THÉOLOGIE
SYSTÉMATIQUE
LOUIS BERKHOF
mise en page par
Jean leDuc
Mars 2018

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pour vos études. Merci pour votre
compréhension.
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TABLE DES MATIÈRES
REMARQUE
PRÉFACE
PREMIÈRE PARTIE
LA DOCTRINE DE DIEU
L’Être de Dieu:
I. l’Existence de Dieu
II. l’intelligibilité de Dieu
III. rapports de l’être et les attributs de Dieu
IV. les noms de Dieu
V. les attributs de Dieu en général
VI. les attributs Incommunicable
VII. les attributs transmissibles
VIII. la Sainte-Trinité
Les œuvres de Dieu
I. les décrets divins en général
II. la prédestination
III. la création en général
IV. la création du monde spirituel
V. création du monde matériel
VI. Providence
DEUXIÈME PARTIE
LA DOCTRINE DE L’HOMME PAR RAPPORT À DIEU
Homme dans son état d’origine
I. l’origine de l’homme
II. la Nature constitutionnelle de l’homme
III. l’homme comme l’Image de Dieu
IV. l’homme et l’Alliance des œuvres
Homme dans l’état du péché
I. l’origine du péché
II. le caractère essentiel du péché
III. la Transmission du péché
IV. le péché dans la vie de l’humanité
V. la punition du péché
L'homme dans l’Alliance de grâce
I. nom et Concept de l'Alliance
II. l'Alliance de la rédemption
III. Nature de l’Alliance de grâce
IV. le double Aspect de l'Alliance
V. les Dispensations différentes de l'Alliance
TROISIÈME PARTIE
LA DOCTRINE DE LA PERSONNE ET L'ŒUVRE DU CHRIST
La personne du Christ
I. la Doctrine du Christ dans l’histoire
II. les noms et les Natures du Christ
III. l'uni-personnalité du Christ
Les États du Christ
I. l’état d’Humiliation
II. l’état d’Exaltation
Les offices du Christ
I. introduction: L’Office prophétique
II. l’Office sacerdotal
III. la Cause et la nécessité de l’expiation
IV. la Nature de l’expiation
C. théories divergentes de l’expiation
VI. le but et l’étendue de l’expiation
VII. le œuvre intercession du Christ
VIII. les fonctions royales
QUATRIÈME PARTIE
LA DOCTRINE DE L’APPLICATION DE L'ŒUVRE DE RÉDEMPTION
I. sotériologie en général
II. l’opération du Saint-Esprit en général
III. La Grâce commune ou générale
IV. l’Union mystique
V. l’appel en général et l’appel externe
VI. régénération et l'Appel efficace
VII. Conversion
VIII. la foi
IX. la Justification
X. sanctification de
XI. la persévérance des Saints
CINQUIÈME PARTIE
LA DOCTRINE DE L’ÉGLISE ET DES MOYENS DE GRÂCE
L’église
I. les noms Scripturaire de l’Église et la Doctrine de l’Église dans l’histoire
II. la Nature de l’Église
III. le gouvernement de l’Église
IV. le pouvoir de l’Église
Les moyens de grâce
I. les moyens de grâce en général
II. la parole comme moyen de Grace
III. les sacrements en général
IV. le Baptême chrétien
V. la Cène du Seigneur
SIXIÈME PARTIE
LA DOCTRINE DES CHOSES DERNIÈRES
Eschatologie individuelle
I. chapitre d'introduction
Mort physique II.
III. l’immortalité de l’âme
IV. l’état intermédiaire
Eschatologie générale
I. la seconde venue du Christ
II. millénaires vues
III. la résurrection des morts
IV. le jugement Final
V. l’État Final
BIBLIOGRAPHIE
|
REMARQUE
Présentation de
Louis Berkhof
(1873-1957)
Louis Berkhof est né
le 13 octobre 1873 à
Emmen, Drenthe,
Pays-Bas. Il arriva
aux États-Unis à
l’âge de 8 ans, ses
parents y ayant
émigré. Déjà, étant
adolescent, il fut
membre actif et
secrétaire de la
première Société des
jeunes réformés,
organisés à Grand
Rapids, au Michigan.
Les objectifs de
cette société
étaient d’étudier la
doctrine réformée et
les principes du
calvinisme, par
rapport à tous les
domaines de la vie.
Berkhof avoua plus
tard qu’il ne
pourrait jamais
rembourser ce qu’il
devait à la Société
des jeunes réformés,
car c’est dans son
sein qu’il apprit à
étudier et à
s’exprimer. C’est là
aussi qu’il réalisa
combien Dieu l’avait
pourvu de talents
pour travailler dans
son Royaume. C’est
là encore qu’il
ressentit le désir
de devenir ministre
de Dieu.
C’est en 1893 que
Berkhof confessa
publiquement sa foi
en Christ, à l’Eglise
chrétienne réformée
de l’avenue Alpine,
à Grand Rapids. En
septembre de la même
année, à 19 ans
donc, il entrait à
l’Ecole de théologie
de l’Eglise
chrétienne réformée
et, le 16 septembre
1900, il fut
consacré dans l’Eglise
chrétienne réformée
d’Allendale, au
Michigan. Moins de
deux ans après, son
nom figurait sur une
liste de candidats
potentiels à une
nouvelle chaire de
théologie
exégétique.
Finalement, c’est
Roelof Janssen qui
fut nommé, car il
était docteur en
théologie de
l’université de
Halle, en Allemagne;
du reste, il avait
étudié à Kampen, aux
Pays-Bas. Berkhof
décida alors
d’approfondir ses
connaissances et
compléta sa
formation par deux
années à Princeton
(1902-1904), alors
le bastion de
l’orthodoxie
réformée. Il eut
comme professeurs B.
B. Warfield et G.
Vos, tous deux
d’inébranlables
défenseurs de
l’orthodoxie
confessionnelle
réformée et de
l’autorité de l’Ecriture,
ce qui incluait son
infaillibilité et
son inerrance.
Berkhof sortit de
Princeton avec le
grade de bachelier
en théologie.
En août 1904,
Berkhof prit en
charge la paroisse
chrétienne réformée
d’Oakdale, à Grand
Rapids. Il s’y fit
rapidement une
solide réputation à
cause de
l’enracinement
scripturaire de son
enseignement. Outre
son travail
pastoral, il écrivit
un opuscule intitulé
« L’éducation
chrétienne et
l’avenir de notre
Eglise ». Enfin,
parallèlement, il
suivit quelques
cours de philosophie
par correspondance à
l’université de
Chicago.
Le comité
responsable de l’Eglise
ne recommanda pas la
reconduction de
Janssen dans son
poste de professeur.
En effet, il
existait un conflit
latent entre
celui-ci et le
professeur de
théologie
systématique, F.M.
Ten Hoor, au sujet
de l’autorité de l’Eglise
sur les études en
théologie. De plus,
certains
l’accusaient d’être
plus ou moins
critique. Le comité
n’ayant proposé
personne, c’est le
synode de l’Eglise
qui s’en chargea et
qui nomma son
vice-président L.
Berkhof au poste
laissé vacant par le
départ de Janssen.
Louis Berkhof fut
installé comme
professeur d’exégèse
le 5 septembre 1906.
De 1906 à 1914,
Berkhof enseigna au
Calvin Seminary
toutes les matières
de l’Ancien et du
Nouveau Testaments:
hébreu, grec du
Nouveau Testament,
exégèse de l’Ancien
et du Nouveau
Testament,
introduction à
l’Ancien et au
Nouveau Testament,
histoire de l’Ancien
et du Nouveau
Testament.
En 1911, il publia
en hollandais un
livre sur
l’herméneutique
biblique, simple et
limpide. En 1937,
cet ouvrage fut
publié à l’usage des
étudiants
anglophones sous le
titre Principes
d’interprétation
biblique. Il ne
publia qu’un
pamphlet « La vie et
la Loi dans la
théocratie pure ».
Vers 1914, la
réduction de la
charge d’enseignant
permit à Berkhof de
prendre sa plume. Il
écrivit
L’archéologie
biblique et, l’année
suivante, Une
introduction au
Nouveau Testament.
Malgré une lourde
charge professorale,
Berkhof écrivit en
1912 Christianisme
et vie, qui
concernait le
christianisme et la
culture. L’année
suivante parut L’Eglise
et les problèmes
sociaux, qui fut sa
première publication
en langue anglaise.
Il partait de
l’affirmation que l’Evangile
de Jésus-Christ
était la plus grande
force libératrice du
monde, applicable
même aux problèmes
sociaux. L’Eglise
avait donc des
devoirs sociaux et
des responsabilités
qui n’étaient pas
honorés. D’après
Berkhof, l’Eglise
était non seulement
la communauté
spirituelle des
croyants, mais aussi
une organisation qui
avait une tâche
précise dans le
mouvement des
réformes sociales.
L’Eglise, instrument
choisi par Dieu, ne
se limitait pas à
sauver des individus
et à les préparer à
la vie éternelle;
elle devait aussi
accomplir, autant
qu’il est possible,
le Royaume de Dieu
sur terre. La Bible
contenait de
nombreuses
directives pour la
vie sociale et les
ministres de l’Evangile
devaient proclamer,
sans crainte et en
toute clarté, les
grands principes de
cette même vie.
C’est en 1924 que
Berkhof fut appelé à
prendre la
succession de F. M.
Ten Hoor à la chaire
de théologie
systématique. Il
considérait que les
matières bibliques
préparaient à la
dogmatique, qui
récoltait les fruits
de la théologie
biblique.
Après 1926, la
polémique
théologique sur le
prémillénarisme et
sur l’autorité de l’Ecriture
qui faisait rage à
l’intérieur de l’Eglise
chrétienne réformée
cessa au point de ne
jamais revenir avec
la même acuité
pendant la vie de
Berkhof. L’Eglise
s’était débarrassée
du prémillénarisme,
de la menace de la
recherche
scientifique libre
et de la critique
biblique, ainsi que
du danger d’une
conception trop
étroite de
l’opération du
Saint-Esprit dans la
vie culturelle
humaine. Il en
résulta un consensus
théologique
fondamentalement
conservateur et
profondément
enraciné dans
l’orthodoxie
réformée
traditionnelle
confessante. C’est
dans ce climat que
Berkhof s’engagea
dans la recherche
théologique, la
réflexion,
l’enseignement et la
publication. En
1928, il publia une
étude doctrinale
spéciale:
L’assurance de la
foi.
En 1931, il fallut
nommer au Calvin
Seminary un
directeur plus
permanent et
administratif.
Berkhof était
l’homme de la
situation. Il avait
pendant la même
année académique
servi de doyen de
manière très
brillante. De plus,
il jouissait de la
confiance de l’Eglise
et du respect des
étudiants. Il fut
donc élu président
du Calvin Seminary,
poste qu’il mena de
front avec son
professorat pendant
treize ans.
En tant que
professeur de
théologie
systématique,
Berkhof pensait que
sa tâche principale
était de présenter
la vérité
scripturaire de
manière
compréhensible et
dans un ordre
logique, d’une façon
compatible avec la
théologie réformée
historique. Il tenta
de promouvoir la
pensée réformée, en
la faisant
contraster avec ce
qu’il appelait des
positions
doctrinales
aberrantes. Pour
étudier une
doctrine, il
commençait par
définir la position
réformée et
commentait
brièvement
l’histoire de la
doctrine en
question. Puis il
présentait le
fondement
scripturaire de la
position réformée.
Enfin, venaient la
discussion et la
critique des vues
alternatives.
Berkhof reprochait
surtout à la
théologie catholique
romaine de faire de
l’Eglise
hiérarchique la
source et l’autorité
du dogme. Cependant,
ses flèches les plus
aiguës étaient
dirigées contre la
théologie libérale
moderne, qui
réduisait la
théologie à
l’anthropologie ou à
une simple étude de
la religion.
Selon Berkhof,
l’objet
d’investigation en
théologie était la
connaissance de
Dieu, tel qu’il se
révèle dans la
Sainte Ecriture.
L’homme ne pouvant
connaître Dieu comme
Dieu se connaît
lui-même, il peut
quand même le
connaître, parce que
et dans la mesure où
Dieu a choisi de se
révéler lui-même.
Berkhof affirmait
que la connaissance
de Dieu forme le
contenu de la
révélation spéciale.
Cette dernière
constituait un
exposé de la
connaissance de Dieu
et du concept de la
rédemption dans le
Christ-Jésus. Si, au
sens strict, la
révélation spéciale
était plus large que
l’Ecriture sainte,
elle en était
synonyme de manière
pratique et
concrète. Ainsi, l’Ecriture
sainte était la
source unique de la
théologie
systématique. Elle
était également la
seule norme ayant
autorité pour juger
la vérité formulée
et affirmée par la
théologie.
Berkhof pensait que
la théologie
systématique était
une entreprise
scientifique. L’Ecriture
sainte contenait des
vérités (des
événements et des
idées), mais elle ne
présentait pas de
système logique à
recopier purement et
simplement.
Cependant, les
vérités contenues
dans la Bible
étaient reliées
entre elles. Pour
Dieu, la vérité
était une unité, et
la vérité révélée
dans la Parole de
Dieu un tout
organique. De plus,
l’homme, créature
douée d’une raison,
ressentait un besoin
irrésistible de
comprendre la vérité
dans son unité.
Ainsi, la tâche
particulière du
dogmaticien
consistait à penser
les pensées de Dieu
après lui, sous la
direction du
Saint-Esprit, à
assimiler clairement
la vérité révélée
dans la Parole de
Dieu, et à la
reproduire
logiquement sous une
forme systématique.
Berkhof rejetait
l’usage de la raison
spéculative comme
source et norme de
vérité théologique,
mais affirmait la
fonction nécessaire
de la raison; le but
était d’unifier les
événements
particuliers et les
idées contenus dans
la Parole de Dieu et
de les organiser en
un système cohérent
de vérité.
Cependant, il ne
permettait pas à la
raison de
fonctionner
indépendamment de la
foi. En théologie,
la foi correspondait
à la connaissance
révélée de Dieu et
était utilisée comme
un instrument
nécessaire au cœur
de l’homme, qui
s’appropriait la
vérité divine. En un
mot, la foi
s’appropriait la
vérité révélée et la
raison l’organisait
et la systématisait.
Toujours selon
Berkhof, la
théologie
systématique
réformée était une
question
ecclésiastique. L’Eglise,
sous la direction du
Saint-Esprit,
s’engage dans une
activité
intellectuelle qui
produit le dogme.
Lorsque l’Eglise
réfléchit sur la
vérité de la Parole
de Dieu, cette
vérité prend une
forme bien précise
dans la conscience
de l’Eglise, et est
formulée dans des
doctrines clairement
définies.
Bien que l’Ecriture
demeure toujours la
source, la norme et
l’examen final de
toute vérité
dogmatique, les
credos et les
confessions de foi
de l’Eglise
fournissent un noyau
dans la théologie
systématique.
Berkhof soulignait
que le théologien
est toujours le
théologien d’une
Eglise particulière.
Il reçoit la vérité
dans la communauté
ecclésiale, partage
les convictions de
l’Eglise et promet
d’enseigner en
harmonie avec elle,
aussi longtemps que
la compréhension de
la vérité par l’Eglise
n’est pas contraire
à la Parole de Dieu.
Les écrits
dogmatiques
principaux de
Berkhof provenaient
de ses cours et
visaient à aider les
étudiants. En 1932,
sa Systematic
Theology fut d’abord
publiée en deux
volumes sous le
titreReformed
Dogmatics. Un peu
plus tard, dans la
même année, parut le
Introductory Volume
to Reformed
Dogmatics. En 1941,
une édition révisée
de Reformed
Dogmatics fut
publiée en un
volume, Systematic
Theology. En 1937,
Berkhof écrivit une
History of Christian
Doctrine, courte et
claire. En 1942, il
publia un Textual
Aid to Systematic
Theology, à
l’intention des
étudiants en
théologie
systématique.
Vinrent encore deux
études doctrinales
spéciales: The
Vicarious Atonement
(expiation) through
Christ en 1936 et
Recent Trends in
Theology en 1944,
juste avant de
prendre sa retraite.
Louis Berkhof peut
être critiqué de
n’avoir pas été un
théologien créatif,
ni ayant de
l’imagination. Il
croyait, en effet,
que la théologie
réformée avait,
depuis Calvin, pris
une forme plus ou
moins définitive à
travers les siècles.
Du point de vue de
la structure comme
du contenu de sa
théologie, Berkhof
demeura dépendant de
Herman Bavinck. Il
se détacha
légèrement de ce
dernier dans sa
Systematic Theology
en réorganisant les
rubriques et la
répartition des
données. Il citait
les noms des
théologiens
mentionnés,
commentait les
opinions et donnait
les références
bibliques.
Berkhof possédait
des dons personnels
et intellectuels
remarquables qui le
prédisposaient à
l’étude de la
dogmatique. Lecteur
vorace et savant
assidu, il se
maintenait au
courant des diverses
théologies. Il avait
cette rare capacité
à assimiler une
grande quantité de
données, à retenir
leur contenu
essentiel et à les
reproduire sous une
forme condensée. Il
était spécialiste de
la définition des
termes et des
distinctions
théologiques. Ses
conférences et ses
écrits étaient
marqués par un
esprit pénétrant et
ordonné.
Il était réservé,
digne, humble et
très humain. Il
n’était pas du genre
« bagarreur » et
n’aimait pas la
controverse. Toutes
ces qualités et ces
dons produisirent un
théologien qui
savait comment
présenter la
doctrine réformée de
manière
systématique. Mais
il avait aussi la
capacité de juger
avec précision et
justesse les autres
théologies.
Quand Berkhof prit
sa retraite, en
1944, il avait
conservé toute sa
vigueur physique et
intellectuelle. Il
continua à écrire:
Aspects of
Liberalism, The
Kingdom of God
(1951) et The Second
Coming of Christ
(1953). Jusqu’au
jour de sa mort, le
18 mai 1957, il a
participé à
l’élaboration
d’articles
concernant la
doctrine chrétienne.
Aucun théologien,
aucun homme d’Église
n’a eu un si grand
impact sur l’Eglise
chrétienne réformée
aux Etats-Unis que
lui. Pendant les
trente-huit ans de
sa carrière, il
participa
directement à la
formation de plus de
trois cents pasteurs
de l’Eglise. Ses
travaux dogmatiques
devinrent le modèle
de l’orthodoxie
réformée. Personne
n’a été davantage
respecté et honoré
que lui dans
l’histoire de l’Eglise
chrétienne réformée.
Il occupa une place
prépondérante et
assura sa réputation
théologique en
Amérique.
Sa Systematic
Theology le fit
connaître comme
théologien réformé
orthodoxe de
renommée
internationale; on
l’étudia dans
plusieurs facultés
des États-Unis.
Certains de ses
écrits ont été
traduits dans
diverses langues
étrangères et
utilisés dans le
monde anglophone, en
Europe et en Orient
(Chine, Japon,
Corée). Il est
toujours disponible
aux éditions de la
Banner of Truth (Edimbourg).
Cependant, malgré sa
compétence, il était
un homme de grande
humilité, respecté
et aimé par tous
ceux qui le
connaissaient. Il
possédait le
caractère et la
marque d’un enfant
de Dieu. Impossible
pour l’Eglise
d’évaluer sa perte,
ni de l’effacer de
sa mémoire.
Berkhof est connu
par son œuvre
magistrale qu’est sa
Théologie
Systématique d’une
clarté inégalée à ce
jour. Cet ouvrage de
référence a été
traduit en plusieurs
langues. Il continue
à être très utilisé
de par le monde et
ce par toutes les
dénominations.
Publiée en anglais
en 1932, a été
constamment rééditée
depuis. Pendant les
deux derniers tiers
du XXe siècle, elle
a exercé une
influence
considérable comme
manuel de base de
générations de
pasteurs,
d’étudiants et de
membres des Églises
protestantes.
Note:
Regrettablement la
théologie de Berkhof
suit le courant de
l'orthodoxie
générale de
l'endoctrinement du
protestantisme
depuis de nombreuses
générations, et est
par ce fait
fortement trinitaire
et extrêmement
ecclésiastique.
Malgré ces écarts
désagréables sa
Théologie
Systématique est
grandement utile
pour tous étudiants
sérieux de la Bible,
surtout ceux de
tendance calviniste
à cause de son
emphase sur la
Souveraineté de Dieu
et sur la Double
Prédestination.
Néanmoins celui qui
garde à l'esprit
qu'il y a une triple
conscience
d'existence en Dieu
dans l'essence des
facultés de sa
nature divine «sa
Volonté, sa Parole,
sa Pensée» (la
Volition,
l'Expression, la
Réflexion «la Vie,
la Vérité, la
Lumière»), et non
trois personnes
distinctes l'une de
l'autre, n'aura pas
de problème à
comprendre les
éléments et les
arguments de la
Théologie
Systématique de Berkhof. Pour
expliquer la notion
plus clairement: la
Volonté de l'Esprit
des vivants est la
Volition même de
l'existence ou
Source de la Vie qui
correspond au mot
Père (car le mot
Père signifie aussi
Source); la Parole
est l'Expression ou
engendrement
(extension,
prolongement) de
l'Existence de
l'Esprit des vivants
dans la Vérité
absolue de la
certitude en la
Source qui
correspond au mot
Fils (car le mot
Fils signifie aussi
celui qui est
engendré; un
engendrement ou
prolongement de
l'être); la
Pensée est la
réflexion de la
Volition et de
l'Expression de
l'Esprit des vivants
dans sa Présence au
sein de la lumière
de la Source de
l'Existence et
correspond au
Saint-Esprit (car
Saint-Esprit
signifie aussi
Sainte Présence,
celle de l'Esprit
des vivants qui est
Lui-même la Source
et l'Expression de
son existence). En
d'autres mots, la
Source est aussi
l'Expression en tant
que Sainte Présence,
il n'y a pas de
distinctions dans
l'Esprit Éternel;
les trois sont une
même activité dans
la disposition d'une
seule Existence
Suprême dont la
profondeur est
insondable. La
triple conscience de
l'Esprit des vivants
éternel s'est
manifesté
corporellement dans
la chair sous le nom
de Jésus,
l'enveloppe visible
de la Source
invisible, la seule
et unique Personne
en Dieu. Aussi, la
réalisation que
l'Église n'est pas
une institution ou
organisation, mais
un état d'être,
celui d'être appelé
vers Christ pour
renaître à une
nouvelle vie, aidera
d'avantage celui qui
pénètre dans les
extrémités de la
Théologie
Systématique de Berkhof. Or
l'étudiant est
encouragé à
questionner en
profondeur et
sagacité tous les
arguments qui s'y
trouvent afin de
former ses propres
pensées sur les
sujets donnés, sans
négliger la prière
au Seigneur pour
qu'il obtienne la
directions de
l'Esprit de Christ
dans ses réflexions
sur ses recherches
et ses études. On
vous a donné les
deux clés pour
affronter cette
œuvre théologique
imposante afin que
vous puissiez en
soutirer toutes les
richesses,
en y ajoutant aussi
des annotations en
caractères italiques
rouge. Nous
avons aussi ajouté
quelques passages
supplémentaires pour
clarifier
l'enseignement
donné. Que le
Seigneur vous
bénisse dans votre
aventure, le voyage
est ardu, mais la
destination est
glorieuse et
inoubliable.
«Je vous ai écrit
ces choses au sujet
de ceux qui vous
séduisent. Mais
l'onction que vous
avez reçue de lui,
demeure en vous; et
vous n'avez pas
besoin qu'on vous
enseigne; mais comme
cette même onction
vous enseigne toutes
choses, et qu'elle
est véritable, et
qu'elle n'est point
un mensonge,
demeurez en lui,
selon qu'elle vous a
enseignés.» (1 Jean
2:26,27).
Jean leDuc
Avril 2018
PRÉFACE
Maintenant que ma
Théologie
systématique
est à nouveau cours
de réimpression, la
préface peut être
très brève. Il n’est
pas nécessaire de
dire beaucoup sur la
nature du travail,
puisqu’il a été
devant le public
pendant plus de
quinze ans et a été
largement utilisé.
J’ai toutes les
raisons d’être
reconnaissants pour
sa réception
aimable, pour le
témoignage favorable
de beaucoup de
critiques et le fait
que le livre est
maintenant utilisé
comme un manuel dans
de nombreux
séminaires
théologiques et les
écoles de la Bible
dans notre pays, et
qui ont même
présenté des
demandes à
l’étranger pour
obtenir la
permission de le
traduire dans
d’autres langues.
Voici les
bénédictions dont je
n’avais pas prévu,
et pour laquelle je
suis profondément
reconnaissant à
Dieu. Lui être tout
l’honneur. Et si le
travail peut
continuer à être une
bénédiction dans de
nombreuses sections
de l’église de Jésus
Christ, mais elle
augmente ma
reconnaissance pour
l’abondance de la
grâce de Dieu.
L.
Berkhof
Grand
Rapids, Michigan
1er août 1949.
PREMIÈRE PARTIE
LA DOCTRINE DE DIEU
L’Être de Dieu
A. Place de la
Doctrine de Dieu en
théologie
dogmatique.
LES
OUVRAGES sur la
théologie dogmatique
ou systématique
commencent
généralement par la
doctrine de Dieu.
L’opinion dominante
a toujours reconnu
comme la procédure
plus logique et
encore points dans
la même direction.
Dans de nombreux
cas, même ils dont
les principes
fondamentaux
semblent exiger un
autre arrangement,
continuer la
pratique
traditionnelle. Il y
a de bonnes raisons
pour commencer avec
la doctrine de Dieu,
si nous agissons sur
l’hypothèse que la
théologie est la
connaissance
systématisée de
Dieu, qui, par qui
et à qui, sont
toutes choses. Au
lieu d’être surpris
que la dogmatique
doit commencer avec
la doctrine de Dieu,
nous pourrions bien
attendre qu’elle
soit une étude de
Dieu
tout au long
dans toutes ses
ramifications, du
début à la fin. En
fait, c’est
exactement ce que
c’est censé être,
mais seulement le
premier locus traite
directement de Dieu,
tandis que le
succédant à ceux
traitent de lui plus
indirectement. Nous
commençons l’étude
de la théologie avec
deux présupposés, à
savoir (1) que Dieu
existe, et (2) qu’il
a lui-même révélé
dans sa parole
divine. Et pour
cette raison, il
n’est pas impossible
pour nous de
commencer par
l’étude de Dieu.
Nous pouvons tourner
à sa révélation,
afin d’apprendre ce
qu’il a révélé en ce
qui concerne
lui-même et
concernant sa
relation à ses
créatures.
Tentatives ont été
faites au cours du
temps à distribuer
le matériel de
théologie
dogmatique, de
manière à exposer
clairement que
c’est, non seulement
dans un locus, mais
dans son
intégralité, une
étude de Dieu. Cela
a été fait par
l’application de la
méthode trinitaire,
qui organise l’objet
de la dogmatique
sous les trois
rubriques suivantes:
(1) le père (2) le
fils et (3) l’Esprit
Saint. Cette méthode
a été appliquée dans
quelques-unes des
œuvres plus tôt
systématiques, a été
restaurée en faveur
de Hegel et peut
encore être vu dans
de Martensen
Christian dogmatique.
Une tentative
similaire a été
faite par
Breckenridge, quand
il a divisé l’objet
de théologie
dogmatique (1) la
connaissance de Dieu
considérée
objectivement et (2)
la connaissance de
Dieu subjectivement
considéré. Ni l’un
d'entre eux peut
être appelé très
réussi.
Jusqu’au début du
XIXe siècle, la
pratique était tout
sauf générale pour
commencer l’étude de
théologie dogmatique
à la doctrine de
Dieu; mais un
changement est
survenu sous
l’influence de
Schleiermacher, qui
cherchaient à
préserver le
caractère
scientifique de la
théologie par
l’introduction d’une
nouvelle méthode. La
conscience
religieuse de
l’homme a été
substituée à la
parole de Dieu comme
la source de la
théologie. Foi dans
l’écriture comme une
révélation faisant
autoritaire de Dieu
a été discréditée et
perspicacité humaine
basée sur de l’homme
propre appréhension
émotionnelle ou
rationnelle est
devenu la norme de
la pensée
religieuse. Religion
a graduellement pris
la place de Dieu
comme objet de
théologie. L’homme a
cessé de reconnaître
la connaissance de
Dieu comme quelque
chose qui a été
donnée
dans les Ecritures
et a commencé à
s’enorgueillir
d’être un chercheur
de Dieu. En cours de
temps, il est devenu
assez commun de
parler de Dieu de
découverte de
l’homme, comme si
l’homme jamais
découvert lui; et
chaque découverte
qui a été faite dans
le processus a été
digne du nom de
« révélation ». Dieu
s’est établi à la
fin d’un syllogisme,
ou comme le dernier
maillon d’une chaîne
de raisonnement ou
comme le cap-Pierre
d’une structure de
la pensée humaine.
Dans de telles
circonstances
c’était mais il est
naturel que certains
devraient considérer
comme incongru à
commencer la
dogmatique avec
l’étude de Dieu. Il
est plutôt
surprenant que
beaucoup, en dépit
de leur
subjectivisme,
poursuivi la
disposition
traditionnelle.
Certains, cependant,
senti l’incongruité
et radié de façon
différente. Travail
de dogmatique de
Schleiermacher est
consacré à une étude
et une analyse de la
conscience
religieuse et des
doctrines qui y est
impliquées. Il ne
traite pas la
doctrine de Dieu
phénoménale, mais
seulement dans les
fragments et conclut
ses travaux par une
discussion de la
Trinité. Son point
de départ est
anthropologique
plutôt que
théologique.
Certains des
théologiens
médiatrices sont
influencés autant
par Schleiermacher
qu’ils ont
logiquement commencé
leurs traités
dogmatiques avec
l’étude de l’homme.
Même de nos jours,
cet arrangement est
parfois suivi. Un
exemple frappant de
celui-ci se trouve
dans les travaux de
O. A. Curtis sur
La foi
chrétienne.
Cela commence avec
la doctrine de
l’homme et se
termine par la
doctrine de Dieu. La
théologie
Ritschlienne peut
sembler réclamer
encore un point de
départ, car il
considère la
révélation objective
de Dieu, pas dans la
Bible comme la
parole divinement
inspirée, mais dans
le Christ comme le
fondateur du Royaume
de Dieu et considère
l’idée du Royaume
comme la centrale et
contrôle tout le
concept de
théologie.
Toutefois, les
dogmaticiens
Ritschlien
tels
que Herrmann,
Haering et caftan
appliquer, du moins
officiellement,
l’ordre habituel.
Dans le même temps,
il y a plusieurs
théologiens qui,
dans leurs œuvres,
commencent la
discussion de
dogmatique correcte
avec la doctrine du
Christ ou de son
œuvre rédemptrice.
T. B. Strong établit
une distinction
entre la
théologie et
la
théologie chrétienne,
définit cette
dernière comme
« l’expression et
l’analyse de
l’Incarnation de
Jésus Christ » et
rend l’incarnation
du concept dominant
tout au long de son
Manuel des entités
théologiques
requises.
B. Preuve de
l'Écriture sur
l’Existence de Dieu.
L’existence de Dieu
est pour nous le
grand présupposé de
la théologie. Il n’y
a pas de sens en
parlant de la
connaissance de
Dieu, sauf si on
peut supposer que
Dieu existe. La
présupposition de la
théologie chrétienne
est d’un type très
précis. L’hypothèse
n’est pas simplement
qu’il y a quelque
chose, une idée ou
idéal, une tendance
puissance ou
ponctuelle, qui peut
s’appliquer le nom
de Dieu, mais qu’il
y a un être
lui-même, conscient
de soi, personnelle,
qui est à l’origine
de toutes choses et
qui transcende la
création toute
entière, mais est à
la fois immanente
dans chaque partie
de celui-ci. La
question peut être
soulevée, qu’il
s’agit d’une
hypothèse
raisonnable, et peut
répondre à cette
question par
l’affirmative. Cela
ne signifie pas,
cependant, que
l’existence de Dieu
est capable d’une
démonstration
logique qui ne
laisse aucune place
pour le doute; mais
il ne veut pas dire
que, bien que la
vérité de
l’existence de Dieu
est acceptée par la
foi, cette foi
repose sur des
informations
fiables. Alors que
la théologie
réformée considère
l’existence de Dieu
comme une hypothèse
tout à fait
raisonnable, il ne
revendique pas la
capacité à le
démontrer par
l’argumentation
rationnelle. Le Dr
de Kuyper parle
ainsi de la
tentative de le
faire: « la
tentative de prouver
l’existence de Dieu
est inutile ou sans
succès. Il est
inutile si le
chercheur croit que
Dieu est le
rémunérateur de ceux
qui le cherchent. Et
il échoue si c’est
une tentative pour
forcer une personne
qui n’a pas cette
pistis
au moyen de
l’argumentation d’un
accusé de réception
dans un sens
logique. »
Le chrétien accepte
la vérité de
l’existence de Dieu
par la foi. Mais
cette foi n’est pas
une foi aveugle,
mais une foi qui
repose sur des
preuves, et la
preuve se trouve
principalement dans
l’écriture comme la
parole inspirée de
Dieu, et
secondairement dans
la révélation de
Dieu dans la nature.
Preuve sur ce point
l’écriture ne vient
pas à nous sous la
forme d’une
déclaration
explicite et encore
moins sous la forme
d’une argumentation
logique. En ce sens
la Bible ne prouve
pas l’existence de
Dieu. Le plus
proche, il s’agit
d’une déclaration
est peut-être dans
Hébreux 11:6...
« car celui qui
vient de Dieu doit
croire qu’il est, et
qu’il est le
rémunérateur de ceux
qui le cherchent
après lui. » Cela
présuppose
l’existence de Dieu,
dans sa déclaration
d’ouverture, « au
commencement Dieu
créé les cieux et la
terre. » Non
seulement n’il
décrit Dieu comme le
créateur de toutes
choses, mais aussi
comme le garant de
toutes ses créatures
et comme le
souverain des
destins des
individus et des
Nations Unies. Il
témoigne sur le fait
qu’oeuvres de Dieu,
toutes choses selon
le Conseil de son
aura et révèle la
réalisation
progressive de son
grand dessein de la
rédemption. La
préparation pour ce
travail, en
particulier dans le
choix et la
direction de
l’ancien peuple de
l’Alliance d’Israël,
est clairement
visible dans
l’ancien Testament
et l’aboutissement
initiale de celui-ci
à la personne et le
œuvre du Christ se
démarque avec une
grande clarté sur
les pages de la
nouvelle Testamen t.
Dieu est visible sur
presque chaque page
des Saintes
Écritures comme il
se révèle en paroles
et en actes. Cette
révélation de Dieu
est le fondement de
notre foi en
l’existence de Dieu
et cela fait une foi
tout à fait
raisonnable. Il
devrait être fait
remarquer,
cependant, que c’est
seulement par la foi
que nous acceptons
la révélation de
Dieu, et que nous
obtenons un réel
aperçu de son
contenu. Jésus a
dit: « si n’importe
quel homme va faire
sa volonté, il saura
de la doctrine,
qu’il s’agisse de
Dieu ou si je parle
de moi, » John
07:17. C’est cette
connaissance
intensive, résultant
d’une communion
intime avec Dieu,
qui Osée a à
l’esprit quand il
dit, « et nous le
faire savoir,
suivons de connaître
le Seigneur », Osée
6:3. L’incroyant n’a
aucune réelle
compréhension de la
parole de Dieu. Les
paroles de Paul sont
tout à fait au point
à cet égard: « où
est le sage ? où est
le scribe ? où se
trouve le disputer
de cet âge (monde) ?
A pas de Dieu faites
stupide à la sagesse
du monde ? Car,
voyant que le monde
entier grâce à sa
sagesse ne
connaissait pas Dieu
dans la sagesse de
Dieu, c’est le bon
plaisir de Dieu à
travers la folie de
la prédication pour
sauver ceux qui
croient, » I Cor.
01:20, 21.
C. négation de
l’existence de Dieu
sous ses diverses
formes.
Étudiants en
Religion Comparative
et missionnaires
témoignent souvent
du fait que l’idée
de Dieu est
pratiquement
universelle dans la
race humaine. On le
trouve même parmi
les nations et les
tribus du monde non
plus civilisés. Cela
ne signifie pas,
cependant, qu’il n’y
a aucun individu qui
nient l’existence de
Dieu en tout, ni
même qu’il n’y a pas
de bon nombre dans
les terres
chrétiennes qui
nient l’existence de
Dieu comme il est
révélé dans
l’écriture, une
personne lui-même et
timide de
perfections
infinies, qui
travaille toutes les
choses selon un plan
préétabli. C’est le
refus de ce dernier
que nous avons à
l’esprit
particulièrement
ici. Cela peut et a
pris diverses formes
au cours de
l’histoire.
1.
négation absolue de
l’existence de Dieu.
Comme indiqué plus
haut, il y a des
preuves solides de
la présence
universelle de
l’idée de Dieu dans
l’esprit humain,
même parmi les
tribus barbares qui
n’ont pas senti
l’impact de la
révélation spéciale.
Compte tenu de ce
fait, que certains
vont même jusqu'à
nier qu’il y a des
gens qui nient
l’existence de Dieu,
vraies athées; mais
ce déni est
contredite par les
faits. Il est
d’usage de
distinguer deux
types, à savoir, les
athées théoriques et
pratiques. Les
premiers sont des
personnes simplement
impies, qui, dans
leur vie pratique,
ne pas compter avec
Dieu, mais vivent
comme s’il n’y a pas
de Dieu. Ces
derniers sont, en
règle générale, de
nature plus
intellectuelle et
leur refus sur un
processus de
raisonnement de
base. Ils cherchent
à prouver par ce qui
semble pour eux des
arguments rationnels
concluantes, qu’il
n’y a pas de Dieu.
Compte tenu de la
semence
religionis
implanté dans chaque
homme, de sa
création à l’image
de Dieu, il est
raisonnable de
supposer que
personne n’est né un
athée. Dans les
dernier athéisme
résultats d’analyse
de l’État moral
pervers de l’homme
et de son désir
d’échapper à Dieu.
C’est délibérément
ignorer et supprime
l’instinct le plus
fondamental de
l’homme, le plus
profond des besoins
de l’âme, les plus
hautes aspirations
de l’esprit humain
et les désirs d’un
coeur qui tâtonne
après certains étant
plus élevé. Cette
suppression des
pratique ou
intellectuelle de
l’opération de la
semence
religionis
souvent implique des
luttes prolongées et
douloureuses.
Il
ne peut y avoir
aucun doute quant à
l’existence de
pratiques athées,
puisque l’écriture
et l’expérience
témoignent d’elle.
Psaume 10:4b déclare
des méchants,
« toutes ses pensées
sont, il n’y a pas
de Dieu. » Selon
Psaume 14:1
« l’insensé ne dit
en son coeur, il
n’aucun Dieu. » Et
Paul rappelle aux
Ephésiens qu’ils
étaient autrefois
« sans Dieu dans le
monde, » Éphésiens
02:12. Expérience
témoigne également
abondamment de leur
présence dans le
monde. Ils ne sont
pas nécessairement
notoirement méchants
aux yeux des hommes,
mais peuvent
appartenir à la
soi-disant « homme
décent du monde, »
même si
honorablement
indifférent aux
choses spirituelles.
Ces personnes sont
souvent tout à fait
conscients du fait
qu’ils sont en
désaccord avec Dieu,
n’ose penser à
rencontrer et
essayer d’oublier de
lui. Ils semblent
prendre un plaisir
secret en défilant
leur athéisme quand
ils ont voile lisse,
mais ont été connus
pour se mettre à
genoux pour prier
quand leur vie était
en danger soudain. À
l’heure actuelle,
des milliers de ces
athées pratiques
appartiennent à l'
Association
américaine pour la
promotion de
l’athéisme.
Les athées
théoriques sont de
nature différente.
Ils sont
généralement de
nature plus
intellectuelle et
tentent de justifier
l’affirmation qu’il
n’y a aucun Dieu par
l’argumentation
rationnelle. Prof.
Flint distingue
trois sortes
d’athéisme
théorique, à savoir,
(1)
l’athéisme
dogmatique, qui
nie catégoriquement
qu’il y a un être
divin; (2)
l’athéisme sceptique,
qui met en doute la
capacité de l’esprit
humain à déterminer,
s’il existe ou non
un Dieu; et (3)
l’athéisme critique,
qui maintient qu’il
n’y a aucune preuve
valable de
l’existence de Dieu.
Ceux-ci vont souvent
de pair, mais même
les plus modestes
d'entre eux vraiment
prononce toute
croyance en Dieu une
illusion.
Dans
la présente section,
on remarquera,
agnosticisme
apparaît également
comme une sorte
d’athéisme, une
classification qui
nombreux agnostiques
renvoyés. Mais il
faut avoir à
l’esprit que
l’agnosticisme
concernant
l’existence de Dieu,
tout en laissant la
possibilité de sa
réalité, nous laisse
sans un objet de
culte et l’athéisme
tout comme
dogmatique de
l’adoration ne.
Cependant la
véritable athée est
l'
athée dogmatique,
l’homme qui fait une
affirmation positive
qu’il n’y a pas de
Dieu. Une telle
affirmation peut
signifier deux
choses: soit qu’il
ne reconnaît aucun
Dieu d’aucune sorte,
qu’elle met en place
aucune idole pour
lui-même, soit qu’il
ne reconnaît pas le
Dieu de l’écriture.
Maintenant, il y a
très peu des athées
qui ne pas en vie
pratique mode pour
une sorte de Dieu
pour eux-mêmes. Il y
a un nombre bien
plus grand qui a
théoriquement mis de
côté tout et chaque
Dieu; et il y a un
nombre toujours plus
grand qui a rompu
avec le Dieu de
l’écriture.
L’athéisme théorique
est généralement
ancré dans une
théorie scientifique
ou philosophique.
Monisme matérialiste
sous ses différentes
formes et l’athéisme
vont généralement de
pair. L’idéalisme
subjectif absolu
peut nous laisser
toujours l’idée de
Dieu, mais nie qu’il
y ait une quelconque
réalité
correspondante. À
l’humaniste moderne
« Dieu » signifie
simplement
« l’esprit de
l’humanité, » « le
sentiment de
plénitude, »
« l’objectif
raciale » et autres
abstractions de ce
genre. D’autres
théories non
seulement laissent
place à Dieu, mais
aussi faire semblant
de maintenir son
existence, mais
certainement exclure
le Dieu du théisme,
de l'Être suprême et
personnel, créateur,
protecteur et maître
de l’univers,
distinct de sa
création, et encore
partout présentes.
Panthéisme fusionne
le naturel et
surnaturel, le fini
et l’infini, dans
une seule substance.
Souvent, il parle de
Dieu comme le motif
caché du monde
phénoménal, mais ne
conçoit pas de lui
comme personnels et
par conséquent aussi
doué d’intelligence
et de volonté.
Hardiment, il
déclare que tout est
Dieu et ainsi
s’engage dans ce que
Brightman appelle
« l’expansion de
Dieu, » afin que
nous recevons « trop
de Dieu, » voyant
qu’il inclut
également tout le
mal du monde. Il
exclut le Dieu de
l’écriture sainte et
à ce jour est
clairement athée.
Spinoza peut être
appelé « l’homme
ivre de Dieu », mais
son Dieu n’est
certainement pas le
Dieu que les
Chrétiens adorent et
j’adore. Certes, il
ne peut y avoir
aucun doute quant à
la présence des
athées théoriques
dans le monde.
Lorsque David Hume a
exprimé des doutes
quant à l’existence
d’un athée
dogmatique, Baron
d’Holbach répondit:
« mon cher Monsieur,
vous êtes en ce
moment assis à table
avec dix-sept de ces
personnes. » Ceux
qui sont agnostiques
concernant
l’existence de Dieu
peuvent différer
quelque peu de
l’athée dogmatique,
mais ils ont, comme
ces derniers, et
nous laissent sans
un Dieu.
2.
présenter au jour
les fausses
conceptions de Dieu
impliquant un déni
du vrai Dieu.
Il y a plusieurs
fausses conceptions
de Dieu actuelle de
nos jours,
entraînant un déni
de la conception
théiste de Dieu. Un
bref aperçu des plus
importants d'entre
eux doivent suffire
à cet égard.
a.
un Dieu immanent et
impersonnel.
Théisme a toujours
cru en un Dieu qui
est la fois
transcendant et
immanent. Déisme
retirés du monde de
Dieu et a souligné
sa transcendance au
détriment de son
immanence. Sous
l’influence de
panthéisme,
cependant, le
pendule a balancé
dans l’autre sens.
Il identifié Dieu et
le monde et n’a pas
reconnu un être
divin, distingue et
infiniment exaltée
au-dessus, sa
création. Par le
biais de
Schleiermacher, la
tendance à faire de
Dieu continu avec le
monde acquise un
pied dans la
théologie.
Complètement, il ne
tient pas compte du
Dieu transcendant et
reconnaît un Dieu
seul qui peut être
connu par
l’expérience humaine
et se manifeste dans
la conscience
chrétienne comme la
causalité absolue,
auquel correspond un
sentiment de
dépendance absolue.
Les attributs que
nous attribuons à
Dieu sont en cette
vue des expressions
purement symbolique
des différents modes
de ce sentiment de
dépendance, des
idées subjectives
sans n’importe
quelle réalité
correspondante. Son
plus tôt et ses
représentations
ultérieures de Dieu
semblent différer
quelque peu, et
interprètes de
Schleiermacher
divergent quant à la
façon dont ses
déclarations doivent
être harmonisées.
Brunner semblent
être tout à fait
correct, cependant,
quand il dit qu’avec
lui l’univers prend
la place de Dieu, si
ce dernier nom est
utilisé; et qu’il
conçoit Dieu comme
identique avec
l’univers et l’unité
se trouvant derrière
lui. Souvent, il
semble comme si sa
distinction entre
Dieu et le monde
n’est qu’un idéal, à
savoir la
distinction entre le
monde comme une
unité et dans le
monde dans ses
manifestations
multiples.
Fréquemment, il
parle de Dieu comme
le « Universum » ou
le « bien suprême »
et argumente contre
la personnalité de
Dieu; Cependant, de
manière incohérente,
parlant aussi comme
si nous pouvions
avoir communion avec
lui dans le Christ.
Ces vues de
Schleiermacher, qui
démontre Dieu en
continuation avec le
monde, a largement
dominer la théologie
du siècle passé, et
c’est dans cette
optique que Barth
est à combattre avec
son emphase sur Dieu
en tant que
« entièrement
l'autre »
b.
un Dieu fini et
personnel.
L’idée d’un Dieu
fini ou des dieux
n’est pas nouveau,
mais aussi vieux que
le polythéisme et
l’hénothéisme.
L’idée s’inscrit
dans le pluralisme,
mais pas avec le
monisme
philosophique ou
théologique
monothéisme. Théisme
a toujours considéré
Dieu comme un être
personnel absolu des
perfections
infinies. Au cours
du XIXe siècle,
alors que la
philosophie moniste
était dans
l’ascendant, il est
devenu assez commun
afin d’identifier le
Dieu de la théologie
avec l’absolu de la
philosophie. Vers la
fin du siècle,
cependant, le terme
« Absolu, » comme
une désignation de
Dieu, tomba en
disgrâce, en partie
à cause de ses
implications
agnostiques et
panthéistes et en
partie en raison de
l’opposition à
l’idée de le
« absolu » dans la
philosophie et de la
désir d’exclure
toute métaphysique
de la théologie.
Bradley a considéré
le Dieu de la
religion chrétienne
dans le cadre de
l’absolu, et James
ont plaidé pour une
conception de Dieu
qui était plus en
harmonie avec
l’expérience humaine
que l’idée d’un Dieu
infini. Il élimine
de Dieu les
attributs
métaphysiques de
l’existence,
l’infini et
l’immuabilité et
rend les attributs
moraux suprême. Dieu
a un environnement,
existe dans le temps
et travaille sur une
histoire tout comme
nous. À cause de la
méchanceté qui est
dans le monde, il
doit être considéré
comme une
connaissance limitée
en ou de puissance,
ou les deux. La
condition du monde
ne permet pas de
croire en un Dieu
bon infini en
connaissances et en
puissance.
L’existence d’un
pouvoir plus grand
qui est amical à
l’homme et avec qui
il peut communier
répond à tous les
besoins pratiques et
les expériences de
la religion. James
conçu de ce pouvoir
comme personnelles,
mais il n’était pas
disposé à s’exprimer
quant à savoir si il
croyait en un Dieu
fini ou un certain
nombre d'entre eux.
Bergson a ajouté à
cette conception de
Jacques l’idée d’un
Dieu qui se
débattait et
croissant,
s’inspirant
constamment son
environnement. Les
personnes qui ont
défendu l’idée d’un
Dieu finie, bien que
de différentes
manières, sont
Hobhouse, Schiller,
James Ward, Rashdall
et H. G. Wells.
c.
Dieu comme
personnification
d’une idée abstraite
simple. Il
est devenu tout à
fait la vogue en
théologie libérale
moderne de
considérer le nom
« Dieu » comme un
symbole simple,
permanent de
certains processus
cosmique, une
volonté universelle
ou puissance,
certains noble et
complet idéal. La
déclaration est
faite à plusieurs
reprises que, si une
fois Dieu créa
l’homme à son image,
homme maintenant
retourne le
compliment en créant
Dieu à l’image de
son (de l’homme). On
dit des Harry Elmer
Barnes qu’il a dit
dans une de ses
classes de
laboratoire:
« Messieurs, nous
allons maintenant
créer Dieu. »
C’était une
expression très
émoussée d’une idée
assez commune. La
plupart de ceux qui
rejettent la vue
théiste de Dieu
toujours professer
la foi en Dieu, mais
il est un Dieu de
leur propre
imagination. La
forme qu’il assume à
un moment donné
dépend, selon
Shailer Mathews, les
modes de pensée de
ce jour. Si à
l’époque avant la
guerre, que le
modèle de contrôle
était celle d’un
souverain
autocratique,
exigeant une
obéissance absolue,
maintenant c’est
celui d’un dirigeant
démocratique
désireux de servir
tous ses sujets.
Depuis l’époque du
Comte, il y a eu
tendance à
personnifier l’ordre
social de l’humanité
dans son ensemble et
d’adorer cette
personnification. Le
soi-disant
Meliorists ou
théologiens sociaux
révèlent une
tendance à
identifier Dieu en
quelque sorte, avec
l’ordre social. Et
les nouveaux
psychologues nous
informe que l’idée
de Dieu est une
projection de
l’esprit humain,
qui, à ses débuts,
est disposée à faire
des images de ses
expériences et à
vêtir leur
personnalité quasi.
Leuba est d’avis que
cette illusion de
Dieu a été utile,
mais que le temps
viendra où l’idée de
Dieu ne sera pas
plus nécessaire.
Quelques définitions
servira à montrer la
tendance de nos
jours. « Dieu est
l’esprit immanent de
la Communauté »
(Royce). Il est
« que la qualité
dans la société
humaine qui soutient
et enrichit
l’humanité dans sa
quête spirituelle »
(Gerald Birney
Smith). « Dieu est
l’ensemble des
relations qui
constituent l’ordre
social de plus en
plus de l’humanité »
(E. S. Ames). « Le
mot « Dieu » est un
symbole pour
désigner l’univers
dans sa capacité de
formage idéale » (G.
B. Foster). « Dieu
est notre
conception, née de
l’expérience
sociale, des
éléments
personnellement
sensibles et
personnalité en
évolution de notre
environnement
cosmique, avec
lesquels nous sommes
liés organiquement »
(Shailer Mathews).
Il faut
difficilement dire
que le Dieu ainsi
défini n’est pas un
Dieu personnel et ne
répond pas à la plus
profonde des besoins
du cœur humain.
D. les soi-disant
preuves rationnelles
pour l’Existence de
Dieu.
En cours de temps
certains arguments
rationnels pour
l’existence de Dieu
ont été mis au point
et trouvés un pied
en théologie en
particulier grâce à
l’influence de
Wolff. Certains
d'entre eux ont été
pour l’essentiel
déjà suggérées par
Platon et Aristote,
et d’autres ont été
ajoutés dans les
temps modernes par
les étudiants de la
philosophie de la
Religion. Seulement
les plus courantes
de ces arguments
peuvent être
mentionnées ici.
1.
L’ARGUMENT
ONTOLOGIQUE.
Cela a été présenté
sous diverses formes
par Anselm,
Descartes, Samuel
Clarke et d’autres.
Il a été déclaré
dans sa forme la
plus parfaite par
Anselm. Il fait
valoir que l’homme a
l’idée d’un être
absolument parfait;
cette existence est
un attribut de la
perfection; et que,
par conséquent un
être absolument
parfait doit
exister. Mais il est
évident que nous ne
pouvons pas conclure
de pensée véritable
existence abstraite.
Le fait que nous
ayons une idée de
Dieu ne prouve pas
encore son existence
objective. Par
ailleurs, cet
argument suppose
tacitement, comme
déjà existant dans
l’esprit humain, la
même connaissance de
l’existence de Dieu
qu’il tirerait de
démonstration
logique. Kant
insiste sur l’untenableness
de cet argument,
mais Hegel l’a salué
comme un grand
argument pour
l’existence de Dieu.
Quelques idéalistes
modernes suggèrent
qu’il pourrait mieux
seront précipité
dans une forme
différente, qui
Hocking dénommé
« rapport
d’expérience ».
Simplement parce
qu’elle que nous
pouvons dire, « j’ai
une idée de Dieu,
c’est pourquoi j’ai
l’expérience de
Dieu. »
2.
L’ARGUMENT
COSMOLOGIQUE.
C’est également
apparue dans
plusieurs formes. En
général, il
s’exécute comme
suit: toute chose
existant dans le
monde doit avoir une
cause adéquate; et
si c’est le cas,
l’univers doit avoir
une cause adéquate,
c'est-à-dire une
cause qui est
indéfiniment grande.
Toutefois,
l’argument n’a pas
exploité une
condamnation
générale. Hume a
appelé la Loi de la
causalité elle-même
en question, et Kant
a souligné que, si
chaque chose
existante a une
cause adéquate, ceci
s’applique également
à Dieu, et que nous
sommes ainsi amenés
à une chaîne sans
fin. En outre,
l’argument ne
nécessite pas
l’hypothèse que le
cosmos avait une
seule cause, une
cause personnelle et
absolue, — et donc
loin de prouver
l’existence de Dieu.
Cette difficulté a
conduit à une
interprétation
légèrement
différente de
l’argument, comme,
par exemple, de B.
P. Bowne. L’univers
matériel apparaît
comme un système
d’interaction et
donc comme une
unité, composée de
plusieurs parties.
Par conséquent, il
doit y avoir un
Agent unitaire qui
intervient dans
l’interaction des
différentes parties
ou qui est le
fondement dynamique
de leur être.
3.
L’ARGUMENT
TÉLÉOLOGIQUE.
C’est aussi un
argument causal et
n’est vraiment
qu’une extension du
précédent. Il peut
être indiqué sous la
forme suivante: le
monde révèle partout
intelligence, ordre,
harmonie et le but
et implique donc
l’existence d’un
intelligent et
tenace, suffisante
pour la production
de ce monde. Kant
considère cet
argument comme le
meilleur des trois
qui ont été nommés,
mais prétend qu’il
ne prouve pas
l’existence de Dieu,
ni d’un créateur,
mais seulement d’un
grand architecte qui
a façonné le monde.
Il est supérieur à
l’argument
cosmologique en ce
qu’elle rend
explicite ce qui
n’est pas indiqué
dans le second, à
savoir, que le monde
contient des preuves
d’intelligence et de
but et donc conduit
à l’existence d’un
être conscient et
intelligent et
tenace. Que cet être
était le créateur du
monde n’est pas
nécessairement. « La
preuve
téléologique, » dit
Wright,
« indique simplement
l’existence probable
d’un esprit qui est,
au moins dans une
mesure considérable,
dans la maîtrise du
processus mondial, —
assez pour compte
pour le montant de
téléologie apparente
interne. » Hegel a
traité cet argument
comme un valide mais
subordonné. Les
théologiens sociale
de notre époque
rejeter ainsi que
tous les autres
arguments comme tant
d’ordures, mais
conserver les
théistes de nouveau.
4.
L’ARGUMENT MORAL.
Tout comme les
autres arguments,
cela suppose aussi
différentes formes.
Kant a pris son
point de départ dans
l’impératif
catégorique, et il
inférer l’existence
d’une personne qui,
comme le législateur
et le juge, a le
droit absolu à
l’homme de la
commande. Dans son
estimation, cet
argument est bien
supérieur à toutes
les autres. C’est
celui sur lequel il
s’appuie
principalement dans
sa tentative de
prouver l’existence
de Dieu. C’est
peut-être une des
raisons pourquoi il
est plus
généralement admis
que tout autre, bien
qu’il n’est pas
toujours gravé dans
la même forme.
Certains soutiennent
de la disparité
souvent observée
entre la conduite
morale des hommes et
la prospérité dont
ils jouissent dans
la vie présente et
le sentiment que
cela nécessite un
ajustement à
l’avenir qui, à son
tour, exige un
arbitre juste. La
théologie moderne
aussi utilise
intensivement,
notamment sous la
forme la
reconnaissance de
l’homme un bien plus
haut et sa quête
pour une demande de
l’idéale morale et
nécessitent
l’existence d’un
Dieu pour donner
réalité à cet idéal.
Alors que cet
argument indique
l’existence d’un
être Saint et juste,
il n’oblige pas la
croyance en un Dieu,
un créateur ou un
être des perfections
infinies.
5.
L’ARGUMENT
HISTORIQUE OU
ETHNOLOGIQUE.
Pour l’essentiel,
cela prend la forme
suivante: parmi tous
les peuples et les
tribus de la terre,
il y a un sentiment
du divin, qui se
révèle dans un
cultus externe.
Étant donné que le
phénomène est
universel, il doit
appartenir à la
nature même de
l’homme. Et si la
nature de l’homme
conduit
naturellement à la
pratique d’une
religion, cela peut
seulement trouver
son explication dans
un être supérieur
qui a constitué
l’homme un être
religieux. En
réponse à cet
argument, cependant,
on peut dire que ce
phénomène universel
peut provenir d’une
erreur ou
incompréhension de
l’un des
progénitures
précoces de la race
humaine, et qu’au
culte religieux
dénommé apparaît
plus fort parmi les
races primitives, et
disparaît dans la
mesure où ils
deviennent
civilisés.
Pour évaluer ces
arguments rationnels
il faut savoir
d’abord que croyants
n’ont pas eux. Leur
conviction
concernant
l’existence de Dieu
ne dépend pas sur
eux, mais sur une
acceptation croyante
de révélation de
Dieu dans
l’écriture. Si
nombreux à notre
journée sont prêts à
miser leur foi en
l’existence de Dieu
sur ces arguments
rationnels, c’est en
grande partie dû au
fait qu’ils refusent
d’accepter le
témoignage de la
parole de Dieu. En
outre, en utilisant
ces arguments pour
tenter de convaincre
les incroyants,
qu'il sera bien de
garder à l’esprit
qu’aucun d'entre eux
peut dire visant
l’exploitation d’une
conviction absolue.
Nul n’a plus
d’efforts pour
discréditer que
Kant. Depuis son
époque beaucoup de
philosophes et de
théologiens ont jeté
leur comme
totalement inutile,
mais aujourd'hui ils
gagnent une fois de
plus en faveur et
leur nombre est en
augmentation. Et le
fait que de nos
jours tant de
trouver en eux
plutôt satisfaisant
des indications de
l’existence de Dieu,
semble indiquer
qu’ils ne sont pas
entièrement
dépourvue de valeur.
Ils ont une certaine
valeur pour les
croyants eux-mêmes,
mais doivent être
appelées
testimonia
plutôt que des
arguments. Elles
apparaissent comme
des interprétations
de la révélation
générale de Dieu et
comme présentant le
caractère
raisonnable de la
croyance en un être
divin. En outre, ils
peuvent rendre
certains services
dans la réalisation
de l’adversaire.
Alors qu’ils ne
prouvent pas
l’existence de Dieu
au-delà de la
possibilité du
doute, afin de
contraindre la
sanction, ils
peuvent être ainsi
interprétés quant à
établir une forte
probabilité et ainsi
faire taire beaucoup
de mécréants.
QUESTIONS POUR
UNE ÉTUDE PLUS
APPROFONDIE.
Pourquoi est encline
à donner à l’étude
de l’homme, plutôt
que l’étude de
préséance de Dieu
dans la théologie de
la théologie
moderne ? La Bible
prouve l’existence
de Dieu ou non ?
Dans l’affirmative,
comment il pour le
prouver ? Comment
expliquer le général
sensus
divinitatis
chez l’homme ? Y
a-t-il des nations
ou tribus qui sont
entièrement dépourvu
d’elle ? Peut la
position être
maintenue qu’il n’y
a pas d’athées ?
Humanistes de nos
jours devraient être
classés comme
athées ? Quelles
objections sont là
pour
l’identification de
Dieu avec l’absolu
de la philosophie ?
Un Dieu fini
répond-il aux
besoins de la vie
chrétienne ? La
doctrine d’un Dieu
finie est limitée
aux pragmatiques ?
Pourquoi est-il une
idée personnifiée de
Dieu un piètre
substitut pour le
Dieu vivant ? Quelle
a été la critique de
Kant sur les
arguments de la
raison spéculative
de l’existence de
Dieu ? Comment
devrions nous juger
de cette critique ?
LITTÉRATURE:
Bavinck,
Geref. Dogme.
II,
pp. 52-74; Kuyper,
dogme Dict.
. De
Deo
I, pp. 77-123; Hodge,
Syst.
Theol. I, p.
202-243; Shedd.
Dogme
de
.
THEOL.
I,
pp. 221-248; Dabney,
syst
et trouvailles.
THEOL.,
p. 5-26; Macintosh,
théol.
comme une Science
empirique, pp.
90-99; Knudson,
la
Doctrine de Dieu,
pp. 203-241;
Beattie,
apologétique,
pp. 250-444;
Brightman,
le
problème de Dieu,
pp. 139-165; Wright,
Phil.
de Rel de un
étudiant., pp.
339-390; Edward,
la
philosophie de la
Rel., pp.
218-305; Beckwith,
l’idée
de Dieu, pp.
64-115; Thomson,
L’idée
chrétienne de Dieu,
pp. 160-189;
Robinson,
le Dieu
des Chrétiens
libéraux, pp.
114-149; Galloway,
le
Phil. rel., pp.
381-394.
II. l’intelligibilité de Dieu
A. Dieu
incompréhensible
mais encore
connaissable.
L'Église Chrétienne
avoue d’une part que
Dieu est
incompréhensible,
mais aussi, d’autre
part, qu’il peut
être connue et que
la connaissance de
lui est une
condition absolue
pour le salut. Elle
reconnaît la force
de la question de
Valentin,
« Trouveras-tu le
fond de L’ESPRIT DES
VIVANTS?
Trouveras-tu la
limite du
Tout-Puissant? ? »
Job 11:7. Et il ne
semble qu’il n’a pas
de réponse à la
question d’Ésaïe,
« À qui donc
feriez-vous
ressembler L’ESPRIT
DES VIVANTS, et par
quelle image le
représenterez-vous? »
Ésaïe 40:18. Mais en
même temps, elle est
également consciente
de la déclaration de
Jésus, « Or, c'est
ici la vie
éternelle, qu'ils te
connaissent, toi le
seul vrai ESPRIT DES
VIVANTS, à savoir
Jésus le Messie que
tu as délégué. »
Jean 17:3. Elle se
réjouit du fait que
« Et nous savons que
le Fils, L’ESPRIT
DES VIVANTS même est
venu, et il nous a
donné l'intelligence
que nous puissions
connaître le
Véritable; et nous
sommes en ce
Véritable, en le
Fils, Jésus-Christ.
C'est lui JÉSUS
qui est L’ESPRIT DES
VIVANTS véritable,
et la vie éternelle.
» 1 Jean 5:20. Les
deux idées reflétées
dans ces passages
ont toujours été
côte à côte dans
l'Église Chrétienne.
Au début les pères
de l’église parlent
du Dieu invisible
comme un être
inengendré, sans
nom, éternelle,
incompréhensible,
immuable. Ils
avaient très peu
avancé au-delà de la
notion grecque
ancienne que l’être
divin est absolue
existence
sans-attribut. En
même temps elles
aussi avouée que
Dieu s’est révélé
dans les Logos et
peuvent donc être
connus pour le
salut. Au quatrième
siècle Eunomius,
arien, a soutenu de
la simplicité de
Dieu, qu’il n’y a
rien en Dieu qui
n’est pas
parfaitement connue
et comprise par
l’intellect humain,
mais son point de
vue a été rejeté par
tous les chefs de
file reconnus de
l’Église. La
scolastiques fait
une distinction
entre la
contrepartie et
le
qualis de Dieu
et le fait que nous
ne savons pas ce que
Dieu est dans son
être essentiel, mais
qu'on peut savoir
quelque chose de sa
nature, de ce qu’il
est pour nous, car
il se révèle dans
ses attributs
divins. Les mêmes
idées générales ont
été exprimées par
les réformateurs,
même si elles ne
consentaient pas
avec les
scolastiques quant à
la possibilité
d’acquérir la vraie
connaissance de
Dieu, par la raison
humaine spontanée de
la révélation
générale. Luther
parle à plusieurs
reprises de Dieu
comme
Deus Absconditus
(Dieu caché), à la
différence de lui
comme le
Deus
Revelatus (Dieu
révélé). Dans
certains passages,
il parle même du
Dieu
révèlé
comme étant toujours
un Dieu
caché compte
tenu du fait que
nous ne pouvons le
connaître pleinement
lui-même par le
biais de sa
révélation spéciale.
Pour Calvin, Dieu
dans les profondeurs
de son être est à
découvrir. « Son
essence », dit-il,
« est
incompréhensible; à
cause que sa
divinité échappe
entièrement tous
sens humains. » Les
réformateurs ne
nient pas que
l’homme peut
apprendre quelque
chose de la nature
de Dieu, dès sa
création, tout en
maintenant qu’il
peut acquérir la
vraie connaissance
de lui qu’à partir
de la révélation
spéciale, sous
l’influence
d’illumination de
l’Esprit Saint. Sous
l’influence de la
théologie panthéiste
de l’immanence,
inspiré par Hegel et
Schleiermacher, un
changement est
survenu. La
transcendance de
Dieu est amoindrie,
ignorée ou niée
explicitement. Dieu
est ramené au niveau
du monde, en
continuité avec lui
et est donc
considéré comme
moins
incompréhensible,
bien que toujours
entourée de mystère.
Une révélation
spéciale dans le
sens d’une
communication
directe de Dieu à
l’homme est niée.
Une connaissance
suffisante de Dieu
peut être obtenue
sans elle, puisque
l’homme peut
découvrir Dieu pour
lui-même dans les
profondeurs de son
être, dans l’univers
matériel et
par-dessus tout en
Jésus Christ, étant
donné que ce sont
des manifestations
de tous, mais de
l’extérieur du Dieu
immanent. C’est par
rapport à cette
tendance en
théologie que Barth
maintenant soulève
sa voix et fait
remarquer que Dieu
est introuvable dans
la nature,
l’histoire, ou dans
l’expérience humaine
quelconque, mais
seulement dans la
révélation spéciale
qui nous est parvenu
dans la Bible. Dans
ses déclarations
fortes concernant le
Dieu caché, il
utilise le langage
de Luther et de
Calvin.
La Théologie
réformée détient que
Dieu peut être
connue, mais qu’il
est impossible pour
l’homme d’avoir une
connaissance de lui
qui est exhaustive
et parfaite dans
tous les sens.
D’avoir une
connaissance de Dieu
serait équivalente à
comprendre tout de
lui, et c’est tout à
fait hors de
question: «Finitum
non possit capere
infinitum. » En
outre, l’homme ne
peut pas donner une
définition de Dieu
au sens propre du
terme, mais
seulement une
description
partielle. Une
définition logique
est impossible, car
Dieu ne peut être
subsumé sous
certains genre plus
élevé. Dans le même
temps, qu'il est
maintenu que l’homme
peut obtenir une
connaissance de Dieu
qui est tout à fait
adéquat pour la
réalisation du but
divin dans la vie de
l’homme. Toutefois,
la vraie
connaissance de Dieu
peut être acquise
qu’à partir de la
révélation divine et
que par l’homme qui
accepte cela avec
une foi enfantine.
La religion suppose
nécessairement une
telle connaissance.
C’est la relation
plus sacrée entre
l’homme et son Dieu,
une relation dans
laquelle l’homme est
conscient de la
grandeur absolue et
la majesté de Dieu
comme l’Être Suprême
et de sa propre
insignifiance totale
et sa soumission à
Celui qui est élevé
et Saint. Et si cela
est vrai, il
s’ensuit que la
religion suppose la
connaissance de Dieu
chez l’homme. Si
l’homme restait tout
à fait dans
l’obscurité, sans
respect de l’Être de
Dieu, il serait
impossible pour lui
d’assumer une
attitude religieuse.
Il pourrait y avoir
aucun respect,
aucune piété, aucune
crainte de Dieu,
aucun service
d’adoration.
B. Refus de
l’intelligibilité de
Dieu.
La possibilité de
connaître Dieu a été
refusée pour des
motifs différents.
Ce refus repose
généralement sur les
limites supposées de
la faculté humaine
de la cognition,
même si elle a été
présentée dans
plusieurs formes
différentes. La
position
fondamentale est que
l’esprit humain est
incapable de savoir
quoi que ce soit de
ce qui se trouve
au-delà et derrière
les phénomènes
naturels et donc
nécessairement
ignorants des choses
suprasensible et
divines. Huxley fut
le premier à
s’appliquer à ceux
qui assument cette
position, lui-même
inclus, les
« agnostiques de
nom » Ils sont
entièrement
conformes aux
sceptiques des
siècles passés et de
la philosophie
grecque. En règle
générale les
agnostiques n’aiment
pas être stigmatisés
comme athées,
puisqu’ils ne nient
pas absolument qu’il
y a un Dieu, mais
déclarent qu’ils ne
savent pas si il
existe ou non et
même si il existe,
ne sont pas certain
qu’ils ont une vraie
connaissance de lui
et souvent même
nient qu’ils peuvent
avoir une réelle
connaissance de lui.
Hume a été appelé le
père de
l’agnosticisme
moderne. Il n’a pas
nié l’existence de
Dieu, mais il
affirme que nous
n’avons aucune vraie
connaissance de ses
attributs. Toutes
nos idées de lui
sont et ne peuvent
être que des
anthropomorphes
(changements ou
transformations).
Nous ne pouvons pas
être sûrs qu’il n’y
a aucune réalité
correspondante aux
attributs que nous
lui attribuons. Son
agnosticisme
s’explique par le
principe général que
toute connaissance
repose sur
l’expérience.
C’était surtout
Kant, cependant, qui
stimule la pensée
agnostique par son
examen dans les
limites de la
compréhension
humaine et de la
raison. Il a affirmé
que la raison
théorique sait
seulement les
phénomènes et
qu’elle est
nécessairement
ignorante de ce qui
sous-tend ces
phénomènes, — la
chose en soi. De là
il suivi, bien sûr,
qu’il est impossible
pour nous d’avoir
une connaissance
théorique de Dieu.
Mais Lotze a déjà
souligné que des
phénomènes,
physiques ou
mentales, sont
toujours connectés
avec quelque
substances cachées
derrière eux pour
connaître les
phénomènes, nous
connaissons aussi la
substance
sous-jacente de ses
manifestations. Le
philosophe écossais,
Sir William
Hamilton, tandis que
pas entièrement
d’accord avec Kant,
encore partage
l’agnosticisme
intellectuelle de ce
dernier. Il affirme
que l’esprit humain
ne sait que ce qui
est conditionné et
existe dans
différentes
relations, et que,
depuis l’absolu et
l’infini est tout à
fait indépendants,
c'est-à-dire qu'il
n'existe dans aucune
relation, nous ne
pouvons obtenir
aucune connaissance
de celui-ci. Mais
alors qu’il nie que
l’infini peut être
connue par nous, il
ne nie pas son
existence. Dit-il,
« par la foi nous
appréhendons ce qui
est au-delà de nos
connaissances. » Ses
opinions étaient
partagées quant au
fond par Mansel et
ont été popularisées
par lui. Pour lui
aussi il semble tout
à fait impossible de
concevoir un être
infini, bien qu’il
professe également
foi en son
existence. Le
raisonnement de ces
deux hommes ne
transportait pas une
condamnation, car il
a estimé que
l’absolu ou infinie
ne peut pas
nécessairement
exister en dehors de
toute relation, mais
peut entretenir des
relations
différentes; et que
le fait que nous
savons des choses
seulement dans leurs
relations ne
signifient que les
connaissances ainsi
acquises sont
simplement une
connaissance
relative ou
irréelle.
Comte, le père du
positivisme, était
également agnostique
dans la religion.
Selon lui l’homme
peut savoir rien des
phénomènes physiques
et leurs lois. Ses
sens sont les
sources de toute
pensée véritable, et
il peut rien
connaître sauf les
phénomènes dont ils
appréhendent et les
relations dans
lesquelles ceux-ci
se tiennent les uns
aux autres. Les
Phénomènes mentaux
peuvent être réduits
à des phénomènes
matériels, et en
sciences de l’homme
ne peuvent pas
obtenir rien au-delà
de cela. Même les
phénomènes de la
conscience immédiate
sont exclus et de
plus, avec tout ce
qui se cache
derrière les
phénomènes.
La spéculation
théologique
représente la pensée
à ses débuts. Aucune
affirmation positive
ne peut être faite
concernant
l’existence de Dieu,
et par conséquent
les théisme et
athéisme demeurent
condamnés. En fin de
comte ils ne font
que ressentir le
besoin de vivre
d’une religion et a
présenter la
soi-disant
« religion de
l’humanité »
ou Humanisme.
Plus encore que
Comte, Herbert
Spencer est reconnu
comme le grand
représentant de
l’agnosticisme
scientifique
moderne. Il a été
très bien influencé
par la doctrine de
Hamilton sur la
relativité de la
connaissance et de
conception de Mansel
de l’absolu, et à la
lumière de ces
derniers ont
travaillé à sa
doctrine de
l’Inconnaissable,
qui était sa
désignation de tout
ce qui peut être
absolu, tout d’abord
ou le summum de la
l’ordre de
l’univers, y compris
Dieu. Il s’effectue
sur l’hypothèse
qu’il existe une
réalité située à
l’arrière des
phénomènes
(univers parallèle),
mais maintient que
toute réflexion à ce
sujet nous jette en
contradictions.
Cette réalité ultime
est totalement
impénétrable. Alors
que nous devons
accepter l’existence
d’un pouvoir ultime,
soit personnel ou
impersonnel, nous ne
pouvons former
aucune conception de
celui-ci. Manière
incohérente, il
consacre une grande
partie de ses
Principes de base
à l’élaboration du
contenu positif de
l’Inconnaissable,
comme s’il était
en effet bien connu.
Les autres
agnostiques, qui ont
été influencés par
lui, sont des hommes
comme Huxley, Fiske
et Clifford. Nous
rencontrons
l’agnosticisme
également à
plusieurs reprises
dans l’humanisme
moderne. Harry Elmer
Barnes dit: « À
l’écrivain, il
semble tout à fait
évident que la
position agnostique
est la seule qui
peut être soutenu
par toute personne
d’esprit
scientifique et
critique incliné
dans l’état actuel
des connaissances. »
En outre, les
formations figurant
aux points
précédents de
l’argument
agnostique ont
assumé plusieurs
autres, dont voici
quelques-unes des
plus importantes.
(1)
l’homme ne sait que
par analogie.
Nous ne savons que
ce qui porte à
quelque analogie
avec notre propre
nature ou
expérience: «Similia
similibus
percipiuntur. »
Mais s’il est vrai
que nous apprenons
beaucoup de choses
par analogie, par
contre nous
apprenons aussi
autrement. Dans de
nombreux cas, les
différences sont les
choses qui arrêtent
notre attention. La
Scholastiques a
parlé de la
via
negationis par
lequel elle pense
éliminer de Dieu les
imperfections de la
créature. En outre,
n’oublions pas que
l’homme est créé à
l’image de Dieu, et
qu’il y a des
analogies
importantes entre la
nature divine et la
nature de l’homme.
(2)
l’homme sait
vraiment seulement
ce qu’il peut saisir
dans son intégralité.
En résumé la
position est que
l’homme ne peut pas
comprendre Dieu, qui
est infini, ne peut
pas avoir une
connaissance
exhaustive de lui et
par conséquent ne
peut pas le
connaître. Mais
cette position
n’entreprenne
l’hypothèse
injustifiée que la
connaissance
partielle ne peut
être réelle
connaissance, une
hypothèse qui
vraiment invalidait
toutes nos
connaissances, car
il y a toujours des
écarts loin de
l’exhaustivité.
Notre connaissance
de Dieu, bien que
non exhaustive, peut
encore être très
réelle et
parfaitement
adéquate pour notre
présent besoin. (3)
tous
les prédicats de
Dieu sont négatifs
et donc ne
fournissent aucune
connaissance réelle.
Hamilton dit que
l’absolu et l’infini
seulement peuvent se
concevoir que comme
une négation de la
pensée; vraiment, ce
qui signifie que
nous ne pouvons
avoir aucune
conception d’eux du
tout. Mais si c’est
vrai que beaucoup de
ce que nous prédicat
à Dieu est négatif
dans la forme, cela
ne signifie pas
qu’il peut pas en
même temps
transmettre une idée
positive. L’acuité
de Dieu inclut
l’idée positive de
son existence
autonome et
d’autosuffisance. En
outre, des idées
telles que l’amour,
la spiritualité et
la sainteté, sont
positifs. (4)
il est
de toutes nos
connaissances par
rapport à l’objet de
connaissance.
Il est dit que nous
connaissons les
objets de la
connaissance, non
pas comme ils sont
objectivement, mais
seulement qu’elles
sont liées à nos
sens et nos
facultés. Dans le
processus de
connaissance nous
faussons leur
couleur. Dans un
sens, il est
parfaitement vrai
que toute notre
connaissance est
subjectivement
conditionnée, mais
l’importation de
l’assertion
concernant l’examen
semble être que,
parce que nous
savons des choses
seulement par
l’entremise de nos
sens et nos
facultés, nous ne
savons pas comment
elles sont vraiment.
Mais ce n’est pas
vrai; dans la mesure
où nous avons une
connaissance réelle
des choses,
connaissances
correspondant à la
réalité objective.
Les lois de la
perception et de
pensée ne sont pas
arbitraires, mais
correspondent à la
nature des choses.
Sans cette
correspondance, non
seulement la
connaissance de
Dieu, mais toutes
les vraies
connaissances
seraient totalement
impossible.
Certains sont
enclins à considérer
la position de
Barth, une espèce
d’agnosticisme.
Zerbe dit que la
pratique de
l'agnosticisme
domine la pensée de
Barth et lui
restitue une victime
de l'inconnaissance
kantienne de la
chose en elle-même
et le cite comme
suit: « les
romains
(catholiques)
ont une révélation
du Dieu inconnu;
Dieu vient à
l’homme, pas l’homme
avec Dieu.
Même
après l’homme de la
révélation ne peut
connaître Dieu,
car il est toujours
le Dieu inconnu. En
se manifestant pour
nous, il est plu
loin que jamais
auparavant. (Rbr. p.
53) ».
En même
temps, il retrouve
l’agnosticisme de
Barth, comme celle
de Herbert Spencer,
incompatible. Il
dit: « il a été dit
de Herbert Spencer
qu’il savait
beaucoup de choses
sur le
« Inconnaissable »;
tellement de Barth,
on peut demander
comment il est venu
à connaître une
grande partie du
« Dieu inconnu ». »
Dickie
parle dans la même
veine: « En parlant
d’un Dieu
transcendant, Barth
semble parfois
prendre la parole
d’un Dieu dont nous
ne pouvons jamais
savoir quoi que ce
soit. »
Cependant, il estime
qu’à cet égard trop
il a changé
d’orientation à
Barth. Bien qu’il
soit parfaitement
clair que Barth ne
veut pas être un
agnostique, on ne
peut nier que
certaines de ses
déclarations peuvent
facilement être
interprété comme
ayant une saveur
agnostique. Il
insiste fortement
sur le fait que Dieu
est le Dieu caché,
qui ne peut être
connu de la nature,
histoire ou
expérience, mais
seulement par son
auto-révélation dans
le Christ, lorsqu’il
se réunira avec la
réponse de la foi.
Mais même dans cette
révélation, Dieu
apparaît seulement
comme le Dieu caché.
Dieu lui-même
exactement comme le
Dieu caché et par le
biais de sa
révélation fait nous
révèle plus
conscients de la
distance qui sépare
lui d’homme que nous
avons jamais été
avant. Cela peut
facilement être
interprétée comme
signifiant que nous
apprenons par la
révélation
simplement que Dieu
ne peut être connu,
alors qu’après tout,
nous sommes face à
un Dieu inconnu.
Mais compte tenu de
toutes les que Barth
a écrit que c’est
clairement pas ce
qu’il veut dire. Son
affirmation, qu’à la
lumière de
l’Apocalypse, nous
voyons Dieu comme le
Dieu caché, n’exclut
pas l’idée que par
la révélation nous
également acquérir
beaucoup de
connaissances utiles
de Dieu alors qu’il
entame des relations
avec son peuple.
Quand il dit que
même dans sa
révélation Dieu
demeure pour nous
le Dieu
inconnu, il
veut vraiment dire,
le
Dieu
incompréhensible. La
révélation de Dieu
est Dieu en action.
Par sa révélation,
nous apprenons à
connaître dans ses
opérations, mais
n’acquérir aucune
connaissance réelle
de son être
intérieur. Le
passage suivant dans
La
Doctrine de la
parole de Dieu, est
assez éclairante:
« sur cette liberté
(liberté de Dieu)
appuie l'
inconcevabilité
de Dieu,
l’insuffisance de
toute connaissance
du Dieu révélé. Même
le
trois-dans-unicité
de Dieu nous est
révélé qu’en
opérations de Dieu.
Par conséquent, le
trois-en-unicité de
Dieu est aussi
inconcevable pour
nous. D'où, aussi,
l’insuffisance de
toutes nos
connaissances de
trois dans
l’unicité. La
conception avec
laquelle il est
apparu pour nous,
surtout dans les
Ecritures,
secondairement dans
la doctrine de
l’église de la
Trinité, est une
conception de
tourments. La
conception dans
laquelle Dieu existe
pour lui-même n’est
pas seulement
relative: elle est
tout à fait séparé
de lui. Seulement à
la grâce libre de
l'Apocalypse il ne
dépend pas que
l’ancienne
conception, sa
séparation absolue
de son objet est
vétérinaire et non
sans vérité. En ce
sens les trois dans
l’unicité de Dieu,
comme nous le savons
depuis l’opération
de Dieu, est
vérité. »
C. autorévélation de
la condition sine
qua non de toutes
les connaissances de
Dieu.
1.
Dieu communique la
connaissance de soi
à l'homme.
Kuyper attire
l’attention sur le
fait que la
théologie comme
connaissance de Dieu
diffère à un point
important de toutes
les autres
connaissances. Dans
l’étude de toutes
les autres sciences
l’homme se place
lui-même
au-dessus de
l’objet de son
enquête et
activement
suscite d’elle ses
connaissances par
n’importe quelle
méthode qui peut
paraître plus
appropriée, mais en
théologie, il ne
tient pas au dessus,
mais plutôt
sous
l’objet de ses
connaissances. En
d’autres termes,
l’homme peut
connaître Dieu,
uniquement dans la
mesure où ce dernier
activement se rend
connu. Dieu est
d’abord l’objet de
communication des
connaissances à
l’homme et ne peut
devenir un objet
d’étude pour
l’homme, dans la
mesure où ce dernier
s’approprie et se
penche sur la
connaissance
transmise à lui par
la révélation. Sans
révélation l'homme
n'aurait jamais été
en mesure d’acquérir
une connaissance de
Dieu. Et même après
que Dieu s’est
révélé
objectivement, ce
n’est pas la raison
humaine qui découvre
Dieu, mais c’est
Dieu qui se révèle à
l'œil de la foi.
Cependant, par
l’application de la
raison humaine
sanctifiée à l’étude
de l’homme par la
Parole de Dieu peut,
sous la direction du
Saint-Esprit,
acquérir une
connaissance
croissante de Dieu.
Barth souligne
également le fait
que l’homme peut
connaître Dieu que
lorsque Dieu vient à
lui dans un acte de
la révélation. Il
affirme qu’il
n’existe aucun moyen
de l’homme vers
Dieu, mais seulement
de Dieu à l’homme et
dit à plusieurs
reprises que Dieu
est toujours le
sujet et jamais un
objet. La révélation
est toujours quelque
chose de purement
subjective, et ne
peut jamais se
transformer en
quelque chose
d’objectif comme la
parole écrite de
l’Écriture Sainte et
ainsi devenir un
objet d’étude. Elle
est donnée une fois
pour toutes en Jésus
Christ et en Christ
vient aux hommes
dans le moment
existentiel de leur
vie. Bien qu’il
existe des éléments
de vérité dans ce
que dit Barth, son
interprétation de la
doctrine de la
révélation est
étrangère à la
théologie réformée.
La position doit
être maintenue,
cependant, que la
théologie serait
totalement
impossible sans une
révélation de Dieu.
Et quand on parle de
l’Apocalypse, nous
utilisons le terme
au sens strict du
mot. Il n’est pas
quelque chose dans
lequel Dieu est
passif, un simple
« devient
manifeste », mais
quelque chose dans
lequel il est
activement révélant
lui-même. Il n’est
pas autant dans le
sens moderne dans
lequel il aurait,
une clairvoyance
spirituelle
approfondie, de ce
qui conduit à une
découverte toujours
plus de Dieu de la
part de l’homme;
mais un surnaturel
agir de
communication
indépendant, un acte
tenace de la part du
Dieu vivant. Il n’y
a rien de surprenant
dans le fait que
Dieu peut être
connue que si, et
dans la mesure où,
il se révèle. Dans
une certaine mesure,
c’est aussi vrai de
l’homme. Même après
que la psychologie a
fait une étude assez
exhaustive de
l’homme, Alexis
Carrell est encore
capable d’écrire un
livre très
convaincant sur
l’inconnu de l’homme.
« Pour les hommes, »
dit Paul, «Car qui
est-ce qui connaît
ce qui est en
l'homme, si ce n'est
l'esprit de l'homme
qui est en lui? De
même aussi, personne
ne connaît ce qui
est en L’ESPRIT DES
VIVANTS, si ce n'est
la Sainte Présence
de L’ESPRIT DES
VIVANTS.» 1 Cor.
2:11. Le
Saint-Esprit sonde
toutes choses, même
les choses profondes
de Dieu et leur
révèle à l’homme.
Dieu lui-même les a
fait connaître. Aux
côtés de l’archétype
connaissance de
Dieu, trouvé en Dieu
lui-même, il y a
également une
connaissance et type
de lui, donné à
l’homme par la
révélation. Ce
dernier est lié à
l’ancienne comme une
copie à l’original
et ne possède donc
pas la même mesure
de clarté et de la
perfection. Toute
notre connaissance
de Dieu est dérivé
de son
autorévélation dans
la nature et dans
l’Écriture. Par
conséquent, notre
connaissance de Dieu
est d’une part un
type analogique,
mais d’autre part
aussi véridique et
exacte, puisque
c’est une copie de
l’archétype
connaissance que
Dieu a de lui-même.
2.
Connaissance innée
et acquise de Dieu (COGNITIO
INSITA et ACQUISTA).
On fait généralement
une distinction
entre la
connaissance innée
et acquise de Dieu.
Ce n’est pas une
distinction
strictement logique,
car en dernière
analyse, toute
connaissance humaine
est acquise. La
théorie des idées
innées est
philosophique et non
théologique. Les
graines de celui-ci
se trouvent déjà
dans la doctrine des
idées de Platon,
alors qu’il se
produit dans la
De
Natura Deorum
de Cicéron dans une
forme plus
développée. Dans la
philosophie moderne,
qui a été d’abord
enseigné par
Descartes, et qui
considère l’idée de
Dieu comme innée. Il
n’a pas jugé
nécessaire de
considérer cela
comme inné en ce
sens qu’elle était
consciemment
présente dans
l’esprit humain
depuis le début,
mais seulement dans
le sens que l’homme
a une tendance
naturelle à former
l’idée quand
l’esprit atteint sa
maturité. La
doctrine a enfin
pris la forme qu’il
y a certaines idées,
dont l’idée de Dieu
est le plus
important, qui sont
innées et sont donc
présents dans la
conscience humaine
dès la naissance.
C’est sous cette
forme que Locke a
justement attaqué la
doctrine des idées
innées, mais il est
allé à un autre
extrême dans son
empirisme
philosophique. La
Théologie réformée a
également rejeté la
doctrine dans cette
forme particulière.
Et tandis que
certains de ses
représentants
conserve les nom
« idées innées »,
lorsqu'ils en ont
donné une autre
signification,
d’autres ont préféré
parler d’un
insita
Dei cognitio
(rameaux ou plante
de la connaissance
de Dieu). D’une part
cette
cognitio Dei insita
ne consiste pas en
des idées ou forme
des notions qui sont
présentes chez
l’homme au moment de
sa naissance; mais
en revanche, c’est
plus qu’une simple
capacité qui permet
à l’homme de
connaître Dieu. Il
dénote une
connaissance qui
résulte
nécessairement de la
constitution de
l’esprit humain, qui
est inné que dans le
sens qu’elle naît
spontanément, sous
l’influence de la
semence
religionis
implanté chez
l’homme, lors de sa
création à l’image
de Dieu, et qui
n’est pas acquis par
le laborieux
processus de
raisonnement et
d’argumentation.
C’est une
connaissance que
l’homme, constitué
comme il est,
acquiert
de la
nécessité et
comme telle se
distingue de toutes
les connaissances
qui sont
conditionnée par la
volonté de l’homme.
Les connaissances
acquises, en
revanche, sont
obtenue par l’étude
de la révélation de
Dieu. Elle ne
découle pas
spontanément à
l’esprit humain,
mais des résultats
de la recherche
consciente et
soutenue de la
connaissance. Elle
peut être acquise
que par le processus
fastidieux de
perception et de
réflexion, de
raisonnement et
d’argumentation.
Sous l’influence de
l’idéalisme hégélien
et de la conception
moderne de
l’évolution, la
connaissance innée
de Dieu a été trop
souligner; Barth
rejette en revanche
l’existence d’une
telle connaissance.
3.
Révélation générale
et spéciale.
La Bible témoigne de
la révélation de
Dieu à un double:
une révélation dans
la nature autour de
nous, dans la
conscience humaine
et dans le
gouvernement
providentiel du
monde; et une
révélation incarnée
dans la Bible comme
Parole de Dieu. Il
témoigne à
l’ancienne dans des
passages comme suit:
« Les cieux
racontent la gloire
de L’ESPRIT DES
VIVANTS, et
l'étendue fait
connaître l'œuvre de
ses mains. Le jour
parle au jour, et la
nuit enseigne la
nuit. Il n'y a point
en eux de langage,
il n'y a point de
paroles; toutefois
leur voix est
entendue. » Psaume
19:1-3. « Quoiqu'il
n'ait point cessé de
donner des
témoignages de ce
qu'il est, en
faisant du bien, en
nous envoyant du
ciel les pluies, et
les saisons
fertiles, et en
remplissant nos
cœurs de biens et de
joie. » Actes
14:17. « Parce que
ce qu'on peut
connaître de
L’ESPRIT DES VIVANTS
est manifesté parmi
eux, car L’ESPRIT
DES VIVANTS le leur
a manifesté. En
effet, les choses
invisibles de
L’ESPRIT DES
VIVANTS, sa
puissance éternelle
et sa divinité, se
voient clairement,
depuis la création
de cet agencement,
quand on les
considère dans ses
ouvrages. De sorte
qu'ils sont
inexcusables. » Rom.
1:19, 20. De ce
dernier, il donne
des preuves
abondantes dans
l’Ancien et le
Nouveau Testament.
« Et L’ADMIRABLE
somma Israël et Juda
par chacun de ses
prophètes et de ses
voyants, leur
disant: Revenez de
vos mauvaises voies,
gardez mes
commandements et mes
statuts, selon toute
la loi que j'ai
prescrite à vos
pères, et que je
vous ai envoyée par
mes serviteurs les
prophètes. « 2 Rois
17:13. « Il a fait
connaître ses voies
à Moïse, et ses
exploits aux enfants
d'Israël. » Psaume
103:7. « Personne
n'a jamais vu
L’ESPRIT DES
VIVANTS; le seul
Fils engendré, qui
est l'enveloppe
visible du Père
invisible,
est celui qui l'a
manifesté dans la
chair. » Jean 1:18.
« L’ESPRIT DES
VIVANTS ayant
autrefois parlé à
nos pères, à
plusieurs reprises
et en diverses
manières, par les
prophètes, Nous a
parlé en ces
derniers jours
d'Israël par son
Fils, JÉSUS LE
MESSIE, qu'il a
établi héritier de
toutes choses; par
lequel aussi il a
fondé les siècles.
Et qui, étant la
splendeur de sa
gloire et
l'expression unique
de son essence, et
soutenant toutes
choses par sa Parole
puissante, ayant
opéré par lui-même
la purification de
nos péchés, s'est
assis à la droite de
la Majesté divine
dans les lieux très
hauts. » Hébreux
1:1-3.
Sur la base de ces
données mentionnés
dans les Écritures
inspirées et
infaillibles,
il est devenu
habituel de parler
de la révélation
naturelle et
surnaturelle. La
distinction ainsi
appliquée à l’idée
de l’Apocalypse est
principalement une
distinction fondée
sur la manière dont
elle est communiquée
à l’homme; mais au
cours de l’histoire
elle a également été
basé en partie sur
la nature de son
objet. Le mode de
révélation est
naturel lorsqu’il
est communiqué à
travers la nature,
c'est-à-dire par le
biais de la création
visible avec ses
lois ordinaires et
ses pouvoirs. Elle
est surnaturelle
lorsqu’elle est
adressée à l’homme
d’une manière plus
haute
ou plus sublime,
surnaturelle lorsque
lorsque Dieu lui
parle, soit
directement, soit
par l’intermédiaire
de messagers
surnaturellement
doués. La substance
de la révélation
était considérée
comme naturelle, si
elle pouvait être
acquise par la
raison humaine de
l’étude de la
nature; et a été
considéré comme
surnaturel
lorsqu’elle ne
pourrait pas être
connu de la nature,
ni par la raison
humaine spontanée.
Par conséquent, il
est devenu assez
fréquent dans le
Moyen-âge à opposer
raison et
révélation,
quoique l'Esprit
de Dieu puisse
éclairer la raison
par la Sainte
Présence de Christ
qui habite ses élus
leur donnant une
manière de raisonner
spirituellement.
Dans la théologie
protestante la
révélation naturelle
est souvent appelée
un
revelatio realis
et la
révélation
surnaturelle un
revelatio verbalis,
parce que l’ancien
s’incarne dans les
choses et le second
en mots. En cours de
temps, cependant, la
distinction entre
naturelle et
surnaturelle de la
révélation s’est
avérée pour être
plutôt ambiguë,
puisque toute la
révélation est
surnaturelle dans
l’origine et, comme
une révélation de
Dieu également dans
le contenu
de son
appréhension.
Ewald, dans son
ouvrage sur
la
révélation:
sa
Nature et
Registre
parle de la
révélation dans la
nature comme une
révélation
immédiate et de
la révélation dans
les Ecritures, qu’il
considère comme la
seule qui mérite le
nom «révélation »
dans toute
l’acception, comme
médiation de
révélation. Une
distinction plus
courante, cependant,
qui a
progressivement
gagné monnaie, est
celui de la
révélation
générale
et
spéciale. Dr.
Warfield distingue
les deux comme suit:
« l’une s’adresse
généralement à
toutes les créatures
intelligentes et est
donc accessible à
tous les hommes;
l’autre s’adresse à
une classe spéciale
des pécheurs, à qui
Dieu devrait faire
connaître son salut.
La première
permettant de
satisfaire et
d’alimenter le
besoin naturel des
créatures pour la
connaissance de leur
Dieu; l’autre pour
sauver les pécheurs
brisés et déformés
par leur péché et
ses conséquences ».
La
révélation générale
qui est enracinée
dans la création,
est adressée à
l’homme comme être
humain et plus
particulièrement à
la raison humaine et
trouve sa finalité
dans la réalisation
de la fin de sa
création, qui est de
connaître Dieu et
ainsi profiter de
communion avec lui.
La révélation
spéciale est
enracinée dans le
plan Rédempteur de
Dieu, est adressée à
l’homme en tant que
pécheur,
sous entendu les
élus seuls,
peut être
correctement
comprise et ouverte
uniquement par la
foi
de Christ et en
Christ et
a pour objectif de
sécuriser la fin
pour laquelle
l’homme fut créé en
dépit de la
perturbation causée
par le péché. Vu le
plan éternel de la
rédemption il faut
dire que cette
révélation spéciale
n’est pas venu en
tant qu’une
arrière-pensée, mais
qu’elle était en
l’Esprit de Dieu dès
le début.
Il y avait des
divergences
d’opinions
concernant la
relation entre ces
deux mutuellement
considérables. Selon
la scolastique la
révélation naturelle
a fourni les données
nécessaires pour la
construction d’une
théologie
naturellement
scientifique par la
raison humaine. Mais
alors que cela
permis à l’homme
d’atteindre une
connaissance
scientifique de Dieu
comme cause ultime
de toutes choses,
elle ne prévoyait
pas la connaissance
des mystères, comme
la Trinité,
l’incarnation et de
rédemption.
Elle ne pouvait
prévoir le mystère
de la Trinité
puisqu'elle ne peut
prévoir une chose
qui n'existe pas et
qui a du être
inventé par la
philosophie de
théoriciens qui se
veulent maîtres sur
la Parole de Dieu
afin d'obtenir le
monopole de la foi
et des consciences.
Cette connaissance
de l'Être de Dieu
est fournie par la
révélation spéciale
qu'aucun
théoricien ne peut
recevoir.
C’est une
connaissance qui
n’est pas
rationnellement
démontrable, mais
doit être acceptée
par la foi et
non par les
principes de la
philosophie
platonicienne sur
les mystères de
l'existence de Dieu.
Certains des
scolastiques
précédents étaient
guidés par le slogan
« Credo ut
intelligam » et,
après avoir accepté
les vérités de la
révélation spéciale
par la foi
dans une
présomption de
l'intellect,
ont jugé nécessaire
d'élever la foi à la
compréhension d’une
démonstration
rationnelle de ces
vérités, ou du moins
de prouver leur
rationalité. Thomas
Aquinas, considère
cependant que cela
est impossible, sauf
pour les vérités
spéciales en tant
que révélation
contenue qui faisait
également partie de
la révélation
naturelle. Selon
lui, les mystères,
qui forment le
contenu réel de la
révélation
surnaturelle,
n’admettent pas de
démonstration
logique. Toutefois,
il a conclu qu’il ne
pouvait y avoir
aucun conflit entre
les vérités
naturelles et ceux
de la révélation
surnaturelle. S’il
semble y avoir un
conflit, il y a
quelque chose de mal
avec sa philosophie
purement humaine
et charnelle.
Le fait demeure,
toutefois, qu’il a
reconnu, sans
compter que la
structure élevés par
la foi sur la base
de révélation
surnaturelle, un
système de théologie
scientifique sur la
fondation de la
révélation
naturelle,
posant ainsi une
autre fondation que
celle de Christ (1
Cor. 3:11).
Dans le premier on
consent à quelque
chose parce qu’il
est révélé, dans le
second parce qu’il
est perçu comme vrai
à la lumière de la
raison naturelle. La
démonstration
logique, qui est
hors de question
dans l’un, est la
méthode naturelle de
la preuve dans
l’autre.
Les réformateurs
rejette le dualisme
des scolastiques et
visent à une
synthèse de la
double révélation de
Dieu. Ils ne
croyaient pas en la
capacité de la
raison humaine pour
construire un
système scientifique
de la théologie sur
la base de la
révélation naturelle
pure et simple.
Mais si par
«révélation
naturelle» on entend
par cela les notions
élaborées par
l'intellect de
l'homme dont la
nature est corrompue
et esclave de la
chair et du péché,
donc ils se sabrent
eux-mêmes dans leur
théologie comme le
fait d'ailleurs
l'auteur de ce
volume à plusieurs
reprises.
Leur point de vue
peut être représenté
comme suit: à la
suite de l’entrée du
péché dans le monde,
l’Écriture de Dieu
dans la nature est
grandement obscurci
et relève dans
certaines des
questions plus
importantes des
points plutôt
sombres et
illisibles. En
outre, l'homme est
frappé d’aveuglement
spirituel et est
donc privé de la
possibilité de lire
correctement ce que
Dieu avait
initialement
clairement écrit
dans les œuvres de
création. Afin de
remédier à la
situation et éviter
la frustration de
son but, Dieu a fait
deux choses. Dans sa
révélation
surnaturelle il a
republié les vérités
de la révélation
naturelle, effacé
leur idée fausse
interprétées en vue
du présent besoin de
l’homme et par
conséquent intégrées
à sa révélation
surnaturelle de la
rédemption. Et en
plus de cela il
fournie un remède
pour la cécité
spirituelle de
l’homme dans les
travaux de
régénération et de
sanctification, y
compris
l’illumination
spirituelle et ainsi
permis à l’homme une
fois de plus
d'obtenir la vraie
connaissance de
Dieu, sachant
qu'elle porte en
elle l'assurance de
la vie éternelle.
Lorsque le vent
froid du
rationalisme a
déferlé sur
l’Europe, la
révélation naturelle
a été exaltée au
détriment de la
révélation
surnaturelle.
L’homme s’est enivré
avec un sentiment de
sa propre capacité
et de bonté, a
refusé d’écouter et
de se soumettre à la
voix de l’autorité
qui lui a parlé dans
l’Écriture et s'est
reposé en toute
confiance dans la
capacité de la
raison humaine pour
le conduire hors du
labyrinthe
d’ignorance et
d’erreur dans
l’ambiance claire de
la vraie
connaissance.
Certains ont soutenu
que la révélation
naturelle était tout
à fait suffisante
pour enseigner aux
hommes toutes les
vérités nécessaires,
ont néanmoins admis
qu’ils puissent les
apprendre plus tôt à
l’aide de révélation
surnaturelle.
D’autres ont nié que
l’autorité de la
révélation
surnaturelle était
complète, jusqu'à ce
que son contenu soit
démontré par la
raison. Et enfin le
déisme dans
certaines de ses
formes a refusé, non
seulement la
nécessité, mais
également la
possibilité et la
réalité de la
révélation
surnaturelle. Selon
Schleiermacher
l’accent se déplace
de l’objectif au
subjectif, de la
révélation à la
religion et sans
aucune distinction
entre religion
naturelle et
révélée. Le terme
« révélation » est
toujours conservé,
mais est réservé
comme une
désignation de la
clairvoyance
spirituelle plus
profonde de l’homme,
une idée qui ne
vient pas de lui
sans sa propre
recherche diligente.
Ce qu’on appelle la
révélation d’un
point de vue, peut
être appelé
découverte humaine
de l’autre. Ce point
de vue est devenu
tout à fait
caractéristique de
la théologie
moderne. Knudson,
dit: « Mais cette
distinction entre la
théologie naturelle
et révélée est
maintenant largement
tombée en désuétude.
La tendance actuelle
est de dessiner sans
forte ligne de
démarcation entre la
révélation et la
raison naturelle,
mais de considérer
les idées plus
élevées de la raison
comme elles-mêmes la
divine révélation.
En tout cas il n’y a
rien de fixe à la
carrosserie de la
vérité révélée, en
acceptant le pouvoir
qui se dresse contre
les vérités de la
raison. Toute vérité
aujourd'hui repose
sur sa compétence
d’appel à l’esprit
humain. »
C’est ce point de
vue de la révélation
qui est dénoncée
dans les termes les
plus forts de Barth.
Il est
particulièrement
intéressé par le
sujet de la
révélation et veut
mener l’Église à
partir du subjectif
à l’objectif, de la
religion jusqu'à
l’Apocalypse. Dans
la première, il voit
surtout les efforts
de l’homme pour
trouver Dieu et,
dans le dernier « la
recherche de Dieu
pour l’homme » en
Jésus Christ. Barth
ne reconnaît pas
toute la révélation
dans la nature. La
révélation n'existe
jamais sur une ligne
horizontale, mais
descend toujours
perpendiculairement
par dessus. La
révélation est
toujours Dieu en
action, nous
montrant que la
Parole de Dieu
détient quelque
chose d’entièrement
nouveau à l’homme,
quelque chose dont
il ne pourrait avoir
aucune connaissance
antérieure, et qui
devient une
véritable révélation
que pour celui qui
accepte l’objet de
la révélation par
une foi donnée par
Dieu. Jésus Christ
est la révélation de
Dieu, et celui qui
connaît le Christ
Jésus ne sait rien
sur la révélation
jusqu'au moment que
le Seigneur a
déterminé pour qu'il
la reçoive, si tel
est son bon plaisir
pour la gloire de
son nom. La
révélation est un
acte de grâce, par
lequel l’homme
devient conscient de
son état de pécheur
et aussi de Dieu, et
parvienne à la
connaissance de la
grâce libre,
imméritée,
condescendante
indulgente en Jésus
Christ. Barth
l’appelle même
la
réconciliation.
Puisque Dieu est
toujours souverain
et libre dans sa
révélation, il ne
peut jamais supposer
une forme objective
factuellement
présente avec
certaine limites, à
laquelle l’homme
peut se transformer
à tout moment par
son instruction. Par
conséquent, cela
serait une erreur de
considérer la Bible
comme la révélation
de Dieu en un autre
sens que celui d'une
compréhension
secondaire. Elle est
un témoin et une
fiche de la
révélation de Dieu.
Elle peut même, bien
que dans un sens
subordonné, être la
prédication de
l’Évangile. Mais
grâce à quelque
médiation la parole
de Dieu qui peut
venir à l’homme dans
le moment
existentiel de sa
vie, elle est
toujours reconnu par
l’homme comme un mot
parlé directement à
lui et venir
verticalement d'en
haut. Cette
reconnaissance est
effectuée par une
opération spéciale
de l’Esprit Saint,
par ce qu’on peut
appeler un
individuel
testimonium Spiritus
Sancti. La
révélation de Dieu a
été donnée
une
fois pour toutes
dans le Christ
Jésus: non pas dans
son aspect
historique, mais
dans le
super-historique
dans lequel les
pouvoirs du monde
éternel deviennent
évidents tel que
dans son
incarnation, sa mort
et sa résurrection.
Et si sa révélation
est également
continue — comme
elle l'est —, elle
est telle dans le
sens que Dieu
continue de parler à
des pécheurs dans le
moment existentiel
de leur vie à
travers la
révélation dans le
Christ et la
prédication par la
Bible. Ainsi, nous
nous retrouvons avec
des éclairs simples
de l’Apocalypse à
venir aux individus,
dont seuls les élus
ont une certitude
absolue; et aucun
témoin faillibles,
ni autre fiche de la
révélation de Jésus
Christ, — sont une
fondation plutôt
précaire pour la
théologie. Il n’est
pas étonnant que
Barth a des doutes
quant à la
possibilité de
construire une
doctrine de Dieu.
L’humanité n’est pas
en possession de
toute la révélation
infaillible de Dieu,
sa révélation unique
dans le Christ et
son extension dans
les révélations
particulières qui
viennent à certains
hommes, elle a
connaissance que par
les dépositions des
témoins faillibles.
QUESTIONS pour
étude
complémentaire:
En quel sens peut-on
parler du Dieu caché
ou inconnu en dépit
du fait qu’il s’est
révélé ? Comment les
scolastiques et les
réformateurs
diffèrent sur ce
point ? Quelle est
la position de la
théologie moderne ?
Pourquoi la
révélation est
essentielle à la
religion ? Comment
l’agnosticisme
diffère-t-il
théoriquement de
l’athéisme ? Est le
plus favorable à la
religion que
l’autre ? Comment
Kant a-t-elle
favorisé
l’agnosticisme ?
Quelle était la
doctrine de Sir
William Hamilton de
la relativité de la
connaissance ?
Quelle forme a-t-il
pris l’agnosticisme
dans le
positivisme ?
Quelles autres
formes a-t-il
fallu ? Pourquoi
certains parlent de
Barth comme un
agnostique ? Comment
ces frais devraient
être satisfaites ?
Est la
« révélation » un
rôle actif ou un
passif concept ? La
théologie n’est
possible sans
révélation ? Si non,
pourquoi ? La
théorie des idées
innées peut être
défendue ?
Qu’entend-on par « cognitio
Dei insita ? » La
différence entre
naturelle et
révélation
surnaturelle ? Est
la distinction entre
la révélation
générale et spéciale
un parallèle exact
du précédent ? Les
différents points de
vue ont eu lieu
quant à la relation
entre les deux ?
Comment la
révélation
diffère-t-il de
découverte humaine ?
Barth pense-t-elle
en général à la
révélation ? Comment
est-ce qu’il conçoit
de la révélation
spéciale ?
LITTÉRATURE:
Bavinck,
Geref. Dogme.
II,
pp. 1: 74; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De Deo
I, pp. 1-76; Hodge,
Syst.
Theol. I, p.
191 à 240; 335-365;
Shedd, dogme
.
THEOL.
I,
pp. 195-220;
Quelquefois,
Collected Works
I, pp. 74-142;
Dorner,
système de Chr. Doct.,
I, pp. 79-159;
Adeney,
la Conception
chrétienne de Dieu,
pp. 19-57; Steenstra,
l’être
de Dieu comme
l’unité et de la
Trinité, pp.
1-25; Hendry,
Dieu le
créateur;
Gilson,
raison et révélation
au moyen-âge;
Baillie et Martin,
révélation (un
colloque de Aulen,
Barth,
Bulgakoff, d’Arcy,
Eliot,
Horton,
et le
Temple;
Warfield,
révélation et
Inspiration,
pp. 3-48; Orr,
révélation et
Inspiration,
pp. 1-66; Cantin,
révélation et
l’Esprit Saint,
pp. 11-127; Dickie,
révélation et
réponse,
Warfield,
Calvin
et le calvinisme
(Calvin
Doctrine de la
connaissance de Dieu).
III. Rapports de l’Être et
attributs de Dieu
Certains
dogmaticiens
consacrent un
chapitre ou des
chapitres à l’Être
de Dieu, avant
d’aborder la
discussion de ses
attributs. Pour
cela, par exemple,
dans les œuvres de
Ebrard, de Kuyper et
Shedd. D’autres
préfèrent considérer
l’Être de Dieu dans
le cadre de ses
attributs étant
donné que c’est dans
ce qu’il a lui-même
révélé. Il s’agit de
la méthode plus
commune, qui est
suivie dans le
Synopsis Purioris
Theologiae
et dans les œuvres
de Turretin, Marck,
Brakel, Bavinck,
Hodge et Honig.
Cette différence de
traitement n’est pas
indicative d’un
grave désaccord
fondamental entre
eux. Ils sont tous
d’accord que les
attributs ne sont
pas des noms simples
à laquelle aucune
réalité correspond,
ni de séparer les
parties d’un Dieu
composite, mais des
qualités
essentielles dans
lequel l’Être de
Dieu est révélé et
avec qui elles
peuvent être
identifiées. La
seule différence
semble être que
certains cherchent à
faire la distinction
entre l’Être et les
attributs de Dieu
plus que d’autres
choses.
A. l’Être de Dieu.
Il est évident que
l’Être de Dieu
n’admet pas de
définition
scientifique. Afin
de donner une
définition logique
de Dieu, il faudrait
commencer par aller
à la recherche d’un
concept plus élevé,
en vertu duquel Dieu
pourrait être
coordonné avec les
autres concepts; et
on aurait alors à
souligner les
caractéristiques qui
seraient applicables
à Dieu seulement.
Telle une
génétique-
définition
synthétique qui
ne peut être donné à
Dieu, car Dieu n’est
pas une des espèces
des dieux, qui peut
être subsumé sous un
genre unique. Au
plus seulement une
analytique-
définition
descriptive est
possible.
Simplement, cela
désigne les
caractéristiques
d’une personne ou
une chose, mais
laisse l’essentiel
étant inexpliquée.
Et même cette
définition ne peut
être complète mais
seulement partielle,
parce qu’il est
impossible de donner
une description
exhaustive et
positive (par
opposition à la
limite négative) de
Dieu. Il s’agirait
d'une énumération de
tous les attributs
connus de Dieu, et
ils sont en grande
partie négatifs dans
leurs
caractéristiques.
La Bible ne
fonctionne jamais
avec un concept
abstrait de Dieu,
mais toujours le
décrit comme le Dieu
vivant, qui s’engage
dans des relations
différentes avec ses
créatures, relations
qui sont indicatives
de plusieurs
attributs
différents. Dans de
Dictaten
de Kuyper
Dogmatiek
, on
nous dit que Dieu,
personnifié comme
sagesse, parle de
son
essence dans
Prov. 8:14, quand il
attribue à lui-même,
tushiyyach, un
mot hébreu rendu « wezen »
dans la traduction
de Hollande. Mais
cette interprétation
est très douteuse,
et le rendu anglais
« avocat » mérite la
préférence,
quoique certaines
versions portent les
termes «sagesse» ou
«prudence» ce qui
est beaucoup plus
précis d'après le
texte hébreu.
Il a également été
souligné que la
Bible parle de la
nature
de Dieu en II Pierre
1:4, mais cela peut
difficilement
désigner l’essentiel
de Dieu, car nous ne
sommes pas faits
participants de
l’essence divine.
Mais ce texte ne
parle aucunement de
«l'essence divine»
mais «de la nature
divine» du Grec «phusis»
dont la
signification est
que nous participons
ou sommes associés à
la force, les lois,
et l'ordre d'une
nouvelle nature que
nous avons en
Christ.
Tandis que par
«essence» il faut
comprendre ce qui
est essentiel à
l'Existence divine,
les principes
intrinsèques ou
inhérents de son
Être. Faudrait
peut-être que les
gens fassent plus
attention aux mots
et leurs contextes
lorsqu'ils lisent un
texte pour ne pas
sauter à des
conclusions trop
hâtives.
Une indication de
l’essence de Dieu a
été trouvée dans le
nom de Jéhovah ou
YHWH traduit aussi
par l'Éternel et
l'Admirable, tel
qu’interprété par
Dieu lui-même, « JE
SUIS CELUI QUI
SUIS » (Ex. 3:14).
Il est à
remarquer que Jésus
Lui-même se dit être
JE SUIS (Jn. 8:58).
Sur la base de ce
passage l’essence de
Dieu a été trouvé en
étant elle-même une
notion abstraite. Et
cela a été
interprété comme
signifiant une
existence autonome
ou permanence
autonome ou une
indépendance
absolue. Un autre
passage est cité à
plusieurs reprises
contenant une
indication de
l’essence de Dieu,
ainsi que l’approche
plus proche de vous
à une définition qui
se trouve dans la
Bible, à savoir Jean
4:24, « L'Esprit
qui est L’ESPRIT
DES VIVANTS
nécessite alors
que ceux qui
l'adorent, l'adorent
en raisonnant la
vérité. » Cette
déclaration du
Christ témoigne
clairement de la
spiritualité de
Dieu. Les deux idées
dérivées de ces
passages se
produisent à
répétition dans la
théologie comme des
appellations de
l’étant de Dieu.
Dans l’ensemble on
peut dire que
l’Écriture n'exalte
un attribut de Dieu
au détriment des
autres, mais les
représente comme
existant en parfaite
harmonie dans l’Être
divin. Il peut être
vrai que maintenant
un et puis un autre
attribut est
souligné, mais
l’écriture a
manifestement
l’intention de
donner dûment
l’accent à chacune
d'entre elles.
L’Être de Dieu se
caractérise par une
profondeur, une
plénitude, une
variété et une
gloire bien au-delà
de notre
compréhension, et la
Bible le représente
comme un tout
harmonieux glorieux,
sans les
contradictions
inhérentes. Et cette
plénitude de vie
trouve son
expression d’aucune
autre manière que
dans les perfections
de Dieu.
Certains des
premiers pères de
l’Église étaient
clairement sous
l’influence de la
philosophie grecque
dans leur doctrine
de Dieu et, comme
l’exprime Seeberg,
n’a pas avancé
« au-delà de la
simple conception
abstraite que l’etre
divin est une
Existence
sans-attribut
absolue. » Depuis un
certain temps les
théologiens étaient
plutôt généralement
enclins à mettre
l’accent sur la
transcendance de
Dieu et d’assumer la
définition de
l’essence divine ou
l’impossibilité de
toute connaissance
adéquate. Pendant la
controverse
trinitaire, la
distinction entre
l’un essence et
trois personnes en
la divinité a été
fortement soulignée,
mais l’essence même
de l’avis général
est au-delà de la
compréhension
humaine. Grégoire de
Nazianze, cependant,
s’aventure à dire:
« pour autant que
nous pouvons
discerner,
ho sur
et ho
theos sont en
quelque sorte plus
que les autres
expressions les noms
de l’essence
(divine) et de ces
ho sur
est préférable. » Il
considère cela comme
une description de
l’etre absolu.
Conception de
Augustine de
l’essence de Dieu
était étroitement
apparenté à celui de
Gregory. Au moyen
âge aussi il y avait
une tendance à nier
que l’homme a aucune
connaissance de
l’essence de Dieu,
ou à réduire ces
connaissances au
minimum. Dans
certains cas, un
attribut a été
identifié comme le
plus expressif de
l’essence de Dieu.
Ainsi Thomas Aquinas
a parlé de son
aseity ou existence
autonome et Duns
Scot, de son
infinité. Il est
devenu assez
fréquent aussi de
parler de Dieu comme
purus
actus compte
tenu de sa
simplicité. Les
réformateurs et
leurs successeurs
ont également
parlent de l’essence
de Dieu comme
incompréhensible,
mais ils n’excluent
pas tout savoir de
lui, bien que Luther
a utilisé un langage
très fort sur ce
point. Ils ont
insisté sur l’unité,
la simplicité et la
spiritualité de
Dieu. Les mots de la
Confessio Belgica
sont tout à fait
caractéristique:
« Nous croyons tous
avec le cœur et
avouons avec la
bouche, qu’il existe
un seul Être
simple et
spirituelle que nous
appelons Dieu. »
plus tard
philosophes et
théologiens trouves
l’essence de Dieu à
être abstraite, dans
la substance
universelle, dans
pure pensaient, dans
la causalité
absolue, dans
l’amour, en
personnalité et en
sainteté majestueuse
ou le numineux.
B. La possibilité de
connaître l’Être de
Dieu.
De ce qui précède,
il apparaît déjà que
la question quant à
la possibilité de
connaître Dieu dans
son être essentiel
engagé les meilleurs
esprits de l’église
des premiers
siècles. Et le
consensus de
l’opinion dans
l’église primitive,
pendant le moyen âge
et au moment de la
réforme, était que
Dieu dans son être
intime est le One
incompréhensible.
Et, dans certains
cas, le langage
utilisé est si fort
qu’elle permet
apparemment d’aucune
connaissance de
l’être de Dieu que
ce soit. En même
temps ils qui
l’utilisent, au
moins dans certains
cas, semblent avoir
beaucoup de
connaissances de
l’être de Dieu.
Malentendu peut
facilement se
traduire d’un échec
de comprendre la
question exacte à
l’examen et de
négliger d’établir
une distinction
entre « savoir » et
« comprendre ». La Scholastique a évoqué
trois questions à
laquelle toutes les
spéculations
concernant l’etre
divin pourrait être
réduit, à savoir:
un sit
Deus?
Quid
sit Deus? et
Qualis
sit Deus? La
première question
concerne l’existence
de Dieu, la seconde,
sa nature ou essence
et le troisième, ses
attributs. Dans ce
paragraphe, c’est
surtout la deuxième
question qui appelle
une attention. Alors
la question est, ce
qui est Dieu ?
Quelle est la nature
de sa constitution
interne ? Ce qui
fait qu’il soit ce
qu’il est ? Afin de
répondre
adéquatement à cette
question, nous
aurions à être en
mesure de comprendre
Dieu et d’offrir une
explication
satisfaisante de son
etre divin, et cela
est totalement
impossible. Le fini
ne peut pas
comprendre l’infini.
La question de
Valentin, « peux tu
en recherchant
savoir Dieu ? Peux
tu trouver le
tout-puissant à la
perfection ? » (Job
11:7) a la force
d’un fort négatif.
Et si l'on considère
la deuxième question
tout à fait en
dehors de la
troisième, notre
réponse négative
devient encore plus
inclusif. En dehors
de la révélation de
Dieu dans ses
attributs, nous
n’avons pas
connaissance de
l’être de Dieu que
ce soit. Mais dans
la mesure où Dieu se
révèle dans ses
attributs, nous
avons également une
connaissance de son
être divin, mais
malgré cela notre
connaissance est
soumis à des limites
humaines.
Luther utilise
certaines
expressions très
fortes concernant
notre incapacité à
connaître quelque
chose de l’être ou
l’essence de Dieu.
D’une part, il
distingue entre les
Deus
absconditus
(Dieu caché) et le
Deus
revelatus (Dieu
révélé); mais
d’autre part, il
affirme également
qu’en connaissant le
Deus
revelatus, nous
savons seulement lui
dans son mystérieux.
Par cela il signifie
que, même dans sa
révélation de Dieu,
a lui-même manifesté
pas entièrement,
car il
est essentiellement,
mais quant à son
essence reste
enveloppée dans
l’obscurité
impénétrable. Nous
connaissons Dieu
seulement dans la
mesure où il entrera
en relations avec
nous. Calvin parle
aussi de l’essence
Divine comme
incompréhensible. Il
détient que Dieu
dans les profondeurs
de son être est
passé à découvrir.
En parlant de la
connaissance de la
chique
et du
qualis de Dieu,
il dit qu’il est
plutôt inutile de
spéculer sur les
premiers, tandis que
notre intérêt
pratique se trouve
dans le second. Il
dit: « ils sont
simplement jouer
avec des
spéculations
glaciales dont
l’esprit est définie
sur la question de
ce que Dieu est (quid
sit Deus),
lorsque qu’il s’agit
vraiment de
connaître est plutôt
quel genre d’une
personne, il est (qualis
sit) et ce qui
est approprié à sa
nature. »
Alors qu’il se sent
que Dieu ne peut
être connu à la
perfection, il ne
nie pas que nous
pouvons connaître
quelque chose de
nature ou de son
être. Mais cette
connaissance ne peut
être obtenue par des
méthodes
a priori , mais
seulement d’une
manière
a posteriori
par les attributs,
qu’il considère
comme des
déterminations
réelles de la nature
de Dieu. Ils
véhiculent nous au
moins quelques
notions de ce qui
est Dieu, mais
surtout de ce qu’il
est en relation avec
nous.
En traitant de notre
connaissance de
l’être de Dieu, nous
devons certainement
éviter la position
de Cousin, plutôt
rare dans l’histoire
de la philosophie,
que Dieu même dans
les profondeurs de
son être n’est pas
du tout
incompréhensible
mais essentiellement
intelligible; mais
nous devons
également orienter
clairement de
l’agnosticisme de
Hamilton et Mansel,
selon lequel nous ne
pouvons avoir aucune
connaissance de
l’être de Dieu. On
ne peut pas
comprendre Dieu, ne
peut pas avoir une
connaissance absolue
et exhaustive de
lui, mais nous
pouvons sans aucun
doute avoir une
connaissance
relative ou
partielle de l’etre
divin. Il est
parfaitement vrai
que cette
connaissance de Dieu
est possible
seulement, parce
qu’il a lui-même
placé dans certaines
relations envers ses
créatures morales et
s’est révélé à eux,
et que même cette
connaissance est
humainement
conditionnée; mais
il est néanmoins
connaissance réelle
et vraie et est au
moins une
connaissance
partielle de la
nature absolue de
Dieu. Il y a une
différence entre une
connaissance absolue
et une connaissance
relative ou
partielle d’un être
absolu. Il ne faut
pas du tout pour
dire que l’homme ne
sait que les
relations dans les
peuplements de Dieu
envers ses
créatures. Pas même
serait-il possible
d’avoir une bonne
conception de ces
relations sans
connaître quelque
chose de Dieu et
l’homme. Pour dire
que nous pouvez ne
savent rien de
l’être de Dieu, mais
sache que les
relations, revient à
dire que nous ne lui
connaît pas du tout
et que lui ne peut
pas faire l’objet de
notre religion. Le
Dr Orr dit: « nous
ne saurons pas Dieu
dans les profondeurs
de son être absolu.
Mais nous pouvons au
moins connaître dans
la mesure où il se
révèle dans sa
relation avec nous.
Par conséquent, la
question n’est pas
quant à la
possibilité d’une
connaissance de Dieu
dans l’unfathomableness
de son être, mais
est: peut-on
connaître Dieu
alors
qu’il entame des
relations avec
le monde et avec
nous-mêmes ? Dieu
est entré en
relations avec nous
dans ses révélations
de lui-même et
suprêmement en Jésus
Christ; et nous
chrétiens prétendent
humblement que, par
cette révélation,
nous ne connaissons
Dieu pour être le
vrai Dieu et avoir
de réelle
connaissance avec
son personnage et
sera. N’est pas
correct de dire que
cette connaissance
que nous avons de
Dieu est seulement
une
connaissance
relative. C’est
en partie une
connaissance de la
nature
absolue de Dieu
aussi bien. »
Les
dernières
déclarations sont
probablement
destinées à conjurer
l’idée que toute
notre connaissance
de Dieu est
simplement par
rapport à l’esprit
humain, de sorte que
nous n’avons aucune
assurance qu’elle
corresponde à la
réalité telle
qu’elle existe en
Dieu.
C. L'Être de Dieu
révélé dans ses
attributs.
Il découle de la
simplicité de Dieu
que Dieu et ses
attributs sont un.
Les attributs ne
peuvent être
considérés comme
tant d’éléments qui
entrent dans la
composition de Dieu,
car Dieu n’est pas,
comme les hommes,
composé de
différentes parties.
Ni peuvent ils être
considérés comme
ajouter quelque
chose à l’être de
Dieu, bien que le
nom, dérivé de
ad
et
tribuere,
puisse paraître au
point en ce sens,
aucun ajout a été
jamais effectuée à
l’être de Dieu, qui
est éternellement
parfait. Il est
souvent dit en
théologie que les
attributs de Dieu
sont Dieu lui-même,
comme il s’est
révélé à nous. La
scolastique a
insisté sur le fait
que Dieu est tout ce
qu’il a. He
a
vie, lumière,
sagesse, amour, la
justice et il
peuvent être dit sur
la base de
l’écriture ce qu’il
est
vie, lumière, la
sagesse, l’amour et
la justice. Il a
également affirmé
par les
scolastiques, que
toute l’essence de
Dieu est identique à
chacun des
attributs, afin que
la connaissance de
Dieu est Dieu,
volonté de Dieu est
Dieu et ainsi de
suite. Certains
d'entre eux est allé
jusqu'à affirmer que
chaque attribut est
identique à tous les
autres attributs, et
qu’il n’y a aucune
distinction logique
en Dieu. Il s’agit
d’une extrême très
dangereuse. Même si
on peut dire qu’il
existe une
interpénétration des
attributs de Dieu,
et qu’elles forment
un ensemble
harmonieux, nous
nous dirigeons en
direction de
panthéisme,
lorsqu’on exclut
toute distinction en
Dieu et dire que son
existence autonome
est son infinité ,
Son savoir est sa
volonté, son amour
est sa justice et
vice versa. Il était
caractéristique des
nominalistes qu’ils
ont effacé toute
distinction réelle
en Dieu. Ils avaient
peur qu’en supposant
que la distinction
réelle en lui,
correspondant aux
attributs attribués
à Dieu, ils pourrait
mettre en péril
l’unité et la
simplicité de Dieu
et étaient donc
motivés par un but
louable. Selon eux
les perfections de
l’etre divin
n’existent que dans
nos pensées, sans
aucune réalité
correspondante dans
l’etre divin. Les
réalistes, en
revanche, a affirmé
à la réalité des
perfections divines.
Ils ont réalisé que
la théorie des
nominalistes,
systématiquement
effectués,
conduirait dans le
sens d’un déni
panthéiste d’un Dieu
personnel et jugeait
donc de la plus
haute importance de
maintenir la réalité
objective des
attributs de Dieu.
Dans le même temps,
ils ont cherché à
préserver l’unité et
la simplicité de
Dieu en maintenant
que toute l’essence
est dans chaque
attribut: Dieu est
dans l’ensemble,
tout à chacun.
Thomas Aquinas avait
le même but en tête,
quand il a affirmé
que les attributs ne
révèlent pas ce que
Dieu est en
lui-même, dans les
profondeurs de son
être, mais seulement
ce qu’il est en
relation avec ses
créatures.
Naturellement, nous
devrions nous garder
contre la séparation
de l’essence divine
et les attributs
divins ou
perfections et aussi
contre une fausse
conception de la
relation dans
laquelle ils se
tiennent les uns aux
autres. Les
attributs sont des
déterminations
réelles de l’etre
divin ou, en
d’autres termes,
qualités qui
inhérente à l’être
de Dieu. Shedd parle
d’eux comme « une
description
analytique et plus
proche de
l’essence ».
Dans
un sens, ils sont
identiques, donc
qu’on peut dire que
les perfections de
Dieu sont Dieu
lui-même car il
s’est révélé à nous.
Il est possible
d’aller encore plus
loin et dire avec
Shedd, « toute
l’essence est dans
chaque attribut et
l’attribut dans
l’essence. »
Et à
cause de la relation
étroite dans
laquelle les deux
debout les uns aux
autres, on peut
affirmer que la
connaissance des
attributs comporte
la connaissance de
l’Essence Divine. Ce
serait une erreur de
concevoir l’essence
de Dieu comme
existant par
lui-même et avant
les attributs et les
attributs comme
additifs et
accidentels des
caractéristiques de
l’etre divin. Ils
sont des qualités
essentielles de
Dieu, qui inhérente
à son être même et
sont co-existant
avec elle. Ces
qualités ne peuvent
être modifiées sans
altérer l’essentiel
étant de Dieu. Et
puisqu’ils sont des
qualités
essentielles, chacun
d’eux nous révèle
certains aspects de
l’être de Dieu.
QUESTIONS
pour étude
complémentaire:
Comment pouvons-nous
distinguer entre
l’être, la nature et
l’essence de Dieu ?
Comment les points
de vue
philosophiques de
l’essentiel étant de
Dieu diffèrent
généralement le
point de vue
théologique ? Que
diriez-vous, la
tendance à trouver
l’essence de Dieu
dans l’absolu, en
amour ou dans la
personnalité ? Ce
qui veut dire Otto
lorsqu’il
caractérise comme
« le Saint » ou « le
Junior » ? Pourquoi
est-il impossible
pour l’homme de
comprendre Dieu ?
Sin en quelque sorte
a-t-elle eu la
capacité de l’homme
de connaître Dieu ?
Y a-t-il une
différence entre la
conception de Luther
et de Barth de
« Dieu caché » ?
Calvin diffère-t-il
d’eux sur ce point ?
Luther ne partageait
les vues de
nominaliste d’Occam,
par qui il fut
influencé par
ailleurs ? Comment
les réformateurs, à
la différence de la
scolastique,
considérait le
problème de
l’existence de
Dieu ?
Pourrions-nous avoir
aucune connaissance
de Dieu, s’il était
en sans-attribut
pur ? Quelles vues
erronées des
attributs doivent
être évitées ?
Quelle est la vue
correcte ?
LITTÉRATURE:
Bavinck,
Geref. Dogme.
I,
p. 91-113, Kuyper,
Dict.
dogme.,
De Deo
I, pp. 124-158;
Hodge,
Syst. Theol. I,
pp. 335-374; Shedd,
dogme
.
THEOL.
I,
pp. 152-194;
Quelquefois,
Collected Works,
I, pp. 104-172;
Dorner,
syst de Chr. Doct.
I, p. 187-212; Orr,
Chr.
vue de Dieu et du
monde, p.
75-93; Otten,
Manuel
de l’Hist. de dogmes
I, pp. 254-260;
Clarke,
le Chr. Doct. de
Dieu, p. 56-70;
Steenstra,
l’être
de Dieu comme
l’unité et de la
Trinité, p.
1-88; Thomson,
L’idée
chrétienne de Dieu,
pp. 117-159; Hendry,
Dieu le
créateur (du
point de vue
barthienne);
Warfield,
Calvin
et le calvinisme,
pp. 131-185 (de
Calvin
Doctrine de Dieu).
IV. Les noms de Dieu
A. Les noms de Dieu
en général.
Alors que la Bible
rapporte plusieurs
noms de Dieu, il
parle aussi de
le nom
de Dieu au singulier
comme, par exemple
dans les
instructions
suivantes: « Tu ne
prendras le nom du
Seigneur ton Dieu en
vain, » Exode
20:7; » Comment
excellent est ton
nom dans toute la
terre, » Psaume 8:1;
« Tel est ton nom, Ô
Dieu, est donc ta
louange, » Psaume
48: 10; « Son nom
est grand en
Israël, » psaume
76:2; « Le nom de
Jéhovah est une tour
forte; les justes
runneth dedans et
est sans danger, »
Prov. 18:10. Dans ce
cas « le nom » se
dresse la toute
manifestation de
Dieu dans sa
relation à son
peuple, ou
simplement pour la
personne, afin qu’il
devienne synonyme de
Dieu. Cette
utilisation est due
au fait que dans la
pensée orientale un
nom n’a été jamais
considéré comme un
simple vocable, mais
comme une expression
de la nature de la
chose désignée. Pour
connaître le nom
d’une personne
devait avoir le
pouvoir sur lui, et
les noms des dieux
différents ont été
utilisés dans les
incantations pour
exercer un pouvoir
sur eux. Dans le
sens le plus général
du terme, puis, le
nom de Dieu est son
auto-révélation.
C’est une
désignation de lui,
pas tel qu’il existe
dans les profondeurs
de son être divin,
mais comme il se
révèle
particulièrement
dans ses rapports
avec l’homme. Pour
nous, le seul nom
général de Dieu est
scindé en plusieurs
noms, expressives de
l’être de Dieu aux
multiples facettes.
C’est uniquement
parce que Dieu s’est
révélé en son nom (nomen
editum), que nous
pouvons maintenant
lui désigner par ce
nom sous diverses
formes (nomina
indita). Les noms de
Dieu sont pas
d’invention humaine,
mais d’origine
divine, mais ils
sont tous empruntés
à la langue humaine
et dérivés de
relations humaines
et terrestres. Ils
sont anthropomorphes
et marquent une
approche
condescendante de
Dieu à l’homme.
Les noms de Dieu
constituent une
difficulté pour la
pensée humaine. Dieu
est l'
Incompréhensible un,
infiniment exalté
avant tout qui est
temporel; mais dans
ses noms, il descend
à tout ce qui est
fini et devient
comme à l’homme.
D’une part nous ne
pouvons citer que
lui, et d’autre
part, il a beaucoup
de noms. Comment
cela
s’explique-t-il ?
Pour quelles raisons
ces noms sont
appliqués au Dieu
infini et
incompréhensible ?
Il faut avoir à
l’esprit qu’ils ne
sont pas de
l’invention de
l’homme et ne pas
témoigné pour sa
perspicacité dans le
cours même de Dieu.
Ils sont donnés par
Dieu lui-même, avec
l’assurance qu’ils
contiennent, dans
une certaine mesure,
une révélation de
l’être divin. Ceci a
été rendu possible
par le fait que le
monde et toutes ses
relations est et
était censé être une
révélation de Dieu.
Parce que le One
incompréhensible
s’est révélé à ses
créatures, il est
possible pour
l’homme de nommer à
la manière d’une
créature. Afin de se
faire connaître à
l’homme, Dieu a dû
condescendre au
niveau de l’homme,
s’accommoder à la
conscience humaine
limitée et finie et
parler en langage
humain. Si la
désignation de Dieu
anthropomorphe noms
implique une
limitation de Dieu,
comme certains le
disent, alors ce
doit être fidèle à
un degré encore plus
grande de la
révélation de Dieu
dans la création.
Alors le monde ne
révèle pas, mais
plutôt dissimule,
Dieu; puis l’homme
n’est pas liée à
Dieu, mais constitue
simplement une
antithèse à lui; et
puis nous sommes
enfermés à un
agnosticisme sans
espoir.
Il découle de ce qui
a été dit sur le nom
de Dieu en général
que nous pouvons
inclure sous les
noms de Dieu, non
seulement les
appellatifs par
lequel il est
indiqué comme un
être personnel
indépendant et par
qui il est adressé,
mais également les
attributs de Dieu;
et puis pas
simplement les
attributs du divin
étant en général,
mais aussi ceux qui
sont admissibles les
personnes séparées
de la Trinité. Dr.
Bavinck fonde sa
division des noms de
Dieu sur cette
conception large
d'entre eux et
distingue les nomina
propria (noms
propres) essentialia
nomina (noms
essentiels ou
attributs) et nomina
personnages (noms de
personnes, comme
père, fils et Saint
Esprit). Dans le
présent chapitre,
nous nous limitons à
la présentation de
la première classe.
B. l’ancien
Testament noms et
leur signification.
1.
' EL, ' élohim, et '
ELYON. Le
plus simple par
laquelle Dieu est
désigné dans
l’ancien Testament,
est le nom de «El,
qui est peut-être
dérivé de »ul,
soit dans le sens
d’être premier,
étant le Seigneur,
ou dans celui d’être
fort et puissant. Le
nom 'Elohim
(sing.
Éloah) vient
probablement de la
même racine, ou de 'alah,
à être frappé de
crainte; et donc les
points à Dieu comme
le fort et puissant,
ou que l’objet de la
peur. Le nom se
produit rarement au
singulier, sauf en
poésie. Le pluriel
doit être considérée
comme intensive et
donc sert à indiquer
une plénitude de
puissance. Le nom «Elyon
est dérivé de »alah,
pour monter, à un
taux élevé et
désigne Dieu comme
le haut et exalté
One, 14:19, 20;
Nombres 24:16; Ésaïe
14:14. On le trouve
surtout dans la
poésie. Ces noms ne
sont pas encore
nomina
propria au sens
strict du terme, car
ils servent aussi
d’idoles, Psaume 95:
3; 96:5, des hommes,
33:10 de la Genèse;
Exode 7:1 et des
dirigeants, juges
5:8; Exode 21:6;
22:8-10; PS. 82: 1.
2.
' ADONAI.
Ce nom est lié au
sens de précédentes.
Il est dérivé soit
dun
(din)
ou 'adan,
les deux de qui veut
juger, de règle et
donc les points à
Dieu tout-puissant
souverain, à qui
tout est soumis, et
à qui l’homme est
lié en tant que
serviteur. Dans les
temps anciens, c’est
le nom usuel par
lequel le peuple
d’Israël a adressé
Dieu. Plus tard, il
a été largement
supplanté par le nom
de Jéhovah (Yahvé).
Tous les noms
mentionnés jusqu'à
présent décrivent
Dieu comme la haute
et exalté un, le
Dieu transcendant.
Les noms suivants
soulignent le fait
que cela glorifié
étant daigna à
entretenir des
relations avec ses
créatures.
3.
SHADDAI et ' EL-SHADDAI.
Le nom
Shaddai est
dérivé de shadad,
d’être puissants et
des points situés à
Dieu comme possédant
tout pouvoir au ciel
et sur terre.
D’autres, cependant,
dérivent de
shad,
Seigneur. Il se
différencie en un
point important de 'Elohim,
le Dieu de la
création et de la
nature, en ce qu’il
contemple Dieu comme
soumettant tous les
pouvoirs de la
nature et ce qui les
rend servile de le
œuvre de la grâce
divine. Bien qu’il
insiste sur la
grandeur de Dieu, il
ne représente pas
lui comme un objet
de crainte et de
terreur, mais comme
une source de
bénédiction et de
confort. C’est le
nom avec lequel Dieu
apparut à Abraham,
le père des fidèles,
Exode 6:2.
4.
YAHWEH et Yahvé
TSEBHAOTH.
C’est surtout dans
le nom
Yahvé, qui peu
à peu supplanté les
noms antérieurs, que
Dieu se révèle comme
le Dieu de grâce. Il
a toujours été
considéré comme le
plus sacré et le
plus distinctif nom
de Dieu, le nom
incommunicable. Les
Juifs avaient une
crainte
superstitieuse de
l’utiliser, car ils
Lév. 24:16 comme
suit: « Celui que
nameth, le nom de
l’éternel sera
puni de mort. » Et
donc en lisant les
écritures ils
substitués pour
qu’il soit «Adonai
ou 'élohim;
et les Massoretes,
tout en conservant
les consonnes
intactes, qui leur
sont rattachés les
voyelles de l’un de
ces noms,
généralement ceux de
«Adonai.
Le calcul réel du
nom et sa
prononciation
originale et le sens
sont plus ou moins
perdu dans
l’obscurité. Le
Pentateuque relie le
nom avec le verbe
hébreu
hayah, être,
Ex. 03:13, 14. Sur
la force de ce
passage, on peut
supposer que le nom
est, selon toute
probabilité, dérivé
une forme archaïque
de ce verbe,
nommément
hawah.
Autant que la forme
est concernée, il
peut être considéré
comme une troisième
personne imparfait
qal
ou
hiphil. Très
probablement,
toutefois, c’est
l’ancien. La
signification est
expliquée dans la
pièce n° 03:14, qui
est traduit « Je
suis que je suis »,
ou « Je serai ce que
je serai. » Ainsi
interprétée, les
points de nom à
l’immuabilité de
Dieu. Pourtant, il
n’est pas tellement
l’immuabilité de son
être essentiel qui
est en vue, comme
l’immuabilité de sa
relation avec son
peuple. Le nom
contient l’assurance
que Dieu sera pour
les gens de jour de
Moïse de ce qu’il
faisait pour leurs
pères, Abraham,
Isaac et Jacob. Il
souligne la fidélité
de l’Alliance de
Dieu, est à son nom
propre
par excellence,
Exode 15:3; PS.
83:19; Osée 12:6;
42:8 d’Ésaïe et sert
donc de personne
d’autre que le Dieu
d’Israël. Le
caractère exclusif
du nom apparaît dans
le fait qu’il ne se
produit jamais au
pluriel ou un
suffixe. Les formes
abrégées de
celui-ci, notamment
dans des
dénominations
composées, sont
Yah
et Yahu.
Le nom de
Yahvé
est souvent renforcé
par l’ajout de
tsebhaoth.
Origène et Jérôme
considèrent cela
comme une
apposition, parce
que
Yahvé n’admet
pas d’un état de
construction. Mais
cette interprétation
n’est pas
suffisamment
justifiée et peine
donne un sens
intelligible. Il est
assez difficile de
déterminer ce que le
mot
tsebhaoth se
réfère. Il y a
surtout trois avis:
a.
les armées d’Israël.
Mais la justesse de
ce point de vue peut
être mise en doute
bien. La plupart des
passages cités à
l’appui de cette
idée ne prouve pas
le point; seulement
trois d'entre eux
contiennent un
semblant de preuve,
à savoir, j’ai
Samuel 4:4; 17:45;
II Samuel 6:2, alors
que l’un d'entre
eux, II Rois 19:31,
est plutôt
défavorable à ce
point de vue. Tandis
que le pluriel
tsebhaoth est
utilisé pour les
hôtes du peuple
d’Israël, l’armée
est régulièrement
indiquée par le
singulier. Cela
milite contre
l’idée, inhérente à
ce point de vue, que
dans le nom de
l’étude, le terme
renvoie à l’armée
d’Israël. En outre,
il est clair que
dans les prophètes
au moins le nom de
« Jéhovah des
armées » ne fait pas
référence à Jéhovah
comme Dieu de la
guerre. Et si
changer le sens du
nom, ce qui a causé
le changement ?
b.
les étoiles.
Mais en parlant
de l’armée céleste
Ecriture utilise
toujours au
singulier et jamais
au pluriel. En
outre, tandis que
les étoiles sont
appelés de l’armée
des cieux, ils ne
sont jamais désignés
l’hôte de Dieu.
c. les
anges. Cette
interprétation
mérite la
préférence. Le nom
de
Yahvé tsebhaoth
se trouve souvent
dans les connexions
dans les anges sont
mentionnés: J’ai
Samuel 4:4; II
Samuel 6:2; Ésaïe
37: 16; Osée 12:4,
5, PS. 80: 1, 4 f.;
PS. 89; 6-8. les
anges sont
représentés à
plusieurs reprises
comme un hôte qui
entoure le trône de
Dieu, Genèse 28: 12;
32: 2; Jos. 05:14;
Iier Rois 22:19; PS.
68:17; 103:21;
148:2; Ésaïe 6:2. Il
est vrai que dans ce
cas également le
singulier est
généralement
utilisé, mais ce
n’est aucun grave
d’objection, étant
donné que la Bible
indique aussi qu’il
y avait plusieurs
divisions d’anges,
Genèse 32: 2;
Deutéronome 33: 2;
PS. 68:17. En outre,
cette interprétation
est en harmonie avec
la signification du
nom, qui n’a aucune
saveur martial, mais
est expressif de la
gloire de Dieu comme
roi, Deutéronome 33:
2; Iier Rois 22:19;
Psaume 24:10; Ésaïe
6:3; 24:23; Zacharie
14:16. Jéhovah des
armées, est alors
Dieu comme le roi de
gloire, qui est
entouré par des
anges, qui gouverne
le ciel et la terre
dans l’intérêt de
son peuple, et qui
reçoit la gloire de
toutes ses
créatures.
C. Les noms dans le
Nouveau Testament et
leur interprétation.
1.
THEOS. Le
Nouveau Testament a
les équivalents
grecs les noms de
l’ancien Testament.
Pour «El, »élohim,
et 'Elyon
il a
Theos, qui est
le plus commun nom
appliqué à Dieu.
Comme 'Elohim,
il peut par
hébergement servir
des dieux païens,
bien que strictement
parlant, il exprime
la divinité
essentielle. 'Elyon
est rendu
Hupsistos Theos,
Marc 5:7; Luc 01:32,
35, 75; Actes à
07:48; 16:17;
Hébreux 7:1. Les
noms
Shaddai et 'El-Shaddai
sont rendus
Pantokrator et
Theos
Pantokrator, II
Corinthiens 06:18;
Apocalypse 1:8; 4:8;
11:17; 15:3; 16:7,
14. plus
généralement,
cependant,
Theos
est trouvée un
génitif de
possession, comme
mou,
sou,
hemon,
humon,
car en Christ, Dieu
peut être considéré
comme le Dieu de
tous et de chacun de
ses enfants. L’idée
nationale de
l’ancien Testament a
fait place à
l’individu dans la
religion.
2.
KURIOS. Le
nom de
Yahvé est
expliquée plusieurs
fois par des
variations de nature
descriptive, comme
« l’Alpha et
l’Omega, » « qui est
et qui était et qui
est à venir, » « le
début et la fin, »
« le premier et le
dernier, »
Apocalypse 1:4, 8,
17; 2:8; 21:6;
22:13. pour le
reste, toutefois, le
Nouveau Testament
suit la Septante,
qui substitue 'Adonaï
et cela a rendu par
Kurios,
dérivé de
kuros,
puissance. Ce nom
n’a pas exactement
la même connotation
que
Yahvé, mais
désigne Dieu comme
le Mighty One, le
Seigneur, le
possesseur, le
souverain qui a
autorité et pouvoir
judiciaire. Il sert
non seulement de
Dieu, mais aussi du
Christ.
3.
PATER. On
dit souvent que le
Nouveau Testament a
présenté un nouveau
nom de Dieu, à
savoir,
Pater (père).
Mais ce n’est pas
correct. Le nom du
Père est utilisé de
la divinité même
dans les religions
païennes. Il est
utilisé à plusieurs
reprises dans
l’ancien Testament
pour désigner la
relation entre le
Dieu d’Israël, Deut.
32: 6; PS. 103:13;
Ésaïe 63:16; 64:8;
Jérémie 3:4, 19; 31:
9; Malachie 1:6;
02:10, alors
qu’Israël est appelé
le fils de Dieu, Ex.
04:22; Deutéronome
14:1; 32:19; Ésaïe
1:2; Jérémie 31: 20;
Osée 01:10; 11:1.
dans ce cas le nom
exprime la relation
théocratique
spéciale dans
laquelle Dieu se
trouve en Israël.
Dans le sens général
de l’auteur ou du
créateur, il est
utilisé dans les
passages suivants du
Nouveau Testament: I
Corinthiens 8:6; EP
03:15; Hébreux 12:9;
James 01:18. Dans
tous les autres
endroits, il sert à
exprimer la relation
spéciale dans
laquelle la première
personne de la
Trinité se trouve à
Christ, comme fils
de Dieu dans une
métaphysique ou un
sens médiatrice, ou
la relation éthique
dans laquelle Dieu
se présente à tous
les croyants dans
son Alliance
spirituelle.
Or le nom de
«Père» signifie
littéralement «ce
qui est la Source,
l'Origine, le
Concepteur qui
engendre toutes
choses, le
Producteur» et
désigne proprement
«le Créateur, le
Fondateur, le
Conducteur, le
Générateur» ou
encore «l'Ancien des
jours». Le Père ou
plus précisément «la
Source» de toutes
existences est un
«Esprit» éternel et
incorporel qui est
sans commencement et
sans fin, et dont la
disposition de son
essence comporte les
facultés
existentielles de la
Volonté, de la
Parole, et de la
Pensée, ce qui fait
de Lui un Être
Vivant. Il y a donc
une triple
conscience
d'existence en Dieu
dans l'essence des
facultés de sa
nature divine «sa
Volonté, sa Parole,
sa Pensée» (la
Volition,
l'Expression, la
Réflexion «la Vie,
la Vérité, la
Lumière»), et non
trois personnes
distinctes l'une de
l'autre. Cette
Source d'Existence
Suprême n'est
évidemment pas un
homme corporel et
donc n'est forcément
pas «une personne»,
puisque le mot
«personne» se
rapporte strictement
et uniquement à
l'homme corporel
comme créature,
considéré comme un
être de chair et os
conscient de son
existence, possédant
la continuité de la
vie psychique et
capable de
distinguer le bien
du mal, et dont la
caractéristique
prédominante est
l'individualité. En
d'autres mots, le
terme «personne» ne
peut s'appliquer à
Dieu en aucune façon
sans violer la
vérité de son
existence. Mais
l'Église dite
chrétienne dans
toutes ses branches,
groupements ou
assemblées,
s'obstine et insiste
que Dieu est une
personne et ajoute
en plus dans son
viol de la vérité,
que nous venons de
voir, qu'il y a
trois personnes
distinctes dans son
essence et appelle
cela un mystère, ce
qui est plutôt un
blasphème et une
aberration des plus
odieuses (Apoc.
13:1-6) puisqu'elle
a créé Dieu à
l'image de l'homme
avec sa trinité
loufoque qu'elle
s'imagine dans ses
écarts exaltés être
la vérité même.
L'emphase ici est
sur le mot
«personne» et nous
avons vue qu'il est
impossible que ce
terme puisse être
utilisé pour décrire
Dieu qui est Esprit
(Jean 4:24), car un
esprit n'a ni chair
ni os (Luc 24:39).
Pourquoi donc
insister à dire le
contraire si ce
n'est le fait que
l'esprit de la
nature humaine
déchue recherche
constamment à
s'élever au niveau
de la divinité par
la philosophie et
par une théologie
captieuse et
mystifiante,
élaborée en
principes purement
charnel pour donner
gloire à l'homme qui
en a rédigé les
prémisses en un
système de pensée
purement
hypothétique dans le
but de dominer sur
la foi et les
consciences.
Or pour expliquer la
notion plus
clairement d'une
triple conscience en
Dieu: la Volonté de
l'Esprit des vivants
est la Volition ou
manifestation
même de l'existence
ou Source de la Vie
qui correspond au
mot Père (car le mot
Père signifie aussi
Source); la Parole
est l'Expression ou
engendrement de
l'Existence de
l'Esprit des vivants
dans la Vérité
absolue de la
certitude en la
Source qui
correspond au mot
Fils (car le mot
Fils porte aussi le
sens
d'engendrement); la
Pensée est la
réflexion de la
Volition et de
l'Expression de
l'Esprit des vivants
dans sa Présence au
sein de la lumière
de la Source de
l'Existence et
correspond au
Saint-Esprit (car
Saint-Esprit
signifie aussi
Sainte Présence,
celle de l'Esprit
des vivants qui est
Lui-même la Volition,
l'Expression, et la
Réflexion de sa
propre existence).
En d'autres mots, la
Source est aussi
l'Expression en tant
que Sainte Présence,
il n'y a pas de
distinctions dans
l'Esprit Éternel;
les trois sont une
même activité dans
la disposition d'une
seule Existence
Suprême dont la
profondeur est
insondable. La
triple conscience de
l'Esprit des vivants
éternel s'est
manifesté
corporellement dans
la chair sous le nom
de Jésus,
l'enveloppe visible
de la Source
invisible, la seule
et unique Personne
en Dieu du fait de
son incarnation et
de son exaltation ou
retour à sa gloire
première avec son
corps glorifié et
transformé qui est
donné tous les
attributs de la
divinité. Le
principe ainsi
expliqué ne viole en
aucune façon la
vérité sur
l'existence de
l'être de Dieu, mais
glorifie Jésus comme
étant le Dieu
Suprême, la Source
de toutes
existences, c'est à
dire «le Père
éternel manifesté
dans la chair comme
Fils».
Il ne s'agit donc
pas du Fils comme
deuxième personne
d'une trinité
hautement
spéculative qui
s'est incarné dans
la chair, mais du
Créateur et Maître
de l'univers qui
s'est formé un corps
dans le sein d'une
vierge, se révélant
ainsi comme Fils, le
seul engendré de la
sorte dans toute
l'histoire de la
race humaine.
V. Les attributs de Dieu en général
A. Évaluation des
termes utilisés.
Les nom
« attributs » ne
sont pas idéales,
car elle véhicule la
notion d’ajout ou
assigner quelque
chose à l’un et est
donc aptes à créer
l’impression que
quelque chose est
ajouté à l’etre
divin. Sans doute le
terme « propriétés »
est mieux, comme
pointant vers
quelque chose qui
est bonne à Dieu et
à Dieu seul.
Naturellement, dans
la mesure où
certains des
attributs sont
communicable, le
caractère absolu de
la proprium est
affaibli, à cet
égard certains des
attributs ne sont
pas propres à Dieu
dans le sens absolu
du mot. Mais même ce
terme contient la
suggestion d’une
distinction entre
l’essence ou la
nature de Dieu et ce
qui est bon pour
elle. Dans
l’ensemble, il est
préférable de parler
des « perfections »
ou des « vertus » de
Dieu, avec la
compréhension
distincte,
cependant, que dans
ce cas le terme
« vertus » ne sert
pas dans un sens
purement éthique. Ce
faisant nous (suite)
l’utilisation de la
Bible, qui utilise
terme
arete, rendu
vertus
ou
Excellences,
dans I Pierre 2:9; b
éviter la suggestion
que quelque chose
est ajouté à l’être
de Dieu. Ses vertus
ne sont pas ajoutées
à son être, mais son
être est le
plérôme
de ses vertus et se
révèle en eux. Ils
peuvent être définis
comme
les perfections qui
reposent de l’etre
divin dans les
écritures,
ou sont
visiblement exercées
par lui dans ses
œuvres de création,
providence
et de
la rédemption.
Si nous continuons à
utiliser les nom
« attributs », c’est
parce qu’il est
couramment utilisé
et distinctes étant
entendu que la
notion de quelque
chose est ajouté à
l’être de Dieu doit
être exclue de façon
rigide.
B. Méthode de
détermination des
attributs de Dieu.
Les scolastiques
dans leur tentative
de construire un
système de théologie
naturelle posé trois
façons de déterminer
les attributs de
Dieu, qu’il a
désignés comme la
via
causalitatis,
via
negationis
et par
l’intermédiaire d’eminentiae.
Par la
voie de la causalité
nous élever contre
les effets que nous
voyons dans le monde
autour de nous
l’idée d’une Cause
première, de la
contemplation de la
création, à l’idée
d’un créateur
tout-puissant et de
l’observation du
gouvernement moral
du monde , à l’idée
d’un souverain
puissant et sage.
Par le
biais de négation
nous retirer de
notre idée de Dieu
toutes les
imperfections vus
dans ses créatures,
comme incompatible
avec l’idée d’un
être parfait et
rendez lui la
perfection opposée.
En se fondant sur ce
principe, on parle
de Dieu comme
indépendant, infini,
incorporel, immense,
immortel et
incompréhensible. Et
enfin,
au moyen de
l’éminence nous
attribuer à Dieu
la
manière la plus
éminente
perfections
relatives qui nous
découvrons chez
l’homme, selon le
principe que ce qui
existe dans un
effet, préexiste
dans sa cause et
même dans le sens le
plus absolu en Dieu
comme le plus
parfait étant. Cette
méthode peut faire
appel à certains,
parce qu’il procède
du connu vers
l’inconnu, mais il
n’est pas la bonne
méthode de théologie
dogmatique. Il prend
son point de départ
chez l’homme et en
déduit ce qu’il
trouve chez l’homme
à ce qui se trouve
en Dieu. Et dans la
mesure où cela rend
l’homme la mesure de
Dieu. Ce n’est
certainement pas une
méthode théologique
de la procédure. En
outre, elle fonde sa
connaissance de Dieu
sur les conclusions
humaines plutôt que
sur la révélation de
Dieu dans sa parole
divine. Et pourtant,
c’est la source
seulement adéquate
de la connaissance
de Dieu. Bien que
cette méthode
pourrait être suivie
dans une soi-disant
théologie naturelle,
il ne rentre pas
dans une théologie
de la révélation.
Il peut de même des
méthodes suggérées
par les
représentants
modernes de
théologie
expérimentale. On
trouvera un exemple
typique de ceci dans
la
théologie comme une
Science empirique de
Macintosh.
Il parle également
de trois méthodes de
procédure. Nous
pouvons commencer
avec nos intuitions
de la réalité de
Dieu, ces certitudes
irraisonnées qui
sont profondément
enracinées dans
l’expérience
immédiate. L’une
d'entre elles est
que l’objet de notre
dépendance
religieuse est tout
à fait suffisante
pour nos besoins
impératives. Surtout
les déductions
peuvent être tirées
de la vie de Jésus
et le « Christ »
dans le monde. Nous
pouvons également
prendre notre point
de départ, pas dans
les certitudes de
l’homme, mais dans
ses besoins. Le
postulat
pratiquement
nécessaire est que
Dieu est tout à fait
suffisant et
absolument fiable en
ce qui concerne les
besoins religieux de
l’homme. Sur cette
base l’homme peut
s’accumuler sa
doctrine des
attributs de Dieu.
Et, enfin, il est
également possible
de suivre une
méthode plus
pragmatique, qui
repose sur le
principe que nous
pouvons apprendre
dans une certaine
mesure quelles
choses et personnes
sont, au-delà de ce
qu’ils sont
immédiatement perçus
comme, en observant
ce qu’ils font.
Macintosh estime
qu’il est nécessaire
de faire usage de
ces trois méthodes.
Ritschl veut nous à
commencer par l’idée
que Dieu est amour
et nous aurait
demande ce qui est
impliqué dans cette
plus caractéristique
de la pensée de
Dieu. Car l’amour
est personnelle,
elle implique la
personnalité de Dieu
et nous offre ainsi
un principe
d’interprétation du
monde et de la vie
de l’homme. La
pensée que Dieu est
amour porte
également en lui la
conviction qu’il
peut réaliser son
dessein d’amour, qui
est, que sa volonté
est suprêmement
efficace dans le
monde. Cela donne
l’idée d’un créateur
tout-puissant. Et en
vertu de cette
pensée fondamentale
nous affirmons
également l’éternité
de Dieu, puisque,
dans le contrôle de
toutes choses pour
la réalisation de
son Royaume, il voit
la fin dès le début.
Dans une veine
semblable, Dr W. A.
Brown dit: « nous
gagnons notre
connaissance des
attributs en
analysant l’idée de
Dieu qui nous a déjà
gagnés de la
révélation dans le
Christ; « et nous
organiser de manière
à amener les traits
distinctifs de cette
idée d’expression la
plus claire ».
Toutes ces méthodes
prennent leur point
de départ dans
l’expérience
humaine, plutôt que
dans la parole de
Dieu. Ils ont
délibérément
ignorent
l’autorévélation
claire de Dieu dans
l’écriture et
exaltent l’idée de
la découverte
humaine de Dieu.
Ceux qui utilisent
ces méthodes ont une
idée exagérée de
leur propre capacité
de découvrir Dieu et
à déterminer la
nature de Dieu
inductif par
approuvé « méthodes
scientifiques ».
Dans le même temps,
ils ferment les yeux
sur le seul moyen
par lequel ils
pourraient obtenir
vraie connaissance
de Dieu,
c'est-à-dire sa
révélation spéciale,
apparemment
inconsciente du fait
que seul l’esprit de
Dieu peut rechercher
et révéler les
choses profondes de
Dieu et leur révéler
à nous .
Leur
méthode même oblige
à traîner Dieu
jusqu’au niveau de
l’homme, pour
souligner son
immanence au
détriment de sa
transcendance et de
lui faire continu
avec le monde. Et
comme le résultat
final de leur
philosophie, nous
avons un Dieu fait à
l’image de l’homme.
James condamne tout
intellectualisme
dans la religion et
soutient que la
philosophie sous la
forme de la
théologie
scolastique échoue
comme complètement
définir des
attributs de Dieu
d’une manière
scientifique, comme
il le fait pour
établir son
existence. Après un
appel pour le livre
de Job, il dit:
« Ratiocination est
un chemin
relativement
superficiel et
irréel à la
divinité. » Il
conclut son analyse
par ces mots
significatifs: « En
toute sincérité, je
pense que nous
devons conclure que
la tentative de
démontrer, par des
procédés purement
intellectuelle, la
vérité des
délivrances des
expériences
religieuses directs
est absolument sans
espoir. »
Il a
plus de confiance
dans la méthode
pragmatique qui
cherche pour un Dieu
qui répond aux
besoins pratiques de
l’homme. Dans son
estimation, il
suffit de croire que
« au-delà de chaque
homme et de façon
continue avec lui il
existe un plus grand
pouvoir qui est
amical à lui et à
ses idéaux. Tout ce
que les faits ont
besoin est que le
pouvoir devrait être
autre et plus grand
que notre moi
conscient. Quelque
chose de plus grand
va faire, s’il sera
assez grand pour
faire confiance à
l’étape suivante. Il
ne doit pas être
infinie, il ne doit
pas être solitaire.
Il pourrait être
concevable même
seulement une auto
de plus grande et
plus divine, en dont
le soi présent
serait alors
l’expression
mutilée, et
l’univers pourrait
éventuellement être
une collection de
ces selves, à des
degrés divers et d’inclusivité,
avec aucune unité
absolue réalisé en
elle du tout. »
Ainsi,
nous nous retrouvons
avec l’idée d’un
Dieu finie.
La seule bonne façon
de connaître
parfaitement fiables
les attributs divins
est par l’étude de
la révélation de
Dieu dans
l’écriture. Il est
vrai que nous
pouvons acquérir
quelques
connaissances de la
grandeur et de
puissance, la
sagesse et la bonté
de Dieu à travers
l’étude de la
nature, mais pour
une conception
adéquate de ces
attributs, il sera
nécessaire de se
tourner vers la
parole de Dieu. Dans
la théologie de la
révélation, nous
cherchons à
apprendre de la
parole de Dieu qui
sont les attributs
de l’etre divin.
Homme ne pas permis
d’obtenir la
connaissance de Dieu
comme il le fait par
d’autres objets
d’étude, mais Dieu
transmet la
connaissance de soi
à l’homme, une
connaissance que
l’homme ne peut
accepter et
approprié. Pour
l’appropriation et
la compréhension de
cette connaissance
révélée, qu'il est,
bien sûr, la plus
grande importance
que l’homme est créé
à l’image de Dieu et
conclut donc des
analogies utiles
dans sa propre vie.
À la différence de
la méthode
a priori
de la scolastique,
qui déduit les
attributs de l’idée
d’un être parfait,
cette méthode peut
être appelée
a
posteriori,
puisqu’il prend son
point de départ, ne
pas dans un être
parfait abstrait,
mais dans la
plénitude de la
révélation divine et
à la lumière de cela
cherche à connaître
l’être divin. C. a
suggéré des
Divisions des
attributs.
La question de la
classification des
attributs divins a
retenu l’attention
des théologiens
depuis longtemps.
Plusieurs
classifications ont
été proposées, plus
dont distinguer deux
grandes classes. Ces
classes sont
désignées par des
noms différents et
représentent les
points de vue
différents, mais
sont essentiellement
les mêmes dans les
différentes
classifications. Ce
qui suit est les
plus importants
d'entre eux:
1.
certains parlent des
attributs
physiques et moraux.
Le premier, comme
une existence
autonome,
simplicité, infini,
etc., appartiennent
à la nature
constitutionnelle de
Dieu, par opposition
à sa volonté. Ce
dernier, comme la
vérité, la bonté, la
miséricorde, la
justice, sainteté,
etc., qualifie comme
un être moral.
L’objection à cette
classification est
que les soi-disant
attributs moraux
sont tout aussi
vraiment naturel
(c'est-à-dire
d’origine) en Dieu
comme les autres.
Dabney préfère cette
division, mais
admet, compte tenu
de cette objection,
que les conditions
ne sont pas
heureuse. Il serait
plutôt parler
d’attributs moraux
et non moral.
2.
d’autres distinguent
entre les
attributs absolus et
relatifs.
Les premiers
appartiennent à
l’essence de Dieu
tel qu’il est
considéré en soi,
alors que ces
derniers
appartiennent à
l’essence divine,
considéré par
rapport à sa
création. L’un
classe inclut ces
attributs comme une
existence autonome,
immensité,
l’éternité; et
l’autre, ces
attributs comme
l’omniprésence et
l’omniscience. Cette
division semble
supposer que nous
pouvons avoir une
connaissance de Dieu
tel qu’il est en
lui-même,
entièrement mis à
part les relations
dans lesquelles il
se tient à ses
créatures. Mais ce
n’est pas tellement
et donc, à
proprement parler,
toutes les
perfections de Dieu
sont relatifs, ce
qui indique qu’il
est en relation avec
le monde. Strong
évidemment ne
reconnaît pas
l’objection de
conscience et donne
la préférence à
cette division.
3.
encore d’autres
divisent les
perfections divines
immanente ou
intransitive comme
des attributs qui
émanent ou sont
transitives.
Strong combine cette
division avec le
précédent, quand il
parle des attributs
immanente ou absolue
et
relative ou
transitive .
Les premiers sont
ceux qui ne vont pas
de suite et
fonctionnent à
l’extérieur de
l’essence divine,
mais qui demeurent
immanente, tels que
l’immensité,
l’éternité,
simplicité, etc..;
et ces derniers sont
par exemple question
de suite et
produisent des
effets externes à
Dieu, comme
l’omnipotence, la
bienveillance, la
justice, etc.. Mais
si certains des
attributs divins
sont purement
immanentes, tout
savoir d’eux semble
être exclue. H. B.
Smith remarque que
chacun d’eux doit
être immanent et
transeunt.
4.
la distinction plus
courante est celle
entre les attributs
incommunicable
et transmissibles.
Les premiers sont
ceux à qui n’a rien
d’analogue dans la
créature, comme
aseity, simplicité,
immensité, etc..; ce
dernier ceux dont
les propriétés de
l’esprit humain en
charge quelque
analogie, puissance,
mon Dieu, la
miséricorde, la
justice, etc.. Cette
distinction ne
trouvé aucune faveur
avec les luthériens,
mais a toujours été
assez populaire dans
les cercles
réformées et se
trouve dans des
œuvres
représentatives
comme ceux des
professeurs Leyden,
Faire et Turretin.
Il a été estimé dès
le début, toutefois,
que la distinction
était intenable sans
autre précision,
dans la mesure d’un
point de vue, chaque
attribut peut être
appelé
transmissible. Aucun
des perfections
divines sont
transmissibles à la
perfection infinie
dans lequel ils
existent en Dieu, et
en même temps il y a
faibles traces chez
l’homme même de ce
que l'on appelle
incommunicables
attributs de Dieu.
Parmi les
théologiens réformés
plus récents, on a
tendance à ignorer
cette distinction en
faveur des autres
divisions. Dick,
Shedd et Vos
conservent
l’ancienne division.
Kuyper s’exprime
comme insatisfait
avec elle et
pourtant il
reproduit dans son
virtutes par
antithesin et
virtutes par
synthesin; et
Bavinck, après avoir
suivi un autre ordre
dans la première
édition de sa
théologie
dogmatique, retourne
à lui dans la
deuxième édition.
Honig préfère suivre
la division donnée
par Bavinck dans sa
première édition.
Et, enfin, les
Hodges, H. B. Smith
et quelquefois
suivent une division
suggérée par le
Catéchisme de
Westminster.
Toutefois, la
classification des
attributs sous deux
chefs principaux,
que l'on trouve dans
la distinction
l’examen, est
vraiment inhérente à
toutes les autres
divisions, afin
qu’ils soient tous
soumis à l’objection
de conscience qu’ils
ont apparemment
divisent l’être de
Dieu en deux parties
, ce premier Dieu
tel qu’il est en
lui-même, Dieu comme
l’être absolu, on
discute et puis Dieu
puisqu’il est lié à
ses créatures, Dieu
comme un être
personnel. On peut
dire qu’un tel
traitement n’aboutit
pas à une conception
unitaire et
harmonieuse des
attributs divins.
Cette difficulté
peut être évitée,
cependant, en le
faisant bien
comprendre que les
deux classes
d’attributs nommés
ne sont pas
strictement
coordonnée, mais que
les attributs
appartenant à la
première classe sont
admissibles à tous
ceux qui
appartiennent à la
classe de seconde,
afin que l'on puisse
dire que Dieu est
un, absolue,
immuable et infinie
dans sa connaissance
et sagesse, sa bonté
et amour, sa grâce
et miséricorde, sa
droiture et
sainteté. Si nous
garder à l’esprit et
aussi n’oubliez pas
qu’aucun des
attributs de Dieu
sont incommunicables
en ce sens qu’il n’y
a aucune trace d’eux
chez l’homme, et
qu’aucun d'entre eux
ne sont
transmissibles en ce
sens qu’ils se
trouvent chez
l’homme, car on les
trouve en Dieu ,
nous ne voyons pas
pourquoi nous
devrions déroger à
l’ancienne division
qui est devenu si
familier dans la
théologie réformée.
Pour des raisons
pratiques, il semble
préférable de le
conserver.
QUESTIONS
pour étude
complémentaire:
Quelles objections
sont là pour
l’utilisation des
attributs terme
appliqué à Dieu ?
Les mêmes objections
s’appliquent-elles à
l’allemande « Eigenschaften »
et la Hollande « eigenschappen » ?
Quel nom Calvin
utilise-t-il pour
eux ? Quelle
objection est là
pour la conception
des attributs comme
parties de Dieu ou
des ajouts à l’etre
divin ? Quelles
conceptions
défectueuses des
attributs étaient
courants au
moyen-Age ?
Avez-vous les
scolastiques dans
leur recherche pour
le suivi des
attributs un
a priori
ou a
posteriori, une
déduction ou une
méthode inductive ?
Pourquoi la leur
méthode est
fondamentalement
étranger à la
théologie de la
révélation ? Quelles
classifications des
attributs ont été
proposées en plus de
celles mentionnées
dans le texte ?
Pourquoi est-il
pratiquement hors de
question de donner
une division
irréprochable ?
Quelle division est
suggérée par le
Catéchisme de
Westminster ?
LITTÉRATURE:
Bavinck,
Geref. Dogme.
II,
pp. 100-123; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De Deo
I, pp. 268-287;
Honig,
Geref. Dogme.,
p. 182-185; Hodge,
Syst.
Theol. I, pp.
368-376; Shedd,
dogme
.
THEOL.
I,
p. 334-338;
Quelquefois,
Collected Works,
I, pp. 158-172;
Dabney,
conférences sur
Theol., pp.
147-151; Pieper,
Christl. Dogme.
I,
p. 524-536; Caftan,
dogme.,
pp. 168-181; Pape,
Chr.
Theol. I, p.
287-291; Steenstra,
l’être
de Dieu comme
l’unité et de la
Trinité, p.
89-111.
VI. Les attributs incommunicables
(Dieu comme l’Être
absolu)
Il a été assez
fréquent dans la
théologie de parler
de Dieu comme l’etre
absolu. Dans le même
temps, le terme
« absolu » est plus
caractéristique de
la philosophie que
c’est de la
théologie. Dans la
métaphysique du
terme « absolu » est
une désignation du
terrain ultime de
toute existence; et
parce que le théiste
parle aussi de Dieu
comme fondement
ultime de toute
existence, on pense
parfois que l’absolu
de la philosophie et
le Dieu du théisme
sont un seul et
même. Mais c’est pas
nécessairement le
cas. En effet la
conception
habituelle de
l’absolu le rend
impossible à
assimiler avec le
Dieu de la Bible et
de la théologie
chrétienne. Le terme
« Absolu » est
dérivé du Latin
absolutus, un
composé
ab (de) et
solvere
(à dévisser), donc
moyens quant à
l’État ou sans
limitation ou
restriction. Cette
pensée fondamentale
a été élaborée de
diverses manières,
afin que l’absolu a
été considéré comme
ce qui est exempt de
toutes les
conditions
(inconditionnel ou
lui-même), de toutes
les relations (la
(non relié), de
toutes les
imperfections (le
parfait), ou libre
de tous les
différences
phénoménales ou
distinctions, telles
que la matière et
esprit, être et
attributs, sujet et
objet, apparence et
réalité (le Real, ou
la réalité ultime).
La réponse à la
question, que
l’absolu de la
philosophie peut
être identifié avec
le Dieu de la
théologie, dépend de
la conception que
l'on a de l’absolu.
Si Spinoza conçoit
l’absolu comme l’un
Self-subsistantes
étant de laquelle
toutes choses
particulières sont
des modes mais
transitoires,
identifiant ainsi
Dieu et le monde,
nous ne pouvons
partager sa vision
de cet absolu comme
Dieu. Lorsque Hegel
considère l’absolu
comme l’unité de
pensée et d’être,
comme l’ensemble de
toutes choses, qui
comprend toutes les
relations, et dans
lequel tous les
désaccords actuels
sont résolus dans
une unité parfaite,
nous trouvons encore
une fois impossible
de le suivre en ce
qui concerne cet
absolu comme Dieu.
Et quand Bradley dit
que son absolue est
reliée à rien et
qu’il ne peut y
avoir aucune
relation pratique
entre elle et la
volonté finie, nous
sommes d’accord avec
lui que son absolu
ne peut pas être le
Dieu de la religion
chrétienne, pour ce
Dieu entrer en
relations avec
créatures finies.
Bradley ne peut
concevoir le Dieu de
la religion comme
autre qu’un Dieu
fini. Mais quand
l’absolu est défini
comme étant la Cause
première de toutes
choses existantes,
ou comme fondement
ultime de toute
réalité ou comme
l’étant lui-même, il
peut être considéré
comme identique avec
le Dieu de la
théologie. Il est
l’un infini, qui
n’existe pas dans
les relations
nécessaires ,
car il est autonome,
mais en même temps
peuvent entrer
librement dans
des relations
différentes avec sa
création dans son
ensemble et avec ses
créatures. Tandis
que les attributs
incommunicables
mettent l’accent sur
l’être absolu de
Dieu, les attributs
transmissibles
insistent sur le
fait qu’il conclut
des relations
différentes avec ses
créatures. Dans le
présent chapitre
suivantes
perfections de Dieu
venir en
considération.
A. l’Existence
autonome de Dieu.
Dieu est lui-même,
c'est-à-dire, il a
le terrain de son
existence en
lui-même. Cette idée
s’exprime parfois en
disant qu’il est
causa
sui (sa propre
cause), mais cette
expression n’est
guère précise,
puisque Dieu est
l’espace-temps, qui
existe par la
nécessité de son
propre être, et donc
nécessairement.
L’homme, en
revanche, n’existe
pas forcément et a
la cause de son
existence en dehors
de lui. L’idée
d’existence autonome
de Dieu est
généralement
exprimée par le
terme
aseitas, sens
self-son
origine, mais
les théologiens
réformés assez
généralement
remplacé par le mot
independentia
(indépendance),
comme exprimer, non
pas simplement que
Dieu est indépendant
dans son être, mais
aussi qu’il est
indépendant de tout
le reste: dans ses
vertus, de décrets,
travaux et ainsi de
suite. On peut dire
qu’il y a une légère
trace de cette
perfection dans la
créature, mais cela
ne peut signifier
que la créature, si
absolument
dépendante, a encore
sa propre existence
distincte. Mais,
bien sûr, cela tombe
bien loin d’être
lui-même. Cet
attribut de Dieu est
généralement reconnu
et il est implicite
dans les religions
païennes et dans
l’absolu de la
philosophie. Lorsque
l’absolu est conçu
comme
l’auto-existant et
comme fondement
ultime de toutes
choses, qui
engagerait
volontairement des
relations diverses
avec d’autres êtres,
il peut être
identifié avec le
Dieu de la
théologie. Comme
Dieu lui-même, il
n’est pas seulement
indépendant en
lui-même, mais
provoque aussi tout
dépend de lui. Cette
existence autonome
de Dieu trouve son
expression dans le
nom de Jéhovah.
C’est seulement
comme celui
auto-existant et
indépendante que
Dieu peut donner
l’assurance qu’il
restera
éternellement le
même à l’égard de
son peuple.
Indications
supplémentaires de
celui-ci sont
trouvent dans
l’affirmation de
John 05:26, « Pour
que le père a la vie
en lui-même, même si
a donné il au fils
aussi d’avoir la vie
en lui-même »; dans
la déclaration qu’il
est indépendant de
toutes choses et que
toutes les choses
existent seulement
par lui, PS. 94:8
ff.; Ésaïe 40:18
ff.; Actes à 07:25;
et dans les
déclarations
laissant entendre
qu’il est
indépendant dans sa
pensée, Rom. 11:33,
34 et dans son
testament, Dan.
04:35; ROM. 09:19;
Éphésiens 1:5;
04:11. en son
pouvoir, PS. 115:3
et à son avocat,
Psaume 33: 11.
B. l’immutabilité de
Dieu.
L’immutabilité de
Dieu est un
corollaire
nécessaire de son
aseity. C’est cette
perfection de Dieu
par lequel il est
dépourvu de tout
changement, non
seulement dans son
être, mais aussi
dans ses perfections
et dans son
application et de
promesses. En vertu
de cet attribut, il
est avant tout
devenir exalté et
est donc libre de
toute adhésion ou
diminution de
croissance ou
décroissance dans
son être ou
perfections. Ses
connaissances et
plans, ses principes
moraux et volitions
restent toujours les
mêmes. Même raison
nous apprend
qu’aucune
modification n’est
possible à Dieu, car
un changement est
soit pour meilleur
ou pour le pire.
Mais en Dieu, comme
la Perfection
absolue,
amélioration et
dégradation sont à
la fois tout aussi
impossible. Cette
immuabilité de Dieu
est clairement
enseignée dans ces
passages de
l’écriture comme Ex.
03:14; PS.
102:26-28; Ésaïe
41:4; 48:12;
Malachie 3:6; ROM.
01:23; Héb. 01:11,
12; Jacques 01:17.
Dans le même temps,
il y a beaucoup de
passages des
écritures qui
semblent attribuer
changer à Dieu. N’a
pas celui qui
demeure dans
l’éternité passe à
la création du
monde, s’incarner
dans le Christ et
dans le Saint-Esprit
repris sa demeure
dans l’église ? Il
n'est pas représenté
comme révélant et en
se cachant, allant
et venant, en se
repentant et en
changeant son
intention, ainsi que
traiter différemment
l’homme avant et
après la
conversion ? Cf.
Exode 32: 10-14;
Jonah 03:10; Prov.
11:20; 12:22; PS.
18:26, 27.
L’objection
impliquée ici
s’inspire dans une
certaine mesure
malentendu.
L’immuabilité divine
ne doit pas être
comprise comme
impliquant
l’immobilité,
comme s’il n’y a
aucun mouvement en
Dieu. Il est même
coutumier dans la
théologie de parler
de Dieu comme
purus
actus, un Dieu
qui est toujours en
action. La Bible
nous enseigne que
Dieu conclut de
multiples relations
avec l’homme et, en
quelque sorte, leur
vie avec eux. Il n’y
a changer tour
autour de lui, dans
les relations des
hommes à lui, mais
il n’y a aucun
changement dans son
être, ses attributs,
son but, ses motifs
d’action ou ses
promesses. Le but de
créer était éternel
avec lui, et il n’y
avait pas de
changement en lui
quand cela a été
réalisé par un seul
acte éternel de sa
volonté.
L’incarnation a
apporté aucun
changement dans
l’être ou
perfections de Dieu,
ni dans son dessein,
car il était son bon
plaisir éternel à
envoyer le fils de
son amour dans le
monde. Et si
l’écriture parle de
son repentir,
changeant son
intention et en
modifiant sa
relation aux
pécheurs, quand ils
se repentent, on
retiendra qu’il
s’agit seulement
d’une façon
anthropopathic de
parler. En réalité,
le changement est
pas en Dieu, mais
chez l’homme et dans
les relations de
l’homme à Dieu. Il
est important de
maintenir
l’immutabilité de
Dieu par rapport à
la doctrine
pélagienne et
arminienne que Dieu
est sujet à
changement, pas en
effet dans son être,
mais dans sa
connaissance et de
volonté, afin que
ses décisions sont
en grande partie
tributaire de
l’action de l’homme;
par rapport à la
notion de panthéiste
que Dieu est une
éternelle devienne
plutôt que d’un être
absolu, et que
l’inconscient absolu
se développe
progressivement en
personnalité
consciente chez
l’homme; et plus,
contre la tendance
actuelle de certains
à parler d’un corps
fini, du mal et ça
grimpe
progressivement
Dieu.
C. l’infinité de
Dieu.
L’infinité de Dieu
est que la
perfection de Dieu
par lequel il est
libre de toutes
restrictions. En
attribuant ce à
Dieu, nous nions
qu’il sont ou
peuvent être des
limitations à l’etre
divin ou attributs.
Cela implique qu’il
est en aucune façon
limité par
l’univers, par ce
monde de
l’espace-temps, ou
confiné à l’univers.
Elle n’implique pas
son identité avec la
somme totale des
choses existantes,
ni n’il exclut la
coexistence des
choses dérivées et
finis, auquel il a
rapport. L’infinité
de Dieu doit être
conçue comme plutôt
intensives
qu’extensives et ne
doit pas être
confondu avec
extension infinie,
comme si Dieu ont
été répartis à
travers tout
l’univers, une
partie étant ici et
là une autre, pour
que Dieu a sans
corps et par
conséquent aucune
extension. Ne doit
elle être considérée
comme une notion
purement négative,
s’il est
parfaitement vrai
que nous ne pouvons
pas former une idée
positive de
celui-ci. C’est une
réalité en Dieu
pleinement ne
compris que par lui.
On distingue divers
aspects de
l’infinité de Dieu.
1.
sa perfection
absolue. Il
s’agit de l’infinité
de l’être divin,
considéré en
lui-même. Il ne doit
pas être entendu
dans un quantitatif,
mais dans un sens
qualitatif; il
qualifie tous les
attributs
transmissibles de
Dieu. Puissance
infinie n’est pas un
absolu quantique,
mais une puissance
inépuisable
d’énergie; et la
sainteté infinie
n’est pas un quantum
infini de sainteté,
mais une sainteté
qui est,
qualitativement
exemptes de toute
limitation ou
défaut. Le même peut
être dit de la
sagesse et la
connaissance infinie
et de la justice et
l’amour infini. Dit
le Dr Orr:
« peut-être que nous
pouvons dire que
l’infini en Dieu est
au bout du compte:
(a) en interne et
d’un point de vue
qualitatif, absence
de toute limitation
et de défaut; (b)
l’immense
potentialité. »
En ce
sens du mot,
l’infinité de Dieu
est simplement
identique à la
perfection de son
être divin.
L’écriture, preuve
qu’il se trouve dans
Job 11:7-10; PS.
145:3; Matthieu
05:48.
2.
son éternité.
L’infinité de Dieu
par rapport au temps
est appelée son
éternité. La forme
dans laquelle la
Bible représente
l’éternité de Dieu
est tout simplement
celui de durée à
travers les âges
sans fin, Psaume 90:
2; 102:12; EP 03:21.
Rappelons, qu’en
parlant comme il le
fait la Bible
utilise toutefois,
langage populaire et
non la langue de la
philosophie. Nous
pensons généralement
de l’éternité de
Dieu de la même
manière, à savoir,
comme durée
infiniment prolongée
en arrière et en
avant. Mais c’est
seulement un moyen
populaire et
symbolique de
représentation qui
qui est en réalité
transcende le temps
et il diffère
essentiellement.
L’éternité au sens
strict du mot est
abscribed à celui
qui transcende
toutes les limites
temporelles. Qu’il
s’applique à Dieu,
en ce sens est au
moins laissé
entendre en II
Pierre 3:8.
« Temps », dit le Dr
Orr, « strictement a
lien avec le monde
des objets existant
dans la succession.
Dieu remplit le
temps; est dans
chaque partie de
celui-ci; mais son
éternité n’est pas
encore vraiment ce
qui est dans le
temps. C’est plutôt
qu’à quelles formes
de temps a
contraste. »
Notre
existence est
délimitée par des
jours et des
semaines et des mois
et des années; pas
si l’existence de
Dieu. Notre vie est
divisée en un passé,
présent et futur,
mais il n’y a aucune
une telle division
dans la vie de Dieu.
Il est l’éternel
« Je suis ». Son
éternité peut être
définie comme
cette
perfection de Dieu
par lequel il est
élevé surtout
temporelles limites
et toute succession
d’instants
et
possède la totalité
de son existence
dans un présent
indivisible. La
relation de
l’éternité de temps
constitue l’un des
problèmes plus
difficiles en
philosophie et en
théologie, peut-être
incapable de
solution dans notre
état actuel.
3.
son immensité.
L’infinité de Dieu
peut également être
considérée en ce qui
concerne l’espace et
est alors appelée
son immensité. Il
peut être défini
comme la
perfection de l’etre
divin par lequel il
transcende toutes
les limites
spatiales
et est
encore présente dans
chaque point de
l’espace avec tout
son être. Il a
un négatif et un
positif, récusant
toutes les
limitations de
l’espace de l’etre
divin et affirmant
que Dieu est
au-dessus de
l’endroit et remplit
chaque partie de
celui-ci
avec
tout son être.
Les derniers mots
sont ajoutés, afin
de contrer l’idée
que Dieu est
diffusée à travers
l’espace, afin
qu’une partie de son
être est présente
dans un seul endroit
et une autre partie
dans un autre lieu.
On distingue trois
modes de présence
dans l’espace. Corps
sont dans l’espace
d'une manière
restreinte, parce
qu’ils sont limités
par ce dernier; les
esprits finis sont
dans l’espace,
définitivement,
puisqu’ils ne sont
pas partout, mais
seulement à un
certain endroit
précis; et en
comparaison avec ces
deux de Dieu est
dans l’espace de
manière répétitive,
parce qu’il remplit
tout l’espace. Il
n’est pas absent de
toute partie d’elle,
ni le plus présent
dans une partie que
dans un autre.
Dans un certain
sens, les termes
« immensité » et
« omniprésence »,
tel qu’appliqué à
Dieu, indiquer la
même chose et
peuvent donc être
considérés comme
synonymes. Il y a
encore un point de
différence qui doit
noter avec soin.
« Immensité »
souligne le fait que
Dieu transcende tout
l’espace et ne fait
l’objet de ses
limites, tandis que
« omniprésence »
désigne qu’il
remplit néanmoins
toutes les parties
de l’espace avec
tout son être. La
première met
l’accent sur la
transcendance et ce
dernier, l’immanence
de Dieu. Dieu est
immanent dans toutes
ses créatures, dans
sa création toute
entière, mais n’est
en aucune façon
bornée par elle.
Dans le cadre de la
relation de Dieu au
monde il faut
éviter, d’une part,
l’erreur du
panthéisme, si
caractéristique
d’une grande partie
de la pensée de nos
jours, avec son
refus de la
transcendance de
Dieu et de son
hypothèse selon
laquelle l’être de
Dieu est vraiment le
fond d’un choses de
ll; et, d’autre
part, la conception
déiste que Dieu est
bien présent dans la
création
par
potentiam (avec
sa puissance), mais
pas par
essentiam et naturam
(avec son être même
et la nature) et
agit sur le monde à
distance. Bien que
Dieu est distinct du
monde et ne peut pas
être identifié avec
lui, il n’est encore
présent dans toutes
les parties de sa
création, non
seulement
par
potentiam, mais
aussi
par essentiam.
Cela ne signifie
pas, cependant,
qu’il est tout aussi
présent et présent
dans le même sens
dans toutes ses
créatures. La nature
de son séjour est en
harmonie avec celui
de ses créatures. Il
ne demeure pas sur
la terre comme il le
fait dans le ciel,
chez les animaux
comme il le fait
chez l’homme, dans
l’inorganique comme
il le fait dans la
création organique,
dans les méchants
comme il le fait
dans les pieux, ni
dans l’Eglise comme
il le fait en
Christ. Il y a une
variété infinie de
la façon dont il est
immanent dans ses
créatures et dans la
mesure où elles
révèlent Dieu à ceux
qui ont des yeux
pour voir.
L’omniprésence de
Dieu est clairement
révélé dans les
Ecritures. Ciel et
la terre ne peut pas
contenir de lui, I
rois 08:27; Ésaïe
66: 1; Actes à
07:48, 49; et en
même temps, il
remplit les deux et
est un Dieu à portée
de main, PS.
139:7-10; Jérémie
23:23, 24; Actes
17:27, 28.
D. l’unité de Dieu.
Une
distinction est
faite entre l'
unitas
singularitatis
et la
simplicitatis de l’unitas.
1.
l’UNITAS
SINGULARITATIS.
Cet attribut insiste
sur l’unicité et
l’unicité de Dieu,
le fait qu’il est
numériquement un et
que, comme tel, il
est unique. Cela
implique qu’il
existe, mais un être
divin, qu’à partir
de la nature de
l’affaire, il peut y
avoir, mais un seul
et que tous les
autres êtres
existent d’et à
travers et vers lui.
La Bible nous
enseigne dans
plusieurs passages
qu’il n’y a qu’un
seul Dieu véritable.
Salomon a plaidé
avec Dieu pour
défendre la cause de
son peuple, « que
tous les peuples de
la terre sachent que
Jéhovah, il est
Dieu; Il n’y a point
d’autre, » I Rois 8:
60. Et Paul écrit
aux Corinthiens,
« mais pour nous il
n’y a, mais un seul
Dieu, le père, qui
sont toutes choses
et nous en lui; et
un seul Seigneur
Jésus Christ, par
qui sont toutes
choses et nous en
lui, » j’ai Cor.
8:6. De même, il
écrit à Timothée,
« car il y a un seul
Dieu et un seul
médiateur entre Dieu
et les hommes,
l’homme Christ
Jésus, » I Timothée
2:5. D’autres
passages ne stressez
pas l’unité
numérique de Dieu
comme ils le font
son unicité. C’est
le cas dans
l’expression bien
connue de
Deutéronome 6:4,
« écoute, Ô Israël;
Jéhovah notre Dieu
est un seul
Jéhovah. » Le mot
hébreu 'echad,
traduit par « un »
peut également être
rendu « un seul »
l’équivalent de
l’allemand « einig »
et les Néerlandais
« eenig. » Et cela
semble être une
meilleure
traduction. Keil
insiste sur ce fait
que ce passage
n’enseigne pas
l’unité numérique de
Dieu, mais plutôt
que Jéhovah est le
seul Dieu qui a le
droit du nom de
Jéhovah. C’est aussi
le sens de ce terme
dans Zacharie 14:9.
La même idée est
magnifiquement
exprimée dans la
question rhétorique
d’Exode 15:11, « qui
est comme toi, Ô
Jéhovah, parmi les
dieux ? Qui est
comme toi magnifique
en sainteté,
craintive en
louanges, fait des
merveilles ? » Cela
exclut toutes les
conceptions
polythéistes de
Dieu.
2.
l’UNITAS
SIMPLICITATIS.
Tandis que l’unité
dans ce qui précède
définit Dieu en
dehors d’autres
êtres humains, la
perfection en examen
est expressive de
l’unité intérieure
et qualitative de l’etre
divin. Quand on
parle de la
simplicité de Dieu,
nous utilisons ce
terme pour décrire
l’État ou la qualité
d’être simple, à la
condition d’être
exempts de division
en parties et par
conséquent de
compositeness. Cela
signifie que Dieu
n’est pas composite
et qu’il n’est pas
susceptible de
division dans tout
les sens du terme.
Cela implique entre
autres choses, que
les trois personnes
de la divinité ne
sont pas tellement
de pièces dont se
compose l’essence
Divine, que
l’essence et les
perfections de Dieu
ne sont pas
distinctes, et que
les attributs ne
sont pas surajoutée
à son essence.
Puisque les deux
sont l’un, la Bible
peut parler de Dieu
comme lumière et de
vie, comme la
justice et l’amour,
permet
l’identification
avec ses
perfections. La
simplicité de Dieu
découle de certaines
de ses autres
perfections; depuis
son existence
autonome, qui exclut
l’idée que quelque
chose précédé, comme
dans le cas des
composés; et de son
immuabilité, qui ne
pouvait pas être
fondée de sa nature,
si elle était
constitué de pièces.
Cette perfection
était contestée au
moyen âge et s’est
vu refuser par les
Sociniens et les
arminiens.
L’écriture n’affirme
pas explicitement
il, mais implique il
où il parle de Dieu
comme la justice,
vérité, sagesse,
lumière, vie, amour
et ainsi de suite et
indique donc que
chacune de ces
propriétés, à cause
de leur perfection
absolue, est
identique à son
être. Dans ses
œuvres récentes sur
la théologie, la
simplicité de Dieu
est rarement
mentionnée. Beaucoup
de théologiens
positivement le
nier, soit parce
qu’il est considéré
comme une
abstraction purement
métaphysique, parce
que, à leur avis, il
est en conflit avec
la doctrine de la
Trinité. Dada est
d’avis qu’il n’y est
pas de composition
dans la substance de
Dieu, mais nie que
lui substance et les
attributs sont un
seul et mêmes. Il
affirme que Dieu
n’est pas plus
simple à cet égard
que les esprits
finis.
QUESTIONS
pour une étude plus
approfondie. Quelles
conceptions
différentes de
l’absolu nous
rencontrer en
philosophie ?
L’absolu de la
philosophie toujours
peut être identifié
avec le Dieu de la
théologie ? Comment
Bradley distingue
les deux ? Comment
le Dieu finie de
James, Schiller,
Ward, puits et
autres, lié à
l’absolu ? Comment
l’incommunicables
attributs de Dieu
relier avec
l’absolu ?
L’immutabilité de
Dieu exclut tout
mouvement en Dieu ?
Dans quelle mesure
il exclut-elle
changements d’action
et des relations ?
La perfection
absolue de Dieu
devrait être
considérée comme un
attribut ? Pourquoi
la Bible représente
l’éternité de Dieu
comme durée sans
fin ? Est-il
possible
d’harmoniser la
transcendance et
l’immanence de
Dieu ? Comment
transcendance est
souvent interprétée
en théologie
moderne ? Ce qui est
implicite dans la
simplicité de Dieu ?
LITTÉRATURE:
Bavinck,
Geref. Dogme.
II,
pp. 137-171; Kuyper,
Dict.
dogme.,
Deo
I, pp. 287-318;
Hodge,
syst.
théol. J’ai,
pp. 380-393; Shedd,
dogme
.
Théol. J’ai,
pp. 338-353; Dabney,
syst
et trouvailles.
THEOL.,
p. 151-154;
Quelquefois,
Collected Works
I, pp. 189-205;
Strong,
Syst. Theol.,
pp. 254-260,
275-279; Pieper,
Christl. Dogme.
I,
p. 536-543, 547-549;
Knudson,
le Doct.
de Dieu, pp.
242-284; Steenstra,
Dieu
comme l’unité et de
la Trinité, pp.
112-139; Charnock,
Existence et des
attributs de Dieu.
p. 276-405.
VII. les attributs transmissibles
(Dieu comme un
esprit personnel)
Que Dieu soit
décrit comme «un
esprit personnel» ne
signifie aucunement
qu'Il est une
personne. Le terme
«personnel» désigne
ici le caractère et
le pouvoir détenu et
exercé par un seul
dirigeant. Un terme
plus approprié
serait que «Dieu est
un esprit original»
distingué ou
imminent dans le
sens d'être
extraordinaire d'une
façon incomparable,
inconcevable, et
stupéfiante qui
exalte son nom comme
étant «l'ADMIRABLE».
Si les attributs
examinés dans le
chapitre précédent a
souligné l’être
absolu de Dieu, ceux
qui restent à être
considéré comme
mettre l’accent sur
son caractère
personnel. C’est
dans les attributs
transmissibles que
Dieu se distingue
comme un consciente,
intelligente, libre
et l’être moral,
comme un être qui
est personnel dans
le sens le plus
élevé du mot. La
question a longtemps
retenu l’attention
des philosophes et
est toujours un
sujet de débat, si
l’existence
personnelle est
conforme à l’idée
d’absolu. La réponse
à cette question
dépend dans une
large mesure le sens
on attribue au mot
« absolu ». Le mot a
été utilisé dans
trois sens
différents dans la
philosophie, qui
peuvent être
libellés comme
l’agnostique, la
logique et le sens
de causalité. Pour
l’agnostique,
l’absolu est la non
apparentés, dont
rien ne peut être
connue, car les
choses sont connus
seulement dans leurs
relations. Et si
rien ne peut être
connue de celui-ci,
personnalité ne peut
être attribué à ce
terme. En outre,
étant donné que la
personnalité est
impensable en dehors
des relations, il ne
peut être identifié
avec un absolu qui
est dans son essence
même les
indépendants. Dans
la logique absolue,
l’individu est
subordonnée à
l’universel et le
plus universel est
la réalité ultime.
Telle est la
substance absolue de
Spinoza et de
l’esprit absolu de
Hegel. Il peut
s’exprimer dans et à
travers le fini,
mais rien n’est fini
ne peut exprimer sa
nature essentielle.
D’attribuer la
personnalité à elle
consisterait à
limiter à un seul
mode d’être et
détruirait son
caractère absolu. En
fait, cette absolue
ou ultime est
concept seulement
abstraite et vide,
ce qui est stérile
de tout le contenu.
La causalité voir de
l’absolue représente
comme fondement
ultime de toutes
choses. Il n’est pas
tributaire de rien
en dehors de
lui-même, mais
provoque toutes les
choses à en
dépendre. En outre,
il n’est pas
nécessairement
complètement
différent, mais peut
entrer dans des
relations
différentes avec les
créatures finies.
Une telle conception
de l’absolu n’est
pas incompatible
avec l’idée de la
personnalité. En
outre, nous devons
garder à l’esprit
que dans leur
argumentation
philosophes
fonctionnaient
toujours avec l’idée
de la personnalité
tel qu’il est
réalisé chez l’homme
et perdu de vue le
fait que la
personnalité de Dieu
pourrait être
quelque chose
d’infiniment plus
parfait. En fait,
personnalité
parfaite se trouve
seulement à Dieu, et
ce que nous voyons
chez l’homme est
uniquement une copie
finie de l’original.
Encore plus, il y a
une tripersonalité
en Dieu, dont aucune
analogie ne se
trouve dans les
êtres humains.
Plusieurs preuves
naturelles, assez
semblables à celles
produites pour
l’existence de Dieu,
ont été appelés à
prouver la
personnalité de
Dieu. (1)
personnalité humaine
exige un Dieu
personnel pour son
explication. L’homme
n’est pas un
lui-même et éternel,
mais un être fini
qui a un début et
une fin. La cause
supposée doit être
suffisante pour
tenir compte de
l’ensemble de
l’effet. Puisque
l’homme est un
produit personnel,
le pouvoir lui
originaire doit être
personnels. Sinon il
y a quelque chose à
l’effet qui est
supérieur à tout ce
qui se trouve dans
la cause; et ce
serait tout à fait
impossible. (2) le
monde a en général
témoigne de la
personnalité de
Dieu. Dans sa toute
la trame et la
constitution, il
révèle les traces
les plus manifestes
d’une intelligence
infinie, des
émotions plus
profondes, plus
hautes et plus
tendres et d’une
volonté qui est
tout-puissant. Par
conséquent, nous
sommes contraints de
monter dans le monde
au fabricant du
monde comme un être
de l’intelligence,
la sensibilité et la
volonté,
c'est-à-dire comme
une personne. (3) la
nature morale et
religieuse de
l’homme souligne
aussi la
personnalité de
Dieu. Sa nature
morale lui impose un
sentiment
d’obligation de le
faire qui est juste,
et cela implique
nécessairement
l’existence d’un
législateur suprême.
En outre, son
caractère religieux
constamment l’invite
à chercher la
communion
personnelle avec un
être supérieur; et
tous les éléments et
les activités de la
religion exigent en
un Dieu personnel
tant que leur objet
et de la fin. Même
soi-disant religions
panthéistes
témoignent souvent
inconsciemment à la
croyance en un Dieu
personnel. Le fait
est que toutes ces
choses comme
pénitence, foi et
obéissance, bourse
et amour, fidélité
au service et le
sacrifice, la
confiance dans la
vie et la mort, sont
sans signification à
moins qu’ils
trouvent leur objet
approprié en un Dieu
personnel.
Mais alors que
toutes ces
considérations sont
vraies et ont une
certaine valeur
comme
testimonia, ils
ne sont pas les
preuves dont dépend
la théologie dans sa
doctrine de la
personnalité de
Dieu. Il s’avère
pour preuve à la
révélation de Dieu
dans l’écriture. Le
terme « personne »
n’est pas appliqué à
Dieu dans la Bible,
bien qu’il existe
des mots, telles que
l' hébreu
panim
et le grec
prosopon,
qui viennent très
proche d’exprimer
l’idée. En même
temps l’écriture
témoigne de la
personnalité de
Dieu, en plus d’un
titre. La présence
de Dieu, tel que
décrit par l’ancien
et du Nouveau
Testament,
écrivains, est
clairement une
présence
personnelle. Et les
représentations
anthropomorphes et
anthropopathic de
Dieu dans
l’écriture, même si
elles doivent être
interprétées ainsi
ne pas pour militer
contre la
spiritualité pure et
la sainteté de Dieu,
peut difficilement
être justifiée, sauf
dans l’hypothèse que
l’être auquel ils
s’appliquent est une
vraie personne, avec
des attributs
personnels, même si
elle est sans
limites humaines.
Dieu est représenté
dans l’ensemble
comme un Dieu
personnel, avec
lesquels les hommes
peuvent et peuvent
converser, dont ils
peuvent faire
confiance, qui les
soutient dans leur
procès et remplit
leur cœur à la joie
de la délivrance et
la victoire. Et,
enfin, la plus haute
de la révélation de
Dieu dont témoigne
la Bible est une
révélation
personnelle. Jésus
Christ révèle le
père de manière
parfaite qu’il
pouvait dire à
Philippe, » celui
qui m’a vu a vu le
père, » John 14:9.
Preuves plus
détaillées seront
affiche dans la
discussion des
attributs
transmissibles.
A. la spiritualité
de Dieu.
La Bible ne nous
donne pas une
définition de Dieu.
L’approche le plus
près à quoi que ce
soit, comme on le
trouve dans la
parole du Christ à
la femme
samaritaine, « Dieu
est esprit, » John
04:24. Il s’agit
d’au moins une
déclaration visant à
nous dire ce que
Dieu est en un seul
mot. Le Seigneur ne
dit pas simplement
que Dieu est un
esprit, mais qu’il
est esprit. Et à
cause de cette
déclaration claire
que c’est mais
parfaitement que
nous devrions
discuter d’abord de
la spiritualité de
Dieu. En enseignant
la spiritualité de
Dieu théologie
insiste sur le fait
que Dieu est un être
substantielle tout
son propre et
distincte du monde,
et que ce qui est
important est
immatériel,
invisible et sans
composition ou
extension. Il inclut
l’idée que toutes
les qualités
essentielles qui
font partie de
l’idée parfaite de
l’esprit sont
trouvent en lui:
qu’il est un être
conscient de soi et
autonomes. Puisqu’il
est l’esprit dans la
plus absolue, et
dans le plus pur
sens du terme, il
n’y a en lui aucune
composition des
pièces. L’idée de la
spiritualité de
nécessité exclut
l’attribution de
quelque chose comme
corporéité à Dieu et
condamne donc les
fantaisies de
certains des
premiers Gnostiques
et mystiques
médiévaux et de tous
ces sectaires de
notre temps qui
attribuent un corps
à Dieu. Il est vrai
que la Bible parle
de mains et pieds,
les yeux et
oreilles, la bouche
et nez de Dieu, mais
ce faisant il parle
scouby ou au sens
figuré de celui qui
transcende loin
notre connaissance
de l’homme et dont
nous ne pouvons
parler de manière
balbutiant arrière
er la manière des
hommes. En
attribuant la
spiritualité, à
Dieu, nous affirmons
également qu’il n’a
aucune des
propriétés
appartenant à la
pour matière, et
qu’il ne peut pas
discerner par les
sens corporels. Paul
parle de lui comme
« le roi éternel,
immortel et
invisible » (I
Timothée 01:17) et
encore une fois
comme « le roi des
rois et Seigneur des
seigneurs, qui seul
possède
l’immortalité,
demeurant dans la
lumière
inaccessible;
qu’aucun homme n’a
vu, ni ne peut voir:
qui comme honneur et
la puissance
éternelle, » j’ai
Timothée 06:15, 16.
B. attribut intellectuel.
Dieu est représenté
dans l’écriture
comme lumière et par
conséquent aussi
parfait dans sa vie
intellectuelle.
Cette catégorie
comprend deux des
perfections divines,
à savoir, la
connaissance et la
sagesse de Dieu.
1.
la connaissance de
Dieu. La
connaissance de Dieu
peut être définie
comme
que la perfection de
Dieu par lequel il,
d’une
manière tout à fait
unique,
sait
lui-même et toutes
les choses possibles
et réelles dans une
loi éternelle et
plus simple. La
Bible témoigne
abondamment, comme,
par exemple, la
connaissance de Dieu
dans I Samuel 2:3;
Job 12:13; PS. 94:9;
147:4; Ésaïe 29: 15;
40:27, 28. plusieurs
points nécessitent
une attention dans
le cadre de la
connaissance de
Dieu.
a.
sa nature.
La connaissance de
Dieu diffère en
quelques points
importants de celle
des hommes. C’est
archétypal, ce
qui signifie qu’il
connaît l’univers
tel qu’il existe
dans sa propre idée
éternelle avant son
existence comme une
réalité limitée dans
le temps et
l’espace; et que sa
connaissance n’est
pas, comme le nôtre,
obtenues sans. C’est
une connaissance qui
se caractérise par
la
perfection absolue.
Par conséquent, il
est
intuitif plutôt
que démonstratif ou
discursive. C’est
inné et
immédiatset
n’entraîne pas
d’observation ou
d’un processus de
raisonnement. Être
parfait, c’est aussi
simultanée et
pas successifs,
alors qu’il voit les
choses à la fois
dans leur totalité
et non fragmentaire
une après l’autre.
En outre, c’est
complet
et parfaitement
conscient,
tandis que la
connaissance de
l’homme est toujours
partielle, souvent
indistincte et
souvent ne parvient
pas à s’élever dans
la claire lumière de
la conscience. Une
distinction est
faite entre la
connaissance
nécessaire et
gratuit
de Dieu. Le premier
est la connaissance
que Dieu a de
lui-même et de
toutes les choses
possibles, une
connaissance
reposant sur la
conscience de son
omnipotence. Ça
s’appelle des
connaissances
nécessaires,
car il n’est pas
déterminée par une
action de la volonté
divine volonté. Il
est également connu
comme
la connaissance de
l’intelligence
simple, compte
tenu du fait qu’il
est purement sera un
acte de
l’intelligence
divine, sans action
simultanée du divin.
La
connaissance libre
de Dieu est la
connaissance qu’il a
de toutes les choses
réelles,
c'est-à-dire, des
choses qui
existaient dans le
passé, qui existent
dans le présent ou
qui existeront à
l’avenir. Elle est
fondée sur la
connaissance infinie
de Dieu de son
propre dessein
éternel tout complet
et immuable et est
appelée la
connaissance libre,
parce qu’il est
déterminé par une
loi simultanée de la
volonté. Il est
aussi appelé
visionis scientia,
connaissance de la
vision.
b.
son étendue.
La connaissance de
Dieu n’est pas
seulement parfaite
en nature, mais
aussi dans sa
totalité. On
l’appelle
omniscience,
parce que c’est
tout-complet. Afin
de promouvoir une
estimation
appropriée de
celui-ci, nous
pouvons préciser
comme suit: Dieu
sait lui-même et en
lui-même toutes les
choses qui viennent
de lui
(connaissances
internes). Il
connaît toutes
choses comme elles
viennent en réalité
de pass, passé,
présent et futur et
les connaît dans
leurs relations
réelles. Il connaît
l’essence cachée des
choses, pour qui la
connaissance de
l’homme ne peut pas
pénétrer. Il voit
pas que l’homme
voit, qui observe
seulement les
manifestations vers
l’extérieur de la
vie, mais pénètre
dans les profondeurs
du cœur humain. En
outre, il sait ce
qui est possible et
ce qui est réel;
toutes choses qui
pourraient se
produire dans
certaines
circonstances sont
présentes à son
esprit.
L’omniscience de
Dieu est clairement
enseigné dans
plusieurs passages
de l’écriture. Il
est parfait dans la
connaissance, Job
37: 16, regarde pas
sur l’aspect
extérieur, mais sur
le coeur, j’ai Sam.
16:7; J’ai
chroniques 28: 9,
17; PS. 139,1-4;
Jérémie 17:10,
observe les manières
des hommes, Deut.
2:7; Emploi à 23:10;
24:23; 31: 4; PS.
1:6; 119:168, sait
le lieu de leur
habitation, Psaume
33:13 et les jours
de leur vie, PS.
37:18. Cette
doctrine de la
connaissance de Dieu
doit être maintenue
par rapport à toutes
les tendances
panthéistes pour
représenter Dieu
comme le motif
inconscient du monde
phénoménal et de
ceux qui, comme
Marcion, Socinus et
tous ceux qui
croient en un Dieu
fini, attribuent à
lui seulement un
nombre limité
connaissance.
Il y a une question,
toutefois, que les
appels de discussion
spéciale. Il s’agit
de préconnaissance
de Dieu de l’action
libre des hommes et
par conséquent des
événements
conditionnels. Nous
pouvons comprendre
comment Dieu peut
connus où les règles
de nécessité, mais
trouve qu’il est
difficile de
concevoir une
connaissance
préalable des
actions dont l’homme
librement est
originaire. La
difficulté de ce
problème a conduit
certains à nier la
prescience des
actions gratuites et
d’autres à nier la
liberté humaine. Il
est parfaitement
évident que
l’écriture enseigne
la prescience divine
des événements
contingents, j’ai
Sam. 23:10-13; II
Rois 13:19; PS.
81:14, 15; Ésaïe
42:9; 48:18; Jérémie
2:2, 3; 38: 17-20;
Ézéchiel 3:6;
Matthieu 11:21. En
outre, il ne nous
laisse pas de doute
réel quant à la
liberté de l’homme.
Certes, elles ne
permettent pas le
déni de l’un des
termes du problème.
Nous sommes face à
un problème ici, que
nous ne pouvons
résoudre
complètement, bien
qu’il soit possible
de faire une
approche à une
solution. Dieu a
décrété toutes
choses et eux a
décrété avec leurs
causes et les
conditions
applicables dans
l’ordre exact dans
lequel ils viennent
de passer; et sa
prescience des
choses futures et
aussi des événements
contingents repose
sur son décret.
Cette action a
résolu le problème
selon la prescience
de Dieu est.
Mais maintenant la
question se pose,
c’est la
prédétermination des
choses conforme à la
volonté de l’homme ?
Et la réponse est
qu’il n’est
certainement pas, si
la liberté de la
volonté considérée
comme
indifferentia
(arbitraire), mais
il s’agit d’une
conception
injustifiée de la
liberté de l’homme.
La volonté de
l’homme n’est pas
quelque chose de
tout à fait pour une
période
indéterminée,
quelque chose
suspendue dans l’air
qui peut être
basculé
arbitrairement dans
les deux sens. C’est
plutôt quelque chose
d’ancré dans notre
nature, liés à nos
instincts et les
émotions plus
profondes et
déterminé par notre
réflexion
intellectuelle ainsi
que par notre nature
même. Et si nous
concevons notre
liberté humaine
comme
lubentia rationalis
(autodétermination
raisonnable), alors
nous n’avons aucun
mandat suffisant
pour dire qu’il est
incompatible avec la
prescience divine.
Dit le Dr Orr: « une
solution de ce
problème il y a,
bien que nos esprits
ne parviennent pas à
saisir. En partie il
réside probablement,
ne pas à nier la
liberté, mais dans
une conception
révisée de la
liberté. Pour la
liberté, après tout,
n’est pas
arbitraire. Il y a
dans toute action
rationnelle un
pourquoi
pour agir — une
raison qui détermine
l’action. L’homme
vraiment libre n’est
pas l’homme
incertain,
incalculable, mais
l’homme qui est
fiable.
En bref, la liberté
a ses lois — lois
spirituelles — et
l’esprit omniscient
sait ce que voici.
« Mais un élément de
mystère, il faut
reconnaître, encore
des restes ».
Des
théologiens
jésuites, luthériens
et arminiens
suggèrent le
soi-disant
scientia media
comme une solution
du problème. Le nom
est révélateur du
fait qu’elle occupe
un terrain d’entente
entre le nécessaire
et la connaissance
libre de Dieu. Elle
diffère de l’ancien
que son
objet n’est pas
toutes les choses
possibles,
mais
une classe spéciale
des choses en
réalité futures;
et de ce dernier en
ce que son
terrain
n’est pas le dessein
éternel de Dieu,
mais
l’action libre de la
créature comme
simplement prévu.
On l’appelle
médiation
,
dit Dabney, « parce
qu’ils supposent
Dieu arrive chez
lui, pas directement
en connaissant son
propre but à effet
il, mais
indirectement par
son infinie
perspicacité dans la
façon dans laquelle
la deuxième cause de
contingent agira,
moins compte tenu de
circonstances vers
l’extérieur, prévus
ou produites par
Dieu ».
Mais
ce n’est pas une
solution du problème
du tout. C’est une
tentative de
concilier les deux
choses qui
logiquement excluent
mutuellement, à
savoir, la liberté
d’action dans le
sens de pélagienne
et un
certains
prescience de cette
action. Des actions
qui ne sont en
aucune façon
déterminée par Dieu,
directement ou
indirectement, mais
dépendent
entièrement de la
volonté arbitraire
de l’homme, peuvent
difficilement être
l’objet de la
prescience divine.
En outre, il est
inadmissible, car
elle conditionne la
connaissance divine
sur le choix de
l’homme, annule
pratiquement la
certitude de la
connaissance des
événements futurs et
donc nie
implicitement
l’omniscience de
Dieu. Il est
également à
l’encontre de ces
passages de
l’écriture comme
actes 02:23; ROM.
09:16; EP 01:11;
Phil. 02:13.
2.
la sagesse de Dieu.
La sagesse de Dieu
peut être considérée
comme un aspect
particulier de sa
connaissance. Il est
évident que la
connaissance et la
sagesse ne sont pas
les mêmes, qu’ils
sont étroitement
liés. Ils
n’accompagnent pas
toujours entre eux.
Un homme sans
instruction peut
être supérieur à un
érudit en sagesse.
Connaissances
s’acquièrent par
l’étude, mais la
sagesse résulte
d’une vision
intuitive dans les
choses. La première
est théorique,
tandis que la
seconde est
pratique, faire
connaissance inféodé
à un but spécifique.
Les deux sont
imparfaites chez
l’homme, mais en
Dieu, ils sont
caractérisés par la
perfection absolue.
La sagesse de Dieu
est son intelligence
qui se manifeste
dans l’adaptation
des moyens aux fins.
Il souligne le fait
qu’il a toujours
s’efforce d’être les
meilleurs bouts
possibles et choisit
le meilleur moyen
pour la réalisation
de ses desseins. H.
B. Smith définit la
sagesse divine comme
« cet attribut de
Dieu par lequel il
donne les meilleurs
résultats possibles
avec les meilleurs
moyens possibles ».
Nous pouvons être un
peu plus précis et
que la
perfection de Dieu
par lequel il
applique ses
connaissances à la
réalisation de ses
fins, d’une manière
qui lui glorifie
plusl’appeler.
Elle implique une
fin définitive à
laquelle toutes les
terminaisons
secondaires sont
subordonnées; et
selon l’Ecriture,
cette fin est la
gloire de Dieu,
Romains 11:33; 14:7,
8; EP 01:11, 12;
01:16. L’écriture se
réfère à la sagesse
de Dieu dans
plusieurs passages
et même le
représente comme
personnifiée dans
Proverbes 8. Cette
sagesse de Dieu se
voit
particulièrement
dans la création,
Psaume 19:1-7;
104:1-34; dans
providence, PS.
33:10, 11; ROM.
08:28; et à la
rédemption, Romains
11:33; J’ai Cor.
2:7; EP 03:10.
3.
la véracité de Dieu.
L’écriture utilise
plusieurs mots pour
exprimer la véracité
de Dieu: dans
l’ancien Testament «emeth, »Alex,
et 'amenet
dans le Nouveau
Testament
alethes
(aletheia),
alethinoset
pistis .
Il
pointe déjà vers le
fait qu’elle
comprend plusieurs
idées, comme la
vérité, l’honnêteté
et la fidélité.
Lorsque Dieu est
appelée la vérité,
c’est d’être compris
dans son sens le
plus complet. Il est
la vérité d’abord
dans un sens
métaphysique,
c'est-à-dire en lui
l’idée de la
divinité est
parfaitement
réalisée; Il est
tout ce qu’il a
comme Dieu doit et
comme telle se
distingue de tous
les dieux de ce
qu’on appelle, qui
sont appelés de
vanité et mensonges,
PS. 96:5; 97:7; 115:
4-8; Ésaïe 44: 9,
10. Il est aussi la
vérité dans un sens
éthique
et comme telle
révèle lui-même car
il est vraiment,
pour que sa
révélation est
absolument fiable,
nombres 23:19;
Romains 3:4; Héb.
06:18. Enfin, il est
aussi la vérité dans
un sens
logique , et en
vertu de ce qu’il
sait des choses
qu’ils sont vraiment
et a donc constitué
l’esprit de l’homme
que ce dernier
puisse savoir, non
seulement
l’apparence, mais
aussi la réalité,
des choses. Ainsi,
la vérité de Dieu
est le fondement de
toute connaissance.
Il faut avoir à
l’esprit, en outre,
que ces trois ne
sont que des aspects
différents de la
vérité, l’un en
Dieu. Compte tenu de
ce qui précède on
peut qualifier la
véracité ou la
vérité de Dieu
que la
perfection de son
être en vertu de
laquelle il répond
pleinement à l’idée
de la divinité,
est
parfaitement fiable
dans sa révélation,
et
voit les choses
comme elles vraiment
sont.
C’est à cause de
cette perfection
qu’il est la source
de toute la vérité,
non seulement dans
le domaine de la
morale et de
religion, mais aussi
dans tous les
domaines de
l’activité
scientifique.
L’écriture est très
catégorique dans ses
références à Dieu
comme vérité, Ex.
34: 6; Nombres
23:19; Deutéronome
32: 4; PS. 25: 10;
31:6; Ésaïe 65:16;
Jérémie 10:8, 10,
11; John 14:6; 17:3;
Tite 1:2; Héb.
06:18; J’ai John
05:20, 21. Il n’y a
encore un autre
aspect de cette
perfection divine et
celui qui est
toujours considéré à
partir de la plus
haute importance. On
l’appelle
généralement sa
fidélité, en
vertu duquel il est
soucieux de son
alliance et répond à
toutes les promesses
qu’il a faites à son
peuple. Cette
fidélité de Dieu est
de la plus grande
importance pratique
pour le peuple de
Dieu. C’est le motif
de leur confiance,
la Fondation de leur
espoir et la cause
de leur joie. Il
enregistre le
désespoir auquel
leur propre
infidélité peut
conduire aisément,
leur donne le
courage de continuer
en dépit de leurs
échecs et remplit
leur cœur avec
anticipations
joyeuses, même quand
ils sont
profondément
conscients du fait
qu’ils ont confisqué
tous les
bénédictions de
Dieu. Nombres 23:19;
Deut. 7:9; PS. 89:
33; Ésaïe 49: 7; I
Corinthiens 1:9; II
Timothée 02:13; Héb.
06:17, 18; 10:23.
C. les attribues de
la morale.
Les attributs moraux
de Dieu sont
généralement
considérées comme la
plus glorieuse des
perfections divines.
Pas un attribut de
Dieu est en soi plus
parfaite et
glorieuse que
l’autre, mais
relativement à
l’homme morales
perfections de Dieu
brille avec une
splendeur tous leurs
propres. Ils sont
généralement abordés
sous trois chefs:
(1) la bonté de
Dieu; (2) la
sainteté de Dieu; et
(3) la justice de
Dieu.
1.
la bonté de Dieu.
Ceci est
généralement
considéré comme une
conception
générique, y compris
plusieurs variétés
qui sont distinguent
selon leurs objets.
La bonté de Dieu ne
doit pas être
confondue avec sa
gentillesse, qui est
un concept plus
restreint. On parle
de quelque chose de
bon aussi, quand il
répond à toutes les
parties à l’idéal.
C’est pourquoi dans
notre attribution de
la bonté de Dieu
l’idée fondamentale
est qu’il est dans
tous les sens tout
ce qu’il a que Dieu
devrait être, et
donc les réponses
parfaitement à
l’idéal exprimé dans
le mot « Dieu ». Il
est bon dans le sens
métaphysique de la
parole, la
perfection absolue
et le bonheur
parfait en lui-même.
C’est dans ce sens
que le jeune homme
dit Jésus: « Aucun
n’est bon sauf un,
même de Dieu, » Marc
10:18. Mais puisque
Dieu est bon en
lui-même, il est
également bon pour
ses créatures et
peut-être donc être
appelé les
fons
omnium bonorum.
Il est la source de
tout bien et est
donc représenté par
une multitude de
moyens tout au long
de la Bible. Le
poète chante: « pour
toi est la fontaine
de la vie; dans ta
lumière nous verrons
la lumière, » Psaume
36: 9. Toutes les
bonnes choses qui
les créatures
bénéficient dans le
présent et attendent
à l’avenir, flow
pour eux hors de
cette fontaine
inépuisable. Et non
seulement cela, mais
Dieu est aussi le
summum
bonum, le plus
grand bien, pour
toutes ses
créatures, quoiqu’à
des degrés divers et
selon la mesure dans
laquelle ils
répondent au but de
leur existence. Dans
la connexion
actuelle nous
naturellement
soulignent l’éthique
bonté de Dieu et les
différents aspects
de celle-ci, car
elles sont
déterminées par la
nature de ses
objets.
a.
la bonté de Dieu
envers ses créatures
en général.
Il peut être défini
comme
la perfection de
Dieu, qui l’invite à
composer abondamment
et gentiment avec
toutes ses créatures.
C’est l’affection
qui le créateur se
sent envers ses
créatures sensibles
comme tel. Il chante
le Psalmiste dans
l’expression bien
connue: « Jéhovah
est bon pour tous;
et ses tendres
miséricordes sont
sur toutes ses
œuvres.... Aux yeux
de tous attendent
pour toi; et tu leur
donnes leur
nourriture en bonne
saison. Tu openest
ta main et
satisfiest le désir
de chaque chose
vivante, » Psaume
145:9, 15, 16. Cet
intérêt bienveillant
de Dieu se révèle
dans ses soins pour
le bien-être de la
créature et est
adapté à la nature
et les circonstances
de la créature. Il
varie naturellement
en degré selon la
capacité des objets
de le recevoir. Et
s’il n’est pas
limité aux croyants,
ils seulement
manifestent une
juste appréciation
de ses bienfaits, le
désir de les
utiliser dans le
service de leur Dieu
et ainsi en profiter
dans une mesure plus
riche et plus
complète. La Bible
fait référence à
cette bonté de Dieu,
en beaucoup de
passages, comme PS.
36:6; 104:21;
Matthieu 05:45;
06:26; Luc 06:35;
Actes 14:17.
b.
l’amour de Dieu.
Lorsque la bonté de
Dieu s’exerce envers
ses créatures
rationnelles, il
suppose que le
caractère plus élevé
de l’amour, et cet
amour peut-être à
nouveau être
distingué selon les
objets sur lesquels
il s’arrête. À la
différence de la
bonté de Dieu en
général, il peut
être défini comme
cette
perfection de Dieu
par lequel il est
éternellement
s’installe à l’auto-communication.
Puisque Dieu est
absolument bon en
lui-même, son amour
ne peut pas trouver
entière satisfaction
dans n’importe quel
objet en deçà de la
perfection absolue.
Il aime ses
créatures
rationnelles pour
lui-même, ou, pour
l’exprimer
autrement, qu’il
aime en eux
lui-même, ses
vertus, son travail
et ses dons. Il ne
pas même retire son
amour complètement
de pécheur dans son
état actuel
pécheresse, bien que
le péché de ce
dernier est en
abomination à lui,
puisqu’il reconnaît
même dans le pécheur
de son porteur
d’image. John 03:16;
Matthieu 05:44, 45.
Dans le même temps,
il aime croyants
avec un amour
spécial, puisqu’il
les envisage comme
ses enfants
spirituels dans le
Christ. C’est à eux
qu’il communique
lui-même dans le
sens de la plus
complète et la plus
riche, avec toute la
plénitude de sa
grâce et de
miséricorde. John
16:27; Romains 5:8;
1 Jean 3:1.
Mais une telle
description donne la
fausse impression
que l'amour de Dieu
est un sentiment
comme chez les
hommes. Or l'amour
de Dieu (agape,
agapao) est loin
d'être un sentiment
de tendresse plein
d'émotions, il est
plutôt une attitude
de renoncement ou de
résignation dans le
sens d'un mouvement
sacrificiel et
perpétuel qui est
l'essence même de
son Existence, car
Dieu se retrouve
Lui-même dans le
renoncement de
Lui-même et cela
éternellement dans
l'épanouissement de
son Existence. Le
renoncement est
l'enseignement
primaire du Seigneur
Jésus qui désire que
nous soyons résigné
à la volonté de Dieu
et à la vérité qu'Il
nous transmet comme
principe de vie.
L'amour de la vérité
ou résignation aux
valeurs absolues et
ultimes de l'Esprit
des vivants devient
ainsi un facteur
primordiale dans la
vie du chrétien
authentique.
c.
la grâce de Dieu.
Le mot important
« grâce » est une
traduction de
l'hébreu
chanan et le
grec
charis. Selon
l’Ecriture, elle se
manifeste non
seulement par Dieu,
mais aussi par les
hommes et désigne
alors la faveur dont
un homme montre un
autre, Genèse 33: 8,
10, 18; 39:4; 47:25;
Ruth 2:2; 1 Sam.
1:18; 16:22. Dans ce
cas il n’est pas
nécessairement
implicite que la
faveur est imméritée
dans les échanges
entre les hommes.
En général on peut
dire, cependant, que
grâce est le don
gratuit de bonté sur
qui aucun n’a une
réclamation. C’est
notamment le cas où
la grâce visé est la
grâce de Dieu. Son
amour pour l’homme
est toujours
imméritée et lorsque
montré aux pécheurs,
est même retirée
ou indisponible à
ceux qui veulent se
justifier par les
œuvres de la loi, ce
qui est l'équivalent
aussi d'être
justifié par les
choix d'une décision
personnelle (Gal.
5:4). La
Bible utilise
généralement le mot
pour désigner
la
bonté imméritée ou
l’amour de Dieu à
ceux qui sont perdu
il
et sont par nature
en vertu d’une
décision de
condamnation.
La grâce de Dieu est
la source de toutes
les bénédictions
spirituelles qui
sont conférés à des
pécheurs. Ainsi nous
lisons de ceci en
Éphésiens 1:6, 7;
2:7-9; Tite 02:11;
3:4-7, la Bible
parle souvent de la
grâce de Dieu, comme
la grâce salvatrice,
elle fait également
mention de ceci dans
un sens plus large,
comme dans Ésaïe 26:
10; Jérémie 16:13.
La grâce de Dieu est
la plus grande
importance pour les
hommes pécheurs
que nous sommes
tous, sans exception.
C’est par grâce que
la voie de la
rédemption a été
ouvert pour eux,
Rom. 03:24; II
Corinthiens 8:9 et
que le message de la
rédemption est allé
dans le monde, Actes
14:3. Par la grâce
les pécheurs
reçoivent le don de
Dieu en Jésus Christ
par les mérites du
sacrifice de la
croix qui leurs sont
attribués
gratuitement, actes
18:27; Éphésiens
2:8. Par la grâce,
ils sont justifiées,
Rom. 03:24; 04:16;
Tite 3:7, ils sont
enrichis avec des
bénédictions
spirituelles, Jean
1:16; II Corinthiens
8:9; II
Thessaloniciens.
2:16, et ils
héritent enfin le
Salut, Éphésiens
2:8; Tite 2:11.
Voyant qu’ils n’ont
absolument aucun
fond en eux-mêmes,
ils sont au total
dépendantes de la
grâce de Dieu en
Christ. Dans la
théologie moderne,
avec sa croyance en
la bonté inhérente
de l’homme et sa
capacité à s’aider
lui-même, la
doctrine du Salut
par la grâce est
pratiquement devenu
«une cause perdue»,
une «disgrâce» et
même le mot
« grâce » a été vidé
de tout sens
spirituel et
disparut des
discours religieux.
Certains font
même de la grâce la
puissance
d'obéissance aux
ordonnances de la
loi. Il a
été conservé
seulement dans le
sens de
« bienveillance »,
quelque chose qui
est tout à fait
externes
et qui satisfait
à la chair.
Heureusement, il
existe encore
certaines personnes
qui remettent
l’accent sur le
péché et sur une
conscience
nouvellement
éveillée à la
nécessité de la
grâce divine.
La définition
scripturaire
générale de la grâce
dans le décret de
Rédemption est «un
don accordé sans
qu'il soit dû; une
faveur
inconditionnelle ou
bénédiction
imméritée accordée
par Dieu à ceux
qu'il a désigné
d'avance en Christ
depuis avant la
fondation du monde
pour leur salut
assuré et leur
participation dans
la gloire éternelle.
En d'autres mots, la
grâce du salut est
limitée et
sélective, et elle
est entièrement
souveraine et
efficace dans son
appel et son
application envers
les élus.
d.
la miséricorde de
Dieu. Un
autre aspect
important de la
bonté et l’amour de
Dieu sont sa
miséricorde ou
tendre compassion.
Le mot hébreu plus
généralement utilisé
pour cela est
chesed.
Il y a un autre mot,
cependant, qui
exprime une
compassion profonde
et tendre, à savoir,
le mot
rafik, qui est
magnifiquement rendu
par « tendre
miséricorde » dans
notre Bible
anglaise. La
Septante et le
Nouveau Testament
emploient mot grec
eleos
pour désigner la
miséricorde de Dieu.
Si la grâce de Dieu
contemple l’homme
comme coupable
devant Dieu, et par
conséquent besoin de
pardon, la
miséricorde de Dieu
contemple lui comme
celui qui est de
supporter les
conséquences du
péché, qui est dans
un état pitoyable,
et qui a donc besoin
de l’aide divine. Il
peut être défini
comme
la bonté ou l’amour
de Dieu démontré que
ceux qui sont dans
la misère ou la
détresse,
quelles
que soient leurs
déserts. Dans
sa miséricorde, Dieu
se révèle comme un
Dieu compatissant,
qui a compassion de
ceux qui sont dans
la misère et est
toujours prêt à
soulager leur
détresse. Cette
miséricorde est
abondante, Deut.
05:10; PS. 57:10;
86:5 et les poètes
d’Israël ravi de
chanter de celui-ci
comme immuable
depuis toujours,
j’ai Chron. 16:34;
II Chroniques 7:6;
Psaume 136; Ezra
03:11. Dans le
Nouveau Testament,
il est souvent
mentionné aux côtés
de la grâce de Dieu,
surtout dans les
salutations, I
Timothée 1:2; II
Timothée 1:1; Tite
1:4. On nous dit à
plusieurs reprises
qu’il est établi que
la crainte de Dieu,
Exode 20:2; Deut.
7:9; PS. 86:5; Luc
01:50. Cela ne
signifie pas,
cependant, qu’il est
limité à eux, bien
qu’ils aiment ça,
dans une mesure
particulière. Les
tendres miséricordes
de Dieu sont sur
toutes ses œuvres,
PS. 145:9, et même
ceux qui ne
craignent pas de lui
partagent en eux,
Ézéchiel 18:23, 32;
33: 11; Luc 06:35,
36. La miséricorde
de Dieu ne peut pas
être représentée par
opposition à sa
justice. Il est
exercé seulement en
harmonie avec la
plus stricte justice
de Dieu, étant donné
les mérites de Jésus
Christ. Autres
termes utilisés pour
lui dans la Bible
sont « pitié »,
« compassion » et
« bonté ».
e.
la patience de Dieu.
La patience de Dieu
est encore un autre
aspect de sa grande
bonté ou l’amour.
L’hébreu utilise
l’expression «erek
»aph,
qui signifie
littéralement « long
de visage » et puis
aussi « lent à la
colère, » tandis que
le grec exprime la
même idée par le mot
makrothumia.
C’est
cet aspect de la
bonté ou l’amour de
Dieu en vertu duquel
il porte avec le
reporté et le mal en
dépit de leur
désobéissance
continue longtemps.
Dans l’exercice de
cet attribut, le
pécheur est envisagé
comme continuant
dans le péché,
malgré les
exhortations et les
avertissements qui
viennent à lui. Elle
se révèle dans le
report de l’arrêt
méritée. L’écriture
parle dans Exode 34:
6; PS. 86:15;
Romains 2:4; 09:22;
J’ai PET. 03:20; II
Pierre 03:15. Un
terme synonyme d’une
connotation
légèrement
différente est le
mot « abstention ».
2.
la sainteté de Dieu.
Le mot hébreu pour
« être Saint, »
quadash,
est dérivé de la
racine
qad, qui
signifie couper ou
se séparer. Il est
un des mots
religieux plus
éminents de l’ancien
Testament et est
appliqué surtout à
Dieu. La même idée
est véhiculée par le
Nouveau Testament
mots
hagiazo et
hagios.
De là, il semble
déjà qu’il n’est pas
correct de penser de
la sainteté
principalement comme
une qualité morale
ou religieuse, comme
cela se fait
généralement. Son
idée fondamentale
est celle d’un
poste
ou de la
relation qui
existe entre Dieu et
une personne ou une
chose.
a.
sa nature.
L’idée biblique de
la sainteté de Dieu
est double. Dans son
sens originel, il
indique qu’il est
tout à fait distinct
de toutes ses
créatures et est
exalté au-dessus
d’eux en Majesté
infinie. Ainsi
comprise, la
sainteté de Dieu est
l’un de ses
attributs
transcendantales, et
c’est parfois la
perfection suprême
et parlée de son
central. Il ne
semble pas approprié
de parler d’un
attribut de Dieu
comme étant le plus
central et
fondamental que
l’autre; mais si
cela était permis,
l’accent biblique
sur la sainteté de
Dieu semblerait
justifier ses choix.
Il est évident,
toutefois, que la
sainteté en ce sens
du mot n’est pas
vraiment un attribut
moral
, qui peut être
coordonnée avec les
autres, comme
l’amour, de grâce et
de miséricorde, mais
est plutôt une chose
coïncide avec et
applicable à tout
qui peut être fondée
de Dieu. Il est
sacré dans tout ce
qui lui révèle, dans
sa bonté et sa
grâce, ainsi que
dans sa justice et
de la colère. Il
peut être appelé la
« majesté-sainteté »
de Dieu et est
mentionné dans ces
passages comme Exode
15:11; J’ai Sam.
2:2; Ésaïe 57.15;
Osée 11:9. C’est
cette sainteté de
Dieu que Otto, dans
son important
ouvrage sur
Das
Heilige,
considère que celui
qui est le plus
essentiel en Dieu,
et qu’il désigne
comme « le
numineux. »
Il considère comme
faisant partie de la
non rationnel en
Dieu, qui ne peut
pas être considéré
sur le plan
conceptuel, et qui
comprend des idées
telles que « unapproachability
absolue » et « overpoweringness
absolue » ou
« Majesté aweful. »
Il éveille chez
l’homme un sentiment
de néant absolu, une
« créature-conscience »
ou
« créature-sentiment, »
conduisant à
l’anéantissement
absolu.
Mais
la sainteté de Dieu
a également un
aspect
spécifiquement
éthique dans
l’écriture, et c’est
avec cet aspect de
la question qui nous
intéresse plus
directement à cet
égard. L’idée
d’éthique de la
sainteté divine ne
peut-être pas être
dissociée de l’idée
de la majesté
sainteté de Dieu. Le
premier développé à
partir de ce
dernier. L’idée
fondamentale de
l’éthique sainteté
de Dieu est aussi
celui de la
séparation, mais
dans ce cas, c’est
une séparation du
mal moral ou de
péché. En vertu de
sa sainteté, Dieu ne
peut avoir aucune
communion avec le
péché, 34:10 de
travail; Hab. 01:13.
Utilisé en ce sens,
la « sainteté » de
mot pointe vers
pureté majestueuse,
ou éthique Majesté
de Dieu. Mais l’idée
de la sainteté
éthique n’est pas
seulement négatif
(séparation du
péché); Il dispose
également d’un
positif contenu, à
savoir, celui de
l’excellence morale
ou éthique
perfection. Si
l’homme réagit à la
sainteté de Dieu
majestueux avec un
sentiment
d’insignifiance
totale et l’effroi,
sa réaction à la
sainteté éthique se
révèle dans un
sentiment
d’impureté, une
conscience du péché,
Ésaïe 6:5. Otto
reconnaît également
cet élément dans la
sainteté de Dieu,
mais il insiste sur
l’autre et dit de la
réponse à celle-ci:
« crainte Mere,
simple besoin d’un
abri contre le « tremendum »,
ici a été élevé à la
sensation que
l’homme dans son « profaneness »
n’est pas
digne
de stand en présence
de Saint, et que son
indignité
personnelle entière
pourrait souiller
même sainteté
elle-même. »
Cette
éthique sainteté de
Dieu peut être
qualifiée de
cette
perfection de Dieu,
en
vertu duquel il a
éternellement
testaments et
maintient sa propre
excellence morale,
a
horreur du péché
et
exigences de pureté
dans ses créatures
morales.
b.
sa manifestation.
La sainteté de Dieu
se révèle dans la
loi morale,
implantée dans le
coeur de l’homme et
par l’intermédiaire
de la conscience, et
plus
particulièrement
dans la révélation
spéciale de Dieu. Il
se détachait en
bonne place dans la
loi donnée à Israël.
Cette loi sous tous
ses aspects a été
calculée pour faire
pression sur Israël,
l’idée de la
sainteté de Dieu et
d’exhorter le peuple
de la nécessité de
mener une vie
sainte. Cela a été
l’objet de ces types
et symboles comme la
nation sainte, la
Terre Sainte, la
ville sainte, le
lieu Saint et la
sainte prêtrise. En
outre, il a été
révélé de la manière
dont Dieu a
récompensé
l’observance de la
Loi et les
transgresseurs
visités avec des
punitions terribles.
La révélation plus
élevée de celui-ci a
été donnée Jésus
Christ, qui est
appelé « the Saints
et justes One »,
actes 03:14. Il
reflète dans sa vie
la sainteté parfaite
de Dieu. Enfin, la
sainteté de Dieu est
aussi révélée dans
l’église comme corps
du Christ. Il est
frappant de
constater, à
laquelle l’attention
est souvent appelée,
cette sainteté est
attribuée à Dieu
avec une fréquence
beaucoup plus grande
dans l’ancien
Testament que dans
le nouveau, bien
qu’il se fait
parfois dans le
Nouveau Testament,
John 17:11; J’ai
PET. 01:16;
Apocalypse 4:8;
6:10. c’est
probablement dû au
fait que le Nouveau
Testament
s’approprie ce terme
plus
particulièrement
pour qualifier la
troisième personne
de la Sainte Trinité
que celui dont
c’est, dans
l’économie de la
rédemption, de
communiquer la
sainteté à son
peuple la tâche
spéciale.
3.
la justice de Dieu.
Cet attribut est
étroitement lié à la
sainteté de Dieu.
Shedd parle de la
justice de Dieu
comme « un mode de
sa sainteté »; et
Strong l’appelle
simplement
« transitive
sainteté. »
Toutefois, ces
conditions
s’appliquent
uniquement à ce
qu’on appelle
généralement la
relative,
à la différence de
l'
absolu, la
justice de Dieu.
a.
l’idée fondamentale
de la justice.
L’idée
fondamentale de la
justice est celui du
strict respect de la
Loi. Chez les
hommes, elle suppose
qu’il existe une loi
à laquelle ils
doivent se
conformer. On dit
parfois que nous ne
pouvons pas parler
de la justice de
Dieu, parce qu’il
n’y a aucune loi à
laquelle il est
soumis. Mais même si
il n’y a aucune loi
au-dessus de Dieu,
il y a certainement
une loi de la nature
de Dieu, et c’est le
plus haut niveau
possible, par
laquelle toutes les
autres lois sont
jugés. On fait
généralement une
distinction entre
l’absolu et le
relatif la justice
de Dieu. Le premier
est la
droiture de la
nature divine,
en
vertu duquel Dieu
est infiniment juste
en lui-même,
tandis que la
seconde est
que la
perfection de Dieu
par laquelle il
maintient lui-même
vis-à-vis de toute
violation de sa
sainteté,
et
montre à tous les
égards qu’il est
Saint. C’est à
cette justice que
l’expression
« justice »
s’applique plus
particulièrement.
Fêtes de justice
mani lui-même
notamment en donnant
à chacun son dû,
dans le traitement
de lui selon ses
déserts. La justice
inhérente de Dieu
est naturellement
basique à la justice
qui, en ce qui
concerne, il révèle
avec ses créatures,
mais c’est surtout
cette dernière,
appelée aussi la
justice de Dieu, qui
appelle une
attention
particulière ici.
Les termes de
l’hébreu pour
« justes » et de
« justice » est
tsaddik,
tsedhek,
tsedhakahet les
termes grecs
correspondants,
dikaios
et
dikaiosune, qui
contient l’idée de
conformité à une
norme. Cette
perfection est à
plusieurs reprises
attribuée à Dieu
dans les Ecritures,
Ezra 09:15; Néh.
9:8; PS. 119:137;
145: 17; Jérémie
12:1; Lam. 01:18;
Dan. 09:14; John
17:25; II Timothée
4:8; J’ai John
02:29; 3:7;
Apocalypse 16:5.
b.
Distinctions
appliquent à la
justice de Dieu.
Tout d’abord, il
y a une
justice rectoral
de Dieu. Cette
justice, comme le
nom l’indique, est
la rectitude dont
Dieu se manifeste
par le souverain de
fois le bien et le
mal. En vertu de ce
qu’il a institué un
gouvernement moral
dans le monde et
imposé une loi juste
sur l’homme, avec la
promesse d’une
récompense pour
l’obéissance et les
menaces de punition
pour le
transgresseur. Dieu
se distingue en
bonne place dans
l’ancien Testament
comme le législateur
d’Israël, Ésaïe 33:
22 et des gens en
général, Jacques
04:12, et ses lois
sont justes lois,
Deut. 4:8. La Bible
fait référence à
cette œuvre rectoral
de Dieu aussi dans
Psaume 99:4 et
Romains 01:32.
Étroitement liée à
la rectoral est la
justice
distributive de
Dieu. Généralement
ce terme sert à
désigner la droiture
de Dieu dans
l’exécution de la
Loi et se rapporte à
la distribution de
récompenses et de
punitions, Ésaïe
03:10, 11; Romains
2:6; J’ai PET.
01:17. Il est de
deux types: (1)
la
justice
rémunératrice,
qui se manifeste
dans la distribution
des récompenses aux
hommes et aux anges,
Deut. 7:9, 12, 13;
II Chron. 06:15; PS.
58:11; Micah 07:20;
Matthieu 25: 21, 34;
Romains 2:7; Hébreux
11:26. C’est
vraiment
l’expression de
l’amour divin, face
à ses primes, non
fondée sur le mérite
strict, car la
créature ne peut
établir aucun
fondement absolu
devant le créateur,
mais selon l’accord,
Luke et promesse
17:10; J’ai Cor.
4:7. Les récompenses
de Dieu sont
gracieux et au
printemps d’une
relation d’alliance
qu’il a établie. (2)
la
justice rétributive,
qui a trait à
l’imposition de
sanctions. C’est une
expression de la
colère divine. Même
dans un monde sans
péché il y aurait
pas de place pour
son exercice, il a
nécessairement tient
une place très
importante dans un
monde plein de
péché. Dans
l’ensemble la Bible
insiste sur la
récompense des
justes plus que la
punition des
méchants; mais même
cette dernière est
suffisamment
importante. ROM.
01:32; 2:9; 12:19;
II Thess. 1:8 et
beaucoup d’autres
passages. Il est à
noter que, alors que
l’homme ne mérite
pas la récompense
qu’il reçoit, il ne
mérite pas la peine
qui est infligée à
lui. La justice
divine est
initialement et
nécessairement
obligée de punir le
mal, mais ne pas de
récompenser bon, Luc
17:10; J’ai Cor.
4:7; Job 41: 11.
Beaucoup nient la
stricte justice
punitive de Dieu et
de revendication que
Dieu punit le
pécheur à lui
réformer ou à
dissuader d’autres
personnes du péché;
mais ces positions
ne sont pas valides.
L’objectif principal
de la punition du
péché est le
maintien du droit et
de la justice. Bien
sûr, il peut servir
soit dit en passant
et peut-être même,
secondairement,
viser, à réformer le
pécheur et à
dissuader d’autres
personnes du péché.
D. les attributs de
la souveraineté.
La souveraineté de
Dieu est fortement
soulignée dans
l’écriture. Il est
représenté comme
étant le créateur,
et sa volonté comme
la cause de toutes
choses. En vertu de
son travail de
création ciel et la
terre et tout ce
qu’ils contiennent
lui appartiennent.
Il est habillé avec
une autorité absolue
sur les hôtes du
ciel et les
habitants de la
terre. Il soutient
toutes choses par sa
toute-puissance et
détermine les
extrémités qui ils
sont destinés à
servir. Il gouverne
en tant que roi dans
le sens le plus
absolu du mot, et
toutes choses sont
dépendant de lui et
soumis à lui. Il y a
une abondance de
preuves de
l’écriture de la
souveraineté de
Dieu, mais nous
limitons nos
références ici à
quelques-uns des
passages plus
significatifs:
14:19; Exode 18:11;
Deut. 10:14, 17;
J’ai Chron. 29: 11,
12; II Chron. 20:6;
Néhémie 9:6; PS.
22:28; 47:2, 3, 7,
8; PS. 50:10-12; 95:
3-5; 115:3; 135: 5,
6; 145:11-13;
Jérémie 27: 5; Luc
01:53; Actes
17:24-26; Apocalypse
19:6. Deux attributs
réclament de
discussion sous ce
chef, à savoir (1)
la volonté
souveraine de Dieu
et (2) la puissance
souveraine de Dieu.
1. LA VOLONTÉ
SOUVERAINE DE DIEU.
a.
la volonté de Dieu
en général.
La Bible utilise
plusieurs mots pour
désigner la volonté
de Dieu, à savoir
les mots Hébreux
chaphets,
tsebhu
et
ratson et les
mots grecs
boule
et
thelema.
L’importance de la
volonté divine
apparaît à bien des
égards dans les
Ecritures. Il est
représenté comme
étant la cause
finale de toutes
choses. Tout en est
dérivée; création et
préservation, PS.
135:6; Jérémie 18:6;
04:11, gouvernement,
Prov. 21:1; Dan.
04:35, de choix et
de réprobation, Rom.
09:15, 16; Ep. 1:11,
les souffrances du
Christ, Luc 22:42;
Actes à 02:23,
régénération,
Jacques 01:18, de
sanctification,
Phil. 02:13, les
souffrances des
croyants, 1 Pi.
03:17, vie et destin
de l’homme agit
18:21; Romains
15:32; Jacques 04:15
et même les plus
petites choses de la
vie, Matthieu 10:29.
C’est pourquoi la
théologie chrétienne
a reconnu toujours
la volonté de Dieu
comme la cause
ultime de toutes
choses, si la
philosophie a montré
parfois une tendance
à chercher une cause
plus profonde dans
l’être même de
l’absolu. Toutefois,
la tentative à la
terre tout en étant
de Dieu très
généralement traduit
par le panthéisme.
Le
mot « volonté » tel
qu’appliqué à Dieu
ne toujours pas la
même connotation
dans l’écriture. Il
peut signifier (1)
la nature de toute
morale de Dieu, y
compris ces
attributs comme
l’amour, la
sainteté, la
justice, etc..; (2)
la faculté de
l’autodétermination,
c'est-à-dire le
pouvoir de décider
soi-même à une ligne
de conduite ou pour
établir un plan; (3)
le produit de cette
activité,
c'est-à-dire le plan
prédéterminé ou le
but; (4) le pouvoir
d’exécuter ce plan
et de réaliser ce
but (la volonté en
action ou
omnipotence); et (5)
la règle de vie
fixées pour les
créatures
rationnelles. C’est
avant tout la
volonté de Dieu
comme la faculté
d’autodétermination
qui nous intéresse
aujourd'hui. Il peut
être défini comme
que la
perfection de son
être par laquelle il,
dans un
acte plus simple,
sort
vers lui-même comme
le plus grand bien
(je.
e.
prend plaisir à
lui-même comme tel)
de et
envers ses créatures
pour son propre
nom saké
et est
ainsi le fondement
de leur être et
existence. En
ce qui concerne
l’univers et toutes
les créatures qu’il
contient, cela
inclut naturellement
l’idée de causalité.
Bref, la Volonté
de Dieu est la Vie
éternelle dans
l'expression de ses
réflexions sur
Lui-même.
b.
Distinctions
appliquent à la
volonté de Dieu.
Plusieurs
distinctions ont été
appliquées à la
volonté de Dieu.
Certains de ces
trouvé peu de faveur
dans la théologie
réformée, telles que
la distinction entre
un
antécédent et
un
conséquent
volonté de Dieu, et
qu’entre un
absolu
et une
conditionnelle
sera. Ces
distinctions
n’étaient pas seuls
responsables à des
malentendus, mais
ont été interprétées
en fait une manière
répréhensible.
D’autres, cependant,
ont trouvé utiles et
étaient donc plus
généralement
reconnus. Ils ont
peuvent être déclaré
comme suit: (1) de
la
decretive et la
volonté d’adopter de
Dieu. La
première est la
volonté de Dieu par
quels buts He ou
tout ce qui
arrivera, si il veut
pour accomplir
efficacement les
décrets (causatively),
ou de permettre
qu’elle s’exécute
par le biais de
l’Agence effrénée de
ses créatures
rationnelles. Ce
dernier est la règle
de vie que Dieu a
prévu pour ses
créatures morales,
indiquant les
fonctions qu’il
impose sur eux.
L’ancien est
toujours réalisé,
alors que ce dernier
est souvent désobéi.
(2) la
volonté d’Eudoxie et
la volonté d’eurestia.
Cette division a été
faite, non pas tant
dans le cadre de
l’objectif de le
faire, car en ce qui
concerne le plaisir
dans la pratique, ou
le désir de voir
quelque chose. Il
correspond à ce qui
précède, cependant.
dans le fait que la
volonté d'
Eudoxie,
comme celui du
décret, comprend ce
qui doit
certainement être
accompli, tandis que
la volonté
eurestia,
comme celui du
précepte, embrasse
tout simplement ce
que Dieu est heureux
de faire ses
créatures. mot
eudokia
ne doit pas nous
induire en erreur de
penser que la
volonté de
Eudoxie
a référence
seulement au bien et
pas au mal, Matt.
11:26. C’est à peine
correct de dire que
l’élément de
complaisance ou le
plaisir est toujours
présente en elle.
(3) la
volonté de la
beneplacitum et la
volonté de la signum.
L’ancien nouveau
dénote la volonté de
Dieu telle
qu’incarnée par son
avocat cachée,
jusqu'à ce qu’il a
en fait connu par
une révélation, ou
par l’événement
lui-même. Tout
testament qui se
révèle donc devient
un
signum. Cette
distinction est
censée correspondre
à celui entre la
decretive et la
volonté d’adopter de
Dieu, mais il peut
difficilement dire
de le faire. Le bon
plaisir de Dieu
trouve aussi
l’expression dans
son adopter sera; et
la volonté decretive
vient parfois aussi
à notre connaissance
par un signum. (4)
le
secret et la
révélation sera de
Dieu. Il s’agit
de la distinction
plus courante. La
première est la
volonté du décret de
Dieu, qui est en
grande partie cachée
en Dieu, tandis que
la seconde est la
volonté du précepte,
qui se révèle dans
la Loi et
l’Évangile. La
distinction est
fondée sur le
Deutéronome 29: 29.
La volonté secrète
de Dieu est
mentionnée dans
Psaume 115:3; Dan.
04:17, 25, 32, 35;
ROM. 09:18, 19;
11:33, 34; Éphésiens
1:5, 9, 11; et sa
volonté révélée,
dans Matthieu 07:21;
12:50; John 04:34;
07:17; Romains 12:2.
Ce dernier est
accessible à tous et
n’est pas loin de
nous, Deut. 30: 14;
Romains 10:8. Le
secret sera de Dieu
se rapporte à tout
ce qu’il veut soit
pour effet ou pour
permettre, et qui
sont donc absolument
fixe. La volonté
révélée prescrit les
droits de l’homme et
représente la
manière dont il peut
jouir des
bénédictions de
Dieu.
c. la
liberté de
Dieu. La
question est
fréquemment débattue
si Dieu, dans
l’exercice de sa
volonté, agit
nécessairement ou
librement. La
réponse à cette
question nécessite
une discrimination.
Comme il y a une
scientia necessaria
et une
scientia libera,
il y a aussi un
voluntas necessaria
(volonté nécessaire)
et un
voluntas libera
(libre arbitre) en
Dieu. Dieu lui-même
est l’objet du
premier. Il a
nécessairement
les testaments
lui-même, sa nature
Sainte et les
distinctions
personnelles dans la
divinité. Cela
signifie qu’il aime
lui-même et se
délecte dans la
contemplation de son
propre perfections
nécessairement.
Pourtant il est sous
aucune contrainte,
mais il agit
conformément à la
Loi de son être; et
ceci, si elle est
nécessaire, est
aussi la liberté
plus élevée. Il est
évident que l’idée
de causalité est
absente ici, et que
la pensée de
complaisance ou
approuvé est au
premier plan. Les
créatures de Dieu,
cependant, sont les
objets de sa
voluntas libera.
Dieu détermine
volontairement
ce qui et dont il
créera, le times,
lieux et
circonstances, de
leur vie. Il jalonne
le chemin d’accès de
toutes ses créatures
rationnelles,
détermine leur
destin et les
utilise à ses fins.
Et bien qu’il les
dote de liberté,
encore sa volonté
contrôles leurs
actions. La Bible
parle de cette
liberté de la
volonté de Dieu dans
les termes les plus
absolus, Job 11:10;
33:13; PS. 115:3;
Prov. 21:1; Ésaïe
10:15; 29: 16; 45:9;
Matthieu 20:15; ROM.
09:15-18,20,21; I
Corinthiens 12:11;
04:11. L’Eglise a
toujours défendu
cette liberté, mais
a également souligné
le fait qu’il ne
peut pas être
considéré comme une
indifférence
absolue. Duns Scot
appliqué l’idée d’un
testament en aucun
sens déterminé à
Dieu; mais cette
idée d’une volonté
aveugle, agissant
avec une parfaite
indifférence, a été
rejetée par
l’église. La liberté
de Dieu n’est pas
l’indifférence pure,
mais
l’autodétermination
rationnelle. Dieu a
des raisons de prêt
comme il le fait,
qui induisent lui
choisir une fin
plutôt qu’un autre
et un ensemble de
moyens pour
accomplir une
extrémité préférence
à d’autres. Il y a
dans chaque cas un
motif qui prévaut,
ce qui rend la fin
choisie et les
moyens choisis la
plus agréable pour
lui, bien que nous
ne soyons pas en
mesure de déterminer
quel est ce motif.
En général on peut
dire que Dieu ne
peut pas se tout ce
qui est contraire à
sa nature, sa
sagesse ou l’amour,
à sa droiture ou la
sainteté. Dr.
Bavinck souligne que
nous pouvons
discerner rarement
pourquoi Dieu a
voulu une chose
plutôt qu’une autre,
et qu’il n’est pas
possible ni même
admissible pour nous
de chercher un motif
plus profond des
choses que la
volonté de Dieu,
parce que toutes ces
tentatives
d’entraîner à la
recherche d’un
terrain pour la
créature dans l’être
même de Dieu, en le
privant de sa nature
de contingent et en
la rendant divin
éternel, nécessaire.
d.
en ce qui concerne
le péché.
de Dieu La doctrine
de la volonté de
Dieu donne souvent
lieu à des questions
sérieuses. Problèmes
posent ici qui n’ont
encore jamais été
résolus et qui sont
probablement
incapables de
solution par
l’homme.
(1) il est dit que
si la volonté
décrétale de Dieu a
également déterminé
l’entrée du péché
dans le monde, Dieu
devient de ce fait
l’auteur du péché et
veut vraiment
quelque chose qui va
à l’encontre de ses
perfections morales.
Les Arminiens, pour
échapper à la
difficulté, faire la
volonté de Dieu afin
de permettre le
péché dépendre de sa
prescience du cours
dont l’homme
choisirait.
Théologiens
réformés, tout en
maintenant sur la
base de tels
passages comme actes
02:23; 3:8; etc.,
que la volonté
décrétale de Dieu
comprend également
les actes
pécheresses de
l’homme, sont
toujours pris soin
de souligner que
cela doit être
conçue de telle
sorte que Dieu ne
devienne pas
l’auteur du péché.
Franchement, ils
admettent qu’ils ne
peuvent pas résoudre
la difficulté, mais
en même temps faire
quelques
distinctions
précieuses qui
s’avèrent utiles. La
plupart d'entre eux
insiste là-dessus
que la volonté de
Dieu en ce qui
concerne le péché
est tout simplement
une volonté de
permettre le péché
et non pas une
volonté à effectuer,
comme il le fait le
bien moral. Cette
terminologie est
certainement
permise, autant il
est bien compris. Il
faut avoir à
l’esprit que la
volonté de Dieu afin
de permettre le
péché porte
certitude avec elle.
D’autres appellent
l’attention sur le
fait que, tandis que
les termes
« seront » ou « à
volonté » peut
comprendre l’idée de
complaisance ou de
plaisir, ils
mentionnent parfois
une simple
détermination de la
volonté; et que par
conséquent la
volonté de Dieu afin
de permettre le
péché n’impliquent
qu’il prend plaisir
ou pour le plaisir
dans le péché.
(2)
encore une fois, il
est dit que la
volonté décrétale et
adopter de Dieu sont
souvent
contradictoires. Son
décrèt comprend
beaucoup de choses
qu’il a interdit
dans son adopter
sera et exclut
beaucoup de choses
quelles commandes He
dans son testament
adopter, cf. Genèse
22; Ex. 04:21-23;
IIIème rois 20:1-7;
Actes à 02:23.
Pourtant, il est
très important pour
maintenir la
decretive et la
volonté d’adopter,
mais avec la
compréhension
précise que, bien
qu’ils nous
apparaissent comme
distincts, ils sont
encore
fondamentalement un
en Dieu. Si une
solution
parfaitement
satisfaisante de la
difficulté est hors
de question pour
l’instant, il est
possible de faire
des approches à une
solution. Lorsque
nous parlons de la
decretive et la
volonté d’adopter de
Dieu, nous utilisons
la mot « volonté »
dans deux sens
différents. L’ancien
Dieu a déterminé ce
qu’il fera ou ce qui
arrivera; dans le
second cas il nous
révèle ce que nous
sommes en devoir de
le faire.
dans le même temps,
on retiendra que la
loi morale, la règle
de notre vie, est
aussi en quelque
sorte l’incarnation
de la volonté de
Dieu. C’est
l’expression de son
caractère sacré et
de ce que cela exige
naturellement de
toutes les créatures
morales. C’est
pourquoi une autre
remarque doit être
ajouté à ce qui
précède. Le
decretive et adopter
sera de Dieu ne pas
entrer en conflit en
ce sens que, dans
l’ancienne qu’il
fait, et selon ce
dernier, il n’est
pas, prenez plaisir
dans le péché; pas
plus, en ce sens
que, selon l’ancien
qu'il n’est pas et
selon ce dernier, il
le fait, que le
salut de chaque
individuels
avec
une volonté positive.
Même selon la
volonté de decretive
Dieu ne prend aucun
plaisir dans le
péché; et même selon
la volonté
d’adopter, il ne pas
sera le salut de
chaque individuels
avec
une volonté positive.
2.
la puissance
souveraine de Dieu.
La souveraineté de
Dieu trouve
expression, non
seulement dans le
divin, mais aussi
dans la
toute-puissance de
Dieu ou le pouvoir
d’exécuter sa
volonté. Puissance
de Dieu peut être
appelé l’énergie
efficace de sa
nature, ou
que la
perfection de son
être par laquelle il
est la causalité
absolue et la plus
haute. Il est
d’usage de
distinguer entre une
potentia Dei
absoluta
(pouvoir absolu de
Dieu) et un
potentia Dei
ordinata
(puissance ordonnée
de Dieu). Cependant,
la théologie
réformée rejette
cette distinction
dans le sens où il a
été entendu par la
scolastique, qui
prétendaient que
Dieu en vertu de son
pouvoir absolu
pourrait effectuer
des contradictions
et pourrait même
péché et anéantir
lui-même. Dans le
même temps, elle
adopte la
distinction comme
exprimant une vérité
vraie, bien qu’il ne
le représente pas
toujours de la même
manière. Selon Hodge
et Shedd pouvoir
absolu est
l’efficacité divine,
telle qu’exercée
sans l’intervention
des causes secondes;
alors que la
puissance ordonnée
est l’efficacité de
Dieu, telle
qu’exercée par
l’exploitation
ordonnée des causes
secondes.
La
vue plus général,
est exprimée par
Charnock comme suit:
« absolu, est ce
pouvoir par lequel
Dieu est capable de
faire ce qu’il ne
fera pas, mais il
est possible de le
faire; ordonnée, est
ce pouvoir par
lequel Dieu est ce
qui il a décrété de
faire, c'est-à-dire,
qu’il a ordonné ou
nommé doit être
exercé; qui ne sont
pas des pouvoirs
distincts, mais la
même puissance. Sa
puissance ordonnée
est une partie de
son absolu; car s’il
n'avait pas le
pouvoir de faire
tout ce qu’il
pouvait, il ne
pourrait pas le
pouvoir de faire
tout ce qu’il
sera. »
potentia ordinata
peut être défini
comme
que la perfection de
Dieu par lequel il,
par le
simple exercice de
sa volonté,
peut
réaliser tout ce qui
est présent dans son
testament ou un
avocat. La
puissance de Dieu
dans la mise en
oeuvre effective se
limite à celle qui
est comprise dans
son décret éternel.
Mais l’exercice
effectif du pouvoir
de Dieu ne
représente pas ses
limites. Dieu
pouvait faire plus
que cela, s’il était
tellement occupé. En
ce sens, nous
pouvons parler de la
potentia absoluta,
ou le pouvoir absolu
de Dieu. Cette
position doit être
maintenue par
rapport à ceux qui,
comme Schleiermacher
et Strauss,
soutiennent que la
puissance de Dieu se
limite à celle qu’il
accomplit en fait.
Mais dans notre
affirmation de la
toute-puissance de
Dieu, il est
nécessaire de se
prémunir contre les
idées fausses. La
Bible nous enseigne
d’une part que la
puissance de Dieu
s’étend au-delà de
ce qui est
effectivement
réalisées, 18:14;
Jérémie 32: 27; Zach.
8:6; Matthieu 3:9;
26:53. que donc,
nous ne pouvons dire
que ce que Dieu
n’apporte pas à la
réalisation, n’est
pas possible pour
lui. Mais d’autre
part, il indique
également qu’il y a
beaucoup de choses
que Dieu ne peut pas
faire. Il peut
mentir, pécher,
changer, ni renonce
à lui-même, nombres
23:19; J’ai Samuel
15:29; II Timothée
02:13; Héb. 06:18;
Jacques 01:13, 17.
Il n’y a pas de
pouvoir absolu en
lui qui est divorcé
de ses perfections,
et en vertu de
laquelle il peut
faire toutes sortes
de choses qui sont
intrinsèquement
contradictoires.
L’idée de la
toute-puissance de
Dieu est exprimée
dans le nom de "El-Shaddai;
et la Bible en parle
en termes non
équivoques, Job à
09:12; PS. 115:3;
Jérémie 32: 17;
Matthieu 19:26; Luc
01:37; Rom. 1:20;
Ep. 01:19. Dieu
manifeste sa
puissance dans la
création, Rom.
04:17; Ésaïe 44: 24;
dans les œuvres de
la providence,
Hébreux 1:3 et à la
rédemption des
pécheurs, I Cor.
01:24; Rom. 1:16.
QUESTIONS
Pour une étude plus
approfondie. Dans
quels sens
différents peut-on
parler de la
prescience de Dieu ?
Comment les
arminiens concevoir
cette prescience ?
Quelles objections
sont là pour l’idée
du jésuite de
scientia média?
Comment devons nous
juger de l’accent
moderne sur l’amour
de Dieu comme
l’attribut central
et déterminant tout
de Dieu ? Ce qui est
conception d’Otto de
« le Saint » en
Dieu ? Quelle
objection est là
pour la position que
les punitions de
Dieu servent
simplement à
réformer le pécheur,
ou à dissuader
d’autres personnes
du péché ? Quel est
le Socinien et la
conception Grotian
de justice
rétributive en
Dieu ? Est-il
correct de dire que
Dieu peut faire tout
en vertu de son
omnipotence ?
LITTÉRATURE:
Bavinck,
Geref. Dogme.
II,
pp. 171-259; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De Deo
I, pp. 355-417; Vos,
Geref. Dogme.
I,
pp. 2-36; Hodge,
Syst.
Theol. I, p.
393-441; Shedd,
dogme
.
Théol. J’ai,
pp. 359-392; Dabney,
syst
et trouvailles.
THEOL.,
p. 154-174; Pape,
Chr.
Theol. I, pp.
307-358; Watson,
Théol.
Inst. Partie
II, Chap. II;
Wilmers,
Manuel
de la Religion Chr.,
pp... 171-181;
Harris,
Dieu,
créateur et Seigneur
de tous,
I,
pp. 128-209;
Discours de Charnock,
l’Existence et les
attributs de Dieu,
III, VII-IX; Bates,
sur les
attributs;
Clarke,
La Doctrine
chrétienne de Dieu,
pp. 56-115; Snowden,
la
personnalité de Dieu;
Adeney,
la Conception
chrétienne de Dieu,
pp. 86-152;
Macintosh,
la
théologie comme une
Science empirique,
pp. 159-194; Strong,
Syst.
Theol., pp.
282-303.
VIII. la Sainte-Trinité
A. la Doctrine de la
Trinité dans
l’histoire.
La doctrine de la
Trinité a toujours
été entourée de
difficultés, et il
n’est donc
aucunement étonnant
que l’église dans sa
tentative de la
formuler, a été à
plusieurs reprises
tenté de
rationaliser et de
donner une
interprétation de ce
qui n’a pas à rendre
justice aux données
scripturaires.
La raison est
pourtant simple,
comme nous l'avons
déjà mentionné plus
haut, car la
doctrine de la
Trinité est une pure
invention
philosophique
hautement
spéculative sur
l'Existence du
mystère de Dieu.
Elle est issue du
platonisme et n'a
aucun rapport avec
les
Saintes-Écritures
sauf en apparence
seulement. Nulle
part la Bible
enseigne-t-elle une
telle chimère
monstrueuse dans
laquelle les
théoriciens divisent
Dieu en trois
personnes
distinctes. Ce
torchon spirituel a
été engendré par
l'Église Catholique
de la Rome impériale
sous Constantin pour
devenir le balourd
des générations
futures. Ce Cerbère
théologique a
tellement pénétré le
psyché humain qu'il
est presque
impossible de le
déloger sans une
intervention divine.
1.
la période de
pré-réforme.
Les Juifs du temps
de Jésus ont
beaucoup insisté sur
l’unité de Dieu, et
cette insistance a
été intégré dans
l'Église Chrétienne
dite Catholique
ou Universelle.
C’est ainsi que
certains exclu
totalement les
distinctions
personnelles dans la
divinité et que
d’autres n’ont pas
pu pleinement rendre
justice à la
divinité essentielle
des deuxième et
troisième personnes
de la Sainte
Trinité.
Appelons ces gens
de la résistance les
premiers héros de la
foi chrétienne qui
ont subis la
persécutions de la
part de ceux qui se
disent chrétiens
pour avoir maintenue
l'unité de Dieu,
quoique souvent de
façon imparfaite et
insuffisante.
Le grand philosophe,
Tertullien, a été le
premier
faux chrétien
à employer le terme
« Trinité » et à
élaborer la
doctrine, mais sa
formulation était
déficiente,
puisqu’il s’agissait
d’une subordination
injustifiée du fils
au père. Origène
d'Alexandrie,
qui a donné une
directions aux
forces de
l'apostasie avec son
Hexaples dans
laquelle il a érigé
la Septante
originale et dont il
en est l'auteur,
est allé encore plus
loin dans cette
direction en
enseignant
explicitement que le
fils est subordonné
au père
à l’égard de
l’essence, et
que le Saint-Esprit
est subordonné même
au fils. Il a nui à
la divinité
essentielle de ces
deux personnes dans
la divinité et monté
un tremplin pour les
Ariens, qui ont nié
la divinité du fils
et du Saint-Esprit
en représentant le
fils comme la
première créature du
père et l’Esprit
Saint comme la
première créature du
fils.
Comprenons aussi
qu'Origène
attribuait la rançon
de sacrifice de la
croix à Satan,
franchement quoi
d'autre peut-on
s'attendre d'un tel
imposteur.
Ainsi la
consubstantialité du
fils et du
Saint-Esprit avec le
père a été
sacrifiée, afin de
préserver l’unité de
Dieu; et les trois
personnes
imaginaires
de la divinité ont
tenté de se
distinguer dans le
grade. Les Ariens
conservaient un
semblant de la
doctrine des trois
personnes dans la
divinité, mais cela
a été sacrifié par
monarchisme, en
partie dans
l’intérêt de l’unité
de Dieu et, en
partie, pour
maintenir la
divinité du fils.
Quel artifice
lorsque les
trinitaires ne font
pas mieux.
Le Monarchianisme
dynamique a vu en
Jésus un homme et en
l’Esprit Saint une
influence divine,
tandis que le
Modalisme
Monarchianisme
considéré le père,
le fils et le
Saint-Esprit, comme
simplement trois
modes de
manifestation
assumées
successivement par
la divinité.
Mais cela n'est
pas tout à fait
exact car il y avait
différents camps
d'interprétations
dans le Modalisme.
Celui de Noët et de
Praexas, nommé aussi
le Patripacisme,
voyait en Jésus le
Père manifesté dans
la chair comme Fils,
ce qui est fortement
en accord avec les
Saintes-Écritures.
Tandis que le camp
du Sabellianisme
voyait en Dieu trois
modes intérimaires
et successifs, ce
qui est une hérésie
grossière par
rapport à la
révélation des
Saintes-Écritures.
D’autre part il y
avait aussi certains
qui ont perdu de vue
l’unité de Dieu à un
point tel qu’ils
établirent un
trithéisme
idolâtre.
Certains des
Monophysites
ultérieurs, tels que
John Ascunages et
John Philoponus,
sont tombé dans
cette erreur.
Pendant le moyen-âge
le nominaliste,
Roscelinus, a été
accusé de la même
erreur. L’Église a
commencé à élaborer
sa doctrine de la
Trinité au IVe
siècle,
puisqu'elle
n'existait pas
auparavant sauf dans
les anciennes
religions à mystères.
Le Concile de Nicée,
avec ses
déviations subtiles
et raffinées,
a déclaré le fils
d’être
co-essentielle avec
le père (325 après
JC), alors que le
Concile de
Constantinople (381
AP. J.-C.) a affirmé
la divinité du
Saint-Esprit, mais
pas avec la même
précision. Quant à
l’interrelation des
trois, il a été
officiellement
professé que le fils
est généré par le
père
(donc deux fois
nés), et
que le Saint-Esprit
procède du père et
du fils (lorsqu'il
est lui-même le Père
et le Fils). À l’est
l'aberration
de la doctrine de la
Trinité a trouvé sa
déclaration
insidieuse
plus complète dans
l'œuvre de Jean de
Damas et dans
l’Ouest, dans
l'œuvre d’Augustin
De
Trinitate.
L’ancienne conserve
encore un caractère
de subordination,
qui est entièrement
éliminée par ce
dernier.
2.
la période
post-réforme.
Nous n’avons aucun
développement
ultérieur de la
doctrine de la
Trinité, mais
seulement rencontrer
à plusieurs reprises
certaines des plus
anciennes
élaborations
erronées de celle-ci
après la réforme.
Les arminiens,
Episcopius,
Curcellæus et Ltizia,
relancèrent la
doctrine de la
subordination,
encore une fois, il
semble donc dans le
but de maintenir
l’unité de la
divinité. Ils ont
attribué au père une
certaine prééminence
sur les autres
personnes,
dans
l’ordre,
la
dignité
et la
puissance. Une
position un peu
similaire a été
prise par Samuel
Clarke en Angleterre
et par le théologien
luthérien, Kahnis.
D’autres ont suivi
le chemin indiqué
par Sabellius par
l’enseignement d’une
espèce de Modalisme,
comme, par exemple,
Emanuel Swedenborg,
qui a jugé que
l’homme-Dieu éternel
s’est fait chair
dans le fils et
exploité par le
Saint-Esprit; Hegel,
qui parle du père
comme Dieu en
lui-même, le fils
comme Dieu lui-même
objectivant et de
l’Esprit Saint comme
Dieu revenant à
lui-même; et
Schleiermacher, qui
considère les trois
personnes sous trois
aspects de Dieu: le
père est Dieu comme
l’unité sous-jacente
de toutes choses, le
fils est Dieu comme
venant d’une
personnalité
consciente chez
l’homme et l’Esprit
Saint est Dieu comme
vivant dans
l’église. Les
Sociniens des jours
de la réformation
sont déplacés le
long des lignes
ariennes, mais il
sont même allé
au-delà Arius, en
faisant de Dieu
simplement un homme
et de l’Esprit Saint
un pouvoir ou
influence de Christ.
Ils étaient les
précurseurs des
unitaires et aussi
des théologiens
libéraux qui parlent
de Jésus comme un
Maître divin et
identifient le
Saint-Esprit avec le
Dieu immanent.
Enfin, il y a aussi
certains qui,
puisqu’ils
considéraient
l’énoncé de la
doctrine d’une
Trinité ontologique
comme
inintelligible,
voulaient l'arrêter
trop tard et
restèrent satisfait
de la doctrine d’une
Trinité économique,
une Trinité telle
que révélée dans le
œuvre de rédemption
et dans l’expérience
humaine, comme Moses
Stuart, W. L.
Alexander et W. A.
Brown. Pendant un
temps considérable
l'intérêt dans la
doctrine de la
Trinité a diminué,
et sa discussion
théologique centrée
plus
particulièrement sur
la personnalité de
Dieu. Brunner et
Barth ont à nouveau
appelé l’attention
sur son importance.
Ce dernier la place
très bien au premier
plan, discuté dans
le cadre de la
doctrine de la
révélation et
consacre 220 pages
de sa théologie
dogmatique à elle.
Matériellement, il
dérive de la
doctrine de
l’Écriture, mais,
officiellement et
logiquement, il
trouve qu’il est
impliqué dans la
phrase simple,
« Dieu parle ». Il
est révélateur
(père), Apocalypse
(fils) et
Révélationiste
(Saint-Esprit). Il
se révèle, il est la
révélation, et il
est également le
contenu de la
révélation. Dieu et
sa révélation sont
identifiés. Il reste
aussi Dieu dans sa
révélation,
absolument libre et
souverain. Ce point
de vue de Barth
n’est pas une espèce
de Sabellianisme,
car il reconnaît
trois personnes dans
la divinité. En
outre, il ne permet
pas une
subordination. Il
dit: « Ainsi, le
même Dieu qui, dans
l’unité
irréprochable est
révélateur,
révélation et
Révélationiste, est
également attribuée
en variété
irréprochable en
lui-même précisément
ce triple mode
d’être. »
B. Dieu Trinité dans
l’unité.
Le mot « Trinité »
n’est pas tout à
fait aussi expressif
que le mot de
Hollande « Drieeenheid »,
qui peut simplement
signifier «l’état
d’être de trois» ou
«triplicité
d'existence», sans
aucune implication
quant à l’unité des
trois. Il est
généralement admis,
cependant, que,
comme un terme
technique en
théologie, il inclut
cette idée. Il va
sans dire que, quand
nous parlons de la
Trinité de Dieu,
nous nous référons à
une Trinité dans
l’unité et à une
unité qui est trine.
Mais il s'agit
néanmoins d'une
tri-unité de
personnes distinctes
dans l'essence
unique de Dieu, ce
qui est nul autre
que du trithéisme,
car trois personnes
est l'équivalent de
trois dieux, malgré
toutes les
affirmations du
contraire de la part
des réprouvés qui
veulent dominer sur
la foi et les
consciences. Comme
nous l'avons
souligné auparavant,
il ne s'agit pas de
trois personnes
distinctes, mais
d'une triple
conscience
d'existence dans
l'unité de l'essence
divine, révélant un
seul Dieu. La vérité
est plutôt qu'il y a
une triple
conscience
d'existence dans
l'essence unique de
Dieu, et non trois
personnes
distinctes.
1.
la personnalité de
Dieu et de la
Trinité.
Comme indiqué dans
ce qui précède, les
attributs
transmissibles de
Dieu soulignent sa
personnalité, car
ils le révèlent
comme un être
rationnel et moral.
Sa vie se distingue
clairement devant
nous dans l’Écriture
comme une vie
personnelle
ou plus
précisément une vie
originale et
extraordinaire;
et c’est, bien sûr,
la plus haute
importance de
maintenir la
personnalité de
Dieu, car sans elle
il ne peut y avoir
aucune religion dans
le vrai sens du mot:
aucune prière,
aucune communion
personnelle, aucune
confiance ou
assurance et aucun
espoir. Puisque
l’homme est créé à
l’image de Dieu,
nous apprenons à
comprendre quelque
chose de la vie
personnelle de Dieu,
de la contemplation
de la personnalité
que nous connaissons
chez l’homme. Nous
devons être
prudents, cependant,
ne pas de mettre en
place la
personnalité de
l’homme en tant que
norme par laquelle
la personnalité de
Dieu doit être
mesurée. La forme
originale de la
personnalité n’est
pas chez l’homme
mais en Dieu; C’est
archétypal, tandis
que l’homme est
ectype. Ce dernier
n’est pas identique
à l’ancienne, mais
contient de faibles
traces de similitude
avec elle. Nous ne
devrions pas dire
que l’homme est
personnelle, alors
que Dieu est
super-personnel (un
terme très
malheureux), pour ce
qui est super
personnel n’est pas
personnelle; mais
plutôt que ce qui
apparaît comme
l’imparfait chez
l’homme existe dans
la perfection
infinie de Dieu. La
seule différence
remarquable entre
les deux est que
l’homme est
uni-personnels,
alors que Dieu est
tri-personnel. Et
cette existence
tri-personnel est
une nécessité dans
l’etre divin et non
pas dans n’importe
quel sens le
résultat d’un choix
de Dieu. Il ne
pourrait exister que
dans tout autre que
la forme
tri-personnel. Cela
a été avancé de
diverses manières.
Il est très fréquent
d’argumenter il de
l’idée de la
personnalité
elle-même. Shedd
fonde son
argumentation sur la
conscience de soi
générale
du Dieu triune, par
opposition à la
conscience de soi
individuelle
particulière de
chacune des
personnes dans la
divinité, car dans
la conscience de
soi, le sujet doit
savoir lui-même
comme une objet et
aussi percevoir que
ce n’est. Ceci est
possible à Dieu à
cause de son
existence trinal. Il
dit que Dieu ne
pouvait pas être
auto contemplatif,
self-cognitif et
Self communier, s’il
n’était pas trinal
dans sa
constitution.
Bartlett présente
d’une manière
intéressante de
diverses
considérations pour
prouver que Dieu est
nécessairement
tri-personnel.
L’argument de la
personnalité, pour
prouver au moins une
pluralité en Dieu,
peut être mis dans
une telle forme
comme ceci: chez les
hommes, l’ego
s’éveille à la
conscience que par
contact avec le non
ego. Personnalité ne
développent pas
exister isolément,
mais uniquement en
association avec
d’autres personnes.
Il n’est donc pas
possible de
concevoir la
personnalité de Dieu
en dehors d’une
association de
personnes
égales
en lui. Son contact
avec ses créatures
ne représenteraient
pas pour sa
personnalité pas
plus que le contact
de l’homme avec les
animaux qui
expliquerait sa
personnalité. En
vertu de l’existence
de tri-personnel de
Dieu, il y a une
plénitude infinie de
la vie divine en
lui. Paul parle de
ce
pleroma
(plénitude) de la
divinité dans
Éphésiens 03:19 et
col. 1:9; 2:9.
compte tenu du fait
qu’il y a trois
personnes en Dieu,
il est préférable de
dire que Dieu est
personnel que de
parler de lui en
tant que personne.
2.
la preuve
SCRIPTURAIRE pour la
DOCTRINE de la
Trinité. La
doctrine de la
Trinité est très
nettement une
doctrine de la
révélation,
mais d'une
révélation
extra-biblique.
Il est vrai que la
raison humaine peut
suggérer quelques
réflexions à l’appui
de la doctrine, et
que les hommes ont
parfois pour des
motifs purement
philosophiques
abandonné l’idée
d’une unité nue en
Dieu et a introduit
l’idée du mouvement
de la vie et de
l'auto-distinction.
Et il est également
vrai que
l’expérience
chrétienne semble
exiger une telle
interprétation de la
doctrine de Dieu.
Dans le même temps,
c’est une doctrine
qui nous n'aurait
pas su, ni pu
entretenir avec un
certain degré de
confiance, sur la
base de l’expérience
seul, et qui est
portée à notre
connaissance que par
la révélation
spéciale de Dieu.
Par conséquent, il
est primordial que
nous nous
rassemblons les
preuves scripturales
pour elle.
a.
preuves de l’ancien
Testament.
Certains les
premiers pères de
l’église et même
certains théologiens
plus tard, sans
tenir compte du
caractère progressif
de la révélation de
Dieu, a donné
l’impression que la
doctrine de la
Trinité a été
totalement révélée
dans l’ancien
Testament. En
revanche, Sociniens
et arminiens étaient
d’avis qu’il ne
figurait pas là du
tout. Tous deux sont
trompaient. L’ancien
Testament ne
contient pas une
pleine révélation de
l’existence de
Trinitaire de Dieu,
mais contient
plusieurs
indications de
celui-ci. Et c’est
exactement ce qui
pouvait s’y
attendre. La Bible
ne traite de la
doctrine de la
Trinité comme une
vérité abstraite,
mais révèle la vie
trinitaire dans ses
différentes
relations comme une
réalité vivante,
dans une certaine
mesure dans le cadre
de travaux de
création et
providence, mais
surtout par rapport
à la œuvre de
rédemption. Sa
révélation plus
fondamentale est une
révélation donnée en
faits plutôt qu’en
mots. Et cette
révélation augmente
dans la clarté dans
la mesure où le
œuvre rédemptrice de
Dieu se révèle plus
clairement, comme
dans l’incarnation
du fils et de
l’effusion de
l’Esprit Saint. Et
la plus la réalité
glorieuse de la
Trinité distingue
dans les faits de
l’histoire, la plus
claire les
déclarations de la
doctrine devenue. La
révélation la plus
complète de la
Trinité dans le
Nouveau Testament
est dû au fait que
le verbe s’est fait
chair, et que le
Saint-Esprit a
repris sa demeure
dans l’église.
La
preuve de la Trinité
a parfois été
constatée dans la
distinction entre
Jéhovah et élohim et
aussi dans le
pluriel élohim, mais
le premier n’est pas
tout à fait
justifiée, et cette
dernière est, à tout
le moins, très
douteuse, bien que
Rottenberg il
conserve dans son
travail sur
De
Triniteit en Israels
Godsbegrip.
Il
est plus plausible
que les passages
dans laquelle Dieu
parle de lui-même
dans le pluriel,
1:26; 11:7, contenir
une indication des
distinctions
personnelles en
Dieu, mais même
ceux-ci ne pointent
pas une Trinité mais
seulement une
pluralité de
personnes. Encore
plus claires
indications de
telles distinctions
personnelles sont
trouvent dans ces
passages qui se
réfèrent à l’ange de
Jéhovah, qui est
d’une part identifié
avec Jéhovah et
distingue d’autre
part de lui, Genèse
16:7-13; 18:1-21;
19:1-28; Malachie
3:1; et aussi en
passages où le mot
ou la sagesse de
Dieu est
personnifiée, Psaume
33: 4, 6; Prov.
08:12-31. Dans
certains cas plus
d’une personne est
mentionnée, Psaume
33: 6; 45: 6, 7 (comp.
Héb. 1:8, 9) et dans
d’autres Dieu est
l’actuel président
et mentionne que le
Messie comme
l’esprit, ou le
Messie est l’orateur
qui parle de Dieu et
l’esprit, Ésaïe 48:
16; 61: 1; 63: 9,
10. L’ancien
Testament contient
donc une prévision
claire de la
révélation plus
complète de la
Trinité dans le
Nouveau Testament.
b.
les preuves de
Nouveau Testament.
Le Nouveau Testament
porte en lui une
révélation plus
claire des
discriminations dans
la divinité. Si dans
l’ancien Testament,
Jéhovah est
représenté comme le
Rédempteur et
Sauveur de son
peuple, emploi.
19:25; PS. 19:14;
78:35; 106:21; Ésaïe
41: 14; 43:3, 11,
14; 47:4; 49: 7, 26;
60:16; Jérémie 14:3;
50:14; Osée 13:3,
dans le Nouveau
Testament, le fils
de Dieu se démarque
clairement à ce
titre, Matthieu
01:21; Luc 1:76-79;
02:17; John 04:42;
Actes 5:3; GAL
03:13; 4:5; Phil.
03:30; Tite 02:13,
14. Et si, dans
l’ancien Testament,
c’est Jéhovah qui
habite entre Israël
et dans les coeurs
de ceux qui
craignent, PS. 74:2;
135:21; Ésaïe 08:18;
57.15; Ézéchiel
43:7-9; Joel 03:17,
21; Zacharie 02:10,
11, dans le Nouveau
Testament, c’est le
Saint-Esprit qui
habite dans
l’église, actes 2:4,
Rom. 8:9, 11; I
Corinthiens 03:16;
Galates 4:6; EP
02:22; Jas. 4:5. Le
Nouveau Testament
offre la révélation
claire de Dieu
envoyant son fils
dans le monde, John
03:16; Galates 4:4;
Hébreux 1:6; J’ai
John 4:9; et des
fois le père et le
fils, envoi de
l’esprit, Jean
14:26; 15:26; 16:7;
Galates 4:6. Nous
trouvons le père
s’adressant au fils,
Mark 01:11; Luc
03:22, le fils de
communier avec le
père, Matthieu
11:25, 26; 26: 39;
John 11:41; 12:27,
28 et le
Saint-Esprit prier à
Dieu dans le cœur
des croyants, Rom.
08:26. Ainsi les
personnes séparées
de la Trinité sont
faits de se
démarquer clairement
avant nos esprits.
Au baptême du fils,
le père parle du
ciel, et le
Saint-Esprit descend
sous la forme d’une
colombe, Matthieu
03:16, 17. Dans la
grande commission,
Jésus mentionne
trois personnes:
«... les baptisant
au nom du père et du
fils et du
Saint-Esprit, »
Matthieu 28: 19. Ils
sont également
appelés à côté de
l’autre dans I Cor.
12:4-6; II
Corinthiens 13:14;
et I Pierre 1:2. Le
seul passage parlant
de tri-l’unité est I
Jean 5:7 (auth.
Ver.), mais c’est
l’authenticité
douteuse et est donc
éliminé des
dernières éditions
critiques du Nouveau
Testament.
3.
énoncé de la
DOCTRINE de la
Trinité. La
doctrine de la
Trinité peut mieux
être discutée
brièvement dans le
cadre de diverses
propositions, qui
constituent un
résumé de la foi de
l’Église sur ce
point.
a. il y
a dans l’être divin,
une essence
indivisible (ousia,
essentia).
Dieu est unique dans
son étant essentiels
ou de nature
constitutionnelle.
Quelques-uns des
premiers pères de
l’église utilisé le
terme «substance»
comme synonyme de « essentia »,
mais les auteurs
postérieurs évité
cette utilisationdes
étant donné que,
dans l’Eglise latine
«substantia»
a été utilisé comme
un rendu de «hypostasis»
comme Eh bien à
partir de «ousia»
et est donc ambiguë.
À l’heure actuelle
les deux termes
« substance » et
« essence » est
souvent utilisé
indifféremment. Il
n’y a pas
d’objection à cela,
autant ne pas
oublier qu’ils ont
une connotation
légèrement
différente. Shedd
qui les distingue
comme suit:
« Essence est
esse,
être et signifie
être énergique.
Substance de
substareet
dénote la
possibilité latente
de.... L’essence du
terme décrit Dieu
comme une somme
totale de
perfections
infinies; la terme
substance le décrit
comme le sol
sous-jacent des
activités infinis.
Le premier est,
comparativement, un
verbe actif; le
dernier, un passif.
Le premier est,
comparativement,
spirituelle, le
dernier une
condition
matérielle. On parle
de substance
matérielle plutôt
que de l’essence
matérielle. »
Puisque l’unité de
Dieu a déjà été
discutée dans ce qui
précède, il n’est
pas nécessaire d’y
insister en détail
dans la connexion
actuelle. Cette
proposition
concernant l’unité
de Dieu repose sur
ces passages comme
Deutéronome 6:4;
Jacques 02:19, sur
l’existence autonome
et l’immutabilité de
Dieu et sur le fait
qu’il est identifié
avec ses perfections
que quand il est
appelé vie, lumière,
vérité, justice et
ainsi de suite.
b.
il présente un être
divin en trois
personnes ou
subsistances,
père,
fils
et
Saint-Esprit.
Cela est prouvé par
les divers passages
dénommés justifiant
la doctrine de la
Trinité. Pour
désigner ces
distinctions dans la
divinité, écrivains
grecs généralement
employé le terme
hypostasis,
tandis que les
auteurs latins
utilisé le terme
personaet
parfois de
substantia.
Parce que le premier
était susceptible
d’être trompeuse, et
celui-ci était
ambiguë, le
Schoolmen a inventé
le mot
subsistentia.
La variété des
termes utilisés
souligne le fait que
leur insuffisance a
toujours estimé. Il
est généralement
admis que le mot
« personne » n’est
qu’une expression
imparfaite de
l’idée. Dans le
langage courant, il
désigne une personne
rationnelle et
morale distincte,
douée d’une
conscience de soi et
consciente de son
identité au milieu
de toutes les
modifications.
L’expérience
enseigne que lorsque
vous avez une
personne, vous avez
également une
essence individuelle
distincte. Chaque
personne est une
personne distincte
et séparée, en qui
la nature humaine
est individualisée.
Mais en Dieu il n’y
a pas trois
personnes aux côtés
d’et séparé de
l’autre, mais
seulement
personnelles
self-distinctions au
sein de l’essence
Divine, qui est non
seulement de manière
générique, mais
aussi numériquement,
une. Par conséquent
beaucoup préféraient
parler de trois
hypostases dans
Dieu, trois modes
différents, pas de
manifestation, comme
Sabellius enseigné,
mais de
l’existence ou de
subsistance.
Ainsi Calvin dit:
« par personne,
alors, j’entends une
subsistance dans
l’essence Divine. —
une subsistance qui,
bien que liée aux
deux autres, se
distingue d’eux par
propriétés
incommunicables. »
Cela
est parfaitement
admissible et peut
éviter malentendus,
mais ne doit pas
nous faire perdre de
vue le fait que les
distinctions de soi
dans l’être divin
implique un « I » et
« Tu » et « He »,
dans l’être de Dieu,
qui supposent des
relations
personnelles entre
eux provoquer.
Matthieu 03:16; 4:1;
John 01:18; 03:16;
05:20-22; 14:26;
15:26; 16:13-15.
c.
l'ensemble de
l’essence
indivisible de Dieu
appartient également
à chacune des trois
personnes.
Cela signifie que
l’essence divine
n’est pas réparti
entre les trois
personnes, mais il
est tout à fait avec
toute sa perfection
dans chacune de ces
personnes, afin
qu’ils aient une
unité numérique
d’essence. La nature
divine se distingue
de la nature humaine
en ce qu’il peut
subsister
entièrement et
indivisiblement
dans plus d’une
personne. Alors que
trois personnes chez
les hommes ont
seulement une unité
spécifique de
part nature ou
essence,
c'est-à-dire, dans
le même genre de la
nature ou l’essence,
les personnes dans
la divinité ont une
unité
numérique
d’essence,
c'est-à-dire,
posséder l’essence
identique. La nature
humaine ou essence
peut être considéré
comme une espèce,
dont chaque homme a
une pièce
individuelle, afin
qu’il y a une unité
spécifique (des
espèces); mais la
nature divine est
indivisible et donc
identique en la
personne de la
divinité. C’est
numériquement la
même, et par
conséquent l’unité
de l’essence dans
les personnes est
une unité numérique.
D'où il suit que
l’essence divine
n’est pas une
existence
indépendante aux
côtés des trois
personnes. Il a pas
d’existence en
dehors d’et en
dehors de trois
personnes. Si elle
l’a fait, il y
aurait aucune vraie
unité, mais une
division qui
conduirait dans
tetratheism. La
distinction
personnelle est dans
l’essence divine.
Comme il est
généralement appelé,
cela a trois modes
de subsistance. Une
autre conclusion qui
découle de ce qui
précède, est qu’il
peut y avoir aucune
subordination
quant à
être essentielle
de la personne de la
divinité à l’autre
et donc aucune
différence dans la
dignité des
personnes. Cela doit
être maintenue par
le subordinationisme
de Origen et autres
premiers pères de
l’église et les
arminiens et de
Clarke et d’autres
théologiens
anglicans. La seule
subordination dont
nous pouvons parler,
est une
subordination à
l’égard de l’ordre
et de la relation.
C’est surtout quand
nous réfléchissons
sur la relation
entre les trois
personnes à
l’essence divine que
tous les analogies
nous manquent et
nous devenons
profondément
conscients du fait
que la Trinité est
un mystère bien
au-delà de notre
compréhension. C’est
la gloire
incompréhensible de
la divinité. Tout
comme la nature
humaine est trop
riche et trop plein
pour être incorporés
dans un seul
individu et vient à
son expression
adéquate que dans
l’humanité tout
entière, donc l’etre
divin se déploie
elle-même dans sa
plénitude, que dans
ses trois plier
subsistance du père
, Fils et
Saint-Esprit.
d.
la subsistance et
l’exploitation des
trois personnes dans
l’être divin est
marquée par un
certain ordre défini.
Il y a un certain
ordre dans la
Trinité ontologique.
En subsistance
personnelle du père
est tout d’abord, le
fils en second lieu,
et le Saint Esprit
troisième. Il faut
difficilement dire
que cette ordonnance
ne sont pas liées à
toute priorité de
temps ou de dignité
essentielle, mais
seulement à l’ordre
logique de
dérivation. N’est ni
engendré par le
père, ni le produit
de toute autre
personne; le fils
est éternellement
engendré du père, et
l’esprit procède du
père et le fils de
toute éternité.
Génération et la
procession se
déroulent au sein de
l’etre divin et
impliquent une
certaine
subordination quant
à la manière de
subsistance
personnelle, mais
aucune subordination
en ce qui concerne
la possession de
l’essence divine
n’est concernée.
Cette Trinité
ontologique et son
ordre inhérent est
le fondement
métaphysique de la
Trinité économique.
C’est, mais naturel,
donc, que l’ordre
existant dans la
Trinité essentielle
devrait se refléter
dans l'
ad opéra
supplémentaire
qui sont plus
particulièrement
attribuée à chacune
des personnes.
L’écriture indique
clairement cette
ordonnance en ce
qu’on appelle
praepositiones
distinctionales,
ek,
diaet
fr,
qui sont utilisés
pour exprimer l’idée
que toutes les
choses sont sur le
père, par le fils et
le Saint Esprit.
e.
il y a certaines
qualités
personnelles par
lesquelles les trois
personnes sont
distinctes.
Ils sont également
appelés
opéra ad intra,
parce que ce sont
des œuvres au sein
de l’etre divin, qui
ne sont pas terminés
sur la créature. Ils
sont des opérations
personnelles, qui ne
sont pas exécutées
par les trois
personnes
conjointement et qui
sont
incommunicables.
Génération est un
acte du père
seulement; filiation
appartient au fils
exclusivement; et
procession peut
uniquement être
attribuée à l’Esprit
Saint. Comme
opéra
ad intra ces
œuvres sont
distinguent de l'
ad
opéra supplémentaire,
ou les activités et
les effets par
lesquels la Trinité
se manifeste
extérieurement.
Ceux-ci ne sont
jamais oeuvres d’une
personne
exclusivement, mais
toujours des œuvres
de l’etre divin dans
son ensemble. Dans
le même temps, il
est vrai que
certains de l'
ad
opéra supplémentaire
sont attribuées dans
l’ordre économique
des oeuvres de Dieu
plus
particulièrement à
une seule personne
et plus
particulièrement à
l’autre. S’ils sont
conjointement toutes
les œuvres des trois
personnes, création
est attribuée
principalement au
père, la rédemption
au fils et la
sanctification de
l’Esprit Saint. Le
présent arrêté dans
les opérations
divines pointe vers
l’ordre essentiel en
Dieu et constitue le
fondement de ce
qu’on appelle
généralement la
Trinité économique.
f.
l’église confesse la
Trinité comme étant
un mystère au-delà
de la compréhension
de l’homme.
La Trinité est un
mystère, non
seulement dans le
sens biblique du
terme que c’est une
vérité, qui était
autrefois cachée,
mais est maintenant
révélée; mais dans
le sens que l’homme
ne peut comprendre
et rendre
intelligible. C’est
compréhensible dans
certaines de ses
relations et les
modes de
manifestation, mais
incompréhensibles
dans sa nature
essentielle. Les
nombreux efforts
déployés pour
expliquer le mystère
étaient spéculatifs
plutôt que
théologique.
Invariablement,
elles ont donné lieu
à l’élaboration des
conceptions
tritheistic ou
modalistic de Dieu,
le refus de soit
l’unité de l’essence
divine ou la réalité
des distinctions
personnelles au sein
de l’essence. La
véritable difficulté
réside dans la
relation dans
laquelle les
personnes dans la
divinité debout à
l’essence divine et
un à l’autre; et il
s’agit d’une
difficulté que
l’église ne peut pas
supprimer, mais
seulement essayer de
réduire à sa
proportion
appropriée par une
bonne définition des
termes. Elle a
jamais essayé
d’expliquer le
mystère de la
Trinité, mais
seulement cherché à
élaborer la doctrine
de la Trinité de
telle manière que
les erreurs dont il
en voie de
disparition ont été
conjurées.
4.
différentes
ANALOGIES a suggéré
de faire la lumière
sur le sujet.
Depuis la première
date de l’ère
chrétienne,
tentatives furent
faites pour faire la
lumière sur les
Trinitaires étant de
Dieu, sur la Trinité
dans l’unité et
l’unité dans la
Trinité, par
analogies tirées de
plusieurs sources.
Ce sont tous
défectueux, on ne
peut nier qu’ils
étaient d’une
certaine valeur au
débat trinitaire.
Cela vaut en
particulier pour
ceux issus de la
nature
constitutionnelle ou
de la psychologie,
de l’homme. Compte
tenu du fait que
l’homme a été créé à
l’image de Dieu,
c’est naturel mais à
supposer que, s’il y
a quelques traces de
la vie trinitaire
dans la créature, la
plus claire de ces
trouveront chez
l’homme.
a. certaines de ces
illustrations ou les
analogies ont été
prises de la nature
inanimée ou de
végétaux, comme
l’eau de la
fontaine, le
ruisseau et la
rivière, de la brume
montante, les nuages
et la pluie ou sous
forme de pluie, de
neige et de glace;
et comme l’arbre
avec ses racines,
tronc et branches.
Ceux-ci et toutes
les illustrations
similaires sont très
défectueuses. L’idée
de la personnalité
est, bien sûr, tout
à fait désireux; et
si ils fournit des
exemples d’un
caractère ou une
substance commune,
ils ne sont pas des
exemples d’une
essence commune qui
est présente, pas
seulement en partie,
mais dans son
intégralité, dans
chacun de ses
éléments
constitutifs ou les
formes.
b. d’autres une plus
grande importance
ont été tirées de la
vie de l’homme, en
particulier par la
constitution et les
processus de
l’esprit humain.
Ceux-ci ont été
considérés comme
d’importance
particulière, parce
que l’homme est le
porteur de l’image
de Dieu. À cette
classe appartiennent
à l’unité
psychologique de
l’intellect,
l’affection et la
volonté (Augustine);
l’unité logique de
thèse, antithèse et
synthèse (Hegel); et
l’unité métaphysique
du sujet, objet et
sujet-objet (Olshausen,
Shedd). En tout
cela, nous avons une
certaine Trinité
dans l’unité, mais
aucun
tri-personnalité
dans l’unité de
substance.
c. l’attention a
également été
appelée à la nature
de l’amour, ce qui
suppose un sujet et
un objet et appelle
à l’union de ces
deux, afin que,
lorsque l’amour a
son travail parfait,
trois éléments sont
inclus. Mais il est
facile de voir que
cette analogie est
défectueuse,
puisqu’elle
personnes coordonne
deux et une
relation. Il
n’illustre pas du
tout une
tri-personnalité. En
outre, il se réfère
seulement à une
qualité et pas du
tout à une substance
possédée en commun
par le sujet et
l’objet.
C. les trois
personnes
considérées
séparément.
1. LE PÈRE OU LA
PREMIÈRE PERSONNE
DANS LA TRINITÉ.
- la conscience de
la Source de
l'existence -
a. le
nom «père»
tel
qu’appliqué à Dieu.
Ce nom n’est pas
toujours utilisé de
Dieu dans le même
sens dans
l’écriture. (1)
parfois, il est
appliqué à Dieu
Triune que l’origine
de toutes les choses
créées, I Cor. 8:6;
EP 03:15; Hébreux
12:9; Jacques 01:17.
Dans ces cas, le nom
s’appliqu’à l’un et
Trine, il renvoie
plus précisément à
la première
personne, à qui le
travail de création
est plus
particulièrement
attribuée à
l’écriture. (2) le
nom est également
attribué à l’un et
Trine pour exprimer
la relation
théocratique dans
lequel il se trouve
en Israël comme son
ancien Testament
personnes, Deut. 32:
6; Ésaïe 63:16;
64:8; Jérémie 3:4;
Malachie 1:6; 02:10;
(3) dans le Nouveau
Testament, le nom
est généralement
utilisé pour
désigner le Dieu
triune comme le père
dans un sens éthique
de tous ses enfants
spirituels, Matthieu
05:45; 6:6-15; ROM.
08:16; J’ai John
3:1. (4) dans un
sens totalement
différent,
cependant, le nom
est appliqué à la
première personne de
la Trinité dans sa
relation à la
deuxième personne,
John 01:14, 18;
05:17-26; 08:54;
14:12, 13. la
première personne
est le père de la
deuxième dans un
sens métaphysique.
Il s’agit de la
paternité initiale
de Dieu, de qui
toute paternité
terrestre est qu’un
pâle reflet.
b. la
propriété
distinctive du père.
Les biens personnels
du père est,
négativement
parlant, qu’il n’est
pas engendré ou
inengendré et
positivement
parlant, la
génération du fils
et la spiration de
l’Esprit Saint. Il
est vrai que
spiration est
également une oeuvre
du fils, mais en
lui, il n’est pas
associé à la
génération.
Strictement parlant,
le seul travail qui
est particulière au
père exclusivement
est celle de la
génération active.
c.
l’annonce de l’opéra
supplémentaire
attribuée plus
particulièrement au
père. Tous les
ad
opéra supplémentaire
de Dieu sont des
oeuvres du Dieu
triune, mais dans
certaines de ces
œuvres le père est
évidemment au
premier plan, tels
que: (1) conception
de le œuvre de
rédemption, y
compris les
élections, dont le
fils était lui-même
un objet, Psaume
2:7-9; 40: 6-9;
Ésaïe 53: 10;
Matthieu 12:32;
Éphésiens 1:3-6. (2)
les travaux de
création et
providence, surtout
à leurs débuts, j’ai
Cor. 8:6; Éphésiens
2:9. (3) les travaux
de représenter la
Trinité, à l’avocat
de la rédemption,
comme le Saint et
juste être, dont le
droit a été violé,
Psaume 2:7-9; 40:
6-9; John 06:37, 38;
17:4-7.
2. LE FILS OU LA
SECONDE PERSONNE DE
LA TRINITÉ.
- la conscience de
l'Expression de
l'existence -
a. le
nom «fils»
telle
qu’appliquée à la
seconde personne.
La deuxième personne
de la Trinité est
appelée « Fils » ou
« Fils de Dieu » en
plus d’un sens du
mot. (1)
dans un
sens métaphysique.
Cela doit être
maintenue par les
Sociniens et
unitaires, qui
rejettent l’idée
d’une divinité de la
tri-personnel, voir
en Jésus un simple
homme et considère
le nom de « Fils de
Dieu », telle
qu’appliquée à lui
avant tout comme un
titre honorifique
lui sont conférés.
Il est évident que
Jésus Christ est
représenté comme le
fils de Dieu dans
l’écriture, quelle
que soit sa position
et son travail en
tant que médiateur.
Il parle de lui
comme le fils de
Dieu du point de vue
pré incarnation, par
exemple, dans Jean
01:14, 18; Galates
4:4. (b) il
s’appelle le « »
fils unique de Dieu
ou du père, un terme
qui ne
s’appliquerait pas à
lui, s’il était le
fils de Dieu
seulement à un
fonctionnaire ou un
sens éthique, John
01:14, 18; 03:16,
18; J’ai John 4:9.
Comparer II sam
07:14; Job 2:1;
Psaume 2:7; Luc
03:38; John 01:12.
(c) dans certains
passages, il est
tout à fait évident
du contexte que le
nom est révélateur
de la divinité du
Christ, Jean
05:18-25; Hébreux 1.
(d) tandis que Jésus
enseigne à ses
disciples de parler
de Dieu et devant
lui comme « notre
père », il est
lui-même parle de
lui et adresse à
lui, simplement
comme le « Père » ou
« mon père » et
montre ainsi qu’il
était conscient
d’une relation
unique au père,
Matthieu 6:9; 07:21;
John 20:17. (e)
conformément à
Matthieu 11:27,
Jésus comme le
prétend le fils de
Dieu une
connaissance unique
de Dieu, une
connaissance comme
personne d’autre ne
puisse posséder. (f)
les Juifs ont
certainement
comprenaient Jésus
de prétendre qu’il
était le fils de
Dieu dans un sens
métaphysique, car
ils considéraient la
manière dans
laquelle il a parlé
de lui-même comme le
fils de Dieu comme
blasphème, Matthieu
26:63; John 05:18;
10:36. — — (2)
de
façon officielle ou
messianique.
Dans certains
passages, ce sens du
nom est combiné avec
celui mentionné
précédemment. Les
passages suivants
s’appliquent le nom
de « Fils de Dieu »
à Christ en tant que
médiateur, Matthieu
08:29, de 26:63 (où
cette signification
est combinée avec
l’autre); 27: 40;
John 01:49; 11:27.
ce Messie-filiation
est, bien sûr, liées
à l’origine la
filiation du Christ.
C’est seulement
parce qu’il était
essentiel et éternel
fils de Dieu, qu’il
pourrait être appelé
le fils de Dieu
comme le Messie. En
outre, la
Messie-filiation
reflète la filiation
éternelle du Christ.
C’est à partir du
point de vue de ce
Messie-filiation que
Dieu est encore
appelé le Dieu du
fils, II Corinthiens
11:31; Éphésiens 1:3
et est parfois
mentionné comme Dieu
à la différence du
Seigneur, John 17:3;
I Corinthiens 8:6;
Éphésiens 4:5, 6. —
— (3)
dans un sens importé.
Le nom de « Fils de
Dieu » est donné à
Jésus aussi compte
tenu du fait qu’il
devait sa naissance
à la paternité de
Dieu. Il a été
engendré, selon sa
nature humaine, par
l’opération
surnaturelle du
Saint-esprit et est
en ce sens, le fils
de Dieu. Ceci est
clairement indiqué
dans Luc 01:32, 35
et peut sans doute
être inférée
également John
01:13.
b. la
subsistance
personnelle du fils.
La subsistance
personnelle du fils
doit être maintenue
par rapport à tous
les Modalistes, qui,
d’une manière ou
d’une autre, nient
les distinctions
personnelles
dans la divinité. La
personnalité du fils
peut être motivée
comme suit: (1) la
façon dont la Bible
parle du père et le
fils aux côtés de
l’autre implique que
celui est tout aussi
personnelle que les
autres et est
également un signe
d’une relation
personnelle existant
entre la t WO. (2)
l’utilisation de
l’appelatives
« unique » et le
« premier-né »
implique que la
relation entre le
père et le fils,
tandis qu’unique,
peut néanmoins être
représentée environ
une génération et de
la naissance. Le
« premier-né » de
nom se trouve à
01:15; Hébreux 1:6
et insiste sur le
fait de la
génération éternelle
du fils. Cela
signifie simplement
qu’il était avant
toute la création.
(3) l’utilisation
distincte du terme
« Logos » dans
l’écriture pointe
dans la même
direction. Ce terme
est appliqué au
fils, pas en premier
lieu d’exprimer sa
relation au monde
(ce qui est tout à
fait secondaire),
mais pour indiquer
la relation intime
dans lequel il est
le père, la relation
comme celle d’un mot
à l’orateur. À la
différence de la
philosophie, la
Bible représente le
Logos comme
personnelles et
l’identifie avec le
fils de Dieu, John
1:1-14; J’ai John
1:1-3. (4) la
description du fils
comme l’image, ou
même l’image de Dieu
dans II Corinthiens
4:4; 01:15; Hébreux
1:3. Dieu distingue
clairement dans
l’écriture comme un
être personnel. Si
le fils de Dieu est
l’image même de
Dieu, il doit aussi
être une personne.
c.
la
génération éternelle
du fils. Les
biens personnels du
fils est qu’il est
éternellement
engendré du père
(brièvement appelé
« filiation ») et
partage avec le père
dans la spiration de
l’esprit. La
doctrine de la
génération du fils
est suggérée par la
représentation
biblique des
première et deuxième
personnes de la
Trinité comme se
situant dans la
relation du père et
fils les uns aux
autres. Non
seulement les faire
le nom « Père » et
« Fils » suggèrent
la génération de ce
dernier par
l’ancien, mais le
fils est aussi à
plusieurs reprises
appelé « l’unique,
« John 01:14, 18;
03:16, 18; Hébreux
11:17; J’ai John
4:9. Plusieurs
éléments méritent
l’accent dans le
cadre de la
génération du fils:
(1)
c’est un acte de
Dieu nécessaire.
Origène, l’un des
tous premiers à
parler de la
génération du fils,
il a considéré comme
un acte dépend de la
volonté du père et
par conséquent
libre. D’autres à
plusieurs reprises
exprimé la même
opinion. Mais il a
été clairement vu
par Athanasius et
d’autres qu’une
génération dépend de
l’option sera du
père rendrait
l’existence du
contingent fils et
voler ainsi lui de
sa divinité.
Ensuite, le fils ne
serait pas égal à et
existe
nécessairement
homoousios
auprès du père, du
père et ne peut pas
être conçue comme
inexistante. La
génération du fils
doit être considérée
comme un acte de
Dieu, nécessaire et
parfaitement
naturel. Cela ne
signifie pas qu’il
n’est pas liée à la
volonté du père dans
tous les sens du
terme. C’est qu'un
acte de nécessaire
du père sera, ce qui
signifie simplement
que son corollaire
sera se délecte
parfait dedans. (2)
c’est
une loi éternelle du
père. Cela
découle
naturellement de ce
qui précède. Si la
génération du fils
est un
nécessaire loi
du père, alors qu’il
est impossible de
lui concevoir comme
ne pas générer, il
partage
naturellement dans
l’éternité du père.
Cela ne signifie
pas, cependant, que
c’est un acte qui a
été achevé dans le
passé lointain, mais
plutôt que c’est un
acte hors du temps,
la Loi d’un éternel
présent, un acte
continue toujours et
encore jamais
réalisée. Son
éternité résulte non
seulement de
l’éternité de Dieu,
mais aussi de
l’immuabilité divine
et de la véritable
divinité du fils. En
plus de cela, il
peut être déduit de
tous ces passages de
l’Ecriture qui
enseignent la
préexistence du fils
ni son égalité avec
le père, Michée 5:2;
John 01:14, 18;
03:16; 05:17, 18,
30, 36; Actes 13:33;
Jean 17:5; 01:16;
Hébreux 1:3. La
déclaration du
Psaume 2:7, « tu es
mon fils; ce jour
j’ai toi, engendré »
est généralement
cité pour prouver la
génération du fils,
mais, selon
certains, avec
bienséance plutôt
douteux, cf. actes
13:33; Hébreux 1:5.
Ils présument que
ces mots se
rapportent à
l’élévation vers le
haut de Jésus comme
roi messianique et à
la reconnaissance de
lui comme fils de
Dieu de façon
officielle et
devrait probablement
être reliés avec la
promesse dans II
Samuel 07:14, tout
comme ils se
trouvent dans
Hébreux 1:5. (3)
c’est
une génération de la
subsistance
personnelle plutôt
que de l’essence
divine du fils.
Certains ont parlé
comme si le père a
généré l’essence du
fils, mais cela
revient à dire qu’il
a généré sa propre
essence, de
l’essence de fois le
père et le fils est
exactement la même
chose. Il est
préférable de dire
que le père génère
la subsistance
personnelle du fils,
mais aussi lui
communique l’essence
divine dans son
intégralité. Mais en
faisant cela, que
nous devons nous
prémunir contre
l’idée que le père
la première
génération de la
seconde personne et
ensuite communiqué
l’essence divine à
cette personne, car
cela aboutirait à la
conclusion que le
fils n’était pas
générés hors
l’essence divine,
mais créé à partir
de n° chose. Dans le
travail de
génération, il y
avait une
communication des
délais; C’était un
acte indivisible. Et
en vertu de la
présente
communication le
fils a aussi la vie
en lui-même. C’est
en accord avec la
déclaration de
Jésus, « Pour que le
père a la vie en
lui-même, même si a
donné il au fils
aussi d’avoir la vie
en lui-même, » John
05:26. (4)
c’est
une génération qui
doit être conçue
comme spirituelle et
divine. Contre
les Ariens, qui a
insisté pour que la
génération du fils
nécessairement
implicite de
séparation ou la
division de l’etre
divin, les pères de
l’église a insisté
sur le fait que
cette génération ne
doit pas être conçu
de manière physique
et tourments, mais
devrait être
considéré comme
spirituelle et
divine, à
l’exclusion de toute
idée de division ou
de changement. Il
n’apporte
distinctio et
répartition util,
mais aucun
diversitas et
divisio
dans l’etre divin.
(Bavinck) La plus
frappante analogie
de celui-ci se
trouve dans la
pensée de l’homme et
prenant la parole,
et la Bible
elle-même semble
pointer vers cela,
quand il parle du
fils comme le Logos.
(5) la définition
suivante peut être
donnée de la
génération du fils:
c’est
cette loi éternelle
et nécessaire de la
première personne
dans la Trinité,
par
lequel il,
au sein
de l’etre divin,
est
le terrain d’un
deuxième personnels
subsistance comme
son propre
et met
cette seconde
personne en
possession de
l’essence divine
ensemble,
sans
aucune division,
aliénation,
ou
changer.
d. la
divinité du fils.
La divinité du fils
a été refusée dans
l’église primitive
par Ébionites et les
Alogi, ainsi que par
les Monarchiens
dynamiques et les
Ariens. À l’époque
de la réforme les
Sociniens ont suivi
leur exemple et
parlait de Jésus
comme un simple
homme. La même
position est prise
par Schleiermacher
et Ritschl, par une
foule de chercheurs
libéraux,
particulièrement en
Allemagne, par les
unitaires et par les
modernistes et les
humanistes de nos
jours. Ce refus est
possible uniquement
pour ceux qui
ignorent les
enseignements de
l’écriture, la Bible
contient une
abondance de preuves
de la divinité du
Christ.
Nous trouvons que
l’écriture (1)
affirme
explicitement la
divinité du fils
dans ces passages
comme John 1:1;
20:28; Romains 9:5;
Philippiens 2:6;
Tite 02:13; J’ai
John 05:20; (2)
s’applique à des
noms divins lui,
Ésaïe 9:6; 40: 3;
Jérémie 23:5, 6;
Joel 02:32 (COMP. AC
02:21); J’ai
Timothée 03:16; (3)
attribue à lui des
attributs divins,
comme l’existence
éternelle, Ésaïe
9:6; Jean 1:1, 2;
Apocalypse 1:8;
22:13, omniprésence,
Matthieu 18:20; 28:
20; John 03:13,
omniscience, John
02:24, 25; 21:17;
02:23, omnipotence.
Ésaïe 9:6; Phil.
03:21; Apocalypse
1:8, immuabilité,
Héb. 01:10-12; 13:8,
et en général tous
les attributs
appartenant au père,
Colossiens 2:9; (4)
parle
de lui comme faisant
des oeuvres divines,
comme création, John
1:3, 10; 01:16;
Hébreux 1:2, 10,
providence, Luc
10:22; John 03:35;
17:2; EP 01:22;
01:17; Hébreux 1:3,
le pardon des
péchés, Matthieu
9:2-7; Marc 2:7-10;
03:13, la
résurrection et le
jugement, Matthieu
25: 31, 32; Jean
05:19-29; Actes
10:42; 17:31; Phil.
03:21; II Timothée
4:1, la dissolution
finale et le
renouvellement de
toutes choses, Héb.
01:10-12; Phil.
03:21; Apocalypse
21:5 et (5)
les
accords lui divin
honneur, John
05:22, 23; 14:1; I
Corinthiens 15:19;
II Corinthiens
13:13; Hébreux 1:6;
Matthieu 28: 19.
e. la
place du fils dans
la Trinité
économique. Il
est à noter que
l’ordre d’existence
dans la Trinité
essentielle ou
ontologique se
reflète dans la
Trinité économique.
Le fils occupe la
deuxième place dans
l' ad
opéra supplémentaire.
Si toutes les choses
sont sur
le père, ils sont
par
le fils, j’ai Cor.
8:6. Si l’ancien est
représenté comme
étant la cause
absolue de toutes
choses, la dernière
se démarque
clairement comme la
médiation cause.
Ceci s’applique dans
la sphère naturelle,
où toutes choses
sont créées et
gérées par le fils,
John 1:3, 10;
Hébreux 1:2, 3. Il
est la lumière qui
éclaire tout homme
dans le monde, John
1:9. Elle s’applique
également à le œuvre
de rédemption. À
l’avocat de la
rédemption il prend
sur lui d’être
caution pour son
peuple et d’exécuter
le plan du père de
la rédemption, PS.
40:7, 8. Il
fonctionne cela plus
particulièrement
dans son
incarnation,
souffrances et la
mort, Éphésiens
1:3-14. Dans le
cadre de sa fonction
les attributs de la
sagesse et la
puissance, j’ai Cor.
01:24; Hébreux 1:3
et de la miséricorde
et la grâce, sont
surtout lui sont
imputables, II
Corinthiens 13:13;
Éphésiens 5:2, 25.
3. LE SAINT-ESPRIT
OU LA TROISIÈME
PERSONNE DANS LA
TRINITÉ.
- la conscience de
la Réflexion de
l'existence -
a. le
nom appliqué à la
troisième personne
de la Trinité.
Alors qu’on nous dit
dans Jean 04:24 que
Dieu est esprit, le
nom s’applique plus
particulièrement à
la troisième
personne dans la
Trinité. Le terme
hébreu par lequel il
est désigné est
ruachet
le grec
pneuma, qui
sont tous deux,
comme le Latin
spiritus,
dérivé des racines
qui signifient
« respirer ». Donc
ils peuvent aussi
être rendus « breath »,
Genèse 2:7; 06:17;
Ézéchiel 37:5, 6, ou
« vent, « Genèse
8:1; Iier Rois
19:11; Jean 3:8.
L’ancien Testament
utilise le terme
« esprit » sans
aucune réserve,
généralement ou
parle de « l’esprit
de Dieu » ou
« l’esprit du
Seigneur » et
emploie le terme « Saint-esprit »
que dans le Psaume
51:11; Esaïe 63:10,
11, tandis que dans
le Nouveau
Testament, c’est
devenu une
appellation beaucoup
plus courante de la
troisième personne
dans la Trinité.
C’est une
substitution fait
que, tandis que
l’ancien Testament
appelle à plusieurs
reprises de Dieu
« le Saint
d’Israël, » psaume
71:22; 89:18; Ésaïe
10:20; 41: 14; 43:3;
48:17, le Nouveau
Testament rarement
s’applique
l’adjectif « Saint »
à Dieu en général,
mais il utilise
fréquemment pour
caractériser
l’esprit. C’est
vraisemblablement dû
au fait que c’est
surtout dans
l’esprit et
sanctifiant ainsi
son travail que Dieu
s’est révélé comme
Saint. C’est le
Saint-Esprit qui
reprend sa demeure
dans le cœur des
croyants, qui sépare
à Dieu, et qui les
purifie du péché.
b. la
personnalité du
Saint-Esprit.
Les termes « Esprit
de Dieu » ou
« Saint-Esprit » ne
suggèrent pas de
personnalité autant
que le terme
« Fils ». En outre,
la personne du
Saint-Esprit ne
semblait pas sous
une forme
personnelle
clairement
perceptible chez les
hommes, tout comme
la personne du fils
de Dieu. Ainsi, la
personnalité de
l’Esprit Saint a été
souvent mises en
cause et mérite donc
une attention
particulière. La
personnalité de
l’esprit a été
refusée dans
l’église primitive
par les Monarchiens
et le Pneumatomachians.
Dans ce refus, ils
sont suivis par les
Sociniens dans les
jours de la
réformation. Encore
plus tard
Schleiermacher,
Ritschl, unitaires,
modernistes actuels
et tous les
Sabelliens modernes
rejettent la
personnalité de
l’Esprit Saint. On
dit souvent de nos
jours que ces
passages qui
semblent impliquer
la personnalité du
Saint-Esprit
contiennent
simplement des
personnifications.
Mais les
personnifications
sont certainement
rares dans les
écrits de prose du
Nouveau Testament et
peuvent facilement
être reconnues. En
outre, une telle
explication détruit
clairement le sens
de certains de ces
passages, par
exemple John 14:26;
16:7-11; ROM. 08:26.
L’écriture pour la
personnalité de
l’Esprit Saint est
tout à fait
suffisant: (1),
désignations qui
sont propres à la
personnalité qui lui
sont données.
Bien que
pneuma est
neutre, pronom
masculin
ekeinos sert de
l’esprit dans Jean
16:14; et en
Éphésiens 01:14
certaines des
meilleures autorités
ont le masculin
pronom relatif
hos.
En outre, le nom
Parakletos est
appliqué à lui, Jean
14:26; 15:26; 16:7,
qui ne peut être
traduit par
« confort », ou
encore que le nom
d’une quelconque
influence abstraite.
Signifie qu’une
personne est
indiquée par le fait
que l’Esprit Saint
comme consolateur
est placé en
juxtaposition avec
Christ comme le
Consolateur sur le
point de départ,
pour lesquels le
même terme est
appliqué dans I Jean
2:1. Il est vrai que
cette expression est
suivie du neutres
ho
et auto
dans Jean 14:16-18,
mais cela est dû au
fait que
pneuma
intervient. (2)
les
caractéristiques
d’une personne sont
attribuées à lui,
tels que
l’intelligence, John
14:26; 15:26; ROM.
08:16, sera, actes
16:7; I Cor. 12:11
et les affections,
Ésaïe 63:10; EP
04:30. En outre, il
effectue des actes
propres à la
personnalité. Il
recherche, parle,
témoigne, commandes,
révèle, s’efforce,
crée, intercède,
déclenche la mort,
etc., Genèse 1:2;
6:3; Luc 12:12; John
14:26; 15:26; 16:8;
Actes à 08:29; 13:2;
ROM. 08:11; J’ai
Cor. 02:10, 11. Ce
qui fait toutes ces
choses ne peut pas
être un simple
pouvoir ou
influence, mais doit
être une personne.
(3) il
est représenté comme
se situant dans ces
relations à d’autres
personnes, comme
l’indique sa propre
personnalité.
Il est placé en
juxtaposition avec
les apôtres en actes
15:28, avec le
Christ dans Jean
16:14 et avec le
père et le fils dans
Matthieu 28: 19; II
Corinthiens 13:13; I
Pierre 1:1, 2; Jude
20-21. Son exégèse
exige que, dans ces
passages, le
Saint-esprit être
considéré comme une
personne. (4)
il y a
aussi des passages
où l’Esprit Saint se
distingue de par son
propre pouvoir,
Luke 01:35; 04:14;
Actes 10:38; Romains
15:13; I Corinthiens
2:4. Ces passages
deviendrait
tautologique, vide
de sens et même
absurde, si elles
étaient interprétées
sur le principe que
l’Esprit Saint est
simplement un
pouvoir. Cela peut
être illustré en
remplaçant par le
nom « Saint-Esprit »
tel un mot comme
« pouvoir » ou
« influence ».
c.
la
relation de l’Esprit
Saint aux autres
personnes dans la
Trinité. Les
controverses
Trinitaires précoce
conduit à la
conclusion que
l’Esprit Saint,
ainsi que le fils,
est de la même
essence que le père
et est donc
consubstantiel avec
lui. Et le différend
de longue haleine
sur la question, si
le Saint-Esprit
procède du père seul
ou aussi de fils, a
été finalement réglé
par le Synode de
Tolède en 589 par
l’ajout du mot
« Filioque » dans la
version latine de la
constantinopolitain:
«
Credimus in Spiritum
Sanctum qui a Patre
Filioque procedit« (« nous
croyons en l’Esprit
Saint, qui procède
du père et du
fils »). Cette
procession du
Saint-Esprit,
brièvement appelé
spiration, est sa
propriété
personnelle. Une
grande partie de ce
qui a été dit
concernant la
génération du fils
aussi s’applique à
la spiration de
l’Esprit Saint et ne
doit pas être
répétée. Les points
suivants de la
distinction entre
les deux peuvent
cependant noter: (1)
génération est le
œuvre du père
seulement; spiration
est le œuvre de fois
le père et le fils.
(2) par génération,
le fils est activé
pour prendre part
aux travaux de
spiration, mais le
Saint-Esprit
n’acquiert aucun ce
pouvoir. (3) dans un
ordre logique
génération précède
spiration. Nous
rappelons,
toutefois, que tout
cela n’implique
aucune subordination
essentielle de
l’Esprit Saint au
fils. Dans spiration
ainsi qu’en
production, il
existe une
communication de
l’ensemble de
l’essence divine,
afin que l’Esprit
Saint est sur un
pied d’égalité avec
le père et le fils.
La doctrine de la
procession du
Saint-esprit du père
et du fils est basée
sur Jean 15:26 et
sur le fait que
l’esprit est aussi
appelé l’esprit du
Christ et du fils,
Rom. 8:9; Galates
4:6 et est envoyé
par le Christ dans
le monde. Spiration
peut être définie
comme
qu’éternelle et
nécessaire agir de
la première et
deuxième personnes
dans la Trinité, par
lequel ils,
au sein
de l’etre divin,
devenu
le terrain de la
subsistance
personnelle du
Saint-Esprit,
et
mettre la Troisième
personne en
possession de
l’essence divine de
toute,
sans
aucune division,
aliénation ou
changement. p
><p>l’Esprit
Saint se trouve dans
la plus proche
relation possible
avec les autres
personnes. En
vertu de sa
procession du père
et du fils, l’esprit
est représenté comme
se situant dans la
relation possible le
plus proche à la
fois des autres
personnes.
De 1 Cor. 2:10, 11,
nous pouvons
déduire, que
l’esprit est le même
que la conscience de
soi de Dieu, mais
qu’il est aussi
étroitement lié à
Dieu le père, comme
l’âme de l’homme est
avec l’homme. Dans
II Corinthiens
03:17, nous lisons:
« maintenant, le
Seigneur est
l’esprit, et là où
l’esprit du
Seigneur, là est la
liberté. » Ici, le
Seigneur (le Christ)
est identifié avec
l’esprit, pas en ce
qui concerne la
personnalité, mais
quant à la manière
de travailler. Dans
le même passage,
l’esprit est appelé
« l’esprit du
Seigneur. » Le
travail pour lequel
le Saint-esprit fut
envoyé dans l’église
le jour de la
Pentecôte était
fondé sur son unité
avec le père et le
fils. Il est venu
comme le Parakletos
prendre la place du
Christ et pour faire
son travail sur la
terre, autrement
dit, pour enseigner,
proclamer,
témoigner, bear
witness, etc., comme
l’avait fait le
fils. Maintenant,
dans le cas de fils
cette œuvre
révélatrice reposait
sur son unité avec
le père. Juste pour
le travail de
l’esprit repose sur
son unité avec le
père et le fils,
John 16:14, 15.
Remarquez les
paroles de Jésus
dans ce passage:
« il doit glorifier
moi; parce qu’il
prend de la mine et
déclare qu’il te.
Toutes les choses
que ce soit le père
a sont les miennes:
donc disais-je,
qu’il prend de la
mine et déclare
qu’il te. »
d. la
divinité du
Saint-Esprit.
La divinité de
l’Esprit Saint peut
être établie par les
écritures par une
ligne de preuve
assez similaire à
utilisés en relation
avec le fils: (1)
noms
divins qui lui sont
données, Ex.
17:7 (COMP. Héb.
3:7-9); Actes 5:3,
4; I Corinthiens
03:16; II Timothée
03:16 (COMP. II
Pierre 01:21). (2)
perfections divines
sont attribuées à
lui, tels que
l’omniprésence,
Psaume 139:7-10,
omniscience, Ésaïe
40:13, 14 (COMP.
Rom. 11:34); J’ai
Cor. 02:10, 11,
omnipotence, I Cor.
12:11; Romains 15:19
et l’éternité, Héb.
09:14 ( ?). (3)
œuvres
divines sont
interprétées par lui,
telles que création,
Genèse 1:2; Job. 26:
13; 33: 4, PS.
104:30, rénovation
providentielle,
régénération, Jean
3:5, 6; Tite 3:5 et
la résurrection de
la mort, Rom. 08:11.
(4)
divine est aussi
rendre hommage à lui,
Matthieu 28: 19;
Romains 9:1; II
Corinthiens 13:13.
e. le
œuvre du
Saint-Esprit dans
l’économie divine.
Il y a certaines
œuvres qui sont plus
particulièrement
sont imputables à
l’Esprit Saint, non
seulement dans
l’économie de Dieu,
mais aussi dans
l’économie
particulière de la
rédemption. En
général on peut dire
que c’est la tâche
spéciale du
Saint-Esprit pour
mener les choses à
terme en agissant
immédiatement après
et dans la créature.
Tout comme il est
lui-même est la
personne qui remplit
la Trinité, si son
œuvre est la
réalisation du
contact de Dieu avec
ses créatures et la
réalisation de le
œuvre de Dieu dans
toutes les sphères.
Il s’ensuit le œuvre
du fils, tout comme
le œuvre du fils
fait suite à celle
du père. Il est
important de garder
à l’esprit, pour si
le œuvre de l’Esprit
Saint est dissociée
de le œuvre
objective du fils,
faux mysticisme est
lié au résultat. Le
œuvre du
Saint-Esprit
comprend les
éléments suivants
dans la sphère
naturelle: (1)
la
génération de la vie.
Comme étant n’est
pas le père et la
pensée par le fils,
alors la vie est
médiée par l’esprit,
Genèse 1:3; Job. 26:
13; PS. 33: 6 ( ?);
PS. 104:30. À cet
égard, il met la
touche finale aux
travaux de création.
(2)
l’inspiration
générale et la
qualification des
hommes.
L’Esprit Saint
inspire et qualifie
les hommes pour
leurs fonctions
officielles, pour
travail en science
et art, etc., Exode
28: 3; 31: 2, 3, 6;
35:35; J’ai Samuel
11:6; 16:13, 14.
D’une importance
encore plus grande
est le œuvre du
Saint-Esprit dans la
sphère de la
rédemption. Ici on
mentionnera les
points suivants: (1)
la
préparation et la
qualification du
Christ pour son
œuvre médiatrice.
Il a établi Christ
un corps et donc lui
a permis de devenir
un sacrifice pour le
péché, Luke 01:35;
Hébreux 10:5-7. Dans
les mots « un corps
tu préparer pour
moi », l’auteur
d’Hébreux suit la
Septante. Le sens
est: tu m’as permis
par la préparation
d’un corps sacré
pour devenir un vrai
sacrifice. Lors de
son baptême, Christ
a été oint du
Saint-Esprit, Luke
03:22 et a reçu les
qualifications dons
du Saint-Esprit sans
mesure, John 03:24.
(2)
l’inspiration de
l’écriture.
L’Esprit Saint a
inspiré l’écriture
et ainsi aux hommes
la révélation
spéciale de Dieu,
j’ai Cor. 02:13; II
Pierre 01:21, la
connaissance de le
œuvre de rédemption
qui est en
Jésus-Christ. (3)
la
formation et
l’augmentation de
l’église. Le
Saint-Esprit forme
et augmente
l’église, corps
mystique de Jésus
Christ, de
régénération et de
sanctification et il
habite comme le
principe de la
nouvelle vie,
Éphésiens 01:22, 23;
02:22; I Corinthiens
03:16; 12:4 et suiv.
(4)
enseignement et
guider l’église.
Le Saint-Esprit
témoigne au Christ
et mène l’église
dans toute la
vérité. En faisant
cela il se manifeste
à la gloire de Dieu
et du Christ,
augmente la
connaissance du
Sauveur, empêche
l’église d’erreur et
elle se prépare pour
son destin éternel,
John 14:26; 15:26;
16:13, 14; Actes à
05:32; Hébreux
10:15; J’ai John
02:27.
QUESTIONS
pour une étude plus
approfondie. La
littérature païenne
contient-il des
analogies de la
doctrine de la
Trinité ? Est le
développement de la
doctrine du début de
la Trinité de
l’ontologique ou de
la Trinité
économique ? La
Trinité économique
peut se comprendre
en dehors de
l’ontologique ?
Pourquoi est la
doctrine de la
Trinité discutée par
certains comme
introduction à la
doctrine de la
rédemption ? Quelle
est la conception
hégélienne de la
Trinité ? Comment
Swedenborg a fait
concevoir de lui ?
Où trouvons-nous le
Sabellianisme dans
la théologie
moderne ? Pourquoi
est-ce répréhensible
de conclure que la
Trinité est purement
économique ? Quelles
objections sont là
pour la conception
humanitaire moderne
de la Trinité ?
Pourquoi Barth
traite-t-il de la
Trinité de
Prolégomènes à la
théologie ? Quelle
est la signification
pratique de la
doctrine de la
Trinité ?
LITTÉRATURE: Bavinck,
Geref
dogme. II, pp.
260-347; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De Deo
II, pp. 3-255; Vos.
Geref. Dogme.
I,
pp. 36-81; Faire,
Godgeleerdheit
I, pp. 576-662;
Turretin,
opéra,
Locus
Tertius; Hodge,
Syst.
Theol. I, pp.
442-534; Dabney,
syst
et trouvailles.
THEOL.,
pp. 174-211; Curtiss,
La foi
Chr., pp.
483-510; Harris,
Dieu,
créateur et Seigneur
de tous, I, pp.
194-407; Illingworth,
la
Doctrine de la
Trinité; Adeney,
la
Conception
chrétienne de Dieu,
p. 215-246;
Steenstra,
l’être
de Dieu comme
l’unité et de la
Trinité, pp.
159-269; Clarke,
le Chr.
Doct. de Dieu,
pp. 227-248;
Bartlett,
le Dieu
trinitaire;
Liddon,
la
divinité de notre
Seigneur;
Mackintosh,
la
Doctrine de la
personne de Jésus
Christ;
Warfield,
le
Seigneur de gloire;
ibid.,
L’esprit de Dieu
dans l’ancien
Testament; et
La
Doctrine biblique de
la Trinité (les
deux en
Doctrines bibliques),
pp. 101 ff.; Ibid.,
la
Doctrine de la
Trinité de
Calvin (dans
Calvin
et le calvinisme);
Kuyper,
Het Werk van den
Heiligen Geest,
cf. Index; Owen,
un
discours concernant
le Saint-Esprit,
cf. Index; Smeaton,
le Doct.
du Saint-Esprit;
Pohle-Preuss,
la
Trinité Divine.
Les œuvres de Dieu
le divin décrète en général
A. la Doctrine des
décrets en
théologie.
Réformée souligne la
théologie la
souveraineté de
Dieu, en vertu
duquel il a
souverainement
déterminé de toute
éternité quelle
qu’elle soit
arrivera et
travaille que son
souverain sera dans
sa création toute
entière, naturelle
et spirituelle,
selon son plan
préétabli. Il est
entièrement d’accord
avec Paul quand il
dit que Dieu « opère
toutes choses
d’après l’avocat de
sa volonté, »
Éphésiens 01:11.
Pour cette raison
que c’est mais
naturel qui, en
passant de la
discussion de l’être
de Dieu à celle de
le œuvre de Dieu, il
devrait commencer
par une étude des
décrets divins. Il
s’agit de la seule
bonne méthode
théologique. Une
discussion
théologique de le
œuvre de Dieu
devrait prendre son
point de départ en
Dieu, aussi bien
dans le travail de
création et dans
celui de rachat ou
de loisirs. C’est
seulement émanant,
ainsi que liés à,
Dieu les œuvres de
Dieu d’entrer en
considération dans
le cadre de la
théologie.
En dépit de ce fait,
toutefois, théologie
réformée est
pratiquement seule
en mettant l’accent
sur la doctrine des
décrets. La
théologie
luthérienne est
moins théologique et
anthropologique
plus. Elle ne pas
systématiquement
prendre son point de
départ en Dieu et
examiner toutes
choses comme
divinement
prédéterminé, mais
montre une tendance
à considérer les
choses d’en bas
plutôt que d’en
haut. Et dans la
mesure où il croit
en la détermination
au préalable, il est
enclin à se limiter
à celui qui existe
dans le monde et
plus
particulièrement à
la bénédiction du
Salut. Il est
frappant de
constater que
beaucoup de
théologiens
luthériens est
silencieux, ou tous,
mais le silence,
respectant la
doctrine des décrets
de Dieu en général
et discuter
seulement la
doctrine de la
prédestination et
considère cela comme
le
conditionnel
plutôt qu’absolue.
Dans la doctrine de
la prédestination,
théologie
luthérienne montre
forte affinité avec
l’Arminianisme.
Krauth (un dirigeant
influent de l’église
luthérienne dans
notre pays) dit
encore: « les vues
d’Arminius lui-même,
en ce qui concerne
les cinq points, se
sont formés sous
l’influence
luthérienne et ne
diffère pas
essentiellement de
ceux de l’église
luthérienne; mais
sur de nombreux
points dans le
système développé
maintenant connu
comme
l’arminianisme,
l’église luthérienne
n’a aucune affinité
quoi qu’avec lui et
sur ces points
serait beaucoup plus
sympathiser avec le
calvinisme, bien
qu’elle n’a jamais
cru que pour sortir
du pélagianisme, il
est nécessaires à
l’exécution dans la
doctrine de la
prédestination
absolue. La
« formule de
concorde » touche
les cinq points
presque uniquement
sur leurs côtés
pratiques et sur les
tableaux lui-même
contre le
calvinisme, plutôt
par la négation des
déductions qui
découlent
logiquement ce
système, que par la
condamnation
explicite de sa
fondamentale théorie
sous sa forme
abstraite. »
Dans
la mesure où les
théologiens
luthériens
comprennent la
doctrine de la
prédestination dans
leur système, ils le
jugent généralement
dans le cadre de la
sotériologie.
Naturellement, la
théologie arminienne
ne place pas la
doctrine des décrets
au premier plan. En
général, que des
décrets est
habituellement
brille par son
absence. Pape
apporte dans la
doctrine de la
prédestination qu’en
passant, et Miley
elle introduit comme
une question de
discussion. Raymond
discute seulement la
doctrine de
l’élection, et
Watson accorde une
place importante à
cela en examinant
l’étendue de
l’expiation. Tous
rejettent la
doctrine de la
prédestination
absolue et se
substituer à elle
une prédestination
conditionnelle. La
théologie libérale
moderne il se
préoccupait pas de
la doctrine de la
prédestination,
puisqu’il est
fondamentalement
anthropologique.
Dans la « théologie
de crise », il est à
nouveau reconnu,
mais sous une forme
qui n’est ni
scripturaire ni
historique. Malgré
son attrait pour les
réformateurs, il
s’écarte largement
de la doctrine de la
prédestination,
comme il a été
enseigné par Luther
et Calvin.
B. les noms
bibliques pour les
décrets divins.
Les oeuvres purement
immanente de Dieu (opéra
ad intra), il
faut distinguer ceux
qui influent
directement sur les
créatures (ad
opéra supplémentaire).
Certains
théologiens, afin
d’éviter tout
malentendu,
préfèrent parler
d’opéra
immanentia et
exeuntia de l’opéraet
diviser le premier
en deux classes,
opéra
immanentia en soi,
qui sont les
personnages de
l’opéra (
génération, la
filiation, la
spiration), et
ils
sortent des donec
immanentia de
l’opéra, qui
sont l'
opéra essentialia,
c'est-à-dire les
œuvres du Dieu
triune, à la
différence des
travaux de l’une des
personnes de la
divinité, mais sont
immanentes de Dieu,
jusqu'à ce qu’ils
soient réalisé dans
les œuvres de
création, de
providence et de
rédemption. Les
décrets divins
constituent cette
classe des œuvres
divines. Ils ne sont
pas décrits dans
l’abstrait dans les
Ecritures, mais sont
placées devant nous
dans leur
réalisation
historique.
L’écriture utilise
plusieurs termes
pour le décret
éternel de Dieu.
1.
ANCIEN TESTAMENT
- termes. Il
y a quelques termes
qui insistent sur
l’élément
intellectuel dans le
décret, tel que «etsah
de ya'ats, à son
avocat, de donner
des conseils,
travail 38:2; Ésaïe
14:26; 46:11;
gazon
yasad,
de s’asseoir
ensemble en
délibération
(niphal), Jérémie
23:18, 22; et
mezimmah
de nabil,
à méditer, pour
avoir à l’esprit, à
la fin, Jérémie
04:28; 51:12; Prov.
30: 32. En outre ces
termes qui mettent
l’accent sur
l’élément
volontaire, comme
chaphets,
inclinaison, vont,
bon plaisir, Ésaïe
53: 10; et vont de
ratson,
s’il vous plaît,
être heureux et qui
dénote donc plaisir,
bon plaisir ou
souverain, PS.
51:19; 49:8 d’Ésaïe.
2.
NOUVEAU TESTAMENT -
mandat. Le
Nouveau Testament
contient également
un certain nombre de
conditions
importantes. Le
terme plus général
est
boule,
désignant le décret
en général, mais
aussi soulignant le
fait que le dessein
de Dieu repose sur
l’avocat et la
délibération, actes
02:23; 04:28; Héb.
06:17. Un autre mot
assez général est
thelema,
qui, telle
qu’appliquée à
l’avocat de Dieu,
souligne le volitif
plutôt que l’élément
délibératif,
Éphésiens 01:11. mot
eudokia
souligne plus
particulièrement la
liberté de
l’objectif de Dieu
et le plus grand
plaisir avec lequel
il s’accompagne,
bien que cette idée
n’est pas toujours
présente, Matthieu
11:26; Luc 02:14;
Éphésiens 1:5, 9.
Autres mots sont
utilisés plus
particulièrement
pour désigner cette
partie du décret
divin concernant
dans un sens très
particulier de
créatures morales de
Dieu, et est connu
comme la
prédestination. Ces
conditions seront
considérées dans le
cadre de la
discussion de ce
sujet.
C. la Nature des
décrets divins.
Le décret de Dieu
peut être défini
avec le petit
Catéchisme de
Westminster que «Son
dessein éternel
selon l’avocat de
son aura,
selon
lequel,
pour sa
propre gloire,
qu'il a
prédestinées que ce
soit, vient de
passer. »
1.
le décret divin est
un. Bien
que nous parlons
souvent des décrets
de Dieu au pluriel,
pourtant dans sa
propre nature le
décret divin est
mais un seul acte de
Dieu. Ceci est déjà
suggéré par le fait
que la Bible parle
de lui comme avocat,
un but ou une
prothèse.
Il découle également
de la nature même de
Dieu. Sa
connaissance est
immédiate et
simultanée plutôt
que successives
comme la nôtre et
que sa compréhension
de celui-ci sont
toujours complet. Et
le décret qui repose
sur elle est aussi
un acte unique,
tout-globale et
simultané. Comme un
décret éternel et
immuable il ne
pouvait pas être
autrement. Il est,
par conséquent,
aucune série de
décrets en Dieu,
mais simplement un
plan global, qui
englobe tout ce qui
vient de passer.
Notre compréhension
finie, cependant,
contraint de faire
des distinctions, et
cela explique le
fait que nous
parlons souvent des
décrets de Dieu au
pluriel. Cette façon
de parler est
parfaitement
légitime, à
condition que nous
ne perdions pas de
vue de l’unité du
décret divin et de
l’assemblage des
différents décrets
telle que nous la
concevons d'entre
eux.
2.
la RELATION du
décret à la
connaissance de
Dieu. Le
décret de Dieu porte
la relation plus
proche avec la
connaissance divine.
Il est en Dieu,
comme nous l’avons
vu, une connaissance
nécessaire, y
compris toutes les
causes possibles et
les résultats. Cette
connaissance fournit
le matériel pour le
décret; C’est la
fontaine parfaite,
dont Dieu a attiré
les pensées qu’il
désirait à
objectiver. Hors de
cette connaissance
de toutes les choses
possibles, il a
choisi, par un acte
de son parfait aura,
mené par des
considérations
sages, ce qu’il
souhaitait apporter
à la réalisation et
ainsi formé son
dessein éternel. Le
décret de Dieu, à
son tour, est le
fondement de sa
connaissance libre
ou
scientia libera.
C’est la
connaissance des
choses comme elles
sont réalisées au
cours de l’histoire.
Alors que la
connaissance
nécessaire de Dieu
précède logiquement
le décret, sa
connaissance libre
il découle
logiquement. Cela
doit être maintenue
vis-à-vis de tous
ceux qui croient en
la prédestination
une conditionnelle
(comme
Semi-pélagiens et
arminiens), car ils
font les décisions
préalables de Dieu
dépend de sa
prescience. Certains
des mots utilisés
pour désigner le
point de décret
divin à un élément
de préméditation
dans le but de Dieu.
Ce serait une
erreur, toutefois,
d’en déduire que le
plan de Dieu est le
résultat d’une
délibération qui
implique la myopie
ou l’hésitation, car
il est tout
simplement une
indication du fait
qu’il n’y a aucun
décret aveugle en
Dieu, mais seulement
un p intelligent et
délibérée
uniquement.
3.
le décret concerne à
la fois Dieu et
homme Le
décret a tout
d’abord, référence,
aux œuvres de Dieu.
Il est limité,
cependant, à de Dieu
opéra
annonce
supplémentaire
ou actes transitifs
et ne sont pas liées
à l’essentiel étant
de Dieu, ni
activités immanente
de l’etre divin qui
entraînent les
distinctions
trinitaire. Dieu ne
pas décret pour être
Saint et juste, ni
d’exister tant que
trois personnes dans
une essence ou
générer le fils. Ces
choses sont comme
ils sont
nécessairementet
ne dépendent pas la
volonté facultative
de Dieu. Ce qui est
essentiel à l’être
de Dieu intérieur
peut ne font pas
partie du contenu du
décret. Cela
comprend uniquement
l’opéra
annonce
supplémentaire
ou
exeuntia. Mais
tandis que le décret
qui concerne
principalement les
actes de Dieu
lui-même, il n’est
pas limitée à ces
derniers, mais
englobe également
les actions de ses
créatures gratuits.
Et le fait qu’elles
sont incluses dans
le décret rend
absolument certain,
bien qu’ils ne sont
pas tous effectué de
la même manière.
Dans le cas de
certaines choses
Dieu a décidé, pas
simplement qu’ils
venaient de passer,
mais qu’il est
lui-même amènerait à
passer, soit
immédiatement, comme
dans le travail de
création, ou par le
biais de la
médiation des causes
secondaires, qui
sont continuellement
sous tension par sa
puissance. Il assume
la responsabilité
pour leur vient de
passer. Il y a
d’autres choses,
cependant, que Dieu
inclus dans son
décret et rendus
ainsi certains, mais
dont il n’a pas
décidé à effectuer
lui-même, comme les
actes coupables de
ses créatures
rationnelles. Le
décret, dans la
mesure où ce qui a
trait à ces actes,
est généralement
appelé décret
permissive de Dieu.
Ce nom n’implique
pas que la
futurition de ces
actes n’est pas
certaine de Dieu,
mais simplement
qu’il leur permet de
se passer de
l’Agence libre de
ses créatures
rationnelles. Dieu
assume qu'aucune
responsabilité pour
ces pécheresses
n’actes que ce soit.
4.
le décret de loi
n’est pas l’acte
lui-même.
Les décrets sont une
manifestation
interne et
l’exercice des
attributs divins,
rendant la
futurition des
choses certaine,
mais cet exercice de
l’intelligente dont
la volonté de Dieu
ne doit pas être
confondu avec la
réalisation de ses
objets dans la
création, la
providence, et de la
rédemption. Le
décret de création
est pas création
elle-même, ni le
décret pour
justifier la
justification
elle-même. Une
distinction doit
être faite entre le
décret et son
exécution. Dieu donc
traitant l’univers
que l’homme
poursuivra une
certaine ligne de
conduite, est
également tout à
fait une chose
différente de son
commandant lui de le
faire. Les décrets
ne sont pas abordées
à homme et ne font
pas de la nature
d’une loi de statut;
ni ils n’imposent
des contrainte ou
obligation sur les
volontés des hommes.
D. les
caractéristiques du
décret divin.
1.
elle est fondée dans
la sagesse DIVINE.
Le mot « avocat »,
qui est l’un des
termes par lesquels
le décret est
désigné, suggère la
consultation et mûre
réflexion. Il peut
contenir une
suggestion de
l’intercommunion
entre les trois
personnes de la
divinité. En parlant
de la révélation de
Dieu du mystère qui
était auparavant
caché en lui, Paul a
dit que c’était « à
l’intention que
maintenant les
principautés et les
pouvoirs dans les
lieux célestes
pourrait faire
connaître par le
biais de l’église la
collecteur sagesse
de Dieu selon le
dessein éternel dont
il se proposait en
Jésus Christ notre
Seigneur, »
Éphésiens 03:10, 11.
La sagesse du Décret
découle aussi de la
sagesse dans la
réalisation du
dessein éternel de
Dieu. Le poète
chante dans PS.
104:24, « Ô Jéhovah,
collecteur comment
sont tes œuvres !
Dans sagesse As tu
fait tous. » La même
idée est exprimée en
Prov. 03:19,
« Jéhovah par
sagesse fondée la
terre; par la
compréhension il a
créé les cieux. »
Voir aussi Jérémie
10:12; 51:15. la
sagesse de l’avocat
du Seigneur peut
également être
déduite du fait
qu’elle est rapide
pour toujours,
Psaume 33: 11; Prov.
19:21. Il peut y
avoir beaucoup de
choses dans le
décret qui passe
l’entendement humain
et est inexplicable
à l’esprit fini,
mais il ne contient
rien qui est
irrationnelle ou
arbitraire. Dieu
forma sa
détermination avec
sage perspicacité et
connaissances.
2.
elle est éternelle.
Le décret divin est
éternel en ce sens
qu’il se trouve
entièrement dans
l’éternité. Dans un
certain sens, on
peut affirmer que
tous les actes de
Dieu sont éternels,
car il n’y a pas de
succession des
moments de l’etre
divin. Mais certains
d'entre eux
terminent dans le
temps, comme, par
exemple, de création
et la justification.
C’est pourquoi nous
n’appelons pas leur
éternelle mais
temporel fortuit. Le
décret, toutefois,
alors qu’elle se
rapporte aux choses
en dehors de Dieu,
demeure en soi un
acte au sein de
l’etre divin et est
donc éternel au sens
strict du mot. Par
conséquent, il
participe aussi de
la simultanéité et
la
successionlessness
de l’Éternel, actes
15:18; Éphésiens
1:4; II Timothée
1:9. L’éternité du
décret implique
également que
l’ordre dans lequel
les différents
éléments dans ce
stand à l’autre ne
peut pas être
considérée comme
temporelle, mais
seulement sous le
nom logique. Il y a
un ordre
chronologique réel
dans les événements
comme effectué, mais
pas dans le décret
sur les.
3.
il est efficace.
Cela ne signifie pas
que Dieu a décidé
d’apporter lui-même
passer par une
application directe
de son pouvoir,
toutes choses qui
sont inclus dans son
décret, mais
seulement que ce
qu’il a décrété
viendra certainement
à passer; que rien
ne peut contrecarrer
son but. Dit le Dr
A. A. Hodge: « le
décret lui-même
fournit dans tous
les cas que
l’événement se fera
par causes agissant
de manière
parfaitement
conforme à la nature
de l’événement en
question. Ainsi,
dans le cas de tous
les actes d’un agent
moral libre, le
décret prévoit en
même temps — (a) que
l’agent doit être un
agent libre. (b) que
ses antécédents et
tous les antécédents
de l’acte en
question doivent
être ce qu’ils sont.
(c) que toutes les
présentes
conditions de
la loi doivent être
ce qu’ils sont. (d)
que la Loi doit être
parfaitement
spontanée et libre
de la part de
l’agent. (e) qu’il
sera certainement
future. PS. 33: 11;
Prov. 19:21; Ésaïe
46:10. »
4.
il est immuable.
L’homme peut et
souvent modifie ses
plans pour diverses
raisons. Il peut
être qu’en faisant
son plan il manquait
de sérieux, qu’il
n’a pas entièrement
réalisé ce que le
plan comportait, ou
qu’il manque le
pouvoir de le
réaliser. Mais en
Dieu, rien de tel
est concevable. Il
n’est pas déficient
en connaissances,
véracité ou de la
puissance. Donc il
ne faut pas changer
son décret en raison
d’une erreur de
l’ignorance, ni en
raison de
l’impossibilité de
le réaliser. Et il
ne changera pas,
parce qu’il est le
Dieu immuable et
parce qu’il est
fidèle et vrai.
Emploi à 23:13, 14;
PS. 33: 11; Ésaïe
46:10; Luc 22:22;
Actes à 02:23.
5.
elle est
inconditionnelle ou
absolu.
Cela signifie qu’il
n’est pas dépendante
dans tous ses
détails sur tout ce
qui n’est pas partie
intégrante du décret
lui-même. Les
différents éléments
dans le décret sont
de fait
interdépendants,
mais rien dans le
plan est conditionné
par tout ce qui
n’est pas dans le
décret. L’exécution
du plan peut exiger
des moyens ou être
tributaire de
certaines
conditions, mais
ensuite ces moyens
ou conditions on a
aussi déterminées
dans l’arrêté. Dieu
ne pas simplement
décret pour sauver
les pécheurs sans
déterminer les
moyens d’effectuer
le décret. Les
moyens menant à la
fin prédéterminée
ont été également
décrétés, actes
02:23; Éphésiens
2:8; I Pierre 1:2.
Le caractère absolu
du Décret découle de
son éternité, son
immuabilité et sa
dépendance exclusive
sur le bon plaisir
de Dieu. Il est
refusé par toutes
les Semi-pélagiens
et arminiens.
6.
il est universel ou
tout compréhensif.
Le décret comprend
tout ce que vient de
passer dans le
monde, que ce soit
en physique ou dans
le domaine moral,
que ce soit bon ou
mauvais, Éphésiens
01:11. Il comprend:
(a) les bonnes
actions des hommes,
Éphésiens 21:0; (b)
leurs actes
méchants, Prov.
16:4; Actes à 02:23;
04:27, 28; (c)
événements de
contingent, 45:8 de
la Genèse; 50: 20;
Prov. 16:33; (d) les
moyens ainsi que la
fin, Psaume
119:89-91; II
Thessaloniciens.
02:13; Éphésiens
1:4; e la durée de
vie de l’homme, Job
14:5; PS. 39:4 et le
lieu de son
habitation, actes
17:26.
7.
en ce qui concerne
le péché, il est
permissif.
Il est d’usage de
parler du décret de
Dieu concernant le
mal moral comme
permissive. Par son
décret Dieu a rendu
les mauvaises
actions de l’homme
infailliblement
certain sans décider
à les effectuer en
agissant
immédiatement après
et dans la volonté
finie. Cela signifie
que Dieu ne
fonctionne pas
positivement chez
l’homme « et le
vouloir et de le
faire, » quand
l’homme va à
l’encontre de sa
volonté révélée. Il
est soigneusement à
noter, toutefois,
que ce décret
permissif n’implique
pas une autorisation
passive de quelque
chose qui n’est pas
sous le contrôle de
la volonté divine
sera. C’est un
décret qui rend le
futur acte pécheur
absolument certain,
mais dans lequel
Dieu détermine (a) à
ne pas entraver
l’autodétermination
pécheresse du fini
sera; et (b) de
réglementer et de
contrôler le
résultat de cette
autodétermination
pécheresse. PS.
78:29; 106:15; Actes
14:16; 17:30.
E. les objections à
la Doctrine des
décrets.
Comme l’a dit dans
ce qui précède,
seulement la
théologie réformée
pleinement justice à
la doctrine des
décrets. Les
théologiens
luthériens pas, en
règle générale,
interpréter
théologiquement mais
soteriologically,
dans le but de
montrer comment les
croyants peuvent
dériver confort
d’elle. Pélagiens et
Sociniens rejeter
comme non biblique;
et Semi-pélagiens et
arminiens Montrez-le
favor maigre:
certains ignorant
complètement;
d’autres indiquant
seulement pour
combattre; et
d’autres en
conservant seulement
un décret
conditionné par la
prescience de Dieu.
Les objections qui
lui sont, pour
l’essentiel,
toujours les mêmes.
1.
elle est
incompatible avec la
liberté morale de
l'homme L’homme
est un agent libre
avec le pouvoir
d’autodétermination
rationnelle. Il peut
réfléchir et de
manière
intelligente,
choisissez, certains
se termine et peut
également déterminer
son action à leur
égard. Le décret de
Dieu comporte
cependant,
nécessité. Dieu a
décrété pour
effectuer toutes
choses ou, s’il n’a
pas décrété que,
qu’il a au moins
déterminé qu’ils
doivent se passer.
Il a décidé au cours
de la vie de l’homme
pour lui.
En
réponse à cette
objection, on peut
affirmer que la
Bible ne passe
certainement pas sur
l’hypothèse que le
décret divin est
incompatible avec
l’Agence libre de
l’homme. Il révèle
clairement que Dieu
a décrété la
gratuite des actes
de l’homme, mais
aussi que les
acteurs sont
néanmoins libres et
donc responsables de
leurs actes, 50:19
de la Genèse, 20;
Actes à 02:23;
04:27, 28. il a été
déterminé que les
Juifs devraient se
traduire par la
crucifixion de
Jésus; Pourtant, ils
étaient parfaitement
libres dans leur
ligne de conduite
méchant et étaient
tenus responsables
de ce crime. Il n’y
a pas une seule
indication dans les
Ecritures que les
écrivains inspirés
sont conscients
d’une contradiction
dans le cadre de ces
questions. Ils font
jamais tenter
d’harmoniser les
deux. Cela peut bien
nous empêcher de
supposer une
contradiction ici,
même si nous ne
pouvons pas
concilier les deux
vérités.
En outre, il faut
avoir à l’esprit que
Dieu n’a pas décrété
à
effectuer par sa
propre action
directe que ce
soit doit se passer.
Le décret divin
seulement apporte la
certitude sur les
événements, mais
n’implique pas que
Dieu va procéder
activement, afin que
la question se
ramène vraiment dans
cela, si certitude
précédente est
compatible avec
l’agent libre.
Maintenant,
l’expérience nous
enseigne que nous
pouvons être
raisonnablement
certains que le
parcours de qu'un
homme de caractère
poursuivra dans
certaines
circonstances, sans
porter atteinte à
tout le moins sur sa
liberté. Le prophète
Jérémie a prédit que
les Chaldéens
prendrait à
Jérusalem. Il savait
l’événement à venir
comme une certitude,
et encore les
Chaldéens suivi
librement leurs
propres désirs dans
l’accomplissement de
la prédiction. Cette
certitude est en
effet incompatible
avec la liberté
pélagienne
indifférentes, selon
laquelle la volonté
de l’homme n’est pas
déterminée en
quelque sorte, mais
il est tout à fait
pour une période
indéterminée, afin
que chaque dont la
volonté, il puisse
décider dans
l’opposition, non
seulement pour tous
les encouragements
vers l’extérieur,
mais aussi pour
toutes les
considérations
entrantes et arrêts,
penchants et désirs
et même à l’état
intérieur et tout
caractère de
l’homme. Mais il est
maintenant
généralement admis
que cette liberté de
la volonté est une
fiction
psychologique.
Toutefois, le décret
n’est pas
nécessairement
incompatible avec la
liberté humaine dans
le sens
d’autodétermination
rationnelle, selon
laquelle l’homme
agit librement en
harmonie avec ses
pensées précédentes
et jugements, ses
penchants et désirs
et son caractère
entier. Cette
liberté a aussi ses
lois, et mieux nous
connaissons avec
eux, plus sûr, nous
pouvons être de quel
agent libre va faire
dans certaines
circonstances. Dieu
lui-même a établi
ces lois.
Naturellement, nous
devons nous prémunir
contre tout
déterminisme,
panthéiste,
matérialiste et
rationaliste, dans
notre conception de
la liberté dans le
sens
d’autodétermination
rationnelle.
Le décret n’est pas
plus incompatible
avec Agence libre
qu’est de
prescience, et
encore les
opposants, qui sont
généralement du type
arminiens ou
Semi-pélagienne,
prétendent croire en
la prescience
divine. Par sa
prescience Dieu
sait
de toute éternité l'
certaine futurition
de tous les
événements. Elle
repose sur son
préordination, par
lequel il a
déterminé leur
sécurité future. La
volonté arminienne
bien sûr, dire qu’il
ne croit pas dans
une prescience basé
sur un décret qui
rend certaines
choses, mais dans
une prescience des
faits et des
événements
susceptibles de
dépendre de la
volonté de l’homme
et par conséquent
pour une période
indéterminée.
Maintenant une telle
prescience des
actions de l’homme
libres est possible,
si l’homme même dans
sa liberté agit en
harmonie avec les
lois divinement
établies, qui encore
une fois apporter
dans l’élément de
certitude; mais il
semble impossible de
préconnus les
événements qui
dépendent
entièrement de la
décision de la
chance d’un
testament sans
scrupules, qui
peuvent à tout
moment, quel que
soit l’état de
l’âme, des
conditions actuelles
et des motifs qui se
présentent à
l’esprit , tourner
dans des directions
différentes. Ces
événements ne
peuvent être connus
d’avance comme
possibilités nues.
2.
il enlève tous les
motifs pour l’effort
humain.
Cette objection est
à l’effet que les
gens diront bien sûr
que si toutes choses
sont inévitable que
Dieu a déterminé
leur, ils doivent se
préoccuper pas quant
à l’avenir et il ne
faut pas faire des
efforts pour obtenir
le salut. Mais ce
n’est pas correct.
Dans le cas de
personnes qui
parlent après que la
mode, c’est
généralement la
simple excuse de
l’indolence et la
désobéissance. Les
décrets divins
s’adressent pas aux
hommes comme une
règle d’action et ne
peut pas être une
telle règle, leur
contenu connu
seulement par le
biais et donc, après
leur réalisation. Il
existe une règle
d’action, cependant,
incorporée dans la
Loi et dans
l’Évangile, et cela
met les hommes en
vertu de
l’obligation d’avoir
recours à des moyens
que Dieu a ordonné.
Cette objection
ignore également la
relation logique,
déterminée par
décret de Dieu,
entre les moyens et
la fin d’obtenir. Le
décret comprend non
seulement les
différents thèmes de
la vie humaine, mais
aussi les actions
humaines gratuites
qui sont logiquement
avant et sont
destinées à
apporter, les
résultats. C’est
absolument certain
que tous ceux qui se
trouvaient dans le
bateau avec Paul
(actes 27) devaient
être sauvés, mais il
était également
certain que, pour
arriver à cette fin,
les marins ont dû
rester à bord. Et
depuis le décret
établit une
corrélation entre
les moyens et les
fins, et les
extrémités sont
décrétées que comme
le résultat des
moyens, ils
encouragent l’effort
au lieu de
décourager il. Ferme
croyance dans le
fait que, selon les
décrets divins, le
succès sera la
récompense du
labeur, est une
incitation aux
efforts courageux et
persévérants. Sur la
base du décret
Ecriture nous
exhorte à faire
preuve de diligence
dans l’utilisation
des moyens nommés,
Phil. 02:13; EP
02:10.
3.
il fait Dieu auteur
du péché.
Cela, si elle est
vraie, serait
naturellement une
objection
insurmontable, car
Dieu ne peut pas
être l’auteur du
péché. Cela découle
également de
l’écriture, PS.
92:15; Eccl. 07:29;
Jacques 01:13; I
Jean 1:5, de la Loi
de Dieu qui interdit
tout péché et de la
sainteté de Dieu.
Mais l’accusation
n’est pas vraie; le
décret rend
simplement Dieu
l’auteur des êtres
moraux libres, qui
sont eux-mêmes les
auteurs du péché.
Décrets de Dieu pour
soutenir leur Agence
libre, de
réglementer les
circonstances de
leur vie et pour
permettre à cette
Agence libre
d’exercer elle-même
dans une multitude
de lois, dont
certaines sont
pécheresses. Pour
des raisons de
bonnes et saintes,
qu'il rend ces actes
coupables certains,
mais il ne pas
décret travail
mauvais désirs ou
choix efficacement
chez l’homme. Le
décret sur le péché
n’est pas efficace,
mais un décret
permissif ou un
décret pour
permettre, à la
différence d’un
décret pour
produire, péché par
efficacité divine.
Aucune difficulté
s’attache à un tel
décret qui n’attache
pas aussi à une
simple
autorisation passive
de ce qu’il pourrait
très bien éviter,
tels que les
arminiens, qui
généralement
soulèvent cette
objection, assument.
Le problème de la
relation de Dieu au
péché reste un
mystère pour nous,
que nous ne sommes
pas en mesure de
résoudre. On peut
dire, cependant, que
son décret pour
permettre le péché,
alors qu’il restitue
l’entrée du péché
dans le monde
certains, ne
signifie pas qu’il
se délecte en elle;
mais seulement qu’il
a jugé sage, dans le
but de son
auto-révélation,
afin de permettre un
mal moral, cependant
odieux soit-il à sa
nature.
II. la prédestination
En passant de la
discussion sur le
décret divin à celui
de la
prédestination, nous
sommes toujours sur
le même sujet, mais
passent du général
au particulier. Le
mot
« prédestination »
n’est pas toujours
utilisé dans le même
sens. Parfois il est
utilisé simplement
comme synonyme du
terme générique
« décret. » Dans
d’autres cas, elle
sert à désigner le
dessein de Dieu sur
toutes ses créatures
morales. Le plus
souvent, cependant,
il désigne
« l’avocat de Dieu
concernant les
hommes déchus, y
compris le choix
souverain de
certains et la
réprobation juste du
reste. Dans la
présente discussion,
il est utilisé
principalement dans
le dernier sens,
bien que pas tout à
fait à l’exclusion
de la deuxième
signification.
A. la Doctrine de la
prédestination dans
l’histoire.
Prédestination ne
forme pas un
important sujet de
discussion dans
l’histoire jusqu'à
l’époque d’Augustin.
Pères de l’église
antérieure font
allusion à elle,
mais ne semblent pas
encore avoir une
conception très
claire de celui-ci.
Dans l’ensemble ils
la considèrent comme
la prescience de
Dieu en ce qui
concerne les actes
humains, sur la base
duquel il détermine
leur destin futur.
Par conséquent, il
était possible pour
Pelagius, faire
appel à certains de
ces premiers pères.
« Selon Pelagius, »
dit Wiggers,
« préordination de
Salut ou de
damnation, est
fondée sur la
prescience. Par
conséquent, il
n’admettait pas une
« prédestination
absolue », mais à
tous égards une
« prédestination
conditionnelle ». »
Dans un
premier temps,
Augustine lui-même
était enclin à ce
point de vue, mais
une réflexion plus
profonde sur le
caractère souverain
du bon plaisir de
Dieu l’a amené à
voir que la
prédestination
n’était nullement
tributaire de la
prescience de Dieu
des actions
humaines, mais était
plutôt la base du
divin prescience. Sa
représentation sous
forme de réprobation
n’est pas aussi
claire que cela
puisse être.
Certaines de ses
déclarations vont
dans le sens que,
dans la
prédestination de
Dieu, foreknows ce
qu’il se fera, alors
qu’il est aussi
capable de préconnus
ce qu’il fera pas,
comme tous les
péchés; et parler
des élus comme des
sujets de la
prédestination et
des réprouvés comme
sujets de la
prescience divine.
Dans
d’autres passages,
cependant, il parle
aussi des réprouvés
comme sujets de la
prédestination, afin
qu’il ne peut y
avoir aucun doute à
ce sujet qu’il a
enseigné une double
prédestination.
Cependant, il a
reconnu leur
différence,
consistant en ce que
Dieu pas prédestinés
à la damnation et
les moyens à elle de
la même manière
comme il le faisait
au Salut, et que la
prédestination à la
vie est purement
souveraine, tandis
que la
prédestination à la
mort éternelle est
également judiciaire
et tient compte du
péché de l’homme.
Avis de Augustine a
trouvé beaucoup
d’opposition,
notamment en France,
où le
semi-pélagiens, tout
en admettant la
nécessité de la
grâce divine pour le
Salut, a réaffirmé
la doctrine d’une
prédestination issue
de prescience. Et
ils qui a pris la
défense d’Augustin
se sentaient
contraints de céder
sur certains points
importants. Ils
n’ont pas à rendre
justice à la
doctrine d’une
double
prédestination.
Seulement Gottschalk
et quelques-uns de
ses amis maintient,
mais sa voix était
bientôt réduite au
silence et semi
pélagianisme a pris
le dessus au moins
parmi les leaders de
l’église. Vers la
fin du moyen âge, il
est devenu tout à
fait évident que
l’église catholique
romaine permettrait
une grande latitude
dans la doctrine de
la prédestination.
Tant que ses
enseignants
maintinrent que Dieu
veut le salut de
tous les hommes, et
non pas simplement
des élus, ils
pourraient avec
Thomas Aquinas vont
dans le sens de
Augustinianism dans
la doctrine de la
prédestination, ou
avec Molina, suivre
le cours du
pélagianisme semi,
comme ils pensaient
que le meilleurs.
Cela signifie que,
même dans le cas de
ceux qui, comme
Thomas Aquinas,
croyaient à une
prédestination
absolue et double,
cette doctrine ne
pourrait se
maintenir à travers
constamment et il
n’a pas déterminante
du reste de leur
théologie.
Les réformateurs du
XVIe siècle tous les
préconise la plus
stricte doctrine de
la prédestination.
Cela est même vrai
de Melanchton dans
sa période la plus
ancienne. Luther a
accepté la doctrine
de la prédestination
absolue, bien que la
conviction que Dieu
a voulu que tous les
hommes devraient
être sauvés l’a
incité à relâcher la
doctrine de la
prédestination un
peu plus tard dans
la vie. Il a
progressivement
disparu de théologie
luthérienne, qui
considère désormais
que ce soit en tout
ou en partie
(réprobation) comme
conditionnelle.
Calvin a fermement
soutenu la doctrine
augustinienne d’une
double
prédestination
absolue. En même
temps il a, pour sa
défense de la
doctrine contre
Pighius, insiste sur
le fait que le
décret sur l’entrée
du péché dans le
monde était un
décret permissif, et
que le décret de
réprobation devrait
être interprété que
Dieu ne pouvait pas
être l’auteur du
péché, ni en aucune
manière responsable
pour lui. Les
Confessions
réformées sont
remarquablement
constants en
incarnant cette
doctrine, mais ils
pas tous l’énoncer
avec précision et
plénitude égale. À
la suite de
l’agression
arminienne sur la
doctrine, les Canons
de Dordrecht
contiennent une
déclaration claire
et détaillée de
celui-ci. Dans les
églises du type
arminiens, la
doctrine de la
prédestination
absolue a été
supplantée par la
doctrine de la
prédestination
conditionnelle.
Depuis l’époque de
Schleiermacher, la
doctrine de la
prédestination a
reçu une forme
entièrement
différente. La
religion a été
considérée comme un
sentiment de
dépendance absolue,
une
Hinneigung zum
WeltallEt, une
prise de conscience
de la dépendance
absolue sur la
causalité qui est
propre à l’ordre
naturel avec ses
lois invariables et
deuxièmement les
causes, qui
prédéterminent tous
humains se résout et
actions. Et la
prédestination a été
identifiée avec
cette
prédétermination de
la nature ou le lien
de causalité
universels dans le
monde. La
dénonciation
cinglante de ce
point de vue par
Otto y en a pas trop
sévère: « il n’y pas
plus faux produit de
la spéculation
théologique, pas
plus fondamentale
falsification des
conceptions
religieuses que
cela; et c’est
certainement pas
contre ce que le
rationaliste sente
un antagonisme, car
il est lui-même un
morceau du
rationalisme solide,
mais en même temps
un abandon complet
de l’idée vraie
religieuse de la
« prédestination ». »
La
doctrine de la
prédestination dans
la théologie
libérale moderne
rencontre peu de
faveur. Il est
rejeté ou modifiée
au-delà de la
reconnaissance. G.
B. Foster il marques
comme déterminisme;
Macintosh, il
représente comme une
prédestination de
tous les
hommes à être
semblables à l’image
de Jésus Christ; et
d’autres réduisent à
une prédestination à
certains offices ou
des privilèges.
De
nos jours, Barth a à
nouveau attiré
l’attention sur la
doctrine de la
prédestination, mais
a donné une
interprétation de
celle-ci qui n’est
pas même
lointainement
apparentée à celle
de Saint Augustin et
Calvin. Avec les
réformateurs, il
tient que cette
doctrine souligne la
liberté souveraine
de Dieu dans son
élection,
révélation, appel et
ainsi de suite.
Dans
le même temps, il ne
voit pas en la
prédestination une
distance
prédéterminée
d’hommes et ne
comprend pas
l’élection comme
Calvin élection
donnée. Cela est
évident d’après ce
qu’il dit à la page
332 de son
Roemerbrief.
Camfield donc dit
dans son
essai
sur la théologie
barthienne,
intitulé
révélation et
l’Esprit Saint: « Il
faut souligner que
la prédestination ne
signifie pas la
sélection d’un
certain nombre de
personnes pour le
salut et le reste
pour la damnation
selon la
détermination d’un
inconnu et
inconnaissable.
Cette idée
n’appartient-elle
pas à la
prédestination
appropriée. »
Prédestination met
homme en crise au
moment de la
révélation et de la
décision. Il
condamne dans la
relation dans
laquelle il se
trouve à Dieu par
nature, comme
pécheur et qui
rejette de relation
lui, mais il lui
choisit dans la
relation à laquelle
il est appelé dans
le Christ, et pour
qui il était destiné
à la création. Si
l’homme répond à la
révélation de Dieu
par la foi, il est
ce que Dieu voulait
qu’il soit, un élu;
mais s’il ne répond
pas, il reste un
refus. Mais puisque
l’homme est toujours
en crise, pardon
inconditionnel et
rejet complet
continuent de
s’appliquer à tout
le monde en même
temps. Esaü peut
devenir Jacob, mais
Jacob peut également
devenir une fois de
plus Esaü.
McConnachie, dit:
« pour Barth, et
comme il le croit,
St. Paul, l’individu
n’est pas l’objet
d’élection ou de la
réprobation, mais
plutôt l’arène de
l’élection ou la
réprobation. Les
deux décisions se
rencontrent au cours
de la même personne,
mais de telle façon
que, à partir de
l’aspect humain,
l’homme est toujours
réprouvé, mais vu du
côté divin, il est
toujours élu.... Le
terrain d’élection
est la foi. Le motif
de réprobation est
manque de foi. Mais
qui est celui qui
croit ? Et qui est
celui qui ne croit
pas ? Foi et
l’incrédulité sont
mis à la terre en
Dieu. Nous sommes
aux portes du
mystère. »
B. les termes
scripturaires pour
la prédestination.
Les termes suivants
entrent en
considération ici:
1.
le mot hébreu
yada' et le mot
grec ginoskein,
proginoskein,
et pronostic.
mot yada"peut
simplement signifier
« de savoir » ou
« prendre
connaissance » de
quelqu'un ou quelque
chose, mais peut
également être
utilisé dans le sens
plus enceinte de
« prendre
connaissance de
l’une avec soin
affectueux, » ou
« faisant un l’objet
d’aimer amour
facultatif ou de
soins. » En ce sens
qu’elle sert l’idée
de l’élection,
18:19; Amos 3:2;
Osée 13:5. La
signification des
mots
proginoskein et
pronostic dans
le Nouveau Testament
n’est pas déterminée
par leur utilisation
dans les classiques,
mais par
l’importance
particulière du
bla bla".
Ils désigne pas
simple prospective
intellectuelle ou
prescience, la
connaissance de la
simple prise de
quelque chose au
préalable, mais
plutôt une
connaissance
sélective qui
considère avec
faveur et en fait un
objet d’amour et
donc des approches
l’idée de la
préordination, actes
02:23 (COMP. 04:28);
ROM. 08:29; 11:2; I
Pierre 1:2. Ces
passages simplement
perdent leur
signification, dans
les mots s’imposent
le sens de
simplement prendre
connaissance de
l’une à l’avance,
pour Dieu foreknows
tous les hommes en
ce sens. Arminiens
même se sentiment
contraints à donner
aux mots un sens
plus déterminant, à
savoir, à un avec
une certitude
absolue dans un
certain État ou
condition connus.
Ceci inclut la
certitude absolue de
ce futur Etat et
pour cette raison
est très proche de
l’idée de
prédestination. Et
non seulement ces
mots, mais même la
simple
ginoskein a
telle une
signification
spécifique dans
certains cas, I Cor.
8:3; Galates 4:9; II
Timothée 02:19.
2.
le mot hébreu
bachar et les
mots grecs,
eklegesthai et
ekloge.
Ces mots soulignent
l’élément du choix
ou de la sélection
dans le décret de
Dieu concernant la
destinée éternelle
des pécheurs, un
choix accompagné du
bon plaisir. Ils
servent à indiquer
le fait que Dieu
choisit un certain
nombre de l’humanité
et les place dans
une relation
particulière avec
lui. Ils incluent
parfois l’idée d’un
appel à un certain
privilège ou de
l’appel au Salut;
mais c’est une
erreur de croire,
comme certains le
font, que cela
épuise leurs sens.
Il est parfaitement
évident qu’ils se
réfèrent
généralement à une
élection préalable
et éternelle, Rom.
09:11; 11:5;
Éphésiens 1:4; II
Thessaloniciens.
02:13.
3.
les mots grecs
proorizein et
proorismos.
Ces mots se réfèrent
toujours à la
prédestination
absolue. À la
différence des
autres mots, elles
nécessitent vraiment
un complément. La
question se pose
naturellement,
Foreordained à
quoi ? L’expression
désigne toujours la
préordination de
l’homme à une
certaine fin, et de
la Bible, il est
évident que la fin
peut être bon ou
mauvais, actes
04:28; Éphésiens
1:5. Cependant, la
fin à laquelle ils
se réfèrent n’est
pas nécessairement
la fin, mais il est
encore plus souvent
un but dans le
temps, qui est à son
tour un moyen à la
fin, actes 04:28;
ROM. 08:29; J’ai
Cor. 2:7; Éphésiens
1:5, 11.
4.
les mots grecs
protithenai et
PROTHESES.
En ces termes
l’attention est
dirigée sur le fait
que Dieu fixe devant
lui un plan
définitif auquel il
adhère fermement.
Ils renvoient
clairement à dessein
de Dieu de
prédestine les
hommes au Salut en
Rom. 08:29; 09:11;
Éphésiens 1:9, 11;
II Timothée 1:9.
C. l’auteur et les
objets de la
prédestination.
1.
l’auteur.
Le décret de
prédestination est
sans aucun doute,
dans toutes ses
parties, la loi
concomitante des
trois personnes dans
la Trinité, qui sont
l’un de leurs
avocats et sera.
Mais dans l’économie
du Salut, comme elle
est révélée dans les
Ecritures, l’acte
souverain de la
prédestination est
plus
particulièrement
attribuée au père,
Jean 17:6, 9; ROM.
08:29; Éphésiens
1:4; I Pierre 1:2.
2.
les objets de la
PRÉDESTINATION.
À la différence du
décret de Dieu en
général, la
prédestination a
référence à
créatures
rationnelles de Dieu
uniquement. Plus
fréquemment, il se
réfère aux hommes
déchus. Pourtant,
elle est également
employée dans un
sens plus large, et
nous l’utilisons
dans le sens plus
inclusif ici, afin
d’englober tous les
objets de la
prédestination. Il
comprend toutes les
créatures du
rationnel bon Dieu,
c'est-à-dire:
a. tous
les hommes,
bien et
le mal. Ceux-ci
sont inclus non
seulement comme des
groupes, mais en
tant qu’individus,
actes 04:28; ROM.
08:29, 30; 09:11-13;
Éphésiens 1:5, 11.
b. les
anges,
bien et
le mal. La
Bible ne parle pas
seulement des saints
anges, marquer à
08:38; Luc 09:26 et
des anges méchants,
qui a ne gardé pas
leur premier État,
Pierre II 2:4; Jude
6; mais aussi fait
explicitement
mention d’anges
élus, j’ai Timothée
05:21, par
conséquent ce qui
implique qu’il y
avait aussi non élu
anges. La question
se pose
naturellement,
comment doit-on
concevoir de la
prédestination des
anges ? Selon
certains, cela
signifie simplement
que Dieu a déterminé
en général que les
anges qui sont
restés Saintes
confirmerait dans un
état de félicité,
tandis que les
autres seraient
perdus. Mais ce
n’est pas du tout en
harmonie avec l’idée
biblique de la
prédestination. Cela
signifie plutôt que
Dieu a décrété, pour
des raisons
suffisants à
lui-même donner des
anges, en plus de la
grâce avec laquelle
ils étaient doués de
création et qui
comprenait une
puissance amplement
suffisante pour
rester Saint, une
grâce spéciale de
persévérance; et de
retenir ce des
autres. Il existe
des points de
divergence entre la
prédestination des
hommes et celui des
anges: (1), tandis
que la
prédestination des
hommes peut se
concevoir comme
infralapsaire, la
prédestination des
anges ne peut être
comprise comme
supralapsaire. Dieu
n’a pas choisi un
certain nombre hors
de la masse tombé
des anges. (2) les
anges n’étaient pas
élus ou prédestinés
à Christ en tant que
médiateur, mais en
lui en tant que
chef, c'est-à-dire
de se tenir dans une
relation
ministérielle lui.
c. le
Christ en tant que
médiateur.
Christ a été l’objet
de la prédestination
dans le sens que (1)
un amour particulier
du père, distinct de
son amour habituel
au fils, s’est
reposé sur lui de
toute l’éternité,
j’ai PET. 01:20;
2:4; (2) en sa
qualité de
médiateur, il a fait
l’objet du bon
plaisir de Dieu,
j’ai PET. 2:4; (3)
en tant que
médiateur, il a été
orné l’image
spéciale de Dieu, à
laquelle les
croyants devaient
être conformes, Rom.
08:29; et (4) le
Royaume avec toute
sa splendeur et les
moyens conduisant à
sa possession ont
été ordonnés pour
lui, qu’il pourrait
passer ceux-ci aux
croyants, Luc 22:29.
D. les sections de la
prédestination.
Prédestination
comprend deux
parties, à savoir,
élection et
réprobation, la
prédétermination des
fois le bon et les
méchants dans leur
but final et pour
certains les
extrémités qui
jouent un rôle
déterminant dans la
réalisation de leur
destin final.
1. L’ÉLECTION.
a.
l’idée
biblique de
l’élection. La
Bible parle de
l’élection dans
plusieurs sens. Il
n’y a (1) l’élection
d’Israël comme
peuple de privilèges
spéciaux et de
service spécial, Deut. 04:37; 7:6-8;
10:15; Osée 13:5.
(2) l’élection des
individus à un
office, ou à
l’exécution de
certains services
spéciaux, comme
Moïse, Ex. 3, les
prêtres, Deut. 18:5;
les rois, j’ai
Samuel 10:24; PS.
78:70, les
prophètes, Jérémie
1:5 et les apôtres,
John 6: 70; Actes à
09:15. (3)
l’élection des
individus d’être
enfants de Dieu et
héritiers de la
gloire éternelle,
Matthieu 22:14;
Romains 11:5; J’ai
Cor. 01:27, 28;
Éphésiens 1:4; J’ai
Thess. 1:4; I Pierre
1:2; II Pierre
01:10. Le dernier
est l’élection qui
vient en
considération ici
dans le cadre de la
prédestination. Il
peut être défini
comme
agir de cette
éternelle de Dieu
par lequel il,
selon
son bon plaisir
souverain,
et à
cause d’aucun mérite
prévu à eux,
choisit un certain
nombre d’hommes pour
être les
bénéficiaires de la
grâce spéciale et du
salut éternel
.
Plus
brièvement, on peut
affirmer être le
dessein éternel de
Dieu de sauver
certains de la race
humaine et par Jésus
Christ.
b. les
caractéristiques de
l’élection. Les
caractéristiques de
l’élection sont en
général identiques
avec les
caractéristiques des
décrets. Le décret
d’élection: (1)
est
l’expression de la
souveraine volonté
de Dieu, de
son bon
plaisir divin.
Cela signifie entre
autres que Christ
comme médiateur
n’est ne pas la qui
poussent, se
déplaçant, ou cause
méritoire de
l’élection, comme
certains ont
revendiqué. Il peut
être appelé la cause
médiate de la
réalisation de
l’élection et la
cause méritoire du
Salut auquel les
croyants sont élus,
mais il n’est pas la
cause méritoire ou
en mouvement de
l’élection
elle-même. C’est
impossible,
puisqu’il est
lui-même un objet de
la prédestination et
l’élection, et parce
que, lorsqu’il a
pris son œuvre
médiatrice sur lui à
l’avocat de la
rédemption, il y
avait déjà un nombre
fixe qui lui a été
donné. Élection
précède logiquement
l’avocat de la paix.
L’amour électif de
Dieu précède l’envoi
du fils, John 03:16;
Romains 5:8; II
Timothée 1:9; J’ai
John 4:9. En disant
que le décret
d’élection prend sa
source dans le bon
plaisir divin,
l’idée est également
exclue qu’il est
déterminé par quoi
que ce soit chez
l’homme, telles que
prévues de foi ou de
bonnes œuvres, Rom.
09:11; II Timothée
1:9. (2)
il est
immuable
et rend
donc le salut de
certains élus.
Dieu réalise le
décret d’élection
par sa propre
efficacité, par le
œuvre de Salut qu’il
accomplit dans le
Christ Jésus. C’est
son but que certains
individus devraient
croire et persévérer
jusqu'à la fin, et
il assure ce
résultat par le
œuvre objective du
Christ et les
opérations
subjectives de
l’Esprit Saint, Rom.
08:29, 30; 11:29; II
Timothée 02:19.
C’est le fondement
solide de Dieu qui
se tient, « vu ce
sceau, le Seigneur
connaît ceux qui
sont siens. » Et
comme tel il est la
source de confort
riche pour tous les
croyants. Leur salut
final ne dépend pas
de leur obéissance
incertaine, mais a
sa garantie dans le
dessein immuable de
Dieu. (3)
il est
éternel,
c'est-à-dire,
de
toute éternité.
Cette élection
divine ne doit
jamais être
identifiée avec
n’importe quel
temporelle
sélection, que ce
soit pour le plaisir
de la grâce spéciale
de Dieu dans cette
vie, pour des
privilèges spéciaux
et services
compétents ou pour
l’héritage de gloire
ci-après, mais doit
être considérée
comme éternelle,
Rom. 08:29, 30;
Éphésiens 1:4, 5.
(4) il
est inconditionnel.
Élection en aucune
façon dépend-il de
la foi prévu ou les
bonnes œuvres de
l’homme, comme les
arminiens
enseignent, mais
exclusivement sur le
souverain bon
plaisir de Dieu, qui
est également
l’auteur de la foi
et les bonnes
œuvres, Rom. 09:11;
Actes 13:48; II
Timothée 1:9; I
Pierre 1:2. Étant
donné que tous les
hommes sont pécheurs
et ont confisqué les
bénédictions de
Dieu, il n’y a aucun
fondement pour une
telle distinction en
eux; et puisque même
la foi et les bonnes
œuvres des croyants
sont le fruit de la
grâce de Dieu,
Éphésiens 2:8, 10;
II Timothée 02:21,
même ceux-ci, comme
prévu par Dieu, ne
peuvent pas fournir
une telle base. (5)
il est
irrésistible.
Cela ne signifie pas
que l’homme ne peut
pas s’opposer à son
exécution dans une
certaine mesure,
mais cela ne
signifie pas que son
opposition ne
prévaudra pas. Ni
que cela signifie
que Dieu dans
l’exécution de son
décret domine la
volonté humaine
d’une manière qui
est incompatible
avec l’Agence libre
de l’homme. Cela ne
signifie pas,
toutefois, que Dieu
peut et exerce une
telle influence sur
l’esprit humain
qu’il veut, PS.
110:3; Phil. 02:13.
(6) il
n’est pas soumis à
l’injustice. Le
fait que Dieu
favorise certains et
passe par d’autres,
ne garantit pas la
charge qu’il est
coupable de
l’injustice. Nous
pouvons parler de
l’injustice que
lorsqu’une partie a
une créance sur un
autre. Si Dieu avait
le pardon des péchés
et la vie éternelle
à tous les hommes,
il serait une
injustice s’il ne
sauvé qu’un nombre
limité d'entre eux.
Mais le pécheur n’a
absolument aucun
droit ou réclamation
sur les bénédictions
qui découlent de
l’élection divine.
En fait, il a perdu
ces bénédictions.
Non seulement nous
avons pas le droit à
l’appel de Dieu pour
tenir compte de
l’élire certains et
d’autres en passant,
mais nous devons
admettre qu’il
aurait été
parfaitement juste,
s’il n’avait pas
sauvé tout, Matthieu
20:14, 15; ROM.
09:14, 15.
c.
l’objectif de
l’élection.
L’objectif de cette
élection éternelle
est double: (1)
l’objectif immédiat
est le salut des
élus. Que
l’homme est choisi
ou élu pour le salut
est clairement
enseigné dans la
parole de Dieu,
Romains 11:7-11; II
Thessaloniciens.
02:13. (2)
l’objectif final est
la gloire de Dieu.
Même le salut des
hommes est
subordonné à cela.
Que la gloire de
Dieu est le but le
plus élevé de la
grâce élection faite
très emphatique dans
Éphésiens 1:6, 12,
14. L’Évangile
social de notre
époque aime à
insister sur le fait
que l’homme est élu
au service. Dans la
mesure où ceci est
conçu comme un déni
de l’élection de
l’homme pour le
salut et la gloire
de Dieu, il va
clairement à
l’encontre de
l’écriture. Prises
par lui-même,
cependant, l’idée
que les élus sont
prédestinés pour
service ou bonnes
œuvres est
entièrement
scripturaire,
Éphésiens 02:10; II
Timothée 02:21; mais
cette fin est
inféodée aux
extrémités déjà
indiquées.
2.
RÉPROBATION.
Nos normes
confessionnelles
parlent non
seulement de
l’élection, mais
aussi de
réprobation.
Augustine a enseigné
la doctrine de
réprobation, de même
que de celle de
l’élection, mais
cette « doctrine
dure » a rencontré
beaucoup
d’opposition.
Catholiques romains,
la grande majorité
des méthodistes,
luthériens et
arminiens rejettent
généralement cette
doctrine dans sa
forme absolue. Si on
parle encore de
réprobation, ce
n'est que d’une
réprobation issue de
prescience. Que
Calvin était
profondément
conscient de la
gravité de cette
doctrine, il est
parfaitement évident
du fait qu’il parle
de lui comme un «decretum
horribile»
(terrible décret).
néanmoins, il ne se
sentait pas libre de
refuser ce qu’il
considère comme une
vérité biblique
importante. De nos
jours, certains
spécialistes qui
prétendent être
réformé rechignent à
cette doctrine.
Barth enseigne une
réprobation qui
repose sur le rejet
de l’homme de la
révélation de Dieu
dans le Christ.
Brunner, semble
avoir une conception
plus scripturaire
d’élection que
Barth, mais rejette
la doctrine de la
réprobation
entièrement. Il
admet qu’il découle
logiquement de la
doctrine de
l’élection, mais met
en garde contre la
direction de la
logique humaine en
l’espèce, étant
donné que la
doctrine de la
réprobation n’est
pas enseignée dans
les Ecritures.
a.
déclaration de la
doctrine.
Réprobation peut
être définie comme
ce
décret éternel de
Dieu par lequel il a
déterminé à passer
certains hommes par
le fonctionnement de
sa grâce spéciale
et de
les punir pour leurs
péchés,
à la
manifestation de sa
justice. Les
points suivants
méritent un accent
particulier: (1),
il
contient deux
éléments. Selon
la représentation
plus habituelle dans
la théologie
réformée le décret
de réprobation se
compose de deux
éléments, à savoir,
preterition ou
la volonté de passer
par certains hommes;
et
condamnation
(parfois appelé
precondemnation)
ou la volonté de
punir ceux qui sont
passés par leurs
péchés. Comme tel,
il incarne un double
objectif: (a) de
passer par certains
membres de
l’effusion de
régénération et de
la grâce salvatrice;
et (b) à attribuer
au déshonneur et à
la colère de Dieu
pour leurs péchés.
La Confessio Belgica
mentionne seulement
le premier, mais les
Canons de Dordrecht
nommez ce dernier
aussi bien. Certains
théologiens réformés
seraient omettre le
deuxième élément du
décret de
réprobation. Dabney
préfère considérer
la condamnation des
méchants comme le
résultat prévu et
prévu de leur
preterition, privant
ainsi la réprobation
de son caractère
positif; et Dick est
d’avis que le décret
de condamner devait
être considérée
comme un décret
distinct et pas dans
le cadre du décret
de réprobation. Il
nous semble,
cependant, que nous
ne sommes pas
justifiées en
écartant le deuxième
élément du décret de
réprobation, ni à le
considérer comme un
décret différent. Le
côté positif de la
réprobation est si
clairement enseigné
dans l’écriture
comme le contraire
de l’élection que
nous ne pouvons pas
considérer comme
quelque chose de
purement négatif,
Rom. 09:21, 22; 4
Jude. Toutefois,
nous devrions
remarquer plusieurs
points de la
distinction entre
les deux éléments du
décret de
réprobation: (a)
Preterition est un
acte souverain de
Dieu, un acte de son
simple bon plaisir,
dans lequel les
démérites de l’homme
n’entrent pas en
considération,
tandis que
precondemnation est
un acte judiciaire,
visitant le péché
avec peine. Même
supralapsaires sont
disposés à admettre
que pour condamner
le péché est pris en
considération. (b)
la raison pour
preterition n’est
pas connue par
l’homme. Il ne peut
pas être péché, pour
tous les hommes sont
pécheurs. Nous
pouvons seulement
dire que Dieu passée
certains pour des
raisons de bonnes et
sages suffisant à
lui-même. En
revanche, la raison
d’une condamnation
est connue; C’est un
péché. (c)
preterition est
purement passive, un
simple en passant
sans action sur
l’homme, mais la
condamnation est
efficace et positif.
Ceux qui sont passés
par sont condamnés
en raison de leur
péché. (2) nous
devrions nous garder
contre l’idée,
cependant, que comme
les deux élections
et réprobation
déterminent avec une
certitude absolue la
fin à laquelle
l’homme est
prédestiné et les
moyens de qui qui se
terminent est
réalisé, ils
impliquent également
que dans le cas de
la réprobation ainsi
que dans celui d’el
exion Dieu amènera à
passer par sa propre
efficacité directe
que ce soit, il a
décrété. Cela
signifie que, même
si on peut dire que
Dieu est l’auteur de
la régénération,
appeler, la foi, la
justification et la
sanctification, des
élus et donc par une
action directe sur
leur apporte leur
élection à la
réalisation, on ne
saurait dire qu’il
est aussi le
responsable auteur
de la chute, la
condition injuste et
le pécheur actes des
réprouvés par action
directe sur eux et
effets ainsi la
réalisation de leur
réprobation. Décret
de Dieu sans doute
rendu l’entrée du
péché dans le monde
certains, mais il
les a prédestinés
pas certains au
péché, comme il le
fit d’autres à la
sainteté. Et comme
le Dieu Saint, il ne
peut pas être
l’auteur du péché.
La position qui
Calvin prend sur ce
point dans ses
instituts est
clairement indiquée
dans les délivrances
suivants trouvés
dans des
Articles sur la
prédestination
de Calvin:
« Bien que la
volonté de Dieu est
la cause suprême et
la première de
toutes choses et
Dieu tient le diable
et tous les impies
sous réserve de son
aura, que Dieu ne
peut néanmoins être
dénommée la cause du
péché, ni l’auteur
du mal, ni est il
ouvert à tout blâme.
« Bien que le diable
et les réprouvés
sont les serviteurs
et les instruments
de Dieu pour
réaliser ses
décisions secrètes,
néanmoins d’une
manière
incompréhensible
Dieu donc fonctionne
en eux et à travers
eux quant à ne
contracter aucune
tache de leur vice,
car leur méchanceté
est utilisée dans
une juste et façon
juste pour une bonne
fin, même si la
manière est souvent
cachée de notre
part.
« Ils agissent par
ignorance et effet
qui disent que Dieu
est faite à l’auteur
du péché, si toutes
les choses viennent
de passer par sa
volonté et
l’ordonnance; parce
qu’ils ne font
aucune distinction
entre la dépravation
des hommes ainsi que
les nominations
cachées de Dieu. »
(3) il
est à noter que ce
dont Dieu a décidé
d’adopter certains
hommes, n’est pas sa
courante mais son
extraordinaire, sa
régénération, grâce,
la grâce qui
transforme les
pécheurs en saints.
C’est une erreur de
penser que dans
cette vie les
réprouvés sont
totalement démunies
de la faveur de
Dieu. Dieu ne limite
pas la distribution
de ses dons naturels
de l’objectif de
l’élection. Il ne
permet pas même
élection et
réprobation pour
déterminer la mesure
de ces dons. Les
réprouvés
bénéficient souvent
d’une plus grande
mesure des bienfaits
naturels de la vie
que les élus. Ce qui
distingue
efficacement ce
dernier de l’ancien,
c’est qu'
ils
sont faits des
récipiendaires de la
régénération et à la
grâce salvifique de
Dieu.
b. la
preuve pour la
doctrine de
réprobation. La
doctrine de la
réprobation découle
naturellement de la
logique de la
situation. Le décret
d’élection implique
inévitablement le
décret de
réprobation. Si le
tout-sage Dieu, doué
d’une connaissance
infinie, a
éternellement se
proposait de sauver
certains, puis il a
ipso
facto se
proposait également
ne pas à sauver
d’autres. S’il a
choisi ou certains
élus, puis il a par
que fait également
rejeté d’autres.
Brunner met en garde
contre cet argument,
puisque la Bible
enseigne-t-elle pas
en un seul mot une
prédestination
divine au rejet.
Mais il nous semble
que la Bible ne
contredit pas mais
qu’il justifie la
logique en question.
Étant donné que la
Bible est avant tout
une révélation de la
rédemption, il
naturellement n’a
pas autant à propos
de réprobation comme
sur les élections.
Mais ce qu’il dit
est tout à fait
suffisant, Matt.
11:25, 26; ROM.
09:13, 17, 18, 21,
22; 11:7; 4 Jude; I
Pierre 2:8.
E. supra et infra lapsarianisme.
La doctrine de la
prédestination n’a
pas toujours été
présentée exactement
la même forme.
Surtout depuis
l’époque de la
réforme deux
conceptions
différentes de ce
graduellement
émergé, qui étaient
désignés au cours de
la controverse
arminienne Infra -
et
supralapsarianisme.
Les différences déjà
existantes ont été
plus nettement
définies et plus
fortement accentuées
que les résultats
des différends
théologiques de
cette journée. Selon
Dr Dijk que deux
points de vue à
l’étude étaient sous
leur forme originale
simplement une
différence d’opinion
sur la question,
savoir si la chute
de l’homme a été
également inscrite
dans le décret
divin. A été le
premier péché de
l’homme, qui
constitue sa chute,
prédestiné, ou
était-ce simplement
l’objet de la
prescience divine ?
Dans leur forme
originale
supralapsarianisme a
tenu l’ancienne et
infralapsarianisme,
ce dernier. En ce
sens du mot Calvin
était clairement un
supralapsaire. Le
développement
ultérieur de la
différence entre les
deux a commencé par
Bèze, le successeur
de Calvin à Genève.
Dans ce point en
litige se retire peu
à peu dans
l’arrière-plan et
autres différences
sont présentées,
dont certaines
s’avèrent pour être
de simples
différences
d’accent.
Infralapsarians plus
tard, comme Rivet,
Walaeus, faire,
Turretin, à Mark et
de Moor, tous
admettent que la
chute de l’homme a
été inscrite dans le
décret; et des
supralapsaires
ultérieurs, tels que
Bèze, gomar, Peter
Martyr, Zanchius,
Ursinus, Perkins,
Twisse, Trigland,
Voetius, Burmannus,
Witsius et Comrie,
au moins certains
sont tout à fait
prêt à admettre que,
dans le décret de
Dieu de la
réprobation d’une
certaine façon se
péché en examen.
Nous nous
intéressons à
l’heure actuelle
avec Supra - et
infralapsarianisme
sous leur forme la
plus développée.
1.
le POINT EXACT en
question.
Il est tout à fait
essentiel d’avoir
une vue correcte de
l’exacte ou les
points en litige
entre les deux.
a.
négativement,
la
différence n’est pas
trouvée: (1)
dans
les points de vue
divergents
concernant l’ordre
temporel des décrets
divins. Il est
admis sur toutes les
mains que le décret
de Dieu est un et
dans toutes ses
parties tout aussi
éternelle, alors
qu’il est impossible
d’attribuer toute
succession
temporelle qui
comprend des
éléments divers. (2)
dans
toute différence
essentielle quant à
savoir si la chute
de l’homme a été
décrétée ou
simplement l’objet
de la prescience
divine. Cela
peut avoir été,
comme le dit le Dr
Dijk, le point
d’origine de la
différence; mais,
sûrement, toute
personne qui affirme
que la chute n’était
pas décrétée mais
seulement prévue par
Dieu, dirait
maintenant se
déplacer le long de
lignes arminiens et
non réformées. Supra
- tant
Infralapsarians
admettre que
l’automne est inclus
dans le décret
divin, et que
preterition est
volonté souveraine
d’un acte de Dieu.
(3)
dans toute
différence
essentielle quant à
la question,
si le
décret par rapport
au péché est
facultatif. Il
y a une différence
d’accent mis sur
l’adjectif
admissible.
Supralapsaires (à
quelques exceptions
près) sont disposés
à admettre que le
décret par rapport
au péché est
facultatif, mais
m’empresse d’ajouter
qu’il néanmoins
permet l’entrée du
péché dans le monde
une certitude. Et
Infralapsarians (à
quelques exceptions
près) admettra que
le péché est inclus
dans le décret de
Dieu, mais
m’empresse d’ajouter
que le décret, dans
la mesure où ce qui
a trait au péché,
est permissive
plutôt que positive.
L’ancien parfois
trop insister sur
l’élément positif
dans le décret sur
le péché et ainsi
s’expose à
l’accusation qu’ils
font Dieu auteur du
péché. Et ce dernier
parfois trop
insister sur le
caractère permissif
de l’arrêté,
réduisant celui-ci à
une permission de
nue et s’expose
ainsi à l’accusation
de l’Arminianisme.
Dans l’ensemble,
cependant,
supralapsaires
répudient
catégoriquement
toute interprétation
du décret qui ferait
Dieu auteur du
péché; et
Infralapsarians sont
pris soin de
souligner
expressément que le
décret permissif de
Dieu par rapport au
péché rend sin
certainement future.
(4)
dans toute
différence
essentielle quant à
la question,
si le
décret de
réprobation tienne
compte du péché.
Elle est parfois
représentée comme si
Dieu destiné
certains hommes pour
la destruction
éternelle,
simplement par un
acte de sa volonté
souveraine, sans
tenir compte de leur
péché; comme si,
comme un tyran, il a
tout simplement
décidé de détruire
un grand nombre de
ses créatures
rationnelles,
purement pour la
manifestation de ses
vertus glorieux.
Mais les
supralapsaires
détestent l’idée
d’un Dieu tyrannique
et au moins certains
d'entre eux
précisent
explicitement que,
tandis que
preterition est
volonté souveraine
d’un acte de Dieu,
le deuxième élément
de réprobation, à
savoir la
condamnation, est un
acte de justice et
certainement tienne
compte des Sin. Cela
se déroule sur la
supposition que,
logiquement,
preterition précède
le décret pour créer
et pour permettre la
chute, tandis que la
condamnation fait
suite à cela. La
logique de cette
position peut être
mise en doute, mais
il montre au moins
que les
supralapsaires qui
assument, enseignent
que Dieu tienne
compte du péché dans
le décret de
réprobation. p ><p>b.
positivement,
la
différence concerne:
(1)
l’étendue de la
prédestination.
Supralapsaires
comprennent le
décret pour créer et
pour permettre la
chute dans le décret
de prédestination,
tandis que
Infralapsarians se
référer au décret de
Dieu en général et
exclure du décret
spécial de la
prédestination.
Selon la première,
l’homme apparaît
dans le décret de
prédestination,
pas
aussi créé et déchu,
mais
aussi certains à
créer et à l’automne;
alors que, selon ce
dernier, il apparaît
dedans comme déjà
créé et tombé. (2)
l’ordre
logique des décrets.
La question est, si
les décrets pour
créer et pour
permettre la chute
étaient moyens au
décret de la
rédemption.
Supralapsaires
procéder sur
l’hypothèse que,
dans la
planification de
l’esprit rationnel,
passe de la fin pour
les moyens dans un
mouvement
rétrograde, afin que
ce qui est le
premier de
conception est le
dernier dans
l’accomplissement.
Ainsi, ils
déterminent dans
l’ordre suivant: (a)
le décret de Dieu de
se glorifier et
particulièrement
pour agrandir sa
grâce et la justice
dans le salut de
certains et la
perdition des autres
créatures
rationnelles, qui
existent dans
l’Entendement divin,
encore que comme
possibilités. (b) le
décret pour créer
ceux qui ont été
ainsi élu et
réprouvé. (c) le
décret pour qu’ils
puissent tomber. (d)
le décret pour
justifier les élus
et non élus-de
condamner. D’autre
part les
Infralapsarians
suggèrent un ordre
plus historique: (a)
le décret de créer
l’homme à la
sainteté et la
sainteté. (b) le
décret permettant
l’homme avoir reculé
de
l’autodétermination
de sa propre
volonté. (c) le
décret pour sauver
un certain nombre de
cet agrégat
coupable. (d) le
décret de laisser le
reste dans leur
autodétermination
dans le péché et de
les soumettre à la
punition juste qui
mérite de leur
péché. (3)
l’extension de
l’élément personnel
de prédestination
aux décrets pour
créer et pour
permettre la chute.
Selon supralapsaires
Dieu, même dans le
décret de créer et
de permettre à
l’automne, avait son
regard fixé sur ses
élus
individuellement,
afin qu’il y n'avait
pas un seul instant
dans le décret
divin, quand ils ne
s’est pas présenté à
une relation
particulière avec
Dieu comme ses
bien-aimés.
Infralapsarians,
tenir d’autre part,
que cet élément
personnel ne figure
pas dans le décret
jusqu’après le
décret de créer et
de permettre à
l’automne. Dans ces
décrets eux-mêmes
élus figurent
simplement dans
toute la masse de
l’humanité et
n’apparaissent pas
comme des objets
spéciaux de l’amour
de Dieu.
2. LA POSITION
SUPRALAPSAIRE.
a.
Arguments en faveur
d’elle: (1) il
lance un appel à
tous ces passages de
l’Ecriture qui
mettent l’accent sur
la souveraineté
absolue de Dieu et
plus
particulièrement sa
souveraineté en ce
qui concerne le
péché, comme le
Psaume 115:3; Prov.
16:4; Ésaïe 10:15;
45:9; Jérémie 18:6;
Matthieu 11:25, 26;
20:15; ROM. 09:17,
19-21. Un accent
particulier est mis
sur la figure du
potier, qui se
trouve dans plus
d’un de ces
passages. Il est dit
que ce chiffre ne
consiste pas
seulement insiste
sur la souveraineté
de Dieu en général,
mais aussi et
surtout sa
souveraineté dans la
détermination de la
qualité des navires
lors de la création.
Cela signifie que
Paul dans Romains 9
parle d’un point de
vue pré-création,
une idée qui est
favorisée (a) par le
fait que les travaux
du potier est
utilisé fréquemment
dans l’écriture
comme une figure de
la création; et (b)
par le fait que le
potier détermine
chaque navire pour
un certain usage et
lui confère une
qualité
correspondante, ce
qui pourrait causer
le navire demander,
mais sans aucun
droit, pourquoi tu
me faire donc ? (2)
l’attention est
appelée sur le fait
que certains
passages de
l’écriture donnent à
penser que le
travail de la nature
ou de la création a
été ordonné en
général alors que
contiennent déjà des
illustrations de le
œuvre de rédemption.
Jésus vient
fréquemment ses
illustrations pour
l’élucidation des
choses spirituelles
de la nature, et on
nous dit dans
Matthieu 13:35 qu’il
s’agissait dans
l’accomplissement de
la parole du
prophète, « J’ai va
proférer des choses
cachées depuis la
Fondation du
monde. » COMP. PS.
78:2. Ceci est
interprété comme
signifiant qu’ils
étaient
cachés en nature,
mais ont été mis en
évidence dans les
paraboliques
enseignements de
Jésus. Éphésiens 3:9
est également
considérée comme une
expression de l’idée
que le dessein de
Dieu dans la
création du monde a
été réalisé à la
manifestation de sa
sagesse, qui
attribuerait aux
travaux du Nouveau
Testament de la
rédemption. Mais
l’appel à ce passage
semble, pour le
moins très douteux.
(3) l’ordre des
décrets, tel
qu’accepté par les
supralapsaires, est
considéré comme le
plus idéal, le plus
logique et unifiée
des deux. Il montre
clairement l’ordre
rationnel qui existe
entre la finalité et
les moyens
intermédiaires.
C’est pourquoi les
supralapsaires
peuvent, tandis que
le Infralapsarians
ne peut pas donner
une réponse précise
à la question
pourquoi Dieu a
décrété pour créer
le monde et
permettre la chute.
Ils pleinement
justice à la
souveraineté de Dieu
et de s’abstenir de
toutes les vaines
tentatives de
justifier Dieu aux
yeux des hommes,
alors que les
Infralapsarians
hésiter, tenter de
prouver la justice
intérieur de Dieu et
encore en fin de
compte doit venir à
la même conclusion
que le
Supralapsaires, à
savoir que, en
dernière analyse, le
décret pour
permettre la chute
trouve son
explication que dans
le bon plaisir
souverain de Dieu.
(4)
l’analogie de la
prédestination des
anges semble
favoriser la
position
supralapsaire, car
il seulement peut se
concevoir comme
supralapsaire. Dieu
a décrété, pour des
raisons suffisantes
pour lui-même,
d’accorder certains
anges la grâce de la
persévérance et de
retenir ce des
autres; et se
connecter avec ce
justement la
confirmation de
l’ancien dans un
état de gloire et la
perdition éternelle
de ce dernier. Cela
signifie donc que le
décret sur la chute
des anges fait
partie de leur
prédestination. Et
il semble impossible
de concevoir de
celui-ci de toute
autre manière.
b.
Objections à cela:
malgré ses
prétentions
apparente, il ne
donne pas une
solution au problème
du péché. Il aurait
pour cela, si il a
osé dire que Dieu a
décrété pour
apporter de péché
dans le monde
par sa
propre efficacité
directe.
Certains
supralapsaires,
c’est vrai, ne
représentent pas le
décret comme
l’efficace cause du
péché, mais encore
ne veux pas être
interprété de telle
manière que Dieu
devient l’auteur du
péché. La majorité
d'entre eux ne se
soucient pas d’aller
au-delà de
l’affirmation selon
laquelle Dieu a
voulu pour permettre
le péché. Maintenant
ce n’est pas
d’objection à la
supralapsaire dans
la distinction de
l’infralapsaire,
pour aucun d'entre
elles n’a résolu le
problème. La seule
différence est que
le premier rend
plues prétentions à
cet égard que le
second. (2)
conformément à ses
représentations,
l’homme apparaît
dans le décret divin
d’abord comme
creabilis et labilis
(certains à créer et
à tomber). Les
objets du décret
sont d’abord de tous
les hommes
considérés comme de
simples
possibilités, comme
des entités
inexistantes. Mais
un tel décret
nécessairement a
uniquement un
caractère provisoire
et doit être suivi
par un autre décret.
Après que l’élection
et la réprobation de
ces suit hommes
possibles le décret
pour les créer et de
leur permettre à
tomber et cela doit
être suivi par un
autre décrètent
concernant ces
hommes dont la
création et chute
ont maintenant été
définitivement
déterminé, à savoir
le décret de
certains élus et de
réprouver le reste
de ceux qui
apparaissent
maintenant dans le
dessein divin comme
de vrais hommes.
Supralapsaires
prétendent qu’il
s’agit d’aucune
objection
insurmontable parce
que, s’il est vrai
que sur leur
position l’existence
réelle des hommes
n'a pas encore été
déterminé lorsqu’ils
sont élus et
réprouvées, elles
n’existent pas dans
l’idée divine. (3)
il est dit que
supralapsarianisme
fait la punition
éternelle de la
réprouvés que sera
un objet de la
volonté divine, dans
le même sens et de
la même manière que
le salut éternel des
élus; et que cela
rend le péché qui
conduit à la
destruction
éternelle, un moyen
à cette fin, de la
même manière et dans
le même sens que la
rédemption en Christ
est un moyen pour le
salut. Si
systématiquement
réalisées, cela
ferait Dieu auteur
du péché. Il est à
noter, toutefois,
que les
supralapsaires
n’atteint, en règle
générale, si pas le
décret et stipule
explicitement que le
décret ne peut être
ainsi interprété au
point de rendre Dieu
auteur du péché. Il
parlera d’une
prédestination à la
grâce de Dieu en
Jésus Christ, mais
pas d’une
prédestination à
péché. (4) encore
une fois, il est
objecté que
supralapsarianisme
fait le décret de
réprobation juste
aussi absolue que le
décret d’élection.
En d’autres termes,
qu’il considère
réprobation comme
purement un acte de
souverain bon
plaisir de Dieu et
non comme un acte de
justice punitive.
Selon sa
représentation péché
n’entre pas en
considération dans
le décret de
réprobation. Mais ce
n’est guère correct,
bien qu’il peut être
vrai pour certains
supralapsaires. En
général, cependant,
on peut dire que,
bien qu’ils
considèrent
preterition comme
souverain bon
plaisir une loi de
Dieu, ils
habituellement
considèrent
precondemnation
comme un acte de
justice divine, qui
tient compte sin. Et
l’infralapsaire
lui-même ne peut pas
soutenir l’idée que
la réprobation est
un acte de justice
pure et simple, sous
réserve du péché de
l’homme. En dernière
analyse, il, aussi,
doit déclarer qu’il
est souverain bon
plaisir d’un acte de
Dieu, s’il veut
éviter le camp
arminiens. (5)
Enfin, il est dit
qu’il n’est pas
possible
d’interpréter une
doctrine utilisable
de l’Alliance de la
grâce et du
Médiateur sur la
base du régime
supralapsaire. Tant
l'Alliance et le
médiateur de
l’Alliance ne
peuvent être conçu
que comme
infralapsaire. C’est
franchement admis
par certains
supralapsaires.
Logiquement, le
médiateur apparaît
dans le décret divin
qu’après l’entrée du
péché; et il s’agit
du seul point de vue
d'où l’Alliance de
grâce peut être
interprété. Cela
aura naturellement
une influence
importante sur le
ministère de la
parole.
3. LA POSITION
INFRALAPSAIRE.
a.
Arguments en faveur
de l’il. (1)
Infralapsarians
appel plus
particulièrement à
ces passages de
l’écriture dans
lequel les objets de
l’élection
apparaissent comme
dans un état de
péché, étant en
étroite union avec
le Christ, ainsi que
des objets de la
miséricorde de Dieu
et la grâce, comme
Matthieu 11:25, 26;
John 15:19; ROM.
08:28, 30; 9:15. 16;
Éphésiens 1:4-12; II
Timothée 1:9. Ces
passages semble
indiquer que, dans
la pensée de Dieu,
la chute de l’homme
ont précédé
l’élection de
certains pour le
salut. (2) il
appelle également
l’attention sur le
fait que dans sa
représentation de
que l’ordre des
décrets divins est
moins philosophique
et plus naturelle
que celle proposée
par supralapsaires.
C’est en harmonie
avec l’ordre
chronologique dans
l’exécution des
décrets, qui semble
refléter l’ordre
dans le Conseil
éternel de Dieu.
Tout comme dans
l’exécution, il est
donc le décret un
ordre causal. Il est
plus modeste de se
conformer à cet
ordre, juste parce
qu’il reflète
l’ordre historique a
révélé dans les
Ecritures et ne
prétend pas résoudre
le problème de la
relation de Dieu au
péché. Il est
considéré comme
moins offensant dans
sa présentation de
l’affaire et être
beaucoup plus en
harmonie avec les
exigences de la vie
pratique.
(3)
tandis que les
supralapsaires
affirment que leur
construction de la
doctrine des décrets
est la plus logique
des deux,
Infralapsarians
faire la même
revendication pour
leur poste. Dabney,
dit: « les
supralapsaires
(régime) sous le
prétexte d’une plus
grande symétrie, est
en réalité le plus
illogique des
deux. »
Il
est souligné que le
régime de
supralapsaire est
illogique, car il
rend le décret
d’élection et
preterition se
référer à des
entités,
c'est-à-dire aux
hommes qui
n’existent pas, sauf
que les possibilités
de nues, même dans
l’esprit de Dieu;
qui ne sont pas
encore exister dans
le décret divin et
ne sont donc pas
envisagé comme créé,
mais seulement comme
pouvant être créés.
Encore une fois, il
est dit que la
construction
supralapsaire est
illogique, car elle
sépare
nécessairement les
deux éléments dans
la réprobation,
plaçant preterition
avant et leur
condamnation, après
la chute. (4) Enfin,
l’attention est
également appelée
sur le fait que les
Églises réformées
dans leurs normes
officielles ont
toujours adopté la
position
infralapsaire, même
s’ils ont jamais
condamné, mais
toujours toléré,
l’autre vue. Parmi
les membres du
Synode de Dordrecht
et de l’Assemblée de
Westminster, il y
avait plusieurs
supralapsaires qui
ont eu lieu en
l’honneur de haut
(l’officier
présidant dans les
deux cas appartenant
au nombre), mais à
la fois les Canons
de Dordrecht et la
Confession de
Westminster le
infralapsaire vue
trouve son
expression.
b.
Objections à cela.
Voici quelques-unes
des principales
objections soulevées
contre l’infralapsarianisme:
(1) il ne donne pas,
ni prétend donner
une solution au
problème du péché.
Mais cela est
également vrai
d’autres avis, afin
que, dans une
comparaison entre
les deux, cette ne
peut pas très bien
considérée comme une
objection réelle,
même si elle est
parfois soulevée. Le
problème de la
relation de Dieu au
péché s’est avéré
pour être insolubles
pour celui, ainsi
que pour l’autre.
(2) tandis que l’infralapsarianisme
peut être actionnée
par le louable désir
pour se prémunir
contre la
possibilité de
charger de Dieu
étant l’auteur du
péché, c’est, en
faisant cela,
toujours en danger
de dépassement de la
marque, et certains
de ses représentants
ont fait cette
erreur. Ils sont
opposés à la
déclaration que Dieu
a voulu
pécher et substituer
à elle l’affirmation
que He
le permettaient.
Mais alors la
question se pose
quant à la
signification exacte
de cette
déclaration. Cela
signifie que Dieu
simplement a pris
connaissance de
l’entrée du péché,
sans en aucune
manière entraver,
afin que la chute
était en réalité une
frustration de son
plan ? Le moment que
le infralapsaire
répond à cette
question par
l’affirmative, il
pénètre dans les
rangs des arminiens.
Alors qu’il y a eu
certains qui a pris
cette position, la
majorité d'entre eux
se sentent qu’ils ne
peuvent pas toujours
prendre cette
position, mais
doivent intégrer
l’automne dans le
décret divin. Ils
parlent du décret
sur le péché comme
un
décret permissive,
mais étant entendu
que ce décret a
rendu l’entrée du
péché dans le monde
certains distinct.
Et si on se
demander, pourquoi
Dieu a décrété pour
permettre le péché
et donc rendait
certains, ils
peuvent seulement
pointer vers le bon
plaisir divin et
sont donc en parfait
accord avec les
supralapsaires. (3)
la même tendance à
protéger de Dieu se
révèle d’une autre
manière et expose à
un danger similaire.
Infralapsarianisme
veut vraiment
expliquer
réprobation comme
juge en un acte de
Dieu. Il est enclin
à refuser
explicitement ou
implicitement que
c’est un acte de la
simple bon plaisir
de Dieu. Vraiment,
cela rend le décret
de réprobation un
décret conditionnels
et conduit dans le
giron arminiens.
Mais infralapsarians
dans l’ensemble ne
veulent pas
enseigner un décret
conditionnels et de
s’exprimer
prudemment sur cette
question. Certains
d'entre eux
admettent qu’il est
erroné de considérer
que la réprobation
purement comme un
acte de justice
divine. Et c’est
tout à fait
correcte. Péché
n’est pas la cause
ultime de
réprobation, pas
plus que la foi et
les bonnes œuvres
sont la cause de
l’élection, pour
tous les hommes sont
par nature morte
dans le péché et des
offenses. Lorsqu’ils
sont confrontés au
problème de
réprobation,
Infralapsarians,
trop, peut trouver
la réponse que dans
le bon plaisir de
Dieu. Leur langue
peut sembler plus
tendre que celle des
supralapsaires, mais
est également plus
susceptible d’être
mal compris et après
tout prouve pour
exprimer la même
idée. (4) la
position
infralapsaire ne
rend pas justice à
l’unité du décret
divin, mais
représente les
différents membres
de celui-ci trop
comme parties
déconnectées.
Premier Dieu décrète
pour créer le monde
pour la gloire de
son nom, qui
signifie entre
autres choses,
aussi, qu’il a
déterminé que ses
créatures
rationnelles
devraient vivre
selon la loi divine
implantée dans leur
cœur et doivent
louer leur créateur.
Puis il décréta afin
de permettre à
l’automne, par
lequel le péché
entre dans le monde.
Cela semble être une
frustration du plan
initial, ou au moins
une modification
importante de
celui-ci, étant
donné que Dieu
décrète pas plus à
la pour gloire de
lui-même par
l’obéissance
volontaire de
toutes
ses créatures
rationnelles. Enfin,
suivez les décrets
de l’élection et la
réprobation, qui
veut dire seulement
une exécution
partielle du plan
initial.
4.
de ce qui a été dit
il semblerait à
suivre que nous ne
pouvons pas
considérer Supra -
et
infralapsarianisme
comme absolument
antithétique.
Ils considèrent le
mystère même de
différents points de
vue, celui de fixer
son attention sur
l’idéal ou
téléologique;
l’autre, sur l’ordre
chronologique, des
décrets. Dans une
certaine mesure, ils
peuvent et doivent
aller de pair. Les
deux trouvent un
appui dans
l’écriture.
Supralapsarianisme
dans ces passages
qui insistent sur la
souveraineté de Dieu
et l’infralapsarianisme
dans ceux qui
mettent l’accent sur
la miséricorde et la
justice de Dieu,
dans le cadre
d’élections et de la
réprobation. Chacun
a quelque chose en
sa faveur: la
première qui n’est
pas tenue de
justifier Dieu, il
repose simplement
dans le bon plaisir
souverain et Saint
de Dieu; et le
second, qu’elle est
plus modeste et plus
tendre et qu’il
estime avec les
demandes et les
exigences de la vie
pratique. Les deux
sont nécessairement
incompatibles; le
premier parce qu’il
ne peut pas
considérer le péché
comme une
progression, mais
doit le considérer
comme une
perturbation de la
création et parle
d’une
permissive
décret; et le
second, car en
dernière analyse, il
doit recourent
également à une
permissive
décretqui
rend certains sin.
Mais chacun d'entre
eux aussi met
l’accent sur un
élément de vérité.
Le véritable élément
de
supralapsarianisme
se trouve en mettant
l’accent sur ce qui
suit: que le décret
de Dieu est une
unité; que Dieu
avait un
but final en vue;
qu’il a voulu péché
dans un certain
sens; et que le
travail de création
a été immédiatement
adaptée à l’activité
récréative de Dieu.
Et le véritable
élément
infralapsarianisme
est, qu’il y a une
certaine diversité
dans les décrets de
Dieu; que création
et chute ne peut pas
être considérés
simplement comme
moyen d’atteindre un
but, mais avaient
aussi grande
importance
indépendante; et que
le péché ne peut
être considéré comme
un élément de
progrès, mais doit
plutôt être
considéré comme un
élément de
perturbation dans le
monde. Dans le cadre
de l’étude de cette
question profonde,
nous pensons que
notre compréhension
est limitée et me
rends compte que
nous appréhendons
les fragments de la
vérité. Nos normes
confessionnelles
incarnent la
position
infralapsaire, mais
ne condamnent pas
supralapsarianisme.
Il a estimé que ce
point de vue n’était
pas nécessairement
incompatible avec la
théologie réformée.
Et les conclusions
d’Utrecht, adoptée
en 1908 par notre
église, affirment
que, même si elle
n’est pas permis de
représenter
l’opinion de
supralapsaire comme
la
doctrine des Églises
réformées dans les
pays-bas, c’est tout
aussi peu admissible
de molester
quelqu'un qui chérit
ce point de vue pour
lui-même.
QUESTIONS
pour une étude plus
approfondie. Est une
prescience des
événements futurs
qui ne repose pas
sur le décret
possible en Dieu ?
Quel est le résultat
inévitable de fonder
décret de Dieu sur
sa prescience plutôt
que
l’inverse, sa
prescience sur son
décret ? Comment la
doctrine des décrets
diffère-t-il du
fatalisme et du
déterminisme ? Le
décret de
prédestination
exclut-elle
nécessairement la
possibilité d’une
offre universelle de
Salut ? Sont les
décrets de
l’élection et la
réprobation tout
aussi absolue et
inconditionnelle ou
pas ? Ils ne se
ressemblent en étant
les causes d'où les
actions humaines
procéder comme
effets ? Comment est
la doctrine de la
prédestination,
associée à la
doctrine de la
souveraineté divine;
— de la doctrine de
la dépravation
totale; — à la
doctrine de
l’expiation; — à la
doctrine de la
persévérance des
saints ? Les
réformés enseignez
une prédestination à
péché ?
LITTÉRATURE: Bavinck,
Geref. Dogme.
II,
pp. 347-425; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De Deo
III, pp. 80-258;
Vos,
Geref. Dogme. J’ai,
pp. 81-170; Hodge,
Syst.
Theol. I, p.
535-549; II, p.
315-321; Shedd,
dogme
.
Théol. J’ai,
p. 393-462; Faire,
Godgeleerdheit,
I, pp. 670-757;
Comrie fr Holtius,
Examen
van het Ontwerp van
Tolerantie,
Samenspraken VI et
VII; Turretin,
opéra,
I, pp. 279-382;
Dabney, syst
et
trouvailles Theol.,
p. 211-246; Miley,
Syst.
Theol. II, pp.
245-266; Cunningham,
Hist.
Theol., II, p.
416-489; Wiggers,
augustinisme et
pélagianisme,
p. 237-254;
Girardeau,
calvinisme et
arminianisme
évangélique,
pp. 14-412; Ibid.,
The
Will dans ses
Relations
théologiques;
Warfield,
Doctrines bibliques,
pp. 3-67; Ibid.,
études
en théologie,
p. 117-231; Cole, le
calvinismede
Calvin, p. 25-206;
Calvin,
instituts III.
Chap. XXI-XXIV; Dijk,
De
Strijd sur Infra-fr
Supralapsarisme dans
de Gereformeerde
Kerken van Nederland;
Ibid.,
Om 't
Eeuwig Welbehagen;
Fernhout,
De Leer
der Uitverkiezing;
Polman,
De
Praedestinatieleer
van Augustinus,
Thomas
van Aquino fr
Calvijn.
III. la création en général
La discussion des
décrets
naturellement
conduit jusqu'à
l’examen de leur
exécution, et cela
commence par le
travail de création.
Ce n’est pas premier
dans l’ordre
chronologique, mais
est également une
prius logique. C’est
le début et à la
base de toute la
révélation divine et
par conséquent aussi
le fondement de
toute la vie éthique
et religieuse. La
doctrine de la
création n'est pas
énoncée dans
l’écriture comme une
solution au problème
du monde
philosophique, mais
dans sa
signification
éthique et
religieuse, comme
une révélation de la
relation de l’homme
avec son Dieu. Il
insiste sur le fait
que Dieu est à
l’origine de toutes
choses, et que
toutes choses lui
appartiennent et
sont soumis à lui.
La connaissance de
celui-ci est dérivée
de l’écriture
seulement et est
acceptée par la foi
(Hébreux 11:3), même
si les catholiques
romains maintenir
qu’il peut aussi
être recueilli de
nature.
A. la Doctrine de la
création dans
l’histoire.
Alors que la
philosophie grecque
a demandé
l’explication du
monde dans un
dualisme, qui
implique l’éternité
de la matière, ou
dans un processus
d’émanation, ce qui
rend le monde la
manifestation
extérieure de Dieu,
the Christian Church
dès le début a
enseigné la doctrine
de création
ex
nihilo et comme
un acte
gratuit de
Dieu. Cette doctrine
a été acceptée à
l’unanimité du
singulier dès le
départ. Il se trouve
à Justin Martyr,
Irénée, Tertullien,
Clément
d’Alexandrie,
Origène et d’autres.
Théophile a été le
premier père de
l’église d’insister
sur le fait que les
jours de la création
ont été des jours
littéraux. Cela
semble avoir été la
vue d’Irénée et de
Tertullien aussi et
a été selon toute
vraisemblance la vue
commune dans
l’église. Clément et
Origène pensaient de
la création comme
ayant été accomplie
en un
seul instant
indivisibleet
conçue de sa
description que le
travail de plusieurs
jours comme un
artifice littéraire
pour décrire
l’origine des choses
dans l’ordre de leur
valeur ou de simple
leur lien logique.
L’idée d’une
création éternelle,
telle qu’enseignée
par Origène, a été
souvent rejetée. En
même temps, certains
d'entre les pères de
l’église ont exprimé
l’idée que Dieu est
toujours créateur,
même si l’univers
créé a commencé dans
le temps. Au cours
de la controverse
trinitaire certains
d'entre eux a
insisté sur le fait
que, à la différence
de la génération du
fils, qui était un
nécessaire loi
du père, de la
création du monde
était un acte
gratuit
du Dieu triune.
Augustin traite le
travail de création
plus en détail que
d’autres ont fait.
Il fait valoir que
la création était
éternellement dans
la volonté de Dieu
et par conséquent
n’apporté aucun
changement en lui.
Il n’y avait aucun
temps avant la
création, car le
monde a été mis en
place
avec le temps,
plutôt
qu’à temps. La
question ce que Dieu
fait dans les
plusieurs siècles
avant la création
repose sur une
interprétation
erronée de
l’éternité. Alors
que l’église semble
en général ont eu
lieu que le monde a
été créé en six
jours ordinaires,
Augustine a proposé
une vision quelque
peu différente. Il a
fortement défendu la
doctrine de la
creatio
ex nihilo, mais
distingue deux
moments de la
création: la
production de la
matière et
spiritueux hors de
rien et
l’organisation de
l’univers matériel.
Il a trouvé
difficile de dire
quel genre de jours
les jours de la
Genèse ont été, mais
était évidemment
enclin à penser que
Dieu a créé toutes
choses
à un moment du temps,
et que la pensée des
jours était
simplement introduit
pour faciliter
l’intelligence
finie. Les
scolastiques débattu
beaucoup de choses
sur la possibilité
de création
éternelle; certains,
par exemple,
Alexandre de Hales,
Bonaventura,
Albertus Magnus,
Henry de Gand et la
grande majorité des
scolastiques nier
cela; et d’autres,
comme Thomas
Aquinas, Duns Scot,
Durand, Biel et
d’autres affirmant
il. Pourtant la
doctrine de la
création avec ou
dans le temps l’a
emporté. Erigena et
Eckhart ont été
exceptionnels dans
l’enseignement que
le monde créé par
émanation.
Apparemment les
jours de la création
étaient considérés
comme des jours
ordinaires, mais
Anselm ont suggéré
qu’il pourrait être
nécessaire de les
concevoir comme
différent de nos
jours présents. Les
réformateurs a tenu
fermement à la
doctrine de la
création à partir de
rien par une
catastrophe
naturelle gratuit
dans ou avec le
temps et considéré à
l’époque de la
création en six
jours littéraux. Cet
affichage est
maintenu aussi
généralement dans la
littérature
post-réforme des
seizième et
dix-septième
siècles, bien que
quelques théologiens
(comme Maresius)
parfois parler de
création continue.
Au XVIIIe siècle,
cependant, sous
l’influence
dominante de
panthéisme et le
matérialisme, le
scientifique a lancé
une attaque sur la
doctrine de l’église
de la création. Il
substitue l’idée
d’évolution ou de
développement à
celui de l’origine
absolue par un
décret divin. Le
monde était souvent
représenté comme une
manifestation
nécessaire de
l’absolu. Son
origine était
repoussé des
milliers et même des
millions d’années
dans un passé
inconnu. Et bientôt
les théologiens
étaient engagés dans
diverses tentatives
d’harmoniser la
doctrine de la
création avec les
enseignements de la
science et la
philosophie.
Certains ont suggéré
que les premiers
chapitres de la
Genèse doivent être
interprétés
allégoriquement ou
mythologique;
d’autres, un long
délai écoulé entre
la création primaire
de Genèse 1:1, 2 et
la création
secondaire des
versets suivants; et
encore d’autres, que
les jours de la
création étaient en
fait de longues
périodes.
B. la preuve
scripturaire pour la
Doctrine de la
création.
La preuve
scripturaire pour la
doctrine de la
création ne se
trouve pas dans une
partie unique et
limitée de la Bible,
mais se trouve dans
toutes les parties
de la parole de
Dieu. Il n’est pas
constitué de
quelques passages
épars
d’interprétation
douteuse, mais d’un
grand nombre
d’instructions
claires et sans
équivoque, qui
parlent de la
création du monde
comme un fait
historique. Nous
avons d’abord le
récit élargi de la
création trouvée
dans les deux
premiers chapitres
de la Genèse, qui
sera examiné en
détail lors de la
création de
l’univers matériel
est considérée. Ces
chapitres semblent
certainement le
lecteur impartial,
un récit historique,
ainsi que
l’enregistrement
d’un fait
historique. Et les
nombreux renvois
dispersés tout au
long de la Bible ne
les considère pas
dans n’importe quel
autre lumière. Ils
font tous référence
à la création comme
un fait de
l’histoire. Les
différents passages
dans lequel ils sont
trouvent peuvent
être classées comme
suit: (1) les
Passages qui
insistent sur
l’omnipotence de
Dieu dans le travail
de création, Ésaïe
40: 26, 28; Amos
04:13. (2) les
passages qui
pointent vers son
exaltation au-dessus
de nature comme le
Dieu infini et
grand, Psaume 90: 2;
102:26, 27; Actes
17:24. (3) les
passages qui se
réfèrent à la
sagesse de Dieu dans
le travail de
création, Ésaïe 40:
12-14; Jérémie
10:12-16; John 1:3;
(4) les passages
concernant la
création du point de
vue de la
souveraineté de Dieu
et le but dans la
création, Ésaïe
43:7; ROM. 01:25.
(5) les passages qui
parlent de la
création comme un
ouvrage fondamental
de Dieu, I Cor.
11:9; 01:16. Parmi
les mentions plus
complète et la plus
belles est celle
trouvée dans Néhémie
9:6: « Tu es
Jéhovah, même toi
seul; Tu as fait les
cieux, les cieux des
cieux, avec toute
leur armée, la terre
et toutes les choses
qui sont à ce sujet,
les mers et tout ce
qui est en eux, et
tu preservest tous;
« et l’armée céleste
worshippeth toi. »
Ce passage est
typique de plusieurs
autres, moins
étendus, passages
que l'on trouve dans
la Bible, qui
mettent l’accent sur
le fait que Jéhovah
est le créateur de
l’univers, Ésaïe
42:5; 45: 18; 01:16;
04:11; 10:6.
C. l’idée de
création.
La
foi de l’église dans
la création du monde
est exprimée dans
l’article premier de
la
Confession de foi
apostolique,
« Je crois en Dieu
le père,
tout-puissant,
créateur du ciel et
la terre. » Il
s’agit d’une
expression de la foi
de l’église
primitive, que Dieu
par sa
toute-puissance
amené l’univers à
partir de rien. Les
mots « Créateur du
ciel et terre » ne
figuraient pas dans
la forme originale
du credo, mais
représentent une
addition
postérieure. Elle
attribue au père,
c'est-à-dire, à la
première personne
dans la Trinité,
l’origine de toutes
choses. C’est en
harmonie avec la
représentation du
Nouveau Testament
que toutes choses
sont du père par le
fils, et dans
l’Esprit Saint. Le
mot « Maker » est un
rendu de la parole
poieten,
trouvé dans la forme
grecque de la
Confession
apostolique, tandis
que la forme latine
a
creatorem.
Évidemment, elle
doit être comprise
comme un terme
synonyme de
« Créateur ». « Pour
créer » était
compris dans
l’église primitive
dans le sens strict
de « à sortir
quelque chose de
rien. » Il est à
noter que l’écriture
n’utilise pas
toujours l’hébreu
mot bara»
et le terme grec
ktizein
en ce sens absolu.
Il est également
utilisé ces termes
pour désigner une
création secondaire,
dans laquelle Dieu
fait usage de
matériel qui
existait déjà mais a
pas pu produire le
résultat indiqué,
01:21, 27; 5:1;
Ésaïe 45: 7, 12;
54:16; Amos 04:13;
J’ai Cor. 11:9;
Apocalypse 10:6. Il
les utilise encore
pour désigner ce qui
verra le jour sous
la direction
providentielle de
Dieu, PS. 104:30;
Ésaïe 45: 7, 8;
65:18; I Timothée
4:4. Deux autres
termes sont utilisés
comme synonyme du
terme « de créer, »
à savoir « faire »
(Hébreux, 'asah;
Grec,
poiein) et de
« forme » (Héb.
yatsar;
Grec,
plasso). Le
premier est
clairement utilisé
dans tous les trois
sens figurant aux
points précédents:
de la création
primaire dans Genèse
2:4; Prov. 16:4;
Actes 17:24; plus
fréquemment du
secondaire création,
Genèse 1:7, 16, 26;
02:22; PS. 89:47;
ainsi que des
travaux de la
providence dans
Psaume 74:17. Ce
dernier est utilisé
de même de la
création primaire,
Psaume 90: 2
(peut-être le seul
exemple de cette
utilisation); du
secondaire création,
Genèse 2:7, 19; PS.
104:26; Amos 04:13;
Zach. 12:1; ainsi
que des travaux de
la providence, Deut.
32: 18; Ésaïe 43: 1,
7, 21; 45:7. que
tous les trois mots
sont trouvés
ensemble dans Ésaïe
45: 7. Création au
sens strict du mot
peut être définie
comme
qui gratuit Loi de
Dieu par lequel il,
selon
sa volonté
souveraine et pour
sa propre gloire,
au
début, fait naître
l’univers entier
visibles et
invisibles,
sans
l’utilisation de
matériaux
préexistants
et
ainsi il a donné une
existence,
distincte de la
sienne propre et
pourtant toujours
dépendante de lui.
Compte tenu des
données
scripturaires
figurant aux points
précédents, il est
évident, toutefois,
que cette définition
s’applique
uniquement à ce qui
est généralement
connu comme création
primaire ou
immédiate,
c'est-à-dire la
création décrite
dans Genèse 1:1. La
Bible utilise
clairement le mot
« créer », mais
aussi dans les cas
où Dieu n’a fait
usage de matériaux
préexistants, comme
dans la création du
soleil, lune et
étoiles, des animaux
et de l’homme. C’est
pourquoi beaucoup de
théologiens ajoute
un élément à la
définition de la
création. Wollebius
définit ainsi: « la
créationest
qui agissent par qui
produit de Dieu, le
monde et tout ce qui
est dedans,
en
partie à partir de
rien et en partie à
partir de matériaux
qui est par nature
impropre,
pour la
manifestation de la
gloire de sa
puissance
,
sagesse
et la
bonté. » Pour
autant, toutefois,
la définition ne
couvre pas les cas,
aussi désignées dans
l’écriture comme
travail de création,
où Dieu agit par
l’intermédiaire des
causes secondaires,
PS. 104:30; Ésaïe
45: 7, 8; Jérémie
31:22; Amos 04:13 et
produit des
résultats qui lui
seul pouvait
produire. La
définition donnée
comprend plusieurs
éléments qui
appellent un examen
plus approfondi.
1.
création est un acte
de Dieu TRINE.
L’écriture nous
enseigne que Dieu
triune est l’auteur
de la création,
Genèse 1:1; Ésaïe
40: 12; 44: 24;
45:12 et cela lui
distingue les
idoles, PS. 96:5;
Ésaïe 37: 16;
Jérémie 10:11, 12.
Bien que le père est
au premier plan dans
le travail de
création, j’ai Cor.
8:6, il est
également clairement
reconnu comme une
œuvre du fils et du
Saint-Esprit.
Participation du
fils qu’il est
indiquée dans Jean
1:3; I Corinthiens
8:6; 01:15-17 et
l’activité de
l’esprit qu’il
s’exprime dans la
Genèse 1:2; Job 26:
13; 33: 4; PS.
104:30; Ésaïe 40:
12, 13. Les deuxième
et troisième
personnes ne sont
pas dépendantes
puissances ou
simples
intermédiaires, mais
des auteurs
indépendants ainsi
que le père. Le
travail n’était pas
divisé parmi les
trois personnes,
mais l’ensemble de
le œuvre, mais de
différents aspects,
est attribué à
chacune des
personnes. Toutes
choses sont à la
fois de
père par
le fils et
dans
l’Esprit Saint. En
général on peut dire
étant
est le père,
pensée
ou l'
idée du fils et
la vie
hors de l’Esprit
Saint. Étant donné
que le père prend
l’initiative dans le
travail de création,
c’est souvent lui
sont imputables sur
le plan économique.
2.
création est un acte
de Dieu gratuit.
Création est parfois
représentée comme un
acte de Dieu
nécessaire plutôt
que comme un acte
libre, selon sa
volonté souveraine.
Les vieilles
théories d’émanation
et leurs homologues
modernes, les
théories
panthéistes, rendre
naturellement le
monde mais un simple
moment dans le
processus de divine
evolution (Spinoza,
Hegel) et donc de
considérer le monde
comme un acte de
Dieu nécessaire. Et
la nécessité qu’ils
ont à l’esprit n’est
pas une nécessité
relative résultant
du décret divin,
mais une nécessité
absolue qui découle
de la nature même de
Dieu, de sa
toute-puissance
(Origène) ou de son
amour (Rothe).
Cependant, ce n’est
pas une position
scripturale. Les
seules œuvres de
Dieu qui sont
intrinsèquement
nécessaires avec une
nécessité résultant
de la nature même de
Dieu, sont l'
opéra
ad intra, les
œuvres des personnes
distinctes au sein
de l’etre divin:
génération,
filiation et
procession. Pour
dire que la création
est un acte de Dieu
nécessaire, est
également de
déclarer qu’il est
juste aussi éternel
comme ces œuvres
immanentes de Dieu.
Quelle que soit la
nécessité peut être
imputée à de Dieu
ad
opéra supplémentaire,
est une nécessité
conditionnée par le
décret divin et la
constitution qui en
résulte des choses.
C’est qu'une
nécessité dépend de
la souveraine
volonté de Dieu et
par conséquent pas
nécessaire dans le
sens absolu du mot.
La Bible nous
enseigne que Dieu a
créé toutes choses,
selon le Conseil de
sa volonté,
Éphésiens 01:11;
04:11; et qu’il se
suffit à lui-même et
qu’il n’est pas
tributaire de ses
créatures en quelque
sorte, Job 22:2, 3;
Actes 17:25.
3. LA CRÉATION EST
UN ACTE DE DIEU
TEMPORELLE.
a.
l’enseignement de
l’écriture sur ce
point. La Bible
commence par
l’instruction très
simple, « au
commencement Dieu
créé les cieux et la
terre, » Genèse 1:1.
Alors s’adressait à
toutes les
catégories de
personnes, il
emploie le langage
ordinaire de la vie
quotidienne et non
le langage technique
de la philosophie.
Le terme hébreu
bereshith
(allumé. « au
commencement ») est
elle-même
indéterminée et
naturellement donne
lieu à la question,
au début de ce qui ?
Il semblerait
préférable de
prendre l’expression
dans le sens absolu
comme une indication
de début de toutes
les choses
temporelles et même
du temps; mais Keil
est d’avis qu’il se
réfère au début des
travaux de création.
D’un point de vue
technique, il n’est
pas correct
d’assumer cette
époque existait déjà
lorsque Dieu créa le
monde, et qu’il à un
certain moment dans
l’époque actuelle,
appelé « the
beginning » amené
l’univers. Temps est
seulement une des
formes de l’ensemble
créé l’existence et
donc ne pourrait pas
exister avant la
création. Pour cette
raison, Augustine
pensé qu’il serait
plus exact de dire
que le monde fut
créé
cum tempore
(avec le temps)
qu’afin de faire
valoir qu’elle a été
créée
en tempore (en
temps). La grande
importance de la
déclaration
d’ouverture de la
Bible réside dans
son enseignement que
le monde a eu un
commencement.
L’écriture parle de
cela commence aussi
dans d’autres
endroits, Matthieu
19:4, 8; Marque 10;
6; Jean 1:1, 2; Héb.
01:10. Que le monde
a eu un commencement
est aussi clairement
implicite dans ces
passages dans le
Psaume 90: 2,
« Avant que les
montagnes ont été
enfantées, ou jamais
tu eusses formé la
terre et dans le
monde, même
d’éternité en
éternité tu es
Dieu »; et PS.
102:25, « de
l’ancien As tu les
fondements de la
terre; et les cieux
sont l’ouvrage de
tes mains. »
b.
difficultés qui
pèsent cette
doctrine. Avant
le début, mentionné
dans Genèse 1:1,
nous devons postuler
une éternité sans
commencement, au
cours de laquelle
Dieu a existé
seulement. Comment
devons nous remplir
ces âges vides dans
la vie éternelle de
Dieu ? Qu’a fait
Dieu avant la
création du monde ?
C’est si loin
possible de penser à
lui comme un
Deus
otiosus (un
Dieu qui n’est pas
actif), qu’il est
généralement conçu
comme
purus actus
(action pure). Il
est représenté dans
l’écriture comme
toujours à
travailler, John
05:17. Peut-on alors
dire qu’il est passé
d’un état
d’inactivité à l’une
des actions ? Par
ailleurs, comment
est la transition
entre un non
créatives et un État
créatif de se
réconcilier avec son
immuabilité ? Et
s’il avait eu le
dessein éternel de
créer, pourquoi il
pas réaliser à la
fois ? Pourquoi
A-t-il permis
l’éternité entière à
s’écouler avant que
son plan a été mis à
exécution ? En
outre, pourquoi il
choisir ce moment
particulier pour son
travail de
création ?
c.
suggéré des
solutions du
problème. (1)
la
théorie de la
création éternelle.
Selon certains,
comme Origène,
Scotus Erigina,
Rothe, Dorner et
Pfleiderer, Dieu a
créé de toute
éternité, afin que
le monde, même si
une créature et
personne à charge,
est encore juste
comme éternel comme
Dieu lui-même. Cela
a été avancé de
l’omnipotence,
l’intemporalité,
l’immutabilité et
l’amour de Dieu;
mais ni l’un de ces
nécessairement
impliquer ou
impliquer. Cette
théorie n’est pas
seulement contredite
par l’écriture, mais
elle est aussi
contraire à raison,
pour (a) création de
toute éternité est
une contradiction
dans les termes; et
(b) l’idée de
création éternelle,
tel qu’appliqué dans
le monde actuel, qui
est soumis à la loi
du temps, repose sur
une identification
des temps et
l’éternité, alors
que ces deux sont
fondamentalement
différents. (2)
la
théorie de la
subjectivité du
temps et l’éternité.
Certains philosophes
spéculatives, comme
Spinoza, Hegel et
Green, affirment que
la distinction entre
temps et l’éternité
est purement
subjective et en
raison de notre
position finie.
C’est pourquoi ils
auraient nous
atteindre un plus
haut point de vue et
envisager les choses
sub
specie aeternitatis
(du point de vue de
l’éternité). Ce qui
existe pour notre
conscience comme un
temps de
développement, il
existe pour la
conscience divine
comme un tout
complet
éternellement. Mais
cette théorie est
contredite par
l’écriture tout
autant que le
précédent one,
Genèse 1:1; Psaume
90: 2; 102:25; John
1:3. De plus, les
réalités objectives
se transforme en
formes subjectifs de
la conscience et
toute l’histoire se
réduit à une
illusion. Après
tout, le déroulement
du temps est une
réalité; Il y a une
succession dans
notre vie consciente
et dans la vie de la
nature autour de
nous. Ce qui s’est
passé hier n’est pas
les choses qui sont
passent aujourd'hui.
d.
Direction dans
laquelle la solution
doit être recherchée.
En relation avec le
problème à l’étude,
Dr Orr dit
correctement, « la
solution doit se
situer à obtenir une
bonne idée de la
relation de
l’éternité à
temps. » Il ajoute
que, comme il peut
le voir, on n'est
pas encore
satisfaisante
parvenu. Une grande
partie de la
difficulté
rencontrée ici est
sans doute dû au
fait que nous
pensons de
l’éternité trop
comme une
prorogation
indéfinie du temps,
comme, par exemple,
quand nous parlons
de l’âge de
l’inaction
comparative en Dieu
avant la création du
monde. L’éternité de
Dieu n’est pas
indéfiniment
prolongée fois, mais
quelque chose de
fondamentalement
différents, dont
nous ne pouvons
former aucune
conception. C’est
une existence hors
du temps, une
présence éternelle.
La marmotte des
Rocheuses passé et
un avenir plus
lointain sont tous
deux présents à lui.
Il agit dans toutes
ses œuvres, et donc
aussi dans la
création, comme
l’Éternel l’un et
nous n’avons aucun
le droit de dessiner
création
comme
un acte de Dieu
dans la sphère
temporelle. Dans un
certain sens, cela
peut être appelé une
loi éternelle, mais
seulement dans le
sens dans lequel
tous les actes de
Dieu sont éternels.
Ils sont tous
comme
cas de force majeure,
les travaux qui sont
effectués dans
l’éternité.
Cependant, il n’est
pas éternel dans le
même sens que la
génération du fils,
c’est un acte de
Dieu immanent dans
le sens absolu du
terme, alors que
résultats de
création dans une
existence temporelle
et termine donc dans
le temps.
Théologiens
généralement faire
la distinction entre
active et passive de
la création, la
création ancienne
attestation comme un
acte de Dieu et le
second, son
résultat, le monde
est en cours de
création. La
première n’est pas,
mais ce dernier est,
marqué par la
succession
temporelle, et cette
succession
temporelle
correspond à l’ordre
défini dans le
décret de Dieu.
Quant à l’objection
qu’une création dans
le temps implique un
changement de Dieu,
Wollebius remarques
que « création n’est
pas le créateur mais
le passage de la
créature de
potentialité
d’actualité. »
4. CRÉATION COMME UN
ACTE PAR LEQUEL
QUELQUE CHOSE EST
SORTI DE RIEN.
a. la
doctrine de la
création est
absolument unique.
Il y a eu beaucoup
de spéculations sur
l’origine du monde,
et plusieurs
théories ont été
proposées. Certains
déclarés au monde à
être éternelle,
tandis que d’autres
ont vu en elle le
produit d’un esprit
antagoniste
(gnostiques).
Certains maintient
qu’elle a été faite
dans la matière
préexistante dont
Dieu a travaillé
vers le haut en
forme (Platon);
d’autres détenus
qu’il provenait de
l’émanation de la
substance divine
(syrien gnostiques,
Swedenborg); et
encore d’autres
considéraient comme
l’apparence
phénoménale de
l’absolu, le motif
caché de toutes
choses (panthéisme).
En opposition à
toutes ces
spéculations vaines
des hommes la
doctrine de
l’écriture se
distingue dans la
sublimité grande:
« au commencement
Dieu a
créé les cieux
et la terre. »
b. les
termes mentionnés
dans les écritures
pour «créer. »
Dans le récit de la
création, comme l’a
indiqué dans ce qui
précède, trois
verbes sont
utilisés, à savoir,
bara«, »asahet
yatsaret
ils sont utilisés
indifféremment dans
les Ecritures,
01:26, 27; 2:7. le
premier mot est le
plus important. Son
sens originel est
de
diviser,
couper,
diviser;
mais en plus de
cela, cela signifie
aussi à
la mode,
de créeret
dans un plus dérivés
sens
pour produire,
à
généreret
à se
régénérer. Le
mot lui-même
n’implique pas
l’idée d’enfanter
quelque chose de
rien, car il sert
même de œuvres de la
providence, Ésaïe
45: 7; Jérémie
31:22; Amos 04:13.
Pourtant, il a un
caractère
distinctif: il est
toujours utilisé de
divin et jamais de
production humaine;
et il n’a jamais un
accusatif de
matériel et pour qui
la raison sert à
souligner la
grandeur de le œuvre
de Dieu. Le mot 'asah
est plus général,
sens de
faire ou
de faireet
est donc utilisé
dans le sens général
de faire,
faire,
fabricationou
structuration de.
mot
yatsar a, plus
spécifiquement, le
sens de la
structuration d’hors
pré-matériaux
existantset est
donc utilisé des
navires de façonnage
de potier d’argile.
Les mots du Nouveau
Testament sont
ktizein,
Marc 13:19,
poiein,
Matthieu 19:4;
themelioun, Héb.
01:10,
katartizein,
Rom. 09:22,
kataskeuazein,
Héb. 3:4 et
plassein,
Rom. 09:20. Aucun de
ces mots en
eux-mêmes expriment
l’idée de création à
partir de rien.
c.
signification de
l’expression «création
à partir de rien. »
L’expression « créer
ou produisez à
partir de rien » ne
se trouve pas dans
l’écriture. Il est
dérivé de l’un des
apocryphes, à
savoir, II. MACC.
07:28. L’expression
ex
nihilo a été
mal interprété tant
critiqué. Certains
même considéré le
mot
nihilum (rien)
que la désignation
d’un certain sujet,
dont le monde a été
créé, une question
sans qualités et
sans forme. Mais
c’est trop puérile
pour être digne d’un
examen sérieux.
D’autres ont pris
l’expression « pour
créer à partir de
rien » pour
signifier que le
monde a vu le jour
sans une cause et a
procédé à critiquer
comme entrer en
conflit avec ce qui
est généralement
considéré comme une
vérité axiomatique,
ex
nihilo nihil fit
(à partir de rien
vient rien). Mais
cette critique n’est
pas tout à fait
justifiée. Pour dire
que Dieu a créé le
monde du néant n’est
pas équivalent à
dire que le monde a
vu le jour sans une
cause. Dieu lui-même
ou, plus
précisément, la
volonté de Dieu est
la cause du monde.
Martensen s’exprime
en ces termes: « le
rien dont Dieu a
crée le monde sont
les possibilités
éternelles de sa
volonté, qui
constituent les
sources de toutes
les actualités du
monde ».
Si
l’expression latine
«ex
nihilo nihil fit»,
on entend qu’aucun
effet ne peut être
sans cause, sa
vérité peut être
admise, mais elle ne
peut pas être
considérée comme une
objection valable
contre la doctrine
de la création à
partir de rien. Mais
si il être
interprétées comme
exprimant l’idée que
rien ne peut
provenir, à
l’exception des
matières existantes,
il certainement ne
peut pas être
considérée comme une
lapalissade.
Ensuite, c’est
plutôt une hypothèse
purement arbitraire
qui, comme Shedd
souligne, n’est pas
encore titulaire
véritable des
pensées de l’homme
et des volitions,
qui sont
ex nihilo.
Mais
même si la phrase
exprime une vérité
d’expérience commune
que les œuvres
humaines sont
concernées, cela ne
veut pas-encore
prouver sa vérité en
ce qui concerne les
travaux de la
toute-puissance de
Dieu. Toutefois,
compte tenu du fait
que l’expression
« création à partir
de rien » est
passible
d’incompréhension et
a souvent été mal
comprise, il est
préférable de parler
de création sans
utiliser de matériel
préexistant.
d. base
biblique pour la
doctrine de la
création à partir de
rien. Genèse
1:1 enregistre le
début des travaux de
création, et
certainement ne
représente pas Dieu
comme le monde de
suite hors matériel
préexistant. C’était
la création du
néant, création au
sens strict du mot,
et par conséquent la
seule partie de le
œuvre enregistrée
dans Genèse 1,
auxquels
s’appliquent le
terme Calvin. Mais
même dans le reste
du chapitre Dieu est
représenté comme
appelant toutes
choses par la parole
de sa puissance, par
une simple fiat
divin. La même
vérité est enseignée
dans ces passages
comme PS. 33: 6, 9
et 148:5. Le passage
du plus fort est
Hébreux 11:3, « par
la foi, que nous
comprenons que les
mondes ont été
encadrées par la
parole de Dieu, afin
que ce que l'on voit
n’a pas été fait de
choses qui
apparaissent ».
Création est ici
représentée comme un
fait qui nous
appréhender
seulement par la
foi. Par la foi,
nous comprenons
(percevoir, ne
comprendre pas) que
le monde a été
encadré ou façonné
par la parole de
Dieu, c'est-à-dire
la parole de la
puissance de Dieu,
la fiat divine, afin
que les choses que
l'on voit, les
choses visibles de
ce monde, n’ont pas
été faites des
choses qui
apparaissent , qui
sont visibles, et
qui sont vus au
moins
occasionnellement.
Selon ce passage le
monde a été fait
certainement pas
hors de tout ce qui
est palpable pour
les sens. Un autre
passage qui peut
être cité à cet
égard est Romains
4:7, qui parle de
Dieu, « qui vivifie
les morts et appelle
ces choses qui ne
peut être qu’ils
étaient » (Moffatt:
« qui fait les morts
vivants et appels en
cours ce qui
n’existe pas »).
L’Apôtre, il est
vrai, ne parle pas
de la création du
monde à cet égard,
mais de l’espérance
d’Abraham qu’il
aurait un fils.
Toutefois, la
description donnée
ici de Dieu est
générale et est donc
également d’une
application
générale. Il
appartient à la
nature même de Dieu
qu’il est en mesure
d’appeler ce qui
n’existe pas, et il
remet donc en être.
5. LA CRÉATION DONNE AU
MONDE UNE EXISTENCE
DISTINCTE, MAIS
TOUJOURS DÉPENDANTE.
a. le
monde a une
existence distincte.
Cela signifie que le
monde n’est pas
Dieu, ni n’importe
quelle partie de
Dieu, mais quelque
chose d’absolument
distincte de Dieu;
et qu’il diffère de
Dieu, ne consiste
pas seulement en
degré, mais de ses
propriétés
essentielles. La
doctrine de la
création implique
que, même si Dieu
est lui-même et
autosuffisant,
infini et éternel,
le monde est
dépendant, finis et
temporelle. L’un ne
peut jamais changer
dans l’autre. Cette
doctrine est une
barrière absolue
contre l’idée
ancienne
d’émanation, ainsi
que contre toutes
les théories
panthéistes.
L’univers n’est pas
la forme-existence
de Dieu ni
l’apparence
phénoménale de
l’absolu; et Dieu
n’est pas simplement
la vie, ou âme ou la
loi interne du
monde, mais il jouit
de sa propre vie
éternellement
complète au-dessus
du monde, dans une
indépendance absolue
de celui-ci. Il est
le Dieu
transcendant,
glorieux dans la
sainteté, craintive
en louanges, fait
des merveilles.
Cette doctrine est
pris en charge par
les passages de
l’écriture dont (1)
témoignent de
l’existence
distincte du monde,
Ésaïe 42:5; Actes
17:24; (2) parlent
de l’immutabilité de
Dieu, PS. 102:27;
Malachie 3:6;
Jacques 01:17; (3)
établir une
comparaison entre
Dieu et la créature,
le Psaume 90: 2;
102:25-27;
103:15-17; Ésaïe
02:21; 22:17, etc..;
et (4) parle du
monde comme se
trouvant dans le
péché ou pécheur,
Rom. 01:18-32; I
Jean 02:15-17, etc..
b. le
monde est toujours
tributaire de Dieu.
Alors que Dieu a
donné au monde une
existence distincte
de la sienne propre,
n’a pas retiré du
monde après sa
création, il est
resté dans le lien
plus intime avec
elle. L’univers
n’est pas comme une
horloge qui a été
liquidée par Dieu et
est maintenant
autorisée à
ruisseler sans
aucune intervention
divine plus loin.
Cette conception
déiste de la
création n’est ni
biblique, ni
scientifique. Dieu
n’est pas seulement
le Dieu
transcendant,
infiniment exalté
au-dessus de toutes
ses créatures; Il
est aussi le Dieu
immanent, qui est
présent dans toutes
les parties de sa
création, et dont
l’esprit est
opérationnel dans le
monde entier. Il est
essentiellementet
non pas simplement
par
potentiam,
présent dans toutes
ses créatures, mais
il n’est pas présent
dans chacun d'entre
eux de la même
manière. Son
immanence ne doit
pas être interprété
comme une extension
illimitée dans
l’ensemble de tous
les espaces de
l’univers, ni comme
une présence
partitive, pour
qu’il soit en partie
et en partie de là.
Dieu est esprit, et
juste parce qu’il
est esprit, il est
partout présente
dans
son ensemble.
Il est censé remplir
ciel et terre, PS.
139:7-10; Jérémie
23:24, pour
constituer le
domaine dans lequel
nous vivons et
déplacer et l’être,
actes 17:28, en vue
de renouveler la
surface de la terre
par son esprit, PS.
104:30, pour
demeurer en ceux qui
sont d’un cœur
brisé, PS. 51:11;
Ésaïe 57.15 et dans
l’église comme son
temple, I Cor.
03:16; 06:19; EP
02:22. Transcendance
et l’immanence
trouvent son
expression dans un
seul passage de
l’écriture, à
savoir, Éphésiens
4:6, où l’Apôtre dit
que nous avons « un
seul Dieu et père de
tous, qui est
au-dessus de toutet
à
travers touset
en tout. »
La théorie de
l’immanence divine a
été étendue à la
point du panthéisme
dans une grande
partie de la
théologie moderne.
Le monde et surtout
l’homme, était
considéré comme la
manifestation
phénoménale de Dieu.
À l’heure actuelle,
il y a une forte
réaction à ce poste
dans le soi-disant
« théologie de
crise ». On pense
parfois que cette
théologie, qui met
l’accent sur la
« infinie différence
qualitative » entre
le temps et
l’éternité, Dieu
comme le
« totalement autre »
et le Dieu caché et
sur la distance
entre Dieu et
l’homme, exclut
naturellement
l’immanence de Dieu.
Brunner nous donne
l’assurance,
cependant, que ce
n’est pas ainsi. Il
a dit, « beaucoup de
bêtises a parlé la
« théologie
barthienne » avoir
perception
uniquement pour la
transcendance de
Dieu, et non pour
son immanence. Comme
si nous aussi ne
étions pas
conscients du fait
que Dieu le créateur
soutient toutes
choses par son
pouvoir, qu’il a mis
le cachet de sa
divinité sur le
monde et a créé
l’homme à son
image. »
Et Barth
dit, « étaient morts
Dieu lui-même s’il
bougeait son monde
qu’à partir de
l’extérieur, s’il
était une « chose en
soi » et pas celui
de tous, le créateur
de toutes choses
visibles et
invisibles, le
commencement et la
fin. »
Ces
hommes s’opposent à
la conception
moderne panthéiste
de l’immanence
divine et aussi
l’idée que, en vertu
de cette immanence,
le monde est une
révélation lumineuse
de Dieu.
6.
la fin définitive de
Dieu dans la
création.
La question de la
fin définitive de
Dieu dans le travail
de création a
souvent été
débattue. Au cours
de l’histoire, la
question a reçu
notamment une
réponse binaire.
a. le
bonheur de l’homme
ou de l’humanité.
Quelques-uns des
philosophes
antérieurs, tels que
Platon, Philon et
Seneca, a affirmé
que la bonté de Dieu
l’a incité à créer
le monde. Il voulait
communiquer lui-même
à ses créatures;
leur bonheur était
la fin, qu'il avait
en vue. Bien que
certains théologiens
chrétiens sonné avec
cette idée, il se
développa en
particulier par le
biais de l’humanisme
de la période de la
réformation et le
rationalisme du
XVIIIème siècle.
Cette théorie a été
souvent présentée de
manière très
superficielle. La
meilleure forme dans
lequel il est dit
est à l’effet que
Dieu ne pouvait pas
se faire la fin de
la création, parce
qu’il se suffit à
lui-même et que vous
pourriez avoir
besoin de rien. Et
si il ne pouvait
formuler lui-même la
fin, puis cela se
trouvent seulement
dans la créature,
surtout dans l’homme
et en fin de compte
dans son bonheur
suprême. La vue
téléologique par
laquelle le
bien-être ou le
bonheur de l’homme
ou de l’humanité est
a la fin de la
création, était
caractéristique de
la pensée de ces
hommes influents
comme Kant,
Schleiermacher et
Ritschl, bien qu’ils
n’a pas toutes
présenté de la même
manière. Mais cette
théorie ne satisfait
pas pour plusieurs
raisons: (1) bien
que Dieu révèle sans
aucun doute sa bonté
en création, il
n’est pas correct de
dire que sa bonté ou
l’amour ne pouvait
pas s’exprimer, s’il
n’y a pas de monde.
Les relations
personnelles au sein
du Dieu triune
fourni tout ce qui
était nécessaire
pour une vie pleine
et éternelle de
l’amour. (2) il
semblerait
parfaitement évident
que Dieu n’existe
pas pour le bien de
l’homme, mais
l’homme pour l’amour
de Dieu. Dieu seul
est créateur et
suprême bon, tandis
que l’homme n’est
qu’une créature,
qui, pour cette
raison, ne peut pas
être la fin de la
création. Le
temporel trouve sa
fin dans l’Éternel,
l’homme à la volonté
divine et pas
vice
versa. (3) la
théorie ne tient pas
les faits. Il est
impossible de
subordonner tout ce
qui se trouve dans
la création à cette
fin et d’expliquer
tout en ce qui
concerne le bonheur
humain. C’est
parfaitement évident
de l’examen de
toutes les
souffrances que l'on
retrouve dans le
monde.
b. la
gloire déclarative
de Dieu.
L’église de Jésus
Christ a trouvé la
véritable fin de la
création, pas dans
quoi que ce soit en
dehors de Dieu, mais
Dieu lui-même, plus
particulièrement
dans la
manifestation
extérieure de son
excellence
inhérente. Cela ne
signifie pas que la
gloire de recevoir
de Dieu des autres
est la fin. La
réception de la
gloire à travers les
louanges de ses
créatures morales,
est un terme inclus
dans la fin suprême,
mais n’est pas
lui-même qui se
terminent. Dieu n’a
pas créé d’abord de
recevoir la gloire,
mais de rendre sa
gloire existant et
manifeste. Les
glorieuses
perfections de Dieu
sont manifestent
dans sa création
tout entière; et
cette manifestation
n’est pas prévue
comme un spectacle
vide, une simple
exposition d’être
admiré par les
créatures, mais vise
également à
promouvoir leur
bien-être et le
bonheur parfait. En
outre, il cherche à
s’harmoniser leur
cœur à la gloire du
créateur et afin
d’obtenir de leur
âme, l’expression de
leur gratitude et
amour et
d’adoration. La fin
suprême de Dieu dans
la création, la
manifestation de sa
gloire, comprend
donc, comme
subordonnés se
termine, le bonheur
et le salut de ses
créatures et la
réception de la
louange des coeurs
reconnaissants et
adorant. Cette
doctrine est pris en
charge par les
considérations
suivantes: (1) il
est basé sur le
témoignage des
écritures, Ésaïe
43:7; 60:21; 61:3;
Ézéchiel 36:21, 22;
39:7; Luc 02:14;
ROM. 09:17; 11:36; I
Corinthiens 15:28;
Éphésiens 1:5, 6, 9,
12, 14; 3:9, 10;
01:16. (2) le Dieu
infini choisirais
presque tout, mais
le haut de gamme
dans la création, et
cette fin pourrait
seulement se trouve
en lui-même. Si des
nations entières,
contre lui, mais
comme une goutte
dans un seau et
comme la petite
poussière de
l’équilibre, alors,
sûrement, sa gloire
déclarative est
intrinsèquement de
valeur beaucoup plus
grande que le bien
de ses créatures,
Ésaïe 40:15, 16. (3)
la gloire de Dieu
est la seule fin qui
est conforme à son
indépendance et sa
souveraineté. Tout
le monde est
tributaire de
quiconque, ou que ce
soit, il fait sa fin
ultime. Si Dieu
choisit quoi que ce
soit dans la
créature comme sa
fin définitive, cela
ferait de lui
dépendent de la
créature à cet
égard. (4) aucune
autre extrémité ne
serait suffisamment
étendue pour être la
vraie fin de Dieu
toutes les façons et
travaille à la
création. Il a
l’avantage de
comprenant, de
subordination,
plusieurs autres
extrémités. (5)
c’est la seule fin
qui est réellement
et parfaitement
atteint dans
l’univers. Nous ne
pouvons pas imaginer
qu’un Dieu sage et
omnipotent
choisirait fin
destinée à échouer
en tout ou en
partie, de l’emploi
23:13. Pourtant, bon
nombre de ses
créatures jamais
atteint au bonheur
parfait.
c. des
Objections à la
théorie que la
gloire de Dieu est
la fin de la
création. Ce
qui suit est les
plus importants
d'entre eux: (1),
il rend
le schéma de
l’univers un régime
égoïste. Mais
nous devons
distinguer entre
égoïsme et
amour-propre
raisonnable ou
amour-propre. Le
premier est un soin
excessif ou exclusif
pour son propre
confort ou pour le
plaisir, quel que
soit le bonheur ou
les droits d’autrui;
ce dernier est une
diligence pour son
bonheur et le
bien-être, qui est
parfaitement
compatible avec la
justice, de
générosité et de
bienveillance envers
les autres. En
cherchant
l’expression de soi
pour la gloire de
son nom, Dieu n’a
pas méconnu le
bien-être, le plus
grand bien des
autres, mais il fait
la promotion. En
outre, cette
objection attire le
Dieu infini jusqu’au
niveau des finis et
même pécheresse de
l’homme et lui les
juges par les normes
de l’homme, qui
n’est pas tout à
fait justifiée. Dieu
n’a pas d’égal, et
personne ne peut
affirmer tout droit
comme vis-à-vis de
lui. En formulant sa
gloire déclarative
la fin de la
création, il a
choisi le haut de
gamme; mais quand
l’homme met à la fin
de toutes ses
œuvres, il n’est pas
choisir le haut de
gamme. Il
s’élèverait à un
niveau supérieur,
s’il a choisi le
bien-être de
l’humanité et la
gloire de Dieu comme
la fin de sa vie.
Enfin, cette
objection faite
surtout compte tenu
du fait que le monde
est plein de
souffrances, et que
certaines des
créatures
rationnelles de Dieu
sont vouées à la
destruction
éternelle. Mais ce
n’est pas due à le
œuvre créatrice de
Dieu, mais vers le
péché de l’homme,
qui a contrecarré le
œuvre de Dieu dans
la création. Le fait
que l’homme subit
les conséquences du
péché et
l’insurrection ne
garantit pas
n’importe qui en
accuser Dieu
d’égoïsme. On
pourrait ainsi
accusent le
gouvernement
d’égoïsme pour
défendre sa dignité
et la majesté de la
loi contre tous les
transgresseurs
délibérées.
Auto-suffisance
et à l’indépendance.
(2) il
est contraire à
Dieu En cherchant
son honneur de cette
manière, Dieu montre
qu’il a besoin de la
créature. Le monde
est créé à glorifier
Dieu, c'est-à-dire,
d’ajouter à sa
gloire. Evidemment,
ensuite, sa
perfection est
désireux à certains
égards; le travail
de création répond à
un besoin et
contribue à la
perfection divine.
Mais cette
représentation n’est
pas correcte. Le
fait que Dieu a créé
le monde pour sa
propre gloire ne
signifie pas qu’il
avait besoin du
monde. Elle ne
détient pas
universellement chez
les hommes, que le
travail qu’ils
n’effectuent pas
pour d’autres, est
nécessaire de
fournir un manque.
Cela peut tenir dans
le cas de l’ouvrier
commun, qui
travaille pour son
pain quotidien, mais
n’est guère le cas
de l’artiste, qui
fait suite à
l’impulsion
spontanée de son
génie. De la même
manière, il y a un
bon plaisir de Dieu,
exalté au-dessus de
besoin et de la
contrainte, qui
artistiquement
incarne ses pensées
en création et
trouve plaisir en
eux. En outre, il
n’est pas vrai que,
quand Dieu a fait sa
gloire déclarative
la fin définitive de
la création, il vise
principalement à
recevoir quelque
chose. La fin
suprême qu’il avait
en vue, n’était ne
pas à recevoir la
gloire, mais de
manifester sa gloire
inhérente dans les
œuvres de ses mains.
Il est vrai que, ce
faisant, il
causerait également
les cieux déclarer
sa gloire et le
firmament pour
montrer son œuvre,
les oiseaux du ciel
et les bêtes des
champs pour un
agrandissement de
lui et les enfants
des hommes pour
chanter ses
louanges. Mais, en
glorifiant le
créateur les
créatures n’ajoutent
rien à la perfection
de son être, mais
seulement
reconnaissent sa
grandeur et rendez
lui la gloire qui
est due à lui.
D. divergentes
théories concernant
l’origine du monde.
La doctrine biblique
n’est pas la seule
vue concernant
l’origine du monde.
Trois théories
alternatives, qui
ont été suggérées,
méritent une
attention brève à ce
stade.
1.
la théorie DUALISTE.
Le dualisme n’est
pas toujours
présenté sous la
même forme, mais
dans sa forme la
plus habituelle pose
deux principes de
lui-même, Dieu et la
matière, qui se
distinguent et
co-éternel avec
l’autre. Cependant,
la matière
originelle, est
considéré comme mais
une substance
négative et
l’imparfait (parfois
considérée comme le
mal), qui est
subordonné à Dieu et
est pour faire
l’instrument de son
testament (Platon,
Aristote, les
gnostiques, les
manichéens). Selon
cette théorie Dieu
n’est pas le
créateur, mais
seulement
l’encadreur et
artificier du monde.
Cette opinion est
inadmissible pour
plusieurs raisons.
(a) il ne va pas
dans son idée
fondamentale qu’il
doit y avoir eu
quelque substance,
dont le monde a été
créé dès
ex
nihilo nihil fit.
Cette maxime est
vraie seulement
comme une expression
de l’idée qu’aucun
événement ne se
déroule sans cause,
et est false si il
veut affirmer que
rien ne peut jamais
se faire qu’à partir
de matériaux
préexistant. La
doctrine de la
création ne dispense
pas une cause, mais
considère que la
cause tout-suffisant
du monde dans la
souveraine volonté
de Dieu. (b) sa
représentation sous
forme de matière
comme Eternelle est
fondamentalement
boiteuse. Si la
matière est
éternelle, il doit
être infinie car il
ne peut pas être
infinie en sens
unique (durée) et
finis à d’autres
égards. Mais il est
impossible que deux
infinités ou absolus
devraient exister
côte à côte.
L’absolu et le
relatif peuvent
exister
simultanément, mais
il peut y avoir
qu’un seul absolu et
lui-même étant. (c)
il est
unphilosophical pour
postuler a deux
substances
éternelles,
lorsqu’une cause de
lui-même est
parfaitement
adéquate tenir
compte de tous les
faits. Pour cette
raison que la
philosophie n’est
pas reste convaincu
avec une explication
dualiste du monde,
mais cherche à
donner une
interprétation
moniste de
l’univers. d si la
théorie suppose —
comme il le fait
dans certaines de
ses formes —
l’existence d’un
principe éternel du
mal, là y a
absolument aucune
garantie que le bien
triomphera sur le
mal dans le monde.
Il semblerait que ce
qui est
éternellement
nécessaire est tenu
de maintenir
lui-même et ne peut
jamais descendre.
2.
la théorie de
l’émanation sous
diverses formes.
Cette théorie est à
l’effet que le monde
est une émanation
nécessaire hors de
l’etre divin. Selon
lui Dieu et le monde
sont essentiellement
un, cette dernière
étant la
manifestation
phénoménale de
l’ancien. L’idée
d’émanation est
caractéristique de
toutes les théories
panthéistes, bien
qu’il n’est pas
toujours représenté
de la même manière.
Ici, encore une
fois, nous pouvons
enregistrer
plusieurs
objections. a ce
point de vue de
l’origine du monde
nie pratiquement
l’infini et la
transcendance de
Dieu en lui
appliquant un
principe
d’évolution, de
croissance et de
progrès qui
caractérisent
seulement le fini et
imparfait; et en
identifiant les lui
et dans le monde.
Les objets visibles
devenus ainsi mais
modifications
fugaces d’une
essence
auto-existant,
inconsciente et
impersonnelle, qui
peut être appelé
Dieu, Nature ou
l’absolu. (b) il
vole Dieu de sa
souveraineté en
dépouillant lui de
son pouvoir
d’autodétermination
par rapport au
monde. Il est réduit
au sol caché d'où
les créatures
nécessairement
émanent, et qui
détermine leur
mouvement par une
nécessité inflexible
de la nature. Dans
le même temps, elle
prive toutes les
créatures
rationnelles de leur
indépendance
relative et de leur
liberté, leur
moralité. (c) il
compromet aussi la
sainteté de Dieu
d’une manière très
sérieuse. Il rend
Dieu responsable de
tout ce qui se passe
dans le monde, pour
le mal, aussi bien
en ce qui concerne
le bien. C’est, bien
sûr, une conséquence
très grave de la
théorie, d'où
panthéistes n’ont
jamais été en mesure
de s’échapper.
3.
la théorie de
l’évolution.
La théorie de
l’évolution est
parfois parlée comme
si elle pouvait être
un substitut à la
doctrine de la
création. Mais c’est
clairement une
erreur. Il peut
certainement pas
être un substitut
pour la création
dans le sens de
l’origine absolue,
puisqu’elle suppose
quelque chose qui
évolue, et ceci doit
en dernier ressort
être éternelle ou
créées, afin que,
après tout,
l’évolutionniste
doit choisir entre
la théorie de la
éternité de la
matière et la
doctrine de la
création. Au mieux,
il pourrait
éventuellement
servir comme un
substitut à ce qu’on
appelle création
secondaire, par
lequel la substance
déjà en existence
est donnée une forme
définie. certains
évolutionnistes,
comme, par exemple,
Haeckel, croient en
l’éternité de la
matière et attribue
l’origine de la vie
à la génération
spontanée. Mais la
croyance en
l’éternité de la
matière est non
seulement décidément
non-chrétiens et
même athées; Il est
aussi généralement
discrédité. L’idée
qui comptent, avec
force comme sa
propriété
universelle et
inséparable, est
tout à fait
suffisante pour
l’explication du
monde, conclut la
petite faveur
aujourd'hui dans les
milieux
scientifiques. Il
est estimé qu’un
univers matériel,
composé de pièces
finies (atomes,
électrons et ainsi
de suite) ne peut
elle-même être
infini; et que ce
qui est sujette à
changement constant
ne peut pas être
éternel. En outre,
il est devenu plus
en plus évident que
matière aveugle et
de force ou
d’énergie ne peut
expliquer la vie et
la personnalité,
d’intelligence et le
libre arbitre. Et
l’idée de génération
spontanée est une
pure hypothèse, non
seulement non
vérifiées, mais
pratiquement a
explosé. La loi
générale de la
nature semble être «omne
vivum e vivo»
ou «ex
vivo». (b)
autres
évolutionnistes
préconisent ce
qu’ils appellent
l’évolution théiste.
Ceci postule
l’existence de Dieu,
l’arrière de
l’univers, qui
travaille dans ce
document, en règle
selon les lois
immuables de la
nature et par les
forces physiques
seulement, mais dans
certains cas par une
intervention
miraculeuse directe,
comme, par exemple,
dans le cas du
commencement absolu
, le début de la vie
et le début de
l’existence
rationnel et moral.
Cela a souvent été
appelé par dérision
une théorie
« bouche-trou ».
C’est vraiment un
enfant d’embarras,
qui appelle Dieu à
intervalles
réguliers pour aider
la nature sur les
abîmes que
bâillement à ses
pieds. Il n’est ni
la doctrine biblique
de la création, ni
une théorie
cohérente de
l’évolution, de
l’évolution est
définie comme « une
série de progressive
graduelle
modifications
effectuées au moyen
de forces résidents»
(Le Conte). En fait,
l’évolution théiste
est une
contradiction dans
les termes. Il est
tout aussi
destructrice de la
foi dans la doctrine
biblique de la
création comme
évolution
naturaliste; et en
appelant à maintes
reprises dans
l’activité créatrice
de Dieu, il annule
également
l’hypothèse
évolutionniste.
Outre ces deux
points de vue, nous
pouvons aussi
mentionner évolution
créatrice de Bergson
et évolution
émergente de C.
Lloyd Morgan. Le
premier est un
panthéiste
vitaliste, dont la
théorie implique la
négation de la
personnalité de
Dieu; et en fin de
compte ce dernier
parvient à la
conclusion qu’il ne
peut pas expliquer
son soi-disant
emergents sans poser
quelque facteur
ultime qui pourrait
être appelé
« Dieu ».
IV. création du monde spirituel
A. la Doctrine des
anges dans
l’histoire.
Il y a des preuves
claires de la
croyance en
l’existence des
anges dès le début
de l’ère chrétienne.
Certains d'entre eux
étaient considérés
comme bonne et
d’autres comme mal.
Les premiers ont été
tenues en haute
estime en tant
qu’êtres personnels
d’un noble ordre,
doté de la liberté
morale, affecté au
service joyeux de
Dieu et employé par
Dieu au ministre
pour le bien-être
des hommes. Selon
certains des
premiers pères de
l’église, ils ont eu
beau corps éthérés.
La conviction
générale était que
tous les anges ont
été créés bons, mais
que certains abusé
de leur liberté et
s’éloigne de Dieu.
Satan, qui était à
l’origine un ange de
rang éminent, était
considéré comme leur
chef. La cause de sa
chute se trouvait
dans la fierté et
l’ambition
pécheresse, tandis
que la chute de ses
subordonnés a été
attribuée à leur
convoitant les
filles des hommes.
Cette opinion était
fondée sur ce qui
était alors
l’interprétation
commune de Genèse
6:2. Aux côtés de
l’idée générale que
les bons anges
exerça son ministère
à des besoins et du
bien-être des
croyants, la notion
spécifique d’anges
gardien pour les
églises
individuelles et les
hommes individuels a
été vénérée par
certains. Calamités
de toutes sortes,
tels que les
maladies, les
accidents et les
pertes, ont été
fréquemment
attribuées à
l’influence néfaste
des mauvais esprits.
L’idée d’une
hiérarchie des anges
a déjà fait son
apparition (Clément
d’Alexandrie), mais
il a été jugé non
approprié à
l’adoration des
anges.
Comme le temps
passait les anges
ont continué à être
considérés comme des
esprits bienheureux,
supérieurs aux
hommes en
connaissance et sans
l’engagement des
corps matériels
bruts. Alors que
certains encore
attribuée aux fines
corps éthérés, il y
avait une
incertitude
croissante quant à
si elles ont des
organes à tous. Eux
qui s’accrochait
encore à l’idée
qu’ils étaient
corporels a fait ça,
ce qu’il paraît,
dans l’intérêt de la
vérité qu’ils ont
fait l’objet de
limitations
spatiales. Denys
l’Aréopagite divisé
les anges en trois
classes: la première
classe composée de
trônes, les
chérubins et les
séraphins; le
second, de Mights,
Dominions et
pouvoirs; et la
troisième, de
principautés,
archanges et anges.
La première classe
est représentée
comme jouissant de
la plus proche
communion avec Dieu;
la seconde, comme
étant éclairé par le
premier; et le
troisième, comme
étant éclairé par le
second. Cette
classification a été
adoptée par
plusieurs auteurs
postérieurs.
Augustine a insisté
sur le fait que les
bons anges ont été
récompensés pour
leur obéissance par
le don de la
persévérance, qui
comportait
l’assurance qu’ils
ne tomberait jamais.
Pride était encore
considéré comme la
cause de la chute de
Satan, mais l’idée
que le reste des
anges est tombé à la
suite de leur
convoitant les
filles des hommes,
bien que toujours
soutenu par
certains, a été peu
à peu disparaître
sous l’influence
d’une exégèse mieux
de Genèse 6:2. Une
influence
bienfaisante a été
attribuée aux anges
non déchus, tandis
que les anges déchus
ont été considérées
comme corrompre le
cœur des hommes,
comme stimulant pour
hérésie. et comme
engendrant des
maladies et des
catastrophes. Les
tendances
polythéistes d’un
grand nombre des
convertis au
christianisme
favorisé une
inclination à
l’adoration des
anges. Ce culte a
été formellement
condamné par un
Conseil réuni à
Laodicée au IVe
siècle.
Durant le moyen-âge
il y avait encore
quelques qui avaient
tendance à supposer
que les anges ont un
corps éthéré, mais
l’opinion dominante
était qu’ils étaient
incorporels. Les
apparitions
angéliques ont été
expliquées par
supposer que dans de
tels cas Anges
adopté des formes
corporelles
temporelles fins
révélatrice.
Plusieurs points ont
été en débat parmi
les scolastiques.
Quant au moment de
la création des
anges, l’opinion
dominante est qu’ils
ont été créés en
même temps que
l’univers matériel.
Alors que certains
détenus que les
anges ont été créés
dans l’état de
grâce, la plus
commune opinion
était qu’elles ont
été créées dans un
état de perfection
naturelle seulement.
Il y avait peu de
différence d’opinion
sur la question, si
les anges peuvent
affirmer être à un
endroit. La réponse
commune à cette
question a été
positive, même si on
a fait observer que
leur présence dans
l’espace n’est pas
circumscriptive mais
définitif, étant
donné que seules les
instances peuvent
être dans l’espace
circumscriptively.
Alors que tous les
scolastiques ont
convenu que la
connaissance des
anges est limitée,
les thomistes et
Scotists différaient
considérablement
respectant la nature
de ces
connaissances. Il a
été admis par tout
ce que les anges ont
reçu infusée
connaissance au
moment de leur
création, mais
Thomas Aquinas a
refusé, alors que
Duns Scot a affirmé,
qu’ils pourraient
acquérir de
nouvelles
connaissances par le
biais de leur propre
activité
intellectuelle. Le
premier lieu que la
connaissance des
anges est purement
intuitive, mais ce
dernier a affirmé
qu’il pourrait
également être
discursif. L’idée
des anges gardiens
trouvé faveur
considérable durant
le moyen-âge.
La période de la
réforme a apporté
rien de nouveau
concernant la
doctrine des anges.
Luther et Calvin
avaient une
conception vive de
leur ministère et en
particulier de la
présence et la
puissance de Satan.
Ce dernier insiste
sur le fait qu’il
est sous contrôle
divin, et que, bien
qu’il soit parfois
l’instrument de
Dieu, il ne peut
fonctionner que dans
les limites
prescrites.
Théologiens
protestants
généralement
considéré les anges
comme des êtres
spirituels purs, si
Zanchius et Grotius
toujours parlent
d’eux comme ayant le
corps éthérés. Quant
aux travaux des bons
anges, l’opinion
générale était que
c’est leur tâche
spéciale à la
ministre aux
héritiers du Salut.
Il n’y avait aucun
accord général,
cependant,
concernant
l’existence des
anges gardiens.
Certains ont
favorisé ce point de
vue, d’autres s’y
opposent, et encore
d’autres ont refusé
de s’engager sur ce
point. Notre
Confessio Belgica
dit dans l’Article
XII, qui traite de
la création: « il a
également créé les
anges bon, d’être
ses messagers et de
servir ses élus:
certains d'entre eux
sont tombés de cette
excellence, dans
lequel Dieu créa, en
perdition éternelle;
et les autres ont,
par la grâce de
Dieu, est resté
inébranlable et
continue dans leur
état primitif. Les
démons et mauvais
esprits sont
dépravés alors
qu’ils sont ennemis
de Dieu et toute
bonne chose au
maximum de leur
puissance, comme des
meurtriers, je
regarde à la ruine
de l’église et tous
ses membres et par
leurs stratagèmes
méchants de détruire
tout; et sont donc,
par leur propre
méchanceté, jugée à
la damnation
éternelle, attend
tous les jours leurs
tourments
horribles. »
Jusqu'à présent que
catholiques romains
généralement
considéré les anges
comme de purs
esprits, tandis que
certains
Protestants, comme
Emmons, Ebrard,
Kurtz, Delitzsch et
d’autres, toujours
attribuer leur une
sorte particulière
d’organes. Mais même
la grande majorité
de ces derniers
prendre le
contre-pied.
Swedenborg soutient
que tous les anges
étaient à l’origine
des hommes et qu’il
existent dans une
forme corporelle.
Leur position dans
l’univers Angélique
dépend de leur vie
dans ce monde.
XVIIIe siècle
rationalisme
hardiment a nié
l’existence des
anges et expliqué ce
que la Bible
enseigne sur eux
comme une espèce de
l’habitation.
Certains théologiens
libéraux modernes
considèrent qu’il
est utile de
conserver l’idée
fondamentale
exprimée dans la
doctrine des anges.
Ils trouvent une
représentation
symbolique des soins
protecteurs et la
volonté de Dieu.
B. l’Existence des
anges.
Toutes les religions
reconnaissent
l’existence d’un
monde spirituel.
Leurs mythologies
parlent de dieux,
demi-dieux, esprits,
démons, genii,
heroes et ainsi de
suite. C’est surtout
chez les Perses que
la doctrine des
anges a été
développée, et
beaucoup d’érudits
critiques affirme
que les Juifs dérivé
leur angélologie les
Perses. Mais c’est
un non prouvées et,
pour dire la moins,
de la théorie très
douteuse. Il ne peut
certainement être
harmonisé avec la
parole de Dieu, dans
lequel les anges
apparaissent dès le
début. En outre,
certains grands
érudits, qui a fait
une étude spéciale
du sujet, est venu à
la conclusion que
l’angélologie persan
a été tirée de ce
courant chez les
Hébreux. The
Christian Church a
toujours cru en
l’existence des
anges, mais dans la
théologie libérale
moderne cette
croyance a été
abandonnée, mais il
considère toujours
l’ange-idée utile,
puisqu’il imprime
sur nous » la
puissance de la vie
de Dieu dans
l’histoire de la
rédemption, son
providentia
specialissima
pour son peuple,
surtout pour les
« petits ». »
Bien
que des hommes tels
que Leibniz et
Wolff, Kant et
Schleiermacher,
admis la possibilité
de l’existence d’un
univers Angélique,
et certains d'entre
eux a même essayé de
prouver en
argumentation
rationnelle, il est
évident que la
philosophie ne peut
ni prouver ni
réfuter la existence
des anges. De la
philosophie, c’est
pourquoi, nous
passons à
l’écriture, qui ne
fait aucune
tentative délibérée
de prouver
l’existence des
anges, mais assume
cela tout au long et
dans ses livres
historiques nous
montre à plusieurs
reprises les anges
en action. Pas celui
qui s’incline devant
l’autorité de la
parole de Dieu peut
douter de
l’existence des
anges.
C. la Nature des
anges.
Cette rubrique
de plusieurs points
nécessitent une
attention.
1.
DISTINCTION de Dieu
il est créé des
êtres. La
création des anges a
parfois été refusée,
mais il est
clairement enseignée
dans l’écriture. Il
n’est pas certain
que les passages qui
parlent de la
création de l’armée
céleste (Genèse 2:1;
PS. 33: 6; Néhémie
9:6) fait référence
à la création des
anges, plutôt que la
création de l’hôte
étoilée; mais PS.
148:2, 5 et 01:16
clairement parler de
la création des
anges, (comp. Iier
Rois 22:19; PS.
103:20, 21). Au
moment de leur
création ne peut pas
être fixé
définitivement.
L’avis de certains,
basé sur Job 38: 7,
qu’elles ont été
créées avant toutes
choses, vraiment ne
trouve aucun appui
dans les Ecritures.
Car autant que nous
sachions, aucun
travail de création
ont précédé la
création du ciel et
la terre. Le passage
dans le livre de Job
(38: 7) enseigne, en
effet, dans une
veine poétique
qu’ils étaient
présents lors de la
création du monde,
tout comme les
étoiles étaient,
mais pas qu’ils
existe avant la
création primaire du
ciel et la terre.
L’idée que la
création des cieux a
été terminée le
premier jour, et que
la création des
anges était
simplement une
partie de travail la
journée de, est
également une
hypothèse non
prouvée, bien que le
fait que
l’instruction dans
Genèse 1:2
s’applique à la
terre semble
seulement il
favorise.
Éventuellement la
création des cieux
n’était pas terminée
en un seul instant
pas plus que celui
de la terre.
L’instruction
uniquement
sécuritaire, il
semble qu’ils ont
été créés avant le
septième jour. Cela
découle au moins de
ces passages comme
Genèse 2:1; Exode
20:11; Job 38: 7;
Néhémie 9:6.
2.
ce sont des êtres
spirituels et
incorporels.
Cela a toujours été
contestée. Les Juifs
et beaucoup d'entre
les premiers pères
de l’église qui leur
est attribuée
organes aérées ou
fougueux; mais
l’église du
moyen-âge est venu à
la conclusion qu’ils
sont des êtres
spirituels purs.
Pourtant, même après
que certains
théologiens
catholiques,
arminiens, voire
luthériennes et
réformées qui leur
est attribuée une
certaine corporéité,
plus subtile et plus
pure. Ils ont
considéré l’idée
d’une nature
purement spirituelle
et incorporelle
comme
métaphysiquement
inconcevable et
aussi comme
incompatible avec la
conception d’une
créature. Ils ont
également lancé un
appel sur le fait
que les anges sont
soumises à des
limitations
spatiales, de se
déplacer d’un
endroit à placer et
ont été parfois vus
par les hommes. Mais
tous ces arguments
sont plus que
contrebalancés par
les déclarations
explicites de
l’écriture à l’effet
que les anges sont
pneumata,
Matthieu 08:16;
12:45; Luke 07:21;
8:2; 11:26; Actes
19:12; EP 06:12;
Héb. 01:14. Ils
n’ont aucune chair
et en os, Luc 24:39,
ne se marient pas,
Matthieu 22:30,
peuvent être
présents en grand
nombre dans un
espace très limité,
Luke 08:30 et ils
sont invisibles,
01:16. Ces passages
dans le Psaume 104:
4 (COMP. Héb. 1:7);
Matthieu 22:30; et
j’ai Cor. 11:10 ne
prouvent pas la
corporéité des
anges. Ni cela est
prouvé par les
descriptions
symboliques des
anges dans la
prophétie d’Ézéchiel
et dans le livre de
l’Apocalypse, ni par
leur apparition dans
les formes
corporelles, s’il
est difficile de
dire, que ce soit
les corps dont ils
ont assumé en
certaines occasions
étaient réels ou
seulement apparent.
Il est clair,
cependant, que ce
sont des créatures
et donc fini et
limité, mais ils
sont dans une
relation plus libre
à temps et l’espace
que l’homme. Nous ne
pouvons pas
attribuer leur un
ubi
repletivum, ni
un ubi
circumscriptivum,
mais seulement un
ubi
definitivum.
Ils ne peuvent être
à deux ou plusieurs
endroits
simultanément.
3.
ce sont des êtres
rationnels, morales
et immortels.
Cela signifie qu’ils
sont des êtres dotés
d’intelligence et de
volonté. Le fait
qu’ils sont des
êtres intelligents
ne semble pas suivre
à la fois du fait
que ce sont des
esprits; mais il est
également enseigné
explicitement dans
les Ecritures, II
Samuel 14:20;
Matthieu 24:36; EP
03:10; J’ai PET.
01:12; II Pierre
02:11. Tandis que
pas omniscients, ils
sont supérieurs aux
hommes en
connaissances,
Matthieu 24:36. De
plus, ils sont doués
d’une nature morale
et sont comme tels
en vertu d’une
obligation morale;
ils sont récompensés
pour l’obéissance et
sont punis pour
désobéissance. La
Bible parle des
anges qui sont
restés fidèles comme
« anges saints, »
Matthieu 25: 31;
Marquer à 08:38; Luc
09:26; Actes 10:22;
14:10 et ceux qui
sont tombés à mesure
que le mensonge et
le péché, John
photos 08:44; J’ai
John 3:8-10. Les
bons anges sont
aussi immortels dans
le sens où ils ne
sont pas sujet à la
mort. À cet égard
les saints dans les
cieux sont censés
être comme eux, Luc
20:35, 36. En plus
de tout cela, grande
puissance est qui
leur est attribuée.
Ils forment l’armée
de Dieu, une
multitude de
puissants héros,
toujours prêts à
faire du Seigneur
d’appel d’offres,
PS. 103:20; 01:16;
EP 01:21; 03:10;
Héb. 01:14; et les
mauvais anges
forment l’armée de
Satan, pour détruire
le œuvre du
Seigneur, Luc 11:21;
II Thess. 2:9; I
Pierre 5:8.
4.
elles sont bonnes en
partie et en partie
mal. La
Bible fournit très
peu d’informations
concernant l’état
d’origine des anges.
Nous lisons,
cependant, qu’à la
fin de son œuvre
créatrice de Dieu
vit tout ce qu’il
avait fait et voici,
cela était très bon.
En outre, John
08:44; II Pierre
2:4; et Jude 6
suppose un bon Žtat
de tous les anges.
Les bons anges sont
appelés élire anges
dans I Timothée
05:21. De toute
évidence, ils ont
reçu, en plus de la
grâce avec laquelle
tous les anges
étaient doués et qui
était suffisant pour
leur permettre de
conserver leur
poste, un spécial
grace de
persévérance, par
lequel ils ont été
confirmés dans leur
position. Il y a eu
beaucoup de
spéculations
inutiles sur le
temps et le
caractère de la
chute des anges. La
théologie
protestante,
cependant, est
généralement
satisfaite sachant
que les bons anges
conservé leur état
d’origine, ont été
confirmés dans leur
position et sont
maintenant
incapables de
pécher. Ils ne sont
pas seulement
appelés saints
anges, mais aussi
des anges de
lumière, II
Corinthiens 11:14.
Ils toujours Voici
le visage de Dieu,
Matthieu 18:10, sont
nos modèles dans
faire la volonté de
Dieu, Matthieu 06:10
et possèdent la vie
immortelle, Luc
20:36.
D. le nombre et
l’Organisation des
anges.
1.
leur nombre.
La Bible ne contient
aucun renseignement
précis concernant le
nombre des anges,
mais indique très
clairement qu’il
s’agit d’une
puissante armée. Ils
sont à plusieurs
reprises appelés
l’hôte du ciel ou de
Dieu, et ce terme
lui-même déjà pointe
vers un bon nombre.
Dans Deutéronome 33:
2 on lit que
« Jéhovah est venu
du Sinaï... à partir
de dix milliers de
Saints », et dans le
Psaume 68:17 le
poète chante, « les
chars de Dieu sont
vingt mille, voire
des milliers et des
milliers: le
Seigneur est parmi
eux, comme dans
Sinai, dans le
sanctuaire. » En
réponse à la
question de Jésus
adressées à un
esprit impur, la
réponse était, « mon
nom est Légion;
parce que nous
sommes nombreux, »
Marc 5:9, 15. La
légion romaine
n’était pas toujours
la même, mais varié
à des moments
différents de 3000 à
6000, à Gethsémani
Jésus dit à la bande
qui est venu pour
l’emmener en
captivité, « ou
arbores tu que je ne
peux pas supplie mon
père, et il me
transmet aujourd'hui
encore Légion plus
de douze s
d’anges ? » Matthieu
26: 53. Et, enfin,
nous lisons à 05:11,
« j’ai vu et j’ai
entendu la voix de
nombreux anges
autour du trône et
des êtres vivants et
les vieillards. et
le nombre d'entre
eux était dix mille
fois dix mille et
des milliers de
milliers. » Compte
tenu de toutes ces
données, il est
parfaitement sûr de
dire que les anges
constituent une
société
innombrables, une
foule imposante. Ils
ne forment pas un
organisme comme
l’humanité, car ce
sont des esprits,
qui ne se marient
pas et ne sont pas
nés l’un sur
l’autre. Leur nombre
total a été créé au
début; il n’y a eu
aucune augmentation
dans leurs rangs.
2.
leurs ordres.
Bien que les anges
ne constituent pas
un organisme, ils
sont évidemment
organisés d’une
certaine façon. Cela
découle du fait que,
à côté du nom
général « angel » la
Bible utilise
certaines
dénominations
spécifiques pour
indiquer les
différentes classes
d’anges. Le nom
« angel », par
lequel nous désigner
les esprits plus
élevés n’est
généralement pas un
nomen
naturae dans
l’écriture, mais un
nomen
officii. Le mot
hébreu mal'ak
signifie simplement
messager et sert à
désigner un envoyé
par hommes, Job
01:14; J’ai Sam.
11:3, ou par Dieu,
Aggée 01:13;
Malachie 2:7; 3:1.
terme grec
aggelos
est aussi
fréquemment
appliquée aux
hommes, Matthieu
11:10; Marc 1:2;
Luke 07:24; 09:51;
GAL 04:14. Il n’y a
aucun nom distinctif
général pour tous
les êtres spirituels
dans l’écriture. Ils
sont appelés fils de
Dieu, Job 1:6; 2:1;
PS. 29: 1; 89:6,
spiritueux, Héb.
01:14, les saints,
PS. 89:5, 7; Zach.
14:5; Dan. 08:13,
watchers, Dan.
04:13, 17, 24. Il y
a plusieurs noms
spécifiques,
cependant, qui
pointent vers
différentes classes
d’anges.
a.
chérubins.
Chérubins sont
mentionnés à
plusieurs reprises
dans les Ecritures.
Ils gardent l’entrée
du paradis, 03:24,
contemplent le
propitiatoire, Exode
25: 18; Psaume 80:
1; 99: 1; Ésaïe 37:
16; Hébreux 9:5, et
constituent le char
sur lequel Dieu
descend sur la
terre, II Samuel
22:11; Psaume 18:10.
Dans Ézéchiel 1 et 4
de l’Apocalypse, ils
sont représentés
comme des êtres
vivants sous
diverses formes. Ces
représentations
symboliques servent
simplement à faire
ressortir leur
extraordinaire
puissance et la
majesté. Plus que
les autres
créatures, ils
étaient destinés à
révéler la
puissance, la
majesté et la gloire
de Dieu et pour
garder sa sainteté
dans le jardin
d’Eden, dans le
tabernacle et le
temple et dans la
descente de Dieu sur
la terre.
b. les
séraphins. Une
classe connexe des
anges sont les
séraphins,
mentionnés seulement
dans Ésaïe 6:2, 6.
Ils sont aussi
symboliquement
représentées sous
forme humaine, mais
avec six ailes, deux
couvrant le visage,
deux pieds et deux
pour l’exécution
rapide des
commandements du
Seigneur. En
comparaison avec de
chérubins, ils se
tiennent comme
serviteurs alentour
le trône du Roi
céleste, chantent
ses louanges et sont
toujours prêts à
faire son appel
d’offres. Alors que
les chérubins sont
les puissants, ils
pourraient appeler
les nobles parmi les
anges. Alors que
l’ancien meneur de
la sainteté de Dieu,
ils servent le but
de la réconciliation
et ainsi préparent
les hommes pour la
démarche appropriée
à Dieu.
c.
principautés,
puissances, les
trônes
et
dominions. En
plus de ce qui
précède la Bible
parle de certaines
classes d’anges, qui
occupent les lieux
d’autorité dans le
monde Angélique,
comme
archai et
exousiai
(les principautés et
les puissances),
Éphésiens 03:10;
02:10,
thronoi
(trônes), 01:16,
kureotetoi
(dominions),
Éphésiens 01:21;
01:16 et
dunameis
(pouvoirs),
Éphésiens 01:21;
J’ai PET. 03:22. Ces
appellations ne
pointent pas à
différentes sortes
d’anges, mais
simplement de
différences de grade
ou dignité parmi
eux.
d.
Gabriel et Michael.
À la différence de
tous les autres
anges, ces deux sont
mentionnés par nom.
Gabriel apparaît
dans Dan. 08:16;
09:21; Luc 01:19,
26. La grande
majorité des
commentateurs le
considèrent comme un
ange créé, mais
certains d'entre eux
nie que le nom de
Gabriel est un nom
propre et regarde
comme nom commun,
qui signifie homme
de Dieu, un synonyme
de l’ange. Mais il
s’agit d’une
situation intenable.
Certains
commentateurs
antérieures et
postérieures voir en
lui un être non
créé, certains même
suggérant qu’il
pourrait être la
troisième personne
de la Sainte
Trinité, tandis que
Michael était le
second. Mais une
simple lecture des
passages en question
montre
l’impossibilité de
cette
interprétation. Il
peut être l’un des
sept anges qui sont
censés se tenir
devant Dieu dans
Apocalypse 8:2
(COMP. Luc 01:19).
Il semble avoir été
sa tâche spéciale de
médiation et
d’interpréter des
révélations divines.
Le nom de Michael
(litt., « qui comme
Dieu ? ») a été
interprétée comme
une désignation de
la deuxième personne
de la Trinité. Mais
ce n’est pas plus
défendable que
l’identification de
Gabriel avec
l’Esprit Saint.
Michael est
mentionné dans
Daniel 10:13, 21;
Jude 9; Apocalypse
12:7. Du fait qu’il
est appelé
« l’Archange » dans
Jude 9, et de
l’expression
utilisée dans
Apocalypse 12:7, il
semblerait qu’il
occupe une place
importante parmi les
anges. Les passages
de Daniel soulignent
également le fait
qu’il est un prince
parmi eux. On voit
en lui le vaillant
guerrier combattant
les batailles de
Jéhovah contre les
ennemis d’Israël et
contre les pouvoirs
maléfiques dans le
monde des esprits.
Il n’est pas
impossible que le
titre « l’Archange »
s’applique aussi à
Gabriel et quelques
autres anges.
E. le Service des
anges.
Nous pouvons
distinguer entre
ordinaire et un
extraordinaire
service des anges.
1.
leur SERVICE
ordinaire.
Il s’agit tout
d’abord en leur
louant Dieu jour et
nuit, Job 38: 7;
Ésaïe 6; PS. 103:20;
148:2; 05:11.
L’écriture donne
l’impression qu’ils
font ce audible,
comme à la naissance
du Christ, si nous
ne pouvons former
aucune conception de
ce parler et le
chant des anges.
Depuis l’entrée du
péché dans le monde,
ils sont envoyés
pour ceux qui sont
les héritiers du
Salut, Hébreux le
ministre 01:14. Ils
se réjouissent à la
conversion d’un
pécheur, Luc 15:10,
veille sur les
croyants, Psaume 34:
7; 91:11, protéger
les plus petits,
Matthieu 18:10, sont
présents dans
l’église, I Cor.
11:10; I Timothée
05:21, apprendre
d’elle les multiples
richesses de la
grâce de Dieu,
Éphésiens 03:10;
J’ai PET. 01:12 et
transmettre des
croyants dans le
sein d’Abraham, Luc
16:22. L’idée que
certains d'entre eux
ne servent de
tuteurs de chaque
croyant trouve aucun
appui dans les
Ecritures.
L’instruction dans
Matthieu 18:10 est
trop générale pour
prouver ce point,
bien qu’il semble
indiquer qu’il est
un groupe d’anges
qui sont notamment
chargés de la garde
des petits. Ni il
est prouvé par les
actes 12:15, pour ce
passage va
simplement de
montrer qu’il n’y a
même parmi les
disciples de cette
journée de début qui
ont cru en anges
gardiens.
2.
leur SERVICE
extraordinaire.
Le service
extraordinaire des
anges a été rendu
nécessaire par la
chute de l’homme et
constitue un élément
important dans la
révélation spéciale
de Dieu. Ils souvent
médient spéciales
révélations de Dieu,
communiquent les
bénédictions pour
son peuple et
exécutent le
jugement sur ses
ennemis. Leur
activité est plus
importante dans les
grands tournants de
l’économie du Salut,
comme à l’époque des
Patriarches, le
temps des quelles,
la période de l’exil
et de la
restauration et à la
naissance, la
résurrection et
l’ascension du
Seigneur. La
fermeture de la
période de la
révélation spéciale
de Dieu, le service
extraordinaire des
anges a cessé, à
être repris
seulement au retour
du Seigneur.
F. les mauvaises
anges.
1.
leur origine.
Outre le bon il y a
aussi mauvais anges,
qui ont plaisir à
s’opposer à Dieu et
à contrarier son
travail. S’ils sont
aussi des créatures
de Dieu, ils n’ont
pas été créées comme
des mauvais anges.
Dieu vit tout ce
qu’il avait créé, et
c’était très bon,
01:31. Il y a deux
passages de
l’écriture qui
implique clairement
que certains des
anges n’ont pas
conservé leur
original position,
mais il est passé de
l’État dans lequel
elles ont été
créées, II PET. 2:4;
Jude 6. Le péché
spécial de ces anges
n’est pas révélé,
mais il est
généralement
considéré consiste
en ceci qu’ils
exalté eux-mêmes
vis-à-vis de Dieu et
qu’il aspiraient à
l’autorité suprême.
Si cette ambition a
joué un rôle
important dans la
vie de Satan et mené
à sa chute, il
serait à la fois
expliquer pourquoi
il tenté l’homme sur
ce point précis et
chercha à lui
attirer jusqu'à sa
destruction en
faisant appel à une
ambition similaire
possible chez
l’homme.
Quelques-uns des
premiers pères de
l’église distinguent
entre Satan et les
démons subordonnés
en expliquant la
cause de leur chute.
Celui de la chute de
Satan a été trouvé
dans orgueil, mais
celle de l’automne
plus générale dans
le monde Angélique,
dans la convoitise
charnelle, Genèse
6:2. Que
l’interprétation de
la Genèse 6:2 a été
progressivement mis
au rebut, cependant,
pendant le moyen
âge. Dans cette
perspective, il est
plutôt surprenant de
constater que
plusieurs
commentateurs
modernes réitèrent
l’idée dans leur
interprétation de II
Pierre 2:4 et 6 de
Jude comme, par
exemple, Meyer,
Alford, maire,
Wohlenberg. C’est
une explication,
cependant, c’est
contraire à la
nature spirituelle
des anges, et sur le
fait que, comme
Matthieu 22:30
semblerait
impliquer, il n’y a
aucune vie sexuelle
parmi les anges. En
outre, cette
interprétation, nous
allons devoir
assumer une double
chute dans l’univers
Angélique, tout
d’abord la chute de
Satan, et puis,
beaucoup plus tard,
la chute entraînant
l’hôte des diables
qui maintenant sert
Satan. Il est
beaucoup plus
probable que Satan a
traîné les autres
droit avec lui dans
sa chute.
2.
leur tête.
Satan apparaît dans
l’écriture comme le
chef reconnu des
anges déchus. Il
était à l’origine,
il semblerait, un
des princes plus
puissants de
l’univers Angélique
et est devenu le
chef de ceux qui se
révoltent et
s’éloigne de Dieu.
Le nom « Satan »
pointe vers lui
comme
« l’adversaire »,
pas en premier lieu
de l’homme, mais de
Dieu. Il attaque
Adam comme la
Couronne de
l’ouvrage de Dieu,
œuvres de
destruction et est
donc appelé Apollyon
(le destructeur) et
des agressions Jésus
lorsqu’il entreprend
les travaux de
restauration. Après
l’entrée du péché
dans le monde, il
devient Diabolos
(l’accusateur),
accusant le peuple
de Dieu
continuellement,
12:10. Il est
représenté dans
l’écriture comme
l’auteur du péché,
Genèse 3:1, 4; John
08:44; II
Corinthiens 11:3; I
Jean 3:8; Apocalypse
12:9; 20:2, 10 et
apparaît comme le
chef reconnu de ceux
qui sont tombés là,
Matthieu 25: 41;
09:34; Éphésiens
2:2. Il reste le
chef des armées
angéliques qui il
emmena avec lui dans
sa chute et emploie
dans une résistance
désespérée à Christ
et à son Royaume. Il
est aussi appelé à
plusieurs reprises
« le prince de ce
(pas, « de la »)
monde, John 12:31;
14:30; 16:11 et même
« le Dieu de ce
monde, » II Cor.
4:4. Cela ne
signifie pas qu’il
était en contrôle du
monde, car Dieu est
au contrôle et il a
donné toute autorité
à Christ, mais il
transmettre l’idée
qu’il est en
contrôle de ce monde
mauvais, le monde,
dans la mesure où il
est éthiquement
séparé de Dieu. Cela
est clairement
indiqué dans
Éphésiens 2:2, où il
est appelé « le
prince des
puissances de l’air,
de l’esprit qui agit
maintenant dans les
fils de la
rébellion ». Il est
surhumain, mais pas
divin; a un grand
pouvoir, mais n’est
pas omnipotent;
exerce une influence
sur une échelle
grande mais
restreinte, Matthieu
12:29; Apocalypse
20:2 et est destiné
à être jeté dans
l’abîme, 20:10.
3.
leur activité.
Comme les bons
anges, anges déchus,
sont aussi, doués
d’une puissance
surhumaine, mais
leur utilisation de
celui-ci contraste
malheureusement avec
celle des bons
anges. Alors que ce
dernier
perpétuellement
louer Dieu, mener
ses batailles et lui
service fidèlement,
à titre de
puissances des
ténèbres, ils sont
décidés à maudissant
Dieu, luttant contre
lui et son oint et
de détruire son
travail. Ils sont en
constante révolte
contre Dieu,
chercher à l’aveugle
et de tromper même
les élus et
encouragent les
pécheurs dans leur
mal. Mais ce sont
des esprits perdus
et sans espoir. Ils
sont même maintenant
enchaînés à l’enfer
et le puits des
ténèbres, et bien
que pas encore
limité à un seul
endroit, pourtant,
comme le dit Calvin,
faites glisser leurs
chaînes avec eux
partout où ils vont,
II PET. 2:4; Jude 6.
V. création du monde matériel
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