combiné avec le sens Trinitaire (voir point b).

b. dans le sens trinitaire. Le nom est parfois utilisé pour désigner la divinité essentielle du Christ. Comme tel, il pointe vers une filiation préexistante, qui transcende absolument la vie humaine du Christ et de son agent appel en tant que Messie. Les instances de cette utilisation sont trouvent dans Matthieu 11:27; 14:28-33; 16:16 et parallèles; 21:33-46 et parallèles; 22:41-46; 26:63 et parallels. Dans certains cas l’idée de la filiation messianique, également pénètre plus ou moins. Nous trouvons l’ontologique et la filiation messianique entrelacés également dans plusieurs passages johanniques, dans lequel Jésus clairement laisse entendre qu’il est le fils de Dieu, bien qu’il n’utilise pas le nom, comme dans 6:69; 08:16, 18, 23; 10:15, 30; 14:20 et ainsi de suite. Dans les épîtres de Christ est souvent désigné comme le fils de Dieu dans le sens métaphysique, Romains 1:3; 8:3; Galates 4:4; Hébreux 1:1 et beaucoup d’autres passages. Dans la théologie libérale moderne, il est coutume de nier la filiation métaphysique du Christ.

c. dans le sens importé. Christ est aussi appelé le fils de Dieu en vertu de sa naissance surnaturelle. Le nom est alors appliqué à lui dans le bien connu de passage dans l’Évangile de Luc, dans lequel l’origine de sa nature humaine est attribuée à la paternité directe, surnaturelle de Dieu, à savoir, Luc 01:35. Dre Vos trouve également des indications de ce sens du nom dans Matthieu 01:18-24; John 01:13. Naturellement, cette signification du nom est également rejetée par la théologie libérale moderne, qui ne croit pas en la naissance virginale, ni dans la conception surnaturelle du Christ.

d. dans l’éthico-sens religieux. C’est en ce sens que le nom « fils » ou « enfants de Dieu » est appliqué aux croyants dans le Nouveau Testament. Il est possible que nous avons un exemple de l’application du nom « Fils de Dieu » à Jésus, en ce sens d’éthico-religieux dans Matthieu 17:24-27. Cela dépend de la question, si Peter est ici représenté comme également exempter de la templetax. C’est surtout dans ce sens que la théologie libérale moderne attribue le nom de Jésus. Il constate que la filiation de Jésus est seulement une filiation éthico-religieux, quelque peu accrue en effet, mais pas essentiellement différent de celui de ses disciples.

5. le nom de Seigneur (Kurios). Le nom « Seigneur » est appliqué à Dieu dans la Septante, (a) comme l’équivalent de Jéhovah; (b) comme le rendu Adonaï; et (c) comme la traduction d’un titre honorifique humain appliqué à Dieu (principalement Adon), Josué 03:11; PS. 97:5. Dans le Nouveau Testament, nous trouvons un peu similaires triple demande du nom de Christ, (a) comme une forme polie et respectueuse de l’adresse, Matthieu 8:2; 20:33; (b) sous le nom expressif de la propriété et autorité, sans que quoi que ce soit implique quant à caractère divin du Christ et l’autorité, mat. 21:3; 24:42; et (c) avec la connotation plus haute autorité expressif de caractère exalté et en fait pratiquement équivalent au nom de « Dieu » Marquez 12:36, 37; Luc 02:11; 3:4; Actes à 02:36; I Corinthiens 12:3; Phil. 02:11. Dans certains cas, il est difficile de déterminer la connotation exacte du titre. Sans aucun doute, après l’exaltation du Christ, le nom a été généralement appliqué à lui dans le sens le plus élevé. Mais il existe des cas de son utilisation avant même de la résurrection, où l’importation spécifiquement divine du titre a manifestement déjà été atteint, comme dans Matthieu 07:22; Luc 5:8; John 20:28. Il y a une grande divergence d’opinions entre les savants concernant l’origine et le développement de ce titre, telle qu’appliquée à Jésus. En dépit de tout ce qui a été avancé à l’effet contraire, il n’y a aucune raison de douter que l’utilisation du nom, tel qu’appliqué à Jésus, s’enracine dans l’ancien Testament. Il y a un élément constant dans l’histoire de la conception, et c’est l’élément de propriété qui fait autoritaire. Les épîtres de Paul suggèrent l’idée supplémentaire qu’il est une autorité et la propriété reposant sur antérieurement des droits acquis. Il est douteux, si cet élément est déjà présent dans les Évangiles.

B. LES NATURES DU CHRIST.

Dès les premiers temps et plus particulièrement depuis le Concile de Chalcédoine, l’église a avoué la doctrine des deux natures du Christ. Le Conseil n’a pas résolu le problème posé par une personne qui était à la fois humaine et divine, mais seulement cherché à éloigner les quelques-unes des solutions qui ont été proposées et ont été clairement reconnues comme erronée. Et l’église a accepté la doctrine des deux natures en une seule personne, non pas parce qu’il avait une compréhension complète du mystère, mais parce qu’il a clairement vu en lui un mystère révélé par la parole de Dieu. Il a été et est restée depuis lors pour l’église, un article de foi, bien au-delà de la compréhension humaine. Les attaques sur la doctrine rationalistes ne manquaient pas entièrement, mais l’église est restée ferme dans la confession de cette vérité, en dépit du fait qu’il a été déclaré une fois et encore une fois d’être contraire à la raison. Dans cette confession catholiques romains et Protestants serrons. Mais depuis la dernière partie du XVIIIe siècle sur cette doctrine a été la cible des attaques persistantes. L’âge de raison prévue, et il a été déclaré indigne de l’homme à accepter l’autorité de l’écriture ce qui était clairement contraire à la raison humaine. Ce qui ne pas elle-même recommande à ce nouvel arbitre déclarait simplement erronée. Théologiens et philosophes individuels maintenant essayé leur main à résoudre le problème posé par le Christ, afin qu’ils pourraient offrir à l’église un substitut pour la doctrine de deux-nature. Ils ont pris leur point de départ dans le Jésus humain et même après un siècle de recherches minutieuses trouvent en Jésus ne dépasse pas un homme avec un élément divin en lui. Ils ne pourraient pas augmenter à la reconnaissance de lui comme leur Seigneur et leur Dieu. Schleiermacher a parlé d’un homme avec une conscience de Dieu suprême, Ritschl, d’un homme ayant la valeur d’un Dieu, Wendt, d’un homme debout dans une bourse de recherche vers l’intérieur continue d’amour avec Dieu, Beyschlag, d’un homme rempli de Dieu et Sanday, d’un homme avec d’irruption du divin dans le s UB-conscience; — mais Christ est et demeure simplement un homme. Aujourd'hui l’école libérale représentée par Harnack, l’école eschatologique de Weiss et Schweitzer et l’école la plus récente de religions comparées, dirigée par Bousset et Kirsopp Lake, tous d’accord en dépouillant de Christ de sa divinité vraie et à lui réduire à l’humain Dimensions. À la première, notre Seigneur est simplement un grand enseignant éthique; à la seconde, une voyante apocalyptique; et le troisième un leader hors pair à un destin exalté. Ils considèrent le Christ de l’église comme la création de l’hellénisme, ou du judaïsme ou des deux combinés. Aujourd'hui, cependant, l’épistémologie entier du siècle précédent est mis en cause, et le caractère suffisant de la raison humaine pour l’interprétation de la vérité ultime est sérieusement remis en cause. Il y a l’accent sur la révélation. Et les théologiens influents, comme Barth et Brunner, Edwin Lewis et Nathaniel Micklem, n’hésitent pas à confesser la foi une fois de plus dans la doctrine des deux natures. Il est primordial de maintenir cette doctrine, car elle a été formulée par le Concile de Chalcédoine et figure dans nos normes confessionnelles. [Conf. Belg., Art. XIX; Cat. Heidelberg, Qs. 15-18; Canons de Dort II, Art. IV.]

1. L'ÉCRITURE ET LES PREUVES DE LA DIVINITÉ DU CHRIST. Compte tenu du refus généralisé de la divinité du Christ, il est primordial d’être bien au fait de la preuve de l’écriture pour elle. La preuve en est si abondante que nul qui accepte la Bible comme la parole infaillible de Dieu peut connaître aucun doute sur ce point. Pour la classification ordinaire des preuves bibliques, tel qu’il découle des noms divins, les attributs divins, les oeuvres divines et l’honneur divin lui sont imputé, nous renvoyons au chapitre sur la Trinité. Une disposition légèrement différente est suivie ici, compte tenu de la tendance récente de la critique historique.

a. dans l’ancien Testament. Certains ont montré une tendance à nier que l’ancien Testament contient des prédictions d’un Messie divin, mais ce refus est tout à fait insoutenable au vu de ces passages comme PS. 2:6-12 (Héb. 1:5); 45: 6, 7 (Hébreux 1:8, 9); 110: 1 (Héb. 01:13); Ésaïe 9:6; Jérémie 23:6; Dan. 07:13; Michée 5:2; Zach. 13:7; Malachie 3:1. Plusieurs des derniers érudits historiques fortement insistent sur le fait que la doctrine d’un Messie surhumaine était originaire du judaïsme pré-chrétien. Certains même trouvent l’explication de la christologie surnaturelle des parties du Nouveau Testament.

b. dans les écrits de Jean et Paul. Il est apparu tout à fait impossible de nier que Jean et Paul enseignent la divinité du Christ. Dans l’Évangile de Jean se trouve la vue le plus élevée de la personne du Christ, tel qu’il appert les passages suivants: John 1:1-3,14,18; 02:24, 25; 03:16-18,35,36; 04:14, 15; 05:18, 20, 21, 22, 25-27; 11:41-44; 20:28; J’ai John 1:3; 02:23; 04:14, 15; 5:5, 10-13, 20. Une opinion semblable se trouve dans les épîtres et dans l’épître aux Hébreux, Romains 1:7; 9:5; J’ai Cor. 1:1-3; 2:8; II Corinthiens 05:10; GAL 02:20; 4:4; Philippiens 2:6; Colossiens 2:9; J’ai Timothée 03:16; Hébreux 1:1-3,5,8; 04:14; 5:8 et ainsi de suite. Les disciples critiques a cherché à échapper à la doctrine enseignée clairement dans ces écrits de diverses manières comme, par exemple, en refusant l’historicité de l’Évangile de Jean et de l’authenticité d’un grand nombre des Épîtres de Paul; par en ce qui concerne les représentations de John, Paul et Hébreux comme interprétations injustifiées, dans le cas de John et Hébreux surtout sous l’influence de la doctrine du Philonic Logos et dans le cas de Paul sous la même influence, soit sous celui de son vues avant le christianisme, Juifs; ou en attribuant à Paul une plus faible vue supérieure à celle de John, à savoir, celle du Christ comme un homme préexistant, céleste.

c. dans les synoptiques. Certains soutiennent que les synoptiques nous fournissent uniquement une image fidèle du Christ. Ils ont, dit-on, de dépeindre l’homme, le Jésus véritablement historique, qui contraste avec l’image idéalisée du quatrième Évangile. Mais il est parfaitement évident que le Christ de la Synoptics est juste aussi véritablement divin comme le Christ de Jean. Il se distingue comme une personne surnaturelle dans l’ensemble, le fils de l’homme et le fils de Dieu. Son caractère et ses œuvres justifier sa demande. Notez en particulier les passages suivants: Matthieu 05:17; 9:6; 11:1-6,27; 14:33; 16:16, 17; 28.18; 25: 31 ff.; Marquer à 08:38 et nombreux passages parallèles et similaires. De Dr. Warfield The Lord of Glory est très éclairante sur ce point.

d. dans la soi-conscience de Jésus. Ces dernières années il y a eu une tendance à revenir à la soi-conscience de Jésuset de nier qu’il était conscient d’être le Messie ou le fils de Dieu. Naturellement, il n’est pas possible d’avoir aucune connaissance de la conscience de Jésus, sauf par le biais de ses paroles, car elles sont enregistrées dans les Évangiles; et il est toujours possible de refuser qu’ils expriment correctement l’esprit de Jésus. Pour ceux qui acceptent le témoignage de l’Évangile il ne peut y avoir aucun doute sur le fait que Jésus était conscient d’être le fils de Dieu très. Les passages suivants en témoignent: Matthieu 11:27 (Luc 10:22); 21:37, 38 (Marc 12:6; Luc 20:13); 22:41-46 (Marc 13:35-37; Luc 20:41-44); 24:36 (Marc 13:32); 28:19. que certains de ces passages témoignent de conscience messianique de Jésus; d’autres sur le fait qu’il était conscient d’être le fils de Dieu dans le sens le plus élevé. Il y a plusieurs passages dans Matthieu et Luc, dans laquelle il parle de la première personne de la Trinité comme « mon père, » Matthieu 07:21; 10:32, 33; 11:27; 12:50; 15:13; 16:17; 18:10, 19, 35; 20:23; 25: 34; 26: 29, 53; Luc 02:49; 22:29; 24:49. dans l’Évangile de Jean la conscience d’être le fils de Dieu même est encore plus évident dans ces passages comme John 03:13; 05:17, 18, 19-27; 06:37-40,57; 08:34-36; 10:17, 18, 30, 35, 36 et autres passages.

2. L'ÉCRITURE ET LA PREUVE POUR L’HUMANITÉ VÉRITABLE DE CHRIST. Il est un temps, quand la réalité (le Gnosticisme) et l’intégrité physique (docétisme, Apollinarianism), de la nature humaine du Christ a été refusée, mais à l’heure actuelle que personne sérieusement en question la réelle humanité de Jésus Christ. En fait, il est à l’heure actuelle une extrême importance sur sa véritable humanité, une humanité sans cesse croissante. La seule Divinité beaucoup attribuent encore au Christ, est tout simplement celui de son humanité parfaite. Cette tendance moderne est, sans doute en partie une protestation contre un accent unilatérale sur la divinité du Christ. Hommes ont parfois oublié le Christ humain dans leur vénération pour le divin. Il est très important de maintenir la réalité et l’intégrité de l’humanité de Jésus en admettant son développement humain et les limites humaines. La splendeur de sa divinité pas faut souligner dans la mesure de masquer sa véritable humanité. Jésus lui-même appelé homme et est ainsi appelé par d’autres, John 08:40; Actes à 02:22; ROM. 05:15; I Corinthiens 15:21. La plus courante auto-désignation de Jésus, « le fils de l’homme, » toute connotation qu’elle peut avoir, certainement aussi indique la véritable humanité de Jésus. En outre, il est dit que le Seigneur est venu ou qu’il a été manifesté dans la chair, John 01:14; J’ai Timothée 03:16; I Jean 4:2. Dans ces passages, le terme « chair » désigne la nature humaine. La Bible indique clairement que Jésus possédait les éléments essentiels de la nature humaine, c'est-à-dire un corps matériel et une âme rationnelle, Matthieu 26: 26, 28, 38; Luc 23:46; 24:39; John 11:33; Héb. 02:14. Il y a aussi des passages qui montrent que Jésus était assujetti aux lois ordinaires du développement humain et à des désirs humains et les souffrances, Luc 02:40, 52; Héb. 02:10, 18; 5:8. il est mis en évidence en détail que les expériences normales de la vie de l’homme étaient les siennes, Matthieu 4:2; 08:24; 09:36; Marc 3:5; Luc 22:44; John 4:6; 11:35; 12:27; 19:28, 30; Hébreux 5:7.

3. L'ECRITURE ET LA PREUVE POUR L’HUMANITÉ DE CHRIST EXEMPTE DE PÉCHÉ. Nous attribuons à Christ non seulement naturel, mais aussi moral, l’intégrité ou la perfection morale, c’est péché. Cela ne signifie pas simplement que le Christ pourrait éviter de pécher (peccare non potuit) et n’a effectivement évité il, mais aussi qu’il était impossible pour lui de péché (non potuit peccare) en raison de la liaison essentielle entre l’humain et la nature divine. L’innocence du Christ a été refusé par Martineau, Irving, Menken, Holsten et Pfleiderer, mais la Bible témoigne clairement d’elle dans les passages suivants: Luc 01:35; John 08:46; 14:30; II Corinthiens 05:21; Héb. 04:15; 09:14; J’ai PET. 02:22; I Jean 3:5. Alors que le Christ a fait devenir péché judiciairement, encore sur le plan éthique il était libre de dépravation héréditaire et péché actuel. Il ne fait jamais un aveu d’erreur morale; ni est il joindra ses disciples dans la prière, « pardonne-nous nos péchés. » Il est capable de défier ses ennemis à le convaincre de péché. L’écriture même lui représente que celui dans lequel est réalisé l’homme idéal, Héb. 2:8, 9; I Corinthiens 15:45; II Corinthiens 03:18; Phil. 03:21. En outre, le nom « Fils de l’homme, » a ouvert un crédit par Jésus, semble intime qu’il répond à l’idéal parfait de l’humanité.

4. LA NÉCESSITÉ DES DEUX NATURES DANS LE CHRIST. Il ressort de ce qui précède que, de nos jours, beaucoup ne reconnaissent pas la nécessité d’assumer deux natures dans le Christ. Pour eux Jésus n’est qu’un homme; mais dans le même temps, ils se sentent contraints de n’attribuer à lui la valeur d’un Dieu, ou de demander la divinité pour lui en vertu de l’immanence de Dieu en lui, ou de l’esprit intérieur. La nécessité des deux natures dans le Christ découle de ce qui est essentiel à la doctrine biblique de l’expiation.

a. la nécessité de sa virilité. Comme l’homme de péché, il a fallu que la peine devait être supportée par l’homme. De plus, le paiement de la pénalité impliqué des souffrances du corps et âme, comme seul l’homme est capable de palier, John 12:27; Actes 03:18; Héb. 02:14; 9:22. il fallait que Christ doit assumer la nature humaine, non seulement avec toutes ses propriétés essentielles, mais aussi avec tous les infirmités à laquelle il est responsable après la chute et doit donc descendre dans les profondeurs de dégradation à laquelle l’homme était tombé, Héb. 02:17, 18. Dans le même temps, il devait être un homme sans péché, pour un homme qui était lui-même un pécheur, et qui avait perdu son droit de sa propre vie, ne pouvait certainement pas expier pour d’autres, Héb. 07:26. Seulement cet vraiment humain médiateur, qui avait une connaissance expérimentale des malheurs de l’humanité et rose supérieure à toutes les tentations, pourrait conclure avec bienveillance toutes les expériences, les épreuves et les tentations de l’homme, Héb. 02:17, 18; 04:15-5:2, et être un exemple humain parfait pour ses disciples, Matthieu 11:29; Marc 10:39; Jean 13:13-15; Philippiens 2:5-8; Hébreux 12:2-4; J’ai PET. 02:21.

b. la nécessité de sa divinité. Dans le plan divin du Salut, il est absolument essentiel que le Médiateur devrait également être Dieu. C’était nécessaire, afin que (1) qu’il pourrait apporter un sacrifice de valeur infinie et rendre parfaite obéissance à la Loi de Dieu; (2) il peut supporter la colère de Dieu rédemptrice, c'est-à-dire pour libérer d’autres de la malédiction de la Loi; et (3) il peut être en mesure d’appliquer le fruit de son travail accompli pour ceux qui ont accepté de lui par la foi. L’homme de sa vie de faillite peut payer la pénalité du péché, ni rendre parfaite obéissance à Dieu. Il peut supporter la colère de Dieu et, à l’exception de la grâce rédemptrice de Dieu, auront à supporter éternellement, mais il ne peut supporter de façon à ouvrir un moyen d’évasion, Psaume 49: 7-10; 130:3.

QUESTIONS pour une étude plus approfondie. Quelles personnes de l’ancien Testament portaient le nom de « Jésus », et dans quelle mesure ils caractérisent le Sauveur ? Est le titre nu « le Messie, » sans un génitif ou d’un suffixe pronominal, jamais trouvé dans l’ancien Testament ? Comment Dalman comptabilise-t-il son apparition dans la littérature apocalyptique juive ? Faire les termes « l’oint de Jéhovah, » « Son oint » et « mon oint » ont toujours la même signification dans l’ancien Testament ? D'où vient l’idée que les croyants partagent l’onction du Christ ? Qu’en est-il l’idée que le nom de « Fils de l’homme, » réduit à sa probable araméen original, signifie simplement « homme » ? Que diriez-vous l’idée de Weiss et Schweitzer que Jésus a employé le nom seulement dans un sens futuriste ? Il l’utilise avant la confession de pierre à Cæsarea-Philippes ? Comment les libéraux concilier leur conception de Jésus comme le fils de Dieu seulement dans un sens religieux et éthique avec les données de l’écriture ? Ce qui est la vue habituelle de l’origine du Kurios-titre ? Ce que la théorie a été abordée par Bousset et d’autres spécialistes libéraux ? Comment expliquer l’opposition à la doctrine de deux-natures ? C’est une doctrine nécessaire, ou existe-t-il une autre doctrine que pourrait prendre sa place ? Quelles sont les objections il à la doctrine recourt; — aux théories kénotique; — à l’idée d’une incarnation progressive; — à la vue de Ritschlian; — à la théorie de Sanday ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. III, pp. 259-265, 328-335, 394-396; Kuyper, Dict. dogme., De Christo j’ai, pp. 44-61, 128-153; II, pp. 2-23; Hodge, Syst. Theol. II, pp. 378-387; Dabney, syst et trouvailles. THEOL. p. 464-477; Vos, Geref. Dogme. III, pp. 1-31; Ibid.. The Self-Divulgation de Jésus, p. 104-256; Ibid.. sur le Kurios-titre, Princeton théol. Review, Vol. XIII, p. 151 ff.; Vol. XV, p. 21 ff.; Dalman, les paroles de Jésus, p. 234-331; Warfield, le Seigneur de gloire, cf. Index; Liddon, La divinité de notre Seigneur, LECT V; Rostron, la christologie de Saint Paul, p. 154 ff.; Machen, la Religionde l’origine de Saint-Paul, pp. 293-317; Stanton, Messie juif et le chrétien , p. 239-250.

 

III. l'Unipersonnalité du Christ

En l’an 451 après JC le Concile de Chalcédoine a rencontré formulé la foi de l’église concernant la personne de Christ et déclaré qu’il « faut reconnaître en deux natures, inconfusedly, immuablement, indissociable, inseperably; la distinction des natures étant emmenés par le syndicat, mais plutôt la propriété de chaque nature préservée et une seule personne et une subsistance, qui a souscrit en aucune pas séparés ou divisé en deux personnes. » Cette formulation est principalement négative et cherche simplement à protéger la vérité contre diverses vues hérétiques. Clairement, il affirme la foi de l’église primitive concernant la personne du Christ, mais ne fait aucune tentative pour expliquer le mystère impliqué, un mystère qui n’est pas susceptible d’une explication naturelle. Le grand miracle de central de l’histoire a été autorisé à subir de suite dans toute sa grandeur, le paradoxe suprême, d’utiliser la langue barthienne, Dieu et l’homme chez une personne. On nous dit simplement ce que Jésus est, sans aucune tentative de montrer comment il est devenu ce qu’il est. La grande vérité énoncée est que le fils éternel de Dieu a pris sur lui notre humanité et non, comme Brunner nous rappelle que l’homme Jésus a acquis la divinité. La délivrance du Concile de Chalcédoine témoigne d’un mouvement de Dieu pour l’homme, plutôt que l’inverse. Siècles se sont écoulés depuis cette époque, mais, si l'on excepte certaines explications, l’église n’a jamais vraiment eu au-delà de la formule de Chalcédoine. Il a toujours reconnu l’incarnation comme un mystère qui défie toute explication. Ainsi, il restera, car c’est le miracle des miracles. Plusieurs tentatives ont été faites en cours de temps à donner une explication psychologique de la personne de Jésus Christ, mais elles étaient toutes vouées à l’échec, car il est le fils de Dieu, lui-même, vrai Dieu, et une explication psychologique de Dieu est hors de question. Les paragraphes qui suivent sont conçues comme un bref exposé de la doctrine de l’église.

A. DÉCLARATION DE L’ÉGLISE CONCERNANT LA PERSONNE DU CHRIST.

1. DÉFINITION DES TERMES « NATURE » ET « PERSONNE ». En vue de la bonne compréhension de la doctrine, il est nécessaire de connaître le sens exact des termes « nature » et « personne » utilisé à cet égard. Le mot « nature » désigne la somme totale de toutes les qualités essentielles d’une chose, que ce qui rend ce qu’il est. Un caractère est une substance possédée en commun, avec toutes les qualités essentielles de cette substance. Le terme « personne » désigne une substance complète douée de raison et, en conséquence, un sujet responsable de ses propres actions. La personnalité n’est pas une partie essentielle et intégrante de la nature, mais est, en quelque sorte, le terminus auquel il tend. Une personne est une nature avec quelque chose a ajouté, à savoir, la subsistance indépendante, individualité. Maintenant, le Logos a assumé la nature humaine qui n’est pas personnalisée, qui n’existait pas par lui-même.

2. LES PROPOSITIONS DANS LEQUEL ON PEUT AFFIRMER LA VISION DE L’ÉGLISE.

a. il y a mais une seule personne dans le médiateur, les Logos immuables. Les Logos fournit le fondement de la personnalité du Christ. Il serait pas correct, cependant, de dire que la personne du médiateur n’est divine. L’incarnation lui constituait une personne complexe, constituée de deux natures. Il est le gourou.

b. la nature humaine du Christ, comme tel, ne constitue pas une personne humaine. Le Logos n’adopte pas une personne humaine, afin que nous disposions de deux personnes dans le médiateur, mais simplement a assumé la nature humaine. Brunner déclare que c’est le mystère de la personne de Jésus-Christ, qu’au point où nous avons une personne coupable, il a, ou plutôt est, la personne divine du Logos.

c. dans le même temps, il n’est pas exact de parler de la nature humaine du Christ comme impersonnel. C’est vrai qu’en ce sens que cette nature n’a aucune subsistance indépendante de ses propres. Strictement parlant, cependant, la nature humaine du Christ n’était pas un instant impersonnel. Les Logos suppose que la nature en subsistance personnelle avec lui-même. La nature humaine a son existence personnelle en la personne du Logos. C’est dans personnelles plutôt qu’impersonnel.

d. pour cette raison, nous ne sommes pas justifiés de parler de la nature humaine du Christ comme imparfait ou incomplètes. Sa nature humaine ne manque pas dans l’une des qualités essentielles appartenant à cette nature et dispose également d’individualité, c'est-à-dire de subsistance personnelle, en la personne du fils de Dieu.

e. cette subsistance personnelle ne doit pas être confondu avec la conscience et le libre arbitre. Le fait que la nature humaine du Christ, en soi, n’a aucune existence personnelle, ne signifie pas qu’elle n’a aucune conscience et qu’il sera. L’église a adopté la position qu’elles appartiennent à la nature plutôt qu’à la personne.

f. la personne divine, qui possédait une nature divine de toute éternité, a assumé la nature humaine et a maintenant tous les deux. Cela doit être maintenue par rapport à ceux qui, tout en admettant que la personne divine a assumé une nature humaine, de compromettre l’intégrité des deux natures en concevant l’eux comme ayant été fusionnés ou mélangé dans un tertium quid, une sorte de nature divine et humaine .

B. LA PREUVE SCRIPTURAIRE POUR L'UNI-PERSONNALITÉ DU CHRIST.

La doctrine des deux natures en une seule personne transcende la raison humaine. Il est l’expression d’une réalité suprasensible et d’un mystère incompréhensible, qui n’a aucune analogie dans la vie de l’homme telle que nous la connaissons, ne trouve aucun appui dans la raison humaine et par conséquent ne peut être acceptée par la foi sur l’autorité de la parole de Dieu. Pour cette raison, il est doublement nécessaire de porter une attention particulière à l’enseignement de l’écriture sur ce point.

1. AUCUNE PREUVE D’UNE DOUBLE PERSONNALITÉ DANS L’ÉCRITURE. En premier lieu, il y a un examen négatif d’une importance considérable. S’il y avait eu une double personnalité en Jésus, on s’attendrait naturellement à trouver quelques traces de celui-ci dans l’écriture; mais il n’y a pas une seule trace de celui-ci. Il n’y a pas de distinction d’un « je » et un « tu » dans la vie intérieure du médiateur, comme nous trouvons dans le cadre de cours du Dieu triune, où une personne aborde l’autre, Psaume 2:7; 40:7, 8; Jean 17:1, 4, 5, 21-24. En outre, Jésus a jamais utilise le pluriel en se référant à lui-même, comme Dieu le fait en 01:26; 03:22; 11:7. il peut sembler comme si John 03:11 ont été un exemple concret. Le pluriel est particulière, mais selon toute vraisemblance se réfère à Jésus et ceux qui avaient des liens avec lui, en opposition à Nicodème et le groupe qu’il représente.

2. LES DEUX NATURES SONT REPRÉSENTÉS DANS L’ÉCRITURE COMME UNIS DANS UNE SEULE PERSONNE. Il existe des passages de l’écriture qui se référence à deux natures dans le Christ, mais dans lequel il est parfaitement évident que seule une personne est prévue, Rom. 1:3, 4; Galates 4:4, 5; Philippiens 2:6-11. Dans plusieurs passages les deux natures sont énoncés comme unie. La Bible, nulle part enseigne que divinité dans l’abstrait, ou une puissance divine, était unie à, ou se manifestent, dans une nature humaine; mais toujours que la nature divine dans le béton, c'est-à-dire la personne divine du fils de Dieu, a été rattachée à une nature humaine, John 01:14; Romains 8:3; Galates 4:4; 9:5; J’ai Timothée 03:16; Héb. 02:11-14; I Jean 4:2, 3.

3. UNE PERSONNE PARLE DE LUI EN TERMES DE L’UNE DES VRAIES NATURES. À plusieurs reprises les attributs d’une nature reposent de la personne, alors que cette personne est désignée par un titre dérivé de l’autre nature. D’une part les qualités humaines et les actions reposent de la personne alors qu’il est désigné par un titre divin, actes 20:28; J’ai Cor. 2:8; 01:13, 14. Et en revanche divins attributs et mesures reposent de la personne alors qu’il est désigné par un titre humain, John 03:13; 6:62; Romains 9:5.

C. LES EFFETS DE L’UNION DES DEUX NATURES EN UNE SEULE PERSONNE.

1. AUCUN CHANGEMENT ESSENTIEL À LA NATURE DIVINE. La doctrine de la création et la doctrine de l’incarnation toujours constituent un problème dans le cadre de l’immutabilité de Dieu. Cela a déjà fait observer dans la discussion de cet attribut. Toutefois, ce problème peut être résolu, il devrait être maintenu que la nature divine n’a pas subi un changement essentiel dans l’incarnation. Cela signifie également qu’il est resté impassible, c'est-à-dire, incapable de la souffrance et la mort, contre l’ignorance et aide à la faiblesse et la tentation. Il est bon de souligner le fait que l’incarnation est un acte personnel. Il est préférable de dire que la personne du fils de Dieu s’est incarné que de dire que la nature divine a assumé la chair humaine. Si les théologiens réformés parlent parfois de la nature divine comme incarné, ils en parlent « pas immédiatement mais médiatement, » pour reprendre les termes de la théologie scolastique; ils considèrent cette nature pas absolument et en soi, mais en la personne du fils de Dieu. Le résultat de l’incarnation fut que le divin Sauveur pourrait être ignorant et faible, pourrait être tenté et pourrait souffrir et mourir, pas dans sa nature divine, mais intentée, en vertu de sa possession de la nature humaine.

2. UNE COMMUNICATION TRIPLE RÉSULTE DE L’INCARNATION.

a. une communicatio idiomatum, communiquer ou des propriétés. Cela signifie que les propriétés de l’homme et la nature divine, sont maintenant la propriété de la personne et sont donc attribuées à la personne. La personne peut être considérée comme tout-puissant, omniscient, omniprésent et ainsi de suite, mais peut aussi être appelée un homme de douleurs, de puissance et de la connaissance limitée et sous réserve de misères et humain que vous souhaitez. Il faut veiller à ne pas comprendre le terme qui désigne toute particulière à la nature divine a été communiquée à la nature humaine, ou vice versa; ou qu’il existe une interpénétration des deux natures, à la suite de laquelle le divin est humanisé, et l’homme est divinisé (Rome). La divinité ne peut pas partager des faiblesses humaines; ni l’homme peut participer dans l’une des perfections de la divinité essentielles.

b. A communicatio apotelesmatum ou operationum. Cela signifie que le œuvre rédemptrice du Christ et en particulier le résultat final de ce travail, apotelesma, porte un caractère divine et humaine. Cette analyse, nous pouvons dire que cela signifie: (1) que la cause efficiente de le œuvre rédemptrice du Christ est l’un sujet personnel indivis dans le Christ; (2) qu’il est causé par la coopération des deux natures; (3) que chacune de ces natures fonctionne avec son propre spécial energeia; et (4) que, malgré cela, le résultat forme une unité indivisible, parce que c’est le travail d’une seule personne.

c. A communicatio charismatum ou gratiarum. Cela signifie que la nature humaine du Christ, dès les premiers instants de son existence, était orné de toutes sortes de cadeaux riches et glorieux, comme par exemple, (1) l' influence de gratia cum persona tou Logou, autrement dit, la grâce et la gloire d’être Unis à la la divine Logos, aussi appelé eminentiae à titre gracieux, par lequel la nature humaine est haut élevé au-dessus de toutes les créatures et devient même l’objet de l’adoration; et (2) la gratia habitualis, composé de ces dons de l’esprit, en particulier de l’intellect, de la volonté et du pouvoir, en qui la nature humaine du Christ a été exalté haut créatures intelligentes avant tout. Son impeccabilité, le posse non peccare, en particulier doit être mentionnée ici.

3. L’HOMME-DIEU EST L’OBJET DE LA PRIÈRE. Un autre effet de l’union, c’est que le médiateur tout comme il existe maintenant, c'est-à-dire dans les deux natures, est l’objet de notre prière. Il faut avoir à l’esprit que l' honneur adorationis n’appartient pas à la nature humaine comme telle, mais appartient à lui seul en vertu de son union avec le Logos divin, qui est dans sa nature même adorabilis. Il faut distinguer entre l’objet et le motif de cette adoration. L’objet de notre culte religieux est l’homme-Dieu Jésus Christ, mais la terre sur laquelle nous adorons lui réside dans la personne du Logos.

D. LA UNI-PERSONNALITÉ DU CHRIST UN MYSTÈRE.

L’union des deux natures en une seule personne est un mystère que nous ne pouvons pas saisir, et qui pour cette raison est souvent refusée. Il a parfois été comparé avec l’union des corps et l’âme chez l’homme; et il y a quelques points de similitude. Chez l’homme il sont deux substances, la matière et l’esprit, plus étroitement Unis et encore pas mélangés; donc aussi dans le médiateur. Dans le principe de l’unité de l’homme, la personne, n’a pas son siège dans le corps, mais dans l’âme; le Mediator, pas chez l’humain, mais dans la nature divine. L’influence de l’âme sur le corps et le corps sur l’âme est un mystère, donc aussi la connexion des deux natures dans le Christ et leur influence mutuelle les uns des autres. Tout ce qui se passe dans le corps et l’âme est attribué à la personne; donc tout ce qui se passe dans les deux natures du Christ repose de la personne. Parfois, un homme est libellé selon son élément spirituel, quand quelque chose se fonde de celui qui s’applique plus particulièrement à l’organisme et vice versa. De même les choses qui s’appliquent uniquement à la nature humaine du Christ sont attribuées à lui quand il est nommé d’après sa nature divine et vice versa. Comme c’est un honneur pour le corps à s’unir avec l’âme, donc c’est un honneur pour la nature humaine du Christ s’unir avec la personne du Logos. Bien sûr, la comparaison est défectueuse. Il n’illustre pas l’union du divin et l’humain, de l’infini et le fini. Il n’illustre pas même l’unité de deux natures spirituelles dans une seule personne. Dans le cas de l’homme, le corps est matériel et l’âme est spirituelle. C’est une merveilleuse union, mais pas aussi merveilleux que l’union des deux natures dans le Christ.

E. LA DOCTRINE LUTHÉRIENNE DE LA COMMUNICATION D’ATTRIBUTS.

1. L'ÉNONCÉ DE LA POSITION LUTHÉRIENNE. Les luthériens se distinguent les réformés dans leur doctrine de communicatio idiomatum. Ils enseignent que les attributs d’une nature sont attribués à l’autre sur la base d’un transfert réel et pense que c’est seulement par un tel transfert que vous pouvez fixer l’unité réelle de la personne. Cette position n’implique pas un déni du fait que les attributs des deux natures peuvent être attribuées à la personne, mais il ajoute quelque chose à cela dans l’intérêt, comme ils la voient, de l’unité de la personne. Ils ne précisaient pas toujours leur doctrine sous la même forme. Luther et certains des premiers luthériens occasionnellement a parlé d’une communication dans les deux sens, de la nature divine de l’homme et aussi de l’humain au divin. Toutefois, dans le développement ultérieur de la doctrine, la communication de la nature humaine à la volonté divine se retrait bientôt de vue et seulement que de la volonté divine de la nature humaine a été soulignée. Une limitation plus grande encore ont rapidement suivi. Scolastiques luthériennes fait une distinction entre les attributs du dispositif de Dieu (omniprésence, omnipotence et omniscience) et de ses attributs quiescentes (infinité, éternité, etc.) et a enseigné que seul l’ancien ont été transféré à la nature humaine. Ils étaient tous d’accord que la communication a eu lieu au moment de l’incarnation. Mais la question pose naturellement comment cela pourrait être au carré avec l’image du Christ dans les Évangiles, qui n’est pas l’image d’un homme omniscient et omniprésent. Cela a donné lieu à une divergence d’opinion. Selon certains, Christ nécessairement exercé ces attributs au cours de son humiliation, mais fait secrètement; mais selon d’autres, leur exercice est soumis à la volonté de la personne divine, qui ont quitté volontairement leur inopérant pendant la période de son humiliation. Opposition à cette doctrine s’est manifestée à plusieurs reprises dans l’église luthérienne. On a fait observer qu’il est incompatible avec l’idée d’un développement vraiment humain dans la vie du Christ, si clairement enseigné par Luther lui-même. Insistance du grand réformateur la communication des attributs trouve son explication en partie dans ses tendances mystiques et en partie dans ses enseignements quant à la présence physique du Christ dans l’Eucharistie.

2. OBJECTIONS À CETTE DOCTRINE LUTHÉRIENNE. Il y a des objections sérieuses à la doctrine luthérienne de communicatio idiomatum.

a. il n’a aucun fondement biblique. Si il est déduit de cette déclaration comme que Jean en 03:13, puis, en cohérence, il devrait également être conclu d’I Cor. 2:8 que la capacité de souffrir a été communiquée à la nature divine. Pourtant les luthériens se rétrécissement de cette conclusion.

b. elle implique une fusion entre le divin et les natures de l’homme dans le Christ. Luthériens parlent comme si les attributs peuvent être extraites de la nature et peuvent être communiqués, tandis que les natures restent séparées, mais la substance et les attributs ne peuvent être séparés si. Par une communication des attributs divins à la nature humaine, cette nature ce titre cesse d’exister. Omniprésence et l’omniscience ne sont pas compatibles avec l’humanité. Une telle communication se traduit par un mélange de divin et l’humain, dont la Bible conserve strictement séparée.

c. dans la forme dans laquelle la doctrine est maintenant généralement acceptée par les luthériens, la doctrine souffre d’incohérence. Si les attributs divins sont communiquées à la nature humaine, l’homme doit également être communiquée au divin. Et si certains attributs sont communiquées à titre indicatif, elles doivent toutes être communiquées. Mais les luthériens évidemment n’osent pas aller toute la longueur, et par conséquent arrêter à mi-chemin.

d. elle est incompatible avec l’image du Christ incarné à l’époque de son humiliation, comme on le retrouve dans les Évangiles. Ce n’est pas l’image d’un homme qui est omniprésent et omniscient. Les explications de luthérienne de cette incohérence n’a pas pu se féliciter de l’esprit de l’église en général et même de certains des disciples de Luther.

e. il a pratiquement détruit l’incarnation. Luthériens distinguent l' incarnatio et l’exinanitio. Le Logos est l’objet seulement de l’ancien. Il fait de la nature humaine réceptif pour l’habitation de la plénitude de la divinité et il communique certains des attributs divins. Mais ce faisant il abroge pratiquement la nature humaine en assimilant il au divin. Ainsi seulement les restes de divines.

f. il a également pratiquement efface la distinction entre l’état d’humiliation et de l’état d’exaltation. Brenz dit même que ceux-ci n’étaient pas des États successifs, mais les États qui coexistèrent durant la vie terrestre du Christ. Pour échapper à la difficulté ici, les luthériens n'introduits pas dans la doctrine de exinanitio, dont les Logos mais l’homme-Dieu fait l’objet, à l’effet qu’il a pratiquement vidé de lui-même, ou mis de côté les attributs divins. Certains ont parlé d’une constante mais secret et d’autres d’un usage intermittent d’eux.

F. LA DOCTRINE DE LA KÉNOSE SOUS DIVERSES FORMES.

Vers le milieu du XIXe siècle, une nouvelle forme de christologie fait son apparition dans les théories kénotique. Il trouve faveur surtout chez les luthériens, mais également avec certains théologiens réformés. Il représente une partie d’une tentative de rapprocher les luthériens et les sections réformées de l’église plus proche. Les partisans de ce point de vue nouveau désiré de pleinement justice à la réalité et l’intégrité de la virilité du Christ et de souligner la grandeur de son abnégation et de sacrifice.

1. DÉCLARATION DE LA DOCTRINE. Le terme « kénose » est utilisé dans un sens double en théologie. Initialement, il était utilisé par les théologiens luthériens pour désigner l’autolimitation, pas des Logos, mais de l’homme-Dieu, par laquelle il a, dans l’intérêt de son humiliation, mis de côté l’utilisation réelle de ses attributs divins. Dans les enseignements de le Kenoticists, cependant, il signalisées la doctrine selon laquelle les Logos à l’incarnation était dénudée de son transitif ou de tous ses attributs, a été réduite à une simple potentialité et puis, en union avec la nature humaine, développe à nouveau dans un personne divine et humaine. Les principales formes dans lesquelles cette doctrine ont été enseignés sont les suivants:

a. la théorie de Thomasius, Delitzsch et Crosby. Thomasius établit une distinction entre les attributs absolues et essentielles de Dieu, comme un pouvoir absolu, sainteté, vérité et amour et ses attributs relatives, qui ne sont pas essentiels à la divinité, comme omnipotence, omniprésence et omniscience; et maintient que les Logos tout en conservant sa conscience de soi divin, mis la dernier côté, afin de tenir à lui-même la véritable nature de l’homme.

b. la théorie de Gess et H. W. Beecher. C’est beaucoup plus complète qui. La Touche en parle comme « incarnation de suicide divine. » Les Logos depotentiated donc lui-même de tous ses attributs divins qu’il a littéralement cessé ses fonctions cosmiques et sa conscience éternelle pendant les années de sa vie terrestre. Sa conscience est devenue purement celle d’une âme humaine, et par conséquent il pouvait et prit la place de l’âme humaine dans le Christ. Ainsi la vraie virilité du Christ, même dans la mesure de son peccability, a été assuré.

c. la théorie de Ebrard. Ebrard est d’accord avec Gess dans la fabrication que du Logos incarnés prennent la place de l’âme humaine. Le Fils Éternel a renoncé à la forme de l’éternité et en pleine autolimitation a assumé la forme-existence d’un centre de vie humaine. Mais avec lui ce autoréduction n’équivaut pas à une depotentiation complète du Logos. Les propriétés divines ont été retenues, mais étaient possédées par l’homme-Dieu dans la forme de temps appropriée pour un humain mode d’existence.

d. la théorie de Martensen et Gore. Martensen postule l’existence d’une double vie dans le Logos incarné par deux centres-vie non-communication. Comme étant dans le sein de Dieu, il continue de fonctionner dans la vie trinitaire et aussi dans ses relations cosmiques au monde entier comme le créateur et le pourvoyeur. Mais en même temps il, comme les Logos depotentiated, Unies à une nature humaine, ne savait rien de ses trinitaire cosmique et savait seulement lui-même comme Dieu de telle manière que la connaissance est possible pour les facultés de la virilité.

2. PRÉTENDUE BASE BIBLIQUE POUR LA DOCTRINE. Les Kenotics cherchent soutien Scriptural pour leur doctrine, en particulier dans Philippiens 2:6-8, mais aussi dans II Corinthiens 8:9 et Jean 17:5. Le terme « kénose » est dérivé du verbe principal dans Philippiens 2:7, ekenosen. Ceci est rendu dans la Version révisée américaine, « dépouillé lui-même. » Dr. Warfield appelle cela une erreur de traduction. [Christologie et critique, p. 375.] Le verbe se trouve à seulement quatre autres passages du Nouveau Testament, à savoir, Rom. 04:14; J’ai Cor. 01:17; 09:15; II Corinthiens 9:3. Dans tous ces il est utilisé au sens figuré et signifie « faire Sub, » « d’aucun effet, » « aucun compte », « d’aucune réputation. » [Cf. auth. ver. dans Philippiens 2:7.] Si nous comprenons donc le mot ici, cela signifie simplement que Christ fait lui-même d’aucune considération, aucune réputation, n’affirme pas sa prérogative divine, mais a pris la forme d’un serviteur. Mais même si nous prenons le mot dans son sens littéral, il ne supporte pas la théorie de la kénose. Il serait, si l'on comprenait ce qu’il a mis de côté pour être le morphe theou (forme de Dieu) et ensuite conçu de morphe strictement comme caractère essentiel ou spécifique de la divinité. Selon toute probabilité, morphe doit s’entendre ainsi, mais verbe ekenosen ne fait pas référence à morphe theou, mais à einai isa theoi (dat.) autrement dit, son être sur un pied d’égalité avec Dieu. Le fait que Christ a pris la forme d’un serviteur n’implique pas un portant annulation de la forme de Dieu. Il n’y avait pas d’échange de l’un pour l’autre. Bien qu’il existait avant sous la forme de Dieu, Christ ne comptait pas l’être sur une égalité avec Dieu comme un prix dont il ne doit pas laisser passer, mais dépouillé lui-même, en prenant la forme d’un serviteur. Maintenant qu’il devienne un serviteur implique ? Un état de sujétion dans laquelle on est appelé à rendre obéissance. Et le contraire de cela est un état de souveraineté dans laquelle on a le droit de la commande. L’être sur un pied d’égalité avec Dieu ne désigne pas un mode d’être, mais un État qui Christ échangé contre un autre État. [Cf. Kennedy, dans le Test de GK. exp.; Ewald, dans comm. Zahn; Vos, Notes sur la christologie de Paul; Cooke, l’Incarnation et critiques récentes, p. 201 et suiv.]

3. LES OBJECTIONS À LA DOCTRINE DE LA KÉNOSE.

a. la théorie est basée sur la conception panthéiste que Dieu et l’homme ne sont pas si absolument différents, mais que l’un peut être transformé en l’autre. L’idée hégélienne de devenir est appliquée à Dieu, et le seuil absolu de démarcation est effacé.

b. il est tout à fait subversive de la doctrine de l’immutabilité de Dieu, qui est clairement enseigné dans l’écriture, Malachie 3:6; Jacques 01:17, et qui est également impliquée dans l’idée même de Dieu. Caractère absolu et mutabilité s’excluent mutuellement; et un Dieu mutable n’est certainement pas le Dieu de l’écriture.

c. il signifie une destruction virtuelle de la Trinité et enlève donc notre Dieu. Le fils humanisé, Self vidé de ses attributs divins, ne pourraient plus être une subsistance divine dans la vie trinitaire.

d. elle suppose trop lâche une relation entre le mode divin d’existence, les attributs divins et l’essence divine, lorsqu’elle parle de l’ancien, comme si ils pourraient très bien être séparées de cette dernière. C’est tout à fait trompeuse et implique la même erreur qui est condamnée dans le cadre de la doctrine catholique de la transsubstantiation.

e. il ne résout pas le problème auquel elle était destinée à résoudre. Il est souhaitable garantir l’unité de la personne et la réalité de la virilité du Seigneur. Mais, sûrement, l’unité personnelle n’est pas sécurisée en supposant un Logos humain comme co-existant avec une âme humaine. Ni la réalité de la virilité, maintenue par un Logos depotentiated à substituer à l’âme humaine. Le Christ de la Kenotics n’est ni Dieu ni homme. Selon les termes de m. Warfield sa nature humaine est « juste ratatinée divinité. »

La théorie kénotique apprécié la grande popularité en Allemagne pendant un certain temps, mais est maintenant pratiquement mort là-bas. Quand elle a commencé à disparaître en Allemagne, il trouve des partisans en Angleterre dans des érudits tels que D. W. Forrest, W. L. Walker, P. T. Forsyth, Ch. Gore, R. L. Ottley et H. R. Mackintosh. Il trouve très peu d’appui à l’heure actuelle.

G. LA THÉORIE DE L’INCARNATION PROGRESSIVE.

Dorner a été un des premiers et le plus grand des adversaires de la doctrine de la kénose. Il s’est fixé la tâche de suggérer une autre théorie qui, tout en échappant à des erreurs de Kenoticism, ferait pleinement justice à l’humanité du Christ. Il a proposé résoudre le problème de la théorie d’une incarnation graduelle ou progressive. Selon lui, l’incarnation n’était pas un acte consommé au moment de la conception de Jésus, mais un processus graduel par lequel le Logos a rejoint lui-même dans une mesure croissante vers l’unique et représentant (pratiquement une nouvelle création), l’homme Christ Jésus, jusqu'à ce que l’union complète fut finalement consommée au moment de la résurrection. L’union a permis à l’homme-Dieu avec une conscience unique et une seule volonté. Dans cet homme-Dieu, le Logos ne fournit pas la personnalité, mais lui donne sa qualité divine. Cette théorie ne trouve aucun appui dans les Ecritures, qui représente toujours l’incarnation comme un fait momentané plutôt que comme un processus. Il mène logiquement au nestorianisme ou la doctrine de deux personnes dans le médiateur. Et puisque qu’il trouve le véritable siège de la personnalité dans l’homme Jésus, il est totalement subversif de la préexistence réelle de notre Seigneur. Rothe et Beuve sont deux des plus importants partisans de cette doctrine.

La différence cruciale entre l’ancien et les théories vraiment modernes concernant la personne du Christ, réside dans le fait que ce dernier, tel qu’il appert également la théorie de Dorner, distingue la personne du Logos, conçu comme un mode spécial de la vie personnelle de Dieu, de la personnalité du Christ comme une personne humaine concrète unique divine en qualité. Selon vues modernes, il n’est pas le Logos, mais l’homme que constitue l’ego dans le Christ Jésus. La personnalité de Jésus est l’homme dans le type de conscience et aussi dans la croissance morale, mais en même temps unique réceptif pour le divin et donc vraiment le point culminant d’une incarnation de l’humanité est elle-même l’expression générale cosmique. C’est vrai aussi de la théorie avancée par Sanday dans ses Christologies Ancient and Modern, une théorie qui cherche à donner une explication psychologique de la personne de Jésus, qui fera justice à la fois l’être humain et le divin en Jésus. Il insiste sur le fait que la conscience subliminale est le siège de tous demeure divine, ou une action divine sur l’âme humaine; et cales que pour le même ou un soi subliminal correspondant est également le siège approprié ou locus de la divinité du Christ incarné. La conscience ordinaire de Jésus était la conscience humaine, mais il apparait dans lui occasionnellement un sable de la conscience divine dans le subliminal soi-même. Cette théorie a été critiquée à juste titre sévèrement. Il attribue une signification pour le subliminal dans la vie de l’homme qu’il ne possède pas, suppose à tort que la divinité peut se trouver dans un endroit particulier en la personne du Christ et suggère une image du Christ, comme étant seulement par intermittence conscient de ses divinité, qui n’est pas en harmonie avec les données de l’écriture. Elle révèle une fois de plus la folie d’essayer de donner une explication psychologique de la personne du Christ. En plus de Sanday quelques-uns des représentants plus influents de la christologie moderne sont Kunze, Schaeder, Kanel, Moberly et Du Bose.

QUESTIONS pour une étude plus approfondie. Quel changement au dix-huitième siècle avait entraîné dans la christologie ? Quelles sont les causes ont contribué au présent déni généralisé de la déité de Christ ? Comment les critiques négatives d’aborder les preuves scripturaires de la divinité du Christ ? Le libéral-Jesus-School n’a réussi à présenter une image acceptable de Jésus, ce qui correspond vraiment aux faits ? Quelle est la distinction entre le Jésus de l’histoire et le Christ de la foi, et quel but elle servir ? Qu’en est-il de l’argument aut Deus auto bonus non homo? En quoi la réalité de la virilité du Christ parfois en voie de disparition ? Y avait-il un simple ou une double conscience de soi dans le Christ ? Un ou deux testaments ? Pour quelles raisons la conscience messianique de Jésus est refusée ? Comment peut il être défendu ? Jésus considérait la messianité simplement comme une dignité qui lui seraient à l’avenir ? A l’école eschatologique des avantages par rapport à l’école libérale ? En quoi diffèrent-elles les conceptions catholiques de l’union des deux natures dans le Christ, les luthériens et les réformés ? Qu’enseigne la formule Concordiae sur ce point ? Quelle était la polémique de Giessen-Tuebingen ? Comment Kant, Hegel et Schleiermacher concevoir de cette union ? Dans quelle mesure faire la kénose théories révèlent l’influence de Hegel ? Comment la conception moderne de l’immanence de Dieu a-t-il affecté les Christologies plus récentes ? Théorie psychologique de Sanday n’est une construction acceptable ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme., III, pp. 264-349; Kuyper, Dict. dogme., De Christo I, pp. 62-II, p. 58; Vos, soi-divulgation de Jésus, p. 35-103; Temple, la conscience de l’enfance du Christ; Orr, La vue chrétienne de Dieu et du monde, p. 248-257; H. R. Mackintosh, le Doct. de la personne de Jésus Christ, pp. 141-284; Liddon, La divinité de notre Seigneur; Relton, une étude dans la christologie, pp. 3-222; Conférences de Warfield, christologie et critique, VI-VIII; Rostron, la christologie de Saint Paul, pp. 196-229; Schweitzer, la quête du Jésus historique; La Touche, la personne du Christ dans la pensée moderne; Gore, la Reconstruction de la croyance, pp. 297-526; Honig, De Persoon Van den Middelaar dans de Nieuwere Duitsche Dogmatiek; Sheldon, Hist. de Chr. Doct. II, 134-137, 348-353; Krauth, réforme prudente et sa théologie, p. 456-517; Bruce, l’Humiliation du Christ, donne des conférences III, IV et V; Loofs, ce qui est la vérité sur Jésus Christ? chap. VI; Sanday, Christologies, anciens et modernes, Chaps. III, IV, VII. Cooke, l’Incarnation et critiques récentes, Chap. X; Brunner, Le médiateur, en particulier Chap. XII.

 

Les États de Christ

I. l’état d’Humiliation

A. INTRODUCTION: LA DOCTRINE DES ÉTATS DE CHRIST EN GÉNÉRAL.

1. LA DISTINCTION ENTRE UN ÉTAT ET UNE CONDITION. Il faut avoir à l’esprit que, bien que le mot « État » est parfois utilisé comme synonyme avec la « condition », le mot tel qu’appliqué à Christ en l’occurrence dénote une relation plutôt qu’à une condition. En général un État et une condition peuvent être distinguées comme suit: un État est sa position ou statut dans la vie et particulièrement la relation légale dans laquelle on se tient à la Loi, lorsqu’une condition a la mode de son existence, en particulier, tel que déterminé par le circonstances de la vie. Celui qui est reconnu coupable dans une Cour de justice est dans un état de la culpabilité ou la condamnation, et ceci est généralement suivi par une condition d’incarcération avec toute sa privation qui en résulte et la honte. Dans la théologie les États du médiateur sont généralement considérés comme incluant les conditions qui en résulte. En effet, les différentes étapes de l’humiliation et de l’exaltation, comme d’habitude a déclaré, ont tendance à rendre les conditions plus en évidence que les États se démarquer. Pourtant, les États sont la plus fondamentale des deux et sont donc à considérer. [Cf. Kuyper, Dict. dogme, De Christo II, p. 59 et suiv.] Dans l’état d’humiliation, Christ était en vertu de la Loi, non seulement comme une règle de vie, mais comme la condition de l’Alliance des œuvres et même sous la condamnation de la Loi; mais dans l’état d’exaltation, il est exempt de la Loi, ayant satisfait à la condition de l'Alliance des travaux et après avoir payé la peine pour le péché.

2. LA THÉORIE DES ÉTATS DU CHRIST DANS L’HISTOIRE. La doctrine des États du Christ vraiment datant du dix-septième siècle, même si les traces de celui-ci se trouvent déjà dans les écrits des réformateurs et même dans quelques-uns des premiers pères de l’église. C’est d’abord développée parmi les luthériens lorsqu’ils ont cherché à harmoniser leur doctrine de communicatio idiomatum avec l’humiliation du Christ comme il est décrit dans les Évangiles, mais a été bientôt adopté également par les réformés. Ils diffèrent, cependant, que le véritable objet des États. Selon les luthériens, c’est la nature humaine du Christ, mais selon la réforme, la personne du médiateur. Il y avait une différence considérable de l’opinion, même parmi les luthériens sur le sujet. Sous l’influence de Schleiermacher l’idée des États du Médiateur a progressivement disparu de la théologie. Par sa tendance à pantheizing les lignes de démarcation entre le créateur et la créature ont été pratiquement effacés. L’accent a été déplacé de la transcendance du Dieu immanent; et le souverain de Dieu dont la Loi est la norme de droit a disparu. En fait, l’idée de droit objectif est bannie de la théologie, et dans ces conditions, il est devenu impossible de maintenir l’idée d’un poste judiciaire, c'est-à-dire d’un État du médiateur. En outre, dans la mesure où l’humanité du Christ a été soulignée à l’exclusion de sa divinité et d’une main sa préexistence et d’autre part, sa résurrection a été rejetée, tout en parlant sur l’humiliation et exaltation du Christ a perdu son sens. Le résultat est que dans de nombreuses œuvres de nos jours sur la théologie dogmatique, nous cherchons en vain un chapitre sur les États du Christ.

3. LE NOMBRE DES ÉTATS DU MÉDIATEUR. Il y a une divergence d’opinion quant au nombre des États du médiateur. Certains sont d’avis que, si nous supposons que la personne du médiateur fait l’objet des États, stricte logique exige que nous parlons de trois modes d’existence ou États: l’État préexistant d’un être divin éternel, l’État terrestre de l’homme temporel existence et l’état céleste d’exaltation et de gloire. [Cf. McPherson, Chr. dogme., p. 322; Valentine, Chr. théol. II, p. 88.] Mais puisque nous pouvons parler de l’humiliation et l’exaltation de la personne du Christ qu’en relation avec lui comme l’homme-Dieu, il est préférable de parler de seulement deux États. Les théologiens réformés trouvent une anticipation de l’humiliation et l’exaltation du Christ dans son état préexistant: de son humiliation en qui il a librement a pris sur lui dans le pactum salutis de mérite et d’administrer notre salut; et de son exaltation de la gloire qui lui comme notre médiateur prospective jouissait avant l’incarnation, cf. Jean 17:5. Les deux États sont clairement indiqués dans II Corinthiens 8:9; Galates 4:4, 5; Philippiens 2:6-11; Hébreux 2:9.

B. L’ÉTAT D’HUMILIATION.

Sur la base de Philippiens 2:7, 8, théologie réformée distingue deux éléments dans l’humiliation du Christ, à savoir, (1) la kénose (vidange, exinanitio), consistant en ce qu’il a mis de côté la majesté divine, la majesté du souverain Souverain de l’univers et assumé la nature humaine sous la forme d’un serviteur; et (2) le tapeinosis (humiliatio), comprenant qu’il devient sous réserve des exigences et à la malédiction de la Loi et dans toute sa vie s’est fait obéissant en action et des souffrances à l’extrême limite d’une mort honteuse. Sur la base du passage dans Philippiens, on peut affirmer que l’élément essentiel et central dans l’état d’humiliation réside dans le fait que celui qui était le Seigneur de toute la terre, le législateur suprême, lui-même placé sous la Loi , afin de s’acquitter de ses obligations fédérales et pénales dans le nom de son peuple. Ce faisant, il devient légalement responsable pour nos péchés et responsable de la malédiction de la Loi. Cet état du Sauveur, brièvement exprimé dans les paroles de Galates 4:4, « né sous la Loi, » se reflète dans la condition correspondante, qui est décrite dans les différentes étapes de l’humiliation. Alors que la théologie luthérienne parle de moins de huit étapes dans l’humiliation du Christ, théologie réformée généralement de noms seulement cinq ans, à savoir: (1) incarnation, souffrance (2), (3) mort, enterrement (4) et (5) la descente aux enfers.

1. L’INCARNATION ET LA NAISSANCE DU CHRIST. Cette rubrique générale, plusieurs points méritent attention.

a. l’objet de l’incarnation. Il n’était pas le Dieu trinitaire, mais la deuxième personne de la Trinité a assumé la nature humaine. C’est pourquoi il est préférable de dire que le verbe s’est fait chair que que Dieu s’est fait homme. Dans le même temps, on retiendra que chacune des personnes divines était actif dans l’incarnation, Matthieu 01:20; Luc 01:35; John 01:14; Actes à 02:30; Romains 8:3; Galates 4:4; Phil 2:7. Cela signifie également que l’incarnation n’était pas quelque chose que simplement arrivé au Logos, mais a été une réalisation active de sa part. En parlant de l' incarnation dans la distinction de la naissance du Logos, sa participation active à ce fait historique est soulignée, et sa préexistence est supposé. Il n’est pas possible de parler de l’incarnation d’une personne qui n’avait aucune existence précédente. Cette préexistence est clairement enseignée dans l’écriture: « au commencement était la parole et la parole était avec Dieu et la parole était Dieu, » John 1:1. » Je suis descendu du ciel, » John 06:38. « Car vous savez la grâce de notre Seigneur Jésus Christ, que, bien qu’il était riche, mais pour notre bien, il est devenu pauvre, » II Cor. 8:9. « Qui, existant en forme de Dieu, ne comptait pas l’être sur un pied d’égalité avec Dieu une chose à saisir, mais dépouillé lui-même, en prenant la forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes, » Philippiens 2:6, 7. « Mais quand la plénitude du temps est venu de Dieu a envoyé son fils, » Galates 4:4. Le fils de Dieu préexistant assume la nature humaine et prend lui-même humaine chair et de sang, un miracle qui passe notre compréhension limitée. Clairement, il montre que l’infini peut et investit-il dans relations finies, et que le surnaturel peut en quelque sorte entrer dans la vie historique du monde.

b. la nécessité de l’incarnation. Depuis l’époque de la scolastique, la question a été débattue, que l’incarnation doit être considérée comme impliqué dans l’idée de rédemption, ou comme déjà impliquée dans l’idée de création. Populairement dit, la question est, si le fils de Dieu seraient venus dans la chair, même si l’homme n’avait pas péché. Rupert de Deutz a été le premier à affirmer clairement et positivement qu’il serait devenu incarné indépendamment de péché. Son point de vue était partagé par Alexandre de Hales et Duns Scot, mais Thomas Aquinas a fait valoir que le motif de l’incarnation réside dans l’entrée du péché dans le monde. Les réformateurs partagent ce point de vue, et les églises de la réforme enseignent que l’incarnation a été rendue nécessaire par la chute de l’homme. Certains luthérienne et réformée d’érudits, cependant, comme Osiander, Rothe, Dorner, Lange, Van Oosterzee, Martensen, Ebrard et Westcott, étaient d’avis contraire. Les arguments avancés par eux sont comme suit: un tel fait prodigieux comme l’incarnation ne peut pas être fortuit et ne trouve sa cause dans le péché comme un acte accidentel et arbitraire de l’homme. Il doit avoir été inclus dans le plan initial de Dieu. Religion avant et après la chute ne peut pas être fondamentalement différente. Si un médiateur est nécessaire maintenant, il doit avoir été nécessaire également avant la chute. En outre, œuvre du Christ n’est pas limité à l’expiation et ses opérations d’épargne. Il est médiateur, mais aussi la tête; Il est non seulement l' arche, mais aussi le telos de la création, I Cor. 15:45-47; EP 01:10, 21-23; 05:31, 32; Le colonel 01:15-17.

Toutefois, il convient de noter que l’écriture représente invariablement l’incarnation comme conditionnés par le péché humain. La force de ces passages comme Luc 19:10; John 03:16; Galates 4:4; I Jean 3:8; et Philippiens 2:5-11 n’est pas fragile. L’idée, parfois exprimée, que l’incarnation en soi est approprié et nécessaire pour Dieu, est susceptible de conduire à la notion panthéiste d’une révélation éternelle de Dieu dans le monde. La difficulté raccordée avec le plan de Dieu, censé imposer ce point de vue, n’existe pas, si l'on considère question sub specie aeternitatis. Il y a qu’un seul plan de Dieu, et ce plan comprend le péché et l’incarnation dès le début. En fin de compte, bien sûr, l’incarnation, ainsi que l’ensemble de le œuvre de la rédemption était conditionnel, pas le péché, mais sur le bon plaisir de Dieu. Le fait que Christ a également une signification cosmique ne doivent pas se voir refuser, mais cela est trop lié vers le haut avec sa signification rédemptrice dans Éphésiens 01:10, 20-23; Le colonel 01:14-20.

c. la modification effectuée dans l’incarnation. Quand on nous dit que le verbe s’est fait chair, cela ne signifie pas que le Logos a cessé d’être ce qu’il était avant. Quant à son être essentiel le Logos était exactement le même avant et après l’incarnation. verbe egeneto dans Jean 01:14 (la verbe est devenu chair) ne signifie nullement que le Logos transformés en chair et ainsi altéré sa nature essentielle, mais simplement qu’il a pris sur ce caractère particulier, qu’il a acquis une forme supplémentaire, sans aucunement modifier son caractère original. Il reste le fils de Dieu infini et immuable. Encore une fois, la déclaration que le verbe s’est fait chair ne veut pas dire qu’il a pris sur la personnehumaine, ni, d’autre part, simplement qu’il a pris sur un corps humain. Le mot sarx (chair) ici dénote la nature humaine, composé de corps et âme. Le mot est utilisé dans un sens quelque peu semblable dans Romains 8:3; J’ai Timothée 03:16; I Jean 4:2; John II 7 (COMP. Phil. 2:7).

d. l’incarnation constituée de Christ un de la race humaine. Opposition avec les enseignements des anabaptistes, notre Confession affirme que Christ a assumé sa nature humaine de la substance de sa mère. L’opinion qui prévaut parmi les anabaptistes était que le Seigneur a sa nature humaine du ciel, et que Marie était simplement le tube ou le canal par lequel il a passé. Sur ce point de vue sa nature humaine était vraiment une nouvelle création, semblable aux nôtres, mais pas organiquement liés avec elle. L’importance de s’opposer à ce point de vue sera facilement visible. Si la nature humaine du Christ ne provenait pas de la même souche que le nôtre, mais simplement il ressemblait, il n’existe aucune telle relation entre nous et lui aussi est nécessaire pour restituer sa médiation disponible pour notre bien.

e. l’incarnation effectuée par une conception surnaturelle et d’une naissance virginale. Notre Confession affirme que la nature humaine du Christ a été « conçue dans le ventre de la Vierge Marie par la puissance du Saint-Esprit, sans avoir les moyens de l’homme. » Cela met l’accent sur le fait que la naissance du Christ n’était pas du tout ordinaire mais une naissance surnaturelle, en vertu duquel il a été appelé « le fils de Dieu. » L’élément le plus important dans le cadre de la naissance de Jésus était l’opération surnaturelle du Saint-Esprit, car c’est seulement grâce à cela que la conception virginale est devenu possible. La Bible fait référence à cette particularité dans Matthieu 01:18-20; Luc 01:34, 35; Héb. 10:5. Le travail de l’Esprit Saint dans le cadre de la conception de Jésus était double: (1), il a été la cause efficiente de ce qui a été conçu dans le sein de Marie et donc exclues de l’activité de l’homme comme un facteur efficace. C’était tout à fait en harmonie avec le fait que la personne qui est née n’était pas une personne humaine, mais la personne du fils de Dieu, qui ne figurait pas dans l’Alliance des œuvres comme tel et qui était en lui-même exempt de la culpabilité du péché. (2) il a sanctifié la nature humaine du Christ dans sa création et donc exempts de la pollution du péché. Nous ne pouvons pas dire exactement comment le Saint-Esprit accompli cette sanctifiante, parce qu’il n’est pas encore suffisamment compris comment la pollution du péché ordinairement passe juste de parent à enfant. Il convient de noter, toutefois, que l’influence de sanctification de l’Esprit Saint n’était pas limité à la conception de Jésus, mais s’est poursuivie tout au long de sa vie, John 03:34; Héb. 09:14.

C’est seulement par cette conception surnaturelle du Christ qu’il pourrait être né d’une vierge. La doctrine de la conception virginale est basée sur les passages suivants des Ecritures: Ésaïe 07:14; Matthieu 01:18, 20; Luc 01:34, 35 et est également favorisée par Galates 4:4. Cette doctrine a été avouée dans l’église des premiers temps. Nous rencontrer avec elle déjà dans les formes originelles de la Confession apostolique et plus dans toutes les Confessions grandes des églises protestante et catholique. Son refus actuel n’est pas à cause du manque d’évidences scripturales pour elle, ni à aucune faute de sanction ecclésiastique, mais de l’aversion générale actuelle au surnaturel. Les passages de l’écriture sur laquelle repose la doctrine sont simplement exclues de Cour pour des raisons essentielles qui sont loin d’être convaincante; et qu’en dépit du fait que l’intégrité des récits s’avère incontestable; et il est supposer gratuitement que le silence de l’autres auteurs du Nouveau Testament concernant la naissance virginale prouve qu’ils ne se connaissaient pas avec le fait supposé de la naissance miraculeuse. Toutes sortes de tentatives ingénieux sont faites pour expliquer comment l’histoire de la naissance de la Vierge est née et a gagné la monnaie. Certains cherchent en hébreu et autres à Gentile, traditions. Nous ne pouvons entrer dans une discussion du problème ici et donc simplement se référer à des ouvrages tels que Machen, La conception virginale du Christ; Orr, la conception virginale du Christ; Sweet, la naissance et l’enfance du Christ Jésus; Cooke, Paul savait la naissance virginale? Knowling, la naissance de la Vierge.

La question est parfois posée, si la conception virginale est une question d’importance doctrinale. Brunner déclare qu’il n’est pas intéressé au sujet du tout. Il rejette la doctrine de la naissance miraculeuse du Christ et qu’elle était purement naturel, mais il n’est pas suffisamment intéressé défendre son point de vue en détail. En outre, il dit: « la doctrine de la naissance de la Vierge aurait été donnée vers le haut il y a longtemps si ce n’était le fait qu’il me semblait que dogmatiques intérêts étaient intéressés par son maintien. » [Le médiateur, p. 324.] Barth reconnaît le miracle de la naissance virginale et y voit un jeton du fait que Dieu a établi créative d’un nouveau départ de condescendre à devenir homme. [La Doctrine de la parole de Dieu, p. 556; Credo, pp. 63 ff.; Apocalypse, f. p. 65] Il conclut également qu’il signification doctrinale. Selon lui le péché « héritage » est transmis par le parent mâle, afin que Christ puisse assumer « petitesse » de la naissance de Marie et en même temps, échapper au « sin-patrimoine » par l’élimination du père humain. [Credo, f. p. 70] En réponse à la question, si la naissance virginale a signification doctrinale, on peut dire qu’il serait inconcevable que Dieu devrait provoquer de Christ d’être né d’une manière extraordinaire, si elle n’a pas servi à quelque chose. Son objectif doctrine peut être énoncé comme suit: (1) Christ devait constituer le Messie et le fils de Dieu messianique. Par conséquent, il fallait qu’il devrait être né d’une femme, mais aussi qu’il ne devrait pas être le fruit de la volonté de l’homme, mais doit être né de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair. Selon toute vraisemblance, cette merveilleuse naissance de Jésus était dans le fond de l’esprit de Jean quand il a écrit comme il le fit à Jean 01:13. (2) si le Christ avait été généré par l’homme, il aurait été une personne humaine, incluse dans l’Alliance des œuvres et aurais ainsi partagé la culpabilité commune de l’humanité. Mais maintenant que son sujet, son ego, sa personne, n’est pas hors de Adam, il n’est pas dans l’Alliance des œuvres et qu’il est exempt de la culpabilité du péché. Et être exempt de la culpabilité du péché, sa nature humaine pourrait aussi être exempts, avant et après sa naissance, de la pollution du péché.

f. l’incarnation elle-même une partie de l’humiliation du Christ. A été l’incarnation elle-même une partie de l’humiliation du Christ ou pas ? Les luthériens, avec la distinction entre l' incarnatio et exinanitio, nient qu’il était et baser leur refus sur le fait que son humiliation se limite à son existence terrestre, alors que son humanité se poursuit dans le ciel. Il est encore a sa nature humaine et encore n’est plus en état d’humiliation. Il y avait une différence d’opinion sur ce point, même parmi les théologiens réformés. Il semblerait que cette question il faut répondre à une discrimination. On peut dire que l’incarnation, tout à fait dans l’abstrait, le simple fait que Dieu dans le Christ a assumé une nature humaine, mais un acte de condescendance, n’était pas en soi une humiliation, mais Kuyper pensait que c’était. [De Christo II, p. 68 et suiv.] Mais c’était certainement une humiliation que les Logos supposé « chair, » c'est-à-dire, la nature humaine comme c’est depuis l’automne, affaibli et soumis à la souffrance et la mort, bien que sans la souillure du péché. Cela semble être impliquée dans ces passages comme Romains 8:3; II Corinthiens 8:9; Philippiens 2:6, 7.

2. LES SOUFFRANCES DU SAUVEUR. Convient de souligner plusieurs points concernant les souffrances du Christ.

a. il a souffert durant toute sa vie. Compte tenu du fait que Jésus a commencé à parler de ses souffrances qui viennent vers la fin de sa vie, nous sommes souvent enclins à penser que l’agonie finale constitue l’ensemble de ses souffrances. Pourtant, toute sa vie était une vie de souffrance. C’est la vie-serviteur de l’Éternel des armées, la vie de celui sans péché en liaison quotidienne avec les pécheurs, la vie du Saint dans un monde de péché-maudit. Le chemin de l’obéissance était pour lui en même temps un moyen de souffrance. Il a subi des agressions répétées de Satan, de la haine et l’incrédulité de son propre peuple et de la persécution de ses ennemis. Puisqu’il a foulé le pressoir à vin seul, sa solitude doit avoir été oppressif et son sens des responsabilités, écrasant. Sa souffrance fut consacrée à la souffrance, augmentant la gravité alors qu’il approchait de la fin. La souffrance qui a commencé dans l’incarnation a finalement atteint son point culminant dans la passio magna à la fin de sa vie. Puis toute la colère de Dieu contre le péché alésage vers le bas sur lui.

b. il a souffert dans le corps et l’âme. Il y a eu un moment où l’attention était fixée trop exclusivement sur les souffrances corporelles du Sauveur. Il n’était pas l’aveugle douleur physique ainsi que constituait l’essence même de sa souffrance, mais que la douleur accompagnée avec angoisse d’âme et une conscience médiatrice du péché de l’humanité avec laquelle il a été accablé. Plus tard à ce sujet est devenu coutumier de minimiser l’importance des souffrances corporelles, car on a estimé que le péché, étant de nature spirituelle, pourrait seulement être expié par les souffrances purement spirituelles. Il faut éviter ces points de vue partiaux. Corps et l’âme ont été touchés par le péché et dans les deux la peine devait être supportés. En outre, la Bible enseigne clairement que le Christ a souffert dans les deux. Il a agonisé dans le jardin, où son âme a été « excédant triste, même jusqu'à la mort », et il a été ballotté et flagellé et crucifié.

c. ses souffrances résultant de causes diverses. En dernière analyse, toutes les souffrances de Christ résultent du fait qu’il a pris la place des pécheurs du fait d’autrui. Mais nous pouvons distinguer plusieurs causes immédiates, telles que: (1) le fait que celui qui était le Seigneur de l’univers devait occuper une position subalterne, même la position d’un bond-serviteur ou esclave, et que celui qui a un droit inhérent à la commande était en devoir d’obéir. (2) le fait que celui qui était pure et Sainte dû vivre dans une atmosphère polluée pécheresse, en liaison quotidienne avec les pécheurs et a été constamment rappelé de la grandeur de la culpabilité, avec lequel il a été accablé par les péchés de ses contemporains. (3) sa parfaite connaissance et anticipation clairement, dès le début de sa vie, des souffrances extrêmes qui serait, en quelque sorte, accablent en fin de compte. Il savait exactement ce qui allait arriver, et les perspectives étaient loin d’être joyeux. (4) Enfin, aussi les privations de la vie, les tentations du diable, la haine et le rejet du peuple et la maltraitance et les persécutions dont il a été victime.

d. ses souffrances étaient uniques. On parle parfois de « ordinaires » souffrances du Christ, lorsque nous pensons à ces souffrances résultant des causes ordinaires de la misère dans le monde. Mais nous devons nous rappeler que ces causes étaient beaucoup plus nombreux pour le Sauveur qu’ils le sont pour nous. En outre, même ces souffrances communes avaient un caractère extraordinaire dans son cas et sont donc uniques. Sa capacité de souffrance était proportionnée avec le personnage idéal de son humanité, sa perfection éthique et avec son sens de la justice et de sainteté et de véracité. Personne ne pouvait sentir l’émotion de douleur et de chagrin et de mal moral que Jésus pouvait. Mais, outre ces souffrances plus communs, il y avait aussi les souffrances causées par le fait que Dieu fit nos iniquités à venir sur lui comme un fleuve. Les souffrances du Sauveur n’étaient pas purement naturelles, mais aussi le résultat d’un acte positif de Dieu, Esaïe 53:6, 10. Aux souffrances plus spéciales du Sauveur peut également compter les tentations dans le désert et l’agonie de Gethsémani et Golgotha.

e. ses souffrances dans les tentations. La tentation de Christ faisait partie intégrante de ses souffrances. Ils sont les tentations qui sont rencontrées dans la voie de la souffrance, MT 4:1-11 (et parallèles); Luc 22:28; John 12:27; Héb. 04:15; 5:7, 8. son ministère public a commencé par une période de la tentation, et même après cette époque tentations ont été répétées à des intervalles de droite sur dans Gethsémané sombre. C’est seulement en entrant dans le procès même des hommes, dans leurs tentations, que Jésus pourrait devenir un prêtre vraiment sympathique et atteindre les hauteurs d’une perfection prouvée et triomphante, Héb. 04:15; 5:7-9. nous ne pouvons pas détourner de la réalité des tentations de Jésus comme le dernier Adam, aussi difficile soit-il de concevoir celui qui ne pouvait pas pécher comme étant tenté. Diverses suggestions ont été faites pour soulager la difficulté, comme par exemple, que la nature humaine du Christ, comme dans celui du premier Adam, il y eut la nuda possibilitas peccandi, la possibilité abstraite nue de pécher (Kuyper); la sainteté que Jésus était une sainteté éthique, qui devait venir à fort développement à travers et se maintiennent, tentation (Bavinck); et que les choses que Christ a été tenté étaient eux-mêmes parfaitement légitime et a fait appel à parfaitement naturel instinct et appétits (Vos). Mais en dépit de tout cela le problème persiste, comment était-il possible que celui qui in concreto, c'est-à-dire, comme il était en fait constitué, ne pouvait pas pécher, ni même avoir une inclination au péché, néanmoins être soumis à la tentation de réelle ?

3. LA MORT DU SAUVEUR. Les souffrances du Sauveur a finalement abouti à sa mort. Dans ce contexte il est convient de souligner les points suivants:

a. l’étendue de sa mort. Il est naturel de mais que, quand nous parlons de la mort du Christ, à cet égard, nous avons à l’esprit tout d’abord la mort physique, c'est-à-dire la séparation de corps et âme. Dans le même temps, il faut savoir que cela n’épuise pas l’idée de la mort, qu’elle est représentée dans l’écriture. La Bible prend une vue synthétique de la mort et considère que la mort physique simplement comme une de ses manifestations. La mort est la séparation d'avec Dieu, mais on peut considérer cette séparation de deux façons différentes. L’homme se sépare de Dieu par le péché et la mort est le résultat naturel, afin qu’on peut même dire que le péché est la mort. Mais ce n’était pas de cette façon que Jésus est devenu sujet à la mort, car il n’avait aucun péché personnel. À cet égard, qu'il faut avoir à l’esprit que la mort n’est pas simplement la conséquence naturelle du péché, mais surtout la punition judiciaire imposée et infligée du péché. C’est que Dieu lui-même de retrait avec les bénédictions de la vie et le bonheur d’homme et de la visite d’homme en colère. C’est de ce point de vue judiciaire que la mort du Christ doit être envisagée. Dieu a imposé la peine de mort le médiateur par les tribunaux, puisque ce dernier s’est engagé volontairement à payer la pénalité du péché de l’humanité. Puisque le Christ a assumé la nature humaine avec toutes ses faiblesses, telle qu’elle existe après la chute et devenue ainsi comme nous en toutes choses, sin seulement excepté, il s’ensuit que la mort a travaillé en lui dès le début et s’est manifestée dans la plupart des souffrances auxquelles il avait subj ect. Il était un homme de douleurs et de familiariser avec chagrin. Le Catéchisme de Heidelberg correctement dit que « tout le temps, il a vécu sur terre, mais surtout à la fin de sa vie, il a porté, en corps et âme, la colère de Dieu contre le péché de la race humaine entière. » [Q. 37.] Ces souffrances ont été suivies de sa mort sur la Croix. Mais ce n’était pas tous; Il a été soumis à non seulement physique, mais aussi à la mort éternelle, mais il portait cela intensivement et pas beaucoup, quand il a agonisé dans le jardin et quand il criait sur la Croix, « mon Dieu, mon Dieu, pourquoi as tu abandonné moi ? » Dans un court laps de temps, il portait la colère infinie contre le péché jusqu’au bout et est sorti victorieux. Cela n’était possible pour lui seulement en raison de sa nature exaltée. À ce stade nous devons garder de malentendu, cependant. La mort éternelle dans le cas de Christ ne consistait pas en une abrogation de l’union des Logos avec la nature humaine, ni dans la nature divine étant abandonné de Dieu, ni le retrait de l’amour divin du père ou de bon plaisir de la personne du médiateur. Le Logos est restée unie avec la nature humaine même lorsque le corps était dans la tombe; la nature divine ne pourrait pas éventuellement sera abandonnée de Dieu; et la personne du Médiateur a été et continue toujours d’être l’objet de la faveur divine. Il se révèle dans la conscience humaine du médiateur comme un sentiment de Godforsakenness. Cela implique que la nature humaine pour un moment raté le confort conscient dont il pourrait tirer de son union avec le Logos divin, et le sentiment de l’amour divin et a été douloureusement conscient de la plénitude de la colère divine qui fonçait sur lui. Pourtant il n’y avait aucun désespoir, pour même dans l’heure la plus sombre, alors qu’il s’exclame qu’il est abandonné, il dirige sa prière à Dieu.

b. le caractère judiciaire de sa mort. Il était tout à fait essentiel que Christ devait mourir ni naturelle, ni un décès accidentel; et qu’il ne devrait pas mourir par la main d’un assassin, mais en vertu d’une sentence judiciaire. Il devait être compté avec les transgresseurs, devait être condamné comme un criminel. En outre, il a été providentiellement organisé par Dieu qu’il devrait être jugé et condamné par un juge romain. Les Romains avaient un génie pour le droit et la justice et représentant le pouvoir judiciaire plus élevé dans le monde. On pourrait s’attendre à ce qu’un procès devant un juge romain servirait à faire ressortir clairement l’innocence de Jésus, dont il a fait, alors qu’il est devenu parfaitement clair qu’il n’était pas condamné pour un crime qu’il avait commis. C’est un témoignage sur le fait que, comme le Seigneur dit: « Il a été coupé de la terre des vivants pour la transgression de mon peuple, à qui il devait la course. » Et quand le juge romain a néanmoins condamné des innocents, il, il est vrai, également condamné lui-même et la justice humaine comme il l’a appliqué, mais à la même peine de temps imposées sur Jésus comme le représentant du pouvoir judiciaire plus élevé dans le monde, fonctionnement de la grâce de Dieu et de la distribution justice au nom de Dieu. La phrase de Pilate était aussi la sentence de Dieu, quoique pour des motifs tout à fait différente. Il est significatif aussi que Christ n’était pas décapité ou lapidé à mort. Crucifixion n’était pas un juif mais un châtiment romain. Il a été comptabilisé tellement infâme et ignominieux qu’elle ne pourrait pas s’appliquer aux citoyens romains, mais seulement à la racaille de l’humanité, aux plus vils criminels et esclaves. Par cette mort, Jésus a rencontré les exigences extrêmes de la Loi. En même temps, il succombe à une mort maudite et donc a témoigné du fait qu’il est devenu malédiction pour nous, Deut. 21:23; GAL 03:13.

4. L’ENTERREMENT DU SAUVEUR. Il peut sembler que la mort du Christ a été la dernière étape de son humiliation, compte tenu notamment de l’un des derniers mots prononcés sur la Croix, « Tout est accompli ». Mais ce mot selon toute probabilité se réfère à son actif la souffrance, c'est-à-dire la souffrance dont il est lui-même prit une part active. Il s’agissait en effet fini quand il est mort. Il est clair que son enterrement faisait également partie de son humiliation. Notez en particulier ce qui suit: (a) de l’homme retourne à la poussière d'où il est extrait, est représenté dans l’écriture dans le cadre de la punition du péché, 03:19. (b) plusieurs déclarations des écritures impliquent que la demeure du Sauveur dans la tombe était une humiliation, PS. 16:10; Actes à 02:27, 31; 13:34, 35. c’était une descente aux enfers, en soi sombre et lugubre, un lieu de corruption, si dedans, il a été gardé par la corruption. (c) enterrement est un couchant et par conséquent une humiliation. L’enterrement des cadavres a été ordonnée par Dieu pour symboliser l’humiliation du pécheur. (d) il y a une convention entre les étapes de le œuvre objective de rédemption et de l’ordre dans l’application subjective de le œuvre du Christ. La Bible parle du pécheur être enterrés avec le Christ. Maintenant, il appartient à la mise hors le vieil homme et de ne pas le mettre sur du nouveau, Romains 6:1-6. Par conséquent, l’enterrement de Jésus constitue également une partie de son humiliation. Son enterrement, en outre, simplement ne satisfaisait pas à prouver que Jésus était vraiment mort, mais aussi pour enlever les terreurs de la tombe pour les rachetés et à sanctifier la tombe pour eux.

5. LA DESCENTE DE LE SAUVEUR AUX ENFERS.

a. cette doctrine dans la Confession apostolique. Après que la Confession apostolique a évoqué les souffrances, la mort et enterrement, du Seigneur, il continue par ces mots: « il descendit aux enfers (hades). » Cette déclaration n’était pas dans le credo le plus tôt ni comme universellement comme les autres. Il a été utilisé tout d’abord sous la forme de prétoriennes du Credo (env. 390 apr. J.-C.), «jour d’infern. » Chez les Grecs, certains traduits « Inferno » par « Hadès » et autres par les « parties inférieures ». Certaines formes du Credo dans lequel ces mots ont été trouvés ne mentionnait pas l’enterrement du Christ, tandis que les formes romaines et orientales généralement mentionné l’enterrement mais pas la descente aux enfers. Rufinus remarques qu’ils contenaient de l’idée de la descente dans le mot « enterré ». Plus tard cependant, la forme romaine du Credo ajouté la déclaration en question après sa mention de l’enterrement. Calvin a correctement fait valoir que pour ceux qui eux ajoutés après le mot « enterré », ils doivent avoir désignait quelque chose de supplémentaire. [Inst. BK. II, XVI, 8.; cf. aussi Pearson, Sur the Creed.] Il faut avoir à l’esprit que ces mots ne se trouvent pas dans les Ecritures et ne reposent pas sur des déclarations directes de la Bible que le reste des articles du Credo.

b. base biblique pour l’expression. On compte notamment quatre passages de l’Ecriture qui entrée en considération ici. (1) Eph. 4:9, « Maintenant, il est monté, qu’est-ce, mais qu’il descendit aussi vers les parties basses de la terre ? » Ceux qui cherchent le soutien dans ce passage prennent l’expression « parties inférieures de la terre » comme l’équivalent de « Hadès ». Mais il s’agit d’une interprétation douteuse. L’Apôtre fait valoir que l’ascension du Christ suppose une descente. Maintenant l’opposé de l’ascension est l’incarnation, cf. Jean 03:13. C’est pourquoi la majorité des commentateurs prendre l’expression comme visant tout simplement à la terre. L’expression peut être dérivé de Psaume 139:15 et consulter plus particulièrement l’incarnation. (2) j’ai Peter 03:18, 19, qui parle du Christ comme « étant mis à mort dans la chair, mais rendus vivants dans l’esprit, dans lequel il est allé aussi et prêché les esprits en prison. » Ce passage est censé faire référence à la descente aux enfers et d’énoncer le but de celui-ci. L’esprit dénommé alors comprise comme l’âme du Christ, et la prédication mentionné doit avoir eu lieu entre sa mort et sa résurrection. Mais l’un est aussi impossible que les autres. L’esprit mentionné n’est pas l’âme du Christ, mais l’esprit vivifiant, et ce n’est que même vivifiant esprit que Christ a prêché. L’interprétation protestante de ce passage qui est dans l’esprit de Christ a prêché à travers Noé pour les désobéissants qui ont vécu avant le déluge, qui étaient les esprits en prison lorsque Peter a écrit et pourrait donc être désigné comme tels. Bavinck considère que cela est intenable et interprète le passage comme se référant à l’ascension, qu’il considère comme un riche, triomphante, et puissante prédication aux esprits en prison. [Geref. Dogme. III, p. 547. Pour encore une autre interprétation, cf. Brown, comm. sur Peter in loco.] (3) j’ai PET. 4:4-6, en particulier le verset 6, qui se lit comme suit: « Pour jusqu'à cette fin était l’évangile prêché même aux morts qu’ils pourraient être jugés en effet selon les hommes dans la chair, mais vivre selon Dieu dans l’esprit. » À cet égard, l’Apôtre met en garde les lecteurs qu’ils ne devraient pas vivre le reste de leur vie dans la chair, les convoitises des hommes, mais de la volonté de Dieu, même s’ils devraient donner en déplaise à leurs anciens compagnons et être calomniés par eux , car ils auront à rendre compte de leur accomplissement à Dieu, qui est prêt à juger les vivants et les morts. Les « morts » à qui l’Évangile a été prêché n’étaient évidemment pas encore morts quand il était prêchée, puisque le but de cette prédication était en partie « qu’ils pourraient être jugés selon les hommes dans la chair ». Cela pourrait seulement avoir lieu au cours de leur vie sur terre. Selon toute probabilité, l’écrivain fait référence aux esprits mêmes en prison, dont il a parlé dans le chapitre précédent. (4) PS. 16:8-10 (COMP. AC 02:25-27,30,31). C’est surtout le verset 10 qui vient en considération ici, « car tu ne laisseras pas mon âme dans le séjour des morts; ni souffriras-tu ta un Saint voie la corruption. » De ce passage, Pearson conclut que l’âme du Christ était en enfer (Hadès) avant la résurrection, car on nous dit qu’il ne restait pas là. [Expos. du credo, dans loco.] Mais il convient de noter ce qui suit: (a) le mot nephesh (âme) est souvent utilisé en Hébreu pour le pronom personnel et le séjour des morts, pour l’état de la mort. (b) si nous comprenons donc ces mots ici, nous avons un parallélisme clairement synonyme. L’idée serait que Jésus n’était pas laissé à la puissance de la mort. (c) c’est en parfaite harmonie avec l’interprétation de Pierre en actes 02:30, 31, et de Paul dans Actes 13:34, 35. Dans les deux cas, le Psaume est cité pour prouver la résurrection de Jésus.

c. différentes interprétations de l’expression de fouilles. (1) l’église catholique prend cela signifie que, après sa mort, Christ est allé dans le Limbus Patrum, où les saints de l’ancien Testament étaient en attente de la révélation et l’application de sa rédemption, a prêché l’Évangile et fait sortir vers le ciel. (2) les luthériens considèrent la descente aux enfers comme la première étape de l’exaltation du Christ. Christ est allé dans le monde souterrain de révéler et de consommer sa victoire sur Satan et les puissances des ténèbres et à prononcer leur sentence de condamnation. Certains luthériens placer cette marche triomphale entre la mort du Christ et sa résurrection; d’autres, après la résurrection. (3) l’église d’Angleterre maintient que, tandis que le corps du Christ était dans la tombe, l’âme est allé aux enfers, plus particulièrement dans le paradis, la demeure des âmes des justes et leur a donné une exposition plus complète de la vérité. (4) Calvin interprète l’expression métaphorique,[inst. BK. II, XVI, 8 et suiv.] comme se référant aux pénitentiaires souffrances du Christ sur la Croix, où il a vraiment souffert des affres de l’enfer. De même, le Catéchisme de Heidelberg. [Q. 44.] Selon la position habituelle après sa réforme, les mots se rapportent non seulement aux souffrances sur la Croix, mais aussi à l’agonie de Gethsémani. (5) Certes, l’écriture n’enseigne pas littérale descente du Christ aux enfers. En outre, il y a des objections sérieuses à ce point de vue. Il ne peut pas ont est descendu aux enfers selon le corps, c’était dans la tombe. Si vraiment, il a fait descendre aux enfers, il peut seulement avoir été quant à son âme, et cela voudrait dire que seulement la moitié de sa nature humaine partagée dans cette étape de son humiliation (ou exaltation). En outre, tant que Christ n’est pas encore revenue d'entre les morts, le moment venu pas pour une marche triomphale tels que supposent les luthériens. Et, enfin, au moment de sa mort, Christ a félicité son esprit à son père. Cela semble indiquer qu’il serait passive plutôt qu’active depuis l’époque de sa mort jusqu'à ce qu’il se leva de la tombe. Dans l’ensemble, il semble préférable de combiner deux pensées: (a) que le Christ a souffert des affres de l’enfer avant sa mort, à Gethsémani et sur la Croix; et (b) qu’il est entré dans l’humiliation la plus profonde de l’état de la mort.

QUESTIONS pour une étude complémentaire: Comment étaient État liés entre eux dans le cas d’Adam, lorsqu’il est tombé ? Dans le cas de la parole devient chair ? Comment elles sont liées à la rédemption des pécheurs ? Son état et condition toujours correspondent-elles ? Comment définir l’état d’humiliation ? Que signifie Kuyper, lorsqu’il établit une distinction entre le statut generis et le statut modi? Quelles étapes il distingue-t-il dans l’état d’humiliation ? Existe-t-il une preuve biblique pour la naissance de la Vierge, sauf dans les Évangiles de Matthieu et de Luc ? Quels sont les roulements doctrinales de cette doctrine ? Les théories de l’origine mythique de l’idée de la naissance de la Vierge, on a retrouvé adéquates ? Qu’entendons-nous par un assujettissement à la loi du Christ ? Dans quelle relation juridique il se tenir comme médiateur au cours de son humiliation ? A la nature humaine du Christ intrinsèquement fait l’objet de la Loi de la mort ? La mort éternelle dans le cas de Christ comportait tous les éléments qui sont inclus dans la mort éternelle des pécheurs ? Comment peut l’enterrement du Sauveur être conçue comme une preuve qu’il est vraiment mort ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref dogme. III, pp. 455-469; Kuyper, Dict. dogme., De Christo II, pp. 59-108; Ibid., De Vleeschwording des Woords; Hodge, Syst. Theol. II, pp. 612-625; Shedd, dogme . THEOL., p. 330-348; McPherson, Chr. dogme., p. 321-326; Litton, Introd. au dogme. THEOL., p. 175-191; Pieper, Christl. Dogme. II, p. 358-378; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 383-406; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 88-95; Heppe, der dogme. ev.-ref. Kirche, pp. 351-356; Ebrard, Christl. Dogme. II, pp. 189-226; Faire, Godgeleerdheit, II, p. 601-795; Synopsis Purioris, pp. 262-272; Turretin, opéra, Locus XIII, Q. IX-XVI; Machen, la conception virginale du Christ; Orr, la conception virginale du Christ; Sweet, la naissance et l’enfance du Christ Jésus; Cooke, Paul savait la naissance virginale? Knowling, la naissance de la Vierge; Barth, Credo, pp. 62-94; Brunner, le médiateur, pp. 303-376.

 

II. l’état d’Exaltation

A. GÉNÉRAL REMARQUES SUR L’ÉTAT D’EXALTATION.

1. L’OBJET ET LA NATURE DE L’EXALTATION. Comme nous l’avons déjà indiqué dans ce qui précède, il y a une divergence d’opinion entre luthérienne et réformée de théologie sur le sujet des États de Christ. L’ancien nie que le Logos et affirme que la nature humaine du Christ, fait l’objet des États d’humiliation et d’exaltation. Donc ils excluent l’incarnation de l’humiliation du Christ et maintiennent que l’état de l’humiliation consiste dans ce domaine, « que le Christ pendant un temps renoncé (vraiment et vraiment encore librement) l’exercice séance plénière de la majesté divine, qui avait de sa nature humaine acquis dans l’union personnelle et, comme un homme humble, enduré ce qui était bien au-dessous de la majesté divine (qu’il pourrait souffrir et mourir pour l’amour du monde). » [Baier, cité par Schmid, Théologie doctrinale de l’église évangélique luthérienne, p. 383.] Ils soutiennent que l’état d’exaltation est devenue manifeste tout d’abord dans le monde inférieur dans la descente aux enfers et plus loin de ce monde dans la résurrection et l’ascension, parvenir à son achèvement dans la session à la droite de Dieu. L’exaltation, alors, consiste en ce que la nature humaine suppose l’exercice plénière des attributs divins qui lui ont été communiquées à l’incarnation, mais ont été utilisées qu’occasionnellement ou secrètement. La théologie réformée, en revanche, considère que la personne du médiateur, c'est-à-dire le Dieu-homme, comme sujet de l’exaltation, mais insiste sur le fait qu’il était, bien sûr, la nature humaine dans laquelle l’exaltation a eu lieu. La nature divine n’est pas capable d’humiliation ou d’exaltation. Dans l’exaltation de l’homme-Dieu, Jésus Christ, (a) aspects passés d’en vertu de la loi dans son fédéral pénal et procédure pénale et par conséquent sous le fardeau de la Loi comme la condition de l’Alliance des œuvres et sous la malédiction de la Loi; (b) ont échangé le penal pour la relation juste à la Loi et en tant que médiateur est entré en possession de la bénédiction du Salut qui il méritait pour les pécheurs; et (c) a été couronné d’un correspondant d’honneur et la gloire. Il devait apparaître également dans son état que la malédiction du péché a été levée. Son exaltation était également sa glorification.

2. L’EXALTATION DU CHRIST EST SCRIPTURAIRE ET RAISONNABLE. Il y a une preuve scripturaire abondante pour l’exaltation du Christ. L’histoire de l’Évangile nous montre clairement que l’humiliation du Christ a été suivie par son exaltation. Le passage classique de prouver ce dernier se trouve dans Philippiens 2:9-11: « c’est pourquoi aussi Dieu exalté hautement et lui donna le nom qui est au-dessus de tout nom; qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse, des choses dans les cieux et sur la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le père. » Mais en plus de cela, il y a plusieurs autres, tels que Marc 16:19; Luc 24:26; John 07:39; Actes à 02:33; 05:31; ROM. 08:17, 34; EP 01:20; 04:10; J’ai Timothée 03:16; Hébreux 1:3; 2:9; 10:12. il existe un lien étroit entre les deux Etats. L’état d’exaltation doit être considéré comme le résultat judiciaire de l’état d’humiliation. En sa qualité comme Christ médiateur répondent aux exigences de la loi dans ses aspects fédérales et pénaux, payant la pénalité du péché et qui mérite la vie éternelle. Par conséquent, sa justification devait suivre et qu’il devait être mis en possession de la récompense. Depuis qu’il a été une personnalité publique et accompli son œuvre publiquement, la justice exigeait que l’exaltation devrait également être une affaire publique. L’exaltation du Christ a une triple signification. Chacun des stades est une déclaration virtuelle de Dieu que Christ a rencontré les exigences de la Loi et avait donc droit à sa récompense. Les deux premières étapes ont également eurent signification exemplaire, puisqu’ils ont symbolisent ce qui prendra place dans la vie des croyants. Et, enfin, tous les quatre étapes étaient destinés à jouer un rôle déterminant dans la parfaite glorification des croyants.

3. L’ÉTAT D’EXALTATION DANS LA THÉOLOGIE LIBÉRALE MODERNE. La théologie libérale moderne, bien sûr, sait d’aucun État d’exaltation de la vie du Christ. Non seulement il a écarté l’idée juridique de l’Etats du Christ tout à fait, mais il a aussi exclu tout le surnaturel dans la vie du Sauveur. Rauschenbusch ferme sa théologie de l’Évangile Social par une discussion sur la mort du Christ. Macintosh, dit que « les difficultés dans le sentier d’accepter la notion traditionnelle ordinaire de la « résurrection » de Jésus, comme une réanimation du cadavre, sa transformation miraculeuse et l’ascension finale vers le « ciel », sont, à l’habitude scientifique de la pensée, pratiquement insurmontables.... Une charge de la preuve non libéré encore repose sur ceux qui affirment qu’il (le corps du Christ) n’a pas subi de désintégration, comme les corps de tous les autres qui sont morts. » [Théologie comme une Science empirique, p. 77, 78.] Beckwith admet que la Bible et en particulier de Paul, parle de l’exaltation du Christ, mais il dit: « si nous traduisons la notion de l’apôtre de l’exaltation en son équivalent moderne, nous trouverons lui disant que Christ est supérieur à toutes les forces de l’univers et à toutes les commandes connues des êtres rationnels, même les plus élevés, économiser seulement le père. » [Les réalités de la théologie chrétienne, p. 138.] Et George Foster Burman franchement déclare: « selon l’orthodoxie, le fils de Dieu mis de côté sa gloire divine et puis reprit à nouveau; Il a aliéné de lui-même certaines qualités divines et puis intégrés à nouveau. Ce que l'on entend est bas bonne, à savoir, que le Dieu grand et miséricordieux nous sert et qu’il n’est pas trop bon pour notre nourriture quotidienne humaine. La forme de la doctrine orthodoxe était peut-être nécessaire lorsque la doctrine a été excogitated, mais qu’être terrible, l’homme moderne, ne peut pas faire quelque chose avec elle. » [Christianisme dans son Expression moderne, p. 144.]

B. LES ÉTAPES DE L’ÉTAT D’EXALTATION.

Théologie réformée distingue quatre étapes dans l’exaltation du Christ.

1. LA RÉSURRECTION.

a. la nature de la résurrection. La résurrection du Christ ne consiste pas dans le simple fait qu’il revint à la vie, et que les corps et l’âme ont été réunifiées. Si c’était tout ce qu’il s’agissait, il ne pouvait pas être appelé « les prémices d'entre eux qui sont morts, » I Cor. 15:20, ni « le premier-né des morts, » 01:18; Apocalypse 1:5, étant donné que d’autres ont été restaurés à la vie devant lui. Il consistait plutôt à ce qui en lui la nature humaine, les deux corps et âme, a été restauré à sa force primitive et de la perfection et même porté à un niveau plus élevé, tandis que le corps et l’âme ont été re-Unis dans un organisme vivant. De l’analogie du changement qui, selon l’Ecriture, se déroule dans le corps des croyants en la résurrection générale, nous pouvons recueillir quelque chose quant à la transformation qui doit avoir eu lieu dans le Christ. Paul nous dit dans I Corinthiens 15:42-44 que le futur organe de croyants sera incorruptible, c'est-à-dire incapables de désintégration; glorieux, qui signifie resplendissant de la luminosité céleste; puissant, voilà, instinct avec énergie et peut-être avec nouvelles facultés; et spirituelle, qui ne veut pas dire sans importance ou éthéré, mais adapté à l’esprit, un instrument parfait de l’esprit. De l’histoire de l’Évangile nous apprennent que le corps de Jésus avait subi un changement remarquable, afin qu’il n’était pas facilement reconnaissable et pourrions soudain apparaissent et disparaissent d’une manière surprenante, Luc 24:31, 36; John 20:13, 19; 21:7; mais qu’il s’agissait néanmoins d’un corps matériel et très réel, Luc 24:39. Ce n’est pas incompatible avec I Corinthiens 15:50, pour « flesh and blood » est une description de la nature humaine dans son état actuel de la matière, mortel et corruptible. Mais le changement qui a lieu dans les croyants est non seulement physique mais aussi spirituelle. De même, il y avait non seulement physique, mais aussi un changement psychique dans le Christ. Nous ne pouvons pas dire que n’importe quel changement éthique ou religieuse ont eu lieu en lui; mais il était doté de nouvelles qualités parfaitement ajustées à son futur environnement céleste. Par le biais de la résurrection, il est devenu l’esprit vivifiant, I Cor. 15:45. La résurrection du Christ a une triple Signification: (1) il s’agissait d’une déclaration du père que le dernier ennemi avait été vaincu, la pénalité payée et la condition sur laquelle la vie a été promise, se sont rencontrés. (2) il symbolise ce qui allait se pour passer aux membres du corps mystique du Christ dans leur justification, naissance spirituelle, et avenir béni de la résurrection, Romains 6:4, 5, 9; 08:11; I Corinthiens 06:14; 15:20-22; II Corinthiens 04:10, 11, 14; 02:12; I Thessaloniciens 04:14. (3) il est également connecté instrumentalement avec leur justification, la régénération et la résurrection finale, Rom. 04:25; 05:10; EP 01:20; Phil. 03:10; I Pierre 1:3. p ><p>b. L’auteur de la résurrection. À la différence des autres qui ont été ressuscité des morts, Christ a été soulevée par l’intermédiaire de son propre pouvoir. Il a parlé de lui-même comme la résurrection et la vie, Jean 11:25, a déclaré qu’il avait le pouvoir de donner sa vie, et pour reprendre encore une fois, John 10:18 et même prédit qu’il serait reconstruire le temple de son corps, Jean 02:19-21. Mais la résurrection n’était pas un travail de Christ seul; Il est fréquemment attribué à la puissance de Dieu en général, actes 02:24, 32; 03:26; 05:30; I Corinthiens 06:14; EP 01:20, ou, plus particulièrement, au père, Romains 6:4; Galates 1:1; I Pierre 1:3. Et si la résurrection du Christ peut être appelée une œuvre de Dieu, il s’ensuit que le Saint-Esprit était également du dispositif dedans, pour tous les ad opéra supplémentaire sont des œuvres du Dieu triune. En outre, Rom. 08:11 implique aussi cela.

c. opposition à la doctrine de la résurrection. Une grande objection fait valoir contre la doctrine d’une résurrection physique, à savoir qu’après la mort, le corps se désagrège, et les diverses particules qui le composent entrent dans la composition d’autres organes, végétales, animales et humaines. Il est donc impossible de restaurer ces particules à tous les organismes qui, au fil du temps, ils faisaient partie. Macintosh demande: « Qu’est-il advenu des atomes de carbone, oxygène, azote, hydrogène et autres éléments qui compose le corps terrestre de Jésus ? » [Théologie comme une Science empirique, p. 77.] Maintenant, nous admettons que la résurrection défie toute explication. C’est un miracle. Mais en même temps nous devons garder à l’esprit que l’identité d’un corps de résurrection avec le corps qui est descendu dans la tombe n’exige pas qu’il soit composé des mêmes particules exactement. La composition de notre corps change droit le long, et pourtant, ils conservent leur identité. Paul dans I Corinthiens 15 maintient l’identité essentielle du corps qui descend dans la tombe avec celui qui est ressuscitée, mais aussi déclare catégoriquement que les changements de forme. Que que l’homme sème dans la terre passe par un processus de mort et est ensuite accéléré; mais sous forme le grain qu’il met dans le sol n’est pas la même que celle qu’il moissonne en bonne et due fois. Dieu donne à chaque graine un corps propre. Il est donc aussi à la résurrection des morts. C’est peut-être qu’il y a un noyau, certains germes, qui constitue l’essence du corps et préserve son identité. L’argument de l’Apôtre dans I Corinthiens 15:35-38 semble dire quelque chose du genre. [Cf. Kuyper, Voto E II, p. 248 ff.; Milligan, la résurrection des morts, p. 117 et suiv.] Il faut avoir à l’esprit que le réel, l’objection fondamentale à la résurrection, est son caractère surnaturel. Il n’est pas manque de preuves, mais le principe fondamental que les miracles ne se produisent, ce qui fait obstacle à son acceptation. Même libérales savants admettent qu’aucun fait n’est mieux attesté que la résurrection du Christ — bien que d’autres, bien sûr, ce que nient. Mais cela fait peu de différence pour le savant modern. Dit Dr Rashdall: « les témoignages étaient cinquante fois plus forte qu’elle l’est, toute hypothèse serait plus possible à celle. » Encore à l’heure actuelle plusieurs éminents scientifiques déclarent franchement qu’ils ne sont pas en mesure de dire que les miracles ne se produisent.

d. les tentatives d’expliquer le fait de la résurrection. Dans leur refus du anti-surnaturalistes toujours se heurter à l’histoire de la résurrection dans les Évangiles. L’histoire du tombeau vide et des apparitions de Jésus après la résurrection présentent un défi pour eux, et ils acceptent le défi et tentent d’expliquer ces sans accepter le fait de la résurrection. Les tentatives suivantes sont parmi les plus importantes.

(1) la théorie du mensonge. C’est à l’effet que les disciples pratiquent tromperie délibérée par voler le corps de la tombe et puis déclarer que le Seigneur était ressuscité. Les soldats qui ont regardé la tombe ont reçu pour instruction de faire circuler cette histoire et Celse il invite déjà pour expliquer le tombeau vide. Cette théorie, bien sûr, conteste la véracité des témoins au début, les apôtres, les femmes, les cinq cents frères et autres. Mais il est extrêmement improbable que les disciples timides auraient eu le courage de palme au large d’un tel mensonge sur un monde hostile. Il est impossible de croire qu’ils seraient ont persisté dans la souffrance pour un tel mensonge nu. En outre, seuls les faits de la résurrection peuvent expliquer le courage indomptable et le pouvoir qu’ils révèlent au témoignage de la résurrection du Christ. Ces considérations a rapidement conduisent à l’abandon de ce point de vue.

(2) la théorie de l’évanouissement. Selon cette théorie, Jésus n’est pas vraiment mort, mais simplement évanoui, alors qu’on pensait qu’il était réellement mort. Mais cela soulève naturellement des questions plusieurs qui ne sont pas faciles de répondre. Comment expliquer que tant de gens ont été trompés, et que la lance de Poussée n’a pas tué Jésus ? Comment Jésus dans son état d’épuisement pourrait rouler la pierre de la tombe et ensuite marcher de Jérusalem à Emmaüs et inversement. Comment se fait-il que les disciples ne traitent pas lui comme un malade, mais a vu en lui le Prince puissant de la vie ? Et qu’est-il advenu du Jésus après cela ? Avec la résurrection l’ascension est naturellement exclue aussi. Il fait ensuite retourner dans un endroit inconnu et vivre en secret le reste de sa vie ? Cette théorie est grevée par tant d’invraisemblances que Strauss même ridiculisé il.

(3) la théorie de la vision. Il a été présenté sous deux formes. b certains parlent de visions purement subjectives. Dans leur état excité de l’esprit aux disciples demeuraient tellement sur le Sauveur et sur la possibilité de son retour à eux, enfin réellement croire qu’ils le virent. L’étincelle a été appliquée par le nerveux et excitables Mary Magdalene, et bientôt la flamme a été allumée et se propager. C’est la théorie favorable depuis longtemps, mais il est trop transporté avec difficultés. Comment ces visions pourraient survenir, voyant que les disciples ne s’attendait pas à la résurrection ? Comment pouvaient ils apparaissent tandis que les disciples étaient à leurs occupations ordinaires et ne pas donné à la prière ou la méditation ? Pourrait le ravissement ou l’ecstacy nécessaires à la création des visions subjectives ont débuté dès le troisième jour ? Seraient pas les disciples dans ces visions ont vu Jésus, comme entouré d’une auréole de gloire céleste, ou juste comme ils avaient su lui et désireux de renouveler la communion avec eux ? Des visions subjectives jamais se présenter à plusieurs personnes en même temps ? Comment peut-on expliquer les conversations visionnaires ? (b) compte tenu de l’extrême faiblesse de cette théorie, certains érudits présenté une version différente de celui-ci. Ils prétendent que les disciples ont vu réel objectives visions, miraculeusement envoyées par Dieu, pour les persuader de continuer avec la prédication de l’Évangile. Cela vraiment éviter certaines des difficultés a suggéré, mais d’autres rencontres. Il admet le surnaturel; et si cela est nécessaire, pourquoi ne pas accorder la résurrection, ce qui explique certainement tous les faits ? En outre, cette théorie nous demande de croire que ces divinement envoyé visions étaient de nature à induire en erreur les apôtres. Dieu cherche à travailler ses fins par la tromperie ?

(4) les théories mythiques. Une nouvelle école mythique a vu le jour, qui abandonne, ou au moins dispense, théories de la vision et l’apparition et cherche à expliquer la légende de la résurrection par l’aide des conceptions importées dans le judaïsme de la Babylonie et autre oriental pays. Cette école affirme non seulement que la mythologie des religions orientales anciennes contienne des analogies de l’histoire de la résurrection, mais que cette histoire a été en fait dérivée de mythes païens. Cette théorie a été élaborée sous plusieurs formes, mais il est également sans fondement sous toutes ses formes. Il se caractérise par la grande arbitraire en renforçant une connexion de l’histoire de l’Évangile avec les mythes païens et n’a pas réussi à les relie. En outre, il révèle un mépris extrême des faits car on les trouve dans l’écriture.

e. le roulement doctrinal de la résurrection. La question se pose, il fait aucune différence, si nous croyons en la résurrection physique du Christ, ou simplement en une résurrection idéale ? Pour la théologie libérale moderne la résurrection de Jésus, sauf dans le sens d’une survie spirituelle, est sans importance réelle pour la foi chrétienne. Croyance en la résurrection corporelle n’est pas indispensable, mais peut très bien être supprimée sans affecter la religion chrétienne. Barth et Brunner sont d’un avis différent. Ils croient en le fait historique de la résurrection, mais maintiennent que, comme tel, c’est simplement une question d’histoire, dont l’historien peut traitent au mieux de ses capacités et non pas comme une question de foi. L’important élément qui se trouve dans la résurrection du divin se brise au cours de l’histoire, que dedans l' incognito de Jésus est supprimée et Dieu se révèle. L’historien ne peut pas décrire, mais le croyant il accepte par la foi.

Croyance en la résurrection a certainement les roulements doctrinales. Nous ne pouvons nier la résurrection physique du Christ sans attaquer la véracité des auteurs de l’écriture, puisqu’ils représentent certainement il comme un fait. Cela signifie qu’il affecte notre croyance dans la fiabilité de l’écriture. En outre, la résurrection du Christ est représentée comme ayant une valeur probante. C’était le point culminant de la preuve que Christ était un enseignant envoyé de Dieu (le signe de Jonas), et qu’il était le fils de Dieu même, Romains 1:4. C’était aussi l’attestation suprême du fait de l’immortalité. Ce qui est encore plus important, la résurrection entre comme un élément constitutif dans l’essence même de le œuvre de rédemption et par conséquent de l’Évangile. Il est l’un des grands fondements de l’église de Dieu. Le œuvre rédemptrice du Christ, si elle devait être efficace du tout, a dû mettre fin, pas dans la mort, mais dans la vie. En outre, il était le sceau du père sur le œuvre achevée de Christ, la déclaration publique de son acceptation. Dans ce Christ passée sous la Loi. Enfin, c’est son entrée sur une nouvelle vie comme le ressuscité et exalté le chef de l’église et le Seigneur universel. Cela lui a permis d’appliquer le fruit de son œuvre rédemptrice.

2. L’ASCENSION.

a. l’ascension du Christ ne se distingue pas comme hardiment sur les pages de la Bible comme étant la résurrection. C’est probablement dû au fait que ce dernier plutôt que l’ancien a été le véritable tournant dans la vie de Jésus. Dans un certain sens, l’ascension peut être appelée le complément nécessaire et l’achèvement de la résurrection. Transition du Christ à la vie plus élevée de gloire, commencée dans la résurrection, a été mis au point dans l’ascension. Cela ne signifie pas que l’ascension était dépourvue de signification indépendante. Mais si la preuve de l’écriture pour l’ascension n’est pas aussi abondante que celle de la résurrection, il est tout à fait suffisant. Luc donne un double compte de celui-ci, Luc 24:50-53 et actes 1:6-11. Mark s’en 16:19, mais ce passage est contesté. Jésus a parlé de lui maintes et maintes fois avant sa mort, John 6:62; 14:2, 12; 16:5, 10, 17, 28; 17:5; 20:17. Paul se réfère à elle à plusieurs reprises, Éphésiens 01:20; 4:8-10; J’ai Timothée 03:16; et l’épître aux Hébreux attire l’attention sur sa signification, 1:3; 04:14; 09:24.

b. la nature de l’ascension. L’ascension peut être décrit comme l’ascension visible de la personne du médiateur de la terre au ciel, selon sa nature humaine. C’était une transition locale, un aller d’un endroit à l’autre. Ceci implique, bien sûr, que le paradis est un lieu, mais aussi la terre. Mais l’ascension de Jésus n’était pas simplement une transition d’un endroit à l’autre; elle comprenait également un autre changement dans la nature humaine du Christ. Que la nature a maintenant passé dans la plénitude de la gloire céleste et parfaitement adapté à la vie du ciel. Certains érudits chrétiens de date récente considèrent ciel une condition plutôt qu’à un endroit et donc ne conçoivent pas l’ascension localement. [Cf. Milligan l’Ascension céleste de sacerdoce de notre Seigneur etp. 24 et suiv.; Swete, le Christ ascensionné, p. 8 f.; Gore, la Reconstruction de la croyance, 272 p. f.] Ils admettront qu’il y avait une levée momentanée place du Christ aux yeux des onze, mais seulement comme un symbole de la levée vers le haut de notre humanité à un ordre spirituel bien au-delà de notre vie présente. La conception locale, cependant, est favorisée par les considérations suivantes: (1) ciel est représentée dans l’écriture comme le lieu d’habitation des êtres créés (anges, les saints, la nature humaine du Christ). Ceux-ci sont tous dans certains cas liés aux espaces; Dieu seul est relations spatiales avant tout. Bien sûr, les lois qui s’appliquent dans l’espace céleste peuvent différer de celles qui s’appliquent dans l’espace terrestre. (2) les cieux et la terre sont placés à plusieurs reprises dans la juxtaposition dans l’écriture. De là, il semblerait à suivre que, si l’un est un endroit, l’autre doit être un lieu aussi. Il serait absurde de mettre un lieu et une condition dans la juxtaposition de cette façon. (3) la Bible nous enseigne à penser du ciel comme un lieu. Plusieurs passages directement notre pensée vers le haut vers le ciel et vers le bas pour l’enfer, Deut. 30: 12; Jos. 02:11; PS. 139:8; Romains 10:6, 7. Cela n’aurait aucun sens si les deux ne devaient ne pas être considérés comme locaux dans un certain sens du mot. (4) entrée le Sauveur dans le ciel est représentée comme une ascension. Les disciples voir Jésus ascendant jusqu'à ce qu’un nuage lui intercepte et lui cache à leur vue. Les mêmes couleurs locales est présent à l’esprit de l’auteur d’Hébreux à 04:14.

c. conception The luthérienne de l’ascension. La conception luthérienne de l’ascension est différente de celle de l’église réformée. Ils considèrent, non pas comme une transition locale, mais comme un changement d’État, par lequel la nature humaine du Christ passée dans la jouissance et l’exercice des perfections divines, lui sont communiquées à l’incarnation et ainsi est devenu omniprésent en permanence. Dans le cadre de l’idée que le Christ a commencé sa session à la droite de Dieu à l’ascension, ils maintiennent que cette main droite (qui est simplement un symbole du pouvoir) est partout. Luthériens, toutefois, pas tous pense aussi bien sur le thème de l’omniprésence de la nature humaine du Christ. Certains le nie tout à fait, et d’autres estiment que, même si l’ascension est le résultat de l’ubiquité du Christ, elle comprenait également un mouvement local, par lequel le Christ a retiré sa présence visible de la terre.

d. la signification doctrinale de l’ascension. Barth, dit qu’on peut bien se demander pourquoi l’ascension devrait avoir une place parmi les principaux articles de la foi chrétienne, voyant qu’il est mentionné moins fréquemment et avec insistance que la résurrection, et où il est mentionné apparaît seulement comme un naturel transition de la résurrection à la session à la droite de Dieu. C’est exactement dans cette transition qu’il trouve la signification réelle de l’ascension. C’est pourquoi il ne se soucie pas de souligner l’ascension comme une exaltation visible, une « élévation verticale dans l’espace » devant les yeux des disciples, étant donné que ce n’est évidemment pas la voie à la session à la droite de Dieu, qui n’est pas sa place. Tout comme les faits historiques de la naissance de la Vierge et de la résurrection sont considérés par lui comme de simples signes d’une révélation du Christ, donc aussi l’ascension comme un signe et d’émerveillement est simplement un «pointeur vers la révélation, qui s’est produite dans la résurrection de Jésus Christ comme le porteur de tout pouvoir au ciel et la terre. » [Credo, p. 113.]

On peut dire que l’ascension avait une triple signification. (1) il incarne clairement la déclaration que le sacrifice de Christ était un sacrifice à Dieu, qui devait ainsi lui être remis dans le sanctuaire intérieur; que le père considéré le œuvre médiatrice du Christ comme suffisantes et donc lui admis à la gloire céleste; et que le Royaume du médiateur n’était pas un Royaume des Juifs, mais un Royaume universel. (2) il a été aussi exemplaire que c’était prophétique de l’ascension de tous les croyants, qui sont déjà définies avec le Christ dans les lieux célestes, Éphésiens 2:6 et sont destinés à être avec lui pour toujours, John 17:24; et aussi, en qui il a révélé la restauration initiale de la royauté d’origine de l’homme, Hébreux 2:7, 9. (3) Enfin, il a également contribué à préparer une place pour ceux qui sont dans le Christ. Le Seigneur lui-même souligne la nécessité d’aller vers le père, afin de préparer une place pour ses disciples, Jean 14:2, 3.

3. LA SESSION À LA DROITE DE DIEU.

a. la preuve scripturaire pour la session. Lorsque le Christ se tenait devant le souverain sacrificateur, il a prédit qu’il s’asseyait à la droite du pouvoir, Matthieu 26:64. Pierre fait allusion dans ses sermons, actes 02:33-36; 5:31. dans deux de ces passages, que le datif dexiai tei peut avoir à prendre dans son sens le plus habituel instrumentale, si dans le premier des deux la citation dans le verset 34 favorise l’interprétation locale. Il est également dénommé dans Éphésiens 01:20-22; Hébreux 10:12; J’ai PET. 03:22; 03:21; 22:1. en dehors de ces passages, il y en a plusieurs qui parlent de Christ régner comme roi, Rom. 14:9; I Corinthiens 15:24-28; Hébreux 2:7, 8.

b. l’importance de la session. Naturellement, l’expression « main droite de Dieu » est anthropomorphique et ne peut pas être interprétée littéralement. L’expression, tel qu’utilisé dans ce contexte, est dérivée de Psaume 110: 1, « Assieds-toi à ma droite, jusqu'à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied. » Pour être assis à la droite du roi pourraient être simplement une marque d’honneur, je rois 02:19, mais pourrait aussi désigner la participation au gouvernement et par conséquent dans l’honneur et la gloire. Dans le cas de Christ, c’est sans doute une indication du fait que le Médiateur a reçu les rênes du gouvernement sur l’église et de l’univers et est fait pour partager la gloire correspondante. Cela ne signifie pas que Christ n’était pas roi de Sion jusqu'à ce moment, mais qu’il est maintenant publiquement inauguré Godman, en tant que telle reçoit le gouvernement de l’église et du ciel et la terre et entre solennellement à l’administration du pouvoir s’est engagé à lui . C’est entièrement d’accord avec ce que Calvin dit, à savoir, que l’instruction que Christ était assis à la droite de Dieu équivaut à dire « qu’il a été installé dans le gouvernement du ciel et la terre et officiellement admis à la possession de la l’administration engage à lui et pas seulement admis pour une fois, que de continuer jusqu'à ce qu’il descendre à l’arrêt. » [Inst., BK. II. XVI. 15.] Il est parfaitement évident qu’il serait erroné de déduire du fait que la Bible parle du Christ « assis » à la droite de Dieu, que la vie à laquelle le Seigneur ressuscité est monté est une vie de repos. Il est et continue d’être une vie d’activité constante. Les déclarations de l’écriture varient. Christ n’est pas seulement représenté assis à la droite de Dieu, mais aussi tout simplement comme étant à sa droite, Rom. 08:34; J’ai PET. 03:22, ou debout là, actes à 07:56 et même en marchant au milieu des sept chandeliers d’or. Et il serait tout aussi erroné de conclure de l’importance accordée à la dignité royale et le gouvernement de Christ, naturellement suggéré par l’idée de son assis à la droite de Dieu, que le travail dans lequel il est engagé au cours de sa session céleste est exclusivement gouvernementale et par conséquent prophétiques ni sacerdotale.

c. le œuvre du Christ lors de sa séance. Il mérite d’être souligné que le Christ, alors qu’il est assis à la droite de Dieu, n’est pas simplement un réceptacle passif de dominion divine et puissance, gloire, Majesté, mais est activement engagé dans la poursuite de son œuvre médiatrice.

(1) puisque la Bible relie plus fréquemment la session avec la règle royale du Christ, il est naturel de penser d’abord de tout son travail comme roi. Il gouverne et protège son église par son esprit et il régit aussi par l’intermédiaire de ses agents désignés. Il a toutes les forces du ciel sous son commandement: les anges sont ses messagers, toujours prêts à transmettre sa bénédiction aux saints et à les prémunir contre entourant les dangers. Il exerce un pouvoir sur les forces de la nature et de tous les pouvoirs qui sont hostiles au Royaume de Dieu; et continuera donc à régner jusqu'à ce qu’il a soumis le dernier ennemi.

(2) Toutefois, son travail n’est pas limité à son autorité régalienne. Il est prêtre à jamais selon l’ordre de Melchisédek. Lorsqu’il criait sur la Croix, « C’est fini », il n’entendait pas dire que son travail sacerdotal touchait à sa fin, mais seulement que sa souffrance active est parvenu à sa fin. La Bible relie également travail sacerdotal avec session du Christ à la droite de Dieu, Zach. 06:13; Héb. 04:14; 07:24, 25; 8:1-6; 09:11-15,24-26; 10:19-22; I Jean 2:2. Christ est continuellement présente son sacrifice terminé au père comme base suffisante pour l’effusion de la grâce pardon de Dieu. Il est constamment appliquer son travail sacrificiel et rendre efficace dans la justification et la sanctification des pécheurs. En outre, il est jamais faire intercession pour ceux qui sont siens, plaidant pour leur acceptation sur la base de son sacrifice terminé et leur garde dans le monde et rendre leurs prières et services acceptables à Dieu. Les luthériens insistent sur le fait que l’intercession du Christ est vocalis et realis, tandis que les réformés mettent l’accent sur le fait qu’il consiste principalement en présence de Christ dans la nature de l’homme avec le père, et que les prières doivent être considérés comme les présentation de réclamations légitimes plutôt que supplications.

(3) le Christ continue aussi son œuvre prophétique par le Saint-Esprit. Avant il se sépara de ses disciples, il leur a promis l’Esprit Saint, à l’aide de leurs souvenirs, leur enseignent de nouvelles vérités, guident dans toute la vérité et riches par la plénitude de Christ, Jean 14:26; 16:7-15. la promesse a été tenue le jour de la Pentecôte; et depuis ce jour sur le Christ, par le biais de l’esprit, a été actif en tant que notre grand prophète de diverses manières: dans l’inspiration de l’écriture; à et par la prédication des apôtres et des ministres de la parole; dans le Guide de l’Eglise, ce qui en fait la Fondation et le pilier de la vérité; et en faisant la vérité apparente dans le cœur et la vie des croyants.

4. LE RETOUR PHYSIQUE DU CHRIST.

a. le retour comme une étape dans l’exaltation. Le retour du Christ est parfois omis dès les stades de son exaltation, comme si la session à la droite de Dieu était le point culminant. Mais ce n’est pas correct. Le point culminant n’est atteinte que que celui qui a souffert aux mains de l’homme, retours en qualité de juge. Il se fait à cela comme une prérogative médiateur spéciale, John 05:22, 27 et donc fait des apôtres, actes 10:42; 17:31. Outre les passages qui parlent de la nomination du Christ comme juge, il y en a plusieurs qui font référence à son activité judiciaire, Matthieu 19:28; 25: 31-34; Luc 03:17; ROM. 02:16; 14:9; II Corinthiens 05:10; II Timothée 4:1; Jac. 5:9.

b. les termes bibliques pour le retour. Plusieurs termes sont utilisés pour désigner la future venue de Jésus-Christ. Le terme «parousie» est le plus commun d'entre eux. Il signifie en premier lieu tout simplement « présence », mais sert aussi à désigner une entrée qui précède une présence. Ce dernier est le sens commun du terme, lorsqu’il est utilisé en relation avec le retour de Jésus Christ, mat. 24:3, 27,37,39; I Corinthiens 15:23; I Thessaloniciens 02:19; 03:13; 04:15; 05:23; II Thess. 2:1; Jac. 5; 7, 8; II Pierre 3:4. Un second mandat est «apocalupsis, » qui insiste sur le fait que le retour sera une révélation de Jésus Christ. Il pointe vers la découverte de quelque chose qui était auparavant caché à la vue, dans ce cas, de la gloire cachée et la majesté du Christ Jésus, II Thess. 1:7; I Pierre 1:7, 13; 4:13. un troisième terme est «epiphaneia, » l’apparition glorieuse du Seigneur. Il en découle que ce qui est découvert est quelque chose de glorieux, II Thess. 2:8; J’ai Timothée 06:14; II Timothée 4:1-8; Tite 02:13.

retour. de c. la manière du Christ Certains placent le retour du Christ dans le passé, affirmant que la promesse de sa venue à nouveau a été réalisée quand il revint dans l’Esprit Saint. Ils se réfèrent à la promesse dans Jean 14-16 et interprètent le mot «parousie» comme signifiant simplement « présence ». [Warren. La parousie; J. M. Campbell, la seconde venue du Christ.] Maintenant, on peut affirmer que, dans un sens, Christ retournèrent dans l’Esprit Saint et comme tel est présent dans l’église. Mais ce fut un retour spirituel, tandis que la Bible nous enseigne à regarder pour un rendement physique et visible du Christ, actes. 1:11. même après la Pentecôte, on nous apprend à attendre avec impatience la venue du Christ, j’ai Cor. 1:7; 4:5; 11:26; Phil. 03:20; Colossiens 3:4; I Thessaloniciens 04:15-17; II Thess. 1:7-10; Tite 02:13; Apocalypse 1:7.

d. l’objectif de son retour. La seconde venue de Jésus Christ sera dans le but de juger le monde et de perfectionner le salut de son peuple. Hommes et anges, les vivants et les morts, comparaîtra devant lui pour être jugés selon la notice qui a conservé d’eux, Matthieu 24:30, 31; 25, 31, 32. ce sera une entrée avec des jugements terribles sur les méchants, mais aussi avec la bénédiction de la gloire éternelle pour les saints, Matthieu 25: 33-46. Alors qu’il va condamner les méchants au châtiment éternel, il va justifier publiquement son propre et les amener dans la joie parfaite de son Royaume éternel. Cela se signalèrent la victoire remplie de Jésus Christ.

e. opposition à la doctrine du retour. La grande opposition à la doctrine du retour de Jésus Christ est d’une pièce avec l’opposition à la doctrine de la résurrection physique du Christ. Si il ne peut y avoir aucune résurrection physique et l’ascension, on peut sans retour physique du ciel. Les deux sont tout aussi impossibles, et les enseignements bibliques concernant leur sont simplement brutes représentations d’une époque non scientifique. Jésus a évidemment souscrit aux vues charnelles de son époque, et ces couleur ses délimitations prophétiques de l’avenir. Le seul retour de qui nous pouvons parler et pour qui nous pouvons espérer est un retour au pouvoir, à la mise en place d’un Royaume éthique sur la terre.

QUESTIONS pour études supplémentaires: Quelles preuves historiques nous ont pour la résurrection du Christ ? I Cor. 15:8 prouve-t-il que les apparences étaient des visions subjectives ? Ce que mythes sont censés avoir conclu le façonnage de l’histoire de la résurrection ? Quelle lumière les passages suivants à condition de Jésus après sa résurrection ? I Corinthiens 06:17; II Corinthiens 03:17, 18; J’ai Timothée 03:16; Romains 1:3, 4; Héb. 09:14; J’ai PET. 03:18. Quelle est la différence entre un soma psychicon, un pneumatikon de somaet un soma tes sarkos? Sont « esprit » et « spirituel », antithèse de « corps » et « corporelles » dans le Nouveau Testament ? Est science vraiment qu’il impossible de penser du ciel comme un lieu ? C’est vrai que dans l’écriture des mots « heaven » et « céleste » indiquent un État plutôt qu’un lieu ? La théologie moderne pense du ciel seulement comme une condition pour être entrepris après la mort ? Sa position vraiment trouve appui dans un tel passage en Éphésiens 2:6 ? L’ancien Testament contient toutes les références à l’ascension et de la session à la droite de Dieu ? Quelles objections sérieuses sont là pour la doctrine luthérienne de l’omniprésence de la nature humaine du Christ ? La Bible enseigne-t-elle nous considérer le retour du Christ comme imminente ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. III, p. 469-504; Kuyper, Dict. dogme., De Christo II, pp. 109-114; E Voto I, p. 469-493; II, pp. 5-69; Faire, Godgeleerdheit III, pp. 1-100; Synopsis Purioris Theol., pp. 272-281; Turretin, opéra, Locus XIII, Q. XVII-XIX; Hodge, Syst. Theol. II, p. 626-638; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, p. 385, 386, 406-413; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 91-95; Milligan, La résurrection de notre Seigneur; Orr, la résurrection de Jésus; Gore, la Reconstruction de la croyance, pp. 226-273; Swete, le Christ ascensionné; Milligan, l’Ascension et la prêtrise céleste de notre Seigneur; Tait, la Session céleste de notre Seigneur; A. M. Berkhoff, De Wederkomst van Christus; Brown, le Second Avènement; Snowden, la venue du Seigneur. Brunner, le médiateur, pp. 561-590; Barth, Credo, pp. 95-126.

 

Les offices du Christ

I. introduction: L’Office prophétique

A. INTRODUCTION REMARQUES SUR LES OFFICES EN GÉNÉRAL.

1. L’IDÉE DES OFFICES DANS L’HISTOIRE. Il est devenu habituel de parler de trois offices dans le cadre de le œuvre du Christ, à savoir le prophétique, la sacerdotal et les fonctions royales. Alors que certains d'entre les premiers pères de l’église parlent déjà des différents offices de Christ, Calvin a été le premier à reconnaître l’importance de distinguer les trois offices du médiateur et à attirer l’attention sur elle dans un chapitre distinct de ses instituts . [BK. II, Chap. XV.] Parmi les Lutherans Gerhard a été le premier à développer la doctrine des trois offices, Quenstedt considéré la triple distinction comme plutôt non indispensables et appelée attention sur le fait que certains théologiens luthériens distinguent seulement deux offices, combinant le prophétique auprès de l’office sacerdotal. Depuis l’époque de la réforme la distinction a été généralement adoptée dans les poncifs de la théologie, bien qu’il n’y avait aucun accord général quant à l’importance relative des offices, ni quant à leur interrelation. Certains placés les prophétiques, d’autres le sacerdotal et d’autres encore les fonctions royales, au premier plan. Il y avait ceux qui l’idée d’une succession chronologique qui leur sont appliquées et pense de Christ fonctionne comme prophète durant son ministère public sur la terre, comme prêtre dans ses souffrances finales et la mort sur la Croix et comme roi, maintenant qu’il est assis à la droite de Dieu . D’autres, cependant, correctement a insisté sur le fait qu’il doit être conçu comme fonctionnant en sa triple qualité tant dans son état d’humiliation que dans son état d’exaltation. Les Sociniens ont vraiment ne reconnu que deux offices: Christ a fonctionné comme prophète sur terre et les fonctions comme le roi dans le ciel. Alors qu’ils parlaient aussi du Christ, comme prêtre, ils subsumait son sacerdotal sous son travail Royal et par conséquent n’a pas reconnu son sacerdoce terrestre.

Dans l’église luthérienne une opposition considérable est apparue à la doctrine des trois offices de Christ. Ernesti donne un résumé des objections qui ont été soulevées. Selon lui, la division est un purement artificiel; les termes prophète, prêtre et roi ne servent pas dans l’écriture dans le sens impliqué dans la présente section; Il est impossible de distinguer l’une fonction clairement de l’autre dans le œuvre du Christ; les termes utilisés dans l’écriture sont appliqués à Christ dans un sens tropical et donc pas ont des significations précises apposer sur eux, désignant des parties particulières de le œuvre du Christ. En réponse à cela, on peut affirmer qu’il n’y a peu de force dans la critique de l’utilisation des termes, car ils sont utilisés tout au long de l’ancien Testament en tant que désignations de ceux qui, dans les offices de prophète, prêtre et roi, typifiait Christ. La critique vraiment significative est due au fait que dans le Christ, les trois offices sont Unis en une seule personne. Le résultat est que nous ne pouvons nettement distinguer les différentes fonctions dans les travaux officiel de Christ. Le œuvre médiatrice est toujours un travail de toute la personne; pas une seule œuvre peut se limite à l’un des offices. De la luthérienne plus tard les théologiens Reinhard, Doederlein, Storr et Bretschneider a rejeté la distinction. Ritschl aussi se sont opposés à lui et a tenu que le terme « vocation » doit prendre la place du mot trompeur « office ». De plus, il considérait la fonction régalienne ou activité du Christ comme primaire et la sacerdotale et prophétique comme secondaire et subordonné, relation de l’homme indiquant ancien au monde et ce dernier, sa relation à Dieu. Il a en outre souligné le fait que la royauté prophétique et sacerdotale doit être affirmée également de l’état d’humiliation et de l’état d’exaltation. Haering suit Ritschl dans son refus des trois offices et dans son emphase l’appel. La théologie moderne n’est opposée à l’idée, en partie parce qu’il n’aime pas la terminologie des écoles, et en partie parce qu’elle refuse de penser à Christ comme un personnage officiel . C’est tellement en amour avec le Christ comme l’homme idéal, le Helper aimant et le frère aîné, donc vraiment humaine, qu’il craint pour le considèrent comme un fonctionnaire médiatrice formel, puisque cela serait apte à déshumaniser lui.

2. IMPORTANCE DE LA DISTINCTION. La distinction des trois offices de Christ est un précieux et devait être conservé, en dépit du fait que son application cohérente à tous les deux des États du Christ n’est pas toujours facile et qu’il n’a pas toujours été aussi réussie. Le fait que Christ a été oint à un office triple trouve son explication dans le fait que l’homme était à l’origine prévu pour ce office triple et travailler. Créé par Dieu, il était prophète, prêtre et roi et comme tel était doué avec la connaissance et la compréhension, avec droiture et sainteté et avec la domination sur la création plus bas. Sin affecté toute la vie de l’homme et se manifeste non seulement comme l’ignorance, la cécité, erreur et le mensonge; mais aussi comme l’injustice, la culpabilité et la pollution morale; et en plus de cette misère, mort et destruction. Par conséquent, il était nécessaire que le Christ, notre médiateur, devrait être prophète, prêtre et roi. Comme prophète, il représente Dieu avec l’homme; comme prêtre, il représente l’homme en présence de Dieu et comme roi He exercices dominion et restaure la domination originale de l’homme. Rationalisme ne reconnaît que sa fonction prophétique; Mysticisme, seulement son office sacerdotal; et Chiliasme met un accent unilatéral sur ses futures fonctions royales.

B. L’OFFICE PROPHÉTIQUE.

1. L’IDÉE BIBLIQUE D’UN PROPHÈTE.

a. les termes utilisés dans l’écriture. L’ancien Testament utilise trois termes pour désigner un prophète, à savoir, nabhi, RO et Hozeh. Le radical du mot nabhi signifie incertain, mais il ressort clairement de ces passages comme Exode 7:1 et Deutéronome 18:18 que le mot désigne celui qui vient avec un message de Dieu au peuple. Les mots RO et Hozeh insistent sur le fait que le Prophète est celui qui reçoit les révélations de Dieu, notamment sous la forme de visions. Ces mots sont utilisés de façon interchangeable. Autres désignations sont « homme de Dieu », « messager de l’Eternel » et « gardien ». Ces appellatifs indiquent que les prophètes sont au service spécial du Seigneur et guettez les intérêts spirituels des gens. Dans le Nouveau Testament, le mot prophetes est utilisé, qui est composé de pro et Jean Claude. La préposition n’est pas temporelle dans ce cas. Par conséquent, le mot prophemi ne fait pas moyen « pour parler au préalable », mais « pour parler de suite ». Le Prophète est celui qui parle vient de Dieu. Parmi ces noms, pris ensemble, nous nous réunissons qu’un prophète est celui qui voit les choses, c'est-à-dire qui reçoit les révélations, qui est au service de Dieu, en particulier comme un messager, et qui parle en son nom.

b. les deux éléments combinés dans l’idée. Les passages classiques, Exode 7:1 et Deutéronome 18:18 indiquent qu’il y a deux éléments à la fonction prophétique, l’un passif et les autres actifs, l’un réceptive et les autres productifs. Le prophète reçoit des révélations divines dans les rêves, visions ou des communications orales; les communique à la population, soit oralement, soit visiblement dans actions prophétiques, num. 12:6-8; Ésaïe 6; Jérémie 1:4-10; Ézéchiel 3:1-4, 17. De ces deux éléments, le passif est le plus important, car il contrôle l’élément actif. Le prophète ne peut pas donner sans recevoir, et il ne peut pas donner plus qu’il reçoit. Mais l’actif est également un élément à part entière. Celui qui reçoit une révélation n’est pas encore nécessairement un prophète. Pensez à Abimélec, Pharaon et Nabuchodonosor, qui ont tous reçu des révélations. Ce qui constitue un prophète, est le divin l’appel, l’instruction, de communiquer la révélation divine à d’autres.

c. le devoir des prophètes. Il était du devoir des prophètes pour révéler la volonté de Dieu au peuple. Cela pourrait se faire sous la forme d’enseignement, exhortation et exhortation, glorieuses promesses, ou stern reproche. Ils étaient les moniteurs ministérielles du peuple, les interprètes de la Loi, notamment dans ses aspects moraux et spirituels. C’était leur devoir de protester contre le formalisme simple, de souligner le devoir moral, d’exhorter la nécessité du service spirituel et de promouvoir les intérêts de la vérité et la justice. Si le peuple a quitté le chemin du devoir, ils avaient à les rappeler à la Loi et le témoignage et d’annoncer la prochaine terreur du Seigneur sur les méchants. Mais leur travail a été aussi intimement lié à la promesse, les gracieuses promesses de Dieu pour l’avenir. C’était leur privilège d’imaginer les choses glorieuses que Dieu avait en réserve pour son peuple. Il est également évident par les écritures que les vrais prophètes d’Israël typifiait le grand prophète qui viennent de l’avenir, Deutéronome 18:15, cf. actes 03:22-24, et qu’il fonctionnait déjà à travers eux à l’époque de l’ancien Testament, j’ai PET. 01:11.

2. LES DISTINCTIONS APPLIQUÉES À Le ŒUVRE PROPHÉTIQUE DU CHRIST. Fonctions de Christ comme prophète de diverses manières:

a. avant et après l’incarnation. Les Sociniens sont trompaient en limitant le œuvre prophétique du Christ au moment de son ministère public. Il a été actif en tant que Prophète même dans la dispensation de vieux, comme dans les spéciales révélations de l’ange de l’Éternel, dans les enseignements des prophètes, en qui il a agi comme l’esprit de révélation (j’ai PET. 01:11) et à l’illumination spirituelle des croyants. Il apparait dans Proverbes 8 comme la Sagesse incarnée, enseigner aux enfants des hommes. Et après l’incarnation, il transporte sur son œuvre prophétique dans son enseignement et ses miracles, dans la prédication des apôtres et des ministres de la parole et aussi dans l’éclairage et l’instruction des croyants comme l’esprit intérieur. Il continue son activité prophétique du ciel par le biais de l’opération du Saint-Esprit. Ses enseignements sont verbales et factuel, autrement dit, il enseigne non seulement par les communications verbales, mais aussi par les faits de la révélation, comme l’incarnation, sa mort expiatoire, la résurrection et l’ascension; et même pendant la période de l’ancien Testament par les types et les cérémonies, par les miracles de l’histoire de la rédemption et par la direction providentielle du peuple d’Israël.

b. les deux immédiatement et médiatement. Il a exercé ses fonctions prophétiques immédiatement, comme l’ange du Seigneur dans la période de l’ancien Testament et comme le Seigneur incarné par ses enseignements et aussi par son exemple, John 13:15; Philippiens 2:5; J’ai PET. 02:22. Et il a exercé médiatement par le biais de l’opération du Saint-Esprit, par les enseignements des prophètes de l’ancien Testament et des apôtres du Nouveau Testament et il exerce encore aujourd'hui par l’intermédiaire de l’esprit intérieur dans les croyants et l’Agence des ministres de l’Évangile. Cela signifie qu’il porte sur son prophétique travaille également les deux objectivement et extérieurement et subjectivement et intérieurement par l’esprit, qui est décrit comme l’esprit du Christ.

3. ECRITURE PREUVE POUR L’OFFICE PROPHÉTIQUE DU CHRIST. L’écriture témoigne dans plus d’un titre à l’office prophétique du Christ. Il est prédit comme un prophète dans Deutéronome 18:15, un passage qui est appliqué à Christ en actes 03:22, 23. Il parle de lui-même comme un prophète dans Luc 13:33. Par ailleurs, il prétend apporter un message du père, John 08:26-28; 12:49, 50; 14:10, 24; 15:15; 17:8, 20, prédit des choses futures, Matthieu 24:3-35; Luc 19:41-44 et parle avec autorité du singulier, Matthieu 07:29. Ses œuvres merveilleuses servi pour authentifier son message. Compte tenu de tout cela, ce n’est aucun étonnant que les gens lui est reconnu comme un prophète, Matthieu 21:11, 46; Luke 07:16; 24:19; Jean 3:2; 04:19; 06:14; 07:40; 09:17.

4. LE MODERNE PRIVILÉGIANT L’OFFICE PROPHÉTIQUE DU CHRIST. C’est l’une des principales caractéristiques de l’école libérale, tous deux du libéralisme plus âgé, représenté par Renan, Strauss et Keim et du libéralisme plus tard, représenté par des hommes tels que Pfleiderer, Weinel, Wernle, Wrede, Juelicher, Harnack, Bouset et autres, qu’il met l’accent principal sur Jésus comme un enseignant. Comme tel, son importance est soulignée à l’exclusion des autres aspects de sa personne et son œuvre. Il y a une différence assez notable, toutefois, entre ces deux branches du libéralisme. Selon le libéralisme plu Jésus dérive toute sa signification de ses enseignements, mais selon le libéralisme plus tard, c’est la personnalité unique de Jésus qui donne du poids à ses enseignements. Il s’agit sans aucun doute une avancée bienvenue, mais le gain n’est pas aussi grand que cela puisse paraître. Selon les termes de La Touche: « En effet, sa reconnaissance de la signification réelle de sa personnalité plutôt que son enseignement est guère plus qu’une exaltation de la pédagogie par l’exemple sur la pédagogie par précepte. » Après tout, le Christ est seulement un grand maître. Aujourd'hui le modernisme est entièrement sous l’emprise de cette école libérale. Même dans la théologie barthienne il y a un accent qui pourrait paraître pour apporter beaucoup en ligne avec la théologie moderne. Walter Lowrie correctement dit: « C’est caractéristique de la théologie barthienne qu’il pense que principalement du médiateur comme révélateur. » [Notre préoccupation avec la théologie de crise, p. 152.] On nous dit à plusieurs reprises par Barth et Brunner que la révélation est la réconciliation et parfois il semble comme s’ils considèrent l’incarnation comme elle-même déjà la réconciliation. Là encore, la réconciliation est représentée comme la révélation. Dans le récent Symposium sur la révélation Barth a dit: « Jésus Christ est la révélation, parce que dans son existence, il est la réconciliation. ... L’existence de Jésus Christ est la réconciliation et par conséquent le comblement du Golfe qui a ouvert ici. » [p. 55 f.] La Croix est parfois définie comme la révélation de la contradiction absolue, le dernier conflit entre ce monde et l’autre. Par conséquent Zerbe dit que la mort du Christ, selon Barth, n’est pas exactement une expiation de la deuxième personne de la divinité pour le péché du monde, mais « un message de Dieu à l’homme, en effet le message final; la négation fondamentale; le jugement sur toute possibilité humaine, en particulier les religieux. » Mais s’il est vrai que dans barthienne théologie le Médiateur est principalement le révélateur, cela ne signifie pas qu’il ne parvient pas à rendre justice à son travail sacrificiel et expiatoire. [Cf. surtout Brunner, le médiateur, les chapitres XVII-XXI.] Grotte de Sydney dit même dans sa La Doctrine de le œuvre du Christ: « pour Barth la Croix est au cœur du message chrétien. » Tout brille à la lumière de sa mort et est éclairée par elle. " » [p. 244.]

 

II. l’Office sacerdotal

4. Le ŒUVRE SACERDOTALE DU CHRIST DANS LA THÉOLOGIE MODERNE. Comme l’a dit dans le chapitre précédent, la doctrine des offices du Christ ne répond pas avec grande faveur dans la théologie actuelle. En fait, il est généralement brille par son absence. On peut difficilement nier que la Bible parle du Christ comme prophète, prêtre et roi, mais il est communément admis que ces termes, telle qu’appliquée au Christ, sont seulement tant de descriptions figuratives des différents aspects de le œuvre du Christ. Christ n’est pas considéré comme un vrai prophète, un vrai prêtre et un vrai roi. Et si l’un des aspects de le œuvre du Christ est fait de se démarquer comme prééminente, c’est le prophétique plutôt que l’aspect sacerdotale. L’esprit moderne est tout à fait opposé au Christ officiel, et s’il peut être grandement dans l’amour avec Jésus qui se refus et d’abnégation, il refuse absolument de reconnaître son sacerdoce officiel. À cet égard il convient de souligner d’emblée que, selon l’Ecriture, Jésus est un vrai prêtre. Comme par les prêtres de l’ancien Testament, qui étaient simplement des ombres et des types, il peut être appelé le prêtre seul véritable. Il a été révélé chez les hommes comme la vérité, c'est-à-dire la réalité de toutes les ombres de l’ancien Testament et donc aussi du sacerdoce de l’ancien Testament. Le septième chapitre de l’épître aux Hébreux insiste sur le fait que son sacerdoce est largement supérieure à celle d’Aaron. Par conséquent, c’est une triste erreur de supposer qu’il est prêtre que dans un sens figuré, dans le sens où les passionnés de littérature et d’art sont parfois appelés prêtres. Il s’agit d’une utilisation tout à fait injustifiée du mot « prêtre », et un qui est tout à fait étrangère à l’écriture. Quand Jéhovah a juré, « tu es sacrificateur pour toujours selon l’ordre de Melchisédek, » il constituait le Messie un vrai prêtre.

 

III. la Cause et la nécessité de l’expiation

2. l’objection de conscience juste considéré comme souvent va main dans la main avec l’autre, à savoir que ce point de vue de l’absolue nécessité de l’expiation suppose un schisme dans la vie trinitaire de Dieu, et il s’agit d’une idée plutôt monstrueuse. David Smith, l’auteur de Dans le jours de sa chair, dit: « elle (la théorie pénale de satisfaction) place un fossé entre Dieu et Christ, ce qui représente Dieu comme le juge sévère qui a insisté sur l’exécution de la justice et Christ comme Sauveur pitoyable qui interposé et satisfait sa demande juridique et apaiser sa colère vertueuse. Ils ne sont pas une pièce dans leurs attitudes envers les pécheurs, ou dans les parties dont ils jouent. Dieu est propitiated; Favorise de Christ; Dieu inflige le châtiment, le Christ souffre Dieu exige la dette, Christ il paie. » [L’expiation à la lumière de l’histoire et l’esprit moderne, p. 106.] Cette objection repose également sur un malentendu, un malentendu pour lesquels les chrétiens sont au moins en partie, à blâmer qui parlent et chantent comme si Christ, plutôt que le Dieu trinitaire, était exclusivement à l’auteur de leur salut. La Bible nous enseigne que Dieu triune fourni librement pour le salut des pécheurs. Il y avait rien pour lui. Le père fait le sacrifice de son fils et le fils s’est offert volontairement. Il n’y avait aucun schisme mais la plus belle harmonie entre le père et le fils. Cf. PS. 40: 6-8; Luc 01:47-50,78; Éphésiens 1:3-14; 2:4-10; I Pierre 1:2.

 

La doctrine de l’expiation présentée ici est la doctrine pénale substitutive ou satisfaction, qui est la doctrine clairement enseignée par la parole de Dieu.

A. DÉCLARATION DE LA DOCTRINE PÉNALE SUBSTITUTIVE DE L’EXPIATION.

Dans la discussion de ce point de vue plusieurs indications doivent être soulignées.

1. LA JOUR DES EXPIATIONS EST OBJECTIF. Cela signifie que l’expiation fait son impression primaire sur la personne à qui elle est faite. Si un homme de mal et rend satisfaction, cette satisfaction est destinée à influencer la personne lésée et non la partie contrevenante. Dans le cas envisagé, cela signifie que l’expiation visait pour apaiser Dieu et à lui concilier au pécheur. C’est sans doute l’idée principale, mais n’implique pas que nous ne pouvons pas aussi parler du pécheur être réconciliés avec Dieu. L’écriture ne présente, en plusieurs endroits, Rom., 05:10; II Corinthiens 05:19, 20. Mais il faut avoir à l’esprit que ce n’est pas équivalent à dire que le pécheur est expié, ce qui voudrait dire que Dieu a fait amende honorable ou réparation, qu’il a rendu satisfaction pour le pécheur. Et même lorsque nous parlons du pécheur comme étant réconciliés, il faut l’entendre comme quelque chose qui est secondaire. Le Dieu concilier justifie le pécheur qui accepte la réconciliation et donc fonctionne dans son cœur par le Saint-Esprit, que le pécheur fixe également côté son aliénation méchante de Dieu et entre ainsi dans les fruits de l’expiation parfaite du Christ. En d’autres termes, le fait que Christ réconcilie Dieu au pécheur se traduit par une action réflexe sur le pécheur, en vertu duquel le pécheur peut être dit de se réconcilier avec Dieu. Étant donné que l’objective expiation de Christ est un fait accompli, et il est désormais du devoir des ambassadeurs du Christ pour induire des pécheurs à accepter l’expiation et de mettre fin à leur hostilité envers Dieu, il n’est pas étonnant que le côté secondaire et subjectif de la la réconciliation est un peu importante dans l’écriture. Cet énoncé de la nature objective de l’expiation est placé au premier plan, car il représente la principale différence entre ceux qui acceptent la théorie de la satisfaction de l’expiation et tous ceux qui préfèrent une autre théorie.

Maintenant la question se pose, si cette conception de l’expiation est pris en charge par l’écriture. Il semble trouver un ample soutien là. À noter les indications suivantes:

a. le caractère fondamental du sacerdoce souligne clairement dans cette direction. Tandis que les prophètes représentaient Dieu parmi les hommes, les prêtres dans leur travail sacrificiel et intercession représentant des hommes en présence de Dieu et donc regardé en direction de Godward. L’auteur d’Hébreux l’exprime ainsi: « pour tout souverain sacrificateur, pris d'entre les hommes, est ordonnée pour les hommes en ce qui a trait à Dieu, » 5:1. Cette déclaration comprend les éléments suivants: (1) le prêtre est pris d'entre les hommes, est l’un de la race humaine, afin de pouvoir représenter les hommes; (2) il est nommé pour les hommes, c'est-à-dire, d’être actif dans l’intérêt des hommes; et (3) il est désigné pour représenter les hommes en ce qui a trait à Dieu, c'est-à-dire dans les choses qui ont une direction Godward, qui regarde vers Dieu, qui se terminent sur Dieu. Il s’agit d’une indication claire du fait que le travail du prêtre ressemble surtout à Dieu. Il n’exclut pas l’idée que le travail sacerdotal a également une influence réflexe sur les hommes.

b. la même vérité est véhiculée par l’idée générale des sacrifices. Ceux-ci ont clairement une référence objective. Même parmi les gentils ils sont portées, pas aux hommes, mais à Dieu. Ils étaient censés pour produire un effet sur Dieu. L’idée biblique du sacrifice ne diffère pas de ce dans sa référence objective. Les sacrifices de l’ancien Testament ont été amenés à Dieu principalement pour l’expiation pour le péché, mais aussi comme des expressions de dévotion et de gratitude. D'où le sang devait être mis en la présence de Dieu. L’auteur d’Hébreux dit que le « ce qui a trait à Dieu » se composée en offrant « les offrandes et des sacrifices pour le péché. » Les amis de Job ont été poussés à faire des sacrifices, « peur que j’ai, » dit le Seigneur, « traiter avec vous après votre folie. » 42:8 de travail. Les sacrifices devaient jouer un rôle déterminant dans la colère du Seigneur de tranquillisation.

c. le mot hébreu kipper (piel) exprime l’idée d’expiation pour le péché de la couverture du péché ou du pécheur. Le sang du sacrifice est l’intermédiaire entre Dieu et le pécheur, et compte tenu de ce la colère de Dieu est a repoussé. Elle a pour effet, par conséquent, de conjurer la colère de Dieu du pécheur. Dans la Septante et le Nouveau Testament les termes hilaskomai et hilasmos sont utilisés dans un sens connexe. Le verbe signifie « rendre propice, » et le substantif, « un apaisement » ou « les moyens d’apaiser ». Ils sont d’un caractère objectif. En grec classique, elles sont interprétées souvent avec l’accusatif de theos (Dieu), bien qu’il n’y a aucun exemple de cela dans la Bible. Dans le Nouveau Testament, elles sont interprétées avec l’accusatif de la chose (hamartias), Héb. 02:17, ou avec la peri et le génitif de la chose (hamartion), I Jean 2:2; 4:10. le premier passage est mieux interprété à la lumière de l’utilisation de l' hébreu kipper; la dernière peut être interprétée de la même façon, ou avec Théon comme objet comprise. Il y a tant de passages des écritures qui parlent de la colère de Dieu et de Dieu comme étant fâché avec les pécheurs, que nous sommes parfaitement justifiées en parlant de l’expiation de Dieu, Rom. 01:18; GAL 03:10; Éphésiens 2:3; Romains 5:9. Dans Romains pécheurs 05:10 et 11:28 sont appelés des « ennemis de Dieu » (echthroi) dans un sens passif, ce qui indique, non pas qu’ils sont hostiles à Dieu, mais qu’ils sont les objets de déplaisir Sainte de Dieu. Dans l’ancien passage ce sens est exigé par sa connexion avec le verset précédent; et dans le second par le fait echtroi est contrasté avec agapetoi, qui ne signifie pas «amoureux de Dieu », mais « le bien-aimé de Dieu. »

d. les mots katalasso et katalage signifient « pour réconcilier » et « réconciliation ». Ils pointent vers une action par laquelle inimitié est changé en amitié et sûrement, d’abord, une signification objective. L’auteur rapproche, pas lui-même, mais la personne qu’il a commis une infraction. Ceci est clairement mis en évidence dans Matthieu 05:23, 24: « donc, si tu présentes ton offrande devant l’autel et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi; laisse là ton offrande devant l’autel et va; tout d’abord se réconcilier avec ton frère (qui, à cet égard, peut seulement signifier, concilier ton frère à toi-même, c’est objectif) et ensuite venir et offrir ton cadeau. » Le frère qui l’avait fait le préjudice supposé est appelé pour supprimer le grief. Il doit se concilier ou réconcilier son frère à lui-même en compensation que ce soit peut être exigée. Dans le cadre de le œuvre du Christ les mots en cause dans certains cas désignent certainement l’effectuer un changement dans les relations judiciaires entre Dieu et le pécheur en enlevant la réclamation judiciaire. Selon II Cor. 05:19 le fait que Dieu a réconcilié le monde avec lui-même est évident d’après ce qu’il ne pas pense à eux leurs péchés. Cela n’indique pas à n’importe quel changement moral chez l’homme, mais le fait que les exigences de la Loi sont remplies, et que Dieu est satisfait. Dans Romains 05:10, 11, le terme « réconciliation » ne peut être compris dans un sens objectif, car (1) il est dit avoir été apposée par la mort du Christ, alors que la réconciliation subjective est le fruit du travail de l’esprit; (2) il a été effectué lorsque nous étions encore ennemis, autrement dit, étaient toujours des objets de la colère de Dieu; et (3), il est représenté dans le verset 11 comme quelque chose d’objectif que nous recevons.

e. les termes lutron et antilutron sont également des termes objectifs. Christ est que le Grondin, le libérateur, actes 20:28; I Corinthiens 06:20; 7:23. il rachète pécheurs des exigences de la justice rétributive de Dieu. Le prix est payé à Dieu par le Christ comme le représentant du pécheur. De toute évidence, la Bible nous justifie abondamment en attribuant un caractère objectif à l’expiation. De plus, à proprement parler, l’expiation au sens propre du mot est toujours objectif. Il n’y a aucune une telle chose comme expiation subjective. En expiation, c’est toujours le parti qui a fait mal qui fait amende honorable pour celui qui a été lésé.

2. C’EST UNE EXPIATION DU FAIT D’AUTRUI.

a. la signification du terme «expiation du fait d’autrui. » Il y a une différence entre l’expiation personnelle et du fait d’autrui. Nous sommes particulièrement intéressés par la différence entre les deux dans le cadre de l’expiation du Christ. Quand l’homme s’éloigne de Dieu, il devait ainsi réparation de Dieu. Mais il pouvait expier son péché seulement en souffrir éternellement la peine fixée à la transgression. C’est ce que Dieu aurait exigé en stricte justice et il aurait fallu, si il n’avait pas été actionné par l’amour et de compassion pour le pécheur. Comme une question de fait, cependant, Dieu a nommé un vicaire de Jésus Christ à prendre la place de l’homme, et ce vicaire expié pour le péché et a obtenu une rédemption éternelle pour l’homme. Dr. Shedd attire l’attention sur les points suivants de la différence dans ce cas: (1) expiation personnelle est fournie par la partie contrevenante; expiation par la partie lésée du fait d’autrui. (2) expiation personnelle aurait exclu l’élément de la miséricorde; l’expiation du fait d’autrui représente la forme la plus élevée de la miséricorde. (3) expiation personnelle aurait été toujours en devenir et par conséquent ne pouvait donner lieu à remboursement; l’expiation du fait d’autrui conduit à la réconciliation et la vie éternelle.

b. la possibilité d’expiation du fait d’autrui. Tous ceux qui défendent une théorie subjective de l’expiation soulèvent une objection formidable à l’idée de l’expiation du fait d’autrui. Ils le jugent impensable qu’un Dieu juste transfèrerait sa colère contre les délinquants morales à une partie parfaitement innocente et devrait traiter les innocents par les tribunaux comme s’il était coupable. Il y a sans aucun doute une réelle Difficulté ici, compte tenu du fait que cela semble être contraire à toute analogie humaine. Nous ne pouvons conclure à la possibilité du transfert d’une créance pécuniaire, à celle de la cession d’une dette pénale. Si certaines personne bienfaisante vous propose de payer la dette pécuniaire d’une autre, le paiement doit être accepté, et le débiteur est ipso facto libéré de toute obligation. Mais ce n’est pas le cas quand quelqu'un offre expier la transgression d’une autre personne du fait d’autrui. Pour être légal, cela doit être expressément permise et autorisée par le législateur. En référence à la Loi, cela s’appelle détente, et en ce qui concerne le pécheur, il est connu comme la rémission. Le juge n’est pas nécessaire, mais peut quand même Il peut encore lui permettre uniquement dans certaines conditions, comme (1) que le coupable lui-même n’est pas en mesure de supporter la peine grâce à la fin, tel qu’une relation juste donne; (2) que le transfert ne pas empiéter sur les droits et privilèges de tiers innocents, ni les faire subir des souffrances et privations; (3) que la personne supportant la peine n’est pas lui-même déjà endettés à la justice et qu’il n’a pas envers tous ses services au gouvernement; et (4) que la partie coupable conserve la conscience de sa culpabilité et le fait que le substitut souffre pour lui. Compte tenu de tout cela il sera entendu que le transfert de la dette pénale est presque, si ce n’est pas tout à fait, impossible chez les hommes. Mais dans le cas de Christ, qui est tout à fait unique, parce qu’en elle une situation obtenue qui n’a aucun parallèle, toutes les conditions nommées ont été remplies. Il n’y avait aucune injustice de tout genre.

c. la preuve scripturaire pour l’expiation du fait d’autrui du Christ. Certes, la Bible enseigne que les souffrances et la mort du Christ ont été du fait d’autrui et du fait d’autrui au sens strict du mot qu’il a pris la place des pécheurs, et que leur culpabilité était imputée et leur punition transférés, à lui. Ce n'est pas du tout ce que signifie Bushnell, quand il parle du « sacrifice du fait d’autrui » du Christ. Pour lui, cela signifie simplement que Christ a porté nos péchés « sur son sentiment, est devenu inséré dans leur mauvais sort de sa sympathie comme ami, a donné lui-même et de sa vie, même, pour tenter de rétablir la miséricorde; en un mot qu’il a porté nos péchés en tout de même l’impression qu’il a porté nos maladies. » [Sacrifice du fait d’autrui, p. 46.] Les souffrances du Christ n’étaient pas seulement les souffrances sympathiques d’un ami, mais les souffrances substitutive de l’agneau de Dieu pour le péché du monde. Les preuves scripturales pour cela peuvent être classés comme suit:

(1) l’ancien Testament nous enseigne à considérer les sacrifices qui ont été apportées sur l’autel comme du fait d’autrui. Quand les Israélites a apporté un sacrifice à l’Éternel, il devait poser sa main sur la tête du sacrifice et de confesser son péché. Cette action symbolise le transfert du péché à l’offrande et le rendait apte à expier le péché de l’offreur, Lévitique 1:4. Grotte et autres considèrent cette action simplement comme un symbole de dévouement. [La Doctrine biblique du Sacrifice, pp. 129 f.] Mais cela n’explique pas comment l’imposition des mains fait le sacrifice apte à faire l’expiation pour le péché. Il n’est pas en harmonie avec ce qu’on nous apprend à prendre des mesures concernant la signification de l’imposition des mains dans le cas du bouc pour Azazel dans Lévitique 16:20-22. Mort a causé du fait d’autrui sur le sacrifice d’après l’imposition des mains. La signification de cela est clairement indiquée dans le passage classique qui se trouve dans Lévitique 17:11: « pour la vie de la chair est dans le sang; et je l’ai donné à vous pour faire l’expiation pour vos âmes: car c’est le sang qui fait le jour des Expiations en raison de la vie. » Dit m. Vos, « l’animal sacrificiel dans sa mort prend la place de la mort en raison de l’offreur. C’est pas valable pour les forfait. » Les sacrifices ainsi apportés étaient des figurations de l’un grand sacrifice de Jésus Christ.

(2) il y a plusieurs passages dans les écritures qui parlent de nos péchés comme étant « mis sur » Christ et de son péché « portant » ou l’iniquité, Ésaïe 53:6, 12; John 01:29; II Corinthiens 05:21; GAL 03:13; Héb. 09:28; J’ai PET. 02:24. Sur la base de l’écriture, nous pouvons, par conséquent, dire que nos péchés sont imputés au Christ. Cela ne signifie pas que notre nature pécheresse a été transféré à lui — quelque chose qui est en soi totalement impossible, mais que la culpabilité de nos péchés ont été imputée à lui. Dit le Dr A. A. Hodge: « péché peut être considérée (1) dans son caractère formel comme transgression de la Loi, I Jean 3:4; ou (2) comme une qualité morale inhérente à l’agent (macula), Rom. 06:11-13; ou (3) à l’égard de son obligation légale de peine (reatus). Dans ce dernier sens seul il jamais dit que le péché de l’un est mis sur ou assumée par un autre. » [Les contours de la théologie, p. 408.] Strictement parlant, puis, la culpabilité du péché comme passif à la peine ont été imputée au Christ; et cela pourrait être transférée, car il ne pas inhérente à la personne du pécheur, mais a été quelque chose objective.

(3) Enfin, il y a plusieurs passages dans lesquels les prépositions periet Bréhima anti sont utilisés dans le cadre de le œuvre du Christ pour les pécheurs. L’idée substitutive est exprimée en moins par la première et plus par la préposition dernier. Mais même dans l’interprétation de Bréhima et anti que nous devrons dépendent en grande partie le contexte, pour le premier c’est vraiment « dans le nom de », il peut et dans certains cas, exprime l’idée de substitution, et alors que ce dernier peut signifier » au lieu de, » il n’a toujours pas cette signification. Il est assez intéressant de remarquer que, selon Deissmann, plusieurs cas ont été découverts sur les inscriptions de l’utilisation de Bréhima la signification « à titre de représentant de. » [Lumière de l’Orient ancien, p. 153.] Nous trouvons une utilisation similaire de celui-ci dans 13 Philemon. Dans ces passages comme Rom. 5:6-8; 08:32; GAL 02:20; Hébreux 2:9, que cela signifie probablement « au lieu de, » mais il peut également être rendu « au nom de »; mais en gal 02:13; John 11:50 et II Cor. 05:15 cela veut certainement dire « au lieu de. » Robertson affirme que seule la violence au texte pouvez vous débarrasser de ce sens ici. préposition anti signifie clairement « au lieu de » dans Matthieu 02:22; 05:38; 20:28; Marc 10:45. Selon Robertson, toute autre signification du terme est hors de question ici. La même idée est exprimée dans I Timothée 2:6.

d. Objections à l’idée d’une expiation du fait d’autrui. Plusieurs objections sont soulevées contre l’idée d’expiation du fait d’autrui.

(1) substitution en matière pénale est illégale. Il est généralement admis que, dans le cas d’une créance pécuniaire paiement par un substitut n’est pas autorisé, mais doit être accepté et annule immédiatement toute autre obligation part du débiteur initial. Toutefois, il est dit que la dette pénale est si personnelle qu’il n’admet pas d’un tel transfert. Mais il est évident qu’il y a autres que pécuniaires cas dans lequel la loi a pris des dispositions pour la substitution. Armure dans son ouvrage sur l’expiation et la loi mentionne trois sortes de tels cas. Le premier est que de substitution en cas de travaux dans l’intérêt public exigé par la Loi et la seconde, que de substitution en cas de service militaire requise au nom d’un pays. Concernant le troisième, il dit « même dans le cas de crime, Loi, telle que comprise et administrés par des hommes dans tous les Laender, prévoit que la peine pourrait être atteint par un substitut, dans tous les cas où la peine prescrite est telle qu’il peut répondre à un substitut cohérence avec les obligations qu’il fait déjà l’objet. » [129 p..] Il est parfaitement évident que la loi reconnaît le principe de substitution, si elle ne peut pas être facile de citer des cas où des personnes innocentes étaient autorisés à agir comme substituts aux criminels et à supporter les sanctions imposées sur ces. Ceci trouve une explication suffisante dans le fait qu’il est généralement impossible de trouver des hommes qui remplissent toutes les conditions susmentionnées au point b. Mais le fait qu’il est impossible de trouver des hommes qui satisfont à ces exigences, y a aucune preuve que Jésus Christ ne pouvait pas ces exigences. En fait, il pouvait et a fait et était donc un substitut acceptable.

(2) l’innocent est fait de souffrir pour les méchants. Il est parfaitement vrai que, selon la doctrine pénale substitutive de l’expiation, Christ a souffert comme « juste pour les injustes » (j’ai PET. 03:18), mais cela peut difficilement être invité comme une opposition à la doctrine de l’expiation du fait d’autrui. Sous la forme dans laquelle il est souvent dit, il a certainement très peu de force. Dire que cette doctrine fait l’innocent souffrir les conséquences de la culpabilité des méchants et est donc inacceptable, équivaut à soulever une objection contre le gouvernement moral de Dieu en général. Dans la vie réelle les innocents souffrent souvent en raison de la transgression des autres. Par ailleurs, sous cette forme que l’opposition tiendrait contre toutes les soi-disant théories de l’expiation, parce qu’ils représentent les souffrances du Christ comme étant en quelque sorte le résultat des péchés de l’humanité. On dit parfois qu’un agent moral ne peut devenir raisonnablement responsable de n’importe quel péché, sauf en le faisant personnellement; mais cela est contredit par les faits de la vie. Celui qui loue une autre à commettre un crime est jugé responsable; Ce sont tous les accessoires pour un crime.

(3) Dieu le père est rendu coupable d’injustice. Il semble que toutes les objections sont vraiment des variations sur le même thème. Le troisième est pratiquement identique à la deuxième mis sous une forme plus légale. La doctrine de l’expiation du fait d’autrui, il est dit, implique une injustice de la part du père, en ce qu’il sacrifie tout simplement le fils pour les péchés de l’humanité. Cette objection a été déjà soulevée par Abélard, mais perd de vue plusieurs faits pertinents. Il n’était pas le père mais le Dieu trinitaire qui a conçu le plan de rédemption. Il y avait un accord solennel entre les trois personnes dans la divinité. Et dans ce plan, le fils volontairement s’engage à supporter la peine pour le péché et pour répondre aux exigences de la loi divine. Et non seulement cela, mais le œuvre sacrificiel du Christ aussi apporté gain immense et la gloire de Christ comme médiateur. Cela signifiait pour lui une graine de nombreux culte aimante et un glorieux Royaume. Et, enfin, cette objection agit comme un boomerang, car elle retourne avec vengeance sur la tête de tous ceux qui, comme Abélard, nient la nécessité d’une expiation objective, car ils sont tous ont convenu que le père a envoyé le fils dans le monde d’amères souffrances et une honteuse la mort qui, bien que bénéfique, n’était pourtant pas nécessaire. Cela aurait été cruel en effet !

4. il n’y a aucune telle union comme justifierait une expiation du fait d’autrui. Il est dit que, si un vicaire est d’enlever la culpabilité d’un délinquant il doit y avoir une véritable union entre eux qui justifierait une telle procédure. Il peut être admis qu’il doit y avoir quelque antécédente union entre un vicaire et ceux qu’il représente, mais l’idée que ce doit être une union organique, telles que les opposants ont vraiment à l’esprit, ne peut être accordée. Que fait l’union nécessaire devrait être juridique plutôt que biologiques, et prévoyait une telle union dans le plan de rédemption. Dans les profondeurs de l’éternité, le médiateur de la nouvelle Alliance a entrepris librement comme le représentant de son peuple, c'est-à-dire, de ceux que le père a donné à lui. On établissait un lien fédéral en vertu duquel il est devenu leur caution. Il s’agit de la base et le plus fondamentaux de l’union entre le Christ et son propre et sur cette base une union mystique a été formée, idéalement à l’avocat de la paix, à réaliser au cours de l’histoire de l’union organique de Christ et son église. C’est pourquoi Christ pourrait agir comme le représentant légal de la sienne, et étant mystiquement avec eux, peut également communiquer à eux les bénédictions du Salut.

3. ELLE COMPREND L'OBÉISSANCE ACTIVE ET PASSIVE DE CHRIST. Il est de coutume de faire la distinction entre l’obéissance passive et active du Christ. Mais pour distinguer entre les deux, il doit être clairement entendu qu’ils ne peuvent pas être séparés. Les deux accompagnent mutuellement à chaque instant de la vie du Sauveur. Il y a une constante interpénétration des deux. Il faisait partie de l’obéissance active du Christ, qu’il s’est soumis volontairement aux souffrances et la mort. Il le dit lui-même: « aucun homme ne prendra ma vie de moi, je la donne de moi-même, » John 10:18. En revanche, il faisait également partie d’obéissance passive du Christ, qu’il vivait dans la soumission à la Loi. Sa se déplaçant sous la forme d’un serviteur, constituait un élément important de ses souffrances. Obéissance active et passive de Christ doit être considérée comme complémentaire faisant partie d’un tout organique. Il examinera, devrait tenir compte d’une triple relation dans laquelle Christ se tenait à la Loi, à savoir, le naturel, le gouvernement fédéral et la relation pénale. Homme s’est révélée un échec dans chacune d'entre elles. Il n’a pas observé la loi dans ses aspects naturels et fédérales et n’est pas actuellement en mesure de payer la pénalité, afin d’être restauré en faveur de Dieu. Tandis que Christ entré naturellement la première relation par son incarnation, il entra du fait d’autrui que les relations de deuxième et troisième. Et c’est avec eux que nous sommes particulièrement inquiets à ce sujet.

a. l’obéissance active du Christ. Christ en tant que médiateur entré la relation fédérale dans laquelle Adam se trouvait dans l’état d’intégrité, dans l’ordre à la vie éternelle mérite pour le pécheur. Ceci constitue l’obéissance active du Christ, qui consiste à tout ce que Christ a fait pour respecter la loi dans sa dimension fédérale, comme condition pour obtenir la vie éternelle. L’obéissance active du Christ était nécessaire pour rendre son obéissance passive acceptable avec Dieu, c'est-à-dire, pour faire un objet du bon plaisir de Dieu. C’est seulement par ce que l’estimation de Dieu les souffrances du Christ se distingue de son estimation des souffrances des disparus. En outre, si le Christ n’avait pas rendu obéissance active, la nature humaine du Christ lui-même aurait chuté avant les demandes justes de Dieu, et il n’aurait pas pu expier pour les autres. Et, enfin, si le Christ a souffert seulement la peine infligée à l’homme, ceux qui ont partagé les fruits de son travail auraient été frappée exactement où Adam était avant qu’il ne tombe. Christ mérite d’être plus pour les pécheurs que le pardon des péchés. Selon Galates 4:4, 5, qu'ils sont par l’intermédiaire de Christ libérés de la loi que la condition de vie, soient adoptées pour être fils de Dieu et comme fils sont aussi les héritiers de la vie éternelle, Galates 4:7. Tout cela est conditionnée principalement à l’obéissance active du Christ. Par le Christ la droiture de la foi est substituée à la justice de la Loi, Romains 10:3, 4. Paul nous dit que par le œuvre du Christ « la justice de la Loi est accomplie en nous, » Romains 8:3, 4; et que nous sommes faits « la justice de Dieu en lui, » II Cor. 05:21.

Selon la vie de l’obéissance du Christ Anselm n’avait aucune signification rédemptrice, puisqu’il devait cela à Dieu pour lui-même. Seulement les souffrances du Sauveur constituaient une revendication sur Dieu et ont été fondamentaux à la rédemption du pécheur. Schéma de pensée assez semblable Piscator, les arminiens du XVIIe siècle, Richard Watson, R. N. Davies et autres savants arminiens nient que l’obéissance active du Christ a la signification rédemptrice que nous attribuons à elle. Leur refus repose surtout sur deux considérations: (1) Christ nécessaire son obéissance active pour lui-même comme homme. En vertu de la Loi, il était en devoir de le garder pour lui-même. En réponse à cela Qu'on peut dire que Christ, bien que possédant une nature humaine, était encore une personne divine et tant que tel n’était pas soumis à la loi dans sa dimension fédérale, la Loi tant que la condition de vie dans l’Alliance des œuvres. Comme le dernier Adam, cependant, il prend la place du premier. Le premier Adam était par nature en vertu de la Loi de Dieu, et la tenue de celui-ci lui a donné ce titre sans prétention à une récompense. C’est seulement quand Dieu gracieusement a conclu une alliance avec lui et lui a promis la vie dans la voie de l’obéissance, que l’observation de la loi a été faite à la condition d’obtenir la vie éternelle pour lui-même et pour ses descendants. Et lorsque Christ entré volontairement la relation fédérale comme le dernier Adam, le maintien du droit acquis naturellement la même signification pour lui et pour ceux que le père lui avait donné. (2) demandes de Dieu, ou la demande, seul un des deux choses du pécheur ne peut: soit l’obéissance à la Loi, ou de soumission à la peine, mais pas les deux. Si la Loi est respectée, la peine ne peut être infligée; et si la peine est confirmée, rien d’autre peut être exigée. Il y a une certaine confusion ici, cependant, qui se traduit par l’incompréhension. Ce « non plus... ou » appliqué au cas d’Adam avant la chute, mais a cessé de s’appliquer au moment où il a péché et donc inscrite la relation pénale de la Loi. Dieu a continué à l’obéissance de la demande de l’homme, mais en plus de cela exigé de lui qu’il a payer la pénalité pour transgression dernière. Répondre à cette double exigence était le seul moyen de la vie après le péché est entré dans le monde. Si Christ avait simplement obéi à la Loi et n’avait pas aussi payé la pénalité, il n’aurait pas remporté un titre à la vie éternelle pour les pécheurs; et si il a simplement payé la pénalité, sans répondre à la demande initiale de la Loi, il aurait laissé l’homme dans la position d’Adam avant la chute, toujours confronté à la tâche d’obtenir la vie éternelle dans le sentier d’obéissance. Par son obéissance active, cependant, il a transporté son peuple au-delà de ce point et leur a donné une réclamation à la vie éternelle.

b. l’obéissance passive du Christ. Christ en tant que médiateur a également inscrit la relation pénale à la Loi, afin de payer la pénalité à notre place. Son obéissance passive a consisté à son payer le châtiment du péché par ses souffrances et la mort et donc s’acquitter de la dette de tout son peuple. Les souffrances du Christ, qui ont déjà été décrites, ne sont pas venu sur lui par inadvertance, ni comme le résultat de circonstances purement naturelles. Ils ont été portées par les tribunaux sur lui comme notre représentant et étaient donc vraiment pénales souffrances. La valeur rédemptrice de ces souffrances résultant des faits suivants: ils ont été supportés par une personne divine qui, uniquement en vertu de sa déité, pourrait porter la peine à travers jusqu’au bout et obtenir ainsi la liberté de lui. Compte tenu de la valeur infinie de la personne qui s’engage à payer le prix et à porter la malédiction, ils ont convaincu la justice de Dieu essentiellement et intensivement. Ils étaient strictement morales souffrances, parce que Christ leur a pris sur lui volontairement et était parfaitement innocente et Sainte en portant leur. L’obéissance passive du Christ se distingue en bonne place dans ces passages comme suit: Ésaïe 53:6; ROM. 04:25; J’ai PET. 02:24; 03:18; I Jean 2:2, tandis que son obéissance active est enseigné dans ces passages à Matthieu 03:15; 05:17, 18; John 15:10; Galates 4:4, 5; Hébreux 10:7-9, en relation avec les passages qui nous enseignent que le Christ est notre justice, Romains 10:4; II Corinthiens 05:21; Philippiens 3:9; et qu’il obtenu pour nous la vie éternelle, l’adoption des fils et un héritage éternel, gal 03:13, 14; 4:4, 5; Éphésiens 1:3-12; 05:25-27. arminiens sont disposés à admettre que le Christ, par son obéissance passive méritait pour nous le pardon des péchés, mais refuser d’accorder qu’il méritait également pour nous une acceptation positive avec Dieu, l’adoption d’enfants et la vie éternelle.

B. DES OBJECTIONS À LA SATISFACTION OU PÉNAL SUBSTITUTIVE DOCTRINE DE L’EXPIATION.

Il y a beaucoup de cercles dans lesquels cette doctrine de l’expiation n’est pas populaire. Il a toujours été opposition à celle-ci, et de nos jours, l’opposition est particulièrement forte. Les exceptions principales sont les suivantes:

1. TELLE UNE EXPIATION ÉTAIT TOUT À FAIT INUTILE. Certains soutiennent que telle une expiation était tout à fait inutile, car le péché n’est pas la culpabilité et par conséquent n’appelle pas une expiation, ou parce qu’il ne peut y avoir aucun obstacle à la libre pardon des péchés à Dieu, notre Père céleste et est essentiellement un Dieu d’amour. Si un homme peut et souvent fait, pardonner le pénitent sans exiger et de recevoir satisfaction, Dieu, notre exemplaire parfait, sûrement peut et va le faire. Il s’agit de l’opposition commune de tous ceux qui défendent une théorie purement subjective de l’expiation. On peut y répondre, cependant, que la Bible enseigne certainement nous considérer le péché comme coupable; et parce que c’est la culpabilité, il rend l’homme soumis à la colère de Dieu et lui expose à la divine punition. Par ailleurs, l’idée d’une paternité universelle de Dieu, en vertu duquel il aime tous les hommes avec un amour rédempteur, est tout à fait étrangère à l’écriture. Et si Dieu est un père, il est aussi un juge; s’il est un Dieu d’amour, il est aussi un Dieu de justice et de sainteté. Il n’y a pas un attribut de Dieu qui domine et détermine l’expression de toutes les autres perfections divines. Et, enfin, il ne faut pas oublier que ce que l’homme peut faire en tant que particulier, il n’est pas toujours capable de faire lorsqu’ils agissent en qualité de juge.

2. UNE TELLE RÉCONCILIATION DÉROGERAIENT LE CARACTÈRE DE DIEU. Étroitement liée à l’objection précédente est celle qui détient que telle une expiation dérogerait à la nature de Dieu: de sa justice, parce qu’il punit l’innocent pour les coupables; de son amour, car il agit comme un stern, sévère et être implacable, qui exige le sang pour apaiser sa colère; et de la grâce de son pardon, car il exige le paiement avant qu’il puisse ou pardonnera. Mais Christ volontairement pris la place des pécheurs, afin que cette substitution n’impliqué aucune injustice de la part Dieu. Si Dieu avait été actionné par stricte justice uniquement et non par amour de compassion et miséricorde ainsi, il aurait quitté le pécheur à périr dans son péché. En outre, il est tout à fait inexact de dire que, selon la doctrine de la satisfaction de l’expiation, l’amour et la grâce pardon de Dieu pouvaient s’écoule pas de suite jusqu'à ce que satisfaction a été rendue, parce que Dieu lui-même a fourni la rançon et en donnant son fils déjà témoigné de son amour infini et pardonnant grace. Son amour précède même la conversion des pécheurs et cela remet en action.

3. UNE TELLE RÉCONCILIATION SUPPOSE UN TRANSFERT IMPOSSIBLE DE COLÈRE. Il est à souligner que cette doctrine de l’expiation détient que Dieu a transféré sa colère contre le pécheur au Médiateur, qui est impensable; et qu’il a également transféré la punition du pécheur à Jésus-Christ, qui est manifestement illégal. En réponse à cela on peut dire, cependant, que la colère de Dieu ne pas prendre part à la nature de vengeance personnelle, tels que nous sommes témoins parmi les hommes, et qu’ils trouveraient difficile de transférer de l’objet de leur haine d’une personne parfaitement innocente. C’est le mécontentement Sainte de Dieu contre le péché, un mécontentement qui le pécheur est également exposé tant que la culpabilité du péché n’est pas supprimée. Il est également tout à fait naturel que, lorsque la culpabilité du péché comme passif à peine fut transférée à Jésus Christ, la colère de Dieu contre le péché a été transférée de la même façon. En outre, on ne peut affirmer que le transfert de la punition au Christ était manifestement illégal, parce que, comme une question de fait, il s’est identifié avec son peuple. Il a fait la satisfaction comme le chef responsable d’une communauté pour ceux qui, en union avec lui, constitue une personne morale juridique. Cette union responsable était constituée, dit Hodge, a par sa propre acceptation volontaire des responsabilités juridiques de son peuple, (b) par la reconnaissance de son parrainage par Dieu et (c) par sa prise en charge de notre nature.

4. UNE TELLE UNE EXPIATION N’EST PAS ENSEIGNÉE DANS LES ÉVANGILES. Certains sont d’avis que la Bible n’enseigne aucune expiation du fait d’autrui ou, si le fait de la Bible, les Évangiles certainement ne sont pas. Et après tout, c’est ce que Jésus a enseigné, et pas ce que Paul dit, ça compte. Nous avons besoin pas pénétrer une longue discussion de cette question, puisque nous l’avons déjà montré qu’il existe une preuve abondante pour une expiation du fait d’autrui dans l’écriture. Il est vrai qu’il ne pas se distingue donc clairement dans les enseignements de l’Évangile comme dans ceux des épîtres, mais cela est dû au fait (pour l’exprimer selon les termes de Crawford) « que l’objectif du ministère de notre Seigneur dans sa vie et sa mort n’était pas tellement la prédication pleine de l’expiation, comme l' achèvement de la réconciliation en vue de la prédication de celui-ci. » [La jour des Expiations, p. 385.] Pourtant, même les Évangiles contiennent des éléments de preuve suffisants pour cela, Matthieu 20:28; John 01:29; 03:16; 10:11; 15:13; Matthieu Matthieu 26: 27; John 06:51.

5. UNE TELLE DOCTRINE EST IMMORALE ET BLESSANTES. On prétend également que ce point de vue de l’expiation est immoral et préjudiciable dans sa tendance pratique. Il est dit pour saper l’autorité de la loi morale et à affaiblir, voire détruire, la force de nos obligations et les incitations à la sainteté personnelle. Cette objection a été déjà effectuée à la doctrine de la grâce libre à l’époque de Paul. L’accusation n’est pas vraie, toutefois, pour cette théorie plus que tout autre confirme la majesté de la Loi et en aucun cas minimise l’obligation des pécheurs rachetés pour restituer la pleine obéissance à la Loi. Au contraire, il propose plusieurs mesures incitatives à la sainteté personnelle, en insistant sur le péché ne dépasse du péché, en affichant l’indicible amour de Dieu et de Jésus Christ et de l’assurance de l’aide divine dans la lutte de la vie et de l’acceptation de nos services l’imparfait dans le Christ.

 

C. théories divergentes de l’expiation

Depuis l’expiation est clairement quelque chose objective, quelque chose qui a une direction Godward, strictement parlant seulement ces théories peuvent venir en considération ici qui représentent le œuvre du Christ comme visant essentiellement à conjurer la colère de Dieu et le divin punition des pécheurs, plutôt qu’à changer l’attitude du pécheur à Dieu d’une hostilité à l’un de l’amitié. Les théories qui sont totalement subjectifs et conçoivent le œuvre du Christ exclusivement comme portant sur l’État moral du pécheur peuvent, dans la stricte logique, être pas pris en considération au total. Ils pourraient éventuellement être considérés comme les théories de la réconciliation, mais peuvent difficilement être considérées comme les théories de l’expiation. Miley fait valoir qu’il peut vraiment être pas plus de deux théories de l’expiation. Il fait remarquer que l’expiation, comme un motif objectif pour le pardon des péchés, doit répondre à une nécessité qui déterminera naturellement sa nature. Cette nécessité doit être comprise, l’exigence d’une justice absolue qui doit punir le péché, ou le cabinet rectoral du juge comme une obligation de préserver les intérêts du gouvernement moral. Dans le premier cas, on arrive à la théorie de la satisfaction; dans le second, à la théorie gouvernementale, qui est préféré par Miley et constate la grande faveur avec les méthodistes en général. Grotte de Alfred lui attribue un caractère objectif également la théorie des arminiens précoces, dans lequel la mort du Christ est considérée comme un substitut à la pénalité imposée sur les pécheurs; et à la théorie de McLeod Campbell, qui trouve la signification réelle de le œuvre du Christ dans son repentir du fait d’autrui. Et c’est sans doute vrai que ces deux ne contiennent un élément objectif. Mais en plus de cela, il y a plusieurs théories purement subjectives. Bien que ce ne sont pas, strictement parlant, les théories de l’expiation, encore qu’ils nécessitent une attention, car ils sont considérés comme tels dans de nombreux milieux. Les théories les plus importants sont les suivants:

A. LES THÉORIES DE L’ÉGLISE PRIMITIVE.

Il y a deux théories dans l’église primitive qui prévoient la brève mention.

1. LA THÉORIE DE LA RANÇON À SATAN. Ceci est basé sur la notion du singulier que la mort de Christ a constitué une rançon payée à Satan, afin de neutraliser les revendications justes qui ont ces derniers sur l’homme. Origène, un des chef partisans de cette théorie, qui s’est tenue que Satan a été trompé dans l’affaire, étant donné que le résultat s’est avéré qu’il ne supportait pas en présence de Saint-Christ et qu’il n’a pas pu conserver son emprise sur lui. Cette théorie a trouvé faveur avec plusieurs des premiers pères de l’église, bien qu’ils ne le mentionnait pas toujours exactement la même forme. Il s’est avéré pour être plutôt tenace, pour l’écho d’il a été entendu encore dans les jours d’Anselme. Pourtant il s’est avéré tellement incongru qu’il a progressivement disparu faute de soutien intelligent. Mackintosh parle de cette théorie comme l’exotérique théorie de l’église primitive.

2. LA THÉORIE DE LA RÉCAPITULATION. Irénée, qui exprime également l’idée que la mort du Christ satisfait la justice de Dieu et ainsi libérée homme, néanmoins a grande importance à la théorie de la récapitulation, autrement dit, l’idée, comme l’exprime Orr, « que Christ récapitule en lui-même toutes les étapes de la vie humaine, y compris ceux qui appartiennent à notre état comme pécheurs. » Par son incarnation et de la vie humaine, il inverse le cours sur lequel Adam par son péché a commencé l’humanité et devient ainsi un nouveau levain dans la vie de l’humanité. Il communique l’immortalité à ceux qui sont Unis à lui par la foi et les effets de qu'une transformation éthique dans leur vie et par son obéissance compense la désobéissance d’Adam. Ceci, selon Mackintosh, était l’ésotérique théorie de l’église primitive.

B. LA THÉORIE DE LA SATISFACTION D’ANSELME (THÉORIE COMMERCIALE).

La théorie d’Anselme est parfois identifiée avec celui des réformistes, qui est également connu comme la théorie de la satisfaction, mais les deux ne sont pas identiques. Certains cherchent à porter préjudice contre lui en l’appelant « la théorie commerciale. » Anselme a insisté sur la nécessité absolue de l’expiation par mise à la terre il dans la nature même de Dieu. Selon lui le péché consiste en refusant de la créature de Dieu l’honneur qui est son dû. Par le péché de l’homme, Dieu a été dépouillé de son honneur, et il fallait que cela devrait être défendu. Cela pourrait se faire de deux manières: par la punition ou de satisfaction. La miséricorde de Dieu l’a incité à chercher dans la voie de satisfaction et plus particulièrement à travers le don de son fils, qui était le seul moyen, puisqu’il fallait une satisfaction infinie. Christ a rendu l’obéissance à la Loi, mais puisqu’il s’agissait de rien de plus que son devoir de l’homme, elle ne constituait pas un mérite de sa part. En plus de cela, cependant, il a souffert et sont morts dans l’exercice de ses fonctions; et depuis qu’il avait comme un être sans péché n’était pas obligé de souffrir et de mourir, il a ainsi apporté gloire infinie à Dieu. Il s’agissait d’une œuvre de supererogation la part de Christ, qui méritait d’être et a également apporté, une récompense; mais depuis le Christ comme le fils de Dieu avait besoin de rien pour lui-même, la récompense a été transmise aux pécheurs sous la forme du pardon des péchés et de béatitude future pour tous ceux qui vivent selon les commandements de l’Evangile. Anselme a été le premier à élaborer une doctrine assez complète de l’expiation, et à bien des égards sa théorie points dans la bonne direction. Toutefois, il est ouvert à plusieurs points critiques.

1. il n’est pas cohérent dans sa représentation de la nécessité de l’expiation. Il ostensiblement ne pas terre cette nécessité dans la justice de Dieu qui ne peut pas omble de péché, mais en l’honneur de Dieu qui appelle à pardonner ou de réparation. Il commence vraiment avec le principe de « droit privé » ou de la coutume, selon lequel une partie lésée peut exiger quelque satisfaction qu’il estime nécessaires; et encore, fait valoir la nécessité de l’expiation d’une manière qui ne détient que sur le point de vue du droit public.

2. cette théorie a vraiment pas de place pour l’idée que le Christ par la souffrance enduré la pénalité du péché, et que sa souffrance était strictement du fait d’autrui. La mort du Christ est simplement un hommage offert de plein gré à l’honneur du père. Il s’agit d’un acte méritoire surérogatoire, compensant les inconvénients des autres; et c’est vraiment la doctrine catholique de pénitence, appliquée à le œuvre du Christ.

3. le régime est aussi partial et donc insuffisante en ce qu’elle fonde la rédemption exclusivement sur la mort du Christ, conçue comme une contribution appréciable à l’honneur de Dieu et exclut l’obéissance active du Christ comme un facteur contribuant à son œuvre expiatoire . Tout porte à la mort du Christ, et aucune justice ne soit faite à la signification rédemptrice de sa vie.

4. dans la représentation de Anselm, il y a simplement un transfert externe des mérites du Christ à l’homme. Il ne comporte aucune indication de la façon dont le œuvre du Christ pour homme est communiquée à l’homme. Il n’y a aucune trace de l’union mystique du Christ et les croyants, ni de la foi comme acceptant la justice du Christ. Étant donné que la transaction entière semble être plutôt commerciale, la théorie est souvent appelée la théorie commerciale.

C. LA THÉORIE DE L’INFLUENCE MORALE.

Cette théorie a été tout d’abord préconisée par Abélard à l’encontre de Anselm et depuis son époque trouvée beaucoup de fervents partisans. L’idée fondamentale est toujours le même, bien qu’il a pris des formes différentes aux mains d’hommes tels que Young, Maurice, Bushnell, Stevens, David Smith et bien d’autres. L’idée fondamentale est qu’il n’y a pas de principe de la nature divine qui appelle nécessairement pour la satisfaction de la part du pécheur; et que la mort du Christ ne doit pas être considérée comme une expiation pour le péché. C’est simplement une manifestation de l’amour de Dieu, souffrance et avec ses créatures pécheresses et prendre sur lui leurs malheurs et chagrins. Cette souffrance n’a pas servi à satisfaire à la justice divine, mais pour révéler l’amour divin, afin d’adoucir les coeurs humains et pour les amener à la repentance. Il assure les pécheurs qu’il n’y a aucun obstacle de la part de Dieu qui lui empêcherait de pardonner leurs péchés. Non seulement il peut le faire sans obtenir satisfaction, mais il est encore désireux de le faire. La seule exigence est que les pécheurs viennent à lui avec un cœur repentant. Les objections suivantes peuvent être exhortées contre cette théorie:

1. cette théorie est contraire aux enseignements de plaines de l’écriture, ce qui représente le œuvre rédemptrice du Christ comme non nécessaire, principalement pour révéler l’amour de Dieu, mais pour satisfaire sa justice; ce qui concerne les souffrances et la mort de Christ comme propitiatoire et pénales; et enseigne que le pécheur n’est pas sensible à l’influence morale de le œuvre sacrificiel du Christ jusqu'à ce que la justice du Christ est devenu par sa foi.

2. s’il est sans doute vrai que la Croix du Christ était la manifestation suprême de l’amour de Dieu, elle peut être considérée comme telle qu’à partir du point de vue de la doctrine pénale substitutive de l’expiation, selon lequel les souffrances et la mort du Christ nous re absolument nécessaire pour le salut des pécheurs. Mais selon la théorie de l’influence morale, ils ont simplement servi le but de faire une impression sur l’homme, que Dieu aurait fait de nombreuses autres manières; et donc, n’étaient pas nécessaires. Et si elles n’étaient pas nécessaires, ils étaient en effet une cruelle manifestation de l’amour de Dieu, — une contradiction dans les termes. Les souffrances et la mort du Christ sont une manifestation de l’amour de Dieu seulement, si c’était le seul moyen de sauver les pécheurs.

3. cette théorie prive l’expiation de son caractère objectif et ce qui cesse d’être une véritable théorie de l’expiation. C’est au plus qu’une théorie unilatérale de la réconciliation. En fait, il n’est pas encore que, pour la réconciliation subjective n’est possible sur la base d’une réconciliation objective. Il confond vraiment méthode de Dieu de sauver l’homme avec l’expérience de l’homme d’être sauvé, grâce à l’expiation elle-même consiste en ses effets dans la vie du croyant, en union avec le Christ.

4. Enfin, cette théorie échoue sur son propre principe. C’est sans doute vrai que souffrance nécessaire, souffrant d’un dessein salvifique qui ne pouvait pas être réalisé de toute autre manière, est apte à faire une impression profonde. Mais l’effet d’une souffrance volontaire, qui est tout à fait inutile et injustifié, est très différent. En fait, il est désapprouvé par la conscience chrétienne.

D. LA THÉORIE DE L’EXEMPLE.

Cette théorie a été préconisée par les Sociniens au XVIe siècle, en opposition à la doctrine des réformateurs, qui Christ du fait d’autrui expié les péchés de l’humanité. Son principe fondamental, c’est qu’il n’y a pas de justice rétributive en Dieu qui exige absolument et inexorablement que péché puni. Sa justice ne l’empêche pas de pardonner à qui il veut sans exiger aucune satisfaction. La mort du Christ a fait pas expier pour les péchés, ni il ne bougeait pas de Dieu de pardonner le péché. Christ sauve les hommes en leur révélant le chemin de la foi et l’obéissance comme le mode de vie éternelle, en leur donnant un exemple d’obéissance véritable fois dans sa vie et sa mort et en les incitant à mener une vie semblable. Ce point de vue vraiment n’établit aucun lien direct entre la mort du Christ et le salut des pécheurs. Elle détient encore que la mort du Christ peut être dit pour expier les péchés de l’homme compte tenu du fait que Christ, comme une récompense pour son obéissance jusqu'à la mort, reçu le pouvoir d’accorder la vie éternelle aux croyants. Cette théorie est répréhensible pour diverses raisons.

1. c’est vraiment un réveil et un mélange de plusieurs anciennes hérésies: de pélagianisme, avec son déni de la dépravation humaine et son affirmation de la capacité naturelle de l’homme de se sauver lui-même; de la doctrine recourt, avec sa conviction que l’homme Jésus-Christ a été adopté pour être le fils de Dieu messianique en raison de son obéissance; de la doctrine Scotist une volonté arbitraire en Dieu; et de l’accent de certains des premiers pères de l’église sur l’efficacité salvifique de l’exemple du Christ. Par conséquent, il est ouvert à toutes les objections s’opposent à ces points de vue.

2. il est tout à fait non scripturaire dans sa conception du Christ comme un simple homme de qualités exceptionnelles; dans son avis du péché, dans lequel le caractère de péché que la culpabilité, si fortement soulignée par la parole de Dieu, est entièrement ignoré; dans son insistance unilatérale sur la signification rédemptrice de la vie du Christ; ou dans sa représentation de la mort de Christ comme la mort d’un martyr, tout en omettant de tenir compte de l’unmartyrlike moral du Christ sur la Croix.

3. il ne tient pas compte pour le salut de ceux qui ont vécu avant l’incarnation et des nourrissons. Si la vie et les souffrances du Christ simplement sauver hommes par leur caractère exemplaire, la question se pose naturellement, comment ils vivaient avant la venue du Christ et ils meurent en bas âge peuvent tirer un avantage de leur part. Pourtant, il y a des évidences claires scripturales pour le fait que le œuvre du Christ était aussi rétrospective dans son efficacité, et que les petits enfants partagent également les avantages de sa mort expiatoire.

4. par ailleurs, il est parfaitement vrai que Christ est aussi représenté à titre d’exemple dans l’écriture, il est nulle part représenté à titre d’exemple après quels pécheurs incrédules doivent de modèle, et qui permettra d’économiser leur s’ils le font; et pourtant, c’est la nécessaire prise en charge de la théorie à l’étude. L’exemple du Christ est un qui peut suivre seulement son peuple, et à laquelle même qu’ils peuvent faire mais une approche légère. Il est notre Rédempteur, avant qu’il puisse être notre exemple.

E. LA THÉORIE GOUVERNEMENTALE.

La théorie gouvernementale était censée être une moyenne entre la doctrine de l’expiation, telle qu’enseignée par les réformateurs et la vue Sociniens. Il nie que la justice de Dieu exige nécessairement que toutes les exigences de la loi être respectées. La Loi est simplement le produit de la volonté de Dieu, et il peut modifier ou abroger même, tout comme il lui plaît. Tandis que dans la stricte justice le pécheur méritait la mort éternelle, cette phrase n’est pas strictement exécutée pour les croyants sont jeu gratuit. Pour eux, la peine est annulée et que sans satisfaction stricte. Christ a fait en effet rendre une certaine satisfaction, mais c’était seulement un équivalent nominal de la peine en raison de l’homme; quelque chose que Dieu s’est plu à accepter comme tels. Si la question est posée, pourquoi Dieu n’a pas versé la sanction pure et simple, comme il l’ont fait, la réponse est qu’il devait se révéler d’une certaine façon le caractère inviolable de la Loi et son déplaisir Sainte contre le péché, afin qu’il, la règle morale de l’univers , pourrait être en mesure de maintenir son gouvernement moral. Cette théorie, tout d’abord préconisée par Grotius, fut adoptée par Wardlaw et plusieurs théologiens de la Nouvelle-Angleterre et est également pris en charge dans des œuvres récentes comme celles de Dale, A. Cave, Miley, Creighton et d’autres. Il est ouvert aux objections suivantes:

1. il incombe clairement à certains principes fausses. Selon la loi n’est pas une expression de l’essence même de Dieu, mais seulement de son arbitraire sera et est donc sujette à changement; et le but de la peine de ce que l'on appelle n’est ne pas pour satisfaire la justice, mais uniquement pour dissuader les hommes de futurs offenses contre la Loi.

2. si l'on peut dire pour contenir un élément vrai, savoir, que la peine infligée à Christ est aussi contribue à obtenir l’intérêt du gouvernement divin, il commet l’erreur de son remplacement par l’objectif principal de l’expiation qui peut, à la lumière de l’écriture, seulement être considéré comme un objet subordonné.

3. il donne une représentation indigne de Dieu. Il initialement menace l’homme, afin de dissuader de transgression et n’exécute pas la phrase menacée, mais quelque chose substitue à elle dans le châtiment infligé sur le Christ. Et maintenant il menace à nouveau ceux qui n’acceptent pas de Christ. Mais comment est-il possible d’avoir toute assurance qu’il effectuera en réalité sa menace ?

4. il est également contraire à l’écriture, ce qui représente certainement l’expiation du Christ comme une révélation nécessaire de la justice de Dieu, une exécution de la peine de la Loi, comme un sacrifice par lequel Dieu est réconcilié avec le pécheur, ainsi que la cause méritoire le salut des pécheurs.

5. comme l’influence morale et les théories de l’exemple, il échoue également à expliquer comment les saints de l’ancien Testament ont été sauvés. Si le châtiment infligé sur le Christ était simplement dans le but de dissuader des hommes du péché, il n’avait aucune signification avec effet rétroactif. Alors, comment ont été personnes sauvées en vertu de l’ancienne dispensation; et comment a été le gouvernement moral de Dieu maintenu à ce moment-là ?

6. Enfin, cette théorie, échoue également, sur son propre principe. Une véritable exécution de la peine pourrait faire une impression profonde sur le pécheur et pourrait agir comme un véritable moyen de dissuasion, si homme pécher ou ne pas pécher, même dans son état naturel, simplement dépend de la volonté humaine, ce qui n’est pas; mais une telle impression serait peine faite par une exposition simple simulacre de justice, visant à démontrer la haute estime la Loi de Dieu.

F. LA THÉORIE MYSTIQUE.

La théorie mystique a ceci en commun avec la théorie de l’influence morale, qu’il conçoit l’expiation exclusivement comme exercer une influence sur l’homme et de provoquer un changement en lui. En même temps qu'il diffère de la théorie de l’influence morale qu’il conçoit le changement forgé chez l’homme, non pas principalement comme un changement éthique dans la vie consciente de l’homme, mais comme un changement plus profond dans la vie subconsciente qui est amenée d’une manière mystique. Le principe de base de cette théorie est que, dans l’incarnation, la vie divine est entrée dans la vie de l’humanité, afin de le soulever pour le plan du divin. Christ possédait la nature humaine avec ses troubles héréditaires de la corruption et la prédisposition au mal moral; mais grâce à l’influence du Saint-Esprit, il a été empêché de manifester cette corruption dans péché actuel, la nature humaine purifiée graduellement et dans sa mort, complètement disparue cette dépravation originale et réunis que la nature de Dieu. Il entra dans la vie de l’humanité comme un ferment de transformation, et la transformation qui en résulte constitue sa rédemption. Il s’agit en effet, mais avec des différences de détail, la théorie de Schleiermacher, Edward Irving, Menken et Stier. Kohlbruegge même semblait enclin à l’accepter dans une certaine mesure. Il est accablé, cependant, avec les difficultés suivantes:

1. il ne tienne pas compte de la culpabilité de l’homme. Selon l’Ecriture la culpabilité de l’homme doit être supprimée, afin qu’il soient purifié de sa pollution; mais la théorie mystique, sans tenir compte de la culpabilité du péché, s’occupe uniquement de l’expulsion de la pollution du péché. Il ne connaît pas de justification et conçoit du Salut comme consistant dans la sanctification subjective.

2. elle repose sur des principes fausses, si elle constate dans l’ordre naturel de l’univers une expression exhaustive de la volonté et de la nature de Dieu, considère sin exclusivement comme une puissance du mal moral dans le monde, ce qui n’implique aucune culpabilité et ne mérite aucun châtiment , et semble à peine comme une simple réaction de la Loi de l’univers contre le transgresseur et pas du tout comme une révélation de la colère personnelle de Dieu contre le péché.

3. il est en contradiction avec l’écriture où il fait Christ partager dans la pollution du péché et de la dépravation héréditaire et déduit la nécessité de sa mort par le péché de sa propre nature (pas tous le faire). Ce faisant, il rend impossible le considèrent comme le Sauveur sans péché, qui, juste à cause de son péché, pourrait prendre la place des pécheurs et payer la peine pour eux.

4. il n’a pas de réponse à la question, comment ceux qui ont vécu avant l’incarnation peuvent partager en la rédemption de Jésus Christ. Si Christ en quelque sorte réaliste chassa la pollution du péché pendant le temps de son séjour sur terre et continue aujourd'hui à évincer; et si le salut de l’homme dépend de ce processus subjectif, alors comment les saints de l’ancien Testament pourraient partager dans ce Salut ?

G. LA THÉORIE DE LA REPENTANCE DU FAIT D’AUTRUI.

Cette théorie de McLeod Cambell est aussi appelée la théorie de la sympathie et l’identification. Il se déroule sur la prise en charge gratuite qu’un repentir parfait aurait eu recours comme une expiation suffisante pour le péché, si l’homme n’avait été capable d’un repentir adéquat, dont il n’était pas. Maintenant Christ offert à Dieu, au nom de l’humanité, le repentir requis, et par ainsi faire rempli les conditions du pardon. Son travail consistait vraiment dans la confession du fait d’autrui du péché dans le nom de l’homme. La question se pose naturellement, comment la mort de Christ est liée à ce repentir du fait d’autrui et de la confession. Et la réponse est que le Christ, par sa souffrance et la mort, a conclu avec bienveillance condamnation du père du péché, mis en évidence l’atrocité du péché et a condamné le péché; et cela a été vu par le père comme une confession parfaite de nos péchés. Cette condamnation du péché est également calculée à produire chez l’homme cette sainteté qui exige de Dieu de l’humanité pécheresse. Cette théorie travaille sous les difficultés suivantes.

1. on peut facilement comprendre que Christ comme homme pouvait entrer avec bienveillance dans nos afflictions et les tentations et dans le sentiment de nos infirmités; mais il ne ressort pas du tout comment l’incarnation lui a permis d’entrer dans un sentiment boursier avec nous à l’égard de nos péchés. Il était sans péché, totalement étranger au péché comme une corruption de puissance dans sa vie et donc pourrait difficilement s’identifier dans un sens moral avec les pécheurs.

2. alors qu’il peut être admis que, selon l’Ecriture, Christ a fait sympathiser avec les pécheurs, dont il est venu pour sauver, cette sympathie n’est certainement pas représentée comme étant la totalité ou même la majeure partie de son œuvre rédemptrice. Tout l’accent est mis sur le fait qu’il subit du fait d’autrui les sanctions qui étaient dus à des pécheurs et satisfaisaient aux exigences de la loi dans une vie d’obéissance. Pourtant cette théorie, tout en reconnaissant la justice rétributive de Dieu et de l’inaptitude du péché, nie la nécessité et la possibilité de substitution pénale et affirme que le œuvre du Christ dans le nom de pécheurs se composait, pas dans sa souffrance pour eux, mais dans le fait d’autrui confession de ses péchés.

3. la théorie s’effectue sur des principes erronés, à savoir que péché ne pas nécessairement fait hommes passible d’une peine; que la justice et la sainteté de Dieu n’a pas, comme une question de cours, appelé pour l’expiation objective; et que la nécessité seule rédemptrice aide suivi de l’incapacité de l’homme pour se repentir à la mode.

4. Enfin, un aveu du fait d’autrui, comme l’indique cette théorie, est vraiment une contradiction dans les termes. Confession est quelque chose de tout à fait subjective, et pour être valide, doit être personnelle. Il est le résultat d’une conscience personnelle du péché et est aussi personnel dans ses effets. Il est difficile de voir comment un tel repentir du fait d’autrui d’autres peut libérer de l’obligation de se repentir. En outre, cette théorie n’a aucun fondement biblique.

 

VI. le but et l’étendue de l’expiation

A. LE BUT DE L’EXPIATION.

L’expiation était destiné à affecter la relation entre Dieu et le pécheur, l’État et la condition du Christ comme l’auteur médiatrice du Salut et l’État et l’état du pécheur.

1. SON EFFET EN CE QUI CONCERNE DIEU. Il convient de souligner d’abord que l’expiation n’effectué aucun changement dans l’être intérieur de Dieu, qui est immuable. Le seul changement qui a été provoqué a été un changement dans la relation entre Dieu et les objets de son amour expiatoire. Il se réconcilia avec ceux qui étaient les objets de sa colère judiciaire. Cela signifie que sa colère était conjurée par le revêtement sacrificiel de leur péché. La jour des Expiations ne devraient pas être représentées comme la cause de mouvement de l’amour de Dieu, car il était déjà une expression de son amour. Elle est souvent représentée comme si, sur la théorie de la satisfaction, Dieu ne pouvait pas aime le pécheur jusqu'à ce que ses justes revendications ont été satisfaites. Mais alors, le fait est négligé que le Christ est déjà le don de l’amour de Dieu, John 03:16. Dans le même temps, il est parfaitement vrai que l’expiation a fait lever les obstacles à la manifestation de l’amour rédempteur de Dieu le pardon des pécheurs et leur sanctification, en satisfaisant à la justice de Dieu et les exigences de la Loi, tant dans son fédéral pénal et procédure pénale aspects.

2. SES EFFETS À L’ÉGARD DE CHRIST. L’expiation a obtenu une récompense de collecteur pour le Christ en tant que médiateur. Il a été constitué l’esprit qui donne la vie, la source inépuisable de toutes les bénédictions du Salut pour les pécheurs. Il a reçu:

a. tout ce qui appartenait à sa glorification, y compris sa gloire messianique présent. C’est pourquoi il a prié, lorsque dans sa prière sacerdotale élevé par anticipation déjà pensait-il de son travail comme terminé, « et maintenant, Ô Père, glorifie-moi avec toi-même de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde fût, » Jean 17:5.

b. la plénitude de ces dons et les grâces qu’il donne à son peuple. Ainsi nous lisons dans le Psaume 68: 18: « tu as monté en haut, tu as conduit la captivité captive; Tu as reçu des cadeaux pour les hommes; Oui pour les rebelles aussi, que le Seigneur pourrait habiter parmi eux. » Paul cela s’applique au Christ dans Éphésiens 4:8.

c. le don de l’Esprit Saint pour la formation de son corps mystique et l’application subjective des fruits de son œuvre expiatoire. Cela est évident d’après les paroles de Pierre le jour de la Pentecôte: « C’est pourquoi sont dues à l’ISO de Dieu exalté et ayant reçu du père la promesse de l’Esprit Saint, il a versé avant cela que tu maintenant voir et entendent, » actes 02:33.

d. les extrémités de la terre pour sa possession et le monde entier pour sa domination. Ce fut l’une des promesses faites à lui: « Ask de moi, et je te donnerai les païens pour ton héritage et les parties plus lointaines de la terre pour ta possession, » PS. 2:8. Que cette promesse a été tenue est tout à fait évident des Hébreux 2:6-9.

3. SON EFFET DANS LA MESURE OÙ LE PÉCHEUR S’INQUIÈTE.

a. l’expiation non seulement rendu le Salut possible pour le pécheur, mais réellement fixé. Sur ce point les calvinistes rejoindre problème avec les catholiques romains, les luthériens, les arminiens et tous ceux qui enseignent une expiation universelle. Ceux-ci tiennent que l’expiation du Christ simplement formulé Salut possible et pas certains, pour ceux pour qui il a été offert. Mais les calvinistes nous enseigne que l’expiation sécurisé façon méritoire de l’application de le œuvre de rédemption à ceux pour lesquels il était prévu et donc rendu leur salut complète certaines.

b. il fixé pour ceux pour qui il a été fait: (1) commandes judiciaire appropriée A par le biais de justification. Cela inclut le pardon du péché, l’adoption d’enfants et le droit à un héritage éternel. (2) l’union mystique des croyants avec le Christ, par le biais de régénération et de sanctification. Cela comprend la mortification progressive du vieil homme et la mise progressive de l’homme nouveau créé en Jésus-Christ. (3) leur bonheur final en communion avec Dieu par Jésus Christ, dans la glorification subjective et dans la jouissance de la vie éternelle en une création nouvelle et parfaite. Tout cela évite clairement l’objection soulevée si souvent contre la doctrine pénale substitutive de l’expiation, à savoir, qu’il n’a aucune éthiques roulements et n’offre aucune base pour la vie éthique des rachetés. On peut même dire que c’est la seule doctrine de l’expiation qui offre un fondement solide pour une véritable éthique, une vie qui est enraciné dans le cœur par le biais de l’opération du Saint-Esprit. Justification permet sur une sanctification.

B. L’ÉTENDUE DE L’EXPIATION.

1. LE POINT EXACT EN CAUSE. La question qui nous préoccupe à ce stade n’est pas a si la satisfaction rendue par Christ était suffisant en soi pour le salut de tous les hommes, cela est admis par tous; (b) si les avantages d’épargne sont réellement appliquées à tout homme, pour la grande majorité de ceux qui enseignent une expiation universelle ne crois pas que tous sont réellement sauvés; (c) la question de savoir si l’offre de bonne foi du Salut est faite à tous ceux qui entendent l’Évangile, à la condition de la repentance et de foi, puisque les Églises réformées n’appelez pas cela en question; ni (d) si aucun des fruits de la mort du Christ s’accumulent au profit des non élus-en vertu de son association étroite avec le peuple de Dieu, puisque cela est explicitement enseigné par de nombreux spécialistes réformées. En revanche, la question porte sur la conception de l’expiation. Le père en envoyant Christ, et Christ en venant dans le monde, pour faire l’expiation pour le péché, et cela grâce à la conception ou aux fins de sauvegarde uniquement les élus à tous les hommes? C’est la question, et c’est seulement la question.

2. ÉNONCÉ DE LA POSITION RÉFORMÉE. La position réformée est que Christ est mort dans le but de réellement et certainement sauver les élus et les élus seulement. Cela revient à dire qu’il est mort dans le but de sauver seulement ceux auxquels il s’applique réellement les avantages de son œuvre rédemptrice. Diverses tentatives ont été faites dans les milieux qui prétendaient être réformé afin de modifier cette position. Les arminiens néerlandaise a maintenu que Christ est mort dans le but de rendre le Salut possible pour tous les hommes sans exception, bien qu’ils ne seront pas tous être enregistrés. Salut est offert à eux à des conditions moins qu’il ne l’était à Adam, à savoir sur la condition de la foi et l’obéissance évangélique, une condition qui ils peuvent répondre en vertu d’un don de Dieu de grâce suffisante ou commun à tous les hommes. Les universalistes calviniste a cherché à médiatiser la relation entre la position réformée et celle des arminiens. Ils distinguent un décret double de Dieu: (a) décret A envoyer le Christ dans le monde pour sauver tous les hommes par sa mort expiatoire à la condition de la foi en lui. Cependant, parce que Dieu vit que cela ne permettrait pas, étant donné que personne n’aurait accepté le Christ par la foi, il suivi la première par un deuxième décret. (b) un décret pour donner une certaine élire numéro grâce spéciale, afin de susciter la foi dans leurs cœurs et d’assurer leur salut. Ce point de vue douteux et très insatisfaisante a eu lieu par l’école de Saumur (Cameron, Amyraldus et Testardus), ainsi que par des érudits anglais tels que Wardlaw, John Brown et James Richards. Certains théologiens de la Nouvelle-Angleterre, comme Emmons, Taylor, parc et Beman a tenu une vue assez semblable. Les moelle osseuse-hommes d’Écosse ont été parfaitement orthodoxes au maintien que Christ est mort dans le but de sauver seulement les élus, même si certains d'entre eux utilisé des expressions qui a également souligné une mention plus générale de l’expiation. Ils ont dit que le Christ n’est pas mort pour tous les hommes, mais qu’il est mort, c’est disponible, pour tous. Dieu donner de l’amour, qui est universelle, l’a amené à faire un acte de donation et d’accorder à tous les hommes; et il s’agit de la Fondation pour l’offre universel du Salut. Son élection amour, cependant, qui est spécial, se traduit par le salut des élus seulement. Le plus important de la Marrowmen était Hog, Boston et les deux Erskines.

3. LA PREUVE POUR LA DOCTRINE DE L’EXPIATION LIMITÉE. Les preuves suivantes peuvent être donnés pour la doctrine de l’expiation particulière:

a. il peut être prévue, avant tout, comme un principe général, que les conceptions de Dieu sont toujours sûrement efficaces et ne peut pas être frustrées par les actions de l’homme. Cela vaut aussi pour le but de sauver les hommes par le biais de la mort de notre Seigneur Jésus Christ. Si cela avait été son intention de sauver tous les hommes, cet objet ne pouvait pas été contrecarré par l’incrédulité de l’homme. Sur toutes les mains, il est admis que seul un nombre limité est enregistré. Par conséquent, ils sont les seuls à qui Dieu a déterminé à sauver.

b. l’écriture est admissible à plusieurs reprises ceux pour qui Christ donné sa vie de manière à pointer vers une limitation très précise. Ceux pour qui il a souffert et sont morts sont diversement appelés « Ses brebis, » John 10:11, 15, « Son église », actes 20:28; Eph. 05:25-27, « Son peuple » Matthieu 01:21 et « les élus » Rom. 08:32-35.

c. le travail sacrificiel du Christ et son travail d’intercession sont simplement deux différents aspects de son expiation fonctionnent, et donc la portée de l’un peut être pas plus large que celle de l’autre. Maintenant Christ limite très certainement son intercession travail, quand il dit: « Je prie pas pour le monde, mais pour ceux que tu m’as donnés. » John 17:9. Pourquoi il devrait limiter sa prière d’intercession, si il avait payé le prix pour tous ?

d. il convient également de noter que la doctrine que Christ est mort pour sauver tous les hommes, logiquement conduit à universalisme absolue, c'est-à-dire à la doctrine que tous les hommes sont réellement enregistrés. Il est impossible qu’ils dont Christ a payé le prix, dont il a enlevé, la culpabilité doivent être perdues en raison de cette culpabilité. Les arminiens ne s’arrête sur leur station à mi-chemin, mais doivent aller jusqu’au bout.

e. si on dire, comme certains disent, que l’expiation est universel, mais que l’application de celui-ci est particulière; qu’il a fait Salut possible pour tous, mais en réalité enregistre uniquement un nombre limité, — il faut savoir qu’il existe un lien indissoluble entre l’achat et l’effusion réelle du Salut. La Bible enseigne clairement que la conception et l’effet de le œuvre rédemptrice du Christ n’est pas simplement pour rendre le Salut possible, mais de concilier Dieu et l’homme et de mettre les hommes en possession du salut éternel, un salut qui beaucoup ne parviennent pas à obtenir, Matthieu 18:11; ROM. 05:10; II Corinthiens 05:21; Galates 1:4; 03:13; Éphésiens 1:7.

f. et si l’affirmation être faite que la conception de Dieu et du Christ était évidemment conditionnelle, dépend de la foi et l’obéissance de l’homme, l’attention doit être appelée sur le fait que la Bible enseigne clairement que Christ par sa mort a acheté la foi, le repentir et tous les autres effets de le œuvre du Saint-Esprit, pour son peuple. Ne Voici par conséquent aucune condition dont la réalisation dépend simplement la volonté de l’homme. La jour des Expiations garantit également le respect des conditions qui doivent être respectées, afin d’obtenir le Salut, Rom. 2:4; GAL 03:13, 14; Éphésiens 1:3, 4; 2:8; Phil. 01:29; II Timothée 3:5, 6.

4. LES OBJECTIONS À LA DOCTRINE DE L’EXPIATION LIMITÉE. On peuvent les classer comme suit:

r. il existe des passages qui enseignent que le Christ est mort pour le monde, John 01:29; 03:16; 06:33, 51; Romains 11:12, 15; II Corinthiens 05:19; I Jean 2:2. L’objection fondée sur ces passages n’entreprenne l’hypothèse injustifiée que le mot « monde » tel qu’utilisé dedans signifie « tous les individus qui constituent la race humaine. » Si c’était pas le cas, l’objection fondée sur eux n’aurait aucun sens. Mais il est parfaitement évident par les écritures que le terme « monde » a une variété de significations, comme une simple lecture des passages suivants s’avérera concluante, Luc 2:1; John 01:10; Actes 11:28; 19:27; 24:5; Romains 1:8; Col. 1:6. Il apparaît également que, lorsqu’il est utilisé des hommes, il ne pas toujours inclut tous les hommes, Jean 7:4; 12:19; 14:22; 18:20; Romains 11:12, 15; dans certains de ces passages, il ne peut pas indiquer éventuellement tous les hommes. Si elle avait cette signification dans John 06:33, 51, il s’ensuivrait que Christ donne réellement vie à tous les hommes, c'est-à-dire tous les sauve. Il s’agit plus que de croient les opposants eux-mêmes. Dans Romains 11:12, 15 le mot « monde » ne peut pas être exhaustive, étant donné que le contexte exclut clairement Israël; et parce qu’il est sur que supposition ces passages trop s’avérerait plus qu’est destiné, à savoir que les fruits de le œuvre rédemptrice du Christ sont effectivement appliquées à tous. On retrouve dans ces passages, cependant, une indication du fait que le mot « monde » est parfois utilisé pour indiquer que le particularisme de l’ancien Testament appartienne à la voie passée et faite à Nouveau Testament l’universalisme. Les bénédictions de l’Évangile ont été étendues à toutes les nations, Matthieu 24:14; Marc 16:16; Romains 1:5; 10:18. c’est probablement la clé de l’interprétation du mot « monde » à ces passages comme John 01:29; 06:33, 51; II Corinthiens 05:19; I Jean 2:2. Dr. Shedd suppose que le mot signifie « toutes les nations » à ces passages comme Matt. 26: 13; John 03:16; J’ai Cor. 01:21; II Corinthiens 05:19; et j’ai Jean 2:2; mais soutient que, dans d’autres passages, il désigne le monde des croyants, ou l’église, John 06:33, 51; ROM. 04:13; 11:12, 15. Kuyper et Van Andel également supposent que c’est le sens du mot dans certains passages.

b. étroitement liée aux passages dont nous avons parlé dans ce qui précède, sont ceux où il est dit que Christ est mort pour tous les hommes, Rom. 05:18; I Corinthiens 15:22; II Corinthiens 05:14; I Timothée 2:4, 6; Tite 02:11; Hébreux 2:9; II Pierre 3:9. Naturellement, chacun de ces passages doit être considéré dans la connexion dans laquelle il se trouve. Par exemple, le contexte montre clairement que le « tout » ou « tous les hommes » de Rom. 05:18 et j’ai Cor. 15:22 ne comprend que ceux qui sont dans le Christ, par opposition à tous ceux qui sont dans Adam. Si le mot « tous » dans ces passages n’est pas interprété dans un sens restreint, ils auraient enseigner, non seulement que le Christ fait Salut possible pour tous les hommes, mais qu’en fait, il sauve tous, sans exception. Ainsi l’arminienne serait à nouveau forcé dans le camp de l’absolu universaliste, où il ne veut pas être. Une limitation semblable doit être appliquée dans l’interprétation de II Cor. 05:14 et Hébreux 2:9, cf. verset 10. Sinon ils seraient trop prouver et donc ne prouvent rien. Dans tous ces passages, le « tous » sont tout simplement ceux qui sont dans le Christ. Dans le cas de Tite 02:11, qui parle de l’apparition de la grâce de Dieu, « apporter le Salut à tous les hommes », le contexte indique clairement que « tous les hommes » signifie vraiment toutes les classes d’hommes. Si le « tout » n’est pas limité, ce passage trop enseignerait Salut universel. Les passages dans I Timothée 2:4-6, Hébreux 2:9; II Pierre 3:9 se référer à la révélation sera de Dieu que les Juifs et les gentils doivent être enregistrées, mais impliquent rien quant à l’intention universelle de l’expiation. Même Moses Stuart, qui croit en l’expiation universelle, admet que, dans ces cas, le mot « tous » ne peut être pris dans un sens universel.

c. une troisième classe de passages qui semblent militer contre l’idée d’une expiation limitée se compose de ceux dont on dit qu’implique la possibilité que ceux pour qui le Christ est mort ne parviennent pas à obtenir le salut. Romains 14:15 et le passage parallèle dans I Corinthiens peut mentionner d’abord 08:11. Certains commentateurs sont d’avis que ces passages ne se réfèrent pas à la destruction éternelle, mais il est plus probable qu’ils le font. L’Apôtre veut simplement mettre la conduite désobligeantes de certains des frères plus forts dans l’église en fort relief. Ils sont susceptibles d’offenser les frères plus faibles, afin des faire trébucher, pour substituer leur opinion et donc pour entrer sur le chemin vers le bas, le résultat naturel, si continue, serait destruction. Tandis que le Christ a payé le prix de sa vie pour sauver ces personnes, elles par leur conduite ont tendance à les détruire. Que cette destruction en fait ne suivra pas, est évident de Romains 14:4; par la grâce de Dieu, ils vont etre retenus; Nous avons ici, comme Dr. Shedd exprime, « une supposition, dans un souci d’argumentation, de quelque chose qui ne fonctionne pas et ne se fait pas, » tout comme j’ai Cor. 13:1-3; Galates 1:8. Passage d’un autre, un peu semblable, se trouve à II PET. 2:1, avec laquelle Hébreux 10:29 peuvent également être classées. L’explication la plus plausible de ces passages est celle donnée par Smeaton, comme l’interprétation de Piscator et des annotations néerlandaises, à savoir « que ces faux enseignants sont décrits selon leur propre profession et l’arrêt de la charité. Ils se sont donnent hommes rachetés et comptaient alors dans le jugement de l’église, alors qu’il demeure dans sa communion. » [La Doctrine de l’expiation, tel qu’enseigné par les apôtres, p. 447.]

d. Enfin, il y a une objection, dérivée de l’offre de bonne foi du Salut. Nous croyons que Dieu « unfeignedly, qui est, sincèrement ou de bonne foi, appelle tous ceux qui vivent sous l’Évangile à croire, et leur offre le salut dans le sentier de foi et le repentir. Maintenant les arminiens soutiennent qu’une telle offre du Salut ne peut être faite par ceux qui croient que le Christ est mort seulement pour les élus. Cette objection a été soulevée déjà lors du Synode de Dordrecht, mais sa validité n’a pas été accordée. Les remarques suivantes peuvent être faites en réponse: (a) l’offre du Salut dans le sentier de foi et le repentir ne prétend pas être une révélation du Conseil secret de Dieu, plus précisément, de sa conception en donnant le Christ comme une expiation pour le péché. C’est simplement la promesse du Salut pour tous ceux qui acceptent Christ par la foi. (2) cette offre, dans la mesure où il est universel, est toujours conditionnée par la foi et la conversion. En outre, elle dépend d’une foi et repentance comme peut seulement être forgé au coeur de l’homme par l’opération du Saint-Esprit. (3) l’offre universel du Salut ne consiste pas dans la déclaration que le Christ fait l’expiation pour tout homme qui entend l’Évangile, et que Dieu veut vraiment sauver chacun d’eux. Il s’agit (a) une exposition de le œuvre rédemptrice du Christ comme en soi suffisante pour la rédemption de tous les hommes; (b) une description de la nature réelle de la repentance et de foi qui sont nécessaires pour en venir à Christ; et (c) une déclaration que chaque personne qui vient à Christ avec vrai repentir et la foi obtiendront la bénédiction du Salut. (4) il n’est pas le devoir du prédicateur pour harmoniser le Conseil secret de Dieu concernant la rédemption des pécheurs avec son déclaratif sera telle qu’exprimée dans l’offre universel du Salut. Il est tout simplement un ambassadeur officiel, dont le devoir est d’accomplir la volonté du Seigneur dans la prédication de l’Evangile à tous les hommes sans distinction. (5) Dr Shedd dit: « l’universel offre des avantages de l’expiation du Christ ressorts hors de la volonté de Dieu de complaisance, Ézéchiel 33: 11... Dieu peut bien faire appel à non élus-de faire une chose que Dieu prend plaisir à, tout simplement parce qu’il plaisir à elle. La volonté divine n’est pas modifiée par le décret divin de preterition. » [Dogme. Théol. II, p. 484.] Il cite également une déclaration très similaire de Turretin. (6) l’offre universel du Salut a pour objectif de révéler l’aversion et l’entêtement de l’homme dans son opposition à l’Évangile et d’enlever tout vestige d’excuse. Si elle n’était pas effectuée, pécheurs diront qu’ils auraient volontiers accepté le don de Dieu, si elle avait seulement été proposé pour eux.

5. LE DÉROULEMENT PLUS LARGE DE L’EXPIATION. La question peut être soulevée, si l’expiation forgée par le Christ pour le salut des élus et des élus seulement, a une incidence plus large. La question est souvent discutée en théologie écossaise, si Christ n’est pas mort, dans certains autre qu’un sens salvifique, également pour le non élu. Il a été discuté par plusieurs des théologiens plus âgés, comme Rutherford, Brown, Durham et Dickson, mais eux avait répondu par la négative. « Ils tenaient, en effet, » dit Walker, « la suffisance intrinsèque de la mort du Christ pour sauver le monde, ou les mondes; mais qui était tout à fait quel que soit l’usage du Christ ou d’accomplissement du Christ. La phrase que Christ est mort suffisamment pour tous n’est pas approuvée, car le « pour » semble impliquer une réalité de substitution réelle. » [Théologiens et théologie écossaise, p. 80.] Durham a nié qu’aucune pitié conféré les réprouvés et apprécié par eux, pourrait être considéré comme le bon fruit de, ou l’achat, de la mort du Christ; mais en même temps maintenu que certaines conséquences de la mort du Christ d’une nature avantageuse doivent atteindre des hommes méchants, mais il est douteux que ce peuvent être considérées comme une bénédiction pour eux. C’était aussi la position prise par Rutherford et Gillespie. Les moelle osseuse-hommes de l’Écosse, tout en maintenant que Christ est mort dans le but de sauver seulement les élus, de conclure l’offre universel du Salut que le œuvre du Christ a également eu un impact plus large et que, pour reprendre leurs propres mots, « Dieu le père, proposé par rien, mais Son amour gratuit pour l’humanité perdue, a fait un acte de donation et de subventions à tous les hommes de son fils Jésus Christ. » Selon eux tous les pécheurs sont légataires en vertu du testament du Christ, pas en effet dans l’essence, mais dans l’administration de l’Alliance de grâce, mais le testament est valide uniquement pour les cas les élus. Leur position a été condamnée par l’église d’Écosse. Plusieurs théologiens réformés tenir que, bien que Christ a souffert et sont morts uniquement dans le but de sauver les élus, de nombreux avantages de la Croix du Christ font en fait — et que, aussi selon le dessein de Dieu — s’accumulent au profit de ceux qui n’acceptent pas de Christ par la foi. Ils croient que les bénédictions de la commune grâce aussi découlent de le œuvre rédemptrice du Christ. [Cf. Witsius, De Verbonden II, 9,4; Turretin, Loc. XIV, Q. 14, art. 11; Cunningham, Hist. théol. II, p. 332; Hodge, Le jour des Expiations, 358 et ailleurs; Grosheide dans l' évangélique tous les trimestres, avril, 1940, p. 127. Cf. aussi fort, Syst. théol., p. 772.]

Que le œuvre rédemptrice du Christ a également eu signification pour le monde Angélique semblerait découler Éphésiens 01:10 et 01:20. Choses sur la terre et les choses dans le ciel sont résumés dans le Christ comme un chef (anakephalaiosasthai), Éphésiens 01:10 et sont réconciliés avec Dieu par le sang de la Croix, 01:20. Kuyper maintient que l’univers Angélique, qui a perdu sa tête lorsque Satan est tombé loin, est réorganisé sous Christ comme chef. Cela concilier ou réunir le monde Angélique et dans le monde de l’humanité sous une seule tête. Naturellement, le Christ n’est pas le chef des anges dans le sens organique dont il est le chef de l’église. Enfin, le œuvre rédemptrice du Christ se traduira également dans un nouveau ciel et une nouvelle terre où habite la justice, un ajustement suit pour l’humanité nouvelle et glorifiée, et dans la liberté glorieuse dans lequel partagera également la création inférieure, Rom. 08:19-22.

 

VII. le travail d’intercession de Christ

Le œuvre sacerdotale du Christ n’est pas limité à l’offrande sacrificielle de lui-même sur la Croix. La représentation est parfois compte tenu du fait que, bien que Christ était un prêtre sur la terre, il est un roi dans le ciel. Cela crée l’impression que son travail sacerdotal est terminée, qui n’est pas correcte. Christ n’est pas seulement une terrestre, mais aussi et surtout, un grand céleste prêtre. Il est même tout en étant assis à la droite de Dieu en Majesté céleste, « un ministre du sanctuaire et du vrai tabernacle, dont le Seigneur aigu, non l’homme. » Hébreux 8:2. Seulement, il a commencé son œuvre sacerdotale sur la terre et il termine dans le ciel. Au sens strict du mot qu'il n’est pas compté parmi les prêtres terrestres, qui n’étaient que l’ombre d’une réalité prochaine, Héb. 8:4. Il est le vrai, c'est-à-dire, le vrai prêtre, servant au véritable sanctuaire, dont le tabernacle d’Israël n’était qu’une ombre imparfaite. Dans le même temps, il est maintenant le prêtre sur le trône, notre intercesseur auprès du père.

A. LA PREUVE SCRIPTURAIRE POUR LE TRAVAIL D’INTERCESSION DU CHRIST.

1. LE TRAVAIL D’INTERCESSION DU CHRIST SYMBOLISÉE. Alors que le œuvre sacrificiel du Christ a été symbolisée principalement par les fonctions sacerdotales à l’autel d’airain et les sacrifices qui ont été portées sur lui, son travail d’intercession a été préfigurée par le quotidien brûler de l’encens sur l’autel d’or dans le lieu Saint. Le nuage sans cesse croissant de l’encens n’était pas seulement un symbole de la prière d’Israël, mais aussi un type de la grande prière sacerdotale de notre grand souverain sacrificateur. Cette action symbolique du brûlant de l’encens était pas dissociée, mais plus étroits, avec l’introduction des sacrifices sur l’autel d’airain. Elle a été liée à l’application du sang de la sinofferings plus important, qui a été appliquée sur les cornes de l’autel d’or, également appelé l’autel des parfums, a été arrosée vers le voile et le grand jour des Expiations était même apporté dans le Saint des Saints et saupoudré sur le propitiatoire. Cette manipulation du sang symbolisait la présentation du sacrifice à Dieu, qui habitaient entre les chérubins. Le Saint des Saints était clairement un symbole et le type de la ville de quatre carrés, la Jérusalem céleste. Il n’y a encore un lien entre le travail de sacrifice à l’autel d’airain et l’intercession symbolique à l’autel d’or. Le fait que l’encens peut être brûlées uniquement sur des charbons de vie provenant de l’autel de l’Holocauste était une indication du fait que l’intercession était fondée sur le sacrifice et qu’il serait efficace d’aucune autre manière. Cela indique clairement que le travail d’intercession du Christ dans le ciel repose sur son travail accompli sacrificiel et n’est acceptable que sur cette base.

2. LES INDICATIONS DANS LE NOUVEAU TESTAMENT DU TRAVAIL DE L'INTERCESSION DU CHRIST. Le terme parakletos est appliqué à Christ. Le mot est trouvé seulement dans Jean 14:16, 26; 15:26; 26:7; J’ai John 2:1. Il est rendu « Consolateur » partout où il se trouve dans l’Évangile de Jean, mais « L’avocat » dans le passage unique dans lequel il se trouve dans la première épître de Jean. La forme est un passif et peut donc, dit Westcott, « correctement signifie seulement « un appelé au côté de l’autre, » et que l’idée secondaire de counseling ou d’avoir aidé lui. » [Commentaire sur l’Évangile de Jean, Note complémentaire après le chapitre XVI.] Il fait remarquer que le mot a cette signification en grec classique, en Philo et également dans les écrits des rabbins. Bon nombre des pères grecs, cependant, a donné le mot un sens actif, le rendait « Consolateur » et donnait une importance indue à ce qui n’est qu’une application secondaire de l’expression, bien qu’ils estimaient que cette signification ne rentrait pas dans I Jean 2:1. Le mot, puis, désigne celui qui est appelé aide, un défenseur, celui qui plaide la cause de l’autre et lui donne également des conseils judicieux. Naturellement, le travail d’un tel avocat peut-être apporter confort, et donc il peut aussi dans un sens secondaire appelé une couette. Christ est appelé explicitement notre avocat que dans I Jean 2:1, mais par voie de conséquence également dans Jean 14:16. La promesse, « Et je prierai le père, et il vous donnera un autre Consolateur, qu’il peut être avec vous pour toujours, » laisse clairement entendre que Christ était aussi un parakletos. L’Évangile de Jean applique régulièrement l’expression de l’Esprit Saint. Il y a donc deux défenseurs, le Christ et le Saint-Esprit. Leur travail est partiellement identiques et partiellement différente. Quand Christ était sur terre, il a été le défenseur des disciples, plaidant leur cause contre le monde et les servir avec les sages conseils, et l’Esprit Saint continue maintenant que les travaux dans l’église. Jusqu’ici dans le travail est identique, mais il y a aussi une différence. Christ comme notre avocat plaide la cause du croyant avec le père contre Satan, l’accusateur (Zach. 3:1; Héb. 07:25; J’ai John 2:1; 12:10), tandis que l’Esprit-Saint non seulement plaide la cause des croyants contre le monde (Jean 16:8), mais aussi plaide la cause de Christ avec les croyants et les sert avec les sages conseils, (John 14:26; 15:26; 16:14). En bref, nous pouvons dire aussi que Christ plaide notre cause avec Dieu, tandis que le Saint-Esprit plaide la cause de Dieu avec nous. D’autres passages du Nouveau Testament qui parlent de le œuvre d’intercession du Christ sont trouvent dans la Rom. 08:24; Héb. 07:25; 09:24.

B. LA NATURE DU TRAVAIL INTERCESSION DU CHRIST.

Il est évident que ce travail de Christ ne peut-être pas être dissocié de son sacrifice expiatoire, qui constitue son fondement nécessaire. Il est mais la continuation de le œuvre sacerdotale du Christ, le porter jusqu'à la fin. Par rapport à le œuvre sacrificiel du Christ reçoit son ministère d’intercession, mais peu d’attention. Même dans les milieux évangéliques, l’impression est souvent donnée, mais peut-être sans avoir l’intention, que le travail accompli par le Sauveur sur terre était beaucoup plus important que les services qu’il rend maintenant dans le ciel. Il semble y avoir peu compris que dans l’ancien Testament l’administration quotidienne du temple ont abouti à la combustion de l’encens, qui symbolisait le ministère d’intercession; et que le rituel annuel au grand jour des Expiations atteint son point culminant, lorsque le souverain sacrificateur a dépassé le voile avec le sang expiatoire. Ne peut-on dire que le ministère de l’intercession est suffisamment compris. Cela peut être la cause, mais peut également être le résultat de la défaillance généralisée des chrétiens à rivet l’attention là-dessus. L’idée dominante est que l’intercession du Christ se compose exclusivement dans les prières dont il dispose pour son peuple. Maintenant on ne peut nier que ces éléments forment une partie importante de le œuvre d’intercession du Christ, mais ils ne sont pas la totalité de celui-ci. Le point fondamental à retenir est que le ministère d’intercession ne doit pas être dissocié de l’expiation, puisqu’ils sont, mais travaillent de deux aspects du même rédemptrice du Christ, et les deux on peuvent dire fusionner en un seul. Martin conclut que les deux s’affichent dans la juxtaposition constamment et sont si étroitement liées dans les Ecritures, qu’il estime justifié en faisant la déclaration suivante: « l’essence de l’Intercession est l’expiation; et le jour des Expiations est essentiellement une Intercession. Ou, peut-être, plus euphémisme le paradoxe: le jour des Expiations est réelle, — vrai sacrifice et offrande et non de simples endurance passive, — parce qu’il est dans sa nature même une intercession active et infaillible; alors que, d’autre part, l’Intercession est vraie intercession, — intercession judiciaire, représentative et sacerdotale et pas un simple exercice d’influence, — parce que c’est essentiellement une expiation ou substitutive oblation, une fois mis au point sur le Calvaire, maintenant perpétuellement soumises et subissant perpétuelle l’acceptation dans le ciel. » [La jour des Expiations, p. 115.] Il analyse, nous trouvons les éléments suivants dans l’intercession du Christ:

1. tout comme le grand prêtre au grand jour des Expiations entré dans le Saint des saints avec le sacrifice achevé, de le présenter à Dieu, alors Christ entré dans le sanctuaire céleste avec son sacrifice terminé, parfait et tout-suffisant et il a offert au père. Et tout comme le souverain sacrificateur, en entrant dans le sanctuaire, est entré en la présence de Dieu, portant symboliquement les tribus d’Israël sur sa poitrine, alors Christ devant Dieu comme le représentant de son peuple et ainsi rétablie l’humanité en présence de Dieu. C’est sur ce fait que l’auteur d’Hébreux se réfère lorsqu’il dit: « car Christ est entré pas en un lieu sacré fait avec les mains, comme en point fantaisie au vrai; mais dans le ciel lui-même, maintenant se présenter devant la face de Dieu pour nous, » Hébreux 09:24. Théologiens réformés a souvent attiré l’attention sur elle que la présence perpétuelle du sacrifice du Christ devant Dieu rempli contienne en soi un élément de l’intercession, comme un rappel constant de l’expiation parfaite de Jésus-Christ. C’est quelque chose comme le sang de la Pâque, dont le Seigneur dit: « le sang sera pour vous un jeton sur les maisons où vous êtes: et quand je verrai le sang, je vais passer au-dessus de vous. » Exode 12:13.

2. il est également un élément judiciaire dans l’intercession, tout comme il est dans l’expiation. Grâce à l’expiation, Christ a rencontré toutes les demandes justes de la Loi, afin qu’aucun frais juridiques ne peuvent justement être engagées contre ceux pour lesquels il a payé le prix. Cependant, Satan, l’accusateur est toujours plié sur les poursuites contre les élus; mais Christ y satisfait tout en soulignant son travail achevé. Il est le Paraklete, l’avocat, pour son peuple, répondant à toutes les accusations qui sont portées contre eux. Cela nous rappelle cela non seulement par le nom « Paraklete », mais aussi par les paroles de Paul dans Romains 08:33, 34: « qui doit déposer quoi que ce soit à la charge des élus de Dieu ? C’est Dieu qui justifie; qui est celui qui condamne ? C’est Jésus Christ qui est mort, oui plutôt, qui a été ressuscité d'entre les morts, qui est à la droite de Dieu, qui aussi intercède pour nous. » Ici, l’élément judiciaire est clairement présent. Voir aussi Zacharie 3:1, 2.

3. non seulement le œuvre intercession du Christ porte sur notre état judiciaire; Il porte également sur notre condition morale, notre sanctification graduelle. Lorsque nous abordons le père en son nom, il sanctifie nos prières. Ils ont besoin, parce qu’ils sont souvent si imparfaite, futile, superficielle et même sincère, alors qu’ils s’adressent à celui qui est parfait dans la sainteté et de Majesté. Et en plus de rendre nos prières acceptables, il sanctifie aussi nos services dans le Royaume de Dieu. Il est également nécessaire, parce que souvent, nous sommes conscients du fait qu’ils ne font pas printemps de motifs plus pures; et que, même lorsqu’ils le font, ils sont loin de cette perfection qui en ferait, en soi, acceptable pour un Dieu Saint. La brûlure du péché incombe à tous. C’est pourquoi Pierre dit: « à qui venue, une pierre vivante, rejetée en effet des hommes, mais avec Dieu élisent, précieuse, vous aussi comme des pierres vivantes sont construits jusqu'à former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d’offrir des sacrifices spirituels, à agréables à Dieu par Jésus Christ. » Ministère de Christ d’intercession est également un ministère de mitonné pour les siens. Il les aide dans leurs difficultés, leurs essais et leurs tentations. « Car nous n’avons pas un souverain sacrificateur qui ne peut pas être touché avec le sentiment de nos infirmités; mais celui qui a été tenté comme tous les points que nous sommes, encore sans péché: parce qu’il a lui-même a souffert, étant tenté, qu’il est capable de secourir ceux qui sont tentés. » Héb. 04:15; Héb. 02:18.

4. et dans et à travers tout cela existe, enfin, également l’élément de la prière pour le peuple de Dieu. Si l’intercession est d’une pièce avec le œuvre rédemptrice du Christ, il s’ensuit que la prière d’intercession doit avoir trait aux choses se rapportant à Dieu (Héb. 5:1), à l’achèvement de le œuvre de rédemption. Que cet élément est inclus, est tout à fait évident de la prière d’intercession en Jean 17, où le Christ dit explicitement qu’il prie pour les apôtres et pour ceux qui, par leur parole, croiront en lui. C’est une pensée consolante que Christ est de prier pour nous, même lorsque nous sommes négligents dans notre vie de prière; qu’il présente au père spirituel ceux besoins qui n’étaient pas présents à notre esprit et qui nous négligeons souvent d’inclure dans nos prières; et qu’il prie pour notre protection contre les dangers dont nous ne sommes pas encore conscient, et contre les ennemis qui nous menacent, bien que nous ne remarquons pas elle. Il prie que notre foi ne peut pas cesser, et que nous pouvons sortir victorieusement en fin de compte.

C. LES PERSONNES ET LES CHOSES POUR LESQUELLES IL INTERCÈDE.

1. LES PERSONNES POUR QUI IL INTERCÈDE. Le travail d’intercession est, comme on l’a dit, simplement le complément de son Rédempteur sacerdotal travailler et est donc égal à elle en mesure. Christ intercède pour tous ceux pour qui il a fait l’expiation et pour ces seules. Cela peut être déduit du caractère limité de l’expiation et également de tels passages comme romains 08:34; Héb. 07:25; 09:24, dans chacun de qui le mot « nous » se réfère aux croyants. En outre, dans la prière sacerdotale élevée enregistrée en Jean 17, Jésus nous dit qu’il prie pour ses disciples immédiats et « pour eux aussi qui croient sur moi par leur parole, » John 17:9, 20. Dans le verset 9, il a fait une déclaration très explicite concernant la limitation de sa grande prière sacerdotale: « Je prie pour eux: Je prie pas pour le monde, mais pour ceux que tu m’as donnés. » Et le verset 20, nous pouvons apprendre qu’il ne pas intercéder pour croyants actuels seulement, mais pour tous les élus, qu’ils soient déjà croyants, ou croiront quelque temps à l’avenir. L’intercesseur est conscient de chacun de ceux qui sont donnés à lui, Luc 21:32; Apocalypse 3:5. Luthériens de distinguer une intercession générale du Christ pour tous les hommes et une intervention spéciale pour les élus seulement. Pour preuve, qu'ils font appel à Luc 23:34, qui contient la prière du Christ pour ses ennemis, mais que la prière ne besoin pas être considéré comme une partie de l’ouvrage officiel intercession du Christ. Dada est d’avis qu’il était, et que les objets de cette prière ont été convertis par la suite. Mais il est également possible que cette prière a été simplement une prière comme le Christ a enseigné tous ses disciples de prier pour ses ennemis, une prière pour conjurer une sanction immédiate et terrible pour l’énorme crime commis. Matt. 05:44.

2. LES CHOSES POUR LESQUELLES CHRIST INTERCÈDE. Christ a beaucoup à prier pour, dans sa prière d’intercession. Nous pouvons seulement donner un bref aperçu de certaines des choses pour lesquelles il prie. Il prie que les élus qui ne sont pas encore venus à lui peuvent être introduits dans un état de grâce; que ceux qui sont déjà venus peuvent recevoir le pardon pour leurs péchés quotidiens, c'est-à-dire peut-être éprouver l’application continue à eux des fruits de justification; que les croyants peuvent être tenues des accusations et les tentations de Satan; que les saints soient progressivement sanctifié, John 17:17; que leurs rapports avec le ciel peut être conservée jusqu'à, Héb. 04:14, 16; 10:21, 22; que les services du peuple de Dieu peuvent être acceptées, j’ai PET. 2:5; et qu’ils peuvent enfin entrer dans leur héritage parfaite dans le ciel, John 17:24.

D. LES CARACTÉRISTIQUES DE SON INTERCESSION.

Il y a surtout trois caractéristiques de le œuvre d’intercession du Christ, dont l’attention doit être adressée:

1. LA CONSTANCE DE SON INTERCESSION. Nous devons non seulement un Sauveur, qui a terminé un travail objectif pour nous dans le passé, mais aussi celui qui se livre quotidiennement en obtenir un pour son propre l’application subjective des fruits du sacrifice accompli, des dizaines de milliers de personnes réclament son attention à la fois , et l’entracte d’un moment lui serait fatale à leurs intérêts. Par conséquent, il est toujours sur le qui-vive. Il est vivant à tous leurs désirs, et aucun de leurs prières lui échapper.

2. LE CARACTÈRE AUTORITAIRE DE SON INTERCESSION. Il n’est pas tout à fait correct pour le représenter comme un pétitionnaire au trône de Dieu, priant les faveurs de son père pour son peuple. Sa prière n’est pas la pétition de la créature au créateur, mais la demande du fils au père. « La conscience de sa dignité égale, de son intercession puissante et dominante, s’exprime à cet égard, qu’aussi souvent qu’il demande, ou s’il déclare qu’il va demander, quoi que ce soit du père, il est toujours eroto, eroteso, une demande, c’est, comme sur l’égalité termes (John 14:16; 16:26; 17:9, 15, 20), jamais aiteo ou aiteso. » [Trench, synonymes de Nouveau Testament, p. 136.] Christ se dresse devant le père comme un intercesseur agréé et comme celui qui peut présenter des réclamations légales. Il peut dire: « père, je désire qu’ils aussi dont tu m’as donnée, soit avec moi où je suis, » John 17:24.

3. L’EFFICACITÉ DE SON INTERCESSION. La prière d’intercession du Christ est une prière qui ne manque jamais. Sur la tombe de Lazare, le Seigneur a exprimé l’assurance que le père entend toujours lui, Jean 11:42. Ses prières d’intercession pour les siens reposent sur son œuvre expiatoire; Il a mérité tout ce qu’il demande et il y a là l’assurance que ces prières sont efficaces. Ils accompliront tout ce que les désirs He. Le peuple de Dieu peut obtenir du confort du fait qu’il ont un intercesseur auprès du père.

 

VIII. les fonctions royales

La deuxième personne de la Sainte Trinité, le Fils Éternel, Christ partage naturellement la domination de Dieu sur toutes ses créatures. Son trône est établi dans les cieux, et son Royaume règne sur tous, Psaume 103:19. Cette royauté diffère de la médiatrice royauté du Christ, qui est une royauté conférée ou économique, exercée par le Christ, non seulement dans sa nature divine, mais comme Théanthropos (l’homme-Dieu). Ce dernier n’est pas une royauté qui était Christ de droit initial, mais celle dont il est investi. Il ne concerne pas un nouveau domaine, celui qui n’était pas déjà sous son contrôle comme fils de Dieu, ceux-là un Royaume peut nulle part être trouvés. C’est plutôt à prendre la parole dans les paroles de Dick, sa royauté original, « investi avec une nouvelle forme, portant un nouvel aspect, administré pendant une nouvelle fin. » En général, on peut définir la royauté médiatrice du Christ comme son pouvoir officiel de règle toutes choses dans les cieux et sur la terre, pour la gloire de Dieu et pour l’exécution du dessein de Dieu du Salut. Il faut distinguer, cependant, un regnum gratiae et un regnum potentiae.

A. LA ROYAUTÉ SPIRITUELLE DU CHRIST.

1. LA NATURE DE CETTE ROYAUTÉ. La royauté spirituelle du Christ dépasse son autorité royale le regnum gratiae, qui n’est plus son peuple ou de l’église. C’est une royauté spirituelle, car elle se rapporte à un Royaume spirituel. C’est la règle de la médiatrice qu’il est établi dans le cœur et la vie des croyants. En outre, elle est spirituelle, car il porte directement et immédiatement sur une fin spirituelle, le salut de son peuple. Et, enfin, il est spirituel, car elle est administrée, pas par la force ou des moyens externes, mais par la parole et l’esprit, qui est l’esprit de vérité et de sagesse, de justice et de sainteté, de grâce et de miséricorde. Cette royauté se révèle dans le rassemblement de l’église et dans son gouvernement, la protection et la perfection. La Bible parle dans beaucoup d’endroits, par exemple, le Psaume 2:6; 45: 6, 7 (voir Hébreux 1:8, 9); 132:11; Ésaïe 9:6, 7; Jérémie 23:5, 6; Michée 5:2; Zach. 06:13; Luc 01:33; 19:27, 38; 22:29; John 18:36, 37; Actes à 02:30-36 et autres endroits. La nature spirituelle de cette royauté est indiquée, entre autres, par le fait que le Christ est à plusieurs reprises appelé à la tête de l’église, Éphésiens 01:22; 04:15; 05:23; 01:18; 2:19. ce terme, telle qu’appliquée au Christ, est pratiquement équivalent à « King » (la tête dans un sens figuré, un revêtu d’autorité), parfois comme dans I Corinthiens 11:3; EP 01:22; 05:23; dans d’autres cas, cependant, il est utilisé dans un sens littéral et organique, Éphésiens 04:15; 01:18; 02:19 et en partie aussi Éph. 01:22. Le mot sert jamais (sauf serait-il dans I Corinthiens 11:3) sans l’implication de cette conception organique. Les deux idées sont plus intimement liées. C’est juste parce que le Christ est le chef de l’église qu’il peut gouverner il comme roi de manière organique et spirituelle. La relation entre les deux peut être indiquée comme suit: (1) le poste de directeur du Christ rappelle l’union mystique entre le Christ et son corps, l’église et donc appartient à la sphère de l’être. Sa royauté, cependant, implique qu’il est revêtu de l’autorité et qu’il appartient à la sphère judiciaire. (2) le poste de directeur du Christ est soumise à sa royauté. L’esprit qui le Christ, comme le chef de l’église, donne à elle, est aussi le moyen par lequel il exerce son pouvoir royal dans et sur l’église. Premillenarians de nos jours a fortement insister pour que le Christ est que la tête de l’église, mais en règle générale nie qu’il est son roi. Cela revient à dire qu’il n’est pas la règle faisant autoritaire de l’église, et que les officiers de l’église ne représentent pas lui dans le gouvernement de l’église. Non seulement, ils refusent d’admettre qu’il est le roi de l’église, mais nier sa royauté présente dans l’ensemble, sauf, peut-être, comme une royauté jure, une royauté qui est le sien de droit mais n’est pas encore devenue apparente. En même temps que leur pratique vaut mieux que leur théorie, pour dans la vie pratique, qu'ils le font, de manière plutôt irrégulière, reconnaître l’autorité de Jésus Christ.

2. LE ROYAUME SUR LEQUEL IL S’ÉTEND. Ce Royaume possède les caractéristiques suivantes:

a. il est enraciné dans l'œuvre de rédemption. Le regnum gratiae ne proviennent pas de le œuvre créatrice de Dieu, mais que le nom lui-même indique, dans sa grâce rédemptrice. Personne n’est un citoyen de ce Royaume en vertu de son humanité. Seuls les rachetés ont cet honneur et un privilège. Christ a payé la rançon pour ceux qui sont les siens et par son esprit s’applique à eux les mérites de son sacrifice parfait. En conséquence, ils ont maintenant lui appartiennent et reconnaissent comme leur Seigneur et roi.

b. c’est un Royaume spirituel. Dans la dispensation de l’ancien Testament, ce Royaume a été esquissé dans le Royaume théocratique d’Israël. Même dans l’ancienne dispensation, la réalité de ce Royaume a été trouvée que dans la vie intérieure des croyants. Le Royaume nationale d’Israël, dans laquelle Dieu est roi, législateur et le juge, et le roi terrestre était seulement le vice-gérant de Jéhovah, désigné pour représenter le roi, pour réaliser son volonté, et pour exécuter ses jugements, est seulement un symbole et une ombre et le type de cette glorio Nous réalité, autant qu’il était destinée à apparaître à l’époque du Nouveau Testament. Avec l’arrivée de la nouvelle dispensation tout l’ancien Testament ombres passaient loin et parmi eux aussi le Royaume théocratique. Hors de l’utérus d’Israël la réalité spirituelle du Royaume s’avancèrent et suppose une existence indépendante de la théocratie de l’ancien Testament. D'où le caractère spirituel du Royaume se trouve de suite beaucoup plus clairement dans le Nouveau Testament qu’il fait dans l’ancien. Le regnum gratiae du Christ est identique à ce que le Nouveau Testament appelle le Royaume de Dieu ou du ciel. Christ est son roi médiatrice. Premillenarians enseigner à tort que les termes « Royaume de Dieu » et le « Royaume des cieux, » puisqu’ils sont utilisés dans les Évangiles, veux parler à deux réalités différentes, à savoir le Royaume universel de Dieu et le futur Royaume de médiatrice de Christ. Il est parfaitement évident, comme certains de leurs propres dirigeants se sentent contraints d’admettre, que les deux termes sont utilisés indifféremment dans les Évangiles. Cela ressort du fait que, alors que Matthieu et Luc rapportent souvent les mêmes instructions de Jésus, le premier lui représente comme l’utilisation du terme « Royaume des cieux », et ce dernier il remplace le terme « Royaume de Dieu, » comparer Matthieu 13 avec Mark 4; Luc 8:1-10 et beaucoup d’autres passages. La nature spirituelle du Royaume est mises en évidence de plusieurs façons. Négativement, il est clairement indiqué que le Royaume n’est pas un Royaume externe et naturel des Juifs, Matthieu 08:11, 12; 21:43; Luc 17:21; John 18:36. Positivement, on nous apprend qu’il peut être saisi uniquement par régénération, Jean 3:3, 5; que c’est comme une graine précipité la terre, Marc 04:26-29, comme une graine de moutarde, Mark 04:30 et comme un levain, Mt 13:33. Elle est dans le cœur des gens, Luc 17:21, « justice, paix et joie dans l’Esprit Saint, » Romains 14:17, et n’est pas de ce monde, mais un Royaume de la vérité, John 18:36, 37. Les citoyens du Royaume sont décrits comme les pauvres en esprit, les humbles, les miséricordieux, les artisans de paix, le cœur pur et ceux qui a faim et soif de droiture. Convient de souligner la nature spirituelle du Royaume vis-à-vis de tous ceux qui nient la réalité du Royaume de Dieu médiatrice et tenir qu’il prendra la forme d’une théocratie rétablie lors du retour de Jésus Christ.

Dans le cadre de la tendance actuelle à considérer le Royaume de Dieu tout simplement comme une nouvelle condition sociale, une éthique Royaume des extrémités, pour être mis en place par les entreprises humaines, comme l’éducation, des normes juridiques et les réformes sociales, il est bon de garder à l’esprit que le terme " Royaume de Dieu » n’est pas toujours utilisé dans le même sens. Fondamentalement, le terme désigne un résumé plutôt qu’une idée concrète, à savoir la règle de Dieu établi et reconnu dans le cœur des pécheurs. Si c’est bien entendu, la futilité de tous les efforts humains et de tous les externes simples est à la fois. Par aucune entreprises humaines simples la règle de Dieu peut être établie au cœur d’un seul homme, ni n’importe quel homme peut être amené à la reconnaissance de cette règle. Dans la mesure où Dieu établit son règne dans le coeur des pécheurs, il crée pour lui-même un domaine dans lequel il gouverne et dans laquelle il distribue les plus grands privilèges et les bénédictions choicest. Et, encore une fois, dans la proportion dans laquelle l’homme répond à la règle de Dieu et obéit aux lois du Royaume, un nouvel état de choses entraînera naturellement. En effet, si tous ceux qui sont maintenant des citoyens du Royaume en fait obéir à ses lois dans tous les domaines de la vie, le monde serait tellement différent qu’il serait difficilement reconnue. Compte tenu de tout ce qui a été dit, il ne provoque aucun surprenant que le terme « Royaume de Dieu » est utilisé dans des sens divers dans les Ecritures, comme, par exemple, pour désigner la royauté de Dieu ou du Messie, Matthieu 06:10; le Royaume sur lequel cette règle s’étend et l’état des choses auxquelles elle donne lieu, Matthieu 07:21; 19:23, 24; 08:12; la totalité des bénédictions et des privilèges qui en découlent le règne de Dieu ou du Messie, Matthieu 13:44, 45; et l’état des choses qui marque l’aboutissement triomphal du règne de Dieu dans le Christ, Matthieu 22:2-14; Luc 14:16-24; 13:29.

c. c’est un royaume qui est tant actuels que futurs. C’est d’une part un présent, jamais développer, réalité spirituelle dans le cœur et la vie des hommes, et comme tel exerce une influence dans une sphère sans cesse grandissant. Jésus et les apôtres se réfèrent clairement vers le Royaume comme déjà présent dans leur temps, Matthieu 12:28; Luc 17:21; 01:13. Cela doit être maintenue par rapport à la grande majorité des Premillenarians de nos jours. En revanche, c’est aussi un espoir, une réalité eschatologique; en fait, l’aspect eschatologique du Royaume est le plus important des deux, Matthieu 07:21, 22; 19:23; 22:2-14; 25: 1-13,34; Luc 22:29, 30; I Corinthiens 6:9; 15:50; GAL 05:21; Éphésiens 5:5; I Thessaloniciens 02:12; II Timothée 04:18; Hébreux 12:28; II Pierre 01:11. Essentiellement le futur Royaume consistera, comme celle du présent, dans la règle de Dieu établie et reconnue dans le cœur des hommes. Mais lors de la venue glorieuse de Jésus-Christ, cette mise en place et l’accusé de réception seront rendue parfaites, les forces occultes du Royaume seront tiendront a révélé, et la règle spirituelle du Christ se trouve son achèvement dans un règne visible et majestueux. C’est une erreur, cependant, à supposer que le Royaume actuel deviendra presque imperceptiblement le Royaume de l’avenir. La Bible nous enseigne clairement que le futur Royaume va être inauguré par les bouleversements cataclysmiques, Matthieu 24:21-44; Luc 17:22-37; 21:5-33; I Thessaloniciens 5:2, 3; II Pierre 03:10-12.

d. Il est étroitement liée à l’église, bien que pas tout à fait identiques avec elle. La citoyenneté du Royaume est coïncide avec l’adhésion dans l’église invisible. Toutefois, son champ d’opération, est plus large que celle de l’église, puisqu’elle vise au contrôle de la vie dans toutes ses manifestations. L’église visible est le plus important et la seule organisation divinement instituée, externe du Royaume. Dans le même temps, c’est aussi le Dieu-donné le moyen par excellence pour l’extension du Royaume de Dieu sur la terre. Il est bon de noter que le terme « Royaume de Dieu » est parfois employé dans un sens qui rend pratiquement équivalente à l’église visible, Matthieu 08:12; 13:24-30, 47-50. Alors que l’église et le Royaume doivent être distinguées, la distinction ne doit pas être recherchée dans le sens indiqué par le pré-millénarisme, qui considère le Royaume comme essentiellement un Royaume d’Israël et l’église comme corps du Christ, se sont réuni dans le présent dispensation de Juifs et de païens. Israël était l’église de l’ancien Testament et dans son essence spirituelle constitue une unité avec l’église du Nouveau Testament, actes 07:38; Romains 11:11-24; Galates 3:7-9,29; EP 02:11-22.

3. LA DURÉE DE CETTE ROYAUTÉ.

a ses débuts. Les opinions divergent sur ce point. Compatibles Premillenarians nient la royauté médiatrice actuelle du Christ et pense qu’il n'est pas assis sur le trône en tant que médiateur jusqu'à ce qu’il inaugure en ce millénaire lors de son second avènement. Et les Sociniens prétendent que Christ n’est ni prêtre ni roi avant son ascension. La position généralement acceptée de l’église est que Christ a reçu sa nomination comme roi médiatrice dans les profondeurs de l’éternité, et qu’il a commencé à fonctionner comme tel immédiatement après la chute, Prov. 08:23; PS. 2:6. Durant la dispensation vieux il portait sur son travail comme roi en partie par les juges d’Israël et en partie par les rois typiques. Mais même si il était autorisé à régner en tant que médiateur même avant son incarnation, il n’a pas publiquement et formellement son trône et inaugurer son Royaume spirituel jusqu’au moment de son ascension et l’élévation à la droite de Dieu, actes 02:29-36; Philippiens 2:5-11.

b. sa résiliation ( ?). L’opinion dominante est que la royauté spirituelle du Christ dans son Eglise, quant à son caractère essentiel, continuera éternellement, mais il fera l’objet d’importants changements dans son mode de fonctionnement à la consommation du monde. La durée éternelle de la royauté spirituelle du Christ semble être explicitement enseignée dans les passages suivants: Psaume 45: 6 (COMP. Héb. 1:8); 72:17; 89:36, 37; Ésaïe 9:7; Dan. 02:44; II Samuel 07:13, 16; Luc 01:33; II Pierre 01:11. Le Catéchisme de Heidelberg parle aussi de Christ en tant que « notre roi éternel. » De même, la Confessio Belgica dans article XXVII. En outre, la royauté et le poste de directeur du Christ sont inextricablement liés vers le haut. Ce dernier est soumis à l’ancienne et est parfois clairement représenté aussi dans le premier cas, Éphésiens 01:21, 22; 05:22-24. mais, sûrement, Christ ne cessera jamais d’être à la tête de son église, laissant l’église comme un corps sans tête. Enfin, le fait que le Christ est un sacrificateur pour toujours, après l’ordre de Melchisédek, semble également argumenter en faveur de la durée éternelle de la royauté spirituelle du Christ, depuis son office de la médiatrice est après tout une unité. Dick et Kuyper, cependant, prétendent que cette royauté du Christ cesseront lorsque qu’il a accompli le salut de son peuple. Le seul passage de l’écriture à laquelle ils font appel, c’est I Cor. 15:24-28, mais ce passage évidemment ne fait pas référence à la royauté spirituelle du Christ, mais à sa royauté sur l’univers.

B. LA ROYAUTÉ DU CHRIST SUR L’UNIVERS.

1. LA NATURE DE CETTE ROYAUTÉ. Nous entendons par le regnum potentiae la domination de l’homme-Dieu, Jésus Christ, sur l’univers, son administration providentielle et judiciaire de toutes choses dans l’intérêt de l’église. Comme roi de l’univers, le médiateur Guide alors le destin des individus, des groupes sociaux, ainsi que des nations, à promouvoir la croissance, la purification progressive et la perfection finale du peuple dont il a racheté par son sang. En cette qualité, il protège également ses propres contre les dangers auxquels ils sont exposés dans le monde et justifie sa justice par la soumission et la destruction de tous ses ennemis. Dans cette royauté du Christ, nous trouvons la restauration initiale de la royauté d’origine de l’homme. L’idée que le Christ domine maintenant le destin des individus et des nations dans l’intérêt de son Eglise sang-acheté, est une pensée beaucoup plus réconfortante que la notion qu’il est maintenant « un réfugié sur le trône du ciel ».

2. LA RELATION ENTRE LE POTENTIAE REGNUM DE LA GRATIAE REGNUM. La royauté du Christ sur l’univers est soumis à sa royauté spirituelle. Il incombe à Christ, comme le roi oint, à établir le Royaume spirituel de Dieu, pour gouverner et de le protéger contre toutes les forces hostiles. Il doit le faire dans un monde qui est sous l’emprise du péché et est déterminé à contrecarrer tous les efforts spirituels. Si ce monde était indépendantes de sa volonté, il pourrait facilement faire échouer tous ses efforts. C’est pourquoi Dieu a investi lui avec autorité sur elle, pour qu’il soit capable de contrôler tous les pouvoirs et les forces et les mouvements dans le monde et peut ainsi garantir une assise sûre pour son peuple dans le monde et protéger les siens contre toutes les puissances des ténèbres. Ceux-ci ne peuvent pas vaincre ses desseins, mais sont même contraints de les servir. En vertu de la règle salutaire du Christ même la colère de l’homme est faite de louer Dieu.

3. LA DURÉE DE CETTE ROYAUTÉ. Christ a été officiellement investi de cette royauté sur l’univers quand il était exalté à la droite de Dieu. C’était une récompense promise de ses travaux, Psaume 2:8, 9; Matthieu 28: 18; EP 01:20-22; Philippiens 2:9-11. Cette investiture faisait partie de l’exaltation de l’homme-Dieu. Il ne lui donne pas tout pouvoir ou l’autorité dont il ne possédait pas déjà comme le fils de Dieu; n’est-ce qu’il n’a augmenté son territoire. Mais l’homme-Dieu, le médiateur, a maintenant fait le possesseur de cette autorité, et sa nature humaine a été effectuée à partager la gloire de ce dominion royal. En outre, le gouvernement du monde a été maintenant fait inféodé aux intérêts de l’église de Jésus-Christ. Et cette royauté du Christ va durer jusqu'à ce que la victoire sur les ennemis est terminée et même la mort a été abolie, I Cor. 15:24-28. À la consommation de toutes choses, que l’homme-Dieu n’abandonneront l’autorité qui lui est conférée pour un usage spécifique, car il ne sera aucuns plus nécessaire. Il retournera sa commission à Dieu, que Dieu soit tout en tous. Le but est atteint; l’humanité est sauvée; et ainsi la royauté originale de l’homme est rétablie.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Dans lequel Christ a été caractérisé comme prophète dans l’ancien Testament ? Comment les vrais prophètes ont été distingués du faux ? Comment les prophètes et prêtres différaient comme enseignants ? Ce qui était caractéristique de la prêtrise selon l’ordre de Melchisédek ? Le sacrifice de Caïn et Abel étaient piacular ? Pour quelles raisons ne Jowett, Maurice, Young et Bushnell nient le caractère du fait d’autrui et typico-prophétiques des sacrifices Mosaic ? Quelle est la différence entre l’expiation, propitiation, réconciliation et de rédemption ? Comment expliquer l’aversion généralisée pour le caractère objectif de l’expiation ? Quels arguments sont avancés pour réfuter la nécessité de l’expiation ? Pourquoi la substitution pénale est pratiquement impossible chez les hommes ? L’offre universel du Salut implique nécessairement une expiation universelle ? Ce qu’il advient de la doctrine de l’expiation en théologie libérale moderne ? Ce que deux parakletoi nous ont selon l’Ecriture, et en quoi leur travail différente ? Quelle est la nature de le œuvre d’intercession du Christ ? Sont nos prières d’intercession comme ceux du Christ ? Est-ce que Christ a jamais appelé « Roi des Juifs » ? Ne Premillenarians nie seulement la royauté spirituelle présente du Christ ou également sa royauté sur l’univers ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. III, p. 394-455, 538-550; Kuyper, Dict. dogme., De Christo, III, pp. 3-196; Vos, Geref. Dogme. III, pp. 93-197; Hodge, Syst. Theol. II, pp. 455-609; Shedd, dogme . THEOL. II, pp. 353-489; Dabney, syst et polémique Theol., pp. 483-553; Dorner, syst de Chr. Doct. III, p. 381-429; IV, pp. 1-154; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 96-185; Pape, Chr. Theol. II, pp. 196-316; Calvin, instituts, livre II, chap.. XV-XVII: Watson, instituts II, pp. 265-496; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 344-382; Multi-bride, quelle est la foi?, pp. 188-205; Brunner, le médiateur, pp. 399-590; Stevenson, les offices du Christ; Milligan, l’Ascension et le sacerdoce céleste de notre Seigneur; Meeter, la haute céleste-sacerdoce du Christ; A. cave, la Doctrine biblique du Sacrifice; Faber, l' origine du Sacrifice expiatoire; Davison, l’origine et l’esprit de Sacrifice primitif; Symington, l’expiation et l’Intercession; Stevens, La Doctrine chrétienne du Salut; Franks, histoire de la Doctrine de le œuvre du Christ (2 vol.); D. Smith, l’expiation à la lumière de l’histoire et l’esprit moderne; Mackintosh, théories historiques de l’expiation; McLeod Campbell, la Nature de l’expiation; Bushnell, Sacrifice du fait d’autrui; Denney, La Doctrine chrétienne de la réconciliation; Kuyper, Dat de Genade Particulier est; Bouma, Geen Algemeene Verzoening; De Jong, De Leer der Verzoening en Amerikaansche de Theologie; S. Cave, la Doctrine de le œuvre du Christ; Smeaton, la Doctrine de l’expiationde notre Seigneur; Ibid., The Apostles' Doctrine de l’expiation; Cunningham, théologie historique II, pp. 237-370; Creighton, de droit et la Croix; Armour, l’expiation et le droit; Mathews, l’expiation et le processus Social; et autres travaux sur l’expiation par Martin A. A. Hodge, Crawford, Dale, Dabney, Miley, Mozley et Berkhof.

 

QUATRIÈME PARTIE

La Doctrine de l’application de l'œuvre de rédemption

I. sotériologie en général

A. LIEN ENTRE SOTÉRIOLOGIE ET LES LOCUS PRÉCÉDENTS.

LA SOTÉRIOLOGIE traite de la communication de la bénédiction de Salut pour le pécheur et sa restauration, à la faveur divine et à une vie en communion intime avec Dieu. Il présuppose la connaissance de Dieu comme la source de la vie, la force et le bonheur de l’humanité, et de la dépendance absolue de l’homme sur lui pour le présent et l’avenir tout-suffisante. Puisqu’il traite de restauration, rédemption et le renouvellement, il ne peut être compris correctement à la lumière de l’état d’origine de l’homme créé à l’image de Dieu et de la perturbation subséquente de la bonne relation entre l’homme et son Dieu par l’entrée du péché dans le monde. En outre, puisqu’il traite du Salut du pécheur entièrement comme une œuvre de Dieu, à sa connu, de toute éternité, elle porte naturellement nos pensées vers l’Éternel Conseil de paix et l’Alliance de grâce, dans lequel on avait prévu pour la rédemption des hommes déchus. Il se déroule sur l’hypothèse de le œuvre achevée de Christ comme le médiateur de la rédemption. Il y a le lien le plus étroit possible entre la christologie et sotériologie. Certains, comme, par exemple, Hodge, régal des deux sous le titre commun « Sotériologie. » Christologie puis deviendrait objective, comme distingué de subjectif, sotériologie. En définissant le contenu de la sotériologie, il est préférable de dire qu’il traite de l' application de le œuvre de rédemption que de dire qu’il traite de l' appropriation du Salut. La question devrait être étudiée théologiquement plutôt qu’anthropologique. Le œuvre de Dieu, plutôt que le travail de l’homme est sans aucun doute au premier plan. Pape s’oppose à l’utilisation du terme ancien, puisqu’à l’utiliser « nous sommes en danger de l’erreur predestinarian qui suppose que l’oeuvre accomplie de Christ est appliqué à l’individu selon le but fixe d’une élection de la grâce. » C’est la raison pourquoi un calviniste préfère utiliser ce terme. Pour faire justice de pape, toutefois, il convient d’ajouter qu’il s’oppose également à l’autre terme, parce qu’elle « tend à l’autre et pélagienne extrême, trop évidemment rendre la prestation expiatoire de Christ quelques individuelle libre acceptation ou rejet. » Il préfère parler de «l’administration de la rédemption», qui est en effet un très bon terme. [La théologie chrétienne, II, p. 319.]

B. l'ORDO SALUTIS, (ordre du Salut).

Les Allemands parlent de «Heilsaneignung, » les hollandais, les anglais, «Heilsweg» et «Orde des Heils» du «chemin du Salut. » L' ordo salutis décrit le processus par lequel le œuvre du Salut, déployée en Christ, est subjectivement réalisé dans le cœur et la vie des pécheurs. Elle vise à décrire dans leur ordre logique, ainsi que dans leurs relations réciproques, les différents mouvements de l’Esprit Saint dans l’application de le œuvre de rédemption. L’accent n’est pas sur ce que l’homme fait en s’appropriant que la grâce de Dieu, mais sur ce que Dieu fait en l’appliquant. Il est mais il est naturel que pélagiens devrait s’opposer à ce point de vue.

Le désir de simplifier l' ordo salutis souvent mené à des restrictions injustifiées. Weizsaecker inclurait dans ce que les opérations du Saint-Esprit forgées au coeur de l’homme et détient que ni appel ni justification peut correctement être incluse dans cette catégorie. [Cf. McPherson, Chr. dogme., p. 368.] Caftan, le plus éminent dogmaticien Ritschlian, est d’avis que le traditionnel ordo salutis ne constitue pas une unité intérieure et donc devait être dissoute. Il traite des appels sous le mot comme un moyen de la grâce; régénération, justification, et l’union mystique, au titre de le œuvre rédemptrice du Christ; et relègue la conversion et sanctification au domaine de l’éthique chrétienne. Il en résulte que seule la foi est partie, et cela constitue l' ordo salutis. [Dogme., p. 651.] Selon lui, l' ordo salutis devrait comprendre que ce qui est requis de la part de l’homme pour le Salut, et il s’agit de foi, la foi seule, — un point de vue purement anthropologique, qui trouve probablement son explication dans l’accent énorme de la théologie luthérienne sur foi active.

Lorsque l'on parle d’un ordo salutis, nous n’oublions pas que le travail de l’application de la grâce de Dieu au pécheur individuel est un processus unitaire, mais simplement de stress du fait que les divers mouvements peuvent être distinguées dans le processus, que le travail de l’application de produit de rachat dans un ordre précis et raisonnable et que Dieu ne pas répandre la plénitude de son salut pour le pécheur en un seul acte. S’il fait cela, le œuvre de rédemption ne serait pas venu à la conscience des enfants de Dieu sous tous ses aspects et dans toute sa plénitude divine. Ne nous perdons de vue le fait que nous utilisons souvent les termes employés pour décrire les différents mouvements dans un sens plus restreint que ne le fait la Bible.

La question peut être soulevée, si la Bible indique toujours une certaine ordo salutis. La réponse à cette question est que, bien qu’il ne fournit pas d’explicitement nous avec un ordre complet du Salut, il nous offre une base suffisante pour une telle ordonnance. L’approche plus proche trouvé dans l’écriture pour quelque chose comme une ordo salutis, est la déclaration de Paul dans Romains 08:29, 30. Certains des théologiens luthériens inspire leur énumération des mouvements divers dans l’application de la rédemption plutôt artificiellement actes 26: 17, 18. Mais alors que la Bible ne nous donne pas une claire ordo salutis, il fait deux choses qui nous permettent d’interpréter une telle ordonnance. (1) il nous fournit une énumération très riche et complète des opérations de l’Esprit Saint dans l’application de le œuvre de Christ aux pécheurs individuels et de la bénédiction du Salut exercée sur eux. Ce faisant, il n’utilise pas toujours les termes mêmes employés dans la dogmatique, mais recourt fréquemment à l’utilisation d’autres noms et aux figures de style. Par ailleurs, il emploie souvent les termes qui ont désormais acquis un sens technique très précis dans la dogmatique, dans un sens beaucoup plus large. Une expression telle que la régénération appelant, conversion et renouvellement service à plusieurs reprises pour désigner le changement d’ensemble qui est provoqué dans la vie intérieure de l’homme. (2) il indique dans beaucoup de passages et de diverses manières la relation dans laquelle les différents mouvements dans le œuvre de rédemption se tenir les uns aux autres. Il enseigne que nous sommes justifiés par la foi et non par les œuvres, Rom. 03:30; 5:1; GAL 02:16-20; que, étant justifiée, nous avons la paix avec Dieu et l’accès à lui, Romains 5:1, 2; que nous sommes libérés du péché pour devenir les serviteurs de la justice et à récolter le fruit de la sanctification, Rom. 06:18, 22; que lorsque nous avons adoptés en tant qu’enfants, nous recevons l’esprit qui nous donne l’assurance et aussi devenir des cohéritiers avec Christ, Rom. 08:15-17; Galates 4:4, 5, 6; que la foi vient par l’audition de la parole de Dieu, Romains 10:17; que la mort à la loi se traduit dans la vie à Dieu, gal 02:19, 20; que lorsque nous croyons, nous sommes scellés avec l’esprit de Dieu, Éphésiens 01:13, 14; qu’il est nécessaire de marcher dignement l’appel avec lequel nous sommes appelés, Éphésiens 4:1, 2; qu’après avoir obtenu de la justice de Dieu par la foi, nous partageons les souffrances du Christ et aussi la puissance de sa résurrection, Phil. 3:9, 10; et que nous sommes engendrés de nouveau par le biais de la parole de Dieu, j’ai PET. 01:23. Ces passages similaires indiquent la relation entre les différents mouvements de le œuvre rédemptrice d’un de l’autre, et permettre ainsi une base pour la construction d’un ordo salutis.

Compte tenu du fait que la Bible ne précise pas l’ordre exact qui s’applique dans l’application de le œuvre de rédemption, il y a place naturellement considérable pour une divergence d’opinion. Et aussi fait les églises sont pas tous d’accord quant à l' ordo salutis. La doctrine de l’ordre du Salut est un fruit de la réforme. Pratiquement aucun semblant de celui-ci se trouve dans les œuvres de la scolastique. Dans la théologie de pré-réforme, peine justice soit faite à sotériologie en général. Il ne constitue pas un locus distinct, et ses éléments constitutifs sont discutées sous les autres rubriques, plus ou moins comme membra disjecta. Même le plus grand de la Schoolmen, tels que Peter le Lombard et Thomas Aquinas, transmettre à la fois de la discussion de l’incarnation à celle de l’église et les sacrements. Qu’on pourrait appeler leur sotériologie se compose de deux chapitres, de Fide et de Poenitentia. L' opéra bona reçoivent également une attention considérable. Étant donné que le protestantisme a pris son départ de la critique et le déplacement de la conception catholique de la foi, la repentance et bonnes œuvres, c’était mais naturel que l’intérêt des réformateurs doit être centrée sur l’origine et le développement de la vie nouvelle en Christ. Calvin a été le premier à regrouper les différentes parties de l’ordre du Salut de manière systématique, mais même sa représentation, dit Kuyper, est plutôt subjective, puisqu’il insiste officiellement sur l’activité humaine plutôt que de la volonté divine. [Dict. dogme., De Salut, f. p. 17] Plus tard les théologiens réformés corrigé ce défaut. Les représentations suivantes de l’ordre du Salut reflètent les conceptions fondamentales de la voie du Salut qui caractérisent les diverses églises depuis la réforme.

1. LA VUE RÉFORMÉE. Instance portant sur l’hypothèse que la condition spirituelle de l’homme dépend de son état, c'est-à-dire sur sa relation à la Loi; et que c’est seulement sur la base de la justice imputée de Jésus Christ que le pécheur peut être délivré de l’influence corruptrice et destructrice du péché, — sotériologie réformée prend son point de départ dans l’union, établi dans le pactum salutis entre le Christ et ceux que le père lui a donné, en vertu duquel il y a une éternelle imputation de la justice du Christ à ceux qui sont les siens. En vue cette préséance juridique sur la morale de certains théologiens, comme Maccovius, Comrie, A. Kuyper SR., et A. Kuyper Jr., commencer l' ordo salutis avec justification plutôt que de régénération. En faisant cela qu'ils appliquent la « justification » de nom également pour l’imputation idéale de la justice du Christ aux élus dans l’Éternel avocat de Dieu. Dr. Kuyper encore dit que les réformés diffèrent des luthériens qu’enseigne la première justification par justitiam Christi, alors que ces derniers représentent la justification par fidem comme l’achèvement des travaux du Christ. [Dict. dogme, De Salute, p. 69.] La grande majorité des théologiens réformés, cependant, tout en présupposant l’imputation de la justice du Christ dans le pactum salutis, discuter uniquement de justification par la foi dans l’ordre du Salut et naturellement prendre sa discussion dans connexion avec ou immédiatement après celui de la foi. Elles commencent l' ordo salutis avec régénération ou appel et ainsi mettre l’accent sur le fait que la demande de le œuvre rédemptrice du Christ est dans son incipiency une œuvre de Dieu. Elle est suivie d’une discussion de la conversion, dans lequel les travaux de régénération pénètre à la vie consciente du pécheur, et il se tourne de self, le monde et Satan, à Dieu. Conversion comprend le repentir et la foi, mais en raison de sa grande importance ce dernier est généralement traité séparément. La discussion de la foi conduit naturellement à celle de la justification, dans la mesure où cela est véhiculée à nous par la foi. Et parce que la justification place l’homme dans une nouvelle relation à Dieu, qui porte en elle le don de l’esprit d’adoption, et qui oblige l’homme à une obéissance nouvelle et aussi lui permet de faire la volonté de Dieu du fond du cœur, le œuvre de sanctification vient ensuite en considerati sur. Enfin, l’ordre du Salut est conclu avec la doctrine de la persévérance des saints et leur glorification finale.

Bavinck permet de distinguer trois groupes dans les bénédictions du Salut. Il commence par dire que le péché est culpabilité, la pollution et la misère, car il s’agit d’une rupture de l’Alliance des œuvres, une perte de l’image de Dieu et une soumission à la puissance de la corruption. Christ a donné nous de ces trois de ses souffrances, sa rencontre avec les exigences de la Loi et sa victoire sur la mort. Par conséquent, la bénédiction du Christ se composent dans ce qui suit: a il restaure la bonne relation de l’homme à Dieu et à toutes les créatures de justification, y compris le pardon des péchés, l’adoption d’enfants, la paix avec Dieu et la liberté glorieuse. (b) il renouvelle l’homme à l’image de Dieu par la régénération, appel interne, conversion, renouvellement et sanctification. (c) il préserve l’homme pour son héritage éternel, lui délivre de la souffrance et la mort et le met en possession du salut éternel de préservation, de persévérance et de glorification. Le premier groupe de bénédictions nous est accordé par l’illumination du Saint-Esprit, est accepté par la foi et définit notre conscience libre. La seconde est communiquée à nous par le travail de régénération de l’Esprit Saint, nous renouvelle et nous rachète de la puissance du péché. Et le troisième se jette à nous du préserver, guidant et sceller le travail de l’Esprit Saint comme le gage de notre rédemption complète et délivre nous, corps et âme, de la domination de la misère et la mort. Le premier groupe nous comme prophètes, le second, en tant que prêtres et le troisième, oint comme des rois. Dans le cadre de la première nous regardons en arrière au travail réalisé du Christ sur la Croix, où nos péchés ont été expiés; dans le cadre de la deuxième nous chercher à la vie éternel dans le ciel, qui, comme souverain sacrificateur, est assis à la droite du père; et dans le cadre de la troisième, nous nous réjouissons de l’arrivée future de Jésus Christ, dans lequel il soumet tous les ennemis et se rendra le Royaume au père.

Il y a certaines choses qui devraient garder à l’esprit dans le cadre de l' ordo salutis, tel qu’il apparaît dans la théologie réformée.

a. certains de ces termes ne sont pas toujours utilisés dans le même sens. Le terme justification est généralement limitée à ce qui s’appelle la justification par la foi, mais est parfois fait pour couvrir une justification objective des élus dans la résurrection de Jésus Christ et l’imputation de la justice du Christ sous le pactum salutis. Encore une fois, le mot régénération, qui maintenant généralement désigne cet acte de Dieu par lequel il donne le principe de la nouvelle vie de l’homme, est également utilisé pour désigner la nouvelle naissance ou la première manifestation de la nouvelle vie et dans la théologie de la dix-septième siècle fréquemment se produit sous le nom synonyme de conversion ou même de sanctification. Certains parlent d’elle comme conversion passive dans la distinction de conversion proprement dite, qui est ensuite appelée conversion active .

b. plusieurs autres distinctions méritent aussi l’attention. Nous devons distinguer soigneusement entre le judiciaire et le récréatif actes de Dieu, le premier (comme justification), altération de l’État et le second (comme régénération, conversion), la condition du pécheur; — entre le œuvre du Saint-Esprit dans le subconscient (régénération) et que dans la vie consciente (conversion); — entre ce qui se rapporte à la mise à l’extérieur du vieil homme (repentir, crucifiant le vieil homme) et ce qui constitue la mise sur du nouvel homme (régénération et dans la sanctification de la partie); — et entre le début de l’application de le œuvre de rédemption (dans la régénération et la conversion correcte) et la poursuite de celui-ci (en conversion quotidienne et sanctification).

c. en ce qui concerne les différents mouvements dans le travail d’application nous devons garder à l’esprit que le fortuit judiciaire constituent la base pour ses actes récréatifs, afin que la justification, mais pas dans le temps, est encore logiquement avant tout le reste; — que le travail de la grâce divine dans le subconscient, qui précède dans la vie consciente, afin que la régénération précède la conversion; — et que les actes judiciaires de Dieu (justification, y compris le pardon des péchés et l’adoption d’enfants) s’adressent toujours à la conscience, alors que des actes récréatif un, à savoir, la régénération, se déroule dans la vie subconsciente.

2. LA VUE LUTHÉRIENNE. Les luthériens, sans nier les doctrines de l’élection, l’union mystique et l’imputation de la justice du Christ, ne prennent pas leur point de départ dans l’un d'entre eux. Ils reconnaissent pleinement le fait que la réalisation subjective de le œuvre de rédemption dans les coeurs et les vies des pécheurs est une œuvre de la grâce divine, mais en même temps donner une représentation de l' ordo salutis , qui met l’accent sur ce qui se fait un < B11 > hominis parte (la part de l’homme) plutôt que sur ce qui se fait un parte Dei (de la part Dieu). Ils voir de foi d’abord un don de Dieu, mais en même temps faire foi, considéré surtout comme un principe actif chez l’homme et comme une activité de l’homme, le facteur déterminant le tout dans l’ordre du Salut. Pieper, dit: « So kommt denn von der Heilsaneignung alles darauf an, dass im Menschen der Glaube un das Evangelium entstehe. » [Christl. Dogme. II, p. 477. Cf. aussi Valentine, Chr. théol. II, p. 258 et suiv.] Attention a déjà été appelée sur le fait que le caftan considère foi comme l’ensemble de l' ordo salutis. Cet accent mis sur la foi comme un principe actif est sans doute dû au fait que, dans la réforme luthérienne, la doctrine de la justification par la foi — souvent appelé le principe important de la réforme — est tout à fait au premier plan. Selon Pieper le luthérien prend son point de départ dans le fait que, dans le Christ Dieu est réconcilié avec le monde de l’humanité. Dieu annonce ce fait à l’homme dans l’Évangile et propose de mettre l’homme subjectivement en possession de ce pardon des péchés ou de justification qui a été forgée objectivement dans le Christ. Cet appel est toujours accompagné d’un certain degré d’illumination et d’accélération, afin que l’homme reçoit le pouvoir de ne pas résister à l’opération salvatrice du Saint-Esprit. Elle se traduit fréquemment par repentir, et cela peut émettre en régénération, par laquelle l’Esprit Saint confère le pécheur avec grâce salvatrice. Maintenant, tout cela, à savoir, appel, illumination, repentir et la régénération, sont vraiment seulement préparatoire, et sont strictement parlant pas encore bénédictions de l’Alliance de la grâce. Ils sont expérimentés en dehors de toute relation de vie à Christ et servent à conduire le pécheur à Christ. « Régénération est conditionnée par le comportement de l’homme en ce qui concerne l’influence exercée sur lui, » et donc « aura lieu en une seule fois ou progressivement, comme la résistance de l’homme est supérieure ou inférieure. » [Schmid, Doct. Théol., p. 464.] D’il homme serait doté d’une foi par laquelle il s’approprie le pardon épargne ou une justification qui est objectivement donnée dans le Christ, est adoptée comme un enfant de Dieu, est unie au Christ dans une union mystique et reçoit l’esprit de renouveau et de sanctification , le principe de la vie d’une vie d’obéissance. La possession permanente de toutes ces bénédictions dépend de la continuité de la foi, — sur une foi active la part de l’homme. Si l’homme continue de croire, qu'il a la paix et de joie, de vie et de Salut; mais s’il cesse d’exercer la foi, tout cela devient douteux, incertain et amissible. Il y a toujours une possibilité que le croyant va perdre tout ce qu’il possède.

3. L’OPINION CATHOLIQUE ROMAINE. Dans la théologie catholique la doctrine de l’église précède la discussion de l' ordo salutis. Enfants sont régénérés par le baptême, mais ceux qui d’abord se familiariser avec l’Évangile dans la vie postérieure recevront un sufficiens gratia, consistant en une illumination de l’esprit et un renforcement de la volonté. Homme peut résister à cette grâce, mais peut aussi rendre la sanction. S’il consent à lui, il se transforme en un gracieux co-operans, où l’homme travaille en collaboration afin de se préparer pour la justification. Cette préparation se compose de sept parties: (a) une croyant de l’acceptation de la parole de Dieu, (b) un aperçu de sa condition pécheresse, espoir (c) à la miséricorde de Dieu, (d) le début de l’amour de Dieu, (e) une horreur du péché, (f) une volonté d’obéir aux commandements de Dieu et (g) un désir pour le baptême. Il est évident que la foi n’occupe pas une place centrale ici, mais est simplement coordonnée avec les autres préparations. C’est simplement un avis intellectuel conforme aux doctrines de l’église (informis fides) et acquiert son pouvoir justifier que par l’amour qui est communiquée dans gratia infusa (fides caritate formata). Il peut être appelé justifiant la foi seulement dans le sens qu’il est le fondement et la racine de toute justification comme la première des préparations nommées ci-dessus. Après cette préparation justification elle-même fait suite au baptême. Il s’agit dans l’infusion de la grâce, de vertus surnaturelles, suivi par le pardon des péchés. La mesure de ce pardon est proportionnelle au degré où sin est réellement surmonter. Il faut avoir à l’esprit que la justification est donnée librement et n’est pas justifiée par la préparation précédente. Le don de la justification est préservé en obéissant aux commandements et en faisant de bonnes oeuvres. Dans gratia infusa homme reçoit la force surnaturelle pour faire de bonnes œuvres et par conséquent au mérite (avec un mérite de condigno, c'est-à-dire réel mérite) tout suite la grâce et la vie éternelle même. Le but de permettre à l’homme une fois de plus au salut de mérite sert ainsi de la grâce de Dieu. Mais il n’est pas certain que l’homme sera conservé pour le pardon des péchés. La grâce de la justification peut être perdue, non seulement par l’incrédulité, mais par le biais de n’importe quel péché mortel. Il peut être retrouvé, cependant, par le sacrement de pénitence, composé de contrition (ou attrition) et confession, ainsi que des œuvres de satisfaction et d’absolution. Tant la culpabilité du péché et punition éternelle sont supprimés par absolution, mais des peines temporelles peuvent être annulés que par les œuvres de satisfaction.

4. LA VUE ARMINIENNE (OU VUE ÉVANGÉLIQUE MODERNE). L’ordre arminienne du Salut ou vue évangélique moderne, tout en attribuant ostensiblement le œuvre du Salut de Dieu, il fait vraiment dépend de l’attitude et le travail de l’homme. Dieu ouvre la possibilité de Salut pour l’homme, mais il revient à l’homme pour améliorer la possibilité. L’arminienne considère l’expiation du Christ « comme une offrande et satisfaction pour les péchés du monde entier » (Pape), c'est-à-dire, pour les péchés de chaque individu de la race humaine. Il a nié que la culpabilité du péché d’Adam est imputée à tous ses descendants, et que l’homme est par nature totalement dépravée et donc incapable de faire tout spirituel du bien; et est d’avis que, bien que la nature humaine est sans doute blessée et s’est détériorée à la suite de la chute, l’homme est encore capable, par nature, à faire ce qui est bon spirituellement et à se tourner vers Dieu. Mais en raison de la partialité mal, la perversité et la lenteur de la nature pécheresse de l’homme, Dieu confère à elle aide gracieuse. Il accorde une grâce suffisante sur tous les hommes pour leur permettre, s’ils le souhaitent, de parvenir à la pleine possession de bénédictions spirituelles et finalement vers le salut. L’offre de l’Évangile vient à tous les hommes sans discernement et exerce une influence purement morale sur eux, alors qu’ils l’ont en leur pouvoir pour lui résister ou de céder à elle. S’ils cèdent à elle, ils se tourneront vers Christ dans la repentance et de foi. Ces mouvements de l’âme ne sont pas (comme dans le calvinisme) les résultats de la régénération, mais sont simplement introductifs à l’état de grâce correctement ce qu’on appelle. Quand leur foi s’arrête vraiment dans le Christ, cette foi est, dans un souci des mérites du Christ, qui leur est imputée à justice. Cela ne signifie pas que la justice de Christ est imputée à eux comme leur propre, mais que, compte tenu de ce que le Christ a fait pour les pécheurs, leur foi, ce qui implique le principe de l’obéissance, l’honnêteté de cœur et bonnes dispositions, est acceptée en remplacement un parfait obéissance et est compté pour eux pour la justice. Sur cette base, puis, elles sont justifiées, qui dans l’arminienne guichet généralement signifie simplement que leurs péchés sont pardonnés, et n’est pas qu’ils sont acceptés comme justes. Arminiens souvent mettre sous cette forme: le pardon des péchés est basé sur les mérites du Christ, mais acceptation par Dieu repose sur l’obéissance de l’homme à la loi ou l’obéissance évangélique. Foi non seulement sert à justifier, mais aussi pour régénérer les pécheurs. Il assure à l’homme la grâce d’obédience évangélique et, si autorisé à fonctionner dans la vie, émet dans la grâce de la persévérance. Toutefois, la grâce de Dieu est toujours résistible et amissible.

La soi-disant Wesleyan ou arminienne évangélique n’est pas entièrement conforme l’Arminianisme du XVIIe siècle. Sa position présente une plus grande affinité avec le calvinisme que ne le fait l’Arminianisme original, mais il est aussi plus incompatible. Il admet que la culpabilité du péché d’Adam est imputée à tous ses descendants, mais en même temps maintient que tous les hommes sont justifiés en Christ, et que par conséquent cette culpabilité est à la fois enlevée, à la naissance. Il admet l’entière dépravation de l’homme dans l’état de nature également, mais continue à insister sur le fait qu’aucun homme n’existe dans cet état de nature, étant donné qu’une application universelle de le œuvre du Christ par le Saint-Esprit, par lequel le pécheur est activé pour la coopération mangé avec la grâce de Dieu. Il met l’accent sur la nécessité d' un surnaturel (hyper-physique) œuvre de grâce pour effectuer du pécheur rénovation et sanctification. En outre, il enseigne la doctrine de la perfection chrétienne ou entière sanctification dans la vie présente. On peut ajouter que, bien que Arminius fait l’effusion sur l’homme d’une capacité à travailler en collaboration avec Dieu, une question de justice, Wesley considéré cela comme une question de pure grâce. C’est le type de l’Arminianisme qui nous viennent principalement en contact. Nous nous réunissons avec elle, non seulement dans l’église méthodiste, mais aussi dans les grandes sections d’autres églises et surtout dans les nombreuses églises laïc d’aujourd'hui.

 

II. l’opération du Saint-Esprit en général

A. DISPOSITION TRANSITOIRE À L'ŒUVRE DU SAINT-ESPRIT.

Comme déjà intime dans ce qui précède, en passant de la christologie de sotériologie, nous passons de l’objectif au subjectif, de le œuvre que Dieu a accompli pour nous dans le Christ et qui est sous son aspect sacrificiel un ouvrage fini, les travaux qui Il se rend compte que le temps passe sur le cœur et la vie des croyants, et dans lequel ils sont autorisés et également prévus, à coopérer. Et dans la construction de cette doctrine, aussi, nous devons être guidés par l’écriture. Dr. Bavinck attire l’attention sur une difficulté qui se pose ici, puisque la Bible semble enseigner d’une part que l’ensemble de le œuvre de rédemption est terminée dans le Christ, afin qu’il ne reste rien pour l’homme de le faire; et d’autre part, que la chose vraiment décisive doit encore être accompli dans et par l’homme. Son enseignement concernant la voie de la rédemption semble être autosoteric et heterosoteric. Il est donc nécessaire de se prémunir contre toute partialité et d’éviter les deux le Scylla de Nomism, tel qu’il apparaît dans le pélagianisme, semi pélagianisme, arminianisme et Neonomism et le Scylla de l’Antinomisme, comme il fait sa réapparition, parfois comme un spécifique doctrine et doctrinaux parfois comme une simple tendance, dans certains des sectes, comme les Nicolaïtes, les gnostiques alexandrin, les frères de l’esprit libre, les anabaptistes de la plus fanatique type, les adeptes d’Agricola, les Moraves et quelques-uns de la Plymouth frères. Nomism refuse le choix souverain de Dieu par lequel il a infailliblement déterminée, non sur la base de l’attitude prévu ou les œuvres des hommes, mais selon son bon plaisir, ce qui ne serait pas sauvé; rejette l’idée que le Christ par sa mort expiatoire, non seulement rendu le Salut possible, mais effectivement il garanti pour tous ceux pour qui il a donné sa vie, afin que la vie éternelle est dans le sens le plus absolu du mot un don gratuit de Dieu , et dans son effusion fond humain n’est pas prises en considération; et maintient, soit que l’homme peut se sauver sans l’aide du renouvellement grace (pélagianisme), ou pour y parvenir avec l’aide de la grâce divine (semi pélagianisme et arminianisme). D’autre part l’Antinomisme, qui est parfois dit être favorisée par l’hyper-calvinisme, tient que l’imputation de nos péchés au Christ lui faite personnellement un pécheur, et que l’application de sa justice nous nous fait personnellement justes, afin que Dieu voit aucun péché en nous plus; que l’union des croyants avec le Christ est une « union » de l’identité et les rend dans l’ensemble respectent un avec lui; que le travail de l’Esprit Saint est tout à fait inutile, puisque la rédemption du pécheur a été achevée sur la Croix, ou – encore plus extrême — que le œuvre du Christ était également inutile, étant donné que toute cette affaire a été réglée par le décret éternel de Dieu; que le pécheur est justifié dans la résurrection du Christ ou même à l’avocat de la rédemption et donc ne doit pas la justification par la foi ou reçoit dans ce qu’une déclaration d’une justification précédemment accomplie; et que croyants sont exempts de la Loi, pas seulement comme une condition de l’Alliance des œuvres, mais aussi comme une règle de vie. Elle nie pratiquement la personnalité et travail de l’Esprit Saint et, dans certains cas même l’expiation objective à travers Christ. L’expiation et la justification sont de toute éternité. Le pécheur repentant se déroule à tort sur l’hypothèse que Dieu est en colère contre lui et a simplement besoin d’informations sur ce point. En outre, il doivent être conscients que quelles que soient les péchés qu’il commette ne saurait affecter sa réputation avec Dieu.

L’écriture nous apprend à reconnaître une certaine économie dans le travail de création et de la rédemption et garantit notre parlant du père et de notre création, du fils et de notre rédemption et de l’Esprit Saint et notre sanctification. Le Saint-Esprit a non seulement une personnalité de la sienne, mais aussi une méthode particulière de travail; et c’est pourquoi nous devons distinguer entre le œuvre du Christ en méritant le salut et le travail de l’Esprit Saint en l’appliquant. Christ a rencontré les exigences de la justice divine et méritait toutes les bénédictions du Salut. Mais son travail n’est pas encore terminée. Il dans le ciel, afin de mettre ceux pour qui il a donné sa vie en possession de tout ce qu’il a mérité pour eux, poursuit-il. Même le travail d’application est une œuvre du Christ, mais un travail qu’il accomplit par l’intermédiaire du Saint-Esprit. Bien que ce travail se distingue dans l’économie de la rédemption comme une œuvre de l’Esprit Saint, il ne peut pas pour un instant être séparé de le œuvre du Christ. Il est ancré dans le œuvre rédemptrice de Jésus-Christ et cela porte à la fin et que sans la coopération des sujets de la rédemption. Christ lui-même souligne le lien étroit lorsqu’il dit: « mais quand il, l’esprit de vérité, est venu, il vous guidera dans toute la vérité: car il ne parlera pas de lui-même; mais qu’est-ce qu’il entendra, ceux-ci il parlera: et il doit vous annoncer les choses qui sont à venir. Il doit glorifier moi, parce qu’il prend de la mine et déclare qu’il te. » John 16:13, 14.

B. LES OPÉRATIONS GÉNÉRALES ET SPÉCIALES DE L’ESPRIT SAINT.

L’écriture montre clairement que pas toutes les opérations de l’Esprit Saint sont partie intégrante de le œuvre salvifique de Jésus Christ. Tout comme le fils de Dieu est non seulement le médiateur de la rédemption, mais aussi le médiateur de la création, l’Esprit Saint, comme représenté dans l’écriture, donc du dispositif, non seulement dans le œuvre de rédemption, mais aussi dans le travail de création. Naturellement, sotériologie se préoccupe de son oeuvre rédemptrice seulement, mais à sa bonne compréhension, il est hautement souhaitable de prendre un compte rendu de ses activités plus générales.

1. LES OPÉRATIONS GÉNÉRALES DE L’ESPRIT SAINT. C’est un fait bien connu que les distinctions trinitaire ne sont pas aussi clairement révélées dans l’ancien Testament comme dans le nouveau. Le terme « Esprit de Dieu, » telle qu’elle est employée dans l’ancien Testament, ne désigne pas toujours une personne et même dans les cas où l’idée personnelle est clairement présente, ne pas toujours précisément pointe à la troisième personne de la Sainte Trinité. Il est parfois utilisé au sens figuré pour désigner le souffle de Dieu, Job 32: 8; PS. 33: 6, et dans certains cas, est tout simplement un synonyme de « Dieu » PS. 139:7, 8; 40:13 d’Ésaïe. Il sert très souvent pour désigner la puissance de la vie, le principe qui provoque les créatures à vivre, et c’est d’une manière unique propre à Dieu. L’esprit qui habite dans les créatures, et dont dépend leur existence même, est de Dieu et lie à Dieu, Job 32: 8; 33: 4; 34: 14, 15; PS. 104; 29; 42:5 d’Ésaïe. Dieu est appelé « Dieu (ou, « Père ») des esprits de toute chair, » num. 16:22; 27: 16; Hébreux 12:9. Dans certains cas, il est évident que l’esprit de Dieu n’est pas une simple puissance, mais une personne. Le tout premier passage dans lequel l’esprit est mentionné, Genèse 1:2, déjà attire l’attention sur cette fonction qui donne la vie, et cela est précisé dans le cadre de la création de l’homme, Genèse 2:7. L’esprit de Dieu génère la vie et porte le œuvre créatrice de Dieu jusqu'à la fin, Job 33: 4; 34: 14, 15; PS. 104:29, 30; 42:5 d’Ésaïe. Il ressort clairement de l’ancien Testament que l’origine de la vie, sa maintenance et son développement dépendent de l’opération du Saint-Esprit. Le retrait de l’esprit signifie la mort.

Des expositions extraordinaires du pouvoir, les exploits de force et d’audace, sont également visées à l’esprit de Dieu. Les juges dont Dieu a ressuscité pour la délivrance d’Israël étaient évidemment hommes d’une capacité considérable et d’audace inhabituelle et la force, mais le vrai secret de leurs accomplissements pondent pas en eux-mêmes, mais à une puissance surnaturelle qui est venu sur eux. Il est dit à plusieurs reprises que « l’esprit de l’Éternel est venu (puissamment) sur eux, » JG 03:10; 06:34; 11:29; 13:25; 14:6, 19; 15:14. c’est l’esprit de Dieu qui leur a permis de travailler la délivrance pour le peuple. Il y a également une reconnaissance claire de l’opération du Saint-Esprit dans la sphère intellectuelle. Elihu parle de cela quand il dit: « mais il y a un esprit chez l’homme, et le souffle du tout-puissant leur donne la compréhension. » Job 32: 8. La perspicacité intellectuelle, ou la capacité de comprendre les problèmes de la vie, est attribuée à une influence éclairante de l’Esprit Saint. L’exacerbation du talent artistique est également attribuée à l’esprit du Seigneur, Exode 28: 3; 31: 3; 35: 30 et suiv. certains hommes, caractérisées par des dotations spéciales, étaient qualifiés pour le travail plus fin qui devait être fait dans le cadre de la construction du tabernacle et de l’ornement des vêtements sacerdotaux, cf. aussi Néh. 09:20. Encore une fois, l’esprit du Seigneur est représenté comme hommes de divers offices de qualification. L’esprit a été mis et s’est reposé, sur les soixante-dix qui ont été nommés pour aider Moïse à gouverner et à en juger le peuple d’Israël, num. 11:17, 25, 26. Il a également reçurent l’esprit de prophétie temporairement, pour attester de leur vocation. Joshua a été choisi comme successeur de Moïse, parce qu’il avait l’esprit du Seigneur, nombres 27: 18. Quand Saül et David étaient oints comme des rois, l’esprit du Seigneur descendit sur eux, à les qualifier pour leur tâche importante, j’ai Samuel 10:6, 10; 16:13, 14. Enfin, l’esprit de Dieu exploité aussi clairement dans les prophètes comme l’esprit de révélation. David dit: « L’esprit de Jéhovah parla par moi et sa parole était sur ma langue, » II Sam. 23:2. Néhémie témoigne en Néh. 09:30: « encore beaucoup d’années As tu garder avec eux et testifiedst contre eux par ton esprit à travers les prophètes: et pourtant ils ne donneraient pas oreille. » Ezéchiel parle d’une vision de l’esprit de Jéhovah, 11:24 et dans Zacharie 07:12, nous lisons: « Oui, ils ont fait leur cœur comme une pierre inflexible, peur qu’ils doivent entendre la Loi et les paroles que Jéhovah des armées avait envoyé dans son esprit par les premiers prophètes. » Cf. aussi je Rois 22:24; J’ai PET. 01:11; II Pierre 01:21.

2. LA RELATION ENTRE LES OPÉRATIONS GÉNÉRALES ET SPÉCIALES DE L’ESPRIT SAINT. Il y a une certaine similitude entre le général et les opérations spéciales de l’Esprit Saint. Par ses opérations générales il est originaire, maintient, renforce et guide toute vie organique, intellectuel et moral. Il fait cela de différentes manières et en harmonie avec les objets concernés. Quelque chose de semblable peut être dit de son opération spéciale. Dans la rédemptrice sphère il est originaire de la nouvelle vie, il fructifie, il oriente son développement et l’amènent à son destin. Mais malgré cette similitude, il y a néanmoins une différence fondamentale entre les actions de l’Esprit Saint dans le domaine de la création et celles en matière de rachat ou de la re-création. Dans l’ancien il est originaire, entretient, développe et oriente la vie de la création naturelle, retient pour l’instant l’influence dévastatrice et de détérioration du péché dans la vie d’hommes et de la société et permet aux hommes de maintenir un certain ordre et décorum dans leur vie en commun, à faire ce qui est en apparence bon et juste dans leurs relations les uns aux autres et à développer les talents dont ils ont été dotés lors de la création. Dans le second, en revanche, il est originaire, entretient, développe et oriente la vie nouvelle qui est née d’en haut, est nourrie par le haut et sera rendue parfaite ci-dessus, — une vie qui est céleste, en principe, mais a vécu sur terre. Par son opération spéciale du Saint-Esprit vaincra et détruit la puissance du péché, renouvelle l’homme à l’image de Dieu et lui permet de rendre obéissance spirituelle à Dieu, pour être le sel de la terre, la lumière du monde et un levain spirituel dans toutes les sphères de la vie. Tandis que le travail de l’Esprit Saint dans la création, en général, a sans doute une certaine signification indépendante, il est encore fait subordonné à le œuvre de rédemption. Toute la vie des élus, également qui précédant leur nouvelle naissance, est déterminé et gouvernée par Dieu en vue de leur destination finale. Leur cycle de vie naturel est donc réglementée que, lorsqu’il est renouvelé, il répondra au but de Dieu.

C. LE SAINT ESPRIT COMME DISTRIBUTEUR DE LA GRÂCE DIVINE.

Comme l’Alliance dans laquelle Dieu a fait provision pour le salut des pécheurs s’appelle l’Alliance de grâce, et que le médiateur de l’Alliance est censé sont apparus « pleine de grâce, » afin que nous pouvons recevoir dans sa plénitude « grâce pour grâce « John 01:16, 17, donc l’Esprit Saint est appelé « l’esprit de grâce, » depuis qu’il prend « la grâce du Christ » et lui confère sur nous.

1. L’UTILISATION BIBLIQUE DU TERME « GRACE ». La mot « grâce » n’est pas toujours utilisée dans le même sens dans l’écriture, mais il a une variété de significations. Dans l’ancien Testament, nous avons le mot chen (adj. chanun), de la racine chanan. Le nom peut signifier grâce ou beauté, Prov. 22:11; 31: 30, mais la plupart signifie généralement la faveur ou la bonne-va. L’ancien Testament parle à plusieurs reprises de trouver faveur aux yeux de Dieu ou de l’homme. La faveur a donc trouvé porte en lui l’effusion des faveurs ou des bénédictions. Cela signifie que la grâce n’est pas une qualité abstraite, mais est un actif, en principe, de fonctionnement qui se manifeste dans les actes bienfaisants, Genèse 6:8; 19:19; 33: 15; Exode 33: 12; 34: 9; J’ai Sam 01:18; 27: 5; Esther 2:7. L’idée fondamentale, c’est que les bénédictions gracieusement accordées sont librement donnée et pas en tenant compte de toute réclamation ou le mérite. Le Nouveau Testament mot charis, de chairein, « se réjouir », désigne le premier tous un aspect extérieur agréable, «beauté, » «amabilité, » «acceptabilité, » et a une telle signification dans Luc 04:22; Colossiens 4:6. Un rôle plus important sens du mot, cependant, est favorable ou bon-sera, Luc 01:30; 02:40, 52; Actes à 02:47; 07:46; 24:27; 25:9., il peut signifier la bonté ou la bienveillance de notre Seigneur, II Corinthiens 8:9 ou la faveur qui se manifeste ou conféré par Dieu, II Corinthiens 9:8 (se référant aux bénédictions matérielles); J’ai PET. 05:10. Par ailleurs, le mot est expressif de l’émotion, réveillée en plein cœur du destinataire de ces faveurs et acquiert ainsi le sens «reconnaissance» ou la «gratitude, » Luke 04:22; J’ai Cor. 10:30; 15:57; II Corinthiens 02:14; 08:16; J’ai Timothée 01:12. Dans la plupart des passages, cependant, dans lequel le mot charis est utilisé dans le Nouveau Testament, elle signifie l’opération imméritée de Dieu dans le cœur de l’homme, effectuée par l’intermédiaire de l’Office du Saint-Esprit. Alors que nous parlons parfois de grâce comme une qualité intrinsèque, il est en réalité la communication active des bénédictions divines de l’inworking de l’Esprit Saint, de la plénitude de celui qui est « pleine de grâce et de vérité, » Rom. 03:24; 5:2, 15, 17,20; 6:1; J’ai Cor. 1:4; II Corinthiens 6:1; 8:9; Éphésiens 1:7; 2:5, 8; 3:7; I Pierre 3:7; 05:12.

2. LA GRÂCE DE DIEU DANS L'ŒUVRE DE RÉDEMPTION. Une discussion de la grâce de Dieu en relation avec le œuvre de rédemption à nouveau réclame plusieurs distinctions, qui devraient garder à l’esprit.

a. en premier lieu, la grâce est un attribut de Dieu, une des perfections divines. C’est la faveur imméritée, libre, souverain ou l’amour à l’homme, dans son état de péché et la culpabilité, qui se manifeste dans le pardon du péché et de la délivrance de son châtiment de Dieu. Elle est liée à la miséricorde de Dieu par opposition à sa justice. Il s’agit de la grâce rédemptrice dans le sens le plus fondamental. C’est la cause ultime du dessein élective de Dieu, de la justification du pécheur et de son renouveau spirituel; et la source prolifique de toutes les bénédictions spirituelles et éternelles.

b. en second lieu de que le terme « grâce » est utilisé comme une désignation de l’objectif la disposition que Dieu fait dans le Christ pour le salut de l’homme. Christ en tant que le Médiateur est l’incarnation même de la grâce de Dieu. « Le mot s’est fait chair et a habité parmi nous... plein de grâce et de vérité, » John 01:14. Paul a l’apparition du Christ dans l’esprit, lorsqu’il dit: « car la grâce de Dieu a paru, apportant le Salut à tous les hommes, » Tite 02:11. Mais le terme est appliqué non seulement à ce que le Christ est, mais aussi à ce qu’il méritait d’être pour les pécheurs. Quand l’Apôtre parle à plusieurs reprises dans les salutations de la fermeture de ses épîtres de « la grâce de notre Seigneur Jésus Christ », il a en tête la grâce dont Christ est la cause méritoire. Jean dit: « la loi a été donnée par Moïse, mais la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ, » John 01:17. Cf. aussi Éph. 2:7.

c. en troisième lieu, la mot « grâce » est utilisée pour désigner les faveurs de Dieu tel qu’il se manifeste dans l’application de le œuvre de rédemption par le Saint-Esprit. Il est appliqué à la grâce que nous recevons comme justification, un pardon donné librement par Dieu, Rom. 03:24; 5:2, 21; Tite 03:15. Mais en plus de cela, c’est aussi un nom complet pour tous les dons de la grâce de Dieu, la bénédiction du Salut et les grâces spirituelles qui sont travaillés dans le cœur et la vie des croyants par l’opération du Saint-Esprit, actes 11:23; 18:27; ROM. 05:17; I Corinthiens 15:10; II Corinthiens 09:14; Éphésiens 4:7; Jas. 4:5, 6; I Pierre 3:7. En outre, il y a des indications claires sur le fait qu’il n’est pas une simple passive qualité, mais aussi la force active, une puissance, quelque chose qui travaille, I Cor. 15:10; II Corinthiens 12:9; II Timothée 2:1. En ce sens du mot c’est quelque chose comme un synonyme de l’Esprit Saint, afin qu’il y a peu de différence entre « plein de l’Esprit Saint » et « pleine de grâce et de puissance » dans Actes 6:5 et 8. L’Esprit Saint est appelé « l’esprit de grâce » en Hébreux 10:29. C’est surtout dans le cadre de l’enseignement de l’écriture concernant l’application de la grâce de Dieu au pécheur par le Saint-Esprit, que la doctrine de la grâce a été développée dans l’église.

3. LA DOCTRINE DE LA GRÂCE DANS L’ÉGLISE. Les enseignements des écritures concernant la grâce de Dieu insistent sur le fait que Dieu distribue ses bienfaits aux hommes d’une manière libre et souveraine, et non en tenant compte de tout mérite intrinsèque des hommes; que les hommes doivent toutes les bénédictions de la vie à un Dieu bienveillant, indulgent et patience; et surtout que toutes les bénédictions de le œuvre du Salut sont libre de Dieu et ne sont en aucun cas déterminées par les mérites supposés des hommes. Cela est clairement exprimé par Paul dans les termes suivants: « pour par grâce avez vous été sauvés par la foi; et que pas de vous-mêmes, c’est le don de Dieu; pas de travaux, qu’aucun homme ne devrait la gloire, » Éphésiens 2:8, 9. Il insiste fortement sur le fait que le salut n’est pas par les œuvres, Rom. 03:20-28; 04:16; GAL 02:16.

Cette doctrine ne vont pas tout à fait incontestée. Dans certains des premiers pères de l’église, en particulier de l’église d’Orient, nous rencontrons déjà une souche du moralisme qui n’est pas en harmonie avec l’accent de Pauline. La tendance qui est apparente dans cette partie de l’église, a finalement abouti à pélagianisme. Conception des Pelagius de grâce était plutôt inhabituelle. Selon Wiggers, il comprenait sous la grâce: (a) « le pouvoir de faire le bien (possibilitas boni), et donc en particulier gratuite sera elle-même. » (b) « la révélation, la Loi et l’exemple du Christ, par laquelle la pratique de la vertu est rendue plus facile pour l’homme. » (c) « notre alors déployés à pouvoir, par nos propres sera de s’abstenir du péché, et de Dieu en nous donnant l’aide de sa loi et ses commandes et en son pardonnant les péchés antérieurs de ceux qui reviennent à lui. » (d) « Supernatural influences sur le chrétien, par laquelle sa compréhension est éclairée et la pratique de la vertu est rendue facile pour lui. » [Augustinisme et pélagianisme, pp. 179-183.] Il a ne reconnu aucune opération directe de l’esprit de Dieu sur la volonté de l’homme, mais seulement une opération indirecte sur la volonté par le biais de la conscience illuminée. Selon lui, l’opération de la grâce de Dieu était principalement, mais non exclusivement, externes et naturel. En opposition à la vue pélagienne, celui d’Augustin est souvent désignée comme « la théologie de la grâce. » Alors qu’Augustin a admis que la mot « grâce » pourrait servir dans un sens plus large (grâce naturelle), et que, même dans l’état d’intégrité, c’est la grâce de Dieu qui a permis à Adam de conserver sa droiture, son accent est toujours sur la grâce comme le don de Dieu à homme déchu, qui se manifeste dans le pardon du péché et dans le renouvellement et la sanctification de la nature humaine. Compte tenu de la corruption totale de l’homme, il considère cette grâce tant qu’il est absolument nécessaire au salut. Il est forgé chez l’homme par l’opération du Saint-Esprit, qui habite et travaille dans les élus et le principe de toutes les bénédictions du Salut. Il a établi une distinction entre le fonctionnement ou prévenante, et la grâce de la co-operating ou ultérieure . Le premier permet la volonté de choisir le bien, et celui-ci travaille en collaboration avec la volonté déjà activée, à faire le bien. Dans sa lutte avec le pélagianisme semi Augustine a souligné le caractère tout à fait gratuit et irrésistible de la grâce de Dieu.

Dans les luttes ultérieures la doctrine augustinienne de la grâce était seulement en partie victorieuse. Seeberg s’exprime comme suit: « ainsi la doctrine de la « grâce seule » est sorti victorieuse; mais la doctrine augustinienne de la prédestination est abandonnée. La Grâce irrésistible de la prédestination a été conduite sur le terrain par la grâce sacramentelle du baptême. » [Histoire de la Doctrine, I, p. 382.] Pendant le moyen âge les scolastiques accordé une attention considérable au sujet de la grâce, mais ne pas toujours d’accord quant aux modalités de la doctrine. Certains s’approcha l’augustinienne et autres la conception Semi-pélagienne de grâce. En général on peut dire qu’ils ont conçu de grâce médiatisée par les sacrements, et qu’ils ont cherché à combiner avec la doctrine de la grâce une doctrine du mérite qui compromet gravement l’ancien. L’accent était pas sur la grâce comme la faveur de Dieu montre aux pécheurs, mais sur la grâce comme une qualité de l’âme, qui peut-être être considérés comme les deux incréée (c'est-à-dire, comme le Saint Esprit), comme increated ou corroyés dans le cœur des hommes par le Saint-Esprit. Cela infusé grâce est fondamentale pour le développement des vertus chrétiennes et permet à l’homme d’acquérir du mérite avec Dieu, à la grâce plue de mérite, bien qu’il ne peut mériter la grâce de la persévérance. Cela ne peut être obtenue comme un don gratuit de Dieu. La scolastique n’a pas, comme Augustine, maintenu le lien logique entre la doctrine de la grâce et la doctrine de la prédestination.

Les réformateurs revint à la conception augustinienne de la grâce, mais d’éviter son sacramentarisme. Ils a mis l’accent une fois de plus sur la grâce comme la faveur imméritée de Dieu montré aux pécheurs et il représentent d’une manière qui exclut tout mérite la part du pécheur. Smeaton, dit: « le terme grace, qui, dans l’acception de Augustine a laissé entendre l’exercice vers l’intérieur de l’amour, réveillé par les opérations de l’Esprit Saint (Romains 5:5), et qui, dans la théologie scolastique était venu pour désigner une qualité de l’âme, ou l’intérieur dotations et habitudes infusées de foi, l’amour et l’espoir, a été maintenant prise en plus scripturaire et plus large sens pour le libre, l' efficace faveur qui est dans l’Entendement divin. » [La Doctrine de l’Esprit Saint, p. 346.] Alors que les réformateurs utilisé le terme de grâce dans le cadre de la justification, dans autres connexions ils souvent utilisé l’expression, « le travail de l’Esprit Saint, » plutôt que le terme de grâce. Tandis qu’ils tous a souligné grâce au sens de l’interne et sauver l’opération du Saint-Esprit, Calvin en particulier a développé l’idée de grâce commune, autrement dit, une grâce qui, bien qu’il soit l’expression de la faveur de Dieu, n’a pas un effet salvateur. Selon l’étude historico-dogme splendide de Dr H. Kuiper sur Calvin sur Common Grace,[p. 179 et suiv.] , il a même distingue trois sortes de grâce commune, à savoir universel commun grâce, grâce commune général et Alliance commune grâce. Les arminiens a quitté la doctrine de la réforme sur ce point. Selon eux Dieu donne la grâce (commune) suffisante à tous les hommes et ce qui leur permet de se repentir et de croire. Si la volonté humaine est d’accord ou coopère avec l’Esprit Saint et l’homme réellement se repente et croit, Dieu confère à l’homme la grâce supplémentaire d’obédience évangélique et la grâce de la persévérance. Ainsi, le travail de la grâce de Dieu est fait au dépend du consentement de la volonté de l’homme. Il n’y a aucune telle chose comme la Grâce irrésistible. Smeaton est dit dans l’ouvrage déjà cité: « il a été décidé que tout le monde pouvait obéir ou résister; que la cause de la conversion n’était pas le Saint-esprit tant que l’homme aura souscrit ou coopérant; et que c’était la cause immédiate de la conversion. » [p. 357.] Amyraldus de l’école de Saumur n’a pas vraiment amélioré la position arminienne par sa prise en charge, dans le cadre de l’arrêté générale du Dieu, que le pécheur, bien que dépourvu de la capacité morale, pourtant, a la capacité naturelle à croire, une distinction malencontreuse, qui a été également prise en Nouvelle-Angleterre par Edwards, Bellamy et Fuller. Pajon, disciple de Amyraldus, a nié la nécessité de le œuvre du Saint-Esprit dans l’éclairage intérieur des pécheurs, afin de leur conversion salvatrice. La seule chose qu’il considérait comme nécessaire était que la compréhension, qui a en soi une suffisance des idées claires, doit être frappée par la lumière de la révélation extérieure. L’évêque Warburton dans son ouvrage sur La Doctrine de la grâce, au office ou à des opérations de l’Esprit Saint ne connaît aucune grâce salvatrice dans l’acception du mot, mais limite la mot « grâce » aux opérations extraordinaires de l’esprit dans la âge apostolique. Et Junckheim dans son ouvrage important a nié le caractère surnaturel de le œuvre de Dieu dans la conversion du pécheur et affirmé que la force morale du mot effectué tous. La Renaissance méthodiste en Angleterre et le Grand réveil dans notre propre pays ont apporté avec eux une restauration de la doctrine de la grâce salvatrice, mais dans certains cas teinté plus ou moins d’arminianisme. Pour Schleiermacher, le problème de la culpabilité du péché était pratiquement inexistant, puisqu’il a nié l’existence objective de la culpabilité. Et par conséquent il connaît peu ou rien de la grâce salvatrice de Dieu. Mackintosh, dit: « cette vérité biblique centrale (de la divine miséricorde pour les pécheurs) Schleiermacher la plupart du temps passe sous silence, ou mentionne seulement de manière superficielle qui montre combien peu il le comprend. » [Types de théologie moderne, p. 96.] La doctrine de la grâce divine est aussi nécessairement obscurcie dans la théologie de Albrecht Ritschl. Et il peut être considéré comme caractéristique de l’ensemble de la théologie libérale moderne, qui met l’accent sur la bonté de l’homme, qu’il a perdu de vue la nécessité de la grâce salvatrice de Dieu. Le mot « grace » a progressivement disparu de la parole écrite et parlée de beaucoup de théologiens, et beaucoup des gens du commun de nos jours n’attachent aucune autre signification à ce terme à celui de la grâce ou la bienveillance. Otto même attire l’attention sur elle dans son travail sur The Idea of the Holy que les gens ne parviennent pas à détecter le sens profond du mot. [p. 32 et suiv., 145.] La théologie de crise a le mérite d’avoir souligné de nouveau la nécessité de la grâce divine, de sorte que le mot vient une fois de plus dans l’usage.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Sur quels éléments de l' ordo salutis l’accent est-il tombé dans les trois premiers siècles ? Dans quelle mesure ces siècles a révélé une dérive vers le moralisme et funéraires ? Comment la doctrine de la justification a été comprise ? Comment Augustine concevoir ? Quelle était sa conception de la foi ? Combien de types de grâce il distinguer ? Ne grâce excluait tout mérite dans son système ? Il a fait concevoir de la grâce salvatrice comme amissible ? Quels facteurs ont favorisé le développement de la doctrine des bonnes œuvres ? Comment les scolastiques ne représentaient pas la doctrine de la justification ? Comment l' ordo salutis tarif dans les mains des Antinomiens ? Comment les neonomians rationalistes et piétiste concevoir ? Quels autres que les opérations de sauvegarde sont attribuées à l’Esprit Saint dans l’écriture ? Quelles sont les différentes significations du mot « grâce » dans l’écriture ? Ce qu’il désigne dans le cadre de le œuvre de rédemption ? Quelle est la relation entre les doctrines de libre arbitre et la grâce dans l’histoire ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. III, pp. 551-690; Kuyper, Dict. dogme., De Salute, pp. 15-20; McPherson, Chr. dogme., pp. 367-371; Caftan, Dogmatik, pp. 525-532, 651-661; Warfield, le Plan du Salut; Seeberg, Heilsordnung (Art. dans de Hauck Realencyclopaedie); Pieper, Christl. Dogme. II, p... 473-498; H. Schmid, Doct. THEOL., p. 413-416; K. Dijk, Heilsorde (Art. in Chr. Enc.); Pape, Chr. Theol. II, pp. 348-367; Neil, Grace (Art. dans un dictionnaire Protestant); Easton, Grace (Art. dans le stagiaire . Bible standard Ec.); Smeaton, la Doctrine du Saint-Esprit, pp. 1-99, 291-414; Buchanan, la Doctrine de la Justification, pp. 339-364; Moffatt, Grace dans le Nouveau Testament; Bryan, W. S., une enquête sur la nécessité de la grâce de Dieu.

 

III. Grâce Commune

Dans le cadre des activités générales de l’Esprit Saint l’objet d’une grâce commune réclame également une attention. Il devrait être entendu, toutefois, que théologie réformée ne pas, comme la théologie arminienne, considère la doctrine de la grâce commune dans le cadre de la sotériologie. En même temps, il reconnaît un lien étroit entre les opérations de l’Esprit Saint dans la sphère de la création et dans celui de la rédemption et estime donc qu’ils ne devraient pas entièrement dissociées.

A. ORIGINE DE LA DOCTRINE DE LA GRÂCE COMMUNE.

1. LE PROBLÈME AVEC LESQUELLES ELLE TRANSIGE. L’origine de la doctrine de la grâce commune a été occasionnée par le fait qu’il y a dans le monde, aux côtés du cours de la vie chrétienne avec toutes ses bénédictions, un cours naturel de la vie, qui n’est pas rédemptrice et présente encore des traces de la véritable , le bon et le beau. La question se pose, comment peut-on expliquer la durée de vie relativement ordonnée dans le monde, vu que tout le monde se trouve sous la malédiction du péché ? Comment se fait-il que la terre donne fruit précieux en abondance riche et n’apporte pas de simplement suite épines et des chardons ? Comment pouvons nous en rendre compte que l’homme pécheur encore « conserve quelques connaissance de Dieu, des choses naturelles et de la différence entre le bien et le mal et montre certains considèrent pour la vertu et pour bonne conduite vers l’extérieur » ? Quelle explication peut être donnée des cadeaux spéciaux et talents avec dont est doté l’homme naturel et du développement de la science et l’art de ceux qui sont totalement dépourvues de la vie nouvelle qui est en Jésus-Christ ? Comment peut-on expliquer les aspirations religieuses des hommes partout, même de ceux qui n’est pas entré en contact avec la religion chrétienne ? Comment le régénéré toujours dire la vérité, faites du bien à d’autres et mener une vie vertueuse extérieurement ? Voici quelques-unes des questions auxquelles la doctrine de la grâce commune vise à fournir la réponse.

2. L'ATTITUDE AUGUSTIN À CE PROBLÈME. Augustin n’enseignait pas la doctrine de la grâce commune, bien qu’il n’a pas utilisé le mot « grâce » exclusivement comme une désignation de la grâce salvatrice. Il a parlé d’une grâce qui Adam apprécié avant l’automne et même admis existant de l’homme comme un être vivant, sensible et rationnelle pourrait appeler grace. Mais vis-à-vis de Pélage, qui a souligné la capacité naturelle de l’homme et ne reconnu aucune autre grâce que celui consistant à la dotation en ressources naturelles de l’homme, la Loi et l’Évangile, l’exemple du Christ et l’illumination de la compréhension par une influence gracieuse de Dieu, — il a souligné l’incapacité totale de l’homme et de sa dépendance absolue sur la grâce de Dieu comme interne renouvelant la puissance, qui non seulement illumine l’esprit mais aussi agit directement sur la volonté de l’homme, soit comme d’exploitation, soit comme une grâce qui coopèrent. Il emploie le mot « grâce » presque exclusivement dans ce sens et considère cette grâce comme la condition nécessaire à l’accomplissement de chaque acte bon. Lorsque les pélagiens a souligné les vertus des païens, qui « seulement par le biais de la puissance de la liberté innée » ont souvent étaient Miséricordieux, discret, chaste et tempéré, il a répondu que ces soi-disant vertus ont été péchés, parce qu’ils ont ne pas printemps de la foi. Il admet que les païens puissent accomplir certains actes qui sont en soi bonne et d’un point de vue plus bas même louable, mais encore considère ces actes, comme les actes de personnes régénérés, comme péché, parce qu’ils ne font pas printemps le motif de l’amour de Dieu ou de la foi et ne répondent pas à la bonne fin, la gloire de Dieu. [Cf. Polman, De Predestinatieleer van Augustinus, Thomas van Aquino fr Calvijn, pp. 77 f.; Shedd, histoire de la Doctrine chrétienne , II, pp. 75 f.] Il nie que ces actes sont le fruit de toute bonté naturelle chez l’homme.

3. L’OPINION QUI EST MISE AU POINT AU COURS DU MOYEN-ÂGE. Pendant le moyen âge les Augustins antithèse du péché et la grâce a fait place à celle de la nature et la grâce. Cela est basé sur un autre antithèse qui joua un rôle important dans la théologie catholique, à savoir, que du naturel et le surnaturel. Dans l’état d’intégrité homme était doté de Don surnaturel de la justice original, qui a servi d’une bride de tenir la nature inférieure en échec. À la suite de la chute, homme a perdu ce don surnaturel, mais sa nature réelle est resté ou était mais légèrement touchés. Mis au point un biais pécheresse, mais cela n’interdit pas l’homme de produire beaucoup de ce qui est vrai, bon et beau. Cependant, sans l’infusion de la grâce de Dieu, tout cela ne suffisait pas pour un donner une réclamation à la vie éternelle. Dans le cadre de l’antithèse du naturel et le surnaturel, l’église catholique romaine a développé la distinction entre les vertus morales de l’humilité, l’obéissance, humilité, libéralité, tempérance, chasteté, et preuve de diligence pour ce qui est bon, que les hommes peuvent gain pour eux-mêmes par leur propre travail et à l’aide en temps opportun de la grâce divine; et les vertus théologales de foi, l’espérance et la charité, qui sont infusées dans l’homme par la grâce sanctifiante. Anabaptisme et Socinianisme souffrent de l’antithèse même, mais avec la distinction que l’ancien exalte grace au détriment de la nature, alors que ce dernier exalte la nature au détriment de la grâce.

4. LA POSITION DES RÉFORMATEURS ET DE LA THÉOLOGIE RÉFORMÉE. Sur ce point, comme sur certains autres points de doctrine, Luther n’a pas entièrement échappé le levain du catholicisme. Alors qu’il a fait revenir à l’antithèse augustinienne du péché et la grâce, il fait une distinction frappante entre la sphère terrestre inférieure et la sphère spirituelle plus élevée et soutenu que l’homme déchu est par nature capable de faire beaucoup de bon et louable dans l’angle inférieur ou terrestre sphère, bien qu’il soit tout à fait incapable de faire le tout spirituel bien. Lançant un appel à Augustine, la Confession d’Augsbourg enseigne « que la volonté de l’homme a quelque liberté de travailler à une justice civile et de choisir des choses telles que la raison peut atteindre jusqu'à; mais qu’il n’a aucun pouvoir pour travailler la justice de Dieu. » [Art. XVIII.] à l’Article contient une citation d’Augustin, dans lequel beaucoup de bonnes œuvres se rapportant à la vie présente, qui peut faire l’homme naturel, sont nommées. Zwingli conçu du péché comme la pollution plutôt que la culpabilité et par conséquent considéré la grâce de Dieu, sanctifiant, plutôt que l’amnistie, grâce. Cette influence sanctifiante, qui ont pénétré dans une mesure encore dans le monde païen, les comptes pour le vrai, le bon et le beau dans le monde. Calvin ne concorde pas avec la position de Luther, ni avec celle de Zwingli. Il maintient fermement que l’homme naturel peut se faire pas bon travail quelconque et fortement insisté sur la nature particulière de la grâce salvatrice. Il a développé à côté de la doctrine de la grâce particulière la doctrine de la grâce commune. Il s’agit d’une grâce qui est communal, ne pardonnent ni purifier la nature humaine et n’affecte pas le salut des pécheurs. Il freine la puissance destructrice du péché, maintient dans une certaine mesure l’ordre moral de l’univers, rendant ainsi possible une vie rangée, distribue à divers degrés dons et talents chez les hommes, favorise le développement de la science et art et bénédictions innombrables douches les enfants des hommes. Depuis l’époque de Calvin la doctrine de la grâce commune est généralement reconnue dans la théologie réformée, mais il a également rencontré une opposition occasionnelle. Pendant longtemps, cependant, peu a été fait pour développer la doctrine. C’était selon toute probabilité due au fait que la montée et la prévalence du rationalisme rendent nécessaire mettent tous l’accent sur la grâce spéciale. Jusqu’au présent Kuyper et Bavinck a fait plus que tout autre pour le développement de la doctrine de la grâce commune.

B. NOM ET CONCEPT DE LA GRÂCE COMMUNE.

1. LE NOM. Le nom « commun grace » comme une désignation de la grâce en cours d’examen ne peut pas dire devoir son origine à Calvin. Dr H. Kuiper dans son ouvrage sur Calvin sur Common Grace a dit qu’il a trouvé seulement quatre passages dans les œuvres de Calvin en servant l’adjectif « commun » avec le nom « grace » et deux d'entre eux que le réformateur parle de la grâce salvatrice. [Cf. p. 178.] Au plus tard la théologie réformée, cependant, le nom gratia communis est entré en usage général pour exprimer l’idée que cette grâce s’étend à tous les hommes, contrairement à la gratia particularis qui est limité à une partie de l’humanité, à savoir aux élus. En cours de temps, il est devenu évident que le terme « communis » admis des interprétations diverses. En théologie néerlandaise, il est souvent considéré comme équivalent à « général », et ainsi il est devenu habituel de parler de « grâce générale » (algemeene genade) aux Pays-Bas. Strictement parlant, cependant, le terme communis, telle qu’appliquée à la grâce, tout en laissant entendre qu’il est en général dans un certain sens de la parole, insiste sur le fait que cette grâce est communale, c'est-à-dire possédé en commun par toutes les créatures, par tous les hommes ou par ceux qui vivent sous l’administration de l’Évangile. Ainsi le Dr H. Kuiper classifie la grâce commune dont Calvin parle sous trois chefs, à savoir: (1) Universal Common grâce, une grâce qui s’étend à toutes les créatures; (2) général commun Grace, c’est une grâce qui s’applique à l’humanité en général et à tous les membres de la race humaine; et (3) Alliance commune grâce, une grâce qui est commune à tous ceux qui vivent dans la sphère de l'Alliance, qu’elles appartiennent aux élus ou non. Il est tout à fait évident que théologiens réformés également subsumées sous le terme « commune grace » une grâce qui n’est pas générale, à savoir, les privilèges externes de ceux qui vivent sous l’administration de l’Évangile, dont la vocation universelle externe. Dans le même temps, ils soulignent que cette grâce, à la différence générale commune disgrâce, appartienne à l’économie de la rédemption. [Cf. faire, Dieu geleerdheit I, p. 441; Brakel, Redelijke Godsdienst I, pp. 729 f.; Hodge, Théol. syst. II, p. 654; A. A. Hodge, contours de théol., p. 449; Shedd, calvinisme pur et mixte, pp. 98 f.; Vos, Geref. Dogme. IV, f. p. 13] Enfin, il est à noter que le terme gratia communis sont susceptibles d’être et a effectivement reçu, non seulement un quantitatif, mais aussi une interprétation qualitative. Il peut dénoter une grâce qui est commune au sens de l’ordinaire. L’ordinaire, à la différence de la spéciale, opérations du Saint-Esprit sont appelées communes. Ses opérations naturelles ou habituelles sont en contraste avec celles qui sont inhabituels et surnaturel. C’est le sens du terme « commun » dans la Confession de Westminster X. 4; et le Westminster plus grand catéchisme, Q. 60. W. L. Alexander déclare la commune grâce apprécié par ceux qui vivent dans l’Évangile: « la grâce donnée ainsi est fréquent, pas dans le sens d’être donné à tous les hommes en commun, mais dans le sens de produire des effets qui sont ordinaires et peuvent n’apportent pas une réelle économie ef ficacy. » [Système de théol. Bib. II, p. 352.] Ainsi comprise, la grâce de Dieu peut être commune sans être général ou universel.

2. LE CONCEPT. La distinction entre grace commun et spéciaux n’est pas celui qui s’applique à la grâce comme un attribut de Dieu. Il n’y a pas deux sortes de grâce à Dieu, mais un seul. C’est cette perfection de Dieu en vertu de laquelle il montre imméritée et confisqués même favorables à l’homme. Cette une grâce de Dieu se manifeste, toutefois, dans les opérations et les différents cadeaux. La manifestation la plus riche de celui-ci est vu dans ces opérations gracieuses de Dieu qui visent à et causer la suppression de la culpabilité, la pollution et la punition du péché et l’ultime Salut des pécheurs. Mais tout cela est le œuvre de couronnement de la grâce de Dieu, il n’est pas sa seule manifestation. Il apparaît également dans les bénédictions physiques dont douches de Dieu à l’homme dans la vie présente, malgré le fait que l’homme a perdu eux et se trouve sous la peine de mort. On le voit dans tout ce que Dieu fait à restreindre l’influence dévastatrice et le développement du péché dans le monde et afin de maintenir et d’enrichir et de développer la vie naturelle de l’humanité en général et des personnes qui constituent la race humaine. Il convient de souligner que ces bienfaits naturels sont des manifestations de la grâce de Dieu à l’homme en général. Certains préfèrent dire qu’ils sont des expressions de sa bonté, bienveillance, bonté, miséricorde, ou patience, mais semblent oublier qu’il ne pouvait être bon, aimable ou bienveillant pour le pécheur à moins qu’il était premier de toute gracieuse. Il faut avoir à l’esprit, cependant, que le terme gratia communis, quoique généralement désignant une grâce qui est commun à l’ensemble de l’humanité, est aussi utilisé pour désigner une grâce qui est commune aux élus et non élus-qui vivent sous l’Évangile , tels que l’appel de l’Évangile externe qui vient aux deux et cette illumination intérieure et les dons de l’esprit dont nous lisons dans Hébreux 6:4-6. Il est entendu, toutefois, que ces privilèges peuvent être appelées commun grâce seulement dans le sens qu’ils sont appréciés par les élus et les réprouvés sans discernement, et qu’elles ne constituent pas spécial, au sens de l’épargne, grâce. En distinguer les manifestations plus générales de la commune grâce ils, alors qu’elles ne constituent pas une partie de la grâce de Dieu qui conduit nécessairement à Salut, sont néanmoins liés à la procédure sotériologique. Ils sont parfois appelés « spécial » grace, mais alors « spécial » n’est pas équivalent à « sauver ». En général on peut dire que, quand on parle de « commune grace », nous avons à l’esprit, soit (a) les opérations générales de l’Esprit Saint par lequel il, sans renouveler le cœur, exerce une influence morale sur l’homme par le biais de son général ou la révélation spéciale, que le péché est sobre, ordre est maintenu dans la vie sociale, et la justice civile est encouragée; ou, (b) ces bénédictions générales, comme la pluie et le soleil, nourriture et boisson, vêtements et abris, que Dieu donne à tous les hommes indistinctement où et dans quelle mesure il semble bon pour lui.

Convient de noter les points suivants de distinguer de spécial (dans le sens de l’épargne) et de la commune grâce:

a. l’étendue de la grâce spéciale est déterminé par le décret d’élection. Cette grâce est limitée aux élus, alors que grace commune n’est pas limité, mais est accordée à tous les hommes sans distinction. Le décret d’élection et de réprobation n’a aucune détermination influence sur elle. On ne peut même dire que les élus reçoivent une plus grande mesure de grâce commune que le non élu. C’est une question de notoriété publique et a été fréquemment observée, que les méchants souvent possèdent une plus grande mesure de la commune grâce et ont une plus grande part dans les bienfaits naturels de la vie que les pieux.

b. grâce spéciale supprime la culpabilité et le châtiment du péché, change la vie intérieure de l’homme et lui nettoie progressivement de la pollution du péché par l’opération surnaturelle du Saint-Esprit. Ses travaux les questions invariablement dans le salut du pécheur. Grâce commune, d’autre part, supprime jamais la culpabilité du péché, ne renouvelle pas la nature humaine, mais seulement a un effet restrictif sur l’influence corruptrice de péché et dans une certaine mesure atténue ses résultats. Il n’affecte pas le salut du pécheur, mais dans certaines de ses formes (externe illumination morale et d’appel) il peut être étroitement liée à l’économie de la rédemption et ont un aspect sotériologique.

c. grâce spéciale est irrésistible. Cela ne signifie pas que c’est une force déterministe qui oblige l’homme à croire contre sa volonté, mais que, en changeant le coeur rend homme tout à fait disposé à accepter Jésus Christ pour le salut et à céder l’obéissance à la volonté de Dieu. Grace commune est résistible et comme question de fait est toujours plus ou moins résisté. Paul montre dans Romains 1 et 2 que les païens, ni les Juifs vivaient à la lumière qu’ils avaient. Shedd, dit: « en commune grâce l’appel à croire et à se repentir est invariablement inefficace, parce que l’homme est opposé à la foi et le repentir et dans la servitude à pécher. » [Lecalvinisme pur et mixte, p. 99.] Il est inefficace pour le Salut parce qu’il laisse le cœur inchangé.

d. grâce spéciale fonctionne d’une manière spirituelle et ré-créative, renouveler la nature même de l’homme et ce qui rend l’homme capable et désireuse d’accepter l’offre du Salut en Jésus Christ et à produire des fruits spirituels. Commune grâce, fonctionne au contraire, que d’une manière rationnelle et morale en faisant l’homme d’une manière générale réceptif pour la vérité, en présentant des motifs à la volonté et en faisant appel aux désirs naturels de l’homme. Cela revient à dire que la grâce (épargne) spéciale est immédiate et surnaturelle, puisqu’il est travaillé directement dans l’âme par l’énergie immédiate de l’Esprit-Saint, tandis que la commune grace est médiate, puisque c’est le produit de l’opération médiate du Saint-Esprit par le biais de la vérité de la révélation générale ou spéciale et par la persuasion morale.

Cette conception de la commune grâce doit être soigneusement distinguée de celui des arminiens, qui considèrent grâce commune comme un lien dans l' ordo salutis et attribuent à elle importance de sauver . Ils tiennent que, en vertu de la commune grâce de Dieu, l’homme régénéré est parfaitement capable d’effectuer une certaine spirituel bien, se tourner vers Dieu dans la foi et le repentir et donc à accepter Jésus pour le salut. Ils vont même plus loin que cela et maintiennent cette commune grâce par l’illumination de l’esprit et l’influence persuasive de la vérité incite le pécheur d’accepter Jésus Christ et de se tourner vers Dieu dans la foi et le repentir et permettra certainement d’atteindre cette fin , à moins que le pécheur résiste obstinément à l’opération du Saint-Esprit. Les Canons de Dordrecht avoir cela à l’esprit où ils rejettent l’erreur de ceux qui enseignent « que l’homme corrompu et naturel peut utiliser si bien la grâce commune (par lequel ils comprennent la lumière de la nature), ou encore les dons lui a laissé après la chute qu’il peut peu à peu gagner par leur bon usage une plus grande, qui est l’évangélique ou vivifiante et Salut lui-même. » [III-IV. Rejet d’erreurs 5.]

C. LA GRÂCE COMMUNE ET L'ŒUVRE RÉDEMPTRICE DU CHRIST.

La question se pose naturellement, si la manifestation de la commune grâce est, en quelque sorte, liée à le œuvre rédemptrice du Christ. Pour autant que nous le savons, docteur Kuyper postulent pas un tel lien. Selon lui, Christ comme le médiateur de la création, la lumière qui éclaire tout homme venant dans le monde, est la source de courant grâce. Cela signifie que les bénédictions de la commune grâce découlent des travaux de création. Mais cela ne suffit pour répondre à la question, comment il doit être expliqué qu’un Dieu Saint et just s’étend grâce à et accorde favorise sur, pécheurs qui, ayant renoncé à tout, même quand ils n’ont aucune part dans la justice de Christ et prouvent enfin impénitents. La question est exactement, comment Dieu peut continuer d’accorder ces bénédictions de création sur les hommes qui subissent la peine de mort et de condamnation ? Pour autant que les élus soient concernés par la Croix du Christ, mais qu’en est-il des réprouvés est répondre à cette question ? On peut peut-être dire qu’il n’est pas nécessaire de supposer une base judiciaire spécifique pour l’effusion de grâce commune sur l’homme, compte tenu du fait (a) qu’elle ne supprime pas la culpabilité du péché et par conséquent, ne porte pas de pardon avec elle; et (b) qu’elle ne lève pas la décision de condamnation, mais qu’il retarde seulement l’exécution. Peut-être le divin bon plaisir de surseoir à la révélation de sa colère et de supporter « avec beaucoup de patience bateaux de colère équipé jusqu'à la destruction, » offre une explication suffisante pour les bénédictions de grâce commune.

Théologiens réformés hésitent généralement à dire que Christ par son sang expiatoire méritait ces bénédictions pour le fort et le refus. Dans le même temps, ils pensent qu’importants bienfaits naturels reviennent à la race humaine entière de la mort du Christ et que ces avantages les incrédules, le fort et les réprouvés partage également. Dans chaque transaction de Pacte enregistrée dans les écritures, il semble que l’Alliance de grâce comporte non seulement spirituel mais aussi de bénédictions matérielles et ces bénédictions matérielles sont généralement de nature qu’ils sont naturellement partagés également par les incrédules. Dit Cunningham: « beaucoup de bénédictions coulent à l’humanité dans son ensemble depuis la mort du Christ, indirectement et accessoirement, par suite de la relation dans laquelle les hommes, considérés collectivement, stand les uns aux autres. » [Hist. théol. II, p. 333.] Et c’est, mais naturelle que cela devrait être le cas. Si Christ était de sauver une race élue, progressivement appelée hors du monde de l’humanité au cours des siècles, il est devenu nécessaire pour Dieu d’exercer l’abstention, pour vérifier le cours du mal, de promouvoir le développement des pouvoirs naturels de l’homme, à garder vivante au sein de la cœur des hommes un désir pour la justice civile, pour la moralité externe et le bon ordre dans la société et de prendre une douche bénédictions incalculables sur l’humanité en général. M. Hodge l’exprime ainsi: « il est très clair que tout plan visant à assurer le salut d’une portion d’élus d’une course sont propagées par génération et vivant en liaison, comme c’est le cas avec l’humanité, ne peut pas garantir sa fin sans affecter grandement, pour le meilleur ou pour pire, le caractère et le destin de tout le reste de la course ne pas élu. » Il cite le Dr Candlish à l’effet que « toute l’histoire de l’humanité, de l’apostasie de la chose jugée, est une dispense de l’abstention en ce qui concerne les réprouvés, dans laquelle de nombreux bénédictions, physique et moral, affectant leurs personnages et destins s’accumulent pour toujours, même pour les païens et beaucoup d’autres des citoyens instruits et raffiné des communautés chrétiennes. Ceux-ci viennent à eux par le biais de la médiation du Christ et vient à eux maintenant, doivent ont été conçus pour eux dès le début. » [La jour des Expiations, f. p. 358] Ces bénédictions générales de l’humanité, découlant indirectement le œuvre rédemptrice du Christ, étaient non seulement prévues par Dieu, mais conçues par lui comme bénédiction pour toutes les parties concernées. Il est parfaitement vrai, bien sûr, que le dessein de Dieu dans le œuvre du Christ se rapporte principalement et directement, pas au bien-être temporel des hommes en général, mais pour la rédemption des élus; mais secondairement et indirectement il inclus également la bénédiction naturelle décernée à l’humanité sans distinction. Tout ce que l’homme naturel reçoit autre que malédiction et la mort est un résultat indirect de le œuvre rédemptrice du Christ. [Cf Turretin, opéra, Locus XIV, Q. XIV, paragraphe XI; Witsius, De Verbonden, B. II, Kap. 9, art. 4; Cunningham, Hist. théol. II, p. 332; Symington, l’expiation et l’Intercession, p. 255; Bavinck, Geref. Dogme. III, p. 535; Vos, All. dogme. III, p. 150.]

D. LA RELATION ENTRE LA GRÂCE EXTRAORDINAIRE ET LA GRÂCE COMMUNE.

Plusieurs questions peuvent être soulevées à le concernant cette relation, dont voici quelques-uns des plus importants.

1. LA GRÂCE EXTRAORDINAIRE ET LA GRÂCE COMMUNE DIFFÈRENT ESSENTIELLEMENT OU UNIQUEMENT EN DEGRÉ ? Arminiens reconnaissent aux côtés de grâce (commune) suffisante la grâce de l’obéissance évangélique, mais aver que ces deux diffèrent seulement en degré et pas pour l’essentiel. Ils sont à la fois sotériologique en ce sens qu’elles font partie de le œuvre salvatrice de Dieu. Le premier rend possible pour l’homme de se repentir et de croire, alors que ce dernier, en collaboration avec la volonté, provoque l’homme de se repentir et de croire. Les deux on peuvent résister, alors que même ce dernier n’est pas nécessairement valable pour le salut. La théologie réformée, cependant, insiste sur la différence essentielle entre grace commun et speciaux. Grâce spéciale est surnaturelle et spirituelle: il supprime la culpabilité et la pollution du péché et soulève la sentence de condamnation. Commune grâce, en revanche, est naturelle. et tandis que certains de ses formes peuvent être étroitement liée à la grâce salvatrice, il ne supprime pas le péché ni set homme libre, mais simplement retient les manifestations sortants du péché et favorise la moralité vers l’extérieur et de décence, de bon ordre dans la société et de la droiture civique, la développement de la science et art et ainsi de suite. Cela fonctionne uniquement dans le naturel et non dans la sphère spirituelle. Il doit être maintenu dès lors que, tandis que les deux sont étroitement liés dans la vie présente, ils sont encore essentiellement différents et ne diffèrent pas simplement en degré. Aucun montant de commune grâce ne peut jamais, alimentez la vie nouvelle qui est en Jésus Christ, le pécheur. Cependant, grace commune se révèle parfois sous des formes qui guère se distingués par l’homme depuis les manifestations de la grâce spéciale comme, par exemple, dans le cas de foi temporelle. Dr. Shedd ne semble pas supporter la différence essentielle entre les deux à l’esprit, surtout quand il dit: « le non élu reçoit commune grâce et grace commune serait incline la volonté humaine si il n’est pas défait par la volonté humaine. Si le pécheur ne fasse aucune opposition hostile, grâce commune serait équivalent à saving grace. » Dans une note, il ajoute: « pour dire que la commune grace, si ne pas résisté par le pécheur, serait équivalent à régénérant grâce, n’est pas le même quant à dire que la commune grâce, si assisté par le pécheur, équivaudrait à régénérer grace. Dans un premier temps, Dieu serait le seul auteur de régénération; dans le second, qu'il ne serait pas ». [Dogme. Théol. II, p. 483.] Cela rappelle celle de la théologie luthérienne, mais sens de l’auteur n’est pas tout à fait clair, d’ailleurs il attribue également la non-résistance du pécheur à l’opération du Saint-Esprit. [Lecalvinisme pur et mixte, p. 101.]

2. LEQUEL DES DEUX EST PRIMAIRE, LA GRÂCE COMMUNE OU LA GRÂCE SPÉCIALE ? À cette question, on doit y répondre que dans un sens temporel, ni l’un d'entre eux peut être considéré comme avant l’autre. Le troisième chapitre de la Genèse, il ressort clairement que les deux d'entre eux vont en marche immédiatement après la chute. Priorité logique doit être attribuée à une grâce spéciale, cependant, parce que grace commune faite inféodé à cela dans son fonctionnement dans le monde.

3. EST-CE QUE LA GRÂCE COMMUNE EST INDÉPENDANTE BUT OU PAS ? Il ne fait aucun doute que grace commune prend son but dans le œuvre rédemptrice de Jésus-Christ; elle est soumise à l’exécution du plan de Dieu dans la vie des élus et dans le développement de l’église. Mais en plus de cela il sert également un objet indépendant, à savoir, de mettre en lumière et d’exploiter le service de l’homme les forces cachées de la nature et de développer les compétences et les talents qui sont latents dans la race humaine, afin que l’homme peut toujours plus exerc ISE domination sur la création plus bas, à la gloire de Dieu le créateur. [Cf. Kuyper, Gemeene Gratie II, pp. 622,628,633; Bavinck, De Algemeene Genade, p. 45.]

4. LA GRÂCE SPÉCIALE ET LA GRÂCE COMMUNE ONT-ELLES CHACUNE UNE SPHÈRE PARTICULIÈRE ENTIÈREMENT DISTINCTE DE L'UNE ET L’AUTRE ? On peut dire que dans un certain sens spécial grace a sa propre sphère particulière dans l’église organisée, si ce n’est pas nécessairement limité à cela, et grâce commune est également applicable à l’église pour qu’il soit accordé à tous les hommes. Tous deux fonctionnent dans le monde, mais alors que la commune grâce au sens plus usuel du terme se rapporte aux choses de la nature et la vie présente, grâce spéciale porte sur les choses de la nouvelle-création. Ils ne peuvent s’influencer réciproquement. Grace commune enrichit l’église avec ses bénédictions; et l’église déclenche les fruits de la commune grâce à un niveau supérieur en plaçant sous l’influence de la vie de régénérer.

E. LE MOYEN PAR LEQUEL LA GRÂCE COMMUNE FONCTIONNE.

Plusieurs moyens se distingués par quelle grâce commune effets ses travaux. Calvin suggère certains d'entre eux quand il, lorsqu’il parle de l’influence restrictive de la commune grâce dit: « par conséquent, combien qu’ils soient hommes peuvent dissimuler leur impureté, certains sont retenus seulement par honte, d’autres par la crainte des lois, éclatent dans toutes sortes de méchanceté. Certains aspirent à une vie honnête, en jugeant plus favorable à leurs intérêts, tandis que d’autres sont soulevées au-dessus du lot vulgaire, que, par la dignité de leur poste, ils peuvent conserver inférieurs à leur devoir. Ainsi Dieu par sa providence, freine la perversité de la nature, empêchant de rupture suite à l’action, mais sans rendant intérieurement pur. » [Inst. II. 3,3.] ce qui suit est quelques-uns des moyens plus importants à travers lequel grace commune effets ses travaux.

1. LA LUMIÈRE DE LA RÉVÉLATION DE DIEU. C’est fondamental pour sans elle de tous les autres moyens serait impossible, et même si possible, pourrait ne pas fonctionner correctement. Nous avons à l’esprit ici principalement à la lumière de la révélation de Dieu qui brille dans la nature et qui éclaire tout homme venant dans le monde. Lui-même est le fruit de la grâce commune, il devient à son tour un moyen pour manifester davantage, car il sert à guider la conscience de l’homme naturel. Paul parle des Gentils qui font, par nature, les choses de la Loi, « qu’ils montrent la parole de la loi écrite dans leurs cœurs, leur conscience en témoignant avec celle-ci et leurs pensées celui avec un autre accusant ou bien excuser leur. » ROM. 02:14, 15. Calvin en commentant ce passage affirme que ces Gentils « prouvent qu’il existe imprimé sur leur cœur une discrimination et le jugement par lequel ils faire la distinction entre ce qui est juste et l’injuste, entre ce qui est honnête et malhonnête ». [Comm. sur romains dans loco.] En plus de cela, cependant, on peut dire que grâce commune dans un sens plus restreint opère également à la lumière de la révélation spéciale de Dieu, qui n’est pas elle-même le fruit de la commune, mais de grâce spéciale.

2. LES POUVOIRS PUBLIQUES. Ces trop on peut dire qu’ils sont à la fois le fruit et les moyens de grâce commune. Selon Romains 13 gouvernements sont ordonnés de Dieu, pour maintenir le bon ordre dans la société. Pour leur résister est de résister à l’ordonnance de Dieu. Le souverain, dit Paul, « c’est un ministre de Dieu pour toi pour de bon ». Romains 13:4. Il trouve un appui dans la conscience de l’homme (verset 5) et pour le reste « reverdiront pas l’épée en vain. » Sur ce point la Confessio Belgica a dit: « nous croyons que notre Dieu miséricordieux, à cause de la dépravation de l’humanité, a nommé rois, princes et magistrats, veut que le monde devrait être régi par certaines lois et politiques; à la fin que le libertinage des hommes pourrait être retenue, et toutes choses à bord parmi eux avec le bon ordre et la décence ». [Art. XXXVI.]

3. L’OPINION PUBLIQUE. La lumière naturelle qui brille dans le cœur des hommes, surtout quand a renforcé l’influence de la révélation spéciale de Dieu, conduit à la formation d’une opinion publique qui est externe en conformité avec la Loi de Dieu; et ceci a une influence considérable sur la conduite des hommes qui sont très sensibles au jugement de l’opinion publique. Naturellement, l’opinion publique sera un moyen de commune grâce uniquement lorsqu’il est formé sous l’influence de la révélation de Dieu. Si elle n’est pas contrôlée par la conscience, agissant en harmonie avec la lumière de la nature, ou par la parole de Dieu, il devient une puissante influence pour le mal.

4. LES PUNITIONS DIVINES ET LES RÉCOMPENSES. Les arrangements providentielles de Dieu, par lequel il visite l’iniquité des hommes sur eux dans cette vie et les actes de récompenses qui sont vers l’extérieur en conformité avec la loi divine, servent un objectif important dans la lutte contre le mal qui est dans le monde. punitions ont un effet dissuasif, et les récompenses servent de mesures incitatives. Par ces moyens, quel que soit il y a de la bonté morale dans le monde est fortement encouragé. Beaucoup mal de shun et cherchent ce qui est bon, non pas parce qu’ils craignent le Seigneur, mais parce qu’ils sentent que bon apporte sa propre récompense et meilleur sert leurs intérêts.

F. LES FRUITS DE LA GRÂCE COMMUNE.

Dans le précédent qu’il était déjà a laissé entendre que ce qui reste pour nous la lumière de la nature, est toujours en vigueur seulement en vertu de la commune grâce de Dieu. Il est un des fruits plus importants de la commune grâce, sans laquelle quelques-uns des autres ne serait pas concevable. Les fruits suivants peuvent être mentionnés ici:

1. L’EXÉCUTION DE LA SENTENCE EST SUSPENDUE. Dieu prononça la peine de mort sur le pécheur. En parlant de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, dit-il. « Le jour où tu en mangeras tu mourras. » L’homme n’a mangé de celui-ci, et la phrase entra dans l’exécution, dans une certaine mesure, mais clairement n’est pas entièrement exécutée à la fois. C’est en raison de la commune grâce que Dieu n’a pas exécuté à la fois complètement la peine de mort sur le pécheur et ne le fait pas maintenant, mais entretient et prolonge la vie naturelle de l’homme et lui donne le temps de se repentir. Il ne pas à la fois coupe court la vie du pécheur, mais lui offre l’occasion de se repentir, ainsi enlever toute excuse et justifiant la prochaine manifestation de sa colère contre ceux qui persistent dans le péché jusqu'à la fin. Que Dieu agit sur ce principe témoigne abondamment ces passages comme Ésaïe 48:9; Jérémie 07:23-25; Luc 13:6-9; Romains 2:4; 09:22; II Peter 3:9.

2. LE DISPOSITIF DE RETENUE DU PÉCHÉ. Par le biais de l’opération de la commune grâce sin est retenu dans la vie des individus et dans la société. L’élément de la corruption qui entre dans la vie de la race humaine n’est pas autorisé, pour l’instant, d’accomplir son oeuvre alors en pleine désagrégation. Calvin dit: « mais nous devons tenir compte que, malgré la corruption de notre nature, il y a peu de place pour la grâce divine, cette grâce que, sans purification de celle-ci, il peut poser sous contrainte interne. Car, l’Éternel laissa tous les esprits lâches à wanton dans ses convoitises, sans doute il n’est pas un homme qui ne serait pas montrer que sa nature est capable de tous les crimes dont Paul frais il, (Rom. 3 contre Psaume 14:3 ff). » [Inst. II. 3,3.] Cette retenue peut être externe ou interne ou les deux, mais ne change ne pas le cœur. Il y a des passages des écritures qui parlent d’un effort de l’esprit de Dieu avec les hommes qui ne conduit pas à la repentance, Genèse 6:3; Ésaïe 63:10; Actes à 07:51; des opérations de l’esprit qui sont finalement retiré, j’ai Samuel 16:14; Hébreux 6:4-6; et du fait que, dans certains cas Dieu finalement abandonne des hommes pour les convoitises de leurs cœurs, PS. 81:12; ROM. 01:24, 26, 28. Outre les passages précédents, il y a certains qui témoignent clairement du fait que Dieu retient péché de diverses manières, par exemple, Genèse 20:6; 31: 7; Emploi à 01:12; 2:6; II Rois 19:27, 28; Romains 13:1-4.

3. LA PRÉSERVATION DE CERTAINS SENS DE VÉRITÉ, DE MORALE ET DE RELIGION. C’est en raison de la commune grace que homme encore conserve un sens à la valeur true, le bon et le beau, souvent apprécie ces de manière assez surprenante et révèle un désir de vérité, de la morale externe et même pour certaines formes de religion. Paul parle des Gentils qui « montrent le œuvre de la loi écrite dans leurs cœurs, leur conscience en témoignant avec celle-ci et leurs pensées celui avec un autre accusant ou bien excuser, » Rom. 02:15 et dit même de ceux qui ont donné libre conduit à leur méchant vit qui ils connaissaient la vérité de Dieu, bien qu’ils entravé la vérité dans l’injustice et il échangé pour un mensonge, Rom. 01:18-25. Pour les Athéniens, qui étaient dépourvues de la crainte de Dieu, dit-il, « vous les hommes d’Athènes, en toutes choses, je m’aperçois que vous êtes très religieux, » actes 17:22. Les Canons de Dordrecht s’expriment comme suit sur ce point: « il reste, cependant, chez l’homme depuis l’automne, les lueurs de lumière naturelle, par laquelle il conserve certaines connaissance de Dieu, des choses naturelles et de la différence entre le bien et le mal et montre certaines considérer pour la vertu et pour bonne conduite vers l’extérieur. Mais jusqu'à présent, est cette lumière de la nature d’être suffisante pour lui permettre une connaissance salvatrice de Dieu et la vraie conversion qu’il est incapable de l’utiliser correctement même dans les choses naturelles et civiles. Nay, de plus, cette lumière, tel qu’il est, homme de diverses manières rend totalement pollué et entrave dans l’injustice, en faisant à laquelle il devient inexcusable devant Dieu. » III-IV. 4.

4. LA RÉALISATION DE LA JUSTICE BIENFAISANTE ET CIVILE VERS L’EXTÉRIEUR. Grace commune permet à l’homme effectuer ce qu’on appelle généralement justitia civilis, autrement dit, ce qui est bon dans les affaires civiles ou naturels, à la différence de celui qui est juste en matière religieuse, naturel bonnes œuvres notamment dans les relations sociales, œuvres qui sont vers l’extérieur et objectivement en harmonie avec la Loi de Dieu, bien que totalement dépourvu de toute qualité spirituelle. Ceci est en harmonie avec notre Confession réformée. Art. XIV de la Confessio Belgica parle dans son titre de l’inaptitude de l’homme pour effectuer ce qui est vraiment bon, dit que l’homme retenu seulement petits restes de ses excellents cadeaux, afin de le rendre sans excuse et rejette seulement l’erreur pélagienne qui l’homme peut de s’effectuer bien spirituel ou d’épargne. Les Canons de Dort III-IV, Art. 3, prendre la parole dans la même veine: « Par conséquent, tous les hommes sont conçus dans le péché et sont par nature des enfants de colère, incapable de sauver bon » etc. On peut objecter que le Catéchisme de Heidelberg parle en termes absolus, quand il dit à la Question 8, que nous sommes incapables de le faire tout bon, sauf si nous sommes régénérés. Il est évident depuis le commentaire de Ursinus lui-même qu’il ne nierais pas que l’homme peut faire le civile bien, mais seulement qu’il peut effectuer des bonnes œuvres tels que sont définis en Question 91 du catéchisme. Théologiens réformés maintiennent généralement que le régénéré peut effectuer bon naturel, civil de bon et extérieurement bon religieux. [Cf. Calvin, inst. III. 14,2; Faire de Van, Godgeleerdheid, BK. IV. 4,11,12; Voetius, Catechisatie I, p. 168-172; Ursinus, comm. sur le catéchisme, le jour du Seigneur II, p. 77; Charnock, sur les attributs II, pp. 303 304; Brakel, Redelijke Godsdienst I, p. 338.] Ils appellent l’attention cependant, le fait que, alors que ces travaux de la régénéré sont bonne d’un point de vue matériel, comme les œuvres que Dieu commandée, elles ne peuvent être appelées bonnes d’un point de vue formel, puisqu’ils ne font pas printemps le motif de droite et ne visent pas à le but de droit. La Bible parle à plusieurs reprises de œuvres de la régénéré comme bon et droit, II Rois 10:29, 30; 12:2 (COMP. II Chroniques 24:17-25); 14:3, 14-16,20,27 (COMP. II Chron. 25,2); Luc 06:33; ROM. 02:14, 15.

5. BEAUCOUP DE BÉNÉDICTIONS PHYSIQUES. À la commune grâce davantage l’homme doit toutes les bénédictions physiques qu’il reçoit dans la vie présente. Bien qu’il a perdu toutes les bénédictions de Dieu, il reçoit jetons abondantes de la bonté de Dieu au jour le jour. Il y a plusieurs passages de l’Ecriture, d'où il ressort abondamment que Dieu douches bon nombre de ses bons cadeaux sur tous les hommes sans distinction, qui est, sur le bon et le mauvais, les élus et les réprouvés, tels que: 17:20 (COMP. vs 18); 39:5; PS. 145:9, 15, 16; Matthieu 05:44, 45; Luc 06:35, 36; Actes 14:16, 17; J’ai Timothée 04:10. Et ces dons sont conçus comme des bénédictions, non seulement pour le bien, mais aussi pour le mal. À la lumière de l’écriture, la position est intenable que Dieu bénit jamais les réprouvés, bien qu’il leur confère beaucoup de cadeaux qui est bonnes en elles-mêmes. Dans 39:5 de la Genèse, nous lisons que « Jéhovah bénit maison de l’Egypte pour l’amour de Joseph; « et la bénédiction de l’Éternel fut sur tout ce qu’il avait dans la maison et sur le terrain ». Et dans Matthieu 05:44, 45, Jésus exhorte ses disciples en ces termes, « bénissez ceux qui vous maudissent... que vous soyez fils de votre père qui est aux cieux. » Cela peut signifier seulement une chose, à savoir, que Dieu bénit aussi ceux qui maudit soit-il. Cf. aussi Luc 06:35, 36; Romains 2:4.

G. OBJECTIONS À LA DOCTRINE RÉFORMÉE DE COMMON GRACE.

Plusieurs objections ont été et sont même désormais levées par certains contre la doctrine de la grâce commune telle qu’elle est présentée dans ce qui précède. Voici quelques-uns des plus importants d'entre eux:

1. arminiens ne sont pas satisfaits, parce qu’elle ne va pas assez loin. Ils considèrent commun grace comme faisant partie intégrante du processus d’enregistrement. C’est cette grâce suffisante qui permet à l’homme de se repentir et de croire en Jésus Christ pour le Salut, et qui, dans le but de Dieu est destiné à amener les hommes à la foi et le repentir, mais il peut être frustré par les hommes. Une grâce qui ne vise donc pas et ne pas réellement ministre pour le salut des hommes est une contradiction dans les termes. Donc pape, un arminienne Wesleyan, parle de la commune grâce dans le système calviniste comme « être universel et pas particulièrement; être nécessairement, ou au moins en fait, inopérante pour le salut dans le dessein de Dieu » et appelle cela une « influence perdus ». Il dit encore: « La grâce n’est aucun plus la grâce, si elle ne comprend pas l’intention salvifique du donneur ». [Théologie chrétienne II, 387 p. f.] Mais, sûrement, la Bible ne limite pas si l’utilisation du terme « grâce. » Ces passages comme Genèse 6:8; 19:19; Exode 33: 12, 16; Nombres 32: 5; Luc 02:40, et beaucoup d’autres ne s’appliquent pas à ce que nous appelons « saving grace », ni à ce que l’arminienne appelle la « grâce suffisante ».

2. on prétend parfois que la doctrine réformée de la commune grâce implique la doctrine de l’expiation universelle et conduit donc dans le camp arminiens. Mais il n’y a aucun motif valable pour cette affirmation. Il dit ni ne sous-entend qu’il y a le dessein de Dieu pour sauver tous les hommes par le sang expiatoire de Jésus-Christ. L’opposition repose en particulier sur la proclamation universelle de l’Evangile, qui est considéré comme possible que sur la base d’une expiation universelle. Il a été déjà suggéré par les arminiens eux-mêmes lors du Synode de Dordrecht, lorsqu’ils ont affirmé que les réformés avec leur doctrine de l’expiation particulière ne pourraient pas prêcher l’Évangile à tous les hommes sans distinction. Mais le Synode de Dordrecht n’a pas reconnu la contradiction implicite. Les chanoines enseignent l’expiation particulière,[II. 8.] et nécessitent également la Déclaration universelle de l’Évangile. [II. 5 et III. 8.] et c’est en parfaite harmonie avec l’écriture, ce qui explique d’une part, que le Christ expié seulement pour les élus, John 10:15; Actes 20:28; ROM. 08:32, 33; Voir aussi Jean 17:9; et d’autre part, que l’Evangile appelle doit être étendue à tous les hommes indistinctement, Matthieu 22:2-14; 28: 19; Marc 16:15, 16. Si on peut objecter que nous ne pouvons pas harmoniser pleinement l’offre traumatiques et sincère du Salut sur la condition de la foi et le repentir avec la doctrine de l’expiation particulière, cela peut être admise, mais avec la compréhension distincts qui la vérité d’une doctrine ne dépend pas de notre capacité à harmoniser avec chaque autre doctrine de l’écriture.

3. une autre objection à la doctrine de grâce commune est qu’elle suppose une certaine disposition favorable en Dieu même de réprouver les pécheurs, alors que nous n’avons pas le droit d’assumer une telle disposition en Dieu. Cette sténose prend son point de départ dans le Conseil éternel de Dieu, dans son élection et la réprobation. Le long de la ligne de son élection, Dieu révèle son amour, la grâce, la miséricorde et patience, conduisant au Salut; et dans la réalisation historique de sa réprobation qu’il exprime seulement son aversion, disgrâce, la haine et de colère, entraînant la destruction. Mais cela ressemble à une simplification excessive rationaliste de la vie intérieure de Dieu, qui ne tient pas suffisamment compte de son auto-révélation. En prenant la parole sur ce sujet nous devons être très prudents et nous permettre d’être guidé par les déclarations explicites des écritures plutôt que par nos inférences "BOLD" du Conseil secret de Dieu. Il y a beaucoup plus à Dieu que nous pouvons réduire nos catégories logiques. Sont élus dans cette vie les objets de l’amour de Dieu seulement et jamais de quelque façon les objets de sa colère ? Moïse penser les réprouvés quand il dit: « car nous sommes consommé dans ta colère, et dans ta colère nous sommes préoccupés » ? PS. 90:7. Ne pas la déclaration de Jésus que la colère de Dieu demeure sur ceux qui n'obéissent pas le fils implique qu’il est retiré des autres quand, et pas avant, ils soumettent à la règle salutaire du Christ ? John 03:36. Et ne dit pas de Paul aux Ephésiens qu’ils « étaient par nature des enfants de la colère même que les autres » ? Éphésiens 2:3. Évidemment les élus ne peuvent pas être considérée comme toujours et exclusivement les objets de l’amour de Dieu. Et si ceux qui sont les objets de l’amour rédempteur de Dieu peuvent aussi dans un certain sens du mot être considérés comme des objets de sa colère, pourquoi s’il est impossible que ceux qui sont les objets de sa colère devraient également dans un certain sens partager sa faveur divine ? Un père qui est aussi un juge peut détester le fils qui comparaît devant lui comme un criminel et se sentir contraint à visiter sa colère judiciaire sur lui, mais il peut encore pitié de lui et voir la que lui des actes de bonté alors qu’il est sous la condamnation. Pourquoi si cela est impossible à Dieu ? Général Washington détesté le traître qui a comparu devant lui et le condamna à mort, mais en même temps lui montra compassion en lui servant avec les délicatesses de son propre tableau. Ne peut pas Dieu ait compassion même sur le pécheur condamné et accorder des faveurs sur lui ? La réponse ne doit pas être incertaine, étant donné que la Bible enseigne clairement douches indicibles bénédictions sur tous les hommes qu’il indique aussi clairement que ce sont l’expression d’une disposition favorable au Dieu qui répond pas, toutefois, de la volonté positive de gracier leur péché, de lever leur peine et de leur accorder le salut. Les passages suivants indiquent clairement une telle disposition favorable: Prov. 01:24; Ésaïe 01:18; Ézéchiel 18:23, 32; 33: 11; Matthieu 05:43-45; 23:37; Marc 10:21; Luc 06:35: Rom. 2:4; I Timothée 2:4. Si ces passages ne pas témoigner à une disposition favorable à Dieu, il semblerait que langue a perdu sa signification, et la révélation que Dieu n’est pas fiable à ce sujet.

4. anabaptistes s’oppose à la doctrine de la grâce commune, car elle implique la reconnaissance des bons éléments dans l’ordre naturel des choses, et c’est à l’encontre de leur position fondamentale. Ils considèrent la création naturelle avec mépris, insistent sur le fait qu’Adam était de la terre terrestre et de voir seulement une impureté dans l’ordre naturel comme tel. Christ a établi un nouvel ordre surnaturel des choses, et à cet ordre l’homme régénéré, ce qui n’est pas simplement un renouvelé, mais un homme entièrement nouveau, appartient également. Il n’a rien en commun avec le monde autour de lui et ne devrait donc prendre aucune part dans sa vie: jamais un serment, ne prendre aucune part à la guerre, ne reconnaître aucune autorité civile, éviter les vêtements mondains et ainsi de suite. Sur cette position il n’y a aucune autre grâce à la grâce salvatrice. Cet avis a été partagé par les Labadism, piétisme, frères moraves et plusieurs autres sectes. Déni de Barth de grâce commune semble suivre dans ce même sens. Ce n’est pas étonnant, puisque pour lui trop creaturliness et péché sont pratiquement identiques. Brunner donne le résumé suivant de vue Barth: « il découle de la reconnaissance du Christ comme la seule grâce salvatrice de Dieu qu’il n’y a aucune grâce créative et autonome qui a été en vigueur depuis la création du monde et qui se manifeste lui-même nous en entretien de Dieu du monde, puisque dans ce cas, nous devrions avoir à reconnaître deux ou même trois sortes de grace, et qui se présenterait en opposition avec l’unicité de la grâce du Christ.... De même, la nouvelle création est n’un accomplissement mais exclusivement un remplacement effectué par une annihilation complète de ce qui précédait, une substitution de l’homme nouveau pour les anciens. La proposition, à titre gracieux non tollit naturam sed perficit, n’est pas vraie dans tous les sens, mais est tout à fait une arch-hérésie. » [Natur und Gnade, p. 8.] Brunner rejette ce point de vue et n’est plus conforme à la pensée réformée sur ce point.

QUESTIONS pour étude complémentaire: L’hébreu et les mots grecs pour « grâce » désignent toujours vivifiante ? Ils sont déjà utilisés comme une désignation de ce que nous appelons « commune grâce » ? La doctrine de la grâce commune présuppose la doctrine de l’expiation universelle ? Elle n’implique pas un déni du fait que l’homme est par nature soumis à la colère de Dieu ? S’agit-il d’un refus de la corruption totale de l’homme et de son incapacité à faire le bien spirituel ? C’est le bien qui l’homme naturel peut faire le bien que dans la vue de l’homme, ou encore aux yeux de Dieu ? La doctrine de la grâce commune détruit l’antithèse entre le monde et le Royaume de Dieu ? Si ce n’est pas le cas, comment expliquez-vous cela ?

LITTÉRATURE: Calvin, instituts II. 2 et 3; Kuyper, Gemeene De Gratie; Bavinck, De Algemeene Genade; Ibid., Calvin et Common Grace (, Calvin et la réforme); Shedd, calvinisme pur et mixte, p. 96-106; Ibid., dogme. THEOL. I, p. 432, 435; II, p. 483 ff.; Hodge, Syst. Theol. II, pp. 654-675; Vos, Geref. Dogme. IV, pp. 11-17; Alexander, syst de Bib. théol. II. p. 343-361; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 583-588; Ibid., Discussions, pp. 282-313 ( Propositions traumatiques de la miséricordede Dieu); H. Kuiper, Calvin sur Common Grace; Berkhof, Punten De Drie en Alle Deelen Gereformeerd; Hepp, Art. Gemeene Gratie dans Christelijke Encyclopaedie.

 

IV. L'Union mystique

Calvin a à plusieurs reprises exprime l’idée que le pécheur ne peut pas partager les avantages salvifique de le œuvre rédemptrice du Christ, à moins qu’il soit en union avec lui et met ainsi l’accent sur une vérité très importante. Comme Adam dirigeait le représentant de la vieille humanité, si Christ est la tête représentative de la nouvelle humanité. Toutes les bénédictions de l’Alliance de grâce découlent de celui qui est le médiateur de l’Alliance. Même la première bénédiction de la grâce salvatrice de Dieu que nous recevons déjà présuppose une union avec la personne du médiateur. C’est exactement à ce stade que l'on trouve une des différences plus caractéristiques entre les opérations et la bénédiction spéciale et ceux de la commune grâce. Le premier peut être reçu et apprécié que par ceux qui sont en union avec le Christ, tandis que ces derniers peuvent être et sont aussi appréciés par ceux qui ne sont pas considérés dans le Christ et par conséquent ne sont pas un avec lui. Toutes sortes de bénédictions spirituelles quelles croyants reçoivent leur sort de Christ. C’est pourquoi Jésus en parlant de la Paraklete venir pourrait dire à ses disciples: « il doit glorifier moi; parce qu’il prend de la mine et déclare qu’il dis, » John 16:14. Subjectivement, l’union entre le Christ et les croyants est effectuée par le Saint-esprit de manière mystérieuse et surnaturelle et pour cette raison est généralement désignée comme l’unio mystica ou union mystique.

A. NATURE DE L’UNION MYSTIQUE.

Luthériens généralement traitent la doctrine de la mystique union anthropologiqueet par conséquent conçoivent tel qu’établi par la foi. C’est pourquoi ils naturellement reprennent à un stade ultérieur dans leur sotériologie. Mais cette méthode ne parvient pas à pleinement justice à l’idée de notre union avec Christ, car il perd de vue le fondement éternel de l’union et de sa réalisation objective dans le Christ et porte exclusivement sur la réalisation subjective de celui-ci dans notre vie et même ainsi qu’avec notre entrée consciente personnelle dans cette union. En revanche, la théologie réformée, traite de l’union des croyants avec le Christ théologiquementet ainsi tient beaucoup plus à ce sujet important. Ce faisant, il emploie le terme « union mystique » au sens large comme une désignation non seulement de l’union subjective du Christ et les croyants, mais aussi de l’union qui se trouve à l’arrière de l’il, qui est basique, et dont il est seulement l’expression culminante , à savoir, l’union fédérale de Christ et ceux qui sont les siens à l’avocat de la rédemption, l’union mystique idéalement établie dans cet éternel Conseil et l’union telle qu’elle est objectivement effectuée dans l’incarnation et le œuvre rédemptrice du Christ.

1. L’UNION FÉDÉRALE DU CHRIST COMME L’AVOCAT DE LA RÉDEMPTION DE CEUX QUE LE PÈRE LUI A DONNÉ, . L’avocat de la paix que Christ a volontairement pris sur lui d’être le chef et la caution des élus, destinés pour constituer la nouvelle humanité et ainsi d’établir leur droiture devant Dieu, en payant la pénalité pour leurs péchés et en rendant parfaite obéissance à la Loi et assurer ainsi leur titre à la vie éternelle. Dans cette alliance éternelle du péché de son peuple ont été imputée au Christ, et sa justice a été imputée à eux. Cette imputation de la justice du Christ à son peuple à l’avocat de la rédemption est parfois représentée comme une justification de toute éternité. C’est certainement la base éternelle de notre justification par la foi et est le fondement sur lequel nous recevons toutes les bénédictions spirituelles et le don de la vie éternelle. Et cela étant, il est fondamental pour l’ensemble de la sotériologie et même pour les premières étapes dans l’application de le œuvre de rédemption, tels que les appels internes et de régénération.

2. L’UNION DE VIE IDÉALEMENT MISE EN PLACE DANS LE CONSEIL DE LA RÉDEMPTION. Dans le cas du premier Adam, il y avait non seulement un fédéral, mais aussi une union naturelle et organique entre lui et ses descendants. Il y avait la cravate d’une vie commune entre lui et tous ses descendants, et cela a permis que les bénédictions de l’Alliance des œuvres, si ceux-ci avaient eventuated, pourraient avoir dévolues à l’organisme entier de l’humanité d’une manière organique. Une situation quelque peu similaire obtenue dans le cas du dernier Adam à la tête de représentant de l’Alliance de la rédemption. Comme le premier Adam, il ne représentait pas un conglomérat d’individus disjoints, mais un corps d’hommes et de femmes qui étaient à lui, d’être Unis par des liens spirituels et donc pour former un organisme spirituel dérivent leur vie. Idéalement ce corps, qui est l’église, était déjà formé dans l'Alliance de rachat et formé en union avec le Christ, et cette union a permis que toutes les bénédictions justifiées par Christ pourraient être transmises à ceux qu’il a représenté de façon organique. Ils ont été conçus comme un corps glorieux, une nouvelle humanité, partageant la vie de Jésus Christ. C’est en vertu de cette union, comme il a été réalisé au cours de l’histoire, que le Christ pouvait dire: « Voici, j’ai et les enfants que Dieu m’a donnés, » Hébreux 02:13.

3. L’UNION DE VIE OBJECTIVEMENT RÉALISÉE DANS LE CHRIST. En vertu de l’union légale ou représentative établie par l'Alliance de la rédemption de Christ s’est incarné comme le substitut à son peuple, pour justifier toutes les bénédictions du Salut pour eux. Étant donné que ses enfants sont partageurs en chair et en os, « il a aussi de la même manière quelque chose qui tenait de celui-là; que par la mort qu’il pourrait apporter à néant lui qui avait le pouvoir de la mort, qui est le diable; et pourrait livrer tous ceux qui, par peur de la mort, étaient toute leur vie sous réserve de la servitude pour dettes, » Héb. 02:14, 15. Il pourrait mériter Salut pour eux juste parce qu’il était déjà en relation avec eux comme leur caution et médiateur, leur tête et suppléant. Toute l’église a été inscrite en lui comme son chef. Dans un sens objectif, qu'elle a été crucifiée avec Christ, elle est morte avec lui, elle est née en lui d'entre les morts et a été faite pour s’asseoir avec lui dans les lieux célestes. Toutes les bénédictions de la grâce salvatrice se trouvent prêtes pour l’Eglise dans le Christ; l’homme peut n’ajoutent rien à eux; et maintenant, ils n'attendent que leur application subjective par l’opération du Saint-Esprit, qui est également justifiée par le Christ et ne manquera pas de réalisation progressive au cours de l’histoire.

4. L’UNION DE VIE SUBJECTIVEMENT RÉALISÉE PAR L’OPÉRATION DU SAINT-ESPRIT. Le œuvre du Christ n’était pas fini quand il avait mérité le salut pour son peuple et avait obtenu la possession effective de la bénédiction du Salut. Dans le Conseil de la rédemption qu’il prit sur lui de mettre tout son peuple en possession de toutes ces bénédictions, et il le fait par le biais de l’opération du Saint-Esprit, qui prend toutes les choses hors de Christ et leur donne à nous. Nous ne devrions pas concevoir la réalisation subjective de l’union mystique dans l’église d’atomistically, comme s’il était effectué en amenant maintenant cela et puis ce pécheur individuel à Christ. Elle devrait être considérée du point de vue du Christ. Objectivement, l’Eglise tout entière est en lui et est né de lui la tête. Ce n’est pas un mécanisme, dans lequel les parties précédant l’ensemble, mais l’organisme, dont l’ensemble est avant les parties. Les parties sont lèveront de Christ à travers les travaux de régénération de l’Esprit Saint et puis continuent en relation vivante avec lui. Jésus attire l’attention sur cette relation organique quand il dit: « je suis le CEP, vous êtes les sarments: celui qui demeure en moi et moi en lui, le même enfantera beaucoup de fruit: car en dehors de moi vous ne pouvez rien faire, » Jean 15:5. Compte tenu de ce qui a été dit, il est évident qu’il n’est pas correct de dire que l’union mystique est le fruit d’acceptation croyante de l’homme du Christ, comme si la foi n’était pas une des bénédictions de l’Alliance qui en découlent pour nous la plénitude du Christ , mais à une condition où l’homme doit satisfaire partiellement ou totalement dans sa propre force, pour entrer en relation vivante avec Jésus Christ. Tout d’abord, la foi est un don de Dieu et comme une partie des trésors qui sont cachés en Christ. Elle nous permet d’ouvrir, de notre part, ce qui nous est donné à Christ et à engager de plus en plus jouissance consciente de la Bienheureuse union avec le Christ, qui est la source de toutes nos richesses spirituelles.

Cette union peut être définie comme qui intime, vital et une union spirituelle entre le Christ et de son peuple, en vertu dont il est la source de leur vie et de la force, de leur bénédiction et le Salut. Que c’est une union très intime apparaît abondamment des chiffres qui sont utilisés dans l’écriture pour le décrire. C’est une union à partir de la vigne et des sarments, Jean 15:5, à partir d’une base et le bâtiment qui est élevé à ce sujet, j’ai PET. 2:4, 5, à partir de mari et femme, Éphésiens 05:23-32 et à partir de la tête et les membres du corps , Éphésiens 04:15, 16. Et encore ces chiffres ne parviennent pas à donner la pleine expression de la réalité. C’est une union qui passe tout entendement. Dit m. Hodge: « la désignation technique de cette union en langage théologique est « mystique », parce qu’elle transcende jusqu'à présent toutes les analogies de relations terrestres, dans l’intimité de sa connexion, dans la puissance transformatrice de son influence et dans le excellence de ses conséquences ». [Les contours de la théologie, p. 483.] Si la discussion de cet aspect de l’union mystique est reprise tout d’abord dans l' ordo salutis, il faut avoir à l’esprit (une) qu’il semblerait souhaitable de l’examiner dans le cadre de ce qui précède, idéalement dans le conseiller de la rédemption et objectivement dans le œuvre du Christ; et (b) que l’ordre est logique plutôt que chronologique. Étant donné que le croyant est « une nouvelle créature » (II Corinthiens 05:17), ou est « justifiée » (actes 13:39) que dans le Christ, en union avec lui logiquement précède la régénération et la justification par la foi, alors que pourtant, chronologiquement, le moment où nous sommes Unis avec le Christ est aussi le moment de notre justification et de régénération.

B. CARACTÉRISTIQUES DE L’UNION MYSTIQUE.

De ce qui précède, il apparaît que le terme « union mystique » peut être et est souvent utilisé dans un sens large, y compris les différents aspects (juridique, objectif, subjectif) de l’union entre le Christ et les croyants. Plus généralement, cependant, il désigne uniquement l’aspect couronnement de ce syndicat, à savoir, sa réalisation subjective par l’opération du Saint-Esprit, et c’est cet aspect de celui-ci qui est naturellement au premier plan dans la sotériologie. Tout ce qui est dit dans le reste de ce chapitre porte sur cette union subjective. Voici les principales caractéristiques de cette union:

1. C’EST UNE UNION ORGANIQUE. Christ et les croyants forment un seul corps. Le caractère organique de cette union est clairement enseigné dans ces passages comme Jean 15:5; I Corinthiens 06:15-19; EP 01:22, 23; 04:15, 16; 05:29, 30. dans cette union organique ministres de Christ pour les croyants et les croyants ministre de Christ. Chaque partie du corps sert et est servi par toute autre partie et ensemble ils sont subordonnés à l’ensemble dans une union qui est indissoluble.

2. C’EST UNE UNION VITALE. De cette union, Christ est le principe vitalisant et dominant de l’ensemble des croyants. Il n’est autre que la vie du Christ qui habite et anime les croyants, afin que, pour s’entretenir avec Paul, « Christ est formé » en eux, gal 04:19. Qu’elle le Christ devient le principe formative de leur vie et il mène en direction Godward, Rom. 08:10; II Corinthiens 13:5; GAL 04:19, 20.

3. C’EST UNE UNION MÉDIATE PAR LE SAINT-ESPRIT. Le Saint-Esprit a été à titre spécial, une partie de la récompense du médiateur et comme tel a été versé le jour de la Pentecôte pour la formation du corps éthérique de Jésus Christ. Par l’Esprit Saint Christ maintenant habite dans les croyants, qui les unit à lui-même et les tricote ensemble dans une unité sacrée, I Cor. 06:17; 12:13; II Corinthiens 03:17, 18; Galates 3:2, 3.

4. C’EST UNE UNION QUI IMPLIQUE UNE ACTION RÉCIPROQUE. La loi initiale, c’est que du Christ, qui unit les croyants à se régénérer et produisant ainsi foi en eux. En revanche, le croyant s’unit au Christ par un acte conscient de la foi également et continue de l’union, sous l’influence du Saint-Esprit, par l’exercice constant de la foi, John 14:23; 15:4, 5; GAL 02:20; EP 03:17.

5. C’EST UNE UNION PERSONNELLE. Chaque croyant est personnellement unie directement au Christ. La représentation qui coule de la vie qui est dans l’église par le Christ de l’église dans le croyant est résolument antibiblique, non seulement dans sa sacramentarian mais aussi dans sa forme panthéiste (Rome, Schleiermacher et beaucoup de théologiens modernes) . Tous les pécheurs qui sont régénéré sont directement relié avec le Christ et reçoit sa vie de lui. Par conséquent la Bible souligne toujours la liaison avec le Christ, John 14:20; 15:1-7; II Corinthiens 05:17; GAL 02:20; EP 03:17, 18.

6. C’EST UNE UNION TRANSFORMATRICE. Par cette union croyants sont modifiées à l’image du Christ selon sa nature humaine. Ce qui est des effets de Christ dans son peuple dans un sens une réplique ou une reproduction de ce qui passait avec lui. Ni seulement objectivement, mais aussi dans un sens subjectif, ils souffrent, porter la Croix, sont crucifiés, meurent et sont déclenchés en nouveauté de vie, avec le Christ. Ils partagent dans une certaine mesure l’expérience de leur Seigneur, Matthieu 16:24; Romains 6:5; GAL 02:20; 01:24; 02:12; 3:1; J’ai PET. 04:13.

C. LES CONCEPTIONS ERRONÉES DE DE L’UNION MYSTIQUE.

Il y a plusieurs conceptions erronées de l’union mystique, contre lequel nous devons être sur nos gardes. Erreurs sur ce point ne devraient pas être considérées aussi inconséquente et donc sans importance, car ils sont pleine de dangers pour une vraie compréhension de la vie chrétienne.

1. ERREUR RATIONALISTE. Nous devons éviter l’erreur du rationaliste qui permettrait d’identifier l’union mystique avec l’union du Christ comme les Logos avec toute la création ou l’immanence de Dieu dans tous les esprits humains. Cela se trouve dans l’instruction suivante, qui A. H. Strong cite de Campbell, le Christ à demeure: « dans l’immanence du Christ dans la nature, on retrouve le motif de son immanence dans la nature humaine.... Un homme peut être hors de Christ, mais Christ n’est jamais hors de lui. Ceux qui bannir qu'il n’abandonne pas ». Dans cette perspective, l’union mystique est dépouillée de sa signification sotériologique.

2. ERREUR MYSTIQUE. Une autre erreur dangereuse, c’est que des mystiques qui comprennent l’union mystique comme une identification du croyant avec Christ. Selon ce point de vue il y a en elle une union de l’essence, dans laquelle la personnalité de celui est simplement fusionnée avec celui de l’autre, afin que le Christ et le croyant ne restent pas deux personnes distinctes. Même certains des luthériens sont allés à l’extrême. Un extrémiste n’a pas hésité à dire, « je suis le Christ Jésus, le vivant, parole de Dieu; J’ai racheté toi par mes souffrances sans péché. »

3. ERREUR DES SOCINIENS ET DES ARMINIENS. Tout à fait un autre extrême se trouve dans les enseignements des Sociniens et arminiens, qui représentent l’union mystique comme une simple morale, ou une union d’amour et de sympathie, comme celui existant entre un professeur et ses élèves ou entre un ami et un ami. Une telle union n’implique pas une interpénétration de la vie du Christ et celle des croyants. Il se n’agirait d’aucuns plus que l’amour adhésion au Christ, un service amical rendu librement à lui et l’acceptation du message du Royaume de Dieu. C’est une union qui ne réclame pas un Christ en nous.

4. ERREUR DES SACRAMENTAIRES. Une autre erreur à éviter est celui de la sacramentarians, représentée par l’église catholique romaine et par certains luthériens et haute église épiscopaliens. Strong parle de cela comme « peut-être la plus pernicieuse une interprétation erronée de la nature de cette union. » Il fait la grâce de Dieu quelque chose de substantiel, dont l’église est le dépositaire, et qui peuvent être transmis dans les sacrements; et perd complètement de vue le fait que les sacrements ne peut pas effectuer cette union, parce qu’elles présupposent déjà il.

D. L’IMPORTANCE DE L’UNION MYSTIQUE.

1. l’union mystique dans le sens où nous parlons maintenant d’elle n’est pas le terrain judiciaire, sur la base desquels nous devenons participants de la richesse qui sont en Christ. On dit parfois que les mérites du Christ ne peuvent être imputées à nous tant que nous ne sommes pas dans le Christ, puisque c’est seulement sur la base de notre unité avec lui qu’une telle imputation serait raisonnable. Mais cette opinion ne parvient pas à faire la distinction entre notre unité juridique avec le Christ et notre unité spirituelle avec lui et est une falsification de l’élément fondamental dans la doctrine de la rédemption, à savoir, de la doctrine de la justification. Justification est toujours une déclaration de Dieu, non en fonction d’une condition existante, mais sur celle d’une imputation gracieuse, — une déclaration qui n’est pas en harmonie avec la condition actuelle du pécheur. Le terrain judiciaire pour toute la grâce spéciale que nous recevons réside dans le fait que la justice de Christ est librement imputée à nous.

2. mais cet état de choses, à savoir, que le pécheur n’a rien en lui-même et reçoit tout librement du Christ, doit se refléter dans la conscience du pécheur. Et cela se fait grâce à la médiation de l’union mystique. Alors que l’union est effectuée au moment où le pécheur est renouvelé par l’opération du Saint-Esprit, il ne devient-elle conscient de lui et ne pas activement cultiver jusqu'à ce que commence l’opération consciente de la foi. Puis il prend conscience du fait qu’il n’a pas la justice de la sienne, et que la justice par laquelle il apparaît seulement dans la vue de Dieu est imputée à lui. Mais malgré tout quelque chose de supplémentaire est nécessaire. Le pécheur doit se sentir sa dépendance à l’égard de Christ au plus profond de son être, — dans la vie du subconscient. C’est pourquoi il est incorporé dans le Christ, et comme un résultat des expériences toute la grâce qu’il reçoit se jette du Christ. Ainsi, le sentiment constant de dépendance engendré, est un antidote contre toute autosatisfaction.

3. l’union mystique avec le Christ assure également pour le croyant le pouvoir de transformation en continu de la vie du Christ, non seulement dans l’âme, mais aussi dans le corps. L’âme est progressivement renouvelé à l’image de Christ, comme Paul le dit, « de gloire à la gloire, de même que par l’esprit du Seigneur ». II Corinthiens 03:18. Et le corps est consacré dans le présent pour être un bon instrument de l’âme renouvelée et enfin passera vers le haut à la ressemblance de Christ est glorifié corps, Phil. 03:21. Être dans le Christ, croyants partagent toutes les bénédictions qu’il méritait pour son peuple. Il est pour eux une vivace fontaine jaillissant en vie éternelle.

4. en vertu de cette union croyants sommes en communion avec le Christ. Tout comme le Christ a partagé les travaux, les souffrances et les tentations de son peuple, ils sont maintenant fait partager son expérience. Ses souffrances sont, dans une certaine mesure, reproduit et complété dans la vie de ses disciples. Ils sont crucifiés avec lui et se posent aussi avec lui en nouveauté de vie finale triomphe du Christ devient aussi leur triomphe. Romains 6:5, 8; 08:17; II Corinthiens 1:7; Phil. 03:10; J’ai PET. 04:13.

5. Enfin, l’union des croyants avec le Christ fournit le fondement de l’unité spirituelle de tous les croyants et par conséquent pour la communion des saints. Ils sont animés par le même esprit, sont remplis de l’amour même, debout dans une même foi, sont engagés dans la guerre même et sont tenus pour le même objectif. Ensemble, ils sont intéressés par les choses de Christ et son église, de Dieu et de son Royaume. John 17:20, 21; Actes à 02:42; Romains 12:15; Éphésiens 4:2, 3; 03:16; Je th. 04:18; 05:11; Héb. 03:13; 10:24, 25; Jas. 05:16; J’ai John 1:3, 7.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Quel est le sens du terme « mystique », telle qu’appliquée à l’union avec le Christ ? Quelle est la relation entre la grâce dans le juridique et que dans la sphère morale ? Comment est-ce que nous devrions répondre la prétention que le pécheur ne peut devenir un participant dans les bienfaits de la grâce spéciale de Dieu jusqu'à ce qu’il est subjectivement incorporé dans le Christ ? Que peut-on dire en réponse à l’affirmation que la foi précède la régénération, car il les effets l’union avec le Christ, alors que la régénération est le fruit de cette union ? Si l’union mystique ne supprime ou il conserve la personnalité de l’homme ? Cf. Éph. 04:13. Tous les croyants dérivent des mêmes avantages de cette union ? Si cette union est indissoluble, comment John 15:1-7 doit être compris ? Ce qui est conception de Schleiermacher d’union du croyant avec le Christ ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. III, p. 594 f.; IV, p. 114, 226 f., 268 f.; Kuyper, Het Werk van den Heiligen Geest II, pp. 163-182; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 612-617; Strong, Syst. Theol., pp. 795-808; Dick, Theol., pp. 36-365; Hodge, contours, pp. 482-486; Ibid., Le jour des Expiations, pp. 198-211; McPherson, Chr. Theol., pp. 402-404; Valentine, Chr. Theol. II, p. 275-277; Schmid, Doct. THEOL., p. 485-491; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 321-322.

 

V. l'appel en général et l’appel externe

A. MOTIFS POUR DISCUTER DE L'APPEL TOUT D’ABORD.

La question de l’ordre relatif des appels et la régénération a souvent été discutée, et la discussion a souvent souffert d’un manque de discrimination et d’une incompréhension qui en résulte. Les termes « calling » et la « régénération » n’étaient pas toujours utilisés dans le même sens. Par conséquent, il était possible de maintenir, sans contradiction, d’une part que l’appel précède la régénération, et d’autre part, que la régénération est avant d’appeler. Nous allons examiner brièvement (1) les représentations dans l’écriture et dans nos normes confessionnelles; (2) l’ordre généralement suivi par les théologiens réformés; et (3) les raisons qui peuvent être avancés en faveur d’une discussion séparée de l’appelant externe par le biais de la parole, comme qui précède la régénération et la vocation interne.

1. LA REPRÉSENTATION BIBLIQUE. L’ordre biblique est principalement indiqué dans quelques passages bien connus. Il y a d’abord la vision des ossements secs dans Ézéchiel 37: 1-14. Alors qu’Ezéchiel a prophétisé sur les ossements desséchés de la maison d’Israël, le souffle de vie est entré en eux. Ce passage se rapporte au rétablissement civil et à la renaissance spirituelle de la maison d’Israël et probablement contient aussi un soupçon concernant la résurrection de ses morts. Il représente la parole prophétique comme précédant l’origine de la nouvelle vie du peuple d’Israël. Naturellement, cela ne signifie pas encore que le premier était relié à celle-ci.... Un passage très instructif se trouve dans actes 16:14, qui parle de la conversion de Lydia. Au cours de la prédication de Paul, le Seigneur a ouvert le cœur de Lydia à prêter attention à des choses qui ont été prononcés par l’Apôtre. Il est clairement laissé entendre que l’ouverture du coeur est précédée de l’extérieur et est suivi par l’appel interne. L’unité de la double vocation est clairement visible.... La déclaration de Paul dans Romains 04:17 est également fréquemment cité à cet égard, mais peuvent difficilement être considérés comme pertinents, car il ne se réfère pas à l’extérieur ou à l’appelant interne par la prédication de la parole de Dieu, mais que ce soit pour la fiat créatrice de Dieu , par lequel les choses sont appelées en cours, ou à son commandement délivré à des choses qui ne sont pas, comme s’ils étaient, et atteignant même les morts.... Un autre passage se trouve dans l’arrêt James 01:18, « De sa propre volonté il nous enfantée par la parole de vérité, que nous soyons une sorte de prémices de ses créatures. » On peut difficilement douter que la parole de vérité mentionné ici est la parole de la prédication, et l’hypothèse est que ce mot précède la nouvelle naissance et est dans un certain sens instrumental lui.... Et, enfin, il y a un passage bien connu dans I Pierre 01:23, dans lequel l’Apôtre parle des croyants comme « ayant été engendrés de nouveau, pas de semence corruptible, mais incorruptible, par la parole de Dieu, qui vit et demeure ». Compte tenu du verset 25 le mot référencé ici peut difficilement être autre chose que la parole de l’évangile prêché parmi les lecteurs. Ce mot de Pierre trop sous-entend que la parole de la prédication précède la régénération est instrumentalement connectée avec elle. Compte tenu de ces passages, la conclusion est parfaitement justifiée que dans le cas des adultes un appel externe par la prédication de la parole en général précède la régénération. Si elles justifient également l’affirmation qu’interne appel est préalable à l’implantation de la nouvelle vie, est une question qui ne doivent pas être considérée à ce stade.

2. REPRÉSENTÉ DANS NOS NORMES CONFESSIONNELLES. Nos normes confessionnelles impliquent aussi que dans le cas des adultes, la prédication de la parole précède la régénération, mais il faut avoir à l’esprit qu’ils n’utilisent pas le mot « régénération » dans le sens restreint dans lequel il est employé aujourd'hui. La Confessio Belgica, explique à l’Art. XXIV: « nous croyons que cette vraie foi, être provoquée chez l’homme par l’audition de la parole de Dieu et l’opération du Saint-Esprit, régénérer et font de lui un homme nouveau, obligeant à vivre une nouvelle vie et lui libérer de l’esclavage du péché. » La foi est forgée chez l’homme par l’audition de la parole et, travaille à son tour, régénération, c'est-à-dire le renouvellement de l’homme dans la conversion et la sanctification. Les Canons de Dordrecht contiennent une description un peu plus détaillée dans les III et IV, Articles 11 et 12: « mais quand Dieu accomplit son bon plaisir dans les élus, ou les œuvres dans leur vrai conversion, il entraîne non seulement l’Évangile être prêché extérieurement leur et puissamment illumine les esprits par son Esprit Saint, qu’ils peuvent à juste titre comprendre et discerner les choses de l’esprit de Dieu, mais par l’efficacité de la même régénérer l’esprit, il règne dans les recoins plus intimes de l’homme; . . . C’est la régénération si hautement célébrée dans les Ecritures et libellés en une nouvelle création: une résurrection d'entre les morts; une réalisation vivante, qui Dieu opère en nous sans notre aide. Mais cela est effectué aucune façon simplement par l’externe de prédication de l’Evangile, par la persuasion morale, ou un tel mode de fonctionnement que, après que Dieu a accompli sa part, il reste encore la puissance de l’homme à être régénéré ou non, à convertir ou à continuer non converti » etc.. Dans les présents statuts les mots « regeneration » et « conversion » sont utilisés indifféremment. Il est tout à fait évident, cependant, qu’ils indiquent le changement fondamental de la disposition applicable de l’âme, ainsi que le changement qui en résulte dans les manifestations de l’extérieur de la vie. Et ce changement se réalise non seulement, mais au moins en partie, par la prédication de l’Évangile. Par conséquent, il précède.

3. L’ORDRE GÉNÉRALEMENT SUIVI PAR LES THÉOLOGIENS RÉFORMÉS. Parmi les réformés, il a été tout à fait habituel de placer l’appel avant la régénération, bien que quelques-uns ont inversé l’ordre. Même Maccovius, Voetius et Comrie, tous les supralapsaires, suivent l’ordre habituel. Plusieurs considérations invité théologiens réformés en général à placer l’appel avant la régénération.

a. leur doctrine de l’Alliance de grâce. Ils considéraient l’Alliance de grâce comme le bien grand et complète tout que Dieu sous forme de dons infinie miséricorde pour les pécheurs, un bon y compris toutes les bénédictions du Salut et donc aussi de régénération. Mais cette Alliance est inséparablement liée à l’Évangile. Il est annoncé et fait connaître dans l’Évangile, dont Christ est le centre de la vie et donc n’existe pas sans elle. Où l’Évangile ne connaît pas l'Alliance n’est pas réalisé, mais où il est prêché, Dieu établit son alliance et glorifie sa grâce. Aussi bien la prédication de l’Évangile et l’administration de l'Alliance précéder les opérations salvatrices du Saint-Esprit, et forgé de participation le croyant dans le salut par le Christ.

b. leur conception de la relation entre le œuvre du Christ et celle de l’Esprit Saint. Les anabaptistes n’a pas à rendre justice à cette relation. Christ et son oeuvre rédemptrice nous sont présentées dans l’Évangile. Et il est de Christ, comme le médiateur de Dieu et l’homme et la cause méritoire de notre Salut, dérivant du Saint-esprit tout ce qu’il communique aux pécheurs. En conséquence, il se joint à son travail à la prédication de l’Évangile et exploite de manière salvatrice seulement où le message divin de la rédemption est amené. Le Saint-Esprit ne fonctionne pas en dehors du Christ dans l’Évangile.

c. la réaction contre le mysticisme des anabaptistes. Les anabaptistes repose sur la supposition que la régénération effectuée non pas simplement un renouvellement de la nature humaine, mais une création entièrement nouvelle. Et cela étant, ils considéraient comme impossible que quelque chose appartenant à cette création naturelle comme, par exemple, le langage humain dans lequel la parole de Dieu est portée à l’homme, pouvait en aucune manière être joué un rôle important dans la communication de la nouvelle vie pour les pécheurs. Comme ils ont vu, régénération eo ipso exclu l’usage du mot comme un moyen, qu’il s’agit après tout seulement lettre morte. Cette tendance mystique se sont fortement opposée par les théologiens réformés.

d. leur expérience en relation avec le renouveau spirituel des adultes. Alors qu’il était d’un avis établi que les enfants qui meurent en bas âge sont renaît et donc sauvé de l’Alliance, il n’y avait aucune opinion unanime quant au temps quand ceux qui ont grandi en sont devenus participants de la grâce de la régénération. Certains partagent l’opinion de Voetius que tous les enfants élus sont régénérées avant le baptême, et que la nouvelle vie peut, même chez les adultes, rester caché pendant de nombreuses années. La grande majorité, cependant, était réticents à prendre cette position et a tenu que la vie nouvelle, le cas échéant, serait se révéler d’une certaine façon. Expérience leur a appris que beaucoup ne donné aucune preuve de la nouvelle vie jusqu’après avoir entendu l’Évangile pendant de nombreuses années.

4. RAISONS POUR LA DISCUTER DE LA SÉPARATION DE L'APPEL EXTERNE QUI PRÉCÈDE LA RÉGÉNÉRATION.

a. clarté de la présentation. Les appels internes et externes sont essentiellement un; Pourtant, ils peuvent et doivent être soigneusement distingués. Un conflit peut surgir concernant celui qui ne concerne pas directement l’autre. Elle peut être mise en doute, si appel interne logiquement précède la régénération dans le cas des adultes, alors qu’il n’y a aucun doute que ce soit à cet égard concernant l’appelant externe par le biais de l’Évangile. C’est pourquoi il pourra être considéré souhaitable pour traiter du premier appel externe, puis de reprendre la discussion des appels internes dans le cadre de celle de la régénération.

b. le caractère préparatoire externe des appels... Si nous agissons sur l’hypothèse que l' ordo salutis traite de l’application effective de la rédemption, forgée par le Christ, nous nous sentons en même temps que l’appelant externe de la parole de Dieu peut, à proprement parler, difficilement être appelé une de ses étapes. Tant que cet appel ne pas, par le biais de l’opération d’accompagnement de l’Esprit Saint, se transforme en un appel interne et efficace, il a seulement une signification préliminaire et préparatoire. Plusieurs théologiens réformés parlent de lui comme une sorte de grâce commune, puisqu’il ne s’écoule pas de l’élection éternelle et la grâce salvatrice de Dieu, mais plutôt de sa bonté commune; et depuis lors, alors qu’il donne parfois une certaine illumination de l’esprit, il ne pas enrichir le coeur avec la grâce salvatrice de Dieu. [Cf. références ci-dessus, f. p. 304 et aussi un Marck, Godgeleerdheid. XXIII. 3]

c. la nature générale des appels externes. Alors que tous les autres mouvements de l’Esprit Saint dans l' ordo salutis résilier sur les élus seulement, l’appelant externe par l’Évangile a une incidence plus large. Partout où l’Évangile est prêché, cet appel intervient pour les élus et les réprouvés alike. Il sert, non pas simplement d’amener les élus à la foi et la conversion, mais aussi de révéler le grand amour de Dieu pour les pécheurs en général. Par le biais de ce Dieu maintient sa revendication sur l’obéissance de toutes ses créatures rationnelles, retient la manifestation de péché et favorise la droiture civique, morale externe et les exercices religieux même vers l’extérieur. [Cf. Bavinck, Geref. Dogme. IV, f. p. 7]

B. L'APPEL EN GÉNÉRAL.

Puisque l’appel externe n’est qu’un aspect de l’appel en général, nous devrons envisager cela brièvement avant de pénétrer dans une discussion des appels externes.

1. L’AUTEUR DE NOTRE VOCATION. Notre vocation est une œuvre du Dieu triune. C’est d’abord une œuvre du père, j’ai Cor. 1:9; I Thessaloniciens 02:12; J’ai PET. 05:10. Mais le père travaille toutes choses à travers le fils; et si cet appel est également attribué au fils, Matthieu 11:28; Luke 05:32; John 07:37; ROM. 1:6(?). Et Christ, appelle à son tour, à travers sa parole et l’esprit, Matthieu 10:20; John 15:26; Actes à 05:31, 32.

2. VOCATIO REALIS ET VERBALIS. Les théologiens réformés parlent généralement d’une vocatio realis, par opposition à la vocatio verbalis. Par cela, ils entendent l’appel externe que vient aux hommes par le biais de générale de Dieu révélation, une révélation de la Loi et non de l’Evangile, à reconnaître, la peur et honore Dieu comme leur créateur. Il s’agit pour eux de choses (res) plutôt qu’en mots: dans la nature et l’histoire, dans l’environnement dans lequel ils vivent et dans les expériences et les vicissitudes de leur vie, Psaume 19:1-4; Actes 16:16, 17; 17:27; ROM. 01:19-21; 02:14, 15. cet appel ne sait rien du Christ et donc ne peut pas conduire au salut. Dans le même temps, c’est la plus grande importance dans le cadre de la retenue du péché, le développement de la vie naturelle et le maintien du bon ordre dans la société. Ce n’est pas la vocation qui nous intéresse aujourd'hui. Dans sotériologie seulement la vocatio verbalis vient en considération; et cela peut être défini comme cette gracieuse acte de Dieu, par laquelle il invite les pécheurs à accepter le salut qui est offert en Jésus Christ.

3. DIFFÉRENTES CONCEPTIONS DE LA VOCATIO VERBALIS. La vocatio verbalis est, comme l’indique le terme lui-même, l’appel divin qui vient à l’homme par la prédication de la parole de Dieu. Selon les catholiques, il peut également venir à l’homme par l’intermédiaire de l’administration du baptême. En fait, ils considèrent le sacrement comme le moyen le plus important à mettre l’homme au Christ et attribuent une signification décidément subalterne à la prédication de l’Évangile. Pas de la Chaire, mais l’autel est au centre avec Rome. En cours de temps considérable divergence d’opinions est apparue sur la question, pourquoi l’appel de l’Évangile se révèle efficace dans certains cas et pas dans d’autres. Pélage le conquérant a cherché l’explication de ceci dans la volonté arbitraire de l’homme. L’homme a par nature une parfaitement libre volonté, afin qu’il peut accepter ou refuser l’Evangile, comme il l’entend et ainsi obtenir ou ne parviennent pas à obtenir la bénédiction du Salut. Augustin, en revanche, attribue la différence à l’opération de la grâce de Dieu. Il dit: « l’audition de l’appel divin, est produit par la grâce divine elle-même, lui qui, avant, ont résisté; « et puis l’amour de la vertu est allumée en lui quand il résiste n’est plus ». Pélagianisme semi cherchait à servir d’intermédiaire entre les deux et à éviter les Augustins déni du libre arbitre et l’amortissement pélagienne de la grâce divine. Il suppose la présence des semences de la vertu chez l’homme, qui, eux-mêmes, avaient tendance à porter de bons fruits, mais qui s’est tenue que ce besoin l’influence fructifiant de la grâce divine pour leur développement. La grâce nécessaire pour cela est donnée gratuitement, à tous les hommes afin qu’ils soient à l’aide de celui-ci en mesure d’accepter l’appel de l’Évangile pour le salut. L’appel sera donc efficace homme fourni, avec l’aide de la grâce divine, il accepte. Cela est devenu la doctrine dominante de l’église catholique romaine. Certains catholiques ultérieures, dont Bellarmin fut l’un des plus importants, introduit dans la doctrine de congruism, dans laquelle l’acceptation de l’appel de l’Évangile dépende des circonstances dans lesquelles il s’agit de l’homme. Si celles-ci sont en harmonie, c'est-à-dire apte ou favorable, il va l’accepter, mais si non, il le rejettera. Le caractère des circonstances, bien sûr, dépendra en grande partie le fonctionnement de la grâce prévenante. Luther a développé l’idée que, tandis que la loi a travaillé de repentir, l’appel de l’Évangile porté avec lui le don du Saint-Esprit. L’Esprit Saint est dans la parole, et par conséquent, l’appel est toujours suffisant en soi et dans son intention toujours efficace. La raison pourquoi cet appel ne toujours affecte pas les résultat souhaité et prévu de mensonges dans le fait que les hommes dans de nombreux cas placer une pierre d’achoppement dans le chemin, afin que, après tout, le résultat est déterminé par l’attitude négative de l’homme. Tandis que certains luthériens parlent toujours des appels externes et internes, ils insistent sur ce que l’ancien ne vient jamais à l’homme en dehors de ce dernier. L’appel est essentiellement toujours efficace, afin qu’il n’y a vraiment pas de place pour la distinction. Insistance forte de Luther sur le caractère efficace de l’appel de l’Évangile était en raison de la dépréciation de l’anabaptiste de celui-ci. Les anabaptistes pratiquement annulé la parole de Dieu comme un moyen de la grâce et a insisté sur ce qu’ils appelaient le mot interne, la « lumière intérieure » et l’illumination du Saint-Esprit. Pour eux, le mot externe se mais la lettre qui tue, alors que le mot interne est esprit et vie. Appel externe signifiait peu ou rien dans leur régime. La distinction entre les appels internes et externes se trouve déjà chez Augustin, était empruntée à lui par Calvin et donc importante dans la théologie réformée. Selon Calvin, l’appel de l’Évangile n’est pas en soi efficace, mais est rendu efficace par l’opération du Saint-Esprit, lorsque rachetés, il s’applique le mot au coeur de l’homme; et elle est donc appliquée seulement dans les coeurs et les vies des élus. Le salut de l’homme reste donc le œuvre de Dieu dès le début. Dieu par sa grâce salvatrice, non seulement permet, mais provoque l’homme pour répondre à l’appel de l’Évangile pour le salut. Les arminiens étaient pas satisfaits de cette position, mais pratiquement tournés le dos à la semi pélagianisme de l’église catholique romaine. Selon eux, la Déclaration universelle de l’Évangile s’accompagne d’une universelle grâce suffisante, — « aimable assistance octroyée en réalité et universellement, suffisante pour permettre à tous les hommes, s’ils le souhaitent, de parvenir à la pleine possession du spirituel bénédictions et finalement vers le salut. » [Cunningham, Hist. théol. II, p. 396.] Le œuvre du Salut est une fois de plus subordonné à l’homme. Ceci a marqué le début d’un retour rationaliste au poste pélagienne, qui rejette totalement la nécessité d’une opération interne de l’Esprit Saint pour le salut.

C. APPEL EXTERNE.

La Bible n’utilise pas le terme « externe », mais parle clairement d’une vocation qui n’est pas efficace. Il est présupposé dans la grande commission, car elle se trouve dans Marc 16:15, 16, « allez par tout le monde et prêchez l’Evangile à toute la création. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé; « mais celui qui disbelieveth sera condamné. » La parabole des noces dans Matthieu 22:2-14 enseigne clairement que certains qui ont été invitées ne sont pas venu et se termine par les mots célèbres: « car beaucoup sont appelés, mais peu d’élus. » La même leçon est enseignée dans la parabole du grand dîner, Luc 14:16-24. D’autres passages parlent explicitement d’un rejet de l’Évangile, Jean 03:36; Actes 13:46; II Thess. 1:8. D’autres parlent encore du péché terrible de l’incrédulité d’une manière qui indique clairement qu’il a été commis par certains, Matthieu 10:15; 11:21-24; John 05:40; 16:8, 9; J’ai John 05:10. L’appel externe consiste en la présentation et l’offre de salut dans le Christ aux pécheurs, ainsi qu’une exhortation sérieuse d’accepter Christ par la foi, afin d’obtenir le pardon des péchés et la vie éternelle.

1. LES ÉLÉMENTS QUI Y SONT COMPRISES.

a. un exposé des faits Évangile et de la doctrine de la rédemption. La voie de la rédemption a révélé dans le Christ doivent-elles être énoncée clairement dans toutes ses relations. Plan de Dieu de la rédemption, le œuvre salvifique du Christ et le renouvellement et de transformation des activités de l’Esprit Saint, doit être interprété dans leurs relations mutuelles. Il convient d’avoir à l’esprit, cependant, qu’une simple présentation des vérités de la rédemption, peu importe comment bien fait, fait pas encore constitue l’appel de l’Évangile. Il est non seulement fondamentale pour elle, mais encore constitue une partie très importante de celui-ci. En même temps, il n’est en aucun cas l’ensemble de cet appel. Selon notre conception réformée, les éléments suivants appartiennent également à elle.

b. une invitation à accepter le Christ dans la repentance et de foi. La représentation de la voie du Salut doit être complétée par une invitation sincère (II Cor. 05:11, 20) et même une commande solennelle (John 06:28, 29; Actes 19:4) de se repentir et de croire, c'est-à-dire accepter Christ par la foi. Mais, afin que cette venue à Christ ne peut pas être comprise dans un sens superficiel, il est souvent représenté par revivalistes, la vraie nature de la repentance et la foi nécessaires devrait être clairement énoncée. Il convient tout à fait clair que le pécheur ne peut de lui-même vraiment Repentez-vous et croyez, mais que c’est Dieu qui opère en lui « et le vouloir et travaillé, pour son bon plaisir. »

c. une promesse de pardon et de Salut. L’appel externe contient également une promesse d’acceptation pour tous ceux qui remplissent les conditions, pas de leur force, mais par la puissance de la grâce de Dieu forgé dans leurs cœurs par le Saint-Esprit. Elles qui, par la grâce de se repentir de leurs péchés et accepter le Christ par la foi reçoivent l’assurance du pardon des péchés et du salut éternel. Cette promesse, il doit être remarqué, n’est jamais absolue, mais toujours conditionnel. Personne ne peut attendre son accomplissement, sauf dans le sentier d’une foi et le repentir qui est véritablement forgé par Dieu.

Du fait que ces éléments sont inclus dans l’appel externe, on peut facilement en déduire que ceux qui rejettent l’Évangile ne consiste pas seulement refusent de croire certains faits et idées, mais résister le fonctionnement général de l’Esprit Saint, qui est lié à cet appel et se sont rendus coupables du péché de désobéissance obstinée. Par leur refus d’accepter l’Évangile, ils augmentent leur responsabilité et chérir en colère pour eux-mêmes, au jour du jugement, Rom. 2:4, 5. Que les éléments ci-dessus sont effectivement incluses dans l’appel externe, est tout à fait évident à partir des passages suivants des Ecritures: (a) selon les actes 20:27 Paul considère que la déclaration de tout le Conseil de Dieu, dans le cadre de l’appel; et dans Éphésiens 3:7-11, il raconte quelques détails dont il avait déclaré: les lecteurs. b exemples de l’appel à se repentir et croire se trouvent dans ces passages comme Ézéchiel 33: 11; Marquer à 01:15; John 06:29; II Corinthiens 05:20. (c) et la promesse est contenue dans les passages suivants, John 03:16-18,36; 05:24, 40.[Cf. aussi les Canons de Dordrecht II, 5, 6; III et IV, 8.]

2. LES CARACTÉRISTIQUES DES APPELS EXTERNES.

a. c’est général ou universel. Cela ne veut ne pas être pris dans le sens où il a été soutenu par certains des vieilles théologiens luthériens, à savoir, que cet appel a été porté à tous les vivants plus d’une fois dans le passé, comme, par exemple, à l’époque d’Adam, dans celui de Noé et à l’époque des apôtres. McPherson a bien dit: « un appel universel de ce genre n’est pas un fait, mais une simple théorie inventée dans un but. » [Chr. dogme. p. 377.] Dans cette représentation les termes « générales » ou « universels » ne servent pas dans le sens dans lequel ils sont destinés, quand on dit que l’appel de l’Évangile est général ou universel. En outre, la représentation est au moins en partie à l’encontre de fait. Appel externe est en général seulement dans le sens qu’il s’agit de tous les hommes à qui l’Évangile est prêché, sans discernement. Il n’est pas limité à n’importe quel âge ou la nation ou la classe d’hommes. Il s’agit à la fois juste et l’injuste, les élus et les réprouvés. Les passages suivants témoignent de la nature générale de cet appel: 55:1 d’Ésaïe, « Ho, tout le monde qui paraîtrai-je, venez aux eaux et il a pas d’argent; certains ye, achetez et mangez; Oui, viens, acheter vin et du lait sans argent et sans prix, » cf. aussi versets 6,7. Dans le cadre de ce passage, on pourrait dire en théorie que seuls pécheurs spirituellement qualifiés sont appelés; mais cela ne peut certainement pas dire d’Ésaïe 45:22, « regardez à moi, et vous serez sauvés, toutes les extrémités de la terre; car je suis Dieu, et il n’y a point d’autre. » Certains interprètent également l’invitation familière de Jésus dans Matthieu 11:28, « Venez à moi, tous vous qui travail êtes fatigués et chargés et je vous donnerai le repos, » comme limiter tel que sont véritablement préoccupé par leurs péchés et vraiment repenti; mais il n’y a aucun mandat pour une telle limitation. Le dernier livre de la Bible se termine par une belle invitation générale: « et l’esprit et l’épouse disent, viens. Et celui qui écoute, laissez-le dire, venir. Et que celui qui est avide, viennent: celui qui, permettra de lui prendre de l’eau de vie librement, » 22:17. Que l’invitation de l’Évangile n’est pas limitée aux élus, comme une cale, est tout à fait évident de tels passages comme PS. 81:11-13; Prov. 01:24-26; Ézéchiel 03:19; Matthieu 22:2-8,14; Luc 14:16-24.

Le caractère général de cet appel est aussi enseigné dans les Canons de Dordrecht. [II, 5; III et IV, 8.] Encore cette doctrine rencontré à plusieurs reprises l’opposition par des individus et des groupes dans les Églises réformées. Dans l’Église écossaise du XVIIe siècle certains a refusé l’invitation sans discernement et offre de tout Salut, tandis que d’autres voulaient limiter aux confins de l’église visible. Par rapport à ceux-ci les hommes de la moelle osseuse, telles que Boston et les Erskines, défendaient. Aux Pays-Bas, ce point a été contesté surtout au XVIIIe siècle. Ils qui ont maintenu l’offre universelle étaient appelés les prédicateurs de la nouvelle lumière, alors qu’ils qui a défendu l’offre particulière, l’offre à ceux qui ont déjà témoigné d’une mesure de grâce spéciale et pourrait donc être comptée parmi les élus, ont été connu comme les prédicateurs de la lumière vieux. Même de nos jours, nous rencontrons occasionnellement avec l’opposition sur ce point. Il est dit qu’une telle invitation générale et l’offre est incompatible avec la doctrine de la prédestination et de l’expiation particulière, doctrines qui, on pense, le prédicateur doit prendre son point de départ. Mais la Bible n’enseigne pas que le prédicateur de l’Evangile doit prendre son point de départ de ces doctrines, aussi importantes soient-elles. Son point de départ et le mandat se situent dans la commission de son roi: « allez par tout le monde et prêchez l’Évangile à toute créature. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé: mais celui qui ne croira pas sera condamné. » Marc 16:15, 16. En outre, c’est une impossibilité absolue que n’importe qui, en prêchant l’Évangile, devrait se limiter aux élus, comme certains voudraient nous faire faire, car il ne sait pas qui ils sont. Jésus ne savaient pas eux, mais il ne limitait pas si l’offre de Salut, Matthieu 22:3-8,14; Luc 14:16-21; Jean 05:38-40. Il y aurait une contradiction réelle entre les doctrines réformées de la prédestination et expiation particulière d’une part, et l’universel offre du Salut, en revanche, si cette offre contenait la déclaration que Dieu voulait sauver chaque individu auditeur de l’Évangile et que Christ vraiment expié les péchés de chacun d’eux. Mais l’invitation de l’Évangile n’implique aucune telle déclaration. C’est une remise gracieuse d’accepter Christ par la foi et une promesse conditionnelle du Salut. La condition est remplie uniquement dans les élus, et par conséquent ils n’obtiennent la vie éternelle.

b. c’est une véritable vocation. L’appel externe est une vocation de bonne foi, une vocation qui est destinée au sérieux. Il n’est pas une invitation couplée avec l’espoir qu’il ne sera pas accepté. Quand Dieu appelle le pécheur d’accepter Christ par la foi, il désire ardemment cela; et quand il promet à ceux qui se repentent et croient à la vie éternelle, sa promesse est fiable. Cela découle de la nature, de la véracité, de Dieu. C’est un blasphème à penser que Dieu serait coupable d’équivoque et tromperie, qu’il disent une chose et signifier à l’autre, qu’il serait sérieusement plaider avec le pécheur de se repentir et de croire au Salut et en même temps le désirent pas dans tout les sens du terme. Le caractère authentique de l’appel externe est prouvé par les passages suivants des Ecritures: nombres 23:19; PS. 81:13-16; Prov. 01:24; Ésaïe 01:18-20; Ézéchiel 18:23, 32; 33: 11; Matthieu 21:37; II Timothée 02:13. Les Canons de Dordrecht il affirment aussi explicitement aux III et IV, 8. Plusieurs objections ont été offertes à l’idée d’une telle offre de bona fide du Salut. (1) une objection est dérivée de la véracité de Dieu. Il est dit que, selon cette doctrine, il offre le pardon des péchés et la vie éternelle à ceux pour lesquels il n’est pas destiné ces cadeaux. On ne faut pas nier qu’il y a une réelle Difficulté à ce stade, mais il s’agit de la difficulté avec laquelle nous sommes confrontés toujours, lorsque nous cherchons à harmoniser les decretive et la volonté d’adopter de Dieu, une difficulté qui, même les opposants ne peuvent pas résoudre et souvent simplement j’ai gnore. Pourtant on ne peut pas supposer que les deux sont vraiment contradictoires. La volonté decretive de Dieu détermine ce qui arrivera très certainement (sans nécessairement impliquer que Dieu prend vraiment plaisir à tout cela, comme, par exemple, dans toutes sortes de péché), tandis que l’adopter est la règle de l’homme de la vie, afin de l’informer quant à ce qui est bien ple asing aux yeux de Dieu. En outre, il convient de garder à l’esprit que Dieu n’offre pas de pécheurs le pardon des péchés et la vie éternelle sans condition, mais seulement dans le sentier de foi et la conversion; et que la justice du Christ, bien que non destiné à tous, n’est encore suffisante pour tous. (2) une seconde objection est dérivée de l’incapacité spirituelle de l’homme. L’homme, tel qu’il est par nature, ne peuvent pas croire et se repentir, et donc il ressemble à la moquerie de demander cela de lui. Mais dans le cadre de cette objection, on retiendra que, en dernière analyse, incapacité de l’homme dans les choses spirituelles est enracinée dans son refus de servir Dieu. L’état réel des choses est pas telle que beaucoup voudraient se repentir et de croire au Christ, s’ils pouvaient seulement. Tous ceux qui ne croient pas ne sont pas prêts à croire, John 05:40. En outre, c’est pas plus déraisonnable d’exiger le repentir et la foi dans le Christ, des hommes que c’est d’exiger d’eux qu’ils observent la Loi. Très irrégulière, certains de ceux qui s’opposent à l’offre générale du Salut sur la base d’incapacité spirituelle de l’homme, n’hésitez pas à placer le pécheur devant les exigences de la Loi et même insister sur cette opération.

3. L’IMPORTANCE DES APPELS EXTERNES. La question peut être posée, pourquoi Dieu vient à tous les hommes sans distinction, y compris même les réprouvés, avec l’offre du Salut. Cet appel externe répond à plus d’un but.

a. en elle Dieu maintient sa revendication sur le pécheur. Comme le souverain maître de l’univers qu’il a le droit — et il s’agit d’une question de droit absolu — au service de l’homme. Et si l’homme arracha de Dieu dans le péché et est maintenant incapable de rendre obéissance spirituelle à son souverain légitime, sa transgression volontaire abrogent pas la réclamation de Dieu au service de ses créatures rationnelles. Le droit de Dieu à une obéissance absolue demande reste, et il a fait valoir ce droit dans la Loi et l’Évangile. Ses prétentions sur l’homme s’exprime aussi dans l’appel à la foi et le repentir. Et si l’homme ne pas tenir compte de cet appel, il ne tient pas compte et offense la juste revendication de Dieu et augmente ainsi sa culpabilité.

b. c’est le moyen divinement désigné d’amener des pécheurs à la conversion. En d’autres termes, c’est le moyen par lequel Dieu rassemble les élus sur les nations de la terre. Comme tel il doit nécessairement être général ou universel, car aucun homme ne peut signaler les élus. Le résultat final est, bien sûr, que les élus et ils acceptent seulement, Christ par la foi. Cela ne signifie pas que les missionnaires peuvent sortir et donner leurs auditeurs l’assurance que le Christ est mort pour chacun d'entre eux et que Dieu a l’intention d’enregistrer chacun d’eux; mais cela ne veut pas dire qu’ils peuvent apporter la joyeuse nouvelle que Christ est mort pour les pécheurs, qu’il les invite à venir à lui, et qu’il offre le Salut à tous ceux qui vraiment ne se repentent de leurs péchés et accepter de lui avec une foi vivante.

c. c’est aussi une révélation de la sainteté de Dieu, la bonté et de compassion. En vertu de sa sainteté, Dieu dissuade les pécheurs dans le monde du péché et en vertu de sa bonté et sa miséricorde, il les met en garde contre l’autodestruction, reporte l’exécution de la peine de mort et les bénit avec l’offre du Salut. Il n’y a aucun doute que cette offre gracieuse n’est en soi une bénédiction et pas, comme certains aurait-il, une malédiction pour les pécheurs. Clairement, il révèle la compassion divine pour eux et est donc représenté dans la parole de Dieu, PS. 81:13; Prov. 01:24; Ézéchiel 18:23, 32; 33: 11; Amos 08:11; Matthieu 11:20-24; 23:37. en même temps il est vrai que l’homme par son opposition à celle-ci peut tourner même cette bénédiction en une malédiction. Il naturellement augmente la responsabilité du pécheur et, si pas accepté et amélioré, augmentera son jugement.

d. Enfin, elle accentue clairement la justice de Dieu. Si même la révélation de Dieu dans la nature a pour objectif de prévenir toute excuse quels pécheurs pourraient être enclins à faire, Rom. 01:20, c’est d’autant plu vrai de la révélation spéciale de la voie du Salut. Lorsque les pécheurs méprisent l’abstention de Dieu et de rejettent son offre gracieuse du Salut, la grandeur de leur corruption et de la culpabilité et la justice de Dieu dans leur condamnation, se distingue dans la lumière plus claire.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Dans quels cas les réformés suppose que régénération précède l’appel même externe ? Comment ils se connectent-ils appelant externe vers le haut avec la doctrine de l'Alliance ? Pour quelles raisons les arminiens lors du Synode de Dordrecht n’affirment que les Églises réformées pourraient enseigner pas toujours que Dieu appelle gravement pécheurs aveuglément au Salut ? Comment les catholiques romains conçoivent l’appel par le mot ? Quelle est la conception luthérienne de la vocation ? Est-il correct de dire (avec Alexandre, Syst. Theol. II, p. 357 ff.) que le mot lui-même est suffisant pour effectuer un changement spirituel, et que le Saint-Esprit supprime simplement l’obstruction à sa réception ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 1-15; Ibid., Roeping fr Wedergeboorte Kuyper, Dict. dogme., De Salute, pp. 84-92; Faire, Godgeleerdheit III, pp. 192-214 à Marck, Godgeleerdheid, pp. 649-651; Witsius, De Verbonden III, ch. 5; Hodge, Syst. Theol II. pp. 639-653; Dabney, théologie., pp. 553-559; Schmid, Doct. THEOL., pp. 448-456; Valentine Chr. Theol. II, p. 194 et 204; Pape, Chr. Theol. II, p. 335-347; W. Alexander L., syst. de la Bibl. Theol. II, p. 357-361.

 

VI. la Régénération et l'Appel efficace

A. LES TERMES BIBLIQUES POUR LA RÉGÉNÉRATION ET LEURS IMPLICATIONS.

1. LES TERMES QUI ENTRENT EN CONSIDÉRATION. Le mot grec pour « régénération » (palingenesia) se trouve uniquement dans Matthieu 19:28 et Tite 3:5; et que dans le dernier passage nommé fait allusion au début de la nouvelle vie dans le chrétien individuel. L’idée de ce début est plus souvent exprimée par le verbe gennao (avec anothen dans Jean 3:3), ou son compositum anagennao. Ces mots signifient d’engendrer, à engendrer à nouveauou de porter ou de donner naissance, John 01:13; 3:3, 4, 5, 6, 7, 8; J’ai PET. 01:23; J’ai John 02:29; 3:9; 4:7; 5:1, 4, 18. dans un passage, à savoir, Jas. 01:18, le mot apokueo, supporter ou enfanter, est employé. Par ailleurs, la pensée de la production d’une nouvelle vie est exprimée par le mot ktizo, pour créer, Éphésiens 02:10, et le produit de cette création est appelé un ktisis kaine (une nouvelle créature), II Corinthiens 05:17; GAL 06:15, ou un anthropos kainos (un homme nouveau), Éphésiens 04:24. Enfin, le terme suzoopoieo, à faire vivre avec, à s’accélérer avec, est également utilisé dans quelques passages, Éphésiens 2:5; 02:13.

2. LES IMPLICATIONS DE CES TERMES. Ces conditions portent avec eux plusieurs conséquences importantes, dont l’attention doit être adressée. a la régénération est une œuvre créatrice de Dieu et est donc une œuvre dans laquelle l’homme est purement passiveet dans lequel il y a pas de place pour la coopération humaine. Il s’agit d’un point très important, car il insiste sur le fait que le salut est entièrement de Dieu. (b) le œuvre créatrice de Dieu produit une nouvelle vie, en vertu duquel l’homme, a fait revivre avec le Christ, partage la vie de résurrection et peut être appelée une nouvelle créature, « créé dans le Christ Jésus pour les bonnes oeuvres, que Dieu afore préparés que nous les pratiquions » Éphésiens 02:10. (c) deux éléments doivent être distinguées dans la régénération, à savoir, génération ou l’engendrement de la nouvelle vieet portant ou enfantement, par lequel la vie nouvelle est faite sortir de ses profondeurs cachées. Génération des implants le principe de la nouvelle vie dans l’âme, et la nouvelle naissance provoque ce principe commencer à s’affirmer dans l’action. Cette distinction est d’une grande importance à une bonne compréhension de la régénération.

B. L’UTILISATION DU TERME « RÉGÉNÉRATION » EN THÉOLOGIE.

1. DANS L’ÉGLISE PRIMITIVE ET DANS LA THÉOLOGIE CATHOLIQUE ROMAINE. Dans l’esprit de l’église primitive, le terme « régénération » n’était pas établie pour un concept bien défini. Il a été utilisé pour indiquer un changement est étroitement lié avec le lavage loin des péchés et est fait aucune distinction claire entre la justification et la régénération. Identifiées par la grâce baptismale, l’ancien a été entendu en particulier comme une désignation de la rémission du péché, même si l’idée d’une certaine rénovation morale n’était pas exclue. Augustine même n’a pas tiré une ligne pointue ici, mais distinction entre régénération et conversion. Lui régénération inclus, en plus de la rémission du péché, seulement un changement initial du cœur, suivi de la conversion par la suite. Il conçut de lui comme strictement monergistic œuvre de Dieu, dans lequel le sujet humain ne peut coopérer et que l’homme ne peut résister. Pour Pelagius, bien sûr, « régénération » ne signifiait pas la naissance d’une nouvelle nature, mais le pardon des péchés par le baptême, l’illumination de l’esprit de la vérité et la stimulation de la volonté de promesses divines. La confusion de la régénération et la justification, déjà apparente chez Augustin, est devenue encore plus prononcée dans la scolastique. En fait, justification est devenu le concept le plus important des deux, était considérée comme incluant la régénération et a été conçue comme un acte dans lequel Dieu et homme, coopérer. Justification, selon la représentation commune, inclus l’infusion de la grâce, c’est la naissance d’une nouvelle créature ou régénération et le pardon des péchés et la suppression de la culpabilité y attacher à elle. Il y avait une divergence d’opinion, cependant, Qu'au sujet de laquelle de ces deux éléments est la prius logique. Selon Thomas Aquinas l’infusion de la grâce est le premier et le pardon des péchés est, au moins dans un certain sens, sur cette base; mais selon Duns Scot le pardon du péché est le premier et est essentiel à l’infusion de la grâce. Ces deux éléments sont effectués par le baptême ex opere operato. L’avis de Thomas Aquinas a gagné le dessus dans l’église. Jusqu'à l’heure actuelle, qu'il y a une certaine confusion de régénération et de justification dans l’église catholique romaine, qui est, sans doute, en grande partie dû au fait que justification n’est pas conçue comme un acte médico-légal, mais comme un acte ou le processus de renouvellement. Dedans l’homme n’est pas déclarée mais fait juste. Wilmers dans son Manuel de la Religion chrétienne, dit: « comme justification est un renouveau spirituel et la régénération, il s’ensuit que le péché est vraiment détruit par elle et non, comme les réformateurs perpétuées, simplement couvertesou ne imputée est plus. »

2. PAR LES RÉFORMATEURS ET DANS LES ÉGLISES PROTESTANTES. Luther n’échappe pas entièrement la confusion de régénération avec justification. En outre, il a parlé de la régénération ou la nouvelle naissance dans un sens plutôt large. Calvin a également utilisé le terme dans un sens très vaste comme une désignation de l’ensemble du processus par lequel l’homme est renouvelé, notamment, outre la loi divine, qui est originaire de la nouvelle vie, aussi la conversion (repentir et la foi) et la sanctification. [Inst. III. 3.9.] plusieurs auteurs du XVIIe siècle ne parviennent pas à distinguer de la régénération et la conversion et utiliser les deux termes indifféremment, traitant de ce que nous appelons maintenant la régénération en vertu de la vocation ou effectual calling. Les Canons de Dordrecht, également utiliser les deux termes comme des synonymes,[III et IV. 11,12.] et la Confessio Belgica semble parler de régénération dans un sens encore plus large. [Art. XXIV.] cette utilisation complète de l’expression « régénération » conduite souvent à confusion et à la méconnaissance des distinctions très nécessaire. Par exemple, tandis que la régénération et la conversion ont été identifiés, la régénération a été déclarée encore pour être monergistic, en dépit du fait que dans la conversion homme certainement coopère. La distinction entre la justification et la régénération était déjà devenu plus claire, mais peu à peu, il est devenu nécessaire et coutumier aussi d’employer le terme « régénération » plus restreint sens. Turretin définit deux types de conversion: tout d’abord, une conversion « habituelle » ou passive, la production d’une aliénation ou d’habitude de l’âme, qui, fait-il remarquer, on pourrait mieux appeler « régénération »; et, deuxièmement, une conversion « réelle » ou « active », dans lequel ce implanté habitude ou disposition devenue active dans la foi et le repentir. Théologie réformée que le mot « régénération » est généralement utilisé dans un sens plus restreint, comme une désignation de cette divine acte par lequel le pécheur est doté de nouvelle vie spirituelle, et par laquelle le principe de cette nouvelle vie est le premier mis en action dans nos jours. Ainsi conçu, il inclut les deux « l'engendrement à nouveau » et la « nouvelle naissance », dans lequel la vie nouvelle devient manifeste. Dans harmonie stricte, cependant, la signification littérale du mot « régénération » le terme est parfois employé dans un sens encore plus restreint, pour désigner simplement l’implantation de la nouvelle vie dans l’âme, mis à part les premières manifestations de cette vie. Dans la théologie libérale moderne le terme « régénération "a acquis une signification différente. Schleiermacher distingue deux aspects de la régénération, à savoir, la conversion et la justification et qui s’est tenue cette régénération en « une nouvelle conscience religieuse est produite dans le croyant par l’esprit chrétien commun de la communauté et la nouvelle vie, ou ' sanctification, "est prête pour. » (Pfleiderer.) Cet « esprit de la communauté chrétiens » est le résultat d’un afflux de la vie divine, à travers Christ, dans l’église et est appelé « le Saint-Esprit » par Schleiermacher. La vision moderne est bien énoncée dans ces paroles de Youtz: « interprétation moderne incline revenir à l’utilisation symbolique de la conception de régénération. Nos réalités éthiques traitent de personnages transformés. Régénération exprime donc un changement radical, vital, éthique, plutôt que d’un début de métaphysique absolument nouveau. La régénération est une étape très importante dans le développement naturel de la vie spirituelle, un réajustement radical aux processus morales de la vie. » [Un Dictionary of Religion and Ethics, Art. Régénération.] Les étudiants de la psychologie de la Religion échouent généralement d’établir une distinction entre la régénération et la conversion. Ils considèrent comme un processus dans l’attitude de l’homme qui à l’évolution de la vie de l’autocentric à la heterocentric. Il trouve son explication principalement dans la vie de subconscient et n’implique pas nécessairement quelque chose de surnaturel. James dit: « être convertis, être régénéré, pour recevoir la grâce, de vivre la religion, afin d’obtenir une assurance, sont tellement de phrases qui désignent le processus, progressif ou soudain, par lequel un individu jusqu’ici divisé et consciemment mauvais, inférieur et malheureux, devient unifiée et consciemment droite, supérieure et heureux, par suite de son emprise plus ferme sur les réalités religieuses. » [Variétés de l’expérience religieuse, p. 189.] Selon Clark, « étudiants ont convenu pour discerner trois différentes étapes de conversion: (1) une période de « storm and stress, » ou le sens du péché, ou sentiment de disharmonie vers l’intérieur, à la théologie connu sous le nom « condamnation du péché » et désigné par James comme « maladie de l’âme. » (2) une crise émotionnelle qui marque un tournant décisif. (3) une relaxation succédant assistée par un sentiment de paix, repos, harmonie intérieure, acceptation par Dieu et pas rarement moteur et sensoriels réflexes de toutes sortes. » [La psychologie de l’éveil religieux, p. 38.]

C. LA NATURE ESSENTIELLE DE LA RÉGÉNÉRATION.

Par rapport à la nature de la régénération il sont plusieurs idées fausses qui devraient être évitées. Il serait bien de mentionner ces premier, avant les qualités positives de cette re-création de Dieu.

1. LES IDÉES FAUSSES. a la régénération n’est pas un changement dans la substance de la nature humaine, tel qu’enseigné par le Manichæans et dans les jours de la réformation par Flacius Illyricus, qui a conçu du péché originel en tant que substance, être remplacée par une autre substance dans la régénération. Aucune nouvelle semence physique ou le germe n’est implanté chez l’homme; n’y a-t-il plus de, ou soustraction de, les facultés de l’âme. (b) il n’est pas simplement un changement dans un ou plusieurs des facultés de la âme, comme, par exemple, de la vie émotionnelle (sentiment ou coeur), en enlevant l’aversion à la divine des choses, comme certains évangéliques conçoivent; ou de l’intellect, en éclairant l’esprit qui est obscurcie par le péché, comme les Rationalistes ont tenu à elle. Elle affecte le coeur, compris dans le sens biblique du terme, c'est-à-dire comme l’organe central et tout contrôle de l’âme, que qui sont les enjeux de la vie. Cela signifie qu’il affecte la nature humaine dans son ensemble. (c) n’est pas un changement complet ou parfait de la nature de l’homme, ou de toute partie de celui-ci, afin qu’il soit pas plus capable du péché, tel qu’enseigné par les anabaptistes extrêmes et certaines autres sectes fanatiques. Cela ne signifie pas qu’il n’affecte en principe toute la nature de l’homme, mais seulement qu’il n’est pas le tout changement qui est forgé chez l’homme par l’opération du Saint-Esprit. Il ne comporte pas de conversion et sanctification.

2. LES CARACTÉRISTIQUES POSITIFS DE LA RÉGÉNÉRATION. Les affirmations positives suivantes peuvent être effectuées en respectant la régénération:

a. régénération consiste en l’implantation du principe de la nouvelle vie spirituelle chez l’homme, dans un changement radical de la disposition applicable de l’âme, qui, sous l’influence de l’Esprit-Saint donne naissance à une vie qui se déplace dans une direction Godward. En principe, cette modification affecte tout l’homme: l’intellect, I Cor. 02:14, 15; II Cor. 4:6; EP 01:18; 03:10; la volonté, PS. 110:3; Phil. 02:13; II Thess. 3:5; Hébreux 13:21; et les sentiments ou les émotions, Psaume 42: 1, 2; Matthieu 5:4; I Pierre 1:8.

b. c’est un changement instantané de la nature de l’homme, qui touchent à la fois tout l’homme, intellectuel, affectif et moral. L’affirmation que la régénération est un changement instantané implique deux choses: (1) qu’il n’est pas un travail que prépare peu à peu dans l’âme, comme l’enseignent les catholiques romains et toutes les Semi-pélagiens; Il n’y a aucune étape intermédiaire entre la vie et la mort; on vit ou est morte; et (2) qu’il n’est pas un processus graduel comme sanctification. Il est vrai que certains auteurs réformées ont parfois utilisé le terme « régénération » comme comprenant la sanctification même, mais qui était à l’époque où l' ordo salutis n’était pas aussi pleinement développée comme il est aujourd'hui.

c. c’est dans son sens le plus restreint d’un changement qui se produit dans le sub- vieconsciente . C’est un travail secret et impénétrable de Dieu qui n’est jamais directement perçu par l’homme. Le changement peut avoir lieu sans être homme conscient momentanément, même si ce n’est pas le cas lors de la régénération et la conversion en question; et même plus tard, l’il peut percevoir que dans ses effets. C’est ce qui explique le fait qu’un chrétien mai, d’une part, luttent depuis longtemps avec les doutes et les incertitudes et peut encore, en revanche, progressivement surmonter ces et élever jusqu’aux hauteurs d’assurance.

3. DÉFINITION DE LA RÉGÉNÉRATION. De ce qui a été dit au cours des précédentes concernant l’utilisation actuelle du terme « régénération », il s’ensuit que la régénération peut être définie de deux manières. Au sens strict du mot, nous pouvons dire: régénération est cet acte de Dieu, par lequel le principe de la nouvelle vie est implanté chez l’homme, et la disposition applicable de l’âme est sanctifiée. Mais afin d’y inclure l’idée de la nouvelle naissance, ainsi que celle de l’engendrement « à nouveau », il sera nécessaire de compléter la définition avec les mots suivants:... «et le premier exercice sacré de cette nouvelle disposition est sécurisé. »

D. L'APPEL EFFICACE EN CE QUI CONCERNE LES APPELS EXTERNES ET DE RÉGÉNÉRATION.

1. SON LIEN INDISSOLUBLE AVEC L’APPEL EXTERNE. L’appel de Dieu peut être considéré comme l’un, et la distinction entre l’externe et une interne ou effectual appelant simplement attire l’attention sur le fait que cet une appel a deux aspects. Cela ne signifie pas que ces deux aspects sont toujours Unis et vont toujours de pair. Nous aver pas avec les luthériens que « l’appel interne est toujours parallèlement à l’audition de la parole. » [Valentine, Chr. théol. II, f. p. 197] Cela signifie, cependant, que lorsque l’appel interne vient aux adultes, il est véhiculé par la prédication de la parole. C’est le même mot qui est entendue dans l’appel externe, et qui est rendu efficace en plein dans l’appel interne. Grâce à l’application puissante de l’Esprit Saint, l’appel externe passe juste en interne. [Bavinck, Roeping fr Wedergeboorte, p. 215.] Mais alors que cet appel est étroitement lié à l’appel externe et forme une unité avec elle, il y a certains points de divergence: (a) il est une vocation par la parole, rachetés appliqué par l’opération du Saint-Esprit, I Cor. 01:23, 24; I Pierre 2:9; (b) il est un puissant appel, autrement dit, une vocation qui est valable pour le Salut, actes 13:48; J’ai Cor. 01:23, 24; et (c), il est sans repentance, autrement dit, c’est un appel qui n’est pas sujet à changement et c’est jamais retirée, Rom. 11:29.

2. CARACTÉRISTIQUES DE L’APPEL INTERNE. À noter les caractéristiques suivantes:

a. elle fonctionne par persuasion morale plus l’opération puissante de l’Esprit Saint. La question se pose, si cet appel (par opposition à régénération) la parole de Dieu travaille d’une manière créative, ou de persuasion morale. Maintenant, il n’y a aucun doute à ce sujet que la parole de Dieu est parfois dit de travailler de manière créative, Genèse 1:3; PS. 33: 6, 9; 147:15; ROM. 04:17 (bien que cela peut être interprété différemment). Mais ces passages se réfèrent à la parole de la puissance de Dieu, à son commandement qui fait autorité et non à la parole de la prédication qui nous intéresse ici. L’esprit de Dieu opère par le biais de la prédication de la parole d’une manière moralement persuasive, rendant ses convictions efficace, afin que l’homme écoute la voix de son Dieu. Cela découle de la nature même de la parole, qui s’adresse à la compréhension et la volonté. [Bavinck, Roeping fr Wedergeboorte, p. 217,219,221.] Il faut avoir à l’esprit, cependant, que cette persuasion morale ne constitue pas encore l’ensemble de l’appel interne; il doit y avoir en plus de cela une opération puissante de l’Esprit Saint, en appliquant le mot vers le cœur.

b. elle intervient dans la vie consciente de l’homme. Ce point est plus intimement lié à la précédente. Si le mot de la prédication ne fonctionne pas de façon créative, mais seulement de façon morale et persuasive, il s’ensuit qu’il peut fonctionner que dans la vie consciente de l’homme. Il aborde la compréhension, qui confère à l’esprit avec clairvoyance spirituelle dans la vérité et grâce à la compréhension des influences la volonté efficacement, afin que le pécheur se tourne vers Dieu. L’appel interne nécessairement émet en conversion, c'est-à-dire dans une conscience tourner loin du péché dans le sens de la sainteté.

c. elle est téléologique. Appel interne est d’un caractère téléologique, c'est-à-dire, il appelle l’homme à une certaine fin: pour le grand objectif auquel l’Esprit Saint est à la tête des élus, et, par conséquent aussi pour les stades intermédiaires sur le chemin de ce destin final. C’est une vocation à la communion de Jésus Christ, j’ai Cor. 1:9; d’hériter la bénédiction, j’ai PET. 3:9; à la liberté, gal 05:13; à la paix, j’ai Cor. 07:15; à la sainteté, j’ai Thess. 4:7; à une seule espérance, Éphésiens 4:4; à la vie éternelle, je Timothée 06:12; et pour le Royaume de Dieu et la gloire, j’ai th. 02:12.

3. LA RELATION ENTRE L'APPEL EFFICACE ET L'APPEL À LA RÉGÉNÉRATION.

a. l’identification des deux dans la théologie du XVIIe siècle. C’est un fait bien connu que, à la régénération et la vocation efficace de théologie du XVIIe siècle, sont souvent identifiés, ou si pas entièrement identifié, puis au moins en jusqu'à présent cette régénération est considérée comme inclus dans l’appel. Plusieurs des théologiens plus âgés ont un chapitre distinct sur les appels, mais aucun sur la régénération. Selon la Confession de Westminster, X. 2, effectual calling comprend la régénération. Ce point de vue trouve une justification dans le fait que Paul, qui utilise le terme « régénération », mais une fois, de toute évidence conçoit de celui-ci comme inclus dans l’appel en Rom. 08:30. En outre, il y a un sens dans lequel appel et la régénération sont liés comme cause et effet. Il faut avoir à l’esprit, cependant, qu’en parlant d’appel y compris, ou comme étant un lien causal, à la régénération, nous n’avons pas à l’esprit simplement ce qu’on appelle techniquement interne ou appel efficace, mais appelant en général, y compris même un créatif l’appel. L’utilisation intensive en période post-réforme du terme « appel » plutôt que « régénération, » pour désigner le commencement des travaux de la grâce dans la vie des pécheurs, était due à un désir de souligner le lien étroit entre la parole de Dieu et de l’exploitation de sa grâce. Et la prévalence du terme « appel » à l’âge apostolique trouve son explication et une justification dans le fait que, dans le cas de ceux qui étaient dans cette période missionnaire que se sont réunie dans l’église, régénération et effectual calling étaient généralement simultanées, alors que la modification a été reflétée dans leur vie consciente comme un appel puissant de Dieu. Dans une présentation systématique de la vérité, cependant, nous devons soigneusement distinguer appel et régénération.

b. Points de différence entre régénération et prendre l’appel. Régénération au sens strict du terme, c'est-à-dire comme l’engendrement encore une fois, prend place dans la vie le subconscient de l’homme et est tout à fait indépendante de toute attitude qu’il peut assumer par rapport à elle. L’appel, d’autre part, s’adresse à la conscience et implique une certaine disposition de la vie consciente. Cela découle le fait que régénération travaille de l’intérieur, tandis que l’appel provient sans. Dans le cas des enfants, on parle de régénération plutôt que d’appeler. Par ailleurs, la régénération est un créateur, une opération hyper-physique de l’Esprit Saint, par qui l’homme est ramené d’une condition dans un autre, d’un état de mort spirituelle dans une condition de vie spirituelle. Effectual calling, en revanche, est téléologique, dessine la nouvelle vie et elle pointe en direction de Dieu-ward. Il sécurise les exercices de la nouvelle disposition et apporte la vie nouvelle dans l’action.

c. l’ordre relatif des appels et de la régénération. C’est peut-être mieux comprise, si nous notons les étapes suivantes: (1) logiquement, l’appel externe à la prédication de la parole (sauf dans le cas des enfants) généralement précède ou coïncide avec l’opération du Saint-Esprit, par lequel la vie nouvelle est produite dans le âme de l’homme. (2) puis par une parole créatrice Dieu génère la nouvelle vie, changer la disposition intérieure de l’âme, illuminant le mental, éveiller les sentiments et renouvelant la volonté. Dans cette loi de Dieu, que l’oreille est implanté qui permet à l’homme d’entendre l’appel de Dieu pour le salut de son âme. Il s’agit de régénération dans le sens plus restreint du mot. En elle l’homme est entièrement passive. (3) ayant reçu l’oreille spirituelle, l’appel de Dieu dans l’Évangile est maintenant entendue par le pécheur et est rappelée efficacement vers le cœur. Le désir de résister a été remplacé par un désir d’obéir, et le pécheur cède à l’influence persuasive de la parole par l’opération du Saint-Esprit. Il s’agit de l’appel efficace par l’intermédiaire de la parole de la prédication, effectivement appliquée par l’esprit de Dieu. (4) le présent appel efficace, enfin, assure, par l’intermédiaire de la vérité comme moyen, les premiers exercices de Saints de la nouvelle disposition qui naît dans l’âme. La nouvelle vie commence à se manifester; les questions de vie implanté dans la nouvelle naissance. Il s’agit de l’achèvement des travaux de régénération au sens large du mot et le point où il se transforme en conversion.

Maintenant nous ne devrions pas faire l’erreur de considérer cet ordre logique comme un ordre temporel qui s’appliquera dans tous les cas. La nouvelle vie est souvent implantée dans le cœur des enfants longtemps avant qu’ils soient en mesure d’entendre l’appel de l’Évangile; Pourtant, elles sont dotées de cette vie seulement où l’Évangile est prêché. Il y a, bien sûr, toujours un appel créatrice de Dieu, par lequel la vie nouvelle est produite. Dans le cas de ceux qui vivent sous l’administration de l’Évangile, la possibilité existe qu’ils reçoivent la semence de régénération longue avant d’arriver aux années de son pouvoir discrétionnaire et donc aussi longue avant que l’appel efficace pénètre à leur conscience. Il est très peu probable, cependant, que, étant régénérés, ils vivent dans le péché pendant des années, même après que qu’ils en sont venus à maturité et ne donner aucune preuve du tout de la vie nouvelle qui est en eux. En revanche, dans le cas de ceux qui ne vivent pas sous l’administration de l’Alliance, il n’y a aucune raison de supposer un intervalle entre le moment de leur régénération et celle de leur vocation efficace. Dans l’appel efficace, ils deviennent à la fois conscients de leur renouvellement et immédiatement trouver la graine de germer dans la nouvelle vie de régénération. Cela signifie que la régénération, appel efficace et conversion tous coïncident.

E. LA NÉCESSITÉ D’UNE RÉGÉNÉRATION.

1. CETTE NÉCESSITÉ EST NIÉE PAR LA THÉOLOGIE LIBÉRALE MODERNE. La nécessité d’une régénération, comme cela est interprété par the Christian Church, est naturellement refusée en théologie libérale moderne. Il n’est pas en accord avec l’enseignement de Rousseau, dont l’homme est par nature bon. Tout changement radical ou un revirement complet dans la vie d’un homme qui est essentiellement bon, serait un changement pour le pire. Libéraux parle du Salut par le caractère et la régénération seule dont ils savent est une régénération conçue comme « une étape essentielle dans le développement naturel de la vie spirituelle, un réajustement radical aux processus morales de la vie ». (Youtz.) Beaucoup enseignent une série de renouvellements de l’éthiques. Emerton dit: « le personnage ainsi acquise et prouvé et tenue rapide est rédemption. Il n’y a aucune autre définition digne du mot. C’est la rédemption du soi inférieur de l’homme par la domination de son moi supérieur. C’est le spirituel, racheter le matériel, le divin qui est en chaque homme rédemptrice de l’animal. » [Unitarienne pensé, p. 193.]

2. ELLE RÉSULTE DE CE QUE L’ÉCRITURE ENSEIGNE EN CE QUI CONCERNE LA CONDITION NATURELLE DE L’HOMME. Sainteté ou conformité à la loi divine est la condition indispensable de la sécurisation de la faveur divine, atteindre la paix de la conscience et profiter de communion avec Dieu. Hébreux 12:14. La condition de l’homme par nature est maintenant, selon l’Ecriture, en disposition et Loi, exactement le contraire de cette sainteté, qui est donc indispensable. L’homme est décrit comme mort à travers les offenses et les péchés, Éphésiens 2:1, et cette condition exige rien de moins qu’une restauration à la vie. Un changement intérieur radical est nécessaire, un changement par lequel la disposition entière de l’âme est altérée.

3. ELLE EST ÉGALEMENT EXPRESSÉMENT AFFIRMÉ PAR L’ÉCRITURE. L’écriture ne nous laisse pas de doute quant à la nécessité de la régénération, mais fait valoir dans les termes les plus clairs. Jésus dit: « en vérité, en vérité, je te le dis, si un homme naît à nouveau il ne peut pas voir le Royaume de Dieu, » John 3:3. [Voir aussi les versets 5-7.] Cette déclaration du Sauveur est absolue et ne laisse aucune place pour les exceptions. La même vérité est clairement mises en évidence dans certaines des déclarations de Paul, comme, par exemple, dans I Cor. 02:14: « mais l’homme naturel ne reçoit pas les choses de l’esprit de Dieu, car ils sont folie lui: ni peut il savoir eux, car ils sont spirituellement discernées «;" GAL 06:15: « pour dans le Christ Jésus n’est pas la circoncision quoi que ce soit, ni incirconcision, mais une nouvelle créature. » Voir aussi Jérémie 13:23; ROM. 03:11; Éphésiens 2:3, 4.

F. LA CAUSE EFFICIENTE DE LA RÉGÉNÉRATION.

Il y a seulement trois points de vue fondamentalement différentes qui entrent en considération ici, et tous les autres sont des modifications de ceux-ci.

1. L’HOMME. Selon le pélagienne régénération de conception est uniquement un acte de la volonté humaine et est pratiquement identique à la réformation autonome. Avec quelques légères différences, c’est l’avis de théologie libérale moderne. Une modification de ce point de vue est que des Semi-pélagienne et arminienne, qui considère comme, au moins en partie, un acte de l’homme, coopérant avec les influences divines appliquée par la vérité. Il s’agit de la théorie synergique de la régénération. Deux de ces points de vue impliquent un refus de la corruption totale de l’homme, donc clairement enseigné dans la parole de Dieu, John 05:42; Romains 3:9-18; 07:18, 23; 8:7; II Timothée 3:4 et de la vérité de l’écriture que c’est Dieu qui incline la volonté, Rom. 09:16; Phil. 02:13.

2. LA VÉRITÉ. Selon ce point de vue la vérité comme un système de motivations, présenté à la volonté de l’homme par le Saint-Esprit, est la cause immédiate de la variation de l’impiété à la sainteté. C’est l’opinion de Lyman Beecher et de Charles G. Finney. Il suppose que le œuvre du Saint-Esprit diffère de celle du prédicateur uniquement en degré. Les deux fonctionnent par persuasion uniquement. Mais cette théorie n’est pas tout à fait satisfaisante. La vérité peut être un motif de sainteté que si elle est aimée, tandis que l’homme naturel n’aime pas la vérité, mais déteste, Rom. 01:18, 25. Par conséquent, la vérité, présentée à l’extérieur, ne peut pas être la cause efficiente de la régénération.

3. L’ESPRIT SAINT. La vue seulement adéquate est celle de l’église de tous les âges, que l’Esprit Saint est la cause efficiente de la régénération. Cela signifie que l’Esprit Saint travaille directement sur le cœur de l’homme et qu’il modifie sa condition spirituelle. Il n’y a aucune coopération du pécheur dans cet ouvrage que ce soit. C’est le œuvre du Saint Esprit directement et exclusivement, Ézéchiel 11:19; John 01:13; Actes 16:14; ROM. 09:16; Phil. 02:13. Régénération, ensuite, doit être conçu de monergistically. Oeuvres de seul Dieu et le pécheur n’a aucune partie dedans que ce soit. Cela, bien sûr, ne signifie pas, que l’homme ne fonctionne pas conjointement à des stades ultérieurs de le œuvre de rédemption. Il est assez évident de l’écriture qu’il fait.

G. L’UTILISATION DE LA PAROLE DE DIEU COMME UN INSTRUMENT DANS LA RÉGÉNÉRATION.

La question se pose, si la parole de Dieu est utilisé comme un moyen de régénération ou non; ou, comme il est souvent dit, que la régénération est médiate ou immédiate.

1. L’IMPORTATION APPROPRIÉE DE LA QUESTION. La discrimination attentive est nécessaire, afin d’éviter tout malentendu.

a. lorsque les anciens théologiens réformés a insisté sur le caractère immédiat de la régénération, ils donnèrent souvent le terme « immédiat » une connotation qui ce n’est pas avoir aujourd'hui. Certains des représentants de l’école de Saumur, comme Cameron et Pajon, a appris que dans la régénération du Saint-Esprit surnaturellement illumine et convainc l’esprit ou l’intellect de manière puissante que la volonté ne manquera pas de suivre le diktat prévalente de l’arrêt pratique. Il fonctionne immédiatement que sur l’intellect et par ce médiatement sur la volonté. Selon eux, il n’y a aucune opération immédiate du Saint-Esprit sur la volonté de l’homme. À l’encontre de ces hommes, théologiens réformés en général a insisté sur le fait que dans la régénération du Saint esprit aussi fonctionne directement sur la volonté de l’hommeet pas seulement par le biais de la médiation de l’intellect. Aujourd'hui la question de la régénération médiate ou immédiate est un légèrement différentes, quoique apparentées, un. C’est la question de l’usage de la parole de Dieu comme moyen dans le travail de régénération.

b. la forme exacte de la question devrait être soigneusement notée. La question n’est pas, si Dieu opère la régénération au moyen d’une parole créatrice . Il est généralement admis qu’il fait. Il n’est pas, s’il emploie la parole de vérité, la parole de la prédication dans la nouvelle naissance, par opposition à l' engendrement de la volonté divine de l’homme nouveau, c'est-à-dire, à obtenir les premiers exercices de Saints de la nouvelle vie. La vraie question est, si Dieu, dans l’implantation ou la génération de la nouvelle vie, emploie la parole de l’écriture ou la parole de la prédication comme un instrument ou un moyen. La discussion de cette question souvent souffert dans le passé de l’absence de discrimination correcte.

2. LES CONSIDÉRATIONS QUI FAVORISENT UNE RÉPONSE NÉGATIVE. Dr. Shedd dit: « l’influence de l’Esprit Saint se distingue de celle de la vérité; de celle de l’homme à l’homme; et de celle de n’importe quel instrument ou moyens quelle que soit. Son énergie agit directement sur l’âme humaine elle-même. C’est l’influence de l’esprit sur l’esprit; de l’une des personnes trinitaires sur un être humain. La vérité, ni un homme-, peut donc fonctionner directement sur l’essence de l’âme elle-même. » [Dogme. Théol. II, p. 500.] Les considérations suivantes favorisent cette vue:

a. régénération est un acte créatif, par lequel le pécheur spirituellement mort revient à la vie. Mais la vérité de l’Évangile ne peut fonctionner de façon morale et persuasive. Un tel instrument n’a aucun effet sur les morts. Pour affirmer que son utilisation semble indiquer un déni de la mort spirituelle de l’homme; qui, bien sûr, n'est pas prévu par ceux qui prennent cette position.

b. régénération a lieu dans la sphère de l’inconscient, c'est-à-dire en dehors de la sphère de l’attention consciente, tandis que la vérité s’adresse à la conscience de l’homme. Il peut exercer son influence persuasive que lorsque l’attention de l’homme est fixée à ce sujet.

c. la Bible distingue l’influence de l’Esprit Saint de la parole de Dieu et déclare qu’une telle influence est nécessaire pour la bonne réception de la vérité, John 6:64, 65; Actes 16:14; J’ai Cor. 02:12-15; EP 01:17-20. Notez en particulier le cas de Lydia, dont Luke dit: « elle a entendu parler de nous (ekouen, impf.), dont le cœur le Seigneur a ouvert (dienoixen, AR., acte unique), qu’elle fréquente (prosechein, INF. de résultat ou fin) les choses qui ont parlé de Paul ».

3. DES PASSAGES L'ECRITURE QUI SEMBLENT PROUVER LE CONTRAIRE.

a. dans l’arrêt James 01:18, nous lisons: « De son propre sera il enfantée nous par la parole de vérité, que nous soyons une sorte de prémices de ses créatures. » Ce passage ne prouve pas que la nouvelle génération est véhiculée par la parole de Dieu, car ici, le terme utilisé est apokuesen, qui ne fait pas référence à l’engendrement, mais à donner naissance. Ceux qui croient en régénération immédiate ne nient pas que la nouvelle naissance, dans lequel la vie nouvelle devient premier manifeste, est garanti par le mot.

b. Peter exhorte les croyants à aimez-vous ardemment les uns les autres compte tenu du fait qu’ils ont été « engendrés de nouveau, pas de semence corruptible, mais incorruptible, par la parole de Dieu, qui vit et la demeure. » J’ai PET. 01:23. Il n’est pas correct de dire, comme certains l’ont fait, que « la parole » dans ce verset est la parole créatrice, ou la deuxième personne dans la Trinité, pour Peter lui-même nous informe qu’il a à l’esprit le mot qui a été prêché les lecteurs, contre 25. Mais il est parfaitement pour montrer que même gennao (le mot utilisé ici) ne renvoie pas toujours à l’engendrement de masculin, mais peut aussi désigner le féminin donnant naissance à des enfants. C’est parfaitement évident d’après ces passages comme Luc 01:13, 57; 23:29; John 16:21; GAL 04:24. Par conséquent, il n’y a aucun mandat pour l’affirmation que Peter dans ce passage réfère à la loi initiale en régénération, nommément l’engendrement. Et si on se réfère à la régénération dans un sens plus large, puis le passage propose sans difficulté que ce soit dans le cadre de l’affaire à l’étude. L’idée qu’il se réfère à la nouvelle naissance ici, est favorisée par le fait que les lecteurs sont représentés comme ayant connu la nouvelle naissance d’une graine qui a été évidemment déjà implantée dans l’âme, cf. Jean 01:13. Il n’est pas nécessaire d’identifier les graines avec le mot.

c. la parabole du semeur fait parfois valoir en faveur de l’idée que la régénération s’effectue par la parole. La semence dans cette parabole est le mot du Royaume. L’argument est que la vie est dans la graine et sort de la graine. Par conséquent, la nouvelle vie sort hors de la semence de la parole de Dieu. Mais, en premier lieu, cela tourne trop la marque, car il fera guère pour dire que l’esprit ou le principe de la nouvelle vie est enfermé dans le mot, tout comme le germe de vie est enfermé dans la graine. Cela rappelle un peu la conception luthérienne de l’appel, selon laquelle l’esprit est dans la parole, afin que l’appel serait toujours efficace, si l’homme n’a pas mis un obstacle dans la voie. Et, en second lieu, c’est en appuyant sur un point qui n’est pas du tout dans le tertium comparationis. Le Sauveur veut expliquer, dans cette parabole, comment il s’agit à ce sujet la semence des parole porte ses fruits dans certains cas et pas dans d’autres. Il porte ses fruits que dans les cas où elle tombe dans la bonne terre, dans les coeurs ainsi préparé qu’ils comprennent la vérité.

4. LES ENSEIGNEMENTS PERTINENTS DE NOS NORMES CONFESSIONNELLES. Les passages suivants entrent en considération ici: Conf. Belg., article XXIV et XXXV; Heid. Cat., Q. 54; Canons de Dort, III, IV et v, Articles 11,12,17; et, enfin, les Conclusions d’Utrecht, adopté par notre église en 1908. De ces passages, il est parfaitement évident que notre confessional écrits parlent de régénération dans un sens large, comme incluant l’origine de la nouvelle vie et sa manifestation dans la conversion. On nous dit même que la foi régénère le pécheur. [Conf. Belg., Art. XXIV.] il y a des passages qui semblent dire que la parole de Dieu est joué un rôle important dans le travail de régénération. [Conf. Belg., XXIV de l’Art et plus particulièrement l’Art. XXVI; Canons de Dort III et IV, Articles 12,17.] Pourtant, ils sont formulés dans cette langue qu’il reste encore douteux, qu’en fait, ils enseignent que le principe de la nouvelle vie est implanté dans l’âme par l’intermédiaire du mot. Ils ne parviennent pas à distinguer avec soin les différents éléments qui nous distinguent dans la régénération. Dans les Conclusions d’Utrecht , nous lisons: « en ce qui concerne le troisième point, qui, de la régénération immédiate, s’inquiète, Synode déclare que cette expression peut être utilisée dans le bon sens, dans la mesure où nos églises ont toujours avoué, plus contre la Luthérienne et l’église catholique romaine, que la régénération n’est pas effectuée par le biais de la parole ou les sacrements comme tel, mais par le tout puissant régénérant le travail de l’Esprit Saint; que ce travail de régénération de l’Esprit Saint, peut toutefois, pas en ce sens être dissociée de la prédication de la parole, comme si les deux sont séparés les uns des autres; pour, bien que notre Confession enseigne que nous ne devons pas être dans le doute concernant le salut de nos enfants qui meurent en bas âge, bien qu’ils n’ont pas entendu la prédication de l’Évangile, et nos normes confessionnelles s’expriment nulle part quant à la façon dont la régénération est effectuée dans le cas de ces et d’autres enfants, — et pourtant il est, en revanche, certain que l’Évangile est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit, et que dans le cas des adultes, le travail de régénération de l’Esprit Saint accompagne la prea Ching de l’Évangile. » [Les théologiens réformés suivants enseignent régénération immédiate; Synopsis Puriosis Theologie (des professeurs Leyden), 31: 9; Faire, Godgeleerdheit VI. 3,26; Brakel, Redelijke Godsdienst I, p. 738. Ces trois autorités, cependant, apparemment utilisent le terme « immédiat » dans un sens différent. Plus loin: Turretin, opéra XV. 4,23 f.; Shedd, dogme . Théol. II, p. 500, 506; Hodge, Théol. syst. III, p. 31; Kuyper, Dict dogme., De Salute, p. 74; Bavinck, Roeping fr Wedergeboorte, pp. 219 ff.; Vos, Geref. Dogme. IV, p. 46 et suiv.]

H. DIVERGENTES DE LA RÉGÉNÉRATION.

1. LA VUE PÉLAGIENNE. Selon les pélagiens, la liberté et la responsabilité personnelle de l’homme implique qu’il est en permanence tout aussi capables de s’abstenir du péché quant à commettre le péché. Seuls les actes de volition consciente sont considérés comme péché. Par conséquent, régénération consiste simplement en une réforme morale. Cela signifie que l’homme qui autrefois ont choisi de transgresser la Loi, choisit de vivre dans l’obéissance à lui.

2. REGENERATION BAPTISMALE. Cela n’est pas toujours représenté de la même manière.

a. dans l’église de Rome. Selon l’église catholique romaine régénération comprend non seulement un renouveau spirituel, mais aussi justification ou le pardon des péchés et est réalisée au moyen du baptême. Dans le cas des enfants, le travail de régénération est toujours efficace; pas vrai dans le cas des adultes. Ces peuvent avec gratitude accepter et utiliser la grâce de la régénération, mais peut également y résister et rendent inefficaces. En outre, il est toujours possible que ceux qui ont ouvert il la perdra à nouveau.

b. dans l’église anglicane. L’église d’Angleterre n’est pas unanime sur ce point, mais il représente deux tendances différentes. Les Puseyites de ce que l'on appelle sont essentiellement d’accord avec l’église de Rome. Mais il y a aussi une partie influente dans l’église qui distingue deux types de régénération: celui consistant simplement à un changement de sa relation à l’église et les moyens de grâce; et l’autre, à un changement fondamental de la nature humaine. Selon ce parti seul le premier est effectué par le baptême. Cette régénération ne comprend aucun renouvellement spirituel. Par elle l’homme simplement conclut une nouvelle relation à l’église et devient un enfant de Dieu dans le même sens dans lequel les Juifs sont devenus enfants de Dieu à travers l'Alliance que la circoncision était un sceau.

c. dans l’église luthérienne. Luther et ses disciples ne réussissent pas à purger leur église le levain de Rome sur ce point. Dans l’ensemble les luthériens maintiennent, en opposition à Rome, le caractère monergistic de la régénération. Ils considèrent l’homme entièrement passive en régénération et incapable de contribuer à quoi que ce soit, bien que les adultes peuvent y résister pendant une longue période. Dans le même temps, certains enseignent que le baptême, travail ex opere operato, est le moyen habituel par lequel régénération d’effets de Dieu. C’est l’habitude, mais pas le seul moyen, pour la prédication de la parole peut également le produire. Ils parlent de deux types de régénération, nommément regeneratio prima, par lequel la vie nouvelle est engendrée et la regeneratio secunda ou renovatio, par lequel la vie nouvelle est dirigée en direction de Dieu-ward. Tandis que les enfants reçoivent la regeneratio prima au moyen du baptême, adultes, qui reçoivent la première régénération au moyen de la parole, devient participants de la regeneratio secunda par le baptême. Selon les luthériens, la régénération est amissible. Mais par la grâce de Dieu, il peut être restauré au cœur du pécheur pénitent et que sans re-baptême. Le baptême est un gage de préparation continue de Dieu en vue de renouveler les baptisés et de pardonner ses péchés. Par ailleurs, la régénération n’est pas toujours réalisée à la fois, mais est souvent un processus graduel dans la vie des adultes.

3. LA VUE ARMINIENNE. Selon les arminiens régénération n’est pas exclusivement une œuvre de Dieu, ni exclusivement un travail de l’homme. C’est le fruit de choix de l’homme de coopérer avec les divines influences exercées au moyen de la vérité. Strictement parlant, le travail de l’homme est antérieure à celle de Dieu. Ils ne supposent pas qu’il y a un précédent travail de Dieu par lequel la volonté s’incline à la bonne. Naturellement, ils croient également que la grâce de régénération peut être perdue. Les arminiens Wesleyan modifié ce point de vue jusqu'à présent qu’ils insistent sur le fait que la régénération est le œuvre de l’Esprit Saint, que ce soit en coopération avec la volonté de l’homme. Ils n’aient pas une opération préalable du Saint-Esprit pour éclairer, éveiller et attirer l’homme. Cependant, ils croient également que l’homme peut résister à cette œuvre de l’Esprit Saint, et que, tant qu’il le fait, il reste dans son état régénéré.

4. LA VUE MÉDIATRICES DES THÉOLOGIENS. C’est coulé dans un moule panthéiste. Après l’incarnation, il y a pas deux natures distinctes dans le Christ, mais seulement une nature divine et humaine, une fusion de la vie humaine et divine. En régénération, une partie de cette vie divine et humaine passe au-dessus dans le pécheur. Cela ne nécessite pas une opération séparée de l’Esprit Saint quand un pécheur est régénéré. La vie nouvelle a été communiquée à l’église une fois pour toutes, est désormais la possession permanente de l’église et passe de l’église dans l’individu. Communion avec l’Eglise assure également la participation de la nouvelle vie. Ce point de vue ignore l’aspect juridique de le œuvre du Christ entièrement. En outre, elle rend impossible la tenue que l’un pourrait être régénéré avant l’entrée en existence de la vie divine et humaine du Christ. Les saints de l’ancien Testament ne peuvent avoir été régénérés. Schleiermacher est le père de ce point de vue.

5. LA VUE DE LA TRICHOTOMIE. Certains théologiens construit une théorie particulière de régénération sur la base de la vue trichotomie de la nature humaine. Ce point de vue s’effectue sur l’hypothèse que l’homme se compose de trois parties, — corps, âme et esprit. Il est généralement admis, bien qu’il existe des variations sur ce point, que le péché a son siège seulement dans l’âme et non dans l’esprit (pneuma). Si il avait pénétré de l’esprit, l’homme aurait été irrémédiablement perdu, tout comme les démons, qui sont de purs êtres spirituels. L’esprit est la vie supérieure, divine dans l’homme, destiné à contrôler la durée de vie plus faible. Par l’entrée du péché dans le monde de l’influence de l’esprit sur la durée de vie inférieure est affaibli beaucoup; mais par régénération, il est encore renforcé et harmonie est rétablie dans la vie de l’homme. Il s’agit, bien sûr, une théorie purement rationaliste. [Cf. entendu, la Nature Tripartite de l’homme.]

6. LA VUE DU LIBÉRALISME MODERNE. Les théologiens libéraux d’aujourd'hui n’ont pas tous le même point de vue de la régénération. Certains d'entre eux parlent en des termes qui rappellent de Schleiermacher. Plus généralement, cependant, qu’il parraine une vue purement naturaliste. Ils sont opposés à l’idée que la régénération est une œuvre surnaturelle et récréative de Dieu. En vertu de Dieu immanent, chaque homme a un principe divin en lui et possède donc potentiellement tout ce qui est nécessaire au salut. La seule chose qui est nécessaire, c’est que l’homme devenu conscient de sa divinité potentielle, et qu’il a consciemment céder à l’orientation du principe supérieur en lui. La régénération est simplement un éthique changement de caractère.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Quels autres termes et expressions la Bible utilise-t-il pour désigner les travaux de régénération ? La Bible se distingue-t-elle nettement entre les appels, régénération, conversion et sanctification ? Comment expliquer que l’église catholique romaine inclut la justification même de régénération ? En quoi diffèrent-elles régénération et conversion ? Existe-t-il une telle chose comme une grâce prévenante, qui précède et prépare pour la régénération ? Ce qui est actif, par opposition à la régénération passive ? Passivité de l’homme est en régénération durent depuis un certain temps ? Ne pas l’opinion que la parole de Dieu n’est pas joué un rôle important en obtenant la régénération, faire de la prédication de la parole semble futile et tout à fait inutile ? Il ne conduit pas au bord de la mystique ?

LITTÉRATURE: Kuyper, Dict. dogme., De Salute, pp. 70-83; Ibid., Het Werk van den Heiligen Geest, II, pp. 140-162; Bavinck, Geref. Dogme, IV, pp. 11-82; Ibid., Roeping fr Wedergeboorte; Faire, Godgeleerdheit, VI, 3; Dick, théologie, LECT LXVI; Shedd, dogme . THEOL. II, pp. 490-528; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., LECT XLVII; Vos, Geref. Dogme. IV, pp. 32-65; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 1-40; McPherson, Dogme Chr., pp. 397-401; Alexander, syst de Bib. Theol. II, p. 370-384; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., pp. 313-321; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 463-470; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 242-271; Raymond, Syst. Theol. II, pp. 344-359; Pape, Chr. Theol. III, p. 5-13; Strong, Syst. Theol., p. 809-828; Boyce, abstrait de syst. Theol., pp. 328-334; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., pp. 314-322; Anderson, régénération.

 

VII. Conversion

De la discussion de la régénération et l’appel efficace il y a une transition naturelle à celle de la conversion. Par une opération spéciale de l’Esprit Saint, l’ancien émet dans ce dernier. Conversion peut être une crise fortement marquée dans la vie de l’individu, mais peut aussi venir sous la forme d’un processus graduel. Dans la psychologie de la religion, les deux sont généralement identifiés. Tout cela souligne la relation étroite entre les deux.

A. LES TERMES BIBLIQUES POUR LA CONVERSION.

1. LES MOTS DE L'ANCIENS TESTAMENT. L’ancien Testament emploie surtout deux mots pour la conversion, à savoir:

a. Nacham, qui sert à exprimer une émotion, de tristesse (niphal) ou de secours (piel). Dans niphal , cela signifie de se repentir, et cette repentance s’accompagne souvent d’un changement de régime et d’action, tandis que piel il signifie au confort ou au confort de soi. Comme une désignation de repentir — et c’est le sens qui nous intéresse ici, il sert non seulement de l’homme, mais aussi de Dieu, Genèse 6:6, 7; Ex. 32:14; JG 02:18; J’ai Samuel 15:11.

b. salah, qui est le mot le plus commun pour la conversion, on entend à tourner, à tourner autouret revenir. Il est souvent utilisé dans un sens littéral de Dieu et l’homme, mais bientôt acquis une signification religieuse et morale. Cette signification est plus importante dans les prophètes, où il se réfère au retour d’Israël au Seigneur, après qu’il est parti de lui. Le mot montre clairement que, ce que l’ancien Testament appelle conversion, est un retour à lui dont sin a séparé l’homme. Il s’agit d’un élément très important dans la conversion. Il trouve son expression dans les paroles de l’enfant prodigue, « je reviendrai et aller à mon père. »

2. LES MOTS DU NOUVEAUX TESTAMENT. Il y a surtout trois mots qui vous viennent en considération ici:

a. Metanoia (forme verbale, metanoeo). C’est le mot le plus commun pour la conversion dans le Nouveau Testament, et est également le plus fondamental des termes employé. Le mot est composé de meta et nous, qui est à nouveau connecté avec le verbe ginosko (Lat. noscere; En anglais, savoir), qui se réfère à la vie consciente de l’homme. Dans la Bible anglaise, le mot est traduit «repentance», mais cette interprétation ne rend guère justice à l’original, car il donne une importance excessive à l’élément émotionnel. Tranchée fait remarquer que dans les classiques, le mot signifie: (1) de savoir après, après-connaissance; (2) à changer d’avis à la suite de cet après-connaissance; (3) en raison de ce changement d’esprit, à regretter le cours poursuivi; (4) et un changement de conduite pour l’avenir, qui émergent de tous les précédents. Il peut indiquer un changement pour le pire, aussi bien que pour le mieux, cependant et n’incluait pas nécessairement un resipiscentia — un redevient sage. Dans le Nouveau Testament, cependant, sa signification est approfondie et il dénote surtout un changement de mentalité, prendre une vue plus sages du passé, y compris de regret pour le malade alors fait et menant à un changement de vie pour le mieux. Ici, l’élément de resipiscentia est présent. Walden dans son ouvrage sur Le grand sens de Metanoia arrive à la conclusion qu’elle véhicule l’idée de « un changement général d’esprit, qui devient dans son développement maximum une régénération intellectuelle et morale». [p. 107.] Tout en maintenant que le mot désigne principalement un changement d’esprit, nous ne devons pas perdre de vue le fait que son sens n’est pas limité à la conscience intellectuelle et théorique, mais comprend également la conscience morale, la conscience. L’esprit et la conscience sont souillées, Tite 01:15 et quand une personne nous est modifié, il reçoit non seulement des connaissances nouvelles, mais le sens de sa vie consciente, sa qualité morale, est également modifié. Pour devenir plus particulière, la variation de sa parole a référence (1) à la vie intellectuelle, II Tim. 02:25, à une meilleure connaissance de Dieu et sa vérité et une acceptation salvatrice de celui-ci (identique à l’action de la foi); (2) de la vie consciente volitive, actes 08:22, à un tournant de soi à Dieu (donc encore une fois y compris une action de la foi); et (3) à la vie affective, dans la mesure où ce changement s’accompagne avec une tristesse selon Dieu, II Corinthiens 07:10 et ouvre de nouveaux champs de jouissance pour le pécheur. À tous ces égards metanoia comprend une opposition consciente dans l’État. C’est un élément essentiel en elle et mérite donc une attention particulière. Pour être converti, n’est pas simplement de passer d’une direction consciente à l’autre, mais de le faire avec une aversion clairement perçue à l’ancienne direction. En d’autres termes la metanoia a non seulement un positif, mais aussi un côté négatif; Il semble ainsi que de l’avant vers l’arrière. La personne convertie devienne consciente de son ignorance et erreur, son caractère délibéré et la folie. Sa conversion comprend la foi et le repentir. Triste à dire, l’église peu à peu perdu de vue le sens original de metanoia. Dans la théologie latine Lactance le rendait «resipiscentia, « un devenir-sage-encore une fois, comme si le mot provenaient de meta et anoiaet dénoté un retour de la folie ou la folie. La majorité des auteurs latins, cependant, préféré à rendent «poenitentia, » un mot qui désigne la tristesse et le regret qui s’ensuit quand on a fait une erreur ou a commis une erreur quelconque. Ce mot a passé dans la Vulgate comme le rendu de metanoia, et, sous l’influence de la Vulgate, les traducteurs anglais a rendu le mot grec de « repentance », mettant l’accent sur l’élément émotionnel, ainsi faire metanoia équivalent à metameleia. Dans certains cas, la détérioration est allé encore plus loin. L’église catholique romaine externalisé l’idée de repentance dans son sacrement de pénitence, afin que le metanoeite du Testament grec (Matthieu 3:2) est devenu poenitentiam agite, — « faire pénitence, » dans la Version latine.

b. Epistrophe (forme verbale, epistrepho). Ce mot est prévu en importance metanoia. Alors que dans la Septante metanoia est l’un des rendus de nacham, les mots epistrophe et epistrepho servent à rendre les mots Hébreux teshubhah et laurianne. Ils sont constamment utilisés dans le sens de tourner encore une fois, ou en arrière. Les mots grecs doivent être interprétés à la lumière de l’hébreu, afin de faire ressortir le point important qui indique la rotation est en réalité une re-tournant. Dans le Nouveau Testament substantif epistrophe est utilisé mais une fois, actes 15:3, tandis que le verbe se produit plusieurs fois. Il a une signification un peu plus large que metanoeoet indique vraiment l’acte final de la conversion. Il désigne non seulement un changement de nous ou de l’esprit, mais insiste sur le fait qu’une nouvelle relation est établie, que la vie active est fait pour aller dans une autre direction. Cela doit garder à l’esprit dans l’interprétation des actes 03:19, où les deux sont utilisés aux côtés de l’autre. Parfois, metanoeo contient l’idée de repentir seulement, tandis que epistrepho inclut toujours l’élément de la foi. Metanoeo et pisteuein peuvent être utilisés aux côtés de l’autre; pas si epistrepho et pisteuein.

c. Metameleia (forme verbale, metamelomai). Seulement la forme verbale est utilisée dans le Nouveau Testament et signifie littéralement devenir un soin à l’un par la suite. Il est l’un des rendus de l' hébreu nicham dans la Septante. Dans le Nouveau Testament, il se trouve que cinq fois, à savoir, dans Matthieu 21:29, 32; 27: 3; II Corinthiens 07:10; Héb. 07:21. Il ressort de ces passages que le mot souligne l’élément du repentir, si ce n’est pas nécessairement vrai repentir. Dedans l’élément négatif, rétrospective et émotionnelle est supérieure, tandis que metanoeo aussi inclut un élément volitif et dénote une énergique tour-a propos de la volonté. Alors que metanoeo est parfois utilisé à l’impératif, ce n’est jamais le cas avec metamelomai. Les sentiments ne permettent pas eux-mêmes à être commandé. Ce mot correspond plus près à la Latin poenitentia que ne metanoeo.

B. DÉFINITION DE L’IDÉE BIBLIQUE SUR LA CONVERSION.

La doctrine de la conversion est, bien sûr, comme toutes les autres doctrines, basées sur l’écriture et devrait être acceptée pour ce motif. Étant donné que la conversion est une expérience consciente dans la vie de nombreuses personnes, le témoignage d’expérience peut être ajouté à celui de la parole de Dieu, mais ce témoignage, toutefois précieux soit-il, n’ajoute pas à la certitude de la doctrine enseignée dans la parole de Dieu. Nous pouvons être reconnaissants que, ces dernières années, la psychologie de la Religion une attention considérable du fait de la conversion, mais il faut toujours garder à l’esprit que, même si elle a apporté quelques faits intéressants à notre attention, il n’a peu ou rien à expliquer conversion comme un phénomène religieux. La doctrine scripturaire de conversion est basée non seulement sur les passages contenant une ou plusieurs des conditions mentionnées dans ce qui précède, mais aussi sur beaucoup d’autres dans lesquelles le phénomène de conversion est décrite ou représenté concrètement dans les exemples vivants. La Bible ne parle pas toujours de la conversion dans le même sens. Nous pouvons distinguer ce qui suit:

1. LES CONVERSIONS. À l’époque de Moïse, Josué et les juges, le peuple d’Israël à plusieurs reprises tourné le dos à Jéhovah et après avoir connu le déplaisir de Dieu, se sont repentis de leurs péchés et retournés à l’Éternel; Il y avait une transposition nationale dans le Royaume de Juda à l’époque d’Ézéchias et nouveau dans les jours de Josias. Lors de la prédication de Jonas les Ninivites repentis de leurs péchés et ont été épargnés par le Seigneur, Jonah 03:10. Ces conversions nationales étaient simplement de la nature des réformes morales. Ils ont été accompagnés avec certaines conversions véritables religieuses des individus, mais est tombé loin de la vraie conversion de tous ceux qui appartenaient à la nation. En règle générale, ils étaient très superficielles. Ils ont fait leur apparition sous la houlette des pieux souverains, et quand il s’agissait de succceeded par des hommes méchants, les gens à la fois retomba dans leurs vieilles habitudes.

2. DES CONVERSIONS. La Bible se réfère également aux conversions d’individus qui représentent sans changement du coeur et sont donc seulement de passage signification. Dans la parabole du semeur, Jésus parle de tels comme entendre la parole et recevoir à la fois avec joie, mais n’avoir aucune racine en eux-mêmes et donc supporter mais pendant un certain temps. Quand les tribulations et les épreuves et les persécutions viennent, ils sont rapidement offensés et tombent. Matthieu 13:20, 21. Paul fait mention de Hymenaeus et Alexander, qui a « fait naufrage concernant la foi, » j’ai Timothée 01:19, 20. Cf. aussi II Timothée 02:17, 18. Et dans II Timothée 04:10 il se réfère à Demas, qui lui a laissé, car l’amour du monde actuel a pris le dessus. Et l’auteur d’Hébreux parle de certains comme apostasie « qui ont été une fois éclairés et goûté du don céleste et ont fait des participants de l’Esprit Saint, et goûté la bonne parole de Dieu et les puissances du siècle à venir, » Hébreux 6.4-6. Enfin, Jean dit de certains qui avaient tourné le dos aux fidèles: « ils sont sortis de notre part, mais ils n’étaient pas de nous; car s’ils avaient été d'entre nous, ils auraient continué avec nous, » I Jean 02:19. Pendant un certain temps, ces conversions temporaires peuvent avoir l’apparence de véritables conversions.

3. LA VÉRITABLE CONVERSION (CONVERSIS ACTUALIS PRIMA). Vraie conversion naît de la tristesse selon Dieu et dans une vie de dévotion à Dieu, II Corinthiens 07:10. C’est un changement qui s’enracine dans les travaux de régénération, et qui s’effectue dans la vie consciente du pécheur par l’esprit de Dieu; un changement des pensées et des opinions, des désirs et des volitions, qui implique la conviction que l’ancienne direction de la vie était imprudent et du mal et modifie toute la durée de vie. Il y a deux côtés à cette conversion, l’une active et l’autre passive; le premier étant la Loi de Dieu, par lequel il change le cours conscient de la vie de l’homme et le second, le résultat de cette action, comme on le voit dans l’homme changer son cours de la vie et de se tourner vers Dieu. Dès lors, une définition double doit être donnée de conversion: (a) Active la conversion est cet acte de Dieu par lequel il provoque le pécheur régénéré, dans sa vie consciente, à se tourner vers lui dans le repentir et la foi. (b) conversion passive est la conscience qui en résulte agir du pécheur régénéré par lequel il, par la grâce de Dieu, se tourne vers Dieu dans la repentance et de foi. Cette vraie conversion est la conversion qui nous intéresse principalement en théologie. La parole de Dieu contient plusieurs exemples frappants de celui-ci, comme, par exemple, les conversions de Naaman, II Rois 05:15; Manassé, II Chron. 33: 12, 13; Zachée, Luc 19:8, 9; l’homme né aveugle, John 09:38; la Samaritaine, John 04:29, 39; l’eunuque, actes de 08:30 ff.; Cornelius, actes 10:44 ff.; Paul, actes 9:5 ff.; Lydia, actes 16:14. et d’autres.

4. LA CONVERSION RÉPÉTÉE. La Bible parle aussi d’une conversion répétée, dans lequel une personne convertie, après une interruption temporaire dans les voies du péché, tourne le dos à Dieu. Strong préfère ne pas d’employer le mot « conversion » de ce changement, mais d’employer ces mots et des phrases comme « rupture, délaissant, revenant, néglige ou transgressions » et « à revenir au Christ, lui faire confiance à nouveau. » Mais l’Écriture elle-même utilise le terme « conversion » dans ces cas-là, Luc 22:32; Apoc. 2:5, 16, 21, 22; 3:3, 19. il devrait être entendu, toutefois, que la conversion au sens strictement sotériologique du mot n’est jamais répétée. Ceux qui ont connu une vraie conversion peuvent temporairement tombe sous le charme du mal et de la chute dans le péché; ils peuvent parfois même se promener loin de chez eux; mais la nouvelle vie est liée à la pour ré-affirmer et causera finalement à retourner à Dieu avec un cœur repentant.

C. LES CARACTÉRISTIQUES DE LA CONVERSION.

Conversion est simplement une partie du processus d’enregistrement. Mais parce que c’est une partie d’un processus biologique, elle est naturellement étroitement liée à toute autre partie. Parfois une tendance devient évidente, surtout dans notre pays, pour l’identifier avec certains des autres parties du processus ou de glorifier ce comme si c’était de loin la partie la plus importante du processus. Il est un fait bien connu que certains, en parlant de leur rédemption, jamais aller au-delà de l’histoire de leur conversion et oublier de parler de leur croissance spirituelle dans les années suivantes. C’est sans doute dû au fait que dans leur expérience de conversion se distingue comme une crise fortement marquée et une crise qui appelle à une action de leur part. Compte tenu de la tendance de nos jours à perdre de vue les lignes de démarcation dans le processus d’enregistrement, il est bon de nous rappeler de la véracité de l’adage Latin, «Qui bene distinguet, bene docet. » Il faut noter les caractéristiques de conversion:

1. conversion appartient à la re-création, plutôt que la force majeure judiciaire. Il ne modifie pas l’État, mais la condition de l’homme. Dans le même temps, elle est étroitement liée avec les opérations divines dans la sphère judiciaire. Dans la conversion, l’homme devient conscient du fait qu’il est digne d’une condamnation et qu’il est également amené à reconnaître ce fait. Tandis que ceci présuppose déjà la foi, elle mène aussi à une grande manifestation de la foi en Jésus Christ, une confiance confiant en lui pour le salut. Et cette foi, à son tour, en s’appropriant la justice de Jésus-Christ, est joué un rôle important dans la justification du pécheur. En conversion homme se réveille à l’assurance joyeuse que tous ses péchés sont pardonnés sur la base des mérites de Jésus Christ.

2. comme l’indique clairement le mot metanoia, conversion a lieu, pas dans l’inconscient, mais dans la vie consciente du pécheur. Cela ne signifie pas qu’il n’est pas enraciné dans la vie subconsciente. Étant un effet direct de la régénération, il inclut naturellement une transition dans les activités de la vie nouvelle de l’inconscient à la vie consciente. On peut dire que la conversion commence au-dessous de la conscience, mais qui, comme un acte dûment rempli, à cet égard, il relève certainement la plage de la vie consciente. Cela met en évidence le lien étroit entre la régénération et la conversion. Une conversion qui n’est pas enracinée dans la régénération n’est aucune vraie conversion.

3. conversion marque le début de conscient, non seulement du mettre loin du vieillard, une fuite du péché, mais aussi de la mettre sur de l’homme nouveau, une quête de la sainteté de la vie. Dans la régénération du principe pécheresse de l’ancienne vie est déjà remplacé par le principe sacré de la vie nouvelle. Mais c’est seulement dans la conversion que cette transition pénètre dans la vie consciente, tournant dans un nouveau et direction Godward. Le pécheur consciemment délaisse l’ancienne vie pécheresse et se tourne vers une vie en communion avec et consacré à Dieu. Cela ne signifie pas, cependant, que la lutte entre l’ancien et le nouveau est à la fois terminée; Il continuera aussi longtemps que l’homme vit.

4. si nous prenons le mot « conversion » dans son sens plus précis, il dénote un changement momentané et non un processus comme la sanctification. C’est un changement qui prend place une fois et qui ne peuvent pas être répétées, mais, comme indiqué ci-dessus, la Bible parle aussi de chrétien de retour à Dieu, si il est tombé dans le péché, comme la conversion. C’est le croyant se tournant vers Dieu et la sainteté à nouveau, après que qu’il a temporairement perdu de vue ces. Dans le cadre de la régénération, nous ne pouvons peut-être parler de répétition; mais dans la vie consciente du chrétien il y a des hauts et des bas, les saisons de communion intime avec Dieu et les saisons de l’aliénation de lui.

5. plus contre ceux qui pensent de conversion uniquement comme une crise définitive dans la vie, il est à noter que, alors que la conversion peut être une telle crise fortement marquée, il peut également être une variation très lente. Théologie ancienne a toujours établi une distinction entre des conversions soudaines ou progressive (comme dans les cas de Jérémie, Jean le Baptiste et Timothy); et de nos jours, la psychologie de la conversion souligne la même distinction. Conversions de crise sont plus fréquentes en jours de déclinaison religieux et dans la vie de ceux qui n’ont pas apprécié les privilèges d’une éducation religieuse réelle, et qui ont erré loin de la voie de la vérité, de justice et de sainteté.

6. Enfin, de nos jours, dans lequel beaucoup de psychologues montre une tendance à réduire la conversion à un phénomène naturel et général de la période adolescente de la vie, il devient nécessaire de souligner que, lorsque l'on parle de la conversion, nous avons en tête un surnaturel travail de Dieu, conduisant à un changement religieux. Les psychologues intime parfois que la conversion est mais un phénomène naturel en appelant l’attention sur le fait que des changements soudains se produisent aussi dans la vie intellectuelle et morale de l’homme. Certains d'entre eux soutiennent que l’émergence de l’idée du sexe joue un rôle important dans la conversion. Par rapport à cette tendance rationaliste et naturaliste, le caractère spécifique de la conversion religieuse doit être maintenu.

D. LES DIFFÉRENTS ÉLÉMENTS DANS LA CONVERSION.

Il ressort déjà de la précédant que conversion comporte deux volets, à savoir, le repentir et la foi. Parmi eux, l’ancien est rétrospective et le second éventuel. Repentir est directement lié à la sanctification, tandis que la foi est étroitement, bien que pas exclusivement, lié à la justification. Compte tenu du fait que la foi sera discutée dans un chapitre séparé, nous nous limitons à la repentance ici et définissez-la comme que changement forgé dans la vie consciente du pécheur, par laquelle il se détourne du péché.

1. LES ÉLÉMENTS DE LA REPENTANCE (OU RECONSIDÉRATION). On distingue trois éléments dans la repentance:

a. un élément intellectuel. Il y a un changement d’avis, une reconnaissance du péché comme mettant en cause la culpabilité personnelle, attentat à la pudeur et impuissance. Il est désigné dans l’écriture comme epignosis hamartias (la connaissance du péché), Rom. 03:20, cf. 01:32. Si ce n’est pas accompagné des éléments suivants, il peut se manifester par crainte du châtiment, alors qu’il n’existe encore aucune haine du péché.

b. un élément émotionnel. Il y a un changement de sentiment, qui se manifeste dans la douleur pour les péchés commis contre un Dieu Saint et just, PS. 51:2, 10, 14. Cet élément de la repentance est indiqué par le mot metamelomai. Si elle est accompagnée par l’élément suivant, c’est un lupe kata theou (pieuse tristesse), mais si elle n’est pas tellement accompagnée, c’est un lupe tou kosmou (la douleur du monde), qui se manifeste dans les remords et le désespoir, II Cor. 7:9, 10; Matthieu 27: 3; Luc 18:23.

c. un élément volontaire. Il existe également un élément volontaire, consistant en un changement d’objectif, une rotation vers l’intérieur loin du péché et une disposition de demander pardon et la purification, PS. 51:5, 7, 10; Jérémie 25: 5. Cela inclut les deux autres éléments et est donc l’aspect le plus important de la repentance. Il est indiqué dans l’écriture par le mot metanoia, actes 02:38; Romains 2:4.

2. LE SACREMENT DE PÉNITENCE DANS L’EGLISE DE ROME. L’église de Rome a entièrement externalisées de l’idée de repentance. Les éléments les plus importants dans son sacrement de la pénitence sont contrition, la confession, satisfactionet absolution. De ces quatre contrition est le seul qui appartient bien à la repentance, et même de cela le romaniste exclut tous les tristesse pour le péché inné et conserve seulement que pour les péchés personnels. Et parce que seuls quelques expérience véritable contrition, il est également satisfait de l’attrition. Il s’agit de « la conviction mentale que péché mérite le châtiment, mais n’inclut pas de confiance en Dieu et une fin à se détourner de péché. C’est la peur de l’enfer. » [Schaff, foi de nos pères et le nôtre, p. 358.] Confession dans l’église catholique romaine est la confession au sacrificateur, qui absout, pas de façon déclarative, mais par les tribunaux. De plus, la satisfaction consiste au pécheur faire pénitence, c'est-à-dire qui persiste quelque chose de douloureux ou exécution d’une tâche difficile ou de mauvais goût. L’idée centrale est que ces spectacles extérieurs constituent vraiment une satisfaction pour le péché.

3. LA VUE BIBLIQUE DU REPENTIR. Par rapport à ce point de vue externe de la repentance, l’idée biblique devrait être maintenue. Selon l’Ecriture repentir est totalement un acte vers l’intérieur et ne doit pas être confondu avec le changement de vie qui procède de lui. Confession des péchés et la réparation des torts sont les fruits d’une repentance. Le repentir est seulement une condition négative, et pas un positif signifie du Salut. Alors qu’il incombe du pécheur présent, il ne contrebalancerait pas les revendications de la loi en raison des dernières transgressions. Par ailleurs, la vraie repentance existe jamais sauf en conjonction avec la foi, tandis que, d’autre part, partout où il y a vraie foi, il y a aussi vrai repentir. Les deux sont des aspects mais différentes de la même rotation, — un se détourner du péché dans le sens de Dieu. Luther a parlé d’un repentir qui précède la foi, mais semble parfois néanmoins ont convenu avec Calvin au sujet de la vraie repentance comme l’un des fruits de la foi. Luthériens ont l’habitude d’insister sur le fait que le repentir est forgé par la Loi et la foi par l’Évangile. Il faut avoir à l’esprit, cependant, que les deux ne peuvent être séparés; ils sont simplement complémentaires pièces d’un même processus.

E. LA PSYCHOLOGIE DE LA CONVERSION.

Au cours de ces dernières années les psychologues ont fait une étude spéciale des phénomènes de conversion.

1. LA NATURE DE CETTE ÉTUDE. La nature de cette étude peut mieux être tirée des œuvres telles que celles du Conseil de l’Europe, La vie spirituelle; Starbuck, la psychologie de la Religion; James, variétés de l’expérience religieuse; Ames, la psychologie de l’expérience religieuse; Pratt, la conscience religieuse; Clark, la psychologie de l’éveil religieux; Hughes, la psychologie nouvelle et l’expérience religieuse; et Horton, l’approche psychologique à la théologie. Pendant une longue période psychologie a négligé les faits de la vie religieuse tout à fait, mais pour plus d’un quart de siècle maintenant, il a pris connaissance d’eux. Dans un premier temps, l’attention était concentrée principalement — pour ne pas dire exclusivement, sur ce qui doit avoir semblait être le grand central fait d’expérience religieuse, du fait de la conversion. Psychologues ont étudié les nombreux cas de conversion inductif et ont tenté de classer les différentes forces à le œuvre dans la conversion, de distinguer les différents types d’expérience religieuse, afin de déterminer la durée de vie dans lequel la conversion est plus apte à se produire et de découvrir les lois qui régissent les phénomènes de conversion. Alors qu’ils ont présenté leur étude, une enquête purement inductive sur les phénomènes de la religion comme indiqué dans l’expérience individuelle et dans certains cas exprimé le désir louable et l’intention de garder leurs convictions philosophiques et religieuses la fond, ils ont néanmoins à plusieurs reprises clairement révélé une tendance à chercher à la conversion comme un processus purement naturel, tout comme se prêtent aux lois ordinaires de la psychologie en tant que tout autre fait psychique; et à oublier, voire nier explicitement, son aspect surnaturel. Les plus prudents savants parmi eux ignorent, mais ne nient pas, le surnaturel dans la conversion. Ils expliquent leur silence sur les aspects plus profonds de ce fait central dans l’expérience religieuse par attirer l’attention sur leurs limites comme psychologues. Ils peuvent seulement traiter avec les faits observés et des lois psychiques qui manifestement les contrôler, mais n’ont aucun droit à la sonde dans l’arrière-plan spirituel possible ou probable, dans laquelle ces faits trouvent leur explication. Ils ont souligné que la conversion n’est pas un phénomène spécifiquement chrétien, mais se retrouve également dans les autres religions; et qu’il n’est pas nécessairement un phénomène religieux, mais se produit également dans les domaines non religieux. En fait, c’est qu’un des nombreux changements qui se produisent dans la période de l’adolescence, « un réajustement brusque à un environnement spirituel plus large, » un abandon de l’ancien moi un plus vrai. « Au mieux », dit Starbuck, « c’est l’individu sera entrée en harmonie avec ce qu’il se sent à la volonté divine. » [La psychologie de la Religion, p. 162.] Comme Pratt comprend « l’essentiel sur la conversion est juste l’unification des caractères, la réalisation d’un nouveau soi. » [La conscience religieuse, p. 123.] Quant à la question, si il n’y a rien de surnaturel sur la conversion, il y a une divergence d’opinions parmi les psychologues. Conseil de l’Europe pose la question: « Allons nous concluons donc que la conversion est pratiquement une exécution automatique ? » Et il répond: « non, sauf si nous définissons tout d’abord transformation afin d’ignorer sa relation profonde à Dieu et au principe d’une bonne vie... La substance des expériences religieuses en ce qui concerne surpasse leurs formes émotionnels comme un homme transcende les vêtements qu’il porte. » [La vie spirituelle, p. 140.] James se sent qu’un chrétien orthodoxe pourrait lui demander si sa référence des phénomènes de conversion vers le soi subliminal n’exclut pas la notion de la présence directe de la Déité dedans complètement; et il me répond en ces termes: « Je dois dire franchement qu’en tant que psychologue, je ne vois pas pourquoi il devrait nécessairement. » [Les variétés de l’expérience religieuse, p. 242.] Il conclut que, « s’il y a des grossissements plus importants en mesure de nous impressionner, ils peuvent avoir accès qu’à travers la porte subliminale. » [p. 243.] Les représentants de la nouvelle psychologie, c'est-à-dire, de l’école behavioriste et de l’école de psychanalyse, franchement prennent la position que conversion peut se faire de façon parfaitement naturelle, sans aucune influence surnaturelle. James et autres tiennent que la véritable recette aux changements soudains de conversion réside dans une activité du subliminal soi-même, qui peut ou peut ne pas être soumis à une influence divine. Étudiants de psychologie sont assez généralement admis qu’il y a trois étapes distinctes dans la conversion qui Ames décrit comme suit: « d’abord, un sentiment de perplexité et d’inquiétude; seconde, un point culminant et tournant; et Troisièmement, une détente marquée par le repos et la joie. » [La psychologie de l’expérience religieuse, p. 258.] Il est assez généralement admis qu’il existe au moins deux types remarquable de conversion, qui sont désigné de diverses manières. En parlant de ces deux types de conversion, Starbuck a dit que l’un est accompagné d’un violent sentiment de péché et de l’autre, avec un sentiment d’incomplétude, une lutte après une vie plus grande et un désir pour l’illumination spirituelle. Une distinction est faite entre l’enfance et adulte conversion entre des conversions (violentes) progressive ou soudaines et entre les conversions intellectuelle et affectifs. Ce sont des noms différents mais pour les deux types de fichiers reconnus de la conversion. Alors que la conversion en général peut être considérée comme une expérience plutôt normale, il se trouve parfois prendre un aspect anormal, surtout pendant les relances et deviendrait alors un phénomène pathologique. Selon le moment de la conversion est concerné, il est souligné que la conversion ne se produit pas avec la même fréquence à toutes les périodes de la vie, mais appartient presque exclusivement aux années entre 10 et 25 et est extrêmement rare après 30. Cela signifie qu’il est particulièrement caractéristique de la période de l’adolescence. Environnement, l’éducation et la formation religieuse, tous affectent la nature et la fréquence de son occurrence.

2. L’ÉVALUATION DE CES ÉTUDES. La valeur de ces études psychologiques de conversion n’a pas besoin d’être refusée. Ce serait folie brossez-les à partir de la signification peu ou pas de côté ou ignorez-les simplement parce qu’ils ne tiennent pas dûment compte du surnaturel dans la conversion. Ils jettent une lumière Bienvenue sur certaines des lois qui s’appliquent dans la vie psychique de l’homme, sur des phénomènes qui accompagnent la crise spirituelle dans la vie consciente de l’homme, ainsi que sur les différents types de conversion et les facteurs qui déterminent ces. Ils approfondir notre aperçu sur les différents types de conversion, qui ont toujours été reconnues dans la théologie réformée, confirment notre conviction concernant les trois éléments qui sont trouvent dans la conversion et sont tout à fait en accord avec la conviction théologique Cette conversion est enracinée dans la vie subconsciente. Bien qu’ils ne font pas explicitement affirmer et même dans certains cas, refuser qu’il trouve son explication dans une œuvre divine de l’Esprit Saint sous le seuil de la conscience, — les travaux de régénération. Dans le même temps, nous ne devrions pas surévaluer ces études. Certains d'entre eux, comme, par exemple, le travail de James est une décidément partial, puisqu’elle repose entièrement sur l’étude des conversions extraordinaires, dont il a trouvé le plus intéressant. En outre, ils n’ont pas échappé du danger de mener à l’idée de l’opération du droit psychique en conversion trop loin et de donnant sur le côté surnaturel et divin de l’important processus de conversion. James il traite tout comme un changement moral et elle définit de manière générale, comme « le processus, progressif ou soudain, par lequel un individu jusqu’ici divisé et consciemment mauvais, inférieur et malheureux, devient unifié et consciemment droite, supérieure et heureuse, à la suite de son plus ferme emprise sur des réalités religieuses. » [Op. cit., p. 189.] D’autres réduisent à un phénomène purement naturel et même l’expliquer materialistically, contrôlé par les lois de la physique. Ils n’ont pas, et même de la nature de l’affaire ne peut pas, aller jusqu'à la racine du problème, ne le font pas et ne peut pas pénétrer dans les profondeurs cachées de quelles sources de conversion. Il est de toute évidence tendance à contester l’idée ancienne et orthodoxe de la conversion, à son sujet comme non scientifique d’enseigner que la nature religieuse de l’homme est miraculeusement implantée. Ils n’acceptent pas la lumière de la parole de Dieu et n’ont donc aucune norme pour juger les choses profondes de la vie. Snowden dit: « que certains psychologues ont essayé d’établir une psychologie de l’âme sans aucune âme, si certains d'entre eux ont s’est efforcé de construire une psychologie de la religion sans religion. En vertu de leur traitement de celui-ci religion s’est évaporée en sentiment subjectif un simple ou délire sans aucune réalité objective et telle une psychologie de la religion est sans fondement et sans valeur tant que psychologie et religion. » [La psychologie de la Religion, p. 20.]

F. L’AUTEUR DE LA CONVERSION.

1. DIEU EST L’AUTEUR DE LA CONVERSION. Dieu seulement peut être appelé l’auteur de la conversion. Il s’agit de l’enseignement clair des Ecritures. Dans Psaume 85:4 prie le poète, « Tourner à nous, Ô Dieu de notre Salut, » et dans Jérémie 31: 18 Ephraim prie, « Tu Tournez-moi, et je vais être transformé ». Une prière similaire se trouve dans Lam. 05:21. Dans Actes 11:18 Peter attire l’attention sur le fait que Dieu a accordé le repentir de gentils pour la vie. Une déclaration similaire se trouve dans II Timothée 02:25. Il y a une opération de double de Dieu dans la conversion des pécheurs, l’un morale et l’autre hyper physique. En général on peut dire qu’il travaille le repentir au moyen de la Loi, Psaume 19:7; ROM. 03:20 et la foi au moyen de l’Évangile, Romains 10:17. Pourtant, nous ne pouvons pas séparer ces deux, car la Loi contient également une présentation de l’Évangile, et l’Évangile confirme la Loi et menace avec ses terreurs, II Corinthiens 05:11. Mais Dieu fonctionne également de manière immédiate, à hyperphysical dans la conversion. Le nouveau principe de vie qui est implanté dans l’homme régénéré, n’émet pas en action consciente de son propre pouvoir inhérent, mais seulement par le biais de l’influence éclairant et fructifiant du Saint-Esprit. Cf. John 06:44; Phil. 02:13. Pour enseigner autrement serait luthérienne et arminienne.

2. L’HOMME COOPÈRE DANS LA CONVERSION. Mais si Dieu seul est l’auteur de la conversion, il est très important d’insister sur le fait, par rapport à une passivité faux, qu’il y a aussi une certaine coopération de l’homme dans la conversion. Le Dr de Kuyper attire l’attention sur le fait que, dans l' ancien Testament shubh est utilisé 74 fois de conversion comme un acte de l’homme et seulement 15 fois, de la conversion comme un acte de Dieu bienveillant; et que le Nouveau Testament représente la conversion comme un acte de l’homme 26 fois et parle de lui seulement 2 ou 3 fois comme un acte de Dieu. [Dict. dogme, De Salute, p. 94.] Il faut avoir à l’esprit, cependant, que cette activité de l’homme toujours les résultats d’un travail antérieur de Dieu chez l’homme, Lam. 05:21; Phil. 02:13. Que l’homme est actif dans la conversion est assez clairement de ces passages comme Ésaïe 55:7; Jérémie 18:11; Ézéchiel 18:23, 32; 33: 11; Actes à 02:38; 17:30 et autres.

G. LA NÉCESSITÉ DE LA CONVERSION.

La Bible parle en termes absolus de la nécessité de la régénération; pas tant de la nécessité de la conversion. Il nous dit clairement que, « sauf un homme naît de nouveau (nouveau, ou d’en haut), il ne peut pas voir le Royaume de Dieu, » John 3:3, mais ne parle ne pas de la nécessité de la conversion de la même manière générale, ce qui permet d’aucune exception. Naturellement, ceux qui identifient les deux ne saurait admettre cette distinction. Sans doute il y a des passages de l’écriture qui contiennent un appel à la conversion, afin de jouir des bénédictions de Dieu, comme Ézéchiel 33: 11; 55:7 d’Ésaïe et ceux-ci impliquent la nécessité de la conversion dans le cas de celles adressées ou mentionnées. Le passage qui vient le plus proche d’une déclaration absolue se trouve dans Matthieu 18:3, « en vérité, je vous le dis, sauf que vous mettez et devenir comme les petits enfants, vous n’entrera dans le Royaume des cieux. » Mais même dans ce cas on pourrait insister pour qu’il s’agit seulement pour les personnes adressées. Les exhortations expresses ou implicites à tourner autour, trouvé dans l’écriture, viennent uniquement à ceux à qui ils sont adressent et ne signifient pas nécessairement que tout le monde doit passer par une conversion consciente, afin d’être sauvé. Doit répondre à la question quant à la nécessité de la conversion à la discrimination. Ceux qui meurent en bas âge doit être régénérée, afin d’être sauvé, mais ne peut pas très bien l’expérience conversion, un tournant conscient de péché à Dieu. Dans le cas des adultes, cependant, la conversion est absolument indispensable, mais il peuvent ne pas figurer dans la vie de chacun comme une crise très marquée. Une telle crise définitive, en règle générale, est susceptible que dans la vie de ceux qui, après une vie de péché et de la honte, sont arrêtés dans leur cours mal par la puissance régénératrice du Saint-esprit et par l’appel efficace à la conversion. En eux, la vie de l’hostilité consciente est à la fois transformée en une vie d’amitié avec Dieu. Il peut difficilement être cherchée, cependant, dans la vie de ceux qui, comme Jean le Baptiste et Timothy, servi le Seigneur de prime jeunesse. Dans le même temps, la conversion n’est nécessaire dans le cas de tous les adultes en ce sens que ses éléments, à savoir, repentir et la foi doivent être présents dans leur vie. Cela signifie qu’ils doivent, dans une certaine forme, expérience l’essence de la conversion.

H. RELATION DE CONVERSION À D’AUTRES STADES DU PROCESSUS.

1. À LA RÉGÉNÉRATION. Cela a déjà été indiqué dans une certaine mesure. Les deux mots « régénération » et « conversion » sont utilisés comme synonymes par certains. Encore dans la théologie de nos jours ils renvoient généralement aux différentes, bien qu’étroitement les questions connexes. Le principe de la nouvelle vie implanté dans la régénération est rendu expression active dans la vie consciente du pécheur il est converti. Le changement qui s’effectue dans la vie subconsciente en régénération passe dans la vie consciente dans la conversion. Conversion s’ensuit logiquement, régénération. Dans le cas de ceux qui sont régénérés dans l’enfance, il y a nécessairement une séparation temporelle des deux, mais dans le cas de ceux qui sont régénérés après qu’ils sont venus à des années de discrétion, les deux coïncident généralement. Dans la régénération, le pécheur est entièrement passif, mais dans la conversion, il est passif et actif. L’ancien répètera jamais, mais le dernier peut dans une certaine mesure, même si la conversio actualis prima est générée, mais une fois.

2. L'APPEL EFFICACE. La conversion est le résultat direct des appels internes. Comme un effet chez l’homme, appel interne et le début de la conversion vraiment coïncident. La situation est pas telle que Dieu appelle le pécheur, et qu’alors le pécheur dans sa propre force se tourne vers Dieu. C’est exactement à l’interne demandant que l’homme devient conscient du fait que Dieu travaille conversion en lui. L’homme vraiment convertie se sentiront tout le long que sa conversion est le œuvre de Dieu. Cela le distingue de l’homme qui vise à améliorer sans morale superficielle. Les œuvres de ce dernier dans ses propres forces.

3. LA FOI. Comme déjà indiqué, la conversion consiste dans le repentir et la foi, afin que la foi est vraiment une partie de la conversion. Pourtant, nous devons distinguer ici. Il existe deux types de vraie foi, ayant chacune un objet distinct, à savoir, (a) une reconnaissance de la vérité de la révélation de Dieu de la rédemption, non seulement dans un sens historique, détaché, mais de telle manière qu’elle est reconnue comme une réalité qui ne peut être ignorée en toute impunité , parce qu’elle affecte la vie de façon vitale; et (b) une reconnaissance et une acceptation du Salut offert en Jésus-Christ, qui sauve foi au sens propre du mot. Maintenant il y a sans aucun doute que la foi dans le premier sens est présente à la fois dans la conversion. Le Saint-Esprit provoque le pécheur de voir la vérité telle qu’elle s’applique à sa propre vie, afin qu’il relève de la « conviction » et ainsi devient conscient de son péché. Mais il peut demeurer dans ce stade depuis un certain temps, afin qu’il soit difficile de dire dans quelle mesure foi salvatrice, c'est-à-dire confiance en Christ pour le Salut, n’est à la fois inclus dans la conversion. Il n’y a aucun doute que, logiquement, la connaissance du péché et repentance précède la foi qui cède à Christ en faisant confiance à l’amour.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Pourquoi Beza préfère appeler conversion resipiscentia plutôt que de poenitentia? Pourquoi est le terme de « repentir » insuffisant pour exprimer l’idée de conversion ? Comment les conception de Luther de la repentance différait de celle de Calvin ? Est conversion toujours précédée par « conviction de péché » ? Peut-on parler de grâce prévenante par rapport à la conversion ? Conversion du est un acte instantané, ou est-ce un processus ? Qu’entend-on par le terme « conversion quotidienne » ? Quelle est la vue correcte de la nécessité de la conversion ? Prédication de Pacte a-t-il tendance à faire taire l’appel à la conversion ? Quelle est la conception de méthodiste de conversion ? Les méthodes de rassemblements sont louables ? Qu’en est-il du caractère durable des conversions dont ils se vantent ? Les statistiques de la psychologie de la conversion nous donner toute information sur ce point ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 127-181; Kuyper, Dict. dogme., De Salute, pp. 93-97; Ibid., Het Werk van den Heiligen Geest II, p. 197-203; A. A. Hodge, contours de la théologie, p. 487 à 495; Strong, Syst. Theol., pp. 829-849; McPherson, Chr. dogme., pp. 393-397; Shedd, dogme . THEOL. II, p. 529 à 537; Alexander, syst de Bib. Theol. II, pp. 38-384; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 249-258; Vos, Geref. Dogme. IV, p. 66-81; Pape, Chr. dogme. II, p. 367-376; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, p. 465, 466, 470-484; Drummond, Studies in Chr. Doct., p. 488-491; Macintosh, théol. comme une Science empirique, pp. 134-136; Faire, Godgeleerdheit, IV, 4; Walden, grand sens de Metanoia; Jackson, le fait de la Conversion; Conseil de l’Europe, la vie spirituelle; Starbuck, la psychologie de la Religion; James, les variétés de l’expérience religieuse, p. 189-258; Ames, la psychologie de l’expérience religieuse, pp. 257-276; Clark, la psychologie de l’éveil religieux; Pratt, la conscience religieuse, pp. 122-164; Steven, la psychologie de l’âme chrétienne, pp. 142-298; Hughes, la psychologie nouvelle et l’expérience religieuse, pp. 213-241; Snowden, la psychologie de la Religion, p. 143-199.

 

VIII. la foi

Le chapitre précédent traitait de conversion en général et a aussi donné une brève description de l’élément négatif de la conversion, à savoir, la repentance. Le présent chapitre sera consacré à une discussion de l’élément positif, qui est la foi. C’est d’une importance telle centrale dans la sotériologie qui il réclame un traitement distinct. Il est préférable de prendre à ce stade, non seulement parce que la foi est une partie de la conversion, mais aussi parce qu’elle est instrumentalement liée à la justification. L’examen constitue une transition naturelle vers la doctrine de la justification par la foi.

A. LES TERMES SCRIPTURAIRES POUR LA FOI.

1. LES CONDITIONS DE L'ANCIEN TESTAMENT ET LEUR SIGNIFICATION. L’ancien Testament ne contient aucun nom de foi, sauf si emouna considérer donc dans Habacuc 2:4. Ce mot signifie ordinairement « fidélité, » Deut. 32: 4; PS. 36: 5; 37: 3; 40:11, mais la façon dont la déclaration d’Habacuc est appliquée dans le Nouveau Testament, Rom. 01:17; GAL 03:11; Hébreux 10:38, semblerait indiquer que le prophète a utilisé le terme dans le sens de la foi. Le mot le plus commun ancien Testament « à cru » est he'emin, la forme hiphil du 'aman. Dans qal , cela signifie « infirmière » ou « nourrir »; dans niphal, « d’être ferme » ou « établi, » « stable »; et dans hiphil, « d’envisager établie », « de considérer comme vrai » ou « à croire. » Le mot est interprété avec les prépositions beth , lamed. Interprétée avec l’ancien, il se réfère évidemment à une confiance reposant sur une chose ou d’une personne ou d’un témoignage; alors que, avec ce dernier, elle signifie l’assentiment donné à un témoignage, qui est accepté comme vraie. — Le mot suivant en importance est batach, qui est interprété avec beth et signifie « se confier à », « se pencher sur », ou « faire confiance. » Il n’insiste pas sur l’élément d’assentiment intellectuel, mais plutôt que de confiance confiant. À la différence de he'emin, qui est généralement rendu par pisteuo dans la Septante, ce mot est généralement traduit par elpizo ou peithomai. L’homme qui a confiance en Dieu est celui qui corrige tout son espoir pour le présent et l’avenir sur lui. — Il n’y a encore un autre mot, à savoir les chasah, qui est utilisée moins fréquemment et les moyens « se cacher l’un est soi-même, » ou « de fuir d’un refuge. » En cela, aussi, l’élément de confiance est clairement à l’avant-plan.

2. LES CONDITIONS  DU NOUVEAU TESTAMENT ET LEUR SIGNIFICATION. Deux mots sont utilisés dans le Nouveau Testament, à savoir, pistis et le verbe apparenté pisteuein. Ceux-ci n’ont pas toujours exactement la même connotation.

a. les différentes significations de pistis. (1) en grec classique. Le mot pistis a deux significations en grec classique. Il désigne: (a) une déclaration de culpabilité fondée sur la confiance dans une personne et dans son témoignage, qui se distingue ainsi de connaissances reposant sur une enquête personnelle; et (b) la confiance elle-même sur laquelle il repose un verdict de culpabilité. Il s’agit plus d’une simple intellectuelle conviction qu’une personne est fiable; elle suppose une relation personnelle avec l’objet de confiance, un aller hors on est soi-même, se reposer dans un autre. Les Grecs n’ordinairement utilisaient pas le mot dans ce sens, d’exprimer leur relation avec les dieux, depuis ils considérés comme hostiles aux hommes, et par conséquent comme objets de peur plutôt que de trust.—(2) Dans la Septante. La transition entre l’usage de la parole pistis en grec classique à l’usage du Nouveau Testament, dans lequel le sens « confiance » ou la « fiducie » est très important, se trouve dans l’utilisation de la Septante du verbe pisteuein , plutôt que dans celui du nom pistis, qui se produit chez elle, mais une fois avec n’importe quoi comme son sens du Nouveau Testament. Le verbe pisteuein sert généralement d’un rendu de l’he'emin du mot et exprime donc l’idée de la foi les deux dans le sens de la sanction à la parole de Dieu et de faire confiance à confiance en lui. — (3) dans le Nouveau Testament. Il existe quelques cas dans lesquels le mot a un passif, ce qui signifie, à savoir celle de « fidélité » ou « fidélité », qui est son sens usuel dans l’ancien Testament, Romains 3:3; GAL 05:22; Tite 02:10. Il est généralement utilisé dans un sens actif. Il convient de distinguer les significations particulières suivantes: (a) une croyance intellectuelle ou la déclaration de culpabilité, reposant sur le témoignage d’une autre et par conséquent basée sur la confiance dans cet autre, plutôt que sur l’enquête personnelle, Phil. 01:27; II Corinthiens 04:13; II Thessaloniciens. 02:13 et en particulier dans les écrits de John; et confiance (b) une capacité de se confier ou confiance en Dieu, ou, plus particulièrement, dans le Christ, en vue de la rédemption du péché et de béatitude future. Donc surtout dans les épîtres de Paul, Rom. 03:22, 25; 5:1, 2; 09:30, 32; GAL 02:16; Éphésiens 2:8; 03:12 et beaucoup d’autres passages. Cette confiance doit être distinguée de celle à laquelle la fiducie intellectuelle mentionnés sous (a) ci-dessus, restes. L’ordre dans les étapes successives de la foi est comme suit: (a) général confiance en Dieu et de Christ; (b) l’acceptation de leur témoignage sur la base de cette confiance; et (c) ce qui donne à Christ et ayant confiance en lui pour le salut de l’âme. Le dernier est plus précisément appelé sauver la foi.

b. les différentes constructions des pisteuein et leur signification. Nous avons les constructions suivantes: (1) Pisteuein avec le datif. Cela dénote généralement la sanction croyante. Si l’objet est une personne, il est habituellement employé dans un sens un peu enceinte, y compris l’idée profondément religieuse d’un dévoué, croyant la confiance. Lorsque l’objet est une chose, c’est généralement la parole de Dieu, et s’il est une personne, c’est généralement soit Dieu ou Christ, John 04:50; 05:47; Actes 16:34; Romains 4:3; II Timothée 01:12. — (2) Pisteuein suivie de hoti. Dans cette construction, la conjonction sert généralement à mettre en place ce que l'on croit. Dans l’ensemble, cette construction est plus faible que la précédente. Des vingt passages où il se trouve, quatorze ans se produisent dans les écrits de John. Dans quelques cas l’affaire croyait guère s’élève dans le domaine religieux, John 09:18; Actes 09:26, alors que dans certains des autres, c’est décidément d’importation sotériologique, Matthieu 09:28; Romains 10:9; I Thessaloniciens 04:14. — (3) Pisteuein avec des prépositions. Ici, le sens profond du mot, qui, de la ferme confiance confiant, s’agit de son plein droit. Les constructions suivantes entrent en considération: (a) Construction avec fr. C’est la construction la plus fréquente dans la Septante, mais c’est tout, mais absent du Nouveau Testament. Le seulement certain cas est Mark 01:15, où l’objet est l’Évangile. Autres cas possibles sont John 03:15; EP 01:13, où l’objet serait de Christ. L’implication de cette construction semble être celui d’une confiance ancrée dans son objet. (b) Construction avec l’epi et le datif. Il se trouve que dans la citation d’Ésaïe 28: 16, qui apparaît dans les trois passages, à savoir, Rom. 09:33; 10:11; I Pierre 2:6 et dans Luc 24:25; J’ai Timothée 01:16. Il exprime l’idée d’un repos régulier et reposante, une dépendance vis-à-vis de son objet. (c) Construction avec epi et l’accusatif. Ceci est utilisé sept fois dans le Nouveau Testament. Dans quelques cas, l’objet est Dieu, tel qu’il fonctionne dans le sauvetage de l’âme au Christ; dans tous les autres c’est le Christ. Cette construction comprend l’idée du mouvement moral, de l’orientation mentale vers l’objet. L’idée principale est celle du tournage avec confiance confiant à Jésus-Christ. (d) Construction avec étude d’impact environnemental. Il s’agit de la construction la plus caractéristique du Nouveau Testament. Il se produit quarante - neuf fois. Environ quatorze de ces instances sont johannique et le reste de Pauline. Sauf dans un cas, l’objet est toujours une personne rarement Dieu et plus couramment Christ. Cette construction a une signification très enceinte, exprimant, comme il le fait, « une absolue transfert de confiance de notre part à l’autre, un complet abandon de soi à Dieu. » Cf. Jean 02:11; 03:16, 18, 36; 04:39; 14:1; Romains 10:14; GAL 02:16; Phil. 01:29.

B. LES EXPRESSIONS FIGURATIVES UTILISÉES POUR DÉCRIRE L’ACTIVITÉ DE LA FOI.

Il y a plusieurs expressions figuratives de l’activité de la foi dans les Ecritures. Voici quelques-uns des plus importants.

1. on parle de lui comme un regard vers Jésus, John 03:14, 15 (COMP. nombres 21:9). Il s’agit d’un chiffre tout à fait approprié, car il est composé de différents éléments de la foi, surtout lorsqu’il s’agit d’une ferme à la recherche à n’importe qui, comme dans le passage indiqué. Il y a en elle un acte de perception (élément intellectuel), une fixation délibérée de le œil sur l’objet (élément volontaire) et une certaine satisfaction à laquelle cette concentration témoigne (élément émotionnel).

2. il est aussi représenté comme un affamé et assoiffé, un manger ou boire, Matthieu 5:6; Jean 06:50-58; 4:14. lorsque les hommes ont vraiment faim et soif spirituellement, ils se sentent que quelque chose manque, sont conscients du caractère indispensable de ce qui est manquant et s’efforcer d’en obtenir. Tout cela est caractéristique de l’activité de la foi. En mangeant et en buvant nous non seulement ont la conviction que la nourriture nécessaire et la boisson est présent, mais aussi l’attente confiante qu’il satisfera nous, tout comme la s’approprier Christ par la foi nous avons un certain degré de confiance qu’il nous sauvera.

3. Enfin, il y a aussi les chiffres de venir au Christ et de recevoir de lui, Jean 05:40; 07:37 (cf. vs 38); 06:44, 65; 1: 12 la figure de venir à la foi de photos de Christ sous forme d’action dans lequel l’homme semble loin de lui-même et à ses propres mérites, pour être revêtus de la justice de Jésus-Christ; et celle de recevoir Christ insiste sur le fait que la foi est un organe s’approprier.

C. LA DOCTRINE DE LA FOI DANS L’HISTOIRE.

1. AVANT LA RÉFORME. Depuis le début très de la foi de Christian Church que se détachait dans l’esprit des dirigeants comme une grande condition du Salut. Aux côtés de celui-ci repentance aussi bientôt est devenu plutôt proéminent. Dans le même temps, il y avait peu de réflexion dans un premier temps sur la nature de la foi et mais peu de compréhension de la relation entre la foi aux autres parties de l' ordo salutis. Il n’y avait aucune définition actuelle de la foi. Alors qu’il y avait une tendance à utiliser le mot « foi » pour désigner l’acceptation de la vérité sur le témoignage, c’est aussi parfois employé dans un sens plus profond, afin d’intégrer l’idée d’abandon de soi à la vérité reçue intellectuellement. Les Alexandrins contrastait pistis et gnosiset considéré l’ancien principalement en tant que connaissances initiales et l’imparfait. Tertullien a insisté sur le fait que la foi accepte une chose sur l’autorité, et non parce qu’elle est justifiée par la raison humaine. Il a également utilisé le terme dans un sens objectif, comme une désignation de celui qui doit être crue, — la regula fidei. Même jusqu'à l’époque d’Augustin, peu d’attention a été consacrée à la nature de la foi, mais il est toujours reconnu comme le moyen prééminent dans l’appropriation du Salut. Augustine, cependant, a donné l’affaire une plus grande mesure de l’examen. Il a parlé de foi en plus d’un sens. Parfois il considéré comme rien d’autre qu’intellectuelle avis conforme à la vérité. Mais il a conçu de la foi évangélique ou justifie comme comprenant également les éléments de l’abandon de soi et l’amour. Cette foi est parfaite dans l’amour et devient ainsi le principe des bonnes œuvres. Il n’a pas une conception appropriée, cependant, la relation entre la foi et la justification. C’est en partie dû au fait que soigneusement, il ne distinguait pas entre la justification et la sanctification. La conception plus profonde de la foi que l'on trouve chez Augustin n’était pas partagée par l’église en général. Il y avait une tendance à confondre la foi avec l’orthodoxie, c'est-à-dire, avec la tenue d’une foi orthodoxe. La scolastique distingue entre une foi informis, c'est-à-dire seulement intellectuelle avis conforme à la vérité enseignée par l’église et un fides formata (charitate), c'est-à-dire une foi informée (compte tenu d’une forme caractéristique) par amour, et considérer ces derniers comme la seule foi qui justifie, puisqu’il s’agit d’une infusion de la grâce. C’est seulement comme fides formata que la foi s’active pour de bon et devient le premier des vertus théologales, par lequel l’homme est placé dans la bonne relation à Dieu. Strictement parlant, c’est l’amour par lequel la foi est parfaite qui justifie. Ainsi dans la foi elle-même une Fondation a été posée pour la valeur humaine. L’homme est justifié, pas exclusivement par l’imputation des mérites du Christ, mais aussi par la grâce inhérente. Thomas Aquinas définit la vertu de foi comme une « habitude de l’esprit, en raison duquel la vie éternelle a sa création en nous, dans la mesure où il provoque l’intellect donner son avis conforme à des choses qui ne sont pas visibles ».

2. APRÈS LA RÉFORME. Tandis que les catholiques romains ont souligné le fait que justifier la foi est simplement la sanction et a son siège dans la compréhension, les réformateurs généralement considéré comme fiducia (trust), ayant son siège dans le testament. Sur l’importance relative des éléments de foi on a des différences, cependant, même parmi les Protestants. Certains considèrent la définition de Calvin comme étant supérieure à celle du Catéchisme de Heidelberg. Calvin, dit: « Nous allons maintenant ont une définition complète de la foi si nous disons que c’est une connaissance solide et sûre de la faveur divine envers nous, fondée sur la vérité d’une promesse gratuite dans le Christ et a révélé à nos esprits et scellé dans nos coeurs par l’Esprit Saint. » [Inst. III. 2,7.] le Catéchisme de Heidelberg, en revanche, apporte également dans l’élément de confiance lorsqu’il répond à la question, « Qu’est la vraie foi ? » comme suit: « vraie foi n’est pas seulement une certitude par lequel je tenir pour vérité tout ce que Dieu a révélé à nous dans sa parole mais aussi une ferme confiance que le Saint-Esprit travaille dans mon cœur par l’Évangile, que non seulement aux autres, mais pour moi aussi, rémission des péchés, la justice éternelle et le Salut sont librement donnés par Dieu, simplement de la grâce, seulement pour les mérites du Christ. » [Q. 21.] Mais il est assez évident de la connexion que Calvin veut inclure l’élément de confiance dans la « connaissance solide et sûre », dont il parle. En parlant de l’audace avec laquelle nous pouvons approcher Dieu dans la prière, il dit même: « telle audace ne ressorts qu’à partir de confiance en la faveur divine et du Salut. Tellement vrai est-ce, que le terme de foi est souvent utilisé comme équivalent à la confiance. » [Ibid.., III. 2,15.] il rejette absolument la fiction de la Schoolmen qui insistent « que la foi est une sanction qui peut recevoir n’importe quel contempteur de Dieu ce qui est livré dans l’écriture. » [Ibid.. III. 2.8.] , mais il y a un point encore plus important de la différence entre conception le réformateur de la foi et celui de la scolastique. Ce dernier a reconnu dans la foi elle-même certaine efficacité réelle et même méritoire (meritum ex congruo) en disposant à et dans le recrutement ou l’obtention de justification. Les réformateurs, en revanche, ont été unanimes et explicite dans l’enseignement que justifier la foi ne justifie pas de toute efficacité méritoire ou intrinsèque de ses propres, mais seulement en tant qu’instrument pour recevoir ou emparer sur ce que Dieu a fourni dans les mérites du Christ. Ils ont considéré cette foi principalement comme un don de Dieu et seulement accessoirement comme une activité de l’homme dans dépendance envers Dieu. Les arminiens ont révélé une tendance Romanizing, lorsqu’ils ont concevaient de la foi comme un travail méritoire de l’homme, sur la base desquels il est accepté en faveur par Dieu. Schleiermacher, le père de la théologie moderne, à peine mentionne sauver foi et sait absolument rien de la foi comme enfantin confiance en Dieu. Il dit que la foi » n’est rien mais l’expérience naissante de la satisfaction de notre spirituel nécessité par le Christ. » C’est une nouvelle expérience psychologique, une nouvelle conscience, enracinée dans un sentiment, pas de Christ, ni de toute doctrine, mais de l’harmonie de l’infini, de l’ensemble des choses, dans lequel l’âme trouve Dieu. Ritschl a décidé avec Schleiermacher en statuant que la foi surgit à la suite d’un contact avec la réalité divine, mais trouve son objet, non dans une idée ou une doctrine, ni dans l’ensemble des choses, mais en la personne du Christ, comme la révélation suprême de Dieu. Il n’est pas une sanction passive, mais un principe actif. Dedans l’homme fait Dieu auto fin, c'est-à-dire le Royaume de Dieu, sa propre, commence à travailler pour le Royaume et en faisant cela trouve le salut. Les vues de Schleiermacher et Ritschl caractérisent une grande partie de la théologie libérale moderne. Foi, cette théologie, n’est pas une expérience ciel-forgé, mais une réussite humaine; pas la simple réception d’un cadeau, mais une action méritoire; pas l’acceptation d’une doctrine, mais un « faisant le Christ Maître » dans une tentative de modèle de la vie après l’exemple du Christ. Ce point de vue a rencontré une forte opposition, cependant, dans la théologie de crise, qui insiste sur le fait que sauver la foi n’est jamais une expérience psychologique simplement naturelle, est à proprement parler un acte de Dieu plutôt que de l’homme, jamais constitue une possession permanente du l’homme et est en soi qu’un hohlraum (espace vide), tout à fait incapable d’effectuer le salut. Barth et foi tenu Brunner simplement comme la réponse divine, forgé chez l’homme par Dieu, à la parole de Dieu dans le Christ, c'est-à-dire non pas tant à toute doctrine, en ce qui concerne le commandement divin ou la loi divine dans le œuvre de rédemption. C’est la réponse affirmative, le « oui » à l’appel de Dieu, un « oui » qui est provoqué par Dieu lui-même.

D. L’IDÉE DE LA FOI DANS LES ECRITURES.

1. DANS L’ANCIEN TESTAMENT. Évidemment, les auteurs du Nouveau Testament, en soulignant la foi comme le principe fondamental de la vie religieuse, n’étaient pas conscients de déplacement au sol et de s’écarter de la représentation de l’ancien Testament. Ils considèrent Abraham comme le type de tous les vrais croyants (Romains 4; Galates 3; Hébreux 11; Jac. 2) et ceux qui ont foi dans les vrais fils d’Abraham (Rom. 02:28, 29; 04:12, 16; Galates 3:9). Foi n’est jamais traitée comme une nouveauté de la nouvelle Alliance, n’a aucune distinction entre la foi des deux pactes. Il y a un sentiment de continuité, et la proclamation de foi est considérée comme le même dans les deux dispenses, John 05:46; 12:38, 39; Habacuc 2:4; ROM. 01:17; 10:16; GAL 03:11; Hébreux 10:38. Dans les deux Testaments, la foi est le même radical indépendant engagement envers Dieu, non seulement comme le plus grand bien de l’âme, mais comme Sauveur miséricordieux du pécheur. La seule différence qui se manifeste, est attribuable au travail progressif de la rédemption, et c’est plus ou moins évident, même dans les limites de l’ancien Testament lui-même.

a. dans la période patriarcale. Dans les parties précédentes de l’ancien Testament, il y a, mais peu dans la ligne de déclaration abstraite sur le chemin du Salut. L’essence de la religion des patriarches est exposé nous en action. La promesse de Dieu est au premier plan, et le cas d’Abraham vise à énoncer l’idée que la bonne réponse à c’est celle de foi. Toute la vie de Noé a été déterminée par la confiance en Dieu et en ses promesses, mais c’est surtout les Abraham qui est placée devant nous comme le croyant typique, qui s’engage à Dieu avec une confiance inébranlable dans ses promesses et est justifié par la foi.

b. pendant la période de la loi. L’octroi de la loi n’avait pas entraîné un changement fondamental dans la religion d’Israël, mais simplement introduit un changement dans sa forme externe. La loi n’est pas substituée à la promesse; ni a été supplanté par les oeuvres de foi. Bon nombre des Israélites, en effet, regarda la loi dans un esprit purement légaliste et a cherché à fonder leurs demandes au salut sur un respect scrupuleux de celui-ci comme un ensemble de préceptes externes. Mais dans le cas de ceux qui ont compris sa véritable nature, qui se sentait l’intériorité et la spiritualité de la Loi, il a servi à approfondir le sens du péché et d’aiguiser la conviction que le salut est susceptible qu’à partir de la grâce de Dieu. L’essence de la vraie piété a semblé plus en plus consistent en une confiance confiante en Dieu du Salut. Tandis que l’ancien Testament insiste clairement sur la crainte du Seigneur, un grand nombre d’expressions, telles que l’espoir, confiance, cherchant refuge en Dieu, qui cherchent à lui, s’appuyant sur lui, cœur de fixation sur lui et clivage lui — le rendent tout à fait évident que cette crainte n’est pas une cr Aven mais une peur enfantine, respectueuse et mettre l’accent sur la nécessité de cet engagement indépendant aimante de Dieu qui est l’essence même de sauver la foi. Même dans la période de la Loi, la foi est distinctement sotériologique, à la recherche du Salut messianique. C’est une confiance en Dieu de Salut et une dépendance de ferme sur ses promesses pour l’avenir.

2. DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. Quand le Messie est venu dans l’accomplissement des prophéties, apportant le Salut espérée, il est devenu nécessaire pour les véhicules de la révélation de Dieu pour diriger le peuple de Dieu à la personne de leur Rédempteur. Il s’agissait d’autant plus nécessaire compte tenu du fait que la réalisation a pris une forme dont beaucoup ne s’attendait pas, et qui apparemment ne correspondait pas avec la promesse.

a. dans les Évangiles. La demande de la foi en Jésus en tant que Rédempteur, promis et qu’on espère, est apparue comme quelque chose de typique de la nouvelle ère. « À croire » destiné à devenir un chrétien. Cette demande semble créer un fossé entre la dispensation ancienne et le nouveau. Le début de ce dernier est même appelé « la venue de la foi, » gal 03:23, 25. C’est la chose caractéristique des évangiles que dans leur que Jésus est lui-même offrant constamment que l’objet de la foi et que dans le cadre de la plus haute porte de l’âme. L’Évangile de Jean insiste sur les aspects les plus élevés de cette foi plus que les synoptiques.

b. dans les actes. Dans les actes des apôtres, foi est nécessaire dans le même sens général. Par la prédication des apôtres, les hommes sont amenés à l’obéissance de la foi au Christ; et cette foi devient le principe formative de la nouvelle communauté. Différentes tendances développé dans l’église et a donné naissance à différents modes de traitant de la foi qui est apparu dans les écrits du Nouveau Testament.

c. dans l’épître de Jacques. James avait réprimandé la tendance juive de concevoir la foi qui a été bien agréable à Dieu comme une simple intellectuelle avis conforme à la vérité, une foi qui n’ont pas donné les fruits appropriés. Son idée de la foi qui justifie ne diffère pas de celui de Paul, mais il insiste sur le fait que cette foi doit se manifester dans les bonnes œuvres. Si ce n’est pas, c’est une foi morte et est, en fait, inexistant.

d. dans les épîtres de Paul. Paul a dû composer notamment avec le légalisme ancré de la pensée juive. Le juif s’est vanté de la justice de la Loi. Par conséquent, l’Apôtre devait faire valoir la place de la foi comme le seul instrument de Salut. Ce faisant, il naturellement insistait beaucoup sur Christ comme l’objet de la foi, puisque c’est de cet objet uniquement que la foi tire son efficacité. Foi justifie et sauve seulement parce qu’il fixe sur Jésus Christ.

e. dans l’épître aux Hébreux. L’auteur d’Hébreux également considère le Christ comme l’objet véritable de sauver la foi et apprend qu’il n’y a aucun droit-eousness sauf par la foi, 10:38; 11:7. mais le danger contre lequel l’auteur de cette lettre a la garde n’était pas celle de tomber de la foi dans les œuvres, mais plutôt que de tomber de la foi dans le désespoir. Il parle de la foi comme « l’assurance des choses qu’on espère, la conviction des choses ne pas vu, » 11:1. Il exhorte les lecteurs à une attitude de foi, qui leur permettront d’augmenter du visible à l’invisible, du présent vers l’avenir, du temporel à l’Éternel, et qui leur permettront d’être patient au milieu de souffrances.

f. dans les épîtres de Pierre. Peter a également écrit aux lecteurs que risquaient de se décourager, mais ne pas de retomber dans le judaïsme. Les circonstances dans lesquelles ils se sont retrouvent l’incita à mettre un accent particulier sur la relation entre la foi au Salut consommée, afin d’accélérer dans leur cœur l’espoir qu’elles subiraient dans leurs essais présents, l’espoir d’une invisible et gloire éternelle. La Deuxième épître souligne l’importance de la connaissance de la foi comme une protection contre les erreurs qui prévaut.

g. dans les écrits de Jean. Jean a dû composer avec un Gnosticisme naissant, qui faussement souligne connaissance (Gnose) et méprisé la foi simple. Le premier était censé pour transporter avec elle une bien plus grande béatitude que celui-ci. C’est pourquoi John rend un point pour magnifier les bénédictions de la foi. Il insiste sur le fait, non pas tant sur la certitude et la gloire de l’héritage futur qui foi sécurise, comme sur la plénitude de la jouissance actuelle du Salut qui il apporte. La foi embrasse la connaissance comme une condamnation ferme et rend les croyants à la fois les possesseurs de la nouvelle vie et de salut éternel. Pendant ce temps John ne néglige pas le fait qu’il tend également la main vers l’avenir.

E. LA FOI EN GÉNÉRAL.

Le mot « foi » n’est pas exclusivement un terme religieux et théologique. Il est souvent utilisé dans un sens général et non religieux et malgré cela a une connotation plus d’un. Les utilisations suivantes du terme méritent une attention particulière. Il peut désigner:

1. LA FOI COMME N'ÉTANT PLUS QU’UNE SIMPLE OPINION. Le mot « foi » est parfois utilisé dans un sens plutôt lâche et populaire, pour désigner une persuasion de la vérité qui est plus fort que la simple opinion et encore plus faible que la connaissance. Locke même définit la foi comme « l’assentiment de l’esprit aux propositions qui sont sans doute, mais pas certainement, vrai. » En langage populaire, on dit souvent de ce dont nous ne sommes pas absolument certains, mais qui nous en même temps se sentent contraints de reconnaître comme vrai: « je crois que, mais je ne suis pas sûr de lui. » Par conséquent, certains philosophes ont trouvé le caractère distinctif de la foi dans le moindre degré de certitude qui il donne — Locke, Hume, Kant et autres.

2. LA FOI COMME CERTITUDE IMMÉDIATE. Dans le cadre de la science, foi est souvent parlé de comme certitude immédiate . Il y a une certitude que l’homme obtient au moyen de la perception, l’expérience et déduction logique, mais il y a aussi une certitude intuitive. Il y a dans chaque science axiomes qui ne peuvent être démontrées et intuitives des convictions qui ne sont pas acquises par la perception ou de la déduction logique. Dr. Bavinck dit « Het gebied der onmiddelijke zekerheid veel grooter dan dat der demonstratieve, en deze laatste est altijd weer op de eerste gebouwd, fr staat fr valt met deze. Ook est deze intuitieve zekerheid niet minder maar grooter dan die, welke langs den weg van waarneming fr logische demonstratie verkregen wordt. » La sphère de sécurité immédiate est supérieure à celle de sécurité démonstrative. Dans les deux cas maintenant foi mentionné est considéré exclusivement comme une activité de l’intellect. La foi comme faculté intellectuelle est une fausse  foi, une présomption. Elle est commune parmi les sectes évangéliques modernes. La vraie foi ou «foi authentique» est celle de Christ qu'il transmet à ses élus dans les mérites de son sacrifice sur la croix qui leurs sont attribués gratuitement et sans condition. Les attributions de Christ sont essentielles pour le salut des individuels. Les élus la reçoivent comme l'assurance certaine et inébranlable dans le sacrifice de Christ en leur faveur, ce qui les poussent à mettre leur confiance en Christ pour toutes choses dans leur vie. Cette foi ou assurance provient du bon plaisir de Dieu dans sa Souveraineté absolue d'après son décret éternel d'élection. Dans ce sens réel, la foi est le don même de la grâce souveraine, elle est l'offrande de Dieu en Christ pour ceux qui sont destinés à la vie éternelle (Actes 13:48).

3. LA FOI COMME UNE CONDAMNATION FONDÉE SUR LE TÉMOIGNAGE ET DE LA CONFIANCE Y COMPRIS. En commun langage la parole « foi » est souvent utilisé pour désigner la conviction que le témoignage d’un autre vrai, et que ce qu’il promet se fera; une déclaration de culpabilité fondée uniquement sur sa véracité reconnue et la fidélité. C’est vraiment une croyant de l’acceptation de ce que l’autre dit, sur la base de la confiance qu’il inspire. Et cette foi, cette conviction basée sur la confiance, conduit souvent à une confiance supplémentaire: faire confiance à un ami en cas de besoin, dans la capacité d’un médecin de donner de l’aide en cas de maladie et dans celui d’un pilote pour guider le navire dans le port , et ainsi de suite. Dans ce cas, la foi est plus qu’une simple question de l’intellect. La volonté est mises en jeu, et l’élément de confiance vient au premier plan.

F. LA FOI AU SENS RELIGIEUX ET SURTOUT LA FOI QUI SAUVE.

Les caractéristiques distinctives de la foi dans le sens théologique n’ont pas toujours été mentionnés de la même manière. Cela deviendra évident, si l'on considère le concept, les éléments, l’objet et le motif de la foi.

1. LE CONCEPT DE LA FOI: QUATRE SORTES DE FOI SE DISTINGUENT. Comme un phénomène psychologique foi au sens religieux ne diffère pas de la foi en général. Si la foi est en général une persuasion de la vérité fondée sur le témoignage de l’un en qui nous avons confiance et sur qui nous comptons et repose donc sur l’autorité, la foi chrétienne au sens plus complet est de persuasion de l’homme de la vérité de l’écriture sur la base de la th autorité de e de Dieu. La Bible ne parle pas toujours de la foi religieuse dans le même sens, et cela a donné lieu à des distinctions suivantes en théologie.

a. la foi historique. Il s’agit d’une crainte purement intellectuelle de la vérité, sans n’importe quel objet morale ou spirituelle. Le nom ne signifie pas qu’il embrasse seulement les faits historiques et les événements à l’exclusion des vérités morales et spirituelles; ni qu’il repose sur le témoignage de l’histoire, car elle peut avoir de référence aux faits contemporains ou événements, Jean 3:2. Il exprime plutôt l’idée que cette foi accepte les vérités de l’Ecriture que l'on pourrait accepter une histoire dans laquelle on s’intéresse pas personnellement. Cette foi peut être le résultat de la tradition, de l’éducation, de l’opinion publique, d’un aperçu de la grandeur morale de l’écriture et ainsi de suite, accompagné des activités générales de l’Esprit Saint. Il peut être très orthodoxe et scripturaire, mais n’est pas enracinée dans le cœur, Matthieu 07:26; Actes Matthieu 26: 27, 28; Jacques 02:19. C’est une foi humanaet pas un fides divina.

b. la foi miraculeuse. La soi-disant foi miraculeuse est une persuasion forgée dans l’esprit d’une personne qu’un miracle sera interprété par lui ou en son nom. Dieu peut donner à une personne un travail à faire qui transcende ses pouvoirs naturels et lui permettre de le faire. Chaque tentative d’exécution d’un travail de ce genre nécessite la foi. C’est très clair dans le cas où l’homme apparaît comme l’instrument de Dieu, ou comme celui qui annonce que Dieu va travailler un miracle, pour un tel homme doit avoir pleine confiance que Dieu ne lui mettra pas à la honte. En dernière analyse Dieu seulement fait des miracles, mais il peut le faire au moyen de humaine. Il s’agit de foi des miracles dans le sens actif, Matthieu 17:20; Marc 16:17, 18. Il n’est pas nécessairement, mais peut être, accompagné de sauver la foi. La foi des miracles peut-être être aussi passive, à savoir, la persuasion que Dieu va fonctionner un miracle en son nom. Il, aussi, peut ou ne peut pas être complété avec l’enregistrement de foi, Matthieu 08:10-13; John 11:22 (versets de comp. 25-27); 11:40; Actes 14:9. La question se pose souvent, si une telle foi a une place légitime dans la vie de l’homme d’aujourd'hui. Catholiques romains répondre à cette question par l’affirmative, tandis que les Protestants sont enclins à donner une réponse négative. Ils font remarquer qu’il n’y a aucune base biblique pour une telle foi, mais ne nie pas que les miracles peuvent encore se produire. Dieu est tout à fait souveraine également à cet égard, et la parole de Dieu nous amène à attendre un autre cycle de miracles dans l’avenir.

c. la foi temporelle. Il s’agit d’une persuasion des vérités de la religion qui est accompagné de quelques incitations de la conscience et une agitation de l’affection, mais n’est pas enracinée dans un coeur régénéré. Le nom est dérivé de Matthieu 13:20, 21. On l’appelle une foi temporaire, parce qu’il n’est pas permanente et ne parvient pas à se maintenir dans les jours de procès et de persécution. Cela ne veut pas dire qu’il ne peut pas durer aussi longtemps que dure la vie. Il est fort possible que seulement à la mort, elle périra, mais ensuite il cesse sûrement. Cette foi est parfois appelée une foi hypocrite, mais ce n’est pas tout à fait exact, car il n’implique pas nécessairement une hypocrisie consciente. Ceux qui possèdent cette foi habituellement croient qu’ils ont la vraie foi. Il pourrait mieux être appelé une foi imaginaire, apparemment authentique, mais évanescent en caractère. Elle diffère de la foi historique dans l’intérêt personnel, il montre dans la vérité et dans la réaction des sentiments qu’elle. Beaucoup de Difficulté peut être vécu en tentant de le distinguer du vrai enregistrement de foi. Christ dit de celui qui croit: « Il n’a aucune racine en lui-même, » Matthieu 13:21. C’est une foi qui ne vient pas de la racine, implantée dans la régénération et par conséquent n’est pas une expression de la vie nouvelle qui est incorporée dans les profondeurs de l’âme. En général on peut dire que temporelle foi repose sur la vie affective et cherche la jouissance personnelle plutôt que la gloire de Dieu.

d. l'enregistrement de la vraie foi. Vrai enregistrement de foi est une foi qui a son siège dans le cœur et s’enracine dans la vie de régénérer. Une distinction est souvent faite entre l' habitus et les actus de la foi. Arrière de deux d'entre eux, toutefois, réside le sperme fidei. Cette foi n’est pas d’abord une activité de l’homme, mais une potentialité forgé par Dieu dans le cœur du pécheur. La semence de la foi est implantée chez l’homme dans la régénération. Certains théologiens parlent de cela comme l' habitus de la foi, mais d’autres l’appellent plus correctement le sperme fidei. C’est seulement après que Dieu a implanté la semence de la foi dans le cœur que l’homme puisse exercer la foi. C’est apparemment ce que Barth a à l’esprit également, lorsqu’il a, dans son désir d’insister sur le fait que le salut est exclusivement une œuvre de Dieu, dit que Dieu plutôt que l’homme fait l’objet de la foi. L’exercice conscient de la foi forme progressivement un habitus, et il acquiert une importance fondamentale et déterminante pour l’exercice plu de foi. Quand la Bible parle de la foi, il désigne généralement foi comme une activité de l’homme, bien que née de le œuvre du Saint-Esprit. Sauver la foi peut être définie comme une certaine conviction, forgé au cœur par le Saint-Esprit, quant à la vérité de l’Évangile, et une dépendance copieuse (confiance) sur les promesses de Dieu dans le Christ. En dernière analyse, il est vrai, le Christ est l’objet de sauver la foi, mais il nous est offerte seulement dans l’Évangile.

2. LES ÉLÉMENTS DE LA FOI. En parlant des différents éléments de la foi nous ne devons pas perdre de vue le fait que la foi est une activité de l’homme dans son ensemble et non d’une partie quelconque de l’homme. Or une telle position est en opposition avec la vérité révélée dans les Saintes-Écritures. La foi de l'homme est seulement une opinion fondée sur des indices, des apparences, des commencements de preuves, c'est à dire qu'elle est basée sur des suppositions ou propositions que l'on considère comme vraie afin d'en tirer quelque conséquence ou déduction hypothétique pour apaiser l'âme troublée, une fiction servant de base à un faux raisonnement, à une argumentation qui n'a aucune vérité, stabilité ou assurance, et n'est qu'une contrefaçon. Par ailleurs, l’âme fonctionne dans la foi par ses facultés ordinaires et non par une faculté spéciale. C’est un exercice de l’âme qui a ceci en commun avec les exercices toutes semblables, qu’il paraît simple et pourtant sur un examen plus approfondi s’avère complexe. Et c’est pourquoi, afin d’obtenir une conception correcte de la foi, il est nécessaire de distinguer entre les différents éléments dont il est composé.

a. un élément intellectuel (notitia). Il y a un élément de connaissance dans la foi, dans le cadre de laquelle les points suivants sont à considérer:

(1) le caractère de cette connaissance. La connaissance de la foi consiste en une reconnaissance positive de la vérité, dans lequel l’homme accepte comme vrai tout ce que Dieu dit dans sa parole et surtout ce qu’il dit concernant la dépravation profonde de l’homme et de la rédemption qui est en Jésus-Christ. Par rapport à Rome la position doit être maintenue que cette certitude appartienne à l’essence de la foi; et à l’encontre de ces théologiens comme Sandeman, Wardlaw, Alexander, Chalmers et d’autres, qu’une simple acceptation intellectuelle de la vérité n’est pas la totalité de la foi. D’une part, il serait une surestimation de la connaissance de la foi, si elle était considérée comme une compréhension complète des objets de la foi. Mais en revanche il serait également une sous estimation de celui-ci, si il était considéré comme un simple avis de prendre des choses cru, sans la conviction qu’elles sont vraies. Certains libéraux modernes prendre ce point de vue et en conséquence vous parler de la foi comme une entreprise. C’est un regard spirituel sur les vérités de la religion chrétienne qui a trouvé la réponse dans le cœur du pécheur.

(2) la certitude de ce savoir. Il ne faut pas considérer la connaissance de la foi comme certains moins que d’autres connaissances. Notre Catéchisme de Heidelberg nous assure que vraie foi est entre autres également « une certaine (bien sûr, incontestable) connaissance. » [Q. 21.] Ceci est en harmonie avec les Hébreux 11:1, qui parle de lui comme « l’assurance des choses qu’on espère, une déclaration de culpabilité des choses ne pas vu » cela rend les choses futures et invisibles subjectivement réelle et certaine pour le croyant. La connaissance de la foi est médiée pour et communiquée à, nous, par le témoignage de Dieu dans sa parole et est accepté par nous comme certain et fiable sur la base de la véracité de Dieu. La certitude de ce savoir a son mandat en Dieu lui-même, et par conséquent rien ne peut être plus sûr. Et c’est tout à fait essentiel que cela soit ainsi, pour la foi se préoccupe des choses spirituelles et éternelles, dans lequel la certitude est nécessaire, si n’importe où. Il doit y avoir certitude quant à la réalité de l’objet de la foi; Si il n’existe pas, la foi est vaine. Machen déplore le fait que beaucoup perdent de vue ce fait de nos jours. Il dit: « le problème entier est que foi est considéré comme une qualité bienfaisante de l’âme turbosoufflante la réalité ou l’irréalité de son objet; et au moment où la foi vient à prendre en considération de cette façon, en ce moment elle est détruite. » [Ce qui est la foi ? p. 174.]

(3) la mesure de cette connaissance. Il est impossible de déterminer avec précision à quel point la connaissance est absolument nécessaire pour sauver la foi. Si sauver la foi est l’acceptation de Christ tel qu’il est offert dans l’Evangile, la question se pose naturellement, combien de l’Évangile doit un homme sait, pour être sauvés ? Ou, pour le dire dans les mots du Dr. Machen: « quoi, pour dire les choses carrément, sont les exigences minimales doctrinales, afin qu’un homme peut être un chrétien ? » [Op. cit., p. 155.] En général on peut dire qu’elle doit être suffisante pour donner une certaine idée de l’objet de la foi du croyant. Tout à fait vrai enregistrement de foi doit contenir au moins un minimum de connaissances, pas tellement de la révélation divine en général que le médiateur et ses opérations gracieuses. La connaissance plus réelle on a des vérités de la rédemption, la plus riche et plus complète sa foi sera, si toutes les autres choses sont égales. Naturellement, celui qui accepte le Christ par une foi véritable, sera également prête et disposée à accepter le témoignage de Dieu dans son ensemble. C’est de la plus haute importance, surtout de nos jours, que les églises devraient veiller à ce que leurs membres ont une assez bonne et pas simplement un flou, compréhension de la vérité. En particulier en cette ère de pragmatisme, ils devraient être beaucoup plus diligents qu’ils sont dans l’endoctrinement de leur jeunesse.

b. un élément émotionnel (assensus). Barth attire l’attention sur le fait que le temps où l’homme accepte que Christ par la foi est le moment existentiel de sa vie, dans laquelle il cesse de considérer l’objet de la foi d’une manière désintéressée et commence à ressentir un vif intérêt pour elle. Il n’est pas nécessaire d’arrêter la construction particulière de Barth de la doctrine de la foi, pour admettre la vérité de ce qu’il dit sur ce point. Quand on embrasse le Christ par la foi, il a une conviction profonde de la vérité et la réalité de l’objet de la foi, se sent qu’il répond à un besoin important dans sa vie et qu’il est conscient de l’absorbant concernés par cette question, — et il s’agit de la sanction. Il est très difficile de distinguer cette sanction de la connaissance de la foi, de décrire, car, comme nous l’avons vu, c’est exactement le caractère distinctif de la connaissance de sauver la foi, qu’il porte en lui une conviction de la vérité et la réalité de son objet. C’est pourquoi certains théologiens ont montré une tendance à limiter les connaissances de la foi à une simple prise de connaissance de l’objet de la foi; (1), mais ceci est contraire à l’expérience, car dans la vraie foi, il n’y a pas de connaissances qui ne comprend pas une condamnation copieuse de la vérité et la réalité de son objet et un intérêt dans celui-ci; et (2) cela ferait la connaissance en sauvant la foi identique à celle qui se trouve dans une foi purement historique, alors que la différence entre foi historique et de l’enregistrement se trouve dans la partie exactement à ce stade. Parce qu’il est si difficile de faire une distinction claire, certains théologiens préfèrent parler de seulement deux éléments pour sauver la foi, à savoir, connaissances et la confiance personnelle. Ce sont les deux éléments mentionnés dans le Catéchisme de Heidelberg, quand il dit que vraie foi « n’est pas seulement une connaissance certaine par lequel je tiens pour vrai tout ce que Dieu a révélé à nous dans sa parole, mais aussi une fiducie copieuse qui le Saint-Esprit travaille en moi par l’Évangile. » [Q. 21.] Il mérite sans doute la préférence de considérer la connaissance et de consentir simplement comme deux aspects d’un même élément de foi. Connaissance peut alors considérée comme sa plus passive et réceptive côté et la sanction comme son côté plus active et transitive.

c. un élément volitif (fiducia). Il s’agit de l’élément de couronnement de la foi. La foi n’est pas simplement une question de l’intellect, ni de l’intellect et les émotions combinées; Il s’agit également de la volonté, la détermination de la direction de l’âme, un acte de l’âme sortir vers son objet et de s’approprier ce. Sans cette activité a besoin de l’objet de la foi, qui le pécheur reconnaît comme vrai et réel et tout à fait applicable à son présent, reste en dehors de lui. Et pour sauver la foi, c’est une question de vie ou de mort que l’objet s’approprier. Ce troisième élément consiste en une fiducie personnelle en Christ comme leur Sauveur et Seigneur, y compris une cession de l’âme comme coupable et souillés à Christ et une réception et d’appropriation du Christ comme source de pardon et de la vie spirituelle. Prenant tous ces éléments en considération, il est évident que le siège de la foi ne peut pas être placé dans l’intellect, ni dans les sentiments, ni dans la volonté exclusivement, mais seulement dans le cœur, spirituelle de l’organe central de l’homme étant, où sont les problèmes de la vie . En réponse à la question si cette fiducia (fiducie) comprend nécessairement un élément d’assurance personnelle, on peut affirmer, à l’encontre des catholiques romains et les arminiens, que c’est sans doute le cas. Naturellement, il porte en lui un certain sentiment de sécurité et de la sécurité, de gratitude et de joie. La foi, qui est en soi certitude, tend à éveiller un sentiment de sécurité et un sentiment d’assurance dans l’âme. Dans la majorité des cas il s’agit dans un premier temps plus implicite et pénètre difficilement dans la sphère de la pensée consciente; C’est quelque chose de vaguement senti plutôt que clairement perçu. Mais dans la mesure où foi grandit et accroître les activités de la foi, la conscience de la sécurité et de la sécurité à laquelle il apporte aussi devient plus grande. Même ce que les théologiens généralement appellent « refuge-cherche confiance » (toevluchtnemend vertrouwen) donne à l’âme une certaine sécurité. C’est tout à fait différente de la position de Barth, qui insiste sur le fait que la foi est un acte sans cesse répété, est toujours à nouveau un acte de désespoir et un saut dans l’inconnu et ne devienne jamais une possession continue de l’homme; et qui exclut donc la possibilité de toute assurance subjective de la foi.

3. L’OBJET DE LA FOI. Spécifions, dès le début, que Christ est lui-même la source et l'objet de la foi. En donnant une réponse à la question de savoir quel est l’objet de véritable économie de foi, nous allons devoir parler avec discernement, car il est possible de parler de cette foi en général et dans un sens spécial. Il y a:

a. une generalis de fides. Par ceci on entend sauver la foi dans le sens plus général du terme. Son objet est la révélation divine ensemble tel qu’il figure dans la parole de Dieu. Tout ce qui est explicitement enseigné dans l’écriture ou peut être déduite de l’il par inférence bon et nécessaire, appartient à l’objet de la foi dans ce sens général. Selon l’Eglise de Rome, il revient donc à ses membres de croire que ce soit l' Ecclésia docens déclare pour être une partie de la révélation de Dieu, et cela inclut la soi-disant tradition apostolique. Il est vrai que l’église « enseignement » ne revendique pas le droit de faire de nouveaux articles de foi, mais il ne revendique pas le droit de déterminer péremptoirement ce qu’enseigne la Bible et ce qui, selon la tradition, appartient aux enseignements du Christ et ses apôtres. Et cela donne beaucoup de latitude.

b. une specialis fides. Cela permet d’économiser foi en ce sens plus restreint du mot. Alors que de la vraie foi en la Bible comme la parole de Dieu est absolument nécessaire, ce n’est pas encore l’acte spécifique de foi qui justifie et sauve donc directement. Il doit et aussi fait cause une foi plus spéciale. Il y a certaines doctrines concernant le Christ et son travail et certaines promesses faites en lui aux hommes pécheurs, qui doit recevoir le pécheur et qui doit conduire à mettre sa confiance dans le Christ. L’objet de la foi spéciale, est Jésus Christ et la promesse du Salut à travers lui. La loi spéciale de la foi consiste à recevoir le Christ et se reposer sur lui tel qu’il est présenté dans l’Évangile, Jean 03:15, 16, 18; 6:40. à proprement parler, il n’est pas l’acte de foi en tant que tel, mais plutôt ce qui est reçu par la foi, ce qui justifie et sauve donc le pécheur.

4. LE MOTIF DE LA FOI. Le sol ultime sur laquelle repose le foi, réside dans la véracité et la fidélité de Dieu, en rapport avec les promesses de l’Évangile. Mais parce que nous n’avons pas connaissance de cela en dehors de la parole de Dieu, cela peut être aussi et souvent est, appelé le sol ultime de la foi. À la différence de la première classe, cependant, il pourrait être appelé le terrain immédiat. Les moyens par lesquels nous reconnaissons la révélation incarnée dans l’écriture comme la parole de Dieu est, en dernière analyse, le témoignage de l’Esprit Saint, I Jean 5:7 (Version mod Rev.): « Et c’est l’esprit qui rend témoignage, parce que l’esprit est la vérité. » Voir aussi romains 04:20, 21; 08:16; EP 01:13; J’ai John 04:13; 5:10. trouver des catholiques romains au sol ultime de la foi dans l’église; Rationalistes reconnaissent seulement raison comme telle; Schleiermacher, il cherche dans l’expérience chrétienne; et Kant, Ritschl et beaucoup de libéraux modernes Placez-le dans les besoins moraux de la nature humaine.

G. LA FOI ET L'ASSURANCE.

Se pose ici la question très importante, à savoir, si assurance appartient à l’essence de la foi, ou quelque chose supplémentaire qui n’est pas inclus dans la foi. Parce que l’expression « assurance de la foi » n’est pas toujours utilisée dans le même sens, il est nécessaire d’établir une distinction avec soin. Il y a une double assurance, à savoir, (1) l’assurance objective de la foi, qui est « la certitude et conviction on que Christ est tout ce qu’il veut, et fera toutes les promesses qu’il. » Il est généralement admis que cette assurance est de l’essence de la foi. (2) l’assurance subjective de la foi, ou l’assurance de la grâce et du Salut, qui consiste en un sentiment de sécurité et de la sécurité, en hausse dans de nombreux cas à la hauteur d’une « conviction assurée que le croyant a eu ses péchés pardonnés et son âme sauvée ». Quant à la relation de cette assurance à l’essence même d’opinions foi diffèrent.

1. l’église catholique romaine rejette, non seulement cette assurance personnelle appartient à l’essence de la foi, mais encore qu’il s’agit un actus reflexus ou les fruits de la foi. Il enseigne que les croyants ne peut pas être certain de leur Salut, sauf dans les rares cas où assurance est donnée par la révélation spéciale. Il s’agit d’une conséquence naturelle de la semi pélagianisme et du système confessionnel de Rome. Les arminiens précoces, qui a partagé la position Semi-pélagienne de Rome, a pris position très similaire. Leur point de vue a été condamnée par le Synode de Dordrecht.

2. les réformateurs ont réagi contre la position boiteuse et pernicieuse de l’église de Rome. Dans leur protestation ils parfois souligné assurance unilatéralement comme l’élément le plus important de la foi. Ils parlaient parfois comme si celui qui n’a pas l’assurance du Salut, la conviction positive que ses péchés sont pardonnés, ne possédait pas la vraie foi. La fiducia de foi était parfois représenté par eux comme la confiance assurée du pécheur que tous ses péchés sont pardonnés pour l’amour de Christ. Pourtant, il est tout à fait évident de leurs écrits, (a) qu’ils ne signifient pas enseigner que ce fiducia n’incluait pas les autres éléments; et (b) qu’ils n’entendaient pas nier que les vrais enfants de Dieu doivent lutter fréquemment avec toutes sortes de doutes et d’incertitudes. [Cf. mon L’Assurance de la foi, 23 p. f.]

3. les normes de confessionnels réformées varient quelque peu. Le Catéchisme de Heidelberg, enseigne également en réaction à Rome, qui consiste en la fiducia de foi dans l’assurance du pardon des péchés. Il se place entièrement sur le point de vue des réformateurs et conçoit de l’assurance du Salut comme appartenant à l’essence de la foi. Les Canons de Dordrecht font valoir que cette assurance dans les élus n’est pas le fruit d’une révélation spéciale, mais les sources de la foi aux promesses de Dieu, d’après le témoignage de l’Esprit Saint et de l’exercice d’une bonne conscience et l’accomplissement des bonnes œuvres et est appréciée selon la mesure de la foi. Certes, cela implique qu’il appartient dans une certaine mesure à l’essence de la foi. Il est explicitement indiqué, toutefois, que les croyants ont souvent se battre avec des doutes charnelles, afin qu’ils ne soient pas toujours judicieux de l’assurance de la foi. La Confession de Westminster, en parlant de la plénitude de la foi, affirme que cela n’appartient-elle pas tellement à l’essence de la foi qu’un vrai croyant n’aient pas à attendre longtemps. Cela a donné une occasion de théologiens presbytérien de nier que l’assurance personnelle appartienne à l’essence de la foi. Encore la Confession ne dit pas cela, et il y a des raisons de penser qu’il n’entendait pas d’enseigner cela. Le Marrowmen en Écosse a certainement donné une interprétation différente de sa position. [Cf. l’Assurance de la foi, p. 24-29.]

4. après la période confessionnelle, il y a plusieurs départs à partir de cette position.

a. Antinomiens considéré cette assurance l’ensemble de l’essence de la foi. Ils ont ignoré toutes les autres activités de la foi et considéré foi simplement comme une acceptation intellectuelle de la proposition: tes péchés te sont pardonnés. De Labadie (théologien néerlandais) personne reconnue en tant que membre de l’église qui n’était pas pleinement assurée. [Cf. Heppe, Geschichte des Pietismus, pp. 240-374.]

b. d’autre part un piétiste Nomism a affirmé qu’assurance n’appartient-elle pas à l’être même, mais seulement pour le bien-être de la foi; et qu’il peut être fixé, sauf par une révélation spéciale, uniquement par introspection continue et consciencieuse. Toutes sortes de « marques de la vie spirituelle, » découle pas de l’écriture mais de la vie des chrétiens approuvées, est devenu la norme de l’auto-examen. Le résultat s’est avéré, toutefois, que cette méthode était pas calculée pour produire l’assurance, mais plutôt tendance à mener à plus aucun doute, confusion et incertitude.

c. les méthodistes visent à une conversion méthodique qui transporte une certitude immédiate avec elle. Ils placent hommes devant la Loi, les faire voir leur nature pécheresse totale et la culpabilité terrible et leur faire peur avec les terreurs du Seigneur. Et après que qu’ils ont amenés ainsi sous l’influence terrifiante de la Loi, ils ont à la fois leur présenter l’Évangile complet et gratuit de rédemption qui appelle simplement pour une prêt de l’acceptation de Christ comme leur Sauveur. En un seul instant les pécheurs sont transportés sur les vagues de l’émotion de la plus profonde tristesse dans la joie le plus élevée. Et ce changement soudain porte en lui une assurance immédiate de la rédemption. Celui qui croit, est aussi sûr qu’il est racheté. Cela ne signifie pas, cependant, qu’il est aussi certain de Salut ultime. Il s’agit d’une certitude auquel le méthodiste cohérent ne peut atteindre car il croit à une chute à l’extérieur des saints.

d. parmi les théologiens réformés, il y a une divergence d’opinion. De nombreux presbytériens nient que la foi elle-même inclut assurance; et dans les cercles réformés quelque part ce déni. Kuyper, Bavinck et Vos, cependant, correctement tenir que la vraie foi, comme notamment la confiance, porte en lui un sentiment de sécurité, qui peut varier en degré. Il y a aussi l’assurance de la foi, mais ce n’est le fruit de la réflexion. Il est possible de faire foi elle-même un objet de réflexion et donc à arriver à une assurance subjective qui n’appartient-elle pas à l’essence de la foi. Dans ce cas, nous concluons de ce que nous vivons dans notre propre vie à la présence de le œuvre de l’Esprit Saint en nous, cf. I Jean 2:9-11; 3:9, 10, 18, 19; 4:7, 20.[cf. plus loin, L’Assurance de la foi, chap. III.]

 

H. LA CONCEPTION DU CATHOLICISME ROMAIN SUR LA FOI.

Trois points méritent notre attention ici:

1. l’Eglise de Rome efface la distinction entre la foi historique et de l’enregistrement en enseignant que la foi consiste dans une simple sanction aux doctrines de l’église. Cette foi est l’un des sept préparations pour justification dans le baptême et donc nécessairement précède cela; mais comme une activité purement intellectuelle il naturellement ne conduit pas au salut. Un homme peut avoir le vrai, c'est-à-dire, la foi biblique et encore sont perdus. Jusqu'à présent l’Eglise de Rome s’applique son principe d’externalisation aussi à la foi.

2. il a également pratiquement supprimé l’élément de la connaissance de la foi. On peut considérer un vrai croyant, si on est mais prêt à croire ce qu’enseigne l’église, sans vraiment savoir ce que c’est. Une telle foi est appelée un fides implicita dans la distinction de fides explicita, qui comprend les connaissances. Par l’enseignement qu’il suffit de croire ce qu’enseigne l' Ecclésia docens , l’église catholique romaine a applique le principe du cléricalisme.

3. il n’y a encore un autre point qui caractérise la doctrine catholique de la foi, à savoir, la distinction entre une foi informis et un fides formata. La première est simple avis conforme à la doctrine de l’église, tandis que l’autre est une foi qui comprend l’amour comme principe formative et est parfaite dans l’amour. C’est la foi qui justifie vraiment.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Quelle a été la conception de la foi dans l’église primitive ? Vue d’Augustin diffère de celle des pères plus tôt ? Comment distinguer un fides informis un fides formata a‑t‑elle pris naissance ? Comment Luther et Calvin différaient quant à l’ordre de la foi et le repentir ? Les luthériens et les réformés d’accord quant à l’ordre de la foi et de la régénération ? Pourquoi est-il important de maintenir le bon ordre ? Comment a fait apparaître la distinction entre les actus et l' habitus de la foi, et pourquoi est-elle importante ? La proposition, « Je suis sauvé, » peut-être jamais l’objet de sauver la foi ? Quelle conception de la foi se trouve à Schleiermacher et Ritschl ? Pourquoi est-ce tout à fait approprié que le Salut devrait être subordonnée à la foi ? Comment l' excessive activisme de Barth n’affecte pas sa doctrine de la foi ? Que veut-il dire quand il dit que l’homme n’est jamais un croyant ou un chrétien, mais toujours un pécheur ? Comment expliquez-vous son refus que foi inclut assurance ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 83-127; Kuyper, Dict. dogme., De Salute, pp. 98-131; Ibid., Het Werk van den Heiligen Geest II, pp. 233-297; Vos, Geref. Dogme. IV., pp. 82-154; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 41-113; Shedd, dogme . THEOL. II, pp. 531-534; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., pp. 600-612; McPherson, Chr. dogme., p. 388-393; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Ch., p. 416-430; Valentine, Chr. Theol. II. p. 232 à 241; Caftan, dogme., pp. 656-681: Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 282-296: Pape, Chr. Theol. II, p. 376-385; Pictet, Theol., pp. 298-309; Inge, foi et sa psychologie; Machen, ce qui est la foi?; O ' Brian, la Nature et les effets de la foi; Moehler, symbolisme ou différences doctrinales; Bavinck, De Zekerheid des Geloofs; Berkhof, l’Assurance de la foi; Wernecke, «foi» dans le Nouveau Testament; Warfield, la Doctrine biblique de la foi (dans les Doctrines bibliques, VIII).

 

IX. Justification

A. LES TERMES MENTIONNÉS DANS LES ÉCRITURES POUR JUSTIFIER ET LEUR SIGNIFICATION.

1. TERME DE L’ANCIEN TESTAMENT. Le terme hébreu pour « pour justifier » est hitsdik, qui, dans la grande majorité des cas, signifie « déclarer judiciairement que l’État est en harmonie avec les exigences de la Loi, Exode 23:7; Deut. 25: 1; Prov. 17:15; Ésaïe 05:23. La piel tsiddek parfois a la même signification, Jérémie 03:11; Ézéchiel 16:50, 51. Le sens de ces mots est donc strictement légale ou juridique. Puisque les catholiques romains, des représentants de la théorie de l’influence morale de l’expiation comme John Young d’Édimbourg et Horace Bushnell et aussi les unitariens et théologiens libéraux modernes, nier le sens juridique du terme « pour justifier » et attribuer à elle le sens moral des « à faire juste ou juste », il devient important de prendre connaissance minutieuse des considérations qui peuvent être invités au profit de la signification juridique. Qu’il s’agit la dénotation correcte du mot s’affiche (une) des termes placés contrairement à elle, comme, par exemple « condamnation », Deut. 25: 1; Prov. 17:15; Ésaïe 05:23; (b) des termes corrélatifs placé en juxtaposition avec elle et qui implique souvent un processus d’arrêt, 18:25; PS. 143:2; (c) de l’expressions équivalentes qui sont parfois utilisées, Genèse 15:6; PS. 32: 1, 2; et (d) du fait qu’un passage comme Prov. 17:15 donnerait un sens impossible, si le mot signifiait « à faire juste ». Le sens serait alors: celui qui moralement améliore la vie des méchants est en abomination à l’Éternel. Il y a quelques passages, cependant, où le mot signifie plus que simplement « se déclarer juste, » à savoir, Ésaïe 53:11; Dan. 12:3. Mais même dans ce cas le sens n’est ne pas « de faire bonne ou Sainte », mais plutôt « de modifier la condition pour que l’homme peut être considéré comme juste ».

2. LES CONDITIONS  DU NOUVEAU TESTAMENT ET LEURS UTILISATIONS. Ici, nous avons:

a. le verbe dikaio-o. Ce verbe signifie en général « pour déclarer une personne à être juste. Parfois, il se réfère à une déclaration personnelle que sa moralité est conforme à la Loi, Matthieu 12:37; Luke 07:29; Romains 3:4. Dans les épîtres de Paul, la signification sotériologique du terme est clairement à l’avant-plan. C’est « pour déclarer juridiquement que les exigences de la Loi comme condition de la vie sont entièrement satisfaits en ce qui concerne une personne, actes 13:39; Romains 5:1, 9; 08:30-33; I Corinthiens 06:11; GAL 02:16; 3:11. dans le cas de ce mot, tout comme dans celui de hitsdik, au sens judiciaire du terme est prouvé par les faits suivants: (a) dans bien des cas, il ne peut supporter aucun autre sens, Rom. 03:20-28; 4:5-7; 5:1; GAL 02:16; 03:11; 5:4; (b) il est placé en ce qui concerne antithétique « condamnation » en Rom. 08:33, 34; (c) expressions équivalentes et interchangeables transmettent une idée judiciaire ou juridique, John 03:18; 05:24; Romains 4:6, 7; II Corinthiens 05:19; et (d) si elle ne porte pas ce sens, il n’y a pas de distinction entre la justification et la sanctification.

b. le mot dikaios. Ce mot, connecté avec le verbe parler, est particulière en ce qu’elle exprime jamais ce qu’une chose est en soi, mais toujours ce qu’il est en relation avec quelque chose d’autre, à une norme quelconque en dehors de celle-ci, à laquelle il devait correspondre. À cet égard, elle diffère de l’agathos. En grec classique, par exemple, dikaios est appliqué à un wagon, un cheval ou autre chose pour indiquer qu’elle est adaptée à son utilisation prévue. Agathos exprime l’idée qu’une chose en soi répond à l’idéal. Dans l’écriture, qu'un homme s’appelle dikaios lorsque, dans le jugement de Dieu, sa relation à la Loi est ce qu’elle devrait être, ou lorsque sa vie est tel qu’il est requis par sa relation judiciaire à Dieu. Ceci peut inclure l’idée qu’il est bon, mais seulement d’un certain point de vue, à savoir, celle de sa relation judiciaire à Dieu.

c. le substantif dikaiosis ou justification. Cela se trouve à seulement deux endroits dans le Nouveau Testament, à savoir, Rom. 04:25; 5:18. il dénote les hommes déclarant la Loi de Dieu sans culpabilité et acceptables pour lui. L’état résultant est dénotée par le mot dikaiosune.

3. l’idée qui en résulte de la justification. Notre mot justification (depuis le Latin justificare, composé de justus et facereet donc ce qui signifie « faire juste »), tout comme la Hollande rechtvaardigmaking, est de nature à donner l’impression Cette justification indique un changement qui est provoqué chez l’homme, qui n’est pas le cas. Dans l’utilisation du terme anglais, le danger n’est pas si grand, parce qu’en général, les gens ne comprennent pas sa dérivation, et dans la langue de la Hollande, le danger peut être évité en employant les mots apparentés, rechtvaardigen et rechtvaardiging. « Pour justifier » au sens biblique du terme, est à l’effet d’une relation objective, l’état de la justice, par une condamnation judiciaire. Cela peut être fait dans une double manière: (a) en apportant en compte la condition subjective réelle d’une personne (pour justifier les justes ou les justes), Jas. 02:21; ou (b) en imputant à une personne, la justice de l’autre, c'est-à-dire de comptabilité lui justes même si il est intérieurement injuste. Ce dernier est le sens habituel de la justification dans le Nouveau Testament.

B. LA DOCTRINE DE LA JUSTIFICATION DANS L’HISTOIRE.

La doctrine de la justification par la foi n’était pas toujours bien comprise. En fait, il n’a pas trouvé son expression classique jusqu’aux jours de la réformation. Nous allons examiner brièvement:

1. LA DOCTRINE AVANT LA RÉFORME. Certains d'entre les premiers pères de l’église parlent déjà de la justification par la foi, mais il est évident qu’ils n’avaient pas une conception claire de celui-ci et de sa relation avec la foi. En outre, ils ne pas brusquement distinguent entre régénération et justification. Une représentation assez commune était que la régénération a lieu dans le baptême et inclut le pardon des péchés. Augustine même ne semble pas avoir eu une compréhension exacte de justification comme un acte juridique, par opposition à la moral processus de sanctification, mais il est assez évident de la teneur entière de ses enseignements et de déclarations distinctes, qu’il considéré la grâce de Dieu en la rédemption des pécheurs comme libre, souveraine et efficace et en aucune façon dépendante sur les mérites des hommes. La confusion de la justification et la sanctification a continué dans le moyen-âge et acquiert progressivement un aspect plus positif et doctrinal. Selon les enseignements dominants des scolastiques, la justification comprend deux éléments: les péchés de l’homme sont pardonnés, et lui fait juste ou juste. Il y avait une divergence d’opinions quant à l’ordre logique de ces deux éléments, une inversion de l’ordre vient de l’indiquer. Cela a été fait également par Thomas Aquinas, et son point de vue est devenue celle répandue dans l’église catholique romaine. Grace est infusé chez l’homme. auquel cas on lui fait juste et en partie sur la base de cette grâce, infusée, ses péchés sont pardonnés. Ce qui était déjà une approche de la doctrine mal du mérite, qui a été progressivement développé au moyen-âge dans le cadre de la doctrine de la justification. L’idée a trouvé faveur toujours plus que l’homme est en partie justifié sur la base de ses propres bonnes œuvres. La confusion de la justification et la sanctification a conduit également à des opinions divergentes sur un autre point. Certains des scolastiques parlent de justification comme un acte de Dieu instantanée, tandis que d’autres le décrivent comme un processus. Dans les Canons et décrets du Concile de trente, nous trouvons ce qui suit dans le Chap. XVI, Canon IX: « si quelqu'un dit, que par la foi seule l’impie est justifiée dans ces sages quant à signifier, que rien d’autre est tenu de coopérer en vue de l’obtention de la grâce de juste ification, et qu’il n’est pas en aucune façon nécessaire, qu’il être préparé et éliminé par le mouvement de sa propre volonté: qu’il soit anathème. » Et XXIV Canon parle d’une augmentation de justification et il conçoit donc comme un processus: « si quelqu'un dit, que la justice a reçu n’est pas conservée et devant Dieu a également augmentée grâce à bonnes œuvres; mais que les œuvres dudit sont simplement les fruits et signes de justification obtenue, mais pas une cause de l’augmentation de celle-ci: qu’il soit anathème. »

2. LA DOCTRINE APRÈS LA RÉFORME. La doctrine de la justification a été le grand principe important de la réforme. En ce qui concerne la nature de la justification, les réformateurs a corrigé l’erreur de justification avec la sanctification de la confusion en soulignant son caractère juridique et qui le représentent comme la grâce libre d’un acte de Dieu, par lequel il pardonne nos péchés et nous accepte comme justes à ses yeux, mais ne nous change ne pas intérieurement. Quant au motif de justification est, ils ont rejeté l’idée de Rome que cela se trouve, au moins en partie, en la justice inhérente de la régénérer et dans les bonnes œuvres, et remplacé par la doctrine qu’il se trouve que dans la justice imputée du le Rédempteur. Et en relation avec les moyens de justification, qu'ils ont souligné le fait que l’homme est justifié gratuitement par cette foi qui reçoit et repose dans le Christ pour le salut. En outre, ils a rejeté la théorie d’une justification progressive et a conclu que c’était complète et instantanée et n’étaient pas fonction pour sa réalisation sur certaine satisfaction supplémentaire pour le péché. Ils se sont opposés par les Sociniens, qui détenait que pécheurs obtiennent pardon et l’acceptation par Dieu, par le biais de sa miséricorde, en raison de leur repentir et de la réforme. Les arminiens ne pas tous d’accord sur le sujet, mais en général on peut dire qu’ils limitent la portée de la justification, afin d’y inclure seulement le pardon des péchés sur la base de l’obéissance passive du Christ et d’exclure l’adoption du pécheur en faveur de Dieu o sont à la base de la justice imputée de Jésus Christ. Le pécheur est expliquée juste que sur la base de sa foi ou sa vie d’obéissance. Les Neonomians en Angleterre étaient en général accord avec eux sur ce point. Pour Schleiermacher et Ritschl justification voulait dire guère plus que le pécheur devenir conscient de son erreur en pensant que Dieu était en colère contre lui. Et dans la théologie libérale moderne, nous rencontrons encore une fois avec l’idée que Dieu justifie le pécheur par l’amélioration morale de sa vie. Cette conception de celui-ci se trouve, par exemple, dans Sacrifice du fait d’autrui de Bushnell et dans la théologie comme une Science empirique de Macintosh.

C. LA NATURE ET LES CARACTÉRISTIQUES DE LA JUSTIFICATION. La Justification est un acte judiciaire de Dieu, dans laquelle il déclare, sur la base de la justice de Jésus-Christ, que toutes les revendications de la Loi sont satisfaits en ce qui concerne le pécheur. Il est unique dans l’application de le œuvre de rédemption, car il s’agit d’un acte judiciaire de Dieu, une déclaration concernant le pécheur et pas un acte ou le processus de renouvellement, comme la régénération, la conversion et sanctification. Alors qu’il a de respect pour le pécheur, il ne change pas sa vie intérieure. Elle n’affecte pas son état, mais son état, et à cet égard diffère de toutes les autres parties principales de l’ordre du Salut. Elle implique le pardon des péchés et la restauration de la faveur divine. L’arminienne détient qu’elle comprend uniquement le premier et non la dernière; mais la Bible enseigne clairement que le fruit de la justification est beaucoup plus que pardon. Ceux qui sont justifiés ont « la paix avec Dieu, » « assurance du Salut, » Rom. 5:1-10 et un « héritage parmi ceux qui sont sanctifiés, » actes 26: 18. Les points suivants de la différence entre la justification et la sanctification doivent être soigneusement notées:

1. justification efface la culpabilité du péché et restaure le pécheur à tous les droits filiaux impliqués dans son état comme un enfant de Dieu, y compris un héritage éternel. Sanctification supprime la pollution du péché et renouvelle le pécheur toujours plus conforme à l’image de Dieu.

2. justification a lieu en dehors du pécheur dans le tribunal de Dieu et ne change pas sa vie intérieure, même si la phrase est ramenée à lui subjectivement. Sanctification, en revanche, se déroule dans la vie intérieure de l’homme et affecte progressivement tout son être.

3. la justification se tient une fois pour toutes. Il n’est pas répété, il n’est pas un processus; Il est à la fois complet et pour tous les temps. Il n’y a aucune justification à plus ou moins; l’homme est soit pleinement justifié, ou il n’est pas du tout justifié. En comparaison avec elle de sanctification est un processus continu, qui n’est jamais terminé dans cette vie.

4. tout en la cause méritoire de deux réside dans les mérites du Christ, il y a une différence dans la cause efficiente. S’exprimant sur le plan économique, Dieu le père déclare les justes de pécheur et Dieu le Saint Esprit sanctifie lui.

D. LES ÉLÉMENTS DE JUSTIFICATION.

On distingue deux éléments dans la justification, l’une négative et l’autre positive.

1. l’élément négatif. Il y a d’abord un élément négatif dans la justification, à savoir la rémission des péchés sur le terrain de le œuvre rédemptrice de Jésus-Christ. Cet élément repose plus particulièrement, mais pas exclusivement, à l’obéissance passive du Sauveur. Calvin et certains des plus anciens théologiens réformés parfois parlent comme si c’était l’ensemble de la justification. C’est en partie à cause de la représentation de l’ancien Testament, dans lequel ce côté de la justification est décidément à l’avant-plan, Psaume 32: 1; Ésaïe 43: 25; 44:22; Jérémie 31: 34, et en partie à leur réaction contre Rome, qui n’a pas fait justice à l’élément de la grâce et le pardon gratuit. Défavorable à l’arminianisme, cependant, la théologie réformée a toujours maintenu que la justification est plus de pardon. Que le pardon des péchés est un élément important dans la justification est évidente, non seulement de l’ancien, mais aussi du Nouveau Testament, tel qu’il appert de ces passages que Romains 4:5-8; 05:18, 19; GAL 02:17.

La grâce accordée à la justification s’applique à tous les péchés, passé, présent et futur et implique donc la suppression de toute culpabilité et de toute peine. Cela découle du fait que justification n’admet pas de répétition, ainsi que de tels passages comme romains 05:21; 8:1, 32-34; Hébreux 10:14; PS. 103: 12; 44:22 d’Ésaïe, qui nous assurent que personne ne peut poser quoi que ce soit à la charge de l’homme justifié, qu’il est dispensé de condamnation et qu’il est constitué d’un héritier de la vie éternelle. Il est également impliqué dans la réponse à la question 60e de notre Catéchisme de Heidelberg. Cette conception de la justification, mais éminemment biblique, n’est pas dépourvue de difficulté. Croyants continuent à pécher après elles sont justifiées, Jac. 3:2; I Jean 1:8 et, comme exemples d’écritures montrent clairement, tombent souvent dans des péchés graves. Il n’est donc aucun étonnant que Barth aime à insister sur le fait que l’homme justifié reste un pécheur, bien qu’un pécheur justifié. Christ a enseigné à ses disciples de prier tous les jours pour le pardon des péchés, Matthieu 06:12 et la Bible, les saints sont souvent plaidant pour la réhabilitation et obtenir, PS. 32: 5; 51: 1-4; 130:3, 4. en conséquence, il n’est pas surprenant que certains estiment contraint de parler d’une justification répétée. L’église de Rome déduit des données auxquelles nous avons appelé l’attention que les croyants doivent en quelque sorte expier pour les péchés commis après le baptême et par conséquent aussi croit à une justification de plus en plus. Antinomiens, en revanche, désireux de rendre hommage à la grâce pardon illimitée de Dieu, soutiennent que les péchés des croyants ne sont pas comptabilisés comme tels à l’homme nouveau, mais seulement à l’ancienne, et qu’il est tout à fait inutile pour eux de prier pour le pardon des péchés. Par crainte de cette position antinomienne même certains théologiens réformés avaient des scrupules concernant l’enseignement que les futurs péchés des croyants sont aussi pardonnés dans la justification et parle d’une justification répétée ou même chaque jour. [Cf. Brakel, Redelijke Godsdienst I, p. 876 et suiv.] La position habituelle de la théologie réformée, cependant, est que Dieu élimine en effet la culpabilité, mais pas la culpabilité du péché comme justification, autrement dit, il supprime amenability juste du pécheur à la punition, mais pas la culpabilité inhérente de toutes péchés qu’il peut continuer à effectuer. Ce dernier reste et donc toujours produit dans les croyants un sentiment de culpabilité, de la séparation d'avec Dieu, de tristesse, de la repentance et ainsi de suite. C’est pourquoi ils ressentent le besoin de confesser leurs péchés, même les péchés de leur jeunesse, PS. 25: 7: 51:5-9. Le croyant qui est vraiment conscient de son péché sent en lui une envie à confesse et à chercher l’assurance réconfortante du pardon. En outre, cette confession et la prière est non seulement un besoin subjectivement ressenti, mais aussi une nécessité objective. Justification est essentiellement une déclaration objective concernant le pécheur dans le tribunal de Dieu, mais il n’est pas seulement cela; C’est aussi un actus transiens, passant dans la conscience du croyant. La sentence divine d’acquittement est ramenée au pécheur et éveille la conscience joyeuse du pardon des péchés et de la faveur avec Dieu. Maintenant, cette conscience de pardon et d’une relation renouvelée filiale est souvent perturbé et obscurcies par le péché et est encore une fois vivifiés et renforcé par la confession et la prière et par un exercice de renouvellement de la foi.

2. l'élément positif. Il est également un élément positif dans la justification qui repose plus particulièrement sur l’obéissance active du Christ. Naturellement, ceux qui, comme Piscator et les arminiens, refuser l’imputation de l’obéissance active du Christ pour le pécheur, nier ainsi également l’élément positif dans la justification. Selon leur justification laisse l’homme sans aucune prétention sur la vie éternelle, tout simplement lui met dans la position d’Adam avant la chute, bien que selon les arminiens en vertu d’une loi différente, la Loi de l’obéissance évangélique et laisse à l’homme pour l’acceptation du mérite avec Dieu et la vie éternelle par la foi et l’obéissance. Mais il est évident par les écritures que la justification est plus qu’une simple réhabilitation. À Josué, le souverain sacrificateur, qui se tenait, comme le représentant d’Israël, avec des vêtements sales devant l’Éternel, Jéhovah a dit: « Voici, j’ai fait ton iniquité passer de toi (élément négatif), et j’ai va te vêtir avec des vêtements de riches » (élément positif), Zach. 3:4. Selon actes 26: 18, on obtient par la foi « la rémission des péchés et un héritage parmi eux qui sont sanctifiés. » Romains 5:1, 2 nous apprend que la justification par la foi apporte non seulement la paix avec Dieu, mais aussi l’accès à Dieu et joie dans l’espérance de la gloire. Et selon Galates 4:5 Christ est né sous la loi aussi «que nous reçussions l’adoption des fils. » Cet élément positif on peuvent distinguer deux parties:

a. l’adoption d’enfants. Croyants sont d’abord de tous les enfants de Dieu par adoption. Ceci implique, bien sûr, qu’ils ne sont pas enfants de Dieu par nature, comme les libéraux moderne voudrait nous faire croire, pour l’un ne peut pas adopter bien de ses propres enfants. Cette adoption est un acte juridique, par lequel Dieu met le pécheur dans le statut de l’enfant, mais ne change pas lui intérieurement aucun plus de parents par la simple loi du changement de l’adoption de la vie intérieure d’un enfant adopté. Le changement qui est effectué concerne la relation dans laquelle l’homme s’élève vers Dieu. Grâce à leur adoption, les croyants sont comme elle ont été initiés dans la même famille de Dieu, relèvent de la Loi de l’obéissance filiale et en même temps avoir droit à tous les privilèges de la filiation. La filiation par adoption doit distinguer soigneusement de la filiation morale des croyants, leur filiation de régénération et de sanctification. Ils ne sont pas adoptées uniquement pour être enfants de Dieu, mais sont également nés de Dieu. Naturellement, ces deux ne peuvent pas être séparés. Ils sont mentionnés ensemble dans Jean 01:12; ROM. 8:15. 16; GAL 03:26, 27; 4:5, 6. in Rom. 08:15 le terme huiothesia (à partir de huios et tithenai) est utilisé, qui signifie littéralement « mise comme un fils » et en grec classique est toujours employé pour désigner un objectif dans le statut de l’enfant. Le verset suivant contient le mot tekna (à partir de tikto, « d’engendrer »), qui désigne les croyants comme ceux qui sont engendrés de Dieu. Dans Jean 01:12 l’idée d’adoption est exprimée par les mots: « Mais comme beaucoup comme le reçut, leur a donné il a le droit (exousian edoken) de devenir enfants de Dieu. » L’expression grecque utilisée ici signifie « donner droit légal ». Immédiatement après, dans le verset 13, l’écrivain parle de filiation éthique par régénération. La connexion entre les deux est clairement mises en évidence dans Galates 4:5, 6... « que nous reçussions l’adoption des fils. « Et parce que vous êtes des fils (par adoption), Dieu a envoyé l’esprit de son fils dans nos coeurs, criant: Abba, père ». Cet esprit se régénère et nous sanctifie et nous incite à adresse pleine de confiance de Dieu comme père.

b. le droit à la vie éternelle. Cet élément est virtuellement inclus dans celui qui précède. Lorsque les pécheurs sont adoptés comme un enfant de Dieu, ils sont investis de tous les droits légaux filiales et devient héritiers de Dieu et cohéritiers avec Christ, Rom. 08:17. Cela signifie avant tout qu’ils deviennent les héritiers de toutes les bénédictions du Salut dans la vie présente, le plus fondamental qui est décrit dans les mots, « la promesse de l’esprit, » c'est-à-dire, la bénédiction promise sous la forme de l’esprit, gal 03:14; et dans l’expression légèrement différente, « l’esprit de son fils, » Galates 4:6. Et dans et à l’esprit qu’ils reçoivent tous les dons du Christ. Mais ce n’est pas tous; leur héritage inclut également la bénédiction éternelle de la vie future. La gloire dont parle Paul dans Romains 08:17 suit après les souffrances du temps présent. Selon romains 08:23 la rédemption du corps, il appelé « l’adoption », appartient également à l’héritage futur. Et dans l' ordo salutis de Rom. 08:29, 30 glorification relie place immédiatement avec justification. Être justifiés par la foi, les croyants sont des héritiers de la vie éternelle.

E. LA SPHÈRE DANS LAQUELLE LA JUSTIFICATION SE PRODUIT.

La question de savoir la sphère dans laquelle la justification se produit, il faut répondre à une discrimination. Il est d’usage de distinguer entre un actif et un passif, aussi appelé un objectif et subjectif, justification, chacune ayant sa propre sphère.

1. JUSTIFICATION ACTIVE OU OBJECTIVE. Il s’agit de justification dans le sens le plus fondamental. Il est à la base de ce que l'on appelle justification subjective et consiste en une déclaration dans laquelle Dieu fait respecter le pécheur, et cette déclaration est faite dans le tribunal de Dieu. Cette déclaration n’est pas une déclaration dans laquelle Dieu simplement acquitte le pécheur, sans tenir compte des revendications de la justice, mais est plutôt une déclaration divine que, dans le cas du pécheur à l’examen, les exigences de la Loi sont remplies. Le pécheur est déclaré juste compte tenu du fait que la justice de Christ est imputée à lui. Dans le cadre de cette opération Dieu apparaît, non comme un souverain absolu qui définit simplement le droit d’annuler, mais comme un juste juge, qui reconnaît les mérites infinis du Christ comme une base suffisante pour la justification et comme un père bienveillant, qui librement pardonne et accepte le pécheur. Cette justification active précède logiquement la justification foi et passive. Nous croyons le pardon des péchés.

2. JUSTIFICATION PASSIVE OU SUBJECTIVE. Une justification passive ou subjective se déroule dans le coeur ou la conscience du pécheur. Une justification purement objective qui n’est pas rappelée au pécheur ne répondait pas, le but. L’octroi d’un pardon signifierait rien à un prisonnier, à moins que les bonnes nouvelles ont été communiqués à lui et les portes de la prison ont été ouverts. En outre, c’est exactement à ce stade que le pécheur apprend à comprendre mieux que nulle part ailleurs que le salut vient des grâce libre. Quand la Bible parle de la justification, il fait généralement référence à ce qu’on appelle aussi passive de justification. Il faut avoir à l’esprit, cependant, que les deux sont indissociables. L’un est basé sur l’autre. La distinction est simplement faite pour faciliter la bonne compréhension de l’acte de justification. Justification passive s’ensuit logiquement, foi; Nous sommes justifiés par la foi.

F. LE TEMPS DE LA JUSTIFICATION.

Certains théologiens séparent justification active et passive dans le temps. La justification active est dit alors ont eu lieu dans l’éternité, ou la résurrection du Christ, alors que la justification passive se déroule par la foi et par conséquent, il est dit, suit l’autre dans un sens temporel. Nous allons examiner successivement justification de toute éternité, justification dans la résurrection du Christ et la justification par la foi.

1. LA JUSTIFICATION DE TOUTE ÉTERNITÉ. Les Antinomiens a statué que la justification du pécheur a eu lieu dans l’éternité, ou dans la résurrection du Christ. Qu’ils soit confondu il avec le décret éternel de l’élection, ou la justification objective du Christ quand il a été ressuscité d'entre les morts. Ils ne distinguent pas correctement entre le dessein divin dans l’éternité et son exécution dans le temps, ni entre le œuvre du Christ dans l’achat et celle de l’Esprit Saint dans l’application de la bénédiction de la rédemption. Selon cette position, nous sommes justifiés avant même que nous croyons, même si nous sommes inconscients de celui-ci, et la foi nous transmet simplement la déclaration de ce fait. En outre, le fait que nos péchés ont été imputés au Christ fit personnellement un pécheur, et l’imputation de sa justice nous nous a fait personnellement justes, afin que Dieu ne peut voir aucun péché dans les croyants du tout. Certains théologiens réformés parlent aussi de la justification de toute éternité, mais au même temps ordures pour vous abonner à la construction antinomienne de cette doctrine. Les motifs sur lesquels ils croient en la justification de toute éternité méritent réflexion brève.

a. motifs de la doctrine de la justification de toute éternité.

(1) l’écriture parle d’une grâce ou de la miséricorde de Dieu qui est éternelle, PS. 25: 6; 103:17. maintenant, tout de grâce ou de miséricorde qui est de toute éternité doit avoir comme base judiciaire ou juridique une justification c’est de toute éternité. Mais en réponse à cela, on peut affirmer qu’il y a des grâces éternelles et lovingkindnesses de Dieu, qui ne reposent pas sur une justification du pécheur, comme, par exemple, son plan de rédemption, le don de son fils et le cautionnement prêt du Christ dans la sal de pactum infections urinaires.

(2) dans le pactum salutis la culpabilité des péchés des élus a été transférée à Christ, et la justice du Christ ont été imputée à eux. Cela signifie que le fardeau du péché a été levé de leurs épaules et qu’elles étaient justifiées. Maintenant il y a sans aucun doute à ce sujet qu’il y avait une certaine imputation de la justice du Christ, le pécheur à l’avocat de la rédemption, mais pas toute imputation peut être appelée justification au sens biblique du terme. Il faut distinguer entre ce qui était simplement idéal dans le Conseil de Dieu, et ce qui est réalisé au cours de l’histoire.

(3) le pécheur reçoit la grâce initiale de régénération sur la base de la justice imputée du Christ. Par conséquent, les mérites du Christ doivent avoir été imputées à lui avant sa régénération. Mais bien que cette considération mène à la conclusion que la justification précède logiquement la régénération, il ne prouve pas la priorité de justification dans un sens temporel. Le pécheur peut recevoir la grâce de régénération sur la base d’une justification, idéalement existante dans le Conseil de Dieu et certaine de se réaliser dans la vie du pécheur.

(4) enfants également besoin de justification, pour être sauvé, et pourtant il est tout à fait impossible qu’ils Rencontrez la justification par la foi. Mais s’il est parfaitement vrai que les enfants qui ne sont pas encore venus à maturité, ne peut pas éprouver justification passive, ils peuvent être activement justifiées dans le tribunal de Dieu et donc être en possession de ce qui est absolument indispensable.

(5) la justification est un acte de Dieu immanent et comme tel, doit être de toute éternité. Il est cependant guère correct, de parler de justification comme un actus immanens en Dieu; C’est plutôt un actus transiens, tout comme la création, incarnation et ainsi de suite. Les partisans de la justification de toute éternité sentir le poids de cette réflexion et m’empresse donc de nous donner l’assurance qu’ils ne signifient pas pour enseigner que les élus sont justifiées de l’éternité, actualiter, mais seulement dans l’intention de Dieu, dans la décret divin. Cela nous amène à la distinction habituelle entre le Conseil de Dieu et de son exécution. Si cette justification dans l’intention de Dieu justifie notre parlant d’une justification de toute éternité, alors il n’y a absolument aucune raison pourquoi nous ne devrions pas parler d’une création de toute éternité ainsi.

b. Objections contre la doctrine de la justification de toute éternité.

(1) la Bible enseigne uniformément que justification se fait par la foi ou sa foi. Ceci, bien entendu, s’applique à justification passive ou subjective, ce qui, toutefois, ne peut être séparée dans le temps de justification active soit objective, sauf dans le cas des enfants. Mais s’y a justification par la foi, il certainement ne précède pas foi dans un sens temporel. Maintenant il est vrai que les partisans d’une justification de toute éternité parlent aussi d’une justification par la foi. Mais dans leur représentation, ceci peut seulement signifier que l’homme par la foi devient conscient de ce que Dieu a fait dans l’éternité.

(2) dans la Rom. 08:29, 30, où nous trouvons certains d'entre le limaçon de l' ordo salutis, justification se trouve entre deux actes de Dieu dans le temps, à savoir, la vocation et la glorification, qui commence dans le temps, mais est réalisée dans une éternité future. Et ces trois ensemble sont le résultat de deux autres qui sont explicitement indiqués comme éternelle. Le Dr de Kuyper n’est pas justifié en disant que romains 08:30 se réfère à ce qui a eu lieu avec la régénérée avant qu’ils soient nés, comme même Dr. De Moor, qui croit aussi en une justification de toute éternité, est tout à fait prêt à admettre. [Cf. son De Rechtvaardigmaking Van Eeuwigheid, p.20.]

(3) dans l’enseignement de la justification de toute éternité, le décret de Dieu concernant la justification du pécheur, qui est un actus immanens, est identifié avec la justification elle-même, qui est un actus transiens. Cela ne conduit qu’à la confusion. Ce qui passait dans le pactum salutis ne peut être identifié avec quels sont les résultats de celle-ci. Toute imputation n’est pas encore de justification. Justification est l’un des fruits de le œuvre rédemptrice du Christ, appliqué aux croyants par l’Esprit Saint. Mais l’esprit n’a pas et ne pouvait s’appliquer cet appareil ou tout autre fruit de le œuvre du Christ de toute éternité.

2. JUSTIFICATION DE LA RÉSURRECTION DU CHRIST. L’idée que les pécheurs sont dans un certain sens du mot justifié dans la résurrection du Christ a été soulignée par certains Antinomiens, est enseignée par les théologiens réformés qui croient en une justification de toute éternité et est également détenue par certains autres érudits réformées. Cette opinion se fonde sur les motifs suivants:

a. par son œuvre expiatoire, Christ a satisfait toutes les exigences de la loi pour son peuple. Dans la résurrection de Jésus-Christ d'entre les morts, le père a publiquement déclaré que toutes les exigences de la Loi ont été respectées pour tous les élus et, par conséquent justifient leur. Mais ici la distinction trop prudente est requise. Même s’il est vrai qu’il existe une justification objective du Christ et de tout le corps du Christ dans sa résurrection, cela ne doit pas être confondu avec la justification du pécheur de dont l’écriture parle. Il n’est pas vrai que, quand Christ a rendu pleine satisfaction au père pour tout son peuple, leur culpabilité fin naturellement. Une dette pénale n’est pas comme une dette pécuniaire à cet égard. Même après le versement d’une rançon, le retrait de culpabilité peut dépendre de certaines conditions et ne suit pas comme une question de cours. Les élus ne sont pas personnellement justifiées au sens biblique jusqu'à ce qu’ils acceptent le Christ par la foi et ainsi ouvrir ses mérites.

b. dans la Rom. 04:25 nous lisons que Christ a été « soulevée pour (dia, causalité, en raison de) notre justification, » c'est-à-dire d’effectuer notre justification. Maintenant, il est sans doute vrai que dia avec l’accusatif est causal ici. Dans le même temps il ne doivent pas être rétroactive, mais peut également être prospective et signifie donc « en vue de notre justification », qui revient à dire, « afin que nous puissions être justifiées ». L’interprétation rétrospective entrerait en conflit avec le contexte immédiatement suivant, qui indique clairement (1) que Paul n’est pas la pensée de la justification objective de l’ensemble du corps du Christ, mais de la justification personnelle des pécheurs; et (2) qu’il conçoit cela comme ayant lieu à travers la foi.

c. dans II Corinthiens 05:19, nous lisons: « Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, ne Reckoning pas leur leurs offenses. » Ce passage est tirée la conclusion que la réconciliation objective du monde dans le Christ implique la non-imputation du péché pour le pécheur. Mais cette interprétation n’est pas correcte. Le sens évident de l’apôtre est: Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, tel qu’il appert du fait qu’il ne pas imputer aux hommes leurs péchés, et qu’il a confié à ses serviteurs de la parole de réconciliation. Notez que me logizomenos (temps présent) se réfère à ce qui se passe en permanence. Cela ne peut être conçu dans le cadre de la réconciliation objective, car alors la clause suivante, « et avoir commis pour nous la parole de réconciliation, » devra également être ainsi interprété, et c’est tout à fait impossible.

Dans le cadre de cette affaire, on peut affirmer que nous pouvons parler d’une justification du corps du Christ dans son ensemble à sa résurrection, mais c’est purement objectif et ne doit pas être confondu avec la justification personnelle du pécheur.

3. LA JUSTIFICATION PAR LA FOI.

a. la relation entre la foi à la justification. L’écriture dit que nous sommes justifiés dia pisteos, ek pisteos, ou pistei (datif), Rom. 03:25, 28, 30; 5:1; GAL 02:16; Philippiens 3:9. La préposition dia insiste sur le fait que la foi est l’instrument par lequel nous nous approprions le Christ et sa justice. préposition ek indique que la foi précède logiquement notre justification personnelle, afin que, comme c’était, prend sa source dans la foi. Le datif revêt un sens instrumental. L’écriture ne dit jamais que nous sommes de justifiés dia pistin dix, en raison de la foi. Cela signifie que la foi n’est jamais représenté comme fondement de notre justification. Si tel était le cas, foi devra être considérée comme une œuvre méritoire de l’homme. Et ce serait l’introduction de la doctrine de la justification par les oeuvres, qui s’oppose systématiquement à l’Apôtre, Rom. 03:21, 27, 28; 4:3, 4; GAL 02:16, 21; 3:11. Qu'on nous dit en effet foi qu’Abraham a été compté lui de droiture, Romains 4:3, 9, 22; Galates 3:6, mais compte tenu de l’ensemble des arguments que cela sûrement ne saurait signifier que dans son cas foi elle-même comme une œuvre a pris la place de la justice de Dieu en Christ. L’Apôtre ne laisse pas douteux que, à proprement parler, seulement la justice du Christ imputée à nous, est le fondement de notre justification. Mais la foi est donc complètement réceptive dans l’appropriation des mérites du Christ, qu’il peut être mis au sens figuré pour les mérites du Christ qui lui sont adressées. « Foi » puis est équivalente au contenu de la foi, c'est-à-dire, pour le fond ou la justice du Christ.

On dit souvent, toutefois, que les enseignements de James en conflit avec ceux de Paul à ce sujet et clairement en faveur de la doctrine de la justification par les œuvres de Jacques 02:14-26. Différentes tentatives ont été faites pour harmoniser les deux. Certains s’engager sur l’hypothèse selon laquelle les Paul et James parlent de la justification du pécheur, mais que James insiste sur le fait qu’une foi qui ne se manifeste pas dans les bonnes œuvres n’est aucun vrai de la foi et n’est donc pas une foi qui justifie. C’est sans doute vrai. La différence entre les représentations de Paul et James est sans doute due en partie à la nature des adversaires avec lesquels ils ont devaient faire face. Paul a dû composer avec les légalistes qui ont cherché à fonder leur justification, au moins en partie, sur les œuvres de la Loi. James, en revanche, s’est joint à problème avec Antinomiens, qui se prétendait avoir la foi, mais dont la foi était simplement un assentiment intellectuel à la vérité (02:19), et qui a nié la nécessité de bonnes œuvres. C’est pourquoi il insiste sur le fait que la foi sans les œuvres est une foi morte et par conséquent pas du tout une foi qui justifie. La foi qui justifie est une foi qui est fructueuse dans les bonnes œuvres. Mais on peut objecter que cela n’explique pas la difficulté ensemble, puisque James explicitement dit dans le verset 24, que l’homme est justifié par les oeuvres et non seulement par la foi et cela illustre par l’exemple d’Abraham, qui était « justifié par les œuvres qu’il offrit Isaac » (v erse 21). « Tu vois, » il dit au verset 24, « que foi forgé avec ses œuvres et par les œuvres a été foi rendue parfaite. » C’est évident, toutefois, que dans ce cas, l’écrivain ne parle pas de la justification du pécheur, pour Abraham le pécheur était justifié bien avant il offrit Isaac (voir Genèse 15), mais d’une autre justification des croyant Abraham. Vraie foi se manifestera dans les bonnes œuvres, et ces œuvres témoignera devant les hommes de la justice (autrement dit, la justice de la vie) de celui qui possède une telle foi. La justification des justes en travaux confirme la justification par la foi. Si James voulait en fait dire dans cette section de la lettre que Abraham et Rahab étaient justifiées avec la justificatio peccatoris, sur la base de leurs bonnes œuvres, il ne serait pas en conflit avec Paul, mais serait aussi contradictoire, car il explicitement dit qu’Abraham a été justifié par la foi.

b. les termes théologiques pour exprimer la relation entre la foi à la justification. Il y a surtout trois termes qui entrent en considération ici.

(1) causer instrumental. Ce nom a été très généralement utilisé à tout d’abord, mais ensuite a rencontré une vive opposition. La question a été soulevée, que ce soit instrument ou l’homme de Dieu Et il a été dit: il ne peut être Dieu, car la foi visée n’est pas la foi de Dieu; ni homme, peut-on pour justification n’est pas un acte de l’homme, mais de Dieu. Nous devons garder à l’esprit, toutefois, (a) que selon l’enseignement clair de la Bible, nous sommes justifiés par la foi, dia pisteos, et que cette dia ne peut être comprise dans un sens instrumental, Rom. 03:28; Galates 3:8; (b) que la Bible dit explicitement que Dieu justifie le pécheur, par la foi et représente donc la foi comme instrument de Dieu, Rom. 03:30; et (c) que la foi est également représentée comme l’instrument de l’homme, comme le moyen par lequel il reçoit justification, gal 02:16. Foi peut être considéré comme l’instrument de Dieu dans un double sens. C’est un don de Dieu, le pécheur à la justification d’orfèvrerie. En outre, en travaillant la foi dans le pécheur, Dieu porte la déclaration du pardon dans son coeur ou la conscience. Mais la foi est aussi un instrument de l’homme par laquelle il s’approprie le Christ et tous ses dons précieux, Romains 4:5; GAL 02:16. C’est aussi la représentation de la matière que l'on retrouve dans la Confessio Belgica,[Art. XXII.] et dans le Catéchisme de Heidelberg. [Questions 60 et 61.] Par la foi nous embrasser le Christ et rester en contact avec lui, qui est notre justice. Le nom « instrumental cause » est régulièrement utilisée dans les Confessions protestantes. Encore quelques théologiens réformés préfèrent l’éviter, afin de se prémunir contre le danger de donner l’impression que la justification est en quelque sorte tributaire de la foi comme une œuvre de l’homme.

(2) ouverture orgue. Ce nom exprime l’idée que, par la foi le pécheur, s’approprie la justice de Christ et établit une union consciente entre lui-même et le Christ. Les mérites du Christ constituent le dikaioma, la base juridique sur laquelle repose la déclaration officielle de Dieu dans la justification. Par la foi, pécheur s’approprie la droiture du médiateur déjà imputé lui idéalement dans le pactum salutis; et sur cette base, il est maintenant officiellement justifié devant Dieu. Foi justifie dans la mesure où il prend possession du Christ. Nom « s’approprier l’organe » comporte l’idée d’un rôle déterminant et est donc parfaitement en harmonie avec les instructions trouvées dans nos normes confessionnelles. Il a un avantage sur le nom qu’il exclut l’idée que la foi est dans tous les sens la base de justification. Il peut être appelé un organe s’approprier dans un double sens: (a) il est l’organe par lequel nous posons Accrochez-vous et approprié les mérites du Christ et accepter ces comme fondement de notre justification méritoire. Comme tel, il précède logiquement justification. (b) il est également l’organe par lequel nous avons consciemment appréhender notre justification et obtenir la possession de justification subjective. En ce sens, il s’ensuit logiquement justification. Dans l’ensemble ce nom mérite de préférence, bien qu’il faut avoir à l’esprit que, strictement parlant, foi est l’organe par lequel nous nous approprions la justice du Christ, comme fondement de notre justification, plutôt que de l’organe par lequel nous nous approprions Justification elle-même.

(3) condition sine qua non. Ce nom, suggéré par certains théologiens réformés, n’a pas rencontré de grande faveur. Il exprime l’idée, qui est parfaitement vraie en soi, que l’homme n’est pas justifiée en dehors de la foi, et que la foi est une condition indispensable de la justification. Le nom exprime rien de positif et est en outre passible d’incompréhension.

G. LE MOTIF DE LA JUSTIFICATION.

Un des points plus importants d’une controverse entre l’Eglise de Rome et les réformateurs, ainsi qu’entre la théologie réformée et les arminiens, concernait le sol de la justification. En ce qui concerne cela les réformateurs a enseigné:

1. négativement, que c’est introuvable dans les vertus de l’homme, ni dans ses bonnes œuvres. Cette position doit également être conservée à l’heure actuelle par rapport à Rome ainsi que les tendances Pelagianizing de diverses églises. Rome enseigne que le pécheur est justifié sur la base de la justice inhérente qui a été perfusée dans son cœur, et qui, à son tour, est le fruit de la coopération de la volonté humaine avec la grâce prévenante. Cela s’applique à ce qu’on appelle la première justification; dans la justification suivante toutes les bonnes œuvres de l’homme viennent en considération comme la cause formelle ou un motif de justification. Il est impossible, toutefois, que la justice inhérente de l’homme régénéré et ses bonnes œuvres constituent le sol de sa justification, pour (a) Cette droiture est et reste durant cette vie une justice très imparfaite; (b) il s’est déjà le fruit de la justice du Christ et de la grâce de Dieu; et (c), même les meilleures œuvres des croyants sont pollués par le péché. Par ailleurs, l’écriture nous enseigne clairement que l’homme est justifié gratuitement par la grâce de Dieu, Rom. 03:24, et qu’il a éventuellement ne saurait être justifié que par les œuvres de la Loi, Rom. 03:28; GAL 02:16; 03:11.

2. d’une manière positive, que l'on retrouve le motif de justification que dans la justice parfaite de Jésus-Christ, qui est imputé au pécheur dans la justification. C’est clairement enseigné dans plusieurs passages de l’écriture, comme les Romains 03:24; 5:9, 19; 8:1; 10:4; J’ai Cor. 01:30; 06:11; II Corinthiens 05:21; Philippiens 3:9. Dans l’obéissance passive du Christ, qui est devenu une malédiction pour nous (gal. 03:13) nous trouvons le terrain pour le pardon des péchés; et dans son obéissance active, par lesquels il méritait tous les dons de grâce, y compris la vie éternelle, le terrain pour l’adoption d’enfants, par les pécheurs sont constitués des héritiers de la vie éternelle. L’arminienne va à l’encontre de l’écriture lorsqu’il affirme que nous sommes acceptés en faveur de Dieu seulement en raison de notre foi ou l’obéissance évangélique.

H. OBJECTIONS À LA DOCTRINE DE LA JUSTIFICATION.

La théologie libérale moderne, avec ses tendances rationalisation, soulève plusieurs objections à la doctrine de la justification à ce titre, qui méritent une attention brève.

1. certains, qui croient encore au salut par la grâce, ostensiblement object à justification dans l’intérêt de la reconnaissance de la grâce de Dieu. Justification, il est dit, est un acte juridique et exclut ainsi la grâce, tandis que la Bible enseigne clairement que le pécheur est sauvé par grâce. Mais il peut facilement être démontré que la justification avec tous ses antécédents et conséquents est une œuvre miséricordieux de Dieu. Le produit de remplacement autorisé pour les pécheurs coupables, les souffrances du fait d’autrui et l’obéissance du Christ, l’imputation de sa justice à indigne transgresseurs, et Dieu les de traitant des croyants comme juste, — c’est toute grâce libre du début à la fin.

2. justification est parfois appelée une procédure impie, car il déclare pécheurs d’être juste à l’encontre de fait. Mais cette objection ne tient-elle pas, car la déclaration divine n’est pas à l’effet que ces pécheurs sont justes en eux-mêmes, mais qu’ils sont revêtus de la justice parfaite de Jésus-Christ. Cette justice forgée par le Christ, est librement imputée à eux. Il n’est pas la justice personnelle subjective du Christ, mais sa justice Pacte du fait d’autrui, qu’on impute à ceux qui sont en eux-mêmes d’injustes, et tout pour la gloire de Dieu.

3. on dit souvent que cette doctrine est éthiquement subversive, car elle conduit à la débauche. Mais il n’y a aucune vérité dans ce que ce soit, que même la vie des justifiés montre clairement. Dans la justification, la Fondation sûre est posée pour cette union spirituelle vitale avec le Christ qui retient notre sanctification. Il entraîne vraiment sur les seules conditions dans lesquelles nous pouvons être vraiment Saintes en principe. L’homme qui se justifie également reçoit l’esprit de sanctification et est le seul qui peut abondent dans les bonnes œuvres qui glorifiera Dieu.

I. LES DIVERGENCES DE LA JUSTIFICATION.

1. LA VUE CATHOLIQUE ROMAINE. Le point de vue catholique confond la justification et la sanctification. Il comprend les éléments suivants dans la justification (a) l’expulsion de séjour péché; (b) un apport positif de la grâce divine; et (c) le pardon des péchés. Le pécheur est préparé pour la justification par la grâce prévenante, sans aucun mérite de sa part. Cette grâce prévenante conduit le pécheur à un fides informisà la condamnation du péché, à la repentance, une confiance confiant sur la grâce de Dieu en Christ, aux prémices d’une nouvelle vie et à un désir pour le baptême. Justification consiste vraiment à l’infusion de nouvelles vertus après que la pollution du péché a été supprimée dans le baptême. Après l’expulsion de péché à demeure, le pardon du péché ou la suppression de la culpabilité du péché découle nécessairement. Et après cela le chrétien avances de la vertu à la vertu, est capable d’effectuer des travaux méritoires et reçoit en récompense une plus grande mesure de grâce et d’une justification plus parfaite. La grâce de la justification peut être perdue, mais peut être également restaurée par le sacrement de pénitence.

2. L’AVIS DE PISCATOR. Piscator a appris que seulement l’obéissance passive du Christ est imputé au pécheur comme justification, pour le pardon des péchés; et que son obéissance active ne pourrait pas probablement être imputée à lui, à l’adoption d’enfants et d’un héritage éternel, parce que l’homme Christ Jésus devait cela à Dieu pour lui-même. En outre, si le Christ avait accompli la loi pour nous, nous pourrions pas plus être tenu pour responsable de l’observation de la Loi. Piscator considéré le roulement de la pénalité du péché et de l’observation de la Loi comme solution de rechange, dont l’un exclut l’autre. Il a laissé la porte ouverte pour ce qui concerne l’obéissance personnelle propre du pécheur comme le seul motif de son espérance future. Ce point de vue est très semblable à celle des arminiens et est tout à fait conforme à la doctrine d’Anselme au moyen-âge.

3. L’AVIS DE OSIANDER. Osiander a révélé une tendance à faire revivre dans l’église luthérienne, l’essentiel de la conception catholique de la justification, mais avec une différence caractéristique. Il a affirmé que la justification ne consiste pas dans l’imputation de la justice du fait d’autrui du Christ pour le pécheur, mais dans l’implantation d’un nouveau principe de vie. Selon lui, la justice, par laquelle nous sommes justifiés est la justice éternelle de Dieu le père, qui est communiqué à ou infusé en nous par son fils Jésus Christ.

4. LA VUE ARMINIENNE. Les arminiens tenir que Christ n’a pas rendu satisfaction stricte à la justice de Dieu, mais encore offre une véritable propitiation pour le péché, qui a gracieusement accepté et a agi comme satisfaisante par Dieu en pardonnant le péché et ce qui justifie le pécheur. Alors que cela correspond seulement passé comptes, Dieu prévoit également pour l’avenir. Il vient aussi gracieusement impute foi croyant lui pour la justice, que la foi, à savoir, comme incluant toute la vie religieuse du croyant, — son obédience évangélique. Sur ce point de vue foi n’est pas plus l’instrument simple de l’élément positif de la justification, mais le terrain gracieusement admis sur lequel il repose. Justification, puis, n’est pas une instance judiciaire, mais un acte souverain de Dieu.

5. LA VUE BARTHIENNE. Tandis que Barth parle de justification comme un acte momentané, mais il ne les considère pas comme un acte accompli une fois pour toutes, et qui est suivie par la sanctification. Selon lui, justification et sanctification aller main dans la main tout le long de la ligne. Pauck dit que selon Barth justification n’est pas une croissance ou un développement éthique; Il se produit toujours à nouveau, chaque fois que l’homme a atteint le point de désespoir complet concernant les croyances et les valeurs sur lesquelles il a construit sa vie. Thurneysen rejette également l’opinion que justification a lieu une fois pour toutes, il appelle la vue du piétisme et prétend que c’est fatal à la doctrine de la réforme.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Que signifie le verbe dikaio-o moyenne en grec ? Justifie un créatif ou un acte déclaratif ? Est-il possible de penser de justification en ce qui concerne les péchés passés dans un autre sens que celui d’un acquittement judiciaire ? Justification doit être considérée uniquement comme quelque chose objective et externe à l’homme ? Qu’entend-on en théologie de la cause formelle de la justification ? Comment les catholiques romains et Protestants diffèrent sur ce point ? Est la justification des catholiques romains de la fides formata vraiment une justification par la foi, ou une justification par l’amour sous le couvert de la foi ? Quel est l’antinomienne doctrine de la justification de toute éternité ? La distinction faite par Buchanan et Cunningham entre actif et passif de justification comme étant réelle et justification déclarative corriger ou pas ? On peut dire que dans la justification du déclarative (justification passive) Dieu déclare simplement le pécheur d’être ce qu’il est ? Ce qu’il advient de la doctrine de la justification de Schleiermacher, Ritchl et la théologie libérale moderne ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme., IV, pp. 182-245; Kuyper, Dict. dogme., De Salute, pp. 45-69; Ibid., Het Werk van den Heiligen Geest II, pp. 204-232; Comrie, bref plus de Rechtvaardigmaking; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 114-212; Shedd, dogme . THEOL. II, pp. 538-552; Conférences de Dick, théologie, LXXI-LXXIII; Dabney, Syst et trouvailles. THEOL., p. 618-650; Faire, Godgeleerdheit VI. 6 et 7; Buchanan, la Doctrine de la Justification; Owen, sur Justification; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., pp. 259-313; Girardeau, calvinisme et arminianisme évangélique, p. 413-566; Pieper, Christl. Dogme. II, p. 606-672; Vos, Geref. Dogme. IV., pp. 154-210; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 430-448; Valentine, Chr. Theol. II, p. 214 et 241; Strong, Syst. Theol., p. 849-868; Dorner, syst de Chr. Doct. IV, pp. 194-238; Watson, instituts théologiques, II, pp. 406-475; De Moor, Rechtvaardigmaking van Eeuwigheid.

 

X. sanctification

A. LES TERMES MENTIONNÉS DANS LES ÉCRITURES DE SANCTIFICATION ET DE SAINTETÉ.

1. LES CONDITIONS DE L'ANCIEN TESTAMENT. Le mot de l’ancien Testament pour « à sanctifier » est qadash, un verbe qui est utilisé dans le niphal, piel, hiphilet hithpa'el espèces. Le substantif correspondant est qodesh, tandis que l’adjectif est qadosh. Les formes verbales sont dérivées des formes nominales et adjectivales. Le sens originel de ces mots est incertain. Certains sont d’avis que le mot qadash est liée à la chadash, qui signifie « briller ». Ce serait en harmonie avec l’aspect qualitatif de l’idée biblique de la sainteté, à savoir, celle de la pureté. D’autres, avec un plus grand degré de probabilité, dérivent le mot de la racine qad, qui signifie « couper ». Cela rendrait l’idée de la séparation de l’idée originale. Le terme aurait ensuite point de réserve, de séparation ou de Majesté. Bien que cette signification des mots « sanctification » et « sainteté » peut sembler inhabituelle pour nous, c’est selon toute vraisemblance l’idée fondamentale exprimée par eux. Girdlestone, dit: « les termes « sanctification » et « sainteté » sont maintenant très fréquemment utilisées pour représenter les qualités morales et spirituelles, qu’ils véhiculent guère au lecteur l’idée position ou la relation existant entre Dieu et une personne ou chose consacrée à lui; pourtant cela semble être le vrai sens du mot. » [Synonymes de l’ancien Testament, p. 283.] De même, Cremer-Koegel attire l’attention sur le fait que l’idée de la séparation est fondamentale à celle de la sainteté. « Heiligkeit ist ein verhaeltnisbegriff. » Dans le même temps, il est admis que les deux idées de sainteté et de la séparation ne pas fusionner, ne sont pas absorbées dans l’autre, mais que l’ancienne dans une mesure sert à qualifier ce dernier. [Biblisch-Theologisches Woerterbuch (10e éd.) p. 41.]

2. LES CONDITIONS  DU NOUVEAU TESTAMENT.

a. le verbe hagiazo et ses diverses significations. Le verbe hagiazo est un dérivé de hagios, qui, comme l' hébreu qadosh , exprime avant tout l’idée de la séparation. Toutefois, il est utilisé dans plusieurs sens différents, dans le Nouveau Testament. Nous pouvons distinguer ce qui suit: (1) il est employé dans un sens mental des personnes ou des choses, Matthieu 6:9; Luc 11:2; J’ai PET. 03:15. Dans ce cas, il signifie « de considérer un objet comme Saint, » « d’attribuer sainteté à elle », ou « à reconnaître sa sainteté par la parole ou acte. » (2) elle est également employée occasionnellement de manière rituelle, c'est-à-dire dans le sens de « séparant d’ordinaire à des fins sacrées » ou de « réglage de côté pour un certain office, » Matthieu 23:17, 19; John 10:36; II Timothée 02:21. (3) encore une fois, il est utilisé pour désigner cette opération de Dieu par lequel il, notamment par le biais de son esprit, travaille chez l’homme la qualité subjective de la sainteté, John 17:17; Actes 20:32; 26: 18; I Corinthiens 1:2; Je th. 05:23. (4) Enfin, dans l’épître aux Hébreux, il semble être utilisé dans un sens expiatoire et aussi dans le sens connexe de la Pauline dikaio-o, Héb. 09:13; 10:10, 29; 13:12.[Cf. Denney, la mort du Christ, p. 220; Kennedy, la théologie des épîtres, p. 214.]

b. les adjectifs exprimant l’idée de la sainteté. (1) Hieros. Le mot qui est utilisé moins et c’est aussi le moins expressif, c’est le mot hieros. Il se trouve que dans I Corinthiens 09:13; II Timothée 03:15 et puis pas des personnes mais des choses. Il n’exprime pas l’excellence morale, mais expressive du caractère inviolable de la chose évoquée, qui découle de la relation dans laquelle il se trouve à Dieu. Il est mieux traduit par le mot anglais « sacré ». (2) Hosios. Le mot hosios est d’apparition plus fréquente. Il se trouve dans actes 02:27; 13:34, 35; I Timothée 2:8; Tite 1:8; Héb. 07:26; Apocalypse 15:4; 16:5 et s’applique non seulement aux choses, mais aussi de Dieu et de Christ. Il décrit une personne ou une chose comme indemnes de la souillure ou méchanceté ou plus activement (des personnes) qu’il remplit religieusement chaque obligation morale. (3) Hagnos. Le mot hagnos se produit dans II Corinthiens 07:11; 11:2; Philippiens 4:8; J’ai Timothée 05:22; Jacques 03:17; I Pierre 3:2; J’ai John 3:3. L’idée fondamentale du mot semble être celui de la liberté de l’impureté et de profanation dans un sens éthique. (4) Hagios. Le mot vraiment caractéristique du Nouveau Testament, cependant, est hagios. Son sens premier est celui de la séparation dans la consécration et la dévotion au service de Dieu. Cela est relié à l’idée que ce qui est mis à part le monde pour Dieu, devrait également se séparer de la profanation du monde et partager dans la pureté de Dieu. C’est ce qui explique le fait que hagios a rapidement acquis une signification éthique. Le mot n’a pas toujours la même signification dans le Nouveau Testament. Il est utilisé pour désigner une relation officielle externe, une étant mis à part les fins ordinaires pour le service de Dieu, comme par exemple, lorsque nous lisons des « saints prophètes, » Luc 1: 70, « Saints Apôtres, » Éphésiens 3:5 et « saints hommes de Dieu » II Pierre 01:21. (b) le plus souvent, cependant, il est employé dans un sens éthique pour décrire la qualité qui est nécessaire pour rester en relation étroite avec Dieu et de lui servir de façon acceptable, Éphésiens 1:4; 05:27; 01:22; J’ai PET. 01:15, 16. Il faut avoir à l’esprit que dans le traitement de la sanctification, nous utilisons le mot principalement dans ce dernier sens. Quand on parle de sainteté dans le cadre de la sanctification, nous avons à l’esprit une relation externe et une qualité subjective intérieure.

c. les substantifs dénotant la sanctification et sainteté. Le mot du Nouveau Testament pour la sanctification est hagiasmos. On le trouve dix fois, à savoir, dans Romains 06:19, 22; J’ai Cor. 01:30; J’ai Thess. 4:3, 4, 7; II Thessaloniciens. 02:13; J’ai Timothée 02:15; Hébreux 12:14; I Pierre 1:2. Alors qu’il dénote une purification éthique, elle inclut l’idée de la séparation, à savoir, « la séparation de l’esprit de tout ce qui est impur et polluantes et un renoncement des péchés vers lequel nous amènent les désirs de la chair et l’esprit. » Tandis que hagiasmos désigne le œuvre de sanctification, il y a deux autres mots qui décrivent le résultat du processus, à savoir hagiotes et hagiosune. Le premier se trouve dans I Corinthiens 01:30 et Héb. 12:10; et le second dans Romains 1:4; II Corinthiens 7:1 et j’ai th. 03:13. Ces passages montrent que la qualité de la sainteté ou l’absence de pollution et d’impuretés est essentielle à Dieu, a été exposée par Jésus Christ et est transmise pour le chrétien.

B. LA DOCTRINE DE LA SANCTIFICATION DANS L’HISTOIRE.

1. AVANT LA RÉFORME. Dans le développement historique de la doctrine de la sanctification, l’Église s’est principalement avec trois problèmes: (a) la relation entre la grâce de Dieu dans la sanctification de la foi; (b) la relation de la sanctification de la justification; et (c) le degré de sanctification dans la vie présente. Les écrits des premiers pères d’église contiennent très peu concernant la doctrine de la sanctification. Une souche de moralisme est manifeste en ce que l’homme a appris à dépendent pour le salut de foi et les bonnes œuvres. Péchés commis avant le baptême ont été emportées dans le baptême, mais pour ceux qui après le baptême homme doit fournir de pénitence et de bonnes œuvres. Il doit mener une vie de vertu et mérite donc l’approbation du Seigneur. « Ce dualisme, » dit Scott dans son The Nicene théologie,[p. 200.] « quitte le domaine de la sanctification qu’indirectement liée à la rédemption du Christ; et c’était le domaine dans lequel a grandi, naturellement, des conceptions de péché, légalisme, sacramentarisme, intrigues de prêtres et de tous les excès de dévotion monacale défectueuses. » Ascétisme vint à être considéré à partir de la plus haute importance. Il y avait aussi une tendance à confondre la justification et la sanctification. Augustin fut le premier à développer des idées plutôt précises de sanctification, et son point de vue avait une influence déterminante sur l’église du moyen âge. Il ne pas nettement la distinction entre la justification et la sanctification, mais conçu de ce dernier comme inclus dans l’ancien. Car il croyait en la corruption totale de la nature humaine à l’automne, il pensait de la sanctification, comme une nouvelle interesant surnaturelle de la vie divine, une nouvelle énergie infusée, opérant exclusivement dans les limites de l’église et par les sacrements. Alors qu’il n’a pas perdu de vue l’importance de l’amour personnel pour le Christ comme un élément constitutif dans la sanctification, il manifeste une tendance à adopter un point de vue métaphysique de la grâce de Dieu dans la sanctification, — de la considérer comme un dépôt de Dieu chez l’homme. Il a fait pas suffisamment l’accent sur la nécessité d’une préoccupation constante de la foi au Christ Rédempteur, comme le facteur le plus important dans la transformation du chrétien la vie. Les tendances apparents dans les enseignements d’Augustin est venu à fruit dans la théologie du Moyen-Age, qui se trouve dans sa forme la plus développée dans les écrits de Thomas Aquinas. Justification et sanctification ne sont pas clairement distingués, mais la première est faite d’inclure l’infusion de la grâce divine, comme quelque chose de substantiel, dans l’âme humaine. Cette grâce est une sorte de donum superadditum, par lequel l’âme est levé vers un nouveau niveau ou d’un ordre plus élevé d’être et est autorisé à accomplir son destin céleste sachant, possédant et jouissant de Dieu. La grâce est dérivée de l’inépuisable Trésor des mérites du Christ et est transmise aux croyants par les sacrements. Vu du point de vue divin, cette grâce sanctifiante dans l’âme sécurise la rémission du péché originel, confère une habitude permanente de la justice inhérente et porte en lui la puissance de développement ultérieur et même de la perfection. Hors de lui, la nouvelle vie se développe avec toutes ses vertus. Son bon travail peut être neutralisée ou détruite par les péchés mortels; mais la culpabilité contractées après que le baptême peut être retiré par l’Eucharistie dans le cas de péchés véniels et par le sacrement de pénitence dans le cas de péchés mortels. Considéré du point de vue humain, les œuvres de surnaturels de la foi agissant par l’amour ont du mérite devant Dieu et garantir une augmentation de la grâce. Ces travaux sont impossibles, cependant, sans le fonctionnement continu de la grâce de Dieu. Le résultat de l’ensemble du processus était connu comme justification plutôt que la sanctification; Il a consisté à rendre l’homme juste devant Dieu. Ces idées sont enchâssées dans les Canons et décrets du Concile de trente.

2. APRÈS LA RÉFORME. Les réformateurs en parlant de sanctification souligne l’antithèse du péché et de la rédemption plutôt que de la nature et de supernature. Ils ont fait une nette distinction entre la justification et la sanctification, en ce qui concerne le premier comme étant un acte juridique de la grâce divine, affectant le statut judiciaire de l’homme et le second, comme une œuvre morale ou ré-créatif, changeant la nature intérieure de l’homme. Mais alors qu’ils ont fait une distinction minutieuse entre les deux, ils ont également souligné leur lien indissoluble. Alors qu’il est profondément convaincu que l’homme est justifié par la foi seule, ils ont aussi compris que la foi qui justifie n’est pas seule. Justification est immédiatement suivie de sanctification, étant donné que Dieu envoie l’esprit de son fils dans le cœur des siens dès qu’elles sont justifiées, et cet esprit est l’esprit de sanctification. Ils ne considéraient pas la grâce de la sanctification comme une essence surnaturelle infusé chez l’homme par les sacrements, mais comme une œuvre surnaturelle et gracieuse de l’Esprit Saint, principalement par la parole et, secondairement, par les sacrements, par lequel il nous livre plus en plus de la puissance du péché et nous permet de faire de bonnes œuvres. Mais en aucun cas de confusion justification et sanctification, ils sentaient la nécessité de préserver le lien le plus étroit possible entre le premier, dans lequel la grâce libre et de pardonne de Dieu est fortement soulignée, et le second, qui appelle à la coopération de l’homme, afin d’éviter le danger du travail-justice. Piétisme et le méthodisme l’accent a été placé sur constante communion avec Christ comme le grand moyen de sanctification. En exaltant la sanctification au détriment de la justification, ils ne pas toujours éviter le danger d’autosatisfaction. Wesley ne distinguait pas simplement la justification et la sanctification, mais pratiquement séparait et parle de sanctification totale comme un deuxième Don de la grâce, la première, de la justification par la foi, après une période plus courte ou plus longue. Alors qu’il a également parlé de la sanctification en tant que processus, il a néanmoins statué que le croyant doit prier et chercher la sanctification complète à la fois par un acte séparé de Dieu. Sous l’influence du rationalisme et le moralisme de Kant sanctification a cessé d’être considéré comme une œuvre surnaturelle du Saint-Esprit dans le renouvellement des pécheurs et a été ramenée au niveau d’une simple morale amélioration par les pouvoirs naturels de l’homme. Pour Schleiermacher, c’était simplement la domination progressive de la conscience de Dieu en nous au fil de la conscience mondiale simplement sensible et jamais moralement défectueuse. Et pour Ritschl, c’était la perfection morale de la vie chrétienne à laquelle nous atteindre en remplissant notre vocation en tant que membres du Royaume de Dieu. Dans une grande partie de la théologie libérale moderne sanctification consiste uniquement en la rédemption croissante de soi inférieur de l’homme par la domination de son supérieur soi-même. Rachat par personnage est l’un des slogans de nos jours, et le terme « sanctification » est venu de se présenter aux simple amélioration morale.

C. L’IDÉE BIBLIQUE DE SANCTIFICATION ET DE SAINTETÉ.

1. DANS L’ANCIEN TESTAMENT. Dans l’écriture, la qualité de la sainteté s’applique d’abord à Dieu, et tel qu’appliqué à lui son idée fondamentale est celle d’unapproachableness. Et ce unapproachableness repose sur le fait que Dieu est divine et par conséquent tout à fait distincte de la créature. Sainteté, en ce sens n’est pas simplement un attribut d’être coordonnée avec les autres en Dieu. C’est plutôt quelque chose qui est prévisible de tout ce qui se trouve en Dieu. Il est sacré dans sa grâce, ainsi que dans sa justice, dans son amour aussi bien que dans sa colère. À proprement parler, la sainteté devient un attribut seulement dans le sens éthique ultérieur du mot. Le sens éthique du terme développé à partir de Majesté-sens. Ce développement commence par l’idée qu’un être pécheresse est plus vivement conscient de la majesté de Dieu, que d’un être sans péché. Le pécheur se rend compte de son impureté comme vis-à-vis la pureté majestueuse de Dieu, cf. Ésaïe 6. Otto parle de sainteté dans le sens original comme le numenous et se propose d’appeler la réaction caractéristique « créature-sentiment, ou créature-conscience, » une disvaluation de soi dans le néant, alors qu’il parle de la réaction à la sainteté dans la dérivée sens éthique comme un « sentiment d’absolue profaneness. » Donc l’idée de la sainteté comme pureté majestueuse ou sublimité éthique a été élaborée. Cette pureté est un principe actif en Dieu, qui doit se défendre et défendre son honneur. Ceci explique le fait que sainteté est représentée dans l’écriture aussi comme la lumière de la gloire divine, transformée en un incendie dévorante. Ésaïe 05:24; 10:17; 33: 14, 15. vis-à-vis de la sainteté de Dieu l’homme se sent être, non seulement insignifiante, mais positivement impure et pécheresse et comme un tel objet de la colère de Dieu. Dieu a révélé sa sainteté dans l’ancien Testament de diverses manières. Il l’a fait dans les arrêts terribles sur les ennemis d’Israël, Exode 15:11, 12. Il l’a fait aussi en séparant, à lui-même, un peuple, qu’il a prises hors du monde, Exode 19:4-6; Ézéchiel 20:39-44. En prenant ce peuple hors du monde impur et impie, il protesta contre ce monde et de son péché. Par ailleurs, il l’a fait à plusieurs reprises en épargnant son peuple infidèle, parce qu’il ne voulait pas le monde impie pour se réjouir de ce qu’il pourrait envisager l’échec de son travail, Osée 11:9.

Dans un sens dérivé, l’idée de la sainteté est également appliquée aux choses et aux personnes qui sont placés dans une relation particulière avec Dieu. Le pays de Canaan, la ville de Jérusalem, le Mont du temple, le tabernacle et temple, les Sabbats et les fêtes solennelles d’Israël, — ils sont tous appelés saints, puisqu’ils sont consacrés à Dieu et sont placés dans l’éclat de sa sainteté majestueuse. De même, les prophètes, les prêtres et les Lévites sont appelés saints comme des personnes qui ont été mis de côté pour le service spécial du Seigneur. Israël avait ses lieux sacrés, ses saisons sacrées, ses rites sacrés et ses personnes sacrées. Ce n’est pas encore l’idée d’éthique de la sainteté, cependant. Un pourrait être une personne sacrée et être encore entièrement dépourvue de la grâce de Dieu dans son cœur. Dans l’ancienne dispensation, ainsi que dans les résultats de sainteté nouvelle, éthique de la renouveler et sanctifiant l’influence de l’Esprit Saint. Nous rappelons, toutefois, que, même là où la conception de la sainteté est complètement spiritualisée, c’est toujours expressif d’une relation. L’idée de la sainteté n’est jamais celui de la bonté morale, considérée en elle-même, mais toujours que de la bonté éthique par rapport à Dieu.

2. DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. En passant de l’ancien Testament sur le nouveau, nous prenons conscience d’une différence frappante. Alors que dans l’ancien Testament, il n’y a pas un seul attribut de Dieu qui se démarque avec quelque chose comme la même importance que sa sainteté, dans le Nouveau Testament sainteté est rarement attribuée à Dieu. Sauf dans quelques citations de l’ancien Testament, c’est fait uniquement dans les écrits de Jean, Jean 17:11; J’ai John 02:20; 06:10. Selon toute probabilité l’explication à cela réside dans le fait que, dans la sainteté du Nouveau Testament, se trouve de suite comme la caractéristique particulière de l’esprit de Dieu, par qui les croyants sont sanctifiés, sont qualifiés pour le service et sont amenés à leur destinée éternelle, II Thess. 02:13; Tite 3:5. Le mot hagios est utilisé dans le cadre de l’esprit de Dieu, presque une centaine de fois. La conception de la sainteté et la sanctification, cependant, aucun autre dans le Nouveau Testament est que c’est dans l’ancien. Dans l’ancien aussi bien que dans la sainteté de ce dernier est attribué à l’homme dans un sens dérivé. Dans celui ainsi que dans l’autre sainteté éthique n’est pas simple rectitude morale, et la sanctification n’est jamais simple amélioration morale. Ces deux sont souvent confondus à l’heure actuelle, quand les gens parlent du Salut par le caractère. Un homme peut se vanter d’une grande amélioration morale et pourtant être un étranger total à la sanctification. La Bible ne pas exhorter amélioration morale pure et simple, mais l’amélioration morale par rapport à Dieu, par l’amour de Dieu et en vue du service de Dieu. Il insiste sur la sanctification. À ce point beaucoup prêchant éthique de nos jours est tout à fait trompeuse; et correctives pour cela réside dans la présentation de la vraie doctrine de la sanctification. Sanctification peut être définie comme ce fonctionnement continu et gracieux de l’Esprit Saint, par qui il délivre le pécheur justifié de la pollution du péché, renouvelle sa nature entière à l’image de Dieu, et lui permet de accomplir de bonnes œuvres.

D. LA NATURE DE LA SANCTIFICATION.

1. C’EST UNE ŒUVRE SURNATURELLE DE DIEU. Certains ont l’idée erronée que la sanctification consiste simplement dans le dessin hors de la nouvelle vie, implanté dans l’âme par la régénération, de manière convaincante, en présentant des motifs à la volonté. Mais ce n’est pas vrai. Il se compose fondamentalement et principalement lors d’une opération divine dans l’âme, selon lequel la disposition Sainte née à régénération est renforcée et ses saints exercices sont augmentés. C’est essentiellement un travail de Dieu, bien que dans la mesure où il emploie des moyens, l’homme peut et devrait coopérer par l’utilisation appropriée de ces moyens. L’écriture montre clairement le caractère surnaturel de la sanctification de plusieurs façons. Il la décrit comme une œuvre de Dieu, j’ai th. 05:23; Hébreux 13:20, 21, tel qu’un fruit de l’union de la vie avec Jésus Christ, Jean 15:4; GAL 02:20; 04:19, comme une œuvre qui est forgé chez l’homme de l’intérieur et qui pour cette raison ne peut pas être une œuvre de l’homme, Éphésiens 03:16; 01:11 et parle de sa manifestation en vertus chrétiennes comme le œuvre de l’esprit, gal 05:22. Il ne doit jamais être représenté comme un processus purement naturel dans le développement spirituel de l’homme, ni ramené au niveau de la réalisation une simple humaine, comme cela se fait dans une grande partie de la théologie libérale moderne.

2. IL SE COMPOSE DE DEUX PARTIES. Les deux parties de la sanctification sont représentés dans l’écriture comme:

a. la mortification du vieil homme, le corps du péché. Ce terme biblique désigne cette acte de Dieu, par lequel la pollution et la corruption de la nature humaine qui résulte du péché est progressivement supprimé. Il est souvent représenté dans la Bible comme le crucifiant du vieil homme et est donc liée à la mort du Christ sur la Croix. Le vieil homme est la nature humaine dans la mesure où elle est contrôlée par le péché, Romains 6:6; GAL 05:24. Dans le contexte du passage des Galates Paul met en contraste les œuvres de la chair et les œuvres de l’esprit et dit alors: « et ceux qui sont du Christ Jésus ont crucifié la chair avec les passions et ses convoitises. » Cela signifie que, dans leur cas, l’esprit a gagné prédominance.

b. l’accélération de l’homme nouveau, créés en Jésus-Christ pour de bonnes œuvres. Tandis que la partie ancienne de la sanctification est négative dans le caractère, c’est positif. C’est que la Loi de Dieu par lequel la disposition sacrée de l’âme est renforcés, Saints exercices sont augmentés, et ainsi un nouveau cours de vie engendrées et promu. L’ancienne structure du péché est progressivement démolie et une nouvelle structure de Dieu est élevée à sa place. Ces deux parties de la sanctification ne sont pas successives, mais contemporains. Dieu Merci, la construction progressive du nouveau bâtiment ne doivent pas attendre jusqu'à ce que le vieux est complètement démoli. Si il devait attendre pour cela, elle ne peut jamais commencer dans cette vie. Avec la dissolution progressive de l’ancien, le nouveau fait son apparition. C’est comme la diffusion d’une maison remplie d’odeurs pestiférés. Comme l’air vieux est étiré, le nouveau "rushes" dans. Ce côté positif de la sanctification est souvent appelé « un être déclenché avec Christ, » Romains 6:4, 5; 02:12; 3:1, 2. la nouvelle vie qu’elle mène est appelé « une vie pour Dieu, » Rom. 06:11; GAL 02:19.

3. ELLE AFFECTE TOUT L’HOMME: CORPS ET ÂME; INTELLIGENCE, AFFECTIONS ET VOLONTÉ. Cela découle de la nature de l’affaire, parce que la sanctification se déroule dans la vie intérieure de l’homme, dans le coeur, et cela ne peut être modifié sans en changer l’ensemble de l’organisme de l’homme. Si l’homme intérieur est modifié, il est forcément à changer aussi dans la périphérie de la vie. Par ailleurs, l’écriture clairement et explicitement enseigne qu’il affecte le corps et l’âme, j’ai th. 05:23; II Corinthiens 05:17; ROM. 06:12; I Corinthiens 06:15, 20. Le corps est livré en considération ici comme l’organe ou l’instrument de l’âme pécheresse, à travers lequel les inclinaisons pécheresses et les habitudes et les passions s’expriment. La sanctification du corps a lieu surtout dans la crise de la mort et la résurrection des morts. Enfin, il ressort également de l’écriture que la sanctification affecte tous les pouvoirs ou les facultés de l’âme: la compréhension, Jérémie 31: 34; John 06:45; — la volonté, Ézéchiel 36: 25-27; Phil. 02:13; — les passions, gal 05:24; — et la conscience, Tite 01:15; Héb. 09:14.

4. C’EST UNE ŒUVRE DE DIEU DANS LAQUELLE LES CROYANTS COOPÈRENT. Quand on dit que l’homme prend part aux travaux de la sanctification, cela ne signifie pas que l’homme est un agent indépendant au travail, afin de la rendre en partie le œuvre de Dieu et en partie le travail de l’homme; mais simplement, que Dieu les effets du travail en partie par l’intermédiaire de l’homme comme un être rationnel, en exigeant de lui une coopération priante et intelligente avec l’esprit. Que l’homme doit collaborer avec l’esprit de Dieu suit: (a) des avertissements répétés contre les maux et les tentations, qui impliquent clairement que l’homme doit être actif en évitant les écueils de la vie, Romains 12:9, 16, 17; I Corinthiens 6:9, 10; GAL 05:16-23; et (b) des constantes exhortations à une vie sainte. Elles impliquent que le croyant doit faire preuve de diligent dans l’emploi des moyens à ses ordres pour l’amélioration morale et spirituelle de sa vie, Michée 6:8; Jean 15:2, 8, 16; ROM. 08:12, 13; 12:1, 2, 17; Galates 6:7, 8, 15.

E. LES CARACTÉRISTIQUES DE LA SANCTIFICATION.

1. tel qu’il appert de la précédant, la sanctification est une œuvre que dont Dieu et non l’homme est l’auteur. Seuls les partisans de la soi-disant volonté peuvent prétendre que c’est un travail de l’homme. Néanmoins, elle diffère de la régénération chez l’homme peut et est en devoir de, recherchent de plus en plus sanctification en utilisant les moyens que Dieu a mises à sa disposition. C’est clairement enseigné dans l’écriture, II Cor. 7:1; Colossiens 3:5-14; J’ai PET. 01:22. Compatibles Antinomiens perdent de vue cette vérité importante et ne ressentent aucun besoin d’évitant soigneusement le péché, car cela affecte seulement le vieil homme qui est condamné à mort et pas l’homme nouveau qui est sacré avec la sainteté du Christ.

2. la sanctification se déroule en partie dans la vie subconsciente et comme tel est une opération immédiate du Saint-Esprit; mais aussi en partie dans la vie consciente et puis dépend de l’utilisation de certains moyens, tels que l’exercice constant de la foi, l’étude de la parole de Dieu, la prière et liaison avec les autres croyants.

3. la sanctification est habituellement un processus de longue haleine et n’atteint jamais la perfection dans cette vie. Dans le même temps, il peut y avoir des cas où il est terminé dans un temps très court ou même dans un instant, comme, par exemple, dans le cas où la régénération et la conversion sont immédiatement suivies de mort temporelle. Si nous pouvons aller de l’avant sur l’hypothèse que la sanctification du croyant est parfaite immédiatement après la mort — et l’écriture semble enseigner ce que l’âme est concerné —, alors dans ce cas, la sanctification de l’âme doit être remplie presque à la fois.

4. la sanctification du croyant, il semblerait, à compléter soit au moment du décès, ou immédiatement après la mort, pour autant que l’âme est concerné, et à la résurrection dans la mesure où elle concerne le corps. Cela semble découler du fait que, d’une part, la Bible enseigne que dans la vie présente ne peut prétendre à la liberté du péché, je rois 08:46; Prov. 20:9; ROM. 03:10, 12; Jac. 3:2; I Jean 1:8; et que, d’autre part, ceux qui les ont précédés sont entièrement sanctifiés. Il parle d’eux comme « les esprits des hommes justes rendus parfaits, » Hébreux 12:23 et en tant que « sans tache, » Apoc. 14:5. En outre, on nous dit que dans la cité céleste de Dieu il n’entreront « quelque chose d’impur ou celui qui fait une abomination et mensonge, » 21:27; et que Christ lors de sa venue sera « fashion nouveau le corps de notre humiliation, qu’il peut être semblables au corps de sa gloire, » Phil. 03:21.

F. L’AUTEUR ET LES MOYENS DE SANCTIFICATION.

Sanctification est une œuvre du Dieu triune, mais on attribue plus particulièrement à l’Esprit Saint dans l’écriture, Rom. 08:11; 15:16; I Pierre 1:2. Il est particulièrement important de nos jours, qui met l’accent sur la nécessité d’aborder l’étude de la théologie anthropologique et son recto appeler au service dans le Royaume de Dieu, à insister sur le fait que Dieu et non l’homme, est l’auteur de la sanctification. Compte tenu notamment de l’activisme, c’est une caractéristique de la vie religieuse américaine, et qui glorifie le travail de l’homme, plutôt que la grâce de Dieu, il est nécessaire d’insister sur le fait plus et plus encore que la sanctification est le fruit de la justification , que le premier est tout simplement impossible sans que ce dernier, et que les deux sont le fruit de la grâce de Dieu en la rédemption des pécheurs. Bien que l’homme a le privilège de collaborer avec l’esprit de Dieu, il pourra le faire seulement en vertu de la force qui donne l’esprit à lui de jour en jour. Le développement spirituel de l’homme n’est pas une réussite humaine, mais une œuvre de la grâce divine. L’homme mérite pas de crédit que ce soit pour ce qu’il y contribue instrumentalement. Dans la mesure où sanctification prend place dans la vie subconsciente, il est effectué par l’exploitation immédiate du Saint-Esprit. Mais comme le œuvre dans la vie consciente des croyants, il est forgé par plusieurs moyens, qui emploie de l’Esprit Saint.

1. LA PAROLE DE DIEU. S’opposant à l’Eglise de Rome, il doit être maintenu que le principal moyen utilisé par l’Esprit Saint est la parole de Dieu. La vérité en soi n’a certainement aucune efficacité adéquate pour sanctifier le croyant, mais il est naturellement adapté pour être les moyens de sanctification par l’Esprit Saint. L’écriture présente toutes les conditions objectives pour Saints exercices et actes. Il sert à exciter l’activité spirituelle en présentant des motifs et des incitations et donne sens à elle par des interdictions, des exhortations et des exemples, j’ai PET. 01:22; 2:2; II Pierre 1:4.

2. LES SACREMENTS. Voici le moyen par excellence d’après l’église de Rome. Protestants considèrent comme subordonné à la parole de Dieu et parfois même parlent d’eux comme la « parole visible ». Ils symbolisent et sceller nous les vérités mêmes qui sont expriment verbalement dans la parole de Dieu et peuvent être considérées comme un mot a agi, contenant une représentation vivante de la vérité, que le Saint-Esprit donne l’occasion d’exercices de Saintes. Ils ne sont pas subordonnés à la parole de Dieu, mais ne peut pas exister sans elle et sont donc toujours accompagnés par lui, Romains 6:3; I Corinthiens 12:13; Tite 3:5; I p, 03:21.

3. LA DIRECTION PROVIDENTIELLE. Providences de Dieu, tant favorables que défavorables, sont souvent de puissants moyens de sanctification. Dans le cadre de l’opération du Saint-Esprit par la parole, ils travaillent sur nos affections naturelles et donc fréquemment approfondir l’impression de la vérité religieuse et forcez-la à la maison. Il faut avoir à l’esprit que la lumière de la révélation de Dieu est nécessaire pour l’interprétation des lignes directrices de sa providentielles, PS. 119:71; Romains 2:4; Hébreux 12:10.

G. RELATION DE SANCTIFICATION AUX AUTRES STADES DE L’ORDO SALUTIS.

Il est d’une importance considérable pour avoir une conception correcte de la relation entre la sanctification et certains des autres stades dans le œuvre de rédemption.

1. À LA RÉGÉNÉRATION. Il y a tant de différence et de similarité ici. La régénération est remplie à la fois, pour un homme ne peut être plus ou moins régénéré; Il est soit mort ou vivant spirituellement. Sanctification est un processus, provoquant des changements graduels, afin que les différentes catégories peuvent être distinguées dans la sainteté qui en résulte. Donc nous sommes exhortés à la sainteté parfaite dans la crainte du Seigneur, II Cor. 7:1. Le Catéchisme de Heidelberg suppose également qu’il existe des degrés de sainteté, quand il dit que même « les plus saints hommes, en cette vie, ont seulement un petit début de cette obéissance. » [Q. 114.] Dans le même temps, la régénération est le début de la sanctification. Les travaux de renouvellement, commencé dans la première, se poursuit dans le second, Phil. 1:6. Strong déclare: « Il (sanctification) se distingue de régénération comme la croissance de la naissance, ou le renforcement d’une aliénation de Sainte de l’original interesant de celui-ci. » [Théol. syst., p. 871.]

2. À LA JUSTIFICATION. Justification précède et est fondamentale à la sanctification dans l’Alliance de la grâce. Dans l’Alliance des œuvres, l’ordre de la justice et la sainteté était juste l’inverse. Adam a été créé avec une disposition Sainte et l’inclinaison pour servir Dieu, mais sur la base de cette sainteté qu’il devait travailler sur la justice qui lui donnerait droit à la vie éternelle. La justification est la base judiciaire de sanctification. Dieu a le droit d’exiger de nous la sainteté de la vie, mais parce que nous ne pouvons pas travailler sur cette sainteté pour nous-mêmes, il librement travaille elle en nous par l’Esprit Saint sur la base de la justice de Jésus-Christ, qui est imputable à nous dans la justification. Le fait qu’elle est fondée sur la justification, dans lequel la libre grâce de Dieu se distingue avec la plus grande proéminence, exclut l’idée que nous pouvons mériter jamais quoi que ce soit dans la sanctification. L’idée de catholique que justification permet à l’homme interpréter des oeuvres méritoires est contraire à l’écriture. Justification comme tel, n’effect pas un changement dans notre être intérieur et a donc besoin de sanctification, comme son complément. Il ne suffit pas que le pécheur se dresse juste devant Dieu; il doit également être Saint dans sa vie intime. Barth a une représentation plutôt inhabituelle de la relation entre la justification et la sanctification. Afin de contrer toute autosatisfaction, il insiste là-dessus que les deux toujours être examinée conjointement. Ils vont de pair et il n’est pas quantitativement, comme si l’un puis l’autre. Justification n'est pas une station dont l’un passe, un fait accompli sur la base desquels on procède ensuite à l’autoroute de sanctification. Il n’est pas un fait dûment rempli, auquel on peut regarder en arrière avec une certaine assurance, mais il se produit toujours à nouveau chaque fois que l’homme a atteint le point de désespoir complet et puis va de pair avec la sanctification. Et tout comme l’homme reste un pécheur même après justification, donc il reste aussi un pécheur en sanctification, même ses meilleures actes continuent d’être des péchés. Sanctification ne pas engendrer une disposition Sainte et ne pas progressivement purifier l’homme. Il ne lui mette en possession de toute sainteté personnelle, ne lui fait pas un saint, mais lui laisse un pécheur. Il devient vraiment un acte déclaratif comme justification. McConnachie, qui est un interprète très sympathique de Barth, dit: « Justification et sanctification doivent, par conséquent, Barth, deux faces d’un acte de Dieu aux hommes. La justification est le pardon du pécheur (justificatio impii), par lequel Dieu déclare les justes de pécheur. Sanctification est la sanctification du pécheur (sanctificatio impii), par lequel Dieu déclare le pécheur « Saint ». » Aussi louable le désir de Barth, de détruire tout vestige de travail-justice, il va certainement à l’extrême injustifiée, dans lequel il pratiquement confond la justification et la sanctification, négatifs de la vie chrétienne et écarte la possibilité de assurance de la confiance.

3. À LA FOI. La foi est que le médiat ou instrumentales causent de sanctification aussi bien à partir de justification. Il ne mérite pas plus que cela, justification, mais il nous unit au Christ et nous garde en contact avec lui à la tête de la nouvelle humanité, qui est la source de la nouvelle vie en nous et aussi de notre sanctification progressive de sanctification , par le biais de l’opération du Saint-Esprit. La conscience du fait que sanctification repose sur la justification et est impossible sur tout autre fondement, et que l’exercice constant de la foi est nécessaire, afin d’avancer dans la voie de sainteté, nous offre une protection contre toute autosatisfaction dans notre s’efforçant d’avancer dans la piété et la sainteté de la vie. Il mérite une attention particulière que, alors que même la plus faible foi médie une justification parfaite, le degré de sanctification est proportionnels à la force du chrétien de foi et la persistance avec laquelle il appréhende le Christ.

H. LE CARACTÈRE IMPARFAIT DE LA SANCTIFICATION DANS CETTE VIE.

1. L’IMPARFAIT DANS UNE MESURE DE SANCTIFICATION. Quand on parle de sanctification comme étant imparfait dans cette vie, nous ne veux pas dire qu’il est imparfait dans certaines régions, comme si une partie seulement du Saint homme qui provient de régénération ont été touchée. C’est l’ensemble, mais l’homme nouveau sous-exploités, qui doit se transformer en pleine stature. Un nouveau-né est, sauf exceptions, parfait dans certaines régions, mais pas au crible dans le degré de développement auquel il est destiné. Tellement l’homme nouveau est parfait dans les pièces, mais reste dans la vie présente l’imparfait dans le degré de développement spirituel. Croyants doivent composer avec le péché tant qu’ils vivent, qu'i rois 08:46; Prov. 20:9; Eccl. 07:20; Jac. 3:2; I Jean 1:8.

2. DÉNI DE CETTE IMPERFECTION PAR LES PERFECTIONNISTES.

a. la doctrine du perfectionnisme. Prenant la parole en général, cette doctrine est à l’effet que la perfection religieuse est réalisable dans la vie présente. Il est enseigné sous diverses formes par les pélagiens, catholiques ou Semi-pélagiens, arminiens, wesleyenne, ces sectes mystiques comme les Labadists, les quiétistes, les Quakers et d’autres, certains des théologiens Oberlin, tels que Ritschl Mahan et Finney. Ces que tous sont d’accord pour le maintien qu’il est possible pour les croyants dans cette vie d’atteindre un État dans lequel ils sont conformes aux exigences de la loi en vertu de laquelle ils vivent, ou en vertu de cette loi il a été adapté à leurs besoins et en mesure actuelle et, par conséquent, être exempt de péché. Ils diffèrent, cependant: (1) dans leur vision du péché, les pélagiens, à la différence de tout le reste, refusant la corruption inhérente de l’homme. Ils sont tous d’accord, cependant, en externalisant le péché. (2) dans leur conception du droit qui croyants sont désormais obligés remplir, les arminiens, y compris le wesleyenne, différent de tout le reste en jugeant que ce n’est pas la loi morale originelle, mais les exigences de l’Évangile ou la nouvelle loi de la foi et évangélique obéissance. Les catholiques romains et les théologiens Oberlin maintiennent que c’est la loi originelle, mais admettre que les exigences de la présente loi sont ajustées aux pouvoirs détériorée de l’homme et à sa capacité actuelle. Et Ritschl rejette l’idée que l’homme est soumis à une loi imposée de l’extérieur. Il défend l’autonomie de conduite morale et que nous sommes sous aucune loi, mais comme est évolué à partir de notre propre disposition morale dans le cadre des activités pour l’accomplissement de notre vocation. (3) dans leur idée de dépendance à l’égard du pécheur sur la renouvellement grâce de Dieu pour la capacité d’accomplir la Loi. Tous, sauf les pélagiens, admettent qu’il est en quelque sorte tributaire de la grâce divine, en vue de la réalisation de la perfection.

Il est très important que toutes les principales théories perfectionniste (à la seule exception de la pélagienne, qui nie la corruption inhérente de l’homme) jugent nécessaire d’abaisser la norme de la perfection et ne pas tenir responsable de beaucoup de choses qui est sans aucun doute exigée par la loi morale originelle. Et c’est tout aussi important qu’ils sentent la nécessité d’extériorisation de l’idée du péché, lorsqu’ils affirment que répréhensibles seulement conscient peut être donc considéré et refuser de reconnaître comme péché beaucoup qui est représenté en tant que tel dans l’écriture.

b. des preuves scripturaires produites pour la doctrine du perfectionnisme.

(1) la Bible commandes croyants d’être Saint et même d’être parfait, j’ai PET. 01:16; Matthieu 05:48; Jac. 1:4 et les exhorte à suivre l’exemple du Christ qui n’a pas de péché, I Pierre 2:21 f. Ces commandes ne seraient pas raisonnable, s’il n’était pas possible d’atteindre la perfection sans péché. Mais la demande scripturaire d’être Saint et parfait vaut pour le régénéré, ainsi que pour le régénérer, depuis la Loi de Dieu sainteté de demandes dès le départ et n’a jamais été révoquée. Si la commande indique qu’ils ont à qui il s’agit peuvent vivre jusqu'à l’exigence, cela doit être vrai pour tous les hommes. Cependant, seulement ceux qui enseignent de perfectionnisme dans le sens de pélagienne peuvent tenir ce point de vue. La mesure de notre capacité ne peut être déduite les commandements bibliques.

(2) la sainteté et la perfection sont souvent attribuées aux croyants dans l’écriture, la chanson de sol 4:7; I Corinthiens 2:6; II Corinthiens 05:17; Eph. 05:27; Héb. 05:14; Phil. 04:13; 02:10. Quand la Bible parle des croyants comme Saint et parfait, cependant, cela ne signifie pas nécessairement qu’ils sont sans péché, puisque les deux termes sont souvent utilisés dans un sens différent, non seulement dans le langage courant, mais aussi dans la Bible. Personnes, mis de côté pour le service spécial de Dieu sont appelés saints dans la Bible, indépendamment de leur état moral et de la vie. Croyants peuvent être et sont appelés saints, parce qu’elles sont objectivement Saints dans le Christ, soit parce qu’ils sont en principe subjectivement sanctifié par l’esprit de Dieu. Paul dans ses épîtres répond invariablement ses lecteurs comme des saints, qui est « Saints » et procède ensuite à plusieurs reprises de les prendre à partie pour leurs péchés. Quand les croyants sont décrits comme parfait, ce qui signifie parfois simplement qu’ils sont gros, j’ai Cor. 2:6; Héb. 05:14 et dans d’autres qu’ils sont entièrement équipés à leur tâche, II Tim. 03:17. Tout cela ne donne certes pas visage à la théorie du péché moins perfection.

(3) il y a, il est dit, bibliques exemples des saints qui a dirigé la vie parfaite, comme Noé, emploi et Asa, Genèse 6:9; Job 1:1; Iier Rois 15:14. Mais, certainement, des exemples comme ceux-ci ne prouvent pas le point pour la simple raison qu’ils ne sont aucuns exemples de la perfection sans péché. Même les plus notables saints de la Bible sont représentés comme des hommes qui ont leurs défauts et qui ont péché, dans certains cas très grièvement. Cela est vrai de Noé, Moïse, Job, Abraham et tous les autres. Il est vrai que cela ne prouve pas nécessairement que leur vie est resté pécheur, tant ils ont vécu sur terre, mais il est frappant de constater que nous ne sommes pas introduit d’un seul qui était sans péché. La question de Salomon est encore pertinente: « qui peut dire, j’ai fait mon coeur pur, je suis pur de mon péché ? » Prov. 20:9. En outre, Jean dit: « si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est pas en nous, » I Jean 1:8.

(4) l’apôtre Jean déclare explicitement que ceux qui sont nés de Dieu ne péchez pas, I Jean 3:6, 8, 9; 5:18. mais quand John dit que ceux qui sont nés de Dieu ne péchaient pas, il est contrastant les deux Etats, représentés par l’ancien et le nouvel homme, quant à leur nature essentielle et le principe. Une des caractéristiques essentielles de l’homme nouveau est qu’il ne pèche pas. Compte tenu du fait que Jean utilise invariablement le présent pour exprimer l’idée que celui né de Dieu ne pèche pas, il est possible qu’il désire exprimer l’idée que l’enfant de Dieu ne fait pas consacrée pécher habituellement, tout comme le diable , I Jean 3:8. [Cf. Robertson, le ministre et son Testament grec, p. 100.] Il ne signifie certainement pas à affirmer que le croyant commet jamais un acte de péché, j’ai cf. Jean 1:8-10. En outre, le perfectionniste ne peut très bien utiliser ces passages pour prouver son point, car ils seraient avérerait trop pour son dessein. Il ne fait pas "BOLD" de dire que tous les croyants sont en fait sans péché, mais seulement qu’ils peuvent atteindre un état de perfection sans péché. Les passages johanniques, cependant, seraient avérerait, selon son interprétation, que tous les croyants sont sans péché. Et de plus, qu’ils s’avérerait également que croyants ne tombent jamais de l’état de grâce (car c’est pécher); et pourtant les perfectionnistes sont ceux-là qui croient que les chrétiens même parfaits peuvent tomber.

c. les Objections à la théorie du perfectionnisme.

(1) à la lumière de l’écriture, la doctrine du perfectionnisme est absolument intenable. La Bible nous donne l’assurance explicite et très précis, qu’il n’y a personne sur terre qui ne pèche pas, I rois 08:46; Prov. 20:9; Eccl. 07:20; ROM. 03:10; Jac. 3:2; I Jean 1:8. Au vu de ces déclarations claires de l’écriture, il est difficile de voir comment tous ceux qui prétendent croire à la Bible comme la parole infaillible de Dieu peut contenir, qu’il est possible pour les croyants à mener une vie sans péché, et que certains réussissent effectivement à éviter tout péché.

(2) conformément à l’écriture, il y a une guerre constante entre la chair et l’esprit dans la vie des enfants de Dieu, et même les meilleurs d'entre eux sont efforcent toujours de la perfection. Paul donne une description très frappante de cette lutte dans Romains 7:7-26, un passage qui certainement se réfère à lui dans son état régénérer. Dans Galates 05:16-24, qu'il parle de cette lutte même comme une lutte qui caractérise tous les enfants de Dieu. Et dans Phil. 03:10-14, il parle de lui-même, pratiquement à la fin de sa carrière, comme celui qui n’a pas encore atteint la perfection, mais est en appuyant sur l’objectif.

(3) la confession du péché et de la prière pour le pardon doivent continuellement. Jésus a enseigné ses disciples sans exception à prier pour le pardon des péchés et pour la délivrance de tentation et de la mal one, Matthieu 06:12, 13. Et Jean dit: « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité, » I Jean 1:9. En outre, les saints de la Bible sont constamment représentés comme confessant leurs péchés, Job 9:3, 20; PS. 32: 5; 130:3; 143:2; Prov. 20:9; Ésaïe 64: 6; Dan. 09:16; ROM. 07:14.

(4) les perfectionnistes jugent nécessaire d’abaisser la norme de la Loi et d’extérioriser l’idée du péché, afin de maintenir leur théorie. En outre, certains d'entre eux ont modifiée à plusieurs reprises l’idéal auquel, selon leurs estimations, croyants peuvent atteindre. Dans un premier temps, l’idéal était « libre de tout péché »; Ensuite, « la liberté de tout péché conscient, » prochain, « entière consécration à Dieu, » et, enfin, « l’assurance chrétienne ». C’est en soi une condamnation suffisante de leur théorie. Naturellement, nous ne nions pas que le chrétien peut atteindre à l’assurance de la foi.

I. SANCTIFICATION ET BONNES ŒUVRES.

Sanctification et les bonnes œuvres sont plus intimement liés. A l’instar de l’ancienne vie s’exprime dans les œuvres du mal, alors la nouvelle vie, qui est originaire de régénération et est promue et renforcée dans la sanctification, naturellement se manifeste dans les bonnes œuvres. Ceux-ci peuvent être appelés les fruits de la sanctification et comme tel viennent en considération ici.

1. LA NATURE DES BONNES ŒUVRES.

a. bon fonctionne dans le sens spécifiquement théologique. Quand on parle de bonnes œuvres en relation avec la sanctification, on ne se réfèrent pas aux œuvres qui sont parfaites, cette réponse parfaitement aux exigences de la loi morale divine et qui sont de telle valeur intrinsèque quant à donnent droit à la récompense de la vie éternelle sous le conditi ons de l’Alliance des œuvres. Nous signifient, toutefois, des oeuvres qui sont fondamentalement différents dans la qualité morale de l’action de la régénéré, et qui sont l’expression d’une nature nouvelle et Sainte, comme le principe d'où il ressort. Voici les œuvres que Dieu approuve, mais récompense aussi dans un certain sens. Voici les caractéristiques des œuvres qui sont spirituellement bons: (1), ils sont les fruits d’un coeur de régénérer, car sans cela personne ne peut avoir la disposition (d’obéir à Dieu) ainsi que le motif (de glorifier Dieu) qui est nécessaire, Matthieu 12:33; 07:17, 18. (2) ils ne sont pas seulement en externe conforme à la Loi de Dieu, mais sont également faites dans consciente obéissance à la volonté révélée de Dieu, c’est parce qu’ils sont exigés par Dieu. Il ressort du principe de l’amour de Dieu et de l’envie de faire sa volonté, Deut. 6:2; J’ai Samuel 15:22; Ésaïe 01:12; 29: 13; Matthieu 15:9. (3) quelles que soient leur objectif immédiat, leur objectif final n’est pas le bien-être de l’homme, mais la gloire de Dieu, qui est le plus haut but concevable de la vie de l’homme, I Cor. 10:31; Romains 12:1; 03:17, 23.

b. bonnes œuvres dans un sens plus général. Bien que le terme « bonnes œuvres » est généralement utilisé en théologie au sens strict juste indiqué, il reste vrai que le régénéré peut également effectuer les travaux qu’on peuvent qualifier bon dans un sens superficiel du mot. Ils effectuent souvent des œuvres qui sont vers l’extérieur en conformité avec la Loi de Dieu et peuvent être appelées objectivement bon, à la différence de transgressions flagrantes de la Loi. Tel travaille en réponse à un objectif immédiat qui rencontre l’approbation de Dieu. En outre, en vertu du reste de l’image de Dieu dans l’homme naturel et de la lumière de la nature, homme peut être guidé dans sa relation à d’autres hommes par des motifs qui sont louables et en ce jour portent le sceau d’approbation de Dieu. Les bonnes œuvres, cependant, ne peut pas considérées comme fruits du cœur de l’homme corrompu. Ils trouvent leur explication que dans la commune grâce de Dieu. En outre, nous devons garder à l’esprit que, bien que ces œuvres peuvent être appelées bons dans un certain sens et sont soi-disant dans la Bible, Luc 06:33, ils sont encore essentiellement défectueux. Les actes de la régénéré sont divorcés depuis la racine spirituelle de l’amour de Dieu. Ils ne représentent aucun intérieure d’obéissance à la Loi de Dieu et aucune soumission à la volonté du souverain souverain du ciel et la terre. Ils n’ont pas de but spirituel, car ils ne sont pas effectuées dans le but de glorifier Dieu, mais ne portent que sur les relations de la vie naturelle. La qualité réelle de la Loi est, bien sûr, déterminée par la qualité de son objectif final. La capacité de la régénéré à accomplir de bonnes œuvres dans un certain sens du mot a souvent été niée. Barth va plus loin quand il va à l’extrême de nier que les croyants peuvent faire de bonnes œuvres et affirme que toutes leurs œuvres sont des péchés.

2. LE CARACTÈRE MÉRITOIRE DE BONNES ŒUVRES. Dès les premiers âges de the Christian Church, il y avait une tendance à attribuer un certain mérite de bonnes œuvres, mais la doctrine du mérite a été vraiment développée au moyen-âge. Au moment de la réforme, il a été très important dans la théologie catholique romaine et a été poussé à l’extrême ridicule dans la vie pratique. Les réformateurs rejoint à la fois question avec l’Eglise de Rome sur ce point.

a. la position de Rome sur le point en question. L’église catholique fait la distinction entre un meritum de condigno, qui représente la dignité et une valeur, et un meritum de congruo, qui est une sorte de quasi mérite, quelque chose apte à être récompensés. Le premier s’attache uniquement aux travaux effectués après la régénération aide la grâce divine et est un mérite qui intrinsèquement mérite la récompense qu’il reçoit de la main de Dieu. La dernière attachée à ces dispositions ou les œuvres dont un homme peut développer ou faire avant la régénération, en vertu de la grâce prévenante une simple, et est un mérite qui le rend congruente ou ajustés pour Dieu de récompenser l’agent en perfusant grâce dans son cœur. Étant donné que les décisions du Concile de trente sont plutôt douteuses sur ce point, il existe une incertitude, cependant, quant à la position exacte de l’église. L’idée générale semble être que la capacité d’effectuer les bonnes actions au sens strict du mot jaillit de grace infusé dans le cœur du pécheur pour l’amour de Christ; et que par la suite ces mérite des bonnes œuvres, c'est-à-dire donner homme légitimement revendiquer, Salut et la gloire. L’Eglise va encore plus loin que cela et apprend que les croyants peuvent effectuer des oeuvres de supererogation, peut faire plus que nécessaire pour leur propre salut et peut donc poser par un magasin de bonnes œuvres, qui peuvent être obtenues au profit des autres.

b. la position biblique sur ce point. L’écriture enseigne clairement que les bonnes œuvres des croyants ne sont pas méritoires au sens propre du mot. Nous devons garder à l’esprit, cependant, que le mot « mérite » est employé dans un sens double, stricte et bon et l’autre lâche. À proprement parler, une œuvre méritoire est une à laquelle, en raison de sa valeur intrinsèque et la dignité, la récompense est justement due de justice commutative. Lâchement parlant, cependant, un travail qui mérite d’approbation et de joint en quelque sorte une récompense (par promesse, accord, ou autre) est aussi parfois appelé méritoire. Ces œuvres sont louables et sont récompensés par Dieu. Mais, quoi qu’il soit, ils sont sûrement pas méritoires au sens strict du mot. Ils ont, par leur propre valeur morale intrinsèque, fais pas Dieu un débiteur à celui qui les accomplit. En stricte justice le bien des œuvres de mérite de croyants rien. Certains des passages plus concluantes de l’écriture pour prouver le point considéré sont les suivants: Luc 17:9, 10; ROM. 05:15-18; 06:23; Éphésiens 2:8-10; II Timothée 1:9; Tite 3:5. Ces passages montrent clairement que les croyants ne reçoivent pas l’héritage du Salut parce que c’est grâce à eux, en vertu de leurs bonnes œuvres, mais seulement comme un don gratuit de Dieu. Il va de soi également que ces travaux ne peut être méritoire, pour: (1) croyants doivent toute leur vie à Dieu et donc ne peut mériter quoi que ce soit en donnant à Dieu tout simplement ce qui est son dû, Luc 17:9, 10. (2) ils ne peut pas effectuer de bonnes œuvres dans leur propre force, mais seulement dans la force que Dieu leur donne de jour en jour; et compte tenu de ce fait, ils ne peuvent s’attendre au mérite de ces oeuvres, I Cor. 15:10; Phil. 02:13. (3) même les meilleures œuvres des croyants restent imparfaits dans cette vie, et toutes les bonnes œuvres représentent ensemble seulement une obéissance partielle, alors que la Loi exige l’obéissance parfaite et peut être satisfaite de rien de moins, Esaïe 64: 6; Jac. 3:2. (4) en outre, les bonnes œuvres des croyants sont sans commune mesure avec la récompense éternelle de gloire. Une obéissance temporelle et l’imparfait ne peut jamais mériter une récompense éternelle et parfaite.

3. LA NÉCESSITÉ DE BONNES ŒUVRES. Il ne peut y avoir aucun doute quant à la nécessité de bonnes œuvres bien comprise. Elles ne peuvent être considérées comme nécessaires au salut de mérite, ni comme un moyen de conserver une emprise sur le Salut, ni même comme la seule façon que de procéder à la gloire éternelle, pour enfants entrent Salut sans avoir fait les bonnes œuvres. La Bible n’enseigne pas que nul ne peut être sauvé en dehors de bonnes œuvres. En même temps des bonnes œuvres nécessairement de l’union des croyants avec le Christ. « Celui qui demeure en moi et moi en lui, le même enfantera beaucoup de fruit, » Jean 15:5. Ils sont également nécessaires tel qu’exigé par Dieu, Romains 7:4; 08:12, 13; Galates 6:2, comme les fruits de la foi, Jacques 02:14, 17, 20-22, en tant qu’expressions de gratitude, I Cor. 06:20, à l’assurance de la foi, II Pierre 1:5-10 et à la gloire de Dieu, Jean 15:8; I Corinthiens 10:31. La nécessité de bonnes œuvres doit être maintenue par les Antinomiens, qui prétendent que, puisque Christ non seulement porte le châtiment du péché, mais a également rencontré les exigences positives du droit, le croyant est exempt de l’obligation de l’observer, une erreur qui est toujours avec nous pour -jour dans certaines formes du dispensationalisme. Il s’agit d’une position complètement fausse, car c’est seulement la Loi comme un système de peine et comme un moyen de salut qui est aboli par la mort du Christ. La Loi comme la norme de notre vie morale est une transcription de la sainteté de Dieu et donc de validité permanente aussi pour le croyant, bien que son attitude envers la loi a subi un changement radical. Il a reçu l’esprit de Dieu, qui est l’esprit d’obéissance, de sorte que, sans aucune contrainte, il obéit volontiers à la Loi. Strong le résume bien, quand il dit: Christ nous libère « (1) de la Loi comme un système de malédiction et de peine; ce qu’il fait en portant la malédiction et peine lui-même...; (2) de la loi avec ses revendications comme moyen de Salut; ce qu’il fait en faisant son obéissance et nôtre mérite...; (3) de la Loi comme une contrainte extérieure et étrangère; ce qu’il fait en nous donnant l’esprit d’obéissance et de filiation, par lequel le droit est progressivement réalisé au sein de. » [Théol. syst., p. 876.]

QUESTIONS pour étude complémentaire: Comment était théocratique, liés à l’éthique, la sainteté parmi Israël ? Comment étaient les purifications rituelles liées à la sanctification ? Qui est l’objet de la sanctification, le vieillard ou la nouvelle, ou aucune des deux ? Sanctification dans cette vie affecte toutes les parties de l’homme tout aussi ? Où commence le processus de sanctification ? Tous les Chrétiens éprouvent un progrès constant dans la sanctification ? Quelle est la différence entre la sanctification et l’amélioration morale ? Le fait que la sanctification n’est jamais complète dans cette vie nécessairement conduit à la doctrine du purgatoire, ni à celle de la poursuite de sanctification après la mort ? Comment a fait concevoir Wesley « sanctification totale » ? Barth attribuent également la sainteté comme une qualité éthique pour le croyant ? La preuve de ce que l’écriture est là que le chrétien n’est pas exempt de la Loi comme règle de vie ? Protestants enseignent en général que les bonnes œuvres ne sont pas nécessaires ? Comment les catholiques romains et Protestants diffèrent quant à la nécessité de bonnes oeuvres ? Est-il sage de dire sans aucune réserve, que les bonnes œuvres sont nécessaires pour le Salut ? Si tous les chrétiens héritent la vie éternelle, dans quel sens leurs bonnes œuvres sera la norme de leur récompense ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 245-288; Kuyper, Dict. dogme., De Salute, pp. 134-157; Ibid., Het Werk van den Heiligen Geest III, pp. 1-123; Vos. Geref. Dogme. IV, pp. 211-248; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 213-258; Shedd, dogme . THEOL. II, p. 553-560; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 660-687; Strong, Syst. Theol., p. 869-881; Alexander, syst. de la Bibl. Theol. II, pp. 428-459; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., pp. 322-337; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 491-503; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 272-277; Pieper, Dogmatik Chr. III, pp. 1-106; Watson, instituts de théol. III, pp. 197-206; Curtiss, La foi Chr., pp. 373-393; Pape, Chr. Theol. III, pp. 28-99; Carle, Le salut de Chr., pp. 110-133; Impeta, De Leer der Heiliging et Volmaking bij Wesley et Fletcher; Clarke, une ébauche de Chr. Theol., pp. 409-427; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., p. 293-304; Moehler, symbolisme, pp. 157-175; Finney, Syst. Theol., pp. 402-481; Starbuck, le Psych. rel., p. 375-391; Koberle, la quête de la sainteté; Warfield, Studies in perfectionnisme (2 vol.); Newton a volé, l’idée de la Perfection dans la théologie chrétienne.

A. LA DOCTRINE DE LA PERSÉVÉRANCE DES SAINTS DANS L’HISTOIRE.

La doctrine de la persévérance des saints est à l’effet qu’ils que Dieu a régénéré et effectivement appelé à un état de grâce, peut ni totalement, ni enfin tomber loin de cet État, mais doit certainement persévérer y jusqu’au bout et être éternellement a sauvé. Cette doctrine a été tout d’abord explicitement enseignée par Augustin, bien qu’il n’était pas aussi cohérent sur ce point, comme on aurait été attendre de lui comme un predestinarian stricte. Avec lui, la doctrine n’a pas assumé la forme vient de le dire. Il a statué que les élus ne pouvaient pas tellement tomber loin quant à être enfin perdu, mais en même temps jugent possible que certains de ceux qui étaient doués avec une nouvelle vie et la véritable foi pourrait tomber en disgrâce complètement et enfin subir la damnation éternelle. L’église de Rome avec sa semi pélagianisme, y compris la doctrine du libre arbitre, a nié la doctrine de la persévérance des saints et dépende leur persévérance l’obéissance incertaine de l’homme. Les réformateurs remit cette doctrine à sa place qui lui revient. L’église luthérienne, cependant, rend incertain à nouveau en le rendant dépend de l’activité continue de l’homme de foi et en supposant que les vrais croyants peuvent tomber complètement de la grâce. C’est seulement dans les églises calvinistes que la doctrine est maintenue sous une forme dans laquelle il offre une certitude absolue. Les Canons de Dordrecht, après avoir appelé l’attention sur les nombreuses faiblesses et les échecs des enfants de Dieu, déclare: « mais Dieu, qui est riche en miséricorde, selon son dessein immuable de l’élection, ne retire pas tout à fait l’Esprit Saint de son propre peuple même dans leur chutes graves; ni souffre eux de procéder jusqu'à présent quant à perdre la grâce d’adoption et de renoncer à l’état de justification ou de commettre le péché jusqu'à la mort ou à l’encontre de l’Esprit Saint; ni il leur permet d’être totalement déserte et se plonger eux-mêmes dans la destruction éternelle. » [V, Art. 6.] les arminiens a rejeté ce point de vue et subordonné la persévérance des croyants sur leur volonté de penser et sur leurs bonnes œuvres. Arminius lui-même évité cette extrême, mais ses partisans ont fait n’a pas hésité à maintenir leur position synergique avec toutes ses conséquences. Les arminiens Wesleyan emboîté le pas comme plusieurs des sectes. Les Églises réformées ou calvinistes tenir pratiquement seuls en donnant une réponse négative à la question, si un chrétien peut complètement tomber de l’état de grâce et finalement disparaître.

B. DÉCLARATION DE LA DOCTRINE DE LA PERSÉVÉRANCE.

La doctrine de la persévérance exige la déclaration prudente, compte tenu du fait que le terme « persévérance des saints » est passible d’incompréhension. Il convient d’abord de noter que la doctrine n’est pas simplement à l’effet que les élus seront certainement enregistrées en fin de compte, bien qu’Augustine a donné cette forme, mais il apprend très concrètement que ceux qui ont été régénérés et effectivement appelés par Dieu à une État de grâce, ne peuvent jamais complètement tomber de cet État et donc ne parviennent pas à atteindre le salut éternel, bien qu’ils peuvent parfois être vaincues par le mal et tombent dans le péché. On affirme que la vie de la régénération et les habitudes qui se développent hors de lui dans la voie de sanctification ne peut jamais entièrement disparaître. En outre, nous devrions nous garder contre le malentendu que cette persévérance est considérée comme une propriété intrinsèque du croyant ou comme une activité permanente de l’homme, au moyen duquel il persévère dans la voie de Salut. Lorsque Strong parle de lui comme « le maintien volontaire, la part de chrétien, de foi et de bien faire, » et comme « le côté humain ou l’aspect de ce processus spirituel qui, vu du côté divin, nous appelons la sanctification, » — c’est certainement susceptible de créer une l’impression que persévérance dépend de l’homme. L’église réformée, cependant, ne considère pas la persévérance des saints comme étant, en premier lieu, une disposition ou une activité du croyant, bien que certainement, ils croient que l’homme coopère en elle comme il le fait dans la sanctification. Même, ils soulignent le fait que le croyant serait tomber, s’il était laissé à lui-même. Il est, à proprement parler, pas l’homme mais Dieu qui persévère. Persévérance peut être défini comme ce fonctionnement continu de l’Esprit Saint en croyant, par lequel le œuvre divine grace c’est commencé au coeur, est poursuivi et apporté jusqu'à la fin. C’est parce que Dieu abandonne jamais son travail que croyants continuent de se tenir jusqu’au bout. La persévérance est premièrement, de la part de Dieu, une persistance constant de la grâce dans le cœur des élus qui les maintient dans la foi de Christ et en Christ. De la part de l'homme elle est la conscience réelle et active d'une confiance certaine que la Sainte Présence de Christ, qui habite en ses élus, réalise en eux cette bonne œuvre de la grâce en leur faveur, sécurisant leur salut à travers toutes circonstances et toutes épreuves. La persévérance est en ce sens une extension de l'œuvre de rédemption qui assure sa continuité et maintenance jusqu'à l'apparition finale de Christ en ce monde, lorsque les élus seront transformés en son image pour participer à sa gloire éternelle. Tout dans la persévérance est de Dieu, rien n'est de l'homme. Toute la gloire est à Christ.

C. LA PREUVE POUR LA DOCTRINE DE LA PERSÉVÉRANCE.

La doctrine de la persévérance peut être prouvée par certaines déclarations de l’écriture et par conséquent d’autres doctrines.

1. RELEVÉS DE L’ÉCRITURE. Il y a quelques passages importants de l’Ecriture qui entrée en considération ici. Dans Jean 10:27-29, nous lisons: « mes brebis entendent ma voix, je les connais et elles me suivent; et je leur donne la vie éternelle; et elles ne périront jamais, et personne ne doit leur arracher ma main. Mon père, qui leur a donné à moi, est plus grand que tous; et personne n’est capable de les arracher de la main du père. » Paul dit dans Romains 11:29: « car les dons et l’appel de Dieu ne sont pas repentis de ». Cela signifie que la grâce de Dieu révélé dans sa vocation n’est jamais retirée, comme s’il s’est repenti de celui-ci. Il s’agit d’une déclaration générale, même si par la suite dans laquelle il se trouve, il se réfère à la vocation d’Israël. L’Apôtre réconforte Philippiens croyant par les mots: « Être convaincus de cette chose, que celui qui a commencé un bon travail en vous il sera parfait pour le jour de Jésus Christ, » Philippiens 1:6. Dans II Thess. 3:3 il dit: « Mais le Seigneur est fidèle, qui établit à vous et vous protéger du mal. » II Timothée 01:12 il retentit une note d’allégresse: « Car je sais celui que j’ai cru, et je suis persuadé qu’il est capable de garder ce que je me suis engagé à lui contre ce jour-là. » Et, à 04:18 de la même épître, il se glorifie dans le fait que le Seigneur lui délivrera de toute oeuvre mauvaise et lui permettra d’économiser à son royaume céleste.

2. PREUVES INFÉRENTIELLES. La doctrine de la persévérance peut également être prouvée d’une manière déductive.

a. de la doctrine de l’élection. Élection ne signifie pas simplement que certains seront favorisées avec certains privilèges externes et peut être sauvé, si ils font leur devoir, mais que ceux qui appartiennent au nombre des élus seront finalement sauvés et peuvent ne jamais en deçà Salut parfait. C’est une élection à la fin, autrement dit, pour le salut. Au travail il Dieu confère croyants avec des influences de l’Esprit Saint, quant à eux, conduire non seulement à accepter Christ, mais de persévérer jusqu'à la fin et pour être sauvé à l’extrême.

b. la doctrine de l’Alliance de la rédemption. Dans l'Alliance de la rédemption, Dieu a donné son peuple à son fils comme la récompense pour l’obéissance et la souffrance de ce dernier. Cette récompense a été fixée de toute éternité et ne restait pas subordonnée à une fidélité incertaine de l’homme. Dieu ne va pas revenir sur sa promesse, et il est donc impossible que ceux qui sont considérés comme étant dans le Christ et comme faisant partie de sa rétribution, peuvent être séparés de lui (Rom. 08:38, 39), et que ceux qui sont entrés dans l'Alliance comme une communion de vie devraient tomber ou t.

c. de l’efficacité des mérites et l’intercession du Christ. Dans son œuvre expiatoire Christ a payé le prix d’achat du pécheur pardon et acceptation. Sa justice constitue le terrain idéal pour la justification du pécheur, et il est impossible que celui qui est justifié par le versement d’un prix aussi parfait et efficace devrait encore tomber sous la condamnation. De plus, Christ intercède constante pour ceux qui sont donné lui du père, et sa prière d’intercession pour son peuple est toujours efficace, John 11:42; Héb. 07:25.

d. de l’union mystique avec le Christ. Ceux qui sont Unis au Christ par la foi deviennent participants de son esprit et donc un seul corps avec lui, rythmé par la vie de l’esprit. Ils partagent la vie du Christ, et parce qu’il vit ils vivent aussi. Il est impossible qu’ils encore devraient être retirés du corps, frustrant ainsi l’idéal divin. L’union est permanente, car il est originaire d’une cause permanente et immuable, l’amour libre et éternelle de Dieu.

e. les travaux de l’Esprit Saint dans le cœur. Dabney correctement dit: « c’est une estimation basse et indigne de la sagesse de l’Esprit Saint et de son travail au coeur, à supposer qu’il va commencer le travail maintenant et actuellement du désert; que l’étincelle de l’état civil de naissance céleste est une ignis fatuus, brûle pendant une courte saison et puis venant à expiration en obscurité totale; que la vie spirituelle communiquée dans la nouvelle naissance, est une sorte de vitalité spasmodique ou galvanique, donnant l’apparence de la vie dans l’âme des mort et puis mourir. » [Syst et trouvailles. Théol., p. 692.] Selon l’Ecriture le croyant est déjà en cette vie en possession du Salut et la vie éternelle, John 03:36; 05:24; 6:54. pouvons nous procéder sur l’hypothèse que la vie éternelle ne sera pas éternelle ?

f. de l’assurance du Salut. Il est évident par les écritures que croyants peuvent atteindre, dans cette vie, à l’assurance du Salut, Héb. 03:14; 06:11; 10:22; II Pierre 01:10. Cela semble être tout à fait hors de question, s’il était possible pour les croyants de tomber en disgrâce à tout moment. Il peut être apprécié que par ceux qui se tiennent dans la ferme conviction que Dieu va parfaire le travail qu’il a commencé.

D. LES OBJECTIONS À LA DOCTRINE DE LA PERSÉVÉRANCE.

1. ELLE EST INCOMPATIBLE AVEC LA LIBERTÉ HUMAINE. Il est dit que la doctrine de la persévérance est incompatible avec la liberté humaine. Mais cette objection n’entreprenne la fausse supposition que la véritable liberté consiste dans la liberté d’indifférence, ou la puissance de choix contraire en matière de morale et spirituelle. C’est erroné, cependant. Vraie liberté consiste exactement à l’autodétermination dans le sens de la sainteté. L’homme n’est jamais plus libre que lorsqu’il se déplace consciemment dans la direction de Dieu. Et le chrétien se tient dans cette liberté par la grâce de Dieu.

2. ELLE CONDUIT À LA PARESSE ET L’IMMORALITÉ. Il est affirmé avec certitude que la doctrine de la persévérance mène à l’indolence, la licence et l’immoralité même. Une fausse sécurité est censée résulter. Il s’agit d’une notion erronée, cependant, car, bien que la Bible nous dit que nous sommes tenus par la grâce de Dieu, elle ne favorise pas l’idée que Dieu nous garde sans la vigilance constante, diligence raisonnable et la prière de notre part. Il est difficile de voir comment une doctrine qui assure le croyant d’une persévérance dans la sainteté peut être une incitation pour le péché. Il semblerait que la certitude du succès dans la recherche active de sanctification serait la meilleure stimulation possible à l’effort de plus en plus.

3. ELLE EST CONTRAIRE À L’ÉCRITURE. La doctrine est souvent déclarée contraire à l’écriture. Les passages produites pour prouver cette affirmation peuvent être réduites à trois classes.

a. il existe des mises en garde contre l’apostasie qui semble être tout à fait déplacée, si le croyant ne pouvait pas tomber loin, Matthieu 24:12; 01:23; Hébreux 2:1; 03:14; 06:11; J’ai John 2:6. Mais ces avertissements considèrent la question entière du côté de l’homme et visent au sérieux. Ils invite l’auto-examen et jouent un rôle essentiel dans le maintien des croyants dans la voie de persévérance. Ils ne prouvent pas qu’un quelconque de ces adressée sera apostasier, mais simplement que l’utilisation de moyens est nécessaire pour les empêcher de commettre ce péché. Comparer les actes 27:22-25 avec le verset 31 pour une illustration de ce principe.

b. il y a aussi des exhortations, invitant les croyants à poursuivre dans la voie de la sanctification, qui risque d’être inutile s’il n’y a aucun doute là-dessus qu’ils continueront jusqu'à la fin. Mais celles-ci se trouvent généralement dans le cadre de tels avertissements que celles visées au point a et ont exactement la même finalité. Ils ne prouvent pas que des croyants exhortés persévérera pas, mais seulement que Dieu utilise des moyens moraux pour l’accomplissement des fins morales.

c. encore une fois, il est dit que l’écriture enregistre plusieurs cas d’apostasie réelle, j’ai Timothée 01:19, 20; II Timothée 02:17, 18; 04:10; II Pierre 2:1, 2; Voir aussi Hébreux 6:4-6. Mais ces cas ne prouvent pas la prétention qui sont vrais croyants, en possession de vrai économie de foi, de grâce, à moins qu’elle montré tout d’abord que les personnes indiquées dans ces passages avaient vraie foi en Christ et pas seulement temporelle foi, ce qui n’est pas ancrée en régénération. La Bible nous enseigne qu’il y a des personnes qui professent la foi véritable et encore ne sont pas de la foi, Romains 9-6; J’ai John 02:19; Apocalypse 3:1. John dit à certains d'entre eux, « ils sont sortis de notre part » et ajoute en guise d’explication, « mais ils n’étaient pas de nous; car s’ils avaient été d'entre nous, elles seraient restées avec nous, » I Jean 02:19.

E. LA NÉGATION DE CETTE DOCTRINE FAIT DÉPENDRE LE SALUT DE LA VOLONTÉ DE L’HOMME.

Le refus de la doctrine de la persévérance a pratiquement fait le salut de l’homme dépendant sur la volonté humaine plutôt que sur la grâce de Dieu. Cette considération, bien sûr, n’a aucun effet sur ceux qui partagent la conception pélagienne du Salut comme autosoteric — et leur nombre est grand, mais devrait certainement provoquer ceux faire une pause qui la gloire en étant sauvés par la grâce. L’idée est que, après que l’homme est amenée dans un état de grâce par l’opération du Saint-Esprit seul, ou par l’opération conjointe de l’Esprit Saint et la volonté de l’homme, il n’appuie qu’à l’homme de continuer dans la foi ou à renoncer à la foi , tout comme il l’entend. Cela rend la cause de l’homme très précaire et rend impossible pour lui d’atteindre à l’assurance béni de la foi. Par conséquent, il est primordial de maintenir la doctrine de la persévérance. Selon les termes de Hovey, « il peut être une source de grand confort et puissance, — une incitation à la reconnaissance, un motif de sacrifice de soi et une colonne de feu à l’heure du danger. »

QUESTIONS pour étude complémentaire: Quelle est la vraie question concernant la persévérance: c’est de savoir si l' élire, ou si le régénérer persévérer ? Augustine et les luthériens enseignent également que l' élire peut enfin être perdue ? Comment fonctionne l’analogie de la faveur de la vie naturelle la doctrine de persévérance ? Faire pas ces passages comme Hébreux 6:4-6; 10:29; II Pierre 2:1 prouver la possibilité d’apostasie ? Que diriez-vous de John 15:1-6 ? Est la grâce de la persévérance, quelque chose d’inné, nécessairement donné avec la nouvelle nature, ou est-ce le fruit d’une activité spéciale, gracieuse et préservation de Dieu ? La théorie implique que l’un peut être vivant dans le péché habituelle et intentionnelle et tout en étant dans un État justifié ? Il exclut l’idée de manquements dans le péché ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 289-294; Vos, Geref. Dogme. IV., pp. 248-260; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 687-698; Dick, théologie, LECT LXXIX; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 338-343; Finney, Syst. Theol., pp. 544-619; Hovey, Manuel d’éthique et de théologie, p. 295-299; Pieper, Christ. Dogme. III, pp. 107-120; Pape Chr. Theol. III, pp. 131-147; Alexandra Morel, De Dordtsche Leerregels, pp. 256-354; Bos, Leerregelen De Dordtsche, pp. 199-255.

 

CINQUIÈME PARTIE

La Doctrine de l’église et des moyens de Grace

Les noms scripturaires de l’église et la Doctrine de l’église dans l’histoire

Introduction

La doctrine de l’application des mérites du Christ amène naturellement à la doctrine de l’église, pour l’église se compose de ceux qui sont les participants de Christ et des bénédictions du Salut qui sont en lui. La conception réformée est que Christ, par l’opération du Saint-Esprit, qui unit les hommes avec lui-même, les dote de la vraie foi et constitue donc l’église comme son corps, la communio fidelium ou sanctorum. Dans la théologie catholique, cependant, la discussion de l’église est prioritaire sur tout le reste, avant même la discussion de la doctrine de Dieu et de la révélation divine. L’église, il est dit, a joué un rôle important dans la production de la Bible et par conséquent l’emporte sur elle; Il est par ailleurs le distributeur de toutes les grâces surnaturelles. Il n’est pas le Christ qui nous amène à l’église, mais l’église qui nous conduit au Christ. Tous l’accent tombe, non pas l’église invisible comme la communio fidelium, mais l’église visible comme la mater fidelium. La réforme rompt avec ce point de vue catholique de l’église et centré l’attention une fois de plus sur l’église comme un organisme spirituel. Il a insisté sur le fait qu’il n’y a pas d’église en dehors de le œuvre rédemptrice du Christ et de l’exploitation le renouvellement du Saint-Esprit; et que, par conséquent, la discussion de ces précède logiquement l’examen de la doctrine de l’église.

Il semble plutôt étrange que pratiquement tous les dogmaticiens presbytériens exceptionnels de notre pays, comme les deux Hodges, H. B. Smith, Shedd et Dabney, n’ont aucun locus distincts sur l’église dans leurs écrits dogmatiques et consacrent en fait, très peu d’attention à il. Seulement les œuvres de quelquefois et Breckenridge constituent une exception à la règle. Cela pourrait donner l’impression que, selon eux, la doctrine de l’église ne devrait pas avoir une place dans la dogmatique. Mais c’est extrêmement peu probable, puisqu’aucun d'entre eux soulèvent une seule objection à son inscription. En outre, Turretin et leurs ancêtres écossais, sur dont la Fondation, ils construisent, consacrent beaucoup d’attention à l’église. Walker dit: « Il n’est peut-être aucun pays dans le monde dans lequel toutes sortes d’église questions ont été discutées si grandement comme dans le nôtre. » [Scottish théologie et théologiens, p. 95; cf. aussi McPherson, La Doctrine de l’église en théologie écossais, pp. 1 et suiv.] Et, enfin, le Dr A. A. Hodge nous informe que son père donne des conférences à ses divers cours sur les sujets de l’ecclésiologie, pratiquement couvert toute la terre et destiné à compléter sa théologie systématique par la publication d’un quatrième volume sur l’église; mais a été empêché par les infirmités de son âge avancé. [Préface de travail Hodge sur Église Polity.] Dabney affirme qu’il a omis la doctrine de l’église, parce que cela a été habilement traitée dans un autre ministère du séminaire dans lequel il a travaillé. [LECT sur théol., p. 726.] Shedd en donnant son régime affirme que l’église vient en considération dans le cadre des moyens de grâce. [Dogme. Théol. I, p. 10.] Cependant, il s’intéresse très peu aux moyens de grâce et n’aborde pas la doctrine de l’église. Et l’éditeur du Système de la théologie chrétienne de la Smith incorporés dans ce travail vues de l’auteur sur l’église, telle qu’exprimée dans d’autres travaux. [pp. 590 et suiv.]

Notes: Il est important ici de spécifier que, contrairement au point de vue de l'auteur, l'Église n'est pas une institution ou organisation, mais un état d'être, celui d'être appelé vers Christ pour renaître à une nouvelle vie. De sa désignation originelle du mot composé «ek-klésia» dont la signification est «appelé hors de», nous voyons qu'il s'agit ici d'un appel à la délivrance vers une nouvelle vie en Christ et qu'il s'agit donc d'une convocation à renaître qui correspond à l'appel efficace ou irrésistible de la grâce, les deux étant une seule et même chose. Premièrement l'appel est interne et individuel et ne nécessite aucunement une collectivité, la Bible et l'Esprit sont les deux seuls éléments nécessaire à une nouvelle vie. Deuxièmement la rencontre de deux élus ou plus lors de visites entre frères se fait dans un temps déterminé par la Sainte Présence de Christ dans un but de partager la vérité et l'entre-aide entre des gens d'une foi commune, est simplement une bénédiction de la grâce et ne peut s'imposer en aucune façon dans un sens obligatoire. De nos jours ces rencontres se font généralement dans des domiciles ou encore par voies informatiques de l'Internet. Aucun groupe ou communauté ne détient l'autorité d'entreprendre des réunions et d'en imposer la forme à d'autres, de crainte d'apostasier. Chaque personne est libre individuellement en Christ et suivra la direction qui lui fut destinée dans la souveraineté de Dieu. Christ est notre seul Maître et non une assemblée qui se veut chrétienne. L'église comme institution ou organisation avec ses cultes, ses ministres, ses assemblées, ses ordonnances, ses sacrements, ses codes de discipline, ses doctrines, ses prédications, est une fausse église, une contrefaçon qui a séduit de grandes multitudes depuis de nombreuses générations.

A. NOMS SCRIPTURAIRES POUR L’ÉGLISE.

I. DANS L’ANCIEN TESTAMENT. L’ancien Testament emploie deux termes pour désigner l’église, à savoir qahal (ou kahal), provient d’un obsolète racine qal (ou kal), qui signifie « appeler »; et 'edhah, de ya'adh, « nommer » ou « pour rencontrer ou se réunissent à un endroit nommé. » Ces deux mots sont parfois utilisés indifféremment, mais n’étaient pas, dans un premier temps, strictement synonymes. 'Edhah est bien un rassemblement de nomination et lorsqu’il est appliqué à Israël, indique la société elle-même formée par les enfants d’Israël ou leurs chefs représentatifs, qu’ils soient assemblés ou non assemblés. Qahal, en revanche, correctement désigne la réunion ensemble du peuple. Par conséquent, on trouve parfois l' expression qehal 'edhah, c'est-à-dire « l’Assemblée de la Congrégation » Exode 12:6; Num. 14:5; Jérémie 26: 17. Il semble que la réunion était parfois une réunion des représentants du peuple, Deut. 04:10; 18:16, COMP. 05:22, 23; Iier Rois 8:1, 2, 3, 5; II chroniques 5:2-6. 'Edhah est de loin le mot le plus commun dans Exode, Lévitique, nombres et Joshua, mais est totalement absente du Deutéronome et se trouve mais rarement dans les livres plus tard. Qahal, abonde en chroniques, Esdras et Néhémie. Sunagoge est l’habitude, presque universel, rendu de l’ancien dans la Septante et également le rendu habituel de ces derniers dans le Pentateuque. Toutefois, dans les livres de la Bible, qahal est généralement rendu par ekklesia. Schuerer prétend que le judaïsme plus tard déjà pointé à la distinction entre sunagoge comme une désignation de la congrégation d’Israël comme une réalité empirique et ekklesia sous le nom de cette même Congrégation idéalement considéré. Il est suivi dans ce par Dr Bavinck. Cremer-Koegel, prend toutefois exception à cette règle. Hort affirme qu’après l’exil, le terme qahal semble à avoir combiné les nuances de sens d’appartenance à ces deux it et 'edhah; et que par conséquent «ekklesia, comme le principal représentant grec de qahal, naturellement, pour les Juifs de langue grecque, signifierait la congrégation d’Israël tout autant que l’Assemblée de la Congrégation. » [Le Christian Ekklesia, p. 7.]

2. DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. Le Nouveau Testament a également deux mots, dérivés de la Septante, nommément ekklesia, ek et kaleo, « pour crier, » et sunagoge, du soleil et il y a, ce qui signifie « à venir ou de rassembler ». Ce dernier est utilisé exclusivement pour désigner les rassemblements religieux des Juifs ou les bâtiments dans lesquels ils assemblés pour le culte public, Matthieu 04:23; Actes 13:43; Apoc. 2:9; 3:9. le terme ekklesia, cependant, généralement désigne l’église du Nouveau Testament, bien que dans quelques endroits il désigne des assemblés civiles. Actes 19:32, 39, 41. préposition ek dans ekklesia (ekkaleo) est souvent interprétée comme signifiant « out parmi la masse commune du peuple, » et d’indiquer dans le cadre de l’utilisation scripturaire d' ekklesia, consistant en l’église les élus, appelés hors du monde de l’humanité. Cette interprétation est plutôt douteuse, toutefois, car la préposition initialement simplement noté que les citoyens grecs ont été appelés hors de leurs maisons. Maintenant il n'aurait pas été contre nature si cette idée tout à fait biblique avait été mises dans le mot dans la révélation de Dieu. Mais, en fait, nous n’avons aucune preuve qu’il s’agissait en réalité. verbe composé ekkaleo n’est jamais tellement habitué, et mot ekklesia ne se produit jamais dans un contexte qui suggère la présence de cette pensée particulière dans l’esprit de l’écrivain. Deissmann rendrait simplement ekklesia comme « l’Assemblée (réunie), » au sujet de Dieu en tant que coordonnateur. Parce que l’idée de l’église est un concept aux multiples facettes, c’est tout naturellement que le mot ekklesia, tel qu’appliqué à lui, n’a pas toujours exactement la même connotation. Jésus a été le premier à utiliser le mot dans le Nouveau Testament, et il l’a appliqué à l’entreprise qui a réuni autour de lui, Matthieu 16:18, le reconnut publiquement comme leur Seigneur et accepté les principes du Royaume de Dieu. C’était l' ekklesia du Messie, le vrai Israël. Plus tard à la suite de l’extension de l’église, le mot a acquis des significations diverses. Les églises locales ont été établis dans le monde et étaient aussi appelés ekklesiai, car ils étaient des manifestations de l’unique église universelle du Christ. Les utilisations les plus importantes du mot sont les suivants:

a. plus fréquemment mot ekklesia désigne un cercle de croyants dans une localité précise, une église locale, indépendamment de la question si ces croyants sont ou ne sont pas assemblés pour le culte. Certains passages contiennent l’idée supplémentaire qu’ils sont assemblés, actes 05:11; 11:26; J’ai Cor. 11:18; 14:19, 28, 35, tandis que d’autres n’ont pas, Romains 16:4; J’ai Cor. 16:1; Galates 1:2; Je th. 02:14, etc..

b. dans certains cas, le mot désigne ce qu’on peut appeler un domestique ekklesia, l’église dans la maison d’un individu. Il semble que dans les temps apostoliques riches ou sinon personnes importantes souvent mis de côté une grande chambre dans leurs maisons pour le culte divin. Les instances de cette utilisation du mot sont trouvent dans Romains 16:23; J’ai Cor. 16:19; 04:15; Philemon 2.

c. Si la lecture de Tisschendorf est exact (comme il est maintenant généralement pris pour acquis), puis le mot est trouvé au moins une fois au singulier pour désigner un groupe d’églises, nommément, les églises de Judée, la Galilée et la Samarie. Le passage dans lequel il est tellement utilisé est actes 09:31. Naturellement, cela ne signifie pas encore qu’elles constituent ensemble une organisation tels que l'on appelle maintenant une dénomination. Il n’est pas impossible que l’église de Jérusalem et l’église d’Antioche en Syrie comprenant également plusieurs groupes qui étaient habitués à se réunir en différents endroits.

d. d’une manière plus générale le mot sert à désigner l’ensemble du corps, dans le monde entier, de ceux qui professent Christ extérieurement et d’organiser à des fins de culte, sous la direction d’officiers nommés. Ce sens du mot est un peu au premier plan dans la première épître aux Corinthiens 10:32; 11:22; 12:28, mais il a été, il aurait sembler, présent également dans l’esprit de Paul, quand il a écrit la lettre aux Ephésiens, cependant dans cette lettre, l’accent est mis sur l’église comme un organisme spirituel, cf. surtout Éphésiens 04:11-16.

e. Enfin, le mot dans son sens le plus complet signifie l’ensemble des fidèles, que ce soit dans les cieux ou sur terre, qui ont été ou doivent être spirituellement Unis à Christ comme leur Sauveur. Cette utilisation du mot se trouve principalement dans les épîtres de Paul aux Éphésiens et Colossiens, plus fréquemment chez les premiers, Éphésiens 01:22; 03:10, 21; 05:23-25, 27, 32; 01:18, 24.

Nous ne devons pas oublier que les noms « Église », « Kerk » et « Kirche » ne sont pas dérivées du mot ekklesia, mais le mot kuriake, qui signifie « appartenant au Seigneur. » Ils soulignent le fait que l’église est la propriété de Dieu. Le nom de kuriakon ou he kuriake tout d’abord désigné l’endroit où l’église Assemblée. Cet endroit a été conçu comme appartenant au Seigneur et fut donc appelé à kuriakon. Mais le lieu lui-même était vide et n’est pas vraiment devenu manifeste que pour kuriakon jusqu'à ce que l’église se sont réunis pour le culte. Par conséquent, le mot a été transféré à l’église elle-même, l’édifice spirituel de Dieu.

3. AUTRES DÉSIGNATIONS BIBLIQUES DE L’ÉGLISE. Le Nouveau Testament contient plusieurs désignations figuratives de l’église, chacun de qui insiste sur un aspect particulier de l’église. On l’appelle:

a. le corps du Christ. Certains de nos jours semblent considérer cette appellation comme une définition complète de l’église du Nouveau Testament, mais il n’est donc pas prévu. Le nom s’applique non seulement à l’universel de l’église, comme dans Éphésiens 01:23; 01:18, mais aussi à une congrégation unique, I Cor. 12:27. Il insiste sur l’unité de l’église, si local ou universel et notamment le fait que cette unité est organique, et que l’organisme de l’église se trouve dans une relation vitale à Jésus Christ comme son glorieux chef.

b. le temple du Saint esprit ou de Dieu. L’église de Corinthe est appelé « un temple de Dieu » dans lequel le Saint-Esprit habite, j’ai Cor. 03:16. Dans Éphésiens 02:21, 22, Paul parle des croyants comme devenant « un temple Saint dans le Seigneur » et construit ensemble pour « une habitation de Dieu dans l’esprit. » Là, le nom est appliqué à l’église idéale du futur, qui est l’église universelle. Et Peter dit que croyants comme des pierres vivantes sont constitués de « une maison spirituelle, » j’ai PET. 2:5. La connexion montre clairement qu’il pense d’un temple. Ce chiffre met l’accent sur le fait que l’église est Sainte et inviolable. Le séjour de l’Esprit Saint lui donne un caractère exalté.

c. La Jérusalem qui est au-dessus, ou la nouvelle Jérusalem, ou la Jérusalem céleste. Tous les trois de ces formes sont trouvent dans la Bible, gal 04:26; Hébreux 12:22; Apocalypse 21:2, cf. les versets 9 et 10. Dans la Jérusalem de l’ancien Testament est représentée comme le lieu où Dieu demeurait entre les chérubins, et où il a symboliquement mis en rapport avec son peuple. Le Nouveau Testament évidemment considère l’église comme la contrepartie spirituelle de la Jérusalem de l’ancien Testament et s’applique donc à ce même nom. Selon cette représentation, l’église est le lieu d’habitation de Dieu, dans lequel le peuple de Dieu est présentée dans la communion avec lui; et ce lieu d’habitation, bien que toujours en partie sur la terre, appartient à la sphère céleste.

d. colonne et le fondement de la vérité. Il y a un seul endroit où ce nom est appliqué à l’église, savoir, I Timothée 03:15. Il se réfère clairement à l’église en général et s’applique donc aussi à chaque partie de celui-ci. La figure exprime le fait que l’église est la gardienne de la vérité, la Citadelle de la vérité et le défenseur de la vérité par rapport à tous les ennemis du Royaume de Dieu.

B. LA DOCTRINE DE L’ÉGLISE DANS L’HISTOIRE.

1. LA DOCTRINE DE L’ÉGLISE AVANT LA RÉFORME.

a. dans la période patristique. Par les Pères apostoliques et les Apologètes l’église est généralement représentée comme la communio sanctorum, le peuple de Dieu qu’il a choisi pour une possession. La nécessité d’établir des distinctions n’était pas immédiatement évidente. Mais dès la seconde moitié du deuxième siècle il y avait un changement perceptible. La montée des hérésies rend impératif de nommer certaines caractéristiques par lequel la vraie église catholique pourrait être connu. Cela tend à fixer l’attention sur la manifestation extérieure de l’église. L’église a commencé à être conçue comme une institution externe, gouvernée par un évêque comme un successeur direct des apôtres et en possession de la vraie tradition. La catholicité de l’église a été assez fortement soulignée. Les églises locales n’étaient pas considérées comme des unités distinctes tant, mais simplement à titre de parties de l’église universelle. La mondanité croissante et la corruption de l’église progressivement conduit à réaction et a donné lieu à la tendance des diverses sectes, tels que le Montanisme au milieu de la seconde, Novatianism au milieu de la troisième et le donatisme au début du quatrième siècle , pour rendre la sainteté de ses membres, la marque de la vraie église. Les premiers pères de l’église, dans la lutte contre ces sectaries, a souligné de plus en plus l’institution épiscopale de l’église. Cyprien a la particularité d’être le premier à développer pleinement la doctrine de l’Église épiscopale. Il a considéré les évêques comme les vrais successeurs des apôtres et leur attribue un caractère sacerdotal en vertu de leur travail sacrificiel. Ensemble, ils forment un collège, appelé à l’épiscopat, constituant ainsi l’unité de l’église. L’unité de l’église était donc basée sur l’unité des évêques. Ceux qui ne pas se soumettre à l’évêque perdent la communion de l’église et aussi leur Salut, puisqu’il n’y a pas de Salut en dehors de l’église. Augustine ne correspondait pas tout à fait dans sa conception de l’église. C’était sa lutte avec les donatistes qui pousse à réfléchir plus profondément sur la nature de l’église. D’une part il se montre le predestinarian, qui conçoit de l’église comme la société des élus, la communio sanctorum, qui ont l’esprit de Dieu et se caractérisent donc par amour véritable. La chose importante est d’être un membre vivant de l’Église ainsi conçue et ne pas d’appartenir à elle dans un sens purement externe. Mais d’autre part, il est l’église-homme qui adhère à l’idée de Cyprianic de l’église, au moins dans ses aspects généraux. La véritable Église est l’église catholique, dans laquelle l’autorité apostolique est poursuivie par la succession épiscopale. Il est le dépositaire de la grâce divine, qu’elle distribue à travers les sacrements. Pour l’instant, cette église est un organisme mixte, dans lequel les membres bien et le maléfiques ont une place. Dans son débat avec les donatistes il a admis, cependant, que les deux n’étaient pas dans l’église dans le même sens. Il a aussi préparé le chemin pour l’identification des catholiques de l’église et le Royaume de Dieu.

b. au moyen-âge. Les scolastiques ont très peu à dire sur l’église. Le système de doctrine développée par Cyprien et Augustin était assez complet et nécessaire mais quelques finitions à apporter à son développement final. Otten (historien catholique), dit: « ce système a été repris par les scolastiques du moyen âge et puis a été rendu par eux, pratiquement dans le même État dans lequel ils avaient reçu, à leurs successeurs qui sont venus après le Concile de trente. » [Manuel de l’histoire des dogmes, II, p. 214.] Soit dit en passant, quelques points ont été un peu plus loin développé. Mais s’il y avait très peu de développement dans la doctrine de l’église, l’église elle-même a effectivement développé plus en une hiérarchie très unie, organisée de façon compacte et absolue. Les graines de ce développement étaient déjà présents dans l’idée de Cyprianic de l’église et d’un aspect de l’église, représentée par Augustin. L’idée d’autre et plus fondamentale de ce grand père de l’Eglise, celle de l’église comme la communio sanctorum, a été généralement ignorée et donc resté en sommeil. Cela ne veut pas dire que les scolastiques ont nié l’élément spirituel au total, mais simplement qu’ils ne lui donnent pas proéminence due. L’accent a été très certainement sur l’église comme une institution ou un organisme externe. Hugo de Saint-Victor parle de l’Eglise et l’Etat comme les deux puissances institués par Dieu pour le gouvernement du peuple. Les deux sont monarchiques dans la constitution, mais l’église est la cheftaine, parce qu’elle les ministres pour le salut des hommes, alors que l’État ne donne pour leur bien-être temporel. Le roi ou l’empereur est le chef de l’Etat, mais le pape est le chef de l’église. Il existe deux catégories de personnes dans l’église avec bien défini de droits et devoirs: les clercs, dédiés au service de Dieu, qui constituent une unité; et les laics composé de personnes de tous les domaines de la vie, qui constituent une catégorie distincte au total. Étape par étape, la doctrine de la papauté est venu au développement, jusqu'à ce qu’enfin le pape est pratiquement devenu un monarque absolu. La croissance de cette doctrine a été en mesure non négligeable, aidé par le développement de l’idée que l’église catholique était le Royaume de Dieu sur la terre, et que par conséquent l’épiscopat romain était un royaume terrestre. Cette identification de l’Eglise visible et organisé avec le Royaume de Dieu a des conséquences importantes: (1) il a exigé que tout être mis sous le contrôle de l’église: la maison et l’école, science et art, commerce et industrie et ainsi de suite. (2) il en cause l’idée que toutes les bénédictions du salut vient à le ne homme que par les ordonnances de l’église, en particulier grâce aux sacrements. (3) il a conduit à la sécularisation progressive de l’église, puisque l’église a commencé à prêter davantage attention à la politique que pour le salut des pécheurs, et les papes enfin prétendu dominion également sur les dirigeants laïques.

2. LA DOCTRINE DE L’ÉGLISE PENDANT ET APRÈS LA RÉFORME.

a. au cours de la période de la réformation. Les réformateurs rompt avec la conception catholique de l’église, mais diffèrent entre eux dans certaines indications. L’idée d’une église infaillible et hiérarchique et d’un sacerdoce spécial, qui distribue le salut par les sacrements, ne trouvé aucune faveur de Luther. Il considère l’église comme la communion spirituelle de ceux qui croient au Christ et restauré l’idée biblique du sacerdoce de tous les croyants. Il a maintenu l’unité de l’église, mais distingue deux aspects d’elle, le visible et l’autre invisible. Il a pris soin de souligner que ce sont des pas de deux églises, mais simplement deux aspects de la même église. L’église invisible devient visible, non par la règle des évêques et des cardinaux, ni dans le poste de directeur du pape, mais par l’administration pure de la parole et des sacrements. Il a admis que l’église visible contiendra toujours un mélange de membres pieux et méchants. Cependant, sa réaction contre la conception catholique de la domination de l’église sur l’État, il est allé à un autre extrême, en fait pratiquement l’église sous réserve de l’État dans tout sauf la prédication de la parole. Les anabaptistes n’étaient pas satisfaits de sa position et a insisté sur une église des croyants seulement. Ils ont, dans bien des cas, même méprisé l’église visible et les moyens de grâce. En outre, ils ont exigé la séparation complète de l’église et l’État. Calvin et théologiens réformés étaient un avec Luther dans la confession que l’église est essentiellement une communio sanctorum, une communion des saints. Cependant, ils n’a pas, comme les luthériens, cherché l’unité et la sainteté de l’église, principalement dans les ordonnances objectives de l’Eglise, comme les offices, la parole et les sacrements, mais surtout dans la communion subjective des croyants. Eux aussi, fait la distinction entre une visible et un aspect invisible de l’église, quoique d’une manière légèrement différente. En outre, ils ont trouvé les vraies marques de l’église, non seulement dans l’administration vraie de la parole et des sacrements, mais aussi dans l’administration fidèle de la discipline de l’église. Mais même Calvin et les théologiens réformés du XVIIe siècle dans une mesure favorisé l’idée de la soumission de l’église à l’État. Cependant, ils ont établi une forme de gouvernement dans l’église qui a fait pour un plus grand degré d’indépendance ecclésiastique et de puissance qu’était connu dans l’église luthérienne. Mais tandis que les théologiens luthériennes et réformées a cherché à maintenir la bonne connexion entre le visible et l’église invisible, d’autres perdu de vue ce. Les Sociniens et les arminiens du XVIIe siècle, même si en effet parler d’une église invisible, j’ai oublié tout ça dans la vie réelle. L’ancien conçu de la religion chrétienne simplement comme une doctrine acceptable, et ce dernier fait l’église principalement une société visible et suivie l’église luthérienne de céder le droit de la discipline à l’État et la conservation pour l’église que le droit de prêcher l’Évangile et d’avertir les membres de l’église. Les Labadists et les piétistes, en revanche, manifestent une tendance à ne pas tenir compte de l’Eglise visible, une église des croyants seulement, se montrant indifférent à l’église institutionnelle avec son mélange d’édification bien et le mal et cherche dans la recherche allèrent.

b. pendant et après le XVIIIe siècle. Pendant le dix-huitième siècle rationalisme fait son influence ressenti aussi dans la doctrine de l’église. Il était indifférent en matière de foi et n’avait pas d’enthousiasme pour l’église, qui elle placée sur un pied d’égalité avec les autres sociétés humaines. Il a même nié que Christ destiné à fonder une église au sens du mot reçu. Il y avait une réaction piétiste au rationalisme au méthodisme, mais méthodisme n’a pas contribué à quoi que ce soit à l’élaboration de la doctrine de l’église. Dans certains cas, elle a demandé de force dans la réflexion de coulée sur les églises existantes, et dans d’autres il su s’adapter à la vie de ces églises. Pour Schleiermacher, l’église était essentiellement la communauté chrétienne, le corps des croyants qui sont animés du même esprit. Il avait peu d’utilité pour la distinction entre le visible et l’église invisible et trouve l’essence même de l’église dans l’esprit de fraternité chrétienne. Plus l’esprit de Dieu pénètre dans la masse des croyants chrétiens, les divisions moins il sera, et plus ils perdront de leur importance. Ritschl substitué à la distinction entre l’invisible et le visible de l’église qui entre le Royaume et l’église. Il considérait le Royaume comme la communauté du peuple de Dieu, agissant le motif de l’amour et l’église en tant que communauté même se sont réunis pour le culte. Le nom de « église » est donc limité à une organisation externe dans l’une des fonctions de culte; et cette fonction simplement permet aux croyants de se familiariser avec un de l’autre. C’est certainement loin de l’enseignement du Nouveau Testament. Il entraîne sur la conception libérale moderne de l’église comme une simple social Centre, une institution humaine, plutôt que d’une plantation de Dieu.

QUESTIONS pour étude complémentaire: L’histoire de l’église commence au plus tard le jour de la Pentecôte ? Si elle a existé avant, comment l’église qui précède ce jour différaient de l’église après celui-ci ? À quelle église Jésus réfère-t-elle dans Matthieu 18:17 ? Augustine identifier l’église comme un organisme spirituel, ou l’église comme une institution externe, avec le Royaume de Dieu ? Comment expliquez-vous le catholique mettant l’accent sur l’église comme une organisation externe ? Pourquoi pas les réformateurs n’a insisté sur la liberté entière de l’église et l’État ? Comment Luther et Calvin diffèrent à cet égard ? Quelles controverses concernant l’église est née en Ecosse ? Ce qui explique les différentes conceptions de l’église en Angleterre et en Ecosse ? Comment rationalisme a-t-elle influé sur la doctrine de l’église ? Quels grands dangers menacent l’Eglise à l’heure actuelle ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 302-319; Innes, église et l’État; Cunningham, Théologie historique, deux volumes, cf. l’Index; Hauck, Real-Encyclopaedie, Art. Kirche par Koestlin; Histoire du dogme, en particulier ceux de Harnack, Seeberg, Sheldon et Otten, cf. les Indices.

 

II. la Nature de l’église

A. L’ESSENCE DE L’ÉGLISE.

1. LA CONCEPTION CATHOLIQUE ROMAINE. Le début parle de chrétiens de l’église comme la communio sanctorumet donc déjà, mais sans avoir réfléchi à la question par le biais, a fait qu’exprimer l’essence de l’église. Mais même, dès la fin du IIe siècle, à la suite de la montée des hérésies, la question de savoir la vraie église elle-même imposée et amenés à fixer leur attention sur certaines caractéristiques de l’Eglise comme une institution externe. Depuis l’époque de Cyprien jusqu'à la réforme l’essence même de l’église a été demandé de plus en plus dans son organisation externe visible. Les pères de l’église conçue de l’église catholique comprenant toutes les branches vrais de l’église du Christ, ainsi que liés ensemble dans une unité externe et visible, qui avait son lien unificateur dans le Collège des évêques. La conception de l’église comme une organisation externe est devenu plus importante que le temps passait. Il y avait un accent croissant sur l’organisation hiérarchique de celui-ci, et le point culminant a été ajouté à l’institution de la papauté. Catholiques romains maintenant définir l’église comme: "la Congrégation de tous les fidèles qui, se faisant baptiser, professer la foi même, partager les mêmes sacrements, et sont régies par leur légitime pasteurs, sous un chef visible sur terre. » Ils font une distinction entre l' ecclesia docens et l' Ecclésia audiens, c'est-à-dire, entre « L’église composée de ceux qui gouvernent, enseigner et édifier » et « L’église qui est enseigné, régis et reçoit les sacrements. » Au sens strict du mot, il n’est pas l' Ecclésia audiens mais l' Ecclésia docens qui constitue l’église. Les actions de ce dernier directement dans les glorieux attributs de l’Eglise, mais l’ancien est orné avec eux qu’indirectement. Les catholiques sont prêts à admettre qu’il y a une côté invisible à l’église, mais préfèrent réserver le nom « église » pour la communion visible des croyants. Fréquemment, ils parlent de « l’âme de l’Eglise », mais ne semblent pas convenir tout à fait quant à la connotation exacte du terme. Devine définit l’âme de l’Eglise comme « la société de ceux qui sont appelés à la foi en Christ, et qui sont Unis au Christ par les dons surnaturels et des grâces. » [Le credo a expliqué, p. 259.] Wilmers, toutefois, il conclut dans « toutes ces spirituels, surnaturels grâces qui constituent l’église du Christ et permettent à ses membres d’atteindre leur fin dernière. » Il dit: « ce que nous appelons âme est en général de ce principe omniprésent qui donne vie à un corps et permet à ses membres de remplir leurs tâches particulières. L’âme de l’Eglise font partie de foi, l’aspiration commune de tous dans le même esprit, le pouvoir invisible de supérieurs, la grâce vers l’intérieur de la sanctification, les vertus surnaturelles et d’autres cadeaux de la grâce. » [Manuel de la Religion chrétienne, p. 103.] L’ancien écrivain trouve l’âme de l’église dans certaines personnes qualifiées, alors que ce dernier considère qu’il est un principe omniprésente, quelque chose comme l’âme chez l’homme. Mais quoi que catholiques romains seraient prêts à accorder, ils admettront pas que qu’on pourrait appeler « l’église invisible » logiquement précède le visible. Moehler dit: « les catholiques enseignent: l’église visible est tout d’abord, — puis vient l’invisible: la première donne naissance à ce dernier. » Cela signifie que l’église est un mater fidelium (mère des croyants) avant qu’elle soit une communio fidelium (Communauté des croyants). Moehler accorde, toutefois, qu’il y a un sens dans lequel « l’église interne » est antérieure à « l’un extérieur, » à savoir en ce sens que nous ne sommes pas membres vivant de ce dernier jusqu'à ce que nous appartenons à l’ancienne. Il traite de l’ensemble du sujet de la relation entre ces deux les uns aux autres dans son symbolisme ou différences doctrinales. [Chap. V, en particulier dans les paragraphes XLVI-XLVIII.] Il insiste sur l’identité de l’église visible avec le Christ: « ainsi, l’église visible, du point de vue prise ici, est le fils de Dieu, éternellement se manifestant chez les hommes sous une forme humaine, perpétuellement rénovée et éternellement jeune — le permanent incarnation de la même chose, comme les Saintes Écritures, même les fidèles sont appelés « le corps du Christ. » » [p. 59.]

2. LA CONCEPTION ORTHODOXE GRECQUE. La conception grecque orthodoxe de l’église est étroitement liée à celle des catholiques romains et pourtant il diffère en certains points importants. Cette église ne reconnaît pas l’Eglise catholique romaine comme la vraie église, mais affirme que l’honneur pour lui-même. Il y a qu’une seule vraie église, et que l’église est la communauté grecque orthodoxe. Il reconnaît avec une plus grande franchise que les catholiques romains, les deux aspects différents de l’église, le visible et l’invisible, il néanmoins met l’accent sur l’église comme une organisation externe. Il ne trouve pas l’essence même de l’église en elle comme la communauté des saints, mais dans l’Église épiscopale hiérarchie, dont elle a conservé, tout en rejetant la papauté. L’infaillibilité de l’église est maintenue, mais cette infaillibilité réside dans les évêques et par conséquent dans les conciles ecclésiastiques et les synodes. « Comme invisible, » déclare Gavin, « elle (l’Eglise) est le porteur des dons divins et des pouvoirs et est engagée dans la transformation de l’humanité dans le Royaume de Dieu. Comme visible, elle est constituée d’hommes professant une foi commune, observant douanier commun et à l’aide de moyens visibles de la grâce. » Dans le même temps, l’idée est rejetée de « une invisible et idéale église, dont les diverses instances des chrétiens forment des entités distinctes et se faisant appeler « Églises », sont des modes de réalisation partielles et incomplètes ». L’église est « une réelle, tangible et visible entité, pas un idéal latent et irréalisable ». [Pensée grecque orthodoxe, pp. 241-242.]

3. LA CONCEPTION PROTESTANTE. La réforme était une réaction contre l’externalisme de Rome en général et en particulier, également contre sa conception externe de l’église. Il a apporté la vérité au premier plan une fois de plus que l’essence de l’église ne se trouve pas dans l’organisation externe de l’église, mais dans l’église comme la communio sanctorum. Pour Luther et Calvin l’église était simplement la communauté des saints, c'est-à-dire, la communauté de ceux qui croient et sont sanctifiés dans le Christ, et qui sont joints à lui en tant que leur chef. C’est également la position adoptée dans les normes de confessionnels réformées. Ainsi parle la Confessio Belgica: « nous croyons et professent un catholique ou l’église universelle, qui est une Congrégation de la Sainte de vrais croyants chrétiens, tous attendent leur salut en Jésus Christ, à laver par son sang, sanctifié et scellé par l’Esprit Saint ». [Art. XXVII.] la Confession helvétique exprime la vérité même en disant que l’Eglise est « une compagnie des fidèles, appelés et réunis hors du monde; une communion de tous les saints, c'est-à-dire d'entre eux qui vraiment connaître et à juste titre adorer et servir le vrai Dieu, en Jésus Christ le Sauveur, par la parole de l’Esprit Saint, et qui par la foi participent à toutes ces bonnes grâces qui sont offerts gratuitement par le Christ. » [Chap. XVII.] Et la Confession de Westminster, définissant l’église à partir du point de vue de l’élection, déclare: « l’église catholique, c'est-à-dire universelle, qui est invisible, se compose de nombre entier d’élus, qui ont été, sont ou seront réunis en un seul, sous Christ la tête connexes; et est le conjoint, le corps, la plénitude de celui qui remplit tout en tous. » [Chap. XXV.] L’universel de l’église, c'est-à-dire l’église telle qu’elle existe dans le dessein de Dieu, et qu’on se rend compte qu’au cours des âges, a été conçue comme constitué de l’ensemble des élus, qui sont en cours de temps appelé à la vie éternelle. Mais l’église telle qu’elle existe réellement sur la terre a été considérée comme la communauté des saints. Et c’est non seulement l’église invisible qui était alors considéré, mais l’église visible aussi bien. Ceux-ci ne sont pas deux églises, mais celui et n’ai donc qu’une seule essence. L’un comme l’autre est essentiellement la communio sanctorum, mais l’église invisible est l’église, tel que Dieu le voit, une église qui contient seulement les croyants, tandis que l’église visible est l’église, tel que l’homme voit, composé de ceux qui professent Jésus Christ avec leurs enfants et donc jugée la communauté des saints. Cela peut et toujours ne contient pas certains qui ne sont pas régénérées encore — il peut y avoir d’ivraie parmi le blé —, mais ne peut ne pas tolérer publics mécréants et mauvaises personnes. Paul traite ses épîtres aux églises empiriques et n’hésite pas à les traiter comme des « saints », mais insiste également sur la nécessité de ranger les méchants et ceux qui donnent des infraction parmi eux, I Corinthiens 5; II Thess. 3:6, 14: Tite 03:10. L’église constitue une unité spirituelle dont Christ est le chef divin. Il est animé par un esprit, l’esprit du Christ; il professe une seule foi, partage un seul espoir et sert un roi. C’est la Citadelle de la vérité et de l’Agence dans la communication aux croyants de toutes les bénédictions spirituelles de Dieu. Comme le corps du Christ, elle est destinée à refléter la gloire de Dieu qui se manifeste dans le œuvre de rédemption. L’église dans son sens idéal, l’église comme Dieu le destine à être et qu’il deviendra une fois, est un objet de foi, plutôt que de la connaissance. C’est pourquoi la confession: « Je crois une Sainte Église catholique ».

B. LE CARACTÈRE MULTIFORME DE L’ÉGLISE.

En parlant de l’église, plusieurs distinctions entrent en considération.

1. CELUI DE MILITANT ET UNE ÉGLISE TRIOMPHANTE. L’église dans la dispensation actuelle est une Église militante, c'est-à-dire, elle est appelée à et est effectivement engagée dans une guerre sainte. Cela, bien sûr, ne signifie pas qu’elle doit passer sa force en détruisant des luttes intestines, mais qu’elle a le devoir de poursuivre une guerre incessante contre le monde hostile sous toutes les formes dans lequel il révèle lui-même, que ce soit dans l’église ou en dehors de celui-ci et contre toutes les forces spirituelles de l’obscurité. L’église ne peut pas passer tout son temps dans la prière et la méditation, mais nécessaire et importante, il peut s’agir, ni qu’elle repose sur ses lauriers dans la jouissance paisible de son héritage spirituel. Elle doit être engagée de toutes ses forces dans les combats de son Seigneur, combattant dans une guerre qui est offensive et défensive. Si l’église sur terre est l’Église militante, l’église dans le ciel est l’Église triomphante. Il l’épée est échangée pour la palme de la victoire, les cris de bataille sont transformés en chants de triomphe, et la Croix est remplacée par la Couronne. Le conflit est terminé, la bataille est gagnée, et les saints régneront avec Christ pour toujours et à jamais. Dans ces deux phases de son existence, l’église reflète l’humiliation et l’exaltation de son Seigneur céleste. Catholiques romains parlent, non seulement d’une militante et triomphante, mais aussi d’une souffrance église. Cette église, selon eux, comprend tous les croyants qui ne sont pas plus sur la terre, mais ne sont pas encore entrés les joies du ciel et sont maintenant être purifiées au purgatoire de leurs autres péchés.

2. QU’ENTRE UNE VISIBLE ET UNE ÉGLISE INVISIBLE. Cela signifie que l’église de Dieu est d’une part visible et sur l’autre invisible. Il est dit que Luther a été le premier à faire cette distinction, mais les autres réformateurs reconnue et appliquent également à l’église. Cette distinction n’a pas toujours été bien comprise. Les adversaires des réformateurs accusant souvent d’enseignement qu’il y a deux églises séparées. Luther a peut-être donné une occasion pour ce chef d’accusation en parlant d’une invisible ecclesiola dans visible ecclesia. Mais lui et Calvin insistent sur le fait que, lorsqu’ils parlent d’une visible et une église invisible, ils ne se réfèrent pas aux deux églises différentes, mais à deux aspects de l’une église de Jésus Christ. Le terme « invisible » a été diversement interprété comme application (a) à l’Église triomphante; (b) à l’église idéale et rempli comme il sera à la fin de l’âge; (c) à l’église de tous les terrains et tous les lieux, dont l’homme ne peut pas voir éventuellement; et (d) à l’Église car il va dans la clandestinité à l’époque de la persécution et est privé de la parole et les sacrements. Maintenant, c’est sans doute vrai que l’Église triomphante est invisible à ceux qui sont sur la terre, et que Calvin dans ses instituts conçoit également ceci comme inclus dans l’église invisible, mais la distinction sans doute visait principalement à appliquer à la militante Église. En règle générale, elle est donc appliquée dans la théologie réformée. Il insiste sur le fait que l’église telle qu’elle existe sur terre est visible et invisible. Cette église est censée être invisible, parce qu’elle est essentiellement spirituelle et dans son essence spirituelle ne peut être distinguée à le œil physique; et parce qu’il est impossible de déterminer infailliblement qui font et qui ne lui appartiennent pas. L’union des croyants avec le Christ est une union mystique; l’esprit qui les unit constitue un lien invisible; et les bénédictions du Salut, comme la régénération, la conversion authentique, vraie foi et communion spirituelle avec le Christ, sont tous invisibles à le œil naturel; — et encore ces choses constituent le véritable forma (personnage idéal) de l’église. Que le terme « invisible » doit être compris en ce sens, est évident d’après l’origine historique de la distinction entre le visible et l’invisible église à l’époque de la réforme. La Bible attribue certains attributs glorieuses pour l’église et elle représente comme un moyen de bénédictions éternelles et salvatrices. Rome ceci appliqué à l’église comme une institution externe, plus particulièrement à l' Ecclésia representativa ou la hiérarchie comme le distributeur de la bénédiction du Salut et donc ignorée et pratiquement refusé la communion directe et immédiate des Dieu avec ses enfants, en plaçant un sacerdoce humain médiatrice entre eux. Il s’agit de l’erreur que les réformateurs a voulu éradiquer en insistant sur le fait que l’église dont la Bible dit de telles choses glorieuses n’est pas l’église comme une institution externe, mais l’église comme le corps spirituel de Jésus-Christ, qui est essentiellement invisible à l’heure actuelle, mais il a un mode de réalisation relatif et l’imparfait dans l’église visible et est destiné à avoir une parfaite incarnation visible à la fin de l’âge.

L’église invisible suppose naturellement une forme visible. Tout comme l’âme humaine est adaptée à l’organisme et s’exprime à travers le corps, donc l’église invisible, composé, pas de simples âmes mais des êtres humains ayant des âmes et des corps, suppose nécessairement une forme visible à une organisation externe par le biais de laquelle elle s’exprime. L’Église devient visible dans la conduite et de la profession chrétienne, au sein du ministère de la parole et des sacrements et du gouvernement et une organisation externe. En faisant cette distinction entre l’invisible et l’église visible, McPherson a dit, « protestantisme a tenté de dégager la moyenne appropriée entre l’externalisme magique et surnaturelle de l’idée romaine et la dépréciation extravagante de tous les rites extérieurs, caractéristique du spiritualisme fanatique et sectaire. » [La dogmatique Chr., p. 417.] Il est très important de garder à l’esprit que, bien que l’invisible et l’église visible peuvent être considéré comme universel, les deux ne sont pas en tous points proportionnels. Il est possible que certains de ceux qui appartiennent à l’église invisible jamais devient membres de l’organisation visible, comme des sujets de missionnaires qui sont convertis sur leur lit de mort, et que d’autres en sont temporairement exclus, en tant que croyants égarés qui sont pour une fois blanchie de la communion de l’église visible. En revanche il peut être régénéré des enfants et des adultes qui, tout en professant le Christ, n’ont aucune vraie foi en lui, dans l’Eglise comme une institution externe; et ce, aussi longtemps qu’ils sont dans cette condition, n’appartiennent pas à l’église invisible. On trouvera des bonnes définitions de l’Eglise visible et invisible dans la Confession de Westminster.

3. QUE, DE L’ÉGLISE COMME UN ORGANISME À L’EGLISE COMME UNE INSTITUTION. Cette distinction ne doit pas figurer avec le précédent, comme on le fait parfois. Il s’agit d’une distinction qui s’applique au visible église et qui appelle l’attention sur deux aspects différents de l’église considérée comme un corps visible. [Cf. Kuyper, Enc. III, p. 204; Bavinck, Geref. Dogme. IV., p. 331; Ten Hoor, Afscheiding de Doleantie, pp. 88 f.; Doekes, De Moeder der Geloovigen, p. 10 f.; Steen, De Kerk, pp. 51 et suiv.] C’est une erreur de penser que l’église devienne visible uniquement dans les offices de l’administration de la parole et les sacrements et dans une certaine forme de gouvernement de l’église. Même si toutes ces choses étaient absents, l’église serait encore visible dans la vie communautaire et la profession des croyants et dans leur opposition commune au monde. Mais tout en mettant l’accent sur le fait que la distinction considérée est une distinction au sein de l’Eglise visible, nous ne devons pas oublier que tant l’église comme un organisme et l’église en tant qu’institution (également appelée institutio apparitio et ) ont leur origine spirituelle dans l’église invisible. Toutefois, s’il est vrai que ce sont deux aspects différents de l’unique église visible, ils représentent des différences importantes. L’église comme un organisme est le coetus fidelium, la communion des croyants, qui sont Unis par le lien de l’esprit, tandis que l’église comme une institution est la mater fidelium, la mère des croyants, un Heilsanstalt, un moyen de Salut, une Agence pour la conversion des pécheurs et le perfectionnement des saints. L’église comme un organisme existe charismatique: dedans toutes sortes de dons et talents se manifestent et sont utilisés dans le œuvre du Seigneur. L’église en tant qu’institution, d’autre part, il existe sous une forme institutionnelle et fonctionne à travers les offices et les moyens que Dieu a mis en place. Les deux sont coordonnées dans un sens, et pourtant il y a aussi une certaine subordination de l’un à l’autre. L’Eglise comme une institution ou organisation (mater fidelium) est un moyen vers une fin, et cela se trouve dans l’église comme un organisme, la communauté des croyants (coetus fidelium).

C. DIFFÉRENTES DÉFINITIONS DE L’ÉGLISE.

Naturellement, l’église étant une entité aux multiples facettes a également été définie depuis plus d’un point de vue.

1. DU POINT DE VUE DE L’ÉLECTION. Selon certains théologiens, l’église est la communauté des élus, coetus electorum. Cette définition est susceptible d’être un peu trompeur, cependant. Elle s’applique seulement à l’église idéalement considéré, l’église telle qu’elle existe dans l’idée de Dieu et qu’elle sera achevée à la fin de l’âge et non à l’église comme une réalité empirique actuelle. Racheter comprend tous ceux qui appartiennent au corps du Christ, indépendamment de leur relation réelle présente à elle. Mais les élus qui sont encore à naître, ou qui sont encore inconnus au Christ et à l’extérieur de la pale de l’église, ne saurait appartenir à l’église de realiter.

2. DU POINT DE VUE DE L'APPEL EFFICACE. Pour échapper à cette objection à la définition précédente, il est progressivement devenue coutumière à définir l’église du point de vue de certaines caractéristiques subjectives spirituelle de ceux qui lui appartiennent, l’appel particulièrement efficace ou la foi, soit en nommant tel un caractéristiques en plus de l’élection, ou il en remplaçant par élection. Ainsi l’église a été définie comme la société des élus qui sont appelées par l’esprit de Dieu (coetus electorum vocatorum), comme le corps de ceux qui sont effectivement appelés (coetus vocatorum) ou, encore plus fréquemment, comme la communauté de la fidèles ou croyants (coetus fidelium). Les deux premiers de ces définitions, servir à désigner l’église quant à son essence invisible, mais n’indiquent pas que ce soit du fait qu’il a aussi un côté visible. C’est fait, toutefois, dans le dernier nommé définition, pour la foi révèle elle-même dans la confession et la conduite.

3. DU POINT DE VUE DU BAPTÊME ET DE LA PROFESSION. Du point de vue du baptême et de la profession, l’église a été définie comme la communauté de ceux qui sont baptisés et professer la vraie foi; ou comme la communauté de ceux qui professent la vraie religion avec leurs enfants. On voit aisément qu’il s’agit d’une définition de l’Église selon sa manifestation extérieure. Calvin définit l’église visible comme « la multitude des hommes diffusée à travers le monde, qui professent d’adorer un seul Dieu dans le Christ; sont initiées dans cette foi par le baptême; témoigner de leur unité dans la doctrine et de la charité en participant à la Cène; avoir le consentement dans la parole de Dieu, et à la prédication de que Word gérer le ministère ordonné du Christ. » [Instituts IV., 1,7.]

D. L’ÉGLISE ET LE ROYAUME DE DIEU.

1. L’IDÉE DU ROYAUME DE DIEU. Le Royaume de Dieu est avant tout un concept eschatologique. L’idée fondamentale du Royaume dans l’écriture n’est pas celle d’un Royaume théocratique restaurée de Dieu en Christ — qui est essentiellement un Royaume d’Israël —, comme le prétendent les Premillenarians; n’est-ce une nouvelle condition sociale, imprégné par l’esprit du Christ et réalisé par l’homme par des moyens externes comme les bonnes lois, civilisation, l’éducation, les réformes sociales et ainsi de suite, comme les modernistes voudrait nous faire croire. L’idée principale du Royaume de Dieu dans l’écriture, c’est que de la règle de Dieu établi et reconnu dans le cœur des pécheurs par le puissant régénérant influence du Saint-Esprit, assurant leur des bienfaits inestimables du Salut, — une règle qui est réalisé en principe sur la terre, mais n’atteindra pas son apogée jusqu'à ce que le visible et le glorieux retournent de Jésus-Christ. La réalisation actuelle de celui-ci est spirituelle et invisible. Jésus s’emparent de ce concept eschatologique et rendu proéminent dans ses enseignements. Clairement, il a enseigné la réalisation spirituelle actuelle et le caractère universel du Royaume. En outre, il a lui-même effectué cette prise de conscience dans une mesure inconnue auparavant et considérablement augmenté les bénédictions présentes du Royaume. Dans le même temps, il tendit la bienheureuse espérance de l’apparition future de ce Royaume en gloire externe et avec la parfaite bénédiction du Salut.

2. HISTORIQUES CONCEPTIONS DU ROYAUME. Dans les premiers pères de l’église, le Royaume de Dieu, le plus grand bien, est surtout considéré comme une entité future, l’objectif de l’évolution actuelle de l’église. Certains d'entre eux il considéré comme le prochain règne millénaire du Messie, même si l’histoire ne porte pas sur les revendications exagérées de certains auteurs de Premillenarian quant à leur nombre. Augustin vu le Royaume comme une réalité présente et a identifié avec l’église. Pour lui il était essentiellement identique à la pieuse et Sainte, c'est-à-dire avec l’église comme une communauté de croyants; mais il a utilisé certaines expressions qui semblent indiquer qu’il avait également vu qu'il incorporée dans l’église episcopally organisée. L’église catholique romaine franchement identifié le Royaume de Dieu avec leur institution hiérarchique, mais les réformateurs revient à croire que c’est dans cette dispense identique avec l’église invisible. Sous l’influence de Kant et surtout de Ritschl, il a été dépouillé de son caractère religieux et vint à être considéré comme un Royaume éthique des extrémités. Il est souvent défini à l’heure actuelle comme un nouveau principe introduit dans la société et destiné à transformer dans toutes ses relations, ou que l’organisation morale de l’humanité par l’action de la motivation de l’amour, la fin de la création.

3. LE ROYAUME DE DIEU ET L’ÉGLISE INVISIBLE. Alors que le Royaume de Dieu et l’église invisible sont dans une mesure identique, ils devraient néanmoins être soigneusement distingués. La citoyenneté dans l’un et l’adhésion à l’autre sont également déterminés par la régénération. Il est impossible d’être dans le Royaume de Dieu sans être dans l’église comme corps mystique de Jésus Christ. Dans le même temps, il est possible de faire une distinction entre le point de vue d'où les croyants sont appelés le Royaume et celle dont ils sont appelés à l’église. Elles constituent un Royaume dans leur relation à Dieu dans le Christ comme leur souverain et une église dans leur séparation du monde dans la dévotion à Dieu et dans leur union organique avec l’autre. En tant qu’église, ils sont appelés à être instrument de Dieu pour préparer la voie à et dans l’introduction, l’ordre idéal des choses; et comme un royaume qu’ils représentent la réalisation initiale de l’ordre idéal entre eux.

4. LE ROYAUME DE DIEU ET L’ÉGLISE VISIBLE. Étant donné que les catholiques romains insistent aveuglément sur l’identification de l’église et le Royaume de Dieu, leur église prétend pouvoir et compétence sur tous les domaines de la vie, comme science et art, le commerce et l’industrie, ainsi que sociale et politique organisations. Il s’agit d’une conception tout à fait erronée. C’est aussi une erreur de maintenir, comme le font certains chrétiens réformés, en vertu d’une conception erronée de l’église comme un organisme, que les sociétés de l’école chrétienne, des organismes bénévoles et communautaires des plus jeunes ou plus âgés personnes pour l’étude des principes chrétiens et leur application dans la vie chrétienne des syndicats et organisations politiques chrétiennes, sont des manifestations de l’église comme un organisme, car cela leur apporte à nouveau sous le domaine de l’Eglise visible et sous le contrôle direct de ses dirigeants. Naturellement, cela ne signifie pas que l’église n’a aucune responsabilité à l’égard de ces organisations. Toutefois, il signifie qu’ils sont des manifestations du Royaume de Dieu, dans lequel des groupes de chrétiens cherchent à appliquer les principes du Royaume à tous les domaines de la vie. L’église visible et le Royaume, aussi, peuvent être identifiés dans une certaine mesure. L’église visible peut certainement prétendre appartenir au Royaume, de faire partie du Royaume et même de l’incarnation visible plus importante des forces du Royaume. Il participe de la nature de l’église invisible (les deux étant un) comme moyen pour la réalisation du Royaume de Dieu. Comme l’église visible, le Royaume se partage aussi dans les imperfections qui il expose un monde pécheur. C’est assez évident de la parabole du bon grain et l’ivraie et celle de la résille. Dans la mesure où l’église visible joue un rôle important dans la création et l’expansion du Royaume, c’est, bien sûr, subordonner à cela comme un moyen vers une fin. Le Royaume peut affirmer être un concept plus vaste que l’église, parce qu’elle vise à rien moins que le contrôle complet de toutes les manifestations de la vie. Il représente la domination de Dieu dans toutes les sphères de l’activité humaine.

E. L’EGLISE DANS LES DISPENSATIONS DIFFÉRENTES.

1. DANS LA PÉRIODE PATRIARCALE. Dans la période patriarcale des familles de croyants ont constitué les congrégations religieuses; l’église a été mieux représentée dans les ménages pieuses, où les pères ont servi de prêtres. Il n’y avait aucun cultus ordinaire, bien que 4:26 semble impliquer une vocation publique sur le nom du Seigneur. Il y avait une distinction entre les enfants de Dieu et les enfants des hommes, ce dernier progressivement prendre le dessus. Au moment de l’inondation, l’église était enregistré dans la famille de Noé et suite notamment à la ligne de SEM. Et quand la vraie religion a été à nouveau sur le point de disparaître, Dieu fit une alliance avec Abraham, lui donna le signe de la circoncision et séparé de lui et ses descendants dans le monde, pour être son propre peuple. Jusqu'à l’époque de Moïse, les familles des patriarches étaient les dépôts réels de la vraie foi, où la crainte de l’Éternel et le service du Seigneur a été gardés en vie.

2. PENDANT LA PÉRIODE DE MOSAÏQUE. Après l’exode du peuple d’Israël ont été non seulement organisé en une nation, mais ont été également constitué de l’église de Dieu. Ils ont été enrichis avec les institutions dans lesquelles non seulement dévotion familiale ou tribale foi mais la religion de la nation pourrait trouver expression. L’église n’a pas encore obtenu une organisation indépendante, mais elle avait son existence institutionnelle dans la vie nationale d’Israël. La forme particulière dont il a assumé était celle d’un église et l’État. Nous ne pouvons pas dire que les deux se regroupaient au total. Il y avait séparé les fonctionnaires civiles et religieuses et les institutions dans les limites de la nation. Mais en même temps l’ensemble de la nation ont constitué l’église; et l’église se limite à l’une de la nation d’Israël, bien que les étrangers pourraient entrer en étant incorporée dans la nation. Au cours de cette période, il y avait un développement marqué de la doctrine, l’augmentation de la quantité de la vérité religieuse connue et une plus grande clarté dans l’appréhension de la vérité. L’adoration du Dieu était réglementée jusque dans les moindres détails, a été en grande partie rituels et cérémonies et était centrée dans un sanctuaire central.

3. DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. L’église du Nouveau Testament est essentiellement l’un avec l’église de l’ancienne dispensation. Selon leur nature essentielle est concerné, les deux se composent de vrais croyants et des vrais croyants seulement. Et dans leur organisation externe représentent tous deux un mélange du bien et du mal. Encore plusieurs changements importants s’explique par le travail accompli de Jésus Christ. L’église a été dissociée de la vie nationale d’Israël et un organisme indépendant a obtenu. Dans ce contexte, les frontières nationales de l’église ont été emportés. Jusqu'à ce moment, ce qui avait été une église nationale pris maintenant un caractère universel. Et afin de réaliser l’idéal d’extension mondiale, elle devait devenir une Eglise missionnaire, en transportant l’Évangile du Salut à toutes les nations du monde. Par ailleurs, le culte rituel du passé fait place un culte spirituel plus en harmonie avec les privilèges les plus du Nouveau Testament.

La représentation donnée dans ce qui précède repose sur l’hypothèse que l’église existait dans la dispensation vieux ainsi que dans le nouveau et était essentiellement la même dans les deux, en dépit de reconnaître les différences institutionnelles et administratives. Ceci est en harmonie avec les enseignements de nos normes confessionnelles. La Confessio Belgica, explique à l’Art. XXVII: « cette église a été dès le commencement du monde et sera à la fin de celui-ci; qui est évident du fait que le Christ est un roi éternel, qui, sans sujets, il ne peut pas être. » Entièrement d’accord avec cela, le Catéchisme de Heidelberg dit dans dimanche XXI: « que le fils de Dieu, de la race humaine entière, du début à la fin du monde, rassemble, défend et conserve pour lui-même, par son esprit et la parole, dans l’unité de la foi véritable une église choisie pour la vie éternelle. » L’église est essentiellement, comme l’a indiqué dans ce qui précède, la communauté des croyants, et cette communauté existait depuis le début du vieux droit dispense jusqu’au temps présent et continuera d’exister sur la terre jusqu'à la fin du monde. Sur ce point, nous ne pouvons souscrire à ces Premillenarians qui, sous l’influence d’un discorde dispensationalisme, prétendent que l’église est exclusivement un établissement Nouveau Testament, qui n’est pas entré en existence jusqu'à l’effusion de l’Esprit Saint le jour de La Pentecôte et disparaît de la terre avant le début du Millénaire. Ils aiment se définir l’église comme « le corps du Christ, » qui est un caractéristique nouvelle nom de Testament et semblent oublier qu’il est aussi appelé « le temple de Dieu » et « Jérusalem », qui sont très nomme décidément avec une saveur de l’ancien Testament, cf. I Cor. 03:16, 17; II Corinthiens 06:16; EP 02:21; GAL 04:26; Hébreux 12:22. Nous ne devrions pas fermer les yeux sur le fait patent que le nom de « Église » (Héb. qahal, rendu ekklesia dans la Septante) est appliqué à Israël dans l’ancien Testament à plusieurs reprises, Josué 08:35; Ezra 2:65; Joel 02:16. Le fait que, dans nos traductions de la Bible, le rendu de l’ancien Testament de l’original est « collecte, » « Assemblée », ou « congrégation », tandis que le rendu de Nouveau Testament de celui-ci est « Église » peut avoir donné lieu à des malentendus sur ce point; mais le fait demeure que, dans l’ancien Testament, ainsi que dans la nouvelle l’original mot dénote une congrégation ou une Assemblée du peuple de Dieu et comme tel sert à désigner l’essence de l’église. D’une part, Jésus a dit qu’il aurait trouvé l’église dans l’avenir, Matthieu 16:18, mais il a également reconnu comme une institution déjà existante, Matthieu 18:17. Stephen parle de « l’église dans le désert, » actes 07:38. Et Paul témoigne clairement de l’unité spirituelle d’Israël et l’église en Romains 11:17-21 et EP 02:11-16. En substance, Israël constituait l’église de Dieu dans l’ancien Testament, bien que son institution externe diffère considérablement de celle de l’église dans le Nouveau Testament.

F. LES ATTRIBUTS DE L’ÉGLISE.

Selon les Protestants, les attributs de l’église sont attribuées principalement à l’église comme un organisme invisible et seulement accessoirement à l’Eglise comme une institution externe. Catholiques romains, cependant, leur attribuent à leur organisation hiérarchique. Les anciens parlent de trois attributs, mais à ces trois ce dernier ajoute une quatrième.

1. L’UNITÉ DE L’ÉGLISE.

a. la conception catholique. Catholiques romains reconnaissent habituellement seulement les hiérarchiquement organisée ecclesia comme l’église. L’unité de cette église se manifeste dans son imposante Organisation mondiale, qui vise à inclure l’église de toutes les nations. Son vrai centre n’est pas trouvé dans les croyants, mais dans la hiérarchie avec ses cercles concentriques. Il y a d’abord le cercle large du clergé inférieur, les prêtres et autres fonctionnaires inférieurs; puis le plus petit cercle des évêques; suivant celui encore plus étroit des archevêques; et, enfin, le cercle plus restreint des cardinaux; — la pyramide entière étant couronnée par le pape, le chef visible de toute l’organisation, qui possède un contrôle absolu de tous ceux qui relèvent de lui. Ainsi l’église catholique romaine présente à l’oeil une structure très imposante.

b. la conception protestante. The Protestant. Protestants affirment que l’unité de l’Eglise n’est pas principalement d’un externe, mais présentant un caractère interne et spirituel. C’est l’unité du corps mystique de Jésus Christ, dont sont membres tous les croyants. Cet organe est contrôlé par une seule tête, Jésus Christ, qui est aussi le roi de l’église et est animé par un esprit, l’esprit du Christ. Cette unité implique que tous ceux qui appartiennent à la part de l’église dans une même foi, sont cimentés par le lien commun de l’amour et ont les mêmes perspectives glorieux à l’avenir. Cette unité intérieure cherche et acquiert également, relativement parlant, une expression extérieure dans la profession et de la conduite chrétienne des fidèles, dans leur culte public du même Dieu dans le Christ et à leur participation dans les mêmes sacrements. Il ne peut y avoir aucun doute sur le fait que la Bible affirme l’unité, non seulement de l’invisible, mais aussi de l’église visible. La figure du corps, telle qu’elle se trouve dans I Corinthiens 12:12-31, implique cette unité. En outre, en Éphésiens 4:4-16, où Paul insiste sur l’unité de l’Eglise, évidemment a aussi l’église visible à l’esprit, car il parle de la nomination de responsables dans l’église et de leurs travaux dans le nom de l’idéal de l’unité de l’église. En raison de l’unité de l’église une église locale a été réprimandée pour répondre aux besoins d’une autre, et le Concile de Jérusalem se sont engagés à régler une question qui se pose à Antioche. L’église de Rome a fortement insisté sur l’unité de l’Eglise visible et a exprimé dans son organisation hiérarchique. Et quand les réformateurs a rompu avec Rome, ils n’a pas nié l’unité de l’Eglise visible, mais maintient. Toutefois, ils ne trouvèrent pas le lien d’union dans l’organisation ecclésiastique de l’église, mais dans la vraie prédication de la parole et la bonne administration des sacrements. C’est également le cas dans la Confessio Belgica. [Articles XXVII - XXIX.] Nous citons seulement les déclarations suivantes de lui: « nous croyons et professent un catholique ou l’église universelle, qui est une Congrégation de la Sainte de vrais croyants, tous attendent leur salut en Jésus Christ, à laver par son sang, sanctifié et scellé par l’Esprit Saint . » [Art. XXVII.] les marques sous lequel est connue la vraie église sont les suivants: « si la pure doctrine de l’Évangile est prêchée; Si elle maintient la pure administration des sacrements comme institué par le Christ; Si la discipline de l’église est exercé à punir le péché; en bref, si toutes les choses sont gérées selon la parole pure de Dieu; toutes choses contraires s’y rapportant a rejeté, et Jésus Christ a reconnu comme le seul chef de l’église. Par les présentes la vraie église peut certainement être connue dont personne n’a le droit de se séparer. » [Art. XXIX.] l’unité de l’église visible a été également enseignée par les théologiens réformés de la période post-réforme et était toujours très fortement soulignée en théologie écossaise. Walker dit même: « True églises du Christ, côte à côte avec un de l’autre, formant des organisations distinctes, avec les gouvernements distincts, leur semblait (théologiens écossais) totalement irrecevable, à moins qu’il pourrait être d’une façon très limitée et pour une raison quelconque de opportunisme temporaire. » [Théologiens et théologie écossaise, f. p. 97] Aux Pays-Bas, cette doctrine a été éclipsée ces dernières années dans la mesure où le multi - ou pluriformité des églises a été soulignée par déférence pour les faits de l’histoire et de la condition actuelle. À l’heure actuelle, il faut à nouveau souligner dans certaines des discussions en cours. Compte tenu des divisions actuelles de l’église, il est tout à fait naturel que la question devrait se poser, si ces milite pas contre la doctrine de l’unité de l’église visible. En réponse à cela, on peut affirmer que certaines divisions, telles que celles causées par les différences de la localité ou de la langue, sont parfaitement compatibles avec l’unité de l’église; mais que d’autres, tels que ceux qui sont originaires de perversions doctrinales ou abus sacramentelles, fassent vraiment porter atteinte à cette unité. Le résultat ancien de la direction providentielle de Dieu, mais ces derniers sont dus à l’influence du péché: à l’obscurcissement de la compréhension, la puissance de l’erreur ou l’entêtement de l’homme; et c’est pourquoi l’église devra s’efforcer de l’idéal de surmonter ces. La question se pose encore, si l’église invisible ne devrait ne pas s’exprimer dans une seule organisation. On peut difficilement dire que la parole de Dieu l’exige expressément, et l’histoire a montré, c’est infaisable et aussi de discutable valeur. La seule tentative qui a été faite jusqu’ici à s’unir à l’église entière dans une grande organisation externe, n’a pas été productive de bons résultats, mais a conduit à l’externalisme, ritualisme et légalisme. En outre, selon la diversité des églises, si caractéristiques du protestantisme, dans la mesure où elle résulte de la direction providentielle de Dieu et d’une manière légitime, est née la manière la plus naturelle et est tout à fait en harmonie avec la Loi de différenciation, qui l’organisme dans son développement évolue de l’homogène à l’hétérogène. Il est fort possible que la richesse inhérente de l’organisme de l’église trouve meilleure et plus complète expression dans la variété présente des églises qu’ils le feraient dans une seule organisation externe. Cela ne signifie pas, bien sûr, que l’église ne devrait pas viser une plus grande mesure de l’unité externe. L’idéal devrait toujours être de donner à l’expression plus adéquate à l’unité de l’église. À l’heure actuelle, il y a un assez fort mouvement syndical de l’église, mais ce mouvement, telle qu’elle a développée jusqu'à ce moment, bien que sans aucun doute jaillissant de motivations de louables la part de certains, est toujours de valeur plutôt douteuse. Quelle que soit l’union externe est effectuée doit être l’expression naturelle d’une unité intérieure existante, mais le mouvement actuel en partie cherche à fabriquer une union externe où ne trouve pas d’unité intérieure, oubliant que « aucune agrégation artificielle qui cherche à unifier naturel les disparités peuvent se permettre une garantie contre les dissensions de partis au sein de l’agrégation. » Il est non mentionnés dans les écritures, dans la mesure où il cherche l’unité au détriment de la vérité et a été sur la vague de subjectivisme dans la religion. À moins qu’il change de couleur et s’efforce d’être une plus grande unité dans la vérité, il ne sera pas productif d’unité réelle mais seulement de l’uniformité, et alors qu’il peut rendre l’Eglise plus efficace du point de vue économique, il n’ajoutera pas à la véritable efficacité spirituelle de l’église. Barth sonne juste quand il dit: « la quête de l’unité de l’église doit en fait être identique à la quête du Jésus Christ comme le béton tête et Seigneur de l’église. La bénédiction de l’unité ne peut être séparée de lui qui bénit, en lui il a sa source et la réalité, à travers sa parole et l’esprit, il nous est révélé, et seulement dans la foi, il peut devenir une réalité parmi nous. » [L’église et des églises, p. 28.]

2. LA SAINTETÉ DE L’ÉGLISE.

a. la conception catholique. La conception catholique de la sainteté de l’église est aussi principalement de caractère externe. Il n’est pas la sainteté interne des membres de l’Eglise à travers l’oeuvre sanctifiante de l’Esprit Saint, mais la sainteté cérémoniale externe qui est placée au premier plan. Selon le père Devine l’église est Sainte tout d’abord « dans ses dogmes, dans ses préceptes moraux, dans son culte, dans sa discipline, » où « tout est pur et irréprochable, tout est d’une nature telle qu’est calculé pour enlever le mal et la méchanceté et de promouvoir la plupart exa Collector vertu. » [Le credo a expliqué, p. 285.] Secondairement est seulement la sainteté de l’église conçue comme moral. Deharbe père dit que l’église est aussi Sainte, « parce qu’il y avait en elle à tous les fois saints dont sainteté de Dieu a également confirmé par les miracles et les grâces extraordinaires. » [Catéchisme de la Religion catholique, p. 140.]

b. conception protestante. Protestants, ont toutefois tout à fait une autre conception de la sainteté de l’église. Ils soutiennent que l’église est absolument Sainte objectivement, autrement dit, car elle est considérée en Jésus Christ. En vertu de la justice médiatrice du Christ, l’église est comptabilisée Sainte devant Dieu. Dans un sens relatif, ils considèrent également l’église comme étant subjectivement Sainte, qui est, comme en fait Sainte dans le principe interne de sa vie et destinés à être parfaite sainteté. C’est pourquoi elle peut vraiment être appelée une communauté des saints. Cette sainteté est d’abord une sainteté de l’homme intérieur, mais une sainteté qui s’exprime aussi dans la vie extérieure. Par conséquent, sainteté est aussi attribuée, secondairement, à l’église visible. Cette église est Sainte dans le sens qu’il est séparé du monde dans la consécration à Dieu et aussi dans le sens éthique de viser et atteindre en principe, une conversation sacrée dans le Christ. Étant donné que les églises locales visibles se composent des croyants et leurs semences, ils sont censés pour exclure tous les mécréants ouverts et les mauvaises personnes. Paul n’hésite pas à y remédier dans les églises des saints.

3. LA CATHOLICITÉ DE L’ÉGLISE.

a. la conception catholique. L’attribut de la catholicité est ouvert par l’église catholique romaine, comme si elle avait seulement le droit d’être appelé catholique. Comme les autres attributs de l’église, il est appliqué par elle auprès de l’organisation visible. Elle revendique le droit d’être considéré comme l’unique vraiment catholique église, car elle s’étend sur toute la terre et s’adapte à tous les pays et toutes les formes de gouvernement; parce qu’elle a existé depuis le début et a toujours eu des sujets et des enfants fidèles, tandis que les sectes vont et viennent; parce qu’elle est en possession de la plénitude de grâce et de vérité, destiné à être distribué parmi les hommes; et parce qu’elle surpasse en nombre de membres de toutes les sectes dissidentes pris ensemble.

b. la conception protestante. Protestants, encore une fois, appliquent cet attribut principalement à l’église invisible, qui peut être appelée catholique dans un sens beaucoup plus vrai que l’une des organisations existantes, pas même l’Eglise de Rome excepté. Justement, ils supporte mal l’arrogance des catholiques romains en s’appropriant cet attribut pour leur organisation hiérarchique, à l’exclusion de toutes les autres églises. Protestants insistent pour que l’église invisible est principalement l’église catholique réelle, car elle comprend tous les croyants sur la terre à un moment donné, personne n’exceptées; parce que, par conséquent, elle a aussi ses membres parmi toutes les nations du monde qui ont été évangélisées; et parce qu’elle exerce une influence déterminante sur la vie entière de l’homme dans toutes ses phases. Accessoirement, ils attribuent également l’attribut de la catholicité de l’église visible. Dans notre analyse de l’unité de l’Eglise visible, il est déjà apparu que les réformateurs et les Confessions réformées ont exprimé leur croyance dans une église catholique de visible, et cette opinion a été réitérée par les hollandais, écossais et américains réformée les théologiens à droite jusqu'à l’heure actuelle, bien que ces dernières années certains des Pays-Bas a exprimé des doutes sur cette doctrine. Il faut admettre que cette doctrine présente beaucoup de problèmes difficiles, qui exigent toujours des solution. Il n’est pas facile de souligner avec précision juste où se trouve cette église catholique visible. En outre, ces questions comme celles-ci se posent: (1) cette doctrine transporte avec elle une condamnation en gros du confessionnalisme, comme le Dr Henry Van Dyke semble penser ? (2) que cela signifie que certains une confession est la véritable église, tandis que tous les autres sont fausses, ou est-il préférable de faire la distinction entre les églises de formation plus ou moins pure ? (3) à quel moment une église locale ou une dénomination ne cesse d’être partie intégrante de l’église visible ? (4) est une institution externe unique ou organisation indispensable à l’unité de l’Eglise visible, ou pas ? Voici quelques-uns des problèmes qui appellent toujours pour une étude plus approfondie.

G. LES MARQUES DE L’ÉGLISE.

1. LES MARQUES DE L’EGLISE EN GÉNÉRAL.

a. la nécessité de telles marques. Presque plus besoin a été estimé pour ces marques aussi longtemps que l’église était clairement l’un. Mais lorsque s’est posée des hérésies, il est devenu nécessaire pointer vers certaines marques par lequel la vraie église pourrait être reconnue. La conscience de cette nécessité était déjà présente dans l’église primitive, était naturellement moins apparente au moyen-âge, mais devenue très forte au moment de la réforme. À cette époque l’église existante n’était pas seulement divisé en deux grandes sections, mais le protestantisme lui-même a été divisé en plusieurs sectes et églises. En conséquence, on a estimé plus en plus qu’il était nécessaire de souligner certaines marques par lequel la vraie église pourrait être distinguée du faux. Le fait de la réforme ne prouve que les réformistes, sans nier que Dieu conserve son église, avaient encore profondément conscients du fait que l’incarnation empirique de l’église peut devenir sujette à l’erreur, peut s’écarter de la vérité et peut totalement dégénérer. Ils ont supposé l’existence d’une norme de la vérité à laquelle l’église doit correspondre et reconnue comme telle la parole de Dieu.

b. les marques de l’église de la théologie réformée. Les théologiens réformés diffèrent quant au nombre des marques de l’église. Certains ont parlé de sauf un, la prédication de la pure doctrine de l’Évangile (Bèze, Alsted, Amesius, Heidanus, Maresius); d’autres, de deux, la pure prédication de la parole et la bonne administration des sacrements (Calvin, Bullinger, Zanchius, Junius, gomar, faire, à Marck) et encore d’autres ajoutés à ces tiers a, l’exercice fidèle de la discipline (Hyperius, Martyr, Ursinus Trelcatius, Heidegger, Wendelinus). Ces trois sont aussi nommés dans notre Confession; [Art. XXIX.] , mais après avoir fait parler d’eux, la Confession combine tout en un en disant: « en bref, si toutes les choses sont gérées selon la parole pure de Dieu. » En cours de temps, une distinction a été faite, en particulier en Ecosse, entre les caractéristiques qui sont absolument nécessaires à l' être de l’église et ceux qui ne sont nécessaires que pour son bien-être. Certains ont commencé à sentir que, aussi discipline nécessaire puisse être pour la santé de l’église, il serait faux de dire qu’une église sans discipline n’était aucune église du tout. Certains ont même pensé la même manière sur la bonne administration des sacrements, car ils ne se sentaient pas libres à unchurch les baptistes ou les Quakers. L’effet de cela est visible dans la Confession de Westminster, qui mentionne que la seule chose qui est indispensable à l' être de l’église « la profession de la vraie religion » et parle d’autres choses, comme la pureté de la doctrine ou de culte et de discipline comme d’excellentes qualités d’Eglises particulières, par lequel le degré de leur pureté peut être mesuré. [Chap. XXV, paragraphes 2, 4. 5.] Dr Kuyper reconnaît uniquement le verbi praedicatio et l' administratio sacramenti sous forme d’interrogation réelle de l’église, car ils seulement: (1) sont spécifique, c'est-à-dire sont caractéristiques de l’église et aucun autre organe; (2) sont des instruments par lesquels Christ travaille avec sa grâce et son esprit dans l’église; et (3) sont des éléments formatives qui entrent dans la constitution de l’église. Discipline se trouve aussi ailleurs et ne peut pas être coordonnée avec ces deux. Ne sachant cela, il a aucun objection, toutefois, de considérer l’exercice fidèle de discipline comme l’une des marques de l’église. Maintenant, c’est sans doute vrai que trois marques habituellement nommées ne sont pas vraiment coordonner. Strictement parlant, on peut dire que la vraie prédication de la parole et de sa reconnaissance comme la norme de la doctrine et de la vie, est la note de l’église. Sans elle, il n’y a pas d’église, et il détermine la bonne administration des sacrements et l’exercice fidèle de la discipline de l’église. Néanmoins, la bonne administration des sacrements est également une véritable marque de l’église. Et si l’exercice de la discipline ne peut être propre à l’église, c'est-à-dire, n’est pas trouvé dedans exclusivement, mais il est absolument essentiel à la pureté de l’église.

2. LES MARQUES DE L’EGLISE EN PARTICULIER.

a. la véritable prédication de la parole. Il s’agit de la plus importante marque de l’église. Bien qu’il soit indépendant des sacrements, ce ne sont pas indépendants de celui-ci. Le véritable prédication de la parole est le grand moyen pour entretenir l’église et lui permettant d’être la mère des croyants. Qu’il s’agit d’une des caractéristiques de la véritable Église, est évident d’après ces passages comme John 08:31, 32, 47; 14:23; J’ai John 4:1-3; John II 9. Attribuant cette marque à l’église ne veut pas dire que la prédication de la parole dans une église doit être parfaite avant elle peut être considérée comme une véritable Église. Cet idéal est inaccessible sur terre; seulement relative pureté de la doctrine peut être attribuée à aucune église. Une église peut être relativement impure dans sa présentation de la vérité sans cesser d’être une véritable Église. Mais il y a une limite au-delà de laquelle une église ne peut pas aller dans la présentation inexacte des faits ou le refus de la vérité, sans perdre son caractère véritable et devenir une fausse église. Voilà ce qui arrive lorsque les articles fondamentaux de la foi sont niait publiquement, et la doctrine et la vie ne sont plus sous le contrôle de la parole de Dieu.

b. la bonne administration des sacrements. Les sacrements ne doivent jamais être dissociées de la parole, car ils ont pas de contenu qui leur est propre, mais dérivent leur contenu de la parole de Dieu; ils sont en fait un visible prédication de la parole. Ainsi ils doivent être administrés par ministres licites de la parole, conformément à l’institution divine et uniquement aux sujets qualifiés, les croyants et leur postérité. Une négation des vérités de l’Évangile centrales affectera naturellement la bonne administration des sacrements; et l’église de Rome s’écarte certainement le mode correct, quand elle répudie les sacrements de la parole, attribuant à eux une sorte d’efficacité magique; et quand il permet aux sages-femmes d’administrer le baptême en temps de besoin. Que la bonne administration des sacrements est une caractéristique de la véritable Église, résulte de son lien indissoluble avec la prédication de la parole et de tels passages comme Matthieu 28: 19; Marc 16:15, 16; Actes à 02:42; I Corinthiens 11:23-30.

c. l’exercice fidèle de la discipline. C’est tout à fait essentiel pour le maintien de la pureté de la doctrine et pour la sécurisation de la sainteté des sacrements. Les églises qui sont laxistes dans la discipline sont liés à découvrir tôt ou tard, au sein de leur cercle, une éclipse de la lumière de la vérité et un abus de ce qui est Saint. C’est pourquoi une église qu’il resterait fidèle à son idéal dans la mesure où cela est possible sur la terre, doit être diligent et consciencieux dans l’exercice de la discipline chrétienne. La parole de Dieu insiste sur la bonne discipline dans l’Eglise du Christ, Matthieu 18:18; J’ai Cor. 5:1-5, 13; 14:33, 40; 02:14, 15, 20.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Quelle est la signification de mot ekklesia dans Matthieu 16:18; 18:17 ? Quand et comment le terme kuriake vinrent en service pour l’église ? Comment faire les mots néerlandais « kerk » et « gemeente » diffère et comment elles sont liées à l’expression grecque ? Y a-t-il des passages de l’écriture dans laquelle mot ekklesia sans doute sert à désigner comme une unité l’ensemble des personnes dans le monde entier qui extérieurement professent Christ ? Le mot est déjà utilisé comme la désignation d’un groupe d’églises sous un gouvernement commun, tels que nous appelons une dénomination ? La visibilité de l’Eglise consiste simplement en la visibilité de ses membres ? Si ce n’est pas le cas, en ce qu’il devient visible ? L’église visible soit à un autre qu’un simple extérieure relation au Christ, et il jouit tout autre que de privilèges et de simples promesses vers l’extérieur ? L’essence de l’église visible diffère-t-elle de celle de l’église invisible ? Quelles objections ont été soulevées à la distinction entre l’église en tant qu’institution et l’église comme un organisme ? Quelle est la différence fondamentale entre les catholiques et la conception réformée de l’église ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 295-354; Kuyper, Dict. dogme., De Ecclesia, pp. 3-267; ID., Tractaat Van de Reformatie der Kerken; Ibid., Voto E, II, pp. 108-151; Vos, Geref. Dogme. V, pp. 1-31; Bannerman, L’église du Christ, I, pp. 1-67; Ten Hoor, Afscheiding en Doleantie et Afscheiding de Doleantie; Doekes, De Moeder der Geloovigen, p. 7-64; Steen, De Kerk, pp. 30-131; McPherson, la Doctrine de l’église en théologie écossaise, pp. 54-128; Van Dyke, l’église, son ministère et les sacrements, pp. 1-74; Hort, The Christian Ecclesia, surtout pp. 1-21, 107-122; Pieper, Christl. Dogme. III, pp. 458-492; Valentine, Chr. dogme. II, p. 362-377; Pape, Chr. Theol. III, pp. 259-287; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 357-378; Strong, Syst. Theol., pp. 887-894; Devine, le credo a expliqué, pp. 256-295; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., pp. 102-119; Moehler, symbolisme, pp. 310-362; Schaff, nos pères' foi et le nôtre, p. 213-239; Morris, ecclésiologie, pp. 13-41; W.a. Visser ' t Hooft et J. H. Oldham, l’église et sa fonction dans la société.

 

III. le gouvernement de l’église

A. DIFFÉRENTES THÉORIES CONCERNANT LE GOUVERNEMENT DE L’ÉGLISE.

1. LA VUE DES QUAKERS ET DARBYSTES. C’est une question de principe avec les Quakers et les Darbyites de rejeter tous les gouvernement d’église. Selon eux, chaque formation église externe nécessairement dégénère et conduit à des résultats qui vont à l’encontre de l’esprit du christianisme. Il exalte l’élément humain au détriment de la volonté divine. Il néglige les charismes divinement donnés et suppléants pour les offices instituées par l’homme et par conséquent offre l’église la cosse de la connaissance humaine plutôt que les communications vitales de l’Esprit Saint. C’est pourquoi ils le considèrent comme non seulement inutile, mais résolument pécheresse d’organiser l’église visible. Les offices tombent ainsi soit dit en passant, et dans le culte public, chacun suit simplement les incitations de l’esprit. La tendance qui apparaît dans ces sectes, qui donne des preuves claires du levain de la mystique, doit être considérée comme une réaction contre l’organisation hiérarchique et le formalisme de l’église officielle d’Angleterre. Dans notre pays, certains des Quakers ont régulièrement des ministres ordonnés et procéder à leur culte très autant que les autres églises.

2. LE SYSTÈME D’ERASTIEN, NOMMÉ D’APRÈS ERASTUS, 1524-1583. Erastians considère l’église comme une société qui doit son existence et sa forme au règlement édicté par l’État. Les dirigeants de l’église sont simplement des instructeurs ou les prédicateurs de la parole, sans aucun droit ni pouvoir se prononcer, sauf ce qu’ils tirent de la magistrature civile. C’est la fonction de l’État à gouverner l’Eglise, faire preuve de discipline et d’excommunier. Censures de l’église sont des peines civiles, bien que leur application peut être confiée à des juristes de l’église. Ce système a été diversement appliqué en Angleterre, Ecosse et l’Allemagne (luthérienne). Il est en conflit avec le principe fondamental de la position de chef de Jésus-Christ et ne reconnaît pas le fait que l’église et l’État sont distinctes et indépendantes dans leur origine, dans leurs objets primaires, dans le pouvoir qu’ils exercent et dans l’administration de ce puissance.

3. LE SYSTÈME ÉPISCOPALIEN. Les épiscopaliens tenir que Christ, en tant que le chef de l’église, a confié le gouvernement de l’église directement et exclusivement à une ordonnance de prélats ou évêques, comme les successeurs des apôtres; et qu’il a constitué ces évêques un ordre distinct et indépendant qui se perpétue. Dans ce système, la communauté des croyants ou coetus fidelium n’a absolument aucune part dans le gouvernement de l’église. Dans les premiers siècles, c’était le système de l’église catholique romaine. En Angleterre, il est combiné avec le système erastienne. Mais la Bible ne garantit pas l’existence d’une telle classe distincte des officiers supérieurs, qui ont le droit inhérent à l’ordination et de compétence et donc ne pas représenter les gens ni, au sens du mot, en tirent leur office. L’écriture montre clairement que le office apostolique n’était pas un caractère permanent. Les apôtres faisaient une classe clairement distincte et indépendante, mais il n’était pas leur tâche spéciale pour gouverner et administrer les affaires des églises. C’était leur devoir d’apporter l’Évangile aux districts de non-évangélisés, de fonder des églises, puis de nommer d’autres parmi les gens de la tâche de ces églises de statuer. Avant la fin du premier siècle l’apostolat avait entièrement disparu.

4. LE SYSTÈME CATHOLIQUE ROMAIN. C’est le système épiscopal transporté jusqu'à sa conclusion logique. Le système catholique romain fait semblant de comprendre, non seulement les successeurs des apôtres, mais aussi un successeur de Pierre, qui est censé avoir eu la primauté parmi les apôtres, et dont le successeur est maintenant reconnu comme le représentant spécial du Christ. L’église de Rome est de la nature de la monarchie absolue, sous le contrôle d’un pape infaillible, a le droit de définir et de réglementer la doctrine, le culte et le gouvernement, de l’église. Selon lui, il y a des classes inférieures et les ordres, à qui est donné grâce spéciale, et dont le devoir est de gouverner l’église en stricte obligation de rendre compte à leurs supérieurs et au Pontife suprême. Les gens n’ont absolument aucune voix au sein du gouvernement de l’église. Ce système est également en conflit avec l’écriture, qui ne reconnaît aucune telle primauté de Pierre que celui sur lequel le système est construit et reconnaît distinctement la voix du peuple dans les affaires ecclésiastiques. En outre, la prétention de l’église catholique, qu’il y a eu une série ininterrompue de la succession de l’époque de Pierre jusqu'à nos jours, est contredite par l’histoire. Le système papal est, historiquement, tant mais intenable.

5. LE SYSTÈME CONGRÉGATIONALISTE. C’est aussi appelé le système d’indépendance. Selon elle chaque église ou la Congrégation est une église complète, indépendante de toute autre. Dans une telle église, que le pouvoir gouvernant repose exclusivement avec les membres de l’église, qui ont droit de réglementer leurs propres affaires. Les agents sont simplement des fonctionnaires de l’église locale, nommé à enseigner et à administrer les affaires de l’église et n’ont aucun pouvoir dirigeant au-delà de ce qu’ils possèdent en tant que membres de l’église. S’il est jugé opportun que les diverses églises devraient exercer la communion avec l’autre, comme c’est parfois le cas, cette communion s’exprime lors des conciles ecclésiastiques et aux conférences locales ou provinciales, pour l’examen de leur commune des intérêts. Mais les actions de ces organismes associés sont tenues d’être strictement consultatif ou déclarative et ne lient pas sur n’importe quelle église particulière. Cette théorie du gouvernement populaire, subordonnant au total le Office du ministère à l’action du peuple, n’est certainement pas en harmonie avec ce que nous apprenons de la parole de Dieu. En outre, la théorie que chaque église est indépendante de toutes les autres églises, ne parvient pas à exprimer l’unité de l’Eglise du Christ, a un effet de désintégration et ouvre la porte à toutes sortes d’arbitraire dans le gouvernement de l’église. Il n’y a pas d’appel des décisions de l’église locale.

6. LE SYSTÈME NATIONAL DE ÉGLISE. Ce système, appelé également le système collégial (qui a supplanté le système Territorial) a été développé en Allemagne surtout par C. M. Pfaff (1686-1780) et a été par la suite introduit dans les pays-bas. Il se déroule sur l’hypothèse que l’église est une association bénévole, égale à l’État. Les églises séparées ou congrégations sont simplement des sous-divisions de l’unique Eglise nationale. La puissance d’origine réside dans une organisation nationale, et cette organisation a compétence sur les églises locales. C’est juste l’inverse du système presbytérien, selon laquelle la puissance d’origine a son siège dans le Consistoire. Le système Territorial reconnu inhérente de l’État au culte public de réforme, pour statuer sur les litiges concernant la doctrine et la conduite et de convoquer des synodes, tandis que le collégial système attribue à l’Etat que le droit de surveillance comme un droit inhérentet ce qui concerne tous les autres droits, dont l’État pourrait exercer dans l’église questions, comme les droits dont l’église par une entente tacite ou par un Pacte formel conféré à l’État. Ce système ne tient pas compte de tout à fait de l’autonomie des églises locales, ignore les principes de l’autonomie et de responsabilité directe au Christ, engendre le formalisme et lie une église spirituelle ostensiblement par lignes formelles et géographiques. Un tel système, qui est proche du système erastienne, s’inscrit naturellement dans meilleur avec l’idée actuelle de l’État totalitaire.

B. LES PRINCIPES FONDAMENTAUX DU SYSTÈME RÉFORMÉ OU PRESBYTÉRIEN.

Églises réformées ne prétends pas que leur système de gouvernement de l’église est déterminée dans les moindres détails par la parole de Dieu, mais affirmer que ses principes fondamentaux sont directement dérivées de l’écriture. Ils ne prétendent pas un jus divinum pour les détails, mais seulement pour les principes généraux fondamentaux du système et sont tout à fait prêts à admettre que beaucoup de ses détails sont déterminés par l’opportunisme et la sagesse humaine. De là qu'il résulte que, tandis que la structure générale doit être maintenue de façon rigide, certains détails pourront être changés ecclésiastique manière appropriée pour des raisons prudentielles, tels que le bénéfice général des églises. Voici ses principes fondamentaux.

1. LE CHRIST EST LE CHEF DE L’EGLISE ET LA SOURCE DE TOUTE SON AUTORITÉ. L’église de Rome attache la plus haute importance de maintenir le poste de directeur du pape sur l’église. Les réformateurs maintient et a défendu la position, en opposition avec les revendications de la papauté, que Christ est le seul chef de l’église. Ils n’a pas entièrement évité le danger, cependant, reconnaissant, celui plus et l’autre moins, la suprématie de l’État sur l’église. Par conséquent les églises presbytériennes et réformées devaient combattre une autre bataille, la bataille pour le Headship de Jésus-Christ en opposition les empiétements injustifiés de l’État. Cette bataille se déroula d’abord en Écosse et plus tard également aux Pays-Bas. Le fait même qu’il a lutté contre ces puissances extérieures comme la papauté et de l’État ou le roi, qui prétendait être le chef de l’Eglise visible, implique clairement que ceux qui étaient engagés dans cette bataille étaient particulièrement intéressés à établir et maintient la position que Christ est la tête seulement légitime du visible église et est donc le législateur suprême seulement et le roi de l’église. Naturellement, ils ont également reconnu Christ comme le bio chef de l' invisible église. Ils ont réalisé que les deux ne peuvent pas être séparées, mais, étant donné que le pape et le roi pouvaient difficilement prétendre à être le chef organique de l’église invisible, ce n’était pas vraiment le point en question. Concernant les enseignants écossais Walker dit: « qu’ils voulaient dire que Christ est le vrai roi et chef de l’église, comme une organisation visible, arrêt rendu par ses statuts, ordonnances et officiers et forces, aussi véritablement et littéralement comme David ou Salomon ont gouverné l'Alliance gens de la vieille ». [Théologiens et théologie écossaise, p. 130.]

La Bible nous enseigne que Christ est le chef sur toutes choses: il est le Seigneur de l’univers, pas simplement comme la deuxième personne de la Trinité, mais en sa qualité de médiatrice, Matthieu 28: 18; EP 01:20-22; Phil. 02:10, 11; 17:14; 19:16. dans un sens très particulier, cependant, il est le chef de l’église qui est son corps. Il se trouve dans une relation vitale et organique à lui, il remplit de sa vie et il contrôle spirituellement, Jean 15:1-8; EP 01:10, 22, 23; 02:20-22; 04:15; 05:30; 01:18; 02:19; 3:11. Premillenarians prétendent que c’est le seul sens dans lequel le Christ est le chef de l’église, car ils nient le point pour lequel nos pères réformés a soutenu, à savoir que Christ est le roi de l’église et donc l’autorité suprême seulement pour être reconnu en elle. L’écriture enseigne clairement, toutefois, que le Christ est le chef de l’Eglise, non seulement en vertu de sa relation vitale pour elle, mais aussi comme législateur et roi. Au sens organique et vital, il est la tête principalement, mais non exclusivement, de l’église invisible, qui constitue son corps spirituel. Mais il est aussi le chef de l’Eglise visible, non seulement dans le sens biologique, mais aussi en ce sens qu’il a autorité et règle dessus, Matthieu 16:18, 19; 23:8, 10; John 13:13; I Cor. 12:5; EP 01:20-23; 4:4, 5, 11, 12; 05:23, 24. ce poste de directeur du Christ sur l’église visible est la partie principale de la domination lui a décerné à la suite de ses souffrances. Son autorité se manifeste dans les points suivants: a il a institué l’Eglise du Nouveau Testament, Matthieu 16:18, afin qu’il n’est pas tenu autant dans notre société de jour, un simple volontaire, qui a son seul mandat dans le consentement de ses membres. (b) il a mis en place les moyens de grâce qui doit administrer l’église, à savoir, la parole et les sacrements, Matthieu 28: 19, 20; Marc 16:15, 16; Luc 22:17-20; I Corinthiens 11:23-29. En la matière, personne d’autre n’a le droit de légiférer. (c) il a donné à l’église sa constitution et les officiers et eux revêtu de l’autorité divine, afin qu’ils peuvent parler et agir en son nom, Matthieu 10:1; 16:19; Jean 20:21-23; EP 04:11, 12. (d) il est toujours présent dans l’église quand il rencontre pour le culte et parle et agit par l’intermédiaire de ses dirigeants. C’est le Christ Roi qui justifie leur en parler et d’agir avec autorité, Matthieu 10:40; II Corinthiens 13:3.

2. CHRIST EXERCE SON AUTORITÉ AU MOYEN DE SA PAROLE ROYALE. Le règne du Christ n’est pas en tous points semblables à celui des rois de la terre. Il n’exclut pas l’église par la force, mais subjectivement par son esprit, qui est applicable dans l’église et objectivement par la parole de Dieu comme la norme de l’autorité. Inconditionnellement, tous les croyants sont tenus d’obéir à la parole du roi. Comme Christ est le souverain seul dirigeant de l’église, sa parole est le seul mot qui est droit dans le sens absolu. Par conséquent, tout pouvoir despotique est contrebande dans l’église. Il n’y a aucun pouvoir de décision indépendant du Christ. Le pape de Rome se trouve condamné qu’il, tout en professant d’être vicaire du Christ sur la terre, pratiquement supplante le Christ et remplace sa parole par des innovations humaines. Non seulement place tradition sur un pied d’égalité avec l’écriture, il prétend également être l’interprète infaillible des deux lorsqu’il parle ex cathedra en matière de foi et de morale. Ecriture et la tradition peuvent être les règles médiates ou éloignées de la foi, la règle immédiate est l’enseignement de l’église, qui a sa garantie à l’infaillibilité papale. [Cf. Wilmers, Manuel de la Religion chrétienne, p. 134.] Le mot du pape est la parole de Dieu. Mais s’il est vrai que Christ exerce son autorité dans l’église par les agents, cela ne veut ne pas être entendu au sens que He transferts son autorité à ses serviteurs. Il gouverne l’Eglise à travers tous les âges, mais ce faisant, il utilise les officiers de l’église comme ses organes. Ils ont aucun absolu ou indépendants, mais seulement un pouvoir dérivé et ministériel.

3. CHRIST COMME ROI A DOTÉ L’EGLISE DE PUISSANCE. Plutôt délicate se pose une question à ce stade, à savoir qui sont les matières premières et correcte du pouvoir de l’église ? À qui le Christ a commis ce pouvoir dans un premier temps ? Réponse de catholiques romains et épiscopaux: aux officiers comme une classe distincte, en opposition avec des membres ordinaires de l’église. Ce point de vue a également été jugé par certains éminents théologiens presbytériens, tels que Rutherford et Baillie. Diamétralement opposée à cela est la théorie des indépendantes, que ce pouvoir est exercé par l’église dans son ensemble, et que les agents sont simplement les organes du corps dans son ensemble. Le grand divin puritain, Owen, adopte ce point de vue avec quelques modifications. Ces dernières années certains théologiens réformés, apparemment favorisé ce point de vue, sans toutefois s’abonner au séparatisme des indépendantes. Il y a une autre opinion, cependant, ce qui représente une moyenne entre ces deux extrêmes, qui semblerait mériter la préférence. Selon elle, pouvoir ecclésiastique s’engage par le Christ à l’église dans son ensemble, c'est-à-dire les membres ordinaires et les agents semblables; mais en plus de cela les agents reçoivent une telle mesure supplémentaire du pouvoir comme c’est exigé pour l’exercice de leurs fonctions respectives dans l’église du Christ. Ils partagent la puissance d’origine conférée à l’église et recevoir leur autorité et leur pouvoir comme agents directement du Christ. Ils sont les représentants, mais non sur de simples députés ou représentants du peuple. Les théologiens anciens disent souvent: « église de tout pouvoir, dans actu primoou fondamentalement, est dans l’église elle-même; dans actu secundo, ou son exercice, qui sont spécialement appelés s’y rapportant. » C’est essentiellement l’opinion de Voetius, Gillespie (dans son ouvrage les cérémonies), Bannerman, Porteous, Bavinck et Vos.

4. CHRIST A PRÉVUE L’EXERCICE SPÉCIFIQUE DE CE POUVOIR PAR LES ORGANES REPRÉSENTATIFS. Alors que Christ ont commis de puissance à l’église dans son ensemble, il a également donné pour elle, que ce pouvoir exercé habituellement et spécifiquement par les organes représentatifs, mis de côté pour le maintien de la doctrine, culte et de discipline. Les dirigeants de l’église sont les représentants du peuple choisi par vote populaire. Cela ne signifie pas, toutefois, qu’ils reçoivent leur pouvoir du peuple, l’appel du peuple est, mais la confirmation de l’appel interne par le Seigneur lui-même; et c’est de lui qu’ils reçoivent leur autorité et à lui qu’ils sont responsables. Lorsqu’elles sont appelées des représentants, c’est simplement une indication du fait qu’ils ont été choisis pour leur office par le peuple et n’implique pas qu’ils en tirent leur autorité. C’est pourquoi ils ne sont aucun députés ou outils qui servent à réaliser les souhaits du peuple, mais les dirigeants dont le devoir est d’appréhender et d’appliquer intelligemment les lois du Christ. Dans le même temps, ils sont en devoir de reconnaître le pouvoir dévolu à l’église dans son ensemble en cherchant son accord ou consentement sur des questions importantes.

5. LA PUISSANCE DE L’ÉGLISE RÉSIDE PRINCIPALEMENT DANS L’INSTANCE DIRIGEANTE DE L’ÉGLISE LOCALE. C’est l’un des principes fondamentaux du gouvernement réformé ou presbytérien, que le pouvoir ou l’autorité de l’église ne réside pas d’abord à l’Assemblée générale la plupart de n’importe quelle église et n’est que secondairement et par dérivation à partir de cet assembly, dévolu à la Conseil d’administration de l’église locale; mais qu’elle a son siège d’origine dans le consistoire ou la session de l’église locale et est par cela transférés aux assemblys principaux, tels que les classes (consistoires) et synodes ou assemblées générales. Ainsi le système réformé honore l’autonomie de l’église locale, si elle considère ce sous réserve des limitations qui peuvent être mises sur elle à la suite de son association avec les autres églises dans une confession toujours et il assure le plein droit de gouverner sa propres affaires intérieures par le biais de ses dirigeants. Dans le même temps, il maintient également le droit et le devoir de l’église locale à s’unir avec les autres églises similaires sur une base confessionnelle commune et à former un organisme plus large à des fins doctrinales, judiciaires et administratives stipulations appropriées du mutual droits et obligations. Une organisation plus large sans doute impose certaines limites à l’autonomie des églises locales, mais favorise également la croissance et le bien-être des églises, garantit les droits des membres de l’église et sert à donner une expression plus complète à l’unité de l’église.

C. LES OFFICIERS DE L’ÉGLISE.

Différents types d’agents peuvent être distinguées dans l’église. Une distinction très générale est celle entre les officiers de l’ordinaires et extraordinaires.

1. LES OFFICIERS EXTRAORDINAIRES.

a. les apôtres. Strictement parlant, ce nom s’applique uniquement pour les douze choisis par Jésus et Paul; mais elle est aussi appliquée à certains hommes apostoliques, qui a aidé Paul à son travail, et qui ont été dotés de cadeaux apostolique et grâces, actes 14:4, 14; J’ai Cor. 9:5, 6; II Corinthiens 08:23; GAL 01:19 ( ?). Les apôtres avaient la tâche spéciale de poser les fondations de l’église de tous les âges. C’est seulement par leur parole que les croyants de tous les âges suivants ont communion avec Jésus Christ. Ils sont donc les apôtres de l’église de nos jours aussi bien qu’ils étaient les apôtres de l’église primitive. Ils ont certaines qualités spéciales. Ils ont reçu leur commission directement de Dieu ou de Jésus Christ, marquent 03:14; Luc 06:13; Galates 1:1; (b) ont été témoins de la vie du Christ et en particulier de sa résurrection, John 15:27; Actes à 01:21, 22; J’ai Cor. 9:1; (c) étaient conscients d’être inspiré par l’esprit de Dieu dans tout leur enseignement, tant oral qu’écrite, actes 15:28; J’ai Cor. 02:13; J’ai Thess. 4:8; J’ai John 5:9-12; (d) avait le pouvoir de faire des miracles et ce recours à plusieurs reprises d’entériner leur message, II Cor. 12:12; Hébreux 2:4; et (e) ont été richement béni dans leur travail comme un signe de l’approbation divine de leurs labeurs, I Cor. 9:1, 2; II Corinthiens 3:2, 3; Galates 2:8.

b. les prophètes. Le Nouveau Testament parle aussi des prophètes, actes 11:28; 13:1, 2; 15:32; I Corinthiens 12:10; 13:2; 14:3; EP 02:20; 3:5; 04:11; J’ai Timothée 01:18; 04:14; Apocalypse 11:6. Évidemment, le don de parler pour l’édification de l’église était très développé dans ces prophètes, et ils ont parfois contribués à révéler les mystères et prédire les événements futurs. La première partie de ce don est permanente dans the Christian Church et a été reconnue distinctement par les Églises réformées (prophéties), mais la dernière partie de celui-ci était d’un caractère temporaire et charismatique. Ils diffèrent des ministres ordinaires en ce qu’ils ont parlé sous l’inspiration spéciale.

c. évangélistes. En plus des apôtres et des prophètes, des évangélistes sont mentionnés dans la Bible, actes 21:8; EP 04:11; II Timothée 4:5. Philip, marque, Timothée et Tite appartenaient à cette classe. On en sait peu sur ces évangélistes. Ils accompagnent et aidé les apôtres et étaient parfois envoyés par ces derniers sur les missions spéciales. Leur travail était de prêcher et baptiser, mais aussi d’ordonner des aînés, Tite 1:5; I Timothée 05:22 et faire preuve de discipline, Tite 03:10. Leur pouvoir semble avoir été plus général et un peu supérieure à celle des ministres réguliers.

2. LES OFFICIERS ORDINAIRES.

a. les anciens. Parmi les officiers ordinaires de l’église, le presbuteroi ou episkopoi sont d’abord par ordre d’importance. L’ancien nom signifie simplement « anciens », c'est-à-dire, plus âgés et le second, « superviseurs ». Le terme presbuteroi est utilisé dans l’écriture pour désigner des vieillards et à désigner une catégorie d’agents assez semblables à ceux qui ont fonctionné dans la synagogue. En tant qu’appellation d’office le nom a été progressivement éclipsé et même remplacé par nom episkopoi. Les deux termes sont souvent utilisés indifféremment, actes 20:17, 28; I Timothée 3:1; 04:14; 05:17, 19; Tite 1:5, 7; I Pierre 5:1, 2. Presbuteroi sont d’abord mentionnés dans Actes 11:30, mais le Office était évidemment bien connu déjà quand Paul et Barnabé se rendit à Jérusalem et a pu existé même avant l’institution du diaconat. At le moins la de terme hoi neoteroi en 5 actes semble indiquer une distinction entre ces derniers et les presbuteroi. Est fait souvent mention dans le livre des actes, 14:23; 15:6, 22; 16:4; 20:17, 28; 21:18. probablement le office presbytéro ou épiscopal fut tout d’abord instituée dans les églises des Juifs, Jacques 05:14; Hébreux 13:7, 17, et puis, peu de temps après, également à ceux des païens. Plusieurs autres noms sont appliqués à ces officiers, nommément proistamenoi, Romains 12:8; J’ai Thes. 05:12; kuberneseis, I Cor. 12:28; hegoumenoi, Hébreux 13:7, 17, 24; et poimenes, Éphésiens 04:11. Ces officiers avaient clairement la surveillance du troupeau qui a été confié à leurs soins. Ils ont dû prévoir qu’il gouverner et protéger, comme le très domestique de Dieu.

b. les enseignants. Il est clair que les anciens n’étaient pas initialement enseignants. Il était inutile d’enseignants distincts dans un premier temps, puisqu’il y avait des apôtres, des prophètes et des évangélistes. Progressivement, cependant, le didaskalia était lié plus étroitement à la charge épiscopale; mais même dans ce cas les enseignants à la fois ne constituait pas une catégorie distincte d’officiers. Déclaration de Paul dans Éphésiens 04:11, qui a également donné le Christ ascensionné « pasteurs et enseignants, » mentionnée comme une seule catégorie, à l’église, montre clairement que ces deux ne constituait pas deux différentes classes d’agents, mais une seule classe ayant deux fonctions connexes. I Timothée 05:17 parle d’anciens qui travaillent dans la parole et dans l’enseignement et selon Hébreux 13:7 la hegoumenoi étaient également des enseignants. En outre, dans II Timothée 2:2 Paul invite instamment à Timothy la nécessité de nommer à des hommes fidèles de office qui seront également en mesure d’enseigner aux autres. En cours de temps deux circonstances ont conduit à une distinction entre les anciens ou les surveillants qui lui ont été confiées qu’avec le gouvernement de l’église et ceux qui ont été également appelée à enseigner: (1) lorsque les apôtres sont morts et les hérésies se leva et augmenté, la tâche de ceux qui ont été appelés à enseigner est devenu plus exigeant et exige une préparation spéciale, II Timothée 2:2; Tite 1:9; et (2) compte tenu du fait que l’ouvrier est digne de son salaire, ceux qui ont été engagés dans le ministère de la parole, une tâche globale qui exige tout leur temps, ont été mis en liberté d’autres travaux, afin qu’ils pourraient se consacrer plus exclusivement au travail de te endolorissement. Selon toute probabilité aggeloi qui ont été abordés dans les lettres aux sept églises d’Asie mineure, ont été les enseignants ou les ministres de ces églises, Apoc. 2:1, 8, 12, 18; 3:1, 7, 14. dans les cercles réformés les ministres désormais la règle les églises ainsi que les anciens, mais administrer en plus de cela la parole et les sacrements. Ensemble, ils font les règlements nécessaires pour le gouvernement de l’église.

c. les diacres. En dehors de la presbuteroi les diakonoi sont mentionnées dans le Nouveau Testament, Philippiens 1:1; I Timothée 3:8, 10, 12. Selon l’opinion dominante actes 6:1-6 contient l’enregistrement de l’établissement du diaconat. Toutefois, certains savants modernes doutent de cela et considèrent le Office mentionné dans Actes 6, soit comme un office dans lequel les fonctions des anciens et des diacres ont été combinées, ou comme un office temporel simplement servir à une fin particulière. Ils appellent l’attention sur le fait que certains des sept élus, comme Philip et Stephen, évidemment employées dans l’enseignement; et que l’argent perçu à Antioche des pauvres de Judée a été livré entre les mains des aînés. Aucune mention n’est faite des diacres quelle qu’elle soit des actes 11:30, bien que ceux-ci, s’ils avaient existé comme une catégorie distincte, auraient été les destinataires naturels de cet argent. Et encore, selon toute probabilité, 6 actes ne fait référence à l’institution du diaconat, pour: (1) le nom diakonoi, qui était, avant l’événement rapporté dans Actes 6, toujours utilisé dans le sens général de serviteur, a commencé par la suite devant être utilisés et en cours de temps servi exclusivement, pour désigner ceux qui ont été engagés dans les œuvres de miséricorde et de charité. La seule raison qui peut être assignée pour cela se trouve dans Actes 6. (2) les sept hommes mentionnées ont été inculpés de la tâche de distribuer correctement les dons qui ont été apportées pour l' agapae, un ministère qui est d’ailleurs plus particulièrement décrite par le mot diakonia, actes 11:29, Romains 12:7; II Corinthiens 8:4; 9:1, 12, 13; 02:19. (3) les exigences pour le office, tel que mentionné dans Actes 6, sont assez exigeants et à cet égard, d’accord avec les exigences mentionnées dans I Timothée 3:8-10, 12. (4) très peu on peut dire en faveur de l’idée d’animal familier de certains critiques que le diaconat n’était pas développé que plus tard, vers le moment où la charge épiscopale fait son apparition.

3. L’APPEL DES AGENTS ET DE LEUR INTRONISATION À OFFICE. Une distinction devrait être faite entre la convocation des officiers extraordinaires, comme les apôtres et que des officiers ordinaires. Les premiers étaient appelés de façon extraordinaire avec une vocation immédiate de Dieu, le second, de la manière ordinaire et par l’intermédiaire de l’église. Nous sommes concernés plus particulièrement avec l’appel des officiers ordinaires.

a. la convocation des officiers ordinaires. Il s’agit de deux volets:

(1) l’appel interne. On pense parfois que les appels internes à un office dans l’église consiste en une idée extraordinaire de Dieu à l’effet qu’on l’appelle, — une sorte de révélation spéciale. Mais ce n’est pas correct. Elle consiste plutôt à certaines indications providentielles ordinaires données par Dieu et comprend notamment trois choses: (a) la conscience d’être poussé à une tâche particulière dans le Royaume de Dieu, par amour pour Dieu et de sa cause; (b) la conviction que l'on est au moins dans une certaine mesure, intellectuellement et spirituellement qualifié au poste sollicité; et (c) l’expérience que Dieu ouvre clairement la voie à l’objectif.

(2) l’appel externe. Il s’agit de l’appel qui vient à l’un par l’intermédiaire de l’église. Il n’est pas délivré par le pape (catholique), ni par un évêque ou un collège d’évêques (épiscopalienne), mais par l’église locale. Les officiers et les membres ordinaires de l’église ont une partie en elle. Que les agents ont une main directeur dedans, mais pas à l’exclusion de la population, est clairement de ces passages comme AC 01:15-26; 6:2-6; 14:23. les gens ont été reconnus même dans le choix d’un apôtre, selon AC 01:15-26. Il semblerait que dans l’âge apostolique, les officiers a guidé le choix du peuple en appelant l’attention sur les qualifications requises qui ont été nécessaires pour le office, mais permis au peuple de prendre part à choisir, actes 01:15-26; 6:1-6; I Timothée 3:2-13. Bien sûr, dans le cas de Matthias Dieu lui-même fait le choix final.

b. l'intronisation des officiers à l'office. Il y a surtout deux rites liés à ceci:

(1) l’ordination. Cela suppose la convocation et l’examen du candidat pour le office. C’est un acte de la classis ou le presbytère (I Timothée 04:14). Dit m. Hodge: « Ordination est l’expression solennelle de l’arrêt de l’église, par les personnes nommées à rendre ce jugement, que le candidat est vraiment appelé par Dieu à prendre part à ce ministère, ainsi authentifier au peuple l’appel divin. » [Église Polity, p. 349.] Cette authentification est, en toutes circonstances ordinaires, la condition nécessaire à l’exercice de la charge ministérielle. Il peut être appelé brièvement une reconnaissance publique et la confirmation de l’appel du candidat à ce poste.

(2) imposition des mains. L’ordination est accompagnée par l’imposition des mains. De toute évidence, les deux sont allés main dans la main dans les temps apostoliques, actes 6:6; 13:3; J’ai Timothée 4:14; 5:22. dans ces premiers jours de l’imposition des mains évidemment implique deux choses: il signifiait qu’une personne a été mises de côté pour un office de certain, et que quelque don spirituel spécial a été conféré sur lui. L’église de Rome est d’avis que ces deux éléments sont toujours inclus dans l’imposition des mains, qu’elle confère effectivement certains spirituelle grâce au bénéficiaire et attribue donc à elle signification sacramentelle. Cependant, protestants soutiennent que c’est simplement une indication symbolique du fait que l’un est mis de côté pour le poste ministériel dans l’église. Alors que qu’ils considèrent comme un rite scripturaire et comme celui qui est tout à fait approprié, ils ne pas considèrent comme absolument essentiel. L’église presbytérienne rend facultatif.

D. LES ASSEMBLÉES ECCLÉSIASTIQUES.

1. LES ORGANES DIRECTEURS (COURS ECCLÉSIASTIQUES) DANS LE SYSTÈME RÉFORMÉ. Gouvernement d’église réformée est caractérisé par un système d’assemblées ecclésiastiques dans un croissant ou une gamme descendante, selon le point de vue d'où elles sont considérées. Voici le Consistoire (session), la classis (presbytère), le synod(s) et (dans certains cas) l’Assemblée générale. Le consistoire se compose du ministre (ou, ministres) et les anciens de l’église locale. La classis est composé d’un ministre et un aîné de chaque église locale dans une certaine zone. C’est un peu différent dans l’église presbytérienne, cependant, où le presbytère comprend tous les ministres au sein de ses frontières et un aîné de chacune de ses paroisses. Le Synode, encore une fois, se compose d’un nombre égal de ministres et anciens de chaque classis ou le presbytère. Et, enfin, (dans le cas les presbytériens), l’Assemblée générale est composée d’une délégation égale des ministres et des anciens de chacun des consistoires, et pas, comme pourrait s’y attendre, de chacun des synodes particuliers.

2. LE GOUVERNEMENT REPRÉSENTATIF DE L’ÉGLISE LOCALE ET SON AUTONOMIE RELATIVE.

a. le gouvernement représentatif de l’église locale. Églises réformées se distinguent, d’une part, de toutes ces églises dans laquelle le gouvernement est entre les mains d’un seul prélat ou présidant aîné et d’autre part, de celles où il repose avec les gens en général. Ils ne croient pas à une règle d’un seul homme, qu’il soit un aîné, un pasteur ou un évêque; ne croient-ils au gouvernement populaire. Ils choisissent des aînés au pouvoir comme leurs représentants et ceux-ci, ainsi que l’ou les ministres, forme un Conseil ou Consistoire pour le gouvernement de l’église locale. Très probablement les apôtres ont été guidés par la coutume vénérée d’avoir des aînés dans la synagogue, plutôt que par n’importe quel commandement direct, lorsqu’ils ont ordonné aînés dans diverses églises fondées par eux. L’église de Jérusalem avait des aînés, actes 11:30. Paul et Barnabas eux ordonné dans les églises dont ils ont organisé le premier voyage missionnaire, actes 14:23. Anciens fonctionnaient évidemment à Éphèse, actes 20:17 et à Philippes, Philippiens 1:1. Les épîtres pastorales à plusieurs reprises de faire mention d’eux, j’ai Timothée 3:1, 2; Tite 1:5, 7. Il mérite l’attention dont ils sont toujours parlés au pluriel, I Cor. 12:28; J’ai Timothée 05:17; Hébreux 13:7, 17, 24; I Pierre 5:1. Les anciens sont choisis par le peuple comme des hommes qui sont particulièrement qualifiés pour gouverner l’église. L’écriture entend évidemment que le peuple a une voix relatif à leur sélection, si ce n’était pas le cas dans la synagogue, AC 01:21-26; 6:1-6; 14:23. dans le dernier passage, cependant, le mot cheirotoneo peut avoir perdu son sens originel de la nomination par l’étirement de la mainet peut simplement signifier à nommer. Dans le même temps, il est parfaitement évident que le Seigneur lui-même met ces souverains sur le peuple et les vêtements avec l’autorité nécessaire, Matthieu 16:19; John 20:22, 23; Actes à 01:24, 26; 20:28; I Corinthiens 12:28; EP 04:11, 12; Hébreux 13:17. L’élection par le peuple est simplement une confirmation externe de l’interne à l’appelant par le Seigneur lui-même. En outre, les anciens, bien que les représentants du peuple, n’en tirent leur autorité du peuple, mais par le Seigneur de l’église. Ils exercent la règle sur la maison de Dieu au nom du roi et sont responsables uniquement devant lui.

b. l’autonomie relative de l’église locale. Gouvernement d’église réformée reconnaît l’autonomie de l’église locale. Cela signifie:

(1) que chaque église locale est un complet église du Christ, entièrement équipée avec tout ce qui est nécessaire pour son gouvernement. N’a absolument pas besoin de lui que tout gouvernement doit être imposé de sans. Et non seulement cela, mais une telle imposition serait absolument contraire à sa nature.

(2) que, s’il peut y avoir une bonne affiliation ou la consolidation des églises contiguës, il ne peut y avoir aucun syndicat qui détruit l’autonomie de l’église locale. C’est pourquoi il vaut mieux ne pas de parler des classes et des synodes comme supérieur, mais pour décrire leur majeure ou plus assemblées générales. Ils ne représentent pas un plus élevé, mais la puissance même, inhérente au consistoire, bien que cela exerce sur une échelle plus large. McGill parle d’eux comme supérieur et plus reculées tribunaux. [Gouvernement de l’église, p. 457.]

(3) que les pouvoirs et prérogatives des grandes assemblées ne sont pas illimités, mais ont des limitations aux droits des séances ou consistoires. Ils ne sont pas autorisés à dominent une église locale ou de ses membres, quels que soient les droits constitutionnels du consistoire; ni de s’immiscer dans les affaires internes d’une église locale en toute circonstance. Quand les églises d’affiliation, leurs droits et les devoirs sont circonscrits dans un ordre d’église ou de former un gouvernement. Il stipule les droits et devoirs des grandes assemblées, mais garantit également les droits de l’église locale. L’idée qu’un classis (presbytère) ou Synode peut imposer tout simplement tout ce qu’il veut sur une Eglise particulière est essentiellement catholique.

(4) que l’autonomie de l’Eglise locale a ses limites dans la relation dans laquelle il se trouve dans les églises auxquelles elle est liée et dans l’intérêt général des églises affiliées. L’ordre de l’église est une sorte de Constitution, solennellement souscrite par chaque église locale, représentée par son Consistoire. Ceci d’une part protège les droits et intérêts de l’église locale, mais d’autre part la main aussi, les droits collectifs et les intérêts des églises affiliées. Et aucune Église seule n’a le droit de ne pas tenir compte des questions d’accord mutuel et d’intérêt commun. Le groupe local peut-être être encore appelé parfois à nier lui-même pour le bien loin de l’église en général.

3. LES GRANDES ASSEMBLÉES.

a. l’écriture garantit les grandes assemblées. L’écriture ne contient-elle pas une commande explicite à l’effet que les églises locales d’un district doivent former une union organique. Ni il ne nous fournit un exemple d’une telle union. En fait, il représente les églises locales comme des entités individuelles sans n’importe quel lien externe. En même temps la nature essentielle de l’église, tel que décrit dans les Ecritures, semblerait à demander une telle union. L’église est décrit comme un organisme spirituel, dans laquelle tous les éléments constitutifs sont extrêmement liées à un autre. C’est le corps spirituel de Jésus Christ, dont il est la tête exaltée. Et ce n’est que naturel que cette unité intérieure doit s’exprimer d’une manière visible et devrait même, autant que possible dans ce monde imparfait et pécheresse, chercher l’expression dans une organisation externe correspondante. La Bible parle de l’église, non seulement comme un corps spirituel, mais aussi comme un corps tangible, comme un temple de l’Esprit Saint, comme un sacerdoce et comme une nation sainte. Chacun de ces termes indique une unité visible. Undenominationalists ou les indépendants et les congrégationalistes perdre de vue ce fait important. Les divisions existantes dans l’Eglise visible à l’heure actuelle ne devraient pas nous faire perdre de vue le fait qu’il y a certains passages des écritures qui semblent indiquer assez clairement que, non seulement l’église invisible, mais aussi l’église visible est une unité causer. mot ekklesia est employé au singulier comme une indication de l’église visible dans un sens plus large que celle de l’église purement locale, 09:31 (selon la lecture maintenant acceptée), les actes I Cor. 12:28 et probablement aussi j’ai Cor. 10:32. Dans les descriptions de l’église dans I Corinthiens 12:12-50 et Éphésiens 4:4-16 l’Apôtre a aussi son unité visible à l’esprit. En outre, il y a des raisons de penser que l’église à Jérusalem et Antioche était composé de plusieurs groupes distincts, qui ensemble forment une sorte d’unité. Et, enfin, actes 15 nous familiarise avec l’exemple du Conseil de Jérusalem. Ce Conseil était composé des apôtres et des anciens et ne constituait donc pas un bon exemple et modèle de classis ou Synode dans le sens moderne du mot. Dans le même temps, c’était un exemple d’une Assemblée de grande et de celui qui a parlé avec autorité et non pas simplement à titre consultatif.

b. le caractère représentatif des grandes assemblées. Dans l’abstrait, on peut affirmer que les grandes assemblées aurait pu être composées de tous les représentants de toutes les églises locales placées sous leur juridiction; mais, en raison du nombre des églises représentées, un tel organe serait dans la plupart des cas s’avérer inefficace et peu maniable. Afin de maintenir le nombre de représentants à des proportions raisonnables, le principe de représentation est porté à travers également dans le cadre de grandes assemblées. Pas les églises locales, mais les classes ou les consistoires, envoient leurs représentants aux synodes. Cette offre la contraction graduelle qui est nécessaire pour un système bien compacté. Les représentants immédiates des personnes qui forment les consistoires ou sessions, sont eux-mêmes représentés dans les classes ou les presbytères; et ceux-ci à leur tour sont représentés dans les synodes ou assemblées générales. Plus générale l’Assemblée, les régions plus éloignées c’est du peuple; Pourtant, aucun d'entre eux est trop éloigné pour l’expression de l’unité de l’Eglise, pour le maintien du bon ordre et pour l’efficacité générale de ses travaux.

c. les questions qui relèvent de leur compétence. Le caractère ecclésiastique de ces assemblées convient toujours à l’esprit. C’est parce qu’elles sont assemblées église, que des questions purement scientifiques, industrielles, sociales ou politiques ne relèvent pas, à ce titre, leur compétence. Uniquement les questions ecclésiastiques appartiennent à leur province, comme les questions de doctrine ou de la morale, du gouvernement de l’église et de la discipline, et tout ce qui se rapporte à la préservation de l’unité et le bon ordre dans l’église de Jésus Christ. Plus particulièrement, ils traitent de questions (1) qui, quant à leur nature, font partie de la province d’une Assemblée de mineure, mais pour une raison ou autre ne peut être réglé et (b) les questions qui, quant à leur nature, appartiennent à la province d’une Assemblée importante, puisqu’ils se rapportent aux églises en général, tels que des questions touchant la Confession, l’ordre de l’église ou la liturgie de l’église.

d. le pouvoir et l’autorité de ces assemblées. Les principaux sous-ensembles ne représentent pas une sorte de plus de puissance qu’est investie dans la session ou le Consistoire. Les Églises réformées ne connaissent aucun genre du pouvoir ecclésiastique plus élevé que celui qui réside dans le Consistoire. En même temps, leur autorité est supérieur au degré et plus large dans la mesure que celle du Consistoire. Puissance de l’église est représentée dans une plus grande mesure dans les grandes assemblées que lors du consistoire, tout comme la puissance apostolique était représenté dans une mesure supérieure à douze ans que dans un seul apôtre. Dix églises ont certainement plus d’autorité qu’une seule église; Il y a une accumulation d’énergie. En outre, l’autorité des grandes assemblées ne s’applique pas à une seule église seulement, mais s’étend à toutes les églises affiliées. En conséquence, les décisions d’une Assemblée de grande portent beaucoup de poids et ne peuvent jamais être écartées à volonté. L’affirmation parfois fait qu’ils ont seulement un caractère consultatif et par conséquent ne pas être effectués, est une manifestation du levain de l’indépendance. Ces décisions font autoritées, sauf dans les cas où elles sont déclarées explicitement à caractère purement consultatif. Ils sont obligatoires pour les églises comme la bonne interprétation et application de la Loi, — la loi du Christ, le roi de l’église. Ils cessent d’avoir force exécutoire seulement quand ils apparaissent contraires à la parole de Dieu.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Quelle est la différence entre le sens de Nouveau Testament de mot episkopos et sa connotation plus tard ? Pourquoi les offices réguliers sont nécessaires dans l’église ? L’écriture est favorable à l’idée que les gens devraient avoir une partie dans le gouvernement de l’église ? Quelle est la caractéristique principale de Prelatism ? Quelle est la distinction catholique entre une hiérarchie de commande et une hiérarchie de compétence ? Comment le Territorial et les systèmes collégiales sont créés et comment sont-ils différents ? Quel système les arminiens a fait adopter, et comment cela affecte leur position ? Quelle est la forme actuelle de gouvernement d’église dans l’église luthérienne ? Comment l’idée que le Christ est le chef de l’église que dans un sens organique n’affecte pas les offices et l’autorité de l’église ? Quelle grande portée pratique le Headship de Christ (y compris sa royauté) a-t-il sur la vie, la position et le gouvernement de l’église ? N’importe quelle église on peut considérer autonome dans le sens absolu du terme ? Comment les réformés principaux sous-ensembles diffèrent-ils des conférences congrégationalistes et conseils généraux ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 354-424; Kuyper, Dict. dogme., De Ecclesia, pp. 268-293; ID., Tractaat van de Reformatie der Kerken, pp. 41-82; Vos, Geref. Dogme., V, pp. 31-39, 49-70; Hodge, église Polity, cf. Index; Bannerman, l’église II, pp. 201-331; McGill, gouvernement de l’église, pp. 143-522; McPherson, presbytérianisme; Heyns, manuel pour les anciens et les diacres, pp. 13-70; Bouwman, Geref. Kerkrecht, cf. Index; Rieker, reformierter Grundsaetze Kirchenverfassung; Hoffmann, Kirchenverfassungsrecht; Lechler, Geschichte der Presbyterial-und Synodalverfassung seit der Reformation; Morris, ecclésiologie, pp. 80-151; Hatch, l’Organisation des premières églises chrétiennes; Sillevis Smitt, Kerk De Organisatie van de Christelijke; Lindsay, l’église et le ministère dans les premiers siècles; J. Cunningham, la croissance de l’église, pp. 1-77; Van Dyke, l’église, son ministère et les sacrements, p. 115-161; Pieper, Christl. Dogme. III, p. 501-534; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., pp. 376-410; Wilson, principes de l’Église libre, pp. 1-65; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., pp. 77-101; Devine, le credo a expliqué, pp. 302-340; Boynton, la Congrégation façon; W.a. Visser ' t Hooft et J. H. Oldham, l’église et sa fonction dans la société.

 

IV. le pouvoir de l’église

A. LA SOURCE DU POUVOIR RELIGIEUX.

Jésus Christ non seulement a fondé l’église, mais aussi il doté le pouvoir ou l’autorité. Il est à la tête de l’Eglise, non seulement dans l’organique, mais aussi dans un sens administratif, autrement dit, il n’est pas seulement la tête du corps, mais aussi le roi de la communauté spirituelle. C’est en sa qualité de roi de l’église qu’il a revêtu son pouvoir ou d’autorité. Il lui parle de l’église fondée si fermement sur un rocher qui les portes de l’enfer ne peuvent prévaloir contre elle, Matthieu 16:18; et à cette occasion — le tout premier sur lequel il a fait mention de l’église — il a également promis de doter son avec puissance, quand il a dit à Pierre: « Je donnerai les clefs du Royaume des cieux, à toi et quoi que tu nous liions sur la terre sera lié dans les cieux; et que ce soit, tu seras délierez sur la terre sera délié dans les cieux, » Matthieu 16:19. Il est évident que les termes « Église » et « Royaume des cieux » sont utilisés indifféremment ici. Les touches sont un emblème du pouvoir (cf. Ésaïe 22:15-22) et sous les clés de la Royaume de ciel Pierre reçoit le pouvoir de lier et lâche, qui à cet égard semblerait signifier, pour déterminer ce qui est interdit et ce qui est permis dans la sphère de l’église. [Cf. Vos, le Royaume de Dieu et l’Eglise, p. 147; Grosheide, comm. sur Matthew, dans loco] Et le jugement qu’il passe — dans ce cas, pas sur les personnes, mais sur des actions, sera sanctionné dans le ciel. Peter reçoit ce pouvoir comme le représentant des apôtres, et voici le noyau et la Fondation de l’église en tant qu’instructeurs de l’église. L’église de tous les âges est lié par leur parole, John 17:20; J’ai John 1:3. Que Christ doté non seulement Peter, mais tous les apôtres, avec puissance et avec le droit au juge et ce non seulement des actions mais aussi personnes, est tout à fait évident dans Jean 20:23: « dont il soit pèche vous pardonnez, ils sont pardonnés; dont il soit pèche vous conservez, qu’ils soient conservés. » Christ a donné ce pouvoir d’abord et dans le degré maximum aux apôtres, mais il s’étend également, quoique dans une moindre mesure, à l’église en général. L’église a le droit d’excommunier un pécheur impénitent. Mais elle peut le faire que parce que Jésus Christ lui-même habite dans l’église et par l’intermédiaire des apôtres a fourni à l’église avec une norme de jugement. Que le Christ a donné pouvoir à l’église dans son ensemble, est tout à fait évident de plusieurs passages du Nouveau Testament, actes 15:23-29; 16:4; J’ai Cor. 5:7, 13; 6:2-4; 12:28; EP 04:11-16. Les officiers de l’église reçoivent leur autorité de Christ et non d’hommes, même si la Congrégation joue un rôle important dans leur mise en office. Cela signifie d’une part qu’ils n’obtiennent pas aux mains de toute autorité civile, qui n’a aucun pouvoir en matière ecclésiastique et par conséquent ne peut accorder aucun; mais d’autre part également, qu’ils ne dérivent pas il les gens en général, bien qu’ils soient représentants du peuple. Porteous correctement Remarques: « que le prêtre est nommé représentant du peuple montre qu’il est leur souverain choisi. La façon dont le office est acquis, mais pas la source de sa puissance, est désigné par le titre de représentant. » [Le gouvernement du Royaume de Dieu, p. 322.]

B. LA NATURE DE CE POUVOIR.

1. UNE PUISSANCE SPIRITUELLE. Lorsque la puissance de l’église est appelée une puissance spirituelle, cela ne signifie pas qu’il est tout à fait interne et invisible, puisque les règles de Christ, corps et âme, sa parole et sacrements abordent tout l’homme, et le ministère du diaconat a même références spéciales répondre aux besoins physiques. C’est une puissance spirituelle, parce qu’elle est donnée par l’esprit de Dieu, actes 20:28, ne peut être exercé au nom du Christ, par la puissance du Saint-Esprit, John 20:22, 23; J’ai Cor. 5:4, s’applique exclusivement aux croyants, I Cor. 05:12 et ne peut être exercé d’une manière morale et spirituelle, II Corinthiens 10:4. [Bavinck, dogme. IV, p. 452.] L’état représente le gouvernement de Dieu au sujet de la succession temporelle et sortant de l’homme, tandis que l’église représente son gouvernement de succession de l’intérieur et spirituel de l’homme. Le premier vise à garantir à ses sujets de la possession et jouissance de leur externe et de droits civils et est souvent contraint d’exercer un pouvoir coercitif vis-à-vis de la violence humaine. Ce dernier est fondé en opposition à un mauvais esprit et afin d’apporter des hommes de l’esclavage spirituel, en conférant une pour eux la connaissance de la vérité, en cultivant les grâces spirituelles et de les conduire à une vie d’obéissance à des préceptes divins. La puissance de l’église étant exclusivement spirituelle, il ne pas recourir à la force. Christ a laissé entendre à plusieurs reprises que l’administration de son Royaume sur terre impliqué un spirituel et pas un pouvoir civil, Luc 12:13 ff.; Matthieu 20:25-28; John 18:36, 37. L’église de Rome perd de vue ce grand fait, lorsqu’il insiste sur la possession du pouvoir temporel et est déterminé à amener toute la vie du peuple sous son emprise.

2. UN POUVOIR MINISTÉRIEL. Il est tout à fait évident par les écritures que le pouvoir de l’église n’est aucun pouvoir indépendant et souverain, Matthieu 20:25, 26; 23:8, 10; II Corinthiens 10:4, 5; J’ai PET. 5:3, mais une diaconie leitourgia, un pouvoir ministériel, actes 04:29, 30; 20:24; Romains 1:1, dérivé de Christ et subordonné à son autorité souveraine sur l’église, Matthieu 28: 18. Elle doit être exercée en harmonie avec la parole de Dieu et sous la direction du Saint-Esprit, par l’intermédiaire de qui Christ régit son église, et au nom de Christ lui-même comme le roi de l’église, Romains 10:14, 15; Eph. 05:23; J’ai Cor. 5:4. Pourtant, c’est une puissance très réelle et complète, consistant en l’administration de la parole et les sacrements, Matthieu 28: 19, la détermination de ce qui est et ce qui n’est pas autorisé dans le Royaume de Dieu, Matthieu 16:19, le pardon et la conservation du péché, John 20:23 et l’exercice de la discipline dans l’église, Matthieu 16:18; 18:17; J’ai Cor. 5:4; Tite 03:10; Hébreux 12:15-17.

C. DIFFÉRENTES SORTES DE POUVOIRS DE L’ÉGLISE

Dans le cadre de trois offices du Christ il y a aussi une puissance trois fois dans l’église, à savoir, le dogmatica potestas docendi, potestas gubernans ou ordinans dont potestas iudicans ou disciplinae est une subdivision et la potestas ou ministerium misericordiae.

1. LA POTESTAS DOGMATICA OU DOCENDI. L’église a une mission divine dans le cadre de la vérité. C’est son devoir d’être témoin de la vérité à ceux qui n’ont pas, et elle aussi est bien un témoin et un enseignant à ceux qui se trouvent dans. L’église doit exercer ce pouvoir:

a. dans la préservation de la parole de Dieu. En donnant sa parole à l’église, Dieu a constitué l’église, le gardien du dépôt précieux de la vérité. Tandis que les forces hostiles sont dénoyautées contre elle et la puissance de l’erreur est partout apparents, que l’église doit veiller à ce que la vérité n’est pas périr de la terre, que le volume inspiré dans lequel elle est incorporée rester pure et unmutilated, afin d’accomplir son objet ne peut pas être vaincu, et qu’il être transmis fidèlement de génération en génération. Il a la tâche grande et responsable de maintenir et de défendre la vérité contre toutes les forces d’incrédulité et d’erreur, j’ai Timothée 1:3, 4; II Timothée 01:13; Tite 1:9-11. L’église n’a pas toujours été consciente de ce devoir sacré. Au cours du siècle dernier trop nombreux dirigeants de l’église ont même accueilli les assauts d’une critique hostile à la Bible et se sont réjouis dans le fait qu’il a été ramené au niveau d’une production purement humaine, un mélange de vérité et l’erreur. Ils ont montré peu de la décision qui a provoqué de Luther à crier: « Das Wort sollen Sie stehen lassen. »

b. dans l’administration de la parole et des sacrements. Il n’est pas seulement le devoir de l’église pour préserver la parole de Dieu, mais aussi il prêcher dans le monde et dans l’Assemblée du peuple de Dieu, pour la conversion des pécheurs et pour l’édification des saints. L’église a une tâche d’évangélisation ou missionnaire dans le monde. Le roi, revêtu de toute l’autorité dans les cieux et sur la terre, lui a donné la grande commission: « allez, donc et faites des disciples de toutes les nations, les baptisant au nom du père et du fils et du Saint-Esprit, leur apprenant à observer tout ce que j’ai comman DED vous. » Par le ministère de l’église, le fils est sans cesse la collecte hors de l’homme de toute race une église choisie pour la vie éternelle. L’église empirique de n’importe quel moment donné doit participer activement à l’élargissement et l’expansion de l’Eglise à travers les efforts missionnaires, doit être joué un rôle important en apportant dans les élus de toutes les nations du monde, ajout de pierres vivantes au spirituel Temple qui est en cours de construction et doit, de cette manière, promouvoir l’achèvement du nombre qui constituera finalement l’église idéale de l’avenir, l’épouse parfaite du Christ, la nouvelle Jérusalem de l’Apocalypse 21. Si l’église de Jésus Christ doit être abandonné dans l’accomplissement de cette grande tâche, elle serait infidèle à son Seigneur. Que les travaux doivent être poursuivis et doit être complétée avant la glorieuse rentrée du Sauveur, Matthieu 24:14. Et le grand moyens à la disposition de l’église pour l’accomplissement de ce travail n’est, pas l’éducation, la civilisation, la culture humaine ou des réformes sociales, bien que tout cela peuvent avoir une importance subsidiaire, mais l’Évangile du Royaume, qui n’est autre, en dépit des ce que Premillenarians peut dire, que l’Évangile de la grâce libre, de la rédemption par le sang de l’agneau. Mais l’Eglise ne peut fonder satisfaits amener pécheurs au Christ par l’entremise de l’Évangile; elle doit aussi s’engager dans la prédication de la parole dans les assemblées de ceux qui sont déjà venus à Christ. Et dans l’accomplissement de cette tâche n’est pas sa principale tâche pour appeler les pécheurs au Christ, bien que l’invitation à venir au Christ ne peut être voulant même dans les églises organisées, mais d’édifier les saints, pour renforcer leur foi, pour les amener dans la voie de sanctification et donc à se solidifier le temple spirituel du Seigneur. Paul a ceci à l’esprit quand il dit que le Christ a donné les officiers de l’enseignement de l’église « pour le perfectionnement des saints, pour le travail de son ministère, à l’édification du corps du Christ: jusqu'à ce que nous avons tous parvenir à l’unité de la foi et de la connaissance du fils de Dieu, pour un homme adulte, à la mesure de la stature de la plénitude du Christ. » EP 4:1213. L’église ne peut pas reste satisfaite d’enseigner les premiers principes de la foi, mais devez appuyez sur vers les hauteurs, afin que ceux qui sont des enfants en Christ peuvent devenir adultes hommes et femmes dans le Christ, Héb. 05:11-6:3. Seulement une église qui est vraiment forte, qui a une solide compréhension de la vérité, peut à son tour devenir un puissant organisme missionnaire et faire des conquêtes puissants pour le Seigneur. Ainsi, la tâche de l’église est une tâche globale. Elle doit souligner le chemin du Salut, doit avertir le méchant de leur malheur à venir, doit acclamer les saints avec les promesses de Salut, doit renforcer les faibles, encourager les timides et réconforter le pleurant. Et afin que tout ce travail peut être fait dans tous les pays et parmi toutes les nations, elle doit veiller à ce que la parole de Dieu est traduit en toutes les langues. Le ministère des sacrements doit, bien sûr, aller de pair avec le ministère de la parole. C’est simplement la présentation symbolique de l’Évangile, adressée à l’oeil plutôt qu’à l’oreille. Le devoir de l’église de prêcher la parole est clairement enseigné dans beaucoup de passages de l’Ecriture, comme Ésaïe 03:10, 11; II Corinthiens 05:20; J’ai Timothée 04:13; II Timothée 02:15; 4:2; Tite 2:1-10. Compte tenu des instructions claires de son roi, elle peut ne jamais laisser n’importe quel gouvernement totalitaire à lui dicter ce qu’elle doit prêcher; ni elle peut elle-même, permettre que le contenu de son message est concerné, aux exigences d’une science naturaliste, ou aux exigences d’une culture qui reflète l’esprit du monde. Modernistes ont fait juste cela durant les dernières décennies par les efforts suicidaires de s’adapter dans leur prédication aux exigences d’une rationaliste critique supérieure, de la biologie et de psychologie, de sociologie et d’économie, jusqu'à ce qu’enfin ils ont complètement perdu la message du roi. Beaucoup d'entre eux viennent maintenant à la découverte que le message a recommandé à Repenser les Missions et dans la Nouvelle théologie A pour Missions de Vernon White est très différent du message d’origine et contient peu qui est propre à la Chaire; et que, comme les choses se tiennent maintenant dans leurs milieux, l’église n’a aucun message de ses propres. Frénétique des tentatives par des modernistes à découvrir par eux-mêmes certains message qu’ils pourraient apporter aux églises, alors qu’ils devraient chercher à récupérer le message d’origine et prendre humblement leur place aux pieds de Jésus.

c. dans l’encadrement des symboles et des confessions. Chaque Église doit s’efforcer pour la conscience de soi dans la confession de la vérité. Pour y parvenir, il sera non seulement à réfléchir profondément sur la vérité, mais aussi pour formuler son expression de ce qu’il croit. En faisant cela il va engendrer à ses membres une conception claire de leur foi et transmettre à l’extérieur une certaine compréhension de ses doctrines. La nécessité de faire cela a été grandement renforcée par les perversions historiques de la vérité. La montée des hérésies invariablement réclamé pour la construction des symboles et des confessions, formulé clairement énoncés de la foi de l’église. Même les apôtres parfois jugent nécessaire de réaffirmer avec plus de précision certaines vérités en raison d’erreurs qui s’est glissée dans. John réaffirme la vérité centrale de la manifestation du Christ dans le monde en vue d’un Gnosticisme naissant (cf. son Évangile et la première épître); Paul reprend la doctrine de la résurrection, qui a été rejetée par certains (I Cor. 15; J’ai Timothée 01:20; II Timothée 2:17, 18), et aussi celui de la seconde venue du Christ, qui a été mal compris (II Thess. 2); et le Concile de Jérusalem a jugé nécessaire de réaffirmer la doctrine de la liberté chrétienne (actes 15). La Bible ne contient naturellement, aucun exemple d’un credo. Credo n’est pas donnés par la révélation, mais est le fruit de la réflexion de l’Eglise sur la vérité révélée. De nos jours, beaucoup sont opposés à des symboles et des confessions et chantent les gloires de l’église sans. Mais les griefs formulés à leur encontre ne sont pas du tout insurmontables. Credo n’est pas, considérées comme certains insinuent, de comme égal en autorité de la Bible et beaucoup moins comme supérieure à elle. Ils ne le font pas, soit par déclaration expresse ou implicite ajoute à la vérité de l’Ecriture. Ils milite pas contre la liberté de la conscience, ni faire ils ralentissent la progression de nombreuses études théologiques. Ni peuvent ils être considérés comme la cause des divisions dans l’église, qu’ils soient expressifs d'entre eux. Les divisions étaient là tout d’abord et a donné lieu à diverses croyances. En fait, ils servent dans une large mesure à promouvoir une certaine unité dans l’église visible. En outre, si une église ne veut pas se taire, il est lié à développer une croyance, que ce soit écrit ou non écrit. Tout cela ne signifie pas, cependant, que ne peut pas être abusés de croyances.

d. dans la culture de l’étude de la théologie. L’église ne peut pas reposer sur ses lauriers et être satisfait de la connaissance de la vérité divine à laquelle il a atteint et qu’il a formulées dans ses confessions. Il doit chercher à creuser toujours plus profondément dans la mine de l’écriture, afin de mettre en lumière ses trésors cachés. Grâce à une étude scientifique, il doit chercher une connaissance toujours plus profondément, un toujours mieux comprendre, des mots de la vie. Elle le doit à la vérité elle-même comme une révélation de Dieu, mais aussi à la formation de ses futurs ministres. L’église est dans l’obligation de prévoir, ou du moins à surveiller, la formation des générations successives de ses enseignants et de pasteurs. Cela semble être impliquée dans les paroles de Paul à Timothée: « Et les choses que tu as entendu de moi beaucoup de témoins tu commettre à des hommes fidèles, qui doivent être capables de l’enseigner aussi à d’autres. » II Timothée 2:2.

2. LA GUBERNANS POTESTAS. Il est divisé en potestas ordinans et potestas iudicans.

a. les ordinans potestas. « Dieu n’est pas un Dieu de confusion, mais de la paix, » I Cor. 14:33. C’est pourquoi il désire que dans son église « toutes les choses se faire bienséance et avec ordre, » vs 40. C’est évident du fait qu’il a fait provision pour la régulation adéquate des affaires de l’église. L’autorité réglementaire qu’il a donné à l’église comprend le pouvoir:

(1) pour faire appliquer les lois du Christ. Cela signifie que l’Eglise a le droit d’exercer en vigueur les lois dont le Christ a publié pour l’église. Il y a une différence importante sur ce point entre l’église catholique romaine et les églises protestantes. L’ancien pratiquement prétend pouvoir d’édicter des lois qui lient sur la conscience et la trangression qui porte en lui la même peine qui est annexée à toute violation de la loi divine. Ce dernier, cependant, rejettent une telle autorité, mais conservent le droit d’appliquer la loi du Christ, roi de l’église. Et malgré cela ils prétendent nul autre que d’un pouvoir ministériel ou déclaratif, considèrent la Loi comme liaison seulement parce qu’il est soutenu par l’autorité de Christ et de n’appliquent aucune autres censures que celles qu’il a sanctionné. En outre, ils estiment que contrainte serait en contradiction avec la nature de leur pouvoir et ne peut jamais entraîner de bénéfice spirituel réel. Tous les membres de l’église possèdent ce pouvoir dans une certaine mesure, Rom. 15:14; Corinthiens 03:16; Je th. 05:11, mais il incombe à une mesure particulière dans les officiers, Jean 21:15-17; Actes 20:28; I Pierre 5:2. Le caractère ministériel de ce pouvoir est mis en évidence dans II Corinthiens 01:24; I Pierre 5:2, 3.

(2) d’élaborer des canons ou des ordres religieux. Des occasions innombrables surviennent sur laquelle l’église est invitée à faire des lois ou règlements, souvent appelés chanoines ou ordres religieux. Ces textes ne doivent ne pas être considérées comme nouvelles lois, mais simplement comme les règlements pour l’application correcte de la Loi. Ils sont nécessaires pour rendre la politique extérieure de l’église une forme définie, de préciser sur quelles personnes de termes sont autorisés à porter le office dans l’église, de réglementer le culte public, pour déterminer le formulaire correct de la discipline et ainsi de suite. Principes généraux pour l’adoration de Dieu sont énoncées dans l’écriture, John 04:23; J’ai Cor. 11:17-33; 14:40; 16:2; Le colonel 3:16(?); I Timothée 3:1-13; mais dans le règlement des détails du culte divin, les églises sont autorisés grande latitude. Ils peuvent s’adapter aux circonstances, en gardant toujours à l’esprit, cependant, qu’ils doivent adorer Dieu publiquement la manière la mieux adaptée à l’objectif d’édification. En aucun cas les règlements de l’église peuvent être contraires aux lois du Christ.

b. la iudicans potestas. L’iudicans potestas est la force qui s’exerce pour se prémunir de la sainteté de l’église, en admettant à ceux qui sont approuvés après examen et en excluant ceux qui partent de la vérité ou de mener une vie déshonorante. Ce pouvoir s’exerce surtout en matière de discipline.

(1) les enseignements bibliques concernant la discipline. Parmi Israël péchés involontaires pouvaient être expiés par un sacrifice, mais les péchés commis « avec une main forte » (intentionnel) ont été punis d’extermination. Le « Herem » (l’interdiction ou celle qui est consacrée) était non seulement un ecclésiastique, mais également une sanction civile. L’incirconcis, les lépreux et l’impur, n’était pas autorisé à pénétrer dans le sanctuaire, Lév. 5 f.; Ézéchiel 44: 9. C’est seulement après qu’Israël a perdu son indépendance nationale, et son caractère comme une Assemblée religieuse est devenue plus importante, que l’interdiction, consistant dans l’exclusion de l’Assemblée, est devenue une mesure de discipline ecclésiastique, Esdras 10:8; Luc 06:22; John 09:22; 12:42; 16:2. Jésus a institué la discipline dans son église, lorsqu’il a donné aux apôtres, et, dans le cadre de leur parole, aussi l’église en général, le pouvoir de lier et de perdre, pour déclarer ce qui est interdit et ce qui est permis et de pardonner et de retenir les péchés déclarative , Matthieu 16:19; 18:18; John 20:23. Et c’est seulement parce que le Christ a donné ce pouvoir à l’église, qu’elle peut exercer. Plusieurs passages du Nouveau Testament se reporter à l’exercice de ce pouvoir, I Cor. 5:2, 7, 13; II Cor. 2:5-7; II Thessaloniciens. 03:14, 15; J’ai Timothée 01:20; Tite 03:10. Ces passages que j’ai Cor. 5:5 et I Timothée 01:20 ne se réfèrent pas à la discipline régulière, mais à une mesure spéciale autorisée uniquement aux apôtres et consistant en adonnant le pécheur à Satan pour la punition physique temporaire, afin de sauver l’âme.

(2) le double objectif de la discipline. L’objectif de la discipline dans l’église est double. En premier lieu, il vise à porter en vigueur de la loi du Christ concernant l’admission et l’exclusion des membres; et en second lieu, il vise à promouvoir l’édification spirituelle des membres de l’église en sécurisant leur obéissance aux lois du Christ. Ces objectifs sont subordonnées à un haut de gamme, à savoir le maintien de la sainteté de l’église de Jésus Christ. En ce qui concerne les membres malades de l’église, discipline est d’abord médical car il vise à apporter un remède, mais il peut devenir chirurgical, quand le bien-être de l’église requiert l’excision du membre malade. Il est impossible de dire quand commence un processus de discipline, si un remède sera effectué ou si le membre malade devra enfin être enlevé. Probablement l’église parviendra à amener le pécheur au repentir — et c’est, bien sûr, la fin plus souhaitable —; mais il est également possible qu’il faudra recourir à la mesure extrême d’excommunier lui. Dans tous les cas de discipline l’église devra figurer avec les deux possibilités. Même dans la mesure plus extrême, il faut toujours sauver le pécheur à l’esprit, j’ai Cor. 5:5. En même temps, il faut toujours retenir que la considération primordiale est de maintenir la sainteté de l’église.

(3) l’exercice de la discipline par les agents. Bien que les membres ordinaires de l’église sont fréquemment appelés à prendre part à l’application de la discipline, il est généralement appliqué par les officiers de l’église et peut être appliquée uniquement par eux quand discipline devient censure. Il y a deux façons différentes dans lesquelles il peut devenir l’obligation d’un consistoire pour faire face à une question de discipline. a les péchés privé peuvent devenir une cause de la discipline dans le sens le plus technique selon les modalités indiquées dans Matthieu 18:15-17. Si on a péché contre un frère, ce dernier doit avertir le pécheur; Si cela n’a pas l’effet désiré, il doit avertir lui à nouveau en présence d’un ou deux témoins; et si cela échoue, alors il doit en informer l’église, et il devient l’obligation des agents pour traiter de la question. Nous rappelons, toutefois, que cette méthode est prescrit pour les péchés privés seulement. L’infraction donnée par péchés publics ne peut être enlevée en privé, mais seulement par une transaction publique. (b) péchés publics faire le pécheur objet de mesures disciplinaires par le consistoire à la fois, sans la formalité de n’importe quel précédents avertissements privés, même s’il n’y a aucune accusation formelle. Par péchés publics sont destinées, non seulement les péchés qui sont commis en public, mais les péchés qui donnent l’infraction plutôt générale et publique. Le consistoire ne doit même pas attendre jusqu'à ce qu’une personne attire l’attention sur ces péchés, mais doit prendre l’initiative. Ce n’était aucun honneur pour les Corinthiens que Paul a dû appeler leur attention sur le scandale au milieu d’eux avant qu’ils s’est prononcée. J’ai Cor. 5:1 et suiv.; n’était pas un honneur pour l’église de Pergame et Thyatire qu’ils ont fait pas réprimander et exclure les enseignants hérétiques du milieu d’eux, 02:14, 15, 20. Dans le cas des péchés publics le consistoire n’a aucun droit d’attendre que quelqu'un porte des accusations formelles; ni il a le droit d’exiger de toute personne qui se sent finalement contraint à appeler l’attention sur ces péchés qu’il admonester le pécheur privé première. La question des péchés publics ne peut être réglée qu’en privé.

L’action disciplinaire du consistoire passe par trois étapes: (a) excommunicatio mineur, empêchant le pécheur de participant à la Cène du Seigneur. Ce n’est pas public et est suivi par des exhortations répétées par le consistoire, afin que le pécheur à la repentance. b si la mesure précédente ne pas vain, il est suivi par trois des annonces publiques et des exhortations. Dans le premier d'entre eux, le péché est mentionné, mais le pécheur n’est pas nommé. Dans le second, que le nom se fait connaître conformément à l’avis de classis, qui doit d’abord être obtenu. Et le troisième l’excommunication finale imminente est énoncée, afin que cela peut avoir le consentement de la Congrégation. Pendant tout ce temps, le consistoire, continue bien sûr, ses exhortations. (c) Enfin, il est suivi par excommunicatio majeur, par lequel on est coupé de la communion de l’église, Matthieu 18:17; J’ai Cor. 05:13; Tite 03:10, 11. Il est toujours possible de rétablir le pécheur, s’il indique une raison repentir et confesse ses péchés, II Cor. 2:5-10.

(4) la nécessité de la discipline appropriée. La nécessité d’une discipline appropriée est soulignée dans les Ecritures, Matthieu 18:15-18; Romains 16:17; J’ai Cor. 5:2, 9-13; II Cor. 2:5-10; II Thess. 3:6, 14, 15; Tite 03:10, 11. L’église d’Éphèse est loué parce qu’elle ne porte pas avec des hommes mauvais, Apoc. 2:2, et celles de Pergame et Thyatire sont réprimandés pour héberger les enseignants hérétiques et les païens abominations, 02:14, 20, 24. Dans l’ensemble, les Églises réformées ont excellé dans l’exercice de la discipline de l’église. Ils ont fortement souligné le fait que l’église du Christ doit avoir un gouvernement indépendant et la discipline. Les églises luthériennes a souligné pas cela. Ils ont été erastienne au sein du gouvernement de l’église et se sont contentés de laisser l’exercice de la discipline de l’église au sens strict du mot dans les mains du gouvernement. L’église a conservé le droit d’exercer la discipline que par le biais du ministère de la parole, c'est-à-dire par les avertissements et les exhortations adressées à l’église dans son ensemble. Cela a été confiée au pasteur et n’incluait pas le droit d’exclure toute personne de la communion de l’église. À l’heure actuelle il y a dans les églises d’alentour nous une tendance notable à être laxiste dans la discipline, de mettre un accent unilatéral sur la réforme du pécheur par le ministère de la parole et, dans certains cas — par des contacts personnels avec le pécheur et à Évitez de ces mesures comme excluant de la communion de l’église. Il y a une tendance très nette à insister sur le fait que l’église est une grande agence missionnaire, et pour oublier qu’il est d’abord l’Assemblée des saints, où ceux qui publiquement vivent dans le péché ne peut être tolérée. Il est dit que les pécheurs doivent être rassemblés dans l’église et pas exclus à la. Mais il convient de rappeler qu’elles doivent être recueillies comme des saints et qu’ils ont pas leur place légitime dans l’église, tant qu’ils ne font pas confesser leur péché et ambitionnez de sainteté de la vie.

3. LA POTESTAS OU MINISTERIUM MISERICORDIAE.

a. le charismatique don de guérison. Quand Christ a envoyé ses apôtres et les soixante-dix disciples, il instruisait non seulement à prêcher, mais aussi leur donna le pouvoir de chasser les démons et de guérir toutes sortes de maladies, Matthieu 10:1, 8; Marquer 03:15; Luc 9:1, 2; 10:9; 10:9, 17. parmi les premiers chrétiens il y en avait qui avait le don de guérison et qui pourrait faire des miracles, I Cor. 12:9, 10,28,30; Marc 16:17, 18. Cette extraordinaire condition toutefois rapidement laissée la place à l’habitude, dans lequel l’Eglise poursuit son travail par les moyens ordinaires. Il n’y a aucun motif scripturaire de l’idée que le charisme de guérison devait se poursuivre dans l’église de tous les âges. Évidemment, les miracles et les signes miraculeux enregistrés dans les écritures étaient conçues comme une marque ou d’informations d’identification de la révélation divine, se faisaient partie de cette révélation et servi pour attester et confirmer le message des premiers prédicateurs de l’Évangile. Ainsi ils cessent naturellement lors de la période de la révélation spéciale a pris fin. Il est vrai que l’Eglise de Rome et plusieurs sectes prétendent le pouvoir de guérison miraculeuse, mais la revendication n’est pas corroborée par les éléments de preuve. Il y a beaucoup d’histoires merveilleuses en circulation de guérisons miraculeuses, mais avant qu’ils en auront foi il doit être prouvé: (1) qu’ils ne s’appliquent pas aux cas de maladie imaginaire, mais à des cas de maladies réelles ou de défauts physiques; (2) qu’ils ne se réfèrent pas imaginaire ou fait semblant, mais réels, cures; et (3) que les cures sont effectivement travaillés d’une manière surnaturelle et ne sont pas le résultat de l’utilisation du naturel signifie, soit matériel ou mental. [Cf. surtout, Warfield, Faux Miracles.]

b. le ministère ordinaire de bienveillance dans l’église. Le Seigneur a manifestement voulu que l’église doit prendre les dispositions pour ses pauvres. Il fait allusion à cette obligation lorsqu’il a dit à ses disciples: « car vous avez toujours avec vous, pauvres » Matthieu 26: 11; Marc 14:7. Au moyen d’une communion des biens, l’église primitive ont veillé à ce que personne ne voulait les nécessités de la vie, actes 04:34. Il n’est pas impossible que l'neoteroi d’actes 5:6, 10 ont été les précurseurs des diacres plus tard. Et quand les veuves des Grecs ont été négligées dans l’administration quotidienne, la scie apôtres lui que sept qualifiés hommes ont été mis en charge de cette affaire nécessaire, actes 6:1-6. Ils devaient « servir les tableaux, » qui semble vouloir dire à cet égard, pour y diriger le service aux tables des pauvres, ou de prévoir un partage équitable des dispositions qui ont été placés sur les tables. Diacres et les diaconesses sont mentionnées plusieurs fois dans la Bible, Romains 16:1; Philippiens 1:1; I Timothée 3:8-12. En outre, le Nouveau Testament contient de nombreux passages demandant instamment nécessaire de donner ou collecte pour les pauvres, actes 20:35; J’ai Cor. 16:1, 2; II Corinthiens 9:1, 6, 7, 12-14; GAL 02:10; 06:10; EP 04:28; J’ai Timothée 05:10, 16; Jacques 01:27; 02:15, 16; J’ai John 03:17. Il ne peut y avoir aucun doute quant à l’obligation de l’église à cet égard. Et les diacres sont les agents qui sont chargés de la responsable et délicate tâche d’exécuter les travaux de la bienveillance chrétienne se référant à tous les nécessiteux de l’église. Ils doivent concevoir des moyens pour recueillir les fonds nécessaires, ont charge de l’argent collecté et prévoyant sa répartition prudentielle. Cependant, leur tâche n’est pas limitée à cette offre d’une aide matérielle. Ils doivent également indiquer et consoler les nécessiteux. Dans l’ensemble de leur travail ils devraient envisager il leur incombe d’appliquer les principes spirituels dans l’accomplissement de leur devoir. Il est à craindre que cette fonction de l’église est malheureusement négligée dans beaucoup de l’églises aujourd'hui. On a tendance à supposer qu’il peut sans risque être laissé à l’état d’obtenir même les pauvres de l’église. Mais en agissant sur les que l’Assomption, l’église est négligeant un devoir sacré, est sa propre vie spirituelle, prive de la joie en administrant aux besoins de ceux qui souffrent de manque et ceux qui souffrent de difficultés, qui sont prive d’appauvrissement la charge vers le bas par les soucis de la vie, et qui sont souvent totalement découragé, le confort, la joie, et le soleil des soins spirituels de l’amour chrétien, qui sont en règle générale tout à fait étranger à le œuvre de charité, administrée par l’État.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Comment les réformés et les conceptions luthérienne du Christ comme le chef du différer de l’église ? L’ancien Testament contient-il une indication que le Christ est roi de l’église ? Quels systèmes de gouvernement de l’église refuser ou diminue, la tête — ou la royauté du Christ ? Comment le poste de directeur du Christ n’affecte pas la relation de l’église à l’État, la liberté religieuse et liberté de conscience ? Est-ce que la doctrine que le pouvoir de l’église est exclusivement spirituel conforme romanisme et érastianisme ? Comment est la puissance de l’église surfaite par les hommes de la haute église et sous-estimé par les hommes de basse église, de diverses descriptions ? Comment afficher la puissance des agents indépendantes ? Pouvoir de l’église limité en quoi ? Quelle est la fin visée dans l’exercice du pouvoir de l’église ? Qu’entend-on par l’église dans Matthieu 18:17 ? La clé de la discipline est blanchi sur privilèges vers l’extérieur dans l’église, ou également sur une participation spirituelle en Christ ? Par qui et comment discipline exercée dans la catholique, l’anglicane, méthodiste et la Congrégation, l’église ? Peut une église de discipline défaire de manière sécuritaire ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 425-482; Kuyper, Dict. dogme., de Ecclesia, pp. 268-293; ID., Tractaat van de Reformatie der Kerken, pp. 41-69; Bannerman, l’église, I, pp. 187-480; II, pp. 186-200; Hodge, église Polity, cf. Index; Morris, ecclésiologie, pp. 143-151; Wilson, principes de l’Eglise libre; McPherson, la Doctrine de l’église en théologie écossaise, pp. 129-224; Gillespie, Aaron tige floraison; Ibid., Sur les cérémonies; Bouwman, Tucht De Kerkelijke; Jansen, Tucht De Kerkelijke; Biesterveld, Van Lonkhuizen, fr Rudolph, Het Diaconaat; Bouwman, Het Ambt der Diakenen; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 394-419; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, p. 607-621; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., pp. 77-101; Cunningham, Discussions de principes religieux; Ibid., Théologie historique II, pp. 514-587; McPherson, presbytérianisme.

 

L'ÉGLISE SPIRITUELLE DE JÉSUS-CHRIST

LE CORPS DE L'APPEL, SA MISSION, SA MOBILISATION

Le Nouveau Testament nous indique clairement que l'Église est le Corps de Christ (Éph. 1:22,23), non pas un corps de chair d'une forme physique, mais un Corps spirituel, comme le mentionne l'apôtre Paul: «dès maintenant, nous ne connaissons personne selon la chair; si même nous avons connu Christ selon la chair, maintenant nous ne le connaissons plus ainsi.» (2 Cor. 5:16). L'apôtre Pierre compare aussi le Corps de Christ à une maison spirituelle formée de pierres vivantes: «Désirez avec ardeur, comme des enfants nouvellement nés, le lait authentique de la Parole non-polluée, afin que vous croissiez par son moyen. Puisque vous avez goûté que le Seigneur est gracieux, en vous approchant de lui; qui est la Pierre Vivante rejetée des hommes, mais choisie de Dieu, et précieuse; vous aussi, comme des pierres vivantes, vous êtes édifiés, pour être une maison spirituelle, une sacrificature sainte, afin d'offrir des sacrifices spirituels agréables à Dieu, par Jésus-Christ... Mais vous, vous êtes une génération élue, la sacrificature royale, la nation sainte, le peuple acquis, pour proclamer les louanges de celui qui vous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière... Car c'est à cela que vous êtes appelés, puisque Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces.. (1 Pi. 2:2-4;5,9,21).

 

LE CORPS DE L'APPEL

Nous apprenons ainsi que l'Église ou Appel à Renaître, est une substance spirituelle, c'est à dire ce qui existe en soi, de manière permanente par opposition à ce qui change. Comprenons aussi que le mot «substance» est le contraire, l'antonyme du mot «forme» ou «apparence», nous indiquant que la vraie Église n'est pas une institution, organisation, ou entreprise établie par des hommes pour répondre à quelque besoin déterminé d'une société ou communauté religieuse quelconque qui se dit chrétienne. La substance ou essence de l'Appel est la vie, c'est à dire la vie éternelle, l'énergie vitale qui fécond et régénère le pécheur, une recréation de son esprit que l'on nomme aussi «la renaissance» ou encore «nouvelle naissance». Or sans vie personne ne peut rien faire, répétons-le encore une autre fois tellement cela est important à comprendre, sans vie personne ne peut rien faire. Quoique ceci est évident pour tous, aussi étrange que cela puisse être, la grande majorité de ceux qui se disent chrétiens ont beaucoup de difficulté à comprendre cela. Sans vie une personne ne peut se repentir, sans vie une personne ne peut pas croire, en d'autres mots, la vie vient avant la repentance et la foi. Ainsi il faut être né de nouveau avant de pouvoir se repentir, il faut être né de nouveau avant de croire, c'est la vie qui donne la capacité de la repentance et de la foi, et cette vie est Christ lui-même: «Jésus lui dit: JE SUIS suis le chemin, la vérité et la vie; personne ne vient au Père que par moi.» (Jean 14:6). Mais les évangéliques déforment cette vérité pourtant si simple à comprendre et ils inversent sa signification, car pour eux il faut se repentir et croire pour naître de nouveau, reniant ainsi le Seigneur Jésus comme seule source du salut. En substance ce qu'ils disent est qu'un mort à la capacité de se repentir et de croire pour avoir la vie. En d'autres mots une dinde morte, déplumée, vidée de ses intestins, lavée, bourrée de farce et bien cuite, peut revenir à la vie par elle même si seulement elle le désire. Qui ne peut voir l'absurdité et le blasphème d'une telle position.

 

Comment obtenons-nous donc la vie en Christ si la repentance et la foi viennent après comme des effets secondaires de la cause primaire? La question est légitime et demande une réponse. Premièrement sachez qu'il ne s'agit pas de la vie en Christ mais de la vie de Christ. On ne peut vivre la vie d'un autre, Christ doit vivre sa vie en nous. Tout se passe dans le drame de la croix. Pour obtenir la vie éternelle nous devons mourir à nous-mêmes, et puisque cela est impossible pour nous car nous sommes déjà mort spirituellement à cause du péché qui est en nous, il fallait que Christ le fasse pour nous comme notre substitut. Dans sa discussion avec Nicodème, Jésus dit une chose importante dont la compréhension semble avoir échapper à un très grand nombre: «Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, de même il faut que le Fils de l'homme soit élevé, afin que celui qui a cette certitude en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.» (Jean 3:14,15). Que vient faire dans ce contexte de la nouvelle naissance l'histoire du serpent que Moïse éleva dans le désert? Cela devrait être important car Jésus ne l'aurait pas mentionné. Regardons ce que dit les Saintes-Écritures sur ce sujet: «Le peuple parla donc contre Dieu et contre Moïse, et dit: Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d'Égypte, pour mourir dans le désert? car il n'y a point de pain, ni d'eau, et notre âme est dégoûtée de ce pain misérable. Et YEHOVAH envoya parmi le peuple des serpents brûlants, qui mordirent le peuple, en sorte qu'un grand nombre d'Israélites moururent. Alors le peuple vint vers Moïse, et ils dirent: Nous avons péché, car nous avons parlé contre YEHOVAH et contre toi. Prie YEHOVAH, pour qu'il éloigne de nous les serpents. Et Moïse pria pour le peuple. Et YEHOVAH dit à Moïse: Fais-toi un serpent brûlant, et mets-le sur une perche; et il arrivera que quiconque sera mordu et le regardera, sera guéri. Moïse fit donc un serpent d'airain, et il le mit sur une perche; et il arriva que quand le serpent avait mordu un homme, il regardait le serpent d'airain, et il était guéri.» (Nom. 21:5-9).

 

Or nous savons que l'exode du peuple hébreu hors d'Égypte est une figure de la délivrance du péché et du salut par grâce sous la Nouvelle Alliance du sang de Christ. Le peuple avait péché contre Dieu et contre Moïse son serviteur et Dieu envoie des serpents brûlants parmi le peuple pour les faire mourir à cause de leurs péchés. Mais ils sont accordé une grâce très spéciale, Moïse reçoit l'ordre de construire un symbole, un serpent d'airain, et de l'élever sur une perche à la vue de tout le peuple. Les gens n'avaient qu'à regarder le serpent et ils étaient guéris instantanément de leurs afflictions et de leurs péchés. Cela correspond exactement à ce qui s'est produit sur la croix, Jésus en fait le rapprochement pour nous dire que pour naître de nouveau, il faut simplement regarder à la croix celui qui y est crucifié à notre place pour nos péchés, et nous sommes instantanément sauvés. Il ne s'agit pas d'un regard furtif et distrait qui ne produit que des effets superficielles, mais d'un regard perçant qui déchire l'âme et le cœur pour produire un effet vif et permanent. Mais le pécheur ne veut ni ne peut regarder à la croix pour avoir la vie, il faut que le Saint-Esprit l'attire et lui ouvre les yeux, il faut qu'il l'écrase dans la poussière de l'humilité afin qu'il puisse le relever à la vie éternelle. La mort de Christ sur la croix occasionne la nouvelle naissance en nous, elle ne demande aucune repentance ni aucune foi, elle est le don de Dieu que nous recevons dans les mérites du sacrifice de Christ qui nous sont attribués gratuitement. Mais il y a une chose très importante qu'il faut remarquer, les mérites sont nombreuses qui nous sont attribués, la rédemption, la sanctification, la justification, l'adoption, la glorification, et évidemment l'essence même de Christ qui est la vie éternelle est primaire et avant toutes ces bénédictions, de elle découlent toutes ses mérites et dans celles-ci sont inclues la repentance et la foi, c'est à dire la reconsidération de notre position de pécheur perdu face à Christ sur la croix et l'assurance ou certitude de Christ en notre faveur dans l'accomplissement de son sacrifice parfait pour notre salut. Nous obtenons ainsi la vie éternelle et jamais plus nous ne périrons, jamais plus le péché et la loi ne pourront nous condamnés, nous en sommes libérés une fois pour toutes, même si notre corps en subit encore des répercussions, même si parfois nous faisons quelques chutes, car nous sommes sauvés en l'esprit et non en la chair (Rom. 8:1-17) et Christ a tout accomplis pour nous. Pour regarder à la croix, il s'agit simplement d'ouvrir la Bible au Nouveau Testament et lire les quatre Évangiles, nous vous suggérons de débuter par l'Évangile de Jean, néanmoins lisez et vous comprendrez et qui sais si le Seigneur n'ouvrira pas vos yeux pour regarder le serpent de Moïse, le Seigneur Jésus cloué sur la croix pour le salut de votre âme. Nous avons dit plus haut - On ne peut vivre la vie d'un autre, Christ doit vivre sa vie en nous - et c'est exactement cela qu'affirme l'apôtre Paul, nous vous prions d'en prendre note: «Je suis crucifié avec Christ, et si je vis, ce n'est plus moi, mais c'est Christ qui vit en moi; et si je vis encore dans la chair, je vis dans la foi du Fils de Dieu qui s'est sacrifié pour moi, et qui s'est donné lui-même pour moi.» (Gal. 2:20). Tout ce que nous venons de voir est le Corps de l'Appel à Renaître, l'essence même de la vie éternelle.

 

LA MISSION DE L'APPEL

En général, la mission de l'Église est conçue dans le christianisme institutionnalisé comme étant l'ordre divin qu'elle reçu d'annoncer l'Évangile, ce que plusieurs nomment «la Grande Commission». Encore de nos jours la majorité des églises et dénominations, sinon pas tous, enseignent encore la validité des cinq ministères: «Lui-même donc a donné les uns pour être apôtres, les autres pour être prophètes, les autres pour être évangélistes, les autres pour être pasteurs et docteurs.», ou comme le dit une traduction plus précise du même passage: «C'est aussi lui qui a formé les uns comme délégués, les autres interprètes, les autres messagers de la grâce, et les autres conducteurs et instructeurs.» (Éph. 4:11). Il y a toutefois plusieurs problèmes avec ce concept.

 

Premièrement les Saintes-Écritures nous indiquent clairement que ce sont strictement les apôtres qui ont reçus cette charge. Dans les passages de Mat. 28:19,20, les principaux utilisés pour élaborer la doctrine de la Grande Commission, il est dit dans le contexte immédiat: «Mais les onze disciples s'en allèrent en Galilée, sur la montagne où Jésus leur avait ordonné d'aller.» (v.16). Il est bien mentionné «les onze disciples» et non «tous les disciples» comme l'on prétend souvent, et ces «onze» sont clairement les apôtres. Pourquoi cela n'est-il jamais mentionné par tous ceux qui affirment que la mission sacrée de tous les chrétiens est de prêcher l'Évangile, lorsque la Parole de Dieu dit le contraire? Il y a définitivement intention de tromper les gens ici avec une fausse doctrine et cela est grandement évident. De même dans Marc 16:16-20 qui sont les passages préférés des Pentecôtistes et des Charismatiques pour justifier leurs pratiques aberrantes de ce qu'ils nomment faussement «les dons de l'Esprit», nous voyons dans le contexte immédiat que «ceux qui auront cru» (v.17) ne se rapporte aucunement à tous les disciples, mais spécifiquement «aux onze apôtres» (v.14). Dans les deux cas que nous venons de voir, l'enseignement qui s'y trouve est tordue par un christianisme contrefait dans le but de faire dire à la Bible ce qu'elle ne dit pas, et cela pour tromper les crédules artificieusement afin d'ériger un système de pensée, une institution ou entreprise, qui s'avère être très rentable pour ceux qui ont réussis à séduire les gens. Or la Parole de Dieu indique sans l'ombre d'aucun doute que la charge ou ministère de prêcher l'Évangile était réservé uniquement aux apôtres, il n'a pas été donné à tous les disciples et ne pouvait en aucune façon se transmettre. Le ministère des apôtres ayant été accomplit, le but étant atteint, il est évident que la proclamation de l'Évangile cessa avec la mort des apôtres (voir: Avons-nous des apôtres modernes?).

 

Le message ayant été transmit par écrit dans les textes du Nouveau Testament, la fonction d'apôtres ou d'ambassadeurs ne fut plus nécessaire. Il en est de même aussi avec les autres ministères mentionnés dans Éphésiens 4:11, ils étaient temporaires, leur but était d'établir la fondation de l'Appel à Renaître (l'Église) en proclamant son message dont voici: «Ce qui était dès le commencement, ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu de nos yeux, ce que nous avons contemplé, et que nos mains ont touché, concernant la Parole de vie; car la vie a été manifestée, et nous l'avons vu, et nous en rendons témoignage, et nous vous annonçons la vie éternelle, qui était l'expression du Père même, manifestée à nous. Ce que nous avons vu et entendu, nous vous l'annonçons, afin que vous ayez communion avec nous. Or, notre communion est envers le Père, comme étant lui-même le Fils, [JÉSUS LE MESSIE]. Et nous vous écrivons ces choses, afin que votre joie soit complète. Alors, ceci est le message que nous avons entendu de lui, et que nous vous annonçons, c'est que Dieu est lumière, et qu'en lui il n'y a point de ténèbres.» (1 Jean 1:1-5; Bible de Machaira).

 

Dorénavant, la révélation de la lumière de Dieu étant mise par écrit, le Nouveau Testament remplaça les ministères et les dons de l'Esprit. Nous n'avons donc plus à prêcher l'Évangile mais à vivre l'Évangile, et là est toute la différence. L'Appel à Renaître est la lumière de la vie éternelle (Jean 1:4,5,9-13) et nous ne devons pas cacher la lumière mais la laisser briller (Mat. 5:15,16; Mc. 4:21,22; Lc. 11:33). C'est exactement cela que mentionne l'apôtre Pierre en nous parlant du sacerdoce universel de tous les croyants: «Mais vous, vous êtes une génération élue, la sacrificature royale, la nation sainte, le peuple acquis, pour proclamer les louanges de celui qui vous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière.» (1 Pi. 2:9). Ici le mot «proclamer» est «exaggello», il signifie proprement «démontrer, manifester, faire connaître» et c'est en vivant l'Évangile que nous démontrons «Christ en nous, l'espérance de la gloire» (Col. 1:27) comme «une lumière qui brille dans les ténèbres», ainsi nous le fait si bien remarquer l'apôtre Paul: «Car le Dieu qui a dit que la lumière resplendisse au milieu des ténèbres, est celui qui a resplendi dans nos cœurs, pour faire briller la lumière de la connaissance de la gloire de Dieu en la personne de Jésus-Christ. Or, nous avons ce trésor dans des vases de terre, afin que l'excellence de la puissance soit attribuée à Dieu, et non pas à nous.» (2 Cor. 4:6,7). Le but de tous les chrétiens authentiques est de faire connaître «les louanges», «arete» en Grec ou plus précisément «les vertus», c'est à dire «les dispositions» ou «les mérites» de Christ en nous qui nous furent attribués gratuitement dans son sacrifice parfait sur la croix. Il ne s'agit aucunement de qualités morales ici qui sont propres à tous les hommes de bien, mais des distinctions de Christ dans l'excellence de sa révélation à chacun de nous pour l'avancement de son Royaume, dont l'amour de la vérité en est la marque la plus évidente.

 

Ainsi, depuis la mort des apôtres il y a un seul et même ministère pour tous les croyants, et cela sans exception. Donc videz vos églises, congédier vos ministres, renvoyez vos pasteurs travailler honnêtement pour gagner leur pain comme tous les hommes, et non comme des voleurs et des extorqueurs qui exploitent les ignorants et les crédules; et remettez dans des camisoles de force ceux qui se donnent aux pratiques de dons extatiques, et enfermez-les dans des chambres rondes où ils pourront se parler seul en langue de vipère et prophétiser aux coquerelles ainsi que chasser les démons imaginaires de leur conscience déréglée; et espérez que Dieu puisse encore vous pardonnez vos égarements, vos déviations, et vos aberrations, car aucun imposteur n'entrera dans le Royaume des cieux.

 

Deuxièmement, depuis vers la fin du premier siècle et surtout à partir du quatrième siècle, la proclamation de l'Évangile est devenu le moyen de faire de la propagande qu'on utilisait pour obtenir le monopole des consciences et le pouvoir sur les peuples ignorants, superstitieux et crédules. Quoi d'autre pouvons-nous nous attendre de fausses églises et de faux chrétiens, que d'un faux évangile qui nous présente un faux Jésus et un faux Esprit. Depuis ce temps l'Évangile qui est proclamé est un faux évangile, une contrefaçon subtile et raffinée du véritable. Les gens se sont fait avoir, encore une fois, par d'habiles séducteurs qui, au courant des siècles, ont changés le sens du mot «Évangile», ils ont cachés sa signification réelle pour en adoucir le sens afin qu'il plaise aux oreilles de tous pour les exploiter plus aisément. Or le mot «Évangile» vient du Grec «euaggelion», un mot composé de «eu» qui signifie «bien faire, bien agir, se porter bien, prospérer», c'est à dire dans le contexte du sacrifice de la croix «être gracié, acquitté, pardonné»; et de «aggelos», terme qui est généralement traduit par «ange», c'est à dire plus précisément «un messager», celui qui proclame un message. Dans son ensemble ce mot signifie littéralement «message de la grâce» ou plus précisément «message de la puissance de la grâce», et non pas «bonne nouvelle» comme on voudrait nous faire croire. Le message de la grâce est loin d'être une bonne nouvelle pour tous, car il est réservé uniquement aux élus; tandis que les réprouvés qui le reçoivent n'en veulent pas, ils vont soit le rejeter ou soit le déformer à leur avantage pour en profiter à leur façon. Avec une bonne nouvelle on joue facilement sur les émotions des gens pour leur faire ressentir toutes sortes de fausses joies et de fausses assurances, profitables aux imposteurs, aux charlatans, et aux escrocs. Tandis que le message de la grâce implique toutes les douleurs d'un déchirement interne qui sont loin d'être plaisantes et ne peuvent profiter aux bandits, aux mercenaires, et aux fripouilles qui se veulent dirigeants spirituels de la foi chrétienne.

 

LA MOBILISATION DE L'APPEL

La mise en mouvement de la transformation de l'être par la Sainte Présence de Christ en nous est ce qu'on nomme «la mobilisation de l'Appel à Renaître» qui provoque en nous des mouvements de valeurs en vue d'une action qui fait appel à toutes les forces physiques ou intellectuelles d'une personne pour faire face à une situation quelconque qui demande des changements. Ainsi il est écrit: «Étant persuadé que celui qui a commencé en vous cette gracieuse réalisation, en poursuivra l'accomplissement jusqu'au jour de Jésus-Christ.» (Phil. 1:6). Le contexte immédiat (v.5) nous indique qu'il s'agit ici de «la gracieuse réalisation» du «message de la grâce», c'est à dire «de l'Évangile» qui est produit en nous par la présence et la puissance de Dieu: «Car c'est Dieu qui produit en vous et le vouloir et le faire selon son bon plaisir.» (Phil. 2:13). Le but de tout cela est que nous puissions «faire profiter notre délivrance avec crainte et tremblement... Afin que vous soyez sans reproche, et innocents, des enfants de Dieu, sans blâmes au milieu d'une génération capricieuse et disgraciée, au sein de laquelle vous brillez comme des flambeaux dans cette dispensation, en y observant la Parole de vie...» (Phil. 2:12,15,16). Le fait que nous sommes en Christ et que Christ est en nous, fait que nous sommes «sans reproche et innocents» par les mérites de son sacrifice sur la croix qui nous sont attribués gratuitement. Inévitablement ces bénédictions occasionnent des changements en nous dans nos pensées et nos agissements, non par notre propre puissance mais par la puissance de Christ. Bref nous sommes devenus des nouvelles créatures, mais nous portons encore notre vieil homme du temps que nous demeurons dans cette chair, toutefois nous ne sommes plus sous sa domination et nous n'avons pas à obéir à ses impulsions, nous devons les mettre à mort, c'est à dire les rendre inactives par la reconnaissance que nous sommes mort en Christ. Nous savons toutefois que cela est un procédé graduel et que nous bronchons tous parfois, sans pourtant être délogés de notre position en Christ, puisque Christ est celui qui nous garde et nous dirige et nous arriverons à destination car il est fidèle envers nous pour accomplir ses promesses.

 

Dans le christianisme contrefait, la mobilisation est regardée d'une différente façon et se rapporte à ce qu'ils nomment l'église locale: «La mobilisation c’est apprendre aux croyants, dans l’église locale, à comprendre le plan de Dieu pour le monde; c’est les motiver pour répondre avec amour à la Parole de Dieu; et leur donner des occasions d’utiliser leurs dons, leurs compétences et leurs ressources, individuellement et communautairement, pour accomplir le plan divin pour le monde. On peut aussi dire que la mobilisation a pour but de faire sortir les individus de leur position dans la vie de tous les jours, pour s’engager dans un service à long terme pour la cause de la mission mondiale. L’église locale est l’instrument fondamental de Dieu pour évangéliser le monde. Selon l’Écriture, et dans la pratique, ceci est réel: nous devons nous engager dans ce sens, si nous voulons accomplir la grande commission. Le Pasteur a un rôle essentiel pour motiver l’église locale pour la cause de la mission mondiale. Le pasteur doit conduire la responsabilité dans tous les domaines de la vie de l’église locale, pour que celle ci fournisse un effort maximum pour atteindre le monde pour Christ. L’église locale doit développer intentionnellement un programme communautaire, une stratégie commune, et ainsi une « personnalité communautaire », en relation avec la cause de Dieu pour le monde. En d’autres mots, la mission est ce que vous êtes en tant qu’église, pas seulement ce que vous faites, «la mission doit être la personnalité de votre église, pas seulement un programme ! Tous les aspects et phases de la vie de l’église locale doivent inclure la mission pour le monde: on a trop longtemps fragmenté les activités dans l’église, notamment l’évangélisation, la mission, etc. La base de la stratégie communautaire pour l’église locale se trouve dans les paroles de Jésus, dans Actes 1, 8: Jérusalem (impact local); Judée et Samarie (impact régional et national); les extrémités de la terre (ministère international). Considérons qu’avec les noms géographiques, il faut aussi tenir compte des implications culturelles. N’est il pas préférable de regrouper sous un même « parapluie », tous les ministères de l’église qui visent à atteindre les hommes (évangélisation locale, mission au loin, etc.) ? Les leaders locaux doivent provoquer l’église à prendre conscience de leur responsabilité face à la tâche mondiale, puis engager les croyants dans des occasions de servir qui correspondent au temps présent. L’église locale doit prendre conscience de la dynamique de sa génération. La mission mondiale doit être abordée pratiquement avec une perspective correspondant à notre génération. Regardons comment est composée notre église locale, quelles générations sont présentes ? «pour atteindre la génération présente, il faut être contemporain, tranchant, contextuel !» Les leaders locaux doivent se montrer très flexibles, sils veulent conduire l’église avec Dieu en mission, jusqu’aux extrémités de la terre. Nous devons comprendre que la mobilisation est un processus, et non quelque chose d’instantané. Le processus se déroule en trois étapes: 1- Il faut d’abord susciter une conviction biblique. Si nous abordons la question de la mobilisation sans une bonne compréhension selon les Écritures, du cœur de Dieu pour le monde et pour la cause du monde, nous ne lui donnerons jamais priorité dans l’église locale. Nous devons enseigner que la base de la mission pour le monde, c’est le cœur de Dieu ! 2- Ensuite: il faut travailler, jusqu’à ce que ces vérités deviennent une part de la philosophie de vie et du ministère de chaque croyant. Ainsi, la manière dont les gens voient la vie va changer. Ils vont se voir eux mêmes différemment, comme un élément essentiel de la cause de Dieu pour le monde. 3- Ensuite : en tant que leaders locaux, nous devons fournir aux gens les moyens pratiques de s’investir, des outils concrets pour leur engagement, afin qu’ils puissent utiliser leurs dons, ressources et compétences pour Sa cause dans le monde.»

 

Pour qui a des yeux pour voir et la moindre intelligence pour comprendre, il est évident que le texte que nous venons de voir est nul autre qu'un plan d'entreprise pour faire progresser son expansion et ses profits par le moyen de la manipulation et de l'endoctrinement (voir L'Illusion de servir Christ).

 

Le concept de l'église locale par le christianisme moderne est une vraie abomination mondaine. Il est évident que tous les gens qui se disent chrétiens vivent dans une localité située dans une ville quelconque, même que certaines villes sont tellement grande qu'elles sont divisées en différentes localités. Aucun besoin d'un degré en comptabilité ou en histoire pour le savoir. Cela est une des raisons pourquoi toutes les fausses églises et dénominations portent différents noms afin de se reconnaître et se retrouver dans les agglomérations. Nous pouvons y trouver, par exemple, l'église du ghetto ou église des vauriens, l'église des crottés du site malpropre, l'église du trou noir des assombris, l'église des saoulons du point rond, l'église des prostituées du bordel du coin, etc. Si elles se trouvent dans les forêts nous avons l'église du sapin de la troisième branche, l'église du tronc du chêne, l'église de la grattelle de l'herbe à poux, etc. Puis finalement, si elles se trouvent dans les déserts nous avons l'église des brûlés du soleil, l'église des assoiffés insatiables, l'église du chameau ondulant, l'église des babouins africains, l'église du chacal charognard, etc. Facile n'est-ce pas de trouver des noms à des églises qui leurs conviennent très bien.

 

Il y a des gens qui se disent chrétiens dans presque toutes les localités du monde entier, mais cela ne signifie aucunement qu'ils sont de vrais chrétiens. Le nombre ne valide pas la qualité, d'ailleurs nous savons que les vrais chrétiens sont très peu, ils sont la perle rare dans notre monde ténébreux, en trouver un sur dix million est même une chose extraordinaire et inusité. Mais les imposteurs pullulent comme de la vermine, on en trouve partout, à tous les coins de rue, dans toutes les églises, et même sous la queue de la vache et entre les orteils du diable, et ils ont tous une belle apparence enrobée de versets bibliques pour impressionner les crédules et les cancres, des pédants qui pensent connaitre tout et qui ne connaissent rien, des gens qui s'illusionnent pensant être sauvés, lorsqu'en réalité ils sont sauvés de Dieu et de la vérité. On entend souvent parler de l'Église visible et de l'Église invisible, cela est vrai mais uniquement dans le sens qu'il y a des appelés à renaître ici et là dans les communautés, quoiqu'ils sont très peu. Qu'il soit compris une fois pour toutes que l'Église visible est le chrétien authentique lui-même et que l'Église invisible est Christ en lui. Il n'existe aucune autre sorte d'église, qu'elle soit considérée universelle, locale, ou militante. Il y a une seule et même Église pour tous les vrais élus, qui qu'ils soient où qu'ils soient, car il y a une seule puissance pour la renaissance, Christ-Jésus lui-même.

 

RETOUR À L'ÉGLISE PRIMITIVE

Déçue de la foi dite chrétienne dans nos églises et dénominations contemporaines, plusieurs en sortent pour se réunir dans des maisons, cherchant à retourner à la forme de l'Église primitive. Privés de tout discernement, ils ne peuvent réaliser que l'Église primitive des apôtres et des premiers disciples était provisoire, elle était dans une période de transition dans laquelle coexistaient la loi de l'Ancienne Alliance et la grâce de la Nouvelle Alliance. Cette situation temporaire continua jusqu'en l'an 70 lorsque Jérusalem et le temple, cœur de la loi, fut complètement détruit par les armées romaines. L'Église qui suivit cette période postapostolique ne fut pas la même ni fut-elle désignée pour l'être. Si l'Appel à Renaître demeurait identique, sa forme ou constitution externe et ses méthodes d'administration n'étaient pas conçues comme un modèle à être reproduit à perpétuité. La fondation de l'Appel à Renaître de la grâce de Dieu ayant été posée, il s'agissait maintenant de construire dessus comme un sage architecte. Ainsi dit l'apôtre Paul: «Selon la grâce de Dieu qui m'a été donnée, j'ai posé le fondement, comme un sage architecte, et un autre bâtit dessus; mais que chacun prenne garde comment il bâtit dessus. Car personne ne peut poser d'autre fondement que celui qui a été posé, lequel est Jésus-Christ.» (1 Cor. 3:10,11). Sous la Nouvelle Alliance du sang de Christ il ne s'agissait plus de construire un temple de pierres, c'est à dire une administration religieuse, mais un temple de pierres vivantes dans lequel habite l'Esprit de Dieu: «Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l'Esprit de Dieu habite en vous?» (1 Cor. 3:16); «Vous aussi, comme des pierres vivantes, vous êtes édifiés, pour être une maison spirituelle, une sacrificature sainte, afin d'offrir des sacrifices spirituels agréables à Dieu, par Jésus-Christ.» (1 Pi. 2:5). Ainsi nous n'avons pas à rechercher une forme primitive d'administration, mais une expression secondaire qui évolue spirituellement sous la direction de l'Esprit de Dieu.

 

En l'an 70 l'Église ou convocation à renaître commença une nouvelle phase d'existence, les apôtres avaient ouvert le chemin à la construction d'un nouvel édifice, une maison spirituelle dans laquelle Christ habitait dans le cœur de ses élus et d'où il régnait comme Roi. Mais dès le début de cette nouvelle période le principe essentiel de l'Église, c'est à dire de l'Appel à Renaître, fut déformé par des imposteurs qui voulaient attirer des disciples après eux pour former une nouvelle institution avec des principes d'administration, ce qui est contraire à l'Esprit de liberté que nous avons en Christ. En d'autres mots ils posèrent «un autre fondement que celui qui a été posé, lequel est Jésus-Christ», c'est à dire que les hommes et leurs administrations supplantèrent l'autorité de Christ et prirent l'éminence sur la foi chrétienne, l'interprétant à leurs façons afin de dominer sur les gens. L'apôtre Paul en avait donné l'avertissement d'avance, ce qui empêcha plusieurs de tomber dans le piège des religions conçues par des hommes: «Prenez donc garde à vous-mêmes, et à tout le troupeau sur lequel la Sainte Présence de Christ vous a établis surveillants, pour paître les convoqués à renaître de Dieu, qu'il a acquis par son propre sang. Car je sais qu'après mon départ, il s'introduira parmi vous des loups ravissants, qui n'épargneront point le troupeau; et qu'il s'élèvera parmi vous des hommes qui annonceront des doctrines pernicieuses, afin d'attirer les disciples après eux.» (Ac. 20:28-30). Malheureusement la contrefaçon prit le dessus et en quelques siècles on vit se former l'embryon de l'église catholique romaines avec toutes ses idolâtries abominables. De là, le reste est de l'histoire jusqu'à l'apparition du protestantisme lors de la Réformation, puis du mouvement évangélique moderne avec ses réveils qui endorment la conscience des crédules.

 

En parlant de l’Église primitive, il faut se situer dans le contexte de l'époque. Les premiers chrétiens continuaient de participer à la vie religieuse du peuple juif. Les milliers de juifs qui avaient embrassé la foi (Ac. 4:4) étaient de zélés partisans de la loi (Ac 21:20,39): leurs enfants étaient circoncis, les prescriptions relatives aux purifications observées et le repos du sabbat pratiqué. Ils n'avaient pas réalisé pleinement la libération de la loi que nous avons en Christ. Ceux qui habitaient Jérusalem participaient aux prières quotidiennes au Temple (Ac. 2:46). Leur but n’était pas de constituer une communauté séparée de celle des juifs. En fait les chrétiens apparaissaient, aux yeux du peuple, comme des juifs particulièrement fervents.

 

Même une lecture superficielle des Écritures nous permet de nous rendre compte rapidement que l’Église primitive n’était ni un bâtiment ni une assemblée au sens traditionnel que beaucoup d’entre nous avons connue. C’était plutôt un réseau d’individus si flexible qu’il était capable de satisfaire aux besoins des milliers de convertis qui s’ajoutèrent à eux au fil des jours après la Pentecôte. Les premiers chrétiens étaient des juifs qui pensaient que le message du salut était adressé uniquement aux personnes de leur peuple, mais Pierre et Paul ont été convaincus par Dieu de voir au-delà des limites de la nation d'Israël, donc après la vision rapportée dans Actes 10 et la conférence de Jérusalem dans Actes 15, le champ missionnaire a été étendue à tous genres d'hommes à travers le monde de l'empire romain: «... leur voix est allée par toute la terre, et leurs paroles jusqu'aux extrémités de cette disposition.» (Rom. 10:18).

 

Certaines choses indiquent que, très tôt à Jérusalem, l’Église avait au moins une vague organisation, et il y a des preuves concluantes que, peu de temps après, les églises locales étaient bien organisées dans des foyers. Les croyants se réunissaient pour la communion fraternelle, comptaient le nombre des membres, pourvoyaient à un secours matériel pour les nécessiteux parmi eux (Ac. 2:41,46). Les apôtres étaient les responsables dans cette Église, mais il ajoutèrent bientôt sept personnes pour s’occuper du ministère auprès des pauvres (Ac. 6:1-7). Le jour de la Pentecôte, ils étaient réunis dans la chambre haute (Ac. 1:13; 2:1). Le plus souvent cependant, ils semblent s’être réunis dans la maison d’un chrétien (Ac. 2:46; 12:12), bien que parfois ils se rendaient apparemment encore au temple (Ac. 2:46; 3:1). Tous ces facteurs indiquent une certaine organisation dans l’Église de Jérusalem qui était désignée pour ce temps. L’Église des apôtres, ministère provisoire pour établir sa fondation, est à la fois une organisation et un organisme. A cause de cette double nature du temps qu'elle coexistait avec la loi mosaïque, elle devait faire face à deux sortes de problèmes: des problèmes administratifs et des problèmes spirituels.

 

Dans cette période transitoire qui ne reviendra jamais, Dieu a placé des ministères et des dons miraculeux temporaires dans la communauté des premiers chrétiens, afin de marquer le changement de dispensation de la loi à la grâce. Puisque les juifs, peuple au cou raide, depuis qu'ils sortirent de l'esclavage en Égypte sous la direction de Moïse, demandaient toujours des signes pour croire en la puissance de Dieu (1 Cor. 1:22), il leur en accorda pour une dernière fois par la main de ses ministres pour leur indiquer que le Royaume de Dieu était pour leur être enlevé et donné aux Gentils ou non-juifs: «C'est pourquoi je vous dis que le royaume de Dieu vous sera ôté, et qu'il sera donné à une nation qui en rendra les fruits.» (Mat. 21:43). Les dons miraculeux de l'Esprit avaient été désignés pour aveugler les juifs et endurcir leur cœur «afin de les exciter à la jalousie» (Rom. 11:11) pour qu'ils soient sauvés de la même manière que les Gentils, c'est à dire par la foi et non pas par les œuvres de la loi qu'ils chérissaient tant. Ainsi dit l'apôtre Paul: «Car je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, afin que vous ne soyez pas sages à vos propres yeux, c'est que l'aveuglement avait été désigné à venir sur Israël pour que l'ensemble des Gentils soit pénétrée [du message de la grâce]. Et de la même manière [que les Gentils], chacun d'Israël sera sauvé.» (Rom. 11:25,26). Dieu donc établit des ministères intérimaires avec des dons miraculeux temporaires: «Et Dieu a établi dans l'Église, premièrement les apôtres, secondement les prophètes, en troisième lieu les docteurs, ensuite ceux qui ont le don des miracles, puis ceux qui ont les dons de guérir, de secourir, de gouverner, de parler diverses langues.» (1 Cor. 12:28 - Bible Ostervald 1877), ou comme nous voyons dans une traduction plus précise du même passage: «Et Dieu a aussi établi dans la convocation [des élus], premièrement les messagers délégués, secondement les interprètes [des Écritures], troisièmement les instructeurs, ensuite les puissants combattants [contre les ténèbres], puis les privilégiés à la restauration [des âmes blessées], au redressement, à la discipline, au divers langages.» (Bible de Machaira).

 

Nous n'avons donc pas à nous organiser en Église. Vouloir faire un retour à la forme d'administration de l'Église primitive est un recul dans la foi, une trahison à la liberté que nous avons en Christ et un viol de la grâce. Le Royaume de Dieu est progressif et non régressif. Ainsi disait l'apôtre Paul aux Hébreux: «Or, le juste vivra par la foi; mais si quelqu'un se retire, mon âme ne prend point de plaisir en lui. Pour nous, nous ne sommes pas de ceux qui se retirent pour périr; mais nous sommes de ceux qui gardent la foi pour sauver leur âme.» (Héb. 10:38,39 - Bible Ostervald 1877).

 

 

Les moyens de Grace

I. les moyens de grâce en général

A. L’IDÉE DES MOYENS DE GRÂCE.

Homme déchu reçoit toutes les bénédictions du Salut de la fontaine éternelle de la grâce de Dieu, en vertu des mérites de Jésus Christ et par le biais de l’opération du Saint-Esprit. Alors que l’esprit peut et à certains égards fonctionne immédiatement sur l’âme du pécheur, il a jugé bon de s’obliger en grande partie à l’utilisation de certains moyens dans la communication de la grâce divine. Le terme « désigne de grâce » n’est pas trouvé dans la Bible, mais est néanmoins une désignation appropriée des moyens qui sont indiqués dans la Bible. Dans le même temps, le terme n’est pas très précis et peut avoir un sens beaucoup plus complet que ce qu’il a ordinairement en théologie. L’église peut être représentée comme le grand moyen de grâce que le Christ, par l’intermédiaire de l’Esprit Saint, utilise pour le rassemblement des élus, l’édification des saints et l’édification de son corps spirituel. Il lui est admissible à cette grande tâche en dotant son avec toutes sortes de dons spirituels et par l’institution des offices de l’administration de la parole et les sacrements, qui sont autant de moyens pour conduire les élus à leur destinée éternelle. Mais le terme peut avoir une portée encore plus large. La direction toute providentielle des saints, par le biais de la prospérité et l’adversité, devient souvent un moyen par lequel l’Esprit Saint conduit les élus à Christ ou à une communion toujours plus étroite avec lui. Il est même possible d’inclure dans les moyens de grâce, tout ce qu’il faut des hommes pour l’accueil et la poursuite de la jouissance de la bénédiction de l’Alliance, comme la foi, conversion, combat spirituel et la prière. Il est coutumier, ni souhaitable, cependant, pour inclure tout cela sous le terme « moyens de grâce. » L’église n’est pas un moyen de grâce aux côtés de la parole et les sacrements, parce que son pouvoir pour promouvoir le travail de la grâce de Dieu consiste seulement dans l’administration de ceux-ci. Elle n’est pas joué un rôle important dans la communication de la grâce, sauf au moyen de la parole et des sacrements. En outre, foi, conversion et la prière, sont les premiers de tous les fruits de la grâce de Dieu, bien qu’ils risquent de devenir à son tour un rôle déterminant dans le renforcement de la vie spirituelle. Ils ne sont pas des ordonnances objectives, mais les conditions subjectives de la possession et la jouissance de la bénédiction de l'Alliance. Par conséquent, il est préférable de ne pas suivre Hodge quand il comprend la prière, ni McPherson lorsqu’il ajoute à la parole et les sacrements de l’église et la prière. Strictement parlant, que le mot et les sacrements peuvent être considérés comme moyens de grâce, c'est-à-dire comme des canaux objectives dont Christ a institué dans l’église et à laquelle il ordinairement s’engage dans la communication de sa grâce. Bien sûr ils ne peuvent jamais être dissociées du Christ, ni l’application puissante de l’Esprit Saint, ni de l’église qui est l’organe désigné pour la distribution de la bénédiction de la grâce divine. Ils sont en soi tout à fait inefficace et productives des résultats spirituels que par le biais de l’exploitation efficace de l’Esprit Saint.

B. CARACTÉRISTIQUES DE LA PAROLE ET LES SACREMENTS COMME LE MOYEN DE LA GRÂCE.

Le fait qu’on peut parler des moyens de grâce dans un sens plutôt général rend impératif pour pointer vers les caractéristiques distinctives des moyens de grâce dans le sens technique ou restreint du mot.

1. ils sont des instruments, mais pas de communes , grâce spéciale , la grâce qui enlève le péché et renouvelle le pécheur conforme à l’image de Dieu. Il est vrai que la parole de Dieu peut et à certains égards en fait y enrichir ceux qui vivent sous l’Évangile avec certains des bénédictions choicest de grâce commune dans le sens restreint du mot; mais elle, ainsi que les sacrements, vient en considération ici seulement comme un moyen de grâce au sens technique du terme. Et les moyens de grâce en ce sens sont toujours connectés avec le début et l’exploitation progressive de la grâce spéciale de Dieu, c’est la grâce rédemptrice, dans le cœur des pécheurs.

2. ils sont en eux-mêmeset non en vertu de leur lien avec des choses ne pas inclus dedans, signifie de grâce. Expériences de substitution peut et sans doute parfois, servent à renforcer le travail de Dieu dans le cœur des croyants, mais cela ne constitue pas les moyens de grâce au sens technique, puisqu’ils y parvenir seulement dans la mesure où ces expériences sont interprétés à la lumière de la parole de Dieu, par lequel le Saint-Esprit opère. La parole et les sacrements sont en elles-mêmes des moyens de grâce; leur efficacité spirituelle repose uniquement sur l’opération du Saint-Esprit.

3. ils sont des instruments continue de la grâce divine et pas dans le sens du mot exceptionnel. Cela signifie qu’ils ne sont pas associés à l’opération de la grâce divine qu’occasionnellement ou de manière plus ou moins accidentelle, mais les moyens régulièrement ordonnés pour la communication de la grâce salvatrice de Dieu et ont ainsi une valeur perpétuelle. Le Catéchisme de Heidelberg demande 65 en Question, « puisque, alors, nous sommes faits participants de Christ, et tous ses avantages par la foi seule, d'où vient cette foi ? » Et la réponse est, « de l’Esprit Saint, qui elle fonctionne dans nos cœurs par la prédication de l’Evangile et il confirme par l’utilisation des Saints sacrements. »

4. ils sont le moyen officiel de l’église de Jésus Christ. La prédication de la parole (ou, la parole prêchée) et l' administration des sacrements (ou, les sacrements administrés) sont les moyens officiellement institué dans l’église, par laquelle l’Esprit Saint travaille et confirme la foi dans le cœur des hommes. Certains théologiens réformés limitent l’idée des moyens de grâce encore plus en disant qu’ils sont administrés seuls au sein de l’Eglise visible, et qu’elles présupposent l’existence du principe de la vie nouvelle dans l’âme. Shedd et Dada à la fois parlent d’eux, sans qualification, comme « moyen de sanctification. » Dit l’ancien: « Quand le monde des hommes régénérés sont dits d’avoir les moyens de grâce, les moyens de conviction sous la grâce commune, pas de sanctification sous la grâce spéciale, sont destinées ». [Dogme. Théol. II, p. 561.] Honig fait également la distinction entre la parole de Dieu comme un moyen de la grâce et le mot car il contienne l’appel à la conversion et sert à appeler les gentils au service du Dieu vivant. [Handboek van de Geref. Dogme., p. 611.] Le Dr de Kuyper, pense aussi, des moyens de grâce comme de simples moyens pour le renforcement de la nouvelle vie, quand il dit: « les médias gratiae sont moyens institués par Dieu qu’il met permet de déplier, personnellement et socialement et grâce à notre conscience la re-création qu’il a immédiatement établi dans notre nature. » [Dict. dogme., De Sacramentis, p. 7 (mine de traduction — L.B.).] Il y a, bien sûr, une vérité dans cette représentation. Le principe de la nouvelle vie est forgé dans l’âme immédiatement, c'est-à-dire sans la médiation de la parole qui est prêchée. Mais dans la mesure où l’origine de la nouvelle vie comprend également la nouvelle naissance et appel interne, on peut aussi dire que l’Esprit Saint travaille à la date de début de la nouvelle vie de foi, comme le dit le Catéchisme de Heidelberg, « par la prédication de l’Evangile ».

C. VUES HISTORIQUES CONCERNANT LES MOYENS DE GRÂCE.

Il y a eu des divergences d’opinion concernant les moyens de grâce dans l’église de Jésus Christ considérables. L’église primitive ne nous fournit pas avec quelque chose de très précis sur ce point. Il y avait beaucoup plus l’accent sur les sacrements que sur la parole de Dieu. Baptême a été plutôt généralement considérée comme le moyen par lequel les pécheurs ont été régénérées, alors que l’Eucharistie se distingue comme le sacrement de sanctification. En cours de temps, cependant, certains points de vue précis ont été développés.

1. LA VUE CATHOLIQUE ROMAINE. Alors que les catholiques romains considérés même des reliques et des images comme moyen de la grâce, ils ont du doigt en particulier la parole et les sacrements. Dans le même temps, ils ont échoué à donner proéminence due à la parole et attribué à ce terme uniquement préparatoire signification dans le travail de la grâce. Par rapport au terme, les sacrements ont été considéré comme le véritable moyen de grâce. Dans le système qui a été développé petit à petit l’église de Rome reconnaît un moyen qui est même supérieur aux sacrements. L’église elle-même est considéré comme le principal moyen de grâce. En elle que le Christ continue sa vie divine et humaine sur la terre, effectue son travail prophétique, sacerdotale et royale, et à travers elle, il communique la plénitude de sa grâce et de vérité. Cette grâce, sert surtout à élever l’homme de la nature à l’ordre surnaturel. C’est un gracieux elevans, une puissance physique surnaturelle, infusés dans l’homme naturel grâce aux sacrements travail ex opere operato. Dans les sacrements les signes visibles et l’invisible grâce sont inséparablement liés. En fait, la grâce de Dieu est contenue dans les moyens comme une sorte de substance, est transmise par la voie des moyens et est par conséquent absolument liée aux moyens. Baptême régénère l’homme ex opere operato, et l’Eucharistie encore plus important déclenche sa vie spirituelle à un niveau supérieur. En dehors de Christ, de l’église et de la Sainte-Cène, il n’y a pas de Salut.

2. LA VUE LUTHÉRIENNE. Avec la réforme, l’accent a été déplacé de sacrements à la parole de Dieu. Luther a donné grande importance à la parole de Dieu comme le principal moyen de grâce. Il a souligné que les sacrements n’ont aucune signification en dehors de la parole et sont en fait simplement le mot visible. Il ne réussit pas entièrement dans la correction de l’erreur de catholique romain ce qui concerne le lien indissoluble entre les moyens vers l’extérieur et de la grâce intérieure communiquée à travers eux. Lui aussi, la grâce de Dieu conçu comme une sorte de substance contenue dans les moyens et de ne pas être obtenues en dehors des moyens. La parole de Dieu est en soi toujours efficace et effectuera un changement spirituel chez l’homme, à moins qu’il met une stumblingblock de la manière. Et le corps et le sang du Christ est « dans, avec et sous » les éléments du pain et du vin, afin qu’ils qui mangent et boivent ces derniers reçoivent aussi les premiers, bien que ce sera à leur avantage que si ils les reçoivent une manière appropriée. C’était surtout son opposition à la subjectivité des anabaptistes qui a provoqué de Luther à souligner le caractère objectif des sacrements et de conditionner leur efficacité sur leur institution divine plutôt que sur la foi des bénéficiaires. Les luthériens ne pas toujours orienter clairement de l’idée que les sacrements fonctionnent ex opere operato.

3. LA VUE DES MYSTIQUES. Luther a dû affronter beaucoup de choses les anabaptistes mystiques, et c’est surtout sa réaction à leur point de vue qui détermine son avis final des moyens de grâce. Les anabaptistes et autres sectes mystiques de l’époque de la réforme et de temps plus tard, pratiquement nient que Dieu lui-même a recours à des moyens dans la distribution de sa grâce. Ils soulignent le fait que Dieu est absolument librement pour communiquer sa grâce et donc peut difficilement être considérée comme liée à de tels moyens externes. Après tout, ces moyens appartiennent au monde naturel et n’ont rien en commun avec le monde spirituel. Dieu, Christ, le Saint-esprit ou ou la lumière intérieure, travail directement dans le coeur et les mots et les sacrements peut servir uniquement pour indiquer ou pour symboliser cette grâce interne. Cette conception d’ensemble est déterminée par une vision dualiste de la nature et la grâce.

4. LA VUE RATIONALISTE. Les Sociniens des jours de la réformation, en revanche, allés trop loin dans la direction opposée. Socinus lui-même ne considère pas même le baptême comme un rite destiné à être permanent dans l’église de Jésus Christ, mais ses partisans ne vont pas à l’extrême. Ils ont reconnu fois baptême et la Cène du Seigneur comme les rites de validité permanente, mais qui leur est attribuée seulement une efficacité morale. Cela signifie qu’ils pensaient des moyens de grâce comme travail uniquement par le biais de persuasion morale et ne pas associer à tous à toute opération mystique du Saint-Esprit. En fait, ils ont mis l’accent davantage sur ce que l’homme l’a fait dans les moyens de grâce que sur ce que Dieu accompli à travers eux, quand ils parlaient d’eux comme simple externes insignes de profession et (des sacrements) comme mémoriaux. Les arminiens du XVIIe siècle et les rationalistes du XVIIIe siècle ont partagé ce point de vue.

5. LA VUE RÉFORMÉE. Alors que la réaction pour les anabaptistes ont causé les luthériens se déplacent en direction de Rome et lier la grâce de Dieu aux moyens au sens plus absolu, une position également adoptée par la haute église Anglicans —, les Églises réformées ont continué la vue originale du reformater ion. Ils nient que les moyens de grâce peuvent eux-mêmes confèrent la grâce, comme si ils étaient revêtus d’un pouvoir magique pour produire la sainteté. Dieu et Dieu seul est la cause efficiente du Salut. Et dans la distribution et la communication de sa grâce qu’il n’est pas absolument lié aux moyens divinement désignés par lequel ordinairement fonctionne, il les utilise pour servir ses desseins miséricordieux selon son propre libre arbitre. Mais alors qu’ils ne considèrent pas les moyens de grâce comme absolument nécessaires et indispensables, ils s’opposent fortement à l’idée que ces moyens peuvent être traités comme purement accidentel et indifférent et peuvent être ignorées en toute impunité. Dieu leur a nommé les moyens ordinaires par lesquels il travaille sa grâce dans le cœur des pécheurs, et leur négligence volontaire ne peut résulter en perte spirituelle.

D. LES ÉLÉMENTS CARACTÉRISTIQUES DANS LA DOCTRINE RÉFORMÉE DES MOYENS DE GRÂCE.

Pour la bonne compréhension de la doctrine réformée des moyens de grâce, les points suivants méritent un accent particulier.

1. la grâce spéciale de Dieu opère uniquement dans la sphère dans laquelle les moyens de la fonction de grace. Cette vérité doit être maintenue par les mystiques, qui nient la nécessité des moyens de grâce. Dieu est un Dieu d’ordre, qui, dans l’exploitation de sa grâce, ordinairement emploie les moyens qui lui a ordonné. Ceci, bien sûr, ne veut pas dire qu’il a lui-même devenir inféodé aux moyens nommés et ne pourrait pas éventuellement travailler sans eux dans la communication de sa grâce, mais seulement qu’il a plu à lui pour lier lui-même, sauf dans le cas des nourrissons, à l’usage de ces moyens .

2. sur un seul point, à savoir, dans l’implantation de la nouvelle vie, la grâce de Dieu fonctionne immédiatement, c'est-à-dire sans l’utilisation de ces moyens comme des instruments. Mais malgré cela il fonctionne seulement dans le domaine des moyens de grâce, étant donné que ceux-ci sont absolument nécessaires en faisant ressortir et nourrissant la vie nouvelle. Il s’agit d’une négation directe de la position du rationalisme, qui représente la régénération à la suite de persuasion morale.

3. pendant que la grâce de Dieu opère généralement médiatement, n’est pas comprise dans les moyens comme un dépôt divin, il accompagne l’utilisation de ces. Cela doit être maintenue à l’encontre des catholiques romains, les Anglicans d’église haute, et les luthériens, qui partent de l’hypothèse que les moyens de grâce toujours fonctionnent en vertu du pouvoir inhérent, bien que leur fonctionnement peuvent être faites sans effet par la condition ou une attitude du destinataire.

4. la parole de Dieu ne peut jamais être séparé de sacrements, mais doit toujours accompagner, car ils sont pratiquement qu’une représentation visible de la vérité qui est véhiculée à nous par le mot. Dans l’église de Rome, le mot prend sa retraite dans l’arrière-plan comme ayant une signification uniquement préparatoire, tandis que les sacrements, considérés en dehors de la parole, sont considérés comme des moyens réels de la grâce.

5. toutes les connaissances qui sont obtenue par le bénéficiaire de la grâce divine, est forgé en lui par le biais de la parole et est dérivé du mot. Cette position doit être maintenue à l’encontre de toutes sortes, des mystiques, qui revendiquent de révélations particulières et à une connaissance spirituelle qui n’est pas véhiculée par la parole, et qui ne nous conduit ainsi à une mer de subjectivité sans bornes.

 

II. la parole comme moyen de Grace

A. SIGNIFICATION DE L’EXPRESSION « PAROLE DE DIEU » À CET ÉGARD.

Catholiques romains peut difficilement dire à considérer la parole de Dieu comme un moyen de la grâce. À leur avis, l’église est le canal grand et tout-suffisant de grâce pour les pécheurs, et tous les autres moyens sont subordonnés à l’il. Et les deux plus puissants moyens dont Dieu a mis à la disposition de l’église sont la prière et les sacrements. Les églises de la réforme, cependant, les luthériens et les réformés, faire honorer la parole de Dieu comme tel et même la considérer comme supérieure aux sacrements. Il est vrai que les théologiens réformés anciens, tels que les professeurs de Leyden (Synopsis), faire, à Marck, Turretin, e.a. et même certains d’une date plus récente, comme Dada et de Kuyper, ne pas traitent de celui-ci séparément comme un moyen de la grâce, mais cela est dû en grande partie t o le fait qu’ils ont déjà examiné le mot aux autres connexions. Ils parlent librement de celui-ci comme un moyen de la grâce. Et lorsqu’ils considèrent la parole de Dieu comme un moyen de la grâce, ils ne sont pas la pensée du Logos, la parole personnelle, Jean 1:1-14. Ni qu’ils ont à l’esprit n’importe quel mot d’instance de pouvoir sortir de la bouche de Jéhovah, Psaume 33: 6; Esaïe 55: 11; ROM. 04:17, ou n’importe quel mot de révélation directe, tels que les prophètes ont reçu, Jérémie 1:4; 2:1; Ézéchiel 6:1; Osée 1:1. C’est la parole inspirée de Dieu, la parole de l’écriture sainte, qu’ils considèrent comme un moyen de la grâce. Et même lorsque l'on parle de cela comme un moyen de la grâce, ils le contempler d’un point de vue spécial. Les Écritures inspirées constituent le principium cognoscendi, la tête de fontaine, de toutes nos connaissances théologiques, mais il n’est pas cet aspect que nous avons à l’esprit lorsque l'on parle de la parole de Dieu comme un moyen de la grâce. La Bible n’est pas seulement le principium cognoscendi de théologie, mais c’est aussi le moyen qui le Saint Esprit emploie pour l’extension de l’église et pour l’édification et la nourriture des saints. C’est avant tout la parole de la grâce de Dieu et donc aussi le moyen le plus important de la grâce. Strictement parlant, c’est le mot tel qu’il est prêché au nom de Dieu et en vertu d’une mission divine, qui est considérée comme un moyen de grâce au sens technique du terme, aux côtés des sacrements qui sont administrés au nom de Dieu. Naturellement, la parole de Dieu peut aussi être considéré comme un moyen de la grâce dans un sens plus général. Il peut être une véritable bénédiction, tel qu’il est porté à l’homme de plusieurs façons complémentaires: comme il est lu dans la maison, est enseigné à l’école ou circule dans des secteurs de recensement. Comme le moyen officiel de grace, mis à la disposition de l’église, les mots et les sacrements peuvent seulement être administrés par les officiers légitimes et dûment qualifiés de l’église. Mais à la différence des sacrements le mot peut également effectuer dans le monde par tous les croyants et fonctionnent de différentes manières.

B. LA RELATION ENTRE LA PAROLE ET L’ESPRIT SAINT.

Il a mis au point au cours de l’histoire tout à fait une différence d’opinion concernant l’efficacité de la parole et par conséquent, quant à la connexion entre l’exploitation efficace de la parole et le œuvre du Saint-Esprit.

1. nomism sous ses diverses formes, telles que le judaïsme, pélagianisme, semi pélagianisme arminianisme, Neonomianism et le rationalisme, estime l’influence intellectuelle, morale et esthétique du mot comme la seule influence qui peut être attribué à ce terme. Il ne croit pas à une opération surnaturelle du Saint-Esprit par la parole. La vérité révélée dans la parole de Dieu travaille seulement par la persuasion morale. Dans certaines de ses formes, telles que le pélagianisme et Rationalisem, Nomism n’éprouve pas encore le besoin d’une opération spéciale de l’Esprit Saint dans le œuvre de rédemption, mais sous ses formes plus modérées, comme le pélagianisme semi, arminianisme et Neonomianism, il considère le influence morale du mot insuffisant, alors qu’elle doit être complétée par le travail de l’Esprit Saint.

2. Antinomisme, en revanche, ne considère pas le mot externe si nécessaire du tout et affiche un mysticisme qui attend tout de la parole intérieure ou la lumière intérieure, ou de l’utilisation immédiate du Saint-Esprit. Son slogan est, « la lettre Tue, mais l’esprit donne la vie. » Le mot externe appartient au monde naturel, est indigne de l’homme vraiment spirituel et ne peut produire aucun résultat spirituel. Tandis qu’Antinomiens toutes descriptions révèlent une tendance à la légère, si ce n’est pour l’ignorer totalement, les moyens de grâce, cette tendance a reçu son expression la plus claire aux mains de certains des anabaptistes.

3. par opposition à ces deux points de vue, les réformateurs a maintenu que le mot seul ne suffit pas de travailler la foi et la conversion; que l’Esprit Saint peut, mais ne fait pas d’habitude, de travailler sans le mot; et que, par conséquent dans le œuvre de rédemption la parole et l’esprit travaillent ensemble. S’il y avait peu de différence sur ce point dans un premier temps entre les luthériens et les réformés, la première depuis le début a insisté sur le fait que l’Esprit Saint travaille par la parole comme son instrument (par verbum), tandis que le second a préféré dire que l’opération de l’Esprit Saint accompagne le mot (cum verbo). Les théologiens luthériens plus tard développé la doctrine luthérienne réelle, que la parole de Dieu contient le pouvoir de conversion de l’Esprit Saint comme un dépôt divin, qui est maintenant tellement inséparablement liées à ce qu’il est présent même quand le mot n’est pas utilisé ou n’est pas utilisée jambe itimately. Mais afin d’expliquer les différents résultats de la prédication de la parole dans le cas de personnes différentes, ils ont devaient recourir, même si elle est dans une forme bénigne, la doctrine de la volonté de l’homme. L’église réformée en effet considéré la parole de Dieu comme toujours puissant, soit comme une saveur de la vie pour la vie ou comme une odeur de mort jusqu'à la mort, mais maintenu qu’il devienne efficace en conduisant à la foi et la conversion que par une opération d’accompagnement de l’Esprit Saint en th coeurs de e des pécheurs. Ils ont refusé de considérer cette efficacité comme une puissance impersonnelle résident dans le mot.

C. LES DEUX PARTIES DE LA PAROLE DE DIEU, CONSIDÉRÉ COMME UN MOYEN DE LA GRÂCE.

1. LA LOI ET L’ÉVANGILE DANS LA PAROLE DE DIEU. Les églises de la réforme dès le début une distinction entre la Loi et l’Évangile comme les deux parties de la parole de Dieu comme un moyen de la grâce. Cette distinction n’était pas comprise pour être identique à celle entre l’ancien et le Nouveau Testament, mais était considérée comme une distinction qui s’applique aux deux Testaments. Il y a la Loi et l’Évangile dans l’ancien Testament, et il y a la Loi et l’Évangile dans le nouveau. La loi comprend tout dans l’écriture qui est une révélation de la volonté de Dieu dans le formulaire de commande ou de la prohibition, alors que l’Evangile englobe tout, que ce soit dans l’ancien Testament dans le nouveau, qui se rapporte à le œuvre de réconciliation et qui proclame la la recherche et l’amour de Dieu en Jésus Christ Rédempteur. Et chacune de ces deux parties a son propre fonctionnement dans l’économie de la grâce. La Loi cherche à éveiller le cœur de contrition homme cause du péché, alors que l’Evangile vise à l’éveil de sauver la foi en Jésus Christ. Le œuvre de la Loi est en quelque sorte préparatoire à celle de l’Évangile. Il approfondit la conscience du péché et permet ainsi le pécheur conscient de la nécessité de la rédemption. Les deux sont subordonnés aux mêmes fins, et les deux sont des éléments indispensables des moyens de grâce. Cette vérité n’a pas toujours été suffisamment reconnue. L’aspect condamnant la loi a parfois été soulignée au détriment de son personnage dans le cadre des moyens de grâce. Depuis les jours de Marcion il ont toujours été ceux qui ont vu seulement le contraste entre la Loi et l’Évangile et repose sur la supposition que l’un exclue l’autre. Ils leur opinion en partie fondée sur le reproche Paul administrée à Peter (Galates 02:11-14), et en partie sur le fait que Paul occasionnellement établit une distinction nette entre la Loi et l’Évangile et évidemment les considère comme contraste, II Cor. 3:6-11; Galates 3:2, 3, 10-14; Voir aussi Jean 01:17. Ils ont perdu de vue le fait que Paul dit également que la loi a été un tuteur pour conduire les hommes au Christ, gal 03:24, et que l’épître aux Hébreux représente la Loi, pas comme se situant en relation antithétique à l’Evangile, mais plutôt comme l’Évangile dans son rapport préliminaire et im parfait état.

Certains des plus anciens théologiens réformés représentaient la Loi et l’Évangile comme opposés absolus. Ils ont pensé de la Loi comme incarnant toutes les demandes et les commandements de l’écriture et de l’Évangile, comme ne contenant aucune demande que ce soit, mais promet seulement inconditionnel; et donc exclues toutes les exigences. C’était en partie due à la façon dont les deux sont parfois contrastées dans l’écriture, mais a été également en partie le résultat d’une controverse dans laquelle ils ont été engagés avec les arminiens. La vue arminienne, rendant le salut dépend de la foi et l’obéissance évangélique comme œuvres de l’homme, amenés à aller à l’extrême de dire que l’Alliance de grâce n’exige pas n’importe quoi la part de l’homme, ne prescrit pas de tous les droits, n’a pas la demande ou commande quoi que ce soit, même pas foi, confiance et espère en l’Éternel et ainsi de suite. mais simplement transmet à l’homme les promesses de ce que Dieu fera pour lui. D’autres, cependant, correctement entretenu que même la Loi de Moïse n’est pas dépourvu de promesses, et que l’Evangile contienne également certaines exigences. Ils virent clairement que l’homme n’est pas purement passive, lorsqu’il est introduit dans l’Alliance de grâce, mais il est appelé à accepter l’Alliance activement avec tous ses privilèges, même si c’est Dieu qui travaille en lui la capacité de satisfaire aux exigences. Les promesses dont l’homme s’approprie certainement lui imposent certaines obligations et parmi eux le devoir d’obéir à la Loi de Dieu comme une règle de vie, mais aussi emporter avec eux l’assurance que Dieu travaillera en lui « et le vouloir et de le faire. » Les dispensationalistes cohérentes de notre journée à nouveau représentent la Loi et l’Évangile comme opposés absolus. Israël a été en vertu de la loi dans la dispensation précédente, mais l’église de la dispensation actuelle est en vertu de l’Évangile et comme tel est exempt de la Loi. Cela signifie que l’Évangile est maintenant le seul moyen de Salut, et que la loi ne maintenant sert pas comme tel. Membres de l’église doivent se préoccuper pas sur ses exigences, car Christ a satisfait à toutes ses exigences. Ils semblent oublier que, bien que Christ portait la malédiction de la Loi et a satisfait ses exigences comme condition de l’Alliance des œuvres, il ne remplissait pas la loi pour eux comme une règle de vie, à laquelle l’homme est soumise en vertu de sa création , en dehors de tout arrangement de l'Alliance.

2. NÉCESSAIRES DISTINCTIONS RESPECTANT LA LOI ET L’ÉVANGILE.

a. comme l’a déjà dit à ce qui précède, la distinction entre la Loi et l’Évangile n’est pas la même que celle entre l’ancien et le Nouveau Testament. N’est pas la même que celle que présentent les dispensationalistes jour faire entre la dispensation de la Loi et de la dispensation de l’Évangile. C’est contrairement aux faits de l’écriture pour dire qu’il n’y a pas d’Évangile dans l’ancien Testament, ou du moins pas dans cette partie de l’ancien Testament, qui couvre la dispensation de la loi ordinaire. Il n’y a Évangile dans la promesse maternelle, l’Évangile dans la loi cérémonielle et Évangile dans beaucoup de prophètes, comme Ésaïe 53 et 54; 55:1-3,6.7; Jérémie 31: 33, 34; Ézéchiel 36: 25-28. En fait, il y a un Évangile actuel qui traverse l’ensemble de l’ancien Testament, qui atteint son point culminant dans le messianique prophéties. Et il est également contraire à l’écriture pour dire qu’il n’y a aucune loi dans le Nouveau Testament, ou que la loi ne s’applique pas dans la dispensation du Nouveau Testament. Jésus a enseigné la validité permanente de la Loi, Matthieu 05:17-19. Paul dit que Dieu prévue à cet effet que les exigences de la loi doivent être remplies dans nos vies, Romains 8:4 et tient ses lecteurs responsables pour le maintien de la Loi, Romains 13:9. James assure ses lecteurs que celui qui transgresse un commandement unique de la Loi (et il mentionne que certains d'entre eux), est un transgresseur de la Loi, Jac. 2:8-11. Et John définit le péché comme « anarchie » et dit que c’est l’amour de Dieu, que nous gardons ses commandements, I Jean 3:4; 5:3.

b. il est possible de dire que, à certains égards, le chrétien est exempt de la Loi de Dieu. La Bible ne parle pas toujours de la loi dans le même sens. Parfois, il envisage cela comme l’expression immuable de la nature et la volonté de Dieu, qui s’applique à tout moment et dans toutes les conditions. Mais il se réfère également à lui tel qu’il fonctionne dans l’Alliance des œuvres, dans lesquelles le don de la vie éternelle a été conditionné à son accomplissement. L’homme n’a pas respecté la condition, perdant ainsi la possibilité d’y répondre et est maintenant par nature en vertu d’une décision de condamnation. Lorsque Paul dessine un contraste entre la Loi et l’Évangile, qu’il pense de cet aspect de la Loi, le droit cassé de l’Alliance des œuvres, qui ne peut non plus justifier, mais ne peut que condamne le pécheur. De la loi en ce sens particulier, tant qu’un moyen pour obtenir la vie éternelle et une puissance condamne, croyants sont mis en liberté dans le Christ, car il est devenu une malédiction pour eux et a également rencontré les exigences de l’Alliance des œuvres en leur faveur. La loi en ce sens particulier et l’Évangile de la grâce libre est mutuellement exclusive.

c. il y a un autre sens, toutefois, dans laquelle le chrétien n’est pas exempt de la Loi. La situation est très différente lorsque nous pensons de la Loi comme l’expression d’obligations naturelle de l’homme envers son Dieu, la loi telle qu’elle est appliquée à l’homme même en dehors de l’Alliance des œuvres. Il est impossible d’imaginer une condition dans laquelle l’homme pourrait être en mesure de réclamer la liberté de la loi en ce sens. C’est pure Antinomisme de maintenir que Christ a observé la Loi comme règle de vie pour son peuple, afin qu’ils ne se soucient pas cela plus. La loi fixe la revendication et justement, sur toute la vie de l’homme sous tous ses aspects, y compris sa relation à l’Évangile de Jésus Christ. Quand Dieu offre à l’homme l’Évangile, la Loi exige que ce dernier doit accepter cela. Certains parlerait de ce que la Loi de l’Évangile, mais ce n’est pas correct. L’Evangile lui-même est constitué de promesses et aucune loi; Pourtant, il y a une exigence de la loi dans le cadre de l’Évangile. La Loi exige non seulement que nous accepter l’Évangile et que vous croyez en Jésus Christ, mais aussi que nous mener une vie de gratitude en harmonie avec ses besoins.

D. L’UTILISATION DES TROIS VOLETS DE LA LOI.

Il est de coutume en théologie pour distinguer une triple utilisation de la Loi.

1. LES TROIS DÉFINI. On distingue:

a. A usus politicus ou civilis. La loi a pour objectif de retenir dans et la promotion de la justice. Considéré de ce point de vue, la loi suppose péché et est nécessaire à cause du péché. Il a pour objectif de commun de Dieu dans le monde entier. Cela signifie que, de ce point de vue, qu'il ne peut être considéré un moyen de grâce au sens technique du terme.

b. A usus elenchticus ou pedagogicus. À ce titre la loi a pour objectif de mettre l’homme sous la condamnation du péché et de lui rendre conscient de son incapacité à répondre aux exigences de la Loi. Dans cette manière dont la loi devient son tuteur à le conduire au Christ et devient ainsi inféodée au dessein bienveillant de Dieu de la rédemption.

c. A usus didacticus ou normativus. Il s’agit de la soi-disant tertius usus legis, la troisième utilisation de la Loi. La Loi est une règle de vie pour les croyants, en leur rappelant de leurs fonctions et qui les conduit dans la voie de la vie et le salut. Ce troisième recours au droit est niée par les Antinomiens.

2. LA DIFFÉRENCE ENTRE LES LUTHÉRIENS ET LES RÉFORMÉS SUR CE POINT. Il y a une différence entre les luthériens et les réformés en ce qui concerne cette utilisation triple de la Loi. Tous deux acceptent cette distinction trois fois, mais les luthériens soulignent la deuxième application de la Loi. Dans leur estimation, la Loi est principalement les moyens nommés pour traduire les hommes sous la conviction de péché et donc indirectement pointant le moyen de Jésus-Christ comme le Sauveur des pécheurs. Bien qu’ils admettent également la troisième utilisation de la Loi, ils le font avec une certaine réserve, puisqu’ils détiennent que les croyants ne sont pas plus en vertu de la Loi. Selon eux, le troisième recours au droit est nécessaire uniquement parce que, et dans la mesure où, les croyants sont encore pécheurs; elles doivent être tenues en échec par la Loi et devraient devenir de plus en plus conscients de leurs péchés. Il n’est donc pas surprenant que ce troisième recours au droit n’occupe aucune place importante dans leur système. En règle générale, ils traitent de la loi que dans le cadre de la doctrine de la misère humaine. Les réformés pleinement justice à la deuxième application de la Loi, enseignement qui « à travers le vient de droit la connaissance du péché, » et que la Loi s’éveille la conscience de la nécessité de la rédemption; mais elles consacrent encore plus d’attention à la loi dans le cadre de la doctrine de la sanctification. Ils sont forts dans la conviction que les croyants sont toujours en vertu de la Loi comme règle de vie et de gratitude. Par conséquent, le Catéchisme de Heidelberg ne consacre pas moins que jours du Seigneur onze à la discussion de la Loi et qui dans sa troisième partie, qui traite de la reconnaissance.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Pourquoi les catholiques romains considère l’église comme les moyens exceptionnels de grâce ? Ce qui explique leur négligence de la parole comme moyen de grâce ? Pourquoi sont les moyens de grâce au mépris parmi les mystiques ? Ce qui distingue la parole et les sacrements comme moyen de la grâce de tous les autres moyens ? Est-il correct de dire qu’ils sont administrés seuls dans l’église et servent, ne pas à l’origine de la vie nouvelle, mais de le renforcer ? La parole de Dieu est exclusivement utilisé comme moyen de grâce ? Comment la Loi et l’Évangile diffèrent sous différents aspects du mot ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, p. 483-505; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 466-485; Shedd, dogme . THEOL. II, p. 561-563; Vos, Geref. Dogme. V. de Genademiddelen, p. 1-11; McPherson, Chr. dogme., pp. 422-427; Dick, LECT sur la théologie, pp. 447-458; Pieper, Christl. Dogme. III, pp. 121-296; Valentine, Chr. Theol. II, p. 282 à 292; Mueller, Chr. dogme., pp. 441-484; Raymond, Syst. Theol. III, pp. 243-255; Drummond, Studies in Chr. Doct., p. 399-403.

 

III. les sacrements en général

A. RELATION ENTRE LA PAROLE ET LES SACREMENTS.

À la différence de l’église catholique, les églises de la réforme mettent l’accent sur la priorité de la parole de Dieu. Alors que l’ancien produit sur l’hypothèse que les sacrements contiennent tout ce qui est nécessaire pour le salut des pécheurs, ne besoin d’aucune interprétation et donc rendre le mot tout à fait inutile comme un moyen de la grâce, ce dernier considère le mot comme absolument essentiel et simplement poser la question, pourquoi les sacrements doivent lui être ajoutées. Certains des luthériens affirment qu’une grâce particulière, différente de celle qui est forgé par la parole, est véhiculée par les sacrements. C’est tout mais universellement rejetée par les réformés, quelques théologiens écossais et le Dr Kuyper formant des exceptions à la règle. Ils soulignent le fait que Dieu a créé tellement l’homme qu’il obtient connaissance notamment à travers les avenues des sens de la vue et l’ouïe. Le mot est adapté à l’oreille et les sacrements à le œil. Et puisque le œil est plus sensuelle que l’oreille, on peut affirmer que Dieu, en ajoutant les sacrements à la parole, vient au secours de l’homme pécheur. La vérité, adressée à l’oreille à la parole, est symboliquement représentée à le œil dans les sacrements. Il faut avoir à l’esprit, cependant, que, bien que le mot peut exister et aussi complète sans les sacrements, les sacrements ne sont jamais complets sans le mot. Il y a des points de similitude et de différence entre la parole et les sacrements.

1. POINTS DE SIMILITUDE. Ils sont d’accord: (a) en auteur, puisque Dieu a institué les deux comme moyen de grâce; (b) dans le contenu, pour le Christ est le contenu central de l’un, ainsi que de l’autre; et (c) de la manière dont le contenu est approprié, à savoir, par la foi. C’est la seule façon dont le pécheur peut devenir un participant de la grâce qui est offert dans la parole et aux sacrements.

2. POINTS DE DIFFÉRENCE. Ils se distinguent: (a) dans leur nécessité, le mot étant indispensable, tandis que les sacrements ne sont pas; b dans leur but, puisque le mot vise à susciter et à renforcer la foi, tandis que les sacrements servent uniquement à renforcer et (c) dans leur extension, puisque le mot sort dans le monde entier, tandis que les sacrements sont administrés uniquement à ceux qui sont dans l’église.

B. ORIGINE ET SIGNIFICATION DU MOT « SACREMENT ».

Le mot « sacrement » ne se trouve pas dans l’écriture. Il est dérivé du Latin sacramentum, qui initialement désigné une somme d’argent déposé par les deux parties en litige. Argent du gagnant a été retourné après la décision de la Cour, tandis que celle du perdant a été confisquée. Cela semble avoir été appelé un sacramentum, parce qu’il était censé être une sorte d’offrande propitiatoire aux dieux. La transition vers l’utilisation chrétienne du terme doit probablement être cherchée: (a) dans l’utilisation militaire du terme, dans lequel il a désigné le serment par lequel un soldat solennellement promis obéissance à son commandant, car dans le baptême chrétien promet obéissance à son Seigneur; et (b) dans le sens spécifiquement religieux dont elle a acquis la Vulgate il travaillant comme un rendu de la grec musterion. Il est possible que ce terme grec a été appliqué aux sacrements, parce qu’ils ont une légère ressemblance avec certains des mystères des religions grecques. Dans l’église primitive, le mot « sacrement » a été tout d’abord utilisé pour désigner toutes sortes de doctrines et d’ordonnances. Pour cette raison certains se sont opposés au nom et a préféré parler de « signes, » « sceaux », ou « mystères ». Même pendant et immédiatement après la réforme beaucoup n’aimait pas le nom de « sacrement ». Melanchthon utilisé «signi», et Luther et Calvin a jugé nécessaire d’attirer l’attention sur le fait que le mot « sacrement » n’est pas employé dans son sens originel dans la théologie. Mais le fait que le mot ne se trouve pas dans l’écriture et qu’il n’est pas utilisé dans son sens originel, lorsqu’il est appliqué pour les ordonnances instituées par Jésus, ne faut pas nous décourager, pour utilisation détermine souvent la signification d’un mot. La définition suivante peut être donnée d’un sacrement: le sacrement est une Sainte ordonnance institué par le Christ, en qui de sensé signe la grâce de Dieu en Christ et les avantages de l’Alliance de grâce, sont représentés , scellé et appliqué aux croyants et ceux-ci, à leur tour, exprimer leur foi et leur allégeance au Dieu.

C. LES COMPOSANTS DES SACREMENTS.

Trois parties doivent être distingués dans les sacrements.

1. LE SIGNE VISIBLE. Chacun des sacrements contient un élément matériel qui est palpable pour les sens. Dans un sens plutôt large, cela est parfois appelé le sacrement. Au sens strict du mot, cependant, le terme est plus inclusif et désigne aussi bien le signe et ce qui est signifié. Pour éviter tout malentendu, cette utilisation différente faut avoir à l’esprit. Il explique comment un non-croyant peut prétendre à recevoir, et encore ne pas à recevoir le sacrement. Il ne le reçoit pas dans le sens plein du mot. L’affaire externe du sacrement comprend non seulement les éléments qui sont utilisés, à savoir, eau, pain et vin, mais aussi le rite sacré, que qui est fait avec ces éléments. De ce point de vue externe la Bible appelle les signes des sacrements et les phoques, 09:12, 13; 17:11; ROM. 04:11.

2. LA GRÂCE SPIRITUELLE INTÉRIEURE SIGNIFIÉE ET SCELLÉE. Signes et sceaux présuppose quelque chose qui est signifiée et scellé et qui est généralement appelé materia interna du sacrement. Ceci est indiqué différemment dans l’écriture comme l’Alliance de grâce, 09:12, 13; 17:11, de la justice de la foi, Rom. 04:11, le pardon des péchés, Mark 1:4; Matthieu 26: 28, de foi et de conversion, Marc 1:4; 16:16, communion avec le Christ dans sa mort et résurrection, Rom. 6:3 et ainsi de suite. En bref, on peut dire consister à Christ et toutes ses richesses spirituelles. Les catholiques romains trouver en elle la grâce sanctifiante qui est ajoutée à la nature humaine, permettant à l’homme pour faire de bonnes œuvres et s’élever à la hauteur de la visio Dei (la vision de Dieu). Les sacrements signifient, non pas simplement une vérité générale, mais une promesse nous donné et accepté par nous et servent à renforcer notre foi en ce qui concerne la réalisation de cette promesse, Genèse 17:1-14; Exode 12:13; ROM. 04:11-13. Visiblement, ils représentent et approfondir notre conscience de, les bénédictions spirituelles de l’Alliance, du laver de nos péchés et de notre participation de la vie qui est en Christ, Matthieu 03:11; Marc 1:4, 5; J’ai Cor. 10:2, 3, 16, 17; ROM. 02:28, 29; 6:3, 4; GAL 03:27. Comme des signes et des sceaux, ils sont des moyens de grâce, c'est-à-dire des moyens de renforcer la grâce vers l’intérieur qui est forgée dans le cœur par le Saint-Esprit.

3. L’UNION SACRAMENTELLE ENTRE LE SIGNE ET CE QUI EST SIGNIFIÉ. Ceci est généralement appelé le sacramenti forma (forma signifiant ici essence), parce que c’est exactement la relation entre le signe et la chose signifiée qui constitue l’essence même du sacrement. Selon le point de vue réformé c’est: (a) n’est pas physique, comme la revendication des catholiques romains, comme si la chose signifié étaient inhérentes à la signe et la réception de materia externa nécessairement comportait une participation à la Materia interna; (b) ni local, comme les luthériens représentent, comme si le signe et la chose signifiée étaient présents dans le même espace, ce que les croyants et les incroyants reçoivent le sacrement complet lorsqu’ils recevront le signe; (c) mais il est spirituel, ou comme Turretin exprime il, relative et moral, de sorte que, où il est reçu le sacrement dans la foi, la grâce de Dieu l’accompagne. Selon ce point de vue, le signe extérieur devient un moyen employé par l’Esprit Saint dans la communication de la grâce divine. Les liens étroits existant entre le signe et la chose signifiée expliquant l’utilisation de ce qu’on appelle généralement « langage sacramentelle » dans lequel le signe est mis pour la chose signifiée ou vice versa, 17:10; Actes 22:16; J’ai Cor. 5:7.

D. LA NÉCESSITÉ DES SACREMENTS.

Romain catholiques soutiennent que le baptême est indispensable pour tous pour le Salut, et que le sacrement de pénitence est également nécessaire pour ceux qui ont commis des péchés mortels après le baptême; mais cette confirmation, l’Eucharistie et l’extrême onction ne sont nécessaires que dans le sens qu’ils ont été commandés et sont éminemment utiles. Protestants, en revanche, enseignent que les sacrements ne sont pas absolument nécessaires au Salut, mais sont obligatoires en vue du précepte divin. Une négligence délibérée de leur utilisation se traduit par l’appauvrissement spirituel et a une tendance destructrice, comme toute désobéissance délibérée et persistante à Dieu l’a. Qu’elles ne sont pas absolument nécessaires pour le Salut, suit: (1) le caractère spirituel libre de la dispensation de l’Évangile, dans lequel Dieu ne lie pas sa grâce à l’utilisation de certaines formes extérieures, John 04:21, 23; Luc 18:14; (2) du fait que l’écriture ne mentionne la foi seule comme condition du Salut, John instrumentale 05:24; 06:29; 03:36; Actes 16:31; (3) du fait que les sacrements ne proviennent pas de foi mais présupposent et sont administrés où la foi est supposé, actes 02:41; 16:14, 15, 30, 33; I Corinthiens 11:23-32; et (4) du fait que bon nombre ont été réellement sauvés sans l’usage des sacrements. Pensez aux croyants avant l’époque d’Abraham et du pénitent voleur sur la Croix

E. LES SACREMENTS DE L’ANCIEN ET DU NOUVEAU TESTAMENT PAR COMPARAISON.

1. LEUR UNITÉ ESSENTIELLE. Rome prétend qu’il y a une différence fondamentale entre les sacrements de l’ancienne et ceux du Nouveau Testament. Il maintient que, comme le rituel complet de l’ancienne Alliance, ses sacrements étaient aussi simplement typiques. La sanctification forgée par eux n’était pas en interne, mais purement juridique et préfigure la grâce qui devait être attribué sur l’homme à l’avenir, en vertu de la passion du Christ. Cela ne signifie pas qu’aucune grâce interne accompagnée leur utilisation à tous, mais simplement que ce ne était pas effectuée par les sacrements, à ce titre, telle qu’elle n’est dans la nouvelle dispensation. Ils n’avaient aucune efficacité objective, ne pas sanctifier le bénéficiaire ex opere operato, mais seulement ex opere operantis, autrement dit, à cause de la foi et la charité avec laquelle il a reçu les. Parce que la pleine réalisation de la grâce, caractérisée par ces sacrements dépendait de la venue du Christ. les saints de l’ancien Testament ont été enfermés dans le Limbus Patrum jusqu'à ce que Christ a conduit les sortir. En fait, cependant, il n’y a aucun différence essentielle entre les sacrements de l’ancienne et ceux du Nouveau Testament. Cela est prouvé par les considérations suivantes: (a) dans I Corinthiens 10:1-4 Paul attribue à l’église de l’ancien Testament ce qui est essentiel dans les sacrements du Nouveau Testament; (b) en Rom. 04:11 il parle de la circoncision d’Abraham comme un sceau de la justice de la foi; et (c) compte tenu du fait qu’ils représentent les mêmes réalités spirituelles, les noms des sacrements de deux dispenses sont interchangeables; la circoncision et la Pâque sont attribuées à l’église du Nouveau Testament. J’ai Cor. 5:7:02: 11 et le baptême et l’Eucharistie à l’église de l’ancien Testament, I Cor. 10:1-4.

2. LEURS DIFFÉRENCES FORMELLES. Nonobstant l’unité essentielle des sacrements des deux dispensations, il y a certains points de divergence. (a) entre Israël, les sacrements avaient un aspect national en plus de leur signification spirituelle comme des signes et des sceaux de l’Alliance de grâce. (b) aux côtés des sacrements, Israël avait beaucoup d’autres rites symboliques, tels que des offrandes et des purifications, qui, pour l’essentiel, convenu avec leurs sacrements, tandis que les sacrements du Nouveau Testament se tiennent absolument seuls. (c) les sacrements de l’ancien Testament pointés vers l’avant au Christ et ont été les joints d’une grâce qui devait encore être mérité, tandis que ceux du Nouveau Testament repointer vers Christ et son sacrifice dûment rempli de la rédemption. (d) en harmonie avec la dispensation d’ancien Testament entier, une moindre mesure de la grâce divine accompagné de l’utilisation de l’ancien Testament sacrements qu’est maintenant assuré par la réception fidèle de ceux du Nouveau Testament.

F. LE NOMBRE DES SACREMENTS.

1. DANS L’ANCIEN TESTAMENT. Durant la dispensation de vieux, il y avait deux sacrements, à savoir, la circoncision et la Pâque. Certains théologiens réformés étaient d’avis que la circoncision a commencé parmi Israël et provenait de ce peuple de l’ancienne Alliance par d’autres nations. Mais il est maintenant tout à fait clair qu’il s’agit d’une situation intenable. Dès les premiers temps, les prêtres égyptiens étaient circoncis. En outre, circoncision est trouvée parmi les nombreux peuples en Asie, en Afrique et même l’Australie, et il est très improbable qu’ils ont tous il dérivé Israël. Seulement entre Israël, cependant, est-il devenu un sacrement de l’Alliance de grâce. Comme appartenant à la dispensation de l’ancien Testament, c’était un sacrifice sanglant, symbolisant l’excision de la culpabilité et la pollution du péché, et qui oblige les gens à laisser le principe de la grâce de Dieu pénétrer toute leur vie. La Pâque était aussi un sacrement sanglant. Les Israélites s’est échappé le châtiment des Egyptiens en substituant un sacrifice, qui était un type de Christ, Jean 01:29, 36; J’ai Cor. 5:7. La famille sauvée a mangé l’agneau immolé, symbolisant l’acte de s’approprier de foi, beaucoup comme le manger du pain dans la Sainte Cène.

2. DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. L’église du Nouveau Testament a également deux sacrements, à savoir le baptême et la Cène du Seigneur. En harmonie avec la nouvelle dispensation dans son ensemble, ce sont les sacrements non sanglante. Cependant, ils symbolisent les mêmes bénédictions spirituelles qui ont symbolisé par la circoncision et la Pâque dans la dispensation de vieux. L’église de Rome a élargi le nombre des sacrements à sept d’une manière totalement injustifiée. Les deux qui ont été institués par le Christ il ajouté confirmation, la pénitence, ordonnances, mariage et extrême-onction. Il cherche le terrain scripturaire pour confirmation en actes 08:17; 14:22; 19:6; Hébreux 6:2; Pour pénitence dans Jas. 05:16; pour les commandes dans I Timothée 04:14; II Timothée 1:6; pour mariage dans Éphésiens 05:32; et pour l’extrême onction à marquer 06:13; Jacques 05:14. Chacun de ces sacrements est censé pour transmettre, en plus de la grâce générale de sanctification, une grâce sacramentelle spéciale, qui est différente dans chaque sacrement. Cette multiplication des sacrements crée une difficulté pour l’Eglise de Rome. Il est généralement admis que les sacrements, pour être valable, doivent ont été instituées par le Christ; mais le Christ a institué deux seulement. Par conséquent, les autres ne sont pas des sacrements, ou le droit d’engager leur doit également être attribué aux apôtres. Avant le Concile de trente, beaucoup, en effet, affirmé que les cinq autres ne étaient pas institués par Christ directement, mais par les apôtres. Toutefois, le Conseil, proclame hardiment que tous les sept sacrements ont été institués par le Christ lui-même et donc imposé une tâche impossible sur la théologie de son église. C’est un point qui doit être accepté par les catholiques sur le témoignage de l’église, mais qui ne peut pas être prouvée.

QUESTIONS pour études supplémentaires: A le terme musterion la même signification dans le Nouveau Testament comme il l’a dans les religions de mystère ? Sont les enseignements du Nouveau Testament concernant les sacrements empruntés les cultes à mystères, comme une école récente des réclamations de critique de Nouveau Testament ? L’affirmation de cette école est correcte, que Paul représente les sacrements comme efficace ex opere operato? Pourquoi les luthériens préfèrent parler des sacrements comme les rites et les actions plutôt que comme des signes? Ce que comprennent-ils de la materia coelestis des sacrements ? Qu’entend-on par la doctrine catholique romaine d' intention dans le cadre de l’administration des sacrements ? Quelle exigence négative Rome estime n’est nécessaire chez le receveur du sacrement ? Est-ce correct décrire la relation entre le signe et la chose signifiée comme une unio sacramentalis? En quoi consiste la gratia sacramentalis dans chacun des sept sacrements de l’église catholique romaine ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, p. 483-542; Kuyper, Dict. dogme., De Sacramentis, pp. 3-96; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 466-526; Vos, Geref. Dogme. V. de Genademiddelen, p. 1-35; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 727-757; McPherson, Chr. dogme., pp. 422-431; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 419-450; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Ch. pp. 504-540; Valentine, Chr. Theol. II p. 278-305; Pieper, Christl. Dogme. III, pp. 121-296; Caftan, dogme., p. 625 à 636; Pape, Chr. Theol. III, pp. 294-310; Miley, Syst. Theol. II, p. 389-395; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., pp. 305-314; Moehler, symbolisme, pp. 202-218; Schaff, nos pères' foi et le nôtre, p. 309-315; Bannerman, l’église II, pp. 1-41; MacLeod, le ministère et les sacrements de l’église d’Écosse, pp. 198-227; Carle, les sacrements, pp. 11-44; Burgess, la foi protestante, pp. 180-198.

 

IV. Le baptême chrétien

A. LES ANALOGIES DU BAPTÊME CHRÉTIEN.

1. DANS LE MONDE PAÏEN. Baptême n’était pas quelque chose d’absolument nouveau à l’époque de Jésus. Les Egyptiens, les Perses et les hindous, tous avaient leurs purifications religieuses. Il s’agissait encore plus présent dans les religions grecque et romaine. Parfois, ils ont pris la forme d’un bain dans la mer, et parfois elles ont été effectuées en saupoudrant. Tertullien affirme que, dans certains cas, l’idée d’une nouvelle naissance était liée à ces lustrations. Beaucoup nos jours érudits tenir que le baptême chrétien, autant qu’il a été enseigné par Paul, doit son origine à des rites semblables dans les religions de mystère, mais une telle dérivation ne dispose même pas d’apparence en sa faveur. Alors que le rite d’initiation dans les religions de mystère implique une reconnaissance de la divinité en question, il n’y a aucune trace d’un baptême dans le nom d’un Dieu. N’y a aucune preuve que l’influence de la divine pneuma, plutôt importante dans les cultes à mystères, était déjà connecté avec le rite de lustration. En outre, les idées de mort et de résurrection, dont Paul associé de baptême, ne rentrent pas dedans avec le rituel de mystère du tout. Et, enfin, la forme de la taurobolium, qui est censé pour être la plus frappante analogie qui peut être cité, est tellement étranger au rite du Nouveau Testament au point de rendre l’idée du calcul de ce dernier de l’ancien semble tout à fait ridicule. Ces purifications païens ont très peu en commun, même dans leur forme extérieure, avec notre baptême chrétien. En outre, il est un fait établi que les religions de mystère n’a pas fait leur apparition dans l’Empire romain avant l’époque de Paul.

2. CHEZ LES JUIFS. Les Juifs avaient beaucoup de lavage et de purifications rituelles, mais ceux-ci n’avaient aucun caractère sacramentel et n’étaient donc aucun signes et des sceaux de l'Alliance. Mais la Parole de Dieu dit autrement ici. Le Tabernacle, que Dieu avait commandé au peuple d'Israël de construire dans le désert de Sin, et qui était lié à tous les services religieux et cérémonies de ce peuple fut, comme nous le dit l'apôtre Paul, la figure, «l'ombre des biens à venir» (Hébreux 8:5; 10:1; Colossiens 2:17). En fait, la nation d'Israël tout entière, aussi bien que ses lois, ses services, et ses cérémonies religieuses, servaient de type ou symbole. Il n'y a aucun doute que toutes ces choses détenaient un caractère sacré ou sacramentelle et servaient de signes anticipatoires ou prophétiques de la Nouvelle Alliance à venir. Le baptême de Jean était issu des ordonnances ou rituels de purifications sous la loi et servait de signe annonciateur de la venue du Messie. Après avoir rencontré son but le baptême d'eau fut abolie avec toutes les ordonnances de la loi (Colossiens 2:14). Le seul baptême pour le chrétien est celui de la foi qui nous introduit en Christ (Romais 6:3-8) et aucun autre (voir: Le seul vrai baptême). Le baptême chrétien dont parle l'auteur ici n'existe tout simplement pas. Ce rituel a été adopté par des églises ou sectes supposément chrétiennes afin de se donner quelque crédibilités aux yeux des crédules et des ignorants. Le soi-disant baptême des prosélytes ressemblait davantage au baptême chrétien. Quand les païens ont été incorporés en Israël, ils ont été excisées et, au moins dans les derniers temps, aussi baptisé. Il a longtemps été une question discutable, si cette coutume était en vogue avant la destruction de Jérusalem, mais Schuerer a démontré de façon concluante par des citations de la Mishna que c’était. Selon les autorités juives, citées par le mur dans son Histoire du baptême infantile, ce baptême devait être administré en présence de deux ou trois témoins. Enfants de parents qui ont reçu ce baptême, s’il est né avant le rite a été administré, ont été également baptisés, à la demande du père tant qu’ils n’étaient pas de l’âge (les garçons 13 ans et les filles de douze), mais s’ils étaient d’âge, qu’à leur propre demande. Les enfants qui sont nés après le baptême de la mère ou des parents, ont été comptabilisés comme propre et par conséquent n’a pas besoin de baptême. Il semble cependant que ce baptême était aussi simplement une sorte de cérémonial de lavage, un peu en ligne avec les autres purifications. On dit parfois que le baptême de Jean a été dérivé de ce baptême des prosélytes, mais il est clair que ce n’était pas le cas. Quelle relation historique il pourrait avoir existé entre les deux, c’est tout à fait évident que le baptême de Jean était enceinte de significations nouvelles et plus spirituelles. Lambert est tout à fait correct quand, en parlant des juives lustrations, dit-il: « leur but était, en enlevant une souillure cérémonial, pour rétablir un homme dans sa position normale au sein de la communauté juive; Le baptême de Jean, d’autre part, visant à ceux qui ont soumis transférant dans une nouvelle sphère, la sphère de préparation définitive pour le Royaume de Dieu qui s’approchait. Mais par-dessus tout, la différence réside dans ce que le baptême de Jean ne pouvait jamais être considéré comme une simple cérémonie; Il a toujours été animée par le biais et avec une signification éthique. Un nettoyage du coeur du péché a été non seulement sa condition préalable, mais son souci permanent et son but. Et en le cherchant et incisif prédication avec qui il a accompagné, Jean gardé du naufrage, car il serait sinon ont tendance à faire, au niveau d’un simple opus operatum. » [Les sacrements dans le Nouveau Testament, p. 57.]

Une autre question qui appelle aux fins d’examen, est celle de la relation entre le baptême de Jean à celle de Jésus. L’église catholique dans les Canons de Trent[sess. VII. Cadeaux de.] ceux qui disent que le baptême de Jean a égalé celle de Jésus dans l’efficacité et qu’il concerne, ainsi que les sacrements de l’ancien Testament, comme purement typique maudit. Il prétend que ceux qui ont été baptisés par John n’a pas reçu la grâce baptismale réel dans ce baptême et ont été à un moment plus tard re-baptisés, ou, plus correctement exprimées, baptisés pour la première fois de la manière chrétienne. Les anciens théologiens luthériens a maintenu que les deux étaient identiques que but et l’efficacité ont été concernés, tandis que certains de ceux plus tard rejeté ce qu’ils considéraient pour être une identité complète et essentielle des deux. Quelque chose de semblable peut être dit des théologiens réformés. Les théologiens anciens généralement identifié les deux baptêmes, tandis que ceux d’une plus récente attention directe date à certaines différences. John lui-même semble attirer l’attention sur un point de différence de Matthieu 03:11. Certains trouvent aussi une preuve de la différence essentielle des deux dans Actes 19:1-6, qui, selon eux, enregistre un cas dans lequel certains, qui ont été baptisé par Jean, ont été rebaptisés. Mais cette interprétation est en doute. Il semble être exact de dire que les deux sont essentiellement identiques, mais diffèrent sur certains points. Le baptême de Jean, comme le baptême chrétien, (un) a été institué par Dieu lui-même, Matthieu 21:25; John 01:33; (b) était lié à un changement radical de vie, Luc 1:1-17; Jean 01:20-30; (c) s’établissait en relation sacramentelle avec le pardon des péchés, Matthieu 3:7, 8; Marc 1:4; Luc 3:3 (COMP. AC 02:28) et (d) a employé le même élément matériel, à savoir l’eau. Dans le même temps, il y a plusieurs points de divergence: (a) le baptême de Jean appartenait encore à l’ancienne dispensation et comme tel, pointés vers l’avant au Christ; (b) en harmonie avec la dispensation de la loi en général, il a souligné la nécessité de la repentance, mais pas tout à fait à l’exclusion de la foi; (c), il était prévu pour les Juifs seulement et par conséquent représente le particularisme de l’ancien Testament, et non l’universalisme du Nouveau Testament; et (d) étant donné que le Saint-Esprit n'avait pas encore été répandu en plénitude pentecôtiste, il n’était pas encore accompagnée aussi grand une mesure des dons spirituels comme le baptême chrétien le plus tard.

B. L’INSTITUTION DU BAPTÊME CHRÉTIEN.

1. IL A ÉTÉ MIS EN PLACE AVEC L’AUTORITÉ DIVINE. Baptême a été institué par le Christ, après qu’il ait fini le travail de réconciliation et il avait reçu l’approbation du père dans la résurrection. Il est digne d’avis qu’il a préfacé la grande commission par ces mots: « toute autorité a été donnée à moi dans les cieux et sur la terre. » Revêtu de la plénitude de cette autorité de médiateur, il a institué le baptême chrétien et donc rendu obligatoire pour toutes les générations suivantes. La grande commission est formulée en ces termes: « allez donc (autrement dit, parce que toutes les nations sont soumises à moi) et faire des disciples de toutes les nations, les baptisant au nom du père et du fils et du Saint-Esprit: Enseignez-leur à observer préjudi jamais je vous ai commandé. » Matthieu 28: 19, 20. Le formulaire complémentaire dans Marc 16:15, 16, se lit comme suit: « allez par tout le monde et prêchez l’Evangile à toute la création. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé; « mais celui qui disbelieveth sera condamné. » Ainsi les éléments suivants sont clairement indiqués dans cette commande faisant autoritaire: (a) les disciples étaient à sortir dans le monde entier et prêcher l’Évangile à toutes les nations, afin d’amener les gens à se repentir et à la reconnaissance de Jésus comme la promise Sauveur. (b) ceux qui ont accepté le Christ par la foi devaient être baptisés au nom du Dieu trinitaire, comme un signe et le sceau du fait qu’ils avaient conclu une nouvelle relation à Dieu et ainsi ont été contraints de vivre selon les lois du Royaume de Dieu. (c) ils devaient être interjeté en vertu de la Ministère de la parole, non pas simplement comme une proclamation de la bonne nouvelle, mais comme une exposition de mystères, les privilèges et les devoirs, de la nouvelle Alliance. Pour l’encouragement des disciples, Jésus ajoute les mots « et lo, moi (qui suis revêtu de l’autorité pour donner ce commandement) suis avec vous toujours, jusqu'à la fin du monde ».

2. LA FORMULE BAPTISMALE. Les apôtres devaient spécifiquement baptiser eis à onoma tou patros kai tou huiou kai tou archiepiskopou pneumatos (dans le nom du père et du fils et du Saint-Esprit). La Vulgate a rendu les premiers mots «eis à onoma» du Latin « in nomine » (dans le nom), suivie d’un rendu « Im namen. » de Luther Les mots sont donc faites pour signifier « sur l’autorité du Dieu triune. » Robertson donne ceci comme leur signification dans sa grammaire du Nouveau Testament grec, p. 649, mais ne parvient pas à donner aucune preuve pour cela. Le fait est que cette interprétation est mais intenable. L’idée de « sur l’autorité de » est exprimée par membre de phrase en toi onomati ou le plus court un fr onomati, Matthieu 21:9; Marc 16:17; Luc 10:17; John 14:26; Actes 3:6; 09:27, etc.. préposition eis (en) témoigne plutôt d’une fin et peut donc être interprété comme signifiant « par rapport aux, » ou « dans la profession de foi dans l’un et l’obéissance sincère à un. » Il est tout à fait en harmonie avec ce quand Allen dit dans son commentaire sur Matthew: « la personne baptisée a été symboliquement présenté « dans le nom du Christ, » c'est-à-dire, devint son disciple, autrement dit, est entré en état d’allégeance envers lui et communion avec lui. » C’est le sens donné par Thayer, Robinson et, de façon substantielle, aussi par Cremer-Koegel et Basan, dans leurs lexiques. C’est aussi celui adopté par les commentateurs, tels que Meyer, Alford, Allen, Bruce, Grosheide et Van Leeuwen. Cette signification du terme est pleinement confirmée par l’expressions parallèles comme eis ton Mousen, I Cor. 10:2; EIE pour onoma Paulou, I Cor. 01:13; soma de poule eis, I Cor. 12:13; et eis Christon, Romains 6:3; GAL 03:27. Argument du docteur Kuyper touchant ce point se trouve à l’Uit het Woord, Eerste Serie, Eerste Bundel. [p. 263 et suiv.] Il me semble que nous devrions traduire préposition eis par « en » ou « to » (c'est-à-dire « à " ») le nom. Le mot onoma (nom) est utilisé dans le sens de l' hébreu shem comme une indication de toutes les qualités par lesquelles Dieu rend connus, et qui constituent la somme totale de tout ce qu’il est pour ses fidèles. Deissman dans sa Bible Studies[p. 146.] fait référence à des exemples intéressants de cet usage particulier de mot onoma dans les papyrus. Interprété sous cet angle, la formule baptismale indique que par le baptême (autrement dit, ce qui est signifié par le baptême) le bénéficiaire se trouve dans une relation particulière à la révélation divine, ou à Dieu comme il a s’est révélé et a révélé qu’il sera pour son peuple et en même temps devient devoir de vivre à la lumière de cette révélation.

Il n’est pas nécessaire de supposer que, lorsque Jésus a employé ces mots, il leur conçu comme une formule à utiliser jamais après. Il simplement utilisés comme descriptif du caractère du baptême dont il a instauré, à l’instar des autres expressions semblables servent à caractériser les autres baptêmes, actes 19:3; J’ai Cor. 01:13; 10:2; 12:13. on dit parfois avec un appel à ces passages comme actes 02:48; 08:16; 10:48; 19:5 et aussi Rom. 6:3 et Galates 03:27, que les apôtres n’a évidemment pas utilisé la formule trinitaire; mais ce n’est pas nécessairement implicite, bien qu’il soit tout à fait possible, car ils ne comprenaient pas les paroles de Jésus dans la grande commission que prescrire une formule définitive. Il est également possible, toutefois, que les expressions utilisées dans les passages indiquent servi à souligner certains détails concernant le baptême des apôtres. Il est à noter que les prépositions sont différents. Actes 02:38 parle d’un baptême epi toi onomati Jesou Christou, qui se réfère probablement à un baptême sur la confession de foi de Jésus comme le Messie. Selon actes 10:48 ceux qui étaient présents dans la maison de Corneille furent baptisés fr onomati Jesou Christou, pour indiquer qu’ils ont été baptisés à l’autorité de Jésus. Tous les autres passages mentionnent un baptême eis à onoma Jesou Christou (ou tou kuriou Jesou), ou simplement un baptême eis Christon. Ces expressions peuvent simplement servir à souligner le fait que les destinataires ont été mis en relation spéciale que les apôtres prêchaient et ont été ainsi subordonnés à lui comme leur Seigneur, Jésus Christ. Mais, quoi qu’ait été la pratique dans l’âge apostolique, il est évident que lorsque l’église a par la suite senti le besoin d’une formule, il pourrait trouver pas meilleure que celle contenue dans les mots de l’institution. Cette formule était déjà en usage au moment la Didachè (L’enseignement des douze apôtres) (c. 100 AP. J.-C.). [Cf. chapitre VII.]

C. LA DOCTRINE DU BAPTÊME DANS L’HISTOIRE.

1. AVANT LA RÉFORME. Les premiers pères considérés baptême comme rite d’initiation à l’église et généralement considéré comme elle aussi étroitement liée à la rémission des péchés et de la communication de la nouvelle vie. Certaines de leurs expressions semblerait indiquer qu’ils croyaient en la régénération baptismale. En même temps il convient de noter que dans le cas des adultes, ils ne considéraient pas de baptême comme efficace en dehors de la bonne disposition de l’âme, et qu’ils ne considéraient pas le baptême comme absolument essentiel pour l’ouverture de la nouvelle vie, mais plutôt il considéraient comme t Il complète l’élément dans le processus de renouvellement. Baptême des enfants était déjà courant à l’époque de Origen et Tertullien, bien que ce dernier elle découragé au motif de l’opportunisme. L’opinion générale était que le baptême ne doit jamais être répété, mais il n’y avait pas d’unanimité quant à la validité du baptême administré par les hérétiques. En cours de temps, cependant, il est devenu un principe fixe ne pas à re-baptiser ceux qui ont été baptisés dans le nom du Dieu triune. Le mode de baptême n’était pas en litige. A partir du deuxième siècle l’idée peu à peu gagné du terrain que le baptême fonctionne grosso modo comme par magie. Augustine même semble avoir considéré le baptême comme efficace ex opere operato dans le cas des enfants. Il considérait le baptême comme absolument nécessaire et être maintenu que non baptisés enfants sont perdus. Selon lui, baptême annule la culpabilité initiale, mais ne supprime pas totalement la corruption de la nature. Les scolastiques à vue première partagée d’Augustin, que dans le cas d’adultes baptême suppose de foi, mais peu à peu une autre idée a gagné le dessus de la main, à savoir, que le baptême est toujours efficace ex opere operato. A minimisé l’importance des conditions subjectives. Ainsi la conception catholique caractéristique du Sacrement, selon laquelle le baptême est le sacrement de la régénération et d’initiation à l’église, a progressivement pris le dessus. Il contient la grâce qu’il signifie et cela confère à tous ceux qui ont ne mis aucun obstacle dans la voie. Cette grâce a été considérée comme très important, car (a) il définit une marque indélébile sur le destinataire en tant que membre de l’église; (b) offre de la culpabilité du péché originel et de tous les péchés réels engagés jusqu’au moment du baptême, élimine la pollution du péché, bien que concupiscence demeure et ensembles homme libre de punition éternelle et de toutes les peines temporelles positives; (c) fonctionne le renouveau spirituel de l’infusion de la grâce sanctifiante et des vertus surnaturelles de la foi, l’espérance et l’amour; et (d) intègre le destinataire dans la communion des saints dans l’église visible.

2. DEPUIS LA RÉFORME. La réforme luthérienne n’a pas tout à fait se débarrasser de la conception catholique des sacrements. Luther ne considérait pas l’eau dans le baptême comme l’eau courante, mais comme l’eau qui était devenue, par la parole avec son pouvoir divin inhérent, une gracieuse d’eau de vie, un bain de la régénération. Grâce à cette efficacité divine du mot sacrement effets de régénération. Dans le cas des adultes Luther fait l’effet du baptême dépend de la foi chez le receveur. Se rendant compte qu’il ne pouvait pas jugé ainsi dans le cas des enfants, qui ne peuvent exercer la foi, il a occupé en même temps que Dieu par sa grâce prévenante fonctionne la foi en l’enfant inconscient, mais plus tard professé l’ignorance sur ce point. Plus tard les théologiens luthériens conservé l’idée d’un enfant en bas âge-foi comme une condition préalable pour le baptême, tandis que d’autres conçu du baptême comme produisant une telle foi immédiatement. Dans certains cas entraîné l’idée que le sacrement fonctionne ex opere operato. Anabaptistes couper le noeud gordien de Luther en niant la légitimité du baptême des enfants. Ils ont insisté sur la baptiser tous les demandeurs pour l’admission à leur cercle, qui avait reçu le sacrement dans l’enfance et ne considère pas cela comme un re-baptême, mais comme le premier vrai baptême. Avec les enfants eux n’avait aucune valeur dans l’église. Calvin et la théologie réformée repose sur la supposition que le baptême est instituée pour les croyants et ne fonctionne pas mais renforce la vie nouvelle. Naturellement, ils ont été confrontés à la question de savoir comment les enfants pouvaient être considérées comme croyants, et comment ils pourraient être renforcées spirituellement, voyant qu’ils ne peuvent encore exercer la foi. Certains simplement souligné que les bébés de croire que les parents sont enfants de l'Alliance et comme ces héritiers des promesses de Dieu, y compris également la promesse de la régénération; et que l’efficacité spirituelle du baptême n’est pas limitée au temps de son administration, mais continue à travers la vie. La Confessio Belgica exprime également cette idée en ces termes: « Ni ce baptême se servir nous qu’au moment où l’eau est versé sur nous et reçu par nous, mais aussi à travers tout le cours de notre vie. » [Art. XXXIV.] d’autres sont allés au-delà de cette position et a soutenu que les enfants de l'Alliance étaient considérées comme présumée régénéré. Ce n’est pas équivalent à dire qu’ils sont tous régénérés, lorsqu’elles sont présentées pour le baptême, mais qu’ils sont censés être régénéré jusqu'à ce que le contraire ressort de leur vie. Il y avait aussi quelques uns qui considérait le baptême comme rien de plus que le signe de l’Alliance externe. Sous l’influence des Sociniens, arminiens, anabaptistes et rationalistes, il est devenu tout à fait habituel dans de nombreux cercles de nier que le baptême est un sceau de la grâce divine et à le considérer comme un simple acte de profession de la part de l’homme. De nos jours, beaucoup de personnes qui se disent chrétiens ont complètement perdu la conscience de la signification spirituelle du baptême. Il est devenu une simple formalité.

D. LE MODE APPROPRIÉ DU BAPTÊME.

Baptistes sont désaccord avec le reste du monde chrétien dans leur position ce trempage ou immersion, suivie d’émersion, est le seul mode de baptême; et que ce mode est absolument indispensable de baptême, parce que ce rite est censé symboliser la mort et la résurrection de Jésus Christ et la conséquente mort et la résurrection du sujet du baptême avec lui. Deux questions se posent, par conséquent, et il est préférable d’en tenir compte dans l’ordre suivant: (1) quelle est la chose essentielle dans le symbolisme du baptême ? et (2) est immersion le seul mode de baptême ? Cet arrêté est préférable, parce que ce qui est ancien est le plus important des deux, et parce que la réponse à la seconde dépendra en partie sur celle donnée à la première. Puisque le baptême d'eau est issu des rituels de la loi, le mode était clairement l'aspersion ou l'effusion, ces deux modes étant reconnus comme étant les seuls valides. Toutefois, puisque le baptême est abolie avec toutes les ordonnances de la loi, le mode n'importe plus pour le chrétien, mais la grâce de la foi du salut en Christ détient toutes importances.

1. QUELLE EST LA CHOSE ESSENTIELLE DANS LE SYMBOLISME DU BAPTÊME ? Selon les baptistes, immersion, suivie d’émersion, est la chose essentielle dans le symbolisme du baptême. Un abandon de ce serait équivalent à abandonner baptême lui-même. L’idée vraie baptismale, disent-ils, est exprimée en coucher dans et l’entrée vers le haut, hors de l’eau. Qu’une telle immersion implique naturellement un certain lavage ou purification, est quelque chose de purement accidentel. Baptême serait baptême même si on étaient plongé dans quelque chose qui a pas de propriétés nettoyantes. Ils fondent leur opinion sur Mark 10:38, 39; Luc 12:50; Romains 6:3, 4; 02:12. Mais les deux premiers passages expriment simplement l’idée que Christ soient submergés par ses souffrances à venir et ne parle pas du sacrement du baptême du tout. Les deux derniers sont les seuls qui n’ont vraiment aucune incidence sur la question, et même ce ne sont pas au point, car ils ne parlent pas directement de n’importe quel baptême avec de l’eau du tout, mais le baptême spirituel ainsi représentant. Ils représentent régénération sous la figure d’un mourant et un lever à nouveau. Il est certainement tout à fait évident qu’ils ne font pas mention du baptême comme un emblème de la mort et la résurrection du Christ. Si le baptême était représentée ici à tous comme un emblème, il serait comme un emblème de croyant mourant et ressuscitant. Et puisqu’il s’agit seulement d’une manière figurative de représenter sa régénération, il ferait le baptême une figure d’un personnage.

La théologie réformée a une conception tout à fait différente de la chose essentielle dans le symbolisme du baptême. Il trouve cela dans l’idée de purification. Le Catéchisme de Heidelberg demande 69 en Question: « Comment est-il signifié et scellé te dans le Saint baptême que vous avez une partie dans l’unique sacrifice du Christ sur la Croix ? » Et il répond: « par conséquent, que le Christ a nommé le lavage à l’eau à l’extérieur et ajouté la promesse que je me suis suis lavé avec le sang et l’esprit de la pollution de mon âme, c'est-à-dire de tous mes péchés, aussi certainement que je me suis suis lavé extérieurement avec de l’eau par qui la souillure du corps est souvent lavé. » Cette idée de purification était la chose pertinente dans toutes les eaux de rinçage de l’ancien Testament, ainsi que dans le baptême de Jean, PS. 51:7; Ézéchiel 36: 25; John 03:25, 26. Et on peut supposer que, à cet égard, le baptême de Jésus a été entièrement conforme aux précédents baptêmes. S’il avait voulu le baptême comme un symbole de quelque chose de totalement différent, il a instauré, il aurait indiqué cela très clairement, afin d’éviter tout malentendu possible. De plus, l’écriture est tout à fait clair que le baptême symbolise le nettoyage spirituel ou purification, actes 02:38; 22:16; Romains 6:4 f.; I Corinthiens 06:11; Tite 3:5; Hébreux 10:22; J’ai PET. 03:21; Apocalypse 1:5. C’est exactement le point sur lequel la Bible insiste tous, alors qu’il ne représente jamais coucher et venir comme quelque chose d’essentiel.

2. L'IMMERSION EST-ELLE LE SEUL MODE DE BAPTÊME ? L’opinion dominante généralement en dehors des cercles de Baptiste, c’est que, aussi longtemps que l’idée fondamentale, à savoir, celle de la purification, expression de trouvailles dans le rite, le mode de baptême est tout à fait indifférent. Il peut être administré par immersion, par coulée ou épanchement ou en saupoudrant. La Bible utilise simplement un terme générique pour désigner une action visant à produire un certain effet, à savoir, le nettoyage ou la purification, mais nulle part détermine le mode spécifique dans lequel l’effet doit être produit. Jésus n’a prescrit un certain mode de baptême. Évidemment, il n’accorde pas autant d’importance à lui comme le font les baptistes. Ni ne les exemples bibliques de stress de baptême n’importe quel mode particulier. Il n’y a pas un seul cas dans lequel on nous dit explicitement juste comment le baptême a été administré. Les baptistes affirment, toutefois, que le Seigneur a fait commande baptême par immersion, et que tous ceux qui l’administrent de façon différente agissent en ouvrent la désobéissance à son autorité. Pour prouver leur affirmation, ils font appel aux mots bapto et baptizo, qui sont utilisés dans l’écriture pour « pour baptiser. » Le second mot semble être une forme intensive ou frequentative du premier, même si en général utilisation la distinction ne tient-elle pas toujours. Bapto est fréquemment utilisé dans l’ancien Testament, mais apparaît dans le Nouveau Testament seulement quatre fois, à savoir, dans Luc 16:24; John 13:26; 19:13 et dans ces cas ne fait pas référence au baptême chrétien. Baptistes étaient très confiants en même temps que ce verbe signifie seulement « plonger »; mais beaucoup d'entre eux ont changé d’avis depuis Carson, une de leurs plus grandes collectivités, sont venus à la conclusion qu’il a aussi un secondaire signifiant, à savoir « colorant », afin qu’on en est venu à signifier « teinture par immersion, » et même, « à la teinture d’une manière » auquel cas il a cessé d’être expressif de mode. [Carson, baptême en son Mode et sujets, pp. 44 et suiv.] La question plus avant de savoir, si baptizo, qui sert à la 76 fois, et qui est le mot employé par le Seigneur dans les paroles de l’institution, a été dérivé de bapto dans son primaire ou dans son sens secondaire . Et le Dr Carson répond qu’il est dérivé de bapto dans le sens de « à plonger ». Il dit: «Bapto, la racine, j’ai démontré qu’ils possèdent deux significations et deux seulement, « par dip » et « à la teinture. » Baptizo, je l’ai affirmé, a une signification. Il a été fondé sur le sens premier de la racine et n’a jamais admis le secondaire... Ma position, c’est qu’il toujours signifie pour plonger; ne jamais exprimer autre chose que de la mode. » [Op. cit., p. 55.] Les baptistes doivent maintenir cela, s’ils veulent prouver que le Seigneur commanda le baptême par immersion. Mais l'immersion ne provient pas des Saintes-Écritures mais des anciennes religions à mystères et est encore utilisée de nos jours par ceux qui se donnent au mysticisme. Il y a clairement rien de réellement chrétien dans l'immersion, sauf l'image quelle donne de la destructions des ennemis de Dieu (le déluge de Noé, l'armée de Pharaon détruite sous les eaux).

Mais les faits, tels qu’ils apparaissent à la fois classique et Nouveau Testament grec, ne justifient pas cette position. Même m. Gale, qui était peut-être le plus savant auteur qui cherchaient à le maintenir, senti contraint par les faits de la modifier. Wilson dans son travail remarquable sur le Baptême infantile, qui est en partie une réponse au travail de m. Carson, cite Gale comme disant: « le mot baptizo peut-être n’exprime pas donc nécessairement l’action de mettre sous l’eau, comme en général une chose d’être dans cette condition, quelle que soit la façon dont il s’agit de l’être, si elle est placée dans l’eau, ou l’eau vient dessus; en effet, mettre dans l’eau est la façon la plus naturelle et la plus courante et est donc, généralement et assez constamment, mais c’est peut-être pas nécessairement implicite. » [p. 97]. Wilson indique avec certitude que, selon l’usage grec, baptême s’effectue de diverses façons. Il dit: « laissez l’élément baptisant englober son objet, et dans le cas de liquides, si cet état relatif a été produit par immersion, épanchement, écrasante, ou dans tout autre mode, usage grec reconnaît comme un baptême valide. » Il poursuit plus loin pour montrer en détail qu’il est impossible de maintenir la position que le mot baptizo signifie toujours une immersion dans le Nouveau Testament. [Pour consulteront les différentes significations possibles de baptizo , sans compter que le traité de Wilson, déjà mentionnée, des œuvres telles que celles d’Armstrong, La Doctrine des baptêmes; Seiss, le système de Baptiste examiné; Ayres, baptême chrétien; Hibbard, baptême chrétien]

Il est évident que les mots, bapto et baptizo, avaient d’autres importances, tels que « à laver », « se baigner » et de « purifier par le lavage. » L’idée de laver ou de purification est progressivement devenu l’idée importante, tandis que celle de la manière dont cela s’est produit se retira de plus en plus dans l’arrière-plan. Que cette purification a été parfois effectuée par aspersion, ressort clairement du Nom. 8:7; 19:13, 18, 19, 20; PS. 51:7; Ézéchiel 36: 25; Héb. 09:10. Judith 12,7 et Marc 7:3, 4, nous ne pouvons pas penser éventuellement tremper. N’est-ce possible en relation avec les passages suivants du Nouveau Testament: Matthieu 03:11; Luc 11:37, 38; 12:50; Romains 6:3; I Corinthiens 12:13; Héb. 09:10 (cf. versets 13,14,19, 21); I Corinthiens 10:1, 2. Étant donné que le mot baptizo ne signifie pas nécessairement « à plonger », et parce que le Nouveau Testament ne fonctionne pas dans tous les cas explicitement affirment que le baptême a eu lieu par immersion, le fardeau de la preuve semble reposer sur les baptistes. Est Jean le Baptiste capable de l’énorme tâche de plonger les multitudes qui ont afflué vers lui dans le Jourdain, ou il simplement verser de l’eau sur eux comme certains des inscriptions début semble indiquer ? Les apôtres trouver assez d’eau à Jérusalem, et qu’ils ont les moyens nécessaires, pour baptiser les trois mille en une seule journée par immersion ? Où sont les preuves pour prouver qu’ils ont suivi une autre méthode que le mode de l’ancien Testament des baptêmes ? Ne les actes en aucune manière que Paul a laissé la place où Ananias trouvé lui, d’être immergé dans une piscine ou rivière, 09:18 indiquer ? Ne pas le compte du baptême de Corneille crée l’impression que l’eau devait être intentée et que ceux qui sont présents, c’est droit dans la maison ? Actes 10:47, 48. Existe-t-il des preuves que le geôlier à Philippes fut baptisé pas dans ou près de la prison, mais a entraîné ses prisonniers sur le fleuve, afin qu’il peut être immergé ? Aurait il osé pour les emmener à l’extérieur de la ville, lorsqu’il a été ordonné de les garder en toute sécurité ? Actes 16:22-33. Même le compte du baptême de l’eunuque, actes 08:36, 38, qui est souvent considérée comme la plus forte preuve scripturale pour le baptême par immersion, ne saurait être considérée comme une preuve concluante. Un examen attentif de l’utilisation de Luc de préposition eis montre qu’il a utilisé non seulement dans le sens de en, mais aussi dans le sens à, alors que c’est tout à fait possible de lire la déclaration pertinente dans le verset 38 comme suit: « et ils ont tous deux descendit à l’eau, les deux Philippe et l’eunuque et il le baptisa. » Et même si les mots visaient à transmettre l’idée qu’ils sont allés vers le bas dans l’eau, cela ne peut encore prouver le point, pour selon les représentations picturales des premiers siècles ceux qui ont été baptisés par un épanchement souvent se trouvaient dans l’eau. Il est tout à fait possible, bien sûr, que dans l’âge apostolique, certains ont été baptisés par immersion, mais le fait que le Nouveau Testament insiste nulle part pour cela prouve qu’il n’était pas indispensable. Immersion est un bon mode de baptême, mais c’est baptême par épanchement ou en saupoudrant, puisqu’ils sont tous symbolisent la purification. Les passages dénommés dans ce qui précède prouvent que l’ancien Testament nombreux lavages (baptizings) a eu lieu en saupoudrant. Dans une prophétie concernant le renouvellement spirituel de l’époque du Nouveau Testament, le Seigneur dit: « Je répandrai sur vous une eau propre et vous serez purifiés, » Ézéchiel 36: 25. L’affaire signifié dans le baptême, à savoir, l’esprit de purification, a été répandu sur l’église, Joel 02:28, 29; Actes 2:4, 33. Et l’auteur d’Hébreux parle de ses lecteurs comme leurs cœurs purifiés d’une mauvaise conscience, Héb. 10:22.

E. LES ADMINISTRATEURS LÉGAUX DU BAPTÊME.

Catholiques romains considèrent baptême absolument nécessaire au Salut; et parce qu’ils considèrent comme cruels pour rendre le salut de toute personne dépendante de la présence fortuite ou l’absence d’un prêtre, elles aussi en cas d’urgence permettent baptême par d’autres, en particulier par des sages-femmes. Malgré l’opinion contraire de Cyprien, ils reconnaissent le baptême des hérétiques, à moins que leur hérésie implique un déni de la Trinité. Les Églises réformées ont toujours agi sur le principe que l’administration de la parole et des sacrements vont de pair, et que par conséquent l’enseignement aîné ou le ministre est l’administrateur seulement légitime du baptême. Le mot et la Sainte-Cène sont réunis dans les paroles de l’institution. Et parce que le baptême n’est pas une affaire privée, mais une ordonnance de l’église, ils soutiennent également qu’il doit être administré dans l’Assemblée publique des croyants. Ils ont généralement reconnu le baptême des autres églises, sans exclure les catholiques romains et aussi des diverses sectes, sauf dans le cas des églises et de sectes qui niaient la Trinité. Ainsi, ils ont refusé d’honorer le baptême des Sociniens et des unitaires. En général, ils ont considéré comme un baptême comme valide qui était administré par un ministre dûment accrédité et au nom du Dieu trine. Ainsi on voit que l'Église dite Réformée ne s'est pas entièrement purgés des pratiques malsaines du catholicisme, puisqu'elle garde encore en son sein les aberrations du cléricalisme et du formalisme, ainsi que sa fausse doctrine de la Trinité. Le Protestantisme est vraiment l'enfant de sa mère, la Grande Prostituée qui siège à Rome.

F. LES SUJETS APPROPRIÉS DU BAPTÊME.

Le Baptême est destiné seulement pour les êtres doués de raison dûment qualifiés, à savoir, croyants et leurs enfants. Rome perd de vue ce dans la mesure où elle s’applique le sacrement également aux horloges, bâtiments et ainsi de suite. Il y a deux classes à laquelle elle doit être appliquée, à savoir, les adultes et les nourrissons.

1. BAPTÊME DES ADULTES. Dans le cas d’adultes baptême doit être précédé d’une profession de foi, de la marque 16:16; Actes à 02:41; 08:37 (ne pas trouvé dans quelques MSS.); 16:31-33. c’est pourquoi l’église insiste sur cette profession avant de baptiser les adultes. Et quand une telle profession faite, cela est accepté par l’église à sa valeur nominale, sauf si elle a de bonnes raisons objectives de douter de sa véracité. Il n’appartient-elle pas à sa province à fouiller dans les secrets du coeur et donc à passer sur l’authenticité de cette profession. La responsabilité incombe à la personne qui en fait. La méthode de regards sur l’état interne du cœur, afin de déterminer l’authenticité de sa profession, est Labadistic et pas en harmonie avec la pratique des Églises réformées. Étant donné que le baptême n’est pas simplement un signe et un sceau, mais aussi un moyen de la grâce, la question se pose quant à la nature de la grâce, forgée par elle. Cette question est soulevée ici, uniquement en ce qui concerne le baptême des adultes. Compte tenu du fait que, selon notre conception réformée, ce baptême suppose régénération, foi, conversion et justification, ce sont sûrement ne pas à être conçu comme forgé par elle. À cet égard, nous nous distinguons de l’église de Rome. Même les luthériens, qui attribuent une puissance supérieure au baptême comme un moyen de grâce la do réformée, d’accord avec ce dernier sur ce point. Ni le baptême ne fonctionne une grâce sacramentelle spéciale, consistant en ce que le destinataire est implanté dans le corps de Jésus Christ. Incorporation de croyant dans une union mystique avec le Christ est aussi supposée. Parole et les sacrements fonctionnent exactement le même genre de la grâce, sauf que le mot, à la différence de la Sainte-Cène, est également joué un rôle important dans l’origine de la foi. Le sacrement du baptême renforce la foi, et parce que la foi joue un rôle important dans toutes les autres opérations de la grâce divine, elles sont aussi grandement bénéficiés par ce dernier. Baptême représente avant tout un acte de la grâce de Dieu, mais parce que les personnes qui se disent chrétiens doivent lui présenter volontairement, il peut être considéré du côté de l’homme. Il y a dedans une offre et un don de Dieu, mais aussi une acceptation de la part de l’homme. Par conséquent, le baptême signifie aussi que l’homme accepte l'Alliance et assume les obligations qui lui incombent. C’est un cachet, non pas simplement d’une offre, mais d’un offert et accepté, c'est-à-dire d’un pacte conclu.

2. BAPTÊME DES ENFANTS. C’est sur le point de baptême des enfants que l'on trouve la plus importante différence entre nous et les baptistes. La cale de ce dernier, comme m. Hovey, un auteur de Baptiste, l’exprime, « que seuls les croyants en Christ bénéficient du baptême, et que seuls ceux qui donnent des preuves crédibles de la foi en lui devraient être baptisés ». Cela signifie que les enfants sont exclus de la Sainte-Cène. Dans toutes les autres dénominations, cependant, ils la reçoivent. Plusieurs points nécessitent une attention dans le cadre de ce sujet.

a. la base biblique pour le baptême des enfants. On peut dire d’emblée qu’il n’y a aucune commande explicite dans la Bible de baptiser des enfants, et qu’il n’y a pas une seule instance dans laquelle on nous dit clairement que les enfants ont été baptisés. Mais cela ne pas nécessairement baptême infantile non biblique. Le sol scripturaire pour qu’il se trouve dans les données suivantes:

(1) l’Alliance faite avec Abraham était principalement une Alliance spirituelle , bien qu’il y avait également un aspect national, et de cette Alliance spirituelle, la circoncision était un signe et un sceau. C’est une procédure injustifiée des baptistes de fractionner ce Pacte dans deux des trois alliances différentes. La Bible fait référence à l’Alliance avec Abraham plusieurs fois, mais toujours au singulier, Ex. 02:24; Lévitique 26: 42, II Rois 13:23; J’ai Chron. 16:16; PS. 105:9. Il n’y a pas une seule exception à cette règle. La nature spirituelle de cette Alliance est prouvée par la manière dont ses promesses sont interprétés dans le Nouveau Testament, Rom. 04:16-18; II Corinthiens 06:16-18; Galates 3:8, 9, 14, 16; Héb. 08:10; 11:9, 10, 13. il découle aussi du fait que la circoncision était clairement un rite qui avait une signification spirituelle, Deut. 10:16; 30:6; Jérémie 4:4; 09:25, 26; Actes 15:1; ROM. 02:26-29; 04:11; Philippiens 3:2; et du fait que la promesse de l’Alliance s’appelle encore « l’Évangile » Galates 3:8.

(2) le présent Pacte est toujours en vigueur et est essentiellement identique à la « nouvelle Alliance » de la dispensation actuelle. L’unité et la continuité de l’Alliance dans les deux dispenses découle du fait que le Médiateur est la même chose, des actes 04:12; 10:43; 15:10, 11; GAL 03:16; I Timothée 2:5, 6; I Pierre 1:9-12; la condition est la même, à savoir, la foi, Genèse 15:6; (Romains 4:3); PS. 32: 10; Hébreux 2:4; Actes 10:43; Hébreux 11; et les bénédictions sont les mêmes, à savoir, justification, Psaume 32: 1, 2, 5; Ésaïe 01:18; Romains 4:9; Galates 3:6, régénération, Deut. 30:6; PS. 51:10, les dons spirituels, Joel 02:28, 32; AC 02:17-21; Esaïe 40: 31 et la vie éternelle, Exode 3:6; Hébreux 4:9; 11:10. Peter a donné à ceux qui étaient sous la condamnation le jour de la Pentecôte l’assurance que la promesse a été faite pour eux et pour leurs enfants, actes 02:39. Paul affirme dans Rom. 04:13-18; GAL 03:13-18, que l’octroi de la loi n’a pas fait la promesse d’aucun effet, afin qu’il reste est titulaire de la nouvelle dispensation. Et l’auteur d’Hébreux souligne que la promesse faite à Abraham a été confirmée par un serment, afin que les croyants du Nouveau Testament peuvent dériver le confort de son immuabilité, Hébreux 06:13-18.

(3) de la nomination de Dieu nourrissons partagent dans les avantages de l’Alliance et a donc reçu la circoncision comme un signe et le sceau. Selon la Bible, l'Alliance est clairement un concept biologique, et sa réalisation se déplace le long des lignes organiques et historiques. Il y a un peuple ou une nation de Dieu, un tout organique tels que pourrait seulement être constitué par les familles. Cette idée nationale est naturellement très importante dans l’ancien Testament, mais le plus frappant, c’est qu’il n’a pas disparu quand la nation d’Israël avait atteint son but. Il a été spiritualisé et donc repris dans le Nouveau Testament, afin que le peuple du Nouveau Testament de Dieu est aussi représenté en tant que nation, Matthieu 21:43; ROM. 9:25.26 (Comp. Hosea 02:23); II Corinthiens 06:16; Tite 02:14; I Pierre 2:9. Les nourrissons ont été examinées durant la dispensation vieux comme faisant partie intégrante d’Israël comme peuple de Dieu. Ils étaient présents lorsque l’Alliance a été renouvelée, Deut. 29:10:13; Josué 08:35; II Chron. 20:13, avait une valeur dans la congrégation d’Israël et étaient donc présents dans leurs assemblées religieuses, II Chron. 20:13; Joel 02:16. Compte tenu de ces riches promesses comme ceux dans Ésaïe 54:13; Jérémie 31: 34; Joel 02:28 nous attendrait guère les privilèges de ces enfants à être réduite dans la nouvelle dispensation et ne serait certainement pas chercher leur exclusion de n’importe quel permanent dans l’église. Jésus et les apôtres n’a pas exclu leur, Matthieu 19:14; Actes à 02:39; I Corinthiens 07:14. Une telle exclusion semblerait d’exiger une motivation très explicite à cet effet.

(4) dans la nouvelle dispensation, le baptême est par l’autorité divine par ce qui suite pour la circoncision comme signe initiatique et sceau de l’Alliance de grâce. L’écriture fortement insiste là-dessus que la circoncision peut servir non plus à ce titre, actes 15:1, 2; 21:21; Galates 2:3-5; 5:2-6; 06:12, 13, 15. Si le baptême n’a pas pris sa place, puis le Nouveau Testament n’a aucun rite d’initiation. Mais Christ clairement par ce qui suit il ainsi, Matthieu 28: 19, 20; Marc 16:15, 16. Il correspond avec la circoncision dans le sens spirituel. Circoncision visés à la coupe loin du péché et à un changement de cœur, Deut. 10:16; 30:6; Jérémie 4:4; 09:25, 26; Ézéchiel 44: 7, 9, donc le baptême se réfère à la lessive loin du péché, actes 02:38; J’ai PET. 03:21; Tite 3:5 et spirituels du renouvellement, Romains 6:4; 02:11, 12. Le dernier passage clairement relie la circoncision avec le baptême et enseigne que la Christ-circoncision, c'est-à-dire, la circoncision du cœur, signifié par la circoncision dans la chair, a été accomplie par le baptême, c’est par là quel baptême signifie. Cf. aussi GA 03:27, 29. Mais si les enfants ont reçu le signe et sceau de l'Alliance dans l’ancienne dispensation, la présomption est qu’ils ont sûrement un droit de le recevoir dans la nouvelle, dont la piété de l’ancien Testament ont appris à regarder vers l’avant comme beaucoup une dispense plus complète et plus riche. Elles sont exclues il nécessiterait une déclaration claire et sans équivoque en ce sens, mais au contraire se trouve, Matthieu 19:14; Actes à 02:39; I Corinthiens 07:14.

(5) comme indiqué dans ce qui précède, le Nouveau Testament ne contient aucune preuve directe pour la pratique du baptême des enfants à l’époque des apôtres. Lambert, après avoir examiné et pesant toutes les preuves disponibles, exprime sa conclusion en ces termes: « le témoignage du Nouveau Testament, puis, semble pointer à la conclusion que le baptême infantile, pour dire le moins, n’était pas la coutume générale de la âge apostolique. » [Les sacrements dans le Nouveau Testament, p. 204.] Mais il ne faut pas surprendre personne qu’il n’y a aucune mention directe du baptême des nouveau-nés, pour une période missionnaire comme l’âge apostolique, l’accent serait naturellement tomber sur le baptême des adultes. En outre, des conditions n’étaient pas toujours favorables au baptême des enfants. Convertit n’aurait pas à la fois une conception adéquate de leur Pacte aux fonctions et responsabilités. Parfois d’un seul des parents a été transformée, et il est tout à fait concevable que l’autre ne s’y opposerait le baptême des enfants. Souvent, il n’y avait pas une assurance raisonnable que les parents seraient éduquer leurs enfants pieusement et religieusement, et encore cette assurance était nécessaire. Dans le même temps, la langue du Nouveau Testament est parfaitement cohérente avec une continuation de l’administration organique de l'Alliance, qui exigeait la circoncision des enfants, Matthieu 19:14; Marc 10:13-16; Actes à 02:39; I Corinthiens 07:14. En outre, le Nouveau Testament parle du baptême des ménages à plusieurs reprises et ne donne aucune indication que cela est considéré comme quelque chose hors de l’ordinaire, mais plutôt se réfère à elle comme une question bien sûr, actes 16:15, 33; J’ai Cor. 01:16. Il est tout à fait possible, bien sûr, mais pas très probable, qu’aucun de ces ménages figurant des enfants. Et s’il y avait des nourrissons, il est moralement certain qu’ils ont été baptisés ainsi que les parents. Le Nouveau Testament ne contient certainement aucune preuve que les personnes nés et élevés dans des familles chrétiennes ne peuvent pas être baptisés jusqu'à ce qu’ils en sont venus à des années de discrétion et ont professé leur foi dans le Christ. Il n’y a pas la moindre allusion à une telle pratique.

(6) mur dans l’introduction à son Histoire du baptême infantile fait remarquer que dans le baptême des prosélytes enfants de prosélytes étaient souvent baptisés ainsi que leurs parents; mais Edersheim dit qu’il y avait une divergence de vues sur ce point. [La vie et l’époque de Jésus, le Messie II, p. 746.] Naturellement, même que si cela se produisait, ce serait la preuve rien jusqu'à présent dans le baptême chrétien est concerné, mais il irait pour montrer qu’il n’a rien d’étrange dans une telle procédure. La première référence historique au baptême des enfants se trouve dans les écrits de la seconde moitié du IIe siècle. La Didaché parle d’adulte, mais pas du baptême des enfants; et tandis que Justin fait mention des femmes qui sont devenus disciples du Christ de l’enfance (ek paidon), ce passage ne mentionne pas le baptême, et ek paidon ne signifie pas nécessairement la première enfance. Irénée, parlant du Christ, dit: « Il est venu pour sauver par des moyens de lui tous ceux qui, à travers lui, sont nés à nouveau à Dieu, les nourrissons et petits enfants et garçons et jeunes et vieux hommes. » [Adv. Haereses II, 22,4.] Ce passage, bien qu’il ne mentionne pas explicitement le baptême, est généralement considéré comme la première référence au baptême des enfants, puisque les premiers pères si étroitement associé baptême régénération qu’ils ont utilisé le terme « régénération » pour le « baptême ». Que baptême des enfants était très généralement pratiqué à la fin du IIe siècle, est évident d’après les écrits de Tertullien, bien que lui-même a jugé plus sûr et plus rentable de différer le baptême. [De cadeaux, c. XVIII.] Origen parle d’elle comme une tradition des apôtres. Il dit: « Pour cela aussi c’était, que l’église avait des apôtres une tradition (ou ordre) pour donner le baptême même aux nourrissons. » [Comm. dans ad Romanos de l’Epist., lib. V.] le Concile de Carthage (A.D. 253) prend le baptême des enfants pour acquis et discute tout simplement la question, si elles peuvent être baptisés avant le huitième jour. Partir du deuxième siècle, baptême des enfants est reconnu régulièrement, même si elle a été parfois négligé dans la pratique. Augustine déduire du fait qu’il était généralement pratiqué par l’église dans le monde entier en dépit du fait qu’il n’était pas fondé en conseils, qu’il était selon toute probabilité, réglée par l’autorité des apôtres. Sa légitimité ne niait pas jusqu’aux jours de la réforme, lorsque les anabaptistes s’y opposaient.

b. Objections au baptême des enfants. Quelques-unes des plus importantes objections au baptême des enfants nécessitent une attention brève.

(1) la circoncision était simplement une ordonnance charnelle et typique et comme tel, était destinée à disparaître. Pour mettre le baptême à la place de la circoncision, est tout simplement de continuer l’ordonnance charnelle. Ces ordonnances charnelles ont pas leur place légitime dans l’église du Nouveau Testament. De nos jours, que cette objection est soulevée par certains dispensationalistes, tels que Bullinger et O'Hair, qui prétendent que le baptême institué par Jésus est connecté avec le Royaume, et que seulement le baptême de l’esprit a une juste place dans l’église. Le livre des actes marque la transition entre le baptême d’eau pour le baptême d’esprit. Naturellement, cet argument se révélerait tout baptême, adult ainsi que de l’enfant en bas âge, illégitime. Dans cette représentation de la matière les dispensations juives et chrétiennes sont placées par rapport à l’autre comme charnelle et spirituelle, et circoncision est censée appartenir à l’ancienne. Mais cet argument est fallacieux. Il n’y a aucun mandat pour le placement de la circoncision au total sur un niveau avec les ordonnances charnelles de la Loi de Moïse. Bannerman, dit: « la circoncision était indépendante de l’introduction ou l’abolition de la Loi de Moïse; et aurait continué l’ordonnance permanente pour l’admission dans l’église de Dieu comme le sceau de l’Alliance de grâce, pas de baptême avait expressément désigné comme un substitut pour elle. » [L’église du Christ II, p. 98.] On peut admettre que la circoncision a fait acquérir une certaine signification typique dans la période de la mosaïque, mais c’était avant tout un signe et le sceau de l’Alliance déjà faite avec Abraham. Dans la mesure où c’était un type qu'elle cessé naturellement avec l’apparition de l’antitype, et même comme un sceau de l'Alliance il fait moyen pour un sacrement non sanglante expressément institué par le Christ pour l’église et reconnu comme tel par les apôtres , puisque le Christ a mis fin une fois pour toutes à l’effusion de sang dans le cadre de le œuvre de rédemption. À la lumière de l’écriture, la position est tout à fait insoutenable, que le baptême est connecté avec le Royaume plutôt qu’avec l’église et est donc juif et non chrétienne. Les paroles de l’institution condamnent ce point de vue, et donc le fait que sur l’anniversaire de l’église néotestamentaire Pierre exigé de ceux qui ont été ajoutés à ce qu’ils devraient être baptisés. Et si on dire que Peter, être un juif, a toujours suivi l’exemple de Jean le Baptiste, il peut être souligné que Paul, l’Apôtre des gentils, aussi nécessaire que ses convertis baptisés, actes 16:15, 33; 18:8; J’ai Cor. 01:16.

(2) il n’y a aucune commande explicite que les enfants doivent être baptisés. Cela est parfaitement vrai, mais il ne réfute pas la validité du baptême des enfants. Il convient d’observer que cette objection est fondée sur un principe d’interprétation dont les baptistes eux-mêmes ne sont pas vraies quand ils tiennent que les chrétiens sont tenus pour célébrer le premier jour de la semaine comme leur Sabbat, et que les femmes doivent également prendre part à la Lor d.ieu souper; car ce sont des choses pas explicitement commandés. Ne peut pas le silence de l’écriture être interprété pour et non contre, baptême des enfants ? Pendant vingt siècles enfants avaient été formellement lancés dans l’église, et le Nouveau Testament ne dit pas que cela doit cesser maintenant, bien qu’il n’enseigne que la circoncision ne peut pas plus servir à cet effet. Le Seigneur lui-même a institué un autre rite, et le jour de la Pentecôte, Pierre dit à ceux qui se joignirent à l’église que la promesse est pour eux et leurs enfants et à la suite autant que le Seigneur lui-même appellera. Cette déclaration de Peter prouve au moins qu’il avait encore la conception organique de l'Alliance à l’esprit. En outre, la question peut être soulevée comment Jean-Baptiste lui-même peut prouver la justesse de sa propre position par une commande expresse de l’écriture. La Bible partout commande à l’exclusion des enfants du baptême ? Le fait que tous ceux qui sont nés et élevés dans des familles chrétiennes doivent professer leur foi avant qu’ils sont baptisés de commande ? De toute évidence, il n’y a aucune de ces commandes.

(3) une objection étroitement liée, c’est qu’il n’y a aucun exemple de baptême des enfants dans le Nouveau Testament. Il est parfaitement vrai que la Bible ne pas explicitement dit que les enfants ont été baptisés, même si il informer nous du fait que le rite a été administré aux ménages ensemble. L’absence de toute référence précise au baptême des enfants trouve son explication, au moins dans une large mesure, dans le fait que l’écriture nous donne un record historique de le œuvre missionnaire des apôtres, mais ce aucune trace du travail qui a été exploitée dans la ml organisée urches. Et ici, aussi, les tableaux peuvent être facilement allumés le Baptiste. Il va nous montrer un exemple du baptême d’un adulte qui avait été né et élevé dans un foyer chrétien ? Il n’y a aucun danger qu’il ne le sera jamais.

(4) la plus importante objection au baptême des enfants élevé par les baptistes, est que, selon l’Ecriture, le baptême est conditionné sur une foi active se révélant dans une profession honorable. Maintenant, il est parfaitement vrai que la Bible pointe vers la foi comme une condition sine qua non pour le baptême, Marc 16:16; Actes 10:44-48; 16:14, 15, 31, 34. si cela signifie que le bénéficiaire du baptême doit dans tous les cas de manifestations donnent une foi active avant le baptême, puis naturellement, les enfants sont exclus. Mais si la Bible indique clairement que seuls les adultes qui ont cru ont été baptisés, il fixe nulle part la règle qu’une foi active est absolument essentielle pour la réception du baptême. Baptistes nous référer à la grande commission, car elle se trouve dans Marc 16:15, 16. Compte tenu du fait qu’il s’agit d’une commande de missionnaire, nous pouvons aller de l’avant sur l’hypothèse que le Seigneur avait en tête une foi active dans ces mots. Et bien il n’est pas explicitement indiqué, il est tout à fait probable qu’il considérait cette foi comme une condition sine qua non pour le baptême des personnes destinées. Mais qui sont-ils ? De toute évidence, les adultes des nations qui devaient être évangélisé, et par conséquent le Baptiste n’est pas justifié à interpréter comme un argument contre le baptême des enfants. Si il insiste sur cette opération, néanmoins, il faut savoir que ces mots s’avérer trop bien même pour lui sur sa construction et donc ne prouvent rien. Les paroles de notre-Sauveur impliquent que la foi est une condition sine qua non pour le baptême de ceux qui, grâce aux efforts de missionnaires de l’Eglise, soient amenés à Christ et n’impliquent pas que c’est aussi une condition sine qua non pour le baptême des enfants. Baptiste généralise cette affirmation du Sauveur en apprenant qu’il rend tous les contingents de baptême sur la foi active du destinataire. Il fait valoir comme suit: la foi Active est la condition sine qua non du baptême. Les bébés ne peuvent exercer la foi. Donc les enfants ne peuvent pas être baptisés. Mais de cette façon ces mots pourraient également être interprétées dans un argument contre Salut infantile, puisqu’ils impliquent mais prévoient expressément que la foi (la foi active) est la condition pour le salut. Correspondre le Baptiste ainsi trouverait grevée par le syllogisme suivant: la foi est la condition sine qua non du Salut. Enfants ne peuvent pas encore preuve de foi. C’est pourquoi les enfants ne peuvent être sauvés. Mais il s’agit d’une conclusion dont le Baptiste lui-même serait reculer.

c. le terrain pour le baptême des enfants.

(1) la position de nos normes confessionnelles. La Confessio Belgica déclare dans l’Art. XXXIV, ce que les enfants nés de parents de croire « devaient être baptisé et scellé avec le signe de l’Alliance, comme les enfants d’Israël étaient anciennement excisée sur les mêmes promesses qui sont faites pour nos enfants. » Le Catéchisme de Heidelberg répond à la question, « Sont les enfants aussi se faire baptiser ? » comme suit: « Oui, car depuis ils, ainsi que les adultes, sont inclus dans l'Alliance et l’église de Dieu, et étant aussi bien rédemption du péché et l’Esprit Saint, l’auteur de la foi, à travers le sang du Christ a promis à ceux non moins aux adultes, ils doivent aussi par le baptême, comme un signe de l’Alliance, rameaux dans the Christian Church et de distinguer les enfants des infidèles, comme l’a fait dans l’ancienne alliance ou testament par la circoncision au lieu de quel baptême a été institué dans la nouvelle Alliance. » [Dimanche XXVII, Q. 74.] Et les Canons de Dordrecht contient la mention suivante en I, Art. 17: « car nous sommes pour juger de la volonté de Dieu dans sa parole, qui témoigne que les enfants des croyants sont saints, pas par nature, mais en vertu de l’Alliance de grâce, dans lequel ils ainsi que leurs parents sont inclusif, pieux parents ne devraient ne pas douter les élus ion et le salut de leurs enfants qu’il plaît à Dieu d’appeler hors de cette vie à leurs débuts (Genèse 17:7; Actes à 02:39; I Corinthiens 07:14). » Ces déclarations de nos normes confessionnelles sont tout à fait conforme à la position de Calvin, que les enfants de les croire parents, ou ceux qui ont un seul parent croyant, sont baptisés sur la base de leur relation de l’Alliance. [Inst. IV. 16:6, 15.] la même note est frappée dans notre formulaire pour le baptême des nouveau-nés: « Puisque, alors, baptême est venu à la place de la circoncision, les enfants doivent être baptisés comme les héritiers du Royaume de Dieu et de son alliance » Il est à noter que toutes ces déclarations sont basées sur le commandement de Dieu à circumcize les enfants de l'Alliance, pour en fin de compte ce commandement est le terrain du baptême des enfants. Sur la base de nos normes confessionnelles, on peut dire que les enfants nés de parents de croire sont baptisés au motif qu’ils sont enfants de l'Alliance et sont ainsi les héritiers des tout-complet-promesses de l’Alliance de Dieu, qui comprend également la promesse de la pardon des péchés et le don du Saint-Esprit à la régénération et de sanctification. Dans l'Alliance, Dieu fait pour eux une subvention ou un don de façon formelle et objective, exige d’eux qu’ils seront en bonne et due temps accepter cela par la foi et promet d’en faire une réalité vivante dans leur vie par l’opération du Saint-Esprit. Et compte tenu de ce fait, l’église doit considérer comme potentiels héritiers du Salut, doit les considérer comme obligé de marcher dans la voie de l'Alliance, a le droit de s’attendre que, sous une administration de l’Alliance fidèle, elles, s’exprimant en général, vivra dans l'Alliance et est en devoir de les considérer comme briseurs de Pacte, s’ils ne respectent pas ses exigences. C’est seulement de cette façon qu’il pleinement justice aux promesses de Dieu, qui doit dans toute leur plénitude s’approprier de foi par ceux qui viennent à échéance. Ainsi l'Alliance, y compris les promesses de l’Alliance, constitue l’objectif et le fondement juridique pour le baptême des enfants. Le baptême est un signe et un sceau de tout ce qui est compris dans les promesses.

(2) les divergences d’opinion parmi les théologiens réformés. Théologiens réformés souscrivaient pas tous dans le passé et ne sont pas même maintenant tous d’accord, dans leur représentation de la terre du baptême des enfants. Beaucoup de théologiens des XVIe et XVIIe siècles a pris la position décrite dans ce qui précède, à savoir que les enfants des croyants sont baptisés, car ils sont dans l'Alliance et sont ainsi les héritiers des promesses de Dieu, y compris un titre, riches non seulement à régénération, mais aussi pour toutes les bénédictions de justification et de la rénovation et sanctifiant l’influence de l’Esprit Saint. D’autres, cependant, tout en reconnaissant la vérité de cette représentation, n’étaient pas entièrement satisfaits avec elle. Ils ont insisté sur le fait que le baptême est quelque chose de plus que le sceau d’une promesse, ou même de toutes les promesses de l’Alliance; et qu’il n’est pas simplement le sceau d’un bien futur, mais aussi des biens spirituels présents. La vue est devenu assez répandue que le baptême est administré aux nourrissons sur le terrain de la régénération présomptive. Mais même ceux qui ont accepté que ce point de vue n’avait pas tous d’accord. Certains combinés ce point de vue de l’autre, tandis que d’autres il a substitué à l’autre. Pour commencer, certains sur l’hypothèse que tous les enfants, présentés au baptême sont régénérées, tandis que d’autres cela suppose qu’en relation avec les enfants élus. La divergence d’opinion entre ceux qui croient que les enfants des croyants sont baptisés au motif de leur relation de l’Alliance et de la promesse de l’Alliance et ceux qui trouvent ce motif dans la régénération des présumés a persisté jusqu'à nos jours et a été la source d’une vive controverse, en particulier dans les pays-bas au cours de la dernière période du XIXème et du début du XXe, siècle. Le Dr de Kuyper au premier parle de régénération présumée comme le sol du baptême des enfants et de nombreux facilement accepté ce point de vue. G. Kramer a écrit sa thèse splendide sur Het Verband van Doop fr Wedergeboorte surtout dans la défense de cette position. Plus tard, le Dr de Kuyper n’a pas utilisé cette expression plus et certains de ses disciples ressenti la nécessité de discrimination plus prudente et parle de la relation de l’Alliance comme la moraleet la régénération présumée comme le spirituel, au sol de baptême des enfants. Mais ce n’est pas une position satisfaisante. Dr. Honig, qui est également un disciple et admirateur de Kuyper, est sur la bonne voie quand il dit dans sa récente Handboek van de Gereformeerde Dogmatiek:[p. 655.] « Nous ne pas baptiser les enfants des croyants sur le terrain d’une hypothèse, mais sur le terrain d’une commande et un acte de Dieu. Enfants doivent être baptisés en vertu de l’Alliance de Dieu » (mine de traduction). Présomptive régénération naturelle ne saurait être considérée comme le fondement juridique du baptême des enfants; Cela se trouvent seulement dans la promesse de l’Alliance de Dieu. En outre, il ne peut pas être le sol dans tous les sens du terme, puisque le sol du baptême doit être quelque chose objectif, comme les partisans de la vue en question eux-mêmes sont contraints d’admettre. Si on leur demande, pourquoi ils supposent la régénération des enfants, présenté au baptême, ils peuvent seulement répondre, parce qu’ils sont nés de parents, c'est-à-dire de croire, parce qu’ils sont nés dans l'Alliance. Naturellement, pour refuser que la régénération présumée est le fondement du baptême des enfants, n’équivaut pas à dire que c’est tout à fait injustifié de supposer que les enfants en bas âge des croyants sont régénérées. Il s’agit d’une question qui doit être considérée selon ses propres mérites.

Il peut être bien de citer à cet égard la première moitié du quatrième point de Conclusions d’Utrecht, qui ont été adoptés par notre église en 1908. Nous traduisons cela comme suit: « et, enfin, en ce qui concerne le quatrième point, qui, de régénération présomptive, est préoccupé, Synode déclare que, selon la confession de nos églises, la graine de l'Alliance doit, en vertu de la promesse de Dieu, faire présumé d’être régénérées et sanctifiés dans le Christ, jusqu'à ce que, à mesure qu’ils grandissent, le contraire ressort de leur vie ou leur doctrine; qu’il est, cependant, moins correct de dire que baptême est administré aux enfants des croyants en raison de leur régénération présomptive, étant donné que le sol du baptême est la commande et la promesse de Dieu; et qu’en outre l’arrêt de la charité, avec laquelle l’Eglise suppose la graine de l'Alliance d’être régénéré, veut absolument pas dire que c’est pourquoi chaque enfant est vraiment régénéré, car la parole de Dieu enseigne qu’ils ne sont pas tout Israël qui sont d’Israël et il est dit d’Isaac: en lui ta postérité appellera (Romains 9:6, 7), ainsi que dans la prédication, il est toujours nécessaire d’insister sur l’auto-examen grave, puisque seuls ceux qui doit avoir cru et avoir été baptisé seront sauvés. » [Actes du Synode, 1908, p. 82 f.]

(3) objection de conscience à l’opinion que les enfants sont baptisés en raison de leur relation de l’Alliance. Il a été dit que, si les enfants sont baptisés au motif qu’ils sont nés dans l'Alliance et sont donc les héritiers de la promesse, ils sont baptisés pour un autre motif que les adultes, puisque ceux-ci sont baptisés en raison de leur foi ou leur profession de foi. Mais ce n’est guère correct, comme Calvin, déjà souligné en son temps. Le grand réformateur a répondu efficacement à cette objection. Ce qui suit est une traduction de ce que Kramer dit respecter la position de Calvin sur ce point: « Calvin trouve occasion ici au sujet du baptême des enfants, maintenant qu’il a franchi le point de vue de l'Alliance, pour dessiner la ligne plus loin. Jusqu'à ce point, qu'il n’a pas appelé l’attention sur le fait que les adultes sont trop baptisés selon la règle de l'Alliance. Et c’est pourquoi il peut sembler qu’il y avait une différence entre le baptême des adultes et des enfants. Les adultes se faire baptiser en raison de leur foi, les enfants, en raison de l’Alliance de Dieu. Non, le réformateur déclare, la seule règle selon laquelle le fondement juridique sur lequel, l’église peut administrer le baptême, est l'Alliance. Cela est vrai dans le cas des adultes, ainsi que dans le cas des enfants. Que le premier doit d’abord faire une confession de foi et de conversion, est due au fait qu’ils sont en dehors de l’Alliance. Pour être admis dans la communion de l'Alliance, ils doivent d’abord apprendre les exigences de l'Alliance, et puis la foi et la conversion ouvrent la voie au Pacte. » [Het Verband van Doop en Wedergeboorte, f. p. 122] La même opinion est exprimée par Bavinck. [Geref. Dogme, IV. p. 581.] Cela signifie que, après que adultes trouver entrée dans l’Alliance de la foi et la conversion, ils reçoivent le sacrement du baptême sur le terrain de cette relation de l’Alliance. Le baptême est également pour eux un signe et le sceau de l'Alliance.

d. baptême infantile comme un moyen de la grâce. Le baptême est un signe et le sceau de l’Alliance de grâce. Il ne pas signifier une chose et sceller une autre, mais définit le sceau de Dieu sur ce qu’elle signifie. Selon nos normes confessionnels et notre formulaire pour l’administration du baptême, il signifie le lavage de nos péchés, et ce n’est qu’une expression brève pour l’élimination de la culpabilité du péché dans la justification et pour l’élimination de la pollution du péché en sanctification, qui est, cependant, l’imparfait dans cette vie. Et si c’est ce qui est signifié, puis c’est aussi ce qui est scellé. Et si il se dit, comme c’est parfois dans notre littérature réformée, que le baptême scelle la promise(s) de Dieu, cela ne signifie pas simplement qu’il se porte garant de la véracité de la promesse, mais qu’il assure les destinataires qu’ils sont les héritiers désignés des bénédictions promises . Cela ne signifie pas nécessairement qu’ils sont déjà en principe en possession du bien promis, même si cela est possible et peut-être même probable, mais certainement signifie qu’ils sont désignés héritiers et volonté reçoit l’héritage, à moins qu’ils se montrent indigne de lui et de le refuser. Dabney attire l’attention sur le fait que phoques sont souvent accolés aux pactes promissoire dans lequel la dispensation de la marchandise Promise est conditionnelle.

Mais le baptême est plus qu’un signe et un sceau; comme tel, c’est aussi un moyen de la grâce. Selon la théologie réformée il n’est pas, comme la revendication des catholiques romains, le moyen de lancer les travaux de la grâce dans le coeur, mais c’est un moyen pour le renforcement de celui-ci ou, comme c’est souvent exprimée, l’augmentation de la grâce. Cela donne lieu à une question assez difficile dans le cadre de baptême des enfants. On peut facilement voir comment le baptême peut renforcer le travail de la foi chez le receveur adulte, mais il n’est pas tellement évident comment il peut fonctionner comme un moyen de grâce dans le cas des enfants qui sont totalement inconscients de la signification du baptême et ne peut pas encore preuve de foi. La difficulté, avec qui nous sont confrontés ici, naturellement, n’existe pas pour le petit nombre d’érudits réformées qui nient que le baptême renforce simplement une condition antérieure de la grâce et la réclamation qu’il « est un moyen pour la suite de la grâce dans une forme spécifique et pour la fin spécifique de notre régénération et ingrafting dans le Christ. » [Cette position est défendue en détail dans un ouvrage intitulé La vie Divine dans l’église, pp. 9-196.] Tous les autres doivent, bien sûr, faire face au problème. Luther a aussi lutté avec ce problème. Il a fait l’efficacité du baptême dépend de la foi du destinataire; mais quand il réfléchit sur le fait que les bébés ne saurait avoir la foi, il a été porté à croire que Dieu par sa grâce prévenante a forgé une foi naissante en eux par le baptême; et, enfin, il a évoqué le problème les docteurs de l’église. Les théologiens réformés résolvent le problème en attirant l’attention sur trois choses, qui peuvent être considérées comme des solutions de rechange, mais peuvent aussi être combinés. (1) il est possible de supposer (pas la certitude) que les enfants offertes pour le baptême sont régénérées et sont donc en possession du sperme fidei (la semence de la foi); et de tenir que Dieu par le baptême en quelque sorte de mystique, dont nous ne comprenons pas, renforce cette semence de la foi chez l’enfant. (2) il peut également être appelée sur le fait que l’exploitation du baptême comme un moyen de grâce n’est pas nécessairement restreint à l’instant de son administration pas plus que celui de la Sainte Cène est limitée au temps de sa célébration. Il peut en ce moment même servir en quelque sorte mystérieux pour augmenter la grâce de Dieu dans le cœur, s’il est présent, mais peut-être aussi joué un rôle important dans l’augmentation de foi plus tard lorsque la signification du baptême est clairement comprise. C’est clairement enseigné dans la Confessio et la Confession de Westminster. (3) encore une fois, il peut être souligné, comme a été fait par certains théologiens (par exemple Dabney et Vos) que baptême des enfants est aussi un moyen de grâce pour les parents qui présentent leur enfant au baptême. Elle sert à renforcer leur foi dans les promesses de Dieu, de travailler en eux l’assurance que l’enfant pour lequel ils sont auteurs a un droit de propriété dans l’Alliance de grâce et de renforcer en eux le sens de la responsabilité de l’éducation chrétienne de leurs enfant.

e. l’extension du baptême aux enfants des infidèles. Naturellement, seuls les enfants des croyants sont les sujets appropriés du baptême des enfants. À plusieurs égards, toutefois, le cercle a été agrandi. (1) les catholiques romains et ritualistes de l’église anglicane se rendent sur l’hypothèse que le baptême est absolument nécessaire au Salut, étant donné qu’elle véhicule une grâce que l'on peut obtenir d’aucune autre manière. C’est pourquoi ils le jugent leur devoir de baptiser tous les enfants qui viennent à leur portée, sans s’informer quant à la condition spirituelle de leurs parents. (2) certains l’appellent l’attention sur le fait que la promesse s’applique aux parents et aux enfants d’enfants et des enfants, même à la millième génération, Psaume 105:7-10; Ésaïe 59:21; Actes à 02:39. Compte tenu de ces promesses, ils soutiennent que les enfants dont les parents ont quitté l’église n'ayant pas ainsi renoncé à leurs privilèges en tant qu’enfants de l'Alliance. (3) il y a ceux qui externaliser l'Alliance en le rendant coïncide avec l’Etat dans un Etat et l’Eglise. Un enfant anglais, a, à ce titre, tout autant droit au baptême comme il l’a pour la protection de l’État, indépendamment de la question, que les parents soient croyants ou non. (4) certains ont pris la position que le fait que les parents sont baptisés, assure également leurs enfants d’un titre pour le baptême. Ils considèrent la relation personnelle des parents au Pacte comme tout à fait sans importance. Églises ont parfois agi sur ce principe et enfin nourrissait une catégorie de membres, qui n’a pas eux-mêmes assumé la responsabilité de l'Alliance et cherchait encore le sceau de l’Alliance pour leurs enfants. En Nouvelle Angleterre, c’était connu comme l'Alliance à mi-chemin. (5) Enfin, le principe d’adoption a été appliqué, afin d’obtenir le baptême pour les enfants qui n’avaient pas droit à lui dans le cas contraire. Si les parents étaient inaptes ou réticents à se porter garant pour l’éducation chrétienne de leurs enfants, d’autres pourraient intervenir pour garantir cela. Le principal motif pour cela a été demandé à 17:12.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Quelles sont les différentes significations des mots bapto, baptisoet louesthai? A John le Baptiste baptiser par immersion ? L’eunuque (actes 08:38, 39) a été baptisé de la sorte ? Est le Nouveau Testament n’importe où mettre l’accent sur la nécessité d’un mode particulier de baptême ? Est la doctrine du baptême biblique ? A sa droite jamais remis en cause avant la réforme ? Comment expliquer la montée de la négation de l’anabaptiste au moment de la réforme ? Quelle est la conception de Baptiste de l’Alliance avec Abraham ? Comment expliquent-ils Rom. 04:11 ? Que disent nos normes confessionnelles quant au motif sur lequel les enfants sont baptisés ? Quelle est la position de Calvin sur le terrain sur lequel les enfants et les adultes sont baptisés ? Quels dangers pratiques sont liées à la doctrine de la régénération présomptive ? Que diriez-vous position de Dabney que le baptême est un sacrement au parent ainsi quant à l’enfant ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV., pp. 543-590; Kuyper, Dict. dogme. de Sacramentis, pp. 82-157; ID., Voto E II, pp. 499-566; III, pp. 5-68; Hodge, Syst. Theol. III. p. 526-611; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 728-799; Dick, théologie, donne des conférences LXXXVIII-LXXXIX; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., pp. 444-464; Vos, Geref. Dogme., De Genademiddelen, p. 36-134; Ibid., De Verbondsleer en de Geref. THEOL.; Strong, Syst. Theol., pp. 930-959; Hovey, Manuel de théol. et de l’éthique, pp. 312-333; Pieper, Christl. Dogme., III, pp. 297-339; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 540-558; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 305-335; Mueller, Chr. dogme., pp. 486-505; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., pp. 314-322; Schaff, nos pères' foi et le nôtre, pp. 315-320; Pape, Chr. Theol. III, pp. 311-324; Lambert, les sacrements dans le Nouveau Testament, pp. 36-239; Wilson, le baptême des enfants; Carson, sur le baptême; Ayres, baptême chrétien; Seiss, le système de Baptiste examiné; Armstrong, la Doctrine des baptêmes; Merrill, baptême chrétien; McLeod, le sacrement du Saint baptême dans la vie Divine dans l’église; Blanc, pourquoi les enfants sont baptisés; Bannerman, L’église du Christ II, pp. 42-127; Kramer, Het Verband tusschen Doop fr Wedergeboorte; Mur, histoire du baptême des enfants; Wielenga, Ons Doopsformulier; Schenck, la Doctrine presbytérienne d’enfants dans l'Alliance.

 

V. la Cène

A. LES ANALOGIES DU REPAS DU SEIGNEUR PARMI ISRAËL.

Tout comme il ont a des analogies avec le baptême chrétien parmi Israël, il y avait aussi des analogies de la Cène du Seigneur. Non seulement les païens, mais aussi entre Israël, les sacrifices qui ont été apportées étaient souvent accompagnées de repas sacrificiels. C’était surtout un trait caractéristique des offrandes pour les paix. Ces sacrifices, seul le gras adhère à l’intérieur a été consommé sur l’autel; la vague-cancer du sein a été donné à la prêtrise et le soulèvement dû au gel-épaule pour le prêtre officiant, Lév. 07:28-34, tandis que le reste constitue un repas sacrificiel pour l’offreur et ses amis, pourvu qu’ils aient déjà été levitically propres, Lév. 07:19-21; Deut. 12:7, 12. Ces repas enseignement d’une manière symbolique que « étant justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus Christ. » Ils étaient expressives du fait que, sur la base du sacrifice offert et accepté, Dieu reçoit son peuple en tant qu’invités dans sa maison et s’unit avec eux en communion joyeuse, la vie communautaire de l'Alliance. Israël a été interdit de prendre part au repas sacrificiels de gentils exactement parce qu’il exprime leur allégeance à d’autres dieux, Exode 34: 15; Nombres 25: 3, 5; PS. 106:28. Les repas sacrificiels, qui a témoigné à l’union de Jéhovah avec son peuple, ont été des saisons de joie et d’allégresse et ainsi ont été parfois abusés et a donné l’occasion de réjouissances et de l’ivresse, j’ai Sam 01:13; Prov. 07:14; Ésaïe 28: 8. Le sacrifice de la Pâque était également accompagné d’un tel repas sacrificiel. Contre les catholiques romains, Protestants parfois cherché à défendre la position que ce repas constitué de l’ensemble de la Pâque, mais il s’agit d’une situation intenable. La Pâque était d’abord un sacrifice d’expiation, Exode 12:27; 34:25. n’est pas seulement qu’on appelle un sacrifice, mais dans la période de la mosaïque, il était aussi reliée avec le sanctuaire, Deut. 16:2. L’agneau était tué par les Lévites, et le sang a été manipulé par les prêtres, II Chron. 30: 16; 35: 11; Ezra 06:19. Mais si c’est d’abord un sacrifice, ce n’est pas tout; C’est aussi un repas, dans lesquels l’agneau rôti se mange avec du pain sans levain et des herbes amères, Exode 12:8-10. Le sacrifice passé à droite dans un repas, qui plus tard est devenu beaucoup plus complexe qu’il ne l’était initialement. Le Nouveau Testament attribue à la Pâque une signification typique, j’ai Cor. 5:7 et donc ont vu en elle non seulement un rappel de la délivrance d’Égypte, mais aussi un signe et le sceau de la délivrance de l’esclavage du péché et de la communion avec Dieu dans le Messie promis. C’était en rapport avec le repas pascal que Jésus a institué l’Eucharistie. En utilisant les éléments présents dans l’ancien, il effectue une transition très naturelle à ce dernier. De la fin, certains critiques a cherché à jeter un doute sur l’institution de l’Eucharistie par Jésus, mais il n’y a aucune raison de mettre en doute le témoignage des Évangiles, ni le témoignage indépendant de l’apôtre Paul dans I Corinthiens 11:23-26.

B. LA DOCTRINE DE LA CÈNE DU SEIGNEUR DANS L’HISTOIRE.

1. AVANT LA RÉFORME. Même dans l’âge apostolique, la célébration de l’Eucharistie a été accompagnée par agapae ou amour-fêtes, pour laquelle le peuple a apporté les ingrédients nécessaires, et qui a parfois conduit à des abus tristes, I Cor. 11:20-22. En cours de temps, les dons ainsi apportés étaient appelés les oblations et les sacrifices et ont été bénis par le prêtre avec une prière d’action de grâces. Peu à peu ces noms ont été appliquées aux éléments dans l’Eucharistie, afin que ceux-ci pris le caractère d’un sacrifice apporté par le prêtre, et action de grâce est venu à être considéré comme une consécration de ces éléments. Alors que certains des premiers pères église (Origène, Basile, Grégoire de Nazianze) conservé la conception symbolique ou spirituelle du Sacrement, d’autres (Cyril, Grégoire de Nysse, Chrysostome) tenue que la chair et le sang du Christ ont été dans certains combinés moyen avec le pain et le vin dans le sacrement. Augustine a retardé le développement réaliste de la doctrine de l’Eucharistie pendant une longue période. Alors qu’il a fait parler du pain et du vin en corps et sang du Christ, il fait la distinction entre le signe et la chose signifiée et ne croyait pas à un changement de substance. Il a nié que la méchante, bien que recevant les éléments, a également reçu le corps et a insisté sur l’aspect commémoratif de la Cène du Seigneur. Pendant le moyen âge les Augustins vue a été progressivement transplanté par la doctrine de la transsubstantiation. Dès 818 A.D. Paschasius Radbertus déjà formellement proposé cette doctrine, mais a rencontré une forte opposition part Rabanus Maurus et Ratramnus. Au XIe siècle une furieuse controverse éclata à nouveau sur le sujet entre Bérenger de Tours et Lanfranc. Ce dernier a fait la déclaration grossière que « le corps même du Christ s’est vraiment tenu dans la main du prêtre, cassé et mâchées par les dents des fidèles. » Ce point de vue a été finalement défini par Hildebert de Tours (1134) et désigné comme la doctrine de la transsubstantiation. Il a été formellement adopté par le quatrième concile de Latran en 1215. Plusieurs questions se rattachent à cette doctrine ont été débattues par les scolastiques, tels que ceux concernant la durée du changement du pain et du vin en corps et sang de Jésus Christ, la manière de la présence du Christ dans ces deux éléments, la relation entre la substance et accidents, l’adoration de l’hôte et ainsi de suite. La formulation définitive de la doctrine a été donnée par le Concile de trente et est enregistrée dans Sessio XIII de ses décrets et Canons. Huit chapitres et onze Canons sont consacrés à elle. On peut citer seulement les points essentiels ici. Jésus Christ est vraiment, vraiment et substantiellement présent dans le Saint Sacrement. Le fait qu’il est assis à la droite de Dieu n’exclut pas la possibilité de sa présence substantielle et sacramentelle dans plusieurs endroits en même temps. Par les paroles de la consécration, la substance du pain et du vin est transformée en corps et sang du Christ. Le Christ tout est présent sous chaque espèce et chaque particule des deux espèces. Chaque personne qui reçoit une particule de l’hôte reçoit le Christ ensemble. Il est présent dans les éléments, avant même que l’auteur les a reçus. Compte tenu de cette présence, l’adoration de l’hôte est mais naturelle. Les effets du sacrement une « augmentation de sanctifier grâce, grâces particulières de réelles, rémission des péchés véniels, préservation du péché (mortel) grave et l’espoir confiant du salut éternel. »

2. PENDANT ET APRÈS LA RÉFORME. Les réformateurs, tout le monde, a rejeté la théorie sacrificielle de l’Eucharistie et la doctrine médiévale de la transsubstantiation. Ils diffèrent, cependant, dans leur construction positive de la doctrine biblique de l’Eucharistie. À l’encontre de Zwingli, Luther a insisté sur l’interprétation littérale des paroles de l’institution et sur la présence corporelle du Christ dans l’Eucharistie. Toutefois, il a substitué à la doctrine de la transsubstantiation que de consubstantiation, qui a été défendue longuement par Occam dans son De Sacramento Altariset selon laquelle Christ est « dans, avec et sous » les éléments. Zwingli refusé absolument la présence corporelle du Christ dans l’Eucharistie et a donné une interprétation figurative aux paroles de l’institution. Il a vu dans le sacrement principalement un acte de commémoration, bien qu’il ne nie pas que le Christ est présent spirituellement à la foi des croyantsen elle. Calvin a maintenu une position intermédiaire. Comme Zwingli, il a nié la présence corporelle du Seigneur dans le Sacrement, mais à la différence de l’ancien, il a insisté sur la présence réelle, bien que spirituelle, du Seigneur dans la Cène, la présence de lui comme une fontaine de la vertu spirituelle et l’efficacité. En outre, au lieu de soulignant la Cène du Seigneur comme un acte de l’homme (que ce soit de commémoration ou de profession), il a souligné le fait que c’est l’expression première de tous un don gracieux de Dieu pour l’homme et seulement accessoirement un repas commémoratif et un acte de profession. Pour lui, ainsi que pour Luther, c’est avant tout un moyen divinement désigné pour le renforcement de la foi. Les Sociniens, arminiens et Mennonites ont vu dans l’Eucharistie seulement un mémorial, un acte de profession et un moyen d’amélioration morale. Sous l’influence du rationalisme, cela est devenu la vision populaire. Schleiermacher a insisté sur le fait que l’Eucharistie est le moyen par lequel la communion de vie avec le Christ est conservée de manière particulièrement énergique au sein de l’église. La plupart des théologiens Mediating, tout en appartenant à l’Eglise luthérienne, a rejeté la doctrine de la consubstantiation et s’est approché de la vue calviniste de la présence spirituelle du Christ dans l’Eucharistie. Le Repas du Seigneur était une ordonnance de la loi qui faisait partie de la célébration de la fête de Pâque. Il détenait un caractère anticipatoire ou prophétique qui annonçait la mort du Messie. Jésus, la veille de sa mort, ordonna à ses disciples de l'observer du temps de son vivant, mais à sa mort sur la croix le signe prophétique a été accompli à la lettre et fut abolie avec toutes les autres ordonnances de la loi. En garder l'observance est de se remettre sur la loi. De nos jours cette pratique fleure l'idolâtrie des éléments qui la compose. Jésus n'a jamais institué ce rituel de la loi dans un sens perpétuel jusqu'à la fin du monde, ce qui serait contraire à la liberté qu'il nous accorde sous sa grâce dans laquelle nous ne sommes plus sous aucune obligation d'observer les pratiques de la loi. Tout de la loi a été abolie par le sacrifice de la croix et disparue à toujours lorsque Jérusalem et le temple furent détruit par les armées romaine en l'an 70, ne lassant aucune trace de sa gloire ancienne.

C. LES NOMS SCRIPTURALES POUR LE REPAS DU SEIGNEUR.

Alors qu’il y a qu’un nom unique pour le sacrement initiatique du Nouveau Testament, il y a plusieurs pour le sacrement en examen, qui sont dérivés de l’écriture. Ils sont les suivantes: (1) kuriakon Deipnon, l’Eucharistie, qui est dérivé d’I Cor. 11:20. C’est le nom plus commun dans les milieux protestants. Il semble que, dans le passage indique l’Apôtre veut faire une distinction pointue entre le sacrement et l' agapae, que les Corinthiens concernant avec elle et dont ils ont abusé, ce qui rend les deux presque incongru. L’accent est sur le fait que ce dîner du Seigneur. Il n’est pas un souper où les riches invitent les pauvres comme leurs invités et de les traitent ensuite mesquin, mais une fête dans laquelle le Seigneur accorde pour tous en abondance riche. (2) Trapeza kuriou, la table du Seigneur, un nom qui se trouve dans I Corinthiens 10:21. Corinthien gentils offertes aux idoles, et après que leurs sacrifices s’assit au repas sacrificiels; et il semble que certains de l’église de Corinthe pensé qu’il était permis de se joindre à eux, voyant que toute chair est comme. Mais Paul souligne que sacrifier aux idoles sacrifie aux démons, et que se joindre à ces repas sacrificiel est équivalente à l’exercice de communion avec les démons. Ce serait absolument contraire à assis à la table du Seigneur, confessant allégeance à lui et exercice de communion avec lui. (3) Klasis tou artou, la fraction du pain, un terme qui est utilisé dans les actes 02:42; cf. aussi actes 20:7. Alors qu’il s’agit d’un terme qui, selon toute probabilité, ne se réfère pas exclusivement à la Cène du Seigneur, mais aussi pour les fêtes de l’amour, il certainement comprend également le dîner du Seigneur. Le nom peut encore trouver son explication dans la fraction du pain comme cela a été ordonné par Jésus. (4) Eucharistiaet eulogia, bénédiction, action de grâces, termes qui sont dérivées d’I Corinthiens 10:16; 11:24. dans Matthieu 26: 26, 27, nous lisons que le Seigneur prit du pain et béni et prit la coupe et rendit grâces. Selon toute probabilité, les deux mots ont été utilisés de façon interchangeable et consulter une bénédiction et l’action de grâces combinés. La coupe de l’action de grâce et de bénédiction est la coupe consacrée.

D. INSTITUTION DE LA CÈNE DU SEIGNEUR.

1. DIFFÉRENTS COMPTES DE L’INSTITUTION. Il y a quatre différents comptes de l’institution de l’Eucharistie, un à chacun des synoptiques et dans I Corinthiens 11. John parle de la consommation de la Pâque, mais ne mentionne pas l’établissement d’un nouveau sacrement. Ces comptes sont indépendants et servent à compléter, un de l’autre. De toute évidence, le Seigneur n’a pas terminé le repas de la Pâque avant il a institué l’Eucharistie. Le nouveau sacrement a été relié avec l’élément central du repas pascal. Le pain qui est mangé avec l’agneau fut consacré à un nouvel usage. C’est évident du fait que la troisième coupe, généralement appelée « la coupe de bénédiction » a été utilisée pour le deuxième élément dans le sacrement de nouveau. Donc le sacrement de l’ancien Testament passé dans celui de la nouvelle d’une manière plus naturelle.

2. LA SUBSTITUTION DU PAIN PAR L’AGNEAU. L’agneau pascal avait une signification symbolique. Comme tous les sacrifices sanglants de l’ancien Testament, il a enseigné le peuple que l’effusion de sang était nécessaire à la rémission des péchés. En plus de cela, il avait un sens typique, pointant vers l’avant pour le grand sacrifice qui serait porté dans la plénitude des temps pour ôter le péché du monde. Et, enfin, il a également eu une importance nationale comme un mémorial de la délivrance d’Israël. C’était mais il est naturel que, lorsque le vrai agneau de Dieu a fait son apparition et était sur le point d’être tué, le symbole et le type devraient disparaître. Le tout-suffisant sacrifice de Jésus Christ a rendu tous les autres effusion de sang inutile; et donc il était tout à fait normal que l’élément sanglante devrait céder la place à une autre non sanglante qui, comme lui, avait des propriétés nourrissantes. En outre, à travers la mort du Christ le mur central de partition a été divisé, et la bénédiction du Salut ont été étendue à tout le monde. Et dans cette perspective, il était tout à fait naturel que la Pâque, un symbole avec une saveur nationale, soient remplacés par celui qui ne comportait aucune incidence sur le nationalisme.

3. SIGNIFICATION DES DIFFÉRENTES ACTIONS ET DES TERMES.

a. actions symboliques. Tous les comptes de l’institution de l’Eucharistie font mention de la fraction du painet Jésus indique clairement qu’il était destiné à symboliser la rupture de son corps pour la rédemption des pécheurs. Parce que Jésus a rompu le pain en présence de ses disciples, théologie protestante en général insiste sur le fait à ce sujet que cette action ait toujours lieu aux yeux du peuple. Cette importante transaction devait être un signe, et un signe doit être visible. Après avoir distribué le pain, Jésus prit la coupe, il bénit et il donna à ses disciples. Il ne semble pas qu’il a versé le vin en leur présence, et donc ce n’est pas considéré comme essentielle à la célébration de l’Eucharistie. Dr. Wielinga déduit, cependant, parce que le pain doit être brisé, que le vin doit également être versé, aux yeux des communiants. [Formulier Ons Avondmaals, f. p. 243] Jésus a utilisé naturellement du pain sans levain, car c’est le seul type à portée de main et le vin ordinaire qui a été largement utilisé comme boisson en Palestine. Mais ni l’un ni l’autre est soulignée, et par conséquent il ne s’ensuit pas qu’il ne serait pas admissible à l’utilisation de levain de pain et un autre type de vin. Les disciples a sans doute reçu les éléments dans une position allongée, mais cela ne signifie pas que les croyants peuvent ne pas prendre part d'entre eux dans un coin, à genoux, ou debout, la position.

b. mots de commande. Jésus accompagne son action avec les mots de commande. Quand il a donné le pain à ses disciples, il dit: « prenez, mangez. » Et en lançant cette commande, il avait sans aucun doute dans l’esprit, non pas simplement une alimentation physique, mais une appropriation spirituelle du corps du Christ par la foi. Il s’agit d’une commande qui, s’il s’agissait tout d’abord des apôtres, était destiné à l’église de tous les âges. Selon Luc 22:19 (comp. I Cor. 11:24) le Seigneur a ajouté les mots: « Cela faites en mémoire de moi ». Certains déduire de ces mots que la Cène instituée par Jésus n’était plus qu’un repas commémoratif. Il est tout à fait évident, cependant, particulièrement de John 06:32, 33, 50,51; I Cor. 11:26-30, qu’il devait être bien plus que cela; et dans la mesure où il a eu signification de memorial, il a été conçu comme un mémorial de l’ouvrage sacrificiel du Christ plutôt que de sa personne. Il y avait un autre mot de commande dans le cadre de la coupe. Après que distribuant le pain du Seigneur aussi prit la coupe, rendit grâces et dit: « Buvez ye tous d’it » ou (selon Luc), « prenez ceci et divisez-la entre vous. » Il est clair que la coupe ici signifie pour ce qu’elle contient, la coupe n’a pu être répartie. De ces mots, il est parfaitement évident que le Seigneur avait l’intention le sacrement à être employé dans les deux genres (sub utraque specie), et que Rome ne va pas en retenant la coupe des laïcs. L’utilisation de ces deux éléments permis à Christ donner une représentation vivante de l’idée que son corps a été brisé, cette chair et de sang ont été séparés et que le sacrement fois nourrit et vivifie l’âme.

c. mots d’explication. Le mot de commande en relation avec le pain est immédiatement suivi par un mot d’explication, qui a donné lieu à vives contestations, à savoir, « Ceci est mon corps ». Ces mots ont été interprétés de différentes manières.

(1) l’église de Rome fait la copule « est » emphatique. Jésus a voulu dire que ce qu’il a tenu dans la main était vraiment son corps, bien qu’il ressemblait et je déguste comme pain. Mais il s’agit d’une position complètement intenable. Selon toute probabilité, Jésus parlait araméen et n’utilisé aucun copule du tout. Et alors qu’il se tenait devant les disciples dans le corps, il ne pouvait pas très bien dire à ses disciples en toute sincérité qu’il tenait son corps dans sa main. En outre, même le point de vue catholique, il ne pouvait pas dire honnêtement, « Ceci est mon corps, » mais ne pouvait que dire, « C’est maintenant de mon corps. »

(2) Carlstadt a estimé roman que Jésus, lorsqu’il a prononcé ces mots, a fait à son corps. Il a fait valoir que le neutre touto pouvait se référer pas d' artos, qui est masculin. Mais pain peut très bien être conçue comme une chose et ainsi dénommé neutre. En outre, une telle déclaration aurait été plutôt stupide dans les circonstances.

(3) Luther et les luthériens aussi stress le mot « est », bien qu’ils admettent que Jésus parlait au sens figuré. Selon eux la figure n’était pas une métaphore, mais une synecdoque. Le Seigneur voulait simplement dire à ses disciples: Si vous avez du pain, vous avez mon corps, moins, et avec elle, bien que la substance des deux reste distincte. Ce point de vue est grevée par la doctrine impossible de l’omniprésence du corps physique du Seigneur.

(4) Calvin et les Églises réformées comprennent les paroles de Jésus métaphoriquement: « il s’agit (autrement dit, est l’abréviation) mon corps. » Une telle déclaration serait juste aussi intelligible aux disciples comme autres déclarations similaires, tels que, « Je suis le pain de vie, » John 06:35, et, « Je suis le vrai CEP, » John 15:1. Dans le même temps, ils rejettent l’opinion, généralement attribuée à Zwingli, que le pain signifie simplement le corps du Christ et soulignent le fait qu’elle sert également de sceller la miséricorde de l’Alliance de Dieu et de transmettre la nourriture spirituelle. À ces mots, Jésus ajoute une autre déclaration, « qui est donné pour vous. » Ces mots selon toute probabilité pour exprimer l’idée que le corps de Jésus est donné au profit ou l’intérêt, des disciples. Il est donné par le Seigneur pour garantir leur rédemption. Naturellement, c’est un sacrifice non seulement pour les disciples immédiats du Seigneur, mais aussi pour tous ceux qui croient.

Il y a aussi un mot d’explication dans le cadre de la coupe. Le Seigneur rend la déclaration importante: « cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang, même que qui est répandu pour vous. » Luc 22:20. Ces mots transmettent un contraste implicite entre le sang du Sauveur, que le sang de la nouvelle Alliance et le sang de l’ancienne alliance mentionné dans Exode 24:8. Ce dernier a été qu’une représentation ténébreux de la réalité du Nouveau Testament. Les mots « à vous » ne s’appliquent pas plus large qu’ils ne le font dans la déclaration faite dans le cadre de la tranche de pain, « qui est donné pour vous. » Il ne doit ne pas être comprise en ce sens sans restriction « à tous les hommes sans discernement, » mais plutôt dans le sens restreint de « pour vous et pour tous ceux qui sont vraiment mes disciples. » Les finales des mots en I Cor. 11:26, « Pour autant de fois que vous mangez ce pain et boire cette coupe, vous proclamer la mort du Seigneur jusqu'à ce qu’il a arrivé, » pointent vers la signification pérenne de la Cène du Seigneur comme un mémorial de la mort du Christ; et clairement intime qu’elle devrait être célébrée régulièrement jusqu'à ce que le retour du Seigneur.

E. LES CHOSES SIGNIFIÉ ET SCELLÉ DANS LA CÈNE DU SEIGNEUR.

1. LES CHOSES SIGNIFIÉ DANS LE SACREMENT. C’est une des caractéristiques d’un sacrement qu’elle représente un ou plusieurs vérités spirituelles au moyen de signes sensibles et vers l’extérieur. Le signe extérieur dans le cas de la Sainte Cène comprend non seulement les éléments visibles employés, mais aussi la fraction du pain et du coulage du vin, l’appropriation du pain et du vin en mangeant et en buvant et eux la communion en communion avec les autres . Les points suivants devraient être mentionnées ici:

r. c’est une représentation symbolique de la mort du Seigneur, I Cor. 11:26. Le fait central de la rédemption, préfigurée dans les sacrifices de l’ancien Testament, est clairement énoncé au moyen de symboles significatifs du sacrement Nouveau Testament. Les paroles de l’institution, « cassé pour vous » et « hangar pour beaucoup », soulignent le fait que la mort du Christ est un sacrifice, au profit et même dans la place, de son peuple.

b. il symbolise aussi la participation du croyant dans le Christ crucifié. Dans la célébration de l’Eucharistie les participants non seulement regardent les symboles, mais reçoivent eux et eux se nourrissent. Au sens figuré, ils « mangez la chair du fils de l’homme et boire son sang, » John 06:53, autrement dit, ils ont symboliquement approprié les avantages garantis par la mort du Christ.

c. qu’il représente, non seulement la mort de Christ comme objet de foi et l’acte de foi qui unit le croyant au Christ, mais aussi l’effet de la présente loi comme donnant la vie, force et joie, à l’âme. Cela est implicite dans les emblèmes utilisés. Tout comme le pain et le vin, nourrissent et dynamiser la vie corporelle de l’homme, alors Christ soutient et anime la vie de l’âme. Croyants sont régulièrement représentés dans l’écriture comme ayant leur vie et la force et le bonheur, dans le Christ.

d. Enfin, le sacrement symbolise également l’union des croyants entre eux. En tant que membres du corps mystique de Jésus Christ, constituant une unité spirituelle, ils mangent du même pain et boire le même vin, I Cor. 10:17; 12:13. recevant les éléments, l’un de l’autre, ils exercent une communion intime avec l’autre.

2. LES CHOSES SCELLÉS DANS LA CÈNE DU SEIGNEUR. Le dîner du Seigneur est non seulement un signe, mais aussi un sceau. C’est perdu de vue par bon nombre de nos jours, qui ont une vision très superficielle de ce sacrement et la considèrent simplement comme un mémorial du Christ et comme un signe de profession chrétienne. Ces deux aspects du Sacrement, à savoir, comme un signe et comme un sceau, ne sont pas indépendants des uns des autres. Le sacrement comme un signe, ou — autrement dit, le sacrement avec tout ce que cela signifie, constitue un sceau. Le joint est attaché aux choses signifiés et est un gage de l’Alliance grâce de Dieu révélée dans le sacrement. Le Catéchisme de Heidelberg dit que Christ a l’intention « de ces signes visibles et les annonces de contributions afin de nous assurer que nous sommes comme vraiment les participants de son vrai corps et le sang, à travers le travail de l’Esprit Saint, que nous recevons par la bouche du corps ces jetons Saintes en souvenir de H im; que tous ses souffrances et obéissance sont aussi certainement nôtre comme si nous nous avions nos propres personnes a souffert et il fit satisfaction à Dieu pour nos péchés. » [Dimanche XXIX, Q. 79.] Les points suivants entrent en considération ici:

a. il prête au participant le grand amour du Christ, a révélé dans le fait qu’il s’est rendu à une mort honteuse et amère pour eux. Cela ne signifie pas simplement qu’il témoigne de la réalité de ce sacrifice, l’abandon de soi, mais qu’il assure le participant croyant de la Cène du Seigneur qu’il a personnellement fait l’objet de cet amour incomparable.

b. en outre, il s’engage le croyant participant de la Sainte-Cène, non seulement l’amour et la grâce du Christ en maintenant s’offre à eux comme leur Rédempteur dans toute la plénitude de son Rédempteur travaille; mais lui donne l’assurance personnelle que toutes les promesses de l’Alliance et toutes les richesses de l’offre de l’Évangile sont siens grâce à un don divin, afin qu’il ait une réclamation personnelle sur eux.

c. encore une fois, il ne ratifie pas uniquement au participant croyant les riches promesses de l’Évangile, mais il lui assure que la bénédiction du Salut est siens en possession effective. Aussi sûrement que le corps est nourri et rafraîchi par le pain et le vin, aussi sûrement est l’âme qui reçoit le corps et le sang à travers la foi du Christ même maintenant en possession de la vie éternelle, et aussi sûrement qu’il recevra toujours plus abondamment.

d. Enfin, le Seigneur s Cène est un sceau réciproque. C’est un insigne de profession, la part de ceux qui participent de la Sainte-Cène. Chaque fois qu’ils mangent le pain et boivent le vin, ils professent leur foi en Christ comme leur Sauveur et leur allégeance à lui comme leur roi, et ils s’engagent solennellement une vie d’obéissance à ses commandements divins.

F. L’UNION SACRAMENTELLE OU LA QUESTION DE LA PRÉSENCE RÉELLE DU CHRIST DANS LA CÈNE DU SEIGNEUR.

Cette question que nous entrons à ce qui a longtemps été et est encore, l’occasion pour les divergences d’opinions considérables dans l’église de Jésus Christ. Il n’est nullement une opinion unanime quant à la relation du signe à la chose signifiée, c'est-à-dire, quant à la nature de la présence du Christ dans l’Eucharistie. On compte notamment quatre vues qui entrent en considération ici.

1. LA VUE DE ROME. L’église de Rome conçoit l’union sacramentelle dans un sens physique. Il se justifie guère, cependant, en parlant de toute union sacramentelle du tout, car selon sa représentation il n’y a pas de syndicat au sens propre du mot. Le signe n’est pas joint à la chose signifiée, mais fait place à elle, depuis les anciens cols dans ce dernier. Quand le prêtre prononce la formule, «hoc est corpus meum», pain et vin changent en corps et sang du Christ. Il est admis que, même après le changement les éléments regarder et le goût de pain et du vin. Alors que la substance des deux est changé, leurs propriétés restent les mêmes. Sous la forme du pain et du vin, le corps physique et le sang du Christ sont présents. Le sol supposé scripturaire pour cela se trouve dans les paroles de l’institution, « cette est mon corps » et à John 06:50 ff. Mais l’ancien passage est clairement tropical, comme ceux dans Jean 14:6; 15:1; 10:9 et autres; et ce dernier, littéralement compris, apprendrait plus que les catholiques romains se serait prêt à accorder, à savoir, que tout le monde qui mange la Cène du Seigneur va au ciel, alors que plus personne qui ne parvient pas à manger, il obtiendra la vie éternelle (cf. versets 53,54). En outre, verset 63 pointe clairement vers une interprétation spirituelle. En outre, il est tout à fait impossible de concevoir le pain que Jésus a rompu comme étant l’organe qui a été la manipulation et il est à noter que l’écriture appelle pain même après on le cense avoir été trans-étayées, I Cor. 10:17; 11:26, 27, 28. ce point de vue de Rome viole également les sens humains, où il demande à nous faire croire que ce qui a un goût et ressemble à pain et le vin est vraiment de chair et de sang; et la raison humaine, où il faut croyance en la séparation d’une substance et de ses propriétés et en présence d’un corps matériel en plusieurs endroits en même temps, qui vont à l’encontre de raison. Par conséquent, l’élévation et l’adoration de l’hôte est également sans aucun fondement adéquat.

2. LA VUE LUTHÉRIENNE. Luther a rejeté la doctrine de la transsubstantiation et remplacé par la doctrine connexe de la consubstantiation. Selon lui le pain et le vin restent ce qu’ils sont, mais il y a dans la Sainte Cène néanmoins une mystérieuse et miraculeuse présence réelle de la personne de Christ, corps et le sang, dans, sous et parallèlement, les éléments. Lui et ses partisans soutiennent la présence locale du corps physique et le sang du Christ dans le sacrement. Luthériens parfois nient qu’ils enseignent la présence du Christ dans l’Eucharistie, mais ensuite ils attribuent au mot « local » un sens non conçu par ceux qui attribuent cet enseignement leur. Quand on dit qu’ils enseignent la présence locale de la nature physique du Christ, que cela ne signifie pas que tous les autres organes sont exclus de la même portion de l’espace, ni que la nature humaine du Christ est nulle part ailleurs, comme, par exemple, dans les cieux; mais il ne veut pas dire que la nature physique du Christ est localement présente dans l’Eucharistie, que magnétisme est localement dans l’aimant, et que l’âme est localement dans le corps. Par conséquent, ils enseignent également le soi-disant manducatio oralis, ce qui signifie que ceux qui participent à des éléments dans la Sainte Cène mangent et boivent le corps du Seigneur et le sang « avec la bouche corporelle » et ne consiste pas seulement à elles d’ouvrir ces par la foi. Indignes communiants aussi les recevoir, mais à leur condamnation. Cette vue est sans grande amélioration sur la conception catholique, bien qu’elle n’implique pas le miracle maintes fois répétée d’un changement de fond moins un changement d’attributs. Il fait vraiment les paroles de Jésus moyenne, « cela accompagne mon corps », une interprétation qui est plus probable qu’un des autres. En outre, elle est grevée par la doctrine impossible de l’omniprésence de la nature humaine glorifiée du Seigneur, dont plusieurs luthériens auraient volontiers jeter.

3. LA VUE ZWINGLIENNE. Il y a une impression très générale, pas tout à fait sans fondement, que les avis de Zwingli du dîner du Seigneur était très défectueux. Il est généralement allégué avoir enseigné que c’est un simple signe ou un symbole, au sens figuré représentant ou signifiant vérités spirituelles ou bénédictions; et que sa réception est une simple commémoration de ce que Christ a fait pour les pécheurs et surtout un insigne des chrétiens de profession. Cela ne rend guère justice au réformateur Suisse, cependant. Certaines de ses déclarations sans doute véhiculent l’idée que lui, le Sacrement n’était qu’un rite commémoratif et un signe et le symbole de ce que le croyant s’engage dedans. Mais ses écrits contiennent également des déclarations qui pointent vers une signification plus profonde de l’Eucharistie et le contempler comme un sceau ou gage de ce que Dieu fait pour le croyant dans le sacrement. En fait, il semble avoir changé son point de vue quelque peu au cours du temps. Il est très difficile de déterminer exactement ce qu’il croyait en cette matière. Évidemment, il voulait exclure de la doctrine de la Sainte Cène de tout mysticisme inintelligible et montre un penchant excessif sur le côté de la sobriété et la simplicité dans son exposition. Il s’exprime parfois à l’esprit que c’est un simple signe ou un symbole, une commémoration de la mort du Seigneur. Et bien qu’il en parle en passant aussi comme un phoque ou donner en gage, il certainement ne fait pas justice à cette idée. En outre, pour lui, l’accent tombe sur ce que le croyant, plutôt que sur ce que Dieu, annoncées dans le sacrement. Il a identifié la consommation du corps de Christ par la foi en lui et une confiance confiant sur sa mort. Il a nié la présence corporelle du Christ dans l’Eucharistie, mais n’a pas nié que Christ est-il présent de manière spirituelle à la foi du croyant. Christ est présent uniquement dans sa nature divine et dans l' appréhension de l’auteur croyant.

4. LA VUE RÉFORMÉE. Calvin s’oppose à la doctrine de Zwingli de la Sainte Cène, (a) qu’il permet à l’idée de ce que le croyant ne dans le sacrement d’éclipser le don de Dieu et (b) qu’il voit dans la consommation du corps de Christ rien plus ni supérieure à la foi en son nom et de la confiance en sa mort. Selon lui, le sacrement est relié non seulement avec les précédents travaux du Christ, avec le Christ mort (que Zwingli semble penser), mais aussi avec le présent travail spirituel du Christ, avec le Christ qui vit dans la gloire. Il croit que Christ, quoique pas corporel et localement présent dans la Cène, est encore présente et apprécié dans sa personne entière, aussi bien du corps et du sang. Il met l’accent sur la communion mystique des croyants avec toute la personne du Rédempteur. Sa représentation n’est pas tout à fait claire, mais il semble vouloir dire que le corps et le sang du Christ, bien qu’absente et présenter localement seulement dans le ciel, communiquer une influence vivifiante pour le croyant, lorsqu’il est dans l’acte de réception des éléments. Qu’influence, même si c’est vrai, n’est pas physique mais spirituel et mystique, est véhiculé par le Saint-esprit et est conditionnée à l’acte de foi selon lequel l’auteur reçoit symboliquement le corps et le sang du Christ. Quant à la façon dont cette communion avec le Christ est assurée, il y a une représentation binaire. Parfois, elle est représentée comme si par la foi, l’auteur de la communication soulève son cœur vers le ciel, où Christ est; parfois, comme si le Saint-Esprit apporte l’influence du corps et du sang du Christ jusqu'à l’auteur de la communication. Dabney rejette positivement la représentation de Calvin comme si l’auteur de la communication participe du même corps et sang du Christ dans le sacrement. C’est sans doute un point obscur dans la représentation de Calvin. Il semble parfois trop insister sur la chair et le sang littéral. Cependant, ses paroles sont peut-être être comprise de manière sacramentelle. autrement dit, dans un sens figuré. Ce point de vue de Calvin se trouve dans nos normes confessionnelles. [Cf. Conf. Belg., Art. XXXV; Catéchisme de Heidelberg, Question 75,76 et également sous la forme de la célébration de l’Eucharistie.] Une interprétation très commune du point douteux dans la doctrine de Calvin, est que le corps et le sang du Christ sont présents seulement virtuellement, autrement dit, selon les termes de m. Hodge, que « les vertus et les effets du sacrifice du corps du Rédempteur sur la Croix sont faites prese NT et sont effectivement transmise dans le sacrement du récepteur digne par la puissance du Saint-Esprit, qui utilise le Sacrement, tout comme son instrument selon son souverain. » [Comm. sur la Confession de foi, p. 492.]

G. LE REPAS DU SEIGNEUR UN MOYEN DE GRÂCE ET SON EFFICACITÉ.

Le sacrement de l’Eucharistie, instituée par le Seigneur lui-même comme un signe et le sceau, est ainsi également un moyen de la grâce. Christ a instituée au profit de ses disciples et de tous les croyants. C’était clairement l’intention du Sauveur que ses disciples devraient tirer profit par participation à celle-ci. Cela découle du fait qu’il a instituée comme un signe et le sceau de l’Alliance de grâce. Il peut aussi facilement être déduites de la symbolique de manger et boire, qui pointent vers nourriture et accélère, et de tels passages comme John 06:48-58 (indépendamment de la question, si cela se réfère directement à la Sainte Cène ou non) et j’ai Cor. 11:17.

1. LA GRÂCE REÇUE AU REPAS DU SEIGNEUR. L’Eucharistie est destiné pour les croyants et pour les croyants seulement et n’est donc pas un rôle déterminant dans le œuvre de grâce dans le cœur du pécheur. La présence de la grâce de Dieu est présupposée dans les coeurs des participants. Administré Jésus à ses disciples profès seulement; selon les actes 02:42, 46, ils croyaient persévéraient dans la fraction du pain; et dans I Cor. 11:28, 29, souligne la nécessité de l’auto-examen avant participant à la Cène du Seigneur. La grâce reçue dans le Sacrement ne diffère pas en nature de ce que les croyants reçoivent par l’intermédiaire du mot. Le sacrement simplement ajoute à l’efficacité de la parole et donc à la mesure de la grâce reçue. C’est la grâce d’une sans cesse plus étroite communion avec le Christ et de la nourriture spirituelle et accélère, une assurance croissante du Salut. Les noms de l’église catholique romaine spécifiquement sanctifiant grâce, grâces particulières de réelles, la rémission des péchés véniels, préservation du péché mortel, ainsi que l’assurance du Salut.

2. LA MANIÈRE DANS LAQUELLE CE GRACE EST FORGÉ. Comment le Sacrement ne fonctionne pas à cet égard ? Est la Cène du Seigneur en quelque sorte une cause méritoire de la grâce conférée ? Il confère-t-elle grâce quelle que soit la condition spirituelle du destinataire, ou non ?

a. catholique la vue. Pour les catholiques, l’Eucharistie n’est pas simplement un sacrement, mais aussi un sacrifice; C’est même pas d’abord un sacrifice. C’est « la réforme non sanglante du sacrifice de la Croix ». Cela ne signifie pas que la Cène du Seigneur Christ réellement décès du nouveau, mais qu’il subit un changement externe, qui est en quelque sorte équivalent à mort. Le Seigneur ne parlait du pain comme son corps qui fut brisée pour les disciples et du vin en son sang qui a été répandu pour eux ? Controversialists catholiques donnent parfois l’impression que ce sacrifice a uniquement un caractère représentatif ou commémoratif, mais ce n’est pas la véritable doctrine de l’église. Le sacrifice du Christ dans l’Eucharistie est considéré comme un vrai sacrifice et est censé pour avoir valeur propitiatoire. Lorsque la question se pose, ce que ce fond de sacrifice pour le pécheur, les autorités catholiques commencent à couvrir et pour parler le langage incohérent. La déclaration de Wilmers dans son Manuel de la Religion chrétienne, qui est utilisé comme un manuel dans beaucoup d’écoles catholiques romaines, peut être donnée à titre d’exemple. Il dit à la page 348: « par le fruit du sacrifice de la messe, nous comprenons les effets qu’elle produit pour nous, dans la mesure où c’est un sacrifice d’expiation et impetration: (a) pas seulement surnaturel grâces, mais aussi naturelle faveurs; (b) la rémission des péchés et de la peine à cause de leur. Ce que Christ mérité pour nous par sa mort sur la Croix est appliqué à nous dans le sacrement de la messe. » Après le sacrifice de la Messe est un sacrifice d’expiation, la dernière phrase semble dire que c’est après tout seulement un sacrifice dans lequel ce qui méritait de Christ sur la Croix est appliqué aux participants.

En ce qui concerne l’Eucharistie est un sacrement, l’église catholique romaine enseigne que cela fonctionne, ex opere operato, c'est-à-dire, « en vertu de l’acte sacramentel lui-même et non en vertu des actes ou la disposition du bénéficiaire ou de la solvabilité du ministre (ex opere operantis). » Cela signifie que toute personne qui reçoit les éléments, he perverse ou pieux, reçoit également la grâce signifié, qui est conçu comme une substance contenue dans les éléments. Le rite sacramentel lui-même traduit grace à l’acquéreur. Dans le même temps, elle enseigne également, de manière plutôt irrégulière, il semblerait que les effets du sacrement peuvent être partiellement ou complètement frustrés par l’existence d’un obstacle, en l’absence de cette disposition qui rend l’âme capable de recevoir la grâce, ou par la faute du prêtre de l’intention de faire ce que l’église ne.

b. l’opinion dominante protestante. L’opinion qui prévaut dans les églises protestantes, c’est que le Sacrement ne fonctionne pas ex opere operato. Ce n'est pas en soi une cause de la grâce, mais simplement un instrument dans la main de Dieu. Son bon fonctionnement dépend, non seulement sur la présence, mais sur l' activité, de la foi chez le receveur. Mécréants peuvent recevoir les éléments extérieurs, mais ne reçoivent pas la chose signifiée ainsi. Certains luthériens et les épiscopaliens église haute, cependant, dans leur désir de maintenir le caractère objectif du Sacrement, clairement manifeste un penchant vers la position de l’église de Rome. « Nous croyons, enseigner et avoue », dit la formule de concorde, « que non seulement les vrais croyants en Christ et comme approche dignement la Cène du Seigneur, mais aussi l’indigne et incrédules recevoir le vrai corps et le sang du Christ; en telle sorte, néanmoins, qu’ils tirent de là ni consolation, ni la vie, mais plutôt en tant que cette réception se tourne vers leur jugement et leur condamnation, à moins qu’ils soit converti et repens-toi (I Cor. 11:27, 29). [VII. 7.]

H. LES PERSONNES POUR QUI LA CÈNE DU SEIGNEUR EST INSTITUÉE.

1. LES PARTICIPANTS APPROPRIÉS DU SACREMENT. En réponse à la question, « pour qui est la Sainte Cène instituée ? » dit le Catéchisme de Heidelberg: « pour ceux qui sont vraiment mécontent avec eux-mêmes pour leurs péchés et encore faire confiance que ceux-ci sont pardonnés par souci de Christ et qui leur reste infirmité est couvert par sa passion et sa mort; qui aussi aspirent plus à renforcer leur foi et à modifier leur vie. » À ces mots, qu'il semble que la Sainte Cène a été instituée pas pour tous les hommes indistinctement, ni même pour tous ceux qui ont une place dans l’église visible du Christ, mais seulement pour ceux qui se repentent sincèrement de leurs péchés, confiance que ceux-ci ont été couverts par l’aton ING le sang de Jésus Christ et sont désireux d’augmenter leur foi et de croître en sainteté véritable de la vie. Les participants de la Cène du Seigneur doivent être pécheurs repentants, qui sont prêts à admettre qu’ils sont perdus en eux-mêmes. Ils doivent avoir une foi vivante en Jésus-Christ, afin qu’ils font confiance pour leur rédemption dans le sang expiatoire du Sauveur. En outre, ils doivent avoir une bonne compréhension et l’appréciation de la Cène du Seigneur, doivent discerner la différence entre elle et un repas commun et doivent être impressionnés par le fait que le pain et le vin sont les jetons du corps et du sang du Christ. Et, enfin, ils doivent avoir une volonté Sainte pour la croissance spirituelle et croissant conformité à l’image du Christ.

2. CEUX QUI DOIVENT ÊTRE EXCLUS DE LA CÈNE DU SEIGNEUR. Étant donné que l’Eucharistie est un sacrement d’et pour l’église, il s’ensuit que ceux qui sont à l’extérieur de l’église ne peut pas prendre part à elle. Mais il est nécessaire de préciser les limites encore plus loin. Pas encore tout le monde qui a sa place dans l’église peut être admis à la table du Seigneur. Convient de noter les exceptions suivantes:

a. les enfants, bien qu’ils étaient autorisés à manger la Pâque à l’époque de l’ancien Testament, on ne peuvent permettre de prendre part à la table du Seigneur, car ils ne peuvent pas satisfaire aux exigences de digne participation. Paul insiste sur la nécessité de l’auto-examen avant la célébration, quand il dit: « Mais laisser un homme faire ses preuves et donc il mange du pain et boive de la coupe », j’ai Cor. 11:28, et les enfants ne sont pas en mesure d’examiner eux-mêmes. En outre, il souligne que, afin de prendre le dîner d’une manière digne, il faut discerner le corps, I Cor. 11:29, c'est-à-dire, pour distinguer correctement les éléments utilisés dans la Sainte Cène et ordinaire pain et du vin, en reconnaissant les éléments tels que les symboles du corps et du sang du Christ. Et c’est aussi, au-delà de la capacité de l’enfant. C’est seulement après que qu’ils en sont venus à ans d’un pouvoir discrétionnaire qu’ils peuvent être autorisés à se joindre à la célébration de l’Eucharistie.

b. ces mécréants que peut éventuellement être dans les limites de l’Eglise visible n’ont aucun droit à prendre part à la table du Seigneur. L’église doit exiger de tous ceux qui désirent célèbrent la Cène de crédible profession de foi. Naturellement, elle ne peut pas regarder dans le cœur et pouvez seulement baser son jugement concernant un candidat à l’admission sur sa confession de foi en Jésus Christ. Il est possible qu’elle avoue parfois hypocrites les privilèges de la pleine communion, mais ces personnes en participant à la Cène du Seigneur seront seulement manger et boire arrêt à eux-mêmes. Et si leur incrédulité et leur impiété devient évidente, l’église devra exclure de la bonne administration de la discipline de l’église. La sainteté de l’église et du sacrement doit être sauvegardée.

c. même les vrais croyants peuvent ne pas prendre part l’Eucharistie dans toutes les conditions et dans chaque État d’esprit. La condition de leur vie spirituelle, leur relation consciente avec Dieu et leur attitude envers leurs collègues chrétiens peut-être être telles que de disqualifier à s’engager dans un tel exercice spirituel comme la célébration de l’Eucharistie. C’est clairement impliqué dans ce que dit Paul dans I Cor. 11:28-32. Il y avait des pratiques au sein des Corinthiens qui vraiment fait de leur participation à la Cène du Seigneur une moquerie. Lorsqu’une personne est consciente d’être séparé du Seigneur ou de ses frères, il a pas sa place appropriée à une table qui parle de la communion. Il faudrait indiquer explicitement, toutefois, que manque de l’assurance du Salut ne besoin pas dissuader quiconque de venir à la table du Seigneur, puisque la Sainte Cène a été instituée dans le but de renforcer la foi.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Est il possible de prouver que le dîner du Seigneur a pris la place de la Pâque de l’ancien Testament ? Comment ? Est-il permis de couper le pain en carrés avant l’administration de la Cène du Seigneur et d’utiliser la coupe individuelle ? Ce que signifie le terme « présence réelle » dans le cadre de ce sacrement ? La Bible enseigne-t-elle qu’une telle présence réelle ? Si oui, est il favorable à l’idée que la nature humaine du Christ est présente dans l’état d’humiliation, ou dans celui de la glorification ? Qu’entend-on par la doctrine réformée de la présence spirituelle ? Le discours de Jésus dans Jean 6 s’applique-t-elle vraiment à la Cène du Seigneur ? Comment Rome défend-elle la célébration de l’Eucharistie sous une seule espèce ? Comment la conception de la Sainte Cène comme un sacrifice a‑t‑elle pris naissance ? Quelles objections sont là pour cette notion ? « Manger le corps » simplement équivaut à croire en Jésus-Christ ? Communion ouverte est défendable ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, p. 590-644; Kuyper, Dict. dogme., De Sacramentis, pp. 158-238; Vos, Geref. Dogme. V. de Genademiddelen, pp. 134-190; Hodge, Syst. Theol. III, p. 611-692; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 800-817; Bannerman, L’église du Christ, II, pp. 128-185; Cunningham, les réformateurs et la théologie de la réforme, p. 212-291; Valentine, Chr. Theol. II, p. 335-361; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Ch., pp. 558-584; Browne, Exposition des trente-neuf Articles, p. 683-757; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 464-532; Carle, Le Salut Christian, pp. 179-204; Pieper, Christl. Dogme. III, pp. 340-458; Pape, Chr. Theol. III, pp. 325-334; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., p. 327-349; Moehler, symbolisme, pp. 235-254; Schaff, du père de notre foi et la nôtre, pp. 322-353; Otten, Manuel de l’Hist. du dogme II, pp. 310-337; Hebert, souper du Seigneur , (deux vols.) cf. Index; Ebrard, dogme Das vom Heiligen Abendmahl, FC. Indice; Calvin, instituts, livre IV, chapitres 17 et 18; Wielenga, Ons Avondmaalsformulier; Lambert, les sacrements dans le Nouveau Testament, pp. 240-422; MacLeod, le ministère et les sacrements de l’église d’Écosse, pp. 243-300.

 

LES ERREURS DU SACRAMENTALISME

Définitivement la déviation de la foi réelle la plus répandue est celle qui donne une importance capitale à des symboles, rituels ou phénomènes religieux qui ont pour but soit la sanctification de celui ou celle qui en est l’objet, ou pour avoir une reconnaissance d’être membre d’une église ou dénomination quelconque. Dans plusieurs milieux on confère un caractère sacré aux éléments de ces symboles ou rituels, l’eau dans le baptême, le pain et le vin dans la Cène, qui frôle l’idolâtrie. Même si plusieurs les regardent uniquement comme des symboles, on en fait des rituels obligatoires pour devenir membre d’une église ou pour participer à des fonctions d’un caractère clos réservés uniquement à ceux qui les ont reçus. Ils sont les moyens par excellence de manipulations au sein des dénominations qui les utilisent pour justifier leur existence et pour exploiter leurs membres. L’union mystique de la Présence de Christ est regardée comme s’appliquant de quelques façons, soit aux éléments ou soit au croyants qui y participent. Ceci est la plus pernicieuse de toutes les erreurs sur la nature de l’union mystique. Objectivement elle fait de la grâce de Dieu un élément substantiel, ou subjectivement elle prétend confirmer les bénédictions de la grâce sur le participant qui les regarde seulement comme un symbole ou un mémorial. Elle a tendance à rendre soit l’église, le ministre ou pasteur, dépositaire de la grâce qui est transmise soit aux éléments ou à la pratique des rituels. Pour toutes ces raisons et pour plusieurs autres, nous devons consacrer de la place à ce sujet important.

 

Inutile de détailler les erreurs et les abominations du Catholicisme Romain – par rapport au Catholicisme Protestant. Le sacrilège de la Messe et le dieu galette du culte solaire des papistes ont été reconnus et condamnés par un grand nombre de chrétiens à travers l’histoire. Il s’agit plutôt ici de se concentrer sur les Moyens de Grâce du Protestantisme qui inclus les deux sacrements ou ordonnances du Baptême et de la Sainte-Cène nommée aussi le Repas du Seigneur et la Pâque Chrétienne. Bien que le terme «Moyen de Grâce» est employé par eux dans un sens plus large qui inclus les sacrements ou les ordonnances, il importe d’affirmer dès le début qu’il existe seulement cinq Moyens de Grâce réels dans les Écritures: 1) la Parole de Dieu; 2) la foi; 3) la prière; 4) la louange; 5) la communion fraternelle. Cela dit, le Protestantisme, incluant plusieurs groupes dissidents, ajoutent aux Moyens de Grâce certains moyens ou pratiques extérieurs par lesquels ils affirment que le Saint-Esprit préserve la foi. S’il est vrai que le Saint-Esprit engendre et fortifie la foi par les Moyens de Grâce mentionnés ci-haut, il en advient que ce n’est pas le cas avec le Baptême d’eau et le Repas du Seigneur, tels qu’ils sont compris généralement. Le concept des sacrements ou ordonnances est une offense sérieuse à l’union mystique de la Sainte-Présence de Christ en nous, si non un blasphème dangereux. Selon le Protestantisme, la définition d’un sacrement est «une ordonnance Sainte de Dieu, instituée par le Christ, dans laquelle, par un signe visible ou sensible, la grâce de Dieu est représentée et appliquée aux croyants. Ceux-ci expriment en retour leur foi et leur obéissance envers Dieu en y participant activement d’une foi sincère». Or, non seulement que les sacrements ou ordonnances ne sont pas nécessaire au salut, le Saint-Esprit n’a besoin d’aucun intermédiaire pour appliquer sa grâce. En disant qu’un croyant doit exprimer sa foi et son obéissance en participant aux sacrements ou ordonnances, ce concept tombe dans l’Arminianisme dont l’enseignement est de plaire à Dieu par son obéissance, selon son libre-choix. Comme signe extérieur, seul la Parole de Dieu peut engendrer le moyen de la foi par laquelle nous recevons la grâce, et cela est un don gratuit de Dieu qui n’a aucun rapport avec l’obéissance de l’individuel (Romains 10:17; Éphésiens 2 :8). Personne ne peut contribuer quoi que ce soit ni coopérer avec l’Esprit pour recevoir la grâce. L’Esprit se sert aussi de la prière, de la louange, et de la communion fraternelle pour que nous récoltions les bénédictions qui découlent de la grâce. Ceux-ci n’engendrent pas la foi mais la fortifie. Les sacrements ou ordonnances sont non seulement inutiles dans ce domaine, ils entravent la foi en remettant le croyant sous des pratiques issues de la loi, et s’opposent au ministère vicarial de Christ qui a été baptisé à notre place et qui a participé au repas de la Pâque à notre place afin d'accomplir la loi pour nous. Prétendre que Christ a institué ces rituels après nous avoir délivré de la loi et de ses ordonnances (Colossiens 2:14), est une déviation sérieuse par rapport à la foi, si non un renversement complet de la foi même que l’Écriture nomme «l'apostasie».

 

a) Le Baptême d’eau:

On dit qu’après sa résurrection, Christ a institué le baptême d’eau. Les passages principaux utilisés pour légitimer le rituel du baptême d’eau sont: Matthieu 28:19; Marc 16:16. Il est dit que dans ces passages Jésus a chargé ses disciples de baptiser d’eau ceux qui venaient à la foi. Mais, comme il fut démontré souvent auparavant, on a beau regarder ces passages dans le Français, l’Anglais, le Grec, et l’Araméen et on y trouve aucune goutte d’eau. Pour voir un baptême d’eau dans ces passages il faut l’introduire dans le texte sous la base d’une conjecture, en d’autres mots il faut faire dire à la Bible ce qu’elle ne dit pas. A vrai dire, la théologie des diverses églises et dénominations est remplie de telles conjectures. La subtilité de la légitimation du baptême d’eau se trouve dans l’affirmation de plusieurs qu’il remplace la circoncision sous la loi (Colossiens 2:11,12). Ici les embûches sont les mots «ensevelis» et «baptême». Le mot «ensevelis», que nous retrouvons aussi dans Romains 6:4, en porte plusieurs à la confusion et les prétentions sont nombreuses à ce niveau. Dans le Grec, le mot «ensevelis» est «SUNTHAPTÖ» et signifie «être enveloppé, caché en, unir avec, assimilé, être incorporé, être intégré, être absorbé, être identifié». Ces passages n’indiquent pas que nous avons été ensevelis avec Christ dans le tombeau, mais que nous avons été unis à lui ou intégré en sa mort et sa résurrection. Nous avons été «incorporé» dans la mort de Christ, et Christ est mort sur la croix et non dans la tombe. Inverser cela serait renverser l’Évangile, et c’est exactement cela que font ceux qui pratiquent le baptême d’eau par immersion, nous indiquant que le baptême de cornichons est anti-biblique. Le gros du problème réside avec l’interprétation du mot «baptême». Le fait aussi que le mot «baptême» est un mot translittéré et non une traduction n’aide pas le cas. Nous avons tellement été conditionnés depuis des siècles par différentes religions à tendances chrétiennes, que notre esprit associe inconsciemment le mot baptême avec l’eau. Aussi, un des facteurs importants dans ce contexte est l’indolence de ceux qui se disent chrétiens. Ils veulent à tout prix éviter de se donner la peine de vérifier de tels sujets, et préfèrent suivre aveuglement l’enseignement de leur église ou de leur pasteur. Ils refusent de penser pour eux-mêmes de crainte d’offenser leurs dirigeants spirituels avec la vérité, ou d’être exclus de leur église pour avoir pris position contre leurs doctrines. Une telle indolence fait lever le cœur et plusieurs seront vomis de la bouche du Seigneur à cause de cela (Apocalypse 3:16). Or quand l’Écriture parle d’un baptême d’eau, elle ne manque pas de l’indiquer clairement (Luc 3:16). Ce qui veut dire que l’expression «baptiser» n’implique pas toujours que de l’eau soit présente. Ce qui veut dire aussi que le mot «baptiser» détient une autre signification que celle qui lui est généralement attribuée. L’apôtre Pierre décrit clairement la signification du mot baptême comme «l’engagement d’une bonne conscience» (1 Pierre 3:21), et non point un rituel de purification par l’eau. Comme nous voyons, les mots «baptême» et «engagement» sont interchangeables. Dans le Grec, la racine du mot «baptême» qui est «BAPTO» porte différentes nuances dont «ablution, blanchir, innocenter, expier, consacrer, laver, mouiller, tremper, plonger, immerger, baigner, noyer, abîmer, remplir, teindre». Mais dans le contexte de l’évidence que nous apporte l’apôtre Pierre, nous obtenons la réalisation que le mot «BAPTO» est un mot composé de «BA» et «APTO». Ce fut la pratique courante en utilisant des mots composés d’enlever une voyelle si celle-ci était suivie immédiatement d’une voyelle similaire. Ainsi «BA-APTO» devient «BAPTO», et il est intéressant de voir que «BA» signifie littéralement «un appel» et que «APTO» signifie «engager».

 

BA

Dictionnaire Grec-Français de M. Quenon

 

BA

Dictionnaire Grec-Français de J. Planche

 

APTO - 1

Dictionnaire Grec-Français de J. Planche, pg. 185

 

 

 

 

APTO - 2

Dictionnaire Grec-Français de J. Planche, pg. 186

 

Le terme «APTO» porte aussi les nuances de «cri, allumer, enflammer, nouer, attacher, fixer, accrocher, lier, prendre, s’emparer, saisir». Nous entrons ainsi dans l’essence réelle du mot baptême, et nous voyons que le Seigneur Jésus n’a pas chargé ses disciples de baptiser d’eau «les nations» (Matthieu 28:19,20), ce qui serait un non-sens, mais de «les appeler à s’engager» dans la foi en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. En faisant ainsi, nous voyons que Marc 16:16 dit: «Celui qui aura cru, et qui aura été ENGAGÉ, sera sauvé…», démontrant que la foi et l'engagement sont une seule et même chose. La structure grammaticale de ce passage nous indique que la foi est relié intrinsèquement à l’engagement, car c’est par la foi que nous sommes ENGAGÉS dans les mérites du sacrifice de Christ; nous avons été ENGAGÉS ou INTRODUIT dans sa mort et dans sa résurrection (Romains 6:3-5), nous sommes LIÉS à Lui par le fait qu’il est notre substitut. De même la traduction de Matthieu 28:19 devient: «Allez donc et instruisez toutes les nations, les consacrant au NOM unique du Père, savoir du Fils, c'est à dire de la Sainte Présence divine

 

Puisque tel est le cas, le baptême d’eau n’est plus d’aucune utilité, en fait, il n’a plus sa place dans l’économie de la grâce, rituellement ou symboliquement. Pour faire le point, il est important de remarquer que le baptême d’eau n’est pas un nouvel élément dans le Nouveau Testament qui apparaît à l’improviste comme le poil proverbial dans la soupe du Texte Sacré. Le fait que les pharisiens reprochèrent à Jean le Baptiste de baptiser (Jean 1:24-26) est l’évidence qu’ils connaissaient déjà cette pratique. En plus, leur question, «Pourquoi donc baptises-tu, si tu n’es point le Christ, ni Élie, ni le prophète?», est l’indication que le baptême d’eau était déjà connu des prophètes de l’Ancien Testament. En fait, le contexte de Jean 3:23-26 indique clairement que le baptême d’eau faisait partie des rituels de purification de la loi. La preuve de ceci se trouve dans Hébreux 9:10 où nous voyons dans le Grec que le mot «BAPTISMOÏS» ou «baptême» a été traduit par «ablutions» et non immersion, le terme étant au pluriel pour indiquer qu’il y avait plusieurs différents baptêmes ou ablutions sous la loi, comme l’indique aussi Hébreux 6:2. La forme ou mode d’application de l’eau est aussi décrite dans l’Ancien Testament. Dans la prophétie d’Ézéchiel, le mode est l’effusion (verser de l’eau), «je répandrai (verserai) sur vous des eaux nettes» (Ézéchiel 36:25); dans la loi, le mode est l’aspersion, «tu feras aspersion sur eux de l’eau de purification» (Nombres 8:5-7), les deux formes étant valides sous l’Ancienne Alliance. Le baptême d’eau détenait un caractère prophétique dont le but était d’annoncer la manifestation du Messie à Israël, et c’est exactement cela que Jean le Baptiste, le dernier des prophètes de l’Ancienne Alliance, déclare dans Jean 1:31. En d’autres mots, à la manifestation de Jésus, le baptême d’eau avait accompli son but et n’était plus nécessaire. Que les premiers disciples continuèrent pour un temps à utiliser cette pratique, est tout simplement du au fait que la loi resta en vigueur du temps que le temple demeurait, jusqu’à sa destruction finale en l’an 70. Pour une période transitoire de quarante ans après la résurrection et l’ascension du Seigneur Jésus, la loi et la grâce coexistèrent ensemble pour servir de signe aux Juifs que le Royaume de Dieu traversait les frontières d’Israël pour être annoncé aux Gentils. Les Juifs qui se convertissaient sous la grâce continuèrent quand même à observer la loi, mais ils n’imposèrent point cette pratique aux Gentils qui n’avaient aucun rapport avec la loi donnée à Moïse (Actes 15:4-29), et cela est important à remarquer pour nous qui ne sommes pas Juifs de sang, mais d'Esprit. Or, puisque Jésus a accompli parfaitement la loi pour nous comme notre substitut, et qu’il a aboli toutes ses ordonnances par son sacrifice sur la croix (Colossiens 2:13-15), il est évident que le baptême d’eau qui faisait parti des ordonnances fut aboli aussi. Que le baptême d’eau continua d’être pratiqué après le départ des apôtres, fait parti de l’avertissement de l’apôtre Paul contre les faux docteurs et les fausses doctrines qu’il avait prévu (Actes 20:28-31). Paul déclare qu’il y a maintenant «un seul baptême» (Éphésiens 4:5), celui d’être ENGAGÉ dans la mort et la résurrection de Christ (Romains 6:3-5; Colossiens 2:11,12). Ainsi coule à pic le sacrement ou ordonnance du baptême dans les eaux stagnantes de son inconsistance.

 

Considérant tout ce qui vient d’être dit, il n’y a aucun doute que le baptême d’eau, tel que pratiqué par les églises, les dénominations, et les groupes dissidents, sert à remettre le croyant sous la loi après lui avoir annoncé la grâce. Dans ces milieux, le baptême d’eau n’est pas un moyen de grâce mais un moyen d’exploitation. Tout chrétien réel doit être conscient du danger qu’encours une telle perversion de la foi (Galates 1:6,7; 2:4; 3:2,3; 5:4). Mais il y a plus à cette perversion que l’on puisse s’imaginer. Non seulement qu'elle est une attaque à l’union mystique du salut qui annule les mérites du sacrifice de la croix, elle est marquée aussi par la déviation du cléricalisme qui dérobe le croyant de sa liberté en Christ. Les Protestants, tout comme les Catholiques Romains et plusieurs autres sectes comme les Évangéliques, considèrent le baptême d’eau comme légitime seulement lorsqu’il est administré par un ministre dûment accrédité, sauf dans quelques exceptions rares. Non seulement une telle position ne se trouve nul part dans la Bible, mais elle contredit catégoriquement le ministère spirituel ou universel de tous les croyants «d’annoncer les vertus de Celui qui nous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière» (1 Pierre 2:9). Aussi, cela va contraire à l’enseignement de Jésus qui dit: «Quiconque voudra être le premier entre vous, qu’il soit votre serviteur» (Matt. 20:27). Or, les ministres accrédités ne sont pas des serviteurs mais des administrateurs. Leur autorité administrative n’est donc point légitime mais usurpatrice. Les premiers disciples n’avaient aucune accréditation d’une université ni d’un séminaire, et pourtant ils baptisaient plusieurs personnes (Jean 4:1,2). Nous ne disons point ceci pour légitimer le baptême d’eau que nous savons aboli, mais pour condamner ceux qui dominent sur la foi des fidèles (1 Pierre 5:2,3). Nous ne sommes point appelé à la servitude mais à la liberté, ne laissez donc personne dominer sur votre foi par la ruse des accréditations, car le simple disciple vaut plus que tous les administrateurs prétentieux qui s’établissent comme médiateurs de la grâce de Dieu. Ils sont accrédités des hommes et non de Dieu, mais «nous avons reçu l’onction de la Brillante Présence de Christ qui nous enseigne toutes choses, et en laquelle il n’y a point de prétentions» (1 Jean 2:27).

 

b) Le Repas du Seigneur:

Selon le concept des religions chrétiennes, le baptême doit précéder la participation au Repas du Seigneur. Encore une fois on se retrouve avec des prétentions accréditées qui veulent nous imposer une déviation sérieuse par rapport à la foi. On prétend que le Repas du Seigneur, nommé aussi la Sainte-Cène, l’Eucharistie, la Sainte-Communion, la Pâque Chrétienne, autant que le baptême, est une institution et un commandement de Dieu institué par le Seigneur Jésus, et qu’il doit demeurer en usage jusqu’à la fin des temps. Plus que le premier, ce sacrement ou ordonnance est d’un caractère sectaire qui divise le peuple de Dieu. En effet, selon eux, les personnes qui désirent recevoir le pain et le vin doivent être premièrement baptisés d’eau par immersion avant d’être admises à la Table du Seigneur, car il paraît qu'on y sert des cornichons dans le repas. Certains vont jusqu’à dire que le Baptême d’eau et la Sainte-Cène sont des moyens de justification et de rémission des péchés, et de ce fait ils ne considèrent point qu’ils font parties de la loi, mais qu’ils sont le pur Évangile. Tandis que d’autres n’y voient qu’un symbole ou un mémorial qui confirme et fortifie la foi des participants. La subtilité de la légitimation du Repas du Seigneur se trouve dans l’affirmation qu’il remplace la Pâque juive. Néanmoins toutes ces prétentions, il en advient que la Sainte-Cène a été célébré par Jésus et ses disciples à l’intérieur de la Pâque juive, et que cette célébration fut un rituel issu de la loi qui faisait parti de l’Ancienne Alliance. Ceci est indéniable et dire le contraire serait de le pure folie, si non un manque sérieux de discernement par rapport à la vérité. Il est abhorrant de voir tant de chrétiens qui se disent libérés sous la grâce, continuellement s’obstiner à vouloir se remettre sous la servitude des ordonnances de la loi.

 

Sous la loi, la Pâque est liée avec l’élément central de l’agneau pascal. Le pain sans levain était mangé avec des herbes amers et l’agneau, et fut consacré par son caractère prophétique qui trouvait son accomplissement en Jésus-Christ qui est «le pain du ciel» (Jean 6:32-35) et «l’Agneau de Dieu» (Jean 1:29). Toute la cérémonie de la Pâque était une célébration qui anticipait la venue du Messie pour le rachat des péchés de son peuple. En d’autres mots, la Pâque était une cérémonie prophétique et vicariale, prophétique car elle annonçait la venue de Christ, vicariale car Christ nous inclus en son sacrifice expiatoire sur la croix où il est mort comme notre substitut. En ce sens, le pain rompu et le vin (non du jus de raisin) représentaient le corps brisé du Seigneur et son sang versé. Cette cérémonie pascale était désigné uniquement pour le temps de la loi. En aucune façon elle anticipait une continuité sous la grâce pour se reproduire dans un mémorial symbolique. Les représentations du corps et du sang de Christ, même au moment où le Seigneur et ses disciples participèrent à la Pâque, étaient uniquement des anticipations du drame de la croix qui était pour se produire le lendemain de leur célébration prophétique. Jésus n’a jamais ordonné l’observation d’un rituel de la loi à perpétuité comme mémorial de son sacrifice. En fait cela irait à l’encontre de son œuvre achevée dans son sacrifice parfait qui ne peut se répéter, et du fait qu’il a accompli la loi dans sa totalité pour nous.

 

Le Repas du Seigneur n’est pas un signe visible perpétuel de manger et de boire des éléments symboliques, ni est-il un acte de profession de foi et d’obéissance de la part de ceux qui y participent. Il n’est point un sceau attaché à la chose signifiée, ni une garantie de la réalisation de celle-ci pour donner aux croyants l’assurance qu’ils sont l’objet du grand amour de Christ dans son don de soi. Mais le Repas du Seigneur est beaucoup plus que cela. Pour en pénétrer le mystère, il suffit de savoir quelle est la signification des paroles de Jésus «faites ceci en mémoire de moi» (Luc 22:19; 1 Corinthiens 11:23-26). Il ne s’agit pas de s’arrêter sur les paroles «Prenez, mangez : ceci est mon corps» et «ceci est mon sang», car comme nous avons vu, le pain et le vin furent des éléments anticipatoires dans la Pâque depuis Moïse jusqu’à Jésus. En faisant un rapprochement de sa personne avec les éléments du pain et du vin, Jésus confirmait qu’il était le Messie longuement attendu, et qu’il était l’Agneau de Dieu désigné à la boucherie du sacrifice expiatoire. Mais les paroles «faites ceci en mémoire de moi» ont une portée plus vaste et un sens plus profond de l’union mystique. Chose certaine, Jésus ne signifiait pas par ces paroles de prendre littéralement un morceau de pain et un peu de vin en mémoire de Lui. Le Seigneur connaît très bien nos faiblesses humaines et ne mettrait point devant nous des éléments qui risqueraient de nous faire tomber dans l’idolâtrie. Le sens de ces paroles se trouve dans Jean 13:15 dont les évènements du contexte se déroulent dans la même célébration de la dernière Pâque: «Car je vous ai donné un exemple, afin que, comme je vous ai fait, vous fassiez de même». L’Écriture nous indique clairement que ces paroles furent prononcées dans le contexte de la Pâque (Jean 13:1) «après le souper» (Jean 13:2). Dans son enseignement à ses disciples lors de la célébration de la Pâque, Jésus confirme la signification de ses paroles «faites ceci en mémoire de moi» en disant: «Nul n’a un plus grand amour que celui qui donne sa vie pour ses amis» (Jean 15:13). Voici donc le sens réel de ses paroles, «faites ceci en mémoire de moi», non un rituel de la loi dans lequel nous mangeons un morceau de pain et buvons un peu de vin, mais «un exemple» que nous devons suivre et appliquer premièrement envers Lui et deuxièmement envers les frères dans la foi. Comme il a renoncé à tout pour nous, nous devons renoncer à tout pour Lui: «Ainsi quiconque parmi vous ne renonce pas à tout ce qu’il a, ne peut être mon disciple» (Luc 14:33). Ces paroles sont d’une intensité vaste et profonde qui débordent par-dessus la coupe céleste qui les contient pour répandre sur les frères les bénédictions de la grâce dans un exemple pratique. L’enseignement central des paroles «faites ceci en mémoire de moi» est l’amour sacrificiel dont le nom en Grec est «l’AGAPÉ». Comme nous devons renoncer à tout pour Christ, nous devons renoncer à tout pour les frères en qui Christ demeure par sa Sainte et Brillante Présence. Ceci est la seule ordonnance ou le seul commandement que Jésus a donner à ses disciples lors de la Pâque: «C’est ici mon commandement: Que vous vous aimiez l’un l’autre, comme je vous ai aimés» (Jean 15:12). Ceci est l’exemple du témoignage vivant que nous devons porter devant le monde: «En ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour l’un pour l’autre» (Jean 13:35). C’est ici le vrai Repas du Seigneur et celui qui n’y participe pas ou qui rejette cet enseignement n’est pas chrétien et n’a point la vie éternelle en lui (Jean 6:53,54).

 

Sous la Nouvelle Alliance, il n’existe plus aucun signe matériel visible qui transmet la grâce ou fortifie la foi, choses qui n’étaient que «l’ombre des biens à venir» (Hébreux 10:1) et qui furent «abolies» (Hébreux 12:27). Tous les éléments cultuels qui servaient de signes visibles sous l’Ancienne Alliance de la loi, étaient d’un caractère prophétique comme des préfigurations qui indiquaient la venue du Messie. Une fois le ministère vicarial de Christ accomplit, tous les éléments de la loi n’étaient plus nécessaires, ayant réalisés leur but ils furent abolis et remplacés par la liberté de la grâce qui détient uniquement un caractère spirituel de la Sainte Présence de Christ en nous. Puisqu’il n’y a aucune ordonnance de la loi qui est valide sous la grâce, nous réalisons que Jésus n’a jamais institué aucun sacrement ou ordonnance comme le Baptême d’eau et le Repas du Seigneur, et que ces choses ne sont que les fruits de l’imagination maladive du raisonnement humain qui désire monopoliser la grâce dans le but de remettre les croyants sous la servitude de la loi. Ils ne sont donc pas des Moyens de Grâce mais des moyens d’exploitation qui servent aux dirigeants spirituels des différentes religions dites chrétiennes, dans le but de justifier leur existence inutile et de remplir les coffres et les poches de ceux qui manipulent les gens et les circonstances en leur faveur.

 

Sachant ces choses, nous pouvons maintenant procéder à regarder l’enseignement de l’apôtre Paul concernant le Repas du Seigneur. Paul affirme que sous la grâce «nous ne connaissons plus Christ selon la chair» (2 Corinthiens 5:16), c’est à dire qu’il n’y a rien qui soit charnelle qui puisse prétendre donner une connaissance de Christ qui soit valide. Précisons immédiatement que la Parole de Dieu ou la Bible, quoique écrite et imprimée sur du papier matériel ou physique, ne peut être considérée comme un élément charnel mais spirituel, car elle respire de la Présence de Dieu même, et les mots qu’elle contient, c’est à dire la structure grammaticale, sont des paroles vivantes et éternelles déterminées par Dieu de toute éternité. Elle nous a été donnée dans le temps, elle sera présente au jugement dernier, et elle sera pour toute l’éternité servant de témoignage à la gloire de Dieu en Jésus-Christ qui en est l’Auteur par son Saint-Esprit qui l’habite. Cela dit, selon l’enseignement de l’apôtre Paul dans 2 Corinthiens 5:16, les éléments de l’eau dans le Baptême, le pain et le vin dans le Repas du Seigneur, utilisés par les religions, ne sont d’aucune utilité pour nous donner une représentation de Christ, «car les choses anciennes sont passées et toutes choses sont devenues nouvelles» (2 Corinthiens 5:17). Ces éléments nous donne plutôt une fausse représentation de Christ que l’apôtre Jean nomme de l’idolâtrie (1 Jean 5:20,21). Dans un contexte où Paul nous parle de l’idolâtrie pour nous aviser de la fuir, il souligne ce changement «des choses anciennes qui sont devenues nouvelles» en disant: «La coupe de bénédiction, laquelle nous bénissons, n’est-elle pas la communion du sang de Christ? Et le pain que nous rompons, n’est-il pas la communion du corps de Christ?» (1 Corinthiens 10:16). Éloignons de nous le faux concept religieux de la communion qui consiste à manger un morceau de pain et boire un peu de vin, car le mot «communion» signifie «être associé, être uni dans une même foi». Par ces paroles, Paul ne confirme pas ici l’institution d’un sacrement, il ne donne aucune approbation à une ordonnance qui consisterait en des éléments matériels ou physiques, il établit plutôt un parallèle ou une comparaison entre une chose ancienne et une chose nouvelle. Même plus, il souligne fortement que les choses anciennes de «l’Israël selon la chair» sont «des idoles» qui ont un rapport avec «des démons», et il ne veut absolument pas qu’un chrétien sous la grâce «participe à la Table du Seigneur et à la table des démons» (1 Corinthiens 10:18-21). Il avait souligné ce point du changement des choses anciennes à des choses nouvelles, en disant: «Nettoyez donc le vieux levain, afin que vous deveniez une nouvelle pâte, comme vous êtes sans levain; car Christ, notre Pâque, a été immolé pour nous. C’est pourquoi, célébrons la fête, non avec le vieux levain, ni avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec les pains sans levain de la sincérité et de la vérité» (1 Corinthiens 5:7,8). Dans l’essence de son message du changement de toutes choses, Paul fait ressortir deux aspects importants qui soulignent l’amour de Dieu ou l’Agapé: la communion avec Christ, et la communion avec les frères dans l’amour sacrificiel de Dieu qui est «le renoncement à soi-même». Il élabore ceci dans ses reproches aux Corinthiens qui se réunissaient pour célébrer l’Agapé dans une attitude d’hypocrisie qui ne manifestait point l’exemple du renoncement que Christ avait ordonné (1 Corinthiens 11:17-34). Ils avaient remplacés les signes extérieurs de la loi par la manifestation extérieur des dons miraculeux de l’Esprit, laissant ainsi de côté l’amour sacrificiel de Dieu dans leurs agissements envers l’un l’autre, et Paul devait corriger cette déviation atroce par rapport à la foi. Il importe de souligner de nouveau que les dons miraculeux de l’Esprit étaient seulement pour cette période transitoire dans laquelle la loi et la grâce coexistèrent lors de l’enfance de l’Église, et que par après, ayant accomplit leur but, ils cessèrent et furent remplacés par la révélation totale de l’amour sacrificiel de Dieu dans l’achèvement parfaite des écrits du Nouveau Testament (1 Corinthiens 13:8-10). Ce fait est souligné par la permanence de l’amour sacrificiel qui est le plus grand don que nous puissions avoir (1 Corinthiens 13:13), car le renoncement à soi est la révélation de Christ en nous et en sa Parole écrite. Les reproches de Paul sont justifiés, car chacun se pressait de prendre son repas en particulier afin de ne pas partager avec ceux qui n’avaient rien (1 Corinthiens 11:21,22). Le partage est la conséquence directe et logique du renoncement, il est l’évidence de la Présence de Christ en action, le témoignage de la mort et de la résurrection de Christ qui, par son ascension, est venu habiter en nos cœurs par l’Esprit de sa Brillante Présence. Le refus de partager porte des conséquences désastreuses et n’est point acceptable dans le corps de Christ. En se référant à la Pâque que le Seigneur célébra avec ses disciples, Paul souligna dans le chapitre 11 de 1 Corinthiens l’importance capitale du renoncement en montrant qu’il fut un commandement direct du Seigneur (1 Corinthiens 11:23-25) qui avait renoncé à toutes choses pour nous. C’est en effet par le renoncement que «nous annonçons la mort du Seigneur», car le renoncement est une mort en soi-même, et le partage en est l’évidence aux yeux du monde (1 Corinthiens 11:26; Jean 13:35). «C’est pourquoi» celui qui participe au renoncement de Christ en offensant les frères «est coupable envers le corps et le sang du Seigneur.» (1 Corinthiens 11 :27), car il «ne discerne point» que nous sommes «le corps du Seigneur» (1 Corinthiens 11:29) par la Sainte Présence de Christ en chacun de nous. Le refus de partager dans l’église des Corinthiens fut la cause pour laquelle il y avait «beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts» (1 Corinthiens 11:30). «C’est pourquoi», lorsque les frères s’assemblent, ils doivent s’attendre (1 Corinthiens 11:33), c’est à dire qu’ils doivent compter sur l’un et l’autre dans l’entre aide mutuel pour donner l’évidence de l’union mystique en chacun d’eux. Sans entre aide plusieurs frères et sœurs sont condamnés à la misère, à la pauvreté, à la privation, à la détresse, et même périssent par l’attitude abominable et scandaleuse de ceux qui refusent de partager. C’est ici, en effet, que se trouve le vrai repas du Seigneur dans le renoncement à soi pour Christ et le partage entre les frères. Celui qui n’y convient point ne fait pas parti du corps de Christ, et ce n’est point en mangeant un morceau de pain ou en buvant une coupe de vin que sa condamnation va être enlevée.

 

Étant conscient maintenant que le vrai Repas du Seigneur n’est pas un sacrement ou une ordonnance de manger un morceau de pain et de boire une coupe de vin, la question surgit: «Existe-t-il un danger quelconque si un chrétien, en connaissance de cause de ce qui vient d’être dit, participe quand même au pain et au vin avec des frères d’une même foi qui en n’ont aucune connaissance?». Il est évident que l’on ne peut dire à un chrétien de «ne pas manger, de ne pas goûter, ou de ne pas toucher» (Colossiens 2:22), mais dans ce domaine il doit exercer beaucoup de discernement. S’il n’a pas de discernement qu’il se prive, car il ne sait pas reconnaître encore le vrai corps de Christ, c’est à dire qu’il n’a pas la capacité de savoir qui sont les vrais chrétiens et qui ne le sont pas. Mais pour un chrétien bien avisé, il n’y a aucun danger du temps qu’il déclare sa conviction ouvertement et affirme qu’il participe seulement à une tradition et non au vrai Repas du Seigneur. Il a la responsabilité de ne pas trahir ses convictions et d’induire en erreur ceux avec qui il se trouve. S’il craint de déclarer sa conviction qu’il se retire, car pourquoi voudrait-il recevoir une condamnation pour un morceau de pain et une coupe de vin. Aussi avec les frères il doit partager le pain de la vérité ou s’abstenir et se dissocier de ceux qui ne mangent pas du même pain. S’il a faim, qu’il mange chez-lui son propre pain et boive son propre vin, et ainsi il en récoltera des bénédictions. Mais dans une assemblée de frère où l’amour sacrificiel est en action, s’il en advient que de temps en temps par méconnaissance ils partagent littéralement le pain et le vin, que le chrétien bien avisé y participe s’il le désire, mais sans oublier de déclarer la vérité sur le sujet, car le pain que nous mangeons est le pain de la vérité. Non d’imposer son point de vue, mais de partager sa conviction dans la douceur de l’Esprit, dans la sagesse et dans l’amour, car Christ est celui qui nous dirige et nous instruit dans ses voies. Les sacrements ou ordonnances sont des traditions qui n’ont «qu’une apparence de sagesse dans un culte volontaire, et dans une certaine humilité charnelle» (Colossiens 2:22,23), qui ne conviennent point à la liberté de la grâce que nous avons en Christ. Mieux que cette tradition soit abolie totalement, qu’elle soit complètement éradiquée du corps de Christ, que de l’allouer de continuer à faire dévier la foi de l’union mystique. Partagez plutôt le pain de vie qui est la Parole de Dieu, et le vin de la joie qui est la communion de l’Esprit, et entraidez-vous l’un l’autre dans un amour fraternel sans hypocrisie.

 

 

SIXIÈME PARTIE

La Doctrine des dernières choses

Chapitre introductif

A. ESCHATOLOGIE DANS LA PHILOSOPHIE ET LA RELIGION.

1. LA QUESTION DE L’ESCHATOLOGIE NATURELLE. Une doctrine des choses dernières n’est pas quelque chose qui est propre à la religion chrétienne. Partout où les gens ont sérieusement réfléchi sur la vie humaine, que ce soit dans l’individu ou de la course, ils n’ont pas simplement demandé, d'où il printemps, et comment il venu à être ce qu’elle est, mais aussi, où est il lié ? Ils ont soulevé la question, quelle est la fin ou le destin final de l’individu; et quel est le but vers lequel la race humaine est en mouvement ? Homme périr au moment du décès, ou il pénétrer dans un autre État de l’existence, de bonheur ou de malheur ? Les générations d’hommes viendra et aller dans une succession sans fin et finalement sombrer dans l’oubli, ou est la course des enfants des hommes et la création tout entière de passer à quelque divin telos, fin conçue pour lui par Dieu. Et si la race humaine est passer à quelque condition finale, certains idéale, peut-être, seront les générations qui ont venu et reparti y participer en aucune façon et dans l’affirmative, comment; ou le qu’ils ne servent comme une voie menant à l’apogée de grande ? Naturellement, seuls ceux qui croient que, comme l’histoire du monde a eu un commencement, il sera aussi ont une fin, peuvent parler d’une consommation et ont une doctrine de l’eschatologie.

2. LA QUESTION DE L’ESCHATOLOGIE EN PHILOSOPHIE. La question de la destinée finale de l’individu et de la course a occupé une place importante même dans les spéculations des philosophes. Platon enseignait l’immortalité de l’âme, c'est-à-dire son existence après que la mort et que cette doctrine est resté un principe important en philosophie jusqu'à l’heure actuelle. Spinoza n’existait pas pour elle dans son système panthéiste, mais Wolff et Leibnitz a défendu avec toutes sortes d’arguments. Kant a insisté sur l’untenableness de ces arguments, mais néanmoins conservé la doctrine de l’immortalité comme un postulat de la raison pratique. La philosophie idéaliste du XIXe siècle il exclu. En fait, comme le dit Haering, « panthéisme de toutes sortes est limité à un certain mode de contemplation et ne conduit pas à une « ultime ». » Non seulement les philosophes ne reflétaient sur l’avenir de l’individu; ils croyaient aussi profondément sur l’avenir du monde. Le stoïciens a parlé de monde-cycles successifs et les bouddhistes, du monde-Age, dans chacun d’eux un monde nouveau apparaît et disparaît à nouveau. Kant même spéculé sur la naissance et la mort des mondes.

3. LA QUESTION DE L’ESCHATOLOGIE DANS LA RELIGION. C’est surtout dans la religion, cependant, que nous nous rencontrions avec les conceptions eschatologiques. Même de fausses religions, le plus primitif ainsi que les plus avancées, ont leur eschatologie. Le bouddhisme a son Nirvana, Mahométisme, son paradis sensuel et les Indiens, leurs terrains de chasse heureux. Croyance en l’existence de l’âme apparaît partout et sous diverses formes. Dit J. T. Addison: « la croyance que l’âme de l’homme survit à sa mort est donc quasi universelle que nous n’avons aucune trace fiable d’une tribu ou nation ou une religion dans laquelle elle ne prévaut. » [Lavie au-delà de la mort, p. 3.] Il peut se manifester dans la conviction que les morts sont toujours planant autour et à proximité à portée de main, dans le culte des ancêtres, dans la recherche de rapports sexuels avec les morts, dans la conception d’un monde souterrain peuplé de morts, ou dans l’idée de la transmigration des âmes; mais il est toujours présent dans une certaine forme ou autres. Mais dans ces religions, tout est vague et incertain. C’est seulement dans la religion chrétienne que la doctrine des choses dernières reçoit une plus grande précision et porte en lui une assurance qui est divin. Naturellement, ceux qui ne sont pas content pour reposer leur foi exclusivement sur la parole de Dieu, mais rendent éventuel sur l’expérience et sur les délivrances de la conscience chrétienne, courent un grand désavantage ici. Alors qu’ils peuvent rencontrer, éveil spirituel, d’illumination divine, de repentance et de conversion et peuvent observer les fruits de l’exploitation de la grâce divine dans leur vie, ils ne peuvent pas l’expérience ni voir les réalités du monde futur. Ils doivent avoir à accepter le témoignage de Dieu concernant ceux-ci, ou continuer à tâtonner tout dans l’obscurité. Si ils ne veulent pas construire la maison de l’espoir sur les désirs vagues et indéterminés, ils auront à se tourner vers la terre ferme de la parole de Dieu.

B. ESCHATOLOGIE DANS L’HISTOIRE DE L’ÉGLISE CHRÉTIENNE.

Prenant la parole en général, on peut dire que christianisme n’a jamais oublié les glorieuses prédictions concernant son avenir et celui du chrétien individuel. Le chrétien individuel ni l’église pouvait éviter de penser à ceux-ci et trouver le confort dans les. Parfois, cependant, l’église, porté vers le bas avec les soucis de la vie, ou empêtré dans ses plaisirs, pensé peu de l’avenir. En outre, il est arrivé à plusieurs reprises qu’il penserait à un moment plus de cela et à un autre moment, plus de cet élément en particulier de son espoir. En jours de défection l’espérance chrétienne grandit parfois sombre et incertain, mais il n’est pas mort complètement. En même temps il faut dire qu’il y a jamais eu une période dans l’histoire de the Christian Church, où était le centre du chrétien pensé eschatologie. Les autres loci de théologie dogmatique ont chacun eu leurs temps de développement spécial, mais cela ne peut pas dire de l’eschatologie. On peuvent distinguer trois périodes dans l’histoire de la pensée eschatologique.

1. À PARTIR DE L’ÂGE APOSTOLIQUE AU DÉBUT DU VE SIÈCLE. Dans la première période, l’église était parfaitement conscient de l’éléments séparés de l’espérance chrétienne, comme, par exemple, que la mort physique n’est pas encore mort éternelle, qui fréquentent les âmes des morts, que Christ est encore à venir, qu’il y aura un bienheureux la résurrection du peuple de Dieu, que cela sera suivi d’un jugement général, dans lequel malheur éternel sera prononcée sur les méchants mais les pieux est récompensée avec la gloire éternelle du ciel. Mais ces éléments étaient simplement considérés comme tant de parties séparées de l’espoir et n’étaient pas encore dogmatiquement interprétés. Bien que les différents éléments ont été très bien comprises, leur relation n’était pas encore clairement considérée. Dans un premier temps, il semblait comme si l’eschatologie a été d’une manière équitable pour devenir le centre de la construction de la doctrine chrétienne, car dans les deux premiers siècles Chiliasme était plutôt importante, bien que pas aussi importante que certains voudraient nous faire croire. Il s’est avéré que, cependant, l’eschatologie n’était pas développée dans cette période.

2. DÈS LE DÉBUT DU VE SIÈCLE À LA RÉFORME. Sous la direction de l’Esprit Saint, l’attention de l’église a été réalisée du futur au présent, et Chiliasme fut peu à peu oubliée. En particulier sous l’influence d’Origène et Augustine, anti-Chiliastiques vues est devenue dominantes dans l’église. Mais bien que ceux-ci étaient considérés comme orthodoxes, ils ne étaient pas pensées et développées systématiquement. Il y avait une croyance en une vie après la mort, dans le retour du Seigneur, dans la résurrection de la morte, dans le jugement final et dans un Royaume de gloire, mais très peu réflexion sur la manière de ces. La pensée d’un matériau, le Royaume temporel fait place à celle de la vie éternelle et le Salut futur. En cours de l’époque, l’église est placée dans le centre de l’attention, et l’église hiérarchique a été identifié avec le Royaume de Dieu. L’idée a gagné du terrain qu’en dehors de cette église, il n’y a aucun Salut, et que l’église a déterminé la formation pédagogique pour l’avenir. Une grande attention a été versée à l’état intermédiaire et en particulier à la doctrine du purgatoire. À cet égard la médiation de l’Eglise a été portée à l’avant-plan, la doctrine de la messe, de prières pour les morts et des indulgences. Comme une protestation contre cet ecclésiastique, Chiliasme nouveau a fait son apparition dans plusieurs sectes c’était en partie une réaction de nature piétiste contre l’externalisme et mondanité de l’église.

3. DEPUIS LA RÉFORME JUSQU'À NOS JOURS. La pensée de la réforme centrée principalement sur l’idée de la demande et l’appropriation du Salut et cherche à développer l’eschatologie essentiellement à partir de ce point de vue. Bon nombre des anciens théologiens réformés traitent simplement comme adjuvant à sotériologie, traitant de la glorification des croyants. Par conséquent, qu’une partie de l’eschatologie a été étudiée et présentée à la poursuite du développement. La réforme adoptée ce que l’église primitive a enseigné concernant le retour du Christ, la résurrection, le jugement définitif et la vie éternelle et écarté la forme grossière de Chiliasme qui est apparu dans les sectes anabaptistes. Dans son opposition à Rome, elle reflète une bonne affaire sur l’état intermédiaire et a rejeté les divers principes mis au point par l’église catholique romaine. On peut difficilement dire que les églises de la réforme a fait beaucoup pour le développement de l’eschatologie. Dans le piétisme Chiliasme a à nouveau fait son apparition. Le rationalisme du XVIIIème siècle conservé de l’eschatologie simplement l’idée simple d’une immortalité incolore, de la simple survie de l’âme après la mort. Sous l’influence de la philosophie de l’évolution avec son idée d’un progrès sans fin, il est devenu, sinon obsolète, au moins obsolète. Théologie libérale a totalement ignoré les enseignements eschatologiques de Jésus et tous l’accent sur ses préceptes éthiques. En conséquence, il n’a aucune eschatologie digne de ce nom. Autre - façon de mondanité faite pour cela - mondanité; la bienheureuse espérance de la vie éternelle a été remplacé par l’espoir social d’un Royaume de Dieu exclusivement de ce monde; et l’ancienne assurance respectant la résurrection de la gloire de la morte et à venir a été supplantée par la vague confiance que Dieu peut avoir des choses encore mieux dans le magasin pour homme que les bénédictions dont il jouit maintenant. Déclare Gerald Birney Smith: « dans aucun domaine sont les changements de pensée plus marqués que dans la partie de la théologie qui traite de la vie future. Là où les théologiens utilisé pour nous parler en détail concernant la « dernière chose », ils maintenant énoncés en termes assez généraux la base raisonnable pour la confiance optimiste dans la continuité de la vie au-delà de la mort physique. » [Un Guide pour l’étude de la Religion chrétienne, p. 538.] À l’heure actuelle, cependant, il y a quelques signes d’un changement pour le mieux. Une nouvelle vague du pré-millénarisme est apparu, qui n’est pas limitée à des sectes, mais a aussi trouvée entrée dans certaines églises de nos jours, et ses partisans suggèrent une philosophie chrétienne de l’histoire, fondée notamment sur l’étude de Daniel et l’Apocalypse et aider à fixer l’attention une fois de plus sur la fin de l’âge. Weiss et Schweitzer appelé l’attention sur le fait que les enseignements eschatologiques de Jésus étaient beaucoup plus importantes dans son schéma de pensée que ses préceptes éthiques, qui après tout représentent seulement une « Interimsethik ». Et Karl Barth souligne également l’élément eschatologique dans la révélation divine.

C. LA RELATION DE L’ESCHATOLOGIE AU RESTE DE LA DOGMATIQUE.

1. MAUVAISES CONCEPTIONS QUI MASQUENT CETTE RELATION. Quand Kliefoth écrit son Eschatologie, il s’est plaint du fait qu’il y avait encore jamais paru un traité complète et adéquat sur l’eschatologie dans son ensemble; et demande en outre l’attention sur le fait que, dans dogmatiques, il travaille souvent apparaît, non pas comme une division principale uniforme avec les autres, mais simplement comme un appendice fragmentaire et négligé, tandis que certaines de ses questions sont discutées dans autres loci. Il y avait de bonnes raisons à ses plaintes. En général on peut dire que l’eschatologie est même maintenant les moins avancés de tous les locus de théologie dogmatique. En outre, il a été souvent donné une place très subalterne dans le traitement systématique de la théologie. C’était une erreur de Coccejus qu’il arrangé l’ensemble de la dogmatique selon le schéma des pactes et donc traitée comme une étude historique plutôt qu’à une présentation systématique de toutes les vérités de la religion chrétienne. Dans un tel régime eschatologie pourrait seulement apparaître comme le dernier épisode de l’histoire et pas du tout comme l’un des éléments constitutifs d’un système de vérité. Un débat historique des dernières choses que peut faire une partie de l' historia revelationis, mais ce titre ne peut être introduit comme faisant partie intégrante de la dogmatique. La dogmatique n’est pas un descriptif, mais une science normative, dans lequel nous visons à absolu, plutôt qu’au simple historique, vérité. Dans l’ensemble, théologiens réformés ont vu que ce point très clairement et donc discuté des dernières choses d’une manière systématique. Cependant, ils n’a pas toujours fait justice à elle comme l’une des principales divisions de la dogmatique, mais il a donné une place subalterne dans l’un des autres loci. Plusieurs d'entre eux il concevaient simplement comme une opération avec la glorification des saints ou la consommation de la primauté du Christ et il a présenté à l’issue de leurs discussions objectives et subjective sotériologie. Il en résulte que certaines parties de l’eschatologie reçu l’accent, tandis que les autres parties étaient pratiquement négligés. Dans certains cas, l’objet de l’eschatologie a été divisé parmi les différents loci. Une autre erreur, parfois faite, devait perdre de vue le caractère théologique de l’eschatologie. Nous ne pouvons souscrire à la déclaration suivante de Pohle (catholique romaine) dans son ouvrage sur l' eschatologie, ou la Doctrine catholique des dernières choses: « l’eschatologie est anthropologique et cosmologiques plutôt que théologique; car, bien qu’il traite de Dieu comme le consommateur et le juge universel, à proprement parler, dont le sujet est l’univers créé, c'est-à-dire l’homme et le cosmos. » [p. 1] si l’eschatologie n’est pas la théologie il n’a aucune place dans la dogmatique.

2. LA CONCEPTION CORRECTE DE CETTE RELATION. Étrange à dire, le même auteur catholique dit: « L’eschatologie est la Couronne et le point culminant de la théologie dogmatique, » qui est parfaitement correct. Il est l’un des locus de théologie, dans lequel tous les autres locus doivent provenir d’une tête, à une conclusion définitive. Le Dr de Kuyper souligne que chaque autre locus a laissé quelques questions sans réponse, à laquelle l’eschatologie doit lui fournir la réponse. En théologie, c’est la question, comment Dieu est finalement parfaitement glorifié dans le travail de ses mains, et comment le Conseil de Dieu est réalisé intégralement; en anthropologie, la question, comment l’influence perturbateurs du péché est complètement vaincue; dans la christologie, la question, comment le œuvre du Christ est couronné par la victoire parfaite; sotériologie, la question, comment le travail du Saint-Esprit enfin émet dans la rédemption complète et la glorification du peuple de Dieu; et en ecclésiologie, la question de l’apothéose finale de l’église. Toutes ces questions doivent trouver leur réponse dans le dernier lieu de théologie dogmatique, ce qui en fait le véritable couronnement de théologie dogmatique. Haering témoigne de la même chose quand il dit: « comme une question de fait, il (eschatologie) apporte une lumière sur chaque section unique de doctrine. Est l’universalité du dessein salvifique de Dieu, est communion personnelle avec un Dieu personnel, a affirmé sans réserve, est l’importance permanente du Rédempteur a confirmé, le pardon du péché, conçue comme une victoire sur la puissance du péché — sur ces points le eschatologie doit lever tous les doutes, même lorsque les déclarations indéterminées qui ont été faites dans les parties précédentes ne pouvaient pas à la fois être reconnues comme tel. N’est pas difficile de découvrir la raison de cela. Dans la doctrine des choses dernières, la communion entre Dieu et l’homme est définie suite aussi remplie, et donc l’idée de notre religion, le principe chrétien, est présentée dans sa pureté; pas, cependant, comme une simple idée dans le sens d’un idéal qui n’est jamais complètement réalisé, mais aussi parfaite réalité — et on sait quelles difficultés sont implicites dans celui. Il doit par conséquent apparaît Enfin, dans la présentation de l’eschatologie, si pas plus tôt, si la réalité de cette communion avec Dieu a reçu son sans restriction. » [La foi chrétienne, p. 831.]

D. LE NOM « ESCHATOLOGIE ».

Divers noms ont été appliqués au dernier locus de théologie dogmatique, dont de Novissimis ou eschatologie est le plus fréquent. Kuyper utilise le terme Consummatione Saeculi. Le nom « l’eschatologie » est issu de ces passages de l’Ecriture qui parle des « derniers jours (eschatai hemerai), Ésaïe 2:2; Michée 4:1, « the last time » (eschatos ton chronon), j’ai PET. 01:20 et « la dernière heure, » (eschate hora), j’ai John 02:18. Il est vrai que ces expressions se réfèrent parfois à la dispensation de Nouveau Testament entier, mais malgré cela, ils incarnent une idée eschatologique. Ancien Testament prophétie distingue seulement deux périodes, à savoir, « cet âge » (olam hazzeh, Gr. houtos aion) et « l’âge à venir » (Ollamh habba', Gr. aion mellon). Comme les prophètes représentent la venue du Messie et la fin du monde comme coïncidant, les « derniers jours » sont les jours immédiatement précédant les deux la venue du Messie et la fin du monde. Nulle part, ils tracer une ligne claire distinction entre une première et une seconde venue du Messie. Dans le Nouveau Testament, cependant, il devient parfaitement évident, que la venue du Messie est double, et que l’âge Messianique comprend deux étapes, l’âge Messianique présente et la consommation future. Par conséquent, le Nouveau Testament dispense peut être considérée sous deux aspects différents. Si l’attention est fixée sur la future venue du Seigneur, et tout ce qui précède, il est considéré comme appartenant à « cet âge », alors les croyants du Nouveau Testament sont considérés comme vivant à la veille de cet événement important, le retour du Seigneur dans la gloire et la consommation finale. Si, en revanche, l’attention est centrée sur la première venue du Christ, il est naturel de considérer que les croyants de cette dispense que déjà, mais seulement en principe, vivant dans l’âge futur . Cette représentation de leur condition n’est pas rare dans le Nouveau Testament. Le Royaume de Dieu est déjà présent, la vie éternelle est réalisée en principe, l’esprit est le gage de l’héritage céleste, et croyants sont déjà assis avec Christ dans les lieux célestes. Mais tandis que certaines des réalités eschatologiques sont donc projetés dans le présent, ils ne sont pas complètement réalisés jusqu’au moment de la consommation future. Et quand on parle de « eschatologie », nous avons à l’esprit plus particulièrement les faits et les événements qui sont liés à la seconde venue du Christ, et qui marquera la fin de la dispensation actuelle et marquera le début de la gloire éternelle de l’avenir.

E. LE CONTENU DE L’ESCHATOLOGIE: ESCHATOLOGIE GÉNÉRAL ET INDIVIDUEL.

1. GÉNÉRALITÉS L’ESCHATOLOGIE. Le nom « l’eschatologie » attire l’attention sur le fait que l’histoire du monde et de la race humaine atteindra enfin sa consommation. Il n’est pas un processus indéfini et sans fin, mais une véritable histoire de passer à une fin divinement désigné. Selon l’Ecriture que fin viendra comme une crise puissante, et les faits et les événements associés à cette forme de crise, le contenu de l’eschatologie. Strictement parlant, ils déterminent aussi ses limites. Mais parce que les autres éléments peuvent être inclus sous la tête du générale, il est d’usage de parler de la série d’événements qui est connecté avec le retour de Jésus Christ et la fin du monde comme constituant l’eschatologie générale, — une eschatologie dans lequel tous les hommes sont concernés. Les sujets qui nécessitent une attention à la présente section, sont le retour du Christ, la résurrection générale, le jugement dernier, la consommation du Royaume et la dernière condition des pieux et les méchants.

2. LES DIFFÉRENTES ESCHATOLOGIE. Sans compter que ce général, il y a aussi une eschatologie individuelle, qui doit être pris en considération. Les événements nommés peuvent constituer l’ensemble de l’eschatologie au sens strict du mot, mais nous ne pouvons pas rendre justice à cela sans montrer comment les générations qui sont morts participeront aux épreuves finales. Pour l’individu, que la fin de l’existence actuelle est livré avec la mort, qui transfère lui complètement du présent dans l’ère future. Dans la mesure où il est retiré de l’âge présent avec son développement historique, il est introduit dans l’âge futur, qui est l’éternité. Dans la mesure même où il y a un changement dans la localité, il y a également un changement d’æon. Les choses touchant la condition de l’individu, entre sa mort et la résurrection générale, appartiennent à l’eschatologie personnelle ou individuelle. La mort physique, l’immortalité de l’âme et de l’état intermédiaire appel à discussion ici. L’étude de ces sujets servira de raccordement de la condition de ceux qui meurent avant la parousie avec la consommation finale.

 

I.la mort physique

L’idée biblique de la mort comprend la mort physique, spirituelle et éternelle. La mort physique et spirituelle sont naturellement discutées dans le cadre de la doctrine du péché et la mort éternelle est considéré comme plus particulièrement en général l’eschatologie. C’est pourquoi une discussion de la mort dans tous les sens du mot semble être sa place dans l’eschatologie individuelle. Pourtant il peut difficilement être pas pris en considération tout à fait dans le but de relier les générations passées avec la consommation finale.

A. LA NATURE DE LA MORT PHYSIQUE.

La Bible contient quelques indications instructives quant à la nature de la mort physique. Il parle de cela de diverses manières. Dans Matthieu 10:28; Luc 12:4, il est parlé de la mort du corps, par opposition à celui de l’âme (psuche). Ici le corps est considéré comme un organisme vivant et le psuche est évidemment le pneuma de l’homme, l’élément spirituel qui est le principe de sa vie naturelle. Ce point de vue de la mort naturelle sous-tend également la langue de pierre dans I PET. 03:14-18. Dans d’autres passages, il est décrit comme la cessation de la psuche, c'est-à-dire de la vie animale ou de la vie, ou comme la disparition de cette, Matthieu 02:20; Marc 3:4; Luc 6:9; 14:26; John 12:25; 13:37, 38; Actes 15:26; 20:24 et autres passages. [Cf. Bavinck, Bijb. fr rel. psych., p. 34.] Et, enfin, elle est également représentée comme une séparation de corps et âme, Ecclésiaste 12:7 (COMP. Genèse 2:7); Jacques 02:26, une idée qui est aussi basique à ces passages comme John 19:30; Actes à 07:59; Phil. 01:23. Cf. aussi l’utilisation de l' Exode dans Luc 09:31; II Pierre 01:15, 16. Compte tenu de tout cela on peut affirmer que, selon l’Ecriture, la mort physique est une cessation de la vie physique de la séparation de corps et âme. Il n’est jamais un anéantissement, bien que certaines sectes représentent la mort des méchants comme tel. Dieu ne pas anéantir quoi que ce soit dans sa création. La mort n’est pas une cessation de l’existence, mais une rupture des relations naturelles de la vie. Vie et mort ne sont pas opposés les uns aux autres comme l’existence et la non-existence, mais sont opposés, comme différents modes d’existence. Il est tout à fait impossible de dire exactement ce que la mort est. On parle de lui comme la cessation de la vie physique, mais alors immédiatement se pose la question, tout ce qui est la vie ? Et nous n’avons pas de réponse. Nous ne sais pas ce que la vie est dans son être essentiel, mais il sait que dans ses relations et ses actions. Et l’expérience nous enseigne que, où elles sont dissociées et cessent, mort saisit. La mort signifie une rupture dans les relations naturelles de la vie. On peut affirmer que le péché est la mort en soi , car il représente une rupture dans la relation vitale dans laquelle l’homme, créé à l’image de Dieu, se dresse à son créateur. Cela signifie la perte de cette image et par conséquent perturbe toutes les relations de la vie. Cette rupture est également assurée grâce à cette séparation de corps et âme, qui est appelé la mort physique.

B. LA CONNEXION DU PÉCHÉ ET LA MORT.

Pélagiens et Sociniens enseignent que l’homme a été créé mortel, ne consiste pas seulement en ce sens qu’il pouvait être une proie à mort, mais dans le sens où il était, en vertu de sa création, en vertu de la Loi de la mort et en cours de temps devait mourir. Cela signifie que Adam n’était pas seulement sensible à la mort, mais qu’il a effectivement fait l’objet d’elle avant qu’il ne tombe. Les partisans de ce point de vue répondaient principalement par le désir d’échapper à la preuve pour le péché originel, dérivé de la souffrance et la mort des nourrissons. Science de nos jours semble confirmer cette position en insistant sur le fait que la mort est la Loi de la matière organisée, car elle porte en elle la semence de décomposition et de dissolution. Certains les premiers pères de l’église et certains théologiens ultérieurs, tels que Warburton et Laidlaw, font valoir que Adam a été en effet créé mortel, c'est-à-dire soumis à la Loi de dissolution, mais que la loi a été efficace dans son cas, seulement parce qu’il a péché. Si il avait fait lui-même d’être obéissant, il aurait été élevé à un état d’immortalité. Son péché provoqué aucun changement dans son être constitutionnelle à cet égard, mais en vertu de la sentence de Dieu lui a laissé sous réserve de la Loi de la mort et lui de l’aubaine de l’immortalité, dont il aurait pu sans subir la mort dévalisé. Sur ce point de vue l’entrée actuelle de la mort, bien sûr, reste pénale. C’est une vision qui pourrait être faite pour s’intègrent très bien dans la position supralapsaire, mais n’est pas exigée par la présente. En réalité cette théorie ne vise qu’à la place les faits, comme ils sont révélées dans la parole de Dieu, avec les remarques incidentes de la science, mais même cela ne le faites pas impératif. Supposons que science a prouvé de façon concluante que la mort a régné dans le monde végétal et animal avant l’entrée du péché, puis il serait encore s’ensuit pas nécessairement qu’elle prévalait également dans le monde des êtres rationnels et morales. Et même s’il était établi sans l’ombre d’un doute que tous les organismes physiques, l’homme inclus, maintenant portent en eux les germes de la dissolution, ce ne serait pas encore prouvé que l’homme n’était pas une exception à la règle avant la chute. Dirons-nous que la toute-puissance de Dieu, par lequel l’univers fut créé, n’était pas suffisante pour maintenir l’homme dans la vie indéfiniment ? Par ailleurs nous devons garder à l’esprit les données mentionnés dans les écritures suivantes: (1) Man a été créé à l’image de Dieu et ce, compte tenu de la condition parfaite, dans laquelle l’image de Dieu existait à l’origine, semble à exclure la possibilité de sa réalisation en lui les germes de dis solution et la mortalité. (2) la mort physique n’est pas représentée dans l’écriture comme le résultat naturel de la continuation de l’état initial de l’homme, en raison de son incapacité à élever à la hauteur de l’immortalité par le chemin de l’obéissance; mais à la suite de sa mort spirituelle, Rom. 06:23; 05:21; I Corinthiens 15:56; Jacques 01:15. (3) scripturaires expressions certainement point à la mort comme quelque chose d’introduire dans le monde de l’humanité par le péché et comme une punition positive pour le péché, 02:17; 03:19; ROM. 05:12, 17; 06:23; I Corinthiens 15:21; Jacques 01:15. (4) la mort n’est pas représentée comme une chose naturelle dans la vie de l’homme, une simple chute court d’un idéal, mais très nettement est une chose étrangère et hostile à la vie humaine: c’est une expression de la colère divine, PS. 90:7, 11, un jugement, Rom. 01:32, une condamnation , Rom. 05:16 et une malédiction, gal 03:13 et remplit le cœur des enfants des hommes avec dread et peur, simplement parce qu’il est considéré comme quelque chose d’anormal. Tout cela ne signifie pas, toutefois, qu’il peut-être pas mort dans un certain sens du mot dans la création plus bas en dehors du péché, mais là encore, l’entrée du péché a évidemment une servitude de la corruption qui était étranger à la créature, Rom. 08:20-22. En stricte justice, Dieu aurait pu imposée mort sur l’homme dans toute l’acception du mot immédiatement après sa transgression, 02:17. Mais par sa grâce commune il restreint l’exploitation du péché et la mort et par sa grâce spéciale en Christ Jésus He conquis ces forces hostiles, Rom., 05:17; I Corinthiens 15:45; II Timothée 01:10; Héb. 02:14; 01:18; 20:14. la mort accomplit son travail pleinement que dans la vie de ceux qui refusent la délivrance de ce qui est offert en Jésus Christ. Ceux qui croient au Christ sont libérés de la puissance de la mort, sont restaurés à la communion avec Dieu et sont dotés d’une vie sans fin, John 03:36; 06:40; ROM. 05:17-21; 08:23; I Corinthiens 15:26, 51-57; 20:14; 21:3, 4.

C. LA SIGNIFICATION DE LA MORT DES CROYANTS.

La Bible parle de la mort physique comme une punition, comme « le salaire du péché. » Étant donné que les croyants sont justifiés, cependant et ne sont pas plus obligé de restituer toute satisfaction pénale, la question se pose naturellement, pourquoi ils doivent mourir ? Il est évident que pour eux l’élément pénal est supprimé de la mort. Ils ne sont plus en vertu de la Loi, soit comme une exigence de l’Alliance des œuvres un pouvoir condamner, car ils ont obtenu un pardon complet pour tous leurs péchés. Christ est devenu une malédiction pour eux et donc supprimé le châtiment du péché. Mais si c’est le cas, pourquoi Dieu toujours juge nécessaire de conduire à travers l’expérience douloureuse de la mort ? Pourquoi il pas simplement les transférer vers le ciel en même temps ? On ne peut affirmer que la destruction du corps est absolument indispensable d’une sanctification parfaite, car qui est contredite par les exemples d’Enoch et Elie. Il ne satisfait ni à dire que la mort définit le croyant libre des maux et les souffrances de la vie présente et des entraves de la poussière, en libérant l’esprit du présent corps grossier et sensuelle. Dieu pourrait effectuer cette délivrance aussi par une transformation soudaine, tels que connaîtront les saints vivants au moment de la Parousie. Il est évident que la mort des croyants doit être considérée comme le point culminant des châtiments que Dieu a ordonné pour la sanctification de son peuple. Alors que la mort en soi reste un mal réel naturel pour les enfants de Dieu, quelque chose de naturel, qui est redouté par eux comme tel, il est fait inféodé à l’économie de la grâce à leur avancement spirituel et à l’intérêt du Royaume de Dieu. La seule pensée de la mort, les deuils à travers la mort, le sentiment que les maladies et les souffrances sont annonciateurs de la mort et la conscience de l’approche de la mort, — ont tous un effet très bénéfique sur le peuple de Dieu. Ils servent à humilier les orgueilleux mortifier charnel, pour vérifier la mondanité et favoriser l’esprit spirituel. Dans l’union mystique avec leur Seigneur les croyants sont faites pour partager les expériences du Christ. Tout comme il entra sa gloire par la voie des souffrances et la mort, ils peuvent entrer trop sur leur récompense éternelle que par le biais de sanctification. La mort est souvent le critère suprême de la force de la foi qui est en eux et elle appelle souvent frappantes manifestations de la conscience de la victoire à l’heure même d’apparente défaite, j’ai PET. 04:12, 13. Elle complète la sanctification des âmes des croyants, afin qu’ils deviennent à la fois « les esprits des hommes justes rendu parfaits, » Hébreux 12:23; 21:27. La mort n’est pas la fin pour les croyants, mais le début d’une vie parfaite. Ils entrent dans la mort avec l’assurance que son aiguillon a été supprimé, I Cor. 15:55, et que c’est pour eux la porte du ciel. Ils s’endorment en Jésus, II Thess. 1:7 et savent que même leur corps vont enfin être arrachés hors de la puissance de la mort, d’être pour toujours avec le Seigneur, Romains 08:11; I Thessaloniciens 04:16, 17. Jésus a dit: « Celui qui croit en moi, même si il meurent, mais il doit vivre. » Paul avait la conscience bienheureuse que, pour lui de vivre était le Christ, et mourir était gain. Donc il pourrait aussi parler en jubilant notes à la fin de sa carrière: « J’ai combattu le bon combat, j’ai fini le cours, j’ai gardé la foi: désormais il est désarmé pour moi la Couronne de la justice, dont le Seigneur, le juste juge , donne moi ce jour-là; et pas pour moi seulement, mais aussi pour tous ceux qui ont aimé son apparition, » II Timothée 4:7, 8.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Ce qui est l’idée fondamentale de la conception biblique de la mort ? C’est simplement le résultat naturel du péché la mort, ou est-ce une punition positive pour le péché ? Si c’est ce dernier, comment est ce possible de prouver par les écritures ? Dans quel sens était homme, comme il a été créé par Dieu, mortel; et dans quel sens, immortel ? Comment pouvez vous infirmer la position de la pélagiens ? Dans quel sens a mort a réellement cessé d’être mort pour les croyants ? Quoi sert-il la mort dans leur vie ? Quelle est la puissance de la mort complètement terminée pour eux ?

LITTÉRATURE: Dick, LECT sur Theol, pp. 426-433; Dabney, syst et polémique Theol., p. 817-821; Litton; Introd.. au dogme. THEOL., pp. 536-540; Pieper, Christl. Dogme. III, p. 569-573; Schmid, dogme . Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 626-631; Pape, Chr. Theol. III, pp. 371-376; Valentine, Chr. Theol., II, p. 389-391; Hovey, eschatologie, pp. 13-22; Dahle, vie après la mort, pp. 24-58; Kenneday, St. Conception des dernières choses, pp. 103-157; de Paul Strong, Syst. Theol. pp. 982 f.; Pohle-Preuss, eschatologie, pp. 5-17.

 

II. l’immortalité de l’âme

Dans ce qui précède, on a fait observer que la mort physique est la séparation de corps et âme et marque la fin de notre existence physique actuel. Nécessairement, il implique et entraîne la décomposition du corps. Il marque la fin de notre vie présente et la fin du « corps naturel ». Mais maintenant se pose la question, ce qu’il advient de l’âme: la mort physique apporte sa vie à sa fin, ou il continue d’exister et de vivre après la mort ? Il a toujours été la condamnation ferme de l’Eglise de Jésus Christ que l’âme continue à vivre même après sa séparation d'avec le corps. Cette doctrine de l’immortalité de l’âme réclame de brèves considérations à ce stade.

A. DIFFÉRENTES CONNOTATIONS DU TERME « IMMORTALITÉ ».

Dans une discussion de la doctrine de l’immortalité il faut avoir à l’esprit que le terme « immortalité » n’est pas toujours utilisé dans le même sens. Il y a certaines distinctions qui sont tout à fait essentielles, afin d’éviter toute confusion.

1. dans le sens le plus absolu du mot, l’immortalité est attribuée seulement à Dieu. Paul parle de lui dans I Timothée 06:15, 16, comme « le bienheureux et seul potentat, le roi des rois, le Seigneur des seigneurs, qui seul possède l’immortalité. » Cela ne signifie pas qu’aucun de ses créatures sont immortels dans tout les sens du terme. Compris dans ce sens sans restriction, cette parole de Paul enseignerait aussi que les anges ne sont pas immortels, et ce n’est certainement pas l’intention de l’Apôtre. La signification évidente de sa déclaration, c’est que Dieu est le seul être qui possède l’immortalité « comme une dotation originale, éternelle et nécessaire ». Quelle que soit l’immortalité peut être attribuée à certaines de ses créatures, est subordonnée à la volonté divine, est leur ont été conférés et a donc eu un commencement. Dieu, en revanche, est nécessairement exempt de toutes les limitations temporelles.

2. l’immortalité dans le sens de l’existence de continues ou sans fin est également attribuée à tous les esprits, y compris l’âme humaine. C’est une des doctrines de la religion naturelle ou de la philosophie que, lorsque le corps est dissous, l’âme ne partage pas sa dissolution, mais conserve son identité comme un être individuel. Cette idée de l’immortalité de l’âme est en parfaite harmonie avec ce que la Bible enseigne au sujet de l’homme, mais la Bible, religion et théologie, ne sont pas principalement intéressés à cette immortalité purement quantitative et incolore, — le nu a continué d’existence de l’âme .

3. encore une fois, le terme « immortalité » est utilisé dans le langage théologique pour désigner cet état de l’homme dans lequel il est entièrement libre des graines de désintégration et la mort. En ce sens du mot homme était immortel avant la chute. Clairement, cet État n’excluait pas la possibilité de devenir l’homme sujet à la mort. Si l’homme dans l’état de rectitude n’était pas sujet à la mort, pourtant, il est responsable envers elle. C’était tout à fait possible que par le péché il serait assujetti à la Loi de la mort; et comme une question de fait qu’il entrait une victime à elle.

4. Enfin, le mot « immortalité » désigne, en particulier en langue eschatologique, que l’état de l’homme dans lequel il est insensible à la mort et ne peut éventuellement devenu sa proie. L’homme n’était pas immortel dans ce sens le plus élevé du mot en vertu de sa création, même s’il a été créé à l’image de Dieu. Cette immortalité aurait résulté si Adam avait respecté la condition de l’Alliance des œuvres, mais peut maintenant seulement le résultat de le œuvre de rédemption que c’est terminé dans la consommation.

B. LE TÉMOIGNAGE DE LA RÉVÉLATION GÉNÉRALE À L’IMMORTALITÉ DE L’ÂME.

La question du travail, « si un homme meurt, il vivra encore ? » (Job 14:14) est l’un des intérêt vivace. Et avec elle que la question revient sans cesse, si les morts vivent encore. La réponse à cette question a pratiquement toujours été positive. Bien que les évolutionnistes ne peuvent admettre que la foi en l’immortalité de l’âme est une dotation initiale de l’homme, mais on ne peut nier que cette foi est pratiquement universelle et se trouve même dans les formes le plus bas de la religion. Sous l’influence du matérialisme, beaucoup ont eu tendance à douter et même à nier la vie future de l’homme. Pourtant cette attitude négative n’est pas celui qui prévaut. Dans un récent colloque sur « L’immortalité », contenant les vues du sujet une centaine d’hommes représentatif, les opinions sont pratiquement unanimes en faveur d’une vie future. Les arguments historiques et philosophiques de l’immortalité de l’âme ne sont pas tout à fait concluantes, mais sont certainement importants témoignages de l’existence personnelle et consciente de l’homme. Ils sont les suivantes:

1. L’ARGUMENT HISTORIQUE. Le consensus gentium est tout aussi forte dans le cadre de l’immortalité de l’âme, car il est en ce qui concerne l’existence de Dieu. Il ont toujours été des savants incrédules qui a nié l’existence de l’homme, mais en général on peut dire que la croyance en l’immortalité de l’âme se retrouve chez toutes les races et les nations, quels que soient leur stade de civilisation. Et il semblerait qu’une notion si commune peut être considérée comme un instinct naturel ou comme quelque chose impliquée dans la constitution même de la nature humaine.

2. L’ARGUMENT MÉTAPHYSIQUE. Cet argument repose sur la simplicité de l’âme humaine et déduit de ce son indissolubilité. Mort question est dissoute en ses parties. Mais l’âme comme une entité spirituelle n’est pas composé de différentes parties et est donc incapable de division ou de la dissolution. En conséquence, la décomposition du corps ne procède pas avec lui la destruction de l’âme. Même lorsque celui-ci périt, ce dernier reste intact. Cet argument est très ancien et était déjà utilisé par Platon.

3. L’ARGUMENT TÉLÉOLOGIQUE. Les êtres humains semblent être dotés de capacités presque infinies, qui ne sont jamais entièrement développées dans cette vie. Il semble comme si la plupart des hommes commencent à peine à accomplir certaines des grandes choses auxquels ils aspirent. Il y a des idéaux qui sont loin de réalisation, des appétits et des désirs qui ne sont pas remplies dans cette vie, des désirs et des aspirations qui sont déçues. Maintenant, on prétend que Dieu n'aurait pas conféré aux hommes ces capacités et talents, uniquement pour les rendre échouent dans leurs réalisations, n'auraient pas comblé le cœur avec ces désirs et aspirations, qu’à les décevoir. Il doit avoir donné une existence future, dans lequel la vie humaine va se concrétiser.

4. L’ARGUMENT MORAL. La conscience humaine témoigne de l’existence d’une règle morale de l’univers qui exerce la justice. Encore les exigences de la justice ne sont pas respectées dans la vie présente. Il y a une répartition très inégale et apparemment injuste du bien et du mal. Les méchants souvent prospèrent, augmentent de la richesse et ont une part abondante de la joie de vivre, tandis que les pieux fréquemment vivre dans la pauvreté, de rencontre avec revers douloureux et humiliants et souffre beaucoup d’afflictions. Par conséquent, il doit y avoir un futur État de l’existence, dans lequel la justice va régner en maître, et les inégalités du présent seront ajustées.

C. LE TÉMOIGNAGE D’UNE RÉVÉLATION SPÉCIALE À L’IMMORTALITÉ DE L’ÂME.

Les preuves historiques et philosophiques pour la survie de l’âme ne sont pas tout à fait démonstratifs et oblige donc pas de croyance. Pour une plus grande assurance dans cette affaire, il est nécessaire d’ordonner à le œil de la foi de l’écriture. Ici, aussi, nous devons compter sur la voix de l’autorité. Maintenant la position de l’écriture à l’égard de cette question peut sembler à première vue un peu douteuse. Il parle de Dieu comme le seul qui a de l’immortalité (I Timothée 06:15), et prédicats jamais cela de l’homme. Il n’y a aucune mention explicite de l’immortalité de l’âme et encore moins toute tentative de le prouver de façon formelle. D'où les Russellites ou Autoristes millénaire souvent contestent théologiens pour pointer vers un passage unique dans lequel la Bible enseigne que l’âme de l’homme est immortel. Mais même si la Bible ne mentionne pas explicitement que l’âme de l’homme est immortel et ne cherche pas à prouver de façon formelle, tout plus qu’il ne cherche à présenter une preuve formelle de l’existence de Dieu, cela ne signifie pas que l’écriture nie ou contredit ou même ne tient pas compte il. Il suppose que dans beaucoup de passages clairement que l’homme continue son existence consciente après la mort. En effet, il traite la vérité de l’immortalité de l’homme très autant qu’il le fait que l’existence de Dieu, autrement dit, il suppose que cela comme un postulat incontesté.

1. LA DOCTRINE DE L’IMMORTALITÉ DANS L’ANCIEN TESTAMENT. L’affirmation a été faite à plusieurs reprises que l’ancien Testament et en particulier le Pentateuque, n’enseigne pas en quelque sorte l’immortalité de l’âme. Maintenant, il est parfaitement vrai que cette grande vérité se révèle moins clairement dans l’ancien que dans le Nouveau Testament; mais les faits en l’espèce ne justifient pas l’affirmation selon laquelle il est absent de l’ancien Testament en tout. C’est un fait bien connu et généralement reconnu que la révélation de Dieu dans l’Ecriture est progressive et augmente progressivement dans la clarté; et il va de soi que la doctrine de l’immortalité dans le sens d’une vie éternelle bienheureuse, ne pouvait être révélé dans tous ses repères après la résurrection de Jésus Christ, qui « a apporté la vie et l’immortalité à la lumière, » II Timothée 01:10. Mais tout cela est vrai, on ne peut nier que l’ancien Testament implique l’existence consciente de l’homme, soit dans le sens d’une immortalité nue ou la survie de l’âme, ou d’une vie future bienheureuse, de plusieurs façons. C’est implicite:

a. dans sa doctrine de Dieu et l’homme. La racine même de l’espoir d’Israël de l’immortalité a été trouvée par sa croyance en Dieu comme son créateur et Rédempteur, son Pacte de Dieu, qui leur manquerait jamais. Il était pour eux la vie, l’Éternel, le Dieu fidèle, dont Fellowship, ils ont trouvé satisfaction parfaite, la vie, paix et joie. Seraient ils ont haleté après lui comme ils le faisaient, ont confié à lui complètement dans la vie et la mort et ont chanté de lui comme de leur part pour toujours, s’ils se sentaient que tout ce qu’il leur a offert était, mais pour un bref laps de temps ? Comment pouvaient ils dérivent réel confort la rédemption promise de Dieu, s’ils considéraient la mort comme la fin de leur existence ? Par ailleurs, l’ancien Testament représente l’homme créé à l’image de Dieu, créé pour la vie et non pour la mortalité. À la différence de la brute, il possède une vie qui transcende le temps et contient déjà en soi un gage d’immortalité. Il est fait pour la communion avec Dieu, est mais peu inférieur aux anges, et Dieu a mis l’éternité dans son cœur, Eccl. 03:11.

b. dans sa doctrine des enfers. Dans l’ancien Testament, on nous apprend que les morts descendent dans le séjour des morts. La discussion de cette doctrine appartient au chapitre suivant. Mais quel que soit l’interprétation correcte de l' ancien Testament le séjour des mortset tout ce que peut dire de la condition de ceux qui ont descendu dedans, cela est certainement représenté comme un état d’existence plus ou moins consciente, bien que pas un seul de bonheur. Homme entre dans l’état de bonheur parfait que par une délivrance de sheol. Dans cette délivrance, nous atteignons le véritable noyau de l’espérance de l’ancien Testament d’une immortalité bienheureuse. C’est clairement enseigné dans plusieurs passages, comme PS. 16:10; 49: 14, 15.

c. dans ses fréquents avertissements contre la consultation des morts ou «esprits familiers, » c'est-à-dire, les personnes qui ont été en mesure d’invoquer les esprits des morts et de transmettre leurs messages pour les enquêteurs, Lév. 19:31; 20:27; Deutéronome 18:11; Ésaïe 08:19; 29:4. l’écriture ne dit pas qu’il est impossible de consulter les morts, mais plutôt semble présupposer la possibilité alors qu’il condamne la pratique.

d. dans ses enseignements concernant la résurrection des morts. Cette doctrine n’est pas explicitement enseignée dans les livres précédents de l’ancien Testament. Christ fait remarquer, cependant, qu’il a été enseigné de manière implicite dans la déclaration, « je suis le Dieu d’Abraham et le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob, » Matthieu 22:32, cf. Exode 3:6 et reproche les Juifs pour ne pas comprendre les Ecritures sur ce point. En outre, la doctrine de la résurrection est explicitement enseignée dans ces passages comme Job 19:23-27; PS. 16:9-11; 17:15; 49: 15; 73:24; Ésaïe 26: 19; Daniel 12:2.

e. dans certains passages frappants de l'Ancien Testament qui parlent de la jouissance du croyant en communion avec Dieu après la mort. Ce sont pour l’essentiel identique avec les passages dénommés dans ce qui précède, à savoir, Job 19:25-27; PS. 16:9-11; 17:15; 73:23, 24, 26. ils respirent l’attente confiante de plaisirs en présence de Jéhovah.

2. LA DOCTRINE DE L’IMMORTALITÉ DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. Dans le Nouveau Testament, après que Christ a apporté l’immortalité et vie à la lumière, les preuves naturellement se multiplient. Les passages qui contiennent ces peuvent encore être divisés en différentes classes, comme se référant:

a. pour la survie de l’âme. Une pérennité des justes et les méchants est clairement enseignée. Que les âmes des croyants survivent, ressort de ces passages comme Matthieu 10:28; Luc 23:43; John 11:25 f.; 14:3; II Corinthiens 5:1; et plusieurs autres passages rendent tout à fait évident que le même peut être dit des âmes des méchants, Matthieu 11:21-24; 12:41; Romains 2:5-11; II Corinthiens 05:10.

b. la résurrection par laquelle le corps s’effectue également à partager dans l’existence future. Pour les croyants la résurrection signifie la rédemption du corps et entrée dans la vie parfaite en communion avec Dieu, la bénédiction pleine d’immortalité. Cette résurrection est enseignée dans Luc 20:35, 36; Jean 05:25-29; I Corinthiens 15; I Thessaloniciens 04:16; Phil. 03:21 et autres passages. Pour les méchants la résurrection signifie aussi une existence renouvelée et maintien du corps, mais cela peut difficilement être qualifiée de vie. L’écriture appelle la mort éternelle. La résurrection des méchants est mentionnée dans Jean 05:29; Actes 24:15; Apocalypse 20:12-15.

c. de la vie bienheureuse des croyants en communion avec Dieu. Il existe de nombreux passages dans le Nouveau Testament, qui insistent sur le fait que l’immortalité des croyants n’est pas une simple existence infinie, mais une vie enthousiaste de bonheur en communion avec Dieu et Jésus Christ, la pleine maturité de la vie qui est implantée dans l’âme w ien que sur terre. Cette volonté est clairement soulignée dans ces passages comme Matthieu 13:43; 25: 34; Romains 2:7, 10; I Corinthiens 15:49; Phil. 03:21; II Timothée 4:8; Apocalypse 21:4; 22:3, 4.

D. OBJECTIONS À LA DOCTRINE DE L’IMMORTALITÉ PERSONNELLE ET MODERNE QUI SE SUBSTITUE À ELLE.

1. LA PRINCIPALE OBJECTION. Croyance en l’immortalité de l’âme pendant un certain temps a connu un déclin sous l’influence d’une philosophie matérialiste. Le principal argument contre il a été forgé dans l’atelier de psychologie physiologique et fonctionne un peu comme suit: l’esprit ou l’âme n’a aucune existence indépendante substantielle, mais est simplement un produit ou une fonction de l’activité cérébrale. Le cerveau de l’homme est la cause productrice de phénomènes mentaux, tout comme le foie est la cause productrice de la bile. La fonction ne peut pas persister lorsque l’orgue se désintègre. Lorsque le cerveau cesse de fonctionner, le flux de la vie mentale s’arrête.

2. SUBSTITUTS POUR LA DOCTRINE DE L’IMMORTALITÉ PERSONNELLE. Le désir d’immortalité est si profondément implanté dans l’âme humaine que même ceux qui acceptent les dicta de la science matérialiste, chercher une sorte de substitut à la notion mis au rebut de l’immortalité personnelle de l’âme. Leur espoir en l’avenir suppose qu’une des formes suivantes:

a. l’immortalité raciale. Il y a ceux qui se consoler à l’idée que l’individu continuera à vivre sur cette terre dans sa postérité, à ses enfants et petits-enfants, d’innombrables générations. L’individu demande à être indemnisée de son manque d’espoir dans une immortalité personnelle dans l’idée qu’il contribue à sa participation à la vie de la course et continuera à vivre dans ce. Mais l’idée qu’un homme vit dans sa descendance, quelque peu de la vérité, elle peut contenir, peut difficilement servir de substitut pour la doctrine de l’immortalité personnelle. Certes, il ne rend pas justice aux données de l’écriture et ne satisfait pas les plus profonds désirs du coeur humain.

b. l’immortalité de commémoration. Selon le positivisme, c’est l’immortalité seulement nous devrions désirer et recherchez. Tout le monde devrait viser à faire quelque chose pour établir un nom pour lui-même, qui restera dans les annales de l’histoire. Si il le fait, il continuera à vivre dans les cœurs et les esprits d’une postérité reconnaissante. C’est aussi loin de l’immortalité personnelle dont l’écriture nous amène à attendre. C’est d’ailleurs une immortalité où seuls quelques-uns seront partageront. Les noms de la plupart des hommes ne sont pas enregistrées sur les pages de l’histoire, et beaucoup de ceux qui sont alors enregistrées sont vite oubliées. Et dans une large mesure, on peut affirmer que le meilleur et le pire partagez-le alike.

c. l’immortalité de l’influence. C’est très étroitement liée à la précédente. Si un homme fait sa marque dans la vie et accomplit quelque chose qui est de valeur durable, son influence se poursuivra longtemps après qu’il a disparu. Jésus et Paul, Augustin et Thomas Aquinas, Luther et Calvin, — ils sont tous très bien vivantes dans l’influence qu’ils exercent à l’heure actuelle. C’est parfaitement vrai, cette immortalité d’influence n’est qu’un piètre substitut pour l’immortalité personnelle. Toutes les objections soulevées contre l’immortalité de commémoration, s’appliquent également en l’espèce.

3. LE RECOUVREMENT DE LA FOI EN L’IMMORTALITÉ. À l’heure actuelle l’interprétation matérialiste de l’univers a fait escale pour une interprétation plus spirituelle; et par conséquent la foi en l’immortalité personnelle gagne une fois de plus favor. Dr William James, en souscrivant à la formule suivante: « la pensée est une fonction du cerveau, » refuse que cela logiquement nous oblige à ne croient pas à la doctrine de l’immortalité. Il soutient que cette conclusion des scientifiques est basée sur la croyance erronée que la fonction dont parle la formule est nécessairement un productif fonction et fait remarquer qu’il peut aussi être une permissive ou transmissif fonction. Le cerveau peut transmettre simplement, et dans la transmission, couleur, pensé, tout comme un verre coloré, un prisme ou une lentille réfringents, peut transmettre la lumière et en même temps déterminer sa couleur et son orientation. La lumière existe indépendamment de la vitre ou de la lentille; Si la pensée existe aussi indépendante du cerveau. Il vient à la conclusion qu’on peut, dans la stricte logique, croire en l’immortalité. Certains évolutionnistes maintenant fondent la doctrine de l’immortalité conditionnelle sur la lutte pour l’existence. Et ces scientifiques comme William James, Sir Oliver Lodge et James H. Hyslop, attachent grande importance à des communications avec les morts. Sur la base des phénomènes psychiques, la première était enclin à croire à l’immortalité, alors que les deux autres il a embrassé comme un fait établi.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Est la doctrine de l’immortalité dans le Pentateuque ? Comment expliquer la rareté comparative des preuves pour elle dans l’ancien Testament ? Sur ce qu’il a fait Platon fonder sa croyance en l’immortalité de l’âme ? Comment Kant juger des arguments physiques habituelles pour la doctrine de l’immortalité ? Y a-t-il n’importe quel endroit de la croyance en l’immortalité personnelle dans matérialisme ou le panthéisme ? Pourquoi la doctrine de ce que l'on appelle « immortalité sociale » échoue à satisfaire ? Est-l’immortalité de l’âme dans le sens philosophique identique à la vie éternelle ? Comment devrions nous juger des réputés spiritualiste communications avec les morts ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 645-655; Kuyper, Dict. dogme., De Consummatione Saeculi, pp. 3-24; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 713-730; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 817-823; Dick, LECT sur Theol., conférences LXXX, LXXXI; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., pp. 535-548; Heagle, les morts vivent-ils encore; Dahl, vie après la mort, pp. 59-84; Salmond, La Doctrine chrétienne de l’immortalité, cf. Index; Mackintosh, l’immortalité et l’avenir, pp. 164-179; Brown, L’espoir chrétien, cf. Index; Randall, le nouvel éclairage sur l’immortalité; Macintosh, la théologie comme une Science empirique, pp. 72-80. Althaus, Die Letzten Dinge, pp. 1-76; A. G. James, l’immortalité personnelle, pp. 19-52; Rimmer, les preuves de l’immortalité; Lawton, le drame de la vie après la mort; Addison, la vie au-delà de la mort, p. 3-132.

 

III. l’état intermédiaire  

A. LA VUE BIBLIQUE DE L’ÉTAT INTERMÉDIAIRE.

1. LA REPRÉSENTATION BIBLIQUE DES CROYANTS ENTRE LA MORT ET LA RÉSURRECTION. La position habituelle des Églises réformées est que les âmes des croyants immédiatement après la mort, pénétrer sur les splendeurs des cieux. En réponse à la question, « quel confort la résurrection du corps donne toi ? » dit le Catéchisme de Heidelberg: « que non seulement mon âme, après cette vie, doit être immédiatement répercutée vers le haut au Christ son chef, mais aussi que cela mon corps, soulevée par la puissance du Christ doivent à nouveau être Unis avec mon âme et comme le corps glorieux du Christ. » [Q. 57.] La Confession de Westminster parle dans le même esprit, lorsqu’il est dit que, au moment du décès, « les âmes des justes, étant alors rendue parfaite dans la sainteté, sont reçus dans les plus haut des cieux, où ils Voici le visage de Dieu dans la lumière et la gloire, en attente pour le plein rédemption de leurs corps. » [Chap. XXXII, I.] De même, la Confession helvétique déclare: « Nous croyons que les fidèles, après la mort corporelle, aller directement au Christ. » [Chap. XXVI.] Cette opinion semble trouver justifiaient amplement dans les Ecritures, et il est bon de prendre note de cela, étant donné que durant le dernier quart de siècle que certains théologiens réformés ont pris la position que croyants au moment du décès pénétrer dans un lieu intermédiaire et d’y rester jusqu’au le jour de la résurrection. La Bible enseigne, cependant, que l’âme du croyant séparé de corps, pénètre dans la présence du Christ. Paul dit qu’il est « prête plutôt à s’absenter de l’organisme et d’être à la maison avec le Seigneur. » II Cor. 5:8. Aux Philippiens il écrit qu’il a un « désir partir et d’être avec le Christ, » Phil. 01:23. Et Jésus a donné le malfaiteur repentant la joyeuse assurance, « aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis, » Luc 23:43. Et pour être avec le Christ est aussi d’être dans le ciel. À la lumière de II Cor. 12:3, 4 « paradis » ne peut être qu’une désignation du ciel. Par ailleurs, Paul dit que, « si la dissolution de la maison terrestre de notre tente, nous avons un bâtiment de Dieu, une maison ne pas faite avec les mains, éternelle dans les cieux, » II Cor. 5:1. Et l’auteur d’Hébreux Bravo les coeurs de ses lecteurs avec cette pensée, entre autres, qu’ils « sont venus à l’Assemblée générale et l’église des premiers-nés qui sont inscrits dans les cieux, » Hébreux 12:23. Que l’état futur des fidèles après la mort est grandement préférable à l’heure actuelle il appert clairement les affirmations de Paul II Cor. 5:8 et Phil. 01:23, cité plus haut. C’est un État dans lequel les croyants sont vraiment vivant et pleinement consciente, Luc 16:19-31; Je th. 05:10; un état de repos et de bonheur sans fin, 14:13.

2. LA REPRÉSENTATION MENTIONNÉS DANS LES ÉCRITURES DE L’ÉTAT DES MÉCHANTS ENTRE LA MORT ET LA RÉSURRECTION. Le Catéchisme de Westminster dit que les âmes des méchants après mort » sont jetés dans l’enfer, où ils restent dans les tourments et obscurité totale, réservés au jugement du grand jour. » Par ailleurs, il ajoute: « En dehors de ces deux endroits (ciel et enfer) pour les âmes, séparées de leur corps, l’écriture reconnaît aucun. » [Chap. XXXII.] Et la Confession helvétique continue après la citation citée plus haut: « de la même manière, nous croyons que les mécréants sont jetés tête baissée dans l’enfer, de d'où il n’y a pas de retour ouvert pour les méchants de tous les offices de ceux qui vivent. » [Chap. XXVI.] La Bible éclaire très peu directe sur ce sujet. Le seul passage qui peut vraiment venir en considération ici est la parabole de l’homme riche et de Lazare dans Luc 16, où Hadès désigne l’enfer, lieu de tourment éternel. L’homme riche s’est retrouvé à la place de tourment; son état a été fixé pour toujours; et il était conscient de son sort misérable, a demandé des mesures d’atténuation de la douleur, il souffrait et voulait avoir ses frères a mis en garde, afin qu’ils pourraient éviter un destin semblable. En plus de cette preuve directe, il n’y a également une preuve inférentielle. Si les justes pénétrer leur état éternel en même temps, la présomption est que cela est vrai des méchants aussi bien. Nous partons d’une considération ici quelques passages, qui sont d’interprétation incertaine, à savoir, j’ai PET. 03:19; II Pierre 2:9.

B. LA DOCTRINE DE L’ÉTAT INTERMÉDIAIRE DANS L’HISTOIRE.

Dans les premières années de the Christian Church, il y avait peu de réflexion d’un état intermédiaire. L’idée que Jésus reviendra bientôt comme juge fait l’intervalle semblent être de peu de conséquence. Le problème de l’état intermédiaire se pose lorsqu’il est devenu évident que Jésus ne retournerait pas à la fois. Le problème réel qui ont vexé les premiers pères, était de savoir comment concilier jugement individuel et des représailles à la mort avec le jugement général et châtiment après la résurrection. Pour attribuer trop d’importance à l’ancienne semble voler à l’autre de sa signification et vice versa. Il n’y avait pas d’unanimité parmi les premiers pères de l’église, mais la majorité d'entre eux a cherché à résoudre la difficulté en supposant un état distinct intermédiaire entre la mort et la résurrection. Dit Addison: « pendant des siècles la conclusion générale a été largement acceptée qu’un souterrain Hades justes jouissent en guise de récompense ne correspond pas à leurs futur ciel et les méchants souffrent d’un certain degré de punition ne correspond pas à l’enfer de leur futur. L’état intermédiaire est donc une version légèrement réduite de châtiment ultime. » [Lavie au-delà de la mort, p. 202.] Cette opinion a été exprimée, mais avec quelques variantes, par des hommes tels que Justin Martyr, Irénée, Tertullien, Novatien, Origène, Grégoire de Nysse, Ambroise et Augustin. Dans l’école d’Alexandrie, l’idée de l’état intermédiaire passé dans celui d’une purification progressive de l’âme, et cela en cours de temps ouvert la voie à la doctrine catholique du purgatoire. Il y en avait, cependant, qui a favorisé l’idée que, au moment du décès, les âmes des justes immédiatement introduites ciel, à savoir, Grégoire de Nazianze, Eusèbe et Grégoire le grand. Au moyen-âge, la doctrine d’un état intermédiaire a été retenue, et à cet égard, l’église catholique romaine a développé la doctrine du purgatoire. L’opinion dominante était que l’enfer a reçu en même temps les âmes des méchants, mais que seuls ceux des justes qui sont exempts de toute tache de péché, ont été admis à la fois dans la béatitude du ciel, pour profiter de la visio Dei. Les martyrs ont été habituellement comptés parmi les rares favorisées. Ceux qui avaient besoin de davantage de purification ont été, selon le point de vue répandu, détenus au purgatoire pour une période plus courte ou plus longue, peut nécessiter le degré du péché restant et étaient là extrait du péché par un feu purificateur. Une autre idée, qui a également été développé dans le cadre de la pensée de l’état intermédiaire, a été que du Limbus Patrum, où l’ancien Testament les saints ont été détenus jusqu'à la résurrection du Christ. Les réformateurs, tout le monde, a rejeté la doctrine du Purgatoire et aussi l’idée d’un véritable état intermédiaire, qui comportait l’idée d’un lieu intermédiaire. Ils ont tenu que ceux qui sont morts dans le Seigneur, à la fois entré dans la béatitude du ciel, tandis que ceux qui sont morts dans leurs péchés en même temps, est descendus aux enfers. Cependant, certains théologiens de l’époque de la réforme suppose une différence de degré entre le bonheur de l’ancien et le jugement de ce dernier avant le jugement définitif et leur bonheur final et la répression après la grande assises. Parmi les Sociniens et les anabaptistes il y en a certains qui a relancé l’ancienne doctrine tenue par certains membres de l’église primitive, que l’âme de l’homme dort depuis l’époque de la mort jusqu'à la résurrection. Calvin a écrit un traité pour lutter contre ce point de vue. La notion même est préconisée par certaines sectes Adventiste et l’Autoristes millénaire. Au 19e siècle, plusieurs théologiens, surtout en Angleterre, en Suisse et en Allemagne, a accepté l’idée que l’état intermédiaire est un état de probation supplémentaire pour ceux qui n’ont pas accepté Christ dans cette vie. Cette vue est maintenue par certains jusqu'à présent et est un principe favori des universalistes.

C. LA CONSTRUCTION MODERNE DE LA THÉORIE DE SHEOL-HADES.

1. DÉCLARATION DE LA DOCTRINE. Il y a plusieurs représentations de la conception biblique de sheol-Hadès dans la théologie de nos jours, et c’est tout à fait impossible d’examiner chacun d’eux séparément. L’idée est très répandue à l’heure actuelle que la conception de l’ancien Testament du séjour des morts, dont celle d' Hadès dans le Nouveau Testament est censé pour correspondre, a été empruntée à la notion païenne de la pègre. Il est jugé que selon l’ancien Testament et le nouveau, à la fois les pieux et les méchants à mort entrer dans la demeure lugubre des ombres, le pays de l’oubli, où ils sont voués à une existence qui est simplement un reflet rêve de la vie sur terre. La pègre est en soi ni un lieu de récompenses, ni un lieu de punition. Il n’est pas divisé en différents compartiments pour le bien et le mal, mais il est une région sans distinction morale. C’est un lieu de conscience affaiblie et d’inactivité slumbrous, où la vie a perdu ses intérêts et la joie de vivre est transformée en tristesse. Certains sont d’avis que l’ancien Testament représente sheol comme la demeure permanente de tous les hommes, tandis que d’autres trouvent qu’elle détient sur un espoir d’évasion pour les pieux. Nous rencontrons parfois avec une représentation quelque peu différente de la conception de l’ancien Testament, où le séjour des morts est représenté comme divisé en deux compartiments, à savoir, paradis et Géhenne, le premier contenant soit la totalité les Juifs ou seulement ceux qui observaient fidèlement la Loi et l’embrassant ces derniers païens. Les Juifs seront livrés depuis le séjour des morts lors de la venue du Messie, tandis que les gentils resteront à jamais dans la demeure des ténèbres. La contrepartie de Nouveau Testament de cette conception des enfers se trouve dans sa représentation de l’Hadès. Il ne tient pas simplement que les Hébreux divertir la notion de telle une pègre, ni que les auteurs bibliques parfois hébergés eux-mêmes officiellement dans leurs représentations aux vues des païens dont ils parlaient; mais que c’est la vue biblique de l’état intermédiaire.

2. LA CRITIQUE DE CETTE REPRÉSENTATION MODERNE. Dans l’abstrait c’est, bien sûr, possible que l’idée d’une localité distincte, qui n’est ni ciel ni enfer, dans laquelle sont regroupés tous les morts et où ils restent, soit en permanence soit que certains résurrection communale, était plus ou moins courante dans le populaire Hébreu pensé et mai ont donné lieu à certaines descriptions figuratives de l’état de la mort; mais il peut difficilement être considéré par ceux qui croient en l’inspiration plénière de la Bible comme un élément des enseignements positifs de l’écriture, puisqu’il contredit clairement la représentation mentionnés dans les écritures que les justes à la fois entrer dans gloire et les méchants à la fois descendre à la place de punition éternelle. En outre, les considérations suivantes peuvent être exhortées contre ce point de vue:

a. la question se pose, si la vue du shéol-hades, maintenant si largement considéré comme mentionnés dans les écritures, est fidèle à fait ou non. Si c’était vrai à fait à l’époque, quand les livres de la Bible ont été écrits, mais n’est pas plus fidèle à fait aujourd'hui, la question surgit naturellement, ce qui a amené le changement ? Et s’il n’était pas fidèle à fait, mais était une vision résolument fausse — et c’est l’opinion répandue —, alors le problème se pose à la fois, comment ce point de vue erroné pourrait être toléré et sanctionné et y enseigna positivement par les écrivains inspirés de l’écriture. Le problème n’est pas soulagé par la considération, préconisée par certains, que l’inspiration de l’écriture ne procède pas avec elle l’assurance que les saints de l’ancien Testament étaient correctes quand ils parlaient d’hommes entrant dans un endroit souterrain au moment du décès, parce que non seulement ces les Saints, mais aussi les écrivains inspirés de l’écriture employée langue qui, en elle-même et indépendamment des autres enseignements clairs de l’Ecriture, pourrait être ainsi interprétée, num. 16:30; Psaume 49: 15, 16; PS. 88: 3; PS. 89:48; Eccl. 09:10; Ésaïe 05:14; Osée 13:14. Ont été ces écrivains inspirés par erreur, quand ils parlaient des justes et les méchants comme descendant dans le séjour des morts? On peut dire qu’il y avait le développement dans la révélation concernant le futur destin de l’homme, et nous n’avons aucune raison de douter que sur ce point, comme sur beaucoup d’autres, ce qui était tout d’abord obscure peu à peu gagné en précision et clarté; mais cela ne signifie certainement pas que le vrai développé à partir de la valeur false. Comment cela pourrait-il être ? Le Saint-esprit il juge opportun pour l’homme qu’il reçoit d’abord fausses impressions et obtenir des vues erronées et ensuite échange ces cours de temps pour un bon aperçu de la condition des morts ?

b. Si la représentation scripturale sheol-Hadès est vraiment un endroit neutre, sans distinction morale, sans la bénédiction d’une part, mais aussi sans douleur positive sur l’autre, un lieu auquel tous pareils descendre, comment peut-on l’ancien Testament résistent à la descente des méchants dans le séjour des morts comme un avertissement, comme il le fait en plusieurs endroits, Job 21:13; PS. 09:17; Prov. 5:5; 07:27; 09:18; 15:24; 23:14 ? Comment peut la Bible parle de la colère de Dieu brûler là, Deut. 32: 22, et comment il peut utiliser le terme sheol , synonyme d' abaddon, c'est-à-dire la destruction, la Job 26: 6; Prov. 15:11; 27: 20 ? Il s’agit d’un terme fort, qui est appliqué à l’ange de l’abîme à 19:11. Certains cherchent échapper à cette difficulté en abandonnant le caractère neutre des enfers et de supposer qu’il a été conçu comme un monde souterrain avec deux divisions, appelées dans le Nouveau Testament paradis et de la Géhenne, l’ancien le destinée demeure des justes et ce dernier que des méchants; mais cette tentative ne peut résulter dans la déception, pour l’ancien Testament ne contient aucune trace d’une telle division, bien qu’il parle de sheol comme un lieu de punition pour les méchants. En outre, le Nouveau Testament identifie clairement le paradis avec le ciel dans II Corinthiens 12:2, 4. Et, enfin, si Hadès est la désignation du Nouveau Testament du séjour des mortset tous pareils y aller, ce qu’il advient de la doom spéciale de Capharnaüm, Matthieu 11:23, et comment il peut être photographié comme un lieu de tourment, Luc 16:23 ? Quelqu'un pourrait être enclin à dire que les menaces contenues dans certains des passages mentionnés se référer à une descente rapide dans le séjour des morts, mais il n’y a aucune indication de cela dans le texte que ce soit, sauf dans Job 21:13, où c’est explicitement déclaré.

c. Si une descente aux enfers était les sombres perspectives sur l’avenir, non seulement des méchants, mais aussi des justes, comment peut-on expliquer les expressions d’attente joyeuse, ou la joie face à la mort, tel que nous trouvons dans Nombres 23:10; PS. 16:9, 11; 17:15; 49: 15; 73:24, 26; Esaïe 25: 8 (comp. I Corinthiens 15:54) ? L’expression dans le Psaume 49: 15 peut être interprétée comme signifiant que Dieu délivrera le poète hors sheol ou de la puissance des enfers. Notez également ce que dit l’auteur d’Hébreux de l’ancien Testament héros de la foi en Hébreux 11:13-16. Le Nouveau Testament, bien sûr, parle abondamment de la joyeuse perspective des croyants sur l’avenir et enseigne leur bonheur consciente dans l’État désincarné, Luc 16:23, 25; 23:43; Actes à 07:59; II Corinthiens 5:1, 6, 8; Phil. 01:21, 23; Je th. 05:10; EP 03:14, 15 (« famille dans les cieux, » pas dans «Hadès»); Apocalypse 6:9, 11; 14:13. dans II Corinthiens 12:2, 4 « paradis » est utilisé comme synonyme avec « le troisième ciel ». Dans le cadre de cette représentation claire du Nouveau Testament, il a été suggéré que les croyants du Nouveau Testament étaient privilégiés, supérieurs à ceux de l’ancien Testament, en recevant un accès immédiat à la béatitude du ciel. Mais la question peut être posée, quelle base est là pour assumer une telle distinction ?

d. Si le mot shéol désigne toujours la région ombragée à laquelle les morts descendent et jamais a un autre sens, puis l’ancien Testament, bien qu’il ait un mot pour le ciel comme la demeure bénie de Dieu et des saints anges, n’a aucun mot pour l’enfer , le lieu de destruction et de punition éternelle. Mais c’est seulement en supposant que, dans certains passages, sheol désigne un lieu de punition où que vont les méchants dans la distinction des justes, que les avertissements visés sous b avoir n’importe quel point. Le séjour des morts est effectivement parfois en contraste avec shamayim (cieux) comme dans Job 11:8; PS. 139:8; Amos 9:2. L’écriture parle aussi de la plus profonde ou plus bas shéol dans Deutéronome 32: 22. La même expression se retrouve dans le Psaume 86:13, mais dans ce passage est évidemment utilisée au sens figuré.

e. Enfin, il convient de noter qu’il y avait une divergence d’opinions entre les savants sur l’objet exact de la descente dans le séjour des morts. L’opinion dominante est que l’homme dans son ensemble est l’objet. L’homme descend dans le séjour des morts et d’une certaine façon obscure continue son existence dans un monde d’ombres, où les relations de vie reflètent encore ceux sur terre. Cette représentation semble être plus en harmonie avec les déclarations de l’Ecriture, Genèse 37: 35; Job 7:9; 14:13; 21:13; PS. 139:8; Eccl. 09:10. Il y a certains qui soulignent le fait que le corps est inclus. Il y a danger que « Cheveux gris » de Jacob est traduits vers le bas au shéol, Genèse 42: 38; 44: 29, 31; Samuel arrive comme un vieil homme recouvert d’une robe, j’ai Samuel 28: 14; et « La tête hoar » de Shimei doit être ramenée à sheol, je rois 2:6, 9. Mais si le séjour des morts est un lieu où que tous les morts vont, corps et l’âme, ce qui est ensuite posé dans la tombe, qui est censé pour être un autre endroit ? Cette difficulté est prévenue par ces savants qui affirment que seules les âmes descendent dans le séjour des morts, mais on peut difficilement dire d’être en harmonie avec la représentation de l’ancien Testament. Il est vrai qu’il y a quelques passages qui parlent des âmes comme descendant dans, ou comme étant en, sheol, PS. 16:10; 30:3; 86:13; 89:48; Prov. 23:14, mais il est un fait bien connu qu’en Hébreu, le mot nephesh (âme) avec le suffixe pronominal est souvent, surtout dans le langage poétique, équivalent au pronom personnel. Certains théologiens conservateurs a adopté cette interprétation de la représentation de l’ancien Testament et trouvé dedans soutenir leur idée que les âmes des hommes sont dans un certain endroit intermédiaire (un endroit avec distinction morale et divisions distinctes, toutefois) jusqu’au jour de la résurrection.

3. INTERPRÉTATION DE SHEOL-HADES. L’interprétation de ces termes n’est pas facile, et en proposant une interprétation nous ne désirent pas donner l’impression que nous parlons avec une certitude absolue. Une étude inductive des passages dans lequel figurent les termes dissipe rapidement la notion selon laquelle les mots shéol et Hadès sont toujours utilisés dans le même sens et peuvent dans tous les cas être restitué par le même mot, que ce soit des enfers, état de la mort , tombe, ou l’enfer. Cela ressort également clairement dans les diverses traductions de la Bible. La Version de Hollande rend le terme sheol en grave dans certains passages et en enfer dans d’autres. St. James ou Version autorisée emploie trois mots dans sa traduction, à savoir, grave, enferet fosse. Les réviseurs anglais conservé assez incohérente grave ou fosse dans le texte des livres historiques, mettant le séjour des morts dans la marge. Ils ont conservé enfer seulement dans Ésaïe 14. Les réviseurs américain éviter la difficulté en conservant simplement l’original dans leur traduction les mots shéol et Hadès . Bien que l’opinion a acquis une grande monnaie que le séjour des morts sont simplement la pègre à laquelle tous les hommes descendent, ce point de vue n’est pas unanime. Certains des érudits antérieurs identifiés simplement le séjour des morts et la grave; d’autres la considèrent comme le lieu où les âmes des morts sont conservés; et encore d’autres, dont on mentionnera Shedd, Vos, Aalders et De Bondt, soutiennent que le mot shéol ne pas toujours avoir le même sens. Il semblerait que le dernier avis mérite de préférence, et que ce qui suit peut être dit concernant ses différentes significations:

a. les mots shéol et Hadès ne désigne pas toujours une localité dans les Ecritures, mais sont souvent utilisés dans un sens abstrait pour désigner l’état de la mort, l’état de la séparation de corps et âme. Cet État est souvent localement conçu comme constituant le Royaume de la mort et est parfois représenté comme un bastion avec gates, qui lui seul qui a les clés peut verrouiller et déverrouiller, Matthieu 16:18; 01:18. Cette représentation locale est selon toute probabilité, basée sur une généralisation de l’idée de la tombe, dans laquelle l’homme descend quand il entre dans l’état de la mort. Étant donné que les croyants et les mécréants à la fin de leur vie entrent dans l’état de la mort, on peut très bien dire au sens figuré qu’ils sont sans distinction dans le shéol ou Hadès. Ils sont tous pareils, dans l’état de la mort. Le parallélisme montre clairement ce que l'on entend dans un passage comme I Samuel 2:6: « Jéhovah tue et fait encore en vie; Il tend vers le bas au shéolet tend vers le haut. » Voir aussi Job 14:13, 14; 17:13; 14; PS. 89:48; Osée 13:14 et plusieurs autres passages. Le mot Hadès est manifestement servi plus d’une fois dans le sens non local de l’état de la mort dans le Nouveau Testament, actes 02:27, 31; Apocalypse 6:8; 20:28. dans les deux derniers passages, nous avons une personnification. Puisque les termes peuvent indiquer l’état de la mort, il n’est pas nécessaire de prouver qu’ils ont jamais faire référence à tout ce qui concerne les justes et les méchants semblables, mais seulement qu’ils ne pas désigner un lieu où les âmes de tous les deux sont réunis. De Bondt attire l’attention sur le fait que, dans de nombreux passages le terme que Sheol est utilisé au sens abstrait de la mort, de la puissance de la mortet du danger de mort.

b. lorsque le shéol et Hadès désignent une localité dans le sens littéral du mot, ils se réfèrent soit à ce que nous appelons habituellement l’enfer, ou à la tombe. Descente aux enfers est menacé comme un danger et comme une punition pour les méchants, PS. 09:17; 49: 14; 55:15; Prov. 15:11; 15:24; Luc 16:23 (hades). L’avertissement et danger figurant dans ces passages est perdu au total, si le séjour des morts est conçu comme un lieu neutre où tout aller. De ces passages, il s’ensuit aussi qu’il ne peut pas être considéré comme un lieu avec deux divisions. L’idée de telle une divisé shéol est empruntée à la conception païenne de la pègre et ne trouve aucun appui dans les Ecritures. C’est seulement de sheol comme l’état de la mort que nous pouvons parler comme ayant deux divisions, mais ensuite, nous parlons au sens figuré. Même l’ancien Testament témoigne de ce que ceux qui meurent dans le Seigneur pénétrer une jouissance plus complète de la bénédiction du Salut et donc, ne descendent pas dans n’importe quel monde souterrain au sens littéral du mot, nombres 23:5, 10; PS. 16:11; 17:15; 73:24; Prov. 14:32. Enoch et Elie ont été repris et descendre pas dans un monde souterrain, Hébreux 11:5 ff. En outre, le séjour des morts, non seulement comme un État, mais aussi comme un lieu d’est considéré comme dans les liens les plus étroits avec la mort. Si la conception biblique de la mort est comprise dans sa signification profonde, dans son sens spirituel, il facilement on le verra que le séjour des morts ne peut pas être la demeure des âmes de ceux qui meurent dans le Seigneur, Prov. 5:5; 15:11; 27: 20.

Il y a également plusieurs passages qui semblent désigner la tombe shéol et Hadès . Il n’est pas toujours facile à déterminer, cependant, si les mots font référence à la tombe ou à l’état de la mort. Voici quelques-uns des passages qui entrent en considération ici: Genèse 37: 25; 42: 38; 44: 29; 29: 31; Iier Rois 2:6, 9; Job 14:13; 17:13; 21:13; PS. 6:5; 88: 3; Eccl. 09:10. Mais bien que le nom du shéol est également utilisé pour la tombe, il ne suit pas nécessairement que c’est l’utilisation originale de la parole, d'où son utilisation pour désigner l’enfer est empruntée. Selon toute probabilité, l’inverse est vrai. La tombe est appelée sheol, car il symbolise les choses vers le bas, qui se rattache à l’idée de destruction. Pour les croyants le symbolisme biblique est modifié par l’écriture elle-même. Paul dit qu’ils descendent dans la mort comme un grain est semé dans la terre, quelles sources d’une nouvelle, une plus abondante, une vie plus glorieuse. Dans l’ancien Testament, le mot que shéol est plus souvent utilisé pour tombe et moins souvent pour l’enfer, tandis que dans l’utilisation correspondante d' Hadès dans le Nouveau Testament au contraire contient.

D. LES DOCTRINES CATHOLIQUES DE ROMAIN RESPECTANT LA DEMEURE DE L’ÂME APRÈS LA MORT.

1. PURGATOIRE. Selon l’Eglise de Rome, les âmes de ceux qui sont parfaitement pures au moment du décès sont immédiatement admis au ciel ou la vision béatifique de Dieu, Matthieu 25: 46; Phil. 01:23; mais ceux qui ne sont pas parfaitement nettoyés, qui sont toujours accablés par la culpabilité de péchés véniels et n’ont pas porté la peine temporelle à cause de leurs péchés — et c’est la condition de la plupart des fidèles au moment du décès — doivent se soumettre à un processus de nettoyage avant de pouvoir ente r dans la béatitude suprême et les joies du ciel. Au lieu d’entrer au ciel en même temps, ils entrent dans le purgatoire. Purgatoire n’est pas un lieu de stage, mais un lieu de purification et de préparation pour les âmes des croyants qui sont sûrs d’une entrée ultime dans le ciel, mais ne sont pas encore aptes à entrer dans la béatitude de la vision béatifique. Pendant le séjour de ces âmes du purgatoire, qu'ils souffrent de la douleur de la perte, c'est-à-dire, l’angoisse résultant du fait qu’ils sont exclus de la vision bienheureuse de Dieu et aussi supporter « la peine du sens, » c'est-à-dire, souffrent de douleurs positives, qui touchent l’âme. La durée de leur séjour au purgatoire ne peut être déterminée au préalable. La durée ainsi que l’intensité de leurs souffrances varie selon le degré de purification encore nécessaire. Ils peuvent être raccourcies et allégées par les prières et les bonnes œuvres des fidèles sur la terre et surtout par le sacrifice de la messe. Il est possible que l’un doit rester au purgatoire jusqu’au moment du jugement dernier. Le pape est censé ont compétence sur le purgatoire. C’est sa prérogative particulière d’accorder des indulgences, alléger les souffrances du purgatoire ou même à destination d’eux. Le principal soutien de cette doctrine se trouve dans II Maccabées 12:42-45 et par conséquent dans un livre qui n’est pas reconnu comme canoniques par les Protestants. Mais ce passage se révèle trop, c'est-à-dire plus que les catholiques romains eux-mêmes peuvent constamment admettre, à savoir, la délivrance possible des soldats du purgatoire qui était mort dans le péché mortel de l’idolâtrie. Certains passages de l’écriture sont également censés pour favoriser cette doctrine, comme Ésaïe 4:4; Michée 7:8; Zach. 09:11; Malachie 3:2, 3; Matthieu 12:32; I Corinthiens 03:13-15; 15:29. qu'il est parfaitement évident, cependant, que ces passages peuvent être faits pour soutenir la doctrine du purgatoire seulement par une exégèse très forcé. La doctrine ne trouve absolument aucun appui dans les Ecritures et en outre, repose sur plusieurs fausses prémisses, telles que (a) que nous devons ajouter quelque chose à le œuvre du Christ; (b) que nos bonnes œuvres sont méritoires au sens strict du mot; (c) que nous pouvons réaliser des oeuvres de supererogation, travaille plus les commandes de service; et (d) que le pouvoir de l’église des touches est absolu au sens judiciaire. Selon lui l’église peut raccourcir, soulager et même de mettre fin aux souffrances du purgatoire.

2. LE LIMBUS PATRUM. Le mot Latin limbus (frange) a été utilisé au moyen-âge pour désigner deux endroits sur la frange ou de la périphérie de l’enfer, à savoir, le Limbus Patrum et Limbus Infantum. Le premier est l’endroit où, selon les enseignements de Rome, les âmes des saints ancien Testament ont été détenus dans un état d’attente jusqu'à la résurrection du Seigneur d'entre les morts. Après sa mort sur la Croix de Christ est censé sont descendus dans la demeure des pères, pour les libérer de leur internement temporaire et porter en triomphe au ciel. Il s’agit de l’interprétation catholique romain de la descente du Christ aux enfers . Hades est considéré comme la demeure des esprits défunts, ayant deux divisions, un pour les justes et l’autre pour les méchants. La division habitée par les esprits des justes était le Limbus Patrum, connu pour les Juifs dans le sein d’Abraham, Luc 16:23 et le paradis, Luc 23:43. On affirme que le ciel n’était pas loisible à tout homme jusqu'à ce que Christ avait également fait propitiation pour le péché du monde.

3. LE LIMBUS INFANTUM. Il s’agit de la demeure des âmes de tous les enfants non baptisés, indépendamment de leur descente de païens ou de parents chrétiens. Selon l’église catholique enfants non baptisés ne peuvent pas être admis au ciel, ne peut pas entrer dans le Royaume de Dieu, Jean 3:5. Il y avait toujours une répugnance naturelle, cependant, à l’idée que ces enfants devraient être torturés en enfer, et les théologiens catholiques ont cherché un moyen d’échapper à la difficulté. Certains pensaient que ces enfants pourraient peut-être être sauvés par la foi de leurs parents et d’autres, que Dieu pourrait la commission aux anges de se baptiser. Mais l’opinion dominante est que, même si elles sont exclues du ciel, qui sont expédiées à un lieu à la périphérie de l’enfer, où ses terribles incendies n’atteignent pas. Ils restent dans ce lieu pour toujours sans aucun espoir de délivrance. L’église n’a jamais défini la doctrine de l' Infantum Limbus, et les opinions des théologiens varient quant à l’état exact des enfants confiné dedans. Toutefois, l’opinion dominante est qu’ils souffrent aucune punition positive, aucune « douleur de sens », mais sont simplement exclus de la bénédiction du ciel. Ils savent et aiment Dieu par l’utilisation de leurs pouvoirs naturels et ont le bonheur complet naturel.

E. L’ÉTAT DE L’ÂME APRÈS LA MORT UNE EXISTENCE CONSCIENTE.

1. L’ENSEIGNEMENT DE L’ÉCRITURE SUR CE POINT. La question a été soulevée, de savoir si l’âme après la mort reste activement consciente et est capable d’action rationnelle et religieuse. Cela a parfois été refusé au motif général que l’âme dans son activité consciente dépend du cerveau et par conséquent ne peut pas continuer à fonctionner lorsque le cerveau est détruit. Mais, comme déjà indiqué dans ce qui précède (p. 677 f.), on peut bien douter du bien-fondé de cet argument. « C’est », pour reprendre les mots de Dahle, « fondé sur l’erreur de confondre le travailleur avec sa machine. » Du fait que la conscience humaine dans la vie présente transmet ses effets à travers le cerveau, il n’est pas nécessairement qu’il peut travailler d’aucune autre manière. En soutenant l’existence consciente de l’âme après la mort, nous ne placer aucune dépendance sur les phénomènes du spiritualisme de nos jours et ne dépendent pas même sur des arguments philosophiques, même si celles-ci ne sont pas sans force. Nous recherchons notre preuve la parole de Dieu, en particulier dans le Nouveau Testament. L’homme riche et Lazare converser ensemble, Luc 16:19-31. Paul parle de l’État désincarné comme un « être à la maison avec le Seigneur » et comme quelque peu à désirer au-dessus de la vie présente, II Corinthiens 5:6-9; Phil. 01:23. Sûrement, il parlait peu après que la mode sur une existence inconsciente, qui est une quasi-inexistence. Dans Hébreux 12:23 croyants sont dit être venu... « les esprits des hommes à la perfection, » ce qui implique certainement leur existence consciente. En outre, les esprits sous l’autel réclament à grands cris de vengeance sur les persécuteurs de l’Eglise, Apoc. 6:9, et les âmes des martyrs sont dit à régner avec Christ, Apocalypse 20:4. Cette vérité de l’existence consciente de l’âme après la mort a été refusée dans plusieurs formes.

2. LA DOCTRINE DU SOMMEIL DE L’ÂME (PSYCHOPANNYCHYE).

a. déclaration de la doctrine. C’est une des formes dans lesquelles l’existence consciente de l’âme après la mort est refusé. Elle soutient que, après la mort, l’âme continue d’exister comme un spirituel individuel étant, mais dans un État inconscient repose. Eusebius fait mention d’une petite secte en Arabie qui est de cet avis. Durant le moyen-âge, il y avait un peu ce qu’on appelle Psychopannychians, et au moment de la réforme, cette erreur a été préconisée par certains des anabaptistes. Calvin a même écrit un traité contre eux, sous le titre Psychopannychia. Au XIXe siècle, cette doctrine a été soutenue par certains de la Irvingites en Angleterre, et de nos jours, c’est une des doctrines préférés du Russellites ou Autoristes millénaire de notre propre pays. Selon ce dernier corps et âme descendre dans la tombe, l’âme dans un état de sommeil, ce qui revient vraiment à un état de non-existence. Ce qu’on appelle la résurrection est en réalité une nouvelle création. Pendant le Millénium les méchants auront une seconde chance, mais si ils ne montrent aucune amélioration sensible au cours des cent premières années, ils seront anéantis. Si durant cette période, qu'ils témoignent d’une modification de la vie, leur probation se poursuivront, mais seulement pour finir dans l’anéantissement, si elles restent impénitents. Il n’y a aucun enfer, pas un endroit de tourment éternel. La doctrine du sommeil de l’âme semble avoir une fascination particulière pour ceux qui ont du mal à croire en une reprise de la conscience en dehors de l’organisme corporel.

b. le supposé scripturaire garantit pour cette doctrine. Preuve de cette doctrine de l’écriture se trouve surtout dans ce qui suit: (1) Ecriture représente souvent la mort comme un sommeil, Matthieu 09:24; Actes 7:60; I Corinthiens 15:51; Je th. 04:13. Ce sommeil, il est dit, ne peut pas être un sommeil du corps et il faut donc un sommeil de l’âme. (2) certains passages de l’Ecriture enseignent que les morts sont inconscients, PS. 6:5; 30: 9; 115: 17; 146:4; Eccl. 09:10; Esaïe 38:18, 19. Il s’agit à l’encontre de l’idée que l’âme continue son existence consciente. (3) la Bible enseigne que les destins des hommes seront déterminés par un jugement définitif et seront une surprise pour certains. Par conséquent, il est impossible de supposer que l’âme pénètre sur son destin immédiatement après la mort, Matthieu 07:22, 23; 25: 37-39,44; John 05:29; II Corinthiens 05:10; 20:12 f. (4) aucun de ceux qui ont été ressuscité d'entre les morts ont toujours donné n’importe quel compte de leurs expériences. Cela peut être mieux compris dans l’hypothèse que leurs âmes étaient inconscients dans leur état désincarné.

c. examen des arguments présentés. Les arguments précédents soient exaucées comme suit dans l’ordre dans lequel ils ont dit: (1) il est à noter que la Bible ne dit jamais que l’âme s’endort, pas plus que le corps le fait, mais seulement la personne mourante. Et cette représentation scripturale est simplement basée sur la similitude entre un cadavre et un corps endormi. Il n’est pas improbable que l’écriture utilise cette expression euphémique, afin de suggérer aux croyants l’espoir réconfortant de la résurrection. En outre, mort est une rupture avec la vie du monde autour de nous et en ce jour est un sommeil, un repos. Enfin, il ne faut pas oublier que la Bible représente les croyants comme jouissant d’une vie consciente dans la communion avec Dieu et Jésus Christ immédiatement après la mort, Luc 16:19-31; 23:43; Actes à 07:59; II Cor. 5:8; Phil. 01:23; Apocalypse 6:9; 7:9; 20:4. (2) les passages qui semblent enseigner que les morts sont inconscients sont manifestement destinés à souligner le fait que, dans l’état de l’homme mort, peut pas plus prendre part aux activités de ce monde actuel. Hovey, dit: « le travail de l’artisan est arrêté, la voix du chanteur est étouffée, le sceptre du roi tombe. Le corps retourne à la poussière, et la louange de Dieu dans ce monde cesse pour toujours. » (3) il est parfois représentée comme si la destinée éternelle de l’homme dépend d’un procès au dernier jour, mais c’est évidemment une erreur. Le jour du jugement n’est pas nécessaire de prendre une décision concernant la récompense ou la punition de chaque homme, mais seulement pour l’annonce solennelle de la phrase et la révélation de la justice de Dieu, en présence des hommes et des anges. La surprise dont certains passages témoignent se rapporte au sol sur lequel repose le jugement plutôt qu’à l’arrêt lui-même. (4) il est vrai que nous ne lisent pas qu’aucun de ceux qui ont été soulevées d'entre les morts, jamais rien racontés leurs expériences entre leur mort et la résurrection. Mais il s’agit d’un simple argument de silence, qui est tout à fait inutile dans ce cas, étant donné que la Bible enseigne clairement l’existence consciente des morts. Il peut bien être, cependant, que ces personnes étaient silencieux au sujet de leurs expériences, mais cela peut facilement s’expliquer sur l’hypothèse selon laquelle ils n’étaient pas autorisés à dire à leur sujet, ou qu’ils ne pouvaient pas donner un compte dans le langage humain. Cf. II Cor. 12:4.

3. LA DOCTRINE DE ANNIHALATIONISME ET DE L’IMMORTALITÉ CONDITIONNELLE.

a. déclaration de ces doctrines. Selon ces doctrines, il n’y a pas d’existence consciente, si toute existence du tout, des méchants, après la mort. Les deux sont un dans leur conception de l’état des méchants après la mort, mais diffèrent sur quelques points fondamentaux. Annihilationism enseigne que l’homme fut créé immortel, mais que l’âme, qui se poursuit dans le péché, est par un acte positif de Dieu déchue du don de l’immortalité et finalement détruits ou (selon certains) deuil pour toujours de la conscience, qui est pratiquement équivalent en étant réduits à l’inexistence. Selon la doctrine de l’immortalité conditionnelle, en revanche, l’immortalité n’était pas une dotation naturelle de l’âme, mais est un don de Dieu en Christ à ceux qui croient. L’âme qui n’accepte pas de Christ finalement cesse d’exister, ou perd toute conscience. Certains des partisans de ces doctrines enseignent une durée limitée de soucieux de la souffrance pour les méchants dans la vie future et ainsi de conserver quelque chose de l’idée de punition positive.

b. ces doctrines dans l’histoire. La doctrine d’annihilationism a été enseignée par Arnobe et les Sociniens précoces et par les philosophes Locke et Hobbes, mais n’était pas populaire dans sa forme originale. Au siècle précédent, cependant, la vieille idée d’annihilation a été reprise avec quelques modifications sous le nom de l’immortalité conditionnelle et sous sa nouvelle forme trouvée faveur considérable. Il a été préconisé par E. White, J. B. Heard et le gendarme de prébendes et rangée en Angleterre, par Richard Rothe en Allemagne, par A. Sabatier, en France, par E. Petavel et Ch. Secretan en Suisse et par C. F. Hudson, W. R. Huntington, L. C. Baker et L. W. Bacon dans notre propre pays et par conséquent, mérite une attention particulière. Ils ne pas tous mettre la doctrine sous la même forme, mais convenu dans la position fondamentale que l’homme n’est pas immortel, en vertu de sa constitution originale, mais est rendu immortel par une loi spéciale ou le don de la grâce. Pour ce qui est les méchants sont certains maintiennent que ceux-ci conservent une simple existence, mais avec une totale perte de conscience, alors que d’autres affirment qu’ils périssent tout à fait comme les bêtes, peut-être après des périodes plus ou moins de souffrance.

c. Arguments avancés en faveur de cette doctrine. Prise en charge de cette doctrine se trouve en partie dans la langue de certains des premiers pères de l’église, qui semble impliquer au moins que les seuls croyants reçoivent le don de l’immortalité, et en partie aussi dans certaines des théories plus récentes de la science, qui nie qu’il n’y a aucune sci scientifiques de preuve de l’immortalité de l’âme. Toutefois, le principal soutien pour elle, cherche dans l’écriture. Il est dit que la Bible: (1) enseigne que Dieu seul est par nature immortelle, j’ai Timothée 06:16; (2) jamais parle de l’immortalité de l’âme en général, mais représente l’immortalité comme un don de Dieu à ceux qui sont dans le Christ Jésus, John 10:27, 28; 17:3; Romains 2:7; 06:22, 23; Galates 6:8; et (3) menace les pécheurs avec « mort » et de « destruction, » affirmant qu’ils « périront, » des termes qui sont considérés comme signifiant que les mécréants se réduira à inexistence, Matthieu 07:13; 10:28; John 03:16; ROM. 06:23; 08:13; II Thess. 1:9.

d. examen de ces arguments. On ne saurait dire que les arguments en faveur de cette doctrine sont concluants. La langue des premiers pères de l’église n’est pas toujours exacte et auto-cohérent et admet une autre interprétation. Et la pensée spéculative des âges a été dans l’ensemble, favorable à la doctrine de l’immortalité, alors que la science n’a pas réussi à prouver l’inexistence d’elle. Les arguments bibliques soient exaucées dans l’ordre comme suit: (1) Dieu est en effet le seul qui possède l’immortalité inhérente. L’immortalité de l’homme est dérivée, mais ce n’est pas équivalent à dire qu’il ne possède pas en vertu de sa création. (2) dans le deuxième argument l’immortalité nue ou le maintien en existence de l’âme est confondue avec la vie éternelle, alors que ce dernier est un concept beaucoup plus riche. La vie éternelle est en effet le don de Dieu en Jésus Christ, un cadeau qui les méchants ne reçoivent pas, mais cela ne signifie pas qu’ils ne continueront pas à exister. (3) le dernier argument suppose arbitrairement que les termes « mort », « destruction », et « périr » dénotent une réduction à la non-existence. C’est seulement l’on littéralisme qui peut gérer cela et alors seulement dans le cadre de certains des passages cités par les partisans de cette théorie.

e. Arguments contre cette doctrine. La doctrine de l’immortalité conditionnelle est clairement contredite par l’écriture, où il enseigne: (1) que pécheurs comme saints continuera à exister pour toujours, Ecclésiaste 12:7; Matthieu 25: 46; Romains 2:8-10; 14:11; 20:10; (2) que les méchants subiront le châtiment éternel, ce qui signifie qu’ils seront pour toujours consciente de douleur qu’ils reconnaître comme leur désert juste et donc ne sera pas anéanti, cf. les passages de mentionner; et (3) qu’il y aura des degrés dans la punition des méchants, tandis que l’extinction de la conscience ou n’admet aucun degrés, mais constitue un châtiment qui est la même pour tous, Luc 12:47, 48; ROM. 02:12.

Les considérations suivantes sont aussi résolument opposées à cette doctrine: Annihilation (1) irait à l’encontre de toute analogie. Dieu ne pas anéantir son travail, même si il peut changer sa forme. L’idée biblique de la mort n’a rien à voir avec l’anéantissement. Vie et mort sont exacts opposés dans l’écriture. Si mort signifie simplement la cessation d’être ou de la conscience, la vie doit signifier que la continuation de ces; mais en fait, cela signifie beaucoup plus que cela, cf. Romains 8:6; I Timothée 4:8; J’ai John 03:14. Le terme a une connotation spirituelle, et a donc le mot mort. L’homme est spirituellement mort avant il tombe une proie à la mort physique, mais cela n’entraîne pas une perte de conscience, Éphésiens 2:1, 2; ou J’ai Tim. 5:6; 02:13; Apocalypse 3:1. (2) annihilation peut difficilement être appelée une punition, car cela implique une prise de conscience de la douleur et de mal-désert, alors que, lorsque l’existence se termine, la conscience aussi cesse. On pourrait dire au plus que la crainte de l’anéantissement serait une punition, mais cette punition ne serait pas proportionnée à la transgression. Et naturellement la crainte d’un homme qui n’a jamais eu en lui l’étincelle de l’immortalité, sera jamais égale à celle de celui qui a l’éternité dans son cœur, Eccl. 03:11. (3) il est fréquent que de gens considèrent l’extinction de l’être et de conscience une chose très souhaitable, lorsqu’ils se Las de la vie. Ces une telle peine serait en réalité une bénédiction.

F. L’INTERMÉDIAIRE PAS A UN ÉTAT DE PROBATION SUPPLÉMENTAIRE.

1. DÉCLARATION DE LA DOCTRINE. La théorie de la soi-disant « deuxième probation » trouvé faveur considérable dans le monde théologique du XIXe siècle. Il est soutenu, entre autres, Mueller, Dorner et Nitzsch en Allemagne, par Godet et Gretillat en Suisse, par Maurice, Farrar et Plumptre en Angleterre et par Newman Smythe, Munger, Cox, Jukes et plusieurs théologiens Andover dans notre propre pays. Cette théorie est à l’effet que le salut par le Christ est encore possible dans l’état intermédiaire pour certaines classes ou, peut-être, pour tous; et qu’il est offert sur sensiblement les mêmes conditions qu’à l’heure actuelle, à savoir, la foi en Jésus-Christ comme Sauveur. Christ se fait connaître à tous ceux qui ont encore besoin de lui pour le Salut, et l’acceptation de lui est invitée sur tous. Nul n’est condamné à l’enfer sans être soumis à ce test, et seulement ils sont condamnés qui résistent à cette offre de grâce. L’État éternel de l’homme ne sera pas irrévocablement fixé jusqu’au jour du jugement. La décision prise entre la mort et la résurrection décidera, si on sera enregistré ou non. Le principe fondamental sur lequel repose cette théorie, est qu’aucun homme ne périra sans avoir reçu d’offre une occasion favorable pour connaître et accepter Jésus. L’homme est condamné uniquement pour le refus obstiné d’accepter le Salut offert en Jésus Christ. Les opinions diffèrent, cependant, les personnes à qui l’occasion gracieuse d’accepter Christ sera offert dans l’état intermédiaire. L’opinion générale est qu’il sera certainement étendue à tous les enfants qui meurent en bas âge et aux païens adultes qui, dans cette vie, n’ont pas entendu parler de Christ. La majorité détiennent qu’il sera encore accordée à ceux qui vivaient dans les terres chrétiennes, mais dans cette vie présente jamais considéré les revendications du Christ. Encore une fois, il y a grande diversité d’opinions quant à l’Agence et les méthodes par lesquelles cette œuvre de Salut sera distribuée à l’avenir. Par ailleurs, si certains divertissent le plus grand espoir quant à l’issue des travaux, d’autres sont moins optimistes dans leurs attentes.

2. LE FONDEMENT SUR LEQUEL REPOSE CETTE DOCTRINE. Cette théorie est fondée en partie sur des considérations générales de ce qui pourrait être attendu de l’amour et la justice de Dieu et sur un désir facile à comprendre pour faire fonctionner le Miséricordieux du Christ aussi inclusif que possible, plutôt que sur n’importe quel solide fondement scripturaire. Le principal fondement scripturaire pour qu’il se trouve dans I PET. 03:19 et 4:6, qui sont censés enseigner que Christ dans la période entre sa mort et sa résurrection a prêché aux esprits dans l’Hadès. Mais ces passages meubler mais une base précaire, car ils sont capables de tout à fait une interprétation différente. [Cf. surtout Hovey, eschatologie, pp. 97-113 et Vos, Art. Eschatologie du Nouveau Testament dans Bible Standard internationales Encyclopaedia.] Et même si ces passages n’enseignaient que Christ est allé réellement dans le monde souterrain de prêcher, son offre de Salut s’exercerait uniquement dans ceux qui sont morts avant sa crucifixion. Ils se réfèrent également aux passages qui, selon leurs estimations, représentent l’incrédulité comme le seul motif d’une condamnation, comme John 03:18, 36; Marc 16:15, 16; Romains 10:9-12; EP 04:18; II PET. 2:3, 4; J’ai John 4:3. Mais ces passages prouvent seulement que la foi dans le Christ est le chemin du Salut, qui n’est nullement identique à prouver qu’un rejet conscient du Christ est le seul motif de condamnation. Incrédulité est sans aucun doute un grand péché et celui qui se démarque en bonne place dans la vie de ceux à qui le Christ est prêché, mais ce n’est pas la seule forme de révolte contre Dieu, ni le seul motif de condamnation. Hommes sont déjà sous la condamnation quand Christ est offert à eux. D’autres passages, comme Matthieu 13:31, 32; I Corinthiens 15:24-28; et Phil. 2:9-11 sont tout aussi peu concluants. Certains d'entre eux trop prouvent et par conséquent ne prouvent rien.

3. ARGUMENTS CONTRE CETTE DOCTRINE. Les considérations suivantes peuvent être exhortées contre cette théorie: (a) l’écriture représente l’état de mécréants après la mort comme un État fixe. Le passage plus important qui entrent en considération ici est Luc 16:19-31. D’autres passages sont Eccl. 11:3 (d’interprétation incertaine); John 08:21, 24; II Pierre 2:4, 9; Jude (comp 7-13. J’ai PET. 03:19). (b) il représente aussi invariablement le jugement final venir tel que déterminé par les choses qui ont été faites dans la chair et il ne parle jamais de cela comme un lien de dépendance sur ce qui s’est produite dans l’état intermédiaire, Matthieu 07:22, 23; 10:32, 33; 25: 34-46; Luc 12:47, 48; II Corinthiens 5:9, 10; Galates 6:7, 8; II Thess. 1:8; Héb. 09:27. (c) le principe fondamental de cette théorie, qui seulement le rejet conscient du Christ et son Évangile, provoque des hommes à périr, est non scripturaire. L’homme est perdu par nature, et même péché originel, ainsi que tous les péchés réels, le rend digne d’une condamnation. Le rejet du Christ est sans aucun doute un grand péché, mais il n’est jamais représenté comme le seul péché qui mène à la destruction. (d) l’écriture nous enseigne que les gentils périront, Rom. 01:32; 02:12; Apocalypse 21:8. Il n’y a aucune preuve de l’écriture sur lesquels nous pouvons fonder l’espoir que les païens adultes, ou même de gentils enfants qui n’ont pas encore venu à ans d’un pouvoir discrétionnaire seront sauvegardées. (e) la théorie d’une probation future est également calculée d’éteindre tout zèle missionnaire. Si les gentils peuvent décider quant à l’acceptation de Christ à l’avenir, il ne peut qu’apporter un jugement plus rapide et une augmentation à plusieurs, s’ils sont placés devant le choix maintenant. Pourquoi ne pas les laisser dans l’ignorance aussi longtemps que possible ?

QUESTIONS pour étude complémentaire: Est la position défendable que sheol-hades toujours désigne un monde souterrain où que tous les morts vont ? Pourquoi est-ce répréhensible à croire que la Bible dans ses déclarations concernant le shéol et Hadès reflète simplement les notions populaires de la journée ? Nous devons supposer que les justes et les méchants à mort entrer dans une résidence temporaire et provisoire et n’entrez pas à la fois sur leur destinée éternelle ? Dans quel sens est l’état intermédiaire seulement transitoire ? Comment a fait apparaître la notion de purgatoire ? Comment les catholiques conçoivent le feu purgatorial ? C’est le feu simplement purifiant ou aussi pénale ? Quel élément sonore certains luthériens reconnaissent dans la doctrine du purgatoire ? Quel mélange d’hérésies nous répondent avec dans Dawnism millénaire ? L’état intermédiaire, selon l’Ecriture, représente-t-il un troisième aion entre l' aion houtos et le aion ho mellon? Est l’accent biblique sur le présent comme « le jour du Salut » en harmonie avec la doctrine d’une probation future ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV., p. 655-711; Kuyper, Dict. dogme., De Consummatione Saeculi, pp. 25-116; Vos, Geref. Dogme. V, Eschatologie, pp. 3-14; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 713-770; Shedd, dogme . THEOL. II, pp. 591-640; Dabney, syst et trouvailles. THEOL. pp. 823-829; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 548-569; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 392-407; Pieper, Christl. Dogme. III, p. 574-578; Miley, Syst. Theol. II, pp. 430-439; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., p. 385-391; Schaff, nos pères' foi et le nôtre, pp. 412-431; Ligne, châtiment futur, pp. 348-404; Shedd, Doctrine de châtiment sans fin, pp. 19-117; Roi, futur châtiment; Morris, y at-il Salut après la mort? Hovey, eschatologie, pp. 79-144; Dahle, vie après la mort, p. 118-227; Salmond, Chr. Doct. d’immortalité, cf. Index; Mackintosh, l’immortalité et l’avenir, p. 195-228; Addison, la vie au-delà de la mort, p. 200-214; De Bondt, Wat Leert Het Oude Testament Aangaande sa Leven Na Dit Leven? p. 40-129; Kliefoth, Christl. Eschatologie, pp. 32-126.

 

Eschatologie générale

I. la seconde venue du Christ

Tandis que les prophètes ne distinguent pas clairement une double venant du Christ, le Seigneur lui-même et les apôtres rendent tout à fait clair que la première venue sera suivie d’une seconde. Jésus visé à son retour de plus d’une fois vers la fin de son ministère public, Matthieu 24:30; 25: 19, 31; 26:64; John 14:3. Au moment de son ascension anges a souligné son futur retour, actes 01:11. En outre, les apôtres parlent de lui dans les nombreux passages, actes 03:20, 21; Phil. 03:20; I Thessaloniciens 04:15, 16; II Thess. 1:7, 10; Tite 02:13; Héb. 09:28. Plusieurs termes sont utilisés pour désigner ce grand événement, dont voici les plus importants: (1) apocalupsis (dévoilement), qui pointe vers la suppression de ce qui entrave désormais notre vision du Christ, j’ai Cor. 1:7; II Thess. 1:7; I Pierre 1:7, 13; 04:13; (2) epiphaneia (apparition, manifestation), un terme qui fait référence à du Christ sortant de suite un fond caché avec les riches bénédictions de Salut, II Thess. 2:8; J’ai Timothée 06:14; II Timothée 4:1, 8; Tite 02:13; et (3) parousie (présence de lit.), qui pointe à l’entrée qui précède la présence ou se traduit par la présence, Matthieu 24:3, 27, 37; I Corinthiens 15:23; I Thessaloniciens 02:19; 03:13; 04:15; 05:23; II Thess. 2:1-9; Jac. 5:7, 8; II Pierre 01:16; 3:4, 12; J’ai John 02:28.

A. LE SECOND AVÈNEMENT UN ÉVÉNEMENT UNIQUE.

Les Dispensationalistes aujourd'hui distinguent un venue future double du Christ, bien qu’ils cherchent parfois à préserver l’unité de l’idée de la seconde venue en parlant de ces deux aspects de ce grand événement. Mais étant donné que ces deux sont en réalité représentée comme deux événements différents, séparés par une période de plusieurs années, chacune ayant un but des siens, ils peuvent difficilement être considérés comme un seul événement. Le premier d'entre eux est la parousie ou tout simplement « l’entrée » et se traduit par l’enlèvement des saints, parfois représenté comme un ravissement secret. Cette venue est imminente, autrement dit, il peut se produire à tout moment, puisqu’il n’y a aucun événement prévu qui doit précéder son occurrence. L’opinion dominante est que Christ ne vient pas sur terre en ce moment, mais demeure dans la haute atmosphère. Ceux qui meurent dans le Seigneur sont ressuscités d'entre les morts, les saints vivants sont transfigurés et ensemble ils sont pris pour rencontrer le Seigneur dans les airs. D'où cette venue est aussi appelée le « à venir pour ses saints, » j’ai th. 04:15, 16. Elle est suivie d’un intervalle de sept ans, au cours de laquelle le monde est évangélisé, Matthieu 24:14, Israël est reconvertie, Rom. 11:26, de la grande tribulation survient, Matthieu 24:21, 22 et Antichrist ou l’homme de péché sera révélé, II Thess. 2:8-10. Après ces événements, il y a une autre venant du Seigneur avec ses saints, j’ai th. 03:13, qui s’appelle « la révélation » ou « le jour du Seigneur », dans laquelle il Vienne sur terre. Cette entrée ne peut être appelée imminente, car elle doit être précédée de plusieurs événements prédits. Ce Christ venir juge les nations de la vie, Matthieu 25: 31-46 et inaugure le Royaume millénaire. Ainsi, nous avons deux allées distinctes du Seigneur, séparées par une période de sept ans, dont l’un est imminent et l’autre n’est pas, celui est suivie de la glorification des saints et l’autre par le jugement des nations et l’établissement du Royaume. Cette construction de la doctrine de la seconde venue est très pratique pour les dispensationalistes, puisqu’il leur permet de défendre l’opinion que la venue du Seigneur est imminente, mais n’est pas justifiée par l’écriture et qu’il porte en lui les incidences non scripturaires. Dans II Thess. 2:1, 2, 8, les termes parousie et « jour du Seigneur » sont utilisés indifféremment et selon II Thess. 1:7-10 la révélation mentionné dans le verset 7 se synchronise avec la parousie qui apporte la glorification des saints dont le 10e verset parle. Matthieu 24:29-31 représente la venue du Seigneur au cours de laquelle les élus se réunissent comme suit immédiatement après la grande tribulation mentionnée dans le contexte, alors que selon la théorie de l’examen il doit se produire avant la tribulation. Et enfin, selon cette théorie, l’église ne passera pas par la grande tribulation, qui est représenté dans Matthieu 24:4-26 en synchronisation avec la grande apostasie, mais la représentation de l’Ecriture dans Matthieu 24:22; Luc 21:36; II Thess. 2:3; I Timothée 4:1-3; II Timothée 3:1-5; 07:14 est tout à fait différent. Sur la base de l’écriture, il devrait être maintenu que la seconde venue du Seigneur sera un événement unique. Heureusement, certains Premillenarians ne pas d’accord avec cette doctrine d’un double seconde venue du Christ et en parler comme une nouveauté injustifiée. Frost, dit: « il n’est pas généralement connu, et pourtant c’est un fait incontestable que la doctrine d’un ravissement résurrection et leur enlèvement est une interprétation moderne — je suis tenté de dire, une invention moderne. » [La seconde venue du Christ, p. 203.] Selon lui, elle date de la journée d’Irving et Darby. Un autre Premillenarian, à savoir, Alexander Reese, met en place un argument très fort contre cette idée dans son ouvrage sur Le proche avènement de Christ.

B. GRANDS ÉVÉNEMENTS PRÉCÉDANT LA PAROUSIE.

Selon l’Ecriture, plusieurs événements importants doivent avoir lieu avant le retour du Seigneur, et par conséquent il ne saurait être remise imminente. À la lumière de l’écriture, on ne peut soutenir qu’il n’y a aucun événement prévu qui doit encore se passer avant la seconde venue. Comme pourrait s’y attendre compte tenu de ce qui a été dit dans ce qui précède, Frost, malgré son dispensationalisme, rejette la doctrine de l’imminence. Il préfère parler de la venue du Christ comme « imminente ». Prise en charge de la doctrine de l’imminence du retour du Christ se trouve dans les instructions de l’écriture selon laquelle Christ vient après « a très peu de temps, » Héb. 10:37; ou « rapidement, » Apocalypse 22:7; dans les exhortations à regarder et à attendre sa venue, Matthieu 24:42; 25: 13; 16:15; et dans le fait que l’écriture condamne la personne qui dit: « Mon Seigneur tarrieth » (ou « delayeth sa venue »), Matthieu 24:48. Jésus enseigna en effet que sa venue était proche, mais ce n’est pas le même que l’enseignement qu’il était imminente. En premier lieu il faut avoir à l’esprit que lorsqu’il parle de sa venue, il ne pas toujours à l’esprit l’avènement eschatologique. Parfois, il se réfère à sa venue au pouvoir spirituel sur le jour de la Pentecôte; parfois à sa venue au jugement dans la destruction de Jérusalem. En second lieu lui et les apôtres nous enseignent que plusieurs événements importants devaient survenir avant son retour physique au dernier jour, Matthieu 24:5-14,21,22,29-31; II Thess. 2:2-4. Donc il ne pouvait pas très bien considérer et représentent sa venue comme imminente. Il est évident aussi que, quand il a parlé de sa venue plus près, il ne voulait pas dire pour le représenter comme immédiatement à portée de main. Dans la parabole des livres il enseigne que le Seigneur des serviteurs sont venus à compter avec eux « après une longue période », Matthieu 25: 19. Et la parabole des livres a été parlée dans le but de corriger la notion « que le Royaume de Dieu doit apparaître immédiatement, » Luc 19:11. Dans la parabole des dix vierges, l’époux est représenté comme « endormir », Matthieu 25: 5. Ceci est en harmonie avec ce que dit Paul dans II Thess. 2:2. Peter a prédit que les moqueurs seraient poseraient disant: « où est le jour de sa venue ? » Et il enseigne ses lecteurs à comprendre les prédictions de la proximité de la seconde venue du point de vue divin, selon qui un jour est comme mille ans et mille ans sont comme un jour, II Pierre 3:3-9. Pour enseigner que Jésus considère la seconde venue comme immédiatement à portée de main, se faire pour représenter comme erreur, depuis presque deux mille ans aurait déjà écoulé depuis cette époque. Maintenant, la question se pose, comment pouvons-nous être invités à surveiller l’entrée ? Jésus nous enseigne dans Matthieu 24:32, 33, pour surveiller la venue à travers les signes: « quand vous verrez toutes ces choses, sachez qu’il est proche. » En outre, nous ne devons pas interpréter l’exhortation à regarder comme une exhortation à balayer le ciel pour les signes immédiats d’apparition du Seigneur. Nous devrions plutôt voir en elle une exhortation à être éveillé, d’être vigilant, de se préparer, à être actif dans le œuvre du Seigneur, de peur que nous soyons dépassés par une catastrophe soudaine. Les grands événements suivants doivent précéder la venue du Seigneur.

1. LA VOCATION DES GENTILS. Plusieurs passages du Nouveau Testament soulignent le fait que l’Évangile du Royaume doit être prêché à toutes les nations avant le retour du Seigneur, Matthieu 24:14; Marc 13:10; Romains 11:25. Beaucoup de passages témoigne du fait que les gentils entrera dans le Royaume en bon nombre au cours de la nouvelle dispensation, Matthieu 08:11; 13:31, 32; Luc 02:32; Actes 15:14; ROM. 09:24-26; EP 02:11-20 et autres passages. Mais ceux qui sont indiqués ci-dessus renvoient clairement à l’évangélisation de tous les pays comme le but de l’histoire. Maintenant, il le fera difficilement affirmer que l’Évangile a déjà été proclamé parmi tous les peuples, ni que les travaux d’un seul missionnaire dans chacune des nations du monde seraient réunirait toutes les exigences de la déclaration de Jésus. En revanche, il est tout aussi impossible de maintenir que les paroles du Sauveur réclament la prédication de l’Évangile à chaque individu des différents pays du monde. Ils nécessitent, cependant, que ces nations comme des nations doit être soigneusement évangélisé, afin que l’Évangile devient une puissance dans la vie du peuple, un signe qui appelle pour décision. Il doit être prêché leur témoignage, afin qu’il peut dire que l’occasion a été donnée à choisir pour ou contre le Christ et son Royaume. Ces mots impliquent clairement que la grande commission doit être effectuée dans toutes les nations du monde, afin de faire des disciples de toutes les nations, c'est-à-dire parmi les gens de toutes les nations. Ils ne justifient pas l’espoir, toutefois, que toutes les nations seront dans son ensemble accepte l’Évangile, mais seulement qu’il trouve des adhérents dans toutes les nations et sera donc joué un rôle important en apportant dans la plénitude des gentils. À la fin des temps, il sera possible de dire que toutes les nations ont été faites au courant de l’Évangile, et l’Évangile en témoignera contre les nations qui n’a pas accepté.

On comprendra facilement de ce que nous dit dans ce qui précède que les dispensationalistes beaucoup ont tout à fait une vision différente de l’affaire. Ils ne croient pas que l’évangélisation du monde doivent être, ni qu’il sera, terminé avant la Parousie, qui est imminente. Selon eux, il va vraiment commencer à ce moment-là. Ils font remarquer que l’Evangile a indiqué dans Matthieu 24:14 n’est pas l’Évangile de la grâce de Dieu en Jésus Christ, mais l’Évangile du Royaume, qui est tout à fait différent, les bonnes nouvelles que le Royaume est une fois de plus à portée de main. Après que l’église a été retirée de cette scène terrestre, et avec lui l’Esprit Saint demeure est allé — qui signifie vraiment, après les conditions de l’ancien Testament ont été restaurées —, puis l’Évangile avec lequel Jésus commença son ministère va à nouveau être prêché. Il va être prêché dans un premier temps par ceux qui ont été convertis par tout enlèvement de l’église, par la suite peut-être par Israël converti et un messager spécial,[Blackstone, Jésus revient, p. 233.] ou, en particulier au cours de la grande tribulation, par le croyant reste d’Israël. [Bible Scofield, p. 1033,1036; Rogers, la fin dès le début, p. 144; Feinberg, pré-millénarisme ou amillénnialisme, pp. 134 135.] Cette prédication sera merveilleusement efficace, beaucoup plus efficace que la prédication de l’Évangile de la grâce de Dieu. C’est durant cette période que les 144,000 et la grande multitude que personne ne peut dénombrer d’Apocalypse 7 seront convertis. Et de cette façon la prédiction de Jésus dans Matthieu 24:14 seront remplies. Nous rappelons que cette construction est celui qui les Premillenarians plus âgés n’a pas accepté, qui est aujourd'hui encore rejetée par certains Premillenarians de nos jours. et qui certainement ne pas recommande lui-même à nous. La distinction entre un Évangile de double et un double seconde venue du Seigneur est intenable. L’Évangile de la grâce de Dieu en Jésus Christ est le seul évangile qui sauve et qui donne entrée au Royaume de Dieu. Et il est absolument contraire à l’histoire de la révélation, qu’une inversion aux conditions de l’ancien Testament, notamment l’absence de l’église et de l’Esprit Saint demeure, devrait être plus efficace que la prédication de l’Évangile de la grâce de Dieu en Jésus Christ et le don du Saint-Esprit.

2. LA CONVERSION DE LA PLEROMA D’ISRAËL. L’ancien et le Nouveau Testament parlent d’une conversion future d’Israël, Zacharie 12:10; 13:1; II Corinthiens 03:15, 16 et Rom. 11:25-29 semble pour ce connecter avec la fin des temps. Premillennialists ont exploité cette doctrine scripturaire pour leur usage particulier. Ils soutiennent qu’il y aura une restauration nationale et la conversion d’Israël, que le juif nation sera rétablie en Terre Sainte, et que cela va prendre placent précédant ou pendant le règne millénaire de Jésus Christ. Il est très douteux, toutefois, si l’écriture justifie l’espoir qu’Israël sera finalement rétabli en tant que nation et sera comme une nation se tournent vers le Seigneur. Certaines prophéties de l’ancien Testament semblent prédire cela, mais celles-ci doivent être lues à la lumière du Nouveau Testament. Le Nouveau Testament justifie-t-il l’attente d’une future restauration et la conversion d’Israël comme une nation ? Ce n’est pas enseigné ni même nécessairement implicite dans ces passages comme Matthieu 19:28 et Luc 21:24, qui sont souvent cités en sa faveur. Le Seigneur a parlé très clairement de l’opposition des Juifs à l’esprit de son Royaume et de la certitude qu’ils, qui pourrait en quelque sorte être appelés enfants du Royaume, perdraient leur place dans ce document, Matthieu 08:11, 12; 21:28-46; 22:1-14; Luc 13:6-9. Il informe les méchants Juifs que le Royaume est dépossédé et donné à une nation enfanter les fruits, Matthieu 21:43. Et même quand il parle des corruptions qui, en cours de temps, vont s’insinuer dans l’église, il rencontre des troubles, et de l’apostasie qui s’ensuivra Enfin, il ne pas allusion à tout rétablissement éventuel et la conversion du peuple juif. Ce silence de Jésus est très important. Maintenant, on peut penser que Rom. 11:11-32 enseigne certainement la transformation future de la nation d’Israël. De nombreux commentateurs adoptent ce point de vue, mais même sa justesse est soumise à un doute considérable. Dans les chapitres 9-11, l’Apôtre aborde la question, comment les promesses de Dieu à Israël peuvent être conciliées avec le rejet de la plus grande partie d’Israël. Il souligne tout d’abord dans les chapitres 9 et 10 qui la promesse s’applique, non à Israël selon la chair, mais à l’Israël spirituel; et en second lieu que Dieu a toujours ses élus parmi Israël, qu’il y a parmi eux encore un reste d’après l’élection de la grâce, 11:1-10. Et même le durcissement de la plus grande partie d’Israël n’est pas la fin définitive de Dieu, mais plutôt un moyen dans la main pour apporter le salut aux païens, afin que ceux-ci, à leur tour, de profiter des bienfaits du Salut, peuvent provoquer Israël à la jalousie. Le durcissement d’Israël sera toujours seulement partiel, pour tous au cours des siècles suivants il y aura toujours certains qui acceptent le Seigneur. Dieu continue à rassembler ses élu vestige hors les Juifs au cours de la toute nouvelle dispensation, jusqu'à ce que la plénitude (pleroma, autrement dit, le nombre des élus) des païens soit entrée et tout donc (de cette manière) Israël (son pleroma, c'est-à-dire la nombre total de vrais Israélites) est sauvé. « Tout Israël » doit s’entendre comme une désignation, pas l’ensemble de la nation, mais le nombre de l’ensemble des élus du peuple de l’ancienne Alliance. Premillenarians prendre le verset 26 pour signifier que, après que Dieu a terminé son dessein avec les païens, la nation d’Israël sera sauvée. Mais l’Apôtre a dit au début de son analyse que les promesses ont été pour l’Israël spirituel; Il n’y a aucune preuve d’un changement de la pensée dans la section intermédiaire, afin que cela viendrait comme une surprise à 11:26; et l' adverbe houtos ne peut signifier « après cela », mais que « de cette façon. » Avec la plénitude des gentils, la plénitude d’Israël viendra aussi en.

3. LA GRANDE APOSTASIE ET LA GRANDE TRIBULATION. Ces deux peuvent être mentionnés ensemble, car ils sont imbriqués dans le discours eschatologique de Jésus, Matthieu 24:9-12, 21-24; Marc 13:9-22; Luc 21:22-24. Les paroles de Jésus a sans doute trouvent un accomplissement partiel dans les jours précédant la destruction de Jérusalem, mais évidemment auront un autre accomplissement à l’avenir dans une tribulation dépassant de loin tout ce qui a été vécue, Matthieu 24:21; Marc 13:19. Paul parle aussi de la grande apostasie dans II Thess. 2:3; I Timothée 4:1; II Timothée 3:1-5. Déjà vu quelque chose de cet esprit d’apostasie à son époque, il veut clairement faire comprendre à ses lecteurs qu’il utilisera beaucoup plues propcrtions dans les derniers jours. Ici encore dispensationalistes aujourd'hui diffèrent de nous. Ils ne considèrent pas la grande tribulation comme un précurseur de la venue du Seigneur (la parousie), mais pense qu’il va suivre « l’entrée », et que par conséquent l’église ne passera pas à travers la grande tribulation. L’hypothèse est que l’église va être « caught up, » pour être avec le Seigneur, avant que la tribulation avec toutes ses terreurs ne rattrape les habitants de la terre. Ils préfèrent parler de la grande tribulation comme « le jour des détresses de Jacob, » puisqu’il sera un jour de grande détresse pour Israël, plutôt que pour l’église. Mais les motifs dont ils présenter ce point de vue ne sont pas très convaincant. Certains d'entre eux dérivent toute la force qu’ils ont de leur propre notion préconçue d’un double seconde venue du Christ et par conséquent aucun sens pour ceux qui sont convaincus qu’il n’est aucun élément de preuve pour une telle double à venir dans l’écriture. Jésus a certainement mentionne la grande tribulation comme l’un des signes de sa venue et de la fin du monde, Matthieu 24:3. C’est de cette venue (parousie) qu’il s’exprime tout au long de ce chapitre, il ressort de l’utilisation répétée du mot parousia, versets 3,37,39. Seulement, il est raisonnable de supposer qu’il s’exprime de la même venir au verset 30, une entrée qui, selon le verset 29, suivra immédiatement après la tribulation. Cette tribulation affectera également les élus: ils seront en danger d’être dévoyées, Matthieu 24:24; pour eux que les jours d’agonie seront raccourcies, verset 22; ils seront rassemblés hors de toutes parts du monde lors de la venue du fils de l’homme; et ils sont encouragés à rechercher quand ils voient ces choses arrivera, car leur rédemption approche, Luc 21:28. Il n’y a aucun mandat pour limiter les élus pour les élus d’Israël, comme le font les Premillenarians. Paul représente clairement la grande apostasie comme précédant le second avènement, II Thess. 2:3, et rappelle à Timothy du fait que grievous fois viendra dans les derniers jours, j’ai Timothée 4:1, 2; II Timothée 3:1-5. À 07:13, 14 saints du ciel sont censés sont sortis de la grande tribulation, et dans Apocalypse 6:9, nous trouvons ces saints de prier pour leurs frères, qui étaient toujours victimes de persécution. [Pour plus de défense de la position selon laquelle l’église traversera la tribulation, nous renvoyons aux œuvres de deux Premillenarians, nommément. Frost, la seconde venue du Christ, pp. 202-227; Reese, l’approche avènement du Christ, pp. 199-224.]

4. LA RÉVÉLATION DE LA VENUE DE L’ANTÉCHRIST. terme antichristos se trouve uniquement dans les épîtres de Jean, à savoir, en I Jean 02:18, 22; 4:3; John II 7. Selon la forme du mot est concernée, il peut décrire (a) celui qui prend la place du Christ; puis « anti » est prise dans le sens de « au lieu de »; ou (b) celui qui, tout en assumant le couvert du Christ, s’oppose à lui; puis « anti » est utilisé dans le sens de « contre ». Celle-ci n’est plus en harmonie avec le contexte dans lequel le mot se produit. Du fait que Jean utilise le singulier à 02:18 sans l’article, il est évident que le terme « antichrist » était déjà considéré comme une dénomination technique. On ne sait pas, si John en utilisant le singulier avait en tête un Antéchrist primordiale, dont les autres auxquelles il se réfère étaient simplement des signes avant-coureurs ou précurseurs, ou simplement censé incarner le principe inscrit dans plusieurs antéchrists, le principe du mal qui milite contre le Royaume de Dieu. Antéchrist représente-t-il clairement un certain principe, I Jean 4:3. Si nous gardons cela à l’esprit, nous allons aussi réaliser que, bien que John est le premier à utiliser le « antichrist » de terme, le principe ou l’esprit a indiqué qu’elle n’est clairement mentionné dans les écrits antérieurs. Comme il y a dans l’écriture un développement marqué clairement dans la délimitation du Christ et du Royaume de Dieu, ainsi il est aussi une révélation progressive de l’Antéchrist. Les représentations diffèrent, mais augmentent de la précision à mesure que progresse la révélation de Dieu.

Dans la plupart des prophètes de l’ancien Testament, nous voyons le principe de l’iniquité dans l’Organisation des nations impies qui se montrent hostiles à Israël et sont jugées par Dieu. Dans la prophétie de Daniel, nous trouvons quelque chose de plus précis. Le langage utilisé il meublé bon nombre des caractéristiques de la description de Paul de l’homme de péché dans II Thessaloniciens. Daniel trouve le principe méchant, impie, incorporé dans la « petite corne », Dan. 7:8, 23-26 et il décrit très clairement à 11:35 ff. Ici encore l’élément personnel n’est pas tout à fait désireux, bien qu’il n’est pas tout à fait certain que le Prophète est la pensée de certains roi particulier, nommément Antioche Épiphane, en tant que type de l’Antéchrist. La venue du Christ naturellement elle appelle ce principe son spécifiquement anti- formechrétienne et Jésus il représente telle qu’incarnée par différentes personnes. Il parle de pseudoprophetai et pseudochristoi, qui prennent position contre lui et son Royaume, Matthieu 07:15; 24:5, 24; Marc 13:21, 22; Luc 17:23. Afin de corriger la conception erronée des Thessaloniciens, Paul attire l’attention sur le fait que le jour du Seigneur ne peut pas venir, « sauf que l’apostasie vient en premier, et l’homme de péché soit révélé, le fils de la perdition. » Il décrit cet homme de péché que « celui qui oppose et s’élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou adoré; alors qu’il est assis dans le temple de Dieu, présentant lui-même comme Dieu, » j’ai Thess. 2:3, 4. Cette description nous rappelle naturellement de Dan. 11:36 et suiv. et clairement les points à l’Antéchrist. Il n’y a aucune raison pour laquelle il doute de l’identité de l’homme du péché, dont parle Paul, et l’Antéchrist mentionnées par Jean. L’Apôtre voit le « mystère de l’iniquité » déjà au travail, mais assure à ses lecteurs que l’homme du péché ne peut pas sortir jusqu'à ce que qui (ou, « il qui ») restraineth provient de la route. Lorsque cet obstacle, peut être quelque chose comme ça (il est diversement interprété), est enlevé, il se produira « dont la venue est selon le travail de Satan avec tout pouvoir et signes et prodiges mensongers, » les versets 7-9. Dans ce chapitre, l’élément personnel est présupposée dans l’ensemble. Le livre de la révélation trouve le principe anti-chrétienne ou le pouvoir dans les deux bêtes à venir de la mer et la terre, Apocalypse 13. Le premier est généralement pensé pour désigner les gouvernements, les pouvoirs politiques ou certains monde-empire; la seconde, mais pas avec la même unanimité, à la fausse religion, fausse prophétie et fausse science, en particulier les deux premiers. Cet adversaire, ou principe adverse, John dans ses épîtres appelle enfin « Antichrist ».

Historiquement, il y a eu des opinions différentes concernant l’Antéchrist. Dans l’ancienne église a beaucoup soutenu que l’Antéchrist serait juif, se faisant passer pour le Messie et au pouvoir à Jérusalem. De nombreux commentateurs récents sont d’avis que Paul et autres à tort qu’un empereur romain serait Antéchrist, et que John avait manifestement Nero à l’esprit à 13:18, puisque les lettres dans les mots Hébreux pour « empereur Nero » sont exactement équivalents à 666 , 13:18. Depuis l’époque de la réforme, beaucoup, parmi lesquels réformé aussi savants, regardés sur la Rome papale et parfois même sur certains pape particulière, comme l’Antéchrist. Et la papauté en effet révèle plusieurs traits de l’Antéchrist, comme il est décrit dans les Ecritures. Il le fera encore guère pour l’identifier avec l’Antichrist. Il est préférable de dire qu’il y a des éléments de l’Antéchrist à la papauté. Positivement, nous pouvons seulement dire: (a) que le principe anti-chrétien était déjà à le œuvre dans les jours de Paul et John selon leur propre témoignage; (b) qu’il atteindra sa puissance la plus élevée vers la fin du monde; (c) que Daniel photos politique, Paul l’ecclésiastique et Jean dans le livre de l’Apocalypse les deux côtés de celui-ci: les deux peuvent être des révélations successives du pouvoir anti-chrétien; et (d) que sans doute ce pouvoir sera enfin concentré dans un seul individu, l’incarnation de toute méchanceté.

La question du caractère personnel de l’Antéchrist est toujours un sujet de débat. Certains soutiennent que les expressions « Antéchrist », « l’homme du péché, le fils de perdition, » et les chiffres dans Daniel et l’Apocalypse sont simplement des descriptions du principe impie et anti-chrétienne, qui se manifeste dans l’opposition du monde vers Dieu et son Royaume, tout au long de toute l’histoire de ce Royaume, une opposition parfois faible, parfois plus fort, mais plus forte vers la fin des temps. Ils ne regardent pas pour n’importe quel un Antéchrist personnelle. D’autres estiment qu’il est contraire à l’écriture pour parler de l’Antéchrist simplement comme une puissance abstraite. Ils soutiennent qu’une telle interprétation ne fait pas justice aux données de l’écriture, qui parle, non seulement d’un esprit abstrait, mais aussi des personnes réelles. Selon eux « Antichrist » est un concept collectif, la désignation d’une succession de personnes, qui manifeste un esprit impie ou anti-chrétiens, comme les empereurs romains qui ont persécuté l’église et les papes qui se livrent à un travail semblable de persécution. Ils ne pensent même pas d’un Antéchrist personnels qui sera en lui-même la concentration de toute méchanceté. L’opinion plus générale dans l’église, cependant, qui est en dernière analyse, le terme « Antichrist » désigne une personne eschatologique, qui sera l’incarnation de toute méchanceté et représente donc un esprit qui est toujours plus ou moins présent dans le monde, et qui a plusieurs précurseurs ou les types dans l’histoire. Cette opinion a prévalu dans l’église primitive et semble être le point de vue scripturaire. On peut dire ce qui suit en faveur il: (a) la délimitation de l’Antéchrist dans Dan. 11 est plus ou moins personnelle et peut faire référence à une personne définie comme un type de l’Antéchrist. (b) Paul parle de l’Antichrist comme « l’homme du péché » et « le fils de perdition ». En raison de l’étrange hébreu utilisation des termes « homme » et « fils », ces expressions en soi peuvent ne pas être concluantes, mais le contexte favorise clairement l’idée personnelle. Il s’oppose, s’érige en Dieu, a une révélation définitive, est le seul sans foi ni loi et ainsi de suite. (c) tandis que Jean parle de plusieurs antéchrists déjà présent, il parle aussi de l’Antichrist, au singulier comme celui qui est encore à venir dans le futur, j’ai John 02:18. élément (d) même dans l’Apocalypse, où la représentation est largement symbolique, le personnel ne manque pas, comme, par exemple à 19:20, qui parle de l’Antichrist et son subordonné comme étant jeté dans l’étang de feu. Et (e) comme Christ est une personne, ce n’est que naturel de penser qu’Antéchrist sera également une personne.

5. SIGNES ET DES PRODIGES. La Bible parle de plusieurs signes qui seront des signes avant-coureurs de la fin du monde et de la venue du Christ. Il mentionne (un) des guerres et des rumeurs de guerres, des famines et des tremblements de terre en divers lieux, que l'on appelle le début du travail, le travail, en quelque sorte, de la Renaissance de l’univers au moment de la venue du Christ; (b) la venue de faux prophètes, qui seront égarent beaucoup, et de faux Christs, qui montreront de grands signes et des prodiges pour induire en erreur, si possible, même les élus; et (c) de peur présages dans le ciel avec soleil, lune et étoiles, quand les puissances des cieux seront ébranlées, Matthieu 24:29, 30; Marc 13:24, 25; Luc 21:25, 26. Puisque certains de ces signes sont d’un genre qui se produisent à plusieurs reprises dans l’ordre naturel des événements, la question se pose naturellement de quelle manière ils peuvent être reconnus comme des signes de la fin. L’attention est généralement appelée sur le fait qu’ils différeront d’incidents antérieurs dans l’intensité et l’étendue. Mais, bien sûr, cela ne satisfait pas entièrement, car ceux voir ces signes ne sait jamais, si il y avoir aucune autre indication, si les signes dont ils sont témoins n’a pas peuvent être suivis d’autres signes d’une plus grande étendue et l’intensité. Donc attention doit également être appelée sur le fait qu’il y aura, lorsque la fin est proche, une remarquable combinaison de tous ces signes, et que les événements naturels seront accompagnées de phénomènes surnaturels, Luc 21:25, 26. Jésus dit: « quand vous verrez toutes ces choses, savoir qu’il est proche, même aux portes. » Matthieu 24:33.

C. LA PAROUSIE OU LA SECONDE VENUE ELLE-MÊME.

Immédiatement après les présages de citer « le signe du fils de l’homme doit être vu en venant sur les nuées du ciel, » Matthieu 24:30. À cet égard noter les points suivants:

1. LE TEMPS DE LA SECONDE VENUE. L’heure exacte de l’avènement du Seigneur est inconnue, Matthieu 24:36 et toutes les tentatives des hommes, à savoir la date exacte s’est avérée erroné. La seule chose que l'on puisse dire avec certitude, sur la base de l’écriture, est qu’il reviendra à la fin du monde. Les disciples demandèrent au Seigneur. « Ce qui sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ? » Matthieu 24:3. Ils le lien entre les deux, et le Seigneur ne pas intime en quelque sorte que c’est une erreur, mais plutôt suppose la justesse de celui-ci, dans son discours. Il représente les deux comme synchroniser dans Matthieu 24:29-31,35-44: COMP. Matthieu 13:39, 40. Pierre et Paul parlent aussi des deux comme coïncidant, I Cor. 15:23. 24; II Pierre 3:4-10. Une étude des concomitants de la seconde venue aboutit au même résultat. La résurrection des saints sera l’un de ses concomitants, I Cor. 15:23, j’ai th. 04:16, et Jésus nous assure qu’il suscitera eux au dernier jour, John 06:39, 40.44, 54. Selon Thayer, Cremer-Koegel, Walker, Salmond, Zahn et d’autres, cela ne peut signifier le jour de la consommation, — la fin du monde. Un autre de ses concomitants sera le jugement du monde, Matthieu 25: 31-46, en particulier l’arrêt des méchants, II Thess. 1:7-10, qui Premillenarians lieu à la fin du monde. Et, enfin, elle réalisera également avec elle la restauration de toutes choses, actes 03:20, 21. La forte expression de « rétablissement de toutes choses » est trop forte pour faire référence à rien de moins que la restauration parfaite de cet état de choses qui existaient avant la chute de l’homme. Il pointe vers la restauration de toutes choses dans leur état, et cela ne sera pas trouvé dans le Millénaire des Premillenarians. Même péché et la mort continuera de tuer leurs victimes au cours de cette période. [Cf. Thayer, Cremer-Koegel, Weiss, Théol. Bib. du N. T., p. 194, note.] Comme l’a souligné dans ce qui précède, plusieurs choses doivent se produire avant le retour du Seigneur. Cela doit garder à l’esprit à la lecture de ces passages qui parlent de la venue du Seigneur ou le dernier jour de plus près, Matthieu 16:28; 24:34; Hébreux 10:25; Jac. 5:9; J’ai PET. 4:5; J’ai John 02:18. Ils trouvent leur explication en partie dans le fait que, considérés comme du côté de Dieu, avec qui un jour est comme mille ans et mille ans sont comme un jour, l’entrée est toujours près de; en partie dans la représentation biblique de l’époque du Nouveau Testament comme constituant le dernier jours ou la dernière fois; en partie dans le fait que le Seigneur en parlant de son prochain ne pas toujours avoir à l’esprit son retour physique à la fin des temps, mais peut faire référence à sa venue à l’Esprit Saint; et en partie dans la perspective prophétique caractéristique, dans lequel aucune distinction claire n’est faite entre l’entrée immédiate du Seigneur dans la destruction de Jérusalem et de sa venue définitive pour juger le monde. Sectaries ont souvent fait la tentative de fixer l’heure exacte de la seconde venue, mais ces tentatives sont toujours illusoires. Jésus dit explicitement: « Mais de ce jour et l’heure connaît personne, ne pas même les anges des cieux, ni le fils, mais le père seul, » Matthieu 24:36. L’instruction concernant le fils probablement signifie que cette connaissance ne figurait pas dans la révélation qui lui comme médiateur devait apporter.

2. LES MODALITÉS DE LA SECONDE VENUE. Les points suivants méritent l’accent ici:

a. il sera une entrée personnelle. Ceci découle de la déclaration des anges aux disciples sur le Mont de l’Ascension: « Ce Jésus, qui a été reçu de votre part dans le ciel, alors viendra de la même manière qu’ye virent lui va au ciel, » actes 01:11. La personne de Jésus a été en les laissant, et la personne de Jésus reviendra. Dans le système de nos jours il n’y a pas de place pour un personnel de modernisme retour de Jésus-Christ. Douglas Clyde Macintosh voit le retour du Christ dans « la domination progressive des individus et la société par les principes moraux et religieux du christianisme essentiel, c'est-à-dire par l’esprit du Christ ». [Théologie comme une Science empirique, p. 213.] William Newton Clarke dit: « aucun retour visible du Christ sur terre ne doit être prévu, mais plutôt l’avance longue et régulière de son Royaume spirituel.... Si notre Seigneur sera mais compléter l’entrée spirituelle qu’il a commencé, il n’y aura aucun besoin d’un avènement visible à rendre parfait sa gloire sur la terre. » [Aperçu de la théologie chrétienne, p. 444.] Selon William Adams Brown « non pas par une catastrophe brutale, il peut être, comme dans l’espérance chrétienne au début, mais par la méthode plus lente et plus sûre de conquête spirituelle, l’idéal de Jésus doit encore gagner l’assentiment universel qu’elle mérite, et son esprit dominent le monde. C’est la vérité qui symbolise la doctrine du second avènement. » [La théologie chrétienne dans l’esquisse, p. 373.] Walter Rauschenbusch et Shailer Mathews parlent en des termes similaires de la seconde venue. Tout le monde, ils interprètent les descriptions rougeoyantes de la seconde venue du Christ comme des représentations figuratives de l’idée que l’esprit du Christ sera une influence croissante, omniprésente dans la vie du monde. Mais il va sans dire que ces représentations ne font pas justice aux descriptions trouvées dans ces passages, comme actes 01:11; 03:20, 21, Matthieu 24:44; I Corinthiens 15:22; Phil. 03:20; Colossiens 3:4; I Thessaloniciens 02:19; 03:13; 04:15-17; II Timothée 4:8; Tite 02:13; Héb. 09:28. Modernistes reconnaître quand ils parlent de ces derniers comme représentant la juive ancienne façon de penser. Ils ont une lumière nouvelle et meilleure sur le sujet, mais c’est une lumière qui pousse plutôt dim étant donné les événements du monde d’aujourd'hui.

b. ce sera une entrée physique. Que le retour de l’Éternel sera physique découle de ces passages comme actes 01:11; 03:20, 21; Héb. 09:28; Apocalypse 1:7. Jésus reviendra sur terre dans le corps. Il y a certains qui identifient l’entrée prévue du Seigneur avec son spirituel à venir le jour de la Pentecôte et comprendre la parousie pour signifier la présence du Seigneur spirituelle dans l’église. Selon leur représentation le Seigneur a fait revenir dans l’Esprit Saint le jour de la Pentecôte et est désormais présent (d'où parousie) dans l’église. Ils mettre un accent particulier sur le fait que le mot parousia signifie présence. [Cette interprétation se trouve dans le La parousie du Christde Warren et dans le de J. M. Campbell La seconde venue du Christ.] Maintenant, il est évident que le Nouveau Testament parle d’une spirituelle venue du Christ, Matthieu 16:28; John 14:18, 23; 03:20; mais cette venue, que ce soit à l’église le jour de la Pentecôte ou à l’individu dans son renouveau spirituel, gal 01:16, ne peut être identifiée avec ce que la Bible représente comme la seconde venue du Christ. Il est vrai que le mot parousia: présence, mais Vos Dr correctement fait remarquer que, dans son usage religieux eschatologique, cela signifie également arrivée, et que, dans le Nouveau Testament, l’idée d’arrivée est dans la au premier plan. En outre, il faut avoir à l’esprit qu’il existe des autres termes dans le Nouveau Testament, qui servent à désigner le second avènement, nommément apokalupsis, epiphaneiaet phanerosis, chacun de qui pointe vers une entrée qui peut être vu. Et, enfin, il ne faut pas oublier que les épîtres se réfèrent à la seconde venue à plusieurs reprises comme un événement qui est encore à venir, Phil. 03:20; I Thessaloniciens 03:13; 04:15, 16; II Thess. 1:7-10; Tite 02:13. Cela ne cadre pas avec l’idée que l’arrivée était déjà un événement du passé.

c. il sera une entrée visible. Ceci est intimement liée à la précédente. On peut dire que, si la venue du Seigneur sera physique, il sera également visible. Cela semble suivre comme une évidence, mais les Russellites ou Autoristes Millénaire ne semblent pas à le croire. Ils soutiennent que le retour du Christ et l’inauguration du Millénaire s’est déroulée invisible en 1874, et que le Christ est venu au pouvoir en 1914 dans le but de retirer de l’église et en renversant les royaumes du monde. Lorsque l’année 1914 passe sans l’apparition du Christ, ils ont cherché un moyen d’échapper à la difficulté de la théorie pratique qu’il est resté dans la clandestinité, parce que les gens ne manifestent pas de repentance suffisante. Christ est venu, donc et est venu de manière invisible. L’écriture ne nous laisse pas dans le doute, cependant, quant à la visibilité du retour du Seigneur. Nombreux passages témoignent, comme Matthieu 24:30; 26:64; Marc 13:26; Luc 21:27; Actes à 01:11; Colossiens 3:4; Tite 02:13; Héb. 09:28; Apocalypse 1:7.

d. il sera une entrée soudaine. Bien que la Bible nous enseigne d’une part que la venue du Seigneur sera précédée par plusieurs signes, il enseigne en revanche de manière tout aussi énergique que l’avènement se fera soudaine, sera plutôt inattendue et aura les gens par surprise , Matthieu 24:37-44; 25: 1-12; Marc 13:33-37; I Thessaloniciens 5:2, 3; Apocalypse 3:3; 16:15. ce n’est pas contradictoire, car les signes prévus ne sont pas de nature à désigner l’heure exacte. Les prophètes souligné certains signes qui précéderaient la première venue du Christ, et pourtant sa venue a eu beaucoup de surprise. La majorité du peuple ne payé aucune attention aux signes que ce soit. La Bible laisse entendre que la mesure de la surprise au second avènement du Christ sera dans une proportion inverse à la mesure de leur vigilance.

e. il sera un glorieux et triomphe à venir. La seconde venue du Christ, bien que personnelle, physique et visible, sera encore très différente de sa première venue. Il ne rentrera pas dans le corps de son humiliation, mais dans un corps glorifié et pour l’habillement royal, Héb. 09:28. Les nuées du ciel sera son char, Matthieu 24:30, les anges son garde du corps, II Thess. 1:7, les archanges ses hérauts. I Thessaloniciens 04:16 et les saints de Dieu son escorte glorieuse, je th. 03:13; II Thessaloniciens. 01:10. Il viendra comme roi des rois et Seigneur des seigneurs, triomphants sur toutes les forces du mal, après avoir mis tous ses ennemis sous ses pieds, I Cor. 15:25; Apocalypse 19:11-16.

3. L’OBJET DE LA SECONDE VENUE. Christ reviendra à la fin du monde vue d’introduire l’âge futur, l’Éternel état de choses, et il fait cela en inaugurant et en complétant deux événements puissants, à savoir, la résurrection des morts et le jugement final, Matthieu 13:49, 50; 16:27; 24:3; 25: 14-46; Luc 09:26; 19:15, 26, 27; Jean 05:25-29; Actes 17:31; Romains 2:3-16; J’ai Cor. 4:5; 15:23; II Corinthiens 05:10; Phil. 03:20, 21; Je th. 04:13-17; II Thess. 1:7-10; 2:7, 8; II Timothée 4:1, 8; II Pierre 03:10-13; Jude 14, 15; Apocalypse 20:11-15; 22:12. dans la représentation habituelle des écritures, comme déjà nous dans ce qui précède, la fin du monde, le jour du Seigneur, la résurrection physique des morts et le jugement final coïncident. Ce grand tournant apportera également la destruction de toutes les forces du mal qui sont hostiles au Royaume de Dieu, II Thess. 2:8; 20:14. Elle peut être mise en doute, si n’importe qui aurait lu les passages pertinents de toute autre manière, si Apoc. 20:1-6 n’a pas été créé par certains comme la norme par laquelle tous le reste du Nouveau Testament doit être interprété. Selon Premillenarians, la seconde venue du Christ servira principalement le but d’établir le règne visible du Christ et ses Saints sur la terre et d’inaugurer le véritable jour du Salut pour le monde. Il s’agira de l’enlèvement, la résurrection des justes, les noces de l’agneau et des jugements sur les ennemis de Dieu. Mais autres résurrections et jugements suivra à divers intervalles, et la dernière résurrection et le jugement final seront séparés de la seconde venue de mille ans. Les objections à ce point de vue bénéficient en partie au cours des précédentes et seront en partie mentionnées dans les chapitres suivants.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Pourquoi ne peut pas le terme parousie simplement être rendu « présence » partout où il se trouve ? Dans quels sens différentes est la Bible parle de la venue du Christ ? Comment devrait-on Matthieu 16:28; 24:34 être interprété ? Le discours de Jésus dans Matthieu 24 parle d’une seule venue ? La doctrine de la restauration nationale des Juifs implique nécessairement la doctrine du Millenium ? Les passages suivants enseignez une telle restauration: Matthieu 23:39; Luc 13:35; 21:24; Actes 3:6, 7 ? Daniel réfère-t-elle à Antioche Épiphane en tant que type de l’Antéchrist dans Daniel 11:36 ff. ? Comment les bêtes de l’Apocalypse 13 sont liées à l’Antéchrist ? Convient à l’homme du péché, dont Paul parle, être identifié avec l’Antichrist ? Quelle est la puissance retenue mentionné au II Thess. 2:6 et 7 ? Les apôtres instruisit que le Seigneur pourrait revenir au cours de leur vie ? Le Nouveau Testament justifie l’idée que l’expression « the end » ou « la fin du monde » signifie simplement « la fin de l’âge » ?

LITTÉRATURE: Bavinck, dogme. IV, pp. 712-753; Kuyper, Dict. dogme., De Consummatione Saeculi, pp. 117-245; Vos. Geref. Dogme. V, Eschatologie, pp. 22-23; ID., Pauline eschatologie, pp. 72-135; Hodge, Syst. Theol. III, p. 790-836; Pieper, Christl. Dogme. III, pp. 579-584; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 407-411. Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 645-657; Strong, Syst. Theol., p. 1003-1015; Pape, Chr. Theol. III, p. 387-397; Hovey, eschatologie, pp. 23-78; Kliefoth, Eschatologie, pp. 126-147, 191-225; Mackintosh. L’immortalité et l’avenir, pp. 130-148; Kennedy, St. Conceptions des dernières choses, pp. 158-193; de Paul Salmond, la Chr. Doct. d’immortalité, pp. 241-251; Snowden, la venue du Seigneur, pp. 123-171.

 

II. vues millénaire

Il y en a certains qui se connectent avec l’avènement du Christ à l’idée d’un millénaire, immédiatement avant ou immédiatement après la seconde venue. Alors que cette idée n’est pas partie intégrante de la théologie réformée, il mérite néanmoins examiner ici, car il est devenu assez populaire dans de nombreux milieux. Théologie réformée ne peut pas se permettre d’ignorer les opinions millénaristes répandue de nos jours, mais il doit définir sa position à l’égard de ceux-ci. Certains de ceux qui s’attendent à un millénaire à l’avenir tenir que le Seigneur reviendra avant le nouveau millénaire et sont donc appelés Premillennialists; mais d’autres pensent que sa seconde venue suivront après le Millénaire et sont donc appelés post-millénaristes. Il existe un grand nombre, cependant, qui ne croire pas que la Bible garantit que l’attente d’un millénaire, et il est devenu habituel de la fin de parler d’eux comme Amillennialists. La vue Amillennial est, comme son nom l’indique, purement négative. Il maintient qu’il n’existe aucun motif suffisant scripturaire pour l’attente d’un millénaire et est fermement convaincu que les faveurs de la Bible l’idée que la dispensation actuelle du Royaume de Dieu sera immédiatement suivi par le Royaume de Dieu dans sa forme de consommé et éternelle. Il est conscient du fait que le Royaume de Jésus Christ est représenté comme un éternel et non comme un royaume temporel, Ésaïe 9:7; Dan. 07:14; Luc 01:33; Hébreux 1:8; 12:28; II Pierre 01:11; 11:15; et que pour entrer dans le Royaume de l’avenir est d’accéder à un éternel État, Matthieu 07:21, 22, à entrer dans la vie, Matthieu 18:8, 9 (cf. le contexte précédent) et d’être sauvés, marquer 10:25, 26. Certains Premillenarians ont parlé de amillénnialisme comme une nouvelle vue et comme l’une des plus récentes nouveautés, mais ce n’est certainement pas en accord avec le témoignage de l’histoire. Le nom est en effet nouveau, mais la vue à laquelle il est appliqué est aussi ancienne que le christianisme. Il avait au moins autant de partisans que Chiliasme parmi les pères de l’église de la deuxième et troisième siècles, censé avoir été l’apogée du Chiliasme. Il a été le point de vue plus largement acceptée, est le seul avis que soit exprimée ou implicite dans les grandes Confessions historiques de l’église, et a toujours, depuis l’opinion répandue dans les milieux réformés.

A. PRÉMILLÉNARISME.

Puisque le pré-millénarisme n’assume pas toujours la même forme, il peut être bien pour indiquer brièvement la forme dont il est généralement admis dans le passé (sans notant toutes sortes d’aberrations), et puis pour suivi cela avec un plus une description détaillée du plus dominant prémillénariste théorie de nos jours.

1. LE PRÉ-MILLÉNARISME DU PASSÉ. L’avis d’Irénée peut être donnée que celle qui correspond le mieux à celle des premiers siècles chrétiens. Le monde actuel durera six mille ans, correspondant aux six jours de la création. Vers la fin de cette période les souffrances et les persécutions de la pieuse volonté augmentent considérablement, jusqu'à ce que finalement l’incarnation de toute méchanceté apparaît en la personne de l’Antéchrist. Après que qu’il a terminé son travail destructeur et a hardiment s’est assis dans le temple de Dieu, Christ apparaîtra dans la gloire céleste et triomphe sur tous ses ennemis. Il sera accompagné par la résurrection physique des saints et l’établissement du Royaume de Dieu sur la terre. La période de félicité millénaire, une durée de mille ans, correspondra jusqu’au septième jour de la création, — le jour de repos. Jérusalem sera reconstruite; la terre donnera ses fruits en abondance riche; et paix et la justice prévaudra. À la fin des mille ans le jugement final s’ensuivra, et une nouvelle création s’affiche, dans laquelle les rachetés vivra pour toujours en présence de Dieu. Dans GENERALITES cette représentation est typique des vues eschatologiques des premiers siècles chrétiens, mais ils doivent différer dans certains détails. Dans tous les siècles suivants et jusqu’au dix-neuvième siècle, pensée millénaire est demeuré sensiblement le même, bien qu’il y a des aberrations étranges dans certains des sectes. Étude continue, cependant, a conduit à la poursuite du développement et à une plus grande clarté dans la présentation de certains de ses détails. Les principales caractéristiques de l’affichage courant peuvent être un peu dit ce qui suit: l’avènement prochain du Christ au monde se trouve à proximité et sera visible, personnelle et glorieux. Il va être précédée, toutefois, certains événements, tels que l’évangélisation de toutes les nations, de la conversion d’Israël, de la grande apostasie et de la grande tribulation et la révélation de l’homme du péché. Sombres et éprouvantes fois sont donc encore en magasin pour l’église, puisqu’elle devra passer par la grande tribulation. La seconde venue sera un événement de grand, unique, exceptionnel et glorieux, mais il sera accompagné par plusieurs autres portant sur l’église, sur Israël et sur le monde. Les saints morts ressusciteront et transfigurée de la vie, et ensemble ils se traduira pour rencontrer le Seigneur qui viennent. Antéchrist et ses alliés méchants seront tués; et Israël, l’ancien peuple de Dieu va se repentir, être sauvé et restauré vers la Terre Sainte. Alors on établira le Royaume de Dieu, prédit par les prophètes, dans un monde transformé. Les païens seront tourneront vers Dieu en abondance et être intégrées dans le Royaume. Une condition de la paix et la justice prévaudra sur toute la terre. Après l’expiration de l’État terrestre de Christ d'entre les morts est ressuscitée; et cette résurrection sera suivie par le jugement dernier et la création d’un nouveau ciel et une nouvelle terre. De manière générale, on peut dire que c’est le type du pré-millénarisme préconisée par des hommes tels que Mede Bengel, Auberlen, Christlieb, Ebrard, Godet, Hofmann, Lange, Stier, Van Oosterzee, Van Andel, Alford, Andrews, Ellicott, Guinness, Kellogg, Zahn, Moorehead, Newton, tranchées et autres. Il va sans dire que ces hommes différaient par certains détails.

2. LE PRÉ-MILLÉNARISME DU PRÉSENT. Au deuxième trimestre du XIXe siècle, une nouvelle forme du pré-millénarisme a été introduite sous l’influence de Darby, Kelly, Trotter et leurs disciples en Angleterre et en Amérique, un pré-millénarisme épousant dispensationalisme. Les nouveaux affichages ont été popularisées dans notre pays notamment par le biais de la Scofield Bible et sont largement diffusés à travers les œuvres des hommes tels que Bullinger, F. W. Grant, Blackstone, gris, argent, Haldeman, les deux Gaebeleins, Brookes, Riley, Rogers et une foule de d’autres. Vraiment, ils présentent une nouvelle philosophie de l’histoire de la rédemption, dans lesquels Israël joue un rôle de premier plan et l’église est mais un intermède. Leur principe directeur invite à diviser la Bible en deux livres, le livre du Royaume et le livre de l’église. Lire leurs descriptions des relations de Dieu avec les hommes il est perdu dans un labyrinthe déroutant des pactes et des dispenses, sans un fil d’Ariane pour donner un guidage sûr. Leur tendance qui sème la discorde se révèle aussi dans leur programme eschatologique. Il y aura deux allées deuxième, deux ou trois (si pas de quatre) résurrections et également trois arrêts. En outre, il y aura aussi deux peuples de Dieu, qui, selon certains, seront éternellement séparés, Israël s’attarder sur la terre et l’église dans le ciel.

Le texte suivant donnera une idée du régime prémillénariste qui jouit de la plus grande popularité aujourd'hui:

a. son point de vue de l’histoire. Dieu traite avec le monde de l’humanité au cours de l’histoire sur la base de plusieurs pactes et selon les principes des sept dispensations différentes. Chaque dispensation est distincte, et chacun d’eux représente un critère différent de l’homme naturel; et puisque l’homme ne respecte pas les tests successifs, chaque dispensation se termine par un jugement. La théocratie d’Israël, fondé sur le Mont Sinaï, occupe une place particulière dans l’économie divine. C’était la forme initiatique du Royaume de Dieu ou le Royaume du Messie et avait son âge d’or à l’époque de David et de Salomon. Dans le sentier d’obéissance, il pourrait ont augmenté dans la puissance et la gloire, mais en raison de l’infidélité du peuple, il a été finalement renversé, et les gens ont été emportés à l’exil. Les prophètes prédit ce renversement, mais a également apporté des messages d’espoir et a soulevé l’espoir que, dans les jours du Messie d’Israël, se tourne vers le Seigneur dans le vrai repentir, le trône de David serait rétabli dans la gloire inégalée et même les gentils partageront les bénédictions du futur Royaume. Mais quand le Messie est venu et a offert d’établir le Royaume, les Juifs n’ont pas montré le repentir requis. Le résultat fut que le roi n’a pas établi le Royaume, mais Israël s’est retiré et est allé dans un pays lointain, Report de la mise en place du Royaume jusqu'à son retour. Avant de quitter la terre, cependant, il a fondé l’église, qui n’a rien en commun avec le Royaume, et dont les prophètes a jamais parlé. La dispensation de la loi rendit pour la dispensation de la grâce de Dieu. Au cours de cette dispense, l’église est recueillie par les Juifs et les non-Juifs et forme le corps du Christ, qui partage désormais à ses souffrances, mais va une fois, comme l’épouse de l’agneau, partager sa gloire. De cette église du Christ n’est pas le roi, mais la tête divine. Elle a la tâche glorieuse de la prédication, pas l’Évangile du Royaume, mais l’Évangile de la grâce libre de Dieu, parmi toutes les nations du monde, de réunir hors d’eux les élus et suite à être un témoignage pour eux. Cette méthode s’avérera être un échec; Il n’affecteront pas les conversions à grande échelle. À la fin de cette dispensation Christ reviendra tout d’un coup et effectuer une conversion beaucoup plus universelle.

b. son eschatologie. Le retour du Christ est imminent maintenant, autrement dit, il peut venir à tout moment, car il n’y a aucun événement prévu qui doit toujours faire précéder. Cependant, sa venue se compose de deux événements distincts, séparés les uns des autres par une période de sept ans. Le premier de ces événements sera la parousie, quand le Christ apparaîtra dans l’air pour répondre à ses saints. Tous les justes morts seront alors ressuscités, et les saints vivants vont être transfigurées. Ensemble, ils seront enlevés dans les airs, célébreront le mariage de l’agneau et seront alors toujours avec le Seigneur. La traduction des saints vivants est appelée «l’enlèvement, » parfois «l’enlèvement secret». Alors que le Christ et son église sont absents de la terre et même le Saint-Esprit habite a disparu avec l’église, il y aura une période de sept ans ou plus, souvent divisée en deux parties, dans lequel plusieurs choses arrivera. L’Évangile du Royaume sera encore une fois être prêché, principalement, semble-t-il, par le croyant reste des Juifs, et les conversions à grande échelle seront traduira, bien que beaucoup continueront toujours à blasphémer Dieu. Le Seigneur commencera à nouveau faire face à Israël, et il sera probablement en ce moment (même si certains disent que ce sera plus tard) converti. Dans la seconde moitié de cette période de sept ans, il y aura un temps de tribulation inégalée, dont la longueur est toujours un sujet de débat. Antéchrist est dévoilé et les coupes de la colère de Dieu seront déversées sur la race humaine. À la fin de la période de sept ans la «révélation» va suivre, c'est-à-dire la venue du Seigneur à la terre, maintenant pas pour mais avec ses saints. Les nations de la vie sont maintenant jugées (Matthieu 25, 31 et suiv.), et les moutons séparent des boucs; les saints qui sont morts pendant la grande tribulation sont ressuscités; Antichrist est détruite; et Satan est lié pendant mille ans. On établira désormais le Royaume millénaire, un Royaume réel visible, terrestre et matériel des Juifs, la restauration du Royaume théocratique, y compris le rétablissement de la royauté Davidique. Dans ce document que les saints régneront avec Christ, les Juifs sont les citoyens naturels et beaucoup de gentils adopté citoyens. On établira le trône du Christ à Jérusalem, qui deviendra aussi à nouveau la place centrale de culte. Le temple sera reconstruit sur le Mont Sion, et l’autel sera à nouveau lattes avec le sang des sacrifices, même d’et intrusion-offrandes pour le péché. Et bien que le péché et la mort prétendra toujours leurs victimes, ce sera un moment de grande fécondité et de prospérité, dans lequel vie des hommes sera prolongée et le désert fleurira comme la rose. Dans ce temps le monde sera rapidement converti, selon certains par l’Évangile, mais selon la majorité, par des moyens totalement différents, tels que la comparution personnelle du Christ, la jalousie suscitée par la bénédiction des saints et surtout grande et terrible jugements. Après le Millénium Satan sera délié pour un peu de temps, et les hordes de Gog et Magog assemblent contre la ville sainte. Les ennemis sont, cependant, dévorés par le feu du ciel et Satan est jeté dans l’abîme, où la bête et le faux prophète ont précédé. Après cette petite saison les méchants morts ressuscitent en hausse et apparaissent en jugement devant le grand trône blanc, Apoc. 20:11-15. Et puis il y aura un nouveau ciel et une nouvelle terre.

c. certaines variations de cette théorie. Premillenarians sont certainement pas tous d’accord quant aux détails de leur schéma eschatologique. L’étude de leur littérature révèle une grande variété d’opinions. Il y a imprécision et incertitude sur de nombreux points, ce qui prouve que leur construction détaillée est de valeur plutôt douteuse. Alors que la majorité de nos jours Premillenarians croire en une règle visible venir de Jésus Christ, même maintenant certains prévoient qu’une règle spirituelle et ne cherchent pas une présence physique du Christ sur la terre. Bien que les mille ans d’Apocalypse 20 sont généralement interprétés littéralement, il y a une tendance de la part de certains à les considérer comme une période de plus ou moins longue durée indéterminée. Certains pensent que les Juifs seront convertis tout d’abord et puis ramenés à la Palestine, alors que d’autres sont d’avis que cet ordre sera inversé. Il y a ceux qui croient que les moyens utilisés pour la conversion du monde seront identiques à celles actuellement utilisées, mais l’opinion dominante est qu’autre moyen sera substitué. Il y a une divergence d’opinion également quant au lieu où les saints ressuscités habitera pendant leur règne millénaire avec le Christ, sur terre ou dans le ciel ou aux deux endroits. Les opinions diffèrent beaucoup, trop, en ce qui concerne la poursuite de la propagation de la race humaine durant le Millenium, le degré du péché qui préséance à ce moment-là et la domination continue de la mort et de nombreux autres points.

3. OBJECTIONS ÀU PRÉ-MILLÉNARISME. Dans la discussion du second avènement il la vue prémillénariste déjà subit particulièrement rigoureuse et critique, et les chapitres suivants sur la résurrection et le jugement final offrira encore occasion d’un examen critique de la prémillénariste construction de ces événements. C’est pourquoi les objections soulevées à ce stade sera de nature plus générale, et malgré cela, nous pouvons seulement payer attention sur certains des plus importants.

a. la théorie est basée sur une interprétation littérale de la délimitation prophétique de l’avenir d’Israël et du Royaume de Dieu, qui est tout à fait insoutenable. Cela a été souligné à plusieurs reprises dans des œuvres sur la prophétie comme celles de Fairbairn, Riehm et Davidson, dans le remarquable travail de David Brown sur le Second Avènement, dans le volume important de Waldegrave sur Millennarianism du Nouveau Testamentet dans le œuvres plus récentes de m. Aalders sur Verbonds De Profeten des Oudenet Het Herstel van Israël Volgens het Oude Testament. Le dernier volume est entièrement consacré à une étude exégétique détaillée de tous les passages de l’ancien Testament qui pourrait porter en aucune façon sur la restauration future d’Israël. C’est un travail en profondeur qui mérite une étude attentive. Premillenarians soutiennent que rien de moins qu’une interprétation littérale et accomplissement satisfera aux exigences de ces prévisions prophétiques; mais les livres des prophètes eux-mêmes contiennent déjà des indications qui pointent vers un accomplissement spirituel, Ésaïe 54:13; 61:6; Jérémie 03:16; 31: 31-34; Osée 14:2; Michée 6:6-8. La prétention que les noms « Sion » et « Jérusalem » ne sont jamais utilisés par les prophètes dans un autre qu’un sens littéral, que l’ancien toujours dénote une montagne et ce dernier, une ville, est clairement à l’encontre de fait. Il existe des passages dans lesquels les deux noms sont employés pour désigner Israël, l’église de Dieu de l’ancien Testament, Ésaïe 49: 14; 51:3; 52: 1, 2. et cette utilisation des termes passe juste au-dessus dans le Nouveau Testament, gal 04:26; Hébreux 12:22; 03:12; 21:9., il est remarquable que le Nouveau Testament, qui est l’accomplissement de l’ancien, ne comporte aucune indication que ce soit de la restitutio in integrum de la théocratie de l’ancien Testament par Jésus, ni une seule prédiction positive incontestée de sa restauration, tandis qu’il ne contient des indications abondantes de l’accomplissement spirituel de la promesse donnée à Israël, Matthieu 21:43; 02:29-36, les actes 15:14-18; ROM. 09:25, 26; Hébreux 8:8-13; I Pierre 2:9; Apocalypse 1:6; 5:10. pour plus de détails sur la spiritualisation trouvé dans l’écriture, le travail du Dr Wijngaarden sur L’avenir du Royaume sont consultables. Le Nouveau Testament ne favorise certainement pas la littéralité des Premillenarians. En outre ce littéralisme atterrit dans toutes sortes d’absurdités, car il s’agit de la restauration future de toutes les conditions historiques anciennes de la vie d’Israël: les grandes puissances du monde de l’ancien Testament (Egyptiens, Assyriens et Babyloniens) et le les voisins des nations d’Israël (les Moabites, les Ammonites, les Édomites et Philistins) doivent apparaître à nouveau sur la scène, Ésaïe 11:14; Amos 09:12; Joel 03:19; Michée 5:5, 6; Apocalypse 18. Le temple devra être reconstruit, Ésaïe 2:2, 3; Michée 4:1, 2; Zacharie 14:16-22; Ézéchiel 40-48, les fils de Tsadok devra à nouveau servir de prêtres, Ézéchiel 44: 15-41; 48:11-14 et même des offres de péché et d’intrusion devront encore être mis sur l’autel, pas de commémoration (comme certains Premillenarians aurait-il), mais pour l’expiation, Ézéchiel 42:13; 43: 18-27. et en plus de tout cela, la situation modifiée serait rendent nécessaire pour toutes les nations à se rendre à Jérusalem d’une année à l’autre, afin de célébrer la fête des tabernacles, Zacharie 14:16 et même de la semaine à la semaine, se prosterner devant Jéhovah, Ésaïe 66: 23.

b. la théorie de ce qu’on appelle Report, qui est un lien nécessaire dans le système prémillénariste, est dépourvue de toute base scripturaire. Selon lui, Jean et Jésus a proclamé que le Royaume, autrement dit, la théocratie juive, était à portée de main. Mais parce que les Juifs n’ont pas se repentir et croire, Jésus a reporté sa mise en place de sa seconde venue. Le point tournant marquant le changement est placé par Scofield dans Matthieu 11:20, par d’autres dans Matthieu 12 et d’autres encore plus tard. Avant ce tournant Jésus ne concernait pas lui-même avec les païens, mais il a prêché l’Évangile du Royaume d’Israël; et après cela il ne prêchait pas plus, le Royaume mais seulement a prédit sa venue future et offert reste à la Las d’Israël et les gentils. Mais on ne saurait soutenir que Jésus ne pas se préoccuper de gentils avant le tournant supposé, Matt. 8:5-13; John 4:1-42, ni qu’après elle, il a cessé de prêcher le Royaume, Matthieu 13; Luc 10:1-11. Il n’y a absolument aucune preuve que Jésus a prêché deux Évangiles différents, tout d’abord l’Évangile du Royaume, puis l’Évangile de la grâce de Dieu; à la lumière de l’écriture, cette distinction est intenable. Jésus n’a jamais eu à l’esprit le rétablissement de la théocratie de l’ancien Testament, mais l’introduction de la réalité spirituelle, dont le Royaume de l’ancien Testament n’était qu’un type, Matthieu 08:11, 12; 13:31-33; 21:43; Luc 17:21; John 3:3; 18:36, 37 (COMP. Rom. 14:17). Il ne pas reporter la tâche pour laquelle il était venu dans le monde, mais effectivement établirent le Royaume et parlé plus d’une fois comme une réalité présente, Matthieu 11:12; 12:28; Luc 17:21; John 18:36, 37; (COMP. 01:13). Cette théorie tout report est une fiction relativement récente et est très répréhensible, parce qu’il brise l’unité de l’Ecriture et du peuple de Dieu d’une manière injustifiée. La Bible représente la relation entre l’ancien Testament et le nouveau que celui du type et antitype, des prophéties et épanouissement; mais cette théorie avance que, tandis que le Nouveau Testament devait initialement être un accomplissement de l’ancien, il est vraiment devenu quelque chose de tout à fait différent. Le Royaume, autrement dit, la théocratie de l’ancien Testament, a été prédite et n’était pas rétabli, et l’église n’était pas prévu, mais a été créé. Ainsi, les deux sont désagrège et celui devient le livre du Royaume et l’autre, à l’exception des Évangiles, le livre de l’église. En outre, nous obtenons deux peuples de Dieu, celle naturelle et l’autre spirituel, celui terrestre et l’autre céleste, comme si Jésus ne parlait pas de « un seul troupeau et un seul pasteur, » John 10:16, et comme si Paul n’a pas dit que les païens ont été greffés sur le vieil Olivier , Romains 11:17.

c. cette théorie est également en opposition flagrante avec la représentation biblique des grands évènements de l’avenir, à savoir, la résurrection, le jugement final et la fin du monde. Comme l’a montré dans ce qui précède, la Bible représente ces grands événements comme la synchronisation. Il n’y a pas la moindre indication qu’ils sont séparés par un millier d’années, sauf cela se trouve dans Apocalypse 20:4-6. Ils ont clairement coïncident, Matthieu 13:37-43,47-50 (séparation entre le bien et le mal à « la fin » pas mille ans auparavant); 24:29-31; 25: 31-46; Jean 05:25-29; I Corinthiens 15:22-26; Phil. 03:20, 21; I Thessaloniciens 04:15, 16; Apocalypse 20:11-15. Ils se produisent lors de la venue du Seigneur, qui est aussi le jour du Seigneur. En réponse à cette objection Premillenarians souvent laissent à penser que peut-être le jour du Seigneur mille ans longtemps, afin que la résurrection des saints et le jugement des nations prend place dans la matinée de cette longue journée et la résurrection des méchants et le jud jugement du grand trône blanc se rencontre dans la soirée du même jour. Ils font appel à II Pierre 3:8... « un jour est avec le Seigneur comme mille ans et mille ans sont comme un jour. » Mais cela peut s’avérer difficilement le point, pour les tableaux pourraient facilement être tournés ici. Le même passage pourrait également servir à prouver que les mille ans d’Apocalypse 20 mais une seule journée.

d. il n’y a aucun fondement biblique positif que ce soit pour le Premillennial découvre une double isolation, ou même d’une résurrection trois ou quatre fois, comme l’exige leur théorie, ni pour la diffusion du jugement dernier sur une période de mille ans en le divisant en trois jugements. Il est pour le moins très douteux que les mots, « c’est la première résurrection » dans Apocalypse 20:5, se référer à une résurrection physique. Le contexte ne nécessite, ni même favorable à ce point de vue. Ce qui semble favoriser la théorie d’une résurrection double, est le fait que les apôtres souvent parlent de la résurrection des croyants seulement et ne se réfèrent pas à celle des méchants du tout. Mais cela est dû au fait qu’ils écrivent aux églises de Jésus Christ, pour les connexions dans lesquelles ils aborder le sujet de la résurrection et le fait qu’ils désirent souligner l’aspect sotériologique de celui-ci, I Cor. 15; Je th. 04:13-18. D’autres passages parlent clairement de la résurrection des justes et des méchants en un seul souffle, Dan. 12:2; John 05:28, 29; Actes 24:15. Nous allons examiner cette question plus avant dans le chapitre suivant.

e. la théorie prémillénariste empêtre elle-même dans toutes sortes de difficultés insurmontables avec sa doctrine du Millénaire. Il est impossible de comprendre comment une partie de la vieille terre et de l’humanité pécheresse peut exister à côté d’une partie de la nouvelle terre et d’une humanité qui est glorifiée. Comment les saints parfaites du corps glorifiés peuvent avoir communion avec les pécheurs dans la chair. Comment les saints glorifiés peuvent vivre dans cette atmosphère chargée de péché et au milieu de scènes de mort et de décomposition ? Comment le Seigneur de gloire, le Christ glorifié, peut établir son trône sur la terre tant qu’il n’a pas encore été renouvelé. Le chapitre XXI de l’Apocalypse nous informe que Dieu et l’église des rachetés relèvera leur suit sur terre après que le ciel et la terre ont été renouvelés; alors, comment peut-on soutenir que Christ et des saints habiterai là un millier d’années avant ce renouvellement. Comment pécheurs et saints dans la chair sera en mesure de se tenir en présence du Christ glorifié, voyant que même Paul et John ont été totalement débordés par la vision de lui, actes 26: 12-14; 01:17 ? Betterave a vraiment dit: « nous ne pouvons concevoir se mêlaient ensemble sur la même planète, certains qui n’ont pas encore de mourir et autres qui sont passés par la mort et ne mourra pas plus. Une telle confusion de l’âge présent avec l’âge à venir est dans le dernier degré improbable. » [Dernières choses, p. 88.] Et Brown crie: « ce qu’un bâtard état de choses est la suivante ! Quel un abhorré mélange des choses totalement incompatibles avec l’autre ! » [Le Second Avènement, p. 384.]

f. seulement scripturaire cette théorie repose sur Apoc. 20:1-6, après qu’un contenu de l’ancien Testament a été répandu en elle. Il s’agit d’une base très précaire pour diverses raisons. (1) ce passage se trouve dans un livre hautement symbolique et est certes très obscur, comme il ressort de différentes interprétations de celui-ci. (2) l’interprétation littérale de ce passage, telle que donnée par les Premillenarians, mène à une vue qui ne trouve aucun appui ailleurs dans les Ecritures, mais est même contredite par le reste du Nouveau Testament. Il s’agit d’une objection fatale. Son exégèse exige que les passages obscurs de l’écriture soit lu à la lumière de ceux plus claire et pas vice versa. (3) même l’interprétation littérale des Premillenarians n’est pas systématiquement littérale, car elle rend la chaîne dans le verset 1 et, par conséquent, la liaison du verset 2 figuratifs, souvent conçoit des mille ans comme une longue mais indéfini période et modifie le âmes de verset 4 dans les saints de la résurrection. (4) le passage, à proprement parler, ne dit pas que les classes appelées (les saints martyrs et ceux qui n’adoraient pas la bête) ont été ressuscités d'entre les morts, mais simplement qu’ils ont vécu et régnèrent avec le Christ. Et cette vie et régner avec Christ est censée constituer la première résurrection. (5) il n’y a absolument aucune indication dans ces versets que le Christ et ses saints sont vus statuant sur la terre. À la lumière de ces passages comme Apoc. 4:4; 6:9, il est beaucoup plus probable que la scène est posée dans le ciel. (6) il mérite également d’avis que le passage ne mentionne pas que ce soit de la Palestine, de Jérusalem, du temple et des Juifs, les citoyens naturels du Royaume millénaire. Il n’y a pas une seule indication qu’il s’agit en aucun cas concernés par ce règne de mille ans. Pour une interprétation détaillée de ce passage de la Amillennial point de vue, nous nous référons de Kuyper, Bavinck, De Moor, Dijk, Greydanus, Vos et Hendriksen.

B. LE POSTMILLÉNARISME.

La position du postmillenialisme est à l’opposé de celle adoptée par pré-millénarisme respectant le temps de la seconde venue du Christ. Il maintient que le retour du Christ suivra le millénaire, qui est supposé pendant et à la fin de la dispensation de l’Évangile. Immédiatement après lui, Christ viendra pour inaugurer l’ordre éternel des choses. Dans la discussion du postmillenialisme, il sera nécessaire de distinguer deux formes différentes de la théorie, dont l’un s’attend le Millénaire à réaliser grâce à l’influence surnaturelle du Saint-Esprit, et l’autre s’y attend à venir par un naturel processus d’évolution.

1. LES DIFFÉRENTES FORMES DE POSTMILLÉNARISME.

a. la forme antérieure. Au cours des XVIe et XVIIe siècles, plusieurs théologiens réformés aux Pays-Bas enseigna une forme de Chiliasme, qui maintenant s’appellerait le postmillenialisme. Parmi eux étaient des hommes bien connus tels que Coccejus, Alting, deux Vitringas, d'Outrein, Witsius, Hoornbeek, Koelman et Brakel, dont certains ont considéré le millénaire comme appartenant au passé, d’autres pensaient de lui comme cadeau, et encore d’autres cherché dans le le futur. La majorité c’est prévu vers la fin du monde, juste avant la seconde venue du Christ. Ces hommes ont rejeté les deux idées principales des Premillenarians, à savoir que Christ reviendra physiquement règne sur la terre pendant mille ans, et que les saints seront ressuscités à sa venue et régneront alors avec lui dans le Royaume millénaire. Alors que leurs représentations diffèrent dans certains détails, l’opinion dominante était que l’Évangile, qui s’étendra progressivement à travers le monde entier, sera en fin de compte devenir infiniment plus efficace que c’est à l’heure actuelle et débouchera sur une période de richesse spirituelle bénédiction pour l’église de Jésus Christ, un âge d’or, dans lequel les Juifs partagera également dans les bénédictions de l’Évangile d’une manière sans précédent. Ces dernières années, certains tel postmillenialisme a été préconisé par D. Brown, J. Berg, J. H. Snowden, T. P. Stafford et A. H. Strong. Le théologien nommé dernier dit que le millénaire sera « une période dans les jours plus tard de l’Église militante, lorsque, sous l’influence particulière de l’Esprit Saint, l’esprit des martyrs doit comparaître à nouveau, vraie religion être grandement accélérée et relancée et le membres des églises du Christ deviennent tellement conscience de leur force en Christ qui ils sont, dans une mesure inconnue avant, triomphe sur le pouvoir du mal au sein et sans. » [Théol. syst., p. 1013.] L’âge d’or de la volonté de l’église, on le tient, suivie d’une brève apostasie, un terrible conflit entre les forces du bien et du mal et par la présence simultanée de l’avènement du Christ, la résurrection générale et le jugement final.

b. la forme plus tard. Beaucoup de nos jours que le postmillenialisme est d’un type tout à fait différent et préoccupations elle-même très peu de choses sur les enseignements de l’écriture, sauf comme une indication historique de ce que les gens une fois cru. L’homme moderne a peu de patience avec les espoirs millénaires du passé avec leur dépendance totale envers Dieu. Il ne croit pas que le nouvel âge va être inauguré par la prédication de l’Évangile et le travail d’accompagnement de l’Esprit Saint; ni qu’il sera le résultat d’un changement cataclysmique. D’une part, on croit qu’évolution amènera progressivement le millénaire, et d’autre part, que l’homme lui-même doit inaugurer le nouvel âge en adoptant une politique constructive du monde-meilleur. Dit Walter Rauschenbusch: « notre principal intérêt dans n’importe quel millénaire est le désir d’un ordre social dans lequel la valeur et la liberté de chaque être humain moins seront honorés et protégées; dans laquelle la Fraternité des hommes est exprimée dans la possession commune des ressources économiques de la société; et dans lequel le bien spirituel de l’humanité sera défini au-dessus des intérêts de profit privé des groupes tout matérialistes... Quant à la manière dont l’idéal chrétien de la société est à venir, — nous devons passer de la catastrophe au développement. » [Une théologie pour le Social Gospel, f. p. 224] Shirley Jackson Case demande: « allons nous attendons toujours à Dieu de mettre en place un nouvel ordre par voie catastrophique ou nous endossons la responsabilité d’amener notre propre millénaire, croyant que Dieu travaille en nous et dans notre monde et le vouloir et de travailler pour son bon plaisir ? « Et il lui donne la réponse dans les paragraphes ci-après: « le cours de l’histoire présente un long processus de l’évolution de lutte par lequel l’humanité tout entière s’élève constamment plus élevé dans l’échelle de la civilisation et de la réalisation, amélioration de sa condition de temps en temps par le biais de ses compétences et son industrie plus. Vu dans la longue perspective des âges, carrière de l’homme a été une réelle ascension. Au lieu de plus en plus pire, le monde se trouve à être constamment croissante mieux... Depuis l’histoire et la science montrent que la plus-value est toujours le résultat de la réalisation, l’homme apprend à conjecturer que les maux encore leur devront être éliminées par l’effort intense et une réforme graduelle, plutôt que par l’intervention catastrophique de la Déité... La maladie est d’être guéri ou empêché par la compétence du médecin, les maux de la société devraient être réglées par l’éducation et de la législation et catastrophes internationales doivent être évitée en établissant de nouvelles normes et nouvelles méthodes pour faire face aux problèmes inhérents. En bref, les maux de la vie sont à être guéri par un processus graduel de traitement curatif plutôt que par une annihilation soudaine. » [L’espoir millénaire, f. p. 229 238] Ces citations sont tout à fait caractéristique de beaucoup de nos jours le postmillenialisme et il n’est pas étonnant que les Premillenarians réagissent contre elle.

2. OBJECTIONS AU POSTMILLÉNARISME. Il y a quelques très sérieuses objections à la théorie Postmillennial.

a. l’idée fondamentale de la doctrine, que le monde entier sera progressivement gagné pour le Christ, que la vie de toutes les nations est en cours de temps transformé par l’Évangile, que la justice et la paix régner en maître, et que les bénédictions de l’esprit sera po mesurée sortir en abondance plus riche qu’avant, afin que l’église connaîtra une saison de prospérité exceptionnelle juste avant la venue du Seigneur, — n’est pas en harmonie avec l’image de la fin des âges dans l’écriture. La Bible enseigne en effet que l’Évangile se répandra dans le monde entier et exerce une influence bienfaisante, mais ne nous amène pas à attendre la conversion du monde, soit en cela un âge à venir. Il insiste sur le fait que le temps qui précède immédiatement la fin sera un temps de grande apostasie, de tribulations et de persécution, un temps, quand la foi d’un grand nombre se refroidira, et quand ceux qui sont fidèles au Christ fera l’objet d’amères souffrances et même dans certains cas scellera leur confession avec leur sang, Matthieu 24:6-14,21,22; Luc 18:8; 21:25-28; II Thess. 2:3-12; II Timothée 3:1-6; Apocalypse 13. Post-millénaristes, bien sûr, ne peuvent très bien ignorer totalement ce qui est dit sur l’apostasie et la tribulation qui marquera la fin de l’histoire, mais ils le minimiser et représentent comme prédire une apostasie et une tribulation à petite échelle, qui ne seront pas influer sur le cours principal de la vie religieuse. Leur espoir d’une condition glorieuse de l’église en fin de compte, est basée sur des passages qui contiennent une description figurative, soit de la dispensation de l’Évangile dans son ensemble, soit du bonheur parfait du Royaume externe de Jésus-Christ.

b. l’idée connexe, que l’age actuel ne finira pas dans un grand changement cataclysmique, mais passera presque imperceptiblement dans l’âge à venir, est tout aussi non scripturaire. La Bible nous enseigne très explicitement qu’une catastrophe, une intervention spéciale de Dieu, apportera le règne de Satan sur la terre à une fin et inaugurera le Royaume qui ne peut pas être ébranlé, Matthieu 24:29-31, 35-44; Hébreux 12:26, 27; II Pierre 03:10-13. Il y aura une crise, un changement si grand qu’il peut être appelé « la régénération, » Matthieu 19:28. Aucuns plus que les croyants ne sont progressivement sanctifiés dans cette vie, jusqu'à ce qu’ils sont pratiquement prêts à passer, sans beaucoup plus changer, dans le ciel, va le monde progressivement être purifiés et préparés ainsi d’accéder à l’étape suivante. Tout comme les croyants doivent encore subir un grand changement au moment du décès, donc doit le monde subissent un changement énorme quand vient la fin. Il y aura un nouveau ciel et une nouvelle terre. Apocalypse 21:1.

c. l’idée moderne que l’évolution naturelle et les efforts de l’homme dans le domaine de l’éducation, de la réforme sociale et de la législation, apportera progressivement dans le règne parfait de l’esprit chrétien, conflits avec tout ce que la parole de Dieu enseigne sur ce point. Il n’est pas le travail de l’homme, mais le œuvre de Dieu pour apporter dans le glorieux Royaume de Dieu. Ce Royaume ne peut être établi par naturelle mais seulement par des moyens surnaturels. C’est le règne de Dieu, établie et reconnue dans le cœur de son peuple, et ce règne jamais peut être rendu efficace par des moyens purement naturels. La civilisation sans régénération, sans changer le surnaturel du coeur, n’apportera jamais dans un millénaire, une règle efficace et glorieux de Jésus-Christ. Il semblerait que l’expérience du dernier quart de siècle doit ont forcé cette vérité sur l’homme moderne. Le développement très vanté de l’homme ne nous n'a pas encore apporté en vue du Millénaire.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Quelle est l’origine historique du pré-millénarisme ? Etait-ce réellement l’opinion qui prévaut dans les deuxième et troisième siècles ? Ce qui a été vue Augustin du Royaume de Dieu et du Millénaire ? Sont le Royaume de Dieu et l’église distincte ou identiques dans l’écriture ? Est un naturel national et autres spirituel et universel ? Luc 14:14 et les enseigner à 20:35 une résurrection partielle ? N’importe quelle partie d’Israël constituera une partie de l’Epouse du Christ ? La mariée sera terminée quand Christ reviendra ? Les post-millénaristes ne sont nécessairement évolutionnistes ? L’optimisme des post-millénaristes, que le monde devient progressivement mieux, est justifiée par l’expérience ? La Bible permet de prévoir des progrès continus pour le Royaume de Dieu jusqu'à la fin du monde ? Est-il nécessaire de supposer un changement cataclysmique à la fin ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme, IV, p. 717-769; Kuyper, Dict. dogme., De Consummatione Saeculi, pp. 237-279; Vos, Geref. Dogme. Eschatologie V., p. 36-40; ID., L’eschatologie de Pauline, pp. 226-260; Hodge, Syst. Theol. III, p. 861-868; Warfield, le Millénaire et l’Apocalypse dans la Bible, pp. 643-664; Dahle, vie après la mort, p. 354-418; D. Brown, le Second Avènement; Ch. Brown, l’espoir de sa venue; Hoekstra, Het Chiliasme; Rutgers, pré-millénarisme en Amérique; Merrill, la seconde venue du Christ. Eckman, quand Christ reviendra; Heagle, cette bienheureuse espérance; Cas, l’espoir millénaire; Rall, pré-millénarisme moderne et l’espoir chrétien; Fairbairn, la perspective prophétique des Juifs (par Pieters); Berkhof, Premillennialisme; Riley, l’évolution du Royaume; Bultema, Maranatha; Berkhoff, De Wederkomst van Christus; Brookes, Maranatha; Haldeman, la venue du Seigneur. Snowden, la seconde venue du Seigneur. Blackstone; Jésus est à venir; Milligan, est l’âge du Royaume à portée de main? Peters, le Royaume théocratique; Ouest, les mille ans dans les deux Testaments; Argent, retour; de l’éternel Bullinger, Comment profiter de la Bible; Waldegrave, Nouveau Testament millénarisme; Feinberg, pré-millénarisme et amillénnialisme; Gæbelein, l’espoir des âges; Hendriksen, plus que vainqueurs; Dijk, Het Rijk der Duizend Jaren; Aalders, Het Herstel van Israël Volgens het Oude Testament; Mauro, l’Évangile du Royaumeet l’espoir d’Israël; Gel; La seconde venue du Christ. Reese, l’avènement qui s’approchait du Christ; Wyngaarden, l’avenir du Royaume.

 

III. la résurrection de la mort

La discussion du second avènement du Christ provoque naturellement une un examen de ses concomitants. Avant tout parmi ceux-ci est la résurrection des morts ou, comme c’est parfois appelée, « la résurrection de la chair. »

A. LA DOCTRINE DE LA RÉSURRECTION DANS L’HISTOIRE.

À l’époque de Jésus il y avait une divergence d’opinions parmi les Juifs respectant la résurrection. Tandis que les pharisiens croyaient en elle, les Sadducéens n’ont pas, Matthieu 22:23; Actes 23:8. Quand Paul parlait de lui à Athènes, il s’est entretenu avec dérision, actes 17:32. Certains des Corinthiens nié, I Cor. 15 et Hymenæus et Phyletus, à son sujet comme quelque chose de purement spirituel, a affirmé qu’il était déjà de l’histoire ancienne, II Tim. 02:18. Celse, un des premiers adversaires du christianisme, fait surtout cette doctrine le cul du ridicule; et les gnostiques, qui considérait l’affaire comme foncièrement mauvais, il a naturellement rejeté. Origène a défendu la doctrine par les Gnostiques et Celse, mais encore ne croyait pas que le corps qui a été déposé dans la tombe serait soulevé vers le haut. Il a décrit le corps de la résurrection comme un corps nouveau, raffiné et spiritualisé. Si certains des premiers pères partagent son avis, la majorité d'entre eux ont souligné l’identité de l’organisme actuel et le corps de la résurrection. L’église déjà dans la Confession apostolique a exprimé sa croyance en la résurrection de la chair (sarkos). Augustine fut d’abord porté à souscrire à Origène, mais plus tard a adopté l’opinion répandue, bien qu’il n’a pas jugé nécessaire de croire que les différences actuelles de taille et stature seraient poursuivrait dans la vie à venir. Jérôme a insisté fortement sur l’identité du présent et du futur organe. L’est, représentée par des hommes tels que les deux Gregories, Chrysostome et Jean Damascène, manifeste une tendance à adopter une vision plus spirituelle de la résurrection à l’Ouest. Ceux qui ont cru dans un rayon millénaire venir d’une résurrection double, que des justes au début et que des méchants à la fin du règne millénaire. Pendant le moyen âge les scolastiques spéculé beaucoup de choses sur le corps de la résurrection, mais leurs spéculations sont pour la plupart fantaisistes et de peu de valeur. Thomas Aquinas semble surtout avoir spécial d’information sur la nature de l’organe de la résurrection et sur l’ordre et la manière de la résurrection. Les théologiens de l’époque de la réforme ont été généralement admis que le corps de la résurrection serait identique avec le corps actuel. Toutes les Confessions grandes de l’église représentent la résurrection générale comme simultané avec la seconde venue du Christ, le jugement final et la fin du monde. Ils ne séparent pas un de ces événements, comme la résurrection des justes et celle des méchants et la venue du Christ et la fin du monde, par une période de mille ans. Les Premillenarians, d’autre part, insistent sur une telle séparation. Sous l’influence du rationalisme et à l’avancée des sciences physiques, certaines des difficultés avec lesquelles la doctrine de la résurrection est grevée se sont accentuées, et ainsi le libéralisme religieux moderne nie la résurrection de la chair, et explique les représentations bibliques de celui-ci comme une représentation figurative de l’idée que la personnalité humaine complète continuera d’exister après la mort.

B. PREUVE  SCRIPTURAIRE DE LA RÉSURRECTION.

1. DANS L’ANCIEN TESTAMENT. On dit parfois que les connus de l’ancien Testament de pas de résurrection des morts, ou il ne sait que dans ses derniers livres. L’avis est assez commun qu’Israël a emprunté sa croyance en la résurrection d'entre les Perses. Mackintosh, dit: « des preuves solides existe pour l’hypothèse que l’idée de la résurrection est entré le mental hébraïque de la Perse. » [L’immortalité et l’avenir, p. 34.] Brown parle un peu de même: « la doctrine de la résurrection individuelle tout d’abord apparaît en Israël après l’exil et peut-être due à l’influence persane. » [La théologie chrétienne dans l’esquisse, p. 251 f.] Salmond a aussi mentionne ce point de vue, mais il prétend qu’il n’est pas suffisamment justifiée. Il dit: « la doctrine de l’ancien Testament de Dieu est lui-même assez pour expliquer toute l’histoire de l’ancien Testament-conception d’une vie future. » [La Doctrine chrétienne de l’immortalité, pp. 221 f.] De Bondt arrive à la conclusion qu’il n’y a pas un seul peuple parmi ceux avec qui Israël est entré en contact, qui avait une doctrine de la Résurrection qui pourrait avoir servi d’un modèle pour la représentation de celui-ci, qui était en vigueur entre Israël; et que la foi dans la Résurrection qui trouve son expression dans l’ancien Testament n’a pas trouvent son fondement dans les religions des gentils, mais dans la révélation du Dieu d’Israël. [Wat Leert het Oude Testament Aangaande het Leven na dit Leven, f. p. 263] Il est vrai que nous ne trouvons aucune des déclarations claires concernant la résurrection des morts avant l’époque des prophètes, bien que Jésus a trouvé qu’il était déjà implicite dans Exode 3:6; cf. Matthieu 22:29-32 et l’écrivain d’intimates de Hébreux que même les patriarches se réjouit de la résurrection des morts, Hébreux 11:10, 13-16, 19. Certainement, des preuves ne manquent pas qu’il y avait une croyance en la résurrection longtemps avant l’exil. Il est impliqué dans les passages qui parlent d’une délivrance de sheol, Psaume 49: 15; 73:24, 25; Prov. 23:14. Il trouve son expression dans la fameuse déclaration de Job, 19:25-27. En outre, il est très clairement enseigné dans Ésaïe 26: 19 (un passage tardif, selon les critiques) et dans Daniel 12:2 et est probablement impliqué aussi dans Ézéchiel 37: 1-14.

2. DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. Comme on peut le prévoir, le Nouveau Testament a plus à dire sur la résurrection des morts que l’ancien, car il apporte le point culminant de la révélation de Dieu sur ce point à la résurrection de Jésus Christ. Par rapport à la négation des Sadducéens, Jésus affirme la résurrection des morts de l’ancien Testament, Matthieu 22:23-33 et parallels, cf. Exode 3:6. En outre, il enseigne cette grande vérité très clairement dans Jean 05:25-29; 06:39, 40, 44, 54; 11:24, 25; 14:3; 17:24. le passage classique du Nouveau Testament pour la doctrine de la résurrection est I Corinthiens 15. D’autres passages importants sont: I th. 04:13-16; II Corinthiens 5:1-10; Apoc. 20:4-6 (d’interprétation douteuse) et 20:13.

C. LA NATURE DE LA RÉSURRECTION.

1. C’EST UNE ŒUVRE DU DIEU TRINE. La résurrection est une œuvre du Dieu triune. Dans certains cas, on nous dit simplement que Dieu suscite les morts, nul ne soit spécifié, Matthieu 22:29; II Corinthiens 1:9. Plus particulièrement, cependant, le travail de la résurrection est attribué à son fils, John 05:21, 25, 28, 29; 06:38-40, 44,54; I Thessaloniciens 04:16. Indirectement, elle est également désignée comme une œuvre de l’Esprit Saint, Rom. 08:11.

2. C’EST UNE RÉSURRECTION PHYSIQUE OU CORPORELLE. Il y en avait à l’époque de Paul, qui considérait la résurrection comme spirituel, II Tim. 02:18. Et ils sont nombreux en ce jour qui ne croient qu’en une résurrection spirituelle. Mais la Bible est très explicite dans l’enseignement de la résurrection du corps. Christ est appelé les « prémices » de la résurrection, I Cor. 15:20, 23 et « le premier-né des morts, » 01:18; Apocalypse 1:5. Cela implique que la résurrection du peuple de Dieu sera comme celui de leur Seigneur céleste. Sa résurrection est une résurrection corporelle, et ils auront de même nature. En outre, la rédemption de Christ dit aussi inclure le corps, Rom. 08:23; I Corinthiens 06:13-20. Dans Romains 08:11 que nous dit explicitement que Dieu par son esprit suscitera notre corps mortel. Et c’est clairement le corps qui est en bonne place avant que l’esprit de l’Apôtre dans I Corinthiens 15, cf. en particulier les versets 35-49. Selon l’Ecriture, il y aura une résurrection des corps, c’est pas une création entièrement nouvelle, mais un corps qui sera dans un sens fondamental identique avec le corps actuel. Dieu ne crée pas un nouveau corps pour chaque homme, mais suscitera l’organe même qui a été déposé dans la terre. Cela ne peut seulement être déduit de l’expression « résurrection », mais il est clairement indiqué dans la Rom. 08:11, I Cor. 15:53 et est davantage impliquée dans la figure de la graine semée dans la terre que l’Apôtre emploie dans I Corinthiens 15:36-38. De plus, Christ, les prémices de la résurrection, de façon concluante l’identité de son corps à ses disciples. En même temps l’écriture rend parfaitement évident que le corps sera grandement modifié. Le corps du Christ n’était pas encore pleinement glorifié au cours de la période de transition entre la résurrection et l’ascension; Pourtant, il avait déjà subi un changement remarquable. Paul se réfère au changement qui aura lieu, quand il dit qu’à semer une graine, nous ne pas semer le corps qui doit être; Nous n’entendons pas prendre la même semence hors de la terre. Pourtant, nous n’attendons pas d’en tirer quelque chose qui est dans un sens fondamental identique avec les semences déposées dans la terre. Bien qu’il y a une certaine identité entre la graine semée et les graines qui se développent hors de lui, pourtant il est aussi une différence remarquable. Nous serons changés, dit l’Apôtre, « pour ce corruptible doit revêtir l’incorruptibilité, et ce corps mortel soit revêtu de l’immortalité. » Le corps « est semé dans la corruption; Il est déclenché dans l’incorruptibilité: il est semé dans le déshonneur; Il est déclenché au pouvoir; Il est semé un corps naturel; Il est déclenché un corps spirituel. » Le changement n’est pas incompatible avec le maintien de l’identité. On nous dit que même maintenant chaque particule dans notre corps change tous les sept ans, mais à travers elle tout le corps conserve son identité. Il y aura une certaine connexion physique entre le corps de vieux et le nouveau, mais la nature de cette connexion n’est pas révélée. Certains théologiens parlent d’un germe restant d'où le nouvel organisme se développe; d’autres disent que le principe d’organisation du corps reste. Origène avait quelque chose de ce genre à l’esprit; alors ne Kuyper et Milligan. Si nous gardons tout cela à l’esprit, la vieille objection contre la doctrine de la résurrection, à savoir qu’il est impossible qu’un corps pouvait être soulevé vers le haut, composé des mêmes particules qu’il constituent au moment du décès, puisque ces particules passent en d’autres formes d’existence et peut-être dans des centaines d’autres organes, perd de sa vigueur complètement.

3. C’EST UNE RÉSURRECTION DES JUSTES ET LES MÉCHANTS. Selon Flavius Josèphe, les pharisiens a nié la résurrection des méchants. [Ant. XVIII. 1,3; Wars II. 8.14.] La doctrine d’annihilationism et celle de l’immortalité conditionnelle, qui tous deux, au moins dans certaines de leurs formes, nient la résurrection de l’impie et enseignent leur anéantissement, embrassée par beaucoup de théologiens, a également trouvé faveur dans ces sectes comme l’adventisme et Dawnism millénaire. Ils croient en l’extinction totale des méchants. L’affirmation est faite parfois que l’écriture n’enseigne pas la résurrection des méchants, mais c’est clairement erronée, Dan. 12:2; John 05:28, 29; Actes 24:15; Apoc. 20:13-15. En même temps il faut avouer que leur résurrection ne résiste pas une place importante dans l’écriture. L’aspect sotériologique de la résurrection est clairement à l’avant-plan, et ceci s’applique aux justes seulement. Ils, à distinguer les méchants, sont ceux qui profitent de la résurrection.

4. C’EST UNE RÉSURRECTION D’IMPORTATION INÉGALE POUR LE JUSTE ET L’INJUSTE. Breckenridge cite I Corinthiens 15:22 pour prouver que la résurrection des saints et pécheurs a été achetée par le Christ. Mais on peut difficilement nier que le deuxième « tous » dans ce passage sont en générales seulement dans le sens de « tous ceux qui sont dans le Christ. » La résurrection est représentée comme résultant d’une union vitale avec le Christ. Mais, certainement, seulement de croyants dans une telle relation de vie pour lui. La résurrection des méchants ne peut pas être considérée comme une bénédiction méritée le œuvre médiatrice du Christ, si elle est connectée avec cela indirectement. C’est un résultat nécessaire de différer l’exécution de la peine de mort contre l’homme, qui fait le œuvre de rédemption possible. Le report a entraîné la séparation comparative de la mort temporelle et éternelle et l’existence d’un état intermédiaire. Dans ces circonstances, il devient nécessaire de relever les méchants d'entre les morts, afin que mort dans son plus large étendue et dans tout son poids pourrait leur être imposée. La résurrection n’est pas un acte de rédemption, mais de justice souveraine, la part de Dieu. La résurrection des justes et les injustes ont ceci en commun, qui, dans les corps et les âmes, sont réunis. Mais dans le premier cas, cela se traduit par une vie parfaite, tandis que dans ce dernier cas, elle émet dans l’extrême peine de mort, John 05:28, 29.

D. LE TEMPS DE LA RÉSURRECTION.

1. LA VUE PRÉMILLÉNARISTE RESPECTANT LE TEMPS DE LA RÉSURRECTION. C’est l’opinion commune parmi les Premillenarians que la résurrection des saints est séparée par un millier d’années de celle des méchants. Ils semblent presque à considérer comme une vérité axiomatique que ces deux classes ne peuvent éventuellement survenir en même temps. Et non seulement cela, mais le type du pré-millénarisme qui prédomine aujourd'hui, avec sa théorie de la double seconde venue du Christ, ressent le besoin de poser en principe une troisième résurrection. Tous les saints d’anciennes dispenses et de la dispensation actuelle sont ressuscités à la parousie ou la venue du Seigneur. Ceux encore en vie à ce moment-là sont changés en un instant, en un clin de œil. Mais durant les sept années qui suivent la parousie que mourir de nombreux autres saints, surtout dans la grande tribulation. Ceux-ci doivent également être levé, et leur résurrection aura lieu à la révélation du jour du Seigneur. sept ans après la Parousie. Mais même à ce stade ne peut pas très bien cesser de Premillenarians. Depuis la résurrection à la fin du monde est réservée pour le méchant, là doit être une autre résurrection des saints qui meurent au cours du Millénaire, qui précède celle des méchants, car les deux ne peuvent pas être levé en même temps.

2. INDICATIONS SCRIPTURAIRES QUANT À L’HEURE DE LA RÉSURRECTION. Selon l’Ecriture, la résurrection des morts coïncide avec la Parousie, avec la révélation ou le jour du Seigneur, ainsi qu’avec la fin du monde et précédera immédiatement l’arrêt général et final. Certes, il ne favorise pas les distinctions prémillénaristes à l’égard de cette doctrine. En plusieurs endroits, il représente la résurrection des justes et celle des méchants comme contemporains, Dan. 12:2; John 05:28, 29; Actes 24:15; Apoc. 20:13-15. Tous ces passages parlent de la résurrection comme un événement unique et ne contiennent pas le moindre indice que la résurrection des justes et celle des méchants seront séparés par une période de mille ans. Mais ce n’est pas tout ce que l'on puisse dire en faveur de l’idée que les deux coïncident. Dans Jean 05:21-29 Jésus associe la pensée de la résurrection, y compris la résurrection des justes, avec la pensée de l’arrêt, y compris l’arrêt des méchants. En outre, II Thess. 1:7-10 représente clairement la parousie (contre 10), la révélation (contre 7) et l’arrêt des méchants (contre 8,9) comme coïncidant. Si ce n’est pas le cas, langue semble avoir perdu son sens. En outre, la résurrection des croyants est directement lié à la seconde venue du Seigneur dans I Corinthiens 15:23; Phil. 03:20, 21; et j’ai th. 04:16, mais il est aussi représenté comme se produisant à la fin du monde, John 06:39, 40, 44, 54 ou au dernier jour. Cela signifie que les croyants sont ressuscités au dernier jour, et que le dernier jour est aussi le jour de la venue du Seigneur. Leur résurrection ne précède pas la fin d’une période de mille ans. Heureusement, il y a plusieurs Premillenarians qui n’acceptent pas la théorie d’une résurrection triple, mais qui néanmoins s’accrochent à la doctrine de la résurrection une double.

3. EXAMEN DES ARGUMENTS POUR UNE RÉSURRECTION DOUBLE.

a. l’accent est placé sur le fait que l’écriture, tout en parlant en général de la résurrection ton nekron, c'est-à-dire « des morts », à plusieurs reprises fait référence à la résurrection des croyants comme une résurrection ek nekron, c'est-à-dire, « out of the dead ». Premillenarians restituer cette expression, « parmi les morts, » afin que cela impliquerait que les nombreux morts restent encore dans la tombe. Lightfoot affirme également que cette expression désigne la résurrection des croyants, mais Kennedy a dit: « il est absolument aucune preuve de cette affirmation définitive. » C’est également la conclusion à laquelle Vos Dr vient après une étude attentive des passages pertinents. En général on peut dire que l’hypothèse que l' expression he anastasis ek nekron doit être rendu « la résurrection parmi les morts, » est entièrement gratuite. Les lexiques standards ne savent rien de tel un rendu; Cremer-Koegel interprète l’expression pour signifier « de l’état de la mort » et cela semble être l’interprétation plus naturelle. Il est à noter que Paul utilise les termes de manière interchangeable dans I Corinthiens 15. Bien évidemment en parlant de la résurrection de lui seul, de croyants ne cherche pas à insister sur le fait qu’il s’agit d’un caractère spécifique, car il utilise le terme plus général à plusieurs reprises, j’ai Cor. 15:12, 13, 21, 42. [Cf. également Waldegrave, Nouveau Testament millénarisme, p. 575 f.]

b. premillenarians en appelle également à certaines expressions spécifiques, telles que « une meilleure résurrection, » Hébreux 11:35, « la résurrection de la vie, » John 05:29, « la résurrection des justes, » Luke 14:14 et « la résurrection des morts en Christ, » j’ai th. 04:16, — qui se référer à la résurrection des croyants seulement. Ces expressions semblent déclencher cette résurrection comme quelque chose d’autre. Mais ces passages prouvent simplement que la Bible distingue la résurrection des justes des méchants et aucune preuve que ce soit les moyens qu’il y aura deux résurrections, séparées les uns des autres par une période de mille ans. La résurrection du peuple de Dieu diffère de celle des infidèles dans son principe de mouvement, dans sa nature essentielle et dans son dernier numéro et peut donc très bien être représentée comme quelque chose de distinctif et à désirer bien au-delà de la résurrection de la méchants. L’ancien ne, et ce dernier n’a pas, délivrer les hommes de la puissance de la mort. En dépit de leur résurrection mécréants demeurent dans l’état de la mort.

c. un des principaux passages preuve des Premillenarians pour une résurrection de double se trouve dans I Corinthiens 15:22-24: « car comme dans Adam tous meurent, donc aussi dans le Christ tous revivront. Mais chacun dans son propre ordre: Christ les prémices; puis ceux qui sont en Christ, à sa venue. Ensuite viendra la fin, quand il remettra le Royaume à Dieu, même le père. » Dans ce passage, ils trouvent trois étapes de la résurrection a indiqué, à savoir, (1) la résurrection du Christ; (2) la résurrection des croyants; et (3) la fin (comme ils l’interprètent) de la résurrection, c'est-à-dire la résurrection des méchants. Argent il met plutôt pittoresque: « dans la résurrection Christ et nombreux saints qui s’élèvent dans et autour de Jérusalem apparaissent comme la première bande. Plus de 1900 ans après ' ceux qui sont en Christ, à sa venue "apparaissent comme la deuxième bande. « Puis », mais pas immédiatement, « viendra la fin » (verset 24), le dernier grand corps comme une bande de créatures triste fin de la procession. » [Le retour du Seigneur, p. 230.] On notera que l’idée « pas tout de suite » est aussi présente dans le texte. L’argument est que parce epeita (à l’époque) dans le verset 23 se réfère à un temps au moins 1 900 ans plus tard, le mot eita (à l’époque) au verset 24 se réfère à une période de 1000 ans plus tard. Mais il s’agit d’une simple hypothèse sans aucune preuve. Les mots epeita et eita signifient en fait la même chose, mais aucune d'entre elles n’implique nécessairement l’idée d’un intervalle de temps. Notez l’utilisation epeita dans Luc 16:7 et Jacques 04:14 et que eita dans marque 08:25; Jean 13:5; 19:27; 20:27. que les deux mots peuvent être utilisés pour ce qui se produira immédiatement et celui qui se produit seulement après un certain temps, alors que c’est une pure hypothèse que la résurrection des croyants est séparée par une longue période de temps de la fin. Une autre hypothèse gratuite, c’est que « la fin » signifie « la fin de la résurrection. » Selon l’analogie de l’écriture, il pointe vers la fin du monde, la consommation, le moment où Christ prononcera le Royaume au père et vous avez mis tous les ennemis sous ses pieds. C’est le point de vue adopté par les commentateurs comme Alford, Godet, Hodge, Bachmann, Findley, Robertson et Plummer et Edwards. [Pour une discussion plus approfondie de ce point de l’ensemble cf. Salmond, La Doctrine chrétienne de l’immortalité, p. 414 f.; Milligan, la résurrection des morts, pp. 64 ff.; Vos, Pauline eschatologie, p. 241 et suiv.]

d. un autre passage auquel l’appel Premillenarians est I Thessaloniciens 04:16, « car le Seigneur lui-même descendra du ciel avec un cri, avec la voix de l’Archange et avec la trompette de Dieu: et les morts en Christ ressusciteront premièrement. » Ils en déduisent que ceux qui ne sont pas morts en Christ ressusciteront vers le haut à une date ultérieure. Mais il est parfaitement clair que ce n’est pas l’antithèse que l’Apôtre a en tête. La déclaration qui suit n’est pas, « alors les morts qui ne sont pas en Christ seront élèveront, » mais, « alors nous qui sommes vivants, qui sont à gauche, sont avec eux être rattrapé dans l’air: et ainsi serons-nous toujours avec le Seigneur. » C’est franchement admis par Biederwolf. [Bible millénaire, p. 472.] Dans ce passage, tant dans l’un Paul précédent parle de la résurrection des croyants seulement; que des méchants n’est pas dans son domaine de compétence du tout.

e. le plus important passage à laquelle se réfèrent les Premillenarians est Apoc. 20:4-6:... « et ils ont vécu et régnèrent avec le Christ mille années. Le reste de la mort vécue n’est pas jusqu'à ce que les mille ans devraient être terminés. C’est la première résurrection. » Ici les versets 5 et 6 font mention d’une première résurrection et cela, dit-on, implique qu’il y aura une seconde. Mais la supposition que l’écrivain parle ici d’une résurrection corporelle est extrêmement douteuse. La scène dans les versets 4-6 est évidemment posée, pas sur la terre, mais dans le ciel. Et les termes employés ne sont pas évocateurs d’une résurrection corporelle. La voyante ne parle pas de personnes physiques ou morales qui ont été suscités, mais des âmes qui « vécu » et de « règne ». Et qu’il appelle leur vie et régner avec Christ « la première résurrection. » Dre Vos suggère que les mots, «ce (emphatique) est la première résurrection, » peut-être même « un désaveu pointu d’une interprétation plus réaliste (Chiliastique) de la même phrase ». [ISBE, Art. Esch. du N. T.] Selon toute probabilité, l’expression fait référence à l’entrée des âmes des saints sur l’État glorieux de la vie avec le Christ au moment du décès. L’absence de l’idée d’une résurrection double peut bien nous faire hésite à affirmer sa présence dans ce passage obscur d’un livre si plein de symbolisme comme l’Apocalypse de Jean. Chaque fois que la Bible mentionne la résurrection des justes et les méchants ensemble, comme dans Daniel 12:2; John 5:28. 29; Actes 24:15, il ne contient pas le moindre soupçon que les deux doivent être séparés par un millier d’années. En revanche, il n’enseigne que la résurrection aura lieu au dernier jour et sera immédiatement suivie par le jugement dernier, Matthieu 25: 31, 32; Jean 05:27-29; 06:39, 40, 44, 54; 11:24; Apocalypse 20:11-15.

QUESTIONS pour étude complémentaire: La Confession apostolique parle de la résurrection du corps, ou de la résurrection de la chair ? Comment expliquez-vous le changement de l’un à l’autre ? Pas tous les Premillenarians ont-ils à proposer une autre résurrection des justes en plus de celles qui se produisent à la parousie et la révélation ? Comment Premillenarians interpréter même Dan. 12:2 dans un argument pour une résurrection de double ? Comment trouvent-ils un argument pour cela dans Philippiens 03:11 ? Ce qui est le principal argument des libéraux modernes contre la doctrine d’une résurrection physique ? Que Paul signifie, lorsqu’il parle du corps de la résurrection comme un soma pneumatikon, I Cor. 15:44 ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 755-758, 770-777; Kuyper, Dict. dogme., De Consummatione Saeculi, pp. 262-279; Vos, Geref. Dogme. Eschatologie V., p. 14-22; ibid.. L’eschatologie Pauline, pp. 136-225; Hodge, Syst. Theol. III, p. 837-844; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., pp. 829-841; Shedd. Dogme de . THEOL. p. 641-658; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 414-420; Dahle, vie après la mort, p. 358-368, 398-418; Hovey, eschatologie, pp. 23-78; Mackintosh, l’immortalité et l’avenir, pp. 164-179; Snowden, la venue du Seigneur, pp. 172-191; Salmond, la Chr. Doct. d’immortalité, pp. 262-272, 437-459; Kennedy, St. Conceptions des dernières choses, p. 222-281; de Paul Kliefoth, Eschatologie, pp. 248-275; Brown, L’espoir de Chr., pp. 89-108; Milligan. La résurrection des morts, pp. 61-77.

 

IV. le jugement dernier

Un autre de l’importants concomitants du retour du Christ est le jugement dernier, qui sera de & de nature générale. Le Seigneur vient à nouveau dans le but de juger les vivants et expédie chaque individu à sa destinée éternelle.

A. LA DOCTRINE DU JUGEMENT DERNIER DANS L’HISTOIRE.

La doctrine de la chose jugée générale effectuée depuis les tout premiers temps de l’ère chrétienne, lié à celui de la résurrection des morts. L’opinion générale était que les morts seraient soulevés vers le haut, afin d’être jugés selon les actes accomplis dans le corps. Comme un avertissement solennel a été soulignée la certitude du présent arrêt. Cette doctrine est déjà contenue dans la Confession apostolique: « De là il viendra pour juger les vivants et les morts. » L’idée dominante était que ce jugement serait accompagné de la destruction du monde. Dans l’ensemble les premiers pères de l’église n'a pas spéculé beaucoup sur la nature de la chose jugée, bien que Tertullien constitue une exception. Augustin a cherché à interpréter certaines déclarations figuratives des écritures concernant le jugement. Au moyen-âge, les scolastiques abordé ce sujet plus en détail. Eux aussi, a estimé que la résurrection des morts serait immédiatement suivie par le jugement général, et que cela marquerait la fin des temps pour l’homme. Il doit être généralisé en ce sens que toutes les créatures rationnelles apparaîtra en elle, et qu’il apportera une révélation générale des actions de chacun, bien et le maléfiques. Christ sera le juge, tandis que d’autres seront liés à lui au jugement; pas, cependant, comme les juges au sens strict du mot. Immédiatement après le jugement, il y aura une conflagration universelle. Nous partons d’une considération certains autres détails ici. Les réformateurs partagent ce point de vue en général, mais ajouté peu ou rien à l’opinion dominante. Le même point de vue se trouve dans toutes les Confessions protestantes, qui affirment explicitement qu’il sera un jour de jugement à la fin du monde, mais n’entrez pas dans les détails. Il a été l’avis officiel des églises jusqu'à nos jours. Cela ne signifie pas qu’aucune autre vue ne s’exprime. Kant déduit l’impératif catégorique de l’existence d’un juge suprême qui serait redresser tous les torts dans une vie future. Schelling dans son fameux dictum, « l’histoire du monde est le jugement du monde, » manifestement considéré l’arrêt simplement comme un présent processus immanent. Certains n’étaient pas enclins à accorder la constitution morale de l’univers, ne croyait pas que l’histoire se déplaçait à quelque fin morale et donc refusé l’arrêt futur. Cette idée a donné une interprétation philosophique Von Hartmann. Dans la théologie libérale moderne, qui met l’accent sur le fait que Dieu est immanent dans tous les processus de l’histoire, il y a une forte tendance à considérer l’arrêt principalement, sinon exclusivement, comme un présent processus immanent. Beckwith, dit: « en ce qui concerne son (de Dieu) avec les hommes il y a aucune tenue en suspens, aucune suspension de n’importe quel attribut de son être. Le jugement n’est donc pas plus vraiment à l’avenir qu’il est présent. Mesure où Dieu est l’auteur de celui-ci, il est aussi constante et perpétuelle comme son action dans la vie humaine. Ajourner le jugement à une future heure public est à méconnaître de la justice, comme si elle était dormante ou suspendu, entièrement lié aux conditions de l’extérieur. Au contraire la sphère de la justice doit être recherchée pas d’abord sans mais à l’intérieur, dans la vie intérieure, dans le monde de la conscience. » [Les réalités de la théologie chrétienne, p. 362 f.] Dispensationalistes croient sincèrement au jugement futur, mais parlent des jugements au pluriel. Selon eux, il seront un jugement de la Parousie, un autre à la révélation du Christ et encore un à la fin du monde.

B. LA NATURE DE LA CHOSE JUGÉE.

Le jugement dernier dont parle la Bible ne peut pas être considéré comme un processus spirituel, invisible et sans fin, qui est identique à la providence de Dieu dans l’histoire. Ce n’est pas équivalent à un déni du fait qu’il y a un arrêt providentiel de Dieu dans les vicissitudes des individus et des Nations Unies, mais il peut ne pas toujours être reconnu comme tel. La Bible nous enseigne clairement que Dieu même dans la vie présente visites mal par punition et récompense le bien avec la bénédiction, et ces punitions et les récompenses sont dans certains cas positifs, mais dans d’autres cas apparaissent dans les résultats naturels providentielles du mal commis ou du bien fait, Deut. 9:5; PS. 09:16; 37: 28; 59:13; Prov. 11:5; 14:11; Ésaïe 32: 16, 17; Lam. 5:7. La conscience humaine témoigne également de ce fait. Mais il est également manifeste par les écritures que les jugements de Dieu dans le présent ne sont pas définitives. Parfois, le mal continue sans peine, et le bien n’est pas toujours récompensée avec les bénédictions promises dans cette vie. Les méchants à l’époque de Malachi ont enhardi à crier, « Où est le Dieu du jugement ? » Malachie 02:17. La plainte a été entendue à l’époque: « il est vain de servir Dieu; et quel bénéfice est que nous avons gardé son exposé, et que nous avons parcouru mélancoliquement devant Jéhovah des armées ? Et maintenant, nous appelons le fier heureux; Oui, ceux qui travaillent la méchanceté sont constitués; Oui, ils ont tentent Dieu et évasion, » mal. 03:14, 15. Job et ses amis étaient aux prises avec le problème des souffrances des justes, et était donc Asaph dans le Psaume 73. La Bible nous enseigne à espérer un jugement définitif tant que la réponse décisive de Dieu à toutes ces questions, la solution de tous ces problèmes, ainsi que l’élimination de toutes les anomalies apparentes du présent, Matthieu 25: 31-46; Jean 05:27-29; Actes 25: 24; Romains 2:5-11; Héb. 09:27; 10:27; II Pierre 3:7; Apocalypse 20:11-15. Ces passages ne se réfèrent pas à un processus, mais à un événement très précis à la fin des temps. Elle est représentée comme accompagné d’autres événements historiques, comme la venue de Jésus-Christ, la résurrection des morts et le renouvellement du ciel et la terre.

C. DES VUES ERRONÉES CONCERNANT LE JUGEMENT.

1. LE JUGEMENT PUREMENT MÉTAPHORIQUE. Selon Schleiermacher et de nombreux autres chercheurs allemands les descriptions bibliques du jugement dernier doivent être comprises comme des signes symboliques du fait que le monde et l’église seront finalement séparé. Cette explication permet d’évaporer l’idée d’un jugement judiciaire permettant de déterminer l’état final de l’homme public. C’est une explication qui sûrement ne fait pas justice à des déclarations fermes des écritures concernant le futur jugement officiel, public et la déclaration finale.

2. L’ARRÊT EXCLUSIVEMENT IMMANENTE. Dicton de Schelling que « l’histoire du monde, c’est le jugement du monde » sans aucun doute contient un élément de vérité. Il y a, comme l’a indiqué dans ce qui précède, les manifestations de la justice punitive de Dieu dans l’histoire des nations et des individus. Les récompenses ou les punitions peuvent avoir un caractère positif, ou peuvent être la conséquence naturelle du bien ou mal fait. Mais quand de nombreux chercheurs libéraux prétendent que le jugement divin est totalement immanent et dépend entièrement de l’ordre moral du monde, ils ne certainement pas rendre justice aux représentations de l’écriture. Leur point de vue de l’arrêt comme « Acting » fait à Dieu un Dieu inutile, qui n’observe et approuve la répartition des récompenses et de punitions. Il détruit complètement l’idée du jugement comme un événement extérieur et visible, qui se tiendra à un moment précis dans le futur. En outre, il ne peut satisfaire les désirs du coeur humain pour la parfaite justice. Les jugements historiques sont toujours seulement partielles et parfois impressionnent les hommes comme une parodie de justice. Il a toujours été et est toujours l’occasion pour la perplexité de Job et Asaph.

3. LE JUGEMENT PAS UN SEUL ÉVÉNEMENT. Premillenarians de nos jours parlent de trois différents futurs jugements. Ils font la distinction: (a) un jugement des saints ressuscités et vivants à la parousie ou la venue du Seigneur, qui a pour objectif de revendiquer publiquement les saints, récompenser chacun selon ses œuvres et assignez à eux leurs places respectives dans les prochaines Royaume millénaire. (b) un jugement de la révélation du Christ (le jour du Seigneur), immédiatement après la grande tribulation, dans lequel, selon l’opinion dominante, les nations païennes sont jugées comme des Nations Unies, selon l’attitude qu’ils ont contractées à la Evangéliser le reste d’Israël (le moins des frères du Seigneur). L’entrée de ces nations dans le Royaume dépend du résultat. Il s’agit de l’arrêt mentionné dans Matthieu 25: 31-46. Elle est séparée de son arrêt antérieur par une période de sept ans. (c) un jugement des méchants morts devant le grand trône blanc, décrite dans Apocalypse 20:11-15. Les morts sont jugés selon leurs œuvres, et ils déterminent le degré de la peine qu’ils recevront. Ce jugement sera plus d’un millier d’années plus tard que la précédente. Il est à noter, toutefois, que la Bible parle toujours du jugement futur comme un événement unique. Il nous enseigne à regarder vers l’avant, pas de jours, mais pour le jour du jugement, John 05:28, 29; Actes 17:31; II Pierre 3:7, aussi appelé « ce jour-là, » Matthieu 07:22; II Timothée 4:8 et « le jour de la colère » et la révélation du juste jugement de Dieu, Rom. 2:5. Premillenarians se sentir la force de cet argument, car ils répondent qu’il peut être un jour de mille ans. En outre, il y a des passages de l’écriture qu’il est tout à fait évident que les justes et les méchants apparaissent en arrêt pendant une séparation définitive, Matthieu 07:22, 23; 25: 31-46 Romains 2:5-7; 11:18; 20:11-15. en outre, il convient de noter que le jugement des méchants est représenté comme un corollaire de la parousie et aussi de la révélation, II Thess. 1:7-10; II Pierre 3:4-7. Et, enfin, il faut avoir à l’esprit que Dieu ne juge pas les nations comme des nations où éternelles questions sont en jeu, mais seulement des individus; et qu’une séparation définitive entre le juste et le méchant ne peut éventuellement faire jusqu'à la fin du monde. Il est difficile de voir comment quelqu'un peut donner une interprétation tolérable et auto-cohérente de Matthieu 25: 31-46, sauf sur la supposition que l’arrêt visé est le jugement universel de tous les hommes, et qu’ils sont jugés, non pas comme des Nations Unies, mais en tant qu’individus. Même Meyer et Alford qui sont eux-mêmes Premillenarians envisager c’est l’exposition seulement défendable.

4. LA CHOSE JUGÉE INUTILE. Certains considèrent le jugement final comme tout à fait inutile, car le destin de chaque homme est déterminé au moment de sa mort. Si un homme s’est endormi en Jésus, il est sauvé; et si il meurt dans ses péchés, il est perdu. Puisque la question est réglée, aucune autre enquête judiciaire est nécessaire, et donc un tel jugement final est tout à fait inutile. Mais la certitude du jugement futur ne dépend pas de notre conception de sa nécessité. Dieu nous enseigne clairement dans sa parole qu’il y aura un jugement définitif, et que s’installe l’affaire pour tous ceux qui reconnaissent la Bible comme la norme définitive de la foi. Par ailleurs, l’hypothèse sous-jacente à laquelle cet argument procède, à savoir, que le jugement final est dans le but de déterminer quel devrait être le futur État de l’homme, est totalement erronée. Il servira plutôt d’afficher avant toute créature rationnelle la gloire déclarative de Dieu dans un acte formel, médecine légale, qui agrandit d’une part sa sainteté et la justice, et sur l’autre main, sa grâce et la miséricorde. En outre, il faut avoir à l’esprit que le jugement au dernier jour différera de celle à la mort de chaque individu dans plus d’un titre. Il ne sera pas secrète, mais public; Il n’auront pas trait à l’âme seulement, mais aussi pour le corps; Il n’aura pas référence à une seule personne, mais à tous les hommes.

D. LE JUGE ET SES ASSISTANTS.

Naturellement, le jugement final, comme de Dieu tous les ad opéra supplémentaire, est une œuvre du Dieu triune, mais l’écriture il attribue notamment à Christ. Christ en sa qualité de médiateur sera le futur juge, Matthieu 25: 31, 32; John 05:27; Actes 10:42; 17:31; Phil. 02:10; II Timothée 4:1. Ces passages comme Matthieu 28: 18; John 05:27; Philippiens 2:9, 10, le rendent tout à fait évident que l’honneur de juger les vivants et les morts a été donné à Christ en tant que médiateur en récompense de son œuvre expiatoire et dans le cadre de son exaltation. Cela peut être considéré comme l’un des honneurs couronnement de sa royauté. En sa qualité de juge, aussi, Christ est de sauver son peuple de la terre: il termine leur rédemption, publiquement le justifient et supprime les dernières conséquences du péché. De tels passages comme Matthieu 13:41, 42; 24:31; 25, 31, on peut en déduire que les anges lui aidera à cette grande œuvre. De toute évidence, les saints seront, dans un certain sens, s’asseoir et juger avec Christ, Psaume 149:5-9; I Corinthiens 6:2, 3; Apocalypse 20:4. Il est difficile de dire juste ce qu’il s’agira. Elle a été interprétée comme signifiant que les saints seront condamner le monde par leur foi, tout comme les Ninivites aurait condamné les villes incrédules du temps de Jésus; ou qu’ils seront simplement rallier à l’arrêt du Christ. Mais l’argument de Paul dans I Corinthiens 6:2, 3 semblerait exiger quelque chose de plus que cela, car aucun des deux interprétations suggérées prouverait que les Corinthiens étaient capables de juger les questions qui se posent dans l’église. Bien que les saints ne peuvent s’attendre à connaître tous ceux qui apparaissent dans le jugement et de répartir les pénalités, pourtant ils auront quelque part véritable actif dans le jugement du Christ, bien qu’il soit impossible de dire juste ce qu’il s’agit.

E. LES PARTIES QUI SERONT JUGÉS.

L’écriture contient des indications claires d’au moins deux parties qui seront jugés. Il est évident que les anges déchus seront tiendront debout devant le tribunal de Dieu, Matthieu 08:29; I Corinthiens 6:3; II Pierre 2:4; Jude 6. Satan et ses démons seront réuniront leur destin final au jour du jugement. Il est également tout à fait clair que chaque individu de la race humaine devra comparaître devant le siège du jugement, Eccl. 12:14; PS. 50.4-6; Matthieu 12:36, 37; 25: 32; Romains 14:10; II Corinthiens 05:10; 20:12. Ces passages certainement laissent aucune place pour l’affichage de la pélagiens et de ceux qui suivent dans leur sillage, que le jugement final sera limité à ceux qui ont apprécié les privilèges de l’Évangile. Ni ils favorisent l’idée de ces sectaires qui détiennent que les justes ne s’appellera pas en jugement. Quand Jésus dit dans Jean 05:24, « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole et croit lui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et vient pas en jugement, mais a passé hors de la mort dans la vie, » il signifie clairement au vu du contexte , qui viendra le croyant pas à la condamnation jugement. Mais elle est parfois contestée que les péchés des croyants, qui sont graciés, certainement ne seront pas publiés à ce moment-là; mais l’écriture l’amène à espérer qu’ils seront, bien qu’ils ont, bien sûr, se révélera comme péchés pardonnés . Hommes seront jugés pour « chaque mot ralenti, » Matthieu 12:36 et « chaque chose secrète, » Rom. 02:16; J’ai Cor. 4:5, et il n’y a aucune indication que ce soit qu’il se limitera aux méchants. En outre, il est parfaitement évident d’après ces passages comme Matthieu 13:30, 40-43,49; 25: 14-23,34-40,46, que les justes se présentera devant le siège du jugement du Christ. Il est plus difficile à déterminer, si les bons anges feront l’objet du jugement final dans tous les sens du terme. Dr. Bavinck est enclin à en déduire I Corinthiens 6:3 qu’ils le seront; mais ce passage ne prouve pas le point. Il pourrait le faire, si mot aggelous ont été précédés de l’article, qui n’est pas le cas. Nous lisons tout simplement: « ne savez-vous pas que nous jugerons les anges ? » En raison de l’incertitude liée à cette question, il vaut mieux se taire. Autant plus, que les anges sont clairement représentés seulement comme ministres du Christ dans le cadre de travaux de jugement, Matthieu 13:30, 41; 25: 31; II Thess. 1:7, 8.

F. LE TEMPS DE L’ARRÊT.

Bien que le temps de l’arrêt futur ne peut être absolument déterminé, il peut être fixé relativement, c'est-à-dire, par rapport à d’autres événements eschatologiques. Il sera clairement à la fin du monde actuel, car ce sera un jugement passé sur toute la vie de chaque homme, Matthieu 13:40-43; II Pierre 3:7. En outre, il sera un accompagnement de l’entrée (parousie) de Jésus Christ, Matthieu 25: 19-46; II Thess. 1:7-10; II Pierre 3:9, 10 et suivra immédiatement après la résurrection des morts, Dan. 12:2; John 05:28, 29; 20:12, 13. La question qu’il sera immédiatement précéder, coïncider avec ou suivre immédiatement, le renouvellement du ciel et la terre, ne peut être réglée avec certitude sur la base de l’écriture. 20:11 semble indiquer que la transformation de l’univers aura lieu lorsque le jugement commence; II Pierre 3:7, qui vont synchroniser les deux; Apocalypse 21:1 et que le renouvellement du ciel et la terre suivra le jugement. Nous ne pouvons parler d’eux d’une manière générale comme concomitants. Il est également impossible de déterminer la durée exacte de l’arrêt. L’écriture parle du « jour du jugement, » Matthieu 11:22; 12:36, « ce jour-là », Matthieu 07:22; II Thessaloniciens. 01:10; II Timothée 01:12 et « le jour de la colère, » Romains 2:5; Apocalypse 11:8. Nous n'avons pas déduire de ceux-ci et passages similaires qui il sera un jour d’exactement vingt-quatre heures, depuis le mot « jour » est également employé dans un sens plus indéfini dans l’écriture. En revanche, cependant, l’interprétation de certains des Premillenarians, que c’est une appellation de la période entière millénaire, ne peut pas être considérée comme un plausible. Lorsque le mot « jour » est utilisé pour désigner une période, c’est une période qui, ensemble, se caractérise par une caractéristique particulière, généralement indiquée par le génitif qui suit le mot. « Le jour de détresse » est donc la période qui se caractérise tout au long par ennui, et « le jour du Salut » est la période qui est dans son intégralité, réputée pour son affichage en suspens de la faveur ou de la grâce de Dieu. Et on ne peut certainement être dire que la période millénaire des Premillenarians, tout en commençant et finissant par un jugement, est tout au long d’une période de jugement. C’est plutôt une période de joie, de la justice et de paix. La caractéristique de celui-ci n’est certainement pas celle de jugement.

G. LA NORME DE L’ARRÊT.

La norme par laquelle les saints et les pécheurs sont jugés sera évidemment la volonté révélée de Dieu. Ce n’est pas la même pour tous. Certains ont eu le privilège au-dessus des autres, et cela ajoute naturellement à leur responsabilité, Matthieu 11:21-24: Rom. 02:12-16. Cela ne signifie pas qu’il y aura des conditions différentes de Salut pour les différentes catégories de personnes. Pour tous ceux qui apparaissent dans l’entrée de jugement, ou exclues, ciel, volonté dépendant de la question, qu’ils soient revêtus de la justice de Jésus-Christ. Mais il y aura des degrés différents, tant de la béatitude du ciel et de la punition de l’enfer. Et ces diplômes seront déterminés par ce qui se fait dans la chair, Matthieu 11:22, 24; Luc 12:47, 48; 20:47; Dan. 12:3; II Corinthiens 9-6. Les Gentils seront jugés par la Loi de la nature, inscrit dans leur cœur, les Israélites de l’ancienne dispensation par la révélation de l’ancien Testament et que seulement et ceux qui ont aimé, sans compter que la lumière de la nature et la révélation de l’ancien Testament , la lumière de l’Evangile, seront jugés selon la lumière plue qu’elles ont reçues. Dieu donnera à chacun son dû.

H. LES DIFFÉRENTES PARTIES DU JUGEMENT.

Ici, nous devons distinguer:

1. LA CAUSAE COGNITIO. Dieu prendra connaissance de l’état des affaires, de la vie entière passée de l’homme, y compris même les pensées et les intentions secrètes du cœur. C’est symboliquement représentée dans l’écriture comme l’ouverture des livres, Dan. 07:10; 20:12. Les pieux des jours de Malachie a parlé d’un livre de souvenir écrit devant Dieu, Malachie 03:16. Il s’agit d’une description figurative qui est ajoutée pour compléter l’idée de l’arrêt. Un juge a généralement le livre de la Loi et l’enregistrement des personnes qui comparaissent devant lui. Selon toute probabilité la figure dans ce cas fait simplement référence à l’omniscience de Dieu. Certains parlent du livre de la parole de Dieu comme le livre de la Loi et du livre du souvenir que le livre de la prédestination, enregistrement privé de Dieu. Mais il est très douteux que nous devrions préciser dans ce mode.

2. LA PROMULGATIO SENTENTIAE. Il y aura la promulgation de la phrase. Le jour du jugement est le jour de la colère et de la révélation du juste jugement de Dieu, Rom. 2:5. Tout doit être révélé devant le tribunal du juge suprême, II Corinthiens 05:10. Le sens de la justice exige. La sentence prononcée à chaque personne ne sera pas secret, ne connaîtra pas à cette personne seulement, mais sera publiquement proclamée, ainsi qu’au moins ceux en aucune manière concernés sauront. Ainsi la justice et la grâce de Dieu seront allume dans toute leur splendeur.

3. LA EXECUTIO SENTENTIAE. La phrase des justes cédera la béatitude éternelle et celle de la misère éternelle méchante. Le juge va diviser l’humanité en deux parties, comme un berger sépare les brebis des boucs, Matthieu 25: 32 ff. Compte tenu de ce qui sera dit de leur état final dans le chapitre suivant, rien de plus besoin d’être ajoutée.

V. l’État Final

Le jugement dernier détermine et naturellement conduit donc l’état final de ceux qui comparaissent devant le siège du jugement. Leur état final représente une misère éternelle ou béatitude éternelle.

A. L’ÉTAT FINAL DES MÉCHANTS.

Il y a surtout trois points cet appel aux fins d’examen ici:

1. LE LIEU AUQUEL LES MÉCHANTS SONT CONDAMNÉS. Dans la théologie de nos jours, il existe une tendance évidente dans certains cercles d’écarter l’idée de punition éternelle. Les Annihilationists, qui sont toujours représentés dans ces sectes comme l’adventisme et Dawnism millénaire et les défenseurs de l’immortalité conditionnelle, nient l’existence des méchants et ainsi rendre un lieu de punition éternelle inutile. Dans la théologie libérale moderne, le mot « enfer » est généralement considéré comme appellation figurative d’une condition purement subjective, dans laquelle les hommes peuvent se trouver alors même que sur la terre, et qui peut devenir permanente à l’avenir. Mais ces interprétations ne font certainement pas justice aux données de l’écriture. Il ne peut y avoir aucun doute raisonnable quant au fait que la Bible enseigne la persistance des méchants, Matthieu 24:5; 25: 30, 46; Luc 16:19-31. En outre, dans le cadre de l’objet de « l’enfer » la Bible utilise certainement droit termes locaux le long. Il appelle l’endroit de tourment Géhenne, un nom dérivé de l’hébreu ge (terrestre, ou vallée) et hinnom ou hinnom beney, c'est-à-dire Hinnom ou fils de Hinnom. Ce nom a été initialement appliqué à un Sud-Ouest vallée de Jérusalem. C’était l’endroit où les méchants idolâtres sacrifié leurs enfants au dieu Moloch en l’obligeant à passer par le feu. Donc, il était considéré comme impur et a été admise en jours plus tard « la vallée de tophet (crachat), comme une région totalement méprisée. Les feux brûlaient constamment là pour consommer les abats de Jérusalem. En conséquence, il est devenu un symbole du lieu de tourment éternel. Matthieu 18:9 parle de dix geennan tou puros, la Géhenne du feu, et cette forte expression est utilisée comme synonyme avec de pur à aionion, le feu éternel, dans le verset précédent. La Bible parle aussi de « une fournaise de feu, » Matthieu 13:42 et d’un « lac du feu, » 20:14, 15, qui forme un contraste avec la « mer de verre semblable à cristal, » Apocalypse 4:6. Les termes « prison », j’ai PET. 03:19, « l’abîme », Luke 08:31 et « tartare, » II PET. 2:4 sont également utilisés. Du fait que les conditions précédentes sont toutes les désignations locales, nous pouvons déduire que l’enfer est un endroit. En outre, les expressions locales sont généralement utilisées à cet égard. L’écriture parle de ceux qui sont exclus du ciel comme étant « en dehors » et comme étant « jeté dans la Géhenne. » La description dans Luc 16:19-31 est certainement tout à fait locale.

2. L’ÉTAT DANS LEQUEL ILS VONT CONTINUER LEUR EXISTENCE. Il est impossible de déterminer avec précision ce qui constitue le châtiment éternel des méchants, et il nous appartient de parler avec beaucoup de prudence sur le sujet. Positivement, on peut dire qu’il se composent à l’alinéa a une absence totale de la faveur de Dieu; (b) une perturbation sans fin de vie à la suite de la domination complète du péché; (c) positifs douleurs et souffrances dans le corps et l’âme; et (d) Ces châtiments subjectifs comme les affres de la conscience, l’angoisse, le désespoir, pleurs et des grincements de dents, Matthieu 08:12; 13:50; Marquer à 09:43, 44, 47, 48; Luc 16:23, 28; 14:10; 21:8. de toute évidence, il y aura degrés dans la punition des méchants. Ceci fait suite à de tels passages comme Matt. 11:22, 24; Luc 12:47, 48; 20:17. leur peine soit proportionnée à leur péché contre la lumière qu’ils avaient reçues. Mais néanmoins, il sera le châtiment éternel pour chacun d’eux. Cela est clairement dit dans les Ecritures, Matthieu 18:8; II Thess. 1:9; 14:11; 20:10. que certains nient qu’il y aura un feu littéral, parce que cela ne pouvait affecter les boissons spiritueuses telles que Satan et ses démons. Mais comment savons-nous ceci ? Notre corps fonctionne certainement sur notre âme en quelque sorte mystérieux. Il y aura une punition positive correspondant à notre corps. C’est sans doute vrai, cependant, que beaucoup de langage concernant le ciel et l’enfer doit s’entendre au sens figuré.

3. LA DURÉE DE LEUR PEINE. La question de l’éternité de la punition future mérite une attention plus particulière, cependant, car il est souvent refusé. Il est dit que les mots utilisés dans l’écriture pour « éternelle » et « eternal » peuvent simplement signifier un « âge » ou une « dispense » ou toute autre période longue de temps. Maintenant on ne peut douter qu’ils sont tellement habitués à certains passages, mais cela ne prouve pas qu’ils ont toujours ce sens restreint. Il n’est pas le sens littéral de ces termes. Chaque fois qu’ils sont tellement habitués, ils sont utilisés au sens figuré, et dans ce cas, leur utilisation figurative est généralement assez évidente de la connexion. En outre, il y a des bonnes raisons de penser que ces mots n’ont pas ce sens restreint dans les passages que nous avons évoquées. b dans Matthieu 25: 46, le même mot décrit la durée des deux, la béatitude des saints et la peine des méchants. Si celle-ci n’est pas, à proprement parler, l’incessante, n’est le premier; et encore bon nombre de ceux qui doutent de la punition éternelle, ne doute pas de la béatitude éternelle. (b) d’autres expressions sont utilisées qui ne peut être annulée par l’examen mentionné au cours des précédentes. Le feu de l’enfer est appelé un « feu inextinguible » marquer à 09:43; et c’est des méchants, dit que « leur ver ne meurt pas », marquer à 09:48. En outre, le gouffre qui séparera les saints et les pécheurs à l’avenir est censé être fixe et impraticables, Luc 16:26.

B. L’ÉTAT FINAL DES JUSTES.

1. LA NOUVELLE-CRÉATION. L’état final des croyants sera précédée par le passage du monde actuel et l’apparition d’une nouvelle création. Matthieu 19:28 parle de « la régénération » et agit 03:21, de « la restauration de toutes choses. » Dans Hébreux 12:27, nous lisons: « Et ce mot, encore une fois de plus élèveront la suppression de ces choses qui sont secoués (ciel et terre), à partir de choses qui sont faites, que ces choses qui ne sont pas ébranlés (le Royaume de Dieu) peuvent rester. » Pierre dit: « mais selon sa promesse, nous attendons de nouveaux cieux et une nouvelle terre où la justice, habite » II Pierre 03:13, cf. vs 12; et John a vu cette nouvelle création dans une vision, Apoc. 21:1. C’est seulement après que la création de nouvelle a été établie, que la nouvelle Jérusalem descend du ciel de Dieu, que le tabernacle de Dieu est placé chez les hommes, et que les justes pénétrer leur joie éternelle. La question est souvent posée, si ce sera une toute nouvelle création, ou un renouvellement de la création actuelle. Les théologiens luthériens favorisent fortement l’ancien poste avec un appel à II Pierre 3:7-13; 20:11; et 21:1; tandis que les théologiens réformés préfèrent cette dernière idée et trouvent un soutien pour elle dans Psaume 102:26, 27; (Héb. 01:10-12); et Hébreux 12:26-28.

2. LA DEMEURE ÉTERNELLE DES JUSTES. Beaucoup conçoivent des cieux aussi comme une condition subjective, que les hommes peuvent profiter du présent, et qui dans la voie de la justice deviendra naturellement permanente à l’avenir. Mais ici, aussi, il faut dire que l’écriture présente clairement le ciel comme un lieu. Christ est monté au ciel, qui ne peut signifier qu’il est allé d’un endroit à l’autre. Il est décrit comme la maison de notre père avec beaucoup de manoirs, Jean 14:1, et cette description cadrerait guère une condition. En outre, les croyants sont dit à l’intérieur, tandis que les mécréants sont sans, Matthieu 22:12, 13; 25: 10-12. l’écriture nous donne des raisons de croire que les justes n’hériteront pas ciel, mais la toute nouvelle création, Matthieu 5:5; Apoc. 21:1-3.

3. LA NATURE DE LEUR RÉCOMPENSE. La récompense des justes est décrit comme la vie éternelle, c'est-à-dire non seulement une vie sans fin, mais vie dans toute sa plénitude, sans toutes les imperfections et les perturbations du présent, Matthieu 25: 46; Romains 2:7. La plénitude de cette vie est appréciée en communion avec Dieu, qui est vraiment l’essence de la vie éternelle, Apoc. 21:3. Ils verront Dieu dans le Christ Jésus face à face, trouvent entière satisfaction en lui, seront réjouira en lui et seront glorifier. Nous ne devrions pas penser les joies du ciel, cependant, comme exclusivement spirituelle. Il y aura quelque chose correspondant à l’organe. Il y aura reconnaissance et des relations sociales sur un plan surélevé. Il ressort également de l’écriture, qu’il y aura des degrés dans la béatitude du ciel, Dan. 12:3; II Corinthiens 9:6. Nos bonnes œuvres sera la mesure de notre gracieuse récompense, bien qu’ils ne méritent pas elle. Malgré cela, cependant, la joie de chacun sera parfait et complet.

QUESTIONS pour étude complémentaire: Pourquoi le sens moral de l’humanité demande un jugement futur ? Quel précurseurs historiques d’un jugement définitif l’écriture se réfère-t-il ? Où se déroulera le jugement définitif ? Quel encouragement est là pour les croyants dans le fait que le Christ sera le juge ? Ne pas l’expression que celui qui croit au fils » n’entrera en condamnation, » John 05:24, prouver que les croyants ne seront pas jugés ? Ce qui fonctionne entrera en compte dans le jugement final selon l’Ecriture ? Si tous les croyants héritent la vie éternelle, dans quel sens est leur récompense, selon leurs œuvres ? Le jugement ont pour but d’informer sa Dieu mieux avec les hommes ? Quoi cela sert-il ? Hommes seront finalement perdus que pour le péché de consciemment rejeter Christ ?

LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, p. 777-815; Kuyper, Dict. dogme., De Consummatione Saeculi, pp. 280-327; Vos, Geref. Dogme., Eschatologie p. 32-50; Hodge. Syst. Theol. III, p. 844-880; Shedd, dogme . THEOL. II, pp. 659-754; Ibid., Doctrine de châtiment sans fin; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 842-862; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 581-595; Beckwith, réalités de Chr. Theol., p. 361-382; Drummond, Studies in Chr. Doct., p. 505-514; Macintosh, théol. comme une Science empirique, p. 205-215; Dahle, vie après la mort, p. 418-455; Mackintosh, l’immortalité et l’avenir, p. 180-194; 229-244; Roi, futur châtiment; Hovey, eschatologie biblique, p. 145-175; Von Huegel, la vie éternelle; Alger, histoire de la Doctrine d’une vie Future, p. 394-449, 508-549, 567-724; Schilder. Wat est de Hemel; Vos, L’eschatologie de Pauline, pp. 261-316; Kliefoth, Eschatologie, pp. 275-351.

 

LES DEUX POINTS DE VUE ESCHATOLOGIQUES PRIMAIRES

 

VUES AMILLÉNAIRE

Les amillénaristes voient dans le millénium un nombre symbolisant l'état béni des saints. L'amillénarisme a l'avantage d'être l'interprétation eschatologique la plus juste des Écritures. L’approche amillénariste rejette l’interprétation littérale du millénium (Apocalypse 20:1-10), Christ ne régnera donc pas mille ans sur la terre. Cette approche a été érigée en doctrine par Augustin (mort en 430 ap. JC) qui considérait le millénium comme étant un royaume spirituel dans le cœur de tout converti à Christ, comme nous le voyons dans les Évangiles. Mais si Augustin donna une forme à cette doctrine, il en est pas pour autant l'auteur, car cette interprétation d'un Royaume spirituel est celle de l'Église primitive des apôtres et des premiers disciples, comme nous avons vu au début de ce document. Ce règne avance au fur et à mesure que l’Évangile progresse dans la vie de l’Église. L'erreur magistrale d'Augustin est qu'il voyait l'Église comme une institution ou organisation plutôt qu'un état d'être spirituel. Le posmillénarisme et l'amillénarisme ont en commun la croyance en un retour visible du Christ pour le jugement, lequel sera suivi de l'état final. Ils rejettent l'enseignement de deux résurrections corporelles séparées par un laps de temps. Ils rejettent aussi la doctrine dispensationnaliste de l'enlèvement et du second retour comme constituant deux retours distincts antérieurs au millénium. Ils enseignent que le millénium est relié à l'ère de l'Église comme institution. La doctrine postmillénaire trouve aussi ses racines dans les pensées d'Augustin, car malheureusement celui-ci croyait en un règne de 1000 ans historique qui s'accomplirait pendant l'ère chrétienne. Son enseignement était que la première résurrection consistait dans la nouvelle naissance des croyants et que Satan fut lié au début du ministère de Jésus-Christ lorsqu'en réalité il fut lié seulement à la croix. Cependant, cet enseignement historique du 1000 ans s'est trouvé en difficulté quand, à la fin du dixième siècle, il devint évident que le temps alloué passait sans un second retour de Christ. Quelques-uns comprirent alors que le nombre 1000 était symbolique et devait inclure plus que les 1000 ans réels. D'autres ont cru que le millénium s'était terminé au moment de la Réforme.

 

La doctrine amillénaire est similaire au postmillénarisme en ce qu'elle nie aussi que l'ère actuelle de l'Église sera suivie d'un règne de 1000 ans du Christ sur la terre. Cependant la différence de base consiste dans ce qu'elle rejette l'idée que le millénium ait une signification littérale quant au nombre. Deux savants allemands, Duesterdieck et Kliefoth, ont développé cet enseignement environ 150 ans après l'interprétation de Whitby. Ils réfutent la doctrine prémillénaire des deux résurrections et aussi la doctrine post-millénaire du 1000 ans littéral à l'intérieur de l'ère chrétienne. Ils croient que le règne de 1000 ans consiste en un nombre symbolique concernant la plénitude de l'état béni des saints.

 

Dans son affirmation que le Royaume est présent actuellement, l'amillénarisme est en parfait accord avec les Écritures. Dans cette position, la présence du Royaume indique qu'il est aussi à venir dans la manifestation finale de sa gloire. Tandis que la terre court vers sa fin, que les forces du mal semblent se multiplier et qu'une période de persécution et de tribulation s'abat sur l'Église avant la Parousie, l'espérance amillénariste demeure intacte. Un des plus grand défenseurs de l'Amillénarisme, William E. Cox, «Amillennialism Today», nous décrit ce système d'interprétation: «Le caractéristique général de l'Amillénarisme est qu'il refuse un règne littéral de Christ sur la terre. Satan est conçu comme étant attaché depuis le premier avènement de Christ. L'ère actuelle entre le premier et le deuxième avènement est l'accomplissement du Millénium. Certains de ses adhérents sont divisés sur le point du millénium, à voir s'il est un accomplissement terrestre dans l'Église ou s'il est un accomplissement céleste avec les saints qui sont présent avec Christ dans le ciel. L'Amillianisme peut être résumé dans l'idée qu'il n'existe aucun Millénium sauf maintenant, et que l'état éternel suit immédiatement le deuxième avènement de Christ.».

 

Nous pouvons diviser l'Amilliénarisme en trois écoles de pensées:

1) l'Amilliénarisme historique qui considère l'importance d'événements historiques spécifiques comme étant l'accomplissement de certaines prophéties du Nouveau Testament. Le danger de cette position est de confiner le millénium à une certaine période de l'histoire comme fit Augustin qui croyait que le monde était pour terminer en l'an 650. Très peu tiennent cette position de peur de s'égarer dans des faux raisonnements sur le millénium et dans des spéculations imprécises;

2) l'Amilliénarisme intermédiaire dont l'enseignement est que le millénium se rapporte uniquement aux saints qui sont présent avec le Seigneur dans le ciel;

3) l'Amilliénarisme indéfini ou spirituel qui est supporté par la majorité des chrétiens Protestants depuis la Réforme. Cette position enseigne que tous les saints, vivants et morts, règnent présentement avec Christ dans un millénium continuel entre les deux avènements. Grosso modo, l'Amilliénarisme a plus de fondement scripturaire que le Postmillénarisme ou le Prémillénarisme, mais malheureusement, son refus de préciser certaines prophéties dans leurs contextes historiques évidents, comme la prophétie de l'Apocalypse qui décrit l'Israël moderne comme étant la Bête qui surgit de la terre des nations en 1948, laisse cette position dans une situation déficiente et délicate. Toutefois il faut considérer que la position Amillénariste fut fondée avant l'accomplissement historique de cette prophétie qui est considérées uniquement dans la position Pneumillénaire. Nous pouvons dire, en effet, que la position Pneumillénaire est une extension factuelle et contemporaine de la position Amillénaire.

 

Il nous convient maintenant de parler de la structure littéraire du livre de l'Apocalypse, exposée d'une manière remarquable par le regretté William Hendriksen, un ardent amillénariste, dans son livre «Plus que Conquérants» qui est difficilement trouvé de nos jours. Ce système formidable d'interprétation unique, nommé «Parallélisme Progressif», divise le livre de l'Apocalypse en sept sections qui s'étendent parallèlement les unes à côté des autres. Ceci nous donne le moyen par excellence pour comprendre ce livre énigmatique. Chaque section dépeint le développement progressif de l'histoire entre les deux avènements de Christ, ainsi chaque section reste parallèle à la section qui la précède et à celle qui la suit:

 

1) la première section est constituée des trois premiers chapitres du livre;

2) la deuxième section consiste des chapitres 4 à 7;

3) la troisième des chapitres 8 à 11;

4) la quatrième des chapitres 12 à 14;

5) la cinquième des chapitres 15 et 16;

6) la sixième des chapitres 17 à 19;

7) la septième des chapitres 20 à 22.

 

Ce système d'interprétation nous montre clairement que le Millénium est l'âge durant lequel l'Évangile est proclamé et dans lequel nous nous trouvons présentement.  Nous recommandons fortement ce système à ceux qui désirent étudier le livre de l'Apocalypse sérieusement.

 

VUES PNEUMILLÉNAIRE

L'interprétation pneumillénaire est la même que la position amillénaire spirituelle, sauf que celle-ci prend son nom du Grec «Pneuma» qui signifie «l'Esprit» et «le vent», et par conséquent exprime plus précisément «un Millénium Spirituel» du règne de Christ dans ses élus sur la terre comme au ciel. Le terme «amillénarisme» détient une négation du fait qu'il signifie littéralement «pas de millénium», mais celui de pneumillénarisme est plus précis pour exprimer la vérité d'un Royaume spirituel de Christ dans le cœur de ses élus. De son nom, cette position est très peu connue puisqu'elle a été développée seulement en l'an 1978 au sein d'un christianisme marginal non institutionnalisé et libre comme le vent de l'Esprit. Cette interprétation du Royaume millénariste spirituel de Christ prit forme sous la plume de Jean leDuc, auteur même de ce document, lorsqu'il fut donné de comprendre que la nation moderne d'Israël s'oppose radicalement à tout ce que la chrétienté traditionnelle s'imagine sur cette nation qui a surgi de la terre des nations en 1948, renaissant de ses cendres comme le Phénix dans la mythologie antique.

 

Le pneumillénarisme est fondée sur «l'Alliance de la Grâce» qui se manifeste dans le règne présent de Christ dans le cœur de ses élus qui le reconnaissent comme «le Roi des rois» dont le Royaume est spirituel et actif dans le moment même.  Ainsi ceux qui attribuent le millénium à un temps futur dans lequel Christ établirait un règne littéral de mille ans sur la terre, s'opposent à ce que le Seigneur Jésus règne sur eux dans le présent même et s'attaquent à la grâce du salut. Le pneumillénarisme est une position radicale qui exalte Christ comme Dieu et Roi, et ne fait aucune concession à ceux qui s'opposent au règne souverain de la grâce de Dieu, et qui compromettent la vérité des Écritures par leur tiédeur, leur laxisme, ou leurs opinions personnelles ou collectives. Le pneumillénarisme est strictement souverainiste en ce qu'il affirme avec les Écritures que Dieu détient une souveraineté absolue dans le salut et la sanctification de ses élus, tout comme l'enseigne les doctrines de la grâce énumérée dans TULIPE, document historique de la Réforme qui est crucial et extrêmement important, étant chargé d'autorité et demeurant toujours d'actualité. Ainsi dans son ensemble le pneumillénarisme s'oppose farouchement au prémillénarisme des sectes dites Évangéliques qui déforment le salut par la grâce seule pour en faire un salut par les œuvres d'une décision personnelle qui valorise le libre-choix illusoire de l'homme. L'eschatologie pneumillénariste est relié étroitement à la sotériologie puisque le Royaume c'est aussi le Roi de gloire dans son ministère de Rédemption.

 

Il va presque sans dire que le pivot du pneumillénarisme est la présence même de Jésus en ses élus. De cette présence elle enseigne, non un retour, car le terme retour implique une absence et Christ est toujours présent avec nous (Matthieu 28:20), mais l'émergence de la Présence de Christ de ses élus qui les transformera à son image dans une lumière glorieuse, et tout œil le verra en chacun d'eux lorsqu'ils seront réunis en un seul Corps dont la tête est Christ glorifié. Cette émergence marquera la fin des temps et le début d'une nouvelle race céleste et éternelle dans la gloire de Christ que l'Apocalypse nomme «les noces de l'Agneau». Contrairement à l'amillénarisme, pour le peneumillénarisme l'Église n'est pas une institution mais un état d'être spirituel qui est l'appel irrésistible de la grâce à être délivré de la condamnation du péché et à renaître dans une vie nouvelle et éternelle. Tel est l'enseignement du Seigneur Jésus, notre Dieu et notre Roi.

 

Les sept points principaux du pneumillénarisme:

1- Le baptême de Jésus (oindre le Saint des saints Daniel 9:24) marque la fin de la 69ie semaine de la prophétie de Daniel et le début de la 70ie semaine. A son baptême Jésus prit sur lui la charge de Souverain Sacrificateur pour l'expiation de nos péchés dans son sacrifice sur la croix.

2- La 70ie semaine de Daniel (Daniel 9:27) se rapporte à la Nouvelle Alliance dans le sang de Christ qui fit cesser la valeur des sacrifices sanglant dans le Temple pour la purification des péchés du peuple Juif, et non à un futur Antichrist qui ferait alliance avec Israël pour sept ans. Puisque chaque semaine de Daniel est de sept années, le fait que Christ fut «retranché à la moitiés de la semaine» indique que le ministère de Jésus fut précisément de 3 ans et demi. Les trois autres années qui restent s'appliquent au moment de la Pentecôte lorsque Christ revient, comme il l’avait promis (Jean 14:18-20), pour habiter le cœurs de ses disciples par sa Sainte Présence, débutant ainsi le temps de la grâce entre son premier avènement et son apparition finale à la fin des temps. C’est ce qu’on nomme «le Royaume millénariste spirituel» en accord avec ce que dit l’apôtre Pierre (2 Pierre 3:8,9), et qui dit en plus: «Vous aussi, comme des pierres vivantes, vous êtes édifiés, pour être une maison spirituelle, une sacrificature sainte, afin d'offrir des sacrifices spirituels agréables à Dieu, par Jésus-Christ.» (1 Pierre 3:5). Le pneumilénarisme est solidement ancré dans cette position d’un Royaume spirituel qui est relié au salut par la grâce souveraine des élus de Dieu.

3- L'Église est un état d'être spirituel et non une institution organisée (1 Pierre 2:9,10). Elle est l’appel à renaître dans un Royaume spirituel par l’habitation de la Sainte Présence de Christ.

4- Satan a été attaché à la croix et non à la naissance de Christ (Colossiens 2:14,15; Apocalypse 12:10,11)

5- Le règne de mille ans mentionné dans l'Apocalypse est le règne spirituel du temps de la grâce entre le premier avènement de Christ et son apparition finale (Apocalypse 20:1-10; 2 Pierre 3:8-13).

6- Que Satan est délié de sa prison vers la fin du millénium, se rapporte à la grande apostasie d'un faux peuple de Dieu, et plus précisément à l'Arminianisme des sectes dites Évangéliques qui séduisent un grand nombre avec un faux évangile du libre-choix et avec des faux dons miraculeux (2 Thessaloniciens 2:2-12). L'Antichrist est non un homme mais une doctrine qui élève la dignité humaine au rang de la divinité. Cette doctrine d'un christianisme contrefait est l'Arminianisme qui s'oppose à la souveraineté absolue de Dieu dans la grâce du salut et de la sanctification. Elle trouve son apogée dans la papauté, dans l'Israël moderne, et dans le mouvement Évangélique, les «trois esprits immondes semblables à des grenouilles, les trois esprits diaboliques contre lesquels nous combattons» présentement, combat d'une guerre spirituelle qui se nomme «la bataille d'Armageddon» (Apocalypse 16:13-16).

7- Il n'y a pas d'enlèvements de l'Église pour rencontrer le Seigneur dans les airs, mais une exaltation des élus dans les nuées de sa Présence qui les incorpore tous en un seul Corps éternel qui forme le Nouvel Homme (1 Thessaloniciens 4:16,17). Cette exaltation correspond au surgissement de Christ du cœur de ses élus à l'aboutissement de la période de la grâce qui transformera chacun d'eux en son image et les unira en un seul Corps glorieux pour l'éternité (1 Corinthiens 15:49-54; 2 Thessaloniciens 1:6-10; 2 Corinthiens 3:18).

 

 

A Christ seul soit la Gloire

 


 

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