THÉOLOGIE
SYSTÉMATIQUE
LOUIS BERKHOF
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Jean leDuc
Mars 2018
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TABLE DES MATIÈRES
REMARQUE
PRÉFACE
PREMIÈRE PARTIE
LA DOCTRINE DE DIEU
L’Être de Dieu:
I. l’Existence de Dieu
II. l’intelligibilité de Dieu
III. rapports de l’être et les attributs de Dieu
IV. les noms de Dieu
V. les attributs de Dieu en général
VI. les attributs Incommunicable
VII. les attributs transmissibles
VIII. la Sainte-Trinité
Les œuvres de Dieu
I. les décrets divins en général
II. la prédestination
III. la création en général
IV. la création du monde spirituel
V. création du monde matériel
VI. Providence
DEUXIÈME PARTIE
LA DOCTRINE DE L’HOMME PAR RAPPORT À DIEU
Homme dans son état d’origine
I. l’origine de l’homme
II. la Nature constitutionnelle de l’homme
III. l’homme comme l’Image de Dieu
IV. l’homme et l’Alliance des œuvres
Homme dans l’état du péché
I. l’origine du péché
II. le caractère essentiel du péché
III. la Transmission du péché
IV. le péché dans la vie de l’humanité
V. la punition du péché
L'homme dans l’Alliance de grâce
I. nom et Concept de l'Alliance
II. l'Alliance de la rédemption
III. Nature de l’Alliance de grâce
IV. le double Aspect de l'Alliance
V. les Dispensations différentes de l'Alliance
TROISIÈME PARTIE
LA DOCTRINE DE LA PERSONNE ET L'ŒUVRE DU CHRIST
La personne du Christ
I. la Doctrine du Christ dans l’histoire
II. les noms et les Natures du Christ
III. l'uni-personnalité du Christ
Les États du Christ
I. l’état d’Humiliation
II. l’état d’Exaltation
Les offices du Christ
I. introduction: L’Office prophétique
II. l’Office sacerdotal
III. la Cause et la nécessité de l’expiation
IV. la Nature de l’expiation
C. théories divergentes de l’expiation
VI. le but et l’étendue de l’expiation
VII. le œuvre intercession du Christ
VIII. les fonctions royales
QUATRIÈME PARTIE
LA DOCTRINE DE L’APPLICATION DE L'ŒUVRE DE RÉDEMPTION
I. sotériologie en général
II. l’opération du Saint-Esprit en général
III. La Grâce commune ou générale
IV. l’Union mystique
V. l’appel en général et l’appel externe
VI. régénération et l'Appel efficace
VII. Conversion
VIII. la foi
IX. la Justification
X. sanctification de
XI. la persévérance des Saints
CINQUIÈME PARTIE
LA DOCTRINE DE L’ÉGLISE ET DES MOYENS DE GRÂCE
L’église
I. les noms Scripturaire de l’Église et la Doctrine de l’Église dans l’histoire
II. la Nature de l’Église
III. le gouvernement de l’Église
IV. le pouvoir de l’Église
Les moyens de grâce
I. les moyens de grâce en général
II. la parole comme moyen de Grace
III. les sacrements en général
IV. le Baptême chrétien
V. la Cène du Seigneur
SIXIÈME PARTIE
LA DOCTRINE DES CHOSES DERNIÈRES
Eschatologie individuelle
I. chapitre d'introduction
Mort physique II.
III. l’immortalité de l’âme
IV. l’état intermédiaire
Eschatologie générale
I. la seconde venue du Christ
II. millénaires vues
III. la résurrection des morts
IV. le jugement Final
V. l’État Final
BIBLIOGRAPHIE
|
REMARQUE
Présentation de
Louis Berkhof
(1873-1957)
Louis Berkhof est né
le 13 octobre 1873 à
Emmen, Drenthe,
Pays-Bas. Il arriva
aux États-Unis à
l’âge de 8 ans, ses
parents y ayant
émigré. Déjà, étant
adolescent, il fut
membre actif et
secrétaire de la
première Société des
jeunes réformés,
organisés à Grand
Rapids, au Michigan.
Les objectifs de
cette société
étaient d’étudier la
doctrine réformée et
les principes du
calvinisme, par
rapport à tous les
domaines de la vie.
Berkhof avoua plus
tard qu’il ne
pourrait jamais
rembourser ce qu’il
devait à la Société
des jeunes réformés,
car c’est dans son
sein qu’il apprit à
étudier et à
s’exprimer. C’est là
aussi qu’il réalisa
combien Dieu l’avait
pourvu de talents
pour travailler dans
son Royaume. C’est
là encore qu’il
ressentit le désir
de devenir ministre
de Dieu.
C’est en 1893 que
Berkhof confessa
publiquement sa foi
en Christ, à l’Eglise
chrétienne réformée
de l’avenue Alpine,
à Grand Rapids. En
septembre de la même
année, à 19 ans
donc, il entrait à
l’Ecole de théologie
de l’Eglise
chrétienne réformée
et, le 16 septembre
1900, il fut
consacré dans l’Eglise
chrétienne réformée
d’Allendale, au
Michigan. Moins de
deux ans après, son
nom figurait sur une
liste de candidats
potentiels à une
nouvelle chaire de
théologie
exégétique.
Finalement, c’est
Roelof Janssen qui
fut nommé, car il
était docteur en
théologie de
l’université de
Halle, en Allemagne;
du reste, il avait
étudié à Kampen, aux
Pays-Bas. Berkhof
décida alors
d’approfondir ses
connaissances et
compléta sa
formation par deux
années à Princeton
(1902-1904), alors
le bastion de
l’orthodoxie
réformée. Il eut
comme professeurs B.
B. Warfield et G.
Vos, tous deux
d’inébranlables
défenseurs de
l’orthodoxie
confessionnelle
réformée et de
l’autorité de l’Ecriture,
ce qui incluait son
infaillibilité et
son inerrance.
Berkhof sortit de
Princeton avec le
grade de bachelier
en théologie.
En août 1904,
Berkhof prit en
charge la paroisse
chrétienne réformée
d’Oakdale, à Grand
Rapids. Il s’y fit
rapidement une
solide réputation à
cause de
l’enracinement
scripturaire de son
enseignement. Outre
son travail
pastoral, il écrivit
un opuscule intitulé
« L’éducation
chrétienne et
l’avenir de notre
Eglise ». Enfin,
parallèlement, il
suivit quelques
cours de philosophie
par correspondance à
l’université de
Chicago.
Le comité
responsable de l’Eglise
ne recommanda pas la
reconduction de
Janssen dans son
poste de professeur.
En effet, il
existait un conflit
latent entre
celui-ci et le
professeur de
théologie
systématique, F.M.
Ten Hoor, au sujet
de l’autorité de l’Eglise
sur les études en
théologie. De plus,
certains
l’accusaient d’être
plus ou moins
critique. Le comité
n’ayant proposé
personne, c’est le
synode de l’Eglise
qui s’en chargea et
qui nomma son
vice-président L.
Berkhof au poste
laissé vacant par le
départ de Janssen.
Louis Berkhof fut
installé comme
professeur d’exégèse
le 5 septembre 1906.
De 1906 à 1914,
Berkhof enseigna au
Calvin Seminary
toutes les matières
de l’Ancien et du
Nouveau Testaments:
hébreu, grec du
Nouveau Testament,
exégèse de l’Ancien
et du Nouveau
Testament,
introduction à
l’Ancien et au
Nouveau Testament,
histoire de l’Ancien
et du Nouveau
Testament.
En 1911, il publia
en hollandais un
livre sur
l’herméneutique
biblique, simple et
limpide. En 1937,
cet ouvrage fut
publié à l’usage des
étudiants
anglophones sous le
titre Principes
d’interprétation
biblique. Il ne
publia qu’un
pamphlet « La vie et
la Loi dans la
théocratie pure ».
Vers 1914, la
réduction de la
charge d’enseignant
permit à Berkhof de
prendre sa plume. Il
écrivit
L’archéologie
biblique et, l’année
suivante, Une
introduction au
Nouveau Testament.
Malgré une lourde
charge professorale,
Berkhof écrivit en
1912 Christianisme
et vie, qui
concernait le
christianisme et la
culture. L’année
suivante parut L’Eglise
et les problèmes
sociaux, qui fut sa
première publication
en langue anglaise.
Il partait de
l’affirmation que l’Evangile
de Jésus-Christ
était la plus grande
force libératrice du
monde, applicable
même aux problèmes
sociaux. L’Eglise
avait donc des
devoirs sociaux et
des responsabilités
qui n’étaient pas
honorés. D’après
Berkhof, l’Eglise
était non seulement
la communauté
spirituelle des
croyants, mais aussi
une organisation qui
avait une tâche
précise dans le
mouvement des
réformes sociales.
L’Eglise, instrument
choisi par Dieu, ne
se limitait pas à
sauver des individus
et à les préparer à
la vie éternelle;
elle devait aussi
accomplir, autant
qu’il est possible,
le Royaume de Dieu
sur terre. La Bible
contenait de
nombreuses
directives pour la
vie sociale et les
ministres de l’Evangile
devaient proclamer,
sans crainte et en
toute clarté, les
grands principes de
cette même vie.
C’est en 1924 que
Berkhof fut appelé à
prendre la
succession de F. M.
Ten Hoor à la chaire
de théologie
systématique. Il
considérait que les
matières bibliques
préparaient à la
dogmatique, qui
récoltait les fruits
de la théologie
biblique.
Après 1926, la
polémique
théologique sur le
prémillénarisme et
sur l’autorité de l’Ecriture
qui faisait rage à
l’intérieur de l’Eglise
chrétienne réformée
cessa au point de ne
jamais revenir avec
la même acuité
pendant la vie de
Berkhof. L’Eglise
s’était débarrassée
du prémillénarisme,
de la menace de la
recherche
scientifique libre
et de la critique
biblique, ainsi que
du danger d’une
conception trop
étroite de
l’opération du
Saint-Esprit dans la
vie culturelle
humaine. Il en
résulta un consensus
théologique
fondamentalement
conservateur et
profondément
enraciné dans
l’orthodoxie
réformée
traditionnelle
confessante. C’est
dans ce climat que
Berkhof s’engagea
dans la recherche
théologique, la
réflexion,
l’enseignement et la
publication. En
1928, il publia une
étude doctrinale
spéciale:
L’assurance de la
foi.
En 1931, il fallut
nommer au Calvin
Seminary un
directeur plus
permanent et
administratif.
Berkhof était
l’homme de la
situation. Il avait
pendant la même
année académique
servi de doyen de
manière très
brillante. De plus,
il jouissait de la
confiance de l’Eglise
et du respect des
étudiants. Il fut
donc élu président
du Calvin Seminary,
poste qu’il mena de
front avec son
professorat pendant
treize ans.
En tant que
professeur de
théologie
systématique,
Berkhof pensait que
sa tâche principale
était de présenter
la vérité
scripturaire de
manière
compréhensible et
dans un ordre
logique, d’une façon
compatible avec la
théologie réformée
historique. Il tenta
de promouvoir la
pensée réformée, en
la faisant
contraster avec ce
qu’il appelait des
positions
doctrinales
aberrantes. Pour
étudier une
doctrine, il
commençait par
définir la position
réformée et
commentait
brièvement
l’histoire de la
doctrine en
question. Puis il
présentait le
fondement
scripturaire de la
position réformée.
Enfin, venaient la
discussion et la
critique des vues
alternatives.
Berkhof reprochait
surtout à la
théologie catholique
romaine de faire de
l’Eglise
hiérarchique la
source et l’autorité
du dogme. Cependant,
ses flèches les plus
aiguës étaient
dirigées contre la
théologie libérale
moderne, qui
réduisait la
théologie à
l’anthropologie ou à
une simple étude de
la religion.
Selon Berkhof,
l’objet
d’investigation en
théologie était la
connaissance de
Dieu, tel qu’il se
révèle dans la
Sainte Ecriture.
L’homme ne pouvant
connaître Dieu comme
Dieu se connaît
lui-même, il peut
quand même le
connaître, parce que
et dans la mesure où
Dieu a choisi de se
révéler lui-même.
Berkhof affirmait
que la connaissance
de Dieu forme le
contenu de la
révélation spéciale.
Cette dernière
constituait un
exposé de la
connaissance de Dieu
et du concept de la
rédemption dans le
Christ-Jésus. Si, au
sens strict, la
révélation spéciale
était plus large que
l’Ecriture sainte,
elle en était
synonyme de manière
pratique et
concrète. Ainsi, l’Ecriture
sainte était la
source unique de la
théologie
systématique. Elle
était également la
seule norme ayant
autorité pour juger
la vérité formulée
et affirmée par la
théologie.
Berkhof pensait que
la théologie
systématique était
une entreprise
scientifique. L’Ecriture
sainte contenait des
vérités (des
événements et des
idées), mais elle ne
présentait pas de
système logique à
recopier purement et
simplement.
Cependant, les
vérités contenues
dans la Bible
étaient reliées
entre elles. Pour
Dieu, la vérité
était une unité, et
la vérité révélée
dans la Parole de
Dieu un tout
organique. De plus,
l’homme, créature
douée d’une raison,
ressentait un besoin
irrésistible de
comprendre la vérité
dans son unité.
Ainsi, la tâche
particulière du
dogmaticien
consistait à penser
les pensées de Dieu
après lui, sous la
direction du
Saint-Esprit, à
assimiler clairement
la vérité révélée
dans la Parole de
Dieu, et à la
reproduire
logiquement sous une
forme systématique.
Berkhof rejetait
l’usage de la raison
spéculative comme
source et norme de
vérité théologique,
mais affirmait la
fonction nécessaire
de la raison; le but
était d’unifier les
événements
particuliers et les
idées contenus dans
la Parole de Dieu et
de les organiser en
un système cohérent
de vérité.
Cependant, il ne
permettait pas à la
raison de
fonctionner
indépendamment de la
foi. En théologie,
la foi correspondait
à la connaissance
révélée de Dieu et
était utilisée comme
un instrument
nécessaire au cœur
de l’homme, qui
s’appropriait la
vérité divine. En un
mot, la foi
s’appropriait la
vérité révélée et la
raison l’organisait
et la systématisait.
Toujours selon
Berkhof, la
théologie
systématique
réformée était une
question
ecclésiastique. L’Eglise,
sous la direction du
Saint-Esprit,
s’engage dans une
activité
intellectuelle qui
produit le dogme.
Lorsque l’Eglise
réfléchit sur la
vérité de la Parole
de Dieu, cette
vérité prend une
forme bien précise
dans la conscience
de l’Eglise, et est
formulée dans des
doctrines clairement
définies.
Bien que l’Ecriture
demeure toujours la
source, la norme et
l’examen final de
toute vérité
dogmatique, les
credos et les
confessions de foi
de l’Eglise
fournissent un noyau
dans la théologie
systématique.
Berkhof soulignait
que le théologien
est toujours le
théologien d’une
Eglise particulière.
Il reçoit la vérité
dans la communauté
ecclésiale, partage
les convictions de
l’Eglise et promet
d’enseigner en
harmonie avec elle,
aussi longtemps que
la compréhension de
la vérité par l’Eglise
n’est pas contraire
à la Parole de Dieu.
Les écrits
dogmatiques
principaux de
Berkhof provenaient
de ses cours et
visaient à aider les
étudiants. En 1932,
sa Systematic
Theology fut d’abord
publiée en deux
volumes sous le
titreReformed
Dogmatics. Un peu
plus tard, dans la
même année, parut le
Introductory Volume
to Reformed
Dogmatics. En 1941,
une édition révisée
de Reformed
Dogmatics fut
publiée en un
volume, Systematic
Theology. En 1937,
Berkhof écrivit une
History of Christian
Doctrine, courte et
claire. En 1942, il
publia un Textual
Aid to Systematic
Theology, à
l’intention des
étudiants en
théologie
systématique.
Vinrent encore deux
études doctrinales
spéciales: The
Vicarious Atonement
(expiation) through
Christ en 1936 et
Recent Trends in
Theology en 1944,
juste avant de
prendre sa retraite.
Louis Berkhof peut
être critiqué de
n’avoir pas été un
théologien créatif,
ni ayant de
l’imagination. Il
croyait, en effet,
que la théologie
réformée avait,
depuis Calvin, pris
une forme plus ou
moins définitive à
travers les siècles.
Du point de vue de
la structure comme
du contenu de sa
théologie, Berkhof
demeura dépendant de
Herman Bavinck. Il
se détacha
légèrement de ce
dernier dans sa
Systematic Theology
en réorganisant les
rubriques et la
répartition des
données. Il citait
les noms des
théologiens
mentionnés,
commentait les
opinions et donnait
les références
bibliques.
Berkhof possédait
des dons personnels
et intellectuels
remarquables qui le
prédisposaient à
l’étude de la
dogmatique. Lecteur
vorace et savant
assidu, il se
maintenait au
courant des diverses
théologies. Il avait
cette rare capacité
à assimiler une
grande quantité de
données, à retenir
leur contenu
essentiel et à les
reproduire sous une
forme condensée. Il
était spécialiste de
la définition des
termes et des
distinctions
théologiques. Ses
conférences et ses
écrits étaient
marqués par un
esprit pénétrant et
ordonné.
Il était réservé,
digne, humble et
très humain. Il
n’était pas du genre
« bagarreur » et
n’aimait pas la
controverse. Toutes
ces qualités et ces
dons produisirent un
théologien qui
savait comment
présenter la
doctrine réformée de
manière
systématique. Mais
il avait aussi la
capacité de juger
avec précision et
justesse les autres
théologies.
Quand Berkhof prit
sa retraite, en
1944, il avait
conservé toute sa
vigueur physique et
intellectuelle. Il
continua à écrire:
Aspects of
Liberalism, The
Kingdom of God
(1951) et The Second
Coming of Christ
(1953). Jusqu’au
jour de sa mort, le
18 mai 1957, il a
participé à
l’élaboration
d’articles
concernant la
doctrine chrétienne.
Aucun théologien,
aucun homme d’Église
n’a eu un si grand
impact sur l’Eglise
chrétienne réformée
aux Etats-Unis que
lui. Pendant les
trente-huit ans de
sa carrière, il
participa
directement à la
formation de plus de
trois cents pasteurs
de l’Eglise. Ses
travaux dogmatiques
devinrent le modèle
de l’orthodoxie
réformée. Personne
n’a été davantage
respecté et honoré
que lui dans
l’histoire de l’Eglise
chrétienne réformée.
Il occupa une place
prépondérante et
assura sa réputation
théologique en
Amérique.
Sa Systematic
Theology le fit
connaître comme
théologien réformé
orthodoxe de
renommée
internationale; on
l’étudia dans
plusieurs facultés
des États-Unis.
Certains de ses
écrits ont été
traduits dans
diverses langues
étrangères et
utilisés dans le
monde anglophone, en
Europe et en Orient
(Chine, Japon,
Corée). Il est
toujours disponible
aux éditions de la
Banner of Truth (Edimbourg).
Cependant, malgré sa
compétence, il était
un homme de grande
humilité, respecté
et aimé par tous
ceux qui le
connaissaient. Il
possédait le
caractère et la
marque d’un enfant
de Dieu. Impossible
pour l’Eglise
d’évaluer sa perte,
ni de l’effacer de
sa mémoire.
Berkhof est connu
par son œuvre
magistrale qu’est sa
Théologie
Systématique d’une
clarté inégalée à ce
jour. Cet ouvrage de
référence a été
traduit en plusieurs
langues. Il continue
à être très utilisé
de par le monde et
ce par toutes les
dénominations.
Publiée en anglais
en 1932, a été
constamment rééditée
depuis. Pendant les
deux derniers tiers
du XXe siècle, elle
a exercé une
influence
considérable comme
manuel de base de
générations de
pasteurs,
d’étudiants et de
membres des Églises
protestantes.
Note:
Regrettablement la
théologie de Berkhof
suit le courant de
l'orthodoxie
générale de
l'endoctrinement du
protestantisme
depuis de nombreuses
générations, et est
par ce fait
fortement trinitaire
et extrêmement
ecclésiastique.
Malgré ces écarts
désagréables sa
Théologie
Systématique est
grandement utile
pour tous étudiants
sérieux de la Bible,
surtout ceux de
tendance calviniste
à cause de son
emphase sur la
Souveraineté de Dieu
et sur la Double
Prédestination.
Néanmoins celui qui
garde à l'esprit
qu'il y a une triple
conscience
d'existence en Dieu
dans l'essence des
facultés de sa
nature divine «sa
Volonté, sa Parole,
sa Pensée» (la
Volition,
l'Expression, la
Réflexion «la Vie,
la Vérité, la
Lumière»), et non
trois personnes
distinctes l'une de
l'autre, n'aura pas
de problème à
comprendre les
éléments et les
arguments de la
Théologie
Systématique de Berkhof. Pour
expliquer la notion
plus clairement: la
Volonté de l'Esprit
des vivants est la
Volition même de
l'existence ou
Source de la Vie qui
correspond au mot
Père (car le mot
Père signifie aussi
Source); la Parole
est l'Expression ou
engendrement
(extension,
prolongement) de
l'Existence de
l'Esprit des vivants
dans la Vérité
absolue de la
certitude en la
Source qui
correspond au mot
Fils (car le mot
Fils signifie aussi
celui qui est
engendré; un
engendrement ou
prolongement de
l'être); la
Pensée est la
réflexion de la
Volition et de
l'Expression de
l'Esprit des vivants
dans sa Présence au
sein de la lumière
de la Source de
l'Existence et
correspond au
Saint-Esprit (car
Saint-Esprit
signifie aussi
Sainte Présence,
celle de l'Esprit
des vivants qui est
Lui-même la Source
et l'Expression de
son existence). En
d'autres mots, la
Source est aussi
l'Expression en tant
que Sainte Présence,
il n'y a pas de
distinctions dans
l'Esprit Éternel;
les trois sont une
même activité dans
la disposition d'une
seule Existence
Suprême dont la
profondeur est
insondable. La
triple conscience de
l'Esprit des vivants
éternel s'est
manifesté
corporellement dans
la chair sous le nom
de Jésus,
l'enveloppe visible
de la Source
invisible, la seule
et unique Personne
en Dieu. Aussi, la
réalisation que
l'Église n'est pas
une institution ou
organisation, mais
un état d'être,
celui d'être appelé
vers Christ pour
renaître à une
nouvelle vie, aidera
d'avantage celui qui
pénètre dans les
extrémités de la
Théologie
Systématique de Berkhof. Or
l'étudiant est
encouragé à
questionner en
profondeur et
sagacité tous les
arguments qui s'y
trouvent afin de
former ses propres
pensées sur les
sujets donnés, sans
négliger la prière
au Seigneur pour
qu'il obtienne la
directions de
l'Esprit de Christ
dans ses réflexions
sur ses recherches
et ses études. On
vous a donné les
deux clés pour
affronter cette
œuvre théologique
imposante afin que
vous puissiez en
soutirer toutes les
richesses,
en y ajoutant aussi
des annotations en
caractères italiques
rouge. Nous
avons aussi ajouté
quelques passages
supplémentaires pour
clarifier
l'enseignement
donné. Que le
Seigneur vous
bénisse dans votre
aventure, le voyage
est ardu, mais la
destination est
glorieuse et
inoubliable.
«Je vous ai écrit
ces choses au sujet
de ceux qui vous
séduisent. Mais
l'onction que vous
avez reçue de lui,
demeure en vous; et
vous n'avez pas
besoin qu'on vous
enseigne; mais comme
cette même onction
vous enseigne toutes
choses, et qu'elle
est véritable, et
qu'elle n'est point
un mensonge,
demeurez en lui,
selon qu'elle vous a
enseignés.» (1 Jean
2:26,27).
Jean leDuc
Avril 2018
PRÉFACE
Maintenant que ma
Théologie
systématique
est à nouveau cours
de réimpression, la
préface peut être
très brève. Il n’est
pas nécessaire de
dire beaucoup sur la
nature du travail,
puisqu’il a été
devant le public
pendant plus de
quinze ans et a été
largement utilisé.
J’ai toutes les
raisons d’être
reconnaissants pour
sa réception
aimable, pour le
témoignage favorable
de beaucoup de
critiques et le fait
que le livre est
maintenant utilisé
comme un manuel dans
de nombreux
séminaires
théologiques et les
écoles de la Bible
dans notre pays, et
qui ont même
présenté des
demandes à
l’étranger pour
obtenir la
permission de le
traduire dans
d’autres langues.
Voici les
bénédictions dont je
n’avais pas prévu,
et pour laquelle je
suis profondément
reconnaissant à
Dieu. Lui être tout
l’honneur. Et si le
travail peut
continuer à être une
bénédiction dans de
nombreuses sections
de l’église de Jésus
Christ, mais elle
augmente ma
reconnaissance pour
l’abondance de la
grâce de Dieu.
L.
Berkhof
Grand
Rapids, Michigan
1er août 1949.
PREMIÈRE PARTIE
LA DOCTRINE DE DIEU
L’Être de Dieu
A. Place de la
Doctrine de Dieu en
théologie
dogmatique.
LES
OUVRAGES sur la
théologie dogmatique
ou systématique
commencent
généralement par la
doctrine de Dieu.
L’opinion dominante
a toujours reconnu
comme la procédure
plus logique et
encore points dans
la même direction.
Dans de nombreux
cas, même ils dont
les principes
fondamentaux
semblent exiger un
autre arrangement,
continuer la
pratique
traditionnelle. Il y
a de bonnes raisons
pour commencer avec
la doctrine de Dieu,
si nous agissons sur
l’hypothèse que la
théologie est la
connaissance
systématisée de
Dieu, qui, par qui
et à qui, sont
toutes choses. Au
lieu d’être surpris
que la dogmatique
doit commencer avec
la doctrine de Dieu,
nous pourrions bien
attendre qu’elle
soit une étude de
Dieu
tout au long
dans toutes ses
ramifications, du
début à la fin. En
fait, c’est
exactement ce que
c’est censé être,
mais seulement le
premier locus traite
directement de Dieu,
tandis que le
succédant à ceux
traitent de lui plus
indirectement. Nous
commençons l’étude
de la théologie avec
deux présupposés, à
savoir (1) que Dieu
existe, et (2) qu’il
a lui-même révélé
dans sa parole
divine. Et pour
cette raison, il
n’est pas impossible
pour nous de
commencer par
l’étude de Dieu.
Nous pouvons tourner
à sa révélation,
afin d’apprendre ce
qu’il a révélé en ce
qui concerne
lui-même et
concernant sa
relation à ses
créatures.
Tentatives ont été
faites au cours du
temps à distribuer
le matériel de
théologie
dogmatique, de
manière à exposer
clairement que
c’est, non seulement
dans un locus, mais
dans son
intégralité, une
étude de Dieu. Cela
a été fait par
l’application de la
méthode trinitaire,
qui organise l’objet
de la dogmatique
sous les trois
rubriques suivantes:
(1) le père (2) le
fils et (3) l’Esprit
Saint. Cette méthode
a été appliquée dans
quelques-unes des
œuvres plus tôt
systématiques, a été
restaurée en faveur
de Hegel et peut
encore être vu dans
de Martensen
Christian dogmatique.
Une tentative
similaire a été
faite par
Breckenridge, quand
il a divisé l’objet
de théologie
dogmatique (1) la
connaissance de Dieu
considérée
objectivement et (2)
la connaissance de
Dieu subjectivement
considéré. Ni l’un
d'entre eux peut
être appelé très
réussi.
Jusqu’au début du
XIXe siècle, la
pratique était tout
sauf générale pour
commencer l’étude de
théologie dogmatique
à la doctrine de
Dieu; mais un
changement est
survenu sous
l’influence de
Schleiermacher, qui
cherchaient à
préserver le
caractère
scientifique de la
théologie par
l’introduction d’une
nouvelle méthode. La
conscience
religieuse de
l’homme a été
substituée à la
parole de Dieu comme
la source de la
théologie. Foi dans
l’écriture comme une
révélation faisant
autoritaire de Dieu
a été discréditée et
perspicacité humaine
basée sur de l’homme
propre appréhension
émotionnelle ou
rationnelle est
devenu la norme de
la pensée
religieuse. Religion
a graduellement pris
la place de Dieu
comme objet de
théologie. L’homme a
cessé de reconnaître
la connaissance de
Dieu comme quelque
chose qui a été
donnée
dans les Ecritures
et a commencé à
s’enorgueillir
d’être un chercheur
de Dieu. En cours de
temps, il est devenu
assez commun de
parler de Dieu de
découverte de
l’homme, comme si
l’homme jamais
découvert lui; et
chaque découverte
qui a été faite dans
le processus a été
digne du nom de
« révélation ». Dieu
s’est établi à la
fin d’un syllogisme,
ou comme le dernier
maillon d’une chaîne
de raisonnement ou
comme le cap-Pierre
d’une structure de
la pensée humaine.
Dans de telles
circonstances
c’était mais il est
naturel que certains
devraient considérer
comme incongru à
commencer la
dogmatique avec
l’étude de Dieu. Il
est plutôt
surprenant que
beaucoup, en dépit
de leur
subjectivisme,
poursuivi la
disposition
traditionnelle.
Certains, cependant,
senti l’incongruité
et radié de façon
différente. Travail
de dogmatique de
Schleiermacher est
consacré à une étude
et une analyse de la
conscience
religieuse et des
doctrines qui y est
impliquées. Il ne
traite pas la
doctrine de Dieu
phénoménale, mais
seulement dans les
fragments et conclut
ses travaux par une
discussion de la
Trinité. Son point
de départ est
anthropologique
plutôt que
théologique.
Certains des
théologiens
médiatrices sont
influencés autant
par Schleiermacher
qu’ils ont
logiquement commencé
leurs traités
dogmatiques avec
l’étude de l’homme.
Même de nos jours,
cet arrangement est
parfois suivi. Un
exemple frappant de
celui-ci se trouve
dans les travaux de
O. A. Curtis sur
La foi
chrétienne.
Cela commence avec
la doctrine de
l’homme et se
termine par la
doctrine de Dieu. La
théologie
Ritschlienne peut
sembler réclamer
encore un point de
départ, car il
considère la
révélation objective
de Dieu, pas dans la
Bible comme la
parole divinement
inspirée, mais dans
le Christ comme le
fondateur du Royaume
de Dieu et considère
l’idée du Royaume
comme la centrale et
contrôle tout le
concept de
théologie.
Toutefois, les
dogmaticiens
Ritschlien
tels
que Herrmann,
Haering et caftan
appliquer, du moins
officiellement,
l’ordre habituel.
Dans le même temps,
il y a plusieurs
théologiens qui,
dans leurs œuvres,
commencent la
discussion de
dogmatique correcte
avec la doctrine du
Christ ou de son
œuvre rédemptrice.
T. B. Strong établit
une distinction
entre la
théologie et
la
théologie chrétienne,
définit cette
dernière comme
« l’expression et
l’analyse de
l’Incarnation de
Jésus Christ » et
rend l’incarnation
du concept dominant
tout au long de son
Manuel des entités
théologiques
requises.
B. Preuve de
l'Écriture sur
l’Existence de Dieu.
L’existence de Dieu
est pour nous le
grand présupposé de
la théologie. Il n’y
a pas de sens en
parlant de la
connaissance de
Dieu, sauf si on
peut supposer que
Dieu existe. La
présupposition de la
théologie chrétienne
est d’un type très
précis. L’hypothèse
n’est pas simplement
qu’il y a quelque
chose, une idée ou
idéal, une tendance
puissance ou
ponctuelle, qui peut
s’appliquer le nom
de Dieu, mais qu’il
y a un être
lui-même, conscient
de soi, personnelle,
qui est à l’origine
de toutes choses et
qui transcende la
création toute
entière, mais est à
la fois immanente
dans chaque partie
de celui-ci. La
question peut être
soulevée, qu’il
s’agit d’une
hypothèse
raisonnable, et peut
répondre à cette
question par
l’affirmative. Cela
ne signifie pas,
cependant, que
l’existence de Dieu
est capable d’une
démonstration
logique qui ne
laisse aucune place
pour le doute; mais
il ne veut pas dire
que, bien que la
vérité de
l’existence de Dieu
est acceptée par la
foi, cette foi
repose sur des
informations
fiables. Alors que
la théologie
réformée considère
l’existence de Dieu
comme une hypothèse
tout à fait
raisonnable, il ne
revendique pas la
capacité à le
démontrer par
l’argumentation
rationnelle. Le Dr
de Kuyper parle
ainsi de la
tentative de le
faire: « la
tentative de prouver
l’existence de Dieu
est inutile ou sans
succès. Il est
inutile si le
chercheur croit que
Dieu est le
rémunérateur de ceux
qui le cherchent. Et
il échoue si c’est
une tentative pour
forcer une personne
qui n’a pas cette
pistis
au moyen de
l’argumentation d’un
accusé de réception
dans un sens
logique. »
Le chrétien accepte
la vérité de
l’existence de Dieu
par la foi. Mais
cette foi n’est pas
une foi aveugle,
mais une foi qui
repose sur des
preuves, et la
preuve se trouve
principalement dans
l’écriture comme la
parole inspirée de
Dieu, et
secondairement dans
la révélation de
Dieu dans la nature.
Preuve sur ce point
l’écriture ne vient
pas à nous sous la
forme d’une
déclaration
explicite et encore
moins sous la forme
d’une argumentation
logique. En ce sens
la Bible ne prouve
pas l’existence de
Dieu. Le plus
proche, il s’agit
d’une déclaration
est peut-être dans
Hébreux 11:6...
« car celui qui
vient de Dieu doit
croire qu’il est, et
qu’il est le
rémunérateur de ceux
qui le cherchent
après lui. » Cela
présuppose
l’existence de Dieu,
dans sa déclaration
d’ouverture, « au
commencement Dieu
créé les cieux et la
terre. » Non
seulement n’il
décrit Dieu comme le
créateur de toutes
choses, mais aussi
comme le garant de
toutes ses créatures
et comme le
souverain des
destins des
individus et des
Nations Unies. Il
témoigne sur le fait
qu’oeuvres de Dieu,
toutes choses selon
le Conseil de son
aura et révèle la
réalisation
progressive de son
grand dessein de la
rédemption. La
préparation pour ce
travail, en
particulier dans le
choix et la
direction de
l’ancien peuple de
l’Alliance d’Israël,
est clairement
visible dans
l’ancien Testament
et l’aboutissement
initiale de celui-ci
à la personne et le
œuvre du Christ se
démarque avec une
grande clarté sur
les pages de la
nouvelle Testamen t.
Dieu est visible sur
presque chaque page
des Saintes
Écritures comme il
se révèle en paroles
et en actes. Cette
révélation de Dieu
est le fondement de
notre foi en
l’existence de Dieu
et cela fait une foi
tout à fait
raisonnable. Il
devrait être fait
remarquer,
cependant, que c’est
seulement par la foi
que nous acceptons
la révélation de
Dieu, et que nous
obtenons un réel
aperçu de son
contenu. Jésus a
dit: « si n’importe
quel homme va faire
sa volonté, il saura
de la doctrine,
qu’il s’agisse de
Dieu ou si je parle
de moi, » John
07:17. C’est cette
connaissance
intensive, résultant
d’une communion
intime avec Dieu,
qui Osée a à
l’esprit quand il
dit, « et nous le
faire savoir,
suivons de connaître
le Seigneur », Osée
6:3. L’incroyant n’a
aucune réelle
compréhension de la
parole de Dieu. Les
paroles de Paul sont
tout à fait au point
à cet égard: « où
est le sage ? où est
le scribe ? où se
trouve le disputer
de cet âge (monde) ?
A pas de Dieu faites
stupide à la sagesse
du monde ? Car,
voyant que le monde
entier grâce à sa
sagesse ne
connaissait pas Dieu
dans la sagesse de
Dieu, c’est le bon
plaisir de Dieu à
travers la folie de
la prédication pour
sauver ceux qui
croient, » I Cor.
01:20, 21.
C. négation de
l’existence de Dieu
sous ses diverses
formes.
Étudiants en
Religion Comparative
et missionnaires
témoignent souvent
du fait que l’idée
de Dieu est
pratiquement
universelle dans la
race humaine. On le
trouve même parmi
les nations et les
tribus du monde non
plus civilisés. Cela
ne signifie pas,
cependant, qu’il n’y
a aucun individu qui
nient l’existence de
Dieu en tout, ni
même qu’il n’y a pas
de bon nombre dans
les terres
chrétiennes qui
nient l’existence de
Dieu comme il est
révélé dans
l’écriture, une
personne lui-même et
timide de
perfections
infinies, qui
travaille toutes les
choses selon un plan
préétabli. C’est le
refus de ce dernier
que nous avons à
l’esprit
particulièrement
ici. Cela peut et a
pris diverses formes
au cours de
l’histoire.
1.
négation absolue de
l’existence de Dieu.
Comme indiqué plus
haut, il y a des
preuves solides de
la présence
universelle de
l’idée de Dieu dans
l’esprit humain,
même parmi les
tribus barbares qui
n’ont pas senti
l’impact de la
révélation spéciale.
Compte tenu de ce
fait, que certains
vont même jusqu'à
nier qu’il y a des
gens qui nient
l’existence de Dieu,
vraies athées; mais
ce déni est
contredite par les
faits. Il est
d’usage de
distinguer deux
types, à savoir, les
athées théoriques et
pratiques. Les
premiers sont des
personnes simplement
impies, qui, dans
leur vie pratique,
ne pas compter avec
Dieu, mais vivent
comme s’il n’y a pas
de Dieu. Ces
derniers sont, en
règle générale, de
nature plus
intellectuelle et
leur refus sur un
processus de
raisonnement de
base. Ils cherchent
à prouver par ce qui
semble pour eux des
arguments rationnels
concluantes, qu’il
n’y a pas de Dieu.
Compte tenu de la
semence
religionis
implanté dans chaque
homme, de sa
création à l’image
de Dieu, il est
raisonnable de
supposer que
personne n’est né un
athée. Dans les
dernier athéisme
résultats d’analyse
de l’État moral
pervers de l’homme
et de son désir
d’échapper à Dieu.
C’est délibérément
ignorer et supprime
l’instinct le plus
fondamental de
l’homme, le plus
profond des besoins
de l’âme, les plus
hautes aspirations
de l’esprit humain
et les désirs d’un
coeur qui tâtonne
après certains étant
plus élevé. Cette
suppression des
pratique ou
intellectuelle de
l’opération de la
semence
religionis
souvent implique des
luttes prolongées et
douloureuses.
Il
ne peut y avoir
aucun doute quant à
l’existence de
pratiques athées,
puisque l’écriture
et l’expérience
témoignent d’elle.
Psaume 10:4b déclare
des méchants,
« toutes ses pensées
sont, il n’y a pas
de Dieu. » Selon
Psaume 14:1
« l’insensé ne dit
en son coeur, il
n’aucun Dieu. » Et
Paul rappelle aux
Ephésiens qu’ils
étaient autrefois
« sans Dieu dans le
monde, » Éphésiens
02:12. Expérience
témoigne également
abondamment de leur
présence dans le
monde. Ils ne sont
pas nécessairement
notoirement méchants
aux yeux des hommes,
mais peuvent
appartenir à la
soi-disant « homme
décent du monde, »
même si
honorablement
indifférent aux
choses spirituelles.
Ces personnes sont
souvent tout à fait
conscients du fait
qu’ils sont en
désaccord avec Dieu,
n’ose penser à
rencontrer et
essayer d’oublier de
lui. Ils semblent
prendre un plaisir
secret en défilant
leur athéisme quand
ils ont voile lisse,
mais ont été connus
pour se mettre à
genoux pour prier
quand leur vie était
en danger soudain. À
l’heure actuelle,
des milliers de ces
athées pratiques
appartiennent à l'
Association
américaine pour la
promotion de
l’athéisme.
Les athées
théoriques sont de
nature différente.
Ils sont
généralement de
nature plus
intellectuelle et
tentent de justifier
l’affirmation qu’il
n’y a aucun Dieu par
l’argumentation
rationnelle. Prof.
Flint distingue
trois sortes
d’athéisme
théorique, à savoir,
(1)
l’athéisme
dogmatique, qui
nie catégoriquement
qu’il y a un être
divin; (2)
l’athéisme sceptique,
qui met en doute la
capacité de l’esprit
humain à déterminer,
s’il existe ou non
un Dieu; et (3)
l’athéisme critique,
qui maintient qu’il
n’y a aucune preuve
valable de
l’existence de Dieu.
Ceux-ci vont souvent
de pair, mais même
les plus modestes
d'entre eux vraiment
prononce toute
croyance en Dieu une
illusion.
Dans
la présente section,
on remarquera,
agnosticisme
apparaît également
comme une sorte
d’athéisme, une
classification qui
nombreux agnostiques
renvoyés. Mais il
faut avoir à
l’esprit que
l’agnosticisme
concernant
l’existence de Dieu,
tout en laissant la
possibilité de sa
réalité, nous laisse
sans un objet de
culte et l’athéisme
tout comme
dogmatique de
l’adoration ne.
Cependant la
véritable athée est
l'
athée dogmatique,
l’homme qui fait une
affirmation positive
qu’il n’y a pas de
Dieu. Une telle
affirmation peut
signifier deux
choses: soit qu’il
ne reconnaît aucun
Dieu d’aucune sorte,
qu’elle met en place
aucune idole pour
lui-même, soit qu’il
ne reconnaît pas le
Dieu de l’écriture.
Maintenant, il y a
très peu des athées
qui ne pas en vie
pratique mode pour
une sorte de Dieu
pour eux-mêmes. Il y
a un nombre bien
plus grand qui a
théoriquement mis de
côté tout et chaque
Dieu; et il y a un
nombre toujours plus
grand qui a rompu
avec le Dieu de
l’écriture.
L’athéisme théorique
est généralement
ancré dans une
théorie scientifique
ou philosophique.
Monisme matérialiste
sous ses différentes
formes et l’athéisme
vont généralement de
pair. L’idéalisme
subjectif absolu
peut nous laisser
toujours l’idée de
Dieu, mais nie qu’il
y ait une quelconque
réalité
correspondante. À
l’humaniste moderne
« Dieu » signifie
simplement
« l’esprit de
l’humanité, » « le
sentiment de
plénitude, »
« l’objectif
raciale » et autres
abstractions de ce
genre. D’autres
théories non
seulement laissent
place à Dieu, mais
aussi faire semblant
de maintenir son
existence, mais
certainement exclure
le Dieu du théisme,
de l'Être suprême et
personnel, créateur,
protecteur et maître
de l’univers,
distinct de sa
création, et encore
partout présentes.
Panthéisme fusionne
le naturel et
surnaturel, le fini
et l’infini, dans
une seule substance.
Souvent, il parle de
Dieu comme le motif
caché du monde
phénoménal, mais ne
conçoit pas de lui
comme personnels et
par conséquent aussi
doué d’intelligence
et de volonté.
Hardiment, il
déclare que tout est
Dieu et ainsi
s’engage dans ce que
Brightman appelle
« l’expansion de
Dieu, » afin que
nous recevons « trop
de Dieu, » voyant
qu’il inclut
également tout le
mal du monde. Il
exclut le Dieu de
l’écriture sainte et
à ce jour est
clairement athée.
Spinoza peut être
appelé « l’homme
ivre de Dieu », mais
son Dieu n’est
certainement pas le
Dieu que les
Chrétiens adorent et
j’adore. Certes, il
ne peut y avoir
aucun doute quant à
la présence des
athées théoriques
dans le monde.
Lorsque David Hume a
exprimé des doutes
quant à l’existence
d’un athée
dogmatique, Baron
d’Holbach répondit:
« mon cher Monsieur,
vous êtes en ce
moment assis à table
avec dix-sept de ces
personnes. » Ceux
qui sont agnostiques
concernant
l’existence de Dieu
peuvent différer
quelque peu de
l’athée dogmatique,
mais ils ont, comme
ces derniers, et
nous laissent sans
un Dieu.
2.
présenter au jour
les fausses
conceptions de Dieu
impliquant un déni
du vrai Dieu.
Il y a plusieurs
fausses conceptions
de Dieu actuelle de
nos jours,
entraînant un déni
de la conception
théiste de Dieu. Un
bref aperçu des plus
importants d'entre
eux doivent suffire
à cet égard.
a.
un Dieu immanent et
impersonnel.
Théisme a toujours
cru en un Dieu qui
est la fois
transcendant et
immanent. Déisme
retirés du monde de
Dieu et a souligné
sa transcendance au
détriment de son
immanence. Sous
l’influence de
panthéisme,
cependant, le
pendule a balancé
dans l’autre sens.
Il identifié Dieu et
le monde et n’a pas
reconnu un être
divin, distingue et
infiniment exaltée
au-dessus, sa
création. Par le
biais de
Schleiermacher, la
tendance à faire de
Dieu continu avec le
monde acquise un
pied dans la
théologie.
Complètement, il ne
tient pas compte du
Dieu transcendant et
reconnaît un Dieu
seul qui peut être
connu par
l’expérience humaine
et se manifeste dans
la conscience
chrétienne comme la
causalité absolue,
auquel correspond un
sentiment de
dépendance absolue.
Les attributs que
nous attribuons à
Dieu sont en cette
vue des expressions
purement symbolique
des différents modes
de ce sentiment de
dépendance, des
idées subjectives
sans n’importe
quelle réalité
correspondante. Son
plus tôt et ses
représentations
ultérieures de Dieu
semblent différer
quelque peu, et
interprètes de
Schleiermacher
divergent quant à la
façon dont ses
déclarations doivent
être harmonisées.
Brunner semblent
être tout à fait
correct, cependant,
quand il dit qu’avec
lui l’univers prend
la place de Dieu, si
ce dernier nom est
utilisé; et qu’il
conçoit Dieu comme
identique avec
l’univers et l’unité
se trouvant derrière
lui. Souvent, il
semble comme si sa
distinction entre
Dieu et le monde
n’est qu’un idéal, à
savoir la
distinction entre le
monde comme une
unité et dans le
monde dans ses
manifestations
multiples.
Fréquemment, il
parle de Dieu comme
le « Universum » ou
le « bien suprême »
et argumente contre
la personnalité de
Dieu; Cependant, de
manière incohérente,
parlant aussi comme
si nous pouvions
avoir communion avec
lui dans le Christ.
Ces vues de
Schleiermacher, qui
démontre Dieu en
continuation avec le
monde, a largement
dominer la théologie
du siècle passé, et
c’est dans cette
optique que Barth
est à combattre avec
son emphase sur Dieu
en tant que
« entièrement
l'autre »
b.
un Dieu fini et
personnel.
L’idée d’un Dieu
fini ou des dieux
n’est pas nouveau,
mais aussi vieux que
le polythéisme et
l’hénothéisme.
L’idée s’inscrit
dans le pluralisme,
mais pas avec le
monisme
philosophique ou
théologique
monothéisme. Théisme
a toujours considéré
Dieu comme un être
personnel absolu des
perfections
infinies. Au cours
du XIXe siècle,
alors que la
philosophie moniste
était dans
l’ascendant, il est
devenu assez commun
afin d’identifier le
Dieu de la théologie
avec l’absolu de la
philosophie. Vers la
fin du siècle,
cependant, le terme
« Absolu, » comme
une désignation de
Dieu, tomba en
disgrâce, en partie
à cause de ses
implications
agnostiques et
panthéistes et en
partie en raison de
l’opposition à
l’idée de le
« absolu » dans la
philosophie et de la
désir d’exclure
toute métaphysique
de la théologie.
Bradley a considéré
le Dieu de la
religion chrétienne
dans le cadre de
l’absolu, et James
ont plaidé pour une
conception de Dieu
qui était plus en
harmonie avec
l’expérience humaine
que l’idée d’un Dieu
infini. Il élimine
de Dieu les
attributs
métaphysiques de
l’existence,
l’infini et
l’immuabilité et
rend les attributs
moraux suprême. Dieu
a un environnement,
existe dans le temps
et travaille sur une
histoire tout comme
nous. À cause de la
méchanceté qui est
dans le monde, il
doit être considéré
comme une
connaissance limitée
en ou de puissance,
ou les deux. La
condition du monde
ne permet pas de
croire en un Dieu
bon infini en
connaissances et en
puissance.
L’existence d’un
pouvoir plus grand
qui est amical à
l’homme et avec qui
il peut communier
répond à tous les
besoins pratiques et
les expériences de
la religion. James
conçu de ce pouvoir
comme personnelles,
mais il n’était pas
disposé à s’exprimer
quant à savoir si il
croyait en un Dieu
fini ou un certain
nombre d'entre eux.
Bergson a ajouté à
cette conception de
Jacques l’idée d’un
Dieu qui se
débattait et
croissant,
s’inspirant
constamment son
environnement. Les
personnes qui ont
défendu l’idée d’un
Dieu finie, bien que
de différentes
manières, sont
Hobhouse, Schiller,
James Ward, Rashdall
et H. G. Wells.
c.
Dieu comme
personnification
d’une idée abstraite
simple. Il
est devenu tout à
fait la vogue en
théologie libérale
moderne de
considérer le nom
« Dieu » comme un
symbole simple,
permanent de
certains processus
cosmique, une
volonté universelle
ou puissance,
certains noble et
complet idéal. La
déclaration est
faite à plusieurs
reprises que, si une
fois Dieu créa
l’homme à son image,
homme maintenant
retourne le
compliment en créant
Dieu à l’image de
son (de l’homme). On
dit des Harry Elmer
Barnes qu’il a dit
dans une de ses
classes de
laboratoire:
« Messieurs, nous
allons maintenant
créer Dieu. »
C’était une
expression très
émoussée d’une idée
assez commune. La
plupart de ceux qui
rejettent la vue
théiste de Dieu
toujours professer
la foi en Dieu, mais
il est un Dieu de
leur propre
imagination. La
forme qu’il assume à
un moment donné
dépend, selon
Shailer Mathews, les
modes de pensée de
ce jour. Si à
l’époque avant la
guerre, que le
modèle de contrôle
était celle d’un
souverain
autocratique,
exigeant une
obéissance absolue,
maintenant c’est
celui d’un dirigeant
démocratique
désireux de servir
tous ses sujets.
Depuis l’époque du
Comte, il y a eu
tendance à
personnifier l’ordre
social de l’humanité
dans son ensemble et
d’adorer cette
personnification. Le
soi-disant
Meliorists ou
théologiens sociaux
révèlent une
tendance à
identifier Dieu en
quelque sorte, avec
l’ordre social. Et
les nouveaux
psychologues nous
informe que l’idée
de Dieu est une
projection de
l’esprit humain,
qui, à ses débuts,
est disposée à faire
des images de ses
expériences et à
vêtir leur
personnalité quasi.
Leuba est d’avis que
cette illusion de
Dieu a été utile,
mais que le temps
viendra où l’idée de
Dieu ne sera pas
plus nécessaire.
Quelques définitions
servira à montrer la
tendance de nos
jours. « Dieu est
l’esprit immanent de
la Communauté »
(Royce). Il est
« que la qualité
dans la société
humaine qui soutient
et enrichit
l’humanité dans sa
quête spirituelle »
(Gerald Birney
Smith). « Dieu est
l’ensemble des
relations qui
constituent l’ordre
social de plus en
plus de l’humanité »
(E. S. Ames). « Le
mot « Dieu » est un
symbole pour
désigner l’univers
dans sa capacité de
formage idéale » (G.
B. Foster). « Dieu
est notre
conception, née de
l’expérience
sociale, des
éléments
personnellement
sensibles et
personnalité en
évolution de notre
environnement
cosmique, avec
lesquels nous sommes
liés organiquement »
(Shailer Mathews).
Il faut
difficilement dire
que le Dieu ainsi
défini n’est pas un
Dieu personnel et ne
répond pas à la plus
profonde des besoins
du cœur humain.
D. les soi-disant
preuves rationnelles
pour l’Existence de
Dieu.
En cours de temps
certains arguments
rationnels pour
l’existence de Dieu
ont été mis au point
et trouvés un pied
en théologie en
particulier grâce à
l’influence de
Wolff. Certains
d'entre eux ont été
pour l’essentiel
déjà suggérées par
Platon et Aristote,
et d’autres ont été
ajoutés dans les
temps modernes par
les étudiants de la
philosophie de la
Religion. Seulement
les plus courantes
de ces arguments
peuvent être
mentionnées ici.
1.
L’ARGUMENT
ONTOLOGIQUE.
Cela a été présenté
sous diverses formes
par Anselm,
Descartes, Samuel
Clarke et d’autres.
Il a été déclaré
dans sa forme la
plus parfaite par
Anselm. Il fait
valoir que l’homme a
l’idée d’un être
absolument parfait;
cette existence est
un attribut de la
perfection; et que,
par conséquent un
être absolument
parfait doit
exister. Mais il est
évident que nous ne
pouvons pas conclure
de pensée véritable
existence abstraite.
Le fait que nous
ayons une idée de
Dieu ne prouve pas
encore son existence
objective. Par
ailleurs, cet
argument suppose
tacitement, comme
déjà existant dans
l’esprit humain, la
même connaissance de
l’existence de Dieu
qu’il tirerait de
démonstration
logique. Kant
insiste sur l’untenableness
de cet argument,
mais Hegel l’a salué
comme un grand
argument pour
l’existence de Dieu.
Quelques idéalistes
modernes suggèrent
qu’il pourrait mieux
seront précipité
dans une forme
différente, qui
Hocking dénommé
« rapport
d’expérience ».
Simplement parce
qu’elle que nous
pouvons dire, « j’ai
une idée de Dieu,
c’est pourquoi j’ai
l’expérience de
Dieu. »
2.
L’ARGUMENT
COSMOLOGIQUE.
C’est également
apparue dans
plusieurs formes. En
général, il
s’exécute comme
suit: toute chose
existant dans le
monde doit avoir une
cause adéquate; et
si c’est le cas,
l’univers doit avoir
une cause adéquate,
c'est-à-dire une
cause qui est
indéfiniment grande.
Toutefois,
l’argument n’a pas
exploité une
condamnation
générale. Hume a
appelé la Loi de la
causalité elle-même
en question, et Kant
a souligné que, si
chaque chose
existante a une
cause adéquate, ceci
s’applique également
à Dieu, et que nous
sommes ainsi amenés
à une chaîne sans
fin. En outre,
l’argument ne
nécessite pas
l’hypothèse que le
cosmos avait une
seule cause, une
cause personnelle et
absolue, — et donc
loin de prouver
l’existence de Dieu.
Cette difficulté a
conduit à une
interprétation
légèrement
différente de
l’argument, comme,
par exemple, de B.
P. Bowne. L’univers
matériel apparaît
comme un système
d’interaction et
donc comme une
unité, composée de
plusieurs parties.
Par conséquent, il
doit y avoir un
Agent unitaire qui
intervient dans
l’interaction des
différentes parties
ou qui est le
fondement dynamique
de leur être.
3.
L’ARGUMENT
TÉLÉOLOGIQUE.
C’est aussi un
argument causal et
n’est vraiment
qu’une extension du
précédent. Il peut
être indiqué sous la
forme suivante: le
monde révèle partout
intelligence, ordre,
harmonie et le but
et implique donc
l’existence d’un
intelligent et
tenace, suffisante
pour la production
de ce monde. Kant
considère cet
argument comme le
meilleur des trois
qui ont été nommés,
mais prétend qu’il
ne prouve pas
l’existence de Dieu,
ni d’un créateur,
mais seulement d’un
grand architecte qui
a façonné le monde.
Il est supérieur à
l’argument
cosmologique en ce
qu’elle rend
explicite ce qui
n’est pas indiqué
dans le second, à
savoir, que le monde
contient des preuves
d’intelligence et de
but et donc conduit
à l’existence d’un
être conscient et
intelligent et
tenace. Que cet être
était le créateur du
monde n’est pas
nécessairement. « La
preuve
téléologique, » dit
Wright,
« indique simplement
l’existence probable
d’un esprit qui est,
au moins dans une
mesure considérable,
dans la maîtrise du
processus mondial, —
assez pour compte
pour le montant de
téléologie apparente
interne. » Hegel a
traité cet argument
comme un valide mais
subordonné. Les
théologiens sociale
de notre époque
rejeter ainsi que
tous les autres
arguments comme tant
d’ordures, mais
conserver les
théistes de nouveau.
4.
L’ARGUMENT MORAL.
Tout comme les
autres arguments,
cela suppose aussi
différentes formes.
Kant a pris son
point de départ dans
l’impératif
catégorique, et il
inférer l’existence
d’une personne qui,
comme le législateur
et le juge, a le
droit absolu à
l’homme de la
commande. Dans son
estimation, cet
argument est bien
supérieur à toutes
les autres. C’est
celui sur lequel il
s’appuie
principalement dans
sa tentative de
prouver l’existence
de Dieu. C’est
peut-être une des
raisons pourquoi il
est plus
généralement admis
que tout autre, bien
qu’il n’est pas
toujours gravé dans
la même forme.
Certains soutiennent
de la disparité
souvent observée
entre la conduite
morale des hommes et
la prospérité dont
ils jouissent dans
la vie présente et
le sentiment que
cela nécessite un
ajustement à
l’avenir qui, à son
tour, exige un
arbitre juste. La
théologie moderne
aussi utilise
intensivement,
notamment sous la
forme la
reconnaissance de
l’homme un bien plus
haut et sa quête
pour une demande de
l’idéale morale et
nécessitent
l’existence d’un
Dieu pour donner
réalité à cet idéal.
Alors que cet
argument indique
l’existence d’un
être Saint et juste,
il n’oblige pas la
croyance en un Dieu,
un créateur ou un
être des perfections
infinies.
5.
L’ARGUMENT
HISTORIQUE OU
ETHNOLOGIQUE.
Pour l’essentiel,
cela prend la forme
suivante: parmi tous
les peuples et les
tribus de la terre,
il y a un sentiment
du divin, qui se
révèle dans un
cultus externe.
Étant donné que le
phénomène est
universel, il doit
appartenir à la
nature même de
l’homme. Et si la
nature de l’homme
conduit
naturellement à la
pratique d’une
religion, cela peut
seulement trouver
son explication dans
un être supérieur
qui a constitué
l’homme un être
religieux. En
réponse à cet
argument, cependant,
on peut dire que ce
phénomène universel
peut provenir d’une
erreur ou
incompréhension de
l’un des
progénitures
précoces de la race
humaine, et qu’au
culte religieux
dénommé apparaît
plus fort parmi les
races primitives, et
disparaît dans la
mesure où ils
deviennent
civilisés.
Pour évaluer ces
arguments rationnels
il faut savoir
d’abord que croyants
n’ont pas eux. Leur
conviction
concernant
l’existence de Dieu
ne dépend pas sur
eux, mais sur une
acceptation croyante
de révélation de
Dieu dans
l’écriture. Si
nombreux à notre
journée sont prêts à
miser leur foi en
l’existence de Dieu
sur ces arguments
rationnels, c’est en
grande partie dû au
fait qu’ils refusent
d’accepter le
témoignage de la
parole de Dieu. En
outre, en utilisant
ces arguments pour
tenter de convaincre
les incroyants,
qu'il sera bien de
garder à l’esprit
qu’aucun d'entre eux
peut dire visant
l’exploitation d’une
conviction absolue.
Nul n’a plus
d’efforts pour
discréditer que
Kant. Depuis son
époque beaucoup de
philosophes et de
théologiens ont jeté
leur comme
totalement inutile,
mais aujourd'hui ils
gagnent une fois de
plus en faveur et
leur nombre est en
augmentation. Et le
fait que de nos
jours tant de
trouver en eux
plutôt satisfaisant
des indications de
l’existence de Dieu,
semble indiquer
qu’ils ne sont pas
entièrement
dépourvue de valeur.
Ils ont une certaine
valeur pour les
croyants eux-mêmes,
mais doivent être
appelées
testimonia
plutôt que des
arguments. Elles
apparaissent comme
des interprétations
de la révélation
générale de Dieu et
comme présentant le
caractère
raisonnable de la
croyance en un être
divin. En outre, ils
peuvent rendre
certains services
dans la réalisation
de l’adversaire.
Alors qu’ils ne
prouvent pas
l’existence de Dieu
au-delà de la
possibilité du
doute, afin de
contraindre la
sanction, ils
peuvent être ainsi
interprétés quant à
établir une forte
probabilité et ainsi
faire taire beaucoup
de mécréants.
QUESTIONS POUR
UNE ÉTUDE PLUS
APPROFONDIE.
Pourquoi est encline
à donner à l’étude
de l’homme, plutôt
que l’étude de
préséance de Dieu
dans la théologie de
la théologie
moderne ? La Bible
prouve l’existence
de Dieu ou non ?
Dans l’affirmative,
comment il pour le
prouver ? Comment
expliquer le général
sensus
divinitatis
chez l’homme ? Y
a-t-il des nations
ou tribus qui sont
entièrement dépourvu
d’elle ? Peut la
position être
maintenue qu’il n’y
a pas d’athées ?
Humanistes de nos
jours devraient être
classés comme
athées ? Quelles
objections sont là
pour
l’identification de
Dieu avec l’absolu
de la philosophie ?
Un Dieu fini
répond-il aux
besoins de la vie
chrétienne ? La
doctrine d’un Dieu
finie est limitée
aux pragmatiques ?
Pourquoi est-il une
idée personnifiée de
Dieu un piètre
substitut pour le
Dieu vivant ? Quelle
a été la critique de
Kant sur les
arguments de la
raison spéculative
de l’existence de
Dieu ? Comment
devrions nous juger
de cette critique ?
LITTÉRATURE:
Bavinck,
Geref. Dogme.
II,
pp. 52-74; Kuyper,
dogme Dict.
. De
Deo
I, pp. 77-123; Hodge,
Syst.
Theol. I, p.
202-243; Shedd.
Dogme
de
.
THEOL.
I,
pp. 221-248; Dabney,
syst
et trouvailles.
THEOL.,
p. 5-26; Macintosh,
théol.
comme une Science
empirique, pp.
90-99; Knudson,
la
Doctrine de Dieu,
pp. 203-241;
Beattie,
apologétique,
pp. 250-444;
Brightman,
le
problème de Dieu,
pp. 139-165; Wright,
Phil.
de Rel de un
étudiant., pp.
339-390; Edward,
la
philosophie de la
Rel., pp.
218-305; Beckwith,
l’idée
de Dieu, pp.
64-115; Thomson,
L’idée
chrétienne de Dieu,
pp. 160-189;
Robinson,
le Dieu
des Chrétiens
libéraux, pp.
114-149; Galloway,
le
Phil. rel., pp.
381-394.
II. l’intelligibilité de Dieu
A. Dieu
incompréhensible
mais encore
connaissable.
L'Église Chrétienne
avoue d’une part que
Dieu est
incompréhensible,
mais aussi, d’autre
part, qu’il peut
être connue et que
la connaissance de
lui est une
condition absolue
pour le salut. Elle
reconnaît la force
de la question de
Valentin,
« Trouveras-tu le
fond de L’ESPRIT DES
VIVANTS?
Trouveras-tu la
limite du
Tout-Puissant? ? »
Job 11:7. Et il ne
semble qu’il n’a pas
de réponse à la
question d’Ésaïe,
« À qui donc
feriez-vous
ressembler L’ESPRIT
DES VIVANTS, et par
quelle image le
représenterez-vous? »
Ésaïe 40:18. Mais en
même temps, elle est
également consciente
de la déclaration de
Jésus, « Or, c'est
ici la vie
éternelle, qu'ils te
connaissent, toi le
seul vrai ESPRIT DES
VIVANTS, à savoir
Jésus le Messie que
tu as délégué. »
Jean 17:3. Elle se
réjouit du fait que
« Et nous savons que
le Fils, L’ESPRIT
DES VIVANTS même est
venu, et il nous a
donné l'intelligence
que nous puissions
connaître le
Véritable; et nous
sommes en ce
Véritable, en le
Fils, Jésus-Christ.
C'est lui JÉSUS
qui est L’ESPRIT DES
VIVANTS véritable,
et la vie éternelle.
» 1 Jean 5:20. Les
deux idées reflétées
dans ces passages
ont toujours été
côte à côte dans
l'Église Chrétienne.
Au début les pères
de l’église parlent
du Dieu invisible
comme un être
inengendré, sans
nom, éternelle,
incompréhensible,
immuable. Ils
avaient très peu
avancé au-delà de la
notion grecque
ancienne que l’être
divin est absolue
existence
sans-attribut. En
même temps elles
aussi avouée que
Dieu s’est révélé
dans les Logos et
peuvent donc être
connus pour le
salut. Au quatrième
siècle Eunomius,
arien, a soutenu de
la simplicité de
Dieu, qu’il n’y a
rien en Dieu qui
n’est pas
parfaitement connue
et comprise par
l’intellect humain,
mais son point de
vue a été rejeté par
tous les chefs de
file reconnus de
l’Église. La
scolastiques fait
une distinction
entre la
contrepartie et
le
qualis de Dieu
et le fait que nous
ne savons pas ce que
Dieu est dans son
être essentiel, mais
qu'on peut savoir
quelque chose de sa
nature, de ce qu’il
est pour nous, car
il se révèle dans
ses attributs
divins. Les mêmes
idées générales ont
été exprimées par
les réformateurs,
même si elles ne
consentaient pas
avec les
scolastiques quant à
la possibilité
d’acquérir la vraie
connaissance de
Dieu, par la raison
humaine spontanée de
la révélation
générale. Luther
parle à plusieurs
reprises de Dieu
comme
Deus Absconditus
(Dieu caché), à la
différence de lui
comme le
Deus
Revelatus (Dieu
révélé). Dans
certains passages,
il parle même du
Dieu
révèlé
comme étant toujours
un Dieu
caché compte
tenu du fait que
nous ne pouvons le
connaître pleinement
lui-même par le
biais de sa
révélation spéciale.
Pour Calvin, Dieu
dans les profondeurs
de son être est à
découvrir. « Son
essence », dit-il,
« est
incompréhensible; à
cause que sa
divinité échappe
entièrement tous
sens humains. » Les
réformateurs ne
nient pas que
l’homme peut
apprendre quelque
chose de la nature
de Dieu, dès sa
création, tout en
maintenant qu’il
peut acquérir la
vraie connaissance
de lui qu’à partir
de la révélation
spéciale, sous
l’influence
d’illumination de
l’Esprit Saint. Sous
l’influence de la
théologie panthéiste
de l’immanence,
inspiré par Hegel et
Schleiermacher, un
changement est
survenu. La
transcendance de
Dieu est amoindrie,
ignorée ou niée
explicitement. Dieu
est ramené au niveau
du monde, en
continuité avec lui
et est donc
considéré comme
moins
incompréhensible,
bien que toujours
entourée de mystère.
Une révélation
spéciale dans le
sens d’une
communication
directe de Dieu à
l’homme est niée.
Une connaissance
suffisante de Dieu
peut être obtenue
sans elle, puisque
l’homme peut
découvrir Dieu pour
lui-même dans les
profondeurs de son
être, dans l’univers
matériel et
par-dessus tout en
Jésus Christ, étant
donné que ce sont
des manifestations
de tous, mais de
l’extérieur du Dieu
immanent. C’est par
rapport à cette
tendance en
théologie que Barth
maintenant soulève
sa voix et fait
remarquer que Dieu
est introuvable dans
la nature,
l’histoire, ou dans
l’expérience humaine
quelconque, mais
seulement dans la
révélation spéciale
qui nous est parvenu
dans la Bible. Dans
ses déclarations
fortes concernant le
Dieu caché, il
utilise le langage
de Luther et de
Calvin.
La Théologie
réformée détient que
Dieu peut être
connue, mais qu’il
est impossible pour
l’homme d’avoir une
connaissance de lui
qui est exhaustive
et parfaite dans
tous les sens.
D’avoir une
connaissance de Dieu
serait équivalente à
comprendre tout de
lui, et c’est tout à
fait hors de
question: «Finitum
non possit capere
infinitum. » En
outre, l’homme ne
peut pas donner une
définition de Dieu
au sens propre du
terme, mais
seulement une
description
partielle. Une
définition logique
est impossible, car
Dieu ne peut être
subsumé sous
certains genre plus
élevé. Dans le même
temps, qu'il est
maintenu que l’homme
peut obtenir une
connaissance de Dieu
qui est tout à fait
adéquat pour la
réalisation du but
divin dans la vie de
l’homme. Toutefois,
la vraie
connaissance de Dieu
peut être acquise
qu’à partir de la
révélation divine et
que par l’homme qui
accepte cela avec
une foi enfantine.
La religion suppose
nécessairement une
telle connaissance.
C’est la relation
plus sacrée entre
l’homme et son Dieu,
une relation dans
laquelle l’homme est
conscient de la
grandeur absolue et
la majesté de Dieu
comme l’Être Suprême
et de sa propre
insignifiance totale
et sa soumission à
Celui qui est élevé
et Saint. Et si cela
est vrai, il
s’ensuit que la
religion suppose la
connaissance de Dieu
chez l’homme. Si
l’homme restait tout
à fait dans
l’obscurité, sans
respect de l’Être de
Dieu, il serait
impossible pour lui
d’assumer une
attitude religieuse.
Il pourrait y avoir
aucun respect,
aucune piété, aucune
crainte de Dieu,
aucun service
d’adoration.
B. Refus de
l’intelligibilité de
Dieu.
La possibilité de
connaître Dieu a été
refusée pour des
motifs différents.
Ce refus repose
généralement sur les
limites supposées de
la faculté humaine
de la cognition,
même si elle a été
présentée dans
plusieurs formes
différentes. La
position
fondamentale est que
l’esprit humain est
incapable de savoir
quoi que ce soit de
ce qui se trouve
au-delà et derrière
les phénomènes
naturels et donc
nécessairement
ignorants des choses
suprasensible et
divines. Huxley fut
le premier à
s’appliquer à ceux
qui assument cette
position, lui-même
inclus, les
« agnostiques de
nom » Ils sont
entièrement
conformes aux
sceptiques des
siècles passés et de
la philosophie
grecque. En règle
générale les
agnostiques n’aiment
pas être stigmatisés
comme athées,
puisqu’ils ne nient
pas absolument qu’il
y a un Dieu, mais
déclarent qu’ils ne
savent pas si il
existe ou non et
même si il existe,
ne sont pas certain
qu’ils ont une vraie
connaissance de lui
et souvent même
nient qu’ils peuvent
avoir une réelle
connaissance de lui.
Hume a été appelé le
père de
l’agnosticisme
moderne. Il n’a pas
nié l’existence de
Dieu, mais il
affirme que nous
n’avons aucune vraie
connaissance de ses
attributs. Toutes
nos idées de lui
sont et ne peuvent
être que des
anthropomorphes
(changements ou
transformations).
Nous ne pouvons pas
être sûrs qu’il n’y
a aucune réalité
correspondante aux
attributs que nous
lui attribuons. Son
agnosticisme
s’explique par le
principe général que
toute connaissance
repose sur
l’expérience.
C’était surtout
Kant, cependant, qui
stimule la pensée
agnostique par son
examen dans les
limites de la
compréhension
humaine et de la
raison. Il a affirmé
que la raison
théorique sait
seulement les
phénomènes et
qu’elle est
nécessairement
ignorante de ce qui
sous-tend ces
phénomènes, — la
chose en soi. De là
il suivi, bien sûr,
qu’il est impossible
pour nous d’avoir
une connaissance
théorique de Dieu.
Mais Lotze a déjà
souligné que des
phénomènes,
physiques ou
mentales, sont
toujours connectés
avec quelque
substances cachées
derrière eux pour
connaître les
phénomènes, nous
connaissons aussi la
substance
sous-jacente de ses
manifestations. Le
philosophe écossais,
Sir William
Hamilton, tandis que
pas entièrement
d’accord avec Kant,
encore partage
l’agnosticisme
intellectuelle de ce
dernier. Il affirme
que l’esprit humain
ne sait que ce qui
est conditionné et
existe dans
différentes
relations, et que,
depuis l’absolu et
l’infini est tout à
fait indépendants,
c'est-à-dire qu'il
n'existe dans aucune
relation, nous ne
pouvons obtenir
aucune connaissance
de celui-ci. Mais
alors qu’il nie que
l’infini peut être
connue par nous, il
ne nie pas son
existence. Dit-il,
« par la foi nous
appréhendons ce qui
est au-delà de nos
connaissances. » Ses
opinions étaient
partagées quant au
fond par Mansel et
ont été popularisées
par lui. Pour lui
aussi il semble tout
à fait impossible de
concevoir un être
infini, bien qu’il
professe également
foi en son
existence. Le
raisonnement de ces
deux hommes ne
transportait pas une
condamnation, car il
a estimé que
l’absolu ou infinie
ne peut pas
nécessairement
exister en dehors de
toute relation, mais
peut entretenir des
relations
différentes; et que
le fait que nous
savons des choses
seulement dans leurs
relations ne
signifient que les
connaissances ainsi
acquises sont
simplement une
connaissance
relative ou
irréelle.
Comte, le père du
positivisme, était
également agnostique
dans la religion.
Selon lui l’homme
peut savoir rien des
phénomènes physiques
et leurs lois. Ses
sens sont les
sources de toute
pensée véritable, et
il peut rien
connaître sauf les
phénomènes dont ils
appréhendent et les
relations dans
lesquelles ceux-ci
se tiennent les uns
aux autres. Les
Phénomènes mentaux
peuvent être réduits
à des phénomènes
matériels, et en
sciences de l’homme
ne peuvent pas
obtenir rien au-delà
de cela. Même les
phénomènes de la
conscience immédiate
sont exclus et de
plus, avec tout ce
qui se cache
derrière les
phénomènes.
La spéculation
théologique
représente la pensée
à ses débuts. Aucune
affirmation positive
ne peut être faite
concernant
l’existence de Dieu,
et par conséquent
les théisme et
athéisme demeurent
condamnés. En fin de
comte ils ne font
que ressentir le
besoin de vivre
d’une religion et a
présenter la
soi-disant
« religion de
l’humanité »
ou Humanisme.
Plus encore que
Comte, Herbert
Spencer est reconnu
comme le grand
représentant de
l’agnosticisme
scientifique
moderne. Il a été
très bien influencé
par la doctrine de
Hamilton sur la
relativité de la
connaissance et de
conception de Mansel
de l’absolu, et à la
lumière de ces
derniers ont
travaillé à sa
doctrine de
l’Inconnaissable,
qui était sa
désignation de tout
ce qui peut être
absolu, tout d’abord
ou le summum de la
l’ordre de
l’univers, y compris
Dieu. Il s’effectue
sur l’hypothèse
qu’il existe une
réalité située à
l’arrière des
phénomènes
(univers parallèle),
mais maintient que
toute réflexion à ce
sujet nous jette en
contradictions.
Cette réalité ultime
est totalement
impénétrable. Alors
que nous devons
accepter l’existence
d’un pouvoir ultime,
soit personnel ou
impersonnel, nous ne
pouvons former
aucune conception de
celui-ci. Manière
incohérente, il
consacre une grande
partie de ses
Principes de base
à l’élaboration du
contenu positif de
l’Inconnaissable,
comme s’il était
en effet bien connu.
Les autres
agnostiques, qui ont
été influencés par
lui, sont des hommes
comme Huxley, Fiske
et Clifford. Nous
rencontrons
l’agnosticisme
également à
plusieurs reprises
dans l’humanisme
moderne. Harry Elmer
Barnes dit: « À
l’écrivain, il
semble tout à fait
évident que la
position agnostique
est la seule qui
peut être soutenu
par toute personne
d’esprit
scientifique et
critique incliné
dans l’état actuel
des connaissances. »
En outre, les
formations figurant
aux points
précédents de
l’argument
agnostique ont
assumé plusieurs
autres, dont voici
quelques-unes des
plus importantes.
(1)
l’homme ne sait que
par analogie.
Nous ne savons que
ce qui porte à
quelque analogie
avec notre propre
nature ou
expérience: «Similia
similibus
percipiuntur. »
Mais s’il est vrai
que nous apprenons
beaucoup de choses
par analogie, par
contre nous
apprenons aussi
autrement. Dans de
nombreux cas, les
différences sont les
choses qui arrêtent
notre attention. La
Scholastiques a
parlé de la
via
negationis par
lequel elle pense
éliminer de Dieu les
imperfections de la
créature. En outre,
n’oublions pas que
l’homme est créé à
l’image de Dieu, et
qu’il y a des
analogies
importantes entre la
nature divine et la
nature de l’homme.
(2)
l’homme sait
vraiment seulement
ce qu’il peut saisir
dans son intégralité.
En résumé la
position est que
l’homme ne peut pas
comprendre Dieu, qui
est infini, ne peut
pas avoir une
connaissance
exhaustive de lui et
par conséquent ne
peut pas le
connaître. Mais
cette position
n’entreprenne
l’hypothèse
injustifiée que la
connaissance
partielle ne peut
être réelle
connaissance, une
hypothèse qui
vraiment invalidait
toutes nos
connaissances, car
il y a toujours des
écarts loin de
l’exhaustivité.
Notre connaissance
de Dieu, bien que
non exhaustive, peut
encore être très
réelle et
parfaitement
adéquate pour notre
présent besoin. (3)
tous
les prédicats de
Dieu sont négatifs
et donc ne
fournissent aucune
connaissance réelle.
Hamilton dit que
l’absolu et l’infini
seulement peuvent se
concevoir que comme
une négation de la
pensée; vraiment, ce
qui signifie que
nous ne pouvons
avoir aucune
conception d’eux du
tout. Mais si c’est
vrai que beaucoup de
ce que nous prédicat
à Dieu est négatif
dans la forme, cela
ne signifie pas
qu’il peut pas en
même temps
transmettre une idée
positive. L’acuité
de Dieu inclut
l’idée positive de
son existence
autonome et
d’autosuffisance. En
outre, des idées
telles que l’amour,
la spiritualité et
la sainteté, sont
positifs. (4)
il est
de toutes nos
connaissances par
rapport à l’objet de
connaissance.
Il est dit que nous
connaissons les
objets de la
connaissance, non
pas comme ils sont
objectivement, mais
seulement qu’elles
sont liées à nos
sens et nos
facultés. Dans le
processus de
connaissance nous
faussons leur
couleur. Dans un
sens, il est
parfaitement vrai
que toute notre
connaissance est
subjectivement
conditionnée, mais
l’importation de
l’assertion
concernant l’examen
semble être que,
parce que nous
savons des choses
seulement par
l’entremise de nos
sens et nos
facultés, nous ne
savons pas comment
elles sont vraiment.
Mais ce n’est pas
vrai; dans la mesure
où nous avons une
connaissance réelle
des choses,
connaissances
correspondant à la
réalité objective.
Les lois de la
perception et de
pensée ne sont pas
arbitraires, mais
correspondent à la
nature des choses.
Sans cette
correspondance, non
seulement la
connaissance de
Dieu, mais toutes
les vraies
connaissances
seraient totalement
impossible.
Certains sont
enclins à considérer
la position de
Barth, une espèce
d’agnosticisme.
Zerbe dit que la
pratique de
l'agnosticisme
domine la pensée de
Barth et lui
restitue une victime
de l'inconnaissance
kantienne de la
chose en elle-même
et le cite comme
suit: « les
romains
(catholiques)
ont une révélation
du Dieu inconnu;
Dieu vient à
l’homme, pas l’homme
avec Dieu.
Même
après l’homme de la
révélation ne peut
connaître Dieu,
car il est toujours
le Dieu inconnu. En
se manifestant pour
nous, il est plu
loin que jamais
auparavant. (Rbr. p.
53) ».
En même
temps, il retrouve
l’agnosticisme de
Barth, comme celle
de Herbert Spencer,
incompatible. Il
dit: « il a été dit
de Herbert Spencer
qu’il savait
beaucoup de choses
sur le
« Inconnaissable »;
tellement de Barth,
on peut demander
comment il est venu
à connaître une
grande partie du
« Dieu inconnu ». »
Dickie
parle dans la même
veine: « En parlant
d’un Dieu
transcendant, Barth
semble parfois
prendre la parole
d’un Dieu dont nous
ne pouvons jamais
savoir quoi que ce
soit. »
Cependant, il estime
qu’à cet égard trop
il a changé
d’orientation à
Barth. Bien qu’il
soit parfaitement
clair que Barth ne
veut pas être un
agnostique, on ne
peut nier que
certaines de ses
déclarations peuvent
facilement être
interprété comme
ayant une saveur
agnostique. Il
insiste fortement
sur le fait que Dieu
est le Dieu caché,
qui ne peut être
connu de la nature,
histoire ou
expérience, mais
seulement par son
auto-révélation dans
le Christ, lorsqu’il
se réunira avec la
réponse de la foi.
Mais même dans cette
révélation, Dieu
apparaît seulement
comme le Dieu caché.
Dieu lui-même
exactement comme le
Dieu caché et par le
biais de sa
révélation fait nous
révèle plus
conscients de la
distance qui sépare
lui d’homme que nous
avons jamais été
avant. Cela peut
facilement être
interprétée comme
signifiant que nous
apprenons par la
révélation
simplement que Dieu
ne peut être connu,
alors qu’après tout,
nous sommes face à
un Dieu inconnu.
Mais compte tenu de
toutes les que Barth
a écrit que c’est
clairement pas ce
qu’il veut dire. Son
affirmation, qu’à la
lumière de
l’Apocalypse, nous
voyons Dieu comme le
Dieu caché, n’exclut
pas l’idée que par
la révélation nous
également acquérir
beaucoup de
connaissances utiles
de Dieu alors qu’il
entame des relations
avec son peuple.
Quand il dit que
même dans sa
révélation Dieu
demeure pour nous
le Dieu
inconnu, il
veut vraiment dire,
le
Dieu
incompréhensible. La
révélation de Dieu
est Dieu en action.
Par sa révélation,
nous apprenons à
connaître dans ses
opérations, mais
n’acquérir aucune
connaissance réelle
de son être
intérieur. Le
passage suivant dans
La
Doctrine de la
parole de Dieu, est
assez éclairante:
« sur cette liberté
(liberté de Dieu)
appuie l'
inconcevabilité
de Dieu,
l’insuffisance de
toute connaissance
du Dieu révélé. Même
le
trois-dans-unicité
de Dieu nous est
révélé qu’en
opérations de Dieu.
Par conséquent, le
trois-en-unicité de
Dieu est aussi
inconcevable pour
nous. D'où, aussi,
l’insuffisance de
toutes nos
connaissances de
trois dans
l’unicité. La
conception avec
laquelle il est
apparu pour nous,
surtout dans les
Ecritures,
secondairement dans
la doctrine de
l’église de la
Trinité, est une
conception de
tourments. La
conception dans
laquelle Dieu existe
pour lui-même n’est
pas seulement
relative: elle est
tout à fait séparé
de lui. Seulement à
la grâce libre de
l'Apocalypse il ne
dépend pas que
l’ancienne
conception, sa
séparation absolue
de son objet est
vétérinaire et non
sans vérité. En ce
sens les trois dans
l’unicité de Dieu,
comme nous le savons
depuis l’opération
de Dieu, est
vérité. »
C. autorévélation de
la condition sine
qua non de toutes
les connaissances de
Dieu.
1.
Dieu communique la
connaissance de soi
à l'homme.
Kuyper attire
l’attention sur le
fait que la
théologie comme
connaissance de Dieu
diffère à un point
important de toutes
les autres
connaissances. Dans
l’étude de toutes
les autres sciences
l’homme se place
lui-même
au-dessus de
l’objet de son
enquête et
activement
suscite d’elle ses
connaissances par
n’importe quelle
méthode qui peut
paraître plus
appropriée, mais en
théologie, il ne
tient pas au dessus,
mais plutôt
sous
l’objet de ses
connaissances. En
d’autres termes,
l’homme peut
connaître Dieu,
uniquement dans la
mesure où ce dernier
activement se rend
connu. Dieu est
d’abord l’objet de
communication des
connaissances à
l’homme et ne peut
devenir un objet
d’étude pour
l’homme, dans la
mesure où ce dernier
s’approprie et se
penche sur la
connaissance
transmise à lui par
la révélation. Sans
révélation l'homme
n'aurait jamais été
en mesure d’acquérir
une connaissance de
Dieu. Et même après
que Dieu s’est
révélé
objectivement, ce
n’est pas la raison
humaine qui découvre
Dieu, mais c’est
Dieu qui se révèle à
l'œil de la foi.
Cependant, par
l’application de la
raison humaine
sanctifiée à l’étude
de l’homme par la
Parole de Dieu peut,
sous la direction du
Saint-Esprit,
acquérir une
connaissance
croissante de Dieu.
Barth souligne
également le fait
que l’homme peut
connaître Dieu que
lorsque Dieu vient à
lui dans un acte de
la révélation. Il
affirme qu’il
n’existe aucun moyen
de l’homme vers
Dieu, mais seulement
de Dieu à l’homme et
dit à plusieurs
reprises que Dieu
est toujours le
sujet et jamais un
objet. La révélation
est toujours quelque
chose de purement
subjective, et ne
peut jamais se
transformer en
quelque chose
d’objectif comme la
parole écrite de
l’Écriture Sainte et
ainsi devenir un
objet d’étude. Elle
est donnée une fois
pour toutes en Jésus
Christ et en Christ
vient aux hommes
dans le moment
existentiel de leur
vie. Bien qu’il
existe des éléments
de vérité dans ce
que dit Barth, son
interprétation de la
doctrine de la
révélation est
étrangère à la
théologie réformée.
La position doit
être maintenue,
cependant, que la
théologie serait
totalement
impossible sans une
révélation de Dieu.
Et quand on parle de
l’Apocalypse, nous
utilisons le terme
au sens strict du
mot. Il n’est pas
quelque chose dans
lequel Dieu est
passif, un simple
« devient
manifeste », mais
quelque chose dans
lequel il est
activement révélant
lui-même. Il n’est
pas autant dans le
sens moderne dans
lequel il aurait,
une clairvoyance
spirituelle
approfondie, de ce
qui conduit à une
découverte toujours
plus de Dieu de la
part de l’homme;
mais un surnaturel
agir de
communication
indépendant, un acte
tenace de la part du
Dieu vivant. Il n’y
a rien de surprenant
dans le fait que
Dieu peut être
connue que si, et
dans la mesure où,
il se révèle. Dans
une certaine mesure,
c’est aussi vrai de
l’homme. Même après
que la psychologie a
fait une étude assez
exhaustive de
l’homme, Alexis
Carrell est encore
capable d’écrire un
livre très
convaincant sur
l’inconnu de l’homme.
« Pour les hommes, »
dit Paul, «Car qui
est-ce qui connaît
ce qui est en
l'homme, si ce n'est
l'esprit de l'homme
qui est en lui? De
même aussi, personne
ne connaît ce qui
est en L’ESPRIT DES
VIVANTS, si ce n'est
la Sainte Présence
de L’ESPRIT DES
VIVANTS.» 1 Cor.
2:11. Le
Saint-Esprit sonde
toutes choses, même
les choses profondes
de Dieu et leur
révèle à l’homme.
Dieu lui-même les a
fait connaître. Aux
côtés de l’archétype
connaissance de
Dieu, trouvé en Dieu
lui-même, il y a
également une
connaissance et type
de lui, donné à
l’homme par la
révélation. Ce
dernier est lié à
l’ancienne comme une
copie à l’original
et ne possède donc
pas la même mesure
de clarté et de la
perfection. Toute
notre connaissance
de Dieu est dérivé
de son
autorévélation dans
la nature et dans
l’Écriture. Par
conséquent, notre
connaissance de Dieu
est d’une part un
type analogique,
mais d’autre part
aussi véridique et
exacte, puisque
c’est une copie de
l’archétype
connaissance que
Dieu a de lui-même.
2.
Connaissance innée
et acquise de Dieu (COGNITIO
INSITA et ACQUISTA).
On fait généralement
une distinction
entre la
connaissance innée
et acquise de Dieu.
Ce n’est pas une
distinction
strictement logique,
car en dernière
analyse, toute
connaissance humaine
est acquise. La
théorie des idées
innées est
philosophique et non
théologique. Les
graines de celui-ci
se trouvent déjà
dans la doctrine des
idées de Platon,
alors qu’il se
produit dans la
De
Natura Deorum
de Cicéron dans une
forme plus
développée. Dans la
philosophie moderne,
qui a été d’abord
enseigné par
Descartes, et qui
considère l’idée de
Dieu comme innée. Il
n’a pas jugé
nécessaire de
considérer cela
comme inné en ce
sens qu’elle était
consciemment
présente dans
l’esprit humain
depuis le début,
mais seulement dans
le sens que l’homme
a une tendance
naturelle à former
l’idée quand
l’esprit atteint sa
maturité. La
doctrine a enfin
pris la forme qu’il
y a certaines idées,
dont l’idée de Dieu
est le plus
important, qui sont
innées et sont donc
présents dans la
conscience humaine
dès la naissance.
C’est sous cette
forme que Locke a
justement attaqué la
doctrine des idées
innées, mais il est
allé à un autre
extrême dans son
empirisme
philosophique. La
Théologie réformée a
également rejeté la
doctrine dans cette
forme particulière.
Et tandis que
certains de ses
représentants
conserve les nom
« idées innées »,
lorsqu'ils en ont
donné une autre
signification,
d’autres ont préféré
parler d’un
insita
Dei cognitio
(rameaux ou plante
de la connaissance
de Dieu). D’une part
cette
cognitio Dei insita
ne consiste pas en
des idées ou forme
des notions qui sont
présentes chez
l’homme au moment de
sa naissance; mais
en revanche, c’est
plus qu’une simple
capacité qui permet
à l’homme de
connaître Dieu. Il
dénote une
connaissance qui
résulte
nécessairement de la
constitution de
l’esprit humain, qui
est inné que dans le
sens qu’elle naît
spontanément, sous
l’influence de la
semence
religionis
implanté chez
l’homme, lors de sa
création à l’image
de Dieu, et qui
n’est pas acquis par
le laborieux
processus de
raisonnement et
d’argumentation.
C’est une
connaissance que
l’homme, constitué
comme il est,
acquiert
de la
nécessité et
comme telle se
distingue de toutes
les connaissances
qui sont
conditionnée par la
volonté de l’homme.
Les connaissances
acquises, en
revanche, sont
obtenue par l’étude
de la révélation de
Dieu. Elle ne
découle pas
spontanément à
l’esprit humain,
mais des résultats
de la recherche
consciente et
soutenue de la
connaissance. Elle
peut être acquise
que par le processus
fastidieux de
perception et de
réflexion, de
raisonnement et
d’argumentation.
Sous l’influence de
l’idéalisme hégélien
et de la conception
moderne de
l’évolution, la
connaissance innée
de Dieu a été trop
souligner; Barth
rejette en revanche
l’existence d’une
telle connaissance.
3.
Révélation générale
et spéciale.
La Bible témoigne de
la révélation de
Dieu à un double:
une révélation dans
la nature autour de
nous, dans la
conscience humaine
et dans le
gouvernement
providentiel du
monde; et une
révélation incarnée
dans la Bible comme
Parole de Dieu. Il
témoigne à
l’ancienne dans des
passages comme suit:
« Les cieux
racontent la gloire
de L’ESPRIT DES
VIVANTS, et
l'étendue fait
connaître l'œuvre de
ses mains. Le jour
parle au jour, et la
nuit enseigne la
nuit. Il n'y a point
en eux de langage,
il n'y a point de
paroles; toutefois
leur voix est
entendue. » Psaume
19:1-3. « Quoiqu'il
n'ait point cessé de
donner des
témoignages de ce
qu'il est, en
faisant du bien, en
nous envoyant du
ciel les pluies, et
les saisons
fertiles, et en
remplissant nos
cœurs de biens et de
joie. » Actes
14:17. « Parce que
ce qu'on peut
connaître de
L’ESPRIT DES VIVANTS
est manifesté parmi
eux, car L’ESPRIT
DES VIVANTS le leur
a manifesté. En
effet, les choses
invisibles de
L’ESPRIT DES
VIVANTS, sa
puissance éternelle
et sa divinité, se
voient clairement,
depuis la création
de cet agencement,
quand on les
considère dans ses
ouvrages. De sorte
qu'ils sont
inexcusables. » Rom.
1:19, 20. De ce
dernier, il donne
des preuves
abondantes dans
l’Ancien et le
Nouveau Testament.
« Et L’ADMIRABLE
somma Israël et Juda
par chacun de ses
prophètes et de ses
voyants, leur
disant: Revenez de
vos mauvaises voies,
gardez mes
commandements et mes
statuts, selon toute
la loi que j'ai
prescrite à vos
pères, et que je
vous ai envoyée par
mes serviteurs les
prophètes. « 2 Rois
17:13. « Il a fait
connaître ses voies
à Moïse, et ses
exploits aux enfants
d'Israël. » Psaume
103:7. « Personne
n'a jamais vu
L’ESPRIT DES
VIVANTS; le seul
Fils engendré, qui
est l'enveloppe
visible du Père
invisible,
est celui qui l'a
manifesté dans la
chair. » Jean 1:18.
« L’ESPRIT DES
VIVANTS ayant
autrefois parlé à
nos pères, à
plusieurs reprises
et en diverses
manières, par les
prophètes, Nous a
parlé en ces
derniers jours
d'Israël par son
Fils, JÉSUS LE
MESSIE, qu'il a
établi héritier de
toutes choses; par
lequel aussi il a
fondé les siècles.
Et qui, étant la
splendeur de sa
gloire et
l'expression unique
de son essence, et
soutenant toutes
choses par sa Parole
puissante, ayant
opéré par lui-même
la purification de
nos péchés, s'est
assis à la droite de
la Majesté divine
dans les lieux très
hauts. » Hébreux
1:1-3.
Sur la base de ces
données mentionnés
dans les Écritures
inspirées et
infaillibles,
il est devenu
habituel de parler
de la révélation
naturelle et
surnaturelle. La
distinction ainsi
appliquée à l’idée
de l’Apocalypse est
principalement une
distinction fondée
sur la manière dont
elle est communiquée
à l’homme; mais au
cours de l’histoire
elle a également été
basé en partie sur
la nature de son
objet. Le mode de
révélation est
naturel lorsqu’il
est communiqué à
travers la nature,
c'est-à-dire par le
biais de la création
visible avec ses
lois ordinaires et
ses pouvoirs. Elle
est surnaturelle
lorsqu’elle est
adressée à l’homme
d’une manière plus
haute
ou plus sublime,
surnaturelle lorsque
lorsque Dieu lui
parle, soit
directement, soit
par l’intermédiaire
de messagers
surnaturellement
doués. La substance
de la révélation
était considérée
comme naturelle, si
elle pouvait être
acquise par la
raison humaine de
l’étude de la
nature; et a été
considéré comme
surnaturel
lorsqu’elle ne
pourrait pas être
connu de la nature,
ni par la raison
humaine spontanée.
Par conséquent, il
est devenu assez
fréquent dans le
Moyen-âge à opposer
raison et
révélation,
quoique l'Esprit
de Dieu puisse
éclairer la raison
par la Sainte
Présence de Christ
qui habite ses élus
leur donnant une
manière de raisonner
spirituellement.
Dans la théologie
protestante la
révélation naturelle
est souvent appelée
un
revelatio realis
et la
révélation
surnaturelle un
revelatio verbalis,
parce que l’ancien
s’incarne dans les
choses et le second
en mots. En cours de
temps, cependant, la
distinction entre
naturelle et
surnaturelle de la
révélation s’est
avérée pour être
plutôt ambiguë,
puisque toute la
révélation est
surnaturelle dans
l’origine et, comme
une révélation de
Dieu également dans
le contenu
de son
appréhension.
Ewald, dans son
ouvrage sur
la
révélation:
sa
Nature et
Registre
parle de la
révélation dans la
nature comme une
révélation
immédiate et de
la révélation dans
les Ecritures, qu’il
considère comme la
seule qui mérite le
nom «révélation »
dans toute
l’acception, comme
médiation de
révélation. Une
distinction plus
courante, cependant,
qui a
progressivement
gagné monnaie, est
celui de la
révélation
générale
et
spéciale. Dr.
Warfield distingue
les deux comme suit:
« l’une s’adresse
généralement à
toutes les créatures
intelligentes et est
donc accessible à
tous les hommes;
l’autre s’adresse à
une classe spéciale
des pécheurs, à qui
Dieu devrait faire
connaître son salut.
La première
permettant de
satisfaire et
d’alimenter le
besoin naturel des
créatures pour la
connaissance de leur
Dieu; l’autre pour
sauver les pécheurs
brisés et déformés
par leur péché et
ses conséquences ».
La
révélation générale
qui est enracinée
dans la création,
est adressée à
l’homme comme être
humain et plus
particulièrement à
la raison humaine et
trouve sa finalité
dans la réalisation
de la fin de sa
création, qui est de
connaître Dieu et
ainsi profiter de
communion avec lui.
La révélation
spéciale est
enracinée dans le
plan Rédempteur de
Dieu, est adressée à
l’homme en tant que
pécheur,
sous entendu les
élus seuls,
peut être
correctement
comprise et ouverte
uniquement par la
foi
de Christ et en
Christ et
a pour objectif de
sécuriser la fin
pour laquelle
l’homme fut créé en
dépit de la
perturbation causée
par le péché. Vu le
plan éternel de la
rédemption il faut
dire que cette
révélation spéciale
n’est pas venu en
tant qu’une
arrière-pensée, mais
qu’elle était en
l’Esprit de Dieu dès
le début.
Il y avait des
divergences
d’opinions
concernant la
relation entre ces
deux mutuellement
considérables. Selon
la scolastique la
révélation naturelle
a fourni les données
nécessaires pour la
construction d’une
théologie
naturellement
scientifique par la
raison humaine. Mais
alors que cela
permis à l’homme
d’atteindre une
connaissance
scientifique de Dieu
comme cause ultime
de toutes choses,
elle ne prévoyait
pas la connaissance
des mystères, comme
la Trinité,
l’incarnation et de
rédemption.
Elle ne pouvait
prévoir le mystère
de la Trinité
puisqu'elle ne peut
prévoir une chose
qui n'existe pas et
qui a du être
inventé par la
philosophie de
théoriciens qui se
veulent maîtres sur
la Parole de Dieu
afin d'obtenir le
monopole de la foi
et des consciences.
Cette connaissance
de l'Être de Dieu
est fournie par la
révélation spéciale
qu'aucun
théoricien ne peut
recevoir.
C’est une
connaissance qui
n’est pas
rationnellement
démontrable, mais
doit être acceptée
par la foi et
non par les
principes de la
philosophie
platonicienne sur
les mystères de
l'existence de Dieu.
Certains des
scolastiques
précédents étaient
guidés par le slogan
« Credo ut
intelligam » et,
après avoir accepté
les vérités de la
révélation spéciale
par la foi
dans une
présomption de
l'intellect,
ont jugé nécessaire
d'élever la foi à la
compréhension d’une
démonstration
rationnelle de ces
vérités, ou du moins
de prouver leur
rationalité. Thomas
Aquinas, considère
cependant que cela
est impossible, sauf
pour les vérités
spéciales en tant
que révélation
contenue qui faisait
également partie de
la révélation
naturelle. Selon
lui, les mystères,
qui forment le
contenu réel de la
révélation
surnaturelle,
n’admettent pas de
démonstration
logique. Toutefois,
il a conclu qu’il ne
pouvait y avoir
aucun conflit entre
les vérités
naturelles et ceux
de la révélation
surnaturelle. S’il
semble y avoir un
conflit, il y a
quelque chose de mal
avec sa philosophie
purement humaine
et charnelle.
Le fait demeure,
toutefois, qu’il a
reconnu, sans
compter que la
structure élevés par
la foi sur la base
de révélation
surnaturelle, un
système de théologie
scientifique sur la
fondation de la
révélation
naturelle,
posant ainsi une
autre fondation que
celle de Christ (1
Cor. 3:11).
Dans le premier on
consent à quelque
chose parce qu’il
est révélé, dans le
second parce qu’il
est perçu comme vrai
à la lumière de la
raison naturelle. La
démonstration
logique, qui est
hors de question
dans l’un, est la
méthode naturelle de
la preuve dans
l’autre.
Les réformateurs
rejette le dualisme
des scolastiques et
visent à une
synthèse de la
double révélation de
Dieu. Ils ne
croyaient pas en la
capacité de la
raison humaine pour
construire un
système scientifique
de la théologie sur
la base de la
révélation naturelle
pure et simple.
Mais si par
«révélation
naturelle» on entend
par cela les notions
élaborées par
l'intellect de
l'homme dont la
nature est corrompue
et esclave de la
chair et du péché,
donc ils se sabrent
eux-mêmes dans leur
théologie comme le
fait d'ailleurs
l'auteur de ce
volume à plusieurs
reprises.
Leur point de vue
peut être représenté
comme suit: à la
suite de l’entrée du
péché dans le monde,
l’Écriture de Dieu
dans la nature est
grandement obscurci
et relève dans
certaines des
questions plus
importantes des
points plutôt
sombres et
illisibles. En
outre, l'homme est
frappé d’aveuglement
spirituel et est
donc privé de la
possibilité de lire
correctement ce que
Dieu avait
initialement
clairement écrit
dans les œuvres de
création. Afin de
remédier à la
situation et éviter
la frustration de
son but, Dieu a fait
deux choses. Dans sa
révélation
surnaturelle il a
republié les vérités
de la révélation
naturelle, effacé
leur idée fausse
interprétées en vue
du présent besoin de
l’homme et par
conséquent intégrées
à sa révélation
surnaturelle de la
rédemption. Et en
plus de cela il
fournie un remède
pour la cécité
spirituelle de
l’homme dans les
travaux de
régénération et de
sanctification, y
compris
l’illumination
spirituelle et ainsi
permis à l’homme une
fois de plus
d'obtenir la vraie
connaissance de
Dieu, sachant
qu'elle porte en
elle l'assurance de
la vie éternelle.
Lorsque le vent
froid du
rationalisme a
déferlé sur
l’Europe, la
révélation naturelle
a été exaltée au
détriment de la
révélation
surnaturelle.
L’homme s’est enivré
avec un sentiment de
sa propre capacité
et de bonté, a
refusé d’écouter et
de se soumettre à la
voix de l’autorité
qui lui a parlé dans
l’Écriture et s'est
reposé en toute
confiance dans la
capacité de la
raison humaine pour
le conduire hors du
labyrinthe
d’ignorance et
d’erreur dans
l’ambiance claire de
la vraie
connaissance.
Certains ont soutenu
que la révélation
naturelle était tout
à fait suffisante
pour enseigner aux
hommes toutes les
vérités nécessaires,
ont néanmoins admis
qu’ils puissent les
apprendre plus tôt à
l’aide de révélation
surnaturelle.
D’autres ont nié que
l’autorité de la
révélation
surnaturelle était
complète, jusqu'à ce
que son contenu soit
démontré par la
raison. Et enfin le
déisme dans
certaines de ses
formes a refusé, non
seulement la
nécessité, mais
également la
possibilité et la
réalité de la
révélation
surnaturelle. Selon
Schleiermacher
l’accent se déplace
de l’objectif au
subjectif, de la
révélation à la
religion et sans
aucune distinction
entre religion
naturelle et
révélée. Le terme
« révélation » est
toujours conservé,
mais est réservé
comme une
désignation de la
clairvoyance
spirituelle plus
profonde de l’homme,
une idée qui ne
vient pas de lui
sans sa propre
recherche diligente.
Ce qu’on appelle la
révélation d’un
point de vue, peut
être appelé
découverte humaine
de l’autre. Ce point
de vue est devenu
tout à fait
caractéristique de
la théologie
moderne. Knudson,
dit: « Mais cette
distinction entre la
théologie naturelle
et révélée est
maintenant largement
tombée en désuétude.
La tendance actuelle
est de dessiner sans
forte ligne de
démarcation entre la
révélation et la
raison naturelle,
mais de considérer
les idées plus
élevées de la raison
comme elles-mêmes la
divine révélation.
En tout cas il n’y a
rien de fixe à la
carrosserie de la
vérité révélée, en
acceptant le pouvoir
qui se dresse contre
les vérités de la
raison. Toute vérité
aujourd'hui repose
sur sa compétence
d’appel à l’esprit
humain. »
C’est ce point de
vue de la révélation
qui est dénoncée
dans les termes les
plus forts de Barth.
Il est
particulièrement
intéressé par le
sujet de la
révélation et veut
mener l’Église à
partir du subjectif
à l’objectif, de la
religion jusqu'à
l’Apocalypse. Dans
la première, il voit
surtout les efforts
de l’homme pour
trouver Dieu et,
dans le dernier « la
recherche de Dieu
pour l’homme » en
Jésus Christ. Barth
ne reconnaît pas
toute la révélation
dans la nature. La
révélation n'existe
jamais sur une ligne
horizontale, mais
descend toujours
perpendiculairement
par dessus. La
révélation est
toujours Dieu en
action, nous
montrant que la
Parole de Dieu
détient quelque
chose d’entièrement
nouveau à l’homme,
quelque chose dont
il ne pourrait avoir
aucune connaissance
antérieure, et qui
devient une
véritable révélation
que pour celui qui
accepte l’objet de
la révélation par
une foi donnée par
Dieu. Jésus Christ
est la révélation de
Dieu, et celui qui
connaît le Christ
Jésus ne sait rien
sur la révélation
jusqu'au moment que
le Seigneur a
déterminé pour qu'il
la reçoive, si tel
est son bon plaisir
pour la gloire de
son nom. La
révélation est un
acte de grâce, par
lequel l’homme
devient conscient de
son état de pécheur
et aussi de Dieu, et
parvienne à la
connaissance de la
grâce libre,
imméritée,
condescendante
indulgente en Jésus
Christ. Barth
l’appelle même
la
réconciliation.
Puisque Dieu est
toujours souverain
et libre dans sa
révélation, il ne
peut jamais supposer
une forme objective
factuellement
présente avec
certaine limites, à
laquelle l’homme
peut se transformer
à tout moment par
son instruction. Par
conséquent, cela
serait une erreur de
considérer la Bible
comme la révélation
de Dieu en un autre
sens que celui d'une
compréhension
secondaire. Elle est
un témoin et une
fiche de la
révélation de Dieu.
Elle peut même, bien
que dans un sens
subordonné, être la
prédication de
l’Évangile. Mais
grâce à quelque
médiation la parole
de Dieu qui peut
venir à l’homme dans
le moment
existentiel de sa
vie, elle est
toujours reconnu par
l’homme comme un mot
parlé directement à
lui et venir
verticalement d'en
haut. Cette
reconnaissance est
effectuée par une
opération spéciale
de l’Esprit Saint,
par ce qu’on peut
appeler un
individuel
testimonium Spiritus
Sancti. La
révélation de Dieu a
été donnée
une
fois pour toutes
dans le Christ
Jésus: non pas dans
son aspect
historique, mais
dans le
super-historique
dans lequel les
pouvoirs du monde
éternel deviennent
évidents tel que
dans son
incarnation, sa mort
et sa résurrection.
Et si sa révélation
est également
continue — comme
elle l'est —, elle
est telle dans le
sens que Dieu
continue de parler à
des pécheurs dans le
moment existentiel
de leur vie à
travers la
révélation dans le
Christ et la
prédication par la
Bible. Ainsi, nous
nous retrouvons avec
des éclairs simples
de l’Apocalypse à
venir aux individus,
dont seuls les élus
ont une certitude
absolue; et aucun
témoin faillibles,
ni autre fiche de la
révélation de Jésus
Christ, — sont une
fondation plutôt
précaire pour la
théologie. Il n’est
pas étonnant que
Barth a des doutes
quant à la
possibilité de
construire une
doctrine de Dieu.
L’humanité n’est pas
en possession de
toute la révélation
infaillible de Dieu,
sa révélation unique
dans le Christ et
son extension dans
les révélations
particulières qui
viennent à certains
hommes, elle a
connaissance que par
les dépositions des
témoins faillibles.
QUESTIONS pour
étude
complémentaire:
En quel sens peut-on
parler du Dieu caché
ou inconnu en dépit
du fait qu’il s’est
révélé ? Comment les
scolastiques et les
réformateurs
diffèrent sur ce
point ? Quelle est
la position de la
théologie moderne ?
Pourquoi la
révélation est
essentielle à la
religion ? Comment
l’agnosticisme
diffère-t-il
théoriquement de
l’athéisme ? Est le
plus favorable à la
religion que
l’autre ? Comment
Kant a-t-elle
favorisé
l’agnosticisme ?
Quelle était la
doctrine de Sir
William Hamilton de
la relativité de la
connaissance ?
Quelle forme a-t-il
pris l’agnosticisme
dans le
positivisme ?
Quelles autres
formes a-t-il
fallu ? Pourquoi
certains parlent de
Barth comme un
agnostique ? Comment
ces frais devraient
être satisfaites ?
Est la
« révélation » un
rôle actif ou un
passif concept ? La
théologie n’est
possible sans
révélation ? Si non,
pourquoi ? La
théorie des idées
innées peut être
défendue ?
Qu’entend-on par « cognitio
Dei insita ? » La
différence entre
naturelle et
révélation
surnaturelle ? Est
la distinction entre
la révélation
générale et spéciale
un parallèle exact
du précédent ? Les
différents points de
vue ont eu lieu
quant à la relation
entre les deux ?
Comment la
révélation
diffère-t-il de
découverte humaine ?
Barth pense-t-elle
en général à la
révélation ? Comment
est-ce qu’il conçoit
de la révélation
spéciale ?
LITTÉRATURE:
Bavinck,
Geref. Dogme.
II,
pp. 1: 74; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De Deo
I, pp. 1-76; Hodge,
Syst.
Theol. I, p.
191 à 240; 335-365;
Shedd, dogme
.
THEOL.
I,
pp. 195-220;
Quelquefois,
Collected Works
I, pp. 74-142;
Dorner,
système de Chr. Doct.,
I, pp. 79-159;
Adeney,
la Conception
chrétienne de Dieu,
pp. 19-57; Steenstra,
l’être
de Dieu comme
l’unité et de la
Trinité, pp.
1-25; Hendry,
Dieu le
créateur;
Gilson,
raison et révélation
au moyen-âge;
Baillie et Martin,
révélation (un
colloque de Aulen,
Barth,
Bulgakoff, d’Arcy,
Eliot,
Horton,
et le
Temple;
Warfield,
révélation et
Inspiration,
pp. 3-48; Orr,
révélation et
Inspiration,
pp. 1-66; Cantin,
révélation et
l’Esprit Saint,
pp. 11-127; Dickie,
révélation et
réponse,
Warfield,
Calvin
et le calvinisme
(Calvin
Doctrine de la
connaissance de Dieu).
III. Rapports de l’Être et
attributs de Dieu
Certains
dogmaticiens
consacrent un
chapitre ou des
chapitres à l’Être
de Dieu, avant
d’aborder la
discussion de ses
attributs. Pour
cela, par exemple,
dans les œuvres de
Ebrard, de Kuyper et
Shedd. D’autres
préfèrent considérer
l’Être de Dieu dans
le cadre de ses
attributs étant
donné que c’est dans
ce qu’il a lui-même
révélé. Il s’agit de
la méthode plus
commune, qui est
suivie dans le
Synopsis Purioris
Theologiae
et dans les œuvres
de Turretin, Marck,
Brakel, Bavinck,
Hodge et Honig.
Cette différence de
traitement n’est pas
indicative d’un
grave désaccord
fondamental entre
eux. Ils sont tous
d’accord que les
attributs ne sont
pas des noms simples
à laquelle aucune
réalité correspond,
ni de séparer les
parties d’un Dieu
composite, mais des
qualités
essentielles dans
lequel l’Être de
Dieu est révélé et
avec qui elles
peuvent être
identifiées. La
seule différence
semble être que
certains cherchent à
faire la distinction
entre l’Être et les
attributs de Dieu
plus que d’autres
choses.
A. l’Être de Dieu.
Il est évident que
l’Être de Dieu
n’admet pas de
définition
scientifique. Afin
de donner une
définition logique
de Dieu, il faudrait
commencer par aller
à la recherche d’un
concept plus élevé,
en vertu duquel Dieu
pourrait être
coordonné avec les
autres concepts; et
on aurait alors à
souligner les
caractéristiques qui
seraient applicables
à Dieu seulement.
Telle une
génétique-
définition
synthétique qui
ne peut être donné à
Dieu, car Dieu n’est
pas une des espèces
des dieux, qui peut
être subsumé sous un
genre unique. Au
plus seulement une
analytique-
définition
descriptive est
possible.
Simplement, cela
désigne les
caractéristiques
d’une personne ou
une chose, mais
laisse l’essentiel
étant inexpliquée.
Et même cette
définition ne peut
être complète mais
seulement partielle,
parce qu’il est
impossible de donner
une description
exhaustive et
positive (par
opposition à la
limite négative) de
Dieu. Il s’agirait
d'une énumération de
tous les attributs
connus de Dieu, et
ils sont en grande
partie négatifs dans
leurs
caractéristiques.
La Bible ne
fonctionne jamais
avec un concept
abstrait de Dieu,
mais toujours le
décrit comme le Dieu
vivant, qui s’engage
dans des relations
différentes avec ses
créatures, relations
qui sont indicatives
de plusieurs
attributs
différents. Dans de
Dictaten
de Kuyper
Dogmatiek
, on
nous dit que Dieu,
personnifié comme
sagesse, parle de
son
essence dans
Prov. 8:14, quand il
attribue à lui-même,
tushiyyach, un
mot hébreu rendu « wezen »
dans la traduction
de Hollande. Mais
cette interprétation
est très douteuse,
et le rendu anglais
« avocat » mérite la
préférence,
quoique certaines
versions portent les
termes «sagesse» ou
«prudence» ce qui
est beaucoup plus
précis d'après le
texte hébreu.
Il a également été
souligné que la
Bible parle de la
nature
de Dieu en II Pierre
1:4, mais cela peut
difficilement
désigner l’essentiel
de Dieu, car nous ne
sommes pas faits
participants de
l’essence divine.
Mais ce texte ne
parle aucunement de
«l'essence divine»
mais «de la nature
divine» du Grec «phusis»
dont la
signification est
que nous participons
ou sommes associés à
la force, les lois,
et l'ordre d'une
nouvelle nature que
nous avons en
Christ.
Tandis que par
«essence» il faut
comprendre ce qui
est essentiel à
l'Existence divine,
les principes
intrinsèques ou
inhérents de son
Être. Faudrait
peut-être que les
gens fassent plus
attention aux mots
et leurs contextes
lorsqu'ils lisent un
texte pour ne pas
sauter à des
conclusions trop
hâtives.
Une indication de
l’essence de Dieu a
été trouvée dans le
nom de Jéhovah ou
YHWH traduit aussi
par l'Éternel et
l'Admirable, tel
qu’interprété par
Dieu lui-même, « JE
SUIS CELUI QUI
SUIS » (Ex. 3:14).
Il est à
remarquer que Jésus
Lui-même se dit être
JE SUIS (Jn. 8:58).
Sur la base de ce
passage l’essence de
Dieu a été trouvé en
étant elle-même une
notion abstraite. Et
cela a été
interprété comme
signifiant une
existence autonome
ou permanence
autonome ou une
indépendance
absolue. Un autre
passage est cité à
plusieurs reprises
contenant une
indication de
l’essence de Dieu,
ainsi que l’approche
plus proche de vous
à une définition qui
se trouve dans la
Bible, à savoir Jean
4:24, « L'Esprit
qui est L’ESPRIT
DES VIVANTS
nécessite alors
que ceux qui
l'adorent, l'adorent
en raisonnant la
vérité. » Cette
déclaration du
Christ témoigne
clairement de la
spiritualité de
Dieu. Les deux idées
dérivées de ces
passages se
produisent à
répétition dans la
théologie comme des
appellations de
l’étant de Dieu.
Dans l’ensemble on
peut dire que
l’Écriture n'exalte
un attribut de Dieu
au détriment des
autres, mais les
représente comme
existant en parfaite
harmonie dans l’Être
divin. Il peut être
vrai que maintenant
un et puis un autre
attribut est
souligné, mais
l’écriture a
manifestement
l’intention de
donner dûment
l’accent à chacune
d'entre elles.
L’Être de Dieu se
caractérise par une
profondeur, une
plénitude, une
variété et une
gloire bien au-delà
de notre
compréhension, et la
Bible le représente
comme un tout
harmonieux glorieux,
sans les
contradictions
inhérentes. Et cette
plénitude de vie
trouve son
expression d’aucune
autre manière que
dans les perfections
de Dieu.
Certains des
premiers pères de
l’Église étaient
clairement sous
l’influence de la
philosophie grecque
dans leur doctrine
de Dieu et, comme
l’exprime Seeberg,
n’a pas avancé
« au-delà de la
simple conception
abstraite que l’etre
divin est une
Existence
sans-attribut
absolue. » Depuis un
certain temps les
théologiens étaient
plutôt généralement
enclins à mettre
l’accent sur la
transcendance de
Dieu et d’assumer la
définition de
l’essence divine ou
l’impossibilité de
toute connaissance
adéquate. Pendant la
controverse
trinitaire, la
distinction entre
l’un essence et
trois personnes en
la divinité a été
fortement soulignée,
mais l’essence même
de l’avis général
est au-delà de la
compréhension
humaine. Grégoire de
Nazianze, cependant,
s’aventure à dire:
« pour autant que
nous pouvons
discerner,
ho sur
et ho
theos sont en
quelque sorte plus
que les autres
expressions les noms
de l’essence
(divine) et de ces
ho sur
est préférable. » Il
considère cela comme
une description de
l’etre absolu.
Conception de
Augustine de
l’essence de Dieu
était étroitement
apparenté à celui de
Gregory. Au moyen
âge aussi il y avait
une tendance à nier
que l’homme a aucune
connaissance de
l’essence de Dieu,
ou à réduire ces
connaissances au
minimum. Dans
certains cas, un
attribut a été
identifié comme le
plus expressif de
l’essence de Dieu.
Ainsi Thomas Aquinas
a parlé de son
aseity ou existence
autonome et Duns
Scot, de son
infinité. Il est
devenu assez
fréquent aussi de
parler de Dieu comme
purus
actus compte
tenu de sa
simplicité. Les
réformateurs et
leurs successeurs
ont également
parlent de l’essence
de Dieu comme
incompréhensible,
mais ils n’excluent
pas tout savoir de
lui, bien que Luther
a utilisé un langage
très fort sur ce
point. Ils ont
insisté sur l’unité,
la simplicité et la
spiritualité de
Dieu. Les mots de la
Confessio Belgica
sont tout à fait
caractéristique:
« Nous croyons tous
avec le cœur et
avouons avec la
bouche, qu’il existe
un seul Être
simple et
spirituelle que nous
appelons Dieu. »
plus tard
philosophes et
théologiens trouves
l’essence de Dieu à
être abstraite, dans
la substance
universelle, dans
pure pensaient, dans
la causalité
absolue, dans
l’amour, en
personnalité et en
sainteté majestueuse
ou le numineux.
B. La possibilité de
connaître l’Être de
Dieu.
De ce qui précède,
il apparaît déjà que
la question quant à
la possibilité de
connaître Dieu dans
son être essentiel
engagé les meilleurs
esprits de l’église
des premiers
siècles. Et le
consensus de
l’opinion dans
l’église primitive,
pendant le moyen âge
et au moment de la
réforme, était que
Dieu dans son être
intime est le One
incompréhensible.
Et, dans certains
cas, le langage
utilisé est si fort
qu’elle permet
apparemment d’aucune
connaissance de
l’être de Dieu que
ce soit. En même
temps ils qui
l’utilisent, au
moins dans certains
cas, semblent avoir
beaucoup de
connaissances de
l’être de Dieu.
Malentendu peut
facilement se
traduire d’un échec
de comprendre la
question exacte à
l’examen et de
négliger d’établir
une distinction
entre « savoir » et
« comprendre ». La Scholastique a évoqué
trois questions à
laquelle toutes les
spéculations
concernant l’etre
divin pourrait être
réduit, à savoir:
un sit
Deus?
Quid
sit Deus? et
Qualis
sit Deus? La
première question
concerne l’existence
de Dieu, la seconde,
sa nature ou essence
et le troisième, ses
attributs. Dans ce
paragraphe, c’est
surtout la deuxième
question qui appelle
une attention. Alors
la question est, ce
qui est Dieu ?
Quelle est la nature
de sa constitution
interne ? Ce qui
fait qu’il soit ce
qu’il est ? Afin de
répondre
adéquatement à cette
question, nous
aurions à être en
mesure de comprendre
Dieu et d’offrir une
explication
satisfaisante de son
etre divin, et cela
est totalement
impossible. Le fini
ne peut pas
comprendre l’infini.
La question de
Valentin, « peux tu
en recherchant
savoir Dieu ? Peux
tu trouver le
tout-puissant à la
perfection ? » (Job
11:7) a la force
d’un fort négatif.
Et si l'on considère
la deuxième question
tout à fait en
dehors de la
troisième, notre
réponse négative
devient encore plus
inclusif. En dehors
de la révélation de
Dieu dans ses
attributs, nous
n’avons pas
connaissance de
l’être de Dieu que
ce soit. Mais dans
la mesure où Dieu se
révèle dans ses
attributs, nous
avons également une
connaissance de son
être divin, mais
malgré cela notre
connaissance est
soumis à des limites
humaines.
Luther utilise
certaines
expressions très
fortes concernant
notre incapacité à
connaître quelque
chose de l’être ou
l’essence de Dieu.
D’une part, il
distingue entre les
Deus
absconditus
(Dieu caché) et le
Deus
revelatus (Dieu
révélé); mais
d’autre part, il
affirme également
qu’en connaissant le
Deus
revelatus, nous
savons seulement lui
dans son mystérieux.
Par cela il signifie
que, même dans sa
révélation de Dieu,
a lui-même manifesté
pas entièrement,
car il
est essentiellement,
mais quant à son
essence reste
enveloppée dans
l’obscurité
impénétrable. Nous
connaissons Dieu
seulement dans la
mesure où il entrera
en relations avec
nous. Calvin parle
aussi de l’essence
Divine comme
incompréhensible. Il
détient que Dieu
dans les profondeurs
de son être est
passé à découvrir.
En parlant de la
connaissance de la
chique
et du
qualis de Dieu,
il dit qu’il est
plutôt inutile de
spéculer sur les
premiers, tandis que
notre intérêt
pratique se trouve
dans le second. Il
dit: « ils sont
simplement jouer
avec des
spéculations
glaciales dont
l’esprit est définie
sur la question de
ce que Dieu est (quid
sit Deus),
lorsque qu’il s’agit
vraiment de
connaître est plutôt
quel genre d’une
personne, il est (qualis
sit) et ce qui
est approprié à sa
nature. »
Alors qu’il se sent
que Dieu ne peut
être connu à la
perfection, il ne
nie pas que nous
pouvons connaître
quelque chose de
nature ou de son
être. Mais cette
connaissance ne peut
être obtenue par des
méthodes
a priori , mais
seulement d’une
manière
a posteriori
par les attributs,
qu’il considère
comme des
déterminations
réelles de la nature
de Dieu. Ils
véhiculent nous au
moins quelques
notions de ce qui
est Dieu, mais
surtout de ce qu’il
est en relation avec
nous.
En traitant de notre
connaissance de
l’être de Dieu, nous
devons certainement
éviter la position
de Cousin, plutôt
rare dans l’histoire
de la philosophie,
que Dieu même dans
les profondeurs de
son être n’est pas
du tout
incompréhensible
mais essentiellement
intelligible; mais
nous devons
également orienter
clairement de
l’agnosticisme de
Hamilton et Mansel,
selon lequel nous ne
pouvons avoir aucune
connaissance de
l’être de Dieu. On
ne peut pas
comprendre Dieu, ne
peut pas avoir une
connaissance absolue
et exhaustive de
lui, mais nous
pouvons sans aucun
doute avoir une
connaissance
relative ou
partielle de l’etre
divin. Il est
parfaitement vrai
que cette
connaissance de Dieu
est possible
seulement, parce
qu’il a lui-même
placé dans certaines
relations envers ses
créatures morales et
s’est révélé à eux,
et que même cette
connaissance est
humainement
conditionnée; mais
il est néanmoins
connaissance réelle
et vraie et est au
moins une
connaissance
partielle de la
nature absolue de
Dieu. Il y a une
différence entre une
connaissance absolue
et une connaissance
relative ou
partielle d’un être
absolu. Il ne faut
pas du tout pour
dire que l’homme ne
sait que les
relations dans les
peuplements de Dieu
envers ses
créatures. Pas même
serait-il possible
d’avoir une bonne
conception de ces
relations sans
connaître quelque
chose de Dieu et
l’homme. Pour dire
que nous pouvez ne
savent rien de
l’être de Dieu, mais
sache que les
relations, revient à
dire que nous ne lui
connaît pas du tout
et que lui ne peut
pas faire l’objet de
notre religion. Le
Dr Orr dit: « nous
ne saurons pas Dieu
dans les profondeurs
de son être absolu.
Mais nous pouvons au
moins connaître dans
la mesure où il se
révèle dans sa
relation avec nous.
Par conséquent, la
question n’est pas
quant à la
possibilité d’une
connaissance de Dieu
dans l’unfathomableness
de son être, mais
est: peut-on
connaître Dieu
alors
qu’il entame des
relations avec
le monde et avec
nous-mêmes ? Dieu
est entré en
relations avec nous
dans ses révélations
de lui-même et
suprêmement en Jésus
Christ; et nous
chrétiens prétendent
humblement que, par
cette révélation,
nous ne connaissons
Dieu pour être le
vrai Dieu et avoir
de réelle
connaissance avec
son personnage et
sera. N’est pas
correct de dire que
cette connaissance
que nous avons de
Dieu est seulement
une
connaissance
relative. C’est
en partie une
connaissance de la
nature
absolue de Dieu
aussi bien. »
Les
dernières
déclarations sont
probablement
destinées à conjurer
l’idée que toute
notre connaissance
de Dieu est
simplement par
rapport à l’esprit
humain, de sorte que
nous n’avons aucune
assurance qu’elle
corresponde à la
réalité telle
qu’elle existe en
Dieu.
C. L'Être de Dieu
révélé dans ses
attributs.
Il découle de la
simplicité de Dieu
que Dieu et ses
attributs sont un.
Les attributs ne
peuvent être
considérés comme
tant d’éléments qui
entrent dans la
composition de Dieu,
car Dieu n’est pas,
comme les hommes,
composé de
différentes parties.
Ni peuvent ils être
considérés comme
ajouter quelque
chose à l’être de
Dieu, bien que le
nom, dérivé de
ad
et
tribuere,
puisse paraître au
point en ce sens,
aucun ajout a été
jamais effectuée à
l’être de Dieu, qui
est éternellement
parfait. Il est
souvent dit en
théologie que les
attributs de Dieu
sont Dieu lui-même,
comme il s’est
révélé à nous. La
scolastique a
insisté sur le fait
que Dieu est tout ce
qu’il a. He
a
vie, lumière,
sagesse, amour, la
justice et il
peuvent être dit sur
la base de
l’écriture ce qu’il
est
vie, lumière, la
sagesse, l’amour et
la justice. Il a
également affirmé
par les
scolastiques, que
toute l’essence de
Dieu est identique à
chacun des
attributs, afin que
la connaissance de
Dieu est Dieu,
volonté de Dieu est
Dieu et ainsi de
suite. Certains
d'entre eux est allé
jusqu'à affirmer que
chaque attribut est
identique à tous les
autres attributs, et
qu’il n’y a aucune
distinction logique
en Dieu. Il s’agit
d’une extrême très
dangereuse. Même si
on peut dire qu’il
existe une
interpénétration des
attributs de Dieu,
et qu’elles forment
un ensemble
harmonieux, nous
nous dirigeons en
direction de
panthéisme,
lorsqu’on exclut
toute distinction en
Dieu et dire que son
existence autonome
est son infinité ,
Son savoir est sa
volonté, son amour
est sa justice et
vice versa. Il était
caractéristique des
nominalistes qu’ils
ont effacé toute
distinction réelle
en Dieu. Ils avaient
peur qu’en supposant
que la distinction
réelle en lui,
correspondant aux
attributs attribués
à Dieu, ils pourrait
mettre en péril
l’unité et la
simplicité de Dieu
et étaient donc
motivés par un but
louable. Selon eux
les perfections de
l’etre divin
n’existent que dans
nos pensées, sans
aucune réalité
correspondante dans
l’etre divin. Les
réalistes, en
revanche, a affirmé
à la réalité des
perfections divines.
Ils ont réalisé que
la théorie des
nominalistes,
systématiquement
effectués,
conduirait dans le
sens d’un déni
panthéiste d’un Dieu
personnel et jugeait
donc de la plus
haute importance de
maintenir la réalité
objective des
attributs de Dieu.
Dans le même temps,
ils ont cherché à
préserver l’unité et
la simplicité de
Dieu en maintenant
que toute l’essence
est dans chaque
attribut: Dieu est
dans l’ensemble,
tout à chacun.
Thomas Aquinas avait
le même but en tête,
quand il a affirmé
que les attributs ne
révèlent pas ce que
Dieu est en
lui-même, dans les
profondeurs de son
être, mais seulement
ce qu’il est en
relation avec ses
créatures.
Naturellement, nous
devrions nous garder
contre la séparation
de l’essence divine
et les attributs
divins ou
perfections et aussi
contre une fausse
conception de la
relation dans
laquelle ils se
tiennent les uns aux
autres. Les
attributs sont des
déterminations
réelles de l’etre
divin ou, en
d’autres termes,
qualités qui
inhérente à l’être
de Dieu. Shedd parle
d’eux comme « une
description
analytique et plus
proche de
l’essence ».
Dans
un sens, ils sont
identiques, donc
qu’on peut dire que
les perfections de
Dieu sont Dieu
lui-même car il
s’est révélé à nous.
Il est possible
d’aller encore plus
loin et dire avec
Shedd, « toute
l’essence est dans
chaque attribut et
l’attribut dans
l’essence. »
Et à
cause de la relation
étroite dans
laquelle les deux
debout les uns aux
autres, on peut
affirmer que la
connaissance des
attributs comporte
la connaissance de
l’Essence Divine. Ce
serait une erreur de
concevoir l’essence
de Dieu comme
existant par
lui-même et avant
les attributs et les
attributs comme
additifs et
accidentels des
caractéristiques de
l’etre divin. Ils
sont des qualités
essentielles de
Dieu, qui inhérente
à son être même et
sont co-existant
avec elle. Ces
qualités ne peuvent
être modifiées sans
altérer l’essentiel
étant de Dieu. Et
puisqu’ils sont des
qualités
essentielles, chacun
d’eux nous révèle
certains aspects de
l’être de Dieu.
QUESTIONS
pour étude
complémentaire:
Comment pouvons-nous
distinguer entre
l’être, la nature et
l’essence de Dieu ?
Comment les points
de vue
philosophiques de
l’essentiel étant de
Dieu diffèrent
généralement le
point de vue
théologique ? Que
diriez-vous, la
tendance à trouver
l’essence de Dieu
dans l’absolu, en
amour ou dans la
personnalité ? Ce
qui veut dire Otto
lorsqu’il
caractérise comme
« le Saint » ou « le
Junior » ? Pourquoi
est-il impossible
pour l’homme de
comprendre Dieu ?
Sin en quelque sorte
a-t-elle eu la
capacité de l’homme
de connaître Dieu ?
Y a-t-il une
différence entre la
conception de Luther
et de Barth de
« Dieu caché » ?
Calvin diffère-t-il
d’eux sur ce point ?
Luther ne partageait
les vues de
nominaliste d’Occam,
par qui il fut
influencé par
ailleurs ? Comment
les réformateurs, à
la différence de la
scolastique,
considérait le
problème de
l’existence de
Dieu ?
Pourrions-nous avoir
aucune connaissance
de Dieu, s’il était
en sans-attribut
pur ? Quelles vues
erronées des
attributs doivent
être évitées ?
Quelle est la vue
correcte ?
LITTÉRATURE:
Bavinck,
Geref. Dogme.
I,
p. 91-113, Kuyper,
Dict.
dogme.,
De Deo
I, pp. 124-158;
Hodge,
Syst. Theol. I,
pp. 335-374; Shedd,
dogme
.
THEOL.
I,
pp. 152-194;
Quelquefois,
Collected Works,
I, pp. 104-172;
Dorner,
syst de Chr. Doct.
I, p. 187-212; Orr,
Chr.
vue de Dieu et du
monde, p.
75-93; Otten,
Manuel
de l’Hist. de dogmes
I, pp. 254-260;
Clarke,
le Chr. Doct. de
Dieu, p. 56-70;
Steenstra,
l’être
de Dieu comme
l’unité et de la
Trinité, p.
1-88; Thomson,
L’idée
chrétienne de Dieu,
pp. 117-159; Hendry,
Dieu le
créateur (du
point de vue
barthienne);
Warfield,
Calvin
et le calvinisme,
pp. 131-185 (de
Calvin
Doctrine de Dieu).
IV. Les noms de Dieu
A. Les noms de Dieu
en général.
Alors que la Bible
rapporte plusieurs
noms de Dieu, il
parle aussi de
le nom
de Dieu au singulier
comme, par exemple
dans les
instructions
suivantes: « Tu ne
prendras le nom du
Seigneur ton Dieu en
vain, » Exode
20:7; » Comment
excellent est ton
nom dans toute la
terre, » Psaume 8:1;
« Tel est ton nom, Ô
Dieu, est donc ta
louange, » Psaume
48: 10; « Son nom
est grand en
Israël, » psaume
76:2; « Le nom de
Jéhovah est une tour
forte; les justes
runneth dedans et
est sans danger, »
Prov. 18:10. Dans ce
cas « le nom » se
dresse la toute
manifestation de
Dieu dans sa
relation à son
peuple, ou
simplement pour la
personne, afin qu’il
devienne synonyme de
Dieu. Cette
utilisation est due
au fait que dans la
pensée orientale un
nom n’a été jamais
considéré comme un
simple vocable, mais
comme une expression
de la nature de la
chose désignée. Pour
connaître le nom
d’une personne
devait avoir le
pouvoir sur lui, et
les noms des dieux
différents ont été
utilisés dans les
incantations pour
exercer un pouvoir
sur eux. Dans le
sens le plus général
du terme, puis, le
nom de Dieu est son
auto-révélation.
C’est une
désignation de lui,
pas tel qu’il existe
dans les profondeurs
de son être divin,
mais comme il se
révèle
particulièrement
dans ses rapports
avec l’homme. Pour
nous, le seul nom
général de Dieu est
scindé en plusieurs
noms, expressives de
l’être de Dieu aux
multiples facettes.
C’est uniquement
parce que Dieu s’est
révélé en son nom (nomen
editum), que nous
pouvons maintenant
lui désigner par ce
nom sous diverses
formes (nomina
indita). Les noms de
Dieu sont pas
d’invention humaine,
mais d’origine
divine, mais ils
sont tous empruntés
à la langue humaine
et dérivés de
relations humaines
et terrestres. Ils
sont anthropomorphes
et marquent une
approche
condescendante de
Dieu à l’homme.
Les noms de Dieu
constituent une
difficulté pour la
pensée humaine. Dieu
est l'
Incompréhensible un,
infiniment exalté
avant tout qui est
temporel; mais dans
ses noms, il descend
à tout ce qui est
fini et devient
comme à l’homme.
D’une part nous ne
pouvons citer que
lui, et d’autre
part, il a beaucoup
de noms. Comment
cela
s’explique-t-il ?
Pour quelles raisons
ces noms sont
appliqués au Dieu
infini et
incompréhensible ?
Il faut avoir à
l’esprit qu’ils ne
sont pas de
l’invention de
l’homme et ne pas
témoigné pour sa
perspicacité dans le
cours même de Dieu.
Ils sont donnés par
Dieu lui-même, avec
l’assurance qu’ils
contiennent, dans
une certaine mesure,
une révélation de
l’être divin. Ceci a
été rendu possible
par le fait que le
monde et toutes ses
relations est et
était censé être une
révélation de Dieu.
Parce que le One
incompréhensible
s’est révélé à ses
créatures, il est
possible pour
l’homme de nommer à
la manière d’une
créature. Afin de se
faire connaître à
l’homme, Dieu a dû
condescendre au
niveau de l’homme,
s’accommoder à la
conscience humaine
limitée et finie et
parler en langage
humain. Si la
désignation de Dieu
anthropomorphe noms
implique une
limitation de Dieu,
comme certains le
disent, alors ce
doit être fidèle à
un degré encore plus
grande de la
révélation de Dieu
dans la création.
Alors le monde ne
révèle pas, mais
plutôt dissimule,
Dieu; puis l’homme
n’est pas liée à
Dieu, mais constitue
simplement une
antithèse à lui; et
puis nous sommes
enfermés à un
agnosticisme sans
espoir.
Il découle de ce qui
a été dit sur le nom
de Dieu en général
que nous pouvons
inclure sous les
noms de Dieu, non
seulement les
appellatifs par
lequel il est
indiqué comme un
être personnel
indépendant et par
qui il est adressé,
mais également les
attributs de Dieu;
et puis pas
simplement les
attributs du divin
étant en général,
mais aussi ceux qui
sont admissibles les
personnes séparées
de la Trinité. Dr.
Bavinck fonde sa
division des noms de
Dieu sur cette
conception large
d'entre eux et
distingue les nomina
propria (noms
propres) essentialia
nomina (noms
essentiels ou
attributs) et nomina
personnages (noms de
personnes, comme
père, fils et Saint
Esprit). Dans le
présent chapitre,
nous nous limitons à
la présentation de
la première classe.
B. l’ancien
Testament noms et
leur signification.
1.
' EL, ' élohim, et '
ELYON. Le
plus simple par
laquelle Dieu est
désigné dans
l’ancien Testament,
est le nom de «El,
qui est peut-être
dérivé de »ul,
soit dans le sens
d’être premier,
étant le Seigneur,
ou dans celui d’être
fort et puissant. Le
nom 'Elohim
(sing.
Éloah) vient
probablement de la
même racine, ou de 'alah,
à être frappé de
crainte; et donc les
points à Dieu comme
le fort et puissant,
ou que l’objet de la
peur. Le nom se
produit rarement au
singulier, sauf en
poésie. Le pluriel
doit être considérée
comme intensive et
donc sert à indiquer
une plénitude de
puissance. Le nom «Elyon
est dérivé de »alah,
pour monter, à un
taux élevé et
désigne Dieu comme
le haut et exalté
One, 14:19, 20;
Nombres 24:16; Ésaïe
14:14. On le trouve
surtout dans la
poésie. Ces noms ne
sont pas encore
nomina
propria au sens
strict du terme, car
ils servent aussi
d’idoles, Psaume 95:
3; 96:5, des hommes,
33:10 de la Genèse;
Exode 7:1 et des
dirigeants, juges
5:8; Exode 21:6;
22:8-10; PS. 82: 1.
2.
' ADONAI.
Ce nom est lié au
sens de précédentes.
Il est dérivé soit
dun
(din)
ou 'adan,
les deux de qui veut
juger, de règle et
donc les points à
Dieu tout-puissant
souverain, à qui
tout est soumis, et
à qui l’homme est
lié en tant que
serviteur. Dans les
temps anciens, c’est
le nom usuel par
lequel le peuple
d’Israël a adressé
Dieu. Plus tard, il
a été largement
supplanté par le nom
de Jéhovah (Yahvé).
Tous les noms
mentionnés jusqu'à
présent décrivent
Dieu comme la haute
et exalté un, le
Dieu transcendant.
Les noms suivants
soulignent le fait
que cela glorifié
étant daigna à
entretenir des
relations avec ses
créatures.
3.
SHADDAI et ' EL-SHADDAI.
Le nom
Shaddai est
dérivé de shadad,
d’être puissants et
des points situés à
Dieu comme possédant
tout pouvoir au ciel
et sur terre.
D’autres, cependant,
dérivent de
shad,
Seigneur. Il se
différencie en un
point important de 'Elohim,
le Dieu de la
création et de la
nature, en ce qu’il
contemple Dieu comme
soumettant tous les
pouvoirs de la
nature et ce qui les
rend servile de le
œuvre de la grâce
divine. Bien qu’il
insiste sur la
grandeur de Dieu, il
ne représente pas
lui comme un objet
de crainte et de
terreur, mais comme
une source de
bénédiction et de
confort. C’est le
nom avec lequel Dieu
apparut à Abraham,
le père des fidèles,
Exode 6:2.
4.
YAHWEH et Yahvé
TSEBHAOTH.
C’est surtout dans
le nom
Yahvé, qui peu
à peu supplanté les
noms antérieurs, que
Dieu se révèle comme
le Dieu de grâce. Il
a toujours été
considéré comme le
plus sacré et le
plus distinctif nom
de Dieu, le nom
incommunicable. Les
Juifs avaient une
crainte
superstitieuse de
l’utiliser, car ils
Lév. 24:16 comme
suit: « Celui que
nameth, le nom de
l’éternel sera
puni de mort. » Et
donc en lisant les
écritures ils
substitués pour
qu’il soit «Adonai
ou 'élohim;
et les Massoretes,
tout en conservant
les consonnes
intactes, qui leur
sont rattachés les
voyelles de l’un de
ces noms,
généralement ceux de
«Adonai.
Le calcul réel du
nom et sa
prononciation
originale et le sens
sont plus ou moins
perdu dans
l’obscurité. Le
Pentateuque relie le
nom avec le verbe
hébreu
hayah, être,
Ex. 03:13, 14. Sur
la force de ce
passage, on peut
supposer que le nom
est, selon toute
probabilité, dérivé
une forme archaïque
de ce verbe,
nommément
hawah.
Autant que la forme
est concernée, il
peut être considéré
comme une troisième
personne imparfait
qal
ou
hiphil. Très
probablement,
toutefois, c’est
l’ancien. La
signification est
expliquée dans la
pièce n° 03:14, qui
est traduit « Je
suis que je suis »,
ou « Je serai ce que
je serai. » Ainsi
interprétée, les
points de nom à
l’immuabilité de
Dieu. Pourtant, il
n’est pas tellement
l’immuabilité de son
être essentiel qui
est en vue, comme
l’immuabilité de sa
relation avec son
peuple. Le nom
contient l’assurance
que Dieu sera pour
les gens de jour de
Moïse de ce qu’il
faisait pour leurs
pères, Abraham,
Isaac et Jacob. Il
souligne la fidélité
de l’Alliance de
Dieu, est à son nom
propre
par excellence,
Exode 15:3; PS.
83:19; Osée 12:6;
42:8 d’Ésaïe et sert
donc de personne
d’autre que le Dieu
d’Israël. Le
caractère exclusif
du nom apparaît dans
le fait qu’il ne se
produit jamais au
pluriel ou un
suffixe. Les formes
abrégées de
celui-ci, notamment
dans des
dénominations
composées, sont
Yah
et Yahu.
Le nom de
Yahvé
est souvent renforcé
par l’ajout de
tsebhaoth.
Origène et Jérôme
considèrent cela
comme une
apposition, parce
que
Yahvé n’admet
pas d’un état de
construction. Mais
cette interprétation
n’est pas
suffisamment
justifiée et peine
donne un sens
intelligible. Il est
assez difficile de
déterminer ce que le
mot
tsebhaoth se
réfère. Il y a
surtout trois avis:
a.
les armées d’Israël.
Mais la justesse de
ce point de vue peut
être mise en doute
bien. La plupart des
passages cités à
l’appui de cette
idée ne prouve pas
le point; seulement
trois d'entre eux
contiennent un
semblant de preuve,
à savoir, j’ai
Samuel 4:4; 17:45;
II Samuel 6:2, alors
que l’un d'entre
eux, II Rois 19:31,
est plutôt
défavorable à ce
point de vue. Tandis
que le pluriel
tsebhaoth est
utilisé pour les
hôtes du peuple
d’Israël, l’armée
est régulièrement
indiquée par le
singulier. Cela
milite contre
l’idée, inhérente à
ce point de vue, que
dans le nom de
l’étude, le terme
renvoie à l’armée
d’Israël. En outre,
il est clair que
dans les prophètes
au moins le nom de
« Jéhovah des
armées » ne fait pas
référence à Jéhovah
comme Dieu de la
guerre. Et si
changer le sens du
nom, ce qui a causé
le changement ?
b.
les étoiles.
Mais en parlant
de l’armée céleste
Ecriture utilise
toujours au
singulier et jamais
au pluriel. En
outre, tandis que
les étoiles sont
appelés de l’armée
des cieux, ils ne
sont jamais désignés
l’hôte de Dieu.
c. les
anges. Cette
interprétation
mérite la
préférence. Le nom
de
Yahvé tsebhaoth
se trouve souvent
dans les connexions
dans les anges sont
mentionnés: J’ai
Samuel 4:4; II
Samuel 6:2; Ésaïe
37: 16; Osée 12:4,
5, PS. 80: 1, 4 f.;
PS. 89; 6-8. les
anges sont
représentés à
plusieurs reprises
comme un hôte qui
entoure le trône de
Dieu, Genèse 28: 12;
32: 2; Jos. 05:14;
Iier Rois 22:19; PS.
68:17; 103:21;
148:2; Ésaïe 6:2. Il
est vrai que dans ce
cas également le
singulier est
généralement
utilisé, mais ce
n’est aucun grave
d’objection, étant
donné que la Bible
indique aussi qu’il
y avait plusieurs
divisions d’anges,
Genèse 32: 2;
Deutéronome 33: 2;
PS. 68:17. En outre,
cette interprétation
est en harmonie avec
la signification du
nom, qui n’a aucune
saveur martial, mais
est expressif de la
gloire de Dieu comme
roi, Deutéronome 33:
2; Iier Rois 22:19;
Psaume 24:10; Ésaïe
6:3; 24:23; Zacharie
14:16. Jéhovah des
armées, est alors
Dieu comme le roi de
gloire, qui est
entouré par des
anges, qui gouverne
le ciel et la terre
dans l’intérêt de
son peuple, et qui
reçoit la gloire de
toutes ses
créatures.
C. Les noms dans le
Nouveau Testament et
leur interprétation.
1.
THEOS. Le
Nouveau Testament a
les équivalents
grecs les noms de
l’ancien Testament.
Pour «El, »élohim,
et 'Elyon
il a
Theos, qui est
le plus commun nom
appliqué à Dieu.
Comme 'Elohim,
il peut par
hébergement servir
des dieux païens,
bien que strictement
parlant, il exprime
la divinité
essentielle. 'Elyon
est rendu
Hupsistos Theos,
Marc 5:7; Luc 01:32,
35, 75; Actes à
07:48; 16:17;
Hébreux 7:1. Les
noms
Shaddai et 'El-Shaddai
sont rendus
Pantokrator et
Theos
Pantokrator, II
Corinthiens 06:18;
Apocalypse 1:8; 4:8;
11:17; 15:3; 16:7,
14. plus
généralement,
cependant,
Theos
est trouvée un
génitif de
possession, comme
mou,
sou,
hemon,
humon,
car en Christ, Dieu
peut être considéré
comme le Dieu de
tous et de chacun de
ses enfants. L’idée
nationale de
l’ancien Testament a
fait place à
l’individu dans la
religion.
2.
KURIOS. Le
nom de
Yahvé est
expliquée plusieurs
fois par des
variations de nature
descriptive, comme
« l’Alpha et
l’Omega, » « qui est
et qui était et qui
est à venir, » « le
début et la fin, »
« le premier et le
dernier, »
Apocalypse 1:4, 8,
17; 2:8; 21:6;
22:13. pour le
reste, toutefois, le
Nouveau Testament
suit la Septante,
qui substitue 'Adonaï
et cela a rendu par
Kurios,
dérivé de
kuros,
puissance. Ce nom
n’a pas exactement
la même connotation
que
Yahvé, mais
désigne Dieu comme
le Mighty One, le
Seigneur, le
possesseur, le
souverain qui a
autorité et pouvoir
judiciaire. Il sert
non seulement de
Dieu, mais aussi du
Christ.
3.
PATER. On
dit souvent que le
Nouveau Testament a
présenté un nouveau
nom de Dieu, à
savoir,
Pater (père).
Mais ce n’est pas
correct. Le nom du
Père est utilisé de
la divinité même
dans les religions
païennes. Il est
utilisé à plusieurs
reprises dans
l’ancien Testament
pour désigner la
relation entre le
Dieu d’Israël, Deut.
32: 6; PS. 103:13;
Ésaïe 63:16; 64:8;
Jérémie 3:4, 19; 31:
9; Malachie 1:6;
02:10, alors
qu’Israël est appelé
le fils de Dieu, Ex.
04:22; Deutéronome
14:1; 32:19; Ésaïe
1:2; Jérémie 31: 20;
Osée 01:10; 11:1.
dans ce cas le nom
exprime la relation
théocratique
spéciale dans
laquelle Dieu se
trouve en Israël.
Dans le sens général
de l’auteur ou du
créateur, il est
utilisé dans les
passages suivants du
Nouveau Testament: I
Corinthiens 8:6; EP
03:15; Hébreux 12:9;
James 01:18. Dans
tous les autres
endroits, il sert à
exprimer la relation
spéciale dans
laquelle la première
personne de la
Trinité se trouve à
Christ, comme fils
de Dieu dans une
métaphysique ou un
sens médiatrice, ou
la relation éthique
dans laquelle Dieu
se présente à tous
les croyants dans
son Alliance
spirituelle.
Or le nom de
«Père» signifie
littéralement «ce
qui est la Source,
l'Origine, le
Concepteur qui
engendre toutes
choses, le
Producteur» et
désigne proprement
«le Créateur, le
Fondateur, le
Conducteur, le
Générateur» ou
encore «l'Ancien des
jours». Le Père ou
plus précisément «la
Source» de toutes
existences est un
«Esprit» éternel et
incorporel qui est
sans commencement et
sans fin, et dont la
disposition de son
essence comporte les
facultés
existentielles de la
Volonté, de la
Parole, et de la
Pensée, ce qui fait
de Lui un Être
Vivant. Il y a donc
une triple
conscience
d'existence en Dieu
dans l'essence des
facultés de sa
nature divine «sa
Volonté, sa Parole,
sa Pensée» (la
Volition,
l'Expression, la
Réflexion «la Vie,
la Vérité, la
Lumière»), et non
trois personnes
distinctes l'une de
l'autre. Cette
Source d'Existence
Suprême n'est
évidemment pas un
homme corporel et
donc n'est forcément
pas «une personne»,
puisque le mot
«personne» se
rapporte strictement
et uniquement à
l'homme corporel
comme créature,
considéré comme un
être de chair et os
conscient de son
existence, possédant
la continuité de la
vie psychique et
capable de
distinguer le bien
du mal, et dont la
caractéristique
prédominante est
l'individualité. En
d'autres mots, le
terme «personne» ne
peut s'appliquer à
Dieu en aucune façon
sans violer la
vérité de son
existence. Mais
l'Église dite
chrétienne dans
toutes ses branches,
groupements ou
assemblées,
s'obstine et insiste
que Dieu est une
personne et ajoute
en plus dans son
viol de la vérité,
que nous venons de
voir, qu'il y a
trois personnes
distinctes dans son
essence et appelle
cela un mystère, ce
qui est plutôt un
blasphème et une
aberration des plus
odieuses (Apoc.
13:1-6) puisqu'elle
a créé Dieu à
l'image de l'homme
avec sa trinité
loufoque qu'elle
s'imagine dans ses
écarts exaltés être
la vérité même.
L'emphase ici est
sur le mot
«personne» et nous
avons vue qu'il est
impossible que ce
terme puisse être
utilisé pour décrire
Dieu qui est Esprit
(Jean 4:24), car un
esprit n'a ni chair
ni os (Luc 24:39).
Pourquoi donc
insister à dire le
contraire si ce
n'est le fait que
l'esprit de la
nature humaine
déchue recherche
constamment à
s'élever au niveau
de la divinité par
la philosophie et
par une théologie
captieuse et
mystifiante,
élaborée en
principes purement
charnel pour donner
gloire à l'homme qui
en a rédigé les
prémisses en un
système de pensée
purement
hypothétique dans le
but de dominer sur
la foi et les
consciences.
Or pour expliquer la
notion plus
clairement d'une
triple conscience en
Dieu: la Volonté de
l'Esprit des vivants
est la Volition ou
manifestation
même de l'existence
ou Source de la Vie
qui correspond au
mot Père (car le mot
Père signifie aussi
Source); la Parole
est l'Expression ou
engendrement de
l'Existence de
l'Esprit des vivants
dans la Vérité
absolue de la
certitude en la
Source qui
correspond au mot
Fils (car le mot
Fils porte aussi le
sens
d'engendrement); la
Pensée est la
réflexion de la
Volition et de
l'Expression de
l'Esprit des vivants
dans sa Présence au
sein de la lumière
de la Source de
l'Existence et
correspond au
Saint-Esprit (car
Saint-Esprit
signifie aussi
Sainte Présence,
celle de l'Esprit
des vivants qui est
Lui-même la Volition,
l'Expression, et la
Réflexion de sa
propre existence).
En d'autres mots, la
Source est aussi
l'Expression en tant
que Sainte Présence,
il n'y a pas de
distinctions dans
l'Esprit Éternel;
les trois sont une
même activité dans
la disposition d'une
seule Existence
Suprême dont la
profondeur est
insondable. La
triple conscience de
l'Esprit des vivants
éternel s'est
manifesté
corporellement dans
la chair sous le nom
de Jésus,
l'enveloppe visible
de la Source
invisible, la seule
et unique Personne
en Dieu du fait de
son incarnation et
de son exaltation ou
retour à sa gloire
première avec son
corps glorifié et
transformé qui est
donné tous les
attributs de la
divinité. Le
principe ainsi
expliqué ne viole en
aucune façon la
vérité sur
l'existence de
l'être de Dieu, mais
glorifie Jésus comme
étant le Dieu
Suprême, la Source
de toutes
existences, c'est à
dire «le Père
éternel manifesté
dans la chair comme
Fils».
Il ne s'agit donc
pas du Fils comme
deuxième personne
d'une trinité
hautement
spéculative qui
s'est incarné dans
la chair, mais du
Créateur et Maître
de l'univers qui
s'est formé un corps
dans le sein d'une
vierge, se révélant
ainsi comme Fils, le
seul engendré de la
sorte dans toute
l'histoire de la
race humaine.
V. Les attributs de Dieu en général
A. Évaluation des
termes utilisés.
Les nom
« attributs » ne
sont pas idéales,
car elle véhicule la
notion d’ajout ou
assigner quelque
chose à l’un et est
donc aptes à créer
l’impression que
quelque chose est
ajouté à l’etre
divin. Sans doute le
terme « propriétés »
est mieux, comme
pointant vers
quelque chose qui
est bonne à Dieu et
à Dieu seul.
Naturellement, dans
la mesure où
certains des
attributs sont
communicable, le
caractère absolu de
la proprium est
affaibli, à cet
égard certains des
attributs ne sont
pas propres à Dieu
dans le sens absolu
du mot. Mais même ce
terme contient la
suggestion d’une
distinction entre
l’essence ou la
nature de Dieu et ce
qui est bon pour
elle. Dans
l’ensemble, il est
préférable de parler
des « perfections »
ou des « vertus » de
Dieu, avec la
compréhension
distincte,
cependant, que dans
ce cas le terme
« vertus » ne sert
pas dans un sens
purement éthique. Ce
faisant nous (suite)
l’utilisation de la
Bible, qui utilise
terme
arete, rendu
vertus
ou
Excellences,
dans I Pierre 2:9; b
éviter la suggestion
que quelque chose
est ajouté à l’être
de Dieu. Ses vertus
ne sont pas ajoutées
à son être, mais son
être est le
plérôme
de ses vertus et se
révèle en eux. Ils
peuvent être définis
comme
les perfections qui
reposent de l’etre
divin dans les
écritures,
ou sont
visiblement exercées
par lui dans ses
œuvres de création,
providence
et de
la rédemption.
Si nous continuons à
utiliser les nom
« attributs », c’est
parce qu’il est
couramment utilisé
et distinctes étant
entendu que la
notion de quelque
chose est ajouté à
l’être de Dieu doit
être exclue de façon
rigide.
B. Méthode de
détermination des
attributs de Dieu.
Les scolastiques
dans leur tentative
de construire un
système de théologie
naturelle posé trois
façons de déterminer
les attributs de
Dieu, qu’il a
désignés comme la
via
causalitatis,
via
negationis
et par
l’intermédiaire d’eminentiae.
Par la
voie de la causalité
nous élever contre
les effets que nous
voyons dans le monde
autour de nous
l’idée d’une Cause
première, de la
contemplation de la
création, à l’idée
d’un créateur
tout-puissant et de
l’observation du
gouvernement moral
du monde , à l’idée
d’un souverain
puissant et sage.
Par le
biais de négation
nous retirer de
notre idée de Dieu
toutes les
imperfections vus
dans ses créatures,
comme incompatible
avec l’idée d’un
être parfait et
rendez lui la
perfection opposée.
En se fondant sur ce
principe, on parle
de Dieu comme
indépendant, infini,
incorporel, immense,
immortel et
incompréhensible. Et
enfin,
au moyen de
l’éminence nous
attribuer à Dieu
la
manière la plus
éminente
perfections
relatives qui nous
découvrons chez
l’homme, selon le
principe que ce qui
existe dans un
effet, préexiste
dans sa cause et
même dans le sens le
plus absolu en Dieu
comme le plus
parfait étant. Cette
méthode peut faire
appel à certains,
parce qu’il procède
du connu vers
l’inconnu, mais il
n’est pas la bonne
méthode de théologie
dogmatique. Il prend
son point de départ
chez l’homme et en
déduit ce qu’il
trouve chez l’homme
à ce qui se trouve
en Dieu. Et dans la
mesure où cela rend
l’homme la mesure de
Dieu. Ce n’est
certainement pas une
méthode théologique
de la procédure. En
outre, elle fonde sa
connaissance de Dieu
sur les conclusions
humaines plutôt que
sur la révélation de
Dieu dans sa parole
divine. Et pourtant,
c’est la source
seulement adéquate
de la connaissance
de Dieu. Bien que
cette méthode
pourrait être suivie
dans une soi-disant
théologie naturelle,
il ne rentre pas
dans une théologie
de la révélation.
Il peut de même des
méthodes suggérées
par les
représentants
modernes de
théologie
expérimentale. On
trouvera un exemple
typique de ceci dans
la
théologie comme une
Science empirique de
Macintosh.
Il parle également
de trois méthodes de
procédure. Nous
pouvons commencer
avec nos intuitions
de la réalité de
Dieu, ces certitudes
irraisonnées qui
sont profondément
enracinées dans
l’expérience
immédiate. L’une
d'entre elles est
que l’objet de notre
dépendance
religieuse est tout
à fait suffisante
pour nos besoins
impératives. Surtout
les déductions
peuvent être tirées
de la vie de Jésus
et le « Christ »
dans le monde. Nous
pouvons également
prendre notre point
de départ, pas dans
les certitudes de
l’homme, mais dans
ses besoins. Le
postulat
pratiquement
nécessaire est que
Dieu est tout à fait
suffisant et
absolument fiable en
ce qui concerne les
besoins religieux de
l’homme. Sur cette
base l’homme peut
s’accumuler sa
doctrine des
attributs de Dieu.
Et, enfin, il est
également possible
de suivre une
méthode plus
pragmatique, qui
repose sur le
principe que nous
pouvons apprendre
dans une certaine
mesure quelles
choses et personnes
sont, au-delà de ce
qu’ils sont
immédiatement perçus
comme, en observant
ce qu’ils font.
Macintosh estime
qu’il est nécessaire
de faire usage de
ces trois méthodes.
Ritschl veut nous à
commencer par l’idée
que Dieu est amour
et nous aurait
demande ce qui est
impliqué dans cette
plus caractéristique
de la pensée de
Dieu. Car l’amour
est personnelle,
elle implique la
personnalité de Dieu
et nous offre ainsi
un principe
d’interprétation du
monde et de la vie
de l’homme. La
pensée que Dieu est
amour porte
également en lui la
conviction qu’il
peut réaliser son
dessein d’amour, qui
est, que sa volonté
est suprêmement
efficace dans le
monde. Cela donne
l’idée d’un créateur
tout-puissant. Et en
vertu de cette
pensée fondamentale
nous affirmons
également l’éternité
de Dieu, puisque,
dans le contrôle de
toutes choses pour
la réalisation de
son Royaume, il voit
la fin dès le début.
Dans une veine
semblable, Dr W. A.
Brown dit: « nous
gagnons notre
connaissance des
attributs en
analysant l’idée de
Dieu qui nous a déjà
gagnés de la
révélation dans le
Christ; « et nous
organiser de manière
à amener les traits
distinctifs de cette
idée d’expression la
plus claire ».
Toutes ces méthodes
prennent leur point
de départ dans
l’expérience
humaine, plutôt que
dans la parole de
Dieu. Ils ont
délibérément
ignorent
l’autorévélation
claire de Dieu dans
l’écriture et
exaltent l’idée de
la découverte
humaine de Dieu.
Ceux qui utilisent
ces méthodes ont une
idée exagérée de
leur propre capacité
de découvrir Dieu et
à déterminer la
nature de Dieu
inductif par
approuvé « méthodes
scientifiques ».
Dans le même temps,
ils ferment les yeux
sur le seul moyen
par lequel ils
pourraient obtenir
vraie connaissance
de Dieu,
c'est-à-dire sa
révélation spéciale,
apparemment
inconsciente du fait
que seul l’esprit de
Dieu peut rechercher
et révéler les
choses profondes de
Dieu et leur révéler
à nous .
Leur
méthode même oblige
à traîner Dieu
jusqu’au niveau de
l’homme, pour
souligner son
immanence au
détriment de sa
transcendance et de
lui faire continu
avec le monde. Et
comme le résultat
final de leur
philosophie, nous
avons un Dieu fait à
l’image de l’homme.
James condamne tout
intellectualisme
dans la religion et
soutient que la
philosophie sous la
forme de la
théologie
scolastique échoue
comme complètement
définir des
attributs de Dieu
d’une manière
scientifique, comme
il le fait pour
établir son
existence. Après un
appel pour le livre
de Job, il dit:
« Ratiocination est
un chemin
relativement
superficiel et
irréel à la
divinité. » Il
conclut son analyse
par ces mots
significatifs: « En
toute sincérité, je
pense que nous
devons conclure que
la tentative de
démontrer, par des
procédés purement
intellectuelle, la
vérité des
délivrances des
expériences
religieuses directs
est absolument sans
espoir. »
Il a
plus de confiance
dans la méthode
pragmatique qui
cherche pour un Dieu
qui répond aux
besoins pratiques de
l’homme. Dans son
estimation, il
suffit de croire que
« au-delà de chaque
homme et de façon
continue avec lui il
existe un plus grand
pouvoir qui est
amical à lui et à
ses idéaux. Tout ce
que les faits ont
besoin est que le
pouvoir devrait être
autre et plus grand
que notre moi
conscient. Quelque
chose de plus grand
va faire, s’il sera
assez grand pour
faire confiance à
l’étape suivante. Il
ne doit pas être
infinie, il ne doit
pas être solitaire.
Il pourrait être
concevable même
seulement une auto
de plus grande et
plus divine, en dont
le soi présent
serait alors
l’expression
mutilée, et
l’univers pourrait
éventuellement être
une collection de
ces selves, à des
degrés divers et d’inclusivité,
avec aucune unité
absolue réalisé en
elle du tout. »
Ainsi,
nous nous retrouvons
avec l’idée d’un
Dieu finie.
La seule bonne façon
de connaître
parfaitement fiables
les attributs divins
est par l’étude de
la révélation de
Dieu dans
l’écriture. Il est
vrai que nous
pouvons acquérir
quelques
connaissances de la
grandeur et de
puissance, la
sagesse et la bonté
de Dieu à travers
l’étude de la
nature, mais pour
une conception
adéquate de ces
attributs, il sera
nécessaire de se
tourner vers la
parole de Dieu. Dans
la théologie de la
révélation, nous
cherchons à
apprendre de la
parole de Dieu qui
sont les attributs
de l’etre divin.
Homme ne pas permis
d’obtenir la
connaissance de Dieu
comme il le fait par
d’autres objets
d’étude, mais Dieu
transmet la
connaissance de soi
à l’homme, une
connaissance que
l’homme ne peut
accepter et
approprié. Pour
l’appropriation et
la compréhension de
cette connaissance
révélée, qu'il est,
bien sûr, la plus
grande importance
que l’homme est créé
à l’image de Dieu et
conclut donc des
analogies utiles
dans sa propre vie.
À la différence de
la méthode
a priori
de la scolastique,
qui déduit les
attributs de l’idée
d’un être parfait,
cette méthode peut
être appelée
a
posteriori,
puisqu’il prend son
point de départ, ne
pas dans un être
parfait abstrait,
mais dans la
plénitude de la
révélation divine et
à la lumière de cela
cherche à connaître
l’être divin. C. a
suggéré des
Divisions des
attributs.
La question de la
classification des
attributs divins a
retenu l’attention
des théologiens
depuis longtemps.
Plusieurs
classifications ont
été proposées, plus
dont distinguer deux
grandes classes. Ces
classes sont
désignées par des
noms différents et
représentent les
points de vue
différents, mais
sont essentiellement
les mêmes dans les
différentes
classifications. Ce
qui suit est les
plus importants
d'entre eux:
1.
certains parlent des
attributs
physiques et moraux.
Le premier, comme
une existence
autonome,
simplicité, infini,
etc., appartiennent
à la nature
constitutionnelle de
Dieu, par opposition
à sa volonté. Ce
dernier, comme la
vérité, la bonté, la
miséricorde, la
justice, sainteté,
etc., qualifie comme
un être moral.
L’objection à cette
classification est
que les soi-disant
attributs moraux
sont tout aussi
vraiment naturel
(c'est-à-dire
d’origine) en Dieu
comme les autres.
Dabney préfère cette
division, mais
admet, compte tenu
de cette objection,
que les conditions
ne sont pas
heureuse. Il serait
plutôt parler
d’attributs moraux
et non moral.
2.
d’autres distinguent
entre les
attributs absolus et
relatifs.
Les premiers
appartiennent à
l’essence de Dieu
tel qu’il est
considéré en soi,
alors que ces
derniers
appartiennent à
l’essence divine,
considéré par
rapport à sa
création. L’un
classe inclut ces
attributs comme une
existence autonome,
immensité,
l’éternité; et
l’autre, ces
attributs comme
l’omniprésence et
l’omniscience. Cette
division semble
supposer que nous
pouvons avoir une
connaissance de Dieu
tel qu’il est en
lui-même,
entièrement mis à
part les relations
dans lesquelles il
se tient à ses
créatures. Mais ce
n’est pas tellement
et donc, à
proprement parler,
toutes les
perfections de Dieu
sont relatifs, ce
qui indique qu’il
est en relation avec
le monde. Strong
évidemment ne
reconnaît pas
l’objection de
conscience et donne
la préférence à
cette division.
3.
encore d’autres
divisent les
perfections divines
immanente ou
intransitive comme
des attributs qui
émanent ou sont
transitives.
Strong combine cette
division avec le
précédent, quand il
parle des attributs
immanente ou absolue
et
relative ou
transitive .
Les premiers sont
ceux qui ne vont pas
de suite et
fonctionnent à
l’extérieur de
l’essence divine,
mais qui demeurent
immanente, tels que
l’immensité,
l’éternité,
simplicité, etc..;
et ces derniers sont
par exemple question
de suite et
produisent des
effets externes à
Dieu, comme
l’omnipotence, la
bienveillance, la
justice, etc.. Mais
si certains des
attributs divins
sont purement
immanentes, tout
savoir d’eux semble
être exclue. H. B.
Smith remarque que
chacun d’eux doit
être immanent et
transeunt.
4.
la distinction plus
courante est celle
entre les attributs
incommunicable
et transmissibles.
Les premiers sont
ceux à qui n’a rien
d’analogue dans la
créature, comme
aseity, simplicité,
immensité, etc..; ce
dernier ceux dont
les propriétés de
l’esprit humain en
charge quelque
analogie, puissance,
mon Dieu, la
miséricorde, la
justice, etc.. Cette
distinction ne
trouvé aucune faveur
avec les luthériens,
mais a toujours été
assez populaire dans
les cercles
réformées et se
trouve dans des
œuvres
représentatives
comme ceux des
professeurs Leyden,
Faire et Turretin.
Il a été estimé dès
le début, toutefois,
que la distinction
était intenable sans
autre précision,
dans la mesure d’un
point de vue, chaque
attribut peut être
appelé
transmissible. Aucun
des perfections
divines sont
transmissibles à la
perfection infinie
dans lequel ils
existent en Dieu, et
en même temps il y a
faibles traces chez
l’homme même de ce
que l'on appelle
incommunicables
attributs de Dieu.
Parmi les
théologiens réformés
plus récents, on a
tendance à ignorer
cette distinction en
faveur des autres
divisions. Dick,
Shedd et Vos
conservent
l’ancienne division.
Kuyper s’exprime
comme insatisfait
avec elle et
pourtant il
reproduit dans son
virtutes par
antithesin et
virtutes par
synthesin; et
Bavinck, après avoir
suivi un autre ordre
dans la première
édition de sa
théologie
dogmatique, retourne
à lui dans la
deuxième édition.
Honig préfère suivre
la division donnée
par Bavinck dans sa
première édition.
Et, enfin, les
Hodges, H. B. Smith
et quelquefois
suivent une division
suggérée par le
Catéchisme de
Westminster.
Toutefois, la
classification des
attributs sous deux
chefs principaux,
que l'on trouve dans
la distinction
l’examen, est
vraiment inhérente à
toutes les autres
divisions, afin
qu’ils soient tous
soumis à l’objection
de conscience qu’ils
ont apparemment
divisent l’être de
Dieu en deux parties
, ce premier Dieu
tel qu’il est en
lui-même, Dieu comme
l’être absolu, on
discute et puis Dieu
puisqu’il est lié à
ses créatures, Dieu
comme un être
personnel. On peut
dire qu’un tel
traitement n’aboutit
pas à une conception
unitaire et
harmonieuse des
attributs divins.
Cette difficulté
peut être évitée,
cependant, en le
faisant bien
comprendre que les
deux classes
d’attributs nommés
ne sont pas
strictement
coordonnée, mais que
les attributs
appartenant à la
première classe sont
admissibles à tous
ceux qui
appartiennent à la
classe de seconde,
afin que l'on puisse
dire que Dieu est
un, absolue,
immuable et infinie
dans sa connaissance
et sagesse, sa bonté
et amour, sa grâce
et miséricorde, sa
droiture et
sainteté. Si nous
garder à l’esprit et
aussi n’oubliez pas
qu’aucun des
attributs de Dieu
sont incommunicables
en ce sens qu’il n’y
a aucune trace d’eux
chez l’homme, et
qu’aucun d'entre eux
ne sont
transmissibles en ce
sens qu’ils se
trouvent chez
l’homme, car on les
trouve en Dieu ,
nous ne voyons pas
pourquoi nous
devrions déroger à
l’ancienne division
qui est devenu si
familier dans la
théologie réformée.
Pour des raisons
pratiques, il semble
préférable de le
conserver.
QUESTIONS
pour étude
complémentaire:
Quelles objections
sont là pour
l’utilisation des
attributs terme
appliqué à Dieu ?
Les mêmes objections
s’appliquent-elles à
l’allemande « Eigenschaften »
et la Hollande « eigenschappen » ?
Quel nom Calvin
utilise-t-il pour
eux ? Quelle
objection est là
pour la conception
des attributs comme
parties de Dieu ou
des ajouts à l’etre
divin ? Quelles
conceptions
défectueuses des
attributs étaient
courants au
moyen-Age ?
Avez-vous les
scolastiques dans
leur recherche pour
le suivi des
attributs un
a priori
ou a
posteriori, une
déduction ou une
méthode inductive ?
Pourquoi la leur
méthode est
fondamentalement
étranger à la
théologie de la
révélation ? Quelles
classifications des
attributs ont été
proposées en plus de
celles mentionnées
dans le texte ?
Pourquoi est-il
pratiquement hors de
question de donner
une division
irréprochable ?
Quelle division est
suggérée par le
Catéchisme de
Westminster ?
LITTÉRATURE:
Bavinck,
Geref. Dogme.
II,
pp. 100-123; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De Deo
I, pp. 268-287;
Honig,
Geref. Dogme.,
p. 182-185; Hodge,
Syst.
Theol. I, pp.
368-376; Shedd,
dogme
.
THEOL.
I,
p. 334-338;
Quelquefois,
Collected Works,
I, pp. 158-172;
Dabney,
conférences sur
Theol., pp.
147-151; Pieper,
Christl. Dogme.
I,
p. 524-536; Caftan,
dogme.,
pp. 168-181; Pape,
Chr.
Theol. I, p.
287-291; Steenstra,
l’être
de Dieu comme
l’unité et de la
Trinité, p.
89-111.
VI. Les attributs incommunicables
(Dieu comme l’Être
absolu)
Il a été assez
fréquent dans la
théologie de parler
de Dieu comme l’etre
absolu. Dans le même
temps, le terme
« absolu » est plus
caractéristique de
la philosophie que
c’est de la
théologie. Dans la
métaphysique du
terme « absolu » est
une désignation du
terrain ultime de
toute existence; et
parce que le théiste
parle aussi de Dieu
comme fondement
ultime de toute
existence, on pense
parfois que l’absolu
de la philosophie et
le Dieu du théisme
sont un seul et
même. Mais c’est pas
nécessairement le
cas. En effet la
conception
habituelle de
l’absolu le rend
impossible à
assimiler avec le
Dieu de la Bible et
de la théologie
chrétienne. Le terme
« Absolu » est
dérivé du Latin
absolutus, un
composé
ab (de) et
solvere
(à dévisser), donc
moyens quant à
l’État ou sans
limitation ou
restriction. Cette
pensée fondamentale
a été élaborée de
diverses manières,
afin que l’absolu a
été considéré comme
ce qui est exempt de
toutes les
conditions
(inconditionnel ou
lui-même), de toutes
les relations (la
(non relié), de
toutes les
imperfections (le
parfait), ou libre
de tous les
différences
phénoménales ou
distinctions, telles
que la matière et
esprit, être et
attributs, sujet et
objet, apparence et
réalité (le Real, ou
la réalité ultime).
La réponse à la
question, que
l’absolu de la
philosophie peut
être identifié avec
le Dieu de la
théologie, dépend de
la conception que
l'on a de l’absolu.
Si Spinoza conçoit
l’absolu comme l’un
Self-subsistantes
étant de laquelle
toutes choses
particulières sont
des modes mais
transitoires,
identifiant ainsi
Dieu et le monde,
nous ne pouvons
partager sa vision
de cet absolu comme
Dieu. Lorsque Hegel
considère l’absolu
comme l’unité de
pensée et d’être,
comme l’ensemble de
toutes choses, qui
comprend toutes les
relations, et dans
lequel tous les
désaccords actuels
sont résolus dans
une unité parfaite,
nous trouvons encore
une fois impossible
de le suivre en ce
qui concerne cet
absolu comme Dieu.
Et quand Bradley dit
que son absolue est
reliée à rien et
qu’il ne peut y
avoir aucune
relation pratique
entre elle et la
volonté finie, nous
sommes d’accord avec
lui que son absolu
ne peut pas être le
Dieu de la religion
chrétienne, pour ce
Dieu entrer en
relations avec
créatures finies.
Bradley ne peut
concevoir le Dieu de
la religion comme
autre qu’un Dieu
fini. Mais quand
l’absolu est défini
comme étant la Cause
première de toutes
choses existantes,
ou comme fondement
ultime de toute
réalité ou comme
l’étant lui-même, il
peut être considéré
comme identique avec
le Dieu de la
théologie. Il est
l’un infini, qui
n’existe pas dans
les relations
nécessaires ,
car il est autonome,
mais en même temps
peuvent entrer
librement dans
des relations
différentes avec sa
création dans son
ensemble et avec ses
créatures. Tandis
que les attributs
incommunicables
mettent l’accent sur
l’être absolu de
Dieu, les attributs
transmissibles
insistent sur le
fait qu’il conclut
des relations
différentes avec ses
créatures. Dans le
présent chapitre
suivantes
perfections de Dieu
venir en
considération.
A. l’Existence
autonome de Dieu.
Dieu est lui-même,
c'est-à-dire, il a
le terrain de son
existence en
lui-même. Cette idée
s’exprime parfois en
disant qu’il est
causa
sui (sa propre
cause), mais cette
expression n’est
guère précise,
puisque Dieu est
l’espace-temps, qui
existe par la
nécessité de son
propre être, et donc
nécessairement.
L’homme, en
revanche, n’existe
pas forcément et a
la cause de son
existence en dehors
de lui. L’idée
d’existence autonome
de Dieu est
généralement
exprimée par le
terme
aseitas, sens
self-son
origine, mais
les théologiens
réformés assez
généralement
remplacé par le mot
independentia
(indépendance),
comme exprimer, non
pas simplement que
Dieu est indépendant
dans son être, mais
aussi qu’il est
indépendant de tout
le reste: dans ses
vertus, de décrets,
travaux et ainsi de
suite. On peut dire
qu’il y a une légère
trace de cette
perfection dans la
créature, mais cela
ne peut signifier
que la créature, si
absolument
dépendante, a encore
sa propre existence
distincte. Mais,
bien sûr, cela tombe
bien loin d’être
lui-même. Cet
attribut de Dieu est
généralement reconnu
et il est implicite
dans les religions
païennes et dans
l’absolu de la
philosophie. Lorsque
l’absolu est conçu
comme
l’auto-existant et
comme fondement
ultime de toutes
choses, qui
engagerait
volontairement des
relations diverses
avec d’autres êtres,
il peut être
identifié avec le
Dieu de la
théologie. Comme
Dieu lui-même, il
n’est pas seulement
indépendant en
lui-même, mais
provoque aussi tout
dépend de lui. Cette
existence autonome
de Dieu trouve son
expression dans le
nom de Jéhovah.
C’est seulement
comme celui
auto-existant et
indépendante que
Dieu peut donner
l’assurance qu’il
restera
éternellement le
même à l’égard de
son peuple.
Indications
supplémentaires de
celui-ci sont
trouvent dans
l’affirmation de
John 05:26, « Pour
que le père a la vie
en lui-même, même si
a donné il au fils
aussi d’avoir la vie
en lui-même »; dans
la déclaration qu’il
est indépendant de
toutes choses et que
toutes les choses
existent seulement
par lui, PS. 94:8
ff.; Ésaïe 40:18
ff.; Actes à 07:25;
et dans les
déclarations
laissant entendre
qu’il est
indépendant dans sa
pensée, Rom. 11:33,
34 et dans son
testament, Dan.
04:35; ROM. 09:19;
Éphésiens 1:5;
04:11. en son
pouvoir, PS. 115:3
et à son avocat,
Psaume 33: 11.
B. l’immutabilité de
Dieu.
L’immutabilité de
Dieu est un
corollaire
nécessaire de son
aseity. C’est cette
perfection de Dieu
par lequel il est
dépourvu de tout
changement, non
seulement dans son
être, mais aussi
dans ses perfections
et dans son
application et de
promesses. En vertu
de cet attribut, il
est avant tout
devenir exalté et
est donc libre de
toute adhésion ou
diminution de
croissance ou
décroissance dans
son être ou
perfections. Ses
connaissances et
plans, ses principes
moraux et volitions
restent toujours les
mêmes. Même raison
nous apprend
qu’aucune
modification n’est
possible à Dieu, car
un changement est
soit pour meilleur
ou pour le pire.
Mais en Dieu, comme
la Perfection
absolue,
amélioration et
dégradation sont à
la fois tout aussi
impossible. Cette
immuabilité de Dieu
est clairement
enseignée dans ces
passages de
l’écriture comme Ex.
03:14; PS.
102:26-28; Ésaïe
41:4; 48:12;
Malachie 3:6; ROM.
01:23; Héb. 01:11,
12; Jacques 01:17.
Dans le même temps,
il y a beaucoup de
passages des
écritures qui
semblent attribuer
changer à Dieu. N’a
pas celui qui
demeure dans
l’éternité passe à
la création du
monde, s’incarner
dans le Christ et
dans le Saint-Esprit
repris sa demeure
dans l’église ? Il
n'est pas représenté
comme révélant et en
se cachant, allant
et venant, en se
repentant et en
changeant son
intention, ainsi que
traiter différemment
l’homme avant et
après la
conversion ? Cf.
Exode 32: 10-14;
Jonah 03:10; Prov.
11:20; 12:22; PS.
18:26, 27.
L’objection
impliquée ici
s’inspire dans une
certaine mesure
malentendu.
L’immuabilité divine
ne doit pas être
comprise comme
impliquant
l’immobilité,
comme s’il n’y a
aucun mouvement en
Dieu. Il est même
coutumier dans la
théologie de parler
de Dieu comme
purus
actus, un Dieu
qui est toujours en
action. La Bible
nous enseigne que
Dieu conclut de
multiples relations
avec l’homme et, en
quelque sorte, leur
vie avec eux. Il n’y
a changer tour
autour de lui, dans
les relations des
hommes à lui, mais
il n’y a aucun
changement dans son
être, ses attributs,
son but, ses motifs
d’action ou ses
promesses. Le but de
créer était éternel
avec lui, et il n’y
avait pas de
changement en lui
quand cela a été
réalisé par un seul
acte éternel de sa
volonté.
L’incarnation a
apporté aucun
changement dans
l’être ou
perfections de Dieu,
ni dans son dessein,
car il était son bon
plaisir éternel à
envoyer le fils de
son amour dans le
monde. Et si
l’écriture parle de
son repentir,
changeant son
intention et en
modifiant sa
relation aux
pécheurs, quand ils
se repentent, on
retiendra qu’il
s’agit seulement
d’une façon
anthropopathic de
parler. En réalité,
le changement est
pas en Dieu, mais
chez l’homme et dans
les relations de
l’homme à Dieu. Il
est important de
maintenir
l’immutabilité de
Dieu par rapport à
la doctrine
pélagienne et
arminienne que Dieu
est sujet à
changement, pas en
effet dans son être,
mais dans sa
connaissance et de
volonté, afin que
ses décisions sont
en grande partie
tributaire de
l’action de l’homme;
par rapport à la
notion de panthéiste
que Dieu est une
éternelle devienne
plutôt que d’un être
absolu, et que
l’inconscient absolu
se développe
progressivement en
personnalité
consciente chez
l’homme; et plus,
contre la tendance
actuelle de certains
à parler d’un corps
fini, du mal et ça
grimpe
progressivement
Dieu.
C. l’infinité de
Dieu.
L’infinité de Dieu
est que la
perfection de Dieu
par lequel il est
libre de toutes
restrictions. En
attribuant ce à
Dieu, nous nions
qu’il sont ou
peuvent être des
limitations à l’etre
divin ou attributs.
Cela implique qu’il
est en aucune façon
limité par
l’univers, par ce
monde de
l’espace-temps, ou
confiné à l’univers.
Elle n’implique pas
son identité avec la
somme totale des
choses existantes,
ni n’il exclut la
coexistence des
choses dérivées et
finis, auquel il a
rapport. L’infinité
de Dieu doit être
conçue comme plutôt
intensives
qu’extensives et ne
doit pas être
confondu avec
extension infinie,
comme si Dieu ont
été répartis à
travers tout
l’univers, une
partie étant ici et
là une autre, pour
que Dieu a sans
corps et par
conséquent aucune
extension. Ne doit
elle être considérée
comme une notion
purement négative,
s’il est
parfaitement vrai
que nous ne pouvons
pas former une idée
positive de
celui-ci. C’est une
réalité en Dieu
pleinement ne
compris que par lui.
On distingue divers
aspects de
l’infinité de Dieu.
1.
sa perfection
absolue. Il
s’agit de l’infinité
de l’être divin,
considéré en
lui-même. Il ne doit
pas être entendu
dans un quantitatif,
mais dans un sens
qualitatif; il
qualifie tous les
attributs
transmissibles de
Dieu. Puissance
infinie n’est pas un
absolu quantique,
mais une puissance
inépuisable
d’énergie; et la
sainteté infinie
n’est pas un quantum
infini de sainteté,
mais une sainteté
qui est,
qualitativement
exemptes de toute
limitation ou
défaut. Le même peut
être dit de la
sagesse et la
connaissance infinie
et de la justice et
l’amour infini. Dit
le Dr Orr:
« peut-être que nous
pouvons dire que
l’infini en Dieu est
au bout du compte:
(a) en interne et
d’un point de vue
qualitatif, absence
de toute limitation
et de défaut; (b)
l’immense
potentialité. »
En ce
sens du mot,
l’infinité de Dieu
est simplement
identique à la
perfection de son
être divin.
L’écriture, preuve
qu’il se trouve dans
Job 11:7-10; PS.
145:3; Matthieu
05:48.
2.
son éternité.
L’infinité de Dieu
par rapport au temps
est appelée son
éternité. La forme
dans laquelle la
Bible représente
l’éternité de Dieu
est tout simplement
celui de durée à
travers les âges
sans fin, Psaume 90:
2; 102:12; EP 03:21.
Rappelons, qu’en
parlant comme il le
fait la Bible
utilise toutefois,
langage populaire et
non la langue de la
philosophie. Nous
pensons généralement
de l’éternité de
Dieu de la même
manière, à savoir,
comme durée
infiniment prolongée
en arrière et en
avant. Mais c’est
seulement un moyen
populaire et
symbolique de
représentation qui
qui est en réalité
transcende le temps
et il diffère
essentiellement.
L’éternité au sens
strict du mot est
abscribed à celui
qui transcende
toutes les limites
temporelles. Qu’il
s’applique à Dieu,
en ce sens est au
moins laissé
entendre en II
Pierre 3:8.
« Temps », dit le Dr
Orr, « strictement a
lien avec le monde
des objets existant
dans la succession.
Dieu remplit le
temps; est dans
chaque partie de
celui-ci; mais son
éternité n’est pas
encore vraiment ce
qui est dans le
temps. C’est plutôt
qu’à quelles formes
de temps a
contraste. »
Notre
existence est
délimitée par des
jours et des
semaines et des mois
et des années; pas
si l’existence de
Dieu. Notre vie est
divisée en un passé,
présent et futur,
mais il n’y a aucune
une telle division
dans la vie de Dieu.
Il est l’éternel
« Je suis ». Son
éternité peut être
définie comme
cette
perfection de Dieu
par lequel il est
élevé surtout
temporelles limites
et toute succession
d’instants
et
possède la totalité
de son existence
dans un présent
indivisible. La
relation de
l’éternité de temps
constitue l’un des
problèmes plus
difficiles en
philosophie et en
théologie, peut-être
incapable de
solution dans notre
état actuel.
3.
son immensité.
L’infinité de Dieu
peut également être
considérée en ce qui
concerne l’espace et
est alors appelée
son immensité. Il
peut être défini
comme la
perfection de l’etre
divin par lequel il
transcende toutes
les limites
spatiales
et est
encore présente dans
chaque point de
l’espace avec tout
son être. Il a
un négatif et un
positif, récusant
toutes les
limitations de
l’espace de l’etre
divin et affirmant
que Dieu est
au-dessus de
l’endroit et remplit
chaque partie de
celui-ci
avec
tout son être.
Les derniers mots
sont ajoutés, afin
de contrer l’idée
que Dieu est
diffusée à travers
l’espace, afin
qu’une partie de son
être est présente
dans un seul endroit
et une autre partie
dans un autre lieu.
On distingue trois
modes de présence
dans l’espace. Corps
sont dans l’espace
d'une manière
restreinte, parce
qu’ils sont limités
par ce dernier; les
esprits finis sont
dans l’espace,
définitivement,
puisqu’ils ne sont
pas partout, mais
seulement à un
certain endroit
précis; et en
comparaison avec ces
deux de Dieu est
dans l’espace de
manière répétitive,
parce qu’il remplit
tout l’espace. Il
n’est pas absent de
toute partie d’elle,
ni le plus présent
dans une partie que
dans un autre.
Dans un certain
sens, les termes
« immensité » et
« omniprésence »,
tel qu’appliqué à
Dieu, indiquer la
même chose et
peuvent donc être
considérés comme
synonymes. Il y a
encore un point de
différence qui doit
noter avec soin.
« Immensité »
souligne le fait que
Dieu transcende tout
l’espace et ne fait
l’objet de ses
limites, tandis que
« omniprésence »
désigne qu’il
remplit néanmoins
toutes les parties
de l’espace avec
tout son être. La
première met
l’accent sur la
transcendance et ce
dernier, l’immanence
de Dieu. Dieu est
immanent dans toutes
ses créatures, dans
sa création toute
entière, mais n’est
en aucune façon
bornée par elle.
Dans le cadre de la
relation de Dieu au
monde il faut
éviter, d’une part,
l’erreur du
panthéisme, si
caractéristique
d’une grande partie
de la pensée de nos
jours, avec son
refus de la
transcendance de
Dieu et de son
hypothèse selon
laquelle l’être de
Dieu est vraiment le
fond d’un choses de
ll; et, d’autre
part, la conception
déiste que Dieu est
bien présent dans la
création
par
potentiam (avec
sa puissance), mais
pas par
essentiam et naturam
(avec son être même
et la nature) et
agit sur le monde à
distance. Bien que
Dieu est distinct du
monde et ne peut pas
être identifié avec
lui, il n’est encore
présent dans toutes
les parties de sa
création, non
seulement
par
potentiam, mais
aussi
par essentiam.
Cela ne signifie
pas, cependant,
qu’il est tout aussi
présent et présent
dans le même sens
dans toutes ses
créatures. La nature
de son séjour est en
harmonie avec celui
de ses créatures. Il
ne demeure pas sur
la terre comme il le
fait dans le ciel,
chez les animaux
comme il le fait
chez l’homme, dans
l’inorganique comme
il le fait dans la
création organique,
dans les méchants
comme il le fait
dans les pieux, ni
dans l’Eglise comme
il le fait en
Christ. Il y a une
variété infinie de
la façon dont il est
immanent dans ses
créatures et dans la
mesure où elles
révèlent Dieu à ceux
qui ont des yeux
pour voir.
L’omniprésence de
Dieu est clairement
révélé dans les
Ecritures. Ciel et
la terre ne peut pas
contenir de lui, I
rois 08:27; Ésaïe
66: 1; Actes à
07:48, 49; et en
même temps, il
remplit les deux et
est un Dieu à portée
de main, PS.
139:7-10; Jérémie
23:23, 24; Actes
17:27, 28.
D. l’unité de Dieu.
Une
distinction est
faite entre l'
unitas
singularitatis
et la
simplicitatis de l’unitas.
1.
l’UNITAS
SINGULARITATIS.
Cet attribut insiste
sur l’unicité et
l’unicité de Dieu,
le fait qu’il est
numériquement un et
que, comme tel, il
est unique. Cela
implique qu’il
existe, mais un être
divin, qu’à partir
de la nature de
l’affaire, il peut y
avoir, mais un seul
et que tous les
autres êtres
existent d’et à
travers et vers lui.
La Bible nous
enseigne dans
plusieurs passages
qu’il n’y a qu’un
seul Dieu véritable.
Salomon a plaidé
avec Dieu pour
défendre la cause de
son peuple, « que
tous les peuples de
la terre sachent que
Jéhovah, il est
Dieu; Il n’y a point
d’autre, » I Rois 8:
60. Et Paul écrit
aux Corinthiens,
« mais pour nous il
n’y a, mais un seul
Dieu, le père, qui
sont toutes choses
et nous en lui; et
un seul Seigneur
Jésus Christ, par
qui sont toutes
choses et nous en
lui, » j’ai Cor.
8:6. De même, il
écrit à Timothée,
« car il y a un seul
Dieu et un seul
médiateur entre Dieu
et les hommes,
l’homme Christ
Jésus, » I Timothée
2:5. D’autres
passages ne stressez
pas l’unité
numérique de Dieu
comme ils le font
son unicité. C’est
le cas dans
l’expression bien
connue de
Deutéronome 6:4,
« écoute, Ô Israël;
Jéhovah notre Dieu
est un seul
Jéhovah. » Le mot
hébreu 'echad,
traduit par « un »
peut également être
rendu « un seul »
l’équivalent de
l’allemand « einig »
et les Néerlandais
« eenig. » Et cela
semble être une
meilleure
traduction. Keil
insiste sur ce fait
que ce passage
n’enseigne pas
l’unité numérique de
Dieu, mais plutôt
que Jéhovah est le
seul Dieu qui a le
droit du nom de
Jéhovah. C’est aussi
le sens de ce terme
dans Zacharie 14:9.
La même idée est
magnifiquement
exprimée dans la
question rhétorique
d’Exode 15:11, « qui
est comme toi, Ô
Jéhovah, parmi les
dieux ? Qui est
comme toi magnifique
en sainteté,
craintive en
louanges, fait des
merveilles ? » Cela
exclut toutes les
conceptions
polythéistes de
Dieu.
2.
l’UNITAS
SIMPLICITATIS.
Tandis que l’unité
dans ce qui précède
définit Dieu en
dehors d’autres
êtres humains, la
perfection en examen
est expressive de
l’unité intérieure
et qualitative de l’etre
divin. Quand on
parle de la
simplicité de Dieu,
nous utilisons ce
terme pour décrire
l’État ou la qualité
d’être simple, à la
condition d’être
exempts de division
en parties et par
conséquent de
compositeness. Cela
signifie que Dieu
n’est pas composite
et qu’il n’est pas
susceptible de
division dans tout
les sens du terme.
Cela implique entre
autres choses, que
les trois personnes
de la divinité ne
sont pas tellement
de pièces dont se
compose l’essence
Divine, que
l’essence et les
perfections de Dieu
ne sont pas
distinctes, et que
les attributs ne
sont pas surajoutée
à son essence.
Puisque les deux
sont l’un, la Bible
peut parler de Dieu
comme lumière et de
vie, comme la
justice et l’amour,
permet
l’identification
avec ses
perfections. La
simplicité de Dieu
découle de certaines
de ses autres
perfections; depuis
son existence
autonome, qui exclut
l’idée que quelque
chose précédé, comme
dans le cas des
composés; et de son
immuabilité, qui ne
pouvait pas être
fondée de sa nature,
si elle était
constitué de pièces.
Cette perfection
était contestée au
moyen âge et s’est
vu refuser par les
Sociniens et les
arminiens.
L’écriture n’affirme
pas explicitement
il, mais implique il
où il parle de Dieu
comme la justice,
vérité, sagesse,
lumière, vie, amour
et ainsi de suite et
indique donc que
chacune de ces
propriétés, à cause
de leur perfection
absolue, est
identique à son
être. Dans ses
œuvres récentes sur
la théologie, la
simplicité de Dieu
est rarement
mentionnée. Beaucoup
de théologiens
positivement le
nier, soit parce
qu’il est considéré
comme une
abstraction purement
métaphysique, parce
que, à leur avis, il
est en conflit avec
la doctrine de la
Trinité. Dada est
d’avis qu’il n’y est
pas de composition
dans la substance de
Dieu, mais nie que
lui substance et les
attributs sont un
seul et mêmes. Il
affirme que Dieu
n’est pas plus
simple à cet égard
que les esprits
finis.
QUESTIONS
pour une étude plus
approfondie. Quelles
conceptions
différentes de
l’absolu nous
rencontrer en
philosophie ?
L’absolu de la
philosophie toujours
peut être identifié
avec le Dieu de la
théologie ? Comment
Bradley distingue
les deux ? Comment
le Dieu finie de
James, Schiller,
Ward, puits et
autres, lié à
l’absolu ? Comment
l’incommunicables
attributs de Dieu
relier avec
l’absolu ?
L’immutabilité de
Dieu exclut tout
mouvement en Dieu ?
Dans quelle mesure
il exclut-elle
changements d’action
et des relations ?
La perfection
absolue de Dieu
devrait être
considérée comme un
attribut ? Pourquoi
la Bible représente
l’éternité de Dieu
comme durée sans
fin ? Est-il
possible
d’harmoniser la
transcendance et
l’immanence de
Dieu ? Comment
transcendance est
souvent interprétée
en théologie
moderne ? Ce qui est
implicite dans la
simplicité de Dieu ?
LITTÉRATURE:
Bavinck,
Geref. Dogme.
II,
pp. 137-171; Kuyper,
Dict.
dogme.,
Deo
I, pp. 287-318;
Hodge,
syst.
théol. J’ai,
pp. 380-393; Shedd,
dogme
.
Théol. J’ai,
pp. 338-353; Dabney,
syst
et trouvailles.
THEOL.,
p. 151-154;
Quelquefois,
Collected Works
I, pp. 189-205;
Strong,
Syst. Theol.,
pp. 254-260,
275-279; Pieper,
Christl. Dogme.
I,
p. 536-543, 547-549;
Knudson,
le Doct.
de Dieu, pp.
242-284; Steenstra,
Dieu
comme l’unité et de
la Trinité, pp.
112-139; Charnock,
Existence et des
attributs de Dieu.
p. 276-405.
VII. les attributs transmissibles
(Dieu comme un
esprit personnel)
Que Dieu soit
décrit comme «un
esprit personnel» ne
signifie aucunement
qu'Il est une
personne. Le terme
«personnel» désigne
ici le caractère et
le pouvoir détenu et
exercé par un seul
dirigeant. Un terme
plus approprié
serait que «Dieu est
un esprit original»
distingué ou
imminent dans le
sens d'être
extraordinaire d'une
façon incomparable,
inconcevable, et
stupéfiante qui
exalte son nom comme
étant «l'ADMIRABLE».
Si les attributs
examinés dans le
chapitre précédent a
souligné l’être
absolu de Dieu, ceux
qui restent à être
considéré comme
mettre l’accent sur
son caractère
personnel. C’est
dans les attributs
transmissibles que
Dieu se distingue
comme un consciente,
intelligente, libre
et l’être moral,
comme un être qui
est personnel dans
le sens le plus
élevé du mot. La
question a longtemps
retenu l’attention
des philosophes et
est toujours un
sujet de débat, si
l’existence
personnelle est
conforme à l’idée
d’absolu. La réponse
à cette question
dépend dans une
large mesure le sens
on attribue au mot
« absolu ». Le mot a
été utilisé dans
trois sens
différents dans la
philosophie, qui
peuvent être
libellés comme
l’agnostique, la
logique et le sens
de causalité. Pour
l’agnostique,
l’absolu est la non
apparentés, dont
rien ne peut être
connue, car les
choses sont connus
seulement dans leurs
relations. Et si
rien ne peut être
connue de celui-ci,
personnalité ne peut
être attribué à ce
terme. En outre,
étant donné que la
personnalité est
impensable en dehors
des relations, il ne
peut être identifié
avec un absolu qui
est dans son essence
même les
indépendants. Dans
la logique absolue,
l’individu est
subordonnée à
l’universel et le
plus universel est
la réalité ultime.
Telle est la
substance absolue de
Spinoza et de
l’esprit absolu de
Hegel. Il peut
s’exprimer dans et à
travers le fini,
mais rien n’est fini
ne peut exprimer sa
nature essentielle.
D’attribuer la
personnalité à elle
consisterait à
limiter à un seul
mode d’être et
détruirait son
caractère absolu. En
fait, cette absolue
ou ultime est
concept seulement
abstraite et vide,
ce qui est stérile
de tout le contenu.
La causalité voir de
l’absolue représente
comme fondement
ultime de toutes
choses. Il n’est pas
tributaire de rien
en dehors de
lui-même, mais
provoque toutes les
choses à en
dépendre. En outre,
il n’est pas
nécessairement
complètement
différent, mais peut
entrer dans des
relations
différentes avec les
créatures finies.
Une telle conception
de l’absolu n’est
pas incompatible
avec l’idée de la
personnalité. En
outre, nous devons
garder à l’esprit
que dans leur
argumentation
philosophes
fonctionnaient
toujours avec l’idée
de la personnalité
tel qu’il est
réalisé chez l’homme
et perdu de vue le
fait que la
personnalité de Dieu
pourrait être
quelque chose
d’infiniment plus
parfait. En fait,
personnalité
parfaite se trouve
seulement à Dieu, et
ce que nous voyons
chez l’homme est
uniquement une copie
finie de l’original.
Encore plus, il y a
une tripersonalité
en Dieu, dont aucune
analogie ne se
trouve dans les
êtres humains.
Plusieurs preuves
naturelles, assez
semblables à celles
produites pour
l’existence de Dieu,
ont été appelés à
prouver la
personnalité de
Dieu. (1)
personnalité humaine
exige un Dieu
personnel pour son
explication. L’homme
n’est pas un
lui-même et éternel,
mais un être fini
qui a un début et
une fin. La cause
supposée doit être
suffisante pour
tenir compte de
l’ensemble de
l’effet. Puisque
l’homme est un
produit personnel,
le pouvoir lui
originaire doit être
personnels. Sinon il
y a quelque chose à
l’effet qui est
supérieur à tout ce
qui se trouve dans
la cause; et ce
serait tout à fait
impossible. (2) le
monde a en général
témoigne de la
personnalité de
Dieu. Dans sa toute
la trame et la
constitution, il
révèle les traces
les plus manifestes
d’une intelligence
infinie, des
émotions plus
profondes, plus
hautes et plus
tendres et d’une
volonté qui est
tout-puissant. Par
conséquent, nous
sommes contraints de
monter dans le monde
au fabricant du
monde comme un être
de l’intelligence,
la sensibilité et la
volonté,
c'est-à-dire comme
une personne. (3) la
nature morale et
religieuse de
l’homme souligne
aussi la
personnalité de
Dieu. Sa nature
morale lui impose un
sentiment
d’obligation de le
faire qui est juste,
et cela implique
nécessairement
l’existence d’un
législateur suprême.
En outre, son
caractère religieux
constamment l’invite
à chercher la
communion
personnelle avec un
être supérieur; et
tous les éléments et
les activités de la
religion exigent en
un Dieu personnel
tant que leur objet
et de la fin. Même
soi-disant religions
panthéistes
témoignent souvent
inconsciemment à la
croyance en un Dieu
personnel. Le fait
est que toutes ces
choses comme
pénitence, foi et
obéissance, bourse
et amour, fidélité
au service et le
sacrifice, la
confiance dans la
vie et la mort, sont
sans signification à
moins qu’ils
trouvent leur objet
approprié en un Dieu
personnel.
Mais alors que
toutes ces
considérations sont
vraies et ont une
certaine valeur
comme
testimonia, ils
ne sont pas les
preuves dont dépend
la théologie dans sa
doctrine de la
personnalité de
Dieu. Il s’avère
pour preuve à la
révélation de Dieu
dans l’écriture. Le
terme « personne »
n’est pas appliqué à
Dieu dans la Bible,
bien qu’il existe
des mots, telles que
l' hébreu
panim
et le grec
prosopon,
qui viennent très
proche d’exprimer
l’idée. En même
temps l’écriture
témoigne de la
personnalité de
Dieu, en plus d’un
titre. La présence
de Dieu, tel que
décrit par l’ancien
et du Nouveau
Testament,
écrivains, est
clairement une
présence
personnelle. Et les
représentations
anthropomorphes et
anthropopathic de
Dieu dans
l’écriture, même si
elles doivent être
interprétées ainsi
ne pas pour militer
contre la
spiritualité pure et
la sainteté de Dieu,
peut difficilement
être justifiée, sauf
dans l’hypothèse que
l’être auquel ils
s’appliquent est une
vraie personne, avec
des attributs
personnels, même si
elle est sans
limites humaines.
Dieu est représenté
dans l’ensemble
comme un Dieu
personnel, avec
lesquels les hommes
peuvent et peuvent
converser, dont ils
peuvent faire
confiance, qui les
soutient dans leur
procès et remplit
leur cœur à la joie
de la délivrance et
la victoire. Et,
enfin, la plus haute
de la révélation de
Dieu dont témoigne
la Bible est une
révélation
personnelle. Jésus
Christ révèle le
père de manière
parfaite qu’il
pouvait dire à
Philippe, » celui
qui m’a vu a vu le
père, » John 14:9.
Preuves plus
détaillées seront
affiche dans la
discussion des
attributs
transmissibles.
A. la spiritualité
de Dieu.
La Bible ne nous
donne pas une
définition de Dieu.
L’approche le plus
près à quoi que ce
soit, comme on le
trouve dans la
parole du Christ à
la femme
samaritaine, « Dieu
est esprit, » John
04:24. Il s’agit
d’au moins une
déclaration visant à
nous dire ce que
Dieu est en un seul
mot. Le Seigneur ne
dit pas simplement
que Dieu est un
esprit, mais qu’il
est esprit. Et à
cause de cette
déclaration claire
que c’est mais
parfaitement que
nous devrions
discuter d’abord de
la spiritualité de
Dieu. En enseignant
la spiritualité de
Dieu théologie
insiste sur le fait
que Dieu est un être
substantielle tout
son propre et
distincte du monde,
et que ce qui est
important est
immatériel,
invisible et sans
composition ou
extension. Il inclut
l’idée que toutes
les qualités
essentielles qui
font partie de
l’idée parfaite de
l’esprit sont
trouvent en lui:
qu’il est un être
conscient de soi et
autonomes. Puisqu’il
est l’esprit dans la
plus absolue, et
dans le plus pur
sens du terme, il
n’y a en lui aucune
composition des
pièces. L’idée de la
spiritualité de
nécessité exclut
l’attribution de
quelque chose comme
corporéité à Dieu et
condamne donc les
fantaisies de
certains des
premiers Gnostiques
et mystiques
médiévaux et de tous
ces sectaires de
notre temps qui
attribuent un corps
à Dieu. Il est vrai
que la Bible parle
de mains et pieds,
les yeux et
oreilles, la bouche
et nez de Dieu, mais
ce faisant il parle
scouby ou au sens
figuré de celui qui
transcende loin
notre connaissance
de l’homme et dont
nous ne pouvons
parler de manière
balbutiant arrière
er la manière des
hommes. En
attribuant la
spiritualité, à
Dieu, nous affirmons
également qu’il n’a
aucune des
propriétés
appartenant à la
pour matière, et
qu’il ne peut pas
discerner par les
sens corporels. Paul
parle de lui comme
« le roi éternel,
immortel et
invisible » (I
Timothée 01:17) et
encore une fois
comme « le roi des
rois et Seigneur des
seigneurs, qui seul
possède
l’immortalité,
demeurant dans la
lumière
inaccessible;
qu’aucun homme n’a
vu, ni ne peut voir:
qui comme honneur et
la puissance
éternelle, » j’ai
Timothée 06:15, 16.
B. attribut intellectuel.
Dieu est représenté
dans l’écriture
comme lumière et par
conséquent aussi
parfait dans sa vie
intellectuelle.
Cette catégorie
comprend deux des
perfections divines,
à savoir, la
connaissance et la
sagesse de Dieu.
1.
la connaissance de
Dieu. La
connaissance de Dieu
peut être définie
comme
que la perfection de
Dieu par lequel il,
d’une
manière tout à fait
unique,
sait
lui-même et toutes
les choses possibles
et réelles dans une
loi éternelle et
plus simple. La
Bible témoigne
abondamment, comme,
par exemple, la
connaissance de Dieu
dans I Samuel 2:3;
Job 12:13; PS. 94:9;
147:4; Ésaïe 29: 15;
40:27, 28. plusieurs
points nécessitent
une attention dans
le cadre de la
connaissance de
Dieu.
a.
sa nature.
La connaissance de
Dieu diffère en
quelques points
importants de celle
des hommes. C’est
archétypal, ce
qui signifie qu’il
connaît l’univers
tel qu’il existe
dans sa propre idée
éternelle avant son
existence comme une
réalité limitée dans
le temps et
l’espace; et que sa
connaissance n’est
pas, comme le nôtre,
obtenues sans. C’est
une connaissance qui
se caractérise par
la
perfection absolue.
Par conséquent, il
est
intuitif plutôt
que démonstratif ou
discursive. C’est
inné et
immédiatset
n’entraîne pas
d’observation ou
d’un processus de
raisonnement. Être
parfait, c’est aussi
simultanée et
pas successifs,
alors qu’il voit les
choses à la fois
dans leur totalité
et non fragmentaire
une après l’autre.
En outre, c’est
complet
et parfaitement
conscient,
tandis que la
connaissance de
l’homme est toujours
partielle, souvent
indistincte et
souvent ne parvient
pas à s’élever dans
la claire lumière de
la conscience. Une
distinction est
faite entre la
connaissance
nécessaire et
gratuit
de Dieu. Le premier
est la connaissance
que Dieu a de
lui-même et de
toutes les choses
possibles, une
connaissance
reposant sur la
conscience de son
omnipotence. Ça
s’appelle des
connaissances
nécessaires,
car il n’est pas
déterminée par une
action de la volonté
divine volonté. Il
est également connu
comme
la connaissance de
l’intelligence
simple, compte
tenu du fait qu’il
est purement sera un
acte de
l’intelligence
divine, sans action
simultanée du divin.
La
connaissance libre
de Dieu est la
connaissance qu’il a
de toutes les choses
réelles,
c'est-à-dire, des
choses qui
existaient dans le
passé, qui existent
dans le présent ou
qui existeront à
l’avenir. Elle est
fondée sur la
connaissance infinie
de Dieu de son
propre dessein
éternel tout complet
et immuable et est
appelée la
connaissance libre,
parce qu’il est
déterminé par une
loi simultanée de la
volonté. Il est
aussi appelé
visionis scientia,
connaissance de la
vision.
b.
son étendue.
La connaissance de
Dieu n’est pas
seulement parfaite
en nature, mais
aussi dans sa
totalité. On
l’appelle
omniscience,
parce que c’est
tout-complet. Afin
de promouvoir une
estimation
appropriée de
celui-ci, nous
pouvons préciser
comme suit: Dieu
sait lui-même et en
lui-même toutes les
choses qui viennent
de lui
(connaissances
internes). Il
connaît toutes
choses comme elles
viennent en réalité
de pass, passé,
présent et futur et
les connaît dans
leurs relations
réelles. Il connaît
l’essence cachée des
choses, pour qui la
connaissance de
l’homme ne peut pas
pénétrer. Il voit
pas que l’homme
voit, qui observe
seulement les
manifestations vers
l’extérieur de la
vie, mais pénètre
dans les profondeurs
du cœur humain. En
outre, il sait ce
qui est possible et
ce qui est réel;
toutes choses qui
pourraient se
produire dans
certaines
circonstances sont
présentes à son
esprit.
L’omniscience de
Dieu est clairement
enseigné dans
plusieurs passages
de l’écriture. Il
est parfait dans la
connaissance, Job
37: 16, regarde pas
sur l’aspect
extérieur, mais sur
le coeur, j’ai Sam.
16:7; J’ai
chroniques 28: 9,
17; PS. 139,1-4;
Jérémie 17:10,
observe les manières
des hommes, Deut.
2:7; Emploi à 23:10;
24:23; 31: 4; PS.
1:6; 119:168, sait
le lieu de leur
habitation, Psaume
33:13 et les jours
de leur vie, PS.
37:18. Cette
doctrine de la
connaissance de Dieu
doit être maintenue
par rapport à toutes
les tendances
panthéistes pour
représenter Dieu
comme le motif
inconscient du monde
phénoménal et de
ceux qui, comme
Marcion, Socinus et
tous ceux qui
croient en un Dieu
fini, attribuent à
lui seulement un
nombre limité
connaissance.
Il y a une question,
toutefois, que les
appels de discussion
spéciale. Il s’agit
de préconnaissance
de Dieu de l’action
libre des hommes et
par conséquent des
événements
conditionnels. Nous
pouvons comprendre
comment Dieu peut
connus où les règles
de nécessité, mais
trouve qu’il est
difficile de
concevoir une
connaissance
préalable des
actions dont l’homme
librement est
originaire. La
difficulté de ce
problème a conduit
certains à nier la
prescience des
actions gratuites et
d’autres à nier la
liberté humaine. Il
est parfaitement
évident que
l’écriture enseigne
la prescience divine
des événements
contingents, j’ai
Sam. 23:10-13; II
Rois 13:19; PS.
81:14, 15; Ésaïe
42:9; 48:18; Jérémie
2:2, 3; 38: 17-20;
Ézéchiel 3:6;
Matthieu 11:21. En
outre, il ne nous
laisse pas de doute
réel quant à la
liberté de l’homme.
Certes, elles ne
permettent pas le
déni de l’un des
termes du problème.
Nous sommes face à
un problème ici, que
nous ne pouvons
résoudre
complètement, bien
qu’il soit possible
de faire une
approche à une
solution. Dieu a
décrété toutes
choses et eux a
décrété avec leurs
causes et les
conditions
applicables dans
l’ordre exact dans
lequel ils viennent
de passer; et sa
prescience des
choses futures et
aussi des événements
contingents repose
sur son décret.
Cette action a
résolu le problème
selon la prescience
de Dieu est.
Mais maintenant la
question se pose,
c’est la
prédétermination des
choses conforme à la
volonté de l’homme ?
Et la réponse est
qu’il n’est
certainement pas, si
la liberté de la
volonté considérée
comme
indifferentia
(arbitraire), mais
il s’agit d’une
conception
injustifiée de la
liberté de l’homme.
La volonté de
l’homme n’est pas
quelque chose de
tout à fait pour une
période
indéterminée,
quelque chose
suspendue dans l’air
qui peut être
basculé
arbitrairement dans
les deux sens. C’est
plutôt quelque chose
d’ancré dans notre
nature, liés à nos
instincts et les
émotions plus
profondes et
déterminé par notre
réflexion
intellectuelle ainsi
que par notre nature
même. Et si nous
concevons notre
liberté humaine
comme
lubentia rationalis
(autodétermination
raisonnable), alors
nous n’avons aucun
mandat suffisant
pour dire qu’il est
incompatible avec la
prescience divine.
Dit le Dr Orr: « une
solution de ce
problème il y a,
bien que nos esprits
ne parviennent pas à
saisir. En partie il
réside probablement,
ne pas à nier la
liberté, mais dans
une conception
révisée de la
liberté. Pour la
liberté, après tout,
n’est pas
arbitraire. Il y a
dans toute action
rationnelle un
pourquoi
pour agir — une
raison qui détermine
l’action. L’homme
vraiment libre n’est
pas l’homme
incertain,
incalculable, mais
l’homme qui est
fiable.
En bref, la liberté
a ses lois — lois
spirituelles — et
l’esprit omniscient
sait ce que voici.
« Mais un élément de
mystère, il faut
reconnaître, encore
des restes ».
Des
théologiens
jésuites, luthériens
et arminiens
suggèrent le
soi-disant
scientia media
comme une solution
du problème. Le nom
est révélateur du
fait qu’elle occupe
un terrain d’entente
entre le nécessaire
et la connaissance
libre de Dieu. Elle
diffère de l’ancien
que son
objet n’est pas
toutes les choses
possibles,
mais
une classe spéciale
des choses en
réalité futures;
et de ce dernier en
ce que son
terrain
n’est pas le dessein
éternel de Dieu,
mais
l’action libre de la
créature comme
simplement prévu.
On l’appelle
médiation
,
dit Dabney, « parce
qu’ils supposent
Dieu arrive chez
lui, pas directement
en connaissant son
propre but à effet
il, mais
indirectement par
son infinie
perspicacité dans la
façon dans laquelle
la deuxième cause de
contingent agira,
moins compte tenu de
circonstances vers
l’extérieur, prévus
ou produites par
Dieu ».
Mais
ce n’est pas une
solution du problème
du tout. C’est une
tentative de
concilier les deux
choses qui
logiquement excluent
mutuellement, à
savoir, la liberté
d’action dans le
sens de pélagienne
et un
certains
prescience de cette
action. Des actions
qui ne sont en
aucune façon
déterminée par Dieu,
directement ou
indirectement, mais
dépendent
entièrement de la
volonté arbitraire
de l’homme, peuvent
difficilement être
l’objet de la
prescience divine.
En outre, il est
inadmissible, car
elle conditionne la
connaissance divine
sur le choix de
l’homme, annule
pratiquement la
certitude de la
connaissance des
événements futurs et
donc nie
implicitement
l’omniscience de
Dieu. Il est
également à
l’encontre de ces
passages de
l’écriture comme
actes 02:23; ROM.
09:16; EP 01:11;
Phil. 02:13.
2.
la sagesse de Dieu.
La sagesse de Dieu
peut être considérée
comme un aspect
particulier de sa
connaissance. Il est
évident que la
connaissance et la
sagesse ne sont pas
les mêmes, qu’ils
sont étroitement
liés. Ils
n’accompagnent pas
toujours entre eux.
Un homme sans
instruction peut
être supérieur à un
érudit en sagesse.
Connaissances
s’acquièrent par
l’étude, mais la
sagesse résulte
d’une vision
intuitive dans les
choses. La première
est théorique,
tandis que la
seconde est
pratique, faire
connaissance inféodé
à un but spécifique.
Les deux sont
imparfaites chez
l’homme, mais en
Dieu, ils sont
caractérisés par la
perfection absolue.
La sagesse de Dieu
est son intelligence
qui se manifeste
dans l’adaptation
des moyens aux fins.
Il souligne le fait
qu’il a toujours
s’efforce d’être les
meilleurs bouts
possibles et choisit
le meilleur moyen
pour la réalisation
de ses desseins. H.
B. Smith définit la
sagesse divine comme
« cet attribut de
Dieu par lequel il
donne les meilleurs
résultats possibles
avec les meilleurs
moyens possibles ».
Nous pouvons être un
peu plus précis et
que la
perfection de Dieu
par lequel il
applique ses
connaissances à la
réalisation de ses
fins, d’une manière
qui lui glorifie
plusl’appeler.
Elle implique une
fin définitive à
laquelle toutes les
terminaisons
secondaires sont
subordonnées; et
selon l’Ecriture,
cette fin est la
gloire de Dieu,
Romains 11:33; 14:7,
8; EP 01:11, 12;
01:16. L’écriture se
réfère à la sagesse
de Dieu dans
plusieurs passages
et même le
représente comme
personnifiée dans
Proverbes 8. Cette
sagesse de Dieu se
voit
particulièrement
dans la création,
Psaume 19:1-7;
104:1-34; dans
providence, PS.
33:10, 11; ROM.
08:28; et à la
rédemption, Romains
11:33; J’ai Cor.
2:7; EP 03:10.
3.
la véracité de Dieu.
L’écriture utilise
plusieurs mots pour
exprimer la véracité
de Dieu: dans
l’ancien Testament «emeth, »Alex,
et 'amenet
dans le Nouveau
Testament
alethes
(aletheia),
alethinoset
pistis .
Il
pointe déjà vers le
fait qu’elle
comprend plusieurs
idées, comme la
vérité, l’honnêteté
et la fidélité.
Lorsque Dieu est
appelée la vérité,
c’est d’être compris
dans son sens le
plus complet. Il est
la vérité d’abord
dans un sens
métaphysique,
c'est-à-dire en lui
l’idée de la
divinité est
parfaitement
réalisée; Il est
tout ce qu’il a
comme Dieu doit et
comme telle se
distingue de tous
les dieux de ce
qu’on appelle, qui
sont appelés de
vanité et mensonges,
PS. 96:5; 97:7; 115:
4-8; Ésaïe 44: 9,
10. Il est aussi la
vérité dans un sens
éthique
et comme telle
révèle lui-même car
il est vraiment,
pour que sa
révélation est
absolument fiable,
nombres 23:19;
Romains 3:4; Héb.
06:18. Enfin, il est
aussi la vérité dans
un sens
logique , et en
vertu de ce qu’il
sait des choses
qu’ils sont vraiment
et a donc constitué
l’esprit de l’homme
que ce dernier
puisse savoir, non
seulement
l’apparence, mais
aussi la réalité,
des choses. Ainsi,
la vérité de Dieu
est le fondement de
toute connaissance.
Il faut avoir à
l’esprit, en outre,
que ces trois ne
sont que des aspects
différents de la
vérité, l’un en
Dieu. Compte tenu de
ce qui précède on
peut qualifier la
véracité ou la
vérité de Dieu
que la
perfection de son
être en vertu de
laquelle il répond
pleinement à l’idée
de la divinité,
est
parfaitement fiable
dans sa révélation,
et
voit les choses
comme elles vraiment
sont.
C’est à cause de
cette perfection
qu’il est la source
de toute la vérité,
non seulement dans
le domaine de la
morale et de
religion, mais aussi
dans tous les
domaines de
l’activité
scientifique.
L’écriture est très
catégorique dans ses
références à Dieu
comme vérité, Ex.
34: 6; Nombres
23:19; Deutéronome
32: 4; PS. 25: 10;
31:6; Ésaïe 65:16;
Jérémie 10:8, 10,
11; John 14:6; 17:3;
Tite 1:2; Héb.
06:18; J’ai John
05:20, 21. Il n’y a
encore un autre
aspect de cette
perfection divine et
celui qui est
toujours considéré à
partir de la plus
haute importance. On
l’appelle
généralement sa
fidélité, en
vertu duquel il est
soucieux de son
alliance et répond à
toutes les promesses
qu’il a faites à son
peuple. Cette
fidélité de Dieu est
de la plus grande
importance pratique
pour le peuple de
Dieu. C’est le motif
de leur confiance,
la Fondation de leur
espoir et la cause
de leur joie. Il
enregistre le
désespoir auquel
leur propre
infidélité peut
conduire aisément,
leur donne le
courage de continuer
en dépit de leurs
échecs et remplit
leur cœur avec
anticipations
joyeuses, même quand
ils sont
profondément
conscients du fait
qu’ils ont confisqué
tous les
bénédictions de
Dieu. Nombres 23:19;
Deut. 7:9; PS. 89:
33; Ésaïe 49: 7; I
Corinthiens 1:9; II
Timothée 02:13; Héb.
06:17, 18; 10:23.
C. les attribues de
la morale.
Les attributs moraux
de Dieu sont
généralement
considérées comme la
plus glorieuse des
perfections divines.
Pas un attribut de
Dieu est en soi plus
parfaite et
glorieuse que
l’autre, mais
relativement à
l’homme morales
perfections de Dieu
brille avec une
splendeur tous leurs
propres. Ils sont
généralement abordés
sous trois chefs:
(1) la bonté de
Dieu; (2) la
sainteté de Dieu; et
(3) la justice de
Dieu.
1.
la bonté de Dieu.
Ceci est
généralement
considéré comme une
conception
générique, y compris
plusieurs variétés
qui sont distinguent
selon leurs objets.
La bonté de Dieu ne
doit pas être
confondue avec sa
gentillesse, qui est
un concept plus
restreint. On parle
de quelque chose de
bon aussi, quand il
répond à toutes les
parties à l’idéal.
C’est pourquoi dans
notre attribution de
la bonté de Dieu
l’idée fondamentale
est qu’il est dans
tous les sens tout
ce qu’il a que Dieu
devrait être, et
donc les réponses
parfaitement à
l’idéal exprimé dans
le mot « Dieu ». Il
est bon dans le sens
métaphysique de la
parole, la
perfection absolue
et le bonheur
parfait en lui-même.
C’est dans ce sens
que le jeune homme
dit Jésus: « Aucun
n’est bon sauf un,
même de Dieu, » Marc
10:18. Mais puisque
Dieu est bon en
lui-même, il est
également bon pour
ses créatures et
peut-être donc être
appelé les
fons
omnium bonorum.
Il est la source de
tout bien et est
donc représenté par
une multitude de
moyens tout au long
de la Bible. Le
poète chante: « pour
toi est la fontaine
de la vie; dans ta
lumière nous verrons
la lumière, » Psaume
36: 9. Toutes les
bonnes choses qui
les créatures
bénéficient dans le
présent et attendent
à l’avenir, flow
pour eux hors de
cette fontaine
inépuisable. Et non
seulement cela, mais
Dieu est aussi le
summum
bonum, le plus
grand bien, pour
toutes ses
créatures, quoiqu’à
des degrés divers et
selon la mesure dans
laquelle ils
répondent au but de
leur existence. Dans
la connexion
actuelle nous
naturellement
soulignent l’éthique
bonté de Dieu et les
différents aspects
de celle-ci, car
elles sont
déterminées par la
nature de ses
objets.
a.
la bonté de Dieu
envers ses créatures
en général.
Il peut être défini
comme
la perfection de
Dieu, qui l’invite à
composer abondamment
et gentiment avec
toutes ses créatures.
C’est l’affection
qui le créateur se
sent envers ses
créatures sensibles
comme tel. Il chante
le Psalmiste dans
l’expression bien
connue: « Jéhovah
est bon pour tous;
et ses tendres
miséricordes sont
sur toutes ses
œuvres.... Aux yeux
de tous attendent
pour toi; et tu leur
donnes leur
nourriture en bonne
saison. Tu openest
ta main et
satisfiest le désir
de chaque chose
vivante, » Psaume
145:9, 15, 16. Cet
intérêt bienveillant
de Dieu se révèle
dans ses soins pour
le bien-être de la
créature et est
adapté à la nature
et les circonstances
de la créature. Il
varie naturellement
en degré selon la
capacité des objets
de le recevoir. Et
s’il n’est pas
limité aux croyants,
ils seulement
manifestent une
juste appréciation
de ses bienfaits, le
désir de les
utiliser dans le
service de leur Dieu
et ainsi en profiter
dans une mesure plus
riche et plus
complète. La Bible
fait référence à
cette bonté de Dieu,
en beaucoup de
passages, comme PS.
36:6; 104:21;
Matthieu 05:45;
06:26; Luc 06:35;
Actes 14:17.
b.
l’amour de Dieu.
Lorsque la bonté de
Dieu s’exerce envers
ses créatures
rationnelles, il
suppose que le
caractère plus élevé
de l’amour, et cet
amour peut-être à
nouveau être
distingué selon les
objets sur lesquels
il s’arrête. À la
différence de la
bonté de Dieu en
général, il peut
être défini comme
cette
perfection de Dieu
par lequel il est
éternellement
s’installe à l’auto-communication.
Puisque Dieu est
absolument bon en
lui-même, son amour
ne peut pas trouver
entière satisfaction
dans n’importe quel
objet en deçà de la
perfection absolue.
Il aime ses
créatures
rationnelles pour
lui-même, ou, pour
l’exprimer
autrement, qu’il
aime en eux
lui-même, ses
vertus, son travail
et ses dons. Il ne
pas même retire son
amour complètement
de pécheur dans son
état actuel
pécheresse, bien que
le péché de ce
dernier est en
abomination à lui,
puisqu’il reconnaît
même dans le pécheur
de son porteur
d’image. John 03:16;
Matthieu 05:44, 45.
Dans le même temps,
il aime croyants
avec un amour
spécial, puisqu’il
les envisage comme
ses enfants
spirituels dans le
Christ. C’est à eux
qu’il communique
lui-même dans le
sens de la plus
complète et la plus
riche, avec toute la
plénitude de sa
grâce et de
miséricorde. John
16:27; Romains 5:8;
1 Jean 3:1.
Mais une telle
description donne la
fausse impression
que l'amour de Dieu
est un sentiment
comme chez les
hommes. Or l'amour
de Dieu (agape,
agapao) est loin
d'être un sentiment
de tendresse plein
d'émotions, il est
plutôt une attitude
de renoncement ou de
résignation dans le
sens d'un mouvement
sacrificiel et
perpétuel qui est
l'essence même de
son Existence, car
Dieu se retrouve
Lui-même dans le
renoncement de
Lui-même et cela
éternellement dans
l'épanouissement de
son Existence. Le
renoncement est
l'enseignement
primaire du Seigneur
Jésus qui désire que
nous soyons résigné
à la volonté de Dieu
et à la vérité qu'Il
nous transmet comme
principe de vie.
L'amour de la vérité
ou résignation aux
valeurs absolues et
ultimes de l'Esprit
des vivants devient
ainsi un facteur
primordiale dans la
vie du chrétien
authentique.
c.
la grâce de Dieu.
Le mot important
« grâce » est une
traduction de
l'hébreu
chanan et le
grec
charis. Selon
l’Ecriture, elle se
manifeste non
seulement par Dieu,
mais aussi par les
hommes et désigne
alors la faveur dont
un homme montre un
autre, Genèse 33: 8,
10, 18; 39:4; 47:25;
Ruth 2:2; 1 Sam.
1:18; 16:22. Dans ce
cas il n’est pas
nécessairement
implicite que la
faveur est imméritée
dans les échanges
entre les hommes.
En général on peut
dire, cependant, que
grâce est le don
gratuit de bonté sur
qui aucun n’a une
réclamation. C’est
notamment le cas où
la grâce visé est la
grâce de Dieu. Son
amour pour l’homme
est toujours
imméritée et lorsque
montré aux pécheurs,
est même retirée
ou indisponible à
ceux qui veulent se
justifier par les
œuvres de la loi, ce
qui est l'équivalent
aussi d'être
justifié par les
choix d'une décision
personnelle (Gal.
5:4). La
Bible utilise
généralement le mot
pour désigner
la
bonté imméritée ou
l’amour de Dieu à
ceux qui sont perdu
il
et sont par nature
en vertu d’une
décision de
condamnation.
La grâce de Dieu est
la source de toutes
les bénédictions
spirituelles qui
sont conférés à des
pécheurs. Ainsi nous
lisons de ceci en
Éphésiens 1:6, 7;
2:7-9; Tite 02:11;
3:4-7, la Bible
parle souvent de la
grâce de Dieu, comme
la grâce salvatrice,
elle fait également
mention de ceci dans
un sens plus large,
comme dans Ésaïe 26:
10; Jérémie 16:13.
La grâce de Dieu est
la plus grande
importance pour les
hommes pécheurs
que nous sommes
tous, sans exception.
C’est par grâce que
la voie de la
rédemption a été
ouvert pour eux,
Rom. 03:24; II
Corinthiens 8:9 et
que le message de la
rédemption est allé
dans le monde, Actes
14:3. Par la grâce
les pécheurs
reçoivent le don de
Dieu en Jésus Christ
par les mérites du
sacrifice de la
croix qui leurs sont
attribués
gratuitement, actes
18:27; Éphésiens
2:8. Par la grâce,
ils sont justifiées,
Rom. 03:24; 04:16;
Tite 3:7, ils sont
enrichis avec des
bénédictions
spirituelles, Jean
1:16; II Corinthiens
8:9; II
Thessaloniciens.
2:16, et ils
héritent enfin le
Salut, Éphésiens
2:8; Tite 2:11.
Voyant qu’ils n’ont
absolument aucun
fond en eux-mêmes,
ils sont au total
dépendantes de la
grâce de Dieu en
Christ. Dans la
théologie moderne,
avec sa croyance en
la bonté inhérente
de l’homme et sa
capacité à s’aider
lui-même, la
doctrine du Salut
par la grâce est
pratiquement devenu
«une cause perdue»,
une «disgrâce» et
même le mot
« grâce » a été vidé
de tout sens
spirituel et
disparut des
discours religieux.
Certains font
même de la grâce la
puissance
d'obéissance aux
ordonnances de la
loi. Il a
été conservé
seulement dans le
sens de
« bienveillance »,
quelque chose qui
est tout à fait
externes
et qui satisfait
à la chair.
Heureusement, il
existe encore
certaines personnes
qui remettent
l’accent sur le
péché et sur une
conscience
nouvellement
éveillée à la
nécessité de la
grâce divine.
La définition
scripturaire
générale de la grâce
dans le décret de
Rédemption est «un
don accordé sans
qu'il soit dû; une
faveur
inconditionnelle ou
bénédiction
imméritée accordée
par Dieu à ceux
qu'il a désigné
d'avance en Christ
depuis avant la
fondation du monde
pour leur salut
assuré et leur
participation dans
la gloire éternelle.
En d'autres mots, la
grâce du salut est
limitée et
sélective, et elle
est entièrement
souveraine et
efficace dans son
appel et son
application envers
les élus.
d.
la miséricorde de
Dieu. Un
autre aspect
important de la
bonté et l’amour de
Dieu sont sa
miséricorde ou
tendre compassion.
Le mot hébreu plus
généralement utilisé
pour cela est
chesed.
Il y a un autre mot,
cependant, qui
exprime une
compassion profonde
et tendre, à savoir,
le mot
rafik, qui est
magnifiquement rendu
par « tendre
miséricorde » dans
notre Bible
anglaise. La
Septante et le
Nouveau Testament
emploient mot grec
eleos
pour désigner la
miséricorde de Dieu.
Si la grâce de Dieu
contemple l’homme
comme coupable
devant Dieu, et par
conséquent besoin de
pardon, la
miséricorde de Dieu
contemple lui comme
celui qui est de
supporter les
conséquences du
péché, qui est dans
un état pitoyable,
et qui a donc besoin
de l’aide divine. Il
peut être défini
comme
la bonté ou l’amour
de Dieu démontré que
ceux qui sont dans
la misère ou la
détresse,
quelles
que soient leurs
déserts. Dans
sa miséricorde, Dieu
se révèle comme un
Dieu compatissant,
qui a compassion de
ceux qui sont dans
la misère et est
toujours prêt à
soulager leur
détresse. Cette
miséricorde est
abondante, Deut.
05:10; PS. 57:10;
86:5 et les poètes
d’Israël ravi de
chanter de celui-ci
comme immuable
depuis toujours,
j’ai Chron. 16:34;
II Chroniques 7:6;
Psaume 136; Ezra
03:11. Dans le
Nouveau Testament,
il est souvent
mentionné aux côtés
de la grâce de Dieu,
surtout dans les
salutations, I
Timothée 1:2; II
Timothée 1:1; Tite
1:4. On nous dit à
plusieurs reprises
qu’il est établi que
la crainte de Dieu,
Exode 20:2; Deut.
7:9; PS. 86:5; Luc
01:50. Cela ne
signifie pas,
cependant, qu’il est
limité à eux, bien
qu’ils aiment ça,
dans une mesure
particulière. Les
tendres miséricordes
de Dieu sont sur
toutes ses œuvres,
PS. 145:9, et même
ceux qui ne
craignent pas de lui
partagent en eux,
Ézéchiel 18:23, 32;
33: 11; Luc 06:35,
36. La miséricorde
de Dieu ne peut pas
être représentée par
opposition à sa
justice. Il est
exercé seulement en
harmonie avec la
plus stricte justice
de Dieu, étant donné
les mérites de Jésus
Christ. Autres
termes utilisés pour
lui dans la Bible
sont « pitié »,
« compassion » et
« bonté ».
e.
la patience de Dieu.
La patience de Dieu
est encore un autre
aspect de sa grande
bonté ou l’amour.
L’hébreu utilise
l’expression «erek
»aph,
qui signifie
littéralement « long
de visage » et puis
aussi « lent à la
colère, » tandis que
le grec exprime la
même idée par le mot
makrothumia.
C’est
cet aspect de la
bonté ou l’amour de
Dieu en vertu duquel
il porte avec le
reporté et le mal en
dépit de leur
désobéissance
continue longtemps.
Dans l’exercice de
cet attribut, le
pécheur est envisagé
comme continuant
dans le péché,
malgré les
exhortations et les
avertissements qui
viennent à lui. Elle
se révèle dans le
report de l’arrêt
méritée. L’écriture
parle dans Exode 34:
6; PS. 86:15;
Romains 2:4; 09:22;
J’ai PET. 03:20; II
Pierre 03:15. Un
terme synonyme d’une
connotation
légèrement
différente est le
mot « abstention ».
2.
la sainteté de Dieu.
Le mot hébreu pour
« être Saint, »
quadash,
est dérivé de la
racine
qad, qui
signifie couper ou
se séparer. Il est
un des mots
religieux plus
éminents de l’ancien
Testament et est
appliqué surtout à
Dieu. La même idée
est véhiculée par le
Nouveau Testament
mots
hagiazo et
hagios.
De là, il semble
déjà qu’il n’est pas
correct de penser de
la sainteté
principalement comme
une qualité morale
ou religieuse, comme
cela se fait
généralement. Son
idée fondamentale
est celle d’un
poste
ou de la
relation qui
existe entre Dieu et
une personne ou une
chose.
a.
sa nature.
L’idée biblique de
la sainteté de Dieu
est double. Dans son
sens originel, il
indique qu’il est
tout à fait distinct
de toutes ses
créatures et est
exalté au-dessus
d’eux en Majesté
infinie. Ainsi
comprise, la
sainteté de Dieu est
l’un de ses
attributs
transcendantales, et
c’est parfois la
perfection suprême
et parlée de son
central. Il ne
semble pas approprié
de parler d’un
attribut de Dieu
comme étant le plus
central et
fondamental que
l’autre; mais si
cela était permis,
l’accent biblique
sur la sainteté de
Dieu semblerait
justifier ses choix.
Il est évident,
toutefois, que la
sainteté en ce sens
du mot n’est pas
vraiment un attribut
moral
, qui peut être
coordonnée avec les
autres, comme
l’amour, de grâce et
de miséricorde, mais
est plutôt une chose
coïncide avec et
applicable à tout
qui peut être fondée
de Dieu. Il est
sacré dans tout ce
qui lui révèle, dans
sa bonté et sa
grâce, ainsi que
dans sa justice et
de la colère. Il
peut être appelé la
« majesté-sainteté »
de Dieu et est
mentionné dans ces
passages comme Exode
15:11; J’ai Sam.
2:2; Ésaïe 57.15;
Osée 11:9. C’est
cette sainteté de
Dieu que Otto, dans
son important
ouvrage sur
Das
Heilige,
considère que celui
qui est le plus
essentiel en Dieu,
et qu’il désigne
comme « le
numineux. »
Il considère comme
faisant partie de la
non rationnel en
Dieu, qui ne peut
pas être considéré
sur le plan
conceptuel, et qui
comprend des idées
telles que « unapproachability
absolue » et « overpoweringness
absolue » ou
« Majesté aweful. »
Il éveille chez
l’homme un sentiment
de néant absolu, une
« créature-conscience »
ou
« créature-sentiment, »
conduisant à
l’anéantissement
absolu.
Mais
la sainteté de Dieu
a également un
aspect
spécifiquement
éthique dans
l’écriture, et c’est
avec cet aspect de
la question qui nous
intéresse plus
directement à cet
égard. L’idée
d’éthique de la
sainteté divine ne
peut-être pas être
dissociée de l’idée
de la majesté
sainteté de Dieu. Le
premier développé à
partir de ce
dernier. L’idée
fondamentale de
l’éthique sainteté
de Dieu est aussi
celui de la
séparation, mais
dans ce cas, c’est
une séparation du
mal moral ou de
péché. En vertu de
sa sainteté, Dieu ne
peut avoir aucune
communion avec le
péché, 34:10 de
travail; Hab. 01:13.
Utilisé en ce sens,
la « sainteté » de
mot pointe vers
pureté majestueuse,
ou éthique Majesté
de Dieu. Mais l’idée
de la sainteté
éthique n’est pas
seulement négatif
(séparation du
péché); Il dispose
également d’un
positif contenu, à
savoir, celui de
l’excellence morale
ou éthique
perfection. Si
l’homme réagit à la
sainteté de Dieu
majestueux avec un
sentiment
d’insignifiance
totale et l’effroi,
sa réaction à la
sainteté éthique se
révèle dans un
sentiment
d’impureté, une
conscience du péché,
Ésaïe 6:5. Otto
reconnaît également
cet élément dans la
sainteté de Dieu,
mais il insiste sur
l’autre et dit de la
réponse à celle-ci:
« crainte Mere,
simple besoin d’un
abri contre le « tremendum »,
ici a été élevé à la
sensation que
l’homme dans son « profaneness »
n’est pas
digne
de stand en présence
de Saint, et que son
indignité
personnelle entière
pourrait souiller
même sainteté
elle-même. »
Cette
éthique sainteté de
Dieu peut être
qualifiée de
cette
perfection de Dieu,
en
vertu duquel il a
éternellement
testaments et
maintient sa propre
excellence morale,
a
horreur du péché
et
exigences de pureté
dans ses créatures
morales.
b.
sa manifestation.
La sainteté de Dieu
se révèle dans la
loi morale,
implantée dans le
coeur de l’homme et
par l’intermédiaire
de la conscience, et
plus
particulièrement
dans la révélation
spéciale de Dieu. Il
se détachait en
bonne place dans la
loi donnée à Israël.
Cette loi sous tous
ses aspects a été
calculée pour faire
pression sur Israël,
l’idée de la
sainteté de Dieu et
d’exhorter le peuple
de la nécessité de
mener une vie
sainte. Cela a été
l’objet de ces types
et symboles comme la
nation sainte, la
Terre Sainte, la
ville sainte, le
lieu Saint et la
sainte prêtrise. En
outre, il a été
révélé de la manière
dont Dieu a
récompensé
l’observance de la
Loi et les
transgresseurs
visités avec des
punitions terribles.
La révélation plus
élevée de celui-ci a
été donnée Jésus
Christ, qui est
appelé « the Saints
et justes One »,
actes 03:14. Il
reflète dans sa vie
la sainteté parfaite
de Dieu. Enfin, la
sainteté de Dieu est
aussi révélée dans
l’église comme corps
du Christ. Il est
frappant de
constater, à
laquelle l’attention
est souvent appelée,
cette sainteté est
attribuée à Dieu
avec une fréquence
beaucoup plus grande
dans l’ancien
Testament que dans
le nouveau, bien
qu’il se fait
parfois dans le
Nouveau Testament,
John 17:11; J’ai
PET. 01:16;
Apocalypse 4:8;
6:10. c’est
probablement dû au
fait que le Nouveau
Testament
s’approprie ce terme
plus
particulièrement
pour qualifier la
troisième personne
de la Sainte Trinité
que celui dont
c’est, dans
l’économie de la
rédemption, de
communiquer la
sainteté à son
peuple la tâche
spéciale.
3.
la justice de Dieu.
Cet attribut est
étroitement lié à la
sainteté de Dieu.
Shedd parle de la
justice de Dieu
comme « un mode de
sa sainteté »; et
Strong l’appelle
simplement
« transitive
sainteté. »
Toutefois, ces
conditions
s’appliquent
uniquement à ce
qu’on appelle
généralement la
relative,
à la différence de
l'
absolu, la
justice de Dieu.
a.
l’idée fondamentale
de la justice.
L’idée
fondamentale de la
justice est celui du
strict respect de la
Loi. Chez les
hommes, elle suppose
qu’il existe une loi
à laquelle ils
doivent se
conformer. On dit
parfois que nous ne
pouvons pas parler
de la justice de
Dieu, parce qu’il
n’y a aucune loi à
laquelle il est
soumis. Mais même si
il n’y a aucune loi
au-dessus de Dieu,
il y a certainement
une loi de la nature
de Dieu, et c’est le
plus haut niveau
possible, par
laquelle toutes les
autres lois sont
jugés. On fait
généralement une
distinction entre
l’absolu et le
relatif la justice
de Dieu. Le premier
est la
droiture de la
nature divine,
en
vertu duquel Dieu
est infiniment juste
en lui-même,
tandis que la
seconde est
que la
perfection de Dieu
par laquelle il
maintient lui-même
vis-à-vis de toute
violation de sa
sainteté,
et
montre à tous les
égards qu’il est
Saint. C’est à
cette justice que
l’expression
« justice »
s’applique plus
particulièrement.
Fêtes de justice
mani lui-même
notamment en donnant
à chacun son dû,
dans le traitement
de lui selon ses
déserts. La justice
inhérente de Dieu
est naturellement
basique à la justice
qui, en ce qui
concerne, il révèle
avec ses créatures,
mais c’est surtout
cette dernière,
appelée aussi la
justice de Dieu, qui
appelle une
attention
particulière ici.
Les termes de
l’hébreu pour
« justes » et de
« justice » est
tsaddik,
tsedhek,
tsedhakahet les
termes grecs
correspondants,
dikaios
et
dikaiosune, qui
contient l’idée de
conformité à une
norme. Cette
perfection est à
plusieurs reprises
attribuée à Dieu
dans les Ecritures,
Ezra 09:15; Néh.
9:8; PS. 119:137;
145: 17; Jérémie
12:1; Lam. 01:18;
Dan. 09:14; John
17:25; II Timothée
4:8; J’ai John
02:29; 3:7;
Apocalypse 16:5.
b.
Distinctions
appliquent à la
justice de Dieu.
Tout d’abord, il
y a une
justice rectoral
de Dieu. Cette
justice, comme le
nom l’indique, est
la rectitude dont
Dieu se manifeste
par le souverain de
fois le bien et le
mal. En vertu de ce
qu’il a institué un
gouvernement moral
dans le monde et
imposé une loi juste
sur l’homme, avec la
promesse d’une
récompense pour
l’obéissance et les
menaces de punition
pour le
transgresseur. Dieu
se distingue en
bonne place dans
l’ancien Testament
comme le législateur
d’Israël, Ésaïe 33:
22 et des gens en
général, Jacques
04:12, et ses lois
sont justes lois,
Deut. 4:8. La Bible
fait référence à
cette œuvre rectoral
de Dieu aussi dans
Psaume 99:4 et
Romains 01:32.
Étroitement liée à
la rectoral est la
justice
distributive de
Dieu. Généralement
ce terme sert à
désigner la droiture
de Dieu dans
l’exécution de la
Loi et se rapporte à
la distribution de
récompenses et de
punitions, Ésaïe
03:10, 11; Romains
2:6; J’ai PET.
01:17. Il est de
deux types: (1)
la
justice
rémunératrice,
qui se manifeste
dans la distribution
des récompenses aux
hommes et aux anges,
Deut. 7:9, 12, 13;
II Chron. 06:15; PS.
58:11; Micah 07:20;
Matthieu 25: 21, 34;
Romains 2:7; Hébreux
11:26. C’est
vraiment
l’expression de
l’amour divin, face
à ses primes, non
fondée sur le mérite
strict, car la
créature ne peut
établir aucun
fondement absolu
devant le créateur,
mais selon l’accord,
Luke et promesse
17:10; J’ai Cor.
4:7. Les récompenses
de Dieu sont
gracieux et au
printemps d’une
relation d’alliance
qu’il a établie. (2)
la
justice rétributive,
qui a trait à
l’imposition de
sanctions. C’est une
expression de la
colère divine. Même
dans un monde sans
péché il y aurait
pas de place pour
son exercice, il a
nécessairement tient
une place très
importante dans un
monde plein de
péché. Dans
l’ensemble la Bible
insiste sur la
récompense des
justes plus que la
punition des
méchants; mais même
cette dernière est
suffisamment
importante. ROM.
01:32; 2:9; 12:19;
II Thess. 1:8 et
beaucoup d’autres
passages. Il est à
noter que, alors que
l’homme ne mérite
pas la récompense
qu’il reçoit, il ne
mérite pas la peine
qui est infligée à
lui. La justice
divine est
initialement et
nécessairement
obligée de punir le
mal, mais ne pas de
récompenser bon, Luc
17:10; J’ai Cor.
4:7; Job 41: 11.
Beaucoup nient la
stricte justice
punitive de Dieu et
de revendication que
Dieu punit le
pécheur à lui
réformer ou à
dissuader d’autres
personnes du péché;
mais ces positions
ne sont pas valides.
L’objectif principal
de la punition du
péché est le
maintien du droit et
de la justice. Bien
sûr, il peut servir
soit dit en passant
et peut-être même,
secondairement,
viser, à réformer le
pécheur et à
dissuader d’autres
personnes du péché.
D. les attributs de
la souveraineté.
La souveraineté de
Dieu est fortement
soulignée dans
l’écriture. Il est
représenté comme
étant le créateur,
et sa volonté comme
la cause de toutes
choses. En vertu de
son travail de
création ciel et la
terre et tout ce
qu’ils contiennent
lui appartiennent.
Il est habillé avec
une autorité absolue
sur les hôtes du
ciel et les
habitants de la
terre. Il soutient
toutes choses par sa
toute-puissance et
détermine les
extrémités qui ils
sont destinés à
servir. Il gouverne
en tant que roi dans
le sens le plus
absolu du mot, et
toutes choses sont
dépendant de lui et
soumis à lui. Il y a
une abondance de
preuves de
l’écriture de la
souveraineté de
Dieu, mais nous
limitons nos
références ici à
quelques-uns des
passages plus
significatifs:
14:19; Exode 18:11;
Deut. 10:14, 17;
J’ai Chron. 29: 11,
12; II Chron. 20:6;
Néhémie 9:6; PS.
22:28; 47:2, 3, 7,
8; PS. 50:10-12; 95:
3-5; 115:3; 135: 5,
6; 145:11-13;
Jérémie 27: 5; Luc
01:53; Actes
17:24-26; Apocalypse
19:6. Deux attributs
réclament de
discussion sous ce
chef, à savoir (1)
la volonté
souveraine de Dieu
et (2) la puissance
souveraine de Dieu.
1. LA VOLONTÉ
SOUVERAINE DE DIEU.
a.
la volonté de Dieu
en général.
La Bible utilise
plusieurs mots pour
désigner la volonté
de Dieu, à savoir
les mots Hébreux
chaphets,
tsebhu
et
ratson et les
mots grecs
boule
et
thelema.
L’importance de la
volonté divine
apparaît à bien des
égards dans les
Ecritures. Il est
représenté comme
étant la cause
finale de toutes
choses. Tout en est
dérivée; création et
préservation, PS.
135:6; Jérémie 18:6;
04:11, gouvernement,
Prov. 21:1; Dan.
04:35, de choix et
de réprobation, Rom.
09:15, 16; Ep. 1:11,
les souffrances du
Christ, Luc 22:42;
Actes à 02:23,
régénération,
Jacques 01:18, de
sanctification,
Phil. 02:13, les
souffrances des
croyants, 1 Pi.
03:17, vie et destin
de l’homme agit
18:21; Romains
15:32; Jacques 04:15
et même les plus
petites choses de la
vie, Matthieu 10:29.
C’est pourquoi la
théologie chrétienne
a reconnu toujours
la volonté de Dieu
comme la cause
ultime de toutes
choses, si la
philosophie a montré
parfois une tendance
à chercher une cause
plus profonde dans
l’être même de
l’absolu. Toutefois,
la tentative à la
terre tout en étant
de Dieu très
généralement traduit
par le panthéisme.
Le
mot « volonté » tel
qu’appliqué à Dieu
ne toujours pas la
même connotation
dans l’écriture. Il
peut signifier (1)
la nature de toute
morale de Dieu, y
compris ces
attributs comme
l’amour, la
sainteté, la
justice, etc..; (2)
la faculté de
l’autodétermination,
c'est-à-dire le
pouvoir de décider
soi-même à une ligne
de conduite ou pour
établir un plan; (3)
le produit de cette
activité,
c'est-à-dire le plan
prédéterminé ou le
but; (4) le pouvoir
d’exécuter ce plan
et de réaliser ce
but (la volonté en
action ou
omnipotence); et (5)
la règle de vie
fixées pour les
créatures
rationnelles. C’est
avant tout la
volonté de Dieu
comme la faculté
d’autodétermination
qui nous intéresse
aujourd'hui. Il peut
être défini comme
que la
perfection de son
être par laquelle il,
dans un
acte plus simple,
sort
vers lui-même comme
le plus grand bien
(je.
e.
prend plaisir à
lui-même comme tel)
de et
envers ses créatures
pour son propre
nom saké
et est
ainsi le fondement
de leur être et
existence. En
ce qui concerne
l’univers et toutes
les créatures qu’il
contient, cela
inclut naturellement
l’idée de causalité.
Bref, la Volonté
de Dieu est la Vie
éternelle dans
l'expression de ses
réflexions sur
Lui-même.
b.
Distinctions
appliquent à la
volonté de Dieu.
Plusieurs
distinctions ont été
appliquées à la
volonté de Dieu.
Certains de ces
trouvé peu de faveur
dans la théologie
réformée, telles que
la distinction entre
un
antécédent et
un
conséquent
volonté de Dieu, et
qu’entre un
absolu
et une
conditionnelle
sera. Ces
distinctions
n’étaient pas seuls
responsables à des
malentendus, mais
ont été interprétées
en fait une manière
répréhensible.
D’autres, cependant,
ont trouvé utiles et
étaient donc plus
généralement
reconnus. Ils ont
peuvent être déclaré
comme suit: (1) de
la
decretive et la
volonté d’adopter de
Dieu. La
première est la
volonté de Dieu par
quels buts He ou
tout ce qui
arrivera, si il veut
pour accomplir
efficacement les
décrets (causatively),
ou de permettre
qu’elle s’exécute
par le biais de
l’Agence effrénée de
ses créatures
rationnelles. Ce
dernier est la règle
de vie que Dieu a
prévu pour ses
créatures morales,
indiquant les
fonctions qu’il
impose sur eux.
L’ancien est
toujours réalisé,
alors que ce dernier
est souvent désobéi.
(2) la
volonté d’Eudoxie et
la volonté d’eurestia.
Cette division a été
faite, non pas tant
dans le cadre de
l’objectif de le
faire, car en ce qui
concerne le plaisir
dans la pratique, ou
le désir de voir
quelque chose. Il
correspond à ce qui
précède, cependant.
dans le fait que la
volonté d'
Eudoxie,
comme celui du
décret, comprend ce
qui doit
certainement être
accompli, tandis que
la volonté
eurestia,
comme celui du
précepte, embrasse
tout simplement ce
que Dieu est heureux
de faire ses
créatures. mot
eudokia
ne doit pas nous
induire en erreur de
penser que la
volonté de
Eudoxie
a référence
seulement au bien et
pas au mal, Matt.
11:26. C’est à peine
correct de dire que
l’élément de
complaisance ou le
plaisir est toujours
présente en elle.
(3) la
volonté de la
beneplacitum et la
volonté de la signum.
L’ancien nouveau
dénote la volonté de
Dieu telle
qu’incarnée par son
avocat cachée,
jusqu'à ce qu’il a
en fait connu par
une révélation, ou
par l’événement
lui-même. Tout
testament qui se
révèle donc devient
un
signum. Cette
distinction est
censée correspondre
à celui entre la
decretive et la
volonté d’adopter de
Dieu, mais il peut
difficilement dire
de le faire. Le bon
plaisir de Dieu
trouve aussi
l’expression dans
son adopter sera; et
la volonté decretive
vient parfois aussi
à notre connaissance
par un signum. (4)
le
secret et la
révélation sera de
Dieu. Il s’agit
de la distinction
plus courante. La
première est la
volonté du décret de
Dieu, qui est en
grande partie cachée
en Dieu, tandis que
la seconde est la
volonté du précepte,
qui se révèle dans
la Loi et
l’Évangile. La
distinction est
fondée sur le
Deutéronome 29: 29.
La volonté secrète
de Dieu est
mentionnée dans
Psaume 115:3; Dan.
04:17, 25, 32, 35;
ROM. 09:18, 19;
11:33, 34; Éphésiens
1:5, 9, 11; et sa
volonté révélée,
dans Matthieu 07:21;
12:50; John 04:34;
07:17; Romains 12:2.
Ce dernier est
accessible à tous et
n’est pas loin de
nous, Deut. 30: 14;
Romains 10:8. Le
secret sera de Dieu
se rapporte à tout
ce qu’il veut soit
pour effet ou pour
permettre, et qui
sont donc absolument
fixe. La volonté
révélée prescrit les
droits de l’homme et
représente la
manière dont il peut
jouir des
bénédictions de
Dieu.
c. la
liberté de
Dieu. La
question est
fréquemment débattue
si Dieu, dans
l’exercice de sa
volonté, agit
nécessairement ou
librement. La
réponse à cette
question nécessite
une discrimination.
Comme il y a une
scientia necessaria
et une
scientia libera,
il y a aussi un
voluntas necessaria
(volonté nécessaire)
et un
voluntas libera
(libre arbitre) en
Dieu. Dieu lui-même
est l’objet du
premier. Il a
nécessairement
les testaments
lui-même, sa nature
Sainte et les
distinctions
personnelles dans la
divinité. Cela
signifie qu’il aime
lui-même et se
délecte dans la
contemplation de son
propre perfections
nécessairement.
Pourtant il est sous
aucune contrainte,
mais il agit
conformément à la
Loi de son être; et
ceci, si elle est
nécessaire, est
aussi la liberté
plus élevée. Il est
évident que l’idée
de causalité est
absente ici, et que
la pensée de
complaisance ou
approuvé est au
premier plan. Les
créatures de Dieu,
cependant, sont les
objets de sa
voluntas libera.
Dieu détermine
volontairement
ce qui et dont il
créera, le times,
lieux et
circonstances, de
leur vie. Il jalonne
le chemin d’accès de
toutes ses créatures
rationnelles,
détermine leur
destin et les
utilise à ses fins.
Et bien qu’il les
dote de liberté,
encore sa volonté
contrôles leurs
actions. La Bible
parle de cette
liberté de la
volonté de Dieu dans
les termes les plus
absolus, Job 11:10;
33:13; PS. 115:3;
Prov. 21:1; Ésaïe
10:15; 29: 16; 45:9;
Matthieu 20:15; ROM.
09:15-18,20,21; I
Corinthiens 12:11;
04:11. L’Eglise a
toujours défendu
cette liberté, mais
a également souligné
le fait qu’il ne
peut pas être
considéré comme une
indifférence
absolue. Duns Scot
appliqué l’idée d’un
testament en aucun
sens déterminé à
Dieu; mais cette
idée d’une volonté
aveugle, agissant
avec une parfaite
indifférence, a été
rejetée par
l’église. La liberté
de Dieu n’est pas
l’indifférence pure,
mais
l’autodétermination
rationnelle. Dieu a
des raisons de prêt
comme il le fait,
qui induisent lui
choisir une fin
plutôt qu’un autre
et un ensemble de
moyens pour
accomplir une
extrémité préférence
à d’autres. Il y a
dans chaque cas un
motif qui prévaut,
ce qui rend la fin
choisie et les
moyens choisis la
plus agréable pour
lui, bien que nous
ne soyons pas en
mesure de déterminer
quel est ce motif.
En général on peut
dire que Dieu ne
peut pas se tout ce
qui est contraire à
sa nature, sa
sagesse ou l’amour,
à sa droiture ou la
sainteté. Dr.
Bavinck souligne que
nous pouvons
discerner rarement
pourquoi Dieu a
voulu une chose
plutôt qu’une autre,
et qu’il n’est pas
possible ni même
admissible pour nous
de chercher un motif
plus profond des
choses que la
volonté de Dieu,
parce que toutes ces
tentatives
d’entraîner à la
recherche d’un
terrain pour la
créature dans l’être
même de Dieu, en le
privant de sa nature
de contingent et en
la rendant divin
éternel, nécessaire.
d.
en ce qui concerne
le péché.
de Dieu La doctrine
de la volonté de
Dieu donne souvent
lieu à des questions
sérieuses. Problèmes
posent ici qui n’ont
encore jamais été
résolus et qui sont
probablement
incapables de
solution par
l’homme.
(1) il est dit que
si la volonté
décrétale de Dieu a
également déterminé
l’entrée du péché
dans le monde, Dieu
devient de ce fait
l’auteur du péché et
veut vraiment
quelque chose qui va
à l’encontre de ses
perfections morales.
Les Arminiens, pour
échapper à la
difficulté, faire la
volonté de Dieu afin
de permettre le
péché dépendre de sa
prescience du cours
dont l’homme
choisirait.
Théologiens
réformés, tout en
maintenant sur la
base de tels
passages comme actes
02:23; 3:8; etc.,
que la volonté
décrétale de Dieu
comprend également
les actes
pécheresses de
l’homme, sont
toujours pris soin
de souligner que
cela doit être
conçue de telle
sorte que Dieu ne
devienne pas
l’auteur du péché.
Franchement, ils
admettent qu’ils ne
peuvent pas résoudre
la difficulté, mais
en même temps faire
quelques
distinctions
précieuses qui
s’avèrent utiles. La
plupart d'entre eux
insiste là-dessus
que la volonté de
Dieu en ce qui
concerne le péché
est tout simplement
une volonté de
permettre le péché
et non pas une
volonté à effectuer,
comme il le fait le
bien moral. Cette
terminologie est
certainement
permise, autant il
est bien compris. Il
faut avoir à
l’esprit que la
volonté de Dieu afin
de permettre le
péché porte
certitude avec elle.
D’autres appellent
l’attention sur le
fait que, tandis que
les termes
« seront » ou « à
volonté » peut
comprendre l’idée de
complaisance ou de
plaisir, ils
mentionnent parfois
une simple
détermination de la
volonté; et que par
conséquent la
volonté de Dieu afin
de permettre le
péché n’impliquent
qu’il prend plaisir
ou pour le plaisir
dans le péché.
(2)
encore une fois, il
est dit que la
volonté décrétale et
adopter de Dieu sont
souvent
contradictoires. Son
décrèt comprend
beaucoup de choses
qu’il a interdit
dans son adopter
sera et exclut
beaucoup de choses
quelles commandes He
dans son testament
adopter, cf. Genèse
22; Ex. 04:21-23;
IIIème rois 20:1-7;
Actes à 02:23.
Pourtant, il est
très important pour
maintenir la
decretive et la
volonté d’adopter,
mais avec la
compréhension
précise que, bien
qu’ils nous
apparaissent comme
distincts, ils sont
encore
fondamentalement un
en Dieu. Si une
solution
parfaitement
satisfaisante de la
difficulté est hors
de question pour
l’instant, il est
possible de faire
des approches à une
solution. Lorsque
nous parlons de la
decretive et la
volonté d’adopter de
Dieu, nous utilisons
la mot « volonté »
dans deux sens
différents. L’ancien
Dieu a déterminé ce
qu’il fera ou ce qui
arrivera; dans le
second cas il nous
révèle ce que nous
sommes en devoir de
le faire.
dans le même temps,
on retiendra que la
loi morale, la règle
de notre vie, est
aussi en quelque
sorte l’incarnation
de la volonté de
Dieu. C’est
l’expression de son
caractère sacré et
de ce que cela exige
naturellement de
toutes les créatures
morales. C’est
pourquoi une autre
remarque doit être
ajouté à ce qui
précède. Le
decretive et adopter
sera de Dieu ne pas
entrer en conflit en
ce sens que, dans
l’ancienne qu’il
fait, et selon ce
dernier, il n’est
pas, prenez plaisir
dans le péché; pas
plus, en ce sens
que, selon l’ancien
qu'il n’est pas et
selon ce dernier, il
le fait, que le
salut de chaque
individuels
avec
une volonté positive.
Même selon la
volonté de decretive
Dieu ne prend aucun
plaisir dans le
péché; et même selon
la volonté
d’adopter, il ne pas
sera le salut de
chaque individuels
avec
une volonté positive.
2.
la puissance
souveraine de Dieu.
La souveraineté de
Dieu trouve
expression, non
seulement dans le
divin, mais aussi
dans la
toute-puissance de
Dieu ou le pouvoir
d’exécuter sa
volonté. Puissance
de Dieu peut être
appelé l’énergie
efficace de sa
nature, ou
que la
perfection de son
être par laquelle il
est la causalité
absolue et la plus
haute. Il est
d’usage de
distinguer entre une
potentia Dei
absoluta
(pouvoir absolu de
Dieu) et un
potentia Dei
ordinata
(puissance ordonnée
de Dieu). Cependant,
la théologie
réformée rejette
cette distinction
dans le sens où il a
été entendu par la
scolastique, qui
prétendaient que
Dieu en vertu de son
pouvoir absolu
pourrait effectuer
des contradictions
et pourrait même
péché et anéantir
lui-même. Dans le
même temps, elle
adopte la
distinction comme
exprimant une vérité
vraie, bien qu’il ne
le représente pas
toujours de la même
manière. Selon Hodge
et Shedd pouvoir
absolu est
l’efficacité divine,
telle qu’exercée
sans l’intervention
des causes secondes;
alors que la
puissance ordonnée
est l’efficacité de
Dieu, telle
qu’exercée par
l’exploitation
ordonnée des causes
secondes.
La
vue plus général,
est exprimée par
Charnock comme suit:
« absolu, est ce
pouvoir par lequel
Dieu est capable de
faire ce qu’il ne
fera pas, mais il
est possible de le
faire; ordonnée, est
ce pouvoir par
lequel Dieu est ce
qui il a décrété de
faire, c'est-à-dire,
qu’il a ordonné ou
nommé doit être
exercé; qui ne sont
pas des pouvoirs
distincts, mais la
même puissance. Sa
puissance ordonnée
est une partie de
son absolu; car s’il
n'avait pas le
pouvoir de faire
tout ce qu’il
pouvait, il ne
pourrait pas le
pouvoir de faire
tout ce qu’il
sera. »
potentia ordinata
peut être défini
comme
que la perfection de
Dieu par lequel il,
par le
simple exercice de
sa volonté,
peut
réaliser tout ce qui
est présent dans son
testament ou un
avocat. La
puissance de Dieu
dans la mise en
oeuvre effective se
limite à celle qui
est comprise dans
son décret éternel.
Mais l’exercice
effectif du pouvoir
de Dieu ne
représente pas ses
limites. Dieu
pouvait faire plus
que cela, s’il était
tellement occupé. En
ce sens, nous
pouvons parler de la
potentia absoluta,
ou le pouvoir absolu
de Dieu. Cette
position doit être
maintenue par
rapport à ceux qui,
comme Schleiermacher
et Strauss,
soutiennent que la
puissance de Dieu se
limite à celle qu’il
accomplit en fait.
Mais dans notre
affirmation de la
toute-puissance de
Dieu, il est
nécessaire de se
prémunir contre les
idées fausses. La
Bible nous enseigne
d’une part que la
puissance de Dieu
s’étend au-delà de
ce qui est
effectivement
réalisées, 18:14;
Jérémie 32: 27; Zach.
8:6; Matthieu 3:9;
26:53. que donc,
nous ne pouvons dire
que ce que Dieu
n’apporte pas à la
réalisation, n’est
pas possible pour
lui. Mais d’autre
part, il indique
également qu’il y a
beaucoup de choses
que Dieu ne peut pas
faire. Il peut
mentir, pécher,
changer, ni renonce
à lui-même, nombres
23:19; J’ai Samuel
15:29; II Timothée
02:13; Héb. 06:18;
Jacques 01:13, 17.
Il n’y a pas de
pouvoir absolu en
lui qui est divorcé
de ses perfections,
et en vertu de
laquelle il peut
faire toutes sortes
de choses qui sont
intrinsèquement
contradictoires.
L’idée de la
toute-puissance de
Dieu est exprimée
dans le nom de "El-Shaddai;
et la Bible en parle
en termes non
équivoques, Job à
09:12; PS. 115:3;
Jérémie 32: 17;
Matthieu 19:26; Luc
01:37; Rom. 1:20;
Ep. 01:19. Dieu
manifeste sa
puissance dans la
création, Rom.
04:17; Ésaïe 44: 24;
dans les œuvres de
la providence,
Hébreux 1:3 et à la
rédemption des
pécheurs, I Cor.
01:24; Rom. 1:16.
QUESTIONS
Pour une étude plus
approfondie. Dans
quels sens
différents peut-on
parler de la
prescience de Dieu ?
Comment les
arminiens concevoir
cette prescience ?
Quelles objections
sont là pour l’idée
du jésuite de
scientia média?
Comment devons nous
juger de l’accent
moderne sur l’amour
de Dieu comme
l’attribut central
et déterminant tout
de Dieu ? Ce qui est
conception d’Otto de
« le Saint » en
Dieu ? Quelle
objection est là
pour la position que
les punitions de
Dieu servent
simplement à
réformer le pécheur,
ou à dissuader
d’autres personnes
du péché ? Quel est
le Socinien et la
conception Grotian
de justice
rétributive en
Dieu ? Est-il
correct de dire que
Dieu peut faire tout
en vertu de son
omnipotence ?
LITTÉRATURE:
Bavinck,
Geref. Dogme.
II,
pp. 171-259; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De Deo
I, pp. 355-417; Vos,
Geref. Dogme.
I,
pp. 2-36; Hodge,
Syst.
Theol. I, p.
393-441; Shedd,
dogme
.
Théol. J’ai,
pp. 359-392; Dabney,
syst
et trouvailles.
THEOL.,
p. 154-174; Pape,
Chr.
Theol. I, pp.
307-358; Watson,
Théol.
Inst. Partie
II, Chap. II;
Wilmers,
Manuel
de la Religion Chr.,
pp... 171-181;
Harris,
Dieu,
créateur et Seigneur
de tous,
I,
pp. 128-209;
Discours de Charnock,
l’Existence et les
attributs de Dieu,
III, VII-IX; Bates,
sur les
attributs;
Clarke,
La Doctrine
chrétienne de Dieu,
pp. 56-115; Snowden,
la
personnalité de Dieu;
Adeney,
la Conception
chrétienne de Dieu,
pp. 86-152;
Macintosh,
la
théologie comme une
Science empirique,
pp. 159-194; Strong,
Syst.
Theol., pp.
282-303.
VIII. la Sainte-Trinité
A. la Doctrine de la
Trinité dans
l’histoire.
La doctrine de la
Trinité a toujours
été entourée de
difficultés, et il
n’est donc
aucunement étonnant
que l’église dans sa
tentative de la
formuler, a été à
plusieurs reprises
tenté de
rationaliser et de
donner une
interprétation de ce
qui n’a pas à rendre
justice aux données
scripturaires.
La raison est
pourtant simple,
comme nous l'avons
déjà mentionné plus
haut, car la
doctrine de la
Trinité est une pure
invention
philosophique
hautement
spéculative sur
l'Existence du
mystère de Dieu.
Elle est issue du
platonisme et n'a
aucun rapport avec
les
Saintes-Écritures
sauf en apparence
seulement. Nulle
part la Bible
enseigne-t-elle une
telle chimère
monstrueuse dans
laquelle les
théoriciens divisent
Dieu en trois
personnes
distinctes. Ce
torchon spirituel a
été engendré par
l'Église Catholique
de la Rome impériale
sous Constantin pour
devenir le balourd
des générations
futures. Ce Cerbère
théologique a
tellement pénétré le
psyché humain qu'il
est presque
impossible de le
déloger sans une
intervention divine.
1.
la période de
pré-réforme.
Les Juifs du temps
de Jésus ont
beaucoup insisté sur
l’unité de Dieu, et
cette insistance a
été intégré dans
l'Église Chrétienne
dite Catholique
ou Universelle.
C’est ainsi que
certains exclu
totalement les
distinctions
personnelles dans la
divinité et que
d’autres n’ont pas
pu pleinement rendre
justice à la
divinité essentielle
des deuxième et
troisième personnes
de la Sainte
Trinité.
Appelons ces gens
de la résistance les
premiers héros de la
foi chrétienne qui
ont subis la
persécutions de la
part de ceux qui se
disent chrétiens
pour avoir maintenue
l'unité de Dieu,
quoique souvent de
façon imparfaite et
insuffisante.
Le grand philosophe,
Tertullien, a été le
premier
faux chrétien
à employer le terme
« Trinité » et à
élaborer la
doctrine, mais sa
formulation était
déficiente,
puisqu’il s’agissait
d’une subordination
injustifiée du fils
au père. Origène
d'Alexandrie,
qui a donné une
directions aux
forces de
l'apostasie avec son
Hexaples dans
laquelle il a érigé
la Septante
originale et dont il
en est l'auteur,
est allé encore plus
loin dans cette
direction en
enseignant
explicitement que le
fils est subordonné
au père
à l’égard de
l’essence, et
que le Saint-Esprit
est subordonné même
au fils. Il a nui à
la divinité
essentielle de ces
deux personnes dans
la divinité et monté
un tremplin pour les
Ariens, qui ont nié
la divinité du fils
et du Saint-Esprit
en représentant le
fils comme la
première créature du
père et l’Esprit
Saint comme la
première créature du
fils.
Comprenons aussi
qu'Origène
attribuait la rançon
de sacrifice de la
croix à Satan,
franchement quoi
d'autre peut-on
s'attendre d'un tel
imposteur.
Ainsi la
consubstantialité du
fils et du
Saint-Esprit avec le
père a été
sacrifiée, afin de
préserver l’unité de
Dieu; et les trois
personnes
imaginaires
de la divinité ont
tenté de se
distinguer dans le
grade. Les Ariens
conservaient un
semblant de la
doctrine des trois
personnes dans la
divinité, mais cela
a été sacrifié par
monarchisme, en
partie dans
l’intérêt de l’unité
de Dieu et, en
partie, pour
maintenir la
divinité du fils.
Quel artifice
lorsque les
trinitaires ne font
pas mieux.
Le Monarchianisme
dynamique a vu en
Jésus un homme et en
l’Esprit Saint une
influence divine,
tandis que le
Modalisme
Monarchianisme
considéré le père,
le fils et le
Saint-Esprit, comme
simplement trois
modes de
manifestation
assumées
successivement par
la divinité.
Mais cela n'est
pas tout à fait
exact car il y avait
différents camps
d'interprétations
dans le Modalisme.
Celui de Noët et de
Praexas, nommé aussi
le Patripacisme,
voyait en Jésus le
Père manifesté dans
la chair comme Fils,
ce qui est fortement
en accord avec les
Saintes-Écritures.
Tandis que le camp
du Sabellianisme
voyait en Dieu trois
modes intérimaires
et successifs, ce
qui est une hérésie
grossière par
rapport à la
révélation des
Saintes-Écritures.
D’autre part il y
avait aussi certains
qui ont perdu de vue
l’unité de Dieu à un
point tel qu’ils
établirent un
trithéisme
idolâtre.
Certains des
Monophysites
ultérieurs, tels que
John Ascunages et
John Philoponus,
sont tombé dans
cette erreur.
Pendant le moyen-âge
le nominaliste,
Roscelinus, a été
accusé de la même
erreur. L’Église a
commencé à élaborer
sa doctrine de la
Trinité au IVe
siècle,
puisqu'elle
n'existait pas
auparavant sauf dans
les anciennes
religions à mystères.
Le Concile de Nicée,
avec ses
déviations subtiles
et raffinées,
a déclaré le fils
d’être
co-essentielle avec
le père (325 après
JC), alors que le
Concile de
Constantinople (381
AP. J.-C.) a affirmé
la divinité du
Saint-Esprit, mais
pas avec la même
précision. Quant à
l’interrelation des
trois, il a été
officiellement
professé que le fils
est généré par le
père
(donc deux fois
nés), et
que le Saint-Esprit
procède du père et
du fils (lorsqu'il
est lui-même le Père
et le Fils). À l’est
l'aberration
de la doctrine de la
Trinité a trouvé sa
déclaration
insidieuse
plus complète dans
l'œuvre de Jean de
Damas et dans
l’Ouest, dans
l'œuvre d’Augustin
De
Trinitate.
L’ancienne conserve
encore un caractère
de subordination,
qui est entièrement
éliminée par ce
dernier.
2.
la période
post-réforme.
Nous n’avons aucun
développement
ultérieur de la
doctrine de la
Trinité, mais
seulement rencontrer
à plusieurs reprises
certaines des plus
anciennes
élaborations
erronées de celle-ci
après la réforme.
Les arminiens,
Episcopius,
Curcellæus et Ltizia,
relancèrent la
doctrine de la
subordination,
encore une fois, il
semble donc dans le
but de maintenir
l’unité de la
divinité. Ils ont
attribué au père une
certaine prééminence
sur les autres
personnes,
dans
l’ordre,
la
dignité
et la
puissance. Une
position un peu
similaire a été
prise par Samuel
Clarke en Angleterre
et par le théologien
luthérien, Kahnis.
D’autres ont suivi
le chemin indiqué
par Sabellius par
l’enseignement d’une
espèce de Modalisme,
comme, par exemple,
Emanuel Swedenborg,
qui a jugé que
l’homme-Dieu éternel
s’est fait chair
dans le fils et
exploité par le
Saint-Esprit; Hegel,
qui parle du père
comme Dieu en
lui-même, le fils
comme Dieu lui-même
objectivant et de
l’Esprit Saint comme
Dieu revenant à
lui-même; et
Schleiermacher, qui
considère les trois
personnes sous trois
aspects de Dieu: le
père est Dieu comme
l’unité sous-jacente
de toutes choses, le
fils est Dieu comme
venant d’une
personnalité
consciente chez
l’homme et l’Esprit
Saint est Dieu comme
vivant dans
l’église. Les
Sociniens des jours
de la réformation
sont déplacés le
long des lignes
ariennes, mais il
sont même allé
au-delà Arius, en
faisant de Dieu
simplement un homme
et de l’Esprit Saint
un pouvoir ou
influence de Christ.
Ils étaient les
précurseurs des
unitaires et aussi
des théologiens
libéraux qui parlent
de Jésus comme un
Maître divin et
identifient le
Saint-Esprit avec le
Dieu immanent.
Enfin, il y a aussi
certains qui,
puisqu’ils
considéraient
l’énoncé de la
doctrine d’une
Trinité ontologique
comme
inintelligible,
voulaient l'arrêter
trop tard et
restèrent satisfait
de la doctrine d’une
Trinité économique,
une Trinité telle
que révélée dans le
œuvre de rédemption
et dans l’expérience
humaine, comme Moses
Stuart, W. L.
Alexander et W. A.
Brown. Pendant un
temps considérable
l'intérêt dans la
doctrine de la
Trinité a diminué,
et sa discussion
théologique centrée
plus
particulièrement sur
la personnalité de
Dieu. Brunner et
Barth ont à nouveau
appelé l’attention
sur son importance.
Ce dernier la place
très bien au premier
plan, discuté dans
le cadre de la
doctrine de la
révélation et
consacre 220 pages
de sa théologie
dogmatique à elle.
Matériellement, il
dérive de la
doctrine de
l’Écriture, mais,
officiellement et
logiquement, il
trouve qu’il est
impliqué dans la
phrase simple,
« Dieu parle ». Il
est révélateur
(père), Apocalypse
(fils) et
Révélationiste
(Saint-Esprit). Il
se révèle, il est la
révélation, et il
est également le
contenu de la
révélation. Dieu et
sa révélation sont
identifiés. Il reste
aussi Dieu dans sa
révélation,
absolument libre et
souverain. Ce point
de vue de Barth
n’est pas une espèce
de Sabellianisme,
car il reconnaît
trois personnes dans
la divinité. En
outre, il ne permet
pas une
subordination. Il
dit: « Ainsi, le
même Dieu qui, dans
l’unité
irréprochable est
révélateur,
révélation et
Révélationiste, est
également attribuée
en variété
irréprochable en
lui-même précisément
ce triple mode
d’être. »
B. Dieu Trinité dans
l’unité.
Le mot « Trinité »
n’est pas tout à
fait aussi expressif
que le mot de
Hollande « Drieeenheid »,
qui peut simplement
signifier «l’état
d’être de trois» ou
«triplicité
d'existence», sans
aucune implication
quant à l’unité des
trois. Il est
généralement admis,
cependant, que,
comme un terme
technique en
théologie, il inclut
cette idée. Il va
sans dire que, quand
nous parlons de la
Trinité de Dieu,
nous nous référons à
une Trinité dans
l’unité et à une
unité qui est trine.
Mais il s'agit
néanmoins d'une
tri-unité de
personnes distinctes
dans l'essence
unique de Dieu, ce
qui est nul autre
que du trithéisme,
car trois personnes
est l'équivalent de
trois dieux, malgré
toutes les
affirmations du
contraire de la part
des réprouvés qui
veulent dominer sur
la foi et les
consciences. Comme
nous l'avons
souligné auparavant,
il ne s'agit pas de
trois personnes
distinctes, mais
d'une triple
conscience
d'existence dans
l'unité de l'essence
divine, révélant un
seul Dieu. La vérité
est plutôt qu'il y a
une triple
conscience
d'existence dans
l'essence unique de
Dieu, et non trois
personnes
distinctes.
1.
la personnalité de
Dieu et de la
Trinité.
Comme indiqué dans
ce qui précède, les
attributs
transmissibles de
Dieu soulignent sa
personnalité, car
ils le révèlent
comme un être
rationnel et moral.
Sa vie se distingue
clairement devant
nous dans l’Écriture
comme une vie
personnelle
ou plus
précisément une vie
originale et
extraordinaire;
et c’est, bien sûr,
la plus haute
importance de
maintenir la
personnalité de
Dieu, car sans elle
il ne peut y avoir
aucune religion dans
le vrai sens du mot:
aucune prière,
aucune communion
personnelle, aucune
confiance ou
assurance et aucun
espoir. Puisque
l’homme est créé à
l’image de Dieu,
nous apprenons à
comprendre quelque
chose de la vie
personnelle de Dieu,
de la contemplation
de la personnalité
que nous connaissons
chez l’homme. Nous
devons être
prudents, cependant,
ne pas de mettre en
place la
personnalité de
l’homme en tant que
norme par laquelle
la personnalité de
Dieu doit être
mesurée. La forme
originale de la
personnalité n’est
pas chez l’homme
mais en Dieu; C’est
archétypal, tandis
que l’homme est
ectype. Ce dernier
n’est pas identique
à l’ancienne, mais
contient de faibles
traces de similitude
avec elle. Nous ne
devrions pas dire
que l’homme est
personnelle, alors
que Dieu est
super-personnel (un
terme très
malheureux), pour ce
qui est super
personnel n’est pas
personnelle; mais
plutôt que ce qui
apparaît comme
l’imparfait chez
l’homme existe dans
la perfection
infinie de Dieu. La
seule différence
remarquable entre
les deux est que
l’homme est
uni-personnels,
alors que Dieu est
tri-personnel. Et
cette existence
tri-personnel est
une nécessité dans
l’etre divin et non
pas dans n’importe
quel sens le
résultat d’un choix
de Dieu. Il ne
pourrait exister que
dans tout autre que
la forme
tri-personnel. Cela
a été avancé de
diverses manières.
Il est très fréquent
d’argumenter il de
l’idée de la
personnalité
elle-même. Shedd
fonde son
argumentation sur la
conscience de soi
générale
du Dieu triune, par
opposition à la
conscience de soi
individuelle
particulière de
chacune des
personnes dans la
divinité, car dans
la conscience de
soi, le sujet doit
savoir lui-même
comme une objet et
aussi percevoir que
ce n’est. Ceci est
possible à Dieu à
cause de son
existence trinal. Il
dit que Dieu ne
pouvait pas être
auto contemplatif,
self-cognitif et
Self communier, s’il
n’était pas trinal
dans sa
constitution.
Bartlett présente
d’une manière
intéressante de
diverses
considérations pour
prouver que Dieu est
nécessairement
tri-personnel.
L’argument de la
personnalité, pour
prouver au moins une
pluralité en Dieu,
peut être mis dans
une telle forme
comme ceci: chez les
hommes, l’ego
s’éveille à la
conscience que par
contact avec le non
ego. Personnalité ne
développent pas
exister isolément,
mais uniquement en
association avec
d’autres personnes.
Il n’est donc pas
possible de
concevoir la
personnalité de Dieu
en dehors d’une
association de
personnes
égales
en lui. Son contact
avec ses créatures
ne représenteraient
pas pour sa
personnalité pas
plus que le contact
de l’homme avec les
animaux qui
expliquerait sa
personnalité. En
vertu de l’existence
de tri-personnel de
Dieu, il y a une
plénitude infinie de
la vie divine en
lui. Paul parle de
ce
pleroma
(plénitude) de la
divinité dans
Éphésiens 03:19 et
col. 1:9; 2:9.
compte tenu du fait
qu’il y a trois
personnes en Dieu,
il est préférable de
dire que Dieu est
personnel que de
parler de lui en
tant que personne.
2.
la preuve
SCRIPTURAIRE pour la
DOCTRINE de la
Trinité. La
doctrine de la
Trinité est très
nettement une
doctrine de la
révélation,
mais d'une
révélation
extra-biblique.
Il est vrai que la
raison humaine peut
suggérer quelques
réflexions à l’appui
de la doctrine, et
que les hommes ont
parfois pour des
motifs purement
philosophiques
abandonné l’idée
d’une unité nue en
Dieu et a introduit
l’idée du mouvement
de la vie et de
l'auto-distinction.
Et il est également
vrai que
l’expérience
chrétienne semble
exiger une telle
interprétation de la
doctrine de Dieu.
Dans le même temps,
c’est une doctrine
qui nous n'aurait
pas su, ni pu
entretenir avec un
certain degré de
confiance, sur la
base de l’expérience
seul, et qui est
portée à notre
connaissance que par
la révélation
spéciale de Dieu.
Par conséquent, il
est primordial que
nous nous
rassemblons les
preuves scripturales
pour elle.
a.
preuves de l’ancien
Testament.
Certains les
premiers pères de
l’église et même
certains théologiens
plus tard, sans
tenir compte du
caractère progressif
de la révélation de
Dieu, a donné
l’impression que la
doctrine de la
Trinité a été
totalement révélée
dans l’ancien
Testament. En
revanche, Sociniens
et arminiens étaient
d’avis qu’il ne
figurait pas là du
tout. Tous deux sont
trompaient. L’ancien
Testament ne
contient pas une
pleine révélation de
l’existence de
Trinitaire de Dieu,
mais contient
plusieurs
indications de
celui-ci. Et c’est
exactement ce qui
pouvait s’y
attendre. La Bible
ne traite de la
doctrine de la
Trinité comme une
vérité abstraite,
mais révèle la vie
trinitaire dans ses
différentes
relations comme une
réalité vivante,
dans une certaine
mesure dans le cadre
de travaux de
création et
providence, mais
surtout par rapport
à la œuvre de
rédemption. Sa
révélation plus
fondamentale est une
révélation donnée en
faits plutôt qu’en
mots. Et cette
révélation augmente
dans la clarté dans
la mesure où le
œuvre rédemptrice de
Dieu se révèle plus
clairement, comme
dans l’incarnation
du fils et de
l’effusion de
l’Esprit Saint. Et
la plus la réalité
glorieuse de la
Trinité distingue
dans les faits de
l’histoire, la plus
claire les
déclarations de la
doctrine devenue. La
révélation la plus
complète de la
Trinité dans le
Nouveau Testament
est dû au fait que
le verbe s’est fait
chair, et que le
Saint-Esprit a
repris sa demeure
dans l’église.
La
preuve de la Trinité
a parfois été
constatée dans la
distinction entre
Jéhovah et élohim et
aussi dans le
pluriel élohim, mais
le premier n’est pas
tout à fait
justifiée, et cette
dernière est, à tout
le moins, très
douteuse, bien que
Rottenberg il
conserve dans son
travail sur
De
Triniteit en Israels
Godsbegrip.
Il
est plus plausible
que les passages
dans laquelle Dieu
parle de lui-même
dans le pluriel,
1:26; 11:7, contenir
une indication des
distinctions
personnelles en
Dieu, mais même
ceux-ci ne pointent
pas une Trinité mais
seulement une
pluralité de
personnes. Encore
plus claires
indications de
telles distinctions
personnelles sont
trouvent dans ces
passages qui se
réfèrent à l’ange de
Jéhovah, qui est
d’une part identifié
avec Jéhovah et
distingue d’autre
part de lui, Genèse
16:7-13; 18:1-21;
19:1-28; Malachie
3:1; et aussi en
passages où le mot
ou la sagesse de
Dieu est
personnifiée, Psaume
33: 4, 6; Prov.
08:12-31. Dans
certains cas plus
d’une personne est
mentionnée, Psaume
33: 6; 45: 6, 7 (comp.
Héb. 1:8, 9) et dans
d’autres Dieu est
l’actuel président
et mentionne que le
Messie comme
l’esprit, ou le
Messie est l’orateur
qui parle de Dieu et
l’esprit, Ésaïe 48:
16; 61: 1; 63: 9,
10. L’ancien
Testament contient
donc une prévision
claire de la
révélation plus
complète de la
Trinité dans le
Nouveau Testament.
b.
les preuves de
Nouveau Testament.
Le Nouveau Testament
porte en lui une
révélation plus
claire des
discriminations dans
la divinité. Si dans
l’ancien Testament,
Jéhovah est
représenté comme le
Rédempteur et
Sauveur de son
peuple, emploi.
19:25; PS. 19:14;
78:35; 106:21; Ésaïe
41: 14; 43:3, 11,
14; 47:4; 49: 7, 26;
60:16; Jérémie 14:3;
50:14; Osée 13:3,
dans le Nouveau
Testament, le fils
de Dieu se démarque
clairement à ce
titre, Matthieu
01:21; Luc 1:76-79;
02:17; John 04:42;
Actes 5:3; GAL
03:13; 4:5; Phil.
03:30; Tite 02:13,
14. Et si, dans
l’ancien Testament,
c’est Jéhovah qui
habite entre Israël
et dans les coeurs
de ceux qui
craignent, PS. 74:2;
135:21; Ésaïe 08:18;
57.15; Ézéchiel
43:7-9; Joel 03:17,
21; Zacharie 02:10,
11, dans le Nouveau
Testament, c’est le
Saint-Esprit qui
habite dans
l’église, actes 2:4,
Rom. 8:9, 11; I
Corinthiens 03:16;
Galates 4:6; EP
02:22; Jas. 4:5. Le
Nouveau Testament
offre la révélation
claire de Dieu
envoyant son fils
dans le monde, John
03:16; Galates 4:4;
Hébreux 1:6; J’ai
John 4:9; et des
fois le père et le
fils, envoi de
l’esprit, Jean
14:26; 15:26; 16:7;
Galates 4:6. Nous
trouvons le père
s’adressant au fils,
Mark 01:11; Luc
03:22, le fils de
communier avec le
père, Matthieu
11:25, 26; 26: 39;
John 11:41; 12:27,
28 et le
Saint-Esprit prier à
Dieu dans le cœur
des croyants, Rom.
08:26. Ainsi les
personnes séparées
de la Trinité sont
faits de se
démarquer clairement
avant nos esprits.
Au baptême du fils,
le père parle du
ciel, et le
Saint-Esprit descend
sous la forme d’une
colombe, Matthieu
03:16, 17. Dans la
grande commission,
Jésus mentionne
trois personnes:
«... les baptisant
au nom du père et du
fils et du
Saint-Esprit, »
Matthieu 28: 19. Ils
sont également
appelés à côté de
l’autre dans I Cor.
12:4-6; II
Corinthiens 13:14;
et I Pierre 1:2. Le
seul passage parlant
de tri-l’unité est I
Jean 5:7 (auth.
Ver.), mais c’est
l’authenticité
douteuse et est donc
éliminé des
dernières éditions
critiques du Nouveau
Testament.
3.
énoncé de la
DOCTRINE de la
Trinité. La
doctrine de la
Trinité peut mieux
être discutée
brièvement dans le
cadre de diverses
propositions, qui
constituent un
résumé de la foi de
l’Église sur ce
point.
a. il y
a dans l’être divin,
une essence
indivisible (ousia,
essentia).
Dieu est unique dans
son étant essentiels
ou de nature
constitutionnelle.
Quelques-uns des
premiers pères de
l’église utilisé le
terme «substance»
comme synonyme de « essentia »,
mais les auteurs
postérieurs évité
cette utilisationdes
étant donné que,
dans l’Eglise latine
«substantia»
a été utilisé comme
un rendu de «hypostasis»
comme Eh bien à
partir de «ousia»
et est donc ambiguë.
À l’heure actuelle
les deux termes
« substance » et
« essence » est
souvent utilisé
indifféremment. Il
n’y a pas
d’objection à cela,
autant ne pas
oublier qu’ils ont
une connotation
légèrement
différente. Shedd
qui les distingue
comme suit:
« Essence est
esse,
être et signifie
être énergique.
Substance de
substareet
dénote la
possibilité latente
de.... L’essence du
terme décrit Dieu
comme une somme
totale de
perfections
infinies; la terme
substance le décrit
comme le sol
sous-jacent des
activités infinis.
Le premier est,
comparativement, un
verbe actif; le
dernier, un passif.
Le premier est,
comparativement,
spirituelle, le
dernier une
condition
matérielle. On parle
de substance
matérielle plutôt
que de l’essence
matérielle. »
Puisque l’unité de
Dieu a déjà été
discutée dans ce qui
précède, il n’est
pas nécessaire d’y
insister en détail
dans la connexion
actuelle. Cette
proposition
concernant l’unité
de Dieu repose sur
ces passages comme
Deutéronome 6:4;
Jacques 02:19, sur
l’existence autonome
et l’immutabilité de
Dieu et sur le fait
qu’il est identifié
avec ses perfections
que quand il est
appelé vie, lumière,
vérité, justice et
ainsi de suite.
b.
il présente un être
divin en trois
personnes ou
subsistances,
père,
fils
et
Saint-Esprit.
Cela est prouvé par
les divers passages
dénommés justifiant
la doctrine de la
Trinité. Pour
désigner ces
distinctions dans la
divinité, écrivains
grecs généralement
employé le terme
hypostasis,
tandis que les
auteurs latins
utilisé le terme
personaet
parfois de
substantia.
Parce que le premier
était susceptible
d’être trompeuse, et
celui-ci était
ambiguë, le
Schoolmen a inventé
le mot
subsistentia.
La variété des
termes utilisés
souligne le fait que
leur insuffisance a
toujours estimé. Il
est généralement
admis que le mot
« personne » n’est
qu’une expression
imparfaite de
l’idée. Dans le
langage courant, il
désigne une personne
rationnelle et
morale distincte,
douée d’une
conscience de soi et
consciente de son
identité au milieu
de toutes les
modifications.
L’expérience
enseigne que lorsque
vous avez une
personne, vous avez
également une
essence individuelle
distincte. Chaque
personne est une
personne distincte
et séparée, en qui
la nature humaine
est individualisée.
Mais en Dieu il n’y
a pas trois
personnes aux côtés
d’et séparé de
l’autre, mais
seulement
personnelles
self-distinctions au
sein de l’essence
Divine, qui est non
seulement de manière
générique, mais
aussi numériquement,
une. Par conséquent
beaucoup préféraient
parler de trois
hypostases dans
Dieu, trois modes
différents, pas de
manifestation, comme
Sabellius enseigné,
mais de
l’existence ou de
subsistance.
Ainsi Calvin dit:
« par personne,
alors, j’entends une
subsistance dans
l’essence Divine. —
une subsistance qui,
bien que liée aux
deux autres, se
distingue d’eux par
propriétés
incommunicables. »
Cela
est parfaitement
admissible et peut
éviter malentendus,
mais ne doit pas
nous faire perdre de
vue le fait que les
distinctions de soi
dans l’être divin
implique un « I » et
« Tu » et « He »,
dans l’être de Dieu,
qui supposent des
relations
personnelles entre
eux provoquer.
Matthieu 03:16; 4:1;
John 01:18; 03:16;
05:20-22; 14:26;
15:26; 16:13-15.
c.
l'ensemble de
l’essence
indivisible de Dieu
appartient également
à chacune des trois
personnes.
Cela signifie que
l’essence divine
n’est pas réparti
entre les trois
personnes, mais il
est tout à fait avec
toute sa perfection
dans chacune de ces
personnes, afin
qu’ils aient une
unité numérique
d’essence. La nature
divine se distingue
de la nature humaine
en ce qu’il peut
subsister
entièrement et
indivisiblement
dans plus d’une
personne. Alors que
trois personnes chez
les hommes ont
seulement une unité
spécifique de
part nature ou
essence,
c'est-à-dire, dans
le même genre de la
nature ou l’essence,
les personnes dans
la divinité ont une
unité
numérique
d’essence,
c'est-à-dire,
posséder l’essence
identique. La nature
humaine ou essence
peut être considéré
comme une espèce,
dont chaque homme a
une pièce
individuelle, afin
qu’il y a une unité
spécifique (des
espèces); mais la
nature divine est
indivisible et donc
identique en la
personne de la
divinité. C’est
numériquement la
même, et par
conséquent l’unité
de l’essence dans
les personnes est
une unité numérique.
D'où il suit que
l’essence divine
n’est pas une
existence
indépendante aux
côtés des trois
personnes. Il a pas
d’existence en
dehors d’et en
dehors de trois
personnes. Si elle
l’a fait, il y
aurait aucune vraie
unité, mais une
division qui
conduirait dans
tetratheism. La
distinction
personnelle est dans
l’essence divine.
Comme il est
généralement appelé,
cela a trois modes
de subsistance. Une
autre conclusion qui
découle de ce qui
précède, est qu’il
peut y avoir aucune
subordination
quant à
être essentielle
de la personne de la
divinité à l’autre
et donc aucune
différence dans la
dignité des
personnes. Cela doit
être maintenue par
le subordinationisme
de Origen et autres
premiers pères de
l’église et les
arminiens et de
Clarke et d’autres
théologiens
anglicans. La seule
subordination dont
nous pouvons parler,
est une
subordination à
l’égard de l’ordre
et de la relation.
C’est surtout quand
nous réfléchissons
sur la relation
entre les trois
personnes à
l’essence divine que
tous les analogies
nous manquent et
nous devenons
profondément
conscients du fait
que la Trinité est
un mystère bien
au-delà de notre
compréhension. C’est
la gloire
incompréhensible de
la divinité. Tout
comme la nature
humaine est trop
riche et trop plein
pour être incorporés
dans un seul
individu et vient à
son expression
adéquate que dans
l’humanité tout
entière, donc l’etre
divin se déploie
elle-même dans sa
plénitude, que dans
ses trois plier
subsistance du père
, Fils et
Saint-Esprit.
d.
la subsistance et
l’exploitation des
trois personnes dans
l’être divin est
marquée par un
certain ordre défini.
Il y a un certain
ordre dans la
Trinité ontologique.
En subsistance
personnelle du père
est tout d’abord, le
fils en second lieu,
et le Saint Esprit
troisième. Il faut
difficilement dire
que cette ordonnance
ne sont pas liées à
toute priorité de
temps ou de dignité
essentielle, mais
seulement à l’ordre
logique de
dérivation. N’est ni
engendré par le
père, ni le produit
de toute autre
personne; le fils
est éternellement
engendré du père, et
l’esprit procède du
père et le fils de
toute éternité.
Génération et la
procession se
déroulent au sein de
l’etre divin et
impliquent une
certaine
subordination quant
à la manière de
subsistance
personnelle, mais
aucune subordination
en ce qui concerne
la possession de
l’essence divine
n’est concernée.
Cette Trinité
ontologique et son
ordre inhérent est
le fondement
métaphysique de la
Trinité économique.
C’est, mais naturel,
donc, que l’ordre
existant dans la
Trinité essentielle
devrait se refléter
dans l'
ad opéra
supplémentaire
qui sont plus
particulièrement
attribuée à chacune
des personnes.
L’écriture indique
clairement cette
ordonnance en ce
qu’on appelle
praepositiones
distinctionales,
ek,
diaet
fr,
qui sont utilisés
pour exprimer l’idée
que toutes les
choses sont sur le
père, par le fils et
le Saint Esprit.
e.
il y a certaines
qualités
personnelles par
lesquelles les trois
personnes sont
distinctes.
Ils sont également
appelés
opéra ad intra,
parce que ce sont
des œuvres au sein
de l’etre divin, qui
ne sont pas terminés
sur la créature. Ils
sont des opérations
personnelles, qui ne
sont pas exécutées
par les trois
personnes
conjointement et qui
sont
incommunicables.
Génération est un
acte du père
seulement; filiation
appartient au fils
exclusivement; et
procession peut
uniquement être
attribuée à l’Esprit
Saint. Comme
opéra
ad intra ces
œuvres sont
distinguent de l'
ad
opéra supplémentaire,
ou les activités et
les effets par
lesquels la Trinité
se manifeste
extérieurement.
Ceux-ci ne sont
jamais oeuvres d’une
personne
exclusivement, mais
toujours des œuvres
de l’etre divin dans
son ensemble. Dans
le même temps, il
est vrai que
certains de l'
ad
opéra supplémentaire
sont attribuées dans
l’ordre économique
des oeuvres de Dieu
plus
particulièrement à
une seule personne
et plus
particulièrement à
l’autre. S’ils sont
conjointement toutes
les œuvres des trois
personnes, création
est attribuée
principalement au
père, la rédemption
au fils et la
sanctification de
l’Esprit Saint. Le
présent arrêté dans
les opérations
divines pointe vers
l’ordre essentiel en
Dieu et constitue le
fondement de ce
qu’on appelle
généralement la
Trinité économique.
f.
l’église confesse la
Trinité comme étant
un mystère au-delà
de la compréhension
de l’homme.
La Trinité est un
mystère, non
seulement dans le
sens biblique du
terme que c’est une
vérité, qui était
autrefois cachée,
mais est maintenant
révélée; mais dans
le sens que l’homme
ne peut comprendre
et rendre
intelligible. C’est
compréhensible dans
certaines de ses
relations et les
modes de
manifestation, mais
incompréhensibles
dans sa nature
essentielle. Les
nombreux efforts
déployés pour
expliquer le mystère
étaient spéculatifs
plutôt que
théologique.
Invariablement,
elles ont donné lieu
à l’élaboration des
conceptions
tritheistic ou
modalistic de Dieu,
le refus de soit
l’unité de l’essence
divine ou la réalité
des distinctions
personnelles au sein
de l’essence. La
véritable difficulté
réside dans la
relation dans
laquelle les
personnes dans la
divinité debout à
l’essence divine et
un à l’autre; et il
s’agit d’une
difficulté que
l’église ne peut pas
supprimer, mais
seulement essayer de
réduire à sa
proportion
appropriée par une
bonne définition des
termes. Elle a
jamais essayé
d’expliquer le
mystère de la
Trinité, mais
seulement cherché à
élaborer la doctrine
de la Trinité de
telle manière que
les erreurs dont il
en voie de
disparition ont été
conjurées.
4.
différentes
ANALOGIES a suggéré
de faire la lumière
sur le sujet.
Depuis la première
date de l’ère
chrétienne,
tentatives furent
faites pour faire la
lumière sur les
Trinitaires étant de
Dieu, sur la Trinité
dans l’unité et
l’unité dans la
Trinité, par
analogies tirées de
plusieurs sources.
Ce sont tous
défectueux, on ne
peut nier qu’ils
étaient d’une
certaine valeur au
débat trinitaire.
Cela vaut en
particulier pour
ceux issus de la
nature
constitutionnelle ou
de la psychologie,
de l’homme. Compte
tenu du fait que
l’homme a été créé à
l’image de Dieu,
c’est naturel mais à
supposer que, s’il y
a quelques traces de
la vie trinitaire
dans la créature, la
plus claire de ces
trouveront chez
l’homme.
a. certaines de ces
illustrations ou les
analogies ont été
prises de la nature
inanimée ou de
végétaux, comme
l’eau de la
fontaine, le
ruisseau et la
rivière, de la brume
montante, les nuages
et la pluie ou sous
forme de pluie, de
neige et de glace;
et comme l’arbre
avec ses racines,
tronc et branches.
Ceux-ci et toutes
les illustrations
similaires sont très
défectueuses. L’idée
de la personnalité
est, bien sûr, tout
à fait désireux; et
si ils fournit des
exemples d’un
caractère ou une
substance commune,
ils ne sont pas des
exemples d’une
essence commune qui
est présente, pas
seulement en partie,
mais dans son
intégralité, dans
chacun de ses
éléments
constitutifs ou les
formes.
b. d’autres une plus
grande importance
ont été tirées de la
vie de l’homme, en
particulier par la
constitution et les
processus de
l’esprit humain.
Ceux-ci ont été
considérés comme
d’importance
particulière, parce
que l’homme est le
porteur de l’image
de Dieu. À cette
classe appartiennent
à l’unité
psychologique de
l’intellect,
l’affection et la
volonté (Augustine);
l’unité logique de
thèse, antithèse et
synthèse (Hegel); et
l’unité métaphysique
du sujet, objet et
sujet-objet (Olshausen,
Shedd). En tout
cela, nous avons une
certaine Trinité
dans l’unité, mais
aucun
tri-personnalité
dans l’unité de
substance.
c. l’attention a
également été
appelée à la nature
de l’amour, ce qui
suppose un sujet et
un objet et appelle
à l’union de ces
deux, afin que,
lorsque l’amour a
son travail parfait,
trois éléments sont
inclus. Mais il est
facile de voir que
cette analogie est
défectueuse,
puisqu’elle
personnes coordonne
deux et une
relation. Il
n’illustre pas du
tout une
tri-personnalité. En
outre, il se réfère
seulement à une
qualité et pas du
tout à une substance
possédée en commun
par le sujet et
l’objet.
C. les trois
personnes
considérées
séparément.
1. LE PÈRE OU LA
PREMIÈRE PERSONNE
DANS LA TRINITÉ.
- la conscience de
la Source de
l'existence -
a. le
nom «père»
tel
qu’appliqué à Dieu.
Ce nom n’est pas
toujours utilisé de
Dieu dans le même
sens dans
l’écriture. (1)
parfois, il est
appliqué à Dieu
Triune que l’origine
de toutes les choses
créées, I Cor. 8:6;
EP 03:15; Hébreux
12:9; Jacques 01:17.
Dans ces cas, le nom
s’appliqu’à l’un et
Trine, il renvoie
plus précisément à
la première
personne, à qui le
travail de création
est plus
particulièrement
attribuée à
l’écriture. (2) le
nom est également
attribué à l’un et
Trine pour exprimer
la relation
théocratique dans
lequel il se trouve
en Israël comme son
ancien Testament
personnes, Deut. 32:
6; Ésaïe 63:16;
64:8; Jérémie 3:4;
Malachie 1:6; 02:10;
(3) dans le Nouveau
Testament, le nom
est généralement
utilisé pour
désigner le Dieu
triune comme le père
dans un sens éthique
de tous ses enfants
spirituels, Matthieu
05:45; 6:6-15; ROM.
08:16; J’ai John
3:1. (4) dans un
sens totalement
différent,
cependant, le nom
est appliqué à la
première personne de
la Trinité dans sa
relation à la
deuxième personne,
John 01:14, 18;
05:17-26; 08:54;
14:12, 13. la
première personne
est le père de la
deuxième dans un
sens métaphysique.
Il s’agit de la
paternité initiale
de Dieu, de qui
toute paternité
terrestre est qu’un
pâle reflet.
b. la
propriété
distinctive du père.
Les biens personnels
du père est,
négativement
parlant, qu’il n’est
pas engendré ou
inengendré et
positivement
parlant, la
génération du fils
et la spiration de
l’Esprit Saint. Il
est vrai que
spiration est
également une oeuvre
du fils, mais en
lui, il n’est pas
associé à la
génération.
Strictement parlant,
le seul travail qui
est particulière au
père exclusivement
est celle de la
génération active.
c.
l’annonce de l’opéra
supplémentaire
attribuée plus
particulièrement au
père. Tous les
ad
opéra supplémentaire
de Dieu sont des
oeuvres du Dieu
triune, mais dans
certaines de ces
œuvres le père est
évidemment au
premier plan, tels
que: (1) conception
de le œuvre de
rédemption, y
compris les
élections, dont le
fils était lui-même
un objet, Psaume
2:7-9; 40: 6-9;
Ésaïe 53: 10;
Matthieu 12:32;
Éphésiens 1:3-6. (2)
les travaux de
création et
providence, surtout
à leurs débuts, j’ai
Cor. 8:6; Éphésiens
2:9. (3) les travaux
de représenter la
Trinité, à l’avocat
de la rédemption,
comme le Saint et
juste être, dont le
droit a été violé,
Psaume 2:7-9; 40:
6-9; John 06:37, 38;
17:4-7.
2. LE FILS OU LA
SECONDE PERSONNE DE
LA TRINITÉ.
- la conscience de
l'Expression de
l'existence -
a. le
nom «fils»
telle
qu’appliquée à la
seconde personne.
La deuxième personne
de la Trinité est
appelée « Fils » ou
« Fils de Dieu » en
plus d’un sens du
mot. (1)
dans un
sens métaphysique.
Cela doit être
maintenue par les
Sociniens et
unitaires, qui
rejettent l’idée
d’une divinité de la
tri-personnel, voir
en Jésus un simple
homme et considère
le nom de « Fils de
Dieu », telle
qu’appliquée à lui
avant tout comme un
titre honorifique
lui sont conférés.
Il est évident que
Jésus Christ est
représenté comme le
fils de Dieu dans
l’écriture, quelle
que soit sa position
et son travail en
tant que médiateur.
Il parle de lui
comme le fils de
Dieu du point de vue
pré incarnation, par
exemple, dans Jean
01:14, 18; Galates
4:4. (b) il
s’appelle le « »
fils unique de Dieu
ou du père, un terme
qui ne
s’appliquerait pas à
lui, s’il était le
fils de Dieu
seulement à un
fonctionnaire ou un
sens éthique, John
01:14, 18; 03:16,
18; J’ai John 4:9.
Comparer II sam
07:14; Job 2:1;
Psaume 2:7; Luc
03:38; John 01:12.
(c) dans certains
passages, il est
tout à fait évident
du contexte que le
nom est révélateur
de la divinité du
Christ, Jean
05:18-25; Hébreux 1.
(d) tandis que Jésus
enseigne à ses
disciples de parler
de Dieu et devant
lui comme « notre
père », il est
lui-même parle de
lui et adresse à
lui, simplement
comme le « Père » ou
« mon père » et
montre ainsi qu’il
était conscient
d’une relation
unique au père,
Matthieu 6:9; 07:21;
John 20:17. (e)
conformément à
Matthieu 11:27,
Jésus comme le
prétend le fils de
Dieu une
connaissance unique
de Dieu, une
connaissance comme
personne d’autre ne
puisse posséder. (f)
les Juifs ont
certainement
comprenaient Jésus
de prétendre qu’il
était le fils de
Dieu dans un sens
métaphysique, car
ils considéraient la
manière dans
laquelle il a parlé
de lui-même comme le
fils de Dieu comme
blasphème, Matthieu
26:63; John 05:18;
10:36. — — (2)
de
façon officielle ou
messianique.
Dans certains
passages, ce sens du
nom est combiné avec
celui mentionné
précédemment. Les
passages suivants
s’appliquent le nom
de « Fils de Dieu »
à Christ en tant que
médiateur, Matthieu
08:29, de 26:63 (où
cette signification
est combinée avec
l’autre); 27: 40;
John 01:49; 11:27.
ce Messie-filiation
est, bien sûr, liées
à l’origine la
filiation du Christ.
C’est seulement
parce qu’il était
essentiel et éternel
fils de Dieu, qu’il
pourrait être appelé
le fils de Dieu
comme le Messie. En
outre, la
Messie-filiation
reflète la filiation
éternelle du Christ.
C’est à partir du
point de vue de ce
Messie-filiation que
Dieu est encore
appelé le Dieu du
fils, II Corinthiens
11:31; Éphésiens 1:3
et est parfois
mentionné comme Dieu
à la différence du
Seigneur, John 17:3;
I Corinthiens 8:6;
Éphésiens 4:5, 6. —
— (3)
dans un sens importé.
Le nom de « Fils de
Dieu » est donné à
Jésus aussi compte
tenu du fait qu’il
devait sa naissance
à la paternité de
Dieu. Il a été
engendré, selon sa
nature humaine, par
l’opération
surnaturelle du
Saint-esprit et est
en ce sens, le fils
de Dieu. Ceci est
clairement indiqué
dans Luc 01:32, 35
et peut sans doute
être inférée
également John
01:13.
b. la
subsistance
personnelle du fils.
La subsistance
personnelle du fils
doit être maintenue
par rapport à tous
les Modalistes, qui,
d’une manière ou
d’une autre, nient
les distinctions
personnelles
dans la divinité. La
personnalité du fils
peut être motivée
comme suit: (1) la
façon dont la Bible
parle du père et le
fils aux côtés de
l’autre implique que
celui est tout aussi
personnelle que les
autres et est
également un signe
d’une relation
personnelle existant
entre la t WO. (2)
l’utilisation de
l’appelatives
« unique » et le
« premier-né »
implique que la
relation entre le
père et le fils,
tandis qu’unique,
peut néanmoins être
représentée environ
une génération et de
la naissance. Le
« premier-né » de
nom se trouve à
01:15; Hébreux 1:6
et insiste sur le
fait de la
génération éternelle
du fils. Cela
signifie simplement
qu’il était avant
toute la création.
(3) l’utilisation
distincte du terme
« Logos » dans
l’écriture pointe
dans la même
direction. Ce terme
est appliqué au
fils, pas en premier
lieu d’exprimer sa
relation au monde
(ce qui est tout à
fait secondaire),
mais pour indiquer
la relation intime
dans lequel il est
le père, la relation
comme celle d’un mot
à l’orateur. À la
différence de la
philosophie, la
Bible représente le
Logos comme
personnelles et
l’identifie avec le
fils de Dieu, John
1:1-14; J’ai John
1:1-3. (4) la
description du fils
comme l’image, ou
même l’image de Dieu
dans II Corinthiens
4:4; 01:15; Hébreux
1:3. Dieu distingue
clairement dans
l’écriture comme un
être personnel. Si
le fils de Dieu est
l’image même de
Dieu, il doit aussi
être une personne.
c.
la
génération éternelle
du fils. Les
biens personnels du
fils est qu’il est
éternellement
engendré du père
(brièvement appelé
« filiation ») et
partage avec le père
dans la spiration de
l’esprit. La
doctrine de la
génération du fils
est suggérée par la
représentation
biblique des
première et deuxième
personnes de la
Trinité comme se
situant dans la
relation du père et
fils les uns aux
autres. Non
seulement les faire
le nom « Père » et
« Fils » suggèrent
la génération de ce
dernier par
l’ancien, mais le
fils est aussi à
plusieurs reprises
appelé « l’unique,
« John 01:14, 18;
03:16, 18; Hébreux
11:17; J’ai John
4:9. Plusieurs
éléments méritent
l’accent dans le
cadre de la
génération du fils:
(1)
c’est un acte de
Dieu nécessaire.
Origène, l’un des
tous premiers à
parler de la
génération du fils,
il a considéré comme
un acte dépend de la
volonté du père et
par conséquent
libre. D’autres à
plusieurs reprises
exprimé la même
opinion. Mais il a
été clairement vu
par Athanasius et
d’autres qu’une
génération dépend de
l’option sera du
père rendrait
l’existence du
contingent fils et
voler ainsi lui de
sa divinité.
Ensuite, le fils ne
serait pas égal à et
existe
nécessairement
homoousios
auprès du père, du
père et ne peut pas
être conçue comme
inexistante. La
génération du fils
doit être considérée
comme un acte de
Dieu, nécessaire et
parfaitement
naturel. Cela ne
signifie pas qu’il
n’est pas liée à la
volonté du père dans
tous les sens du
terme. C’est qu'un
acte de nécessaire
du père sera, ce qui
signifie simplement
que son corollaire
sera se délecte
parfait dedans. (2)
c’est
une loi éternelle du
père. Cela
découle
naturellement de ce
qui précède. Si la
génération du fils
est un
nécessaire loi
du père, alors qu’il
est impossible de
lui concevoir comme
ne pas générer, il
partage
naturellement dans
l’éternité du père.
Cela ne signifie
pas, cependant, que
c’est un acte qui a
été achevé dans le
passé lointain, mais
plutôt que c’est un
acte hors du temps,
la Loi d’un éternel
présent, un acte
continue toujours et
encore jamais
réalisée. Son
éternité résulte non
seulement de
l’éternité de Dieu,
mais aussi de
l’immuabilité divine
et de la véritable
divinité du fils. En
plus de cela, il
peut être déduit de
tous ces passages de
l’Ecriture qui
enseignent la
préexistence du fils
ni son égalité avec
le père, Michée 5:2;
John 01:14, 18;
03:16; 05:17, 18,
30, 36; Actes 13:33;
Jean 17:5; 01:16;
Hébreux 1:3. La
déclaration du
Psaume 2:7, « tu es
mon fils; ce jour
j’ai toi, engendré »
est généralement
cité pour prouver la
génération du fils,
mais, selon
certains, avec
bienséance plutôt
douteux, cf. actes
13:33; Hébreux 1:5.
Ils présument que
ces mots se
rapportent à
l’élévation vers le
haut de Jésus comme
roi messianique et à
la reconnaissance de
lui comme fils de
Dieu de façon
officielle et
devrait probablement
être reliés avec la
promesse dans II
Samuel 07:14, tout
comme ils se
trouvent dans
Hébreux 1:5. (3)
c’est
une génération de la
subsistance
personnelle plutôt
que de l’essence
divine du fils.
Certains ont parlé
comme si le père a
généré l’essence du
fils, mais cela
revient à dire qu’il
a généré sa propre
essence, de
l’essence de fois le
père et le fils est
exactement la même
chose. Il est
préférable de dire
que le père génère
la subsistance
personnelle du fils,
mais aussi lui
communique l’essence
divine dans son
intégralité. Mais en
faisant cela, que
nous devons nous
prémunir contre
l’idée que le père
la première
génération de la
seconde personne et
ensuite communiqué
l’essence divine à
cette personne, car
cela aboutirait à la
conclusion que le
fils n’était pas
générés hors
l’essence divine,
mais créé à partir
de n° chose. Dans le
travail de
génération, il y
avait une
communication des
délais; C’était un
acte indivisible. Et
en vertu de la
présente
communication le
fils a aussi la vie
en lui-même. C’est
en accord avec la
déclaration de
Jésus, « Pour que le
père a la vie en
lui-même, même si a
donné il au fils
aussi d’avoir la vie
en lui-même, » John
05:26. (4)
c’est
une génération qui
doit être conçue
comme spirituelle et
divine. Contre
les Ariens, qui a
insisté pour que la
génération du fils
nécessairement
implicite de
séparation ou la
division de l’etre
divin, les pères de
l’église a insisté
sur le fait que
cette génération ne
doit pas être conçu
de manière physique
et tourments, mais
devrait être
considéré comme
spirituelle et
divine, à
l’exclusion de toute
idée de division ou
de changement. Il
n’apporte
distinctio et
répartition util,
mais aucun
diversitas et
divisio
dans l’etre divin.
(Bavinck) La plus
frappante analogie
de celui-ci se
trouve dans la
pensée de l’homme et
prenant la parole,
et la Bible
elle-même semble
pointer vers cela,
quand il parle du
fils comme le Logos.
(5) la définition
suivante peut être
donnée de la
génération du fils:
c’est
cette loi éternelle
et nécessaire de la
première personne
dans la Trinité,
par
lequel il,
au sein
de l’etre divin,
est
le terrain d’un
deuxième personnels
subsistance comme
son propre
et met
cette seconde
personne en
possession de
l’essence divine
ensemble,
sans
aucune division,
aliénation,
ou
changer.
d. la
divinité du fils.
La divinité du fils
a été refusée dans
l’église primitive
par Ébionites et les
Alogi, ainsi que par
les Monarchiens
dynamiques et les
Ariens. À l’époque
de la réforme les
Sociniens ont suivi
leur exemple et
parlait de Jésus
comme un simple
homme. La même
position est prise
par Schleiermacher
et Ritschl, par une
foule de chercheurs
libéraux,
particulièrement en
Allemagne, par les
unitaires et par les
modernistes et les
humanistes de nos
jours. Ce refus est
possible uniquement
pour ceux qui
ignorent les
enseignements de
l’écriture, la Bible
contient une
abondance de preuves
de la divinité du
Christ.
Nous trouvons que
l’écriture (1)
affirme
explicitement la
divinité du fils
dans ces passages
comme John 1:1;
20:28; Romains 9:5;
Philippiens 2:6;
Tite 02:13; J’ai
John 05:20; (2)
s’applique à des
noms divins lui,
Ésaïe 9:6; 40: 3;
Jérémie 23:5, 6;
Joel 02:32 (COMP. AC
02:21); J’ai
Timothée 03:16; (3)
attribue à lui des
attributs divins,
comme l’existence
éternelle, Ésaïe
9:6; Jean 1:1, 2;
Apocalypse 1:8;
22:13, omniprésence,
Matthieu 18:20; 28:
20; John 03:13,
omniscience, John
02:24, 25; 21:17;
02:23, omnipotence.
Ésaïe 9:6; Phil.
03:21; Apocalypse
1:8, immuabilité,
Héb. 01:10-12; 13:8,
et en général tous
les attributs
appartenant au père,
Colossiens 2:9; (4)
parle
de lui comme faisant
des oeuvres divines,
comme création, John
1:3, 10; 01:16;
Hébreux 1:2, 10,
providence, Luc
10:22; John 03:35;
17:2; EP 01:22;
01:17; Hébreux 1:3,
le pardon des
péchés, Matthieu
9:2-7; Marc 2:7-10;
03:13, la
résurrection et le
jugement, Matthieu
25: 31, 32; Jean
05:19-29; Actes
10:42; 17:31; Phil.
03:21; II Timothée
4:1, la dissolution
finale et le
renouvellement de
toutes choses, Héb.
01:10-12; Phil.
03:21; Apocalypse
21:5 et (5)
les
accords lui divin
honneur, John
05:22, 23; 14:1; I
Corinthiens 15:19;
II Corinthiens
13:13; Hébreux 1:6;
Matthieu 28: 19.
e. la
place du fils dans
la Trinité
économique. Il
est à noter que
l’ordre d’existence
dans la Trinité
essentielle ou
ontologique se
reflète dans la
Trinité économique.
Le fils occupe la
deuxième place dans
l' ad
opéra supplémentaire.
Si toutes les choses
sont sur
le père, ils sont
par
le fils, j’ai Cor.
8:6. Si l’ancien est
représenté comme
étant la cause
absolue de toutes
choses, la dernière
se démarque
clairement comme la
médiation cause.
Ceci s’applique dans
la sphère naturelle,
où toutes choses
sont créées et
gérées par le fils,
John 1:3, 10;
Hébreux 1:2, 3. Il
est la lumière qui
éclaire tout homme
dans le monde, John
1:9. Elle s’applique
également à le œuvre
de rédemption. À
l’avocat de la
rédemption il prend
sur lui d’être
caution pour son
peuple et d’exécuter
le plan du père de
la rédemption, PS.
40:7, 8. Il
fonctionne cela plus
particulièrement
dans son
incarnation,
souffrances et la
mort, Éphésiens
1:3-14. Dans le
cadre de sa fonction
les attributs de la
sagesse et la
puissance, j’ai Cor.
01:24; Hébreux 1:3
et de la miséricorde
et la grâce, sont
surtout lui sont
imputables, II
Corinthiens 13:13;
Éphésiens 5:2, 25.
3. LE SAINT-ESPRIT
OU LA TROISIÈME
PERSONNE DANS LA
TRINITÉ.
- la conscience de
la Réflexion de
l'existence -
a. le
nom appliqué à la
troisième personne
de la Trinité.
Alors qu’on nous dit
dans Jean 04:24 que
Dieu est esprit, le
nom s’applique plus
particulièrement à
la troisième
personne dans la
Trinité. Le terme
hébreu par lequel il
est désigné est
ruachet
le grec
pneuma, qui
sont tous deux,
comme le Latin
spiritus,
dérivé des racines
qui signifient
« respirer ». Donc
ils peuvent aussi
être rendus « breath »,
Genèse 2:7; 06:17;
Ézéchiel 37:5, 6, ou
« vent, « Genèse
8:1; Iier Rois
19:11; Jean 3:8.
L’ancien Testament
utilise le terme
« esprit » sans
aucune réserve,
généralement ou
parle de « l’esprit
de Dieu » ou
« l’esprit du
Seigneur » et
emploie le terme « Saint-esprit »
que dans le Psaume
51:11; Esaïe 63:10,
11, tandis que dans
le Nouveau
Testament, c’est
devenu une
appellation beaucoup
plus courante de la
troisième personne
dans la Trinité.
C’est une
substitution fait
que, tandis que
l’ancien Testament
appelle à plusieurs
reprises de Dieu
« le Saint
d’Israël, » psaume
71:22; 89:18; Ésaïe
10:20; 41: 14; 43:3;
48:17, le Nouveau
Testament rarement
s’applique
l’adjectif « Saint »
à Dieu en général,
mais il utilise
fréquemment pour
caractériser
l’esprit. C’est
vraisemblablement dû
au fait que c’est
surtout dans
l’esprit et
sanctifiant ainsi
son travail que Dieu
s’est révélé comme
Saint. C’est le
Saint-Esprit qui
reprend sa demeure
dans le cœur des
croyants, qui sépare
à Dieu, et qui les
purifie du péché.
b. la
personnalité du
Saint-Esprit.
Les termes « Esprit
de Dieu » ou
« Saint-Esprit » ne
suggèrent pas de
personnalité autant
que le terme
« Fils ». En outre,
la personne du
Saint-Esprit ne
semblait pas sous
une forme
personnelle
clairement
perceptible chez les
hommes, tout comme
la personne du fils
de Dieu. Ainsi, la
personnalité de
l’Esprit Saint a été
souvent mises en
cause et mérite donc
une attention
particulière. La
personnalité de
l’esprit a été
refusée dans
l’église primitive
par les Monarchiens
et le Pneumatomachians.
Dans ce refus, ils
sont suivis par les
Sociniens dans les
jours de la
réformation. Encore
plus tard
Schleiermacher,
Ritschl, unitaires,
modernistes actuels
et tous les
Sabelliens modernes
rejettent la
personnalité de
l’Esprit Saint. On
dit souvent de nos
jours que ces
passages qui
semblent impliquer
la personnalité du
Saint-Esprit
contiennent
simplement des
personnifications.
Mais les
personnifications
sont certainement
rares dans les
écrits de prose du
Nouveau Testament et
peuvent facilement
être reconnues. En
outre, une telle
explication détruit
clairement le sens
de certains de ces
passages, par
exemple John 14:26;
16:7-11; ROM. 08:26.
L’écriture pour la
personnalité de
l’Esprit Saint est
tout à fait
suffisant: (1),
désignations qui
sont propres à la
personnalité qui lui
sont données.
Bien que
pneuma est
neutre, pronom
masculin
ekeinos sert de
l’esprit dans Jean
16:14; et en
Éphésiens 01:14
certaines des
meilleures autorités
ont le masculin
pronom relatif
hos.
En outre, le nom
Parakletos est
appliqué à lui, Jean
14:26; 15:26; 16:7,
qui ne peut être
traduit par
« confort », ou
encore que le nom
d’une quelconque
influence abstraite.
Signifie qu’une
personne est
indiquée par le fait
que l’Esprit Saint
comme consolateur
est placé en
juxtaposition avec
Christ comme le
Consolateur sur le
point de départ,
pour lesquels le
même terme est
appliqué dans I Jean
2:1. Il est vrai que
cette expression est
suivie du neutres
ho
et auto
dans Jean 14:16-18,
mais cela est dû au
fait que
pneuma
intervient. (2)
les
caractéristiques
d’une personne sont
attribuées à lui,
tels que
l’intelligence, John
14:26; 15:26; ROM.
08:16, sera, actes
16:7; I Cor. 12:11
et les affections,
Ésaïe 63:10; EP
04:30. En outre, il
effectue des actes
propres à la
personnalité. Il
recherche, parle,
témoigne, commandes,
révèle, s’efforce,
crée, intercède,
déclenche la mort,
etc., Genèse 1:2;
6:3; Luc 12:12; John
14:26; 15:26; 16:8;
Actes à 08:29; 13:2;
ROM. 08:11; J’ai
Cor. 02:10, 11. Ce
qui fait toutes ces
choses ne peut pas
être un simple
pouvoir ou
influence, mais doit
être une personne.
(3) il
est représenté comme
se situant dans ces
relations à d’autres
personnes, comme
l’indique sa propre
personnalité.
Il est placé en
juxtaposition avec
les apôtres en actes
15:28, avec le
Christ dans Jean
16:14 et avec le
père et le fils dans
Matthieu 28: 19; II
Corinthiens 13:13; I
Pierre 1:1, 2; Jude
20-21. Son exégèse
exige que, dans ces
passages, le
Saint-esprit être
considéré comme une
personne. (4)
il y a
aussi des passages
où l’Esprit Saint se
distingue de par son
propre pouvoir,
Luke 01:35; 04:14;
Actes 10:38; Romains
15:13; I Corinthiens
2:4. Ces passages
deviendrait
tautologique, vide
de sens et même
absurde, si elles
étaient interprétées
sur le principe que
l’Esprit Saint est
simplement un
pouvoir. Cela peut
être illustré en
remplaçant par le
nom « Saint-Esprit »
tel un mot comme
« pouvoir » ou
« influence ».
c.
la
relation de l’Esprit
Saint aux autres
personnes dans la
Trinité. Les
controverses
Trinitaires précoce
conduit à la
conclusion que
l’Esprit Saint,
ainsi que le fils,
est de la même
essence que le père
et est donc
consubstantiel avec
lui. Et le différend
de longue haleine
sur la question, si
le Saint-Esprit
procède du père seul
ou aussi de fils, a
été finalement réglé
par le Synode de
Tolède en 589 par
l’ajout du mot
« Filioque » dans la
version latine de la
constantinopolitain:
«
Credimus in Spiritum
Sanctum qui a Patre
Filioque procedit« (« nous
croyons en l’Esprit
Saint, qui procède
du père et du
fils »). Cette
procession du
Saint-Esprit,
brièvement appelé
spiration, est sa
propriété
personnelle. Une
grande partie de ce
qui a été dit
concernant la
génération du fils
aussi s’applique à
la spiration de
l’Esprit Saint et ne
doit pas être
répétée. Les points
suivants de la
distinction entre
les deux peuvent
cependant noter: (1)
génération est le
œuvre du père
seulement; spiration
est le œuvre de fois
le père et le fils.
(2) par génération,
le fils est activé
pour prendre part
aux travaux de
spiration, mais le
Saint-Esprit
n’acquiert aucun ce
pouvoir. (3) dans un
ordre logique
génération précède
spiration. Nous
rappelons,
toutefois, que tout
cela n’implique
aucune subordination
essentielle de
l’Esprit Saint au
fils. Dans spiration
ainsi qu’en
production, il
existe une
communication de
l’ensemble de
l’essence divine,
afin que l’Esprit
Saint est sur un
pied d’égalité avec
le père et le fils.
La doctrine de la
procession du
Saint-esprit du père
et du fils est basée
sur Jean 15:26 et
sur le fait que
l’esprit est aussi
appelé l’esprit du
Christ et du fils,
Rom. 8:9; Galates
4:6 et est envoyé
par le Christ dans
le monde. Spiration
peut être définie
comme
qu’éternelle et
nécessaire agir de
la première et
deuxième personnes
dans la Trinité, par
lequel ils,
au sein
de l’etre divin,
devenu
le terrain de la
subsistance
personnelle du
Saint-Esprit,
et
mettre la Troisième
personne en
possession de
l’essence divine de
toute,
sans
aucune division,
aliénation ou
changement. p
><p>l’Esprit
Saint se trouve dans
la plus proche
relation possible
avec les autres
personnes. En
vertu de sa
procession du père
et du fils, l’esprit
est représenté comme
se situant dans la
relation possible le
plus proche à la
fois des autres
personnes.
De 1 Cor. 2:10, 11,
nous pouvons
déduire, que
l’esprit est le même
que la conscience de
soi de Dieu, mais
qu’il est aussi
étroitement lié à
Dieu le père, comme
l’âme de l’homme est
avec l’homme. Dans
II Corinthiens
03:17, nous lisons:
« maintenant, le
Seigneur est
l’esprit, et là où
l’esprit du
Seigneur, là est la
liberté. » Ici, le
Seigneur (le Christ)
est identifié avec
l’esprit, pas en ce
qui concerne la
personnalité, mais
quant à la manière
de travailler. Dans
le même passage,
l’esprit est appelé
« l’esprit du
Seigneur. » Le
travail pour lequel
le Saint-esprit fut
envoyé dans l’église
le jour de la
Pentecôte était
fondé sur son unité
avec le père et le
fils. Il est venu
comme le Parakletos
prendre la place du
Christ et pour faire
son travail sur la
terre, autrement
dit, pour enseigner,
proclamer,
témoigner, bear
witness, etc., comme
l’avait fait le
fils. Maintenant,
dans le cas de fils
cette œuvre
révélatrice reposait
sur son unité avec
le père. Juste pour
le travail de
l’esprit repose sur
son unité avec le
père et le fils,
John 16:14, 15.
Remarquez les
paroles de Jésus
dans ce passage:
« il doit glorifier
moi; parce qu’il
prend de la mine et
déclare qu’il te.
Toutes les choses
que ce soit le père
a sont les miennes:
donc disais-je,
qu’il prend de la
mine et déclare
qu’il te. »
d. la
divinité du
Saint-Esprit.
La divinité de
l’Esprit Saint peut
être établie par les
écritures par une
ligne de preuve
assez similaire à
utilisés en relation
avec le fils: (1)
noms
divins qui lui sont
données, Ex.
17:7 (COMP. Héb.
3:7-9); Actes 5:3,
4; I Corinthiens
03:16; II Timothée
03:16 (COMP. II
Pierre 01:21). (2)
perfections divines
sont attribuées à
lui, tels que
l’omniprésence,
Psaume 139:7-10,
omniscience, Ésaïe
40:13, 14 (COMP.
Rom. 11:34); J’ai
Cor. 02:10, 11,
omnipotence, I Cor.
12:11; Romains 15:19
et l’éternité, Héb.
09:14 ( ?). (3)
œuvres
divines sont
interprétées par lui,
telles que création,
Genèse 1:2; Job. 26:
13; 33: 4, PS.
104:30, rénovation
providentielle,
régénération, Jean
3:5, 6; Tite 3:5 et
la résurrection de
la mort, Rom. 08:11.
(4)
divine est aussi
rendre hommage à lui,
Matthieu 28: 19;
Romains 9:1; II
Corinthiens 13:13.
e. le
œuvre du
Saint-Esprit dans
l’économie divine.
Il y a certaines
œuvres qui sont plus
particulièrement
sont imputables à
l’Esprit Saint, non
seulement dans
l’économie de Dieu,
mais aussi dans
l’économie
particulière de la
rédemption. En
général on peut dire
que c’est la tâche
spéciale du
Saint-Esprit pour
mener les choses à
terme en agissant
immédiatement après
et dans la créature.
Tout comme il est
lui-même est la
personne qui remplit
la Trinité, si son
œuvre est la
réalisation du
contact de Dieu avec
ses créatures et la
réalisation de le
œuvre de Dieu dans
toutes les sphères.
Il s’ensuit le œuvre
du fils, tout comme
le œuvre du fils
fait suite à celle
du père. Il est
important de garder
à l’esprit, pour si
le œuvre de l’Esprit
Saint est dissociée
de le œuvre
objective du fils,
faux mysticisme est
lié au résultat. Le
œuvre du
Saint-Esprit
comprend les
éléments suivants
dans la sphère
naturelle: (1)
la
génération de la vie.
Comme étant n’est
pas le père et la
pensée par le fils,
alors la vie est
médiée par l’esprit,
Genèse 1:3; Job. 26:
13; PS. 33: 6 ( ?);
PS. 104:30. À cet
égard, il met la
touche finale aux
travaux de création.
(2)
l’inspiration
générale et la
qualification des
hommes.
L’Esprit Saint
inspire et qualifie
les hommes pour
leurs fonctions
officielles, pour
travail en science
et art, etc., Exode
28: 3; 31: 2, 3, 6;
35:35; J’ai Samuel
11:6; 16:13, 14.
D’une importance
encore plus grande
est le œuvre du
Saint-Esprit dans la
sphère de la
rédemption. Ici on
mentionnera les
points suivants: (1)
la
préparation et la
qualification du
Christ pour son
œuvre médiatrice.
Il a établi Christ
un corps et donc lui
a permis de devenir
un sacrifice pour le
péché, Luke 01:35;
Hébreux 10:5-7. Dans
les mots « un corps
tu préparer pour
moi », l’auteur
d’Hébreux suit la
Septante. Le sens
est: tu m’as permis
par la préparation
d’un corps sacré
pour devenir un vrai
sacrifice. Lors de
son baptême, Christ
a été oint du
Saint-Esprit, Luke
03:22 et a reçu les
qualifications dons
du Saint-Esprit sans
mesure, John 03:24.
(2)
l’inspiration de
l’écriture.
L’Esprit Saint a
inspiré l’écriture
et ainsi aux hommes
la révélation
spéciale de Dieu,
j’ai Cor. 02:13; II
Pierre 01:21, la
connaissance de le
œuvre de rédemption
qui est en
Jésus-Christ. (3)
la
formation et
l’augmentation de
l’église. Le
Saint-Esprit forme
et augmente
l’église, corps
mystique de Jésus
Christ, de
régénération et de
sanctification et il
habite comme le
principe de la
nouvelle vie,
Éphésiens 01:22, 23;
02:22; I Corinthiens
03:16; 12:4 et suiv.
(4)
enseignement et
guider l’église.
Le Saint-Esprit
témoigne au Christ
et mène l’église
dans toute la
vérité. En faisant
cela il se manifeste
à la gloire de Dieu
et du Christ,
augmente la
connaissance du
Sauveur, empêche
l’église d’erreur et
elle se prépare pour
son destin éternel,
John 14:26; 15:26;
16:13, 14; Actes à
05:32; Hébreux
10:15; J’ai John
02:27.
QUESTIONS
pour une étude plus
approfondie. La
littérature païenne
contient-il des
analogies de la
doctrine de la
Trinité ? Est le
développement de la
doctrine du début de
la Trinité de
l’ontologique ou de
la Trinité
économique ? La
Trinité économique
peut se comprendre
en dehors de
l’ontologique ?
Pourquoi est la
doctrine de la
Trinité discutée par
certains comme
introduction à la
doctrine de la
rédemption ? Quelle
est la conception
hégélienne de la
Trinité ? Comment
Swedenborg a fait
concevoir de lui ?
Où trouvons-nous le
Sabellianisme dans
la théologie
moderne ? Pourquoi
est-ce répréhensible
de conclure que la
Trinité est purement
économique ? Quelles
objections sont là
pour la conception
humanitaire moderne
de la Trinité ?
Pourquoi Barth
traite-t-il de la
Trinité de
Prolégomènes à la
théologie ? Quelle
est la signification
pratique de la
doctrine de la
Trinité ?
LITTÉRATURE: Bavinck,
Geref
dogme. II, pp.
260-347; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De Deo
II, pp. 3-255; Vos.
Geref. Dogme.
I,
pp. 36-81; Faire,
Godgeleerdheit
I, pp. 576-662;
Turretin,
opéra,
Locus
Tertius; Hodge,
Syst.
Theol. I, pp.
442-534; Dabney,
syst
et trouvailles.
THEOL.,
pp. 174-211; Curtiss,
La foi
Chr., pp.
483-510; Harris,
Dieu,
créateur et Seigneur
de tous, I, pp.
194-407; Illingworth,
la
Doctrine de la
Trinité; Adeney,
la
Conception
chrétienne de Dieu,
p. 215-246;
Steenstra,
l’être
de Dieu comme
l’unité et de la
Trinité, pp.
159-269; Clarke,
le Chr.
Doct. de Dieu,
pp. 227-248;
Bartlett,
le Dieu
trinitaire;
Liddon,
la
divinité de notre
Seigneur;
Mackintosh,
la
Doctrine de la
personne de Jésus
Christ;
Warfield,
le
Seigneur de gloire;
ibid.,
L’esprit de Dieu
dans l’ancien
Testament; et
La
Doctrine biblique de
la Trinité (les
deux en
Doctrines bibliques),
pp. 101 ff.; Ibid.,
la
Doctrine de la
Trinité de
Calvin (dans
Calvin
et le calvinisme);
Kuyper,
Het Werk van den
Heiligen Geest,
cf. Index; Owen,
un
discours concernant
le Saint-Esprit,
cf. Index; Smeaton,
le Doct.
du Saint-Esprit;
Pohle-Preuss,
la
Trinité Divine.
Les œuvres de Dieu
le divin décrète en général
A. la Doctrine des
décrets en
théologie.
Réformée souligne la
théologie la
souveraineté de
Dieu, en vertu
duquel il a
souverainement
déterminé de toute
éternité quelle
qu’elle soit
arrivera et
travaille que son
souverain sera dans
sa création toute
entière, naturelle
et spirituelle,
selon son plan
préétabli. Il est
entièrement d’accord
avec Paul quand il
dit que Dieu « opère
toutes choses
d’après l’avocat de
sa volonté, »
Éphésiens 01:11.
Pour cette raison
que c’est mais
naturel qui, en
passant de la
discussion de l’être
de Dieu à celle de
le œuvre de Dieu, il
devrait commencer
par une étude des
décrets divins. Il
s’agit de la seule
bonne méthode
théologique. Une
discussion
théologique de le
œuvre de Dieu
devrait prendre son
point de départ en
Dieu, aussi bien
dans le travail de
création et dans
celui de rachat ou
de loisirs. C’est
seulement émanant,
ainsi que liés à,
Dieu les œuvres de
Dieu d’entrer en
considération dans
le cadre de la
théologie.
En dépit de ce fait,
toutefois, théologie
réformée est
pratiquement seule
en mettant l’accent
sur la doctrine des
décrets. La
théologie
luthérienne est
moins théologique et
anthropologique
plus. Elle ne pas
systématiquement
prendre son point de
départ en Dieu et
examiner toutes
choses comme
divinement
prédéterminé, mais
montre une tendance
à considérer les
choses d’en bas
plutôt que d’en
haut. Et dans la
mesure où il croit
en la détermination
au préalable, il est
enclin à se limiter
à celui qui existe
dans le monde et
plus
particulièrement à
la bénédiction du
Salut. Il est
frappant de
constater que
beaucoup de
théologiens
luthériens est
silencieux, ou tous,
mais le silence,
respectant la
doctrine des décrets
de Dieu en général
et discuter
seulement la
doctrine de la
prédestination et
considère cela comme
le
conditionnel
plutôt qu’absolue.
Dans la doctrine de
la prédestination,
théologie
luthérienne montre
forte affinité avec
l’Arminianisme.
Krauth (un dirigeant
influent de l’église
luthérienne dans
notre pays) dit
encore: « les vues
d’Arminius lui-même,
en ce qui concerne
les cinq points, se
sont formés sous
l’influence
luthérienne et ne
diffère pas
essentiellement de
ceux de l’église
luthérienne; mais
sur de nombreux
points dans le
système développé
maintenant connu
comme
l’arminianisme,
l’église luthérienne
n’a aucune affinité
quoi qu’avec lui et
sur ces points
serait beaucoup plus
sympathiser avec le
calvinisme, bien
qu’elle n’a jamais
cru que pour sortir
du pélagianisme, il
est nécessaires à
l’exécution dans la
doctrine de la
prédestination
absolue. La
« formule de
concorde » touche
les cinq points
presque uniquement
sur leurs côtés
pratiques et sur les
tableaux lui-même
contre le
calvinisme, plutôt
par la négation des
déductions qui
découlent
logiquement ce
système, que par la
condamnation
explicite de sa
fondamentale théorie
sous sa forme
abstraite. »
Dans
la mesure où les
théologiens
luthériens
comprennent la
doctrine de la
prédestination dans
leur système, ils le
jugent généralement
dans le cadre de la
sotériologie.
Naturellement, la
théologie arminienne
ne place pas la
doctrine des décrets
au premier plan. En
général, que des
décrets est
habituellement
brille par son
absence. Pape
apporte dans la
doctrine de la
prédestination qu’en
passant, et Miley
elle introduit comme
une question de
discussion. Raymond
discute seulement la
doctrine de
l’élection, et
Watson accorde une
place importante à
cela en examinant
l’étendue de
l’expiation. Tous
rejettent la
doctrine de la
prédestination
absolue et se
substituer à elle
une prédestination
conditionnelle. La
théologie libérale
moderne il se
préoccupait pas de
la doctrine de la
prédestination,
puisqu’il est
fondamentalement
anthropologique.
Dans la « théologie
de crise », il est à
nouveau reconnu,
mais sous une forme
qui n’est ni
scripturaire ni
historique. Malgré
son attrait pour les
réformateurs, il
s’écarte largement
de la doctrine de la
prédestination,
comme il a été
enseigné par Luther
et Calvin.
B. les noms
bibliques pour les
décrets divins.
Les oeuvres purement
immanente de Dieu (opéra
ad intra), il
faut distinguer ceux
qui influent
directement sur les
créatures (ad
opéra supplémentaire).
Certains
théologiens, afin
d’éviter tout
malentendu,
préfèrent parler
d’opéra
immanentia et
exeuntia de l’opéraet
diviser le premier
en deux classes,
opéra
immanentia en soi,
qui sont les
personnages de
l’opéra (
génération, la
filiation, la
spiration), et
ils
sortent des donec
immanentia de
l’opéra, qui
sont l'
opéra essentialia,
c'est-à-dire les
œuvres du Dieu
triune, à la
différence des
travaux de l’une des
personnes de la
divinité, mais sont
immanentes de Dieu,
jusqu'à ce qu’ils
soient réalisé dans
les œuvres de
création, de
providence et de
rédemption. Les
décrets divins
constituent cette
classe des œuvres
divines. Ils ne sont
pas décrits dans
l’abstrait dans les
Ecritures, mais sont
placées devant nous
dans leur
réalisation
historique.
L’écriture utilise
plusieurs termes
pour le décret
éternel de Dieu.
1.
ANCIEN TESTAMENT
- termes. Il
y a quelques termes
qui insistent sur
l’élément
intellectuel dans le
décret, tel que «etsah
de ya'ats, à son
avocat, de donner
des conseils,
travail 38:2; Ésaïe
14:26; 46:11;
gazon
yasad,
de s’asseoir
ensemble en
délibération
(niphal), Jérémie
23:18, 22; et
mezimmah
de nabil,
à méditer, pour
avoir à l’esprit, à
la fin, Jérémie
04:28; 51:12; Prov.
30: 32. En outre ces
termes qui mettent
l’accent sur
l’élément
volontaire, comme
chaphets,
inclinaison, vont,
bon plaisir, Ésaïe
53: 10; et vont de
ratson,
s’il vous plaît,
être heureux et qui
dénote donc plaisir,
bon plaisir ou
souverain, PS.
51:19; 49:8 d’Ésaïe.
2.
NOUVEAU TESTAMENT -
mandat. Le
Nouveau Testament
contient également
un certain nombre de
conditions
importantes. Le
terme plus général
est
boule,
désignant le décret
en général, mais
aussi soulignant le
fait que le dessein
de Dieu repose sur
l’avocat et la
délibération, actes
02:23; 04:28; Héb.
06:17. Un autre mot
assez général est
thelema,
qui, telle
qu’appliquée à
l’avocat de Dieu,
souligne le volitif
plutôt que l’élément
délibératif,
Éphésiens 01:11. mot
eudokia
souligne plus
particulièrement la
liberté de
l’objectif de Dieu
et le plus grand
plaisir avec lequel
il s’accompagne,
bien que cette idée
n’est pas toujours
présente, Matthieu
11:26; Luc 02:14;
Éphésiens 1:5, 9.
Autres mots sont
utilisés plus
particulièrement
pour désigner cette
partie du décret
divin concernant
dans un sens très
particulier de
créatures morales de
Dieu, et est connu
comme la
prédestination. Ces
conditions seront
considérées dans le
cadre de la
discussion de ce
sujet.
C. la Nature des
décrets divins.
Le décret de Dieu
peut être défini
avec le petit
Catéchisme de
Westminster que «Son
dessein éternel
selon l’avocat de
son aura,
selon
lequel,
pour sa
propre gloire,
qu'il a
prédestinées que ce
soit, vient de
passer. »
1.
le décret divin est
un. Bien
que nous parlons
souvent des décrets
de Dieu au pluriel,
pourtant dans sa
propre nature le
décret divin est
mais un seul acte de
Dieu. Ceci est déjà
suggéré par le fait
que la Bible parle
de lui comme avocat,
un but ou une
prothèse.
Il découle également
de la nature même de
Dieu. Sa
connaissance est
immédiate et
simultanée plutôt
que successives
comme la nôtre et
que sa compréhension
de celui-ci sont
toujours complet. Et
le décret qui repose
sur elle est aussi
un acte unique,
tout-globale et
simultané. Comme un
décret éternel et
immuable il ne
pouvait pas être
autrement. Il est,
par conséquent,
aucune série de
décrets en Dieu,
mais simplement un
plan global, qui
englobe tout ce qui
vient de passer.
Notre compréhension
finie, cependant,
contraint de faire
des distinctions, et
cela explique le
fait que nous
parlons souvent des
décrets de Dieu au
pluriel. Cette façon
de parler est
parfaitement
légitime, à
condition que nous
ne perdions pas de
vue de l’unité du
décret divin et de
l’assemblage des
différents décrets
telle que nous la
concevons d'entre
eux.
2.
la RELATION du
décret à la
connaissance de
Dieu. Le
décret de Dieu porte
la relation plus
proche avec la
connaissance divine.
Il est en Dieu,
comme nous l’avons
vu, une connaissance
nécessaire, y
compris toutes les
causes possibles et
les résultats. Cette
connaissance fournit
le matériel pour le
décret; C’est la
fontaine parfaite,
dont Dieu a attiré
les pensées qu’il
désirait à
objectiver. Hors de
cette connaissance
de toutes les choses
possibles, il a
choisi, par un acte
de son parfait aura,
mené par des
considérations
sages, ce qu’il
souhaitait apporter
à la réalisation et
ainsi formé son
dessein éternel. Le
décret de Dieu, à
son tour, est le
fondement de sa
connaissance libre
ou
scientia libera.
C’est la
connaissance des
choses comme elles
sont réalisées au
cours de l’histoire.
Alors que la
connaissance
nécessaire de Dieu
précède logiquement
le décret, sa
connaissance libre
il découle
logiquement. Cela
doit être maintenue
vis-à-vis de tous
ceux qui croient en
la prédestination
une conditionnelle
(comme
Semi-pélagiens et
arminiens), car ils
font les décisions
préalables de Dieu
dépend de sa
prescience. Certains
des mots utilisés
pour désigner le
point de décret
divin à un élément
de préméditation
dans le but de Dieu.
Ce serait une
erreur, toutefois,
d’en déduire que le
plan de Dieu est le
résultat d’une
délibération qui
implique la myopie
ou l’hésitation, car
il est tout
simplement une
indication du fait
qu’il n’y a aucun
décret aveugle en
Dieu, mais seulement
un p intelligent et
délibérée
uniquement.
3.
le décret concerne à
la fois Dieu et
homme Le
décret a tout
d’abord, référence,
aux œuvres de Dieu.
Il est limité,
cependant, à de Dieu
opéra
annonce
supplémentaire
ou actes transitifs
et ne sont pas liées
à l’essentiel étant
de Dieu, ni
activités immanente
de l’etre divin qui
entraînent les
distinctions
trinitaire. Dieu ne
pas décret pour être
Saint et juste, ni
d’exister tant que
trois personnes dans
une essence ou
générer le fils. Ces
choses sont comme
ils sont
nécessairementet
ne dépendent pas la
volonté facultative
de Dieu. Ce qui est
essentiel à l’être
de Dieu intérieur
peut ne font pas
partie du contenu du
décret. Cela
comprend uniquement
l’opéra
annonce
supplémentaire
ou
exeuntia. Mais
tandis que le décret
qui concerne
principalement les
actes de Dieu
lui-même, il n’est
pas limitée à ces
derniers, mais
englobe également
les actions de ses
créatures gratuits.
Et le fait qu’elles
sont incluses dans
le décret rend
absolument certain,
bien qu’ils ne sont
pas tous effectué de
la même manière.
Dans le cas de
certaines choses
Dieu a décidé, pas
simplement qu’ils
venaient de passer,
mais qu’il est
lui-même amènerait à
passer, soit
immédiatement, comme
dans le travail de
création, ou par le
biais de la
médiation des causes
secondaires, qui
sont continuellement
sous tension par sa
puissance. Il assume
la responsabilité
pour leur vient de
passer. Il y a
d’autres choses,
cependant, que Dieu
inclus dans son
décret et rendus
ainsi certains, mais
dont il n’a pas
décidé à effectuer
lui-même, comme les
actes coupables de
ses créatures
rationnelles. Le
décret, dans la
mesure où ce qui a
trait à ces actes,
est généralement
appelé décret
permissive de Dieu.
Ce nom n’implique
pas que la
futurition de ces
actes n’est pas
certaine de Dieu,
mais simplement
qu’il leur permet de
se passer de
l’Agence libre de
ses créatures
rationnelles. Dieu
assume qu'aucune
responsabilité pour
ces pécheresses
n’actes que ce soit.
4.
le décret de loi
n’est pas l’acte
lui-même.
Les décrets sont une
manifestation
interne et
l’exercice des
attributs divins,
rendant la
futurition des
choses certaine,
mais cet exercice de
l’intelligente dont
la volonté de Dieu
ne doit pas être
confondu avec la
réalisation de ses
objets dans la
création, la
providence, et de la
rédemption. Le
décret de création
est pas création
elle-même, ni le
décret pour
justifier la
justification
elle-même. Une
distinction doit
être faite entre le
décret et son
exécution. Dieu donc
traitant l’univers
que l’homme
poursuivra une
certaine ligne de
conduite, est
également tout à
fait une chose
différente de son
commandant lui de le
faire. Les décrets
ne sont pas abordées
à homme et ne font
pas de la nature
d’une loi de statut;
ni ils n’imposent
des contrainte ou
obligation sur les
volontés des hommes.
D. les
caractéristiques du
décret divin.
1.
elle est fondée dans
la sagesse DIVINE.
Le mot « avocat »,
qui est l’un des
termes par lesquels
le décret est
désigné, suggère la
consultation et mûre
réflexion. Il peut
contenir une
suggestion de
l’intercommunion
entre les trois
personnes de la
divinité. En parlant
de la révélation de
Dieu du mystère qui
était auparavant
caché en lui, Paul a
dit que c’était « à
l’intention que
maintenant les
principautés et les
pouvoirs dans les
lieux célestes
pourrait faire
connaître par le
biais de l’église la
collecteur sagesse
de Dieu selon le
dessein éternel dont
il se proposait en
Jésus Christ notre
Seigneur, »
Éphésiens 03:10, 11.
La sagesse du Décret
découle aussi de la
sagesse dans la
réalisation du
dessein éternel de
Dieu. Le poète
chante dans PS.
104:24, « Ô Jéhovah,
collecteur comment
sont tes œuvres !
Dans sagesse As tu
fait tous. » La même
idée est exprimée en
Prov. 03:19,
« Jéhovah par
sagesse fondée la
terre; par la
compréhension il a
créé les cieux. »
Voir aussi Jérémie
10:12; 51:15. la
sagesse de l’avocat
du Seigneur peut
également être
déduite du fait
qu’elle est rapide
pour toujours,
Psaume 33: 11; Prov.
19:21. Il peut y
avoir beaucoup de
choses dans le
décret qui passe
l’entendement humain
et est inexplicable
à l’esprit fini,
mais il ne contient
rien qui est
irrationnelle ou
arbitraire. Dieu
forma sa
détermination avec
sage perspicacité et
connaissances.
2.
elle est éternelle.
Le décret divin est
éternel en ce sens
qu’il se trouve
entièrement dans
l’éternité. Dans un
certain sens, on
peut affirmer que
tous les actes de
Dieu sont éternels,
car il n’y a pas de
succession des
moments de l’etre
divin. Mais certains
d'entre eux
terminent dans le
temps, comme, par
exemple, de création
et la justification.
C’est pourquoi nous
n’appelons pas leur
éternelle mais
temporel fortuit. Le
décret, toutefois,
alors qu’elle se
rapporte aux choses
en dehors de Dieu,
demeure en soi un
acte au sein de
l’etre divin et est
donc éternel au sens
strict du mot. Par
conséquent, il
participe aussi de
la simultanéité et
la
successionlessness
de l’Éternel, actes
15:18; Éphésiens
1:4; II Timothée
1:9. L’éternité du
décret implique
également que
l’ordre dans lequel
les différents
éléments dans ce
stand à l’autre ne
peut pas être
considérée comme
temporelle, mais
seulement sous le
nom logique. Il y a
un ordre
chronologique réel
dans les événements
comme effectué, mais
pas dans le décret
sur les.
3.
il est efficace.
Cela ne signifie pas
que Dieu a décidé
d’apporter lui-même
passer par une
application directe
de son pouvoir,
toutes choses qui
sont inclus dans son
décret, mais
seulement que ce
qu’il a décrété
viendra certainement
à passer; que rien
ne peut contrecarrer
son but. Dit le Dr
A. A. Hodge: « le
décret lui-même
fournit dans tous
les cas que
l’événement se fera
par causes agissant
de manière
parfaitement
conforme à la nature
de l’événement en
question. Ainsi,
dans le cas de tous
les actes d’un agent
moral libre, le
décret prévoit en
même temps — (a) que
l’agent doit être un
agent libre. (b) que
ses antécédents et
tous les antécédents
de l’acte en
question doivent
être ce qu’ils sont.
(c) que toutes les
présentes
conditions de
la loi doivent être
ce qu’ils sont. (d)
que la Loi doit être
parfaitement
spontanée et libre
de la part de
l’agent. (e) qu’il
sera certainement
future. PS. 33: 11;
Prov. 19:21; Ésaïe
46:10. »
4.
il est immuable.
L’homme peut et
souvent modifie ses
plans pour diverses
raisons. Il peut
être qu’en faisant
son plan il manquait
de sérieux, qu’il
n’a pas entièrement
réalisé ce que le
plan comportait, ou
qu’il manque le
pouvoir de le
réaliser. Mais en
Dieu, rien de tel
est concevable. Il
n’est pas déficient
en connaissances,
véracité ou de la
puissance. Donc il
ne faut pas changer
son décret en raison
d’une erreur de
l’ignorance, ni en
raison de
l’impossibilité de
le réaliser. Et il
ne changera pas,
parce qu’il est le
Dieu immuable et
parce qu’il est
fidèle et vrai.
Emploi à 23:13, 14;
PS. 33: 11; Ésaïe
46:10; Luc 22:22;
Actes à 02:23.
5.
elle est
inconditionnelle ou
absolu.
Cela signifie qu’il
n’est pas dépendante
dans tous ses
détails sur tout ce
qui n’est pas partie
intégrante du décret
lui-même. Les
différents éléments
dans le décret sont
de fait
interdépendants,
mais rien dans le
plan est conditionné
par tout ce qui
n’est pas dans le
décret. L’exécution
du plan peut exiger
des moyens ou être
tributaire de
certaines
conditions, mais
ensuite ces moyens
ou conditions on a
aussi déterminées
dans l’arrêté. Dieu
ne pas simplement
décret pour sauver
les pécheurs sans
déterminer les
moyens d’effectuer
le décret. Les
moyens menant à la
fin prédéterminée
ont été également
décrétés, actes
02:23; Éphésiens
2:8; I Pierre 1:2.
Le caractère absolu
du Décret découle de
son éternité, son
immuabilité et sa
dépendance exclusive
sur le bon plaisir
de Dieu. Il est
refusé par toutes
les Semi-pélagiens
et arminiens.
6.
il est universel ou
tout compréhensif.
Le décret comprend
tout ce que vient de
passer dans le
monde, que ce soit
en physique ou dans
le domaine moral,
que ce soit bon ou
mauvais, Éphésiens
01:11. Il comprend:
(a) les bonnes
actions des hommes,
Éphésiens 21:0; (b)
leurs actes
méchants, Prov.
16:4; Actes à 02:23;
04:27, 28; (c)
événements de
contingent, 45:8 de
la Genèse; 50: 20;
Prov. 16:33; (d) les
moyens ainsi que la
fin, Psaume
119:89-91; II
Thessaloniciens.
02:13; Éphésiens
1:4; e la durée de
vie de l’homme, Job
14:5; PS. 39:4 et le
lieu de son
habitation, actes
17:26.
7.
en ce qui concerne
le péché, il est
permissif.
Il est d’usage de
parler du décret de
Dieu concernant le
mal moral comme
permissive. Par son
décret Dieu a rendu
les mauvaises
actions de l’homme
infailliblement
certain sans décider
à les effectuer en
agissant
immédiatement après
et dans la volonté
finie. Cela signifie
que Dieu ne
fonctionne pas
positivement chez
l’homme « et le
vouloir et de le
faire, » quand
l’homme va à
l’encontre de sa
volonté révélée. Il
est soigneusement à
noter, toutefois,
que ce décret
permissif n’implique
pas une autorisation
passive de quelque
chose qui n’est pas
sous le contrôle de
la volonté divine
sera. C’est un
décret qui rend le
futur acte pécheur
absolument certain,
mais dans lequel
Dieu détermine (a) à
ne pas entraver
l’autodétermination
pécheresse du fini
sera; et (b) de
réglementer et de
contrôler le
résultat de cette
autodétermination
pécheresse. PS.
78:29; 106:15; Actes
14:16; 17:30.
E. les objections à
la Doctrine des
décrets.
Comme l’a dit dans
ce qui précède,
seulement la
théologie réformée
pleinement justice à
la doctrine des
décrets. Les
théologiens
luthériens pas, en
règle générale,
interpréter
théologiquement mais
soteriologically,
dans le but de
montrer comment les
croyants peuvent
dériver confort
d’elle. Pélagiens et
Sociniens rejeter
comme non biblique;
et Semi-pélagiens et
arminiens Montrez-le
favor maigre:
certains ignorant
complètement;
d’autres indiquant
seulement pour
combattre; et
d’autres en
conservant seulement
un décret
conditionné par la
prescience de Dieu.
Les objections qui
lui sont, pour
l’essentiel,
toujours les mêmes.
1.
elle est
incompatible avec la
liberté morale de
l'homme L’homme
est un agent libre
avec le pouvoir
d’autodétermination
rationnelle. Il peut
réfléchir et de
manière
intelligente,
choisissez, certains
se termine et peut
également déterminer
son action à leur
égard. Le décret de
Dieu comporte
cependant,
nécessité. Dieu a
décrété pour
effectuer toutes
choses ou, s’il n’a
pas décrété que,
qu’il a au moins
déterminé qu’ils
doivent se passer.
Il a décidé au cours
de la vie de l’homme
pour lui.
En
réponse à cette
objection, on peut
affirmer que la
Bible ne passe
certainement pas sur
l’hypothèse que le
décret divin est
incompatible avec
l’Agence libre de
l’homme. Il révèle
clairement que Dieu
a décrété la
gratuite des actes
de l’homme, mais
aussi que les
acteurs sont
néanmoins libres et
donc responsables de
leurs actes, 50:19
de la Genèse, 20;
Actes à 02:23;
04:27, 28. il a été
déterminé que les
Juifs devraient se
traduire par la
crucifixion de
Jésus; Pourtant, ils
étaient parfaitement
libres dans leur
ligne de conduite
méchant et étaient
tenus responsables
de ce crime. Il n’y
a pas une seule
indication dans les
Ecritures que les
écrivains inspirés
sont conscients
d’une contradiction
dans le cadre de ces
questions. Ils font
jamais tenter
d’harmoniser les
deux. Cela peut bien
nous empêcher de
supposer une
contradiction ici,
même si nous ne
pouvons pas
concilier les deux
vérités.
En outre, il faut
avoir à l’esprit que
Dieu n’a pas décrété
à
effectuer par sa
propre action
directe que ce
soit doit se passer.
Le décret divin
seulement apporte la
certitude sur les
événements, mais
n’implique pas que
Dieu va procéder
activement, afin que
la question se
ramène vraiment dans
cela, si certitude
précédente est
compatible avec
l’agent libre.
Maintenant,
l’expérience nous
enseigne que nous
pouvons être
raisonnablement
certains que le
parcours de qu'un
homme de caractère
poursuivra dans
certaines
circonstances, sans
porter atteinte à
tout le moins sur sa
liberté. Le prophète
Jérémie a prédit que
les Chaldéens
prendrait à
Jérusalem. Il savait
l’événement à venir
comme une certitude,
et encore les
Chaldéens suivi
librement leurs
propres désirs dans
l’accomplissement de
la prédiction. Cette
certitude est en
effet incompatible
avec la liberté
pélagienne
indifférentes, selon
laquelle la volonté
de l’homme n’est pas
déterminée en
quelque sorte, mais
il est tout à fait
pour une période
indéterminée, afin
que chaque dont la
volonté, il puisse
décider dans
l’opposition, non
seulement pour tous
les encouragements
vers l’extérieur,
mais aussi pour
toutes les
considérations
entrantes et arrêts,
penchants et désirs
et même à l’état
intérieur et tout
caractère de
l’homme. Mais il est
maintenant
généralement admis
que cette liberté de
la volonté est une
fiction
psychologique.
Toutefois, le décret
n’est pas
nécessairement
incompatible avec la
liberté humaine dans
le sens
d’autodétermination
rationnelle, selon
laquelle l’homme
agit librement en
harmonie avec ses
pensées précédentes
et jugements, ses
penchants et désirs
et son caractère
entier. Cette
liberté a aussi ses
lois, et mieux nous
connaissons avec
eux, plus sûr, nous
pouvons être de quel
agent libre va faire
dans certaines
circonstances. Dieu
lui-même a établi
ces lois.
Naturellement, nous
devons nous prémunir
contre tout
déterminisme,
panthéiste,
matérialiste et
rationaliste, dans
notre conception de
la liberté dans le
sens
d’autodétermination
rationnelle.
Le décret n’est pas
plus incompatible
avec Agence libre
qu’est de
prescience, et
encore les
opposants, qui sont
généralement du type
arminiens ou
Semi-pélagienne,
prétendent croire en
la prescience
divine. Par sa
prescience Dieu
sait
de toute éternité l'
certaine futurition
de tous les
événements. Elle
repose sur son
préordination, par
lequel il a
déterminé leur
sécurité future. La
volonté arminienne
bien sûr, dire qu’il
ne croit pas dans
une prescience basé
sur un décret qui
rend certaines
choses, mais dans
une prescience des
faits et des
événements
susceptibles de
dépendre de la
volonté de l’homme
et par conséquent
pour une période
indéterminée.
Maintenant une telle
prescience des
actions de l’homme
libres est possible,
si l’homme même dans
sa liberté agit en
harmonie avec les
lois divinement
établies, qui encore
une fois apporter
dans l’élément de
certitude; mais il
semble impossible de
préconnus les
événements qui
dépendent
entièrement de la
décision de la
chance d’un
testament sans
scrupules, qui
peuvent à tout
moment, quel que
soit l’état de
l’âme, des
conditions actuelles
et des motifs qui se
présentent à
l’esprit , tourner
dans des directions
différentes. Ces
événements ne
peuvent être connus
d’avance comme
possibilités nues.
2.
il enlève tous les
motifs pour l’effort
humain.
Cette objection est
à l’effet que les
gens diront bien sûr
que si toutes choses
sont inévitable que
Dieu a déterminé
leur, ils doivent se
préoccuper pas quant
à l’avenir et il ne
faut pas faire des
efforts pour obtenir
le salut. Mais ce
n’est pas correct.
Dans le cas de
personnes qui
parlent après que la
mode, c’est
généralement la
simple excuse de
l’indolence et la
désobéissance. Les
décrets divins
s’adressent pas aux
hommes comme une
règle d’action et ne
peut pas être une
telle règle, leur
contenu connu
seulement par le
biais et donc, après
leur réalisation. Il
existe une règle
d’action, cependant,
incorporée dans la
Loi et dans
l’Évangile, et cela
met les hommes en
vertu de
l’obligation d’avoir
recours à des moyens
que Dieu a ordonné.
Cette objection
ignore également la
relation logique,
déterminée par
décret de Dieu,
entre les moyens et
la fin d’obtenir. Le
décret comprend non
seulement les
différents thèmes de
la vie humaine, mais
aussi les actions
humaines gratuites
qui sont logiquement
avant et sont
destinées à
apporter, les
résultats. C’est
absolument certain
que tous ceux qui se
trouvaient dans le
bateau avec Paul
(actes 27) devaient
être sauvés, mais il
était également
certain que, pour
arriver à cette fin,
les marins ont dû
rester à bord. Et
depuis le décret
établit une
corrélation entre
les moyens et les
fins, et les
extrémités sont
décrétées que comme
le résultat des
moyens, ils
encouragent l’effort
au lieu de
décourager il. Ferme
croyance dans le
fait que, selon les
décrets divins, le
succès sera la
récompense du
labeur, est une
incitation aux
efforts courageux et
persévérants. Sur la
base du décret
Ecriture nous
exhorte à faire
preuve de diligence
dans l’utilisation
des moyens nommés,
Phil. 02:13; EP
02:10.
3.
il fait Dieu auteur
du péché.
Cela, si elle est
vraie, serait
naturellement une
objection
insurmontable, car
Dieu ne peut pas
être l’auteur du
péché. Cela découle
également de
l’écriture, PS.
92:15; Eccl. 07:29;
Jacques 01:13; I
Jean 1:5, de la Loi
de Dieu qui interdit
tout péché et de la
sainteté de Dieu.
Mais l’accusation
n’est pas vraie; le
décret rend
simplement Dieu
l’auteur des êtres
moraux libres, qui
sont eux-mêmes les
auteurs du péché.
Décrets de Dieu pour
soutenir leur Agence
libre, de
réglementer les
circonstances de
leur vie et pour
permettre à cette
Agence libre
d’exercer elle-même
dans une multitude
de lois, dont
certaines sont
pécheresses. Pour
des raisons de
bonnes et saintes,
qu'il rend ces actes
coupables certains,
mais il ne pas
décret travail
mauvais désirs ou
choix efficacement
chez l’homme. Le
décret sur le péché
n’est pas efficace,
mais un décret
permissif ou un
décret pour
permettre, à la
différence d’un
décret pour
produire, péché par
efficacité divine.
Aucune difficulté
s’attache à un tel
décret qui n’attache
pas aussi à une
simple
autorisation passive
de ce qu’il pourrait
très bien éviter,
tels que les
arminiens, qui
généralement
soulèvent cette
objection, assument.
Le problème de la
relation de Dieu au
péché reste un
mystère pour nous,
que nous ne sommes
pas en mesure de
résoudre. On peut
dire, cependant, que
son décret pour
permettre le péché,
alors qu’il restitue
l’entrée du péché
dans le monde
certains, ne
signifie pas qu’il
se délecte en elle;
mais seulement qu’il
a jugé sage, dans le
but de son
auto-révélation,
afin de permettre un
mal moral, cependant
odieux soit-il à sa
nature.
II. la prédestination
En passant de la
discussion sur le
décret divin à celui
de la
prédestination, nous
sommes toujours sur
le même sujet, mais
passent du général
au particulier. Le
mot
« prédestination »
n’est pas toujours
utilisé dans le même
sens. Parfois il est
utilisé simplement
comme synonyme du
terme générique
« décret. » Dans
d’autres cas, elle
sert à désigner le
dessein de Dieu sur
toutes ses créatures
morales. Le plus
souvent, cependant,
il désigne
« l’avocat de Dieu
concernant les
hommes déchus, y
compris le choix
souverain de
certains et la
réprobation juste du
reste. Dans la
présente discussion,
il est utilisé
principalement dans
le dernier sens,
bien que pas tout à
fait à l’exclusion
de la deuxième
signification.
A. la Doctrine de la
prédestination dans
l’histoire.
Prédestination ne
forme pas un
important sujet de
discussion dans
l’histoire jusqu'à
l’époque d’Augustin.
Pères de l’église
antérieure font
allusion à elle,
mais ne semblent pas
encore avoir une
conception très
claire de celui-ci.
Dans l’ensemble ils
la considèrent comme
la prescience de
Dieu en ce qui
concerne les actes
humains, sur la base
duquel il détermine
leur destin futur.
Par conséquent, il
était possible pour
Pelagius, faire
appel à certains de
ces premiers pères.
« Selon Pelagius, »
dit Wiggers,
« préordination de
Salut ou de
damnation, est
fondée sur la
prescience. Par
conséquent, il
n’admettait pas une
« prédestination
absolue », mais à
tous égards une
« prédestination
conditionnelle ». »
Dans un
premier temps,
Augustine lui-même
était enclin à ce
point de vue, mais
une réflexion plus
profonde sur le
caractère souverain
du bon plaisir de
Dieu l’a amené à
voir que la
prédestination
n’était nullement
tributaire de la
prescience de Dieu
des actions
humaines, mais était
plutôt la base du
divin prescience. Sa
représentation sous
forme de réprobation
n’est pas aussi
claire que cela
puisse être.
Certaines de ses
déclarations vont
dans le sens que,
dans la
prédestination de
Dieu, foreknows ce
qu’il se fera, alors
qu’il est aussi
capable de préconnus
ce qu’il fera pas,
comme tous les
péchés; et parler
des élus comme des
sujets de la
prédestination et
des réprouvés comme
sujets de la
prescience divine.
Dans
d’autres passages,
cependant, il parle
aussi des réprouvés
comme sujets de la
prédestination, afin
qu’il ne peut y
avoir aucun doute à
ce sujet qu’il a
enseigné une double
prédestination.
Cependant, il a
reconnu leur
différence,
consistant en ce que
Dieu pas prédestinés
à la damnation et
les moyens à elle de
la même manière
comme il le faisait
au Salut, et que la
prédestination à la
vie est purement
souveraine, tandis
que la
prédestination à la
mort éternelle est
également judiciaire
et tient compte du
péché de l’homme.
Avis de Augustine a
trouvé beaucoup
d’opposition,
notamment en France,
où le
semi-pélagiens, tout
en admettant la
nécessité de la
grâce divine pour le
Salut, a réaffirmé
la doctrine d’une
prédestination issue
de prescience. Et
ils qui a pris la
défense d’Augustin
se sentaient
contraints de céder
sur certains points
importants. Ils
n’ont pas à rendre
justice à la
doctrine d’une
double
prédestination.
Seulement Gottschalk
et quelques-uns de
ses amis maintient,
mais sa voix était
bientôt réduite au
silence et semi
pélagianisme a pris
le dessus au moins
parmi les leaders de
l’église. Vers la
fin du moyen âge, il
est devenu tout à
fait évident que
l’église catholique
romaine permettrait
une grande latitude
dans la doctrine de
la prédestination.
Tant que ses
enseignants
maintinrent que Dieu
veut le salut de
tous les hommes, et
non pas simplement
des élus, ils
pourraient avec
Thomas Aquinas vont
dans le sens de
Augustinianism dans
la doctrine de la
prédestination, ou
avec Molina, suivre
le cours du
pélagianisme semi,
comme ils pensaient
que le meilleurs.
Cela signifie que,
même dans le cas de
ceux qui, comme
Thomas Aquinas,
croyaient à une
prédestination
absolue et double,
cette doctrine ne
pourrait se
maintenir à travers
constamment et il
n’a pas déterminante
du reste de leur
théologie.
Les réformateurs du
XVIe siècle tous les
préconise la plus
stricte doctrine de
la prédestination.
Cela est même vrai
de Melanchton dans
sa période la plus
ancienne. Luther a
accepté la doctrine
de la prédestination
absolue, bien que la
conviction que Dieu
a voulu que tous les
hommes devraient
être sauvés l’a
incité à relâcher la
doctrine de la
prédestination un
peu plus tard dans
la vie. Il a
progressivement
disparu de théologie
luthérienne, qui
considère désormais
que ce soit en tout
ou en partie
(réprobation) comme
conditionnelle.
Calvin a fermement
soutenu la doctrine
augustinienne d’une
double
prédestination
absolue. En même
temps il a, pour sa
défense de la
doctrine contre
Pighius, insiste sur
le fait que le
décret sur l’entrée
du péché dans le
monde était un
décret permissif, et
que le décret de
réprobation devrait
être interprété que
Dieu ne pouvait pas
être l’auteur du
péché, ni en aucune
manière responsable
pour lui. Les
Confessions
réformées sont
remarquablement
constants en
incarnant cette
doctrine, mais ils
pas tous l’énoncer
avec précision et
plénitude égale. À
la suite de
l’agression
arminienne sur la
doctrine, les Canons
de Dordrecht
contiennent une
déclaration claire
et détaillée de
celui-ci. Dans les
églises du type
arminiens, la
doctrine de la
prédestination
absolue a été
supplantée par la
doctrine de la
prédestination
conditionnelle.
Depuis l’époque de
Schleiermacher, la
doctrine de la
prédestination a
reçu une forme
entièrement
différente. La
religion a été
considérée comme un
sentiment de
dépendance absolue,
une
Hinneigung zum
WeltallEt, une
prise de conscience
de la dépendance
absolue sur la
causalité qui est
propre à l’ordre
naturel avec ses
lois invariables et
deuxièmement les
causes, qui
prédéterminent tous
humains se résout et
actions. Et la
prédestination a été
identifiée avec
cette
prédétermination de
la nature ou le lien
de causalité
universels dans le
monde. La
dénonciation
cinglante de ce
point de vue par
Otto y en a pas trop
sévère: « il n’y pas
plus faux produit de
la spéculation
théologique, pas
plus fondamentale
falsification des
conceptions
religieuses que
cela; et c’est
certainement pas
contre ce que le
rationaliste sente
un antagonisme, car
il est lui-même un
morceau du
rationalisme solide,
mais en même temps
un abandon complet
de l’idée vraie
religieuse de la
« prédestination ». »
La
doctrine de la
prédestination dans
la théologie
libérale moderne
rencontre peu de
faveur. Il est
rejeté ou modifiée
au-delà de la
reconnaissance. G.
B. Foster il marques
comme déterminisme;
Macintosh, il
représente comme une
prédestination de
tous les
hommes à être
semblables à l’image
de Jésus Christ; et
d’autres réduisent à
une prédestination à
certains offices ou
des privilèges.
De
nos jours, Barth a à
nouveau attiré
l’attention sur la
doctrine de la
prédestination, mais
a donné une
interprétation de
celle-ci qui n’est
pas même
lointainement
apparentée à celle
de Saint Augustin et
Calvin. Avec les
réformateurs, il
tient que cette
doctrine souligne la
liberté souveraine
de Dieu dans son
élection,
révélation, appel et
ainsi de suite.
Dans
le même temps, il ne
voit pas en la
prédestination une
distance
prédéterminée
d’hommes et ne
comprend pas
l’élection comme
Calvin élection
donnée. Cela est
évident d’après ce
qu’il dit à la page
332 de son
Roemerbrief.
Camfield donc dit
dans son
essai
sur la théologie
barthienne,
intitulé
révélation et
l’Esprit Saint: « Il
faut souligner que
la prédestination ne
signifie pas la
sélection d’un
certain nombre de
personnes pour le
salut et le reste
pour la damnation
selon la
détermination d’un
inconnu et
inconnaissable.
Cette idée
n’appartient-elle
pas à la
prédestination
appropriée. »
Prédestination met
homme en crise au
moment de la
révélation et de la
décision. Il
condamne dans la
relation dans
laquelle il se
trouve à Dieu par
nature, comme
pécheur et qui
rejette de relation
lui, mais il lui
choisit dans la
relation à laquelle
il est appelé dans
le Christ, et pour
qui il était destiné
à la création. Si
l’homme répond à la
révélation de Dieu
par la foi, il est
ce que Dieu voulait
qu’il soit, un élu;
mais s’il ne répond
pas, il reste un
refus. Mais puisque
l’homme est toujours
en crise, pardon
inconditionnel et
rejet complet
continuent de
s’appliquer à tout
le monde en même
temps. Esaü peut
devenir Jacob, mais
Jacob peut également
devenir une fois de
plus Esaü.
McConnachie, dit:
« pour Barth, et
comme il le croit,
St. Paul, l’individu
n’est pas l’objet
d’élection ou de la
réprobation, mais
plutôt l’arène de
l’élection ou la
réprobation. Les
deux décisions se
rencontrent au cours
de la même personne,
mais de telle façon
que, à partir de
l’aspect humain,
l’homme est toujours
réprouvé, mais vu du
côté divin, il est
toujours élu.... Le
terrain d’élection
est la foi. Le motif
de réprobation est
manque de foi. Mais
qui est celui qui
croit ? Et qui est
celui qui ne croit
pas ? Foi et
l’incrédulité sont
mis à la terre en
Dieu. Nous sommes
aux portes du
mystère. »
B. les termes
scripturaires pour
la prédestination.
Les termes suivants
entrent en
considération ici:
1.
le mot hébreu
yada' et le mot
grec ginoskein,
proginoskein,
et pronostic.
mot yada"peut
simplement signifier
« de savoir » ou
« prendre
connaissance » de
quelqu'un ou quelque
chose, mais peut
également être
utilisé dans le sens
plus enceinte de
« prendre
connaissance de
l’une avec soin
affectueux, » ou
« faisant un l’objet
d’aimer amour
facultatif ou de
soins. » En ce sens
qu’elle sert l’idée
de l’élection,
18:19; Amos 3:2;
Osée 13:5. La
signification des
mots
proginoskein et
pronostic dans
le Nouveau Testament
n’est pas déterminée
par leur utilisation
dans les classiques,
mais par
l’importance
particulière du
bla bla".
Ils désigne pas
simple prospective
intellectuelle ou
prescience, la
connaissance de la
simple prise de
quelque chose au
préalable, mais
plutôt une
connaissance
sélective qui
considère avec
faveur et en fait un
objet d’amour et
donc des approches
l’idée de la
préordination, actes
02:23 (COMP. 04:28);
ROM. 08:29; 11:2; I
Pierre 1:2. Ces
passages simplement
perdent leur
signification, dans
les mots s’imposent
le sens de
simplement prendre
connaissance de
l’une à l’avance,
pour Dieu foreknows
tous les hommes en
ce sens. Arminiens
même se sentiment
contraints à donner
aux mots un sens
plus déterminant, à
savoir, à un avec
une certitude
absolue dans un
certain État ou
condition connus.
Ceci inclut la
certitude absolue de
ce futur Etat et
pour cette raison
est très proche de
l’idée de
prédestination. Et
non seulement ces
mots, mais même la
simple
ginoskein a
telle une
signification
spécifique dans
certains cas, I Cor.
8:3; Galates 4:9; II
Timothée 02:19.
2.
le mot hébreu
bachar et les
mots grecs,
eklegesthai et
ekloge.
Ces mots soulignent
l’élément du choix
ou de la sélection
dans le décret de
Dieu concernant la
destinée éternelle
des pécheurs, un
choix accompagné du
bon plaisir. Ils
servent à indiquer
le fait que Dieu
choisit un certain
nombre de l’humanité
et les place dans
une relation
particulière avec
lui. Ils incluent
parfois l’idée d’un
appel à un certain
privilège ou de
l’appel au Salut;
mais c’est une
erreur de croire,
comme certains le
font, que cela
épuise leurs sens.
Il est parfaitement
évident qu’ils se
réfèrent
généralement à une
élection préalable
et éternelle, Rom.
09:11; 11:5;
Éphésiens 1:4; II
Thessaloniciens.
02:13.
3.
les mots grecs
proorizein et
proorismos.
Ces mots se réfèrent
toujours à la
prédestination
absolue. À la
différence des
autres mots, elles
nécessitent vraiment
un complément. La
question se pose
naturellement,
Foreordained à
quoi ? L’expression
désigne toujours la
préordination de
l’homme à une
certaine fin, et de
la Bible, il est
évident que la fin
peut être bon ou
mauvais, actes
04:28; Éphésiens
1:5. Cependant, la
fin à laquelle ils
se réfèrent n’est
pas nécessairement
la fin, mais il est
encore plus souvent
un but dans le
temps, qui est à son
tour un moyen à la
fin, actes 04:28;
ROM. 08:29; J’ai
Cor. 2:7; Éphésiens
1:5, 11.
4.
les mots grecs
protithenai et
PROTHESES.
En ces termes
l’attention est
dirigée sur le fait
que Dieu fixe devant
lui un plan
définitif auquel il
adhère fermement.
Ils renvoient
clairement à dessein
de Dieu de
prédestine les
hommes au Salut en
Rom. 08:29; 09:11;
Éphésiens 1:9, 11;
II Timothée 1:9.
C. l’auteur et les
objets de la
prédestination.
1.
l’auteur.
Le décret de
prédestination est
sans aucun doute,
dans toutes ses
parties, la loi
concomitante des
trois personnes dans
la Trinité, qui sont
l’un de leurs
avocats et sera.
Mais dans l’économie
du Salut, comme elle
est révélée dans les
Ecritures, l’acte
souverain de la
prédestination est
plus
particulièrement
attribuée au père,
Jean 17:6, 9; ROM.
08:29; Éphésiens
1:4; I Pierre 1:2.
2.
les objets de la
PRÉDESTINATION.
À la différence du
décret de Dieu en
général, la
prédestination a
référence à
créatures
rationnelles de Dieu
uniquement. Plus
fréquemment, il se
réfère aux hommes
déchus. Pourtant,
elle est également
employée dans un
sens plus large, et
nous l’utilisons
dans le sens plus
inclusif ici, afin
d’englober tous les
objets de la
prédestination. Il
comprend toutes les
créatures du
rationnel bon Dieu,
c'est-à-dire:
a. tous
les hommes,
bien et
le mal. Ceux-ci
sont inclus non
seulement comme des
groupes, mais en
tant qu’individus,
actes 04:28; ROM.
08:29, 30; 09:11-13;
Éphésiens 1:5, 11.
b. les
anges,
bien et
le mal. La
Bible ne parle pas
seulement des saints
anges, marquer à
08:38; Luc 09:26 et
des anges méchants,
qui a ne gardé pas
leur premier État,
Pierre II 2:4; Jude
6; mais aussi fait
explicitement
mention d’anges
élus, j’ai Timothée
05:21, par
conséquent ce qui
implique qu’il y
avait aussi non élu
anges. La question
se pose
naturellement,
comment doit-on
concevoir de la
prédestination des
anges ? Selon
certains, cela
signifie simplement
que Dieu a déterminé
en général que les
anges qui sont
restés Saintes
confirmerait dans un
état de félicité,
tandis que les
autres seraient
perdus. Mais ce
n’est pas du tout en
harmonie avec l’idée
biblique de la
prédestination. Cela
signifie plutôt que
Dieu a décrété, pour
des raisons
suffisants à
lui-même donner des
anges, en plus de la
grâce avec laquelle
ils étaient doués de
création et qui
comprenait une
puissance amplement
suffisante pour
rester Saint, une
grâce spéciale de
persévérance; et de
retenir ce des
autres. Il existe
des points de
divergence entre la
prédestination des
hommes et celui des
anges: (1), tandis
que la
prédestination des
hommes peut se
concevoir comme
infralapsaire, la
prédestination des
anges ne peut être
comprise comme
supralapsaire. Dieu
n’a pas choisi un
certain nombre hors
de la masse tombé
des anges. (2) les
anges n’étaient pas
élus ou prédestinés
à Christ en tant que
médiateur, mais en
lui en tant que
chef, c'est-à-dire
de se tenir dans une
relation
ministérielle lui.
c. le
Christ en tant que
médiateur.
Christ a été l’objet
de la prédestination
dans le sens que (1)
un amour particulier
du père, distinct de
son amour habituel
au fils, s’est
reposé sur lui de
toute l’éternité,
j’ai PET. 01:20;
2:4; (2) en sa
qualité de
médiateur, il a fait
l’objet du bon
plaisir de Dieu,
j’ai PET. 2:4; (3)
en tant que
médiateur, il a été
orné l’image
spéciale de Dieu, à
laquelle les
croyants devaient
être conformes, Rom.
08:29; et (4) le
Royaume avec toute
sa splendeur et les
moyens conduisant à
sa possession ont
été ordonnés pour
lui, qu’il pourrait
passer ceux-ci aux
croyants, Luc 22:29.
D. les sections de la
prédestination.
Prédestination
comprend deux
parties, à savoir,
élection et
réprobation, la
prédétermination des
fois le bon et les
méchants dans leur
but final et pour
certains les
extrémités qui
jouent un rôle
déterminant dans la
réalisation de leur
destin final.
1. L’ÉLECTION.
a.
l’idée
biblique de
l’élection. La
Bible parle de
l’élection dans
plusieurs sens. Il
n’y a (1) l’élection
d’Israël comme
peuple de privilèges
spéciaux et de
service spécial, Deut. 04:37; 7:6-8;
10:15; Osée 13:5.
(2) l’élection des
individus à un
office, ou à
l’exécution de
certains services
spéciaux, comme
Moïse, Ex. 3, les
prêtres, Deut. 18:5;
les rois, j’ai
Samuel 10:24; PS.
78:70, les
prophètes, Jérémie
1:5 et les apôtres,
John 6: 70; Actes à
09:15. (3)
l’élection des
individus d’être
enfants de Dieu et
héritiers de la
gloire éternelle,
Matthieu 22:14;
Romains 11:5; J’ai
Cor. 01:27, 28;
Éphésiens 1:4; J’ai
Thess. 1:4; I Pierre
1:2; II Pierre
01:10. Le dernier
est l’élection qui
vient en
considération ici
dans le cadre de la
prédestination. Il
peut être défini
comme
agir de cette
éternelle de Dieu
par lequel il,
selon
son bon plaisir
souverain,
et à
cause d’aucun mérite
prévu à eux,
choisit un certain
nombre d’hommes pour
être les
bénéficiaires de la
grâce spéciale et du
salut éternel
.
Plus
brièvement, on peut
affirmer être le
dessein éternel de
Dieu de sauver
certains de la race
humaine et par Jésus
Christ.
b. les
caractéristiques de
l’élection. Les
caractéristiques de
l’élection sont en
général identiques
avec les
caractéristiques des
décrets. Le décret
d’élection: (1)
est
l’expression de la
souveraine volonté
de Dieu, de
son bon
plaisir divin.
Cela signifie entre
autres que Christ
comme médiateur
n’est ne pas la qui
poussent, se
déplaçant, ou cause
méritoire de
l’élection, comme
certains ont
revendiqué. Il peut
être appelé la cause
médiate de la
réalisation de
l’élection et la
cause méritoire du
Salut auquel les
croyants sont élus,
mais il n’est pas la
cause méritoire ou
en mouvement de
l’élection
elle-même. C’est
impossible,
puisqu’il est
lui-même un objet de
la prédestination et
l’élection, et parce
que, lorsqu’il a
pris son œuvre
médiatrice sur lui à
l’avocat de la
rédemption, il y
avait déjà un nombre
fixe qui lui a été
donné. Élection
précède logiquement
l’avocat de la paix.
L’amour électif de
Dieu précède l’envoi
du fils, John 03:16;
Romains 5:8; II
Timothée 1:9; J’ai
John 4:9. En disant
que le décret
d’élection prend sa
source dans le bon
plaisir divin,
l’idée est également
exclue qu’il est
déterminé par quoi
que ce soit chez
l’homme, telles que
prévues de foi ou de
bonnes œuvres, Rom.
09:11; II Timothée
1:9. (2)
il est
immuable
et rend
donc le salut de
certains élus.
Dieu réalise le
décret d’élection
par sa propre
efficacité, par le
œuvre de Salut qu’il
accomplit dans le
Christ Jésus. C’est
son but que certains
individus devraient
croire et persévérer
jusqu'à la fin, et
il assure ce
résultat par le
œuvre objective du
Christ et les
opérations
subjectives de
l’Esprit Saint, Rom.
08:29, 30; 11:29; II
Timothée 02:19.
C’est le fondement
solide de Dieu qui
se tient, « vu ce
sceau, le Seigneur
connaît ceux qui
sont siens. » Et
comme tel il est la
source de confort
riche pour tous les
croyants. Leur salut
final ne dépend pas
de leur obéissance
incertaine, mais a
sa garantie dans le
dessein immuable de
Dieu. (3)
il est
éternel,
c'est-à-dire,
de
toute éternité.
Cette élection
divine ne doit
jamais être
identifiée avec
n’importe quel
temporelle
sélection, que ce
soit pour le plaisir
de la grâce spéciale
de Dieu dans cette
vie, pour des
privilèges spéciaux
et services
compétents ou pour
l’héritage de gloire
ci-après, mais doit
être considérée
comme éternelle,
Rom. 08:29, 30;
Éphésiens 1:4, 5.
(4) il
est inconditionnel.
Élection en aucune
façon dépend-il de
la foi prévu ou les
bonnes œuvres de
l’homme, comme les
arminiens
enseignent, mais
exclusivement sur le
souverain bon
plaisir de Dieu, qui
est également
l’auteur de la foi
et les bonnes
œuvres, Rom. 09:11;
Actes 13:48; II
Timothée 1:9; I
Pierre 1:2. Étant
donné que tous les
hommes sont pécheurs
et ont confisqué les
bénédictions de
Dieu, il n’y a aucun
fondement pour une
telle distinction en
eux; et puisque même
la foi et les bonnes
œuvres des croyants
sont le fruit de la
grâce de Dieu,
Éphésiens 2:8, 10;
II Timothée 02:21,
même ceux-ci, comme
prévu par Dieu, ne
peuvent pas fournir
une telle base. (5)
il est
irrésistible.
Cela ne signifie pas
que l’homme ne peut
pas s’opposer à son
exécution dans une
certaine mesure,
mais cela ne
signifie pas que son
opposition ne
prévaudra pas. Ni
que cela signifie
que Dieu dans
l’exécution de son
décret domine la
volonté humaine
d’une manière qui
est incompatible
avec l’Agence libre
de l’homme. Cela ne
signifie pas,
toutefois, que Dieu
peut et exerce une
telle influence sur
l’esprit humain
qu’il veut, PS.
110:3; Phil. 02:13.
(6) il
n’est pas soumis à
l’injustice. Le
fait que Dieu
favorise certains et
passe par d’autres,
ne garantit pas la
charge qu’il est
coupable de
l’injustice. Nous
pouvons parler de
l’injustice que
lorsqu’une partie a
une créance sur un
autre. Si Dieu avait
le pardon des péchés
et la vie éternelle
à tous les hommes,
il serait une
injustice s’il ne
sauvé qu’un nombre
limité d'entre eux.
Mais le pécheur n’a
absolument aucun
droit ou réclamation
sur les bénédictions
qui découlent de
l’élection divine.
En fait, il a perdu
ces bénédictions.
Non seulement nous
avons pas le droit à
l’appel de Dieu pour
tenir compte de
l’élire certains et
d’autres en passant,
mais nous devons
admettre qu’il
aurait été
parfaitement juste,
s’il n’avait pas
sauvé tout, Matthieu
20:14, 15; ROM.
09:14, 15.
c.
l’objectif de
l’élection.
L’objectif de cette
élection éternelle
est double: (1)
l’objectif immédiat
est le salut des
élus. Que
l’homme est choisi
ou élu pour le salut
est clairement
enseigné dans la
parole de Dieu,
Romains 11:7-11; II
Thessaloniciens.
02:13. (2)
l’objectif final est
la gloire de Dieu.
Même le salut des
hommes est
subordonné à cela.
Que la gloire de
Dieu est le but le
plus élevé de la
grâce élection faite
très emphatique dans
Éphésiens 1:6, 12,
14. L’Évangile
social de notre
époque aime à
insister sur le fait
que l’homme est élu
au service. Dans la
mesure où ceci est
conçu comme un déni
de l’élection de
l’homme pour le
salut et la gloire
de Dieu, il va
clairement à
l’encontre de
l’écriture. Prises
par lui-même,
cependant, l’idée
que les élus sont
prédestinés pour
service ou bonnes
œuvres est
entièrement
scripturaire,
Éphésiens 02:10; II
Timothée 02:21; mais
cette fin est
inféodée aux
extrémités déjà
indiquées.
2.
RÉPROBATION.
Nos normes
confessionnelles
parlent non
seulement de
l’élection, mais
aussi de
réprobation.
Augustine a enseigné
la doctrine de
réprobation, de même
que de celle de
l’élection, mais
cette « doctrine
dure » a rencontré
beaucoup
d’opposition.
Catholiques romains,
la grande majorité
des méthodistes,
luthériens et
arminiens rejettent
généralement cette
doctrine dans sa
forme absolue. Si on
parle encore de
réprobation, ce
n'est que d’une
réprobation issue de
prescience. Que
Calvin était
profondément
conscient de la
gravité de cette
doctrine, il est
parfaitement évident
du fait qu’il parle
de lui comme un «decretum
horribile»
(terrible décret).
néanmoins, il ne se
sentait pas libre de
refuser ce qu’il
considère comme une
vérité biblique
importante. De nos
jours, certains
spécialistes qui
prétendent être
réformé rechignent à
cette doctrine.
Barth enseigne une
réprobation qui
repose sur le rejet
de l’homme de la
révélation de Dieu
dans le Christ.
Brunner, semble
avoir une conception
plus scripturaire
d’élection que
Barth, mais rejette
la doctrine de la
réprobation
entièrement. Il
admet qu’il découle
logiquement de la
doctrine de
l’élection, mais met
en garde contre la
direction de la
logique humaine en
l’espèce, étant
donné que la
doctrine de la
réprobation n’est
pas enseignée dans
les Ecritures.
a.
déclaration de la
doctrine.
Réprobation peut
être définie comme
ce
décret éternel de
Dieu par lequel il a
déterminé à passer
certains hommes par
le fonctionnement de
sa grâce spéciale
et de
les punir pour leurs
péchés,
à la
manifestation de sa
justice. Les
points suivants
méritent un accent
particulier: (1),
il
contient deux
éléments. Selon
la représentation
plus habituelle dans
la théologie
réformée le décret
de réprobation se
compose de deux
éléments, à savoir,
preterition ou
la volonté de passer
par certains hommes;
et
condamnation
(parfois appelé
precondemnation)
ou la volonté de
punir ceux qui sont
passés par leurs
péchés. Comme tel,
il incarne un double
objectif: (a) de
passer par certains
membres de
l’effusion de
régénération et de
la grâce salvatrice;
et (b) à attribuer
au déshonneur et à
la colère de Dieu
pour leurs péchés.
La Confessio Belgica
mentionne seulement
le premier, mais les
Canons de Dordrecht
nommez ce dernier
aussi bien. Certains
théologiens réformés
seraient omettre le
deuxième élément du
décret de
réprobation. Dabney
préfère considérer
la condamnation des
méchants comme le
résultat prévu et
prévu de leur
preterition, privant
ainsi la réprobation
de son caractère
positif; et Dick est
d’avis que le décret
de condamner devait
être considérée
comme un décret
distinct et pas dans
le cadre du décret
de réprobation. Il
nous semble,
cependant, que nous
ne sommes pas
justifiées en
écartant le deuxième
élément du décret de
réprobation, ni à le
considérer comme un
décret différent. Le
côté positif de la
réprobation est si
clairement enseigné
dans l’écriture
comme le contraire
de l’élection que
nous ne pouvons pas
considérer comme
quelque chose de
purement négatif,
Rom. 09:21, 22; 4
Jude. Toutefois,
nous devrions
remarquer plusieurs
points de la
distinction entre
les deux éléments du
décret de
réprobation: (a)
Preterition est un
acte souverain de
Dieu, un acte de son
simple bon plaisir,
dans lequel les
démérites de l’homme
n’entrent pas en
considération,
tandis que
precondemnation est
un acte judiciaire,
visitant le péché
avec peine. Même
supralapsaires sont
disposés à admettre
que pour condamner
le péché est pris en
considération. (b)
la raison pour
preterition n’est
pas connue par
l’homme. Il ne peut
pas être péché, pour
tous les hommes sont
pécheurs. Nous
pouvons seulement
dire que Dieu passée
certains pour des
raisons de bonnes et
sages suffisant à
lui-même. En
revanche, la raison
d’une condamnation
est connue; C’est un
péché. (c)
preterition est
purement passive, un
simple en passant
sans action sur
l’homme, mais la
condamnation est
efficace et positif.
Ceux qui sont passés
par sont condamnés
en raison de leur
péché. (2) nous
devrions nous garder
contre l’idée,
cependant, que comme
les deux élections
et réprobation
déterminent avec une
certitude absolue la
fin à laquelle
l’homme est
prédestiné et les
moyens de qui qui se
terminent est
réalisé, ils
impliquent également
que dans le cas de
la réprobation ainsi
que dans celui d’el
exion Dieu amènera à
passer par sa propre
efficacité directe
que ce soit, il a
décrété. Cela
signifie que, même
si on peut dire que
Dieu est l’auteur de
la régénération,
appeler, la foi, la
justification et la
sanctification, des
élus et donc par une
action directe sur
leur apporte leur
élection à la
réalisation, on ne
saurait dire qu’il
est aussi le
responsable auteur
de la chute, la
condition injuste et
le pécheur actes des
réprouvés par action
directe sur eux et
effets ainsi la
réalisation de leur
réprobation. Décret
de Dieu sans doute
rendu l’entrée du
péché dans le monde
certains, mais il
les a prédestinés
pas certains au
péché, comme il le
fit d’autres à la
sainteté. Et comme
le Dieu Saint, il ne
peut pas être
l’auteur du péché.
La position qui
Calvin prend sur ce
point dans ses
instituts est
clairement indiquée
dans les délivrances
suivants trouvés
dans des
Articles sur la
prédestination
de Calvin:
« Bien que la
volonté de Dieu est
la cause suprême et
la première de
toutes choses et
Dieu tient le diable
et tous les impies
sous réserve de son
aura, que Dieu ne
peut néanmoins être
dénommée la cause du
péché, ni l’auteur
du mal, ni est il
ouvert à tout blâme.
« Bien que le diable
et les réprouvés
sont les serviteurs
et les instruments
de Dieu pour
réaliser ses
décisions secrètes,
néanmoins d’une
manière
incompréhensible
Dieu donc fonctionne
en eux et à travers
eux quant à ne
contracter aucune
tache de leur vice,
car leur méchanceté
est utilisée dans
une juste et façon
juste pour une bonne
fin, même si la
manière est souvent
cachée de notre
part.
« Ils agissent par
ignorance et effet
qui disent que Dieu
est faite à l’auteur
du péché, si toutes
les choses viennent
de passer par sa
volonté et
l’ordonnance; parce
qu’ils ne font
aucune distinction
entre la dépravation
des hommes ainsi que
les nominations
cachées de Dieu. »
(3) il
est à noter que ce
dont Dieu a décidé
d’adopter certains
hommes, n’est pas sa
courante mais son
extraordinaire, sa
régénération, grâce,
la grâce qui
transforme les
pécheurs en saints.
C’est une erreur de
penser que dans
cette vie les
réprouvés sont
totalement démunies
de la faveur de
Dieu. Dieu ne limite
pas la distribution
de ses dons naturels
de l’objectif de
l’élection. Il ne
permet pas même
élection et
réprobation pour
déterminer la mesure
de ces dons. Les
réprouvés
bénéficient souvent
d’une plus grande
mesure des bienfaits
naturels de la vie
que les élus. Ce qui
distingue
efficacement ce
dernier de l’ancien,
c’est qu'
ils
sont faits des
récipiendaires de la
régénération et à la
grâce salvifique de
Dieu.
b. la
preuve pour la
doctrine de
réprobation. La
doctrine de la
réprobation découle
naturellement de la
logique de la
situation. Le décret
d’élection implique
inévitablement le
décret de
réprobation. Si le
tout-sage Dieu, doué
d’une connaissance
infinie, a
éternellement se
proposait de sauver
certains, puis il a
ipso
facto se
proposait également
ne pas à sauver
d’autres. S’il a
choisi ou certains
élus, puis il a par
que fait également
rejeté d’autres.
Brunner met en garde
contre cet argument,
puisque la Bible
enseigne-t-elle pas
en un seul mot une
prédestination
divine au rejet.
Mais il nous semble
que la Bible ne
contredit pas mais
qu’il justifie la
logique en question.
Étant donné que la
Bible est avant tout
une révélation de la
rédemption, il
naturellement n’a
pas autant à propos
de réprobation comme
sur les élections.
Mais ce qu’il dit
est tout à fait
suffisant, Matt.
11:25, 26; ROM.
09:13, 17, 18, 21,
22; 11:7; 4 Jude; I
Pierre 2:8.
E. supra et infra lapsarianisme.
La doctrine de la
prédestination n’a
pas toujours été
présentée exactement
la même forme.
Surtout depuis
l’époque de la
réforme deux
conceptions
différentes de ce
graduellement
émergé, qui étaient
désignés au cours de
la controverse
arminienne Infra -
et
supralapsarianisme.
Les différences déjà
existantes ont été
plus nettement
définies et plus
fortement accentuées
que les résultats
des différends
théologiques de
cette journée. Selon
Dr Dijk que deux
points de vue à
l’étude étaient sous
leur forme originale
simplement une
différence d’opinion
sur la question,
savoir si la chute
de l’homme a été
également inscrite
dans le décret
divin. A été le
premier péché de
l’homme, qui
constitue sa chute,
prédestiné, ou
était-ce simplement
l’objet de la
prescience divine ?
Dans leur forme
originale
supralapsarianisme a
tenu l’ancienne et
infralapsarianisme,
ce dernier. En ce
sens du mot Calvin
était clairement un
supralapsaire. Le
développement
ultérieur de la
différence entre les
deux a commencé par
Bèze, le successeur
de Calvin à Genève.
Dans ce point en
litige se retire peu
à peu dans
l’arrière-plan et
autres différences
sont présentées,
dont certaines
s’avèrent pour être
de simples
différences
d’accent.
Infralapsarians plus
tard, comme Rivet,
Walaeus, faire,
Turretin, à Mark et
de Moor, tous
admettent que la
chute de l’homme a
été inscrite dans le
décret; et des
supralapsaires
ultérieurs, tels que
Bèze, gomar, Peter
Martyr, Zanchius,
Ursinus, Perkins,
Twisse, Trigland,
Voetius, Burmannus,
Witsius et Comrie,
au moins certains
sont tout à fait
prêt à admettre que,
dans le décret de
Dieu de la
réprobation d’une
certaine façon se
péché en examen.
Nous nous
intéressons à
l’heure actuelle
avec Supra - et
infralapsarianisme
sous leur forme la
plus développée.
1.
le POINT EXACT en
question.
Il est tout à fait
essentiel d’avoir
une vue correcte de
l’exacte ou les
points en litige
entre les deux.
a.
négativement,
la
différence n’est pas
trouvée: (1)
dans
les points de vue
divergents
concernant l’ordre
temporel des décrets
divins. Il est
admis sur toutes les
mains que le décret
de Dieu est un et
dans toutes ses
parties tout aussi
éternelle, alors
qu’il est impossible
d’attribuer toute
succession
temporelle qui
comprend des
éléments divers. (2)
dans
toute différence
essentielle quant à
savoir si la chute
de l’homme a été
décrétée ou
simplement l’objet
de la prescience
divine. Cela
peut avoir été,
comme le dit le Dr
Dijk, le point
d’origine de la
différence; mais,
sûrement, toute
personne qui affirme
que la chute n’était
pas décrétée mais
seulement prévue par
Dieu, dirait
maintenant se
déplacer le long de
lignes arminiens et
non réformées. Supra
- tant
Infralapsarians
admettre que
l’automne est inclus
dans le décret
divin, et que
preterition est
volonté souveraine
d’un acte de Dieu.
(3)
dans toute
différence
essentielle quant à
la question,
si le
décret par rapport
au péché est
facultatif. Il
y a une différence
d’accent mis sur
l’adjectif
admissible.
Supralapsaires (à
quelques exceptions
près) sont disposés
à admettre que le
décret par rapport
au péché est
facultatif, mais
m’empresse d’ajouter
qu’il néanmoins
permet l’entrée du
péché dans le monde
une certitude. Et
Infralapsarians (à
quelques exceptions
près) admettra que
le péché est inclus
dans le décret de
Dieu, mais
m’empresse d’ajouter
que le décret, dans
la mesure où ce qui
a trait au péché,
est permissive
plutôt que positive.
L’ancien parfois
trop insister sur
l’élément positif
dans le décret sur
le péché et ainsi
s’expose à
l’accusation qu’ils
font Dieu auteur du
péché. Et ce dernier
parfois trop
insister sur le
caractère permissif
de l’arrêté,
réduisant celui-ci à
une permission de
nue et s’expose
ainsi à l’accusation
de l’Arminianisme.
Dans l’ensemble,
cependant,
supralapsaires
répudient
catégoriquement
toute interprétation
du décret qui ferait
Dieu auteur du
péché; et
Infralapsarians sont
pris soin de
souligner
expressément que le
décret permissif de
Dieu par rapport au
péché rend sin
certainement future.
(4)
dans toute
différence
essentielle quant à
la question,
si le
décret de
réprobation tienne
compte du péché.
Elle est parfois
représentée comme si
Dieu destiné
certains hommes pour
la destruction
éternelle,
simplement par un
acte de sa volonté
souveraine, sans
tenir compte de leur
péché; comme si,
comme un tyran, il a
tout simplement
décidé de détruire
un grand nombre de
ses créatures
rationnelles,
purement pour la
manifestation de ses
vertus glorieux.
Mais les
supralapsaires
détestent l’idée
d’un Dieu tyrannique
et au moins certains
d'entre eux
précisent
explicitement que,
tandis que
preterition est
volonté souveraine
d’un acte de Dieu,
le deuxième élément
de réprobation, à
savoir la
condamnation, est un
acte de justice et
certainement tienne
compte des Sin. Cela
se déroule sur la
supposition que,
logiquement,
preterition précède
le décret pour créer
et pour permettre la
chute, tandis que la
condamnation fait
suite à cela. La
logique de cette
position peut être
mise en doute, mais
il montre au moins
que les
supralapsaires qui
assument, enseignent
que Dieu tienne
compte du péché dans
le décret de
réprobation. p ><p>b.
positivement,
la
différence concerne:
(1)
l’étendue de la
prédestination.
Supralapsaires
comprennent le
décret pour créer et
pour permettre la
chute dans le décret
de prédestination,
tandis que
Infralapsarians se
référer au décret de
Dieu en général et
exclure du décret
spécial de la
prédestination.
Selon la première,
l’homme apparaît
dans le décret de
prédestination,
pas
aussi créé et déchu,
mais
aussi certains à
créer et à l’automne;
alors que, selon ce
dernier, il apparaît
dedans comme déjà
créé et tombé. (2)
l’ordre
logique des décrets.
La question est, si
les décrets pour
créer et pour
permettre la chute
étaient moyens au
décret de la
rédemption.
Supralapsaires
procéder sur
l’hypothèse que,
dans la
planification de
l’esprit rationnel,
passe de la fin pour
les moyens dans un
mouvement
rétrograde, afin que
ce qui est le
premier de
conception est le
dernier dans
l’accomplissement.
Ainsi, ils
déterminent dans
l’ordre suivant: (a)
le décret de Dieu de
se glorifier et
particulièrement
pour agrandir sa
grâce et la justice
dans le salut de
certains et la
perdition des autres
créatures
rationnelles, qui
existent dans
l’Entendement divin,
encore que comme
possibilités. (b) le
décret pour créer
ceux qui ont été
ainsi élu et
réprouvé. (c) le
décret pour qu’ils
puissent tomber. (d)
le décret pour
justifier les élus
et non élus-de
condamner. D’autre
part les
Infralapsarians
suggèrent un ordre
plus historique: (a)
le décret de créer
l’homme à la
sainteté et la
sainteté. (b) le
décret permettant
l’homme avoir reculé
de
l’autodétermination
de sa propre
volonté. (c) le
décret pour sauver
un certain nombre de
cet agrégat
coupable. (d) le
décret de laisser le
reste dans leur
autodétermination
dans le péché et de
les soumettre à la
punition juste qui
mérite de leur
péché. (3)
l’extension de
l’élément personnel
de prédestination
aux décrets pour
créer et pour
permettre la chute.
Selon supralapsaires
Dieu, même dans le
décret de créer et
de permettre à
l’automne, avait son
regard fixé sur ses
élus
individuellement,
afin qu’il y n'avait
pas un seul instant
dans le décret
divin, quand ils ne
s’est pas présenté à
une relation
particulière avec
Dieu comme ses
bien-aimés.
Infralapsarians,
tenir d’autre part,
que cet élément
personnel ne figure
pas dans le décret
jusqu’après le
décret de créer et
de permettre à
l’automne. Dans ces
décrets eux-mêmes
élus figurent
simplement dans
toute la masse de
l’humanité et
n’apparaissent pas
comme des objets
spéciaux de l’amour
de Dieu.
2. LA POSITION
SUPRALAPSAIRE.
a.
Arguments en faveur
d’elle: (1) il
lance un appel à
tous ces passages de
l’Ecriture qui
mettent l’accent sur
la souveraineté
absolue de Dieu et
plus
particulièrement sa
souveraineté en ce
qui concerne le
péché, comme le
Psaume 115:3; Prov.
16:4; Ésaïe 10:15;
45:9; Jérémie 18:6;
Matthieu 11:25, 26;
20:15; ROM. 09:17,
19-21. Un accent
particulier est mis
sur la figure du
potier, qui se
trouve dans plus
d’un de ces
passages. Il est dit
que ce chiffre ne
consiste pas
seulement insiste
sur la souveraineté
de Dieu en général,
mais aussi et
surtout sa
souveraineté dans la
détermination de la
qualité des navires
lors de la création.
Cela signifie que
Paul dans Romains 9
parle d’un point de
vue pré-création,
une idée qui est
favorisée (a) par le
fait que les travaux
du potier est
utilisé fréquemment
dans l’écriture
comme une figure de
la création; et (b)
par le fait que le
potier détermine
chaque navire pour
un certain usage et
lui confère une
qualité
correspondante, ce
qui pourrait causer
le navire demander,
mais sans aucun
droit, pourquoi tu
me faire donc ? (2)
l’attention est
appelée sur le fait
que certains
passages de
l’écriture donnent à
penser que le
travail de la nature
ou de la création a
été ordonné en
général alors que
contiennent déjà des
illustrations de le
œuvre de rédemption.
Jésus vient
fréquemment ses
illustrations pour
l’élucidation des
choses spirituelles
de la nature, et on
nous dit dans
Matthieu 13:35 qu’il
s’agissait dans
l’accomplissement de
la parole du
prophète, « J’ai va
proférer des choses
cachées depuis la
Fondation du
monde. » COMP. PS.
78:2. Ceci est
interprété comme
signifiant qu’ils
étaient
cachés en nature,
mais ont été mis en
évidence dans les
paraboliques
enseignements de
Jésus. Éphésiens 3:9
est également
considérée comme une
expression de l’idée
que le dessein de
Dieu dans la
création du monde a
été réalisé à la
manifestation de sa
sagesse, qui
attribuerait aux
travaux du Nouveau
Testament de la
rédemption. Mais
l’appel à ce passage
semble, pour le
moins très douteux.
(3) l’ordre des
décrets, tel
qu’accepté par les
supralapsaires, est
considéré comme le
plus idéal, le plus
logique et unifiée
des deux. Il montre
clairement l’ordre
rationnel qui existe
entre la finalité et
les moyens
intermédiaires.
C’est pourquoi les
supralapsaires
peuvent, tandis que
le Infralapsarians
ne peut pas donner
une réponse précise
à la question
pourquoi Dieu a
décrété pour créer
le monde et
permettre la chute.
Ils pleinement
justice à la
souveraineté de Dieu
et de s’abstenir de
toutes les vaines
tentatives de
justifier Dieu aux
yeux des hommes,
alors que les
Infralapsarians
hésiter, tenter de
prouver la justice
intérieur de Dieu et
encore en fin de
compte doit venir à
la même conclusion
que le
Supralapsaires, à
savoir que, en
dernière analyse, le
décret pour
permettre la chute
trouve son
explication que dans
le bon plaisir
souverain de Dieu.
(4)
l’analogie de la
prédestination des
anges semble
favoriser la
position
supralapsaire, car
il seulement peut se
concevoir comme
supralapsaire. Dieu
a décrété, pour des
raisons suffisantes
pour lui-même,
d’accorder certains
anges la grâce de la
persévérance et de
retenir ce des
autres; et se
connecter avec ce
justement la
confirmation de
l’ancien dans un
état de gloire et la
perdition éternelle
de ce dernier. Cela
signifie donc que le
décret sur la chute
des anges fait
partie de leur
prédestination. Et
il semble impossible
de concevoir de
celui-ci de toute
autre manière.
b.
Objections à cela:
malgré ses
prétentions
apparente, il ne
donne pas une
solution au problème
du péché. Il aurait
pour cela, si il a
osé dire que Dieu a
décrété pour
apporter de péché
dans le monde
par sa
propre efficacité
directe.
Certains
supralapsaires,
c’est vrai, ne
représentent pas le
décret comme
l’efficace cause du
péché, mais encore
ne veux pas être
interprété de telle
manière que Dieu
devient l’auteur du
péché. La majorité
d'entre eux ne se
soucient pas d’aller
au-delà de
l’affirmation selon
laquelle Dieu a
voulu pour permettre
le péché. Maintenant
ce n’est pas
d’objection à la
supralapsaire dans
la distinction de
l’infralapsaire,
pour aucun d'entre
elles n’a résolu le
problème. La seule
différence est que
le premier rend
plues prétentions à
cet égard que le
second. (2)
conformément à ses
représentations,
l’homme apparaît
dans le décret divin
d’abord comme
creabilis et labilis
(certains à créer et
à tomber). Les
objets du décret
sont d’abord de tous
les hommes
considérés comme de
simples
possibilités, comme
des entités
inexistantes. Mais
un tel décret
nécessairement a
uniquement un
caractère provisoire
et doit être suivi
par un autre décret.
Après que l’élection
et la réprobation de
ces suit hommes
possibles le décret
pour les créer et de
leur permettre à
tomber et cela doit
être suivi par un
autre décrètent
concernant ces
hommes dont la
création et chute
ont maintenant été
définitivement
déterminé, à savoir
le décret de
certains élus et de
réprouver le reste
de ceux qui
apparaissent
maintenant dans le
dessein divin comme
de vrais hommes.
Supralapsaires
prétendent qu’il
s’agit d’aucune
objection
insurmontable parce
que, s’il est vrai
que sur leur
position l’existence
réelle des hommes
n'a pas encore été
déterminé lorsqu’ils
sont élus et
réprouvées, elles
n’existent pas dans
l’idée divine. (3)
il est dit que
supralapsarianisme
fait la punition
éternelle de la
réprouvés que sera
un objet de la
volonté divine, dans
le même sens et de
la même manière que
le salut éternel des
élus; et que cela
rend le péché qui
conduit à la
destruction
éternelle, un moyen
à cette fin, de la
même manière et dans
le même sens que la
rédemption en Christ
est un moyen pour le
salut. Si
systématiquement
réalisées, cela
ferait Dieu auteur
du péché. Il est à
noter, toutefois,
que les
supralapsaires
n’atteint, en règle
générale, si pas le
décret et stipule
explicitement que le
décret ne peut être
ainsi interprété au
point de rendre Dieu
auteur du péché. Il
parlera d’une
prédestination à la
grâce de Dieu en
Jésus Christ, mais
pas d’une
prédestination à
péché. (4) encore
une fois, il est
objecté que
supralapsarianisme
fait le décret de
réprobation juste
aussi absolue que le
décret d’élection.
En d’autres termes,
qu’il considère
réprobation comme
purement un acte de
souverain bon
plaisir de Dieu et
non comme un acte de
justice punitive.
Selon sa
représentation péché
n’entre pas en
considération dans
le décret de
réprobation. Mais ce
n’est guère correct,
bien qu’il peut être
vrai pour certains
supralapsaires. En
général, cependant,
on peut dire que,
bien qu’ils
considèrent
preterition comme
souverain bon
plaisir une loi de
Dieu, ils
habituellement
considèrent
precondemnation
comme un acte de
justice divine, qui
tient compte sin. Et
l’infralapsaire
lui-même ne peut pas
soutenir l’idée que
la réprobation est
un acte de justice
pure et simple, sous
réserve du péché de
l’homme. En dernière
analyse, il, aussi,
doit déclarer qu’il
est souverain bon
plaisir d’un acte de
Dieu, s’il veut
éviter le camp
arminiens. (5)
Enfin, il est dit
qu’il n’est pas
possible
d’interpréter une
doctrine utilisable
de l’Alliance de la
grâce et du
Médiateur sur la
base du régime
supralapsaire. Tant
l'Alliance et le
médiateur de
l’Alliance ne
peuvent être conçu
que comme
infralapsaire. C’est
franchement admis
par certains
supralapsaires.
Logiquement, le
médiateur apparaît
dans le décret divin
qu’après l’entrée du
péché; et il s’agit
du seul point de vue
d'où l’Alliance de
grâce peut être
interprété. Cela
aura naturellement
une influence
importante sur le
ministère de la
parole.
3. LA POSITION
INFRALAPSAIRE.
a.
Arguments en faveur
de l’il. (1)
Infralapsarians
appel plus
particulièrement à
ces passages de
l’écriture dans
lequel les objets de
l’élection
apparaissent comme
dans un état de
péché, étant en
étroite union avec
le Christ, ainsi que
des objets de la
miséricorde de Dieu
et la grâce, comme
Matthieu 11:25, 26;
John 15:19; ROM.
08:28, 30; 9:15. 16;
Éphésiens 1:4-12; II
Timothée 1:9. Ces
passages semble
indiquer que, dans
la pensée de Dieu,
la chute de l’homme
ont précédé
l’élection de
certains pour le
salut. (2) il
appelle également
l’attention sur le
fait que dans sa
représentation de
que l’ordre des
décrets divins est
moins philosophique
et plus naturelle
que celle proposée
par supralapsaires.
C’est en harmonie
avec l’ordre
chronologique dans
l’exécution des
décrets, qui semble
refléter l’ordre
dans le Conseil
éternel de Dieu.
Tout comme dans
l’exécution, il est
donc le décret un
ordre causal. Il est
plus modeste de se
conformer à cet
ordre, juste parce
qu’il reflète
l’ordre historique a
révélé dans les
Ecritures et ne
prétend pas résoudre
le problème de la
relation de Dieu au
péché. Il est
considéré comme
moins offensant dans
sa présentation de
l’affaire et être
beaucoup plus en
harmonie avec les
exigences de la vie
pratique.
(3)
tandis que les
supralapsaires
affirment que leur
construction de la
doctrine des décrets
est la plus logique
des deux,
Infralapsarians
faire la même
revendication pour
leur poste. Dabney,
dit: « les
supralapsaires
(régime) sous le
prétexte d’une plus
grande symétrie, est
en réalité le plus
illogique des
deux. »
Il
est souligné que le
régime de
supralapsaire est
illogique, car il
rend le décret
d’élection et
preterition se
référer à des
entités,
c'est-à-dire aux
hommes qui
n’existent pas, sauf
que les possibilités
de nues, même dans
l’esprit de Dieu;
qui ne sont pas
encore exister dans
le décret divin et
ne sont donc pas
envisagé comme créé,
mais seulement comme
pouvant être créés.
Encore une fois, il
est dit que la
construction
supralapsaire est
illogique, car elle
sépare
nécessairement les
deux éléments dans
la réprobation,
plaçant preterition
avant et leur
condamnation, après
la chute. (4) Enfin,
l’attention est
également appelée
sur le fait que les
Églises réformées
dans leurs normes
officielles ont
toujours adopté la
position
infralapsaire, même
s’ils ont jamais
condamné, mais
toujours toléré,
l’autre vue. Parmi
les membres du
Synode de Dordrecht
et de l’Assemblée de
Westminster, il y
avait plusieurs
supralapsaires qui
ont eu lieu en
l’honneur de haut
(l’officier
présidant dans les
deux cas appartenant
au nombre), mais à
la fois les Canons
de Dordrecht et la
Confession de
Westminster le
infralapsaire vue
trouve son
expression.
b.
Objections à cela.
Voici quelques-unes
des principales
objections soulevées
contre l’infralapsarianisme:
(1) il ne donne pas,
ni prétend donner
une solution au
problème du péché.
Mais cela est
également vrai
d’autres avis, afin
que, dans une
comparaison entre
les deux, cette ne
peut pas très bien
considérée comme une
objection réelle,
même si elle est
parfois soulevée. Le
problème de la
relation de Dieu au
péché s’est avéré
pour être insolubles
pour celui, ainsi
que pour l’autre.
(2) tandis que l’infralapsarianisme
peut être actionnée
par le louable désir
pour se prémunir
contre la
possibilité de
charger de Dieu
étant l’auteur du
péché, c’est, en
faisant cela,
toujours en danger
de dépassement de la
marque, et certains
de ses représentants
ont fait cette
erreur. Ils sont
opposés à la
déclaration que Dieu
a voulu
pécher et substituer
à elle l’affirmation
que He
le permettaient.
Mais alors la
question se pose
quant à la
signification exacte
de cette
déclaration. Cela
signifie que Dieu
simplement a pris
connaissance de
l’entrée du péché,
sans en aucune
manière entraver,
afin que la chute
était en réalité une
frustration de son
plan ? Le moment que
le infralapsaire
répond à cette
question par
l’affirmative, il
pénètre dans les
rangs des arminiens.
Alors qu’il y a eu
certains qui a pris
cette position, la
majorité d'entre eux
se sentent qu’ils ne
peuvent pas toujours
prendre cette
position, mais
doivent intégrer
l’automne dans le
décret divin. Ils
parlent du décret
sur le péché comme
un
décret permissive,
mais étant entendu
que ce décret a
rendu l’entrée du
péché dans le monde
certains distinct.
Et si on se
demander, pourquoi
Dieu a décrété pour
permettre le péché
et donc rendait
certains, ils
peuvent seulement
pointer vers le bon
plaisir divin et
sont donc en parfait
accord avec les
supralapsaires. (3)
la même tendance à
protéger de Dieu se
révèle d’une autre
manière et expose à
un danger similaire.
Infralapsarianisme
veut vraiment
expliquer
réprobation comme
juge en un acte de
Dieu. Il est enclin
à refuser
explicitement ou
implicitement que
c’est un acte de la
simple bon plaisir
de Dieu. Vraiment,
cela rend le décret
de réprobation un
décret conditionnels
et conduit dans le
giron arminiens.
Mais infralapsarians
dans l’ensemble ne
veulent pas
enseigner un décret
conditionnels et de
s’exprimer
prudemment sur cette
question. Certains
d'entre eux
admettent qu’il est
erroné de considérer
que la réprobation
purement comme un
acte de justice
divine. Et c’est
tout à fait
correcte. Péché
n’est pas la cause
ultime de
réprobation, pas
plus que la foi et
les bonnes œuvres
sont la cause de
l’élection, pour
tous les hommes sont
par nature morte
dans le péché et des
offenses. Lorsqu’ils
sont confrontés au
problème de
réprobation,
Infralapsarians,
trop, peut trouver
la réponse que dans
le bon plaisir de
Dieu. Leur langue
peut sembler plus
tendre que celle des
supralapsaires, mais
est également plus
susceptible d’être
mal compris et après
tout prouve pour
exprimer la même
idée. (4) la
position
infralapsaire ne
rend pas justice à
l’unité du décret
divin, mais
représente les
différents membres
de celui-ci trop
comme parties
déconnectées.
Premier Dieu décrète
pour créer le monde
pour la gloire de
son nom, qui
signifie entre
autres choses,
aussi, qu’il a
déterminé que ses
créatures
rationnelles
devraient vivre
selon la loi divine
implantée dans leur
cœur et doivent
louer leur créateur.
Puis il décréta afin
de permettre à
l’automne, par
lequel le péché
entre dans le monde.
Cela semble être une
frustration du plan
initial, ou au moins
une modification
importante de
celui-ci, étant
donné que Dieu
décrète pas plus à
la pour gloire de
lui-même par
l’obéissance
volontaire de
toutes
ses créatures
rationnelles. Enfin,
suivez les décrets
de l’élection et la
réprobation, qui
veut dire seulement
une exécution
partielle du plan
initial.
4.
de ce qui a été dit
il semblerait à
suivre que nous ne
pouvons pas
considérer Supra -
et
infralapsarianisme
comme absolument
antithétique.
Ils considèrent le
mystère même de
différents points de
vue, celui de fixer
son attention sur
l’idéal ou
téléologique;
l’autre, sur l’ordre
chronologique, des
décrets. Dans une
certaine mesure, ils
peuvent et doivent
aller de pair. Les
deux trouvent un
appui dans
l’écriture.
Supralapsarianisme
dans ces passages
qui insistent sur la
souveraineté de Dieu
et l’infralapsarianisme
dans ceux qui
mettent l’accent sur
la miséricorde et la
justice de Dieu,
dans le cadre
d’élections et de la
réprobation. Chacun
a quelque chose en
sa faveur: la
première qui n’est
pas tenue de
justifier Dieu, il
repose simplement
dans le bon plaisir
souverain et Saint
de Dieu; et le
second, qu’elle est
plus modeste et plus
tendre et qu’il
estime avec les
demandes et les
exigences de la vie
pratique. Les deux
sont nécessairement
incompatibles; le
premier parce qu’il
ne peut pas
considérer le péché
comme une
progression, mais
doit le considérer
comme une
perturbation de la
création et parle
d’une
permissive
décret; et le
second, car en
dernière analyse, il
doit recourent
également à une
permissive
décretqui
rend certains sin.
Mais chacun d'entre
eux aussi met
l’accent sur un
élément de vérité.
Le véritable élément
de
supralapsarianisme
se trouve en mettant
l’accent sur ce qui
suit: que le décret
de Dieu est une
unité; que Dieu
avait un
but final en vue;
qu’il a voulu péché
dans un certain
sens; et que le
travail de création
a été immédiatement
adaptée à l’activité
récréative de Dieu.
Et le véritable
élément
infralapsarianisme
est, qu’il y a une
certaine diversité
dans les décrets de
Dieu; que création
et chute ne peut pas
être considérés
simplement comme
moyen d’atteindre un
but, mais avaient
aussi grande
importance
indépendante; et que
le péché ne peut
être considéré comme
un élément de
progrès, mais doit
plutôt être
considéré comme un
élément de
perturbation dans le
monde. Dans le cadre
de l’étude de cette
question profonde,
nous pensons que
notre compréhension
est limitée et me
rends compte que
nous appréhendons
les fragments de la
vérité. Nos normes
confessionnelles
incarnent la
position
infralapsaire, mais
ne condamnent pas
supralapsarianisme.
Il a estimé que ce
point de vue n’était
pas nécessairement
incompatible avec la
théologie réformée.
Et les conclusions
d’Utrecht, adoptée
en 1908 par notre
église, affirment
que, même si elle
n’est pas permis de
représenter
l’opinion de
supralapsaire comme
la
doctrine des Églises
réformées dans les
pays-bas, c’est tout
aussi peu admissible
de molester
quelqu'un qui chérit
ce point de vue pour
lui-même.
QUESTIONS
pour une étude plus
approfondie. Est une
prescience des
événements futurs
qui ne repose pas
sur le décret
possible en Dieu ?
Quel est le résultat
inévitable de fonder
décret de Dieu sur
sa prescience plutôt
que
l’inverse, sa
prescience sur son
décret ? Comment la
doctrine des décrets
diffère-t-il du
fatalisme et du
déterminisme ? Le
décret de
prédestination
exclut-elle
nécessairement la
possibilité d’une
offre universelle de
Salut ? Sont les
décrets de
l’élection et la
réprobation tout
aussi absolue et
inconditionnelle ou
pas ? Ils ne se
ressemblent en étant
les causes d'où les
actions humaines
procéder comme
effets ? Comment est
la doctrine de la
prédestination,
associée à la
doctrine de la
souveraineté divine;
— de la doctrine de
la dépravation
totale; — à la
doctrine de
l’expiation; — à la
doctrine de la
persévérance des
saints ? Les
réformés enseignez
une prédestination à
péché ?
LITTÉRATURE: Bavinck,
Geref. Dogme.
II,
pp. 347-425; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De Deo
III, pp. 80-258;
Vos,
Geref. Dogme. J’ai,
pp. 81-170; Hodge,
Syst.
Theol. I, p.
535-549; II, p.
315-321; Shedd,
dogme
.
Théol. J’ai,
p. 393-462; Faire,
Godgeleerdheit,
I, pp. 670-757;
Comrie fr Holtius,
Examen
van het Ontwerp van
Tolerantie,
Samenspraken VI et
VII; Turretin,
opéra,
I, pp. 279-382;
Dabney, syst
et
trouvailles Theol.,
p. 211-246; Miley,
Syst.
Theol. II, pp.
245-266; Cunningham,
Hist.
Theol., II, p.
416-489; Wiggers,
augustinisme et
pélagianisme,
p. 237-254;
Girardeau,
calvinisme et
arminianisme
évangélique,
pp. 14-412; Ibid.,
The
Will dans ses
Relations
théologiques;
Warfield,
Doctrines bibliques,
pp. 3-67; Ibid.,
études
en théologie,
p. 117-231; Cole, le
calvinismede
Calvin, p. 25-206;
Calvin,
instituts III.
Chap. XXI-XXIV; Dijk,
De
Strijd sur Infra-fr
Supralapsarisme dans
de Gereformeerde
Kerken van Nederland;
Ibid.,
Om 't
Eeuwig Welbehagen;
Fernhout,
De Leer
der Uitverkiezing;
Polman,
De
Praedestinatieleer
van Augustinus,
Thomas
van Aquino fr
Calvijn.
III. la création en général
La discussion des
décrets
naturellement
conduit jusqu'à
l’examen de leur
exécution, et cela
commence par le
travail de création.
Ce n’est pas premier
dans l’ordre
chronologique, mais
est également une
prius logique. C’est
le début et à la
base de toute la
révélation divine et
par conséquent aussi
le fondement de
toute la vie éthique
et religieuse. La
doctrine de la
création n'est pas
énoncée dans
l’écriture comme une
solution au problème
du monde
philosophique, mais
dans sa
signification
éthique et
religieuse, comme
une révélation de la
relation de l’homme
avec son Dieu. Il
insiste sur le fait
que Dieu est à
l’origine de toutes
choses, et que
toutes choses lui
appartiennent et
sont soumis à lui.
La connaissance de
celui-ci est dérivée
de l’écriture
seulement et est
acceptée par la foi
(Hébreux 11:3), même
si les catholiques
romains maintenir
qu’il peut aussi
être recueilli de
nature.
A. la Doctrine de la
création dans
l’histoire.
Alors que la
philosophie grecque
a demandé
l’explication du
monde dans un
dualisme, qui
implique l’éternité
de la matière, ou
dans un processus
d’émanation, ce qui
rend le monde la
manifestation
extérieure de Dieu,
the Christian Church
dès le début a
enseigné la doctrine
de création
ex
nihilo et comme
un acte
gratuit de
Dieu. Cette doctrine
a été acceptée à
l’unanimité du
singulier dès le
départ. Il se trouve
à Justin Martyr,
Irénée, Tertullien,
Clément
d’Alexandrie,
Origène et d’autres.
Théophile a été le
premier père de
l’église d’insister
sur le fait que les
jours de la création
ont été des jours
littéraux. Cela
semble avoir été la
vue d’Irénée et de
Tertullien aussi et
a été selon toute
vraisemblance la vue
commune dans
l’église. Clément et
Origène pensaient de
la création comme
ayant été accomplie
en un
seul instant
indivisibleet
conçue de sa
description que le
travail de plusieurs
jours comme un
artifice littéraire
pour décrire
l’origine des choses
dans l’ordre de leur
valeur ou de simple
leur lien logique.
L’idée d’une
création éternelle,
telle qu’enseignée
par Origène, a été
souvent rejetée. En
même temps, certains
d'entre les pères de
l’église ont exprimé
l’idée que Dieu est
toujours créateur,
même si l’univers
créé a commencé dans
le temps. Au cours
de la controverse
trinitaire certains
d'entre eux a
insisté sur le fait
que, à la différence
de la génération du
fils, qui était un
nécessaire loi
du père, de la
création du monde
était un acte
gratuit
du Dieu triune.
Augustin traite le
travail de création
plus en détail que
d’autres ont fait.
Il fait valoir que
la création était
éternellement dans
la volonté de Dieu
et par conséquent
n’apporté aucun
changement en lui.
Il n’y avait aucun
temps avant la
création, car le
monde a été mis en
place
avec le temps,
plutôt
qu’à temps. La
question ce que Dieu
fait dans les
plusieurs siècles
avant la création
repose sur une
interprétation
erronée de
l’éternité. Alors
que l’église semble
en général ont eu
lieu que le monde a
été créé en six
jours ordinaires,
Augustine a proposé
une vision quelque
peu différente. Il a
fortement défendu la
doctrine de la
creatio
ex nihilo, mais
distingue deux
moments de la
création: la
production de la
matière et
spiritueux hors de
rien et
l’organisation de
l’univers matériel.
Il a trouvé
difficile de dire
quel genre de jours
les jours de la
Genèse ont été, mais
était évidemment
enclin à penser que
Dieu a créé toutes
choses
à un moment du temps,
et que la pensée des
jours était
simplement introduit
pour faciliter
l’intelligence
finie. Les
scolastiques débattu
beaucoup de choses
sur la possibilité
de création
éternelle; certains,
par exemple,
Alexandre de Hales,
Bonaventura,
Albertus Magnus,
Henry de Gand et la
grande majorité des
scolastiques nier
cela; et d’autres,
comme Thomas
Aquinas, Duns Scot,
Durand, Biel et
d’autres affirmant
il. Pourtant la
doctrine de la
création avec ou
dans le temps l’a
emporté. Erigena et
Eckhart ont été
exceptionnels dans
l’enseignement que
le monde créé par
émanation.
Apparemment les
jours de la création
étaient considérés
comme des jours
ordinaires, mais
Anselm ont suggéré
qu’il pourrait être
nécessaire de les
concevoir comme
différent de nos
jours présents. Les
réformateurs a tenu
fermement à la
doctrine de la
création à partir de
rien par une
catastrophe
naturelle gratuit
dans ou avec le
temps et considéré à
l’époque de la
création en six
jours littéraux. Cet
affichage est
maintenu aussi
généralement dans la
littérature
post-réforme des
seizième et
dix-septième
siècles, bien que
quelques théologiens
(comme Maresius)
parfois parler de
création continue.
Au XVIIIe siècle,
cependant, sous
l’influence
dominante de
panthéisme et le
matérialisme, le
scientifique a lancé
une attaque sur la
doctrine de l’église
de la création. Il
substitue l’idée
d’évolution ou de
développement à
celui de l’origine
absolue par un
décret divin. Le
monde était souvent
représenté comme une
manifestation
nécessaire de
l’absolu. Son
origine était
repoussé des
milliers et même des
millions d’années
dans un passé
inconnu. Et bientôt
les théologiens
étaient engagés dans
diverses tentatives
d’harmoniser la
doctrine de la
création avec les
enseignements de la
science et la
philosophie.
Certains ont suggéré
que les premiers
chapitres de la
Genèse doivent être
interprétés
allégoriquement ou
mythologique;
d’autres, un long
délai écoulé entre
la création primaire
de Genèse 1:1, 2 et
la création
secondaire des
versets suivants; et
encore d’autres, que
les jours de la
création étaient en
fait de longues
périodes.
B. la preuve
scripturaire pour la
Doctrine de la
création.
La preuve
scripturaire pour la
doctrine de la
création ne se
trouve pas dans une
partie unique et
limitée de la Bible,
mais se trouve dans
toutes les parties
de la parole de
Dieu. Il n’est pas
constitué de
quelques passages
épars
d’interprétation
douteuse, mais d’un
grand nombre
d’instructions
claires et sans
équivoque, qui
parlent de la
création du monde
comme un fait
historique. Nous
avons d’abord le
récit élargi de la
création trouvée
dans les deux
premiers chapitres
de la Genèse, qui
sera examiné en
détail lors de la
création de
l’univers matériel
est considérée. Ces
chapitres semblent
certainement le
lecteur impartial,
un récit historique,
ainsi que
l’enregistrement
d’un fait
historique. Et les
nombreux renvois
dispersés tout au
long de la Bible ne
les considère pas
dans n’importe quel
autre lumière. Ils
font tous référence
à la création comme
un fait de
l’histoire. Les
différents passages
dans lequel ils sont
trouvent peuvent
être classées comme
suit: (1) les
Passages qui
insistent sur
l’omnipotence de
Dieu dans le travail
de création, Ésaïe
40: 26, 28; Amos
04:13. (2) les
passages qui
pointent vers son
exaltation au-dessus
de nature comme le
Dieu infini et
grand, Psaume 90: 2;
102:26, 27; Actes
17:24. (3) les
passages qui se
réfèrent à la
sagesse de Dieu dans
le travail de
création, Ésaïe 40:
12-14; Jérémie
10:12-16; John 1:3;
(4) les passages
concernant la
création du point de
vue de la
souveraineté de Dieu
et le but dans la
création, Ésaïe
43:7; ROM. 01:25.
(5) les passages qui
parlent de la
création comme un
ouvrage fondamental
de Dieu, I Cor.
11:9; 01:16. Parmi
les mentions plus
complète et la plus
belles est celle
trouvée dans Néhémie
9:6: « Tu es
Jéhovah, même toi
seul; Tu as fait les
cieux, les cieux des
cieux, avec toute
leur armée, la terre
et toutes les choses
qui sont à ce sujet,
les mers et tout ce
qui est en eux, et
tu preservest tous;
« et l’armée céleste
worshippeth toi. »
Ce passage est
typique de plusieurs
autres, moins
étendus, passages
que l'on trouve dans
la Bible, qui
mettent l’accent sur
le fait que Jéhovah
est le créateur de
l’univers, Ésaïe
42:5; 45: 18; 01:16;
04:11; 10:6.
C. l’idée de
création.
La
foi de l’église dans
la création du monde
est exprimée dans
l’article premier de
la
Confession de foi
apostolique,
« Je crois en Dieu
le père,
tout-puissant,
créateur du ciel et
la terre. » Il
s’agit d’une
expression de la foi
de l’église
primitive, que Dieu
par sa
toute-puissance
amené l’univers à
partir de rien. Les
mots « Créateur du
ciel et terre » ne
figuraient pas dans
la forme originale
du credo, mais
représentent une
addition
postérieure. Elle
attribue au père,
c'est-à-dire, à la
première personne
dans la Trinité,
l’origine de toutes
choses. C’est en
harmonie avec la
représentation du
Nouveau Testament
que toutes choses
sont du père par le
fils, et dans
l’Esprit Saint. Le
mot « Maker » est un
rendu de la parole
poieten,
trouvé dans la forme
grecque de la
Confession
apostolique, tandis
que la forme latine
a
creatorem.
Évidemment, elle
doit être comprise
comme un terme
synonyme de
« Créateur ». « Pour
créer » était
compris dans
l’église primitive
dans le sens strict
de « à sortir
quelque chose de
rien. » Il est à
noter que l’écriture
n’utilise pas
toujours l’hébreu
mot bara»
et le terme grec
ktizein
en ce sens absolu.
Il est également
utilisé ces termes
pour désigner une
création secondaire,
dans laquelle Dieu
fait usage de
matériel qui
existait déjà mais a
pas pu produire le
résultat indiqué,
01:21, 27; 5:1;
Ésaïe 45: 7, 12;
54:16; Amos 04:13;
J’ai Cor. 11:9;
Apocalypse 10:6. Il
les utilise encore
pour désigner ce qui
verra le jour sous
la direction
providentielle de
Dieu, PS. 104:30;
Ésaïe 45: 7, 8;
65:18; I Timothée
4:4. Deux autres
termes sont utilisés
comme synonyme du
terme « de créer, »
à savoir « faire »
(Hébreux, 'asah;
Grec,
poiein) et de
« forme » (Héb.
yatsar;
Grec,
plasso). Le
premier est
clairement utilisé
dans tous les trois
sens figurant aux
points précédents:
de la création
primaire dans Genèse
2:4; Prov. 16:4;
Actes 17:24; plus
fréquemment du
secondaire création,
Genèse 1:7, 16, 26;
02:22; PS. 89:47;
ainsi que des
travaux de la
providence dans
Psaume 74:17. Ce
dernier est utilisé
de même de la
création primaire,
Psaume 90: 2
(peut-être le seul
exemple de cette
utilisation); du
secondaire création,
Genèse 2:7, 19; PS.
104:26; Amos 04:13;
Zach. 12:1; ainsi
que des travaux de
la providence, Deut.
32: 18; Ésaïe 43: 1,
7, 21; 45:7. que
tous les trois mots
sont trouvés
ensemble dans Ésaïe
45: 7. Création au
sens strict du mot
peut être définie
comme
qui gratuit Loi de
Dieu par lequel il,
selon
sa volonté
souveraine et pour
sa propre gloire,
au
début, fait naître
l’univers entier
visibles et
invisibles,
sans
l’utilisation de
matériaux
préexistants
et
ainsi il a donné une
existence,
distincte de la
sienne propre et
pourtant toujours
dépendante de lui.
Compte tenu des
données
scripturaires
figurant aux points
précédents, il est
évident, toutefois,
que cette définition
s’applique
uniquement à ce qui
est généralement
connu comme création
primaire ou
immédiate,
c'est-à-dire la
création décrite
dans Genèse 1:1. La
Bible utilise
clairement le mot
« créer », mais
aussi dans les cas
où Dieu n’a fait
usage de matériaux
préexistants, comme
dans la création du
soleil, lune et
étoiles, des animaux
et de l’homme. C’est
pourquoi beaucoup de
théologiens ajoute
un élément à la
définition de la
création. Wollebius
définit ainsi: « la
créationest
qui agissent par qui
produit de Dieu, le
monde et tout ce qui
est dedans,
en
partie à partir de
rien et en partie à
partir de matériaux
qui est par nature
impropre,
pour la
manifestation de la
gloire de sa
puissance
,
sagesse
et la
bonté. » Pour
autant, toutefois,
la définition ne
couvre pas les cas,
aussi désignées dans
l’écriture comme
travail de création,
où Dieu agit par
l’intermédiaire des
causes secondaires,
PS. 104:30; Ésaïe
45: 7, 8; Jérémie
31:22; Amos 04:13 et
produit des
résultats qui lui
seul pouvait
produire. La
définition donnée
comprend plusieurs
éléments qui
appellent un examen
plus approfondi.
1.
création est un acte
de Dieu TRINE.
L’écriture nous
enseigne que Dieu
triune est l’auteur
de la création,
Genèse 1:1; Ésaïe
40: 12; 44: 24;
45:12 et cela lui
distingue les
idoles, PS. 96:5;
Ésaïe 37: 16;
Jérémie 10:11, 12.
Bien que le père est
au premier plan dans
le travail de
création, j’ai Cor.
8:6, il est
également clairement
reconnu comme une
œuvre du fils et du
Saint-Esprit.
Participation du
fils qu’il est
indiquée dans Jean
1:3; I Corinthiens
8:6; 01:15-17 et
l’activité de
l’esprit qu’il
s’exprime dans la
Genèse 1:2; Job 26:
13; 33: 4; PS.
104:30; Ésaïe 40:
12, 13. Les deuxième
et troisième
personnes ne sont
pas dépendantes
puissances ou
simples
intermédiaires, mais
des auteurs
indépendants ainsi
que le père. Le
travail n’était pas
divisé parmi les
trois personnes,
mais l’ensemble de
le œuvre, mais de
différents aspects,
est attribué à
chacune des
personnes. Toutes
choses sont à la
fois de
père par
le fils et
dans
l’Esprit Saint. En
général on peut dire
étant
est le père,
pensée
ou l'
idée du fils et
la vie
hors de l’Esprit
Saint. Étant donné
que le père prend
l’initiative dans le
travail de création,
c’est souvent lui
sont imputables sur
le plan économique.
2.
création est un acte
de Dieu gratuit.
Création est parfois
représentée comme un
acte de Dieu
nécessaire plutôt
que comme un acte
libre, selon sa
volonté souveraine.
Les vieilles
théories d’émanation
et leurs homologues
modernes, les
théories
panthéistes, rendre
naturellement le
monde mais un simple
moment dans le
processus de divine
evolution (Spinoza,
Hegel) et donc de
considérer le monde
comme un acte de
Dieu nécessaire. Et
la nécessité qu’ils
ont à l’esprit n’est
pas une nécessité
relative résultant
du décret divin,
mais une nécessité
absolue qui découle
de la nature même de
Dieu, de sa
toute-puissance
(Origène) ou de son
amour (Rothe).
Cependant, ce n’est
pas une position
scripturale. Les
seules œuvres de
Dieu qui sont
intrinsèquement
nécessaires avec une
nécessité résultant
de la nature même de
Dieu, sont l'
opéra
ad intra, les
œuvres des personnes
distinctes au sein
de l’etre divin:
génération,
filiation et
procession. Pour
dire que la création
est un acte de Dieu
nécessaire, est
également de
déclarer qu’il est
juste aussi éternel
comme ces œuvres
immanentes de Dieu.
Quelle que soit la
nécessité peut être
imputée à de Dieu
ad
opéra supplémentaire,
est une nécessité
conditionnée par le
décret divin et la
constitution qui en
résulte des choses.
C’est qu'une
nécessité dépend de
la souveraine
volonté de Dieu et
par conséquent pas
nécessaire dans le
sens absolu du mot.
La Bible nous
enseigne que Dieu a
créé toutes choses,
selon le Conseil de
sa volonté,
Éphésiens 01:11;
04:11; et qu’il se
suffit à lui-même et
qu’il n’est pas
tributaire de ses
créatures en quelque
sorte, Job 22:2, 3;
Actes 17:25.
3. LA CRÉATION EST
UN ACTE DE DIEU
TEMPORELLE.
a.
l’enseignement de
l’écriture sur ce
point. La Bible
commence par
l’instruction très
simple, « au
commencement Dieu
créé les cieux et la
terre, » Genèse 1:1.
Alors s’adressait à
toutes les
catégories de
personnes, il
emploie le langage
ordinaire de la vie
quotidienne et non
le langage technique
de la philosophie.
Le terme hébreu
bereshith
(allumé. « au
commencement ») est
elle-même
indéterminée et
naturellement donne
lieu à la question,
au début de ce qui ?
Il semblerait
préférable de
prendre l’expression
dans le sens absolu
comme une indication
de début de toutes
les choses
temporelles et même
du temps; mais Keil
est d’avis qu’il se
réfère au début des
travaux de création.
D’un point de vue
technique, il n’est
pas correct
d’assumer cette
époque existait déjà
lorsque Dieu créa le
monde, et qu’il à un
certain moment dans
l’époque actuelle,
appelé « the
beginning » amené
l’univers. Temps est
seulement une des
formes de l’ensemble
créé l’existence et
donc ne pourrait pas
exister avant la
création. Pour cette
raison, Augustine
pensé qu’il serait
plus exact de dire
que le monde fut
créé
cum tempore
(avec le temps)
qu’afin de faire
valoir qu’elle a été
créée
en tempore (en
temps). La grande
importance de la
déclaration
d’ouverture de la
Bible réside dans
son enseignement que
le monde a eu un
commencement.
L’écriture parle de
cela commence aussi
dans d’autres
endroits, Matthieu
19:4, 8; Marque 10;
6; Jean 1:1, 2; Héb.
01:10. Que le monde
a eu un commencement
est aussi clairement
implicite dans ces
passages dans le
Psaume 90: 2,
« Avant que les
montagnes ont été
enfantées, ou jamais
tu eusses formé la
terre et dans le
monde, même
d’éternité en
éternité tu es
Dieu »; et PS.
102:25, « de
l’ancien As tu les
fondements de la
terre; et les cieux
sont l’ouvrage de
tes mains. »
b.
difficultés qui
pèsent cette
doctrine. Avant
le début, mentionné
dans Genèse 1:1,
nous devons postuler
une éternité sans
commencement, au
cours de laquelle
Dieu a existé
seulement. Comment
devons nous remplir
ces âges vides dans
la vie éternelle de
Dieu ? Qu’a fait
Dieu avant la
création du monde ?
C’est si loin
possible de penser à
lui comme un
Deus
otiosus (un
Dieu qui n’est pas
actif), qu’il est
généralement conçu
comme
purus actus
(action pure). Il
est représenté dans
l’écriture comme
toujours à
travailler, John
05:17. Peut-on alors
dire qu’il est passé
d’un état
d’inactivité à l’une
des actions ? Par
ailleurs, comment
est la transition
entre un non
créatives et un État
créatif de se
réconcilier avec son
immuabilité ? Et
s’il avait eu le
dessein éternel de
créer, pourquoi il
pas réaliser à la
fois ? Pourquoi
A-t-il permis
l’éternité entière à
s’écouler avant que
son plan a été mis à
exécution ? En
outre, pourquoi il
choisir ce moment
particulier pour son
travail de
création ?
c.
suggéré des
solutions du
problème. (1)
la
théorie de la
création éternelle.
Selon certains,
comme Origène,
Scotus Erigina,
Rothe, Dorner et
Pfleiderer, Dieu a
créé de toute
éternité, afin que
le monde, même si
une créature et
personne à charge,
est encore juste
comme éternel comme
Dieu lui-même. Cela
a été avancé de
l’omnipotence,
l’intemporalité,
l’immutabilité et
l’amour de Dieu;
mais ni l’un de ces
nécessairement
impliquer ou
impliquer. Cette
théorie n’est pas
seulement contredite
par l’écriture, mais
elle est aussi
contraire à raison,
pour (a) création de
toute éternité est
une contradiction
dans les termes; et
(b) l’idée de
création éternelle,
tel qu’appliqué dans
le monde actuel, qui
est soumis à la loi
du temps, repose sur
une identification
des temps et
l’éternité, alors
que ces deux sont
fondamentalement
différents. (2)
la
théorie de la
subjectivité du
temps et l’éternité.
Certains philosophes
spéculatives, comme
Spinoza, Hegel et
Green, affirment que
la distinction entre
temps et l’éternité
est purement
subjective et en
raison de notre
position finie.
C’est pourquoi ils
auraient nous
atteindre un plus
haut point de vue et
envisager les choses
sub
specie aeternitatis
(du point de vue de
l’éternité). Ce qui
existe pour notre
conscience comme un
temps de
développement, il
existe pour la
conscience divine
comme un tout
complet
éternellement. Mais
cette théorie est
contredite par
l’écriture tout
autant que le
précédent one,
Genèse 1:1; Psaume
90: 2; 102:25; John
1:3. De plus, les
réalités objectives
se transforme en
formes subjectifs de
la conscience et
toute l’histoire se
réduit à une
illusion. Après
tout, le déroulement
du temps est une
réalité; Il y a une
succession dans
notre vie consciente
et dans la vie de la
nature autour de
nous. Ce qui s’est
passé hier n’est pas
les choses qui sont
passent aujourd'hui.
d.
Direction dans
laquelle la solution
doit être recherchée.
En relation avec le
problème à l’étude,
Dr Orr dit
correctement, « la
solution doit se
situer à obtenir une
bonne idée de la
relation de
l’éternité à
temps. » Il ajoute
que, comme il peut
le voir, on n'est
pas encore
satisfaisante
parvenu. Une grande
partie de la
difficulté
rencontrée ici est
sans doute dû au
fait que nous
pensons de
l’éternité trop
comme une
prorogation
indéfinie du temps,
comme, par exemple,
quand nous parlons
de l’âge de
l’inaction
comparative en Dieu
avant la création du
monde. L’éternité de
Dieu n’est pas
indéfiniment
prolongée fois, mais
quelque chose de
fondamentalement
différents, dont
nous ne pouvons
former aucune
conception. C’est
une existence hors
du temps, une
présence éternelle.
La marmotte des
Rocheuses passé et
un avenir plus
lointain sont tous
deux présents à lui.
Il agit dans toutes
ses œuvres, et donc
aussi dans la
création, comme
l’Éternel l’un et
nous n’avons aucun
le droit de dessiner
création
comme
un acte de Dieu
dans la sphère
temporelle. Dans un
certain sens, cela
peut être appelé une
loi éternelle, mais
seulement dans le
sens dans lequel
tous les actes de
Dieu sont éternels.
Ils sont tous
comme
cas de force majeure,
les travaux qui sont
effectués dans
l’éternité.
Cependant, il n’est
pas éternel dans le
même sens que la
génération du fils,
c’est un acte de
Dieu immanent dans
le sens absolu du
terme, alors que
résultats de
création dans une
existence temporelle
et termine donc dans
le temps.
Théologiens
généralement faire
la distinction entre
active et passive de
la création, la
création ancienne
attestation comme un
acte de Dieu et le
second, son
résultat, le monde
est en cours de
création. La
première n’est pas,
mais ce dernier est,
marqué par la
succession
temporelle, et cette
succession
temporelle
correspond à l’ordre
défini dans le
décret de Dieu.
Quant à l’objection
qu’une création dans
le temps implique un
changement de Dieu,
Wollebius remarques
que « création n’est
pas le créateur mais
le passage de la
créature de
potentialité
d’actualité. »
4. CRÉATION COMME UN
ACTE PAR LEQUEL
QUELQUE CHOSE EST
SORTI DE RIEN.
a. la
doctrine de la
création est
absolument unique.
Il y a eu beaucoup
de spéculations sur
l’origine du monde,
et plusieurs
théories ont été
proposées. Certains
déclarés au monde à
être éternelle,
tandis que d’autres
ont vu en elle le
produit d’un esprit
antagoniste
(gnostiques).
Certains maintient
qu’elle a été faite
dans la matière
préexistante dont
Dieu a travaillé
vers le haut en
forme (Platon);
d’autres détenus
qu’il provenait de
l’émanation de la
substance divine
(syrien gnostiques,
Swedenborg); et
encore d’autres
considéraient comme
l’apparence
phénoménale de
l’absolu, le motif
caché de toutes
choses (panthéisme).
En opposition à
toutes ces
spéculations vaines
des hommes la
doctrine de
l’écriture se
distingue dans la
sublimité grande:
« au commencement
Dieu a
créé les cieux
et la terre. »
b. les
termes mentionnés
dans les écritures
pour «créer. »
Dans le récit de la
création, comme l’a
indiqué dans ce qui
précède, trois
verbes sont
utilisés, à savoir,
bara«, »asahet
yatsaret
ils sont utilisés
indifféremment dans
les Ecritures,
01:26, 27; 2:7. le
premier mot est le
plus important. Son
sens originel est
de
diviser,
couper,
diviser;
mais en plus de
cela, cela signifie
aussi à
la mode,
de créeret
dans un plus dérivés
sens
pour produire,
à
généreret
à se
régénérer. Le
mot lui-même
n’implique pas
l’idée d’enfanter
quelque chose de
rien, car il sert
même de œuvres de la
providence, Ésaïe
45: 7; Jérémie
31:22; Amos 04:13.
Pourtant, il a un
caractère
distinctif: il est
toujours utilisé de
divin et jamais de
production humaine;
et il n’a jamais un
accusatif de
matériel et pour qui
la raison sert à
souligner la
grandeur de le œuvre
de Dieu. Le mot 'asah
est plus général,
sens de
faire ou
de faireet
est donc utilisé
dans le sens général
de faire,
faire,
fabricationou
structuration de.
mot
yatsar a, plus
spécifiquement, le
sens de la
structuration d’hors
pré-matériaux
existantset est
donc utilisé des
navires de façonnage
de potier d’argile.
Les mots du Nouveau
Testament sont
ktizein,
Marc 13:19,
poiein,
Matthieu 19:4;
themelioun, Héb.
01:10,
katartizein,
Rom. 09:22,
kataskeuazein,
Héb. 3:4 et
plassein,
Rom. 09:20. Aucun de
ces mots en
eux-mêmes expriment
l’idée de création à
partir de rien.
c.
signification de
l’expression «création
à partir de rien. »
L’expression « créer
ou produisez à
partir de rien » ne
se trouve pas dans
l’écriture. Il est
dérivé de l’un des
apocryphes, à
savoir, II. MACC.
07:28. L’expression
ex
nihilo a été
mal interprété tant
critiqué. Certains
même considéré le
mot
nihilum (rien)
que la désignation
d’un certain sujet,
dont le monde a été
créé, une question
sans qualités et
sans forme. Mais
c’est trop puérile
pour être digne d’un
examen sérieux.
D’autres ont pris
l’expression « pour
créer à partir de
rien » pour
signifier que le
monde a vu le jour
sans une cause et a
procédé à critiquer
comme entrer en
conflit avec ce qui
est généralement
considéré comme une
vérité axiomatique,
ex
nihilo nihil fit
(à partir de rien
vient rien). Mais
cette critique n’est
pas tout à fait
justifiée. Pour dire
que Dieu a créé le
monde du néant n’est
pas équivalent à
dire que le monde a
vu le jour sans une
cause. Dieu lui-même
ou, plus
précisément, la
volonté de Dieu est
la cause du monde.
Martensen s’exprime
en ces termes: « le
rien dont Dieu a
crée le monde sont
les possibilités
éternelles de sa
volonté, qui
constituent les
sources de toutes
les actualités du
monde ».
Si
l’expression latine
«ex
nihilo nihil fit»,
on entend qu’aucun
effet ne peut être
sans cause, sa
vérité peut être
admise, mais elle ne
peut pas être
considérée comme une
objection valable
contre la doctrine
de la création à
partir de rien. Mais
si il être
interprétées comme
exprimant l’idée que
rien ne peut
provenir, à
l’exception des
matières existantes,
il certainement ne
peut pas être
considérée comme une
lapalissade.
Ensuite, c’est
plutôt une hypothèse
purement arbitraire
qui, comme Shedd
souligne, n’est pas
encore titulaire
véritable des
pensées de l’homme
et des volitions,
qui sont
ex nihilo.
Mais
même si la phrase
exprime une vérité
d’expérience commune
que les œuvres
humaines sont
concernées, cela ne
veut pas-encore
prouver sa vérité en
ce qui concerne les
travaux de la
toute-puissance de
Dieu. Toutefois,
compte tenu du fait
que l’expression
« création à partir
de rien » est
passible
d’incompréhension et
a souvent été mal
comprise, il est
préférable de parler
de création sans
utiliser de matériel
préexistant.
d. base
biblique pour la
doctrine de la
création à partir de
rien. Genèse
1:1 enregistre le
début des travaux de
création, et
certainement ne
représente pas Dieu
comme le monde de
suite hors matériel
préexistant. C’était
la création du
néant, création au
sens strict du mot,
et par conséquent la
seule partie de le
œuvre enregistrée
dans Genèse 1,
auxquels
s’appliquent le
terme Calvin. Mais
même dans le reste
du chapitre Dieu est
représenté comme
appelant toutes
choses par la parole
de sa puissance, par
une simple fiat
divin. La même
vérité est enseignée
dans ces passages
comme PS. 33: 6, 9
et 148:5. Le passage
du plus fort est
Hébreux 11:3, « par
la foi, que nous
comprenons que les
mondes ont été
encadrées par la
parole de Dieu, afin
que ce que l'on voit
n’a pas été fait de
choses qui
apparaissent ».
Création est ici
représentée comme un
fait qui nous
appréhender
seulement par la
foi. Par la foi,
nous comprenons
(percevoir, ne
comprendre pas) que
le monde a été
encadré ou façonné
par la parole de
Dieu, c'est-à-dire
la parole de la
puissance de Dieu,
la fiat divine, afin
que les choses que
l'on voit, les
choses visibles de
ce monde, n’ont pas
été faites des
choses qui
apparaissent , qui
sont visibles, et
qui sont vus au
moins
occasionnellement.
Selon ce passage le
monde a été fait
certainement pas
hors de tout ce qui
est palpable pour
les sens. Un autre
passage qui peut
être cité à cet
égard est Romains
4:7, qui parle de
Dieu, « qui vivifie
les morts et appelle
ces choses qui ne
peut être qu’ils
étaient » (Moffatt:
« qui fait les morts
vivants et appels en
cours ce qui
n’existe pas »).
L’Apôtre, il est
vrai, ne parle pas
de la création du
monde à cet égard,
mais de l’espérance
d’Abraham qu’il
aurait un fils.
Toutefois, la
description donnée
ici de Dieu est
générale et est donc
également d’une
application
générale. Il
appartient à la
nature même de Dieu
qu’il est en mesure
d’appeler ce qui
n’existe pas, et il
remet donc en être.
5. LA CRÉATION DONNE AU
MONDE UNE EXISTENCE
DISTINCTE, MAIS
TOUJOURS DÉPENDANTE.
a. le
monde a une
existence distincte.
Cela signifie que le
monde n’est pas
Dieu, ni n’importe
quelle partie de
Dieu, mais quelque
chose d’absolument
distincte de Dieu;
et qu’il diffère de
Dieu, ne consiste
pas seulement en
degré, mais de ses
propriétés
essentielles. La
doctrine de la
création implique
que, même si Dieu
est lui-même et
autosuffisant,
infini et éternel,
le monde est
dépendant, finis et
temporelle. L’un ne
peut jamais changer
dans l’autre. Cette
doctrine est une
barrière absolue
contre l’idée
ancienne
d’émanation, ainsi
que contre toutes
les théories
panthéistes.
L’univers n’est pas
la forme-existence
de Dieu ni
l’apparence
phénoménale de
l’absolu; et Dieu
n’est pas simplement
la vie, ou âme ou la
loi interne du
monde, mais il jouit
de sa propre vie
éternellement
complète au-dessus
du monde, dans une
indépendance absolue
de celui-ci. Il est
le Dieu
transcendant,
glorieux dans la
sainteté, craintive
en louanges, fait
des merveilles.
Cette doctrine est
pris en charge par
les passages de
l’écriture dont (1)
témoignent de
l’existence
distincte du monde,
Ésaïe 42:5; Actes
17:24; (2) parlent
de l’immutabilité de
Dieu, PS. 102:27;
Malachie 3:6;
Jacques 01:17; (3)
établir une
comparaison entre
Dieu et la créature,
le Psaume 90: 2;
102:25-27;
103:15-17; Ésaïe
02:21; 22:17, etc..;
et (4) parle du
monde comme se
trouvant dans le
péché ou pécheur,
Rom. 01:18-32; I
Jean 02:15-17, etc..
b. le
monde est toujours
tributaire de Dieu.
Alors que Dieu a
donné au monde une
existence distincte
de la sienne propre,
n’a pas retiré du
monde après sa
création, il est
resté dans le lien
plus intime avec
elle. L’univers
n’est pas comme une
horloge qui a été
liquidée par Dieu et
est maintenant
autorisée à
ruisseler sans
aucune intervention
divine plus loin.
Cette conception
déiste de la
création n’est ni
biblique, ni
scientifique. Dieu
n’est pas seulement
le Dieu
transcendant,
infiniment exalté
au-dessus de toutes
ses créatures; Il
est aussi le Dieu
immanent, qui est
présent dans toutes
les parties de sa
création, et dont
l’esprit est
opérationnel dans le
monde entier. Il est
essentiellementet
non pas simplement
par
potentiam,
présent dans toutes
ses créatures, mais
il n’est pas présent
dans chacun d'entre
eux de la même
manière. Son
immanence ne doit
pas être interprété
comme une extension
illimitée dans
l’ensemble de tous
les espaces de
l’univers, ni comme
une présence
partitive, pour
qu’il soit en partie
et en partie de là.
Dieu est esprit, et
juste parce qu’il
est esprit, il est
partout présente
dans
son ensemble.
Il est censé remplir
ciel et terre, PS.
139:7-10; Jérémie
23:24, pour
constituer le
domaine dans lequel
nous vivons et
déplacer et l’être,
actes 17:28, en vue
de renouveler la
surface de la terre
par son esprit, PS.
104:30, pour
demeurer en ceux qui
sont d’un cœur
brisé, PS. 51:11;
Ésaïe 57.15 et dans
l’église comme son
temple, I Cor.
03:16; 06:19; EP
02:22. Transcendance
et l’immanence
trouvent son
expression dans un
seul passage de
l’écriture, à
savoir, Éphésiens
4:6, où l’Apôtre dit
que nous avons « un
seul Dieu et père de
tous, qui est
au-dessus de toutet
à
travers touset
en tout. »
La théorie de
l’immanence divine a
été étendue à la
point du panthéisme
dans une grande
partie de la
théologie moderne.
Le monde et surtout
l’homme, était
considéré comme la
manifestation
phénoménale de Dieu.
À l’heure actuelle,
il y a une forte
réaction à ce poste
dans le soi-disant
« théologie de
crise ». On pense
parfois que cette
théologie, qui met
l’accent sur la
« infinie différence
qualitative » entre
le temps et
l’éternité, Dieu
comme le
« totalement autre »
et le Dieu caché et
sur la distance
entre Dieu et
l’homme, exclut
naturellement
l’immanence de Dieu.
Brunner nous donne
l’assurance,
cependant, que ce
n’est pas ainsi. Il
a dit, « beaucoup de
bêtises a parlé la
« théologie
barthienne » avoir
perception
uniquement pour la
transcendance de
Dieu, et non pour
son immanence. Comme
si nous aussi ne
étions pas
conscients du fait
que Dieu le créateur
soutient toutes
choses par son
pouvoir, qu’il a mis
le cachet de sa
divinité sur le
monde et a créé
l’homme à son
image. »
Et Barth
dit, « étaient morts
Dieu lui-même s’il
bougeait son monde
qu’à partir de
l’extérieur, s’il
était une « chose en
soi » et pas celui
de tous, le créateur
de toutes choses
visibles et
invisibles, le
commencement et la
fin. »
Ces
hommes s’opposent à
la conception
moderne panthéiste
de l’immanence
divine et aussi
l’idée que, en vertu
de cette immanence,
le monde est une
révélation lumineuse
de Dieu.
6.
la fin définitive de
Dieu dans la
création.
La question de la
fin définitive de
Dieu dans le travail
de création a
souvent été
débattue. Au cours
de l’histoire, la
question a reçu
notamment une
réponse binaire.
a. le
bonheur de l’homme
ou de l’humanité.
Quelques-uns des
philosophes
antérieurs, tels que
Platon, Philon et
Seneca, a affirmé
que la bonté de Dieu
l’a incité à créer
le monde. Il voulait
communiquer lui-même
à ses créatures;
leur bonheur était
la fin, qu'il avait
en vue. Bien que
certains théologiens
chrétiens sonné avec
cette idée, il se
développa en
particulier par le
biais de l’humanisme
de la période de la
réformation et le
rationalisme du
XVIIIème siècle.
Cette théorie a été
souvent présentée de
manière très
superficielle. La
meilleure forme dans
lequel il est dit
est à l’effet que
Dieu ne pouvait pas
se faire la fin de
la création, parce
qu’il se suffit à
lui-même et que vous
pourriez avoir
besoin de rien. Et
si il ne pouvait
formuler lui-même la
fin, puis cela se
trouvent seulement
dans la créature,
surtout dans l’homme
et en fin de compte
dans son bonheur
suprême. La vue
téléologique par
laquelle le
bien-être ou le
bonheur de l’homme
ou de l’humanité est
a la fin de la
création, était
caractéristique de
la pensée de ces
hommes influents
comme Kant,
Schleiermacher et
Ritschl, bien qu’ils
n’a pas toutes
présenté de la même
manière. Mais cette
théorie ne satisfait
pas pour plusieurs
raisons: (1) bien
que Dieu révèle sans
aucun doute sa bonté
en création, il
n’est pas correct de
dire que sa bonté ou
l’amour ne pouvait
pas s’exprimer, s’il
n’y a pas de monde.
Les relations
personnelles au sein
du Dieu triune
fourni tout ce qui
était nécessaire
pour une vie pleine
et éternelle de
l’amour. (2) il
semblerait
parfaitement évident
que Dieu n’existe
pas pour le bien de
l’homme, mais
l’homme pour l’amour
de Dieu. Dieu seul
est créateur et
suprême bon, tandis
que l’homme n’est
qu’une créature,
qui, pour cette
raison, ne peut pas
être la fin de la
création. Le
temporel trouve sa
fin dans l’Éternel,
l’homme à la volonté
divine et pas
vice
versa. (3) la
théorie ne tient pas
les faits. Il est
impossible de
subordonner tout ce
qui se trouve dans
la création à cette
fin et d’expliquer
tout en ce qui
concerne le bonheur
humain. C’est
parfaitement évident
de l’examen de
toutes les
souffrances que l'on
retrouve dans le
monde.
b. la
gloire déclarative
de Dieu.
L’église de Jésus
Christ a trouvé la
véritable fin de la
création, pas dans
quoi que ce soit en
dehors de Dieu, mais
Dieu lui-même, plus
particulièrement
dans la
manifestation
extérieure de son
excellence
inhérente. Cela ne
signifie pas que la
gloire de recevoir
de Dieu des autres
est la fin. La
réception de la
gloire à travers les
louanges de ses
créatures morales,
est un terme inclus
dans la fin suprême,
mais n’est pas
lui-même qui se
terminent. Dieu n’a
pas créé d’abord de
recevoir la gloire,
mais de rendre sa
gloire existant et
manifeste. Les
glorieuses
perfections de Dieu
sont manifestent
dans sa création
tout entière; et
cette manifestation
n’est pas prévue
comme un spectacle
vide, une simple
exposition d’être
admiré par les
créatures, mais vise
également à
promouvoir leur
bien-être et le
bonheur parfait. En
outre, il cherche à
s’harmoniser leur
cœur à la gloire du
créateur et afin
d’obtenir de leur
âme, l’expression de
leur gratitude et
amour et
d’adoration. La fin
suprême de Dieu dans
la création, la
manifestation de sa
gloire, comprend
donc, comme
subordonnés se
termine, le bonheur
et le salut de ses
créatures et la
réception de la
louange des coeurs
reconnaissants et
adorant. Cette
doctrine est pris en
charge par les
considérations
suivantes: (1) il
est basé sur le
témoignage des
écritures, Ésaïe
43:7; 60:21; 61:3;
Ézéchiel 36:21, 22;
39:7; Luc 02:14;
ROM. 09:17; 11:36; I
Corinthiens 15:28;
Éphésiens 1:5, 6, 9,
12, 14; 3:9, 10;
01:16. (2) le Dieu
infini choisirais
presque tout, mais
le haut de gamme
dans la création, et
cette fin pourrait
seulement se trouve
en lui-même. Si des
nations entières,
contre lui, mais
comme une goutte
dans un seau et
comme la petite
poussière de
l’équilibre, alors,
sûrement, sa gloire
déclarative est
intrinsèquement de
valeur beaucoup plus
grande que le bien
de ses créatures,
Ésaïe 40:15, 16. (3)
la gloire de Dieu
est la seule fin qui
est conforme à son
indépendance et sa
souveraineté. Tout
le monde est
tributaire de
quiconque, ou que ce
soit, il fait sa fin
ultime. Si Dieu
choisit quoi que ce
soit dans la
créature comme sa
fin définitive, cela
ferait de lui
dépendent de la
créature à cet
égard. (4) aucune
autre extrémité ne
serait suffisamment
étendue pour être la
vraie fin de Dieu
toutes les façons et
travaille à la
création. Il a
l’avantage de
comprenant, de
subordination,
plusieurs autres
extrémités. (5)
c’est la seule fin
qui est réellement
et parfaitement
atteint dans
l’univers. Nous ne
pouvons pas imaginer
qu’un Dieu sage et
omnipotent
choisirait fin
destinée à échouer
en tout ou en
partie, de l’emploi
23:13. Pourtant, bon
nombre de ses
créatures jamais
atteint au bonheur
parfait.
c. des
Objections à la
théorie que la
gloire de Dieu est
la fin de la
création. Ce
qui suit est les
plus importants
d'entre eux: (1),
il rend
le schéma de
l’univers un régime
égoïste. Mais
nous devons
distinguer entre
égoïsme et
amour-propre
raisonnable ou
amour-propre. Le
premier est un soin
excessif ou exclusif
pour son propre
confort ou pour le
plaisir, quel que
soit le bonheur ou
les droits d’autrui;
ce dernier est une
diligence pour son
bonheur et le
bien-être, qui est
parfaitement
compatible avec la
justice, de
générosité et de
bienveillance envers
les autres. En
cherchant
l’expression de soi
pour la gloire de
son nom, Dieu n’a
pas méconnu le
bien-être, le plus
grand bien des
autres, mais il fait
la promotion. En
outre, cette
objection attire le
Dieu infini jusqu’au
niveau des finis et
même pécheresse de
l’homme et lui les
juges par les normes
de l’homme, qui
n’est pas tout à
fait justifiée. Dieu
n’a pas d’égal, et
personne ne peut
affirmer tout droit
comme vis-à-vis de
lui. En formulant sa
gloire déclarative
la fin de la
création, il a
choisi le haut de
gamme; mais quand
l’homme met à la fin
de toutes ses
œuvres, il n’est pas
choisir le haut de
gamme. Il
s’élèverait à un
niveau supérieur,
s’il a choisi le
bien-être de
l’humanité et la
gloire de Dieu comme
la fin de sa vie.
Enfin, cette
objection faite
surtout compte tenu
du fait que le monde
est plein de
souffrances, et que
certaines des
créatures
rationnelles de Dieu
sont vouées à la
destruction
éternelle. Mais ce
n’est pas due à le
œuvre créatrice de
Dieu, mais vers le
péché de l’homme,
qui a contrecarré le
œuvre de Dieu dans
la création. Le fait
que l’homme subit
les conséquences du
péché et
l’insurrection ne
garantit pas
n’importe qui en
accuser Dieu
d’égoïsme. On
pourrait ainsi
accusent le
gouvernement
d’égoïsme pour
défendre sa dignité
et la majesté de la
loi contre tous les
transgresseurs
délibérées.
Auto-suffisance
et à l’indépendance.
(2) il
est contraire à
Dieu En cherchant
son honneur de cette
manière, Dieu montre
qu’il a besoin de la
créature. Le monde
est créé à glorifier
Dieu, c'est-à-dire,
d’ajouter à sa
gloire. Evidemment,
ensuite, sa
perfection est
désireux à certains
égards; le travail
de création répond à
un besoin et
contribue à la
perfection divine.
Mais cette
représentation n’est
pas correcte. Le
fait que Dieu a créé
le monde pour sa
propre gloire ne
signifie pas qu’il
avait besoin du
monde. Elle ne
détient pas
universellement chez
les hommes, que le
travail qu’ils
n’effectuent pas
pour d’autres, est
nécessaire de
fournir un manque.
Cela peut tenir dans
le cas de l’ouvrier
commun, qui
travaille pour son
pain quotidien, mais
n’est guère le cas
de l’artiste, qui
fait suite à
l’impulsion
spontanée de son
génie. De la même
manière, il y a un
bon plaisir de Dieu,
exalté au-dessus de
besoin et de la
contrainte, qui
artistiquement
incarne ses pensées
en création et
trouve plaisir en
eux. En outre, il
n’est pas vrai que,
quand Dieu a fait sa
gloire déclarative
la fin définitive de
la création, il vise
principalement à
recevoir quelque
chose. La fin
suprême qu’il avait
en vue, n’était ne
pas à recevoir la
gloire, mais de
manifester sa gloire
inhérente dans les
œuvres de ses mains.
Il est vrai que, ce
faisant, il
causerait également
les cieux déclarer
sa gloire et le
firmament pour
montrer son œuvre,
les oiseaux du ciel
et les bêtes des
champs pour un
agrandissement de
lui et les enfants
des hommes pour
chanter ses
louanges. Mais, en
glorifiant le
créateur les
créatures n’ajoutent
rien à la perfection
de son être, mais
seulement
reconnaissent sa
grandeur et rendez
lui la gloire qui
est due à lui.
D. divergentes
théories concernant
l’origine du monde.
La doctrine biblique
n’est pas la seule
vue concernant
l’origine du monde.
Trois théories
alternatives, qui
ont été suggérées,
méritent une
attention brève à ce
stade.
1.
la théorie DUALISTE.
Le dualisme n’est
pas toujours
présenté sous la
même forme, mais
dans sa forme la
plus habituelle pose
deux principes de
lui-même, Dieu et la
matière, qui se
distinguent et
co-éternel avec
l’autre. Cependant,
la matière
originelle, est
considéré comme mais
une substance
négative et
l’imparfait (parfois
considérée comme le
mal), qui est
subordonné à Dieu et
est pour faire
l’instrument de son
testament (Platon,
Aristote, les
gnostiques, les
manichéens). Selon
cette théorie Dieu
n’est pas le
créateur, mais
seulement
l’encadreur et
artificier du monde.
Cette opinion est
inadmissible pour
plusieurs raisons.
(a) il ne va pas
dans son idée
fondamentale qu’il
doit y avoir eu
quelque substance,
dont le monde a été
créé dès
ex
nihilo nihil fit.
Cette maxime est
vraie seulement
comme une expression
de l’idée qu’aucun
événement ne se
déroule sans cause,
et est false si il
veut affirmer que
rien ne peut jamais
se faire qu’à partir
de matériaux
préexistant. La
doctrine de la
création ne dispense
pas une cause, mais
considère que la
cause tout-suffisant
du monde dans la
souveraine volonté
de Dieu. (b) sa
représentation sous
forme de matière
comme Eternelle est
fondamentalement
boiteuse. Si la
matière est
éternelle, il doit
être infinie car il
ne peut pas être
infinie en sens
unique (durée) et
finis à d’autres
égards. Mais il est
impossible que deux
infinités ou absolus
devraient exister
côte à côte.
L’absolu et le
relatif peuvent
exister
simultanément, mais
il peut y avoir
qu’un seul absolu et
lui-même étant. (c)
il est
unphilosophical pour
postuler a deux
substances
éternelles,
lorsqu’une cause de
lui-même est
parfaitement
adéquate tenir
compte de tous les
faits. Pour cette
raison que la
philosophie n’est
pas reste convaincu
avec une explication
dualiste du monde,
mais cherche à
donner une
interprétation
moniste de
l’univers. d si la
théorie suppose —
comme il le fait
dans certaines de
ses formes —
l’existence d’un
principe éternel du
mal, là y a
absolument aucune
garantie que le bien
triomphera sur le
mal dans le monde.
Il semblerait que ce
qui est
éternellement
nécessaire est tenu
de maintenir
lui-même et ne peut
jamais descendre.
2.
la théorie de
l’émanation sous
diverses formes.
Cette théorie est à
l’effet que le monde
est une émanation
nécessaire hors de
l’etre divin. Selon
lui Dieu et le monde
sont essentiellement
un, cette dernière
étant la
manifestation
phénoménale de
l’ancien. L’idée
d’émanation est
caractéristique de
toutes les théories
panthéistes, bien
qu’il n’est pas
toujours représenté
de la même manière.
Ici, encore une
fois, nous pouvons
enregistrer
plusieurs
objections. a ce
point de vue de
l’origine du monde
nie pratiquement
l’infini et la
transcendance de
Dieu en lui
appliquant un
principe
d’évolution, de
croissance et de
progrès qui
caractérisent
seulement le fini et
imparfait; et en
identifiant les lui
et dans le monde.
Les objets visibles
devenus ainsi mais
modifications
fugaces d’une
essence
auto-existant,
inconsciente et
impersonnelle, qui
peut être appelé
Dieu, Nature ou
l’absolu. (b) il
vole Dieu de sa
souveraineté en
dépouillant lui de
son pouvoir
d’autodétermination
par rapport au
monde. Il est réduit
au sol caché d'où
les créatures
nécessairement
émanent, et qui
détermine leur
mouvement par une
nécessité inflexible
de la nature. Dans
le même temps, elle
prive toutes les
créatures
rationnelles de leur
indépendance
relative et de leur
liberté, leur
moralité. (c) il
compromet aussi la
sainteté de Dieu
d’une manière très
sérieuse. Il rend
Dieu responsable de
tout ce qui se passe
dans le monde, pour
le mal, aussi bien
en ce qui concerne
le bien. C’est, bien
sûr, une conséquence
très grave de la
théorie, d'où
panthéistes n’ont
jamais été en mesure
de s’échapper.
3.
la théorie de
l’évolution.
La théorie de
l’évolution est
parfois parlée comme
si elle pouvait être
un substitut à la
doctrine de la
création. Mais c’est
clairement une
erreur. Il peut
certainement pas
être un substitut
pour la création
dans le sens de
l’origine absolue,
puisqu’elle suppose
quelque chose qui
évolue, et ceci doit
en dernier ressort
être éternelle ou
créées, afin que,
après tout,
l’évolutionniste
doit choisir entre
la théorie de la
éternité de la
matière et la
doctrine de la
création. Au mieux,
il pourrait
éventuellement
servir comme un
substitut à ce qu’on
appelle création
secondaire, par
lequel la substance
déjà en existence
est donnée une forme
définie. certains
évolutionnistes,
comme, par exemple,
Haeckel, croient en
l’éternité de la
matière et attribue
l’origine de la vie
à la génération
spontanée. Mais la
croyance en
l’éternité de la
matière est non
seulement décidément
non-chrétiens et
même athées; Il est
aussi généralement
discrédité. L’idée
qui comptent, avec
force comme sa
propriété
universelle et
inséparable, est
tout à fait
suffisante pour
l’explication du
monde, conclut la
petite faveur
aujourd'hui dans les
milieux
scientifiques. Il
est estimé qu’un
univers matériel,
composé de pièces
finies (atomes,
électrons et ainsi
de suite) ne peut
elle-même être
infini; et que ce
qui est sujette à
changement constant
ne peut pas être
éternel. En outre,
il est devenu plus
en plus évident que
matière aveugle et
de force ou
d’énergie ne peut
expliquer la vie et
la personnalité,
d’intelligence et le
libre arbitre. Et
l’idée de génération
spontanée est une
pure hypothèse, non
seulement non
vérifiées, mais
pratiquement a
explosé. La loi
générale de la
nature semble être «omne
vivum e vivo»
ou «ex
vivo». (b)
autres
évolutionnistes
préconisent ce
qu’ils appellent
l’évolution théiste.
Ceci postule
l’existence de Dieu,
l’arrière de
l’univers, qui
travaille dans ce
document, en règle
selon les lois
immuables de la
nature et par les
forces physiques
seulement, mais dans
certains cas par une
intervention
miraculeuse directe,
comme, par exemple,
dans le cas du
commencement absolu
, le début de la vie
et le début de
l’existence
rationnel et moral.
Cela a souvent été
appelé par dérision
une théorie
« bouche-trou ».
C’est vraiment un
enfant d’embarras,
qui appelle Dieu à
intervalles
réguliers pour aider
la nature sur les
abîmes que
bâillement à ses
pieds. Il n’est ni
la doctrine biblique
de la création, ni
une théorie
cohérente de
l’évolution, de
l’évolution est
définie comme « une
série de progressive
graduelle
modifications
effectuées au moyen
de forces résidents»
(Le Conte). En fait,
l’évolution théiste
est une
contradiction dans
les termes. Il est
tout aussi
destructrice de la
foi dans la doctrine
biblique de la
création comme
évolution
naturaliste; et en
appelant à maintes
reprises dans
l’activité créatrice
de Dieu, il annule
également
l’hypothèse
évolutionniste.
Outre ces deux
points de vue, nous
pouvons aussi
mentionner évolution
créatrice de Bergson
et évolution
émergente de C.
Lloyd Morgan. Le
premier est un
panthéiste
vitaliste, dont la
théorie implique la
négation de la
personnalité de
Dieu; et en fin de
compte ce dernier
parvient à la
conclusion qu’il ne
peut pas expliquer
son soi-disant
emergents sans poser
quelque facteur
ultime qui pourrait
être appelé
« Dieu ».
IV. création du monde spirituel
A. la Doctrine des
anges dans
l’histoire.
Il y a des preuves
claires de la
croyance en
l’existence des
anges dès le début
de l’ère chrétienne.
Certains d'entre eux
étaient considérés
comme bonne et
d’autres comme mal.
Les premiers ont été
tenues en haute
estime en tant
qu’êtres personnels
d’un noble ordre,
doté de la liberté
morale, affecté au
service joyeux de
Dieu et employé par
Dieu au ministre
pour le bien-être
des hommes. Selon
certains des
premiers pères de
l’église, ils ont eu
beau corps éthérés.
La conviction
générale était que
tous les anges ont
été créés bons, mais
que certains abusé
de leur liberté et
s’éloigne de Dieu.
Satan, qui était à
l’origine un ange de
rang éminent, était
considéré comme leur
chef. La cause de sa
chute se trouvait
dans la fierté et
l’ambition
pécheresse, tandis
que la chute de ses
subordonnés a été
attribuée à leur
convoitant les
filles des hommes.
Cette opinion était
fondée sur ce qui
était alors
l’interprétation
commune de Genèse
6:2. Aux côtés de
l’idée générale que
les bons anges
exerça son ministère
à des besoins et du
bien-être des
croyants, la notion
spécifique d’anges
gardien pour les
églises
individuelles et les
hommes individuels a
été vénérée par
certains. Calamités
de toutes sortes,
tels que les
maladies, les
accidents et les
pertes, ont été
fréquemment
attribuées à
l’influence néfaste
des mauvais esprits.
L’idée d’une
hiérarchie des anges
a déjà fait son
apparition (Clément
d’Alexandrie), mais
il a été jugé non
approprié à
l’adoration des
anges.
Comme le temps
passait les anges
ont continué à être
considérés comme des
esprits bienheureux,
supérieurs aux
hommes en
connaissance et sans
l’engagement des
corps matériels
bruts. Alors que
certains encore
attribuée aux fines
corps éthérés, il y
avait une
incertitude
croissante quant à
si elles ont des
organes à tous. Eux
qui s’accrochait
encore à l’idée
qu’ils étaient
corporels a fait ça,
ce qu’il paraît,
dans l’intérêt de la
vérité qu’ils ont
fait l’objet de
limitations
spatiales. Denys
l’Aréopagite divisé
les anges en trois
classes: la première
classe composée de
trônes, les
chérubins et les
séraphins; le
second, de Mights,
Dominions et
pouvoirs; et la
troisième, de
principautés,
archanges et anges.
La première classe
est représentée
comme jouissant de
la plus proche
communion avec Dieu;
la seconde, comme
étant éclairé par le
premier; et le
troisième, comme
étant éclairé par le
second. Cette
classification a été
adoptée par
plusieurs auteurs
postérieurs.
Augustine a insisté
sur le fait que les
bons anges ont été
récompensés pour
leur obéissance par
le don de la
persévérance, qui
comportait
l’assurance qu’ils
ne tomberait jamais.
Pride était encore
considéré comme la
cause de la chute de
Satan, mais l’idée
que le reste des
anges est tombé à la
suite de leur
convoitant les
filles des hommes,
bien que toujours
soutenu par
certains, a été peu
à peu disparaître
sous l’influence
d’une exégèse mieux
de Genèse 6:2. Une
influence
bienfaisante a été
attribuée aux anges
non déchus, tandis
que les anges déchus
ont été considérées
comme corrompre le
cœur des hommes,
comme stimulant pour
hérésie. et comme
engendrant des
maladies et des
catastrophes. Les
tendances
polythéistes d’un
grand nombre des
convertis au
christianisme
favorisé une
inclination à
l’adoration des
anges. Ce culte a
été formellement
condamné par un
Conseil réuni à
Laodicée au IVe
siècle.
Durant le moyen-âge
il y avait encore
quelques qui avaient
tendance à supposer
que les anges ont un
corps éthéré, mais
l’opinion dominante
était qu’ils étaient
incorporels. Les
apparitions
angéliques ont été
expliquées par
supposer que dans de
tels cas Anges
adopté des formes
corporelles
temporelles fins
révélatrice.
Plusieurs points ont
été en débat parmi
les scolastiques.
Quant au moment de
la création des
anges, l’opinion
dominante est qu’ils
ont été créés en
même temps que
l’univers matériel.
Alors que certains
détenus que les
anges ont été créés
dans l’état de
grâce, la plus
commune opinion
était qu’elles ont
été créées dans un
état de perfection
naturelle seulement.
Il y avait peu de
différence d’opinion
sur la question, si
les anges peuvent
affirmer être à un
endroit. La réponse
commune à cette
question a été
positive, même si on
a fait observer que
leur présence dans
l’espace n’est pas
circumscriptive mais
définitif, étant
donné que seules les
instances peuvent
être dans l’espace
circumscriptively.
Alors que tous les
scolastiques ont
convenu que la
connaissance des
anges est limitée,
les thomistes et
Scotists différaient
considérablement
respectant la nature
de ces
connaissances. Il a
été admis par tout
ce que les anges ont
reçu infusée
connaissance au
moment de leur
création, mais
Thomas Aquinas a
refusé, alors que
Duns Scot a affirmé,
qu’ils pourraient
acquérir de
nouvelles
connaissances par le
biais de leur propre
activité
intellectuelle. Le
premier lieu que la
connaissance des
anges est purement
intuitive, mais ce
dernier a affirmé
qu’il pourrait
également être
discursif. L’idée
des anges gardiens
trouvé faveur
considérable durant
le moyen-âge.
La période de la
réforme a apporté
rien de nouveau
concernant la
doctrine des anges.
Luther et Calvin
avaient une
conception vive de
leur ministère et en
particulier de la
présence et la
puissance de Satan.
Ce dernier insiste
sur le fait qu’il
est sous contrôle
divin, et que, bien
qu’il soit parfois
l’instrument de
Dieu, il ne peut
fonctionner que dans
les limites
prescrites.
Théologiens
protestants
généralement
considéré les anges
comme des êtres
spirituels purs, si
Zanchius et Grotius
toujours parlent
d’eux comme ayant le
corps éthérés. Quant
aux travaux des bons
anges, l’opinion
générale était que
c’est leur tâche
spéciale à la
ministre aux
héritiers du Salut.
Il n’y avait aucun
accord général,
cependant,
concernant
l’existence des
anges gardiens.
Certains ont
favorisé ce point de
vue, d’autres s’y
opposent, et encore
d’autres ont refusé
de s’engager sur ce
point. Notre
Confessio Belgica
dit dans l’Article
XII, qui traite de
la création: « il a
également créé les
anges bon, d’être
ses messagers et de
servir ses élus:
certains d'entre eux
sont tombés de cette
excellence, dans
lequel Dieu créa, en
perdition éternelle;
et les autres ont,
par la grâce de
Dieu, est resté
inébranlable et
continue dans leur
état primitif. Les
démons et mauvais
esprits sont
dépravés alors
qu’ils sont ennemis
de Dieu et toute
bonne chose au
maximum de leur
puissance, comme des
meurtriers, je
regarde à la ruine
de l’église et tous
ses membres et par
leurs stratagèmes
méchants de détruire
tout; et sont donc,
par leur propre
méchanceté, jugée à
la damnation
éternelle, attend
tous les jours leurs
tourments
horribles. »
Jusqu'à présent que
catholiques romains
généralement
considéré les anges
comme de purs
esprits, tandis que
certains
Protestants, comme
Emmons, Ebrard,
Kurtz, Delitzsch et
d’autres, toujours
attribuer leur une
sorte particulière
d’organes. Mais même
la grande majorité
de ces derniers
prendre le
contre-pied.
Swedenborg soutient
que tous les anges
étaient à l’origine
des hommes et qu’il
existent dans une
forme corporelle.
Leur position dans
l’univers Angélique
dépend de leur vie
dans ce monde.
XVIIIe siècle
rationalisme
hardiment a nié
l’existence des
anges et expliqué ce
que la Bible
enseigne sur eux
comme une espèce de
l’habitation.
Certains théologiens
libéraux modernes
considèrent qu’il
est utile de
conserver l’idée
fondamentale
exprimée dans la
doctrine des anges.
Ils trouvent une
représentation
symbolique des soins
protecteurs et la
volonté de Dieu.
B. l’Existence des
anges.
Toutes les religions
reconnaissent
l’existence d’un
monde spirituel.
Leurs mythologies
parlent de dieux,
demi-dieux, esprits,
démons, genii,
heroes et ainsi de
suite. C’est surtout
chez les Perses que
la doctrine des
anges a été
développée, et
beaucoup d’érudits
critiques affirme
que les Juifs dérivé
leur angélologie les
Perses. Mais c’est
un non prouvées et,
pour dire la moins,
de la théorie très
douteuse. Il ne peut
certainement être
harmonisé avec la
parole de Dieu, dans
lequel les anges
apparaissent dès le
début. En outre,
certains grands
érudits, qui a fait
une étude spéciale
du sujet, est venu à
la conclusion que
l’angélologie persan
a été tirée de ce
courant chez les
Hébreux. The
Christian Church a
toujours cru en
l’existence des
anges, mais dans la
théologie libérale
moderne cette
croyance a été
abandonnée, mais il
considère toujours
l’ange-idée utile,
puisqu’il imprime
sur nous » la
puissance de la vie
de Dieu dans
l’histoire de la
rédemption, son
providentia
specialissima
pour son peuple,
surtout pour les
« petits ». »
Bien
que des hommes tels
que Leibniz et
Wolff, Kant et
Schleiermacher,
admis la possibilité
de l’existence d’un
univers Angélique,
et certains d'entre
eux a même essayé de
prouver en
argumentation
rationnelle, il est
évident que la
philosophie ne peut
ni prouver ni
réfuter la existence
des anges. De la
philosophie, c’est
pourquoi, nous
passons à
l’écriture, qui ne
fait aucune
tentative délibérée
de prouver
l’existence des
anges, mais assume
cela tout au long et
dans ses livres
historiques nous
montre à plusieurs
reprises les anges
en action. Pas celui
qui s’incline devant
l’autorité de la
parole de Dieu peut
douter de
l’existence des
anges.
C. la Nature des
anges.
Cette rubrique
de plusieurs points
nécessitent une
attention.
1.
DISTINCTION de Dieu
il est créé des
êtres. La
création des anges a
parfois été refusée,
mais il est
clairement enseignée
dans l’écriture. Il
n’est pas certain
que les passages qui
parlent de la
création de l’armée
céleste (Genèse 2:1;
PS. 33: 6; Néhémie
9:6) fait référence
à la création des
anges, plutôt que la
création de l’hôte
étoilée; mais PS.
148:2, 5 et 01:16
clairement parler de
la création des
anges, (comp. Iier
Rois 22:19; PS.
103:20, 21). Au
moment de leur
création ne peut pas
être fixé
définitivement.
L’avis de certains,
basé sur Job 38: 7,
qu’elles ont été
créées avant toutes
choses, vraiment ne
trouve aucun appui
dans les Ecritures.
Car autant que nous
sachions, aucun
travail de création
ont précédé la
création du ciel et
la terre. Le passage
dans le livre de Job
(38: 7) enseigne, en
effet, dans une
veine poétique
qu’ils étaient
présents lors de la
création du monde,
tout comme les
étoiles étaient,
mais pas qu’ils
existe avant la
création primaire du
ciel et la terre.
L’idée que la
création des cieux a
été terminée le
premier jour, et que
la création des
anges était
simplement une
partie de travail la
journée de, est
également une
hypothèse non
prouvée, bien que le
fait que
l’instruction dans
Genèse 1:2
s’applique à la
terre semble
seulement il
favorise.
Éventuellement la
création des cieux
n’était pas terminée
en un seul instant
pas plus que celui
de la terre.
L’instruction
uniquement
sécuritaire, il
semble qu’ils ont
été créés avant le
septième jour. Cela
découle au moins de
ces passages comme
Genèse 2:1; Exode
20:11; Job 38: 7;
Néhémie 9:6.
2.
ce sont des êtres
spirituels et
incorporels.
Cela a toujours été
contestée. Les Juifs
et beaucoup d'entre
les premiers pères
de l’église qui leur
est attribuée
organes aérées ou
fougueux; mais
l’église du
moyen-âge est venu à
la conclusion qu’ils
sont des êtres
spirituels purs.
Pourtant, même après
que certains
théologiens
catholiques,
arminiens, voire
luthériennes et
réformées qui leur
est attribuée une
certaine corporéité,
plus subtile et plus
pure. Ils ont
considéré l’idée
d’une nature
purement spirituelle
et incorporelle
comme
métaphysiquement
inconcevable et
aussi comme
incompatible avec la
conception d’une
créature. Ils ont
également lancé un
appel sur le fait
que les anges sont
soumises à des
limitations
spatiales, de se
déplacer d’un
endroit à placer et
ont été parfois vus
par les hommes. Mais
tous ces arguments
sont plus que
contrebalancés par
les déclarations
explicites de
l’écriture à l’effet
que les anges sont
pneumata,
Matthieu 08:16;
12:45; Luke 07:21;
8:2; 11:26; Actes
19:12; EP 06:12;
Héb. 01:14. Ils
n’ont aucune chair
et en os, Luc 24:39,
ne se marient pas,
Matthieu 22:30,
peuvent être
présents en grand
nombre dans un
espace très limité,
Luke 08:30 et ils
sont invisibles,
01:16. Ces passages
dans le Psaume 104:
4 (COMP. Héb. 1:7);
Matthieu 22:30; et
j’ai Cor. 11:10 ne
prouvent pas la
corporéité des
anges. Ni cela est
prouvé par les
descriptions
symboliques des
anges dans la
prophétie d’Ézéchiel
et dans le livre de
l’Apocalypse, ni par
leur apparition dans
les formes
corporelles, s’il
est difficile de
dire, que ce soit
les corps dont ils
ont assumé en
certaines occasions
étaient réels ou
seulement apparent.
Il est clair,
cependant, que ce
sont des créatures
et donc fini et
limité, mais ils
sont dans une
relation plus libre
à temps et l’espace
que l’homme. Nous ne
pouvons pas
attribuer leur un
ubi
repletivum, ni
un ubi
circumscriptivum,
mais seulement un
ubi
definitivum.
Ils ne peuvent être
à deux ou plusieurs
endroits
simultanément.
3.
ce sont des êtres
rationnels, morales
et immortels.
Cela signifie qu’ils
sont des êtres dotés
d’intelligence et de
volonté. Le fait
qu’ils sont des
êtres intelligents
ne semble pas suivre
à la fois du fait
que ce sont des
esprits; mais il est
également enseigné
explicitement dans
les Ecritures, II
Samuel 14:20;
Matthieu 24:36; EP
03:10; J’ai PET.
01:12; II Pierre
02:11. Tandis que
pas omniscients, ils
sont supérieurs aux
hommes en
connaissances,
Matthieu 24:36. De
plus, ils sont doués
d’une nature morale
et sont comme tels
en vertu d’une
obligation morale;
ils sont récompensés
pour l’obéissance et
sont punis pour
désobéissance. La
Bible parle des
anges qui sont
restés fidèles comme
« anges saints, »
Matthieu 25: 31;
Marquer à 08:38; Luc
09:26; Actes 10:22;
14:10 et ceux qui
sont tombés à mesure
que le mensonge et
le péché, John
photos 08:44; J’ai
John 3:8-10. Les
bons anges sont
aussi immortels dans
le sens où ils ne
sont pas sujet à la
mort. À cet égard
les saints dans les
cieux sont censés
être comme eux, Luc
20:35, 36. En plus
de tout cela, grande
puissance est qui
leur est attribuée.
Ils forment l’armée
de Dieu, une
multitude de
puissants héros,
toujours prêts à
faire du Seigneur
d’appel d’offres,
PS. 103:20; 01:16;
EP 01:21; 03:10;
Héb. 01:14; et les
mauvais anges
forment l’armée de
Satan, pour détruire
le œuvre du
Seigneur, Luc 11:21;
II Thess. 2:9; I
Pierre 5:8.
4.
elles sont bonnes en
partie et en partie
mal. La
Bible fournit très
peu d’informations
concernant l’état
d’origine des anges.
Nous lisons,
cependant, qu’à la
fin de son œuvre
créatrice de Dieu
vit tout ce qu’il
avait fait et voici,
cela était très bon.
En outre, John
08:44; II Pierre
2:4; et Jude 6
suppose un bon Žtat
de tous les anges.
Les bons anges sont
appelés élire anges
dans I Timothée
05:21. De toute
évidence, ils ont
reçu, en plus de la
grâce avec laquelle
tous les anges
étaient doués et qui
était suffisant pour
leur permettre de
conserver leur
poste, un spécial
grace de
persévérance, par
lequel ils ont été
confirmés dans leur
position. Il y a eu
beaucoup de
spéculations
inutiles sur le
temps et le
caractère de la
chute des anges. La
théologie
protestante,
cependant, est
généralement
satisfaite sachant
que les bons anges
conservé leur état
d’origine, ont été
confirmés dans leur
position et sont
maintenant
incapables de
pécher. Ils ne sont
pas seulement
appelés saints
anges, mais aussi
des anges de
lumière, II
Corinthiens 11:14.
Ils toujours Voici
le visage de Dieu,
Matthieu 18:10, sont
nos modèles dans
faire la volonté de
Dieu, Matthieu 06:10
et possèdent la vie
immortelle, Luc
20:36.
D. le nombre et
l’Organisation des
anges.
1.
leur nombre.
La Bible ne contient
aucun renseignement
précis concernant le
nombre des anges,
mais indique très
clairement qu’il
s’agit d’une
puissante armée. Ils
sont à plusieurs
reprises appelés
l’hôte du ciel ou de
Dieu, et ce terme
lui-même déjà pointe
vers un bon nombre.
Dans Deutéronome 33:
2 on lit que
« Jéhovah est venu
du Sinaï... à partir
de dix milliers de
Saints », et dans le
Psaume 68:17 le
poète chante, « les
chars de Dieu sont
vingt mille, voire
des milliers et des
milliers: le
Seigneur est parmi
eux, comme dans
Sinai, dans le
sanctuaire. » En
réponse à la
question de Jésus
adressées à un
esprit impur, la
réponse était, « mon
nom est Légion;
parce que nous
sommes nombreux, »
Marc 5:9, 15. La
légion romaine
n’était pas toujours
la même, mais varié
à des moments
différents de 3000 à
6000, à Gethsémani
Jésus dit à la bande
qui est venu pour
l’emmener en
captivité, « ou
arbores tu que je ne
peux pas supplie mon
père, et il me
transmet aujourd'hui
encore Légion plus
de douze s
d’anges ? » Matthieu
26: 53. Et, enfin,
nous lisons à 05:11,
« j’ai vu et j’ai
entendu la voix de
nombreux anges
autour du trône et
des êtres vivants et
les vieillards. et
le nombre d'entre
eux était dix mille
fois dix mille et
des milliers de
milliers. » Compte
tenu de toutes ces
données, il est
parfaitement sûr de
dire que les anges
constituent une
société
innombrables, une
foule imposante. Ils
ne forment pas un
organisme comme
l’humanité, car ce
sont des esprits,
qui ne se marient
pas et ne sont pas
nés l’un sur
l’autre. Leur nombre
total a été créé au
début; il n’y a eu
aucune augmentation
dans leurs rangs.
2.
leurs ordres.
Bien que les anges
ne constituent pas
un organisme, ils
sont évidemment
organisés d’une
certaine façon. Cela
découle du fait que,
à côté du nom
général « angel » la
Bible utilise
certaines
dénominations
spécifiques pour
indiquer les
différentes classes
d’anges. Le nom
« angel », par
lequel nous désigner
les esprits plus
élevés n’est
généralement pas un
nomen
naturae dans
l’écriture, mais un
nomen
officii. Le mot
hébreu mal'ak
signifie simplement
messager et sert à
désigner un envoyé
par hommes, Job
01:14; J’ai Sam.
11:3, ou par Dieu,
Aggée 01:13;
Malachie 2:7; 3:1.
terme grec
aggelos
est aussi
fréquemment
appliquée aux
hommes, Matthieu
11:10; Marc 1:2;
Luke 07:24; 09:51;
GAL 04:14. Il n’y a
aucun nom distinctif
général pour tous
les êtres spirituels
dans l’écriture. Ils
sont appelés fils de
Dieu, Job 1:6; 2:1;
PS. 29: 1; 89:6,
spiritueux, Héb.
01:14, les saints,
PS. 89:5, 7; Zach.
14:5; Dan. 08:13,
watchers, Dan.
04:13, 17, 24. Il y
a plusieurs noms
spécifiques,
cependant, qui
pointent vers
différentes classes
d’anges.
a.
chérubins.
Chérubins sont
mentionnés à
plusieurs reprises
dans les Ecritures.
Ils gardent l’entrée
du paradis, 03:24,
contemplent le
propitiatoire, Exode
25: 18; Psaume 80:
1; 99: 1; Ésaïe 37:
16; Hébreux 9:5, et
constituent le char
sur lequel Dieu
descend sur la
terre, II Samuel
22:11; Psaume 18:10.
Dans Ézéchiel 1 et 4
de l’Apocalypse, ils
sont représentés
comme des êtres
vivants sous
diverses formes. Ces
représentations
symboliques servent
simplement à faire
ressortir leur
extraordinaire
puissance et la
majesté. Plus que
les autres
créatures, ils
étaient destinés à
révéler la
puissance, la
majesté et la gloire
de Dieu et pour
garder sa sainteté
dans le jardin
d’Eden, dans le
tabernacle et le
temple et dans la
descente de Dieu sur
la terre.
b. les
séraphins. Une
classe connexe des
anges sont les
séraphins,
mentionnés seulement
dans Ésaïe 6:2, 6.
Ils sont aussi
symboliquement
représentées sous
forme humaine, mais
avec six ailes, deux
couvrant le visage,
deux pieds et deux
pour l’exécution
rapide des
commandements du
Seigneur. En
comparaison avec de
chérubins, ils se
tiennent comme
serviteurs alentour
le trône du Roi
céleste, chantent
ses louanges et sont
toujours prêts à
faire son appel
d’offres. Alors que
les chérubins sont
les puissants, ils
pourraient appeler
les nobles parmi les
anges. Alors que
l’ancien meneur de
la sainteté de Dieu,
ils servent le but
de la réconciliation
et ainsi préparent
les hommes pour la
démarche appropriée
à Dieu.
c.
principautés,
puissances, les
trônes
et
dominions. En
plus de ce qui
précède la Bible
parle de certaines
classes d’anges, qui
occupent les lieux
d’autorité dans le
monde Angélique,
comme
archai et
exousiai
(les principautés et
les puissances),
Éphésiens 03:10;
02:10,
thronoi
(trônes), 01:16,
kureotetoi
(dominions),
Éphésiens 01:21;
01:16 et
dunameis
(pouvoirs),
Éphésiens 01:21;
J’ai PET. 03:22. Ces
appellations ne
pointent pas à
différentes sortes
d’anges, mais
simplement de
différences de grade
ou dignité parmi
eux.
d.
Gabriel et Michael.
À la différence de
tous les autres
anges, ces deux sont
mentionnés par nom.
Gabriel apparaît
dans Dan. 08:16;
09:21; Luc 01:19,
26. La grande
majorité des
commentateurs le
considèrent comme un
ange créé, mais
certains d'entre eux
nie que le nom de
Gabriel est un nom
propre et regarde
comme nom commun,
qui signifie homme
de Dieu, un synonyme
de l’ange. Mais il
s’agit d’une
situation intenable.
Certains
commentateurs
antérieures et
postérieures voir en
lui un être non
créé, certains même
suggérant qu’il
pourrait être la
troisième personne
de la Sainte
Trinité, tandis que
Michael était le
second. Mais une
simple lecture des
passages en question
montre
l’impossibilité de
cette
interprétation. Il
peut être l’un des
sept anges qui sont
censés se tenir
devant Dieu dans
Apocalypse 8:2
(COMP. Luc 01:19).
Il semble avoir été
sa tâche spéciale de
médiation et
d’interpréter des
révélations divines.
Le nom de Michael
(litt., « qui comme
Dieu ? ») a été
interprétée comme
une désignation de
la deuxième personne
de la Trinité. Mais
ce n’est pas plus
défendable que
l’identification de
Gabriel avec
l’Esprit Saint.
Michael est
mentionné dans
Daniel 10:13, 21;
Jude 9; Apocalypse
12:7. Du fait qu’il
est appelé
« l’Archange » dans
Jude 9, et de
l’expression
utilisée dans
Apocalypse 12:7, il
semblerait qu’il
occupe une place
importante parmi les
anges. Les passages
de Daniel soulignent
également le fait
qu’il est un prince
parmi eux. On voit
en lui le vaillant
guerrier combattant
les batailles de
Jéhovah contre les
ennemis d’Israël et
contre les pouvoirs
maléfiques dans le
monde des esprits.
Il n’est pas
impossible que le
titre « l’Archange »
s’applique aussi à
Gabriel et quelques
autres anges.
E. le Service des
anges.
Nous pouvons
distinguer entre
ordinaire et un
extraordinaire
service des anges.
1.
leur SERVICE
ordinaire.
Il s’agit tout
d’abord en leur
louant Dieu jour et
nuit, Job 38: 7;
Ésaïe 6; PS. 103:20;
148:2; 05:11.
L’écriture donne
l’impression qu’ils
font ce audible,
comme à la naissance
du Christ, si nous
ne pouvons former
aucune conception de
ce parler et le
chant des anges.
Depuis l’entrée du
péché dans le monde,
ils sont envoyés
pour ceux qui sont
les héritiers du
Salut, Hébreux le
ministre 01:14. Ils
se réjouissent à la
conversion d’un
pécheur, Luc 15:10,
veille sur les
croyants, Psaume 34:
7; 91:11, protéger
les plus petits,
Matthieu 18:10, sont
présents dans
l’église, I Cor.
11:10; I Timothée
05:21, apprendre
d’elle les multiples
richesses de la
grâce de Dieu,
Éphésiens 03:10;
J’ai PET. 01:12 et
transmettre des
croyants dans le
sein d’Abraham, Luc
16:22. L’idée que
certains d'entre eux
ne servent de
tuteurs de chaque
croyant trouve aucun
appui dans les
Ecritures.
L’instruction dans
Matthieu 18:10 est
trop générale pour
prouver ce point,
bien qu’il semble
indiquer qu’il est
un groupe d’anges
qui sont notamment
chargés de la garde
des petits. Ni il
est prouvé par les
actes 12:15, pour ce
passage va
simplement de
montrer qu’il n’y a
même parmi les
disciples de cette
journée de début qui
ont cru en anges
gardiens.
2.
leur SERVICE
extraordinaire.
Le service
extraordinaire des
anges a été rendu
nécessaire par la
chute de l’homme et
constitue un élément
important dans la
révélation spéciale
de Dieu. Ils souvent
médient spéciales
révélations de Dieu,
communiquent les
bénédictions pour
son peuple et
exécutent le
jugement sur ses
ennemis. Leur
activité est plus
importante dans les
grands tournants de
l’économie du Salut,
comme à l’époque des
Patriarches, le
temps des quelles,
la période de l’exil
et de la
restauration et à la
naissance, la
résurrection et
l’ascension du
Seigneur. La
fermeture de la
période de la
révélation spéciale
de Dieu, le service
extraordinaire des
anges a cessé, à
être repris
seulement au retour
du Seigneur.
F. les mauvaises
anges.
1.
leur origine.
Outre le bon il y a
aussi mauvais anges,
qui ont plaisir à
s’opposer à Dieu et
à contrarier son
travail. S’ils sont
aussi des créatures
de Dieu, ils n’ont
pas été créées comme
des mauvais anges.
Dieu vit tout ce
qu’il avait créé, et
c’était très bon,
01:31. Il y a deux
passages de
l’écriture qui
implique clairement
que certains des
anges n’ont pas
conservé leur
original position,
mais il est passé de
l’État dans lequel
elles ont été
créées, II PET. 2:4;
Jude 6. Le péché
spécial de ces anges
n’est pas révélé,
mais il est
généralement
considéré consiste
en ceci qu’ils
exalté eux-mêmes
vis-à-vis de Dieu et
qu’il aspiraient à
l’autorité suprême.
Si cette ambition a
joué un rôle
important dans la
vie de Satan et mené
à sa chute, il
serait à la fois
expliquer pourquoi
il tenté l’homme sur
ce point précis et
chercha à lui
attirer jusqu'à sa
destruction en
faisant appel à une
ambition similaire
possible chez
l’homme.
Quelques-uns des
premiers pères de
l’église distinguent
entre Satan et les
démons subordonnés
en expliquant la
cause de leur chute.
Celui de la chute de
Satan a été trouvé
dans orgueil, mais
celle de l’automne
plus générale dans
le monde Angélique,
dans la convoitise
charnelle, Genèse
6:2. Que
l’interprétation de
la Genèse 6:2 a été
progressivement mis
au rebut, cependant,
pendant le moyen
âge. Dans cette
perspective, il est
plutôt surprenant de
constater que
plusieurs
commentateurs
modernes réitèrent
l’idée dans leur
interprétation de II
Pierre 2:4 et 6 de
Jude comme, par
exemple, Meyer,
Alford, maire,
Wohlenberg. C’est
une explication,
cependant, c’est
contraire à la
nature spirituelle
des anges, et sur le
fait que, comme
Matthieu 22:30
semblerait
impliquer, il n’y a
aucune vie sexuelle
parmi les anges. En
outre, cette
interprétation, nous
allons devoir
assumer une double
chute dans l’univers
Angélique, tout
d’abord la chute de
Satan, et puis,
beaucoup plus tard,
la chute entraînant
l’hôte des diables
qui maintenant sert
Satan. Il est
beaucoup plus
probable que Satan a
traîné les autres
droit avec lui dans
sa chute.
2.
leur tête.
Satan apparaît dans
l’écriture comme le
chef reconnu des
anges déchus. Il
était à l’origine,
il semblerait, un
des princes plus
puissants de
l’univers Angélique
et est devenu le
chef de ceux qui se
révoltent et
s’éloigne de Dieu.
Le nom « Satan »
pointe vers lui
comme
« l’adversaire »,
pas en premier lieu
de l’homme, mais de
Dieu. Il attaque
Adam comme la
Couronne de
l’ouvrage de Dieu,
œuvres de
destruction et est
donc appelé Apollyon
(le destructeur) et
des agressions Jésus
lorsqu’il entreprend
les travaux de
restauration. Après
l’entrée du péché
dans le monde, il
devient Diabolos
(l’accusateur),
accusant le peuple
de Dieu
continuellement,
12:10. Il est
représenté dans
l’écriture comme
l’auteur du péché,
Genèse 3:1, 4; John
08:44; II
Corinthiens 11:3; I
Jean 3:8; Apocalypse
12:9; 20:2, 10 et
apparaît comme le
chef reconnu de ceux
qui sont tombés là,
Matthieu 25: 41;
09:34; Éphésiens
2:2. Il reste le
chef des armées
angéliques qui il
emmena avec lui dans
sa chute et emploie
dans une résistance
désespérée à Christ
et à son Royaume. Il
est aussi appelé à
plusieurs reprises
« le prince de ce
(pas, « de la »)
monde, John 12:31;
14:30; 16:11 et même
« le Dieu de ce
monde, » II Cor.
4:4. Cela ne
signifie pas qu’il
était en contrôle du
monde, car Dieu est
au contrôle et il a
donné toute autorité
à Christ, mais il
transmettre l’idée
qu’il est en
contrôle de ce monde
mauvais, le monde,
dans la mesure où il
est éthiquement
séparé de Dieu. Cela
est clairement
indiqué dans
Éphésiens 2:2, où il
est appelé « le
prince des
puissances de l’air,
de l’esprit qui agit
maintenant dans les
fils de la
rébellion ». Il est
surhumain, mais pas
divin; a un grand
pouvoir, mais n’est
pas omnipotent;
exerce une influence
sur une échelle
grande mais
restreinte, Matthieu
12:29; Apocalypse
20:2 et est destiné
à être jeté dans
l’abîme, 20:10.
3.
leur activité.
Comme les bons
anges, anges déchus,
sont aussi, doués
d’une puissance
surhumaine, mais
leur utilisation de
celui-ci contraste
malheureusement avec
celle des bons
anges. Alors que ce
dernier
perpétuellement
louer Dieu, mener
ses batailles et lui
service fidèlement,
à titre de
puissances des
ténèbres, ils sont
décidés à maudissant
Dieu, luttant contre
lui et son oint et
de détruire son
travail. Ils sont en
constante révolte
contre Dieu,
chercher à l’aveugle
et de tromper même
les élus et
encouragent les
pécheurs dans leur
mal. Mais ce sont
des esprits perdus
et sans espoir. Ils
sont même maintenant
enchaînés à l’enfer
et le puits des
ténèbres, et bien
que pas encore
limité à un seul
endroit, pourtant,
comme le dit Calvin,
faites glisser leurs
chaînes avec eux
partout où ils vont,
II PET. 2:4; Jude 6.
V. création du monde matériel
A. le compte
biblique de la
création.
Autres pays, ainsi
que les Hébreux,
avaient leurs
comptes concernant
l’origine de
l’univers matériel
et de la façon dont
le chaos initial a
été transformé en un
cosmos ou un monde
habitable. Certains
de ces comptes
révèlent des traces
de similitude avec
le récit biblique,
mais contiennent des
différences encore
plus frappantes. Ils
sont en général
caractérisées par
des éléments
dualistes ou
polythéistes,
représentent le
monde actuel comme
le résultat d’une
lutte acharnée entre
les dieux, puis sont
très éloignées de la
simplicité et la
sobriété du récit
biblique. Il peut
être souhaitable de
préfacer notre
discussion de ses
détails par quelques
remarques générales.
1.
du POINT de vue d'où
la BIBLE envisage le
travail de création.
C’est une chose
importante que le
récit de la
création, alors
qu’il mentionne la
création des cieux,
s’intéresse pas
davantage vers le
monde spirituel. Il
porte sur le monde
matériel uniquement
et cela représente
avant tout comme
l’habitation de
l’homme et que le
théâtre de ses
activités. Il s’agit
non pas avec des
réalités invisibles
comme les esprits,
mais avec les choses
qui sont visibles.
Et parce que ces
choses sont
perceptibles aux
sens humains, ils
viennent vers le
haut pour la
discussion, non
seulement en
théologie, mais
aussi dans les
autres sciences et
en philosophie. Mais
alors que la
philosophie cherche
à comprendre
l’origine et la
nature de toutes
choses par la
lumière de la
raison, la théologie
prend son point de
départ en Dieu, se
permet d’être guidé
par sa révélation
spéciale concernant
le travail de
création et
considère tout à
Lui. Le récit de la
création est le
début de la
révélation de Dieu
et nous familiarise
avec la relation
fondamentale dans
laquelle tout, homme
compris, se trouve à
lui. Il souligne la
position originale
de l’homme, afin que
les hommes de tous
âges pourraient
avoir une bonne
compréhension du
reste de l’écriture
comme une révélation
de la rédemption.
Alors qu’il ne
prétend pas nous
donner une
cosmogonie
philosophique
complète, elle
contient des
éléments importants
pour la construction
d’une cosmogonie
appropriée.
2.
l’origine du récit
de la création.
La question de
savoir l’origine du
récit de la création
a été soulevée à
plusieurs reprises,
et l’intérêt qu’il a
été renouvelé par la
découverte de
l’histoire
babylonienne de la
création. Cette
histoire, comme il
est connu pour nous,
a pris forme dans la
ville de Babylone.
Il parle de la
génération de
plusieurs dieux,
dont Marduk s’avère
suprême. Seulement,
il a été
suffisamment
puissant pour
surmonter le
primeval dragon
Tiamat et devient le
créateur du monde,
que les hommes
adorent. Il y a
quelques points de
similitude entre le
récit de la création
dans la Genèse et
cette histoire
babylonienne. Les
deux parlent d’un
chaos primitif et
d’une division des
eaux ci-dessous et
ci-dessus le
firmament. Genèse
parle de sept jours,
et le compte
babylonien est
organisé en sept
comprimés. Les deux
comptes connecter
les cieux avec le
quatrième époque de
création et la
création de l’homme
avec la sixième.
Certaines de ces
ressemblances sont
de peu d’importance,
et les différences
des deux comptes
sont beaucoup plus
importantes. L’ordre
hébreu diffère sur
de nombreux points
de la babylonienne.
La plus grande
différence se
trouve, cependant,
dans les conceptions
religieuses des
deux. Le compte
babylonien, à la
différence de celle
de l’écriture, est
mythologique et
polythéiste. Les
dieux ne pas se
tenir debout sur un
niveau élevé, mais
le schéma et le
terrain et se
battre. Et Marduk ne
parvient qu’après
une lutte prolongée,
dont taxes de sa
force, à vaincre les
forces du mal et de
réduire le chaos à
l’ordre. Dans la
Genèse, en revanche,
nous rencontrer le
monothéisme plus
sublime et voir Dieu
appelant l’univers
et toutes choses par
la simple parole de
sa puissance.
Lorsque le compte
Babyloniens a été
découvert, beaucoup
d’érudits hâtivement
supposé que le récit
biblique a été
dérivé de la source
babylonienne,
oubliant qu’il
existe au moins deux
autres possibilités,
à savoir, (a) que
l’histoire
babylonienne est un
corrompu
reproduction de la
narration dans la
Genèse; ou (b) que
les deux sont issus
d’une source
commune, plus
primitive. Mais
cependant peut
répondre à cette
question, il ne
règle pas le
problème de
l’origine du récit.
Comment l’original,
qu’elle soit écrite
ou orale, venu à
l’existence ?
Certains la
considèrent
simplement comme le
produit naturel de
réflexion de l’homme
sur l’origine des
choses. Mais cette
explication est
extrêmement peu
probable étant donné
les faits suivants:
(a) l’idée de
création est
incompréhensible;
(b) la science et la
philosophie
s’opposent également
à la doctrine de la
création de rien; et
(c), c’est seulement
par la foi que nous
comprenons que les
mondes ont été
encadrées par la
parole de Dieu,
Hébreux 11:3. Nous
arrivons donc à la
conclusion que
l’histoire de la
création a été
révélé à Moïse ou à
l’un des patriarches
antérieurs. Si cette
révélation a été
préalablement
mosaïque, il passé
dans la tradition
(orale ou écrite)
d’une génération à
l’autre,
probablement perdu
de sa pureté
originelle et fut
finalement
incorporée dans une
forme pure, sous la
direction de
l’Esprit Saint, dans
le premier livre de
la Bible .
3.
l’interprétation de
la Genèse
1:1, 2. certains
considèrent la
Genèse 1:1 comme la
suscription ou le
titre du récit de la
création entière.
Mais ceci est
inacceptable pour
trois raisons: (a)
parce que le récit
suivant est relié
avec le premier
verset de la
conjonction
hébraïque
waw
(et), qui ne serait
pas le cas si le
premier couplet
était un titre; (b)
parce que, il n’y
aurait pas de compte
sur cette
supposition, que ce
soit de la création
originale et
immédiate; et (c)
car les versets
suivants ne
contiennent aucun
récit de la création
des cieux à tous. Le
plus généralement
accepté
interprétation est
que Genèse 1:1
enregistre la
création originale
et immédiate de
l’univers,
Hebraistically
appelé « ciel et
terre. » Dans cette
expression, le
« ciel » de mot se
réfère à cet ordre
invisible des choses
où la gloire de Dieu
se révèle la manière
la plus parfaite. Il
ne saurait être
considérée comme une
désignation des
cieux cosmique, si
des nuages ou des
étoiles, pour ces
derniers ont été
créés sur le
deuxième et le
quatrième jour de la
semaine de la
création. Dans le
second verset,
l’auteur décrit
ensuite l’état
original de la terre
(COMP. PS. 104:5,
6). C’est une
question discutable,
que ce soit la
création originale
de la matière formé
d’une partie des
travaux de la
première journée, ou
fut séparée de cela
par une période plus
courte ou plus
longue. Parmi ceux
qui s’interposer une
longue période entre
les deux, certains
soutiennent que le
monde était à
l’origine un lieu
d’habitation des
anges, a été détruit
à la suite d’une
chute dans l’univers
Angélique et a été
ensuite récupéré et
transformé en une
habitation fit pour
hommes. Nous ferons
référence à cette
théorie de
restitution dans une
autre connexion.
B. la virginité, ou
le travail des jours
distincts.
Après la création de
l’univers à partir
de rien dans un
moment de temps, le
chaos existant a été
progressivement
transformé en un
cosmos, un monde
habitable, en six
jours successifs.
Avant le travail des
jours distincts est
indiqué, le.
question quant à la
longueur des jours
de la création exige
une brève
discussion.
1.
examen de la théorie
qu’il s’agissait de
longues périodes.
Certains chercheurs
supposent que les
jours de Genèse 1
étaient longues
périodes de temps,
afin qu’elles
s’harmonisent avec
les périodes
géologiques. Estime
que ces jours
n’étaient pas des
jours ordinaires de
vingt-quatre heures
n’était pas tout à
fait étranger à la
théologie chrétienne
au début, comme le
montre E. C.
Messenger en détail
dans son savant
travail sur
l’évolution et la
théologie. Mais
certains d'entre les
pères de l’église,
qui a laissé
entendre que ces
jours étaient sans
doute ne pas à
considérer comme des
jours ordinaires, a
exprimé l’avis que
l’ensemble du
travail de création
a été fini en un
moment de temps, et
que les jours
constituaient
simplement un cadre
de travail
symbolique, qui
facilité la
description des
travaux de création
de façon ordonnée,
afin de la rendre
plus intelligible
pour les finis
esprits. Estime que
les jours de la
création ont été
longtemps est venu
au premier plan dans
ces dernières
années, pas,
cependant, comme le
résultat d’études
exégétiques, mais
sous l’influence des
divulgations de la
science. Avant le
XIXe siècle, les
jours de la Genèse
étaient plus
généralement
considérés comme
jours littéraux.
Mais, bien sûr,
l’interprétation
humaine n’est pas
infaillible et peut
devoir être révisé à
la lumière des
découvertes plus
tard. Si les
conflits exégèse
traditionnelle, non
seulement avec les
théories
scientifiques — qui
sont elles-mêmes des
interprétations —,
mais avec des faits
bien établis,
repenser et
réinterprétation est
naturellement dans
l’ordre. On peut
difficilement
affirmer, toutefois,
que les périodes
géologiques
présumées
nécessitent un
changement de front,
car ils ne sont en
aucun cas
généralement
reconnu, même dans
les milieux
scientifiques, faits
ainsi établis.
Certains érudits
chrétiens, tels que
Harris, Miley,
Bettex et Geesink,
supposent que les
jours de la Genèse
sont jours
géologiques, et tant
Shedd Hodge attirer
l’attention sur la
concordance
remarquable entre le
dossier de la
création et le
témoignage des
roches et sont
enclin à considérer
les jours de la
Genèse comme
périodes
géologiques.
La question peut
être soulevée, que
ce soit mais
possible de
concevoir les jours
de la Genèse comme
de longues périodes.
Et puis il faut
admettre que mot
hébreu
yom ne désigne
pas toujours une
période de
vingt-quatre heures
dans les Ecritures
et ne sert pas
toujours dans le
même sens, même dans
le récit de la
création. Il peut
que la lumière du
jour dans la
distinction des
ténèbres, Genèse
1:5, 16, 18;
jour-lumière et
l’obscurité
ensemble, Genèse
1:5, 8, 13 etc..;
les six jours, pris
ensemble, Genèse
2:4; et une durée
indéterminée
identifiés dans
toute sa longueur
par quelque trait
caractéristique, par
ennui, Psaume 20:1,
colère, Job à 20:28,
prospérité, Eccl.
07:14, ou le Salut
II Cor. 6:2.
Maintenant, certains
soutiennent que la
Bible favorise
l’idée que les jours
de la création ont
été des périodes
indéfinies de temps
et d’attirer
l’attention à ce qui
suit: (a) le soleil
n’a pas été créé
avant le quatrième
jour, et donc la
longueur des jours
précédents ne
pouvait pas encore
être déterminée par
l’oreille relation
de Th au soleil.
Cela est
parfaitement vrai,
mais ne prouve pas
le point. Dieu avait
établi de toute
évidence, même avant
le quatrième jour,
une alternance
rythmique de la
lumière et les
ténèbres, et il n’y
a aucun motif pour
l’hypothèse selon
laquelle les jours
ainsi mesurées
étaient de plus
longue durée que les
jours plus tard.
Pourquoi devrions
nous supposons que
Dieu a
considérablement
augmenté la vitesse
de rotation de la
terre après que la
lumière était
concentrée dans le
soleil ? (b) les
jours mentionnés
sont jours de Dieu,
les jours
archétypales, dont
les jours des hommes
sont simplement
ectypal exemplaires;
et avec Dieu mille
ans sont comme un
seul jour, Psaume
90.4; II Pierre 3:8.
Mais cet argument
repose sur une
confusion des temps
et l’éternité. Dieu
ad intra
a pas jours, mais
demeure dans
l’éternité, exalté
jusqu'à maintenant
surtout des mesures
de temps. C’est
aussi l’idée
véhiculée par le
Psaume 90.4; et II
Pierre 3:8. Les
seule véritable
jours dont Dieu a
connaissance sont
les jours de ce
monde
d’espace-temps.
Comment s’ensuit-il
pas du fait que Dieu
est plus haut que
les limites de
temps, tels qu’ils
existent dans ce
monde, où le temps
est mesuré par jours
et des semaines et
des mois et des
années, qui un jour
peut tout aussi bien
être une période de
100 000 ans comme
l’un des
vingt-quatre
heures ? (c) le
septième jour, le
jour où Dieu s’est
reposé de sa
passion, est censée
poursuivre jusqu'à
l’heure actuelle et
doit donc être
considérée comme une
période de milliers
d’années. C’est le
Sabbat de Dieu, et
ce Sabbat ne se
termine jamais. Cet
argument représente
une confusion
semblable. L’idée de
Dieu commence le
travail de création
à un certain moment,
et puis il cesse
après une période de
six jours, ne
s’applique pas à
Dieu comme il est en
lui-même, mais
seulement aux
résultats
temporelles de son
activité créatrice.
Il est immuablement
le même d’âge en
âge. Son Sabbat
n’est pas une
période prolongée
indéfiniment; Il est
éternel. En
revanche, le Sabbat
de la semaine de la
création a été un
jour longueur égal
aux autres jours.
Dieu s’est reposé,
non seulement, ce
jour-là, mais il a
aussi béni et
sanctifié, mettant
de côté comme un
jour de repos pour
l’homme, Exode
20:11. Ceci
s’appliquerait
difficilement à
l’ensemble de la
période depuis la
création jusqu'à nos
jours.
2.
examen de la vue
qu’il s’agissait des
jours littéraux.
L’opinion qui
prévaut depuis
toujours que les
jours de Genèse 1
doivent s’entendre
comme jours
littéraux.
Quelques-uns des
premiers pères de
l’église ne les
considérait pas
comme des
indications réelles
du temps où le
travail de création
a été achevé, mais
plutôt comme une
forme littéraire
dans laquelle
l’écrivain de la
Genèse castée le
récit de la
création, pour photo
le travail de
création — qui a été
vraiment achevé en
un moment de temps —
de façon ordonnée
pour l’intelligence
humaine. C’est
seulement après que
les sciences
relativement nouveau
de la géologie et de
palæontology se sont
manifestés avec
leurs théories de
l’énorme âge de la
terre, que les
théologiens se
manifestèrent une
inclinaison pour
identifier les jours
de la création avec
les longues périodes
géologiques.
Aujourd'hui certains
d'entre eux la
considèrent comme un
fait établi que les
jours de Genèse 1
furent des périodes
de temps
géologiques;
d’autres sont un peu
enclins à occuper ce
poste, mais montrent
beaucoup
d’hésitation. Hodge,
Sheldon, Van
Oosterzee et Dabney,
dont certains ne
sont pas tout à fait
opposés à ce point
de vue, sont tous
d’accord que cette
interprétation des
jours est
mais
douteux, voire
impossible. Kuyper
et Bavinck tenir
que, tandis que les
trois premiers jours
ait été de quelque
peu différentes
longueurs, les trois
derniers étaient
certainement
ordinaires jours.
Naturellement, ils
ne considèrent pas
même les trois
premiers jours comme
des périodes
géologiques. Vos
dans son
Gereformeerde
Dogmatiek
défend la position
selon laquelle les
jours de la création
ont été les jours
ordinaires. Hepp
prend la même
position dans son
calvinisme et la
philosophie de la
Nature.
Noortzij dans
der fr
de dieux Woord
Eeuwen Getuigenis, affirme
que mot hébreu
yom
(jour) dans Genèse 1
ne peut
éventuellement
désigner quoi que ce
soit d’autre qu’un
jour ordinaire, mais
tient que l’écrivain
de la Genèse
n’attachait pas une
importance à la
notion de « jour »,
mais introduit
simplement au sein
d’un cadre de
travail pour le
récit de la
création, ne pas
indiquer la séquence
historique, mais à
l’image de la gloire
des créatures à la
lumière du grand
dessein Rédempteur
de Dieu. C’est
pourquoi le Sabbat
est le grand point
culminant, où
l’homme atteint son
véritable destin. Ce
point de vue nous
rappelle assez
fortement la
position de certains
des premiers pères
de l’église. Les
arguments avancés
pour qu’il ne sont
pas très
convaincant, Aalders
a montré dans son
De
Eerste Drie
Hoofdstukken van
Genesis.
Ce chercheur de
l’ancien Testament
contient, sur la
base de la Genèse
1:5, que terme
yom
dans Genèse 1 dénote
simplement la
période de lumière,
par opposition à
celle des ténèbres;
mais ce point de vue
semble impliquer une
interprétation
plutôt contre nature
de l’expression
répétée « et il y
avait soirée et il y
avait le matin. » Il
doit alors être
interprétée comme
signifiant et il y
avait soirée
précédée d’un matin.
Selon m. Aalders,
aussi, l’écriture
favorise
certainement l’idée
que les jours de la
création ont été les
jours ordinaires,
bien qu’il n’est pas
possible de
déterminer leur
durée exacte, et les
trois premiers jours
peut avoir
différaient quelque
peu depuis les trois
dernières.
L’interprétation
littérale du terme
« jour » en Genèse 1
est favorisée par
les considérations
suivantes: (a) dans
son premier sens du
mot yom
dénote un jour
naturel; et c’est
une bonne règle en
exégèse, ne pas
s’écarter de la
signification
primaire d’un mot,
sauf si cela est
requis par le
contexte. Dr
Noortzij insiste sur
le fait que ce mot
ne signifie pas
simplement rien
d’autre que
« jour », comme cela
est connu par
l’homme sur la
terre. (b) l’auteur
de la Genèse semble
se taire nous
absolument à
l’interprétation
littérale en
ajoutant, dans le
cas de tous les
jours, les mots:
« et il y avait
soirée et il y avait
le matin. » Chacun
des jours mentionnés
a juste un soir et
matin, quelque chose
qui s’appliquerait
difficilement à une
période de milliers
d’années. Et si il
faut dire que les
périodes de création
étaient jours
extraordinaires,
chacun consistant en
une longue journée
et une nuit longue,
alors la question se
pose naturellement,
ce qui allait
devenir de toute
végétation au cours
de la longue, longue
nuit ? (c) dans
Exode 20:9-11 Israël
est commandé à six
jours de travail et
au repos sur le
septième, parce que
Jéhovah a fait les
cieux et la terre en
six jours et se
reposa le septième
jour. Son exégèse
semblerait requiert
que le mot « jour »
dans le même sens
dans les deux cas.
Par ailleurs le
Sabbat mis de côté
pour le reste était
certainement un jour
littéral; et la
présomption est que
les autres jours
étaient de même
nature. (d) au cours
des trois derniers
jours étaient des
jours certes
ordinaires, car ils
ont été déterminés
par le soleil de la
manière habituelle.
Alors que nous ne
pouvons pas être
absolument sûrs que
les jours précédents
ne différaient pas
d’eux, tout en
longueur, il est
très improbable
qu’ils diffèrent de
leur part, comme des
périodes de milliers
d’années, diffèrent
des jours
ordinaires. Peut
aussi se demander,
pourquoi une si
longue période
devrait être
requise, par
exemple, pour la
séparation de la
lumière et les
ténèbres.
3.
le travail des jours
distincts.
Nous remarquons dans
le travail de
création une
certaine gradation,
le travail de chaque
jour mène jusqu'à et
se prépare pour le
travail de l’autre,
le tout aboutissant
à la création de
l’homme, la Couronne
de l’ouvrage de
Dieu, chargée
d’assurer la tâche
importante
consistant à toute
la création inféodé
à la gloire de Dieu.
a. le
premier jour.
Le premier jour, la
lumière a été créé
et par la séparation
de la lumière et les
ténèbres nuit et ont
été constituées.
Cette création de la
lumière le premier
jour a été
ridiculisée compte
tenu du fait que le
soleil n’a pas été
créé avant le
quatrième jour, mais
science elle-même
réduite au silence
le ridicule en
prouvant que la
lumière n’est pas
une substance
émanant du soleil,
mais se compose
d’éther vagues
produites par
électrons
énergétiques. Notez
également que la
Genèse ne parle pas
du soleil comme la
lumière (oupas),
mais comme porteur
de lumière (ma),
exactement ce que la
science a découvert
qu’il est. Compte
tenu du fait que la
lumière est la
condition de toute
vie, c’était mais
naturelle qu’il
devrait être créé en
premier. Dieu a
institué également à
la fois l’ordonnance
de l’alternance de
lumière et
d’obscurité,
appelant la lumière
jour et la nuit de
l’obscurité.
Cependant, on nous
dit pas comment
cette alternance a
été effectuée. Le
compte de travail
chaque journée de se
termine par ces
mots: « et il y
avait soirée et il y
avait le matin. »
Les jours ne sont
pas considérés de
soir à soir, mais du
matin au matin.
Après douze heures,
il y avait soirée,
et après un autre 12
heures il y a matin.
b. le
deuxième jour.
Les travaux de la
deuxième journée a
également étaient
une œuvre de
séparation: le
firmament a été
établi en divisant
les eaux ci-dessus
et les eaux
sous-jacentes. Les
eaux ci-dessus sont
les nuages et pas,
comme certains
aurait-il, la mer de
verre, Apocalypse
4:6; 15:2 et la
rivière de la vie,
Apocalypse 22:1.
Certains ont
discrédité la
mosaïque compte sur
la supposition qu’il
représente le
firmament comme une
voûte solide; mais
c’est tout à fait
injustifié, car le
mot hébreu
Rene
ne désigne pas une
voûte solide du
tout, mais est
l’équivalent de
notre mot
« étendue ».
c. le
troisième jour.
La séparation se
faite encore plus
loin dans la
séparation de la mer
de la terre sèche,
cf. PS. 104:8. En
plus de cela, le
règne végétal de
plantes et d’arbres
a été créé. Trois
grandes classes sont
mentionnées, à
savoir
deshe',
c'est-à-dire les
plantes sans fleurs,
qui ne pas
mutuellement
fructifier de la
manière habituelle;
'esebh,
composé de légumes
et de céréales
produisant des
semences; et 'ets
peri ou fruits
arbres, leurs fruits
selon leur type. Il
est à noter ici: (1)
que, lorsque Dieu
dit: « que la terre
formulées herbe »
etc, ce n’était pas
équivalent à dire:
laisser les matières
inorganiques à
développer
par ses
propres inhérentes
de force dans
la vie végétale.
C’était un mot du
pouvoir par lequel
Dieu implanté le
principe de la vie
sur la terre et donc
lui ont permis
d’enfanter des
herbes et des herbes
et des arbres. Que
c’est une parole
créatrice est
évident d’après
Genèse 2:9. (2) que
l’instruction, « et
la terre produisit
herbe, herbes
produisant des
semences après leur
genre et les arbres
portant des fruits,
dans lequel est la
semence, selon leur
espèce » (vs. 12),
distinctement
favorise l’idée que
les différentes
espèces de plantes
ont été créés par
Dieu, et n’a pas
développé l’un sur
l’autre. Chacun
d’eux enfantée
semence selon son
espèce et pourrait
donc ne se
reproduire son
genre. La théorie de
l’évolution, bien
sûr, négatifs tous
les deux de ces
assertions; mais il
faut avoir à
l’esprit que les
deux génération
spontanée et le
développement d’une
espèce à l’autre,
sont non prouvées et
désormais largement
discrédité,
hypothèses.
d. le
quatrième jour.
Soleil, lune et
étoiles, ont été
créés en tant que
porteurs de lumière,
pour servir à
diverses fins: (1)
pour diviser le jour
et la nuit; (2) pour
être des signes,
c'est-à-dire, pour
indiquer les points
cardinaux, présager
des changements des
conditions
météorologiques et
pour servir de
signes d’importants
événements futurs et
prochains jugements;
(3) d’être des
saisons et Pendant
des jours et des
années,
c'est-à-dire, pour
atteindre l’objectif
d’effectuer le
changement des
saisons, la
succession d’années
et la répétition
régulière des jours
de fête spéciales;
et (4) pour servir
de lumières pour la
terre et donc à
permettre le
développement de la
vie organique sur
terre.
e. le
cinquième jour.
Cette journée
apporte la création
des oiseaux et les
poissons, les
habitants de l’air
et les eaux. Oiseaux
et les poissons vont
ensemble, car il y a
une grande
similitude dans leur
structure organique.
En outre, ils sont
caractérisés par une
instabilité et la
mobilité qu’ils ont
en commun avec
l’élément dans
lequel ils évoluent,
en comparaison avec
de la terre ferme.
Elles conviennent
également dans leur
méthode de
procréation. Notez
qu’ils sont, aussi,
ont été créées selon
leur espèce,
c'est-à-dire les
espèces ont été
créées.
f. le
sixième jour.
Cette journée
apporte l’apogée du
travail de création.
Dans le cadre de la
création des animaux
l’expression est une
fois de plus
utilisée, « Que la
terre produise », et
ce nouveau doit être
interprété que comme
il est indiqué au
point c. Les animaux
ne développaient pas
naturellement hors
de la terre, mais
ont été enfantée par
la fiat créatrice de
Dieu. On nous dit
distinctement dans
que le 25e verset
que Dieu a
fait
les bêtes de la
terre, le bétail et
les choses rampantes
de la terre selon
leur espèce. Mais
même si l’expression
mentionne
développement
naturel, il ne
serait pas en
harmonie avec la
doctrine de
l’évolution, car qui
n’enseigne pas que
les animaux ont
développé
directement hors du
monde minéral. La
création de l’homme
se distingue par
l’avocat solennelle
qui le précède:
« faisons l’homme à
notre image, selon
notre
ressemblance »; et
ce n’est pas
étonnant, puisque
tout ce qui a
précédé n’était
qu’une préparation à
la venue de l’homme,
le œuvre de
couronnement de
Dieu, le roi de la
création; et parce
que l’homme était
destinée à être
l’image de Dieu. Les
mots
tselem et
demuth
désigne pas
exactement la même
chose, mais sont
néanmoins utilisés
inter-changeably.
Quand on dit que
l’homme est créé à
l’image de Dieu, ce
qui signifie que
Dieu est l’archétype
de l’est que l’homme
est l’insupportable;
et lorsqu’il est
ajouté qu’il est
créé selon la
ressemblance de
Dieu, ce qui ajoute
simplement l’idée
que l’image est dans
tous les sens comme
l’original. Dans
tout son être,
l’homme est l’image
même de Dieu.
Avant de passer à du
septième jour, il
peut être bien pour
attirer l’attention
sur le parallèle
remarquable entre
les travaux de la
première et celle
des seconde trois
jours de la
création.
1. la création de la
lumière. & 4. La
création de porteurs
de lumière.
2. création
d’étendue et de la
séparation des eaux.
& 5. Création des
oiseaux du ciel et
les poissons de la
mer.
3. séparation des
eaux et la terre
ferme et préparation
de la terre comme
une habitation de
l’homme et la bête.
& 6. Création des
bêtes du
champ, le bétail et
rampant toutes
choses; et Man.
g. le
septième jour.
Le repos de Dieu le
septième jour
contient d’abord un
élément négatif.
Dieu a cessé de son
travail de création.
Mais à cela
s’ajoutent un
élément positif, à
savoir, qu’il prenne
plaisir dans son
travail achevé. Son
repos est comme le
reste de l’artiste,
après que qu’il a
terminé son
chef-d'œuvre et
maintenant les
regards sur elle
avec une profonde
admiration et de
joie et trouve une
satisfaction
parfaite dans la
contemplation de sa
production. « Et
Dieu vit tout ce
qu’il avait fait et
voici, cela était
très bon. » Il a
répondu le dessein
de Dieu et
correspondait à
l’idéal divin. C’est
pourquoi Dieu se
réjouit de sa
création, pour
dedans il reconnaît
le reflet de ses
perfections
glorieuses. Son
visage radieux
éclaire il et est
productif de douches
de bénédictions.
4.
aucun SECOND récit
de la création dans
la Genèse 2.
Il est assez
fréquent pour
avancée critique
supérieure de
supposer que la
Genèse 2 contient un
compte rendu de la
deuxième et
indépendant de la
création. Le premier
compte est considéré
comme le œuvre de
l’Elohist et le
second comme celle
de la Jehovist. Les
deux, dit-on,
n’acceptez pas, mais
le conflit sur
plusieurs points.
Selon le deuxième
récit, par
opposition à la
première, la terre
est sèche avant la
création de plantes;
l’homme est créé
avant les animaux et
que seul, pas comme
homme et femme; Puis
Dieu créa les
animaux, afin de
voir si elles seront
compagnons fit pour
l’homme; voyant
qu’ils ne
parviennent pas à
cet égard, il a crée
la femme comme une
compagne pour
l’homme; et, enfin,
il place l’homme
dans le jardin qu’il
avait préparé pour
lui. Mais il s’agit
clairement d’une
incompréhension
totale du deuxième
chapitre. Genèse 2
n’est pas et ne
prétend pas être, un
récit de la
création. La
suscription 'eleh
toledoth, qui
se trouve dix fois
dans la Genèse,
jamais fait
référence à la
naissance ou
l’origine des
choses, mais
toujours à leur
naissance,
c'est-à-dire leur
histoire plus tard.
L’expression remonte
à un temps quand
l’histoire se
composait toujours
dans la description
des générations. Le
deuxième chapitre de
la Genèse commence
la description de
l’histoire de
l’homme, organise
son matériel en
fonction de ce but
et ne répète
tellement de ce qui
a été dit dans le
chapitre précédent,
sans aucune
considération
d’ordre
chronologique, comme
est nécessaire pour
l’auteur but du
voyage.
5. LES TENTATIVES
D’HARMONISER LE
RÉCIT DE LA CRÉATION
AVEC LES CONCLUSIONS
DE LA SCIENCE.
a.
l’interprétation
idéale ou
allégorique. Ce
qui donne une
importance à l’idée,
plutôt qu’à la
lettre de la
narration. Elle
considère Genèse 1
comme une
description poétique
de le œuvre
créatrice de Dieu,
cela représentant
différents points de
vue. Mais (1) il est
tout à fait évident
que le récit est
conçu comme un
record de l’histoire
et est clairement
considéré alors dans
l’écriture, cf.
Exode 20:11; Néhémie
9:6; PS. 33: 6, 9;
145:2-6; (2) le
premier chapitre de
la Genèse « manque
de presque tous les
éléments de la
poésie hébraïque
reconnue » (fort);
et (3) ce récit est
inséparablement lié
à l’histoire
suivante, et est
donc plus
naturellement
considérée comme
historique
elle-même.
b. la
théorie mythique de
la philosophie
moderne. La
philosophie moderne
a progressé au-delà
de la position
précédente. Elle
rejette non
seulement le récit
historique de la
création, mais aussi
l’idée de création
et ce qui concerne
le contenu de Genèse
1 comme un mythe
incarnant une leçon
religieuse. Il n’y a
aucune allégorie
intentionnelle ici,
il est dit, mais
uniquement une
représentation
mythique naïf avec
une base religieuse
ou le noyau. C’est
également à
l’encontre du fait
que Genèse 1
certainement vient à
nous avec la
prétention d’être un
récit historique, et
dans les renvois,
mentionnés
ci-dessus, il
certainement n’est
pas considéré comme
un mythe.
c. la
théorie de la
restitution.
Certains théologiens
ont tenté de
concilier le récit
de la création avec
les découvertes de
la science dans
l’étude de la terre
en adoptant la
théorie de la
restitution. Elle a
été préconisée par
Chalmers, Buckland,
Wisemann et
Delitzsch et suppose
qu’une longue
période de temps
écoulé entre la
création primaire,
mentionnés dans
Genèse 1:1 et la
création secondaire
décrit dans Genèse
1:3-31. Cette longue
période a été
marquée par
plusieurs
changements
catastrophiques,
entraînant la
destruction
prétendument décrite
dans les termes
« déchets et Sub. »
Le second couplet
devrait alors lire,
« et la terre sont
devenus des déchets
et Sub. » Cette
destruction a été
suivie d’une
restitution, lorsque
Dieu a changé le
chaos dans un
cosmos, un monde
habitable pour
l’homme. Cette
théorie pourrait
offrir des
explications sur les
différentes strates
de la terre, mais il
n’offre aucune
explication des
fossiles dans les
roches, à moins
qu’il est supposé
qu’il y avait aussi
des créations
successives
d’animaux, suivies
de destructions
massives. Cette
théorie jamais
trouvé faveur dans
les milieux
scientifiques et ne
trouve aucun appui
dans les Ecritures.
La Bible ne dit pas
que la terre
est
devenue, mais
qu’il
était des
déchets et nul. Et
même si le verbe
hébreu
hayetha peuvent
être rendues « est
devenu », les mots
« déchets et Sub »
indiquent une
condition informe et
non une condition
résultant de la
destruction.
Delitzsch combiné
avec cette théorie
l’idée que la terre
était habitée par
les anges, et que la
chute dans l’univers
Angélique a été la
cause de la
destruction qui a
entraîné le chaos
dénommé dans le
verset 2. Pour une
raison ou une autre,
ce point de vue
trouve faveur
considérable parmi
les
dispensationalistes
de nos jours, qui
trouvent le soutien
en sa faveur dans
ces passages, comme
Ésaïe 24:1; Jérémie
04:23-26; Job.
9:4-7; II Pierre
2:4. Mais même une
lecture attentive de
ces passages est
suffisante pour
convaincre un qu’ils
ne prouvent pas le
point en question à
tous. En outre, la
Bible enseigne
clairement nous que
Dieu créa ciel et
terre « et toute
leur armée » en six
jours, Genèse 2:1;
Exode 20:11.
d. la
théorie de
concordistic.
Cela cherche à
harmoniser
l’écriture et la
science de supposer
que les jours de
création furent des
périodes de milliers
d’années. En plus de
ce qui a été dit à
ce sujet en
discutant les jours
de la création, nous
pouvons maintenant
ajouter que l’idée
que les strates de
la terre point
positivement à
longues périodes
successives du
développement de
l’histoire de son
origine, est
simplement une
théorie des
géologues et une
théorie reposant sur
des généralisations
injustifiées. Nous
pourrions appeler
l’attention sur les
considérations
suivantes: (1) la
science de la
géologie n’est pas
seulement jeune,
mais il est encore
sous l’esclavage de
la pensée
spéculative. On ne
peut considérer
comme une science
inductive, puisque
c’est en grande
partie le fruit des
a priori
ou d’un raisonnement
déductif. Spencer a
appelé « Géologie
illogique » et
ridiculisé ses
méthodes et Huxley a
parlé de ses
hypothèses grand
comme « non prouvée
et non prouvables. »
(2)
jusqu'à l’heure
actuelle, il a fait
guère plus que
gratter la surface
de la terre et que
dans un nombre très
limité de places. En
conséquence, ses
conclusions sont
souvent simples
généralisations,
basées sur des
données
insuffisantes. Faits
constatés dans
certains endroits
sont contredites par
celles que l'on
trouve dans
d’autres. (3) même
si elle avait
exploré des grandes
surfaces dans toutes
les régions du
globe, il pourrait
seulement augmenter
nos connaissances
sur l’état actuel de
la terre, mais ne
serait jamais en
mesure de nous
donner des
informations
parfaitement fiables
concernant son
histoire passée.
Vous ne pouvez pas
écrire l’histoire
d’une nation sur la
base des faits
constatés dans sa
constitution
actuelle et de la
vie. (4) géologues
une fois repose sur
la supposition que
les strates de
roches trouvées dans
le même ordre dans
le monde entier; et
que, par une
estimation du temps
requis par la
formation de chacun,
il pourrait
déterminent l’âge de
la terre. Mais (a)
il a été constaté
que l’ordre des
roches diffère dans
diverses localités;
(b) les expériences
faites déterminer le
temps requis pour la
formation des
différentes strates,
conduit à des
résultats très
différents; et (c)
la théorie
uniformitariste de
Lyell, que l’action
physique et chimique
d’aujourd'hui sont
des guides sûrs dans
l’estimation de ceux
de toutes les
précédentes fois,
s’est avérée pour ne
pas être fiables.
(5)
après l’échec de la
tentative de
déterminer l’âge des
diverses strates ou
roches par leur
maquillage minéral
et mécanique, les
géologues a commencé
à faire les fossiles
le facteur
déterminant. La
paléontologie est
devenu le sujet
vraiment important,
et sous l’influence
de l’uniformitariste
principe de Lyell
développé dans une
des preuves
importantes de
l’évolution. On
suppose simplement
que certains
fossiles sont plus
âgés que les autres;
et si la question
est posée sur
quelles bases repose
l’hypothèse, la
réponse est qu’ils
sont trouvent dans
les roches les plus
anciennes. Il s’agit
d’un raisonnement
tout simplement dans
un cercle. L’âge des
roches est déterminé
par les fossiles
qu’elles contiennent
et l’âge des
fossiles par les
roches dans
lesquelles ils se
trouvent. Mais les
fossiles ne se
trouvent pas
toujours dans le
même ordre; parfois,
l’ordre est inversé.
(6) l’ordre des
fossiles maintenant
déterminés par la
géologie ne
correspond pas à
l’ordre que le récit
de la création nous
amène à attendre,
alors que même
l’acceptation de la
théorie géologique
ne servirait pas le
but d’harmoniser
l’écriture et de la
science.
6.
la DOCTRINE de la
création et la
théorie de
l’évolution.
La question se pose
naturellement de nos
jours, comment la
théorie de
l’évolution affecte
la doctrine de la
création ?
a. la
théorie de
l’évolution ne peut
se substituer à la
doctrine de la
création.
Certains parlent
comme si l’hypothèse
de l’évolution a
offert une
explication de
l’origine du monde;
mais il s’agit
clairement d’une
erreur, car il ne
fait aucune une
telle chose.
L’évolution est le
développement, et
tout le
développement
suppose l’existence
préalable d’une
entité ou de
principe ou de
force, hors de
laquelle quelque
chose se développe.
Le non existant ne
peut pas
développer à
l’existence. Matière
et force ne
pourraient pas ont
évolué à partir de
rien. Il est d’usage
pour les
évolutionnistes à se
replier sur
l’hypothèse
nébulaire, afin
d’expliquer
l’origine du système
solaire, bien que
dans la science de
nos jours c’est
supplantée par
l’hypothèse
planetesimal. Mais
celles-ci ne portent
le problème d’un
cran plus loin et ne
parviennent pas à le
résoudre.
L’évolutionniste
doit soit recourir à
la théorie que la
matière est
éternelle, soit
accepter la doctrine
de la création.
b. la
théorie de
l’évolution
naturaliste n’est
pas en harmonie avec
le récit de la
création. Si
l’évolution
n’explique pas
l’origine du monde,
il pas au moins
donner un rationnel
compte de
l’évolution des
choses dans la
matière primordiale
et ainsi expliquer
l’origine des
espèces de plantes
et d’animaux (y
compris l’homme) et
aussi les différents
présents phénomènes
de la vie, tels que
la sensibilité,
l’intelligence,
morale et religion ?
Elle est
nécessairement en
conflit avec le
récit de la
création ?
Maintenant, il est
parfaitement évident
qu’évolution
naturaliste
certainement est en
conflit avec le
récit biblique. La
Bible enseigne que
les plantes et les
animaux et l’homme
apparu sur la scène
à la fiat créative
du tout-puissant;
mais selon
l’hypothèse
évolutionniste, ils
ont évolué hors du
monde inorganique
par un processus de
développement
naturel. La Bible
représente Dieu
comme créant des
plantes et des
animaux selon leur
espèce et produisant
semence selon leur
espèce, qui est,
afin qu’ils
reproduiraient leur
propre genre; mais
la théorie des
points d’évolution à
des forces
naturelles,
résidents dans la
nature, menant à
l’élaboration d’une
espèce à une autre.
Selon le récit de la
création, le végétal
et l’animal royaumes
et l’homme ont été
portées de suite en
une seule semaine;
mais l’hypothèse de
l’évolution les
considère comme le
produit d’une
évolution
progressive au cours
des millions
d’années. L’écriture
des photos homme
debout sur un plan
plus élevé au début
de sa carrière, et
ensuite descendre à
des niveaux
inférieurs par
l’influence de
détérioration du
péché; la théorie de
l’évolution, en
revanche, représente
l’homme original
comme seulement
légèrement
différente de la
brute et prétend que
la race humaine a
augmenté, par
l’intermédiaire de
ses propres pouvoirs
inhérents, à des
niveaux toujours
plus élevés de
l’existence.
c. la
théorie de
l’évolution
naturaliste est pas
bien établie et ne
parvient pas à
expliquer les faits.
Le conflit dénommé
dans ce qui précède
serait grave, si la
théorie de
l’évolution était un
fait établi.
Certains pensent
qu’il est et en
toute confiance
parler du
dogme
de l’évolution.
D’autres, cependant,
correctement nous
rappellent le fait
que l’évolution est
encore qu’une
hypothèse. Même si
grand scientifique
comme Ambrose
Fleming dit que
« l’analyse
attentive des idées
connecté avec le
terme que évolution
montre qu’ils soient
insuffisantes comme
une solution
philosophique ou
scientifique des
problèmes de la
réalité et
l’existence. »
La même
incertitude qui
prévaut dans le camp
des évolutionnistes
est la preuve que
l’évolution n'est
qu’une hypothèse. En
outre, il est
franchement admis
aujourd'hui par
beaucoup de ceux qui
continuent à
s’accrocher au
principe d’évolution
qu’ils ne
comprennent pas son
mode de
fonctionnement. On
pensait à un moment
donné que Darwin
avait fourni la clé
de l’ensemble du
problème, mais que
la clé est
maintenant plutôt
généralement
ignorée. Les piliers
de la Fondation, sur
lequel la structure
darwinienne a été
élevée, tels que le
principe
d’utilisation et de
non-utilisation, la
lutte pour
l’existence, la
sélection naturelle
et la transmission
des caractères
acquis, ont été
enlevés, l’un après
l’autre. Ces
évolutionnistes
Weissmann, De Vries,
Mendel, et Bateson,
ont tous contribué à
l’effondrement de
l’édifice darwinien.
Nordenskioeld, dans
son
Histoire de la
biologie, parle
de la « dissolution
du darwinisme »
comme un fait
établi. Dennert nous
appelle pour le lit
de mort du
darwinisme, et
O'Toole dit:
« darwinisme est
mort, et aucun
chagrin de
pleureuses ne peut
ressusciter le
cadavre. » Morton
parle de « la
faillite de
l’évolution, » et le
prix de la « fantôme
de l’évolution
organique. »
Darwinisme, ensuite,
n’a certes pas
d’expliquer
l’origine des
espèces, et les
évolutionnistes
n’ont pas été en
mesure d’offrir une
meilleure
explication. Les
comptes de loi
mendélienne des
variations, mais pas
à l’origine de
nouvelles espèces.
Elle fait vraiment
loin le
développement de
nouvelles espèces
par un processus
naturel. Certains
sont d’avis que la
théorie de la
mutation de la
théorie De Vries ou
Lloyd Morgan
emergent evolution
points la manière,
mais ni l’un d'entre
eux s’est avéré pour
être une explication
réussie de l’origine
des espèces par
évolution naturelle
pure et simple. Il
est maintenant admis
que les mutants de
Vries sont variétale
plutôt que
spécifique et ne
saurait être
considérées comme
les débuts de
nouvelles espèces.
Et Morgan se sent
contrainte
d’admettre qu’il ne
peut pas expliquer
son emergents sans
retomber sur une
puissance créatrice
qui pourrait être
appelée Dieu.
Morton, dit: « le
fait est que, en
plus de la création,
il n’est pas encore
une théorie des
origines de tenir le
terrain
aujourd'hui. »
L’hypothèse
d’évolution échoue à
plusieurs reprises.
Il ne peut pas
expliquer l’origine
de la vie. Les
évolutionnistes a
cherché son
explication dans la
génération
spontanée, une
hypothèse non
prouvée, qui est
maintenant
discréditée. C’est
un fait bien établi
dans la science que
la vie ne peut venir
que de la vie
antérieure. En
outre, il a
totalement échoué à
produire un seul
exemple d’une espèce
distincte de l’autre
production
(organique, par
opposition à cépage)
espèces. Bateson a
dit en 1921: « nous
ne comprenons pas
comment la
différenciation en
espèce a vu le jour.
Les variations de
toutes sortes,
souvent
considérables, nous
tous les jours le
témoin, mais pas
d’origine des
espèces.... Pendant
ce temps, bien que
notre foi en
évolution est
inébranlable, nous
n’avons aucun compte
acceptable de
l’origine des
espèces. »
Ni a évolution pu
réussir à affronter
les problèmes posés
par l’origine de
l’homme. Il n’a pas
encore réussi à
prouver la descente
physique de l’homme
de l’animal. J. A.
Thomson, auteur de
The
Outline of Science
et un premier plan
évolutionniste,
détient cet homme
jamais vraiment
était un animal, une
féroce créature
regardant bestiale,
mais que le premier
homme surgit tout à
coup, par un grand
saut, le stock de
primates dans un
être humain.
Beaucoup moins il a
été en mesure
d’expliquer le côté
psychique de la vie
de l’homme. L’âme
humaine, doté
d’intelligence,
conscience, liberté,
conscience et
aspirations
religieuses, demeure
une énigme non
résolue.
d.
l’évolution théiste
n’est pas tenable à
la lumière de
l’écriture.
Certains les
scientistes et les
théologiens visent à
harmoniser la
doctrine de la
création, tel
qu’enseigné par
l’écriture, et la
théorie de
l’évolution en
acceptant ce qu’ils
appellent
l’évolution théiste.
C’est une
protestation contre
la tentative de
suppression de Dieu
et lui postule que
le travailleur
tout-puissant
l’arrière de
l’ensemble du
processus de
développement.
Evolution est
considérée tout
simplement comme
méthode de Dieu de
travailler dans le
développement de la
nature. L’évolution
théiste revient
vraiment à ce que
Dieu a créé le monde
(le cosmos) par un
processus
d’évolution, un
processus de
développement
naturel, dans lequel
il ne pas
miraculeusement
intervenu, sauf dans
les cas où cela est
absolument
nécessaire. Il est
prêt à admettre que
le commencement
absolu du monde ne
pourrait résulter
que d’une activité
créatrice directe de
Dieu; et si elle ne
peut trouver aucune
explication
naturelle,
n’accordera aussi
une intervention
directe de Dieu à
l’origine de la vie
et de l’homme. Elle
a été saluée comme
evolution
chrétienne, bien
qu’il n’est pas
nécessairement
quelque chose
Christian à ce
sujet. Beaucoup,
sinon opposés à la
théorie de
l’évolution, ont
salué, car elle
reconnaît Dieu dans
le processus et est
censé pour être
compatible avec la
doctrine biblique de
la création. Par
conséquent, il est
enseigné librement
dans les églises et
les écoles du
dimanche. En fait,
cependant, c’est un
hybride très
dangereux. Le nom
est une
contradiction dans
les termes, car
c’est le théisme ni
naturalisme, ni
création, ni
évolution dans
l’acception des
termes. Et il ne
nécessite pas
beaucoup de
pénétration de voir
que m. Fairhurst a
raison dans sa
déclaration de
culpabilité « que
l’évolution théiste
détruit la Bible
comme le livre
inspiré de pouvoir
aussi efficacement
comme le fait
l’évolution athée. »
Comme l’évolution
naturaliste, il
apprend qu’il lui
fallait des millions
d’années pour
produire le monde
habitable actuel; et
que Dieu n’a pas
créé les diverses
espèces de plantes
et d’animaux et que,
alors qu’ils ont
produit leur propre
genre; Cet homme, au
moins sur son aspect
physique, est un
descendant de la
brute et par
conséquent a
commencé sa carrière
à un niveau faible;
qu’il n’y a n’été
aucune chute dans le
sens du mot, mais
seulement répété est
caduque des hommes
dans leurs cours à
la hausse; que le
péché n’est
seulement une
faiblesse, résultant
de l’instinct animal
de l’homme et des
désirs et ne
constitue pas de
culpabilité; que la
rédemption est
provoquée par le
contrôle croissant
de l’élément
supérieur chez
l’homme sur ses
penchants
inférieurs; que les
miracles n’existent
pas, soit dans le
naturel, soit dans
le monde spirituel;
que régénération,
conversion et
sanctification sont
simplement naturels
changements
psychologiques et
ainsi de suite. En
un mot, c’est une
théorie qui est
absolument
subversive de la
vérité de
l’écriture.
Certains érudits
chrétiens
d’aujourd'hui se
sentent que la
théorie de
l’Évolution
créatrice de
Bergson lui-même
rend hommage à ceux
qui ne veulent pas
laisser Dieu pris en
considération. Ce
philosophe Français
suppose un
élan
vital, une
impulsion vitale
dans le monde, comme
le sol et
l’animation de
principe de toute
vie. Ce principe
vital ne vient pas
de la matière, mais
est plutôt la cause
d’origine de la
matière. Il imprègne
l’affaire, surmonte
son inertie et la
résistance en
agissant comme une
force vivante sur ce
qui est
essentiellement en
train de mourir et
jamais crée, pas de
nouveau matériel,
mais nouveaux
mouvements adaptés
aux extrémités de
ses propres, et crée
ainsi très autant
que l’artiste crée.
C’est la directive
et téléologique et
pourtant, bien que
consciente, ne
fonctionne pas selon
un plan préconçu,
mais c’est peut-être
possible. Il
détermine évolution
elle-même ainsi que
la direction dans
laquelle l’évolution
se déplace. Cette
vie jamais création,
« dont tous les
individus et toutes
les espèces sont une
expérience, » est
Dieu de Bergson, un
Dieu qui est fini,
qui est limitée au
pouvoir et qui est
apparemment
impersonnel, même si
Hermann dit que
« nous ne,
peut-être, pas aller
loin de la vérité en
croyant qu’il « la
tendance idéale des
choses » seront
personnelle. »
Haas
parle de Bergson
comme un panthéiste
vitaliste et non
théiste. En tout
cas, son Dieu est un
Dieu qui est tout à
fait dans le monde.
Ce point de vue peut
avoir un attrait
particulier pour le
théologien libéral
modern, mais il est
encore moins en
harmonie avec le
récit de la création
que l’évolution
théiste.
QUESTIONS
pour une étude plus
approfondie. Quelle
est la vraie
alternative à la
doctrine de la
création ? Où se
situe l’importance
de la doctrine de la
création ? Les
premiers chapitres
de la Genèse
puissent avoir une
incidence quelconque
sur l’étude
scientifique de
l’origine des
choses ? La Bible en
quelque sorte
détermine-t-il le
temps où le monde a
été créé ? Quels
extrêmes sont à
proscrire quant à la
relation entre Dieu
et le monde à
l’autre ? La Bible
devrait toujours
être interprétée en
harmonie avec les
théories
scientifiques
largement
acceptées ? Quel est
le statut de
l’hypothèse de
l’évolution dans le
monde scientifique
aujourd'hui ? Quel
est l’élément
caractéristique de
la théorie
darwinienne de
l’évolution ?
Comment
expliquez-vous son
rejet généralisé à
l’heure actuelle ?
Comment évolution
créatrice de Bergson
ou le néo-vitalisme
de Hans Driesch
affecte-t-elle la
conception mécaniste
de l’univers ? En
quoi est l’évolution
théiste une
amélioration au
cours de l’évolution
naturaliste ?
LITTÉRATURE. Bavinck,
Geref. Dogme.
II.
pp. 426-543; Ibid.,
Schepping de
Ontwikkeling;
Kuyper,
Dict. dogme.,
De
Creatione, pp.
3-127;
De Creaturis A,
p. 5-54; B. p. 3-42;
Ibid.,
Evolutie; Vos
Geref. Dogme.
J’ai,
De Schepping;
Hodge.
Syst. Theol. I,
p. 550-574; Shedd,
dogme
.
THEOL.
I,
pp. 463-526;
McPherson,
Chr.
dogme., p.
163-174;
Dabney,
syst et
polémique Theol.,
pp. 247-274; Harris,
Dieu,
créateur et Seigneur
de tous, I, pp.
463-518; Hepp,
calvinisme et
philosophie de la
Nature, Chap.
V; Honig,
Geref. Dogme.,
p. 281-324;
Noordtzij, de
Dieu
der de fr Woord
Eeuwen Getuigenis,
p. 77-98; Aalders,
De
Goddelijke
Openbaring in de
Eerste Drie
Hoofdstukken van
Genèse; Geesink,
de Van
Heeren Ordinantien,
Inleidend Deel, pp.
216-332; divers
travaux de Darwin,
Wallace, Weissman,
Osborne, Spencer,
Haeckel, Thomson et
autres sur
l’évolution; Dennert,
le lit
de mort du
darwinisme;
Dawson,
la Bible a confirmé
par la Science;
Fleming,
évolution et
création;
Hamilton,
la base
de la foi
évolutionniste;
Johnson,
peut
maintenant Christian
croient en évolution?
McCrady,
raison
et révélation;
De plus,
le
dogme de l’évolution;
Morton,
la faillite de
l’évolution; O
' Toole,
l’affaire contre
l’évolution;
Prix,
les principes
fondamentaux de la
géologie;
Ibid.,
Le fantôme de
l’évolution
biologique;
Messenger,
évolution et la
théologie;
Rimmer,
la théorie de
l’évolution et les
faits de la Science.
A. le compte
biblique de la
création.
Autres pays, ainsi
que les Hébreux,
avaient leurs
comptes concernant
l’origine de
l’univers matériel
et de la façon dont
le chaos initial a
été transformé en un
cosmos ou un monde
habitable. Certains
de ces comptes
révèlent des traces
de similitude avec
le récit biblique,
mais contiennent des
différences encore
plus frappantes. Ils
sont en général
caractérisées par
des éléments
dualistes ou
polythéistes,
représentent le
monde actuel comme
le résultat d’une
lutte acharnée entre
les dieux, puis sont
très éloignées de la
simplicité et la
sobriété du récit
biblique. Il peut
être souhaitable de
préfacer notre
discussion de ses
détails par quelques
remarques générales.
1.
du POINT de vue d'où
la BIBLE envisage le
travail de création.
C’est une chose
importante que le
récit de la
création, alors
qu’il mentionne la
création des cieux,
s’intéresse pas
davantage vers le
monde spirituel. Il
porte sur le monde
matériel uniquement
et cela représente
avant tout comme
l’habitation de
l’homme et que le
théâtre de ses
activités. Il s’agit
non pas avec des
réalités invisibles
comme les esprits,
mais avec les choses
qui sont visibles.
Et parce que ces
choses sont
perceptibles aux
sens humains, ils
viennent vers le
haut pour la
discussion, non
seulement en
théologie, mais
aussi dans les
autres sciences et
en philosophie. Mais
alors que la
philosophie cherche
à comprendre
l’origine et la
nature de toutes
choses par la
lumière de la
raison, la théologie
prend son point de
départ en Dieu, se
permet d’être guidé
par sa révélation
spéciale concernant
le travail de
création et
considère tout à
Lui. Le récit de la
création est le
début de la
révélation de Dieu
et nous familiarise
avec la relation
fondamentale dans
laquelle tout, homme
compris, se trouve à
lui. Il souligne la
position originale
de l’homme, afin que
les hommes de tous
âges pourraient
avoir une bonne
compréhension du
reste de l’écriture
comme une révélation
de la rédemption.
Alors qu’il ne
prétend pas nous
donner une
cosmogonie
philosophique
complète, elle
contient des
éléments importants
pour la construction
d’une cosmogonie
appropriée.
2.
l’origine du récit
de la création.
La question de
savoir l’origine du
récit de la création
a été soulevée à
plusieurs reprises,
et l’intérêt qu’il a
été renouvelé par la
découverte de
l’histoire
babylonienne de la
création. Cette
histoire, comme il
est connu pour nous,
a pris forme dans la
ville de Babylone.
Il parle de la
génération de
plusieurs dieux,
dont Marduk s’avère
suprême. Seulement,
il a été
suffisamment
puissant pour
surmonter le
primeval dragon
Tiamat et devient le
créateur du monde,
que les hommes
adorent. Il y a
quelques points de
similitude entre le
récit de la création
dans la Genèse et
cette histoire
babylonienne. Les
deux parlent d’un
chaos primitif et
d’une division des
eaux ci-dessous et
ci-dessus le
firmament. Genèse
parle de sept jours,
et le compte
babylonien est
organisé en sept
comprimés. Les deux
comptes connecter
les cieux avec le
quatrième époque de
création et la
création de l’homme
avec la sixième.
Certaines de ces
ressemblances sont
de peu d’importance,
et les différences
des deux comptes
sont beaucoup plus
importantes. L’ordre
hébreu diffère sur
de nombreux points
de la babylonienne.
La plus grande
différence se
trouve, cependant,
dans les conceptions
religieuses des
deux. Le compte
babylonien, à la
différence de celle
de l’écriture, est
mythologique et
polythéiste. Les
dieux ne pas se
tenir debout sur un
niveau élevé, mais
le schéma et le
terrain et se
battre. Et Marduk ne
parvient qu’après
une lutte prolongée,
dont taxes de sa
force, à vaincre les
forces du mal et de
réduire le chaos à
l’ordre. Dans la
Genèse, en revanche,
nous rencontrer le
monothéisme plus
sublime et voir Dieu
appelant l’univers
et toutes choses par
la simple parole de
sa puissance.
Lorsque le compte
Babyloniens a été
découvert, beaucoup
d’érudits hâtivement
supposé que le récit
biblique a été
dérivé de la source
babylonienne,
oubliant qu’il
existe au moins deux
autres possibilités,
à savoir, (a) que
l’histoire
babylonienne est un
corrompu
reproduction de la
narration dans la
Genèse; ou (b) que
les deux sont issus
d’une source
commune, plus
primitive. Mais
cependant peut
répondre à cette
question, il ne
règle pas le
problème de
l’origine du récit.
Comment l’original,
qu’elle soit écrite
ou orale, venu à
l’existence ?
Certains la
considèrent
simplement comme le
produit naturel de
réflexion de l’homme
sur l’origine des
choses. Mais cette
explication est
extrêmement peu
probable étant donné
les faits suivants:
(a) l’idée de
création est
incompréhensible;
(b) la science et la
philosophie
s’opposent également
à la doctrine de la
création de rien; et
(c), c’est seulement
par la foi que nous
comprenons que les
mondes ont été
encadrées par la
parole de Dieu,
Hébreux 11:3. Nous
arrivons donc à la
conclusion que
l’histoire de la
création a été
révélé à Moïse ou à
l’un des patriarches
antérieurs. Si cette
révélation a été
préalablement
mosaïque, il passé
dans la tradition
(orale ou écrite)
d’une génération à
l’autre,
probablement perdu
de sa pureté
originelle et fut
finalement
incorporée dans une
forme pure, sous la
direction de
l’Esprit Saint, dans
le premier livre de
la Bible .
3.
l’interprétation de
la Genèse
1:1, 2. certains
considèrent la
Genèse 1:1 comme la
suscription ou le
titre du récit de la
création entière.
Mais ceci est
inacceptable pour
trois raisons: (a)
parce que le récit
suivant est relié
avec le premier
verset de la
conjonction
hébraïque
waw
(et), qui ne serait
pas le cas si le
premier couplet
était un titre; (b)
parce que, il n’y
aurait pas de compte
sur cette
supposition, que ce
soit de la création
originale et
immédiate; et (c)
car les versets
suivants ne
contiennent aucun
récit de la création
des cieux à tous. Le
plus généralement
accepté
interprétation est
que Genèse 1:1
enregistre la
création originale
et immédiate de
l’univers,
Hebraistically
appelé « ciel et
terre. » Dans cette
expression, le
« ciel » de mot se
réfère à cet ordre
invisible des choses
où la gloire de Dieu
se révèle la manière
la plus parfaite. Il
ne saurait être
considérée comme une
désignation des
cieux cosmique, si
des nuages ou des
étoiles, pour ces
derniers ont été
créés sur le
deuxième et le
quatrième jour de la
semaine de la
création. Dans le
second verset,
l’auteur décrit
ensuite l’état
original de la terre
(COMP. PS. 104:5,
6). C’est une
question discutable,
que ce soit la
création originale
de la matière formé
d’une partie des
travaux de la
première journée, ou
fut séparée de cela
par une période plus
courte ou plus
longue. Parmi ceux
qui s’interposer une
longue période entre
les deux, certains
soutiennent que le
monde était à
l’origine un lieu
d’habitation des
anges, a été détruit
à la suite d’une
chute dans l’univers
Angélique et a été
ensuite récupéré et
transformé en une
habitation fit pour
hommes. Nous ferons
référence à cette
théorie de
restitution dans une
autre connexion.
B. la virginité, ou
le travail des jours
distincts.
Après la création de
l’univers à partir
de rien dans un
moment de temps, le
chaos existant a été
progressivement
transformé en un
cosmos, un monde
habitable, en six
jours successifs.
Avant le travail des
jours distincts est
indiqué, le.
question quant à la
longueur des jours
de la création exige
une brève
discussion.
1.
examen de la théorie
qu’il s’agissait de
longues périodes.
Certains chercheurs
supposent que les
jours de Genèse 1
étaient longues
périodes de temps,
afin qu’elles
s’harmonisent avec
les périodes
géologiques. Estime
que ces jours
n’étaient pas des
jours ordinaires de
vingt-quatre heures
n’était pas tout à
fait étranger à la
théologie chrétienne
au début, comme le
montre E. C.
Messenger en détail
dans son savant
travail sur
l’évolution et la
théologie. Mais
certains d'entre les
pères de l’église,
qui a laissé
entendre que ces
jours étaient sans
doute ne pas à
considérer comme des
jours ordinaires, a
exprimé l’avis que
l’ensemble du
travail de création
a été fini en un
moment de temps, et
que les jours
constituaient
simplement un cadre
de travail
symbolique, qui
facilité la
description des
travaux de création
de façon ordonnée,
afin de la rendre
plus intelligible
pour les finis
esprits. Estime que
les jours de la
création ont été
longtemps est venu
au premier plan dans
ces dernières
années, pas,
cependant, comme le
résultat d’études
exégétiques, mais
sous l’influence des
divulgations de la
science. Avant le
XIXe siècle, les
jours de la Genèse
étaient plus
généralement
considérés comme
jours littéraux.
Mais, bien sûr,
l’interprétation
humaine n’est pas
infaillible et peut
devoir être révisé à
la lumière des
découvertes plus
tard. Si les
conflits exégèse
traditionnelle, non
seulement avec les
théories
scientifiques — qui
sont elles-mêmes des
interprétations —,
mais avec des faits
bien établis,
repenser et
réinterprétation est
naturellement dans
l’ordre. On peut
difficilement
affirmer, toutefois,
que les périodes
géologiques
présumées
nécessitent un
changement de front,
car ils ne sont en
aucun cas
généralement
reconnu, même dans
les milieux
scientifiques, faits
ainsi établis.
Certains érudits
chrétiens, tels que
Harris, Miley,
Bettex et Geesink,
supposent que les
jours de la Genèse
sont jours
géologiques, et tant
Shedd Hodge attirer
l’attention sur la
concordance
remarquable entre le
dossier de la
création et le
témoignage des
roches et sont
enclin à considérer
les jours de la
Genèse comme
périodes
géologiques.
La question peut
être soulevée, que
ce soit mais
possible de
concevoir les jours
de la Genèse comme
de longues périodes.
Et puis il faut
admettre que mot
hébreu
yom ne désigne
pas toujours une
période de
vingt-quatre heures
dans les Ecritures
et ne sert pas
toujours dans le
même sens, même dans
le récit de la
création. Il peut
que la lumière du
jour dans la
distinction des
ténèbres, Genèse
1:5, 16, 18;
jour-lumière et
l’obscurité
ensemble, Genèse
1:5, 8, 13 etc..;
les six jours, pris
ensemble, Genèse
2:4; et une durée
indéterminée
identifiés dans
toute sa longueur
par quelque trait
caractéristique, par
ennui, Psaume 20:1,
colère, Job à 20:28,
prospérité, Eccl.
07:14, ou le Salut
II Cor. 6:2.
Maintenant, certains
soutiennent que la
Bible favorise
l’idée que les jours
de la création ont
été des périodes
indéfinies de temps
et d’attirer
l’attention à ce qui
suit: (a) le soleil
n’a pas été créé
avant le quatrième
jour, et donc la
longueur des jours
précédents ne
pouvait pas encore
être déterminée par
l’oreille relation
de Th au soleil.
Cela est
parfaitement vrai,
mais ne prouve pas
le point. Dieu avait
établi de toute
évidence, même avant
le quatrième jour,
une alternance
rythmique de la
lumière et les
ténèbres, et il n’y
a aucun motif pour
l’hypothèse selon
laquelle les jours
ainsi mesurées
étaient de plus
longue durée que les
jours plus tard.
Pourquoi devrions
nous supposons que
Dieu a
considérablement
augmenté la vitesse
de rotation de la
terre après que la
lumière était
concentrée dans le
soleil ? (b) les
jours mentionnés
sont jours de Dieu,
les jours
archétypales, dont
les jours des hommes
sont simplement
ectypal exemplaires;
et avec Dieu mille
ans sont comme un
seul jour, Psaume
90.4; II Pierre 3:8.
Mais cet argument
repose sur une
confusion des temps
et l’éternité. Dieu
ad intra
a pas jours, mais
demeure dans
l’éternité, exalté
jusqu'à maintenant
surtout des mesures
de temps. C’est
aussi l’idée
véhiculée par le
Psaume 90.4; et II
Pierre 3:8. Les
seule véritable
jours dont Dieu a
connaissance sont
les jours de ce
monde
d’espace-temps.
Comment s’ensuit-il
pas du fait que Dieu
est plus haut que
les limites de
temps, tels qu’ils
existent dans ce
monde, où le temps
est mesuré par jours
et des semaines et
des mois et des
années, qui un jour
peut tout aussi bien
être une période de
100 000 ans comme
l’un des
vingt-quatre
heures ? (c) le
septième jour, le
jour où Dieu s’est
reposé de sa
passion, est censée
poursuivre jusqu'à
l’heure actuelle et
doit donc être
considérée comme une
période de milliers
d’années. C’est le
Sabbat de Dieu, et
ce Sabbat ne se
termine jamais. Cet
argument représente
une confusion
semblable. L’idée de
Dieu commence le
travail de création
à un certain moment,
et puis il cesse
après une période de
six jours, ne
s’applique pas à
Dieu comme il est en
lui-même, mais
seulement aux
résultats
temporelles de son
activité créatrice.
Il est immuablement
le même d’âge en
âge. Son Sabbat
n’est pas une
période prolongée
indéfiniment; Il est
éternel. En
revanche, le Sabbat
de la semaine de la
création a été un
jour longueur égal
aux autres jours.
Dieu s’est reposé,
non seulement, ce
jour-là, mais il a
aussi béni et
sanctifié, mettant
de côté comme un
jour de repos pour
l’homme, Exode
20:11. Ceci
s’appliquerait
difficilement à
l’ensemble de la
période depuis la
création jusqu'à nos
jours.
2.
examen de la vue
qu’il s’agissait des
jours littéraux.
L’opinion qui
prévaut depuis
toujours que les
jours de Genèse 1
doivent s’entendre
comme jours
littéraux.
Quelques-uns des
premiers pères de
l’église ne les
considérait pas
comme des
indications réelles
du temps où le
travail de création
a été achevé, mais
plutôt comme une
forme littéraire
dans laquelle
l’écrivain de la
Genèse castée le
récit de la
création, pour photo
le travail de
création — qui a été
vraiment achevé en
un moment de temps —
de façon ordonnée
pour l’intelligence
humaine. C’est
seulement après que
les sciences
relativement nouveau
de la géologie et de
palæontology se sont
manifestés avec
leurs théories de
l’énorme âge de la
terre, que les
théologiens se
manifestèrent une
inclinaison pour
identifier les jours
de la création avec
les longues périodes
géologiques.
Aujourd'hui certains
d'entre eux la
considèrent comme un
fait établi que les
jours de Genèse 1
furent des périodes
de temps
géologiques;
d’autres sont un peu
enclins à occuper ce
poste, mais montrent
beaucoup
d’hésitation. Hodge,
Sheldon, Van
Oosterzee et Dabney,
dont certains ne
sont pas tout à fait
opposés à ce point
de vue, sont tous
d’accord que cette
interprétation des
jours est
mais
douteux, voire
impossible. Kuyper
et Bavinck tenir
que, tandis que les
trois premiers jours
ait été de quelque
peu différentes
longueurs, les trois
derniers étaient
certainement
ordinaires jours.
Naturellement, ils
ne considèrent pas
même les trois
premiers jours comme
des périodes
géologiques. Vos
dans son
Gereformeerde
Dogmatiek
défend la position
selon laquelle les
jours de la création
ont été les jours
ordinaires. Hepp
prend la même
position dans son
calvinisme et la
philosophie de la
Nature.
Noortzij dans
der fr
de dieux Woord
Eeuwen Getuigenis, affirme
que mot hébreu
yom
(jour) dans Genèse 1
ne peut
éventuellement
désigner quoi que ce
soit d’autre qu’un
jour ordinaire, mais
tient que l’écrivain
de la Genèse
n’attachait pas une
importance à la
notion de « jour »,
mais introduit
simplement au sein
d’un cadre de
travail pour le
récit de la
création, ne pas
indiquer la séquence
historique, mais à
l’image de la gloire
des créatures à la
lumière du grand
dessein Rédempteur
de Dieu. C’est
pourquoi le Sabbat
est le grand point
culminant, où
l’homme atteint son
véritable destin. Ce
point de vue nous
rappelle assez
fortement la
position de certains
des premiers pères
de l’église. Les
arguments avancés
pour qu’il ne sont
pas très
convaincant, Aalders
a montré dans son
De
Eerste Drie
Hoofdstukken van
Genesis.
Ce chercheur de
l’ancien Testament
contient, sur la
base de la Genèse
1:5, que terme
yom
dans Genèse 1 dénote
simplement la
période de lumière,
par opposition à
celle des ténèbres;
mais ce point de vue
semble impliquer une
interprétation
plutôt contre nature
de l’expression
répétée « et il y
avait soirée et il y
avait le matin. » Il
doit alors être
interprétée comme
signifiant et il y
avait soirée
précédée d’un matin.
Selon m. Aalders,
aussi, l’écriture
favorise
certainement l’idée
que les jours de la
création ont été les
jours ordinaires,
bien qu’il n’est pas
possible de
déterminer leur
durée exacte, et les
trois premiers jours
peut avoir
différaient quelque
peu depuis les trois
dernières.
L’interprétation
littérale du terme
« jour » en Genèse 1
est favorisée par
les considérations
suivantes: (a) dans
son premier sens du
mot yom
dénote un jour
naturel; et c’est
une bonne règle en
exégèse, ne pas
s’écarter de la
signification
primaire d’un mot,
sauf si cela est
requis par le
contexte. Dr
Noortzij insiste sur
le fait que ce mot
ne signifie pas
simplement rien
d’autre que
« jour », comme cela
est connu par
l’homme sur la
terre. (b) l’auteur
de la Genèse semble
se taire nous
absolument à
l’interprétation
littérale en
ajoutant, dans le
cas de tous les
jours, les mots:
« et il y avait
soirée et il y avait
le matin. » Chacun
des jours mentionnés
a juste un soir et
matin, quelque chose
qui s’appliquerait
difficilement à une
période de milliers
d’années. Et si il
faut dire que les
périodes de création
étaient jours
extraordinaires,
chacun consistant en
une longue journée
et une nuit longue,
alors la question se
pose naturellement,
ce qui allait
devenir de toute
végétation au cours
de la longue, longue
nuit ? (c) dans
Exode 20:9-11 Israël
est commandé à six
jours de travail et
au repos sur le
septième, parce que
Jéhovah a fait les
cieux et la terre en
six jours et se
reposa le septième
jour. Son exégèse
semblerait requiert
que le mot « jour »
dans le même sens
dans les deux cas.
Par ailleurs le
Sabbat mis de côté
pour le reste était
certainement un jour
littéral; et la
présomption est que
les autres jours
étaient de même
nature. (d) au cours
des trois derniers
jours étaient des
jours certes
ordinaires, car ils
ont été déterminés
par le soleil de la
manière habituelle.
Alors que nous ne
pouvons pas être
absolument sûrs que
les jours précédents
ne différaient pas
d’eux, tout en
longueur, il est
très improbable
qu’ils diffèrent de
leur part, comme des
périodes de milliers
d’années, diffèrent
des jours
ordinaires. Peut
aussi se demander,
pourquoi une si
longue période
devrait être
requise, par
exemple, pour la
séparation de la
lumière et les
ténèbres.
3.
le travail des jours
distincts.
Nous remarquons dans
le travail de
création une
certaine gradation,
le travail de chaque
jour mène jusqu'à et
se prépare pour le
travail de l’autre,
le tout aboutissant
à la création de
l’homme, la Couronne
de l’ouvrage de
Dieu, chargée
d’assurer la tâche
importante
consistant à toute
la création inféodé
à la gloire de Dieu.
a. le
premier jour.
Le premier jour, la
lumière a été créé
et par la séparation
de la lumière et les
ténèbres nuit et ont
été constituées.
Cette création de la
lumière le premier
jour a été
ridiculisée compte
tenu du fait que le
soleil n’a pas été
créé avant le
quatrième jour, mais
science elle-même
réduite au silence
le ridicule en
prouvant que la
lumière n’est pas
une substance
émanant du soleil,
mais se compose
d’éther vagues
produites par
électrons
énergétiques. Notez
également que la
Genèse ne parle pas
du soleil comme la
lumière (oupas),
mais comme porteur
de lumière (ma),
exactement ce que la
science a découvert
qu’il est. Compte
tenu du fait que la
lumière est la
condition de toute
vie, c’était mais
naturelle qu’il
devrait être créé en
premier. Dieu a
institué également à
la fois l’ordonnance
de l’alternance de
lumière et
d’obscurité,
appelant la lumière
jour et la nuit de
l’obscurité.
Cependant, on nous
dit pas comment
cette alternance a
été effectuée. Le
compte de travail
chaque journée de se
termine par ces
mots: « et il y
avait soirée et il y
avait le matin. »
Les jours ne sont
pas considérés de
soir à soir, mais du
matin au matin.
Après douze heures,
il y avait soirée,
et après un autre 12
heures il y a matin.
b. le
deuxième jour.
Les travaux de la
deuxième journée a
également étaient
une œuvre de
séparation: le
firmament a été
établi en divisant
les eaux ci-dessus
et les eaux
sous-jacentes. Les
eaux ci-dessus sont
les nuages et pas,
comme certains
aurait-il, la mer de
verre, Apocalypse
4:6; 15:2 et la
rivière de la vie,
Apocalypse 22:1.
Certains ont
discrédité la
mosaïque compte sur
la supposition qu’il
représente le
firmament comme une
voûte solide; mais
c’est tout à fait
injustifié, car le
mot hébreu
Rene
ne désigne pas une
voûte solide du
tout, mais est
l’équivalent de
notre mot
« étendue ».
c. le
troisième jour.
La séparation se
faite encore plus
loin dans la
séparation de la mer
de la terre sèche,
cf. PS. 104:8. En
plus de cela, le
règne végétal de
plantes et d’arbres
a été créé. Trois
grandes classes sont
mentionnées, à
savoir
deshe',
c'est-à-dire les
plantes sans fleurs,
qui ne pas
mutuellement
fructifier de la
manière habituelle;
'esebh,
composé de légumes
et de céréales
produisant des
semences; et 'ets
peri ou fruits
arbres, leurs fruits
selon leur type. Il
est à noter ici: (1)
que, lorsque Dieu
dit: « que la terre
formulées herbe »
etc, ce n’était pas
équivalent à dire:
laisser les matières
inorganiques à
développer
par ses
propres inhérentes
de force dans
la vie végétale.
C’était un mot du
pouvoir par lequel
Dieu implanté le
principe de la vie
sur la terre et donc
lui ont permis
d’enfanter des
herbes et des herbes
et des arbres. Que
c’est une parole
créatrice est
évident d’après
Genèse 2:9. (2) que
l’instruction, « et
la terre produisit
herbe, herbes
produisant des
semences après leur
genre et les arbres
portant des fruits,
dans lequel est la
semence, selon leur
espèce » (vs. 12),
distinctement
favorise l’idée que
les différentes
espèces de plantes
ont été créés par
Dieu, et n’a pas
développé l’un sur
l’autre. Chacun
d’eux enfantée
semence selon son
espèce et pourrait
donc ne se
reproduire son
genre. La théorie de
l’évolution, bien
sûr, négatifs tous
les deux de ces
assertions; mais il
faut avoir à
l’esprit que les
deux génération
spontanée et le
développement d’une
espèce à l’autre,
sont non prouvées et
désormais largement
discrédité,
hypothèses.
d. le
quatrième jour.
Soleil, lune et
étoiles, ont été
créés en tant que
porteurs de lumière,
pour servir à
diverses fins: (1)
pour diviser le jour
et la nuit; (2) pour
être des signes,
c'est-à-dire, pour
indiquer les points
cardinaux, présager
des changements des
conditions
météorologiques et
pour servir de
signes d’importants
événements futurs et
prochains jugements;
(3) d’être des
saisons et Pendant
des jours et des
années,
c'est-à-dire, pour
atteindre l’objectif
d’effectuer le
changement des
saisons, la
succession d’années
et la répétition
régulière des jours
de fête spéciales;
et (4) pour servir
de lumières pour la
terre et donc à
permettre le
développement de la
vie organique sur
terre.
e. le
cinquième jour.
Cette journée
apporte la création
des oiseaux et les
poissons, les
habitants de l’air
et les eaux. Oiseaux
et les poissons vont
ensemble, car il y a
une grande
similitude dans leur
structure organique.
En outre, ils sont
caractérisés par une
instabilité et la
mobilité qu’ils ont
en commun avec
l’élément dans
lequel ils évoluent,
en comparaison avec
de la terre ferme.
Elles conviennent
également dans leur
méthode de
procréation. Notez
qu’ils sont, aussi,
ont été créées selon
leur espèce,
c'est-à-dire les
espèces ont été
créées.
f. le
sixième jour.
Cette journée
apporte l’apogée du
travail de création.
Dans le cadre de la
création des animaux
l’expression est une
fois de plus
utilisée, « Que la
terre produise », et
ce nouveau doit être
interprété que comme
il est indiqué au
point c. Les animaux
ne développaient pas
naturellement hors
de la terre, mais
ont été enfantée par
la fiat créatrice de
Dieu. On nous dit
distinctement dans
que le 25e verset
que Dieu a
fait
les bêtes de la
terre, le bétail et
les choses rampantes
de la terre selon
leur espèce. Mais
même si l’expression
mentionne
développement
naturel, il ne
serait pas en
harmonie avec la
doctrine de
l’évolution, car qui
n’enseigne pas que
les animaux ont
développé
directement hors du
monde minéral. La
création de l’homme
se distingue par
l’avocat solennelle
qui le précède:
« faisons l’homme à
notre image, selon
notre
ressemblance »; et
ce n’est pas
étonnant, puisque
tout ce qui a
précédé n’était
qu’une préparation à
la venue de l’homme,
le œuvre de
couronnement de
Dieu, le roi de la
création; et parce
que l’homme était
destinée à être
l’image de Dieu. Les
mots
tselem et
demuth
désigne pas
exactement la même
chose, mais sont
néanmoins utilisés
inter-changeably.
Quand on dit que
l’homme est créé à
l’image de Dieu, ce
qui signifie que
Dieu est l’archétype
de l’est que l’homme
est l’insupportable;
et lorsqu’il est
ajouté qu’il est
créé selon la
ressemblance de
Dieu, ce qui ajoute
simplement l’idée
que l’image est dans
tous les sens comme
l’original. Dans
tout son être,
l’homme est l’image
même de Dieu.
Avant de passer à du
septième jour, il
peut être bien pour
attirer l’attention
sur le parallèle
remarquable entre
les travaux de la
première et celle
des seconde trois
jours de la
création.
1. la création de la
lumière. & 4. La
création de porteurs
de lumière.
2. création
d’étendue et de la
séparation des eaux.
& 5. Création des
oiseaux du ciel et
les poissons de la
mer.
3. séparation des
eaux et la terre
ferme et préparation
de la terre comme
une habitation de
l’homme et la bête.
& 6. Création des
bêtes du
champ, le bétail et
rampant toutes
choses; et Man.
g. le
septième jour.
Le repos de Dieu le
septième jour
contient d’abord un
élément négatif.
Dieu a cessé de son
travail de création.
Mais à cela
s’ajoutent un
élément positif, à
savoir, qu’il prenne
plaisir dans son
travail achevé. Son
repos est comme le
reste de l’artiste,
après que qu’il a
terminé son
chef-d'œuvre et
maintenant les
regards sur elle
avec une profonde
admiration et de
joie et trouve une
satisfaction
parfaite dans la
contemplation de sa
production. « Et
Dieu vit tout ce
qu’il avait fait et
voici, cela était
très bon. » Il a
répondu le dessein
de Dieu et
correspondait à
l’idéal divin. C’est
pourquoi Dieu se
réjouit de sa
création, pour
dedans il reconnaît
le reflet de ses
perfections
glorieuses. Son
visage radieux
éclaire il et est
productif de douches
de bénédictions.
4.
aucun SECOND récit
de la création dans
la Genèse 2.
Il est assez
fréquent pour
avancée critique
supérieure de
supposer que la
Genèse 2 contient un
compte rendu de la
deuxième et
indépendant de la
création. Le premier
compte est considéré
comme le œuvre de
l’Elohist et le
second comme celle
de la Jehovist. Les
deux, dit-on,
n’acceptez pas, mais
le conflit sur
plusieurs points.
Selon le deuxième
récit, par
opposition à la
première, la terre
est sèche avant la
création de plantes;
l’homme est créé
avant les animaux et
que seul, pas comme
homme et femme; Puis
Dieu créa les
animaux, afin de
voir si elles seront
compagnons fit pour
l’homme; voyant
qu’ils ne
parviennent pas à
cet égard, il a crée
la femme comme une
compagne pour
l’homme; et, enfin,
il place l’homme
dans le jardin qu’il
avait préparé pour
lui. Mais il s’agit
clairement d’une
incompréhension
totale du deuxième
chapitre. Genèse 2
n’est pas et ne
prétend pas être, un
récit de la
création. La
suscription 'eleh
toledoth, qui
se trouve dix fois
dans la Genèse,
jamais fait
référence à la
naissance ou
l’origine des
choses, mais
toujours à leur
naissance,
c'est-à-dire leur
histoire plus tard.
L’expression remonte
à un temps quand
l’histoire se
composait toujours
dans la description
des générations. Le
deuxième chapitre de
la Genèse commence
la description de
l’histoire de
l’homme, organise
son matériel en
fonction de ce but
et ne répète
tellement de ce qui
a été dit dans le
chapitre précédent,
sans aucune
considération
d’ordre
chronologique, comme
est nécessaire pour
l’auteur but du
voyage.
5. LES TENTATIVES
D’HARMONISER LE
RÉCIT DE LA CRÉATION
AVEC LES CONCLUSIONS
DE LA SCIENCE.
a.
l’interprétation
idéale ou
allégorique. Ce
qui donne une
importance à l’idée,
plutôt qu’à la
lettre de la
narration. Elle
considère Genèse 1
comme une
description poétique
de le œuvre
créatrice de Dieu,
cela représentant
différents points de
vue. Mais (1) il est
tout à fait évident
que le récit est
conçu comme un
record de l’histoire
et est clairement
considéré alors dans
l’écriture, cf.
Exode 20:11; Néhémie
9:6; PS. 33: 6, 9;
145:2-6; (2) le
premier chapitre de
la Genèse « manque
de presque tous les
éléments de la
poésie hébraïque
reconnue » (fort);
et (3) ce récit est
inséparablement lié
à l’histoire
suivante, et est
donc plus
naturellement
considérée comme
historique
elle-même.
b. la
théorie mythique de
la philosophie
moderne. La
philosophie moderne
a progressé au-delà
de la position
précédente. Elle
rejette non
seulement le récit
historique de la
création, mais aussi
l’idée de création
et ce qui concerne
le contenu de Genèse
1 comme un mythe
incarnant une leçon
religieuse. Il n’y a
aucune allégorie
intentionnelle ici,
il est dit, mais
uniquement une
représentation
mythique naïf avec
une base religieuse
ou le noyau. C’est
également à
l’encontre du fait
que Genèse 1
certainement vient à
nous avec la
prétention d’être un
récit historique, et
dans les renvois,
mentionnés
ci-dessus, il
certainement n’est
pas considéré comme
un mythe.
c. la
théorie de la
restitution.
Certains théologiens
ont tenté de
concilier le récit
de la création avec
les découvertes de
la science dans
l’étude de la terre
en adoptant la
théorie de la
restitution. Elle a
été préconisée par
Chalmers, Buckland,
Wisemann et
Delitzsch et suppose
qu’une longue
période de temps
écoulé entre la
création primaire,
mentionnés dans
Genèse 1:1 et la
création secondaire
décrit dans Genèse
1:3-31. Cette longue
période a été
marquée par
plusieurs
changements
catastrophiques,
entraînant la
destruction
prétendument décrite
dans les termes
« déchets et Sub. »
Le second couplet
devrait alors lire,
« et la terre sont
devenus des déchets
et Sub. » Cette
destruction a été
suivie d’une
restitution, lorsque
Dieu a changé le
chaos dans un
cosmos, un monde
habitable pour
l’homme. Cette
théorie pourrait
offrir des
explications sur les
différentes strates
de la terre, mais il
n’offre aucune
explication des
fossiles dans les
roches, à moins
qu’il est supposé
qu’il y avait aussi
des créations
successives
d’animaux, suivies
de destructions
massives. Cette
théorie jamais
trouvé faveur dans
les milieux
scientifiques et ne
trouve aucun appui
dans les Ecritures.
La Bible ne dit pas
que la terre
est
devenue, mais
qu’il
était des
déchets et nul. Et
même si le verbe
hébreu
hayetha peuvent
être rendues « est
devenu », les mots
« déchets et Sub »
indiquent une
condition informe et
non une condition
résultant de la
destruction.
Delitzsch combiné
avec cette théorie
l’idée que la terre
était habitée par
les anges, et que la
chute dans l’univers
Angélique a été la
cause de la
destruction qui a
entraîné le chaos
dénommé dans le
verset 2. Pour une
raison ou une autre,
ce point de vue
trouve faveur
considérable parmi
les
dispensationalistes
de nos jours, qui
trouvent le soutien
en sa faveur dans
ces passages, comme
Ésaïe 24:1; Jérémie
04:23-26; Job.
9:4-7; II Pierre
2:4. Mais même une
lecture attentive de
ces passages est
suffisante pour
convaincre un qu’ils
ne prouvent pas le
point en question à
tous. En outre, la
Bible enseigne
clairement nous que
Dieu créa ciel et
terre « et toute
leur armée » en six
jours, Genèse 2:1;
Exode 20:11.
d. la
théorie de
concordistic.
Cela cherche à
harmoniser
l’écriture et la
science de supposer
que les jours de
création furent des
périodes de milliers
d’années. En plus de
ce qui a été dit à
ce sujet en
discutant les jours
de la création, nous
pouvons maintenant
ajouter que l’idée
que les strates de
la terre point
positivement à
longues périodes
successives du
développement de
l’histoire de son
origine, est
simplement une
théorie des
géologues et une
théorie reposant sur
des généralisations
injustifiées. Nous
pourrions appeler
l’attention sur les
considérations
suivantes: (1) la
science de la
géologie n’est pas
seulement jeune,
mais il est encore
sous l’esclavage de
la pensée
spéculative. On ne
peut considérer
comme une science
inductive, puisque
c’est en grande
partie le fruit des
a priori
ou d’un raisonnement
déductif. Spencer a
appelé « Géologie
illogique » et
ridiculisé ses
méthodes et Huxley a
parlé de ses
hypothèses grand
comme « non prouvée
et non prouvables. »
(2)
jusqu'à l’heure
actuelle, il a fait
guère plus que
gratter la surface
de la terre et que
dans un nombre très
limité de places. En
conséquence, ses
conclusions sont
souvent simples
généralisations,
basées sur des
données
insuffisantes. Faits
constatés dans
certains endroits
sont contredites par
celles que l'on
trouve dans
d’autres. (3) même
si elle avait
exploré des grandes
surfaces dans toutes
les régions du
globe, il pourrait
seulement augmenter
nos connaissances
sur l’état actuel de
la terre, mais ne
serait jamais en
mesure de nous
donner des
informations
parfaitement fiables
concernant son
histoire passée.
Vous ne pouvez pas
écrire l’histoire
d’une nation sur la
base des faits
constatés dans sa
constitution
actuelle et de la
vie. (4) géologues
une fois repose sur
la supposition que
les strates de
roches trouvées dans
le même ordre dans
le monde entier; et
que, par une
estimation du temps
requis par la
formation de chacun,
il pourrait
déterminent l’âge de
la terre. Mais (a)
il a été constaté
que l’ordre des
roches diffère dans
diverses localités;
(b) les expériences
faites déterminer le
temps requis pour la
formation des
différentes strates,
conduit à des
résultats très
différents; et (c)
la théorie
uniformitariste de
Lyell, que l’action
physique et chimique
d’aujourd'hui sont
des guides sûrs dans
l’estimation de ceux
de toutes les
précédentes fois,
s’est avérée pour ne
pas être fiables.
(5)
après l’échec de la
tentative de
déterminer l’âge des
diverses strates ou
roches par leur
maquillage minéral
et mécanique, les
géologues a commencé
à faire les fossiles
le facteur
déterminant. La
paléontologie est
devenu le sujet
vraiment important,
et sous l’influence
de l’uniformitariste
principe de Lyell
développé dans une
des preuves
importantes de
l’évolution. On
suppose simplement
que certains
fossiles sont plus
âgés que les autres;
et si la question
est posée sur
quelles bases repose
l’hypothèse, la
réponse est qu’ils
sont trouvent dans
les roches les plus
anciennes. Il s’agit
d’un raisonnement
tout simplement dans
un cercle. L’âge des
roches est déterminé
par les fossiles
qu’elles contiennent
et l’âge des
fossiles par les
roches dans
lesquelles ils se
trouvent. Mais les
fossiles ne se
trouvent pas
toujours dans le
même ordre; parfois,
l’ordre est inversé.
(6) l’ordre des
fossiles maintenant
déterminés par la
géologie ne
correspond pas à
l’ordre que le récit
de la création nous
amène à attendre,
alors que même
l’acceptation de la
théorie géologique
ne servirait pas le
but d’harmoniser
l’écriture et de la
science.
6.
la DOCTRINE de la
création et la
théorie de
l’évolution.
La question se pose
naturellement de nos
jours, comment la
théorie de
l’évolution affecte
la doctrine de la
création ?
a. la
théorie de
l’évolution ne peut
se substituer à la
doctrine de la
création.
Certains parlent
comme si l’hypothèse
de l’évolution a
offert une
explication de
l’origine du monde;
mais il s’agit
clairement d’une
erreur, car il ne
fait aucune une
telle chose.
L’évolution est le
développement, et
tout le
développement
suppose l’existence
préalable d’une
entité ou de
principe ou de
force, hors de
laquelle quelque
chose se développe.
Le non existant ne
peut pas
développer à
l’existence. Matière
et force ne
pourraient pas ont
évolué à partir de
rien. Il est d’usage
pour les
évolutionnistes à se
replier sur
l’hypothèse
nébulaire, afin
d’expliquer
l’origine du système
solaire, bien que
dans la science de
nos jours c’est
supplantée par
l’hypothèse
planetesimal. Mais
celles-ci ne portent
le problème d’un
cran plus loin et ne
parviennent pas à le
résoudre.
L’évolutionniste
doit soit recourir à
la théorie que la
matière est
éternelle, soit
accepter la doctrine
de la création.
b. la
théorie de
l’évolution
naturaliste n’est
pas en harmonie avec
le récit de la
création. Si
l’évolution
n’explique pas
l’origine du monde,
il pas au moins
donner un rationnel
compte de
l’évolution des
choses dans la
matière primordiale
et ainsi expliquer
l’origine des
espèces de plantes
et d’animaux (y
compris l’homme) et
aussi les différents
présents phénomènes
de la vie, tels que
la sensibilité,
l’intelligence,
morale et religion ?
Elle est
nécessairement en
conflit avec le
récit de la
création ?
Maintenant, il est
parfaitement évident
qu’évolution
naturaliste
certainement est en
conflit avec le
récit biblique. La
Bible enseigne que
les plantes et les
animaux et l’homme
apparu sur la scène
à la fiat créative
du tout-puissant;
mais selon
l’hypothèse
évolutionniste, ils
ont évolué hors du
monde inorganique
par un processus de
développement
naturel. La Bible
représente Dieu
comme créant des
plantes et des
animaux selon leur
espèce et produisant
semence selon leur
espèce, qui est,
afin qu’ils
reproduiraient leur
propre genre; mais
la théorie des
points d’évolution à
des forces
naturelles,
résidents dans la
nature, menant à
l’élaboration d’une
espèce à une autre.
Selon le récit de la
création, le végétal
et l’animal royaumes
et l’homme ont été
portées de suite en
une seule semaine;
mais l’hypothèse de
l’évolution les
considère comme le
produit d’une
évolution
progressive au cours
des millions
d’années. L’écriture
des photos homme
debout sur un plan
plus élevé au début
de sa carrière, et
ensuite descendre à
des niveaux
inférieurs par
l’influence de
détérioration du
péché; la théorie de
l’évolution, en
revanche, représente
l’homme original
comme seulement
légèrement
différente de la
brute et prétend que
la race humaine a
augmenté, par
l’intermédiaire de
ses propres pouvoirs
inhérents, à des
niveaux toujours
plus élevés de
l’existence.
c. la
théorie de
l’évolution
naturaliste est pas
bien établie et ne
parvient pas à
expliquer les faits.
Le conflit dénommé
dans ce qui précède
serait grave, si la
théorie de
l’évolution était un
fait établi.
Certains pensent
qu’il est et en
toute confiance
parler du
dogme
de l’évolution.
D’autres, cependant,
correctement nous
rappellent le fait
que l’évolution est
encore qu’une
hypothèse. Même si
grand scientifique
comme Ambrose
Fleming dit que
« l’analyse
attentive des idées
connecté avec le
terme que évolution
montre qu’ils soient
insuffisantes comme
une solution
philosophique ou
scientifique des
problèmes de la
réalité et
l’existence. »
La même
incertitude qui
prévaut dans le camp
des évolutionnistes
est la preuve que
l’évolution n'est
qu’une hypothèse. En
outre, il est
franchement admis
aujourd'hui par
beaucoup de ceux qui
continuent à
s’accrocher au
principe d’évolution
qu’ils ne
comprennent pas son
mode de
fonctionnement. On
pensait à un moment
donné que Darwin
avait fourni la clé
de l’ensemble du
problème, mais que
la clé est
maintenant plutôt
généralement
ignorée. Les piliers
de la Fondation, sur
lequel la structure
darwinienne a été
élevée, tels que le
principe
d’utilisation et de
non-utilisation, la
lutte pour
l’existence, la
sélection naturelle
et la transmission
des caractères
acquis, ont été
enlevés, l’un après
l’autre. Ces
évolutionnistes
Weissmann, De Vries,
Mendel, et Bateson,
ont tous contribué à
l’effondrement de
l’édifice darwinien.
Nordenskioeld, dans
son
Histoire de la
biologie, parle
de la « dissolution
du darwinisme »
comme un fait
établi. Dennert nous
appelle pour le lit
de mort du
darwinisme, et
O'Toole dit:
« darwinisme est
mort, et aucun
chagrin de
pleureuses ne peut
ressusciter le
cadavre. » Morton
parle de « la
faillite de
l’évolution, » et le
prix de la « fantôme
de l’évolution
organique. »
Darwinisme, ensuite,
n’a certes pas
d’expliquer
l’origine des
espèces, et les
évolutionnistes
n’ont pas été en
mesure d’offrir une
meilleure
explication. Les
comptes de loi
mendélienne des
variations, mais pas
à l’origine de
nouvelles espèces.
Elle fait vraiment
loin le
développement de
nouvelles espèces
par un processus
naturel. Certains
sont d’avis que la
théorie de la
mutation de la
théorie De Vries ou
Lloyd Morgan
emergent evolution
points la manière,
mais ni l’un d'entre
eux s’est avéré pour
être une explication
réussie de l’origine
des espèces par
évolution naturelle
pure et simple. Il
est maintenant admis
que les mutants de
Vries sont variétale
plutôt que
spécifique et ne
saurait être
considérées comme
les débuts de
nouvelles espèces.
Et Morgan se sent
contrainte
d’admettre qu’il ne
peut pas expliquer
son emergents sans
retomber sur une
puissance créatrice
qui pourrait être
appelée Dieu.
Morton, dit: « le
fait est que, en
plus de la création,
il n’est pas encore
une théorie des
origines de tenir le
terrain
aujourd'hui. »
L’hypothèse
d’évolution échoue à
plusieurs reprises.
Il ne peut pas
expliquer l’origine
de la vie. Les
évolutionnistes a
cherché son
explication dans la
génération
spontanée, une
hypothèse non
prouvée, qui est
maintenant
discréditée. C’est
un fait bien établi
dans la science que
la vie ne peut venir
que de la vie
antérieure. En
outre, il a
totalement échoué à
produire un seul
exemple d’une espèce
distincte de l’autre
production
(organique, par
opposition à cépage)
espèces. Bateson a
dit en 1921: « nous
ne comprenons pas
comment la
différenciation en
espèce a vu le jour.
Les variations de
toutes sortes,
souvent
considérables, nous
tous les jours le
témoin, mais pas
d’origine des
espèces.... Pendant
ce temps, bien que
notre foi en
évolution est
inébranlable, nous
n’avons aucun compte
acceptable de
l’origine des
espèces. »
Ni a évolution pu
réussir à affronter
les problèmes posés
par l’origine de
l’homme. Il n’a pas
encore réussi à
prouver la descente
physique de l’homme
de l’animal. J. A.
Thomson, auteur de
The
Outline of Science
et un premier plan
évolutionniste,
détient cet homme
jamais vraiment
était un animal, une
féroce créature
regardant bestiale,
mais que le premier
homme surgit tout à
coup, par un grand
saut, le stock de
primates dans un
être humain.
Beaucoup moins il a
été en mesure
d’expliquer le côté
psychique de la vie
de l’homme. L’âme
humaine, doté
d’intelligence,
conscience, liberté,
conscience et
aspirations
religieuses, demeure
une énigme non
résolue.
d.
l’évolution théiste
n’est pas tenable à
la lumière de
l’écriture.
Certains les
scientistes et les
théologiens visent à
harmoniser la
doctrine de la
création, tel
qu’enseigné par
l’écriture, et la
théorie de
l’évolution en
acceptant ce qu’ils
appellent
l’évolution théiste.
C’est une
protestation contre
la tentative de
suppression de Dieu
et lui postule que
le travailleur
tout-puissant
l’arrière de
l’ensemble du
processus de
développement.
Evolution est
considérée tout
simplement comme
méthode de Dieu de
travailler dans le
développement de la
nature. L’évolution
théiste revient
vraiment à ce que
Dieu a créé le monde
(le cosmos) par un
processus
d’évolution, un
processus de
développement
naturel, dans lequel
il ne pas
miraculeusement
intervenu, sauf dans
les cas où cela est
absolument
nécessaire. Il est
prêt à admettre que
le commencement
absolu du monde ne
pourrait résulter
que d’une activité
créatrice directe de
Dieu; et si elle ne
peut trouver aucune
explication
naturelle,
n’accordera aussi
une intervention
directe de Dieu à
l’origine de la vie
et de l’homme. Elle
a été saluée comme
evolution
chrétienne, bien
qu’il n’est pas
nécessairement
quelque chose
Christian à ce
sujet. Beaucoup,
sinon opposés à la
théorie de
l’évolution, ont
salué, car elle
reconnaît Dieu dans
le processus et est
censé pour être
compatible avec la
doctrine biblique de
la création. Par
conséquent, il est
enseigné librement
dans les églises et
les écoles du
dimanche. En fait,
cependant, c’est un
hybride très
dangereux. Le nom
est une
contradiction dans
les termes, car
c’est le théisme ni
naturalisme, ni
création, ni
évolution dans
l’acception des
termes. Et il ne
nécessite pas
beaucoup de
pénétration de voir
que m. Fairhurst a
raison dans sa
déclaration de
culpabilité « que
l’évolution théiste
détruit la Bible
comme le livre
inspiré de pouvoir
aussi efficacement
comme le fait
l’évolution athée. »
Comme l’évolution
naturaliste, il
apprend qu’il lui
fallait des millions
d’années pour
produire le monde
habitable actuel; et
que Dieu n’a pas
créé les diverses
espèces de plantes
et d’animaux et que,
alors qu’ils ont
produit leur propre
genre; Cet homme, au
moins sur son aspect
physique, est un
descendant de la
brute et par
conséquent a
commencé sa carrière
à un niveau faible;
qu’il n’y a n’été
aucune chute dans le
sens du mot, mais
seulement répété est
caduque des hommes
dans leurs cours à
la hausse; que le
péché n’est
seulement une
faiblesse, résultant
de l’instinct animal
de l’homme et des
désirs et ne
constitue pas de
culpabilité; que la
rédemption est
provoquée par le
contrôle croissant
de l’élément
supérieur chez
l’homme sur ses
penchants
inférieurs; que les
miracles n’existent
pas, soit dans le
naturel, soit dans
le monde spirituel;
que régénération,
conversion et
sanctification sont
simplement naturels
changements
psychologiques et
ainsi de suite. En
un mot, c’est une
théorie qui est
absolument
subversive de la
vérité de
l’écriture.
Certains érudits
chrétiens
d’aujourd'hui se
sentent que la
théorie de
l’Évolution
créatrice de
Bergson lui-même
rend hommage à ceux
qui ne veulent pas
laisser Dieu pris en
considération. Ce
philosophe Français
suppose un
élan
vital, une
impulsion vitale
dans le monde, comme
le sol et
l’animation de
principe de toute
vie. Ce principe
vital ne vient pas
de la matière, mais
est plutôt la cause
d’origine de la
matière. Il imprègne
l’affaire, surmonte
son inertie et la
résistance en
agissant comme une
force vivante sur ce
qui est
essentiellement en
train de mourir et
jamais crée, pas de
nouveau matériel,
mais nouveaux
mouvements adaptés
aux extrémités de
ses propres, et crée
ainsi très autant
que l’artiste crée.
C’est la directive
et téléologique et
pourtant, bien que
consciente, ne
fonctionne pas selon
un plan préconçu,
mais c’est peut-être
possible. Il
détermine évolution
elle-même ainsi que
la direction dans
laquelle l’évolution
se déplace. Cette
vie jamais création,
« dont tous les
individus et toutes
les espèces sont une
expérience, » est
Dieu de Bergson, un
Dieu qui est fini,
qui est limitée au
pouvoir et qui est
apparemment
impersonnel, même si
Hermann dit que
« nous ne,
peut-être, pas aller
loin de la vérité en
croyant qu’il « la
tendance idéale des
choses » seront
personnelle. »
Haas
parle de Bergson
comme un panthéiste
vitaliste et non
théiste. En tout
cas, son Dieu est un
Dieu qui est tout à
fait dans le monde.
Ce point de vue peut
avoir un attrait
particulier pour le
théologien libéral
modern, mais il est
encore moins en
harmonie avec le
récit de la création
que l’évolution
théiste.
QUESTIONS POUR UNE
ÉTUDE PLUS
APPROFONDIE. Quelle
est la vraie
alternative à la
doctrine de la
création ? Où se
situe l’importance
de la doctrine de la
création ? Les
premiers chapitres
de la Genèse
puissent avoir une
incidence quelconque
sur l’étude
scientifique de
l’origine des
choses ? La Bible en
quelque sorte
détermine-t-il le
temps où le monde a
été créé ? Quels
extrêmes sont à
proscrire quant à la
relation entre Dieu
et le monde à
l’autre ? La Bible
devrait toujours
être interprétée en
harmonie avec les
théories
scientifiques
largement
acceptées ? Quel est
le statut de
l’hypothèse de
l’évolution dans le
monde scientifique
aujourd'hui ? Quel
est l’élément
caractéristique de
la théorie
darwinienne de
l’évolution ?
Comment
expliquez-vous son
rejet généralisé à
l’heure actuelle ?
Comment évolution
créatrice de Bergson
ou le néo-vitalisme
de Hans Driesch
affecte-t-elle la
conception mécaniste
de l’univers ? En
quoi est l’évolution
théiste une
amélioration au
cours de l’évolution
naturaliste ?
LITTÉRATURE. Bavinck,
Geref. Dogme.
II.
pp. 426-543; Ibid.,
Schepping de
Ontwikkeling;
Kuyper,
Dict. dogme.,
De
Creatione, pp.
3-127;
De Creaturis A,
p. 5-54; B. p. 3-42;
Ibid.,
Evolutie; Vos
Geref. Dogme.
J’ai,
De Schepping;
Hodge.
Syst. Theol. I,
p. 550-574; Shedd,
dogme
.
THEOL.
I,
pp. 463-526;
McPherson,
Chr.
dogme., p.
163-174;
Dabney,
syst et
polémique Theol.,
pp. 247-274; Harris,
Dieu,
créateur et Seigneur
de tous, I, pp.
463-518; Hepp,
calvinisme et
philosophie de la
Nature, Chap.
V; Honig,
Geref. Dogme.,
p. 281-324;
Noordtzij, de
Dieu
der de fr Woord
Eeuwen Getuigenis,
p. 77-98; Aalders,
De
Goddelijke
Openbaring in de
Eerste Drie
Hoofdstukken van
Genèse; Geesink,
de Van
Heeren Ordinantien,
Inleidend Deel, pp.
216-332; divers
travaux de Darwin,
Wallace, Weissman,
Osborne, Spencer,
Haeckel, Thomson et
autres sur
l’évolution; Dennert,
le lit
de mort du
darwinisme;
Dawson,
la Bible a confirmé
par la Science;
Fleming,
évolution et
création;
Hamilton,
la base
de la foi
évolutionniste;
Johnson,
peut
maintenant Christian
croient en évolution?
McCrady,
raison
et révélation;
De plus,
le
dogme de l’évolution;
Morton,
la faillite de
l’évolution; O
' Toole,
l’affaire contre
l’évolution;
Prix,
les principes
fondamentaux de la
géologie;
Ibid.,
Le fantôme de
l’évolution
biologique;
Messenger,
évolution et la
théologie;
Rimmer,
la théorie de
l’évolution et les
faits de la Science.
VI. Providence
Le théisme chrétien
s’oppose à la fois
une déiste de
séparation de Dieu
du monde et une
confusion panthéiste
de Dieu avec le
monde. C’est
pourquoi la doctrine
de la création est
immédiatement suivie
par celle de
providence, qui
définit clairement
la vue biblique de
la relation de Dieu
au monde. Alors que
le terme
« providence » ne se
trouve pas dans
l’écriture, la
doctrine de la
providence est
néanmoins éminemment
scripturaire. Le mot
est dérivé du Latin
providentia,
qui correspond à la
grecque
pronoia. Ces
mots signifient
principalement
prescience ou
prospective, mais
acquiert
progressivement
d’autres
importances.
Prévoyance est liée,
d’une part, avec des
plans pour l’avenir
et d’autre part,
avec la réalisation
effective de ces
plans. Ainsi la
« providence » de
mot est venu à
signifier la
disposition qui Dieu
fait assez son
gouvernement et la
préservation et le
gouvernement de
toutes ses
créatures. C’est le
sens dans lequel il
est maintenant
généralement utilisé
en théologie, mais
il n’est pas le seul
sens dans lequel les
théologiens ont
employé il. Turretin
définit le terme
dans son sens le
plus large comme
désignant la
prescience (1),
préordination (2) et
(3) l’administration
efficace des choses
décrété. Dans
l’usage général,
cependant, il est
maintenant
généralement limité
à ce dernier sens.
A. Providence en
général.
1.
histoire de la
DOCTRINE de la
PROVIDENCE.
Avec sa doctrine de
la providence, que
l’église a pris
position contre les
deux, la notion
épicurienne que le
monde est gouverné
par hasard et le
stoïcien découvre
qu’il est gouverné
par le destin. Dès
le départ les
théologiens ont
soutenu que Dieu
préserve et régit le
monde. Cependant,
ils n’ont pas
toujours une
conception tout
aussi absolue du
contrôle de toutes
les choses divine.
En raison du lien
étroit entre les
deux, l’histoire de
la doctrine de la
providence suit pour
l’essentiel de la
doctrine de la
prédestination. Les
premiers pères de
l’église ne
présenter aucune vue
précise sur le
sujet. En opposition
à la doctrine
stoïcienne du destin
et dans leur désir
de protéger la
sainteté de Dieu,
ils parfois trop
insisté sur la
volonté de l’homme
et dans cette
mesure, qui
manifestent une
tendance à nier la
règle absolue
providentielle de
Dieu en ce qui
concerne les
mauvaises actions.
Augustine a ouvert
la voie à
l’élaboration de
cette doctrine. Par
rapport à la
doctrine du destin
et la chance, il a
souligné le fait que
toutes choses sont
préservés et régies
par la volonté
souveraine, sage et
bienveillante de
Dieu. Il ne fait
aucuns réserves dans
le cadre de la
providence de Dieu,
mais maintenu le
contrôle de Dieu sur
le bien et le mal
qui est dans le
monde. En défendant
la réalité des
causes secondes. Il
a préservé la
sainteté de Dieu et
a confirmé la
responsabilité de
l’homme. Au
moyen-âge, il y
avait très peu de
controverse au sujet
de la divine
providence. Pas un
seul Conseil s’est
prononcé sur cette
doctrine. L’opinion
dominante était que
d’Augustin, qui tout
soumis à la volonté
de Dieu. Cela ne
signifie pas,
toutefois, qu’il n’y
a pas de vues
dissidentes.
Pélagianisme limité
providence à la vie
naturelle et exclus
de la vie éthique.
Et Semi-pélagiens
s’installe dans la
même direction, même
si elles n’ont pas
tous aller aussi
loin. Certains
scolastiques
considérés comme la
conservation de Dieu
comme une
continuation de son
activité créatrice,
tandis que d’autres
ont fait une
distinction réelle
entre les deux.
Doctrine de Thomas
Aquinas de la divine
providence suit pour
l’essentiel celle
d’Augustin et tient
que la volonté de
Dieu, tel que
déterminé par ses
perfections,
préserve et régit
toutes choses;
tandis que Duns Scot
et ces Nominaltists
comme Biel et Occam
fait tout dépend de
l’arbitraire de
Dieu. Il s’agissait
d’une introduction
virtuelle de la
règle du hasard.
Les réformateurs
souscrit dans
l’ensemble de la
doctrine
augustinienne de la
divine providence,
bien qu’ils
diffèrent quelque
peu dans les
détails. Tandis que
Luther croit en
général que
providence, il ne
pas contraintes de
Dieu préservation et
gouvernement du
monde en général
autant que Calvin
ne. Il considère la
doctrine
principalement dans
ses paliers
sotériologique.
Sociniens et
arminiens, mais pas
les deux dans la
même mesure, limité
la providence de
Dieu en soulignant
le pouvoir
indépendant de
l’homme
d’entreprendre des
actions et donc de
contrôler sa vie. Le
contrôle du monde a
été vraiment pris
hors des mains de
Dieu et remis entre
les mains de
l’homme. Dans les
dix-huitième et
dix-neuvième siècles
providence est
pratiquement écartée
par un déisme qui
représentait Dieu en
se retirant du monde
après le travail de
création; par un
panthéisme qui
identifie et Dieu et
le monde, effacé la
distinction entre la
création et de la
providence, a nié la
réalité des causes
secondes. Et tandis
que le déisme peut
maintenant être
considéré comme une
chose du passé, son
point de vue du
contrôle du monde se
poursuit, dans la
position des
sciences naturelles,
que le monde est
contrôlé par un
système implacable
des lois. Et la
théologie libérale
moderne, avec sa
conception
panthéiste de
l’immanence de Dieu,
on tend à exclure de
la doctrine de la
divine providence.
2.
l’idée de la
PROVIDENCE.
Providence peut être
défini comme
qui a
continué l’exercice
de l’énergie divine,
par lequel le
créateur conserve
toutes ses créatures,
est
opérationnel dans
tout ce qui vient de
passer dans le monde
et
redirige toutes les
choses à leur
extrémité aménagée.
Cette définition
indique qu’il y a
trois éléments à
providence, à
savoir, préservation
(conservatio,
sustentatio),
concurrence ou
coopération (concursus,
co-dé)
et gouvernement (
gubernatio)
Calvin, le
Catéchisme de
Heidelberg et
certains des plus
récents dogmaticians
(Dabney, Hodges,
Dick, Shedd,
McPherson) parlent
de seulement deux
éléments, à savoir,
préservation et
gouvernement. Cela
ne signifie pas,
toutefois, qu’ils
veulent exclure
l’élément de la
concurrence, mais
seulement qu’ils
considèrent comme
inclus dans les deux
autres comme
indiquant la manière
dont Dieu préserve
et régit le monde.
McPherson semble
penser que seulement
quelques-uns des
grands théologiens
luthériens adopte la
division ternaire;
mais en cela il se
trompe, car il est
très fréquent dans
les œuvres de
dogmaticians
hollandais du XVIIe
siècle sur (faire, à
Marck, De Moor,
Brakel, Francken,
Kuyper, Bavinck,
Vos, Honig). Il a
quitté la division
plus âgée, parce
qu’ils ont voulaient
donner à l’élément
d’une plus grande
importance
d’assentiment, pour
se prémunir contre
les dangers du
déisme et le
panthéisme. Mais
tandis que nous
distinguons trois
éléments dans
providence, nous
devrions nous
rappeler que ces
trois ne sont jamais
séparés dans le
œuvre de Dieu.
Tandis que la
conservation a
référence à l'
être,
la concurrence à l'
activitéet
gouvernementaux à l'
orientation de
toutes choses, ce
financement devrait
jamais être entendu
dans un sens
exclusif. De
préservation, il est
également un élément
du gouvernement, au
sein du gouvernement
un élément de
concursus et
concursus un élément
de conservation.
Panthéisme ne
distingue pas entre
la création et
providence, mais le
théisme souligne une
double distinction:
(a) création est
l’appel à
l’existence de ce
qui n’existait pas
avant, alors que la
providence continue
ou causes de
continuer ce qui a
déjà été appelé à
l’existence. (b)
dans l’ancien, il ne
peut y avoir aucune
coopération de la
créature avec le
créateur, mais dans
ce dernier, il y a
un accord de la
première Cause avec
les causes secondes.
Dans l’écriture, les
deux sont toujours
bien distinctes.
3. IDÉES FAUSSES
CONCERNANT LA NATURE
DE LA PROVIDENCE.
a. le
limiter à la
prescience ou
prescience plus
préordination.
Cette limitation se
trouve dans certains
des premiers pères
de l’église. Le fait
est, cependant, que
lorsque nous parlons
de la providence de
Dieu, nous ont
généralement à
l’esprit sa
prescience, ni son
préordination, mais
simplement son
activité continue
dans le monde entier
pour la réalisation
de son plan. Nous
nous rendons compte
que cela ne peut pas
être séparé de son
décret éternel, mais
aussi le sentiment
que les deux peuvent
et doivent être
distingués. Les deux
ont souvent été
distinguées comme
providence immanente
et transeunt.
b. la
conception déiste de
la divine providence.
Selon la
préoccupation de
déisme Dieu avec le
monde n’est pas
universelle, spécial
et perpétuelle, mais
uniquement de nature
générale. Au moment
de la création, il
donnait à toutes ses
créatures certaines
propriétés
inaliénables,
placées en vertu des
lois invariables et
laissé les faire
travailler leur
destin de leurs
propres pouvoirs
inhérents. Pendant
ce temps il
simplement exerce
une surveillance
générale, pas des
agents spécifiques
qui apparaissent sur
la scène, mais des
lois générales qu’il
a établie. Le monde
est tout simplement
une machine à qui
Dieu a mis en
mouvement et pas du
tout un navire dont
il pilote de jour à
jour. Cette
conception déiste de
la providence est
caractéristique du
pélagianisme, a été
adoptée par
plusieurs
théologiens
catholiques, a été
parrainée par le
Socinianisme et
n’est qu’un des
erreurs
fondamentales de
l’Arminianisme. Il
était vêtu d’un
costume
philosophique par
les déistes du
XVIIIe siècle et est
apparue une nouvelle
forme au XIXe
siècle, sous
l’influence de la
théorie de
l’évolution et de
sciences naturelles,
avec son fort accent
sur l’uniformité de
la nature comme
contrôlée par un
système rigide des
lois implacable.
c. la
vue panthéiste de la
divine providence.
Panthéisme ne
reconnaît pas la
distinction entre
Dieu et le monde. Il
absorbe idéaliste du
monde en Dieu ou
absorbe
materialistically
Dieu dans le monde.
Dans les deux cas,
il ne laisse aucune
place pour la
création et élimine
également la
providence au sens
propre du mot. Il
est vrai que
panthéistes parlent
de la providence,
mais leur soi-disant
providence est
simplement identique
avec le cours de la
nature, et ce n’est
rien d’autre que la
révélation de Dieu,
une révélation qui
ne laisse aucune
place pour le
fonctionnement
indépendant des
causes secondes dans
aucun sens du mot.
De ce point de vue,
le surnaturel est
impossible, ou,
plutôt, le naturel
et le surnaturel
sont identiques, la
conscience libre
autodétermination
personnelle chez
l’homme est une
illusion, la
responsabilité
morale est le fruit
de l’imagination et
la prière et culte
religieux sont
superstition. La
théologie a toujours
été assez prudente
conjurer les dangers
de panthéisme, mais
au cours du siècle
dernier, cette
erreur a réussi en
s’ancrant dans une
grande partie de la
théologie libérale
moderne sous le
couvert de la
doctrine de
l’immanence de Dieu.
4. LES OBJETS DE LA
DIVINE PROVIDENCE.
a. les
enseignements de
l’écriture sur ce
point. La Bible
enseigne clairement
contrôle
providentiels de
Dieu (1) sur
l’univers dans son
ensemble, PS.
103:19; Dan. 05:35;
EP 01:11; (2) dans
le monde physique,
Job 37:5, 10; PS.
104:14; 135:6;
Matthieu 05:45; (3)
sur la création
brute, PS. 104:21,
28; Matthieu 06:26;
10:29; (4) sur les
affaires des
nations, Job 12:23;
PS. 22:28; 66:7;
Actes 17:26; (5) sur
la naissance de
l’homme et le sort
dans la vie, j’ai
Sam. 16:1; PS.
139:16; Ésaïe 45:5;
GAL 01:15, 16; (6)
sur l’extérieur
réussites et des
échecs de la vie des
hommes, PS. 75:6, 7;
Luc 01:52; (7) sur
des choses
apparemment
accidentelles ou
insignifiantes,
Prov. 16:33;
Matthieu 10:30; (8)
dans la protection
des justes, PS. 4:8;
05:12; 63:8; 121:3;
ROM. 08:28; (9) pour
fournir les besoins
du peuple de Dieu,
Genèse 22:8, 14;
Deutéronome 8:3;
Phil. 04:19; (10) en
donnant des réponses
à la prière, j’ai
Sam 01:19; Ésaïe
5:20, 6; II Chron.
33:13; PS. 65:2;
Matthieu 7:7; Luc
18:7, 8; et (11)
dans l’exposition et
la punition des
méchants, PS. 07:12,
13; 11:6.
b.
providence général
et spécial.
Théologiens
distinguent
généralement
providence général
et spécial, contrôle
de l’ancienne
attestation de Dieu
de l’univers dans
son ensemble et ce
dernier, ses soins
pour chaque partie
de celui-ci par
rapport à
l’ensemble. Ce ne
sont pas deux sortes
de providence, mais
la providence même
exercé dans les deux
relations
différentes.
Cependant, le terme
« spécial
providence, » peut
avoir une
connotation plus
précise et dans
certains cas se
réfère à une
attention
particulière de Dieu
pour ses créatures
rationnelles.
Certains parlent
même d’une
providence très
spéciale (providentia
specialissima)
en ce qui concerne
ceux qui se tiennent
dans la relation
privilégiée de la
filiation à Dieu.
Providences
spéciales sont des
combinaisons
spéciales dans
l’ordre des
événements, comme
dans la réponse à la
prière, dans la
délivrance des
ennuis et dans tous
les cas dans lequel
la grâce et aident à
venir dans des
circonstances
critiques.
c.
la
négation de la
providence spéciale.
Il y a ceux qui sont
prêts à admettre une
providence générale,
une administration
du monde sous un
système fixe de lois
générales, mais nie
qu’il y a aussi une
providence spéciale
dans laquelle Dieu
se porte avec les
détails de
l’histoire, les
affaires de la vie
humaine et en
particulier les
expériences des
justes. Certains
soutiennent que Dieu
est trop importante
pour se préoccuper
les petites choses
de la vie, tandis
que d’autres
soutiennent qu’il
simplement ne peut
pas le faire, depuis
les lois de la
nature lier ses
mains et donc
sourire
significativement
quand ils entendent
des prières de la
réponse de l’homme
de Dieu. Maintenant,
il ne faut pas nier
que la relation de
la providence
spéciale des lois
uniformes de la
nature constitue un
problème. En même
temps il faut dire
qu’il s’agit d’une
vue très pauvre,
superficielle et non
biblique de Dieu, de
dire qu’il n’a pas
et ne peut pas se
préoccuper les
détails de la vie,
ne peut pas répondre
à prière, donner des
secours en cas
d’urgence ou
intervenir
miraculeusement dans
le nom de l’homme
.
Une
règle que simplement
fixées à certains
principes généraux
pas prêté attention
aux détails, ou un
homme d’affaires qui
n’ont pas à
s’occuper des
détails de son
entreprise,
arriverait bientôt
chagrin. La Bible
enseigne que même
les moindres détails
de la vie sont
d’ordre divin. Dans
le cadre de la
question, si nous
pouvons harmoniser
le fonctionnement
des lois générales
de la nature et de
la providence
spéciale, nous
pouvons seulement
signaler ce qui
suit: (1) les lois
de la nature n’a pas
devraient être
représentés sous
forme de pouvoirs de
la nature absolument
contrôler tous les
phénomènes et des
opérations. Ils sont
vraiment rien de
plus que l’homme,
souvent déficiente,
description de
l’uniformité dans la
variété découvert
dans la façon dont
travaillent les
pouvoirs de la
nature. (2) la
conception
matérialiste des
lois de la nature
comme un système
très unie, agissant
indépendamment de
Dieu et vraiment il
est impossible pour
lui d’intervenir
dans le cadre du
monde, est
absolument faux.
L’univers a titre
personnel, et
l’uniformité de la
nature est tout
simplement la
méthode ordonnée par
un agent de
personnel. (3) les
prétendues lois de
la nature produisent
les mêmes effets que
si toutes les
conditions sont les
mêmes. Les effets ne
sont pas
généralement les
résultats d’une
seule puissance,
mais d’une
combinaison de
pouvoirs naturels.
Même un homme peut
varier les effets en
combinant une
puissance de la
nature avec une
autre puissance ou
les pouvoirs, alors
que pourtant, chacun
de ces pouvoirs
fonctionne en
stricte conformité
avec ses lois. Et si
cela est possible
pour l’homme, il est
infiniment plus
possible pour Dieu.
Par toutes sortes de
combinaisons qu’il
peut apporter des
résultats plus
variés.
B. préservation.
1.
base de la DOCTRINE
de la conservation.
La preuve pour la
doctrine de
préservation est
directe et
inférentielle.
a.
preuve directe.
La préservation
divine de toutes
choses est
clairement et
explicitement
enseignée dans
plusieurs passages
de l’écriture. Ce
qui suit n’est que
quelques-uns des
nombreux passages
qui pourraient être
mentionnés: Deut.
33: 12, 25-28; J’ai
s 2:9; Néhémie 9:6;
PS. 107:9; 127,1;
145:14, 15; Matthieu
10:29; Actes 17:28;
01:17; Hébreux 1:3.
Très nombreux est
les passages qui
parlent du Seigneur
comme un moyen de
son peuple, par
exemple, Genèse 28:
15; 49: 24; Exode
14:29, 30; Deut.
01:30, 31; II Chron.
20:15, 17; Emploi à
01:10; 36:7; PS. 31:
20; 32: 6; 34: 15,
17, 19; 37:15,
17,19,20; 91:1, 3,
4, 7, 9, 10, 14;
121:3, 4, 7, 8;
125:1, 2; Ésaïe
40:11; 43: 2; 63: 9;
Jérémie 30:7, 8, 11;
Ézéchiel 34: 11, 12,
15, 16; Daniel 12:1;
Zach. 2:5; Luc
21:18; I Corinthiens
10:13; I. PET.
03:12; 03:10.
b.
preuve inférentielle.
L’idée de
préservation divine
découle de la
doctrine de la
souveraineté de
Dieu. Ceci peut
seulement être
conçue comme absolu;
mais il ne serait
pas absolue, si
quelque chose existe
ou est produite
indépendamment de sa
volonté. Elle peut
être maintenue qu’à
la condition que
l’univers entier et
tout ce qui est en
elle, est dans son
être et son action
absolument dépend de
Dieu. Il découle
également du
caractère dépendant
de la créature. Il
est caractéristique
de tout ce qui est
une créature,
qu’elle ne peut pas
continuer à exister
en vertu de son
propre pouvoir
inhérent. Il a le
terrain de son être
et à la perpétuation
dans la volonté de
son créateur.
Seulement celui qui
a créé le monde par
la parole de sa
puissance, peut
faire respecter par
son omnipotence.
2.
la CONCEPTION
correcte de
préservation DIVINE.
La doctrine de la
conservation
s’effectue sur
l’hypothèse que tous
créé des substances,
qu’elles soient
spirituelles ou
matérielles,
possèdent une
existence réelle et
permanente,
distincte de
l’existence de Dieu,
et uniquement ces
propriétés actives
et passives comme
ils l’ont dérivé de
Dieu; et que leurs
pouvoirs actifs ont
un véritable et non
pas seulement
apparent, efficacité
en tant que causes
secondes, afin
qu’ils soient en
mesure de produire
les effets propres à
eux. Ainsi, il
protège contre le
panthéisme, avec son
idée d’une création
continue, qui
pratiquement, si ce
n’est pas toujours
expressément, nie
l’existence
distincte du monde
et donne à Dieu
l’agent exclusif
dans l’univers. Mais
il ne considère pas
ces substances
créées comme
lui-même, puisque
l’existence est la
propriété exclusive
de Dieu, et toutes
les créatures ont le
motif de leur
existence en lui et
pas à eux seuls.
D'où il suit qu’ils
continuent
d’exister, non en
vertu d’un acte de
Dieu simplement
négative, mais en
vertu d’un exercice
positif et continu
de la puissance
divine. La puissance
de Dieu mis de
l’avant dans la
défense de toutes
choses est juste
aussi positif que
celui exercé en
création. La nature
précise de son
travail dans le
maintien de toutes
les choses en cours
et l’action est un
mystère, même si on
peut dire que, dans
ses opérations
providentielles, il
héberge lui-même à
la nature de ses
créatures. Avec
Shedd, nous disons:
« dans le monde
matériel, Dieu
immédiatement
travaille dans et à
travers les
propriétés des
matériaux et des
lois. Dans le monde
mental, Dieu agit
immédiatement dans
et par les
propriétés de
l’esprit.
Conservation jamais
va à l’encontre de
la création. Dieu ne
viole pas en la
providence qu’il a
établi dans la
création. »
Conservation peut
être qualifiée
que
continue le travail
de Dieu par laquelle
il maintient les
choses qu’il a créée,
ainsi
que les propriétés
et les pouvoirs dont
il leur dotée.
3.
CONCEPTIONS erronées
de la préservation
DIVINE. La
nature de cette
œuvre de Dieu n’est
pas toujours bien
comprise. Il y a
deux points de vue
de celui-ci, qui
doivent être évités:
(a)
qu’il est purement
négatif. Selon
déisme préservation
divine consiste en
ceci, que Dieu ne
détruit pas le
travail de ses
mains. En vertu de
la création Dieu
doué question avec
certaines
propriétés, placée
sous les lois
invariables et puis
à gauche déplacer
pour elle-même,
indépendamment de
tout soutien ou
direction de sans.
C’est une
déraisonnable,
irréligieux et une
représentation non
biblique. Il est
déraisonnable, car
il implique que Dieu
communiquée
subsistance autonome
à la créature,
tandis que
subsistance autonome
et auto-sustenation
sont des propriétés
incommunicables,
caractérisant la
seul le créateur. La
créature ne peut
jamais être
autosuffisante, mais
il y a de jour à
jour par la
toute-puissance du
créateur. C’est
pourquoi il
n’exigerait pas un
acte positif de
l’omnipotence de la
part de Dieu
d’anéantir les
existences créées.
Un simple retrait de
soutien entraînerait
naturellement
destruction. — Ce
point de vue est
irréligieux, car
elle supprime Dieu
si loin de sa
création que la
communion avec lui
devient pratiquement
impossible. Histoire
témoigne clairement
du fait qu’il décrit
uniformément mort
pour la religion. —
Il est aussi non
biblique, puisqu’il
met Dieu tout à fait
en dehors de sa
création, alors que
la Bible nous
enseigne dans
plusieurs passages
qu’il est non
seulement
transcendant mais
aussi immanent dans
les œuvres de ses
mains. (b)
que
c’est une création
continue.
Panthéisme
représente
préservation comme
une création
continue, de sorte
que les créatures ou
les causes secondes
sont conçues comme
n’ayant aucune
existence réelle ou
continu, mais comme
émanant de tous les
moments successifs
de cette mystérieuse
absolue qui est le
fondement caché de
tout choses.
Certains qui
n’étaient pas
panthéistes avaient
une opinion
similaire de
préservation.
Descartes a jeté les
bases d’une telle
conception de
celui-ci, et
Malebranche poussé
cela à l’extrême
extrême compatible
avec le théisme.
Même Jonathan
Edwards il enseigne
par ailleurs dans
son ouvrage sur le
péché originel et
ainsi vient
dangereusement près
de panthéisme
d’enseignement. Ce
point de vue de la
préservation ne
laisse aucune place
pour des causes
secondes et par
conséquent entraîne
nécessairement le
panthéisme. Il est à
l’encontre de nos
intuitions
originales et
nécessaires, qui
nous assurent que
nous sommes réels,
autodétermination
des causes d’action
et les agents moraux
en conséquence. En
outre, il frappe à
la racine de
l’Agence libre,
responsabilité
morale, gouvernement
moral et donc de la
religion elle-même.
Certains théologiens
réformés utilisent
également le terme
« création
continue »,
mais
ne signifient pas
ainsi à enseigner la
doctrine à l’étude.
Ils désirent
simplement insister
sur le fait que le
monde est maintenu
par la puissance
même qui l’a créé.
Compte tenu de la le
fait que
l’expression est
susceptible
d’incompréhension,
il est préférable de
l’éviter.
C. assentiment.
1. L’IDÉE DE
L’APPROBATION DIVINE
ET LA PREUVE
SCRIPTURAIRE POUR
ELLE.
a.
définition et
explication.
Accord peut être
définie comme
la co-opération
de la puissance
divine avec tous les
pouvoirs subordonnés,
selon
le pré-établit
les lois de leur
fonctionnement,
amenant à agir et à
agir exactement
comme ils le font
.
Certains sont
enclins à limiter
son fonctionnement,
pour autant que
l’homme est
concerné. pour les
actions humaines qui
sont moralement bon
et donc louable;
d’autres. plus
logiquement, étendre
à des actions de
toute nature. Il
convient de noter
d’emblée que cette
doctrine implique
deux choses: (1) que
les pouvoirs de la
nature ne
fonctionnent pas par
eux-mêmes,
c'est-à-dire
simplement par leur
propre pouvoir
inhérent, mais que
Dieu est
immédiatement
opératif dans tous
les actes de la
créature. Cela doit
être maintenue à
l’encontre de la
position déiste. (2)
que les causes
secondes sont réels
et de ne pas être
considéré simplement
comme la puissance
du dispositif de
Dieu. C’est
seulement à
condition que les
causes secondes sont
réelles, nous
pouvons correctement
parler d’une
convergence de vues
ou la coopération de
la Cause première
des causes
secondaires. Il
convient de
souligner par
rapport à l’idée de
panthéiste que Dieu
est le seul agent
travaillant dans le
monde.
b.
preuve de l’écriture
pour approbation
divine. La
Bible enseigne
clairement que la
providence de Dieu
s’applique non
seulement à l’être,
mais aussi pour les
actes ou opérations
de la créature. La
vérité générale que
les hommes ne
fonctionnent pas de
manière
indépendante, mais
sont contrôlés par
la volonté de Dieu,
résulte de plusieurs
passages de
l’écriture. Joseph
dit dans Genèse 45:5
que Dieu plutôt que
ses frères l’avaient
envoyé en Egypte.
Pièce n° 04:11, 12,
le Seigneur dit
qu’il sera avec la
bouche de Moïse et
lui apprendre ce
qu’il faut le dire;
et Jos. 11:6, il
donne Joshua
l’assurance qu’il
délivrera les
ennemis d’Israël.
Proverbes 21:1 nous
enseigne que « coeur
du roi est dans la
main de
l’Éternel.... Il
turneth il partout
où il veut »;
Esdras, 06:22, que
Jéhovah « avait
transformé le coeur
du roi d’Assyrie » à
Israël. Dans Deut
08:18 rappelle à
Israël du fait qu’il
s’agissait de
Jéhovah qu’il a
donné pouvoir pour
obtenir la richesse.
Plus
particulièrement, il
ressort également de
l’écriture, qu’il y
a une sorte de
divine coopération
dans celui qui est
mal. Selon II Sam.
16:11 Jéhovah Bakar
Shimei pour maudire
David. Le Seigneur
appelle également
l’assyrien « la tige
de ma colère, le
personnel dans sa
main est mon
indignation, » Ésaïe
10:5. En outre, il a
fourni pour un
esprit de mensonge
dans la bouche des
prophètes d’Achab, I
Rois 22:20-23.
2.
erreurs qui sont à
proscrire.
Il y a plusieurs
erreurs contre
lesquelles nous
devrions nous garder
dans le cadre de
cette doctrine.
a.
qu’il consiste
simplement en une
communication
générale du pouvoir,
sans
avoir déterminé
l’action spécifique
en quelque sorte.
Jésuites, Sociniens
et arminiens
maintiennent que
l’approbation divine
est seulement un
général et
indifférent
Co-operation, alors
que c’est la
deuxième cause qui
dirige l’action
jusqu'à sa fin
particulière. Comme
il est commun à
toutes les causes,
leur accélération en
action, mais d’une
manière qui est tout
à fait indéterminée.
Alors qu’elle
stimule la deuxième
cause, elle laisse
cela afin de
déterminer son
propre genre
particulier et le
mode d’action. Mais
si c’était la
situation, il serait
au pouvoir de
l’homme de déjouer
le plan de Dieu, et
la première Cause
deviendrait inféodée
à la seconde.
L’homme serait en
contrôle, et il n’y
aurait aucune
providence divine.
b.
qu’il est de telle
nature que l’homme
fait partie des
travaux et une
partie de Dieu.
La coopération de
Dieu et l’homme est
parfois représentée
comme si c’était
quelque chose comme
les efforts
conjoints d’une
équipe de chevaux
tirant ensemble,
chacun fait sa part.
Il s’agit d’une
vision erronée de la
répartition du
travail. En fait,
chaque acte est dans
son intégralité fois
un acte de Dieu et
un acte de la
créature. C’est un
acte de Dieu, dans
la mesure où il n’y
a rien qui soit
indépendante de la
volonté divine, et
dans la mesure où il
est déterminé à
partir moment au
moment par la
volonté de Dieu. Et
c’est un acte de
l’homme dans la
mesure où Dieu il
réalise par le biais
de l’auto-activité
de la créature. Il y
a interpénétration
ici, mais aucune
limitation mutuelle.
c. que
le œuvre de Dieu et
celui de la créature
en concurrence sont
co-ordinate.
C’est déjà exclu de
ce qui a été dit
dans ce qui précède.
Le œuvre de Dieu a
toujours la
priorité, pour
l’homme est
dépendant de Dieu
dans tout ce qu’il
fait. La déclaration
de l’écriture,
« Sans moi vous
pouvez ne rien
faire, » s’applique
dans tous les
domaines de
l’activité. La
relation exacte
entre les deux est
mieux indiquée dans
les caractéristiques
suivantes de
l’approbation
divine.
3. CARACTÉRISTIQUES
DE L’APPROBATION
DIVINE.
a. elle
est antérieure et
pré-déterminer,
non pas
dans un temps, mais
dans un sens logique.
Il n’y a aucun
principe absolu de
l’auto-activité dans
la créature, à
laquelle Dieu
rejoint simplement
son activité. Dans
tous les cas,
l’impulsion à
l’action et
mouvement procède de
Dieu. Il doit y
avoir une influence
de l’énergie divine,
avant que la
créature peut
fonctionner. Il est
à noter en
particulier que
cette influence ne
se termine pas sur
l’activité de la
créature, mais sur
la créature
elle-même. Dieu fait
tout dans la nature
pour travailler et
se déplacer dans le
sens d’une fin
prédéterminée. Si
Dieu permet aussi et
invite ses créatures
rationnelles, comme
deuxième causes,
pour fonctionner et
qui ne consiste pas
seulement en les
dotant d’énergie
d’une manière
générale, mais en
les mettant sous
tension à certains
actes spécifiques.
Il opère toutes
choses dans
l’ensemble, j’ai
Cor. 12:6 et qui
opère toutes choses,
aussi, à cet égard,
selon le Conseil de
sa volonté,
Éphésiens 01:11. Il
a donné le pouvoir
d’Israël pour
obtenir la richesse,
Deut. 08:18 et qui
opère dans les
croyants et le
vouloir et de faire
selon son bon
plaisir, Phil.
02:13. Pélagiens et
Semi-pélagiens de
toutes sortes sont
généralement
disposés à admettre
que la créature ne
peut pas agir en
dehors d’un afflux
de puissance divine,
mais maintiennent
que ce n’est pas
tellement spécifique
qu’il détermine le
caractère de
l’action en quelque
sorte.
b.
c’est aussi un
accord simultané.
Après que l’activité
de la créature est
commencée,
l’efficace de Dieu
doit accompagnera à
chaque instant, si
elle veut continuer.
Il n’y a pas un seul
instant que la
créature fonctionne
indépendamment de la
volonté et la
puissance de Dieu.
C’est en lui que
nous vivons
et se
déplacer et
qu’il l’être, actes
17:28. Cette
activité divine
accompagne l’action
de l’homme à tous
les points, sans
voler homme en
quelque sorte de sa
liberté. L’action
reste l’acte libre
de l’homme, un acte
dont il est
responsable. Cette
approbation
simultanée ne
débouche pas sur une
identification de la
causa
prima et la
causa
secunda. Dans
un sens très réel,
l’opération est le
produit de ces deux
causes. L’homme est
et reste le
véritable sujet de
l’action. Bavinck
illustre en
soulignant le fait
que le bois brûle,
que Dieu seulement
provoque la brûler,
mais que
formellement cette
gravure ne peut être
attribuée à Dieu,
mais seulement pour
le bois comme
matière. Il est
évident que cette
action simultanée
est indissociable de
l’accord précédent
et avance
déterminante, mais
devrait être
distinguée de l’il.
Strictement parlant,
à la différence de
l’accord précédent,
se termine, pas sur
la créature, mais
sur son activité.
Car il ne se termine
pas sur la créature,
il peut dans
l’abstrait être
interprété comme
n’ayant aucune
éthiques roulements.
C’est ce qui
explique que les
Jésuites
enseignaient que
l’approbation divine
était simultanée
uniquement et non
précédente, avance
déterminante, et que
certains théologiens
réformés limité
l’accord précédent
pour les bonnes
actions des hommes
et pour le reste
vérifié eux-mêmes
avec un accord
simultané de
l’enseignement.
c. c’est,
enfin,
une
concurrence
immédiate. Dans
son gouvernement du
monde, Dieu emploie
toutes sortes de
moyens pour la
réalisation de ses
fins; mais il ne
fonctionne pas alors
dans l’approbation
divine. Quand il a
détruit les villes
de la plaine par le
feu, il s’agit d’un
acte de gouvernement
divin dans lequel il
emploie des moyens.
Mais en même temps,
c’est son
assentiment immédiat
par lequel il permet
le feu à l’automne,
de brûler et de
détruire. Ainsi,
Dieu travaille
également chez
l’homme en lui
dotant d’énergie,
dans la
détermination de ses
actes et poursuivre
ses activités tout
au long de la ligne.
4.
l’approbation DIVINE
et le péché.
Pélagiens,
Semi-pélagiens et
arminiens soulever
une objection
sérieuse à cette
doctrine de la
providence. Ils
soutiennent qu’un
accord
précédent , qui
n’est pas simplement
générales
mais
prédétermine homme à
des actions
spécifiques,
fait de Dieu
l’auteur responsable
du péché. Les
théologiens réformés
sont bien conscients
de la difficulté qui
se présente ici,
mais n’hésitez pas à
contourner en
refusant un contrôle
absolu de Dieu sur
les actions
gratuites de ses
créatures morales,
puisque c’est
clairement enseigné
dans l’écriture,
45:5 de la Genèse;
50:19, 20; Ex. 10:1,
20; II Samuel 16:10.
11; Ésaïe 10:5-7;
Actes à 02:23;
04:27, 28. ils se
sentent contraints
d’enseigner: (a)
qu’actes pécheurs
sont sous contrôle
divin et se
produisent selon la
détermination au
préalable et le but
de Dieu, mais
seulement avec la
permission divine,
afin qu’il ne
provoque pas
efficacement les
hommes au péché,
45:5 de la Genèse;
50: 20; Exode 14:17;
Ésaïe 66:4; ROM.
09:22; II
Thessaloniciens.
02:11; (b) que Dieu
retient souvent les
œuvres pécheresses
du pécheur, Genèse
3:6; Emploi à 01:12;
2:6; PS. 76:10;
Ésaïe 10:15; Actes à
07:51; et (c) que
Dieu dans le nom de
son propre dessein
outrepasse le mal
pour le bien, Genèse
50: 20; PS. 76:10;
Actes. 03:13.
Cela ne signifie
pas, cependant, que
tous sont d’accord
pour répondre à la
question. s’il
existe une
activation directe,
immédiate et
physique de la
puissance active de
la créature,
élimination
préalablement
déterminer
efficacement à
l’acte précis et
aussi lui permettant
de qui agissent.
Dada, par exemple,
tout en admettant
telle une
concurrence physique
dans la création
plus bas, le nie en
ce qui concerne les
agents libres. La
grande majorité,
cependant, maintenir
également dans le
cas des êtres moraux
gratuits. Dabney
même convient qu’un
contrôle de Dieu sur
tous les actes de
ses créatures est
certain souverains
et efficace; et par
conséquent doit,
avec les autres,
faire face à la
question quant à la
responsabilité de
Dieu pour le péché.
Il donne sa
conclusion dans les
termes suivants: «,
alors, voilà mon
image de l’évolution
providentielle du
dessein de Dieu
quant à des actes
pécheurs; donc
d’organiser et de
regrouper les
événements et objets
autour des agents
libres par sa
sagesse collecteur
et de la puissance,
quant à placer
chaque âme, à chaque
étape, en présence
de ces conditions,
qui, il le sait,
sera une incitation
objective suffisante
à elle à faire, de
ses propres,
originaire , libre
activité, juste la
chose demandée par
le plan de Dieu. La
Loi est donc homme
seul, même si sa
présence est
efficacement assurée
par Dieu. Et le
péché n’est de
l’homme.
Préoccupation de
Dieu qu’il est
Sainte, tout
d’abord, parce que
tous ses Agence
personnelle en
s’arrangeant pour
garantir sa présence
était sacré; et en
second lieu, ses
extrémités ou fins
sont saints. Dieu ne
pas sera le péché de
la Loi, pour l’amour
de ses péchés; mais
seulement veut le
résultat auquel la
Loi est un moyen, et
ce résultat est
toujours digne de sa
sainteté. »
La
grande majorité des
théologiens
réformés, toutefois,
maintenir le
concours en question
et cherche la
solution de la
difficulté en
distinguant la
materia
et la
forma de la loi
du péché et en
attribuant ce
dernier
exclusivement pour
l’homme. La divine
concursus dynamise
l’homme et lui
détermine
efficacement à
l’acte spécifique,
mais c’est l’homme
qui donne la Loi sur
la qualité formelle,
et qui est donc
responsable de sa
nature pécheresse.
Ni l’un de ces
solutions peuvent
dire pour donner
entière
satisfaction, pour
que le problème de
la relation de Dieu
au péché demeure un
mystère.
D. le gouvernement.
1.
NATURE du
gouvernement divin.
Le gouvernement
divin peut être
défini comme
cette
activité continue de
Dieu par lequel il
gouverne toutes
choses
téléologiquement
afin de garantir
l’accomplissement du
dessein divin.
Ce gouvernement
n’est pas simplement
une partie de la
divine providence,
mais, tout comme la
préservation et de
la concurrence, le
tout, mais
maintenant considéré
du point de vue de
la fin à laquelle
Dieu dirige toutes
choses dans la
création, à savoir,
à la gloire de son
nom.
a.
c’est le
gouvernement de Dieu
comme roi de
l’univers. De
nos jours, beaucoup
considèrent l’idée
de Dieu comme roi
comme une idée
archaïque d’ancien
Testament et
seraient
substituerait, pour
elle, l’idée du
Nouveau Testament de
Dieu comme père.
L’idée de la
souveraineté divine
doit faire place à
celui de l’amour
divin. C’est censé
être en harmonie
avec l’idée
progressiste de Dieu
dans l’écriture.
Mais c’est une
erreur de penser que
la révélation
divine, comme il
s’élève à des
niveaux toujours
plus élevés, a
l’intention de nous
sevrer
progressivement de
l’idée de Dieu comme
roi et d’y
substituer pour lui
l’idée de Dieu comme
père. C’est déjà
contredite par
l’importance de
l’idée du Royaume de
Dieu dans les
enseignements de
Jésus. Et si on
affirmer que cela
implique simplement
l’idée d’une royauté
spéciale et limitée
de Dieu, il peut
être répondu que
l’idée de la
paternité de Dieu
dans les Évangiles
est soumis aux mêmes
restrictions et
limitations. Jésus
n’enseigne pas une
paternité
universelle de Dieu.
En outre, le Nouveau
Testament enseigne
également la royauté
universelle de Dieu
dans ces passages
comme Matthieu
11:25; Actes 17:24;
J’ai Timothée 01:17;
06:15; Apocalypse
1:6; 19:6. il est
roi et le père et
est la source de
toute autorité dans
les cieux et sur la
terre, le roi des
rois et Seigneur des
seigneurs.
b.
c’est un
gouvernement adapté
à la nature des
créatures qui il
gouverne. Dans
le monde physique,
il a établi les lois
de la nature, et
c’est grâce à ces
lois qu’il
administre le
gouvernement de
l’univers physique.
Dans le monde
mental, il
administre son
gouvernement
médiatement par le
biais des propriétés
et des lois de
l’esprit et
immédiatement, par
l’exploitation
directe de l’Esprit
Saint. Dans le
gouvernement et le
contrôle des agents
moraux, il utilise
toutes sortes
d’influences
morales, tels que
les circonstances,
motivations,
instruction,
persuasion et
exemple, mais aussi
travaille
directement par
l’exploitation
personnelle du
Saint-Esprit sur
l’intellect, la
volonté et la coeur.
2.
l’étendue de ce
gouvernement.
L’écriture déclare
explicitement ce
gouvernement divin
sont universelles,
PS. 22:28, 29;
103:17-19; Dan.
04:34, 35; J’ai
Timothée 06:15.
C’est vraiment
l’exécution de son
dessein éternel,
embrassant toutes
ses œuvres dès le
début, tout ce qui a
été, est ou sera
jamais. Mais bien
qu’il soit général,
il descend également
aux détails. Les
choses les plus
insignifiantes,
Matthieu 10:29-31,
ce qui est
apparemment
accidentelle, Prov.
16:33, les bonnes
actions des hommes,
Phil. 02:13, ainsi
que leurs mauvaises
actions, actes
14:16, — ils sont
tous sous contrôle
divin. Dieu est roi
d’Israël, Ésaïe 33:
22, mais il gouverne
aussi les païens,
Psaume 47:9. Rien ne
peut être retiré de
son gouvernement.
E. extraordinaires
Providences ou
Miracles.
1.
la NATURE des
MIRACLES.
Une distinction est
généralement faite
entre
ordinaria
providentia et
providentia
extraordinaria.
Dans l’ancien que
Dieu agit par le
biais de causes
secondes en stricte
conformité avec les
lois de la nature,
il peut cependant
varier les résultats
par différentes
combinaisons. Mais
dans le second cas,
il travaille sans la
médiation des causes
secondes ou
immédiatement dans
leur fonctionnement
normal. McPherson,
dit: « un miracle
est quelque chose de
fait sans avoir
recours à des moyens
ordinaires de
production, un
résultat appelé
vient directement de
la première cause
sans la médiation,
au moins à
l’accoutumée, des
causes secondes. »
La
chose distinctive
dans l’acte
miraculeux, c’est
qu’il résulte de
l’exercice de la
puissance
surnaturelle de
Dieu. Et cela
signifie, bien sûr,
que ce n'est pas
provoqué par des
causes secondaires
qui pourraient être
appliqués selon les
lois de la nature.
S’il s’agissait, il
ne serait pas
supernatural
(au-dessus de la
nature), autrement
dit, il ne serait
pas un miracle. Si
Dieu dans
l’accomplissement
d’un miracle n’a
parfois utilisé des
forces qui
n’existaient pas
dans la nature, il
utilisés d’une
manière qui était
hors du commun, pour
produire des
résultats
inattendus, et
c’était exactement
ce que constituait
le miracle.
Chaque miracle est
supérieur à l’ordre
établi de la nature,
mais nous pouvons
distinguer
différents genres,
mais pas des degrés,
des miracles. Il y a
les miracles qui
sont tout à fait
au-dessus de nature,
afin qu’ils ne sont
en aucune façon liés
à n’importe quel
moyen. Mais il y a
aussi des miracles
qui sont
contra
médias, dont
les moyens sont
employés, mais de
telle manière que
quelque chose
traduit qui est très
différent du
résultat habituel de
ces moyens.
2.
la possibilité des
MIRACLES.
Les miracles sont
contestés surtout
sur le terrain
qu’elles impliquent
une violation des
lois de la nature.
Certains cherchent à
échapper à la
difficulté en
supposant avec
Augustin qu’ils sont
simplement des
exceptions à la
nature
comme nous le savons
il, ce qui implique
que, si nous avions
une connaissance
plus complète de la
nature, nous serions
en mesure de rendre
compte pour eux
d’une manière
parfaitement
naturelle. Mais
c’est une situation
intenable,
puisqu’elle suppose
deux ordres de la
nature, qui vont à
l’encontre de
l’autre. Selon le
l’huile dans la
cruse diminueraient,
mais il ne diminue
pas après l’autre;
selon celui les
pains seraient peu à
peu consommés, mais
selon les autres,
ils multiplient. Il
doit encore supposer
que le système est
supérieur à l’autre,
si ce n’était pas le
cas, il n’y aurait
qu’une collision et
rien ne se
traduirait pas; mais
s’il s’agissait, il
semblerait que
l’ordre inférieur
serait
progressivement
surmonter et
disparaissent. En
outre, il prive le
miracle de son
caractère
exceptionnel, encore
miracles se
distinguent comme
des événements
exceptionnels sur
les pages de
l’écriture.
Il y a sans aucun
doute une certaine
uniformité dans la
nature; Il existe
des lois contrôlant
le fonctionnement
des causes secondes
dans le monde
physique. Mais
n’oublions pas que
ce sont simplement
la méthode
habituelle de
Dieu de travailler
dans la nature.
C’est son bon
plaisir à travailler
d’une manière
ordonnée et par le
biais de causes
secondaires. Mais
cela ne signifie pas
qu’il ne peut
s’écarter de l’ordre
établi et qu’il ne
peut pas produire un
effet
extraordinaire, qui
ne résulte pas de
causes naturelles,
par une seule
volonté, s’il le
juge souhaitable
pour la fin en vue.
Quand Dieu fait des
miracles, il produit
des effets
extraordinaires
d’une manière
surnaturelle. Cela
signifie que les
miracles sont nature
ci-dessus .
Nous dirons
également qu’ils
sont contraire à la
nature ? Plus
anciens théologiens
réformés n’hésitent
pas à parler d’eux
comme une violation
ou une violation des
lois de la nature.
Parfois, ils ont dit
que, dans le cas
d’un miracle,
l’ordre de la nature
a été temporairement
suspendue. Dr. Bruin
maintient que ce
point de vue est
correct dans son
Het
Christelijk Geloof
fr de Beoefening der
Natuur-wetenschapet
s’oppose aux vues
des Woltjer, Dennert
et Bavinck. Mais la
justesse de cette
terminologie plus
âgée peut être mise
en doute bien. Quand
un miracle est
interprété les lois
de la nature ne sont
pas violés, mais
remplacés à un
moment donné par une
supérieure
manifestation de la
volonté de Dieu. Les
forces de la nature
ne sont pas anéantis
ou suspendus, mais
sont seulement
contré à un moment
donné par une force
supérieure aux
pouvoirs de la
nature.
3.
le but des MIRACLES
de l’Ecriture.
On peut supposer que
les miracles de
l’Ecriture n’a été
effectuées
arbitrairement, mais
avec un but précis.
Ils ne sont pas
simples merveilles,
expositions de
puissance, destinés
à exciter
l’étonnement, mais
ont une
signification
révélatrice.
L’entrée du péché
dans le monde rend
l’intervention
surnaturelle de Dieu
dans le cadre
d’événements
nécessaires à la
destruction du péché
et pour le
renouvellement de la
création. C’est un
miracle que Dieu
nous a donné, sa
révélation verbale
particulière dans
l’écriture, tant sa
suprême révélation
factuelle en Jésus
Christ. Les miracles
sont liés à
l’économie de la
rédemption, une
rédemption qui,
souvent, ils
préfigurent et
symbolisent. Ils ne
visent pas à une
violation, mais
plutôt à une
restauration de le
œuvre créatrice de
Dieu. C’est pourquoi
nous trouvons des
cycles des miracles
liés à périodes
spéciales dans
l’histoire de la
rédemption et
surtout pendant le
temps du ministère
public de Christ et
de la Fondation de
l’église. Ces
miracles n’a pas
encore entraîné la
restauration de
l’univers physique.
Mais à la fin des
temps, une autre
série de miracles
suivront, qui se
traduira par le
renouvellement de la
nature à la gloire
de Dieu, —
l’établissement
final du Royaume de
Dieu dans un ciel
nouveau et une terre
nouvelle.
QUESTIONS
pour une étude plus
approfondie. Est la
doctrine de la
divine providence un
articulus purus
ou un
articulus mixtus?
Qui était le premier
d'entre les pères de
l’église de
développer cette
doctrine ? Comment
Luther et Calvin
diffèrent dans leur
conception de la
providence divine ?
Ce qui explique le
fait que les
arminiens acceptent
le Socinien position
sur ce point ?
Comment devons nous
juger de
l’affirmation de
quelques théologiens
réformés que Dieu
est la seule vraie
cause dans le
monde ? Quelles sont
les causes secondes,
et pourquoi il est
important de
maintenir qu’ils
sont les véritables
causes ? Est-ce la
doctrine de la
divine concursus
conflit avec
l’Agence libre de
l’homme ? Quelle a
été la conception de
Augustine de
miracles ? Pourquoi
est-il important de
maintenir la
miraculeuse ? Les
miracles admettent
une explication
naturelle ? Qu’ils
impliquent une
suspension des lois
de la nature ?
Quelle est la
signification
spéciale des
miracles de la
Bible ? Peuvent les
miracles se
produisent encore
aujourd'hui ? Ils
arrive encore ?
Qu’en est-il des
miracles de l’église
catholique romaine ?
LITTÉRATURE: Bavinck,
Geref. Dogme.
II,
pp. 635-670; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De
Providentia,
pp. 3-246; Vos,
Geref. Dogme.,
I, De
Voorzienigheid;
Hodge,
Syst. Theol. I,
pp. 575-636; Shedd,
dogme
.
THEOL.
J’ai, p. 527-545;
Dabney,
syst
et trouvailles.
THEOL.,
pp. 276-291;
McPherson,
Chr.
dogme., p.
174-184; Drummond,
Studies
in Chr. Doct.,
p. 187-202; Le pape,
Chr.
Theol., I, pp.
437-456; Raymond,
Syst.
Theol., I, pp.
497-527; Valentine,
Chr.
Theol., pp.
363-382; Pieper,
Christl. Dogme.,
I, pp. 587-600;
Schmidt,
Doct.
Théol. du Ev. Luth.
Église,
p. 179-201; Dijk,
dieux
De Voorzienigheid;
Mozley,
sur les Miracles;
Thomson,
Les
Miracles chrétiens
ainsi que les
Conclusions de la
Science; Mead,
révélation
surnaturelle;
Harris,
Dieu,
créateur et Seigneur
de tous, I, pp.
519-579; Bruin,
Het
Christelijke Geloof
fr de Beoefening der
Natuurwetenschap,
pp. 108-138.
DEUXIÈME PARTIE
La Doctrine de
l’homme en ce qui concerne Dieu
A. LA DOCTRINE DE
L’HOMME DANS LA
DOGMATIQUE.
La transition entre
théologie et
anthropologie,
c'est-à-dire de
l’étude de Dieu, à
l’étude de l’homme,
est naturelle.
L’homme est non
seulement la
Couronne de la
création, mais aussi
l’objet d’une
attention
particulière de
Dieu. Et la
révélation de Dieu
dans l’écriture est
une révélation qui
n’est pas seulement
donnée à l’homme,
mais aussi une
révélation où
l’homme est
extrêmement
préoccupée. Il n’est
pas une révélation
de Dieu dans
l’abstrait, mais une
révélation de Dieu à
l’égard de ses
créatures et en
particulier en ce
qui concerne
l’homme. C’est un
compte rendu des
relations de Dieu
avec l’humanité et
surtout une
révélation de la
rédemption que Dieu
a préparées pour, et
pour laquelle il
cherche à préparer,
homme. Ceci explique
le fait que l’homme
occupe une place
d’une importance
capitale dans
l’écriture, et que
la connaissance de
l’homme par rapport
à Dieu est
essentielle à sa
bonne compréhension.
La doctrine de
l’homme doit suivre
immédiatement après
la doctrine de Dieu,
puisque la
connaissance de
celui-ci est
présupposée dans
tous les locus
suivants de
théologie
dogmatique. Il ne
faut pas confondre
le présent sujet
d’étude avec
l’anthropologie
générale ou la
science de
l’humanité, qui
comprend toutes les
sciences qui ont des
hommes comme objet
d’étude. Ces
sciences se
préoccupent de
l’origine et
l’histoire de
l’humanité, avec la
structure
physiologique et les
caractéristiques
psychiques d’homme
en général et des
différentes races de
l’humanité en
particulier, avec
leurs ethnologiques,
linguistiques,
culturelles et
développement
religieux et ainsi
de suite.
Anthropologie
théologique ne porte
que sur ce que dit
la Bible concernant
l’homme et de la
relation dans
laquelle il se
trouve et doit être
maintenue à Dieu. Il
reconnaît l’écriture
comme sa source et
lit les
enseignements de
l’expérience humaine
à la lumière de la
parole de Dieu.
B. SCRIPTURAIRE
COMPTE D’ORIGINE DE
L’HOMME.
L’écriture nous
offre un compte deux
volets de la
création de l’homme,
celui de 01:26, 27
et l’autre en Genèse
2:7, 21-23. Critique
supérieure est
d’avis que l’auteur
de la Genèse
rassemblé deux
récits de création,
le premier trouvé
dans Genèse 1:1 —
2:3 et le second en
Genèse 2:4-25; et
que ces deux sont
indépendants et
contradictoires.
Laidlaw dans son
ouvrage sur
La
Doctrine de la Bible
de l’homme est
prêt à admettre que
l’auteur de la
Genèse fait usage de
deux sources, mais
refuse de trouver
ici deux récits
différents de
création. Il nie
très correctement
que dans le deuxième
chapitre, nous avons
« un autre compte de
la création, pour la
simple raison qu’il
ne tienne pas compte
de la création dans
son ensemble ». En
fait, la partie
introductive du
narratif partir de
Genèse 2:4, « ce
sont les générations
des cieux et de la
terre, lorsqu’ils
ont été créés, » vu
à la lumière de
l’utilisation
répétée de
l’expression « ce
sont les
générations » dans
le livre de la
Genèse , pointez sur
le fait que nous
avons quelque chose
de très différent
ici. L’expression
fait invariablement,
pas à l’origine ou
le début de ceux
nommés, mais à leur
histoire familiale.
Le premier récit
contient le récit de
la création de
toutes choses dans
l’ordre dans lequel
elle s’est produite,
tandis que les
deuxième choses de
groupes dans leur
relation à l’homme,
sans impliquer quoi
que ce soit en
respectant l’ordre
chronologique
d’apparition de
l’homme dans le
travail créatif de
Dieu et indique
clairement que tout
ce qui précède il a
servi à préparer une
habitation fit pour
l’homme comme le roi
de la création. Il
nous montre comment
l’homme se trouvait
dans la création de
Dieu, entourée par
le monde végétal et
animal, et comment
il a commencé son
histoire. Il y a
certaines mentions
dans lequel la
création de l’homme
se distingue à la
différence de celle
des autres êtres
vivants:
1. CRÉATION DE HOMME
A ÉTÉ PRÉCÉDÉE PAR
UN CONSEILLE DIVIN
SOLENNEL. Avant que
l’écrivain inspiré
enregistre la
création de l’homme,
il nous conduit, en
quelque sorte, dans
le Conseil de Dieu,
nous familiariser
avec le décret divin
dans les mots:
« faisons l’homme à
notre image, selon
notre
ressemblance, »
01:26. L’église a
généralement
interprétée le
pluriel « nous » sur
la base de
l’existence de
Trinitaire de Dieu.
Certains chercheurs,
cependant,
considèrent comme un
pluriel de Majesté;
d’autres, comme un
pluriel de
communication, dans
lequel Dieu comprend
les anges avec lui;
et d’autres encore,
comme un pluriel
d’exhortation
autonome. De ces
trois propositions,
la première est très
peu probable, depuis
le pluriel de
Majesté est née à
une date bien
ultérieure; le
second est
impossible, car cela
impliquerait que les
anges étaient co-créateurs avec
Dieu, et que l’homme
est également créé à
l’image des anges,
qui est une idée non
scripturaire; et la
troisième est une
hypothèse tout à
fait gratuite, pour
lesquels aucune
raison ne peut être
assignée. Pourquoi
une telle
exhortation
indépendant devrait
être au pluriel,
sauf pour la raison
qu’il y a une
pluralité en Dieu.
2. LA CRÉATION DE
L’HOMME A ÉTÉ, AU
SENS STRICT DU MOT,
UN ACTE IMMÉDIAT DE
DIEU. Certaines des
expressions
utilisées dans le
récit qui précède
celle de la création
de l’homme indiquent
médiate création
dans un certain sens
du mot. Remarquez
les expressions
suivantes: « Et Dieu
a dit: que la terre
mises en avant des
graminées, des
herbes, ce qui donne
des graines, et des
arbres fruitiers
portant fruit selon
leur espèce » —
« Que les eaux
pullulent avec des
hordes de créatures
vivantes »... et,
« que la terre
produise des êtres
vivants après leur
genre »;
Comparez-les avec
l’instruction simple
« et Dieu créa
l’homme. » Quelque
indication de
médiation dans le
travail de création
ne figure pas dans
les expressions de
l’anciennes, est
tout à fait désireux
dans ce dernier.
Évidemment, le œuvre
de Dieu dans la
création de l’homme
a été pas véhiculée
dans tous les sens
du terme. Il a fait
usage de matériel
préexistant en
formant le corps de
l’homme, mais même
si cela a été exclue
par la création de
l’âme.
3. LA DISTINCTION DE
LA PARTIE INFÉRIEURE
DES CRÉATURES
HUMAINE
A ÉTÉ CRÉÉ D'APRÈS UN
TYPE DIVIN. En ce
qui concerne les
poissons, les
oiseaux et les
bêtes, nous lisons
que Dieu a créé les
selon
leur espèce,
c'est-à-dire sur une
forme typique de
leurs propres.
Homme, cependant,
n’était pas
tellement créé et
beaucoup moins après
le type d’une
créature inférieure.
Quant à lui, Dieu
dit: « faisons
l’homme
à notre image,
selon
notre ressemblance. »
Nous verrons ce que
cela implique,
lorsque nous
examinons l’état
initial de l’homme
et simplement
attirer l’attention
sur elle ici, afin
de faire ressortir
le fait que, dans le
récit de la création
de l’homme, se
distingue comme
quelque chose de
distinctif.
4. LES DEUX
DIFFÉRENTS ÉLÉMENTS
DE LA NATURE HUMAINE
SONT BIEN
DIFFÉRENCIÉES. Dans
Genèse 2:7 il fait
une distinction
claire entre
l’origine du corps
et celui de l’âme.
Le corps a été formé
de la poussière du
sol; dans la
production de ce
Dieu fait de
l’utilisation de
matériel
préexistant. Dans la
création de l’âme,
cependant, il n’y
avait aucune
structuration des
matériaux
préexistants, mais
la production d’une
substance nouvelle.
L’âme de l’homme a
été une nouvelle
production de Dieu
au sens strict du
mot. Jéhovah « il
souffla dans narines
ses (homme) le
souffle de vie; et
l’homme devint une
âme vivante. » Dans
ces simples mots la
nature double de
l’homme est
clairement affirmée,
et leur enseignement
est corroborée par
d’autres passages de
l’écriture, par
exemple, Ecclésiaste
12:7; Matthieu
10:28; Luke 08:55;
II Corinthiens
5:1-8; Phil.
01:22-24; Hébreux
12:9. Les deux
éléments sont le
corps et le souffle
ou l’esprit de la
vie c’est insufflé
par Dieu et par la
combinaison des deux
l’homme est devenu
« une âme de vie, »
qui signifie en
l’occurrence tout
simplement « un être
vivant. »
5. L’HOMME EST À LA
FOIS PLACÉE DANS UNE
POSITION ÉLEVÉE.
L’homme est
représenté comme se
situant au sommet de
tous les ordres
créés. Il est
couronné comme roi
de la création plus
bas et est donné la
domination sur
toutes les créatures
inférieures. Comme
tel, c’est son
devoir et le
privilège de faire
toute la nature et
tous les êtres créés
qui ont été placées
sous son règne,
inféodée à son aura
et fin, afin que lui
et sa domination
tout glorieuse
pourraient amplifier
le tout-puissant
créateur et Seigneur
de l’univers ,
01:28; Psaume 8:4-9.
C. LA THÉORIE DE
L’ÉVOLUTION DE
L’ORIGINE DE
L’HOMME.
Parmi les
différentes théories
qui ont été
examinées pour
expliquer l’origine
de l’homme, la
théorie de
l’évolution à
présent tient le
champ et donc mérite
brèves
considérations.
1. ÉNONCÉ DE LA
THÉORIE. La théorie
de l’évolution n’est
pas toujours
indiquée dans la
même forme. Elle est
parfois représentée
comme si l’homme est
un descendant direct
de l’une des espèces
de grands singes
anthropoïdes
maintenant en
existence, et là
encore, comme si
l’homme et plus les
singes ont un
ancêtre commun. Mais
toute divergence
d’opinion, il peut y
avoir sur ce point,
il est certain que,
selon l’évolution
naturaliste complète
qui, descendu des
animaux inférieurs,
corps et âme, par un
procédé parfaitement
naturel, l’homme
entièrement contrôlé
par les forces
inhérentes. Un des
principaux principes
de la théorie est
celle de la stricte
continuité entre le
monde animal et
l’homme. Il ne peut
pas prévoir
discontinuité
n’importe où le long
de la ligne, pour
chaque pause est
fatale à la théorie.
Rien de ce qui est
tout à fait
nouvelles et
imprévisibles peut
apparaître dans le
processus. Ce qui se
trouve maintenant
dans l’homme doit
avoir été
potentiellement
présente dans le
germe initial d'où
toutes choses mis au
point. Et l’ensemble
du processus doit
être contrôlé de
bout en bout par les
forces inhérentes.
L’évolution théiste,
qui semble plus
acceptable pour
beaucoup de
théologiens,
considère simplement
évolution comme
méthode de Dieu de
travailler. Il est
parfois représenté
sous une forme dans
laquelle Dieu est
simplement appelé à
combler le fossé
entre l’organique et
l’inorganique et
entre l’irrationnel
et le rationnel,
création. Mais dans
la mesure à laquelle
une opération
spéciale de Dieu est
supposée, les
lacunes sont admis
quelle évolution ne
peut combler, et
quelque chose de
nouveau est appelé
en cours, la théorie
naturellement cesse
d’être une pure
théorie de
l’évolution. On le
tient parfois que
seul le corps de
l’homme est dérivé
par un processus
d’évolution les
animaux inférieurs,
et que Dieu a doté
cet organe avec une
âme rationnelle. Ce
point de vue répond
avec une faveur
considérable dans
les milieux
catholiques.
2. LES OBJECTIONS À
LA THÉORIE.
Plusieurs objections
peuvent être
déclenchées contre
la théorie de la
descente
évolutionnaire de
l’homme par les
animaux inférieurs.
a. du point de vue
du théologien la
plus grande
objection à cette
théorie est, bien
sûr, qu’il est
contraire à
l’enseignement
explicite de la
parole de Dieu. La
Bible pourrait
enseigner guère plus
clairement qu’il ne
le fait que l’homme
est le produit d’un
acte de Dieu
créateur direct et
spécial, plutôt que
d’un processus de
développement du
Simien épuisé
d’animaux. Il
affirme que Dieu
forma l’homme de la
poussière du sol,
Genèse 2:7. Certains
théologiens, dans
leur empressement à
harmoniser les
enseignements de
l’écriture avec la
théorie de
l’évolution, donnent
à penser que cela
peut être interprété
comme signifiant que
Dieu forma le corps
de l’homme hors du
corps des animaux,
qui
est, après tout,
mais de la poussière.
Mais c’est tout à
fait injustifié,
puisque aucune
raison ne peut être
assignée, pourquoi
l’expression
générale « de la
poussière de la
terre » doit être
utilisée après que
l’auteur a déjà
décrit la création
des animaux et
aurait donc pu
l’instruction
beaucoup plus
spécifiques. En
outre, cette
interprétation est
aussi exclue par
l’instruction à
03:19, « à la sueur
de ton visage tu
mangeras pain,
jusqu'à ce que tu
retourne à la terre:
pour out of it as
été tu pris: pour la
poussière tu es, et
à la poussière tu
retourneras. » Cela
ne signifie
certainement pas que
l’homme doit
retourner à son
ancien État animal.
Bête et l’homme
aussi bien
retournent à la
poussière. Eccl.
03:19, 20. Enfin, on
nous dit
explicitement dans I
Corinthiens 15:39
que « toute chair
n’est pas la même
chair: mais il y a
une seule chair des
hommes et une autre
chair des bêtes. »
Quant à l’esprit de
l’homme, la Bible
enseigne
explicitement qu’il
venait directement
de Dieu, Genèse 2:7
et par conséquent ne
saurait être
considérée comme une
évolution naturelle
d’une substance déjà
existante. En
parfaite harmonie
avec cette Elihou
dit: « l’esprit de
Dieu a fait de moi,
et le souffle du
tout-puissant me
donne la vie, » Job
33: 4. En outre,
l’écriture enseigne
également que homme
était à la fois
séparé de la
création plus bas
par un énorme
gouffre. Il se
tenait à la fois sur
un haut
intellectuel, moral,
et religieux niveau,
tel qu’il est créé à
l’image de Dieu et
reçut la domination
sur la création
inférieure, 01:26,
27, 31; 02:19, 20;
Psaume 8:5-8. Par sa
chute dans le péché,
cependant, il est
tombé de sa
succession élevée et
ont été soumises à
un processus de
dégénérescence
aboutissant parfois
à la bestialité.
C’est tout le
contraire de ce que
nous enseigne
l’hypothèse
évolutionniste.
Selon il homme se
tenait sur le niveau
le plus bas au début
de sa carrière, mais
légèrement retiré de
la brute et a depuis
augmenté à des
niveaux plus élevés.
b. la deuxième
grande objection est
que la théorie n’a
aucun fondement
adéquat dans les
faits bien établis.
Il faut avoir à
l’esprit que, comme
l’a indiqué
précédemment, la
théorie de
l’évolution en
général, bien que
souvent représenté
comme une doctrine
établie, est jusqu'à
présent rien mais
une hypothèse de
travail non prouvées
et une hypothèse qui
n’a pas encore donné
toute grande
promesse de réussi à
démontrer qu’il
fixés à prouver.
Franchement,
beaucoup d'entre les
plus éminents
évolutionnistes
admettent le
caractère
hypothétique de leur
théorie. Ils encore
avow se fermes
croyants dans la
doctrine de la
descente, mais
n’hésitent pas à
dire qu’ils ne
peuvent parler avec
n’importe quel
assurance de son
mode de
fonctionnement.
Quand Darwin publia
ses œuvres, on
pensait que la clé
du processus était
enfin trouvée, mais
en cours de temps,
il a été constaté
que la clé ne
cadrait pas avec la
serrure. Darwin a
vraiment dit que sa
théorie reposait
entièrement sur la
possibilité de
transmission des
caractères acquis,
et il est vite
devenu l’un des
pierres angulaires
de la théorie de
Weismann biologique
que les caractères
acquis ne sont pas
héritées. Son
opinion a reçu
confirmation
abondante par
l’étude ultérieure
de la génétique. Sur
la base de la
supposée
transmission des
caractères acquis,
Darwin s’est
entretenu avec
grande assurance de
la transmutation des
espèces et envisagé
une ligne continue
du développement de
la cellule
primordiale à
l’homme; mais les
expériences de
Mendel, De Vries et
d’autres tendaient à
discréditer son
avis. Les
changements
progressifs et
imperceptibles de
Darwin a fait place
pour les mutations
soudaines et
inattendues de
Vries. Tandis que
Darwin a assumé des
variations infinies
dans plusieurs
directions, Mendel a
souligné que les
variations ou les
mutations jamais
prennent l’organisme
à l’extérieur de
l’espèce et sont
soumis à un droit
précis. Et cytologie
moderne dans son
étude de la cellule,
avec ses gènes et
les chromosones que
les transporteurs
des caractères
héréditaires, a
confirmé cette idée.
La nouvelle espèce
dite des
évolutionnistes ont
été avérée aucune
espèce de vrai du
tout, mais seulement
les espèces
variétales,
c'est-à-dire des
variétés de la même
espèce.
Nordenskioeld dans
son
Histoire de la
biologie des
offres auprès un
populaire compte des
résultats de
recherche de
l’hérédité, comme
reflétant la
situation réelle de
la phrase suivante:
« en raison du grand
nombre de faits que
l’hérédité-la
recherche moderne a
mis à jour, chaos
règne actuellement
en ce qui concerne
les points de vue
sur la formation des
espèces, » p. 613.
Les évolutionnistes
éminents admettent
maintenant
franchement que
l’origine des
espèces est une
véritable énigme
pour eux. Et tant
que c’est le cas, il
n’y a pas beaucoup
de chance de leur
expliquer l’origine
de l’homme.
Darwin, dans sa
tentative de prouver
l’origine de l’homme
d’une espèce de
singes anthropoïdes
invoqué (1)
l’argument de la
similarité
structurelle entre
l’homme et les
animaux supérieurs;
(2) l’argument
embryologique; et
(3) l’argument
d’organes
rudimentaires. À ces
trois ont été
ajoutés plus tard,
(4) l’argument
dérivé de tests
sanguins; et (5)
l’argument
paléontologique.
Mais aucun de ces
arguments fournir la
preuve souhaitée.
L’argument de
ressemblance
structurale
injustifiable
suppose que la
similitude peut
s’expliquer de façon
qu’un seul. Mais il
peut très bien
s’expliquer par
l’hypothèse selon
laquelle Dieu dans
la création du monde
animal fait certain
typique forme
fondamentale dans
l’ensemble, afin
d’avoir l’unité dans
la variété, tout
comme un grand
musicien s’accumule
sa puissante
composition sur un
thème unique, qui
est la fois répétée
et encore une fois
et à chaque
répétition introduit
de nouvelles
variations. Le
principe de la
préformation donne
une explication
suffisante des
similitudes à
l’étude. La
similitude
embryologique, tel
qu’il est, peut
s’expliquer sur le
même principe. De
plus récentes études
biologiques semble
indiquer qu’aucune
similarité
structurelle, mais
seulement une
relation génétique
peut s’avérer
affinité ou
descente. Autant que
les organes
rudimentaires sont
concernés, plus d’un
scientifique a a
exprimé des doutes
quant à leur
caractère vestigial.
Au lieu d’être les
restes inutiles
d’organes d’animaux,
il peut très bien
être qu’ils servent
un but précis dans
l’organisme humain.
Les tests sanguins
dans leur forme
originale, tout en
soulignant une
certaine
ressemblance entre
le sang des animaux
et l’homme, ne
prouvent pas de lien
génétique, puisque
lors de ces essais,
qu’une partie du
sang, le sérum
stérile qui ne
contient aucune
matière vivante, a
été utilisée, bien
qu’il soit un fait
établi que la partie
solide du sang
contenant des
globules rouges et
blancs, est porteur
de facteurs
héréditaires. Des
tests plus tard,
dans lequel le
spectroscope a été
remis en usage et le
sang entier a été
examiné, prouvé de
façon concluante
qu’il y a une
différence
fondamentale entre
le sang des animaux
et celle de l’homme.
L’argument
paléontologique est
tout aussi peu
concluant. Si
l’homme est descendu
vraiment de singes
anthropoïdes, on
pourrait s’attendre
que les formes
intermédiaires
serait existent
quelque part. Mais
Darwin n’était pas
en mesure de trouver
le maillon manquant
pas plus que les
milliers de chaînons
manquants entre les
différentes espèces
d’animaux. On nous
dit que les
progéniteurs
précoces de l’homme
ont depuis longtemps
disparu. Cela étant
ainsi, il est
toujours possible
qu’ils pourraient
être trouvés parmi
les restes fossiles.
Et les scientifiques
d’aujourd'hui
demandent réellement
qu’ils ont trouvé
quelques os des
hommes très
anciennes. Ils ont
reconstruit ces
hommes pour nous, et
nous pouvons
profiter maintenant
en regardant les
photos imaginaires
de l’homme Java
reconstituée (Pithecanthropus
erectus),
l’homme d’Heidelberg
(Homo
Heidelbergensis),
l’homme de
Neandertal (Homo
Neanderthalensis),
le Cro-Magnon,
l’homme de Piltdown
et autres. Ces
reconstructions
semblent être pris
au sérieux par
certains, mais
vraiment très peu de
valeur. Depuis que
quelques os ont été
trouvés de chacun,
et même ceux-ci se
sont dispersés dans
certains cas, afin
qu’il n’est pas
certain qu’ils
appartiennent à la
même entité, elles
témoignent
simplement
l’ingéniosité des
scientifiques qui
eux reconstruit.
Dans certains cas
les spécialistes
sont absolument pas
d’accord quant à
savoir si l’OS en
question
appartenaient à un
homme ou un animal.
Le Dr Wood,
professeur
d’anatomie à
l’Université de
Londres, affirme
dans une brochure
sur l'
Ascendance de
l’homme: « je
ne trouve aucun
occupation moins
digne de la science
de l’anthropologie
que l’entreprise pas
démodé de
modélisation, de
peindre ou de
dessiner ces
cauchemar photos de
l’imagination et les
prêts en cours,
d’une valeur
totalement fausse de
la réalité
apparente. »
Fleming, un des plus
éminents
scientifiques
aujourd'hui, dit:
« le résultat de
tout cela est que
nous ne pouvons pas
organiser tous les
fossiles connus
demeure de supposé
« homme » dans une
série lineal avancer
progressivement dans
le type ou la forme
de celle de
n’importe quel singe
anthropoïde, ou
autres mammifères ,
jusqu'à les types
modernes et
maintenant existants
de vrai homme. Toute
supposition ou la
déclaration qu’il
peut être fait et il
est vrai, est
certainement
inexacte. Il est
certainement
trompeuse et
indiciblement
pernicieux de
présenter dans des
magazines populaires
et d’autres
publications lues
par les dessins
d’enfants de
gorilles ou les
chimpanzés portant
la mention « Cousine
de l’homme » ou
« Parent le plus
proche de l’homme »,
ou de publier
parfaitement
imaginaires et les
images grotesques
d’un supposée « Java
homme » avec un
visage brutal comme
un ancêtre de
l’homme moderne,
comme parfois le
fait. Ceux qui font
de telles choses
sont coupables de
l’ignorance ou
délibérée fausses
déclarations
importantes. Elle
n’est justifiable
des prédicateurs
dans la Chaire de
raconter leurs
congrégations qu’il
y a un accord
général parmi les
hommes scientifiques
quant à l’origine
évolutive de l’homme
d’un ancêtre
animal. »
Mais le
corps de l’homme ne
présente pas encore
les plus grandes
difficultés pour
l’évolutionniste.
Celles-ci découlent
de l’examen de
l’élément spirituel
chez l’homme, ou ce
qu’on appelle
généralement
« l’origine de
l’esprit. » C’est à
ce moment que son
impuissance devienne
plus douloureusement
évident. Malgré
toutes ses
tentatives, il n’a
manifestement pas de
donner une
explication
plausible de
l’origine de
l’esprit humain, ou
intelligence
(progressivité),
langage, conscience
et de religion. Cela
pourrait être fait
observer en détail,
mais nous le jugent
pas nécessaire. Il y
a beaucoup de ceux
qui, comme Dennert
et Kamal, professent
encore à croire en
la doctrine de la
descente, mais
désavoue la méthode
darwinienne de
l’évolution et la
considérer comme un
échec presque
complet. Pourtant
ils ne connaissent
pas d’autre méthode
qui pourrait prendre
sa place. Cela
signifie que leur
évolution a cessé
d’être une science,
et est devenue une
fois de plus une
simple philosophique
théorie. Kamal a
déclaré: « nous
lisons régime sa
(Darwin) de
l’évolution, comme
nous le ferions
celles de Lucrèce ou
de Lamarck.... Nous
sommes à peu près où
Boyle fut au XVIIe
siècle. » Le
témoignage du Dr D.
H. Scott est très
similaire. Dans un
discours devant
l’Association
Britannique pour
l’avancement de la
Science, il a fait
les déclarations
suivantes: « tout
est à nouveau dans
le creuset.... Est
évolution, alors,
pas un fait
scientifiquement
établi ? Non, il
n’est pas... C’est
un acte de foi —
parce qu’il n’y a
pas d’alternative. »
Création, bien sûr,
est ne pas à
considérer. Il a
ajouté qu’il existe,
en sciences
naturelles, « un
retour au chaos pré
darwinienne ». Dr.
Fleischmann
d’Erlangen écrit:
« la théorie
darwinienne n'a pas
un seul fait pour le
soutenir... est
purement le fruit de
l’imagination. »
Encore plus forte
est l’affirmation du
Dr B. Kidd:
« Darwinisme est un
composé de
présomption
étonnante et
ignorance
incomparable. »
Ces
scientifiques comme
Fleming, Dawson,
Kelly et le prix
n’hésitent pas à
rejeter la théorie
de l’évolution et à
accepter la doctrine
de la création.
Concernant l’origine
de l’homme, Sir
William Dawson dit:
« je ne sais rien
sur l’origine de
l’homme, sauf qu’on
me dit dans
l’Ecriture, que Dieu
créa. Je ne sais
rien de plus que
cela, et je ne sais
pas de toute
personne qui le
fait. »
Fleming dit: « tout
ce que la science
peut dire à l’heure
actuelle à la
lumière de
définitivement
déterminée et
limitée de la
connaissance humaine
est qu’il ne sait
pas et qu’il n’a
aucun preuve certain
comment, où et quand
l’homme était
originaire. Si toute
vraie connaissance
de celui-ci doit
venir à nous, il
doit provenir d’une
source autre que
l’anthropologie
moderne présente. »
D. L’ORIGINE DE
L’HOMME ET L’UNITÉ
DE LA RACE.
1.
L'ÉCRITURE TÉMOIGNE DE
L’UNITÉ DE LA RACE.
L’écriture enseigne
que tout le genre
humain est descendu
d’une seule paire.
C’est le sens
évident des premiers
chapitres de la
Genèse. Dieu a créé
Adam et Eve comme le
début de l’espèce
humaine et leur
ordonna de Soyez
féconds et
multipliez et
remplissez la terre.
En outre, le récit
ultérieur dans la
Genèse montre
clairement que les
générations
suivantes jusqu’au
temps du déluge se
trouvait dans une
relation génétique
ininterrompue avec
la première paire,
afin que la race
humaine constitue
non seulement une
unité spécifique,
une unité dans le
sens que tous les
hommes partagent la
même nature humaine,
mais aussi une unité
génétique ou
généalogique. C’est
également enseignée
par Paul dans Actes
17:26, « et Dieu
fait un toutes les
Nations de l’homme
de s’étendre sur
toute la surface de
la terre. » La même
vérité est
fondamentale pour
l’unité organique de
la race humaine dans
la première
transgression et de
la provision pour le
salut de la race
dans le Christ, Rom.
05:12, 19; I
Corinthiens 15:21,
22. Cette unité de
la race ne pas doit
s’entendre de façon
réaliste, il est
représenté par Shedd,
qui dit: « la nature
humaine est une
substance spécifique
ou générale créée et
où les premiers
individus d’une
espèce humaine, ce
qui n’est pas encore
individualisée, mais
qui par ordinaire
génération est
divisée en parties,
et ces pièces sont
formées dans des
individus distincts
et séparés de
l’espèce. Les
substances
spécifiques, par
propagation, se
métamorphose en des
millions de
substances
individuelles, ou
des personnes. Un
individu est séparé
de la masse commune
une partie
fractionnaire de la
nature humaine et
constituait une
personne en
particulier, ayant
toutes les
propriétés
essentielles de la
nature humaine. »
Les
objections à ce
point de vue seront
définies par une
autre connexion.
2.
LE TÉMOIGNAGE DE LA
SCIENCE À L’UNITÉ DE
LA RACE. Science de
diverses manières
confirme le
témoignage de
l’écriture quant à
l’unité de la race
humaine. Hommes
scientifiques n’ont
pas toujours cru en
cela. Les Grecs
avaient leur théorie
d’autochtonism,
selon laquelle les
hommes jaillit de la
terre par une sorte
de génération
spontanée, une
théorie qui n’a
aucun fondement
solide, à que ce
soit, étant donné
que la génération
spontanée n’a jamais
été prouvée mais
plutôt discréditée.
Agassiz proposé la
théorie de la
Coadamites, ce qui
suppose qu’il y
avait différents
centres de création.
Dès 1655, Peyrerius
a développé la
théorie de la
Preadamites, qui se
déroule sur
l’hypothèse qu’il y
avait des hommes
avant Adam a été
créé. Cette théorie
a été relancée par
le Winchell, qui n’a
pas nié l’unité de
la race, mais
considéré Adam le
premier ancêtre des
Juifs plutôt que la
tête de la race
humaine. Et ces
dernières années le
Fleming, sans être
dogmatique en la
matière, a dit qu’il
y a des raisons de
penser qu’il y avait
des races
inférieures de
l’homme qui précède
l’apparition d’Adam
sur la scène vers
5500 av. J.-C. Tout
en inférieure aux
Adamites, ils
avaient déjà des
pouvoirs distincts
de ceux des animaux.
L’homme adamique
plus tard a été
dotée de pouvoirs
plus grande et plus
nobles et
probablement destiné
à intégrer
l’ensemble des autre
l’humanité existante
allégeance au
créateur. Il n’a pas
préservé son
allégeance à Dieu et
c’est pourquoi Dieu
a fourni à la venue
d’un descendant qui
a été l’homme et
encore beaucoup plus
que l’homme, afin
qu’il peut accomplir
ce que l’homme
adamique omis de
faire. Est d’avis
que Fleming a été
amené à tenir « qui
l’incontestablement
caucasien branche
est seul le calcul
de la production
normale de la race
Adamique, nommément
des membres de la
race Adamique qui a
survécu à
l’inondation
adoration du Dieu —
Noé et ses fils et
filles. »
Mais
ces théories, et
chacun, trouvent
aucun appui dans les
Ecritures et sont
contrairement aux
actes 17:26 et à
tout ce que la Bible
enseigne concernant
l’apostasie et la
délivrance de
l’homme. En outre,
science présente
plusieurs arguments
en faveur de l’unité
de la race humaine,
telles que:
a.
l’argument de
l’histoire. Les
traditions de la
race des hommes
pointent résolument
vers une origine
commune et
l’ascendance en Asie
centrale. L’histoire
des migrations de
l’homme tend à
démontrer qu’il y a
eu une distribution
d’un seul centre.
b.
l’argument de la
philologie.
L’étude des langues
de l’humanité,
indique une origine
commune. Les langues
indo-européennes
sont attribuables à
une langue commune
primitive, un ancien
vestige qui subsiste
dans la langue
sanskrite. En outre,
il y a une preuve
qui démontre que
l’égyptien ancien
est la liaison
reliant
l’indo-européen et
la langue sémitique.
c.
l’argument de la
psychologie.
L’âme est la partie
la plus importante
de la nature
constitutionnelle de
l’homme, et
psychologie, il
ressort clairement
du fait que les âmes
de tous les hommes,
à quelque tribus ou
des nations qu’ils
appartiennent, sont
essentiellement les
mêmes. Ils ont en
commun les mêmes
appétits animaux,
des instincts et
passions, les mêmes
tendances et
capacités et surtout
les mêmes qualités
supérieures, les
caractéristiques
mentales et morales
qui appartiennent
exclusivement à
l’homme.
d.
l’argument de
sciences naturelles
ou de la physiologie.
C’est maintenant
l’arrêt commune de
physiologistes
comparatives qui
constitue la race
humaine, mais une
seule espèce. Les
différences qui
existent entre les
différentes familles
de l’humanité sont
considérés
simplement comme des
variétés de cette un
espèce. Science
n’affirme pas
positivement que la
race humaine est
descendu d’une seule
paire, mais démontre
néanmoins que cela
peut être le cas et
qu’il est
probablement.
QUESTIONS pour
une étude
complémentaire: Que
peut-on dire sur la
vue que nous avons
dans Genèse 1 et 2
deux différentes et
plus ou moins
contradictoires
récits de création ?
Il semble
raisonnable de
penser que le monde
existait des
millions d’années
avant que l’homme
est apparu sur la
scène ? L’hypothèse
de l’évolution
théiste s’harmonise
avec le récit
biblique de
l’origine de
l’homme ? Est la
notion que le corps
de l’homme est au
moins dérivé
d’animaux tenable à
la lumière de
l’écriture ?
Évolution a mis en
place ses arguments
sur ce point ? Ce
qu’il s’est avéré
relativement à la
question beaucoup
plus difficile de la
dérivation de l’âme
humaine ? Ce qu’il
advient de la
doctrine de
l’automne dans la
théorie de
l’évolution ? Quelle
est la signification
théologique de la
doctrine de l’unité
de la race humaine ?
LITTÉRATURE: Bavinck,
Geref. Dogme.
II
p. 543-565, Hodge,
Syst.
Theol. II, pp.
3-41; Litton,
Introd.. au dogme.
THEOL.,
p. 107-113; Miley,
Syst.
Theol. I, pp.
355-392; Alexander,
syst.
de la Bibl. Theol.
I, p. 156-167;
Laidlaw,
la
Bible Doct. d’homme,
p. 24-46; Darwin,
descente de l’homme;
Drummond,
l’ascension de
l’homme;
Fleming,
l’origine de
l’humanité; O '
Toole,
l’affaire contre
l’évolution,
partie II, Chaps. II
et III. Cf. plus
loin les travaux sur
l’évolution
mentionné à la fin
du chapitre
précédent.
II. la Nature constitutionnelle de
homme
Le chapitre
précédent est de
nature plus ou moins
liminaire et ne
forme pas, à
proprement parler,
partie intégrante de
la présentation
systématique de la
doctrine de l’homme
dans la dogmatique.
C’est ce qui
explique pourquoi de
nombreux traités de
théologie
systématique ne
parviennent pas à
consacrer un
chapitre distinct à
l’origine de
l’homme. Pourtant,
il semble
souhaitable
d’insérer ici, car
elle fournit un
arrière-plan de
raccord pour ce qui
suit. Sous la
présente rubrique,
nous allons examiner
les constituants
essentiels de la
nature humaine et la
question de
l’origine de l’âme
chez les individus
qui constituent la
course.
A. LES ÉLÉMENTS
CONSTITUTIFS DE LA
NATURE HUMAINE.
1. LES POINTS DE VUE
DIFFÉRENTS QUI
ÉTAIENT À JOUR DANS
L’HISTOIRE:
DICHOTOMIE ET
TRICHOTOMIE. Il est
d’usage, en
particulier dans les
milieux chrétiens,
de concevoir l’homme
comme étant
constituée de deux.
et seulement deux,
parties distinctes,
à savoir, corps et
âme. Ce point de vue
est techniquement
appelé
dichotomie. Aux
côtés de celui-ci,
cependant, un autre
a fait son
apparition, à
l’effet que la
nature humaine se
compose de trois
parties, corps, âme
et esprit. Elle est
désignée par le
terme
trichotomie. La
conception
tripartite de
l’homme originaire
de la philosophie
grecque, qui conçoit
la relation entre le
corps et l’esprit de
l’homme à l’autre
après l’analogie de
la relation
réciproque entre le
Dieu et l’univers
matériel. On croyait
que, tout comme ce
dernier pourrait
entrer en communion
avec l’autre qu’au
moyen d’une
troisième substance
ou un être
intermédiaire, donc
l’ancien pourrait
entrer en relations
mutuelles de vitales
qu’au moyen d’un
tiers ou un élément
intermédiaire, à
savoir, l’âme. L’âme
a été considéré
comme, d’une part,
immatérielle et
d’autre part, adapté
au corps. Dans la
mesure où il a
ouvert la
nous
ou pneuma, il était
considéré comme
immortel, mais dans
la mesure où elle
était liée au corps,
comme charnels et
mortels. Les plus
familiers, mais
aussi la forme la
plus cruelle de
trichotomie est que
qui prend le corps
pour la partie
concrète de la
nature de l’homme,
l’âme comme le
principe de la vie
animale et de
l’esprit comme
l’élément rationnel
et immortel liées à
Dieu en l’homme. La
conception
trichotomic de
l’homme trouvé
faveur considérable
avec le grec ou
l’Alexandrin pères
de l’église des
premiers siècles
chrétiens. Il se
trouve, mais pas
toujours dans
exactement la même
forme, Clément
d’Alexandrie,
Origène et Grégoire
de Nysse. Mais après
que Apollinaris il
employées d’une
manière affectant
l’humanité parfaite
de Jésus, il a été
peu à peu
discrédité.
Quelques-uns des
pères grecs toujours
respectée, bien que
Athanasius et
Théodoret
explicitement rejeté
il. Dans l’église
latine les
principaux
théologiens a
nettement favorisé
la division binaire
de la nature
humaine. C’est
surtout la
psychologie
d’Augustin qui
donnait d’importance
à ce point de vue.
Au moyen-âge, il
était devenu une
question de croyance
commune. La réforme
a apporté aucun
changement à cet
égard, bien que
quelques petites
lumières défend la
théorie trichotomic.
L’église catholique
ont adhéré au
verdict de la
scolastique, mais
dans les cercles du
protestantisme
autres voix ont été
entendues. Au XIXe
siècle trichotomie
renaît sous une
forme ou une autre
par certains
théologiens
allemands et
anglais, Roos,
Olshausen, Beck,
Delitzsch, Auberlen,
Oehler, White et
Heard; mais il n’a
pas rencontré de
grande faveur dans
le monde
théologique. Les
récents partisans de
cette théorie sont
en désaccord quant à
la nature de la
psuche,
ni quant à la
relation dans
laquelle il se
trouve avec les
autres éléments de
la nature de
l’homme. Delitzsch
il conçoit comme un
efflux du
pneuma,
Beck, Oehler et
Heard, il considère
comme le point
d’union entre le
corps et l’esprit.
Delitzsch n’est pas
tout à fait
cohérente et semble
parfois vaciller, et
Beck et Oehler
admettent que la
représentation
biblique de l’homme
est fondamentalement
dichotomique. Leur
défense d’une
trichotomie biblique
peut difficilement
dire pour impliquer
l’existence de trois
éléments distincts
chez l’homme. Outre
ces deux points de
vue théologiques
comptait, en
particulier depuis
un siècle et demi,
aussi les points de
vue philosophiques
du matérialisme
absolu et de
l’idéalisme absolu,
l’ancienne sacrifier
l’âme au corps et ce
dernier, le corps à
l’âme.
2. LES ENSEIGNEMENTS
DE L’ÉCRITURE COMME
AUX ÉLÉMENTS
CONSTITUTIFS DE LA
NATURE HUMAINE. La
représentation
dominante de la
nature de l’homme
dans l’Ecriture est
clairement
dichotomique. D’une
part la Bible nous
enseigne à Découvre
la nature de l’homme
comme une unité, et
non pas comme une
dualité, composé de
deux éléments
différents, dont
chacun se déplacent
le long de lignes
parallèles mais
n’unissent pas
vraiment pour former
un seul organisme.
L’idée d’un simple
parallélisme entre
les deux éléments de
la nature humaine,
trouvé dans la
philosophie grecque
et aussi dans les
œuvres de certains
philosophes
ultérieurs, est tout
à fait étrangère à
l’écriture. Tout en
reconnaissant la
nature complexe de
l’homme, il
représente jamais
cela comme étant le
résultat chez un
sujet double chez
l’homme. Tous les
actes de l’homme
sont considéré comme
un acte de tout
l’homme. Il n’est
pas l’âme, mais
l’homme qui pèche;
Il n’est pas le
corps mais l’homme
qui meurt; et il
n’est pas simplement
l’âme, mais l’homme,
le corps et l’âme
qui est racheté en
Christ. Cette unité
s’exprime déjà dans
le passage classique
de l’ancien
Testament — le
premier passage pour
indiquer la nature
complexe de l’homme
— à savoir, Genèse
2:7: « et Jéhovah
Dieu forma l’homme
de la poussière de
la terre et il
souffla dans ses
narines le souffle
de vie; et l’homme
devint une âme
vivante. » Le
passage entier
traite de l’homme:
« Dieu forma
l’homme... et
l’homme devint une
âme vivante. » Cette
œuvre de Dieu ne
doit pas être
interprétée comme un
procédé mécanique,
comme si il forme un
corps d’argile et
ensuite mettre une
âme dedans. Lorsque
Dieu forma le corps,
il forma ainsi que
par le souffle de
son esprit l’homme à
la fois devint une
âme vivante. Job 33:
4; 32:8. le mot
« âme » dans ce
passage n’a pas le
sens que nous
attribuons
généralement à elle
— un sens plutôt
étrangère à l’ancien
Testament, mais
désigne un être
animé, et est une
description de
l’homme dans son
ensemble. Le terme
hébreu même,
nephesh
chayyah (âme de
vivre ou d’être) est
également appliqué
aux animaux à 01:21,
24, 30. Si ce
passage, tout en
indiquant qu’il y a
deux éléments chez
l’homme, encore
insiste sur l’unité
organique de
l’homme. Et cela est
reconnu dans toute
la Bible.
Dans le même temps,
il contient
également des
preuves de la double
composition de
nature de l’homme.
Nous devons être
prudents, cependant,
ne pas d’attendre la
distinction plus
tard entre le corps
comme l’élément
matériel et l’âme
comme l’élément
spirituel, de la
nature humaine, dans
l’ancien Testament.
Cette distinction
est utilisé par la
suite sous
l’influence de la
philosophie grecque.
L’antithèse — corps
et âme, même dans
son sens le Nouveau
Testament, n’est pas
encore trouvé dans
l’ancien Testament.
En fait, l’hébreu
n’a aucun mot pour
le corps comme un
organisme. La
distinction de
l’ancien Testament
des deux éléments de
la nature humaine
est de nature
différente. Laidlaw,
dit dans son ouvrage
sur La
Doctrine biblique de
l’homme:
« L’antithèse est
évidemment celle des
animaux inférieur et
supérieur, terrestre
et céleste et
divine. Il n’est pas
tellement deux
éléments, comme deux
facteurs s’unir en
un résultat unique
et harmonieux, —
« l’homme devint une
âme vivante. » » Il
est évident que
c’est la distinction
dans Genèse 2:7.
Voir aussi Job 27:
3; 32: 8; 33: 4;
Ecclésiaste 12:7.
Une variété de mots
est utilisée dans
l’ancien Testament
pour désigner
l’élément inférieur
chez l’homme ou des
parties de celui-ci,
tels que la
« chair »,
« poussière »,
« bones »,
« entrailles »,
« reins » et aussi
l’expression
métaphorique
« maison d’argile, »
Job 04:19. Et il y a
aussi plusieurs mots
pour désigner
l’élément supérieur,
tels que le
« esprit »,
« l’âme », « coeur »
et « l’esprit ». Dès
que nous passons de
l’ancien au Nouveau
Testament, nous
rencontrons les
expressions
antithétiques que
plus nous sont
familiers, comme
« corps et âme, »
« la chair et
l’esprit ». Les mots
grecs correspondants
étaient sans aucun
doute moulés par la
pensée philosophique
grecque, mais passée
par le biais de la
Septante dans le
Nouveau Testament et
donc maintenu leur
force de l’ancien
Testament. En même
temps l’idée
antithétique du
matériel et
l’immatériel est
maintenant aussi
connectée avec eux.
Seek trichotomists
appui dans le fait
que la Bible, comme
ils la voient,
reconnaît deux
éléments
constitutifs de la
nature humaine en
plus de l’élément
inférieur ou
matérielle, à
savoir, l’âme
(Hébreux,
nephesh;
Grec,
psuche) et de
l’esprit (Hébreux,
ruach;
Grec,
pneuma). Mais
le fait que ces
termes sont utilisés
avec la grande
fréquence dans
l’écriture ne permet
pas de conclure
qu’ils désignent les
composants plutôt
que différents
aspects de la nature
humaine. Une étude
attentive de
l’écriture montre
clairement qu’il
utilise les mots de
façon
interchangeable. Les
deux termes
désignent l’élément
supérieur ou
spirituelle chez
l’homme, mais le
contempler depuis
différents points de
vue. Il faut savoir
en même temps,
cependant, que la
distinction
mentionnés dans les
écritures des deux
est en désaccord
avec ce qui est
assez commun dans la
philosophie, que
l’âme est l’élément
spirituel chez
l’homme, puisqu’il
est lié au monde
animal, tandis que
l’esprit est ce même
élément dans sa
relation au monde
spirituel plus élevé
et à Dieu. Les faits
suivants militent
contre cette
distinction
philosophique:
Ruach-pneuma,
ainsi que
nephesh-psuche,
sert de la création
brute, Eccl. 03:21;
Apocalypse 16:3. Le
mot
psuche est
encore utilisé en
référence à Jéhovah,
Ésaïe 42: 1; Jérémie
9:9; Amos 6:8
(Hébreux); Hébreux
10:38. Les morts
désincarnés sont
appelés
psuchai, Apoc.
6:9; 20:4. Les
exercices plus
élevés de la
religion sont
attribuées à la
psuche,
marquez 12:30; Luc
01:46; Héb. 06:18,
19; Jacques 01:21.
Pour perdre la
psuche
est de perdre tout.
Il est parfaitement
évident que la Bible
utilise
indifféremment les
deux mots. Remarquez
le parallélisme dans
Luc 01:46, 47: « mon
âme exalte le
Seigneur, et mon
esprit a réjoui dans
Dieu mon Sauveur. »
La formule biblique
pour l’homme est
dans certains
passages « corps et
âme, » Matthieu
06:25; 10:28; et
dans d’autres,
« corps et esprit, »
Ecclésiaste 12:7;
J’ai Cor. 5:3, 5. La
mort est parfois
décrite comme
l’abandon de l’âme,
GEN 35:18; I rois
17:21; Actes 15:26;
et puis encore une
fois, comme
l’abandon de
l’esprit, PS. 31:5;
Luc 23:46; Actes à
07:59. En outre
« l’esprit » et
« âme » sont
utilisés pour
désigner l’élément
immatériel des
morts, j’ai PET.
03:19; Hébreux
12:23; Apocalypse
6:9; 20:4. la
principale
distinction
scripturale est la
suivante: le mot
« esprit » désigne
l’élément spirituel
chez l’homme comme
le principe de vie
et d’action qui
contrôle le corps;
alors que le mot
« âme » désigne le
même élément que le
sujet de l’action
chez l’homme et est
donc souvent utilisé
pour le pronom
personnel dans
l’ancien Testament,
Psaume 10:1, 2;
104:1; 146:1; Ésaïe
42: 1; cf. aussi Luc
12:19. Dans
plusieurs cas,
désigne plus
précisément, la vie
intérieure comme le
siège des
affections. Tout
cela est tout à fait
en harmonie avec la
Genèse 2:7, « et
Jéhovah Dieu... il
souffla dans ses
narines le souffle
de vie; et l’homme
devint une âme
vivante. » Ainsi il
peut être dit que
l’homme
a esprit, mais
âme est
. La Bible souligne
donc que deux et
deux éléments
constitutionnels
dans la nature de
l’homme, à savoir,
corps et esprit ou
âme. Cette
représentation
biblique est
également en
harmonie avec la
conscience de soi de
l’homme. Alors que
l’homme est
conscient du fait
qu’il est constitué
d’un matériau et un
élément spirituel,
personne n’est
conscient de
posséder une âme à
la différence d’un
esprit.
Il y
a deux passages,
cependant, cela
semble en
contradiction avec
la représentation
habituelle
dichotomique de
l’écriture, à
savoir, j’ai th.
05:23 « et le Dieu
de paix lui-même
vous sanctifie
totalement; et
peut-être corps et
âme et votre esprit
conservés entières,
sans faute lors de
la venue de notre
Seigneur Jésus
Christ »; et Héb.
04:12, « Car la
parole de Dieu est
vivante et active et
plus tranchante
qu’une épée à deux
tranchants et
perçant jusqu'à la
Division de l’âme et
l’esprit, les
jointures et la
moelle osseuse,
prompts à discerner
les pensées et les
intentions du
cœur. » Mais il
convient de noter
que: (a) il existe
une règle sonore
dans l’exégèse que
déclarations
exceptionnelles
doivent être
interprétées à la
lumière de l'
analogia Scriptura,
la représentation
habituelle des
écritures. Compte
tenu de ce fait,
certains des
défenseurs de
trichotomie
admettent que ces
passages ne prouvent
pas nécessairement
leur point. (b) la
seule évocation de
l’esprit et l’âme à
côté de l’autre ne
prouve pas que,
selon l’Ecriture,
ils sont deux
substances
distinctes, pas plus
que Matthieu 22:37
prouve que Jésus
considéré du cœur,
âme et esprit comme
trois substances
distinctes. (c) dans
I Thessaloniciens
05:23 l’Apôtre
désire simplement
renforcer la
déclaration, « et le
Dieu de paix
lui-même vous
sanctifie
totalement, » par
une déclaration
d’epexigetical, dans
lequel les
différents aspects
de l’existence de
l’homme sont
additionnées et dans
lequel il se sent
parfaitement libre
de mentionner l’âme
et l’esprit, aux
côtés de l’autre,
parce que la Bible
fait la distinction
entre les deux. Il
ne peut pas très
bien pensé d’eux
comme deux
substances
différentes ici,
parce qu’il parle
ailleurs de l’homme
comme étant composée
de deux parties,
Rom. 08:10; J’ai
Cor. 5:5; 07:34; II
Corinthiens 7:1;
Éphésiens 2:3;
Colossiens 2:5. (d)
Hébreux 04:12 n’a
pas devrait être
interprété comme
signifiant que la
parole de Dieu,
ayant pénétré à
l’homme intérieur,
fait une séparation
entre son âme et son
esprit, ce qui
impliquerait
naturellement que
ces deux sont des
substances
différentes; mais
simplement en
déclarant qu’il
entraîne une
séparation en deux
entre les pensées et
les intentions du
cœur.
3. LA RELATION ENTRE
CORPS ET ÂME À
L’AUTRE. La relation
exacte entre corps
et âme à l’autre a
été représentée de
différentes
manières, mais reste
en grande partie un
mystère. Voici les
plus importantes
théories relatives à
ce point:
a.
moniste. Il y a
des théories qui
partent dans
l’hypothèse où le
corps et l’âme sont
de la même substance
primitive. Selon le
matérialisme, cette
substance primitive
est matière et
esprit est un
produit de la
matière. Et selon
l’idéalisme absolu
et spiritisme la
substance primitive
est esprit, et cela
devient objective à
lui-même dans ce
qu’on appelle
l’affaire. Est un
produit de l’esprit.
L’objection de
conscience à ce
point de vue
moniste, c’est que
les choses tellement
différentes que le
corps et l’âme ne
peut pas être déduit
les unes des autres.
b.
dualiste.
Certaines théories
s’engager sur
l’hypothèse qu’il
existe une dualité
essentielle de la
matière et l’esprit
et présenter leurs
relations mutuelles
de diverses façons:
(1)
Occasionalism.
Selon cette théorie,
suggéré par
Cartesius, matière
et esprit, chacun
travaille, selon les
lois propres à
lui-même, et ces
lois sont tellement
différentes qu’il
n’y a aucune
possibilité
d’actions
conjointes. Ce qui
semble être de
nature ne peut être
expliquer que sur le
principe que, à
l’occasion de
l’action de l’un,
Dieu par son agence
directe produit une
action
correspondante dans
l’autre. (2)
parallélisme.
Leibnitz a proposé
la théorie de
l’harmonie
préétablie. Cela
repose également sur
l’hypothèse qu’il
n’y a aucune
interaction directe
entre le matériel et
le spirituel, mais
ne suppose pas que
Dieu a produit des
actions apparemment
communes par
interférence
continuelle. Il
tient à la place que
Dieu a fait le corps
et l’âme afin que le
correspond
parfaitement à
l’autre. Lorsqu’une
motion a lieu dans
le corps, il y a un
mouvement
correspondant dans
l’âme, selon une loi
de l’harmonie
préétablie. (3)
le
dualisme réaliste.
Les simples faits à
laquelle nous devons
toujours revenir et
qui s’incarnent dans
la théorie du
dualisme réaliste,
sont les suivantes:
corps et âme sont
des substances
distinctes, qui
n’interagissent pas,
bien que leur mode
d’interaction
s’échappe un
contrôle humain et
reste un mystère
pour nous .
L’union entre les
deux peut être
appelée à une union
de la vie: les deux
sont organiquement
liés, l’âme agit sur
le corps et le corps
sur l’âme. Certaines
des actions du corps
sont tributaires de
l’exploitation
consciente de
l’âme, tandis que
d’autres ne le sont
pas. Les opérations
de l’âme sont
connectées avec le
corps comme
instrument dans la
vie présente; mais
d’après le maintien
en existence
consciente et
l’activité de l’âme
après la mort, il
semble qu’elle peut
aussi fonctionner
sans le corps. Cette
opinion est
certainement en
harmonie avec les
représentations de
l’écriture sur ce
point. Une grande
partie de la
psychologie de nos
jours est sans aucun
doute va dans le
sens du
matérialisme. Sa
forme la plus
extrême se retrouve
dans le behaviorisme
avec son déni de
l’âme, de l’esprit
et même de la
conscience. Tout ce
qu’il a laissé comme
un objet d’étude est
le comportement
humain.
B. L’ORIGINE DE
L’ÂME DANS
L’INDIVIDU.
1. HISTORIQUES VUES
CONCERNANT L’ORIGINE
DE L’ÂME. La
philosophie grecque
a porté beaucoup
d’attention au
problème de l’âme
humaine et n’a pas
manqué de faire son
influence ressentie
dans la théologie
chrétienne. La
nature, l’origine et
l’existence continue
de l’âme, étaient
tous sujets de
discussion. Platon
croyait en la
préexistence et la
transmigration de
l’âme. Dans l’église
primitive la
doctrine de la
préexistence de
l’âme se limitait
pratiquement à
l’école
d’Alexandrie.
Origène a été le
principal
représentant de ce
point de vue et
associée à la notion
de chute pré
temporelle. Deux
autres points de vue
à la fois ont fait
leur apparition et
s’est avéré pour
être beaucoup plus
populaire dans les
milieux chrétiens.
La théorie du
créationnisme
affirme que Dieu a
crée une nouvelle
âme à la naissance
de chaque individu.
C’était la théorie
dominante dans
l’église d’Orient et
également trouvé des
défenseurs dans
l’Ouest. Jérôme et
Hilary de Pictavium
étaient ses plus
éminents
représentants. Dans
l’église occidentale
la théorie de
Traducianism peu à
peu gagné du
terrain. Selon ce
point de vue, l’âme
aussi bien que le
corps de l’homme est
originaire de
propagation. Il est
généralement attaché
à la théorie
réaliste que la
nature humaine a été
créée dans son
intégralité par Dieu
et est toujours plus
personnalisée que la
race humaine se
multiplie.
Tertullien a été le
premier à affirmer
cette théorie de la
Traducianism, et
sous son influence,
il a continué à
gagner la faveur de
l’Afrique du Nord et
l’église
occidentale. Il
semblait s’adapter
au mieux avec la
doctrine de la
transmission du
péché qui était
actif dans ces
milieux. Léon le
grand a appelé
l’enseignement de la
foi catholique. En
Orient, on ne trouvé
aucune réception
favorable. Augustine
hésité à choisir
entre les deux
points de vue.
Certains des
scolastiques
précédents étaient
un peu indécis,
qu’ils considéraient
le créationnisme
comme plus probable
des deux; mais en
cours de temps, il
est devenu le
consensus d’opinion
parmi les Schoolmen
que les âmes
individuelles ont
été créées. Peter le
Lombard, dit:
« L’Église enseigne
que les âmes sont
créées à leur
injection dans le
corps. » Et Thomas
Aquinas est allé
encore plus loin en
disant: « Il est
hérétique d’affirmer
que l’âme
intellectuelle se
transmet par voie de
génération. » Cela
est resté l’opinion
qui prévaut dans
l’église catholique
romaine. Depuis
l’époque de la
réforme, il y avait
une divergence
d’opinions parmi les
Protestants. Luther
s’est exprimé en
faveur de la
Traducianism, et
cela est devenu
l’opinion qui
prévaut dans
l’église
luthérienne. Calvin,
en revanche,
nettement favorisé
le créationnisme. Il
a dit dans son
commentaire sur
03:16: « N’est pas
nécessaire de
recourir à ce fruit
antique de certains
auteurs, que les
âmes sont dérivées
de descente de nos
premiers parents. »
Depuis l’époque de
la réforme, cela a
été la vue commune
dans les cercles
réformés. Cela ne
signifie pas qu’il
n’y a aucune
exception à la
règle. Jonathan
Edwards et Hopkins
en théologie de la
Nouvelle Angleterre
favorisée
Traducianism. Julius
Mueller dans son
ouvrage sur
La
Doctrine chrétienne
du péché encore
une fois mis en
place un argument en
faveur de la
préexistence de
l’âme, couplé à
celui d’une chute
pré temporelle, afin
d’expliquer
l’origine du péché.
2.
PRÉ-EXISTENTIALISME.
Certains théologiens
spéculatifs, parmi
lesquels Origène, Scotus Erigena et
Julius Mueller sont
les plus importants,
prôné la théorie que
l’âme des hommes a
existé dans un état
antérieur, et que
certaines
occurrences dans cet
ancien Etat rendre
compte de l’État
dans lequel ces âmes
se trouvent
maintenant. Origène
considère présente
existence matérielle
de l’homme, avec
toutes ses
inégalités et
irrégularités,
physiques et moral,
comme une punition
pour les péchés
commis dans une
existence
précédente. Scotus
Erigena détient
également que le
péché fait son
entrée dans le monde
de l’humanité dans
l’état pré
temporelle, et que
par conséquent
l’homme commence sa
carrière sur la
terre comme un
pécheur. Et Julius
Mueller a recours à
la théorie, afin de
réconcilier les
doctrines de
l’universalité du
péché et de
culpabilité
individuelle. Selon
lui, chaque personne
doit ont péché
volontiers à cette
existence
précédente.
Cette théorie est
ouverte à plusieurs
objections. Il est
absolument dépourvue
de motivation aussi
bien bibliques que
philosophique et
est, au moins dans
certaines de ses
formes, basés sur le
dualisme de la
matière et l’esprit,
telle qu’enseignée
dans la philosophie
païenne, ce qui en
fait une punition
pour l’âme d’être
connecté avec le
corps. (b) il fait
vraiment le corps
quelque chose
d’accidentel. L’âme
ne fut sans le corps
au premier et a reçu
ce plus tard.
L’homme a été
complet sans le
corps. Pratiquement,
cela efface la
distinction entre
l’homme et les
anges. (c) il
détruit l’unité de
la race humaine, car
il suppose que
toutes les âmes
individuelles
existaient bien
avant qu’ils sont
entrés dans la vie
présente. Elles ne
constituent pas une
course. (d) il ne
trouve aucun appui
dans la conscience
de l’homme. Homme
n’a absolument
aucune conscience de
telle une existence
antérieure; ni se
sent-il que le corps
est une prison ou
dans un lieu de
punition pour l’âme.
En effet, il redoute
la séparation de
corps et d’âme comme
quelque chose qui
n’est pas naturelle.
3. TRADUCIANISME.
Selon Traducianism
les âmes des hommes
sont propagées avec
les organes de
génération et sont
donc transmis aux
enfants par les
parents. Dans le tôt
église Tertullien,
Rufinus, Apollinarus
et Gregory de Nvssa
ont été
Traducianists.
Depuis les jours de
Luther Traducianism
a été l’opinion
dominante de
l’église
luthérienne. Parmi
les réformés, elle
est favorisée par la
H. B. Smith et
Shedd. A. H. Strong
il préfère aussi.
a.
Arguments en faveur
de Traducianism.
Plusieurs arguments
sont avancés en
faveur de cette
théorie. (1) il est
dit d’être favorisée
par la
représentation
scripturale (a) que
Dieu mais une fois
il souffla dans les
narines de l’homme,
le souffle de vie et
puis laissé à
l’homme pour
propager l’espèce,
01:28; 2:7; (b) que
la création de l’âme
d’Eve a été incluse
dans ce d’Adam,
puisque elle est dit
être « de l’homme »
(I Cor. 11:8), et
rien n’est dit sur
la création de son
âme, 02:23; (c) que
Dieu a cessé le
travail de création
après avoir fait
l’homme, Genèse 2:2;
et (d) que
descendants sont
censés être dans les
reins de leurs
pères, 46:26 de la
Genèse; Héb. 7:9,
10. Cf. aussi ces
passages comme Jean
3:6; 01:13; Romains
1:3; Actes 17:26.
(2) il est pris en
charge par
l’analogie de la vie
végétale et animale,
dans laquelle est
fixée l’augmentation
du nombre, pas par
un nombre sans cesse
croissant de
créations
immédiates, mais par
la dérivation
naturelle de
nouveaux individus
provenant d’un stock
de parent. Mais cf.
PS. 104:30. (3) il
demande également
une prise en charge
dans l’héritage des
particularités
mentales et des
traits de famille,
qui sont alors
souvent tout aussi
perceptible comme
ressemblances
physiques, et qui ne
peut être justifiée
pour par exemple ou
de l’éducation,
puisqu’ils sont en
preuve même quand
parents ne vivent
pas à élever leurs
enfants. (4) Enfin,
il semble offrir la
meilleure base pour
l’explication de
l’héritage de la
dépravation morale
et spirituelle, qui
est une question de
l’âme plutôt que du
corps. Il est assez
fréquent de combiner
avec Traducianism la
théorie réaliste
pour tenir compte de
péché originel.
b.
Objections à
Traducianism.
Plusieurs objections
peuvent être
incitées contre
cette théorie. (1)
il est contraire à
la doctrine
philosophique de la
simplicité de l’âme.
L’âme est une
substance
spirituelle pure qui
n’admet pas de
division. La
propagation de l’âme
semble indiquer que
l’âme de l’enfant se
sépare en quelque
sorte de l’âme des
parents. En outre,
la question
difficile se pose,
si elle provient de
l’âme du père ou de
celui de la mère. Ou
cela vient-il de
deux façons; et dans
l’affirmative,
est-ce pas un
compositum ? (2)
afin d’éviter la
difficulté
d’évoquer, il faut
recourir à l’une des
trois théories: (a)
que l’âme de
l’enfant a eu une
existence
antérieure, une
sorte de
préexistence; (b)
que l’âme est
potentiellement
présent dans la
graine de l’homme ou
femme ou les deux,
qui est
matérialisme; ou (c)
que l’âme est portée
en arrière,
c'est-à-dire créée
en quelque sorte,
par les parents,
donc ce qui les rend
dans un sens
créateurs. (3) il se
déroule sur
l’hypothèse que,
après la création
originale, Dieu
travaille seulement
médiatement. Après
six jours de la
création, a cessé
son travail de
création. La
création continue
des âmes, dit
Delitzsch, est
incompatible avec la
relation de Dieu au
monde. Mais la
question peut être
soulevée, ce qui,
alors, devient de la
doctrine de la
régénération, ce qui
n’est pas effectuée
par causes
secondes ? (4) il
est généralement
attaché à la théorie
du réalisme, puisque
c’est la seule façon
dont il peut rendre
compte de
culpabilité
initiale. En faisant
cela, il affirme
l’unité numérique de
la substance de
toutes les âmes
humaines, une
situation intenable;
et aussi ne pas
donner une réponse
satisfaisante à la
question: pourquoi
les hommes sont
tenus responsables
uniquement pour le
premier péché d’Adam
et non pour ses
péchés ultérieures,
ni pour les péchés
du reste de leurs
ancêtres. (5) Enfin,
sous la forme vient
de l’indiquer, elle
conduit à des
difficultés
insurmontables dans
la christologie. Si
dans la nature
humaine Adam comme
un tout péché, et
que le péché est
donc le péché actuel
de toutes les
parties de cette
nature humaine, puis
la conclusion ne
peut être échappée
que la nature
humaine du Christ
était aussi pécheur
et coupable parce
qu’il avait en fait
péché en Adam.
4.
LE CRÉATIONNISME. Ce
point de vue est à
l’effet que chaque
âme individuelle
doit être considérée
comme une création
immédiate de Dieu,
en raison de son
origine à un acte de
création direct,
dont la durée ne
peut être déterminée
avec précision.
L’âme est censée
être créé pur, mais
unie avec un corps
de dépravés. Il ne
faut pas
nécessairement que
l’âme est créée
première
en
séparation de corpset
puis pollué par être
mis en contact avec
le corps, qui semble
supposer que le
péché est quelque
chose de physique.
Cela peut simplement
signifier que l’âme,
bien que remis en
étant par un acte de
Dieu créateur,
encore est préformée
dans la vie
psychique du fœtus,
c'est-à-dire dans la
vie des parents et
acquiert ainsi sa
vie pas au-dessus et
en dehors de, mais
sous et dans , que
le complexe du péché
de l’humanité comme
un tout est grevé.
a.
Arguments en faveur
du créationnisme.
Ce qui suit est les
considérations les
plus importantes en
faveur de cette
théorie: (1) il est
plus cohérent avec
les représentations
dominantes de
l’Ecriture que
Traducianism. Le
récit original de
création pointe vers
une distinction
marquée entre la
création du corps et
celui de l’âme.
Celui est enlevée de
la terre, tandis que
l’autre vient
directement de Dieu.
Cette distinction
est maintenue tout
au long de la Bible,
où corps et âme ne
sont pas seulement
représentés comme
des substances
différentes, mais
aussi comme ayant
des origines
différentes,
Ecclésiaste 12:7;
ISA 42:5; Zach.
12:1; Hébreux 12:9.
Cf. num. 16:22. Du
passage en Hébreux
Delitzsch même, si
un Traducianist,
dit, « il peut
difficilement être
un texte de preuve
plus classique pour
le créationnisme. »
(2)
il est clairement
beaucoup plus
conforme à la nature
de l’âme humaine que
Traducianism. Le
caractère immatériel
et spirituel et par
conséquent
indivisible de l’âme
de l’homme,
généralement admis
par tous les
chrétiens, est
clairement reconnu
par le
créationnisme. La
théorie de traducian
pose d’autre part,
une dérivation de
l’essence, qui, tel
qu’il est
généralement admis,
implique
nécessairement la
séparation ou la
division de
l’essence. (3) il
évite les pièges de
la Traducianism dans
la christologie et
fait plus de justice
à la représentation
mentionnés dans les
écritures de la
personne du Christ.
Il était un homme
très, possédant une
vraie nature de
l’homme, un vrai
corps et une âme
rationnelle, est né
d’une femme, a été
effectué dans tous
les points comme tel
que nous le sommes,
— et encore, sans
péché. Il a, comme
tous les autres
hommes, ne
partageait pas dans
la culpabilité et la
pollution de la
transgression
d’Adam. C’était
possible, parce
qu’il ne partageait
pas la même essence
numérique qui ont
péché en Adam.
b.
Objections au
créationnisme.
Le créationnisme est
ouvert pour les
objections
suivantes: (1)
l’objection plus
grave est indiquée
par Strong dans les
termes suivants:
« cette théorie, si
elle permet que
l’âme est à
l’origine possédé
des tendances
dépravées, rend Dieu
l’auteur direct du
mal moral; Si elle
détient l’âme ayant
été créé pur, il
rend Dieu
indirectement
l’auteur du mal
moral, par
l’enseignement qu’il
a mis cette âme pure
dans un plan qui
sera inévitablement
corrompre. » C’est
sans doute une
difficulté sérieuse
et est généralement
considéré comme
l’argument décisif
contre le
créationnisme.
Augustin a déjà
appelé l’attention
sur le fait que le
créationniste
devrait chercher à
éviter ce piège.
Mais il faut avoir à
l’esprit que le
créationniste ne,
comme le
Traducianist,
considère pas péché
originel entièrement
comme une question
d’hérédité. Les
descendants d’Adam
sont pécheurs, ne
pas à la suite de
leur étant mis en
contact avec un
corps de péché, mais
en vertu du fait que
Dieu impute à eux
l’origine
désobéissance
d’Adam. Et c’est
pour cette raison
que Dieu retient
d’eux la justice
originale et la
pollution du péché
découle
naturellement. (2)
on considère le père
terrestre comme
engendrement que le
corps de son enfant,
— certainement pas
la partie la plus
importante de
l’enfant, — et par
conséquent ne tient
pas compte de la
réapparition des
traits mentales et
morales des parents
chez les enfants. En
outre, en prenant
cette position,
qu'elle attribue des
pouvoirs plus noble
bête de propagation
que pour l’homme,
pour la bête
multiplie lui-même
après son genre. La
dernière
considération est
l’un sans grande
importance. Et que
les similitudes
mentales et morales
des parents et des
enfants sont
concernés, il ne
doivent pas
nécessairement
présumer que ceux-ci
peuvent être
expliquées que sur
la base de
l’hérédité. Notre
connaissance de
l’âme est encore
trop déficient pour
parler avec une
certitude absolue
sur ce point. Mais
cette similitude
peut trouver son
explication en
partie à l’exemple
des parents, en
partie à l’influence
du corps sur l’âme
et en partie dans le
fait que Dieu ne
crée pas de toutes
les âmes semblables,
mais crée en chaque
particulier affaire
une âme adaptée à
l’organisme avec
lequel il w mal être
unie et la relation
complexe dans lequel
il va être
introduit. (3) il
n’est pas en
harmonie avec la
relation actuelle de
Dieu au monde et sa
manière de
travailler, car il
enseigne une
activité créatrice
directe de Dieu et
donc ne tient pas
compte du fait que
Dieu travaille à
travers les causes
secondaires et a
cessé de son travail
de création. Ce
n’est pas une
objection très grave
pour ceux qui n’ont
pas une conception
déiste du monde. Il
s’agit d’une
hypothèse gratuite
que Dieu a cessé de
toutes les activités
créatives dans le
monde.
5. CONCLUSIONS.
une
prudence requise en
s’exprimant sur le
sujet. Il faut
avouer que les
arguments des deux
côtés sont plutôt
bien équilibrés.
Compte tenu de ce
fait, qu'il n’est
pas surprenant
qu’Augustine trouvé
assez difficile de
choisir entre les
deux. La Bible ne
fait aucune
déclaration directe
concernant l’origine
de l’âme de l’homme,
sauf dans le cas
d’Adam. Les quelques
passages
scripturaires qui
sont présentés comme
favorisant la
théorie d’un ou
l’autre, peut
difficilement être
appelé concluante de
chaque côté. Et
parce que nous
n’avons pas
d’enseignement clair
des Ecritures sur le
point en question,
il est nécessaire de
parler avec prudence
sur le sujet. On
n’est ne pas censé
être sage au-dessus
de ce qui est écrit.
Plusieurs
théologiens sont
d’avis qu’il y a un
élément de vérité
dans les deux de ces
théories, qui
doivent être
reconnus.
Dorner suggère même
l’idée que chacun
des trois théories
discuté représente
un aspect de toute
la vérité: « Traducianism,
la conscience
générique; Pre-existentianism,
conscience de soi ou
à l’intérêt de la
personnalité comme
une pensée divine
éternelle distincte;
Créationnisme,
conscience de
Dieu. »
b. une
forme quelconque du
créationnisme mérite
la préférence.
Il nous semble que
le créationnisme
mérite la
préférence, parce
que (1) il ne
rencontre pas la
difficulté
insurmontable de
philosophique avec
lequel Traducianism
est grevé; (2) il
évite les erreurs
christologiques qui
implique de
Traducianism; et
(3), il n’est plus
en harmonie avec
notre idée de Pacte.
Dans le même temps,
que nous sommes
convaincus que
l’activité créatrice
de Dieu les âmes
humaines d’origine
doit être conçue
comme étant plus
étroitement liées au
processus naturel
dans la génération
de nouveaux
individus. Le
créationnisme ne
prétend pas être en
mesure de dissiper
toutes les
difficultés, mais en
même temps, il sert
une mise en garde
contre les erreurs
suivantes: (1) que
l’âme est divisible;
(2) que tous les
hommes sont
numériquement d’une
même substance; et
(3) que le Christ a
assumé la même
nature numérique qui
est tombé dans Adam.
III. l’homme comme l’Image de Dieu
A. VUES HISTORIQUES
DE L’IMAGE DE DIEU
CHEZ L’HOMME.
Selon l’Ecriture,
homme a été créé à
l’image de Dieu et
est donc liée à
Dieu. Traces de
cette vérité se
trouvent encore dans
la littérature
païenne. Paul a
souligné aux
Athéniens que
certains de leurs
propres poètes ont
parlé de l’homme
comme la descendance
de Dieu, actes
17:28. Les premiers
pères de l’église
ont été tout à fait
accepté que l’image
de Dieu en l’homme
consistait
principalement dans
les caractéristiques
de rationnel et
moral de l’homme et
en sa qualité de
sainteté; mais
certains ont
tendance à inclure
également les
caractéristiques
corporelles. Irénée
et Tertullien a
établi une
distinction entre le
« image » et la
« ressemblance » de
Dieu, pour trouver
les premiers traits
corporels et le
second à la nature
spirituelle de
l’homme. Clément
d’Alexandrie et
d’Origène,
cependant, a rejeté
l’idée de toute
analogie corporelle
et tenue que le mot
« image » désignait
les caractéristiques
de l’homme comme
l’homme et le mot
« ressemblance,
« qualités qui ne
sont pas essentiels
à l’homme, mais peut
être cultivé ou
perdu. Ce point de
vue se retrouve dans
Athanasius, Hilary,
Ambroise, Augustin
et Jean Damascène.
Selon Pélage et ses
disciples l’image
consistait
simplement à cet
égard, que l’homme
est doué de raison,
afin qu’il pouvait
connaître Dieu; avec
le libre arbitre,
alors qu’il était en
mesure de choisir et
de faire le bien; et
avec suffisamment de
puissance pour
gouverner la
création plus bas.
La distinction déjà
établie par
quelques-uns des
premiers pères de
l’église entre
l’image et la
ressemblance de
Dieu, a été
continuée par les
scolastiques, bien
qu’il n’était
toujours pas exprimé
de la même manière.
L’ancien a été conçu
comme incluant les
pouvoirs
intellectuelle de la
raison et la liberté
et ce dernier comme
étant composée de
droiture original.
Ceci a été ajouté un
autre point de
distinction, à
savoir, qu’entre
l’image de Dieu
comme un don naturel
pour l’homme,
quelque chose
appartenant à la
nature même de
l’homme comme
l’homme et la
ressemblance de
Dieu, ou la justice
originale, comme un
don surnaturel, qui
a servi à une
vérification sur le
lo Wer nature de
l’homme. Il y avait
une divergence
d’opinion quant à
savoir si l’homme
était doté de cette
justice originale à
la fois à la
création, ou a reçu
par la suite comme
une récompense pour
une obéissance
temporaire. C’est
cette justice
originale qui a
permis à l’homme à
la vie éternelle
mérite. Les
réformateurs a
rejeté la
distinction entre
l’image et la
ressemblance et
considérée comme
originale droiture
comme inclus dans
l’image de Dieu et
comme appartenant à
la nature de l’homme
dans son état
original. Il y avait
une divergence
d’opinion,
cependant, entre
Luther et Calvin. Le
premier n’a pas
cherché à l’image de
Dieu dans tous de la
dotation en
ressources
naturelles de
l’homme, tels que
ses pouvoirs
rationnels et
morales, mais
exclusivement dans
la justice originale
et donc considéré
comme entièrement
perdue par le péché.
Calvin, d’autre
part, s’exprime
comme suit, après
avoir déclaré que
l’image de Dieu
s’étend à tout ce
dont la nature de
l’homme surpasse
celle de toutes les
autres espèces
d’animaux: « par
conséquent, ce terme
(« image de Dieu »)
est dénoté
l’intégrité avec
laquelle Adam a été
accordé lors de son
intellect était
clair, ses
affections
subordonné à la
raison, tous ses
sens dûment
réglementés, et
quand il attribua
réellement toute son
excellence aux
admirables dons de
son créateur. « Et
même si le siège
principal de l’image
divine était dans
l’esprit et le cœur
ou dans l’âme et ses
pouvoirs, il n’y
avait aucune partie
même du corps dans
lequel certains
rayons de gloire ne
pas briller. »
Elle
comprenait les
richesses naturelles
et ces qualités
spirituelles
désignées comme
justice originale,
autrement dit, la
vraie connaissance,
droiture et
sainteté. L’image
entière était viciée
par le péché, mais
seulement ces
qualités
spirituelles ont été
complètement
perdues. Les
Sociniens et
certains d'entre les
arminiens
antérieures a
enseigné que l’image
de Dieu consiste
seulement en
domination de
l’homme sur la
création plus bas.
Schleiermacher a
rejeté l’idée d’un
état initial de
l’intégrité et de la
justice originale
comme une doctrine
nécessaire. Car,
comme il le voit, la
perfection morale ou
de la justice et de
sainteté ne peuvent
être le résultat du
développement, qu’il
considère comme une
contradiction dans
les termes pour
parler de l’homme
comme étant créé
dans un état de la
justice et la
sainteté. C’est
pourquoi l’image de
Dieu chez l’homme ne
peut être une
certaine réceptivité
pour le divin, une
capacité à répondre
à l’idéal divin et à
croître dans la
ressemblance de
Dieu. Ces
théologiens modernes
comme Martensen et
caftan sont tout à
fait conforme à
cette idée.
B. LES DONNÉES SCRIPTURAIRES
CONCERNANT
L’IMAGE DE DIEU CHEZ
L’HOMME.
Enseignements
bibliques concernant
l’image de Dieu en
l’homme garantissent
les instructions
suivantes:
1. les mots
« image » et la
« ressemblance »
sont utilisés
indifféremment et de
manière
interchangeable et
donc ne se réfèrent
pas à deux choses
différentes. À 01:26
les deux mots sont
utilisés, mais dans
le vingt-SEPTIEME
verset que le
premier. C’est
évidemment considéré
comme suffisant pour
exprimer l’idée.
Dans Genèse 5:1 que
le mot
« ressemblance » se
produit, mais dans
le troisième verset
de ce chapitre se
trouvent encore les
deux termes. Genèse
9:6 contient
seulement le mot
« image » comme une
expression complète
de l’idée. Quant au
Nouveau Testament,
nous trouvons
« image » et
« gloire » utilisé
dans I Cor. 11:7,
« image » seul chez
03:10 et à la
« ressemblance »
seulement dans Jas.
3:9. Évidemment, les
deux sont utilisés
indifféremment dans
les Ecritures. Cela
implique
naturellement que
l’homme a été
créé
également à la
ressemblance de
Dieu, et que cette
similitude n’était
pas quelque chose
dont il a été doté
par la suite.
L’opinion
habituelle, c’est
que le mot
« ressemblance » a
été ajouté à
« image » pour
exprimer l’idée que
l’image était aime
le plus, une image
parfaite. L’idée est
que, par la
création, ce qui
était un archétype
en Dieu est devenu
ectypal chez
l’homme. Dieu était
l’original dont
l’homme a fait une
copie. Cela
signifie, bien sûr,
que l’homme non
seulement porte
l’image de Dieu,
mais est son image
même. Cela est
clairement indiqué
dans I Cor. 11:7,
mais ne veut pas
dire qu’il ne
saurait également à
porter l’image de
Dieu, cf. I Cor.
15:49. Certains ont
considéré le
changement de
prépositions en
01:27, «dans
notre image,
après
notre
ressemblance, »
aussi important.
Böhl même inspire
l’idée que nous
sommes créés à
l’image comme une
sphère, mais c’est
tout à fait
injustifiée. Alors
que le sens premier
de l’hébreu
preposition
être
(rendu « dans » ici)
est sans aucun
doute, « in », il
peut aussi avoir la
même signification
que la préposition
le
(rendue « après »),
et a évidemment ce
sens ici. Remarquez
que nous sommes dit
à renouveler « après
l’image » de Dieu à
03:10; et aussi que
les prépositions
utilisées à 01:26
sont inversées dans
Genèse 5:3.
2. l’image de Dieu
dans laquelle
l’homme fut créé
inclut certainement
ce qu’on appelle
généralement
« justice
originale », ou plus
précisément, la
vraie connaissance,
droiture et
sainteté. On nous
dit que Dieu fait
homme « très bon »,
01:31 et « debout, »
Eccl. 07:29. Le
Nouveau Testament
indique très
précisément la
nature de l’état
initial de l’homme
où il parle de
l’homme comme être
renouvelée dans le
Christ, c'est-à-dire
comme étant ramené à
un état antérieur.
La condition à
laquelle il est
restauré dans le
Christ n’est
clairement pas une
neutralité, ni bonne
ni mauvaise, dont la
volonté est dans un
état d’équilibre
parfait, sauf une
vraie connaissance,
03:10, la justice et
la sainteté,
Éphésiens 04:24. Ces
trois éléments
constituent la
justice originale,
qui a été perdue par
le péché, mais est
retrouvée dans le
Christ. Il peut être
appelé l’image
morale de Dieu, ou
l’image de Dieu dans
le sens le plus
restreint du mot.
Création de l’homme
dans cette image
morale implique que
l’état d’origine de
l’homme était un de
sainteté positive et
pas un état
d’innocence ou de la
neutralité morale.
3. mais l’image de
Dieu ne veut ne pas
se limiter aux
connaissances,
droiture et
sainteté, qui a été
perdue par le péché,
mais comprend
également des
éléments qui
appartiennent à la
constitution
naturelle de l’homme
original. Ils sont
des éléments qui
appartiennent à
l’homme comme homme,
comme le pouvoir
intellectuel,
affection naturelle
et la liberté
morale. Créés dans
l’image de l’homme
de Dieu a un
caractère rationnel
et moral, qu’il n’a
pas perdu par le
péché et qu’il ne
pouvait pas perdre
sans cesser d’être
homme. Cette partie
de l’image de Dieu,
a en effet été
entachée par le
péché, mais reste
encore chez l’homme,
même après sa chute
dans le péché. Notez
que l’homme, même
après que la chute,
quel que soit son
état spirituel, est
toujours représentée
comme l’image de
Dieu, Genèse 9; 6;
J’ai Cor. 11:7; Jac.
3:9. Le crime de
meurtre envers son
énormité le fait que
c’est une atteinte à
l’image de Dieu.
Compte tenu de ces
passages de
l’écriture, il est
injustifié de dire
que l’homme a
complètement perdu
l’image de Dieu.
4. un autre élément
généralement inclus
dans l’image de Dieu
est celui de la
spiritualité. Dieu
est esprit, et ce
n’est que naturel
d’attendre que cet
élément de la
spiritualité
s’exprime aussi dans
l’homme comme
l’image de Dieu. Et
que c’est le cas
sont déjà indiqué
dans le récit de la
création de l’homme.
Dieu « il souffla
dans ses narines le
souffle de vie; et
l’homme devint une
âme vivante. »
Genèse 2:7. Le
« souffle de vie »
est le principe de
sa vie, et le « âme
vivante » est l’être
même de l’homme.
L’âme est unie avec
et adapté à un
organe, mais peut,
si nécessaire, il
existe aussi sans le
corps. Dans cette
perspective, nous
pouvons parler de
l’homme comme un
spiritual étant et
comme aussi, à cet
égard l’image de
Dieu. À cet égard
peut être demandé,
si le corps de
l’homme constitue
également une partie
de l’image. Et il
semblerait que cette
question il faut
répondre par
l’affirmative. La
Bible dit que
l’homme — non pas
seulement l’âme de
l’homme, a été créé
à l’image de Dieu et
l’homme, le « âme
vivante », n’est pas
complète sans le
corps. En outre, la
Bible représente
meurtre comme la
destruction du
corps, Matthieu
10:28 et aussi comme
la destruction de
l’image de Dieu chez
l’homme, Genèse 9:6.
Nous avons besoin
pas chercher l’image
dans la substance
matérielle du corps;
on le trouve plutôt
dans le corps comme
l’instrument
d’ajustement de la
libre expression de
l’âme. Même le corps
est destiné à
devenir en fin de
compte un corps
spirituel,
c'est-à-dire, un
organisme qui est
complètement
contrôlée par
l’esprit, un
instrument idéal de
l’âme.
5. encore un autre
élément de l’image
de Dieu est
l’immortalité. La
Bible dit que Dieu
seul possède
l’immortalité, je
Timothée 06:16, et
cela semble exclure
l’idée de
l’immortalité
humaine. Mais il est
parfaitement évident
par les écritures
que l’homme est
aussi immortel dans
un certain sens du
mot. Le sens est que
Dieu seul a
l’immortalité comme
une qualité
essentielle, il a
dans et de lui-même,
tandis que
l’immortalité de
l’homme est un fonds
de dotation, est
dérivé de Dieu.
L’homme fut créé
immortel, ne
consiste pas
seulement en ce sens
que son âme a été
dotée d’une
existence sans fin,
mais aussi dans le
sens qu’il ne porte
pas en lui les
germes de la mort
physique et dans son
état d’origine
n’était pas soumis à
la Loi de la mort. A
été menacée de mort
comme une punition
pour le péché,
02:17, et que cela
comprenait la mort
corporelle ou
physique se
manifeste de 03:19.
Paul nous dit que
sin mis à mort dans
le monde, Rom.
05:12; I Corinthiens
15:20, 21; et que la
mort doit être
considérée comme le
salaire du péché,
Rom. 06:23.
6. il y a une
différence
considérable
d’opinions quant à
savoir si la
domination de
l’homme sur la
création de la plus
faible a également
formé une partie de
l’image de Dieu. Ce
n’est pas surprenant
compte tenu du fait
que l’écriture
n’exprime pas
lui-même
explicitement sur ce
point. Certains
considèrent le
dominion en cause
simplement comme un
office conféré à
l’homme et non comme
une partie de
l’image. Mais
remarquez que Dieu
mentionne la
création de l’homme
à l’image de Dieu et
sa domination sur la
création plus bas en
un seul souffle,
01:26. Il est
révélateur de la
gloire et l’honneur
avec laquelle
l’homme est
couronné, Psaume
8:5, 6.
C. L’HOMME EN TANT
QUE L’IMAGE DE DIEU.
Selon l’Ecriture,
l’essence de l’homme
consiste en ceci,
qu’il est l’image de
Dieu. Ainsi, il se
distingue de toutes
les autres créatures
et se dresse suprême
comme la tête et la
Couronne de la
création tout
entière. L’écriture
affirme que l’homme
a été créé à l’image
et selon la
ressemblance de
Dieu, 01:26, 27;
9:6; Jac. 3:9 et
parle de l’homme
comme étant et
portant l’image de
Dieu, I Cor. 11:7;
15:49. les termes
« image » et
« ressemblance » ont
été distingués de
diverses façons.
Certains ont estimé
que « l’image »
faisait allusion à
l’organisme et la
« ressemblance », à
l’âme. Augustine a
conclu que l’ancien
dénommé
l’intellectuel et
celui-ci, à des
facultés morales de
l’âme. Bellarmin
considéré « image »
comme une
désignation des dons
naturels de l’homme
et « ressemblance »
comme une
description de ce
qui a été
surnaturellement
ajoutée à l’homme.
Encore d’autres ont
affirmé que
« l’image »
désignait l’inné et
« likeness, » la
conformité acquise à
Dieu. Il est
beaucoup plus
probable, cependant,
comme l’a indiqué
dans ce qui précède,
que les deux mots
pour exprimer la
même idée et cette
« ressemblance » est
simplement un ajout
epexegetical pour
désigner l’image car
la plupart comme ou
très similaire.
L’idée exprimée par
les deux mots est
celle de
l’image
de Dieu. La
doctrine de l’image
de Dieu chez l’homme
est la plus grande
importance dans la
théologie, pour que
l’image est
l’expression de ce
qui est plus
caractéristique chez
l’homme et dans sa
relation à Dieu. Le
fait que l’homme est
l’image de Dieu le
distingue de
l’animal et de
toutes les autres
créatures. Autant
que nous pouvons
apprendre de
l’écriture même les
anges ne partagent
pas cet honneur avec
lui, si elle est
parfois représentée
comme si ils le
font. Calvin va
jusqu'à dire que
« on ne peut nier
que les anges aussi
ont été créés à la
ressemblance de
Dieu, puisque, comme
le Christ déclare
(Matthieu 22:30),
notre plus haute
perfection va
consister à être
comme eux. »
Mais
dans cette
déclaration, le
grand réformateur
n’a pas dûment
compte pour le point
de comparaison dans
la déclaration de
Jésus. Dans de
nombreux cas,
l’hypothèse que les
anges ont également
été créés à l’image
de Dieu résulte
d’une conception de
l’image qui le
limite à nos
qualités morales et
intellectuelles.
Mais l’image
comprend également
le corps de l’homme
et sa domination sur
la création plus
bas. Les anges ne
sont jamais
représentés comme
seigneurs de
création, mais comme
esprits envoyés au
service de ceux qui
héritent Salut
tutélaires. Voici
les conceptions plus
importantes de
l’image de Dieu chez
l’homme.
1.
LA CONCEPTION
RÉFORMÉE. Les
Églises réformées, à
l’instar de Calvin,
ont une conception
beaucoup plus
complète de l’image
de Dieu que les
luthériens et les
catholiques romains.
Mais encore ils ne
pas tous d’accord
quant à son contenu
exact. Dada, par
exemple, cales,
qu’il ne consiste
pas à quelque chose
d’absolument
essentiel à la
nature de l’homme,
car alors la perte
de celui-ci auraient
entraîné la
destruction de la
nature de l’homme;
mais seulement dans
certains
accidens.
McPherson, d’autre
part, affirme qu’il
appartient à la
nature essentielle
de l’homme et qu’il
est dit que « la
théologie
protestante aurait
échappé à beaucoup
de confusion et de
nombreux
perfectionnements
doctrinales inutiles
et peu convaincants,
si elle n'avait pas
fait l’objet
lui-même l’idée
qu’il devait définir
le péché comme la
perte de l’image, ou
de quelque chose
appartenant à
l’image. Si l’image
était perdu homme
cesserait d’être
homme. »
Ces
deux, ensuite,
semblerait être
désespérément à
l’écart. Autres
différences sont
aussi en évidence
dans la théologie
réformée. Certains
limiterait l’image
pour les qualités
morales de la
justice et de
sainteté, avec
laquelle l’homme fut
créé, tandis que
d’autres
comprendrait la
morale de toute
nature rationnelle
de l’homme et
d’autres encore
ajouterait également
le corps. Calvin dit
que la bonne assise
de l’image de Dieu
est dans l’âme, bien
que certains rayons
de sa gloire aussi
brillent dans le
corps. Il trouve que
l’image se composait
surtout en ce
qu’intégrité
originale de la
nature de l’homme,
perdu par le péché,
qui se révèle dans
la sainteté, la
justice et la vraie
connaissance. Dans
le même temps, il
ajoute plus loin
« que l’image de
Dieu s’étend à tout
ce dont la nature de
l’homme surpasse
celle de toutes les
autres espèces
d’animaux. »
Cette conception
plus large de
l’image de Dieu
devenue la répandue
dans la théologie
réformée. Ainsi
Witsius dit:
« l’image de Dieu
composait
antecendenter,
dans la nature
spirituelle et
immortelle de
l’homme;
formaliter,
dans sa sainteté;
consequenter,
dans sa
domination. »
Un
avis très similaire
est exprimé par
Turretin.
Pour
résumer, on peut
affirmer que l’image
se compose: (a) dans
l’âme ou l’esprit de
l’homme,
c'est-à-dire dans
les qualités de
simplicité, la
spiritualité,
l’invisibilité et
l’immortalité. (b)
dans les pouvoirs
psychiques ou les
facultés de l’homme
comme un rationnel
et moral étant, à
savoir, l’intellect
et la volonté avec
leurs fonctions. (c)
dans l’intégrité
intellectuelle et
morale de la nature
de l’homme, se
révélant dans la
véritable
connaissance, la
justice et la
sainteté, Éphésiens
04:24; 03:10. (d)
dans le corps, ne
pas comme une
substance
matérielle, mais
comme l’orgue fit de
l’âme, partage son
immortalité; et
comme l’instrument
par lequel l’homme
peut exercer la
domination sur la
création plus bas.
(e) à la domination
de l’homme sur la
terre. En opposition
les Sociniens,
certains érudits
réformées est allé
trop loin dans la
direction opposée,
quand ils
considéraient ce
dominion comme
quelque chose qui
n’appartenait pas à
l’image du tout,
mais était le
résultat d’une
disposition spéciale
de Dieu. Dans le
cadre de la
question, si l’image
de Dieu appartient à
l’essence même de
l’homme, la
théologie réformée
n’hésite pas à dire
qu’elle
constitue
l’essence de
l’homme. Il
distingue,
cependant, ces
éléments de l’image
de Dieu que l’homme
ne peut pas perdre
sans cesser d’être
homme, consistant
dans les qualités
essentielles et les
pouvoirs de l’âme
humaine; et ces
éléments dont
l’homme peut perdre
et toujours restent
homme, à savoir, les
bonnes qualités
éthiques de l’âme et
ses pouvoirs.
L’image de Dieu dans
ce sens restreint
est identique à ce
qu’on appelle la
justice originale.
C’est la perfection
morale de l’image,
qui pourrait être et
est, perdu par le
péché.
2. LA CONCEPTION
LUTHÉRIENNE. La
conception
luthérienne
dominante de l’image
de Dieu diffère
sensiblement de
celui de l’église
réformée. Luther
lui-même a parfois
parlé comme si il
avait une conception
large de celui-ci,
mais en réalité, il
avait une vue
restreinte de
celui-ci.
Alors qu’il y avait
lors de la
dix-septième siècle
et il existe encore
aujourd'hui,
certains théologiens
luthériens qui ont
une conception plus
large de l’image de
Dieu, la grande
majorité d'entre eux
la restreindre aux
qualités
spirituelles avec
dont l’homme était à
l’origine dotée,
autrement dit, ce
qui s’appelle la
justice originale.
En faisant cela ils
ne pas suffisamment
reconnaissent la
nature essentielle
de l’homme par
opposition à celle
des anges, d’une
part et de celle des
animaux d’autre
part. En possession
de cette image, les
hommes sont comme
les anges, qui la
possèdent également;
et par rapport à ce
que les deux ont en
commun, leur
différence est de
peu d’importance.
L’homme a perdu
l’image de Dieu
entièrement par le
péché, et ce qui le
distingue désormais
des animaux a très
peu d’importance
religieuse ou
théologique. La
grande différence
entre les deux
réside dans l’image
de Dieu, et cet
homme a perdu
entièrement. Compte
tenu de ce qu’il est
aussi naturel que
les luthériens
devraient adopter
Traducianism et par
conséquent
enseignent que l’âme
de l’homme provient
comme celle de
l’animal,
c'est-à-dire par la
procréation. Il
tient compte
également du fait
que les luthériens
difficilement
reconnaissent
l’unité morale de la
race humaine, mais
soulignent fortement
son unité physique
et la propagation
exclusivement
physique du péché.
Barth se rapproche
de la luthérienne
que sur la position
réformée lorsqu’il
cherche l’image de
Dieu dans « un point
de contact » entre
Dieu et l’homme, une
certaine conformité
avec Dieu et dit
ensuite que c’était
non seulement ruiné
mais même annihilé
par le péché.
3. L’OPINION
CATHOLIQUE ROMAIN.
Les catholiques romains
ne partage pas tout
à fait dans leur
conception de
l’image de Dieu.
Nous nous limitons
ici à une
déclaration de
l’opinion qui
prévaut parmi eux.
Ils tiennent que
Dieu à la création
doté l’homme avec
certains dons
naturels, tels que
la spiritualité de
l’âme, la liberté de
la volonté et
l’immortalité du
corps. La
spiritualité, la
liberté et
l’immortalité, sont
des
richesses naturelleset
en sont l'
image
naturelle de
Dieu. En outre, Dieu
« attempered »
(ajusté) les
pouvoirs naturels de
l’homme à l’un de
l’autre, placer la
partie inférieure en
bonne et due
subordination au
plus élevé.
L’harmonie ainsi
créé est appelé
justitia
— justice naturelle.
Mais malgré tout il
restait chez l’homme
une tendance
naturelle des
appétits et passions
à se rebeller contre
l’autorité des
puissances plus
élevées de la raison
et de conscience.
Cette tendance,
appelée la
concupiscence, n’est
pas elle-même un
péché, mais devient
péché lorsqu’il est
consenti à la
volonté et passe à
l’action volontaire.
Afin de permettre à
l’homme à tenir sa
nature inférieure en
échec, Dieu ajoute
la dona
naturalia
certains
supernaturalia dona.
Mentionnons le
donum
superadditum de
justice originale
(la ressemblance
surnaturelle à
Dieu), qui a été
ajoutée comme un
cadeau étranger à la
constitution
originale de
l’homme, à un stade
ultérieur soit
immédiatement au
moment de la
création comme une
récompense pour
l’utilisation
appropriée des
pouvoirs naturels.
Ces dons
surnaturels, y
compris le
donum
superadditum de
justice initiale,
ont été perdus par
le péché, mais leur
perte ne pas
perturber la nature
essentielle de
l’homme.
4. AUTRES POINTS DE
VUE DE L’IMAGE DE
DIEU. Selon les
Sociniens et
certains d'entre les
arminiens
antérieures, l’image
de Dieu: seulement
dans la domination
de l’homme sur la
création plus bas
et, dans ce.
Anabaptistes a
maintenu que le
premier homme, comme
une créature finie
et terrestre,
n’était pas encore
l’image de Dieu,
mais qu’il pourrait
devenir ce que par
la régénération.
Pélagiens, la
plupart des
arminiens et
rationalistes de
tous, avec peu de
variation, trouver
l’image de Dieu que
dans la personnalité
libre de l’homme,
dans son caractère
rationnel, sa
disposition
éthico-religieux et
sa destinée à vivre
en communion avec
Dieu.
D. L’ÉTAT INITIAL DE
L’HOMME COMME
L’IMAGE DE DIEU.
Il y a un lien très
étroit entre l’image
de Dieu et l’état
d’origine de
l’homme, et donc les
deux sont
généralement
considérés ensemble.
Une fois de plus,
nous devrons faire
la distinction entre
les différents
points de vue
historiques quant à
l’état initial de
l’homme.
1. LA VUE
PROTESTANTE.
Protestants
enseignent que
l’homme a été créé
dans un état de
perfection relative,
l’état de la justice
et la sainteté. Cela
ne signifie pas
qu’il avait déjà
atteint l’état le
plus élevé
d’excellence dont il
a été sensible. Il
est généralement
admis qu’il était
destiné à atteindre
un plus haut degré
de perfection dans
le sentier
d’obéissance. Il a
été, quelque chose
comme un enfant,
parfait dans
certaines régions,
mais pas encore en
degré. Son état
était un
préliminaire et
provisoire, ce qui
pourrait conduire à
une plus grande
perfection et la
gloire ou se
terminent par une
chute. Il était
par
nature doté de
cette droiture
original qui est le
couronnement de
l’image de Dieu et
par conséquent vécu
dans un état de
sainteté positive.
La perte de cette
droiture signifiait
la perte de quelque
chose qui
appartenait à la
nature même de
l’homme dans son
état idéal. L’homme
pourrait perdre et
toujours rester
homme, mais il ne
pouvait pas perdre
et rester homme au
sens du mot idéal.
En d’autres termes,
sa perte
signifierait
vraiment une
détérioration et
l’altération de la
nature humaine. Par
ailleurs, l’homme
fut créé immortel.
Cela s’applique non
seulement à l’âme,
mais aussi à toute
la personne de
l’homme; et donc ne
veut pas simplement
dire que l’âme était
destiné à avoir une
existence continue.
Ni que cela signifie
que l’homme a été
élevé au-dessus de
la possibilité de
devenir une proie à
mort; Cela peut
seulement affirmer
des anges et les
saints dans le ciel.
Cela ne signifie
pas, toutefois, que
l’homme, comme il a
été créé par Dieu,
ne porte pas en lui
les germes de mort
et ne serait pas
nécessairement
en vertu de la
constitution
originale de sa
nature mort. Si la
possibilité de son
devenir une victime
de la mort n’était
pas exclue, il
n’était pas
redevable à mort
tant qu’il ne pas
péché. Il faut avoir
à l’esprit que
l’immortalité
originale de l’homme
n’était pas quelque
chose de purement
négatif et physique,
mais était quelque
chose de positif et
spirituelle aussi
bien. Cela
signifiait la vie en
communion avec Dieu
et de jouir de la
faveur du très-haut.
Il s’agit de la
conception
fondamentale de la
vie dans les
Ecritures, tout
comme la mort est
principalement la
séparation de Dieu
et de soumission à
sa colère. La perte
de cette vie
spirituelle
signifierait la mort
et entraînerait
aussi la mort
physique.
2. L’OPINION
CATHOLIQUE ROMAIN.
Catholiques romains
ont naturellement
une vue quelque peu
différente de l’état
initial de l’homme.
Selon leur origine
droiture
n’appartenait pas à
la nature de l’homme
dans son intégrité,
mais quelque chose a
été surnaturellement
ajouté. En vertu de
sa création l’homme
était simplement
doté de tous les
pouvoirs naturels et
les facultés de la
nature humaine comme
telle, et par la
justitia naturalis
, ces pouvoirs ont
été bien ajustés les
uns aux autres. Il
était sans péché et
vécut dans un état
de parfaite
innocency. Dans la
nature des choses,
cependant, il y
avait une tendance
naturelle des
appétits et passions
à se rebeller contre
les puissances
supérieures de la
raison et de
conscience. Cette
tendance, appelée la
concupiscence,
pas lui-même était
le péché, mais
pourrait facilement
devenir l’occasion
et le carburant pour
le péché. (Mais voir
Romains 7:8;
Colossiens 3:5; I
Thess. 4:5, auth.
ver.). Homme, puis,
comme il a été
constitué à
l’origine, était par
nature sans sainteté
positive, mais aussi
sans péché, quoique
accablés avec une
tendance qui
pourrait facilement
entraîner dans le
péché. Mais
maintenant Dieu a
ajouté à la
constitution
naturelle de l’homme
le don surnaturel de
la justice original,
grâce auxquelles il
a été activé pour
garder les penchants
inférieurs et les
désirs en bonne et
due un
assujettissement
trop long. Quand
l’homme est tombé,
il a perdu cette
droiture original,
mais la constitution
originale de la
nature humaine est
restée intacte.
L’homme naturel est
maintenant
exactement où Adam
était avant il était
doté de droiture
original, mais avec
une plus forte
tendance à mal.
3. RATIONALISATION
DES VUES. Pélagiens,
Sociniens,
arminiens,
rationalistes et
évolutionnistes,
tous rabais tout à
fait l’idée d’un
état primitif de la
sainteté. Les quatre
premiers sont
d’accord que l’homme
a été créé dans un
état d’innocence, de
la neutralité morale
et religieuse, mais
a été dotée d’un
libre arbitre, alors
qu’il pourrait se
transformer en
n’importe quelle
direction. Les
évolutionnistes
affirment que
l’homme a commencé
sa carrière dans un
état de barbarie,
dans lequel il
était, mais un peu
retiré de la brute.
Rationalistes de
toutes sortes
croient qu’un concreated la
justice et la
sainteté est une
contradiction dans
les termes. L’homme
détermine son
personnage par son
libre choix; et la
sainteté ne peut
résulter que d’une
lutte victorieuse
contre le mal. De la
nature de l’affaire,
par conséquent, Adam
ne pouvait pas ont
été créé dans un
état de sainteté.
Qui plus est.
Pélagiens. Sociniens
et rationalistes
tenir que l’homme a
été créé mortel. La
mort n’a pas
entraîné de l’entrée
du péché dans le
monde, mais était
simplement la fin
naturelle de la
nature humaine telle
qu’elle a été
constituée. Adam
serait mort en vertu
de la constitution
originale de sa
nature.
QUESTIONS pour étude
complémentaire:
Quelle est la
distinction précise
qui rend Delitzsch
entre l’âme et
l’esprit dans
l’homme ? Comment
Heard font usage de
la conception
tripartite de
l’homme dans
l’interprétation du
péché originel, la
conversion et
sanctification ?
Comment expliquer le
fait que les
luthériens sont
largement
Traducianists et
réformé largement
les créationnistes ?
Qu’en est-il
l’objection que le
créationnisme a
pratiquement détruit
l’unité de la race
humaine ? Quelles
objections sont
contre le réalisme
avec son accession à
l’unité numérique de
nature humaine ? Ce
que critique vous
offrirait sur avis
de Dorner, que les
théories du
créationnisme, Pre-existentianism
et Traducianism sont
tout simplement
trois différents
aspects de la vérité
concernant l’origine
de l’âme ? Comment
catholiques romains
généralement faire
la distinction entre
« l’image » et la
« ressemblance » de
Dieu ? Croient-ils
que homme perdu son
justitia
ou la justice
naturelle à
l’automne ou pas ?
Comment ces
luthériens qui
restreignent l’image
de Dieu à la justice
l’origine de l’homme
expliquer Genèse 9:6
et Jas. 3:9 ?
LITTÉRATURE. Bavinck,
Geref. Dogme.,
II, pp. 566-635;
Kuyper,
Dict. dogme.,
Creaturis De C.
p. 3-131; Vos,
Geref. Dogme.
II,
pp. 1-21; Hodge,
Syst.
Theol. II, pp.
42-116; Dabney,
syst
et trouvailles.
THEOL.,
p. 292-302; Shedd,
dogme
.
THEOL.
II,
pp. 4-114; Litton,
Introd.. au dogme.
THEOL.,
pp. 107-122; Dorner,
Syst,
de Chr.
Doct. II, pp.
68-96; Schmidt,
Doct.
Théol. du Ev. Luth.
Église,
p. 225-238;
Martensen,
Chr.
dogme., p.
136-148; Pieper,
Chr.
dogme. I, pp.
617-630; Valentine,
Chr.
Theol. I, p.
383-415; Pape,
Chr.
Theol. I, p.
421-436; Raymond,
Syst.
Theol. II, p.
7-49; Wilmers,
Guide
de la Chr. Rel.,
pp. 219-233; Orr, l'
Image
chez l’hommede
Dieu, p. 3-193; A.
Kuyper, Jr.,
Het
Beeld dieux,
pp. 8-143; Talma,
De
Anthropologie van
Calvijn, pp.
29-68; Entendu,
Le Tri-Partite
Nature de l’homme;
Dickson,
St.
Utilise
des termes chair et
esprit, Paul
chaps. V-XI;
Delitzsch,
syst.
de la Bibl. Psych.,
pp. 103-144; Laidlaw,
la
Bibl. Doct. d’homme,
pp. 49-108; H. W.
Robinson,
la Chr.
Doct. d’homme,
pp. 4-150.
IV. l’homme dans l'Alliance des œuvres
La discussion de
l’état d’origine de
l’homme,
statut
integritatis,
ne serait pas
complète sans
prendre en
considération la
relation mutuelle
entre Dieu et homme
et surtout l’origine
et la nature de la
vie religieuse de
l’homme. Que la vie
est enracinée dans
un Pacte, tout comme
la vie chrétienne
est aujourd'hui, et
que l’Alliance est
diversement connue
comme l’Alliance de
la nature,
l’Alliance de vie,
l’Alliance édénique
et l’Alliance des
œuvres. Le prénom,
ce qui était assez
courant dans un
premier temps, a été
progressivement
abandonnée, car il
était susceptible de
donner l’impression
que cette alliance
était simplement une
partie de la
relation naturelle
où l’homme se tenait
à Dieu. Les noms des
deuxième et
troisième ne sont
pas suffisamment
précis, puisque deux
d'entre eux
pourraient également
s’appliquer à
l’Alliance de grâce,
qui est certainement
un Pacte de vie et
également provenu en
Eden, 03:15. Par
conséquent le nom
« Alliance des
œuvres » mérite de
préférence.
A. LA DOCTRINE DE
L’ALLIANCE DES
ŒUVRES DANS
L’HISTOIRE.
L’histoire de la
doctrine de
l’Alliance des
œuvres est
relativement brève.
Dans les premiers
pères de l’église
l’idée de Pacte est
rarement trouvée du
tout, bien que les
éléments qu’il
comprend, à savoir
la commande
probatoire, la
liberté de choix et
la possibilité de
péché et la mort,
sont tous
mentionnés. Augustin
dans son
de
Civitates Dei
parle de la relation
dans laquelle Adam
était initialement à
Dieu comme une
Alliance
(testamentum,
pactum), tandis que
d’autres déduit la
relation originale
de l’Alliance du
passage bien connu
d’Osée 6:7. Dans la
littérature
scolastique et dans
les écrits des
réformateurs, aussi,
tous les éléments
qui entra plus tard
dans la construction
de la doctrine de
l’Alliance des
œuvres étaient déjà
présents, mais la
doctrine elle-même
n’était pas encore
développée. Bien
qu’ils contiennent
certaines
expressions qui
pointent à
l’imputation du
péché d’Adam à ses
descendants, il est
clair que dans
l’ensemble, la
transmission du
péché a été conçue
avec réalisme,
plutôt que par le
gouvernement
fédéral.
Quelquefois, dit
dans son analyse de
Calvin
instituts:
« représentation
fédérale n’était pas
saisie comme il se
doit, mais un
réalisme mystique à
la place il. »
Le
développement de la
doctrine de
l’Alliance de grâce
précède celle de la
doctrine de
l’Alliance des
œuvres et ouvert la
voie pour lui. Quand
on a vu clairement
que l’écriture
représente le chemin
du Salut sous la
forme d’un Pacte, le
parallèle qui Paul
dessine dans Romains
5 entre Adam et le
Christ bientôt a
donné occasion de
penser aussi comme
une Alliance de
l’état d’intégrité.
Selon Heppe le
premier ouvrage qui
contient la
représentation
fédérale de la voie
du Salut, a été de
Bullinger
Compendium de la
Religion chrétienne;
et Olevian était le
véritable fondateur
d’une théologie
fédérale bien
développé, dans
lequel la notion de
Pacte est devenu
pour la première
fois le principe
constitutif et
déterminant de
l’ensemble du
système.
De la théologie
fédérale Églises
réformées de la
Suisse et
l’Allemagne passée
aux Pays-Bas et dans
les îles
britanniques, en
particulier en
Écosse. Ses premiers
représentants aux
Pays-Bas étaient
Gomarus, Trelcatius,
Ravensperger et en
particulier de
Cloppenburg. Ce
dernier est
considéré comme le
précurseur de
Coccejus, qui est
souvent appelé
improprement « le
père de la théologie
fédérale. » Au moins
en partie, la réelle
distinction de
Coccejus réside dans
le fait qu’il
cherchait à se
substituer à la
méthode scolastique
habituelle d’étudier
la théologie, qui
était assez courante
à son époque, ce
qu’il considérait
une méthode plus
scripturaire. À cet
égard, il a été
suivi par Burmannus
et Witsius. Coccejus
et ses partisans
n’étaient pas les
seuls à adopter la
doctrine de
l’Alliance des
œuvres. Cela a été
fait par d’autres
établissements,
comme Voetius,
faire, à Marck et De
Moor. Ypeij et
Dermout font
remarquer qu’en ce
temps-là qu'un déni
de l’Alliance des
œuvres a été
considéré comme une
hérésie.
Les
Sociniens a rejeté
cette doctrine tout
à fait, car ils ne
croyaient pas en
l’imputation du
péché d’Adam à ses
descendants; et
certains d'entre les
arminiens, comme
Episcopius, Ltizia,
Venema et J. Alting,
qui appelaient une
doctrine humaine,
emboîté le pas. Vers
le milieu du XVIIIe
siècle, lorsque la
doctrine de
l’Alliance aux
Pays-Bas avait tous
mais passé dans
l’oubli, Comrie et
Holtius dans leur
Examen
van het Ontwerp van
Tolerantie une
fois de plus soumis
à l’attention de
l’église. En Ecosse,
plusieurs œuvres
importantes ont été
écrits sur les
alliances, y compris
l’Alliance des
œuvres, telles que
celles de Fisher (Moelle
de la théologie
moderne),
balle, Blake, Gib et
Boston. Dit Walker:
« la théologie
ancienne d’Écosse
pourrait qualifier
emphatiquement
théologie de
l’Alliance. »
La
doctrine énoncée
reconnaissance
officielle dans la
Confession de
Westminsteret
la
Formula Consensus
Helvetica. Il
est significatif que
la doctrine des
œuvres s’est
entretenu avec très
peu de réaction en
théologie catholique
et luthérienne. Ceci
trouve son
explication dans
leur attitude
vis-à-vis de la
doctrine de l'
imputation immédiate
du péché d’Adam à
ses descendants.
Sous l’influence du
rationalisme et de
la théorie des
Placæus d’imputation
de
médiation , qui
a également été
accepté dans la
théologie de la
Nouvelle-Angleterre,
la doctrine de
l’Alliance subit
progressivement
éclipse. Même des
érudits
conservateurs tels
que Doedes et Van
Oosterzee aux
pays-bas l’a
rejetée; et en
Nouvelle-Angleterre
théologie il fut de
courte durée. En
Écosse, la situation
n’est pas beaucoup
mieux. Hugh Martin a
déjà écrit dans son
ouvrage
Le jour des
Expiations
(publié en 1887):
« It has come to
pass, nous le
craignons, que la
théologie fédérale
souffre à l’heure
actuelle une
certaine négligence
qui n’augure pas
bien pour l’avenir
immédiat de l’Église
parmi nous. »
Et
tandis que dans
notre propre pays
des presbytériens
érudits tels que le
Hodges, quelquefois,
Breckenridge et
Dabney, tenir dûment
compte de la
doctrine dans leurs
œuvres théologiques,
dans les églises
qu’ils représentent
il a pratiquement
perdu sa vitalité.
Aux Pays-Bas, il y a
eu un renouveau de
la théologie
fédérale sous
l’influence de
Kuyper et Bavinck,
et par la grâce de
Dieu, il continue à
être une réalité
vivante dans les
coeurs et les
esprits du peuple.
B. LA FONDATION
SCRIPTURAIRE POUR LA
DOCTRINE DE
L’ALLIANCE DES
ŒUVRES.
Le déni généralisé
de l’Alliance des
œuvres, il est
impératif d’examiner
sa Fondation
scripturaire avec
soin.
1. LES ÉLÉMENTS
D’UNE ALLIANCE SONT
PRÉSENTS DANS LE
RÉCIT AU DÉBUT. Il
faut admettre que le
terme « Alliance »
ne se trouve pas
dans les trois
premiers chapitres
de la Genèse, mais
ce n’est pas revient
à dire qu’ils ne
contiennent pas les
données nécessaires
à la construction
d’une doctrine de
l'Alliance. On
aurait difficilement
déduire de l’absence
de la « Trinité » du
terme que la
doctrine de la
Trinité ne se trouve
pas dans la Bible.
Tous les éléments
d’une Alliance sont
indiqués dans les
Ecritures et si les
éléments sont
présents, nous ne
sommes pas seulement
justifiées, mais,
dans une étude
systématique de la
doctrine, également
dans le devoir pour
les relier entre eux
et de donner la
doctrine alors
interprété un nom
approprié. Dans le
cas envisagé deux
parties sont
désignées, une
condition est
prévue, une promesse
de récompense pour
l’obéissance est
clairement implicite
et une pénalité de
transgression est
menacée. On peut
toujours objecter
que nous ne lisons
pas des deux parties
tant que parvenir à
un accord, ni d’Adam
comme acceptant les
conditions fixées,
mais ce n’est pas
une objection
insurmontable. Nous
ne lisons pas d’un
accord explicite et
acceptation de la
part de l’homme soit
dans les cas de Noé
et Abraham. Dieu et
l’homme
n’apparaissent pas
comme des égaux dans
l’un de ces pactes.
Alliances de Dieu
tous sont de la
nature des
souveraines
dispositions
imposées sur
l’homme. Dieu est
absolument souverain
dans ses rapports
avec l’homme et a le
droit parfait pour
fixer les conditions
auxquelles celui-ci
doit satisfaire,
afin de profiter de
sa faveur. En outre,
Adam était, même en
vertu de sa relation
naturelle, dans le
devoir d’obéir à
Dieu; et lorsque la
relation de
l’Alliance a été
établie, cette
obéissance est
également devenu une
question d’intérêt
personnel. Lorsque
vous entrez dans des
relations d’alliance
avec les hommes,
c’est toujours Dieu
qui établit les
conditions, et ils
sont très gracieux,
afin qu’il ait,
également de ce
point de vue,
parfaitement le
droit d’attendre que
l’homme sera
sanction leur. Dans
le cas envisagé,
Dieu avait que
d’annoncer
l'Alliance, et
l’état parfait dans
lequel Adam vécut
était une garantie
suffisante pour son
acceptation.
2. IL ÉTAIT UNE
PROMESSE DE VIE
ÉTERNELLE. Certains
nient qu’il y a
aucune preuve de
l’écriture pour une
telle promesse.
Maintenant, il est
parfaitement vrai
qu’aucune telle
promesse ne figure
explicitement, mais
il est clairement
impliqué dans
l’alternative de la
mort à la suite de
la désobéissance.
L’implication claire
de la punition
menacée est que dans
le cas de
l’obéissance
n’entrerait pas
mort, et cela ne
peut signifier que
la vie continue.
Elle a été contestée
que cela
signifierait
seulement une
continuation de la
vie naturelle
d’Adam, et pas ce
que l’écriture
appelle la vie
éternelle. Mais
l’idée biblique de
la vie est la vie en
communion avec Dieu;
et c’est la vie
qu’Adam possédait,
bien que dans son
cas, il était encore
amissible. Si Adam
résisté à l’épreuve,
cette vie
resteraient non
seulement, mais
cesserait d’être
amissible et serait
donc levée à un
niveau supérieur.
Paul nous dit
explicitement dans
la Rom. 07:10 que le
commandement, c’est
la Loi, était pour
la vie. En
commentant ce verset Hodge dit: « la loi
a été conçue et
adapté à la vie
sûre, mais devient
en fait la cause du
décès. » Cela
apparaît clairement
dans ces passages
comme Romains 10:5;
GAL 03:13.
Maintenant, il est
généralement admis
que cette glorieuse
promesse de vie
interminable n’était
en aucune manière
sous-entendue dans
la relation
naturelle dans
laquelle Adam
s’établissait à
Dieu, mais il avait
une base différente.
Mais pour admettre
qu’il y a quelque
chose de positif
ici, une
condescendance
spécial de Dieu, est
une acceptation du
principe de
l'Alliance. Il peut
y avoir encore
quelques doutes sur
le bien-fondé du nom
« Pacte des
travaux », mais il
ne peut y avoir
aucune objection
valide à l’idée de
Pacte.
3. FONDAMENTALEMENT,
L’ALLIANCE DE LA
GRÂCE EST SIMPLEMENT
L’EXÉCUTION DE LA
CONVENTION INITIALE
PAR CHRIST COMME
NOTRE CAUTION. Il
s’est engagé
librement à
accomplir la volonté
de Dieu. Il s’est
placé sous la Loi,
qu’il pourrait
rachetât ceux qui
étaient sous la Loi
et n’étaient plus en
mesure d’obtenir la
vie par leur propre
accomplissement de
la Loi. Il est venu
à faire ce que Adam
n’a pas fait, et il
l’a fait en vertu
d’un accord
d’Alliance. Et si
tel est le cas, et
est l’Alliance de
grâce, que Christ
est concerné, tout
simplement la
réalisation de
l’accord initial, il
s’ensuit que ce
dernier doit
également avoir été
de la nature d’une
Alliance. Et comme
Christ remplissait
la condition de
l’Alliance des
œuvres, l’homme peut
maintenant récolter
le fruit de l’accord
initial par la foi
en Jésus Christ. Il
y a maintenant deux
modes de vie, qui
sont en elles-mêmes,
les modes de vie,
l’un est le moyen de
la Loi: « l’homme
qui fait la justice
qui vient de la Loi
doit vivre ainsi »,
mais c’est un moyen
par lequel l’homme
peut ne plus trouver
de vie; et l’autre
est le moyen de la
foi en Jésus Christ,
qui a rencontré les
exigences de la Loi
et est maintenant en
mesure de distribuer
la bénédiction de la
vie éternelle.
4. LE PARALLÈLE
ENTRE ADAM ET LE
CHRIST. Le parallèle
qui Paul attire
entre Adam et le
Christ dans la Rom.,
05:12-21, dans le
cadre de la doctrine
de la justification,
ne peut s’expliquer
sur l’hypothèse
qu’Adam, comme le
Christ, était à la
tête d’une Alliance.
Selon Paul l’élément
essentiel dans la
justification
consiste en ceci,
que la justice de
Christ est imputée à
nous, sans aucun
travail personnel de
notre part pour
mériter ce. Et il
considère cela comme
un parallèle parfait
à la manière dont la
culpabilité d’Adam
est imputable à
nous. Cela conduit
naturellement à la
conclusion qu’Adam
se trouvait aussi
dans la relation de
l’Alliance à ses
descendants.
5. LE PASSAGE EN
OSÉE 6:7. dans Osée
6:7 nous lisons:
« Mais ils aiment
Adam ont transgressé
l'Alliance. »
Tentatives ont été
faites pour
discréditer cette
lecture. Certains
ont suggéré la
lecture « à Adam, »
qui impliquerait que
certains
transgression bien
connue s’est
produite à un
endroit appelé Adam.
Mais la préposition
interdit cette
interprétation. En
outre, la Bible ne
fait aucune mention
de telle une
transgression
historique bien
connue à Adam.
L’affiche de la
Version autorisée
« comme les
hommes, » ce qui
signifieraient
alors, de façon
humaine. Pour cela
on peut objecter
qu’il n’y a aucun
pluriel dans
l’original, et
qu’une telle
déclaration serait
plutôt inepte, étant
donné que l’homme
pouvait guère
transgresser de
toute autre manière.
Après tout, le rendu
« comme Adam » est
le meilleur. Elle
est favorisée par le
passage parallèle
dans Job 31: 33; et
est adopté par la
Version révisée
américaine.
C. LES ÉLÉMENTS DE
L’ALLIANCE DES
ŒUVRES.
Les éléments
suivants doivent
être distinguées:
1. LES PARTIES
CONTRACTANTES. D’une
part, il y avait le
Dieu trine,
créateur et Seigneur
et d’autre part,
Adam comme sa
créature dépendante.
Il convient de
distinguer une
relation binaire
entre les deux:
a. la
relation naturelle.
Lorsque Dieu créa
l’homme, il a de ce
fait mis en place
une relation
naturelle entre
lui-même et l’homme.
Comme ça, c’est une
relation entre le
potier et l’argile,
entre un souverain
absolu et un objet
dépourvu de toute
réclamation. En
fait, la distance
entre les deux était
si grande que ces
chiffres ne sont pas
même une expression
adéquate de
celui-ci. Elle était
telle qu’une vie en
communion avec
l’autre semble être
hors de question.
Comme la créature de
Dieu homme était
naturellement en
vertu de la Loi et
en devoir de le
garder. Et tandis
que la transgression
de la Loi doit le
rendre passible
d’une peine, la
tenue de celle-ci ne
constituerait pas
une réclamation
inhérente à une
récompense. Même
s’il a fait tout ce
qui était exigé de
lui, il aurait
encore à dire, je ne
suis qu’un serviteur
non rentable, car
j’ai simplement fait
ce qu’il était de
mon devoir de le
faire. Aux termes de
cette relation
purement naturelle
homme ne pouvait pas
mérité quoi que ce
soit. Mais même si
la distance infinie
entre Dieu et
l’homme a
apparemment exclu
une vie de communion
avec l’autre,
l’homme a été créé
pour une telle
communion, et la
possibilité de lui a
déjà été donnée à sa
création à l’image
de Dieu. Dans cette
relation naturelle
Adam était le père
de la race humaine.
b. la
relation de
l’Alliance. Dès
le début, cependant.
Dieu a révélé à
lui-même, non
seulement comme un
souverain absolu et
le législateur, mais
aussi comme un père
aimant, cherchant le
bien-être et le
bonheur de sa
créature dépendante.
Il daigna de
descendre au niveau
de l’homme, se
révéler comme un ami
et à permettre à
l’homme d’améliorer
sa condition dans le
sentier
d’obéissance. En
plus de la relation
naturelle il, un
texte de loi
positive,
gracieusement mis en
place une relation
de l’Alliance. Il a
conclu un Pacte
juridique avec
l’homme, qui
comprend toutes les
exigences et
obligations
implicitement dans
la creaturehood de
l’homme, mais en
même temps ajouté
quelques nouveaux
éléments. (1) Adam a
été constitué le
chef représentatif
de la race humaine,
alors qu’il pouvait
agir pour tous ses
descendants. (2) il
a été temporairement
mis à l’épreuve,
afin de déterminer
si il soumettrait
volontiers sa
volonté à la volonté
de Dieu. (3) il a
reçu la promesse de
la vie éternelle
dans le sentier
d’obéissance et
ainsi par la
disposition
gracieuse de Dieu
acquis certains
droits
conditionnels. Cette
Alliance a permis à
Adam obtenir la vie
éternelle pour
lui-même et pour ses
descendants dans le
sentier
d’obéissance.
2. LA PROMESSE DE
L’ALLIANCE. La
grande promesse de
l’Alliance des
œuvres est la
promesse de la vie
éternelle. Ils qui
nient l’Alliance des
œuvres généralement
fondent leur refus
en partie sur le
fait qu’il n’y a
aucune trace d’une
telle promesse dans
la Bible. Et c’est
parfaitement vrai
que l’écriture ne
contienne aucune
promesse explicite
de la vie éternelle
à Adam. Mais la
peine menacée
implique clairement
une telle promesse.
Lorsque le Seigneur
dit: « car le jour
où tu en mangeras,
tu mourras
certainement », sa
déclaration implique
clairement que, si
Adam s’abstient de
manger, il ne mourra
pas, mais sera porté
au-dessus de la
possibilité de la
mort. La promesse
implicite ne
signifie
certainement pas
que, dans le cas de
l’obéissance, Adam
serait autorisé à
vivre de la manière
habituelle,
c'est-à-dire, pour
continuer la vie
naturelle ordinaire,
pour que la vie
était déjà le sien
en vertu de sa
création et par
conséquent ne
saurait être tenue
comme un réemploi
Ward pour
l’obéissance. La
promesse implicite
est évidemment celui
de la vie élevée à
son plus haut
développement de
béatitude éternelle
et la gloire. Adam a
été créé en effet
dans un état de
sainteté positive et
a également été
immortel en ce sens
qu’il n’était pas
soumis à la Loi de
la mort. Mais il
n’est qu’au début de
son cours et ne
possédait pas encore
les privilèges les
plus élevés qui ont
été dans le magasin
pour homme. Il n’est
pas encore élevé
au-dessus de la
possibilité de
pécher, pécher et
mourir. Il n’était
pas encore en
possession du plus
haut degré de
sainteté, ni qu’il a
fait profiter de la
vie dans toute sa
plénitude. L’image
de Dieu chez l’homme
était toujours
limitée par la
possibilité d’homme
pécher contre Dieu,
changeant de bon au
mal et en devenant
sous réserve du
pouvoir de la mort.
La promesse de la
vie dans l’Alliance
des œuvres était une
promesse de
l’élimination de
toutes les
limitations de la
vie à laquelle Adam
était encore soumis
et de l’élevage de
sa vie au plus haut
point de perfection.
Quand Paul dit dans
Romains 07:10 que le
commandement était à
la vie, il signifie
la vie dans toute
l’acception du mot.
Le principe de
l’Alliance des
œuvres est: l’homme
qui fait ces choses
vivra par celui-ci;
et ce principe est
réaffirmé maintes et
maintes fois dans
les Ecritures,
Lévitique 18:5;
Ézéchiel 20:11, 13,
20; Luc 10:28;
Romains 10:5; GAL
03:12.
3.
L’ÉTAT de
l'Alliance. La
promesse de
l’Alliance des
œuvres n’était pas
inconditionnelle. La
condition était
celle d’obéissance
implicite et
parfait. La loi
divine peut exiger
rien moins que cela,
et la commande
positive ne pas de
manger du fruit de
l’arbre de la
connaissance du bien
et du mal, relatives
comme il l’a fait, à
une chose
indifférente en soi,
était clairement un
test d’obéissance
pure dans le sens
absolu du mot.
L’homme était, bien
sûr, aussi soumis à
la loi morale de
Dieu, qui a été
écrit sur des
tablettes de son
cœur. Il le savait
par nature, afin
qu’il ne devait pas
être révélée
surnaturellement,
comme ce fut le test
spécial.
Essentiellement, la
loi morale, comme
Adam savait, était
sans aucun doute
comme les dix
commandements, mais
la forme était
différente. Dans sa
forme actuelle la
loi morale
présuppose la
connaissance du
péché et est donc
principalement
négative; au cœur
d’Adam, cependant,
il devait avoir un
caractère positif.
Mais juste parce que
c’est positif, qu'il
n’a pas apporté à sa
conscience la
possibilité du
péché. C’est
pourquoi un
commandement négatif
a été ajouté. Par
ailleurs, afin que
le test d’Adam peut
être un test
d’obéissance pure,
Dieu a jugé
nécessaire d’ajouter
aux commandements
dont Adam perçu le
caractère naturel et
raisonnable, un
commandement qui
était en quelque
sorte arbitraire et
indifférent. Ainsi,
les exigences de la
Loi étaient, pour
ainsi dire,
concentrés sur un
seul point. La
grande question qui
devait être réglée a
été, l’homme serait
implicitement obéir
à Dieu ou suivre les
conseils de son
propre jugement. Dr. Bavinck dit: « Het
proefgebod
belichaamde voor
dilemme het d’ourlet
(Adam): Dieu de
mensch, gezag Zijn
eigen inzicht,
onvoorwaardelijke
gehoorzaamheid de
zelfstandig
onderzoek, geloof de
twijfel. »
4. LA SANCTION de
l'Alliance. La peine
qui a été menacée
était mort, et ce
que cela signifie
mieux extraite du
sens général du
terme tel qu’il est
utilisé dans
l’écriture et contre
les maux qui
tombèrent sur les
coupables dans
l’exécution de la
peine. Évidemment,
mort au sens plus
large du mot est
visée, y compris la
mort physique,
spirituelle et
éternelle. L’idée
fondamentale
scripturaire de la
mort n’est pas celui
de l’extinction de
l’être, mais celui
de la séparation de
la source de vie et
la résultante
dissolution ou
misère et de
malheur.
Fondamentalement, il
consiste en la
séparation de l’âme
de Dieu, qui se
manifeste dans la
misère spirituelle
et enfin se termine
par la mort
éternelle. Mais il
comprend également
la séparation de
corps et âme et la
dissolution
conséquente du
corps. Sans aucun
doute l’exécution de
la peine a commencé
immédiatement après
la première
transgression. La
mort spirituelle est
entré immédiatement,
et les graines de la
mort a également
commencèrent à
exploiter dans le
corps. La pleine
exécution de la
peine, cependant,
n’a pas suivi à la
fois, mais a été
arrêté, parce que
Dieu a immédiatement
introduit une
économie de grâce et
de la restauration.
5. LE SACREMENT (S)
de l'Alliance. Nous
n’avons aucune
information précise
dans les écritures
concernant la sacrament(s) ou le
sceau de cette
Alliance. Par
conséquent, il y a
une grande variété
d’opinions sur le
sujet. Certains
parlent de quatre:
l’arbre de vie,
l’arbre de la
connaissance du bien
et le mal, paradis
et le Sabbat;
d’autres de trois:
les deux arbres et
le paradis; d’autres
encore de deux:
l’arbre de vie et le
paradis; et encore
d’autres d’un:
l’arbre de vie. Le
dernier avis est le
plus répandu et
semble être le seul
à trouver un soutien
dans l’écriture.
Nous ne devrions pas
penser du fruit de
cet arbre comme par
magie ou
médicalement
travaillant
l’immortalité dans
le cadre d’Adam.
Pourtant, c’était en
quelque sorte
connecté avec le don
de la vie. Selon
toute vraisemblance,
il doit se concevoir
comme un symbole
nommé ou le sceau de
la vie. Par
conséquent, lorsque
Adam confisqué la
promesse, il a été
exclu du bénéfice du
signal. Ainsi conçu
les paroles de 03:22
doivent être
comprises
sacramentellement.
D. L’ÉTAT ACTUEL DE
L’ALLIANCE DES
ŒUVRES.
En ce qui concerne
la question, que
l’Alliance des
œuvres soit toujours
en vigueur ou a été
abrogée au moment de
la chute d’Adam, il
y a des divergences
d’opinions
considérables entre
théologiens
arminiens et
réformées.
1. LA VUE
ARMINIENNE.
Arminiens prétendent
que cette Alliance
juridique a été
totalement abolie à
la chute d’Adam et
affirment cela comme
suit: (a) la
promesse a été
ensuite révoquée et
ainsi annulé le
compact et où il n’y
a aucun compact il
n’y a aucune
obligation. (b) Dieu
ne pouvait continuer
à exacte obéissance
de l’homme, que
lorsque cette
dernière est par
nature impossible et
il n’était pas
activée par la grâce
de Dieu, pour rendre
le service requis.
(c) il serait
désobligeant envers
la sagesse de Dieu,
la sainteté et
Majesté d’appeler la
créature dépravée à
un service d’amour
Sainte et indivise.
Ils soutiennent que
Dieu a établi une
nouvelle Alliance et
promulgué une
nouvelle loi, la Loi
de la foi et
l’obéissance
évangélique, dont
l’homme malgré ses
pouvoirs ayant une
déficience peut
prendre lors de
l’assisté par
l’habilitation
permet de grâce
suffisante ou
commun. Toutefois,
les considérations
suivantes militent
contre ce point de
vue: obligation de
(a) de l’homme de
Dieu n’était jamais
enracinée seulement
dans l’exigence de
l'Alliance, mais
fondamentalement
dans la relation
naturelle dans
laquelle il se
trouvait à Dieu.
Cette relation
naturelle a été
incorporée dans la
relation de
l’Alliance. (b)
incapacité de
l’homme est induite
et donc ne pas lui
dégage de son
obligation juste.
Ses limites
auto-imposées, son
hostilité criminelle
et volontaire à Dieu
ne privait pas le
souverain maître de
l’univers du droit
d’exiger le service
chaleureux et
affectueux, qui est
son dû. (c)
reductio ad absurdum
d’avis arminienne
est que le pécheur
peut gagner
l’émancipation
complète des
obligations justes
de pécher. Le plus
un péchés de
l’homme, plus il
devient esclave du
péché, incapable de
faire ce qui est
bon; et le plus
profond, il sombre
dans cet esclavage
qui vole lui de ses
capacités pour de
bon, il devient
moins responsable.
Si l’homme continue
à pécher assez
longtemps, il sera
en fin de compte
être dégagé de toute
responsabilité
morale.
2. LA VUE RÉFORMÉE.
Même certains
théologiens réformés
parlent de
l’abrogation de
l'Alliance juridique
et cherchent la
preuve pour cela
dans ces passages
comme Hébreux 08:13.
Ceci naturellement
posé la question,
savoir si et dans
quelle mesure,
l’Alliance des
œuvres peut être
considéré comme une
chose du passé; ou
si et dans la façon
de loin, il doit
être considéré comme
encore en vigueur.
Il est généralement
admis qu’aucun
changement dans le
statut juridique de
l’homme ne peut
toujours abroger
l’autorité de la
Loi; demande que
Dieu est à
l’obéissance de ses
créatures n’est pas
terminée par leur
chute dans le péché
et ses effets
invalidants; que le
salaire du péché
continue d’être
mort; et qu’une
parfaite obéissance
est toujours
nécessaire à la vie
éternelle mérite.
Cela signifie en ce
qui concerne la
question à l’examen:
a. que
l’Alliance des
œuvres n’est pas
abrogée: (1)
dans la mesure où la
relation naturelle
de l’homme de Dieu a
été incorporée
dedans, car l’homme
doit toujours
parfaite obéissance
de Dieu; (2) pour
autant que sa
malédiction et la
punition pour ceux
qui continuent dans
le péché sont
concernés; et (3)
dans la mesure où la
promesse
conditionnelle tient
toujours. Dieu
pourrait avoir
retiré cette
promesse, mais n’a
pas, Lévitique 18:5;
Romains 10:5; GAL
03:12. Il est
évident, toutefois,
qu’après la chute
personne ne peut se
conformer à la
condition.
b. que
l’Alliance des
œuvres est abrogée:
(1) dans la mesure
où il contenue des
éléments positifs
nouveaux, pour ceux
qui sont sous
l’Alliance de la
grâce; Cela ne
signifie pas qu’elle
est simplement
annulée et méconnu,
mais que ses
obligations ont été
respectées par le
médiateur pour son
peuple; et (2) comme
un moyen désigné
pour obtenir la vie
éternelle, car il
est impuissant après
la chute de l’homme.
L'Homme
dans l’état de péché
I. l’origine du péché
LE problème de
l’origine du mal qui
est dans le monde a
toujours été
considéré comme un
des problèmes plus
profonde de la
philosophie et la
théologie. C’est un
problème qui
naturellement se
force à l’attention
de l’homme, étant
donné que le pouvoir
du mal est grande et
universelle, est un
fléau omniprésent
sur la vie dans
toutes ses
manifestations et
est une question
d’expérience
quotidienne dans la
vie de chaque homme.
Philosophes ont été
contraints de faire
face au problème et
à chercher une
réponse à la
question quant à
l’origine de tout le
mal et
particulièrement du
mal moral, qui est
dans le monde. Pour
certains il semble
tellement une partie
de la vie elle-même
qu’ils ont cherché
la solution pour
cela dans la
constitution
naturelle des
choses. D’autres,
cependant, étaient
convaincus qu’il
avait une origine
volontaire,
c'est-à-dire, qu’il
est originaire dans
le libre choix de
l’homme, dans le
présent ou dans
quelque existence
antérieure. Ce sont
beaucoup plus
proches de la vérité
comme elle est
révélée dans la
parole de Dieu.
Inutile de
tergiverser car
l'origine du péché
est simplement la
loi. L'Écriture nous
dit que la loi est
la puissance du
péché (1 Corinthiens
15:56).
Sa source se
trouve en Éden dans
la loi
d'interdiction que
Dieu donna à l'homme
(Genèse 2:16,17).
A. HISTORIQUES VUES
CONCERNANT L’ORIGINE
DU PÉCHÉ.
Les premiers pères
de l’église ne
parlent pas très
certainement sur
l’origine du péché,
mais l’idée qu’il
est originaire de la
transgression
volontaire et la
chute d’Adam dans le
paradis se trouve
déjà dans les écrits
d’Irénée. C’est vite
devenu l’opinion qui
prévaut dans
l’église, en
particulier à
l’encontre de
Gnosticisme,
considérée mal comme
inhérente en
question et ainsi le
produit du démiurge.
Le contact de l’âme
humaine avec la
matière à la fois
rendait pécheresse.
Cette théorie a volé
naturellement péché
de son caractère
volontaire et
éthique. Origène a
cherché à maintenir
cela par sa théorie
de
pre-existentianism.
Selon lui, l’âme des
hommes péché
volontairement dans
une existence
précédente, et par
conséquent tous
entrer dans le monde
en état de péché. Ce
point de vue
platonique était
surchargé avec trop
de difficultés à
rencontrer la large
acceptation. Au
cours des XVIIIe et
XIXe siècles,
cependant, elle a
été préconisée par
Mueller et Rueckert
et par ces
philosophes comme
Lessing, Schelling
et J. H. Fichte. En
général, les pères
de l’Église grecque
des troisième et
quatrième siècles
ont montré une
tendance à écarter
le lien entre le
péché d’Adam et
celles de ses
descendants, alors
que les pères de
l’église latine
enseigne toujours
plus clarté que le
présent pécheresse
condition de l’homme
trouve son
explication dans la
première
transgression d’Adam
au paradis. Les
enseignements de
l’Eglise d’Orient a
abouti finalement à
pélagianisme, qui a
nié qu’il y avait un
lien vital entre les
deux, alors que ceux
de l’église
occidentale ont
atteint leur point
culminant dans
Augustinianism qui a
insisté sur le fait
que nous sommes tous
deux coupables et
pollué dans Adam.
Pélagianisme semi
admis la connexion
adamique, mais
maintenu qu’il ne
représentait que la
pollution du péché.
Durant le moyen-âge,
la connexion a été
généralement
reconnue. Parfois,
il a été interprété
dans un
augustinienne, mais
plus souvent de
manière
Semi-pélagienne. Les
réformateurs
partageaient les
vues de Saint
Augustin et les
Sociniens ceux de
Pélage, tandis que
les arminiens
déplacés en
direction de
pélagianisme semi.
Sous l’influence du
rationalisme et de
la philosophie
évolutionniste la
doctrine de la chute
de l’homme et de ses
effets mortels sur
la race humaine a
été progressivement
abandonnée. L’idée
du péché a été
remplacée par celle
du mal, et ce mal a
été expliqué de
différentes façons.
Kant il considéré
comme quelque chose
appartenant à la
sphère
suprasensible, dont
il ne pouvait pas
expliquer. Pour
Leibnitz, c’était en
raison des
limitations
nécessaires de
l’univers.
Schleiermacher
trouve son origine
dans la nature
sensuelle de l’homme
et de Ritschl, dans
l’ignorance humaine,
tandis que
l’évolutionniste il
attribue à
l’opposition des
propensions
inférieures à une
conscience morale
progressivement en
voie de
développement. Barth
parle de l’origine
du péché comme le
mystère de la
prédestination. Sin
apparus à l’automne,
mais la chute
n’était pas un
événement
historique; Il
appartient à
superhistory
(Urgeschichte). Adam
était en effet le
premier pécheur,
mais sa
désobéissance ne
saurait être
considérée comme
étant la cause du
péché du monde. Le
péché de l’homme est
d’une certaine
manière liée à sa
petitesse.
L’histoire du
paradis transmet
simplement pour
l’information
enthousiaste qu’il
ne doit pas
nécessairement être
un pécheur de
l’homme.
B. SCRIPTURAIRES
DONNÉES CONCERNANT
L’ORIGINE DU PÉCHÉ.
Dans l’écriture le
mal moral qui est
dans le monde se
distingue clairement
comme le péché,
c'est-à-dire comme
trangression de la
Loi de Dieu. L’homme
n’apparaît jamais
dedans comme
transgresseur par
nature, et la
question se pose
naturellement,
comment il a fait
acquérir cette
nature ? Ce que
révèle la Bible à ce
sujet ?
1. DIEU NE PEUT PAS
ÊTRE CONSIDÉRÉ COMME
SON AUTEUR. Décret
éternel de Dieu
certainement rendu
l’entrée du péché
dans le monde
certains, mais cela
ne peut être
interprété afin de
rendre à Dieu la
cause du péché dans
le sentiment d’être
son auteur
responsable. Cette
idée est clairement
exclue par
l’écriture. « Bien
que ce soit de Dieu,
qu’il devait faire
la méchanceté, et du
tout-puissant, qu’il
devrait s’engager
d’iniquité, » Job
34:10. Il est le
Dieu Saint, Ésaïe
6:3, et il n’y a
absolument aucune
injustice en lui, Deut. 32: 4; PS.
92:16. Il ne peut
pas être tenté par
le mal, et il est
lui-même ne tempteth
aucun homme, Jacques
01:13. Lorsqu’il
créa l’homme, il le
créa bonne et à son
image. Positivement,
il hait le péché,
Deut. 25: 16; PS.
5:4; 11:5; Zach.
08:17; Luc 16:15 et
a prévu dans le
Christ pour la
délivrance de
l’homme du péché. À
la lumière de tout
cela il serait
blasphématoire de
parler de Dieu comme
étant l’auteur du
péché. Et pour cette
raison que tous ces
points de vue
déterministes qui
représentent le
péché comme une
nécessité inhérente
à la nature même des
choses devraient
être rejetées. Ils
implicitement faire
Dieu auteur du péché
et sont contraires,
non seulement à
l’écriture, mais
aussi à la voix de
la conscience, qui
témoigne de la
responsabilité de
l’homme.
2. LE PÉCHÉ
PROVIENNENT DU MONDE
ANGÉLIQUE. La Bible
nous enseigne que
dans la tentative de
retracer l’origine
du péché, nous
devons encore aller
l’arrière de la
chute de l’homme tel
que décrit dans
Genèse 3 et fixer
l’attention sur
quelque chose qui
s’est passé dans le
monde angélique.
Dieu a créé une
multitude d’anges,
et ils étaient tous
bons comme ils
sortirent de la main
de leur créateur,
01:31. Mais une
chute s’est produite
dans le monde
Angélique, dans
lequel les légions
d’anges s’éloigne de
Dieu. L’heure exacte
de cet automne n’est
pas désigné, mais
dans Jean 8:44,
Jésus parle du
diable comme un
meurtrier depuis le
commencement (kat'
arches),
et Jean dit dans I
Jean 3:8, qu’il
pèche dès le début.
L’opinion dominante
est que ce
kat'
arches
signifie dès le
début de l’histoire
de l’homme. Très peu
est dit sur le péché
qui a causé la chute
des anges. De Paul
avertissement à
Timothée, qu’aucun
novice ne devrait
être nommé évêque,
« lest étant soufflé
qu’il chute dans la
condamnation du
diable, » j’ai Tim.
3:6, nous pouvons
vraisemblablement
conclure que c’était
le péché d’orgueil,
d’aspirer à être
comme Dieu en
puissance et
autorité. Et cette
idée semble trouver
corroboration dans
Jude 6, où il est
dit que les anges
déchus « gardé pas
leur propre
Principauté, mais
laissé leur
habitation
adéquate. » Ils
n’étaient pas
satisfaits de leur
sort, avec le
gouvernement et le
pouvoir qui leur
sont confiées. Si le
désir d’être comme
Dieu était leur
tentation
particulière, cela
expliquerait aussi
pourquoi ils tentés
homme sur ce point
particulier.
3. L’ORIGINE DU
PÉCHÉ DANS LA RACE
HUMAINE. En ce qui
concerne l’origine
du péché dans
l’histoire de
l’humanité, la Bible
enseigne qu’il a
commencé avec la
transgression d’Adam
au paradis et par
conséquent à un acte
parfaitement
volontaire de la
part de l’homme. Le
tentateur est venu
du monde des esprits
avec l’idée que
l’homme, en se
plaçant en
opposition à Dieu,
pourrait devenir
comme Dieu. Adam a
cédé à la tentation
et commis le premier
péché de manger du
fruit défendu. Mais
l’affaire ne
s’arrête pas là,
pour que le premier
péché Adam est
devenu le
bond-serviteur du
péché. Que le péché
fait la pollution
permanente avec elle
et une pollution
qui, en raison de la
solidarité de
l’humanité,
affecterait non
seulement Adam, mais
tous ses descendants
aussi bien. À la
suite de la chute le
père de la race
pourrait seulement
transmettre à sa
progéniture une
nature humaine
dépravée. De celle
impie source sin
coule comme un flux
impur à toutes les
générations
d’hommes, polluant
tout et avec qui il
entre en contact.
C’est exactement cet
état des choses qui
fait la question de
l’emploi si
pertinentes, « qui
peut apporter une
chose pur de
l’impur ? pas un
seul. » Job 14:4.
Mais même si cela
n’est pas tout. Adam
a péché, non
seulement comme le
père de la race
humaine, mais aussi
la tête
représentative de
tous ses
descendants; et donc
la culpabilité de
son péché est placée
sur son compte, afin
qu’ils soient tous
passibles de la
peine de mort. C’est
essentiellement dans
ce sens que le péché
d’Adam est le péché
de tous. C’est ce
que Paul nous
enseigne dans la
Rom. 05:12: « par le
péché d’un homme est
entré dans le monde
et la mort par le
péché; et si la mort
a passé à tous les
hommes, pour que
tous ont péché. »
Les derniers mots ne
peut signifier
qu’ils tous ont
péché en Adam et
péché d’une manière
rendre tous
passibles de la
peine de mort. Il
n’est pas péché
considéré simplement
comme la pollution,
mais le péché que la
culpabilité qui
porte la peine avec
elle. Dieu ordonne à
tous les hommes
soient coupables
pécheurs en Adam,
tout comme il
ordonne à tous les
croyants à être
justes en
Jésus-Christ. C’est
ce que Paul veut
dire, quand il dit:
« alors que grâce à
une intrusion, le
jugement est venu à
tous les hommes à
condamnation; Malgré
cela à travers un
acte de justice le
don gratuit est venu
à tous les hommes à
la justification de
la vie. Car par la
désobéissance de
l’un homme grand
nombre ont été
apportée pécheurs,
même si à travers
l’obéissance de l’un
les nombreux
s’effectuent
justes, » Rom.
05:18, 19.
C. LA NATURE DU
PREMIER PÉCHÉ OU LA
CHUTE DE L’HOMME.
1. SON CARACTÈRE
FORMEL. On peut dire
que, d’un point de
vue purement
formelle, premier
péché de l’homme
consiste dans son
manger de l’arbre de
la connaissance du
bien et du mal. Nous
ne savons pas quel
type d’arbre, il
s’agissait. Il
pourrait être une
date ou un figuier
ou tout autre type
d’arbre fruitier. Il
y avait rien de
dommageable dans le
fruit de l’arbre
comme tel.
L’alimentation de
celui-ci n’était pas
en soi
pécheresse. car il
n’était pas une
transgression de la
loi morale. Cela
signifie qu’il
n’aurait pas été
pécheresse, si Dieu
n’avait pas dit:
« de l’arbre de la
connaissance du bien
et du mal que tu ne
mangeras pas. » Il
n’y a pas d’opinion
unanime quant à la
raison pourquoi
l’arbre a été appelé
l’arbre de la
connaissance du bien
et du mal. Une vue
assez commune est
que l’arbre a été
ainsi appelé, parce
que l’alimentation
de celui-ci serait
leur donner une
connaissance
pratique
du bien et du mal;
mais ce n’est guère
conforme à la
représentation
scripturaire que
homme en mangeant il
deviendrait
comme
Dieu en sachant
le bien et le mal,
car Dieu ne commet
pas mal et par
conséquent n’a
aucune connaissance
pratique
de celui-ci. Il est
beaucoup plus
probable que l’arbre
a été ainsi appelé,
parce qu’elle était
destinée à révéler:
a si les futur État
de l’homme serait
bon ou mauvais; et
(b) si l’homme
permettrait de Dieu
afin de déterminer,
pour lui, ce qui
était bien et le
mal, ou s’engagerait
à déterminer cela
par lui-même. Mais
quelle que soit
l’explication peut
être donnée du nom,
le commandement
donné par Dieu, ne
pas à manger du
fruit de l’arbre
tout simplement
servi le but de
tester l’obéissance
de l’homme. C’était
un test d’obéissance
pure, car Dieu n’a
aucunement cherché à
justifier ou à
expliquer
l’interdiction. Adam
devait démontrer sa
volonté de soumettre
sa volonté à la
volonté de son Dieu
avec obéissance
implicite.
2. SON CARACTÈRE
ESSENTIEL ET
MATÉRIEL. Le premier
péché de l’homme
était un péché
typique,
c'est-à-dire un
péché dans lequel se
révèle clairement la
véritable essence du
péché. L’essence de
ce péché réside dans
le fait qu’Adam
s’est placé en
opposition à Dieu,
qu’il a refusé de
soumettre sa volonté
à la volonté de
Dieu, à Dieu de
déterminer le cours
de sa vie; et qu’il
a activement tenté
de porter l’affaire
sur la main de Dieu
et pour déterminer
l’avenir pour
lui-même. L’homme,
qui n’avait
absolument aucune
revendication sur
Dieu, et qui
pourrait seulement
établir une demande
en remplissant la
condition de
l’Alliance des
œuvres, coupé de
façon ample de Dieu
et a agi comme si
qu’il possesed
certains droits
comme plus contre
Dieu. L’idée que le
commandement de Dieu
était vraiment une
infraction relative
aux droits de
l’homme semble avoir
été déjà dans
l’esprit d’Eve
quand, en réponse à
la question de
Satan, elle a ajouté
les mots, « Ne doit
vous toucher, »
Genèse 3:3.
Évidemment, elle a
voulu insister sur
le fait que la
commande avait été
plutôt illogique.
Partant de
l’hypothèse
préalable qu’il
avait certains
droits comme
vis-à-vis de Dieu,
l’homme a permis le
nouveau centre, qui
trouva en lui-même,
pour agir contre son
créateur. C’est ce
qui explique son
désir d’être comme
Dieu et son doute de
la bonne intention
de Dieu en donnant
la commande.
Naturellement on
peuvent distinguer
différents éléments
dans son premier
péché. Dans
l’intellect, il se
révèle comme
l’incrédulité et la
fierté, dans le
testament, comme le
désir d’être comme
Dieu et dans les
affections, comme
une satisfaction
impie en mangeant du
fruit défendu.
D. LE PREMIER PÉCHÉ
OU L’AS CHUTE
OCCASIONNÉE PAR LA
TENTATION.
1. LA PROCÉDURE DU
TENTATEUR. La chute
de l’homme ont été
causée par la
tentation du
serpent, qui a semé
dans l’esprit de
l’homme, les graines
de méfiance et
d’incrédulité. S’il
s’agissait sans
doute de l’intention
du tentateur à cause
d’Adam, le chef de
l’Alliance, à
l’automne, encore
qu’il s’est adressé
à la veille, sans
doute parce que (a)
elle n’était pas le
chef de l’Alliance
et donc n’aurait pas
le même sens des
responsabilités; (b)
elle n’avait pas
reçu le commandement
de Dieu directement,
mais seulement
indirectement et
serait donc plus
sensible à
l’argumentation et
le doute; et (c)
elle aurait sans
aucun doute s’avérer
pour être l’agent le
plus efficace pour
atteindre le cœur
d’Adam. Le parcours
suivi par le
tentateur est tout à
fait clair. En
premier lieu, il
sème les graines du
doute en appelant la
bonne intention de
Dieu en question et
ce qui semble
indiquer que sa
commande a été
vraiment une
violation de la
liberté et les
droits de l’homme.
Lors de
l’intervention
d’Eve, il constate
que la graine a pris
racine, il ajoute
les graines
d’incrédulité et
fierté, niant que la
transgression se
traduira par la mort
et clairement
notifier son que la
commande a été
motivée par le but
égoïste de garder
l’homme dans la
soumission. Il
affirme qu’en
mangeant de l’arbre,
l’homme deviendrait
comme Dieu. La
hauteur des attentes
ainsi engendrés
induit Eve à
regarder
attentivement
l’arbre et plus elle
avait l’air, plus le
fruit lui semblait.
Enfin, désir emporté
et elle a mangé et
donna aussi à son
mari, et il a mangé.
2. INTERPRÉTATION DE
LA TENTATION.
Fréquentes
tentatives ont été
faites et sont
toujours faits pour
expliquer le
caractère historique
de l’automne.
Certains considèrent
le récit entier dans
Genèse 3 comme une
allégorie,
représentant la
dépravation
indépendants et le
changement
progressif de
l’homme d’une
manière figurative.
Barth et Brunner
considèrent le récit
de l’état d’origine
de l’homme et de la
chute comme un
mythe. Création et
la chute
appartiennent tous
deux, pas
d’histoire, mais à
Super-histoire
(Urgeschichte), et
par conséquent, les
deux sont tout aussi
incompréhensibles.
L’histoire de la
Genèse nous apprend
simplement que, bien
que l’homme est
aujourd'hui
incapable de faire
du bien et est
soumis à la Loi de
la mort, ce n’est
pas nécessairement
le cas. Il est
possible pour un
homme exempt de
péché et la mort par
une vie en communion
avec Dieu. Telle est
la vie incarnée pour
nous dans l’histoire
du paradis, et il
préfigure la vie qui
nous sera accordée
en lui dont Adam
était mais un type,
à savoir Christ.
Mais ce n’est pas le
genre de vie que
l’homme vit ou a
vécu depuis le début
de l’histoire.
Paradis n’est pas
une localité donnée
à laquelle on peut
pointer, mais est là
où Dieu est le
Seigneur, et l’homme
et toutes les autres
créatures sont ses
sujets disposés. Le
paradis du passé se
trouve au-delà de la
pale de l’histoire
humaine. Barth, dit:
« quand l’histoire
de l’homme a
commencé; Quand le
temps de l’homme
avait son
commencement;
Lorsque le temps et
l’histoire a
commencé lorsque
l’homme a le premier
et le dernier mot,
paradis ont
disparu. »
Brunner parle dans
la même veine, quand
il dit: « tout comme
à l’égard de la
création, nous
demandons en vain.
Comment, où et quand
a cela a eu lieu,
aussi est-il à
l’automne. La
création et la
chute, tous deux se
cachent derrière la
réalité historique
visible. »
D’autres qui ne nie
pas le caractère
historique du récit
dans la Genèse,
soutiennent que le
serpent au moins pas
sont à considérer
comme un animal
littéral, mais
simplement comme un
nom ou un symbole de
convoitise, de désir
sexuel, pour raison
égaré ou pour Satan.
Encore d’autres
affirment que, pour
dire le moins, la
langue du serpent
doit s’entendre au
sens figuré. Mais
tous ces et
interprétations
similaires sont
intenables à la
lumière de
l’écriture. Les
passages qui
précèdent et suivent
la Genèse 3:1-7
visent évidemment
comme un simple
récit historique.
Qu’ils ont été
compris ainsi par
les auteurs
bibliques, peut être
prouvé par de
nombreux renvois,
comme Job 31: 33;
Eccl. 07:29; Ésaïe
43: 27; Osée 6:7;
ROM. 05:12, 18, 19;
J’ai Cor. 05:21; II
Corinthiens 11:3; I
Timothée 02:14, et
par conséquent nous
n’avons pas le droit
de tenir que ces
versets, qui font
partie intégrante de
la narration,
doivent être
interprétés au sens
figuré. En outre, le
serpent est
certainement compté
parmi les animaux
dans Genèse 3:1, et
il ne donnerait pas
bonne idée de
remplacer le mot
« serpent »
« Satan ». La
punition à 03:14, 15
présuppose un
serpent littéral, et
Paul conçoit du
serpent d’aucune
autre manière, II
Corinthiens 11:3. Et
bien qu’il soit
possible de
concevoir le serpent
que de dire quelque
chose dans un sens
figuré au moyen
d’actions rusées, il
ne semble pas
possible de penser à
lui comme faisant la
conversation
enregistré dans
Genèse 3, de cette
façon. L’ensemble de
l’opération, y
compris la langue du
serpent, sans aucun
doute trouve son
explication dans
l’exploitation d’une
puissance
surhumaine, qui
n’est pas mentionnée
dans Genèse 3.
L’écriture laisse
entendre clairement
que le serpent était
mais l’instrument de
Satan, et que Satan
était le véritable
tentateur, qui
travaillait dans et
par le serpent, tout
comme par la suite,
il a travaillé chez
les hommes et la
peste porcine, John
08:44; Romains
16:20; II
Corinthiens 11:3;
Apocalypse 12:9. Le
serpent était un
instrument adapté
pour Satan, car il
est la
personnification du
péché, et le serpent
symbolise le péché b
dans son caractère
rusé et trompeur et
(b) de son aiguillon
venimeux par lequel
il tue l’homme.
3. LA CHUTE DE
SOLVABILITÉ DE
LA TENTATION ET DE
L’HOMME. Il a été
suggéré que le fait
de chute de l’homme
ont été causés par
la tentation de
sans, peut-être une
des raisons pour
lesquelles l’homme
est eux-mêmes, à la
différence des anges
déchus, qui
n’étaient pas soumis
à la tentation
externe, mais est
tombé par les
incitations de leur
propre intérieur
nature. Rien de
certain peut dire
sur ce point,
cependant. Mais quel
que soit
l’importance de la
tentation à cet
égard, il
certainement ne
suffit pas à
expliquer comment un
être Saint comme
Adam pourrait tomber
dans le péché. Il
est impossible pour
nous de dire comment
la tentation pouvait
trouver un point de
contact dans une
Sainte personne. Et
c’est encore plus
difficile
d’expliquer
l’origine du péché
dans le monde
angélique.
E. L’EXPLICATION
ÉVOLUTIONNISTE DE
L’ORIGINE DU PÉCHÉ.
Naturellement, une
théorie cohérente de
l’évolution ne
saurait admettre la
doctrine de
l’automne, et un
certain nombre de
théologiens libéraux
ai refusé comme
incompatible avec la
théorie de
l’évolution. Il est
vrai, il y a
certains théologiens
plutôt
conservateurs, comme
Denney, Gore et Orr,
qui acceptent, mais
avec des réserves,
le compte évolutif
de l’origine de
l’homme et la
sensation qu’il ne
laisse place à la
doctrine de
l’automne dans un
certain sens du mot.
Mais il est
significatif qu’ils
ont tous conçoivent
de l’histoire de la
chute comme une
représentation
mythique ou
allégorique d’une
expérience éthique
ou d’une catastrophe
morale réelle au
début de l’histoire
qui a abouti à la
souffrance et la
mort. Cela signifie
qu’ils n’acceptent
pas le récit de la
chute comme un récit
historique réel de
ce qui s’est
produite dans le
jardin d’Eden.
Tennant dans ses
conférences Hulsean
sur
l’origine et la
Propagation du
péché a donné
un récit assez
détaillé et
intéressant de
l’origine du péché
depuis le point de
vue évolutif. Il se
rend compte que
l’homme ne pourrait
pas très bien
dérivent sin ses
ancêtres animaux,
car ceux-ci
n’avaient pas de
péché. Cela signifie
que les impulsions,
les propensions,
désirs et qualités
que l’homme a hérité
de la brute ne
peuvent pas
eux-mêmes être
appelées sin. Dans
son estimation
ceux-ci constituent
seulement le
matériel
du péché et ne
deviennent pas des
péchés réels jusqu'à
ce que la conscience
morale se réveille
chez l’homme, et ils
sont laissés dans le
contrôle pour
déterminer les
actions de l’homme,
contrairement à la
voix de la
conscience et à
l’éthique sanctions.
Il tient que dans le
cadre de son
développement homme
devint peu à peu un
être éthique avec
une volonté pour une
durée indéterminée,
sans expliquer
comment une telle
volonté est possible
où règne la Loi de
l’évolution, et ce
qui concerne ce sera
comme la seule cause
du péché. Il définit
le péché « comme une
activité de la
volonté exprimée
dans la pensée,
parole ou acte
contraire à
l’opinion de
l’individu. à sa
notion de ce qui est
bon et droit, sa
connaissance de la
loi morale et la
volonté de Dieu. »
Comme la race
humaine se
développe, les
normes éthiques
deviennent plus
exigeant et
l’atrocité des
augmentations de
péché. Un pécheur
environnement ajoute
à la difficulté de
s’abstenir du péché.
Ce point de vue de
Tennant ne laisse
aucune place pour la
chute de l’homme
dans le sens
généralement accepté
du mot. En fait,
Tennant rejette
explicitement la
doctrine de
l’automne, ce qui
est reconnu dans
tous les grandes
confessions
historiques de
l’église. Dit W. H.
Johnson: « les
critiques de Tennant
sont d’accord que sa
théorie ne laisse
aucune place pour ce
cri du coeur contrit
qui avoue non
seulement de séparer
les actes de péché,
mais déclare; » J’ai
été enfantée dans
l’iniquité; Il
existe une loi de la
mort dans mes
membres. » »
F. LES RÉSULTATS DU
PREMIER PÉCHÉ.
La première
transgression de
l’homme a eu les
résultats suivants:
1. le corollaire
immédiat du premier
péché, et n’était
donc guère un
résultat de celui-ci
au sens strict du
mot, la corruption
totale de la nature
humaine. La
contagion de son
péché se propage à
la fois par l’homme
entier, ne laissant
aucune partie de sa
nature intacte, mais
vicier toute
puissance et la
faculté de corps et
âme. Cette
corruption totale de
l’homme est
clairement enseignée
dans l’écriture,
Genèse 6:5; Psaume
14:3; ROM. 07:18.
Dépravation totale
ici ne signifie pas
que la nature
humaine a été à la
fois aussi
complètement
dépravée qu’il
pourrait
éventuellement
devenir. Dans le
testament cette
dépravation s’est
manifestée comme une
incapacité
spirituelle.
2. immédiatement
connecté avec ce qui
précède a été la
perte de la
communion avec Dieu
par l’Esprit Saint.
Il s’agit mais au
verso de la
corruption totale
mentionnée à
l’alinéa précédent.
Les deux peuvent
être combinés dans
la même instruction
que l’homme a perdu
l’image de Dieu dans
le sens de la
justice original. Il
a rompu avec la
véritable source de
vie et de sainteté,
et le résultat était
une condition de la
mort spirituelle,
Éphésiens 2:1, 5,
12; 04:18.
3. ce changement
dans l’état réel de
l’homme se reflète
aussi dans sa
conscience. Il y
avait, avant tout,
une prise de
conscience de la
pollution, se
révélant dans le
sentiment de honte
et à l’effort de nos
premiers parents
pour couvrir leur
nudité. Et en second
lieu, il y avait une
conscience de
culpabilité, qui
s’exprime dans une
conscience
accusatrice et dans
la crainte de Dieu,
dont il a inspiré.
4. non seulement la
mort spirituelle,
mais aussi la mort
physique s’explique
aussi bien par le
premier péché de
l’homme. D’un état
de mori
non posse , il
est descendu à un
état de
non posse non mori.
Avoir péché, il a
été condamné à
retourner à la
poussière d'où il a
été prélevé, 03:19.
Paul nous dit que
par un seul homme la
mort est entré dans
le monde et transmis
à tous les hommes,
Rom. 05:12, et que
le salaire du péché
est la mort, Rom.
06:23.
5. ce changement a
aussi entraîné un
nécessaire
changement de
résidence. L’homme a
été conduit du
paradis, parce qu’il
représentait
l’endroit de la
communion avec Dieu
et était un symbole
de la vie plus
complète et la plus
grande bénédiction
dans le magasin pour
homme, s’il
continuait
inébranlable. Il a
été empêché de
l’arbre de vie,
parce que c’était le
symbole de la vie
promise à l’Alliance
des œuvres.
QUESTIONS
pour une étude plus
approfondie. Quelles
différentes théories
existe-t-il quant à
l’origine du péché ?
Quelle preuve
scripturale est là
que le péché est
originaire du monde
Angélique ?
L’interprétation
allégorique du récit
de la chute peut
être maintenue à la
lumière de
l’écriture ? Y
a-t-il n’importe
quel endroit de la
chute dans la
théorie de
l’évolution ? La
volonté de Dieu la
chute de l’homme ou
il permettait
simplement il ?
Notre doctrine
réformée fait-elle
Dieu auteur du
péché ? Quelles
objections sont là
pour la notion que
les âmes des hommes
péché dans une
existence
précédente ? Dieu
était-il justifié en
faisant l’état
spirituel de
l’humanité en
général dépendent de
l’obéissance ou
non-obéissance du
premier homme ? Que
veulent dire les
Barth et Brunner
quand ils parlent de
la chute de l’homme
comme super
historique ?
Pourquoi est-ce que
la doctrine de
l’Alliance des
œuvres trouve
acceptation si peu à
l’extérieur des
cercles réformés ?
Comment expliquer la
négligence
généralisée de cette
doctrine de nos
jours ? Pourquoi
est-il important de
maintenir cette
doctrine ?
LITTÉRATURE: Bavinck,
Geref. Dogme.
III,
pp. 605-624; III,
pp. 1-60; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De
Foedere, pp.
23-117;
De Peccato, pp.
17-26; Vos.
Geref. Dogme.
II,
pp. 32-54; Hodge,
Syst.
Theol., pp.
117-129; Dabney,
syst et
trouvailles Theol.,
pp. 332-339;
Alexander,
syst.
de théol. Bibl. J’ai,
pp. 183-196;
216-232; Schmid,
Doct.
Théol. du Ev. Luth.
Ch.,
pp. 239-242;
Valentine,
Chr.
Theol. I, p.
416-420; Litton,
Introd.. au dogme.
THEOL.,
p. 133-136; Le pape,
Chr.
Theol., II, pp.
3-28; II, p. 108;
Raymond,
Svst.
Theol. II, pp.
50-63; 99; 111;
Macintosh,
théol.
comme une Science
empirique, p.
216-229; McPherson,
Chr.
dogme., p.
220-242; Orr, l'
Image
chez l’hommede
Dieu; pp. 197-240;
Carle,
la Bibl. Doct. du
péché, pp.
82-89; Talma,
De
Anthropologie van
Calvijn, pp.
69-91; Kuyper,
Uit het
Woord,
De Leer
der Verbonden,
pp. 3-221; Tennant,
l’origine et la
Propagation du péché;
Ibid.,
Le Concept du péché.
II. le caractère essentiel du péché
Le péché est un du
plus triste mais
aussi l’un des
phénomènes plus
courantes de la vie
humaine. Il fait
partie de
l’expérience commune
de l’humanité et
c’est pourquoi les
forces lui-même à
l’attention de tous
ceux qui ne ferment
pas délibérément les
yeux sur les
réalités de la vie
humaine. Certains
peuvent pour un
temps le rêve de la
bonté essentielle de
l’homme et de parler
avec indulgence des
séparer les mots et
les actions qui ne
mesurent pas aux
normes éthiques de
la bonne société de
simples petites
manies et leurs
faiblesses, pour que
l’homme n’est pas
responsable, et qui
cède facilement à
mesures correctives;
mais comme le temps
passe et toutes les
mesures de réforme
externe ne
parviennent pas, et
la suppression d’un
mal ne sert à
libérer un autre,
ces personnes sont
inévitablement
désabusés. Ils
deviennent
conscients du fait
qu’ils combattent
seulement les
symptômes d’une
maladie profonde, et
qu’ils sont
confrontés, non
seulement avec le
problème des péchés,
c'est-à-dire des
actions pécheresses
distinctes, mais le
problème beaucoup
plus grand et plus
profond de pécher.
d’un mal inhérent à
la nature humaine.
C’est exactement ce
que nous commençons
à assister à l’heure
actuelle. Beaucoup
de modernistes à
l’heure actuelle
n’hésitent pas à
dire que la doctrine
de Rousseau
respectant la bonté
inhérente de l’homme
s’est avéré être
l’un des
enseignements plus
pernicieuses du
siècle des lumières
et donne la parole
pour une plus grande
mesure du réalisme
dans la
reconnaissance du
péché ainsi Walter
Horton, qui plaide
pour une théologie
réaliste et estime
que cela nécessite
l’acceptation de
certains principes
marxienne, dit: « je
crois que le
christianisme
orthodoxe représente
un profond aperçu de
la situation humaine
tout entière. Je
crois que la
difficulté humaine
fondamentale
est
cette perversion de
la volonté, cette
trahison de la
confiance divine,
qui est appelée
péché; et je crois
que le péché
est
en quelque sorte une
maladie raciale,
transmissible d’une
génération à l’autre
en confirmant ces
choses les pères
chrétiens et le
parle des
réformateurs
Protestants comme
des réalistes et
pourrait avoir
assemblé des masses
de preuves
empiriques pour
appui de leurs
affirmations ».
Compte
tenu du fait que le
péché est réel et
qu’aucun homme ne
peut obtenir loin de
lui dans cette vie
présente, il n’est
pas étonnant que les
philosophes, mais
aussi des
théologiens se sont
engagés à s’attaquer
au problème du
péché, bien que dans
la philosophie il
est connu comme le
problème du mal
plutôt que le p
roblème du péché.
Nous examinerons
brièvement certaines
des plus importantes
théories
philosophiques du
mal avant de nous
affirmer la doctrine
biblique du péché.
A. PHILOSOPHIQUES
THÉORIES CONCERNANT
LA NATURE DU MAL.
1. LA THÉORIE
DUALISTE. C’est l’un
des points de vue
qui étaient à jour
dans la philosophie
grecque. Sous la
forme du
gnosticisme, il a
trouvé entrée dans
l’église primitive.
Il suppose
l’existence d’un
principe éternel du
mal et de cales qui,
dans l’esprit de
l’homme, représente
le principe du bien
et le corps, celle
du mal. Il est
inadmissible pour
plusieurs raisons:
(a) la position est
philosophiquement
intenable, qu’il y a
quelque chose en
dehors de Dieu qui
est éternel et
indépendantes de sa
volonté. (b) cette
théorie prive le
péché de son
caractère éthique en
faisant quelque
chose de purement
physique et
indépendantes de la
volonté humaine et
ainsi vraiment
détruit l’idée du
péché. (c) il fait
aussi loin avec la
responsabilité de
l’homme en
représentant le
péché comme une
nécessité physique.
La seule évasion de
péché réside dans la
délivrance du corps.
2. LA THÉORIE QUE LE
PÉCHÉ EST SIMPLEMENT
DE PRIVATIONS. Selon
Leibniz le monde
actuel est le mieux
possible.
L’existence du péché
qu’il doit
considérer comme
inévitable. Il ne
peut être saisie à
l’Agence de Dieu et
par conséquent doit
être considérée
comme une simple
négation ou
privations, pour
lesquels aucune
cause efficiente
n’est nécessaire.
Les limites de la
créature rendent
inévitables. Cette
théorie fait péché
un mal nécessaire,
étant donné que les
créatures sont
nécessairement
limitées, et le
péché est une
conséquence
inévitable de cette
limitation. Sa
tentative d’éviter
de faire Dieu auteur
du péché n’est pas
réussie, car même si
le péché est une
négation simple ne
nécessitant aucune
cause efficiente,
Dieu est néanmoins
l’auteur de la
prescription dont il
résulte. Par
ailleurs, elle tend
à effacer la
distinction entre
morale et physique
mal, puisqu’il
représente le péché
comme guère plus
qu’un malheur qui
s’abattent sur
l’homme. En
conséquence, il a
tendance à émousser
les sens de l’homme
du mal ou la
pollution du péché,
de détruire le
sentiment de
culpabilité et
d’abroger la
responsabilité
morale de l’homme.
3. LA THÉORIE QUE LE
PÉCHÉ EST UNE
ILLUSION. Pour
Spinoza, quant à
Leibnitz, le péché
est tout simplement
un défaut, une
limitation dont
l’homme est
consciente; mais
tandis que Leibnitz
considère que la
notion du mal,
résultant de cette
limitation, si
nécessaire, Spinoza
tient que la
conscience qui en
résulte du péché est
tout simplement en
raison de
l’insuffisance de la
connaissance de
l’homme, qui ne
parvient pas à tout
voir
sub specie
aeternitatis,
autrement dit, en
unité avec l’essence
éternelle et infinie
de Dieu. Si la
connaissance de
l’homme était
adéquate, afin qu’il
voyait tout en Dieu,
il n’aurait aucune
conception du péché;
Il serait tout
simplement
inexistante pour
lui. Mais cette
théorie, qui
représente le péché
comme quelque chose
de purement
négative, ne tient
pas compte de ses
résultats positifs
terribles, pour qui
l’expérience
universelle de
l’humanité témoigne
de la manière plus
convaincante.
Constamment menés,
il abroge toutes les
distinctions
éthiques et réduit
des concepts tels
que « moralité » et
« conduite morale »
aux phrases vides de
sens. En effet, elle
réduit toute la vie
de l’homme à une
illusion: ses
connaissances, son
expérience, le
témoignage de la
conscience et ainsi
de suite, pour
toutes ses
connaissances est
insuffisante. En
outre, il va à
l’encontre de
l’expérience de
l’humanité, que les
plus grands esprits
sont souvent les
plus grands
pécheurs, Satan
étant le plus grand
de tous.
4. LA THÉORIE QUE LE
PÉCHÉ EST UN MANQUE
DE CONSCIENCE DE
DIEU, EN RAISON DE
LA NATURE SENSUELLE
DE L’HOMME. C’est
l’avis de
Schleiermacher.
Selon lui la
conscience du péché
de l’homme dépend de
sa conscience de
Dieu. Lorsque le
sens de Dieu se
réveille chez
l’homme, il est à la
fois conscient de
l’opposition de sa
nature inférieure à
elle. Cette
opposition découle
de la constitution
même de son être, de
sa nature sensuelle,
de connexion de
l’âme avec un
organisme physique.
C’est donc une
imperfection
inhérente, mais dont
l’homme se sent
comme le péché et la
culpabilité.
Pourtant cela n’a
aucun Dieu auteur du
péché, puisque
l’homme conçoit à
tort cette
imperfection dans le
péché. Péché, n’a
pas d’existence
objective, mais
n’existe que dans la
conscience de
l’homme. Mais cette
théorie rend l’homme
mal par la
Constitution. Le mal
était présent chez
l’homme même dans
son état d’origine,
quand la conscience
de Dieu n’était pas
suffisamment forte
pour contrôler la
nature sensuelle de
l’homme. C’est en
opposition flagrante
avec l’écriture,
quand il tient que
l’homme ordonne à
tort ce mal être
péché et ainsi fait
péché et la
culpabilité purement
subjective. Et bien
que Schleiermacher
souhaite éviter
cette conclusion, il
rend Dieu l’auteur
responsable du
péché, parce qu’il
est le créateur de
la nature sensuelle
de l’homme. Elle
repose également sur
une induction
incomplète des
faits, puisqu’il ne
tient pas compte du
fait que bon nombre
des plus odieuses
péchés de l’homme ne
sont pas pertinentes
pour son physique
mais pour sa nature
spirituelle, comme
l’avarice, l’envie,
orgueil, méchanceté
et d’autres. En
outre, elle conduit
à des conclusions
plus absurdes comme,
par exemple,
qu’ascèse, en
affaiblissant la
nature sensuelle, a
nécessairement
affaiblit le pouvoir
du péché; que
l’homme devient
moins coupable que
ses sens n’arrive
pas avec l’âge; que
la mort est le seul
Rédempteur; et que
les esprits
désincarnés, y
compris le diable en
personne, n’ont pas
de péché.
5. LA THÉORIE DE
PÉCHÉ AS MANQUE DE
CONFIANCE EN DIEU ET
EN OPPOSITION À SON
ROYAUME, EN RAISON
DE L’IGNORANCE.
Comme
Schleiermacher, Ritschl insiste
aussi sur le fait
que le péché est
compris uniquement
du point de vue de
la conscience
chrétienne. Ceux qui
sont à l’extérieur
de la pale de la
religion chrétienne
et ceux qui sont
encore inconnus à
l’expérience de la
rédemption, ne
connaissent pas de
celui-ci. Sous
l’influence de le
œuvre rédemptrice de
Dieu, l’homme
devient conscient de
son manque de
confiance en Dieu et
de son opposition au
Royaume de Dieu, qui
est le plus grand
bien. NAS n’est pas
déterminé par
l’attitude de
l’homme à la Loi de
Dieu, mais par sa
relation avec le
dessein de Dieu,
pour établir le
Royaume. Homme
impute son échec à
donner le dessein de
Dieu pour lui-même
comme sa
culpabilité, mais
Dieu considère
simplement comme
l’ignorance, et
parce que c’est
l’ignorance, c’est
pardonnable. Ce
point de vue de
Ritschl nous
rappelle en revanche
de l’opinion grecque
que la connaissance
est la vertu. Il ne
parvient pas
totalement à rendre
justice à la
position biblique
que le péché est
avant tout la
transgression de la
Loi de Dieu et donc
rend l’homme
coupable, aux yeux
de Dieu et digne
d’une condamnation.
Par ailleurs, l’idée
que le péché est
l’ignorance va à
l’encontre de la
voix de l’expérience
chrétienne. L’homme
qui est grevée par
le sens du péché
certainement ne se
sent pas comme ça à
ce sujet. Il est
reconnaissant, lui
aussi, que non
seulement les péchés
qu’il a commises
dans l’ignorance
soient pardonnables,
mais tous les autres
établissements, à
l’exception de la
blasphème contre le
Saint-Esprit.
6. LA THÉORIE QUE LE
PÉCHÉ EST L’ÉGOÏSME.
Cette position est
prise entre autres
par Mueller et A. H. Strong. Certains de
ceux qui adoptent
cette position
conçoivent d’égoïsme
simplement comme le
contraire de
l’altruisme ou de
bienveillance;
d’autres comprennent
par ce dernier le
choix de soi plutôt
que Dieu comme
l’objet suprême de
l’amour. Maintenant,
cette théorie,
surtout quand il
conçoit l’égoïsme
comme un putting de
soi à la place de
Dieu, est de loin le
meilleur des
théories nommés.
Pourtant il peut
difficilement être
qualifiée
satisfaisante. Bien
que tout égoïsme est
un péché, et il y a
un élément de
l’égoïsme en tout
péché, on ne peut
affirmer que
l’égoïsme est
l’essence du péché.
Péché peut être
correctement défini
uniquement en ce qui
concerne la Loi de
Dieu, une référence
qui est totalement
absente dans la
définition de
l’étude. En outre,
il y a beaucoup de
péché dans lequel
l’égoïsme n’est pas
du tout le principe
directeur. Quand un
pauvre père voit sa
femme et enfants pin
loin par manque de
nourriture et dans
son désir désespéré
pour les aider à
enfin recourt à vol,
cela peut
difficilement être
qualifiée pur
égoïsme. Peut-être
même que la pensée
de soi était
totalement absente.
Inimitié à Dieu,
dureté de cœur,
impenitence et
l’incrédulité, sont
des péchés tout
odieux, mais ne peut
pas simplement être
qualifiée d’égoïsme.
Et certainement que
toute vertu est
désintéressement ou
bienveillance, qui
semble être un
corollaire
nécessaire de la
théorie à l’étude,
au moins dans une de
ses formes, ne
détient-elle pas. Un
acte ne cesse pas
d’être vertueux,
quand la performance
rencontre et répond
à une demande de
notre nature. En
outre, justice,
fidélité, humilité,
abstention, patience
et autres vertus
peuvent être
cultivées ou
pratiqués, pas comme
une forme de
bienveillance, mais
comme les vertus
intrinsèquement
excellents, non
seulement comme
favorisant le
bonheur des autres,
mais pour ce qu’ils
sont en eux-mêmes.
7. LA THÉORIE QUE LE
PÉCHÉ CONSISTE DANS
L’OPPOSITION DES
PROPENSIONS PLUS
FAIBLES DE LA NATURE
HUMAINE À UNE
CONSCIENCE MORALE
PROGRESSIVEMENT EN
VOIE DE
DÉVELOPPEMENT. Ce
point de vue a été
développé, comme
nous l’avons
souligné dans ce qui
précède, par Tennant
dans ses conférences
Hulsean. C’est la
doctrine du péché,
construit selon la
théorie de
l’évolution.
Impulsions
naturelles et
qualités héritées,
dérivées de la
brute, constituent
le matériel du
péché, mais ne
deviennent pas
réellement péché
jusqu'à ce qu’ils
sont se livraient à
l’encontre du petit
à petit réveil des
sens moral de
l’humanité. Les
théories de McDowall
et Fiske se
déplacent dans le
même sens. La
théorie présentée
par Tennant s’arrête
un peu entre la vue
biblique de l’homme
et celle présentée
par la théorie de
l’évolution, qui
penchaient
maintenant à celui
et anon de l’autre
côté. Il suppose que
l’homme avait un
libre arbitre, même
avant l’éveil de sa
conscience morale,
alors qu’il était en
mesure de choisir
quand il a été
présenté à un idéal
moral; mais
n’explique ne pas
comment nous pouvons
concevoir une
volonté libre et
pour une période
indéterminée dans un
processus
d’évolution. Elle
limite le péché de
ces transgressions
de la loi morale,
qui se sont engagés
avec une conscience
claire d’un idéal
moral et sont donc
condamnés par sa
conscience comme
mal. En fait, c’est
simplement la
vieille vue
pélagienne du péché
greffée à la théorie
de l’évolution et
est donc ouvert à
toutes les
objections avec
lequel le
pélagianisme est
grevé.
Le vice radical de
toutes ces théories,
c’est qu’ils
cherchent à définir
le péché sans
prendre en
considération que le
péché est
essentiellement une
rupture loin de
Dieu, l’opposition à
Dieu et la
transgression de la
Loi de Dieu. Sin
doit toujours être
définie en termes de
relation de l’homme
à Dieu et à sa
volonté telle
qu’exprimée dans la
loi morale.
B. L’IDÉE BIBLIQUE
DU PÉCHÉ.
En donnant l’idée
biblique du péché,
il est nécessaire
d’attirer
l’attention de
plusieurs mentions.
1. LE PÉCHÉ EST UN
TYPE SPÉCIFIQUE DU
MAL. À l’heure
actuelle nous
entendons beaucoup
parler mal et
relativement peu de
péché; et c’est
plutôt trompeuse.
Pas tout le mal est
un péché. Sin ne
doit pas être
confondu avec le mal
physique, avec ce
qui est
préjudiciable ou
calamiteux. Il est
possible de parler
non seulement du
péché, mais aussi de
la maladie comme un
mal, mais alors le
mot « le mal » est
utilisé dans deux
sens totalement
différents.
Au-dessus de la
physique se trouve
la sphère éthique,
où le contraste
entre la morale bien
et le mal
s’applique, et c’est
seulement dans ce
domaine que nous
pouvons parler du
péché. Et même dans
ce domaine par que
n’est pas
souhaitable du
remplacer le mot
« mal » pour le
« péché » sans
aucune autre
précision, ce
dernier est plus
spécifique que
l’ancien. Le péché
est un mal moral.
Plupart des noms qui
sont utilisés dans
l’écriture pour
désigner le point de
péché à son
caractère moral. Chatta'th appelle
l’attention sur lui
comme une action qui
se trompe et qui
consiste dans une
déviation de la
bonne manière. "Avel
et 'avon
indiquent que c’est
un manque
d’intégrité et de la
rectitude, un départ
du chemin d’accès
désigné.
Pesha' se
réfère à elle comme
une révolte ou d’un
refus de soumission
à l’autorité
légitime, une
transgression
positive de la Loi
et une rupture de
l'Alliance. Et
Mario'
pointe vers lui
serait un méchant et
coupable par rapport
à la Loi. En outre,
il est désigné comme
coupable par 'asham,
comme l’infidélité
et de trahison, de
ma'al, comme la
vanité, par 'avenet
comme perversion ou
de distorsion de la
nature (sinuosité)
par 'avah.
Les mots
correspondants de
Nouveau Testament,
comme
hamartia,
adikia,
parabasis,
paraptoma,
anomie,
paranomiaet
autres, soulignent
les mêmes idées.
Compte tenu de
l’utilisation de ces
mots et de la façon
dont la Bible parle
généralement du
péché, il ne peut y
avoir aucun doute
quant à son
caractère éthique.
Il n’est pas une
calamité qui est
tombé sur l’homme à
l’improviste,
empoisonné sa vie et
ruiné son bonheur,
mais un parcours mal
dont l’homme a
délibérément choisi
de suivre et qui
porte une misère
indicible avec elle.
Fondamentalement, il
n’est pas quelque
chose de passif,
comme une faiblesse,
une faute, ou une
imperfection, pour
lesquels nous ne
pouvons pas être
tenus responsables,
mais une opposition
active à Dieu et une
transgression
positive de sa loi,
qui constitue la
culpabilité. Le
péché est le
résultat d’un choix
libre mais le mal de
l’homme. Il s’agit
de l’enseignement
ordinaire de la
parole de Dieu,
Genèse 3:1-6; Ésaïe
48:8; ROM. 01:18-32;
I Jean 3:4.
L’application de la
philosophie de
l’évolution de
l’étude de l’ancien
Testament ont
conduit certains
chercheurs à la
conviction que
l’idée d’éthique du
péché n’était pas
développée jusqu'à
l’époque des
prophètes, mais ce
point de vue n’est
pas confirmée par la
manière dont les
premiers livres de
la Bi ble parler du
péché.
2. LE PÉCHÉ A UN
CARACTÈRE ABSOLU.
Dans la sphère
éthique, le
contraste entre le
bien et le mal est
absolu. Il n’y a
aucune condition
neutre entre les
deux. Bien qu’il
existe sans doute
des degrés dans les
deux, il n’y a aucun
gradations entre le
bien et le mal. La
transition de l’un à
l’autre n’est pas
d’un quantitatif,
mais d’un caractère
qualitatif. Un être
moral qui est bon ne
devient-elle pas mal
en diminuant
simplement sa bonté,
mais seulement par
un changement
qualitatif radical,
en se tournant vers
le péché. Le péché
n’est pas un faible
degré de bonté, mais
un mal positif.
C’est clairement
enseigné dans la
Bible. Celui qui
n’aime pas Dieu est
ainsi qualifié de
mal. L’écriture ne
connaît aucune
position de
neutralité. Il
exhorte les méchants
à se tourner vers la
justice et parfois
parle des justes
comme tomber dans le
mal; mais il ne
contient pas une
seule indication que
l’une ou l’autre des
terres jamais dans
une position neutre.
L’homme est sur le
côté droit ou du
mauvais côté,
Matthieu 10:32, 33;
12:30; Luc 11:23;
Jacques 02:10.
3. LE PÉCHÉ A
TOUJOURS RELATION À
DIEU ET À SA
VOLONTÉ. Les plus
âgés dogmaticians
s’est rendu compte
qu’il était
impossible d’avoir
une bonne conception
du péché sans
envisager il par
rapport à Dieu et sa
volonté et par
conséquent a insisté
sur cet aspect et
habituellement a
parlé du péché comme
« manque de
conformité à la Loi
de Dieu. » C’est
sans doute une
définition
formelle
correcte du péché.
Mais la question se
pose, tout ce qui
est du contenu
matériel de la Loi ?
Ce qu’il demande ?
Si on répond à cette
question, il sera
possible de
déterminer ce que le
péché est dans un
sens
matériel.
Maintenant il n’y a
aucun doute que la
grande revendication
centrale de la Loi
est
l’amour de Dieu.
Et si du matériel
point de vue bonté
morale consiste dans
l’amour de Dieu,
puis mal moral doit
être constitué dans
le sens opposé.
C’est la séparation
d'avec Dieu, en
opposition à Dieu,
la haine de Dieu, et
cela se manifeste en
constante
transgression de la
Loi de Dieu dans la
pensée, de parole et
acte. Les passages
suivants montrent
clairement que
l’écriture envisage
de péché par rapport
à Dieu et sa loi,
écrite sur des
tablettes du cœur,
soit comme donnée
par Moïse, Rom.
01:32; 02:12-14;
04:15; Jac. 2:9; I
Jean 3:4.
4. LE PÉCHÉ COMPREND
TANT DE CULPABILITÉ
ET DE LA POLLUTION.
La culpabilité est
l’État qui mérite
condamnation ou
d’être passibles de
sanctions pour la
violation d’une loi
ou d’une exigence
morale. Il exprime
la relation quel
péché porte à la
justice ou à la
peine de la Loi.
Mais même si le mot
a un double sens. Il
peut signifier une
qualité intrinsèque
du pécheur, à savoir
son inaptitude,
mal-désert ou
culpabilité, ce qui
le rend digne de la
peine. Dabney parle
de cette
« éventuelle
culpabilité. » Il
est inséparable du
péché, n’est jamais
trouvé dans celui
qui n’est pas
personnellement un
pécheur et est
permanente, afin
qu’une fois établi,
il ne peut pas être
enlevé de pardon.
Mais il peut aussi
signifier
l’obligation de
satisfaire à la
justice, pour payer
le châtiment du
péché, « culpabilité
réelle, » comme
l’appelle Dada.
Il
n’est pas inhérente
à l’homme, mais la
disposition pénale
du législateur, qui
fixe la peine de la
culpabilité. Elle
peut être ôtée par
la satisfaction des
exigences de la loi
justes,
personnellement ou
par procuration.
Alors que beaucoup
nient que le péché
comprend
culpabilité, cela
comport pas avec le
fait que sin était
menacée et est en
effet visité avec
peine et clairement
contredit les
déclarations de
plaines de
l’Ecriture, Matthieu
06:12; ROM. 03:19;
05:18; Éphésiens
2:3. Par la
pollution, nous
comprenons la
corruption inhérente
auxquelles sont
soumis tous les
pécheurs. Il s’agit
d’une réalité dans
la vie de chaque
individu. Il n’est
pas concevable sans
culpabilité, bien
que culpabilité
inclus dans une
relation penal, est
concevable sans
pollution
immédiate .
Pourtant, il est
toujours suivi de la
pollution. Quiconque
se rend coupable en
Adam, ainsi, aussi
naît avec une nature
corrompue. La
pollution du péché
est clairement
enseignée dans ces
passages comme Job
14:4; Jérémie 17:9;
Matthieu 07:15-20;
Romains 8:5-8; EP
04:17-19.
5. LE PÉCHÉ A SON
SIÈGE DANS LE CŒUR. NAS ne réside pas
dans toute une
faculté de l’âme,
mais dans le cœur,
qui, en psychologie
scripturaire, est
l’organe central de
l’âme, que qui sont
les enjeux de la
vie. Et de ce centre
son influence et les
opérations de
l’intelligence, la
volonté, les
affections, en bref,
l’homme entier, y
compris son corps.
Dans son état de
pécheur tout l’homme
est l’objet du
mécontentement de
Dieu. Il y a un sens
dans lequel on peut
dire que sin son
origine dans la
volonté de l’homme,
mais alors la
volonté ne désigne
pas certains dont la
volonté réelle
autant qu’il le fait
la nature volontaire
de l’homme. Il y
avait une tendance
du cœur qui
sous-tendent la
volonté réelle
lorsque le péché est
entré dans le monde.
Ce point de vue est
en parfaite harmonie
avec les
représentations de
l’écriture dans ces
passages comme suit:
Prov. 04:23; Jérémie
17:9; Matthieu
15:19, 20; Luc
06:45; Héb. 03:12.
6.
LE PÉCHÉ NE CONSISTE
PAS EXCLUSIVEMENT
DANS LES ACTES
MANIFESTES. NAS ne
consiste pas
seulement dans les
actes manifestes,
mais aussi dans les
mauvaises habitudes
et dans une
condition pécheresse
de l’âme. Ces trois
sont associés à un
autre comme suit:
l’état de péché est
la base des
habitudes
pécheresses, et
ceux-ci se
manifestent par des
actions pécheresses.
Il y a aussi les
vérité, cependant,
dans la prétention
qui répète des
actions pécheresses
conduisent à la mise
en place de
mauvaises habitudes.
Les actes pécheurs
et les dispositions
de l’homme doivent
être visées et
trouver leur
explication dans une
nature corrompue.
Les passages visées
à l’alinéa précédent
étayer ce point de
vue, car ils
prouvent clairement
que l’État ou la
condition de l’homme
est complètement
mauvais. Et si on
doit toujours se
demander, si les
pensées et les
affections de
l’homme naturel,
appelé « chair »
dans l’écriture,
doivent être
considérées comme
constituant le
péché, il peut être
répondu par pointant
vers ces passages
comme suit: Matthieu
05:22, 28; Romains
7:7; GAL 05:17, 24
et autres. En
conclusion on peut
dire que péché peut
être définie comme
le
défaut de conformité
à la loi morale de
Dieu,
soit
dans la loi,
disposition,
ou état.
C. LA VUE PÉLAGIENNE
DU PÉCHÉ.
La vue pélagienne du
péché est très
différente de celui
présenté ci-dessus.
Le seul point de
similitude réside en
ceci que le
pélagienne aussi
considère péché en
ce qui concerne la
Loi de Dieu et la
considère comme une
transgression de la
Loi. Mais dans tous
les autres détails,
sa conception
diffère largement
vue scripturaire et
augustinien.
1. DÉCLARATION DE LA
VUE PÉLAGIENNE.
Pélage le Conquérant
prend son point de
départ dans la
capacité naturelle
de l’homme. Sa
proposition
fondamentale est:
Dieu a commandé à
l’homme de le faire
ce qui est bon;
C’est pourquoi ce
dernier doit avoir
la capacité de le
faire. Cela signifie
que l’homme a un
libre arbitre dans
le sens absolu du
terme, de sorte
qu’il soit possible
pour lui de se
prononcer pour ou
contre ce qui est
bon et aussi de
faire le bien comme
le mal. La décision
n’est pas tributaire
de tout caractère
moral chez l’homme,
car la volonté est
tout à fait pour une
période
indéterminée. Si un
homme va faire bien
ou mal simplement
dépend de son libre
et indépendante
sera. Il s’ensuit,
bien sûr, qu’il n’y
a aucune telle chose
comme un
développement moral
de l’individu. Bien
et le mal sont
situés dans des
actions distinctes
de l’homme.
Concernant le péché
naturellement
découle de cette
position
fondamentale de
l’enseignement
doctrinal de Pélage.
Péché consiste
seulement dans les
actes distincts de
la volonté. Il n’y a
aucune une telle
chose comme une
nature pécheresse,
ni y a-t-il des
dispositions
pécheresses. Le
péché est toujours
un choix délibéré du
mal par un testament
qui est parfaitement
libre et peut tout
aussi bien choisir
et suivre le bon.
Mais si c’est le
cas, alors la
conclusion découle
invariablement que
Adam a été créé pas
dans un état de
sainteté positive,
mais dans un état
d’équilibre moral.
Son état a été l’un
de neutralité
morale. Il était ni
bonne ni mauvaise et
n’avait donc aucun
caractère moral;
mais il a choisi le
cours du mal et
ainsi est devenu
pécheur. Dans la
mesure où le péché
consiste seulement
en actes distincts
de la volonté,
l’idée de sa
multiplication par
procréation est
absurde. Une nature
pécheresse, si une
telle chose doit
exister, peut être
transmise de père en
fils, mais les actes
pécheurs ne peuvent
pas être propagées
donc. Dans la nature
de l’affaire, c’est
une impossibilité.
Adam était le
premier pécheur,
mais son péché était
en aucun cas
transmis à ses
descendants. Il n’y
a aucune telle chose
comme le péché
originel. Enfants
sont nés dans un
état de neutralité,
compter exactement
où Adam a commencé,
sauf qu’ils sont
handicapés par les
mauvais exemples
qu’ils voient autour
d’eux. Leur
évolution doit être
déterminée par leur
propre choix libre.
L’universalité du
péché est admise,
parce que toute
expérience témoigne
à elle. C’est en
raison de
l’imitation et
l’habitude du péché
qui est peu à peu
formé. Strictement
parlant, il n’y a,
sur le point de vue
pélagienne, aucuns
pécheurs, mais
seulement séparent
les actes pécheurs.
Cela rend une
conception
religieuse de
l’histoire de la
course totalement
impossible.
2. LES OBJECTIONS À
LA VUE PÉLAGIENNE.
Il y a plusieurs
objections lourdes à
la vue pélagienne du
péché, dont voici
les plus importants:
a. la position
fondamentale que
l’homme est tenu
responsable par Dieu
uniquement pour ce
qu’il est capable de
faire, est tout à
fait contrairement
au témoignage de la
conscience et à la
parole de Dieu. Il
est indéniable que,
comme un homme
augmente dans le
péché, sa capacité à
faire bonne diminue.
Dans une mesure
croissante, il
devient l’esclave du
péché. Selon la
théorie de l’examen,
cela impliquerait
également une
atténuation de sa
responsabilité. Mais
cela revient à dire
que sin rachète
progressivement ses
victimes en
déchargeant de leur
responsabilité. Le
plus coupable un
homme, le moins
responsable qu’il
est. Contre cette
position conscience
enregistre une forte
protestation. Paul
ne dit pas que les
pécheurs endurcis,
qu’il décrit dans
Romains étaient
pratiquement sans
responsabilité
01:18-32, mais les
considère comme
digne de mort. Jésus
a dit des méchants
juifs qui fait dans
leur liberté, mais
manifestent leur
méchanceté extrême
en cherchant à tuer,
qu’ils étaient les
esclaves du péché,
ne comprenaient pas
son discours, parce
qu’ils ne pouvaient
pas entendre sa
parole et auraient
mourir dans leurs
péchés, John 08:21,
22, 34, 43. bien que
les esclaves du
péché, ils n’étaient
encore responsables.
b. pour nier que
l’homme a par nature
un caractère moral,
est tout simplement
lui apportant
jusqu’au niveau de
l’animal. Selon ce
point de vue, tout
dans la vie de
l’homme qui n’est
pas un choix
conscient de la
volonté, est privé
de toute qualité
morale. Mais la
conscience des
hommes en général
témoigne du fait que
le contraste entre
le bien et le mal
s’applique également
aux tendances, des
désirs, des humeurs
et des affections de
l’homme, et qu’elles
ont aussi un
caractère moral.
Dans pélagianisme
péché et la vertu
sont réduits à des
appendices
superficielles de
l’homme, en aucune
façon liés à sa vie
intérieure. Que
l’estimation de
l’écriture est tout
à fait différente
apparaît à partir
des passages
suivants: Jérémie
17:9; PS. 51:6, 10;
Matthieu 15:19; Jas
4:1, 2.
c. choix de la
volonté qui n’est en
aucune manière
déterminée par le
caractère de
l’homme, est non
seulement
psychologiquement
impensable, mais
aussi sur le plan
éthique sans valeur.
Si une bonne action
de l’homme se passe
tout simplement à
tomber comme il le
fait et aucune
raison ne peut être
donnée pourquoi il
n’a pas tourner à
l’opposé, en
d’autres termes, si
l’acte n’est pas une
expression du
caractère de
l’homme, il manque
de toute valeur
morale. C’est
seulement comme un
exposant de
caractère qu’un acte
a la valeur morale
qui est attribué à
ce terme.
d. la théorie
pélagienne ne peut
donner aucun compte
satisfaisante de
l’universalité du
péché. Le mauvais
exemple des parents
et des
grands-parents vous
propose aucune
véritable
explication. La
simple possibilité
abstraite de l’homme
de péché, même
lorsque renforcé par
le mauvais exemple,
n’explique pas
comment, il arriva
que tous les hommes
ont péché en fait.
Comment peut on
expliquer que la
volonté toujours
tourné dans le sens
du péché et jamais
dans la direction
opposée ? Il est
beaucoup plus
naturel de penser à
une disposition
générale au péché.
D. LA VUE CATHOLIQUE
ROMAINE, DU PÉCHÉ.
Bien que les
chanoines et les
décrets du Concile
de trente sont
quelque peu ambiguë
dans la doctrine du
péché, l’opinion
catholique dominante
du péché peut être
exprimée comme suit:
véritable péché
consiste toujours en
un acte conscient de
la volonté. Il est
vrai que les
dispositions et les
habitudes qui ne
sont pas en accord
avec la volonté de
Dieu, sont de nature
pécheresse; Pourtant
ils ne peut pas être
appelés péchés au
sens strict du mot.
La concupiscence
demeure, qui se
trouve à l’arrière
du péché, pris le
dessus chez l’homme
dans le paradis et
donc précipité la
perte de la
donum
superadditum de
justice initiale, ne
peut pas être
considéré comme
péché, mais
seulement comme le
fomes
ou l’essence du
péché. La nature
pécheresse des
descendants d’Adam
est principalement
seulement une
condition négative,
consistant en
l’absence de quelque
chose qui devrait
être présent,
c'est-à-dire de la
droiture original,
qui n’est pas
essentiel à la
nature humaine.
Quelque chose
d’essentiel est
désireux que si,
comme certains en
attente, la
justitia naturalis
a été également
perdue.
Les objections à
cette vue sont
parfaitement
évidentes d’après ce
qui a été dit à
propos de la théorie
pélagienne. Un
rappel simple
d'entre eux semblent
être tout à fait
suffisant. Dans la
mesure où elle
détient que péché
réel consiste
uniquement dans un
choix délibéré de la
volonté et dans les
actes manifestes,
les objections
soulevées contre le
pélagianisme sont
pertinentes. L’idée
originale droiture
surnaturellement
ajoutée à la
constitution
naturelle de
l’homme, et que sa
perte ne porte pas
atteinte de la
nature humaine, est
une idée non
scripturaire, comme
indiqué dans notre
analyse de l’image
de Dieu chez
l’homme. Selon la
Bible concupiscence
est un péché, péché
réel et la racine de
beaucoup de
mauvaises actions.
Cela a été mis en
évidence lors de la
conception biblique
du péché a été
examinée.
QUESTIONS
pour une étude plus
approfondie. La
philosophie n’a
réussi à expliquer
l’origine du péché ?
L’écriture porte
l’opinion que le
péché n’avait
initialement aucune
qualité éthique ?
Quelle objection est
là à penser que le
péché est la simple
privation ? Devons
nous concevons du
péché comme une
substance ? Dont le
nom ce point de vue
est associée ? Ce
péché existe en
dehors du pécheur ?
Comment peut-on
prouver que péché
doit toujours être
jugé par la Loi de
Dieu ? A Paul
favorisent le
dualisme grec
ancien, quand il a
parlé de « le corps
du péché » et
utilisé la terme
« chair » pour
désigner l’homme
pécheur nature ? Est
la tendance actuelle
de parler du
« mal », plutôt que
de « péché »
louable ?
Qu’entend-on par
l’interprétation
sociale du péché ?
Cette reconnaissance
pèche pour ce qu’il
est
fondamentalement ?
LITTÉRATURE: Bavinck,
Geref. Dogme.
III,
pp. 121-158; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De
Peccato, pp.
27-35; Hodge,
Syst.
Theol. II, pp.
130-192; Vos,
Geref. Dogme,
II, pp. 21-32;
Dabney,
syst
et trouvailles.
THEOL.,
p. 306-317;
McPherson,
Chr.
dogme., pp.
257-264; Pape,
Chr.
Theol. II, p.
29-42; Verger,
les
théories modernes du
péché; Moxon,
la
Doctrine du péché;
Alexander,
syst.
de la Bibl. Theol.
I. p. 232-265;
Brown,
Chr. théol. contour,
pp. 261-282; Clarke,
une
ébauche de Chr.
Theol. p.
227-239; Orr, l'
Image
chez l’hommede
Dieu, pp. 197-246;
Mackintosh,
christianisme et le
péché, cf.
Index; Carle,
la
Bibl. Doct. du péché.
pp. 31-44; Talma,
De
Anthropologie van
Calvijn, pp.
92-117; Tennant,
le
Concept du péché.
III. la Transmission du péché
L’écriture et
l’expérience nous
enseignent que le
péché est
universelle, et
selon la Bible,
l’explication de
cette universalité
réside dans la chute
d’Adam. Ces deux
points,
l’universalité du
péché et la
connexion du péché
d’Adam avec celle de
l’humanité en
général, donne la
parole aux fins
d’examen. Alors
qu’il y a eu un
accord assez général
quant à
l’universalité du
péché, il y a eu
différentes
représentations de
la connexion entre
le péché d’Adam et
celle de ses
descendants.
A. REVUE HISTORIQUE.
1. AVANT LA RÉFORME.
Les écrits des
apologistes ne
contiennent rien de
précis concernant le
péché originel,
tandis que ceux
d’Irénée et de
Tertullien
enseignent
clairement que notre
condition pécheresse
est le résultat de
la chute d’Adam.
Mais la doctrine de
l’imputation directe
du péché d’Adam à
ses descendants est
étranger même pour
eux. Tertullien
avait une conception
réaliste de
l’humanité. Toute la
race humaine était
numériquement et
potentiellement
présente dans Adam
et par conséquent
péché quand il a
péché et est devenu
corrompu quand il
est devenu corrompu.
La nature humaine
dans son ensemble a
péché en Adam et par
conséquent chaque
individualisation
des que nature est
aussi un péché.
Origène, qui a été
profondément
influencé par la
philosophie grecque,
avait une opinion
différente de la
question et guère
reconnu tout lien
entre le péché
d’Adam et celle de
ses descendants. Il
a trouvé
l’explication de la
nature pécheresse de
la race humaine
principalement dans
le péché personnel
de chaque âme dans
un état pré
temporel, bien qu’il
mentionne également
quelque mystère de
génération.
Augustine a partagé
la conception
réaliste de
Tertullien. Mais il
a également parlé de
« imputation », il a
fait n’oubliez pas
l’imputation directe
ou immédiate de la
culpabilité d’Adam à
sa postérité. Sa
doctrine du péché
originel n’est pas
entièrement clair.
Cela peut être dû au
fait qu’il a hésité
à choisir entre Traducianism et le
créationnisme. Bien
qu’il insiste sur le
fait que tous les
hommes étaient
seminally présents
dans Adam et
effectivement péché
en lui, il est
également très
proche de l’idée
qu’ils ont péché en
Adam comme leur
représentant.
Cependant, son
accent était relatif
à la transmission de
la
corruption du péché.
Péché est transmis
par propagation, et
cette propagation du
péché d’Adam est à
la fois une punition
pour le péché.
Wiggers affirme
l’idée très
brièvement en ces
termes: « la
corruption de la
nature humaine, dans
toute la course,
était la juste
punition de la
transgression du
premier homme, en
qui tous les hommes
existaient déjà. »
Grand
adversaire de
Augustine, Pelagius,
a refusé un tel lien
entre le péché
d’Adam et sa
postérité. Comme il
l’a vu, la
propagation du péché
par génération
impliqué la théorie
Traducianist de
l’origine de l’âme,
qu’il considérait
comme une erreur
hérétique; et
l’imputation du
péché d’Adam à
personne d’autre que
lui-même serait en
contradiction avec
la droiture divine.
Le point de vue
pélagienne a été
rejetée par
l’église, et les
scolastiques
pensaient en général
selon les modalités
indiquées par
Augustine, l’accent,
tout en étant sur la
transmission de la
pollution du péché
d’Adam, plutôt que
sur celle de sa
culpabilité. Hugo
St. Victor et Peter
le Lombard qui s’est
tenue que
concupiscence réel
colore le sperme
dans l’acte de
procréation, et que
cette tache en
quelque sorte
souille l’âme sur
son union avec le
corps. Anselm,
Alexandre de Hales
et Bonaventura a
souligné la
conception réaliste
de la connexion
entre Adam et sa
postérité. La race
humaine entière
était seminally
présente dans Adam
et par conséquent
aussi péché en lui.
Sa désobéissance
était la cause de la
désobéissance de la
race humaine toute
entière. À la même
génération de temps
a été considérée
comme la
condition sine qua
non de la
transmission de la
nature pécheresse.
Bonaventura, et
d’autres après lui
la distinction entre
culpabilité initiale
et de la pollution
initiale s’est
exprimée plus
clairement. L’idée
fondamentale, c’est
que la culpabilité
du péché d’Adam est
imputée à tous ses
descendants. Adam a
perdu la justice
originale et ainsi
attiré le courroux
de la divin. Ainsi,
tous ses descendants
sont privés de
justice originale et
que ces les objets
de la colère divine.
Par ailleurs, la
pollution du péché
d’Adam est en
quelque sorte
transmis à sa
postérité, mais les
modalités de cette
transmission a été
un sujet de litige
entre les
scolastiques.
Puisqu’ils n’étaient
pas Traducianists et
ne pouvaient donc
pas dire que l’âme,
qui est après tout
le véritable siège
du mal, a été
transmise de père en
fils par génération,
ils ont estimé que
quelque chose devait
plus être dit pour
expliquer la
transmission du mal
intrinsèque.
Certains ont dit
qu’il est transmis
par l’intermédiaire
de l’organisme, qui
contamine à son tour
l’âme dès qu’il
entre en contact
avec elle. D’autres,
sentant le danger de
cette explication il
cherchait dans le
simple fait que
chaque homme naît
maintenant dans
l’État dans lequel
Adam était avant il
était doué avec
droiture original et
donc soumis à la
lutte entre la chair
non contrôlée et
l’esprit. Dans
Thomas Aquinas la
souche réaliste
nouveau apparaît
assez fortement,
bien que sous une
forme modifiée. Il a
souligné que la race
humaine constitue un
organisme et que,
tout comme la Loi
d’un membre corporel
— dire, la main —
est considéré comme
l’acte de la
personne, donc le
péché d’un membre de
l’organisme de
l’humanité est
imputé à l’organisme
entier.
2. APRÈS LA RÉFORME.
Alors que les
réformateurs ne
partageait pas les
scolastiques quant à
la nature du péché
originel, leur point
de vue de sa
transmission ne
contenait pas
d’éléments nouveaux.
Les idées d’Adam
comme le
représentant de la
race humaine et de
l’imputation
« immédiate » de sa
culpabilité à ses
descendants ne sont
pas encore
clairement exprimées
dans leurs œuvres.
Selon Luther nous
sommes
représentaient
coupables par Dieu à
cause du péché
demeure hérité
d’Adam. Calvin parle
dans une veine assez
semblable. Il
maintient que,
depuis Adam était
non seulement
l’ancêtre mais la
racine de
l’humanité, tous ses
descendants sont nés
avec une nature
corrompue; et que
les deux la
culpabilité du péché
d’Adam et leur
propre corruption
innée sont imputées
à eux comme péché.
Le développement de
la théologie
fédérale introduit
l’idée d’Adam comme
le représentant de
la race humaine au
premier plan et a
conduit à une
distinction plus
nette entre la
transmission de la
culpabilité et de la
pollution du péché
d’Adam. Sans nier
que notre corruption
native constitue
aussi culpabilité
aux yeux de Dieu, la
théologie fédérale a
insisté sur le fait
qu’il existe une
imputation
« immédiate » de la
culpabilité d’Adam à
ceux qu’il a
représenté la tête
de l’Alliance.
Sociniens et
arminiens ont tous
deux rejeté l’idée
de l’imputation du
péché d’Adam à ses
descendants.
Placeus, de l’école
de Saumur, défendu
l’idée d’imputation
« médiation ». Niant
toute imputation
immédiate, il a
conclu que parce que
nous héritons d’une
nature pécheresse
d’Adam, nous
méritent d’être
traités comme si
nous avions commis
l’infraction
initiale. C’était
quelque chose de
nouveau dans la
théologie réformée
et Rivet a eu aucune
difficulté à prouver
cela en recueillant
une longue lignée de
témoignages. Un
débat s’est ensuivi
dans lequel
« immédiate » et
« médiation »
imputation étaient
représentés comme
des doctrines
s’excluent
mutuellement; et où
il a été fait pour
apparaître comme si
la vraie question
est, si l’homme est
coupable aux yeux de
Dieu uniquement en
raison du péché
d’Adam, imputée lui,
ou uniquement en
raison de son propre
péché inhérent.
L’ancien n’était pas
la doctrine des
Églises réformées,
et ce dernier ne
était pas enseigné
en eux avant l’heure
de Placeus. Les
enseignements de ce
dernier se
retrouvèrent dans la
théologie de la
Nouvelle Angleterre
et est devenu
particulièrement
caractéristique de
la théologie de la
New School (New
Haven). Dans la
théologie libérale
moderne, la théorie
de la transmission
du péché d’Adam à sa
postérité est
entièrement
discréditée. Il
préfère à chercher
l’explication du mal
qui est dans le
monde dans un
héritage animal, qui
n’est pas elle-même
pécheresse. Étrange
à dire, même Barth
et Brunner, quoique
violemment opposés à
la théologie
libérale, ne
considère pas la
culpabilité
universelle de
l’humanité comme le
résultat du péché
d’Adam.
Historiquement, ce
dernier occupe une
place unique comme
le premier pécheur.
B. L’UNIVERSALITÉ DU
PÉCHÉ.
Peu auront tendance
à nier la présence
du mal dans le coeur
humain, autant ils
peuvent différer
quant à la nature de
ce mal et sur la
façon dont il est
originaire. Même les
Sociniens et les
pélagiens sont prêts
à admettre que le
péché est
universelle. Il
s’agit d’un fait qui
se force à
l’attention de tout
le monde.
1. L’HISTOIRE DES
RELIGIONS ET DE LA
PHILOSOPHIE
TÉMOIGNENT DE L’UNIVERSALITÉ
DU PÉCHÉ.
L’histoire des
religions témoigne
de l’universalité du
péché. La question
de l’emploi,
« comment un homme
sera juste avec
Dieu ? » est une
question a été posée
non seulement dans
le domaine de la
révélation spéciale,
mais aussi en dehors
de celui-ci dans le
monde païen. Les
religions païennes
témoignent d’une
conscience
universelle du péché
et de la nécessité
de la réconciliation
avec un être
suprême. Il y a un
sentiment général
que les dieux sont
choqués et doivent
être propitiated en
quelque sorte. Il y
a une voix
universelle de la
conscience,
témoignant du fait
que l’homme en deçà
de l’idéal et se
trouve condamné aux
yeux de certains la
cheftaine. Autels
fumants du sang des
sacrifices, souvent
les sacrifices de
chers enfants,
confessions répétées
d’actes
répréhensibles et
des prières pour la
délivrance du mal, —
pointent tous vers
la conscience du
péché. Missionnaires
trouve cela où
qu’ils aillent.
L’histoire de la
philosophie est
révélateur du fait
même. Premiers
philosophes grecs
étaient déjà aux
prises avec le
problème du mal
moral, et depuis
leur journée aucun
philosophe du nom
n’a pu l’ignorer.
Ils tous ont été
contraints
d’admettre
l’universalité de
celle-ci et qui, en
dépit du fait qu’ils
n’étaient pas en
mesure d’expliquer
le phénomène. Il y
avait, il est vrai,
un optimisme
superficiel au
XVIIIe siècle, qui
rêvait de la bonté
inhérente de
l’homme, mais dans
sa stupidité s’est
envolé face à des
faits et a été
fortement réprimandé
par Kant. Beaucoup
de théologiens
libéraux ont été
induits à croire et
à prêcher cette
bonté inhérente de
l’homme comme parole
d’Évangile, mais
aujourd'hui beaucoup
d'entre eux sont
admissibles comme
l’une des erreurs
plus pernicieuses du
passé. Sûrement, les
nécessités de la vie
ne justifient pas
cet optimisme.
2. LA BIBLE ENSEIGNE
CLAIREMENT
L’UNIVERSALITÉ DU
PÉCHÉ. Il y
a des déclarations
directes de
l’Ecriture qui
pointent vers la
culpabilité
universelle de
l’homme, tels qu’I
rois 08:46; PS.
143:2; Prov. 20:9;
Eccl. 07:20; ROM.
3:1-12,19,20,23; GAL
03:22; Jac. 3:2; I
Jean 1:8, 10.
Plusieurs passages
de l’Ecriture
enseignent que le
péché est l’héritage
de l’homme de
l’époque de sa
naissance et est
donc présente dans
la nature humaine si
tôt qu’il ne peut
éventuellement être
considéré comme le
résultat
d’imitation, PS.
51:5; Job 14:4; John
3:6. Dans Ephésiens
2:3 dit Paul des
Éphésiens qu’ils
« étaient
par
nature des
enfants de colère,
même que le reste. »
Dans ce passage, le
terme « par nature »
pointe vers quelque
chose d’inné et
original, par
opposition à ce qui
est acquis par la
suite. Puis, le
péché, est quelque
chose d’original,
dans lequel tous les
hommes participent,
et qui les rend
coupable devant
Dieu. En outre,
selon l’Ecriture, la
mort est visitée
même sur ceux qui
n’ont jamais exercé
une personnelle et
consciente à choix,
Rom. 05:12-14. Ce
passage implique que
le péché existe dans
le cas des
nourrissons avant la
conscience morale.
Depuis les enfants
meurent et donc
l’effet du péché est
présent dans leur
cas, c’est naturel
mais à supposer que
la cause est
également présente.
Enfin, l’écriture
enseigne également
que tous les hommes
sont sous la
condamnation et donc
besoin de la
rédemption qui est
en Jésus-Christ.
Enfants ne sont
jamais faits une
exception à cette
règle, voir les
passages précédents
et aussi Jean 3:3,
5; J’ai John 05:12.
Ce n’est pas
contredit par ces
passages qui
attribuent une
certaine justice à
l’homme, tels que
Matthieu 09:12, 13;
Actes 10:35; ROM.
02:14; Phil. 3:6;
J’ai Cor. 01:30,
pour cela peut être
soit la justice
civile, justice
cérémonial ou Pacte,
la justice de la
Loi, soit la justice
qui est en
Jésus-Christ.
C. LA CONNEXION DU
PÉCHÉ D’ADAM, AVEC
CELLE DE LA
PROGRESSION.
1. LE REFUS DE CETTE
CONNEXION. Certains
nient le lien causal
du péché d’Adam avec
le péché de
l’humanité en
totalité ou en
partie.
a. pélagiens et
Sociniens nier
absolument qu’il n’y
a aucun lien
nécessaire entre
notre péché et le
péché d’Adam. Le
premier péché était
le péché d’Adam
uniquement et ne
concerne pas sa
postérité en quelque
sorte. Le plus ils
admettront, c’est
que le mauvais
exemple d’Adam a
conduit à
l’imitation.
b. semi-pélagiens et
les arminiens
antérieures
enseignent que homme
hérité d’une
incapacité physique
d’Adam, mais n’est
pas responsable de
cette incapacité,
afin qu’aucune
culpabilité
s’attache à elle, et
on peut même dire
que Dieu est un peu
obligé de fournir un
remède pour lui. Les
arminiens Wesleyan
admettre que cette
corruption innée
implique aussi de
culpabilité.
c. la nouvelle
théorie de l’école
(New Haven) enseigne
que l’homme est né
avec une tendance
inhérente au péché,
en vertu duquel sa
préférence morale
est invariablement
faux; mais que cette
tendance ne peut
elle-même être
appelée sin, depuis
toujours péché
consiste
exclusivement en
transgression
consciente et
intentionnelle de la
Loi.
d. la théologie de
crise souligne la
solidarité du péché
dans la race
humaine, mais nie
que le péché son
origine dans un acte
d’Adam au paradis.
L’automne appartient
au préalable ou
Super-histoire, et
est déjà une chose
du passé lorsque le
Adam historique
apparaît sur la
scène. C’est le
secret de la
prédestination de
Dieu. L’histoire de
la chute est un
mythe. Adam
s’affiche comme type
de Christ, dans la
mesure où il peut
être vu en lui que
la vie sans péché
est possible en
communion avec Dieu.
Brunner, dit: « dans
Adam tous ont péché
— c'est-à-dire
l’instruction
biblique; Mais
comment ? La Bible
ne nous dit pas qui.
La doctrine du péché
originel est lu
dedans. »
2. LES DIFFÉRENTES
THÉORIES POUR
EXPLIQUER LA
CONNEXION.
a. la
théorie réaliste.
La plus ancienne
méthode d’expliquer
le lien entre le
péché d’Adam et de
la culpabilité et la
pollution de tous
ses descendants a
été la théorie
réaliste. Cette
théorie est à
l’effet que la
nature humaine
constitue, non
seulement de manière
générique mais
numériquement ainsi,
une seule unité.
Adam possédait la
nature entière de
l’homme, et en lui
il lui-même corrompu
par son propre acte
volontaire
apostatizing dans
Adam. Hommes
individuels ne sont
pas des substances
distinctes, mais les
manifestations de la
même substance
générale; ils sont
numériquement un. Ce
caractère universel
de l’homme est
devenu corrompu et
coupable dans Adam,
et par conséquent
chaque
individualisation de
celui-ci dans les
descendants d’Adam
est aussi corrompu
et coupable dès le
début de son
existence. Cela
signifie que le
hommes tous
effectivement
péché en Adam avant
le début de
l’individualisation
de la nature
humaine. Cette
théorie a été
acceptée par
certains des
premiers pères de
l’église et par
certains des
scolastiques et
défendue en plus ces
derniers temps par
Dr. Shedd.
Toutefois, il est
ouvert à plusieurs
objections: (1)
représentant les
âmes des hommes
comme
individualisations
de la substance
spirituelle générale
qui était présent à
Adam, il semblerait
impliquer que la
substance de l’âme
est d’ordre matériel
et donc à la terre
nous inévitablement
dans une sorte de
matérialisme. (2) il
est contrairement au
témoignage de la
conscience et
gardent pas
suffisamment les
intérêts de la
personnalité
humaine. Tout homme
est consciente
d’être une
personnalité
distincte et donc
bien plus qu’un
simple passage vague
dans l’océan général
de l’existence. (3)
il n’explique pas
pourquoi les
descendants d’Adam
sont tenus
responsables par son
premier péché
seulement et non
pour ses péchés
ultérieures, ni pour
les péchés de toutes
les générations
d’ancêtres qui
suivirent Adam. (4)
ni il ne donne une
réponse à la
question importante,
pourquoi Christ
n'est pas tenu
responsable de la
commission
réelle
du péché en Adam,
car il partage
certainement la même
nature humaine, la
nature qui
en fait
péché en Adam.
b. la
doctrine de
l’Alliance des
œuvres. Cela
implique que Adam
trouvait dans une
relation de double à
ses descendants, à
savoir, celle de
chef naturel de
l’humanité tout
entière et celle du
chef
représentatif
de toute l’humanité
à l’Alliance des
œuvres. (1)
la
relation naturelle.
Dans sa relation
naturelle Adam était
le père de
l’humanité tout
entière. Comme il a
été créé par Dieu,
il a fait l’objet de
changement et sans
prétention légitime
à un état immuable.
Il était en devoir
d’obéir à Dieu, et
cette obéissance ne
pas le placent à
toute récompense. En
revanche, si il a
péché, il
deviendrait sous
réserve de la
corruption et à la
peine, mais le péché
serait seulement sa
propre et n’a pas
été effectué pour le
compte de ses
descendants. Dabney
soutient que,
conformément à la
loi qui, comme
engendre comme, sa
corruption aurait
ont transmis à ses
descendants. Mais
cependant cela peut
être — et c’est
plutôt inutile de
spéculer à ce sujet,
ils ont certainement
n'aurait pas pu
tenir responsables
de cette corruption.
Ils ne pourraient
pas ont été
considérés comme
coupables dans Adam
simplement en vertu
de la relation
naturelle dans
laquelle Adam se
tenait à la course.
La représentation
habituelle réformée
est un autre. (2)
la
relation de
l’Alliance. À
la relation
naturelle dans
laquelle Adam se
tenait à ses
descendants, Dieu a
gracieusement ajouté
une relation de
l’Alliance contenant
plusieurs éléments
positifs: (a)
un
élément de la
représentation.
Dieu a ordonné que
dans cette Alliance
Adam ne devrait pas
être pour lui-même
seulement, mais
comme le
représentant de tous
ses descendants. Par
conséquent, il était
à la tête de la
course, non
seulement dans une
parentale, mais
aussi dans un sens
fédéral. (b)
un
élément de probation.
En dehors de cette
Alliance Adam et ses
descendants auraient
été dans un État
continuel de procès,
avec un danger
constant de pécher,
Pacte garanti cette
persévérance
persistante pour une
période fixe de
temps serait
récompensée avec la
mise en place de
l’homme dans un État
de sainteté et de
bonheur permanent.
(c) un
élément de la
récompense ou la
punition. Selon
les termes de
l'Alliance Adam
obtiendrait une
revendication
légitime à la vie
éternelle, s’il
satisfait aux
conditions de
l'Alliance. Et non
seulement il, mais
tous ses descendants
auraient ainsi
partagé dans cette
bénédiction. Par
conséquent, dans son
fonctionnement
normal,
l’arrangement de
l'Alliance aurait
été d’avantage
inestimable pour
l’humanité. Mais il
y avait une
possibilité que
l’homme serait
désobéir, renversant
ainsi le
fonctionnement de
l'Alliance, et dans
ce cas les résultats
seraient
naturellement
conséquence
désastreuses.
Transgression du
commandement Pacte
se traduirait par la
mort. Adam a choisi
le parcours de la
désobéissance,
lui-même corrompu
par le péché, est
devenu coupable aux
yeux de Dieu et
comme tel soumis à
la peine de mort. Et
parce qu’il était le
représentant fédéral
de la course, sa
désobéissance touché
tous ses
descendants. Dans
son jugement juste
Dieu impute la
culpabilité du péché
premier, commis par
le chef de
l’Alliance, à tous
ceux qui sont liés
par le gouvernement
fédéral à lui. Et
ainsi ils sont nés
dans un État dépravé
et pécheur aussi
bien, et cette
corruption inhérente
implique aussi la
culpabilité. Cette
doctrine explique
pourquoi seulement
le premier péché
d’Adam et pas de ses
péchés suivants, ni
les péchés de nos
autres ancêtres,
sont imputées à nous
et protège également
le péché de Jésus,
car il n’était pas
une personne humaine
et donc pas dans
l’Alliance des
œuvres.
c. la
théorie de
l’imputation médiate.
Cette théorie nie
que la culpabilité
du péché d’Adam est
directement
imputé à ses
descendants et
représente la
question comme suit:
les descendants
d’Adam dérivent leur
corruption innée de
lui par un processus
de génération
naturelle et que,
sur la base qui
dépravation
inhérente qu’ils
partagent avec lui
sont elles aussi
considérées comme
coupables de son
apostasie. Ils ne
naissent pas
corrompus parce
qu’ils sont
coupables dans Adam,
mais ils sont
considérés comme
coupables parce
qu’ils sont
corrompus. Leur état
ne repose pas sur
leur statut
juridique, mais leur
statut juridique sur
leur condition.
Cette théorie, tout
d’abord préconisée
par Placeus, a été
adoptée par les plus
jeunes Vitringa et
Venema, par
plusieurs
théologiens de la
Nouvelle-Angleterre
et par certains des
théologiens New
School dans l’église
presbytérienne.
Cette théorie est
contestable pour
plusieurs raisons:
(1), une chose ne
peut pas être médiée
par ses propres
conséquences. La
dépravation
intrinsèque avec
laquelle naissent
les descendants
d’Adam est déjà le
résultat du péché
d’Adam et ne peut
donc être considérée
comme la base sur
laquelle ils sont
coupables du péché
d’Adam. (2) il
n’offre aucun
objectif que ce soit
au sol pour la
transmission de la
culpabilité d’Adam
et de la dépravation
à tous ses
descendants.
Pourtant, il doit y
avoir quelque
fondement juridique
objective pour cela.
(3) si cette théorie
était cohérente,
elle doit enseigner
l’imputation médiate
des péchés de toutes
les générations
précédentes pour
ceux qui suivent,
pour leur corruption
mixte est transmise
par la génération.
(4) il se déroule
également sur
l’hypothèse qu’il
peut y avoir la
corruption morale
qui n’est pas à la
culpabilité de temps
même, une corruption
qui pas en soi font
un passibles de
sanctions. (5) et
enfin, si la
corruption inhérente
qui est présente
chez les descendants
d’Adam peut être
considérée comme le
fondement
juridique pour
l’explication de
quelque chose
d’autre, il n’est
plus nécessaire de
toute imputation
médiate.
IV. le péché dans la vie de la Race
humaine
A. LE PÉCHÉ
ORIGINEL.
L’état pécheur et
l’État dans lequel
les hommes naissent
est désigné en
théologie par le nom
peccatum originale,
qui se traduit
littéralement en
anglais « péché
originel. » Ce terme
est mieux que le nom
de Hollande
« erfzonde, » depuis
ces derniers, à
proprement parler,
ne couvre pas tout
ce qui appartient au
péché originel. Il
n’est pas une
désignation
appropriée de
culpabilité
initiale, car ce
n’est pas hérité
mais imputé à nous.
Ce péché est appelé
« péché originel »,
(1) parce qu’il est
dérivé de la racine
d’origine de la race
humaine; (2) parce
qu’il est présent
dans la vie de
chaque individu dès
sa naissance et par
conséquent ne
saurait être
considérée comme le
résultat de
l’imitation; et (3)
car il s’agit de la
racine vers
l’intérieur de tous
les péchés réels qui
souillent la vie de
l’homme. Nous devons
nous prémunir contre
l’erreur de penser
que le terme en
quelque sorte, cela
implique que le
péché qu’elle a
désigné appartienne
à la constitution
originale de la
nature humaine, ce
qui impliquerait que
Dieu créa l’homme
pécheur.
1. REVUE
HISTORIQUE. Les premiers
pères de l’église ne
contiennent rien de
très précis sur le
péché originel.
D’après les pères
grecs, il y a une
corruption physique
dans la race
humaine, qui est
dérivée d’Adam, mais
ce n’est pas un
péché et n’implique
pas la culpabilité.
La liberté de la
volonté n’est pas
affectée directement
par la chute, mais
il est touchée
qu’indirectement par
la corruption
physique héritée. La
tendance apparente
dans l’Église
grecque a finalement
abouti à
pélagianisme,
démentant
catégoriquement tout
péché originel. Dans
l’église latine, une
tendance différente
est apparu notamment
dans Tertullien,
selon laquelle la
propagation de l’âme
implique la
propagation du
péché. Il
considérait le péché
originel comme une
souillure péchée
héréditaire ou la
corruption, qui n’a
pas exclu la
présence de quelque
chose de bon chez
l’homme. Ambrose a
progressé au-delà de
Tertullien au sujet
du péché originel en
tant qu’Etat et en
distinguant entre la
corruption innée et
la culpabilité qui
en résulte de
l’homme. Le libre
arbitre de l’homme a
été affaibli par la
chute. C’est surtout
à Augustin qui vient
de la doctrine du
péché originel au
développement plus
complète. Selon lui
la nature humaine,
tant physique que
moral, est
totalement corrompue
par le péché d’Adam,
afin qu’il ne peut
pas faire autrement
que le péché. Cette
corruption héritée
ou le péché originel
est une punition
morale pour le péché
d’Adam. C’est une
telle qualité de la
nature de l’homme,
que dans son état
naturel, il peut et
va faire mal
seulement. Il a
perdu la liberté
matérielle de la
volonté, et c’est
surtout à cet égard
que le péché
originel constitue
une punition. En
vertu de ce péché,
l’homme est déjà
sous la
condamnation. Il
n’est pas simplement
la corruption, mais
aussi de
culpabilité.
Pélagianisme semi
réagit contre le
caractère absolu de
la vue augustinien.
Il a admis que la
race humaine entière
est impliquée dans
la chute d’Adam, que
la nature humaine
est entachée de
péché héréditaire,
et que tous les
hommes sont par
nature tenté à mal
et pas en mesure, en
dehors de la grâce
de Dieu, d’effectuer
des travaux de
bonne; mais a refusé
la dépravation
totale
de l’homme, la
culpabilité du péché
originel et la perte
de la liberté de la
volonté. Cela est
devenu l’opinion
répandue pendant le
moyen âge, s’il y
avait quelques
éminents
scolastiques qui
étaient sur les
Augustins ensemble
dans leur conception
du péché originel.
Vue de Anselm du
péché originel était
tout à fait en
harmonie avec celle
d’Augustin. Il
représente le péché
originel comme étant
constituée de la
culpabilité de la
nature (la nature de
toute la race
humaine), contracté
par un seul acte
d’Adam et la
corruption inhérente
qui en résulte de la
nature humaine,
transmis à la
postérité et qui se
manifeste par une
tendance au péché.
Aussi, ce péché
entraîne la perte du
pouvoir
d’autodétermination
en direction de
sainteté (matière
liberté de volonté)
et rend l’homme
esclave du péché.
L’opinion qui
prévaut parmi les
scolastiques était
que le péché
originel n’est pas
quelque chose de
positif, mais plutôt
l’absence de quelque
chose qui devrait
être présente,
particulièrement les
privations de la
droiture original,
bien que certains
ajouteraient un
élément positif, à
savoir, un
inclination au mal.
Thomas Aquinas tenue
que le péché
originel, considéré
dans son élément
matériel,
concupiscence, mais
pris en compte dans
son élément formel,
est la privation de
la justice
originale. Il y a
une dissolution de
l’harmonie dans
laquelle la justice
originale se
composait et dans ce
sens original sin
peut être appelée
une langueur de la
nature. Prenant la
parole en général,
les réformateurs
concordaient
Augustine, bien que
Calvin différente de
lui surtout sur deux
points, en insistant
sur le fait que le
péché originel n’est
pas quelque chose de
purement négative et
n’est pas limitée à
la nature sensuelle
de l’homme. Au
moment de la
réforme, les
Sociniens suivi les
pélagiens dans la
négation du péché
originel, et au
XVIIe siècle les
arminiens a rompu
avec la foi réformée
et accepté l’avis de
Semi-pélagienne du
péché originel.
Depuis ce temps
divers courants
d’opinion ont été
préconisées dans les
églises protestantes
en Europe et en
Amérique.
2. LES DEUX ÉLÉMENTS
DU PÉCHÉ ORIGINEL.
Deux éléments
doivent être
distinguées dans le
péché originel, à
savoir:
a.
origine culpabilité.
Le mot
« culpabilité »
exprime la relation
qui pèche ours à la
justice ou, comme
les anciens
théologiens a dit, à
la peine de la Loi.
Lui qui est coupable
se trouve en
relation à la loi
pénale. Nous pouvons
parler de
culpabilité dans un
double sens, à
savoir, en tant que
reatus
culpae et
reatus
poenae. Le
premier, qui
Turretin appelle
« éventuelle
culpabilité », est
le mal moral
intrinsèque-désert
d’un acte ou l’État.
C’est l’essence même
du péché et est une
partie inséparable
de sa nature
pécheresse. Il
s’attache uniquement
à ceux qui ont
eux-mêmes commis des
actes pécheresses et
l’attache à eux en
permanence. Il ne
peut être retirée
par le pardon et
n’est pas supprimé
de justification sur
la base des mérites
de Jésus-Christ et
beaucoup moins de
pardon simple.
Péchés de l’homme
sont intrinsèquement
mal-méritant même
après que qu’il est
justifié.
Culpabilité dans ce
sens ne peut pas
être transférée
d’une personne à
l’autre. Le sens
habituel du terme,
cependant, dans
lequel on parle de
culpabilité en
théologie,
c'est-à-dire
reatus
poenae. On
entend par ce désert
de punition, ni
l’obligation de
restituer la
satisfaction à la
justice de Dieu pour
autodéterminées
violation de la Loi.
Culpabilité dans ce
sens n’est pas de
l’essence du péché,
mais est plutôt une
relation à la
sanction pénale de
la Loi. S’il n’y
avait eu aucune
sanction attachée à
la méconnaissance
des relations
morales, chaque
départ de la loi
aurait été péché,
mais il supposait
pas passif à la
peine. Culpabilité
dans ce sens
peut-être être
révoquée par la
satisfaction de la
justice, soit
personnellement,
soit du fait
d’autrui. Il peut
être transféré d’une
personne à l’autre,
ou pris en charge
par une personne à
une autre. Il est
supprimé de croyants
de justification,
afin que leur faire
de si
intrinsèquement
mal-méritant,
péchés, pas rendre
passibles de
sanctions.
Semi-pélagiens et
les plus âgés
arminiens ou
Remonstrants nient
que le péché
originel consiste
culpabilité. La
culpabilité du péché
d’Adam, commis par
lui comme le chef
fédéral de la race
humaine, est imputée
à tous ses
descendants. C’est
évident du fait que,
comme la Bible
l’enseigne, mort
comme la punition du
péché transmet à
tous ses descendants
d’Adam. ROM.
05:12-19; Éphésiens
2:3; I Corinthiens
15:22.
b. la
pollution initiale.
La pollution
initiale comprend
deux choses, à
savoir l’absence de
justice initiale et
la présence du mal
positif. Il est à
noter: (1) que
pollution originale
n’est pas simplement
une maladie, étant
donné que certains
des pères grecs et
les arminiens
représentent, mais
le péché au sens
véritable du mot.
Culpabilité
s’attache à lui;
celui qui nie cela
n’a pas une
conception biblique
de la corruption
originale. (2) que
cette pollution est
ne pas à considérer
comme une substance
infusés dans l’âme
humaine, ni comme un
changement de fond
dans le sens
métaphysique du
terme. C’était
l’erreur de la
Manichæans et de
Flacius Illyricus à
l’époque de la
réforme. Si la
substance de l’âme
ont été pécheresse,
elle devra être
remplacée par une
nouvelle substance
en régénération;
mais cela n’a pas
lieu. (3) qu’il
n’est pas simplement
une privation. Dans
sa polémique avec le
Manichæans,
Augustine ne
consiste pas
seulement a nié que
le péché est une
substance, mais a
également affirmé
qu’il s’agissait
simplement d’une
privation. Il l’a
appelé un
privatio boni.
Mais le péché
originel n’est pas
seulement négatif;
C’est aussi une
disposition positive
inhérente vers le
péché. Cette
pollution originale
peut considérer de
plus d’un point de
vue, à savoir, en
tant que dépravation
totale et incapacité
totale.
c.
dépravation totale.
Compte tenu de son
caractère
envahissant,
pollution héritée
est appelée
dépravation totale.
Cette phrase est
souvent mal comprise
et demande donc une
discrimination.
Négativement, cela
n’implique pas: (1),
que chaque homme est
aussi complètement
dépravée comme il
peut éventuellement
devenir; (les 2 que
le pécheur n’a
aucune connaissance
innée de la volonté
de Dieu, ni une
conscience qui
établit une
distinction entre le
bien et le mal; (3)
que l’homme pécheur
ne pas souvent
admirer caractère
vertueux et des
actions dans
d’autres, ou est
incapable
d’affection
désintéressée et
d’actions dans ses
relations avec ses
semblables; ni (4)
que tout homme
régénéré sera, en
vertu de sa nature
pécheresse
inhérente,
faites-vous plaisir
sous toutes les
formes de péché; Il
arrive souvent
qu’une seule forme
exclut l’autre.
Positivement, cela
indique: (1) que la
corruption inhérente
s’étend à toutes les
parties de la nature
de l’homme, à toutes
les facultés et les
puissances de l’âme
et le corps; et (2)
qu’il n’est aucun
spirituel bon, c’est
bon par rapport à
Dieu, le pécheur du
tout, mais seulement
perversion. Cette
dépravation totale
est niée par les
pélagiens, Sociniens
et arminiens du
XVIIe siècle, mais
est clairement
enseignée dans
l’écriture, John
05:42; ROM. 07:18,
23; 8:7; EP 04:18;
II Timothée 3:2-4;
Tite 01:15; Héb.
03:12.
d.
incapacité totale.
En ce qui concerne
son effet sur les
pouvoirs spirituels
de l’homme, il est
appelé incapacité
totale. Ici, encore
une fois, il est
nécessaire de
distinguer. En
attribuant une
incapacité totale à
l’homme naturel nous
ne veux pas dire
qu’il est impossible
pour lui de faire le
bien dans tous les
sens du terme. Les
théologiens réformés
disent généralement
qu’il est toujours
apte à exercer:
produit naturel (1);
(2) civile justice
bonne ou civile; et
(3) bon
extérieurement
religieux. Il est
admis que même les
renouvelés possèdent
certaines vertus, se
révélant dans les
relations de la vie
sociale, dans de
nombreux actes et
sentiments qui
mérite l’approbation
sincère et la
reconnaissance de
leurs compatriotes,
et qui répondent aux
même avec
l’approbation de
Dieu, dans une
certaine mesure
.
Dans
le même temps, il
est maintenu que ces
mêmes actions et
sentiments, si l'on
tient compte Dieu,
sont radicalement
défectueux. Leur
défaut fatal, c’est
qu’ils n’êtes pas
invités par amour
pour Dieu, ou par
aucun égard pour la
volonté de Dieu
comme obligeant.
Quand nous parlons
de la corruption de
l’homme comme une
incapacité totale,
on entend deux
choses: (1) que le
pécheur renouvelé ne
peut pas accomplir
un acte, aussi
insignifiant, qui
fondamentalement
se réunit avec
l’approbation de
Dieu et répond aux
exigences de la loi
Sainte de Dieu; et
(2) qu’il ne peut
pas changer sa
préférence
fondamentaux pour le
péché et de soi à
l’amour pour Dieu,
ni même faire une
approche à un tel
changement. En un
mot, il est
incapable de faire
le bien tout
spirituel. Il y a
soutien Scriptural
abondant pour cette
doctrine: John
01:13; 3:5; 06:44;
08:34; 15:4, 5; ROM.
07:18, 24; 8:7, 8; 1
Corinthiens 02:14;
II Corinthiens 3:5;
Éphésiens 2:1, 8-10;
Hébreux 11:6.
Pélagiens, a
toutefois, croient
en la capacité
plénière de l’homme,
niant que ses
facultés morales
portait une atteinte
par le péché.
Arminiens parlent
d’une capacité de
gracieuse, parce
qu’ils croient que
Dieu donne sa grâce
commune à tous les
hommes, qui leur
permet de se tourner
vers Dieu et de
croire. Les
théologiens de la
New School
attribuent à l’homme
naturel par
opposition à
capacité morale, une
distinction
empruntée à la
grande œuvre de
Edwards
Sur la volonté.
L’importation de
leur enseignement
est que l’homme dans
son état déchu est
encore en possession
de toutes les
facultés naturelles
qui sont nécessaires
pour faire le bien
spirituel
(intelligence,
volonté, etc.), mais
n’a pas la capacité
morale, c'est-à-dire
la capacité de
donner des
directives
appropriées à ces
facultés , une
direction bien
agréable à Dieu. La
distinction l’examen
est avancée, afin de
souligner le fait
que l’homme est
volontairement
pécheresse, et
cela peut bien être
souligné. Mais les
théologiens de la
New School affirment
que l’homme serait
capable de faire
spirituel du bien
s’il voulait
seulement de le
faire. Cela signifie
que la « capacité
naturelle » dont ils
parlent, est après
tout une capacité à
faire le bien
spirituel réel.
Dans
l’ensemble on peut
dire que la
distinction entre la
capacité physique et
morale n’est pas un
souhaitable, pour:
(1) il n’a aucun
mandat de
perquisition dans
les Ecritures, qui
enseigne toujours
que l’homme n’est
pas capable de faire
ce qui est exigé de
lui; (2) il est
essentiellement
ambigu et trompeur:
la possession des
facultés nécessaires
pour faire le bien
spirituel ne
constitue pas encore
une possibilité de
le faire; (3)
« naturel » n’est
pas une bonne
antithèse de
« morale », d’une
chose peut être les
deux à la fois; et
l’incapacité de
l’homme est aussi
naturelle dans un
sens important,
c'est-à-dire comme
étant accessoire à
sa nature dans son
état actuel aussi
naturellement
propagée; et (4) la
langue n’exprime pas
exactement la
distinction
importante destinée;
ce que l'on entend,
c’est que c’est
moral et pas
physique ou
constitutionnel;
qu’elle a son
terrain, pas dans
l’absence de toute
faculté, mais dans
l’État moral
corrompu des
facultés et de la
disposition du
coeur.
3. LE PÉCHÉ ORIGINEL ET
LA LIBERTÉ HUMAINE.
Dans le cadre de la
doctrine de
l’incapacité totale
de l’homme la
question se pose
naturellement, si le
péché originel puis
implique également
la perte de la
liberté, ou de ce
qu’on appelle
généralement
liberum
arbitrium, le
libre arbitre. Cette
question il faut
répondre à la
discrimination, en
ces termes généraux,
on peut y répondre
fois négative et
positive. L’homme
n’en a pas dans un
certain sens, et
dans un autre sens,
il a perdu sa
liberté. Il y a une
certaine liberté qui
est la possession
inaliénable d’agent
libre, à savoir, la
liberté de choisir
comme il lui plaît,
en plein accord avec
les dispositions et
les tendances de son
âme qui prévaut.
L’homme n’a pas
perdu aucune des
facultés
constitutionnelles
nécessaires pour lui
constituer un agent
responsable moral.
Il a toujours
raison, de
conscience et la
liberté de choix. Il
a la capacité
d’acquérir des
connaissances et de
se sentir et
reconnaître la
distinction morale
et les obligations;
et ses affections,
tendances et ses
actions sont
spontanées, afin
qu’il choisit et
refuse comme il
l’entend. En outre,
il a la capacité
d’apprécier et de
faire beaucoup de
choses qui est
bonnes et aimable,
bienveillant et
juste, dans les
relations, il
soutient à ses
collègues-êtres.
Mais l’homme a perdu
sa liberté
matérielle,
c'est-à-dire la
puissance
rationnelle afin de
déterminer son cours
en direction du plus
grand bien, en
harmonie avec la
constitution morale
originale de sa
nature. L’homme a
par nature un biais
irrésistible pour le
mal. Il n’est pas en
mesure d’appréhender
et d’excellence
spirituelle, de
rechercher et de
faire des choses
spirituelles, les
choses de Dieu qui
se rapportent au
salut de l’amour.
Cette position, qui
est augustinien et
calviniste, est
carrément contredite
par le pélagianisme
et le Socinianisme
et en partie aussi
par semi
pélagianisme et
arminianisme. Le
libéralisme Modern,
qui est
essentiellement
pélagienne, trouve
naturellement de la
doctrine, que
l’homme a perdu la
capacité de
déterminer sa vie
dans le sens de
véritable droiture
et sainteté, très
offensive, et
gloires dans la
capacité de l’homme
à choisir et à faire
ce qui est juste et
bon. En revanche, la
théologie
dialectique
(Barthianism)
réaffirme fermement
l’incapacité totale
de l’homme de faire
même le moindre
mouvement dans une
direction Godward.
Le pécheur est un
esclave du péché et
ne peut
éventuellement
tourner dans la
direction opposée.
4. LA THÉOLOGIE DU
PÉCHÉ ORIGINEL ET DE
LA CRISE. Il peut
être bien à ce stade
de définir
brièvement la
position de la
théologie de crise
ou de Barthianism à
l’égard de la
doctrine du péché
originel. Walter
Lowrie correctement
dit: « Barth a
beaucoup à dire au
sujet de la chute —
mais rien sur le
« péché originel. »
Que l’homme est
tombé
nous pouvons voir
clairement; mais la
chute n’est pas un
événement nous
pouvons attirer
l’attention dans
l’histoire, il
appartient
incontestablement à
la préhistoire,
Urgeschichte,
dans un sens
métaphysique. »
Brunner a quelque
chose à dire à ce
sujet dans son
ouvrage récent sur
l’homme
en révolte.
Il
n’accepte pas la
doctrine du péché
originel dans le
sens traditionnel et
ecclésiastique du
mot. Le premier
péché d’Adam n’était
pas et n’a pas été
effectué pour le
compte de tous ses
descendants; ni ce
péché a lieu dans un
état de péché, qui
est transmis à sa
postérité, et qui
est maintenant la
racine fructueuse de
tous les péchés
réels. « Le péché
n’est jamais un
État, mais c’est
toujours un acte.
Même d’être un
pécheur n’est pas un
État mais un acte,
parce que c’est
d’être une
personne. » Dans
l’estimation de
Brunner l’opinion
traditionnelle a un
élément indésirable
du déterminisme
dedans et ne protège
pas suffisamment la
responsabilité de
l’homme. Mais son
rejet de la doctrine
du péché originel ne
signifie pas qu’il
ne voit aucun vérité
en elle du tout. Il
souligne à juste
titre la solidarité
du péché dans la
race humaine et la
transmission « de la
nature spirituelle,
du « caractère, »
des parents aux
enfants. »
Cependant, il
cherche
l’explication de
l’universalité du
péché dans autre
chose que de « péché
originel. » L’homme
que Dieu a créé
n’était pas
simplement un homme,
mais une personne
responsable créé
dans et pour la
communauté avec les
autres. L’individu
isolé n’est qu’une
abstraction. « Dans
la création, nous
sommes une unité
individualisée,
articulée, un seul
corps avec beaucoup
de membres. » Si un
membre souffre, tous
les membres
souffrent avec lui.
Il poursuit en
disant: « si c’est
notre origine, alors
notre opposition à
cette origine ne
peut être une
expérience, un acte,
de l’individu comme
une personne...
Certes, chaque
individu est un
pécheur comme
individu; mais il
est en même temps
l’ensemble dans sa
solidarité unie, le
corps, la réelle
humanité dans son
ensemble. » Il y
avait donc
solidarité à pécher;
la race humaine
s’éloigne de Dieu;
mais il appartient à
la nature du péché
que nous refusons
cette solidarité
dans le péché. Le
résultat de ce péché
initial est que
l’homme est
maintenant un
pécheur; mais le
fait que l’homme est
maintenant un
pécheur ne doit pas
considérer comme la
cause de ses
mauvaises actions
individuelles. Un
tel lien de
causalité n’est pas
admis, pour tous les
péchés que commet
l’homme sont une
nouvelle décision
contre Dieu. La
déclaration que
l’homme est un
pécheur ne signifie
pas qu’il est dans
un État ou la
condition du péché,
mais qu’il est
effectivement engagé
dans la rébellion
contre Dieu. Comme
Adam nous détourné
de Dieu et « celui
qui commet cette
apostasie peut pas
faire autrement que
le répéter sans
cesse, non pas parce
qu’il est devenu une
habitude, mais parce
que c’est le
caractère distinctif
de la présente
loi. » L’homme ne
peut inverser le
cours, mais continue
à pécher tout le
long. La Bible ne
parle jamais du
péché, sauf comme le
fait de se détourner
du Dieu. « Mais dans
le concept de « être
un pécheur » cette
loi est conçue comme
celle qui détermine
toute l’existence de
l’homme. » Il y en a
beaucoup dans cette
représentation, qui
rappelle celle de la
représentation
réaliste de Thomas
Aquinas.
5. LES OBJECTIONS À
LA THÉORIE DE
L’IMPOSSIBILITÉ
TOTALE DÉPRAVATION
ET TOTAL.
a. elle
est incompatible
avec l’obligation
morale. La plus
évidente et la plus
plausible objection
à la doctrine de
dépravation totale
et incapacité
totale, est qu’il
est incompatible
avec l’obligation
morale. Il est dit
qu’un homme ne peut
être tenu justement
responsable de tout
ce dont il n’a pas
la capacité requise.
Mais l’implication
générale de ce
principe est un
sophisme. Elle peut
tenir en cas
d’invalidité
résultant d’une
limitation dont Dieu
a imposé sur la
nature de l’homme;
mais certainement ne
s’applique pas dans
le domaine de la
morale et de
religion, comme l’a
déjà souligné au
cours des
précédentes. Nous ne
devons pas oublier
que l’incapacité à
l’examen est imposée
à lui-même, a une
origine morale et
n’est pas en raison
de toute restriction
que Dieu n’a imposé
à être homme.
L’homme est
impossible à la
suite du démarage
pervertie dans Adam.
b. elle
supprime tous les
motifs pour l’effort.
Une seconde
objection est que
cette doctrine
supprime tous les
motifs pour l’effort
et détruit tous les
motifs rationnels de
l’utilisation des
moyens de grâce. Si
nous savons que nous
ne pouvons pas
accomplir une fin
donnée, pourquoi
devrions-nous
utiliser les moyens
recommandés pour son
accomplissement ?
Maintenant, il est
parfaitement vrai
que le pécheur, qui
est éclairé par
l’Esprit Saint et
est vraiment
conscient de sa
propre incapacité
naturelle, cesse de
travail-justice. Et
c’est exactement ce
qui est nécessaire.
Mais il ne
tient-elle pas à
l’égard de l’homme
naturel, car il est
complètement
bien-pensants. En
outre, il n’est pas
vrai que la doctrine
de l’incapacité
naturelle tend à
favoriser la
négligence dans
l’utilisation des
moyens de grâce
ordonné par Dieu.
Sur ce principe, que
l’agriculteur
pourrait aussi dire,
je ne peux pas
produire une
récolte; Pourquoi
devrais je cultive
mes champs ? Mais ce
serait une folie
totale. Dans tous
les départements de
l’activité humaine
le résultat dépend
de la coopération
des causes que sur
lesquels l’homme n’a
aucun contrôle. Les
motifs mentionnés
dans les écritures
de l’utilisation de
moyens restent: Dieu
ordonne
l’utilisation de
moyens; le moyen
ordonné par Dieu est
adapté à la fin
visée;
habituellement, la
fin n’est pas
atteinte, à
l’exception de
l’utilisation des
moyens nommés; et
Dieu a promis à
bénir l’utilisation
de ces moyens.
c. elle
encourage le retard
dans la conversion.
Il est également
affirmé que cette
doctrine encourage
retard dans la
conversion. Si un
homme croit qu’il ne
peut pas changer son
cœur, ne peut pas se
repentir et croire
en l’Évangile, il se
sentira qu’il peut
seulement
passivement,
respecter le temps
quand il plaira à
Dieu pour changer le
sens de sa vie.
Maintenant il peut y
avoir, et
l’expérience
enseigne qu’il y ait
certains qui en fait
adopter cette
attitude; mais en
règle générale,
l’effet de la
théorie à l’examen
sera différent. Si
les pécheurs, à qui
le péché a grandi
très cher, étaient
conscients du
pouvoir de changer
leur vie à volonté,
ils seraient tentés
de le reporter au
dernier moment. Mais
si l'on est
conscient du fait
qu’une chose très
souhaitable est
au-delà de la
boussole de ses
propres pouvoirs, il
cherchera
instinctivement aide
en dehors de lui. Le
pécheur qui se sent
comme ça sur le
Salut, va chercher
de l’aide avec le
grand médecin de
l’âme et
reconnaissent ainsi
son propre handicap.
B. LE PÉCHÉ EST RÉEL.
Catholiques romains
et arminiens
minimisé l’idée du
péché originel et
ensuite développé
des doctrines, comme
celles du lavement
loin du péché
originel (bien que
non seulement cela)
par le baptême et de
la grâce suffisante,
par laquelle sa
gravité est
considérablement
obscurcie. L’accent
est clairement au
total sur péchés
réels. Pélagiens,
Sociniens,
théologiens libéraux
modernes, et —
étrange que cela
puisse paraître, la
théologie de crise,
reconnaissent aussi
seulement les péchés
réels. Il faut dire,
cependant, que cette
théologie parle du
péché au singulier
aussi bien qu’au
pluriel, autrement
dit, il ne reconnaît
pas une solidarité
dans le péché, que
certains des autres
n’ont pas reconnu.
Théologie réformée a
toujours donné une
reconnaissance due
au péché originel et
à la relation dans
laquelle il se
trouve à péchés
réels.
1. LA RELATION ENTRE
LE PÉCHÉ ORIGINAL ET
RÉEL. Le premier son
origine dans un acte
libre d’Adam comme
le représentant de
la race humaine, une
transgression de la
Loi de Dieu et une
corruption de la
nature humaine, ce
qui le rendait
passibles de la
peine de Dieu. Aux
yeux de Dieu, son
péché était le péché
de tous ses
descendants, afin
qu’ils sont nés
pécheurs, c’est dans
un état de
culpabilité et dans
un état de
pollution. Péché
originel est un État
et une qualité
inhérente de la
pollution chez
l’homme. Chaque
homme est coupable
dans Adam et est par
conséquent né avec
une nature dépravée
et corrompue. Et
cette corruption
intérieure se trouve
la fontaine impie de
tous péchés réels.
Quand on parle de
péché actuel ou
peccatum actuale,
nous utilisons le
mot « véritable » ou
« actuale » dans un
sens global. Le
terme « péchés
réels » ne désigne
pas simplement des
actions extérieures
qui sont mises en
oeuvre par le biais
de l’organisme, mais
toutes ces pensées
conscientes et
volitions qui
ressort du péché
originel. Ils sont
les péchés
individuels de loi à
la différence de
nature héréditaire
de l’homme et de
l’inclinaison. Péché
originel, péché
actuel est
collecteur. Péché
actuel peut être
intérieure, comme un
doute consciente
particulière ou un
mauvais design dans
l’esprit, ou un
désir conscient
particulier ou le
désir dans le cœur;
mais ils peuvent
aussi être
extérieurs, tels que
la tromperie, vol,
adultère, meurtre et
ainsi de suite.
Alors que
l’existence du péché
originel a rencontré
déni généralisé, la
présence du péché
réel dans la vie de
l’homme est
généralement admise.
Cela ne signifie
pas, toutefois, que
les gens ont
toujours eu une tout
aussi profonde
conscience du péché.
Nous entendons
beaucoup de choses
aujourd'hui sur la
« perte du sens du
péché, » bien que
modernistes
m’empresser de nous
assurer que, même si
nous avons perdu le
sens du
péché, nous
avons acquis le sens
des
péchés, au
pluriel,
c'est-à-dire des
péchés réels précis.
Mais il n’y a aucun
doute là-dessus que
les gens ont de
façon alarmante
perdu le sens de
l’atrocité du péché,
comme commis contre
un Dieu Saint et ont
largement pensé
simplement comme une
violation des droits
de ses compatriotes.
Ils ne parviennent
pas à voir que le
péché est une
puissance mortelle
dans leur vie,
incitant de temps à
autre leur esprit
rebelle, ce qui les
rend coupable devant
Dieu, et qui leur
apporte en vertu
d’une décision de
condamnation. Il est
l’un des mérites de
la théologie de
crise qu’il appelle
l’attention une fois
de plus la gravité
du péché comme une
révolte contre Dieu,
comme une tentative
révolutionnaire pour
être comme Dieu.
2. CLASSIFICATION
DES PÉCHÉS RÉELS. Il
est absolument
impossible de donner
une classification
unifiée et complète
des péchés réels.
Ils varient en genre
et en degré et
peuvent être
différenciées de
plus d’un point de
vue. Catholiques
romains établissent
une distinction bien
connue entre les
péchés véniels et
mortels, mais avoue
qu’il est
extrêmement
difficile et
dangereux de décider
si un péché mortel
ou véniel. On leur a
fait cette
distinction par
l’instruction de
Paul dans Galates
05:21 qu’ils « qui
font ces choses
(comme il l’a
énuméré)
n’hériteront pas le
Royaume de Dieu. »
Commet un péché
mortel quand on
viole délibérément
la Loi de Dieu dans
une affaire que l'on
croit ou sait qu’il
doit pour être
important. Il rend
le pécheur passible
d’une peine
éternelle. Et commet
un péché véniel
quand on transgresse
la Loi de Dieu dans
une affaire qui
n’est pas grave
importance, ou quand
la transgression
n’est pas tout à
fait volontaire. Un
tel péché est
pardonné plus
facilement et même
sans confession.
Pardon pour les
péchés mortels peut
être obtenu que par
le sacrement de
pénitence. La
distinction n’est
pas un scripturaire,
car selon l’Ecriture
tout péché est
essentiellement
anomia
(injustice) et
mérite le châtiment
éternel. En outre,
il a un effet
délétère dans la vie
pratique, puisqu’il
engendre un
sentiment
d’incertitude,
parfois un sentiment
de peur morbide,
d’une part, ou de
négligence
injustifiée de
l’autre. La Bible
distinguer
différentes sortes
de péchés, notamment
en relation avec les
différents degrés de
culpabilité y
attacher à eux.
L’ancien Testament
fait une distinction
importante entre les
péchés commis
présomptueusement
(avec une main
forte), et les
péchés commis
involontairement,
c'est-à-dire, comme
le résultat de
l’ignorance, de
faiblesse ou
d’erreur, nombres
15:29-31. Le premier
ne pourrait pas être
expié par le
sacrifice et était
puni avec grande
sévérité, alors que
ce dernier pourrait
être ainsi expié et
ont été jugé avec
indulgence beaucoup
plus grande. Le
principe fondamental
inscrit dans cette
distinction
s’applique toujours.
Péchés commis à
dessein, avec la
pleine conscience du
mal impliqué et avec
l’attention
nécessaire, sont une
plus grande et plus
coupable que péchés
résultant de
l’ignorance, d’une
conception erronée
des choses ou de
faiblesse de
caractère. Néanmoins
ces derniers sont
aussi des péchés
réels et faire un
coupable aux yeux de
Dieu, Galates 6:1;
EP 04:18; J’ai Tim
01:13; 5:24. le
Nouveau Testament
plus clairement nous
enseigne que le
degré du péché est
dans une large
mesure déterminée
par le degré de
lumière possédé. Les
païens sont en fait
coupables, mais ceux
qui ont la
révélation de Dieu
et de jouir des
privilèges du
ministère Evangile
sont beaucoup plus
coupables, Matthieu
10:15; Luc 12:47,
48; 23:34; John
19:11; Actes 17:30;
ROM. 01:32; 02:12;
J’ai Timothée 01:13,
15, 16.
3. LE PÉCHÉ
IMPARDONNABLE.
Plusieurs passages
de l’écriture
parlent d’un péché
qui ne peut pas être
pardonné, après quoi
un revirement est
impossible, et pour
lesquels il n’est
pas nécessaire de
prier. Il est
généralement connu
comme le péché ou
blasphème contre le
Saint-Esprit. Le
Sauveur parle
explicitement dans
Matthieu 12:31, 32
et parallèles
passages; et on
croit généralement
que Hébreux 6:4-6;
10:26, 27 et John
05:16 également
faire référence à ce
péché.
a.
opinions
injustifiées
concernant ce péché.
Il y a eu toute une
variété d’opinions
concernant la nature
du péché
impardonnable. (1)
Jerome et
Chrysostome pensée
de celui-ci comme un
péché qui pourra
être engagée qu’au
cours du Christ
séjour sur terre et
la tenue qu’il a été
commis par ceux qui
étaient convaincus
dans leur cœur que
Christ a accompli
ses miracles par la
puissance du
Saint-Esprit , mais
en dépit de leur
condamnation a
refusé de
reconnaître ces
miracles comme tel
et leur attribue à
l’opération de
Satan. Toutefois,
cette limitation est
totalement
injustifiée, comme
les passages en
Hébreux et moi John
semble prouver. (2)
Augustine, les
dogmaticians de
Melanchtonian de
l’église luthérienne
et de quelques
théologiens écossais
(Guthrie, Chalmers)
concevaient de
celui-ci comme
consistant en
impoenitentia
finalis,
c'est-à-dire,
impenitence
persistantes dans
jusqu’au bout. Une
vue connexe est
celle exprimée par
certains de nos
jours, qu’il
consiste dans
l’incrédulité
continue, refus
d’accepter Jésus
Christ par la foi
jusqu’au bout. Mais
sur cette
supposition, il
s’ensuivrait que
tous ceux qui sont
morts dans un état
d’impenitence et
l’incrédulité avait
commis ce péché,
alors que selon
l’Ecriture, il doit
être quelque chose
d’une nature très
spécifique. (3) en
ce qui concerne leur
refus de la
persévérance des
saints, des
théologiens
luthériens plus tard
enseignèrent que
seulement régénérer
personnes pouvaient
commettre ce péché
et a demandé cette
opinion dans Hébreux
6:4-6. Mais il
s’agit d’une
position non
scripturale et les
Canons de Dordrecht
rejeter, entre
autres, aussi
l’erreur de ceux qui
enseignent que le
régénérer peut
commettre le péché
contre le
Saint-Esprit.
b. la
conception réformée
de ce péché. Le
nom « péché contre
le Saint-Esprit »
est trop général,
car il y a aussi des
péchés contre
l’Esprit Saint qui
sont pardonnables,
Éphésiens 04:30. La
Bible parle plus
précisément d’un
« parler contre le
Saint-Esprit, »
Matthieu 12:32;
Marquer 03:29; Luc
12:10. C’est
évidemment un péché
commis au cours de
la vie présente, ce
qui rend impossible
la conversion et le
pardon. Le péché
consiste dans le
conscient,
malicieux, et rejet
délibéré et
diffamation, contre
preuve et à la
condamnation, du
témoignage de
l’Esprit Saint,
respectant la grâce
de Dieu en Christ,
attribuant de haine
et d’inimitié pour
le prince des
ténèbres. Elle
présuppose,
objectivement, une
révélation de la
grâce de Dieu en
Christ et une
puissante opération
du Saint-Esprit; et,
subjectivement, une
conviction
illumination et
intellectuel
tellement forte et
puissante qu’un
honnête déni de la
vérité impossible.
Et puis se compose
le péché lui-même,
ne pas à douter de
la vérité, ni un
simple déni de
celui-ci, mais en
contradiction avec
ce qui va à
l’encontre de la
déclaration de
culpabilité de
l’esprit, à
l’illumination de la
conscience et même
au verdict du cœur.
Pour commettre ce
péché homme
volontairement,
intentionnellement
et délibérément
attribue ce qui est
clairement reconnu
comme le œuvre de
Dieu à l’influence
et l’exploitation de
Satan. Ce n’est rien
moins qu’une
calomnie a décidé de
l’Esprit Saint, une
déclaration
audacieuse que le
Saint-Esprit est
l’esprit de l’abîme,
que la vérité est un
mensonge, et que
Christ est Satan. Il
n’est pas tellement
un péché contre la
personne du
Saint-Esprit comme
un péché contre son
fonctionnaire
travailler en
révélant, tant
objectivement que
subjectivement, la
grâce et la gloire
de Dieu dans le
Christ. La racine de
ce péché est la
haine consciente et
délibérée de Dieu et
de tout ce qui est
reconnu comme divin.
C’est impardonnable,
non pas parce que sa
culpabilité
transcende les
mérites du Christ,
ou parce que le
pécheur est au-delà
de la puissance
rénovatrice de
l’Esprit Saint, mais
parce qu’il y a
aussi dans le monde
du péché, certaines
lois et règlements
en vigueur, établie
par Dieu et maintenu
par lui. Et la loi
dans le cas de ce
péché particulier
est, qu’il exclut
toute repentance,
saisit la
conscience, durcit
le pécheur et rend
le péché
impardonnable. Ceux
qui ont commis ce
péché, nous pouvons
donc s’attendre à
trouver une haine
prononcée à Dieu,
une attitude
intraitable lui et
tout ce qui est
divin, plaisir à
ridiculiser et de
diffamation qui qui
est Sainte et
absolue indifférence
respectant le
bien-être de leur
âme et la vie
future. Compte tenu
du fait que ce péché
n’est pas suivi par
la repentance, nous
pouvons être
raisonnablement sûr
que ceux qui
craignent qu’ils ont
commis et
s’inquiéter à ce
sujet, et qui
désirent les prières
des autres pour eux,
n’ont pas commis.
c.
Remarques sur les
passages dans les
épîtres qui en
parlent. Sauf
dans les Évangiles,
ce péché n’est pas
mentionné par son
nom dans la Bible.
La question se pose
donc, que ce soit
les passages dans
Hébreux 6:4-6;
10:26, 27, 29 et
j’ai John 05:16 se
réfèrent également à
lui. Maintenant, il
est évident qu’ils
parlent tous d’un
péché impardonnable;
et parce que Jésus
dit dans Matthieu
12:31, « c’est
pourquoi je vous
dis: tout péché et
blasphème seront
pardonné aux hommes;
« mais le blasphème
contre l’esprit ne
doit pas être
pardonné »,
indiquant ainsi
qu’il est, mais un
péché impardonnable,
ce n’est que
raisonnable de
penser que ces
passages se
rapportent à la même
péché. Il convient
de noter, toutefois,
que les Hébreux 6
parle d’une forme
particulière de ce
péché, comme ne peut
se produire dans
l’âge apostolique,
quand l’esprit se
révèle dans les dons
extraordinaires et
pouvoirs. Le fait
que ce ne était pas
garder à l’esprit,
conduit souvent à
l’opinion erronée
que ce passage, avec
ses expressions
inhabituellement
fortes, mentionné
comme étaient
effectivement
régénéré par
l’esprit de Dieu.
Mais Hébreux 6:4-6,
en parlant des
expériences qui
dépassent ceux de la
foi temporelle
ordinaire, pourtant
ne pas
nécessairement
témoignent de la
présence de
régénération grâce
au cœur.
QUESTIONS
pour une étude plus
approfondie. Quelles
objections sont
soulevées à l’idée
de la Direction
fédérale d’Adam ?
Quelle base
scripturaire est là
pour l’imputation du
péché d’Adam à ses
descendants ? A
théorie des Placeus
d’imputation médiate
dans aucun rapport
avec vue des
Amyraldus
d’expiation
universelle ? Quelle
objection Dabney
soulève à la
doctrine
d’imputation
immédiate ? Est la
doctrine du mal
héréditaire la même
chose que la
doctrine du péché
originel, et si non,
comment sont-ils
différents ? Comment
les pélagiens,
Semi-pélagiens, et
arminiens diffèrent
dans leur vision du
péché originel ?
Comment la doctrine
du péché originel
affecte la doctrine
du Salut infantile ?
Que la Bible
enseigne que l'on
peut être perdu
uniquement comme le
résultat du péché
original ? Quel est
le lien entre la
doctrine du péché
originel et celle de
la régénération
baptismale ? Ce
qu’il advient de la
doctrine du péché
originel dans la
théologie libérale
moderne ? Comment
expliquez-vous la
négation du péché
originel dans la
théologie
barthienne ?
Pouvez-vous citer
quelques classes
supplémentaires de
péchés réels ?
LITTÉRATURE: Bavinck,
Geref. Dogme.
III,
pp. 61-120; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De
Peccato, p.
36-50, 119-144; Vos,
Geref. Dogme.
II,
pp. 31-76; Hodge,
Syst.
Theol. II, pp.
192-308; McPherson,
Dogme
Chr., pp.
242-256; Dabney,
syst
et trouvailles.
THEOL.,
p. 321-351; Litton,
intro au dogme.
THEOL.,
pp. 136-174; Schmid,
Doct.
Théol. du Ev. Luth.
Ch.,
p. 242-276;
Valentine,
Chr.
Theol. I, pp.
420-476; Pape,
Chr.
Theol. II, p.
47-86; Raymond,
Syst.
Theol. II, pp.
64-172; Wilmers,
Manuel
de la Religion Chr.,
p. 235-238;
Mackintosh,
christianisme et le
péché, cf.
Index; Girardeau,The
Will dans ses
Relations
théologiques;
Wiggers,
augustinisme et
pélagianisme;
Carle,
la Bibl. Doct. du
péché, pp.
90-128;
Brunner,
homme
en révolte, pp.
114-166.
V. la punition du péché
Sin est une affaire
très sérieuse et est
prise au sérieux par
Dieu, bien que les
hommes font souvent
la lumière de
celui-ci. Il n’est
pas seulement une
transgression de la
Loi de Dieu, mais
une attaque contre
le grand législateur
lui-même, une
révolte contre Dieu.
C’est une atteinte à
la justice
inviolable de Dieu,
qui est le fondement
même de son trône
(PS. 97:2) et un
affront à la
sainteté Immaculée
de Dieu, qui exige
de nous que nous
soyons Saints dans
toutes sortes de la
vie (j’ai PET.
01:16). Dans cette
perspective, il est,
mais naturel que
Dieu devrait visiter
péché avec peine. En
un mot, d’une
importance
fondamentale, il
dit: « Je suis
l’Éternel ton Dieu
suis un Dieu jaloux,
qui punis l’iniquité
des pères sur les
enfants jusqu'à la
troisième et la
quatrième génération
de ceux qui me
haïssent, » Exode
20:5. La Bible
témoigne abondamment
sur le fait que Dieu
punit péché dans
cette vie comme dans
la vie à venir.
A. LES SANCTIONS
NATURELLES ET
POSITIVES.
Une distinction
assez commune
appliquée aux peines
du péché, c’est
qu’entre sanctions
naturelles et
positives. Il y a
des peines qui sont
le résultat naturel
du péché, et que les
hommes ne peuvent
pas s’échapper,
parce qu’elles sont
les conséquences
naturelles et
nécessaires du
péché. L’homme n’est
pas enregistré d’eux
par la repentance et
le pardon. Dans
certains cas, ils
peuvent être
atténués et même
vérifiés par le
moyen que Dieu a mis
à notre disposition,
mais dans d’autres
cas, ils restent et
servent comme un
rappel constant des
dernières
transgressions.
L’homme paresseux
s’agit de la
pauvreté, l’ivrogne
apporte ruine sur
lui-même et sa
famille, le
fornicateur
contracte une
maladie incurable
répugnante et le
criminel est accablé
de honte et même
quand laissant les
murs de la prison
estime extrêmement
difficile de faire
un nouveau départ
dans la vie. La
Bible parle de ces
châtiments dans Job
4:8; PS. 09:15;
94:23; Prov. 05:22;
23:21; 24:14; 31:3.
mais il y a aussi
des punitions
positives, et ce
sont des peines dans
le sens le plus
courant et en droit.
Elles présupposent
pas simplement les
lois naturelles de
la vie, mais un
droit positif du
grand législateur
des sanctions
supplémentaires. Ils
ne sont pas les
sanctions qui en
découlent
naturellement de la
nature de la
transgression, mais
les peines qui y
sont attachées les
transgressions de
textes de loi
divines. Elles sont
superposées par la
loi divine, qui est
d’une autorité
absolue. C’est à ce
type de châtiment
que la Bible se
réfère
habituellement. Cela
est particulièrement
évident dans
l’ancien Testament.
Dieu a donné à
Israël un code
détaillé des lois
pour la régulation
de la vie civile,
morale et religieuse
et stipule
clairement la peine
d’être infligée dans
le cas de chaque
transgression, voir
Exode 20-23. Et si
beaucoup des statuts
civils et religieux
de cette loi
étaient, sous la
forme dans laquelle
elles ont été
rédigées, destinés à
Israël uniquement,
appliqueront les
principes
fondamentaux qu’ils
incarnent aussi dans
la dispensation du
Nouveau Testament.
Dans une conception
biblique de la
pénalité du péché,
que nous devrons
prendre en compte
tant le résultat
naturel et
nécessaire
d’opposition
délibérée à Dieu et
à la peine
légalement fixée et
ajusté à
l’infraction par
Dieu. Il y a
maintenant quelques
Unitariens et
universalistes
modernistes qui
nient l’existence de
toute punition du
péché, à l’exception
des conséquences
aussi naturellement
la suite de l’action
pécheresse.
Châtiment n’est pas
l’exécution d’une
sentence prononcée
par l’etre divin sur
le fond de
l’affaire, mais
simplement
l’opération d’une
loi générale. Cette
position est prise
par Washington
Gladden, Thayer,
Williamson et J. F.
Clarke. Ce dernier
dit: « la théologie
ancienne faite cette
sanction (pénalité
du péché) consiste
en des souffrances
infligées le pécheur
par un processus
judiciaire dans la
vie future... Le
châtiment du péché,
comme la nouvelle
théologie enseigne,
consiste aux
conséquences
naturelles de
sin.... Le châtiment
du péché est un
péché. Que ce soit
un homme sème qu’il
moissonnera aussi. »
L’idée n’est pas
nouvelle; il était
présent à l’esprit
de Dante, car dans
son célèbre poème
les tourments de
l’enfer symbolisent
les conséquences du
péché; et Schelling,
il avait à l’esprit,
lorsqu’il parlait de
l’histoire du monde
comme le jugement du
monde. Il est
abondamment évident
de l’écriture,
cependant, qu’il
s’agit d’une
conception
entièrement non
biblique. La Bible
parle de sanctions,
qui sont en aucune
façon le résultat
naturel ou les
conséquences du
péché commis, par
exemple en Ex.
32:33; Lévitique 26:
21; Num. 15:31; J’ai
Chron. 10:13; Psaume
11:6; 75:8; Ésaïe
01:24, 28; Matthieu
03:10; 24:51. tous
ces passages parlent
d’un châtiment du
péché par un acte
direct de Dieu. En
outre, selon le
point de vue à
l’examen il y a
vraiment aucune
récompense ou la
punition; vertu et
le vice
naturellement
comprennent leurs
diverses questions.
En outre, sur ce
point de vue il n’y
a aucune raison pour
considérer la
souffrance comme une
punition, pour qu’il
ne rejette la
culpabilité, et
c’est exactement la
culpabilité qui
constitue la
souffrance une
punition. Aussi, il
n’est souvent pas le
coupable qui reçoit
la sanction plus
sévère, mais les
innocents comme, par
exemple, les
personnes à charge
d’un ivrogne ou un
débauché. Et, enfin,
sur ce point de vue,
ciel et l’enfer ne
sont pas des lieux
de punition future,
mais les États
d’esprit ou les
conditions dans
lesquelles les
hommes se trouvent
ici et maintenant.
Gladden Washington
exprime cela très
explicitement.
B. NATURE ET OBJET
DES SANCTIONS.
La « punition » de
mot est dérivée du
Latin poena, sens
peine, expiation ou
douleur. Il dénote
la douleur ou des
souffrances
infligées en raison
de quelque méfait.
Plus précisément, il
peut être défini
comme cette douleur
ou la perte qui est
directement ou
indirectement causé
par le législateur,
dans l’apologie de
sa justice indigné
par la violation de
la Loi. Il provient
de la justice ou la
justice punitive de
Dieu, par laquelle
il se maintient
comme Saint et
nécessairement
demandes de sainteté
et de justice dans
toutes ses créatures
rationnelles.
Punition est la
peine qui est
naturellement et
nécessairement dû
partir le pécheur à
cause de son péché;
C’est, en effet, une
dette qui est due à
la justice
essentielle de Dieu.
Les peines du péché
sont de deux types
différents. Il y a
une punition qui est
le corollaire
nécessaire du péché,
car dans la nature
de l’affaire sin
causes séparation
entre Dieu et
l’homme,
s’accompagne
culpabilité et la
pollution et le cœur
rempli de peur et la
honte. Mais il y a
aussi une sorte de
punition qui se
superpose à l’homme
de sans par le
législateur suprême,
tel que toutes
sortes de calamités
dans cette vie et le
châtiment de l’enfer
à l’avenir.
Maintenant la
question se pose
quant à l’objet ou
le but de la
punition du péché.
Et sur ce point il y
a des divergences
d’opinions
considérables. Nous
ne devrions pas
considérer la
punition du péché
comme une simple
question de
vengeance et infligé
avec le désir de
nuire à celui qui a
déjà fait mal. Voici
les trois plus
importants vues
concernant le but de
la peine.
1. DE FAIRE VALOIR
LA JUSTICE DIVINE OU
LA JUSTICE. Turretin
dit: « si il y avoir
cet attribut comme
justice appartenant
à Dieu, puis sin
doit avoir son dû,
ce qui est le
châtiment. » La Loi
exige que le péché
puni en raison de
son inaptitude
inhérente,
indépendamment de
toutes autres
considérations. Ce
principe s’applique
à l’administration
des lois humaines et
divines. La justice
exige la peine du
transgresseur.
Retour de la Loi
signifie Dieu, et
donc on peut aussi
dire que la punition
vise à l’apologie de
la justice et la
sainteté du grand
législateur. La
sainteté de Dieu
nécessairement
réagit contre le
péché, et cette
réaction se
manifeste dans la
punition du péché.
Ce principe est
fondamental pour
tous les passages
des écritures qui
parlent de Dieu
comme un juste juge,
qui restitue à
chaque homme selon
ses déserts. "Il est
le rocher, son œuvre
est parfaite: pour
toutes ses voies
sont jugement: un
Dieu de vérité et
sans iniquité, juste
et droit est celui,
« Deut. 32: 4. » Que
ce soit loin de
Dieu, qu’il devait
faire la méchanceté;
et depuis le
tout-puissant, qu’il
devrait s’engager
d’iniquité. Pour le
travail d’un homme
est il rendu à lui
et de faire tous les
hommes à trouver
selon ses voies, »
Job. 34:10, 11. « Tu
renderest à chacun
selon son travail, »
Psaume 62:12. « Les
justes es-tu, Ô
Seigneur et debout
sont tes
jugements, » Psaume
119:37. « Je suis
l’Eternel qui exerce
la bonté, du
jugement et la
justice dans la
terre, » Jérémie
09:24. « Et si vous
appelez sur le père,
qui sans le respect
des personnes
condamnes selon
travail chaque homme
de, passer le temps
de votre séjour ici
dans la peur, » j’ai
PET. 01:17.
L’apologie de la
justice et la
sainteté de Dieu et
de cette loi juste,
qui est l’expression
même de son être,
est certainement
l’objectif principal
de la punition du
péché. Il y a deux
autres points de
vue, cependant, qui
par erreur mettent
quelque chose au
premier plan.
2. POUR RÉFORMER LE
PÉCHEUR. L’idée est
tout à fait au
premier plan à
l’heure actuelle
qu’il n’y a pas de
justice punitive en
Dieu qui appelle
inexorablement à la
punition du pécheur,
et que Dieu n’est
pas en colère contre
le pécheur mais aime
et n’inflige des
souffrances sur lui
, afin de lui
réclamer et de
ramener à la maison
de son père. Il
s’agit d’une vue non
scripturaire, qui
efface la
distinction entre
les sanctions et les
punitions. Le
châtiment du péché
ne procède pas de
l’amour et la
miséricorde du
législateur, mais de
sa justice. Si
réforme fait suite à
l’imposition d’un
châtiment, ce n’est
pas à cause de la
peine en tant que
tel, mais est le
fruit d’une
opération gracieuse
de Dieu par lequel
il tourne que qui
est en soi un mal
pour le pécheur en
quelque chose qui
est bénéfique. La
distinction entre le
châtiment et la
punition doit être
maintenue. La Bible
nous enseigne d’une
part que Dieu aime
et châtie son
peuple, Job 05:17;
PS. 6:1; PS. 94:12;
118:18; Prov. 03:11;
Ésaïe 26: 16;
Hébreux 12:5-8;
03:19; et d’autre
part, qu’il déteste
et punit les
méchants, PS. 5:5;
07:11; n ° 1:2; ROM.
01:18; 2:5, 6; 11
th. 1:6; Hébreux
10:26, 27. En outre,
une punition doit
être reconnue comme
juste, c'est-à-dire
que selon la
justice, afin d’être
en maison de
correction. Selon
cette théorie, un
pécheur qui a déjà
été réformée
pourrait ne plus
être sanctionnée; ni
un au-delà de la
possibilité de
réforme, pourrait
donc qu’il ne
pourrait y avoir
aucune peine pour
Satan; la peine de
mort devait être
abolie, et le
châtiment éternel
n’aurait aucune
raison d’être.
3. POUR DISSUADER
LES HOMMES DU PÉCHÉ.
Une autre théorie
assez répandue de
nos jours, c’est que
le pécheur doit être
puni pour la
protection de la
société, de
dissuader d’autres
de la perpétration
d’infractions
semblables. Il ne
peut y avoir aucun
doute là-dessus que
cet effet est
souvent fixé dans la
famille, dans l’État
et du gouvernement
moral du monde, mais
il s’agit d’un
résultat faux qui
Dieu effets
gracieusement par
l’infliction de la
peine. On ne peut
certainement pas le
motif de
l’infliction de la
peine. Il n’y a pas
de justice tout en
punir un individu
simplement pour le
bien de la société.
Que fait le pécheur
est toujours puni
pour son péché, et
soit dit en passant,
cela peut être pour
le bien de la
société. Et ici
encore une fois on
peut dire qu’aucune
peine n’aura un
effet dissuasif, si
ce n’est pas juste
et droit en soi.
Punition a un bon
effet uniquement
lorsqu’il est
évident que la
personne à qui il
est affligé mérite
vraiment le
châtiment. Si cette
théorie était vraie,
un criminel pourrait
à la fois seraient
mis en liberté, si
ce n’était pas de la
possibilité que
d’autres pourraient
être dissuadés de
péché par sa
punition. Par
ailleurs, un homme
pourrait à juste
titre commettre un
crime, s’il était
seulement prêt à
supporter la peine.
Selon ce point de
vue punition est en
aucune façon s’est
échoué dans le
passé, mais est
entièrement
prospective. Mais
sur cette
supposition, il est
très difficile
d’expliquer comment
il provoque
invariablement le
pécheur repentant de
regarder en arrière
et se confesser avec
cœur contrit les
péchés du passé, que
nous remarquons dans
ces passages comme
suit: Genèse 42: 21; Num. 21:7; J’ai
Samuel 15:24, 25; II
Samuel 12:13; 24:10;
Esdras 9:6, 10, 13;
Néh. 09:33-35;
Emploi à 07:21; PS.
51: 1-4; Jérémie
03:25. Ces exemples
pourraient
facilement être
multipliés. En
opposition à tous
les deux des
théories considérées
comme elle doit être
maintenue que la
punition du péché
est entièrement
rétroactive dans son
objectif primaire,
bien que
l’infliction de la
peine peut avoir des
conséquences
bénéfiques, tant
pour l’individu et
la société.
C. LA PEINE RÉELLE
DU PÉCHÉ.
La pénalité avec
laquelle Dieu a
menacé l’homme dans
le paradis était la
peine de mort. La
mort pour but ici
n’est pas la mort du
corps, mais la mort
de l’homme comme un
entier, mort dans le
sens biblique du
terme. La Bible ne
connaît pas la
distinction, si
commune parmi nous,
entre physique,
spirituelle et une
mort éternelle; Il
dispose d’une vue
synthétique de la
mort et la considère
comme la séparation
d'avec Dieu. La
peine a été
réellement exécutée
le jour où l’homme a
péché, bien que
l’exécution complète
de celui-ci a été
temporairement
suspendue par la
grâce de Dieu. D’une
manière plutôt non
scripturaire,
certains portent
leur distinction
dans la Bible et
maintiennent que la
mort physique ne
sont à considérer
comme le châtiment
du péché, mais
plutôt comme le
résultat naturel de
la constitution
physique de l’homme.
Mais la Bible ne
connaît pas de telle
exception. Il nous
familiarise avec la
peine menacée, qui
est mort dans le
sens complet du
terme, et il nous
informe que la mort
entre dans le monde
par le péché (Rom.
05:12), et que le
salaire du péché est
la mort (Romains
06:23). Le châtiment
du péché comprend
certainement la mort
physique, mais il
comprend beaucoup
plus que cela. Faire
la distinction à
laquelle nous sommes
habitués, nous
pouvons dire qu’il
comprend ce qui
suit:
1. LA MORT SPIRITUELLE.
Il y a une vérité
profonde dans le
dicton d’Augustin,
que le péché est
également la
punition du péché.
Cela signifie que
l’état pécheur et
l’État dans lequel
l’homme est né par
nature font partie
de la peine du
péché. Ils sont, il
est vrai, les
conséquences
immédiates du péché,
mais ils font
également partie de
la peine de
menacées. Péché
sépare l’homme de
Dieu, et qui
signifie la mort,
car c’est seulement
dans la communion
avec Dieu que
l’homme peut vivre
vraiment vivant.
Dans l’état de la
mort, qui résulte de
l’entrée du péché
dans le monde, nous
sommes accablés par
la culpabilité du
péché, une
culpabilité qui ne
peut être éliminée
que par l’oeuvre
rédemptrice de
Jésus-Christ. Nous
sommes donc obligé
de supporter les
souffrances qui
découlent de la
transgression de la
Loi. L’homme naturel
porte le sens de la
responsabilité à la
peine avec lui
partout où il va. La
conscience est un
rappel constant de
sa culpabilité, et
la crainte du
châtiment souvent
emplit le cœur. La
mort spirituelle
signifie non
seulement la
culpabilité, mais
aussi la pollution.
Le péché est
toujours une
influence
corruptrice dans la
vie, et il s’agit
d’une partie de
notre mort. Nous
sommes par nature
non seulement
injuste aux yeux de
Dieu, mais aussi
impie. Et cette
impiété se manifeste
dans nos pensées,
dans nos paroles et
nos actes. Il est
toujours actif en
nous comme une
fontaine empoisonnée
polluer les cours
d’eau de vie. Et si
ce n’était pas pour
l’influence
restrictive de la
commune grâce de
Dieu, il rendrait la
vie sociale tout à
fait impossible.
2. LES SOUFFRANCES
DE LA VIE. Les
souffrances de la
vie, qui sont le
résultat de l’entrée
du péché dans le
monde, sont
également inclus
dans le châtiment du
péché. Péché a
apporté des
perturbations dans
toute la vie de
l’homme. Sa vie
physique une proie
aux faiblesses et
maladies, malaises
et entraînera
souvent des douleurs
atroce; et sa vie
mentale ont été
soumises à pénibles
troubles qui souvent
volent de la joie de
vivre, lui
disqualifient pour
sa tâche quotidienne
et parfois
entièrement
détruisent son
équilibre mental.
Son âme est devenu
un champ de bataille
de pensées
conflictuelles,
passions et désirs.
La volonté refuse de
suivre l’arrêt de
l’intellect, et les
passions exécutent
émeute sans le
contrôle d’une
volonté
intelligente. La
véritable harmonie
de vie est détruite
et rend la voie à la
malédiction de la
vie divisée. L’homme
est dans un état de
dissolution, qui
comporte souvent des
souffrances plus
poignants. Et non
seulement cela, mais
avec et en raison de
l’homme de que toute
la création a été
faite sous réserve
de vanité et de la
servitude de la
corruption. Les
évolutionnistes en
particulier nous ont
appris à considérer
nature comme « rouge
au bec et ongles ».
Des forces
destructrices sont
souvent rejetés dans
les tremblements de
terre, cyclones,
tornades, éruptions
volcaniques et les
inondations, qui
font une misère
indicible à
l’humanité.
Maintenant, ils sont
nombreux, surtout à
notre époque, qui ne
voient pas la main
de Dieu dans tout
cela et ne considère
pas ces calamités
dans le cadre de la
pénalité du péché.
Et pourtant c’est
exactement ce qu’ils
sont dans un sens
général. Toutefois,
elle ne sera pas
sécuritaire de
préciser et de les
interpréter comme
des sanctions
spéciales pour
certains péchés
graves commis par
ceux qui vivent dans
les zones
sinistrées. Ni qu’il
sera sage de
ridiculiser l’idée
d’un tel lien de
causalité
qu’existait dans le
cas des villes de la
plaine (Sodome et
Gomorrhe), qui ont
été détruits par le
feu du ciel. Nous
devrions toujours
garder à l’esprit
qu’il existe une
responsabilité
collective, et qu’il
y a toujours des
raisons suffisantes,
pourquoi Dieu doit
visiter les villes,
des districts ou des
nations avec les
terribles calamités.
Il est plutôt
étonnant qu’il n’a
pas plus souvent
visite eux dans sa
colère et son
déplaisir endolori.
C’est toujours bien
de garder à l’esprit
ce que Jésus disait
aux Juifs qui lui
avait apporté le
rapport d’une
catastrophe qui a
frappé certains
galiléens et
évidemment a laissé
entendre que ces
galiléens doivent
avoir été très
pécheresses:
« Croyez-vous que
ces galiléens
étaient pécheurs
ci-dessus tous les
galiléens, parce
qu’ils ont subi ces
choses ? Je vous le
dis, Nay: mais sauf
vous repentez, vous
périrez tous
pareillement. Ou ces
dix-huit, sur
lesquels la tour de
Siloé est tombée et
les ont tués,
croyez-vous qu’elles
étaient coupables
surtout les hommes
qui habitent à
Jérusalem ? Je vous
dis vous, Nay: mais,
à moins que vous
repentiez, vous tout
de même périrez. »
Luc 13:2-5.
3. LA MORT PHYSIQUE. La
séparation de corps
et l’âme est aussi
une partie de la
peine du péché. Que
le Seigneur cela
avait à l’esprit
aussi dans la peine
menacée est tout à
fait évident de
l’explication de
celui-ci dans les
mots, « poussière tu
es et à la poussière
tu retourneras »,
03:19. Il ressort
également de
l’ensemble de
l’argument de Paul
dans Romains
05:12-21 et dans I
Corinthiens
15:12-23. La
position de l’église
a toujours été que
la mort dans le
plein sens du terme,
y compris la mort
physique, est non
seulement la
conséquence, mais le
châtiment du péché.
Le salaire du péché
est la mort.
Pélagianisme refusé
cette connexion,
mais le Synode
général de l’Afrique
du Nord de Carthage
(418) prononcé un
anathème contre
n’importe quel homme
qui dit « qu’Adam,
le premier homme, a
été créé mortel,
afin que s’il a
péché ou pas il
serait mort, non pas
comme le salaire du
péché mais par la
nécessité de la
nature. » Sociniens
et rationalistes ont
continué l’erreur
pélagienne, et
encore plus ces
derniers temps, il a
été repris dans les
systèmes de ces
théologiens
kantienne,
hégélienne ou Ritschlian qui font
presque péché un
moment nécessaire
dans le
développement moral
et spirituel de
l’homme. Leur point
de vue trouve appui
en sciences
naturelles de nos
jours, qui considère
la mort physique
comme un phénomène
naturel de
l’organisme humain.
La constitution
physique de l’homme
est telle qu’il
meurt forcément.
Mais ce point de vue
elle-même salue pas
étant donné que
l’organisme physique
est renouvelée tous
les sept ans de
l’homme, et que
relativement peu de
gens meurent de
vieillesse et de
l’épuisement
complet. De loin le
plus grand nombre
d'entre eux meurent
à la suite de
maladie et
d’accident. Il est
également à
l’encontre du fait
que l’homme ne se
sent pas que la mort
est quelque chose de
naturel, mais il
craint comme une
séparation
artificielle de ce
qui appartient à
l’ensemble.
4. LA MORT ÉTERNELLE.
Cela peut être
considéré comme
l’apogée et la fin
de la mort
spirituelle. Les
contraintes du
présent tombent, et
la corruption du
péché a son travail
parfait. Tout le
poids de la colère
de Dieu descend sur
le condamné. Leur
séparation d'avec
Dieu, source de vie
et de joie, est
terminée, et cela
signifie la mort
dans le plus
terrible de sens du
mot. Leur état vers
l’extérieur est
faite pour
correspondre avec
l’État vers
l’intérieur de leur
âme maléfique. Il y
a des affres de la
conscience et de la
douleur physique. Et
la fumée de leur
tourment qui, vers
le haut pour
toujours et jamais.
14:11. L’examen
ultérieur de cette
question appartient
à l’eschatologie.
QUESTIONS
pour une étude plus
approfondie.
Pourquoi beaucoup de
libéraux modernes ne
nie tous châtiments
positives pour le
péché ? Est-ce que
la position du tout
défendable que les
peines du péché se
composent
exclusivement dans
les conséquences
naturelles de
péché ? Quelles
objections vous avez
à ce poste ? Comment
expliquez-vous
l’aversion
généralisée à l’idée
que la punition du
péché est une
justification de la
Loi et de la justice
de Dieu ? Les peines
du péché servent-ils
aussi comme moyens
de dissuasion et
comme moyen de
réforme ? Quelle est
la conception
biblique de la
mort ? Pouvez vous
prouver par les
écritures qu’il
comprend la mort
physique ? Est la
doctrine de la mort
éternelle conforme à
l’idée que la
punition du péché
sert simplement
comme un moyen de
réforme, ou un effet
dissuasif ?
LITTÉRATURE: Bavinck,
Geref. Dogme.
III,
pp. 158-198; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De
Peccato, p.
93-112; Strong,
Syst.
Theol., pp.
652-660. Raymond,
Syst.
Theol. II, p.
175-184; Shedd,
Doctrine de
châtiment sans fin;
Washington Gladden,
théologie de nos
jours, Chaps.
IV et V; Kennedy,
St.
Conceptions des
dernières choses,
pp. 103-157; de Paul
Dorner,
syst de Chr. Doct.
III, pp. 114-132.
L'Homme
dans l'Alliance de la Grace
Nom et Concept de l’Alliance
A. LE NOM.
1. DANS L’ANCIEN TESTAMENT. Le mot hébreu pour l'Alliance est toujours berith, un mot de dérivation incertaine. L’opinion plus générale, c’est qu’il est dérivé du verbe hébreu barah, pour couper et contient donc un rappel de la cérémonie mentionnée à 15:17. Certains, toutefois, préfèrent penser qu’il est dérivé du mot assyrien beritu, signifiant « bind ». Ce serait à la fois point au Pacte comme un lien. La question de la dérivation est sans grande importance pour la construction de la doctrine. Le mot berith peut signifier un accord mutuel volontaire (dipleuric), mais aussi une disposition ou arrangement imposé par une partie sur un autre (monopleuric). Sa signification exacte ne dépend pas sur l’étymologie du mot, ni sur l’évolution historique du concept, mais simplement sur les parties concernées. Dans la mesure où une des parties est subordonné et a moins à dire, l’Alliance acquiert le caractère d’une aliénation ou d’arrangement imposé par une partie sur l’autre. Berith devient alors synonyme de choq (nommé loi ou ordonnance), Ex. 34:10; Ésaïe 59:21; Jérémie 31:36; 33: 20; 34:13. c’est pourquoi nous trouvons aussi que karath berith (pour couper une Alliance) est interprétée non seulement avec des prépositionssuis et ben (avec), mais aussi avec lamed (to), Jos. 9:6; Ésaïe 55:3; 61:8; Jérémie 32:40. Naturellement, lorsque Dieu établit une alliance avec l’homme, ce caractère de monopleuric est très bien mis en évidence, pour Dieu et l’homme ne sont pas des parties égales. Dieu est le souverain qui impose ses ordonnances à ses créatures.
2. DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. Dans la Septante, le mot berith est rendu diatheke dans chaque passage où il se produit à l’exception de Deut. 09:15 (marturion) et I rois 11:11 (entole). Le mot diatheke vise uniquement à cet usage, sauf en quatre passages. Cette utilisation du mot semble assez particulière compte tenu du fait qu’il n’est pas le mot grec habituel pour l'Alliance, mais vraiment dénote une dispositionet par conséquent aussi un testament. Le mot ordinaire pour Pacte est suntheke. Les traducteurs n’avait l’intention de substituer une autre idée pour l’idée de Pacte ? Évidemment pas, car dans Ésaïe 28: 15, ils utilisent les deux termes comme des synonymes, il diatheke évidemment signifie un Pacte ou un accord. Il n’y a donc aucun doute à ce sujet qu’ils attribuent cette signification à diatheke. Mais la question demeure: pourquoi ils donc généralement éviter d’utiliser des suntheke et il remplace un mot qui désigne une disposition plutôt qu’un accord ? Selon toute probabilité la raison réside dans le fait que, dans le monde grec, l’idée de Pacte exprimée par suntheke , s’inspire de l’égalité juridique des parties à un tel point, qu’il pourrait pas, sans grande modification, être incorporé dans la Scripturaire système de pensée. L’idée que la priorité appartient à Dieu dans la création de l'Alliance, et qu’il impose souverainement son alliance sur l’homme était absent du mot grec habituel. La substitution du mot dans lequel ce était donc très importante. Le mot diatheke ainsi, comme beaucoup d’autres mots, a reçu une nouvelle signification, lorsqu’il est devenu le véhicule de la pensée divine, ce changement est important dans le cadre de l’utilisation de Nouveau Testament du mot. Il y a eu des divergences d’opinion concernant la traduction correcte du mot considérables. Dans environ la moitié des passages dans lesquels il se produit la Hollande et les Versions autorisées restituent le mot « Alliance » tandis que l’autre moitié elles rendent « testament ». La Version révisée américaine, cependant, rend « covenant » partout, sauf dans les Hébreux 09:16, 17. C’est donc, mais naturel, que la question devrait être soulevée, quel est le sens de Nouveau Testament du mot ? Certains prétendent qu’il a son sens classique d’aliénation ou de testament, partout où il se trouve dans le Nouveau Testament, tandis que d’autres soutiennent que cela signifie testament dans certains endroits, mais que, dans la grande majorité des passages l’idée de Pacte est en bonne place au premier plan. C’est sans doute la vue correcte. Nous nous attendrions à un priorily que l’utilisation du Nouveau Testament serait en général accord avec celle de la LXX; et une étude attentive des passages pertinents montre que la Version révisée américaine est sans aucun doute sur la bonne voie, quand il traduit diatheke par « testament » seulement en Hébreux 09:16, 17. Selon toute vraisemblance, il n’y a pas un seul autre passage où cette interprétation est correcte, ne même pas II Cor. 3:6, 14. Le fait que plusieurs traductions du Nouveau Testament par ce qui suit « testament » pour le « Pacte » dans de nombreux endroits est probablement due à trois causes: (a) le désir de mettre l’accent sur la priorité de Dieu dans le cadre de l’opération; (b) l’hypothèse que le mot devait être rendu autant que possible en harmonie avec les Hébreux 09:16, 17; et (c) l’influence de la traduction latine, qui l’a rendue uniformément diatheke par « testamentum. »
B. LE CONCEPT.
L’idée de Pacte développée dans l’histoire avant que Dieu fait toute utilisation officielle du concept dans la révélation de la rédemption. Alliances entre hommes avaient été faites longtemps avant Dieu établit son alliance avec Noé et Abraham, et cette hommes prêts à comprendre l’importance d’un engagement dans un monde divisé par le péché et les a aidés à comprendre la révélation divine, quand il a présenté relation de l’homme à Dieu comme une relation d’Alliance. Cela ne signifie pas, toutefois, que l’idée de Pacte provenait d’homme et fut ensuite empruntée par Dieu sous une forme appropriée pour la description de la relation réciproque entre lui-même et l’homme. Tout le contraire est vrai; l’archétype de toute alliance vie se trouve dans l’être Trinitaire de Dieu, et ce que l'on voit chez les hommes n’est qu’une pâle copie (insupportable). Dieu ordonna donc la vie de l’homme qui l’idée de Pacte devrait se développer comme un des piliers de la vie sociale, et après elle s’était tellement développée, il l’introduit officiellement en tant qu’expression de la relation existante entre lui-même et l’homme. La relation de l’alliance entre Dieu et l’homme a existé dès le début et donc bien avant la création officielle de l’Alliance avec Abraham.
Alors que le mot berith sert souvent d’alliances chez les hommes, mais elle inclut toujours une idée religieuse. Un Pacte est un Pacte ou une entente entre deux ou plusieurs parties. Il peut être et chez les hommes plus généralement est, un accord auquel parties, qui peuvent se rencontrer sur un pied d’égalité, viennent volontairement après une stipulation minutieuse de leurs obligations mutuelles et de privilèges; mais il peut aussi être de la nature d’une disposition ou d’arrangement imposé par une partie supérieure qui est inférieure et accepté par ce dernier. Il est généralement confirmé par une cérémonie solennelle que la présence de Dieu et obtient ainsi un caractère inviolable. Chacun des parties s’engage à la réalisation de certaines promesses sur la base des conditions stipulées. Maintenant, nous ne devrions pas dire que nous ne pouvons pas parler correctement d’une alliance entre Dieu et l’homme, parce que les parties sont trop inégales et donc se prononcer sur l’hypothèse que l’Alliance de grâce n’est rien d’autre que la promesse de Salut sous la forme d’un Pacte. En faisant cela nous échouerions à rendre justice à l’idée de Pacte comme elle est révélée dans les Ecritures. Il est parfaitement vrai que les deux l’Alliance de travaille et (comme la suite montrera) l’Alliance de grâce sont monopleuric à l’origine, qu’ils sont de la nature des arrangements ordonnés et institué par Dieu, et que Dieu a la priorité dans les deux; mais ils sont quand même des alliances. Dieu daigna gracieusement à descendre au niveau de l’homme et à lui rendre hommage en lui traitant plus ou moins sur le pied d’égalité. Il précise ses exigences et assure ses promesses, et homme assume les obligations ainsi imposées sur lui volontairement et hérite donc de la bénédiction. Dans l’Alliance des œuvres homme pourrait satisfaire aux exigences de l'Alliance en vertu de sa dotation en ressources naturelles, mais dans l’Alliance de grâce, il est activé à leur ne rencontre que par l’influence de régénération et de sanctification de l’Esprit Saint. Dieu travaille chez l’homme et le vouloir et faire, accordant gracieusement sur lui tout ce dont il a besoin de lui. On l’appelle l’Alliance de grâce, parce que c’est une révélation sans précédent de la grâce de Dieu, et parce que l’homme reçoit toutes ses bénédictions en cadeau de la grâce divine.
II. L'Alliance du rachat
A. UNE DISCUSSION
DISTINCTE DE CE
SUJET EST
SOUHAITABLE.
Il
existe différentes
représentations
concernant les
parties dans
l’Alliance de grâce.
Certains considère
comme la Trinité
Dieu et l’homme,
soit sans
qualification, ou en
quelque sorte,
qualifiées de « le
pécheur, » « les
élus », ou « l’homme
dans le Christ »;
d’autres, Dieu le
père, comme
représentant la
Trinité et le Christ
comme représentant
les élus;
et
encore d’autres,
depuis les jours de
Coccejus, distinguer
les deux pactes, à
savoir, Pacte de
rachat (pactum
salutis) entre
le père et le fils
et, comme sur cette
base, l’Alliance de
grâce entre le Dieu
triune et les élus
ou les élus pécheur.
La seconde de ces
représentations a un
certain avantage
d’un point de vue
systématique. Il
peut demander
l’appui de ces
passages comme
romains 05:12-21 et
I Cor. 15:21, 22,
47-49 et souligne le
lien indissoluble
entre le
pactum
salutis et
l’Alliance de grâce.
Il met en évidence
l’unité de
l’Alliance en Christ
et est soutenu entre
autres par Boston,
Gib, Dick, A. Kuyper
SR., H. Kuyper et A.
Kuyper, Jr. La
troisième
représentation est
plus perspicuous,
cependant, est plus
facile à comprendre
et n’est donc plus
utilisable dans une
analyse pratique de
la théorie de
l'Alliance. Il
échappe à beaucoup
de confusion qui est
accessoire à l’autre
point de vue et est
suivie par la
majorité des
théologiens
réformés, comme
faire, à Marck,
Turretin, Witsius,
Heppe, Hodges,
Shedd, Vos, Bavinck
et Honig. Il n’y a
pas de différence
essentielle
entre ces deux
représentations. Dit
m. Hodge: « Il n’y a
aucune différence
doctrinale entre
ceux qui préfèrent
l’une instruction et
ceux qui préfèrent
l’autre; entre ceux
qui comprennent tous
les faits des
écritures relatives
à ce sujet en vertu
d’un pacte entre
Dieu et le Christ
comme le
représentant de son
peuple et ceux qui
les distribuent
moins de deux ans. »
c’est le cas, le
troisième mode de
représenter tout ça
sans aucun doute
mérite la
préférence. Mais à
la suite il nous
devons garder à
l’esprit ce que dit
Shedd: « bien que
cette distinction
(entre l'Alliance de
rachat et l’Alliance
de grâce) est
favorisée par les
déclarations de
l’écriture, il ne
s’ensuit pas qu’il y
a deux conventions
distinctes et
indépendantes
antithétique pour
l’Alliance des
œuvres. L’Alliance
de la grâce et la
rédemption sont deux
modes ou phases du
un Pacte évangélique
de la miséricorde. »
B. LES DONNÉES
SCRIPTURAIRES POUR
L'ALLIANCE DE LA
RÉDEMPTION.
Le nom « avocat de
la paix » est dérivé
de Zacharie 06:13.
Coccejus et autres
trouvent dans ce
passage une
référence à un
accord entre le père
et le fils. C’était
clairement une
erreur, car les mots
se rapportent à
l’union des offices
royales et
sacerdotales dans le
Messie. Le caractère
biblique du nom ne
peut être maintenu,
mais cela, bien sûr,
ne déroge pas à la
réalité de l’avocat
de la paix. La
doctrine de cet
éternel Conseil
repose sur la base
scripturaire
suivante.
1.
écriture indique
clairement le fait
que le plan de
rédemption a été
inscrite dans le
décret éternel ou le
Conseil de Dieu,
Éphésiens 1:4 et
suiv.; 03:11; II
Thessaloniciens.
02:13; II Timothée
1:9; Jac. 2:5; I
Pierre 1:2, etc..
Maintenant, nous
constatons que dans
l’économie de la
rédemption il
existe, dans un
sens, une division
du travail: le père
est à l’origine, le
fils de l’exécuteur
testamentaire, et le
Saint esprit
l’applicateur. Cela
ne peut être le
résultat d’un accord
volontaire entre les
personnes de la
Trinité, ainsi que
leurs relations
internes prendre la
forme d’une vie de
Pacte. En fait,
c’est exactement
dans la vie
trinitaire que nous
trouvons l’archétype
des alliances
historiques, une
Alliance dans le
sens correct et
plein du terme, les
parties réunies sur
un pied d’égalité,
un vrai
suntheke.
2. il existe des
passages de
l’écriture qui non
seulement soulignent
le fait que le plan
de Dieu pour le
salut des pécheurs
était éternel,
Éphésiens 1:4; 3:9,
11, mais également
indiquer qu’il était
de la nature d’une
Alliance. Christ
parle de promesses
qui lui est faites
avant son avènement
et à plusieurs
reprises fait
référence à une
commission qu’il
avait reçues du
père, John 05:30,
43; 06:38-40;
17:4-12. et en Rom.
05:12-21 et I Cor.
15:22 il est
clairement considéré
comme un
représentant
responsable,
c'est-à-dire la tête
d’une Alliance.
3. chaque fois que
nous avons les
éléments essentiels
d’une Alliance, à
savoir, parties
contractantes, une
promesse ou
promesses et une
condition, là nous
avons un Pacte. Dans
le Psaume 2:7-9, les
parties sont
mentionnés et une
promesse est
indiquée. Le
caractère
messianique de ce
passage est garanti
par des actes 13:33;
Hébreux 1:5; 5:5.
encore une fois,
dans Psaume 40:7-9,
également attesté
comme messianique
par le Nouveau
Testament (Héb.
10:5-7), l’exprime
de Messie, il était
prêt à faire la
volonté du père va
devenir un sacrifice
pour le péché.
Christ parle à
plusieurs reprises
d’une tâche que le
père a confié à lui,
John 06:38, 39;
10:18; 17:4.
l’instruction revêt
une importance
particulière dans
Luc 22:29: « Je
nomme t’un Royaume,
alors même que mon
père nommé à moi. »
Le verbe utilisé ici
est
diatithemi, le
mot qui dérive
diatheke
, c'est-à-dire de
désigner par
testament, testament
ou Pacte. En outre,
dans Jean 17:5
Christ revendique
une récompense, et
dans Jean 17:6, 9,
24 (cf. aussi
Philippiens 2:9-11),
il se réfère à son
peuple et sa gloire
future comme une
récompense lui
donnée par le père.
4. il y a deux
passages de l’ancien
Testament qui
relient l’idée de
l'Alliance
immédiatement avec
le Messie, à savoir,
PS. 89:3, qui
s’inspire de II
Samuel 07:12-14 et
s’avère un passage
messianique par Héb.
1:5; et 42:6
d’Ésaïe, où la
personne visée est
la servante du
Seigneur. La
connexion montre
clairement que ce
serviteur n’est pas
seulement Israël. En
outre, il y a des
passages où le
Messie parle de Dieu
comme
Son Dieu,
utilisant ainsi la
langue de Pacte, à
savoir, Psaume 22:1,
2 et PS. 40:8.
C. LE FILS DANS
L'ALLIANCE DE LA
RÉDEMPTION.
1. LA POSITION
OFFICIELLE DU CHRIST
DANS CETTE ALLIANCE.
La position de
Christ dans
l'Alliance de la
rédemption est
double. En premier
lieu, il est garant
(Gr. egguos), un mot
qui est utilisé
uniquement dans
Hébreux 07:22. La
dérivation de ce mot
est incertaine et ne
peut donc nous aider
à établir sa
signification. Mais
le sens n’est pas
douteux. Une caution
est une personne qui
s’engage à devenir
responsable de ce
que les obligations
légales d’un autre
seront atteint. Dans
l'Alliance de
rachat, Christ a
entrepris d’expier
les péchés de son
peuple en portant la
peine nécessaire et
pour répondre aux
exigences de la loi
pour eux. En prenant
la place de l’homme
délinquant, et il
est devenu le
dernier Adam est
ainsi également le
chef de l’Alliance,
le représentant de
tous ceux que le
père lui a donné.
Puis, dans
l'Alliance de
rachat, Christ est
caution et la tête.
Il a pris sur lui
les responsabilités
de son peuple. Il
est également leur
caution à l’Alliance
de grâce, qui se
développe hors de
l’Alliance de la
rédemption. La
question a été
soulevée, si le
cautionnement du
Christ à l’avocat de
la paix était
conditionnelle ou
inconditionnelle. La
jurisprudence
romaine reconnaît
deux types de
cautionnement, l’un
désigné
fidejussoret
les autres
expromissor. Le
premier est
conditionnel et ce
dernier
inconditionnel. La
première est une
caution qui s’engage
à payer pour un
autre, pourvu que
cette personne ne
rend pas lui-même
satisfaction. Le
fardeau de la
culpabilité demeure
sur la partie
coupable jusqu’au
moment du paiement.
Ce dernier,
cependant, est une
caution qui prend
sur lui sans
condition de payer
pour un autre, ainsi
de délester la
partie coupable de
sa responsabilité à
la fois. Coccejus et
son école maintient
que dans le Conseil
de la paix, Christ
est devenu un
fidejussor, et
que, par conséquent,
fidèles de l’ancien
Testament n’apprécié
aucun complète de
pardon des péchés.
De Rom. 03:25 qu'ils
ont déduit que pour
les saints il y a
seulement une
parésie,
un dominant de
péché, sans
APHEIS
ni le pardon
complet, jusqu'à ce
que Christ a
vraiment fait
l’expiation pour le
péché. Leurs
adversaires a
affirmé, cependant,
que le Christ a pris
sur lui
sans condition
pour rendre
satisfaction pour
son peuple et par
conséquent est
devenu une caution
dans le sens
spécifique d’un
expromissor.
C’est la position
tenable uniquement,
pour: (a) croyants
de l’ancien
Testament a reçu
toutes les
justifications ou
pardon, si la
connaissance de
celui-ci n’était pas
aussi complet et
clair, comme il est
dans la dispensation
du Nouveau
Testament. Il n’y
avait pas de
différence
essentielle entre le
statut de l’ancien
et celui des
croyants du Nouveau
Testament, Psaume
32: 1, 2, 5; 51:
1-3, 9-11; 103:3,
12; Ésaïe 43: 25;
Romains 3:3, 6-16;
Galates 3:6-9. La
position de Coccejus
rappelle celle des
catholiques romains
avec leurs
Limbus
Patrum. b
théorie des Coccejus
rend le œuvre de
Dieu en faisant
provision pour le
rachat des pécheurs
dépendante
l’obéissance
incertaine de
l’homme d’une
manière totalement
injustifiée. Il n’y
a pas de sens en
disant que le Christ
est devenu une
caution
conditionnelle,
comme s’il était
encore possible que
le pécheur doit
payer pour lui-même.
La provision de Dieu
pour la rédemption
des pécheurs est
absolue. Ce n’est
pas autant dire
qu’il ne traite pas
et adresse le
pécheur comme
personnellement
coupable jusqu'à ce
qu’il est justifié
par la foi, pour
cela, c’est
exactement ce que
Dieu ne. (c) en Rom.
03:25, le passage
aux quels appels
Coccejus, l’Apôtre
utilise le mot
parésie
(dominant ou passant
au-dessus), pas les
croyants individuels
dans l’ancien
Testament n’a pas
reçu une
réhabilitation
complète du péché,
mais parce que
durant la
dispensation de
vieux le pardon du
péché a pris la
forme d’une
parésie,
tant que péché
n’avait pas été
adéquatement
sanctionné dans le
Christ, et la
justice absolue du
Christ n’avait pas
été révélée dans la
Croix.
2. LE CARACTÈRE DE
CETTE ALLIANCE EST
ASSUMÉ PAR LE
CHRIST. Bien que
l'Alliance de la
rédemption est le
fondement éternel de
l’Alliance de grâce,
et, autant que
pécheurs sont
concernés, aussi son
prototype éternelle,
c’est pour le
Christ, une Alliance
des œuvres plutôt
qu’une Alliance de
grâce. Pour lui le
droit de l’Alliance
originale appliquée,
à savoir que la vie
éternelle seulement
pouvait être obtenue
qu’en répondant aux
exigences de la Loi.
Le dernier Adam
Christ obtient la
vie éternelle pour
les pécheurs en
récompense pour
l’obéissance fidèle
et pas du tout comme
don de grâce
imméritée. Et ce
qu’il a fait comme
le représentant et
garant de tout son
peuple, ils ne sont
pas plus en devoir
de le faire. Le
travail a été fait,
la récompense est
justifiée et
croyants sont faits
participants des
fruits du travail
accompli du Christ
par la grâce.
3. LE TRAVAIL DE CHRIST
DANS L'ALLIANCE
LIMITÉE PAR
LE DÉCRET
D’ÉLECTION. Certains
ont identifié
l'Alliance de rachat
et d’élection; mais
c’est clairement une
erreur. Élection a
la référence à la
sélection des
personnes destinées
à être les héritiers
de la gloire
éternelle dans le
Christ. L’avocat de
la rédemption, en
revanche, se réfère
à la façon dans
laquelle et le moyen
par lequel la grâce
et la gloire sont
préparés pour les
pécheurs. Élection,
en effet, aussi a
référence à Christ
et estime avec le
Christ, pour les
croyants sont censés
être élu en lui.
Christ lui-même est,
en un sens, l’objet
de l’élection, mais
à l’avocat de la
rédemption, il est
l’un des
contractants. Le
père s’occupe avec
le Christ comme le
garant de son
peuple. Logiquement,
élection précède
l’avocat de la
rédemption, parce
que le cautionnement
du Christ, comme son
expiation, est
particulier. S’il
n’y a aucune
élection précédente,
il serait
nécessairement
universelle. En
outre, pour ce
demi-tour
équivaudrait à faire
le cautionnement du
Christ la terre
d’élection, alors
que les bases de
l’écriture élection
entièrement sur le
bon plaisir de Dieu.
4. RACCORDEMENT DES
SACREMENTS UTILISÉ
PAR LE CHRIST AVEC
L'ALLIANCE. Christ a
utilisé les
sacrements de
l’ancien et le
Nouveau Testament.
Il est évident,
toutefois, qu’elles
ne pourraient pas
signifier pour lui
ce qu’ils font pour
les croyants. Dans
son cas, ils
pourraient être ni
de symboles ni de
phoques de la grâce
salvatrice; ne
pourrait pas joué un
rôle important dans
le renforcement de
sauver la foi. Si
nous distinguons,
comme nous le
faisons, entre
l'Alliance de rachat
et l’Alliance de
grâce, les
sacrements étaient
alors Christ tous
les sacrements de la
probabilité de
l’ancien, plutôt que
de ce dernier.
Christ a pris sur
lui dans l'Alliance
de rachat pour
répondre aux
exigences de la Loi.
Ces avaient pris une
forme définie quand
Christ était sur
terre et comprenait
également des
règlements religieux
positives. Les
sacrements faisaient
partie de la
présente loi, et
c’est pourquoi le
Christ a dû se
soumettre à eux,
Matthieu 03:15. Dans
le même temps, elles
pourraient servir
comme joints des
promesses dont le
père avait donné à
son fils.
L’objection peut
être portée à cette
représentation que
les sacrements
étaient en effet fit
symboles et joints
de l’enlèvement du
péché et de la
nourriture de la vie
spirituelle, mais de
la nature de
l’affaire ne
pouvaient avoir
cette signification
pour le Christ, qui
n’avait aucun péché
et ne doit aucun spiri Tual
nourriture.
L’objection peut
être satisfaite, au
moins dans une
certaine mesure, en
appelant l’attention
sur le fait que
Christ est apparu
sur terre dans une
capacité publique et
officielle. Bien
qu’il n’avait aucun
péché personnel et
aucun sacrement
pourrait donc
signifier et sceller
lui son retrait,
mais il a été fait
péché pour son
peuple, II
Corinthiens 05:21,
par être accablés
avec leur
culpabilité; et par
conséquent les
sacrements
pourraient signifier
la suppression de ce
fardeau, selon la
promesse du père,
après avoir terminé
son œuvre
expiatoire. Encore
une fois, bien que
nous ne pouvons
parler de Christ
comme exercice de
sauver
la foi dans le
sens où c’est requis
de nous, pourtant,
comme le Médiateur
qu’il devait exercer
la foi en un sens
plus large, en
acceptant les
promesses du père
believingly et en
faisant confiance au
père pour leur
accomplissement. Et
les sacrements
pourraient servir de
signes et joints à
renforcer cette foi
dans la mesure où sa
nature humaine était
concernés.
D. EXIGENCES ET
PROMESSES DANS
L'ALLIANCE DE LA
RÉDEMPTION.
1. EXIGENCES. Le
père requis du fils,
qui est apparu dans
cette alliance comme
la caution et la
tête de son peuple
et comme le dernier
Adam, qu’il devrait
faire modifie pour
le péché d’Adam et
de ceux dont le père
lui avaient donné et
devraient faire ce
que Adam n’a pas
fait en gardant la
Loi et assurer ainsi
la vie éternelle
pour tous ses
descendants
spirituels. Cette
obligation figure
les indications
suivantes:
a. qu’il doit
assumer la nature
humaine en étant né
d’une femme et donc
entrer en relations
temporelles; et
qu’il devrait
assumer cette nature
avec ses infirmités
présentes, bien que
sans péché, Galates
4:4, 5; Héb. 02:10,
11, 14, 15; 4:15. il
était absolument
indispensable qu’il
devrait devenir l’un
de la race humaine.
b. que lui, qui
comme le fils de
Dieu était supérieur
à la Loi, devrait se
placer sous la Loi;
qu’il doit entrer,
non seulement dans
le naturel, mais
aussi dans la
relation fédérale et
pénale à la Loi,
afin de payer la
peine pour le péché
et à la vie
éternelle du mérite
pour les élus, PS.
40:8; Matthieu
05:17, 18; John
08:28, 29; Galates
4:4, 5; Philippiens
2:6-8.
c. qu’il, après
avoir mérité pardon
des péchés et la vie
éternelle pour le
sien, devrait
s’appliquer à eux
les fruits de ses
mérites:
réhabilitation
complète et le
renouvellement de
leur vie par le
biais de l’opération
puissante de
l’Esprit Saint. En
faisant cela il
rendrait tout à fait
certain que les
croyants seraient
consacrent leur vie
à Dieu, John 10:16;
John 16:14, 15;
17:12, 19-22;
Hébreux 2: 10-13;
07:25.
2. PROMESSES. Les
promesses du père
étaient conforme à
ses exigences. Il a
promis le fils tout
ce qui était
nécessaire à
l’accomplissement de
sa tâche grande et
complète, ce qui
exclut toute
incertitude dans le
fonctionnement de
cette Alliance. Ces
promesses
comprennent les
suivants:
a. qu’il préparerait
le fils un corps,
qui serait un
tabernacle fit pour
lui; un corps en
partie préparé par
l’Agence immédiate
de Dieu et non
contaminé par le
péché, Luc 01:35;
Héb. 10:5.
b. qu’il serait lui
conférer avec les
dons nécessaires et
les grâces pour
l’accomplissement de
sa mission et en
particulier oignent
lui pour les offices
messianiques en lui
donnant l’esprit
sans mesure, une
promesse qui a été
accomplie en
particulier au
moment de son
baptême , Ésaïe 42:
1, 2; 61: 1; John
03:31.
c. qu’il appuierait
dans l’exercice de
son travail, lui
livrerait de la
puissance de la mort
et ainsi lui
permettrait de
détruire la
domination de Satan
et d’établir le
Royaume de Dieu,
Ésaïe 42: 1-7; 49:8;
Psaume 16:8-11;
Actes à 02:25-28.
d. qu’il permettrait
à lui, comme une
récompense pour son
travail accompli,
d’envoyer l’Esprit
Saint pour la
formation de son
corps spirituel et
pour l’instruction,
la direction et la
protection de
l’église, Jean
14:26; 15:26; 16:13,
14; Actes à 02:33.
e. qu’il donnerait à
lui une graine de
nombreux en
récompense de son
travail accompli,
une graine si
nombreux qu’il
serait une foule que
personne ne pouvait
dénombrer, de sorte
que finalement le
Royaume du Messie
serait embrasser les
gens de toutes les
nations et les
langues , PS. 22:27;
72:17.
f. qu’il
s’engagerait à lui
tout pouvoir au ciel
et sur terre pour le
gouvernement du
monde et de son
église, Matthieu 28:
18; EP 01:20-22;
Philippiens 2:9-11;
Hébreux 2:5-9; et
enfin récompenserait
lui comme médiateur
auprès de la gloire
que lui comme le
fils de Dieu avait
avec le père avant
que le monde fût,
Jean 17:5.
E. LA RELATION DE
CETTE ALLIANCE À
L’ALLIANCE DE GRÂCE.
Les points suivants
indiquent la
relation dans
laquelle cette
Alliance se trouve à
l’Alliance de grâce:
1. l’avocat de la
rédemption est le
prototype éternel de
l’Alliance
historique de grâce.
Ceci explique le
fait que beaucoup
combiner les deux
dans une alliance
unique. Le premier
est éternel,
c'est-à-dire, de
l’éternité, le
second, temporelle
dans le sens qu’il
est réalisé dans le
temps. Le premier
est un pacte entre
le père et le fils
comme la caution et
la tête des élus,
tandis que le second
est un pacte entre
le Dieu trinitaire
et le pécheur élu
dans la caution.
2. l’avocat de la
rédemption est le
fondement solide et
éternel de
l’Alliance de grâce.
S’il n’y avait eu
aucun avocat
éternelle de la paix
entre le père et le
fils, il n’aurait pu
être aucun accord
entre le Dieu triune
et des hommes
pécheurs. L’avocat
de la rédemption,
l’Alliance de grâce
est possible.
3. l’avocat de la
rédemption par
conséquent donne
également
l’efficacité de
l’Alliance de grâce,
pour en elle que les
moyens sont fournis
pour la création et
l’exécution de ce
dernier. C’est
seulement par la foi
que le pécheur peut
obtenir les
bénédictions de
l’Alliance, et
l’avocat de la
rédemption s’ouvre à
la voie de la foi.
L’Esprit Saint, qui
produit la foi dans
le pécheur, a promis
à Christ par le
père, et
l’acceptation de la
façon de vivre par
la foi a été
garantie par le
Christ.
l'Alliance de rachat
peut être défini
comme
l’accord entre le
père,
ce qui
donne le fils comme
tête et Rédempteur
des élus,
et le
fils,
volontairement
prenant la place de
ceux que le père lui
avait donné.
III. Nature de l’Alliance de grâce
Dans une discussion
de la nature de
l’Alliance de grâce
plusieurs points
viennent aux fins
d’examen, tels que
la distinction entre
elle et l'Alliance
de travaux, les
parties
contractantes, le
contenu, les
caractéristiques de
l'Alliance et la
place du Christ dans
l'Alliance.
A. COMPARAISON DE
L’ALLIANCE DE LA
GRÂCE ET L’ALLIANCE
DES ŒUVRES.
1. POINTS DE
SIMILITUDE. Les
points d’accord sont
de nature assez
générale. Les deux
pactes d’accord en
ce qui concerne (a)
l’auteur: Dieu est
l’auteur des deux;
Il a seulement pu
établir ces pactes;
b les parties
contractantes, qui
sont dans les cas
Dieu et homme; (c)
la forme externe, à
savoir, la condition
et la promesse; (d)
le contenu de la
promesse qui est
dans les deux cas la
vie éternelle; et
(e) l’objectif
général, qui est la
gloire de Dieu.
2. POINTS DE
DIFFÉRENCE. b dans
l’Alliance des
œuvres, Dieu
apparaît comme
créateur et
Seigneur; dans
l’Alliance de grâce,
comme Rédempteur et
père. La mise en
place de l’ancien a
été motivée par
l’amour de Dieu et
la bienveillance;
celle de ce dernier,
par sa miséricorde
et la grâce
spéciale. (b) dans
l’Alliance des
œuvres homme
apparaît simplement
comme créature de
Dieu, à juste titre
associé à son Dieu;
dans l’Alliance de
grâce, il apparaît
comme un pécheur qui
a perverti ses voies
et ne peut
apparaître comme un
parti dans le
Christ, la caution.
Par conséquent, il
n’y a aucun
médiateur dans le
premier cas, alors
qu’il y a dans ce
dernier. (c)
l’Alliance des
œuvres dépendait de
l’obéissance
incertaine d’un
homme changeant,
tandis que
l’Alliance de grâce
repose sur
l’obéissance de
Christ en tant que
médiateur, qui est
absolu et certain.
(d) dans l’Alliance
des œuvres
l’observance de la
Loi est le mode de
vie; dans l’Alliance
de grâce, c’est la
foi en Jésus Christ.
Quelle que soit la
foi s’imposait dans
l’Alliance des
œuvres faisait
partie de la justice
de la Loi; dans
l’Alliance de grâce,
cependant, c’est
simplement l’organe
par lequel nous
prenons possession
de la grâce de Dieu
en Jésus Christ. (e)
l’Alliance des
œuvres a été en
partie connu par
nature, puisque la
Loi de Dieu a été
écrite dans le cœur
de l’homme; mais
l’Alliance de grâce
est connu
exclusivement par
une révélation
spéciale de
positive.
B. LES PARTIES
CONTRACTANTES.
Tout comme
l’Alliance des
œuvres, donc dans
l’Alliance de grâce,
Dieu est le premier
des parties
contractantes, la
partie qui prend
l’initiative et
gracieusement
détermine la
relation dans
laquelle la deuxième
partie se tiendra à
lui. Il apparaît
dans cette Alliance,
cependant, non
seulement comme un
souverain et un Dieu
bienveillant, mais
aussi et surtout,
comme un père
bienveillant et
indulgent, prêt à
pardonner le péché
et à restaurer les
pécheurs pour sa
communion bénie.
Il n’est pas facile
de déterminer avec
précision qui est la
deuxième partie. En
général on peut dire
que Dieu a établi
naturellement
l’Alliance de grâce
avec l’homme déchu.
Historiquement, il
n’y a pas
d’indication précise
de toute limitation
jusqu'à ce que nous
arrivons à l’époque
d’Abraham. En cours
de temps qu'il est
devenu parfaitement
évident, cependant,
que cette nouvelle
relation de
l’Alliance n’était
pas censé inclure
tous les hommes.
Quand Dieu a
officiellement créé
l’Alliance avec
Abraham, il a limité
au patriarche et sa
postérité. Par
conséquent, la
question se pose de
savoir les limites
exactes de
l'Alliance.
Les
théologiens réformés
ne sont pas unanimes
pour répondre à
cette question.
Certains disent
simplement que Dieu
a fait l’Alliance
avec le pécheur,
mais cela ne suggère
aucune limite que ce
soit et ne satisfait
donc pas. D’autres
affirment qu’il il
prit avec Abraham et
sa postérité,
c'est-à-dire, son
naturel, mais
surtout son
spirituel,
descendants; ou,
mettre dans une
forme plus générale,
avec les croyants et
leur postérité. La
grande majorité
d'entre eux,
toutefois,
soutiennent qu’il
est entré dans la
relation de
l’Alliance avec les
élus ou l’élus
pécheur dans le
Christ. Cette
position a été
adoptée par plus tôt
ainsi que par des
représentants plus
tard de la théologie
fédérale. Même
Bullinger dit le
« Pacte de Dieu
comprend la toute
semence d’Abraham,
c'est-à-dire les
croyants. » Il
trouve cela d’être
en harmonie avec
l’interprétation de
Paul de « la
graine » dans
Galates 3. Dans le
même temps, il
détient également
que les enfants des
croyants sont dans
un certain sens,
inclus dans
l'Alliance.
Et Olevian,
co-auteur avec
Ursinus Catéchisme
de Heidelberg, dit
que Dieu a créé
l’Alliance avec
« tous ceux que
Dieu, hors de la
masse des hommes
perdus, a décidé
d’adopter comme des
enfants par la grâce
et de les doter de
foi. »
C’est également la
position du faire,
Turretin, Owen, Gib,
Boston, Witsius,
Marck, Francken,
Brakel, Comrie,
Kuyper, Bavinck,
Hodge, Vos et à
d’autres.
Mais maintenant, la
question se pose, ce
qui induit ces
théologiens de
parler de l'Alliance
car préparée avec
les élus, malgré
toutes les
difficultés
pratiques
impliquées ? Ils
n’étaient pas au
courant de ces
difficultés ? Il
ressort de leurs
écrits qu’ils
étaient pleinement
conscients d’eux.
Mais ils ont estimé
qu’il était
nécessaire
d’envisager
l'Alliance d’abord
dans son sens le
plus profond, car il
est réalisé dans la
vie des croyants.
Alors qu’ils ont
compris que d’autres
avaient une place
dans l’Alliance dans
un certain sens du
mot, ils ont
néanmoins estiment
que c’était une
place subordonnée,
et que leur relation
avec elle a été
calculée pour être
soumise à la pleine
réalisation de
celui-ci dans une
vie d’amitié avec
Dieu. Et ce n’est
pas étonnant compte
tenu des
considérations
suivantes:
1. ils ont identifié
l'Alliance de rachat
et l’Alliance de
grâce, qui a estimé
qu’il est non
scripturaire pour
distinguer les deux,
naturellement
pensaient à elle
avant tout comme un
Pacte établi avec le
Christ comme le
représentant en chef
de tous ceux que le
père avait compte
tenu de lui; une
Alliance dans
laquelle il est
devenu la caution
des élus et ainsi
garanti leur
rédemption complète.
En effet, dans
l'Alliance de rachat
seulement les élus
entrent en
considération. La
situation est
pratiquement la même
dans le cas de ceux
qui distinguent les
deux pactes, mais
insister sur leur
relation étroite et
représentent
l’Alliance de la
rédemption comme
fondement éternel de
l’Alliance de grâce,
pour dans le premier
seulement la grâce
de Dieu, car il est
glorifié et
perfectionnée dans
les élus, vient en
considération.
2. même dans
l’histoire de la
création de
l’Alliance avec
Abraham, interprété
à la lumière du
reste de l’écriture,
réformé les
théologiens trouvés
des preuves
abondantes que,
fondamentalement,
l’Alliance de grâce
est un Pacte établi
avec ceux qui sont
dans le Christ. La
Bible permet de
distinguer une
double de semence
d’Abraham. Le début
de la présente se
trouve nettement à
21:12, où nous
trouvons Dieu dit à
Abraham: « à Isaac
sera ta postérité
appelée », excluant
donc Ismaël. Paul,
pour interpréter ces
mots parle d’Isaac
en tant qu’enfant de
la promesse, et par
« un enfant de la
promesse » il ne
veut pas simplement
dire un enfant
promis, mais un
enfant qui n’est pas
né de la manière
ordinaire, mais, en
vertu de la
promesse, par une
opération
surnaturelle de
Dieu. Il connecte
également avec elle
l’idée d’un enfant à
qui appartient la
promesse. Selon lui,
l’expression, « à
Isaac ta postérité
appellera, » indique
que « il n’est pas
les enfants de la
chair qui sont
enfants de Dieu;
« mais les enfants
de la promesse sont
reconnus pour une
graine ». Romains
9:8. La même idée
est exprimée en gal
04:28, « maintenant,
nous, frères, comme
Isaac, sont des
enfants de la
promesse, » et, par
conséquent aussi les
héritiers des
bénédictions
promises, cf. vs 30.
C’est tout à fait en
harmonie avec ce que
l’Apôtre dit dans
Galates 03:16:
« maintenant à
Abraham étaient les
promesses orales et
à sa postérité. Il a
dit non et aux
semences, à partir
de plusieurs; mais à
partir de l’un et à
ta postérité, qui
est le Christ. » La
graine n’est pas
limitée au Christ,
mais comprend tous
les croyants. « Et
si vous êtes de
Christ, alors vous
êtes la postérité
d’Abraham, héritiers
selon la promesse. »
GAL 03:29. W. Strong
dans son
discours des deux
pactes attire
l’attention sur la
subordination
suivante dans la
mise en place de
l'Alliance. Il dit
qu’il a été fait »
(1) premier et
immédiatement avec
le Christ le second
Adam: (2) en lui
avec tous les
fidèles: (3) en eux
avec leurs
semences. »
3. encore un autre
facteur devrait
prendre en
considération. Les
théologiens réformés
ont été profondément
conscients du
contraste entre
l’Alliance des
œuvres et l’Alliance
de grâce. Ils
estimaient que dans
l’ancien la
récompense de
l'Alliance dépendait
de l’obéissance
incertaine de
l’homme et par
conséquent n’a pas à
se matérialiser,
tandis que dans
l’Alliance de grâce,
la pleine
réalisation des
promesses est
absolument certain
qu’en vertu de
l’obéissance
parfaite de Jésus
Christ. Sa
réalisation est sûre
grâce à l’opération
de la grâce de Dieu,
mais, bien sûr, bien
sûr que pour ceux
qui participent à
cette grâce. Ils se
sentaient contraints
d’insister sur cet
aspect de
l'Alliance, en
particulier
vis-à-vis des
arminiens et
Neonomians, qui a
pratiquement changé
dans la nouvelle
Alliance des œuvres
et dépende Salut une
fois de plus le
travail de l’homme,
c'est-à-dire, sur la
foi et évangélique
obéissance. Pour
cette raison, ils
ont souligné le lien
étroit entre
l'Alliance de rachat
et l’Alliance de
grâce et même
hésitent à parler de
la foi comme la
condition de
l’Alliance de grâce.
Walker nous dit que
certains les
théologiens écossais
se sont opposés à la
distinction des deux
pactes, parce qu’ils
ont vu en elle une
« tendance... à
Neonomianism, ou,
comme l'Alliance de
réconciliation
(c.-à-d., l’Alliance
de grâce comme
distingué de celui
de la rédemption)
était externe dans
l’église visible,
même une sorte de
bar à traiter
immédiatement avec
le Sauveur et
l’entrée par une foi
s’approprier dans
l’union de vie avec
lui. »
4. dans l’ensemble,
il semble prudent de
dire que théologie
réformée prévoyait
l'Alliance, ne sont
pas directement
comme moyen
tutélaires à sa fin,
mais comme une fin
en soi, une relation
d’amitié; pas
d’abord comme
représentant et dont
un certain nombre de
privilèges externes,
un ensemble de
promesses,
conditionnellement
tendis à l’homme, un
bon simplement
offert à lui; mais
surtout comme
l’expression de la
bénédiction donnée
gratuitement, de
privilèges,
améliorées par la
grâce de Dieu à des
fins spirituelles,
des promesses
acceptées par une
foi qui est le don
de Dieu et d’un
produit réalisé, au
moins en principe,
par le biais de
l’opération du
Saint-Esprit dans la
coeur. Et parce que
dans son estimation
tous cela figurait
dans l’idée de
Pacte, et les
bénédictions de
l’Alliance sont
réalisées uniquement
dans ceux qui sont
en fait sauvé, il a
insisté sur le fait
que l’Alliance de
grâce a été établie
entre Dieu et les
élus. Mais en
faisant cela qu'il
n’a pas voulu nier
également que
l'Alliance a un
aspect plus large.
Dr
David dit en ce qui
concerne ce point de
vue: « faut-il se
souvenir, comment
avec tout cela, que
l'Alliance n’est
aucunement prévu
opération des
élections s’éteint,
ni que tous les non
éluent en dehors de
toute relation à
cette
Pacte-contrôle.
C’est un peu zoo
signifiait, qui
renforce la
certitude hors de la
conscience-Pacte
s’agissant des
élections devrait se
développer; que dans
l’ensemble de
l'Alliance-contrôle,
également dans
l’absolu, complet
promet de Dieu, tels
qu’ils résultent du
résultat des
élections doit être
surveillé, aussi
bien dans la parole
et les sacrements;
qui a finalement
obtenu l’essence de
l'Alliance, sa
pleine realiseering
seulement dans les
vrais enfants de
Dieu se trouve et
pas plus large que
l’élection. En
particulier sur le
second point doit
être assurée. Sauf
qu’il y en a
partout, où
l’Alliance de Dieu,
un sceau de ce
contenu: dans
l’hypothèse de la
présence de la foi,
vous êtes assuré le
droit de tous les
produits Alliance —
sauf que, nous le
disons, il y a
toujours une
déclaration
solennelle et
verzegeling, dat
Dieu en alle
uitverkorenen den
geheelen omvang des
verbonds seront
verwerkelijken. »
L’idée que
l’Alliance est
pleinement réalisée
que dans les élus
est un parfaitement
scripturaire idée,
tel qu’il appert,
par exemple, Jérémie
31: 31-34; Hébreux
8:8-12. En outre, il
est également
inscrit dans la
relation dans
laquelle l’Alliance
de grâce se trouve
au Pacte de la
rédemption. Si dans
le second Christ
devient caution
seulement pour les
élus, alors la
substance réelle de
l’ancienne doit être
limitée à eux aussi.
L’écriture insiste
fortement sur le
fait que l’Alliance
de grâce, à la
différence de
l’Alliance des
œuvres, est une
Alliance inviolable,
dans lequel les
promesses de Dieu
sont toujours
réalisées, Ésaïe
54:10. Cela ne peut
pas être prévu sous
certaines
conditions, car
alors il ne serait
aucune
caractéristique
particulière de
l’Alliance de grâce,
mais
s’appliqueraient à
l’Alliance des
œuvres aussi bien.
Et pourtant, c’est
exactement un des
points importants
dans lequel l’ancien
diffère de ce
dernier, qu’il n’est
pas plus dépendant
sur l’obéissance
incertaine de
l’homme, mais
seulement sur la
fidélité absolue de
Dieu. L’Alliance
promet certainement
se réaliseront, mais
— que dans la vie
des élus.
Mais
maintenant la
question se pose,
que ce soit dans
l’estimation de ces
théologiens réformés
que tous les
non-élus sont à
l’extérieur de
l’Alliance de la
grâce
dans tous les sens
du terme.
Brakel pratiquement
prend cette
position, mais il
n’est pas conforme à
la majorité. Très
bien, ils ont
réalisé qu’une
Alliance de grâce,
qui, en aucun sens
du mot, autres que
les élus inclus,
serait purement
individuelle, tandis
que l’Alliance de
grâce est
représentée dans
l’écriture comme une
idée organique. Ils
étaient pleinement
conscients du fait
que, selon la
révélation spéciale
de Dieu dans
l’ancien et le
Nouveau Testament,
l’Alliance comme un
phénomène historique
se perpétue dans les
générations
successives et
comprend de
nombreuses chez qui
la vie de l'Alliance
est jamais réalisée.
Et chaque fois
qu’ils désiraient
inclure cet aspect
de l'Alliance dans
leur définition, ils
disent que c’est
établie
avec les croyants et
leur postérité.
Il faut avoir à
l’esprit, cependant,
que cette
description de la
deuxième partie dans
l'Alliance
n’implique pas que
l’Alliance est
établie avec les
hommes
dans la qualité des
croyants, pour
la foi elle-même est
un fruit de
l’Alliance. Dr.
Bavinck correctement
dit: « Maar het
verbond der genade
gaat aan het geloof
vooraf. Het geloof
est geen voorwaarde
tot
het verbond, maar
in
het verbond; de weg,
om al de andere
goederen van dat
verbond deelachtig
te worden en te
genieten. »
La
description
« croyants et leurs
semences » sert
simplement une
appellation commode
pratique des limites
de l'Alliance. La
question de
l’harmonisation de
ces deux aspects de
l'Alliance viendra
plus tard.
L’Alliance de grâce
peut être défini
comme
cet accord gracieux
entre le Dieu
offensé et la
délinquance mais
élire pécheur
dans
lequel Dieu promet
le salut par la foi
en Christ, le
pécheur accepte
cette believingly,
et
promettant une vie
de foi et
d’obéissance.
C. LE CONTENU DE
L’ALLIANCE DE GRÂCE.
1. LES PROMESSES DE
DIEU. La principale
promesse de Dieu,
qui comprend toutes
les autres
promesses, est
contenue dans les
mots maintes fois
répétée, « Je serai
un Dieu à toi et à
ta postérité après
toi. » Genèse 17:7.
Cette promesse se
trouve dans l’ancien
et du Nouveau
Testament plusieurs
passages qui parlent
de l’introduction
d’une nouvelle phase
de la vie de
l’Alliance, ou se
référer à un
renouvellement de
l'Alliance, Jérémie
31: 33; 32:38-40;
Ézéchiel 34:
23-25,30,31; 36,
25-28; 37:26, 27; II
Corinthiens
06:16-18; Héb.
08:10. La promesse
se réalise
pleinement quand
enfin la nouvelle
Jérusalem descend du
ciel de Dieu, et le
tabernacle de Dieu
est placé chez les
hommes. Par
conséquent, nous
entendons le dernier
écho de celui-ci
dans Apocalypse
21:3. Cette promesse
de grande est temps
re-écho et à nouveau
dans l’exaltation
jubilatoire de ceux
qui se tiennent dans
la relation de
l’Alliance de Dieu,
« Jéhovah est mon
Dieu. » Cette un
promesse vraiment
comprend toutes les
autres promesses,
tel que (a) la
promesse des
bénédictions
temporelles
différentes, qui
servent souvent à
symboliser à ceux
d’une nature
spirituelle; (b) la
promesse de la
justification,
notamment l’adoption
d’enfants et une
revendication à la
vie éternelle; (c)
la promesse de
l’esprit de Dieu,
pour l’application,
pleine et libre, de
le œuvre de
rédemption et de
toutes les
bénédictions du
Salut; et (d) la
promesse de
glorification finale
dans une vie qui ne
finit jamais. Cf.
Job 19:25-27; PS.
16:11; 73:24-26;
Ésaïe 43: 25;
Jérémie 31: 33, 34;
Ézéchiel 36:27;
Daniel 12:2, 3;
Galates 4:5, 6; Tite
3:7; Hébreux 11:7;
Jac. 2:5.
2. LA RÉPONSE DE
L’HOMME. La sanction
ou la réponse de
l’homme à ces
promesses de Dieu
apparaît
naturellement sous
diverses formes, la
nature de la réponse
étant déterminée par
les promesses. (a)
en général la
relation entre
l’Alliance de Dieu
et le croyant seul
ou croyants
collectivement est
représentée comme
l’étroite relation
entre homme et
femme, époux et
épouse, un père et
ses enfants. Cela
implique que la
réponse de ceux qui
partagent les
bénédictions de
l’Alliance sera l’un
de l’amour vrai,
fidèle, confiante,
consacrée et dédiée.
(b) la promesse
générale, « Je serai
ton Dieu, » l’homme
répond en disant,
« J’ai
appartiendront à ton
peuple » et en
jetant son sort avec
le peuple de Dieu.
(c) et à la promesse
de justification
pour le pardon des
péchés, l’adoption
d’enfants et la vie
éternelle, il répond
en enregistrant la
foi en Jésus-Christ
et par confiance en
lui pour le temps et
l’éternité, une vie
d’obéissance et de
consécration à Dieu.
D. LES
CARACTÉRISTIQUES DE
L’ALLIANCE DE GRÂCE.
1. C’EST UNE
ALLIANCE GRACIEUSE.
Cette Alliance peut
être appelée un
Pacte gracieux, (a)
parce qu’en elle,
Dieu permet une
caution remplir nos
obligations; (b)
parce qu’il a
lui-même fournit la
caution en la
personne de son
fils, qui satisfait
aux exigences de la
justice; et (c)
parce que par sa
grâce, a révélé à
l’opération du
Saint-Esprit, il
permet à l’homme à
la hauteur de ses
responsabilités de
l’Alliance.
l'Alliance est
originaire de la
grâce de Dieu, est
exécuté en vertu de
la grâce de Dieu et
se réalise dans la
vie des pécheurs par
la grâce de Dieu.
C’est la grâce du
début à la fin pour
le pécheur.
2. C’EST UNE
ALLIANCE
TRINITAIRE. Le Dieu triune est
opérationnel dans
l’Alliance de grâce.
Il a son origine
dans l’amour électif
et la grâce du père,
trouve son fondement
judiciaire dans le
cautionnement du
fils et est
entièrement réalisé
dans la vie des
pécheurs que par
l’application
efficace de l’Esprit
Saint, John 01:16;
Éphésiens 1:1-14;
2:8; I Pierre 1:2.
3. C’EST UNE
ALLIANCE ÉTERNELLE
ET DONC INCASSABLE.
Quand on parle de
lui comme une
alliance éternelle,
nous avons la
référence à un
avenir plutôt qu’à
une éternité passée,
17:19; II Samuel
23:5; Hébreux 13:20.
Depuis l’éternité
peut être attribuée
à lui seulement, si
nous ne distinguent
pas entre elle et
l'Alliance de
rachat. Le fait que
l’Alliance est
éternelle implique
également qu’il est
inviolable; et c’est
une des raisons
pourquoi il peut
être appelé un
testament, les
Hébreux 09:17. Dieu
demeure
éternellement fidèle
à son alliance et il
amènera
invariablement à la
pleine réalisation
dans les élus. Cela
ne signifie pas,
toutefois, que
l’homme ne peut pas
et ne se brisera la
relation de
l’Alliance dans
laquelle il se
trouve.
4. IL EST UN
PARTICULIER ET PAS
UNE ALLIANCE
UNIVERSELLE. Cela
signifie (a) qu’il
ne sera pas réalisé
dans tous les
hommes, comme
certains prétendent
universalistes, et
aussi que Dieu n’a
pas voulu qu’il
devrait être réalisé
dans la vie de tous,
comme les pélagiens,
arminiens et
luthériens
enseigner; (b) que,
même comme une
relation d’Alliance
externe il ne
s’étend pas à tous
ceux à qui
l’Évangile est
prêché, car beaucoup
d'entre eux ne sont
pas prêts à être
incorporés dans
l'Alliance; et (c)
que l’offre de
l'Alliance ne vient
pas à tous, car il y
a eu beaucoup
d’individus et même
des nations qui
n’ont jamais faites
connaissant avec le
chemin du Salut.
Certains des anciens
luthériens affirment
que l'Alliance peut
être appelé
universel, parce
qu’il y a eu des
périodes dans
l’histoire où il a
été offert à
l’humanité dans son
ensemble, comme par
exemple, en Adam, de
Noé et sa famille et
même à l’époque des
apôtres. Mais il n’y
a aucun motif pour
faire Adam et Noé
représentant
les bénéficiaires de
l’offre de
l'Alliance; et les
apôtres ne
certainement pas
évangéliser le monde
entier. Certains
théologiens
réformés, Musculus,
Polanus et Wollebius
et d’autres, a parlé
d’un
foedus generale,
à la différence de
la
foedus speciale ac
sempiternum,
mais en faisant cela
dans qu'ils avaient
l’esprit de
l'Alliance général
de Dieu avec toutes
les créatures ,
hommes et bêtes,
créés par Noé. La
dispensation de
Nouveau Testament de
l'Alliance peut être
appelée universelle
en ce sens que,
dedans, l'Alliance
est étendu à toutes
les nations et est
non plus limité aux
Juifs, comme il
était dans
l’ancienne
dispensation.
5. C’EST
ESSENTIELLEMENT LA
MÊME DANS TOUTES LES
DISPENSATIONS, SI
LES MODIFICATIONS DE
SA FORME
D’ADMINISTRATION.
Ceci est contredit
par tous ceux qui
prétendent que les
saints de l’ancien
Testament ont été
sauvés d’une autre
manière que les
croyants de Nouveau
Testament, comme par
exemple, pélagiens
et Sociniens, qui
détiennent que Dieu
a donné une aide
supplémentaire dans
l’exemple et les
enseignements du
Christ; les
catholiques romains,
qui affirment que
les saints de
l’ancien Testament
étaient dans le
Limbus
Patrum jusqu'à
la descente du
Christ aux enfers;
les adeptes de
Coccejus, qui
affirment que les
croyants de l’ancien
Testament apprécié
seulement une
parésie
(un passant
au-dessus) et aucun
APHEIS
(plein pardon des
péchés); et
aujourd'hui
dispensationalistes,
qui distinguent
plusieurs alliances
différentes
(Scofield mentionne
7; Milligan, 9) et
insistent sur la
nécessité de les
garder distincts.
L’unité de
l’Alliance dans
toutes les dispenses
est prouvée par le
texte suivant:
a. l’expression
analytique de
l'Alliance est le
même partout, aussi
bien dans l’ancien
et du Nouveau
Testament: « Je
serai ton Dieu. »
C’est l’expression
du contenu essentiel
de l’Alliance avec
Abraham, Genèse
17:7, de l’Alliance
du Sinaï, Ex. 19:5;
20:1, de l’Alliance
de la plaines de
Moab, Deut. 29: 13,
de l’Alliance
davidique, II sam
07:14 et de la
nouvelle Alliance,
Jérémie 31: 33; Héb.
08:10. Cette
promesse est
vraiment un résumé
tout complet et
contient une
garantie des
bénédictions de
l’alliance parfaite
le plus. Christ se
déduit du fait que
Dieu est appelé le
Dieu d’Abraham,
Isaac et Jacob, que
les patriarches sont
en possession de la
vie éternelle,
Matthieu 22:32.
b. la Bible enseigne
qu’il y a qu’un seul
évangile par que les
hommes peuvent être
sauvés. Et parce que
l’Évangile n’est
rien d’autre que la
révélation de
l’Alliance de grâce,
il s’ensuit qu’il y
a aussi mais un
Pacte. Cet évangile
a été déjà entendu
dans la promesse de
maternelle, 03:15, a
été prêché à
Abraham, Galates 3:8
et ne peut-être pas
être supplanté par
un Évangile
Judaistic, Galates
1:8, 9.
c. Paul soutient
longuement vis-à-vis
du judaïsme que la
façon dont Abraham
obtenu Salut est
typique pour les
croyants du Nouveau
Testament, peu
importe qu’ils
soient juifs ou
gentils, Romains
4:9-25; Galates
3:7-9,17, 18. Il
parle d’Abraham
comme le père des
croyants et prouve
clairement que
l’Alliance avec
Abraham est toujours
en vigueur. Il est
parfaitement clair à
partir de l’argument
de l’Apôtre dans
Romains 4 et Galates
3 que la loi n’a pas
annulée ni modifiée
de l'Alliance. Cf.
aussi Hébreux
06:13-18.
d. le médiateur de
l’Alliance est le
même hier,
aujourd'hui et
éternellement,
Hébreux 13:8. Y
a-t-il dans nul
autre Salut, John
14:6; ni est il un
autre nom sous le
ciel, qui est donné
parmi les hommes,
par lequel nous
devions être sauvés,
actes 04:12. La
graine a promis à
Abraham est Christ,
gal 03:16, et celles
qui sont identifiées
avec le Christ sont
les vrais héritiers
de l'Alliance,
Galates 03:16-29.
e. le chemin du
Salut révélé dans
l'Alliance est le
même. L’écriture
insiste sur des
conditions
identiques tout le
long, Genèse 15:6,
par rapport aux
Romains 04:11;
Hébreux 2:4; Actes
15:11; Galates 3:6,
7; Hébreux 11:9. Les
promesses, pour la
réalisation dont les
croyants espéraient,
étaient également
les mêmes, Genèse
15:6; PS. 51:12;
Matthieu 13:17; John
08:56. Et les
sacrements, mais
différant en forme
ont essentiellement
la même
signification dans
les deux dispenses,
Rom. 04:11; J’ai
Cor. 5:7; 02:11, 12.
f. il
est conditionnelle
et inconditionnelle.
La question est
posée à plusieurs
reprises, si
l'Alliance est
conditionnelle ou
inconditionnelle. Il
s’agit d’une
question qui ne peut
être tranchée sans
discrimination
prudente, car la
réponse sera
fonction de point de
vue d'où l'Alliance
est considéré.
D’une
part, l'Alliance est
inconditionnel.
Il n’y a aucune
condition qui peut
être considérée
comme
méritoiredans
l’Alliance de grâce.
Le pécheur est
exhorté à se
repentir et de
croire, mais sa foi
et le repentir ne
méritent pas en
quelque sorte les
bénédictions de
l’Alliance. Cela
doit être maintenue
en opposition à la
fois catholique et
la position
arminienne. Il n’est
pas conditionnelle
en ce sens que
l’homme est censé
effectuer dans sa
propre force, ce que
l'Alliance exige de
lui. En ce qui le
place devant les
exigences de
l'Alliance, nous
devons toujours lui
rappeler le fait
qu’il peut obtenir
la force nécessaire
à l’accomplissement
de son devoir que de
Dieu. Dans un sens,
on peut affirmer que
Dieu lui-même
remplit la condition
dans les élus. Ce
qui peut être
considéré comme une
condition de
l'Alliance, est pour
ceux qui sont
choisis pour la vie
éternelle aussi une
promesse et donc un
don de Dieu. Enfin,
l’Alliance n’est pas
conditionnelle en ce
sens que la
réception de toutes
les bénédictions
distinctes de
l'Alliance dépend
d’une condition.
Nous pouvons dire
que la foi est la
condition sine qua
non de la
justification, mais
la réception de la
foi elle-même dans
la régénération
n’est pas dépendante
de toute condition,
mais seulement sur
l’opération de la
grâce de Dieu en
Christ.
D’autre
part l'Alliance peut
être appelé
conditionnel.
Il y a un sens dans
lequel l'Alliance
est conditionnels.
Si l'on considère la
base de l’Alliance,
il est clairement
conditionnelle sur
le cautionnement de
Jésus Christ. Afin
d’introduire
l’Alliance de grâce,
le Christ devait et
effectivement,
remplissait les
conditions prévues à
l’origine dans
l’Alliance des
œuvres, par son
obéissance active et
passive. Encore une
fois, on peut
affirmer que
l'Alliance est
conditionnel jusqu'à
la première entrée
consciente dans
l’Alliance comme une
véritable communion
de vie est
concernée. Cette
entrée est
subordonnée à la
foi, une foi,
cependant, qui est
elle-même un don de
Dieu. Quand nous
parlons de la foi
comme condition ici,
nous nous référons
naturellement à la
foi comme une
activité spirituelle
de l’esprit. C’est
seulement par la foi
que nous pouvons
obtenir une
jouissance
consciente des
bienfaits de
l'Alliance. Notre
connaissance
expérimentale de la
vie de Pacte dépend
entièrement de
l’exercice de la
foi. Celui qui ne
vit pas une vie de
foi est,
autant
que sa conscience
est préoccupée,
pratiquement en
dehors de
l’Alliance. Si dans
notre domaine de
compétence, nous
comprennent non
seulement le début,
mais aussi le
déroulement
progressif et fin de
l’Alliance de vie,
nous pouvons
considérer
sanctification comme
condition en plus de
la foi. Les deux
sont des conditions,
toutefois, au sein
de l’Alliance.
Églises réformées
ont souvent s’est
opposée à
l’utilisation du mot
« condition » dans
le cadre de
l’Alliance de la
grâce. C’était en
grande partie due à
une réaction contre
l’arminianisme, qui
employait le mot
« condition » dans
un sens non
scripturaire, et
donc à un échec de
discriminer
correctement.
compte tenu de ce
qui a été dit dans
ce qui précède, il
semble être tout à
fait approprié de
parler d’une maladie
dans le cadre de
l’Alliance de la
grâce, pour (1) la
Bible indique
clairement que
l’entrée dans la vie
de Pacte est
conditionnée à la
foi , John 03:16,
36; Actes à 08:37
(ne pas trouvé dans
quelques MSS.);
Romains 10:9; (2)
Ecriture menace
souvent des enfants
de l’Alliance, mais
ces menaces
s’applique
exactement à ceux
qui ignorent la
condition,
c'est-à-dire qui
refusent de marcher
dans la voie de
l'Alliance; et (3)
s’il n’y a aucune
condition, Dieu
seulement serait lié
par l'Alliance, et
il n’y aurait pas de
« lien de
l'Alliance » pour
homme (mais cf.
Ézéchiel 20:37); et
donc l’Alliance de
grâce perdrait son
caractère comme une
Alliance, car il y a
deux parties dans
tous les pactes.
g.
l'Alliance peut en
quelque sorte être
appelé un testament.
Compte tenu du fait
qu’un testament est
une déclaration
absolue et ne
connaît aucune
condition, s’est
demandé si c’est bon
à tous d’appliquer
le terme
« testament » au
Pacte. Il y a mais
un passage dans le
Nouveau Testament où
il semble être
justifiables pour
rendre le mot
diatheke
par « testament, » à
savoir, les Hébreux,
09:16, 17. Il Christ
est représenté par
le testateur,
l’Alliance de grâce,
considérée comme un
testament, dont la
mort devient
efficace. Il y avait
une disposition
testamentaire des
bénédictions de
l'Alliance, et il
est entré en vigueur
par le biais de la
mort du Christ.
C’est le seul
passage dans lequel
l'Alliance est
explicitement appelé
un testament. Mais
l’idée que les
croyants reçoivent
les bénédictions
spirituelles de
l’Alliance d’une
manière
testamentaire est
implicite dans
plusieurs passages
de l’écriture, bien
que la
représentation
implicite est
légèrement
différente de celle
des Hébreux 09:16,
17. C’est Dieu
plutôt que Christ
qui est le
testateur. Dans
l’ancien et le
Nouveau Testament,
mais surtout dans le
second, les croyants
sont représentés en
tant qu’enfants de
Dieu, légalement par
adoption et
éthiquement par la
nouvelle naissance,
John 01:12; ROM.
08:15, 16; Galates
4:4-6; J’ai John
3:1-3, 9.
Maintenant, les
idées de l’héritage
et héritage sont
naturellement
associées à celui de
la filiation, et par
conséquent il n’est
pas étonnant qu’on
les retrouve
fréquemment dans
l’écriture. Paul
dit: « et si
enfants, puis les
héritiers, » Rom.
08:17; Voir aussi
romains 04:14; GAL
03:29; 4:1, 7; Tite
3:7; Héb. 06:17;
11:7; Jac. 2:5.
Compte tenu de ces
passages il est
indubitable que
l'Alliance et les
bénédictions de
l’Alliance sont
représentées dans
l’écriture en
héritage. Mais cette
représentation est
encore basée sur
l’idée d’un
testament, avec
cette différence,
cependant, que la
confirmation de
l'Alliance
n’implique pas la
mort du testateur.
Les croyants sont
héritiers de Dieu
(qui ne peut pas
mourir) et des
cohéritiers avec
Christ, Rom. 08:17.
Il est parfaitement
évident que pour le
pécheur, l'Alliance
a un côté
testamentaire et
peut être considéré
comme un héritage;
mais maintenant, la
question se pose, si
il peut aussi
assumer ce
personnage pour le
Christ. Une réponse
affirmative semble
être nécessaire
compte tenu du fait
que nous sommes
appelés
co-héritiers
avec le Christ. Est
il alors aussi un
héritier ? Peut
répondre à cette
question par
l’affirmative au vu
de la déclaration
trouve dans Luc
22:29. L’héritage
mentionnée ici est
la médiatrice gloire
du Christ, qu’il a
reçue en héritage du
père, et qui, lui, à
son tour, communique
en héritage à tous
ceux qui sont siens.
Mais bien qu’il y a
sans aucun doute un
côté testamentaire
au Pacte, ce n’est
qu’un côté de la
question et n’exclut
pas l’idée que
l'Alliance est
vraiment un Pacte.
Il peut être appelé
un testament, parce
que (1) il est dans
son ensemble un don
de Dieu; (2) la
dispensation de
Nouveau Testament de
celui-ci qui est
inaugurée par la
mort du Christ; (3)
il est ferme et
inviolable; et (4)
en elle, Dieu
lui-même donne ce
qu’il demande de
l’homme. Pourtant
cela ne devrait pas
être interprété
comme signifiant
qu’il n’y a pas deux
parties au Pacte, et
qu’il est donc
absolument
monopleuric.
Cependant inégale,
que les parties en
eux-mêmes peuvent
être, Dieu
condescend à
descendre au niveau
de l’homme et par sa
grâce lui permet
d’agir comme le
deuxième parti au
Pacte. Une Alliance
de monopleuric dans
le sens absolu du
mot n’est vraiment
une
contradictio in
adjecto. En
même temps ces
théologiens qui
soulignent le
caractère
monopleuric de
l’Alliance l’a fait
pour mettre l’accent
sur une vérité
importante, à
savoir, que Dieu et
l’homme ne satisfont
pas aux uns aux
autres à mi-chemin
dans l'Alliance,
mais que Dieu se
résume à man et
gracieusement
établit son
l’Alliance avec lui,
librement donnant
tout ce qu’il
demande, et que
l’homme est vraiment
le seul que les
bénéfices de
l’Alliance. Il est
essentiel,
cependant, que le
caractère dipleuric
de l'Alliance seront
maintenues, car
l’homme semble
vraiment dedans
comme satisfaisant
aux exigences de
l'Alliance dans la
foi et la
conversion, si c’est
seulement que Dieu
opère en lui et le
vouloir et de faire,
selon son bon
Pleasure e.
E. LA RELATION DE
CHRIST À L’ALLIANCE
DE GRÂCE.
Christ est
représenté dans
l’écriture comme le
médiateur de
l’Alliance. Le mot
grec
mesites ne se
trouve pas en grec
classique, mais se
produit en Philo et
en plus tard des
auteurs grecs. Dans
la Septante, qu'il
est constaté qu’une
fois, Job à 09:33.
Le mot anglais
« Médiateur », ainsi
que la Hollande « Middelaar »
et l’allemand « Mittler, »
pourraient nous
amener à penser
qu’il (mesites)
désigne tout
simplement celui qui
arbitre entre les
deux parties, un
intermédiaire dans
le sens général du
terme. Il faut avoir
à l’esprit,
cependant, que
l’idée biblique est
beaucoup plus
profonde. Christ est
le médiateur dans
plusieurs sens. Il
intervient entre
Dieu et l’homme, non
pas simplement
d’intenter une
action pour la paix
et à persuader, mais
comme armé avec
puissance
plénipotentiaire,
pour faire tout ce
qui est nécessaire
pour établir la
paix. L’utilisation
de la parole
mesites
dans le Nouveau
Testament justifie
notre parlant d’une
double médiation du
Christ, à savoir,
celui de la caution
et celui de l’accès
(Gr.
prosagoge, Rom.
5:2). Dans la
plupart des passages
où le mot est trouvé
dans le Nouveau
Testament, il est
égal à
egguoset par
conséquent pointe
vers Christ comme
celui qui, en
prenant sur lui la
culpabilité des
pécheurs, a mis fin
à leur relation
pénale à la Loi et
restaurés à bon
droit relation à
Dieu. C’est le sens
du mot en Héb. 8:6;
09:15 et 12:24. Dans
Hébreux 07:22 le
terme
egguos s’est
appliqué à Christ.
Il y a un passage,
cependant, dans
lequel le mot
mesites
a une signification
qui est plus en
accord avec le sens
ordinaire du mot
« médiateur », comme
celui qui est appelé
dans d’arbitrer
entre les deux
parties et à les
concilier, à savoir
I Timothée 2:5. Ici
le Christ est
représenté comme
médiateur en ce sens
que, sur la base de
son sacrifice, il
rassemble Dieu et
l’homme. Le œuvre du
Christ, tel
qu’indiqué par le
mot
mesites,
comporte deux
volets. Il travaille
en ce qui a trait à
Dieu dans ce qui a
trait à l’homme,
dans le domaine
juridique objectif
et dans la sphère
morale subjective.
Dans le premier, il
favorise le
déplaisir just de
Dieu par l’expiation
de la culpabilité du
péché, intercède
pour ceux que le
père lui a donné et
il fait
effectivement leurs
personnes et
services acceptables
à Dieu. Et dans le
second cas, il se
révèle aux hommes la
vérité concernant
Dieu et leur
relation avec lui
les conditions de
service acceptable,
persuade et leur
permet de recevoir
la vérité et dirige
et les soutient dans
toutes les
circonstances de la
vie, afin de
perfectionner leur
« Deliverance ». En
faisant ce travail,
il emploie le
ministère des
hommes, II
Corinthiens 05:20.
IV. le double Aspect de l'Alliance
En parlant des
parties
contractantes dans
l’Alliance de grâce,
il a été déjà laissé
entendre que
l’Alliance peut être
envisagée de deux
points de vue
différents. Il y a
deux aspects
différents de
l'Alliance, et
maintenant se pose
la question, dans
quelle relation ces
deux stand à
l’autre ? Cette
question a été
répondue dans
différentes
manières.
A. UNE ALLIANCE EXTERNE ET UNE
ALLIANCE INTERNE.
Certains ont établi
une distinction
entre l’externe et
une interne
Alliance. L’Alliance
externe a été conçu
comme un dans lequel
statut d’une
personne dépend
entièrement de
l’exécution de
certaines tâches
religieuses
extérieures. Sa
position est tout à
fait correcte, s’il
le fait ce qui est
exigé de lui, un peu
dans le sens
catholique. Parmi
cette Alliance a
pris une forme
nationale d’Israël.
Peut-être personne
ne travaille sur la
doctrine de
l’Alliance externe
avec une plus grande
cohérence que Thomas
Blake. La ligne de
démarcation entre
l’externe et interne
Pacte n’était pas
toujours représentée
de la même manière.
Certains baptême
connecté avec
l’externe et
confession de foi et
de l’Eucharistie,
avec l'Alliance
interne; d’autres
pensaient de baptême
et de la confession
comme appartenant à
l’Alliance externe
et de l’Eucharistie
comme sacrement de
l'Alliance interne.
Mais le problème
c’est que cet
ensemble, la
représentation se
traduit par un
dualisme dans la
conception de
l’Alliance qui n’est
pas justifiée par
l’écriture; Il donne
une Alliance externe
qui n’est pas
interpénétrée par
l’interne.
L’impression qu’il y
a un Pacte dans
lequel l’homme peut
prendre une position
tout à fait correcte
sans enregistrer de
foi; mais la Bible
ne connaît pas
d’Alliance. Il y a,
en effet, privilèges
externes et les
bénédictions de
l’Alliance, et il y
a les personnes qui
aiment ces seuls;
mais ces cas sont
des anomalies qui ne
peuvent pas être
systématisées. La
distinction entre un
externe et un Pacte
interne ne
tient-elle pas.
Ce point de vue ne
doit pas être
confondu avec vue
sur un autre et
connexe, nommément,
qu’il y a un externe
et un aspect interne
de l’Alliance de
grâce (faire et
autres).
Conformément à la
présente certains
acceptent leurs
responsabilités de
l’Alliance d’une
manière
véritablement
spirituelle, du
cœur, tandis que
d’autres acceptent
seulement par une
profession
extérieure avec la
bouche et par
conséquent ne sont
apparemment dans
l'Alliance. Faire
fait référence à
Judas Iscariote,
Simon le sorcier,
ceux qui ont foi
temporelle et
autres. Mais le
problème est que,
selon ce point de
vue, le non élu et
non-régénérer sont
des appendices
purement externes au
Pacte et sont
simplement
considérés comme
enfants de
l’Alliance
par nous
en raison de notre
myopie, mais aucun
enfant de l'Alliance
à tous
aux yeux de Dieu.
Ils ne sont pas
vraiment dans
l'Alliance et par
conséquent ne
peuvent vraiment
devenir briseurs de
pacte non plus. Il
propose pas de
solution du problème
dans quel sens le
non élu et
non-régénérer, qui
sont membres de
l’église visible,
sont des enfants de
l’Alliance
aussi à
la vue de Dieuet
peut donc devenir
briseurs de Pacte.
B. L’ESSENCE ET
L’ADMINISTRATION DE
L’ALLIANCE.
D’autres, comme par
exemple, Olevian et
Turretin,
distinguent entre
l’essence et
l’administration de
l’Alliance. Selon
Turretin l’ancien
correspond à la
vocation interne et
l’église invisible
constituées au moyen
de cet appel; et
celui-ci, à l’appel
externe et l’église
visible, comme étant
composée de ceux qui
sont appelés à
l’extérieur par la
parole.
L’administration de
l’Alliance consiste
seulement dans
l’offre de salut
dans la prédication
de la parole et dans
les autres externes
privilèges que tous
partager qui ont une
place dans l’église,
y compris de
nombreux non élu.
L’essence de
l'Alliance,
cependant, inclut
également l’accueil
spirituel de toutes
les bénédictions de
l'Alliance, la vie
en union avec le
Christ et s’étend
donc aux élus
seulement. Cette
distinction a
certainement
contient un élément
de vérité, mais il
n’est pas tout à
fait logique et
clair. Alors que
l’essence et la
forme constituerait
une antithèse,
essence et
l’administration ne
sont pas. Ils
peuvent soumettre à
l’invisible et
l’église visible,
comme Turretin
semble l’intention,
ou à la fin ou la
réalisation et
l’annonce de
l'Alliance, comme
Olevian comprend la
distinction. Mais si
l’ancien est
destiné, il serait
préférable de parler
de l’essence et de
la révélation; et si
ce dernier est
destiné, il serait
préférable de parler
de l’objectif et les
moyens de sa
réalisation. Ici
aussi, la question
reste sans réponse,
si et dans quelle
mesure le non élu
est Pacte enfants
aussi
dans l’yeux de Dieu.
C. UNE ALLAINCE CONDITIONNEL
ET UNE ALLIANCE ABSOLUE.
Encore d’autres,
comme par exemple,
Koelman, parlent
d’un conditionnel et
un Pacte absolu.
Koelman met l’accent
sur le fait que,
lorsqu’un externe et
une interne Alliance
sont distinguent,
seulement une
alliance unique est
prévue, et les
termes « externes »
et « internes »
servent simplement à
insister sur le fait
que tous ne sont pas
dans l'Alliance
d’exactement de la
même manière.
Certains sont dedans
simplement par une
externe confession,
à la jouissance des
privilèges externes
et d’autres par une
copieuse acceptation
de celui-ci, de
jouir de la
bénédiction du
Salut. De même, il
souhaite qu’il soit
bien entendu que,
lorsqu’il dit que
certains sont dans
l'Alliance à
l’extérieur et sous
certaines
conditions, il ne
signifie pas
d’affirmer qu’ils ne
sont pas vraiment
dans l'Alliance,
mais seulement qu’il
ne peut obtenir les
bénédictions
promises de
l'Alliance , sauf en
se conformant à la
condition de
l'Alliance. Cette
représentation,
aussi, sans aucun
doute contient un
élément de vérité,
mais en Koelman, il
est lié vers le haut
de manière avec la
notion d’un externe
et un Pacte interne,
qu’il s’agit
dangereusement
proche de l’erreur
d’accepter deux
pactes, surtout
quand il prétend qui
durant la
dispensation de
Nouveau Testament
Dieu intègre des
nations entières et
des royaumes dans
l'Alliance.
D. L'ALLIANCE COMME
UNE RELATION
PUREMENT JURIDIQUE
ET COMME UNE
COMMUNION DE VIE.
Les théologiens
réformés, comme
Kuyper et Bavinck
Honig, parlent des
deux côtés de
l’Alliance, l’une
externe et l’autre
interne. Dre Vos
utilise des termes
qui sont plus
spécifiques,
lorsqu’il établit
une distinction
entre l'Alliance
comme une relation
purement juridique
et Pacte comme une
communion de vie. Il
y a clairement un
cadre juridique et
un aspect moral au
Pacte. l'Alliance
peut être considéré
comme un accord
entre deux parties,
avec mutuelles
conditions et
stipulations et donc
comme quelque chose
dans le legal
sphère. l'Alliance
en ce sens peut
exister même lorsque
rien n’est fait pour
réaliser son
objectif, à savoir
la condition à
laquelle il pointe
et pour qui il
appelle comme le
véritable idéal. Les
parties qui vivent
en vertu de cet
accord sont dans
l'Alliance, car ils
sont sous réserve
des stipulations
mutuelles convenues.
Dans le domaine
juridique, tout est
examiné et
réglementé de façon
purement objective.
Le facteur
déterminant dans ce
domaine est tout
simplement la
relation qui a été
créée et pas
l’attitude que l'on
tient pour acquis à
cette relation. La
relation existe
indépendamment de
son inclinaison ou
réticence, l’aime et
n’aime pas, à cet
égard. Il semblerait
que pour être à la
lumière de cette
distinction que la
question devrait
être répondu, qui se
trouvent dans
l’Alliance de
grâce ? Si la
question est posée
avec la relation
juridique, et que
seulement, à
l’esprit et,
vraiment, s’élève à
la requête, qui sont
dans l’obligation de
vivre dans
l'Alliance et dont
on peut s’attendre
qu’ils le feront ? —
la réponse est,
croyants et leurs
enfants. Mais si la
question est posée
dans le but de
l’Alliance comme une
communion de vie et
prend la forme très
différente, en qui
fait de cette
question de la
relation juridique
dans une communion
de vie avec le
Christ ? — la
réponse ne peut
être, que dans la
régénération, qui
sont dotés du
principe de la foi,
c'est-à-dire dans
les élus.
Cette distinction
est justifiée par
l’écriture. Il est
presque superflu de
citer des passages
prouvant que
l'Alliance est un
objectif compact
dans le domaine
juridique, car il
est parfaitement
évidents que nous
avons un tel compact
là où les deux
parties conviennent
que dans la présence
de Dieu pour
accomplir certaines
choses qui affectent
leur mutuelle
relation, ou une
partie des promesses
d’accorder certains
avantages sur
l’autre, a fourni
que ce dernier
remplit les
conditions qui sont
fixées. Que
l’Alliance de grâce
est un tel compact
est tout à fait
évident de
l’écriture. Il y a
la condition de la
foi, Genèse 15:6,
par rapport aux
Romains 4:3 et
suiv., 20 ff.;
Habacuc 2:4; GAL
03:14-28; Hébreux
11; et il y a aussi
la promesse de la
bénédiction
spirituelle et
éternelle, Genèse
17:7; 12:3; Ésaïe
43: 25; Ézéchiel
36:27; Romains 4:5
ff.; GAL 03:14, 18.
Mais il est
également clair que
l’Alliance dans sa
pleine réalisation
est quelque chose de
plus que cela, à
savoir, une
communion de vie.
Elle peut être déjà
symboliquement
exprimée dans l’acte
de décès entre les
parties des animaux
tués à la création
de l’Alliance avec
Abraham, Genèse
15:9-17. En outre,
il est indiqué dans
ces passages comme
PS. 25: 14; PS. 89:
33, 34; 103:17, 18;
Jérémie 31: 33, 34
(Héb. 08:10-12);
Ézéchiel 36: 25-28;
II Corinthiens
06:16; Apocalypse
21:2, 3.
Maintenant la
question se pose
quant à la relation
entre le pécheur
étant sous la « bond
de l'Alliance » car
une relation
juridique et sa vie
dans la communion de
l'Alliance. Les deux
ne peuvent pas se
concevoir comme
existant aux côtés
de l’autre sans un
lien interne, mais
doivent être
considérés comme
étant plus
intimement liées
entre elles, afin
d’éviter tout
dualisme. Quand on
prend la relation de
l'Alliance lui-même
volontairement, les
deux doivent
naturellement vont
de pair; s’ils ne le
font pas, il
s’ensuit une fausse
relation. Mais dans
le cas de ceux qui
sont nés
dans l'Alliance, la
question est plus
difficile. Celui est
alors possible sans
l’autre ? Est
l'Alliance en
l’occurrence une
relation juridique
strict, dans
lesquelles ce qui
devrait être — mais
n’est pas — prend la
place de la réalité
glorieuse qui
symbolise
l'Alliance ? Y
a-t-il un motif
raisonnable
d’espérer que la
relation d’Alliance
attribuera dans une
communion de vie;
que pour le pécheur,
qui est lui-même
incapable de croire,
l’Alliance va
devenir réellement
une réalité
vivante ? En réponse
à cette question, on
peut affirmer que
Dieu veut sans doute
que la relation de
l’Alliance devra
émettre dans une vie
de Pacte. Et il est
lui-même garantit
par ses promesses
concernant la
semence des croyants
que cela aura lieu,
pas dans le cas de
chaque individu,
mais dans la graine
de l'Alliance
collectivement. Sur
la base de la
promesse de Dieu,
nous pouvons croire
que, sous une
administration
fidèle de
l'Alliance, la
relation de
l’Alliance sera, en
règle générale, être
pleinement réalisée
dans une vie de
Pacte.
E. ADHÉSION À
L’ALLIANCE COMME UNE
RELATION JURIDIQUE.
En discutant
l’adhésion dans
l'Alliance comme une
relation juridique,
il faut avoir à
l’esprit que
l’Alliance en ce
sens n’est pas
simplement un
système de demandes
et promesses,
exigences qui
devraient être
respectées et
promesses qui
devraient être
réalisées; mais
qu’elle comprend
également une
attente raisonnable
que la relation
juridique externe
emportera avec elle
la glorieuse réalité
d’une vie en
communion intime
avec l'Alliance de
Dieu. C’est la seule
façon dont l’idée de
l'Alliance est
entièrement
réalisée.
1. LES ADULTES DANS
L'ALLIANCE. Adultes
ne peuvent entrer ce
Pacte volontairement
par la foi et de la
confession. De là
qu'il s’ensuit que
dans leur cas, à
moins que leur aveux
étaient fausses,
entrée dans
l’Alliance comme une
relation juridique
et dans l'Alliance
comme une communion
de vie coïncide. Non
seulement, ils
prennent sur eux
l’exécution de
certaines tâches
externes; ni faire
ils ont simplement
promis en plus de
cela, qu’ils
exerceront sauver la
foi dans l’avenir;
mais ils avouaient
qu’ils acceptent
l’Alliance avec une
foi vivante, et que
c’est leur désir et
leur intention de
continuer dans cette
foi. Ils entrent
dans la vie pleine
de Pacte à la fois
donc, et c’est la
seule façon dans
laquelle ils peuvent
entrer l'Alliance.
Cette vérité est
implicitement ou
explicitement
rejetée par tous
ceux qui se
connectent à la
confession de foi
avec une Alliance
purement externe.
2. LES ENFANTS DES
CROYANTS DANS
L'ALLIANCE. En ce
qui concerne les
enfants des
croyants, qui
entrent dans
l'Alliance par la
naissance, la
situation est, bien
sûr, quelque peu
différente.
L’expérience
enseigne que, bien
que par la
naissance, ils
entrent dans
l'Alliance comme une
relation juridique,
cela ne signifie pas
nécessairement
qu’ils sont à la
fois dans l'Alliance
comme une communion
de vie. Cela ne
signifie pas encore
que la relation
d’Alliance viendra
jamais à sa pleine
réalisation dans
leur vie. Pourtant,
même dans leur cas,
il doit y avoir une
assurance
raisonnable que
l'Alliance n’est pas
ou ne reste pas de
relation juridique
une simple, avec des
fonctions externes
et privilèges,
pointant vers ce qui
devrait être, mais estégalement aussi
ou dans le temps
deviendra une
réalité vivante.
Cette assurance est
fondée sur la
promesse de Dieu,
qui est absolument
fiable, qu’il
travaille dans les
coeurs de la
jeunesse de
l’Alliance avec sa
grâce salvatrice et
les transformer en
membres vivants de
l'Alliance.
l'Alliance est plus
que la simple offre
de Salut, plus
encore que l’offre
de Salut et la
promesse de croire
en l’Évangile. Il
porte aussi en lui
l’assurance, basée
sur les promesses de
Dieu, qui travaille
chez les enfants de
l'Alliance « quand,
où et comment il
veut, » que la foi
salvatrice va être
forgée dans leur
cœur. Tant que les
enfants de
l'Alliance ne
révèlent pas le
contraire, nous
devrons procéder sur
l’hypothèse qu’ils
sont en possession
de la vie de
l’Alliance.
Naturellement, le
cours des événements
peut s’avérer que
cette vie n’est pas
encore présente; Il
peut même se révéler
qu’il n’est jamais
réalisé dans leur
vie. Les promesses
de Dieu sont donnés
à la postérité des
croyants
collectivement et
non
individuellement.
Promesse de Dieu de
poursuivre son
alliance et de
l’amener à la pleine
réalisation chez les
enfants des
croyants, ne
signifie pas qu’il
va doter chaque
dernier d'entre eux
ayant sauvé la foi.
Et si certains
d'entre eux
continuent dans
l’incrédulité, nous
devrons garder à
l’esprit ce que Paul
dit dans Romains
9:6-8. Ils ne sont
pas tout Israël qui
sont d’Israël; les
enfants des croyants
ne sont pas tous les
enfants de la
promesse. C’est
pourquoi il est
nécessaire de
rappeler même les
enfants de
l’Alliance sans
cesse de la
nécessité de la
régénération et la
conversion. Le
simple fait que l'on
est dans l'Alliance
ne porte pas avec
elle l’assurance du
Salut. Quand les
enfants des croyants
grandissent et venir
aux années de son
pouvoir
discrétionnaire, il
incombe, bien sûr, à
leur faire accepter
leurs
responsabilités
Pacte volontairement
par une véritable
confession de foi.
Faute de quoi c’est,
à proprement parler,
un déni de leur
relation de
l’Alliance. On peut
donc dire que la
relation juridique
dans lequel les
enfants des croyants
stand, précède
l'Alliance comme une
communion de vie et
constitue un moyen
de sa réalisation.
Mais en mettant
l’accent sur
l’importance de
l’Alliance comme un
moyen vers une fin,
nous insistons pas
exclusivement, ni
même principalement,
les exigences de
Dieu et le droit
résultant de
l’homme, mais
surtout la promesse
de l’exploitation
efficace de la grâce
de Dieu dans le cœur
du coven enfants de
fourmi. Si nous
insister sur les
responsabilités de
l'Alliance seulement
ou excessivement et
ne pas donner une
importance due au
fait que, dans
l'Alliance de Dieu
donne que ce soit il
demande de nous, en
d’autres termes, que
ses promesses
couvrent tous ses
besoins, nous sommes
en danger de tomber
dans le piège de
l’Arminianisme.
3. LES RÉGÉNÉRÉS DANS
L'ALLIANCE. Depuis
le précédent qu’il
suit que même les
personnes régénérés
et non convertis
peut être dans
l'Alliance. Ismaël
et Ésaü étaient à
l’origine dans
l'Alliance, les
méchants fils d’Eli
étaient des enfants
de l’Alliance, et la
grande majorité des
Juifs à l’époque de
Jésus et les apôtres
appartenait au
peuple de l’Alliance
et partagée dans les
promesses de
l’Alliance, bien
qu’ils ne
respectaient pas les
foi de leur père
Abraham. C’est
pourquoi la question
se pose, dans quel
sens ces personnes
peuvent être
considérées comme
étant dans
l'Alliance. Le Dr de Kuyper dit qu’ils ne
sont pas des
participants
essentiels de
l'Alliance, qu’ils
soient vraiment en
elle; et Dr Bavinck
dit qu’ils sont
en
foedere (dans
l'Alliance), mais
pas de
foedere (de
l'Alliance). Ce qui
suit peut être dit
au sujet de leur
position dans
l'Alliance:
a. ils sont dans
l'Alliance, que leur
responsabilité est
concernée. Parce
qu’ils se tiennent
dans la relation
juridique Pacte de
Dieu, ils sont en
devoir de se
repentir et de
croire. Si ils ne se
tournent vers Dieu
et accepter le
Christ par la foi,
quand ils viennent
aux années de son
pouvoir
discrétionnaire, ils
seront jugés comme
briseurs de
l’Alliance. La
relation privilégiée
dans laquelle ils
sont placés à Dieu,
par conséquent,
signifie
responsabilité
supplémentaire.
b. ils sont dans
l'Alliance en ce
sens qu’ils peuvent
fixer prétendent les
promesses que Dieu a
donné quand il
établit son alliance
avec les croyants et
leur postérité. Paul
dit même de ses
parents méchants,
« qui sont
l’adoption et la
gloire et les
alliances et le don
de la Loi et le
service de Dieu et
les promesses, »
Rom. 9:4. En règle
générale Dieu
rassemble le nombre
de ses élus de ceux
qui se tiennent dans
cette relation de
l’Alliance.
c. ils sont dans
l'Alliance en ce
sens qu’ils font
l’objet les soins de
l'Alliance. Ils sont
constamment
réprimandés et
exhorte à vivre en
conformité avec les
exigences de
l'Alliance. L’Église
les traite comme des
enfants de
l’Alliance, leur
offre les joints de
l'Alliance et les
exhorte à une
utilisation
appropriée de ces.
Ils sont les invités
qui sont d’abord
appelées à la Cène,
les enfants du
Royaume, à qui le
mot doit être prêché
d’abord Matthieu
08:12; Luc 14:16-24;
Actes 13:46.
d. ils sont dans
l'Alliance également
que les bénédictions
de l’Alliance
commune sont
concernées. Bien
qu’ils ne subissent
pas l’influence
régénératrice de
l’Esprit Saint,
pourtant ils sont
soumis à certaines
opérations spéciales
et les influences de
l’Esprit Saint.
L’esprit s’efforce
avec eux d’une
manière spéciale,
convainc de péché,
eux éclaire dans une
certaine mesure et
les enrichit avec la
bénédiction de la
commune grâce,
Genèse 6:3; Matthieu
13:18-22; Hébreux
6:4-6.
Il est à noter que,
alors que l’Alliance
est une alliance
éternelle et
inviolable, que Dieu
annule jamais, il
est possible pour
ceux qui sont dans
l'Alliance de le
casser. Si celui qui
se trouve dans la
relation de
l’Alliance juridique
n’entre pas dans la
vie de l’Alliance,
il est néanmoins
considéré comme un
membre de
l’Alliance. Son
omission de
satisfaire aux
exigences de
l'Alliance implique
la culpabilité et
constitue lui un
briseur de Pacte,
Jérémie 31:32;
Ézéchiel 44: 7. Ceci
explique comment il
peut y avoir, non
seulement
temporaire, mais une
rupture définitive
de l’Alliance, bien
qu’il n’y a pas
tomber loin des
saints.
V. les Dispensations différentes de
l’Alliance
A. LA CONCEPTION
CORRECTE DES
DISPENSATIONS
DIFFÉRENTES.
La question se pose,
si nous devons
distinguer deux ou
trois ou avec les
dispensationalistes
modernes, dispenses
de sept ou même
plus.
1. LA VUE
DISPENSATIONALISTE.
Selon Scofield « une
dispense est une
période de temps
pendant laquelle
l’homme est testé en
ce qui concerne
l’obéissance à une
révélation
spécifique de la
volonté de Dieu. »
Autre
explication de ce il
dit à la page 20 de
son pamphlet sur
justement la parole
de vérité:
« chacune des
dispenses peut-être
être considéré comme
un nouveau test de
l’homme naturel, et
chacune se termine
par le jugement, —
marquant son
échec. » Chaque
dispensation a un
caractère propre et
est donc distincte
qu’il ne peut pas
être mélangé avec
les autres. Sept de
ces dispenses sont
généralement
distinguées, à
savoir, la
dispensation
d’innocency, de
conscience, de
gouvernement humain,
de la promesse, de
la Loi, de grâce et
du Royaume. En
réponse à la
question, si Dieu
est alors si volage
d’esprit qu’il doit
changer sa volonté
en ce qui concerne
l’homme sept fois,
Frank E. Gaebelein
réponse (s): « il
n’est pas Dieu qui a
vacillé. Bien qu’il
y a sept
dispensations, ils
sont tous en un
principe, étant
partout basé sur le
seul critère
d’obéissance. Et
avait l’homme
retrouvé en mesure
de suivre les
conditions fixées
par la première
dispensation, les
six autres auraient
été inutiles. Mais
l’homme a échoué.
Pourtant, au lieu de
rabattre sa créature
coupable, Dieu fut
ému de compassion et
lui donna un procès
fraîche dans les
nouvelles
conditions. Ainsi
chaque dispensation
se termine avec
l’échec, et chaque
dispensation montre
en avant la
miséricorde de
Dieu. »
Il y a des
objections sérieuses
à ce point de vue. b
le mot « dispense »
(oikonomia),
qui est un terme
biblique (Luc
16:2-4; J’ai Cor.
09:17; EP 01:10;
3:2. 9; 01:25; I
Timothée 1:4) est
ici employé dans un
sens non
scripturaire. Il
dénote une
intendance,
d’arrangement, ou
une administration,
mais jamais un temps
d’essai ou un temps
de probation. (b)
les distinctions
sont manifestement
tout à fait
arbitraires. Cela
ressort déjà du fait
que les
dispensationalistes
eux-mêmes parfois
parlent d’eux car
double emploi. La
seconde dispensation
est appelée la
dispensation de la
conscience, mais
selon Paul
conscience était
encore le moniteur
des gentils dans son
jour, Rom. 02:14,
15. Le troisième est
connu comme la
dispensation du
gouvernement humain,
mais la commande
spécifique en ce qui
a désobéi et par
conséquent rendu
passible de
jugement, l’homme
n’était pas la
commande pour
dominer le monde de
Dieu — de qui il n’y
aucune trace —, mais
la commande pour
régénérer la terre.
Le quatrième est
désigné la
dispensation de la
promesse et est
censé pour se
terminer par
l’octroi de la Loi,
mais Paul dit que la
loi ne pas annuler
la promesse, et que
cela était toujours
en vigueur dans son
propre jour, Rom.
04:13-17; GAL
03:15-29. La
dispensation dite de
la Loi est remplie
de promesses
glorieuses et la
dispensation dite de
grâce ne pas abroger
le droit comme une
règle de vie. Grace
propose d’échapper à
la loi seulement
comme une condition
du Salut — comme il
est dans l’Alliance
des œuvres —, de la
malédiction de la
Loi et la Loi comme
une puissance
étrangère. (c) selon
la représentation
habituelle de cette
théorie homme est
sur la droite de
probation le long.
Il a échoué dans la
première épreuve et
manqué ainsi la
récompense de la vie
éternelle, mais Dieu
est compatissant et
en miséricorde lui
donna un nouveau
procès. Échecs
répétés ont conduit
à des manifestations
répétées de la
miséricorde de Dieu
dans l’introduction
de nouveaux essais,
qui, cependant,
conservé l’homme à
l’épreuve tout le
temps. Ce n’est pas
équivalent à dire
que Dieu
la
justice détient
l’homme naturel à
l’état de l’Alliance
des œuvres — qui est
parfaitement vrai,
mais ce Dieu
de
miséricorde et de
compassion — et
donc apparemment
pour sauver — donne
une chance après
l’homme un autre de
remplir les
conditions toujours
différentes et donc
d’obtenir la vie
éternelle en rendu
l’obéissance à Dieu.
Cette représentation
est contraire à
l’écriture, qui ne
représente pas un
homme déchu comme
toujours à
l’épreuve, mais
comme un échec
total, totalement
incapable de rendre
obéissance à Dieu et
absolument dépendant
de la grâce de Dieu
pour le salut.
Bullinger, lui-même
un
dispensionalistes,
bien que de nature
quelque peu
différente, a raison
lorsqu’il dit:
« L’homme était
alors (dans la
première
dispensation) ce
qu’on appelle « sous
probation. » Ceci
délimite cette
Administration
brusquement et
absolument; pour
l’homme
est pas maintenant
sous probation.
À supposer qu’il en
est ainsi, est un
sophisme populaire
qui frappe à la
racine des doctrines
de la grâce. L’homme
a été essayé et
testé et s’est avéré
pour être une
ruine. »
(d)
cette théorie est
également source de
division dans la
tendance, le
démembrement de
l’organisme de
l’écriture avec des
résultats
désastreux. Les
parties de
l’Ecriture qui
appartiennent à
l’une des
dispensations sont
adressent aux et ont
une signification
normative, le peuple
de cette
dispensation et pour
personne d’autre.
Cela signifie selon
les termes du
Charles C. Cook
« que dans l’ancien
Testament, il n’y a
pas une phrase qui
s’applique pour le
chrétien, comme
règle de foi et de
pratique — pas une
commandement unique
qui s’impose à lui,
car il n’y a pas une
seule promesse il
lui donnée aux
premières loges sauf
ce qui est inclus
dans le large flux
du Plan de rachat
car il a enseigné en
symbole et de la
prophétie. »
Cela ne
signifie pas que
nous ne pouvons
tirer aucune leçon
de l’ancien
Testament. La Bible
est divisée en deux
livres, le livre du
Royaume, comprenant
l’ancien Testament
et une partie de la
nouvelle, adressée à
Israël; et le livre
de l’église,
consistant en le
reste du Nouveau
Testament et
adressée à nous.
Puisque les
dispensations se
mélangent pas, il
s’ensuit que dans la
dispensation de la
Loi, il n’y a aucune
révélation de la
grâce de Dieu, et
dans la dispensation
de la grâce, il n’y
a aucune révélation
de la Loi comme
ayant force
obligatoire sur le
peuple du Nouveau
Testament de Dieu.
Si l’espace le
permettent, il ne
serait pas difficile
de prouver qu’il
s’agit d’une
position tout à fait
insoutenable.
2. LA THÉORIE DES
TROIS DISPENSATIONS.
Irénée parle de
trois alliances, le
premier se
caractérise par la
loi écrite dans le
cœur, le second, par
la Loi comme un
commandement
extérieur donné au
Sinaï et la
troisième, par la
loi restaurée vers
le cœur par le biais
de l’opération du
Saint-Esprit; et
ainsi, suggère
l’idée des trois
dispensations. Coccejus distingue
trois dispensations
de l’Alliance de la
grâce, première
ante
legem, le
deuxième
sub legeet le
troisième
post
legem. Il a
fait une distinction
très nette, par
conséquent, entre
l’administration de
l’Alliance, avant et
après Moïse.
Maintenant, c’est
sans doute vrai
qu’il y a une
différence
considérable entre
l’administration de
l’Alliance, avant et
après l’octroi de la
Loi, mais la
similitude est
supérieure à la
différence, afin que
nous ne sommes pas
justifiés à
coordonner le
travail de Moïse
avec celui du Christ
comme une ligne
divisant dans
l’administration de
l’Alliance. On
notera les points
suivants de la
différence:
a. dans
la manifestation du
caractère gracieux
de l’Alliance.
Dans la période
patriarcale le
caractère gracieux
de l'Alliance se
détachait plus en
évidence que dans la
période postérieure.
La promesse était
plus à l’avant-plan,
Rom. 04:13; GAL
03:18. Pourtant même
cela pas souligner
indûment, comme s’il
n’y a aucune charges
légales, morales et
rituelles, avant
l’époque de Moïse et
aucune promesse
gracieuse pendant la
période de la Loi.
La substance de la
loi était en vigueur
avant Moïse et
sacrifices étaient
déjà tenus. Et
gracieuses promesses
sont trouvent en
abondance dans les
écrits de la
mosaïques. Le seul
véritable point de
différence est la
suivante: étant
donné que la loi
constitue pour
Israël un rappel
explicit des
exigences de
l’Alliance des
œuvres, il y avait
un plus grand danger
de confondre avec le
moyen de la Loi sur
le chemin du Salut.
Et l’histoire
d’Israël nous
enseigne qu’il n’a
pas échappé au
danger.
b. en
mettant l’accent sur
le caractère
spirituel des
bénédictions.
Le caractère
spirituel de la
bénédiction de
l’Alliance se
distingue plus
clairement dans la
période patriarcale.
Abraham, Isaac et
Jacob étaient
Séjourneurs simples
dans la terre
promise, habitation
là comme des
étrangers et des
pèlerins. La
promesse temporelle
de l’Alliance
n’était pas encore
remplie. Donc il y
avait moins de
danger de fixer
l’esprit trop
exclusivement sur
les bénédictions
matérielles, comme
les Juifs l’a fait
par la suite. Les
premiers patriarches
avaient une
meilleure
compréhension de la
signification
symbolique de ces
possessions
temporelles et
cherché une cité
céleste, gal 04:25,
26; Hébreux 11:9,
10.
c. dans
la compréhension de
la destination
universelle de
l'Alliance. La
destination
universelle de
l'Alliance a été
plus clairement
évidente dans la
période patriarcale.
Abraham a dit que,
dans ses graines,
toutes les nations
du monde seraient
bénies, 22:18; ROM.
04:13-77; Galates
3:8. Les Juifs a
progressivement
perdu de vue ce fait
important et repose
sur la supposition
que les bénédictions
de l’Alliance
devaient se limiter
à la nation juive.
Les prophètes plus
tard, cependant, a
souligné
l’universalité des
promesses et relancé
ainsi la conscience
de l’importance
mondiale de
l'Alliance.
Mais alors que ces
différences
existent, il y avait
plusieurs points
importants dont ont
convenu les périodes
préalables- et
post-mosaïques, et
qui ils ensemble
diffèrent de la
dispensation
chrétienne. Alors
que leur différence
entre eux est tout
simplement l’un des
degrés, leur
différence commune
de la dispensation
du Nouveau Testament
est l’un des
contraste. Que
vis-à-vis de la
dispensation
chrétienne,
acceptent les deux
périodes de l’ancien
Testament:
a. dans
la représentation du
médiateur comme une
graine qui était
encore à venir.
L’ensemble ancien
Testament pointe en
avant sur la venue
du Messie. Ce look
forward caractérise
la protevangel, la
promesse faite aux
Patriarches, le
rituel ensemble de
mosaïque et les
grands messages des
prophètes.
b. en
préfigurant le
Rédempteur qui
viennent dans les
cérémonies et les
types. Il est
parfaitement vrai
que ceux-ci ont
augmenté après
l’octroi de la Loi,
mais ils étaient
présents bien avant
cette époque. Des
sacrifices étaient
offerts comme dès
l’époque de Caïn et
Abel et aussi avait
un caractère
piacular, pointant
vers l’avant pour le
grand sacrifice de
Jésus Christ. Ceux
qui ont servi comme
prêtres annoncé la
venue du grand
souverain
sacrificateur. À la
différence de
l’ancien Testament,
le nouveau est
commémorative plutôt
que prefigurative.
c. en
préfigurant les
vicissitudes de ceux
qui étaient destinés
à partager dans les
réalités
spirituelles de
l'Alliance dans la
carrière terrestre
de ces groupes qui
se trouvait en
relation de
l’Alliance avec Dieu.
Le pèlerinage des
patriarches en Terre
Sainte, la servitude
en Égypte, l’entrée
en Canaan, tous fait
des choses
spirituelles vers
l’avant à la hausse.
Dans le Nouveau
Testament, tous ces
types atteignent
leur accomplissement
et donc cessent.
Sur la base de tout
ce qui a été dit, il
est préférable pour
suivre le
traditionnel lignes
par distinctifs
seulement deux
dispenses ou les
administrations, à
savoir, celui de
l’ancien et celui du
Nouveau Testament;
et de diviser le
premier en plusieurs
périodes ou étapes
de la révélation de
l’Alliance de grâce.
B. L’ANCIENNE
DISPENSATION DE
TESTAMENT.
1. LA PREMIÈRE
RÉVÉLATION DE
L'ALLIANCE. La
première révélation
de l'Alliance se
trouve à la protevangel, 03:15.
Certains nient que
cela n’a aucune
référence au Pacte;
et certainement,
elle ne vise pas à
n’importe quel
établissement
officiel d’une
Alliance. La
révélation d’un tel
établissement a pu
suivre seulement
après que l’idée de
pacte avait été mis
au point dans
l’histoire. Dans le
même temps 03:15
contient
certainement une
révélation de
l’essence de
l'Alliance. Convient
de noter les points
suivants:
a. en mettant
inimitié entre le
serpent et la femme,
Dieu établit une
relation, comme il
le fait toujours en
faisant un Pacte. La
chute a été homme en
Ligue avec Satan,
mais Dieu brise
nouvellement formé
alliance en tournant
l’amitié de l’homme
avec Satan dans
l’inimitié et de
rétablir l’homme
dans l’amitié avec
lui-même; et c’est
l’idée de Pacte.
Cette réhabilitation
de l’homme
comprenait la
promesse de la grâce
sanctifiante, car
c’est seulement par
cette grâce que
l’amitié de l’homme
avec Satan pourrait
être transformé en
inimitié. Dieu
lui-même a dû
inverser la
condition en
régénérant grâce.
Selon toute
vraisemblance il
forgé à la fois la
grâce de l'Alliance
dans les cœurs de
nos premiers
parents. Et lorsque
Dieu par sa
puissance salvatrice
génère l’inimitié à
Satan dans le cœur
de l’homme, cela
implique qu’il
choisit le côté de
l’homme, qu’il
devient homme
confédérés dans
la lutte avec Satan
et établit ainsi
pratiquement une
alliance offensive
et défensive.
b. cette relation
entre Dieu et
l’homme d’un côté et
de Satan sur l’autre
côté, n’est pas
limitée aux
individus, mais
s’étend à leurs
semences. l'Alliance
est organique dans
son fonctionnement
et inclut les
générations. Il
s’agit d’un élément
essentiel dans
l’idée de Pacte. Il
sera non seulement
une graine de
l’homme. mais
également un
descendant du
serpent, c’est du
diable et il va être
une lutte prolongée
entre les deux, dans
lequel la semence de
l’homme sera
victorieuse.
c. la lutte, alors,
ne sera pas
indécise. Bien que
le talon de la
semence de la femme
va être meurtri, la
tête du serpent sera
écrasée. Il peut
seulement mordre au
talon, et par la
pratique, cela peut
mettre en danger sa
tête très. Il subira
la part de la
semence de la femme,
mais la piqûre
mortelle du serpent
se terminera à sa
propre mort. La mort
du Christ, qui est
dans un sens par
excellence de la
semence de la femme,
se traduira par la
défaite de Satan. La
prophétie de la
rédemption est
toujours
impersonnelle dans
le protevangel, mais
c’est néanmoins une
prophétie
messianique. En
dernière analyse la
semence de la femme
est le Christ, qui
suppose que la
nature humaine et,
mis à mort sur la
Croix, gagne la
victoire décisive de
Satan. Il va sans
dire que nos
premiers parents ne
comprenaient pas
tout cela.
2. L’ALLIANCE AVEC
NOÉ. L’Alliance avec
Noé est évidemment
de nature très
générale: Dieu
promet qu’il ne
détruira pas encore
toute chair par les
eaux du déluge, et
que la succession
régulière de temps
de semences et de
récolte, de froid et
de chaleur, hiver et
d’été, jour et nuit
se poursuivra. Les
forces de la nature
sont bridés, les
puissances du mal
sont soumises à une
plus grande retenue,
et l’homme est
protégé contre la
violence de l’homme
et la bête. C’est
une alliance qui
confère uniquement
naturelles
bénédictions et est
donc souvent appelé
l’Alliance de la
nature ou de la
commune grâce. Il
n’y a pas
d’objection à cette
terminologie, autant
il ne traduit pas
l’impression que
cette Alliance est
dissocié
complètement de
l’Alliance de grâce.
Si les deux
diffèrent, ils sont
aussi plus
intimement liées.
a.
Points de différence.
Les points suivants
de la différence est
à noter: (1), tandis
que l’Alliance de
grâce se rapporte
principalement, mais
non exclusivement,
aux bénédictions
spirituelles,
l’Alliance de la
nature assure homme
seulement de
bénédictions
terrestres et
temporelles. (2)
alors que l’Alliance
de grâce dans le
sens le plus large
du mot ne renferme
que les croyants et
leur postérité et se
réalise pleinement
que dans la vie des
élus, l’Alliance
avec Noé n’était pas
seulement universel
dans sa création,
mais était destiné à
rester tout compris.
Jusqu'à l’époque de
l’opération de
l’Alliance avec
Abraham, il n’y
avait pas de sceau
de l’Alliance de
grâce, mais
l’Alliance avec Noé
a été confirmée par
le jeton de
l’arc-en-ciel, un
cachet tout à fait
différent de celles
qui ont été par la
suite liés à
l’Alliance de grâce.
b.
Points de connexion.
Malgré les
différences
d’évoquer, il y a
une connexion plus
intime entre les
deux pactes. (1)
l’Alliance de la
nature aussi son
origine dans la
grâce de Dieu. Dans
cette Alliance, tout
comme dans
l’Alliance de grâce,
Dieu donne à l’homme
non seulement des
faveurs imméritées,
mais des
bénédictions qui ont
été confisquées par
le péché. Par
nature, l’homme n’a
aucune réclamation
quelle qu’elle soit
sur les bienfaits
naturels promis dans
cette Alliance. (2)
cette Alliance
repose aussi sur
l’Alliance de grâce.
Il a été établi plus
particulièrement
avec Noé et sa
postérité, parce
qu’il y a des
preuves claires de
la réalisation de
l’Alliance de la
grâce dans cette
famille, Genèse 6:9;
7:1; 9:9, 26, 27.
(3) il est également
un appendice
nécessaire (Witsius:
« aanhangsel ») de
l’Alliance de grâce.
La révélation de
l’Alliance de grâce
dans la Genèse
03:16-19 a déjà
souligné les
bénédictions
terrestres et
temporelles. Ceux-ci
étaient absolument
nécessaires pour la
réalisation de
l’Alliance de grâce.
Dans l’Alliance avec
Noé le caractère
général de ces
bénédictions est
clairement mis en
évidence, et leur
prorogation est
confirmée.
3. L’ALLIANCE AVEC
ABRAHAM. Avec
Abraham nous
pénétrer dans une
nouvelle ère dans la
révélation de
l’ancien Testament
de l’Alliance de
grâce. Il y a
plusieurs points qui
méritent l’attention
ici:
a. jusqu'à l’époque
d’Abraham, il n’y
avait aucune
création officielle
de l’Alliance de
grâce. 03:15
contient déjà les
éléments de cette
Alliance, il
n’enregistre pas une
transaction formelle
par laquelle
l’Alliance a été
établie. Il ne parle
même pas
explicitement d’une
Alliance. La
création de
l’Alliance avec
Abraham marque le
début d’une église
institutionnelle. À
l’époque
pré-abrahamique, il
n’y avait qu’on
pourrait appeler
« l’église dans la
maison. » Il y a des
familles où la vraie
religion trouvé
expression et sans
doute aussi des
rassemblements de
croyants, mais il
était pas
définitivement
marquée corps des
croyants, séparé du
monde, qu’on
pourrait appeler
l’église. Il y avait
des « fils de Dieu »
et « fils de
l’homme », mais
ceux-ci ne sont pas
encore séparés par
une ligne visible de
démarcation. À
l’époque d’Abraham,
cependant, la
circoncision a été
instituée comme une
ordonnance de
fermeture, un
insigne d’adhésion
et un sceau de la
justice de la foi.
b. dans le cadre de
l’opération avec
Abraham,
l’administration
d’ancien Testament
particulariste de
l'Alliance a eu son
début, et il est
parfaitement évident
que l’homme est un
parti de l’Alliance
et doit répondre aux
promesses de Dieu
par la foi. Le grand
central fait
souligné dans les
Ecritures, est que
Abraham crut Dieu,
et il a été compté à
lui pour la justice.
Dieu apparaît à
Abraham, encore et
encore, répétant ses
promesses, afin de
susciter la foi dans
son cœur et inviter
son activité. La
grandeur de sa foi
était évidente dans
sa croire contre
toute espérance,
dans sa confiance
dans la promesse,
même lorsque son
accomplissement
semblait être une
impossibilité
matérielle.
c. les bénédictions
spirituelles de
l’Alliance de grâce
deviennent beaucoup
plus apparent dans
l’Alliance avec
Abraham, qu’ils
l’étaient avant. La
meilleure exposition
scripturaire de
l’Alliance
abrahamique est
contenue dans
Romains 3 et 4 et
Galates 3. Dans le
cadre de la
narration trouvée
dans la genèse de
ces chapitres
enseignent
qu’Abraham reçut
dans la
justification de
l’Alliance, y
compris le pardon
des péchés et
l’adoption dans la
même famille de Dieu
et aussi les dons de
l’esprit à la
sanctification et
éternelle gloire.
d. l’Alliance avec
Abraham comprenait
déjà un élément
symbolique. D’une
part, il faisait
allusion à des
bénédictions
temporelles, telles
que la terre de
Canaan, un nombreux
descendants,
protection contre et
victoire sur les
ennemis; et d’autre
part, il fait
référence à des
bénédictions
spirituelles. Il
faut avoir à
l’esprit, cependant,
qui n’était pas
coordonnées avec
l’ancien, mais
subordonné à, ce
dernier. Ces
bénédictions
temporelles ne
constituait pas une
fin en soi, mais
servi à symboliser
et sont typiques des
choses spirituelles
et célestes. Les
promesses
spirituelles n’ont
pas été réalisées
dans les descendants
naturels d’Abraham
comme tel, mais
seulement chez ceux
qui ont suivi les
traces d’Abraham.
e.
compte tenu de cette
mise en place de
l’Alliance de grâce
avec Abraham, il est
parfois considéré
comme le chef de
l’Alliance de grâce.
Mais le mot « tête »
est plutôt ambiguë
et donc susceptibles
de malentendu.
Abraham ne peut être
appelé le
représentant
responsable de
l’Alliance de grâce,
tout comme Adam a
été de l’Alliance
des œuvres, pour (1)
l’abrahamique
Alliance n’incluait
pas les croyants qui
l’a précédé et qui
étaient encore dans
l’Alliance de grâce,
et (2) il ne pouvait
accepter le pro
mises pour nous, ni
croire à notre
place, nous
dispensant ainsi de
ces fonctions. S’il
y a une tête
représentative dans
l’Alliance de grâce,
il ne peut être
Christ (cf. Bavinck,
Geref. Dogme.
III,
pp. 239 241); mais,
à proprement parler,
on peut lui
considérer comme la
tête uniquement sur
l’hypothèse que
l'Alliance de rachat
et l’Alliance de
grâce sont un.
Abraham peut être
appelé le chef de
l’Alliance que dans
le sens qu’il a été
formellement établi
avec lui, et qu’il a
reçu la promesse de
son maintien dans la
lignée de son
naturel, mais,
surtout, de ses
descendants
spirituels. Paul
parle de lui comme
le « père de tous
ceux qui croient, »
Rom. 04:11. Il est
clair que le mot
« père » ne peut
être compris au sens
figuré ici, pour les
croyants ne doivent
pas leur vie
spirituelle
d’Abraham. Dit m.
Hodge dans son
commentaire de
Romans (04:11): « le
mot père
exprime communauté
de caractère et est
souvent appliqué à
la tête ou le
fondateur d’une
école ou une classe
d’hommes, dont le
caractère est
déterminé par la
relation à la
personne ainsi
désignée; comme
04:20, 21.
. . .
Croyants sont
appelés les enfants
d’Abraham, à cause
de cette identité de
nature religieuse ou
un caractère, tel
qu’il se démarque
dans l’écriture
comme le
croyant; et parce
que c’est avec lui
que l’Alliance de
grace, qui englobe
tous les enfants de
Dieu, que ce soit
Juifs ou gentils, a
été réédicté; « et
parce qu’ils sont
ses héritiers,
héritant de la
bénédiction promise
à lui. »
f. Enfin, nous ne
devons pas perdre de
vue le fait que le
stade de la
révélation de Pacte
d’ancien Testament
qui n’est plus
normative pour nous
dans la dispensation
du Nouveau
Testament, n’est pas
celle de l’Alliance
du Sinaï, mais que
de l'Alliance établi
avec Abraham.
L’Alliance du Sinaï
est un interlude,
couvrant une période
dans laquelle le
véritable caractère
de l’Alliance de
grâce, c'est-à-dire
son caractère libre
et gracieux, est
quelque peu éclipsé
par toutes sortes de
cérémonies
extérieures et
formules qui, dans
le cadre de la vie
théocratique de
Israël, placé aux
exigences de la loi
en bonne place au
premier plan, cf.
Galates 3. Dans
l’Alliance avec
Abraham, en
revanche, la
promesse et la foi
qui répond à la
promesse sont faites
emphatiques.
4. L’ALLIANCE DU
SINAÏ. L’Alliance du
Sinaï était
essentiellement
le même que celui
établi avec Abraham,
mais la forme
diffère quelque peu.
Ce n’est pas
toujours reconnu et
n’est pas reconnu
par les
dispensationnalistes
de nos jours. Ils
insistent là-dessus
que c’était une
Alliance différente,
non seulement dans
la forme, mais pour
l’essentiel.
Scofield parle de
lui comme une
Alliance juridique,
« alliance mosaïque
conditionnelle des
œuvres, »
en vertu de laquelle
le point de test
était obéissance
juridique comme la
condition du Salut.
Si cette Alliance
est une Alliance des
œuvres, ce n’était
certainement pas
l’Alliance de grâce.
La raison pourquoi
il est parfois
considéré comme une
Alliance inédite est
que Paul à plusieurs
reprises fait
référence à la Loi
et la promesse comme
formant une
antithèse, Rom.
04:13 ff.; GAL
03:17. Mais il est à
noter que l’Apôtre
ne pas contrastent
avec l’Alliance
d’Abraham l’Alliance
du Sinaï dans son
ensemble, mais
seulement le droit
tel qu’il
fonctionnait dans ce
Pacte et cette
fonction uniquement
comme il a été mal
compris par les
Juifs. La seule
apparente exception
à cette règle est
gal 04:21 et suiv.,
où les deux pactes
sont comparés en
effet. Mais ce ne
sont pas
l’abrahamique et les
pactes de Sinaï.
L’Alliance qui
procède du Sinaï et
centres de la
Jérusalem terrestre,
est placé par
rapport à l’Alliance
qui procède du ciel
et des centres dans
la Jérusalem qui est
au-dessus, autrement
dit, — le naturel et
le spirituel.
Il y a clairement
des indications dans
les Ecritures que
l’Alliance avec
Abraham n’était pas
supplanté par
l’Alliance du Sinaï,
mais est restée en
vigueur. Même à
Horeb, le Seigneur a
rappelé le peuple de
l’Alliance avec
Abraham, Deut. 1:8;
et quand le Seigneur
a menacé de détruire
les gens après que
qu’ils ont pris le
veau d’or, Moïse a
basé son plaidoyer
pour eux sur ce
Pacte, Ex. 32:13. Il
les a également
assurés à plusieurs
reprises que, chaque
fois qu’ils se sont
repentis de leurs
péchés et retournée
vers lui, il serait
conscient de son
alliance avec
Abraham, Lév. 26:
42; Deut. 04:31. Les
deux pactes sont
clairement
représentés dans
leur unité en 105:8
PS-10: « il est
souvenu de son
alliance pour
toujours, le mot
qu’il a commandé aux
mille générations,
l’Alliance qu’il a
faite avec Abraham
et sa prestation de
serment à Isaac, et
a confirmé la même
chose à Jacob pour
une loi
en Israël pour une
alliance éternelle. »
Cette unité découle
aussi de l’argument
de Paul dans Galates
3, où il insiste sur
le fait qu’un Dieu
immuable ne modifie
pas arbitrairement
la nature
essentielle d’une
Alliance, une fois
confirmée; et que la
loi n’était pas
destiné à remplacer,
mais pour servir les
extrémités
gracieuses de la
promesse, gal
03:15-22. Si
l’Alliance du Sinaï
était en effet une
Alliance des œuvres,
dans lequel
obéissance juridique
était le chemin du
Salut, puis ce fut
certainement une
malédiction pour
Israël, pour qu’il a
été imposée sur un
peuple qui ne
pourrait pas obtenir
éventuellement Salut
par les œuvres. Mais
cette Alliance est
représentée dans
l’écriture comme une
bénédiction accordée
à Israël par un père
aimant, Exode 19:5;
Lév. 26:44, 45;
Deutéronome 4:8; PS.
148:20. Mais si
l’Alliance avec
Abraham et
l’Alliance du Sinaï
étaient
essentiellement les
mêmes, encore
l’Alliance du Sinaï
avait certains
traits
caractéristiques.
a. au Sinaï,
l'Alliance est
devenu un Pacte
véritablement
national. La vie
civile d’Israël a
été reliée avec
l’Alliance de telle
manière que les deux
ne pouvaient pas
être séparés. Dans
une grande mesure
l’église et l’État
est devenu un. Pour
être dans l’église
devait être dans la
nation et
vice
versa; et pour
quitter l’église
devait quitter la
nation. Il n’y avait
aucune
excommunication
spirituelle;
l’interdiction
signifiait couper
par la mort.
b. l’Alliance du
Sinaï inclus un
service qui
contenait un rappel
positif des
exigences strictes
de l’Alliance des
œuvres. La loi a été
placée très en
premier plan,
mettant l’accent une
fois de plus à
l’élément juridique
antérieur. Mais
l’Alliance du Sinaï
n’était pas un
renouvellement de
l’Alliance des
œuvres; dedans, la
loi a été faite
inféodée à
l’Alliance de grâce.
Cela est déjà
indiqué dans
l’introduction aux
dix commandements,
Exode 20:2;
Deutéronome 5:6 et
plus loin dans la
Rom. 03:20; GAL
03:24. Il est vrai
qu’au Sinaï, un
élément conditionnel
a été ajouté au
Pacte, mais il
n’était pas le salut
des Israélites, mais
sa position
théocratique de la
nation et la
jouissance des
bénédictions
externes qui a été
effectuée dépend de
l’observation de la
Loi , Deut. 28:
1-14. La loi sert un
double objectif dans
le cadre de
l’Alliance de grâce:
(1) pour augmenter
la conscience du
péché, Rom. 03:20;
04:15; GAL 03:19; et
(2) pour être un
tuteur au Christ,
gal 03:24.
c. l’Alliance avec
la nation d’Israël
comprenait un
service
détaillée de
cérémonial et
typique. Dans une
certaine mesure,
cela était également
présent dans la
période antérieure,
mais dans la mesure
où il a été
introduit au Sinaï,
c’était quelque
chose de nouveau. Un
sacerdoce distinct a
été mis en place, et
un
continu de
prédication de
l’Évangile dans les
symboles et les
types a été
introduite. Ces
symboles et ces
types apparaissent
sous deux aspects
différents: comme
les exigences de
Dieu imposé au
peuple; et comme un
message divin du
Salut au peuple. Les
Juifs perdu de vue
ce dernier aspect et
fixe son attention
exclusivement sur
l’ancien. Ils
considéré l'Alliance
de plus en plus,
mais à tort, comme
une Alliance des
œuvres et vu dans
les symboles et tape
un simple appendice
à cela.
d. le droit à
l’Alliance du Sinaï
a également servi
Israël comme une
règle de vie, afin
que l’un Loi de Dieu
suppose trois
aspects différents,
désignées comme la
morale, la civile et
la loi cérémonielle
ou religieuse. Le
droit civil est tout
simplement
l’application des
principes de la loi
morale à la vie
sociale et civique
du peuple dans
toutes ses
ramifications. Même
les relations
sociales et civiles
dans lequel le
peuple se tenait
entre eux devait
refléter la relation
d’Alliance dans
laquelle ils se
trouvaient.
Il y a eu plusieurs
opinions divergentes
concernant
l’Alliance du Sinaï
qui méritent
l’attention.
a. Coccejus a vu
dans le "décalogue"
une expression
analytique de
l’Alliance de grâce,
en particulier
applicable à Israël.
Quand le peuple,
après la création de
cette Alliance
nationale de grâce,
est devenu infidèle
et fait un veau
d’or, l'Alliance
juridique du service
cérémonial a été
institué comme une
dispense plus
stricte et plus
sévère de l’Alliance
de grâce. Ainsi, la
révélation de la
grâce se trouve
surtout dans le
"décalogue" et celui
de la servitude dans
la loi cérémonielle.
Avant l’Alliance du
Sinaï, les pères ont
vécu sous la
promesse. Il y avait
des sacrifices, mais
ce n’était pas
obligatoires.
b. autres considéré
la Loi comme la
formule d’une
nouvelle Alliance
des travaux établi
avec Israël. Dieu
n’a pas vraiment
voulu qu’Israël
devrait mériter vie
en gardant la Loi,
étant donné que
c’était devenu
totalement
impossible. Il
voulait simplement
pour essayer leurs
forces et de les
amener à une
conscience de leur
propre incapacité.
Quand ils ont quitté
l’Egypte, ils
étaient forts dans
la conviction qu’ils
pouvaient faire tout
ce que le Seigneur
commanda; mais, au
Sinaï, ils
découvrent bientôt
qu’ils ne le
pouvaient pas.
Compte tenu de leur
conscience de
culpabilité le
Seigneur rétabli
maintenant
l’Alliance
abrahamique de
grâce, à laquelle la
loi cérémonielle
appartenait
également. Il
renverse la position
de Coccejus.
L’élément de la
grâce se trouve dans
la loi cérémonielle.
C’est un peu en
ligne avec la vue
dispensationalistes
de nos jours, qui
considèrent
l’Alliance du Sinaï
comme une « alliance
mosaïque
conditionnelle des
œuvres » (Scofield),
contenant dans la
loi cérémonielle,
cependant, une
préfiguration de la
rédemption qui
viennent dans le
Christ.
c. toujours,
d’autres sont d’avis
que Dieu a établi
trois pactes au
Sinaï, un Pacte
national, une
Alliance de nature
ou de œuvres et une
Alliance de grâce.
La première a été
faite avec tous les
Israélites et était
la continuation de
la ligne
particulariste qui a
commencé avec
Abraham. Dieu exige
l’obéissance externe
et promet des
bénédictions
temporelles. La
seconde était une
répétition de
l’Alliance des
œuvres par l’octroi
d’un décalogue. Et
le dernier un
renouvellement de
l’Alliance de grâce,
comme il a été
établi avec Abraham,
dans le don de la
loi cérémonielle.
Ces vues sont tous
désagréables pour
plusieurs raisons:
(1) ils sont
contraire à
l’écriture dans leur
multiplication des
pactes. Il est non
scripturale de
supposer que plus
d’une Alliance a été
établie au Sinaï,
s’il s’agissait
d’une alliance avec
divers aspects. (2)
ils se trompent en
ce qu’ils cherchent
à imposer des
restrictions indues
sur le Décalogue et
la loi cérémonielle.
Il est bien évident
que la loi
cérémonielle a un
double aspect; et il
est clair aussi que
le "décalogue", bien
que placer les
exigences de la loi
clairement à
l’avant-plan, est
inféodé à l’Alliance
de grâce.
C. LA
DISPENSATION DU
NOUVEAU
TESTAMENT.
Guère besoin de dire
concernant la
dispensation de
Nouveau Testament de
l'Alliance. Convient
de noter les points
suivants:
1. l’Alliance de
grâce, comme elle
est révélée dans le
Nouveau Testament,
est essentiellement
la même que celle
qui régit la
relation des
croyants d’ancien
Testament à Dieu. Il
est tout à fait
injustifiée pour
représenter les deux
comme formant un
contraste
essentiel ,
comme le fait le
dispensationalisme
de nos jours. C’est
tout à fait évident
des Romains 4 et
Galates 3. Si elle
parle parfois de lui
comme une alliance
nouvelle, c’est
suffisamment
expliqué par le fait
que son
administration
diffère en plusieurs
points de celle de
l’ancien Testament.
Les points suivants
indiqueront ce qu’on
entend.
2. la dispense de
Nouveau Testament
diffère que de
l’ancien car il est
universel,
c'est-à-dire,
s’étend à toutes les
nations. L’Alliance
de grâce était à
l’origine
universelle; son
particularisme a
commencé avec
Abraham et a été
continué et se sont
intensifié dans
l’Alliance du Sinaï.
Ce particularisme,
cependant, n’était
pas destiné à être
permanent, mais pour
disparaître après
qu’il avait atteint
son but. Même
pendant la période
de la Loi, il était
possible pour les
païens à se joignent
au peuple d’Israël
et donc de partager
les bénédictions de
l’Alliance. Et
lorsque Christ a
apporté son
sacrifice, la
bénédiction
d’Abraham écoulées
aux nations; —
celles qui étaient
loin ont été amenés.
3. la dispense de
Nouveau Testament
met davantage
l’accent sur le
caractère gracieux
de l'Alliance. La
promesse est très
bien au premier
plan. En fait, il
est clairement mis
en évidence que dans
l’Alliance de la
grâce de que Dieu
donne librement ce
qu’il demande. À cet
égard la nouvelle
dispensation se
connecte vers le
haut avec
l’abrahamiques
plutôt qu’avec
l’Alliance du Sinaï,
comme Paul fait
clairement ressortir
dans Romains 4 et
Galates 3. Cela ne
signifie pas,
toutefois, qu’il n’y
a pas de promesses
gracieuses pendant
la période de la
Loi. Lorsque Paul
dans II Corinthiens
3 oppose le
ministère de la
justice à celui de
l’Evangile, il a en
tête, en particulier
le ministère de la
justice comme il a
été entendu par les
Juifs plus tard, qui
a fait l’Alliance du
Sinaï une Alliance
des œuvres.
4. Enfin, la
dispensation de
Nouveau Testament
apporte des
bénédictions plus
riches que la
dispensation de
l’ancien Testament.
La révélation de la
grâce divine a
atteint son apogée,
quand le mot s’est
fait chair et a
habité parmi les
hommes « pleine de
grâce et de
vérité. » Le
Saint-Esprit est
répandu sur l’église
et hors de la
plénitude de la
grâce de Dieu en
Christ enrichit les
croyants avec la
bénédiction
spirituelle et
éternelle. La
dispensation
actuelle de
l’Alliance de grâce
se poursuivra
jusqu’au retour du
Christ, lorsque la
relation de
l’Alliance est
réalisée dans toute
l’acception du mot
dans une vie de
communion intime
avec Dieu.
QUESTIONS POUR UNE
ÉTUDE PLUS
APPROFONDIE. Comment
l’introduction de la
théorie de l’affect
de Pacte la
présentation de la
vérité dans la
théologie réformée ?
Pourquoi cette
doctrine n’a
rencontré peu de
faveur à l’extérieur
des cercles
réformés ? Qui
étaient les premiers
à introduire cette
doctrine ? Ce qui
caractérise la
théologie fédérale
de Coccejus ?
Pourquoi certains
insistent sur le
traitement de
l’Alliance de la
rédemption et
l’Alliance de grâce
comme une alliance
unique ? Pourquoi
d’autres
préfèrent-ils les
traiter séparément ?
Que peut-on dire en
réponse au rejet de
l’idée de Pacte
désinvolte comme une
fiction juridique ?
Comment Christ être
parti et caution
dans l'Alliance
même ? Contre l’idée
de Blake, ce qui
peut être dit que
l’Alliance de grâce
est une relation
purement externe ?
Quelles objections
sont là pour l’idée
des deux pactes,
l’une externe et
l’interne ? Pourquoi
Kuyper soutiennent
que le Christ et
Christ seulement,
est le deuxième
parti de l’Alliance
de grâce ? Dans quel
sens il
considère-t-elle que
l’Alliance de grâce
comme une alliance
éternelle ? Ce que
nous devons penser
la tendance du
pré-millénarisme
moderne, de
multiplier les
pactes et les
dispenses ? Comment
commencé
dispensationalisme
modern ? Comment il
conçoit la relation
entre l’ancien et le
Nouveau Testament ?
LITTÉRATURE: Bavinck,
Geref. Dogme.
III,
pp. 199-244; Kuyper,
Dict.
dogme.,
De
Foedere, pp.
118-154; Ibid.,
Uit het
Woord,
De Leer
der Verbonden;
Vos,
Geref. Dogme.
II,
pp. 76-140; Ibid.,
De
Verbondsleer en de
Geref. THEOL.;
Hodge,
Syst. Theol.,
II, p. 354-377;
Dabney,
syst
et trouvailles.
THEOL.,
p. 429-463; H. H.
Kuyper,
Hamabdil,
van de
Heiligheid van het
Genadeverbond;
A. Kuyper, Jr.,
De
Vastigheid des
Verbonds; Van
den Bergh,
Calvijn
sur het
Genadeverbond;
Heppe,
Dogme. der Ev-Réf.
Kirche, pp.
268-293; Ibid.,
dogme.
des Deutschen
Protestantismus,
II, p. 215-221;
Ibid.,
Geschichte des
Pietismus. pp.
205-240; Faire,
Godgeleerdheit,
II, pp. 363-412; un
Marck,
Godgeleerdheid,
p. 463-482; Witsius,
De Verbonden, pp.
255-299; Turretin,
opéra,
Locus
XII Q. 1-12; Brakel,
Redelijke Godsdienst,
I, pp. 351-382;
Pictet,
Theol., pp.
280-284; Strong,
discours sur
l'Alliance, pp.
113-447; Owen,
l’Alliance de grâce;
GIB,
Contemplations
sacrées, pp.
171-389; Ball,
un
traité de l’Alliance
de grâce;
Boston,
l’Alliance de grâce;
Girardeau,
La
théologie fédérale:
son
importation et son
Influence
réglementaire
(dans le
Volume
du Mémorial de la
Semi-Centenaire
du séminaire de la
Colombie); W.
L. Newton,
Notes
sur l’engagement,
une
étude de la
théologie des
prophètes
(catholique
romaine); Aalders,
Het
Verbond dieux.
TROISIÈME PARTIE
La Doctrine de la personne et le œuvre de Christ
La personne du Christ
A. LA RELATION ENTRE L’ANTHROPOLOGIE ET DE LA CHRISTOLOGIE.
Il y a un lien très étroit entre la doctrine de l’homme et de la doctrine du Christ. L’ancien traite de l’homme, créé à l’image de Dieu et doué avec la vraie connaissance, la justice et la sainteté, mais par une transgression volontaire de la Loi de Dieu spolié de sa véritable humanité et transformé en un pécheur. Il indique à l’homme comme une créature extrêmement privilégiée de Dieu, portant toujours certains des traces de sa gloire originelle, mais encore comme une créature qui a perdu son droit d’aînesse, sa vraie liberté et son original droiture et sainteté. Cela signifie qu’il ordonne à attention, non pas seulement, ni même principalement, à la petitesse, mais à la nature pécheresse de l’homme. Il met l’accent sur l’éthique distance entre Dieu et l’homme, la distance résultant de la chute de l’homme, dont ni l’homme ni anges peuvent combler; et est ainsi pratiquement un appel au secours divin. Christologie est en partie la réponse à ce cri. Il nous familiarise avec le œuvre objective de Dieu dans le Christ afin de combler le fossé et de supprimer la distance. Il nous montre Dieu venue de l’homme, pour éliminer les obstacles entre Dieu et l’homme en respectant les conditions de la loi en Christ et pour restaurer l’homme dans sa communion bénie. Anthropologie souligne déjà que la fourniture gracieuse de Dieu pour un Pacte d’amitié avec l’homme, qui prévoit une vie de communion bienheureuse avec Dieu; mais c’est un Pacte qui n’est efficace que dans et par le Christ. Et c’est pourquoi la doctrine du Christ, comme le médiateur de l’Alliance, doit nécessairement suivre. Christ, caractérisé et prédit dans l’ancien Testament comme le Rédempteur de l’homme, est venu dans la plénitude des temps, tabernacle chez les hommes et d’effectuer une réconciliation éternelle.
B. LA DOCTRINE DU CHRIST AVANT LA RÉFORME.
1. JUSQU'AU CONCILE DE CHALCÉDOINE. Dans la début la littérature chrétienne que Christ se démarque aussi humaine et divine, le fils de l’homme, mais aussi le fils de Dieu. Son personnage sans péché est maintenu, et il est considéré comme un bon objet de culte. Naturellement, le problème posé par le Christ, comme à la fois Dieu et homme et les difficultés liées à une telle conception, n’étaient pas pleinement ressentie par l’esprit chrétien au début et il est seulement apparu à la lumière de la controverse. C’était, mais naturelle que le judaïsme, avec son fort accent sur le monothéisme, devrait exercer une influence considérable sur l’extraction de chrétiens de juif au début. Les Ébionites (ou une partie d'entre eux) se sentait contraint, dans l’intérêt du monothéisme, de nier la divinité du Christ. Ils le considéraient comme un simple homme, fils de Joseph et Marie, qui a été reconnue lors de son baptême à être le Messie, de la descente du Saint-Esprit sur lui. Il y a d’autres dans l’église primitive dont la doctrine du Christ a été construite sur des lignes similaires. Les Alogi, qui ont rejeté les écrits de John, parce qu’ils considéraient sa doctrine du Logos comme, en conflit avec le reste du Nouveau Testament, a également vu en Jésus un simple homme, mais miraculeusement né d’une vierge et a enseigné que le Christ est descendu sur lui au baptême , lui conférant des pouvoirs surnaturels. Pour l’essentiel, c’était aussi la position de la dynamique Monarchiens. Paul de Samosate, son principal représentant, fait la distinction entre Jésus et les Logos. Il considérait le premier comme un homme comme tout autre homme, né de Marie et le second, comme la raison divine impersonnelle, qui a repris sa demeure en Christ dans un sens éminent, depuis l’époque de son baptême et ainsi lui qualifié pour accomplir son importante tâche. Compte tenu de ce refus, il faisait partie de la tâche de la Apologetes début de défendre la doctrine de la divinité du Christ.
S’il y en a certains qui ont sacrifié la divinité à l’humanité du Christ, il y a d’autres qui a infirmé l’ordonnance. Les gnostiques ont été profondément influencés par la conception dualiste des Grecs, en question qui, intrinsèquement mal est représentée comme tout à fait opposé à l’esprit; et en une tendance mystique à considérer les choses terrestres comme des représentations allégoriques de grands cosmique échangeant des processus. Ils ont rejeté l’idée d’une incarnation, une manifestation de Dieu sous une forme visible, car il s’agissait d’un contact direct de l’esprit avec la matière. Harnack affirme que la majorité d'entre eux considéré Christ comme un esprit consubstantiel avec le père. Selon certains, il est descendu sur l’homme Jésus au moment de son baptême, mais lui a laissé avant sa crucifixion; alors que selon d’autres, il a pris un corps simplement phantasmatique. Les Monarchiens Modalistic a également rejeté l’humanité du Christ, en partie dans l’intérêt de sa divinité et en partie pour préserver l’unité de l’etre divin. Ils ont vu en lui simplement un mode ou la manifestation d’un Dieu, en qui ils ont reconnu sans distinction de personnes. Les anti-gnostique et les Pères alexandrins a pris la défense de la divinité du Christ, mais pour leur défense n’échappent pas tout à fait l’erreur de lui représenter comme subordonné au père. Tertullien même enseigné une espèce de subordination, mais surtout de Origen, qui n’a pas hésité à parler d’une subordination quant à l’essence. Ceci est devenu un tremplin pour l’Arianisme, dans laquelle le Christ se distingue par le Logos, la raison divine et est représenté comme une créature avance temporelle, surhumaine, la première des créatures, pas de Dieu et encore plus que l’homme. Athanase a contesté d’Arius et fermement défendu la position selon laquelle le fils est consubstantiel avec et de l’essence même, comme le père, une position qui a été officiellement adopté par le Concile de Nicée en 321. Le semi-Arianisme a proposé une via media en déclarant le fils d’une essence similaires comme le père.
Lorsque la doctrine de la divinité du fils a été officiellement établie, la question se pose naturellement quant à la relation dans laquelle les deux natures dans le Christ debout les uns aux autres. Apollinaire a offert une solution du problème. Accepter la conception grecque trichotomic de l’homme comme étant composée de corps, âme et esprit, il a soutenu que le Logos a pris la place de l’esprit (pneuma) chez l’homme, qu’il considérait comme le siège du péché. Son intérêt principal consistait à assurer l’unité de la personne dans le Christ, sans pour autant sacrifier son véritable divinité; et aussi pour garder le titre de Christ. Mais il l’a fait au détriment de l’humanité complète du Sauveur, et par conséquent sa position a été explicitement condamnée par le Concile de Constantinople en 381. Une des choses dont Apollinaire soutenu était l’unité de la personne dans le Christ. Que ce n’était vraiment en danger est devenu tout à fait évident dans la position adoptée par l’école d’Antioche, qui exagéré la distinction des deux natures dans le Christ. Théodore de Mopsueste et Nestorius a souligné la virilité complete de Christ et conçoit le séjour des Logos en lui comme une simple morale à demeure, tels que les croyants ont également profiter, mais pas au même degré. Ils ont vu dans le Christ un homme side by side avec Dieu, en alliance avec Dieu, en partageant l’objectif de Dieu, mais pas un seul avec lui en l’unicité d’une vie personnelle unique, — un médiateur formé de deux personnes. En opposition à eux Cyrille d’Alexandrie fortement insisté sur l’unité de la personne dans le Christ et dans l’estimation de ses adversaires a rejeté les deux natures. Alors qu’ils ont, selon toute probabilité mal compris lui, Eutychus et ses disciples certainement fait appel à lui, quand ils ont pris la position que la nature humaine du Christ a été absorbée par le divin, ou que les deux ont été fusionnés dans une nature unique, un poste impliquant la refus des deux natures dans le Christ. Le Concile de Chalcédoine en 451 a condamné tous les deux de ces points de vue et maintenu l’unité de la personne ainsi que la dualité des natures.
2. APRÈS LE CONCILE DE CHALCÉDOINE. Depuis un certain temps l’erreur Eutychien a été continuée par les Monophysites et les Monothélites, mais a été finalement surmonté par l’église. Le danger supplémentaire que la nature humaine du Christ serait considérée comme tout à fait impersonnel a été conjurée par Léonce de Byzance, lorsqu’il a fait observer qu’il n’est pas impersonnel mais en personnels, ayant sa subsistance personnelle en la personne du fils de Dieu. Jean de Damas, en qui la christologie de l’Orient a atteint son plus haut développement, a ajouté l’idée qu’il existe une circumincession du divin et l’humain dans le Christ, une communication des attributs divins à la nature humaine, afin que ce dernier est déifié et nous peut dire aussi que Dieu a souffert dans la chair. Il montre une tendance à réduire la nature humaine à la position d’un organe simple ou un instrument du Logos, mais il admet qu’il y a une coopération des deux natures, et que la personne agit et testaments dans chaque nature, bien que l’homme se sont toujours soumis à la div ine.
Dans le Western église Félix, évêque d’Urgel, préconisé l’adoptianisme. Il a considéré Christ quant à sa nature divine, autrement dit, les Logos, comme l’onlybegotten fils de Dieu dans le sens naturel, mais considéré Christ sur son côté humain comme un fils de Dieu par adoption simple. Il a cherché à préserver l’unité de la personne en insistant sur le fait que, depuis l’époque de sa conception, le fils de l’homme a été repris dans l’unité de la personne du fils de Dieu. Ainsi, une distinction a été faite entre un naturel et une filiation adoptive, et ce dernier n’a pas commencé avec la naissance naturelle du Christ, mais avait sa création au moment de son baptême et fut consommé dans la résurrection. C’était une naissance spirituelle qui a fait le Christ le fils adopté de Dieu. L’église a vu l’unité de la personne dans le Christ une fois de plus menacé par ce point de vue, et c’est pourquoi il a été condamné par le Synode de Francfort en 794 AP. J.-C.
Le moyen-âge a ajouté très peu à la doctrine de la personne du Christ. En raison des influences diverses, telles que l’accent mis sur l’imitation du Christ, les théories de l’expiation et l’élaboration de la doctrine de la messe, l’église a conservé une forte emprise sur l’humanité pleine de Christ. « La divinité du Christ, » dit Mackintosh, « est entré en vue plutôt comme l’infini coefficient soulevant l’action humaine et la passion d’une valeur infinie. » Et pourtant certains des scolastiques dans leur christologie énoncés une vue docetic de Christ. Peter le Lombard n’a pas hésité à dire qu’à l’égard de son humanité Christ n’était rien du tout. Mais ce nihilisme a été condamné par l’église. Quelques nouveaux points ont été soulignés par Thomas Aquinas. Selon lui, la personne du Logos est devenue composite à l’incarnation, et son union avec la virilité « entravé » ce dernier de parvenir à une personnalité indépendante. La nature humaine du Christ reçoit une grâce de double en vertu de son union avec le Logos, l' influence de gratia, conférant à lui une dignité spéciale, alors qu’il est même devenu un objet de culte et (b) la gratia habitualis, soutenu dedans sa relation à Dieu. La connaissance humaine du Christ était double, à savoir une infusion et une connaissance acquise. Il y a deux testaments dans le Christ, mais la causalité ultime appartient à la volonté divine, à laquelle la volonté humaine est toujours soumise.
C. LA DOCTRINE DU CHRIST APRÈS LA RÉFORME.
1. JUSQU’AU XIXE SIÈCLE. La réforme n’a pas apporté la grande variation dans la doctrine de la personne du Christ. Aussi bien l’église de Rome et les églises de la réforme souscrit à la doctrine du Christ telle qu’elle a été formulée par le Concile de Chalcédoine. Leurs différences importantes et profondes réside ailleurs. Il y a une particularité de la christologie luthérienne qui mérite une mention spéciale. Doctrine de Luther de la présence physique du Christ dans l’Eucharistie a conduit à la caractéristique luthérienne vue communicatio idiomatum, précisant « que chacune des natures du Christ imprègne les autres (périchorèse) et que son humanité participe dans les attributs de sa divinité. » Il est jugé que les attributs de l’omniprésence, omnipotence et omniscience ont été communiquées à la nature humaine du Christ au moment de l’incarnation. La question se pose naturellement, comment cela pouvait être harmonisé avec ce que nous savons de la vie terrestre de Jésus. Cette question a conduit à une divergence d’opinions parmi les théologiens luthériens. Certains détenus que Christ mis de côté les attributs divins reçus dans l’incarnation, ou utilisées qu’occasionnellement, tandis que d’autres ont dit qu’il a continué en possession d’eux au cours de sa vie terrestre, mais eux caché ou utilisée seulement secrètement. Certains luthériens semblent enclins à rejeter cette doctrine.
Théologiens réformés a vu dans cette doctrine luthérienne, une espèce de Eutychianism ou de la fusion des deux natures dans le Christ. Théologie réformée aussi enseigne une communication d’attributs, mais il conçoit d’une manière différente. Il est d’avis que, après l’incarnation, les propriétés de ces deux natures peuvent être attribuées à la personne du Christ. La personne du Christ peut affirmer être omniscient, mais aussi, d’avoir, mais une connaissance limitée; peut être considéré comme omniprésent, mais aussi comme se limitant à un moment donné à un seul endroit. Donc nous lisons dans la Confession helvétique: « nous reconnaissons, par conséquent, qu’il y ait dans un seul et même Jésus notre Seigneur deux natures — le divin et la nature humaine; et nous dire que ces sont alors jointes ou Unis qu’ils ne sont pas avalés, confondu, mêlés ensemble, mais plutôt unie ou réunis en une seule personne (les propriétés de chacune d’elles étant sûrs et restantes encore), alors que nous n’adorons pas un Christ, notre Seigneur et non pas deux.... C’est pourquoi nous ne pas penser ni enseigner que la nature divine dans le Christ a souffert, ou que le Christ, selon sa nature humaine, est encore dans le monde et en tout lieu. »
2. DANS LE DIX-NEUVIÈME SIÈCLE. Sur le début du XIXe siècle, un grand changement a eu lieu à l’étude de la personne du Christ. Jusqu’alors, le point de départ avait été largement théologique et la christologie qui en résulte a été théocentrique; mais au cours de la dernière partie du XVIIIe siècle, il y avait une conviction croissante que les meilleurs résultats pourraient être atteints en commençant plus proche à la maison, à savoir, par l’étude du Jésus historique. Donc ce qu’on appelle « deuxième période christologique » est inauguré. Le nouveau point de vue était anthropologique, et le résultat était anthropocentrique. Il s’est avéré pour être destructrice de la foi de l’église. Une distinction profonde et pernicieuse a été effectuée entre le Jésus historique, délimité par les auteurs des Évangiles et le Christ théologique, qui était le fruit de l’imagination fertile des penseurs théologiques, et dont l’image apparaît maintenant dans la croyances de l’église. Le surnaturel que Christ a fait place à un Jésus humain; et la doctrine des deux natures, pour la doctrine d’un homme divin.
Schleiermacher se trouvait à la tête du nouveau développement. Il considérait le Christ comme une nouvelle création, dans lequel la nature humaine est élevée au plan de la perfection idéale. Pourtant son Christ peut difficilement dire s’élever au-dessus du niveau de l’humain. La singularité de sa personne consiste dans le fait qu’il possède un sens parfait et ininterrompu de l’union avec le divin et réalise également pleinement le destin de l’homme dans son caractère de perfection sans péché. Sa dignité suprême trouve son explication dans une présence spéciale de Dieu en lui, dans sa conscience de Dieu unique. Conception de Hegel du Christ fait partie intégrante de son système panthéiste de la pensée. Le mot devenu chair signifie pour lui Dieu de s’incarner dans l’humanité, pour que l’incarnation vraiment exprime l’unicité de Dieu et l’homme. L’incarnation du Christ était, paraît-il, simplement l’aboutissement d’un processus racial. Alors que l’humanité en général considère Jésus comme un enseignant humain, foi lui reconnaît comme divine et conclut que, par sa venue dans le monde, la transcendance de Dieu se transforme en immanence. Ici nous rencontrons une identification panthéiste de l’humain et le divin dans la doctrine du Christ.
Quelque chose de ce voit aussi dans les théories kénotique, qui représentent une tentative plutôt remarquable pour améliorer la construction de la doctrine de la personne du Christ. Le terme kénose est dérivé de Philippiens 2:7, qui enseigne que le Christ « vidé (ekenosen) lui-même, en prenant la forme d’un serviteur. » Les Kenoticists prendre cela comme signifiant que les Logos devient littéralement, c'est-à-dire, a été transformés en un homme en réduisant (depotentiating) lui-même, en totalité ou en partie, aux dimensions d’un homme et ensuite augmentés dans la sagesse et la puissance jusqu'à ce qu’enfin il redevient Dieu. Cette théorie est apparue sous diverses formes, dont la plus absolue est celle de Gess et pour une temps connu une popularité considérable. Il visait à maintenir la réalité et l’intégrité de la virilité du Christ et de jeter en fort relief la grandeur de son humiliation en ce qu’il, être riche, pour notre bien est devenu pauvre. Il s’agit, cependant, une oblitération panthéiste de la ligne de démarcation entre Dieu et l’homme. Dorner, qui était le plus grand représentant de l’école Mediating, fortement opposés à ce point de vue et remplacé par la doctrine d’une incarnation progressive. Il vit dans l’humanité du Christ l’humanité nouvelle avec une réceptivité spéciale pour le divin. Les Logos, le principe d’auto-effusion en Dieu, lui-même rattaché à cette humanité; la mesure dans laquelle il a fait cela a été déterminée à chaque étape de la réceptivité croissante de la nature humaine pour le divin et n’a pas atteint sa phase finale jusqu'à la résurrection. Mais c’est simplement une nouvelle forme subtile de l’ancienne hérésie nestorienne. Il donne un Christ composé de deux personnes.
À l’exception de Schleiermacher, personne n’a exercé plus d’influence sur la théologie de nos jours que Albrecht Ritschl. Sa christologie prend son point de départ dans le travail, plutôt que dans la personne du Christ. Le œuvre du Christ détermine la dignité de sa personne. C’était un homme simple, mais vu le travail qu’il a accompli et le service qu’il a rendus, nous attribuons à juste titre lui le prédicat de divinité. Il écarte la préexistence, l’incarnation et la conception virginale du Christ, puisque cela ne trouve aucun point de contact dans la croyant de la conscience de la communauté chrétienne. Christ a été le fondateur du Royaume de Dieu, ce qui rend le dessein de Dieu lui-même et maintenant en quelque sorte incite les hommes à entrer dans la communauté chrétienne et à vivre une vie qui est motivée par l’amour. Il rachète l’homme de son enseignement, exemple et influence unique et est donc digne d’être appelé Dieu. Il s’agit pratiquement d’un renouvellement de la doctrine de Paul de Samosate.
Sur la base de l’idée moderne panthéiste de l’immanence de Dieu, la doctrine du Christ est souvent représenté de façon complètement naturaliste d’aujourd'hui. Les représentations peuvent varier considérablement, mais l’idée fondamentale est généralement le même, celui d’une unité essentielle de Dieu et l’homme. La doctrine des deux natures du Christ a disparu de la théologie moderne, et au lieu de cela, nous avons une identification panthéiste de Dieu et l’homme. Essentiellement tous les hommes sont divins, car ils ont tous un élément divin en eux; et ils sont tous fils de Dieu, du Christ ne différant que par degrés. Enseignement moderne sur le Christ est basé sur la doctrine de la continuité de Dieu et l’homme. Et c’est précisément contre cette doctrine que Barth et ceux qui adoptent une optique commune avec lui ont élevé leur voix. Il y a dans certains milieux aujourd'hui des signes d’un retour à la doctrine de deux-nature. Multi-bride avoue dans son ce qui est la foi? que pendant de nombreuses années il affirme avec certitude que l’attribution au Christ de deux natures en une seule personne a dû être abandonnée, mais maintenant voit que cela reposait sur un malentendu.
QUESTIONS pour une étude plus approfondie. Ce qui était le fond de la controverse christologique dans les premiers siècles ? Quelles sont les erreurs anciennes ont été ravivées par Roscelinus et Abelard ? Quel était le nihilisme christologique en vogue parmi les disciples de Abelard ? Comment a fait Peter le Lombard Découvre Christ ? La scolastique a fait mettre tout nouveaux points en avant ? Où trouve-t-on la christologie luthérienne officiel ? Comment peut-on expliquer les représentations apparemment incompatibles de la formule de concorde ? Quelles sont les objections il l’idée luthérienne que divins attributs peut être fondée de la nature humaine ? Comment les luthériens et les réformés diffèrent dans leur interprétation de Philippiens 2:5-11 ? Comment la christologie réformée diffère-t-il de la luthérienne ? Quelle est la différence principale entre les Christologies récentes et les versions antérieures ? Quelles objections sont là pour la doctrine de la kénose ? Quelles sont les caractéristiques contestables de la christologie moderne ? Comment Barth et Brunner voient-ils Christ ?
LITTÉRATURE: la formule de concorde et de la Confession helvétique; Seeberg, histoire de la Doctrine II, p. 65, 109 f., 154 f., 229 f., 321 f., 323 f., 374, 387; Hagenbach, histoire de la Doctrine II, p. 267-275; III, pp. 197-209, 343-353; Thomasius, Dogmengeschichte II, p. 380-385; 388-429; Otten, Manuel de l’histoire des dogmes II, pp. 171-195; Heppe, Dogmatik des deutschen Protestantismus II, pp. 78-178; Dorner, histoire de la théologie protestante, 95 p. f., 201 f., 322 f.; Bruce, l’Humiliation du Christ, pp. 74-355; Mackintosh, la Doctrine de la personne de Jésus Christ, pp. 223-284; Ottley, la Doctrine de l’Incarnation, pp. 485-553, 587-671; Sanday, Christologies ancien et moderne, pp. 59-83; Schweitzer, la quête du Jésus historique; La Touche, la personne du Christ dans la pensée moderne.
II. les noms et les Natures du Christ
A. LES NOMS DU CHRIST.
Il y a en particulier cinq noms qui appellent pour une brève discussion à ce stade. Ils sont en partie descriptives de sa nature, en partie de sa position officielle et en partie des travaux pour lesquels il est venu au monde.
1. LE NOM DE JÉSUS. Le nom de Jésus est la forme grecque de l’hébreu Jehoshua, Josué, Josué 1:1; Zach. 3:1, ou Josué (forme ordinaire dans les livres historiques post-exilique), Esdras 2:2. La dérivation de ce nom commun du Sauveur est voilée dans l’obscurité. L’opinion généralement admise est qu’il est dérivé de racine yasha', hiph., hoshia', pour sauver, mais il n’est pas facile à expliquer comment Jehoshua«, devint Jeshua». Sans doute Hoshea', dérivé de l’infinitif, était la forme originale (cf. num. 13:8, 16; Deut 32:44), exprime simplement l’idée de rédemption. yod, qui est le signe de l’imparfait, peut ont été ajoutés pour exprimer la certitude de la rédemption. Ce serait mieux d’accord avec l’interprétation du nom donné dans Matthieu 01:21. Pour une autre dérivation de Jeho (Jéhovah) et shua, voilà aide (Gotthilf) cf. Kuyper, Dict. dogme. Le nom a été porté par deux types bien connus de Jésus dans l’ancien Testament.
2. LE NOM CHRIST. Si Jésus est le personnel, le Christ est le nom officiel, du Messie. C’est l’équivalent de l’ancien Testament Mashia ' h (à partir de mashach, à l’onction) et donc signifie « l’oint ». Rois et prêtres étaient oints régulièrement au cours de l’ancienne dispensation, Ex. 29: 7; Lévitique 4:3; Juges 9:8; J’ai Sam 09:16; 10:1; II Samuel 19:10. Le roi s’appelait « l’oint de Jéhovah, » j’ai Sam. 24:10. Seulement une seule instance de l’onction d’un prophète est enregistrée, l’I rois 19:16, mais il y a probablement des références à ce Psaume 105:15 et Ésaïe 61: 1. L’huile utilisée dans l’onction de ces officiers a symbolisé l’esprit de Dieu, Esaïe 61: 1; Zach. 4:1-6 et l’onction représentant le transfert de l’esprit de la personne consacrée, j’ai Samuel 10:1, 6, 10; 16:13, 14. l’onction était un signe visible de (a) une nomination au office; (b) l’établissement d’une relation sacrée et la sacrosanctness qui en découle de la personne, oint, j’ai Sam. 24:6; 26:9; II Samuel 01:14; et (c) une communication de l’esprit à l’oint, j’ai Sam. 16:13, cf. aussi II Cor. 01:21, 22. L’ancien Testament se réfère à l’onction du Seigneur dans le Psaume 2:2; 45: 7 et le Nouveau Testament, dans Actes 10:38 et 04:27. Anciennement références se retrouvent également dans PS. 2:6 et Prov. 08:23, mais aujourd'hui hébraïsants affirment que le mot nasak, utilisé dans ces passages, signifie « de mettre en place » plutôt que « d’oindre. » Mais même voir aussi Ésaïe 11:2; 42:1. Christ a été mis en place ou nommé à ses fonctions de donc les points du mot à la réalité de la première chose symbolisée dans l’onction, l’éternité, mais historiquement son onction a eu lieu quand il a été conçu par le Saint-Esprit, Luke 01:35, et lorsqu’il reçut le Saint Esprit, surtout au moment de son baptême, Matthieu 03:16; Marquer à 01:10; Luc 03:22; John 01:32; 3:34. qu'il a servi à qualifier pour accomplir son importante tâche. Le nom « Christ » a été tout d’abord appliqué au Seigneur comme un nom commun avec l’article, mais peu à peu développés dans un nom propre et a été utilisé sans l’article.
3. LE NOM DU FILS DE L’HOMME. Dans l’ancien Testament, ce nom se trouve dans le Psaume 8:4; Dan. 07:13 et fréquemment dans la prophétie d’Ézéchiel. On le trouve aussi dans le Apochrypha, Enoch 46 et 62 et II Esdras 13. La dépendance à l’égard de l’utilisation du Nouveau Testament de celui-ci sur le passage de Daniel est maintenant généralement admis, dans cette prophétie c’est simplement une phrase descriptive et non encore un titre. La transition de l’un à l’autre a été effectuée par la suite et était apparemment déjà un fait accompli lorsque le livre d’Enoch a été écrit. C’est la plus courante auto-désignation de Jésus. Il a appliqué le nom lui-même à plus de quarante reprises, tandis que d’autres abstenu tous, mais il emploie. La seule exception dans les Évangiles est dans Jean 12:34, où il apparaît dans une citation indirecte d’une parole de Jésus; et dans le reste du Nouveau Testament seulement Stephen et John emploient, agit à 07:56; 01:13; 14:14.
Dre Vos dans son travail sur The Self-Divulgation de Jésus se divise les passages dans lesquels apparaît le nom en quatre classes: (a) les Passages qui évoquent clairement la provenance eschatologique du fils de l’homme, comme par exemple, Matthieu 16:27, 28; Marquer à 08:38; 13:26, etc. et parallèles. (b) les passages qui parlent particulièrement de Jésus souffrances, la mort et (parfois) la résurrection, comme, par exemple, Matthieu 17:22; 20:18, 19, 28; 12:40, etc. et parallèles. (c) les passages dans le quatrième Évangile, dans laquelle le côté surhumain céleste et la préexistence de Jésus est soulignée, comme par exemple, 01:51; 03:13, 14; 06:27, 53, 62; 08:28 et ainsi de suite. (d) un petit groupe de passages, dans lequel Jésus se penche sur sa nature humaine, Mark 02:27, 28; John 05:27; 06:27, 51, 62. il est difficile de déterminer pourquoi Jésus préférait ce nom comme une autodésignation. Anciennement le nom était généralement considéré comme un titre énigmatique, par l’utilisation de qui Jésus destiné à voile plutôt qu’aux révèlent sa messianité. Cette explication a été écartée lorsque la plus grande attention a été accordée à l’élément eschatologique dans les Évangiles et à l’utilisation du nom dans la littérature apocalyptique des Juifs. Dalman relancé l’idée et considéré le titre une fois de plus comme « un voiler intentionnelle du personnage messianique sous un titre qui affirme l’humanité de celui qui portait il. » La preuve supposée pour cela se trouve dans Matthieu 16:13; John 12:34. Mais la preuve est douteuse; le dernier passage montre même que le peuple a compris le nom messianiques. Dre Vos est d’avis que Jésus a probablement préféré le nom, parce qu’il était plus éloigné retirés chaque possible prostitution juive messianique du Office de le. En appelant lui-même le fils de l’homme, Jésus a dispensé à la messianité son esprit axée sur le ciel. Et la hauteur à laquelle il a levé ainsi sa personne et travail peut bien avoir eu quelque chose à voir avec les hésitations de ses premiers disciples à lui nommer avec la plus céleste de tous les titres.
4. LE NOM DE FILS DE DIEU. Le nom « Fils de Dieu » a été diversement appliquée dans l’ancien Testament: (a) au peuple d’Israël, Ex. 04:22; Jérémie 31: 9; Osée 11:1; (b) aux responsables entre Israël, surtout pour le roi a promis de la maison de David, II sam 07:14; PS. 89:27; (c) aux anges, Job 1:6; 2:1; 38: 7; PS. 29: 1; 89:6; et (d) à des gens pieux dans général, Genèse 6:2; PS. 73:15; Prov. 14:26. Entre Israël le nom a acquis une signification théocratique. Dans le Nouveau Testament, nous trouvons Jésus s’approprier le nom et autres aussi il attribuant à lui. Le nom est appliqué à Jésus dans les quatre sens différents, qui ne sont pas toujours gardées distinctes dans les Ecritures, mais sont parfois combinés. Le nom est appliqué à lui:
a. dans le sens officiel ou messianique, comme une description de l’office, plutôt que de la nature du Christ. Le Messie pourrait être appelé fils de Dieu comme héritier et le représentant de Dieu. Les démons compris évidemment le nom Messianiquement, quand ils l’ont appliquée à Jésus. Il semble avoir ce sens aussi dans Matthieu 24:36; Marc 13:32. Même le nom, tel qu’il est prononcé par la voix au baptême de Jésus et à sa transfiguration, Matthieu 03:17; 17:5; Marquer à 01:11; 9:7; Luc 03:22; 09:35, peut être ainsi interprété, mais selon toute vraisemblance, a une signification plus profonde. Il y a plusieurs passages dans lesquels le sens messianique est combiné avec le sens Trinitaire (voir point b).
b. dans le sens trinitaire. Le nom est parfois utilisé pour désigner la divinité essentielle du Christ. Comme tel, il pointe vers une filiation préexistante, qui transcende absolument la vie humaine du Christ et de son agent appel en tant que Messie. Les instances de cette utilisation sont trouvent dans Matthieu 11:27; 14:28-33; 16:16 et parallèles; 21:33-46 et parallèles; 22:41-46; 26:63 et parallels. Dans certains cas l’idée de la filiation messianique, également pénètre plus ou moins. Nous trouvons l’ontologique et la filiation messianique entrelacés également dans plusieurs passages johanniques, dans lequel Jésus clairement laisse entendre qu’il est le fils de Dieu, bien qu’il n’utilise pas le nom, comme dans 6:69; 08:16, 18, 23; 10:15, 30; 14:20 et ainsi de suite. Dans les épîtres de Christ est souvent désigné comme le fils de Dieu dans le sens métaphysique, Romains 1:3; 8:3; Galates 4:4; Hébreux 1:1 et beaucoup d’autres passages. Dans la théologie libérale moderne, il est coutume de nier la filiation métaphysique du Christ.
c. dans le sens importé. Christ est aussi appelé le fils de Dieu en vertu de sa naissance surnaturelle. Le nom est alors appliqué à lui dans le bien connu de passage dans l’Évangile de Luc, dans lequel l’origine de sa nature humaine est attribuée à la paternité directe, surnaturelle de Dieu, à savoir, Luc 01:35. Dre Vos trouve également des indications de ce sens du nom dans Matthieu 01:18-24; John 01:13. Naturellement, cette signification du nom est également rejetée par la théologie libérale moderne, qui ne croit pas en la naissance virginale, ni dans la conception surnaturelle du Christ.
d. dans l’éthico-sens religieux. C’est en ce sens que le nom « fils » ou « enfants de Dieu » est appliqué aux croyants dans le Nouveau Testament. Il est possible que nous avons un exemple de l’application du nom « Fils de Dieu » à Jésus, en ce sens d’éthico-religieux dans Matthieu 17:24-27. Cela dépend de la question, si Peter est ici représenté comme également exempter de la templetax. C’est surtout dans ce sens que la théologie libérale moderne attribue le nom de Jésus. Il constate que la filiation de Jésus est seulement une filiation éthico-religieux, quelque peu accrue en effet, mais pas essentiellement différent de celui de ses disciples.
5. le nom de Seigneur (Kurios). Le nom « Seigneur » est appliqué à Dieu dans la Septante, (a) comme l’équivalent de Jéhovah; (b) comme le rendu Adonaï; et (c) comme la traduction d’un titre honorifique humain appliqué à Dieu (principalement Adon), Josué 03:11; PS. 97:5. Dans le Nouveau Testament, nous trouvons un peu similaires triple demande du nom de Christ, (a) comme une forme polie et respectueuse de l’adresse, Matthieu 8:2; 20:33; (b) sous le nom expressif de la propriété et autorité, sans que quoi que ce soit implique quant à caractère divin du Christ et l’autorité, mat. 21:3; 24:42; et (c) avec la connotation plus haute autorité expressif de caractère exalté et en fait pratiquement équivalent au nom de « Dieu » Marquez 12:36, 37; Luc 02:11; 3:4; Actes à 02:36; I Corinthiens 12:3; Phil. 02:11. Dans certains cas, il est difficile de déterminer la connotation exacte du titre. Sans aucun doute, après l’exaltation du Christ, le nom a été généralement appliqué à lui dans le sens le plus élevé. Mais il existe des cas de son utilisation avant même de la résurrection, où l’importation spécifiquement divine du titre a manifestement déjà été atteint, comme dans Matthieu 07:22; Luc 5:8; John 20:28. Il y a une grande divergence d’opinions entre les savants concernant l’origine et le développement de ce titre, telle qu’appliquée à Jésus. En dépit de tout ce qui a été avancé à l’effet contraire, il n’y a aucune raison de douter que l’utilisation du nom, tel qu’appliqué à Jésus, s’enracine dans l’ancien Testament. Il y a un élément constant dans l’histoire de la conception, et c’est l’élément de propriété qui fait autoritaire. Les épîtres de Paul suggèrent l’idée supplémentaire qu’il est une autorité et la propriété reposant sur antérieurement des droits acquis. Il est douteux, si cet élément est déjà présent dans les Évangiles.
B. LES NATURES DU CHRIST.
Dès les premiers temps et plus particulièrement depuis le Concile de Chalcédoine, l’église a avoué la doctrine des deux natures du Christ. Le Conseil n’a pas résolu le problème posé par une personne qui était à la fois humaine et divine, mais seulement cherché à éloigner les quelques-unes des solutions qui ont été proposées et ont été clairement reconnues comme erronée. Et l’église a accepté la doctrine des deux natures en une seule personne, non pas parce qu’il avait une compréhension complète du mystère, mais parce qu’il a clairement vu en lui un mystère révélé par la parole de Dieu. Il a été et est restée depuis lors pour l’église, un article de foi, bien au-delà de la compréhension humaine. Les attaques sur la doctrine rationalistes ne manquaient pas entièrement, mais l’église est restée ferme dans la confession de cette vérité, en dépit du fait qu’il a été déclaré une fois et encore une fois d’être contraire à la raison. Dans cette confession catholiques romains et Protestants serrons. Mais depuis la dernière partie du XVIIIe siècle sur cette doctrine a été la cible des attaques persistantes. L’âge de raison prévue, et il a été déclaré indigne de l’homme à accepter l’autorité de l’écriture ce qui était clairement contraire à la raison humaine. Ce qui ne pas elle-même recommande à ce nouvel arbitre déclarait simplement erronée. Théologiens et philosophes individuels maintenant essayé leur main à résoudre le problème posé par le Christ, afin qu’ils pourraient offrir à l’église un substitut pour la doctrine de deux-nature. Ils ont pris leur point de départ dans le Jésus humain et même après un siècle de recherches minutieuses trouvent en Jésus ne dépasse pas un homme avec un élément divin en lui. Ils ne pourraient pas augmenter à la reconnaissance de lui comme leur Seigneur et leur Dieu. Schleiermacher a parlé d’un homme avec une conscience de Dieu suprême, Ritschl, d’un homme ayant la valeur d’un Dieu, Wendt, d’un homme debout dans une bourse de recherche vers l’intérieur continue d’amour avec Dieu, Beyschlag, d’un homme rempli de Dieu et Sanday, d’un homme avec d’irruption du divin dans le s UB-conscience; — mais Christ est et demeure simplement un homme. Aujourd'hui l’école libérale représentée par Harnack, l’école eschatologique de Weiss et Schweitzer et l’école la plus récente de religions comparées, dirigée par Bousset et Kirsopp Lake, tous d’accord en dépouillant de Christ de sa divinité vraie et à lui réduire à l’humain Dimensions. À la première, notre Seigneur est simplement un grand enseignant éthique; à la seconde, une voyante apocalyptique; et le troisième un leader hors pair à un destin exalté. Ils considèrent le Christ de l’église comme la création de l’hellénisme, ou du judaïsme ou des deux combinés. Aujourd'hui, cependant, l’épistémologie entier du siècle précédent est mis en cause, et le caractère suffisant de la raison humaine pour l’interprétation de la vérité ultime est sérieusement remis en cause. Il y a l’accent sur la révélation. Et les théologiens influents, comme Barth et Brunner, Edwin Lewis et Nathaniel Micklem, n’hésitent pas à confesser la foi une fois de plus dans la doctrine des deux natures. Il est primordial de maintenir cette doctrine, car elle a été formulée par le Concile de Chalcédoine et figure dans nos normes confessionnelles.
1. L'ÉCRITURE ET LES PREUVES DE LA DIVINITÉ DU CHRIST. Compte tenu du refus généralisé de la divinité du Christ, il est primordial d’être bien au fait de la preuve de l’écriture pour elle. La preuve en est si abondante que nul qui accepte la Bible comme la parole infaillible de Dieu peut connaître aucun doute sur ce point. Pour la classification ordinaire des preuves bibliques, tel qu’il découle des noms divins, les attributs divins, les oeuvres divines et l’honneur divin lui sont imputé, nous renvoyons au chapitre sur la Trinité. Une disposition légèrement différente est suivie ici, compte tenu de la tendance récente de la critique historique.
a. dans l’ancien Testament. Certains ont montré une tendance à nier que l’ancien Testament contient des prédictions d’un Messie divin, mais ce refus est tout à fait insoutenable au vu de ces passages comme PS. 2:6-12 (Héb. 1:5); 45: 6, 7 (Hébreux 1:8, 9); 110: 1 (Héb. 01:13); Ésaïe 9:6; Jérémie 23:6; Dan. 07:13; Michée 5:2; Zach. 13:7; Malachie 3:1. Plusieurs des derniers érudits historiques fortement insistent sur le fait que la doctrine d’un Messie surhumaine était originaire du judaïsme pré-chrétien. Certains même trouvent l’explication de la christologie surnaturelle des parties du Nouveau Testament.
b. dans les écrits de Jean et Paul. Il est apparu tout à fait impossible de nier que Jean et Paul enseignent la divinité du Christ. Dans l’Évangile de Jean se trouve la vue le plus élevée de la personne du Christ, tel qu’il appert les passages suivants: John 1:1-3,14,18; 02:24, 25; 03:16-18,35,36; 04:14, 15; 05:18, 20, 21, 22, 25-27; 11:41-44; 20:28; J’ai John 1:3; 02:23; 04:14, 15; 5:5, 10-13, 20. Une opinion semblable se trouve dans les épîtres et dans l’épître aux Hébreux, Romains 1:7; 9:5; J’ai Cor. 1:1-3; 2:8; II Corinthiens 05:10; GAL 02:20; 4:4; Philippiens 2:6; Colossiens 2:9; J’ai Timothée 03:16; Hébreux 1:1-3,5,8; 04:14; 5:8 et ainsi de suite. Les disciples critiques a cherché à échapper à la doctrine enseignée clairement dans ces écrits de diverses manières comme, par exemple, en refusant l’historicité de l’Évangile de Jean et de l’authenticité d’un grand nombre des Épîtres de Paul; par en ce qui concerne les représentations de John, Paul et Hébreux comme interprétations injustifiées, dans le cas de John et Hébreux surtout sous l’influence de la doctrine du Philonic Logos et dans le cas de Paul sous la même influence, soit sous celui de son vues avant le christianisme, Juifs; ou en attribuant à Paul une plus faible vue supérieure à celle de John, à savoir, celle du Christ comme un homme préexistant, céleste.
c. dans les synoptiques. Certains soutiennent que les synoptiques nous fournissent uniquement une image fidèle du Christ. Ils ont, dit-on, de dépeindre l’homme, le Jésus véritablement historique, qui contraste avec l’image idéalisée du quatrième Évangile. Mais il est parfaitement évident que le Christ de la Synoptics est juste aussi véritablement divin comme le Christ de Jean. Il se distingue comme une personne surnaturelle dans l’ensemble, le fils de l’homme et le fils de Dieu. Son caractère et ses œuvres justifier sa demande. Notez en particulier les passages suivants: Matthieu 05:17; 9:6; 11:1-6,27; 14:33; 16:16, 17; 28.18; 25: 31 ff.; Marquer à 08:38 et nombreux passages parallèles et similaires. De Dr. Warfield The Lord of Glory est très éclairante sur ce point.
d. dans la soi-conscience de Jésus. Ces dernières années il y a eu une tendance à revenir à la soi-conscience de Jésuset de nier qu’il était conscient d’être le Messie ou le fils de Dieu. Naturellement, il n’est pas possible d’avoir aucune connaissance de la conscience de Jésus, sauf par le biais de ses paroles, car elles sont enregistrées dans les Évangiles; et il est toujours possible de refuser qu’ils expriment correctement l’esprit de Jésus. Pour ceux qui acceptent le témoignage de l’Évangile il ne peut y avoir aucun doute sur le fait que Jésus était conscient d’être le fils de Dieu très. Les passages suivants en témoignent: Matthieu 11:27 (Luc 10:22); 21:37, 38 (Marc 12:6; Luc 20:13); 22:41-46 (Marc 13:35-37; Luc 20:41-44); 24:36 (Marc 13:32); 28:19. que certains de ces passages témoignent de conscience messianique de Jésus; d’autres sur le fait qu’il était conscient d’être le fils de Dieu dans le sens le plus élevé. Il y a plusieurs passages dans Matthieu et Luc, dans laquelle il parle de la première personne de la Trinité comme « mon père, » Matthieu 07:21; 10:32, 33; 11:27; 12:50; 15:13; 16:17; 18:10, 19, 35; 20:23; 25: 34; 26: 29, 53; Luc 02:49; 22:29; 24:49. dans l’Évangile de Jean la conscience d’être le fils de Dieu même est encore plus évident dans ces passages comme John 03:13; 05:17, 18, 19-27; 06:37-40,57; 08:34-36; 10:17, 18, 30, 35, 36 et autres passages.
2. L'ÉCRITURE ET LA PREUVE POUR L’HUMANITÉ VÉRITABLE DE CHRIST. Il est un temps, quand la réalité (le Gnosticisme) et l’intégrité physique (docétisme, Apollinarianism), de la nature humaine du Christ a été refusée, mais à l’heure actuelle que personne sérieusement en question la réelle humanité de Jésus Christ. En fait, il est à l’heure actuelle une extrême importance sur sa véritable humanité, une humanité sans cesse croissante. La seule Divinité beaucoup attribuent encore au Christ, est tout simplement celui de son humanité parfaite. Cette tendance moderne est, sans doute en partie une protestation contre un accent unilatérale sur la divinité du Christ. Hommes ont parfois oublié le Christ humain dans leur vénération pour le divin. Il est très important de maintenir la réalité et l’intégrité de l’humanité de Jésus en admettant son développement humain et les limites humaines. La splendeur de sa divinité pas faut souligner dans la mesure de masquer sa véritable humanité. Jésus lui-même appelé homme et est ainsi appelé par d’autres, John 08:40; Actes à 02:22; ROM. 05:15; I Corinthiens 15:21. La plus courante auto-désignation de Jésus, « le fils de l’homme, » toute connotation qu’elle peut avoir, certainement aussi indique la véritable humanité de Jésus. En outre, il est dit que le Seigneur est venu ou qu’il a été manifesté dans la chair, John 01:14; J’ai Timothée 03:16; I Jean 4:2. Dans ces passages, le terme « chair » désigne la nature humaine. La Bible indique clairement que Jésus possédait les éléments essentiels de la nature humaine, c'est-à-dire un corps matériel et une âme rationnelle, Matthieu 26: 26, 28, 38; Luc 23:46; 24:39; John 11:33; Héb. 02:14. Il y a aussi des passages qui montrent que Jésus était assujetti aux lois ordinaires du développement humain et à des désirs humains et les souffrances, Luc 02:40, 52; Héb. 02:10, 18; 5:8. il est mis en évidence en détail que les expériences normales de la vie de l’homme étaient les siennes, Matthieu 4:2; 08:24; 09:36; Marc 3:5; Luc 22:44; John 4:6; 11:35; 12:27; 19:28, 30; Hébreux 5:7.
3. L'ECRITURE ET LA PREUVE POUR L’HUMANITÉ DE CHRIST EXEMPTE DE PÉCHÉ. Nous attribuons à Christ non seulement naturel, mais aussi moral, l’intégrité ou la perfection morale, c’est péché. Cela ne signifie pas simplement que le Christ pourrait éviter de pécher (peccare non potuit) et n’a effectivement évité il, mais aussi qu’il était impossible pour lui de péché (non potuit peccare) en raison de la liaison essentielle entre l’humain et la nature divine. L’innocence du Christ a été refusé par Martineau, Irving, Menken, Holsten et Pfleiderer, mais la Bible témoigne clairement d’elle dans les passages suivants: Luc 01:35; John 08:46; 14:30; II Corinthiens 05:21; Héb. 04:15; 09:14; J’ai PET. 02:22; I Jean 3:5. Alors que le Christ a fait devenir péché judiciairement, encore sur le plan éthique il était libre de dépravation héréditaire et péché actuel. Il ne fait jamais un aveu d’erreur morale; ni est il joindra ses disciples dans la prière, « pardonne-nous nos péchés. » Il est capable de défier ses ennemis à le convaincre de péché. L’écriture même lui représente que celui dans lequel est réalisé l’homme idéal, Héb. 2:8, 9; I Corinthiens 15:45; II Corinthiens 03:18; Phil. 03:21. En outre, le nom « Fils de l’homme, » a ouvert un crédit par Jésus, semble intime qu’il répond à l’idéal parfait de l’humanité.
4. LA NÉCESSITÉ DES DEUX NATURES DANS LE CHRIST. Il ressort de ce qui précède que, de nos jours, beaucoup ne reconnaissent pas la nécessité d’assumer deux natures dans le Christ. Pour eux Jésus n’est qu’un homme; mais dans le même temps, ils se sentent contraints de n’attribuer à lui la valeur d’un Dieu, ou de demander la divinité pour lui en vertu de l’immanence de Dieu en lui, ou de l’esprit intérieur. La nécessité des deux natures dans le Christ découle de ce qui est essentiel à la doctrine biblique de l’expiation.
a. la nécessité de sa virilité. Comme l’homme de péché, il a fallu que la peine devait être supportée par l’homme. De plus, le paiement de la pénalité impliqué des souffrances du corps et âme, comme seul l’homme est capable de palier, John 12:27; Actes 03:18; Héb. 02:14; 9:22. il fallait que Christ doit assumer la nature humaine, non seulement avec toutes ses propriétés essentielles, mais aussi avec tous les infirmités à laquelle il est responsable après la chute et doit donc descendre dans les profondeurs de dégradation à laquelle l’homme était tombé, Héb. 02:17, 18. Dans le même temps, il devait être un homme sans péché, pour un homme qui était lui-même un pécheur, et qui avait perdu son droit de sa propre vie, ne pouvait certainement pas expier pour d’autres, Héb. 07:26. Seulement cet vraiment humain médiateur, qui avait une connaissance expérimentale des malheurs de l’humanité et rose supérieure à toutes les tentations, pourrait conclure avec bienveillance toutes les expériences, les épreuves et les tentations de l’homme, Héb. 02:17, 18; 04:15-5:2, et être un exemple humain parfait pour ses disciples, Matthieu 11:29; Marc 10:39; Jean 13:13-15; Philippiens 2:5-8; Hébreux 12:2-4; J’ai PET. 02:21.
b. la nécessité de sa divinité. Dans le plan divin du Salut, il est absolument essentiel que le Médiateur devrait également être Dieu. C’était nécessaire, afin que (1) qu’il pourrait apporter un sacrifice de valeur infinie et rendre parfaite obéissance à la Loi de Dieu; (2) il peut supporter la colère de Dieu rédemptrice, c'est-à-dire pour libérer d’autres de la malédiction de la Loi; et (3) il peut être en mesure d’appliquer le fruit de son travail accompli pour ceux qui ont accepté de lui par la foi. L’homme de sa vie de faillite peut payer la pénalité du péché, ni rendre parfaite obéissance à Dieu. Il peut supporter la colère de Dieu et, à l’exception de la grâce rédemptrice de Dieu, auront à supporter éternellement, mais il ne peut supporter de façon à ouvrir un moyen d’évasion, Psaume 49: 7-10; 130:3.
QUESTIONS pour une étude plus approfondie. Quelles personnes de l’ancien Testament portaient le nom de « Jésus », et dans quelle mesure ils caractérisent le Sauveur ? Est le titre nu « le Messie, » sans un génitif ou d’un suffixe pronominal, jamais trouvé dans l’ancien Testament ? Comment Dalman comptabilise-t-il son apparition dans la littérature apocalyptique juive ? Faire les termes « l’oint de Jéhovah, » « Son oint » et « mon oint » ont toujours la même signification dans l’ancien Testament ? D'où vient l’idée que les croyants partagent l’onction du Christ ? Qu’en est-il l’idée que le nom de « Fils de l’homme, » réduit à sa probable araméen original, signifie simplement « homme » ? Que diriez-vous l’idée de Weiss et Schweitzer que Jésus a employé le nom seulement dans un sens futuriste ? Il l’utilise avant la confession de pierre à Cæsarea-Philippes ? Comment les libéraux concilier leur conception de Jésus comme le fils de Dieu seulement dans un sens religieux et éthique avec les données de l’écriture ? Ce qui est la vue habituelle de l’origine du Kurios-titre ? Ce que la théorie a été abordée par Bousset et d’autres spécialistes libéraux ? Comment expliquer l’opposition à la doctrine de deux-natures ? C’est une doctrine nécessaire, ou existe-t-il une autre doctrine que pourrait prendre sa place ? Quelles sont les objections il à la doctrine recourt; — aux théories kénotique; — à l’idée d’une incarnation progressive; — à la vue de Ritschlian; — à la théorie de Sanday ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. III, pp. 259-265, 328-335, 394-396; Kuyper, Dict. dogme., De Christo j’ai, pp. 44-61, 128-153; II, pp. 2-23; Hodge, Syst. Theol. II, pp. 378-387; Dabney, syst et trouvailles. THEOL. p. 464-477; Vos, Geref. Dogme. III, pp. 1-31; Ibid.. The Self-Divulgation de Jésus, p. 104-256; Ibid.. sur le Kurios-titre, Princeton théol. Review, Vol. XIII, p. 151 ff.; Vol. XV, p. 21 ff.; Dalman, les paroles de Jésus, p. 234-331; Warfield, le Seigneur de gloire, cf. Index; Liddon, La divinité de notre Seigneur, LECT V; Rostron, la christologie de Saint Paul, p. 154 ff.; Machen, la Religionde l’origine de Saint-Paul, pp. 293-317; Stanton, Messie juif et le chrétien , p. 239-250.
III. l'Unipersonnalité du Christ
En l’an 451 après JC le Concile de Chalcédoine a rencontré formulé la foi de l’église concernant la personne de Christ et déclaré qu’il « faut reconnaître en deux natures, inconfusedly, immuablement, indissociable, inseperably; la distinction des natures étant emmenés par le syndicat, mais plutôt la propriété de chaque nature préservée et une seule personne et une subsistance, qui a souscrit en aucune pas séparés ou divisé en deux personnes. » Cette formulation est principalement négative et cherche simplement à protéger la vérité contre diverses vues hérétiques. Clairement, il affirme la foi de l’église primitive concernant la personne du Christ, mais ne fait aucune tentative pour expliquer le mystère impliqué, un mystère qui n’est pas susceptible d’une explication naturelle. Le grand miracle de central de l’histoire a été autorisé à subir de suite dans toute sa grandeur, le paradoxe suprême, d’utiliser la langue barthienne, Dieu et l’homme chez une personne. On nous dit simplement ce que Jésus est, sans aucune tentative de montrer comment il est devenu ce qu’il est. La grande vérité énoncée est que le fils éternel de Dieu a pris sur lui notre humanité et non, comme Brunner nous rappelle que l’homme Jésus a acquis la divinité. La délivrance du Concile de Chalcédoine témoigne d’un mouvement de Dieu pour l’homme, plutôt que l’inverse. Siècles se sont écoulés depuis cette époque, mais, si l'on excepte certaines explications, l’église n’a jamais vraiment eu au-delà de la formule de Chalcédoine. Il a toujours reconnu l’incarnation comme un mystère qui défie toute explication. Ainsi, il restera, car c’est le miracle des miracles. Plusieurs tentatives ont été faites en cours de temps à donner une explication psychologique de la personne de Jésus Christ, mais elles étaient toutes vouées à l’échec, car il est le fils de Dieu, lui-même, vrai Dieu, et une explication psychologique de Dieu est hors de question. Les paragraphes qui suivent sont conçues comme un bref exposé de la doctrine de l’église.
A. DÉCLARATION DE L’ÉGLISE CONCERNANT LA PERSONNE DU CHRIST.
1. DÉFINITION DES TERMES « NATURE » ET « PERSONNE ». En vue de la bonne compréhension de la doctrine, il est nécessaire de connaître le sens exact des termes « nature » et « personne » utilisé à cet égard. Le mot « nature » désigne la somme totale de toutes les qualités essentielles d’une chose, que ce qui rend ce qu’il est. Un caractère est une substance possédée en commun, avec toutes les qualités essentielles de cette substance. Le terme « personne » désigne une substance complète douée de raison et, en conséquence, un sujet responsable de ses propres actions. La personnalité n’est pas une partie essentielle et intégrante de la nature, mais est, en quelque sorte, le terminus auquel il tend. Une personne est une nature avec quelque chose a ajouté, à savoir, la subsistance indépendante, individualité. Maintenant, le Logos a assumé la nature humaine qui n’est pas personnalisée, qui n’existait pas par lui-même.
2. LES PROPOSITIONS DANS LEQUEL ON PEUT AFFIRMER LA VISION DE L’ÉGLISE.
a. il y a mais une seule personne dans le médiateur, les Logos immuables. Les Logos fournit le fondement de la personnalité du Christ. Il serait pas correct, cependant, de dire que la personne du médiateur n’est divine. L’incarnation lui constituait une personne complexe, constituée de deux natures. Il est le gourou.
b. la nature humaine du Christ, comme tel, ne constitue pas une personne humaine. Le Logos n’adopte pas une personne humaine, afin que nous disposions de deux personnes dans le médiateur, mais simplement a assumé la nature humaine. Brunner déclare que c’est le mystère de la personne de Jésus-Christ, qu’au point où nous avons une personne coupable, il a, ou plutôt est, la personne divine du Logos.
c. dans le même temps, il n’est pas exact de parler de la nature humaine du Christ comme impersonnel. C’est vrai qu’en ce sens que cette nature n’a aucune subsistance indépendante de ses propres. Strictement parlant, cependant, la nature humaine du Christ n’était pas un instant impersonnel. Les Logos suppose que la nature en subsistance personnelle avec lui-même. La nature humaine a son existence personnelle en la personne du Logos. C’est dans personnelles plutôt qu’impersonnel.
d. pour cette raison, nous ne sommes pas justifiés de parler de la nature humaine du Christ comme imparfait ou incomplètes. Sa nature humaine ne manque pas dans l’une des qualités essentielles appartenant à cette nature et dispose également d’individualité, c'est-à-dire de subsistance personnelle, en la personne du fils de Dieu.
e. cette subsistance personnelle ne doit pas être confondu avec la conscience et le libre arbitre. Le fait que la nature humaine du Christ, en soi, n’a aucune existence personnelle, ne signifie pas qu’elle n’a aucune conscience et qu’il sera. L’église a adopté la position qu’elles appartiennent à la nature plutôt qu’à la personne.
f. la personne divine, qui possédait une nature divine de toute éternité, a assumé la nature humaine et a maintenant tous les deux. Cela doit être maintenue par rapport à ceux qui, tout en admettant que la personne divine a assumé une nature humaine, de compromettre l’intégrité des deux natures en concevant l’eux comme ayant été fusionnés ou mélangé dans un tertium quid, une sorte de nature divine et humaine .
B. LA PREUVE SCRIPTURAIRE POUR L'UNI-PERSONNALITÉ DU CHRIST.
La doctrine des deux natures en une seule personne transcende la raison humaine. Il est l’expression d’une réalité suprasensible et d’un mystère incompréhensible, qui n’a aucune analogie dans la vie de l’homme telle que nous la connaissons, ne trouve aucun appui dans la raison humaine et par conséquent ne peut être acceptée par la foi sur l’autorité de la parole de Dieu. Pour cette raison, il est doublement nécessaire de porter une attention particulière à l’enseignement de l’écriture sur ce point.
1. AUCUNE PREUVE D’UNE DOUBLE PERSONNALITÉ DANS L’ÉCRITURE. En premier lieu, il y a un examen négatif d’une importance considérable. S’il y avait eu une double personnalité en Jésus, on s’attendrait naturellement à trouver quelques traces de celui-ci dans l’écriture; mais il n’y a pas une seule trace de celui-ci. Il n’y a pas de distinction d’un « je » et un « tu » dans la vie intérieure du médiateur, comme nous trouvons dans le cadre de cours du Dieu triune, où une personne aborde l’autre, Psaume 2:7; 40:7, 8; Jean 17:1, 4, 5, 21-24. En outre, Jésus a jamais utilise le pluriel en se référant à lui-même, comme Dieu le fait en 01:26; 03:22; 11:7. il peut sembler comme si John 03:11 ont été un exemple concret. Le pluriel est particulière, mais selon toute vraisemblance se réfère à Jésus et ceux qui avaient des liens avec lui, en opposition à Nicodème et le groupe qu’il représente.
2. LES DEUX NATURES SONT REPRÉSENTÉS DANS L’ÉCRITURE COMME UNIS DANS UNE SEULE PERSONNE. Il existe des passages de l’écriture qui se référence à deux natures dans le Christ, mais dans lequel il est parfaitement évident que seule une personne est prévue, Rom. 1:3, 4; Galates 4:4, 5; Philippiens 2:6-11. Dans plusieurs passages les deux natures sont énoncés comme unie. La Bible, nulle part enseigne que divinité dans l’abstrait, ou une puissance divine, était unie à, ou se manifestent, dans une nature humaine; mais toujours que la nature divine dans le béton, c'est-à-dire la personne divine du fils de Dieu, a été rattachée à une nature humaine, John 01:14; Romains 8:3; Galates 4:4; 9:5; J’ai Timothée 03:16; Héb. 02:11-14; I Jean 4:2, 3.
3. UNE PERSONNE PARLE DE LUI EN TERMES DE L’UNE DES VRAIES NATURES. À plusieurs reprises les attributs d’une nature reposent de la personne, alors que cette personne est désignée par un titre dérivé de l’autre nature. D’une part les qualités humaines et les actions reposent de la personne alors qu’il est désigné par un titre divin, actes 20:28; J’ai Cor. 2:8; 01:13, 14. Et en revanche divins attributs et mesures reposent de la personne alors qu’il est désigné par un titre humain, John 03:13; 6:62; Romains 9:5.
C. LES EFFETS DE L’UNION DES DEUX NATURES EN UNE SEULE PERSONNE.
1. AUCUN CHANGEMENT ESSENTIEL À LA NATURE DIVINE. La doctrine de la création et la doctrine de l’incarnation toujours constituent un problème dans le cadre de l’immutabilité de Dieu. Cela a déjà fait observer dans la discussion de cet attribut. Toutefois, ce problème peut être résolu, il devrait être maintenu que la nature divine n’a pas subi un changement essentiel dans l’incarnation. Cela signifie également qu’il est resté impassible, c'est-à-dire, incapable de la souffrance et la mort, contre l’ignorance et aide à la faiblesse et la tentation. Il est bon de souligner le fait que l’incarnation est un acte personnel. Il est préférable de dire que la personne du fils de Dieu s’est incarné que de dire que la nature divine a assumé la chair humaine. Si les théologiens réformés parlent parfois de la nature divine comme incarné, ils en parlent « pas immédiatement mais médiatement, » pour reprendre les termes de la théologie scolastique; ils considèrent cette nature pas absolument et en soi, mais en la personne du fils de Dieu. Le résultat de l’incarnation fut que le divin Sauveur pourrait être ignorant et faible, pourrait être tenté et pourrait souffrir et mourir, pas dans sa nature divine, mais intentée, en vertu de sa possession de la nature humaine.
2. UNE COMMUNICATION TRIPLE RÉSULTE DE L’INCARNATION.
a. une communicatio idiomatum, communiquer ou des propriétés. Cela signifie que les propriétés de l’homme et la nature divine, sont maintenant la propriété de la personne et sont donc attribuées à la personne. La personne peut être considérée comme tout-puissant, omniscient, omniprésent et ainsi de suite, mais peut aussi être appelée un homme de douleurs, de puissance et de la connaissance limitée et sous réserve de misères et humain que vous souhaitez. Il faut veiller à ne pas comprendre le terme qui désigne toute particulière à la nature divine a été communiquée à la nature humaine, ou vice versa; ou qu’il existe une interpénétration des deux natures, à la suite de laquelle le divin est humanisé, et l’homme est divinisé (Rome). La divinité ne peut pas partager des faiblesses humaines; ni l’homme peut participer dans l’une des perfections de la divinité essentielles.
b. A communicatio apotelesmatum ou operationum. Cela signifie que le œuvre rédemptrice du Christ et en particulier le résultat final de ce travail, apotelesma, porte un caractère divine et humaine. Cette analyse, nous pouvons dire que cela signifie: (1) que la cause efficiente de le œuvre rédemptrice du Christ est l’un sujet personnel indivis dans le Christ; (2) qu’il est causé par la coopération des deux natures; (3) que chacune de ces natures fonctionne avec son propre spécial energeia; et (4) que, malgré cela, le résultat forme une unité indivisible, parce que c’est le travail d’une seule personne.
c. A communicatio charismatum ou gratiarum. Cela signifie que la nature humaine du Christ, dès les premiers instants de son existence, était orné de toutes sortes de cadeaux riches et glorieux, comme par exemple, (1) l' influence de gratia cum persona tou Logou, autrement dit, la grâce et la gloire d’être Unis à la la divine Logos, aussi appelé eminentiae à titre gracieux, par lequel la nature humaine est haut élevé au-dessus de toutes les créatures et devient même l’objet de l’adoration; et (2) la gratia habitualis, composé de ces dons de l’esprit, en particulier de l’intellect, de la volonté et du pouvoir, en qui la nature humaine du Christ a été exalté haut créatures intelligentes avant tout. Son impeccabilité, le posse non peccare, en particulier doit être mentionnée ici.
3. L’HOMME-DIEU EST L’OBJET DE LA PRIÈRE. Un autre effet de l’union, c’est que le médiateur tout comme il existe maintenant, c'est-à-dire dans les deux natures, est l’objet de notre prière. Il faut avoir à l’esprit que l' honneur adorationis n’appartient pas à la nature humaine comme telle, mais appartient à lui seul en vertu de son union avec le Logos divin, qui est dans sa nature même adorabilis. Il faut distinguer entre l’objet et le motif de cette adoration. L’objet de notre culte religieux est l’homme-Dieu Jésus Christ, mais la terre sur laquelle nous adorons lui réside dans la personne du Logos.
D. LA UNI-PERSONNALITÉ DU CHRIST UN MYSTÈRE.
L’union des deux natures en une seule personne est un mystère que nous ne pouvons pas saisir, et qui pour cette raison est souvent refusée. Il a parfois été comparé avec l’union des corps et l’âme chez l’homme; et il y a quelques points de similitude. Chez l’homme il sont deux substances, la matière et l’esprit, plus étroitement Unis et encore pas mélangés; donc aussi dans le médiateur. Dans le principe de l’unité de l’homme, la personne, n’a pas son siège dans le corps, mais dans l’âme; le Mediator, pas chez l’humain, mais dans la nature divine. L’influence de l’âme sur le corps et le corps sur l’âme est un mystère, donc aussi la connexion des deux natures dans le Christ et leur influence mutuelle les uns des autres. Tout ce qui se passe dans le corps et l’âme est attribué à la personne; donc tout ce qui se passe dans les deux natures du Christ repose de la personne. Parfois, un homme est libellé selon son élément spirituel, quand quelque chose se fonde de celui qui s’applique plus particulièrement à l’organisme et vice versa. De même les choses qui s’appliquent uniquement à la nature humaine du Christ sont attribuées à lui quand il est nommé d’après sa nature divine et vice versa. Comme c’est un honneur pour le corps à s’unir avec l’âme, donc c’est un honneur pour la nature humaine du Christ s’unir avec la personne du Logos. Bien sûr, la comparaison est défectueuse. Il n’illustre pas l’union du divin et l’humain, de l’infini et le fini. Il n’illustre pas même l’unité de deux natures spirituelles dans une seule personne. Dans le cas de l’homme, le corps est matériel et l’âme est spirituelle. C’est une merveilleuse union, mais pas aussi merveilleux que l’union des deux natures dans le Christ.
E. LA DOCTRINE LUTHÉRIENNE DE LA COMMUNICATION D’ATTRIBUTS.
1. L'ÉNONCÉ DE LA POSITION LUTHÉRIENNE. Les luthériens se distinguent les réformés dans leur doctrine de communicatio idiomatum. Ils enseignent que les attributs d’une nature sont attribués à l’autre sur la base d’un transfert réel et pense que c’est seulement par un tel transfert que vous pouvez fixer l’unité réelle de la personne. Cette position n’implique pas un déni du fait que les attributs des deux natures peuvent être attribuées à la personne, mais il ajoute quelque chose à cela dans l’intérêt, comme ils la voient, de l’unité de la personne. Ils ne précisaient pas toujours leur doctrine sous la même forme. Luther et certains des premiers luthériens occasionnellement a parlé d’une communication dans les deux sens, de la nature divine de l’homme et aussi de l’humain au divin. Toutefois, dans le développement ultérieur de la doctrine, la communication de la nature humaine à la volonté divine se retrait bientôt de vue et seulement que de la volonté divine de la nature humaine a été soulignée. Une limitation plus grande encore ont rapidement suivi. Scolastiques luthériennes fait une distinction entre les attributs du dispositif de Dieu (omniprésence, omnipotence et omniscience) et de ses attributs quiescentes (infinité, éternité, etc.) et a enseigné que seul l’ancien ont été transféré à la nature humaine. Ils étaient tous d’accord que la communication a eu lieu au moment de l’incarnation. Mais la question pose naturellement comment cela pourrait être au carré avec l’image du Christ dans les Évangiles, qui n’est pas l’image d’un homme omniscient et omniprésent. Cela a donné lieu à une divergence d’opinion. Selon certains, Christ nécessairement exercé ces attributs au cours de son humiliation, mais fait secrètement; mais selon d’autres, leur exercice est soumis à la volonté de la personne divine, qui ont quitté volontairement leur inopérant pendant la période de son humiliation. Opposition à cette doctrine s’est manifestée à plusieurs reprises dans l’église luthérienne. On a fait observer qu’il est incompatible avec l’idée d’un développement vraiment humain dans la vie du Christ, si clairement enseigné par Luther lui-même. Insistance du grand réformateur la communication des attributs trouve son explication en partie dans ses tendances mystiques et en partie dans ses enseignements quant à la présence physique du Christ dans l’Eucharistie.
2. OBJECTIONS À CETTE DOCTRINE LUTHÉRIENNE. Il y a des objections sérieuses à la doctrine luthérienne de communicatio idiomatum.
a. il n’a aucun fondement biblique. Si il est déduit de cette déclaration comme que Jean en 03:13, puis, en cohérence, il devrait également être conclu d’I Cor. 2:8 que la capacité de souffrir a été communiquée à la nature divine. Pourtant les luthériens se rétrécissement de cette conclusion.
b. elle implique une fusion entre le divin et les natures de l’homme dans le Christ. Luthériens parlent comme si les attributs peuvent être extraites de la nature et peuvent être communiqués, tandis que les natures restent séparées, mais la substance et les attributs ne peuvent être séparés si. Par une communication des attributs divins à la nature humaine, cette nature ce titre cesse d’exister. Omniprésence et l’omniscience ne sont pas compatibles avec l’humanité. Une telle communication se traduit par un mélange de divin et l’humain, dont la Bible conserve strictement séparée.
c. dans la forme dans laquelle la doctrine est maintenant généralement acceptée par les luthériens, la doctrine souffre d’incohérence. Si les attributs divins sont communiquées à la nature humaine, l’homme doit également être communiquée au divin. Et si certains attributs sont communiquées à titre indicatif, elles doivent toutes être communiquées. Mais les luthériens évidemment n’osent pas aller toute la longueur, et par conséquent arrêter à mi-chemin.
d. elle est incompatible avec l’image du Christ incarné à l’époque de son humiliation, comme on le retrouve dans les Évangiles. Ce n’est pas l’image d’un homme qui est omniprésent et omniscient. Les explications de luthérienne de cette incohérence n’a pas pu se féliciter de l’esprit de l’église en général et même de certains des disciples de Luther.
e. il a pratiquement détruit l’incarnation. Luthériens distinguent l' incarnatio et l’exinanitio. Le Logos est l’objet seulement de l’ancien. Il fait de la nature humaine réceptif pour l’habitation de la plénitude de la divinité et il communique certains des attributs divins. Mais ce faisant il abroge pratiquement la nature humaine en assimilant il au divin. Ainsi seulement les restes de divines.
f. il a également pratiquement efface la distinction entre l’état d’humiliation et de l’état d’exaltation. Brenz dit même que ceux-ci n’étaient pas des États successifs, mais les États qui coexistèrent durant la vie terrestre du Christ. Pour échapper à la difficulté ici, les luthériens n'introduits pas dans la doctrine de exinanitio, dont les Logos mais l’homme-Dieu fait l’objet, à l’effet qu’il a pratiquement vidé de lui-même, ou mis de côté les attributs divins. Certains ont parlé d’une constante mais secret et d’autres d’un usage intermittent d’eux.
F. LA DOCTRINE DE LA KÉNOSE SOUS DIVERSES FORMES.
Vers le milieu du XIXe siècle, une nouvelle forme de christologie fait son apparition dans les théories kénotique. Il trouve faveur surtout chez les luthériens, mais également avec certains théologiens réformés. Il représente une partie d’une tentative de rapprocher les luthériens et les sections réformées de l’église plus proche. Les partisans de ce point de vue nouveau désiré de pleinement justice à la réalité et l’intégrité de la virilité du Christ et de souligner la grandeur de son abnégation et de sacrifice.
1. DÉCLARATION DE LA DOCTRINE. Le terme « kénose » est utilisé dans un sens double en théologie. Initialement, il était utilisé par les théologiens luthériens pour désigner l’autolimitation, pas des Logos, mais de l’homme-Dieu, par laquelle il a, dans l’intérêt de son humiliation, mis de côté l’utilisation réelle de ses attributs divins. Dans les enseignements de le Kenoticists, cependant, il signalisées la doctrine selon laquelle les Logos à l’incarnation était dénudée de son transitif ou de tous ses attributs, a été réduite à une simple potentialité et puis, en union avec la nature humaine, développe à nouveau dans un personne divine et humaine. Les principales formes dans lesquelles cette doctrine ont été enseignés sont les suivants:
a. la théorie de Thomasius, Delitzsch et Crosby. Thomasius établit une distinction entre les attributs absolues et essentielles de Dieu, comme un pouvoir absolu, sainteté, vérité et amour et ses attributs relatives, qui ne sont pas essentiels à la divinité, comme omnipotence, omniprésence et omniscience; et maintient que les Logos tout en conservant sa conscience de soi divin, mis la dernier côté, afin de tenir à lui-même la véritable nature de l’homme.
b. la théorie de Gess et H. W. Beecher. C’est beaucoup plus complète qui. La Touche en parle comme « incarnation de suicide divine. » Les Logos depotentiated donc lui-même de tous ses attributs divins qu’il a littéralement cessé ses fonctions cosmiques et sa conscience éternelle pendant les années de sa vie terrestre. Sa conscience est devenue purement celle d’une âme humaine, et par conséquent il pouvait et prit la place de l’âme humaine dans le Christ. Ainsi la vraie virilité du Christ, même dans la mesure de son peccability, a été assuré.
c. la théorie de Ebrard. Ebrard est d’accord avec Gess dans la fabrication que du Logos incarnés prennent la place de l’âme humaine. Le Fils Éternel a renoncé à la forme de l’éternité et en pleine autolimitation a assumé la forme-existence d’un centre de vie humaine. Mais avec lui ce autoréduction n’équivaut pas à une depotentiation complète du Logos. Les propriétés divines ont été retenues, mais étaient possédées par l’homme-Dieu dans la forme de temps appropriée pour un humain mode d’existence.
d. la théorie de Martensen et Gore. Martensen postule l’existence d’une double vie dans le Logos incarné par deux centres-vie non-communication. Comme étant dans le sein de Dieu, il continue de fonctionner dans la vie trinitaire et aussi dans ses relations cosmiques au monde entier comme le créateur et le pourvoyeur. Mais en même temps il, comme les Logos depotentiated, Unies à une nature humaine, ne savait rien de ses trinitaire cosmique et savait seulement lui-même comme Dieu de telle manière que la connaissance est possible pour les facultés de la virilité.
2. PRÉTENDUE BASE BIBLIQUE POUR LA DOCTRINE. Les Kenotics cherchent soutien Scriptural pour leur doctrine, en particulier dans Philippiens 2:6-8, mais aussi dans II Corinthiens 8:9 et Jean 17:5. Le terme « kénose » est dérivé du verbe principal dans Philippiens 2:7, ekenosen. Ceci est rendu dans la Version révisée américaine, « dépouillé lui-même. » Dr. Warfield appelle cela une erreur de traduction. Le verbe se trouve à seulement quatre autres passages du Nouveau Testament, à savoir, Rom. 04:14; J’ai Cor. 01:17; 09:15; II Corinthiens 9:3. Dans tous ces il est utilisé au sens figuré et signifie « faire Sub, » « d’aucun effet, » « aucun compte », « d’aucune réputation. » Si nous comprenons donc le mot ici, cela signifie simplement que Christ fait lui-même d’aucune considération, aucune réputation, n’affirme pas sa prérogative divine, mais a pris la forme d’un serviteur. Mais même si nous prenons le mot dans son sens littéral, il ne supporte pas la théorie de la kénose. Il serait, si l'on comprenait ce qu’il a mis de côté pour être le morphe theou (forme de Dieu) et ensuite conçu de morphe strictement comme caractère essentiel ou spécifique de la divinité. Selon toute probabilité, morphe doit s’entendre ainsi, mais verbe ekenosen ne fait pas référence à morphe theou, mais à einai isa theoi (dat.) autrement dit, son être sur un pied d’égalité avec Dieu. Le fait que Christ a pris la forme d’un serviteur n’implique pas un portant annulation de la forme de Dieu. Il n’y avait pas d’échange de l’un pour l’autre. Bien qu’il existait avant sous la forme de Dieu, Christ ne comptait pas l’être sur une égalité avec Dieu comme un prix dont il ne doit pas laisser passer, mais dépouillé lui-même, en prenant la forme d’un serviteur. Maintenant qu’il devienne un serviteur implique ? Un état de sujétion dans laquelle on est appelé à rendre obéissance. Et le contraire de cela est un état de souveraineté dans laquelle on a le droit de la commande. L’être sur un pied d’égalité avec Dieu ne désigne pas un mode d’être, mais un État qui Christ échangé contre un autre État.
3. LES OBJECTIONS À LA DOCTRINE DE LA KÉNOSE.
a. la théorie est basée sur la conception panthéiste que Dieu et l’homme ne sont pas si absolument différents, mais que l’un peut être transformé en l’autre. L’idée hégélienne de devenir est appliquée à Dieu, et le seuil absolu de démarcation est effacé.
b. il est tout à fait subversive de la doctrine de l’immutabilité de Dieu, qui est clairement enseigné dans l’écriture, Malachie 3:6; Jacques 01:17, et qui est également impliquée dans l’idée même de Dieu. Caractère absolu et mutabilité s’excluent mutuellement; et un Dieu mutable n’est certainement pas le Dieu de l’écriture.
c. il signifie une destruction virtuelle de la Trinité et enlève donc notre Dieu. Le fils humanisé, Self vidé de ses attributs divins, ne pourraient plus être une subsistance divine dans la vie trinitaire.
d. elle suppose trop lâche une relation entre le mode divin d’existence, les attributs divins et l’essence divine, lorsqu’elle parle de l’ancien, comme si ils pourraient très bien être séparées de cette dernière. C’est tout à fait trompeuse et implique la même erreur qui est condamnée dans le cadre de la doctrine catholique de la transsubstantiation.
e. il ne résout pas le problème auquel elle était destinée à résoudre. Il est souhaitable garantir l’unité de la personne et la réalité de la virilité du Seigneur. Mais, sûrement, l’unité personnelle n’est pas sécurisée en supposant un Logos humain comme co-existant avec une âme humaine. Ni la réalité de la virilité, maintenue par un Logos depotentiated à substituer à l’âme humaine. Le Christ de la Kenotics n’est ni Dieu ni homme. Selon les termes de m. Warfield sa nature humaine est « juste ratatinée divinité. »
La théorie kénotique apprécié la grande popularité en Allemagne pendant un certain temps, mais est maintenant pratiquement mort là-bas. Quand elle a commencé à disparaître en Allemagne, il trouve des partisans en Angleterre dans des érudits tels que D. W. Forrest, W. L. Walker, P. T. Forsyth, Ch. Gore, R. L. Ottley et H. R. Mackintosh. Il trouve très peu d’appui à l’heure actuelle.
G. LA THÉORIE DE L’INCARNATION PROGRESSIVE.
Dorner a été un des premiers et le plus grand des adversaires de la doctrine de la kénose. Il s’est fixé la tâche de suggérer une autre théorie qui, tout en échappant à des erreurs de Kenoticism, ferait pleinement justice à l’humanité du Christ. Il a proposé résoudre le problème de la théorie d’une incarnation graduelle ou progressive. Selon lui, l’incarnation n’était pas un acte consommé au moment de la conception de Jésus, mais un processus graduel par lequel le Logos a rejoint lui-même dans une mesure croissante vers l’unique et représentant (pratiquement une nouvelle création), l’homme Christ Jésus, jusqu'à ce que l’union complète fut finalement consommée au moment de la résurrection. L’union a permis à l’homme-Dieu avec une conscience unique et une seule volonté. Dans cet homme-Dieu, le Logos ne fournit pas la personnalité, mais lui donne sa qualité divine. Cette théorie ne trouve aucun appui dans les Ecritures, qui représente toujours l’incarnation comme un fait momentané plutôt que comme un processus. Il mène logiquement au nestorianisme ou la doctrine de deux personnes dans le médiateur. Et puisque qu’il trouve le véritable siège de la personnalité dans l’homme Jésus, il est totalement subversif de la préexistence réelle de notre Seigneur. Rothe et Beuve sont deux des plus importants partisans de cette doctrine.
La différence cruciale entre l’ancien et les théories vraiment modernes concernant la personne du Christ, réside dans le fait que ce dernier, tel qu’il appert également la théorie de Dorner, distingue la personne du Logos, conçu comme un mode spécial de la vie personnelle de Dieu, de la personnalité du Christ comme une personne humaine concrète unique divine en qualité. Selon vues modernes, il n’est pas le Logos, mais l’homme que constitue l’ego dans le Christ Jésus. La personnalité de Jésus est l’homme dans le type de conscience et aussi dans la croissance morale, mais en même temps unique réceptif pour le divin et donc vraiment le point culminant d’une incarnation de l’humanité est elle-même l’expression générale cosmique. C’est vrai aussi de la théorie avancée par Sanday dans ses Christologies Ancient and Modern, une théorie qui cherche à donner une explication psychologique de la personne de Jésus, qui fera justice à la fois l’être humain et le divin en Jésus. Il insiste sur le fait que la conscience subliminale est le siège de tous demeure divine, ou une action divine sur l’âme humaine; et cales que pour le même ou un soi subliminal correspondant est également le siège approprié ou locus de la divinité du Christ incarné. La conscience ordinaire de Jésus était la conscience humaine, mais il apparait dans lui occasionnellement un sable de la conscience divine dans le subliminal soi-même. Cette théorie a été critiquée à juste titre sévèrement. Il attribue une signification pour le subliminal dans la vie de l’homme qu’il ne possède pas, suppose à tort que la divinité peut se trouver dans un endroit particulier en la personne du Christ et suggère une image du Christ, comme étant seulement par intermittence conscient de ses divinité, qui n’est pas en harmonie avec les données de l’écriture. Elle révèle une fois de plus la folie d’essayer de donner une explication psychologique de la personne du Christ. En plus de Sanday quelques-uns des représentants plus influents de la christologie moderne sont Kunze, Schaeder, Kanel, Moberly et Du Bose.
QUESTIONS pour une étude plus approfondie. Quel changement au dix-huitième siècle avait entraîné dans la christologie ? Quelles sont les causes ont contribué au présent déni généralisé de la déité de Christ ? Comment les critiques négatives d’aborder les preuves scripturaires de la divinité du Christ ? Le libéral-Jesus-School n’a réussi à présenter une image acceptable de Jésus, ce qui correspond vraiment aux faits ? Quelle est la distinction entre le Jésus de l’histoire et le Christ de la foi, et quel but elle servir ? Qu’en est-il de l’argument aut Deus auto bonus non homo? En quoi la réalité de la virilité du Christ parfois en voie de disparition ? Y avait-il un simple ou une double conscience de soi dans le Christ ? Un ou deux testaments ? Pour quelles raisons la conscience messianique de Jésus est refusée ? Comment peut il être défendu ? Jésus considérait la messianité simplement comme une dignité qui lui seraient à l’avenir ? A l’école eschatologique des avantages par rapport à l’école libérale ? En quoi diffèrent-elles les conceptions catholiques de l’union des deux natures dans le Christ, les luthériens et les réformés ? Qu’enseigne la formule Concordiae sur ce point ? Quelle était la polémique de Giessen-Tuebingen ? Comment Kant, Hegel et Schleiermacher concevoir de cette union ? Dans quelle mesure faire la kénose théories révèlent l’influence de Hegel ? Comment la conception moderne de l’immanence de Dieu a-t-il affecté les Christologies plus récentes ? Théorie psychologique de Sanday n’est une construction acceptable ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme., III, pp. 264-349; Kuyper, Dict. dogme., De Christo I, pp. 62-II, p. 58; Vos, soi-divulgation de Jésus, p. 35-103; Temple, la conscience de l’enfance du Christ; Orr, La vue chrétienne de Dieu et du monde, p. 248-257; H. R. Mackintosh, le Doct. de la personne de Jésus Christ, pp. 141-284; Liddon, La divinité de notre Seigneur; Relton, une étude dans la christologie, pp. 3-222; Conférences de Warfield, christologie et critique, VI-VIII; Rostron, la christologie de Saint Paul, pp. 196-229; Schweitzer, la quête du Jésus historique; La Touche, la personne du Christ dans la pensée moderne; Gore, la Reconstruction de la croyance, pp. 297-526; Honig, De Persoon Van den Middelaar dans de Nieuwere Duitsche Dogmatiek; Sheldon, Hist. de Chr. Doct. II, 134-137, 348-353; Krauth, réforme prudente et sa théologie, p. 456-517; Bruce, l’Humiliation du Christ, donne des conférences III, IV et V; Loofs, ce qui est la vérité sur Jésus Christ? chap. VI; Sanday, Christologies, anciens et modernes, Chaps. III, IV, VII. Cooke, l’Incarnation et critiques récentes, Chap. X; Brunner, Le médiateur, en particulier Chap. XII.
Les États de Christ
I. l’état d’Humiliation
A. INTRODUCTION: LA DOCTRINE DES ÉTATS DE CHRIST EN GÉNÉRAL.
1. LA DISTINCTION ENTRE UN ÉTAT ET UNE CONDITION. Il faut avoir à l’esprit que, bien que le mot « État » est parfois utilisé comme synonyme avec la « condition », le mot tel qu’appliqué à Christ en l’occurrence dénote une relation plutôt qu’à une condition. En général un État et une condition peuvent être distinguées comme suit: un État est sa position ou statut dans la vie et particulièrement la relation légale dans laquelle on se tient à la Loi, lorsqu’une condition a la mode de son existence, en particulier, tel que déterminé par le circonstances de la vie. Celui qui est reconnu coupable dans une Cour de justice est dans un état de la culpabilité ou la condamnation, et ceci est généralement suivi par une condition d’incarcération avec toute sa privation qui en résulte et la honte. Dans la théologie les États du médiateur sont généralement considérés comme incluant les conditions qui en résulte. En effet, les différentes étapes de l’humiliation et de l’exaltation, comme d’habitude a déclaré, ont tendance à rendre les conditions plus en évidence que les États se démarquer. Pourtant, les États sont la plus fondamentale des deux et sont donc à considérer. Dans l’état d’humiliation, Christ était en vertu de la Loi, non seulement comme une règle de vie, mais comme la condition de l’Alliance des œuvres et même sous la condamnation de la Loi; mais dans l’état d’exaltation, il est exempt de la Loi, ayant satisfait à la condition de l'Alliance des travaux et après avoir payé la peine pour le péché.
2. LA THÉORIE DES ÉTATS DU CHRIST DANS L’HISTOIRE. La doctrine des États du Christ vraiment datant du dix-septième siècle, même si les traces de celui-ci se trouvent déjà dans les écrits des réformateurs et même dans quelques-uns des premiers pères de l’église. C’est d’abord développée parmi les luthériens lorsqu’ils ont cherché à harmoniser leur doctrine de communicatio idiomatum avec l’humiliation du Christ comme il est décrit dans les Évangiles, mais a été bientôt adopté également par les réformés. Ils diffèrent, cependant, que le véritable objet des États. Selon les luthériens, c’est la nature humaine du Christ, mais selon la réforme, la personne du médiateur. Il y avait une différence considérable de l’opinion, même parmi les luthériens sur le sujet. Sous l’influence de Schleiermacher l’idée des États du Médiateur a progressivement disparu de la théologie. Par sa tendance à pantheizing les lignes de démarcation entre le créateur et la créature ont été pratiquement effacés. L’accent a été déplacé de la transcendance du Dieu immanent; et le souverain de Dieu dont la Loi est la norme de droit a disparu. En fait, l’idée de droit objectif est bannie de la théologie, et dans ces conditions, il est devenu impossible de maintenir l’idée d’un poste judiciaire, c'est-à-dire d’un État du médiateur. En outre, dans la mesure où l’humanité du Christ a été soulignée à l’exclusion de sa divinité et d’une main sa préexistence et d’autre part, sa résurrection a été rejetée, tout en parlant sur l’humiliation et exaltation du Christ a perdu son sens. Le résultat est que dans de nombreuses œuvres de nos jours sur la théologie dogmatique, nous cherchons en vain un chapitre sur les États du Christ.
3. LE NOMBRE DES ÉTATS DU MÉDIATEUR. Il y a une divergence d’opinion quant au nombre des États du médiateur. Certains sont d’avis que, si nous supposons que la personne du médiateur fait l’objet des États, stricte logique exige que nous parlons de trois modes d’existence ou États: l’État préexistant d’un être divin éternel, l’État terrestre de l’homme temporel existence et l’état céleste d’exaltation et de gloire. Mais puisque nous pouvons parler de l’humiliation et l’exaltation de la personne du Christ qu’en relation avec lui comme l’homme-Dieu, il est préférable de parler de seulement deux États. Les théologiens réformés trouvent une anticipation de l’humiliation et l’exaltation du Christ dans son état préexistant: de son humiliation en qui il a librement a pris sur lui dans le pactum salutis de mérite et d’administrer notre salut; et de son exaltation de la gloire qui lui comme notre médiateur prospective jouissait avant l’incarnation, cf. Jean 17:5. Les deux États sont clairement indiqués dans II Corinthiens 8:9; Galates 4:4, 5; Philippiens 2:6-11; Hébreux 2:9.
B. L’ÉTAT D’HUMILIATION.
Sur la base de Philippiens 2:7, 8, théologie réformée distingue deux éléments dans l’humiliation du Christ, à savoir, (1) la kénose (vidange, exinanitio), consistant en ce qu’il a mis de côté la majesté divine, la majesté du souverain Souverain de l’univers et assumé la nature humaine sous la forme d’un serviteur; et (2) le tapeinosis (humiliatio), comprenant qu’il devient sous réserve des exigences et à la malédiction de la Loi et dans toute sa vie s’est fait obéissant en action et des souffrances à l’extrême limite d’une mort honteuse. Sur la base du passage dans Philippiens, on peut affirmer que l’élément essentiel et central dans l’état d’humiliation réside dans le fait que celui qui était le Seigneur de toute la terre, le législateur suprême, lui-même placé sous la Loi , afin de s’acquitter de ses obligations fédérales et pénales dans le nom de son peuple. Ce faisant, il devient légalement responsable pour nos péchés et responsable de la malédiction de la Loi. Cet état du Sauveur, brièvement exprimé dans les paroles de Galates 4:4, « né sous la Loi, » se reflète dans la condition correspondante, qui est décrite dans les différentes étapes de l’humiliation. Alors que la théologie luthérienne parle de moins de huit étapes dans l’humiliation du Christ, théologie réformée généralement de noms seulement cinq ans, à savoir: (1) incarnation, souffrance (2), (3) mort, enterrement (4) et (5) la descente aux enfers.
1. L’INCARNATION ET LA NAISSANCE DU CHRIST. Cette rubrique générale, plusieurs points méritent attention.
a. l’objet de l’incarnation. Il n’était pas le Dieu trinitaire, mais la deuxième personne de la Trinité a assumé la nature humaine. C’est pourquoi il est préférable de dire que le verbe s’est fait chair que que Dieu s’est fait homme. Dans le même temps, on retiendra que chacune des personnes divines était actif dans l’incarnation, Matthieu 01:20; Luc 01:35; John 01:14; Actes à 02:30; Romains 8:3; Galates 4:4; Phil 2:7. Cela signifie également que l’incarnation n’était pas quelque chose que simplement arrivé au Logos, mais a été une réalisation active de sa part. En parlant de l' incarnation dans la distinction de la naissance du Logos, sa participation active à ce fait historique est soulignée, et sa préexistence est supposé. Il n’est pas possible de parler de l’incarnation d’une personne qui n’avait aucune existence précédente. Cette préexistence est clairement enseignée dans l’écriture: « au commencement était la parole et la parole était avec Dieu et la parole était Dieu, » John 1:1. » Je suis descendu du ciel, » John 06:38. « Car vous savez la grâce de notre Seigneur Jésus Christ, que, bien qu’il était riche, mais pour notre bien, il est devenu pauvre, » II Cor. 8:9. « Qui, existant en forme de Dieu, ne comptait pas l’être sur un pied d’égalité avec Dieu une chose à saisir, mais dépouillé lui-même, en prenant la forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes, » Philippiens 2:6, 7. « Mais quand la plénitude du temps est venu de Dieu a envoyé son fils, » Galates 4:4. Le fils de Dieu préexistant assume la nature humaine et prend lui-même humaine chair et de sang, un miracle qui passe notre compréhension limitée. Clairement, il montre que l’infini peut et investit-il dans relations finies, et que le surnaturel peut en quelque sorte entrer dans la vie historique du monde.
b. la nécessité de l’incarnation. Depuis l’époque de la scolastique, la question a été débattue, que l’incarnation doit être considérée comme impliqué dans l’idée de rédemption, ou comme déjà impliquée dans l’idée de création. Populairement dit, la question est, si le fils de Dieu seraient venus dans la chair, même si l’homme n’avait pas péché. Rupert de Deutz a été le premier à affirmer clairement et positivement qu’il serait devenu incarné indépendamment de péché. Son point de vue était partagé par Alexandre de Hales et Duns Scot, mais Thomas Aquinas a fait valoir que le motif de l’incarnation réside dans l’entrée du péché dans le monde. Les réformateurs partagent ce point de vue, et les églises de la réforme enseignent que l’incarnation a été rendue nécessaire par la chute de l’homme. Certains luthérienne et réformée d’érudits, cependant, comme Osiander, Rothe, Dorner, Lange, Van Oosterzee, Martensen, Ebrard et Westcott, étaient d’avis contraire. Les arguments avancés par eux sont comme suit: un tel fait prodigieux comme l’incarnation ne peut pas être fortuit et ne trouve sa cause dans le péché comme un acte accidentel et arbitraire de l’homme. Il doit avoir été inclus dans le plan initial de Dieu. Religion avant et après la chute ne peut pas être fondamentalement différente. Si un médiateur est nécessaire maintenant, il doit avoir été nécessaire également avant la chute. En outre, œuvre du Christ n’est pas limité à l’expiation et ses opérations d’épargne. Il est médiateur, mais aussi la tête; Il est non seulement l' arche, mais aussi le telos de la création, I Cor. 15:45-47; EP 01:10, 21-23; 05:31, 32; Le colonel 01:15-17.
Toutefois, il convient de noter que l’écriture représente invariablement l’incarnation comme conditionnés par le péché humain. La force de ces passages comme Luc 19:10; John 03:16; Galates 4:4; I Jean 3:8; et Philippiens 2:5-11 n’est pas fragile. L’idée, parfois exprimée, que l’incarnation en soi est approprié et nécessaire pour Dieu, est susceptible de conduire à la notion panthéiste d’une révélation éternelle de Dieu dans le monde. La difficulté raccordée avec le plan de Dieu, censé imposer ce point de vue, n’existe pas, si l'on considère question sub specie aeternitatis. Il y a qu’un seul plan de Dieu, et ce plan comprend le péché et l’incarnation dès le début. En fin de compte, bien sûr, l’incarnation, ainsi que l’ensemble de le œuvre de la rédemption était conditionnel, pas le péché, mais sur le bon plaisir de Dieu. Le fait que Christ a également une signification cosmique ne doivent pas se voir refuser, mais cela est trop lié vers le haut avec sa signification rédemptrice dans Éphésiens 01:10, 20-23; Le colonel 01:14-20.
c. la modification effectuée dans l’incarnation. Quand on nous dit que le verbe s’est fait chair, cela ne signifie pas que le Logos a cessé d’être ce qu’il était avant. Quant à son être essentiel le Logos était exactement le même avant et après l’incarnation. verbe egeneto dans Jean 01:14 (la verbe est devenu chair) ne signifie nullement que le Logos transformés en chair et ainsi altéré sa nature essentielle, mais simplement qu’il a pris sur ce caractère particulier, qu’il a acquis une forme supplémentaire, sans aucunement modifier son caractère original. Il reste le fils de Dieu infini et immuable. Encore une fois, la déclaration que le verbe s’est fait chair ne veut pas dire qu’il a pris sur la personnehumaine, ni, d’autre part, simplement qu’il a pris sur un corps humain. Le mot sarx (chair) ici dénote la nature humaine, composé de corps et âme. Le mot est utilisé dans un sens quelque peu semblable dans Romains 8:3; J’ai Timothée 03:16; I Jean 4:2; John II 7 (COMP. Phil. 2:7).
d. l’incarnation constituée de Christ un de la race humaine. Opposition avec les enseignements des anabaptistes, notre Confession affirme que Christ a assumé sa nature humaine de la substance de sa mère. L’opinion qui prévaut parmi les anabaptistes était que le Seigneur a sa nature humaine du ciel, et que Marie était simplement le tube ou le canal par lequel il a passé. Sur ce point de vue sa nature humaine était vraiment une nouvelle création, semblable aux nôtres, mais pas organiquement liés avec elle. L’importance de s’opposer à ce point de vue sera facilement visible. Si la nature humaine du Christ ne provenait pas de la même souche que le nôtre, mais simplement il ressemblait, il n’existe aucune telle relation entre nous et lui aussi est nécessaire pour restituer sa médiation disponible pour notre bien.
e. l’incarnation effectuée par une conception surnaturelle et d’une naissance virginale. Notre Confession affirme que la nature humaine du Christ a été « conçue dans le ventre de la Vierge Marie par la puissance du Saint-Esprit, sans avoir les moyens de l’homme. » Cela met l’accent sur le fait que la naissance du Christ n’était pas du tout ordinaire mais une naissance surnaturelle, en vertu duquel il a été appelé « le fils de Dieu. » L’élément le plus important dans le cadre de la naissance de Jésus était l’opération surnaturelle du Saint-Esprit, car c’est seulement grâce à cela que la conception virginale est devenu possible. La Bible fait référence à cette particularité dans Matthieu 01:18-20; Luc 01:34, 35; Héb. 10:5. Le travail de l’Esprit Saint dans le cadre de la conception de Jésus était double: (1), il a été la cause efficiente de ce qui a été conçu dans le sein de Marie et donc exclues de l’activité de l’homme comme un facteur efficace. C’était tout à fait en harmonie avec le fait que la personne qui est née n’était pas une personne humaine, mais la personne du fils de Dieu, qui ne figurait pas dans l’Alliance des œuvres comme tel et qui était en lui-même exempt de la culpabilité du péché. (2) il a sanctifié la nature humaine du Christ dans sa création et donc exempts de la pollution du péché. Nous ne pouvons pas dire exactement comment le Saint-Esprit accompli cette sanctifiante, parce qu’il n’est pas encore suffisamment compris comment la pollution du péché ordinairement passe juste de parent à enfant. Il convient de noter, toutefois, que l’influence de sanctification de l’Esprit Saint n’était pas limité à la conception de Jésus, mais s’est poursuivie tout au long de sa vie, John 03:34; Héb. 09:14.
C’est seulement par cette conception surnaturelle du Christ qu’il pourrait être né d’une vierge. La doctrine de la conception virginale est basée sur les passages suivants des Ecritures: Ésaïe 07:14; Matthieu 01:18, 20; Luc 01:34, 35 et est également favorisée par Galates 4:4. Cette doctrine a été avouée dans l’église des premiers temps. Nous rencontrer avec elle déjà dans les formes originelles de la Confession apostolique et plus dans toutes les Confessions grandes des églises protestante et catholique. Son refus actuel n’est pas à cause du manque d’évidences scripturales pour elle, ni à aucune faute de sanction ecclésiastique, mais de l’aversion générale actuelle au surnaturel. Les passages de l’écriture sur laquelle repose la doctrine sont simplement exclues de Cour pour des raisons essentielles qui sont loin d’être convaincante; et qu’en dépit du fait que l’intégrité des récits s’avère incontestable; et il est supposer gratuitement que le silence de l’autres auteurs du Nouveau Testament concernant la naissance virginale prouve qu’ils ne se connaissaient pas avec le fait supposé de la naissance miraculeuse. Toutes sortes de tentatives ingénieux sont faites pour expliquer comment l’histoire de la naissance de la Vierge est née et a gagné la monnaie. Certains cherchent en hébreu et autres à Gentile, traditions. Nous ne pouvons entrer dans une discussion du problème ici et donc simplement se référer à des ouvrages tels que Machen, La conception virginale du Christ; Orr, la conception virginale du Christ; Sweet, la naissance et l’enfance du Christ Jésus; Cooke, Paul savait la naissance virginale? Knowling, la naissance de la Vierge.
La question est parfois posée, si la conception virginale est une question d’importance doctrinale. Brunner déclare qu’il n’est pas intéressé au sujet du tout. Il rejette la doctrine de la naissance miraculeuse du Christ et qu’elle était purement naturel, mais il n’est pas suffisamment intéressé défendre son point de vue en détail. En outre, il dit: « la doctrine de la naissance de la Vierge aurait été donnée vers le haut il y a longtemps si ce n’était le fait qu’il me semblait que dogmatiques intérêts étaient intéressés par son maintien. » Barth reconnaît le miracle de la naissance virginale et y voit un jeton du fait que Dieu a établi créative d’un nouveau départ de condescendre à devenir homme. Il conclut également qu’il signification doctrinale. Selon lui le péché « héritage » est transmis par le parent mâle, afin que Christ puisse assumer « petitesse » de la naissance de Marie et en même temps, échapper au « sin-patrimoine » par l’élimination du père humain. En réponse à la question, si la naissance virginale a signification doctrinale, on peut dire qu’il serait inconcevable que Dieu devrait provoquer de Christ d’être né d’une manière extraordinaire, si elle n’a pas servi à quelque chose. Son objectif doctrine peut être énoncé comme suit: (1) Christ devait constituer le Messie et le fils de Dieu messianique. Par conséquent, il fallait qu’il devrait être né d’une femme, mais aussi qu’il ne devrait pas être le fruit de la volonté de l’homme, mais doit être né de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair. Selon toute vraisemblance, cette merveilleuse naissance de Jésus était dans le fond de l’esprit de Jean quand il a écrit comme il le fit à Jean 01:13. (2) si le Christ avait été généré par l’homme, il aurait été une personne humaine, incluse dans l’Alliance des œuvres et aurais ainsi partagé la culpabilité commune de l’humanité. Mais maintenant que son sujet, son ego, sa personne, n’est pas hors de Adam, il n’est pas dans l’Alliance des œuvres et qu’il est exempt de la culpabilité du péché. Et être exempt de la culpabilité du péché, sa nature humaine pourrait aussi être exempts, avant et après sa naissance, de la pollution du péché.
f. l’incarnation elle-même une partie de l’humiliation du Christ. A été l’incarnation elle-même une partie de l’humiliation du Christ ou pas ? Les luthériens, avec la distinction entre l' incarnatio et exinanitio, nient qu’il était et baser leur refus sur le fait que son humiliation se limite à son existence terrestre, alors que son humanité se poursuit dans le ciel. Il est encore a sa nature humaine et encore n’est plus en état d’humiliation. Il y avait une différence d’opinion sur ce point, même parmi les théologiens réformés. Il semblerait que cette question il faut répondre à une discrimination. On peut dire que l’incarnation, tout à fait dans l’abstrait, le simple fait que Dieu dans le Christ a assumé une nature humaine, mais un acte de condescendance, n’était pas en soi une humiliation, mais Kuyper pensait que c’était. Mais c’était certainement une humiliation que les Logos supposé « chair, » c'est-à-dire, la nature humaine comme c’est depuis l’automne, affaibli et soumis à la souffrance et la mort, bien que sans la souillure du péché. Cela semble être impliquée dans ces passages comme Romains 8:3; II Corinthiens 8:9; Philippiens 2:6, 7.
2. LES SOUFFRANCES DU SAUVEUR. Convient de souligner plusieurs points concernant les souffrances du Christ.
a. il a souffert durant toute sa vie. Compte tenu du fait que Jésus a commencé à parler de ses souffrances qui viennent vers la fin de sa vie, nous sommes souvent enclins à penser que l’agonie finale constitue l’ensemble de ses souffrances. Pourtant, toute sa vie était une vie de souffrance. C’est la vie-serviteur de l’Éternel des armées, la vie de celui sans péché en liaison quotidienne avec les pécheurs, la vie du Saint dans un monde de péché-maudit. Le chemin de l’obéissance était pour lui en même temps un moyen de souffrance. Il a subi des agressions répétées de Satan, de la haine et l’incrédulité de son propre peuple et de la persécution de ses ennemis. Puisqu’il a foulé le pressoir à vin seul, sa solitude doit avoir été oppressif et son sens des responsabilités, écrasant. Sa souffrance fut consacrée à la souffrance, augmentant la gravité alors qu’il approchait de la fin. La souffrance qui a commencé dans l’incarnation a finalement atteint son point culminant dans la passio magna à la fin de sa vie. Puis toute la colère de Dieu contre le péché alésage vers le bas sur lui.
b. il a souffert dans le corps et l’âme. Il y a eu un moment où l’attention était fixée trop exclusivement sur les souffrances corporelles du Sauveur. Il n’était pas l’aveugle douleur physique ainsi que constituait l’essence même de sa souffrance, mais que la douleur accompagnée avec angoisse d’âme et une conscience médiatrice du péché de l’humanité avec laquelle il a été accablé. Plus tard à ce sujet est devenu coutumier de minimiser l’importance des souffrances corporelles, car on a estimé que le péché, étant de nature spirituelle, pourrait seulement être expié par les souffrances purement spirituelles. Il faut éviter ces points de vue partiaux. Corps et l’âme ont été touchés par le péché et dans les deux la peine devait être supportés. En outre, la Bible enseigne clairement que le Christ a souffert dans les deux. Il a agonisé dans le jardin, où son âme a été « excédant triste, même jusqu'à la mort », et il a été ballotté et flagellé et crucifié.
c. ses souffrances résultant de causes diverses. En dernière analyse, toutes les souffrances de Christ résultent du fait qu’il a pris la place des pécheurs du fait d’autrui. Mais nous pouvons distinguer plusieurs causes immédiates, telles que: (1) le fait que celui qui était le Seigneur de l’univers devait occuper une position subalterne, même la position d’un bond-serviteur ou esclave, et que celui qui a un droit inhérent à la commande était en devoir d’obéir. (2) le fait que celui qui était pure et Sainte dû vivre dans une atmosphère polluée pécheresse, en liaison quotidienne avec les pécheurs et a été constamment rappelé de la grandeur de la culpabilité, avec lequel il a été accablé par les péchés de ses contemporains. (3) sa parfaite connaissance et anticipation clairement, dès le début de sa vie, des souffrances extrêmes qui serait, en quelque sorte, accablent en fin de compte. Il savait exactement ce qui allait arriver, et les perspectives étaient loin d’être joyeux. (4) Enfin, aussi les privations de la vie, les tentations du diable, la haine et le rejet du peuple et la maltraitance et les persécutions dont il a été victime.
d. ses souffrances étaient uniques. On parle parfois de « ordinaires » souffrances du Christ, lorsque nous pensons à ces souffrances résultant des causes ordinaires de la misère dans le monde. Mais nous devons nous rappeler que ces causes étaient beaucoup plus nombreux pour le Sauveur qu’ils le sont pour nous. En outre, même ces souffrances communes avaient un caractère extraordinaire dans son cas et sont donc uniques. Sa capacité de souffrance était proportionnée avec le personnage idéal de son humanité, sa perfection éthique et avec son sens de la justice et de sainteté et de véracité. Personne ne pouvait sentir l’émotion de douleur et de chagrin et de mal moral que Jésus pouvait. Mais, outre ces souffrances plus communs, il y avait aussi les souffrances causées par le fait que Dieu fit nos iniquités à venir sur lui comme un fleuve. Les souffrances du Sauveur n’étaient pas purement naturelles, mais aussi le résultat d’un acte positif de Dieu, Esaïe 53:6, 10. Aux souffrances plus spéciales du Sauveur peut également compter les tentations dans le désert et l’agonie de Gethsémani et Golgotha.
e. ses souffrances dans les tentations. La tentation de Christ faisait partie intégrante de ses souffrances. Ils sont les tentations qui sont rencontrées dans la voie de la souffrance, MT 4:1-11 (et parallèles); Luc 22:28; John 12:27; Héb. 04:15; 5:7, 8. son ministère public a commencé par une période de la tentation, et même après cette époque tentations ont été répétées à des intervalles de droite sur dans Gethsémané sombre. C’est seulement en entrant dans le procès même des hommes, dans leurs tentations, que Jésus pourrait devenir un prêtre vraiment sympathique et atteindre les hauteurs d’une perfection prouvée et triomphante, Héb. 04:15; 5:7-9. nous ne pouvons pas détourner de la réalité des tentations de Jésus comme le dernier Adam, aussi difficile soit-il de concevoir celui qui ne pouvait pas pécher comme étant tenté. Diverses suggestions ont été faites pour soulager la difficulté, comme par exemple, que la nature humaine du Christ, comme dans celui du premier Adam, il y eut la nuda possibilitas peccandi, la possibilité abstraite nue de pécher (Kuyper); la sainteté que Jésus était une sainteté éthique, qui devait venir à fort développement à travers et se maintiennent, tentation (Bavinck); et que les choses que Christ a été tenté étaient eux-mêmes parfaitement légitime et a fait appel à parfaitement naturel instinct et appétits (Vos). Mais en dépit de tout cela le problème persiste, comment était-il possible que celui qui in concreto, c'est-à-dire, comme il était en fait constitué, ne pouvait pas pécher, ni même avoir une inclination au péché, néanmoins être soumis à la tentation de réelle ?
3. LA MORT DU SAUVEUR. Les souffrances du Sauveur a finalement abouti à sa mort. Dans ce contexte il est convient de souligner les points suivants:
a. l’étendue de sa mort. Il est naturel de mais que, quand nous parlons de la mort du Christ, à cet égard, nous avons à l’esprit tout d’abord la mort physique, c'est-à-dire la séparation de corps et âme. Dans le même temps, il faut savoir que cela n’épuise pas l’idée de la mort, qu’elle est représentée dans l’écriture. La Bible prend une vue synthétique de la mort et considère que la mort physique simplement comme une de ses manifestations. La mort est la séparation d'avec Dieu, mais on peut considérer cette séparation de deux façons différentes. L’homme se sépare de Dieu par le péché et la mort est le résultat naturel, afin qu’on peut même dire que le péché est la mort. Mais ce n’était pas de cette façon que Jésus est devenu sujet à la mort, car il n’avait aucun péché personnel. À cet égard, qu'il faut avoir à l’esprit que la mort n’est pas simplement la conséquence naturelle du péché, mais surtout la punition judiciaire imposée et infligée du péché. C’est que Dieu lui-même de retrait avec les bénédictions de la vie et le bonheur d’homme et de la visite d’homme en colère. C’est de ce point de vue judiciaire que la mort du Christ doit être envisagée. Dieu a imposé la peine de mort le médiateur par les tribunaux, puisque ce dernier s’est engagé volontairement à payer la pénalité du péché de l’humanité. Puisque le Christ a assumé la nature humaine avec toutes ses faiblesses, telle qu’elle existe après la chute et devenue ainsi comme nous en toutes choses, sin seulement excepté, il s’ensuit que la mort a travaillé en lui dès le début et s’est manifestée dans la plupart des souffrances auxquelles il avait subj ect. Il était un homme de douleurs et de familiariser avec chagrin. Le Catéchisme de Heidelberg correctement dit que « tout le temps, il a vécu sur terre, mais surtout à la fin de sa vie, il a porté, en corps et âme, la colère de Dieu contre le péché de la race humaine entière. » Ces souffrances ont été suivies de sa mort sur la Croix. Mais ce n’était pas tous; Il a été soumis à non seulement physique, mais aussi à la mort éternelle, mais il portait cela intensivement et pas beaucoup, quand il a agonisé dans le jardin et quand il criait sur la Croix, « mon Dieu, mon Dieu, pourquoi as tu abandonné moi ? » Dans un court laps de temps, il portait la colère infinie contre le péché jusqu’au bout et est sorti victorieux. Cela n’était possible pour lui seulement en raison de sa nature exaltée. À ce stade nous devons garder de malentendu, cependant. La mort éternelle dans le cas de Christ ne consistait pas en une abrogation de l’union des Logos avec la nature humaine, ni dans la nature divine étant abandonné de Dieu, ni le retrait de l’amour divin du père ou de bon plaisir de la personne du médiateur. Le Logos est restée unie avec la nature humaine même lorsque le corps était dans la tombe; la nature divine ne pourrait pas éventuellement sera abandonnée de Dieu; et la personne du Médiateur a été et continue toujours d’être l’objet de la faveur divine. Il se révèle dans la conscience humaine du médiateur comme un sentiment de Godforsakenness. Cela implique que la nature humaine pour un moment raté le confort conscient dont il pourrait tirer de son union avec le Logos divin, et le sentiment de l’amour divin et a été douloureusement conscient de la plénitude de la colère divine qui fonçait sur lui. Pourtant il n’y avait aucun désespoir, pour même dans l’heure la plus sombre, alors qu’il s’exclame qu’il est abandonné, il dirige sa prière à Dieu.
b. le caractère judiciaire de sa mort. Il était tout à fait essentiel que Christ devait mourir ni naturelle, ni un décès accidentel; et qu’il ne devrait pas mourir par la main d’un assassin, mais en vertu d’une sentence judiciaire. Il devait être compté avec les transgresseurs, devait être condamné comme un criminel. En outre, il a été providentiellement organisé par Dieu qu’il devrait être jugé et condamné par un juge romain. Les Romains avaient un génie pour le droit et la justice et représentant le pouvoir judiciaire plus élevé dans le monde. On pourrait s’attendre à ce qu’un procès devant un juge romain servirait à faire ressortir clairement l’innocence de Jésus, dont il a fait, alors qu’il est devenu parfaitement clair qu’il n’était pas condamné pour un crime qu’il avait commis. C’est un témoignage sur le fait que, comme le Seigneur dit: « Il a été coupé de la terre des vivants pour la transgression de mon peuple, à qui il devait la course. » Et quand le juge romain a néanmoins condamné des innocents, il, il est vrai, également condamné lui-même et la justice humaine comme il l’a appliqué, mais à la même peine de temps imposées sur Jésus comme le représentant du pouvoir judiciaire plus élevé dans le monde, fonctionnement de la grâce de Dieu et de la distribution justice au nom de Dieu. La phrase de Pilate était aussi la sentence de Dieu, quoique pour des motifs tout à fait différente. Il est significatif aussi que Christ n’était pas décapité ou lapidé à mort. Crucifixion n’était pas un juif mais un châtiment romain. Il a été comptabilisé tellement infâme et ignominieux qu’elle ne pourrait pas s’appliquer aux citoyens romains, mais seulement à la racaille de l’humanité, aux plus vils criminels et esclaves. Par cette mort, Jésus a rencontré les exigences extrêmes de la Loi. En même temps, il succombe à une mort maudite et donc a témoigné du fait qu’il est devenu malédiction pour nous, Deut. 21:23; GAL 03:13.
4. L’ENTERREMENT DU SAUVEUR. Il peut sembler que la mort du Christ a été la dernière étape de son humiliation, compte tenu notamment de l’un des derniers mots prononcés sur la Croix, « Tout est accompli ». Mais ce mot selon toute probabilité se réfère à son actif la souffrance, c'est-à-dire la souffrance dont il est lui-même prit une part active. Il s’agissait en effet fini quand il est mort. Il est clair que son enterrement faisait également partie de son humiliation. Notez en particulier ce qui suit: (a) de l’homme retourne à la poussière d'où il est extrait, est représenté dans l’écriture dans le cadre de la punition du péché, 03:19. (b) plusieurs déclarations des écritures impliquent que la demeure du Sauveur dans la tombe était une humiliation, PS. 16:10; Actes à 02:27, 31; 13:34, 35. c’était une descente aux enfers, en soi sombre et lugubre, un lieu de corruption, si dedans, il a été gardé par la corruption. (c) enterrement est un couchant et par conséquent une humiliation. L’enterrement des cadavres a été ordonnée par Dieu pour symboliser l’humiliation du pécheur. (d) il y a une convention entre les étapes de le œuvre objective de rédemption et de l’ordre dans l’application subjective de le œuvre du Christ. La Bible parle du pécheur être enterrés avec le Christ. Maintenant, il appartient à la mise hors le vieil homme et de ne pas le mettre sur du nouveau, Romains 6:1-6. Par conséquent, l’enterrement de Jésus constitue également une partie de son humiliation. Son enterrement, en outre, simplement ne satisfaisait pas à prouver que Jésus était vraiment mort, mais aussi pour enlever les terreurs de la tombe pour les rachetés et à sanctifier la tombe pour eux.
5. LA DESCENTE DE LE SAUVEUR AUX ENFERS.
a. cette doctrine dans la Confession apostolique. Après que la Confession apostolique a évoqué les souffrances, la mort et enterrement, du Seigneur, il continue par ces mots: « il descendit aux enfers (hades). » Cette déclaration n’était pas dans le credo le plus tôt ni comme universellement comme les autres. Il a été utilisé tout d’abord sous la forme de prétoriennes du Credo (env. 390 apr. J.-C.), «jour d’infern. » Chez les Grecs, certains traduits « Inferno » par « Hadès » et autres par les « parties inférieures ». Certaines formes du Credo dans lequel ces mots ont été trouvés ne mentionnait pas l’enterrement du Christ, tandis que les formes romaines et orientales généralement mentionné l’enterrement mais pas la descente aux enfers. Rufinus remarques qu’ils contenaient de l’idée de la descente dans le mot « enterré ». Plus tard cependant, la forme romaine du Credo ajouté la déclaration en question après sa mention de l’enterrement. Calvin a correctement fait valoir que pour ceux qui eux ajoutés après le mot « enterré », ils doivent avoir désignait quelque chose de supplémentaire. Il faut avoir à l’esprit que ces mots ne se trouvent pas dans les Ecritures et ne reposent pas sur des déclarations directes de la Bible que le reste des articles du Credo.
b. base biblique pour l’expression. On compte notamment quatre passages de l’Ecriture qui entrée en considération ici. (1) Eph. 4:9, « Maintenant, il est monté, qu’est-ce, mais qu’il descendit aussi vers les parties basses de la terre ? » Ceux qui cherchent le soutien dans ce passage prennent l’expression « parties inférieures de la terre » comme l’équivalent de « Hadès ». Mais il s’agit d’une interprétation douteuse. L’Apôtre fait valoir que l’ascension du Christ suppose une descente. Maintenant l’opposé de l’ascension est l’incarnation, cf. Jean 03:13. C’est pourquoi la majorité des commentateurs prendre l’expression comme visant tout simplement à la terre. L’expression peut être dérivé de Psaume 139:15 et consulter plus particulièrement l’incarnation. (2) j’ai Peter 03:18, 19, qui parle du Christ comme « étant mis à mort dans la chair, mais rendus vivants dans l’esprit, dans lequel il est allé aussi et prêché les esprits en prison. » Ce passage est censé faire référence à la descente aux enfers et d’énoncer le but de celui-ci. L’esprit dénommé alors comprise comme l’âme du Christ, et la prédication mentionné doit avoir eu lieu entre sa mort et sa résurrection. Mais l’un est aussi impossible que les autres. L’esprit mentionné n’est pas l’âme du Christ, mais l’esprit vivifiant, et ce n’est que même vivifiant esprit que Christ a prêché. L’interprétation protestante de ce passage qui est dans l’esprit de Christ a prêché à travers Noé pour les désobéissants qui ont vécu avant le déluge, qui étaient les esprits en prison lorsque Peter a écrit et pourrait donc être désigné comme tels. Bavinck considère que cela est intenable et interprète le passage comme se référant à l’ascension, qu’il considère comme un riche, triomphante, et puissante prédication aux esprits en prison. (3) j’ai PET. 4:4-6, en particulier le verset 6, qui se lit comme suit: « Pour jusqu'à cette fin était l’évangile prêché même aux morts qu’ils pourraient être jugés en effet selon les hommes dans la chair, mais vivre selon Dieu dans l’esprit. » À cet égard, l’Apôtre met en garde les lecteurs qu’ils ne devraient pas vivre le reste de leur vie dans la chair, les convoitises des hommes, mais de la volonté de Dieu, même s’ils devraient donner en déplaise à leurs anciens compagnons et être calomniés par eux , car ils auront à rendre compte de leur accomplissement à Dieu, qui est prêt à juger les vivants et les morts. Les « morts » à qui l’Évangile a été prêché n’étaient évidemment pas encore morts quand il était prêchée, puisque le but de cette prédication était en partie « qu’ils pourraient être jugés selon les hommes dans la chair ». Cela pourrait seulement avoir lieu au cours de leur vie sur terre. Selon toute probabilité, l’écrivain fait référence aux esprits mêmes en prison, dont il a parlé dans le chapitre précédent. (4) PS. 16:8-10 (COMP. AC 02:25-27,30,31). C’est surtout le verset 10 qui vient en considération ici, « car tu ne laisseras pas mon âme dans le séjour des morts; ni souffriras-tu ta un Saint voie la corruption. » De ce passage, Pearson conclut que l’âme du Christ était en enfer (Hadès) avant la résurrection, car on nous dit qu’il ne restait pas là. Mais il convient de noter ce qui suit: (a) le mot nephesh (âme) est souvent utilisé en Hébreu pour le pronom personnel et le séjour des morts, pour l’état de la mort. (b) si nous comprenons donc ces mots ici, nous avons un parallélisme clairement synonyme. L’idée serait que Jésus n’était pas laissé à la puissance de la mort. (c) c’est en parfaite harmonie avec l’interprétation de Pierre en actes 02:30, 31, et de Paul dans Actes 13:34, 35. Dans les deux cas, le Psaume est cité pour prouver la résurrection de Jésus.
c. différentes interprétations de l’expression de fouilles. (1) l’église catholique prend cela signifie que, après sa mort, Christ est allé dans le Limbus Patrum, où les saints de l’ancien Testament étaient en attente de la révélation et l’application de sa rédemption, a prêché l’Évangile et fait sortir vers le ciel. (2) les luthériens considèrent la descente aux enfers comme la première étape de l’exaltation du Christ. Christ est allé dans le monde souterrain de révéler et de consommer sa victoire sur Satan et les puissances des ténèbres et à prononcer leur sentence de condamnation. Certains luthériens placer cette marche triomphale entre la mort du Christ et sa résurrection; d’autres, après la résurrection. (3) l’église d’Angleterre maintient que, tandis que le corps du Christ était dans la tombe, l’âme est allé aux enfers, plus particulièrement dans le paradis, la demeure des âmes des justes et leur a donné une exposition plus complète de la vérité. (4) Calvin interprète l’expression métaphorique, comme se référant aux pénitentiaires souffrances du Christ sur la Croix, où il a vraiment souffert des affres de l’enfer. De même, le Catéchisme de Heidelberg. Selon la position habituelle après sa réforme, les mots se rapportent non seulement aux souffrances sur la Croix, mais aussi à l’agonie de Gethsémani. (5) Certes, l’écriture n’enseigne pas littérale descente du Christ aux enfers. En outre, il y a des objections sérieuses à ce point de vue. Il ne peut pas ont est descendu aux enfers selon le corps, c’était dans la tombe. Si vraiment, il a fait descendre aux enfers, il peut seulement avoir été quant à son âme, et cela voudrait dire que seulement la moitié de sa nature humaine partagée dans cette étape de son humiliation (ou exaltation). En outre, tant que Christ n’est pas encore revenue d'entre les morts, le moment venu pas pour une marche triomphale tels que supposent les luthériens. Et, enfin, au moment de sa mort, Christ a félicité son esprit à son père. Cela semble indiquer qu’il serait passive plutôt qu’active depuis l’époque de sa mort jusqu'à ce qu’il se leva de la tombe. Dans l’ensemble, il semble préférable de combiner deux pensées: (a) que le Christ a souffert des affres de l’enfer avant sa mort, à Gethsémani et sur la Croix; et (b) qu’il est entré dans l’humiliation la plus profonde de l’état de la mort.
QUESTIONS pour une étude complémentaire: Comment étaient État liés entre eux dans le cas d’Adam, lorsqu’il est tombé ? Dans le cas de la parole devient chair ? Comment elles sont liées à la rédemption des pécheurs ? Son état et condition toujours correspondent-elles ? Comment définir l’état d’humiliation ? Que signifie Kuyper, lorsqu’il établit une distinction entre le statut generis et le statut modi? Quelles étapes il distingue-t-il dans l’état d’humiliation ? Existe-t-il une preuve biblique pour la naissance de la Vierge, sauf dans les Évangiles de Matthieu et de Luc ? Quels sont les roulements doctrinales de cette doctrine ? Les théories de l’origine mythique de l’idée de la naissance de la Vierge, on a retrouvé adéquates ? Qu’entendons-nous par un assujettissement à la loi du Christ ? Dans quelle relation juridique il se tenir comme médiateur au cours de son humiliation ? A la nature humaine du Christ intrinsèquement fait l’objet de la Loi de la mort ? La mort éternelle dans le cas de Christ comportait tous les éléments qui sont inclus dans la mort éternelle des pécheurs ? Comment peut l’enterrement du Sauveur être conçue comme une preuve qu’il est vraiment mort ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref dogme. III, pp. 455-469; Kuyper, Dict. dogme., De Christo II, pp. 59-108; Ibid., De Vleeschwording des Woords; Hodge, Syst. Theol. II, pp. 612-625; Shedd, dogme . THEOL., p. 330-348; McPherson, Chr. dogme., p. 321-326; Litton, Introd. au dogme. THEOL., p. 175-191; Pieper, Christl. Dogme. II, p. 358-378; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 383-406; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 88-95; Heppe, der dogme. ev.-ref. Kirche, pp. 351-356; Ebrard, Christl. Dogme. II, pp. 189-226; Faire, Godgeleerdheit, II, p. 601-795; Synopsis Purioris, pp. 262-272; Turretin, opéra, Locus XIII, Q. IX-XVI; Machen, la conception virginale du Christ; Orr, la conception virginale du Christ; Sweet, la naissance et l’enfance du Christ Jésus; Cooke, Paul savait la naissance virginale? Knowling, la naissance de la Vierge; Barth, Credo, pp. 62-94; Brunner, le médiateur, pp. 303-376.
II. l’état d’Exaltation
A. GÉNÉRAL REMARQUES SUR L’ÉTAT D’EXALTATION.
1. L’OBJET ET LA NATURE DE L’EXALTATION. Comme nous l’avons déjà indiqué dans ce qui précède, il y a une divergence d’opinion entre luthérienne et réformée de théologie sur le sujet des États de Christ. L’ancien nie que le Logos et affirme que la nature humaine du Christ, fait l’objet des États d’humiliation et d’exaltation. Donc ils excluent l’incarnation de l’humiliation du Christ et maintiennent que l’état de l’humiliation consiste dans ce domaine, « que le Christ pendant un temps renoncé (vraiment et vraiment encore librement) l’exercice séance plénière de la majesté divine, qui avait de sa nature humaine acquis dans l’union personnelle et, comme un homme humble, enduré ce qui était bien au-dessous de la majesté divine (qu’il pourrait souffrir et mourir pour l’amour du monde). » Ils soutiennent que l’état d’exaltation est devenue manifeste tout d’abord dans le monde inférieur dans la descente aux enfers et plus loin de ce monde dans la résurrection et l’ascension, parvenir à son achèvement dans la session à la droite de Dieu. L’exaltation, alors, consiste en ce que la nature humaine suppose l’exercice plénière des attributs divins qui lui ont été communiquées à l’incarnation, mais ont été utilisées qu’occasionnellement ou secrètement. La théologie réformée, en revanche, considère que la personne du médiateur, c'est-à-dire le Dieu-homme, comme sujet de l’exaltation, mais insiste sur le fait qu’il était, bien sûr, la nature humaine dans laquelle l’exaltation a eu lieu. La nature divine n’est pas capable d’humiliation ou d’exaltation. Dans l’exaltation de l’homme-Dieu, Jésus Christ, (a) aspects passés d’en vertu de la loi dans son fédéral pénal et procédure pénale et par conséquent sous le fardeau de la Loi comme la condition de l’Alliance des œuvres et sous la malédiction de la Loi; (b) ont échangé le penal pour la relation juste à la Loi et en tant que médiateur est entré en possession de la bénédiction du Salut qui il méritait pour les pécheurs; et (c) a été couronné d’un correspondant d’honneur et la gloire. Il devait apparaître également dans son état que la malédiction du péché a été levée. Son exaltation était également sa glorification.
2. L’EXALTATION DU CHRIST EST SCRIPTURAIRE ET RAISONNABLE. Il y a une preuve scripturaire abondante pour l’exaltation du Christ. L’histoire de l’Évangile nous montre clairement que l’humiliation du Christ a été suivie par son exaltation. Le passage classique de prouver ce dernier se trouve dans Philippiens 2:9-11: « c’est pourquoi aussi Dieu exalté hautement et lui donna le nom qui est au-dessus de tout nom; qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse, des choses dans les cieux et sur la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le père. » Mais en plus de cela, il y a plusieurs autres, tels que Marc 16:19; Luc 24:26; John 07:39; Actes à 02:33; 05:31; ROM. 08:17, 34; EP 01:20; 04:10; J’ai Timothée 03:16; Hébreux 1:3; 2:9; 10:12. il existe un lien étroit entre les deux Etats. L’état d’exaltation doit être considéré comme le résultat judiciaire de l’état d’humiliation. En sa qualité comme Christ médiateur répondent aux exigences de la loi dans ses aspects fédérales et pénaux, payant la pénalité du péché et qui mérite la vie éternelle. Par conséquent, sa justification devait suivre et qu’il devait être mis en possession de la récompense. Depuis qu’il a été une personnalité publique et accompli son œuvre publiquement, la justice exigeait que l’exaltation devrait également être une affaire publique. L’exaltation du Christ a une triple signification. Chacun des stades est une déclaration virtuelle de Dieu que Christ a rencontré les exigences de la Loi et avait donc droit à sa récompense. Les deux premières étapes ont également eurent signification exemplaire, puisqu’ils ont symbolisent ce qui prendra place dans la vie des croyants. Et, enfin, tous les quatre étapes étaient destinés à jouer un rôle déterminant dans la parfaite glorification des croyants.
3. L’ÉTAT D’EXALTATION DANS LA THÉOLOGIE LIBÉRALE MODERNE. La théologie libérale moderne, bien sûr, sait d’aucun État d’exaltation de la vie du Christ. Non seulement il a écarté l’idée juridique de l’Etats du Christ tout à fait, mais il a aussi exclu tout le surnaturel dans la vie du Sauveur. Rauschenbusch ferme sa théologie de l’Évangile Social par une discussion sur la mort du Christ. Macintosh, dit que « les difficultés dans le sentier d’accepter la notion traditionnelle ordinaire de la « résurrection » de Jésus, comme une réanimation du cadavre, sa transformation miraculeuse et l’ascension finale vers le « ciel », sont, à l’habitude scientifique de la pensée, pratiquement insurmontables.... Une charge de la preuve non libéré encore repose sur ceux qui affirment qu’il (le corps du Christ) n’a pas subi de désintégration, comme les corps de tous les autres qui sont morts. » Beckwith admet que la Bible et en particulier de Paul, parle de l’exaltation du Christ, mais il dit: « si nous traduisons la notion de l’apôtre de l’exaltation en son équivalent moderne, nous trouverons lui disant que Christ est supérieur à toutes les forces de l’univers et à toutes les commandes connues des êtres rationnels, même les plus élevés, économiser seulement le père. » Et George Foster Burman franchement déclare: « selon l’orthodoxie, le fils de Dieu mis de côté sa gloire divine et puis reprit à nouveau; Il a aliéné de lui-même certaines qualités divines et puis intégrés à nouveau. Ce que l'on entend est bas bonne, à savoir, que le Dieu grand et miséricordieux nous sert et qu’il n’est pas trop bon pour notre nourriture quotidienne humaine. La forme de la doctrine orthodoxe était peut-être nécessaire lorsque la doctrine a été excogitated, mais qu’être terrible, l’homme moderne, ne peut pas faire quelque chose avec elle. »
B. LES ÉTAPES DE L’ÉTAT D’EXALTATION.
Théologie réformée distingue quatre étapes dans l’exaltation du Christ.
1. LA RÉSURRECTION.
a. la nature de la résurrection. La résurrection du Christ ne consiste pas dans le simple fait qu’il revint à la vie, et que les corps et l’âme ont été réunifiées. Si c’était tout ce qu’il s’agissait, il ne pouvait pas être appelé « les prémices d'entre eux qui sont morts, » I Cor. 15:20, ni « le premier-né des morts, » 01:18; Apocalypse 1:5, étant donné que d’autres ont été restaurés à la vie devant lui. Il consistait plutôt à ce qui en lui la nature humaine, les deux corps et âme, a été restauré à sa force primitive et de la perfection et même porté à un niveau plus élevé, tandis que le corps et l’âme ont été re-Unis dans un organisme vivant. De l’analogie du changement qui, selon l’Ecriture, se déroule dans le corps des croyants en la résurrection générale, nous pouvons recueillir quelque chose quant à la transformation qui doit avoir eu lieu dans le Christ. Paul nous dit dans I Corinthiens 15:42-44 que le futur organe de croyants sera incorruptible, c'est-à-dire incapables de désintégration; glorieux, qui signifie resplendissant de la luminosité céleste; puissant, voilà, instinct avec énergie et peut-être avec nouvelles facultés; et spirituelle, qui ne veut pas dire sans importance ou éthéré, mais adapté à l’esprit, un instrument parfait de l’esprit. De l’histoire de l’Évangile nous apprennent que le corps de Jésus avait subi un changement remarquable, afin qu’il n’était pas facilement reconnaissable et pourrions soudain apparaissent et disparaissent d’une manière surprenante, Luc 24:31, 36; John 20:13, 19; 21:7; mais qu’il s’agissait néanmoins d’un corps matériel et très réel, Luc 24:39. Ce n’est pas incompatible avec I Corinthiens 15:50, pour « flesh and blood » est une description de la nature humaine dans son état actuel de la matière, mortel et corruptible. Mais le changement qui a lieu dans les croyants est non seulement physique mais aussi spirituelle. De même, il y avait non seulement physique, mais aussi un changement psychique dans le Christ. Nous ne pouvons pas dire que n’importe quel changement éthique ou religieuse ont eu lieu en lui; mais il était doté de nouvelles qualités parfaitement ajustées à son futur environnement céleste. Par le biais de la résurrection, il est devenu l’esprit vivifiant, I Cor. 15:45. La résurrection du Christ a une triple Signification: (1) il s’agissait d’une déclaration du père que le dernier ennemi avait été vaincu, la pénalité payée et la condition sur laquelle la vie a été promise, se sont rencontrés. (2) il symbolise ce qui allait se pour passer aux membres du corps mystique du Christ dans leur justification, naissance spirituelle, et avenir béni de la résurrection, Romains 6:4, 5, 9; 08:11; I Corinthiens 06:14; 15:20-22; II Corinthiens 04:10, 11, 14; 02:12; I Thessaloniciens 04:14. (3) il est également connecté instrumentalement avec leur justification, la régénération et la résurrection finale, Rom. 04:25; 05:10; EP 01:20; Phil. 03:10; I Pierre 1:3. p ><p>b. L’auteur de la résurrection. À la différence des autres qui ont été ressuscité des morts, Christ a été soulevée par l’intermédiaire de son propre pouvoir. Il a parlé de lui-même comme la résurrection et la vie, Jean 11:25, a déclaré qu’il avait le pouvoir de donner sa vie, et pour reprendre encore une fois, John 10:18 et même prédit qu’il serait reconstruire le temple de son corps, Jean 02:19-21. Mais la résurrection n’était pas un travail de Christ seul; Il est fréquemment attribué à la puissance de Dieu en général, actes 02:24, 32; 03:26; 05:30; I Corinthiens 06:14; EP 01:20, ou, plus particulièrement, au père, Romains 6:4; Galates 1:1; I Pierre 1:3. Et si la résurrection du Christ peut être appelée une œuvre de Dieu, il s’ensuit que le Saint-Esprit était également du dispositif dedans, pour tous les ad opéra supplémentaire sont des œuvres du Dieu triune. En outre, Rom. 08:11 implique aussi cela.
c. opposition à la doctrine de la résurrection. Une grande objection fait valoir contre la doctrine d’une résurrection physique, à savoir qu’après la mort, le corps se désagrège, et les diverses particules qui le composent entrent dans la composition d’autres organes, végétales, animales et humaines. Il est donc impossible de restaurer ces particules à tous les organismes qui, au fil du temps, ils faisaient partie. Macintosh demande: « Qu’est-il advenu des atomes de carbone, oxygène, azote, hydrogène et autres éléments qui compose le corps terrestre de Jésus ? » Maintenant, nous admettons que la résurrection défie toute explication. C’est un miracle. Mais en même temps nous devons garder à l’esprit que l’identité d’un corps de résurrection avec le corps qui est descendu dans la tombe n’exige pas qu’il soit composé des mêmes particules exactement. La composition de notre corps change droit le long, et pourtant, ils conservent leur identité. Paul dans I Corinthiens 15 maintient l’identité essentielle du corps qui descend dans la tombe avec celui qui est ressuscitée, mais aussi déclare catégoriquement que les changements de forme. Que que l’homme sème dans la terre passe par un processus de mort et est ensuite accéléré; mais sous forme le grain qu’il met dans le sol n’est pas la même que celle qu’il moissonne en bonne et due fois. Dieu donne à chaque graine un corps propre. Il est donc aussi à la résurrection des morts. C’est peut-être qu’il y a un noyau, certains germes, qui constitue l’essence du corps et préserve son identité. L’argument de l’Apôtre dans I Corinthiens 15:35-38 semble dire quelque chose du genre. Il faut avoir à l’esprit que le réel, l’objection fondamentale à la résurrection, est son caractère surnaturel. Il n’est pas manque de preuves, mais le principe fondamental que les miracles ne se produisent, ce qui fait obstacle à son acceptation. Même libérales savants admettent qu’aucun fait n’est mieux attesté que la résurrection du Christ — bien que d’autres, bien sûr, ce que nient. Mais cela fait peu de différence pour le savant modern. Dit Dr Rashdall: « les témoignages étaient cinquante fois plus forte qu’elle l’est, toute hypothèse serait plus possible à celle. » Encore à l’heure actuelle plusieurs éminents scientifiques déclarent franchement qu’ils ne sont pas en mesure de dire que les miracles ne se produisent.
d. les tentatives d’expliquer le fait de la résurrection. Dans leur refus du anti-surnaturalistes toujours se heurter à l’histoire de la résurrection dans les Évangiles. L’histoire du tombeau vide et des apparitions de Jésus après la résurrection présentent un défi pour eux, et ils acceptent le défi et tentent d’expliquer ces sans accepter le fait de la résurrection. Les tentatives suivantes sont parmi les plus importantes.
(1) la théorie du mensonge. C’est à l’effet que les disciples pratiquent tromperie délibérée par voler le corps de la tombe et puis déclarer que le Seigneur était ressuscité. Les soldats qui ont regardé la tombe ont reçu pour instruction de faire circuler cette histoire et Celse il invite déjà pour expliquer le tombeau vide. Cette théorie, bien sûr, conteste la véracité des témoins au début, les apôtres, les femmes, les cinq cents frères et autres. Mais il est extrêmement improbable que les disciples timides auraient eu le courage de palme au large d’un tel mensonge sur un monde hostile. Il est impossible de croire qu’ils seraient ont persisté dans la souffrance pour un tel mensonge nu. En outre, seuls les faits de la résurrection peuvent expliquer le courage indomptable et le pouvoir qu’ils révèlent au témoignage de la résurrection du Christ. Ces considérations a rapidement conduisent à l’abandon de ce point de vue.
(2) la théorie de l’évanouissement. Selon cette théorie, Jésus n’est pas vraiment mort, mais simplement évanoui, alors qu’on pensait qu’il était réellement mort. Mais cela soulève naturellement des questions plusieurs qui ne sont pas faciles de répondre. Comment expliquer que tant de gens ont été trompés, et que la lance de Poussée n’a pas tué Jésus ? Comment Jésus dans son état d’épuisement pourrait rouler la pierre de la tombe et ensuite marcher de Jérusalem à Emmaüs et inversement. Comment se fait-il que les disciples ne traitent pas lui comme un malade, mais a vu en lui le Prince puissant de la vie ? Et qu’est-il advenu du Jésus après cela ? Avec la résurrection l’ascension est naturellement exclue aussi. Il fait ensuite retourner dans un endroit inconnu et vivre en secret le reste de sa vie ? Cette théorie est grevée par tant d’invraisemblances que Strauss même ridiculisé il.
(3) la théorie de la vision. Il a été présenté sous deux formes. b certains parlent de visions purement subjectives. Dans leur état excité de l’esprit aux disciples demeuraient tellement sur le Sauveur et sur la possibilité de son retour à eux, enfin réellement croire qu’ils le virent. L’étincelle a été appliquée par le nerveux et excitables Mary Magdalene, et bientôt la flamme a été allumée et se propager. C’est la théorie favorable depuis longtemps, mais il est trop transporté avec difficultés. Comment ces visions pourraient survenir, voyant que les disciples ne s’attendait pas à la résurrection ? Comment pouvaient ils apparaissent tandis que les disciples étaient à leurs occupations ordinaires et ne pas donné à la prière ou la méditation ? Pourrait le ravissement ou l’ecstacy nécessaires à la création des visions subjectives ont débuté dès le troisième jour ? Seraient pas les disciples dans ces visions ont vu Jésus, comme entouré d’une auréole de gloire céleste, ou juste comme ils avaient su lui et désireux de renouveler la communion avec eux ? Des visions subjectives jamais se présenter à plusieurs personnes en même temps ? Comment peut-on expliquer les conversations visionnaires ? (b) compte tenu de l’extrême faiblesse de cette théorie, certains érudits présenté une version différente de celui-ci. Ils prétendent que les disciples ont vu réel objectives visions, miraculeusement envoyées par Dieu, pour les persuader de continuer avec la prédication de l’Évangile. Cela vraiment éviter certaines des difficultés a suggéré, mais d’autres rencontres. Il admet le surnaturel; et si cela est nécessaire, pourquoi ne pas accorder la résurrection, ce qui explique certainement tous les faits ? En outre, cette théorie nous demande de croire que ces divinement envoyé visions étaient de nature à induire en erreur les apôtres. Dieu cherche à travailler ses fins par la tromperie ?
(4) les théories mythiques. Une nouvelle école mythique a vu le jour, qui abandonne, ou au moins dispense, théories de la vision et l’apparition et cherche à expliquer la légende de la résurrection par l’aide des conceptions importées dans le judaïsme de la Babylonie et autre oriental pays. Cette école affirme non seulement que la mythologie des religions orientales anciennes contienne des analogies de l’histoire de la résurrection, mais que cette histoire a été en fait dérivée de mythes païens. Cette théorie a été élaborée sous plusieurs formes, mais il est également sans fondement sous toutes ses formes. Il se caractérise par la grande arbitraire en renforçant une connexion de l’histoire de l’Évangile avec les mythes païens et n’a pas réussi à les relie. En outre, il révèle un mépris extrême des faits car on les trouve dans l’écriture.
e. le roulement doctrinal de la résurrection. La question se pose, il fait aucune différence, si nous croyons en la résurrection physique du Christ, ou simplement en une résurrection idéale ? Pour la théologie libérale moderne la résurrection de Jésus, sauf dans le sens d’une survie spirituelle, est sans importance réelle pour la foi chrétienne. Croyance en la résurrection corporelle n’est pas indispensable, mais peut très bien être supprimée sans affecter la religion chrétienne. Barth et Brunner sont d’un avis différent. Ils croient en le fait historique de la résurrection, mais maintiennent que, comme tel, c’est simplement une question d’histoire, dont l’historien peut traitent au mieux de ses capacités et non pas comme une question de foi. L’important élément qui se trouve dans la résurrection du divin se brise au cours de l’histoire, que dedans l' incognito de Jésus est supprimée et Dieu se révèle. L’historien ne peut pas décrire, mais le croyant il accepte par la foi.
Croyance en la résurrection a certainement les roulements doctrinales. Nous ne pouvons nier la résurrection physique du Christ sans attaquer la véracité des auteurs de l’écriture, puisqu’ils représentent certainement il comme un fait. Cela signifie qu’il affecte notre croyance dans la fiabilité de l’écriture. En outre, la résurrection du Christ est représentée comme ayant une valeur probante. C’était le point culminant de la preuve que Christ était un enseignant envoyé de Dieu (le signe de Jonas), et qu’il était le fils de Dieu même, Romains 1:4. C’était aussi l’attestation suprême du fait de l’immortalité. Ce qui est encore plus important, la résurrection entre comme un élément constitutif dans l’essence même de le œuvre de rédemption et par conséquent de l’Évangile. Il est l’un des grands fondements de l’église de Dieu. Le œuvre rédemptrice du Christ, si elle devait être efficace du tout, a dû mettre fin, pas dans la mort, mais dans la vie. En outre, il était le sceau du père sur le œuvre achevée de Christ, la déclaration publique de son acceptation. Dans ce Christ passée sous la Loi. Enfin, c’est son entrée sur une nouvelle vie comme le ressuscité et exalté le chef de l’église et le Seigneur universel. Cela lui a permis d’appliquer le fruit de son œuvre rédemptrice.
2. L’ASCENSION.
a. l’ascension du Christ ne se distingue pas comme hardiment sur les pages de la Bible comme étant la résurrection. C’est probablement dû au fait que ce dernier plutôt que l’ancien a été le véritable tournant dans la vie de Jésus. Dans un certain sens, l’ascension peut être appelée le complément nécessaire et l’achèvement de la résurrection. Transition du Christ à la vie plus élevée de gloire, commencée dans la résurrection, a été mis au point dans l’ascension. Cela ne signifie pas que l’ascension était dépourvue de signification indépendante. Mais si la preuve de l’écriture pour l’ascension n’est pas aussi abondante que celle de la résurrection, il est tout à fait suffisant. Luc donne un double compte de celui-ci, Luc 24:50-53 et actes 1:6-11. Mark s’en 16:19, mais ce passage est contesté. Jésus a parlé de lui maintes et maintes fois avant sa mort, John 6:62; 14:2, 12; 16:5, 10, 17, 28; 17:5; 20:17. Paul se réfère à elle à plusieurs reprises, Éphésiens 01:20; 4:8-10; J’ai Timothée 03:16; et l’épître aux Hébreux attire l’attention sur sa signification, 1:3; 04:14; 09:24.
b. la nature de l’ascension. L’ascension peut être décrit comme l’ascension visible de la personne du médiateur de la terre au ciel, selon sa nature humaine. C’était une transition locale, un aller d’un endroit à l’autre. Ceci implique, bien sûr, que le paradis est un lieu, mais aussi la terre. Mais l’ascension de Jésus n’était pas simplement une transition d’un endroit à l’autre; elle comprenait également un autre changement dans la nature humaine du Christ. Que la nature a maintenant passé dans la plénitude de la gloire céleste et parfaitement adapté à la vie du ciel. Certains érudits chrétiens de date récente considèrent ciel une condition plutôt qu’à un endroit et donc ne conçoivent pas l’ascension localement. Ils admettront qu’il y avait une levée momentanée place du Christ aux yeux des onze, mais seulement comme un symbole de la levée vers le haut de notre humanité à un ordre spirituel bien au-delà de notre vie présente. La conception locale, cependant, est favorisée par les considérations suivantes: (1) ciel est représentée dans l’écriture comme le lieu d’habitation des êtres créés (anges, les saints, la nature humaine du Christ). Ceux-ci sont tous dans certains cas liés aux espaces; Dieu seul est relations spatiales avant tout. Bien sûr, les lois qui s’appliquent dans l’espace céleste peuvent différer de celles qui s’appliquent dans l’espace terrestre. (2) les cieux et la terre sont placés à plusieurs reprises dans la juxtaposition dans l’écriture. De là, il semblerait à suivre que, si l’un est un endroit, l’autre doit être un lieu aussi. Il serait absurde de mettre un lieu et une condition dans la juxtaposition de cette façon. (3) la Bible nous enseigne à penser du ciel comme un lieu. Plusieurs passages directement notre pensée vers le haut vers le ciel et vers le bas pour l’enfer, Deut. 30: 12; Jos. 02:11; PS. 139:8; Romains 10:6, 7. Cela n’aurait aucun sens si les deux ne devaient ne pas être considérés comme locaux dans un certain sens du mot. (4) entrée le Sauveur dans le ciel est représentée comme une ascension. Les disciples voir Jésus ascendant jusqu'à ce qu’un nuage lui intercepte et lui cache à leur vue. Les mêmes couleurs locales est présent à l’esprit de l’auteur d’Hébreux à 04:14.
c. conception The luthérienne de l’ascension. La conception luthérienne de l’ascension est différente de celle de l’église réformée. Ils considèrent, non pas comme une transition locale, mais comme un changement d’État, par lequel la nature humaine du Christ passée dans la jouissance et l’exercice des perfections divines, lui sont communiquées à l’incarnation et ainsi est devenu omniprésent en permanence. Dans le cadre de l’idée que le Christ a commencé sa session à la droite de Dieu à l’ascension, ils maintiennent que cette main droite (qui est simplement un symbole du pouvoir) est partout. Luthériens, toutefois, pas tous pense aussi bien sur le thème de l’omniprésence de la nature humaine du Christ. Certains le nie tout à fait, et d’autres estiment que, même si l’ascension est le résultat de l’ubiquité du Christ, elle comprenait également un mouvement local, par lequel le Christ a retiré sa présence visible de la terre.
d. la signification doctrinale de l’ascension. Barth, dit qu’on peut bien se demander pourquoi l’ascension devrait avoir une place parmi les principaux articles de la foi chrétienne, voyant qu’il est mentionné moins fréquemment et avec insistance que la résurrection, et où il est mentionné apparaît seulement comme un naturel transition de la résurrection à la session à la droite de Dieu. C’est exactement dans cette transition qu’il trouve la signification réelle de l’ascension. C’est pourquoi il ne se soucie pas de souligner l’ascension comme une exaltation visible, une « élévation verticale dans l’espace » devant les yeux des disciples, étant donné que ce n’est évidemment pas la voie à la session à la droite de Dieu, qui n’est pas sa place. Tout comme les faits historiques de la naissance de la Vierge et de la résurrection sont considérés par lui comme de simples signes d’une révélation du Christ, donc aussi l’ascension comme un signe et d’émerveillement est simplement un «pointeur vers la révélation, qui s’est produite dans la résurrection de Jésus Christ comme le porteur de tout pouvoir au ciel et la terre. »
On peut dire que l’ascension avait une triple signification. (1) il incarne clairement la déclaration que le sacrifice de Christ était un sacrifice à Dieu, qui devait ainsi lui être remis dans le sanctuaire intérieur; que le père considéré le œuvre médiatrice du Christ comme suffisantes et donc lui admis à la gloire céleste; et que le Royaume du médiateur n’était pas un Royaume des Juifs, mais un Royaume universel. (2) il a été aussi exemplaire que c’était prophétique de l’ascension de tous les croyants, qui sont déjà définies avec le Christ dans les lieux célestes, Éphésiens 2:6 et sont destinés à être avec lui pour toujours, John 17:24; et aussi, en qui il a révélé la restauration initiale de la royauté d’origine de l’homme, Hébreux 2:7, 9. (3) Enfin, il a également contribué à préparer une place pour ceux qui sont dans le Christ. Le Seigneur lui-même souligne la nécessité d’aller vers le père, afin de préparer une place pour ses disciples, Jean 14:2, 3.
3. LA SESSION À LA DROITE DE DIEU.
a. la preuve scripturaire pour la session. Lorsque le Christ se tenait devant le souverain sacrificateur, il a prédit qu’il s’asseyait à la droite du pouvoir, Matthieu 26:64. Pierre fait allusion dans ses sermons, actes 02:33-36; 5:31. dans deux de ces passages, que le datif dexiai tei peut avoir à prendre dans son sens le plus habituel instrumentale, si dans le premier des deux la citation dans le verset 34 favorise l’interprétation locale. Il est également dénommé dans Éphésiens 01:20-22; Hébreux 10:12; J’ai PET. 03:22; 03:21; 22:1. en dehors de ces passages, il y en a plusieurs qui parlent de Christ régner comme roi, Rom. 14:9; I Corinthiens 15:24-28; Hébreux 2:7, 8.
b. l’importance de la session. Naturellement, l’expression « main droite de Dieu » est anthropomorphique et ne peut pas être interprétée littéralement. L’expression, tel qu’utilisé dans ce contexte, est dérivée de Psaume 110: 1, « Assieds-toi à ma droite, jusqu'à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied. » Pour être assis à la droite du roi pourraient être simplement une marque d’honneur, je rois 02:19, mais pourrait aussi désigner la participation au gouvernement et par conséquent dans l’honneur et la gloire. Dans le cas de Christ, c’est sans doute une indication du fait que le Médiateur a reçu les rênes du gouvernement sur l’église et de l’univers et est fait pour partager la gloire correspondante. Cela ne signifie pas que Christ n’était pas roi de Sion jusqu'à ce moment, mais qu’il est maintenant publiquement inauguré Godman, en tant que telle reçoit le gouvernement de l’église et du ciel et la terre et entre solennellement à l’administration du pouvoir s’est engagé à lui . C’est entièrement d’accord avec ce que Calvin dit, à savoir, que l’instruction que Christ était assis à la droite de Dieu équivaut à dire « qu’il a été installé dans le gouvernement du ciel et la terre et officiellement admis à la possession de la l’administration engage à lui et pas seulement admis pour une fois, que de continuer jusqu'à ce qu’il descendre à l’arrêt. » Il est parfaitement évident qu’il serait erroné de déduire du fait que la Bible parle du Christ « assis » à la droite de Dieu, que la vie à laquelle le Seigneur ressuscité est monté est une vie de repos. Il est et continue d’être une vie d’activité constante. Les déclarations de l’écriture varient. Christ n’est pas seulement représenté assis à la droite de Dieu, mais aussi tout simplement comme étant à sa droite, Rom. 08:34; J’ai PET. 03:22, ou debout là, actes à 07:56 et même en marchant au milieu des sept chandeliers d’or. Et il serait tout aussi erroné de conclure de l’importance accordée à la dignité royale et le gouvernement de Christ, naturellement suggéré par l’idée de son assis à la droite de Dieu, que le travail dans lequel il est engagé au cours de sa session céleste est exclusivement gouvernementale et par conséquent prophétiques ni sacerdotale.
c. le œuvre du Christ lors de sa séance. Il mérite d’être souligné que le Christ, alors qu’il est assis à la droite de Dieu, n’est pas simplement un réceptacle passif de dominion divine et puissance, gloire, Majesté, mais est activement engagé dans la poursuite de son œuvre médiatrice.
(1) puisque la Bible relie plus fréquemment la session avec la règle royale du Christ, il est naturel de penser d’abord de tout son travail comme roi. Il gouverne et protège son église par son esprit et il régit aussi par l’intermédiaire de ses agents désignés. Il a toutes les forces du ciel sous son commandement: les anges sont ses messagers, toujours prêts à transmettre sa bénédiction aux saints et à les prémunir contre entourant les dangers. Il exerce un pouvoir sur les forces de la nature et de tous les pouvoirs qui sont hostiles au Royaume de Dieu; et continuera donc à régner jusqu'à ce qu’il a soumis le dernier ennemi.
(2) Toutefois, son travail n’est pas limité à son autorité régalienne. Il est prêtre à jamais selon l’ordre de Melchisédek. Lorsqu’il criait sur la Croix, « C’est fini », il n’entendait pas dire que son travail sacerdotal touchait à sa fin, mais seulement que sa souffrance active est parvenu à sa fin. La Bible relie également travail sacerdotal avec session du Christ à la droite de Dieu, Zach. 06:13; Héb. 04:14; 07:24, 25; 8:1-6; 09:11-15,24-26; 10:19-22; I Jean 2:2. Christ est continuellement présente son sacrifice terminé au père comme base suffisante pour l’effusion de la grâce pardon de Dieu. Il est constamment appliquer son travail sacrificiel et rendre efficace dans la justification et la sanctification des pécheurs. En outre, il est jamais faire intercession pour ceux qui sont siens, plaidant pour leur acceptation sur la base de son sacrifice terminé et leur garde dans le monde et rendre leurs prières et services acceptables à Dieu. Les luthériens insistent sur le fait que l’intercession du Christ est vocalis et realis, tandis que les réformés mettent l’accent sur le fait qu’il consiste principalement en présence de Christ dans la nature de l’homme avec le père, et que les prières doivent être considérés comme les présentation de réclamations légitimes plutôt que supplications.
(3) le Christ continue aussi son œuvre prophétique par le Saint-Esprit. Avant il se sépara de ses disciples, il leur a promis l’Esprit Saint, à l’aide de leurs souvenirs, leur enseignent de nouvelles vérités, guident dans toute la vérité et riches par la plénitude de Christ, Jean 14:26; 16:7-15. la promesse a été tenue le jour de la Pentecôte; et depuis ce jour sur le Christ, par le biais de l’esprit, a été actif en tant que notre grand prophète de diverses manières: dans l’inspiration de l’écriture; à et par la prédication des apôtres et des ministres de la parole; dans le Guide de l’Eglise, ce qui en fait la Fondation et le pilier de la vérité; et en faisant la vérité apparente dans le cœur et la vie des croyants.
4. LE RETOUR PHYSIQUE DU CHRIST.
a. le retour comme une étape dans l’exaltation. Le retour du Christ est parfois omis dès les stades de son exaltation, comme si la session à la droite de Dieu était le point culminant. Mais ce n’est pas correct. Le point culminant n’est atteinte que que celui qui a souffert aux mains de l’homme, retours en qualité de juge. Il se fait à cela comme une prérogative médiateur spéciale, John 05:22, 27 et donc fait des apôtres, actes 10:42; 17:31. Outre les passages qui parlent de la nomination du Christ comme juge, il y en a plusieurs qui font référence à son activité judiciaire, Matthieu 19:28; 25: 31-34; Luc 03:17; ROM. 02:16; 14:9; II Corinthiens 05:10; II Timothée 4:1; Jac. 5:9.
b. les termes bibliques pour le retour. Plusieurs termes sont utilisés pour désigner la future venue de Jésus-Christ. Le terme «parousie» est le plus commun d'entre eux. Il signifie en premier lieu tout simplement « présence », mais sert aussi à désigner une entrée qui précède une présence. Ce dernier est le sens commun du terme, lorsqu’il est utilisé en relation avec le retour de Jésus Christ, mat. 24:3, 27,37,39; I Corinthiens 15:23; I Thessaloniciens 02:19; 03:13; 04:15; 05:23; II Thess. 2:1; Jac. 5; 7, 8; II Pierre 3:4. Un second mandat est «apocalupsis, » qui insiste sur le fait que le retour sera une révélation de Jésus Christ. Il pointe vers la découverte de quelque chose qui était auparavant caché à la vue, dans ce cas, de la gloire cachée et la majesté du Christ Jésus, II Thess. 1:7; I Pierre 1:7, 13; 4:13. un troisième terme est «epiphaneia, » l’apparition glorieuse du Seigneur. Il en découle que ce qui est découvert est quelque chose de glorieux, II Thess. 2:8; J’ai Timothée 06:14; II Timothée 4:1-8; Tite 02:13.
retour. de c. la manière du Christ Certains placent le retour du Christ dans le passé, affirmant que la promesse de sa venue à nouveau a été réalisée quand il revint dans l’Esprit Saint. Ils se réfèrent à la promesse dans Jean 14-16 et interprètent le mot «parousie» comme signifiant simplement « présence ». Maintenant, on peut affirmer que, dans un sens, Christ retournèrent dans l’Esprit Saint et comme tel est présent dans l’église. Mais ce fut un retour spirituel, tandis que la Bible nous enseigne à regarder pour un rendement physique et visible du Christ, actes. 1:11. même après la Pentecôte, on nous apprend à attendre avec impatience la venue du Christ, j’ai Cor. 1:7; 4:5; 11:26; Phil. 03:20; Colossiens 3:4; I Thessaloniciens 04:15-17; II Thess. 1:7-10; Tite 02:13; Apocalypse 1:7.
d. l’objectif de son retour. La seconde venue de Jésus Christ sera dans le but de juger le monde et de perfectionner le salut de son peuple. Hommes et anges, les vivants et les morts, comparaîtra devant lui pour être jugés selon la notice qui a conservé d’eux, Matthieu 24:30, 31; 25, 31, 32. ce sera une entrée avec des jugements terribles sur les méchants, mais aussi avec la bénédiction de la gloire éternelle pour les saints, Matthieu 25: 33-46. Alors qu’il va condamner les méchants au châtiment éternel, il va justifier publiquement son propre et les amener dans la joie parfaite de son Royaume éternel. Cela se signalèrent la victoire remplie de Jésus Christ.
e. opposition à la doctrine du retour. La grande opposition à la doctrine du retour de Jésus Christ est d’une pièce avec l’opposition à la doctrine de la résurrection physique du Christ. Si il ne peut y avoir aucune résurrection physique et l’ascension, on peut sans retour physique du ciel. Les deux sont tout aussi impossibles, et les enseignements bibliques concernant leur sont simplement brutes représentations d’une époque non scientifique. Jésus a évidemment souscrit aux vues charnelles de son époque, et ces couleur ses délimitations prophétiques de l’avenir. Le seul retour de qui nous pouvons parler et pour qui nous pouvons espérer est un retour au pouvoir, à la mise en place d’un Royaume éthique sur la terre.
QUESTIONS pour études supplémentaires: Quelles preuves historiques nous ont pour la résurrection du Christ ? I Cor. 15:8 prouve-t-il que les apparences étaient des visions subjectives ? Ce que mythes sont censés avoir conclu le façonnage de l’histoire de la résurrection ? Quelle lumière les passages suivants à condition de Jésus après sa résurrection ? I Corinthiens 06:17; II Corinthiens 03:17, 18; J’ai Timothée 03:16; Romains 1:3, 4; Héb. 09:14; J’ai PET. 03:18. Quelle est la différence entre un soma psychicon, un pneumatikon de somaet un soma tes sarkos? Sont « esprit » et « spirituel », antithèse de « corps » et « corporelles » dans le Nouveau Testament ? Est science vraiment qu’il impossible de penser du ciel comme un lieu ? C’est vrai que dans l’écriture des mots « heaven » et « céleste » indiquent un État plutôt qu’un lieu ? La théologie moderne pense du ciel seulement comme une condition pour être entrepris après la mort ? Sa position vraiment trouve appui dans un tel passage en Éphésiens 2:6 ? L’ancien Testament contient toutes les références à l’ascension et de la session à la droite de Dieu ? Quelles objections sérieuses sont là pour la doctrine luthérienne de l’omniprésence de la nature humaine du Christ ? La Bible enseigne-t-elle nous considérer le retour du Christ comme imminente ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. III, p. 469-504; Kuyper, Dict. dogme., De Christo II, pp. 109-114; E Voto I, p. 469-493; II, pp. 5-69; Faire, Godgeleerdheit III, pp. 1-100; Synopsis Purioris Theol., pp. 272-281; Turretin, opéra, Locus XIII, Q. XVII-XIX; Hodge, Syst. Theol. II, p. 626-638; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, p. 385, 386, 406-413; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 91-95; Milligan, La résurrection de notre Seigneur; Orr, la résurrection de Jésus; Gore, la Reconstruction de la croyance, pp. 226-273; Swete, le Christ ascensionné; Milligan, l’Ascension et la prêtrise céleste de notre Seigneur; Tait, la Session céleste de notre Seigneur; A. M. Berkhoff, De Wederkomst van Christus; Brown, le Second Avènement; Snowden, la venue du Seigneur. Brunner, le médiateur, pp. 561-590; Barth, Credo, pp. 95-126.
Les offices du Christ
I. introduction: L’Office prophétique
A. INTRODUCTION REMARQUES SUR LES OFFICES EN GÉNÉRAL.
1. L’IDÉE DES OFFICES DANS L’HISTOIRE. Il est devenu habituel de parler de trois offices dans le cadre de le œuvre du Christ, à savoir le prophétique, la sacerdotal et les fonctions royales. Alors que certains d'entre les premiers pères de l’église parlent déjà des différents offices de Christ, Calvin a été le premier à reconnaître l’importance de distinguer les trois offices du médiateur et à attirer l’attention sur elle dans un chapitre distinct de ses instituts . Parmi les Lutherans Gerhard a été le premier à développer la doctrine des trois offices, Quenstedt considéré la triple distinction comme plutôt non indispensables et appelée attention sur le fait que certains théologiens luthériens distinguent seulement deux offices, combinant le prophétique auprès de l’office sacerdotal. Depuis l’époque de la réforme la distinction a été généralement adoptée dans les poncifs de la théologie, bien qu’il n’y avait aucun accord général quant à l’importance relative des offices, ni quant à leur interrelation. Certains placés les prophétiques, d’autres le sacerdotal et d’autres encore les fonctions royales, au premier plan. Il y avait ceux qui l’idée d’une succession chronologique qui leur sont appliquées et pense de Christ fonctionne comme prophète durant son ministère public sur la terre, comme prêtre dans ses souffrances finales et la mort sur la Croix et comme roi, maintenant qu’il est assis à la droite de Dieu . D’autres, cependant, correctement a insisté sur le fait qu’il doit être conçu comme fonctionnant en sa triple qualité tant dans son état d’humiliation que dans son état d’exaltation. Les Sociniens ont vraiment ne reconnu que deux offices: Christ a fonctionné comme prophète sur terre et les fonctions comme le roi dans le ciel. Alors qu’ils parlaient aussi du Christ, comme prêtre, ils subsumait son sacerdotal sous son travail Royal et par conséquent n’a pas reconnu son sacerdoce terrestre.
Dans l’église luthérienne une opposition considérable est apparue à la doctrine des trois offices de Christ. Ernesti donne un résumé des objections qui ont été soulevées. Selon lui, la division est un purement artificiel; les termes prophète, prêtre et roi ne servent pas dans l’écriture dans le sens impliqué dans la présente section; Il est impossible de distinguer l’une fonction clairement de l’autre dans le œuvre du Christ; les termes utilisés dans l’écriture sont appliqués à Christ dans un sens tropical et donc pas ont des significations précises apposer sur eux, désignant des parties particulières de le œuvre du Christ. En réponse à cela, on peut affirmer qu’il n’y a peu de force dans la critique de l’utilisation des termes, car ils sont utilisés tout au long de l’ancien Testament en tant que désignations de ceux qui, dans les offices de prophète, prêtre et roi, typifiait Christ. La critique vraiment significative est due au fait que dans le Christ, les trois offices sont Unis en une seule personne. Le résultat est que nous ne pouvons nettement distinguer les différentes fonctions dans les travaux officiel de Christ. Le œuvre médiatrice est toujours un travail de toute la personne; pas une seule œuvre peut se limite à l’un des offices. De la luthérienne plus tard les théologiens Reinhard, Doederlein, Storr et Bretschneider a rejeté la distinction. Ritschl aussi se sont opposés à lui et a tenu que le terme « vocation » doit prendre la place du mot trompeur « office ». De plus, il considérait la fonction régalienne ou activité du Christ comme primaire et la sacerdotale et prophétique comme secondaire et subordonné, relation de l’homme indiquant ancien au monde et ce dernier, sa relation à Dieu. Il a en outre souligné le fait que la royauté prophétique et sacerdotale doit être affirmée également de l’état d’humiliation et de l’état d’exaltation. Haering suit Ritschl dans son refus des trois offices et dans son emphase l’appel. La théologie moderne n’est opposée à l’idée, en partie parce qu’il n’aime pas la terminologie des écoles, et en partie parce qu’elle refuse de penser à Christ comme un personnage officiel . C’est tellement en amour avec le Christ comme l’homme idéal, le Helper aimant et le frère aîné, donc vraiment humaine, qu’il craint pour le considèrent comme un fonctionnaire médiatrice formel, puisque cela serait apte à déshumaniser lui.
2. IMPORTANCE DE LA DISTINCTION. La distinction des trois offices de Christ est un précieux et devait être conservé, en dépit du fait que son application cohérente à tous les deux des États du Christ n’est pas toujours facile et qu’il n’a pas toujours été aussi réussie. Le fait que Christ a été oint à un office triple trouve son explication dans le fait que l’homme était à l’origine prévu pour ce office triple et travailler. Créé par Dieu, il était prophète, prêtre et roi et comme tel était doué avec la connaissance et la compréhension, avec droiture et sainteté et avec la domination sur la création plus bas. Sin affecté toute la vie de l’homme et se manifeste non seulement comme l’ignorance, la cécité, erreur et le mensonge; mais aussi comme l’injustice, la culpabilité et la pollution morale; et en plus de cette misère, mort et destruction. Par conséquent, il était nécessaire que le Christ, notre médiateur, devrait être prophète, prêtre et roi. Comme prophète, il représente Dieu avec l’homme; comme prêtre, il représente l’homme en présence de Dieu et comme roi He exercices dominion et restaure la domination originale de l’homme. Rationalisme ne reconnaît que sa fonction prophétique; Mysticisme, seulement son office sacerdotal; et Chiliasme met un accent unilatéral sur ses futures fonctions royales.
B. L’OFFICE PROPHÉTIQUE.
1. L’IDÉE BIBLIQUE D’UN PROPHÈTE.
a. les termes utilisés dans l’écriture. L’ancien Testament utilise trois termes pour désigner un prophète, à savoir, nabhi, RO et Hozeh. Le radical du mot nabhi signifie incertain, mais il ressort clairement de ces passages comme Exode 7:1 et Deutéronome 18:18 que le mot désigne celui qui vient avec un message de Dieu au peuple. Les mots RO et Hozeh insistent sur le fait que le Prophète est celui qui reçoit les révélations de Dieu, notamment sous la forme de visions. Ces mots sont utilisés de façon interchangeable. Autres désignations sont « homme de Dieu », « messager de l’Eternel » et « gardien ». Ces appellatifs indiquent que les prophètes sont au service spécial du Seigneur et guettez les intérêts spirituels des gens. Dans le Nouveau Testament, le mot prophetes est utilisé, qui est composé de pro et Jean Claude. La préposition n’est pas temporelle dans ce cas. Par conséquent, le mot prophemi ne fait pas moyen « pour parler au préalable », mais « pour parler de suite ». Le Prophète est celui qui parle vient de Dieu. Parmi ces noms, pris ensemble, nous nous réunissons qu’un prophète est celui qui voit les choses, c'est-à-dire qui reçoit les révélations, qui est au service de Dieu, en particulier comme un messager, et qui parle en son nom.
b. les deux éléments combinés dans l’idée. Les passages classiques, Exode 7:1 et Deutéronome 18:18 indiquent qu’il y a deux éléments à la fonction prophétique, l’un passif et les autres actifs, l’un réceptive et les autres productifs. Le prophète reçoit des révélations divines dans les rêves, visions ou des communications orales; les communique à la population, soit oralement, soit visiblement dans actions prophétiques, num. 12:6-8; Ésaïe 6; Jérémie 1:4-10; Ézéchiel 3:1-4, 17. De ces deux éléments, le passif est le plus important, car il contrôle l’élément actif. Le prophète ne peut pas donner sans recevoir, et il ne peut pas donner plus qu’il reçoit. Mais l’actif est également un élément à part entière. Celui qui reçoit une révélation n’est pas encore nécessairement un prophète. Pensez à Abimélec, Pharaon et Nabuchodonosor, qui ont tous reçu des révélations. Ce qui constitue un prophète, est le divin l’appel, l’instruction, de communiquer la révélation divine à d’autres.
c. le devoir des prophètes. Il était du devoir des prophètes pour révéler la volonté de Dieu au peuple. Cela pourrait se faire sous la forme d’enseignement, exhortation et exhortation, glorieuses promesses, ou stern reproche. Ils étaient les moniteurs ministérielles du peuple, les interprètes de la Loi, notamment dans ses aspects moraux et spirituels. C’était leur devoir de protester contre le formalisme simple, de souligner le devoir moral, d’exhorter la nécessité du service spirituel et de promouvoir les intérêts de la vérité et la justice. Si le peuple a quitté le chemin du devoir, ils avaient à les rappeler à la Loi et le témoignage et d’annoncer la prochaine terreur du Seigneur sur les méchants. Mais leur travail a été aussi intimement lié à la promesse, les gracieuses promesses de Dieu pour l’avenir. C’était leur privilège d’imaginer les choses glorieuses que Dieu avait en réserve pour son peuple. Il est également évident par les écritures que les vrais prophètes d’Israël typifiait le grand prophète qui viennent de l’avenir, Deutéronome 18:15, cf. actes 03:22-24, et qu’il fonctionnait déjà à travers eux à l’époque de l’ancien Testament, j’ai PET. 01:11.
2. LES DISTINCTIONS APPLIQUÉES À Le ŒUVRE PROPHÉTIQUE DU CHRIST. Fonctions de Christ comme prophète de diverses manières:
a. avant et après l’incarnation. Les Sociniens sont trompaient en limitant le œuvre prophétique du Christ au moment de son ministère public. Il a été actif en tant que Prophète même dans la dispensation de vieux, comme dans les spéciales révélations de l’ange de l’Éternel, dans les enseignements des prophètes, en qui il a agi comme l’esprit de révélation (j’ai PET. 01:11) et à l’illumination spirituelle des croyants. Il apparait dans Proverbes 8 comme la Sagesse incarnée, enseigner aux enfants des hommes. Et après l’incarnation, il transporte sur son œuvre prophétique dans son enseignement et ses miracles, dans la prédication des apôtres et des ministres de la parole et aussi dans l’éclairage et l’instruction des croyants comme l’esprit intérieur. Il continue son activité prophétique du ciel par le biais de l’opération du Saint-Esprit. Ses enseignements sont verbales et factuel, autrement dit, il enseigne non seulement par les communications verbales, mais aussi par les faits de la révélation, comme l’incarnation, sa mort expiatoire, la résurrection et l’ascension; et même pendant la période de l’ancien Testament par les types et les cérémonies, par les miracles de l’histoire de la rédemption et par la direction providentielle du peuple d’Israël.
b. les deux immédiatement et médiatement. Il a exercé ses fonctions prophétiques immédiatement, comme l’ange du Seigneur dans la période de l’ancien Testament et comme le Seigneur incarné par ses enseignements et aussi par son exemple, John 13:15; Philippiens 2:5; J’ai PET. 02:22. Et il a exercé médiatement par le biais de l’opération du Saint-Esprit, par les enseignements des prophètes de l’ancien Testament et des apôtres du Nouveau Testament et il exerce encore aujourd'hui par l’intermédiaire de l’esprit intérieur dans les croyants et l’Agence des ministres de l’Évangile. Cela signifie qu’il porte sur son prophétique travaille également les deux objectivement et extérieurement et subjectivement et intérieurement par l’esprit, qui est décrit comme l’esprit du Christ.
3. ECRITURE PREUVE POUR L’OFFICE PROPHÉTIQUE DU CHRIST. L’écriture témoigne dans plus d’un titre à l’office prophétique du Christ. Il est prédit comme un prophète dans Deutéronome 18:15, un passage qui est appliqué à Christ en actes 03:22, 23. Il parle de lui-même comme un prophète dans Luc 13:33. Par ailleurs, il prétend apporter un message du père, John 08:26-28; 12:49, 50; 14:10, 24; 15:15; 17:8, 20, prédit des choses futures, Matthieu 24:3-35; Luc 19:41-44 et parle avec autorité du singulier, Matthieu 07:29. Ses œuvres merveilleuses servi pour authentifier son message. Compte tenu de tout cela, ce n’est aucun étonnant que les gens lui est reconnu comme un prophète, Matthieu 21:11, 46; Luke 07:16; 24:19; Jean 3:2; 04:19; 06:14; 07:40; 09:17.
4. LE MODERNE PRIVILÉGIANT L’OFFICE PROPHÉTIQUE DU CHRIST. C’est l’une des principales caractéristiques de l’école libérale, tous deux du libéralisme plus âgé, représenté par Renan, Strauss et Keim et du libéralisme plus tard, représenté par des hommes tels que Pfleiderer, Weinel, Wernle, Wrede, Juelicher, Harnack, Bouset et autres, qu’il met l’accent principal sur Jésus comme un enseignant. Comme tel, son importance est soulignée à l’exclusion des autres aspects de sa personne et son œuvre. Il y a une différence assez notable, toutefois, entre ces deux branches du libéralisme. Selon le libéralisme plu Jésus dérive toute sa signification de ses enseignements, mais selon le libéralisme plus tard, c’est la personnalité unique de Jésus qui donne du poids à ses enseignements. Il s’agit sans aucun doute une avancée bienvenue, mais le gain n’est pas aussi grand que cela puisse paraître. Selon les termes de La Touche: « En effet, sa reconnaissance de la signification réelle de sa personnalité plutôt que son enseignement est guère plus qu’une exaltation de la pédagogie par l’exemple sur la pédagogie par précepte. » Après tout, le Christ est seulement un grand maître. Aujourd'hui le modernisme est entièrement sous l’emprise de cette école libérale. Même dans la théologie barthienne il y a un accent qui pourrait paraître pour apporter beaucoup en ligne avec la théologie moderne. Walter Lowrie correctement dit: « C’est caractéristique de la théologie barthienne qu’il pense que principalement du médiateur comme révélateur. » On nous dit à plusieurs reprises par Barth et Brunner que la révélation est la réconciliation et parfois il semble comme s’ils considèrent l’incarnation comme elle-même déjà la réconciliation. Là encore, la réconciliation est représentée comme la révélation. Dans le récent Symposium sur la révélation Barth a dit: « Jésus Christ est la révélation, parce que dans son existence, il est la réconciliation. ... L’existence de Jésus Christ est la réconciliation et par conséquent le comblement du Golfe qui a ouvert ici. » La Croix est parfois définie comme la révélation de la contradiction absolue, le dernier conflit entre ce monde et l’autre. Par conséquent Zerbe dit que la mort du Christ, selon Barth, n’est pas exactement une expiation de la deuxième personne de la divinité pour le péché du monde, mais « un message de Dieu à l’homme, en effet le message final; la négation fondamentale; le jugement sur toute possibilité humaine, en particulier les religieux. » Mais s’il est vrai que dans barthienne théologie le Médiateur est principalement le révélateur, cela ne signifie pas qu’il ne parvient pas à rendre justice à son travail sacrificiel et expiatoire. Grotte de Sydney dit même dans sa La Doctrine de le œuvre du Christ: « pour Barth la Croix est au cœur du message chrétien. » Tout brille à la lumière de sa mort et est éclairée par elle. " »
II. l’Office sacerdotal
4. Le ŒUVRE SACERDOTALE DU CHRIST DANS LA THÉOLOGIE MODERNE. Comme l’a dit dans le chapitre précédent, la doctrine des offices du Christ ne répond pas avec grande faveur dans la théologie actuelle. En fait, il est généralement brille par son absence. On peut difficilement nier que la Bible parle du Christ comme prophète, prêtre et roi, mais il est communément admis que ces termes, telle qu’appliquée au Christ, sont seulement tant de descriptions figuratives des différents aspects de le œuvre du Christ. Christ n’est pas considéré comme un vrai prophète, un vrai prêtre et un vrai roi. Et si l’un des aspects de le œuvre du Christ est fait de se démarquer comme prééminente, c’est le prophétique plutôt que l’aspect sacerdotale. L’esprit moderne est tout à fait opposé au Christ officiel, et s’il peut être grandement dans l’amour avec Jésus qui se refus et d’abnégation, il refuse absolument de reconnaître son sacerdoce officiel. À cet égard il convient de souligner d’emblée que, selon l’Ecriture, Jésus est un vrai prêtre. Comme par les prêtres de l’ancien Testament, qui étaient simplement des ombres et des types, il peut être appelé le prêtre seul véritable. Il a été révélé chez les hommes comme la vérité, c'est-à-dire la réalité de toutes les ombres de l’ancien Testament et donc aussi du sacerdoce de l’ancien Testament. Le septième chapitre de l’épître aux Hébreux insiste sur le fait que son sacerdoce est largement supérieure à celle d’Aaron. Par conséquent, c’est une triste erreur de supposer qu’il est prêtre que dans un sens figuré, dans le sens où les passionnés de littérature et d’art sont parfois appelés prêtres. Il s’agit d’une utilisation tout à fait injustifiée du mot « prêtre », et un qui est tout à fait étrangère à l’écriture. Quand Jéhovah a juré, « tu es sacrificateur pour toujours selon l’ordre de Melchisédek, » il constituait le Messie un vrai prêtre.
III. la Cause et la nécessité de l’expiation
2. l’objection de conscience juste considéré comme souvent va main dans la main avec l’autre, à savoir que ce point de vue de l’absolue nécessité de l’expiation suppose un schisme dans la vie trinitaire de Dieu, et il s’agit d’une idée plutôt monstrueuse. David Smith, l’auteur de Dans le jours de sa chair, dit: « elle (la théorie pénale de satisfaction) place un fossé entre Dieu et Christ, ce qui représente Dieu comme le juge sévère qui a insisté sur l’exécution de la justice et Christ comme Sauveur pitoyable qui interposé et satisfait sa demande juridique et apaiser sa colère vertueuse. Ils ne sont pas une pièce dans leurs attitudes envers les pécheurs, ou dans les parties dont ils jouent. Dieu est propitiated; Favorise de Christ; Dieu inflige le châtiment, le Christ souffre Dieu exige la dette, Christ il paie. » Cette objection repose également sur un malentendu, un malentendu pour lesquels les chrétiens sont au moins en partie, à blâmer qui parlent et chantent comme si Christ, plutôt que le Dieu trinitaire, était exclusivement à l’auteur de leur salut. La Bible nous enseigne que Dieu triune fourni librement pour le salut des pécheurs. Il y avait rien pour lui. Le père fait le sacrifice de son fils et le fils s’est offert volontairement. Il n’y avait aucun schisme mais la plus belle harmonie entre le père et le fils. Cf. PS. 40: 6-8; Luc 01:47-50,78; Éphésiens 1:3-14; 2:4-10; I Pierre 1:2.
La doctrine de l’expiation présentée ici est la doctrine pénale substitutive ou satisfaction, qui est la doctrine clairement enseignée par la parole de Dieu.
A. DÉCLARATION DE LA DOCTRINE PÉNALE SUBSTITUTIVE DE L’EXPIATION.
Dans la discussion de ce point de vue plusieurs indications doivent être soulignées.
1. LA JOUR DES EXPIATIONS EST OBJECTIF. Cela signifie que l’expiation fait son impression primaire sur la personne à qui elle est faite. Si un homme de mal et rend satisfaction, cette satisfaction est destinée à influencer la personne lésée et non la partie contrevenante. Dans le cas envisagé, cela signifie que l’expiation visait pour apaiser Dieu et à lui concilier au pécheur. C’est sans doute l’idée principale, mais n’implique pas que nous ne pouvons pas aussi parler du pécheur être réconciliés avec Dieu. L’écriture ne présente, en plusieurs endroits, Rom., 05:10; II Corinthiens 05:19, 20. Mais il faut avoir à l’esprit que ce n’est pas équivalent à dire que le pécheur est expié, ce qui voudrait dire que Dieu a fait amende honorable ou réparation, qu’il a rendu satisfaction pour le pécheur. Et même lorsque nous parlons du pécheur comme étant réconciliés, il faut l’entendre comme quelque chose qui est secondaire. Le Dieu concilier justifie le pécheur qui accepte la réconciliation et donc fonctionne dans son cœur par le Saint-Esprit, que le pécheur fixe également côté son aliénation méchante de Dieu et entre ainsi dans les fruits de l’expiation parfaite du Christ. En d’autres termes, le fait que Christ réconcilie Dieu au pécheur se traduit par une action réflexe sur le pécheur, en vertu duquel le pécheur peut être dit de se réconcilier avec Dieu. Étant donné que l’objective expiation de Christ est un fait accompli, et il est désormais du devoir des ambassadeurs du Christ pour induire des pécheurs à accepter l’expiation et de mettre fin à leur hostilité envers Dieu, il n’est pas étonnant que le côté secondaire et subjectif de la la réconciliation est un peu importante dans l’écriture. Cet énoncé de la nature objective de l’expiation est placé au premier plan, car il représente la principale différence entre ceux qui acceptent la théorie de la satisfaction de l’expiation et tous ceux qui préfèrent une autre théorie.
Maintenant la question se pose, si cette conception de l’expiation est pris en charge par l’écriture. Il semble trouver un ample soutien là. À noter les indications suivantes:
a. le caractère fondamental du sacerdoce souligne clairement dans cette direction. Tandis que les prophètes représentaient Dieu parmi les hommes, les prêtres dans leur travail sacrificiel et intercession représentant des hommes en présence de Dieu et donc regardé en direction de Godward. L’auteur d’Hébreux l’exprime ainsi: « pour tout souverain sacrificateur, pris d'entre les hommes, est ordonnée pour les hommes en ce qui a trait à Dieu, » 5:1. Cette déclaration comprend les éléments suivants: (1) le prêtre est pris d'entre les hommes, est l’un de la race humaine, afin de pouvoir représenter les hommes; (2) il est nommé pour les hommes, c'est-à-dire, d’être actif dans l’intérêt des hommes; et (3) il est désigné pour représenter les hommes en ce qui a trait à Dieu, c'est-à-dire dans les choses qui ont une direction Godward, qui regarde vers Dieu, qui se terminent sur Dieu. Il s’agit d’une indication claire du fait que le travail du prêtre ressemble surtout à Dieu. Il n’exclut pas l’idée que le travail sacerdotal a également une influence réflexe sur les hommes.
b. la même vérité est véhiculée par l’idée générale des sacrifices. Ceux-ci ont clairement une référence objective. Même parmi les gentils ils sont portées, pas aux hommes, mais à Dieu. Ils étaient censés pour produire un effet sur Dieu. L’idée biblique du sacrifice ne diffère pas de ce dans sa référence objective. Les sacrifices de l’ancien Testament ont été amenés à Dieu principalement pour l’expiation pour le péché, mais aussi comme des expressions de dévotion et de gratitude. D'où le sang devait être mis en la présence de Dieu. L’auteur d’Hébreux dit que le « ce qui a trait à Dieu » se composée en offrant « les offrandes et des sacrifices pour le péché. » Les amis de Job ont été poussés à faire des sacrifices, « peur que j’ai, » dit le Seigneur, « traiter avec vous après votre folie. » 42:8 de travail. Les sacrifices devaient jouer un rôle déterminant dans la colère du Seigneur de tranquillisation.
c. le mot hébreu kipper (piel) exprime l’idée d’expiation pour le péché de la couverture du péché ou du pécheur. Le sang du sacrifice est l’intermédiaire entre Dieu et le pécheur, et compte tenu de ce la colère de Dieu est a repoussé. Elle a pour effet, par conséquent, de conjurer la colère de Dieu du pécheur. Dans la Septante et le Nouveau Testament les termes hilaskomai et hilasmos sont utilisés dans un sens connexe. Le verbe signifie « rendre propice, » et le substantif, « un apaisement » ou « les moyens d’apaiser ». Ils sont d’un caractère objectif. En grec classique, elles sont interprétées souvent avec l’accusatif de theos (Dieu), bien qu’il n’y a aucun exemple de cela dans la Bible. Dans le Nouveau Testament, elles sont interprétées avec l’accusatif de la chose (hamartias), Héb. 02:17, ou avec la peri et le génitif de la chose (hamartion), I Jean 2:2; 4:10. le premier passage est mieux interprété à la lumière de l’utilisation de l' hébreu kipper; la dernière peut être interprétée de la même façon, ou avec Théon comme objet comprise. Il y a tant de passages des écritures qui parlent de la colère de Dieu et de Dieu comme étant fâché avec les pécheurs, que nous sommes parfaitement justifiées en parlant de l’expiation de Dieu, Rom. 01:18; GAL 03:10; Éphésiens 2:3; Romains 5:9. Dans Romains pécheurs 05:10 et 11:28 sont appelés des « ennemis de Dieu » (echthroi) dans un sens passif, ce qui indique, non pas qu’ils sont hostiles à Dieu, mais qu’ils sont les objets de déplaisir Sainte de Dieu. Dans l’ancien passage ce sens est exigé par sa connexion avec le verset précédent; et dans le second par le fait echtroi est contrasté avec agapetoi, qui ne signifie pas «amoureux de Dieu », mais « le bien-aimé de Dieu. »
d. les mots katalasso et katalage signifient « pour réconcilier » et « réconciliation ». Ils pointent vers une action par laquelle inimitié est changé en amitié et sûrement, d’abord, une signification objective. L’auteur rapproche, pas lui-même, mais la personne qu’il a commis une infraction. Ceci est clairement mis en évidence dans Matthieu 05:23, 24: « donc, si tu présentes ton offrande devant l’autel et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi; laisse là ton offrande devant l’autel et va; tout d’abord se réconcilier avec ton frère (qui, à cet égard, peut seulement signifier, concilier ton frère à toi-même, c’est objectif) et ensuite venir et offrir ton cadeau. » Le frère qui l’avait fait le préjudice supposé est appelé pour supprimer le grief. Il doit se concilier ou réconcilier son frère à lui-même en compensation que ce soit peut être exigée. Dans le cadre de le œuvre du Christ les mots en cause dans certains cas désignent certainement l’effectuer un changement dans les relations judiciaires entre Dieu et le pécheur en enlevant la réclamation judiciaire. Selon II Cor. 05:19 le fait que Dieu a réconcilié le monde avec lui-même est évident d’après ce qu’il ne pas pense à eux leurs péchés. Cela n’indique pas à n’importe quel changement moral chez l’homme, mais le fait que les exigences de la Loi sont remplies, et que Dieu est satisfait. Dans Romains 05:10, 11, le terme « réconciliation » ne peut être compris dans un sens objectif, car (1) il est dit avoir été apposée par la mort du Christ, alors que la réconciliation subjective est le fruit du travail de l’esprit; (2) il a été effectué lorsque nous étions encore ennemis, autrement dit, étaient toujours des objets de la colère de Dieu; et (3), il est représenté dans le verset 11 comme quelque chose d’objectif que nous recevons.
e. les termes lutron et antilutron sont également des termes objectifs. Christ est que le Grondin, le libérateur, actes 20:28; I Corinthiens 06:20; 7:23. il rachète pécheurs des exigences de la justice rétributive de Dieu. Le prix est payé à Dieu par le Christ comme le représentant du pécheur. De toute évidence, la Bible nous justifie abondamment en attribuant un caractère objectif à l’expiation. De plus, à proprement parler, l’expiation au sens propre du mot est toujours objectif. Il n’y a aucune une telle chose comme expiation subjective. En expiation, c’est toujours le parti qui a fait mal qui fait amende honorable pour celui qui a été lésé.
2. C’EST UNE EXPIATION DU FAIT D’AUTRUI.
a. la signification du terme «expiation du fait d’autrui. » Il y a une différence entre l’expiation personnelle et du fait d’autrui. Nous sommes particulièrement intéressés par la différence entre les deux dans le cadre de l’expiation du Christ. Quand l’homme s’éloigne de Dieu, il devait ainsi réparation de Dieu. Mais il pouvait expier son péché seulement en souffrir éternellement la peine fixée à la transgression. C’est ce que Dieu aurait exigé en stricte justice et il aurait fallu, si il n’avait pas été actionné par l’amour et de compassion pour le pécheur. Comme une question de fait, cependant, Dieu a nommé un vicaire de Jésus Christ à prendre la place de l’homme, et ce vicaire expié pour le péché et a obtenu une rédemption éternelle pour l’homme. Dr. Shedd attire l’attention sur les points suivants de la différence dans ce cas: (1) expiation personnelle est fournie par la partie contrevenante; expiation par la partie lésée du fait d’autrui. (2) expiation personnelle aurait exclu l’élément de la miséricorde; l’expiation du fait d’autrui représente la forme la plus élevée de la miséricorde. (3) expiation personnelle aurait été toujours en devenir et par conséquent ne pouvait donner lieu à remboursement; l’expiation du fait d’autrui conduit à la réconciliation et la vie éternelle.
b. la possibilité d’expiation du fait d’autrui. Tous ceux qui défendent une théorie subjective de l’expiation soulèvent une objection formidable à l’idée de l’expiation du fait d’autrui. Ils le jugent impensable qu’un Dieu juste transfèrerait sa colère contre les délinquants morales à une partie parfaitement innocente et devrait traiter les innocents par les tribunaux comme s’il était coupable. Il y a sans aucun doute une réelle Difficulté ici, compte tenu du fait que cela semble être contraire à toute analogie humaine. Nous ne pouvons conclure à la possibilité du transfert d’une créance pécuniaire, à celle de la cession d’une dette pénale. Si certaines personne bienfaisante vous propose de payer la dette pécuniaire d’une autre, le paiement doit être accepté, et le débiteur est ipso facto libéré de toute obligation. Mais ce n’est pas le cas quand quelqu'un offre expier la transgression d’une autre personne du fait d’autrui. Pour être légal, cela doit être expressément permise et autorisée par le législateur. En référence à la Loi, cela s’appelle détente, et en ce qui concerne le pécheur, il est connu comme la rémission. Le juge n’est pas nécessaire, mais peut quand même Il peut encore lui permettre uniquement dans certaines conditions, comme (1) que le coupable lui-même n’est pas en mesure de supporter la peine grâce à la fin, tel qu’une relation juste donne; (2) que le transfert ne pas empiéter sur les droits et privilèges de tiers innocents, ni les faire subir des souffrances et privations; (3) que la personne supportant la peine n’est pas lui-même déjà endettés à la justice et qu’il n’a pas envers tous ses services au gouvernement; et (4) que la partie coupable conserve la conscience de sa culpabilité et le fait que le substitut souffre pour lui. Compte tenu de tout cela il sera entendu que le transfert de la dette pénale est presque, si ce n’est pas tout à fait, impossible chez les hommes. Mais dans le cas de Christ, qui est tout à fait unique, parce qu’en elle une situation obtenue qui n’a aucun parallèle, toutes les conditions nommées ont été remplies. Il n’y avait aucune injustice de tout genre.
c. la preuve scripturaire pour l’expiation du fait d’autrui du Christ. Certes, la Bible enseigne que les souffrances et la mort du Christ ont été du fait d’autrui et du fait d’autrui au sens strict du mot qu’il a pris la place des pécheurs, et que leur culpabilité était imputée et leur punition transférés, à lui. Ce n'est pas du tout ce que signifie Bushnell, quand il parle du « sacrifice du fait d’autrui » du Christ. Pour lui, cela signifie simplement que Christ a porté nos péchés « sur son sentiment, est devenu inséré dans leur mauvais sort de sa sympathie comme ami, a donné lui-même et de sa vie, même, pour tenter de rétablir la miséricorde; en un mot qu’il a porté nos péchés en tout de même l’impression qu’il a porté nos maladies. » Les souffrances du Christ n’étaient pas seulement les souffrances sympathiques d’un ami, mais les souffrances substitutive de l’agneau de Dieu pour le péché du monde. Les preuves scripturales pour cela peuvent être classés comme suit:
(1) l’ancien Testament nous enseigne à considérer les sacrifices qui ont été apportées sur l’autel comme du fait d’autrui. Quand les Israélites a apporté un sacrifice à l’Éternel, il devait poser sa main sur la tête du sacrifice et de confesser son péché. Cette action symbolise le transfert du péché à l’offrande et le rendait apte à expier le péché de l’offreur, Lévitique 1:4. Grotte et autres considèrent cette action simplement comme un symbole de dévouement. Mais cela n’explique pas comment l’imposition des mains fait le sacrifice apte à faire l’expiation pour le péché. Il n’est pas en harmonie avec ce qu’on nous apprend à prendre des mesures concernant la signification de l’imposition des mains dans le cas du bouc pour Azazel dans Lévitique 16:20-22. Mort a causé du fait d’autrui sur le sacrifice d’après l’imposition des mains. La signification de cela est clairement indiquée dans le passage classique qui se trouve dans Lévitique 17:11: « pour la vie de la chair est dans le sang; et je l’ai donné à vous pour faire l’expiation pour vos âmes: car c’est le sang qui fait le jour des Expiations en raison de la vie. » Dit m. Vos, « l’animal sacrificiel dans sa mort prend la place de la mort en raison de l’offreur. C’est pas valable pour les forfait. » Les sacrifices ainsi apportés étaient des figurations de l’un grand sacrifice de Jésus Christ.
(2) il y a plusieurs passages dans les écritures qui parlent de nos péchés comme étant « mis sur » Christ et de son péché « portant » ou l’iniquité, Ésaïe 53:6, 12; John 01:29; II Corinthiens 05:21; GAL 03:13; Héb. 09:28; J’ai PET. 02:24. Sur la base de l’écriture, nous pouvons, par conséquent, dire que nos péchés sont imputés au Christ. Cela ne signifie pas que notre nature pécheresse a été transféré à lui — quelque chose qui est en soi totalement impossible, mais que la culpabilité de nos péchés ont été imputée à lui. Dit le Dr A. A. Hodge: « péché peut être considérée (1) dans son caractère formel comme transgression de la Loi, I Jean 3:4; ou (2) comme une qualité morale inhérente à l’agent (macula), Rom. 06:11-13; ou (3) à l’égard de son obligation légale de peine (reatus). Dans ce dernier sens seul il jamais dit que le péché de l’un est mis sur ou assumée par un autre. » Strictement parlant, puis, la culpabilité du péché comme passif à la peine ont été imputée au Christ; et cela pourrait être transférée, car il ne pas inhérente à la personne du pécheur, mais a été quelque chose objective.
(3) Enfin, il y a plusieurs passages dans lesquels les prépositions periet Bréhima anti sont utilisés dans le cadre de le œuvre du Christ pour les pécheurs. L’idée substitutive est exprimée en moins par la première et plus par la préposition dernier. Mais même dans l’interprétation de Bréhima et anti que nous devrons dépendent en grande partie le contexte, pour le premier c’est vraiment « dans le nom de », il peut et dans certains cas, exprime l’idée de substitution, et alors que ce dernier peut signifier » au lieu de, » il n’a toujours pas cette signification. Il est assez intéressant de remarquer que, selon Deissmann, plusieurs cas ont été découverts sur les inscriptions de l’utilisation de Bréhima la signification « à titre de représentant de. » Nous trouvons une utilisation similaire de celui-ci dans 13 Philemon. Dans ces passages comme Rom. 5:6-8; 08:32; GAL 02:20; Hébreux 2:9, que cela signifie probablement « au lieu de, » mais il peut également être rendu « au nom de »; mais en gal 02:13; John 11:50 et II Cor. 05:15 cela veut certainement dire « au lieu de. » Robertson affirme que seule la violence au texte pouvez vous débarrasser de ce sens ici. préposition anti signifie clairement « au lieu de » dans Matthieu 02:22; 05:38; 20:28; Marc 10:45. Selon Robertson, toute autre signification du terme est hors de question ici. La même idée est exprimée dans I Timothée 2:6.
d. Objections à l’idée d’une expiation du fait d’autrui. Plusieurs objections sont soulevées contre l’idée d’expiation du fait d’autrui.
(1) substitution en matière pénale est illégale. Il est généralement admis que, dans le cas d’une créance pécuniaire paiement par un substitut n’est pas autorisé, mais doit être accepté et annule immédiatement toute autre obligation part du débiteur initial. Toutefois, il est dit que la dette pénale est si personnelle qu’il n’admet pas d’un tel transfert. Mais il est évident qu’il y a autres que pécuniaires cas dans lequel la loi a pris des dispositions pour la substitution. Armure dans son ouvrage sur l’expiation et la loi mentionne trois sortes de tels cas. Le premier est que de substitution en cas de travaux dans l’intérêt public exigé par la Loi et la seconde, que de substitution en cas de service militaire requise au nom d’un pays. Concernant le troisième, il dit « même dans le cas de crime, Loi, telle que comprise et administrés par des hommes dans tous les Laender, prévoit que la peine pourrait être atteint par un substitut, dans tous les cas où la peine prescrite est telle qu’il peut répondre à un substitut cohérence avec les obligations qu’il fait déjà l’objet. » ] Il est parfaitement évident que la loi reconnaît le principe de substitution, si elle ne peut pas être facile de citer des cas où des personnes innocentes étaient autorisés à agir comme substituts aux criminels et à supporter les sanctions imposées sur ces. Ceci trouve une explication suffisante dans le fait qu’il est généralement impossible de trouver des hommes qui remplissent toutes les conditions susmentionnées au point b. Mais le fait qu’il est impossible de trouver des hommes qui satisfont à ces exigences, y a aucune preuve que Jésus Christ ne pouvait pas ces exigences. En fait, il pouvait et a fait et était donc un substitut acceptable.
(2) l’innocent est fait de souffrir pour les méchants. Il est parfaitement vrai que, selon la doctrine pénale substitutive de l’expiation, Christ a souffert comme « juste pour les injustes » (j’ai PET. 03:18), mais cela peut difficilement être invité comme une opposition à la doctrine de l’expiation du fait d’autrui. Sous la forme dans laquelle il est souvent dit, il a certainement très peu de force. Dire que cette doctrine fait l’innocent souffrir les conséquences de la culpabilité des méchants et est donc inacceptable, équivaut à soulever une objection contre le gouvernement moral de Dieu en général. Dans la vie réelle les innocents souffrent souvent en raison de la transgression des autres. Par ailleurs, sous cette forme que l’opposition tiendrait contre toutes les soi-disant théories de l’expiation, parce qu’ils représentent les souffrances du Christ comme étant en quelque sorte le résultat des péchés de l’humanité. On dit parfois qu’un agent moral ne peut devenir raisonnablement responsable de n’importe quel péché, sauf en le faisant personnellement; mais cela est contredit par les faits de la vie. Celui qui loue une autre à commettre un crime est jugé responsable; Ce sont tous les accessoires pour un crime.
(3) Dieu le père est rendu coupable d’injustice. Il semble que toutes les objections sont vraiment des variations sur le même thème. Le troisième est pratiquement identique à la deuxième mis sous une forme plus légale. La doctrine de l’expiation du fait d’autrui, il est dit, implique une injustice de la part du père, en ce qu’il sacrifie tout simplement le fils pour les péchés de l’humanité. Cette objection a été déjà soulevée par Abélard, mais perd de vue plusieurs faits pertinents. Il n’était pas le père mais le Dieu trinitaire qui a conçu le plan de rédemption. Il y avait un accord solennel entre les trois personnes dans la divinité. Et dans ce plan, le fils volontairement s’engage à supporter la peine pour le péché et pour répondre aux exigences de la loi divine. Et non seulement cela, mais le œuvre sacrificiel du Christ aussi apporté gain immense et la gloire de Christ comme médiateur. Cela signifiait pour lui une graine de nombreux culte aimante et un glorieux Royaume. Et, enfin, cette objection agit comme un boomerang, car elle retourne avec vengeance sur la tête de tous ceux qui, comme Abélard, nient la nécessité d’une expiation objective, car ils sont tous ont convenu que le père a envoyé le fils dans le monde d’amères souffrances et une honteuse la mort qui, bien que bénéfique, n’était pourtant pas nécessaire. Cela aurait été cruel en effet !
4. il n’y a aucune telle union comme justifierait une expiation du fait d’autrui. Il est dit que, si un vicaire est d’enlever la culpabilité d’un délinquant il doit y avoir une véritable union entre eux qui justifierait une telle procédure. Il peut être admis qu’il doit y avoir quelque antécédente union entre un vicaire et ceux qu’il représente, mais l’idée que ce doit être une union organique, telles que les opposants ont vraiment à l’esprit, ne peut être accordée. Que fait l’union nécessaire devrait être juridique plutôt que biologiques, et prévoyait une telle union dans le plan de rédemption. Dans les profondeurs de l’éternité, le médiateur de la nouvelle Alliance a entrepris librement comme le représentant de son peuple, c'est-à-dire, de ceux que le père a donné à lui. On établissait un lien fédéral en vertu duquel il est devenu leur caution. Il s’agit de la base et le plus fondamentaux de l’union entre le Christ et son propre et sur cette base une union mystique a été formée, idéalement à l’avocat de la paix, à réaliser au cours de l’histoire de l’union organique de Christ et son église. C’est pourquoi Christ pourrait agir comme le représentant légal de la sienne, et étant mystiquement avec eux, peut également communiquer à eux les bénédictions du Salut.
3. ELLE COMPREND L'OBÉISSANCE ACTIVE ET PASSIVE DE CHRIST. Il est de coutume de faire la distinction entre l’obéissance passive et active du Christ. Mais pour distinguer entre les deux, il doit être clairement entendu qu’ils ne peuvent pas être séparés. Les deux accompagnent mutuellement à chaque instant de la vie du Sauveur. Il y a une constante interpénétration des deux. Il faisait partie de l’obéissance active du Christ, qu’il s’est soumis volontairement aux souffrances et la mort. Il le dit lui-même: « aucun homme ne prendra ma vie de moi, je la donne de moi-même, » John 10:18. En revanche, il faisait également partie d’obéissance passive du Christ, qu’il vivait dans la soumission à la Loi. Sa se déplaçant sous la forme d’un serviteur, constituait un élément important de ses souffrances. Obéissance active et passive de Christ doit être considérée comme complémentaire faisant partie d’un tout organique. Il examinera, devrait tenir compte d’une triple relation dans laquelle Christ se tenait à la Loi, à savoir, le naturel, le gouvernement fédéral et la relation pénale. Homme s’est révélée un échec dans chacune d'entre elles. Il n’a pas observé la loi dans ses aspects naturels et fédérales et n’est pas actuellement en mesure de payer la pénalité, afin d’être restauré en faveur de Dieu. Tandis que Christ entré naturellement la première relation par son incarnation, il entra du fait d’autrui que les relations de deuxième et troisième. Et c’est avec eux que nous sommes particulièrement inquiets à ce sujet.
a. l’obéissance active du Christ. Christ en tant que médiateur entré la relation fédérale dans laquelle Adam se trouvait dans l’état d’intégrité, dans l’ordre à la vie éternelle mérite pour le pécheur. Ceci constitue l’obéissance active du Christ, qui consiste à tout ce que Christ a fait pour respecter la loi dans sa dimension fédérale, comme condition pour obtenir la vie éternelle. L’obéissance active du Christ était nécessaire pour rendre son obéissance passive acceptable avec Dieu, c'est-à-dire, pour faire un objet du bon plaisir de Dieu. C’est seulement par ce que l’estimation de Dieu les souffrances du Christ se distingue de son estimation des souffrances des disparus. En outre, si le Christ n’avait pas rendu obéissance active, la nature humaine du Christ lui-même aurait chuté avant les demandes justes de Dieu, et il n’aurait pas pu expier pour les autres. Et, enfin, si le Christ a souffert seulement la peine infligée à l’homme, ceux qui ont partagé les fruits de son travail auraient été frappée exactement où Adam était avant qu’il ne tombe. Christ mérite d’être plus pour les pécheurs que le pardon des péchés. Selon Galates 4:4, 5, qu'ils sont par l’intermédiaire de Christ libérés de la loi que la condition de vie, soient adoptées pour être fils de Dieu et comme fils sont aussi les héritiers de la vie éternelle, Galates 4:7. Tout cela est conditionnée principalement à l’obéissance active du Christ. Par le Christ la droiture de la foi est substituée à la justice de la Loi, Romains 10:3, 4. Paul nous dit que par le œuvre du Christ « la justice de la Loi est accomplie en nous, » Romains 8:3, 4; et que nous sommes faits « la justice de Dieu en lui, » II Cor. 05:21.
Selon la vie de l’obéissance du Christ Anselm n’avait aucune signification rédemptrice, puisqu’il devait cela à Dieu pour lui-même. Seulement les souffrances du Sauveur constituaient une revendication sur Dieu et ont été fondamentaux à la rédemption du pécheur. Schéma de pensée assez semblable Piscator, les arminiens du XVIIe siècle, Richard Watson, R. N. Davies et autres savants arminiens nient que l’obéissance active du Christ a la signification rédemptrice que nous attribuons à elle. Leur refus repose surtout sur deux considérations: (1) Christ nécessaire son obéissance active pour lui-même comme homme. En vertu de la Loi, il était en devoir de le garder pour lui-même. En réponse à cela Qu'on peut dire que Christ, bien que possédant une nature humaine, était encore une personne divine et tant que tel n’était pas soumis à la loi dans sa dimension fédérale, la Loi tant que la condition de vie dans l’Alliance des œuvres. Comme le dernier Adam, cependant, il prend la place du premier. Le premier Adam était par nature en vertu de la Loi de Dieu, et la tenue de celui-ci lui a donné ce titre sans prétention à une récompense. C’est seulement quand Dieu gracieusement a conclu une alliance avec lui et lui a promis la vie dans la voie de l’obéissance, que l’observation de la loi a été faite à la condition d’obtenir la vie éternelle pour lui-même et pour ses descendants. Et lorsque Christ entré volontairement la relation fédérale comme le dernier Adam, le maintien du droit acquis naturellement la même signification pour lui et pour ceux que le père lui avait donné. (2) demandes de Dieu, ou la demande, seul un des deux choses du pécheur ne peut: soit l’obéissance à la Loi, ou de soumission à la peine, mais pas les deux. Si la Loi est respectée, la peine ne peut être infligée; et si la peine est confirmée, rien d’autre peut être exigée. Il y a une certaine confusion ici, cependant, qui se traduit par l’incompréhension. Ce « non plus... ou » appliqué au cas d’Adam avant la chute, mais a cessé de s’appliquer au moment où il a péché et donc inscrite la relation pénale de la Loi. Dieu a continué à l’obéissance de la demande de l’homme, mais en plus de cela exigé de lui qu’il a payer la pénalité pour transgression dernière. Répondre à cette double exigence était le seul moyen de la vie après le péché est entré dans le monde. Si Christ avait simplement obéi à la Loi et n’avait pas aussi payé la pénalité, il n’aurait pas remporté un titre à la vie éternelle pour les pécheurs; et si il a simplement payé la pénalité, sans répondre à la demande initiale de la Loi, il aurait laissé l’homme dans la position d’Adam avant la chute, toujours confronté à la tâche d’obtenir la vie éternelle dans le sentier d’obéissance. Par son obéissance active, cependant, il a transporté son peuple au-delà de ce point et leur a donné une réclamation à la vie éternelle.
b. l’obéissance passive du Christ. Christ en tant que médiateur a également inscrit la relation pénale à la Loi, afin de payer la pénalité à notre place. Son obéissance passive a consisté à son payer le châtiment du péché par ses souffrances et la mort et donc s’acquitter de la dette de tout son peuple. Les souffrances du Christ, qui ont déjà été décrites, ne sont pas venu sur lui par inadvertance, ni comme le résultat de circonstances purement naturelles. Ils ont été portées par les tribunaux sur lui comme notre représentant et étaient donc vraiment pénales souffrances. La valeur rédemptrice de ces souffrances résultant des faits suivants: ils ont été supportés par une personne divine qui, uniquement en vertu de sa déité, pourrait porter la peine à travers jusqu’au bout et obtenir ainsi la liberté de lui. Compte tenu de la valeur infinie de la personne qui s’engage à payer le prix et à porter la malédiction, ils ont convaincu la justice de Dieu essentiellement et intensivement. Ils étaient strictement morales souffrances, parce que Christ leur a pris sur lui volontairement et était parfaitement innocente et Sainte en portant leur. L’obéissance passive du Christ se distingue en bonne place dans ces passages comme suit: Ésaïe 53:6; ROM. 04:25; J’ai PET. 02:24; 03:18; I Jean 2:2, tandis que son obéissance active est enseigné dans ces passages à Matthieu 03:15; 05:17, 18; John 15:10; Galates 4:4, 5; Hébreux 10:7-9, en relation avec les passages qui nous enseignent que le Christ est notre justice, Romains 10:4; II Corinthiens 05:21; Philippiens 3:9; et qu’il obtenu pour nous la vie éternelle, l’adoption des fils et un héritage éternel, gal 03:13, 14; 4:4, 5; Éphésiens 1:3-12; 05:25-27. arminiens sont disposés à admettre que le Christ, par son obéissance passive méritait pour nous le pardon des péchés, mais refuser d’accorder qu’il méritait également pour nous une acceptation positive avec Dieu, l’adoption d’enfants et la vie éternelle.
B. DES OBJECTIONS À LA SATISFACTION OU PÉNAL SUBSTITUTIVE DOCTRINE DE L’EXPIATION.
Il y a beaucoup de cercles dans lesquels cette doctrine de l’expiation n’est pas populaire. Il a toujours été opposition à celle-ci, et de nos jours, l’opposition est particulièrement forte. Les exceptions principales sont les suivantes:
1. TELLE UNE EXPIATION ÉTAIT TOUT À FAIT INUTILE. Certains soutiennent que telle une expiation était tout à fait inutile, car le péché n’est pas la culpabilité et par conséquent n’appelle pas une expiation, ou parce qu’il ne peut y avoir aucun obstacle à la libre pardon des péchés à Dieu, notre Père céleste et est essentiellement un Dieu d’amour. Si un homme peut et souvent fait, pardonner le pénitent sans exiger et de recevoir satisfaction, Dieu, notre exemplaire parfait, sûrement peut et va le faire. Il s’agit de l’opposition commune de tous ceux qui défendent une théorie purement subjective de l’expiation. On peut y répondre, cependant, que la Bible enseigne certainement nous considérer le péché comme coupable; et parce que c’est la culpabilité, il rend l’homme soumis à la colère de Dieu et lui expose à la divine punition. Par ailleurs, l’idée d’une paternité universelle de Dieu, en vertu duquel il aime tous les hommes avec un amour rédempteur, est tout à fait étrangère à l’écriture. Et si Dieu est un père, il est aussi un juge; s’il est un Dieu d’amour, il est aussi un Dieu de justice et de sainteté. Il n’y a pas un attribut de Dieu qui domine et détermine l’expression de toutes les autres perfections divines. Et, enfin, il ne faut pas oublier que ce que l’homme peut faire en tant que particulier, il n’est pas toujours capable de faire lorsqu’ils agissent en qualité de juge.
2. UNE TELLE RÉCONCILIATION DÉROGERAIENT LE CARACTÈRE DE DIEU. Étroitement liée à l’objection précédente est celle qui détient que telle une expiation dérogerait à la nature de Dieu: de sa justice, parce qu’il punit l’innocent pour les coupables; de son amour, car il agit comme un stern, sévère et être implacable, qui exige le sang pour apaiser sa colère; et de la grâce de son pardon, car il exige le paiement avant qu’il puisse ou pardonnera. Mais Christ volontairement pris la place des pécheurs, afin que cette substitution n’impliqué aucune injustice de la part Dieu. Si Dieu avait été actionné par stricte justice uniquement et non par amour de compassion et miséricorde ainsi, il aurait quitté le pécheur à périr dans son péché. En outre, il est tout à fait inexact de dire que, selon la doctrine de la satisfaction de l’expiation, l’amour et la grâce pardon de Dieu pouvaient s’écoule pas de suite jusqu'à ce que satisfaction a été rendue, parce que Dieu lui-même a fourni la rançon et en donnant son fils déjà témoigné de son amour infini et pardonnant grace. Son amour précède même la conversion des pécheurs et cela remet en action.
3. UNE TELLE RÉCONCILIATION SUPPOSE UN TRANSFERT IMPOSSIBLE DE COLÈRE. Il est à souligner que cette doctrine de l’expiation détient que Dieu a transféré sa colère contre le pécheur au Médiateur, qui est impensable; et qu’il a également transféré la punition du pécheur à Jésus-Christ, qui est manifestement illégal. En réponse à cela on peut dire, cependant, que la colère de Dieu ne pas prendre part à la nature de vengeance personnelle, tels que nous sommes témoins parmi les hommes, et qu’ils trouveraient difficile de transférer de l’objet de leur haine d’une personne parfaitement innocente. C’est le mécontentement Sainte de Dieu contre le péché, un mécontentement qui le pécheur est également exposé tant que la culpabilité du péché n’est pas supprimée. Il est également tout à fait naturel que, lorsque la culpabilité du péché comme passif à peine fut transférée à Jésus Christ, la colère de Dieu contre le péché a été transférée de la même façon. En outre, on ne peut affirmer que le transfert de la punition au Christ était manifestement illégal, parce que, comme une question de fait, il s’est identifié avec son peuple. Il a fait la satisfaction comme le chef responsable d’une communauté pour ceux qui, en union avec lui, constitue une personne morale juridique. Cette union responsable était constituée, dit Hodge, a par sa propre acceptation volontaire des responsabilités juridiques de son peuple, (b) par la reconnaissance de son parrainage par Dieu et (c) par sa prise en charge de notre nature.
4. UNE TELLE UNE EXPIATION N’EST PAS ENSEIGNÉE DANS LES ÉVANGILES. Certains sont d’avis que la Bible n’enseigne aucune expiation du fait d’autrui ou, si le fait de la Bible, les Évangiles certainement ne sont pas. Et après tout, c’est ce que Jésus a enseigné, et pas ce que Paul dit, ça compte. Nous avons besoin pas pénétrer une longue discussion de cette question, puisque nous l’avons déjà montré qu’il existe une preuve abondante pour une expiation du fait d’autrui dans l’écriture. Il est vrai qu’il ne pas se distingue donc clairement dans les enseignements de l’Évangile comme dans ceux des épîtres, mais cela est dû au fait (pour l’exprimer selon les termes de Crawford) « que l’objectif du ministère de notre Seigneur dans sa vie et sa mort n’était pas tellement la prédication pleine de l’expiation, comme l' achèvement de la réconciliation en vue de la prédication de celui-ci. » Pourtant, même les Évangiles contiennent des éléments de preuve suffisants pour cela, Matthieu 20:28; John 01:29; 03:16; 10:11; 15:13; Matthieu Matthieu 26: 27; John 06:51.
5. UNE TELLE DOCTRINE EST IMMORALE ET BLESSANTES. On prétend également que ce point de vue de l’expiation est immoral et préjudiciable dans sa tendance pratique. Il est dit pour saper l’autorité de la loi morale et à affaiblir, voire détruire, la force de nos obligations et les incitations à la sainteté personnelle. Cette objection a été déjà effectuée à la doctrine de la grâce libre à l’époque de Paul. L’accusation n’est pas vraie, toutefois, pour cette théorie plus que tout autre confirme la majesté de la Loi et en aucun cas minimise l’obligation des pécheurs rachetés pour restituer la pleine obéissance à la Loi. Au contraire, il propose plusieurs mesures incitatives à la sainteté personnelle, en insistant sur le péché ne dépasse du péché, en affichant l’indicible amour de Dieu et de Jésus Christ et de l’assurance de l’aide divine dans la lutte de la vie et de l’acceptation de nos services l’imparfait dans le Christ.
C. théories divergentes de l’expiation
Depuis l’expiation est clairement quelque chose objective, quelque chose qui a une direction Godward, strictement parlant seulement ces théories peuvent venir en considération ici qui représentent le œuvre du Christ comme visant essentiellement à conjurer la colère de Dieu et le divin punition des pécheurs, plutôt qu’à changer l’attitude du pécheur à Dieu d’une hostilité à l’un de l’amitié. Les théories qui sont totalement subjectifs et conçoivent le œuvre du Christ exclusivement comme portant sur l’État moral du pécheur peuvent, dans la stricte logique, être pas pris en considération au total. Ils pourraient éventuellement être considérés comme les théories de la réconciliation, mais peuvent difficilement être considérées comme les théories de l’expiation. Miley fait valoir qu’il peut vraiment être pas plus de deux théories de l’expiation. Il fait remarquer que l’expiation, comme un motif objectif pour le pardon des péchés, doit répondre à une nécessité qui déterminera naturellement sa nature. Cette nécessité doit être comprise, l’exigence d’une justice absolue qui doit punir le péché, ou le cabinet rectoral du juge comme une obligation de préserver les intérêts du gouvernement moral. Dans le premier cas, on arrive à la théorie de la satisfaction; dans le second, à la théorie gouvernementale, qui est préféré par Miley et constate la grande faveur avec les méthodistes en général. Grotte de Alfred lui attribue un caractère objectif également la théorie des arminiens précoces, dans lequel la mort du Christ est considérée comme un substitut à la pénalité imposée sur les pécheurs; et à la théorie de McLeod Campbell, qui trouve la signification réelle de le œuvre du Christ dans son repentir du fait d’autrui. Et c’est sans doute vrai que ces deux ne contiennent un élément objectif. Mais en plus de cela, il y a plusieurs théories purement subjectives. Bien que ce ne sont pas, strictement parlant, les théories de l’expiation, encore qu’ils nécessitent une attention, car ils sont considérés comme tels dans de nombreux milieux. Les théories les plus importants sont les suivants:
A. LES THÉORIES DE L’ÉGLISE PRIMITIVE.
Il y a deux théories dans l’église primitive qui prévoient la brève mention.
1. LA THÉORIE DE LA RANÇON À SATAN. Ceci est basé sur la notion du singulier que la mort de Christ a constitué une rançon payée à Satan, afin de neutraliser les revendications justes qui ont ces derniers sur l’homme. Origène, un des chef partisans de cette théorie, qui s’est tenue que Satan a été trompé dans l’affaire, étant donné que le résultat s’est avéré qu’il ne supportait pas en présence de Saint-Christ et qu’il n’a pas pu conserver son emprise sur lui. Cette théorie a trouvé faveur avec plusieurs des premiers pères de l’église, bien qu’ils ne le mentionnait pas toujours exactement la même forme. Il s’est avéré pour être plutôt tenace, pour l’écho d’il a été entendu encore dans les jours d’Anselme. Pourtant il s’est avéré tellement incongru qu’il a progressivement disparu faute de soutien intelligent. Mackintosh parle de cette théorie comme l’exotérique théorie de l’église primitive.
2. LA THÉORIE DE LA RÉCAPITULATION. Irénée, qui exprime également l’idée que la mort du Christ satisfait la justice de Dieu et ainsi libérée homme, néanmoins a grande importance à la théorie de la récapitulation, autrement dit, l’idée, comme l’exprime Orr, « que Christ récapitule en lui-même toutes les étapes de la vie humaine, y compris ceux qui appartiennent à notre état comme pécheurs. » Par son incarnation et de la vie humaine, il inverse le cours sur lequel Adam par son péché a commencé l’humanité et devient ainsi un nouveau levain dans la vie de l’humanité. Il communique l’immortalité à ceux qui sont Unis à lui par la foi et les effets de qu'une transformation éthique dans leur vie et par son obéissance compense la désobéissance d’Adam. Ceci, selon Mackintosh, était l’ésotérique théorie de l’église primitive.
B. LA THÉORIE DE LA SATISFACTION D’ANSELME (THÉORIE COMMERCIALE).
La théorie d’Anselme est parfois identifiée avec celui des réformistes, qui est également connu comme la théorie de la satisfaction, mais les deux ne sont pas identiques. Certains cherchent à porter préjudice contre lui en l’appelant « la théorie commerciale. » Anselme a insisté sur la nécessité absolue de l’expiation par mise à la terre il dans la nature même de Dieu. Selon lui le péché consiste en refusant de la créature de Dieu l’honneur qui est son dû. Par le péché de l’homme, Dieu a été dépouillé de son honneur, et il fallait que cela devrait être défendu. Cela pourrait se faire de deux manières: par la punition ou de satisfaction. La miséricorde de Dieu l’a incité à chercher dans la voie de satisfaction et plus particulièrement à travers le don de son fils, qui était le seul moyen, puisqu’il fallait une satisfaction infinie. Christ a rendu l’obéissance à la Loi, mais puisqu’il s’agissait de rien de plus que son devoir de l’homme, elle ne constituait pas un mérite de sa part. En plus de cela, cependant, il a souffert et sont morts dans l’exercice de ses fonctions; et depuis qu’il avait comme un être sans péché n’était pas obligé de souffrir et de mourir, il a ainsi apporté gloire infinie à Dieu. Il s’agissait d’une œuvre de supererogation la part de Christ, qui méritait d’être et a également apporté, une récompense; mais depuis le Christ comme le fils de Dieu avait besoin de rien pour lui-même, la récompense a été transmise aux pécheurs sous la forme du pardon des péchés et de béatitude future pour tous ceux qui vivent selon les commandements de l’Evangile. Anselme a été le premier à élaborer une doctrine assez complète de l’expiation, et à bien des égards sa théorie points dans la bonne direction. Toutefois, il est ouvert à plusieurs points critiques.
1. il n’est pas cohérent dans sa représentation de la nécessité de l’expiation. Il ostensiblement ne pas terre cette nécessité dans la justice de Dieu qui ne peut pas omble de péché, mais en l’honneur de Dieu qui appelle à pardonner ou de réparation. Il commence vraiment avec le principe de « droit privé » ou de la coutume, selon lequel une partie lésée peut exiger quelque satisfaction qu’il estime nécessaires; et encore, fait valoir la nécessité de l’expiation d’une manière qui ne détient que sur le point de vue du droit public.
2. cette théorie a vraiment pas de place pour l’idée que le Christ par la souffrance enduré la pénalité du péché, et que sa souffrance était strictement du fait d’autrui. La mort du Christ est simplement un hommage offert de plein gré à l’honneur du père. Il s’agit d’un acte méritoire surérogatoire, compensant les inconvénients des autres; et c’est vraiment la doctrine catholique de pénitence, appliquée à le œuvre du Christ.
3. le régime est aussi partial et donc insuffisante en ce qu’elle fonde la rédemption exclusivement sur la mort du Christ, conçue comme une contribution appréciable à l’honneur de Dieu et exclut l’obéissance active du Christ comme un facteur contribuant à son œuvre expiatoire . Tout porte à la mort du Christ, et aucune justice ne soit faite à la signification rédemptrice de sa vie.
4. dans la représentation de Anselm, il y a simplement un transfert externe des mérites du Christ à l’homme. Il ne comporte aucune indication de la façon dont le œuvre du Christ pour homme est communiquée à l’homme. Il n’y a aucune trace de l’union mystique du Christ et les croyants, ni de la foi comme acceptant la justice du Christ. Étant donné que la transaction entière semble être plutôt commerciale, la théorie est souvent appelée la théorie commerciale.
C. LA THÉORIE DE L’INFLUENCE MORALE.
Cette théorie a été tout d’abord préconisée par Abélard à l’encontre de Anselm et depuis son époque trouvée beaucoup de fervents partisans. L’idée fondamentale est toujours le même, bien qu’il a pris des formes différentes aux mains d’hommes tels que Young, Maurice, Bushnell, Stevens, David Smith et bien d’autres. L’idée fondamentale est qu’il n’y a pas de principe de la nature divine qui appelle nécessairement pour la satisfaction de la part du pécheur; et que la mort du Christ ne doit pas être considérée comme une expiation pour le péché. C’est simplement une manifestation de l’amour de Dieu, souffrance et avec ses créatures pécheresses et prendre sur lui leurs malheurs et chagrins. Cette souffrance n’a pas servi à satisfaire à la justice divine, mais pour révéler l’amour divin, afin d’adoucir les coeurs humains et pour les amener à la repentance. Il assure les pécheurs qu’il n’y a aucun obstacle de la part de Dieu qui lui empêcherait de pardonner leurs péchés. Non seulement il peut le faire sans obtenir satisfaction, mais il est encore désireux de le faire. La seule exigence est que les pécheurs viennent à lui avec un cœur repentant. Les objections suivantes peuvent être exhortées contre cette théorie:
1. cette théorie est contraire aux enseignements de plaines de l’écriture, ce qui représente le œuvre rédemptrice du Christ comme non nécessaire, principalement pour révéler l’amour de Dieu, mais pour satisfaire sa justice; ce qui concerne les souffrances et la mort de Christ comme propitiatoire et pénales; et enseigne que le pécheur n’est pas sensible à l’influence morale de le œuvre sacrificiel du Christ jusqu'à ce que la justice du Christ est devenu par sa foi.
2. s’il est sans doute vrai que la Croix du Christ était la manifestation suprême de l’amour de Dieu, elle peut être considérée comme telle qu’à partir du point de vue de la doctrine pénale substitutive de l’expiation, selon lequel les souffrances et la mort du Christ nous re absolument nécessaire pour le salut des pécheurs. Mais selon la théorie de l’influence morale, ils ont simplement servi le but de faire une impression sur l’homme, que Dieu aurait fait de nombreuses autres manières; et donc, n’étaient pas nécessaires. Et si elles n’étaient pas nécessaires, ils étaient en effet une cruelle manifestation de l’amour de Dieu, — une contradiction dans les termes. Les souffrances et la mort du Christ sont une manifestation de l’amour de Dieu seulement, si c’était le seul moyen de sauver les pécheurs.
3. cette théorie prive l’expiation de son caractère objectif et ce qui cesse d’être une véritable théorie de l’expiation. C’est au plus qu’une théorie unilatérale de la réconciliation. En fait, il n’est pas encore que, pour la réconciliation subjective n’est possible sur la base d’une réconciliation objective. Il confond vraiment méthode de Dieu de sauver l’homme avec l’expérience de l’homme d’être sauvé, grâce à l’expiation elle-même consiste en ses effets dans la vie du croyant, en union avec le Christ.
4. Enfin, cette théorie échoue sur son propre principe. C’est sans doute vrai que souffrance nécessaire, souffrant d’un dessein salvifique qui ne pouvait pas être réalisé de toute autre manière, est apte à faire une impression profonde. Mais l’effet d’une souffrance volontaire, qui est tout à fait inutile et injustifié, est très différent. En fait, il est désapprouvé par la conscience chrétienne.
D. LA THÉORIE DE L’EXEMPLE.
Cette théorie a été préconisée par les Sociniens au XVIe siècle, en opposition à la doctrine des réformateurs, qui Christ du fait d’autrui expié les péchés de l’humanité. Son principe fondamental, c’est qu’il n’y a pas de justice rétributive en Dieu qui exige absolument et inexorablement que péché puni. Sa justice ne l’empêche pas de pardonner à qui il veut sans exiger aucune satisfaction. La mort du Christ a fait pas expier pour les péchés, ni il ne bougeait pas de Dieu de pardonner le péché. Christ sauve les hommes en leur révélant le chemin de la foi et l’obéissance comme le mode de vie éternelle, en leur donnant un exemple d’obéissance véritable fois dans sa vie et sa mort et en les incitant à mener une vie semblable. Ce point de vue vraiment n’établit aucun lien direct entre la mort du Christ et le salut des pécheurs. Elle détient encore que la mort du Christ peut être dit pour expier les péchés de l’homme compte tenu du fait que Christ, comme une récompense pour son obéissance jusqu'à la mort, reçu le pouvoir d’accorder la vie éternelle aux croyants. Cette théorie est répréhensible pour diverses raisons.
1. c’est vraiment un réveil et un mélange de plusieurs anciennes hérésies: de pélagianisme, avec son déni de la dépravation humaine et son affirmation de la capacité naturelle de l’homme de se sauver lui-même; de la doctrine recourt, avec sa conviction que l’homme Jésus-Christ a été adopté pour être le fils de Dieu messianique en raison de son obéissance; de la doctrine Scotist une volonté arbitraire en Dieu; et de l’accent de certains des premiers pères de l’église sur l’efficacité salvifique de l’exemple du Christ. Par conséquent, il est ouvert à toutes les objections s’opposent à ces points de vue.
2. il est tout à fait non scripturaire dans sa conception du Christ comme un simple homme de qualités exceptionnelles; dans son avis du péché, dans lequel le caractère de péché que la culpabilité, si fortement soulignée par la parole de Dieu, est entièrement ignoré; dans son insistance unilatérale sur la signification rédemptrice de la vie du Christ; ou dans sa représentation de la mort de Christ comme la mort d’un martyr, tout en omettant de tenir compte de l’unmartyrlike moral du Christ sur la Croix.
3. il ne tient pas compte pour le salut de ceux qui ont vécu avant l’incarnation et des nourrissons. Si la vie et les souffrances du Christ simplement sauver hommes par leur caractère exemplaire, la question se pose naturellement, comment ils vivaient avant la venue du Christ et ils meurent en bas âge peuvent tirer un avantage de leur part. Pourtant, il y a des évidences claires scripturales pour le fait que le œuvre du Christ était aussi rétrospective dans son efficacité, et que les petits enfants partagent également les avantages de sa mort expiatoire.
4. par ailleurs, il est parfaitement vrai que Christ est aussi représenté à titre d’exemple dans l’écriture, il est nulle part représenté à titre d’exemple après quels pécheurs incrédules doivent de modèle, et qui permettra d’économiser leur s’ils le font; et pourtant, c’est la nécessaire prise en charge de la théorie à l’étude. L’exemple du Christ est un qui peut suivre seulement son peuple, et à laquelle même qu’ils peuvent faire mais une approche légère. Il est notre Rédempteur, avant qu’il puisse être notre exemple.
E. LA THÉORIE GOUVERNEMENTALE.
La théorie gouvernementale était censée être une moyenne entre la doctrine de l’expiation, telle qu’enseignée par les réformateurs et la vue Sociniens. Il nie que la justice de Dieu exige nécessairement que toutes les exigences de la loi être respectées. La Loi est simplement le produit de la volonté de Dieu, et il peut modifier ou abroger même, tout comme il lui plaît. Tandis que dans la stricte justice le pécheur méritait la mort éternelle, cette phrase n’est pas strictement exécutée pour les croyants sont jeu gratuit. Pour eux, la peine est annulée et que sans satisfaction stricte. Christ a fait en effet rendre une certaine satisfaction, mais c’était seulement un équivalent nominal de la peine en raison de l’homme; quelque chose que Dieu s’est plu à accepter comme tels. Si la question est posée, pourquoi Dieu n’a pas versé la sanction pure et simple, comme il l’ont fait, la réponse est qu’il devait se révéler d’une certaine façon le caractère inviolable de la Loi et son déplaisir Sainte contre le péché, afin qu’il, la règle morale de l’univers , pourrait être en mesure de maintenir son gouvernement moral. Cette théorie, tout d’abord préconisée par Grotius, fut adoptée par Wardlaw et plusieurs théologiens de la Nouvelle-Angleterre et est également pris en charge dans des œuvres récentes comme celles de Dale, A. Cave, Miley, Creighton et d’autres. Il est ouvert aux objections suivantes:
1. il incombe clairement à certains principes fausses. Selon la loi n’est pas une expression de l’essence même de Dieu, mais seulement de son arbitraire sera et est donc sujette à changement; et le but de la peine de ce que l'on appelle n’est ne pas pour satisfaire la justice, mais uniquement pour dissuader les hommes de futurs offenses contre la Loi.
2. si l'on peut dire pour contenir un élément vrai, savoir, que la peine infligée à Christ est aussi contribue à obtenir l’intérêt du gouvernement divin, il commet l’erreur de son remplacement par l’objectif principal de l’expiation qui peut, à la lumière de l’écriture, seulement être considéré comme un objet subordonné.
3. il donne une représentation indigne de Dieu. Il initialement menace l’homme, afin de dissuader de transgression et n’exécute pas la phrase menacée, mais quelque chose substitue à elle dans le châtiment infligé sur le Christ. Et maintenant il menace à nouveau ceux qui n’acceptent pas de Christ. Mais comment est-il possible d’avoir toute assurance qu’il effectuera en réalité sa menace ?
4. il est également contraire à l’écriture, ce qui représente certainement l’expiation du Christ comme une révélation nécessaire de la justice de Dieu, une exécution de la peine de la Loi, comme un sacrifice par lequel Dieu est réconcilié avec le pécheur, ainsi que la cause méritoire le salut des pécheurs.
5. comme l’influence morale et les théories de l’exemple, il échoue également à expliquer comment les saints de l’ancien Testament ont été sauvés. Si le châtiment infligé sur le Christ était simplement dans le but de dissuader des hommes du péché, il n’avait aucune signification avec effet rétroactif. Alors, comment ont été personnes sauvées en vertu de l’ancienne dispensation; et comment a été le gouvernement moral de Dieu maintenu à ce moment-là ?
6. Enfin, cette théorie, échoue également, sur son propre principe. Une véritable exécution de la peine pourrait faire une impression profonde sur le pécheur et pourrait agir comme un véritable moyen de dissuasion, si homme pécher ou ne pas pécher, même dans son état naturel, simplement dépend de la volonté humaine, ce qui n’est pas; mais une telle impression serait peine faite par une exposition simple simulacre de justice, visant à démontrer la haute estime la Loi de Dieu.
F. LA THÉORIE MYSTIQUE.
La théorie mystique a ceci en commun avec la théorie de l’influence morale, qu’il conçoit l’expiation exclusivement comme exercer une influence sur l’homme et de provoquer un changement en lui. En même temps qu'il diffère de la théorie de l’influence morale qu’il conçoit le changement forgé chez l’homme, non pas principalement comme un changement éthique dans la vie consciente de l’homme, mais comme un changement plus profond dans la vie subconsciente qui est amenée d’une manière mystique. Le principe de base de cette théorie est que, dans l’incarnation, la vie divine est entrée dans la vie de l’humanité, afin de le soulever pour le plan du divin. Christ possédait la nature humaine avec ses troubles héréditaires de la corruption et la prédisposition au mal moral; mais grâce à l’influence du Saint-Esprit, il a été empêché de manifester cette corruption dans péché actuel, la nature humaine purifiée graduellement et dans sa mort, complètement disparue cette dépravation originale et réunis que la nature de Dieu. Il entra dans la vie de l’humanité comme un ferment de transformation, et la transformation qui en résulte constitue sa rédemption. Il s’agit en effet, mais avec des différences de détail, la théorie de Schleiermacher, Edward Irving, Menken et Stier. Kohlbruegge même semblait enclin à l’accepter dans une certaine mesure. Il est accablé, cependant, avec les difficultés suivantes:
1. il ne tienne pas compte de la culpabilité de l’homme. Selon l’Ecriture la culpabilité de l’homme doit être supprimée, afin qu’il soient purifié de sa pollution; mais la théorie mystique, sans tenir compte de la culpabilité du péché, s’occupe uniquement de l’expulsion de la pollution du péché. Il ne connaît pas de justification et conçoit du Salut comme consistant dans la sanctification subjective.
2. elle repose sur des principes fausses, si elle constate dans l’ordre naturel de l’univers une expression exhaustive de la volonté et de la nature de Dieu, considère sin exclusivement comme une puissance du mal moral dans le monde, ce qui n’implique aucune culpabilité et ne mérite aucun châtiment , et semble à peine comme une simple réaction de la Loi de l’univers contre le transgresseur et pas du tout comme une révélation de la colère personnelle de Dieu contre le péché.
3. il est en contradiction avec l’écriture où il fait Christ partager dans la pollution du péché et de la dépravation héréditaire et déduit la nécessité de sa mort par le péché de sa propre nature (pas tous le faire). Ce faisant, il rend impossible le considèrent comme le Sauveur sans péché, qui, juste à cause de son péché, pourrait prendre la place des pécheurs et payer la peine pour eux.
4. il n’a pas de réponse à la question, comment ceux qui ont vécu avant l’incarnation peuvent partager en la rédemption de Jésus Christ. Si Christ en quelque sorte réaliste chassa la pollution du péché pendant le temps de son séjour sur terre et continue aujourd'hui à évincer; et si le salut de l’homme dépend de ce processus subjectif, alors comment les saints de l’ancien Testament pourraient partager dans ce Salut ?
G. LA THÉORIE DE LA REPENTANCE DU FAIT D’AUTRUI.
Cette théorie de McLeod Cambell est aussi appelée la théorie de la sympathie et l’identification. Il se déroule sur la prise en charge gratuite qu’un repentir parfait aurait eu recours comme une expiation suffisante pour le péché, si l’homme n’avait été capable d’un repentir adéquat, dont il n’était pas. Maintenant Christ offert à Dieu, au nom de l’humanité, le repentir requis, et par ainsi faire rempli les conditions du pardon. Son travail consistait vraiment dans la confession du fait d’autrui du péché dans le nom de l’homme. La question se pose naturellement, comment la mort de Christ est liée à ce repentir du fait d’autrui et de la confession. Et la réponse est que le Christ, par sa souffrance et la mort, a conclu avec bienveillance condamnation du père du péché, mis en évidence l’atrocité du péché et a condamné le péché; et cela a été vu par le père comme une confession parfaite de nos péchés. Cette condamnation du péché est également calculée à produire chez l’homme cette sainteté qui exige de Dieu de l’humanité pécheresse. Cette théorie travaille sous les difficultés suivantes.
1. on peut facilement comprendre que Christ comme homme pouvait entrer avec bienveillance dans nos afflictions et les tentations et dans le sentiment de nos infirmités; mais il ne ressort pas du tout comment l’incarnation lui a permis d’entrer dans un sentiment boursier avec nous à l’égard de nos péchés. Il était sans péché, totalement étranger au péché comme une corruption de puissance dans sa vie et donc pourrait difficilement s’identifier dans un sens moral avec les pécheurs.
2. alors qu’il peut être admis que, selon l’Ecriture, Christ a fait sympathiser avec les pécheurs, dont il est venu pour sauver, cette sympathie n’est certainement pas représentée comme étant la totalité ou même la majeure partie de son œuvre rédemptrice. Tout l’accent est mis sur le fait qu’il subit du fait d’autrui les sanctions qui étaient dus à des pécheurs et satisfaisaient aux exigences de la loi dans une vie d’obéissance. Pourtant cette théorie, tout en reconnaissant la justice rétributive de Dieu et de l’inaptitude du péché, nie la nécessité et la possibilité de substitution pénale et affirme que le œuvre du Christ dans le nom de pécheurs se composait, pas dans sa souffrance pour eux, mais dans le fait d’autrui confession de ses péchés.
3. la théorie s’effectue sur des principes erronés, à savoir que péché ne pas nécessairement fait hommes passible d’une peine; que la justice et la sainteté de Dieu n’a pas, comme une question de cours, appelé pour l’expiation objective; et que la nécessité seule rédemptrice aide suivi de l’incapacité de l’homme pour se repentir à la mode.
4. Enfin, un aveu du fait d’autrui, comme l’indique cette théorie, est vraiment une contradiction dans les termes. Confession est quelque chose de tout à fait subjective, et pour être valide, doit être personnelle. Il est le résultat d’une conscience personnelle du péché et est aussi personnel dans ses effets. Il est difficile de voir comment un tel repentir du fait d’autrui d’autres peut libérer de l’obligation de se repentir. En outre, cette théorie n’a aucun fondement biblique.
VI. le but et l’étendue de l’expiation
A. LE BUT DE L’EXPIATION.
L’expiation était destiné à affecter la relation entre Dieu et le pécheur, l’État et la condition du Christ comme l’auteur médiatrice du Salut et l’État et l’état du pécheur.
1. SON EFFET EN CE QUI CONCERNE DIEU. Il convient de souligner d’abord que l’expiation n’effectué aucun changement dans l’être intérieur de Dieu, qui est immuable. Le seul changement qui a été provoqué a été un changement dans la relation entre Dieu et les objets de son amour expiatoire. Il se réconcilia avec ceux qui étaient les objets de sa colère judiciaire. Cela signifie que sa colère était conjurée par le revêtement sacrificiel de leur péché. La jour des Expiations ne devraient pas être représentées comme la cause de mouvement de l’amour de Dieu, car il était déjà une expression de son amour. Elle est souvent représentée comme si, sur la théorie de la satisfaction, Dieu ne pouvait pas aime le pécheur jusqu'à ce que ses justes revendications ont été satisfaites. Mais alors, le fait est négligé que le Christ est déjà le don de l’amour de Dieu, John 03:16. Dans le même temps, il est parfaitement vrai que l’expiation a fait lever les obstacles à la manifestation de l’amour rédempteur de Dieu le pardon des pécheurs et leur sanctification, en satisfaisant à la justice de Dieu et les exigences de la Loi, tant dans son fédéral pénal et procédure pénale aspects.
2. SES EFFETS À L’ÉGARD DE CHRIST. L’expiation a obtenu une récompense de collecteur pour le Christ en tant que médiateur. Il a été constitué l’esprit qui donne la vie, la source inépuisable de toutes les bénédictions du Salut pour les pécheurs. Il a reçu:
a. tout ce qui appartenait à sa glorification, y compris sa gloire messianique présent. C’est pourquoi il a prié, lorsque dans sa prière sacerdotale élevé par anticipation déjà pensait-il de son travail comme terminé, « et maintenant, Ô Père, glorifie-moi avec toi-même de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde fût, » Jean 17:5.
b. la plénitude de ces dons et les grâces qu’il donne à son peuple. Ainsi nous lisons dans le Psaume 68: 18: « tu as monté en haut, tu as conduit la captivité captive; Tu as reçu des cadeaux pour les hommes; Oui pour les rebelles aussi, que le Seigneur pourrait habiter parmi eux. » Paul cela s’applique au Christ dans Éphésiens 4:8.
c. le don de l’Esprit Saint pour la formation de son corps mystique et l’application subjective des fruits de son œuvre expiatoire. Cela est évident d’après les paroles de Pierre le jour de la Pentecôte: « C’est pourquoi sont dues à l’ISO de Dieu exalté et ayant reçu du père la promesse de l’Esprit Saint, il a versé avant cela que tu maintenant voir et entendent, » actes 02:33.
d. les extrémités de la terre pour sa possession et le monde entier pour sa domination. Ce fut l’une des promesses faites à lui: « Ask de moi, et je te donnerai les païens pour ton héritage et les parties plus lointaines de la terre pour ta possession, » PS. 2:8. Que cette promesse a été tenue est tout à fait évident des Hébreux 2:6-9.
3. SON EFFET DANS LA MESURE OÙ LE PÉCHEUR S’INQUIÈTE.
a. l’expiation non seulement rendu le Salut possible pour le pécheur, mais réellement fixé. Sur ce point les calvinistes rejoindre problème avec les catholiques romains, les luthériens, les arminiens et tous ceux qui enseignent une expiation universelle. Ceux-ci tiennent que l’expiation du Christ simplement formulé Salut possible et pas certains, pour ceux pour qui il a été offert. Mais les calvinistes nous enseigne que l’expiation sécurisé façon méritoire de l’application de le œuvre de rédemption à ceux pour lesquels il était prévu et donc rendu leur salut complète certaines.
b. il fixé pour ceux pour qui il a été fait: (1) commandes judiciaire appropriée A par le biais de justification. Cela inclut le pardon du péché, l’adoption d’enfants et le droit à un héritage éternel. (2) l’union mystique des croyants avec le Christ, par le biais de régénération et de sanctification. Cela comprend la mortification progressive du vieil homme et la mise progressive de l’homme nouveau créé en Jésus-Christ. (3) leur bonheur final en communion avec Dieu par Jésus Christ, dans la glorification subjective et dans la jouissance de la vie éternelle en une création nouvelle et parfaite. Tout cela évite clairement l’objection soulevée si souvent contre la doctrine pénale substitutive de l’expiation, à savoir, qu’il n’a aucune éthiques roulements et n’offre aucune base pour la vie éthique des rachetés. On peut même dire que c’est la seule doctrine de l’expiation qui offre un fondement solide pour une véritable éthique, une vie qui est enraciné dans le cœur par le biais de l’opération du Saint-Esprit. Justification permet sur une sanctification.
B. L’ÉTENDUE DE L’EXPIATION.
1. LE POINT EXACT EN CAUSE. La question qui nous préoccupe à ce stade n’est pas a si la satisfaction rendue par Christ était suffisant en soi pour le salut de tous les hommes, cela est admis par tous; (b) si les avantages d’épargne sont réellement appliquées à tout homme, pour la grande majorité de ceux qui enseignent une expiation universelle ne crois pas que tous sont réellement sauvés; (c) la question de savoir si l’offre de bonne foi du Salut est faite à tous ceux qui entendent l’Évangile, à la condition de la repentance et de foi, puisque les Églises réformées n’appelez pas cela en question; ni (d) si aucun des fruits de la mort du Christ s’accumulent au profit des non élus-en vertu de son association étroite avec le peuple de Dieu, puisque cela est explicitement enseigné par de nombreux spécialistes réformées. En revanche, la question porte sur la conception de l’expiation. Le père en envoyant Christ, et Christ en venant dans le monde, pour faire l’expiation pour le péché, et cela grâce à la conception ou aux fins de sauvegarde uniquement les élus à tous les hommes? C’est la question, et c’est seulement la question.
2. ÉNONCÉ DE LA POSITION RÉFORMÉE. La position réformée est que Christ est mort dans le but de réellement et certainement sauver les élus et les élus seulement. Cela revient à dire qu’il est mort dans le but de sauver seulement ceux auxquels il s’applique réellement les avantages de son œuvre rédemptrice. Diverses tentatives ont été faites dans les milieux qui prétendaient être réformé afin de modifier cette position. Les arminiens néerlandaise a maintenu que Christ est mort dans le but de rendre le Salut possible pour tous les hommes sans exception, bien qu’ils ne seront pas tous être enregistrés. Salut est offert à eux à des conditions moins qu’il ne l’était à Adam, à savoir sur la condition de la foi et l’obéissance évangélique, une condition qui ils peuvent répondre en vertu d’un don de Dieu de grâce suffisante ou commun à tous les hommes. Les universalistes calviniste a cherché à médiatiser la relation entre la position réformée et celle des arminiens. Ils distinguent un décret double de Dieu: (a) décret A envoyer le Christ dans le monde pour sauver tous les hommes par sa mort expiatoire à la condition de la foi en lui. Cependant, parce que Dieu vit que cela ne permettrait pas, étant donné que personne n’aurait accepté le Christ par la foi, il suivi la première par un deuxième décret. (b) un décret pour donner une certaine élire numéro grâce spéciale, afin de susciter la foi dans leurs cœurs et d’assurer leur salut. Ce point de vue douteux et très insatisfaisante a eu lieu par l’école de Saumur (Cameron, Amyraldus et Testardus), ainsi que par des érudits anglais tels que Wardlaw, John Brown et James Richards. Certains théologiens de la Nouvelle-Angleterre, comme Emmons, Taylor, parc et Beman a tenu une vue assez semblable. Les moelle osseuse-hommes d’Écosse ont été parfaitement orthodoxes au maintien que Christ est mort dans le but de sauver seulement les élus, même si certains d'entre eux utilisé des expressions qui a également souligné une mention plus générale de l’expiation. Ils ont dit que le Christ n’est pas mort pour tous les hommes, mais qu’il est mort, c’est disponible, pour tous. Dieu donner de l’amour, qui est universelle, l’a amené à faire un acte de donation et d’accorder à tous les hommes; et il s’agit de la Fondation pour l’offre universel du Salut. Son élection amour, cependant, qui est spécial, se traduit par le salut des élus seulement. Le plus important de la Marrowmen était Hog, Boston et les deux Erskines.
3. LA PREUVE POUR LA DOCTRINE DE L’EXPIATION LIMITÉE. Les preuves suivantes peuvent être donnés pour la doctrine de l’expiation particulière:
a. il peut être prévue, avant tout, comme un principe général, que les conceptions de Dieu sont toujours sûrement efficaces et ne peut pas être frustrées par les actions de l’homme. Cela vaut aussi pour le but de sauver les hommes par le biais de la mort de notre Seigneur Jésus Christ. Si cela avait été son intention de sauver tous les hommes, cet objet ne pouvait pas été contrecarré par l’incrédulité de l’homme. Sur toutes les mains, il est admis que seul un nombre limité est enregistré. Par conséquent, ils sont les seuls à qui Dieu a déterminé à sauver.
b. l’écriture est admissible à plusieurs reprises ceux pour qui Christ donné sa vie de manière à pointer vers une limitation très précise. Ceux pour qui il a souffert et sont morts sont diversement appelés « Ses brebis, » John 10:11, 15, « Son église », actes 20:28; Eph. 05:25-27, « Son peuple » Matthieu 01:21 et « les élus » Rom. 08:32-35.
c. le travail sacrificiel du Christ et son travail d’intercession sont simplement deux différents aspects de son expiation fonctionnent, et donc la portée de l’un peut être pas plus large que celle de l’autre. Maintenant Christ limite très certainement son intercession travail, quand il dit: « Je prie pas pour le monde, mais pour ceux que tu m’as donnés. » John 17:9. Pourquoi il devrait limiter sa prière d’intercession, si il avait payé le prix pour tous ?
d. il convient également de noter que la doctrine que Christ est mort pour sauver tous les hommes, logiquement conduit à universalisme absolue, c'est-à-dire à la doctrine que tous les hommes sont réellement enregistrés. Il est impossible qu’ils dont Christ a payé le prix, dont il a enlevé, la culpabilité doivent être perdues en raison de cette culpabilité. Les arminiens ne s’arrête sur leur station à mi-chemin, mais doivent aller jusqu’au bout.
e. si on dire, comme certains disent, que l’expiation est universel, mais que l’application de celui-ci est particulière; qu’il a fait Salut possible pour tous, mais en réalité enregistre uniquement un nombre limité, — il faut savoir qu’il existe un lien indissoluble entre l’achat et l’effusion réelle du Salut. La Bible enseigne clairement que la conception et l’effet de le œuvre rédemptrice du Christ n’est pas simplement pour rendre le Salut possible, mais de concilier Dieu et l’homme et de mettre les hommes en possession du salut éternel, un salut qui beaucoup ne parviennent pas à obtenir, Matthieu 18:11; ROM. 05:10; II Corinthiens 05:21; Galates 1:4; 03:13; Éphésiens 1:7.
f. et si l’affirmation être faite que la conception de Dieu et du Christ était évidemment conditionnelle, dépend de la foi et l’obéissance de l’homme, l’attention doit être appelée sur le fait que la Bible enseigne clairement que Christ par sa mort a acheté la foi, le repentir et tous les autres effets de le œuvre du Saint-Esprit, pour son peuple. Ne Voici par conséquent aucune condition dont la réalisation dépend simplement la volonté de l’homme. La jour des Expiations garantit également le respect des conditions qui doivent être respectées, afin d’obtenir le Salut, Rom. 2:4; GAL 03:13, 14; Éphésiens 1:3, 4; 2:8; Phil. 01:29; II Timothée 3:5, 6.
4. LES OBJECTIONS À LA DOCTRINE DE L’EXPIATION LIMITÉE. On peuvent les classer comme suit:
r. il existe des passages qui enseignent que le Christ est mort pour le monde, John 01:29; 03:16; 06:33, 51; Romains 11:12, 15; II Corinthiens 05:19; I Jean 2:2. L’objection fondée sur ces passages n’entreprenne l’hypothèse injustifiée que le mot « monde » tel qu’utilisé dedans signifie « tous les individus qui constituent la race humaine. » Si c’était pas le cas, l’objection fondée sur eux n’aurait aucun sens. Mais il est parfaitement évident par les écritures que le terme « monde » a une variété de significations, comme une simple lecture des passages suivants s’avérera concluante, Luc 2:1; John 01:10; Actes 11:28; 19:27; 24:5; Romains 1:8; Col. 1:6. Il apparaît également que, lorsqu’il est utilisé des hommes, il ne pas toujours inclut tous les hommes, Jean 7:4; 12:19; 14:22; 18:20; Romains 11:12, 15; dans certains de ces passages, il ne peut pas indiquer éventuellement tous les hommes. Si elle avait cette signification dans John 06:33, 51, il s’ensuivrait que Christ donne réellement vie à tous les hommes, c'est-à-dire tous les sauve. Il s’agit plus que de croient les opposants eux-mêmes. Dans Romains 11:12, 15 le mot « monde » ne peut pas être exhaustive, étant donné que le contexte exclut clairement Israël; et parce qu’il est sur que supposition ces passages trop s’avérerait plus qu’est destiné, à savoir que les fruits de le œuvre rédemptrice du Christ sont effectivement appliquées à tous. On retrouve dans ces passages, cependant, une indication du fait que le mot « monde » est parfois utilisé pour indiquer que le particularisme de l’ancien Testament appartienne à la voie passée et faite à Nouveau Testament l’universalisme. Les bénédictions de l’Évangile ont été étendues à toutes les nations, Matthieu 24:14; Marc 16:16; Romains 1:5; 10:18. c’est probablement la clé de l’interprétation du mot « monde » à ces passages comme John 01:29; 06:33, 51; II Corinthiens 05:19; I Jean 2:2. Dr. Shedd suppose que le mot signifie « toutes les nations » à ces passages comme Matt. 26: 13; John 03:16; J’ai Cor. 01:21; II Corinthiens 05:19; et j’ai Jean 2:2; mais soutient que, dans d’autres passages, il désigne le monde des croyants, ou l’église, John 06:33, 51; ROM. 04:13; 11:12, 15. Kuyper et Van Andel également supposent que c’est le sens du mot dans certains passages.
b. étroitement liée aux passages dont nous avons parlé dans ce qui précède, sont ceux où il est dit que Christ est mort pour tous les hommes, Rom. 05:18; I Corinthiens 15:22; II Corinthiens 05:14; I Timothée 2:4, 6; Tite 02:11; Hébreux 2:9; II Pierre 3:9. Naturellement, chacun de ces passages doit être considéré dans la connexion dans laquelle il se trouve. Par exemple, le contexte montre clairement que le « tout » ou « tous les hommes » de Rom. 05:18 et j’ai Cor. 15:22 ne comprend que ceux qui sont dans le Christ, par opposition à tous ceux qui sont dans Adam. Si le mot « tous » dans ces passages n’est pas interprété dans un sens restreint, ils auraient enseigner, non seulement que le Christ fait Salut possible pour tous les hommes, mais qu’en fait, il sauve tous, sans exception. Ainsi l’arminienne serait à nouveau forcé dans le camp de l’absolu universaliste, où il ne veut pas être. Une limitation semblable doit être appliquée dans l’interprétation de II Cor. 05:14 et Hébreux 2:9, cf. verset 10. Sinon ils seraient trop prouver et donc ne prouvent rien. Dans tous ces passages, le « tous » sont tout simplement ceux qui sont dans le Christ. Dans le cas de Tite 02:11, qui parle de l’apparition de la grâce de Dieu, « apporter le Salut à tous les hommes », le contexte indique clairement que « tous les hommes » signifie vraiment toutes les classes d’hommes. Si le « tout » n’est pas limité, ce passage trop enseignerait Salut universel. Les passages dans I Timothée 2:4-6, Hébreux 2:9; II Pierre 3:9 se référer à la révélation sera de Dieu que les Juifs et les gentils doivent être enregistrées, mais impliquent rien quant à l’intention universelle de l’expiation. Même Moses Stuart, qui croit en l’expiation universelle, admet que, dans ces cas, le mot « tous » ne peut être pris dans un sens universel.
c. une troisième classe de passages qui semblent militer contre l’idée d’une expiation limitée se compose de ceux dont on dit qu’implique la possibilité que ceux pour qui le Christ est mort ne parviennent pas à obtenir le salut. Romains 14:15 et le passage parallèle dans I Corinthiens peut mentionner d’abord 08:11. Certains commentateurs sont d’avis que ces passages ne se réfèrent pas à la destruction éternelle, mais il est plus probable qu’ils le font. L’Apôtre veut simplement mettre la conduite désobligeantes de certains des frères plus forts dans l’église en fort relief. Ils sont susceptibles d’offenser les frères plus faibles, afin des faire trébucher, pour substituer leur opinion et donc pour entrer sur le chemin vers le bas, le résultat naturel, si continue, serait destruction. Tandis que le Christ a payé le prix de sa vie pour sauver ces personnes, elles par leur conduite ont tendance à les détruire. Que cette destruction en fait ne suivra pas, est évident de Romains 14:4; par la grâce de Dieu, ils vont etre retenus; Nous avons ici, comme Dr. Shedd exprime, « une supposition, dans un souci d’argumentation, de quelque chose qui ne fonctionne pas et ne se fait pas, » tout comme j’ai Cor. 13:1-3; Galates 1:8. Passage d’un autre, un peu semblable, se trouve à II PET. 2:1, avec laquelle Hébreux 10:29 peuvent également être classées. L’explication la plus plausible de ces passages est celle donnée par Smeaton, comme l’interprétation de Piscator et des annotations néerlandaises, à savoir « que ces faux enseignants sont décrits selon leur propre profession et l’arrêt de la charité. Ils se sont donnent hommes rachetés et comptaient alors dans le jugement de l’église, alors qu’il demeure dans sa communion. »
d. Enfin, il y a une objection, dérivée de l’offre de bonne foi du Salut. Nous croyons que Dieu « unfeignedly, qui est, sincèrement ou de bonne foi, appelle tous ceux qui vivent sous l’Évangile à croire, et leur offre le salut dans le sentier de foi et le repentir. Maintenant les arminiens soutiennent qu’une telle offre du Salut ne peut être faite par ceux qui croient que le Christ est mort seulement pour les élus. Cette objection a été soulevée déjà lors du Synode de Dordrecht, mais sa validité n’a pas été accordée. Les remarques suivantes peuvent être faites en réponse: (a) l’offre du Salut dans le sentier de foi et le repentir ne prétend pas être une révélation du Conseil secret de Dieu, plus précisément, de sa conception en donnant le Christ comme une expiation pour le péché. C’est simplement la promesse du Salut pour tous ceux qui acceptent Christ par la foi. (2) cette offre, dans la mesure où il est universel, est toujours conditionnée par la foi et la conversion. En outre, elle dépend d’une foi et repentance comme peut seulement être forgé au coeur de l’homme par l’opération du Saint-Esprit. (3) l’offre universel du Salut ne consiste pas dans la déclaration que le Christ fait l’expiation pour tout homme qui entend l’Évangile, et que Dieu veut vraiment sauver chacun d’eux. Il s’agit (a) une exposition de le œuvre rédemptrice du Christ comme en soi suffisante pour la rédemption de tous les hommes; (b) une description de la nature réelle de la repentance et de foi qui sont nécessaires pour en venir à Christ; et (c) une déclaration que chaque personne qui vient à Christ avec vrai repentir et la foi obtiendront la bénédiction du Salut. (4) il n’est pas le devoir du prédicateur pour harmoniser le Conseil secret de Dieu concernant la rédemption des pécheurs avec son déclaratif sera telle qu’exprimée dans l’offre universel du Salut. Il est tout simplement un ambassadeur officiel, dont le devoir est d’accomplir la volonté du Seigneur dans la prédication de l’Evangile à tous les hommes sans distinction. (5) Dr Shedd dit: « l’universel offre des avantages de l’expiation du Christ ressorts hors de la volonté de Dieu de complaisance, Ézéchiel 33: 11... Dieu peut bien faire appel à non élus-de faire une chose que Dieu prend plaisir à, tout simplement parce qu’il plaisir à elle. La volonté divine n’est pas modifiée par le décret divin de preterition. » Il cite également une déclaration très similaire de Turretin. (6) l’offre universel du Salut a pour objectif de révéler l’aversion et l’entêtement de l’homme dans son opposition à l’Évangile et d’enlever tout vestige d’excuse. Si elle n’était pas effectuée, pécheurs diront qu’ils auraient volontiers accepté le don de Dieu, si elle avait seulement été proposé pour eux.
5. LE DÉROULEMENT PLUS LARGE DE L’EXPIATION. La question peut être soulevée, si l’expiation forgée par le Christ pour le salut des élus et des élus seulement, a une incidence plus large. La question est souvent discutée en théologie écossaise, si Christ n’est pas mort, dans certains autre qu’un sens salvifique, également pour le non élu. Il a été discuté par plusieurs des théologiens plus âgés, comme Rutherford, Brown, Durham et Dickson, mais eux avait répondu par la négative. « Ils tenaient, en effet, » dit Walker, « la suffisance intrinsèque de la mort du Christ pour sauver le monde, ou les mondes; mais qui était tout à fait quel que soit l’usage du Christ ou d’accomplissement du Christ. La phrase que Christ est mort suffisamment pour tous n’est pas approuvée, car le « pour » semble impliquer une réalité de substitution réelle. » Durham a nié qu’aucune pitié conféré les réprouvés et apprécié par eux, pourrait être considéré comme le bon fruit de, ou l’achat, de la mort du Christ; mais en même temps maintenu que certaines conséquences de la mort du Christ d’une nature avantageuse doivent atteindre des hommes méchants, mais il est douteux que ce peuvent être considérées comme une bénédiction pour eux. C’était aussi la position prise par Rutherford et Gillespie. Les moelle osseuse-hommes de l’Écosse, tout en maintenant que Christ est mort dans le but de sauver seulement les élus, de conclure l’offre universel du Salut que le œuvre du Christ a également eu un impact plus large et que, pour reprendre leurs propres mots, « Dieu le père, proposé par rien, mais Son amour gratuit pour l’humanité perdue, a fait un acte de donation et de subventions à tous les hommes de son fils Jésus Christ. » Selon eux tous les pécheurs sont légataires en vertu du testament du Christ, pas en effet dans l’essence, mais dans l’administration de l’Alliance de grâce, mais le testament est valide uniquement pour les cas les élus. Leur position a été condamnée par l’église d’Écosse. Plusieurs théologiens réformés tenir que, bien que Christ a souffert et sont morts uniquement dans le but de sauver les élus, de nombreux avantages de la Croix du Christ font en fait — et que, aussi selon le dessein de Dieu — s’accumulent au profit de ceux qui n’acceptent pas de Christ par la foi. Ils croient que les bénédictions de la commune grâce aussi découlent de le œuvre rédemptrice du Christ.
Que le œuvre rédemptrice du Christ a également eu signification pour le monde Angélique semblerait découler Éphésiens 01:10 et 01:20. Choses sur la terre et les choses dans le ciel sont résumés dans le Christ comme un chef (anakephalaiosasthai), Éphésiens 01:10 et sont réconciliés avec Dieu par le sang de la Croix, 01:20. Kuyper maintient que l’univers Angélique, qui a perdu sa tête lorsque Satan est tombé loin, est réorganisé sous Christ comme chef. Cela concilier ou réunir le monde Angélique et dans le monde de l’humanité sous une seule tête. Naturellement, le Christ n’est pas le chef des anges dans le sens organique dont il est le chef de l’église. Enfin, le œuvre rédemptrice du Christ se traduira également dans un nouveau ciel et une nouvelle terre où habite la justice, un ajustement suit pour l’humanité nouvelle et glorifiée, et dans la liberté glorieuse dans lequel partagera également la création inférieure, Rom. 08:19-22.
VII. le travail d’intercession de Christ
Le œuvre sacerdotale du Christ n’est pas limité à l’offrande sacrificielle de lui-même sur la Croix. La représentation est parfois compte tenu du fait que, bien que Christ était un prêtre sur la terre, il est un roi dans le ciel. Cela crée l’impression que son travail sacerdotal est terminée, qui n’est pas correcte. Christ n’est pas seulement une terrestre, mais aussi et surtout, un grand céleste prêtre. Il est même tout en étant assis à la droite de Dieu en Majesté céleste, « un ministre du sanctuaire et du vrai tabernacle, dont le Seigneur aigu, non l’homme. » Hébreux 8:2. Seulement, il a commencé son œuvre sacerdotale sur la terre et il termine dans le ciel. Au sens strict du mot qu'il n’est pas compté parmi les prêtres terrestres, qui n’étaient que l’ombre d’une réalité prochaine, Héb. 8:4. Il est le vrai, c'est-à-dire, le vrai prêtre, servant au véritable sanctuaire, dont le tabernacle d’Israël n’était qu’une ombre imparfaite. Dans le même temps, il est maintenant le prêtre sur le trône, notre intercesseur auprès du père.
A. LA PREUVE SCRIPTURAIRE POUR LE TRAVAIL D’INTERCESSION DU CHRIST.
1. LE TRAVAIL D’INTERCESSION DU CHRIST SYMBOLISÉE. Alors que le œuvre sacrificiel du Christ a été symbolisée principalement par les fonctions sacerdotales à l’autel d’airain et les sacrifices qui ont été portées sur lui, son travail d’intercession a été préfigurée par le quotidien brûler de l’encens sur l’autel d’or dans le lieu Saint. Le nuage sans cesse croissant de l’encens n’était pas seulement un symbole de la prière d’Israël, mais aussi un type de la grande prière sacerdotale de notre grand souverain sacrificateur. Cette action symbolique du brûlant de l’encens était pas dissociée, mais plus étroits, avec l’introduction des sacrifices sur l’autel d’airain. Elle a été liée à l’application du sang de la sinofferings plus important, qui a été appliquée sur les cornes de l’autel d’or, également appelé l’autel des parfums, a été arrosée vers le voile et le grand jour des Expiations était même apporté dans le Saint des Saints et saupoudré sur le propitiatoire. Cette manipulation du sang symbolisait la présentation du sacrifice à Dieu, qui habitaient entre les chérubins. Le Saint des Saints était clairement un symbole et le type de la ville de quatre carrés, la Jérusalem céleste. Il n’y a encore un lien entre le travail de sacrifice à l’autel d’airain et l’intercession symbolique à l’autel d’or. Le fait que l’encens peut être brûlées uniquement sur des charbons de vie provenant de l’autel de l’Holocauste était une indication du fait que l’intercession était fondée sur le sacrifice et qu’il serait efficace d’aucune autre manière. Cela indique clairement que le travail d’intercession du Christ dans le ciel repose sur son travail accompli sacrificiel et n’est acceptable que sur cette base.
2. LES INDICATIONS DANS LE NOUVEAU TESTAMENT DU TRAVAIL DE L'INTERCESSION DU CHRIST. Le terme parakletos est appliqué à Christ. Le mot est trouvé seulement dans Jean 14:16, 26; 15:26; 26:7; J’ai John 2:1. Il est rendu « Consolateur » partout où il se trouve dans l’Évangile de Jean, mais « L’avocat » dans le passage unique dans lequel il se trouve dans la première épître de Jean. La forme est un passif et peut donc, dit Westcott, « correctement signifie seulement « un appelé au côté de l’autre, » et que l’idée secondaire de counseling ou d’avoir aidé lui. » Il fait remarquer que le mot a cette signification en grec classique, en Philo et également dans les écrits des rabbins. Bon nombre des pères grecs, cependant, a donné le mot un sens actif, le rendait « Consolateur » et donnait une importance indue à ce qui n’est qu’une application secondaire de l’expression, bien qu’ils estimaient que cette signification ne rentrait pas dans I Jean 2:1. Le mot, puis, désigne celui qui est appelé aide, un défenseur, celui qui plaide la cause de l’autre et lui donne également des conseils judicieux. Naturellement, le travail d’un tel avocat peut-être apporter confort, et donc il peut aussi dans un sens secondaire appelé une couette. Christ est appelé explicitement notre avocat que dans I Jean 2:1, mais par voie de conséquence également dans Jean 14:16. La promesse, « Et je prierai le père, et il vous donnera un autre Consolateur, qu’il peut être avec vous pour toujours, » laisse clairement entendre que Christ était aussi un parakletos. L’Évangile de Jean applique régulièrement l’expression de l’Esprit Saint. Il y a donc deux défenseurs, le Christ et le Saint-Esprit. Leur travail est partiellement identiques et partiellement différente. Quand Christ était sur terre, il a été le défenseur des disciples, plaidant leur cause contre le monde et les servir avec les sages conseils, et l’Esprit Saint continue maintenant que les travaux dans l’église. Jusqu’ici dans le travail est identique, mais il y a aussi une différence. Christ comme notre avocat plaide la cause du croyant avec le père contre Satan, l’accusateur (Zach. 3:1; Héb. 07:25; J’ai John 2:1; 12:10), tandis que l’Esprit-Saint non seulement plaide la cause des croyants contre le monde (Jean 16:8), mais aussi plaide la cause de Christ avec les croyants et les sert avec les sages conseils, (John 14:26; 15:26; 16:14). En bref, nous pouvons dire aussi que Christ plaide notre cause avec Dieu, tandis que le Saint-Esprit plaide la cause de Dieu avec nous. D’autres passages du Nouveau Testament qui parlent de le œuvre d’intercession du Christ sont trouvent dans la Rom. 08:24; Héb. 07:25; 09:24.
B. LA NATURE DU TRAVAIL INTERCESSION DU CHRIST.
Il est évident que ce travail de Christ ne peut-être pas être dissocié de son sacrifice expiatoire, qui constitue son fondement nécessaire. Il est mais la continuation de le œuvre sacerdotale du Christ, le porter jusqu'à la fin. Par rapport à le œuvre sacrificiel du Christ reçoit son ministère d’intercession, mais peu d’attention. Même dans les milieux évangéliques, l’impression est souvent donnée, mais peut-être sans avoir l’intention, que le travail accompli par le Sauveur sur terre était beaucoup plus important que les services qu’il rend maintenant dans le ciel. Il semble y avoir peu compris que dans l’ancien Testament l’administration quotidienne du temple ont abouti à la combustion de l’encens, qui symbolisait le ministère d’intercession; et que le rituel annuel au grand jour des Expiations atteint son point culminant, lorsque le souverain sacrificateur a dépassé le voile avec le sang expiatoire. Ne peut-on dire que le ministère de l’intercession est suffisamment compris. Cela peut être la cause, mais peut également être le résultat de la défaillance généralisée des chrétiens à rivet l’attention là-dessus. L’idée dominante est que l’intercession du Christ se compose exclusivement dans les prières dont il dispose pour son peuple. Maintenant on ne peut nier que ces éléments forment une partie importante de le œuvre d’intercession du Christ, mais ils ne sont pas la totalité de celui-ci. Le point fondamental à retenir est que le ministère d’intercession ne doit pas être dissocié de l’expiation, puisqu’ils sont, mais travaillent de deux aspects du même rédemptrice du Christ, et les deux on peuvent dire fusionner en un seul. Martin conclut que les deux s’affichent dans la juxtaposition constamment et sont si étroitement liées dans les Ecritures, qu’il estime justifié en faisant la déclaration suivante: « l’essence de l’Intercession est l’expiation; et le jour des Expiations est essentiellement une Intercession. Ou, peut-être, plus euphémisme le paradoxe: le jour des Expiations est réelle, — vrai sacrifice et offrande et non de simples endurance passive, — parce qu’il est dans sa nature même une intercession active et infaillible; alors que, d’autre part, l’Intercession est vraie intercession, — intercession judiciaire, représentative et sacerdotale et pas un simple exercice d’influence, — parce que c’est essentiellement une expiation ou substitutive oblation, une fois mis au point sur le Calvaire, maintenant perpétuellement soumises et subissant perpétuelle l’acceptation dans le ciel. » Il analyse, nous trouvons les éléments suivants dans l’intercession du Christ:
1. tout comme le grand prêtre au grand jour des Expiations entré dans le Saint des saints avec le sacrifice achevé, de le présenter à Dieu, alors Christ entré dans le sanctuaire céleste avec son sacrifice terminé, parfait et tout-suffisant et il a offert au père. Et tout comme le souverain sacrificateur, en entrant dans le sanctuaire, est entré en la présence de Dieu, portant symboliquement les tribus d’Israël sur sa poitrine, alors Christ devant Dieu comme le représentant de son peuple et ainsi rétablie l’humanité en présence de Dieu. C’est sur ce fait que l’auteur d’Hébreux se réfère lorsqu’il dit: « car Christ est entré pas en un lieu sacré fait avec les mains, comme en point fantaisie au vrai; mais dans le ciel lui-même, maintenant se présenter devant la face de Dieu pour nous, » Hébreux 09:24. Théologiens réformés a souvent attiré l’attention sur elle que la présence perpétuelle du sacrifice du Christ devant Dieu rempli contienne en soi un élément de l’intercession, comme un rappel constant de l’expiation parfaite de Jésus-Christ. C’est quelque chose comme le sang de la Pâque, dont le Seigneur dit: « le sang sera pour vous un jeton sur les maisons où vous êtes: et quand je verrai le sang, je vais passer au-dessus de vous. » Exode 12:13.
2. il est également un élément judiciaire dans l’intercession, tout comme il est dans l’expiation. Grâce à l’expiation, Christ a rencontré toutes les demandes justes de la Loi, afin qu’aucun frais juridiques ne peuvent justement être engagées contre ceux pour lesquels il a payé le prix. Cependant, Satan, l’accusateur est toujours plié sur les poursuites contre les élus; mais Christ y satisfait tout en soulignant son travail achevé. Il est le Paraklete, l’avocat, pour son peuple, répondant à toutes les accusations qui sont portées contre eux. Cela nous rappelle cela non seulement par le nom « Paraklete », mais aussi par les paroles de Paul dans Romains 08:33, 34: « qui doit déposer quoi que ce soit à la charge des élus de Dieu ? C’est Dieu qui justifie; qui est celui qui condamne ? C’est Jésus Christ qui est mort, oui plutôt, qui a été ressuscité d'entre les morts, qui est à la droite de Dieu, qui aussi intercède pour nous. » Ici, l’élément judiciaire est clairement présent. Voir aussi Zacharie 3:1, 2.
3. non seulement le œuvre intercession du Christ porte sur notre état judiciaire; Il porte également sur notre condition morale, notre sanctification graduelle. Lorsque nous abordons le père en son nom, il sanctifie nos prières. Ils ont besoin, parce qu’ils sont souvent si imparfaite, futile, superficielle et même sincère, alors qu’ils s’adressent à celui qui est parfait dans la sainteté et de Majesté. Et en plus de rendre nos prières acceptables, il sanctifie aussi nos services dans le Royaume de Dieu. Il est également nécessaire, parce que souvent, nous sommes conscients du fait qu’ils ne font pas printemps de motifs plus pures; et que, même lorsqu’ils le font, ils sont loin de cette perfection qui en ferait, en soi, acceptable pour un Dieu Saint. La brûlure du péché incombe à tous. C’est pourquoi Pierre dit: « à qui venue, une pierre vivante, rejetée en effet des hommes, mais avec Dieu élisent, précieuse, vous aussi comme des pierres vivantes sont construits jusqu'à former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d’offrir des sacrifices spirituels, à agréables à Dieu par Jésus Christ. » Ministère de Christ d’intercession est également un ministère de mitonné pour les siens. Il les aide dans leurs difficultés, leurs essais et leurs tentations. « Car nous n’avons pas un souverain sacrificateur qui ne peut pas être touché avec le sentiment de nos infirmités; mais celui qui a été tenté comme tous les points que nous sommes, encore sans péché: parce qu’il a lui-même a souffert, étant tenté, qu’il est capable de secourir ceux qui sont tentés. » Héb. 04:15; Héb. 02:18.
4. et dans et à travers tout cela existe, enfin, également l’élément de la prière pour le peuple de Dieu. Si l’intercession est d’une pièce avec le œuvre rédemptrice du Christ, il s’ensuit que la prière d’intercession doit avoir trait aux choses se rapportant à Dieu (Héb. 5:1), à l’achèvement de le œuvre de rédemption. Que cet élément est inclus, est tout à fait évident de la prière d’intercession en Jean 17, où le Christ dit explicitement qu’il prie pour les apôtres et pour ceux qui, par leur parole, croiront en lui. C’est une pensée consolante que Christ est de prier pour nous, même lorsque nous sommes négligents dans notre vie de prière; qu’il présente au père spirituel ceux besoins qui n’étaient pas présents à notre esprit et qui nous négligeons souvent d’inclure dans nos prières; et qu’il prie pour notre protection contre les dangers dont nous ne sommes pas encore conscient, et contre les ennemis qui nous menacent, bien que nous ne remarquons pas elle. Il prie que notre foi ne peut pas cesser, et que nous pouvons sortir victorieusement en fin de compte.
C. LES PERSONNES ET LES CHOSES POUR LESQUELLES IL INTERCÈDE.
1. LES PERSONNES POUR QUI IL INTERCÈDE. Le travail d’intercession est, comme on l’a dit, simplement le complément de son Rédempteur sacerdotal travailler et est donc égal à elle en mesure. Christ intercède pour tous ceux pour qui il a fait l’expiation et pour ces seules. Cela peut être déduit du caractère limité de l’expiation et également de tels passages comme romains 08:34; Héb. 07:25; 09:24, dans chacun de qui le mot « nous » se réfère aux croyants. En outre, dans la prière sacerdotale élevée enregistrée en Jean 17, Jésus nous dit qu’il prie pour ses disciples immédiats et « pour eux aussi qui croient sur moi par leur parole, » John 17:9, 20. Dans le verset 9, il a fait une déclaration très explicite concernant la limitation de sa grande prière sacerdotale: « Je prie pour eux: Je prie pas pour le monde, mais pour ceux que tu m’as donnés. » Et le verset 20, nous pouvons apprendre qu’il ne pas intercéder pour croyants actuels seulement, mais pour tous les élus, qu’ils soient déjà croyants, ou croiront quelque temps à l’avenir. L’intercesseur est conscient de chacun de ceux qui sont donnés à lui, Luc 21:32; Apocalypse 3:5. Luthériens de distinguer une intercession générale du Christ pour tous les hommes et une intervention spéciale pour les élus seulement. Pour preuve, qu'ils font appel à Luc 23:34, qui contient la prière du Christ pour ses ennemis, mais que la prière ne besoin pas être considéré comme une partie de l’ouvrage officiel intercession du Christ. Dada est d’avis qu’il était, et que les objets de cette prière ont été convertis par la suite. Mais il est également possible que cette prière a été simplement une prière comme le Christ a enseigné tous ses disciples de prier pour ses ennemis, une prière pour conjurer une sanction immédiate et terrible pour l’énorme crime commis. Matt. 05:44.
2. LES CHOSES POUR LESQUELLES CHRIST INTERCÈDE. Christ a beaucoup à prier pour, dans sa prière d’intercession. Nous pouvons seulement donner un bref aperçu de certaines des choses pour lesquelles il prie. Il prie que les élus qui ne sont pas encore venus à lui peuvent être introduits dans un état de grâce; que ceux qui sont déjà venus peuvent recevoir le pardon pour leurs péchés quotidiens, c'est-à-dire peut-être éprouver l’application continue à eux des fruits de justification; que les croyants peuvent être tenues des accusations et les tentations de Satan; que les saints soient progressivement sanctifié, John 17:17; que leurs rapports avec le ciel peut être conservée jusqu'à, Héb. 04:14, 16; 10:21, 22; que les services du peuple de Dieu peuvent être acceptées, j’ai PET. 2:5; et qu’ils peuvent enfin entrer dans leur héritage parfaite dans le ciel, John 17:24.
D. LES CARACTÉRISTIQUES DE SON INTERCESSION.
Il y a surtout trois caractéristiques de le œuvre d’intercession du Christ, dont l’attention doit être adressée:
1. LA CONSTANCE DE SON INTERCESSION. Nous devons non seulement un Sauveur, qui a terminé un travail objectif pour nous dans le passé, mais aussi celui qui se livre quotidiennement en obtenir un pour son propre l’application subjective des fruits du sacrifice accompli, des dizaines de milliers de personnes réclament son attention à la fois , et l’entracte d’un moment lui serait fatale à leurs intérêts. Par conséquent, il est toujours sur le qui-vive. Il est vivant à tous leurs désirs, et aucun de leurs prières lui échapper.
2. LE CARACTÈRE AUTORITAIRE DE SON INTERCESSION. Il n’est pas tout à fait correct pour le représenter comme un pétitionnaire au trône de Dieu, priant les faveurs de son père pour son peuple. Sa prière n’est pas la pétition de la créature au créateur, mais la demande du fils au père. « La conscience de sa dignité égale, de son intercession puissante et dominante, s’exprime à cet égard, qu’aussi souvent qu’il demande, ou s’il déclare qu’il va demander, quoi que ce soit du père, il est toujours eroto, eroteso, une demande, c’est, comme sur l’égalité termes (John 14:16; 16:26; 17:9, 15, 20), jamais aiteo ou aiteso. » Christ se dresse devant le père comme un intercesseur agréé et comme celui qui peut présenter des réclamations légales. Il peut dire: « père, je désire qu’ils aussi dont tu m’as donnée, soit avec moi où je suis, » John 17:24.
3. L’EFFICACITÉ DE SON INTERCESSION. La prière d’intercession du Christ est une prière qui ne manque jamais. Sur la tombe de Lazare, le Seigneur a exprimé l’assurance que le père entend toujours lui, Jean 11:42. Ses prières d’intercession pour les siens reposent sur son œuvre expiatoire; Il a mérité tout ce qu’il demande et il y a là l’assurance que ces prières sont efficaces. Ils accompliront tout ce que les désirs He. Le peuple de Dieu peut obtenir du confort du fait qu’il ont un intercesseur auprès du père.
VIII. les fonctions royales
La deuxième personne de la Sainte Trinité, le Fils Éternel, Christ partage naturellement la domination de Dieu sur toutes ses créatures. Son trône est établi dans les cieux, et son Royaume règne sur tous, Psaume 103:19. Cette royauté diffère de la médiatrice royauté du Christ, qui est une royauté conférée ou économique, exercée par le Christ, non seulement dans sa nature divine, mais comme Théanthropos (l’homme-Dieu). Ce dernier n’est pas une royauté qui était Christ de droit initial, mais celle dont il est investi. Il ne concerne pas un nouveau domaine, celui qui n’était pas déjà sous son contrôle comme fils de Dieu, ceux-là un Royaume peut nulle part être trouvés. C’est plutôt à prendre la parole dans les paroles de Dick, sa royauté original, « investi avec une nouvelle forme, portant un nouvel aspect, administré pendant une nouvelle fin. » En général, on peut définir la royauté médiatrice du Christ comme son pouvoir officiel de règle toutes choses dans les cieux et sur la terre, pour la gloire de Dieu et pour l’exécution du dessein de Dieu du Salut. Il faut distinguer, cependant, un regnum gratiae et un regnum potentiae.
A. LA ROYAUTÉ SPIRITUELLE DU CHRIST.
1. LA NATURE DE CETTE ROYAUTÉ. La royauté spirituelle du Christ dépasse son autorité royale le regnum gratiae, qui n’est plus son peuple ou de l’église. C’est une royauté spirituelle, car elle se rapporte à un Royaume spirituel. C’est la règle de la médiatrice qu’il est établi dans le cœur et la vie des croyants. En outre, elle est spirituelle, car il porte directement et immédiatement sur une fin spirituelle, le salut de son peuple. Et, enfin, il est spirituel, car elle est administrée, pas par la force ou des moyens externes, mais par la parole et l’esprit, qui est l’esprit de vérité et de sagesse, de justice et de sainteté, de grâce et de miséricorde. Cette royauté se révèle dans le rassemblement de l’église et dans son gouvernement, la protection et la perfection. La Bible parle dans beaucoup d’endroits, par exemple, le Psaume 2:6; 45: 6, 7 (voir Hébreux 1:8, 9); 132:11; Ésaïe 9:6, 7; Jérémie 23:5, 6; Michée 5:2; Zach. 06:13; Luc 01:33; 19:27, 38; 22:29; John 18:36, 37; Actes à 02:30-36 et autres endroits. La nature spirituelle de cette royauté est indiquée, entre autres, par le fait que le Christ est à plusieurs reprises appelé à la tête de l’église, Éphésiens 01:22; 04:15; 05:23; 01:18; 2:19. ce terme, telle qu’appliquée au Christ, est pratiquement équivalent à « King » (la tête dans un sens figuré, un revêtu d’autorité), parfois comme dans I Corinthiens 11:3; EP 01:22; 05:23; dans d’autres cas, cependant, il est utilisé dans un sens littéral et organique, Éphésiens 04:15; 01:18; 02:19 et en partie aussi Éph. 01:22. Le mot sert jamais (sauf serait-il dans I Corinthiens 11:3) sans l’implication de cette conception organique. Les deux idées sont plus intimement liées. C’est juste parce que le Christ est le chef de l’église qu’il peut gouverner il comme roi de manière organique et spirituelle. La relation entre les deux peut être indiquée comme suit: (1) le poste de directeur du Christ rappelle l’union mystique entre le Christ et son corps, l’église et donc appartient à la sphère de l’être. Sa royauté, cependant, implique qu’il est revêtu de l’autorité et qu’il appartient à la sphère judiciaire. (2) le poste de directeur du Christ est soumise à sa royauté. L’esprit qui le Christ, comme le chef de l’église, donne à elle, est aussi le moyen par lequel il exerce son pouvoir royal dans et sur l’église. Premillenarians de nos jours a fortement insister pour que le Christ est que la tête de l’église, mais en règle générale nie qu’il est son roi. Cela revient à dire qu’il n’est pas la règle faisant autoritaire de l’église, et que les officiers de l’église ne représentent pas lui dans le gouvernement de l’église. Non seulement, ils refusent d’admettre qu’il est le roi de l’église, mais nier sa royauté présente dans l’ensemble, sauf, peut-être, comme une royauté jure, une royauté qui est le sien de droit mais n’est pas encore devenue apparente. En même temps que leur pratique vaut mieux que leur théorie, pour dans la vie pratique, qu'ils le font, de manière plutôt irrégulière, reconnaître l’autorité de Jésus Christ.
2. LE ROYAUME SUR LEQUEL IL S’ÉTEND. Ce Royaume possède les caractéristiques suivantes:
a. il est enraciné dans l'œuvre de rédemption. Le regnum gratiae ne proviennent pas de le œuvre créatrice de Dieu, mais que le nom lui-même indique, dans sa grâce rédemptrice. Personne n’est un citoyen de ce Royaume en vertu de son humanité. Seuls les rachetés ont cet honneur et un privilège. Christ a payé la rançon pour ceux qui sont les siens et par son esprit s’applique à eux les mérites de son sacrifice parfait. En conséquence, ils ont maintenant lui appartiennent et reconnaissent comme leur Seigneur et roi.
b. c’est un Royaume spirituel. Dans la dispensation de l’ancien Testament, ce Royaume a été esquissé dans le Royaume théocratique d’Israël. Même dans l’ancienne dispensation, la réalité de ce Royaume a été trouvée que dans la vie intérieure des croyants. Le Royaume nationale d’Israël, dans laquelle Dieu est roi, législateur et le juge, et le roi terrestre était seulement le vice-gérant de Jéhovah, désigné pour représenter le roi, pour réaliser son volonté, et pour exécuter ses jugements, est seulement un symbole et une ombre et le type de cette glorio Nous réalité, autant qu’il était destinée à apparaître à l’époque du Nouveau Testament. Avec l’arrivée de la nouvelle dispensation tout l’ancien Testament ombres passaient loin et parmi eux aussi le Royaume théocratique. Hors de l’utérus d’Israël la réalité spirituelle du Royaume s’avancèrent et suppose une existence indépendante de la théocratie de l’ancien Testament. D'où le caractère spirituel du Royaume se trouve de suite beaucoup plus clairement dans le Nouveau Testament qu’il fait dans l’ancien. Le regnum gratiae du Christ est identique à ce que le Nouveau Testament appelle le Royaume de Dieu ou du ciel. Christ est son roi médiatrice. Premillenarians enseigner à tort que les termes « Royaume de Dieu » et le « Royaume des cieux, » puisqu’ils sont utilisés dans les Évangiles, veux parler à deux réalités différentes, à savoir le Royaume universel de Dieu et le futur Royaume de médiatrice de Christ. Il est parfaitement évident, comme certains de leurs propres dirigeants se sentent contraints d’admettre, que les deux termes sont utilisés indifféremment dans les Évangiles. Cela ressort du fait que, alors que Matthieu et Luc rapportent souvent les mêmes instructions de Jésus, le premier lui représente comme l’utilisation du terme « Royaume des cieux », et ce dernier il remplace le terme « Royaume de Dieu, » comparer Matthieu 13 avec Mark 4; Luc 8:1-10 et beaucoup d’autres passages. La nature spirituelle du Royaume est mises en évidence de plusieurs façons. Négativement, il est clairement indiqué que le Royaume n’est pas un Royaume externe et naturel des Juifs, Matthieu 08:11, 12; 21:43; Luc 17:21; John 18:36. Positivement, on nous apprend qu’il peut être saisi uniquement par régénération, Jean 3:3, 5; que c’est comme une graine précipité la terre, Marc 04:26-29, comme une graine de moutarde, Mark 04:30 et comme un levain, Mt 13:33. Elle est dans le cœur des gens, Luc 17:21, « justice, paix et joie dans l’Esprit Saint, » Romains 14:17, et n’est pas de ce monde, mais un Royaume de la vérité, John 18:36, 37. Les citoyens du Royaume sont décrits comme les pauvres en esprit, les humbles, les miséricordieux, les artisans de paix, le cœur pur et ceux qui a faim et soif de droiture. Convient de souligner la nature spirituelle du Royaume vis-à-vis de tous ceux qui nient la réalité du Royaume de Dieu médiatrice et tenir qu’il prendra la forme d’une théocratie rétablie lors du retour de Jésus Christ.
Dans le cadre de la tendance actuelle à considérer le Royaume de Dieu tout simplement comme une nouvelle condition sociale, une éthique Royaume des extrémités, pour être mis en place par les entreprises humaines, comme l’éducation, des normes juridiques et les réformes sociales, il est bon de garder à l’esprit que le terme " Royaume de Dieu » n’est pas toujours utilisé dans le même sens. Fondamentalement, le terme désigne un résumé plutôt qu’une idée concrète, à savoir la règle de Dieu établi et reconnu dans le cœur des pécheurs. Si c’est bien entendu, la futilité de tous les efforts humains et de tous les externes simples est à la fois. Par aucune entreprises humaines simples la règle de Dieu peut être établie au cœur d’un seul homme, ni n’importe quel homme peut être amené à la reconnaissance de cette règle. Dans la mesure où Dieu établit son règne dans le coeur des pécheurs, il crée pour lui-même un domaine dans lequel il gouverne et dans laquelle il distribue les plus grands privilèges et les bénédictions choicest. Et, encore une fois, dans la proportion dans laquelle l’homme répond à la règle de Dieu et obéit aux lois du Royaume, un nouvel état de choses entraînera naturellement. En effet, si tous ceux qui sont maintenant des citoyens du Royaume en fait obéir à ses lois dans tous les domaines de la vie, le monde serait tellement différent qu’il serait difficilement reconnue. Compte tenu de tout ce qui a été dit, il ne provoque aucun surprenant que le terme « Royaume de Dieu » est utilisé dans des sens divers dans les Ecritures, comme, par exemple, pour désigner la royauté de Dieu ou du Messie, Matthieu 06:10; le Royaume sur lequel cette règle s’étend et l’état des choses auxquelles elle donne lieu, Matthieu 07:21; 19:23, 24; 08:12; la totalité des bénédictions et des privilèges qui en découlent le règne de Dieu ou du Messie, Matthieu 13:44, 45; et l’état des choses qui marque l’aboutissement triomphal du règne de Dieu dans le Christ, Matthieu 22:2-14; Luc 14:16-24; 13:29.
c. c’est un royaume qui est tant actuels que futurs. C’est d’une part un présent, jamais développer, réalité spirituelle dans le cœur et la vie des hommes, et comme tel exerce une influence dans une sphère sans cesse grandissant. Jésus et les apôtres se réfèrent clairement vers le Royaume comme déjà présent dans leur temps, Matthieu 12:28; Luc 17:21; 01:13. Cela doit être maintenue par rapport à la grande majorité des Premillenarians de nos jours. En revanche, c’est aussi un espoir, une réalité eschatologique; en fait, l’aspect eschatologique du Royaume est le plus important des deux, Matthieu 07:21, 22; 19:23; 22:2-14; 25: 1-13,34; Luc 22:29, 30; I Corinthiens 6:9; 15:50; GAL 05:21; Éphésiens 5:5; I Thessaloniciens 02:12; II Timothée 04:18; Hébreux 12:28; II Pierre 01:11. Essentiellement le futur Royaume consistera, comme celle du présent, dans la règle de Dieu établie et reconnue dans le cœur des hommes. Mais lors de la venue glorieuse de Jésus-Christ, cette mise en place et l’accusé de réception seront rendue parfaites, les forces occultes du Royaume seront tiendront a révélé, et la règle spirituelle du Christ se trouve son achèvement dans un règne visible et majestueux. C’est une erreur, cependant, à supposer que le Royaume actuel deviendra presque imperceptiblement le Royaume de l’avenir. La Bible nous enseigne clairement que le futur Royaume va être inauguré par les bouleversements cataclysmiques, Matthieu 24:21-44; Luc 17:22-37; 21:5-33; I Thessaloniciens 5:2, 3; II Pierre 03:10-12.
d. Il est étroitement liée à l’église, bien que pas tout à fait identiques avec elle. La citoyenneté du Royaume est coïncide avec l’adhésion dans l’église invisible. Toutefois, son champ d’opération, est plus large que celle de l’église, puisqu’elle vise au contrôle de la vie dans toutes ses manifestations. L’église visible est le plus important et la seule organisation divinement instituée, externe du Royaume. Dans le même temps, c’est aussi le Dieu-donné le moyen par excellence pour l’extension du Royaume de Dieu sur la terre. Il est bon de noter que le terme « Royaume de Dieu » est parfois employé dans un sens qui rend pratiquement équivalente à l’église visible, Matthieu 08:12; 13:24-30, 47-50. Alors que l’église et le Royaume doivent être distinguées, la distinction ne doit pas être recherchée dans le sens indiqué par le pré-millénarisme, qui considère le Royaume comme essentiellement un Royaume d’Israël et l’église comme corps du Christ, se sont réuni dans le présent dispensation de Juifs et de païens. Israël était l’église de l’ancien Testament et dans son essence spirituelle constitue une unité avec l’église du Nouveau Testament, actes 07:38; Romains 11:11-24; Galates 3:7-9,29; EP 02:11-22.
3. LA DURÉE DE CETTE ROYAUTÉ.
a ses débuts. Les opinions divergent sur ce point. Compatibles Premillenarians nient la royauté médiatrice actuelle du Christ et pense qu’il n'est pas assis sur le trône en tant que médiateur jusqu'à ce qu’il inaugure en ce millénaire lors de son second avènement. Et les Sociniens prétendent que Christ n’est ni prêtre ni roi avant son ascension. La position généralement acceptée de l’église est que Christ a reçu sa nomination comme roi médiatrice dans les profondeurs de l’éternité, et qu’il a commencé à fonctionner comme tel immédiatement après la chute, Prov. 08:23; PS. 2:6. Durant la dispensation vieux il portait sur son travail comme roi en partie par les juges d’Israël et en partie par les rois typiques. Mais même si il était autorisé à régner en tant que médiateur même avant son incarnation, il n’a pas publiquement et formellement son trône et inaugurer son Royaume spirituel jusqu’au moment de son ascension et l’élévation à la droite de Dieu, actes 02:29-36; Philippiens 2:5-11.
b. sa résiliation ( ?). L’opinion dominante est que la royauté spirituelle du Christ dans son Eglise, quant à son caractère essentiel, continuera éternellement, mais il fera l’objet d’importants changements dans son mode de fonctionnement à la consommation du monde. La durée éternelle de la royauté spirituelle du Christ semble être explicitement enseignée dans les passages suivants: Psaume 45: 6 (COMP. Héb. 1:8); 72:17; 89:36, 37; Ésaïe 9:7; Dan. 02:44; II Samuel 07:13, 16; Luc 01:33; II Pierre 01:11. Le Catéchisme de Heidelberg parle aussi de Christ en tant que « notre roi éternel. » De même, la Confessio Belgica dans article XXVII. En outre, la royauté et le poste de directeur du Christ sont inextricablement liés vers le haut. Ce dernier est soumis à l’ancienne et est parfois clairement représenté aussi dans le premier cas, Éphésiens 01:21, 22; 05:22-24. mais, sûrement, Christ ne cessera jamais d’être à la tête de son église, laissant l’église comme un corps sans tête. Enfin, le fait que le Christ est un sacrificateur pour toujours, après l’ordre de Melchisédek, semble également argumenter en faveur de la durée éternelle de la royauté spirituelle du Christ, depuis son office de la médiatrice est après tout une unité. Dick et Kuyper, cependant, prétendent que cette royauté du Christ cesseront lorsque qu’il a accompli le salut de son peuple. Le seul passage de l’écriture à laquelle ils font appel, c’est I Cor. 15:24-28, mais ce passage évidemment ne fait pas référence à la royauté spirituelle du Christ, mais à sa royauté sur l’univers.
B. LA ROYAUTÉ DU CHRIST SUR L’UNIVERS.
1. LA NATURE DE CETTE ROYAUTÉ. Nous entendons par le regnum potentiae la domination de l’homme-Dieu, Jésus Christ, sur l’univers, son administration providentielle et judiciaire de toutes choses dans l’intérêt de l’église. Comme roi de l’univers, le médiateur Guide alors le destin des individus, des groupes sociaux, ainsi que des nations, à promouvoir la croissance, la purification progressive et la perfection finale du peuple dont il a racheté par son sang. En cette qualité, il protège également ses propres contre les dangers auxquels ils sont exposés dans le monde et justifie sa justice par la soumission et la destruction de tous ses ennemis. Dans cette royauté du Christ, nous trouvons la restauration initiale de la royauté d’origine de l’homme. L’idée que le Christ domine maintenant le destin des individus et des nations dans l’intérêt de son Eglise sang-acheté, est une pensée beaucoup plus réconfortante que la notion qu’il est maintenant « un réfugié sur le trône du ciel ».
2. LA RELATION ENTRE LE POTENTIAE REGNUM DE LA GRATIAE REGNUM. La royauté du Christ sur l’univers est soumis à sa royauté spirituelle. Il incombe à Christ, comme le roi oint, à établir le Royaume spirituel de Dieu, pour gouverner et de le protéger contre toutes les forces hostiles. Il doit le faire dans un monde qui est sous l’emprise du péché et est déterminé à contrecarrer tous les efforts spirituels. Si ce monde était indépendantes de sa volonté, il pourrait facilement faire échouer tous ses efforts. C’est pourquoi Dieu a investi lui avec autorité sur elle, pour qu’il soit capable de contrôler tous les pouvoirs et les forces et les mouvements dans le monde et peut ainsi garantir une assise sûre pour son peuple dans le monde et protéger les siens contre toutes les puissances des ténèbres. Ceux-ci ne peuvent pas vaincre ses desseins, mais sont même contraints de les servir. En vertu de la règle salutaire du Christ même la colère de l’homme est faite de louer Dieu.
3. LA DURÉE DE CETTE ROYAUTÉ. Christ a été officiellement investi de cette royauté sur l’univers quand il était exalté à la droite de Dieu. C’était une récompense promise de ses travaux, Psaume 2:8, 9; Matthieu 28: 18; EP 01:20-22; Philippiens 2:9-11. Cette investiture faisait partie de l’exaltation de l’homme-Dieu. Il ne lui donne pas tout pouvoir ou l’autorité dont il ne possédait pas déjà comme le fils de Dieu; n’est-ce qu’il n’a augmenté son territoire. Mais l’homme-Dieu, le médiateur, a maintenant fait le possesseur de cette autorité, et sa nature humaine a été effectuée à partager la gloire de ce dominion royal. En outre, le gouvernement du monde a été maintenant fait inféodé aux intérêts de l’église de Jésus-Christ. Et cette royauté du Christ va durer jusqu'à ce que la victoire sur les ennemis est terminée et même la mort a été abolie, I Cor. 15:24-28. À la consommation de toutes choses, que l’homme-Dieu n’abandonneront l’autorité qui lui est conférée pour un usage spécifique, car il ne sera aucuns plus nécessaire. Il retournera sa commission à Dieu, que Dieu soit tout en tous. Le but est atteint; l’humanité est sauvée; et ainsi la royauté originale de l’homme est rétablie.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Dans lequel Christ a été caractérisé comme prophète dans l’ancien Testament ? Comment les vrais prophètes ont été distingués du faux ? Comment les prophètes et prêtres différaient comme enseignants ? Ce qui était caractéristique de la prêtrise selon l’ordre de Melchisédek ? Le sacrifice de Caïn et Abel étaient piacular ? Pour quelles raisons ne Jowett, Maurice, Young et Bushnell nient le caractère du fait d’autrui et typico-prophétiques des sacrifices Mosaic ? Quelle est la différence entre l’expiation, propitiation, réconciliation et de rédemption ? Comment expliquer l’aversion généralisée pour le caractère objectif de l’expiation ? Quels arguments sont avancés pour réfuter la nécessité de l’expiation ? Pourquoi la substitution pénale est pratiquement impossible chez les hommes ? L’offre universel du Salut implique nécessairement une expiation universelle ? Ce qu’il advient de la doctrine de l’expiation en théologie libérale moderne ? Ce que deux parakletoi nous ont selon l’Ecriture, et en quoi leur travail différente ? Quelle est la nature de le œuvre d’intercession du Christ ? Sont nos prières d’intercession comme ceux du Christ ? Est-ce que Christ a jamais appelé « Roi des Juifs » ? Ne Premillenarians nie seulement la royauté spirituelle présente du Christ ou également sa royauté sur l’univers ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. III, p. 394-455, 538-550; Kuyper, Dict. dogme., De Christo, III, pp. 3-196; Vos, Geref. Dogme. III, pp. 93-197; Hodge, Syst. Theol. II, pp. 455-609; Shedd, dogme . THEOL. II, pp. 353-489; Dabney, syst et polémique Theol., pp. 483-553; Dorner, syst de Chr. Doct. III, p. 381-429; IV, pp. 1-154; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 96-185; Pape, Chr. Theol. II, pp. 196-316; Calvin, instituts, livre II, chap.. XV-XVII: Watson, instituts II, pp. 265-496; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 344-382; Multi-bride, quelle est la foi?, pp. 188-205; Brunner, le médiateur, pp. 399-590; Stevenson, les offices du Christ; Milligan, l’Ascension et le sacerdoce céleste de notre Seigneur; Meeter, la haute céleste-sacerdoce du Christ; A. cave, la Doctrine biblique du Sacrifice; Faber, l' origine du Sacrifice expiatoire; Davison, l’origine et l’esprit de Sacrifice primitif; Symington, l’expiation et l’Intercession; Stevens, La Doctrine chrétienne du Salut; Franks, histoire de la Doctrine de le œuvre du Christ (2 vol.); D. Smith, l’expiation à la lumière de l’histoire et l’esprit moderne; Mackintosh, théories historiques de l’expiation; McLeod Campbell, la Nature de l’expiation; Bushnell, Sacrifice du fait d’autrui; Denney, La Doctrine chrétienne de la réconciliation; Kuyper, Dat de Genade Particulier est; Bouma, Geen Algemeene Verzoening; De Jong, De Leer der Verzoening en Amerikaansche de Theologie; S. Cave, la Doctrine de le œuvre du Christ; Smeaton, la Doctrine de l’expiationde notre Seigneur; Ibid., The Apostles' Doctrine de l’expiation; Cunningham, théologie historique II, pp. 237-370; Creighton, de droit et la Croix; Armour, l’expiation et le droit; Mathews, l’expiation et le processus Social; et autres travaux sur l’expiation par Martin A. A. Hodge, Crawford, Dale, Dabney, Miley, Mozley et Berkhof.
QUATRIÈME PARTIE
La Doctrine de l’application de l'œuvre de rédemption
I. sotériologie en général
A. LIEN ENTRE SOTÉRIOLOGIE ET LES LOCUS PRÉCÉDENTS.
LA SOTÉRIOLOGIE traite de la communication de la bénédiction de Salut pour le pécheur et sa restauration, à la faveur divine et à une vie en communion intime avec Dieu. Il présuppose la connaissance de Dieu comme la source de la vie, la force et le bonheur de l’humanité, et de la dépendance absolue de l’homme sur lui pour le présent et l’avenir tout-suffisante. Puisqu’il traite de restauration, rédemption et le renouvellement, il ne peut être compris correctement à la lumière de l’état d’origine de l’homme créé à l’image de Dieu et de la perturbation subséquente de la bonne relation entre l’homme et son Dieu par l’entrée du péché dans le monde. En outre, puisqu’il traite du Salut du pécheur entièrement comme une œuvre de Dieu, à sa connu, de toute éternité, elle porte naturellement nos pensées vers l’Éternel Conseil de paix et l’Alliance de grâce, dans lequel on avait prévu pour la rédemption des hommes déchus. Il se déroule sur l’hypothèse de le œuvre achevée de Christ comme le médiateur de la rédemption. Il y a le lien le plus étroit possible entre la christologie et sotériologie. Certains, comme, par exemple, Hodge, régal des deux sous le titre commun « Sotériologie. » Christologie puis deviendrait objective, comme distingué de subjectif, sotériologie. En définissant le contenu de la sotériologie, il est préférable de dire qu’il traite de l' application de le œuvre de rédemption que de dire qu’il traite de l' appropriation du Salut. La question devrait être étudiée théologiquement plutôt qu’anthropologique. Le œuvre de Dieu, plutôt que le travail de l’homme est sans aucun doute au premier plan. Pape s’oppose à l’utilisation du terme ancien, puisqu’à l’utiliser « nous sommes en danger de l’erreur predestinarian qui suppose que l’oeuvre accomplie de Christ est appliqué à l’individu selon le but fixe d’une élection de la grâce. » C’est la raison pourquoi un calviniste préfère utiliser ce terme. Pour faire justice de pape, toutefois, il convient d’ajouter qu’il s’oppose également à l’autre terme, parce qu’elle « tend à l’autre et pélagienne extrême, trop évidemment rendre la prestation expiatoire de Christ quelques individuelle libre acceptation ou rejet. » Il préfère parler de «l’administration de la rédemption», qui est en effet un très bon terme.
B. l'ORDO SALUTIS, (ordre du Salut).
Les Allemands parlent de «Heilsaneignung, » les hollandais, les anglais, «Heilsweg» et «Orde des Heils» du «chemin du Salut. » L' ordo salutis décrit le processus par lequel le œuvre du Salut, déployée en Christ, est subjectivement réalisé dans le cœur et la vie des pécheurs. Elle vise à décrire dans leur ordre logique, ainsi que dans leurs relations réciproques, les différents mouvements de l’Esprit Saint dans l’application de le œuvre de rédemption. L’accent n’est pas sur ce que l’homme fait en s’appropriant que la grâce de Dieu, mais sur ce que Dieu fait en l’appliquant. Il est mais il est naturel que pélagiens devrait s’opposer à ce point de vue.
Le désir de simplifier l' ordo salutis souvent mené à des restrictions injustifiées. Weizsaecker inclurait dans ce que les opérations du Saint-Esprit forgées au coeur de l’homme et détient que ni appel ni justification peut correctement être incluse dans cette catégorie. Caftan, le plus éminent dogmaticien Ritschlian, est d’avis que le traditionnel ordo salutis ne constitue pas une unité intérieure et donc devait être dissoute. Il traite des appels sous le mot comme un moyen de la grâce; régénération, justification, et l’union mystique, au titre de le œuvre rédemptrice du Christ; et relègue la conversion et sanctification au domaine de l’éthique chrétienne. Il en résulte que seule la foi est partie, et cela constitue l' ordo salutis. Selon lui, l' ordo salutis devrait comprendre que ce qui est requis de la part de l’homme pour le Salut, et il s’agit de foi, la foi seule, — un point de vue purement anthropologique, qui trouve probablement son explication dans l’accent énorme de la théologie luthérienne sur foi active.
Lorsque l'on parle d’un ordo salutis, nous n’oublions pas que le travail de l’application de la grâce de Dieu au pécheur individuel est un processus unitaire, mais simplement de stress du fait que les divers mouvements peuvent être distinguées dans le processus, que le travail de l’application de produit de rachat dans un ordre précis et raisonnable et que Dieu ne pas répandre la plénitude de son salut pour le pécheur en un seul acte. S’il fait cela, le œuvre de rédemption ne serait pas venu à la conscience des enfants de Dieu sous tous ses aspects et dans toute sa plénitude divine. Ne nous perdons de vue le fait que nous utilisons souvent les termes employés pour décrire les différents mouvements dans un sens plus restreint que ne le fait la Bible.
La question peut être soulevée, si la Bible indique toujours une certaine ordo salutis. La réponse à cette question est que, bien qu’il ne fournit pas d’explicitement nous avec un ordre complet du Salut, il nous offre une base suffisante pour une telle ordonnance. L’approche plus proche trouvé dans l’écriture pour quelque chose comme une ordo salutis, est la déclaration de Paul dans Romains 08:29, 30. Certains des théologiens luthériens inspire leur énumération des mouvements divers dans l’application de la rédemption plutôt artificiellement actes 26: 17, 18. Mais alors que la Bible ne nous donne pas une claire ordo salutis, il fait deux choses qui nous permettent d’interpréter une telle ordonnance. (1) il nous fournit une énumération très riche et complète des opérations de l’Esprit Saint dans l’application de le œuvre de Christ aux pécheurs individuels et de la bénédiction du Salut exercée sur eux. Ce faisant, il n’utilise pas toujours les termes mêmes employés dans la dogmatique, mais recourt fréquemment à l’utilisation d’autres noms et aux figures de style. Par ailleurs, il emploie souvent les termes qui ont désormais acquis un sens technique très précis dans la dogmatique, dans un sens beaucoup plus large. Une expression telle que la régénération appelant, conversion et renouvellement service à plusieurs reprises pour désigner le changement d’ensemble qui est provoqué dans la vie intérieure de l’homme. (2) il indique dans beaucoup de passages et de diverses manières la relation dans laquelle les différents mouvements dans le œuvre de rédemption se tenir les uns aux autres. Il enseigne que nous sommes justifiés par la foi et non par les œuvres, Rom. 03:30; 5:1; GAL 02:16-20; que, étant justifiée, nous avons la paix avec Dieu et l’accès à lui, Romains 5:1, 2; que nous sommes libérés du péché pour devenir les serviteurs de la justice et à récolter le fruit de la sanctification, Rom. 06:18, 22; que lorsque nous avons adoptés en tant qu’enfants, nous recevons l’esprit qui nous donne l’assurance et aussi devenir des cohéritiers avec Christ, Rom. 08:15-17; Galates 4:4, 5, 6; que la foi vient par l’audition de la parole de Dieu, Romains 10:17; que la mort à la loi se traduit dans la vie à Dieu, gal 02:19, 20; que lorsque nous croyons, nous sommes scellés avec l’esprit de Dieu, Éphésiens 01:13, 14; qu’il est nécessaire de marcher dignement l’appel avec lequel nous sommes appelés, Éphésiens 4:1, 2; qu’après avoir obtenu de la justice de Dieu par la foi, nous partageons les souffrances du Christ et aussi la puissance de sa résurrection, Phil. 3:9, 10; et que nous sommes engendrés de nouveau par le biais de la parole de Dieu, j’ai PET. 01:23. Ces passages similaires indiquent la relation entre les différents mouvements de le œuvre rédemptrice d’un de l’autre, et permettre ainsi une base pour la construction d’un ordo salutis.
Compte tenu du fait que la Bible ne précise pas l’ordre exact qui s’applique dans l’application de le œuvre de rédemption, il y a place naturellement considérable pour une divergence d’opinion. Et aussi fait les églises sont pas tous d’accord quant à l' ordo salutis. La doctrine de l’ordre du Salut est un fruit de la réforme. Pratiquement aucun semblant de celui-ci se trouve dans les œuvres de la scolastique. Dans la théologie de pré-réforme, peine justice soit faite à sotériologie en général. Il ne constitue pas un locus distinct, et ses éléments constitutifs sont discutées sous les autres rubriques, plus ou moins comme membra disjecta. Même le plus grand de la Schoolmen, tels que Peter le Lombard et Thomas Aquinas, transmettre à la fois de la discussion de l’incarnation à celle de l’église et les sacrements. Qu’on pourrait appeler leur sotériologie se compose de deux chapitres, de Fide et de Poenitentia. L' opéra bona reçoivent également une attention considérable. Étant donné que le protestantisme a pris son départ de la critique et le déplacement de la conception catholique de la foi, la repentance et bonnes œuvres, c’était mais naturel que l’intérêt des réformateurs doit être centrée sur l’origine et le développement de la vie nouvelle en Christ. Calvin a été le premier à regrouper les différentes parties de l’ordre du Salut de manière systématique, mais même sa représentation, dit Kuyper, est plutôt subjective, puisqu’il insiste officiellement sur l’activité humaine plutôt que de la volonté divine. Plus tard les théologiens réformés corrigé ce défaut. Les représentations suivantes de l’ordre du Salut reflètent les conceptions fondamentales de la voie du Salut qui caractérisent les diverses églises depuis la réforme.
1. LA VUE RÉFORMÉE. Instance portant sur l’hypothèse que la condition spirituelle de l’homme dépend de son état, c'est-à-dire sur sa relation à la Loi; et que c’est seulement sur la base de la justice imputée de Jésus Christ que le pécheur peut être délivré de l’influence corruptrice et destructrice du péché, — sotériologie réformée prend son point de départ dans l’union, établi dans le pactum salutis entre le Christ et ceux que le père lui a donné, en vertu duquel il y a une éternelle imputation de la justice du Christ à ceux qui sont les siens. En vue cette préséance juridique sur la morale de certains théologiens, comme Maccovius, Comrie, A. Kuyper SR., et A. Kuyper Jr., commencer l' ordo salutis avec justification plutôt que de régénération. En faisant cela qu'ils appliquent la « justification » de nom également pour l’imputation idéale de la justice du Christ aux élus dans l’Éternel avocat de Dieu. Dr. Kuyper encore dit que les réformés diffèrent des luthériens qu’enseigne la première justification par justitiam Christi, alors que ces derniers représentent la justification par fidem comme l’achèvement des travaux du Christ. La grande majorité des théologiens réformés, cependant, tout en présupposant l’imputation de la justice du Christ dans le pactum salutis, discuter uniquement de justification par la foi dans l’ordre du Salut et naturellement prendre sa discussion dans connexion avec ou immédiatement après celui de la foi. Elles commencent l' ordo salutis avec régénération ou appel et ainsi mettre l’accent sur le fait que la demande de le œuvre rédemptrice du Christ est dans son incipiency une œuvre de Dieu. Elle est suivie d’une discussion de la conversion, dans lequel les travaux de régénération pénètre à la vie consciente du pécheur, et il se tourne de self, le monde et Satan, à Dieu. Conversion comprend le repentir et la foi, mais en raison de sa grande importance ce dernier est généralement traité séparément. La discussion de la foi conduit naturellement à celle de la justification, dans la mesure où cela est véhiculée à nous par la foi. Et parce que la justification place l’homme dans une nouvelle relation à Dieu, qui porte en elle le don de l’esprit d’adoption, et qui oblige l’homme à une obéissance nouvelle et aussi lui permet de faire la volonté de Dieu du fond du cœur, le œuvre de sanctification vient ensuite en considerati sur. Enfin, l’ordre du Salut est conclu avec la doctrine de la persévérance des saints et leur glorification finale.
Bavinck permet de distinguer trois groupes dans les bénédictions du Salut. Il commence par dire que le péché est culpabilité, la pollution et la misère, car il s’agit d’une rupture de l’Alliance des œuvres, une perte de l’image de Dieu et une soumission à la puissance de la corruption. Christ a donné nous de ces trois de ses souffrances, sa rencontre avec les exigences de la Loi et sa victoire sur la mort. Par conséquent, la bénédiction du Christ se composent dans ce qui suit: a il restaure la bonne relation de l’homme à Dieu et à toutes les créatures de justification, y compris le pardon des péchés, l’adoption d’enfants, la paix avec Dieu et la liberté glorieuse. (b) il renouvelle l’homme à l’image de Dieu par la régénération, appel interne, conversion, renouvellement et sanctification. (c) il préserve l’homme pour son héritage éternel, lui délivre de la souffrance et la mort et le met en possession du salut éternel de préservation, de persévérance et de glorification. Le premier groupe de bénédictions nous est accordé par l’illumination du Saint-Esprit, est accepté par la foi et définit notre conscience libre. La seconde est communiquée à nous par le travail de régénération de l’Esprit Saint, nous renouvelle et nous rachète de la puissance du péché. Et le troisième se jette à nous du préserver, guidant et sceller le travail de l’Esprit Saint comme le gage de notre rédemption complète et délivre nous, corps et âme, de la domination de la misère et la mort. Le premier groupe nous comme prophètes, le second, en tant que prêtres et le troisième, oint comme des rois. Dans le cadre de la première nous regardons en arrière au travail réalisé du Christ sur la Croix, où nos péchés ont été expiés; dans le cadre de la deuxième nous chercher à la vie éternel dans le ciel, qui, comme souverain sacrificateur, est assis à la droite du père; et dans le cadre de la troisième, nous nous réjouissons de l’arrivée future de Jésus Christ, dans lequel il soumet tous les ennemis et se rendra le Royaume au père.
Il y a certaines choses qui devraient garder à l’esprit dans le cadre de l' ordo salutis, tel qu’il apparaît dans la théologie réformée.
a. certains de ces termes ne sont pas toujours utilisés dans le même sens. Le terme justification est généralement limitée à ce qui s’appelle la justification par la foi, mais est parfois fait pour couvrir une justification objective des élus dans la résurrection de Jésus Christ et l’imputation de la justice du Christ sous le pactum salutis. Encore une fois, le mot régénération, qui maintenant généralement désigne cet acte de Dieu par lequel il donne le principe de la nouvelle vie de l’homme, est également utilisé pour désigner la nouvelle naissance ou la première manifestation de la nouvelle vie et dans la théologie de la dix-septième siècle fréquemment se produit sous le nom synonyme de conversion ou même de sanctification. Certains parlent d’elle comme conversion passive dans la distinction de conversion proprement dite, qui est ensuite appelée conversion active .
b. plusieurs autres distinctions méritent aussi l’attention. Nous devons distinguer soigneusement entre le judiciaire et le récréatif actes de Dieu, le premier (comme justification), altération de l’État et le second (comme régénération, conversion), la condition du pécheur; — entre le œuvre du Saint-Esprit dans le subconscient (régénération) et que dans la vie consciente (conversion); — entre ce qui se rapporte à la mise à l’extérieur du vieil homme (repentir, crucifiant le vieil homme) et ce qui constitue la mise sur du nouvel homme (régénération et dans la sanctification de la partie); — et entre le début de l’application de le œuvre de rédemption (dans la régénération et la conversion correcte) et la poursuite de celui-ci (en conversion quotidienne et sanctification).
c. en ce qui concerne les différents mouvements dans le travail d’application nous devons garder à l’esprit que le fortuit judiciaire constituent la base pour ses actes récréatifs, afin que la justification, mais pas dans le temps, est encore logiquement avant tout le reste; — que le travail de la grâce divine dans le subconscient, qui précède dans la vie consciente, afin que la régénération précède la conversion; — et que les actes judiciaires de Dieu (justification, y compris le pardon des péchés et l’adoption d’enfants) s’adressent toujours à la conscience, alors que des actes récréatif un, à savoir, la régénération, se déroule dans la vie subconsciente.
2. LA VUE LUTHÉRIENNE. Les luthériens, sans nier les doctrines de l’élection, l’union mystique et l’imputation de la justice du Christ, ne prennent pas leur point de départ dans l’un d'entre eux. Ils reconnaissent pleinement le fait que la réalisation subjective de le œuvre de rédemption dans les coeurs et les vies des pécheurs est une œuvre de la grâce divine, mais en même temps donner une représentation de l' ordo salutis , qui met l’accent sur ce qui se fait un < B11 > hominis parte (la part de l’homme) plutôt que sur ce qui se fait un parte Dei (de la part Dieu). Ils voir de foi d’abord un don de Dieu, mais en même temps faire foi, considéré surtout comme un principe actif chez l’homme et comme une activité de l’homme, le facteur déterminant le tout dans l’ordre du Salut. Pieper, dit: « So kommt denn von der Heilsaneignung alles darauf an, dass im Menschen der Glaube un das Evangelium entstehe. » Attention a déjà été appelée sur le fait que le caftan considère foi comme l’ensemble de l' ordo salutis. Cet accent mis sur la foi comme un principe actif est sans doute dû au fait que, dans la réforme luthérienne, la doctrine de la justification par la foi — souvent appelé le principe important de la réforme — est tout à fait au premier plan. Selon Pieper le luthérien prend son point de départ dans le fait que, dans le Christ Dieu est réconcilié avec le monde de l’humanité. Dieu annonce ce fait à l’homme dans l’Évangile et propose de mettre l’homme subjectivement en possession de ce pardon des péchés ou de justification qui a été forgée objectivement dans le Christ. Cet appel est toujours accompagné d’un certain degré d’illumination et d’accélération, afin que l’homme reçoit le pouvoir de ne pas résister à l’opération salvatrice du Saint-Esprit. Elle se traduit fréquemment par repentir, et cela peut émettre en régénération, par laquelle l’Esprit Saint confère le pécheur avec grâce salvatrice. Maintenant, tout cela, à savoir, appel, illumination, repentir et la régénération, sont vraiment seulement préparatoire, et sont strictement parlant pas encore bénédictions de l’Alliance de la grâce. Ils sont expérimentés en dehors de toute relation de vie à Christ et servent à conduire le pécheur à Christ. « Régénération est conditionnée par le comportement de l’homme en ce qui concerne l’influence exercée sur lui, » et donc « aura lieu en une seule fois ou progressivement, comme la résistance de l’homme est supérieure ou inférieure. » D’il homme serait doté d’une foi par laquelle il s’approprie le pardon épargne ou une justification qui est objectivement donnée dans le Christ, est adoptée comme un enfant de Dieu, est unie au Christ dans une union mystique et reçoit l’esprit de renouveau et de sanctification , le principe de la vie d’une vie d’obéissance. La possession permanente de toutes ces bénédictions dépend de la continuité de la foi, — sur une foi active la part de l’homme. Si l’homme continue de croire, qu'il a la paix et de joie, de vie et de Salut; mais s’il cesse d’exercer la foi, tout cela devient douteux, incertain et amissible. Il y a toujours une possibilité que le croyant va perdre tout ce qu’il possède.
3. L’OPINION CATHOLIQUE ROMAINE. Dans la théologie catholique la doctrine de l’église précède la discussion de l' ordo salutis. Enfants sont régénérés par le baptême, mais ceux qui d’abord se familiariser avec l’Évangile dans la vie postérieure recevront un sufficiens gratia, consistant en une illumination de l’esprit et un renforcement de la volonté. Homme peut résister à cette grâce, mais peut aussi rendre la sanction. S’il consent à lui, il se transforme en un gracieux co-operans, où l’homme travaille en collaboration afin de se préparer pour la justification. Cette préparation se compose de sept parties: (a) une croyant de l’acceptation de la parole de Dieu, (b) un aperçu de sa condition pécheresse, espoir (c) à la miséricorde de Dieu, (d) le début de l’amour de Dieu, (e) une horreur du péché, (f) une volonté d’obéir aux commandements de Dieu et (g) un désir pour le baptême. Il est évident que la foi n’occupe pas une place centrale ici, mais est simplement coordonnée avec les autres préparations. C’est simplement un avis intellectuel conforme aux doctrines de l’église (informis fides) et acquiert son pouvoir justifier que par l’amour qui est communiquée dans gratia infusa (fides caritate formata). Il peut être appelé justifiant la foi seulement dans le sens qu’il est le fondement et la racine de toute justification comme la première des préparations nommées ci-dessus. Après cette préparation justification elle-même fait suite au baptême. Il s’agit dans l’infusion de la grâce, de vertus surnaturelles, suivi par le pardon des péchés. La mesure de ce pardon est proportionnelle au degré où sin est réellement surmonter. Il faut avoir à l’esprit que la justification est donnée librement et n’est pas justifiée par la préparation précédente. Le don de la justification est préservé en obéissant aux commandements et en faisant de bonnes oeuvres. Dans gratia infusa homme reçoit la force surnaturelle pour faire de bonnes œuvres et par conséquent au mérite (avec un mérite de condigno, c'est-à-dire réel mérite) tout suite la grâce et la vie éternelle même. Le but de permettre à l’homme une fois de plus au salut de mérite sert ainsi de la grâce de Dieu. Mais il n’est pas certain que l’homme sera conservé pour le pardon des péchés. La grâce de la justification peut être perdue, non seulement par l’incrédulité, mais par le biais de n’importe quel péché mortel. Il peut être retrouvé, cependant, par le sacrement de pénitence, composé de contrition (ou attrition) et confession, ainsi que des œuvres de satisfaction et d’absolution. Tant la culpabilité du péché et punition éternelle sont supprimés par absolution, mais des peines temporelles peuvent être annulés que par les œuvres de satisfaction.
4. LA VUE ARMINIENNE (OU VUE ÉVANGÉLIQUE MODERNE). L’ordre arminienne du Salut ou vue évangélique moderne, tout en attribuant ostensiblement le œuvre du Salut de Dieu, il fait vraiment dépend de l’attitude et le travail de l’homme. Dieu ouvre la possibilité de Salut pour l’homme, mais il revient à l’homme pour améliorer la possibilité. L’arminienne considère l’expiation du Christ « comme une offrande et satisfaction pour les péchés du monde entier » (Pape), c'est-à-dire, pour les péchés de chaque individu de la race humaine. Il a nié que la culpabilité du péché d’Adam est imputée à tous ses descendants, et que l’homme est par nature totalement dépravée et donc incapable de faire tout spirituel du bien; et est d’avis que, bien que la nature humaine est sans doute blessée et s’est détériorée à la suite de la chute, l’homme est encore capable, par nature, à faire ce qui est bon spirituellement et à se tourner vers Dieu. Mais en raison de la partialité mal, la perversité et la lenteur de la nature pécheresse de l’homme, Dieu confère à elle aide gracieuse. Il accorde une grâce suffisante sur tous les hommes pour leur permettre, s’ils le souhaitent, de parvenir à la pleine possession de bénédictions spirituelles et finalement vers le salut. L’offre de l’Évangile vient à tous les hommes sans discernement et exerce une influence purement morale sur eux, alors qu’ils l’ont en leur pouvoir pour lui résister ou de céder à elle. S’ils cèdent à elle, ils se tourneront vers Christ dans la repentance et de foi. Ces mouvements de l’âme ne sont pas (comme dans le calvinisme) les résultats de la régénération, mais sont simplement introductifs à l’état de grâce correctement ce qu’on appelle. Quand leur foi s’arrête vraiment dans le Christ, cette foi est, dans un souci des mérites du Christ, qui leur est imputée à justice. Cela ne signifie pas que la justice de Christ est imputée à eux comme leur propre, mais que, compte tenu de ce que le Christ a fait pour les pécheurs, leur foi, ce qui implique le principe de l’obéissance, l’honnêteté de cœur et bonnes dispositions, est acceptée en remplacement un parfait obéissance et est compté pour eux pour la justice. Sur cette base, puis, elles sont justifiées, qui dans l’arminienne guichet généralement signifie simplement que leurs péchés sont pardonnés, et n’est pas qu’ils sont acceptés comme justes. Arminiens souvent mettre sous cette forme: le pardon des péchés est basé sur les mérites du Christ, mais acceptation par Dieu repose sur l’obéissance de l’homme à la loi ou l’obéissance évangélique. Foi non seulement sert à justifier, mais aussi pour régénérer les pécheurs. Il assure à l’homme la grâce d’obédience évangélique et, si autorisé à fonctionner dans la vie, émet dans la grâce de la persévérance. Toutefois, la grâce de Dieu est toujours résistible et amissible.
La soi-disant Wesleyan ou arminienne évangélique n’est pas entièrement conforme l’Arminianisme du XVIIe siècle. Sa position présente une plus grande affinité avec le calvinisme que ne le fait l’Arminianisme original, mais il est aussi plus incompatible. Il admet que la culpabilité du péché d’Adam est imputée à tous ses descendants, mais en même temps maintient que tous les hommes sont justifiés en Christ, et que par conséquent cette culpabilité est à la fois enlevée, à la naissance. Il admet l’entière dépravation de l’homme dans l’état de nature également, mais continue à insister sur le fait qu’aucun homme n’existe dans cet état de nature, étant donné qu’une application universelle de le œuvre du Christ par le Saint-Esprit, par lequel le pécheur est activé pour la coopération mangé avec la grâce de Dieu. Il met l’accent sur la nécessité d' un surnaturel (hyper-physique) œuvre de grâce pour effectuer du pécheur rénovation et sanctification. En outre, il enseigne la doctrine de la perfection chrétienne ou entière sanctification dans la vie présente. On peut ajouter que, bien que Arminius fait l’effusion sur l’homme d’une capacité à travailler en collaboration avec Dieu, une question de justice, Wesley considéré cela comme une question de pure grâce. C’est le type de l’Arminianisme qui nous viennent principalement en contact. Nous nous réunissons avec elle, non seulement dans l’église méthodiste, mais aussi dans les grandes sections d’autres églises et surtout dans les nombreuses églises laïc d’aujourd'hui.
II. l’opération du Saint-Esprit en général
A. DISPOSITION TRANSITOIRE À L'ŒUVRE DU SAINT-ESPRIT.
Comme déjà intime dans ce qui précède, en passant de la christologie de sotériologie, nous passons de l’objectif au subjectif, de le œuvre que Dieu a accompli pour nous dans le Christ et qui est sous son aspect sacrificiel un ouvrage fini, les travaux qui Il se rend compte que le temps passe sur le cœur et la vie des croyants, et dans lequel ils sont autorisés et également prévus, à coopérer. Et dans la construction de cette doctrine, aussi, nous devons être guidés par l’écriture. Dr. Bavinck attire l’attention sur une difficulté qui se pose ici, puisque la Bible semble enseigner d’une part que l’ensemble de le œuvre de rédemption est terminée dans le Christ, afin qu’il ne reste rien pour l’homme de le faire; et d’autre part, que la chose vraiment décisive doit encore être accompli dans et par l’homme. Son enseignement concernant la voie de la rédemption semble être autosoteric et heterosoteric. Il est donc nécessaire de se prémunir contre toute partialité et d’éviter les deux le Scylla de Nomism, tel qu’il apparaît dans le pélagianisme, semi pélagianisme, arminianisme et Neonomism et le Scylla de l’Antinomisme, comme il fait sa réapparition, parfois comme un spécifique doctrine et doctrinaux parfois comme une simple tendance, dans certains des sectes, comme les Nicolaïtes, les gnostiques alexandrin, les frères de l’esprit libre, les anabaptistes de la plus fanatique type, les adeptes d’Agricola, les Moraves et quelques-uns de la Plymouth frères. Nomism refuse le choix souverain de Dieu par lequel il a infailliblement déterminée, non sur la base de l’attitude prévu ou les œuvres des hommes, mais selon son bon plaisir, ce qui ne serait pas sauvé; rejette l’idée que le Christ par sa mort expiatoire, non seulement rendu le Salut possible, mais effectivement il garanti pour tous ceux pour qui il a donné sa vie, afin que la vie éternelle est dans le sens le plus absolu du mot un don gratuit de Dieu , et dans son effusion fond humain n’est pas prises en considération; et maintient, soit que l’homme peut se sauver sans l’aide du renouvellement grace (pélagianisme), ou pour y parvenir avec l’aide de la grâce divine (semi pélagianisme et arminianisme). D’autre part l’Antinomisme, qui est parfois dit être favorisée par l’hyper-calvinisme, tient que l’imputation de nos péchés au Christ lui faite personnellement un pécheur, et que l’application de sa justice nous nous fait personnellement justes, afin que Dieu voit aucun péché en nous plus; que l’union des croyants avec le Christ est une « union » de l’identité et les rend dans l’ensemble respectent un avec lui; que le travail de l’Esprit Saint est tout à fait inutile, puisque la rédemption du pécheur a été achevée sur la Croix, ou – encore plus extrême — que le œuvre du Christ était également inutile, étant donné que toute cette affaire a été réglée par le décret éternel de Dieu; que le pécheur est justifié dans la résurrection du Christ ou même à l’avocat de la rédemption et donc ne doit pas la justification par la foi ou reçoit dans ce qu’une déclaration d’une justification précédemment accomplie; et que croyants sont exempts de la Loi, pas seulement comme une condition de l’Alliance des œuvres, mais aussi comme une règle de vie. Elle nie pratiquement la personnalité et travail de l’Esprit Saint et, dans certains cas même l’expiation objective à travers Christ. L’expiation et la justification sont de toute éternité. Le pécheur repentant se déroule à tort sur l’hypothèse que Dieu est en colère contre lui et a simplement besoin d’informations sur ce point. En outre, il doivent être conscients que quelles que soient les péchés qu’il commette ne saurait affecter sa réputation avec Dieu.
L’écriture nous apprend à reconnaître une certaine économie dans le travail de création et de la rédemption et garantit notre parlant du père et de notre création, du fils et de notre rédemption et de l’Esprit Saint et notre sanctification. Le Saint-Esprit a non seulement une personnalité de la sienne, mais aussi une méthode particulière de travail; et c’est pourquoi nous devons distinguer entre le œuvre du Christ en méritant le salut et le travail de l’Esprit Saint en l’appliquant. Christ a rencontré les exigences de la justice divine et méritait toutes les bénédictions du Salut. Mais son travail n’est pas encore terminée. Il dans le ciel, afin de mettre ceux pour qui il a donné sa vie en possession de tout ce qu’il a mérité pour eux, poursuit-il. Même le travail d’application est une œuvre du Christ, mais un travail qu’il accomplit par l’intermédiaire du Saint-Esprit. Bien que ce travail se distingue dans l’économie de la rédemption comme une œuvre de l’Esprit Saint, il ne peut pas pour un instant être séparé de le œuvre du Christ. Il est ancré dans le œuvre rédemptrice de Jésus-Christ et cela porte à la fin et que sans la coopération des sujets de la rédemption. Christ lui-même souligne le lien étroit lorsqu’il dit: « mais quand il, l’esprit de vérité, est venu, il vous guidera dans toute la vérité: car il ne parlera pas de lui-même; mais qu’est-ce qu’il entendra, ceux-ci il parlera: et il doit vous annoncer les choses qui sont à venir. Il doit glorifier moi, parce qu’il prend de la mine et déclare qu’il te. » John 16:13, 14.
B. LES OPÉRATIONS GÉNÉRALES ET SPÉCIALES DE L’ESPRIT SAINT.
L’écriture montre clairement que pas toutes les opérations de l’Esprit Saint sont partie intégrante de le œuvre salvifique de Jésus Christ. Tout comme le fils de Dieu est non seulement le médiateur de la rédemption, mais aussi le médiateur de la création, l’Esprit Saint, comme représenté dans l’écriture, donc du dispositif, non seulement dans le œuvre de rédemption, mais aussi dans le travail de création. Naturellement, sotériologie se préoccupe de son oeuvre rédemptrice seulement, mais à sa bonne compréhension, il est hautement souhaitable de prendre un compte rendu de ses activités plus générales.
1. LES OPÉRATIONS GÉNÉRALES DE L’ESPRIT SAINT. C’est un fait bien connu que les distinctions trinitaire ne sont pas aussi clairement révélées dans l’ancien Testament comme dans le nouveau. Le terme « Esprit de Dieu, » telle qu’elle est employée dans l’ancien Testament, ne désigne pas toujours une personne et même dans les cas où l’idée personnelle est clairement présente, ne pas toujours précisément pointe à la troisième personne de la Sainte Trinité. Il est parfois utilisé au sens figuré pour désigner le souffle de Dieu, Job 32: 8; PS. 33: 6, et dans certains cas, est tout simplement un synonyme de « Dieu » PS. 139:7, 8; 40:13 d’Ésaïe. Il sert très souvent pour désigner la puissance de la vie, le principe qui provoque les créatures à vivre, et c’est d’une manière unique propre à Dieu. L’esprit qui habite dans les créatures, et dont dépend leur existence même, est de Dieu et lie à Dieu, Job 32: 8; 33: 4; 34: 14, 15; PS. 104; 29; 42:5 d’Ésaïe. Dieu est appelé « Dieu (ou, « Père ») des esprits de toute chair, » num. 16:22; 27: 16; Hébreux 12:9. Dans certains cas, il est évident que l’esprit de Dieu n’est pas une simple puissance, mais une personne. Le tout premier passage dans lequel l’esprit est mentionné, Genèse 1:2, déjà attire l’attention sur cette fonction qui donne la vie, et cela est précisé dans le cadre de la création de l’homme, Genèse 2:7. L’esprit de Dieu génère la vie et porte le œuvre créatrice de Dieu jusqu'à la fin, Job 33: 4; 34: 14, 15; PS. 104:29, 30; 42:5 d’Ésaïe. Il ressort clairement de l’ancien Testament que l’origine de la vie, sa maintenance et son développement dépendent de l’opération du Saint-Esprit. Le retrait de l’esprit signifie la mort.
Des expositions extraordinaires du pouvoir, les exploits de force et d’audace, sont également visées à l’esprit de Dieu. Les juges dont Dieu a ressuscité pour la délivrance d’Israël étaient évidemment hommes d’une capacité considérable et d’audace inhabituelle et la force, mais le vrai secret de leurs accomplissements pondent pas en eux-mêmes, mais à une puissance surnaturelle qui est venu sur eux. Il est dit à plusieurs reprises que « l’esprit de l’Éternel est venu (puissamment) sur eux, » JG 03:10; 06:34; 11:29; 13:25; 14:6, 19; 15:14. c’est l’esprit de Dieu qui leur a permis de travailler la délivrance pour le peuple. Il y a également une reconnaissance claire de l’opération du Saint-Esprit dans la sphère intellectuelle. Elihu parle de cela quand il dit: « mais il y a un esprit chez l’homme, et le souffle du tout-puissant leur donne la compréhension. » Job 32: 8. La perspicacité intellectuelle, ou la capacité de comprendre les problèmes de la vie, est attribuée à une influence éclairante de l’Esprit Saint. L’exacerbation du talent artistique est également attribuée à l’esprit du Seigneur, Exode 28: 3; 31: 3; 35: 30 et suiv. certains hommes, caractérisées par des dotations spéciales, étaient qualifiés pour le travail plus fin qui devait être fait dans le cadre de la construction du tabernacle et de l’ornement des vêtements sacerdotaux, cf. aussi Néh. 09:20. Encore une fois, l’esprit du Seigneur est représenté comme hommes de divers offices de qualification. L’esprit a été mis et s’est reposé, sur les soixante-dix qui ont été nommés pour aider Moïse à gouverner et à en juger le peuple d’Israël, num. 11:17, 25, 26. Il a également reçurent l’esprit de prophétie temporairement, pour attester de leur vocation. Joshua a été choisi comme successeur de Moïse, parce qu’il avait l’esprit du Seigneur, nombres 27: 18. Quand Saül et David étaient oints comme des rois, l’esprit du Seigneur descendit sur eux, à les qualifier pour leur tâche importante, j’ai Samuel 10:6, 10; 16:13, 14. Enfin, l’esprit de Dieu exploité aussi clairement dans les prophètes comme l’esprit de révélation. David dit: « L’esprit de Jéhovah parla par moi et sa parole était sur ma langue, » II Sam. 23:2. Néhémie témoigne en Néh. 09:30: « encore beaucoup d’années As tu garder avec eux et testifiedst contre eux par ton esprit à travers les prophètes: et pourtant ils ne donneraient pas oreille. » Ezéchiel parle d’une vision de l’esprit de Jéhovah, 11:24 et dans Zacharie 07:12, nous lisons: « Oui, ils ont fait leur cœur comme une pierre inflexible, peur qu’ils doivent entendre la Loi et les paroles que Jéhovah des armées avait envoyé dans son esprit par les premiers prophètes. » Cf. aussi je Rois 22:24; J’ai PET. 01:11; II Pierre 01:21.
2. LA RELATION ENTRE LES OPÉRATIONS GÉNÉRALES ET SPÉCIALES DE L’ESPRIT SAINT. Il y a une certaine similitude entre le général et les opérations spéciales de l’Esprit Saint. Par ses opérations générales il est originaire, maintient, renforce et guide toute vie organique, intellectuel et moral. Il fait cela de différentes manières et en harmonie avec les objets concernés. Quelque chose de semblable peut être dit de son opération spéciale. Dans la rédemptrice sphère il est originaire de la nouvelle vie, il fructifie, il oriente son développement et l’amènent à son destin. Mais malgré cette similitude, il y a néanmoins une différence fondamentale entre les actions de l’Esprit Saint dans le domaine de la création et celles en matière de rachat ou de la re-création. Dans l’ancien il est originaire, entretient, développe et oriente la vie de la création naturelle, retient pour l’instant l’influence dévastatrice et de détérioration du péché dans la vie d’hommes et de la société et permet aux hommes de maintenir un certain ordre et décorum dans leur vie en commun, à faire ce qui est en apparence bon et juste dans leurs relations les uns aux autres et à développer les talents dont ils ont été dotés lors de la création. Dans le second, en revanche, il est originaire, entretient, développe et oriente la vie nouvelle qui est née d’en haut, est nourrie par le haut et sera rendue parfaite ci-dessus, — une vie qui est céleste, en principe, mais a vécu sur terre. Par son opération spéciale du Saint-Esprit vaincra et détruit la puissance du péché, renouvelle l’homme à l’image de Dieu et lui permet de rendre obéissance spirituelle à Dieu, pour être le sel de la terre, la lumière du monde et un levain spirituel dans toutes les sphères de la vie. Tandis que le travail de l’Esprit Saint dans la création, en général, a sans doute une certaine signification indépendante, il est encore fait subordonné à le œuvre de rédemption. Toute la vie des élus, également qui précédant leur nouvelle naissance, est déterminé et gouvernée par Dieu en vue de leur destination finale. Leur cycle de vie naturel est donc réglementée que, lorsqu’il est renouvelé, il répondra au but de Dieu.
C. LE SAINT ESPRIT COMME DISTRIBUTEUR DE LA GRÂCE DIVINE.
Comme l’Alliance dans laquelle Dieu a fait provision pour le salut des pécheurs s’appelle l’Alliance de grâce, et que le médiateur de l’Alliance est censé sont apparus « pleine de grâce, » afin que nous pouvons recevoir dans sa plénitude « grâce pour grâce « John 01:16, 17, donc l’Esprit Saint est appelé « l’esprit de grâce, » depuis qu’il prend « la grâce du Christ » et lui confère sur nous.
1. L’UTILISATION BIBLIQUE DU TERME « GRACE ». La mot « grâce » n’est pas toujours utilisée dans le même sens dans l’écriture, mais il a une variété de significations. Dans l’ancien Testament, nous avons le mot chen (adj. chanun), de la racine chanan. Le nom peut signifier grâce ou beauté, Prov. 22:11; 31: 30, mais la plupart signifie généralement la faveur ou la bonne-va. L’ancien Testament parle à plusieurs reprises de trouver faveur aux yeux de Dieu ou de l’homme. La faveur a donc trouvé porte en lui l’effusion des faveurs ou des bénédictions. Cela signifie que la grâce n’est pas une qualité abstraite, mais est un actif, en principe, de fonctionnement qui se manifeste dans les actes bienfaisants, Genèse 6:8; 19:19; 33: 15; Exode 33: 12; 34: 9; J’ai Sam 01:18; 27: 5; Esther 2:7. L’idée fondamentale, c’est que les bénédictions gracieusement accordées sont librement donnée et pas en tenant compte de toute réclamation ou le mérite. Le Nouveau Testament mot charis, de chairein, « se réjouir », désigne le premier tous un aspect extérieur agréable, «beauté, » «amabilité, » «acceptabilité, » et a une telle signification dans Luc 04:22; Colossiens 4:6. Un rôle plus important sens du mot, cependant, est favorable ou bon-sera, Luc 01:30; 02:40, 52; Actes à 02:47; 07:46; 24:27; 25:9., il peut signifier la bonté ou la bienveillance de notre Seigneur, II Corinthiens 8:9 ou la faveur qui se manifeste ou conféré par Dieu, II Corinthiens 9:8 (se référant aux bénédictions matérielles); J’ai PET. 05:10. Par ailleurs, le mot est expressif de l’émotion, réveillée en plein cœur du destinataire de ces faveurs et acquiert ainsi le sens «reconnaissance» ou la «gratitude, » Luke 04:22; J’ai Cor. 10:30; 15:57; II Corinthiens 02:14; 08:16; J’ai Timothée 01:12. Dans la plupart des passages, cependant, dans lequel le mot charis est utilisé dans le Nouveau Testament, elle signifie l’opération imméritée de Dieu dans le cœur de l’homme, effectuée par l’intermédiaire de l’Office du Saint-Esprit. Alors que nous parlons parfois de grâce comme une qualité intrinsèque, il est en réalité la communication active des bénédictions divines de l’inworking de l’Esprit Saint, de la plénitude de celui qui est « pleine de grâce et de vérité, » Rom. 03:24; 5:2, 15, 17,20; 6:1; J’ai Cor. 1:4; II Corinthiens 6:1; 8:9; Éphésiens 1:7; 2:5, 8; 3:7; I Pierre 3:7; 05:12.
2. LA GRÂCE DE DIEU DANS L'ŒUVRE DE RÉDEMPTION. Une discussion de la grâce de Dieu en relation avec le œuvre de rédemption à nouveau réclame plusieurs distinctions, qui devraient garder à l’esprit.
a. en premier lieu, la grâce est un attribut de Dieu, une des perfections divines. C’est la faveur imméritée, libre, souverain ou l’amour à l’homme, dans son état de péché et la culpabilité, qui se manifeste dans le pardon du péché et de la délivrance de son châtiment de Dieu. Elle est liée à la miséricorde de Dieu par opposition à sa justice. Il s’agit de la grâce rédemptrice dans le sens le plus fondamental. C’est la cause ultime du dessein élective de Dieu, de la justification du pécheur et de son renouveau spirituel; et la source prolifique de toutes les bénédictions spirituelles et éternelles.
b. en second lieu de que le terme « grâce » est utilisé comme une désignation de l’objectif la disposition que Dieu fait dans le Christ pour le salut de l’homme. Christ en tant que le Médiateur est l’incarnation même de la grâce de Dieu. « Le mot s’est fait chair et a habité parmi nous... plein de grâce et de vérité, » John 01:14. Paul a l’apparition du Christ dans l’esprit, lorsqu’il dit: « car la grâce de Dieu a paru, apportant le Salut à tous les hommes, » Tite 02:11. Mais le terme est appliqué non seulement à ce que le Christ est, mais aussi à ce qu’il méritait d’être pour les pécheurs. Quand l’Apôtre parle à plusieurs reprises dans les salutations de la fermeture de ses épîtres de « la grâce de notre Seigneur Jésus Christ », il a en tête la grâce dont Christ est la cause méritoire. Jean dit: « la loi a été donnée par Moïse, mais la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ, » John 01:17. Cf. aussi Éph. 2:7.
c. en troisième lieu, la mot « grâce » est utilisée pour désigner les faveurs de Dieu tel qu’il se manifeste dans l’application de le œuvre de rédemption par le Saint-Esprit. Il est appliqué à la grâce que nous recevons comme justification, un pardon donné librement par Dieu, Rom. 03:24; 5:2, 21; Tite 03:15. Mais en plus de cela, c’est aussi un nom complet pour tous les dons de la grâce de Dieu, la bénédiction du Salut et les grâces spirituelles qui sont travaillés dans le cœur et la vie des croyants par l’opération du Saint-Esprit, actes 11:23; 18:27; ROM. 05:17; I Corinthiens 15:10; II Corinthiens 09:14; Éphésiens 4:7; Jas. 4:5, 6; I Pierre 3:7. En outre, il y a des indications claires sur le fait qu’il n’est pas une simple passive qualité, mais aussi la force active, une puissance, quelque chose qui travaille, I Cor. 15:10; II Corinthiens 12:9; II Timothée 2:1. En ce sens du mot c’est quelque chose comme un synonyme de l’Esprit Saint, afin qu’il y a peu de différence entre « plein de l’Esprit Saint » et « pleine de grâce et de puissance » dans Actes 6:5 et 8. L’Esprit Saint est appelé « l’esprit de grâce » en Hébreux 10:29. C’est surtout dans le cadre de l’enseignement de l’écriture concernant l’application de la grâce de Dieu au pécheur par le Saint-Esprit, que la doctrine de la grâce a été développée dans l’église.
3. LA DOCTRINE DE LA GRÂCE DANS L’ÉGLISE. Les enseignements des écritures concernant la grâce de Dieu insistent sur le fait que Dieu distribue ses bienfaits aux hommes d’une manière libre et souveraine, et non en tenant compte de tout mérite intrinsèque des hommes; que les hommes doivent toutes les bénédictions de la vie à un Dieu bienveillant, indulgent et patience; et surtout que toutes les bénédictions de le œuvre du Salut sont libre de Dieu et ne sont en aucun cas déterminées par les mérites supposés des hommes. Cela est clairement exprimé par Paul dans les termes suivants: « pour par grâce avez vous été sauvés par la foi; et que pas de vous-mêmes, c’est le don de Dieu; pas de travaux, qu’aucun homme ne devrait la gloire, » Éphésiens 2:8, 9. Il insiste fortement sur le fait que le salut n’est pas par les œuvres, Rom. 03:20-28; 04:16; GAL 02:16.
Cette doctrine ne vont pas tout à fait incontestée. Dans certains des premiers pères de l’église, en particulier de l’église d’Orient, nous rencontrons déjà une souche du moralisme qui n’est pas en harmonie avec l’accent de Pauline. La tendance qui est apparente dans cette partie de l’église, a finalement abouti à pélagianisme. Conception des Pelagius de grâce était plutôt inhabituelle. Selon Wiggers, il comprenait sous la grâce: (a) « le pouvoir de faire le bien (possibilitas boni), et donc en particulier gratuite sera elle-même. » (b) « la révélation, la Loi et l’exemple du Christ, par laquelle la pratique de la vertu est rendue plus facile pour l’homme. » (c) « notre alors déployés à pouvoir, par nos propres sera de s’abstenir du péché, et de Dieu en nous donnant l’aide de sa loi et ses commandes et en son pardonnant les péchés antérieurs de ceux qui reviennent à lui. » (d) « Supernatural influences sur le chrétien, par laquelle sa compréhension est éclairée et la pratique de la vertu est rendue facile pour lui. » Il a ne reconnu aucune opération directe de l’esprit de Dieu sur la volonté de l’homme, mais seulement une opération indirecte sur la volonté par le biais de la conscience illuminée. Selon lui, l’opération de la grâce de Dieu était principalement, mais non exclusivement, externes et naturel. En opposition à la vue pélagienne, celui d’Augustin est souvent désignée comme « la théologie de la grâce. » Alors qu’Augustin a admis que la mot « grâce » pourrait servir dans un sens plus large (grâce naturelle), et que, même dans l’état d’intégrité, c’est la grâce de Dieu qui a permis à Adam de conserver sa droiture, son accent est toujours sur la grâce comme le don de Dieu à homme déchu, qui se manifeste dans le pardon du péché et dans le renouvellement et la sanctification de la nature humaine. Compte tenu de la corruption totale de l’homme, il considère cette grâce tant qu’il est absolument nécessaire au salut. Il est forgé chez l’homme par l’opération du Saint-Esprit, qui habite et travaille dans les élus et le principe de toutes les bénédictions du Salut. Il a établi une distinction entre le fonctionnement ou prévenante, et la grâce de la co-operating ou ultérieure . Le premier permet la volonté de choisir le bien, et celui-ci travaille en collaboration avec la volonté déjà activée, à faire le bien. Dans sa lutte avec le pélagianisme semi Augustine a souligné le caractère tout à fait gratuit et irrésistible de la grâce de Dieu.
Dans les luttes ultérieures la doctrine augustinienne de la grâce était seulement en partie victorieuse. Seeberg s’exprime comme suit: « ainsi la doctrine de la « grâce seule » est sorti victorieuse; mais la doctrine augustinienne de la prédestination est abandonnée. La Grâce irrésistible de la prédestination a été conduite sur le terrain par la grâce sacramentelle du baptême. » Pendant le moyen âge les scolastiques accordé une attention considérable au sujet de la grâce, mais ne pas toujours d’accord quant aux modalités de la doctrine. Certains s’approcha l’augustinienne et autres la conception Semi-pélagienne de grâce. En général on peut dire qu’ils ont conçu de grâce médiatisée par les sacrements, et qu’ils ont cherché à combiner avec la doctrine de la grâce une doctrine du mérite qui compromet gravement l’ancien. L’accent était pas sur la grâce comme la faveur de Dieu montre aux pécheurs, mais sur la grâce comme une qualité de l’âme, qui peut-être être considérés comme les deux incréée (c'est-à-dire, comme le Saint Esprit), comme increated ou corroyés dans le cœur des hommes par le Saint-Esprit. Cela infusé grâce est fondamentale pour le développement des vertus chrétiennes et permet à l’homme d’acquérir du mérite avec Dieu, à la grâce plue de mérite, bien qu’il ne peut mériter la grâce de la persévérance. Cela ne peut être obtenue comme un don gratuit de Dieu. La scolastique n’a pas, comme Augustine, maintenu le lien logique entre la doctrine de la grâce et la doctrine de la prédestination.
Les réformateurs revint à la conception augustinienne de la grâce, mais d’éviter son sacramentarisme. Ils a mis l’accent une fois de plus sur la grâce comme la faveur imméritée de Dieu montré aux pécheurs et il représentent d’une manière qui exclut tout mérite la part du pécheur. Smeaton, dit: « le terme grace, qui, dans l’acception de Augustine a laissé entendre l’exercice vers l’intérieur de l’amour, réveillé par les opérations de l’Esprit Saint (Romains 5:5), et qui, dans la théologie scolastique était venu pour désigner une qualité de l’âme, ou l’intérieur dotations et habitudes infusées de foi, l’amour et l’espoir, a été maintenant prise en plus scripturaire et plus large sens pour le libre, l' efficace faveur qui est dans l’Entendement divin. » Alors que les réformateurs utilisé le terme de grâce dans le cadre de la justification, dans autres connexions ils souvent utilisé l’expression, « le travail de l’Esprit Saint, » plutôt que le terme de grâce. Tandis qu’ils tous a souligné grâce au sens de l’interne et sauver l’opération du Saint-Esprit, Calvin en particulier a développé l’idée de grâce commune, autrement dit, une grâce qui, bien qu’il soit l’expression de la faveur de Dieu, n’a pas un effet salvateur. Selon l’étude historico-dogme splendide de Dr H. Kuiper sur Calvin sur Common Grace, , il a même distingue trois sortes de grâce commune, à savoir universel commun grâce, grâce commune général et Alliance commune grâce. Les arminiens a quitté la doctrine de la réforme sur ce point. Selon eux Dieu donne la grâce (commune) suffisante à tous les hommes et ce qui leur permet de se repentir et de croire. Si la volonté humaine est d’accord ou coopère avec l’Esprit Saint et l’homme réellement se repente et croit, Dieu confère à l’homme la grâce supplémentaire d’obédience évangélique et la grâce de la persévérance. Ainsi, le travail de la grâce de Dieu est fait au dépend du consentement de la volonté de l’homme. Il n’y a aucune telle chose comme la Grâce irrésistible. Smeaton est dit dans l’ouvrage déjà cité: « il a été décidé que tout le monde pouvait obéir ou résister; que la cause de la conversion n’était pas le Saint-esprit tant que l’homme aura souscrit ou coopérant; et que c’était la cause immédiate de la conversion. » Amyraldus de l’école de Saumur n’a pas vraiment amélioré la position arminienne par sa prise en charge, dans le cadre de l’arrêté générale du Dieu, que le pécheur, bien que dépourvu de la capacité morale, pourtant, a la capacité naturelle à croire, une distinction malencontreuse, qui a été également prise en Nouvelle-Angleterre par Edwards, Bellamy et Fuller. Pajon, disciple de Amyraldus, a nié la nécessité de le œuvre du Saint-Esprit dans l’éclairage intérieur des pécheurs, afin de leur conversion salvatrice. La seule chose qu’il considérait comme nécessaire était que la compréhension, qui a en soi une suffisance des idées claires, doit être frappée par la lumière de la révélation extérieure. L’évêque Warburton dans son ouvrage sur La Doctrine de la grâce, au office ou à des opérations de l’Esprit Saint ne connaît aucune grâce salvatrice dans l’acception du mot, mais limite la mot « grâce » aux opérations extraordinaires de l’esprit dans la âge apostolique. Et Junckheim dans son ouvrage important a nié le caractère surnaturel de le œuvre de Dieu dans la conversion du pécheur et affirmé que la force morale du mot effectué tous. La Renaissance méthodiste en Angleterre et le Grand réveil dans notre propre pays ont apporté avec eux une restauration de la doctrine de la grâce salvatrice, mais dans certains cas teinté plus ou moins d’arminianisme. Pour Schleiermacher, le problème de la culpabilité du péché était pratiquement inexistant, puisqu’il a nié l’existence objective de la culpabilité. Et par conséquent il connaît peu ou rien de la grâce salvatrice de Dieu. Mackintosh, dit: « cette vérité biblique centrale (de la divine miséricorde pour les pécheurs) Schleiermacher la plupart du temps passe sous silence, ou mentionne seulement de manière superficielle qui montre combien peu il le comprend. » La doctrine de la grâce divine est aussi nécessairement obscurcie dans la théologie de Albrecht Ritschl. Et il peut être considéré comme caractéristique de l’ensemble de la théologie libérale moderne, qui met l’accent sur la bonté de l’homme, qu’il a perdu de vue la nécessité de la grâce salvatrice de Dieu. Le mot « grace » a progressivement disparu de la parole écrite et parlée de beaucoup de théologiens, et beaucoup des gens du commun de nos jours n’attachent aucune autre signification à ce terme à celui de la grâce ou la bienveillance. Otto même attire l’attention sur elle dans son travail sur The Idea of the Holy que les gens ne parviennent pas à détecter le sens profond du mot. La théologie de crise a le mérite d’avoir souligné de nouveau la nécessité de la grâce divine, de sorte que le mot vient une fois de plus dans l’usage.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Sur quels éléments de l' ordo salutis l’accent est-il tombé dans les trois premiers siècles ? Dans quelle mesure ces siècles a révélé une dérive vers le moralisme et funéraires ? Comment la doctrine de la justification a été comprise ? Comment Augustine concevoir ? Quelle était sa conception de la foi ? Combien de types de grâce il distinguer ? Ne grâce excluait tout mérite dans son système ? Il a fait concevoir de la grâce salvatrice comme amissible ? Quels facteurs ont favorisé le développement de la doctrine des bonnes œuvres ? Comment les scolastiques ne représentaient pas la doctrine de la justification ? Comment l' ordo salutis tarif dans les mains des Antinomiens ? Comment les neonomians rationalistes et piétiste concevoir ? Quels autres que les opérations de sauvegarde sont attribuées à l’Esprit Saint dans l’écriture ? Quelles sont les différentes significations du mot « grâce » dans l’écriture ? Ce qu’il désigne dans le cadre de le œuvre de rédemption ? Quelle est la relation entre les doctrines de libre arbitre et la grâce dans l’histoire ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. III, pp. 551-690; Kuyper, Dict. dogme., De Salute, pp. 15-20; McPherson, Chr. dogme., pp. 367-371; Caftan, Dogmatik, pp. 525-532, 651-661; Warfield, le Plan du Salut; Seeberg, Heilsordnung (Art. dans de Hauck Realencyclopaedie); Pieper, Christl. Dogme. II, p... 473-498; H. Schmid, Doct. THEOL., p. 413-416; K. Dijk, Heilsorde (Art. in Chr. Enc.); Pape, Chr. Theol. II, pp. 348-367; Neil, Grace (Art. dans un dictionnaire Protestant); Easton, Grace (Art. dans le stagiaire . Bible standard Ec.); Smeaton, la Doctrine du Saint-Esprit, pp. 1-99, 291-414; Buchanan, la Doctrine de la Justification, pp. 339-364; Moffatt, Grace dans le Nouveau Testament; Bryan, W. S., une enquête sur la nécessité de la grâce de Dieu.
III. Grâce Commune
Dans le cadre des activités générales de l’Esprit Saint l’objet d’une grâce commune réclame également une attention. Il devrait être entendu, toutefois, que théologie réformée ne pas, comme la théologie arminienne, considère la doctrine de la grâce commune dans le cadre de la sotériologie. En même temps, il reconnaît un lien étroit entre les opérations de l’Esprit Saint dans la sphère de la création et dans celui de la rédemption et estime donc qu’ils ne devraient pas entièrement dissociées.
A. ORIGINE DE LA DOCTRINE DE LA GRÂCE COMMUNE.
1. LE PROBLÈME AVEC LESQUELLES ELLE TRANSIGE. L’origine de la doctrine de la grâce commune a été occasionnée par le fait qu’il y a dans le monde, aux côtés du cours de la vie chrétienne avec toutes ses bénédictions, un cours naturel de la vie, qui n’est pas rédemptrice et présente encore des traces de la véritable , le bon et le beau. La question se pose, comment peut-on expliquer la durée de vie relativement ordonnée dans le monde, vu que tout le monde se trouve sous la malédiction du péché ? Comment se fait-il que la terre donne fruit précieux en abondance riche et n’apporte pas de simplement suite épines et des chardons ? Comment pouvons nous en rendre compte que l’homme pécheur encore « conserve quelques connaissance de Dieu, des choses naturelles et de la différence entre le bien et le mal et montre certains considèrent pour la vertu et pour bonne conduite vers l’extérieur » ? Quelle explication peut être donnée des cadeaux spéciaux et talents avec dont est doté l’homme naturel et du développement de la science et l’art de ceux qui sont totalement dépourvues de la vie nouvelle qui est en Jésus-Christ ? Comment peut-on expliquer les aspirations religieuses des hommes partout, même de ceux qui n’est pas entré en contact avec la religion chrétienne ? Comment le régénéré toujours dire la vérité, faites du bien à d’autres et mener une vie vertueuse extérieurement ? Voici quelques-unes des questions auxquelles la doctrine de la grâce commune vise à fournir la réponse.
2. L'ATTITUDE AUGUSTIN À CE PROBLÈME. Augustin n’enseignait pas la doctrine de la grâce commune, bien qu’il n’a pas utilisé le mot « grâce » exclusivement comme une désignation de la grâce salvatrice. Il a parlé d’une grâce qui Adam apprécié avant l’automne et même admis existant de l’homme comme un être vivant, sensible et rationnelle pourrait appeler grace. Mais vis-à-vis de Pélage, qui a souligné la capacité naturelle de l’homme et ne reconnu aucune autre grâce que celui consistant à la dotation en ressources naturelles de l’homme, la Loi et l’Évangile, l’exemple du Christ et l’illumination de la compréhension par une influence gracieuse de Dieu, — il a souligné l’incapacité totale de l’homme et de sa dépendance absolue sur la grâce de Dieu comme interne renouvelant la puissance, qui non seulement illumine l’esprit mais aussi agit directement sur la volonté de l’homme, soit comme d’exploitation, soit comme une grâce qui coopèrent. Il emploie le mot « grâce » presque exclusivement dans ce sens et considère cette grâce comme la condition nécessaire à l’accomplissement de chaque acte bon. Lorsque les pélagiens a souligné les vertus des païens, qui « seulement par le biais de la puissance de la liberté innée » ont souvent étaient Miséricordieux, discret, chaste et tempéré, il a répondu que ces soi-disant vertus ont été péchés, parce qu’ils ont ne pas printemps de la foi. Il admet que les païens puissent accomplir certains actes qui sont en soi bonne et d’un point de vue plus bas même louable, mais encore considère ces actes, comme les actes de personnes régénérés, comme péché, parce qu’ils ne font pas printemps le motif de l’amour de Dieu ou de la foi et ne répondent pas à la bonne fin, la gloire de Dieu. Il nie que ces actes sont le fruit de toute bonté naturelle chez l’homme.
3. L’OPINION QUI EST MISE AU POINT AU COURS DU MOYEN-ÂGE. Pendant le moyen âge les Augustins antithèse du péché et la grâce a fait place à celle de la nature et la grâce. Cela est basé sur un autre antithèse qui joua un rôle important dans la théologie catholique, à savoir, que du naturel et le surnaturel. Dans l’état d’intégrité homme était doté de Don surnaturel de la justice original, qui a servi d’une bride de tenir la nature inférieure en échec. À la suite de la chute, homme a perdu ce don surnaturel, mais sa nature réelle est resté ou était mais légèrement touchés. Mis au point un biais pécheresse, mais cela n’interdit pas l’homme de produire beaucoup de ce qui est vrai, bon et beau. Cependant, sans l’infusion de la grâce de Dieu, tout cela ne suffisait pas pour un donner une réclamation à la vie éternelle. Dans le cadre de l’antithèse du naturel et le surnaturel, l’église catholique romaine a développé la distinction entre les vertus morales de l’humilité, l’obéissance, humilité, libéralité, tempérance, chasteté, et preuve de diligence pour ce qui est bon, que les hommes peuvent gain pour eux-mêmes par leur propre travail et à l’aide en temps opportun de la grâce divine; et les vertus théologales de foi, l’espérance et la charité, qui sont infusées dans l’homme par la grâce sanctifiante. Anabaptisme et Socinianisme souffrent de l’antithèse même, mais avec la distinction que l’ancien exalte grace au détriment de la nature, alors que ce dernier exalte la nature au détriment de la grâce.
4. LA POSITION DES RÉFORMATEURS ET DE LA THÉOLOGIE RÉFORMÉE. Sur ce point, comme sur certains autres points de doctrine, Luther n’a pas entièrement échappé le levain du catholicisme. Alors qu’il a fait revenir à l’antithèse augustinienne du péché et la grâce, il fait une distinction frappante entre la sphère terrestre inférieure et la sphère spirituelle plus élevée et soutenu que l’homme déchu est par nature capable de faire beaucoup de bon et louable dans l’angle inférieur ou terrestre sphère, bien qu’il soit tout à fait incapable de faire le tout spirituel bien. Lançant un appel à Augustine, la Confession d’Augsbourg enseigne « que la volonté de l’homme a quelque liberté de travailler à une justice civile et de choisir des choses telles que la raison peut atteindre jusqu'à; mais qu’il n’a aucun pouvoir pour travailler la justice de Dieu. » à l’Article contient une citation d’Augustin, dans lequel beaucoup de bonnes œuvres se rapportant à la vie présente, qui peut faire l’homme naturel, sont nommées. Zwingli conçu du péché comme la pollution plutôt que la culpabilité et par conséquent considéré la grâce de Dieu, sanctifiant, plutôt que l’amnistie, grâce. Cette influence sanctifiante, qui ont pénétré dans une mesure encore dans le monde païen, les comptes pour le vrai, le bon et le beau dans le monde. Calvin ne concorde pas avec la position de Luther, ni avec celle de Zwingli. Il maintient fermement que l’homme naturel peut se faire pas bon travail quelconque et fortement insisté sur la nature particulière de la grâce salvatrice. Il a développé à côté de la doctrine de la grâce particulière la doctrine de la grâce commune. Il s’agit d’une grâce qui est communal, ne pardonnent ni purifier la nature humaine et n’affecte pas le salut des pécheurs. Il freine la puissance destructrice du péché, maintient dans une certaine mesure l’ordre moral de l’univers, rendant ainsi possible une vie rangée, distribue à divers degrés dons et talents chez les hommes, favorise le développement de la science et art et bénédictions innombrables douches les enfants des hommes. Depuis l’époque de Calvin la doctrine de la grâce commune est généralement reconnue dans la théologie réformée, mais il a également rencontré une opposition occasionnelle. Pendant longtemps, cependant, peu a été fait pour développer la doctrine. C’était selon toute probabilité due au fait que la montée et la prévalence du rationalisme rendent nécessaire mettent tous l’accent sur la grâce spéciale. Jusqu’au présent Kuyper et Bavinck a fait plus que tout autre pour le développement de la doctrine de la grâce commune.
B. NOM ET CONCEPT DE LA GRÂCE COMMUNE.
1. LE NOM. Le nom « commun grace » comme une désignation de la grâce en cours d’examen ne peut pas dire devoir son origine à Calvin. Dr H. Kuiper dans son ouvrage sur Calvin sur Common Grace a dit qu’il a trouvé seulement quatre passages dans les œuvres de Calvin en servant l’adjectif « commun » avec le nom « grace » et deux d'entre eux que le réformateur parle de la grâce salvatrice. Au plus tard la théologie réformée, cependant, le nom gratia communis est entré en usage général pour exprimer l’idée que cette grâce s’étend à tous les hommes, contrairement à la gratia particularis qui est limité à une partie de l’humanité, à savoir aux élus. En cours de temps, il est devenu évident que le terme « communis » admis des interprétations diverses. En théologie néerlandaise, il est souvent considéré comme équivalent à « général », et ainsi il est devenu habituel de parler de « grâce générale » (algemeene genade) aux Pays-Bas. Strictement parlant, cependant, le terme communis, telle qu’appliquée à la grâce, tout en laissant entendre qu’il est en général dans un certain sens de la parole, insiste sur le fait que cette grâce est communale, c'est-à-dire possédé en commun par toutes les créatures, par tous les hommes ou par ceux qui vivent sous l’administration de l’Évangile. Ainsi le Dr H. Kuiper classifie la grâce commune dont Calvin parle sous trois chefs, à savoir: (1) Universal Common grâce, une grâce qui s’étend à toutes les créatures; (2) général commun Grace, c’est une grâce qui s’applique à l’humanité en général et à tous les membres de la race humaine; et (3) Alliance commune grâce, une grâce qui est commune à tous ceux qui vivent dans la sphère de l'Alliance, qu’elles appartiennent aux élus ou non. Il est tout à fait évident que théologiens réformés également subsumées sous le terme « commune grace » une grâce qui n’est pas générale, à savoir, les privilèges externes de ceux qui vivent sous l’administration de l’Évangile, dont la vocation universelle externe. Dans le même temps, ils soulignent que cette grâce, à la différence générale commune disgrâce, appartienne à l’économie de la rédemption. Enfin, il est à noter que le terme gratia communis sont susceptibles d’être et a effectivement reçu, non seulement un quantitatif, mais aussi une interprétation qualitative. Il peut dénoter une grâce qui est commune au sens de l’ordinaire. L’ordinaire, à la différence de la spéciale, opérations du Saint-Esprit sont appelées communes. Ses opérations naturelles ou habituelles sont en contraste avec celles qui sont inhabituels et surnaturel. C’est le sens du terme « commun » dans la Confession de Westminster X. 4; et le Westminster plus grand catéchisme, Q. 60. W. L. Alexander déclare la commune grâce apprécié par ceux qui vivent dans l’Évangile: « la grâce donnée ainsi est fréquent, pas dans le sens d’être donné à tous les hommes en commun, mais dans le sens de produire des effets qui sont ordinaires et peuvent n’apportent pas une réelle économie ef ficacy. » Ainsi comprise, la grâce de Dieu peut être commune sans être général ou universel.
2. LE CONCEPT. La distinction entre grace commun et spéciaux n’est pas celui qui s’applique à la grâce comme un attribut de Dieu. Il n’y a pas deux sortes de grâce à Dieu, mais un seul. C’est cette perfection de Dieu en vertu de laquelle il montre imméritée et confisqués même favorables à l’homme. Cette une grâce de Dieu se manifeste, toutefois, dans les opérations et les différents cadeaux. La manifestation la plus riche de celui-ci est vu dans ces opérations gracieuses de Dieu qui visent à et causer la suppression de la culpabilité, la pollution et la punition du péché et l’ultime Salut des pécheurs. Mais tout cela est le œuvre de couronnement de la grâce de Dieu, il n’est pas sa seule manifestation. Il apparaît également dans les bénédictions physiques dont douches de Dieu à l’homme dans la vie présente, malgré le fait que l’homme a perdu eux et se trouve sous la peine de mort. On le voit dans tout ce que Dieu fait à restreindre l’influence dévastatrice et le développement du péché dans le monde et afin de maintenir et d’enrichir et de développer la vie naturelle de l’humanité en général et des personnes qui constituent la race humaine. Il convient de souligner que ces bienfaits naturels sont des manifestations de la grâce de Dieu à l’homme en général. Certains préfèrent dire qu’ils sont des expressions de sa bonté, bienveillance, bonté, miséricorde, ou patience, mais semblent oublier qu’il ne pouvait être bon, aimable ou bienveillant pour le pécheur à moins qu’il était premier de toute gracieuse. Il faut avoir à l’esprit, cependant, que le terme gratia communis, quoique généralement désignant une grâce qui est commun à l’ensemble de l’humanité, est aussi utilisé pour désigner une grâce qui est commune aux élus et non élus-qui vivent sous l’Évangile , tels que l’appel de l’Évangile externe qui vient aux deux et cette illumination intérieure et les dons de l’esprit dont nous lisons dans Hébreux 6:4-6. Il est entendu, toutefois, que ces privilèges peuvent être appelées commun grâce seulement dans le sens qu’ils sont appréciés par les élus et les réprouvés sans discernement, et qu’elles ne constituent pas spécial, au sens de l’épargne, grâce. En distinguer les manifestations plus générales de la commune grâce ils, alors qu’elles ne constituent pas une partie de la grâce de Dieu qui conduit nécessairement à Salut, sont néanmoins liés à la procédure sotériologique. Ils sont parfois appelés « spécial » grace, mais alors « spécial » n’est pas équivalent à « sauver ». En général on peut dire que, quand on parle de « commune grace », nous avons à l’esprit, soit (a) les opérations générales de l’Esprit Saint par lequel il, sans renouveler le cœur, exerce une influence morale sur l’homme par le biais de son général ou la révélation spéciale, que le péché est sobre, ordre est maintenu dans la vie sociale, et la justice civile est encouragée; ou, (b) ces bénédictions générales, comme la pluie et le soleil, nourriture et boisson, vêtements et abris, que Dieu donne à tous les hommes indistinctement où et dans quelle mesure il semble bon pour lui.
Convient de noter les points suivants de distinguer de spécial (dans le sens de l’épargne) et de la commune grâce:
a. l’étendue de la grâce spéciale est déterminé par le décret d’élection. Cette grâce est limitée aux élus, alors que grace commune n’est pas limité, mais est accordée à tous les hommes sans distinction. Le décret d’élection et de réprobation n’a aucune détermination influence sur elle. On ne peut même dire que les élus reçoivent une plus grande mesure de grâce commune que le non élu. C’est une question de notoriété publique et a été fréquemment observée, que les méchants souvent possèdent une plus grande mesure de la commune grâce et ont une plus grande part dans les bienfaits naturels de la vie que les pieux.
b. grâce spéciale supprime la culpabilité et le châtiment du péché, change la vie intérieure de l’homme et lui nettoie progressivement de la pollution du péché par l’opération surnaturelle du Saint-Esprit. Ses travaux les questions invariablement dans le salut du pécheur. Grâce commune, d’autre part, supprime jamais la culpabilité du péché, ne renouvelle pas la nature humaine, mais seulement a un effet restrictif sur l’influence corruptrice de péché et dans une certaine mesure atténue ses résultats. Il n’affecte pas le salut du pécheur, mais dans certaines de ses formes (externe illumination morale et d’appel) il peut être étroitement liée à l’économie de la rédemption et ont un aspect sotériologique.
c. grâce spéciale est irrésistible. Cela ne signifie pas que c’est une force déterministe qui oblige l’homme à croire contre sa volonté, mais que, en changeant le coeur rend homme tout à fait disposé à accepter Jésus Christ pour le salut et à céder l’obéissance à la volonté de Dieu. Grace commune est résistible et comme question de fait est toujours plus ou moins résisté. Paul montre dans Romains 1 et 2 que les païens, ni les Juifs vivaient à la lumière qu’ils avaient. Shedd, dit: « en commune grâce l’appel à croire et à se repentir est invariablement inefficace, parce que l’homme est opposé à la foi et le repentir et dans la servitude à pécher. » Il est inefficace pour le Salut parce qu’il laisse le cœur inchangé.
d. grâce spéciale fonctionne d’une manière spirituelle et ré-créative, renouveler la nature même de l’homme et ce qui rend l’homme capable et désireuse d’accepter l’offre du Salut en Jésus Christ et à produire des fruits spirituels. Commune grâce, fonctionne au contraire, que d’une manière rationnelle et morale en faisant l’homme d’une manière générale réceptif pour la vérité, en présentant des motifs à la volonté et en faisant appel aux désirs naturels de l’homme. Cela revient à dire que la grâce (épargne) spéciale est immédiate et surnaturelle, puisqu’il est travaillé directement dans l’âme par l’énergie immédiate de l’Esprit-Saint, tandis que la commune grace est médiate, puisque c’est le produit de l’opération médiate du Saint-Esprit par le biais de la vérité de la révélation générale ou spéciale et par la persuasion morale.
Cette conception de la commune grâce doit être soigneusement distinguée de celui des arminiens, qui considèrent grâce commune comme un lien dans l' ordo salutis et attribuent à elle importance de sauver . Ils tiennent que, en vertu de la commune grâce de Dieu, l’homme régénéré est parfaitement capable d’effectuer une certaine spirituel bien, se tourner vers Dieu dans la foi et le repentir et donc à accepter Jésus pour le salut. Ils vont même plus loin que cela et maintiennent cette commune grâce par l’illumination de l’esprit et l’influence persuasive de la vérité incite le pécheur d’accepter Jésus Christ et de se tourner vers Dieu dans la foi et le repentir et permettra certainement d’atteindre cette fin , à moins que le pécheur résiste obstinément à l’opération du Saint-Esprit. Les Canons de Dordrecht avoir cela à l’esprit où ils rejettent l’erreur de ceux qui enseignent « que l’homme corrompu et naturel peut utiliser si bien la grâce commune (par lequel ils comprennent la lumière de la nature), ou encore les dons lui a laissé après la chute qu’il peut peu à peu gagner par leur bon usage une plus grande, qui est l’évangélique ou vivifiante et Salut lui-même. »
C. LA GRÂCE COMMUNE ET L'ŒUVRE RÉDEMPTRICE DU CHRIST.
La question se pose naturellement, si la manifestation de la commune grâce est, en quelque sorte, liée à le œuvre rédemptrice du Christ. Pour autant que nous le savons, docteur Kuyper postulent pas un tel lien. Selon lui, Christ comme le médiateur de la création, la lumière qui éclaire tout homme venant dans le monde, est la source de courant grâce. Cela signifie que les bénédictions de la commune grâce découlent des travaux de création. Mais cela ne suffit pour répondre à la question, comment il doit être expliqué qu’un Dieu Saint et just s’étend grâce à et accorde favorise sur, pécheurs qui, ayant renoncé à tout, même quand ils n’ont aucune part dans la justice de Christ et prouvent enfin impénitents. La question est exactement, comment Dieu peut continuer d’accorder ces bénédictions de création sur les hommes qui subissent la peine de mort et de condamnation ? Pour autant que les élus soient concernés par la Croix du Christ, mais qu’en est-il des réprouvés est répondre à cette question ? On peut peut-être dire qu’il n’est pas nécessaire de supposer une base judiciaire spécifique pour l’effusion de grâce commune sur l’homme, compte tenu du fait (a) qu’elle ne supprime pas la culpabilité du péché et par conséquent, ne porte pas de pardon avec elle; et (b) qu’elle ne lève pas la décision de condamnation, mais qu’il retarde seulement l’exécution. Peut-être le divin bon plaisir de surseoir à la révélation de sa colère et de supporter « avec beaucoup de patience bateaux de colère équipé jusqu'à la destruction, » offre une explication suffisante pour les bénédictions de grâce commune.
Théologiens réformés hésitent généralement à dire que Christ par son sang expiatoire méritait ces bénédictions pour le fort et le refus. Dans le même temps, ils pensent qu’importants bienfaits naturels reviennent à la race humaine entière de la mort du Christ et que ces avantages les incrédules, le fort et les réprouvés partage également. Dans chaque transaction de Pacte enregistrée dans les écritures, il semble que l’Alliance de grâce comporte non seulement spirituel mais aussi de bénédictions matérielles et ces bénédictions matérielles sont généralement de nature qu’ils sont naturellement partagés également par les incrédules. Dit Cunningham: « beaucoup de bénédictions coulent à l’humanité dans son ensemble depuis la mort du Christ, indirectement et accessoirement, par suite de la relation dans laquelle les hommes, considérés collectivement, stand les uns aux autres. » Et c’est, mais naturelle que cela devrait être le cas. Si Christ était de sauver une race élue, progressivement appelée hors du monde de l’humanité au cours des siècles, il est devenu nécessaire pour Dieu d’exercer l’abstention, pour vérifier le cours du mal, de promouvoir le développement des pouvoirs naturels de l’homme, à garder vivante au sein de la cœur des hommes un désir pour la justice civile, pour la moralité externe et le bon ordre dans la société et de prendre une douche bénédictions incalculables sur l’humanité en général. M. Hodge l’exprime ainsi: « il est très clair que tout plan visant à assurer le salut d’une portion d’élus d’une course sont propagées par génération et vivant en liaison, comme c’est le cas avec l’humanité, ne peut pas garantir sa fin sans affecter grandement, pour le meilleur ou pour pire, le caractère et le destin de tout le reste de la course ne pas élu. » Il cite le Dr Candlish à l’effet que « toute l’histoire de l’humanité, de l’apostasie de la chose jugée, est une dispense de l’abstention en ce qui concerne les réprouvés, dans laquelle de nombreux bénédictions, physique et moral, affectant leurs personnages et destins s’accumulent pour toujours, même pour les païens et beaucoup d’autres des citoyens instruits et raffiné des communautés chrétiennes. Ceux-ci viennent à eux par le biais de la médiation du Christ et vient à eux maintenant, doivent ont été conçus pour eux dès le début. » Ces bénédictions générales de l’humanité, découlant indirectement le œuvre rédemptrice du Christ, étaient non seulement prévues par Dieu, mais conçues par lui comme bénédiction pour toutes les parties concernées. Il est parfaitement vrai, bien sûr, que le dessein de Dieu dans le œuvre du Christ se rapporte principalement et directement, pas au bien-être temporel des hommes en général, mais pour la rédemption des élus; mais secondairement et indirectement il inclus également la bénédiction naturelle décernée à l’humanité sans distinction. Tout ce que l’homme naturel reçoit autre que malédiction et la mort est un résultat indirect de le œuvre rédemptrice du Christ.
D. LA RELATION ENTRE LA GRÂCE EXTRAORDINAIRE ET LA GRÂCE COMMUNE.
Plusieurs questions peuvent être soulevées à le concernant cette relation, dont voici quelques-uns des plus importants.
1. LA GRÂCE EXTRAORDINAIRE ET LA GRÂCE COMMUNE DIFFÈRENT ESSENTIELLEMENT OU UNIQUEMENT EN DEGRÉ ? Arminiens reconnaissent aux côtés de grâce (commune) suffisante la grâce de l’obéissance évangélique, mais aver que ces deux diffèrent seulement en degré et pas pour l’essentiel. Ils sont à la fois sotériologique en ce sens qu’elles font partie de le œuvre salvatrice de Dieu. Le premier rend possible pour l’homme de se repentir et de croire, alors que ce dernier, en collaboration avec la volonté, provoque l’homme de se repentir et de croire. Les deux on peuvent résister, alors que même ce dernier n’est pas nécessairement valable pour le salut. La théologie réformée, cependant, insiste sur la différence essentielle entre grace commun et speciaux. Grâce spéciale est surnaturelle et spirituelle: il supprime la culpabilité et la pollution du péché et soulève la sentence de condamnation. Commune grâce, en revanche, est naturelle. et tandis que certains de ses formes peuvent être étroitement liée à la grâce salvatrice, il ne supprime pas le péché ni set homme libre, mais simplement retient les manifestations sortants du péché et favorise la moralité vers l’extérieur et de décence, de bon ordre dans la société et de la droiture civique, la développement de la science et art et ainsi de suite. Cela fonctionne uniquement dans le naturel et non dans la sphère spirituelle. Il doit être maintenu dès lors que, tandis que les deux sont étroitement liés dans la vie présente, ils sont encore essentiellement différents et ne diffèrent pas simplement en degré. Aucun montant de commune grâce ne peut jamais, alimentez la vie nouvelle qui est en Jésus Christ, le pécheur. Cependant, grace commune se révèle parfois sous des formes qui guère se distingués par l’homme depuis les manifestations de la grâce spéciale comme, par exemple, dans le cas de foi temporelle. Dr. Shedd ne semble pas supporter la différence essentielle entre les deux à l’esprit, surtout quand il dit: « le non élu reçoit commune grâce et grace commune serait incline la volonté humaine si il n’est pas défait par la volonté humaine. Si le pécheur ne fasse aucune opposition hostile, grâce commune serait équivalent à saving grace. » Dans une note, il ajoute: « pour dire que la commune grace, si ne pas résisté par le pécheur, serait équivalent à régénérant grâce, n’est pas le même quant à dire que la commune grâce, si assisté par le pécheur, équivaudrait à régénérer grace. Dans un premier temps, Dieu serait le seul auteur de régénération; dans le second, qu'il ne serait pas ». Cela rappelle celle de la théologie luthérienne, mais sens de l’auteur n’est pas tout à fait clair, d’ailleurs il attribue également la non-résistance du pécheur à l’opération du Saint-Esprit.
2. LEQUEL DES DEUX EST PRIMAIRE, LA GRÂCE COMMUNE OU LA GRÂCE SPÉCIALE ? À cette question, on doit y répondre que dans un sens temporel, ni l’un d'entre eux peut être considéré comme avant l’autre. Le troisième chapitre de la Genèse, il ressort clairement que les deux d'entre eux vont en marche immédiatement après la chute. Priorité logique doit être attribuée à une grâce spéciale, cependant, parce que grace commune faite inféodé à cela dans son fonctionnement dans le monde.
3. EST-CE QUE LA GRÂCE COMMUNE EST INDÉPENDANTE BUT OU PAS ? Il ne fait aucun doute que grace commune prend son but dans le œuvre rédemptrice de Jésus-Christ; elle est soumise à l’exécution du plan de Dieu dans la vie des élus et dans le développement de l’église. Mais en plus de cela il sert également un objet indépendant, à savoir, de mettre en lumière et d’exploiter le service de l’homme les forces cachées de la nature et de développer les compétences et les talents qui sont latents dans la race humaine, afin que l’homme peut toujours plus exerc ISE domination sur la création plus bas, à la gloire de Dieu le créateur.
4. LA GRÂCE SPÉCIALE ET LA GRÂCE COMMUNE ONT-ELLES CHACUNE UNE SPHÈRE PARTICULIÈRE ENTIÈREMENT DISTINCTE DE L'UNE ET L’AUTRE ? On peut dire que dans un certain sens spécial grace a sa propre sphère particulière dans l’église organisée, si ce n’est pas nécessairement limité à cela, et grâce commune est également applicable à l’église pour qu’il soit accordé à tous les hommes. Tous deux fonctionnent dans le monde, mais alors que la commune grâce au sens plus usuel du terme se rapporte aux choses de la nature et la vie présente, grâce spéciale porte sur les choses de la nouvelle-création. Ils ne peuvent s’influencer réciproquement. Grace commune enrichit l’église avec ses bénédictions; et l’église déclenche les fruits de la commune grâce à un niveau supérieur en plaçant sous l’influence de la vie de régénérer.
E. LE MOYEN PAR LEQUEL LA GRÂCE COMMUNE FONCTIONNE.
Plusieurs moyens se distingués par quelle grâce commune effets ses travaux. Calvin suggère certains d'entre eux quand il, lorsqu’il parle de l’influence restrictive de la commune grâce dit: « par conséquent, combien qu’ils soient hommes peuvent dissimuler leur impureté, certains sont retenus seulement par honte, d’autres par la crainte des lois, éclatent dans toutes sortes de méchanceté. Certains aspirent à une vie honnête, en jugeant plus favorable à leurs intérêts, tandis que d’autres sont soulevées au-dessus du lot vulgaire, que, par la dignité de leur poste, ils peuvent conserver inférieurs à leur devoir. Ainsi Dieu par sa providence, freine la perversité de la nature, empêchant de rupture suite à l’action, mais sans rendant intérieurement pur. » ce qui suit est quelques-uns des moyens plus importants à travers lequel grace commune effets ses travaux.
1. LA LUMIÈRE DE LA RÉVÉLATION DE DIEU. C’est fondamental pour sans elle de tous les autres moyens serait impossible, et même si possible, pourrait ne pas fonctionner correctement. Nous avons à l’esprit ici principalement à la lumière de la révélation de Dieu qui brille dans la nature et qui éclaire tout homme venant dans le monde. Lui-même est le fruit de la grâce commune, il devient à son tour un moyen pour manifester davantage, car il sert à guider la conscience de l’homme naturel. Paul parle des Gentils qui font, par nature, les choses de la Loi, « qu’ils montrent la parole de la loi écrite dans leurs cœurs, leur conscience en témoignant avec celle-ci et leurs pensées celui avec un autre accusant ou bien excuser leur. » ROM. 02:14, 15. Calvin en commentant ce passage affirme que ces Gentils « prouvent qu’il existe imprimé sur leur cœur une discrimination et le jugement par lequel ils faire la distinction entre ce qui est juste et l’injuste, entre ce qui est honnête et malhonnête ». En plus de cela, cependant, on peut dire que grâce commune dans un sens plus restreint opère également à la lumière de la révélation spéciale de Dieu, qui n’est pas elle-même le fruit de la commune, mais de grâce spéciale.
2. LES POUVOIRS PUBLIQUES. Ces trop on peut dire qu’ils sont à la fois le fruit et les moyens de grâce commune. Selon Romains 13 gouvernements sont ordonnés de Dieu, pour maintenir le bon ordre dans la société. Pour leur résister est de résister à l’ordonnance de Dieu. Le souverain, dit Paul, « c’est un ministre de Dieu pour toi pour de bon ». Romains 13:4. Il trouve un appui dans la conscience de l’homme (verset 5) et pour le reste « reverdiront pas l’épée en vain. » Sur ce point la Confessio Belgica a dit: « nous croyons que notre Dieu miséricordieux, à cause de la dépravation de l’humanité, a nommé rois, princes et magistrats, veut que le monde devrait être régi par certaines lois et politiques; à la fin que le libertinage des hommes pourrait être retenue, et toutes choses à bord parmi eux avec le bon ordre et la décence ».
3. L’OPINION PUBLIQUE. La lumière naturelle qui brille dans le cœur des hommes, surtout quand a renforcé l’influence de la révélation spéciale de Dieu, conduit à la formation d’une opinion publique qui est externe en conformité avec la Loi de Dieu; et ceci a une influence considérable sur la conduite des hommes qui sont très sensibles au jugement de l’opinion publique. Naturellement, l’opinion publique sera un moyen de commune grâce uniquement lorsqu’il est formé sous l’influence de la révélation de Dieu. Si elle n’est pas contrôlée par la conscience, agissant en harmonie avec la lumière de la nature, ou par la parole de Dieu, il devient une puissante influence pour le mal.
4. LES PUNITIONS DIVINES ET LES RÉCOMPENSES. Les arrangements providentielles de Dieu, par lequel il visite l’iniquité des hommes sur eux dans cette vie et les actes de récompenses qui sont vers l’extérieur en conformité avec la loi divine, servent un objectif important dans la lutte contre le mal qui est dans le monde. punitions ont un effet dissuasif, et les récompenses servent de mesures incitatives. Par ces moyens, quel que soit il y a de la bonté morale dans le monde est fortement encouragé. Beaucoup mal de shun et cherchent ce qui est bon, non pas parce qu’ils craignent le Seigneur, mais parce qu’ils sentent que bon apporte sa propre récompense et meilleur sert leurs intérêts.
F. LES FRUITS DE LA GRÂCE COMMUNE.
Dans le précédent qu’il était déjà a laissé entendre que ce qui reste pour nous la lumière de la nature, est toujours en vigueur seulement en vertu de la commune grâce de Dieu. Il est un des fruits plus importants de la commune grâce, sans laquelle quelques-uns des autres ne serait pas concevable. Les fruits suivants peuvent être mentionnés ici:
1. L’EXÉCUTION DE LA SENTENCE EST SUSPENDUE. Dieu prononça la peine de mort sur le pécheur. En parlant de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, dit-il. « Le jour où tu en mangeras tu mourras. » L’homme n’a mangé de celui-ci, et la phrase entra dans l’exécution, dans une certaine mesure, mais clairement n’est pas entièrement exécutée à la fois. C’est en raison de la commune grâce que Dieu n’a pas exécuté à la fois complètement la peine de mort sur le pécheur et ne le fait pas maintenant, mais entretient et prolonge la vie naturelle de l’homme et lui donne le temps de se repentir. Il ne pas à la fois coupe court la vie du pécheur, mais lui offre l’occasion de se repentir, ainsi enlever toute excuse et justifiant la prochaine manifestation de sa colère contre ceux qui persistent dans le péché jusqu'à la fin. Que Dieu agit sur ce principe témoigne abondamment ces passages comme Ésaïe 48:9; Jérémie 07:23-25; Luc 13:6-9; Romains 2:4; 09:22; II Peter 3:9.
2. LE DISPOSITIF DE RETENUE DU PÉCHÉ. Par le biais de l’opération de la commune grâce sin est retenu dans la vie des individus et dans la société. L’élément de la corruption qui entre dans la vie de la race humaine n’est pas autorisé, pour l’instant, d’accomplir son oeuvre alors en pleine désagrégation. Calvin dit: « mais nous devons tenir compte que, malgré la corruption de notre nature, il y a peu de place pour la grâce divine, cette grâce que, sans purification de celle-ci, il peut poser sous contrainte interne. Car, l’Éternel laissa tous les esprits lâches à wanton dans ses convoitises, sans doute il n’est pas un homme qui ne serait pas montrer que sa nature est capable de tous les crimes dont Paul frais il, (Rom. 3 contre Psaume 14:3 ff). » Cette retenue peut être externe ou interne ou les deux, mais ne change ne pas le cœur. Il y a des passages des écritures qui parlent d’un effort de l’esprit de Dieu avec les hommes qui ne conduit pas à la repentance, Genèse 6:3; Ésaïe 63:10; Actes à 07:51; des opérations de l’esprit qui sont finalement retiré, j’ai Samuel 16:14; Hébreux 6:4-6; et du fait que, dans certains cas Dieu finalement abandonne des hommes pour les convoitises de leurs cœurs, PS. 81:12; ROM. 01:24, 26, 28. Outre les passages précédents, il y a certains qui témoignent clairement du fait que Dieu retient péché de diverses manières, par exemple, Genèse 20:6; 31: 7; Emploi à 01:12; 2:6; II Rois 19:27, 28; Romains 13:1-4.
3. LA PRÉSERVATION DE CERTAINS SENS DE VÉRITÉ, DE MORALE ET DE RELIGION. C’est en raison de la commune grace que homme encore conserve un sens à la valeur true, le bon et le beau, souvent apprécie ces de manière assez surprenante et révèle un désir de vérité, de la morale externe et même pour certaines formes de religion. Paul parle des Gentils qui « montrent le œuvre de la loi écrite dans leurs cœurs, leur conscience en témoignant avec celle-ci et leurs pensées celui avec un autre accusant ou bien excuser, » Rom. 02:15 et dit même de ceux qui ont donné libre conduit à leur méchant vit qui ils connaissaient la vérité de Dieu, bien qu’ils entravé la vérité dans l’injustice et il échangé pour un mensonge, Rom. 01:18-25. Pour les Athéniens, qui étaient dépourvues de la crainte de Dieu, dit-il, « vous les hommes d’Athènes, en toutes choses, je m’aperçois que vous êtes très religieux, » actes 17:22. Les Canons de Dordrecht s’expriment comme suit sur ce point: « il reste, cependant, chez l’homme depuis l’automne, les lueurs de lumière naturelle, par laquelle il conserve certaines connaissance de Dieu, des choses naturelles et de la différence entre le bien et le mal et montre certaines considérer pour la vertu et pour bonne conduite vers l’extérieur. Mais jusqu'à présent, est cette lumière de la nature d’être suffisante pour lui permettre une connaissance salvatrice de Dieu et la vraie conversion qu’il est incapable de l’utiliser correctement même dans les choses naturelles et civiles. Nay, de plus, cette lumière, tel qu’il est, homme de diverses manières rend totalement pollué et entrave dans l’injustice, en faisant à laquelle il devient inexcusable devant Dieu. » III-IV. 4.
4. LA RÉALISATION DE LA JUSTICE BIENFAISANTE ET CIVILE VERS L’EXTÉRIEUR. Grace commune permet à l’homme effectuer ce qu’on appelle généralement justitia civilis, autrement dit, ce qui est bon dans les affaires civiles ou naturels, à la différence de celui qui est juste en matière religieuse, naturel bonnes œuvres notamment dans les relations sociales, œuvres qui sont vers l’extérieur et objectivement en harmonie avec la Loi de Dieu, bien que totalement dépourvu de toute qualité spirituelle. Ceci est en harmonie avec notre Confession réformée. Art. XIV de la Confessio Belgica parle dans son titre de l’inaptitude de l’homme pour effectuer ce qui est vraiment bon, dit que l’homme retenu seulement petits restes de ses excellents cadeaux, afin de le rendre sans excuse et rejette seulement l’erreur pélagienne qui l’homme peut de s’effectuer bien spirituel ou d’épargne. Les Canons de Dort III-IV, Art. 3, prendre la parole dans la même veine: « Par conséquent, tous les hommes sont conçus dans le péché et sont par nature des enfants de colère, incapable de sauver bon » etc. On peut objecter que le Catéchisme de Heidelberg parle en termes absolus, quand il dit à la Question 8, que nous sommes incapables de le faire tout bon, sauf si nous sommes régénérés. Il est évident depuis le commentaire de Ursinus lui-même qu’il ne nierais pas que l’homme peut faire le civile bien, mais seulement qu’il peut effectuer des bonnes œuvres tels que sont définis en Question 91 du catéchisme. Théologiens réformés maintiennent généralement que le régénéré peut effectuer bon naturel, civil de bon et extérieurement bon religieux. Ils appellent l’attention cependant, le fait que, alors que ces travaux de la régénéré sont bonne d’un point de vue matériel, comme les œuvres que Dieu commandée, elles ne peuvent être appelées bonnes d’un point de vue formel, puisqu’ils ne font pas printemps le motif de droite et ne visent pas à le but de droit. La Bible parle à plusieurs reprises de œuvres de la régénéré comme bon et droit, II Rois 10:29, 30; 12:2 (COMP. II Chroniques 24:17-25); 14:3, 14-16,20,27 (COMP. II Chron. 25,2); Luc 06:33; ROM. 02:14, 15.
5. BEAUCOUP DE BÉNÉDICTIONS PHYSIQUES. À la commune grâce davantage l’homme doit toutes les bénédictions physiques qu’il reçoit dans la vie présente. Bien qu’il a perdu toutes les bénédictions de Dieu, il reçoit jetons abondantes de la bonté de Dieu au jour le jour. Il y a plusieurs passages de l’Ecriture, d'où il ressort abondamment que Dieu douches bon nombre de ses bons cadeaux sur tous les hommes sans distinction, qui est, sur le bon et le mauvais, les élus et les réprouvés, tels que: 17:20 (COMP. vs 18); 39:5; PS. 145:9, 15, 16; Matthieu 05:44, 45; Luc 06:35, 36; Actes 14:16, 17; J’ai Timothée 04:10. Et ces dons sont conçus comme des bénédictions, non seulement pour le bien, mais aussi pour le mal. À la lumière de l’écriture, la position est intenable que Dieu bénit jamais les réprouvés, bien qu’il leur confère beaucoup de cadeaux qui est bonnes en elles-mêmes. Dans 39:5 de la Genèse, nous lisons que « Jéhovah bénit maison de l’Egypte pour l’amour de Joseph; « et la bénédiction de l’Éternel fut sur tout ce qu’il avait dans la maison et sur le terrain ». Et dans Matthieu 05:44, 45, Jésus exhorte ses disciples en ces termes, « bénissez ceux qui vous maudissent... que vous soyez fils de votre père qui est aux cieux. » Cela peut signifier seulement une chose, à savoir, que Dieu bénit aussi ceux qui maudit soit-il. Cf. aussi Luc 06:35, 36; Romains 2:4.
G. OBJECTIONS À LA DOCTRINE RÉFORMÉE DE COMMON GRACE.
Plusieurs objections ont été et sont même désormais levées par certains contre la doctrine de la grâce commune telle qu’elle est présentée dans ce qui précède. Voici quelques-uns des plus importants d'entre eux:
1. arminiens ne sont pas satisfaits, parce qu’elle ne va pas assez loin. Ils considèrent commun grace comme faisant partie intégrante du processus d’enregistrement. C’est cette grâce suffisante qui permet à l’homme de se repentir et de croire en Jésus Christ pour le Salut, et qui, dans le but de Dieu est destiné à amener les hommes à la foi et le repentir, mais il peut être frustré par les hommes. Une grâce qui ne vise donc pas et ne pas réellement ministre pour le salut des hommes est une contradiction dans les termes. Donc pape, un arminienne Wesleyan, parle de la commune grâce dans le système calviniste comme « être universel et pas particulièrement; être nécessairement, ou au moins en fait, inopérante pour le salut dans le dessein de Dieu » et appelle cela une « influence perdus ». Il dit encore: « La grâce n’est aucun plus la grâce, si elle ne comprend pas l’intention salvifique du donneur ». Mais, sûrement, la Bible ne limite pas si l’utilisation du terme « grâce. » Ces passages comme Genèse 6:8; 19:19; Exode 33: 12, 16; Nombres 32: 5; Luc 02:40, et beaucoup d’autres ne s’appliquent pas à ce que nous appelons « saving grace », ni à ce que l’arminienne appelle la « grâce suffisante ».
2. on prétend parfois que la doctrine réformée de la commune grâce implique la doctrine de l’expiation universelle et conduit donc dans le camp arminiens. Mais il n’y a aucun motif valable pour cette affirmation. Il dit ni ne sous-entend qu’il y a le dessein de Dieu pour sauver tous les hommes par le sang expiatoire de Jésus-Christ. L’opposition repose en particulier sur la proclamation universelle de l’Evangile, qui est considéré comme possible que sur la base d’une expiation universelle. Il a été déjà suggéré par les arminiens eux-mêmes lors du Synode de Dordrecht, lorsqu’ils ont affirmé que les réformés avec leur doctrine de l’expiation particulière ne pourraient pas prêcher l’Évangile à tous les hommes sans distinction. Mais le Synode de Dordrecht n’a pas reconnu la contradiction implicite. Les chanoines enseignent l’expiation particulière, et nécessitent également la Déclaration universelle de l’Évangile. et c’est en parfaite harmonie avec l’écriture, ce qui explique d’une part, que le Christ expié seulement pour les élus, John 10:15; Actes 20:28; ROM. 08:32, 33; Voir aussi Jean 17:9; et d’autre part, que l’Evangile appelle doit être étendue à tous les hommes indistinctement, Matthieu 22:2-14; 28: 19; Marc 16:15, 16. Si on peut objecter que nous ne pouvons pas harmoniser pleinement l’offre traumatiques et sincère du Salut sur la condition de la foi et le repentir avec la doctrine de l’expiation particulière, cela peut être admise, mais avec la compréhension distincts qui la vérité d’une doctrine ne dépend pas de notre capacité à harmoniser avec chaque autre doctrine de l’écriture.
3. une autre objection à la doctrine de grâce commune est qu’elle suppose une certaine disposition favorable en Dieu même de réprouver les pécheurs, alors que nous n’avons pas le droit d’assumer une telle disposition en Dieu. Cette sténose prend son point de départ dans le Conseil éternel de Dieu, dans son élection et la réprobation. Le long de la ligne de son élection, Dieu révèle son amour, la grâce, la miséricorde et patience, conduisant au Salut; et dans la réalisation historique de sa réprobation qu’il exprime seulement son aversion, disgrâce, la haine et de colère, entraînant la destruction. Mais cela ressemble à une simplification excessive rationaliste de la vie intérieure de Dieu, qui ne tient pas suffisamment compte de son auto-révélation. En prenant la parole sur ce sujet nous devons être très prudents et nous permettre d’être guidé par les déclarations explicites des écritures plutôt que par nos inférences "BOLD" du Conseil secret de Dieu. Il y a beaucoup plus à Dieu que nous pouvons réduire nos catégories logiques. Sont élus dans cette vie les objets de l’amour de Dieu seulement et jamais de quelque façon les objets de sa colère ? Moïse penser les réprouvés quand il dit: « car nous sommes consommé dans ta colère, et dans ta colère nous sommes préoccupés » ? PS. 90:7. Ne pas la déclaration de Jésus que la colère de Dieu demeure sur ceux qui n'obéissent pas le fils implique qu’il est retiré des autres quand, et pas avant, ils soumettent à la règle salutaire du Christ ? John 03:36. Et ne dit pas de Paul aux Ephésiens qu’ils « étaient par nature des enfants de la colère même que les autres » ? Éphésiens 2:3. Évidemment les élus ne peuvent pas être considérée comme toujours et exclusivement les objets de l’amour de Dieu. Et si ceux qui sont les objets de l’amour rédempteur de Dieu peuvent aussi dans un certain sens du mot être considérés comme des objets de sa colère, pourquoi s’il est impossible que ceux qui sont les objets de sa colère devraient également dans un certain sens partager sa faveur divine ? Un père qui est aussi un juge peut détester le fils qui comparaît devant lui comme un criminel et se sentir contraint à visiter sa colère judiciaire sur lui, mais il peut encore pitié de lui et voir la que lui des actes de bonté alors qu’il est sous la condamnation. Pourquoi si cela est impossible à Dieu ? Général Washington détesté le traître qui a comparu devant lui et le condamna à mort, mais en même temps lui montra compassion en lui servant avec les délicatesses de son propre tableau. Ne peut pas Dieu ait compassion même sur le pécheur condamné et accorder des faveurs sur lui ? La réponse ne doit pas être incertaine, étant donné que la Bible enseigne clairement douches indicibles bénédictions sur tous les hommes qu’il indique aussi clairement que ce sont l’expression d’une disposition favorable au Dieu qui répond pas, toutefois, de la volonté positive de gracier leur péché, de lever leur peine et de leur accorder le salut. Les passages suivants indiquent clairement une telle disposition favorable: Prov. 01:24; Ésaïe 01:18; Ézéchiel 18:23, 32; 33: 11; Matthieu 05:43-45; 23:37; Marc 10:21; Luc 06:35: Rom. 2:4; I Timothée 2:4. Si ces passages ne pas témoigner à une disposition favorable à Dieu, il semblerait que langue a perdu sa signification, et la révélation que Dieu n’est pas fiable à ce sujet.
4. anabaptistes s’oppose à la doctrine de la grâce commune, car elle implique la reconnaissance des bons éléments dans l’ordre naturel des choses, et c’est à l’encontre de leur position fondamentale. Ils considèrent la création naturelle avec mépris, insistent sur le fait qu’Adam était de la terre terrestre et de voir seulement une impureté dans l’ordre naturel comme tel. Christ a établi un nouvel ordre surnaturel des choses, et à cet ordre l’homme régénéré, ce qui n’est pas simplement un renouvelé, mais un homme entièrement nouveau, appartient également. Il n’a rien en commun avec le monde autour de lui et ne devrait donc prendre aucune part dans sa vie: jamais un serment, ne prendre aucune part à la guerre, ne reconnaître aucune autorité civile, éviter les vêtements mondains et ainsi de suite. Sur cette position il n’y a aucune autre grâce à la grâce salvatrice. Cet avis a été partagé par les Labadism, piétisme, frères moraves et plusieurs autres sectes. Déni de Barth de grâce commune semble suivre dans ce même sens. Ce n’est pas étonnant, puisque pour lui trop creaturliness et péché sont pratiquement identiques. Brunner donne le résumé suivant de vue Barth: « il découle de la reconnaissance du Christ comme la seule grâce salvatrice de Dieu qu’il n’y a aucune grâce créative et autonome qui a été en vigueur depuis la création du monde et qui se manifeste lui-même nous en entretien de Dieu du monde, puisque dans ce cas, nous devrions avoir à reconnaître deux ou même trois sortes de grace, et qui se présenterait en opposition avec l’unicité de la grâce du Christ.... De même, la nouvelle création est n’un accomplissement mais exclusivement un remplacement effectué par une annihilation complète de ce qui précédait, une substitution de l’homme nouveau pour les anciens. La proposition, à titre gracieux non tollit naturam sed perficit, n’est pas vraie dans tous les sens, mais est tout à fait une arch-hérésie. » Brunner rejette ce point de vue et n’est plus conforme à la pensée réformée sur ce point.
QUESTIONS pour étude complémentaire: L’hébreu et les mots grecs pour « grâce » désignent toujours vivifiante ? Ils sont déjà utilisés comme une désignation de ce que nous appelons « commune grâce » ? La doctrine de la grâce commune présuppose la doctrine de l’expiation universelle ? Elle n’implique pas un déni du fait que l’homme est par nature soumis à la colère de Dieu ? S’agit-il d’un refus de la corruption totale de l’homme et de son incapacité à faire le bien spirituel ? C’est le bien qui l’homme naturel peut faire le bien que dans la vue de l’homme, ou encore aux yeux de Dieu ? La doctrine de la grâce commune détruit l’antithèse entre le monde et le Royaume de Dieu ? Si ce n’est pas le cas, comment expliquez-vous cela ?
LITTÉRATURE: Calvin, instituts II. 2 et 3; Kuyper, Gemeene De Gratie; Bavinck, De Algemeene Genade; Ibid., Calvin et Common Grace (, Calvin et la réforme); Shedd, calvinisme pur et mixte, p. 96-106; Ibid., dogme. THEOL. I, p. 432, 435; II, p. 483 ff.; Hodge, Syst. Theol. II, pp. 654-675; Vos, Geref. Dogme. IV, pp. 11-17; Alexander, syst de Bib. théol. II. p. 343-361; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 583-588; Ibid., Discussions, pp. 282-313 ( Propositions traumatiques de la miséricordede Dieu); H. Kuiper, Calvin sur Common Grace; Berkhof, Punten De Drie en Alle Deelen Gereformeerd; Hepp, Art. Gemeene Gratie dans Christelijke Encyclopaedie.
IV. L'Union mystique
Calvin a à plusieurs reprises exprime l’idée que le pécheur ne peut pas partager les avantages salvifique de le œuvre rédemptrice du Christ, à moins qu’il soit en union avec lui et met ainsi l’accent sur une vérité très importante. Comme Adam dirigeait le représentant de la vieille humanité, si Christ est la tête représentative de la nouvelle humanité. Toutes les bénédictions de l’Alliance de grâce découlent de celui qui est le médiateur de l’Alliance. Même la première bénédiction de la grâce salvatrice de Dieu que nous recevons déjà présuppose une union avec la personne du médiateur. C’est exactement à ce stade que l'on trouve une des différences plus caractéristiques entre les opérations et la bénédiction spéciale et ceux de la commune grâce. Le premier peut être reçu et apprécié que par ceux qui sont en union avec le Christ, tandis que ces derniers peuvent être et sont aussi appréciés par ceux qui ne sont pas considérés dans le Christ et par conséquent ne sont pas un avec lui. Toutes sortes de bénédictions spirituelles quelles croyants reçoivent leur sort de Christ. C’est pourquoi Jésus en parlant de la Paraklete venir pourrait dire à ses disciples: « il doit glorifier moi; parce qu’il prend de la mine et déclare qu’il dis, » John 16:14. Subjectivement, l’union entre le Christ et les croyants est effectuée par le Saint-esprit de manière mystérieuse et surnaturelle et pour cette raison est généralement désignée comme l’unio mystica ou union mystique.
A. NATURE DE L’UNION MYSTIQUE.
Luthériens généralement traitent la doctrine de la mystique union anthropologiqueet par conséquent conçoivent tel qu’établi par la foi. C’est pourquoi ils naturellement reprennent à un stade ultérieur dans leur sotériologie. Mais cette méthode ne parvient pas à pleinement justice à l’idée de notre union avec Christ, car il perd de vue le fondement éternel de l’union et de sa réalisation objective dans le Christ et porte exclusivement sur la réalisation subjective de celui-ci dans notre vie et même ainsi qu’avec notre entrée consciente personnelle dans cette union. En revanche, la théologie réformée, traite de l’union des croyants avec le Christ théologiquementet ainsi tient beaucoup plus à ce sujet important. Ce faisant, il emploie le terme « union mystique » au sens large comme une désignation non seulement de l’union subjective du Christ et les croyants, mais aussi de l’union qui se trouve à l’arrière de l’il, qui est basique, et dont il est seulement l’expression culminante , à savoir, l’union fédérale de Christ et ceux qui sont les siens à l’avocat de la rédemption, l’union mystique idéalement établie dans cet éternel Conseil et l’union telle qu’elle est objectivement effectuée dans l’incarnation et le œuvre rédemptrice du Christ.
1. L’UNION FÉDÉRALE DU CHRIST COMME L’AVOCAT DE LA RÉDEMPTION DE CEUX QUE LE PÈRE LUI A DONNÉ, . L’avocat de la paix que Christ a volontairement pris sur lui d’être le chef et la caution des élus, destinés pour constituer la nouvelle humanité et ainsi d’établir leur droiture devant Dieu, en payant la pénalité pour leurs péchés et en rendant parfaite obéissance à la Loi et assurer ainsi leur titre à la vie éternelle. Dans cette alliance éternelle du péché de son peuple ont été imputée au Christ, et sa justice a été imputée à eux. Cette imputation de la justice du Christ à son peuple à l’avocat de la rédemption est parfois représentée comme une justification de toute éternité. C’est certainement la base éternelle de notre justification par la foi et est le fondement sur lequel nous recevons toutes les bénédictions spirituelles et le don de la vie éternelle. Et cela étant, il est fondamental pour l’ensemble de la sotériologie et même pour les premières étapes dans l’application de le œuvre de rédemption, tels que les appels internes et de régénération.
2. L’UNION DE VIE IDÉALEMENT MISE EN PLACE DANS LE CONSEIL DE LA RÉDEMPTION. Dans le cas du premier Adam, il y avait non seulement un fédéral, mais aussi une union naturelle et organique entre lui et ses descendants. Il y avait la cravate d’une vie commune entre lui et tous ses descendants, et cela a permis que les bénédictions de l’Alliance des œuvres, si ceux-ci avaient eventuated, pourraient avoir dévolues à l’organisme entier de l’humanité d’une manière organique. Une situation quelque peu similaire obtenue dans le cas du dernier Adam à la tête de représentant de l’Alliance de la rédemption. Comme le premier Adam, il ne représentait pas un conglomérat d’individus disjoints, mais un corps d’hommes et de femmes qui étaient à lui, d’être Unis par des liens spirituels et donc pour former un organisme spirituel dérivent leur vie. Idéalement ce corps, qui est l’église, était déjà formé dans l'Alliance de rachat et formé en union avec le Christ, et cette union a permis que toutes les bénédictions justifiées par Christ pourraient être transmises à ceux qu’il a représenté de façon organique. Ils ont été conçus comme un corps glorieux, une nouvelle humanité, partageant la vie de Jésus Christ. C’est en vertu de cette union, comme il a été réalisé au cours de l’histoire, que le Christ pouvait dire: « Voici, j’ai et les enfants que Dieu m’a donnés, » Hébreux 02:13.
3. L’UNION DE VIE OBJECTIVEMENT RÉALISÉE DANS LE CHRIST. En vertu de l’union légale ou représentative établie par l'Alliance de la rédemption de Christ s’est incarné comme le substitut à son peuple, pour justifier toutes les bénédictions du Salut pour eux. Étant donné que ses enfants sont partageurs en chair et en os, « il a aussi de la même manière quelque chose qui tenait de celui-là; que par la mort qu’il pourrait apporter à néant lui qui avait le pouvoir de la mort, qui est le diable; et pourrait livrer tous ceux qui, par peur de la mort, étaient toute leur vie sous réserve de la servitude pour dettes, » Héb. 02:14, 15. Il pourrait mériter Salut pour eux juste parce qu’il était déjà en relation avec eux comme leur caution et médiateur, leur tête et suppléant. Toute l’église a été inscrite en lui comme son chef. Dans un sens objectif, qu'elle a été crucifiée avec Christ, elle est morte avec lui, elle est née en lui d'entre les morts et a été faite pour s’asseoir avec lui dans les lieux célestes. Toutes les bénédictions de la grâce salvatrice se trouvent prêtes pour l’Eglise dans le Christ; l’homme peut n’ajoutent rien à eux; et maintenant, ils n'attendent que leur application subjective par l’opération du Saint-Esprit, qui est également justifiée par le Christ et ne manquera pas de réalisation progressive au cours de l’histoire.
4. L’UNION DE VIE SUBJECTIVEMENT RÉALISÉE PAR L’OPÉRATION DU SAINT-ESPRIT. Le œuvre du Christ n’était pas fini quand il avait mérité le salut pour son peuple et avait obtenu la possession effective de la bénédiction du Salut. Dans le Conseil de la rédemption qu’il prit sur lui de mettre tout son peuple en possession de toutes ces bénédictions, et il le fait par le biais de l’opération du Saint-Esprit, qui prend toutes les choses hors de Christ et leur donne à nous. Nous ne devrions pas concevoir la réalisation subjective de l’union mystique dans l’église d’atomistically, comme s’il était effectué en amenant maintenant cela et puis ce pécheur individuel à Christ. Elle devrait être considérée du point de vue du Christ. Objectivement, l’Eglise tout entière est en lui et est né de lui la tête. Ce n’est pas un mécanisme, dans lequel les parties précédant l’ensemble, mais l’organisme, dont l’ensemble est avant les parties. Les parties sont lèveront de Christ à travers les travaux de régénération de l’Esprit Saint et puis continuent en relation vivante avec lui. Jésus attire l’attention sur cette relation organique quand il dit: « je suis le CEP, vous êtes les sarments: celui qui demeure en moi et moi en lui, le même enfantera beaucoup de fruit: car en dehors de moi vous ne pouvez rien faire, » Jean 15:5. Compte tenu de ce qui a été dit, il est évident qu’il n’est pas correct de dire que l’union mystique est le fruit d’acceptation croyante de l’homme du Christ, comme si la foi n’était pas une des bénédictions de l’Alliance qui en découlent pour nous la plénitude du Christ , mais à une condition où l’homme doit satisfaire partiellement ou totalement dans sa propre force, pour entrer en relation vivante avec Jésus Christ. Tout d’abord, la foi est un don de Dieu et comme une partie des trésors qui sont cachés en Christ. Elle nous permet d’ouvrir, de notre part, ce qui nous est donné à Christ et à engager de plus en plus jouissance consciente de la Bienheureuse union avec le Christ, qui est la source de toutes nos richesses spirituelles.
Cette union peut être définie comme qui intime, vital et une union spirituelle entre le Christ et de son peuple, en vertu dont il est la source de leur vie et de la force, de leur bénédiction et le Salut. Que c’est une union très intime apparaît abondamment des chiffres qui sont utilisés dans l’écriture pour le décrire. C’est une union à partir de la vigne et des sarments, Jean 15:5, à partir d’une base et le bâtiment qui est élevé à ce sujet, j’ai PET. 2:4, 5, à partir de mari et femme, Éphésiens 05:23-32 et à partir de la tête et les membres du corps , Éphésiens 04:15, 16. Et encore ces chiffres ne parviennent pas à donner la pleine expression de la réalité. C’est une union qui passe tout entendement. Dit m. Hodge: « la désignation technique de cette union en langage théologique est « mystique », parce qu’elle transcende jusqu'à présent toutes les analogies de relations terrestres, dans l’intimité de sa connexion, dans la puissance transformatrice de son influence et dans le excellence de ses conséquences ». Si la discussion de cet aspect de l’union mystique est reprise tout d’abord dans l' ordo salutis, il faut avoir à l’esprit (une) qu’il semblerait souhaitable de l’examiner dans le cadre de ce qui précède, idéalement dans le conseiller de la rédemption et objectivement dans le œuvre du Christ; et (b) que l’ordre est logique plutôt que chronologique. Étant donné que le croyant est « une nouvelle créature » (II Corinthiens 05:17), ou est « justifiée » (actes 13:39) que dans le Christ, en union avec lui logiquement précède la régénération et la justification par la foi, alors que pourtant, chronologiquement, le moment où nous sommes Unis avec le Christ est aussi le moment de notre justification et de régénération.
B. CARACTÉRISTIQUES DE L’UNION MYSTIQUE.
De ce qui précède, il apparaît que le terme « union mystique » peut être et est souvent utilisé dans un sens large, y compris les différents aspects (juridique, objectif, subjectif) de l’union entre le Christ et les croyants. Plus généralement, cependant, il désigne uniquement l’aspect couronnement de ce syndicat, à savoir, sa réalisation subjective par l’opération du Saint-Esprit, et c’est cet aspect de celui-ci qui est naturellement au premier plan dans la sotériologie. Tout ce qui est dit dans le reste de ce chapitre porte sur cette union subjective. Voici les principales caractéristiques de cette union:
1. C’EST UNE UNION ORGANIQUE. Christ et les croyants forment un seul corps. Le caractère organique de cette union est clairement enseigné dans ces passages comme Jean 15:5; I Corinthiens 06:15-19; EP 01:22, 23; 04:15, 16; 05:29, 30. dans cette union organique ministres de Christ pour les croyants et les croyants ministre de Christ. Chaque partie du corps sert et est servi par toute autre partie et ensemble ils sont subordonnés à l’ensemble dans une union qui est indissoluble.
2. C’EST UNE UNION VITALE. De cette union, Christ est le principe vitalisant et dominant de l’ensemble des croyants. Il n’est autre que la vie du Christ qui habite et anime les croyants, afin que, pour s’entretenir avec Paul, « Christ est formé » en eux, gal 04:19. Qu’elle le Christ devient le principe formative de leur vie et il mène en direction Godward, Rom. 08:10; II Corinthiens 13:5; GAL 04:19, 20.
3. C’EST UNE UNION MÉDIATE PAR LE SAINT-ESPRIT. Le Saint-Esprit a été à titre spécial, une partie de la récompense du médiateur et comme tel a été versé le jour de la Pentecôte pour la formation du corps éthérique de Jésus Christ. Par l’Esprit Saint Christ maintenant habite dans les croyants, qui les unit à lui-même et les tricote ensemble dans une unité sacrée, I Cor. 06:17; 12:13; II Corinthiens 03:17, 18; Galates 3:2, 3.
4. C’EST UNE UNION QUI IMPLIQUE UNE ACTION RÉCIPROQUE. La loi initiale, c’est que du Christ, qui unit les croyants à se régénérer et produisant ainsi foi en eux. En revanche, le croyant s’unit au Christ par un acte conscient de la foi également et continue de l’union, sous l’influence du Saint-Esprit, par l’exercice constant de la foi, John 14:23; 15:4, 5; GAL 02:20; EP 03:17.
5. C’EST UNE UNION PERSONNELLE. Chaque croyant est personnellement unie directement au Christ. La représentation qui coule de la vie qui est dans l’église par le Christ de l’église dans le croyant est résolument antibiblique, non seulement dans sa sacramentarian mais aussi dans sa forme panthéiste (Rome, Schleiermacher et beaucoup de théologiens modernes) . Tous les pécheurs qui sont régénéré sont directement relié avec le Christ et reçoit sa vie de lui. Par conséquent la Bible souligne toujours la liaison avec le Christ, John 14:20; 15:1-7; II Corinthiens 05:17; GAL 02:20; EP 03:17, 18.
6. C’EST UNE UNION TRANSFORMATRICE. Par cette union croyants sont modifiées à l’image du Christ selon sa nature humaine. Ce qui est des effets de Christ dans son peuple dans un sens une réplique ou une reproduction de ce qui passait avec lui. Ni seulement objectivement, mais aussi dans un sens subjectif, ils souffrent, porter la Croix, sont crucifiés, meurent et sont déclenchés en nouveauté de vie, avec le Christ. Ils partagent dans une certaine mesure l’expérience de leur Seigneur, Matthieu 16:24; Romains 6:5; GAL 02:20; 01:24; 02:12; 3:1; J’ai PET. 04:13.
C. LES CONCEPTIONS ERRONÉES DE DE L’UNION MYSTIQUE.
Il y a plusieurs conceptions erronées de l’union mystique, contre lequel nous devons être sur nos gardes. Erreurs sur ce point ne devraient pas être considérées aussi inconséquente et donc sans importance, car ils sont pleine de dangers pour une vraie compréhension de la vie chrétienne.
1. ERREUR RATIONALISTE. Nous devons éviter l’erreur du rationaliste qui permettrait d’identifier l’union mystique avec l’union du Christ comme les Logos avec toute la création ou l’immanence de Dieu dans tous les esprits humains. Cela se trouve dans l’instruction suivante, qui A. H. Strong cite de Campbell, le Christ à demeure: « dans l’immanence du Christ dans la nature, on retrouve le motif de son immanence dans la nature humaine.... Un homme peut être hors de Christ, mais Christ n’est jamais hors de lui. Ceux qui bannir qu'il n’abandonne pas ». Dans cette perspective, l’union mystique est dépouillée de sa signification sotériologique.
2. ERREUR MYSTIQUE. Une autre erreur dangereuse, c’est que des mystiques qui comprennent l’union mystique comme une identification du croyant avec Christ. Selon ce point de vue il y a en elle une union de l’essence, dans laquelle la personnalité de celui est simplement fusionnée avec celui de l’autre, afin que le Christ et le croyant ne restent pas deux personnes distinctes. Même certains des luthériens sont allés à l’extrême. Un extrémiste n’a pas hésité à dire, « je suis le Christ Jésus, le vivant, parole de Dieu; J’ai racheté toi par mes souffrances sans péché. »
3. ERREUR DES SOCINIENS ET DES ARMINIENS. Tout à fait un autre extrême se trouve dans les enseignements des Sociniens et arminiens, qui représentent l’union mystique comme une simple morale, ou une union d’amour et de sympathie, comme celui existant entre un professeur et ses élèves ou entre un ami et un ami. Une telle union n’implique pas une interpénétration de la vie du Christ et celle des croyants. Il se n’agirait d’aucuns plus que l’amour adhésion au Christ, un service amical rendu librement à lui et l’acceptation du message du Royaume de Dieu. C’est une union qui ne réclame pas un Christ en nous.
4. ERREUR DES SACRAMENTAIRES. Une autre erreur à éviter est celui de la sacramentarians, représentée par l’église catholique romaine et par certains luthériens et haute église épiscopaliens. Strong parle de cela comme « peut-être la plus pernicieuse une interprétation erronée de la nature de cette union. » Il fait la grâce de Dieu quelque chose de substantiel, dont l’église est le dépositaire, et qui peuvent être transmis dans les sacrements; et perd complètement de vue le fait que les sacrements ne peut pas effectuer cette union, parce qu’elles présupposent déjà il.
D. L’IMPORTANCE DE L’UNION MYSTIQUE.
1. l’union mystique dans le sens où nous parlons maintenant d’elle n’est pas le terrain judiciaire, sur la base desquels nous devenons participants de la richesse qui sont en Christ. On dit parfois que les mérites du Christ ne peuvent être imputées à nous tant que nous ne sommes pas dans le Christ, puisque c’est seulement sur la base de notre unité avec lui qu’une telle imputation serait raisonnable. Mais cette opinion ne parvient pas à faire la distinction entre notre unité juridique avec le Christ et notre unité spirituelle avec lui et est une falsification de l’élément fondamental dans la doctrine de la rédemption, à savoir, de la doctrine de la justification. Justification est toujours une déclaration de Dieu, non en fonction d’une condition existante, mais sur celle d’une imputation gracieuse, — une déclaration qui n’est pas en harmonie avec la condition actuelle du pécheur. Le terrain judiciaire pour toute la grâce spéciale que nous recevons réside dans le fait que la justice de Christ est librement imputée à nous.
2. mais cet état de choses, à savoir, que le pécheur n’a rien en lui-même et reçoit tout librement du Christ, doit se refléter dans la conscience du pécheur. Et cela se fait grâce à la médiation de l’union mystique. Alors que l’union est effectuée au moment où le pécheur est renouvelé par l’opération du Saint-Esprit, il ne devient-elle conscient de lui et ne pas activement cultiver jusqu'à ce que commence l’opération consciente de la foi. Puis il prend conscience du fait qu’il n’a pas la justice de la sienne, et que la justice par laquelle il apparaît seulement dans la vue de Dieu est imputée à lui. Mais malgré tout quelque chose de supplémentaire est nécessaire. Le pécheur doit se sentir sa dépendance à l’égard de Christ au plus profond de son être, — dans la vie du subconscient. C’est pourquoi il est incorporé dans le Christ, et comme un résultat des expériences toute la grâce qu’il reçoit se jette du Christ. Ainsi, le sentiment constant de dépendance engendré, est un antidote contre toute autosatisfaction.
3. l’union mystique avec le Christ assure également pour le croyant le pouvoir de transformation en continu de la vie du Christ, non seulement dans l’âme, mais aussi dans le corps. L’âme est progressivement renouvelé à l’image de Christ, comme Paul le dit, « de gloire à la gloire, de même que par l’esprit du Seigneur ». II Corinthiens 03:18. Et le corps est consacré dans le présent pour être un bon instrument de l’âme renouvelée et enfin passera vers le haut à la ressemblance de Christ est glorifié corps, Phil. 03:21. Être dans le Christ, croyants partagent toutes les bénédictions qu’il méritait pour son peuple. Il est pour eux une vivace fontaine jaillissant en vie éternelle.
4. en vertu de cette union croyants sommes en communion avec le Christ. Tout comme le Christ a partagé les travaux, les souffrances et les tentations de son peuple, ils sont maintenant fait partager son expérience. Ses souffrances sont, dans une certaine mesure, reproduit et complété dans la vie de ses disciples. Ils sont crucifiés avec lui et se posent aussi avec lui en nouveauté de vie finale triomphe du Christ devient aussi leur triomphe. Romains 6:5, 8; 08:17; II Corinthiens 1:7; Phil. 03:10; J’ai PET. 04:13.
5. Enfin, l’union des croyants avec le Christ fournit le fondement de l’unité spirituelle de tous les croyants et par conséquent pour la communion des saints. Ils sont animés par le même esprit, sont remplis de l’amour même, debout dans une même foi, sont engagés dans la guerre même et sont tenus pour le même objectif. Ensemble, ils sont intéressés par les choses de Christ et son église, de Dieu et de son Royaume. John 17:20, 21; Actes à 02:42; Romains 12:15; Éphésiens 4:2, 3; 03:16; Je th. 04:18; 05:11; Héb. 03:13; 10:24, 25; Jas. 05:16; J’ai John 1:3, 7.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Quel est le sens du terme « mystique », telle qu’appliquée à l’union avec le Christ ? Quelle est la relation entre la grâce dans le juridique et que dans la sphère morale ? Comment est-ce que nous devrions répondre la prétention que le pécheur ne peut devenir un participant dans les bienfaits de la grâce spéciale de Dieu jusqu'à ce qu’il est subjectivement incorporé dans le Christ ? Que peut-on dire en réponse à l’affirmation que la foi précède la régénération, car il les effets l’union avec le Christ, alors que la régénération est le fruit de cette union ? Si l’union mystique ne supprime ou il conserve la personnalité de l’homme ? Cf. Éph. 04:13. Tous les croyants dérivent des mêmes avantages de cette union ? Si cette union est indissoluble, comment John 15:1-7 doit être compris ? Ce qui est conception de Schleiermacher d’union du croyant avec le Christ ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. III, p. 594 f.; IV, p. 114, 226 f., 268 f.; Kuyper, Het Werk van den Heiligen Geest II, pp. 163-182; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 612-617; Strong, Syst. Theol., pp. 795-808; Dick, Theol., pp. 36-365; Hodge, contours, pp. 482-486; Ibid., Le jour des Expiations, pp. 198-211; McPherson, Chr. Theol., pp. 402-404; Valentine, Chr. Theol. II, p. 275-277; Schmid, Doct. THEOL., p. 485-491; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 321-322.
V. l'appel en général et l’appel externe
A. MOTIFS POUR DISCUTER DE L'APPEL TOUT D’ABORD.
La question de l’ordre relatif des appels et la régénération a souvent été discutée, et la discussion a souvent souffert d’un manque de discrimination et d’une incompréhension qui en résulte. Les termes « calling » et la « régénération » n’étaient pas toujours utilisés dans le même sens. Par conséquent, il était possible de maintenir, sans contradiction, d’une part que l’appel précède la régénération, et d’autre part, que la régénération est avant d’appeler. Nous allons examiner brièvement (1) les représentations dans l’écriture et dans nos normes confessionnelles; (2) l’ordre généralement suivi par les théologiens réformés; et (3) les raisons qui peuvent être avancés en faveur d’une discussion séparée de l’appelant externe par le biais de la parole, comme qui précède la régénération et la vocation interne.
1. LA REPRÉSENTATION BIBLIQUE. L’ordre biblique est principalement indiqué dans quelques passages bien connus. Il y a d’abord la vision des ossements secs dans Ézéchiel 37: 1-14. Alors qu’Ezéchiel a prophétisé sur les ossements desséchés de la maison d’Israël, le souffle de vie est entré en eux. Ce passage se rapporte au rétablissement civil et à la renaissance spirituelle de la maison d’Israël et probablement contient aussi un soupçon concernant la résurrection de ses morts. Il représente la parole prophétique comme précédant l’origine de la nouvelle vie du peuple d’Israël. Naturellement, cela ne signifie pas encore que le premier était relié à celle-ci.... Un passage très instructif se trouve dans actes 16:14, qui parle de la conversion de Lydia. Au cours de la prédication de Paul, le Seigneur a ouvert le cœur de Lydia à prêter attention à des choses qui ont été prononcés par l’Apôtre. Il est clairement laissé entendre que l’ouverture du coeur est précédée de l’extérieur et est suivi par l’appel interne. L’unité de la double vocation est clairement visible.... La déclaration de Paul dans Romains 04:17 est également fréquemment cité à cet égard, mais peuvent difficilement être considérés comme pertinents, car il ne se réfère pas à l’extérieur ou à l’appelant interne par la prédication de la parole de Dieu, mais que ce soit pour la fiat créatrice de Dieu , par lequel les choses sont appelées en cours, ou à son commandement délivré à des choses qui ne sont pas, comme s’ils étaient, et atteignant même les morts.... Un autre passage se trouve dans l’arrêt James 01:18, « De sa propre volonté il nous enfantée par la parole de vérité, que nous soyons une sorte de prémices de ses créatures. » On peut difficilement douter que la parole de vérité mentionné ici est la parole de la prédication, et l’hypothèse est que ce mot précède la nouvelle naissance et est dans un certain sens instrumental lui.... Et, enfin, il y a un passage bien connu dans I Pierre 01:23, dans lequel l’Apôtre parle des croyants comme « ayant été engendrés de nouveau, pas de semence corruptible, mais incorruptible, par la parole de Dieu, qui vit et demeure ». Compte tenu du verset 25 le mot référencé ici peut difficilement être autre chose que la parole de l’évangile prêché parmi les lecteurs. Ce mot de Pierre trop sous-entend que la parole de la prédication précède la régénération est instrumentalement connectée avec elle. Compte tenu de ces passages, la conclusion est parfaitement justifiée que dans le cas des adultes un appel externe par la prédication de la parole en général précède la régénération. Si elles justifient également l’affirmation qu’interne appel est préalable à l’implantation de la nouvelle vie, est une question qui ne doivent pas être considérée à ce stade.
2. REPRÉSENTÉ DANS NOS NORMES CONFESSIONNELLES. Nos normes confessionnelles impliquent aussi que dans le cas des adultes, la prédication de la parole précède la régénération, mais il faut avoir à l’esprit qu’ils n’utilisent pas le mot « régénération » dans le sens restreint dans lequel il est employé aujourd'hui. La Confessio Belgica, explique à l’Art. XXIV: « nous croyons que cette vraie foi, être provoquée chez l’homme par l’audition de la parole de Dieu et l’opération du Saint-Esprit, régénérer et font de lui un homme nouveau, obligeant à vivre une nouvelle vie et lui libérer de l’esclavage du péché. » La foi est forgée chez l’homme par l’audition de la parole et, travaille à son tour, régénération, c'est-à-dire le renouvellement de l’homme dans la conversion et la sanctification. Les Canons de Dordrecht contiennent une description un peu plus détaillée dans les III et IV, Articles 11 et 12: « mais quand Dieu accomplit son bon plaisir dans les élus, ou les œuvres dans leur vrai conversion, il entraîne non seulement l’Évangile être prêché extérieurement leur et puissamment illumine les esprits par son Esprit Saint, qu’ils peuvent à juste titre comprendre et discerner les choses de l’esprit de Dieu, mais par l’efficacité de la même régénérer l’esprit, il règne dans les recoins plus intimes de l’homme; . . . C’est la régénération si hautement célébrée dans les Ecritures et libellés en une nouvelle création: une résurrection d'entre les morts; une réalisation vivante, qui Dieu opère en nous sans notre aide. Mais cela est effectué aucune façon simplement par l’externe de prédication de l’Evangile, par la persuasion morale, ou un tel mode de fonctionnement que, après que Dieu a accompli sa part, il reste encore la puissance de l’homme à être régénéré ou non, à convertir ou à continuer non converti » etc.. Dans les présents statuts les mots « regeneration » et « conversion » sont utilisés indifféremment. Il est tout à fait évident, cependant, qu’ils indiquent le changement fondamental de la disposition applicable de l’âme, ainsi que le changement qui en résulte dans les manifestations de l’extérieur de la vie. Et ce changement se réalise non seulement, mais au moins en partie, par la prédication de l’Évangile. Par conséquent, il précède.
3. L’ORDRE GÉNÉRALEMENT SUIVI PAR LES THÉOLOGIENS RÉFORMÉS. Parmi les réformés, il a été tout à fait habituel de placer l’appel avant la régénération, bien que quelques-uns ont inversé l’ordre. Même Maccovius, Voetius et Comrie, tous les supralapsaires, suivent l’ordre habituel. Plusieurs considérations invité théologiens réformés en général à placer l’appel avant la régénération.
a. leur doctrine de l’Alliance de grâce. Ils considéraient l’Alliance de grâce comme le bien grand et complète tout que Dieu sous forme de dons infinie miséricorde pour les pécheurs, un bon y compris toutes les bénédictions du Salut et donc aussi de régénération. Mais cette Alliance est inséparablement liée à l’Évangile. Il est annoncé et fait connaître dans l’Évangile, dont Christ est le centre de la vie et donc n’existe pas sans elle. Où l’Évangile ne connaît pas l'Alliance n’est pas réalisé, mais où il est prêché, Dieu établit son alliance et glorifie sa grâce. Aussi bien la prédication de l’Évangile et l’administration de l'Alliance précéder les opérations salvatrices du Saint-Esprit, et forgé de participation le croyant dans le salut par le Christ.
b. leur conception de la relation entre le œuvre du Christ et celle de l’Esprit Saint. Les anabaptistes n’a pas à rendre justice à cette relation. Christ et son oeuvre rédemptrice nous sont présentées dans l’Évangile. Et il est de Christ, comme le médiateur de Dieu et l’homme et la cause méritoire de notre Salut, dérivant du Saint-esprit tout ce qu’il communique aux pécheurs. En conséquence, il se joint à son travail à la prédication de l’Évangile et exploite de manière salvatrice seulement où le message divin de la rédemption est amené. Le Saint-Esprit ne fonctionne pas en dehors du Christ dans l’Évangile.
c. la réaction contre le mysticisme des anabaptistes. Les anabaptistes repose sur la supposition que la régénération effectuée non pas simplement un renouvellement de la nature humaine, mais une création entièrement nouvelle. Et cela étant, ils considéraient comme impossible que quelque chose appartenant à cette création naturelle comme, par exemple, le langage humain dans lequel la parole de Dieu est portée à l’homme, pouvait en aucune manière être joué un rôle important dans la communication de la nouvelle vie pour les pécheurs. Comme ils ont vu, régénération eo ipso exclu l’usage du mot comme un moyen, qu’il s’agit après tout seulement lettre morte. Cette tendance mystique se sont fortement opposée par les théologiens réformés.
d. leur expérience en relation avec le renouveau spirituel des adultes. Alors qu’il était d’un avis établi que les enfants qui meurent en bas âge sont renaît et donc sauvé de l’Alliance, il n’y avait aucune opinion unanime quant au temps quand ceux qui ont grandi en sont devenus participants de la grâce de la régénération. Certains partagent l’opinion de Voetius que tous les enfants élus sont régénérées avant le baptême, et que la nouvelle vie peut, même chez les adultes, rester caché pendant de nombreuses années. La grande majorité, cependant, était réticents à prendre cette position et a tenu que la vie nouvelle, le cas échéant, serait se révéler d’une certaine façon. Expérience leur a appris que beaucoup ne donné aucune preuve de la nouvelle vie jusqu’après avoir entendu l’Évangile pendant de nombreuses années.
4. RAISONS POUR LA DISCUTER DE LA SÉPARATION DE L'APPEL EXTERNE QUI PRÉCÈDE LA RÉGÉNÉRATION.
a. clarté de la présentation. Les appels internes et externes sont essentiellement un; Pourtant, ils peuvent et doivent être soigneusement distingués. Un conflit peut surgir concernant celui qui ne concerne pas directement l’autre. Elle peut être mise en doute, si appel interne logiquement précède la régénération dans le cas des adultes, alors qu’il n’y a aucun doute que ce soit à cet égard concernant l’appelant externe par le biais de l’Évangile. C’est pourquoi il pourra être considéré souhaitable pour traiter du premier appel externe, puis de reprendre la discussion des appels internes dans le cadre de celle de la régénération.
b. le caractère préparatoire externe des appels... Si nous agissons sur l’hypothèse que l' ordo salutis traite de l’application effective de la rédemption, forgée par le Christ, nous nous sentons en même temps que l’appelant externe de la parole de Dieu peut, à proprement parler, difficilement être appelé une de ses étapes. Tant que cet appel ne pas, par le biais de l’opération d’accompagnement de l’Esprit Saint, se transforme en un appel interne et efficace, il a seulement une signification préliminaire et préparatoire. Plusieurs théologiens réformés parlent de lui comme une sorte de grâce commune, puisqu’il ne s’écoule pas de l’élection éternelle et la grâce salvatrice de Dieu, mais plutôt de sa bonté commune; et depuis lors, alors qu’il donne parfois une certaine illumination de l’esprit, il ne pas enrichir le coeur avec la grâce salvatrice de Dieu.
c. la nature générale des appels externes. Alors que tous les autres mouvements de l’Esprit Saint dans l' ordo salutis résilier sur les élus seulement, l’appelant externe par l’Évangile a une incidence plus large. Partout où l’Évangile est prêché, cet appel intervient pour les élus et les réprouvés alike. Il sert, non pas simplement d’amener les élus à la foi et la conversion, mais aussi de révéler le grand amour de Dieu pour les pécheurs en général. Par le biais de ce Dieu maintient sa revendication sur l’obéissance de toutes ses créatures rationnelles, retient la manifestation de péché et favorise la droiture civique, morale externe et les exercices religieux même vers l’extérieur.
B. L'APPEL EN GÉNÉRAL.
Puisque l’appel externe n’est qu’un aspect de l’appel en général, nous devrons envisager cela brièvement avant de pénétrer dans une discussion des appels externes.
1. L’AUTEUR DE NOTRE VOCATION. Notre vocation est une œuvre du Dieu triune. C’est d’abord une œuvre du père, j’ai Cor. 1:9; I Thessaloniciens 02:12; J’ai PET. 05:10. Mais le père travaille toutes choses à travers le fils; et si cet appel est également attribué au fils, Matthieu 11:28; Luke 05:32; John 07:37; ROM. 1:6(?). Et Christ, appelle à son tour, à travers sa parole et l’esprit, Matthieu 10:20; John 15:26; Actes à 05:31, 32.
2. VOCATIO REALIS ET VERBALIS. Les théologiens réformés parlent généralement d’une vocatio realis, par opposition à la vocatio verbalis. Par cela, ils entendent l’appel externe que vient aux hommes par le biais de générale de Dieu révélation, une révélation de la Loi et non de l’Evangile, à reconnaître, la peur et honore Dieu comme leur créateur. Il s’agit pour eux de choses (res) plutôt qu’en mots: dans la nature et l’histoire, dans l’environnement dans lequel ils vivent et dans les expériences et les vicissitudes de leur vie, Psaume 19:1-4; Actes 16:16, 17; 17:27; ROM. 01:19-21; 02:14, 15. cet appel ne sait rien du Christ et donc ne peut pas conduire au salut. Dans le même temps, c’est la plus grande importance dans le cadre de la retenue du péché, le développement de la vie naturelle et le maintien du bon ordre dans la société. Ce n’est pas la vocation qui nous intéresse aujourd'hui. Dans sotériologie seulement la vocatio verbalis vient en considération; et cela peut être défini comme cette gracieuse acte de Dieu, par laquelle il invite les pécheurs à accepter le salut qui est offert en Jésus Christ.
3. DIFFÉRENTES CONCEPTIONS DE LA VOCATIO VERBALIS. La vocatio verbalis est, comme l’indique le terme lui-même, l’appel divin qui vient à l’homme par la prédication de la parole de Dieu. Selon les catholiques, il peut également venir à l’homme par l’intermédiaire de l’administration du baptême. En fait, ils considèrent le sacrement comme le moyen le plus important à mettre l’homme au Christ et attribuent une signification décidément subalterne à la prédication de l’Évangile. Pas de la Chaire, mais l’autel est au centre avec Rome. En cours de temps considérable divergence d’opinions est apparue sur la question, pourquoi l’appel de l’Évangile se révèle efficace dans certains cas et pas dans d’autres. Pélage le conquérant a cherché l’explication de ceci dans la volonté arbitraire de l’homme. L’homme a par nature une parfaitement libre volonté, afin qu’il peut accepter ou refuser l’Evangile, comme il l’entend et ainsi obtenir ou ne parviennent pas à obtenir la bénédiction du Salut. Augustin, en revanche, attribue la différence à l’opération de la grâce de Dieu. Il dit: « l’audition de l’appel divin, est produit par la grâce divine elle-même, lui qui, avant, ont résisté; « et puis l’amour de la vertu est allumée en lui quand il résiste n’est plus ». Pélagianisme semi cherchait à servir d’intermédiaire entre les deux et à éviter les Augustins déni du libre arbitre et l’amortissement pélagienne de la grâce divine. Il suppose la présence des semences de la vertu chez l’homme, qui, eux-mêmes, avaient tendance à porter de bons fruits, mais qui s’est tenue que ce besoin l’influence fructifiant de la grâce divine pour leur développement. La grâce nécessaire pour cela est donnée gratuitement, à tous les hommes afin qu’ils soient à l’aide de celui-ci en mesure d’accepter l’appel de l’Évangile pour le salut. L’appel sera donc efficace homme fourni, avec l’aide de la grâce divine, il accepte. Cela est devenu la doctrine dominante de l’église catholique romaine. Certains catholiques ultérieures, dont Bellarmin fut l’un des plus importants, introduit dans la doctrine de congruism, dans laquelle l’acceptation de l’appel de l’Évangile dépende des circonstances dans lesquelles il s’agit de l’homme. Si celles-ci sont en harmonie, c'est-à-dire apte ou favorable, il va l’accepter, mais si non, il le rejettera. Le caractère des circonstances, bien sûr, dépendra en grande partie le fonctionnement de la grâce prévenante. Luther a développé l’idée que, tandis que la loi a travaillé de repentir, l’appel de l’Évangile porté avec lui le don du Saint-Esprit. L’Esprit Saint est dans la parole, et par conséquent, l’appel est toujours suffisant en soi et dans son intention toujours efficace. La raison pourquoi cet appel ne toujours affecte pas les résultat souhaité et prévu de mensonges dans le fait que les hommes dans de nombreux cas placer une pierre d’achoppement dans le chemin, afin que, après tout, le résultat est déterminé par l’attitude négative de l’homme. Tandis que certains luthériens parlent toujours des appels externes et internes, ils insistent sur ce que l’ancien ne vient jamais à l’homme en dehors de ce dernier. L’appel est essentiellement toujours efficace, afin qu’il n’y a vraiment pas de place pour la distinction. Insistance forte de Luther sur le caractère efficace de l’appel de l’Évangile était en raison de la dépréciation de l’anabaptiste de celui-ci. Les anabaptistes pratiquement annulé la parole de Dieu comme un moyen de la grâce et a insisté sur ce qu’ils appelaient le mot interne, la « lumière intérieure » et l’illumination du Saint-Esprit. Pour eux, le mot externe se mais la lettre qui tue, alors que le mot interne est esprit et vie. Appel externe signifiait peu ou rien dans leur régime. La distinction entre les appels internes et externes se trouve déjà chez Augustin, était empruntée à lui par Calvin et donc importante dans la théologie réformée. Selon Calvin, l’appel de l’Évangile n’est pas en soi efficace, mais est rendu efficace par l’opération du Saint-Esprit, lorsque rachetés, il s’applique le mot au coeur de l’homme; et elle est donc appliquée seulement dans les coeurs et les vies des élus. Le salut de l’homme reste donc le œuvre de Dieu dès le début. Dieu par sa grâce salvatrice, non seulement permet, mais provoque l’homme pour répondre à l’appel de l’Évangile pour le salut. Les arminiens étaient pas satisfaits de cette position, mais pratiquement tournés le dos à la semi pélagianisme de l’église catholique romaine. Selon eux, la Déclaration universelle de l’Évangile s’accompagne d’une universelle grâce suffisante, — « aimable assistance octroyée en réalité et universellement, suffisante pour permettre à tous les hommes, s’ils le souhaitent, de parvenir à la pleine possession du spirituel bénédictions et finalement vers le salut. » Le œuvre du Salut est une fois de plus subordonné à l’homme. Ceci a marqué le début d’un retour rationaliste au poste pélagienne, qui rejette totalement la nécessité d’une opération interne de l’Esprit Saint pour le salut.
C. APPEL EXTERNE.
La Bible n’utilise pas le terme « externe », mais parle clairement d’une vocation qui n’est pas efficace. Il est présupposé dans la grande commission, car elle se trouve dans Marc 16:15, 16, « allez par tout le monde et prêchez l’Evangile à toute la création. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé; « mais celui qui disbelieveth sera condamné. » La parabole des noces dans Matthieu 22:2-14 enseigne clairement que certains qui ont été invitées ne sont pas venu et se termine par les mots célèbres: « car beaucoup sont appelés, mais peu d’élus. » La même leçon est enseignée dans la parabole du grand dîner, Luc 14:16-24. D’autres passages parlent explicitement d’un rejet de l’Évangile, Jean 03:36; Actes 13:46; II Thess. 1:8. D’autres parlent encore du péché terrible de l’incrédulité d’une manière qui indique clairement qu’il a été commis par certains, Matthieu 10:15; 11:21-24; John 05:40; 16:8, 9; J’ai John 05:10. L’appel externe consiste en la présentation et l’offre de salut dans le Christ aux pécheurs, ainsi qu’une exhortation sérieuse d’accepter Christ par la foi, afin d’obtenir le pardon des péchés et la vie éternelle.
1. LES ÉLÉMENTS QUI Y SONT COMPRISES.
a. un exposé des faits Évangile et de la doctrine de la rédemption. La voie de la rédemption a révélé dans le Christ doivent-elles être énoncée clairement dans toutes ses relations. Plan de Dieu de la rédemption, le œuvre salvifique du Christ et le renouvellement et de transformation des activités de l’Esprit Saint, doit être interprété dans leurs relations mutuelles. Il convient d’avoir à l’esprit, cependant, qu’une simple présentation des vérités de la rédemption, peu importe comment bien fait, fait pas encore constitue l’appel de l’Évangile. Il est non seulement fondamentale pour elle, mais encore constitue une partie très importante de celui-ci. En même temps, il n’est en aucun cas l’ensemble de cet appel. Selon notre conception réformée, les éléments suivants appartiennent également à elle.
b. une invitation à accepter le Christ dans la repentance et de foi. La représentation de la voie du Salut doit être complétée par une invitation sincère (II Cor. 05:11, 20) et même une commande solennelle (John 06:28, 29; Actes 19:4) de se repentir et de croire, c'est-à-dire accepter Christ par la foi. Mais, afin que cette venue à Christ ne peut pas être comprise dans un sens superficiel, il est souvent représenté par revivalistes, la vraie nature de la repentance et la foi nécessaires devrait être clairement énoncée. Il convient tout à fait clair que le pécheur ne peut de lui-même vraiment Repentez-vous et croyez, mais que c’est Dieu qui opère en lui « et le vouloir et travaillé, pour son bon plaisir. »
c. une promesse de pardon et de Salut. L’appel externe contient également une promesse d’acceptation pour tous ceux qui remplissent les conditions, pas de leur force, mais par la puissance de la grâce de Dieu forgé dans leurs cœurs par le Saint-Esprit. Elles qui, par la grâce de se repentir de leurs péchés et accepter le Christ par la foi reçoivent l’assurance du pardon des péchés et du salut éternel. Cette promesse, il doit être remarqué, n’est jamais absolue, mais toujours conditionnel. Personne ne peut attendre son accomplissement, sauf dans le sentier d’une foi et le repentir qui est véritablement forgé par Dieu.
Du fait que ces éléments sont inclus dans l’appel externe, on peut facilement en déduire que ceux qui rejettent l’Évangile ne consiste pas seulement refusent de croire certains faits et idées, mais résister le fonctionnement général de l’Esprit Saint, qui est lié à cet appel et se sont rendus coupables du péché de désobéissance obstinée. Par leur refus d’accepter l’Évangile, ils augmentent leur responsabilité et chérir en colère pour eux-mêmes, au jour du jugement, Rom. 2:4, 5. Que les éléments ci-dessus sont effectivement incluses dans l’appel externe, est tout à fait évident à partir des passages suivants des Ecritures: (a) selon les actes 20:27 Paul considère que la déclaration de tout le Conseil de Dieu, dans le cadre de l’appel; et dans Éphésiens 3:7-11, il raconte quelques détails dont il avait déclaré: les lecteurs. b exemples de l’appel à se repentir et croire se trouvent dans ces passages comme Ézéchiel 33: 11; Marquer à 01:15; John 06:29; II Corinthiens 05:20. (c) et la promesse est contenue dans les passages suivants, John 03:16-18,36; 05:24, 40.
2. LES CARACTÉRISTIQUES DES APPELS EXTERNES.
a. c’est général ou universel. Cela ne veut ne pas être pris dans le sens où il a été soutenu par certains des vieilles théologiens luthériens, à savoir, que cet appel a été porté à tous les vivants plus d’une fois dans le passé, comme, par exemple, à l’époque d’Adam, dans celui de Noé et à l’époque des apôtres. McPherson a bien dit: « un appel universel de ce genre n’est pas un fait, mais une simple théorie inventée dans un but. » Dans cette représentation les termes « générales » ou « universels » ne servent pas dans le sens dans lequel ils sont destinés, quand on dit que l’appel de l’Évangile est général ou universel. En outre, la représentation est au moins en partie à l’encontre de fait. Appel externe est en général seulement dans le sens qu’il s’agit de tous les hommes à qui l’Évangile est prêché, sans discernement. Il n’est pas limité à n’importe quel âge ou la nation ou la classe d’hommes. Il s’agit à la fois juste et l’injuste, les élus et les réprouvés. Les passages suivants témoignent de la nature générale de cet appel: 55:1 d’Ésaïe, « Ho, tout le monde qui paraîtrai-je, venez aux eaux et il a pas d’argent; certains ye, achetez et mangez; Oui, viens, acheter vin et du lait sans argent et sans prix, » cf. aussi versets 6,7. Dans le cadre de ce passage, on pourrait dire en théorie que seuls pécheurs spirituellement qualifiés sont appelés; mais cela ne peut certainement pas dire d’Ésaïe 45:22, « regardez à moi, et vous serez sauvés, toutes les extrémités de la terre; car je suis Dieu, et il n’y a point d’autre. » Certains interprètent également l’invitation familière de Jésus dans Matthieu 11:28, « Venez à moi, tous vous qui travail êtes fatigués et chargés et je vous donnerai le repos, » comme limiter tel que sont véritablement préoccupé par leurs péchés et vraiment repenti; mais il n’y a aucun mandat pour une telle limitation. Le dernier livre de la Bible se termine par une belle invitation générale: « et l’esprit et l’épouse disent, viens. Et celui qui écoute, laissez-le dire, venir. Et que celui qui est avide, viennent: celui qui, permettra de lui prendre de l’eau de vie librement, » 22:17. Que l’invitation de l’Évangile n’est pas limitée aux élus, comme une cale, est tout à fait évident de tels passages comme PS. 81:11-13; Prov. 01:24-26; Ézéchiel 03:19; Matthieu 22:2-8,14; Luc 14:16-24.
Le caractère général de cet appel est aussi enseigné dans les Canons de Dordrecht. Encore cette doctrine rencontré à plusieurs reprises l’opposition par des individus et des groupes dans les Églises réformées. Dans l’Église écossaise du XVIIe siècle certains a refusé l’invitation sans discernement et offre de tout Salut, tandis que d’autres voulaient limiter aux confins de l’église visible. Par rapport à ceux-ci les hommes de la moelle osseuse, telles que Boston et les Erskines, défendaient. Aux Pays-Bas, ce point a été contesté surtout au XVIIIe siècle. Ils qui ont maintenu l’offre universelle étaient appelés les prédicateurs de la nouvelle lumière, alors qu’ils qui a défendu l’offre particulière, l’offre à ceux qui ont déjà témoigné d’une mesure de grâce spéciale et pourrait donc être comptée parmi les élus, ont été connu comme les prédicateurs de la lumière vieux. Même de nos jours, nous rencontrons occasionnellement avec l’opposition sur ce point. Il est dit qu’une telle invitation générale et l’offre est incompatible avec la doctrine de la prédestination et de l’expiation particulière, doctrines qui, on pense, le prédicateur doit prendre son point de départ. Mais la Bible n’enseigne pas que le prédicateur de l’Evangile doit prendre son point de départ de ces doctrines, aussi importantes soient-elles. Son point de départ et le mandat se situent dans la commission de son roi: « allez par tout le monde et prêchez l’Évangile à toute créature. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé: mais celui qui ne croira pas sera condamné. » Marc 16:15, 16. En outre, c’est une impossibilité absolue que n’importe qui, en prêchant l’Évangile, devrait se limiter aux élus, comme certains voudraient nous faire faire, car il ne sait pas qui ils sont. Jésus ne savaient pas eux, mais il ne limitait pas si l’offre de Salut, Matthieu 22:3-8,14; Luc 14:16-21; Jean 05:38-40. Il y aurait une contradiction réelle entre les doctrines réformées de la prédestination et expiation particulière d’une part, et l’universel offre du Salut, en revanche, si cette offre contenait la déclaration que Dieu voulait sauver chaque individu auditeur de l’Évangile et que Christ vraiment expié les péchés de chacun d’eux. Mais l’invitation de l’Évangile n’implique aucune telle déclaration. C’est une remise gracieuse d’accepter Christ par la foi et une promesse conditionnelle du Salut. La condition est remplie uniquement dans les élus, et par conséquent ils n’obtiennent la vie éternelle.
b. c’est une véritable vocation. L’appel externe est une vocation de bonne foi, une vocation qui est destinée au sérieux. Il n’est pas une invitation couplée avec l’espoir qu’il ne sera pas accepté. Quand Dieu appelle le pécheur d’accepter Christ par la foi, il désire ardemment cela; et quand il promet à ceux qui se repentent et croient à la vie éternelle, sa promesse est fiable. Cela découle de la nature, de la véracité, de Dieu. C’est un blasphème à penser que Dieu serait coupable d’équivoque et tromperie, qu’il disent une chose et signifier à l’autre, qu’il serait sérieusement plaider avec le pécheur de se repentir et de croire au Salut et en même temps le désirent pas dans tout les sens du terme. Le caractère authentique de l’appel externe est prouvé par les passages suivants des Ecritures: nombres 23:19; PS. 81:13-16; Prov. 01:24; Ésaïe 01:18-20; Ézéchiel 18:23, 32; 33: 11; Matthieu 21:37; II Timothée 02:13. Les Canons de Dordrecht il affirment aussi explicitement aux III et IV, 8. Plusieurs objections ont été offertes à l’idée d’une telle offre de bona fide du Salut. (1) une objection est dérivée de la véracité de Dieu. Il est dit que, selon cette doctrine, il offre le pardon des péchés et la vie éternelle à ceux pour lesquels il n’est pas destiné ces cadeaux. On ne faut pas nier qu’il y a une réelle Difficulté à ce stade, mais il s’agit de la difficulté avec laquelle nous sommes confrontés toujours, lorsque nous cherchons à harmoniser les decretive et la volonté d’adopter de Dieu, une difficulté qui, même les opposants ne peuvent pas résoudre et souvent simplement j’ai gnore. Pourtant on ne peut pas supposer que les deux sont vraiment contradictoires. La volonté decretive de Dieu détermine ce qui arrivera très certainement (sans nécessairement impliquer que Dieu prend vraiment plaisir à tout cela, comme, par exemple, dans toutes sortes de péché), tandis que l’adopter est la règle de l’homme de la vie, afin de l’informer quant à ce qui est bien ple asing aux yeux de Dieu. En outre, il convient de garder à l’esprit que Dieu n’offre pas de pécheurs le pardon des péchés et la vie éternelle sans condition, mais seulement dans le sentier de foi et la conversion; et que la justice du Christ, bien que non destiné à tous, n’est encore suffisante pour tous. (2) une seconde objection est dérivée de l’incapacité spirituelle de l’homme. L’homme, tel qu’il est par nature, ne peuvent pas croire et se repentir, et donc il ressemble à la moquerie de demander cela de lui. Mais dans le cadre de cette objection, on retiendra que, en dernière analyse, incapacité de l’homme dans les choses spirituelles est enracinée dans son refus de servir Dieu. L’état réel des choses est pas telle que beaucoup voudraient se repentir et de croire au Christ, s’ils pouvaient seulement. Tous ceux qui ne croient pas ne sont pas prêts à croire, John 05:40. En outre, c’est pas plus déraisonnable d’exiger le repentir et la foi dans le Christ, des hommes que c’est d’exiger d’eux qu’ils observent la Loi. Très irrégulière, certains de ceux qui s’opposent à l’offre générale du Salut sur la base d’incapacité spirituelle de l’homme, n’hésitez pas à placer le pécheur devant les exigences de la Loi et même insister sur cette opération.
3. L’IMPORTANCE DES APPELS EXTERNES. La question peut être posée, pourquoi Dieu vient à tous les hommes sans distinction, y compris même les réprouvés, avec l’offre du Salut. Cet appel externe répond à plus d’un but.
a. en elle Dieu maintient sa revendication sur le pécheur. Comme le souverain maître de l’univers qu’il a le droit — et il s’agit d’une question de droit absolu — au service de l’homme. Et si l’homme arracha de Dieu dans le péché et est maintenant incapable de rendre obéissance spirituelle à son souverain légitime, sa transgression volontaire abrogent pas la réclamation de Dieu au service de ses créatures rationnelles. Le droit de Dieu à une obéissance absolue demande reste, et il a fait valoir ce droit dans la Loi et l’Évangile. Ses prétentions sur l’homme s’exprime aussi dans l’appel à la foi et le repentir. Et si l’homme ne pas tenir compte de cet appel, il ne tient pas compte et offense la juste revendication de Dieu et augmente ainsi sa culpabilité.
b. c’est le moyen divinement désigné d’amener des pécheurs à la conversion. En d’autres termes, c’est le moyen par lequel Dieu rassemble les élus sur les nations de la terre. Comme tel il doit nécessairement être général ou universel, car aucun homme ne peut signaler les élus. Le résultat final est, bien sûr, que les élus et ils acceptent seulement, Christ par la foi. Cela ne signifie pas que les missionnaires peuvent sortir et donner leurs auditeurs l’assurance que le Christ est mort pour chacun d'entre eux et que Dieu a l’intention d’enregistrer chacun d’eux; mais cela ne veut pas dire qu’ils peuvent apporter la joyeuse nouvelle que Christ est mort pour les pécheurs, qu’il les invite à venir à lui, et qu’il offre le Salut à tous ceux qui vraiment ne se repentent de leurs péchés et accepter de lui avec une foi vivante.
c. c’est aussi une révélation de la sainteté de Dieu, la bonté et de compassion. En vertu de sa sainteté, Dieu dissuade les pécheurs dans le monde du péché et en vertu de sa bonté et sa miséricorde, il les met en garde contre l’autodestruction, reporte l’exécution de la peine de mort et les bénit avec l’offre du Salut. Il n’y a aucun doute que cette offre gracieuse n’est en soi une bénédiction et pas, comme certains aurait-il, une malédiction pour les pécheurs. Clairement, il révèle la compassion divine pour eux et est donc représenté dans la parole de Dieu, PS. 81:13; Prov. 01:24; Ézéchiel 18:23, 32; 33: 11; Amos 08:11; Matthieu 11:20-24; 23:37. en même temps il est vrai que l’homme par son opposition à celle-ci peut tourner même cette bénédiction en une malédiction. Il naturellement augmente la responsabilité du pécheur et, si pas accepté et amélioré, augmentera son jugement.
d. Enfin, elle accentue clairement la justice de Dieu. Si même la révélation de Dieu dans la nature a pour objectif de prévenir toute excuse quels pécheurs pourraient être enclins à faire, Rom. 01:20, c’est d’autant plu vrai de la révélation spéciale de la voie du Salut. Lorsque les pécheurs méprisent l’abstention de Dieu et de rejettent son offre gracieuse du Salut, la grandeur de leur corruption et de la culpabilité et la justice de Dieu dans leur condamnation, se distingue dans la lumière plus claire.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Dans quels cas les réformés suppose que régénération précède l’appel même externe ? Comment ils se connectent-ils appelant externe vers le haut avec la doctrine de l'Alliance ? Pour quelles raisons les arminiens lors du Synode de Dordrecht n’affirment que les Églises réformées pourraient enseigner pas toujours que Dieu appelle gravement pécheurs aveuglément au Salut ? Comment les catholiques romains conçoivent l’appel par le mot ? Quelle est la conception luthérienne de la vocation ? Est-il correct de dire (avec Alexandre, Syst. Theol. II, p. 357 ff.) que le mot lui-même est suffisant pour effectuer un changement spirituel, et que le Saint-Esprit supprime simplement l’obstruction à sa réception ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 1-15; Ibid., Roeping fr Wedergeboorte Kuyper, Dict. dogme., De Salute, pp. 84-92; Faire, Godgeleerdheit III, pp. 192-214 à Marck, Godgeleerdheid, pp. 649-651; Witsius, De Verbonden III, ch. 5; Hodge, Syst. Theol II. pp. 639-653; Dabney, théologie., pp. 553-559; Schmid, Doct. THEOL., pp. 448-456; Valentine Chr. Theol. II, p. 194 et 204; Pape, Chr. Theol. II, p. 335-347; W. Alexander L., syst. de la Bibl. Theol. II, p. 357-361.
VI. la Régénération et l'Appel efficace
A. LES TERMES BIBLIQUES POUR LA RÉGÉNÉRATION ET LEURS IMPLICATIONS.
1. LES TERMES QUI ENTRENT EN CONSIDÉRATION. Le mot grec pour « régénération » (palingenesia) se trouve uniquement dans Matthieu 19:28 et Tite 3:5; et que dans le dernier passage nommé fait allusion au début de la nouvelle vie dans le chrétien individuel. L’idée de ce début est plus souvent exprimée par le verbe gennao (avec anothen dans Jean 3:3), ou son compositum anagennao. Ces mots signifient d’engendrer, à engendrer à nouveauou de porter ou de donner naissance, John 01:13; 3:3, 4, 5, 6, 7, 8; J’ai PET. 01:23; J’ai John 02:29; 3:9; 4:7; 5:1, 4, 18. dans un passage, à savoir, Jas. 01:18, le mot apokueo, supporter ou enfanter, est employé. Par ailleurs, la pensée de la production d’une nouvelle vie est exprimée par le mot ktizo, pour créer, Éphésiens 02:10, et le produit de cette création est appelé un ktisis kaine (une nouvelle créature), II Corinthiens 05:17; GAL 06:15, ou un anthropos kainos (un homme nouveau), Éphésiens 04:24. Enfin, le terme suzoopoieo, à faire vivre avec, à s’accélérer avec, est également utilisé dans quelques passages, Éphésiens 2:5; 02:13.
2. LES IMPLICATIONS DE CES TERMES. Ces conditions portent avec eux plusieurs conséquences importantes, dont l’attention doit être adressée. a la régénération est une œuvre créatrice de Dieu et est donc une œuvre dans laquelle l’homme est purement passiveet dans lequel il y a pas de place pour la coopération humaine. Il s’agit d’un point très important, car il insiste sur le fait que le salut est entièrement de Dieu. (b) le œuvre créatrice de Dieu produit une nouvelle vie, en vertu duquel l’homme, a fait revivre avec le Christ, partage la vie de résurrection et peut être appelée une nouvelle créature, « créé dans le Christ Jésus pour les bonnes oeuvres, que Dieu afore préparés que nous les pratiquions » Éphésiens 02:10. (c) deux éléments doivent être distinguées dans la régénération, à savoir, génération ou l’engendrement de la nouvelle vieet portant ou enfantement, par lequel la vie nouvelle est faite sortir de ses profondeurs cachées. Génération des implants le principe de la nouvelle vie dans l’âme, et la nouvelle naissance provoque ce principe commencer à s’affirmer dans l’action. Cette distinction est d’une grande importance à une bonne compréhension de la régénération.
B. L’UTILISATION DU TERME « RÉGÉNÉRATION » EN THÉOLOGIE.
1. DANS L’ÉGLISE PRIMITIVE ET DANS LA THÉOLOGIE CATHOLIQUE ROMAINE. Dans l’esprit de l’église primitive, le terme « régénération » n’était pas établie pour un concept bien défini. Il a été utilisé pour indiquer un changement est étroitement lié avec le lavage loin des péchés et est fait aucune distinction claire entre la justification et la régénération. Identifiées par la grâce baptismale, l’ancien a été entendu en particulier comme une désignation de la rémission du péché, même si l’idée d’une certaine rénovation morale n’était pas exclue. Augustine même n’a pas tiré une ligne pointue ici, mais distinction entre régénération et conversion. Lui régénération inclus, en plus de la rémission du péché, seulement un changement initial du cœur, suivi de la conversion par la suite. Il conçut de lui comme strictement monergistic œuvre de Dieu, dans lequel le sujet humain ne peut coopérer et que l’homme ne peut résister. Pour Pelagius, bien sûr, « régénération » ne signifiait pas la naissance d’une nouvelle nature, mais le pardon des péchés par le baptême, l’illumination de l’esprit de la vérité et la stimulation de la volonté de promesses divines. La confusion de la régénération et la justification, déjà apparente chez Augustin, est devenue encore plus prononcée dans la scolastique. En fait, justification est devenu le concept le plus important des deux, était considérée comme incluant la régénération et a été conçue comme un acte dans lequel Dieu et homme, coopérer. Justification, selon la représentation commune, inclus l’infusion de la grâce, c’est la naissance d’une nouvelle créature ou régénération et le pardon des péchés et la suppression de la culpabilité y attacher à elle. Il y avait une divergence d’opinion, cependant, Qu'au sujet de laquelle de ces deux éléments est la prius logique. Selon Thomas Aquinas l’infusion de la grâce est le premier et le pardon des péchés est, au moins dans un certain sens, sur cette base; mais selon Duns Scot le pardon du péché est le premier et est essentiel à l’infusion de la grâce. Ces deux éléments sont effectués par le baptême ex opere operato. L’avis de Thomas Aquinas a gagné le dessus dans l’église. Jusqu'à l’heure actuelle, qu'il y a une certaine confusion de régénération et de justification dans l’église catholique romaine, qui est, sans doute, en grande partie dû au fait que justification n’est pas conçue comme un acte médico-légal, mais comme un acte ou le processus de renouvellement. Dedans l’homme n’est pas déclarée mais fait juste. Wilmers dans son Manuel de la Religion chrétienne, dit: « comme justification est un renouveau spirituel et la régénération, il s’ensuit que le péché est vraiment détruit par elle et non, comme les réformateurs perpétuées, simplement couvertesou ne imputée est plus. »
2. PAR LES RÉFORMATEURS ET DANS LES ÉGLISES PROTESTANTES. Luther n’échappe pas entièrement la confusion de régénération avec justification. En outre, il a parlé de la régénération ou la nouvelle naissance dans un sens plutôt large. Calvin a également utilisé le terme dans un sens très vaste comme une désignation de l’ensemble du processus par lequel l’homme est renouvelé, notamment, outre la loi divine, qui est originaire de la nouvelle vie, aussi la conversion (repentir et la foi) et la sanctification. plusieurs auteurs du XVIIe siècle ne parviennent pas à distinguer de la régénération et la conversion et utiliser les deux termes indifféremment, traitant de ce que nous appelons maintenant la régénération en vertu de la vocation ou effectual calling. Les Canons de Dordrecht, également utiliser les deux termes comme des synonymes, et la Confessio Belgica semble parler de régénération dans un sens encore plus large. cette utilisation complète de l’expression « régénération » conduite souvent à confusion et à la méconnaissance des distinctions très nécessaire. Par exemple, tandis que la régénération et la conversion ont été identifiés, la régénération a été déclarée encore pour être monergistic, en dépit du fait que dans la conversion homme certainement coopère. La distinction entre la justification et la régénération était déjà devenu plus claire, mais peu à peu, il est devenu nécessaire et coutumier aussi d’employer le terme « régénération » plus restreint sens. Turretin définit deux types de conversion: tout d’abord, une conversion « habituelle » ou passive, la production d’une aliénation ou d’habitude de l’âme, qui, fait-il remarquer, on pourrait mieux appeler « régénération »; et, deuxièmement, une conversion « réelle » ou « active », dans lequel ce implanté habitude ou disposition devenue active dans la foi et le repentir. Théologie réformée que le mot « régénération » est généralement utilisé dans un sens plus restreint, comme une désignation de cette divine acte par lequel le pécheur est doté de nouvelle vie spirituelle, et par laquelle le principe de cette nouvelle vie est le premier mis en action dans nos jours. Ainsi conçu, il inclut les deux « l'engendrement à nouveau » et la « nouvelle naissance », dans lequel la vie nouvelle devient manifeste. Dans harmonie stricte, cependant, la signification littérale du mot « régénération » le terme est parfois employé dans un sens encore plus restreint, pour désigner simplement l’implantation de la nouvelle vie dans l’âme, mis à part les premières manifestations de cette vie. Dans la théologie libérale moderne le terme « régénération "a acquis une signification différente. Schleiermacher distingue deux aspects de la régénération, à savoir, la conversion et la justification et qui s’est tenue cette régénération en « une nouvelle conscience religieuse est produite dans le croyant par l’esprit chrétien commun de la communauté et la nouvelle vie, ou ' sanctification, "est prête pour. » (Pfleiderer.) Cet « esprit de la communauté chrétiens » est le résultat d’un afflux de la vie divine, à travers Christ, dans l’église et est appelé « le Saint-Esprit » par Schleiermacher. La vision moderne est bien énoncée dans ces paroles de Youtz: « interprétation moderne incline revenir à l’utilisation symbolique de la conception de régénération. Nos réalités éthiques traitent de personnages transformés. Régénération exprime donc un changement radical, vital, éthique, plutôt que d’un début de métaphysique absolument nouveau. La régénération est une étape très importante dans le développement naturel de la vie spirituelle, un réajustement radical aux processus morales de la vie. » Les étudiants de la psychologie de la Religion échouent généralement d’établir une distinction entre la régénération et la conversion. Ils considèrent comme un processus dans l’attitude de l’homme qui à l’évolution de la vie de l’autocentric à la heterocentric. Il trouve son explication principalement dans la vie de subconscient et n’implique pas nécessairement quelque chose de surnaturel. James dit: « être convertis, être régénéré, pour recevoir la grâce, de vivre la religion, afin d’obtenir une assurance, sont tellement de phrases qui désignent le processus, progressif ou soudain, par lequel un individu jusqu’ici divisé et consciemment mauvais, inférieur et malheureux, devient unifiée et consciemment droite, supérieure et heureux, par suite de son emprise plus ferme sur les réalités religieuses. » Selon Clark, « étudiants ont convenu pour discerner trois différentes étapes de conversion: (1) une période de « storm and stress, » ou le sens du péché, ou sentiment de disharmonie vers l’intérieur, à la théologie connu sous le nom « condamnation du péché » et désigné par James comme « maladie de l’âme. » (2) une crise émotionnelle qui marque un tournant décisif. (3) une relaxation succédant assistée par un sentiment de paix, repos, harmonie intérieure, acceptation par Dieu et pas rarement moteur et sensoriels réflexes de toutes sortes. »
C. LA NATURE ESSENTIELLE DE LA RÉGÉNÉRATION.
Par rapport à la nature de la régénération il sont plusieurs idées fausses qui devraient être évitées. Il serait bien de mentionner ces premier, avant les qualités positives de cette re-création de Dieu.
1. LES IDÉES FAUSSES. a la régénération n’est pas un changement dans la substance de la nature humaine, tel qu’enseigné par le Manichæans et dans les jours de la réformation par Flacius Illyricus, qui a conçu du péché originel en tant que substance, être remplacée par une autre substance dans la régénération. Aucune nouvelle semence physique ou le germe n’est implanté chez l’homme; n’y a-t-il plus de, ou soustraction de, les facultés de l’âme. (b) il n’est pas simplement un changement dans un ou plusieurs des facultés de la âme, comme, par exemple, de la vie émotionnelle (sentiment ou coeur), en enlevant l’aversion à la divine des choses, comme certains évangéliques conçoivent; ou de l’intellect, en éclairant l’esprit qui est obscurcie par le péché, comme les Rationalistes ont tenu à elle. Elle affecte le coeur, compris dans le sens biblique du terme, c'est-à-dire comme l’organe central et tout contrôle de l’âme, que qui sont les enjeux de la vie. Cela signifie qu’il affecte la nature humaine dans son ensemble. (c) n’est pas un changement complet ou parfait de la nature de l’homme, ou de toute partie de celui-ci, afin qu’il soit pas plus capable du péché, tel qu’enseigné par les anabaptistes extrêmes et certaines autres sectes fanatiques. Cela ne signifie pas qu’il n’affecte en principe toute la nature de l’homme, mais seulement qu’il n’est pas le tout changement qui est forgé chez l’homme par l’opération du Saint-Esprit. Il ne comporte pas de conversion et sanctification.
2. LES CARACTÉRISTIQUES POSITIFS DE LA RÉGÉNÉRATION. Les affirmations positives suivantes peuvent être effectuées en respectant la régénération:
a. régénération consiste en l’implantation du principe de la nouvelle vie spirituelle chez l’homme, dans un changement radical de la disposition applicable de l’âme, qui, sous l’influence de l’Esprit-Saint donne naissance à une vie qui se déplace dans une direction Godward. En principe, cette modification affecte tout l’homme: l’intellect, I Cor. 02:14, 15; II Cor. 4:6; EP 01:18; 03:10; la volonté, PS. 110:3; Phil. 02:13; II Thess. 3:5; Hébreux 13:21; et les sentiments ou les émotions, Psaume 42: 1, 2; Matthieu 5:4; I Pierre 1:8.
b. c’est un changement instantané de la nature de l’homme, qui touchent à la fois tout l’homme, intellectuel, affectif et moral. L’affirmation que la régénération est un changement instantané implique deux choses: (1) qu’il n’est pas un travail que prépare peu à peu dans l’âme, comme l’enseignent les catholiques romains et toutes les Semi-pélagiens; Il n’y a aucune étape intermédiaire entre la vie et la mort; on vit ou est morte; et (2) qu’il n’est pas un processus graduel comme sanctification. Il est vrai que certains auteurs réformées ont parfois utilisé le terme « régénération » comme comprenant la sanctification même, mais qui était à l’époque où l' ordo salutis n’était pas aussi pleinement développée comme il est aujourd'hui.
c. c’est dans son sens le plus restreint d’un changement qui se produit dans le sub- vieconsciente . C’est un travail secret et impénétrable de Dieu qui n’est jamais directement perçu par l’homme. Le changement peut avoir lieu sans être homme conscient momentanément, même si ce n’est pas le cas lors de la régénération et la conversion en question; et même plus tard, l’il peut percevoir que dans ses effets. C’est ce qui explique le fait qu’un chrétien mai, d’une part, luttent depuis longtemps avec les doutes et les incertitudes et peut encore, en revanche, progressivement surmonter ces et élever jusqu’aux hauteurs d’assurance.
3. DÉFINITION DE LA RÉGÉNÉRATION. De ce qui a été dit au cours des précédentes concernant l’utilisation actuelle du terme « régénération », il s’ensuit que la régénération peut être définie de deux manières. Au sens strict du mot, nous pouvons dire: régénération est cet acte de Dieu, par lequel le principe de la nouvelle vie est implanté chez l’homme, et la disposition applicable de l’âme est sanctifiée. Mais afin d’y inclure l’idée de la nouvelle naissance, ainsi que celle de l’engendrement « à nouveau », il sera nécessaire de compléter la définition avec les mots suivants:... «et le premier exercice sacré de cette nouvelle disposition est sécurisé. »
D. L'APPEL EFFICACE EN CE QUI CONCERNE LES APPELS EXTERNES ET DE RÉGÉNÉRATION.
1. SON LIEN INDISSOLUBLE AVEC L’APPEL EXTERNE. L’appel de Dieu peut être considéré comme l’un, et la distinction entre l’externe et une interne ou effectual appelant simplement attire l’attention sur le fait que cet une appel a deux aspects. Cela ne signifie pas que ces deux aspects sont toujours Unis et vont toujours de pair. Nous aver pas avec les luthériens que « l’appel interne est toujours parallèlement à l’audition de la parole. » Cela signifie, cependant, que lorsque l’appel interne vient aux adultes, il est véhiculé par la prédication de la parole. C’est le même mot qui est entendue dans l’appel externe, et qui est rendu efficace en plein dans l’appel interne. Grâce à l’application puissante de l’Esprit Saint, l’appel externe passe juste en interne. Mais alors que cet appel est étroitement lié à l’appel externe et forme une unité avec elle, il y a certains points de divergence: (a) il est une vocation par la parole, rachetés appliqué par l’opération du Saint-Esprit, I Cor. 01:23, 24; I Pierre 2:9; (b) il est un puissant appel, autrement dit, une vocation qui est valable pour le Salut, actes 13:48; J’ai Cor. 01:23, 24; et (c), il est sans repentance, autrement dit, c’est un appel qui n’est pas sujet à changement et c’est jamais retirée, Rom. 11:29.
2. CARACTÉRISTIQUES DE L’APPEL INTERNE. À noter les caractéristiques suivantes:
a. elle fonctionne par persuasion morale plus l’opération puissante de l’Esprit Saint. La question se pose, si cet appel (par opposition à régénération) la parole de Dieu travaille d’une manière créative, ou de persuasion morale. Maintenant, il n’y a aucun doute à ce sujet que la parole de Dieu est parfois dit de travailler de manière créative, Genèse 1:3; PS. 33: 6, 9; 147:15; ROM. 04:17 (bien que cela peut être interprété différemment). Mais ces passages se réfèrent à la parole de la puissance de Dieu, à son commandement qui fait autorité et non à la parole de la prédication qui nous intéresse ici. L’esprit de Dieu opère par le biais de la prédication de la parole d’une manière moralement persuasive, rendant ses convictions efficace, afin que l’homme écoute la voix de son Dieu. Cela découle de la nature même de la parole, qui s’adresse à la compréhension et la volonté. Il faut avoir à l’esprit, cependant, que cette persuasion morale ne constitue pas encore l’ensemble de l’appel interne; il doit y avoir en plus de cela une opération puissante de l’Esprit Saint, en appliquant le mot vers le cœur.
b. elle intervient dans la vie consciente de l’homme. Ce point est plus intimement lié à la précédente. Si le mot de la prédication ne fonctionne pas de façon créative, mais seulement de façon morale et persuasive, il s’ensuit qu’il peut fonctionner que dans la vie consciente de l’homme. Il aborde la compréhension, qui confère à l’esprit avec clairvoyance spirituelle dans la vérité et grâce à la compréhension des influences la volonté efficacement, afin que le pécheur se tourne vers Dieu. L’appel interne nécessairement émet en conversion, c'est-à-dire dans une conscience tourner loin du péché dans le sens de la sainteté.
c. elle est téléologique. Appel interne est d’un caractère téléologique, c'est-à-dire, il appelle l’homme à une certaine fin: pour le grand objectif auquel l’Esprit Saint est à la tête des élus, et, par conséquent aussi pour les stades intermédiaires sur le chemin de ce destin final. C’est une vocation à la communion de Jésus Christ, j’ai Cor. 1:9; d’hériter la bénédiction, j’ai PET. 3:9; à la liberté, gal 05:13; à la paix, j’ai Cor. 07:15; à la sainteté, j’ai Thess. 4:7; à une seule espérance, Éphésiens 4:4; à la vie éternelle, je Timothée 06:12; et pour le Royaume de Dieu et la gloire, j’ai th. 02:12.
3. LA RELATION ENTRE L'APPEL EFFICACE ET L'APPEL À LA RÉGÉNÉRATION.
a. l’identification des deux dans la théologie du XVIIe siècle. C’est un fait bien connu que, à la régénération et la vocation efficace de théologie du XVIIe siècle, sont souvent identifiés, ou si pas entièrement identifié, puis au moins en jusqu'à présent cette régénération est considérée comme inclus dans l’appel. Plusieurs des théologiens plus âgés ont un chapitre distinct sur les appels, mais aucun sur la régénération. Selon la Confession de Westminster, X. 2, effectual calling comprend la régénération. Ce point de vue trouve une justification dans le fait que Paul, qui utilise le terme « régénération », mais une fois, de toute évidence conçoit de celui-ci comme inclus dans l’appel en Rom. 08:30. En outre, il y a un sens dans lequel appel et la régénération sont liés comme cause et effet. Il faut avoir à l’esprit, cependant, qu’en parlant d’appel y compris, ou comme étant un lien causal, à la régénération, nous n’avons pas à l’esprit simplement ce qu’on appelle techniquement interne ou appel efficace, mais appelant en général, y compris même un créatif l’appel. L’utilisation intensive en période post-réforme du terme « appel » plutôt que « régénération, » pour désigner le commencement des travaux de la grâce dans la vie des pécheurs, était due à un désir de souligner le lien étroit entre la parole de Dieu et de l’exploitation de sa grâce. Et la prévalence du terme « appel » à l’âge apostolique trouve son explication et une justification dans le fait que, dans le cas de ceux qui étaient dans cette période missionnaire que se sont réunie dans l’église, régénération et effectual calling étaient généralement simultanées, alors que la modification a été reflétée dans leur vie consciente comme un appel puissant de Dieu. Dans une présentation systématique de la vérité, cependant, nous devons soigneusement distinguer appel et régénération.
b. Points de différence entre régénération et prendre l’appel. Régénération au sens strict du terme, c'est-à-dire comme l’engendrement encore une fois, prend place dans la vie le subconscient de l’homme et est tout à fait indépendante de toute attitude qu’il peut assumer par rapport à elle. L’appel, d’autre part, s’adresse à la conscience et implique une certaine disposition de la vie consciente. Cela découle le fait que régénération travaille de l’intérieur, tandis que l’appel provient sans. Dans le cas des enfants, on parle de régénération plutôt que d’appeler. Par ailleurs, la régénération est un créateur, une opération hyper-physique de l’Esprit Saint, par qui l’homme est ramené d’une condition dans un autre, d’un état de mort spirituelle dans une condition de vie spirituelle. Effectual calling, en revanche, est téléologique, dessine la nouvelle vie et elle pointe en direction de Dieu-ward. Il sécurise les exercices de la nouvelle disposition et apporte la vie nouvelle dans l’action.
c. l’ordre relatif des appels et de la régénération. C’est peut-être mieux comprise, si nous notons les étapes suivantes: (1) logiquement, l’appel externe à la prédication de la parole (sauf dans le cas des enfants) généralement précède ou coïncide avec l’opération du Saint-Esprit, par lequel la vie nouvelle est produite dans le âme de l’homme. (2) puis par une parole créatrice Dieu génère la nouvelle vie, changer la disposition intérieure de l’âme, illuminant le mental, éveiller les sentiments et renouvelant la volonté. Dans cette loi de Dieu, que l’oreille est implanté qui permet à l’homme d’entendre l’appel de Dieu pour le salut de son âme. Il s’agit de régénération dans le sens plus restreint du mot. En elle l’homme est entièrement passive. (3) ayant reçu l’oreille spirituelle, l’appel de Dieu dans l’Évangile est maintenant entendue par le pécheur et est rappelée efficacement vers le cœur. Le désir de résister a été remplacé par un désir d’obéir, et le pécheur cède à l’influence persuasive de la parole par l’opération du Saint-Esprit. Il s’agit de l’appel efficace par l’intermédiaire de la parole de la prédication, effectivement appliquée par l’esprit de Dieu. (4) le présent appel efficace, enfin, assure, par l’intermédiaire de la vérité comme moyen, les premiers exercices de Saints de la nouvelle disposition qui naît dans l’âme. La nouvelle vie commence à se manifester; les questions de vie implanté dans la nouvelle naissance. Il s’agit de l’achèvement des travaux de régénération au sens large du mot et le point où il se transforme en conversion.
Maintenant nous ne devrions pas faire l’erreur de considérer cet ordre logique comme un ordre temporel qui s’appliquera dans tous les cas. La nouvelle vie est souvent implantée dans le cœur des enfants longtemps avant qu’ils soient en mesure d’entendre l’appel de l’Évangile; Pourtant, elles sont dotées de cette vie seulement où l’Évangile est prêché. Il y a, bien sûr, toujours un appel créatrice de Dieu, par lequel la vie nouvelle est produite. Dans le cas de ceux qui vivent sous l’administration de l’Évangile, la possibilité existe qu’ils reçoivent la semence de régénération longue avant d’arriver aux années de son pouvoir discrétionnaire et donc aussi longue avant que l’appel efficace pénètre à leur conscience. Il est très peu probable, cependant, que, étant régénérés, ils vivent dans le péché pendant des années, même après que qu’ils en sont venus à maturité et ne donner aucune preuve du tout de la vie nouvelle qui est en eux. En revanche, dans le cas de ceux qui ne vivent pas sous l’administration de l’Alliance, il n’y a aucune raison de supposer un intervalle entre le moment de leur régénération et celle de leur vocation efficace. Dans l’appel efficace, ils deviennent à la fois conscients de leur renouvellement et immédiatement trouver la graine de germer dans la nouvelle vie de régénération. Cela signifie que la régénération, appel efficace et conversion tous coïncident.
E. LA NÉCESSITÉ D’UNE RÉGÉNÉRATION.
1. CETTE NÉCESSITÉ EST NIÉE PAR LA THÉOLOGIE LIBÉRALE MODERNE. La nécessité d’une régénération, comme cela est interprété par the Christian Church, est naturellement refusée en théologie libérale moderne. Il n’est pas en accord avec l’enseignement de Rousseau, dont l’homme est par nature bon. Tout changement radical ou un revirement complet dans la vie d’un homme qui est essentiellement bon, serait un changement pour le pire. Libéraux parle du Salut par le caractère et la régénération seule dont ils savent est une régénération conçue comme « une étape essentielle dans le développement naturel de la vie spirituelle, un réajustement radical aux processus morales de la vie ». (Youtz.) Beaucoup enseignent une série de renouvellements de l’éthiques. Emerton dit: « le personnage ainsi acquise et prouvé et tenue rapide est rédemption. Il n’y a aucune autre définition digne du mot. C’est la rédemption du soi inférieur de l’homme par la domination de son moi supérieur. C’est le spirituel, racheter le matériel, le divin qui est en chaque homme rédemptrice de l’animal. »
2. ELLE RÉSULTE DE CE QUE L’ÉCRITURE ENSEIGNE EN CE QUI CONCERNE LA CONDITION NATURELLE DE L’HOMME. Sainteté ou conformité à la loi divine est la condition indispensable de la sécurisation de la faveur divine, atteindre la paix de la conscience et profiter de communion avec Dieu. Hébreux 12:14. La condition de l’homme par nature est maintenant, selon l’Ecriture, en disposition et Loi, exactement le contraire de cette sainteté, qui est donc indispensable. L’homme est décrit comme mort à travers les offenses et les péchés, Éphésiens 2:1, et cette condition exige rien de moins qu’une restauration à la vie. Un changement intérieur radical est nécessaire, un changement par lequel la disposition entière de l’âme est altérée.
3. ELLE EST ÉGALEMENT EXPRESSÉMENT AFFIRMÉ PAR L’ÉCRITURE. L’écriture ne nous laisse pas de doute quant à la nécessité de la régénération, mais fait valoir dans les termes les plus clairs. Jésus dit: « en vérité, en vérité, je te le dis, si un homme naît à nouveau il ne peut pas voir le Royaume de Dieu, » John 3:3. Cette déclaration du Sauveur est absolue et ne laisse aucune place pour les exceptions. La même vérité est clairement mises en évidence dans certaines des déclarations de Paul, comme, par exemple, dans I Cor. 02:14: « mais l’homme naturel ne reçoit pas les choses de l’esprit de Dieu, car ils sont folie lui: ni peut il savoir eux, car ils sont spirituellement discernées «;" GAL 06:15: « pour dans le Christ Jésus n’est pas la circoncision quoi que ce soit, ni incirconcision, mais une nouvelle créature. » Voir aussi Jérémie 13:23; ROM. 03:11; Éphésiens 2:3, 4.
F. LA CAUSE EFFICIENTE DE LA RÉGÉNÉRATION.
Il y a seulement trois points de vue fondamentalement différentes qui entrent en considération ici, et tous les autres sont des modifications de ceux-ci.
1. L’HOMME. Selon le pélagienne régénération de conception est uniquement un acte de la volonté humaine et est pratiquement identique à la réformation autonome. Avec quelques légères différences, c’est l’avis de théologie libérale moderne. Une modification de ce point de vue est que des Semi-pélagienne et arminienne, qui considère comme, au moins en partie, un acte de l’homme, coopérant avec les influences divines appliquée par la vérité. Il s’agit de la théorie synergique de la régénération. Deux de ces points de vue impliquent un refus de la corruption totale de l’homme, donc clairement enseigné dans la parole de Dieu, John 05:42; Romains 3:9-18; 07:18, 23; 8:7; II Timothée 3:4 et de la vérité de l’écriture que c’est Dieu qui incline la volonté, Rom. 09:16; Phil. 02:13.
2. LA VÉRITÉ. Selon ce point de vue la vérité comme un système de motivations, présenté à la volonté de l’homme par le Saint-Esprit, est la cause immédiate de la variation de l’impiété à la sainteté. C’est l’opinion de Lyman Beecher et de Charles G. Finney. Il suppose que le œuvre du Saint-Esprit diffère de celle du prédicateur uniquement en degré. Les deux fonctionnent par persuasion uniquement. Mais cette théorie n’est pas tout à fait satisfaisante. La vérité peut être un motif de sainteté que si elle est aimée, tandis que l’homme naturel n’aime pas la vérité, mais déteste, Rom. 01:18, 25. Par conséquent, la vérité, présentée à l’extérieur, ne peut pas être la cause efficiente de la régénération.
3. L’ESPRIT SAINT. La vue seulement adéquate est celle de l’église de tous les âges, que l’Esprit Saint est la cause efficiente de la régénération. Cela signifie que l’Esprit Saint travaille directement sur le cœur de l’homme et qu’il modifie sa condition spirituelle. Il n’y a aucune coopération du pécheur dans cet ouvrage que ce soit. C’est le œuvre du Saint Esprit directement et exclusivement, Ézéchiel 11:19; John 01:13; Actes 16:14; ROM. 09:16; Phil. 02:13. Régénération, ensuite, doit être conçu de monergistically. Oeuvres de seul Dieu et le pécheur n’a aucune partie dedans que ce soit. Cela, bien sûr, ne signifie pas, que l’homme ne fonctionne pas conjointement à des stades ultérieurs de le œuvre de rédemption. Il est assez évident de l’écriture qu’il fait.
G. L’UTILISATION DE LA PAROLE DE DIEU COMME UN INSTRUMENT DANS LA RÉGÉNÉRATION.
La question se pose, si la parole de Dieu est utilisé comme un moyen de régénération ou non; ou, comme il est souvent dit, que la régénération est médiate ou immédiate.
1. L’IMPORTATION APPROPRIÉE DE LA QUESTION. La discrimination attentive est nécessaire, afin d’éviter tout malentendu.
a. lorsque les anciens théologiens réformés a insisté sur le caractère immédiat de la régénération, ils donnèrent souvent le terme « immédiat » une connotation qui ce n’est pas avoir aujourd'hui. Certains des représentants de l’école de Saumur, comme Cameron et Pajon, a appris que dans la régénération du Saint-Esprit surnaturellement illumine et convainc l’esprit ou l’intellect de manière puissante que la volonté ne manquera pas de suivre le diktat prévalente de l’arrêt pratique. Il fonctionne immédiatement que sur l’intellect et par ce médiatement sur la volonté. Selon eux, il n’y a aucune opération immédiate du Saint-Esprit sur la volonté de l’homme. À l’encontre de ces hommes, théologiens réformés en général a insisté sur le fait que dans la régénération du Saint esprit aussi fonctionne directement sur la volonté de l’hommeet pas seulement par le biais de la médiation de l’intellect. Aujourd'hui la question de la régénération médiate ou immédiate est un légèrement différentes, quoique apparentées, un. C’est la question de l’usage de la parole de Dieu comme moyen dans le travail de régénération.
b. la forme exacte de la question devrait être soigneusement notée. La question n’est pas, si Dieu opère la régénération au moyen d’une parole créatrice . Il est généralement admis qu’il fait. Il n’est pas, s’il emploie la parole de vérité, la parole de la prédication dans la nouvelle naissance, par opposition à l' engendrement de la volonté divine de l’homme nouveau, c'est-à-dire, à obtenir les premiers exercices de Saints de la nouvelle vie. La vraie question est, si Dieu, dans l’implantation ou la génération de la nouvelle vie, emploie la parole de l’écriture ou la parole de la prédication comme un instrument ou un moyen. La discussion de cette question souvent souffert dans le passé de l’absence de discrimination correcte.
2. LES CONSIDÉRATIONS QUI FAVORISENT UNE RÉPONSE NÉGATIVE. Dr. Shedd dit: « l’influence de l’Esprit Saint se distingue de celle de la vérité; de celle de l’homme à l’homme; et de celle de n’importe quel instrument ou moyens quelle que soit. Son énergie agit directement sur l’âme humaine elle-même. C’est l’influence de l’esprit sur l’esprit; de l’une des personnes trinitaires sur un être humain. La vérité, ni un homme-, peut donc fonctionner directement sur l’essence de l’âme elle-même. » Les considérations suivantes favorisent cette vue:
a. régénération est un acte créatif, par lequel le pécheur spirituellement mort revient à la vie. Mais la vérité de l’Évangile ne peut fonctionner de façon morale et persuasive. Un tel instrument n’a aucun effet sur les morts. Pour affirmer que son utilisation semble indiquer un déni de la mort spirituelle de l’homme; qui, bien sûr, n'est pas prévu par ceux qui prennent cette position.
b. régénération a lieu dans la sphère de l’inconscient, c'est-à-dire en dehors de la sphère de l’attention consciente, tandis que la vérité s’adresse à la conscience de l’homme. Il peut exercer son influence persuasive que lorsque l’attention de l’homme est fixée à ce sujet.
c. la Bible distingue l’influence de l’Esprit Saint de la parole de Dieu et déclare qu’une telle influence est nécessaire pour la bonne réception de la vérité, John 6:64, 65; Actes 16:14; J’ai Cor. 02:12-15; EP 01:17-20. Notez en particulier le cas de Lydia, dont Luke dit: « elle a entendu parler de nous (ekouen, impf.), dont le cœur le Seigneur a ouvert (dienoixen, AR., acte unique), qu’elle fréquente (prosechein, INF. de résultat ou fin) les choses qui ont parlé de Paul ».
3. DES PASSAGES L'ECRITURE QUI SEMBLENT PROUVER LE CONTRAIRE.
a. dans l’arrêt James 01:18, nous lisons: « De son propre sera il enfantée nous par la parole de vérité, que nous soyons une sorte de prémices de ses créatures. » Ce passage ne prouve pas que la nouvelle génération est véhiculée par la parole de Dieu, car ici, le terme utilisé est apokuesen, qui ne fait pas référence à l’engendrement, mais à donner naissance. Ceux qui croient en régénération immédiate ne nient pas que la nouvelle naissance, dans lequel la vie nouvelle devient premier manifeste, est garanti par le mot.
b. Peter exhorte les croyants à aimez-vous ardemment les uns les autres compte tenu du fait qu’ils ont été « engendrés de nouveau, pas de semence corruptible, mais incorruptible, par la parole de Dieu, qui vit et la demeure. » J’ai PET. 01:23. Il n’est pas correct de dire, comme certains l’ont fait, que « la parole » dans ce verset est la parole créatrice, ou la deuxième personne dans la Trinité, pour Peter lui-même nous informe qu’il a à l’esprit le mot qui a été prêché les lecteurs, contre 25. Mais il est parfaitement pour montrer que même gennao (le mot utilisé ici) ne renvoie pas toujours à l’engendrement de masculin, mais peut aussi désigner le féminin donnant naissance à des enfants. C’est parfaitement évident d’après ces passages comme Luc 01:13, 57; 23:29; John 16:21; GAL 04:24. Par conséquent, il n’y a aucun mandat pour l’affirmation que Peter dans ce passage réfère à la loi initiale en régénération, nommément l’engendrement. Et si on se réfère à la régénération dans un sens plus large, puis le passage propose sans difficulté que ce soit dans le cadre de l’affaire à l’étude. L’idée qu’il se réfère à la nouvelle naissance ici, est favorisée par le fait que les lecteurs sont représentés comme ayant connu la nouvelle naissance d’une graine qui a été évidemment déjà implantée dans l’âme, cf. Jean 01:13. Il n’est pas nécessaire d’identifier les graines avec le mot.
c. la parabole du semeur fait parfois valoir en faveur de l’idée que la régénération s’effectue par la parole. La semence dans cette parabole est le mot du Royaume. L’argument est que la vie est dans la graine et sort de la graine. Par conséquent, la nouvelle vie sort hors de la semence de la parole de Dieu. Mais, en premier lieu, cela tourne trop la marque, car il fera guère pour dire que l’esprit ou le principe de la nouvelle vie est enfermé dans le mot, tout comme le germe de vie est enfermé dans la graine. Cela rappelle un peu la conception luthérienne de l’appel, selon laquelle l’esprit est dans la parole, afin que l’appel serait toujours efficace, si l’homme n’a pas mis un obstacle dans la voie. Et, en second lieu, c’est en appuyant sur un point qui n’est pas du tout dans le tertium comparationis. Le Sauveur veut expliquer, dans cette parabole, comment il s’agit à ce sujet la semence des parole porte ses fruits dans certains cas et pas dans d’autres. Il porte ses fruits que dans les cas où elle tombe dans la bonne terre, dans les coeurs ainsi préparé qu’ils comprennent la vérité.
4. LES ENSEIGNEMENTS PERTINENTS DE NOS NORMES CONFESSIONNELLES. Les passages suivants entrent en considération ici: Conf. Belg., article XXIV et XXXV; Heid. Cat., Q. 54; Canons de Dort, III, IV et v, Articles 11,12,17; et, enfin, les Conclusions d’Utrecht, adopté par notre église en 1908. De ces passages, il est parfaitement évident que notre confessional écrits parlent de régénération dans un sens large, comme incluant l’origine de la nouvelle vie et sa manifestation dans la conversion. On nous dit même que la foi régénère le pécheur. il y a des passages qui semblent dire que la parole de Dieu est joué un rôle important dans le travail de régénération. Pourtant, ils sont formulés dans cette langue qu’il reste encore douteux, qu’en fait, ils enseignent que le principe de la nouvelle vie est implanté dans l’âme par l’intermédiaire du mot. Ils ne parviennent pas à distinguer avec soin les différents éléments qui nous distinguent dans la régénération. Dans les Conclusions d’Utrecht , nous lisons: « en ce qui concerne le troisième point, qui, de la régénération immédiate, s’inquiète, Synode déclare que cette expression peut être utilisée dans le bon sens, dans la mesure où nos églises ont toujours avoué, plus contre la Luthérienne et l’église catholique romaine, que la régénération n’est pas effectuée par le biais de la parole ou les sacrements comme tel, mais par le tout puissant régénérant le travail de l’Esprit Saint; que ce travail de régénération de l’Esprit Saint, peut toutefois, pas en ce sens être dissociée de la prédication de la parole, comme si les deux sont séparés les uns des autres; pour, bien que notre Confession enseigne que nous ne devons pas être dans le doute concernant le salut de nos enfants qui meurent en bas âge, bien qu’ils n’ont pas entendu la prédication de l’Évangile, et nos normes confessionnelles s’expriment nulle part quant à la façon dont la régénération est effectuée dans le cas de ces et d’autres enfants, — et pourtant il est, en revanche, certain que l’Évangile est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit, et que dans le cas des adultes, le travail de régénération de l’Esprit Saint accompagne la prea Ching de l’Évangile. »
H. DIVERGENTES DE LA RÉGÉNÉRATION.
1. LA VUE PÉLAGIENNE. Selon les pélagiens, la liberté et la responsabilité personnelle de l’homme implique qu’il est en permanence tout aussi capables de s’abstenir du péché quant à commettre le péché. Seuls les actes de volition consciente sont considérés comme péché. Par conséquent, régénération consiste simplement en une réforme morale. Cela signifie que l’homme qui autrefois ont choisi de transgresser la Loi, choisit de vivre dans l’obéissance à lui.
2. REGENERATION BAPTISMALE. Cela n’est pas toujours représenté de la même manière.
a. dans l’église de Rome. Selon l’église catholique romaine régénération comprend non seulement un renouveau spirituel, mais aussi justification ou le pardon des péchés et est réalisée au moyen du baptême. Dans le cas des enfants, le travail de régénération est toujours efficace; pas vrai dans le cas des adultes. Ces peuvent avec gratitude accepter et utiliser la grâce de la régénération, mais peut également y résister et rendent inefficaces. En outre, il est toujours possible que ceux qui ont ouvert il la perdra à nouveau.
b. dans l’église anglicane. L’église d’Angleterre n’est pas unanime sur ce point, mais il représente deux tendances différentes. Les Puseyites de ce que l'on appelle sont essentiellement d’accord avec l’église de Rome. Mais il y a aussi une partie influente dans l’église qui distingue deux types de régénération: celui consistant simplement à un changement de sa relation à l’église et les moyens de grâce; et l’autre, à un changement fondamental de la nature humaine. Selon ce parti seul le premier est effectué par le baptême. Cette régénération ne comprend aucun renouvellement spirituel. Par elle l’homme simplement conclut une nouvelle relation à l’église et devient un enfant de Dieu dans le même sens dans lequel les Juifs sont devenus enfants de Dieu à travers l'Alliance que la circoncision était un sceau.
c. dans l’église luthérienne. Luther et ses disciples ne réussissent pas à purger leur église le levain de Rome sur ce point. Dans l’ensemble les luthériens maintiennent, en opposition à Rome, le caractère monergistic de la régénération. Ils considèrent l’homme entièrement passive en régénération et incapable de contribuer à quoi que ce soit, bien que les adultes peuvent y résister pendant une longue période. Dans le même temps, certains enseignent que le baptême, travail ex opere operato, est le moyen habituel par lequel régénération d’effets de Dieu. C’est l’habitude, mais pas le seul moyen, pour la prédication de la parole peut également le produire. Ils parlent de deux types de régénération, nommément regeneratio prima, par lequel la vie nouvelle est engendrée et la regeneratio secunda ou renovatio, par lequel la vie nouvelle est dirigée en direction de Dieu-ward. Tandis que les enfants reçoivent la regeneratio prima au moyen du baptême, adultes, qui reçoivent la première régénération au moyen de la parole, devient participants de la regeneratio secunda par le baptême. Selon les luthériens, la régénération est amissible. Mais par la grâce de Dieu, il peut être restauré au cœur du pécheur pénitent et que sans re-baptême. Le baptême est un gage de préparation continue de Dieu en vue de renouveler les baptisés et de pardonner ses péchés. Par ailleurs, la régénération n’est pas toujours réalisée à la fois, mais est souvent un processus graduel dans la vie des adultes.
3. LA VUE ARMINIENNE. Selon les arminiens régénération n’est pas exclusivement une œuvre de Dieu, ni exclusivement un travail de l’homme. C’est le fruit de choix de l’homme de coopérer avec les divines influences exercées au moyen de la vérité. Strictement parlant, le travail de l’homme est antérieure à celle de Dieu. Ils ne supposent pas qu’il y a un précédent travail de Dieu par lequel la volonté s’incline à la bonne. Naturellement, ils croient également que la grâce de régénération peut être perdue. Les arminiens Wesleyan modifié ce point de vue jusqu'à présent qu’ils insistent sur le fait que la régénération est le œuvre de l’Esprit Saint, que ce soit en coopération avec la volonté de l’homme. Ils n’aient pas une opération préalable du Saint-Esprit pour éclairer, éveiller et attirer l’homme. Cependant, ils croient également que l’homme peut résister à cette œuvre de l’Esprit Saint, et que, tant qu’il le fait, il reste dans son état régénéré.
4. LA VUE MÉDIATRICES DES THÉOLOGIENS. C’est coulé dans un moule panthéiste. Après l’incarnation, il y a pas deux natures distinctes dans le Christ, mais seulement une nature divine et humaine, une fusion de la vie humaine et divine. En régénération, une partie de cette vie divine et humaine passe au-dessus dans le pécheur. Cela ne nécessite pas une opération séparée de l’Esprit Saint quand un pécheur est régénéré. La vie nouvelle a été communiquée à l’église une fois pour toutes, est désormais la possession permanente de l’église et passe de l’église dans l’individu. Communion avec l’Eglise assure également la participation de la nouvelle vie. Ce point de vue ignore l’aspect juridique de le œuvre du Christ entièrement. En outre, elle rend impossible la tenue que l’un pourrait être régénéré avant l’entrée en existence de la vie divine et humaine du Christ. Les saints de l’ancien Testament ne peuvent avoir été régénérés. Schleiermacher est le père de ce point de vue.
5. LA VUE DE LA TRICHOTOMIE. Certains théologiens construit une théorie particulière de régénération sur la base de la vue trichotomie de la nature humaine. Ce point de vue s’effectue sur l’hypothèse que l’homme se compose de trois parties, — corps, âme et esprit. Il est généralement admis, bien qu’il existe des variations sur ce point, que le péché a son siège seulement dans l’âme et non dans l’esprit (pneuma). Si il avait pénétré de l’esprit, l’homme aurait été irrémédiablement perdu, tout comme les démons, qui sont de purs êtres spirituels. L’esprit est la vie supérieure, divine dans l’homme, destiné à contrôler la durée de vie plus faible. Par l’entrée du péché dans le monde de l’influence de l’esprit sur la durée de vie inférieure est affaibli beaucoup; mais par régénération, il est encore renforcé et harmonie est rétablie dans la vie de l’homme. Il s’agit, bien sûr, une théorie purement rationaliste.
6. LA VUE DU LIBÉRALISME MODERNE. Les théologiens libéraux d’aujourd'hui n’ont pas tous le même point de vue de la régénération. Certains d'entre eux parlent en des termes qui rappellent de Schleiermacher. Plus généralement, cependant, qu’il parraine une vue purement naturaliste. Ils sont opposés à l’idée que la régénération est une œuvre surnaturelle et récréative de Dieu. En vertu de Dieu immanent, chaque homme a un principe divin en lui et possède donc potentiellement tout ce qui est nécessaire au salut. La seule chose qui est nécessaire, c’est que l’homme devenu conscient de sa divinité potentielle, et qu’il a consciemment céder à l’orientation du principe supérieur en lui. La régénération est simplement un éthique changement de caractère.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Quels autres termes et expressions la Bible utilise-t-il pour désigner les travaux de régénération ? La Bible se distingue-t-elle nettement entre les appels, régénération, conversion et sanctification ? Comment expliquer que l’église catholique romaine inclut la justification même de régénération ? En quoi diffèrent-elles régénération et conversion ? Existe-t-il une telle chose comme une grâce prévenante, qui précède et prépare pour la régénération ? Ce qui est actif, par opposition à la régénération passive ? Passivité de l’homme est en régénération durent depuis un certain temps ? Ne pas l’opinion que la parole de Dieu n’est pas joué un rôle important en obtenant la régénération, faire de la prédication de la parole semble futile et tout à fait inutile ? Il ne conduit pas au bord de la mystique ?
LITTÉRATURE: Kuyper, Dict. dogme., De Salute, pp. 70-83; Ibid., Het Werk van den Heiligen Geest, II, pp. 140-162; Bavinck, Geref. Dogme, IV, pp. 11-82; Ibid., Roeping fr Wedergeboorte; Faire, Godgeleerdheit, VI, 3; Dick, théologie, LECT LXVI; Shedd, dogme . THEOL. II, pp. 490-528; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., LECT XLVII; Vos, Geref. Dogme. IV, pp. 32-65; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 1-40; McPherson, Dogme Chr., pp. 397-401; Alexander, syst de Bib. Theol. II, p. 370-384; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., pp. 313-321; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 463-470; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 242-271; Raymond, Syst. Theol. II, pp. 344-359; Pape, Chr. Theol. III, p. 5-13; Strong, Syst. Theol., p. 809-828; Boyce, abstrait de syst. Theol., pp. 328-334; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., pp. 314-322; Anderson, régénération.
VII. Conversion
De la discussion de la régénération et l’appel efficace il y a une transition naturelle à celle de la conversion. Par une opération spéciale de l’Esprit Saint, l’ancien émet dans ce dernier. Conversion peut être une crise fortement marquée dans la vie de l’individu, mais peut aussi venir sous la forme d’un processus graduel. Dans la psychologie de la religion, les deux sont généralement identifiés. Tout cela souligne la relation étroite entre les deux.
A. LES TERMES BIBLIQUES POUR LA CONVERSION.
1. LES MOTS DE L'ANCIENS TESTAMENT. L’ancien Testament emploie surtout deux mots pour la conversion, à savoir:
a. Nacham, qui sert à exprimer une émotion, de tristesse (niphal) ou de secours (piel). Dans niphal , cela signifie de se repentir, et cette repentance s’accompagne souvent d’un changement de régime et d’action, tandis que piel il signifie au confort ou au confort de soi. Comme une désignation de repentir — et c’est le sens qui nous intéresse ici, il sert non seulement de l’homme, mais aussi de Dieu, Genèse 6:6, 7; Ex. 32:14; JG 02:18; J’ai Samuel 15:11.
b. salah, qui est le mot le plus commun pour la conversion, on entend à tourner, à tourner autouret revenir. Il est souvent utilisé dans un sens littéral de Dieu et l’homme, mais bientôt acquis une signification religieuse et morale. Cette signification est plus importante dans les prophètes, où il se réfère au retour d’Israël au Seigneur, après qu’il est parti de lui. Le mot montre clairement que, ce que l’ancien Testament appelle conversion, est un retour à lui dont sin a séparé l’homme. Il s’agit d’un élément très important dans la conversion. Il trouve son expression dans les paroles de l’enfant prodigue, « je reviendrai et aller à mon père. »
2. LES MOTS DU NOUVEAUX TESTAMENT. Il y a surtout trois mots qui vous viennent en considération ici:
a. Metanoia (forme verbale, metanoeo). C’est le mot le plus commun pour la conversion dans le Nouveau Testament, et est également le plus fondamental des termes employé. Le mot est composé de meta et nous, qui est à nouveau connecté avec le verbe ginosko (Lat. noscere; En anglais, savoir), qui se réfère à la vie consciente de l’homme. Dans la Bible anglaise, le mot est traduit «repentance», mais cette interprétation ne rend guère justice à l’original, car il donne une importance excessive à l’élément émotionnel. Tranchée fait remarquer que dans les classiques, le mot signifie: (1) de savoir après, après-connaissance; (2) à changer d’avis à la suite de cet après-connaissance; (3) en raison de ce changement d’esprit, à regretter le cours poursuivi; (4) et un changement de conduite pour l’avenir, qui émergent de tous les précédents. Il peut indiquer un changement pour le pire, aussi bien que pour le mieux, cependant et n’incluait pas nécessairement un resipiscentia — un redevient sage. Dans le Nouveau Testament, cependant, sa signification est approfondie et il dénote surtout un changement de mentalité, prendre une vue plus sages du passé, y compris de regret pour le malade alors fait et menant à un changement de vie pour le mieux. Ici, l’élément de resipiscentia est présent. Walden dans son ouvrage sur Le grand sens de Metanoia arrive à la conclusion qu’elle véhicule l’idée de « un changement général d’esprit, qui devient dans son développement maximum une régénération intellectuelle et morale». Tout en maintenant que le mot désigne principalement un changement d’esprit, nous ne devons pas perdre de vue le fait que son sens n’est pas limité à la conscience intellectuelle et théorique, mais comprend également la conscience morale, la conscience. L’esprit et la conscience sont souillées, Tite 01:15 et quand une personne nous est modifié, il reçoit non seulement des connaissances nouvelles, mais le sens de sa vie consciente, sa qualité morale, est également modifié. Pour devenir plus particulière, la variation de sa parole a référence (1) à la vie intellectuelle, II Tim. 02:25, à une meilleure connaissance de Dieu et sa vérité et une acceptation salvatrice de celui-ci (identique à l’action de la foi); (2) de la vie consciente volitive, actes 08:22, à un tournant de soi à Dieu (donc encore une fois y compris une action de la foi); et (3) à la vie affective, dans la mesure où ce changement s’accompagne avec une tristesse selon Dieu, II Corinthiens 07:10 et ouvre de nouveaux champs de jouissance pour le pécheur. À tous ces égards metanoia comprend une opposition consciente dans l’État. C’est un élément essentiel en elle et mérite donc une attention particulière. Pour être converti, n’est pas simplement de passer d’une direction consciente à l’autre, mais de le faire avec une aversion clairement perçue à l’ancienne direction. En d’autres termes la metanoia a non seulement un positif, mais aussi un côté négatif; Il semble ainsi que de l’avant vers l’arrière. La personne convertie devienne consciente de son ignorance et erreur, son caractère délibéré et la folie. Sa conversion comprend la foi et le repentir. Triste à dire, l’église peu à peu perdu de vue le sens original de metanoia. Dans la théologie latine Lactance le rendait «resipiscentia, « un devenir-sage-encore une fois, comme si le mot provenaient de meta et anoiaet dénoté un retour de la folie ou la folie. La majorité des auteurs latins, cependant, préféré à rendent «poenitentia, » un mot qui désigne la tristesse et le regret qui s’ensuit quand on a fait une erreur ou a commis une erreur quelconque. Ce mot a passé dans la Vulgate comme le rendu de metanoia, et, sous l’influence de la Vulgate, les traducteurs anglais a rendu le mot grec de « repentance », mettant l’accent sur l’élément émotionnel, ainsi faire metanoia équivalent à metameleia. Dans certains cas, la détérioration est allé encore plus loin. L’église catholique romaine externalisé l’idée de repentance dans son sacrement de pénitence, afin que le metanoeite du Testament grec (Matthieu 3:2) est devenu poenitentiam agite, — « faire pénitence, » dans la Version latine.
b. Epistrophe (forme verbale, epistrepho). Ce mot est prévu en importance metanoia. Alors que dans la Septante metanoia est l’un des rendus de nacham, les mots epistrophe et epistrepho servent à rendre les mots Hébreux teshubhah et laurianne. Ils sont constamment utilisés dans le sens de tourner encore une fois, ou en arrière. Les mots grecs doivent être interprétés à la lumière de l’hébreu, afin de faire ressortir le point important qui indique la rotation est en réalité une re-tournant. Dans le Nouveau Testament substantif epistrophe est utilisé mais une fois, actes 15:3, tandis que le verbe se produit plusieurs fois. Il a une signification un peu plus large que metanoeoet indique vraiment l’acte final de la conversion. Il désigne non seulement un changement de nous ou de l’esprit, mais insiste sur le fait qu’une nouvelle relation est établie, que la vie active est fait pour aller dans une autre direction. Cela doit garder à l’esprit dans l’interprétation des actes 03:19, où les deux sont utilisés aux côtés de l’autre. Parfois, metanoeo contient l’idée de repentir seulement, tandis que epistrepho inclut toujours l’élément de la foi. Metanoeo et pisteuein peuvent être utilisés aux côtés de l’autre; pas si epistrepho et pisteuein.
c. Metameleia (forme verbale, metamelomai). Seulement la forme verbale est utilisée dans le Nouveau Testament et signifie littéralement devenir un soin à l’un par la suite. Il est l’un des rendus de l' hébreu nicham dans la Septante. Dans le Nouveau Testament, il se trouve que cinq fois, à savoir, dans Matthieu 21:29, 32; 27: 3; II Corinthiens 07:10; Héb. 07:21. Il ressort de ces passages que le mot souligne l’élément du repentir, si ce n’est pas nécessairement vrai repentir. Dedans l’élément négatif, rétrospective et émotionnelle est supérieure, tandis que metanoeo aussi inclut un élément volitif et dénote une énergique tour-a propos de la volonté. Alors que metanoeo est parfois utilisé à l’impératif, ce n’est jamais le cas avec metamelomai. Les sentiments ne permettent pas eux-mêmes à être commandé. Ce mot correspond plus près à la Latin poenitentia que ne metanoeo.
B. DÉFINITION DE L’IDÉE BIBLIQUE SUR LA CONVERSION.
La doctrine de la conversion est, bien sûr, comme toutes les autres doctrines, basées sur l’écriture et devrait être acceptée pour ce motif. Étant donné que la conversion est une expérience consciente dans la vie de nombreuses personnes, le témoignage d’expérience peut être ajouté à celui de la parole de Dieu, mais ce témoignage, toutefois précieux soit-il, n’ajoute pas à la certitude de la doctrine enseignée dans la parole de Dieu. Nous pouvons être reconnaissants que, ces dernières années, la psychologie de la Religion une attention considérable du fait de la conversion, mais il faut toujours garder à l’esprit que, même si elle a apporté quelques faits intéressants à notre attention, il n’a peu ou rien à expliquer conversion comme un phénomène religieux. La doctrine scripturaire de conversion est basée non seulement sur les passages contenant une ou plusieurs des conditions mentionnées dans ce qui précède, mais aussi sur beaucoup d’autres dans lesquelles le phénomène de conversion est décrite ou représenté concrètement dans les exemples vivants. La Bible ne parle pas toujours de la conversion dans le même sens. Nous pouvons distinguer ce qui suit:
1. LES CONVERSIONS. À l’époque de Moïse, Josué et les juges, le peuple d’Israël à plusieurs reprises tourné le dos à Jéhovah et après avoir connu le déplaisir de Dieu, se sont repentis de leurs péchés et retournés à l’Éternel; Il y avait une transposition nationale dans le Royaume de Juda à l’époque d’Ézéchias et nouveau dans les jours de Josias. Lors de la prédication de Jonas les Ninivites repentis de leurs péchés et ont été épargnés par le Seigneur, Jonah 03:10. Ces conversions nationales étaient simplement de la nature des réformes morales. Ils ont été accompagnés avec certaines conversions véritables religieuses des individus, mais est tombé loin de la vraie conversion de tous ceux qui appartenaient à la nation. En règle générale, ils étaient très superficielles. Ils ont fait leur apparition sous la houlette des pieux souverains, et quand il s’agissait de succceeded par des hommes méchants, les gens à la fois retomba dans leurs vieilles habitudes.
2. DES CONVERSIONS. La Bible se réfère également aux conversions d’individus qui représentent sans changement du coeur et sont donc seulement de passage signification. Dans la parabole du semeur, Jésus parle de tels comme entendre la parole et recevoir à la fois avec joie, mais n’avoir aucune racine en eux-mêmes et donc supporter mais pendant un certain temps. Quand les tribulations et les épreuves et les persécutions viennent, ils sont rapidement offensés et tombent. Matthieu 13:20, 21. Paul fait mention de Hymenaeus et Alexander, qui a « fait naufrage concernant la foi, » j’ai Timothée 01:19, 20. Cf. aussi II Timothée 02:17, 18. Et dans II Timothée 04:10 il se réfère à Demas, qui lui a laissé, car l’amour du monde actuel a pris le dessus. Et l’auteur d’Hébreux parle de certains comme apostasie « qui ont été une fois éclairés et goûté du don céleste et ont fait des participants de l’Esprit Saint, et goûté la bonne parole de Dieu et les puissances du siècle à venir, » Hébreux 6.4-6. Enfin, Jean dit de certains qui avaient tourné le dos aux fidèles: « ils sont sortis de notre part, mais ils n’étaient pas de nous; car s’ils avaient été d'entre nous, ils auraient continué avec nous, » I Jean 02:19. Pendant un certain temps, ces conversions temporaires peuvent avoir l’apparence de véritables conversions.
3. LA VÉRITABLE CONVERSION (CONVERSIS ACTUALIS PRIMA). Vraie conversion naît de la tristesse selon Dieu et dans une vie de dévotion à Dieu, II Corinthiens 07:10. C’est un changement qui s’enracine dans les travaux de régénération, et qui s’effectue dans la vie consciente du pécheur par l’esprit de Dieu; un changement des pensées et des opinions, des désirs et des volitions, qui implique la conviction que l’ancienne direction de la vie était imprudent et du mal et modifie toute la durée de vie. Il y a deux côtés à cette conversion, l’une active et l’autre passive; le premier étant la Loi de Dieu, par lequel il change le cours conscient de la vie de l’homme et le second, le résultat de cette action, comme on le voit dans l’homme changer son cours de la vie et de se tourner vers Dieu. Dès lors, une définition double doit être donnée de conversion: (a) Active la conversion est cet acte de Dieu par lequel il provoque le pécheur régénéré, dans sa vie consciente, à se tourner vers lui dans le repentir et la foi. (b) conversion passive est la conscience qui en résulte agir du pécheur régénéré par lequel il, par la grâce de Dieu, se tourne vers Dieu dans la repentance et de foi. Cette vraie conversion est la conversion qui nous intéresse principalement en théologie. La parole de Dieu contient plusieurs exemples frappants de celui-ci, comme, par exemple, les conversions de Naaman, II Rois 05:15; Manassé, II Chron. 33: 12, 13; Zachée, Luc 19:8, 9; l’homme né aveugle, John 09:38; la Samaritaine, John 04:29, 39; l’eunuque, actes de 08:30 ff.; Cornelius, actes 10:44 ff.; Paul, actes 9:5 ff.; Lydia, actes 16:14. et d’autres.
4. LA CONVERSION RÉPÉTÉE. La Bible parle aussi d’une conversion répétée, dans lequel une personne convertie, après une interruption temporaire dans les voies du péché, tourne le dos à Dieu. Strong préfère ne pas d’employer le mot « conversion » de ce changement, mais d’employer ces mots et des phrases comme « rupture, délaissant, revenant, néglige ou transgressions » et « à revenir au Christ, lui faire confiance à nouveau. » Mais l’Écriture elle-même utilise le terme « conversion » dans ces cas-là, Luc 22:32; Apoc. 2:5, 16, 21, 22; 3:3, 19. il devrait être entendu, toutefois, que la conversion au sens strictement sotériologique du mot n’est jamais répétée. Ceux qui ont connu une vraie conversion peuvent temporairement tombe sous le charme du mal et de la chute dans le péché; ils peuvent parfois même se promener loin de chez eux; mais la nouvelle vie est liée à la pour ré-affirmer et causera finalement à retourner à Dieu avec un cœur repentant.
C. LES CARACTÉRISTIQUES DE LA CONVERSION.
Conversion est simplement une partie du processus d’enregistrement. Mais parce que c’est une partie d’un processus biologique, elle est naturellement étroitement liée à toute autre partie. Parfois une tendance devient évidente, surtout dans notre pays, pour l’identifier avec certains des autres parties du processus ou de glorifier ce comme si c’était de loin la partie la plus importante du processus. Il est un fait bien connu que certains, en parlant de leur rédemption, jamais aller au-delà de l’histoire de leur conversion et oublier de parler de leur croissance spirituelle dans les années suivantes. C’est sans doute dû au fait que dans leur expérience de conversion se distingue comme une crise fortement marquée et une crise qui appelle à une action de leur part. Compte tenu de la tendance de nos jours à perdre de vue les lignes de démarcation dans le processus d’enregistrement, il est bon de nous rappeler de la véracité de l’adage Latin, «Qui bene distinguet, bene docet. » Il faut noter les caractéristiques de conversion:
1. conversion appartient à la re-création, plutôt que la force majeure judiciaire. Il ne modifie pas l’État, mais la condition de l’homme. Dans le même temps, elle est étroitement liée avec les opérations divines dans la sphère judiciaire. Dans la conversion, l’homme devient conscient du fait qu’il est digne d’une condamnation et qu’il est également amené à reconnaître ce fait. Tandis que ceci présuppose déjà la foi, elle mène aussi à une grande manifestation de la foi en Jésus Christ, une confiance confiant en lui pour le salut. Et cette foi, à son tour, en s’appropriant la justice de Jésus-Christ, est joué un rôle important dans la justification du pécheur. En conversion homme se réveille à l’assurance joyeuse que tous ses péchés sont pardonnés sur la base des mérites de Jésus Christ.
2. comme l’indique clairement le mot metanoia, conversion a lieu, pas dans l’inconscient, mais dans la vie consciente du pécheur. Cela ne signifie pas qu’il n’est pas enraciné dans la vie subconsciente. Étant un effet direct de la régénération, il inclut naturellement une transition dans les activités de la vie nouvelle de l’inconscient à la vie consciente. On peut dire que la conversion commence au-dessous de la conscience, mais qui, comme un acte dûment rempli, à cet égard, il relève certainement la plage de la vie consciente. Cela met en évidence le lien étroit entre la régénération et la conversion. Une conversion qui n’est pas enracinée dans la régénération n’est aucune vraie conversion.
3. conversion marque le début de conscient, non seulement du mettre loin du vieillard, une fuite du péché, mais aussi de la mettre sur de l’homme nouveau, une quête de la sainteté de la vie. Dans la régénération du principe pécheresse de l’ancienne vie est déjà remplacé par le principe sacré de la vie nouvelle. Mais c’est seulement dans la conversion que cette transition pénètre dans la vie consciente, tournant dans un nouveau et direction Godward. Le pécheur consciemment délaisse l’ancienne vie pécheresse et se tourne vers une vie en communion avec et consacré à Dieu. Cela ne signifie pas, cependant, que la lutte entre l’ancien et le nouveau est à la fois terminée; Il continuera aussi longtemps que l’homme vit.
4. si nous prenons le mot « conversion » dans son sens plus précis, il dénote un changement momentané et non un processus comme la sanctification. C’est un changement qui prend place une fois et qui ne peuvent pas être répétées, mais, comme indiqué ci-dessus, la Bible parle aussi de chrétien de retour à Dieu, si il est tombé dans le péché, comme la conversion. C’est le croyant se tournant vers Dieu et la sainteté à nouveau, après que qu’il a temporairement perdu de vue ces. Dans le cadre de la régénération, nous ne pouvons peut-être parler de répétition; mais dans la vie consciente du chrétien il y a des hauts et des bas, les saisons de communion intime avec Dieu et les saisons de l’aliénation de lui.
5. plus contre ceux qui pensent de conversion uniquement comme une crise définitive dans la vie, il est à noter que, alors que la conversion peut être une telle crise fortement marquée, il peut également être une variation très lente. Théologie ancienne a toujours établi une distinction entre des conversions soudaines ou progressive (comme dans les cas de Jérémie, Jean le Baptiste et Timothy); et de nos jours, la psychologie de la conversion souligne la même distinction. Conversions de crise sont plus fréquentes en jours de déclinaison religieux et dans la vie de ceux qui n’ont pas apprécié les privilèges d’une éducation religieuse réelle, et qui ont erré loin de la voie de la vérité, de justice et de sainteté.
6. Enfin, de nos jours, dans lequel beaucoup de psychologues montre une tendance à réduire la conversion à un phénomène naturel et général de la période adolescente de la vie, il devient nécessaire de souligner que, lorsque l'on parle de la conversion, nous avons en tête un surnaturel travail de Dieu, conduisant à un changement religieux. Les psychologues intime parfois que la conversion est mais un phénomène naturel en appelant l’attention sur le fait que des changements soudains se produisent aussi dans la vie intellectuelle et morale de l’homme. Certains d'entre eux soutiennent que l’émergence de l’idée du sexe joue un rôle important dans la conversion. Par rapport à cette tendance rationaliste et naturaliste, le caractère spécifique de la conversion religieuse doit être maintenu.
D. LES DIFFÉRENTS ÉLÉMENTS DANS LA CONVERSION.
Il ressort déjà de la précédant que conversion comporte deux volets, à savoir, le repentir et la foi. Parmi eux, l’ancien est rétrospective et le second éventuel. Repentir est directement lié à la sanctification, tandis que la foi est étroitement, bien que pas exclusivement, lié à la justification. Compte tenu du fait que la foi sera discutée dans un chapitre séparé, nous nous limitons à la repentance ici et définissez-la comme que changement forgé dans la vie consciente du pécheur, par laquelle il se détourne du péché.
1. LES ÉLÉMENTS DE LA REPENTANCE (OU RECONSIDÉRATION). On distingue trois éléments dans la repentance:
a. un élément intellectuel. Il y a un changement d’avis, une reconnaissance du péché comme mettant en cause la culpabilité personnelle, attentat à la pudeur et impuissance. Il est désigné dans l’écriture comme epignosis hamartias (la connaissance du péché), Rom. 03:20, cf. 01:32. Si ce n’est pas accompagné des éléments suivants, il peut se manifester par crainte du châtiment, alors qu’il n’existe encore aucune haine du péché.
b. un élément émotionnel. Il y a un changement de sentiment, qui se manifeste dans la douleur pour les péchés commis contre un Dieu Saint et just, PS. 51:2, 10, 14. Cet élément de la repentance est indiqué par le mot metamelomai. Si elle est accompagnée par l’élément suivant, c’est un lupe kata theou (pieuse tristesse), mais si elle n’est pas tellement accompagnée, c’est un lupe tou kosmou (la douleur du monde), qui se manifeste dans les remords et le désespoir, II Cor. 7:9, 10; Matthieu 27: 3; Luc 18:23.
c. un élément volontaire. Il existe également un élément volontaire, consistant en un changement d’objectif, une rotation vers l’intérieur loin du péché et une disposition de demander pardon et la purification, PS. 51:5, 7, 10; Jérémie 25: 5. Cela inclut les deux autres éléments et est donc l’aspect le plus important de la repentance. Il est indiqué dans l’écriture par le mot metanoia, actes 02:38; Romains 2:4.
2. LE SACREMENT DE PÉNITENCE DANS L’EGLISE DE ROME. L’église de Rome a entièrement externalisées de l’idée de repentance. Les éléments les plus importants dans son sacrement de la pénitence sont contrition, la confession, satisfactionet absolution. De ces quatre contrition est le seul qui appartient bien à la repentance, et même de cela le romaniste exclut tous les tristesse pour le péché inné et conserve seulement que pour les péchés personnels. Et parce que seuls quelques expérience véritable contrition, il est également satisfait de l’attrition. Il s’agit de « la conviction mentale que péché mérite le châtiment, mais n’inclut pas de confiance en Dieu et une fin à se détourner de péché. C’est la peur de l’enfer. » Confession dans l’église catholique romaine est la confession au sacrificateur, qui absout, pas de façon déclarative, mais par les tribunaux. De plus, la satisfaction consiste au pécheur faire pénitence, c'est-à-dire qui persiste quelque chose de douloureux ou exécution d’une tâche difficile ou de mauvais goût. L’idée centrale est que ces spectacles extérieurs constituent vraiment une satisfaction pour le péché.
3. LA VUE BIBLIQUE DU REPENTIR. Par rapport à ce point de vue externe de la repentance, l’idée biblique devrait être maintenue. Selon l’Ecriture repentir est totalement un acte vers l’intérieur et ne doit pas être confondu avec le changement de vie qui procède de lui. Confession des péchés et la réparation des torts sont les fruits d’une repentance. Le repentir est seulement une condition négative, et pas un positif signifie du Salut. Alors qu’il incombe du pécheur présent, il ne contrebalancerait pas les revendications de la loi en raison des dernières transgressions. Par ailleurs, la vraie repentance existe jamais sauf en conjonction avec la foi, tandis que, d’autre part, partout où il y a vraie foi, il y a aussi vrai repentir. Les deux sont des aspects mais différentes de la même rotation, — un se détourner du péché dans le sens de Dieu. Luther a parlé d’un repentir qui précède la foi, mais semble parfois néanmoins ont convenu avec Calvin au sujet de la vraie repentance comme l’un des fruits de la foi. Luthériens ont l’habitude d’insister sur le fait que le repentir est forgé par la Loi et la foi par l’Évangile. Il faut avoir à l’esprit, cependant, que les deux ne peuvent être séparés; ils sont simplement complémentaires pièces d’un même processus.
E. LA PSYCHOLOGIE DE LA CONVERSION.
Au cours de ces dernières années les psychologues ont fait une étude spéciale des phénomènes de conversion.
1. LA NATURE DE CETTE ÉTUDE. La nature de cette étude peut mieux être tirée des œuvres telles que celles du Conseil de l’Europe, La vie spirituelle; Starbuck, la psychologie de la Religion; James, variétés de l’expérience religieuse; Ames, la psychologie de l’expérience religieuse; Pratt, la conscience religieuse; Clark, la psychologie de l’éveil religieux; Hughes, la psychologie nouvelle et l’expérience religieuse; et Horton, l’approche psychologique à la théologie. Pendant une longue période psychologie a négligé les faits de la vie religieuse tout à fait, mais pour plus d’un quart de siècle maintenant, il a pris connaissance d’eux. Dans un premier temps, l’attention était concentrée principalement — pour ne pas dire exclusivement, sur ce qui doit avoir semblait être le grand central fait d’expérience religieuse, du fait de la conversion. Psychologues ont étudié les nombreux cas de conversion inductif et ont tenté de classer les différentes forces à le œuvre dans la conversion, de distinguer les différents types d’expérience religieuse, afin de déterminer la durée de vie dans lequel la conversion est plus apte à se produire et de découvrir les lois qui régissent les phénomènes de conversion. Alors qu’ils ont présenté leur étude, une enquête purement inductive sur les phénomènes de la religion comme indiqué dans l’expérience individuelle et dans certains cas exprimé le désir louable et l’intention de garder leurs convictions philosophiques et religieuses la fond, ils ont néanmoins à plusieurs reprises clairement révélé une tendance à chercher à la conversion comme un processus purement naturel, tout comme se prêtent aux lois ordinaires de la psychologie en tant que tout autre fait psychique; et à oublier, voire nier explicitement, son aspect surnaturel. Les plus prudents savants parmi eux ignorent, mais ne nient pas, le surnaturel dans la conversion. Ils expliquent leur silence sur les aspects plus profonds de ce fait central dans l’expérience religieuse par attirer l’attention sur leurs limites comme psychologues. Ils peuvent seulement traiter avec les faits observés et des lois psychiques qui manifestement les contrôler, mais n’ont aucun droit à la sonde dans l’arrière-plan spirituel possible ou probable, dans laquelle ces faits trouvent leur explication. Ils ont souligné que la conversion n’est pas un phénomène spécifiquement chrétien, mais se retrouve également dans les autres religions; et qu’il n’est pas nécessairement un phénomène religieux, mais se produit également dans les domaines non religieux. En fait, c’est qu’un des nombreux changements qui se produisent dans la période de l’adolescence, « un réajustement brusque à un environnement spirituel plus large, » un abandon de l’ancien moi un plus vrai. « Au mieux », dit Starbuck, « c’est l’individu sera entrée en harmonie avec ce qu’il se sent à la volonté divine. » Comme Pratt comprend « l’essentiel sur la conversion est juste l’unification des caractères, la réalisation d’un nouveau soi. » Quant à la question, si il n’y a rien de surnaturel sur la conversion, il y a une divergence d’opinions parmi les psychologues. Conseil de l’Europe pose la question: « Allons nous concluons donc que la conversion est pratiquement une exécution automatique ? » Et il répond: « non, sauf si nous définissons tout d’abord transformation afin d’ignorer sa relation profonde à Dieu et au principe d’une bonne vie... La substance des expériences religieuses en ce qui concerne surpasse leurs formes émotionnels comme un homme transcende les vêtements qu’il porte. » James se sent qu’un chrétien orthodoxe pourrait lui demander si sa référence des phénomènes de conversion vers le soi subliminal n’exclut pas la notion de la présence directe de la Déité dedans complètement; et il me répond en ces termes: « Je dois dire franchement qu’en tant que psychologue, je ne vois pas pourquoi il devrait nécessairement. » Il conclut que, « s’il y a des grossissements plus importants en mesure de nous impressionner, ils peuvent avoir accès qu’à travers la porte subliminale. » Les représentants de la nouvelle psychologie, c'est-à-dire, de l’école behavioriste et de l’école de psychanalyse, franchement prennent la position que conversion peut se faire de façon parfaitement naturelle, sans aucune influence surnaturelle. James et autres tiennent que la véritable recette aux changements soudains de conversion réside dans une activité du subliminal soi-même, qui peut ou peut ne pas être soumis à une influence divine. Étudiants de psychologie sont assez généralement admis qu’il y a trois étapes distinctes dans la conversion qui Ames décrit comme suit: « d’abord, un sentiment de perplexité et d’inquiétude; seconde, un point culminant et tournant; et Troisièmement, une détente marquée par le repos et la joie. » Il est assez généralement admis qu’il existe au moins deux types remarquable de conversion, qui sont désigné de diverses manières. En parlant de ces deux types de conversion, Starbuck a dit que l’un est accompagné d’un violent sentiment de péché et de l’autre, avec un sentiment d’incomplétude, une lutte après une vie plus grande et un désir pour l’illumination spirituelle. Une distinction est faite entre l’enfance et adulte conversion entre des conversions (violentes) progressive ou soudaines et entre les conversions intellectuelle et affectifs. Ce sont des noms différents mais pour les deux types de fichiers reconnus de la conversion. Alors que la conversion en général peut être considérée comme une expérience plutôt normale, il se trouve parfois prendre un aspect anormal, surtout pendant les relances et deviendrait alors un phénomène pathologique. Selon le moment de la conversion est concerné, il est souligné que la conversion ne se produit pas avec la même fréquence à toutes les périodes de la vie, mais appartient presque exclusivement aux années entre 10 et 25 et est extrêmement rare après 30. Cela signifie qu’il est particulièrement caractéristique de la période de l’adolescence. Environnement, l’éducation et la formation religieuse, tous affectent la nature et la fréquence de son occurrence.
2. L’ÉVALUATION DE CES ÉTUDES. La valeur de ces études psychologiques de conversion n’a pas besoin d’être refusée. Ce serait folie brossez-les à partir de la signification peu ou pas de côté ou ignorez-les simplement parce qu’ils ne tiennent pas dûment compte du surnaturel dans la conversion. Ils jettent une lumière Bienvenue sur certaines des lois qui s’appliquent dans la vie psychique de l’homme, sur des phénomènes qui accompagnent la crise spirituelle dans la vie consciente de l’homme, ainsi que sur les différents types de conversion et les facteurs qui déterminent ces. Ils approfondir notre aperçu sur les différents types de conversion, qui ont toujours été reconnues dans la théologie réformée, confirment notre conviction concernant les trois éléments qui sont trouvent dans la conversion et sont tout à fait en accord avec la conviction théologique Cette conversion est enracinée dans la vie subconsciente. Bien qu’ils ne font pas explicitement affirmer et même dans certains cas, refuser qu’il trouve son explication dans une œuvre divine de l’Esprit Saint sous le seuil de la conscience, — les travaux de régénération. Dans le même temps, nous ne devrions pas surévaluer ces études. Certains d'entre eux, comme, par exemple, le travail de James est une décidément partial, puisqu’elle repose entièrement sur l’étude des conversions extraordinaires, dont il a trouvé le plus intéressant. En outre, ils n’ont pas échappé du danger de mener à l’idée de l’opération du droit psychique en conversion trop loin et de donnant sur le côté surnaturel et divin de l’important processus de conversion. James il traite tout comme un changement moral et elle définit de manière générale, comme « le processus, progressif ou soudain, par lequel un individu jusqu’ici divisé et consciemment mauvais, inférieur et malheureux, devient unifié et consciemment droite, supérieure et heureuse, à la suite de son plus ferme emprise sur des réalités religieuses. » D’autres réduisent à un phénomène purement naturel et même l’expliquer materialistically, contrôlé par les lois de la physique. Ils n’ont pas, et même de la nature de l’affaire ne peut pas, aller jusqu'à la racine du problème, ne le font pas et ne peut pas pénétrer dans les profondeurs cachées de quelles sources de conversion. Il est de toute évidence tendance à contester l’idée ancienne et orthodoxe de la conversion, à son sujet comme non scientifique d’enseigner que la nature religieuse de l’homme est miraculeusement implantée. Ils n’acceptent pas la lumière de la parole de Dieu et n’ont donc aucune norme pour juger les choses profondes de la vie. Snowden dit: « que certains psychologues ont essayé d’établir une psychologie de l’âme sans aucune âme, si certains d'entre eux ont s’est efforcé de construire une psychologie de la religion sans religion. En vertu de leur traitement de celui-ci religion s’est évaporée en sentiment subjectif un simple ou délire sans aucune réalité objective et telle une psychologie de la religion est sans fondement et sans valeur tant que psychologie et religion. »
F. L’AUTEUR DE LA CONVERSION.
1. DIEU EST L’AUTEUR DE LA CONVERSION. Dieu seulement peut être appelé l’auteur de la conversion. Il s’agit de l’enseignement clair des Ecritures. Dans Psaume 85:4 prie le poète, « Tourner à nous, Ô Dieu de notre Salut, » et dans Jérémie 31: 18 Ephraim prie, « Tu Tournez-moi, et je vais être transformé ». Une prière similaire se trouve dans Lam. 05:21. Dans Actes 11:18 Peter attire l’attention sur le fait que Dieu a accordé le repentir de gentils pour la vie. Une déclaration similaire se trouve dans II Timothée 02:25. Il y a une opération de double de Dieu dans la conversion des pécheurs, l’un morale et l’autre hyper physique. En général on peut dire qu’il travaille le repentir au moyen de la Loi, Psaume 19:7; ROM. 03:20 et la foi au moyen de l’Évangile, Romains 10:17. Pourtant, nous ne pouvons pas séparer ces deux, car la Loi contient également une présentation de l’Évangile, et l’Évangile confirme la Loi et menace avec ses terreurs, II Corinthiens 05:11. Mais Dieu fonctionne également de manière immédiate, à hyperphysical dans la conversion. Le nouveau principe de vie qui est implanté dans l’homme régénéré, n’émet pas en action consciente de son propre pouvoir inhérent, mais seulement par le biais de l’influence éclairant et fructifiant du Saint-Esprit. Cf. John 06:44; Phil. 02:13. Pour enseigner autrement serait luthérienne et arminienne.
2. L’HOMME COOPÈRE DANS LA CONVERSION. Mais si Dieu seul est l’auteur de la conversion, il est très important d’insister sur le fait, par rapport à une passivité faux, qu’il y a aussi une certaine coopération de l’homme dans la conversion. Le Dr de Kuyper attire l’attention sur le fait que, dans l' ancien Testament shubh est utilisé 74 fois de conversion comme un acte de l’homme et seulement 15 fois, de la conversion comme un acte de Dieu bienveillant; et que le Nouveau Testament représente la conversion comme un acte de l’homme 26 fois et parle de lui seulement 2 ou 3 fois comme un acte de Dieu. Il faut avoir à l’esprit, cependant, que cette activité de l’homme toujours les résultats d’un travail antérieur de Dieu chez l’homme, Lam. 05:21; Phil. 02:13. Que l’homme est actif dans la conversion est assez clairement de ces passages comme Ésaïe 55:7; Jérémie 18:11; Ézéchiel 18:23, 32; 33: 11; Actes à 02:38; 17:30 et autres.
G. LA NÉCESSITÉ DE LA CONVERSION.
La Bible parle en termes absolus de la nécessité de la régénération; pas tant de la nécessité de la conversion. Il nous dit clairement que, « sauf un homme naît de nouveau (nouveau, ou d’en haut), il ne peut pas voir le Royaume de Dieu, » John 3:3, mais ne parle ne pas de la nécessité de la conversion de la même manière générale, ce qui permet d’aucune exception. Naturellement, ceux qui identifient les deux ne saurait admettre cette distinction. Sans doute il y a des passages de l’écriture qui contiennent un appel à la conversion, afin de jouir des bénédictions de Dieu, comme Ézéchiel 33: 11; 55:7 d’Ésaïe et ceux-ci impliquent la nécessité de la conversion dans le cas de celles adressées ou mentionnées. Le passage qui vient le plus proche d’une déclaration absolue se trouve dans Matthieu 18:3, « en vérité, je vous le dis, sauf que vous mettez et devenir comme les petits enfants, vous n’entrera dans le Royaume des cieux. » Mais même dans ce cas on pourrait insister pour qu’il s’agit seulement pour les personnes adressées. Les exhortations expresses ou implicites à tourner autour, trouvé dans l’écriture, viennent uniquement à ceux à qui ils sont adressent et ne signifient pas nécessairement que tout le monde doit passer par une conversion consciente, afin d’être sauvé. Doit répondre à la question quant à la nécessité de la conversion à la discrimination. Ceux qui meurent en bas âge doit être régénérée, afin d’être sauvé, mais ne peut pas très bien l’expérience conversion, un tournant conscient de péché à Dieu. Dans le cas des adultes, cependant, la conversion est absolument indispensable, mais il peuvent ne pas figurer dans la vie de chacun comme une crise très marquée. Une telle crise définitive, en règle générale, est susceptible que dans la vie de ceux qui, après une vie de péché et de la honte, sont arrêtés dans leur cours mal par la puissance régénératrice du Saint-esprit et par l’appel efficace à la conversion. En eux, la vie de l’hostilité consciente est à la fois transformée en une vie d’amitié avec Dieu. Il peut difficilement être cherchée, cependant, dans la vie de ceux qui, comme Jean le Baptiste et Timothy, servi le Seigneur de prime jeunesse. Dans le même temps, la conversion n’est nécessaire dans le cas de tous les adultes en ce sens que ses éléments, à savoir, repentir et la foi doivent être présents dans leur vie. Cela signifie qu’ils doivent, dans une certaine forme, expérience l’essence de la conversion.
H. RELATION DE CONVERSION À D’AUTRES STADES DU PROCESSUS.
1. À LA RÉGÉNÉRATION. Cela a déjà été indiqué dans une certaine mesure. Les deux mots « régénération » et « conversion » sont utilisés comme synonymes par certains. Encore dans la théologie de nos jours ils renvoient généralement aux différentes, bien qu’étroitement les questions connexes. Le principe de la nouvelle vie implanté dans la régénération est rendu expression active dans la vie consciente du pécheur il est converti. Le changement qui s’effectue dans la vie subconsciente en régénération passe dans la vie consciente dans la conversion. Conversion s’ensuit logiquement, régénération. Dans le cas de ceux qui sont régénérés dans l’enfance, il y a nécessairement une séparation temporelle des deux, mais dans le cas de ceux qui sont régénérés après qu’ils sont venus à des années de discrétion, les deux coïncident généralement. Dans la régénération, le pécheur est entièrement passif, mais dans la conversion, il est passif et actif. L’ancien répètera jamais, mais le dernier peut dans une certaine mesure, même si la conversio actualis prima est générée, mais une fois.
2. L'APPEL EFFICACE. La conversion est le résultat direct des appels internes. Comme un effet chez l’homme, appel interne et le début de la conversion vraiment coïncident. La situation est pas telle que Dieu appelle le pécheur, et qu’alors le pécheur dans sa propre force se tourne vers Dieu. C’est exactement à l’interne demandant que l’homme devient conscient du fait que Dieu travaille conversion en lui. L’homme vraiment convertie se sentiront tout le long que sa conversion est le œuvre de Dieu. Cela le distingue de l’homme qui vise à améliorer sans morale superficielle. Les œuvres de ce dernier dans ses propres forces.
3. LA FOI. Comme déjà indiqué, la conversion consiste dans le repentir et la foi, afin que la foi est vraiment une partie de la conversion. Pourtant, nous devons distinguer ici. Il existe deux types de vraie foi, ayant chacune un objet distinct, à savoir, (a) une reconnaissance de la vérité de la révélation de Dieu de la rédemption, non seulement dans un sens historique, détaché, mais de telle manière qu’elle est reconnue comme une réalité qui ne peut être ignorée en toute impunité , parce qu’elle affecte la vie de façon vitale; et (b) une reconnaissance et une acceptation du Salut offert en Jésus-Christ, qui sauve foi au sens propre du mot. Maintenant il y a sans aucun doute que la foi dans le premier sens est présente à la fois dans la conversion. Le Saint-Esprit provoque le pécheur de voir la vérité telle qu’elle s’applique à sa propre vie, afin qu’il relève de la « conviction » et ainsi devient conscient de son péché. Mais il peut demeurer dans ce stade depuis un certain temps, afin qu’il soit difficile de dire dans quelle mesure foi salvatrice, c'est-à-dire confiance en Christ pour le Salut, n’est à la fois inclus dans la conversion. Il n’y a aucun doute que, logiquement, la connaissance du péché et repentance précède la foi qui cède à Christ en faisant confiance à l’amour.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Pourquoi Beza préfère appeler conversion resipiscentia plutôt que de poenitentia? Pourquoi est le terme de « repentir » insuffisant pour exprimer l’idée de conversion ? Comment les conception de Luther de la repentance différait de celle de Calvin ? Est conversion toujours précédée par « conviction de péché » ? Peut-on parler de grâce prévenante par rapport à la conversion ? Conversion du est un acte instantané, ou est-ce un processus ? Qu’entend-on par le terme « conversion quotidienne » ? Quelle est la vue correcte de la nécessité de la conversion ? Prédication de Pacte a-t-il tendance à faire taire l’appel à la conversion ? Quelle est la conception de méthodiste de conversion ? Les méthodes de rassemblements sont louables ? Qu’en est-il du caractère durable des conversions dont ils se vantent ? Les statistiques de la psychologie de la conversion nous donner toute information sur ce point ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 127-181; Kuyper, Dict. dogme., De Salute, pp. 93-97; Ibid., Het Werk van den Heiligen Geest II, p. 197-203; A. A. Hodge, contours de la théologie, p. 487 à 495; Strong, Syst. Theol., pp. 829-849; McPherson, Chr. dogme., pp. 393-397; Shedd, dogme . THEOL. II, p. 529 à 537; Alexander, syst de Bib. Theol. II, pp. 38-384; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 249-258; Vos, Geref. Dogme. IV, p. 66-81; Pape, Chr. dogme. II, p. 367-376; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, p. 465, 466, 470-484; Drummond, Studies in Chr. Doct., p. 488-491; Macintosh, théol. comme une Science empirique, pp. 134-136; Faire, Godgeleerdheit, IV, 4; Walden, grand sens de Metanoia; Jackson, le fait de la Conversion; Conseil de l’Europe, la vie spirituelle; Starbuck, la psychologie de la Religion; James, les variétés de l’expérience religieuse, p. 189-258; Ames, la psychologie de l’expérience religieuse, pp. 257-276; Clark, la psychologie de l’éveil religieux; Pratt, la conscience religieuse, pp. 122-164; Steven, la psychologie de l’âme chrétienne, pp. 142-298; Hughes, la psychologie nouvelle et l’expérience religieuse, pp. 213-241; Snowden, la psychologie de la Religion, p. 143-199.
VIII. la foi
Le chapitre précédent traitait de conversion en général et a aussi donné une brève description de l’élément négatif de la conversion, à savoir, la repentance. Le présent chapitre sera consacré à une discussion de l’élément positif, qui est la foi. C’est d’une importance telle centrale dans la sotériologie qui il réclame un traitement distinct. Il est préférable de prendre à ce stade, non seulement parce que la foi est une partie de la conversion, mais aussi parce qu’elle est instrumentalement liée à la justification. L’examen constitue une transition naturelle vers la doctrine de la justification par la foi.
A. LES TERMES SCRIPTURAIRES POUR LA FOI.
1. LES CONDITIONS DE L'ANCIEN TESTAMENT ET LEUR SIGNIFICATION. L’ancien Testament ne contient aucun nom de foi, sauf si emouna considérer donc dans Habacuc 2:4. Ce mot signifie ordinairement « fidélité, » Deut. 32: 4; PS. 36: 5; 37: 3; 40:11, mais la façon dont la déclaration d’Habacuc est appliquée dans le Nouveau Testament, Rom. 01:17; GAL 03:11; Hébreux 10:38, semblerait indiquer que le prophète a utilisé le terme dans le sens de la foi. Le mot le plus commun ancien Testament « à cru » est he'emin, la forme hiphil du 'aman. Dans qal , cela signifie « infirmière » ou « nourrir »; dans niphal, « d’être ferme » ou « établi, » « stable »; et dans hiphil, « d’envisager établie », « de considérer comme vrai » ou « à croire. » Le mot est interprété avec les prépositions beth , lamed. Interprétée avec l’ancien, il se réfère évidemment à une confiance reposant sur une chose ou d’une personne ou d’un témoignage; alors que, avec ce dernier, elle signifie l’assentiment donné à un témoignage, qui est accepté comme vraie. — Le mot suivant en importance est batach, qui est interprété avec beth et signifie « se confier à », « se pencher sur », ou « faire confiance. » Il n’insiste pas sur l’élément d’assentiment intellectuel, mais plutôt que de confiance confiant. À la différence de he'emin, qui est généralement rendu par pisteuo dans la Septante, ce mot est généralement traduit par elpizo ou peithomai. L’homme qui a confiance en Dieu est celui qui corrige tout son espoir pour le présent et l’avenir sur lui. — Il n’y a encore un autre mot, à savoir les chasah, qui est utilisée moins fréquemment et les moyens « se cacher l’un est soi-même, » ou « de fuir d’un refuge. » En cela, aussi, l’élément de confiance est clairement à l’avant-plan.
2. LES CONDITIONS DU NOUVEAU TESTAMENT ET LEUR SIGNIFICATION. Deux mots sont utilisés dans le Nouveau Testament, à savoir, pistis et le verbe apparenté pisteuein. Ceux-ci n’ont pas toujours exactement la même connotation.
a. les différentes significations de pistis. (1) en grec classique. Le mot pistis a deux significations en grec classique. Il désigne: (a) une déclaration de culpabilité fondée sur la confiance dans une personne et dans son témoignage, qui se distingue ainsi de connaissances reposant sur une enquête personnelle; et (b) la confiance elle-même sur laquelle il repose un verdict de culpabilité. Il s’agit plus d’une simple intellectuelle conviction qu’une personne est fiable; elle suppose une relation personnelle avec l’objet de confiance, un aller hors on est soi-même, se reposer dans un autre. Les Grecs n’ordinairement utilisaient pas le mot dans ce sens, d’exprimer leur relation avec les dieux, depuis ils considérés comme hostiles aux hommes, et par conséquent comme objets de peur plutôt que de trust.—(2) Dans la Septante. La transition entre l’usage de la parole pistis en grec classique à l’usage du Nouveau Testament, dans lequel le sens « confiance » ou la « fiducie » est très important, se trouve dans l’utilisation de la Septante du verbe pisteuein , plutôt que dans celui du nom pistis, qui se produit chez elle, mais une fois avec n’importe quoi comme son sens du Nouveau Testament. Le verbe pisteuein sert généralement d’un rendu de l’he'emin du mot et exprime donc l’idée de la foi les deux dans le sens de la sanction à la parole de Dieu et de faire confiance à confiance en lui. — (3) dans le Nouveau Testament. Il existe quelques cas dans lesquels le mot a un passif, ce qui signifie, à savoir celle de « fidélité » ou « fidélité », qui est son sens usuel dans l’ancien Testament, Romains 3:3; GAL 05:22; Tite 02:10. Il est généralement utilisé dans un sens actif. Il convient de distinguer les significations particulières suivantes: (a) une croyance intellectuelle ou la déclaration de culpabilité, reposant sur le témoignage d’une autre et par conséquent basée sur la confiance dans cet autre, plutôt que sur l’enquête personnelle, Phil. 01:27; II Corinthiens 04:13; II Thessaloniciens. 02:13 et en particulier dans les écrits de John; et confiance (b) une capacité de se confier ou confiance en Dieu, ou, plus particulièrement, dans le Christ, en vue de la rédemption du péché et de béatitude future. Donc surtout dans les épîtres de Paul, Rom. 03:22, 25; 5:1, 2; 09:30, 32; GAL 02:16; Éphésiens 2:8; 03:12 et beaucoup d’autres passages. Cette confiance doit être distinguée de celle à laquelle la fiducie intellectuelle mentionnés sous (a) ci-dessus, restes. L’ordre dans les étapes successives de la foi est comme suit: (a) général confiance en Dieu et de Christ; (b) l’acceptation de leur témoignage sur la base de cette confiance; et (c) ce qui donne à Christ et ayant confiance en lui pour le salut de l’âme. Le dernier est plus précisément appelé sauver la foi.
b. les différentes constructions des pisteuein et leur signification. Nous avons les constructions suivantes: (1) Pisteuein avec le datif. Cela dénote généralement la sanction croyante. Si l’objet est une personne, il est habituellement employé dans un sens un peu enceinte, y compris l’idée profondément religieuse d’un dévoué, croyant la confiance. Lorsque l’objet est une chose, c’est généralement la parole de Dieu, et s’il est une personne, c’est généralement soit Dieu ou Christ, John 04:50; 05:47; Actes 16:34; Romains 4:3; II Timothée 01:12. — (2) Pisteuein suivie de hoti. Dans cette construction, la conjonction sert généralement à mettre en place ce que l'on croit. Dans l’ensemble, cette construction est plus faible que la précédente. Des vingt passages où il se trouve, quatorze ans se produisent dans les écrits de John. Dans quelques cas l’affaire croyait guère s’élève dans le domaine religieux, John 09:18; Actes 09:26, alors que dans certains des autres, c’est décidément d’importation sotériologique, Matthieu 09:28; Romains 10:9; I Thessaloniciens 04:14. — (3) Pisteuein avec des prépositions. Ici, le sens profond du mot, qui, de la ferme confiance confiant, s’agit de son plein droit. Les constructions suivantes entrent en considération: (a) Construction avec fr. C’est la construction la plus fréquente dans la Septante, mais c’est tout, mais absent du Nouveau Testament. Le seulement certain cas est Mark 01:15, où l’objet est l’Évangile. Autres cas possibles sont John 03:15; EP 01:13, où l’objet serait de Christ. L’implication de cette construction semble être celui d’une confiance ancrée dans son objet. (b) Construction avec l’epi et le datif. Il se trouve que dans la citation d’Ésaïe 28: 16, qui apparaît dans les trois passages, à savoir, Rom. 09:33; 10:11; I Pierre 2:6 et dans Luc 24:25; J’ai Timothée 01:16. Il exprime l’idée d’un repos régulier et reposante, une dépendance vis-à-vis de son objet. (c) Construction avec epi et l’accusatif. Ceci est utilisé sept fois dans le Nouveau Testament. Dans quelques cas, l’objet est Dieu, tel qu’il fonctionne dans le sauvetage de l’âme au Christ; dans tous les autres c’est le Christ. Cette construction comprend l’idée du mouvement moral, de l’orientation mentale vers l’objet. L’idée principale est celle du tournage avec confiance confiant à Jésus-Christ. (d) Construction avec étude d’impact environnemental. Il s’agit de la construction la plus caractéristique du Nouveau Testament. Il se produit quarante - neuf fois. Environ quatorze de ces instances sont johannique et le reste de Pauline. Sauf dans un cas, l’objet est toujours une personne rarement Dieu et plus couramment Christ. Cette construction a une signification très enceinte, exprimant, comme il le fait, « une absolue transfert de confiance de notre part à l’autre, un complet abandon de soi à Dieu. » Cf. Jean 02:11; 03:16, 18, 36; 04:39; 14:1; Romains 10:14; GAL 02:16; Phil. 01:29.
B. LES EXPRESSIONS FIGURATIVES UTILISÉES POUR DÉCRIRE L’ACTIVITÉ DE LA FOI.
Il y a plusieurs expressions figuratives de l’activité de la foi dans les Ecritures. Voici quelques-uns des plus importants.
1. on parle de lui comme un regard vers Jésus, John 03:14, 15 (COMP. nombres 21:9). Il s’agit d’un chiffre tout à fait approprié, car il est composé de différents éléments de la foi, surtout lorsqu’il s’agit d’une ferme à la recherche à n’importe qui, comme dans le passage indiqué. Il y a en elle un acte de perception (élément intellectuel), une fixation délibérée de le œil sur l’objet (élément volontaire) et une certaine satisfaction à laquelle cette concentration témoigne (élément émotionnel).
2. il est aussi représenté comme un affamé et assoiffé, un manger ou boire, Matthieu 5:6; Jean 06:50-58; 4:14. lorsque les hommes ont vraiment faim et soif spirituellement, ils se sentent que quelque chose manque, sont conscients du caractère indispensable de ce qui est manquant et s’efforcer d’en obtenir. Tout cela est caractéristique de l’activité de la foi. En mangeant et en buvant nous non seulement ont la conviction que la nourriture nécessaire et la boisson est présent, mais aussi l’attente confiante qu’il satisfera nous, tout comme la s’approprier Christ par la foi nous avons un certain degré de confiance qu’il nous sauvera.
3. Enfin, il y a aussi les chiffres de venir au Christ et de recevoir de lui, Jean 05:40; 07:37 (cf. vs 38); 06:44, 65; 1: 12 la figure de venir à la foi de photos de Christ sous forme d’action dans lequel l’homme semble loin de lui-même et à ses propres mérites, pour être revêtus de la justice de Jésus-Christ; et celle de recevoir Christ insiste sur le fait que la foi est un organe s’approprier.
C. LA DOCTRINE DE LA FOI DANS L’HISTOIRE.
1. AVANT LA RÉFORME. Depuis le début très de la foi de Christian Church que se détachait dans l’esprit des dirigeants comme une grande condition du Salut. Aux côtés de celui-ci repentance aussi bientôt est devenu plutôt proéminent. Dans le même temps, il y avait peu de réflexion dans un premier temps sur la nature de la foi et mais peu de compréhension de la relation entre la foi aux autres parties de l' ordo salutis. Il n’y avait aucune définition actuelle de la foi. Alors qu’il y avait une tendance à utiliser le mot « foi » pour désigner l’acceptation de la vérité sur le témoignage, c’est aussi parfois employé dans un sens plus profond, afin d’intégrer l’idée d’abandon de soi à la vérité reçue intellectuellement. Les Alexandrins contrastait pistis et gnosiset considéré l’ancien principalement en tant que connaissances initiales et l’imparfait. Tertullien a insisté sur le fait que la foi accepte une chose sur l’autorité, et non parce qu’elle est justifiée par la raison humaine. Il a également utilisé le terme dans un sens objectif, comme une désignation de celui qui doit être crue, — la regula fidei. Même jusqu'à l’époque d’Augustin, peu d’attention a été consacrée à la nature de la foi, mais il est toujours reconnu comme le moyen prééminent dans l’appropriation du Salut. Augustine, cependant, a donné l’affaire une plus grande mesure de l’examen. Il a parlé de foi en plus d’un sens. Parfois il considéré comme rien d’autre qu’intellectuelle avis conforme à la vérité. Mais il a conçu de la foi évangélique ou justifie comme comprenant également les éléments de l’abandon de soi et l’amour. Cette foi est parfaite dans l’amour et devient ainsi le principe des bonnes œuvres. Il n’a pas une conception appropriée, cependant, la relation entre la foi et la justification. C’est en partie dû au fait que soigneusement, il ne distinguait pas entre la justification et la sanctification. La conception plus profonde de la foi que l'on trouve chez Augustin n’était pas partagée par l’église en général. Il y avait une tendance à confondre la foi avec l’orthodoxie, c'est-à-dire, avec la tenue d’une foi orthodoxe. La scolastique distingue entre une foi informis, c'est-à-dire seulement intellectuelle avis conforme à la vérité enseignée par l’église et un fides formata (charitate), c'est-à-dire une foi informée (compte tenu d’une forme caractéristique) par amour, et considérer ces derniers comme la seule foi qui justifie, puisqu’il s’agit d’une infusion de la grâce. C’est seulement comme fides formata que la foi s’active pour de bon et devient le premier des vertus théologales, par lequel l’homme est placé dans la bonne relation à Dieu. Strictement parlant, c’est l’amour par lequel la foi est parfaite qui justifie. Ainsi dans la foi elle-même une Fondation a été posée pour la valeur humaine. L’homme est justifié, pas exclusivement par l’imputation des mérites du Christ, mais aussi par la grâce inhérente. Thomas Aquinas définit la vertu de foi comme une « habitude de l’esprit, en raison duquel la vie éternelle a sa création en nous, dans la mesure où il provoque l’intellect donner son avis conforme à des choses qui ne sont pas visibles ».
2. APRÈS LA RÉFORME. Tandis que les catholiques romains ont souligné le fait que justifier la foi est simplement la sanction et a son siège dans la compréhension, les réformateurs généralement considéré comme fiducia (trust), ayant son siège dans le testament. Sur l’importance relative des éléments de foi on a des différences, cependant, même parmi les Protestants. Certains considèrent la définition de Calvin comme étant supérieure à celle du Catéchisme de Heidelberg. Calvin, dit: « Nous allons maintenant ont une définition complète de la foi si nous disons que c’est une connaissance solide et sûre de la faveur divine envers nous, fondée sur la vérité d’une promesse gratuite dans le Christ et a révélé à nos esprits et scellé dans nos coeurs par l’Esprit Saint. » le Catéchisme de Heidelberg, en revanche, apporte également dans l’élément de confiance lorsqu’il répond à la question, « Qu’est la vraie foi ? » comme suit: « vraie foi n’est pas seulement une certitude par lequel je tenir pour vérité tout ce que Dieu a révélé à nous dans sa parole mais aussi une ferme confiance que le Saint-Esprit travaille dans mon cœur par l’Évangile, que non seulement aux autres, mais pour moi aussi, rémission des péchés, la justice éternelle et le Salut sont librement donnés par Dieu, simplement de la grâce, seulement pour les mérites du Christ. » Mais il est assez évident de la connexion que Calvin veut inclure l’élément de confiance dans la « connaissance solide et sûre », dont il parle. En parlant de l’audace avec laquelle nous pouvons approcher Dieu dans la prière, il dit même: « telle audace ne ressorts qu’à partir de confiance en la faveur divine et du Salut. Tellement vrai est-ce, que le terme de foi est souvent utilisé comme équivalent à la confiance. » il rejette absolument la fiction de la Schoolmen qui insistent « que la foi est une sanction qui peut recevoir n’importe quel contempteur de Dieu ce qui est livré dans l’écriture. » , mais il y a un point encore plus important de la différence entre conception le réformateur de la foi et celui de la scolastique. Ce dernier a reconnu dans la foi elle-même certaine efficacité réelle et même méritoire (meritum ex congruo) en disposant à et dans le recrutement ou l’obtention de justification. Les réformateurs, en revanche, ont été unanimes et explicite dans l’enseignement que justifier la foi ne justifie pas de toute efficacité méritoire ou intrinsèque de ses propres, mais seulement en tant qu’instrument pour recevoir ou emparer sur ce que Dieu a fourni dans les mérites du Christ. Ils ont considéré cette foi principalement comme un don de Dieu et seulement accessoirement comme une activité de l’homme dans dépendance envers Dieu. Les arminiens ont révélé une tendance Romanizing, lorsqu’ils ont concevaient de la foi comme un travail méritoire de l’homme, sur la base desquels il est accepté en faveur par Dieu. Schleiermacher, le père de la théologie moderne, à peine mentionne sauver foi et sait absolument rien de la foi comme enfantin confiance en Dieu. Il dit que la foi » n’est rien mais l’expérience naissante de la satisfaction de notre spirituel nécessité par le Christ. » C’est une nouvelle expérience psychologique, une nouvelle conscience, enracinée dans un sentiment, pas de Christ, ni de toute doctrine, mais de l’harmonie de l’infini, de l’ensemble des choses, dans lequel l’âme trouve Dieu. Ritschl a décidé avec Schleiermacher en statuant que la foi surgit à la suite d’un contact avec la réalité divine, mais trouve son objet, non dans une idée ou une doctrine, ni dans l’ensemble des choses, mais en la personne du Christ, comme la révélation suprême de Dieu. Il n’est pas une sanction passive, mais un principe actif. Dedans l’homme fait Dieu auto fin, c'est-à-dire le Royaume de Dieu, sa propre, commence à travailler pour le Royaume et en faisant cela trouve le salut. Les vues de Schleiermacher et Ritschl caractérisent une grande partie de la théologie libérale moderne. Foi, cette théologie, n’est pas une expérience ciel-forgé, mais une réussite humaine; pas la simple réception d’un cadeau, mais une action méritoire; pas l’acceptation d’une doctrine, mais un « faisant le Christ Maître » dans une tentative de modèle de la vie après l’exemple du Christ. Ce point de vue a rencontré une forte opposition, cependant, dans la théologie de crise, qui insiste sur le fait que sauver la foi n’est jamais une expérience psychologique simplement naturelle, est à proprement parler un acte de Dieu plutôt que de l’homme, jamais constitue une possession permanente du l’homme et est en soi qu’un hohlraum (espace vide), tout à fait incapable d’effectuer le salut. Barth et foi tenu Brunner simplement comme la réponse divine, forgé chez l’homme par Dieu, à la parole de Dieu dans le Christ, c'est-à-dire non pas tant à toute doctrine, en ce qui concerne le commandement divin ou la loi divine dans le œuvre de rédemption. C’est la réponse affirmative, le « oui » à l’appel de Dieu, un « oui » qui est provoqué par Dieu lui-même.
D. L’IDÉE DE LA FOI DANS LES ECRITURES.
1. DANS L’ANCIEN TESTAMENT. Évidemment, les auteurs du Nouveau Testament, en soulignant la foi comme le principe fondamental de la vie religieuse, n’étaient pas conscients de déplacement au sol et de s’écarter de la représentation de l’ancien Testament. Ils considèrent Abraham comme le type de tous les vrais croyants (Romains 4; Galates 3; Hébreux 11; Jac. 2) et ceux qui ont foi dans les vrais fils d’Abraham (Rom. 02:28, 29; 04:12, 16; Galates 3:9). Foi n’est jamais traitée comme une nouveauté de la nouvelle Alliance, n’a aucune distinction entre la foi des deux pactes. Il y a un sentiment de continuité, et la proclamation de foi est considérée comme le même dans les deux dispenses, John 05:46; 12:38, 39; Habacuc 2:4; ROM. 01:17; 10:16; GAL 03:11; Hébreux 10:38. Dans les deux Testaments, la foi est le même radical indépendant engagement envers Dieu, non seulement comme le plus grand bien de l’âme, mais comme Sauveur miséricordieux du pécheur. La seule différence qui se manifeste, est attribuable au travail progressif de la rédemption, et c’est plus ou moins évident, même dans les limites de l’ancien Testament lui-même.
a. dans la période patriarcale. Dans les parties précédentes de l’ancien Testament, il y a, mais peu dans la ligne de déclaration abstraite sur le chemin du Salut. L’essence de la religion des patriarches est exposé nous en action. La promesse de Dieu est au premier plan, et le cas d’Abraham vise à énoncer l’idée que la bonne réponse à c’est celle de foi. Toute la vie de Noé a été déterminée par la confiance en Dieu et en ses promesses, mais c’est surtout les Abraham qui est placée devant nous comme le croyant typique, qui s’engage à Dieu avec une confiance inébranlable dans ses promesses et est justifié par la foi.
b. pendant la période de la loi. L’octroi de la loi n’avait pas entraîné un changement fondamental dans la religion d’Israël, mais simplement introduit un changement dans sa forme externe. La loi n’est pas substituée à la promesse; ni a été supplanté par les oeuvres de foi. Bon nombre des Israélites, en effet, regarda la loi dans un esprit purement légaliste et a cherché à fonder leurs demandes au salut sur un respect scrupuleux de celui-ci comme un ensemble de préceptes externes. Mais dans le cas de ceux qui ont compris sa véritable nature, qui se sentait l’intériorité et la spiritualité de la Loi, il a servi à approfondir le sens du péché et d’aiguiser la conviction que le salut est susceptible qu’à partir de la grâce de Dieu. L’essence de la vraie piété a semblé plus en plus consistent en une confiance confiante en Dieu du Salut. Tandis que l’ancien Testament insiste clairement sur la crainte du Seigneur, un grand nombre d’expressions, telles que l’espoir, confiance, cherchant refuge en Dieu, qui cherchent à lui, s’appuyant sur lui, cœur de fixation sur lui et clivage lui — le rendent tout à fait évident que cette crainte n’est pas une cr Aven mais une peur enfantine, respectueuse et mettre l’accent sur la nécessité de cet engagement indépendant aimante de Dieu qui est l’essence même de sauver la foi. Même dans la période de la Loi, la foi est distinctement sotériologique, à la recherche du Salut messianique. C’est une confiance en Dieu de Salut et une dépendance de ferme sur ses promesses pour l’avenir.
2. DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. Quand le Messie est venu dans l’accomplissement des prophéties, apportant le Salut espérée, il est devenu nécessaire pour les véhicules de la révélation de Dieu pour diriger le peuple de Dieu à la personne de leur Rédempteur. Il s’agissait d’autant plus nécessaire compte tenu du fait que la réalisation a pris une forme dont beaucoup ne s’attendait pas, et qui apparemment ne correspondait pas avec la promesse.
a. dans les Évangiles. La demande de la foi en Jésus en tant que Rédempteur, promis et qu’on espère, est apparue comme quelque chose de typique de la nouvelle ère. « À croire » destiné à devenir un chrétien. Cette demande semble créer un fossé entre la dispensation ancienne et le nouveau. Le début de ce dernier est même appelé « la venue de la foi, » gal 03:23, 25. C’est la chose caractéristique des évangiles que dans leur que Jésus est lui-même offrant constamment que l’objet de la foi et que dans le cadre de la plus haute porte de l’âme. L’Évangile de Jean insiste sur les aspects les plus élevés de cette foi plus que les synoptiques.
b. dans les actes. Dans les actes des apôtres, foi est nécessaire dans le même sens général. Par la prédication des apôtres, les hommes sont amenés à l’obéissance de la foi au Christ; et cette foi devient le principe formative de la nouvelle communauté. Différentes tendances développé dans l’église et a donné naissance à différents modes de traitant de la foi qui est apparu dans les écrits du Nouveau Testament.
c. dans l’épître de Jacques. James avait réprimandé la tendance juive de concevoir la foi qui a été bien agréable à Dieu comme une simple intellectuelle avis conforme à la vérité, une foi qui n’ont pas donné les fruits appropriés. Son idée de la foi qui justifie ne diffère pas de celui de Paul, mais il insiste sur le fait que cette foi doit se manifester dans les bonnes œuvres. Si ce n’est pas, c’est une foi morte et est, en fait, inexistant.
d. dans les épîtres de Paul. Paul a dû composer notamment avec le légalisme ancré de la pensée juive. Le juif s’est vanté de la justice de la Loi. Par conséquent, l’Apôtre devait faire valoir la place de la foi comme le seul instrument de Salut. Ce faisant, il naturellement insistait beaucoup sur Christ comme l’objet de la foi, puisque c’est de cet objet uniquement que la foi tire son efficacité. Foi justifie et sauve seulement parce qu’il fixe sur Jésus Christ.
e. dans l’épître aux Hébreux. L’auteur d’Hébreux également considère le Christ comme l’objet véritable de sauver la foi et apprend qu’il n’y a aucun droit-eousness sauf par la foi, 10:38; 11:7. mais le danger contre lequel l’auteur de cette lettre a la garde n’était pas celle de tomber de la foi dans les œuvres, mais plutôt que de tomber de la foi dans le désespoir. Il parle de la foi comme « l’assurance des choses qu’on espère, la conviction des choses ne pas vu, » 11:1. Il exhorte les lecteurs à une attitude de foi, qui leur permettront d’augmenter du visible à l’invisible, du présent vers l’avenir, du temporel à l’Éternel, et qui leur permettront d’être patient au milieu de souffrances.
f. dans les épîtres de Pierre. Peter a également écrit aux lecteurs que risquaient de se décourager, mais ne pas de retomber dans le judaïsme. Les circonstances dans lesquelles ils se sont retrouvent l’incita à mettre un accent particulier sur la relation entre la foi au Salut consommée, afin d’accélérer dans leur cœur l’espoir qu’elles subiraient dans leurs essais présents, l’espoir d’une invisible et gloire éternelle. La Deuxième épître souligne l’importance de la connaissance de la foi comme une protection contre les erreurs qui prévaut.
g. dans les écrits de Jean. Jean a dû composer avec un Gnosticisme naissant, qui faussement souligne connaissance (Gnose) et méprisé la foi simple. Le premier était censé pour transporter avec elle une bien plus grande béatitude que celui-ci. C’est pourquoi John rend un point pour magnifier les bénédictions de la foi. Il insiste sur le fait, non pas tant sur la certitude et la gloire de l’héritage futur qui foi sécurise, comme sur la plénitude de la jouissance actuelle du Salut qui il apporte. La foi embrasse la connaissance comme une condamnation ferme et rend les croyants à la fois les possesseurs de la nouvelle vie et de salut éternel. Pendant ce temps John ne néglige pas le fait qu’il tend également la main vers l’avenir.
E. LA FOI EN GÉNÉRAL.
Le mot « foi » n’est pas exclusivement un terme religieux et théologique. Il est souvent utilisé dans un sens général et non religieux et malgré cela a une connotation plus d’un. Les utilisations suivantes du terme méritent une attention particulière. Il peut désigner:
1. LA FOI COMME N'ÉTANT PLUS QU’UNE SIMPLE OPINION. Le mot « foi » est parfois utilisé dans un sens plutôt lâche et populaire, pour désigner une persuasion de la vérité qui est plus fort que la simple opinion et encore plus faible que la connaissance. Locke même définit la foi comme « l’assentiment de l’esprit aux propositions qui sont sans doute, mais pas certainement, vrai. » En langage populaire, on dit souvent de ce dont nous ne sommes pas absolument certains, mais qui nous en même temps se sentent contraints de reconnaître comme vrai: « je crois que, mais je ne suis pas sûr de lui. » Par conséquent, certains philosophes ont trouvé le caractère distinctif de la foi dans le moindre degré de certitude qui il donne — Locke, Hume, Kant et autres.
2. LA FOI COMME CERTITUDE IMMÉDIATE. Dans le cadre de la science, foi est souvent parlé de comme certitude immédiate . Il y a une certitude que l’homme obtient au moyen de la perception, l’expérience et déduction logique, mais il y a aussi une certitude intuitive. Il y a dans chaque science axiomes qui ne peuvent être démontrées et intuitives des convictions qui ne sont pas acquises par la perception ou de la déduction logique. Dr. Bavinck dit « Het gebied der onmiddelijke zekerheid veel grooter dan dat der demonstratieve, en deze laatste est altijd weer op de eerste gebouwd, fr staat fr valt met deze. Ook est deze intuitieve zekerheid niet minder maar grooter dan die, welke langs den weg van waarneming fr logische demonstratie verkregen wordt. » La sphère de sécurité immédiate est supérieure à celle de sécurité démonstrative. Dans les deux cas maintenant foi mentionné est considéré exclusivement comme une activité de l’intellect. La foi comme faculté intellectuelle est une fausse foi, une présomption. Elle est commune parmi les sectes évangéliques modernes. La vraie foi ou «foi authentique» est celle de Christ qu'il transmet à ses élus dans les mérites de son sacrifice sur la croix qui leurs sont attribués gratuitement et sans condition. Les attributions de Christ sont essentielles pour le salut des individuels. Les élus la reçoivent comme l'assurance certaine et inébranlable dans le sacrifice de Christ en leur faveur, ce qui les poussent à mettre leur confiance en Christ pour toutes choses dans leur vie. Cette foi ou assurance provient du bon plaisir de Dieu dans sa Souveraineté absolue d'après son décret éternel d'élection. Dans ce sens réel, la foi est le don même de la grâce souveraine, elle est l'offrande de Dieu en Christ pour ceux qui sont destinés à la vie éternelle (Actes 13:48).
3. LA FOI COMME UNE CONDAMNATION FONDÉE SUR LE TÉMOIGNAGE ET DE LA CONFIANCE Y COMPRIS. En commun langage la parole « foi » est souvent utilisé pour désigner la conviction que le témoignage d’un autre vrai, et que ce qu’il promet se fera; une déclaration de culpabilité fondée uniquement sur sa véracité reconnue et la fidélité. C’est vraiment une croyant de l’acceptation de ce que l’autre dit, sur la base de la confiance qu’il inspire. Et cette foi, cette conviction basée sur la confiance, conduit souvent à une confiance supplémentaire: faire confiance à un ami en cas de besoin, dans la capacité d’un médecin de donner de l’aide en cas de maladie et dans celui d’un pilote pour guider le navire dans le port , et ainsi de suite. Dans ce cas, la foi est plus qu’une simple question de l’intellect. La volonté est mises en jeu, et l’élément de confiance vient au premier plan.
F. LA FOI AU SENS RELIGIEUX ET SURTOUT LA FOI QUI SAUVE.
Les caractéristiques distinctives de la foi dans le sens théologique n’ont pas toujours été mentionnés de la même manière. Cela deviendra évident, si l'on considère le concept, les éléments, l’objet et le motif de la foi.
1. LE CONCEPT DE LA FOI: QUATRE SORTES DE FOI SE DISTINGUENT. Comme un phénomène psychologique foi au sens religieux ne diffère pas de la foi en général. Si la foi est en général une persuasion de la vérité fondée sur le témoignage de l’un en qui nous avons confiance et sur qui nous comptons et repose donc sur l’autorité, la foi chrétienne au sens plus complet est de persuasion de l’homme de la vérité de l’écriture sur la base de la th autorité de e de Dieu. La Bible ne parle pas toujours de la foi religieuse dans le même sens, et cela a donné lieu à des distinctions suivantes en théologie.
a. la foi historique. Il s’agit d’une crainte purement intellectuelle de la vérité, sans n’importe quel objet morale ou spirituelle. Le nom ne signifie pas qu’il embrasse seulement les faits historiques et les événements à l’exclusion des vérités morales et spirituelles; ni qu’il repose sur le témoignage de l’histoire, car elle peut avoir de référence aux faits contemporains ou événements, Jean 3:2. Il exprime plutôt l’idée que cette foi accepte les vérités de l’Ecriture que l'on pourrait accepter une histoire dans laquelle on s’intéresse pas personnellement. Cette foi peut être le résultat de la tradition, de l’éducation, de l’opinion publique, d’un aperçu de la grandeur morale de l’écriture et ainsi de suite, accompagné des activités générales de l’Esprit Saint. Il peut être très orthodoxe et scripturaire, mais n’est pas enracinée dans le cœur, Matthieu 07:26; Actes Matthieu 26: 27, 28; Jacques 02:19. C’est une foi humanaet pas un fides divina.
b. la foi miraculeuse. La soi-disant foi miraculeuse est une persuasion forgée dans l’esprit d’une personne qu’un miracle sera interprété par lui ou en son nom. Dieu peut donner à une personne un travail à faire qui transcende ses pouvoirs naturels et lui permettre de le faire. Chaque tentative d’exécution d’un travail de ce genre nécessite la foi. C’est très clair dans le cas où l’homme apparaît comme l’instrument de Dieu, ou comme celui qui annonce que Dieu va travailler un miracle, pour un tel homme doit avoir pleine confiance que Dieu ne lui mettra pas à la honte. En dernière analyse Dieu seulement fait des miracles, mais il peut le faire au moyen de humaine. Il s’agit de foi des miracles dans le sens actif, Matthieu 17:20; Marc 16:17, 18. Il n’est pas nécessairement, mais peut être, accompagné de sauver la foi. La foi des miracles peut-être être aussi passive, à savoir, la persuasion que Dieu va fonctionner un miracle en son nom. Il, aussi, peut ou ne peut pas être complété avec l’enregistrement de foi, Matthieu 08:10-13; John 11:22 (versets de comp. 25-27); 11:40; Actes 14:9. La question se pose souvent, si une telle foi a une place légitime dans la vie de l’homme d’aujourd'hui. Catholiques romains répondre à cette question par l’affirmative, tandis que les Protestants sont enclins à donner une réponse négative. Ils font remarquer qu’il n’y a aucune base biblique pour une telle foi, mais ne nie pas que les miracles peuvent encore se produire. Dieu est tout à fait souveraine également à cet égard, et la parole de Dieu nous amène à attendre un autre cycle de miracles dans l’avenir.
c. la foi temporelle. Il s’agit d’une persuasion des vérités de la religion qui est accompagné de quelques incitations de la conscience et une agitation de l’affection, mais n’est pas enracinée dans un coeur régénéré. Le nom est dérivé de Matthieu 13:20, 21. On l’appelle une foi temporaire, parce qu’il n’est pas permanente et ne parvient pas à se maintenir dans les jours de procès et de persécution. Cela ne veut pas dire qu’il ne peut pas durer aussi longtemps que dure la vie. Il est fort possible que seulement à la mort, elle périra, mais ensuite il cesse sûrement. Cette foi est parfois appelée une foi hypocrite, mais ce n’est pas tout à fait exact, car il n’implique pas nécessairement une hypocrisie consciente. Ceux qui possèdent cette foi habituellement croient qu’ils ont la vraie foi. Il pourrait mieux être appelé une foi imaginaire, apparemment authentique, mais évanescent en caractère. Elle diffère de la foi historique dans l’intérêt personnel, il montre dans la vérité et dans la réaction des sentiments qu’elle. Beaucoup de Difficulté peut être vécu en tentant de le distinguer du vrai enregistrement de foi. Christ dit de celui qui croit: « Il n’a aucune racine en lui-même, » Matthieu 13:21. C’est une foi qui ne vient pas de la racine, implantée dans la régénération et par conséquent n’est pas une expression de la vie nouvelle qui est incorporée dans les profondeurs de l’âme. En général on peut dire que temporelle foi repose sur la vie affective et cherche la jouissance personnelle plutôt que la gloire de Dieu.
d. l'enregistrement de la vraie foi. Vrai enregistrement de foi est une foi qui a son siège dans le cœur et s’enracine dans la vie de régénérer. Une distinction est souvent faite entre l' habitus et les actus de la foi. Arrière de deux d'entre eux, toutefois, réside le sperme fidei. Cette foi n’est pas d’abord une activité de l’homme, mais une potentialité forgé par Dieu dans le cœur du pécheur. La semence de la foi est implantée chez l’homme dans la régénération. Certains théologiens parlent de cela comme l' habitus de la foi, mais d’autres l’appellent plus correctement le sperme fidei. C’est seulement après que Dieu a implanté la semence de la foi dans le cœur que l’homme puisse exercer la foi. C’est apparemment ce que Barth a à l’esprit également, lorsqu’il a, dans son désir d’insister sur le fait que le salut est exclusivement une œuvre de Dieu, dit que Dieu plutôt que l’homme fait l’objet de la foi. L’exercice conscient de la foi forme progressivement un habitus, et il acquiert une importance fondamentale et déterminante pour l’exercice plu de foi. Quand la Bible parle de la foi, il désigne généralement foi comme une activité de l’homme, bien que née de le œuvre du Saint-Esprit. Sauver la foi peut être définie comme une certaine conviction, forgé au cœur par le Saint-Esprit, quant à la vérité de l’Évangile, et une dépendance copieuse (confiance) sur les promesses de Dieu dans le Christ. En dernière analyse, il est vrai, le Christ est l’objet de sauver la foi, mais il nous est offerte seulement dans l’Évangile.
2. LES ÉLÉMENTS DE LA FOI. En parlant des différents éléments de la foi nous ne devons pas perdre de vue le fait que la foi est une activité de l’homme dans son ensemble et non d’une partie quelconque de l’homme. Or une telle position est en opposition avec la vérité révélée dans les Saintes-Écritures. La foi de l'homme est seulement une opinion fondée sur des indices, des apparences, des commencements de preuves, c'est à dire qu'elle est basée sur des suppositions ou propositions que l'on considère comme vraie afin d'en tirer quelque conséquence ou déduction hypothétique pour apaiser l'âme troublée, une fiction servant de base à un faux raisonnement, à une argumentation qui n'a aucune vérité, stabilité ou assurance, et n'est qu'une contrefaçon. Par ailleurs, l’âme fonctionne dans la foi par ses facultés ordinaires et non par une faculté spéciale. C’est un exercice de l’âme qui a ceci en commun avec les exercices toutes semblables, qu’il paraît simple et pourtant sur un examen plus approfondi s’avère complexe. Et c’est pourquoi, afin d’obtenir une conception correcte de la foi, il est nécessaire de distinguer entre les différents éléments dont il est composé.
a. un élément intellectuel (notitia). Il y a un élément de connaissance dans la foi, dans le cadre de laquelle les points suivants sont à considérer:
(1) le caractère de cette connaissance. La connaissance de la foi consiste en une reconnaissance positive de la vérité, dans lequel l’homme accepte comme vrai tout ce que Dieu dit dans sa parole et surtout ce qu’il dit concernant la dépravation profonde de l’homme et de la rédemption qui est en Jésus-Christ. Par rapport à Rome la position doit être maintenue que cette certitude appartienne à l’essence de la foi; et à l’encontre de ces théologiens comme Sandeman, Wardlaw, Alexander, Chalmers et d’autres, qu’une simple acceptation intellectuelle de la vérité n’est pas la totalité de la foi. D’une part, il serait une surestimation de la connaissance de la foi, si elle était considérée comme une compréhension complète des objets de la foi. Mais en revanche il serait également une sous estimation de celui-ci, si il était considéré comme un simple avis de prendre des choses cru, sans la conviction qu’elles sont vraies. Certains libéraux modernes prendre ce point de vue et en conséquence vous parler de la foi comme une entreprise. C’est un regard spirituel sur les vérités de la religion chrétienne qui a trouvé la réponse dans le cœur du pécheur.
(2) la certitude de ce savoir. Il ne faut pas considérer la connaissance de la foi comme certains moins que d’autres connaissances. Notre Catéchisme de Heidelberg nous assure que vraie foi est entre autres également « une certaine (bien sûr, incontestable) connaissance. » Ceci est en harmonie avec les Hébreux 11:1, qui parle de lui comme « l’assurance des choses qu’on espère, une déclaration de culpabilité des choses ne pas vu » cela rend les choses futures et invisibles subjectivement réelle et certaine pour le croyant. La connaissance de la foi est médiée pour et communiquée à, nous, par le témoignage de Dieu dans sa parole et est accepté par nous comme certain et fiable sur la base de la véracité de Dieu. La certitude de ce savoir a son mandat en Dieu lui-même, et par conséquent rien ne peut être plus sûr. Et c’est tout à fait essentiel que cela soit ainsi, pour la foi se préoccupe des choses spirituelles et éternelles, dans lequel la certitude est nécessaire, si n’importe où. Il doit y avoir certitude quant à la réalité de l’objet de la foi; Si il n’existe pas, la foi est vaine. Machen déplore le fait que beaucoup perdent de vue ce fait de nos jours. Il dit: « le problème entier est que foi est considéré comme une qualité bienfaisante de l’âme turbosoufflante la réalité ou l’irréalité de son objet; et au moment où la foi vient à prendre en considération de cette façon, en ce moment elle est détruite. »
(3) la mesure de cette connaissance. Il est impossible de déterminer avec précision à quel point la connaissance est absolument nécessaire pour sauver la foi. Si sauver la foi est l’acceptation de Christ tel qu’il est offert dans l’Evangile, la question se pose naturellement, combien de l’Évangile doit un homme sait, pour être sauvés ? Ou, pour le dire dans les mots du Dr. Machen: « quoi, pour dire les choses carrément, sont les exigences minimales doctrinales, afin qu’un homme peut être un chrétien ? » En général on peut dire qu’elle doit être suffisante pour donner une certaine idée de l’objet de la foi du croyant. Tout à fait vrai enregistrement de foi doit contenir au moins un minimum de connaissances, pas tellement de la révélation divine en général que le médiateur et ses opérations gracieuses. La connaissance plus réelle on a des vérités de la rédemption, la plus riche et plus complète sa foi sera, si toutes les autres choses sont égales. Naturellement, celui qui accepte le Christ par une foi véritable, sera également prête et disposée à accepter le témoignage de Dieu dans son ensemble. C’est de la plus haute importance, surtout de nos jours, que les églises devraient veiller à ce que leurs membres ont une assez bonne et pas simplement un flou, compréhension de la vérité. En particulier en cette ère de pragmatisme, ils devraient être beaucoup plus diligents qu’ils sont dans l’endoctrinement de leur jeunesse.
b. un élément émotionnel (assensus). Barth attire l’attention sur le fait que le temps où l’homme accepte que Christ par la foi est le moment existentiel de sa vie, dans laquelle il cesse de considérer l’objet de la foi d’une manière désintéressée et commence à ressentir un vif intérêt pour elle. Il n’est pas nécessaire d’arrêter la construction particulière de Barth de la doctrine de la foi, pour admettre la vérité de ce qu’il dit sur ce point. Quand on embrasse le Christ par la foi, il a une conviction profonde de la vérité et la réalité de l’objet de la foi, se sent qu’il répond à un besoin important dans sa vie et qu’il est conscient de l’absorbant concernés par cette question, — et il s’agit de la sanction. Il est très difficile de distinguer cette sanction de la connaissance de la foi, de décrire, car, comme nous l’avons vu, c’est exactement le caractère distinctif de la connaissance de sauver la foi, qu’il porte en lui une conviction de la vérité et la réalité de son objet. C’est pourquoi certains théologiens ont montré une tendance à limiter les connaissances de la foi à une simple prise de connaissance de l’objet de la foi; (1), mais ceci est contraire à l’expérience, car dans la vraie foi, il n’y a pas de connaissances qui ne comprend pas une condamnation copieuse de la vérité et la réalité de son objet et un intérêt dans celui-ci; et (2) cela ferait la connaissance en sauvant la foi identique à celle qui se trouve dans une foi purement historique, alors que la différence entre foi historique et de l’enregistrement se trouve dans la partie exactement à ce stade. Parce qu’il est si difficile de faire une distinction claire, certains théologiens préfèrent parler de seulement deux éléments pour sauver la foi, à savoir, connaissances et la confiance personnelle. Ce sont les deux éléments mentionnés dans le Catéchisme de Heidelberg, quand il dit que vraie foi « n’est pas seulement une connaissance certaine par lequel je tiens pour vrai tout ce que Dieu a révélé à nous dans sa parole, mais aussi une fiducie copieuse qui le Saint-Esprit travaille en moi par l’Évangile. » Il mérite sans doute la préférence de considérer la connaissance et de consentir simplement comme deux aspects d’un même élément de foi. Connaissance peut alors considérée comme sa plus passive et réceptive côté et la sanction comme son côté plus active et transitive.
c. un élément volitif (fiducia). Il s’agit de l’élément de couronnement de la foi. La foi n’est pas simplement une question de l’intellect, ni de l’intellect et les émotions combinées; Il s’agit également de la volonté, la détermination de la direction de l’âme, un acte de l’âme sortir vers son objet et de s’approprier ce. Sans cette activité a besoin de l’objet de la foi, qui le pécheur reconnaît comme vrai et réel et tout à fait applicable à son présent, reste en dehors de lui. Et pour sauver la foi, c’est une question de vie ou de mort que l’objet s’approprier. Ce troisième élément consiste en une fiducie personnelle en Christ comme leur Sauveur et Seigneur, y compris une cession de l’âme comme coupable et souillés à Christ et une réception et d’appropriation du Christ comme source de pardon et de la vie spirituelle. Prenant tous ces éléments en considération, il est évident que le siège de la foi ne peut pas être placé dans l’intellect, ni dans les sentiments, ni dans la volonté exclusivement, mais seulement dans le cœur, spirituelle de l’organe central de l’homme étant, où sont les problèmes de la vie . En réponse à la question si cette fiducia (fiducie) comprend nécessairement un élément d’assurance personnelle, on peut affirmer, à l’encontre des catholiques romains et les arminiens, que c’est sans doute le cas. Naturellement, il porte en lui un certain sentiment de sécurité et de la sécurité, de gratitude et de joie. La foi, qui est en soi certitude, tend à éveiller un sentiment de sécurité et un sentiment d’assurance dans l’âme. Dans la majorité des cas il s’agit dans un premier temps plus implicite et pénètre difficilement dans la sphère de la pensée consciente; C’est quelque chose de vaguement senti plutôt que clairement perçu. Mais dans la mesure où foi grandit et accroître les activités de la foi, la conscience de la sécurité et de la sécurité à laquelle il apporte aussi devient plus grande. Même ce que les théologiens généralement appellent « refuge-cherche confiance » (toevluchtnemend vertrouwen) donne à l’âme une certaine sécurité. C’est tout à fait différente de la position de Barth, qui insiste sur le fait que la foi est un acte sans cesse répété, est toujours à nouveau un acte de désespoir et un saut dans l’inconnu et ne devienne jamais une possession continue de l’homme; et qui exclut donc la possibilité de toute assurance subjective de la foi.
3. L’OBJET DE LA FOI. Spécifions, dès le début, que Christ est lui-même la source et l'objet de la foi. En donnant une réponse à la question de savoir quel est l’objet de véritable économie de foi, nous allons devoir parler avec discernement, car il est possible de parler de cette foi en général et dans un sens spécial. Il y a:
a. une generalis de fides. Par ceci on entend sauver la foi dans le sens plus général du terme. Son objet est la révélation divine ensemble tel qu’il figure dans la parole de Dieu. Tout ce qui est explicitement enseigné dans l’écriture ou peut être déduite de l’il par inférence bon et nécessaire, appartient à l’objet de la foi dans ce sens général. Selon l’Eglise de Rome, il revient donc à ses membres de croire que ce soit l' Ecclésia docens déclare pour être une partie de la révélation de Dieu, et cela inclut la soi-disant tradition apostolique. Il est vrai que l’église « enseignement » ne revendique pas le droit de faire de nouveaux articles de foi, mais il ne revendique pas le droit de déterminer péremptoirement ce qu’enseigne la Bible et ce qui, selon la tradition, appartient aux enseignements du Christ et ses apôtres. Et cela donne beaucoup de latitude.
b. une specialis fides. Cela permet d’économiser foi en ce sens plus restreint du mot. Alors que de la vraie foi en la Bible comme la parole de Dieu est absolument nécessaire, ce n’est pas encore l’acte spécifique de foi qui justifie et sauve donc directement. Il doit et aussi fait cause une foi plus spéciale. Il y a certaines doctrines concernant le Christ et son travail et certaines promesses faites en lui aux hommes pécheurs, qui doit recevoir le pécheur et qui doit conduire à mettre sa confiance dans le Christ. L’objet de la foi spéciale, est Jésus Christ et la promesse du Salut à travers lui. La loi spéciale de la foi consiste à recevoir le Christ et se reposer sur lui tel qu’il est présenté dans l’Évangile, Jean 03:15, 16, 18; 6:40. à proprement parler, il n’est pas l’acte de foi en tant que tel, mais plutôt ce qui est reçu par la foi, ce qui justifie et sauve donc le pécheur.
4. LE MOTIF DE LA FOI. Le sol ultime sur laquelle repose le foi, réside dans la véracité et la fidélité de Dieu, en rapport avec les promesses de l’Évangile. Mais parce que nous n’avons pas connaissance de cela en dehors de la parole de Dieu, cela peut être aussi et souvent est, appelé le sol ultime de la foi. À la différence de la première classe, cependant, il pourrait être appelé le terrain immédiat. Les moyens par lesquels nous reconnaissons la révélation incarnée dans l’écriture comme la parole de Dieu est, en dernière analyse, le témoignage de l’Esprit Saint, I Jean 5:7 (Version mod Rev.): « Et c’est l’esprit qui rend témoignage, parce que l’esprit est la vérité. » Voir aussi romains 04:20, 21; 08:16; EP 01:13; J’ai John 04:13; 5:10. trouver des catholiques romains au sol ultime de la foi dans l’église; Rationalistes reconnaissent seulement raison comme telle; Schleiermacher, il cherche dans l’expérience chrétienne; et Kant, Ritschl et beaucoup de libéraux modernes Placez-le dans les besoins moraux de la nature humaine.
G. LA FOI ET L'ASSURANCE.
Se pose ici la question très importante, à savoir, si assurance appartient à l’essence de la foi, ou quelque chose supplémentaire qui n’est pas inclus dans la foi. Parce que l’expression « assurance de la foi » n’est pas toujours utilisée dans le même sens, il est nécessaire d’établir une distinction avec soin. Il y a une double assurance, à savoir, (1) l’assurance objective de la foi, qui est « la certitude et conviction on que Christ est tout ce qu’il veut, et fera toutes les promesses qu’il. » Il est généralement admis que cette assurance est de l’essence de la foi. (2) l’assurance subjective de la foi, ou l’assurance de la grâce et du Salut, qui consiste en un sentiment de sécurité et de la sécurité, en hausse dans de nombreux cas à la hauteur d’une « conviction assurée que le croyant a eu ses péchés pardonnés et son âme sauvée ». Quant à la relation de cette assurance à l’essence même d’opinions foi diffèrent.
1. l’église catholique romaine rejette, non seulement cette assurance personnelle appartient à l’essence de la foi, mais encore qu’il s’agit un actus reflexus ou les fruits de la foi. Il enseigne que les croyants ne peut pas être certain de leur Salut, sauf dans les rares cas où assurance est donnée par la révélation spéciale. Il s’agit d’une conséquence naturelle de la semi pélagianisme et du système confessionnel de Rome. Les arminiens précoces, qui a partagé la position Semi-pélagienne de Rome, a pris position très similaire. Leur point de vue a été condamnée par le Synode de Dordrecht.
2. les réformateurs ont réagi contre la position boiteuse et pernicieuse de l’église de Rome. Dans leur protestation ils parfois souligné assurance unilatéralement comme l’élément le plus important de la foi. Ils parlaient parfois comme si celui qui n’a pas l’assurance du Salut, la conviction positive que ses péchés sont pardonnés, ne possédait pas la vraie foi. La fiducia de foi était parfois représenté par eux comme la confiance assurée du pécheur que tous ses péchés sont pardonnés pour l’amour de Christ. Pourtant, il est tout à fait évident de leurs écrits, (a) qu’ils ne signifient pas enseigner que ce fiducia n’incluait pas les autres éléments; et (b) qu’ils n’entendaient pas nier que les vrais enfants de Dieu doivent lutter fréquemment avec toutes sortes de doutes et d’incertitudes.
3. les normes de confessionnels réformées varient quelque peu. Le Catéchisme de Heidelberg, enseigne également en réaction à Rome, qui consiste en la fiducia de foi dans l’assurance du pardon des péchés. Il se place entièrement sur le point de vue des réformateurs et conçoit de l’assurance du Salut comme appartenant à l’essence de la foi. Les Canons de Dordrecht font valoir que cette assurance dans les élus n’est pas le fruit d’une révélation spéciale, mais les sources de la foi aux promesses de Dieu, d’après le témoignage de l’Esprit Saint et de l’exercice d’une bonne conscience et l’accomplissement des bonnes œuvres et est appréciée selon la mesure de la foi. Certes, cela implique qu’il appartient dans une certaine mesure à l’essence de la foi. Il est explicitement indiqué, toutefois, que les croyants ont souvent se battre avec des doutes charnelles, afin qu’ils ne soient pas toujours judicieux de l’assurance de la foi. La Confession de Westminster, en parlant de la plénitude de la foi, affirme que cela n’appartient-elle pas tellement à l’essence de la foi qu’un vrai croyant n’aient pas à attendre longtemps. Cela a donné une occasion de théologiens presbytérien de nier que l’assurance personnelle appartienne à l’essence de la foi. Encore la Confession ne dit pas cela, et il y a des raisons de penser qu’il n’entendait pas d’enseigner cela. Le Marrowmen en Écosse a certainement donné une interprétation différente de sa position.
4. après la période confessionnelle, il y a plusieurs départs à partir de cette position.
a. Antinomiens considéré cette assurance l’ensemble de l’essence de la foi. Ils ont ignoré toutes les autres activités de la foi et considéré foi simplement comme une acceptation intellectuelle de la proposition: tes péchés te sont pardonnés. De Labadie (théologien néerlandais) personne reconnue en tant que membre de l’église qui n’était pas pleinement assurée.
b. d’autre part un piétiste Nomism a affirmé qu’assurance n’appartient-elle pas à l’être même, mais seulement pour le bien-être de la foi; et qu’il peut être fixé, sauf par une révélation spéciale, uniquement par introspection continue et consciencieuse. Toutes sortes de « marques de la vie spirituelle, » découle pas de l’écriture mais de la vie des chrétiens approuvées, est devenu la norme de l’auto-examen. Le résultat s’est avéré, toutefois, que cette méthode était pas calculée pour produire l’assurance, mais plutôt tendance à mener à plus aucun doute, confusion et incertitude.
c. les méthodistes visent à une conversion méthodique qui transporte une certitude immédiate avec elle. Ils placent hommes devant la Loi, les faire voir leur nature pécheresse totale et la culpabilité terrible et leur faire peur avec les terreurs du Seigneur. Et après que qu’ils ont amenés ainsi sous l’influence terrifiante de la Loi, ils ont à la fois leur présenter l’Évangile complet et gratuit de rédemption qui appelle simplement pour une prêt de l’acceptation de Christ comme leur Sauveur. En un seul instant les pécheurs sont transportés sur les vagues de l’émotion de la plus profonde tristesse dans la joie le plus élevée. Et ce changement soudain porte en lui une assurance immédiate de la rédemption. Celui qui croit, est aussi sûr qu’il est racheté. Cela ne signifie pas, cependant, qu’il est aussi certain de Salut ultime. Il s’agit d’une certitude auquel le méthodiste cohérent ne peut atteindre car il croit à une chute à l’extérieur des saints.
d. parmi les théologiens réformés, il y a une divergence d’opinion. De nombreux presbytériens nient que la foi elle-même inclut assurance; et dans les cercles réformés quelque part ce déni. Kuyper, Bavinck et Vos, cependant, correctement tenir que la vraie foi, comme notamment la confiance, porte en lui un sentiment de sécurité, qui peut varier en degré. Il y a aussi l’assurance de la foi, mais ce n’est le fruit de la réflexion. Il est possible de faire foi elle-même un objet de réflexion et donc à arriver à une assurance subjective qui n’appartient-elle pas à l’essence de la foi. Dans ce cas, nous concluons de ce que nous vivons dans notre propre vie à la présence de le œuvre de l’Esprit Saint en nous, cf. I Jean 2:9-11; 3:9, 10, 18, 19; 4:7, 20.
H. LA CONCEPTION DU CATHOLICISME ROMAIN SUR LA FOI.
Trois points méritent notre attention ici:
1. l’Eglise de Rome efface la distinction entre la foi historique et de l’enregistrement en enseignant que la foi consiste dans une simple sanction aux doctrines de l’église. Cette foi est l’un des sept préparations pour justification dans le baptême et donc nécessairement précède cela; mais comme une activité purement intellectuelle il naturellement ne conduit pas au salut. Un homme peut avoir le vrai, c'est-à-dire, la foi biblique et encore sont perdus. Jusqu'à présent l’Eglise de Rome s’applique son principe d’externalisation aussi à la foi.
2. il a également pratiquement supprimé l’élément de la connaissance de la foi. On peut considérer un vrai croyant, si on est mais prêt à croire ce qu’enseigne l’église, sans vraiment savoir ce que c’est. Une telle foi est appelée un fides implicita dans la distinction de fides explicita, qui comprend les connaissances. Par l’enseignement qu’il suffit de croire ce qu’enseigne l' Ecclésia docens , l’église catholique romaine a applique le principe du cléricalisme.
3. il n’y a encore un autre point qui caractérise la doctrine catholique de la foi, à savoir, la distinction entre une foi informis et un fides formata. La première est simple avis conforme à la doctrine de l’église, tandis que l’autre est une foi qui comprend l’amour comme principe formative et est parfaite dans l’amour. C’est la foi qui justifie vraiment.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Quelle a été la conception de la foi dans l’église primitive ? Vue d’Augustin diffère de celle des pères plus tôt ? Comment distinguer un fides informis un fides formata a‑t‑elle pris naissance ? Comment Luther et Calvin différaient quant à l’ordre de la foi et le repentir ? Les luthériens et les réformés d’accord quant à l’ordre de la foi et de la régénération ? Pourquoi est-il important de maintenir le bon ordre ? Comment a fait apparaître la distinction entre les actus et l' habitus de la foi, et pourquoi est-elle importante ? La proposition, « Je suis sauvé, » peut-être jamais l’objet de sauver la foi ? Quelle conception de la foi se trouve à Schleiermacher et Ritschl ? Pourquoi est-ce tout à fait approprié que le Salut devrait être subordonnée à la foi ? Comment l' excessive activisme de Barth n’affecte pas sa doctrine de la foi ? Que veut-il dire quand il dit que l’homme n’est jamais un croyant ou un chrétien, mais toujours un pécheur ? Comment expliquez-vous son refus que foi inclut assurance ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 83-127; Kuyper, Dict. dogme., De Salute, pp. 98-131; Ibid., Het Werk van den Heiligen Geest II, pp. 233-297; Vos, Geref. Dogme. IV., pp. 82-154; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 41-113; Shedd, dogme . THEOL. II, pp. 531-534; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., pp. 600-612; McPherson, Chr. dogme., p. 388-393; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Ch., p. 416-430; Valentine, Chr. Theol. II. p. 232 à 241; Caftan, dogme., pp. 656-681: Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 282-296: Pape, Chr. Theol. II, p. 376-385; Pictet, Theol., pp. 298-309; Inge, foi et sa psychologie; Machen, ce qui est la foi?; O ' Brian, la Nature et les effets de la foi; Moehler, symbolisme ou différences doctrinales; Bavinck, De Zekerheid des Geloofs; Berkhof, l’Assurance de la foi; Wernecke, «foi» dans le Nouveau Testament; Warfield, la Doctrine biblique de la foi (dans les Doctrines bibliques, VIII).
IX. Justification
A. LES TERMES MENTIONNÉS DANS LES ÉCRITURES POUR JUSTIFIER ET LEUR SIGNIFICATION.
1. TERME DE L’ANCIEN TESTAMENT. Le terme hébreu pour « pour justifier » est hitsdik, qui, dans la grande majorité des cas, signifie « déclarer judiciairement que l’État est en harmonie avec les exigences de la Loi, Exode 23:7; Deut. 25: 1; Prov. 17:15; Ésaïe 05:23. La piel tsiddek parfois a la même signification, Jérémie 03:11; Ézéchiel 16:50, 51. Le sens de ces mots est donc strictement légale ou juridique. Puisque les catholiques romains, des représentants de la théorie de l’influence morale de l’expiation comme John Young d’Édimbourg et Horace Bushnell et aussi les unitariens et théologiens libéraux modernes, nier le sens juridique du terme « pour justifier » et attribuer à elle le sens moral des « à faire juste ou juste », il devient important de prendre connaissance minutieuse des considérations qui peuvent être invités au profit de la signification juridique. Qu’il s’agit la dénotation correcte du mot s’affiche (une) des termes placés contrairement à elle, comme, par exemple « condamnation », Deut. 25: 1; Prov. 17:15; Ésaïe 05:23; (b) des termes corrélatifs placé en juxtaposition avec elle et qui implique souvent un processus d’arrêt, 18:25; PS. 143:2; (c) de l’expressions équivalentes qui sont parfois utilisées, Genèse 15:6; PS. 32: 1, 2; et (d) du fait qu’un passage comme Prov. 17:15 donnerait un sens impossible, si le mot signifiait « à faire juste ». Le sens serait alors: celui qui moralement améliore la vie des méchants est en abomination à l’Éternel. Il y a quelques passages, cependant, où le mot signifie plus que simplement « se déclarer juste, » à savoir, Ésaïe 53:11; Dan. 12:3. Mais même dans ce cas le sens n’est ne pas « de faire bonne ou Sainte », mais plutôt « de modifier la condition pour que l’homme peut être considéré comme juste ».
2. LES CONDITIONS DU NOUVEAU TESTAMENT ET LEURS UTILISATIONS. Ici, nous avons:
a. le verbe dikaio-o. Ce verbe signifie en général « pour déclarer une personne à être juste. Parfois, il se réfère à une déclaration personnelle que sa moralité est conforme à la Loi, Matthieu 12:37; Luke 07:29; Romains 3:4. Dans les épîtres de Paul, la signification sotériologique du terme est clairement à l’avant-plan. C’est « pour déclarer juridiquement que les exigences de la Loi comme condition de la vie sont entièrement satisfaits en ce qui concerne une personne, actes 13:39; Romains 5:1, 9; 08:30-33; I Corinthiens 06:11; GAL 02:16; 3:11. dans le cas de ce mot, tout comme dans celui de hitsdik, au sens judiciaire du terme est prouvé par les faits suivants: (a) dans bien des cas, il ne peut supporter aucun autre sens, Rom. 03:20-28; 4:5-7; 5:1; GAL 02:16; 03:11; 5:4; (b) il est placé en ce qui concerne antithétique « condamnation » en Rom. 08:33, 34; (c) expressions équivalentes et interchangeables transmettent une idée judiciaire ou juridique, John 03:18; 05:24; Romains 4:6, 7; II Corinthiens 05:19; et (d) si elle ne porte pas ce sens, il n’y a pas de distinction entre la justification et la sanctification.
b. le mot dikaios. Ce mot, connecté avec le verbe parler, est particulière en ce qu’elle exprime jamais ce qu’une chose est en soi, mais toujours ce qu’il est en relation avec quelque chose d’autre, à une norme quelconque en dehors de celle-ci, à laquelle il devait correspondre. À cet égard, elle diffère de l’agathos. En grec classique, par exemple, dikaios est appliqué à un wagon, un cheval ou autre chose pour indiquer qu’elle est adaptée à son utilisation prévue. Agathos exprime l’idée qu’une chose en soi répond à l’idéal. Dans l’écriture, qu'un homme s’appelle dikaios lorsque, dans le jugement de Dieu, sa relation à la Loi est ce qu’elle devrait être, ou lorsque sa vie est tel qu’il est requis par sa relation judiciaire à Dieu. Ceci peut inclure l’idée qu’il est bon, mais seulement d’un certain point de vue, à savoir, celle de sa relation judiciaire à Dieu.
c. le substantif dikaiosis ou justification. Cela se trouve à seulement deux endroits dans le Nouveau Testament, à savoir, Rom. 04:25; 5:18. il dénote les hommes déclarant la Loi de Dieu sans culpabilité et acceptables pour lui. L’état résultant est dénotée par le mot dikaiosune.
3. l’idée qui en résulte de la justification. Notre mot justification (depuis le Latin justificare, composé de justus et facereet donc ce qui signifie « faire juste »), tout comme la Hollande rechtvaardigmaking, est de nature à donner l’impression Cette justification indique un changement qui est provoqué chez l’homme, qui n’est pas le cas. Dans l’utilisation du terme anglais, le danger n’est pas si grand, parce qu’en général, les gens ne comprennent pas sa dérivation, et dans la langue de la Hollande, le danger peut être évité en employant les mots apparentés, rechtvaardigen et rechtvaardiging. « Pour justifier » au sens biblique du terme, est à l’effet d’une relation objective, l’état de la justice, par une condamnation judiciaire. Cela peut être fait dans une double manière: (a) en apportant en compte la condition subjective réelle d’une personne (pour justifier les justes ou les justes), Jas. 02:21; ou (b) en imputant à une personne, la justice de l’autre, c'est-à-dire de comptabilité lui justes même si il est intérieurement injuste. Ce dernier est le sens habituel de la justification dans le Nouveau Testament.
B. LA DOCTRINE DE LA JUSTIFICATION DANS L’HISTOIRE.
La doctrine de la justification par la foi n’était pas toujours bien comprise. En fait, il n’a pas trouvé son expression classique jusqu’aux jours de la réformation. Nous allons examiner brièvement:
1. LA DOCTRINE AVANT LA RÉFORME. Certains d'entre les premiers pères de l’église parlent déjà de la justification par la foi, mais il est évident qu’ils n’avaient pas une conception claire de celui-ci et de sa relation avec la foi. En outre, ils ne pas brusquement distinguent entre régénération et justification. Une représentation assez commune était que la régénération a lieu dans le baptême et inclut le pardon des péchés. Augustine même ne semble pas avoir eu une compréhension exacte de justification comme un acte juridique, par opposition à la moral processus de sanctification, mais il est assez évident de la teneur entière de ses enseignements et de déclarations distinctes, qu’il considéré la grâce de Dieu en la rédemption des pécheurs comme libre, souveraine et efficace et en aucune façon dépendante sur les mérites des hommes. La confusion de la justification et la sanctification a continué dans le moyen-âge et acquiert progressivement un aspect plus positif et doctrinal. Selon les enseignements dominants des scolastiques, la justification comprend deux éléments: les péchés de l’homme sont pardonnés, et lui fait juste ou juste. Il y avait une divergence d’opinions quant à l’ordre logique de ces deux éléments, une inversion de l’ordre vient de l’indiquer. Cela a été fait également par Thomas Aquinas, et son point de vue est devenue celle répandue dans l’église catholique romaine. Grace est infusé chez l’homme. auquel cas on lui fait juste et en partie sur la base de cette grâce, infusée, ses péchés sont pardonnés. Ce qui était déjà une approche de la doctrine mal du mérite, qui a été progressivement développé au moyen-âge dans le cadre de la doctrine de la justification. L’idée a trouvé faveur toujours plus que l’homme est en partie justifié sur la base de ses propres bonnes œuvres. La confusion de la justification et la sanctification a conduit également à des opinions divergentes sur un autre point. Certains des scolastiques parlent de justification comme un acte de Dieu instantanée, tandis que d’autres le décrivent comme un processus. Dans les Canons et décrets du Concile de trente, nous trouvons ce qui suit dans le Chap. XVI, Canon IX: « si quelqu'un dit, que par la foi seule l’impie est justifiée dans ces sages quant à signifier, que rien d’autre est tenu de coopérer en vue de l’obtention de la grâce de juste ification, et qu’il n’est pas en aucune façon nécessaire, qu’il être préparé et éliminé par le mouvement de sa propre volonté: qu’il soit anathème. » Et XXIV Canon parle d’une augmentation de justification et il conçoit donc comme un processus: « si quelqu'un dit, que la justice a reçu n’est pas conservée et devant Dieu a également augmentée grâce à bonnes œuvres; mais que les œuvres dudit sont simplement les fruits et signes de justification obtenue, mais pas une cause de l’augmentation de celle-ci: qu’il soit anathème. »
2. LA DOCTRINE APRÈS LA RÉFORME. La doctrine de la justification a été le grand principe important de la réforme. En ce qui concerne la nature de la justification, les réformateurs a corrigé l’erreur de justification avec la sanctification de la confusion en soulignant son caractère juridique et qui le représentent comme la grâce libre d’un acte de Dieu, par lequel il pardonne nos péchés et nous accepte comme justes à ses yeux, mais ne nous change ne pas intérieurement. Quant au motif de justification est, ils ont rejeté l’idée de Rome que cela se trouve, au moins en partie, en la justice inhérente de la régénérer et dans les bonnes œuvres, et remplacé par la doctrine qu’il se trouve que dans la justice imputée du le Rédempteur. Et en relation avec les moyens de justification, qu'ils ont souligné le fait que l’homme est justifié gratuitement par cette foi qui reçoit et repose dans le Christ pour le salut. En outre, ils a rejeté la théorie d’une justification progressive et a conclu que c’était complète et instantanée et n’étaient pas fonction pour sa réalisation sur certaine satisfaction supplémentaire pour le péché. Ils se sont opposés par les Sociniens, qui détenait que pécheurs obtiennent pardon et l’acceptation par Dieu, par le biais de sa miséricorde, en raison de leur repentir et de la réforme. Les arminiens ne pas tous d’accord sur le sujet, mais en général on peut dire qu’ils limitent la portée de la justification, afin d’y inclure seulement le pardon des péchés sur la base de l’obéissance passive du Christ et d’exclure l’adoption du pécheur en faveur de Dieu o sont à la base de la justice imputée de Jésus Christ. Le pécheur est expliquée juste que sur la base de sa foi ou sa vie d’obéissance. Les Neonomians en Angleterre étaient en général accord avec eux sur ce point. Pour Schleiermacher et Ritschl justification voulait dire guère plus que le pécheur devenir conscient de son erreur en pensant que Dieu était en colère contre lui. Et dans la théologie libérale moderne, nous rencontrons encore une fois avec l’idée que Dieu justifie le pécheur par l’amélioration morale de sa vie. Cette conception de celui-ci se trouve, par exemple, dans Sacrifice du fait d’autrui de Bushnell et dans la théologie comme une Science empirique de Macintosh.
C. LA NATURE ET LES CARACTÉRISTIQUES DE LA JUSTIFICATION. La Justification est un acte judiciaire de Dieu, dans laquelle il déclare, sur la base de la justice de Jésus-Christ, que toutes les revendications de la Loi sont satisfaits en ce qui concerne le pécheur. Il est unique dans l’application de le œuvre de rédemption, car il s’agit d’un acte judiciaire de Dieu, une déclaration concernant le pécheur et pas un acte ou le processus de renouvellement, comme la régénération, la conversion et sanctification. Alors qu’il a de respect pour le pécheur, il ne change pas sa vie intérieure. Elle n’affecte pas son état, mais son état, et à cet égard diffère de toutes les autres parties principales de l’ordre du Salut. Elle implique le pardon des péchés et la restauration de la faveur divine. L’arminienne détient qu’elle comprend uniquement le premier et non la dernière; mais la Bible enseigne clairement que le fruit de la justification est beaucoup plus que pardon. Ceux qui sont justifiés ont « la paix avec Dieu, » « assurance du Salut, » Rom. 5:1-10 et un « héritage parmi ceux qui sont sanctifiés, » actes 26: 18. Les points suivants de la différence entre la justification et la sanctification doivent être soigneusement notées:
1. justification efface la culpabilité du péché et restaure le pécheur à tous les droits filiaux impliqués dans son état comme un enfant de Dieu, y compris un héritage éternel. Sanctification supprime la pollution du péché et renouvelle le pécheur toujours plus conforme à l’image de Dieu.
2. justification a lieu en dehors du pécheur dans le tribunal de Dieu et ne change pas sa vie intérieure, même si la phrase est ramenée à lui subjectivement. Sanctification, en revanche, se déroule dans la vie intérieure de l’homme et affecte progressivement tout son être.
3. la justification se tient une fois pour toutes. Il n’est pas répété, il n’est pas un processus; Il est à la fois complet et pour tous les temps. Il n’y a aucune justification à plus ou moins; l’homme est soit pleinement justifié, ou il n’est pas du tout justifié. En comparaison avec elle de sanctification est un processus continu, qui n’est jamais terminé dans cette vie.
4. tout en la cause méritoire de deux réside dans les mérites du Christ, il y a une différence dans la cause efficiente. S’exprimant sur le plan économique, Dieu le père déclare les justes de pécheur et Dieu le Saint Esprit sanctifie lui.
D. LES ÉLÉMENTS DE JUSTIFICATION.
On distingue deux éléments dans la justification, l’une négative et l’autre positive.
1. l’élément négatif. Il y a d’abord un élément négatif dans la justification, à savoir la rémission des péchés sur le terrain de le œuvre rédemptrice de Jésus-Christ. Cet élément repose plus particulièrement, mais pas exclusivement, à l’obéissance passive du Sauveur. Calvin et certains des plus anciens théologiens réformés parfois parlent comme si c’était l’ensemble de la justification. C’est en partie à cause de la représentation de l’ancien Testament, dans lequel ce côté de la justification est décidément à l’avant-plan, Psaume 32: 1; Ésaïe 43: 25; 44:22; Jérémie 31: 34, et en partie à leur réaction contre Rome, qui n’a pas fait justice à l’élément de la grâce et le pardon gratuit. Défavorable à l’arminianisme, cependant, la théologie réformée a toujours maintenu que la justification est plus de pardon. Que le pardon des péchés est un élément important dans la justification est évidente, non seulement de l’ancien, mais aussi du Nouveau Testament, tel qu’il appert de ces passages que Romains 4:5-8; 05:18, 19; GAL 02:17.
La grâce accordée à la justification s’applique à tous les péchés, passé, présent et futur et implique donc la suppression de toute culpabilité et de toute peine. Cela découle du fait que justification n’admet pas de répétition, ainsi que de tels passages comme romains 05:21; 8:1, 32-34; Hébreux 10:14; PS. 103: 12; 44:22 d’Ésaïe, qui nous assurent que personne ne peut poser quoi que ce soit à la charge de l’homme justifié, qu’il est dispensé de condamnation et qu’il est constitué d’un héritier de la vie éternelle. Il est également impliqué dans la réponse à la question 60e de notre Catéchisme de Heidelberg. Cette conception de la justification, mais éminemment biblique, n’est pas dépourvue de difficulté. Croyants continuent à pécher après elles sont justifiées, Jac. 3:2; I Jean 1:8 et, comme exemples d’écritures montrent clairement, tombent souvent dans des péchés graves. Il n’est donc aucun étonnant que Barth aime à insister sur le fait que l’homme justifié reste un pécheur, bien qu’un pécheur justifié. Christ a enseigné à ses disciples de prier tous les jours pour le pardon des péchés, Matthieu 06:12 et la Bible, les saints sont souvent plaidant pour la réhabilitation et obtenir, PS. 32: 5; 51: 1-4; 130:3, 4. en conséquence, il n’est pas surprenant que certains estiment contraint de parler d’une justification répétée. L’église de Rome déduit des données auxquelles nous avons appelé l’attention que les croyants doivent en quelque sorte expier pour les péchés commis après le baptême et par conséquent aussi croit à une justification de plus en plus. Antinomiens, en revanche, désireux de rendre hommage à la grâce pardon illimitée de Dieu, soutiennent que les péchés des croyants ne sont pas comptabilisés comme tels à l’homme nouveau, mais seulement à l’ancienne, et qu’il est tout à fait inutile pour eux de prier pour le pardon des péchés. Par crainte de cette position antinomienne même certains théologiens réformés avaient des scrupules concernant l’enseignement que les futurs péchés des croyants sont aussi pardonnés dans la justification et parle d’une justification répétée ou même chaque jour. La position habituelle de la théologie réformée, cependant, est que Dieu élimine en effet la culpabilité, mais pas la culpabilité du péché comme justification, autrement dit, il supprime amenability juste du pécheur à la punition, mais pas la culpabilité inhérente de toutes péchés qu’il peut continuer à effectuer. Ce dernier reste et donc toujours produit dans les croyants un sentiment de culpabilité, de la séparation d'avec Dieu, de tristesse, de la repentance et ainsi de suite. C’est pourquoi ils ressentent le besoin de confesser leurs péchés, même les péchés de leur jeunesse, PS. 25: 7: 51:5-9. Le croyant qui est vraiment conscient de son péché sent en lui une envie à confesse et à chercher l’assurance réconfortante du pardon. En outre, cette confession et la prière est non seulement un besoin subjectivement ressenti, mais aussi une nécessité objective. Justification est essentiellement une déclaration objective concernant le pécheur dans le tribunal de Dieu, mais il n’est pas seulement cela; C’est aussi un actus transiens, passant dans la conscience du croyant. La sentence divine d’acquittement est ramenée au pécheur et éveille la conscience joyeuse du pardon des péchés et de la faveur avec Dieu. Maintenant, cette conscience de pardon et d’une relation renouvelée filiale est souvent perturbé et obscurcies par le péché et est encore une fois vivifiés et renforcé par la confession et la prière et par un exercice de renouvellement de la foi.
2. l'élément positif. Il est également un élément positif dans la justification qui repose plus particulièrement sur l’obéissance active du Christ. Naturellement, ceux qui, comme Piscator et les arminiens, refuser l’imputation de l’obéissance active du Christ pour le pécheur, nier ainsi également l’élément positif dans la justification. Selon leur justification laisse l’homme sans aucune prétention sur la vie éternelle, tout simplement lui met dans la position d’Adam avant la chute, bien que selon les arminiens en vertu d’une loi différente, la Loi de l’obéissance évangélique et laisse à l’homme pour l’acceptation du mérite avec Dieu et la vie éternelle par la foi et l’obéissance. Mais il est évident par les écritures que la justification est plus qu’une simple réhabilitation. À Josué, le souverain sacrificateur, qui se tenait, comme le représentant d’Israël, avec des vêtements sales devant l’Éternel, Jéhovah a dit: « Voici, j’ai fait ton iniquité passer de toi (élément négatif), et j’ai va te vêtir avec des vêtements de riches » (élément positif), Zach. 3:4. Selon actes 26: 18, on obtient par la foi « la rémission des péchés et un héritage parmi eux qui sont sanctifiés. » Romains 5:1, 2 nous apprend que la justification par la foi apporte non seulement la paix avec Dieu, mais aussi l’accès à Dieu et joie dans l’espérance de la gloire. Et selon Galates 4:5 Christ est né sous la loi aussi «que nous reçussions l’adoption des fils. » Cet élément positif on peuvent distinguer deux parties:
a. l’adoption d’enfants. Croyants sont d’abord de tous les enfants de Dieu par adoption. Ceci implique, bien sûr, qu’ils ne sont pas enfants de Dieu par nature, comme les libéraux moderne voudrait nous faire croire, pour l’un ne peut pas adopter bien de ses propres enfants. Cette adoption est un acte juridique, par lequel Dieu met le pécheur dans le statut de l’enfant, mais ne change pas lui intérieurement aucun plus de parents par la simple loi du changement de l’adoption de la vie intérieure d’un enfant adopté. Le changement qui est effectué concerne la relation dans laquelle l’homme s’élève vers Dieu. Grâce à leur adoption, les croyants sont comme elle ont été initiés dans la même famille de Dieu, relèvent de la Loi de l’obéissance filiale et en même temps avoir droit à tous les privilèges de la filiation. La filiation par adoption doit distinguer soigneusement de la filiation morale des croyants, leur filiation de régénération et de sanctification. Ils ne sont pas adoptées uniquement pour être enfants de Dieu, mais sont également nés de Dieu. Naturellement, ces deux ne peuvent pas être séparés. Ils sont mentionnés ensemble dans Jean 01:12; ROM. 8:15. 16; GAL 03:26, 27; 4:5, 6. in Rom. 08:15 le terme huiothesia (à partir de huios et tithenai) est utilisé, qui signifie littéralement « mise comme un fils » et en grec classique est toujours employé pour désigner un objectif dans le statut de l’enfant. Le verset suivant contient le mot tekna (à partir de tikto, « d’engendrer »), qui désigne les croyants comme ceux qui sont engendrés de Dieu. Dans Jean 01:12 l’idée d’adoption est exprimée par les mots: « Mais comme beaucoup comme le reçut, leur a donné il a le droit (exousian edoken) de devenir enfants de Dieu. » L’expression grecque utilisée ici signifie « donner droit légal ». Immédiatement après, dans le verset 13, l’écrivain parle de filiation éthique par régénération. La connexion entre les deux est clairement mises en évidence dans Galates 4:5, 6... « que nous reçussions l’adoption des fils. « Et parce que vous êtes des fils (par adoption), Dieu a envoyé l’esprit de son fils dans nos coeurs, criant: Abba, père ». Cet esprit se régénère et nous sanctifie et nous incite à adresse pleine de confiance de Dieu comme père.
b. le droit à la vie éternelle. Cet élément est virtuellement inclus dans celui qui précède. Lorsque les pécheurs sont adoptés comme un enfant de Dieu, ils sont investis de tous les droits légaux filiales et devient héritiers de Dieu et cohéritiers avec Christ, Rom. 08:17. Cela signifie avant tout qu’ils deviennent les héritiers de toutes les bénédictions du Salut dans la vie présente, le plus fondamental qui est décrit dans les mots, « la promesse de l’esprit, » c'est-à-dire, la bénédiction promise sous la forme de l’esprit, gal 03:14; et dans l’expression légèrement différente, « l’esprit de son fils, » Galates 4:6. Et dans et à l’esprit qu’ils reçoivent tous les dons du Christ. Mais ce n’est pas tous; leur héritage inclut également la bénédiction éternelle de la vie future. La gloire dont parle Paul dans Romains 08:17 suit après les souffrances du temps présent. Selon romains 08:23 la rédemption du corps, il appelé « l’adoption », appartient également à l’héritage futur. Et dans l' ordo salutis de Rom. 08:29, 30 glorification relie place immédiatement avec justification. Être justifiés par la foi, les croyants sont des héritiers de la vie éternelle.
E. LA SPHÈRE DANS LAQUELLE LA JUSTIFICATION SE PRODUIT.
La question de savoir la sphère dans laquelle la justification se produit, il faut répondre à une discrimination. Il est d’usage de distinguer entre un actif et un passif, aussi appelé un objectif et subjectif, justification, chacune ayant sa propre sphère.
1. JUSTIFICATION ACTIVE OU OBJECTIVE. Il s’agit de justification dans le sens le plus fondamental. Il est à la base de ce que l'on appelle justification subjective et consiste en une déclaration dans laquelle Dieu fait respecter le pécheur, et cette déclaration est faite dans le tribunal de Dieu. Cette déclaration n’est pas une déclaration dans laquelle Dieu simplement acquitte le pécheur, sans tenir compte des revendications de la justice, mais est plutôt une déclaration divine que, dans le cas du pécheur à l’examen, les exigences de la Loi sont remplies. Le pécheur est déclaré juste compte tenu du fait que la justice de Christ est imputée à lui. Dans le cadre de cette opération Dieu apparaît, non comme un souverain absolu qui définit simplement le droit d’annuler, mais comme un juste juge, qui reconnaît les mérites infinis du Christ comme une base suffisante pour la justification et comme un père bienveillant, qui librement pardonne et accepte le pécheur. Cette justification active précède logiquement la justification foi et passive. Nous croyons le pardon des péchés.
2. JUSTIFICATION PASSIVE OU SUBJECTIVE. Une justification passive ou subjective se déroule dans le coeur ou la conscience du pécheur. Une justification purement objective qui n’est pas rappelée au pécheur ne répondait pas, le but. L’octroi d’un pardon signifierait rien à un prisonnier, à moins que les bonnes nouvelles ont été communiqués à lui et les portes de la prison ont été ouverts. En outre, c’est exactement à ce stade que le pécheur apprend à comprendre mieux que nulle part ailleurs que le salut vient des grâce libre. Quand la Bible parle de la justification, il fait généralement référence à ce qu’on appelle aussi passive de justification. Il faut avoir à l’esprit, cependant, que les deux sont indissociables. L’un est basé sur l’autre. La distinction est simplement faite pour faciliter la bonne compréhension de l’acte de justification. Justification passive s’ensuit logiquement, foi; Nous sommes justifiés par la foi.
F. LE TEMPS DE LA JUSTIFICATION.
Certains théologiens séparent justification active et passive dans le temps. La justification active est dit alors ont eu lieu dans l’éternité, ou la résurrection du Christ, alors que la justification passive se déroule par la foi et par conséquent, il est dit, suit l’autre dans un sens temporel. Nous allons examiner successivement justification de toute éternité, justification dans la résurrection du Christ et la justification par la foi.
1. LA JUSTIFICATION DE TOUTE ÉTERNITÉ. Les Antinomiens a statué que la justification du pécheur a eu lieu dans l’éternité, ou dans la résurrection du Christ. Qu’ils soit confondu il avec le décret éternel de l’élection, ou la justification objective du Christ quand il a été ressuscité d'entre les morts. Ils ne distinguent pas correctement entre le dessein divin dans l’éternité et son exécution dans le temps, ni entre le œuvre du Christ dans l’achat et celle de l’Esprit Saint dans l’application de la bénédiction de la rédemption. Selon cette position, nous sommes justifiés avant même que nous croyons, même si nous sommes inconscients de celui-ci, et la foi nous transmet simplement la déclaration de ce fait. En outre, le fait que nos péchés ont été imputés au Christ fit personnellement un pécheur, et l’imputation de sa justice nous nous a fait personnellement justes, afin que Dieu ne peut voir aucun péché dans les croyants du tout. Certains théologiens réformés parlent aussi de la justification de toute éternité, mais au même temps ordures pour vous abonner à la construction antinomienne de cette doctrine. Les motifs sur lesquels ils croient en la justification de toute éternité méritent réflexion brève.
a. motifs de la doctrine de la justification de toute éternité.
(1) l’écriture parle d’une grâce ou de la miséricorde de Dieu qui est éternelle, PS. 25: 6; 103:17. maintenant, tout de grâce ou de miséricorde qui est de toute éternité doit avoir comme base judiciaire ou juridique une justification c’est de toute éternité. Mais en réponse à cela, on peut affirmer qu’il y a des grâces éternelles et lovingkindnesses de Dieu, qui ne reposent pas sur une justification du pécheur, comme, par exemple, son plan de rédemption, le don de son fils et le cautionnement prêt du Christ dans la sal de pactum infections urinaires.
(2) dans le pactum salutis la culpabilité des péchés des élus a été transférée à Christ, et la justice du Christ ont été imputée à eux. Cela signifie que le fardeau du péché a été levé de leurs épaules et qu’elles étaient justifiées. Maintenant il y a sans aucun doute à ce sujet qu’il y avait une certaine imputation de la justice du Christ, le pécheur à l’avocat de la rédemption, mais pas toute imputation peut être appelée justification au sens biblique du terme. Il faut distinguer entre ce qui était simplement idéal dans le Conseil de Dieu, et ce qui est réalisé au cours de l’histoire.
(3) le pécheur reçoit la grâce initiale de régénération sur la base de la justice imputée du Christ. Par conséquent, les mérites du Christ doivent avoir été imputées à lui avant sa régénération. Mais bien que cette considération mène à la conclusion que la justification précède logiquement la régénération, il ne prouve pas la priorité de justification dans un sens temporel. Le pécheur peut recevoir la grâce de régénération sur la base d’une justification, idéalement existante dans le Conseil de Dieu et certaine de se réaliser dans la vie du pécheur.
(4) enfants également besoin de justification, pour être sauvé, et pourtant il est tout à fait impossible qu’ils Rencontrez la justification par la foi. Mais s’il est parfaitement vrai que les enfants qui ne sont pas encore venus à maturité, ne peut pas éprouver justification passive, ils peuvent être activement justifiées dans le tribunal de Dieu et donc être en possession de ce qui est absolument indispensable.
(5) la justification est un acte de Dieu immanent et comme tel, doit être de toute éternité. Il est cependant guère correct, de parler de justification comme un actus immanens en Dieu; C’est plutôt un actus transiens, tout comme la création, incarnation et ainsi de suite. Les partisans de la justification de toute éternité sentir le poids de cette réflexion et m’empresse donc de nous donner l’assurance qu’ils ne signifient pas pour enseigner que les élus sont justifiées de l’éternité, actualiter, mais seulement dans l’intention de Dieu, dans la décret divin. Cela nous amène à la distinction habituelle entre le Conseil de Dieu et de son exécution. Si cette justification dans l’intention de Dieu justifie notre parlant d’une justification de toute éternité, alors il n’y a absolument aucune raison pourquoi nous ne devrions pas parler d’une création de toute éternité ainsi.
b. Objections contre la doctrine de la justification de toute éternité.
(1) la Bible enseigne uniformément que justification se fait par la foi ou sa foi. Ceci, bien entendu, s’applique à justification passive ou subjective, ce qui, toutefois, ne peut être séparée dans le temps de justification active soit objective, sauf dans le cas des enfants. Mais s’y a justification par la foi, il certainement ne précède pas foi dans un sens temporel. Maintenant il est vrai que les partisans d’une justification de toute éternité parlent aussi d’une justification par la foi. Mais dans leur représentation, ceci peut seulement signifier que l’homme par la foi devient conscient de ce que Dieu a fait dans l’éternité.
(2) dans la Rom. 08:29, 30, où nous trouvons certains d'entre le limaçon de l' ordo salutis, justification se trouve entre deux actes de Dieu dans le temps, à savoir, la vocation et la glorification, qui commence dans le temps, mais est réalisée dans une éternité future. Et ces trois ensemble sont le résultat de deux autres qui sont explicitement indiqués comme éternelle. Le Dr de Kuyper n’est pas justifié en disant que romains 08:30 se réfère à ce qui a eu lieu avec la régénérée avant qu’ils soient nés, comme même Dr. De Moor, qui croit aussi en une justification de toute éternité, est tout à fait prêt à admettre.
(3) dans l’enseignement de la justification de toute éternité, le décret de Dieu concernant la justification du pécheur, qui est un actus immanens, est identifié avec la justification elle-même, qui est un actus transiens. Cela ne conduit qu’à la confusion. Ce qui passait dans le pactum salutis ne peut être identifié avec quels sont les résultats de celle-ci. Toute imputation n’est pas encore de justification. Justification est l’un des fruits de le œuvre rédemptrice du Christ, appliqué aux croyants par l’Esprit Saint. Mais l’esprit n’a pas et ne pouvait s’appliquer cet appareil ou tout autre fruit de le œuvre du Christ de toute éternité.
2. JUSTIFICATION DE LA RÉSURRECTION DU CHRIST. L’idée que les pécheurs sont dans un certain sens du mot justifié dans la résurrection du Christ a été soulignée par certains Antinomiens, est enseignée par les théologiens réformés qui croient en une justification de toute éternité et est également détenue par certains autres érudits réformées. Cette opinion se fonde sur les motifs suivants:
a. par son œuvre expiatoire, Christ a satisfait toutes les exigences de la loi pour son peuple. Dans la résurrection de Jésus-Christ d'entre les morts, le père a publiquement déclaré que toutes les exigences de la Loi ont été respectées pour tous les élus et, par conséquent justifient leur. Mais ici la distinction trop prudente est requise. Même s’il est vrai qu’il existe une justification objective du Christ et de tout le corps du Christ dans sa résurrection, cela ne doit pas être confondu avec la justification du pécheur de dont l’écriture parle. Il n’est pas vrai que, quand Christ a rendu pleine satisfaction au père pour tout son peuple, leur culpabilité fin naturellement. Une dette pénale n’est pas comme une dette pécuniaire à cet égard. Même après le versement d’une rançon, le retrait de culpabilité peut dépendre de certaines conditions et ne suit pas comme une question de cours. Les élus ne sont pas personnellement justifiées au sens biblique jusqu'à ce qu’ils acceptent le Christ par la foi et ainsi ouvrir ses mérites.
b. dans la Rom. 04:25 nous lisons que Christ a été « soulevée pour (dia, causalité, en raison de) notre justification, » c'est-à-dire d’effectuer notre justification. Maintenant, il est sans doute vrai que dia avec l’accusatif est causal ici. Dans le même temps il ne doivent pas être rétroactive, mais peut également être prospective et signifie donc « en vue de notre justification », qui revient à dire, « afin que nous puissions être justifiées ». L’interprétation rétrospective entrerait en conflit avec le contexte immédiatement suivant, qui indique clairement (1) que Paul n’est pas la pensée de la justification objective de l’ensemble du corps du Christ, mais de la justification personnelle des pécheurs; et (2) qu’il conçoit cela comme ayant lieu à travers la foi.
c. dans II Corinthiens 05:19, nous lisons: « Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, ne Reckoning pas leur leurs offenses. » Ce passage est tirée la conclusion que la réconciliation objective du monde dans le Christ implique la non-imputation du péché pour le pécheur. Mais cette interprétation n’est pas correcte. Le sens évident de l’apôtre est: Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, tel qu’il appert du fait qu’il ne pas imputer aux hommes leurs péchés, et qu’il a confié à ses serviteurs de la parole de réconciliation. Notez que me logizomenos (temps présent) se réfère à ce qui se passe en permanence. Cela ne peut être conçu dans le cadre de la réconciliation objective, car alors la clause suivante, « et avoir commis pour nous la parole de réconciliation, » devra également être ainsi interprété, et c’est tout à fait impossible.
Dans le cadre de cette affaire, on peut affirmer que nous pouvons parler d’une justification du corps du Christ dans son ensemble à sa résurrection, mais c’est purement objectif et ne doit pas être confondu avec la justification personnelle du pécheur.
3. LA JUSTIFICATION PAR LA FOI.
a. la relation entre la foi à la justification. L’écriture dit que nous sommes justifiés dia pisteos, ek pisteos, ou pistei (datif), Rom. 03:25, 28, 30; 5:1; GAL 02:16; Philippiens 3:9. La préposition dia insiste sur le fait que la foi est l’instrument par lequel nous nous approprions le Christ et sa justice. préposition ek indique que la foi précède logiquement notre justification personnelle, afin que, comme c’était, prend sa source dans la foi. Le datif revêt un sens instrumental. L’écriture ne dit jamais que nous sommes de justifiés dia pistin dix, en raison de la foi. Cela signifie que la foi n’est jamais représenté comme fondement de notre justification. Si tel était le cas, foi devra être considérée comme une œuvre méritoire de l’homme. Et ce serait l’introduction de la doctrine de la justification par les oeuvres, qui s’oppose systématiquement à l’Apôtre, Rom. 03:21, 27, 28; 4:3, 4; GAL 02:16, 21; 3:11. Qu'on nous dit en effet foi qu’Abraham a été compté lui de droiture, Romains 4:3, 9, 22; Galates 3:6, mais compte tenu de l’ensemble des arguments que cela sûrement ne saurait signifier que dans son cas foi elle-même comme une œuvre a pris la place de la justice de Dieu en Christ. L’Apôtre ne laisse pas douteux que, à proprement parler, seulement la justice du Christ imputée à nous, est le fondement de notre justification. Mais la foi est donc complètement réceptive dans l’appropriation des mérites du Christ, qu’il peut être mis au sens figuré pour les mérites du Christ qui lui sont adressées. « Foi » puis est équivalente au contenu de la foi, c'est-à-dire, pour le fond ou la justice du Christ.
On dit souvent, toutefois, que les enseignements de James en conflit avec ceux de Paul à ce sujet et clairement en faveur de la doctrine de la justification par les œuvres de Jacques 02:14-26. Différentes tentatives ont été faites pour harmoniser les deux. Certains s’engager sur l’hypothèse selon laquelle les Paul et James parlent de la justification du pécheur, mais que James insiste sur le fait qu’une foi qui ne se manifeste pas dans les bonnes œuvres n’est aucun vrai de la foi et n’est donc pas une foi qui justifie. C’est sans doute vrai. La différence entre les représentations de Paul et James est sans doute due en partie à la nature des adversaires avec lesquels ils ont devaient faire face. Paul a dû composer avec les légalistes qui ont cherché à fonder leur justification, au moins en partie, sur les œuvres de la Loi. James, en revanche, s’est joint à problème avec Antinomiens, qui se prétendait avoir la foi, mais dont la foi était simplement un assentiment intellectuel à la vérité (02:19), et qui a nié la nécessité de bonnes œuvres. C’est pourquoi il insiste sur le fait que la foi sans les œuvres est une foi morte et par conséquent pas du tout une foi qui justifie. La foi qui justifie est une foi qui est fructueuse dans les bonnes œuvres. Mais on peut objecter que cela n’explique pas la difficulté ensemble, puisque James explicitement dit dans le verset 24, que l’homme est justifié par les oeuvres et non seulement par la foi et cela illustre par l’exemple d’Abraham, qui était « justifié par les œuvres qu’il offrit Isaac » (v erse 21). « Tu vois, » il dit au verset 24, « que foi forgé avec ses œuvres et par les œuvres a été foi rendue parfaite. » C’est évident, toutefois, que dans ce cas, l’écrivain ne parle pas de la justification du pécheur, pour Abraham le pécheur était justifié bien avant il offrit Isaac (voir Genèse 15), mais d’une autre justification des croyant Abraham. Vraie foi se manifestera dans les bonnes œuvres, et ces œuvres témoignera devant les hommes de la justice (autrement dit, la justice de la vie) de celui qui possède une telle foi. La justification des justes en travaux confirme la justification par la foi. Si James voulait en fait dire dans cette section de la lettre que Abraham et Rahab étaient justifiées avec la justificatio peccatoris, sur la base de leurs bonnes œuvres, il ne serait pas en conflit avec Paul, mais serait aussi contradictoire, car il explicitement dit qu’Abraham a été justifié par la foi.
b. les termes théologiques pour exprimer la relation entre la foi à la justification. Il y a surtout trois termes qui entrent en considération ici.
(1) causer instrumental. Ce nom a été très généralement utilisé à tout d’abord, mais ensuite a rencontré une vive opposition. La question a été soulevée, que ce soit instrument ou l’homme de Dieu Et il a été dit: il ne peut être Dieu, car la foi visée n’est pas la foi de Dieu; ni homme, peut-on pour justification n’est pas un acte de l’homme, mais de Dieu. Nous devons garder à l’esprit, toutefois, (a) que selon l’enseignement clair de la Bible, nous sommes justifiés par la foi, dia pisteos, et que cette dia ne peut être comprise dans un sens instrumental, Rom. 03:28; Galates 3:8; (b) que la Bible dit explicitement que Dieu justifie le pécheur, par la foi et représente donc la foi comme instrument de Dieu, Rom. 03:30; et (c) que la foi est également représentée comme l’instrument de l’homme, comme le moyen par lequel il reçoit justification, gal 02:16. Foi peut être considéré comme l’instrument de Dieu dans un double sens. C’est un don de Dieu, le pécheur à la justification d’orfèvrerie. En outre, en travaillant la foi dans le pécheur, Dieu porte la déclaration du pardon dans son coeur ou la conscience. Mais la foi est aussi un instrument de l’homme par laquelle il s’approprie le Christ et tous ses dons précieux, Romains 4:5; GAL 02:16. C’est aussi la représentation de la matière que l'on retrouve dans la Confessio Belgica, et dans le Catéchisme de Heidelberg. Par la foi nous embrasser le Christ et rester en contact avec lui, qui est notre justice. Le nom « instrumental cause » est régulièrement utilisée dans les Confessions protestantes. Encore quelques théologiens réformés préfèrent l’éviter, afin de se prémunir contre le danger de donner l’impression que la justification est en quelque sorte tributaire de la foi comme une œuvre de l’homme.
(2) ouverture orgue. Ce nom exprime l’idée que, par la foi le pécheur, s’approprie la justice de Christ et établit une union consciente entre lui-même et le Christ. Les mérites du Christ constituent le dikaioma, la base juridique sur laquelle repose la déclaration officielle de Dieu dans la justification. Par la foi, pécheur s’approprie la droiture du médiateur déjà imputé lui idéalement dans le pactum salutis; et sur cette base, il est maintenant officiellement justifié devant Dieu. Foi justifie dans la mesure où il prend possession du Christ. Nom « s’approprier l’organe » comporte l’idée d’un rôle déterminant et est donc parfaitement en harmonie avec les instructions trouvées dans nos normes confessionnelles. Il a un avantage sur le nom qu’il exclut l’idée que la foi est dans tous les sens la base de justification. Il peut être appelé un organe s’approprier dans un double sens: (a) il est l’organe par lequel nous posons Accrochez-vous et approprié les mérites du Christ et accepter ces comme fondement de notre justification méritoire. Comme tel, il précède logiquement justification. (b) il est également l’organe par lequel nous avons consciemment appréhender notre justification et obtenir la possession de justification subjective. En ce sens, il s’ensuit logiquement justification. Dans l’ensemble ce nom mérite de préférence, bien qu’il faut avoir à l’esprit que, strictement parlant, foi est l’organe par lequel nous nous approprions la justice du Christ, comme fondement de notre justification, plutôt que de l’organe par lequel nous nous approprions Justification elle-même.
(3) condition sine qua non. Ce nom, suggéré par certains théologiens réformés, n’a pas rencontré de grande faveur. Il exprime l’idée, qui est parfaitement vraie en soi, que l’homme n’est pas justifiée en dehors de la foi, et que la foi est une condition indispensable de la justification. Le nom exprime rien de positif et est en outre passible d’incompréhension.
G. LE MOTIF DE LA JUSTIFICATION.
Un des points plus importants d’une controverse entre l’Eglise de Rome et les réformateurs, ainsi qu’entre la théologie réformée et les arminiens, concernait le sol de la justification. En ce qui concerne cela les réformateurs a enseigné:
1. négativement, que c’est introuvable dans les vertus de l’homme, ni dans ses bonnes œuvres. Cette position doit également être conservée à l’heure actuelle par rapport à Rome ainsi que les tendances Pelagianizing de diverses églises. Rome enseigne que le pécheur est justifié sur la base de la justice inhérente qui a été perfusée dans son cœur, et qui, à son tour, est le fruit de la coopération de la volonté humaine avec la grâce prévenante. Cela s’applique à ce qu’on appelle la première justification; dans la justification suivante toutes les bonnes œuvres de l’homme viennent en considération comme la cause formelle ou un motif de justification. Il est impossible, toutefois, que la justice inhérente de l’homme régénéré et ses bonnes œuvres constituent le sol de sa justification, pour (a) Cette droiture est et reste durant cette vie une justice très imparfaite; (b) il s’est déjà le fruit de la justice du Christ et de la grâce de Dieu; et (c), même les meilleures œuvres des croyants sont pollués par le péché. Par ailleurs, l’écriture nous enseigne clairement que l’homme est justifié gratuitement par la grâce de Dieu, Rom. 03:24, et qu’il a éventuellement ne saurait être justifié que par les œuvres de la Loi, Rom. 03:28; GAL 02:16; 03:11.
2. d’une manière positive, que l'on retrouve le motif de justification que dans la justice parfaite de Jésus-Christ, qui est imputé au pécheur dans la justification. C’est clairement enseigné dans plusieurs passages de l’écriture, comme les Romains 03:24; 5:9, 19; 8:1; 10:4; J’ai Cor. 01:30; 06:11; II Corinthiens 05:21; Philippiens 3:9. Dans l’obéissance passive du Christ, qui est devenu une malédiction pour nous (gal. 03:13) nous trouvons le terrain pour le pardon des péchés; et dans son obéissance active, par lesquels il méritait tous les dons de grâce, y compris la vie éternelle, le terrain pour l’adoption d’enfants, par les pécheurs sont constitués des héritiers de la vie éternelle. L’arminienne va à l’encontre de l’écriture lorsqu’il affirme que nous sommes acceptés en faveur de Dieu seulement en raison de notre foi ou l’obéissance évangélique.
H. OBJECTIONS À LA DOCTRINE DE LA JUSTIFICATION.
La théologie libérale moderne, avec ses tendances rationalisation, soulève plusieurs objections à la doctrine de la justification à ce titre, qui méritent une attention brève.
1. certains, qui croient encore au salut par la grâce, ostensiblement object à justification dans l’intérêt de la reconnaissance de la grâce de Dieu. Justification, il est dit, est un acte juridique et exclut ainsi la grâce, tandis que la Bible enseigne clairement que le pécheur est sauvé par grâce. Mais il peut facilement être démontré que la justification avec tous ses antécédents et conséquents est une œuvre miséricordieux de Dieu. Le produit de remplacement autorisé pour les pécheurs coupables, les souffrances du fait d’autrui et l’obéissance du Christ, l’imputation de sa justice à indigne transgresseurs, et Dieu les de traitant des croyants comme juste, — c’est toute grâce libre du début à la fin.
2. justification est parfois appelée une procédure impie, car il déclare pécheurs d’être juste à l’encontre de fait. Mais cette objection ne tient-elle pas, car la déclaration divine n’est pas à l’effet que ces pécheurs sont justes en eux-mêmes, mais qu’ils sont revêtus de la justice parfaite de Jésus-Christ. Cette justice forgée par le Christ, est librement imputée à eux. Il n’est pas la justice personnelle subjective du Christ, mais sa justice Pacte du fait d’autrui, qu’on impute à ceux qui sont en eux-mêmes d’injustes, et tout pour la gloire de Dieu.
3. on dit souvent que cette doctrine est éthiquement subversive, car elle conduit à la débauche. Mais il n’y a aucune vérité dans ce que ce soit, que même la vie des justifiés montre clairement. Dans la justification, la Fondation sûre est posée pour cette union spirituelle vitale avec le Christ qui retient notre sanctification. Il entraîne vraiment sur les seules conditions dans lesquelles nous pouvons être vraiment Saintes en principe. L’homme qui se justifie également reçoit l’esprit de sanctification et est le seul qui peut abondent dans les bonnes œuvres qui glorifiera Dieu.
I. LES DIVERGENCES DE LA JUSTIFICATION.
1. LA VUE CATHOLIQUE ROMAINE. Le point de vue catholique confond la justification et la sanctification. Il comprend les éléments suivants dans la justification (a) l’expulsion de séjour péché; (b) un apport positif de la grâce divine; et (c) le pardon des péchés. Le pécheur est préparé pour la justification par la grâce prévenante, sans aucun mérite de sa part. Cette grâce prévenante conduit le pécheur à un fides informisà la condamnation du péché, à la repentance, une confiance confiant sur la grâce de Dieu en Christ, aux prémices d’une nouvelle vie et à un désir pour le baptême. Justification consiste vraiment à l’infusion de nouvelles vertus après que la pollution du péché a été supprimée dans le baptême. Après l’expulsion de péché à demeure, le pardon du péché ou la suppression de la culpabilité du péché découle nécessairement. Et après cela le chrétien avances de la vertu à la vertu, est capable d’effectuer des travaux méritoires et reçoit en récompense une plus grande mesure de grâce et d’une justification plus parfaite. La grâce de la justification peut être perdue, mais peut être également restaurée par le sacrement de pénitence.
2. L’AVIS DE PISCATOR. Piscator a appris que seulement l’obéissance passive du Christ est imputé au pécheur comme justification, pour le pardon des péchés; et que son obéissance active ne pourrait pas probablement être imputée à lui, à l’adoption d’enfants et d’un héritage éternel, parce que l’homme Christ Jésus devait cela à Dieu pour lui-même. En outre, si le Christ avait accompli la loi pour nous, nous pourrions pas plus être tenu pour responsable de l’observation de la Loi. Piscator considéré le roulement de la pénalité du péché et de l’observation de la Loi comme solution de rechange, dont l’un exclut l’autre. Il a laissé la porte ouverte pour ce qui concerne l’obéissance personnelle propre du pécheur comme le seul motif de son espérance future. Ce point de vue est très semblable à celle des arminiens et est tout à fait conforme à la doctrine d’Anselme au moyen-âge.
3. L’AVIS DE OSIANDER. Osiander a révélé une tendance à faire revivre dans l’église luthérienne, l’essentiel de la conception catholique de la justification, mais avec une différence caractéristique. Il a affirmé que la justification ne consiste pas dans l’imputation de la justice du fait d’autrui du Christ pour le pécheur, mais dans l’implantation d’un nouveau principe de vie. Selon lui, la justice, par laquelle nous sommes justifiés est la justice éternelle de Dieu le père, qui est communiqué à ou infusé en nous par son fils Jésus Christ.
4. LA VUE ARMINIENNE. Les arminiens tenir que Christ n’a pas rendu satisfaction stricte à la justice de Dieu, mais encore offre une véritable propitiation pour le péché, qui a gracieusement accepté et a agi comme satisfaisante par Dieu en pardonnant le péché et ce qui justifie le pécheur. Alors que cela correspond seulement passé comptes, Dieu prévoit également pour l’avenir. Il vient aussi gracieusement impute foi croyant lui pour la justice, que la foi, à savoir, comme incluant toute la vie religieuse du croyant, — son obédience évangélique. Sur ce point de vue foi n’est pas plus l’instrument simple de l’élément positif de la justification, mais le terrain gracieusement admis sur lequel il repose. Justification, puis, n’est pas une instance judiciaire, mais un acte souverain de Dieu.
5. LA VUE BARTHIENNE. Tandis que Barth parle de justification comme un acte momentané, mais il ne les considère pas comme un acte accompli une fois pour toutes, et qui est suivie par la sanctification. Selon lui, justification et sanctification aller main dans la main tout le long de la ligne. Pauck dit que selon Barth justification n’est pas une croissance ou un développement éthique; Il se produit toujours à nouveau, chaque fois que l’homme a atteint le point de désespoir complet concernant les croyances et les valeurs sur lesquelles il a construit sa vie. Thurneysen rejette également l’opinion que justification a lieu une fois pour toutes, il appelle la vue du piétisme et prétend que c’est fatal à la doctrine de la réforme.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Que signifie le verbe dikaio-o moyenne en grec ? Justifie un créatif ou un acte déclaratif ? Est-il possible de penser de justification en ce qui concerne les péchés passés dans un autre sens que celui d’un acquittement judiciaire ? Justification doit être considérée uniquement comme quelque chose objective et externe à l’homme ? Qu’entend-on en théologie de la cause formelle de la justification ? Comment les catholiques romains et Protestants diffèrent sur ce point ? Est la justification des catholiques romains de la fides formata vraiment une justification par la foi, ou une justification par l’amour sous le couvert de la foi ? Quel est l’antinomienne doctrine de la justification de toute éternité ? La distinction faite par Buchanan et Cunningham entre actif et passif de justification comme étant réelle et justification déclarative corriger ou pas ? On peut dire que dans la justification du déclarative (justification passive) Dieu déclare simplement le pécheur d’être ce qu’il est ? Ce qu’il advient de la doctrine de la justification de Schleiermacher, Ritchl et la théologie libérale moderne ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme., IV, pp. 182-245; Kuyper, Dict. dogme., De Salute, pp. 45-69; Ibid., Het Werk van den Heiligen Geest II, pp. 204-232; Comrie, bref plus de Rechtvaardigmaking; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 114-212; Shedd, dogme . THEOL. II, pp. 538-552; Conférences de Dick, théologie, LXXI-LXXIII; Dabney, Syst et trouvailles. THEOL., p. 618-650; Faire, Godgeleerdheit VI. 6 et 7; Buchanan, la Doctrine de la Justification; Owen, sur Justification; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., pp. 259-313; Girardeau, calvinisme et arminianisme évangélique, p. 413-566; Pieper, Christl. Dogme. II, p. 606-672; Vos, Geref. Dogme. IV., pp. 154-210; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 430-448; Valentine, Chr. Theol. II, p. 214 et 241; Strong, Syst. Theol., p. 849-868; Dorner, syst de Chr. Doct. IV, pp. 194-238; Watson, instituts théologiques, II, pp. 406-475; De Moor, Rechtvaardigmaking van Eeuwigheid.
X. sanctification
A. LES TERMES MENTIONNÉS DANS LES ÉCRITURES DE SANCTIFICATION ET DE SAINTETÉ.
1. LES CONDITIONS DE L'ANCIEN TESTAMENT. Le mot de l’ancien Testament pour « à sanctifier » est qadash, un verbe qui est utilisé dans le niphal, piel, hiphilet hithpa'el espèces. Le substantif correspondant est qodesh, tandis que l’adjectif est qadosh. Les formes verbales sont dérivées des formes nominales et adjectivales. Le sens originel de ces mots est incertain. Certains sont d’avis que le mot qadash est liée à la chadash, qui signifie « briller ». Ce serait en harmonie avec l’aspect qualitatif de l’idée biblique de la sainteté, à savoir, celle de la pureté. D’autres, avec un plus grand degré de probabilité, dérivent le mot de la racine qad, qui signifie « couper ». Cela rendrait l’idée de la séparation de l’idée originale. Le terme aurait ensuite point de réserve, de séparation ou de Majesté. Bien que cette signification des mots « sanctification » et « sainteté » peut sembler inhabituelle pour nous, c’est selon toute vraisemblance l’idée fondamentale exprimée par eux. Girdlestone, dit: « les termes « sanctification » et « sainteté » sont maintenant très fréquemment utilisées pour représenter les qualités morales et spirituelles, qu’ils véhiculent guère au lecteur l’idée position ou la relation existant entre Dieu et une personne ou chose consacrée à lui; pourtant cela semble être le vrai sens du mot. » De même, Cremer-Koegel attire l’attention sur le fait que l’idée de la séparation est fondamentale à celle de la sainteté. « Heiligkeit ist ein verhaeltnisbegriff. » Dans le même temps, il est admis que les deux idées de sainteté et de la séparation ne pas fusionner, ne sont pas absorbées dans l’autre, mais que l’ancienne dans une mesure sert à qualifier ce dernier.
2. LES CONDITIONS DU NOUVEAU TESTAMENT.
a. le verbe hagiazo et ses diverses significations. Le verbe hagiazo est un dérivé de hagios, qui, comme l' hébreu qadosh , exprime avant tout l’idée de la séparation. Toutefois, il est utilisé dans plusieurs sens différents, dans le Nouveau Testament. Nous pouvons distinguer ce qui suit: (1) il est employé dans un sens mental des personnes ou des choses, Matthieu 6:9; Luc 11:2; J’ai PET. 03:15. Dans ce cas, il signifie « de considérer un objet comme Saint, » « d’attribuer sainteté à elle », ou « à reconnaître sa sainteté par la parole ou acte. » (2) elle est également employée occasionnellement de manière rituelle, c'est-à-dire dans le sens de « séparant d’ordinaire à des fins sacrées » ou de « réglage de côté pour un certain office, » Matthieu 23:17, 19; John 10:36; II Timothée 02:21. (3) encore une fois, il est utilisé pour désigner cette opération de Dieu par lequel il, notamment par le biais de son esprit, travaille chez l’homme la qualité subjective de la sainteté, John 17:17; Actes 20:32; 26: 18; I Corinthiens 1:2; Je th. 05:23. (4) Enfin, dans l’épître aux Hébreux, il semble être utilisé dans un sens expiatoire et aussi dans le sens connexe de la Pauline dikaio-o, Héb. 09:13; 10:10, 29; 13:12.
b. les adjectifs exprimant l’idée de la sainteté. (1) Hieros. Le mot qui est utilisé moins et c’est aussi le moins expressif, c’est le mot hieros. Il se trouve que dans I Corinthiens 09:13; II Timothée 03:15 et puis pas des personnes mais des choses. Il n’exprime pas l’excellence morale, mais expressive du caractère inviolable de la chose évoquée, qui découle de la relation dans laquelle il se trouve à Dieu. Il est mieux traduit par le mot anglais « sacré ». (2) Hosios. Le mot hosios est d’apparition plus fréquente. Il se trouve dans actes 02:27; 13:34, 35; I Timothée 2:8; Tite 1:8; Héb. 07:26; Apocalypse 15:4; 16:5 et s’applique non seulement aux choses, mais aussi de Dieu et de Christ. Il décrit une personne ou une chose comme indemnes de la souillure ou méchanceté ou plus activement (des personnes) qu’il remplit religieusement chaque obligation morale. (3) Hagnos. Le mot hagnos se produit dans II Corinthiens 07:11; 11:2; Philippiens 4:8; J’ai Timothée 05:22; Jacques 03:17; I Pierre 3:2; J’ai John 3:3. L’idée fondamentale du mot semble être celui de la liberté de l’impureté et de profanation dans un sens éthique. (4) Hagios. Le mot vraiment caractéristique du Nouveau Testament, cependant, est hagios. Son sens premier est celui de la séparation dans la consécration et la dévotion au service de Dieu. Cela est relié à l’idée que ce qui est mis à part le monde pour Dieu, devrait également se séparer de la profanation du monde et partager dans la pureté de Dieu. C’est ce qui explique le fait que hagios a rapidement acquis une signification éthique. Le mot n’a pas toujours la même signification dans le Nouveau Testament. Il est utilisé pour désigner une relation officielle externe, une étant mis à part les fins ordinaires pour le service de Dieu, comme par exemple, lorsque nous lisons des « saints prophètes, » Luc 1: 70, « Saints Apôtres, » Éphésiens 3:5 et « saints hommes de Dieu » II Pierre 01:21. (b) le plus souvent, cependant, il est employé dans un sens éthique pour décrire la qualité qui est nécessaire pour rester en relation étroite avec Dieu et de lui servir de façon acceptable, Éphésiens 1:4; 05:27; 01:22; J’ai PET. 01:15, 16. Il faut avoir à l’esprit que dans le traitement de la sanctification, nous utilisons le mot principalement dans ce dernier sens. Quand on parle de sainteté dans le cadre de la sanctification, nous avons à l’esprit une relation externe et une qualité subjective intérieure.
c. les substantifs dénotant la sanctification et sainteté. Le mot du Nouveau Testament pour la sanctification est hagiasmos. On le trouve dix fois, à savoir, dans Romains 06:19, 22; J’ai Cor. 01:30; J’ai Thess. 4:3, 4, 7; II Thessaloniciens. 02:13; J’ai Timothée 02:15; Hébreux 12:14; I Pierre 1:2. Alors qu’il dénote une purification éthique, elle inclut l’idée de la séparation, à savoir, « la séparation de l’esprit de tout ce qui est impur et polluantes et un renoncement des péchés vers lequel nous amènent les désirs de la chair et l’esprit. » Tandis que hagiasmos désigne le œuvre de sanctification, il y a deux autres mots qui décrivent le résultat du processus, à savoir hagiotes et hagiosune. Le premier se trouve dans I Corinthiens 01:30 et Héb. 12:10; et le second dans Romains 1:4; II Corinthiens 7:1 et j’ai th. 03:13. Ces passages montrent que la qualité de la sainteté ou l’absence de pollution et d’impuretés est essentielle à Dieu, a été exposée par Jésus Christ et est transmise pour le chrétien.
B. LA DOCTRINE DE LA SANCTIFICATION DANS L’HISTOIRE.
1. AVANT LA RÉFORME. Dans le développement historique de la doctrine de la sanctification, l’Église s’est principalement avec trois problèmes: (a) la relation entre la grâce de Dieu dans la sanctification de la foi; (b) la relation de la sanctification de la justification; et (c) le degré de sanctification dans la vie présente. Les écrits des premiers pères d’église contiennent très peu concernant la doctrine de la sanctification. Une souche de moralisme est manifeste en ce que l’homme a appris à dépendent pour le salut de foi et les bonnes œuvres. Péchés commis avant le baptême ont été emportées dans le baptême, mais pour ceux qui après le baptême homme doit fournir de pénitence et de bonnes œuvres. Il doit mener une vie de vertu et mérite donc l’approbation du Seigneur. « Ce dualisme, » dit Scott dans son The Nicene théologie, « quitte le domaine de la sanctification qu’indirectement liée à la rédemption du Christ; et c’était le domaine dans lequel a grandi, naturellement, des conceptions de péché, légalisme, sacramentarisme, intrigues de prêtres et de tous les excès de dévotion monacale défectueuses. » Ascétisme vint à être considéré à partir de la plus haute importance. Il y avait aussi une tendance à confondre la justification et la sanctification. Augustin fut le premier à développer des idées plutôt précises de sanctification, et son point de vue avait une influence déterminante sur l’église du moyen âge. Il ne pas nettement la distinction entre la justification et la sanctification, mais conçu de ce dernier comme inclus dans l’ancien. Car il croyait en la corruption totale de la nature humaine à l’automne, il pensait de la sanctification, comme une nouvelle interesant surnaturelle de la vie divine, une nouvelle énergie infusée, opérant exclusivement dans les limites de l’église et par les sacrements. Alors qu’il n’a pas perdu de vue l’importance de l’amour personnel pour le Christ comme un élément constitutif dans la sanctification, il manifeste une tendance à adopter un point de vue métaphysique de la grâce de Dieu dans la sanctification, — de la considérer comme un dépôt de Dieu chez l’homme. Il a fait pas suffisamment l’accent sur la nécessité d’une préoccupation constante de la foi au Christ Rédempteur, comme le facteur le plus important dans la transformation du chrétien la vie. Les tendances apparents dans les enseignements d’Augustin est venu à fruit dans la théologie du Moyen-Age, qui se trouve dans sa forme la plus développée dans les écrits de Thomas Aquinas. Justification et sanctification ne sont pas clairement distingués, mais la première est faite d’inclure l’infusion de la grâce divine, comme quelque chose de substantiel, dans l’âme humaine. Cette grâce est une sorte de donum superadditum, par lequel l’âme est levé vers un nouveau niveau ou d’un ordre plus élevé d’être et est autorisé à accomplir son destin céleste sachant, possédant et jouissant de Dieu. La grâce est dérivée de l’inépuisable Trésor des mérites du Christ et est transmise aux croyants par les sacrements. Vu du point de vue divin, cette grâce sanctifiante dans l’âme sécurise la rémission du péché originel, confère une habitude permanente de la justice inhérente et porte en lui la puissance de développement ultérieur et même de la perfection. Hors de lui, la nouvelle vie se développe avec toutes ses vertus. Son bon travail peut être neutralisée ou détruite par les péchés mortels; mais la culpabilité contractées après que le baptême peut être retiré par l’Eucharistie dans le cas de péchés véniels et par le sacrement de pénitence dans le cas de péchés mortels. Considéré du point de vue humain, les œuvres de surnaturels de la foi agissant par l’amour ont du mérite devant Dieu et garantir une augmentation de la grâce. Ces travaux sont impossibles, cependant, sans le fonctionnement continu de la grâce de Dieu. Le résultat de l’ensemble du processus était connu comme justification plutôt que la sanctification; Il a consisté à rendre l’homme juste devant Dieu. Ces idées sont enchâssées dans les Canons et décrets du Concile de trente.
2. APRÈS LA RÉFORME. Les réformateurs en parlant de sanctification souligne l’antithèse du péché et de la rédemption plutôt que de la nature et de supernature. Ils ont fait une nette distinction entre la justification et la sanctification, en ce qui concerne le premier comme étant un acte juridique de la grâce divine, affectant le statut judiciaire de l’homme et le second, comme une œuvre morale ou ré-créatif, changeant la nature intérieure de l’homme. Mais alors qu’ils ont fait une distinction minutieuse entre les deux, ils ont également souligné leur lien indissoluble. Alors qu’il est profondément convaincu que l’homme est justifié par la foi seule, ils ont aussi compris que la foi qui justifie n’est pas seule. Justification est immédiatement suivie de sanctification, étant donné que Dieu envoie l’esprit de son fils dans le cœur des siens dès qu’elles sont justifiées, et cet esprit est l’esprit de sanctification. Ils ne considéraient pas la grâce de la sanctification comme une essence surnaturelle infusé chez l’homme par les sacrements, mais comme une œuvre surnaturelle et gracieuse de l’Esprit Saint, principalement par la parole et, secondairement, par les sacrements, par lequel il nous livre plus en plus de la puissance du péché et nous permet de faire de bonnes œuvres. Mais en aucun cas de confusion justification et sanctification, ils sentaient la nécessité de préserver le lien le plus étroit possible entre le premier, dans lequel la grâce libre et de pardonne de Dieu est fortement soulignée, et le second, qui appelle à la coopération de l’homme, afin d’éviter le danger du travail-justice. Piétisme et le méthodisme l’accent a été placé sur constante communion avec Christ comme le grand moyen de sanctification. En exaltant la sanctification au détriment de la justification, ils ne pas toujours éviter le danger d’autosatisfaction. Wesley ne distinguait pas simplement la justification et la sanctification, mais pratiquement séparait et parle de sanctification totale comme un deuxième Don de la grâce, la première, de la justification par la foi, après une période plus courte ou plus longue. Alors qu’il a également parlé de la sanctification en tant que processus, il a néanmoins statué que le croyant doit prier et chercher la sanctification complète à la fois par un acte séparé de Dieu. Sous l’influence du rationalisme et le moralisme de Kant sanctification a cessé d’être considéré comme une œuvre surnaturelle du Saint-Esprit dans le renouvellement des pécheurs et a été ramenée au niveau d’une simple morale amélioration par les pouvoirs naturels de l’homme. Pour Schleiermacher, c’était simplement la domination progressive de la conscience de Dieu en nous au fil de la conscience mondiale simplement sensible et jamais moralement défectueuse. Et pour Ritschl, c’était la perfection morale de la vie chrétienne à laquelle nous atteindre en remplissant notre vocation en tant que membres du Royaume de Dieu. Dans une grande partie de la théologie libérale moderne sanctification consiste uniquement en la rédemption croissante de soi inférieur de l’homme par la domination de son supérieur soi-même. Rachat par personnage est l’un des slogans de nos jours, et le terme « sanctification » est venu de se présenter aux simple amélioration morale.
C. L’IDÉE BIBLIQUE DE SANCTIFICATION ET DE SAINTETÉ.
1. DANS L’ANCIEN TESTAMENT. Dans l’écriture, la qualité de la sainteté s’applique d’abord à Dieu, et tel qu’appliqué à lui son idée fondamentale est celle d’unapproachableness. Et ce unapproachableness repose sur le fait que Dieu est divine et par conséquent tout à fait distincte de la créature. Sainteté, en ce sens n’est pas simplement un attribut d’être coordonnée avec les autres en Dieu. C’est plutôt quelque chose qui est prévisible de tout ce qui se trouve en Dieu. Il est sacré dans sa grâce, ainsi que dans sa justice, dans son amour aussi bien que dans sa colère. À proprement parler, la sainteté devient un attribut seulement dans le sens éthique ultérieur du mot. Le sens éthique du terme développé à partir de Majesté-sens. Ce développement commence par l’idée qu’un être pécheresse est plus vivement conscient de la majesté de Dieu, que d’un être sans péché. Le pécheur se rend compte de son impureté comme vis-à-vis la pureté majestueuse de Dieu, cf. Ésaïe 6. Otto parle de sainteté dans le sens original comme le numenous et se propose d’appeler la réaction caractéristique « créature-sentiment, ou créature-conscience, » une disvaluation de soi dans le néant, alors qu’il parle de la réaction à la sainteté dans la dérivée sens éthique comme un « sentiment d’absolue profaneness. » Donc l’idée de la sainteté comme pureté majestueuse ou sublimité éthique a été élaborée. Cette pureté est un principe actif en Dieu, qui doit se défendre et défendre son honneur. Ceci explique le fait que sainteté est représentée dans l’écriture aussi comme la lumière de la gloire divine, transformée en un incendie dévorante. Ésaïe 05:24; 10:17; 33: 14, 15. vis-à-vis de la sainteté de Dieu l’homme se sent être, non seulement insignifiante, mais positivement impure et pécheresse et comme un tel objet de la colère de Dieu. Dieu a révélé sa sainteté dans l’ancien Testament de diverses manières. Il l’a fait dans les arrêts terribles sur les ennemis d’Israël, Exode 15:11, 12. Il l’a fait aussi en séparant, à lui-même, un peuple, qu’il a prises hors du monde, Exode 19:4-6; Ézéchiel 20:39-44. En prenant ce peuple hors du monde impur et impie, il protesta contre ce monde et de son péché. Par ailleurs, il l’a fait à plusieurs reprises en épargnant son peuple infidèle, parce qu’il ne voulait pas le monde impie pour se réjouir de ce qu’il pourrait envisager l’échec de son travail, Osée 11:9.
Dans un sens dérivé, l’idée de la sainteté est également appliquée aux choses et aux personnes qui sont placés dans une relation particulière avec Dieu. Le pays de Canaan, la ville de Jérusalem, le Mont du temple, le tabernacle et temple, les Sabbats et les fêtes solennelles d’Israël, — ils sont tous appelés saints, puisqu’ils sont consacrés à Dieu et sont placés dans l’éclat de sa sainteté majestueuse. De même, les prophètes, les prêtres et les Lévites sont appelés saints comme des personnes qui ont été mis de côté pour le service spécial du Seigneur. Israël avait ses lieux sacrés, ses saisons sacrées, ses rites sacrés et ses personnes sacrées. Ce n’est pas encore l’idée d’éthique de la sainteté, cependant. Un pourrait être une personne sacrée et être encore entièrement dépourvue de la grâce de Dieu dans son cœur. Dans l’ancienne dispensation, ainsi que dans les résultats de sainteté nouvelle, éthique de la renouveler et sanctifiant l’influence de l’Esprit Saint. Nous rappelons, toutefois, que, même là où la conception de la sainteté est complètement spiritualisée, c’est toujours expressif d’une relation. L’idée de la sainteté n’est jamais celui de la bonté morale, considérée en elle-même, mais toujours que de la bonté éthique par rapport à Dieu.
2. DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. En passant de l’ancien Testament sur le nouveau, nous prenons conscience d’une différence frappante. Alors que dans l’ancien Testament, il n’y a pas un seul attribut de Dieu qui se démarque avec quelque chose comme la même importance que sa sainteté, dans le Nouveau Testament sainteté est rarement attribuée à Dieu. Sauf dans quelques citations de l’ancien Testament, c’est fait uniquement dans les écrits de Jean, Jean 17:11; J’ai John 02:20; 06:10. Selon toute probabilité l’explication à cela réside dans le fait que, dans la sainteté du Nouveau Testament, se trouve de suite comme la caractéristique particulière de l’esprit de Dieu, par qui les croyants sont sanctifiés, sont qualifiés pour le service et sont amenés à leur destinée éternelle, II Thess. 02:13; Tite 3:5. Le mot hagios est utilisé dans le cadre de l’esprit de Dieu, presque une centaine de fois. La conception de la sainteté et la sanctification, cependant, aucun autre dans le Nouveau Testament est que c’est dans l’ancien. Dans l’ancien aussi bien que dans la sainteté de ce dernier est attribué à l’homme dans un sens dérivé. Dans celui ainsi que dans l’autre sainteté éthique n’est pas simple rectitude morale, et la sanctification n’est jamais simple amélioration morale. Ces deux sont souvent confondus à l’heure actuelle, quand les gens parlent du Salut par le caractère. Un homme peut se vanter d’une grande amélioration morale et pourtant être un étranger total à la sanctification. La Bible ne pas exhorter amélioration morale pure et simple, mais l’amélioration morale par rapport à Dieu, par l’amour de Dieu et en vue du service de Dieu. Il insiste sur la sanctification. À ce point beaucoup prêchant éthique de nos jours est tout à fait trompeuse; et correctives pour cela réside dans la présentation de la vraie doctrine de la sanctification. Sanctification peut être définie comme ce fonctionnement continu et gracieux de l’Esprit Saint, par qui il délivre le pécheur justifié de la pollution du péché, renouvelle sa nature entière à l’image de Dieu, et lui permet de accomplir de bonnes œuvres.
D. LA NATURE DE LA SANCTIFICATION.
1. C’EST UNE ŒUVRE SURNATURELLE DE DIEU. Certains ont l’idée erronée que la sanctification consiste simplement dans le dessin hors de la nouvelle vie, implanté dans l’âme par la régénération, de manière convaincante, en présentant des motifs à la volonté. Mais ce n’est pas vrai. Il se compose fondamentalement et principalement lors d’une opération divine dans l’âme, selon lequel la disposition Sainte née à régénération est renforcée et ses saints exercices sont augmentés. C’est essentiellement un travail de Dieu, bien que dans la mesure où il emploie des moyens, l’homme peut et devrait coopérer par l’utilisation appropriée de ces moyens. L’écriture montre clairement le caractère surnaturel de la sanctification de plusieurs façons. Il la décrit comme une œuvre de Dieu, j’ai th. 05:23; Hébreux 13:20, 21, tel qu’un fruit de l’union de la vie avec Jésus Christ, Jean 15:4; GAL 02:20; 04:19, comme une œuvre qui est forgé chez l’homme de l’intérieur et qui pour cette raison ne peut pas être une œuvre de l’homme, Éphésiens 03:16; 01:11 et parle de sa manifestation en vertus chrétiennes comme le œuvre de l’esprit, gal 05:22. Il ne doit jamais être représenté comme un processus purement naturel dans le développement spirituel de l’homme, ni ramené au niveau de la réalisation une simple humaine, comme cela se fait dans une grande partie de la théologie libérale moderne.
2. IL SE COMPOSE DE DEUX PARTIES. Les deux parties de la sanctification sont représentés dans l’écriture comme:
a. la mortification du vieil homme, le corps du péché. Ce terme biblique désigne cette acte de Dieu, par lequel la pollution et la corruption de la nature humaine qui résulte du péché est progressivement supprimé. Il est souvent représenté dans la Bible comme le crucifiant du vieil homme et est donc liée à la mort du Christ sur la Croix. Le vieil homme est la nature humaine dans la mesure où elle est contrôlée par le péché, Romains 6:6; GAL 05:24. Dans le contexte du passage des Galates Paul met en contraste les œuvres de la chair et les œuvres de l’esprit et dit alors: « et ceux qui sont du Christ Jésus ont crucifié la chair avec les passions et ses convoitises. » Cela signifie que, dans leur cas, l’esprit a gagné prédominance.
b. l’accélération de l’homme nouveau, créés en Jésus-Christ pour de bonnes œuvres. Tandis que la partie ancienne de la sanctification est négative dans le caractère, c’est positif. C’est que la Loi de Dieu par lequel la disposition sacrée de l’âme est renforcés, Saints exercices sont augmentés, et ainsi un nouveau cours de vie engendrées et promu. L’ancienne structure du péché est progressivement démolie et une nouvelle structure de Dieu est élevée à sa place. Ces deux parties de la sanctification ne sont pas successives, mais contemporains. Dieu Merci, la construction progressive du nouveau bâtiment ne doivent pas attendre jusqu'à ce que le vieux est complètement démoli. Si il devait attendre pour cela, elle ne peut jamais commencer dans cette vie. Avec la dissolution progressive de l’ancien, le nouveau fait son apparition. C’est comme la diffusion d’une maison remplie d’odeurs pestiférés. Comme l’air vieux est étiré, le nouveau "rushes" dans. Ce côté positif de la sanctification est souvent appelé « un être déclenché avec Christ, » Romains 6:4, 5; 02:12; 3:1, 2. la nouvelle vie qu’elle mène est appelé « une vie pour Dieu, » Rom. 06:11; GAL 02:19.
3. ELLE AFFECTE TOUT L’HOMME: CORPS ET ÂME; INTELLIGENCE, AFFECTIONS ET VOLONTÉ. Cela découle de la nature de l’affaire, parce que la sanctification se déroule dans la vie intérieure de l’homme, dans le coeur, et cela ne peut être modifié sans en changer l’ensemble de l’organisme de l’homme. Si l’homme intérieur est modifié, il est forcément à changer aussi dans la périphérie de la vie. Par ailleurs, l’écriture clairement et explicitement enseigne qu’il affecte le corps et l’âme, j’ai th. 05:23; II Corinthiens 05:17; ROM. 06:12; I Corinthiens 06:15, 20. Le corps est livré en considération ici comme l’organe ou l’instrument de l’âme pécheresse, à travers lequel les inclinaisons pécheresses et les habitudes et les passions s’expriment. La sanctification du corps a lieu surtout dans la crise de la mort et la résurrection des morts. Enfin, il ressort également de l’écriture que la sanctification affecte tous les pouvoirs ou les facultés de l’âme: la compréhension, Jérémie 31: 34; John 06:45; — la volonté, Ézéchiel 36: 25-27; Phil. 02:13; — les passions, gal 05:24; — et la conscience, Tite 01:15; Héb. 09:14.
4. C’EST UNE ŒUVRE DE DIEU DANS LAQUELLE LES CROYANTS COOPÈRENT. Quand on dit que l’homme prend part aux travaux de la sanctification, cela ne signifie pas que l’homme est un agent indépendant au travail, afin de la rendre en partie le œuvre de Dieu et en partie le travail de l’homme; mais simplement, que Dieu les effets du travail en partie par l’intermédiaire de l’homme comme un être rationnel, en exigeant de lui une coopération priante et intelligente avec l’esprit. Que l’homme doit collaborer avec l’esprit de Dieu suit: (a) des avertissements répétés contre les maux et les tentations, qui impliquent clairement que l’homme doit être actif en évitant les écueils de la vie, Romains 12:9, 16, 17; I Corinthiens 6:9, 10; GAL 05:16-23; et (b) des constantes exhortations à une vie sainte. Elles impliquent que le croyant doit faire preuve de diligent dans l’emploi des moyens à ses ordres pour l’amélioration morale et spirituelle de sa vie, Michée 6:8; Jean 15:2, 8, 16; ROM. 08:12, 13; 12:1, 2, 17; Galates 6:7, 8, 15.
E. LES CARACTÉRISTIQUES DE LA SANCTIFICATION.
1. tel qu’il appert de la précédant, la sanctification est une œuvre que dont Dieu et non l’homme est l’auteur. Seuls les partisans de la soi-disant volonté peuvent prétendre que c’est un travail de l’homme. Néanmoins, elle diffère de la régénération chez l’homme peut et est en devoir de, recherchent de plus en plus sanctification en utilisant les moyens que Dieu a mises à sa disposition. C’est clairement enseigné dans l’écriture, II Cor. 7:1; Colossiens 3:5-14; J’ai PET. 01:22. Compatibles Antinomiens perdent de vue cette vérité importante et ne ressentent aucun besoin d’évitant soigneusement le péché, car cela affecte seulement le vieil homme qui est condamné à mort et pas l’homme nouveau qui est sacré avec la sainteté du Christ.
2. la sanctification se déroule en partie dans la vie subconsciente et comme tel est une opération immédiate du Saint-Esprit; mais aussi en partie dans la vie consciente et puis dépend de l’utilisation de certains moyens, tels que l’exercice constant de la foi, l’étude de la parole de Dieu, la prière et liaison avec les autres croyants.
3. la sanctification est habituellement un processus de longue haleine et n’atteint jamais la perfection dans cette vie. Dans le même temps, il peut y avoir des cas où il est terminé dans un temps très court ou même dans un instant, comme, par exemple, dans le cas où la régénération et la conversion sont immédiatement suivies de mort temporelle. Si nous pouvons aller de l’avant sur l’hypothèse que la sanctification du croyant est parfaite immédiatement après la mort — et l’écriture semble enseigner ce que l’âme est concerné —, alors dans ce cas, la sanctification de l’âme doit être remplie presque à la fois.
4. la sanctification du croyant, il semblerait, à compléter soit au moment du décès, ou immédiatement après la mort, pour autant que l’âme est concerné, et à la résurrection dans la mesure où elle concerne le corps. Cela semble découler du fait que, d’une part, la Bible enseigne que dans la vie présente ne peut prétendre à la liberté du péché, je rois 08:46; Prov. 20:9; ROM. 03:10, 12; Jac. 3:2; I Jean 1:8; et que, d’autre part, ceux qui les ont précédés sont entièrement sanctifiés. Il parle d’eux comme « les esprits des hommes justes rendus parfaits, » Hébreux 12:23 et en tant que « sans tache, » Apoc. 14:5. En outre, on nous dit que dans la cité céleste de Dieu il n’entreront « quelque chose d’impur ou celui qui fait une abomination et mensonge, » 21:27; et que Christ lors de sa venue sera « fashion nouveau le corps de notre humiliation, qu’il peut être semblables au corps de sa gloire, » Phil. 03:21.
F. L’AUTEUR ET LES MOYENS DE SANCTIFICATION.
Sanctification est une œuvre du Dieu triune, mais on attribue plus particulièrement à l’Esprit Saint dans l’écriture, Rom. 08:11; 15:16; I Pierre 1:2. Il est particulièrement important de nos jours, qui met l’accent sur la nécessité d’aborder l’étude de la théologie anthropologique et son recto appeler au service dans le Royaume de Dieu, à insister sur le fait que Dieu et non l’homme, est l’auteur de la sanctification. Compte tenu notamment de l’activisme, c’est une caractéristique de la vie religieuse américaine, et qui glorifie le travail de l’homme, plutôt que la grâce de Dieu, il est nécessaire d’insister sur le fait plus et plus encore que la sanctification est le fruit de la justification , que le premier est tout simplement impossible sans que ce dernier, et que les deux sont le fruit de la grâce de Dieu en la rédemption des pécheurs. Bien que l’homme a le privilège de collaborer avec l’esprit de Dieu, il pourra le faire seulement en vertu de la force qui donne l’esprit à lui de jour en jour. Le développement spirituel de l’homme n’est pas une réussite humaine, mais une œuvre de la grâce divine. L’homme mérite pas de crédit que ce soit pour ce qu’il y contribue instrumentalement. Dans la mesure où sanctification prend place dans la vie subconsciente, il est effectué par l’exploitation immédiate du Saint-Esprit. Mais comme le œuvre dans la vie consciente des croyants, il est forgé par plusieurs moyens, qui emploie de l’Esprit Saint.
1. LA PAROLE DE DIEU. S’opposant à l’Eglise de Rome, il doit être maintenu que le principal moyen utilisé par l’Esprit Saint est la parole de Dieu. La vérité en soi n’a certainement aucune efficacité adéquate pour sanctifier le croyant, mais il est naturellement adapté pour être les moyens de sanctification par l’Esprit Saint. L’écriture présente toutes les conditions objectives pour Saints exercices et actes. Il sert à exciter l’activité spirituelle en présentant des motifs et des incitations et donne sens à elle par des interdictions, des exhortations et des exemples, j’ai PET. 01:22; 2:2; II Pierre 1:4.
2. LES SACREMENTS. Voici le moyen par excellence d’après l’église de Rome. Protestants considèrent comme subordonné à la parole de Dieu et parfois même parlent d’eux comme la « parole visible ». Ils symbolisent et sceller nous les vérités mêmes qui sont expriment verbalement dans la parole de Dieu et peuvent être considérées comme un mot a agi, contenant une représentation vivante de la vérité, que le Saint-Esprit donne l’occasion d’exercices de Saintes. Ils ne sont pas subordonnés à la parole de Dieu, mais ne peut pas exister sans elle et sont donc toujours accompagnés par lui, Romains 6:3; I Corinthiens 12:13; Tite 3:5; I p, 03:21.
3. LA DIRECTION PROVIDENTIELLE. Providences de Dieu, tant favorables que défavorables, sont souvent de puissants moyens de sanctification. Dans le cadre de l’opération du Saint-Esprit par la parole, ils travaillent sur nos affections naturelles et donc fréquemment approfondir l’impression de la vérité religieuse et forcez-la à la maison. Il faut avoir à l’esprit que la lumière de la révélation de Dieu est nécessaire pour l’interprétation des lignes directrices de sa providentielles, PS. 119:71; Romains 2:4; Hébreux 12:10.
G. RELATION DE SANCTIFICATION AUX AUTRES STADES DE L’ORDO SALUTIS.
Il est d’une importance considérable pour avoir une conception correcte de la relation entre la sanctification et certains des autres stades dans le œuvre de rédemption.
1. À LA RÉGÉNÉRATION. Il y a tant de différence et de similarité ici. La régénération est remplie à la fois, pour un homme ne peut être plus ou moins régénéré; Il est soit mort ou vivant spirituellement. Sanctification est un processus, provoquant des changements graduels, afin que les différentes catégories peuvent être distinguées dans la sainteté qui en résulte. Donc nous sommes exhortés à la sainteté parfaite dans la crainte du Seigneur, II Cor. 7:1. Le Catéchisme de Heidelberg suppose également qu’il existe des degrés de sainteté, quand il dit que même « les plus saints hommes, en cette vie, ont seulement un petit début de cette obéissance. » Dans le même temps, la régénération est le début de la sanctification. Les travaux de renouvellement, commencé dans la première, se poursuit dans le second, Phil. 1:6. Strong déclare: « Il (sanctification) se distingue de régénération comme la croissance de la naissance, ou le renforcement d’une aliénation de Sainte de l’original interesant de celui-ci. »
2. À LA JUSTIFICATION. Justification précède et est fondamentale à la sanctification dans l’Alliance de la grâce. Dans l’Alliance des œuvres, l’ordre de la justice et la sainteté était juste l’inverse. Adam a été créé avec une disposition Sainte et l’inclinaison pour servir Dieu, mais sur la base de cette sainteté qu’il devait travailler sur la justice qui lui donnerait droit à la vie éternelle. La justification est la base judiciaire de sanctification. Dieu a le droit d’exiger de nous la sainteté de la vie, mais parce que nous ne pouvons pas travailler sur cette sainteté pour nous-mêmes, il librement travaille elle en nous par l’Esprit Saint sur la base de la justice de Jésus-Christ, qui est imputable à nous dans la justification. Le fait qu’elle est fondée sur la justification, dans lequel la libre grâce de Dieu se distingue avec la plus grande proéminence, exclut l’idée que nous pouvons mériter jamais quoi que ce soit dans la sanctification. L’idée de catholique que justification permet à l’homme interpréter des oeuvres méritoires est contraire à l’écriture. Justification comme tel, n’effect pas un changement dans notre être intérieur et a donc besoin de sanctification, comme son complément. Il ne suffit pas que le pécheur se dresse juste devant Dieu; il doit également être Saint dans sa vie intime. Barth a une représentation plutôt inhabituelle de la relation entre la justification et la sanctification. Afin de contrer toute autosatisfaction, il insiste là-dessus que les deux toujours être examinée conjointement. Ils vont de pair et il n’est pas quantitativement, comme si l’un puis l’autre. Justification n'est pas une station dont l’un passe, un fait accompli sur la base desquels on procède ensuite à l’autoroute de sanctification. Il n’est pas un fait dûment rempli, auquel on peut regarder en arrière avec une certaine assurance, mais il se produit toujours à nouveau chaque fois que l’homme a atteint le point de désespoir complet et puis va de pair avec la sanctification. Et tout comme l’homme reste un pécheur même après justification, donc il reste aussi un pécheur en sanctification, même ses meilleures actes continuent d’être des péchés. Sanctification ne pas engendrer une disposition Sainte et ne pas progressivement purifier l’homme. Il ne lui mette en possession de toute sainteté personnelle, ne lui fait pas un saint, mais lui laisse un pécheur. Il devient vraiment un acte déclaratif comme justification. McConnachie, qui est un interprète très sympathique de Barth, dit: « Justification et sanctification doivent, par conséquent, Barth, deux faces d’un acte de Dieu aux hommes. La justification est le pardon du pécheur (justificatio impii), par lequel Dieu déclare les justes de pécheur. Sanctification est la sanctification du pécheur (sanctificatio impii), par lequel Dieu déclare le pécheur « Saint ». » Aussi louable le désir de Barth, de détruire tout vestige de travail-justice, il va certainement à l’extrême injustifiée, dans lequel il pratiquement confond la justification et la sanctification, négatifs de la vie chrétienne et écarte la possibilité de assurance de la confiance.
3. À LA FOI. La foi est que le médiat ou instrumentales causent de sanctification aussi bien à partir de justification. Il ne mérite pas plus que cela, justification, mais il nous unit au Christ et nous garde en contact avec lui à la tête de la nouvelle humanité, qui est la source de la nouvelle vie en nous et aussi de notre sanctification progressive de sanctification , par le biais de l’opération du Saint-Esprit. La conscience du fait que sanctification repose sur la justification et est impossible sur tout autre fondement, et que l’exercice constant de la foi est nécessaire, afin d’avancer dans la voie de sainteté, nous offre une protection contre toute autosatisfaction dans notre s’efforçant d’avancer dans la piété et la sainteté de la vie. Il mérite une attention particulière que, alors que même la plus faible foi médie une justification parfaite, le degré de sanctification est proportionnels à la force du chrétien de foi et la persistance avec laquelle il appréhende le Christ.
H. LE CARACTÈRE IMPARFAIT DE LA SANCTIFICATION DANS CETTE VIE.
1. L’IMPARFAIT DANS UNE MESURE DE SANCTIFICATION. Quand on parle de sanctification comme étant imparfait dans cette vie, nous ne veux pas dire qu’il est imparfait dans certaines régions, comme si une partie seulement du Saint homme qui provient de régénération ont été touchée. C’est l’ensemble, mais l’homme nouveau sous-exploités, qui doit se transformer en pleine stature. Un nouveau-né est, sauf exceptions, parfait dans certaines régions, mais pas au crible dans le degré de développement auquel il est destiné. Tellement l’homme nouveau est parfait dans les pièces, mais reste dans la vie présente l’imparfait dans le degré de développement spirituel. Croyants doivent composer avec le péché tant qu’ils vivent, qu'i rois 08:46; Prov. 20:9; Eccl. 07:20; Jac. 3:2; I Jean 1:8.
2. DÉNI DE CETTE IMPERFECTION PAR LES PERFECTIONNISTES.
a. la doctrine du perfectionnisme. Prenant la parole en général, cette doctrine est à l’effet que la perfection religieuse est réalisable dans la vie présente. Il est enseigné sous diverses formes par les pélagiens, catholiques ou Semi-pélagiens, arminiens, wesleyenne, ces sectes mystiques comme les Labadists, les quiétistes, les Quakers et d’autres, certains des théologiens Oberlin, tels que Ritschl Mahan et Finney. Ces que tous sont d’accord pour le maintien qu’il est possible pour les croyants dans cette vie d’atteindre un État dans lequel ils sont conformes aux exigences de la loi en vertu de laquelle ils vivent, ou en vertu de cette loi il a été adapté à leurs besoins et en mesure actuelle et, par conséquent, être exempt de péché. Ils diffèrent, cependant: (1) dans leur vision du péché, les pélagiens, à la différence de tout le reste, refusant la corruption inhérente de l’homme. Ils sont tous d’accord, cependant, en externalisant le péché. (2) dans leur conception du droit qui croyants sont désormais obligés remplir, les arminiens, y compris le wesleyenne, différent de tout le reste en jugeant que ce n’est pas la loi morale originelle, mais les exigences de l’Évangile ou la nouvelle loi de la foi et évangélique obéissance. Les catholiques romains et les théologiens Oberlin maintiennent que c’est la loi originelle, mais admettre que les exigences de la présente loi sont ajustées aux pouvoirs détériorée de l’homme et à sa capacité actuelle. Et Ritschl rejette l’idée que l’homme est soumis à une loi imposée de l’extérieur. Il défend l’autonomie de conduite morale et que nous sommes sous aucune loi, mais comme est évolué à partir de notre propre disposition morale dans le cadre des activités pour l’accomplissement de notre vocation. (3) dans leur idée de dépendance à l’égard du pécheur sur la renouvellement grâce de Dieu pour la capacité d’accomplir la Loi. Tous, sauf les pélagiens, admettent qu’il est en quelque sorte tributaire de la grâce divine, en vue de la réalisation de la perfection.
Il est très important que toutes les principales théories perfectionniste (à la seule exception de la pélagienne, qui nie la corruption inhérente de l’homme) jugent nécessaire d’abaisser la norme de la perfection et ne pas tenir responsable de beaucoup de choses qui est sans aucun doute exigée par la loi morale originelle. Et c’est tout aussi important qu’ils sentent la nécessité d’extériorisation de l’idée du péché, lorsqu’ils affirment que répréhensibles seulement conscient peut être donc considéré et refuser de reconnaître comme péché beaucoup qui est représenté en tant que tel dans l’écriture.
b. des preuves scripturaires produites pour la doctrine du perfectionnisme.
(1) la Bible commandes croyants d’être Saint et même d’être parfait, j’ai PET. 01:16; Matthieu 05:48; Jac. 1:4 et les exhorte à suivre l’exemple du Christ qui n’a pas de péché, I Pierre 2:21 f. Ces commandes ne seraient pas raisonnable, s’il n’était pas possible d’atteindre la perfection sans péché. Mais la demande scripturaire d’être Saint et parfait vaut pour le régénéré, ainsi que pour le régénérer, depuis la Loi de Dieu sainteté de demandes dès le départ et n’a jamais été révoquée. Si la commande indique qu’ils ont à qui il s’agit peuvent vivre jusqu'à l’exigence, cela doit être vrai pour tous les hommes. Cependant, seulement ceux qui enseignent de perfectionnisme dans le sens de pélagienne peuvent tenir ce point de vue. La mesure de notre capacité ne peut être déduite les commandements bibliques.
(2) la sainteté et la perfection sont souvent attribuées aux croyants dans l’écriture, la chanson de sol 4:7; I Corinthiens 2:6; II Corinthiens 05:17; Eph. 05:27; Héb. 05:14; Phil. 04:13; 02:10. Quand la Bible parle des croyants comme Saint et parfait, cependant, cela ne signifie pas nécessairement qu’ils sont sans péché, puisque les deux termes sont souvent utilisés dans un sens différent, non seulement dans le langage courant, mais aussi dans la Bible. Personnes, mis de côté pour le service spécial de Dieu sont appelés saints dans la Bible, indépendamment de leur état moral et de la vie. Croyants peuvent être et sont appelés saints, parce qu’elles sont objectivement Saints dans le Christ, soit parce qu’ils sont en principe subjectivement sanctifié par l’esprit de Dieu. Paul dans ses épîtres répond invariablement ses lecteurs comme des saints, qui est « Saints » et procède ensuite à plusieurs reprises de les prendre à partie pour leurs péchés. Quand les croyants sont décrits comme parfait, ce qui signifie parfois simplement qu’ils sont gros, j’ai Cor. 2:6; Héb. 05:14 et dans d’autres qu’ils sont entièrement équipés à leur tâche, II Tim. 03:17. Tout cela ne donne certes pas visage à la théorie du péché moins perfection.
(3) il y a, il est dit, bibliques exemples des saints qui a dirigé la vie parfaite, comme Noé, emploi et Asa, Genèse 6:9; Job 1:1; Iier Rois 15:14. Mais, certainement, des exemples comme ceux-ci ne prouvent pas le point pour la simple raison qu’ils ne sont aucuns exemples de la perfection sans péché. Même les plus notables saints de la Bible sont représentés comme des hommes qui ont leurs défauts et qui ont péché, dans certains cas très grièvement. Cela est vrai de Noé, Moïse, Job, Abraham et tous les autres. Il est vrai que cela ne prouve pas nécessairement que leur vie est resté pécheur, tant ils ont vécu sur terre, mais il est frappant de constater que nous ne sommes pas introduit d’un seul qui était sans péché. La question de Salomon est encore pertinente: « qui peut dire, j’ai fait mon coeur pur, je suis pur de mon péché ? » Prov. 20:9. En outre, Jean dit: « si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est pas en nous, » I Jean 1:8.
(4) l’apôtre Jean déclare explicitement que ceux qui sont nés de Dieu ne péchez pas, I Jean 3:6, 8, 9; 5:18. mais quand John dit que ceux qui sont nés de Dieu ne péchaient pas, il est contrastant les deux Etats, représentés par l’ancien et le nouvel homme, quant à leur nature essentielle et le principe. Une des caractéristiques essentielles de l’homme nouveau est qu’il ne pèche pas. Compte tenu du fait que Jean utilise invariablement le présent pour exprimer l’idée que celui né de Dieu ne pèche pas, il est possible qu’il désire exprimer l’idée que l’enfant de Dieu ne fait pas consacrée pécher habituellement, tout comme le diable , I Jean 3:8. Il ne signifie certainement pas à affirmer que le croyant commet jamais un acte de péché, j’ai cf. Jean 1:8-10. En outre, le perfectionniste ne peut très bien utiliser ces passages pour prouver son point, car ils seraient avérerait trop pour son dessein. Il ne fait pas "BOLD" de dire que tous les croyants sont en fait sans péché, mais seulement qu’ils peuvent atteindre un état de perfection sans péché. Les passages johanniques, cependant, seraient avérerait, selon son interprétation, que tous les croyants sont sans péché. Et de plus, qu’ils s’avérerait également que croyants ne tombent jamais de l’état de grâce (car c’est pécher); et pourtant les perfectionnistes sont ceux-là qui croient que les chrétiens même parfaits peuvent tomber.
c. les Objections à la théorie du perfectionnisme.
(1) à la lumière de l’écriture, la doctrine du perfectionnisme est absolument intenable. La Bible nous donne l’assurance explicite et très précis, qu’il n’y a personne sur terre qui ne pèche pas, I rois 08:46; Prov. 20:9; Eccl. 07:20; ROM. 03:10; Jac. 3:2; I Jean 1:8. Au vu de ces déclarations claires de l’écriture, il est difficile de voir comment tous ceux qui prétendent croire à la Bible comme la parole infaillible de Dieu peut contenir, qu’il est possible pour les croyants à mener une vie sans péché, et que certains réussissent effectivement à éviter tout péché.
(2) conformément à l’écriture, il y a une guerre constante entre la chair et l’esprit dans la vie des enfants de Dieu, et même les meilleurs d'entre eux sont efforcent toujours de la perfection. Paul donne une description très frappante de cette lutte dans Romains 7:7-26, un passage qui certainement se réfère à lui dans son état régénérer. Dans Galates 05:16-24, qu'il parle de cette lutte même comme une lutte qui caractérise tous les enfants de Dieu. Et dans Phil. 03:10-14, il parle de lui-même, pratiquement à la fin de sa carrière, comme celui qui n’a pas encore atteint la perfection, mais est en appuyant sur l’objectif.
(3) la confession du péché et de la prière pour le pardon doivent continuellement. Jésus a enseigné ses disciples sans exception à prier pour le pardon des péchés et pour la délivrance de tentation et de la mal one, Matthieu 06:12, 13. Et Jean dit: « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité, » I Jean 1:9. En outre, les saints de la Bible sont constamment représentés comme confessant leurs péchés, Job 9:3, 20; PS. 32: 5; 130:3; 143:2; Prov. 20:9; Ésaïe 64: 6; Dan. 09:16; ROM. 07:14.
(4) les perfectionnistes jugent nécessaire d’abaisser la norme de la Loi et d’extérioriser l’idée du péché, afin de maintenir leur théorie. En outre, certains d'entre eux ont modifiée à plusieurs reprises l’idéal auquel, selon leurs estimations, croyants peuvent atteindre. Dans un premier temps, l’idéal était « libre de tout péché »; Ensuite, « la liberté de tout péché conscient, » prochain, « entière consécration à Dieu, » et, enfin, « l’assurance chrétienne ». C’est en soi une condamnation suffisante de leur théorie. Naturellement, nous ne nions pas que le chrétien peut atteindre à l’assurance de la foi.
I. SANCTIFICATION ET BONNES ŒUVRES.
Sanctification et les bonnes œuvres sont plus intimement liés. A l’instar de l’ancienne vie s’exprime dans les œuvres du mal, alors la nouvelle vie, qui est originaire de régénération et est promue et renforcée dans la sanctification, naturellement se manifeste dans les bonnes œuvres. Ceux-ci peuvent être appelés les fruits de la sanctification et comme tel viennent en considération ici.
1. LA NATURE DES BONNES ŒUVRES.
a. bon fonctionne dans le sens spécifiquement théologique. Quand on parle de bonnes œuvres en relation avec la sanctification, on ne se réfèrent pas aux œuvres qui sont parfaites, cette réponse parfaitement aux exigences de la loi morale divine et qui sont de telle valeur intrinsèque quant à donnent droit à la récompense de la vie éternelle sous le conditi ons de l’Alliance des œuvres. Nous signifient, toutefois, des oeuvres qui sont fondamentalement différents dans la qualité morale de l’action de la régénéré, et qui sont l’expression d’une nature nouvelle et Sainte, comme le principe d'où il ressort. Voici les œuvres que Dieu approuve, mais récompense aussi dans un certain sens. Voici les caractéristiques des œuvres qui sont spirituellement bons: (1), ils sont les fruits d’un coeur de régénérer, car sans cela personne ne peut avoir la disposition (d’obéir à Dieu) ainsi que le motif (de glorifier Dieu) qui est nécessaire, Matthieu 12:33; 07:17, 18. (2) ils ne sont pas seulement en externe conforme à la Loi de Dieu, mais sont également faites dans consciente obéissance à la volonté révélée de Dieu, c’est parce qu’ils sont exigés par Dieu. Il ressort du principe de l’amour de Dieu et de l’envie de faire sa volonté, Deut. 6:2; J’ai Samuel 15:22; Ésaïe 01:12; 29: 13; Matthieu 15:9. (3) quelles que soient leur objectif immédiat, leur objectif final n’est pas le bien-être de l’homme, mais la gloire de Dieu, qui est le plus haut but concevable de la vie de l’homme, I Cor. 10:31; Romains 12:1; 03:17, 23.
b. bonnes œuvres dans un sens plus général. Bien que le terme « bonnes œuvres » est généralement utilisé en théologie au sens strict juste indiqué, il reste vrai que le régénéré peut également effectuer les travaux qu’on peuvent qualifier bon dans un sens superficiel du mot. Ils effectuent souvent des œuvres qui sont vers l’extérieur en conformité avec la Loi de Dieu et peuvent être appelées objectivement bon, à la différence de transgressions flagrantes de la Loi. Tel travaille en réponse à un objectif immédiat qui rencontre l’approbation de Dieu. En outre, en vertu du reste de l’image de Dieu dans l’homme naturel et de la lumière de la nature, homme peut être guidé dans sa relation à d’autres hommes par des motifs qui sont louables et en ce jour portent le sceau d’approbation de Dieu. Les bonnes œuvres, cependant, ne peut pas considérées comme fruits du cœur de l’homme corrompu. Ils trouvent leur explication que dans la commune grâce de Dieu. En outre, nous devons garder à l’esprit que, bien que ces œuvres peuvent être appelées bons dans un certain sens et sont soi-disant dans la Bible, Luc 06:33, ils sont encore essentiellement défectueux. Les actes de la régénéré sont divorcés depuis la racine spirituelle de l’amour de Dieu. Ils ne représentent aucun intérieure d’obéissance à la Loi de Dieu et aucune soumission à la volonté du souverain souverain du ciel et la terre. Ils n’ont pas de but spirituel, car ils ne sont pas effectuées dans le but de glorifier Dieu, mais ne portent que sur les relations de la vie naturelle. La qualité réelle de la Loi est, bien sûr, déterminée par la qualité de son objectif final. La capacité de la régénéré à accomplir de bonnes œuvres dans un certain sens du mot a souvent été niée. Barth va plus loin quand il va à l’extrême de nier que les croyants peuvent faire de bonnes œuvres et affirme que toutes leurs œuvres sont des péchés.
2. LE CARACTÈRE MÉRITOIRE DE BONNES ŒUVRES. Dès les premiers âges de the Christian Church, il y avait une tendance à attribuer un certain mérite de bonnes œuvres, mais la doctrine du mérite a été vraiment développée au moyen-âge. Au moment de la réforme, il a été très important dans la théologie catholique romaine et a été poussé à l’extrême ridicule dans la vie pratique. Les réformateurs rejoint à la fois question avec l’Eglise de Rome sur ce point.
a. la position de Rome sur le point en question. L’église catholique fait la distinction entre un meritum de condigno, qui représente la dignité et une valeur, et un meritum de congruo, qui est une sorte de quasi mérite, quelque chose apte à être récompensés. Le premier s’attache uniquement aux travaux effectués après la régénération aide la grâce divine et est un mérite qui intrinsèquement mérite la récompense qu’il reçoit de la main de Dieu. La dernière attachée à ces dispositions ou les œuvres dont un homme peut développer ou faire avant la régénération, en vertu de la grâce prévenante une simple, et est un mérite qui le rend congruente ou ajustés pour Dieu de récompenser l’agent en perfusant grâce dans son cœur. Étant donné que les décisions du Concile de trente sont plutôt douteuses sur ce point, il existe une incertitude, cependant, quant à la position exacte de l’église. L’idée générale semble être que la capacité d’effectuer les bonnes actions au sens strict du mot jaillit de grace infusé dans le cœur du pécheur pour l’amour de Christ; et que par la suite ces mérite des bonnes œuvres, c'est-à-dire donner homme légitimement revendiquer, Salut et la gloire. L’Eglise va encore plus loin que cela et apprend que les croyants peuvent effectuer des oeuvres de supererogation, peut faire plus que nécessaire pour leur propre salut et peut donc poser par un magasin de bonnes œuvres, qui peuvent être obtenues au profit des autres.
b. la position biblique sur ce point. L’écriture enseigne clairement que les bonnes œuvres des croyants ne sont pas méritoires au sens propre du mot. Nous devons garder à l’esprit, cependant, que le mot « mérite » est employé dans un sens double, stricte et bon et l’autre lâche. À proprement parler, une œuvre méritoire est une à laquelle, en raison de sa valeur intrinsèque et la dignité, la récompense est justement due de justice commutative. Lâchement parlant, cependant, un travail qui mérite d’approbation et de joint en quelque sorte une récompense (par promesse, accord, ou autre) est aussi parfois appelé méritoire. Ces œuvres sont louables et sont récompensés par Dieu. Mais, quoi qu’il soit, ils sont sûrement pas méritoires au sens strict du mot. Ils ont, par leur propre valeur morale intrinsèque, fais pas Dieu un débiteur à celui qui les accomplit. En stricte justice le bien des œuvres de mérite de croyants rien. Certains des passages plus concluantes de l’écriture pour prouver le point considéré sont les suivants: Luc 17:9, 10; ROM. 05:15-18; 06:23; Éphésiens 2:8-10; II Timothée 1:9; Tite 3:5. Ces passages montrent clairement que les croyants ne reçoivent pas l’héritage du Salut parce que c’est grâce à eux, en vertu de leurs bonnes œuvres, mais seulement comme un don gratuit de Dieu. Il va de soi également que ces travaux ne peut être méritoire, pour: (1) croyants doivent toute leur vie à Dieu et donc ne peut mériter quoi que ce soit en donnant à Dieu tout simplement ce qui est son dû, Luc 17:9, 10. (2) ils ne peut pas effectuer de bonnes œuvres dans leur propre force, mais seulement dans la force que Dieu leur donne de jour en jour; et compte tenu de ce fait, ils ne peuvent s’attendre au mérite de ces oeuvres, I Cor. 15:10; Phil. 02:13. (3) même les meilleures œuvres des croyants restent imparfaits dans cette vie, et toutes les bonnes œuvres représentent ensemble seulement une obéissance partielle, alors que la Loi exige l’obéissance parfaite et peut être satisfaite de rien de moins, Esaïe 64: 6; Jac. 3:2. (4) en outre, les bonnes œuvres des croyants sont sans commune mesure avec la récompense éternelle de gloire. Une obéissance temporelle et l’imparfait ne peut jamais mériter une récompense éternelle et parfaite.
3. LA NÉCESSITÉ DE BONNES ŒUVRES. Il ne peut y avoir aucun doute quant à la nécessité de bonnes œuvres bien comprise. Elles ne peuvent être considérées comme nécessaires au salut de mérite, ni comme un moyen de conserver une emprise sur le Salut, ni même comme la seule façon que de procéder à la gloire éternelle, pour enfants entrent Salut sans avoir fait les bonnes œuvres. La Bible n’enseigne pas que nul ne peut être sauvé en dehors de bonnes œuvres. En même temps des bonnes œuvres nécessairement de l’union des croyants avec le Christ. « Celui qui demeure en moi et moi en lui, le même enfantera beaucoup de fruit, » Jean 15:5. Ils sont également nécessaires tel qu’exigé par Dieu, Romains 7:4; 08:12, 13; Galates 6:2, comme les fruits de la foi, Jacques 02:14, 17, 20-22, en tant qu’expressions de gratitude, I Cor. 06:20, à l’assurance de la foi, II Pierre 1:5-10 et à la gloire de Dieu, Jean 15:8; I Corinthiens 10:31. La nécessité de bonnes œuvres doit être maintenue par les Antinomiens, qui prétendent que, puisque Christ non seulement porte le châtiment du péché, mais a également rencontré les exigences positives du droit, le croyant est exempt de l’obligation de l’observer, une erreur qui est toujours avec nous pour -jour dans certaines formes du dispensationalisme. Il s’agit d’une position complètement fausse, car c’est seulement la Loi comme un système de peine et comme un moyen de salut qui est aboli par la mort du Christ. La Loi comme la norme de notre vie morale est une transcription de la sainteté de Dieu et donc de validité permanente aussi pour le croyant, bien que son attitude envers la loi a subi un changement radical. Il a reçu l’esprit de Dieu, qui est l’esprit d’obéissance, de sorte que, sans aucune contrainte, il obéit volontiers à la Loi. Strong le résume bien, quand il dit: Christ nous libère « (1) de la Loi comme un système de malédiction et de peine; ce qu’il fait en portant la malédiction et peine lui-même...; (2) de la loi avec ses revendications comme moyen de Salut; ce qu’il fait en faisant son obéissance et nôtre mérite...; (3) de la Loi comme une contrainte extérieure et étrangère; ce qu’il fait en nous donnant l’esprit d’obéissance et de filiation, par lequel le droit est progressivement réalisé au sein de. »
QUESTIONS pour étude complémentaire: Comment était théocratique, liés à l’éthique, la sainteté parmi Israël ? Comment étaient les purifications rituelles liées à la sanctification ? Qui est l’objet de la sanctification, le vieillard ou la nouvelle, ou aucune des deux ? Sanctification dans cette vie affecte toutes les parties de l’homme tout aussi ? Où commence le processus de sanctification ? Tous les Chrétiens éprouvent un progrès constant dans la sanctification ? Quelle est la différence entre la sanctification et l’amélioration morale ? Le fait que la sanctification n’est jamais complète dans cette vie nécessairement conduit à la doctrine du purgatoire, ni à celle de la poursuite de sanctification après la mort ? Comment a fait concevoir Wesley « sanctification totale » ? Barth attribuent également la sainteté comme une qualité éthique pour le croyant ? La preuve de ce que l’écriture est là que le chrétien n’est pas exempt de la Loi comme règle de vie ? Protestants enseignent en général que les bonnes œuvres ne sont pas nécessaires ? Comment les catholiques romains et Protestants diffèrent quant à la nécessité de bonnes oeuvres ? Est-il sage de dire sans aucune réserve, que les bonnes œuvres sont nécessaires pour le Salut ? Si tous les chrétiens héritent la vie éternelle, dans quel sens leurs bonnes œuvres sera la norme de leur récompense ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 245-288; Kuyper, Dict. dogme., De Salute, pp. 134-157; Ibid., Het Werk van den Heiligen Geest III, pp. 1-123; Vos. Geref. Dogme. IV, pp. 211-248; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 213-258; Shedd, dogme . THEOL. II, p. 553-560; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 660-687; Strong, Syst. Theol., p. 869-881; Alexander, syst. de la Bibl. Theol. II, pp. 428-459; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., pp. 322-337; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 491-503; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 272-277; Pieper, Dogmatik Chr. III, pp. 1-106; Watson, instituts de théol. III, pp. 197-206; Curtiss, La foi Chr., pp. 373-393; Pape, Chr. Theol. III, pp. 28-99; Carle, Le salut de Chr., pp. 110-133; Impeta, De Leer der Heiliging et Volmaking bij Wesley et Fletcher; Clarke, une ébauche de Chr. Theol., pp. 409-427; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., p. 293-304; Moehler, symbolisme, pp. 157-175; Finney, Syst. Theol., pp. 402-481; Starbuck, le Psych. rel., p. 375-391; Koberle, la quête de la sainteté; Warfield, Studies in perfectionnisme (2 vol.); Newton a volé, l’idée de la Perfection dans la théologie chrétienne.
A. LA DOCTRINE DE LA PERSÉVÉRANCE DES SAINTS DANS L’HISTOIRE.
La doctrine de la persévérance des saints est à l’effet qu’ils que Dieu a régénéré et effectivement appelé à un état de grâce, peut ni totalement, ni enfin tomber loin de cet État, mais doit certainement persévérer y jusqu’au bout et être éternellement a sauvé. Cette doctrine a été tout d’abord explicitement enseignée par Augustin, bien qu’il n’était pas aussi cohérent sur ce point, comme on aurait été attendre de lui comme un predestinarian stricte. Avec lui, la doctrine n’a pas assumé la forme vient de le dire. Il a statué que les élus ne pouvaient pas tellement tomber loin quant à être enfin perdu, mais en même temps jugent possible que certains de ceux qui étaient doués avec une nouvelle vie et la véritable foi pourrait tomber en disgrâce complètement et enfin subir la damnation éternelle. L’église de Rome avec sa semi pélagianisme, y compris la doctrine du libre arbitre, a nié la doctrine de la persévérance des saints et dépende leur persévérance l’obéissance incertaine de l’homme. Les réformateurs remit cette doctrine à sa place qui lui revient. L’église luthérienne, cependant, rend incertain à nouveau en le rendant dépend de l’activité continue de l’homme de foi et en supposant que les vrais croyants peuvent tomber complètement de la grâce. C’est seulement dans les églises calvinistes que la doctrine est maintenue sous une forme dans laquelle il offre une certitude absolue. Les Canons de Dordrecht, après avoir appelé l’attention sur les nombreuses faiblesses et les échecs des enfants de Dieu, déclare: « mais Dieu, qui est riche en miséricorde, selon son dessein immuable de l’élection, ne retire pas tout à fait l’Esprit Saint de son propre peuple même dans leur chutes graves; ni souffre eux de procéder jusqu'à présent quant à perdre la grâce d’adoption et de renoncer à l’état de justification ou de commettre le péché jusqu'à la mort ou à l’encontre de l’Esprit Saint; ni il leur permet d’être totalement déserte et se plonger eux-mêmes dans la destruction éternelle. » les arminiens a rejeté ce point de vue et subordonné la persévérance des croyants sur leur volonté de penser et sur leurs bonnes œuvres. Arminius lui-même évité cette extrême, mais ses partisans ont fait n’a pas hésité à maintenir leur position synergique avec toutes ses conséquences. Les arminiens Wesleyan emboîté le pas comme plusieurs des sectes. Les Églises réformées ou calvinistes tenir pratiquement seuls en donnant une réponse négative à la question, si un chrétien peut complètement tomber de l’état de grâce et finalement disparaître.
B. DÉCLARATION DE LA DOCTRINE DE LA PERSÉVÉRANCE.
La doctrine de la persévérance exige la déclaration prudente, compte tenu du fait que le terme « persévérance des saints » est passible d’incompréhension. Il convient d’abord de noter que la doctrine n’est pas simplement à l’effet que les élus seront certainement enregistrées en fin de compte, bien qu’Augustine a donné cette forme, mais il apprend très concrètement que ceux qui ont été régénérés et effectivement appelés par Dieu à une État de grâce, ne peuvent jamais complètement tomber de cet État et donc ne parviennent pas à atteindre le salut éternel, bien qu’ils peuvent parfois être vaincues par le mal et tombent dans le péché. On affirme que la vie de la régénération et les habitudes qui se développent hors de lui dans la voie de sanctification ne peut jamais entièrement disparaître. En outre, nous devrions nous garder contre le malentendu que cette persévérance est considérée comme une propriété intrinsèque du croyant ou comme une activité permanente de l’homme, au moyen duquel il persévère dans la voie de Salut. Lorsque Strong parle de lui comme « le maintien volontaire, la part de chrétien, de foi et de bien faire, » et comme « le côté humain ou l’aspect de ce processus spirituel qui, vu du côté divin, nous appelons la sanctification, » — c’est certainement susceptible de créer une l’impression que persévérance dépend de l’homme. L’église réformée, cependant, ne considère pas la persévérance des saints comme étant, en premier lieu, une disposition ou une activité du croyant, bien que certainement, ils croient que l’homme coopère en elle comme il le fait dans la sanctification. Même, ils soulignent le fait que le croyant serait tomber, s’il était laissé à lui-même. Il est, à proprement parler, pas l’homme mais Dieu qui persévère. Persévérance peut être défini comme ce fonctionnement continu de l’Esprit Saint en croyant, par lequel le œuvre divine grace c’est commencé au coeur, est poursuivi et apporté jusqu'à la fin. C’est parce que Dieu abandonne jamais son travail que croyants continuent de se tenir jusqu’au bout. La persévérance est premièrement, de la part de Dieu, une persistance constant de la grâce dans le cœur des élus qui les maintient dans la foi de Christ et en Christ. De la part de l'homme elle est la conscience réelle et active d'une confiance certaine que la Sainte Présence de Christ, qui habite en ses élus, réalise en eux cette bonne œuvre de la grâce en leur faveur, sécurisant leur salut à travers toutes circonstances et toutes épreuves. La persévérance est en ce sens une extension de l'œuvre de rédemption qui assure sa continuité et maintenance jusqu'à l'apparition finale de Christ en ce monde, lorsque les élus seront transformés en son image pour participer à sa gloire éternelle. Tout dans la persévérance est de Dieu, rien n'est de l'homme. Toute la gloire est à Christ.
C. LA PREUVE POUR LA DOCTRINE DE LA PERSÉVÉRANCE.
La doctrine de la persévérance peut être prouvée par certaines déclarations de l’écriture et par conséquent d’autres doctrines.
1. RELEVÉS DE L’ÉCRITURE. Il y a quelques passages importants de l’Ecriture qui entrée en considération ici. Dans Jean 10:27-29, nous lisons: « mes brebis entendent ma voix, je les connais et elles me suivent; et je leur donne la vie éternelle; et elles ne périront jamais, et personne ne doit leur arracher ma main. Mon père, qui leur a donné à moi, est plus grand que tous; et personne n’est capable de les arracher de la main du père. » Paul dit dans Romains 11:29: « car les dons et l’appel de Dieu ne sont pas repentis de ». Cela signifie que la grâce de Dieu révélé dans sa vocation n’est jamais retirée, comme s’il s’est repenti de celui-ci. Il s’agit d’une déclaration générale, même si par la suite dans laquelle il se trouve, il se réfère à la vocation d’Israël. L’Apôtre réconforte Philippiens croyant par les mots: « Être convaincus de cette chose, que celui qui a commencé un bon travail en vous il sera parfait pour le jour de Jésus Christ, » Philippiens 1:6. Dans II Thess. 3:3 il dit: « Mais le Seigneur est fidèle, qui établit à vous et vous protéger du mal. » II Timothée 01:12 il retentit une note d’allégresse: « Car je sais celui que j’ai cru, et je suis persuadé qu’il est capable de garder ce que je me suis engagé à lui contre ce jour-là. » Et, à 04:18 de la même épître, il se glorifie dans le fait que le Seigneur lui délivrera de toute oeuvre mauvaise et lui permettra d’économiser à son royaume céleste.
2. PREUVES INFÉRENTIELLES. La doctrine de la persévérance peut également être prouvée d’une manière déductive.
a. de la doctrine de l’élection. Élection ne signifie pas simplement que certains seront favorisées avec certains privilèges externes et peut être sauvé, si ils font leur devoir, mais que ceux qui appartiennent au nombre des élus seront finalement sauvés et peuvent ne jamais en deçà Salut parfait. C’est une élection à la fin, autrement dit, pour le salut. Au travail il Dieu confère croyants avec des influences de l’Esprit Saint, quant à eux, conduire non seulement à accepter Christ, mais de persévérer jusqu'à la fin et pour être sauvé à l’extrême.
b. la doctrine de l’Alliance de la rédemption. Dans l'Alliance de la rédemption, Dieu a donné son peuple à son fils comme la récompense pour l’obéissance et la souffrance de ce dernier. Cette récompense a été fixée de toute éternité et ne restait pas subordonnée à une fidélité incertaine de l’homme. Dieu ne va pas revenir sur sa promesse, et il est donc impossible que ceux qui sont considérés comme étant dans le Christ et comme faisant partie de sa rétribution, peuvent être séparés de lui (Rom. 08:38, 39), et que ceux qui sont entrés dans l'Alliance comme une communion de vie devraient tomber ou t.
c. de l’efficacité des mérites et l’intercession du Christ. Dans son œuvre expiatoire Christ a payé le prix d’achat du pécheur pardon et acceptation. Sa justice constitue le terrain idéal pour la justification du pécheur, et il est impossible que celui qui est justifié par le versement d’un prix aussi parfait et efficace devrait encore tomber sous la condamnation. De plus, Christ intercède constante pour ceux qui sont donné lui du père, et sa prière d’intercession pour son peuple est toujours efficace, John 11:42; Héb. 07:25.
d. de l’union mystique avec le Christ. Ceux qui sont Unis au Christ par la foi deviennent participants de son esprit et donc un seul corps avec lui, rythmé par la vie de l’esprit. Ils partagent la vie du Christ, et parce qu’il vit ils vivent aussi. Il est impossible qu’ils encore devraient être retirés du corps, frustrant ainsi l’idéal divin. L’union est permanente, car il est originaire d’une cause permanente et immuable, l’amour libre et éternelle de Dieu.
e. les travaux de l’Esprit Saint dans le cœur. Dabney correctement dit: « c’est une estimation basse et indigne de la sagesse de l’Esprit Saint et de son travail au coeur, à supposer qu’il va commencer le travail maintenant et actuellement du désert; que l’étincelle de l’état civil de naissance céleste est une ignis fatuus, brûle pendant une courte saison et puis venant à expiration en obscurité totale; que la vie spirituelle communiquée dans la nouvelle naissance, est une sorte de vitalité spasmodique ou galvanique, donnant l’apparence de la vie dans l’âme des mort et puis mourir. » Selon l’Ecriture le croyant est déjà en cette vie en possession du Salut et la vie éternelle, John 03:36; 05:24; 6:54. pouvons nous procéder sur l’hypothèse que la vie éternelle ne sera pas éternelle ?
f. de l’assurance du Salut. Il est évident par les écritures que croyants peuvent atteindre, dans cette vie, à l’assurance du Salut, Héb. 03:14; 06:11; 10:22; II Pierre 01:10. Cela semble être tout à fait hors de question, s’il était possible pour les croyants de tomber en disgrâce à tout moment. Il peut être apprécié que par ceux qui se tiennent dans la ferme conviction que Dieu va parfaire le travail qu’il a commencé.
D. LES OBJECTIONS À LA DOCTRINE DE LA PERSÉVÉRANCE.
1. ELLE EST INCOMPATIBLE AVEC LA LIBERTÉ HUMAINE. Il est dit que la doctrine de la persévérance est incompatible avec la liberté humaine. Mais cette objection n’entreprenne la fausse supposition que la véritable liberté consiste dans la liberté d’indifférence, ou la puissance de choix contraire en matière de morale et spirituelle. C’est erroné, cependant. Vraie liberté consiste exactement à l’autodétermination dans le sens de la sainteté. L’homme n’est jamais plus libre que lorsqu’il se déplace consciemment dans la direction de Dieu. Et le chrétien se tient dans cette liberté par la grâce de Dieu.
2. ELLE CONDUIT À LA PARESSE ET L’IMMORALITÉ. Il est affirmé avec certitude que la doctrine de la persévérance mène à l’indolence, la licence et l’immoralité même. Une fausse sécurité est censée résulter. Il s’agit d’une notion erronée, cependant, car, bien que la Bible nous dit que nous sommes tenus par la grâce de Dieu, elle ne favorise pas l’idée que Dieu nous garde sans la vigilance constante, diligence raisonnable et la prière de notre part. Il est difficile de voir comment une doctrine qui assure le croyant d’une persévérance dans la sainteté peut être une incitation pour le péché. Il semblerait que la certitude du succès dans la recherche active de sanctification serait la meilleure stimulation possible à l’effort de plus en plus.
3. ELLE EST CONTRAIRE À L’ÉCRITURE. La doctrine est souvent déclarée contraire à l’écriture. Les passages produites pour prouver cette affirmation peuvent être réduites à trois classes.
a. il existe des mises en garde contre l’apostasie qui semble être tout à fait déplacée, si le croyant ne pouvait pas tomber loin, Matthieu 24:12; 01:23; Hébreux 2:1; 03:14; 06:11; J’ai John 2:6. Mais ces avertissements considèrent la question entière du côté de l’homme et visent au sérieux. Ils invite l’auto-examen et jouent un rôle essentiel dans le maintien des croyants dans la voie de persévérance. Ils ne prouvent pas qu’un quelconque de ces adressée sera apostasier, mais simplement que l’utilisation de moyens est nécessaire pour les empêcher de commettre ce péché. Comparer les actes 27:22-25 avec le verset 31 pour une illustration de ce principe.
b. il y a aussi des exhortations, invitant les croyants à poursuivre dans la voie de la sanctification, qui risque d’être inutile s’il n’y a aucun doute là-dessus qu’ils continueront jusqu'à la fin. Mais celles-ci se trouvent généralement dans le cadre de tels avertissements que celles visées au point a et ont exactement la même finalité. Ils ne prouvent pas que des croyants exhortés persévérera pas, mais seulement que Dieu utilise des moyens moraux pour l’accomplissement des fins morales.
c. encore une fois, il est dit que l’écriture enregistre plusieurs cas d’apostasie réelle, j’ai Timothée 01:19, 20; II Timothée 02:17, 18; 04:10; II Pierre 2:1, 2; Voir aussi Hébreux 6:4-6. Mais ces cas ne prouvent pas la prétention qui sont vrais croyants, en possession de vrai économie de foi, de grâce, à moins qu’elle montré tout d’abord que les personnes indiquées dans ces passages avaient vraie foi en Christ et pas seulement temporelle foi, ce qui n’est pas ancrée en régénération. La Bible nous enseigne qu’il y a des personnes qui professent la foi véritable et encore ne sont pas de la foi, Romains 9-6; J’ai John 02:19; Apocalypse 3:1. John dit à certains d'entre eux, « ils sont sortis de notre part » et ajoute en guise d’explication, « mais ils n’étaient pas de nous; car s’ils avaient été d'entre nous, elles seraient restées avec nous, » I Jean 02:19.
E. LA NÉGATION DE CETTE DOCTRINE FAIT DÉPENDRE LE SALUT DE LA VOLONTÉ DE L’HOMME.
Le refus de la doctrine de la persévérance a pratiquement fait le salut de l’homme dépendant sur la volonté humaine plutôt que sur la grâce de Dieu. Cette considération, bien sûr, n’a aucun effet sur ceux qui partagent la conception pélagienne du Salut comme autosoteric — et leur nombre est grand, mais devrait certainement provoquer ceux faire une pause qui la gloire en étant sauvés par la grâce. L’idée est que, après que l’homme est amenée dans un état de grâce par l’opération du Saint-Esprit seul, ou par l’opération conjointe de l’Esprit Saint et la volonté de l’homme, il n’appuie qu’à l’homme de continuer dans la foi ou à renoncer à la foi , tout comme il l’entend. Cela rend la cause de l’homme très précaire et rend impossible pour lui d’atteindre à l’assurance béni de la foi. Par conséquent, il est primordial de maintenir la doctrine de la persévérance. Selon les termes de Hovey, « il peut être une source de grand confort et puissance, — une incitation à la reconnaissance, un motif de sacrifice de soi et une colonne de feu à l’heure du danger. »
QUESTIONS pour étude complémentaire: Quelle est la vraie question concernant la persévérance: c’est de savoir si l' élire, ou si le régénérer persévérer ? Augustine et les luthériens enseignent également que l' élire peut enfin être perdue ? Comment fonctionne l’analogie de la faveur de la vie naturelle la doctrine de persévérance ? Faire pas ces passages comme Hébreux 6:4-6; 10:29; II Pierre 2:1 prouver la possibilité d’apostasie ? Que diriez-vous de John 15:1-6 ? Est la grâce de la persévérance, quelque chose d’inné, nécessairement donné avec la nouvelle nature, ou est-ce le fruit d’une activité spéciale, gracieuse et préservation de Dieu ? La théorie implique que l’un peut être vivant dans le péché habituelle et intentionnelle et tout en étant dans un État justifié ? Il exclut l’idée de manquements dans le péché ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 289-294; Vos, Geref. Dogme. IV., pp. 248-260; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 687-698; Dick, théologie, LECT LXXIX; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 338-343; Finney, Syst. Theol., pp. 544-619; Hovey, Manuel d’éthique et de théologie, p. 295-299; Pieper, Christ. Dogme. III, pp. 107-120; Pape Chr. Theol. III, pp. 131-147; Alexandra Morel, De Dordtsche Leerregels, pp. 256-354; Bos, Leerregelen De Dordtsche, pp. 199-255.
CINQUIÈME PARTIE
La Doctrine de l’église et des moyens de Grace
Les noms scripturaires de l’église et la Doctrine de l’église dans l’histoire
Introduction
La doctrine de l’application des mérites du Christ amène naturellement à la doctrine de l’église, pour l’église se compose de ceux qui sont les participants de Christ et des bénédictions du Salut qui sont en lui. La conception réformée est que Christ, par l’opération du Saint-Esprit, qui unit les hommes avec lui-même, les dote de la vraie foi et constitue donc l’église comme son corps, la communio fidelium ou sanctorum. Dans la théologie catholique, cependant, la discussion de l’église est prioritaire sur tout le reste, avant même la discussion de la doctrine de Dieu et de la révélation divine. L’église, il est dit, a joué un rôle important dans la production de la Bible et par conséquent l’emporte sur elle; Il est par ailleurs le distributeur de toutes les grâces surnaturelles. Il n’est pas le Christ qui nous amène à l’église, mais l’église qui nous conduit au Christ. Tous l’accent tombe, non pas l’église invisible comme la communio fidelium, mais l’église visible comme la mater fidelium. La réforme rompt avec ce point de vue catholique de l’église et centré l’attention une fois de plus sur l’église comme un organisme spirituel. Il a insisté sur le fait qu’il n’y a pas d’église en dehors de le œuvre rédemptrice du Christ et de l’exploitation le renouvellement du Saint-Esprit; et que, par conséquent, la discussion de ces précède logiquement l’examen de la doctrine de l’église.
Il semble plutôt étrange que pratiquement tous les dogmaticiens presbytériens exceptionnels de notre pays, comme les deux Hodges, H. B. Smith, Shedd et Dabney, n’ont aucun locus distincts sur l’église dans leurs écrits dogmatiques et consacrent en fait, très peu d’attention à il. Seulement les œuvres de quelquefois et Breckenridge constituent une exception à la règle. Cela pourrait donner l’impression que, selon eux, la doctrine de l’église ne devrait pas avoir une place dans la dogmatique. Mais c’est extrêmement peu probable, puisqu’aucun d'entre eux soulèvent une seule objection à son inscription. En outre, Turretin et leurs ancêtres écossais, sur dont la Fondation, ils construisent, consacrent beaucoup d’attention à l’église. Walker dit: « Il n’est peut-être aucun pays dans le monde dans lequel toutes sortes d’église questions ont été discutées si grandement comme dans le nôtre. » Et, enfin, le Dr A. A. Hodge nous informe que son père donne des conférences à ses divers cours sur les sujets de l’ecclésiologie, pratiquement couvert toute la terre et destiné à compléter sa théologie systématique par la publication d’un quatrième volume sur l’église; mais a été empêché par les infirmités de son âge avancé. Dabney affirme qu’il a omis la doctrine de l’église, parce que cela a été habilement traitée dans un autre ministère du séminaire dans lequel il a travaillé. Shedd en donnant son régime affirme que l’église vient en considération dans le cadre des moyens de grâce. Cependant, il s’intéresse très peu aux moyens de grâce et n’aborde pas la doctrine de l’église. Et l’éditeur du Système de la théologie chrétienne de la Smith incorporés dans ce travail vues de l’auteur sur l’église, telle qu’exprimée dans d’autres travaux.
A. NOMS SCRIPTURAIRES POUR L’ÉGLISE.
I. DANS L’ANCIEN TESTAMENT. L’ancien Testament emploie deux termes pour désigner l’église, à savoir qahal (ou kahal), provient d’un obsolète racine qal (ou kal), qui signifie « appeler »; et 'edhah, de ya'adh, « nommer » ou « pour rencontrer ou se réunissent à un endroit nommé. » Ces deux mots sont parfois utilisés indifféremment, mais n’étaient pas, dans un premier temps, strictement synonymes. 'Edhah est bien un rassemblement de nomination et lorsqu’il est appliqué à Israël, indique la société elle-même formée par les enfants d’Israël ou leurs chefs représentatifs, qu’ils soient assemblés ou non assemblés. Qahal, en revanche, correctement désigne la réunion ensemble du peuple. Par conséquent, on trouve parfois l' expression qehal 'edhah, c'est-à-dire « l’Assemblée de la Congrégation » Exode 12:6; Num. 14:5; Jérémie 26: 17. Il semble que la réunion était parfois une réunion des représentants du peuple, Deut. 04:10; 18:16, COMP. 05:22, 23; Iier Rois 8:1, 2, 3, 5; II chroniques 5:2-6. 'Edhah est de loin le mot le plus commun dans Exode, Lévitique, nombres et Joshua, mais est totalement absente du Deutéronome et se trouve mais rarement dans les livres plus tard. Qahal, abonde en chroniques, Esdras et Néhémie. Sunagoge est l’habitude, presque universel, rendu de l’ancien dans la Septante et également le rendu habituel de ces derniers dans le Pentateuque. Toutefois, dans les livres de la Bible, qahal est généralement rendu par ekklesia. Schuerer prétend que le judaïsme plus tard déjà pointé à la distinction entre sunagoge comme une désignation de la congrégation d’Israël comme une réalité empirique et ekklesia sous le nom de cette même Congrégation idéalement considéré. Il est suivi dans ce par Dr Bavinck. Cremer-Koegel, prend toutefois exception à cette règle. Hort affirme qu’après l’exil, le terme qahal semble à avoir combiné les nuances de sens d’appartenance à ces deux it et 'edhah; et que par conséquent «ekklesia, comme le principal représentant grec de qahal, naturellement, pour les Juifs de langue grecque, signifierait la congrégation d’Israël tout autant que l’Assemblée de la Congrégation. »
2. DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. Le Nouveau Testament a également deux mots, dérivés de la Septante, nommément ekklesia, ek et kaleo, « pour crier, » et sunagoge, du soleil et il y a, ce qui signifie « à venir ou de rassembler ». Ce dernier est utilisé exclusivement pour désigner les rassemblements religieux des Juifs ou les bâtiments dans lesquels ils assemblés pour le culte public, Matthieu 04:23; Actes 13:43; Apoc. 2:9; 3:9. le terme ekklesia, cependant, généralement désigne l’église du Nouveau Testament, bien que dans quelques endroits il désigne des assemblés civiles. Actes 19:32, 39, 41. préposition ek dans ekklesia (ekkaleo) est souvent interprétée comme signifiant « out parmi la masse commune du peuple, » et d’indiquer dans le cadre de l’utilisation scripturaire d' ekklesia, consistant en l’église les élus, appelés hors du monde de l’humanité. Cette interprétation est plutôt douteuse, toutefois, car la préposition initialement simplement noté que les citoyens grecs ont été appelés hors de leurs maisons. Maintenant il n'aurait pas été contre nature si cette idée tout à fait biblique avait été mises dans le mot dans la révélation de Dieu. Mais, en fait, nous n’avons aucune preuve qu’il s’agissait en réalité. verbe composé ekkaleo n’est jamais tellement habitué, et mot ekklesia ne se produit jamais dans un contexte qui suggère la présence de cette pensée particulière dans l’esprit de l’écrivain. Deissmann rendrait simplement ekklesia comme « l’Assemblée (réunie), » au sujet de Dieu en tant que coordonnateur. Parce que l’idée de l’église est un concept aux multiples facettes, c’est tout naturellement que le mot ekklesia, tel qu’appliqué à lui, n’a pas toujours exactement la même connotation. Jésus a été le premier à utiliser le mot dans le Nouveau Testament, et il l’a appliqué à l’entreprise qui a réuni autour de lui, Matthieu 16:18, le reconnut publiquement comme leur Seigneur et accepté les principes du Royaume de Dieu. C’était l' ekklesia du Messie, le vrai Israël. Plus tard à la suite de l’extension de l’église, le mot a acquis des significations diverses. Les églises locales ont été établis dans le monde et étaient aussi appelés ekklesiai, car ils étaient des manifestations de l’unique église universelle du Christ. Les utilisations les plus importantes du mot sont les suivants:
a. plus fréquemment mot ekklesia désigne un cercle de croyants dans une localité précise, une église locale, indépendamment de la question si ces croyants sont ou ne sont pas assemblés pour le culte. Certains passages contiennent l’idée supplémentaire qu’ils sont assemblés, actes 05:11; 11:26; J’ai Cor. 11:18; 14:19, 28, 35, tandis que d’autres n’ont pas, Romains 16:4; J’ai Cor. 16:1; Galates 1:2; Je th. 02:14, etc..
b. dans certains cas, le mot désigne ce qu’on peut appeler un domestique ekklesia, l’église dans la maison d’un individu. Il semble que dans les temps apostoliques riches ou sinon personnes importantes souvent mis de côté une grande chambre dans leurs maisons pour le culte divin. Les instances de cette utilisation du mot sont trouvent dans Romains 16:23; J’ai Cor. 16:19; 04:15; Philemon 2.
c. Si la lecture de Tisschendorf est exact (comme il est maintenant généralement pris pour acquis), puis le mot est trouvé au moins une fois au singulier pour désigner un groupe d’églises, nommément, les églises de Judée, la Galilée et la Samarie. Le passage dans lequel il est tellement utilisé est actes 09:31. Naturellement, cela ne signifie pas encore qu’elles constituent ensemble une organisation tels que l'on appelle maintenant une dénomination. Il n’est pas impossible que l’église de Jérusalem et l’église d’Antioche en Syrie comprenant également plusieurs groupes qui étaient habitués à se réunir en différents endroits.
d. d’une manière plus générale le mot sert à désigner l’ensemble du corps, dans le monde entier, de ceux qui professent Christ extérieurement et d’organiser à des fins de culte, sous la direction d’officiers nommés. Ce sens du mot est un peu au premier plan dans la première épître aux Corinthiens 10:32; 11:22; 12:28, mais il a été, il aurait sembler, présent également dans l’esprit de Paul, quand il a écrit la lettre aux Ephésiens, cependant dans cette lettre, l’accent est mis sur l’église comme un organisme spirituel, cf. surtout Éphésiens 04:11-16.
e. Enfin, le mot dans son sens le plus complet signifie l’ensemble des fidèles, que ce soit dans les cieux ou sur terre, qui ont été ou doivent être spirituellement Unis à Christ comme leur Sauveur. Cette utilisation du mot se trouve principalement dans les épîtres de Paul aux Éphésiens et Colossiens, plus fréquemment chez les premiers, Éphésiens 01:22; 03:10, 21; 05:23-25, 27, 32; 01:18, 24.
Nous ne devons pas oublier que les noms « Église », « Kerk » et « Kirche » ne sont pas dérivées du mot ekklesia, mais le mot kuriake, qui signifie « appartenant au Seigneur. » Ils soulignent le fait que l’église est la propriété de Dieu. Le nom de kuriakon ou he kuriake tout d’abord désigné l’endroit où l’église Assemblée. Cet endroit a été conçu comme appartenant au Seigneur et fut donc appelé à kuriakon. Mais le lieu lui-même était vide et n’est pas vraiment devenu manifeste que pour kuriakon jusqu'à ce que l’église se sont réunis pour le culte. Par conséquent, le mot a été transféré à l’église elle-même, l’édifice spirituel de Dieu.
3. AUTRES DÉSIGNATIONS BIBLIQUES DE L’ÉGLISE. Le Nouveau Testament contient plusieurs désignations figuratives de l’église, chacun de qui insiste sur un aspect particulier de l’église. On l’appelle:
a. le corps du Christ. Certains de nos jours semblent considérer cette appellation comme une définition complète de l’église du Nouveau Testament, mais il n’est donc pas prévu. Le nom s’applique non seulement à l’universel de l’église, comme dans Éphésiens 01:23; 01:18, mais aussi à une congrégation unique, I Cor. 12:27. Il insiste sur l’unité de l’église, si local ou universel et notamment le fait que cette unité est organique, et que l’organisme de l’église se trouve dans une relation vitale à Jésus Christ comme son glorieux chef.
b. le temple du Saint esprit ou de Dieu. L’église de Corinthe est appelé « un temple de Dieu » dans lequel le Saint-Esprit habite, j’ai Cor. 03:16. Dans Éphésiens 02:21, 22, Paul parle des croyants comme devenant « un temple Saint dans le Seigneur » et construit ensemble pour « une habitation de Dieu dans l’esprit. » Là, le nom est appliqué à l’église idéale du futur, qui est l’église universelle. Et Peter dit que croyants comme des pierres vivantes sont constitués de « une maison spirituelle, » j’ai PET. 2:5. La connexion montre clairement qu’il pense d’un temple. Ce chiffre met l’accent sur le fait que l’église est Sainte et inviolable. Le séjour de l’Esprit Saint lui donne un caractère exalté.
c. La Jérusalem qui est au-dessus, ou la nouvelle Jérusalem, ou la Jérusalem céleste. Tous les trois de ces formes sont trouvent dans la Bible, gal 04:26; Hébreux 12:22; Apocalypse 21:2, cf. les versets 9 et 10. Dans la Jérusalem de l’ancien Testament est représentée comme le lieu où Dieu demeurait entre les chérubins, et où il a symboliquement mis en rapport avec son peuple. Le Nouveau Testament évidemment considère l’église comme la contrepartie spirituelle de la Jérusalem de l’ancien Testament et s’applique donc à ce même nom. Selon cette représentation, l’église est le lieu d’habitation de Dieu, dans lequel le peuple de Dieu est présentée dans la communion avec lui; et ce lieu d’habitation, bien que toujours en partie sur la terre, appartient à la sphère céleste.
d. colonne et le fondement de la vérité. Il y a un seul endroit où ce nom est appliqué à l’église, savoir, I Timothée 03:15. Il se réfère clairement à l’église en général et s’applique donc aussi à chaque partie de celui-ci. La figure exprime le fait que l’église est la gardienne de la vérité, la Citadelle de la vérité et le défenseur de la vérité par rapport à tous les ennemis du Royaume de Dieu.
B. LA DOCTRINE DE L’ÉGLISE DANS L’HISTOIRE.
1. LA DOCTRINE DE L’ÉGLISE AVANT LA RÉFORME.
a. dans la période patristique. Par les Pères apostoliques et les Apologètes l’église est généralement représentée comme la communio sanctorum, le peuple de Dieu qu’il a choisi pour une possession. La nécessité d’établir des distinctions n’était pas immédiatement évidente. Mais dès la seconde moitié du deuxième siècle il y avait un changement perceptible. La montée des hérésies rend impératif de nommer certaines caractéristiques par lequel la vraie église catholique pourrait être connu. Cela tend à fixer l’attention sur la manifestation extérieure de l’église. L’église a commencé à être conçue comme une institution externe, gouvernée par un évêque comme un successeur direct des apôtres et en possession de la vraie tradition. La catholicité de l’église a été assez fortement soulignée. Les églises locales n’étaient pas considérées comme des unités distinctes tant, mais simplement à titre de parties de l’église universelle. La mondanité croissante et la corruption de l’église progressivement conduit à réaction et a donné lieu à la tendance des diverses sectes, tels que le Montanisme au milieu de la seconde, Novatianism au milieu de la troisième et le donatisme au début du quatrième siècle , pour rendre la sainteté de ses membres, la marque de la vraie église. Les premiers pères de l’église, dans la lutte contre ces sectaries, a souligné de plus en plus l’institution épiscopale de l’église. Cyprien a la particularité d’être le premier à développer pleinement la doctrine de l’Église épiscopale. Il a considéré les évêques comme les vrais successeurs des apôtres et leur attribue un caractère sacerdotal en vertu de leur travail sacrificiel. Ensemble, ils forment un collège, appelé à l’épiscopat, constituant ainsi l’unité de l’église. L’unité de l’église était donc basée sur l’unité des évêques. Ceux qui ne pas se soumettre à l’évêque perdent la communion de l’église et aussi leur Salut, puisqu’il n’y a pas de Salut en dehors de l’église. Augustine ne correspondait pas tout à fait dans sa conception de l’église. C’était sa lutte avec les donatistes qui pousse à réfléchir plus profondément sur la nature de l’église. D’une part il se montre le predestinarian, qui conçoit de l’église comme la société des élus, la communio sanctorum, qui ont l’esprit de Dieu et se caractérisent donc par amour véritable. La chose importante est d’être un membre vivant de l’Église ainsi conçue et ne pas d’appartenir à elle dans un sens purement externe. Mais d’autre part, il est l’église-homme qui adhère à l’idée de Cyprianic de l’église, au moins dans ses aspects généraux. La véritable Église est l’église catholique, dans laquelle l’autorité apostolique est poursuivie par la succession épiscopale. Il est le dépositaire de la grâce divine, qu’elle distribue à travers les sacrements. Pour l’instant, cette église est un organisme mixte, dans lequel les membres bien et le maléfiques ont une place. Dans son débat avec les donatistes il a admis, cependant, que les deux n’étaient pas dans l’église dans le même sens. Il a aussi préparé le chemin pour l’identification des catholiques de l’église et le Royaume de Dieu.
b. au moyen-âge. Les scolastiques ont très peu à dire sur l’église. Le système de doctrine développée par Cyprien et Augustin était assez complet et nécessaire mais quelques finitions à apporter à son développement final. Otten (historien catholique), dit: « ce système a été repris par les scolastiques du moyen âge et puis a été rendu par eux, pratiquement dans le même État dans lequel ils avaient reçu, à leurs successeurs qui sont venus après le Concile de trente. » Soit dit en passant, quelques points ont été un peu plus loin développé. Mais s’il y avait très peu de développement dans la doctrine de l’église, l’église elle-même a effectivement développé plus en une hiérarchie très unie, organisée de façon compacte et absolue. Les graines de ce développement étaient déjà présents dans l’idée de Cyprianic de l’église et d’un aspect de l’église, représentée par Augustin. L’idée d’autre et plus fondamentale de ce grand père de l’Eglise, celle de l’église comme la communio sanctorum, a été généralement ignorée et donc resté en sommeil. Cela ne veut pas dire que les scolastiques ont nié l’élément spirituel au total, mais simplement qu’ils ne lui donnent pas proéminence due. L’accent a été très certainement sur l’église comme une institution ou un organisme externe. Hugo de Saint-Victor parle de l’Eglise et l’Etat comme les deux puissances institués par Dieu pour le gouvernement du peuple. Les deux sont monarchiques dans la constitution, mais l’église est la cheftaine, parce qu’elle les ministres pour le salut des hommes, alors que l’État ne donne pour leur bien-être temporel. Le roi ou l’empereur est le chef de l’Etat, mais le pape est le chef de l’église. Il existe deux catégories de personnes dans l’église avec bien défini de droits et devoirs: les clercs, dédiés au service de Dieu, qui constituent une unité; et les laics composé de personnes de tous les domaines de la vie, qui constituent une catégorie distincte au total. Étape par étape, la doctrine de la papauté est venu au développement, jusqu'à ce qu’enfin le pape est pratiquement devenu un monarque absolu. La croissance de cette doctrine a été en mesure non négligeable, aidé par le développement de l’idée que l’église catholique était le Royaume de Dieu sur la terre, et que par conséquent l’épiscopat romain était un royaume terrestre. Cette identification de l’Eglise visible et organisé avec le Royaume de Dieu a des conséquences importantes: (1) il a exigé que tout être mis sous le contrôle de l’église: la maison et l’école, science et art, commerce et industrie et ainsi de suite. (2) il en cause l’idée que toutes les bénédictions du salut vient à le ne homme que par les ordonnances de l’église, en particulier grâce aux sacrements. (3) il a conduit à la sécularisation progressive de l’église, puisque l’église a commencé à prêter davantage attention à la politique que pour le salut des pécheurs, et les papes enfin prétendu dominion également sur les dirigeants laïques.
2. LA DOCTRINE DE L’ÉGLISE PENDANT ET APRÈS LA RÉFORME.
a. au cours de la période de la réformation. Les réformateurs rompt avec la conception catholique de l’église, mais diffèrent entre eux dans certaines indications. L’idée d’une église infaillible et hiérarchique et d’un sacerdoce spécial, qui distribue le salut par les sacrements, ne trouvé aucune faveur de Luther. Il considère l’église comme la communion spirituelle de ceux qui croient au Christ et restauré l’idée biblique du sacerdoce de tous les croyants. Il a maintenu l’unité de l’église, mais distingue deux aspects d’elle, le visible et l’autre invisible. Il a pris soin de souligner que ce sont des pas de deux églises, mais simplement deux aspects de la même église. L’église invisible devient visible, non par la règle des évêques et des cardinaux, ni dans le poste de directeur du pape, mais par l’administration pure de la parole et des sacrements. Il a admis que l’église visible contiendra toujours un mélange de membres pieux et méchants. Cependant, sa réaction contre la conception catholique de la domination de l’église sur l’État, il est allé à un autre extrême, en fait pratiquement l’église sous réserve de l’État dans tout sauf la prédication de la parole. Les anabaptistes n’étaient pas satisfaits de sa position et a insisté sur une église des croyants seulement. Ils ont, dans bien des cas, même méprisé l’église visible et les moyens de grâce. En outre, ils ont exigé la séparation complète de l’église et l’État. Calvin et théologiens réformés étaient un avec Luther dans la confession que l’église est essentiellement une communio sanctorum, une communion des saints. Cependant, ils n’a pas, comme les luthériens, cherché l’unité et la sainteté de l’église, principalement dans les ordonnances objectives de l’Eglise, comme les offices, la parole et les sacrements, mais surtout dans la communion subjective des croyants. Eux aussi, fait la distinction entre une visible et un aspect invisible de l’église, quoique d’une manière légèrement différente. En outre, ils ont trouvé les vraies marques de l’église, non seulement dans l’administration vraie de la parole et des sacrements, mais aussi dans l’administration fidèle de la discipline de l’église. Mais même Calvin et les théologiens réformés du XVIIe siècle dans une mesure favorisé l’idée de la soumission de l’église à l’État. Cependant, ils ont établi une forme de gouvernement dans l’église qui a fait pour un plus grand degré d’indépendance ecclésiastique et de puissance qu’était connu dans l’église luthérienne. Mais tandis que les théologiens luthériennes et réformées a cherché à maintenir la bonne connexion entre le visible et l’église invisible, d’autres perdu de vue ce. Les Sociniens et les arminiens du XVIIe siècle, même si en effet parler d’une église invisible, j’ai oublié tout ça dans la vie réelle. L’ancien conçu de la religion chrétienne simplement comme une doctrine acceptable, et ce dernier fait l’église principalement une société visible et suivie l’église luthérienne de céder le droit de la discipline à l’État et la conservation pour l’église que le droit de prêcher l’Évangile et d’avertir les membres de l’église. Les Labadists et les piétistes, en revanche, manifestent une tendance à ne pas tenir compte de l’Eglise visible, une église des croyants seulement, se montrant indifférent à l’église institutionnelle avec son mélange d’édification bien et le mal et cherche dans la recherche allèrent.
b. pendant et après le XVIIIe siècle. Pendant le dix-huitième siècle rationalisme fait son influence ressenti aussi dans la doctrine de l’église. Il était indifférent en matière de foi et n’avait pas d’enthousiasme pour l’église, qui elle placée sur un pied d’égalité avec les autres sociétés humaines. Il a même nié que Christ destiné à fonder une église au sens du mot reçu. Il y avait une réaction piétiste au rationalisme au méthodisme, mais méthodisme n’a pas contribué à quoi que ce soit à l’élaboration de la doctrine de l’église. Dans certains cas, elle a demandé de force dans la réflexion de coulée sur les églises existantes, et dans d’autres il su s’adapter à la vie de ces églises. Pour Schleiermacher, l’église était essentiellement la communauté chrétienne, le corps des croyants qui sont animés du même esprit. Il avait peu d’utilité pour la distinction entre le visible et l’église invisible et trouve l’essence même de l’église dans l’esprit de fraternité chrétienne. Plus l’esprit de Dieu pénètre dans la masse des croyants chrétiens, les divisions moins il sera, et plus ils perdront de leur importance. Ritschl substitué à la distinction entre l’invisible et le visible de l’église qui entre le Royaume et l’église. Il considérait le Royaume comme la communauté du peuple de Dieu, agissant le motif de l’amour et l’église en tant que communauté même se sont réunis pour le culte. Le nom de « église » est donc limité à une organisation externe dans l’une des fonctions de culte; et cette fonction simplement permet aux croyants de se familiariser avec un de l’autre. C’est certainement loin de l’enseignement du Nouveau Testament. Il entraîne sur la conception libérale moderne de l’église comme une simple social Centre, une institution humaine, plutôt que d’une plantation de Dieu.
QUESTIONS pour étude complémentaire: L’histoire de l’église commence au plus tard le jour de la Pentecôte ? Si elle a existé avant, comment l’église qui précède ce jour différaient de l’église après celui-ci ? À quelle église Jésus réfère-t-elle dans Matthieu 18:17 ? Augustine identifier l’église comme un organisme spirituel, ou l’église comme une institution externe, avec le Royaume de Dieu ? Comment expliquez-vous le catholique mettant l’accent sur l’église comme une organisation externe ? Pourquoi pas les réformateurs n’a insisté sur la liberté entière de l’église et l’État ? Comment Luther et Calvin diffèrent à cet égard ? Quelles controverses concernant l’église est née en Ecosse ? Ce qui explique les différentes conceptions de l’église en Angleterre et en Ecosse ? Comment rationalisme a-t-elle influé sur la doctrine de l’église ? Quels grands dangers menacent l’Eglise à l’heure actuelle ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 302-319; Innes, église et l’État; Cunningham, Théologie historique, deux volumes, cf. l’Index; Hauck, Real-Encyclopaedie, Art. Kirche par Koestlin; Histoire du dogme, en particulier ceux de Harnack, Seeberg, Sheldon et Otten, cf. les Indices.
II. la Nature de l’église
A. L’ESSENCE DE L’ÉGLISE.
1. LA CONCEPTION CATHOLIQUE ROMAINE. Le début parle de chrétiens de l’église comme la communio sanctorumet donc déjà, mais sans avoir réfléchi à la question par le biais, a fait qu’exprimer l’essence de l’église. Mais même, dès la fin du IIe siècle, à la suite de la montée des hérésies, la question de savoir la vraie église elle-même imposée et amenés à fixer leur attention sur certaines caractéristiques de l’Eglise comme une institution externe. Depuis l’époque de Cyprien jusqu'à la réforme l’essence même de l’église a été demandé de plus en plus dans son organisation externe visible. Les pères de l’église conçue de l’église catholique comprenant toutes les branches vrais de l’église du Christ, ainsi que liés ensemble dans une unité externe et visible, qui avait son lien unificateur dans le Collège des évêques. La conception de l’église comme une organisation externe est devenu plus importante que le temps passait. Il y avait un accent croissant sur l’organisation hiérarchique de celui-ci, et le point culminant a été ajouté à l’institution de la papauté. Catholiques romains maintenant définir l’église comme: "la Congrégation de tous les fidèles qui, se faisant baptiser, professer la foi même, partager les mêmes sacrements, et sont régies par leur légitime pasteurs, sous un chef visible sur terre. » Ils font une distinction entre l' ecclesia docens et l' Ecclésia audiens, c'est-à-dire, entre « L’église composée de ceux qui gouvernent, enseigner et édifier » et « L’église qui est enseigné, régis et reçoit les sacrements. » Au sens strict du mot, il n’est pas l' Ecclésia audiens mais l' Ecclésia docens qui constitue l’église. Les actions de ce dernier directement dans les glorieux attributs de l’Eglise, mais l’ancien est orné avec eux qu’indirectement. Les catholiques sont prêts à admettre qu’il y a une côté invisible à l’église, mais préfèrent réserver le nom « église » pour la communion visible des croyants. Fréquemment, ils parlent de « l’âme de l’Eglise », mais ne semblent pas convenir tout à fait quant à la connotation exacte du terme. Devine définit l’âme de l’Eglise comme « la société de ceux qui sont appelés à la foi en Christ, et qui sont Unis au Christ par les dons surnaturels et des grâces. » Wilmers, toutefois, il conclut dans « toutes ces spirituels, surnaturels grâces qui constituent l’église du Christ et permettent à ses membres d’atteindre leur fin dernière. » Il dit: « ce que nous appelons âme est en général de ce principe omniprésent qui donne vie à un corps et permet à ses membres de remplir leurs tâches particulières. L’âme de l’Eglise font partie de foi, l’aspiration commune de tous dans le même esprit, le pouvoir invisible de supérieurs, la grâce vers l’intérieur de la sanctification, les vertus surnaturelles et d’autres cadeaux de la grâce. » L’ancien écrivain trouve l’âme de l’église dans certaines personnes qualifiées, alors que ce dernier considère qu’il est un principe omniprésente, quelque chose comme l’âme chez l’homme. Mais quoi que catholiques romains seraient prêts à accorder, ils admettront pas que qu’on pourrait appeler « l’église invisible » logiquement précède le visible. Moehler dit: « les catholiques enseignent: l’église visible est tout d’abord, — puis vient l’invisible: la première donne naissance à ce dernier. » Cela signifie que l’église est un mater fidelium (mère des croyants) avant qu’elle soit une communio fidelium (Communauté des croyants). Moehler accorde, toutefois, qu’il y a un sens dans lequel « l’église interne » est antérieure à « l’un extérieur, » à savoir en ce sens que nous ne sommes pas membres vivant de ce dernier jusqu'à ce que nous appartenons à l’ancienne. Il traite de l’ensemble du sujet de la relation entre ces deux les uns aux autres dans son symbolisme ou différences doctrinales. Il insiste sur l’identité de l’église visible avec le Christ: « ainsi, l’église visible, du point de vue prise ici, est le fils de Dieu, éternellement se manifestant chez les hommes sous une forme humaine, perpétuellement rénovée et éternellement jeune — le permanent incarnation de la même chose, comme les Saintes Écritures, même les fidèles sont appelés « le corps du Christ. » »
2. LA CONCEPTION ORTHODOXE GRECQUE. La conception grecque orthodoxe de l’église est étroitement liée à celle des catholiques romains et pourtant il diffère en certains points importants. Cette église ne reconnaît pas l’Eglise catholique romaine comme la vraie église, mais affirme que l’honneur pour lui-même. Il y a qu’une seule vraie église, et que l’église est la communauté grecque orthodoxe. Il reconnaît avec une plus grande franchise que les catholiques romains, les deux aspects différents de l’église, le visible et l’invisible, il néanmoins met l’accent sur l’église comme une organisation externe. Il ne trouve pas l’essence même de l’église en elle comme la communauté des saints, mais dans l’Église épiscopale hiérarchie, dont elle a conservé, tout en rejetant la papauté. L’infaillibilité de l’église est maintenue, mais cette infaillibilité réside dans les évêques et par conséquent dans les conciles ecclésiastiques et les synodes. « Comme invisible, » déclare Gavin, « elle (l’Eglise) est le porteur des dons divins et des pouvoirs et est engagée dans la transformation de l’humanité dans le Royaume de Dieu. Comme visible, elle est constituée d’hommes professant une foi commune, observant douanier commun et à l’aide de moyens visibles de la grâce. » Dans le même temps, l’idée est rejetée de « une invisible et idéale église, dont les diverses instances des chrétiens forment des entités distinctes et se faisant appeler « Églises », sont des modes de réalisation partielles et incomplètes ». L’église est « une réelle, tangible et visible entité, pas un idéal latent et irréalisable ».
3. LA CONCEPTION PROTESTANTE. La réforme était une réaction contre l’externalisme de Rome en général et en particulier, également contre sa conception externe de l’église. Il a apporté la vérité au premier plan une fois de plus que l’essence de l’église ne se trouve pas dans l’organisation externe de l’église, mais dans l’église comme la communio sanctorum. Pour Luther et Calvin l’église était simplement la communauté des saints, c'est-à-dire, la communauté de ceux qui croient et sont sanctifiés dans le Christ, et qui sont joints à lui en tant que leur chef. C’est également la position adoptée dans les normes de confessionnels réformées. Ainsi parle la Confessio Belgica: « nous croyons et professent un catholique ou l’église universelle, qui est une Congrégation de la Sainte de vrais croyants chrétiens, tous attendent leur salut en Jésus Christ, à laver par son sang, sanctifié et scellé par l’Esprit Saint ». la Confession helvétique exprime la vérité même en disant que l’Eglise est « une compagnie des fidèles, appelés et réunis hors du monde; une communion de tous les saints, c'est-à-dire d'entre eux qui vraiment connaître et à juste titre adorer et servir le vrai Dieu, en Jésus Christ le Sauveur, par la parole de l’Esprit Saint, et qui par la foi participent à toutes ces bonnes grâces qui sont offerts gratuitement par le Christ. » Et la Confession de Westminster, définissant l’église à partir du point de vue de l’élection, déclare: « l’église catholique, c'est-à-dire universelle, qui est invisible, se compose de nombre entier d’élus, qui ont été, sont ou seront réunis en un seul, sous Christ la tête connexes; et est le conjoint, le corps, la plénitude de celui qui remplit tout en tous. » L’universel de l’église, c'est-à-dire l’église telle qu’elle existe dans le dessein de Dieu, et qu’on se rend compte qu’au cours des âges, a été conçue comme constitué de l’ensemble des élus, qui sont en cours de temps appelé à la vie éternelle. Mais l’église telle qu’elle existe réellement sur la terre a été considérée comme la communauté des saints. Et c’est non seulement l’église invisible qui était alors considéré, mais l’église visible aussi bien. Ceux-ci ne sont pas deux églises, mais celui et n’ai donc qu’une seule essence. L’un comme l’autre est essentiellement la communio sanctorum, mais l’église invisible est l’église, tel que Dieu le voit, une église qui contient seulement les croyants, tandis que l’église visible est l’église, tel que l’homme voit, composé de ceux qui professent Jésus Christ avec leurs enfants et donc jugée la communauté des saints. Cela peut et toujours ne contient pas certains qui ne sont pas régénérées encore — il peut y avoir d’ivraie parmi le blé —, mais ne peut ne pas tolérer publics mécréants et mauvaises personnes. Paul traite ses épîtres aux églises empiriques et n’hésite pas à les traiter comme des « saints », mais insiste également sur la nécessité de ranger les méchants et ceux qui donnent des infraction parmi eux, I Corinthiens 5; II Thess. 3:6, 14: Tite 03:10. L’église constitue une unité spirituelle dont Christ est le chef divin. Il est animé par un esprit, l’esprit du Christ; il professe une seule foi, partage un seul espoir et sert un roi. C’est la Citadelle de la vérité et de l’Agence dans la communication aux croyants de toutes les bénédictions spirituelles de Dieu. Comme le corps du Christ, elle est destinée à refléter la gloire de Dieu qui se manifeste dans le œuvre de rédemption. L’église dans son sens idéal, l’église comme Dieu le destine à être et qu’il deviendra une fois, est un objet de foi, plutôt que de la connaissance. C’est pourquoi la confession: « Je crois une Sainte Église catholique ».
B. LE CARACTÈRE MULTIFORME DE L’ÉGLISE.
En parlant de l’église, plusieurs distinctions entrent en considération.
1. CELUI DE MILITANT ET UNE ÉGLISE TRIOMPHANTE. L’église dans la dispensation actuelle est une Église militante, c'est-à-dire, elle est appelée à et est effectivement engagée dans une guerre sainte. Cela, bien sûr, ne signifie pas qu’elle doit passer sa force en détruisant des luttes intestines, mais qu’elle a le devoir de poursuivre une guerre incessante contre le monde hostile sous toutes les formes dans lequel il révèle lui-même, que ce soit dans l’église ou en dehors de celui-ci et contre toutes les forces spirituelles de l’obscurité. L’église ne peut pas passer tout son temps dans la prière et la méditation, mais nécessaire et importante, il peut s’agir, ni qu’elle repose sur ses lauriers dans la jouissance paisible de son héritage spirituel. Elle doit être engagée de toutes ses forces dans les combats de son Seigneur, combattant dans une guerre qui est offensive et défensive. Si l’église sur terre est l’Église militante, l’église dans le ciel est l’Église triomphante. Il l’épée est échangée pour la palme de la victoire, les cris de bataille sont transformés en chants de triomphe, et la Croix est remplacée par la Couronne. Le conflit est terminé, la bataille est gagnée, et les saints régneront avec Christ pour toujours et à jamais. Dans ces deux phases de son existence, l’église reflète l’humiliation et l’exaltation de son Seigneur céleste. Catholiques romains parlent, non seulement d’une militante et triomphante, mais aussi d’une souffrance église. Cette église, selon eux, comprend tous les croyants qui ne sont pas plus sur la terre, mais ne sont pas encore entrés les joies du ciel et sont maintenant être purifiées au purgatoire de leurs autres péchés.
2. QU’ENTRE UNE VISIBLE ET UNE ÉGLISE INVISIBLE. Cela signifie que l’église de Dieu est d’une part visible et sur l’autre invisible. Il est dit que Luther a été le premier à faire cette distinction, mais les autres réformateurs reconnue et appliquent également à l’église. Cette distinction n’a pas toujours été bien comprise. Les adversaires des réformateurs accusant souvent d’enseignement qu’il y a deux églises séparées. Luther a peut-être donné une occasion pour ce chef d’accusation en parlant d’une invisible ecclesiola dans visible ecclesia. Mais lui et Calvin insistent sur le fait que, lorsqu’ils parlent d’une visible et une église invisible, ils ne se réfèrent pas aux deux églises différentes, mais à deux aspects de l’une église de Jésus Christ. Le terme « invisible » a été diversement interprété comme application (a) à l’Église triomphante; (b) à l’église idéale et rempli comme il sera à la fin de l’âge; (c) à l’église de tous les terrains et tous les lieux, dont l’homme ne peut pas voir éventuellement; et (d) à l’Église car il va dans la clandestinité à l’époque de la persécution et est privé de la parole et les sacrements. Maintenant, c’est sans doute vrai que l’Église triomphante est invisible à ceux qui sont sur la terre, et que Calvin dans ses instituts conçoit également ceci comme inclus dans l’église invisible, mais la distinction sans doute visait principalement à appliquer à la militante Église. En règle générale, elle est donc appliquée dans la théologie réformée. Il insiste sur le fait que l’église telle qu’elle existe sur terre est visible et invisible. Cette église est censée être invisible, parce qu’elle est essentiellement spirituelle et dans son essence spirituelle ne peut être distinguée à le œil physique; et parce qu’il est impossible de déterminer infailliblement qui font et qui ne lui appartiennent pas. L’union des croyants avec le Christ est une union mystique; l’esprit qui les unit constitue un lien invisible; et les bénédictions du Salut, comme la régénération, la conversion authentique, vraie foi et communion spirituelle avec le Christ, sont tous invisibles à le œil naturel; — et encore ces choses constituent le véritable forma (personnage idéal) de l’église. Que le terme « invisible » doit être compris en ce sens, est évident d’après l’origine historique de la distinction entre le visible et l’invisible église à l’époque de la réforme. La Bible attribue certains attributs glorieuses pour l’église et elle représente comme un moyen de bénédictions éternelles et salvatrices. Rome ceci appliqué à l’église comme une institution externe, plus particulièrement à l' Ecclésia representativa ou la hiérarchie comme le distributeur de la bénédiction du Salut et donc ignorée et pratiquement refusé la communion directe et immédiate des Dieu avec ses enfants, en plaçant un sacerdoce humain médiatrice entre eux. Il s’agit de l’erreur que les réformateurs a voulu éradiquer en insistant sur le fait que l’église dont la Bible dit de telles choses glorieuses n’est pas l’église comme une institution externe, mais l’église comme le corps spirituel de Jésus-Christ, qui est essentiellement invisible à l’heure actuelle, mais il a un mode de réalisation relatif et l’imparfait dans l’église visible et est destiné à avoir une parfaite incarnation visible à la fin de l’âge.
L’église invisible suppose naturellement une forme visible. Tout comme l’âme humaine est adaptée à l’organisme et s’exprime à travers le corps, donc l’église invisible, composé, pas de simples âmes mais des êtres humains ayant des âmes et des corps, suppose nécessairement une forme visible à une organisation externe par le biais de laquelle elle s’exprime. L’Église devient visible dans la conduite et de la profession chrétienne, au sein du ministère de la parole et des sacrements et du gouvernement et une organisation externe. En faisant cette distinction entre l’invisible et l’église visible, McPherson a dit, « protestantisme a tenté de dégager la moyenne appropriée entre l’externalisme magique et surnaturelle de l’idée romaine et la dépréciation extravagante de tous les rites extérieurs, caractéristique du spiritualisme fanatique et sectaire. » Il est très important de garder à l’esprit que, bien que l’invisible et l’église visible peuvent être considéré comme universel, les deux ne sont pas en tous points proportionnels. Il est possible que certains de ceux qui appartiennent à l’église invisible jamais devient membres de l’organisation visible, comme des sujets de missionnaires qui sont convertis sur leur lit de mort, et que d’autres en sont temporairement exclus, en tant que croyants égarés qui sont pour une fois blanchie de la communion de l’église visible. En revanche il peut être régénéré des enfants et des adultes qui, tout en professant le Christ, n’ont aucune vraie foi en lui, dans l’Eglise comme une institution externe; et ce, aussi longtemps qu’ils sont dans cette condition, n’appartiennent pas à l’église invisible. On trouvera des bonnes définitions de l’Eglise visible et invisible dans la Confession de Westminster.
3. QUE, DE L’ÉGLISE COMME UN ORGANISME À L’EGLISE COMME UNE INSTITUTION. Cette distinction ne doit pas figurer avec le précédent, comme on le fait parfois. Il s’agit d’une distinction qui s’applique au visible église et qui appelle l’attention sur deux aspects différents de l’église considérée comme un corps visible. C’est une erreur de penser que l’église devienne visible uniquement dans les offices de l’administration de la parole et les sacrements et dans une certaine forme de gouvernement de l’église. Même si toutes ces choses étaient absents, l’église serait encore visible dans la vie communautaire et la profession des croyants et dans leur opposition commune au monde. Mais tout en mettant l’accent sur le fait que la distinction considérée est une distinction au sein de l’Eglise visible, nous ne devons pas oublier que tant l’église comme un organisme et l’église en tant qu’institution (également appelée institutio apparitio et ) ont leur origine spirituelle dans l’église invisible. Toutefois, s’il est vrai que ce sont deux aspects différents de l’unique église visible, ils représentent des différences importantes. L’église comme un organisme est le coetus fidelium, la communion des croyants, qui sont Unis par le lien de l’esprit, tandis que l’église comme une institution est la mater fidelium, la mère des croyants, un Heilsanstalt, un moyen de Salut, une Agence pour la conversion des pécheurs et le perfectionnement des saints. L’église comme un organisme existe charismatique: dedans toutes sortes de dons et talents se manifestent et sont utilisés dans le œuvre du Seigneur. L’église en tant qu’institution, d’autre part, il existe sous une forme institutionnelle et fonctionne à travers les offices et les moyens que Dieu a mis en place. Les deux sont coordonnées dans un sens, et pourtant il y a aussi une certaine subordination de l’un à l’autre. L’Eglise comme une institution ou organisation (mater fidelium) est un moyen vers une fin, et cela se trouve dans l’église comme un organisme, la communauté des croyants (coetus fidelium).
C. DIFFÉRENTES DÉFINITIONS DE L’ÉGLISE.
Naturellement, l’église étant une entité aux multiples facettes a également été définie depuis plus d’un point de vue.
1. DU POINT DE VUE DE L’ÉLECTION. Selon certains théologiens, l’église est la communauté des élus, coetus electorum. Cette définition est susceptible d’être un peu trompeur, cependant. Elle s’applique seulement à l’église idéalement considéré, l’église telle qu’elle existe dans l’idée de Dieu et qu’elle sera achevée à la fin de l’âge et non à l’église comme une réalité empirique actuelle. Racheter comprend tous ceux qui appartiennent au corps du Christ, indépendamment de leur relation réelle présente à elle. Mais les élus qui sont encore à naître, ou qui sont encore inconnus au Christ et à l’extérieur de la pale de l’église, ne saurait appartenir à l’église de realiter.
2. DU POINT DE VUE DE L'APPEL EFFICACE. Pour échapper à cette objection à la définition précédente, il est progressivement devenue coutumière à définir l’église du point de vue de certaines caractéristiques subjectives spirituelle de ceux qui lui appartiennent, l’appel particulièrement efficace ou la foi, soit en nommant tel un caractéristiques en plus de l’élection, ou il en remplaçant par élection. Ainsi l’église a été définie comme la société des élus qui sont appelées par l’esprit de Dieu (coetus electorum vocatorum), comme le corps de ceux qui sont effectivement appelés (coetus vocatorum) ou, encore plus fréquemment, comme la communauté de la fidèles ou croyants (coetus fidelium). Les deux premiers de ces définitions, servir à désigner l’église quant à son essence invisible, mais n’indiquent pas que ce soit du fait qu’il a aussi un côté visible. C’est fait, toutefois, dans le dernier nommé définition, pour la foi révèle elle-même dans la confession et la conduite.
3. DU POINT DE VUE DU BAPTÊME ET DE LA PROFESSION. Du point de vue du baptême et de la profession, l’église a été définie comme la communauté de ceux qui sont baptisés et professer la vraie foi; ou comme la communauté de ceux qui professent la vraie religion avec leurs enfants. On voit aisément qu’il s’agit d’une définition de l’Église selon sa manifestation extérieure. Calvin définit l’église visible comme « la multitude des hommes diffusée à travers le monde, qui professent d’adorer un seul Dieu dans le Christ; sont initiées dans cette foi par le baptême; témoigner de leur unité dans la doctrine et de la charité en participant à la Cène; avoir le consentement dans la parole de Dieu, et à la prédication de que Word gérer le ministère ordonné du Christ. »
D. L’ÉGLISE ET LE ROYAUME DE DIEU.
1. L’IDÉE DU ROYAUME DE DIEU. Le Royaume de Dieu est avant tout un concept eschatologique. L’idée fondamentale du Royaume dans l’écriture n’est pas celle d’un Royaume théocratique restaurée de Dieu en Christ — qui est essentiellement un Royaume d’Israël —, comme le prétendent les Premillenarians; n’est-ce une nouvelle condition sociale, imprégné par l’esprit du Christ et réalisé par l’homme par des moyens externes comme les bonnes lois, civilisation, l’éducation, les réformes sociales et ainsi de suite, comme les modernistes voudrait nous faire croire. L’idée principale du Royaume de Dieu dans l’écriture, c’est que de la règle de Dieu établi et reconnu dans le cœur des pécheurs par le puissant régénérant influence du Saint-Esprit, assurant leur des bienfaits inestimables du Salut, — une règle qui est réalisé en principe sur la terre, mais n’atteindra pas son apogée jusqu'à ce que le visible et le glorieux retournent de Jésus-Christ. La réalisation actuelle de celui-ci est spirituelle et invisible. Jésus s’emparent de ce concept eschatologique et rendu proéminent dans ses enseignements. Clairement, il a enseigné la réalisation spirituelle actuelle et le caractère universel du Royaume. En outre, il a lui-même effectué cette prise de conscience dans une mesure inconnue auparavant et considérablement augmenté les bénédictions présentes du Royaume. Dans le même temps, il tendit la bienheureuse espérance de l’apparition future de ce Royaume en gloire externe et avec la parfaite bénédiction du Salut.
2. HISTORIQUES CONCEPTIONS DU ROYAUME. Dans les premiers pères de l’église, le Royaume de Dieu, le plus grand bien, est surtout considéré comme une entité future, l’objectif de l’évolution actuelle de l’église. Certains d'entre eux il considéré comme le prochain règne millénaire du Messie, même si l’histoire ne porte pas sur les revendications exagérées de certains auteurs de Premillenarian quant à leur nombre. Augustin vu le Royaume comme une réalité présente et a identifié avec l’église. Pour lui il était essentiellement identique à la pieuse et Sainte, c'est-à-dire avec l’église comme une communauté de croyants; mais il a utilisé certaines expressions qui semblent indiquer qu’il avait également vu qu'il incorporée dans l’église episcopally organisée. L’église catholique romaine franchement identifié le Royaume de Dieu avec leur institution hiérarchique, mais les réformateurs revient à croire que c’est dans cette dispense identique avec l’église invisible. Sous l’influence de Kant et surtout de Ritschl, il a été dépouillé de son caractère religieux et vint à être considéré comme un Royaume éthique des extrémités. Il est souvent défini à l’heure actuelle comme un nouveau principe introduit dans la société et destiné à transformer dans toutes ses relations, ou que l’organisation morale de l’humanité par l’action de la motivation de l’amour, la fin de la création.
3. LE ROYAUME DE DIEU ET L’ÉGLISE INVISIBLE. Alors que le Royaume de Dieu et l’église invisible sont dans une mesure identique, ils devraient néanmoins être soigneusement distingués. La citoyenneté dans l’un et l’adhésion à l’autre sont également déterminés par la régénération. Il est impossible d’être dans le Royaume de Dieu sans être dans l’église comme corps mystique de Jésus Christ. Dans le même temps, il est possible de faire une distinction entre le point de vue d'où les croyants sont appelés le Royaume et celle dont ils sont appelés à l’église. Elles constituent un Royaume dans leur relation à Dieu dans le Christ comme leur souverain et une église dans leur séparation du monde dans la dévotion à Dieu et dans leur union organique avec l’autre. En tant qu’église, ils sont appelés à être instrument de Dieu pour préparer la voie à et dans l’introduction, l’ordre idéal des choses; et comme un royaume qu’ils représentent la réalisation initiale de l’ordre idéal entre eux.
4. LE ROYAUME DE DIEU ET L’ÉGLISE VISIBLE. Étant donné que les catholiques romains insistent aveuglément sur l’identification de l’église et le Royaume de Dieu, leur église prétend pouvoir et compétence sur tous les domaines de la vie, comme science et art, le commerce et l’industrie, ainsi que sociale et politique organisations. Il s’agit d’une conception tout à fait erronée. C’est aussi une erreur de maintenir, comme le font certains chrétiens réformés, en vertu d’une conception erronée de l’église comme un organisme, que les sociétés de l’école chrétienne, des organismes bénévoles et communautaires des plus jeunes ou plus âgés personnes pour l’étude des principes chrétiens et leur application dans la vie chrétienne des syndicats et organisations politiques chrétiennes, sont des manifestations de l’église comme un organisme, car cela leur apporte à nouveau sous le domaine de l’Eglise visible et sous le contrôle direct de ses dirigeants. Naturellement, cela ne signifie pas que l’église n’a aucune responsabilité à l’égard de ces organisations. Toutefois, il signifie qu’ils sont des manifestations du Royaume de Dieu, dans lequel des groupes de chrétiens cherchent à appliquer les principes du Royaume à tous les domaines de la vie. L’église visible et le Royaume, aussi, peuvent être identifiés dans une certaine mesure. L’église visible peut certainement prétendre appartenir au Royaume, de faire partie du Royaume et même de l’incarnation visible plus importante des forces du Royaume. Il participe de la nature de l’église invisible (les deux étant un) comme moyen pour la réalisation du Royaume de Dieu. Comme l’église visible, le Royaume se partage aussi dans les imperfections qui il expose un monde pécheur. C’est assez évident de la parabole du bon grain et l’ivraie et celle de la résille. Dans la mesure où l’église visible joue un rôle important dans la création et l’expansion du Royaume, c’est, bien sûr, subordonner à cela comme un moyen vers une fin. Le Royaume peut affirmer être un concept plus vaste que l’église, parce qu’elle vise à rien moins que le contrôle complet de toutes les manifestations de la vie. Il représente la domination de Dieu dans toutes les sphères de l’activité humaine.
E. L’EGLISE DANS LES DISPENSATIONS DIFFÉRENTES.
1. DANS LA PÉRIODE PATRIARCALE. Dans la période patriarcale des familles de croyants ont constitué les congrégations religieuses; l’église a été mieux représentée dans les ménages pieuses, où les pères ont servi de prêtres. Il n’y avait aucun cultus ordinaire, bien que 4:26 semble impliquer une vocation publique sur le nom du Seigneur. Il y avait une distinction entre les enfants de Dieu et les enfants des hommes, ce dernier progressivement prendre le dessus. Au moment de l’inondation, l’église était enregistré dans la famille de Noé et suite notamment à la ligne de SEM. Et quand la vraie religion a été à nouveau sur le point de disparaître, Dieu fit une alliance avec Abraham, lui donna le signe de la circoncision et séparé de lui et ses descendants dans le monde, pour être son propre peuple. Jusqu'à l’époque de Moïse, les familles des patriarches étaient les dépôts réels de la vraie foi, où la crainte de l’Éternel et le service du Seigneur a été gardés en vie.
2. PENDANT LA PÉRIODE DE MOSAÏQUE. Après l’exode du peuple d’Israël ont été non seulement organisé en une nation, mais ont été également constitué de l’église de Dieu. Ils ont été enrichis avec les institutions dans lesquelles non seulement dévotion familiale ou tribale foi mais la religion de la nation pourrait trouver expression. L’église n’a pas encore obtenu une organisation indépendante, mais elle avait son existence institutionnelle dans la vie nationale d’Israël. La forme particulière dont il a assumé était celle d’un église et l’État. Nous ne pouvons pas dire que les deux se regroupaient au total. Il y avait séparé les fonctionnaires civiles et religieuses et les institutions dans les limites de la nation. Mais en même temps l’ensemble de la nation ont constitué l’église; et l’église se limite à l’une de la nation d’Israël, bien que les étrangers pourraient entrer en étant incorporée dans la nation. Au cours de cette période, il y avait un développement marqué de la doctrine, l’augmentation de la quantité de la vérité religieuse connue et une plus grande clarté dans l’appréhension de la vérité. L’adoration du Dieu était réglementée jusque dans les moindres détails, a été en grande partie rituels et cérémonies et était centrée dans un sanctuaire central.
3. DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. L’église du Nouveau Testament est essentiellement l’un avec l’église de l’ancienne dispensation. Selon leur nature essentielle est concerné, les deux se composent de vrais croyants et des vrais croyants seulement. Et dans leur organisation externe représentent tous deux un mélange du bien et du mal. Encore plusieurs changements importants s’explique par le travail accompli de Jésus Christ. L’église a été dissociée de la vie nationale d’Israël et un organisme indépendant a obtenu. Dans ce contexte, les frontières nationales de l’église ont été emportés. Jusqu'à ce moment, ce qui avait été une église nationale pris maintenant un caractère universel. Et afin de réaliser l’idéal d’extension mondiale, elle devait devenir une Eglise missionnaire, en transportant l’Évangile du Salut à toutes les nations du monde. Par ailleurs, le culte rituel du passé fait place un culte spirituel plus en harmonie avec les privilèges les plus du Nouveau Testament.
La représentation donnée dans ce qui précède repose sur l’hypothèse que l’église existait dans la dispensation vieux ainsi que dans le nouveau et était essentiellement la même dans les deux, en dépit de reconnaître les différences institutionnelles et administratives. Ceci est en harmonie avec les enseignements de nos normes confessionnelles. La Confessio Belgica, explique à l’Art. XXVII: « cette église a été dès le commencement du monde et sera à la fin de celui-ci; qui est évident du fait que le Christ est un roi éternel, qui, sans sujets, il ne peut pas être. » Entièrement d’accord avec cela, le Catéchisme de Heidelberg dit dans dimanche XXI: « que le fils de Dieu, de la race humaine entière, du début à la fin du monde, rassemble, défend et conserve pour lui-même, par son esprit et la parole, dans l’unité de la foi véritable une église choisie pour la vie éternelle. » L’église est essentiellement, comme l’a indiqué dans ce qui précède, la communauté des croyants, et cette communauté existait depuis le début du vieux droit dispense jusqu’au temps présent et continuera d’exister sur la terre jusqu'à la fin du monde. Sur ce point, nous ne pouvons souscrire à ces Premillenarians qui, sous l’influence d’un discorde dispensationalisme, prétendent que l’église est exclusivement un établissement Nouveau Testament, qui n’est pas entré en existence jusqu'à l’effusion de l’Esprit Saint le jour de La Pentecôte et disparaît de la terre avant le début du Millénaire. Ils aiment se définir l’église comme « le corps du Christ, » qui est un caractéristique nouvelle nom de Testament et semblent oublier qu’il est aussi appelé « le temple de Dieu » et « Jérusalem », qui sont très nomme décidément avec une saveur de l’ancien Testament, cf. I Cor. 03:16, 17; II Corinthiens 06:16; EP 02:21; GAL 04:26; Hébreux 12:22. Nous ne devrions pas fermer les yeux sur le fait patent que le nom de « Église » (Héb. qahal, rendu ekklesia dans la Septante) est appliqué à Israël dans l’ancien Testament à plusieurs reprises, Josué 08:35; Ezra 2:65; Joel 02:16. Le fait que, dans nos traductions de la Bible, le rendu de l’ancien Testament de l’original est « collecte, » « Assemblée », ou « congrégation », tandis que le rendu de Nouveau Testament de celui-ci est « Église » peut avoir donné lieu à des malentendus sur ce point; mais le fait demeure que, dans l’ancien Testament, ainsi que dans la nouvelle l’original mot dénote une congrégation ou une Assemblée du peuple de Dieu et comme tel sert à désigner l’essence de l’église. D’une part, Jésus a dit qu’il aurait trouvé l’église dans l’avenir, Matthieu 16:18, mais il a également reconnu comme une institution déjà existante, Matthieu 18:17. Stephen parle de « l’église dans le désert, » actes 07:38. Et Paul témoigne clairement de l’unité spirituelle d’Israël et l’église en Romains 11:17-21 et EP 02:11-16. En substance, Israël constituait l’église de Dieu dans l’ancien Testament, bien que son institution externe diffère considérablement de celle de l’église dans le Nouveau Testament.
F. LES ATTRIBUTS DE L’ÉGLISE.
Selon les Protestants, les attributs de l’église sont attribuées principalement à l’église comme un organisme invisible et seulement accessoirement à l’Eglise comme une institution externe. Catholiques romains, cependant, leur attribuent à leur organisation hiérarchique. Les anciens parlent de trois attributs, mais à ces trois ce dernier ajoute une quatrième.
1. L’UNITÉ DE L’ÉGLISE.
a. la conception catholique. Catholiques romains reconnaissent habituellement seulement les hiérarchiquement organisée ecclesia comme l’église. L’unité de cette église se manifeste dans son imposante Organisation mondiale, qui vise à inclure l’église de toutes les nations. Son vrai centre n’est pas trouvé dans les croyants, mais dans la hiérarchie avec ses cercles concentriques. Il y a d’abord le cercle large du clergé inférieur, les prêtres et autres fonctionnaires inférieurs; puis le plus petit cercle des évêques; suivant celui encore plus étroit des archevêques; et, enfin, le cercle plus restreint des cardinaux; — la pyramide entière étant couronnée par le pape, le chef visible de toute l’organisation, qui possède un contrôle absolu de tous ceux qui relèvent de lui. Ainsi l’église catholique romaine présente à l’oeil une structure très imposante.
b. la conception protestante. The Protestant. Protestants affirment que l’unité de l’Eglise n’est pas principalement d’un externe, mais présentant un caractère interne et spirituel. C’est l’unité du corps mystique de Jésus Christ, dont sont membres tous les croyants. Cet organe est contrôlé par une seule tête, Jésus Christ, qui est aussi le roi de l’église et est animé par un esprit, l’esprit du Christ. Cette unité implique que tous ceux qui appartiennent à la part de l’église dans une même foi, sont cimentés par le lien commun de l’amour et ont les mêmes perspectives glorieux à l’avenir. Cette unité intérieure cherche et acquiert également, relativement parlant, une expression extérieure dans la profession et de la conduite chrétienne des fidèles, dans leur culte public du même Dieu dans le Christ et à leur participation dans les mêmes sacrements. Il ne peut y avoir aucun doute sur le fait que la Bible affirme l’unité, non seulement de l’invisible, mais aussi de l’église visible. La figure du corps, telle qu’elle se trouve dans I Corinthiens 12:12-31, implique cette unité. En outre, en Éphésiens 4:4-16, où Paul insiste sur l’unité de l’Eglise, évidemment a aussi l’église visible à l’esprit, car il parle de la nomination de responsables dans l’église et de leurs travaux dans le nom de l’idéal de l’unité de l’église. En raison de l’unité de l’église une église locale a été réprimandée pour répondre aux besoins d’une autre, et le Concile de Jérusalem se sont engagés à régler une question qui se pose à Antioche. L’église de Rome a fortement insisté sur l’unité de l’Eglise visible et a exprimé dans son organisation hiérarchique. Et quand les réformateurs a rompu avec Rome, ils n’a pas nié l’unité de l’Eglise visible, mais maintient. Toutefois, ils ne trouvèrent pas le lien d’union dans l’organisation ecclésiastique de l’église, mais dans la vraie prédication de la parole et la bonne administration des sacrements. C’est également le cas dans la Confessio Belgica. Nous citons seulement les déclarations suivantes de lui: « nous croyons et professent un catholique ou l’église universelle, qui est une Congrégation de la Sainte de vrais croyants, tous attendent leur salut en Jésus Christ, à laver par son sang, sanctifié et scellé par l’Esprit Saint . » les marques sous lequel est connue la vraie église sont les suivants: « si la pure doctrine de l’Évangile est prêchée; Si elle maintient la pure administration des sacrements comme institué par le Christ; Si la discipline de l’église est exercé à punir le péché; en bref, si toutes les choses sont gérées selon la parole pure de Dieu; toutes choses contraires s’y rapportant a rejeté, et Jésus Christ a reconnu comme le seul chef de l’église. Par les présentes la vraie église peut certainement être connue dont personne n’a le droit de se séparer. » l’unité de l’église visible a été également enseignée par les théologiens réformés de la période post-réforme et était toujours très fortement soulignée en théologie écossaise. Walker dit même: « True églises du Christ, côte à côte avec un de l’autre, formant des organisations distinctes, avec les gouvernements distincts, leur semblait (théologiens écossais) totalement irrecevable, à moins qu’il pourrait être d’une façon très limitée et pour une raison quelconque de opportunisme temporaire. » Aux Pays-Bas, cette doctrine a été éclipsée ces dernières années dans la mesure où le multi - ou pluriformité des églises a été soulignée par déférence pour les faits de l’histoire et de la condition actuelle. À l’heure actuelle, il faut à nouveau souligner dans certaines des discussions en cours. Compte tenu des divisions actuelles de l’église, il est tout à fait naturel que la question devrait se poser, si ces milite pas contre la doctrine de l’unité de l’église visible. En réponse à cela, on peut affirmer que certaines divisions, telles que celles causées par les différences de la localité ou de la langue, sont parfaitement compatibles avec l’unité de l’église; mais que d’autres, tels que ceux qui sont originaires de perversions doctrinales ou abus sacramentelles, fassent vraiment porter atteinte à cette unité. Le résultat ancien de la direction providentielle de Dieu, mais ces derniers sont dus à l’influence du péché: à l’obscurcissement de la compréhension, la puissance de l’erreur ou l’entêtement de l’homme; et c’est pourquoi l’église devra s’efforcer de l’idéal de surmonter ces. La question se pose encore, si l’église invisible ne devrait ne pas s’exprimer dans une seule organisation. On peut difficilement dire que la parole de Dieu l’exige expressément, et l’histoire a montré, c’est infaisable et aussi de discutable valeur. La seule tentative qui a été faite jusqu’ici à s’unir à l’église entière dans une grande organisation externe, n’a pas été productive de bons résultats, mais a conduit à l’externalisme, ritualisme et légalisme. En outre, selon la diversité des églises, si caractéristiques du protestantisme, dans la mesure où elle résulte de la direction providentielle de Dieu et d’une manière légitime, est née la manière la plus naturelle et est tout à fait en harmonie avec la Loi de différenciation, qui l’organisme dans son développement évolue de l’homogène à l’hétérogène. Il est fort possible que la richesse inhérente de l’organisme de l’église trouve meilleure et plus complète expression dans la variété présente des églises qu’ils le feraient dans une seule organisation externe. Cela ne signifie pas, bien sûr, que l’église ne devrait pas viser une plus grande mesure de l’unité externe. L’idéal devrait toujours être de donner à l’expression plus adéquate à l’unité de l’église. À l’heure actuelle, il y a un assez fort mouvement syndical de l’église, mais ce mouvement, telle qu’elle a développée jusqu'à ce moment, bien que sans aucun doute jaillissant de motivations de louables la part de certains, est toujours de valeur plutôt douteuse. Quelle que soit l’union externe est effectuée doit être l’expression naturelle d’une unité intérieure existante, mais le mouvement actuel en partie cherche à fabriquer une union externe où ne trouve pas d’unité intérieure, oubliant que « aucune agrégation artificielle qui cherche à unifier naturel les disparités peuvent se permettre une garantie contre les dissensions de partis au sein de l’agrégation. » Il est non mentionnés dans les écritures, dans la mesure où il cherche l’unité au détriment de la vérité et a été sur la vague de subjectivisme dans la religion. À moins qu’il change de couleur et s’efforce d’être une plus grande unité dans la vérité, il ne sera pas productif d’unité réelle mais seulement de l’uniformité, et alors qu’il peut rendre l’Eglise plus efficace du point de vue économique, il n’ajoutera pas à la véritable efficacité spirituelle de l’église. Barth sonne juste quand il dit: « la quête de l’unité de l’église doit en fait être identique à la quête du Jésus Christ comme le béton tête et Seigneur de l’église. La bénédiction de l’unité ne peut être séparée de lui qui bénit, en lui il a sa source et la réalité, à travers sa parole et l’esprit, il nous est révélé, et seulement dans la foi, il peut devenir une réalité parmi nous. »
2. LA SAINTETÉ DE L’ÉGLISE.
a. la conception catholique. La conception catholique de la sainteté de l’église est aussi principalement de caractère externe. Il n’est pas la sainteté interne des membres de l’Eglise à travers l’oeuvre sanctifiante de l’Esprit Saint, mais la sainteté cérémoniale externe qui est placée au premier plan. Selon le père Devine l’église est Sainte tout d’abord « dans ses dogmes, dans ses préceptes moraux, dans son culte, dans sa discipline, » où « tout est pur et irréprochable, tout est d’une nature telle qu’est calculé pour enlever le mal et la méchanceté et de promouvoir la plupart exa Collector vertu. » Secondairement est seulement la sainteté de l’église conçue comme moral. Deharbe père dit que l’église est aussi Sainte, « parce qu’il y avait en elle à tous les fois saints dont sainteté de Dieu a également confirmé par les miracles et les grâces extraordinaires. »
b. conception protestante. Protestants, ont toutefois tout à fait une autre conception de la sainteté de l’église. Ils soutiennent que l’église est absolument Sainte objectivement, autrement dit, car elle est considérée en Jésus Christ. En vertu de la justice médiatrice du Christ, l’église est comptabilisée Sainte devant Dieu. Dans un sens relatif, ils considèrent également l’église comme étant subjectivement Sainte, qui est, comme en fait Sainte dans le principe interne de sa vie et destinés à être parfaite sainteté. C’est pourquoi elle peut vraiment être appelée une communauté des saints. Cette sainteté est d’abord une sainteté de l’homme intérieur, mais une sainteté qui s’exprime aussi dans la vie extérieure. Par conséquent, sainteté est aussi attribuée, secondairement, à l’église visible. Cette église est Sainte dans le sens qu’il est séparé du monde dans la consécration à Dieu et aussi dans le sens éthique de viser et atteindre en principe, une conversation sacrée dans le Christ. Étant donné que les églises locales visibles se composent des croyants et leurs semences, ils sont censés pour exclure tous les mécréants ouverts et les mauvaises personnes. Paul n’hésite pas à y remédier dans les églises des saints.
3. LA CATHOLICITÉ DE L’ÉGLISE.
a. la conception catholique. L’attribut de la catholicité est ouvert par l’église catholique romaine, comme si elle avait seulement le droit d’être appelé catholique. Comme les autres attributs de l’église, il est appliqué par elle auprès de l’organisation visible. Elle revendique le droit d’être considéré comme l’unique vraiment catholique église, car elle s’étend sur toute la terre et s’adapte à tous les pays et toutes les formes de gouvernement; parce qu’elle a existé depuis le début et a toujours eu des sujets et des enfants fidèles, tandis que les sectes vont et viennent; parce qu’elle est en possession de la plénitude de grâce et de vérité, destiné à être distribué parmi les hommes; et parce qu’elle surpasse en nombre de membres de toutes les sectes dissidentes pris ensemble.
b. la conception protestante. Protestants, encore une fois, appliquent cet attribut principalement à l’église invisible, qui peut être appelée catholique dans un sens beaucoup plus vrai que l’une des organisations existantes, pas même l’Eglise de Rome excepté. Justement, ils supporte mal l’arrogance des catholiques romains en s’appropriant cet attribut pour leur organisation hiérarchique, à l’exclusion de toutes les autres églises. Protestants insistent pour que l’église invisible est principalement l’église catholique réelle, car elle comprend tous les croyants sur la terre à un moment donné, personne n’exceptées; parce que, par conséquent, elle a aussi ses membres parmi toutes les nations du monde qui ont été évangélisées; et parce qu’elle exerce une influence déterminante sur la vie entière de l’homme dans toutes ses phases. Accessoirement, ils attribuent également l’attribut de la catholicité de l’église visible. Dans notre analyse de l’unité de l’Eglise visible, il est déjà apparu que les réformateurs et les Confessions réformées ont exprimé leur croyance dans une église catholique de visible, et cette opinion a été réitérée par les hollandais, écossais et américains réformée les théologiens à droite jusqu'à l’heure actuelle, bien que ces dernières années certains des Pays-Bas a exprimé des doutes sur cette doctrine. Il faut admettre que cette doctrine présente beaucoup de problèmes difficiles, qui exigent toujours des solution. Il n’est pas facile de souligner avec précision juste où se trouve cette église catholique visible. En outre, ces questions comme celles-ci se posent: (1) cette doctrine transporte avec elle une condamnation en gros du confessionnalisme, comme le Dr Henry Van Dyke semble penser ? (2) que cela signifie que certains une confession est la véritable église, tandis que tous les autres sont fausses, ou est-il préférable de faire la distinction entre les églises de formation plus ou moins pure ? (3) à quel moment une église locale ou une dénomination ne cesse d’être partie intégrante de l’église visible ? (4) est une institution externe unique ou organisation indispensable à l’unité de l’Eglise visible, ou pas ? Voici quelques-uns des problèmes qui appellent toujours pour une étude plus approfondie.
G. LES MARQUES DE L’ÉGLISE.
1. LES MARQUES DE L’EGLISE EN GÉNÉRAL.
a. la nécessité de telles marques. Presque plus besoin a été estimé pour ces marques aussi longtemps que l’église était clairement l’un. Mais lorsque s’est posée des hérésies, il est devenu nécessaire pointer vers certaines marques par lequel la vraie église pourrait être reconnue. La conscience de cette nécessité était déjà présente dans l’église primitive, était naturellement moins apparente au moyen-âge, mais devenue très forte au moment de la réforme. À cette époque l’église existante n’était pas seulement divisé en deux grandes sections, mais le protestantisme lui-même a été divisé en plusieurs sectes et églises. En conséquence, on a estimé plus en plus qu’il était nécessaire de souligner certaines marques par lequel la vraie église pourrait être distinguée du faux. Le fait de la réforme ne prouve que les réformistes, sans nier que Dieu conserve son église, avaient encore profondément conscients du fait que l’incarnation empirique de l’église peut devenir sujette à l’erreur, peut s’écarter de la vérité et peut totalement dégénérer. Ils ont supposé l’existence d’une norme de la vérité à laquelle l’église doit correspondre et reconnue comme telle la parole de Dieu.
b. les marques de l’église de la théologie réformée. Les théologiens réformés diffèrent quant au nombre des marques de l’église. Certains ont parlé de sauf un, la prédication de la pure doctrine de l’Évangile (Bèze, Alsted, Amesius, Heidanus, Maresius); d’autres, de deux, la pure prédication de la parole et la bonne administration des sacrements (Calvin, Bullinger, Zanchius, Junius, gomar, faire, à Marck) et encore d’autres ajoutés à ces tiers a, l’exercice fidèle de la discipline (Hyperius, Martyr, Ursinus Trelcatius, Heidegger, Wendelinus). Ces trois sont aussi nommés dans notre Confession; , mais après avoir fait parler d’eux, la Confession combine tout en un en disant: « en bref, si toutes les choses sont gérées selon la parole pure de Dieu. » En cours de temps, une distinction a été faite, en particulier en Ecosse, entre les caractéristiques qui sont absolument nécessaires à l' être de l’église et ceux qui ne sont nécessaires que pour son bien-être. Certains ont commencé à sentir que, aussi discipline nécessaire puisse être pour la santé de l’église, il serait faux de dire qu’une église sans discipline n’était aucune église du tout. Certains ont même pensé la même manière sur la bonne administration des sacrements, car ils ne se sentaient pas libres à unchurch les baptistes ou les Quakers. L’effet de cela est visible dans la Confession de Westminster, qui mentionne que la seule chose qui est indispensable à l' être de l’église « la profession de la vraie religion » et parle d’autres choses, comme la pureté de la doctrine ou de culte et de discipline comme d’excellentes qualités d’Eglises particulières, par lequel le degré de leur pureté peut être mesuré. Dr Kuyper reconnaît uniquement le verbi praedicatio et l' administratio sacramenti sous forme d’interrogation réelle de l’église, car ils seulement: (1) sont spécifique, c'est-à-dire sont caractéristiques de l’église et aucun autre organe; (2) sont des instruments par lesquels Christ travaille avec sa grâce et son esprit dans l’église; et (3) sont des éléments formatives qui entrent dans la constitution de l’église. Discipline se trouve aussi ailleurs et ne peut pas être coordonnée avec ces deux. Ne sachant cela, il a aucun objection, toutefois, de considérer l’exercice fidèle de discipline comme l’une des marques de l’église. Maintenant, c’est sans doute vrai que trois marques habituellement nommées ne sont pas vraiment coordonner. Strictement parlant, on peut dire que la vraie prédication de la parole et de sa reconnaissance comme la norme de la doctrine et de la vie, est la note de l’église. Sans elle, il n’y a pas d’église, et il détermine la bonne administration des sacrements et l’exercice fidèle de la discipline de l’église. Néanmoins, la bonne administration des sacrements est également une véritable marque de l’église. Et si l’exercice de la discipline ne peut être propre à l’église, c'est-à-dire, n’est pas trouvé dedans exclusivement, mais il est absolument essentiel à la pureté de l’église.
2. LES MARQUES DE L’EGLISE EN PARTICULIER.
a. la véritable prédication de la parole. Il s’agit de la plus importante marque de l’église. Bien qu’il soit indépendant des sacrements, ce ne sont pas indépendants de celui-ci. Le véritable prédication de la parole est le grand moyen pour entretenir l’église et lui permettant d’être la mère des croyants. Qu’il s’agit d’une des caractéristiques de la véritable Église, est évident d’après ces passages comme John 08:31, 32, 47; 14:23; J’ai John 4:1-3; John II 9. Attribuant cette marque à l’église ne veut pas dire que la prédication de la parole dans une église doit être parfaite avant elle peut être considérée comme une véritable Église. Cet idéal est inaccessible sur terre; seulement relative pureté de la doctrine peut être attribuée à aucune église. Une église peut être relativement impure dans sa présentation de la vérité sans cesser d’être une véritable Église. Mais il y a une limite au-delà de laquelle une église ne peut pas aller dans la présentation inexacte des faits ou le refus de la vérité, sans perdre son caractère véritable et devenir une fausse église. Voilà ce qui arrive lorsque les articles fondamentaux de la foi sont niait publiquement, et la doctrine et la vie ne sont plus sous le contrôle de la parole de Dieu.
b. la bonne administration des sacrements. Les sacrements ne doivent jamais être dissociées de la parole, car ils ont pas de contenu qui leur est propre, mais dérivent leur contenu de la parole de Dieu; ils sont en fait un visible prédication de la parole. Ainsi ils doivent être administrés par ministres licites de la parole, conformément à l’institution divine et uniquement aux sujets qualifiés, les croyants et leur postérité. Une négation des vérités de l’Évangile centrales affectera naturellement la bonne administration des sacrements; et l’église de Rome s’écarte certainement le mode correct, quand elle répudie les sacrements de la parole, attribuant à eux une sorte d’efficacité magique; et quand il permet aux sages-femmes d’administrer le baptême en temps de besoin. Que la bonne administration des sacrements est une caractéristique de la véritable Église, résulte de son lien indissoluble avec la prédication de la parole et de tels passages comme Matthieu 28: 19; Marc 16:15, 16; Actes à 02:42; I Corinthiens 11:23-30.
c. l’exercice fidèle de la discipline. C’est tout à fait essentiel pour le maintien de la pureté de la doctrine et pour la sécurisation de la sainteté des sacrements. Les églises qui sont laxistes dans la discipline sont liés à découvrir tôt ou tard, au sein de leur cercle, une éclipse de la lumière de la vérité et un abus de ce qui est Saint. C’est pourquoi une église qu’il resterait fidèle à son idéal dans la mesure où cela est possible sur la terre, doit être diligent et consciencieux dans l’exercice de la discipline chrétienne. La parole de Dieu insiste sur la bonne discipline dans l’Eglise du Christ, Matthieu 18:18; J’ai Cor. 5:1-5, 13; 14:33, 40; 02:14, 15, 20.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Quelle est la signification de mot ekklesia dans Matthieu 16:18; 18:17 ? Quand et comment le terme kuriake vinrent en service pour l’église ? Comment faire les mots néerlandais « kerk » et « gemeente » diffère et comment elles sont liées à l’expression grecque ? Y a-t-il des passages de l’écriture dans laquelle mot ekklesia sans doute sert à désigner comme une unité l’ensemble des personnes dans le monde entier qui extérieurement professent Christ ? Le mot est déjà utilisé comme la désignation d’un groupe d’églises sous un gouvernement commun, tels que nous appelons une dénomination ? La visibilité de l’Eglise consiste simplement en la visibilité de ses membres ? Si ce n’est pas le cas, en ce qu’il devient visible ? L’église visible soit à un autre qu’un simple extérieure relation au Christ, et il jouit tout autre que de privilèges et de simples promesses vers l’extérieur ? L’essence de l’église visible diffère-t-elle de celle de l’église invisible ? Quelles objections ont été soulevées à la distinction entre l’église en tant qu’institution et l’église comme un organisme ? Quelle est la différence fondamentale entre les catholiques et la conception réformée de l’église ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 295-354; Kuyper, Dict. dogme., De Ecclesia, pp. 3-267; ID., Tractaat Van de Reformatie der Kerken; Ibid., Voto E, II, pp. 108-151; Vos, Geref. Dogme. V, pp. 1-31; Bannerman, L’église du Christ, I, pp. 1-67; Ten Hoor, Afscheiding en Doleantie et Afscheiding de Doleantie; Doekes, De Moeder der Geloovigen, p. 7-64; Steen, De Kerk, pp. 30-131; McPherson, la Doctrine de l’église en théologie écossaise, pp. 54-128; Van Dyke, l’église, son ministère et les sacrements, pp. 1-74; Hort, The Christian Ecclesia, surtout pp. 1-21, 107-122; Pieper, Christl. Dogme. III, pp. 458-492; Valentine, Chr. dogme. II, p. 362-377; Pape, Chr. Theol. III, pp. 259-287; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 357-378; Strong, Syst. Theol., pp. 887-894; Devine, le credo a expliqué, pp. 256-295; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., pp. 102-119; Moehler, symbolisme, pp. 310-362; Schaff, nos pères' foi et le nôtre, p. 213-239; Morris, ecclésiologie, pp. 13-41; W.a. Visser ' t Hooft et J. H. Oldham, l’église et sa fonction dans la société.
III. le gouvernement de l’église
A. DIFFÉRENTES THÉORIES CONCERNANT LE GOUVERNEMENT DE L’ÉGLISE.
1. LA VUE DES QUAKERS ET DARBYSTES. C’est une question de principe avec les Quakers et les Darbyites de rejeter tous les gouvernement d’église. Selon eux, chaque formation église externe nécessairement dégénère et conduit à des résultats qui vont à l’encontre de l’esprit du christianisme. Il exalte l’élément humain au détriment de la volonté divine. Il néglige les charismes divinement donnés et suppléants pour les offices instituées par l’homme et par conséquent offre l’église la cosse de la connaissance humaine plutôt que les communications vitales de l’Esprit Saint. C’est pourquoi ils le considèrent comme non seulement inutile, mais résolument pécheresse d’organiser l’église visible. Les offices tombent ainsi soit dit en passant, et dans le culte public, chacun suit simplement les incitations de l’esprit. La tendance qui apparaît dans ces sectes, qui donne des preuves claires du levain de la mystique, doit être considérée comme une réaction contre l’organisation hiérarchique et le formalisme de l’église officielle d’Angleterre. Dans notre pays, certains des Quakers ont régulièrement des ministres ordonnés et procéder à leur culte très autant que les autres églises.
2. LE SYSTÈME D’ERASTIEN, NOMMÉ D’APRÈS ERASTUS, 1524-1583. Erastians considère l’église comme une société qui doit son existence et sa forme au règlement édicté par l’État. Les dirigeants de l’église sont simplement des instructeurs ou les prédicateurs de la parole, sans aucun droit ni pouvoir se prononcer, sauf ce qu’ils tirent de la magistrature civile. C’est la fonction de l’État à gouverner l’Eglise, faire preuve de discipline et d’excommunier. Censures de l’église sont des peines civiles, bien que leur application peut être confiée à des juristes de l’église. Ce système a été diversement appliqué en Angleterre, Ecosse et l’Allemagne (luthérienne). Il est en conflit avec le principe fondamental de la position de chef de Jésus-Christ et ne reconnaît pas le fait que l’église et l’État sont distinctes et indépendantes dans leur origine, dans leurs objets primaires, dans le pouvoir qu’ils exercent et dans l’administration de ce puissance.
3. LE SYSTÈME ÉPISCOPALIEN. Les épiscopaliens tenir que Christ, en tant que le chef de l’église, a confié le gouvernement de l’église directement et exclusivement à une ordonnance de prélats ou évêques, comme les successeurs des apôtres; et qu’il a constitué ces évêques un ordre distinct et indépendant qui se perpétue. Dans ce système, la communauté des croyants ou coetus fidelium n’a absolument aucune part dans le gouvernement de l’église. Dans les premiers siècles, c’était le système de l’église catholique romaine. En Angleterre, il est combiné avec le système erastienne. Mais la Bible ne garantit pas l’existence d’une telle classe distincte des officiers supérieurs, qui ont le droit inhérent à l’ordination et de compétence et donc ne pas représenter les gens ni, au sens du mot, en tirent leur office. L’écriture montre clairement que le office apostolique n’était pas un caractère permanent. Les apôtres faisaient une classe clairement distincte et indépendante, mais il n’était pas leur tâche spéciale pour gouverner et administrer les affaires des églises. C’était leur devoir d’apporter l’Évangile aux districts de non-évangélisés, de fonder des églises, puis de nommer d’autres parmi les gens de la tâche de ces églises de statuer. Avant la fin du premier siècle l’apostolat avait entièrement disparu.
4. LE SYSTÈME CATHOLIQUE ROMAIN. C’est le système épiscopal transporté jusqu'à sa conclusion logique. Le système catholique romain fait semblant de comprendre, non seulement les successeurs des apôtres, mais aussi un successeur de Pierre, qui est censé avoir eu la primauté parmi les apôtres, et dont le successeur est maintenant reconnu comme le représentant spécial du Christ. L’église de Rome est de la nature de la monarchie absolue, sous le contrôle d’un pape infaillible, a le droit de définir et de réglementer la doctrine, le culte et le gouvernement, de l’église. Selon lui, il y a des classes inférieures et les ordres, à qui est donné grâce spéciale, et dont le devoir est de gouverner l’église en stricte obligation de rendre compte à leurs supérieurs et au Pontife suprême. Les gens n’ont absolument aucune voix au sein du gouvernement de l’église. Ce système est également en conflit avec l’écriture, qui ne reconnaît aucune telle primauté de Pierre que celui sur lequel le système est construit et reconnaît distinctement la voix du peuple dans les affaires ecclésiastiques. En outre, la prétention de l’église catholique, qu’il y a eu une série ininterrompue de la succession de l’époque de Pierre jusqu'à nos jours, est contredite par l’histoire. Le système papal est, historiquement, tant mais intenable.
5. LE SYSTÈME CONGRÉGATIONALISTE. C’est aussi appelé le système d’indépendance. Selon elle chaque église ou la Congrégation est une église complète, indépendante de toute autre. Dans une telle église, que le pouvoir gouvernant repose exclusivement avec les membres de l’église, qui ont droit de réglementer leurs propres affaires. Les agents sont simplement des fonctionnaires de l’église locale, nommé à enseigner et à administrer les affaires de l’église et n’ont aucun pouvoir dirigeant au-delà de ce qu’ils possèdent en tant que membres de l’église. S’il est jugé opportun que les diverses églises devraient exercer la communion avec l’autre, comme c’est parfois le cas, cette communion s’exprime lors des conciles ecclésiastiques et aux conférences locales ou provinciales, pour l’examen de leur commune des intérêts. Mais les actions de ces organismes associés sont tenues d’être strictement consultatif ou déclarative et ne lient pas sur n’importe quelle église particulière. Cette théorie du gouvernement populaire, subordonnant au total le Office du ministère à l’action du peuple, n’est certainement pas en harmonie avec ce que nous apprenons de la parole de Dieu. En outre, la théorie que chaque église est indépendante de toutes les autres églises, ne parvient pas à exprimer l’unité de l’Eglise du Christ, a un effet de désintégration et ouvre la porte à toutes sortes d’arbitraire dans le gouvernement de l’église. Il n’y a pas d’appel des décisions de l’église locale.
6. LE SYSTÈME NATIONAL DE ÉGLISE. Ce système, appelé également le système collégial (qui a supplanté le système Territorial) a été développé en Allemagne surtout par C. M. Pfaff (1686-1780) et a été par la suite introduit dans les pays-bas. Il se déroule sur l’hypothèse que l’église est une association bénévole, égale à l’État. Les églises séparées ou congrégations sont simplement des sous-divisions de l’unique Eglise nationale. La puissance d’origine réside dans une organisation nationale, et cette organisation a compétence sur les églises locales. C’est juste l’inverse du système presbytérien, selon laquelle la puissance d’origine a son siège dans le Consistoire. Le système Territorial reconnu inhérente de l’État au culte public de réforme, pour statuer sur les litiges concernant la doctrine et la conduite et de convoquer des synodes, tandis que le collégial système attribue à l’Etat que le droit de surveillance comme un droit inhérentet ce qui concerne tous les autres droits, dont l’État pourrait exercer dans l’église questions, comme les droits dont l’église par une entente tacite ou par un Pacte formel conféré à l’État. Ce système ne tient pas compte de tout à fait de l’autonomie des églises locales, ignore les principes de l’autonomie et de responsabilité directe au Christ, engendre le formalisme et lie une église spirituelle ostensiblement par lignes formelles et géographiques. Un tel système, qui est proche du système erastienne, s’inscrit naturellement dans meilleur avec l’idée actuelle de l’État totalitaire.
B. LES PRINCIPES FONDAMENTAUX DU SYSTÈME RÉFORMÉ OU PRESBYTÉRIEN.
Églises réformées ne prétends pas que leur système de gouvernement de l’église est déterminée dans les moindres détails par la parole de Dieu, mais affirmer que ses principes fondamentaux sont directement dérivées de l’écriture. Ils ne prétendent pas un jus divinum pour les détails, mais seulement pour les principes généraux fondamentaux du système et sont tout à fait prêts à admettre que beaucoup de ses détails sont déterminés par l’opportunisme et la sagesse humaine. De là qu'il résulte que, tandis que la structure générale doit être maintenue de façon rigide, certains détails pourront être changés ecclésiastique manière appropriée pour des raisons prudentielles, tels que le bénéfice général des églises. Voici ses principes fondamentaux.
1. LE CHRIST EST LE CHEF DE L’EGLISE ET LA SOURCE DE TOUTE SON AUTORITÉ. L’église de Rome attache la plus haute importance de maintenir le poste de directeur du pape sur l’église. Les réformateurs maintient et a défendu la position, en opposition avec les revendications de la papauté, que Christ est le seul chef de l’église. Ils n’a pas entièrement évité le danger, cependant, reconnaissant, celui plus et l’autre moins, la suprématie de l’État sur l’église. Par conséquent les églises presbytériennes et réformées devaient combattre une autre bataille, la bataille pour le Headship de Jésus-Christ en opposition les empiétements injustifiés de l’État. Cette bataille se déroula d’abord en Écosse et plus tard également aux Pays-Bas. Le fait même qu’il a lutté contre ces puissances extérieures comme la papauté et de l’État ou le roi, qui prétendait être le chef de l’Eglise visible, implique clairement que ceux qui étaient engagés dans cette bataille étaient particulièrement intéressés à établir et maintient la position que Christ est la tête seulement légitime du visible église et est donc le législateur suprême seulement et le roi de l’église. Naturellement, ils ont également reconnu Christ comme le bio chef de l' invisible église. Ils ont réalisé que les deux ne peuvent pas être séparées, mais, étant donné que le pape et le roi pouvaient difficilement prétendre à être le chef organique de l’église invisible, ce n’était pas vraiment le point en question. Concernant les enseignants écossais Walker dit: « qu’ils voulaient dire que Christ est le vrai roi et chef de l’église, comme une organisation visible, arrêt rendu par ses statuts, ordonnances et officiers et forces, aussi véritablement et littéralement comme David ou Salomon ont gouverné l'Alliance gens de la vieille ».
La Bible nous enseigne que Christ est le chef sur toutes choses: il est le Seigneur de l’univers, pas simplement comme la deuxième personne de la Trinité, mais en sa qualité de médiatrice, Matthieu 28: 18; EP 01:20-22; Phil. 02:10, 11; 17:14; 19:16. dans un sens très particulier, cependant, il est le chef de l’église qui est son corps. Il se trouve dans une relation vitale et organique à lui, il remplit de sa vie et il contrôle spirituellement, Jean 15:1-8; EP 01:10, 22, 23; 02:20-22; 04:15; 05:30; 01:18; 02:19; 3:11. Premillenarians prétendent que c’est le seul sens dans lequel le Christ est le chef de l’église, car ils nient le point pour lequel nos pères réformés a soutenu, à savoir que Christ est le roi de l’église et donc l’autorité suprême seulement pour être reconnu en elle. L’écriture enseigne clairement, toutefois, que le Christ est le chef de l’Eglise, non seulement en vertu de sa relation vitale pour elle, mais aussi comme législateur et roi. Au sens organique et vital, il est la tête principalement, mais non exclusivement, de l’église invisible, qui constitue son corps spirituel. Mais il est aussi le chef de l’Eglise visible, non seulement dans le sens biologique, mais aussi en ce sens qu’il a autorité et règle dessus, Matthieu 16:18, 19; 23:8, 10; John 13:13; I Cor. 12:5; EP 01:20-23; 4:4, 5, 11, 12; 05:23, 24. ce poste de directeur du Christ sur l’église visible est la partie principale de la domination lui a décerné à la suite de ses souffrances. Son autorité se manifeste dans les points suivants: a il a institué l’Eglise du Nouveau Testament, Matthieu 16:18, afin qu’il n’est pas tenu autant dans notre société de jour, un simple volontaire, qui a son seul mandat dans le consentement de ses membres. (b) il a mis en place les moyens de grâce qui doit administrer l’église, à savoir, la parole et les sacrements, Matthieu 28: 19, 20; Marc 16:15, 16; Luc 22:17-20; I Corinthiens 11:23-29. En la matière, personne d’autre n’a le droit de légiférer. (c) il a donné à l’église sa constitution et les officiers et eux revêtu de l’autorité divine, afin qu’ils peuvent parler et agir en son nom, Matthieu 10:1; 16:19; Jean 20:21-23; EP 04:11, 12. (d) il est toujours présent dans l’église quand il rencontre pour le culte et parle et agit par l’intermédiaire de ses dirigeants. C’est le Christ Roi qui justifie leur en parler et d’agir avec autorité, Matthieu 10:40; II Corinthiens 13:3.
2. CHRIST EXERCE SON AUTORITÉ AU MOYEN DE SA PAROLE ROYALE. Le règne du Christ n’est pas en tous points semblables à celui des rois de la terre. Il n’exclut pas l’église par la force, mais subjectivement par son esprit, qui est applicable dans l’église et objectivement par la parole de Dieu comme la norme de l’autorité. Inconditionnellement, tous les croyants sont tenus d’obéir à la parole du roi. Comme Christ est le souverain seul dirigeant de l’église, sa parole est le seul mot qui est droit dans le sens absolu. Par conséquent, tout pouvoir despotique est contrebande dans l’église. Il n’y a aucun pouvoir de décision indépendant du Christ. Le pape de Rome se trouve condamné qu’il, tout en professant d’être vicaire du Christ sur la terre, pratiquement supplante le Christ et remplace sa parole par des innovations humaines. Non seulement place tradition sur un pied d’égalité avec l’écriture, il prétend également être l’interprète infaillible des deux lorsqu’il parle ex cathedra en matière de foi et de morale. Ecriture et la tradition peuvent être les règles médiates ou éloignées de la foi, la règle immédiate est l’enseignement de l’église, qui a sa garantie à l’infaillibilité papale. Le mot du pape est la parole de Dieu. Mais s’il est vrai que Christ exerce son autorité dans l’église par les agents, cela ne veut ne pas être entendu au sens que He transferts son autorité à ses serviteurs. Il gouverne l’Eglise à travers tous les âges, mais ce faisant, il utilise les officiers de l’église comme ses organes. Ils ont aucun absolu ou indépendants, mais seulement un pouvoir dérivé et ministériel.
3. CHRIST COMME ROI A DOTÉ L’EGLISE DE PUISSANCE. Plutôt délicate se pose une question à ce stade, à savoir qui sont les matières premières et correcte du pouvoir de l’église ? À qui le Christ a commis ce pouvoir dans un premier temps ? Réponse de catholiques romains et épiscopaux: aux officiers comme une classe distincte, en opposition avec des membres ordinaires de l’église. Ce point de vue a également été jugé par certains éminents théologiens presbytériens, tels que Rutherford et Baillie. Diamétralement opposée à cela est la théorie des indépendantes, que ce pouvoir est exercé par l’église dans son ensemble, et que les agents sont simplement les organes du corps dans son ensemble. Le grand divin puritain, Owen, adopte ce point de vue avec quelques modifications. Ces dernières années certains théologiens réformés, apparemment favorisé ce point de vue, sans toutefois s’abonner au séparatisme des indépendantes. Il y a une autre opinion, cependant, ce qui représente une moyenne entre ces deux extrêmes, qui semblerait mériter la préférence. Selon elle, pouvoir ecclésiastique s’engage par le Christ à l’église dans son ensemble, c'est-à-dire les membres ordinaires et les agents semblables; mais en plus de cela les agents reçoivent une telle mesure supplémentaire du pouvoir comme c’est exigé pour l’exercice de leurs fonctions respectives dans l’église du Christ. Ils partagent la puissance d’origine conférée à l’église et recevoir leur autorité et leur pouvoir comme agents directement du Christ. Ils sont les représentants, mais non sur de simples députés ou représentants du peuple. Les théologiens anciens disent souvent: « église de tout pouvoir, dans actu primoou fondamentalement, est dans l’église elle-même; dans actu secundo, ou son exercice, qui sont spécialement appelés s’y rapportant. » C’est essentiellement l’opinion de Voetius, Gillespie (dans son ouvrage les cérémonies), Bannerman, Porteous, Bavinck et Vos.
4. CHRIST A PRÉVUE L’EXERCICE SPÉCIFIQUE DE CE POUVOIR PAR LES ORGANES REPRÉSENTATIFS. Alors que Christ ont commis de puissance à l’église dans son ensemble, il a également donné pour elle, que ce pouvoir exercé habituellement et spécifiquement par les organes représentatifs, mis de côté pour le maintien de la doctrine, culte et de discipline. Les dirigeants de l’église sont les représentants du peuple choisi par vote populaire. Cela ne signifie pas, toutefois, qu’ils reçoivent leur pouvoir du peuple, l’appel du peuple est, mais la confirmation de l’appel interne par le Seigneur lui-même; et c’est de lui qu’ils reçoivent leur autorité et à lui qu’ils sont responsables. Lorsqu’elles sont appelées des représentants, c’est simplement une indication du fait qu’ils ont été choisis pour leur office par le peuple et n’implique pas qu’ils en tirent leur autorité. C’est pourquoi ils ne sont aucun députés ou outils qui servent à réaliser les souhaits du peuple, mais les dirigeants dont le devoir est d’appréhender et d’appliquer intelligemment les lois du Christ. Dans le même temps, ils sont en devoir de reconnaître le pouvoir dévolu à l’église dans son ensemble en cherchant son accord ou consentement sur des questions importantes.
5. LA PUISSANCE DE L’ÉGLISE RÉSIDE PRINCIPALEMENT DANS L’INSTANCE DIRIGEANTE DE L’ÉGLISE LOCALE. C’est l’un des principes fondamentaux du gouvernement réformé ou presbytérien, que le pouvoir ou l’autorité de l’église ne réside pas d’abord à l’Assemblée générale la plupart de n’importe quelle église et n’est que secondairement et par dérivation à partir de cet assembly, dévolu à la Conseil d’administration de l’église locale; mais qu’elle a son siège d’origine dans le consistoire ou la session de l’église locale et est par cela transférés aux assemblys principaux, tels que les classes (consistoires) et synodes ou assemblées générales. Ainsi le système réformé honore l’autonomie de l’église locale, si elle considère ce sous réserve des limitations qui peuvent être mises sur elle à la suite de son association avec les autres églises dans une confession toujours et il assure le plein droit de gouverner sa propres affaires intérieures par le biais de ses dirigeants. Dans le même temps, il maintient également le droit et le devoir de l’église locale à s’unir avec les autres églises similaires sur une base confessionnelle commune et à former un organisme plus large à des fins doctrinales, judiciaires et administratives stipulations appropriées du mutual droits et obligations. Une organisation plus large sans doute impose certaines limites à l’autonomie des églises locales, mais favorise également la croissance et le bien-être des églises, garantit les droits des membres de l’église et sert à donner une expression plus complète à l’unité de l’église.
C. LES OFFICIERS DE L’ÉGLISE.
Différents types d’agents peuvent être distinguées dans l’église. Une distinction très générale est celle entre les officiers de l’ordinaires et extraordinaires.
1. LES OFFICIERS EXTRAORDINAIRES.
a. les apôtres. Strictement parlant, ce nom s’applique uniquement pour les douze choisis par Jésus et Paul; mais elle est aussi appliquée à certains hommes apostoliques, qui a aidé Paul à son travail, et qui ont été dotés de cadeaux apostolique et grâces, actes 14:4, 14; J’ai Cor. 9:5, 6; II Corinthiens 08:23; GAL 01:19 ( ?). Les apôtres avaient la tâche spéciale de poser les fondations de l’église de tous les âges. C’est seulement par leur parole que les croyants de tous les âges suivants ont communion avec Jésus Christ. Ils sont donc les apôtres de l’église de nos jours aussi bien qu’ils étaient les apôtres de l’église primitive. Ils ont certaines qualités spéciales. Ils ont reçu leur commission directement de Dieu ou de Jésus Christ, marquent 03:14; Luc 06:13; Galates 1:1; (b) ont été témoins de la vie du Christ et en particulier de sa résurrection, John 15:27; Actes à 01:21, 22; J’ai Cor. 9:1; (c) étaient conscients d’être inspiré par l’esprit de Dieu dans tout leur enseignement, tant oral qu’écrite, actes 15:28; J’ai Cor. 02:13; J’ai Thess. 4:8; J’ai John 5:9-12; (d) avait le pouvoir de faire des miracles et ce recours à plusieurs reprises d’entériner leur message, II Cor. 12:12; Hébreux 2:4; et (e) ont été richement béni dans leur travail comme un signe de l’approbation divine de leurs labeurs, I Cor. 9:1, 2; II Corinthiens 3:2, 3; Galates 2:8.
b. les prophètes. Le Nouveau Testament parle aussi des prophètes, actes 11:28; 13:1, 2; 15:32; I Corinthiens 12:10; 13:2; 14:3; EP 02:20; 3:5; 04:11; J’ai Timothée 01:18; 04:14; Apocalypse 11:6. Évidemment, le don de parler pour l’édification de l’église était très développé dans ces prophètes, et ils ont parfois contribués à révéler les mystères et prédire les événements futurs. La première partie de ce don est permanente dans the Christian Church et a été reconnue distinctement par les Églises réformées (prophéties), mais la dernière partie de celui-ci était d’un caractère temporaire et charismatique. Ils diffèrent des ministres ordinaires en ce qu’ils ont parlé sous l’inspiration spéciale.
c. évangélistes. En plus des apôtres et des prophètes, des évangélistes sont mentionnés dans la Bible, actes 21:8; EP 04:11; II Timothée 4:5. Philip, marque, Timothée et Tite appartenaient à cette classe. On en sait peu sur ces évangélistes. Ils accompagnent et aidé les apôtres et étaient parfois envoyés par ces derniers sur les missions spéciales. Leur travail était de prêcher et baptiser, mais aussi d’ordonner des aînés, Tite 1:5; I Timothée 05:22 et faire preuve de discipline, Tite 03:10. Leur pouvoir semble avoir été plus général et un peu supérieure à celle des ministres réguliers.
2. LES OFFICIERS ORDINAIRES.
a. les anciens. Parmi les officiers ordinaires de l’église, le presbuteroi ou episkopoi sont d’abord par ordre d’importance. L’ancien nom signifie simplement « anciens », c'est-à-dire, plus âgés et le second, « superviseurs ». Le terme presbuteroi est utilisé dans l’écriture pour désigner des vieillards et à désigner une catégorie d’agents assez semblables à ceux qui ont fonctionné dans la synagogue. En tant qu’appellation d’office le nom a été progressivement éclipsé et même remplacé par nom episkopoi. Les deux termes sont souvent utilisés indifféremment, actes 20:17, 28; I Timothée 3:1; 04:14; 05:17, 19; Tite 1:5, 7; I Pierre 5:1, 2. Presbuteroi sont d’abord mentionnés dans Actes 11:30, mais le Office était évidemment bien connu déjà quand Paul et Barnabé se rendit à Jérusalem et a pu existé même avant l’institution du diaconat. At le moins la de terme hoi neoteroi en 5 actes semble indiquer une distinction entre ces derniers et les presbuteroi. Est fait souvent mention dans le livre des actes, 14:23; 15:6, 22; 16:4; 20:17, 28; 21:18. probablement le office presbytéro ou épiscopal fut tout d’abord instituée dans les églises des Juifs, Jacques 05:14; Hébreux 13:7, 17, et puis, peu de temps après, également à ceux des païens. Plusieurs autres noms sont appliqués à ces officiers, nommément proistamenoi, Romains 12:8; J’ai Thes. 05:12; kuberneseis, I Cor. 12:28; hegoumenoi, Hébreux 13:7, 17, 24; et poimenes, Éphésiens 04:11. Ces officiers avaient clairement la surveillance du troupeau qui a été confié à leurs soins. Ils ont dû prévoir qu’il gouverner et protéger, comme le très domestique de Dieu.
b. les enseignants. Il est clair que les anciens n’étaient pas initialement enseignants. Il était inutile d’enseignants distincts dans un premier temps, puisqu’il y avait des apôtres, des prophètes et des évangélistes. Progressivement, cependant, le didaskalia était lié plus étroitement à la charge épiscopale; mais même dans ce cas les enseignants à la fois ne constituait pas une catégorie distincte d’officiers. Déclaration de Paul dans Éphésiens 04:11, qui a également donné le Christ ascensionné « pasteurs et enseignants, » mentionnée comme une seule catégorie, à l’église, montre clairement que ces deux ne constituait pas deux différentes classes d’agents, mais une seule classe ayant deux fonctions connexes. I Timothée 05:17 parle d’anciens qui travaillent dans la parole et dans l’enseignement et selon Hébreux 13:7 la hegoumenoi étaient également des enseignants. En outre, dans II Timothée 2:2 Paul invite instamment à Timothy la nécessité de nommer à des hommes fidèles de office qui seront également en mesure d’enseigner aux autres. En cours de temps deux circonstances ont conduit à une distinction entre les anciens ou les surveillants qui lui ont été confiées qu’avec le gouvernement de l’église et ceux qui ont été également appelée à enseigner: (1) lorsque les apôtres sont morts et les hérésies se leva et augmenté, la tâche de ceux qui ont été appelés à enseigner est devenu plus exigeant et exige une préparation spéciale, II Timothée 2:2; Tite 1:9; et (2) compte tenu du fait que l’ouvrier est digne de son salaire, ceux qui ont été engagés dans le ministère de la parole, une tâche globale qui exige tout leur temps, ont été mis en liberté d’autres travaux, afin qu’ils pourraient se consacrer plus exclusivement au travail de te endolorissement. Selon toute probabilité aggeloi qui ont été abordés dans les lettres aux sept églises d’Asie mineure, ont été les enseignants ou les ministres de ces églises, Apoc. 2:1, 8, 12, 18; 3:1, 7, 14. dans les cercles réformés les ministres désormais la règle les églises ainsi que les anciens, mais administrer en plus de cela la parole et les sacrements. Ensemble, ils font les règlements nécessaires pour le gouvernement de l’église.
c. les diacres. En dehors de la presbuteroi les diakonoi sont mentionnées dans le Nouveau Testament, Philippiens 1:1; I Timothée 3:8, 10, 12. Selon l’opinion dominante actes 6:1-6 contient l’enregistrement de l’établissement du diaconat. Toutefois, certains savants modernes doutent de cela et considèrent le Office mentionné dans Actes 6, soit comme un office dans lequel les fonctions des anciens et des diacres ont été combinées, ou comme un office temporel simplement servir à une fin particulière. Ils appellent l’attention sur le fait que certains des sept élus, comme Philip et Stephen, évidemment employées dans l’enseignement; et que l’argent perçu à Antioche des pauvres de Judée a été livré entre les mains des aînés. Aucune mention n’est faite des diacres quelle qu’elle soit des actes 11:30, bien que ceux-ci, s’ils avaient existé comme une catégorie distincte, auraient été les destinataires naturels de cet argent. Et encore, selon toute probabilité, 6 actes ne fait référence à l’institution du diaconat, pour: (1) le nom diakonoi, qui était, avant l’événement rapporté dans Actes 6, toujours utilisé dans le sens général de serviteur, a commencé par la suite devant être utilisés et en cours de temps servi exclusivement, pour désigner ceux qui ont été engagés dans les œuvres de miséricorde et de charité. La seule raison qui peut être assignée pour cela se trouve dans Actes 6. (2) les sept hommes mentionnées ont été inculpés de la tâche de distribuer correctement les dons qui ont été apportées pour l' agapae, un ministère qui est d’ailleurs plus particulièrement décrite par le mot diakonia, actes 11:29, Romains 12:7; II Corinthiens 8:4; 9:1, 12, 13; 02:19. (3) les exigences pour le office, tel que mentionné dans Actes 6, sont assez exigeants et à cet égard, d’accord avec les exigences mentionnées dans I Timothée 3:8-10, 12. (4) très peu on peut dire en faveur de l’idée d’animal familier de certains critiques que le diaconat n’était pas développé que plus tard, vers le moment où la charge épiscopale fait son apparition.
3. L’APPEL DES AGENTS ET DE LEUR INTRONISATION À OFFICE. Une distinction devrait être faite entre la convocation des officiers extraordinaires, comme les apôtres et que des officiers ordinaires. Les premiers étaient appelés de façon extraordinaire avec une vocation immédiate de Dieu, le second, de la manière ordinaire et par l’intermédiaire de l’église. Nous sommes concernés plus particulièrement avec l’appel des officiers ordinaires.
a. la convocation des officiers ordinaires. Il s’agit de deux volets:
(1) l’appel interne. On pense parfois que les appels internes à un office dans l’église consiste en une idée extraordinaire de Dieu à l’effet qu’on l’appelle, — une sorte de révélation spéciale. Mais ce n’est pas correct. Elle consiste plutôt à certaines indications providentielles ordinaires données par Dieu et comprend notamment trois choses: (a) la conscience d’être poussé à une tâche particulière dans le Royaume de Dieu, par amour pour Dieu et de sa cause; (b) la conviction que l'on est au moins dans une certaine mesure, intellectuellement et spirituellement qualifié au poste sollicité; et (c) l’expérience que Dieu ouvre clairement la voie à l’objectif.
(2) l’appel externe. Il s’agit de l’appel qui vient à l’un par l’intermédiaire de l’église. Il n’est pas délivré par le pape (catholique), ni par un évêque ou un collège d’évêques (épiscopalienne), mais par l’église locale. Les officiers et les membres ordinaires de l’église ont une partie en elle. Que les agents ont une main directeur dedans, mais pas à l’exclusion de la population, est clairement de ces passages comme AC 01:15-26; 6:2-6; 14:23. les gens ont été reconnus même dans le choix d’un apôtre, selon AC 01:15-26. Il semblerait que dans l’âge apostolique, les officiers a guidé le choix du peuple en appelant l’attention sur les qualifications requises qui ont été nécessaires pour le office, mais permis au peuple de prendre part à choisir, actes 01:15-26; 6:1-6; I Timothée 3:2-13. Bien sûr, dans le cas de Matthias Dieu lui-même fait le choix final.
b. l'intronisation des officiers à l'office. Il y a surtout deux rites liés à ceci:
(1) l’ordination. Cela suppose la convocation et l’examen du candidat pour le office. C’est un acte de la classis ou le presbytère (I Timothée 04:14). Dit m. Hodge: « Ordination est l’expression solennelle de l’arrêt de l’église, par les personnes nommées à rendre ce jugement, que le candidat est vraiment appelé par Dieu à prendre part à ce ministère, ainsi authentifier au peuple l’appel divin. » Cette authentification est, en toutes circonstances ordinaires, la condition nécessaire à l’exercice de la charge ministérielle. Il peut être appelé brièvement une reconnaissance publique et la confirmation de l’appel du candidat à ce poste.
(2) imposition des mains. L’ordination est accompagnée par l’imposition des mains. De toute évidence, les deux sont allés main dans la main dans les temps apostoliques, actes 6:6; 13:3; J’ai Timothée 4:14; 5:22. dans ces premiers jours de l’imposition des mains évidemment implique deux choses: il signifiait qu’une personne a été mises de côté pour un office de certain, et que quelque don spirituel spécial a été conféré sur lui. L’église de Rome est d’avis que ces deux éléments sont toujours inclus dans l’imposition des mains, qu’elle confère effectivement certains spirituelle grâce au bénéficiaire et attribue donc à elle signification sacramentelle. Cependant, protestants soutiennent que c’est simplement une indication symbolique du fait que l’un est mis de côté pour le poste ministériel dans l’église. Alors que qu’ils considèrent comme un rite scripturaire et comme celui qui est tout à fait approprié, ils ne pas considèrent comme absolument essentiel. L’église presbytérienne rend facultatif.
D. LES ASSEMBLÉES ECCLÉSIASTIQUES.
1. LES ORGANES DIRECTEURS (COURS ECCLÉSIASTIQUES) DANS LE SYSTÈME RÉFORMÉ. Gouvernement d’église réformée est caractérisé par un système d’assemblées ecclésiastiques dans un croissant ou une gamme descendante, selon le point de vue d'où elles sont considérées. Voici le Consistoire (session), la classis (presbytère), le synod(s) et (dans certains cas) l’Assemblée générale. Le consistoire se compose du ministre (ou, ministres) et les anciens de l’église locale. La classis est composé d’un ministre et un aîné de chaque église locale dans une certaine zone. C’est un peu différent dans l’église presbytérienne, cependant, où le presbytère comprend tous les ministres au sein de ses frontières et un aîné de chacune de ses paroisses. Le Synode, encore une fois, se compose d’un nombre égal de ministres et anciens de chaque classis ou le presbytère. Et, enfin, (dans le cas les presbytériens), l’Assemblée générale est composée d’une délégation égale des ministres et des anciens de chacun des consistoires, et pas, comme pourrait s’y attendre, de chacun des synodes particuliers.
2. LE GOUVERNEMENT REPRÉSENTATIF DE L’ÉGLISE LOCALE ET SON AUTONOMIE RELATIVE.
a. le gouvernement représentatif de l’église locale. Églises réformées se distinguent, d’une part, de toutes ces églises dans laquelle le gouvernement est entre les mains d’un seul prélat ou présidant aîné et d’autre part, de celles où il repose avec les gens en général. Ils ne croient pas à une règle d’un seul homme, qu’il soit un aîné, un pasteur ou un évêque; ne croient-ils au gouvernement populaire. Ils choisissent des aînés au pouvoir comme leurs représentants et ceux-ci, ainsi que l’ou les ministres, forme un Conseil ou Consistoire pour le gouvernement de l’église locale. Très probablement les apôtres ont été guidés par la coutume vénérée d’avoir des aînés dans la synagogue, plutôt que par n’importe quel commandement direct, lorsqu’ils ont ordonné aînés dans diverses églises fondées par eux. L’église de Jérusalem avait des aînés, actes 11:30. Paul et Barnabas eux ordonné dans les églises dont ils ont organisé le premier voyage missionnaire, actes 14:23. Anciens fonctionnaient évidemment à Éphèse, actes 20:17 et à Philippes, Philippiens 1:1. Les épîtres pastorales à plusieurs reprises de faire mention d’eux, j’ai Timothée 3:1, 2; Tite 1:5, 7. Il mérite l’attention dont ils sont toujours parlés au pluriel, I Cor. 12:28; J’ai Timothée 05:17; Hébreux 13:7, 17, 24; I Pierre 5:1. Les anciens sont choisis par le peuple comme des hommes qui sont particulièrement qualifiés pour gouverner l’église. L’écriture entend évidemment que le peuple a une voix relatif à leur sélection, si ce n’était pas le cas dans la synagogue, AC 01:21-26; 6:1-6; 14:23. dans le dernier passage, cependant, le mot cheirotoneo peut avoir perdu son sens originel de la nomination par l’étirement de la mainet peut simplement signifier à nommer. Dans le même temps, il est parfaitement évident que le Seigneur lui-même met ces souverains sur le peuple et les vêtements avec l’autorité nécessaire, Matthieu 16:19; John 20:22, 23; Actes à 01:24, 26; 20:28; I Corinthiens 12:28; EP 04:11, 12; Hébreux 13:17. L’élection par le peuple est simplement une confirmation externe de l’interne à l’appelant par le Seigneur lui-même. En outre, les anciens, bien que les représentants du peuple, n’en tirent leur autorité du peuple, mais par le Seigneur de l’église. Ils exercent la règle sur la maison de Dieu au nom du roi et sont responsables uniquement devant lui.
b. l’autonomie relative de l’église locale. Gouvernement d’église réformée reconnaît l’autonomie de l’église locale. Cela signifie:
(1) que chaque église locale est un complet église du Christ, entièrement équipée avec tout ce qui est nécessaire pour son gouvernement. N’a absolument pas besoin de lui que tout gouvernement doit être imposé de sans. Et non seulement cela, mais une telle imposition serait absolument contraire à sa nature.
(2) que, s’il peut y avoir une bonne affiliation ou la consolidation des églises contiguës, il ne peut y avoir aucun syndicat qui détruit l’autonomie de l’église locale. C’est pourquoi il vaut mieux ne pas de parler des classes et des synodes comme supérieur, mais pour décrire leur majeure ou plus assemblées générales. Ils ne représentent pas un plus élevé, mais la puissance même, inhérente au consistoire, bien que cela exerce sur une échelle plus large. McGill parle d’eux comme supérieur et plus reculées tribunaux.
(3) que les pouvoirs et prérogatives des grandes assemblées ne sont pas illimités, mais ont des limitations aux droits des séances ou consistoires. Ils ne sont pas autorisés à dominent une église locale ou de ses membres, quels que soient les droits constitutionnels du consistoire; ni de s’immiscer dans les affaires internes d’une église locale en toute circonstance. Quand les églises d’affiliation, leurs droits et les devoirs sont circonscrits dans un ordre d’église ou de former un gouvernement. Il stipule les droits et devoirs des grandes assemblées, mais garantit également les droits de l’église locale. L’idée qu’un classis (presbytère) ou Synode peut imposer tout simplement tout ce qu’il veut sur une Eglise particulière est essentiellement catholique.
(4) que l’autonomie de l’Eglise locale a ses limites dans la relation dans laquelle il se trouve dans les églises auxquelles elle est liée et dans l’intérêt général des églises affiliées. L’ordre de l’église est une sorte de Constitution, solennellement souscrite par chaque église locale, représentée par son Consistoire. Ceci d’une part protège les droits et intérêts de l’église locale, mais d’autre part la main aussi, les droits collectifs et les intérêts des églises affiliées. Et aucune Église seule n’a le droit de ne pas tenir compte des questions d’accord mutuel et d’intérêt commun. Le groupe local peut-être être encore appelé parfois à nier lui-même pour le bien loin de l’église en général.
3. LES GRANDES ASSEMBLÉES.
a. l’écriture garantit les grandes assemblées. L’écriture ne contient-elle pas une commande explicite à l’effet que les églises locales d’un district doivent former une union organique. Ni il ne nous fournit un exemple d’une telle union. En fait, il représente les églises locales comme des entités individuelles sans n’importe quel lien externe. En même temps la nature essentielle de l’église, tel que décrit dans les Ecritures, semblerait à demander une telle union. L’église est décrit comme un organisme spirituel, dans laquelle tous les éléments constitutifs sont extrêmement liées à un autre. C’est le corps spirituel de Jésus Christ, dont il est la tête exaltée. Et ce n’est que naturel que cette unité intérieure doit s’exprimer d’une manière visible et devrait même, autant que possible dans ce monde imparfait et pécheresse, chercher l’expression dans une organisation externe correspondante. La Bible parle de l’église, non seulement comme un corps spirituel, mais aussi comme un corps tangible, comme un temple de l’Esprit Saint, comme un sacerdoce et comme une nation sainte. Chacun de ces termes indique une unité visible. Undenominationalists ou les indépendants et les congrégationalistes perdre de vue ce fait important. Les divisions existantes dans l’Eglise visible à l’heure actuelle ne devraient pas nous faire perdre de vue le fait qu’il y a certains passages des écritures qui semblent indiquer assez clairement que, non seulement l’église invisible, mais aussi l’église visible est une unité causer. mot ekklesia est employé au singulier comme une indication de l’église visible dans un sens plus large que celle de l’église purement locale, 09:31 (selon la lecture maintenant acceptée), les actes I Cor. 12:28 et probablement aussi j’ai Cor. 10:32. Dans les descriptions de l’église dans I Corinthiens 12:12-50 et Éphésiens 4:4-16 l’Apôtre a aussi son unité visible à l’esprit. En outre, il y a des raisons de penser que l’église à Jérusalem et Antioche était composé de plusieurs groupes distincts, qui ensemble forment une sorte d’unité. Et, enfin, actes 15 nous familiarise avec l’exemple du Conseil de Jérusalem. Ce Conseil était composé des apôtres et des anciens et ne constituait donc pas un bon exemple et modèle de classis ou Synode dans le sens moderne du mot. Dans le même temps, c’était un exemple d’une Assemblée de grande et de celui qui a parlé avec autorité et non pas simplement à titre consultatif.
b. le caractère représentatif des grandes assemblées. Dans l’abstrait, on peut affirmer que les grandes assemblées aurait pu être composées de tous les représentants de toutes les églises locales placées sous leur juridiction; mais, en raison du nombre des églises représentées, un tel organe serait dans la plupart des cas s’avérer inefficace et peu maniable. Afin de maintenir le nombre de représentants à des proportions raisonnables, le principe de représentation est porté à travers également dans le cadre de grandes assemblées. Pas les églises locales, mais les classes ou les consistoires, envoient leurs représentants aux synodes. Cette offre la contraction graduelle qui est nécessaire pour un système bien compacté. Les représentants immédiates des personnes qui forment les consistoires ou sessions, sont eux-mêmes représentés dans les classes ou les presbytères; et ceux-ci à leur tour sont représentés dans les synodes ou assemblées générales. Plus générale l’Assemblée, les régions plus éloignées c’est du peuple; Pourtant, aucun d'entre eux est trop éloigné pour l’expression de l’unité de l’Eglise, pour le maintien du bon ordre et pour l’efficacité générale de ses travaux.
c. les questions qui relèvent de leur compétence. Le caractère ecclésiastique de ces assemblées convient toujours à l’esprit. C’est parce qu’elles sont assemblées église, que des questions purement scientifiques, industrielles, sociales ou politiques ne relèvent pas, à ce titre, leur compétence. Uniquement les questions ecclésiastiques appartiennent à leur province, comme les questions de doctrine ou de la morale, du gouvernement de l’église et de la discipline, et tout ce qui se rapporte à la préservation de l’unité et le bon ordre dans l’église de Jésus Christ. Plus particulièrement, ils traitent de questions (1) qui, quant à leur nature, font partie de la province d’une Assemblée de mineure, mais pour une raison ou autre ne peut être réglé et (b) les questions qui, quant à leur nature, appartiennent à la province d’une Assemblée importante, puisqu’ils se rapportent aux églises en général, tels que des questions touchant la Confession, l’ordre de l’église ou la liturgie de l’église.
d. le pouvoir et l’autorité de ces assemblées. Les principaux sous-ensembles ne représentent pas une sorte de plus de puissance qu’est investie dans la session ou le Consistoire. Les Églises réformées ne connaissent aucun genre du pouvoir ecclésiastique plus élevé que celui qui réside dans le Consistoire. En même temps, leur autorité est supérieur au degré et plus large dans la mesure que celle du Consistoire. Puissance de l’église est représentée dans une plus grande mesure dans les grandes assemblées que lors du consistoire, tout comme la puissance apostolique était représenté dans une mesure supérieure à douze ans que dans un seul apôtre. Dix églises ont certainement plus d’autorité qu’une seule église; Il y a une accumulation d’énergie. En outre, l’autorité des grandes assemblées ne s’applique pas à une seule église seulement, mais s’étend à toutes les églises affiliées. En conséquence, les décisions d’une Assemblée de grande portent beaucoup de poids et ne peuvent jamais être écartées à volonté. L’affirmation parfois fait qu’ils ont seulement un caractère consultatif et par conséquent ne pas être effectués, est une manifestation du levain de l’indépendance. Ces décisions font autoritées, sauf dans les cas où elles sont déclarées explicitement à caractère purement consultatif. Ils sont obligatoires pour les églises comme la bonne interprétation et application de la Loi, — la loi du Christ, le roi de l’église. Ils cessent d’avoir force exécutoire seulement quand ils apparaissent contraires à la parole de Dieu.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Quelle est la différence entre le sens de Nouveau Testament de mot episkopos et sa connotation plus tard ? Pourquoi les offices réguliers sont nécessaires dans l’église ? L’écriture est favorable à l’idée que les gens devraient avoir une partie dans le gouvernement de l’église ? Quelle est la caractéristique principale de Prelatism ? Quelle est la distinction catholique entre une hiérarchie de commande et une hiérarchie de compétence ? Comment le Territorial et les systèmes collégiales sont créés et comment sont-ils différents ? Quel système les arminiens a fait adopter, et comment cela affecte leur position ? Quelle est la forme actuelle de gouvernement d’église dans l’église luthérienne ? Comment l’idée que le Christ est le chef de l’église que dans un sens organique n’affecte pas les offices et l’autorité de l’église ? Quelle grande portée pratique le Headship de Christ (y compris sa royauté) a-t-il sur la vie, la position et le gouvernement de l’église ? N’importe quelle église on peut considérer autonome dans le sens absolu du terme ? Comment les réformés principaux sous-ensembles diffèrent-ils des conférences congrégationalistes et conseils généraux ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 354-424; Kuyper, Dict. dogme., De Ecclesia, pp. 268-293; ID., Tractaat van de Reformatie der Kerken, pp. 41-82; Vos, Geref. Dogme., V, pp. 31-39, 49-70; Hodge, église Polity, cf. Index; Bannerman, l’église II, pp. 201-331; McGill, gouvernement de l’église, pp. 143-522; McPherson, presbytérianisme; Heyns, manuel pour les anciens et les diacres, pp. 13-70; Bouwman, Geref. Kerkrecht, cf. Index; Rieker, reformierter Grundsaetze Kirchenverfassung; Hoffmann, Kirchenverfassungsrecht; Lechler, Geschichte der Presbyterial-und Synodalverfassung seit der Reformation; Morris, ecclésiologie, pp. 80-151; Hatch, l’Organisation des premières églises chrétiennes; Sillevis Smitt, Kerk De Organisatie van de Christelijke; Lindsay, l’église et le ministère dans les premiers siècles; J. Cunningham, la croissance de l’église, pp. 1-77; Van Dyke, l’église, son ministère et les sacrements, p. 115-161; Pieper, Christl. Dogme. III, p. 501-534; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., pp. 376-410; Wilson, principes de l’Église libre, pp. 1-65; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., pp. 77-101; Devine, le credo a expliqué, pp. 302-340; Boynton, la Congrégation façon; W.a. Visser ' t Hooft et J. H. Oldham, l’église et sa fonction dans la société.
IV. le pouvoir de l’église
A. LA SOURCE DU POUVOIR RELIGIEUX.
Jésus Christ non seulement a fondé l’église, mais aussi il doté le pouvoir ou l’autorité. Il est à la tête de l’Eglise, non seulement dans l’organique, mais aussi dans un sens administratif, autrement dit, il n’est pas seulement la tête du corps, mais aussi le roi de la communauté spirituelle. C’est en sa qualité de roi de l’église qu’il a revêtu son pouvoir ou d’autorité. Il lui parle de l’église fondée si fermement sur un rocher qui les portes de l’enfer ne peuvent prévaloir contre elle, Matthieu 16:18; et à cette occasion — le tout premier sur lequel il a fait mention de l’église — il a également promis de doter son avec puissance, quand il a dit à Pierre: « Je donnerai les clefs du Royaume des cieux, à toi et quoi que tu nous liions sur la terre sera lié dans les cieux; et que ce soit, tu seras délierez sur la terre sera délié dans les cieux, » Matthieu 16:19. Il est évident que les termes « Église » et « Royaume des cieux » sont utilisés indifféremment ici. Les touches sont un emblème du pouvoir (cf. Ésaïe 22:15-22) et sous les clés de la Royaume de ciel Pierre reçoit le pouvoir de lier et lâche, qui à cet égard semblerait signifier, pour déterminer ce qui est interdit et ce qui est permis dans la sphère de l’église. Et le jugement qu’il passe — dans ce cas, pas sur les personnes, mais sur des actions, sera sanctionné dans le ciel. Peter reçoit ce pouvoir comme le représentant des apôtres, et voici le noyau et la Fondation de l’église en tant qu’instructeurs de l’église. L’église de tous les âges est lié par leur parole, John 17:20; J’ai John 1:3. Que Christ doté non seulement Peter, mais tous les apôtres, avec puissance et avec le droit au juge et ce non seulement des actions mais aussi personnes, est tout à fait évident dans Jean 20:23: « dont il soit pèche vous pardonnez, ils sont pardonnés; dont il soit pèche vous conservez, qu’ils soient conservés. » Christ a donné ce pouvoir d’abord et dans le degré maximum aux apôtres, mais il s’étend également, quoique dans une moindre mesure, à l’église en général. L’église a le droit d’excommunier un pécheur impénitent. Mais elle peut le faire que parce que Jésus Christ lui-même habite dans l’église et par l’intermédiaire des apôtres a fourni à l’église avec une norme de jugement. Que le Christ a donné pouvoir à l’église dans son ensemble, est tout à fait évident de plusieurs passages du Nouveau Testament, actes 15:23-29; 16:4; J’ai Cor. 5:7, 13; 6:2-4; 12:28; EP 04:11-16. Les officiers de l’église reçoivent leur autorité de Christ et non d’hommes, même si la Congrégation joue un rôle important dans leur mise en office. Cela signifie d’une part qu’ils n’obtiennent pas aux mains de toute autorité civile, qui n’a aucun pouvoir en matière ecclésiastique et par conséquent ne peut accorder aucun; mais d’autre part également, qu’ils ne dérivent pas il les gens en général, bien qu’ils soient représentants du peuple. Porteous correctement Remarques: « que le prêtre est nommé représentant du peuple montre qu’il est leur souverain choisi. La façon dont le office est acquis, mais pas la source de sa puissance, est désigné par le titre de représentant. »
B. LA NATURE DE CE POUVOIR.
1. UNE PUISSANCE SPIRITUELLE. Lorsque la puissance de l’église est appelée une puissance spirituelle, cela ne signifie pas qu’il est tout à fait interne et invisible, puisque les règles de Christ, corps et âme, sa parole et sacrements abordent tout l’homme, et le ministère du diaconat a même références spéciales répondre aux besoins physiques. C’est une puissance spirituelle, parce qu’elle est donnée par l’esprit de Dieu, actes 20:28, ne peut être exercé au nom du Christ, par la puissance du Saint-Esprit, John 20:22, 23; J’ai Cor. 5:4, s’applique exclusivement aux croyants, I Cor. 05:12 et ne peut être exercé d’une manière morale et spirituelle, II Corinthiens 10:4. L’état représente le gouvernement de Dieu au sujet de la succession temporelle et sortant de l’homme, tandis que l’église représente son gouvernement de succession de l’intérieur et spirituel de l’homme. Le premier vise à garantir à ses sujets de la possession et jouissance de leur externe et de droits civils et est souvent contraint d’exercer un pouvoir coercitif vis-à-vis de la violence humaine. Ce dernier est fondé en opposition à un mauvais esprit et afin d’apporter des hommes de l’esclavage spirituel, en conférant une pour eux la connaissance de la vérité, en cultivant les grâces spirituelles et de les conduire à une vie d’obéissance à des préceptes divins. La puissance de l’église étant exclusivement spirituelle, il ne pas recourir à la force. Christ a laissé entendre à plusieurs reprises que l’administration de son Royaume sur terre impliqué un spirituel et pas un pouvoir civil, Luc 12:13 ff.; Matthieu 20:25-28; John 18:36, 37. L’église de Rome perd de vue ce grand fait, lorsqu’il insiste sur la possession du pouvoir temporel et est déterminé à amener toute la vie du peuple sous son emprise.
2. UN POUVOIR MINISTÉRIEL. Il est tout à fait évident par les écritures que le pouvoir de l’église n’est aucun pouvoir indépendant et souverain, Matthieu 20:25, 26; 23:8, 10; II Corinthiens 10:4, 5; J’ai PET. 5:3, mais une diaconie leitourgia, un pouvoir ministériel, actes 04:29, 30; 20:24; Romains 1:1, dérivé de Christ et subordonné à son autorité souveraine sur l’église, Matthieu 28: 18. Elle doit être exercée en harmonie avec la parole de Dieu et sous la direction du Saint-Esprit, par l’intermédiaire de qui Christ régit son église, et au nom de Christ lui-même comme le roi de l’église, Romains 10:14, 15; Eph. 05:23; J’ai Cor. 5:4. Pourtant, c’est une puissance très réelle et complète, consistant en l’administration de la parole et les sacrements, Matthieu 28: 19, la détermination de ce qui est et ce qui n’est pas autorisé dans le Royaume de Dieu, Matthieu 16:19, le pardon et la conservation du péché, John 20:23 et l’exercice de la discipline dans l’église, Matthieu 16:18; 18:17; J’ai Cor. 5:4; Tite 03:10; Hébreux 12:15-17.
C. DIFFÉRENTES SORTES DE POUVOIRS DE L’ÉGLISE
Dans le cadre de trois offices du Christ il y a aussi une puissance trois fois dans l’église, à savoir, le dogmatica potestas docendi, potestas gubernans ou ordinans dont potestas iudicans ou disciplinae est une subdivision et la potestas ou ministerium misericordiae.
1. LA POTESTAS DOGMATICA OU DOCENDI. L’église a une mission divine dans le cadre de la vérité. C’est son devoir d’être témoin de la vérité à ceux qui n’ont pas, et elle aussi est bien un témoin et un enseignant à ceux qui se trouvent dans. L’église doit exercer ce pouvoir:
a. dans la préservation de la parole de Dieu. En donnant sa parole à l’église, Dieu a constitué l’église, le gardien du dépôt précieux de la vérité. Tandis que les forces hostiles sont dénoyautées contre elle et la puissance de l’erreur est partout apparents, que l’église doit veiller à ce que la vérité n’est pas périr de la terre, que le volume inspiré dans lequel elle est incorporée rester pure et unmutilated, afin d’accomplir son objet ne peut pas être vaincu, et qu’il être transmis fidèlement de génération en génération. Il a la tâche grande et responsable de maintenir et de défendre la vérité contre toutes les forces d’incrédulité et d’erreur, j’ai Timothée 1:3, 4; II Timothée 01:13; Tite 1:9-11. L’église n’a pas toujours été consciente de ce devoir sacré. Au cours du siècle dernier trop nombreux dirigeants de l’église ont même accueilli les assauts d’une critique hostile à la Bible et se sont réjouis dans le fait qu’il a été ramené au niveau d’une production purement humaine, un mélange de vérité et l’erreur. Ils ont montré peu de la décision qui a provoqué de Luther à crier: « Das Wort sollen Sie stehen lassen. »
b. dans l’administration de la parole et des sacrements. Il n’est pas seulement le devoir de l’église pour préserver la parole de Dieu, mais aussi il prêcher dans le monde et dans l’Assemblée du peuple de Dieu, pour la conversion des pécheurs et pour l’édification des saints. L’église a une tâche d’évangélisation ou missionnaire dans le monde. Le roi, revêtu de toute l’autorité dans les cieux et sur la terre, lui a donné la grande commission: « allez, donc et faites des disciples de toutes les nations, les baptisant au nom du père et du fils et du Saint-Esprit, leur apprenant à observer tout ce que j’ai comman DED vous. » Par le ministère de l’église, le fils est sans cesse la collecte hors de l’homme de toute race une église choisie pour la vie éternelle. L’église empirique de n’importe quel moment donné doit participer activement à l’élargissement et l’expansion de l’Eglise à travers les efforts missionnaires, doit être joué un rôle important en apportant dans les élus de toutes les nations du monde, ajout de pierres vivantes au spirituel Temple qui est en cours de construction et doit, de cette manière, promouvoir l’achèvement du nombre qui constituera finalement l’église idéale de l’avenir, l’épouse parfaite du Christ, la nouvelle Jérusalem de l’Apocalypse 21. Si l’église de Jésus Christ doit être abandonné dans l’accomplissement de cette grande tâche, elle serait infidèle à son Seigneur. Que les travaux doivent être poursuivis et doit être complétée avant la glorieuse rentrée du Sauveur, Matthieu 24:14. Et le grand moyens à la disposition de l’église pour l’accomplissement de ce travail n’est, pas l’éducation, la civilisation, la culture humaine ou des réformes sociales, bien que tout cela peuvent avoir une importance subsidiaire, mais l’Évangile du Royaume, qui n’est autre, en dépit des ce que Premillenarians peut dire, que l’Évangile de la grâce libre, de la rédemption par le sang de l’agneau. Mais l’Eglise ne peut fonder satisfaits amener pécheurs au Christ par l’entremise de l’Évangile; elle doit aussi s’engager dans la prédication de la parole dans les assemblées de ceux qui sont déjà venus à Christ. Et dans l’accomplissement de cette tâche n’est pas sa principale tâche pour appeler les pécheurs au Christ, bien que l’invitation à venir au Christ ne peut être voulant même dans les églises organisées, mais d’édifier les saints, pour renforcer leur foi, pour les amener dans la voie de sanctification et donc à se solidifier le temple spirituel du Seigneur. Paul a ceci à l’esprit quand il dit que le Christ a donné les officiers de l’enseignement de l’église « pour le perfectionnement des saints, pour le travail de son ministère, à l’édification du corps du Christ: jusqu'à ce que nous avons tous parvenir à l’unité de la foi et de la connaissance du fils de Dieu, pour un homme adulte, à la mesure de la stature de la plénitude du Christ. » EP 4:1213. L’église ne peut pas reste satisfaite d’enseigner les premiers principes de la foi, mais devez appuyez sur vers les hauteurs, afin que ceux qui sont des enfants en Christ peuvent devenir adultes hommes et femmes dans le Christ, Héb. 05:11-6:3. Seulement une église qui est vraiment forte, qui a une solide compréhension de la vérité, peut à son tour devenir un puissant organisme missionnaire et faire des conquêtes puissants pour le Seigneur. Ainsi, la tâche de l’église est une tâche globale. Elle doit souligner le chemin du Salut, doit avertir le méchant de leur malheur à venir, doit acclamer les saints avec les promesses de Salut, doit renforcer les faibles, encourager les timides et réconforter le pleurant. Et afin que tout ce travail peut être fait dans tous les pays et parmi toutes les nations, elle doit veiller à ce que la parole de Dieu est traduit en toutes les langues. Le ministère des sacrements doit, bien sûr, aller de pair avec le ministère de la parole. C’est simplement la présentation symbolique de l’Évangile, adressée à l’oeil plutôt qu’à l’oreille. Le devoir de l’église de prêcher la parole est clairement enseigné dans beaucoup de passages de l’Ecriture, comme Ésaïe 03:10, 11; II Corinthiens 05:20; J’ai Timothée 04:13; II Timothée 02:15; 4:2; Tite 2:1-10. Compte tenu des instructions claires de son roi, elle peut ne jamais laisser n’importe quel gouvernement totalitaire à lui dicter ce qu’elle doit prêcher; ni elle peut elle-même, permettre que le contenu de son message est concerné, aux exigences d’une science naturaliste, ou aux exigences d’une culture qui reflète l’esprit du monde. Modernistes ont fait juste cela durant les dernières décennies par les efforts suicidaires de s’adapter dans leur prédication aux exigences d’une rationaliste critique supérieure, de la biologie et de psychologie, de sociologie et d’économie, jusqu'à ce qu’enfin ils ont complètement perdu la message du roi. Beaucoup d'entre eux viennent maintenant à la découverte que le message a recommandé à Repenser les Missions et dans la Nouvelle théologie A pour Missions de Vernon White est très différent du message d’origine et contient peu qui est propre à la Chaire; et que, comme les choses se tiennent maintenant dans leurs milieux, l’église n’a aucun message de ses propres. Frénétique des tentatives par des modernistes à découvrir par eux-mêmes certains message qu’ils pourraient apporter aux églises, alors qu’ils devraient chercher à récupérer le message d’origine et prendre humblement leur place aux pieds de Jésus.
c. dans l’encadrement des symboles et des confessions. Chaque Église doit s’efforcer pour la conscience de soi dans la confession de la vérité. Pour y parvenir, il sera non seulement à réfléchir profondément sur la vérité, mais aussi pour formuler son expression de ce qu’il croit. En faisant cela il va engendrer à ses membres une conception claire de leur foi et transmettre à l’extérieur une certaine compréhension de ses doctrines. La nécessité de faire cela a été grandement renforcée par les perversions historiques de la vérité. La montée des hérésies invariablement réclamé pour la construction des symboles et des confessions, formulé clairement énoncés de la foi de l’église. Même les apôtres parfois jugent nécessaire de réaffirmer avec plus de précision certaines vérités en raison d’erreurs qui s’est glissée dans. John réaffirme la vérité centrale de la manifestation du Christ dans le monde en vue d’un Gnosticisme naissant (cf. son Évangile et la première épître); Paul reprend la doctrine de la résurrection, qui a été rejetée par certains (I Cor. 15; J’ai Timothée 01:20; II Timothée 2:17, 18), et aussi celui de la seconde venue du Christ, qui a été mal compris (II Thess. 2); et le Concile de Jérusalem a jugé nécessaire de réaffirmer la doctrine de la liberté chrétienne (actes 15). La Bible ne contient naturellement, aucun exemple d’un credo. Credo n’est pas donnés par la révélation, mais est le fruit de la réflexion de l’Eglise sur la vérité révélée. De nos jours, beaucoup sont opposés à des symboles et des confessions et chantent les gloires de l’église sans. Mais les griefs formulés à leur encontre ne sont pas du tout insurmontables. Credo n’est pas, considérées comme certains insinuent, de comme égal en autorité de la Bible et beaucoup moins comme supérieure à elle. Ils ne le font pas, soit par déclaration expresse ou implicite ajoute à la vérité de l’Ecriture. Ils milite pas contre la liberté de la conscience, ni faire ils ralentissent la progression de nombreuses études théologiques. Ni peuvent ils être considérés comme la cause des divisions dans l’église, qu’ils soient expressifs d'entre eux. Les divisions étaient là tout d’abord et a donné lieu à diverses croyances. En fait, ils servent dans une large mesure à promouvoir une certaine unité dans l’église visible. En outre, si une église ne veut pas se taire, il est lié à développer une croyance, que ce soit écrit ou non écrit. Tout cela ne signifie pas, cependant, que ne peut pas être abusés de croyances.
d. dans la culture de l’étude de la théologie. L’église ne peut pas reposer sur ses lauriers et être satisfait de la connaissance de la vérité divine à laquelle il a atteint et qu’il a formulées dans ses confessions. Il doit chercher à creuser toujours plus profondément dans la mine de l’écriture, afin de mettre en lumière ses trésors cachés. Grâce à une étude scientifique, il doit chercher une connaissance toujours plus profondément, un toujours mieux comprendre, des mots de la vie. Elle le doit à la vérité elle-même comme une révélation de Dieu, mais aussi à la formation de ses futurs ministres. L’église est dans l’obligation de prévoir, ou du moins à surveiller, la formation des générations successives de ses enseignants et de pasteurs. Cela semble être impliquée dans les paroles de Paul à Timothée: « Et les choses que tu as entendu de moi beaucoup de témoins tu commettre à des hommes fidèles, qui doivent être capables de l’enseigner aussi à d’autres. » II Timothée 2:2.
2. LA GUBERNANS POTESTAS. Il est divisé en potestas ordinans et potestas iudicans.
a. les ordinans potestas. « Dieu n’est pas un Dieu de confusion, mais de la paix, » I Cor. 14:33. C’est pourquoi il désire que dans son église « toutes les choses se faire bienséance et avec ordre, » vs 40. C’est évident du fait qu’il a fait provision pour la régulation adéquate des affaires de l’église. L’autorité réglementaire qu’il a donné à l’église comprend le pouvoir:
(1) pour faire appliquer les lois du Christ. Cela signifie que l’Eglise a le droit d’exercer en vigueur les lois dont le Christ a publié pour l’église. Il y a une différence importante sur ce point entre l’église catholique romaine et les églises protestantes. L’ancien pratiquement prétend pouvoir d’édicter des lois qui lient sur la conscience et la trangression qui porte en lui la même peine qui est annexée à toute violation de la loi divine. Ce dernier, cependant, rejettent une telle autorité, mais conservent le droit d’appliquer la loi du Christ, roi de l’église. Et malgré cela ils prétendent nul autre que d’un pouvoir ministériel ou déclaratif, considèrent la Loi comme liaison seulement parce qu’il est soutenu par l’autorité de Christ et de n’appliquent aucune autres censures que celles qu’il a sanctionné. En outre, ils estiment que contrainte serait en contradiction avec la nature de leur pouvoir et ne peut jamais entraîner de bénéfice spirituel réel. Tous les membres de l’église possèdent ce pouvoir dans une certaine mesure, Rom. 15:14; Corinthiens 03:16; Je th. 05:11, mais il incombe à une mesure particulière dans les officiers, Jean 21:15-17; Actes 20:28; I Pierre 5:2. Le caractère ministériel de ce pouvoir est mis en évidence dans II Corinthiens 01:24; I Pierre 5:2, 3.
(2) d’élaborer des canons ou des ordres religieux. Des occasions innombrables surviennent sur laquelle l’église est invitée à faire des lois ou règlements, souvent appelés chanoines ou ordres religieux. Ces textes ne doivent ne pas être considérées comme nouvelles lois, mais simplement comme les règlements pour l’application correcte de la Loi. Ils sont nécessaires pour rendre la politique extérieure de l’église une forme définie, de préciser sur quelles personnes de termes sont autorisés à porter le office dans l’église, de réglementer le culte public, pour déterminer le formulaire correct de la discipline et ainsi de suite. Principes généraux pour l’adoration de Dieu sont énoncées dans l’écriture, John 04:23; J’ai Cor. 11:17-33; 14:40; 16:2; Le colonel 3:16(?); I Timothée 3:1-13; mais dans le règlement des détails du culte divin, les églises sont autorisés grande latitude. Ils peuvent s’adapter aux circonstances, en gardant toujours à l’esprit, cependant, qu’ils doivent adorer Dieu publiquement la manière la mieux adaptée à l’objectif d’édification. En aucun cas les règlements de l’église peuvent être contraires aux lois du Christ.
b. la iudicans potestas. L’iudicans potestas est la force qui s’exerce pour se prémunir de la sainteté de l’église, en admettant à ceux qui sont approuvés après examen et en excluant ceux qui partent de la vérité ou de mener une vie déshonorante. Ce pouvoir s’exerce surtout en matière de discipline.
(1) les enseignements bibliques concernant la discipline. Parmi Israël péchés involontaires pouvaient être expiés par un sacrifice, mais les péchés commis « avec une main forte » (intentionnel) ont été punis d’extermination. Le « Herem » (l’interdiction ou celle qui est consacrée) était non seulement un ecclésiastique, mais également une sanction civile. L’incirconcis, les lépreux et l’impur, n’était pas autorisé à pénétrer dans le sanctuaire, Lév. 5 f.; Ézéchiel 44: 9. C’est seulement après qu’Israël a perdu son indépendance nationale, et son caractère comme une Assemblée religieuse est devenue plus importante, que l’interdiction, consistant dans l’exclusion de l’Assemblée, est devenue une mesure de discipline ecclésiastique, Esdras 10:8; Luc 06:22; John 09:22; 12:42; 16:2. Jésus a institué la discipline dans son église, lorsqu’il a donné aux apôtres, et, dans le cadre de leur parole, aussi l’église en général, le pouvoir de lier et de perdre, pour déclarer ce qui est interdit et ce qui est permis et de pardonner et de retenir les péchés déclarative , Matthieu 16:19; 18:18; John 20:23. Et c’est seulement parce que le Christ a donné ce pouvoir à l’église, qu’elle peut exercer. Plusieurs passages du Nouveau Testament se reporter à l’exercice de ce pouvoir, I Cor. 5:2, 7, 13; II Cor. 2:5-7; II Thessaloniciens. 03:14, 15; J’ai Timothée 01:20; Tite 03:10. Ces passages que j’ai Cor. 5:5 et I Timothée 01:20 ne se réfèrent pas à la discipline régulière, mais à une mesure spéciale autorisée uniquement aux apôtres et consistant en adonnant le pécheur à Satan pour la punition physique temporaire, afin de sauver l’âme.
(2) le double objectif de la discipline. L’objectif de la discipline dans l’église est double. En premier lieu, il vise à porter en vigueur de la loi du Christ concernant l’admission et l’exclusion des membres; et en second lieu, il vise à promouvoir l’édification spirituelle des membres de l’église en sécurisant leur obéissance aux lois du Christ. Ces objectifs sont subordonnées à un haut de gamme, à savoir le maintien de la sainteté de l’église de Jésus Christ. En ce qui concerne les membres malades de l’église, discipline est d’abord médical car il vise à apporter un remède, mais il peut devenir chirurgical, quand le bien-être de l’église requiert l’excision du membre malade. Il est impossible de dire quand commence un processus de discipline, si un remède sera effectué ou si le membre malade devra enfin être enlevé. Probablement l’église parviendra à amener le pécheur au repentir — et c’est, bien sûr, la fin plus souhaitable —; mais il est également possible qu’il faudra recourir à la mesure extrême d’excommunier lui. Dans tous les cas de discipline l’église devra figurer avec les deux possibilités. Même dans la mesure plus extrême, il faut toujours sauver le pécheur à l’esprit, j’ai Cor. 5:5. En même temps, il faut toujours retenir que la considération primordiale est de maintenir la sainteté de l’église.
(3) l’exercice de la discipline par les agents. Bien que les membres ordinaires de l’église sont fréquemment appelés à prendre part à l’application de la discipline, il est généralement appliqué par les officiers de l’église et peut être appliquée uniquement par eux quand discipline devient censure. Il y a deux façons différentes dans lesquelles il peut devenir l’obligation d’un consistoire pour faire face à une question de discipline. a les péchés privé peuvent devenir une cause de la discipline dans le sens le plus technique selon les modalités indiquées dans Matthieu 18:15-17. Si on a péché contre un frère, ce dernier doit avertir le pécheur; Si cela n’a pas l’effet désiré, il doit avertir lui à nouveau en présence d’un ou deux témoins; et si cela échoue, alors il doit en informer l’église, et il devient l’obligation des agents pour traiter de la question. Nous rappelons, toutefois, que cette méthode est prescrit pour les péchés privés seulement. L’infraction donnée par péchés publics ne peut être enlevée en privé, mais seulement par une transaction publique. (b) péchés publics faire le pécheur objet de mesures disciplinaires par le consistoire à la fois, sans la formalité de n’importe quel précédents avertissements privés, même s’il n’y a aucune accusation formelle. Par péchés publics sont destinées, non seulement les péchés qui sont commis en public, mais les péchés qui donnent l’infraction plutôt générale et publique. Le consistoire ne doit même pas attendre jusqu'à ce qu’une personne attire l’attention sur ces péchés, mais doit prendre l’initiative. Ce n’était aucun honneur pour les Corinthiens que Paul a dû appeler leur attention sur le scandale au milieu d’eux avant qu’ils s’est prononcée. J’ai Cor. 5:1 et suiv.; n’était pas un honneur pour l’église de Pergame et Thyatire qu’ils ont fait pas réprimander et exclure les enseignants hérétiques du milieu d’eux, 02:14, 15, 20. Dans le cas des péchés publics le consistoire n’a aucun droit d’attendre que quelqu'un porte des accusations formelles; ni il a le droit d’exiger de toute personne qui se sent finalement contraint à appeler l’attention sur ces péchés qu’il admonester le pécheur privé première. La question des péchés publics ne peut être réglée qu’en privé.
L’action disciplinaire du consistoire passe par trois étapes: (a) excommunicatio mineur, empêchant le pécheur de participant à la Cène du Seigneur. Ce n’est pas public et est suivi par des exhortations répétées par le consistoire, afin que le pécheur à la repentance. b si la mesure précédente ne pas vain, il est suivi par trois des annonces publiques et des exhortations. Dans le premier d'entre eux, le péché est mentionné, mais le pécheur n’est pas nommé. Dans le second, que le nom se fait connaître conformément à l’avis de classis, qui doit d’abord être obtenu. Et le troisième l’excommunication finale imminente est énoncée, afin que cela peut avoir le consentement de la Congrégation. Pendant tout ce temps, le consistoire, continue bien sûr, ses exhortations. (c) Enfin, il est suivi par excommunicatio majeur, par lequel on est coupé de la communion de l’église, Matthieu 18:17; J’ai Cor. 05:13; Tite 03:10, 11. Il est toujours possible de rétablir le pécheur, s’il indique une raison repentir et confesse ses péchés, II Cor. 2:5-10.
(4) la nécessité de la discipline appropriée. La nécessité d’une discipline appropriée est soulignée dans les Ecritures, Matthieu 18:15-18; Romains 16:17; J’ai Cor. 5:2, 9-13; II Cor. 2:5-10; II Thess. 3:6, 14, 15; Tite 03:10, 11. L’église d’Éphèse est loué parce qu’elle ne porte pas avec des hommes mauvais, Apoc. 2:2, et celles de Pergame et Thyatire sont réprimandés pour héberger les enseignants hérétiques et les païens abominations, 02:14, 20, 24. Dans l’ensemble, les Églises réformées ont excellé dans l’exercice de la discipline de l’église. Ils ont fortement souligné le fait que l’église du Christ doit avoir un gouvernement indépendant et la discipline. Les églises luthériennes a souligné pas cela. Ils ont été erastienne au sein du gouvernement de l’église et se sont contentés de laisser l’exercice de la discipline de l’église au sens strict du mot dans les mains du gouvernement. L’église a conservé le droit d’exercer la discipline que par le biais du ministère de la parole, c'est-à-dire par les avertissements et les exhortations adressées à l’église dans son ensemble. Cela a été confiée au pasteur et n’incluait pas le droit d’exclure toute personne de la communion de l’église. À l’heure actuelle il y a dans les églises d’alentour nous une tendance notable à être laxiste dans la discipline, de mettre un accent unilatéral sur la réforme du pécheur par le ministère de la parole et, dans certains cas — par des contacts personnels avec le pécheur et à Évitez de ces mesures comme excluant de la communion de l’église. Il y a une tendance très nette à insister sur le fait que l’église est une grande agence missionnaire, et pour oublier qu’il est d’abord l’Assemblée des saints, où ceux qui publiquement vivent dans le péché ne peut être tolérée. Il est dit que les pécheurs doivent être rassemblés dans l’église et pas exclus à la. Mais il convient de rappeler qu’elles doivent être recueillies comme des saints et qu’ils ont pas leur place légitime dans l’église, tant qu’ils ne font pas confesser leur péché et ambitionnez de sainteté de la vie.
3. LA POTESTAS OU MINISTERIUM MISERICORDIAE.
a. le charismatique don de guérison. Quand Christ a envoyé ses apôtres et les soixante-dix disciples, il instruisait non seulement à prêcher, mais aussi leur donna le pouvoir de chasser les démons et de guérir toutes sortes de maladies, Matthieu 10:1, 8; Marquer 03:15; Luc 9:1, 2; 10:9; 10:9, 17. parmi les premiers chrétiens il y en avait qui avait le don de guérison et qui pourrait faire des miracles, I Cor. 12:9, 10,28,30; Marc 16:17, 18. Cette extraordinaire condition toutefois rapidement laissée la place à l’habitude, dans lequel l’Eglise poursuit son travail par les moyens ordinaires. Il n’y a aucun motif scripturaire de l’idée que le charisme de guérison devait se poursuivre dans l’église de tous les âges. Évidemment, les miracles et les signes miraculeux enregistrés dans les écritures étaient conçues comme une marque ou d’informations d’identification de la révélation divine, se faisaient partie de cette révélation et servi pour attester et confirmer le message des premiers prédicateurs de l’Évangile. Ainsi ils cessent naturellement lors de la période de la révélation spéciale a pris fin. Il est vrai que l’Eglise de Rome et plusieurs sectes prétendent le pouvoir de guérison miraculeuse, mais la revendication n’est pas corroborée par les éléments de preuve. Il y a beaucoup d’histoires merveilleuses en circulation de guérisons miraculeuses, mais avant qu’ils en auront foi il doit être prouvé: (1) qu’ils ne s’appliquent pas aux cas de maladie imaginaire, mais à des cas de maladies réelles ou de défauts physiques; (2) qu’ils ne se réfèrent pas imaginaire ou fait semblant, mais réels, cures; et (3) que les cures sont effectivement travaillés d’une manière surnaturelle et ne sont pas le résultat de l’utilisation du naturel signifie, soit matériel ou mental.
b. le ministère ordinaire de bienveillance dans l’église. Le Seigneur a manifestement voulu que l’église doit prendre les dispositions pour ses pauvres. Il fait allusion à cette obligation lorsqu’il a dit à ses disciples: « car vous avez toujours avec vous, pauvres » Matthieu 26: 11; Marc 14:7. Au moyen d’une communion des biens, l’église primitive ont veillé à ce que personne ne voulait les nécessités de la vie, actes 04:34. Il n’est pas impossible que l'neoteroi d’actes 5:6, 10 ont été les précurseurs des diacres plus tard. Et quand les veuves des Grecs ont été négligées dans l’administration quotidienne, la scie apôtres lui que sept qualifiés hommes ont été mis en charge de cette affaire nécessaire, actes 6:1-6. Ils devaient « servir les tableaux, » qui semble vouloir dire à cet égard, pour y diriger le service aux tables des pauvres, ou de prévoir un partage équitable des dispositions qui ont été placés sur les tables. Diacres et les diaconesses sont mentionnées plusieurs fois dans la Bible, Romains 16:1; Philippiens 1:1; I Timothée 3:8-12. En outre, le Nouveau Testament contient de nombreux passages demandant instamment nécessaire de donner ou collecte pour les pauvres, actes 20:35; J’ai Cor. 16:1, 2; II Corinthiens 9:1, 6, 7, 12-14; GAL 02:10; 06:10; EP 04:28; J’ai Timothée 05:10, 16; Jacques 01:27; 02:15, 16; J’ai John 03:17. Il ne peut y avoir aucun doute quant à l’obligation de l’église à cet égard. Et les diacres sont les agents qui sont chargés de la responsable et délicate tâche d’exécuter les travaux de la bienveillance chrétienne se référant à tous les nécessiteux de l’église. Ils doivent concevoir des moyens pour recueillir les fonds nécessaires, ont charge de l’argent collecté et prévoyant sa répartition prudentielle. Cependant, leur tâche n’est pas limitée à cette offre d’une aide matérielle. Ils doivent également indiquer et consoler les nécessiteux. Dans l’ensemble de leur travail ils devraient envisager il leur incombe d’appliquer les principes spirituels dans l’accomplissement de leur devoir. Il est à craindre que cette fonction de l’église est malheureusement négligée dans beaucoup de l’églises aujourd'hui. On a tendance à supposer qu’il peut sans risque être laissé à l’état d’obtenir même les pauvres de l’église. Mais en agissant sur les que l’Assomption, l’église est négligeant un devoir sacré, est sa propre vie spirituelle, prive de la joie en administrant aux besoins de ceux qui souffrent de manque et ceux qui souffrent de difficultés, qui sont prive d’appauvrissement la charge vers le bas par les soucis de la vie, et qui sont souvent totalement découragé, le confort, la joie, et le soleil des soins spirituels de l’amour chrétien, qui sont en règle générale tout à fait étranger à le œuvre de charité, administrée par l’État.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Comment les réformés et les conceptions luthérienne du Christ comme le chef du différer de l’église ? L’ancien Testament contient-il une indication que le Christ est roi de l’église ? Quels systèmes de gouvernement de l’église refuser ou diminue, la tête — ou la royauté du Christ ? Comment le poste de directeur du Christ n’affecte pas la relation de l’église à l’État, la liberté religieuse et liberté de conscience ? Est-ce que la doctrine que le pouvoir de l’église est exclusivement spirituel conforme romanisme et érastianisme ? Comment est la puissance de l’église surfaite par les hommes de la haute église et sous-estimé par les hommes de basse église, de diverses descriptions ? Comment afficher la puissance des agents indépendantes ? Pouvoir de l’église limité en quoi ? Quelle est la fin visée dans l’exercice du pouvoir de l’église ? Qu’entend-on par l’église dans Matthieu 18:17 ? La clé de la discipline est blanchi sur privilèges vers l’extérieur dans l’église, ou également sur une participation spirituelle en Christ ? Par qui et comment discipline exercée dans la catholique, l’anglicane, méthodiste et la Congrégation, l’église ? Peut une église de discipline défaire de manière sécuritaire ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 425-482; Kuyper, Dict. dogme., de Ecclesia, pp. 268-293; ID., Tractaat van de Reformatie der Kerken, pp. 41-69; Bannerman, l’église, I, pp. 187-480; II, pp. 186-200; Hodge, église Polity, cf. Index; Morris, ecclésiologie, pp. 143-151; Wilson, principes de l’Eglise libre; McPherson, la Doctrine de l’église en théologie écossaise, pp. 129-224; Gillespie, Aaron tige floraison; Ibid., Sur les cérémonies; Bouwman, Tucht De Kerkelijke; Jansen, Tucht De Kerkelijke; Biesterveld, Van Lonkhuizen, fr Rudolph, Het Diaconaat; Bouwman, Het Ambt der Diakenen; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 394-419; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, p. 607-621; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., pp. 77-101; Cunningham, Discussions de principes religieux; Ibid., Théologie historique II, pp. 514-587; McPherson, presbytérianisme.
L'ÉGLISE SPIRITUELLE DE JÉSUS-CHRIST LE CORPS DE L'APPEL, SA MISSION, SA MOBILISATION
Le Nouveau Testament nous indique clairement que l'Église est le Corps de Christ (Éph. 1:22,23), non pas un corps de chair d'une forme physique, mais un Corps spirituel, comme le mentionne l'apôtre Paul: «dès maintenant, nous ne connaissons personne selon la chair; si même nous avons connu Christ selon la chair, maintenant nous ne le connaissons plus ainsi.» (2 Cor. 5:16). L'apôtre Pierre compare aussi le Corps de Christ à une maison spirituelle formée de pierres vivantes: «Désirez avec ardeur, comme des enfants nouvellement nés, le lait authentique de la Parole non-polluée, afin que vous croissiez par son moyen. Puisque vous avez goûté que le Seigneur est gracieux, en vous approchant de lui; qui est la Pierre Vivante rejetée des hommes, mais choisie de Dieu, et précieuse; vous aussi, comme des pierres vivantes, vous êtes édifiés, pour être une maison spirituelle, une sacrificature sainte, afin d'offrir des sacrifices spirituels agréables à Dieu, par Jésus-Christ... Mais vous, vous êtes une génération élue, la sacrificature royale, la nation sainte, le peuple acquis, pour proclamer les louanges de celui qui vous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière... Car c'est à cela que vous êtes appelés, puisque Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces.. (1 Pi. 2:2-4;5,9,21).
LE CORPS DE L'APPEL
Nous apprenons ainsi que l'Église ou Appel à Renaître, est une substance spirituelle, c'est à dire ce qui existe en soi, de manière permanente par opposition à ce qui change. Comprenons aussi que le mot «substance» est le contraire, l'antonyme du mot «forme» ou «apparence», nous indiquant que la vraie Église n'est pas une institution, organisation, ou entreprise établie par des hommes pour répondre à quelque besoin déterminé d'une société ou communauté religieuse quelconque qui se dit chrétienne. La substance ou essence de l'Appel est la vie, c'est à dire la vie éternelle, l'énergie vitale qui fécond et régénère le pécheur, une recréation de son esprit que l'on nomme aussi «la renaissance» ou encore «nouvelle naissance». Or sans vie personne ne peut rien faire, répétons-le encore une autre fois tellement cela est important à comprendre, sans vie personne ne peut rien faire. Quoique ceci est évident pour tous, aussi étrange que cela puisse être, la grande majorité de ceux qui se disent chrétiens ont beaucoup de difficulté à comprendre cela. Sans vie une personne ne peut se repentir, sans vie une personne ne peut pas croire, en d'autres mots, la vie vient avant la repentance et la foi. Ainsi il faut être né de nouveau avant de pouvoir se repentir, il faut être né de nouveau avant de croire, c'est la vie qui donne la capacité de la repentance et de la foi, et cette vie est Christ lui-même: «Jésus lui dit: JE SUIS suis le chemin, la vérité et la vie; personne ne vient au Père que par moi.» (Jean 14:6). Mais les évangéliques déforment cette vérité pourtant si simple à comprendre et ils inversent sa signification, car pour eux il faut se repentir et croire pour naître de nouveau, reniant ainsi le Seigneur Jésus comme seule source du salut. En substance ce qu'ils disent est qu'un mort à la capacité de se repentir et de croire pour avoir la vie. En d'autres mots une dinde morte, déplumée, vidée de ses intestins, lavée, bourrée de farce et bien cuite, peut revenir à la vie par elle même si seulement elle le désire. Qui ne peut voir l'absurdité et le blasphème d'une telle position.
Comment obtenons-nous donc la vie en Christ si la repentance et la foi viennent après comme des effets secondaires de la cause primaire? La question est légitime et demande une réponse. Premièrement sachez qu'il ne s'agit pas de la vie en Christ mais de la vie de Christ. On ne peut vivre la vie d'un autre, Christ doit vivre sa vie en nous. Tout se passe dans le drame de la croix. Pour obtenir la vie éternelle nous devons mourir à nous-mêmes, et puisque cela est impossible pour nous car nous sommes déjà mort spirituellement à cause du péché qui est en nous, il fallait que Christ le fasse pour nous comme notre substitut. Dans sa discussion avec Nicodème, Jésus dit une chose importante dont la compréhension semble avoir échapper à un très grand nombre: «Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, de même il faut que le Fils de l'homme soit élevé, afin que celui qui a cette certitude en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.» (Jean 3:14,15). Que vient faire dans ce contexte de la nouvelle naissance l'histoire du serpent que Moïse éleva dans le désert? Cela devrait être important car Jésus ne l'aurait pas mentionné. Regardons ce que dit les Saintes-Écritures sur ce sujet: «Le peuple parla donc contre Dieu et contre Moïse, et dit: Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d'Égypte, pour mourir dans le désert? car il n'y a point de pain, ni d'eau, et notre âme est dégoûtée de ce pain misérable. Et YEHOVAH envoya parmi le peuple des serpents brûlants, qui mordirent le peuple, en sorte qu'un grand nombre d'Israélites moururent. Alors le peuple vint vers Moïse, et ils dirent: Nous avons péché, car nous avons parlé contre YEHOVAH et contre toi. Prie YEHOVAH, pour qu'il éloigne de nous les serpents. Et Moïse pria pour le peuple. Et YEHOVAH dit à Moïse: Fais-toi un serpent brûlant, et mets-le sur une perche; et il arrivera que quiconque sera mordu et le regardera, sera guéri. Moïse fit donc un serpent d'airain, et il le mit sur une perche; et il arriva que quand le serpent avait mordu un homme, il regardait le serpent d'airain, et il était guéri.» (Nom. 21:5-9).
Or nous savons que l'exode du peuple hébreu hors d'Égypte est une figure de la délivrance du péché et du salut par grâce sous la Nouvelle Alliance du sang de Christ. Le peuple avait péché contre Dieu et contre Moïse son serviteur et Dieu envoie des serpents brûlants parmi le peuple pour les faire mourir à cause de leurs péchés. Mais ils sont accordé une grâce très spéciale, Moïse reçoit l'ordre de construire un symbole, un serpent d'airain, et de l'élever sur une perche à la vue de tout le peuple. Les gens n'avaient qu'à regarder le serpent et ils étaient guéris instantanément de leurs afflictions et de leurs péchés. Cela correspond exactement à ce qui s'est produit sur la croix, Jésus en fait le rapprochement pour nous dire que pour naître de nouveau, il faut simplement regarder à la croix celui qui y est crucifié à notre place pour nos péchés, et nous sommes instantanément sauvés. Il ne s'agit pas d'un regard furtif et distrait qui ne produit que des effets superficielles, mais d'un regard perçant qui déchire l'âme et le cœur pour produire un effet vif et permanent. Mais le pécheur ne veut ni ne peut regarder à la croix pour avoir la vie, il faut que le Saint-Esprit l'attire et lui ouvre les yeux, il faut qu'il l'écrase dans la poussière de l'humilité afin qu'il puisse le relever à la vie éternelle. La mort de Christ sur la croix occasionne la nouvelle naissance en nous, elle ne demande aucune repentance ni aucune foi, elle est le don de Dieu que nous recevons dans les mérites du sacrifice de Christ qui nous sont attribués gratuitement. Mais il y a une chose très importante qu'il faut remarquer, les mérites sont nombreuses qui nous sont attribués, la rédemption, la sanctification, la justification, l'adoption, la glorification, et évidemment l'essence même de Christ qui est la vie éternelle est primaire et avant toutes ces bénédictions, de elle découlent toutes ses mérites et dans celles-ci sont inclues la repentance et la foi, c'est à dire la reconsidération de notre position de pécheur perdu face à Christ sur la croix et l'assurance ou certitude de Christ en notre faveur dans l'accomplissement de son sacrifice parfait pour notre salut. Nous obtenons ainsi la vie éternelle et jamais plus nous ne périrons, jamais plus le péché et la loi ne pourront nous condamnés, nous en sommes libérés une fois pour toutes, même si notre corps en subit encore des répercussions, même si parfois nous faisons quelques chutes, car nous sommes sauvés en l'esprit et non en la chair (Rom. 8:1-17) et Christ a tout accomplis pour nous. Pour regarder à la croix, il s'agit simplement d'ouvrir la Bible au Nouveau Testament et lire les quatre Évangiles, nous vous suggérons de débuter par l'Évangile de Jean, néanmoins lisez et vous comprendrez et qui sais si le Seigneur n'ouvrira pas vos yeux pour regarder le serpent de Moïse, le Seigneur Jésus cloué sur la croix pour le salut de votre âme. Nous avons dit plus haut - On ne peut vivre la vie d'un autre, Christ doit vivre sa vie en nous - et c'est exactement cela qu'affirme l'apôtre Paul, nous vous prions d'en prendre note: «Je suis crucifié avec Christ, et si je vis, ce n'est plus moi, mais c'est Christ qui vit en moi; et si je vis encore dans la chair, je vis dans la foi du Fils de Dieu qui s'est sacrifié pour moi, et qui s'est donné lui-même pour moi.» (Gal. 2:20). Tout ce que nous venons de voir est le Corps de l'Appel à Renaître, l'essence même de la vie éternelle.
LA MISSION DE L'APPEL
En général, la mission de l'Église est conçue dans le christianisme institutionnalisé comme étant l'ordre divin qu'elle reçu d'annoncer l'Évangile, ce que plusieurs nomment «la Grande Commission». Encore de nos jours la majorité des églises et dénominations, sinon pas tous, enseignent encore la validité des cinq ministères: «Lui-même donc a donné les uns pour être apôtres, les autres pour être prophètes, les autres pour être évangélistes, les autres pour être pasteurs et docteurs.», ou comme le dit une traduction plus précise du même passage: «C'est aussi lui qui a formé les uns comme délégués, les autres interprètes, les autres messagers de la grâce, et les autres conducteurs et instructeurs.» (Éph. 4:11). Il y a toutefois plusieurs problèmes avec ce concept.
Premièrement les Saintes-Écritures nous indiquent clairement que ce sont strictement les apôtres qui ont reçus cette charge. Dans les passages de Mat. 28:19,20, les principaux utilisés pour élaborer la doctrine de la Grande Commission, il est dit dans le contexte immédiat: «Mais les onze disciples s'en allèrent en Galilée, sur la montagne où Jésus leur avait ordonné d'aller.» (v.16). Il est bien mentionné «les onze disciples» et non «tous les disciples» comme l'on prétend souvent, et ces «onze» sont clairement les apôtres. Pourquoi cela n'est-il jamais mentionné par tous ceux qui affirment que la mission sacrée de tous les chrétiens est de prêcher l'Évangile, lorsque la Parole de Dieu dit le contraire? Il y a définitivement intention de tromper les gens ici avec une fausse doctrine et cela est grandement évident. De même dans Marc 16:16-20 qui sont les passages préférés des Pentecôtistes et des Charismatiques pour justifier leurs pratiques aberrantes de ce qu'ils nomment faussement «les dons de l'Esprit», nous voyons dans le contexte immédiat que «ceux qui auront cru» (v.17) ne se rapporte aucunement à tous les disciples, mais spécifiquement «aux onze apôtres» (v.14). Dans les deux cas que nous venons de voir, l'enseignement qui s'y trouve est tordue par un christianisme contrefait dans le but de faire dire à la Bible ce qu'elle ne dit pas, et cela pour tromper les crédules artificieusement afin d'ériger un système de pensée, une institution ou entreprise, qui s'avère être très rentable pour ceux qui ont réussis à séduire les gens. Or la Parole de Dieu indique sans l'ombre d'aucun doute que la charge ou ministère de prêcher l'Évangile était réservé uniquement aux apôtres, il n'a pas été donné à tous les disciples et ne pouvait en aucune façon se transmettre. Le ministère des apôtres ayant été accomplit, le but étant atteint, il est évident que la proclamation de l'Évangile cessa avec la mort des apôtres (voir: Avons-nous des apôtres modernes?).
Le message ayant été transmit par écrit dans les textes du Nouveau Testament, la fonction d'apôtres ou d'ambassadeurs ne fut plus nécessaire. Il en est de même aussi avec les autres ministères mentionnés dans Éphésiens 4:11, ils étaient temporaires, leur but était d'établir la fondation de l'Appel à Renaître (l'Église) en proclamant son message dont voici: «Ce qui était dès le commencement, ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu de nos yeux, ce que nous avons contemplé, et que nos mains ont touché, concernant la Parole de vie; car la vie a été manifestée, et nous l'avons vu, et nous en rendons témoignage, et nous vous annonçons la vie éternelle, qui était l'expression du Père même, manifestée à nous. Ce que nous avons vu et entendu, nous vous l'annonçons, afin que vous ayez communion avec nous. Or, notre communion est envers le Père, comme étant lui-même le Fils, [JÉSUS LE MESSIE]. Et nous vous écrivons ces choses, afin que votre joie soit complète. Alors, ceci est le message que nous avons entendu de lui, et que nous vous annonçons, c'est que Dieu est lumière, et qu'en lui il n'y a point de ténèbres.» (1 Jean 1:1-5; Bible de Machaira).
Dorénavant, la révélation de la lumière de Dieu étant mise par écrit, le Nouveau Testament remplaça les ministères et les dons de l'Esprit. Nous n'avons donc plus à prêcher l'Évangile mais à vivre l'Évangile, et là est toute la différence. L'Appel à Renaître est la lumière de la vie éternelle (Jean 1:4,5,9-13) et nous ne devons pas cacher la lumière mais la laisser briller (Mat. 5:15,16; Mc. 4:21,22; Lc. 11:33). C'est exactement cela que mentionne l'apôtre Pierre en nous parlant du sacerdoce universel de tous les croyants: «Mais vous, vous êtes une génération élue, la sacrificature royale, la nation sainte, le peuple acquis, pour proclamer les louanges de celui qui vous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière.» (1 Pi. 2:9). Ici le mot «proclamer» est «exaggello», il signifie proprement «démontrer, manifester, faire connaître» et c'est en vivant l'Évangile que nous démontrons «Christ en nous, l'espérance de la gloire» (Col. 1:27) comme «une lumière qui brille dans les ténèbres», ainsi nous le fait si bien remarquer l'apôtre Paul: «Car le Dieu qui a dit que la lumière resplendisse au milieu des ténèbres, est celui qui a resplendi dans nos cœurs, pour faire briller la lumière de la connaissance de la gloire de Dieu en la personne de Jésus-Christ. Or, nous avons ce trésor dans des vases de terre, afin que l'excellence de la puissance soit attribuée à Dieu, et non pas à nous.» (2 Cor. 4:6,7). Le but de tous les chrétiens authentiques est de faire connaître «les louanges», «arete» en Grec ou plus précisément «les vertus», c'est à dire «les dispositions» ou «les mérites» de Christ en nous qui nous furent attribués gratuitement dans son sacrifice parfait sur la croix. Il ne s'agit aucunement de qualités morales ici qui sont propres à tous les hommes de bien, mais des distinctions de Christ dans l'excellence de sa révélation à chacun de nous pour l'avancement de son Royaume, dont l'amour de la vérité en est la marque la plus évidente.
Ainsi, depuis la mort des apôtres il y a un seul et même ministère pour tous les croyants, et cela sans exception. Donc videz vos églises, congédier vos ministres, renvoyez vos pasteurs travailler honnêtement pour gagner leur pain comme tous les hommes, et non comme des voleurs et des extorqueurs qui exploitent les ignorants et les crédules; et remettez dans des camisoles de force ceux qui se donnent aux pratiques de dons extatiques, et enfermez-les dans des chambres rondes où ils pourront se parler seul en langue de vipère et prophétiser aux coquerelles ainsi que chasser les démons imaginaires de leur conscience déréglée; et espérez que Dieu puisse encore vous pardonnez vos égarements, vos déviations, et vos aberrations, car aucun imposteur n'entrera dans le Royaume des cieux.
Deuxièmement, depuis vers la fin du premier siècle et surtout à partir du quatrième siècle, la proclamation de l'Évangile est devenu le moyen de faire de la propagande qu'on utilisait pour obtenir le monopole des consciences et le pouvoir sur les peuples ignorants, superstitieux et crédules. Quoi d'autre pouvons-nous nous attendre de fausses églises et de faux chrétiens, que d'un faux évangile qui nous présente un faux Jésus et un faux Esprit. Depuis ce temps l'Évangile qui est proclamé est un faux évangile, une contrefaçon subtile et raffinée du véritable. Les gens se sont fait avoir, encore une fois, par d'habiles séducteurs qui, au courant des siècles, ont changés le sens du mot «Évangile», ils ont cachés sa signification réelle pour en adoucir le sens afin qu'il plaise aux oreilles de tous pour les exploiter plus aisément. Or le mot «Évangile» vient du Grec «euaggelion», un mot composé de «eu» qui signifie «bien faire, bien agir, se porter bien, prospérer», c'est à dire dans le contexte du sacrifice de la croix «être gracié, acquitté, pardonné»; et de «aggelos», terme qui est généralement traduit par «ange», c'est à dire plus précisément «un messager», celui qui proclame un message. Dans son ensemble ce mot signifie littéralement «message de la grâce» ou plus précisément «message de la puissance de la grâce», et non pas «bonne nouvelle» comme on voudrait nous faire croire. Le message de la grâce est loin d'être une bonne nouvelle pour tous, car il est réservé uniquement aux élus; tandis que les réprouvés qui le reçoivent n'en veulent pas, ils vont soit le rejeter ou soit le déformer à leur avantage pour en profiter à leur façon. Avec une bonne nouvelle on joue facilement sur les émotions des gens pour leur faire ressentir toutes sortes de fausses joies et de fausses assurances, profitables aux imposteurs, aux charlatans, et aux escrocs. Tandis que le message de la grâce implique toutes les douleurs d'un déchirement interne qui sont loin d'être plaisantes et ne peuvent profiter aux bandits, aux mercenaires, et aux fripouilles qui se veulent dirigeants spirituels de la foi chrétienne.
LA MOBILISATION DE L'APPEL
La mise en mouvement de la transformation de l'être par la Sainte Présence de Christ en nous est ce qu'on nomme «la mobilisation de l'Appel à Renaître» qui provoque en nous des mouvements de valeurs en vue d'une action qui fait appel à toutes les forces physiques ou intellectuelles d'une personne pour faire face à une situation quelconque qui demande des changements. Ainsi il est écrit: «Étant persuadé que celui qui a commencé en vous cette gracieuse réalisation, en poursuivra l'accomplissement jusqu'au jour de Jésus-Christ.» (Phil. 1:6). Le contexte immédiat (v.5) nous indique qu'il s'agit ici de «la gracieuse réalisation» du «message de la grâce», c'est à dire «de l'Évangile» qui est produit en nous par la présence et la puissance de Dieu: «Car c'est Dieu qui produit en vous et le vouloir et le faire selon son bon plaisir.» (Phil. 2:13). Le but de tout cela est que nous puissions «faire profiter notre délivrance avec crainte et tremblement... Afin que vous soyez sans reproche, et innocents, des enfants de Dieu, sans blâmes au milieu d'une génération capricieuse et disgraciée, au sein de laquelle vous brillez comme des flambeaux dans cette dispensation, en y observant la Parole de vie...» (Phil. 2:12,15,16). Le fait que nous sommes en Christ et que Christ est en nous, fait que nous sommes «sans reproche et innocents» par les mérites de son sacrifice sur la croix qui nous sont attribués gratuitement. Inévitablement ces bénédictions occasionnent des changements en nous dans nos pensées et nos agissements, non par notre propre puissance mais par la puissance de Christ. Bref nous sommes devenus des nouvelles créatures, mais nous portons encore notre vieil homme du temps que nous demeurons dans cette chair, toutefois nous ne sommes plus sous sa domination et nous n'avons pas à obéir à ses impulsions, nous devons les mettre à mort, c'est à dire les rendre inactives par la reconnaissance que nous sommes mort en Christ. Nous savons toutefois que cela est un procédé graduel et que nous bronchons tous parfois, sans pourtant être délogés de notre position en Christ, puisque Christ est celui qui nous garde et nous dirige et nous arriverons à destination car il est fidèle envers nous pour accomplir ses promesses.
Dans le christianisme contrefait, la mobilisation est regardée d'une différente façon et se rapporte à ce qu'ils nomment l'église locale: «La mobilisation c’est apprendre aux croyants, dans l’église locale, à comprendre le plan de Dieu pour le monde; c’est les motiver pour répondre avec amour à la Parole de Dieu; et leur donner des occasions d’utiliser leurs dons, leurs compétences et leurs ressources, individuellement et communautairement, pour accomplir le plan divin pour le monde. On peut aussi dire que la mobilisation a pour but de faire sortir les individus de leur position dans la vie de tous les jours, pour s’engager dans un service à long terme pour la cause de la mission mondiale. L’église locale est l’instrument fondamental de Dieu pour évangéliser le monde. Selon l’Écriture, et dans la pratique, ceci est réel: nous devons nous engager dans ce sens, si nous voulons accomplir la grande commission. Le Pasteur a un rôle essentiel pour motiver l’église locale pour la cause de la mission mondiale. Le pasteur doit conduire la responsabilité dans tous les domaines de la vie de l’église locale, pour que celle ci fournisse un effort maximum pour atteindre le monde pour Christ. L’église locale doit développer intentionnellement un programme communautaire, une stratégie commune, et ainsi une « personnalité communautaire », en relation avec la cause de Dieu pour le monde. En d’autres mots, la mission est ce que vous êtes en tant qu’église, pas seulement ce que vous faites, «la mission doit être la personnalité de votre église, pas seulement un programme ! Tous les aspects et phases de la vie de l’église locale doivent inclure la mission pour le monde: on a trop longtemps fragmenté les activités dans l’église, notamment l’évangélisation, la mission, etc. La base de la stratégie communautaire pour l’église locale se trouve dans les paroles de Jésus, dans Actes 1, 8: Jérusalem (impact local); Judée et Samarie (impact régional et national); les extrémités de la terre (ministère international). Considérons qu’avec les noms géographiques, il faut aussi tenir compte des implications culturelles. N’est il pas préférable de regrouper sous un même « parapluie », tous les ministères de l’église qui visent à atteindre les hommes (évangélisation locale, mission au loin, etc.) ? Les leaders locaux doivent provoquer l’église à prendre conscience de leur responsabilité face à la tâche mondiale, puis engager les croyants dans des occasions de servir qui correspondent au temps présent. L’église locale doit prendre conscience de la dynamique de sa génération. La mission mondiale doit être abordée pratiquement avec une perspective correspondant à notre génération. Regardons comment est composée notre église locale, quelles générations sont présentes ? «pour atteindre la génération présente, il faut être contemporain, tranchant, contextuel !» Les leaders locaux doivent se montrer très flexibles, sils veulent conduire l’église avec Dieu en mission, jusqu’aux extrémités de la terre. Nous devons comprendre que la mobilisation est un processus, et non quelque chose d’instantané. Le processus se déroule en trois étapes: 1- Il faut d’abord susciter une conviction biblique. Si nous abordons la question de la mobilisation sans une bonne compréhension selon les Écritures, du cœur de Dieu pour le monde et pour la cause du monde, nous ne lui donnerons jamais priorité dans l’église locale. Nous devons enseigner que la base de la mission pour le monde, c’est le cœur de Dieu ! 2- Ensuite: il faut travailler, jusqu’à ce que ces vérités deviennent une part de la philosophie de vie et du ministère de chaque croyant. Ainsi, la manière dont les gens voient la vie va changer. Ils vont se voir eux mêmes différemment, comme un élément essentiel de la cause de Dieu pour le monde. 3- Ensuite : en tant que leaders locaux, nous devons fournir aux gens les moyens pratiques de s’investir, des outils concrets pour leur engagement, afin qu’ils puissent utiliser leurs dons, ressources et compétences pour Sa cause dans le monde.»
Pour qui a des yeux pour voir et la moindre intelligence pour comprendre, il est évident que le texte que nous venons de voir est nul autre qu'un plan d'entreprise pour faire progresser son expansion et ses profits par le moyen de la manipulation et de l'endoctrinement (voir L'Illusion de servir Christ).
Le concept de l'église locale par le christianisme moderne est une vraie abomination mondaine. Il est évident que tous les gens qui se disent chrétiens vivent dans une localité située dans une ville quelconque, même que certaines villes sont tellement grande qu'elles sont divisées en différentes localités. Aucun besoin d'un degré en comptabilité ou en histoire pour le savoir. Cela est une des raisons pourquoi toutes les fausses églises et dénominations portent différents noms afin de se reconnaître et se retrouver dans les agglomérations. Nous pouvons y trouver, par exemple, l'église du ghetto ou église des vauriens, l'église des crottés du site malpropre, l'église du trou noir des assombris, l'église des saoulons du point rond, l'église des prostituées du bordel du coin, etc. Si elles se trouvent dans les forêts nous avons l'église du sapin de la troisième branche, l'église du tronc du chêne, l'église de la grattelle de l'herbe à poux, etc. Puis finalement, si elles se trouvent dans les déserts nous avons l'église des brûlés du soleil, l'église des assoiffés insatiables, l'église du chameau ondulant, l'église des babouins africains, l'église du chacal charognard, etc. Facile n'est-ce pas de trouver des noms à des églises qui leurs conviennent très bien.
Il y a des gens qui se disent chrétiens dans presque toutes les localités du monde entier, mais cela ne signifie aucunement qu'ils sont de vrais chrétiens. Le nombre ne valide pas la qualité, d'ailleurs nous savons que les vrais chrétiens sont très peu, ils sont la perle rare dans notre monde ténébreux, en trouver un sur dix million est même une chose extraordinaire et inusité. Mais les imposteurs pullulent comme de la vermine, on en trouve partout, à tous les coins de rue, dans toutes les églises, et même sous la queue de la vache et entre les orteils du diable, et ils ont tous une belle apparence enrobée de versets bibliques pour impressionner les crédules et les cancres, des pédants qui pensent connaitre tout et qui ne connaissent rien, des gens qui s'illusionnent pensant être sauvés, lorsqu'en réalité ils sont sauvés de Dieu et de la vérité. On entend souvent parler de l'Église visible et de l'Église invisible, cela est vrai mais uniquement dans le sens qu'il y a des appelés à renaître ici et là dans les communautés, quoiqu'ils sont très peu. Qu'il soit compris une fois pour toutes que l'Église visible est le chrétien authentique lui-même et que l'Église invisible est Christ en lui. Il n'existe aucune autre sorte d'église, qu'elle soit considérée universelle, locale, ou militante. Il y a une seule et même Église pour tous les vrais élus, qui qu'ils soient où qu'ils soient, car il y a une seule puissance pour la renaissance, Christ-Jésus lui-même.
RETOUR À L'ÉGLISE PRIMITIVE
Déçue de la foi dite chrétienne dans nos églises et dénominations contemporaines, plusieurs en sortent pour se réunir dans des maisons, cherchant à retourner à la forme de l'Église primitive. Privés de tout discernement, ils ne peuvent réaliser que l'Église primitive des apôtres et des premiers disciples était provisoire, elle était dans une période de transition dans laquelle coexistaient la loi de l'Ancienne Alliance et la grâce de la Nouvelle Alliance. Cette situation temporaire continua jusqu'en l'an 70 lorsque Jérusalem et le temple, cœur de la loi, fut complètement détruit par les armées romaines. L'Église qui suivit cette période postapostolique ne fut pas la même ni fut-elle désignée pour l'être. Si l'Appel à Renaître demeurait identique, sa forme ou constitution externe et ses méthodes d'administration n'étaient pas conçues comme un modèle à être reproduit à perpétuité. La fondation de l'Appel à Renaître de la grâce de Dieu ayant été posée, il s'agissait maintenant de construire dessus comme un sage architecte. Ainsi dit l'apôtre Paul: «Selon la grâce de Dieu qui m'a été donnée, j'ai posé le fondement, comme un sage architecte, et un autre bâtit dessus; mais que chacun prenne garde comment il bâtit dessus. Car personne ne peut poser d'autre fondement que celui qui a été posé, lequel est Jésus-Christ.» (1 Cor. 3:10,11). Sous la Nouvelle Alliance du sang de Christ il ne s'agissait plus de construire un temple de pierres, c'est à dire une administration religieuse, mais un temple de pierres vivantes dans lequel habite l'Esprit de Dieu: «Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l'Esprit de Dieu habite en vous?» (1 Cor. 3:16); «Vous aussi, comme des pierres vivantes, vous êtes édifiés, pour être une maison spirituelle, une sacrificature sainte, afin d'offrir des sacrifices spirituels agréables à Dieu, par Jésus-Christ.» (1 Pi. 2:5). Ainsi nous n'avons pas à rechercher une forme primitive d'administration, mais une expression secondaire qui évolue spirituellement sous la direction de l'Esprit de Dieu.
En l'an 70 l'Église ou convocation à renaître commença une nouvelle phase d'existence, les apôtres avaient ouvert le chemin à la construction d'un nouvel édifice, une maison spirituelle dans laquelle Christ habitait dans le cœur de ses élus et d'où il régnait comme Roi. Mais dès le début de cette nouvelle période le principe essentiel de l'Église, c'est à dire de l'Appel à Renaître, fut déformé par des imposteurs qui voulaient attirer des disciples après eux pour former une nouvelle institution avec des principes d'administration, ce qui est contraire à l'Esprit de liberté que nous avons en Christ. En d'autres mots ils posèrent «un autre fondement que celui qui a été posé, lequel est Jésus-Christ», c'est à dire que les hommes et leurs administrations supplantèrent l'autorité de Christ et prirent l'éminence sur la foi chrétienne, l'interprétant à leurs façons afin de dominer sur les gens. L'apôtre Paul en avait donné l'avertissement d'avance, ce qui empêcha plusieurs de tomber dans le piège des religions conçues par des hommes: «Prenez donc garde à vous-mêmes, et à tout le troupeau sur lequel la Sainte Présence de Christ vous a établis surveillants, pour paître les convoqués à renaître de Dieu, qu'il a acquis par son propre sang. Car je sais qu'après mon départ, il s'introduira parmi vous des loups ravissants, qui n'épargneront point le troupeau; et qu'il s'élèvera parmi vous des hommes qui annonceront des doctrines pernicieuses, afin d'attirer les disciples après eux.» (Ac. 20:28-30). Malheureusement la contrefaçon prit le dessus et en quelques siècles on vit se former l'embryon de l'église catholique romaines avec toutes ses idolâtries abominables. De là, le reste est de l'histoire jusqu'à l'apparition du protestantisme lors de la Réformation, puis du mouvement évangélique moderne avec ses réveils qui endorment la conscience des crédules.
En parlant de l’Église primitive, il faut se situer dans le contexte de l'époque. Les premiers chrétiens continuaient de participer à la vie religieuse du peuple juif. Les milliers de juifs qui avaient embrassé la foi (Ac. 4:4) étaient de zélés partisans de la loi (Ac 21:20,39): leurs enfants étaient circoncis, les prescriptions relatives aux purifications observées et le repos du sabbat pratiqué. Ils n'avaient pas réalisé pleinement la libération de la loi que nous avons en Christ. Ceux qui habitaient Jérusalem participaient aux prières quotidiennes au Temple (Ac. 2:46). Leur but n’était pas de constituer une communauté séparée de celle des juifs. En fait les chrétiens apparaissaient, aux yeux du peuple, comme des juifs particulièrement fervents.
Même une lecture superficielle des Écritures nous permet de nous rendre compte rapidement que l’Église primitive n’était ni un bâtiment ni une assemblée au sens traditionnel que beaucoup d’entre nous avons connue. C’était plutôt un réseau d’individus si flexible qu’il était capable de satisfaire aux besoins des milliers de convertis qui s’ajoutèrent à eux au fil des jours après la Pentecôte. Les premiers chrétiens étaient des juifs qui pensaient que le message du salut était adressé uniquement aux personnes de leur peuple, mais Pierre et Paul ont été convaincus par Dieu de voir au-delà des limites de la nation d'Israël, donc après la vision rapportée dans Actes 10 et la conférence de Jérusalem dans Actes 15, le champ missionnaire a été étendue à tous genres d'hommes à travers le monde de l'empire romain: «... leur voix est allée par toute la terre, et leurs paroles jusqu'aux extrémités de cette disposition.» (Rom. 10:18).
Certaines choses indiquent que, très tôt à Jérusalem, l’Église avait au moins une vague organisation, et il y a des preuves concluantes que, peu de temps après, les églises locales étaient bien organisées dans des foyers. Les croyants se réunissaient pour la communion fraternelle, comptaient le nombre des membres, pourvoyaient à un secours matériel pour les nécessiteux parmi eux (Ac. 2:41,46). Les apôtres étaient les responsables dans cette Église, mais il ajoutèrent bientôt sept personnes pour s’occuper du ministère auprès des pauvres (Ac. 6:1-7). Le jour de la Pentecôte, ils étaient réunis dans la chambre haute (Ac. 1:13; 2:1). Le plus souvent cependant, ils semblent s’être réunis dans la maison d’un chrétien (Ac. 2:46; 12:12), bien que parfois ils se rendaient apparemment encore au temple (Ac. 2:46; 3:1). Tous ces facteurs indiquent une certaine organisation dans l’Église de Jérusalem qui était désignée pour ce temps. L’Église des apôtres, ministère provisoire pour établir sa fondation, est à la fois une organisation et un organisme. A cause de cette double nature du temps qu'elle coexistait avec la loi mosaïque, elle devait faire face à deux sortes de problèmes: des problèmes administratifs et des problèmes spirituels.
Dans cette période transitoire qui ne reviendra jamais, Dieu a placé des ministères et des dons miraculeux temporaires dans la communauté des premiers chrétiens, afin de marquer le changement de dispensation de la loi à la grâce. Puisque les juifs, peuple au cou raide, depuis qu'ils sortirent de l'esclavage en Égypte sous la direction de Moïse, demandaient toujours des signes pour croire en la puissance de Dieu (1 Cor. 1:22), il leur en accorda pour une dernière fois par la main de ses ministres pour leur indiquer que le Royaume de Dieu était pour leur être enlevé et donné aux Gentils ou non-juifs: «C'est pourquoi je vous dis que le royaume de Dieu vous sera ôté, et qu'il sera donné à une nation qui en rendra les fruits.» (Mat. 21:43). Les dons miraculeux de l'Esprit avaient été désignés pour aveugler les juifs et endurcir leur cœur «afin de les exciter à la jalousie» (Rom. 11:11) pour qu'ils soient sauvés de la même manière que les Gentils, c'est à dire par la foi et non pas par les œuvres de la loi qu'ils chérissaient tant. Ainsi dit l'apôtre Paul: «Car je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, afin que vous ne soyez pas sages à vos propres yeux, c'est que l'aveuglement avait été désigné à venir sur Israël pour que l'ensemble des Gentils soit pénétrée [du message de la grâce]. Et de la même manière [que les Gentils], chacun d'Israël sera sauvé.» (Rom. 11:25,26). Dieu donc établit des ministères intérimaires avec des dons miraculeux temporaires: «Et Dieu a établi dans l'Église, premièrement les apôtres, secondement les prophètes, en troisième lieu les docteurs, ensuite ceux qui ont le don des miracles, puis ceux qui ont les dons de guérir, de secourir, de gouverner, de parler diverses langues.» (1 Cor. 12:28 - Bible Ostervald 1877), ou comme nous voyons dans une traduction plus précise du même passage: «Et Dieu a aussi établi dans la convocation [des élus], premièrement les messagers délégués, secondement les interprètes [des Écritures], troisièmement les instructeurs, ensuite les puissants combattants [contre les ténèbres], puis les privilégiés à la restauration [des âmes blessées], au redressement, à la discipline, au divers langages.» (Bible de Machaira).
Nous n'avons donc pas à nous organiser en Église. Vouloir faire un retour à la forme d'administration de l'Église primitive est un recul dans la foi, une trahison à la liberté que nous avons en Christ et un viol de la grâce. Le Royaume de Dieu est progressif et non régressif. Ainsi disait l'apôtre Paul aux Hébreux: «Or, le juste vivra par la foi; mais si quelqu'un se retire, mon âme ne prend point de plaisir en lui. Pour nous, nous ne sommes pas de ceux qui se retirent pour périr; mais nous sommes de ceux qui gardent la foi pour sauver leur âme.» (Héb. 10:38,39 - Bible Ostervald 1877). |
Les moyens de Grace
I. les moyens de grâce en général
A. L’IDÉE DES MOYENS DE GRÂCE.
Homme déchu reçoit toutes les bénédictions du Salut de la fontaine éternelle de la grâce de Dieu, en vertu des mérites de Jésus Christ et par le biais de l’opération du Saint-Esprit. Alors que l’esprit peut et à certains égards fonctionne immédiatement sur l’âme du pécheur, il a jugé bon de s’obliger en grande partie à l’utilisation de certains moyens dans la communication de la grâce divine. Le terme « désigne de grâce » n’est pas trouvé dans la Bible, mais est néanmoins une désignation appropriée des moyens qui sont indiqués dans la Bible. Dans le même temps, le terme n’est pas très précis et peut avoir un sens beaucoup plus complet que ce qu’il a ordinairement en théologie. L’église peut être représentée comme le grand moyen de grâce que le Christ, par l’intermédiaire de l’Esprit Saint, utilise pour le rassemblement des élus, l’édification des saints et l’édification de son corps spirituel. Il lui est admissible à cette grande tâche en dotant son avec toutes sortes de dons spirituels et par l’institution des offices de l’administration de la parole et les sacrements, qui sont autant de moyens pour conduire les élus à leur destinée éternelle. Mais le terme peut avoir une portée encore plus large. La direction toute providentielle des saints, par le biais de la prospérité et l’adversité, devient souvent un moyen par lequel l’Esprit Saint conduit les élus à Christ ou à une communion toujours plus étroite avec lui. Il est même possible d’inclure dans les moyens de grâce, tout ce qu’il faut des hommes pour l’accueil et la poursuite de la jouissance de la bénédiction de l’Alliance, comme la foi, conversion, combat spirituel et la prière. Il est coutumier, ni souhaitable, cependant, pour inclure tout cela sous le terme « moyens de grâce. » L’église n’est pas un moyen de grâce aux côtés de la parole et les sacrements, parce que son pouvoir pour promouvoir le travail de la grâce de Dieu consiste seulement dans l’administration de ceux-ci. Elle n’est pas joué un rôle important dans la communication de la grâce, sauf au moyen de la parole et des sacrements. En outre, foi, conversion et la prière, sont les premiers de tous les fruits de la grâce de Dieu, bien qu’ils risquent de devenir à son tour un rôle déterminant dans le renforcement de la vie spirituelle. Ils ne sont pas des ordonnances objectives, mais les conditions subjectives de la possession et la jouissance de la bénédiction de l'Alliance. Par conséquent, il est préférable de ne pas suivre Hodge quand il comprend la prière, ni McPherson lorsqu’il ajoute à la parole et les sacrements de l’église et la prière. Strictement parlant, que le mot et les sacrements peuvent être considérés comme moyens de grâce, c'est-à-dire comme des canaux objectives dont Christ a institué dans l’église et à laquelle il ordinairement s’engage dans la communication de sa grâce. Bien sûr ils ne peuvent jamais être dissociées du Christ, ni l’application puissante de l’Esprit Saint, ni de l’église qui est l’organe désigné pour la distribution de la bénédiction de la grâce divine. Ils sont en soi tout à fait inefficace et productives des résultats spirituels que par le biais de l’exploitation efficace de l’Esprit Saint.
B. CARACTÉRISTIQUES DE LA PAROLE ET LES SACREMENTS COMME LE MOYEN DE LA GRÂCE.
Le fait qu’on peut parler des moyens de grâce dans un sens plutôt général rend impératif pour pointer vers les caractéristiques distinctives des moyens de grâce dans le sens technique ou restreint du mot.
1. ils sont des instruments, mais pas de communes , grâce spéciale , la grâce qui enlève le péché et renouvelle le pécheur conforme à l’image de Dieu. Il est vrai que la parole de Dieu peut et à certains égards en fait y enrichir ceux qui vivent sous l’Évangile avec certains des bénédictions choicest de grâce commune dans le sens restreint du mot; mais elle, ainsi que les sacrements, vient en considération ici seulement comme un moyen de grâce au sens technique du terme. Et les moyens de grâce en ce sens sont toujours connectés avec le début et l’exploitation progressive de la grâce spéciale de Dieu, c’est la grâce rédemptrice, dans le cœur des pécheurs.
2. ils sont en eux-mêmeset non en vertu de leur lien avec des choses ne pas inclus dedans, signifie de grâce. Expériences de substitution peut et sans doute parfois, servent à renforcer le travail de Dieu dans le cœur des croyants, mais cela ne constitue pas les moyens de grâce au sens technique, puisqu’ils y parvenir seulement dans la mesure où ces expériences sont interprétés à la lumière de la parole de Dieu, par lequel le Saint-Esprit opère. La parole et les sacrements sont en elles-mêmes des moyens de grâce; leur efficacité spirituelle repose uniquement sur l’opération du Saint-Esprit.
3. ils sont des instruments continue de la grâce divine et pas dans le sens du mot exceptionnel. Cela signifie qu’ils ne sont pas associés à l’opération de la grâce divine qu’occasionnellement ou de manière plus ou moins accidentelle, mais les moyens régulièrement ordonnés pour la communication de la grâce salvatrice de Dieu et ont ainsi une valeur perpétuelle. Le Catéchisme de Heidelberg demande 65 en Question, « puisque, alors, nous sommes faits participants de Christ, et tous ses avantages par la foi seule, d'où vient cette foi ? » Et la réponse est, « de l’Esprit Saint, qui elle fonctionne dans nos cœurs par la prédication de l’Evangile et il confirme par l’utilisation des Saints sacrements. »
4. ils sont le moyen officiel de l’église de Jésus Christ. La prédication de la parole (ou, la parole prêchée) et l' administration des sacrements (ou, les sacrements administrés) sont les moyens officiellement institué dans l’église, par laquelle l’Esprit Saint travaille et confirme la foi dans le cœur des hommes. Certains théologiens réformés limitent l’idée des moyens de grâce encore plus en disant qu’ils sont administrés seuls au sein de l’Eglise visible, et qu’elles présupposent l’existence du principe de la vie nouvelle dans l’âme. Shedd et Dada à la fois parlent d’eux, sans qualification, comme « moyen de sanctification. » Dit l’ancien: « Quand le monde des hommes régénérés sont dits d’avoir les moyens de grâce, les moyens de conviction sous la grâce commune, pas de sanctification sous la grâce spéciale, sont destinées ». Honig fait également la distinction entre la parole de Dieu comme un moyen de la grâce et le mot car il contienne l’appel à la conversion et sert à appeler les gentils au service du Dieu vivant. Le Dr de Kuyper, pense aussi, des moyens de grâce comme de simples moyens pour le renforcement de la nouvelle vie, quand il dit: « les médias gratiae sont moyens institués par Dieu qu’il met permet de déplier, personnellement et socialement et grâce à notre conscience la re-création qu’il a immédiatement établi dans notre nature. » Il y a, bien sûr, une vérité dans cette représentation. Le principe de la nouvelle vie est forgé dans l’âme immédiatement, c'est-à-dire sans la médiation de la parole qui est prêchée. Mais dans la mesure où l’origine de la nouvelle vie comprend également la nouvelle naissance et appel interne, on peut aussi dire que l’Esprit Saint travaille à la date de début de la nouvelle vie de foi, comme le dit le Catéchisme de Heidelberg, « par la prédication de l’Evangile ».
C. VUES HISTORIQUES CONCERNANT LES MOYENS DE GRÂCE.
Il y a eu des divergences d’opinion concernant les moyens de grâce dans l’église de Jésus Christ considérables. L’église primitive ne nous fournit pas avec quelque chose de très précis sur ce point. Il y avait beaucoup plus l’accent sur les sacrements que sur la parole de Dieu. Baptême a été plutôt généralement considérée comme le moyen par lequel les pécheurs ont été régénérées, alors que l’Eucharistie se distingue comme le sacrement de sanctification. En cours de temps, cependant, certains points de vue précis ont été développés.
1. LA VUE CATHOLIQUE ROMAINE. Alors que les catholiques romains considérés même des reliques et des images comme moyen de la grâce, ils ont du doigt en particulier la parole et les sacrements. Dans le même temps, ils ont échoué à donner proéminence due à la parole et attribué à ce terme uniquement préparatoire signification dans le travail de la grâce. Par rapport au terme, les sacrements ont été considéré comme le véritable moyen de grâce. Dans le système qui a été développé petit à petit l’église de Rome reconnaît un moyen qui est même supérieur aux sacrements. L’église elle-même est considéré comme le principal moyen de grâce. En elle que le Christ continue sa vie divine et humaine sur la terre, effectue son travail prophétique, sacerdotale et royale, et à travers elle, il communique la plénitude de sa grâce et de vérité. Cette grâce, sert surtout à élever l’homme de la nature à l’ordre surnaturel. C’est un gracieux elevans, une puissance physique surnaturelle, infusés dans l’homme naturel grâce aux sacrements travail ex opere operato. Dans les sacrements les signes visibles et l’invisible grâce sont inséparablement liés. En fait, la grâce de Dieu est contenue dans les moyens comme une sorte de substance, est transmise par la voie des moyens et est par conséquent absolument liée aux moyens. Baptême régénère l’homme ex opere operato, et l’Eucharistie encore plus important déclenche sa vie spirituelle à un niveau supérieur. En dehors de Christ, de l’église et de la Sainte-Cène, il n’y a pas de Salut.
2. LA VUE LUTHÉRIENNE. Avec la réforme, l’accent a été déplacé de sacrements à la parole de Dieu. Luther a donné grande importance à la parole de Dieu comme le principal moyen de grâce. Il a souligné que les sacrements n’ont aucune signification en dehors de la parole et sont en fait simplement le mot visible. Il ne réussit pas entièrement dans la correction de l’erreur de catholique romain ce qui concerne le lien indissoluble entre les moyens vers l’extérieur et de la grâce intérieure communiquée à travers eux. Lui aussi, la grâce de Dieu conçu comme une sorte de substance contenue dans les moyens et de ne pas être obtenues en dehors des moyens. La parole de Dieu est en soi toujours efficace et effectuera un changement spirituel chez l’homme, à moins qu’il met une stumblingblock de la manière. Et le corps et le sang du Christ est « dans, avec et sous » les éléments du pain et du vin, afin qu’ils qui mangent et boivent ces derniers reçoivent aussi les premiers, bien que ce sera à leur avantage que si ils les reçoivent une manière appropriée. C’était surtout son opposition à la subjectivité des anabaptistes qui a provoqué de Luther à souligner le caractère objectif des sacrements et de conditionner leur efficacité sur leur institution divine plutôt que sur la foi des bénéficiaires. Les luthériens ne pas toujours orienter clairement de l’idée que les sacrements fonctionnent ex opere operato.
3. LA VUE DES MYSTIQUES. Luther a dû affronter beaucoup de choses les anabaptistes mystiques, et c’est surtout sa réaction à leur point de vue qui détermine son avis final des moyens de grâce. Les anabaptistes et autres sectes mystiques de l’époque de la réforme et de temps plus tard, pratiquement nient que Dieu lui-même a recours à des moyens dans la distribution de sa grâce. Ils soulignent le fait que Dieu est absolument librement pour communiquer sa grâce et donc peut difficilement être considérée comme liée à de tels moyens externes. Après tout, ces moyens appartiennent au monde naturel et n’ont rien en commun avec le monde spirituel. Dieu, Christ, le Saint-esprit ou ou la lumière intérieure, travail directement dans le coeur et les mots et les sacrements peut servir uniquement pour indiquer ou pour symboliser cette grâce interne. Cette conception d’ensemble est déterminée par une vision dualiste de la nature et la grâce.
4. LA VUE RATIONALISTE. Les Sociniens des jours de la réformation, en revanche, allés trop loin dans la direction opposée. Socinus lui-même ne considère pas même le baptême comme un rite destiné à être permanent dans l’église de Jésus Christ, mais ses partisans ne vont pas à l’extrême. Ils ont reconnu fois baptême et la Cène du Seigneur comme les rites de validité permanente, mais qui leur est attribuée seulement une efficacité morale. Cela signifie qu’ils pensaient des moyens de grâce comme travail uniquement par le biais de persuasion morale et ne pas associer à tous à toute opération mystique du Saint-Esprit. En fait, ils ont mis l’accent davantage sur ce que l’homme l’a fait dans les moyens de grâce que sur ce que Dieu accompli à travers eux, quand ils parlaient d’eux comme simple externes insignes de profession et (des sacrements) comme mémoriaux. Les arminiens du XVIIe siècle et les rationalistes du XVIIIe siècle ont partagé ce point de vue.
5. LA VUE RÉFORMÉE. Alors que la réaction pour les anabaptistes ont causé les luthériens se déplacent en direction de Rome et lier la grâce de Dieu aux moyens au sens plus absolu, une position également adoptée par la haute église Anglicans —, les Églises réformées ont continué la vue originale du reformater ion. Ils nient que les moyens de grâce peuvent eux-mêmes confèrent la grâce, comme si ils étaient revêtus d’un pouvoir magique pour produire la sainteté. Dieu et Dieu seul est la cause efficiente du Salut. Et dans la distribution et la communication de sa grâce qu’il n’est pas absolument lié aux moyens divinement désignés par lequel ordinairement fonctionne, il les utilise pour servir ses desseins miséricordieux selon son propre libre arbitre. Mais alors qu’ils ne considèrent pas les moyens de grâce comme absolument nécessaires et indispensables, ils s’opposent fortement à l’idée que ces moyens peuvent être traités comme purement accidentel et indifférent et peuvent être ignorées en toute impunité. Dieu leur a nommé les moyens ordinaires par lesquels il travaille sa grâce dans le cœur des pécheurs, et leur négligence volontaire ne peut résulter en perte spirituelle.
D. LES ÉLÉMENTS CARACTÉRISTIQUES DANS LA DOCTRINE RÉFORMÉE DES MOYENS DE GRÂCE.
Pour la bonne compréhension de la doctrine réformée des moyens de grâce, les points suivants méritent un accent particulier.
1. la grâce spéciale de Dieu opère uniquement dans la sphère dans laquelle les moyens de la fonction de grace. Cette vérité doit être maintenue par les mystiques, qui nient la nécessité des moyens de grâce. Dieu est un Dieu d’ordre, qui, dans l’exploitation de sa grâce, ordinairement emploie les moyens qui lui a ordonné. Ceci, bien sûr, ne veut pas dire qu’il a lui-même devenir inféodé aux moyens nommés et ne pourrait pas éventuellement travailler sans eux dans la communication de sa grâce, mais seulement qu’il a plu à lui pour lier lui-même, sauf dans le cas des nourrissons, à l’usage de ces moyens .
2. sur un seul point, à savoir, dans l’implantation de la nouvelle vie, la grâce de Dieu fonctionne immédiatement, c'est-à-dire sans l’utilisation de ces moyens comme des instruments. Mais malgré cela il fonctionne seulement dans le domaine des moyens de grâce, étant donné que ceux-ci sont absolument nécessaires en faisant ressortir et nourrissant la vie nouvelle. Il s’agit d’une négation directe de la position du rationalisme, qui représente la régénération à la suite de persuasion morale.
3. pendant que la grâce de Dieu opère généralement médiatement, n’est pas comprise dans les moyens comme un dépôt divin, il accompagne l’utilisation de ces. Cela doit être maintenue à l’encontre des catholiques romains, les Anglicans d’église haute, et les luthériens, qui partent de l’hypothèse que les moyens de grâce toujours fonctionnent en vertu du pouvoir inhérent, bien que leur fonctionnement peuvent être faites sans effet par la condition ou une attitude du destinataire.
4. la parole de Dieu ne peut jamais être séparé de sacrements, mais doit toujours accompagner, car ils sont pratiquement qu’une représentation visible de la vérité qui est véhiculée à nous par le mot. Dans l’église de Rome, le mot prend sa retraite dans l’arrière-plan comme ayant une signification uniquement préparatoire, tandis que les sacrements, considérés en dehors de la parole, sont considérés comme des moyens réels de la grâce.
5. toutes les connaissances qui sont obtenue par le bénéficiaire de la grâce divine, est forgé en lui par le biais de la parole et est dérivé du mot. Cette position doit être maintenue à l’encontre de toutes sortes, des mystiques, qui revendiquent de révélations particulières et à une connaissance spirituelle qui n’est pas véhiculée par la parole, et qui ne nous conduit ainsi à une mer de subjectivité sans bornes.
II. la parole comme moyen de Grace
A. SIGNIFICATION DE L’EXPRESSION « PAROLE DE DIEU » À CET ÉGARD.
Catholiques romains peut difficilement dire à considérer la parole de Dieu comme un moyen de la grâce. À leur avis, l’église est le canal grand et tout-suffisant de grâce pour les pécheurs, et tous les autres moyens sont subordonnés à l’il. Et les deux plus puissants moyens dont Dieu a mis à la disposition de l’église sont la prière et les sacrements. Les églises de la réforme, cependant, les luthériens et les réformés, faire honorer la parole de Dieu comme tel et même la considérer comme supérieure aux sacrements. Il est vrai que les théologiens réformés anciens, tels que les professeurs de Leyden (Synopsis), faire, à Marck, Turretin, e.a. et même certains d’une date plus récente, comme Dada et de Kuyper, ne pas traitent de celui-ci séparément comme un moyen de la grâce, mais cela est dû en grande partie t o le fait qu’ils ont déjà examiné le mot aux autres connexions. Ils parlent librement de celui-ci comme un moyen de la grâce. Et lorsqu’ils considèrent la parole de Dieu comme un moyen de la grâce, ils ne sont pas la pensée du Logos, la parole personnelle, Jean 1:1-14. Ni qu’ils ont à l’esprit n’importe quel mot d’instance de pouvoir sortir de la bouche de Jéhovah, Psaume 33: 6; Esaïe 55: 11; ROM. 04:17, ou n’importe quel mot de révélation directe, tels que les prophètes ont reçu, Jérémie 1:4; 2:1; Ézéchiel 6:1; Osée 1:1. C’est la parole inspirée de Dieu, la parole de l’écriture sainte, qu’ils considèrent comme un moyen de la grâce. Et même lorsque l'on parle de cela comme un moyen de la grâce, ils le contempler d’un point de vue spécial. Les Écritures inspirées constituent le principium cognoscendi, la tête de fontaine, de toutes nos connaissances théologiques, mais il n’est pas cet aspect que nous avons à l’esprit lorsque l'on parle de la parole de Dieu comme un moyen de la grâce. La Bible n’est pas seulement le principium cognoscendi de théologie, mais c’est aussi le moyen qui le Saint Esprit emploie pour l’extension de l’église et pour l’édification et la nourriture des saints. C’est avant tout la parole de la grâce de Dieu et donc aussi le moyen le plus important de la grâce. Strictement parlant, c’est le mot tel qu’il est prêché au nom de Dieu et en vertu d’une mission divine, qui est considérée comme un moyen de grâce au sens technique du terme, aux côtés des sacrements qui sont administrés au nom de Dieu. Naturellement, la parole de Dieu peut aussi être considéré comme un moyen de la grâce dans un sens plus général. Il peut être une véritable bénédiction, tel qu’il est porté à l’homme de plusieurs façons complémentaires: comme il est lu dans la maison, est enseigné à l’école ou circule dans des secteurs de recensement. Comme le moyen officiel de grace, mis à la disposition de l’église, les mots et les sacrements peuvent seulement être administrés par les officiers légitimes et dûment qualifiés de l’église. Mais à la différence des sacrements le mot peut également effectuer dans le monde par tous les croyants et fonctionnent de différentes manières.
B. LA RELATION ENTRE LA PAROLE ET L’ESPRIT SAINT.
Il a mis au point au cours de l’histoire tout à fait une différence d’opinion concernant l’efficacité de la parole et par conséquent, quant à la connexion entre l’exploitation efficace de la parole et le œuvre du Saint-Esprit.
1. nomism sous ses diverses formes, telles que le judaïsme, pélagianisme, semi pélagianisme arminianisme, Neonomianism et le rationalisme, estime l’influence intellectuelle, morale et esthétique du mot comme la seule influence qui peut être attribué à ce terme. Il ne croit pas à une opération surnaturelle du Saint-Esprit par la parole. La vérité révélée dans la parole de Dieu travaille seulement par la persuasion morale. Dans certaines de ses formes, telles que le pélagianisme et Rationalisem, Nomism n’éprouve pas encore le besoin d’une opération spéciale de l’Esprit Saint dans le œuvre de rédemption, mais sous ses formes plus modérées, comme le pélagianisme semi, arminianisme et Neonomianism, il considère le influence morale du mot insuffisant, alors qu’elle doit être complétée par le travail de l’Esprit Saint.
2. Antinomisme, en revanche, ne considère pas le mot externe si nécessaire du tout et affiche un mysticisme qui attend tout de la parole intérieure ou la lumière intérieure, ou de l’utilisation immédiate du Saint-Esprit. Son slogan est, « la lettre Tue, mais l’esprit donne la vie. » Le mot externe appartient au monde naturel, est indigne de l’homme vraiment spirituel et ne peut produire aucun résultat spirituel. Tandis qu’Antinomiens toutes descriptions révèlent une tendance à la légère, si ce n’est pour l’ignorer totalement, les moyens de grâce, cette tendance a reçu son expression la plus claire aux mains de certains des anabaptistes.
3. par opposition à ces deux points de vue, les réformateurs a maintenu que le mot seul ne suffit pas de travailler la foi et la conversion; que l’Esprit Saint peut, mais ne fait pas d’habitude, de travailler sans le mot; et que, par conséquent dans le œuvre de rédemption la parole et l’esprit travaillent ensemble. S’il y avait peu de différence sur ce point dans un premier temps entre les luthériens et les réformés, la première depuis le début a insisté sur le fait que l’Esprit Saint travaille par la parole comme son instrument (par verbum), tandis que le second a préféré dire que l’opération de l’Esprit Saint accompagne le mot (cum verbo). Les théologiens luthériens plus tard développé la doctrine luthérienne réelle, que la parole de Dieu contient le pouvoir de conversion de l’Esprit Saint comme un dépôt divin, qui est maintenant tellement inséparablement liées à ce qu’il est présent même quand le mot n’est pas utilisé ou n’est pas utilisée jambe itimately. Mais afin d’expliquer les différents résultats de la prédication de la parole dans le cas de personnes différentes, ils ont devaient recourir, même si elle est dans une forme bénigne, la doctrine de la volonté de l’homme. L’église réformée en effet considéré la parole de Dieu comme toujours puissant, soit comme une saveur de la vie pour la vie ou comme une odeur de mort jusqu'à la mort, mais maintenu qu’il devienne efficace en conduisant à la foi et la conversion que par une opération d’accompagnement de l’Esprit Saint en th coeurs de e des pécheurs. Ils ont refusé de considérer cette efficacité comme une puissance impersonnelle résident dans le mot.
C. LES DEUX PARTIES DE LA PAROLE DE DIEU, CONSIDÉRÉ COMME UN MOYEN DE LA GRÂCE.
1. LA LOI ET L’ÉVANGILE DANS LA PAROLE DE DIEU. Les églises de la réforme dès le début une distinction entre la Loi et l’Évangile comme les deux parties de la parole de Dieu comme un moyen de la grâce. Cette distinction n’était pas comprise pour être identique à celle entre l’ancien et le Nouveau Testament, mais était considérée comme une distinction qui s’applique aux deux Testaments. Il y a la Loi et l’Évangile dans l’ancien Testament, et il y a la Loi et l’Évangile dans le nouveau. La loi comprend tout dans l’écriture qui est une révélation de la volonté de Dieu dans le formulaire de commande ou de la prohibition, alors que l’Evangile englobe tout, que ce soit dans l’ancien Testament dans le nouveau, qui se rapporte à le œuvre de réconciliation et qui proclame la la recherche et l’amour de Dieu en Jésus Christ Rédempteur. Et chacune de ces deux parties a son propre fonctionnement dans l’économie de la grâce. La Loi cherche à éveiller le cœur de contrition homme cause du péché, alors que l’Evangile vise à l’éveil de sauver la foi en Jésus Christ. Le œuvre de la Loi est en quelque sorte préparatoire à celle de l’Évangile. Il approfondit la conscience du péché et permet ainsi le pécheur conscient de la nécessité de la rédemption. Les deux sont subordonnés aux mêmes fins, et les deux sont des éléments indispensables des moyens de grâce. Cette vérité n’a pas toujours été suffisamment reconnue. L’aspect condamnant la loi a parfois été soulignée au détriment de son personnage dans le cadre des moyens de grâce. Depuis les jours de Marcion il ont toujours été ceux qui ont vu seulement le contraste entre la Loi et l’Évangile et repose sur la supposition que l’un exclue l’autre. Ils leur opinion en partie fondée sur le reproche Paul administrée à Peter (Galates 02:11-14), et en partie sur le fait que Paul occasionnellement établit une distinction nette entre la Loi et l’Évangile et évidemment les considère comme contraste, II Cor. 3:6-11; Galates 3:2, 3, 10-14; Voir aussi Jean 01:17. Ils ont perdu de vue le fait que Paul dit également que la loi a été un tuteur pour conduire les hommes au Christ, gal 03:24, et que l’épître aux Hébreux représente la Loi, pas comme se situant en relation antithétique à l’Evangile, mais plutôt comme l’Évangile dans son rapport préliminaire et im parfait état.
Certains des plus anciens théologiens réformés représentaient la Loi et l’Évangile comme opposés absolus. Ils ont pensé de la Loi comme incarnant toutes les demandes et les commandements de l’écriture et de l’Évangile, comme ne contenant aucune demande que ce soit, mais promet seulement inconditionnel; et donc exclues toutes les exigences. C’était en partie due à la façon dont les deux sont parfois contrastées dans l’écriture, mais a été également en partie le résultat d’une controverse dans laquelle ils ont été engagés avec les arminiens. La vue arminienne, rendant le salut dépend de la foi et l’obéissance évangélique comme œuvres de l’homme, amenés à aller à l’extrême de dire que l’Alliance de grâce n’exige pas n’importe quoi la part de l’homme, ne prescrit pas de tous les droits, n’a pas la demande ou commande quoi que ce soit, même pas foi, confiance et espère en l’Éternel et ainsi de suite. mais simplement transmet à l’homme les promesses de ce que Dieu fera pour lui. D’autres, cependant, correctement entretenu que même la Loi de Moïse n’est pas dépourvu de promesses, et que l’Evangile contienne également certaines exigences. Ils virent clairement que l’homme n’est pas purement passive, lorsqu’il est introduit dans l’Alliance de grâce, mais il est appelé à accepter l’Alliance activement avec tous ses privilèges, même si c’est Dieu qui travaille en lui la capacité de satisfaire aux exigences. Les promesses dont l’homme s’approprie certainement lui imposent certaines obligations et parmi eux le devoir d’obéir à la Loi de Dieu comme une règle de vie, mais aussi emporter avec eux l’assurance que Dieu travaillera en lui « et le vouloir et de le faire. » Les dispensationalistes cohérentes de notre journée à nouveau représentent la Loi et l’Évangile comme opposés absolus. Israël a été en vertu de la loi dans la dispensation précédente, mais l’église de la dispensation actuelle est en vertu de l’Évangile et comme tel est exempt de la Loi. Cela signifie que l’Évangile est maintenant le seul moyen de Salut, et que la loi ne maintenant sert pas comme tel. Membres de l’église doivent se préoccuper pas sur ses exigences, car Christ a satisfait à toutes ses exigences. Ils semblent oublier que, bien que Christ portait la malédiction de la Loi et a satisfait ses exigences comme condition de l’Alliance des œuvres, il ne remplissait pas la loi pour eux comme une règle de vie, à laquelle l’homme est soumise en vertu de sa création , en dehors de tout arrangement de l'Alliance.
2. NÉCESSAIRES DISTINCTIONS RESPECTANT LA LOI ET L’ÉVANGILE.
a. comme l’a déjà dit à ce qui précède, la distinction entre la Loi et l’Évangile n’est pas la même que celle entre l’ancien et le Nouveau Testament. N’est pas la même que celle que présentent les dispensationalistes jour faire entre la dispensation de la Loi et de la dispensation de l’Évangile. C’est contrairement aux faits de l’écriture pour dire qu’il n’y a pas d’Évangile dans l’ancien Testament, ou du moins pas dans cette partie de l’ancien Testament, qui couvre la dispensation de la loi ordinaire. Il n’y a Évangile dans la promesse maternelle, l’Évangile dans la loi cérémonielle et Évangile dans beaucoup de prophètes, comme Ésaïe 53 et 54; 55:1-3,6.7; Jérémie 31: 33, 34; Ézéchiel 36: 25-28. En fait, il y a un Évangile actuel qui traverse l’ensemble de l’ancien Testament, qui atteint son point culminant dans le messianique prophéties. Et il est également contraire à l’écriture pour dire qu’il n’y a aucune loi dans le Nouveau Testament, ou que la loi ne s’applique pas dans la dispensation du Nouveau Testament. Jésus a enseigné la validité permanente de la Loi, Matthieu 05:17-19. Paul dit que Dieu prévue à cet effet que les exigences de la loi doivent être remplies dans nos vies, Romains 8:4 et tient ses lecteurs responsables pour le maintien de la Loi, Romains 13:9. James assure ses lecteurs que celui qui transgresse un commandement unique de la Loi (et il mentionne que certains d'entre eux), est un transgresseur de la Loi, Jac. 2:8-11. Et John définit le péché comme « anarchie » et dit que c’est l’amour de Dieu, que nous gardons ses commandements, I Jean 3:4; 5:3.
b. il est possible de dire que, à certains égards, le chrétien est exempt de la Loi de Dieu. La Bible ne parle pas toujours de la loi dans le même sens. Parfois, il envisage cela comme l’expression immuable de la nature et la volonté de Dieu, qui s’applique à tout moment et dans toutes les conditions. Mais il se réfère également à lui tel qu’il fonctionne dans l’Alliance des œuvres, dans lesquelles le don de la vie éternelle a été conditionné à son accomplissement. L’homme n’a pas respecté la condition, perdant ainsi la possibilité d’y répondre et est maintenant par nature en vertu d’une décision de condamnation. Lorsque Paul dessine un contraste entre la Loi et l’Évangile, qu’il pense de cet aspect de la Loi, le droit cassé de l’Alliance des œuvres, qui ne peut non plus justifier, mais ne peut que condamne le pécheur. De la loi en ce sens particulier, tant qu’un moyen pour obtenir la vie éternelle et une puissance condamne, croyants sont mis en liberté dans le Christ, car il est devenu une malédiction pour eux et a également rencontré les exigences de l’Alliance des œuvres en leur faveur. La loi en ce sens particulier et l’Évangile de la grâce libre est mutuellement exclusive.
c. il y a un autre sens, toutefois, dans laquelle le chrétien n’est pas exempt de la Loi. La situation est très différente lorsque nous pensons de la Loi comme l’expression d’obligations naturelle de l’homme envers son Dieu, la loi telle qu’elle est appliquée à l’homme même en dehors de l’Alliance des œuvres. Il est impossible d’imaginer une condition dans laquelle l’homme pourrait être en mesure de réclamer la liberté de la loi en ce sens. C’est pure Antinomisme de maintenir que Christ a observé la Loi comme règle de vie pour son peuple, afin qu’ils ne se soucient pas cela plus. La loi fixe la revendication et justement, sur toute la vie de l’homme sous tous ses aspects, y compris sa relation à l’Évangile de Jésus Christ. Quand Dieu offre à l’homme l’Évangile, la Loi exige que ce dernier doit accepter cela. Certains parlerait de ce que la Loi de l’Évangile, mais ce n’est pas correct. L’Evangile lui-même est constitué de promesses et aucune loi; Pourtant, il y a une exigence de la loi dans le cadre de l’Évangile. La Loi exige non seulement que nous accepter l’Évangile et que vous croyez en Jésus Christ, mais aussi que nous mener une vie de gratitude en harmonie avec ses besoins.
D. L’UTILISATION DES TROIS VOLETS DE LA LOI.
Il est de coutume en théologie pour distinguer une triple utilisation de la Loi.
1. LES TROIS DÉFINI. On distingue:
a. A usus politicus ou civilis. La loi a pour objectif de retenir dans et la promotion de la justice. Considéré de ce point de vue, la loi suppose péché et est nécessaire à cause du péché. Il a pour objectif de commun de Dieu dans le monde entier. Cela signifie que, de ce point de vue, qu'il ne peut être considéré un moyen de grâce au sens technique du terme.
b. A usus elenchticus ou pedagogicus. À ce titre la loi a pour objectif de mettre l’homme sous la condamnation du péché et de lui rendre conscient de son incapacité à répondre aux exigences de la Loi. Dans cette manière dont la loi devient son tuteur à le conduire au Christ et devient ainsi inféodée au dessein bienveillant de Dieu de la rédemption.
c. A usus didacticus ou normativus. Il s’agit de la soi-disant tertius usus legis, la troisième utilisation de la Loi. La Loi est une règle de vie pour les croyants, en leur rappelant de leurs fonctions et qui les conduit dans la voie de la vie et le salut. Ce troisième recours au droit est niée par les Antinomiens.
2. LA DIFFÉRENCE ENTRE LES LUTHÉRIENS ET LES RÉFORMÉS SUR CE POINT. Il y a une différence entre les luthériens et les réformés en ce qui concerne cette utilisation triple de la Loi. Tous deux acceptent cette distinction trois fois, mais les luthériens soulignent la deuxième application de la Loi. Dans leur estimation, la Loi est principalement les moyens nommés pour traduire les hommes sous la conviction de péché et donc indirectement pointant le moyen de Jésus-Christ comme le Sauveur des pécheurs. Bien qu’ils admettent également la troisième utilisation de la Loi, ils le font avec une certaine réserve, puisqu’ils détiennent que les croyants ne sont pas plus en vertu de la Loi. Selon eux, le troisième recours au droit est nécessaire uniquement parce que, et dans la mesure où, les croyants sont encore pécheurs; elles doivent être tenues en échec par la Loi et devraient devenir de plus en plus conscients de leurs péchés. Il n’est donc pas surprenant que ce troisième recours au droit n’occupe aucune place importante dans leur système. En règle générale, ils traitent de la loi que dans le cadre de la doctrine de la misère humaine. Les réformés pleinement justice à la deuxième application de la Loi, enseignement qui « à travers le vient de droit la connaissance du péché, » et que la Loi s’éveille la conscience de la nécessité de la rédemption; mais elles consacrent encore plus d’attention à la loi dans le cadre de la doctrine de la sanctification. Ils sont forts dans la conviction que les croyants sont toujours en vertu de la Loi comme règle de vie et de gratitude. Par conséquent, le Catéchisme de Heidelberg ne consacre pas moins que jours du Seigneur onze à la discussion de la Loi et qui dans sa troisième partie, qui traite de la reconnaissance.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Pourquoi les catholiques romains considère l’église comme les moyens exceptionnels de grâce ? Ce qui explique leur négligence de la parole comme moyen de grâce ? Pourquoi sont les moyens de grâce au mépris parmi les mystiques ? Ce qui distingue la parole et les sacrements comme moyen de la grâce de tous les autres moyens ? Est-il correct de dire qu’ils sont administrés seuls dans l’église et servent, ne pas à l’origine de la vie nouvelle, mais de le renforcer ? La parole de Dieu est exclusivement utilisé comme moyen de grâce ? Comment la Loi et l’Évangile diffèrent sous différents aspects du mot ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, p. 483-505; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 466-485; Shedd, dogme . THEOL. II, p. 561-563; Vos, Geref. Dogme. V. de Genademiddelen, p. 1-11; McPherson, Chr. dogme., pp. 422-427; Dick, LECT sur la théologie, pp. 447-458; Pieper, Christl. Dogme. III, pp. 121-296; Valentine, Chr. Theol. II, p. 282 à 292; Mueller, Chr. dogme., pp. 441-484; Raymond, Syst. Theol. III, pp. 243-255; Drummond, Studies in Chr. Doct., p. 399-403.
III. les sacrements en général
A. RELATION ENTRE LA PAROLE ET LES SACREMENTS.
À la différence de l’église catholique, les églises de la réforme mettent l’accent sur la priorité de la parole de Dieu. Alors que l’ancien produit sur l’hypothèse que les sacrements contiennent tout ce qui est nécessaire pour le salut des pécheurs, ne besoin d’aucune interprétation et donc rendre le mot tout à fait inutile comme un moyen de la grâce, ce dernier considère le mot comme absolument essentiel et simplement poser la question, pourquoi les sacrements doivent lui être ajoutées. Certains des luthériens affirment qu’une grâce particulière, différente de celle qui est forgé par la parole, est véhiculée par les sacrements. C’est tout mais universellement rejetée par les réformés, quelques théologiens écossais et le Dr Kuyper formant des exceptions à la règle. Ils soulignent le fait que Dieu a créé tellement l’homme qu’il obtient connaissance notamment à travers les avenues des sens de la vue et l’ouïe. Le mot est adapté à l’oreille et les sacrements à le œil. Et puisque le œil est plus sensuelle que l’oreille, on peut affirmer que Dieu, en ajoutant les sacrements à la parole, vient au secours de l’homme pécheur. La vérité, adressée à l’oreille à la parole, est symboliquement représentée à le œil dans les sacrements. Il faut avoir à l’esprit, cependant, que, bien que le mot peut exister et aussi complète sans les sacrements, les sacrements ne sont jamais complets sans le mot. Il y a des points de similitude et de différence entre la parole et les sacrements.
1. POINTS DE SIMILITUDE. Ils sont d’accord: (a) en auteur, puisque Dieu a institué les deux comme moyen de grâce; (b) dans le contenu, pour le Christ est le contenu central de l’un, ainsi que de l’autre; et (c) de la manière dont le contenu est approprié, à savoir, par la foi. C’est la seule façon dont le pécheur peut devenir un participant de la grâce qui est offert dans la parole et aux sacrements.
2. POINTS DE DIFFÉRENCE. Ils se distinguent: (a) dans leur nécessité, le mot étant indispensable, tandis que les sacrements ne sont pas; b dans leur but, puisque le mot vise à susciter et à renforcer la foi, tandis que les sacrements servent uniquement à renforcer et (c) dans leur extension, puisque le mot sort dans le monde entier, tandis que les sacrements sont administrés uniquement à ceux qui sont dans l’église.
B. ORIGINE ET SIGNIFICATION DU MOT « SACREMENT ».
Le mot « sacrement » ne se trouve pas dans l’écriture. Il est dérivé du Latin sacramentum, qui initialement désigné une somme d’argent déposé par les deux parties en litige. Argent du gagnant a été retourné après la décision de la Cour, tandis que celle du perdant a été confisquée. Cela semble avoir été appelé un sacramentum, parce qu’il était censé être une sorte d’offrande propitiatoire aux dieux. La transition vers l’utilisation chrétienne du terme doit probablement être cherchée: (a) dans l’utilisation militaire du terme, dans lequel il a désigné le serment par lequel un soldat solennellement promis obéissance à son commandant, car dans le baptême chrétien promet obéissance à son Seigneur; et (b) dans le sens spécifiquement religieux dont elle a acquis la Vulgate il travaillant comme un rendu de la grec musterion. Il est possible que ce terme grec a été appliqué aux sacrements, parce qu’ils ont une légère ressemblance avec certains des mystères des religions grecques. Dans l’église primitive, le mot « sacrement » a été tout d’abord utilisé pour désigner toutes sortes de doctrines et d’ordonnances. Pour cette raison certains se sont opposés au nom et a préféré parler de « signes, » « sceaux », ou « mystères ». Même pendant et immédiatement après la réforme beaucoup n’aimait pas le nom de « sacrement ». Melanchthon utilisé «signi», et Luther et Calvin a jugé nécessaire d’attirer l’attention sur le fait que le mot « sacrement » n’est pas employé dans son sens originel dans la théologie. Mais le fait que le mot ne se trouve pas dans l’écriture et qu’il n’est pas utilisé dans son sens originel, lorsqu’il est appliqué pour les ordonnances instituées par Jésus, ne faut pas nous décourager, pour utilisation détermine souvent la signification d’un mot. La définition suivante peut être donnée d’un sacrement: le sacrement est une Sainte ordonnance institué par le Christ, en qui de sensé signe la grâce de Dieu en Christ et les avantages de l’Alliance de grâce, sont représentés , scellé et appliqué aux croyants et ceux-ci, à leur tour, exprimer leur foi et leur allégeance au Dieu.
C. LES COMPOSANTS DES SACREMENTS.
Trois parties doivent être distingués dans les sacrements.
1. LE SIGNE VISIBLE. Chacun des sacrements contient un élément matériel qui est palpable pour les sens. Dans un sens plutôt large, cela est parfois appelé le sacrement. Au sens strict du mot, cependant, le terme est plus inclusif et désigne aussi bien le signe et ce qui est signifié. Pour éviter tout malentendu, cette utilisation différente faut avoir à l’esprit. Il explique comment un non-croyant peut prétendre à recevoir, et encore ne pas à recevoir le sacrement. Il ne le reçoit pas dans le sens plein du mot. L’affaire externe du sacrement comprend non seulement les éléments qui sont utilisés, à savoir, eau, pain et vin, mais aussi le rite sacré, que qui est fait avec ces éléments. De ce point de vue externe la Bible appelle les signes des sacrements et les phoques, 09:12, 13; 17:11; ROM. 04:11.
2. LA GRÂCE SPIRITUELLE INTÉRIEURE SIGNIFIÉE ET SCELLÉE. Signes et sceaux présuppose quelque chose qui est signifiée et scellé et qui est généralement appelé materia interna du sacrement. Ceci est indiqué différemment dans l’écriture comme l’Alliance de grâce, 09:12, 13; 17:11, de la justice de la foi, Rom. 04:11, le pardon des péchés, Mark 1:4; Matthieu 26: 28, de foi et de conversion, Marc 1:4; 16:16, communion avec le Christ dans sa mort et résurrection, Rom. 6:3 et ainsi de suite. En bref, on peut dire consister à Christ et toutes ses richesses spirituelles. Les catholiques romains trouver en elle la grâce sanctifiante qui est ajoutée à la nature humaine, permettant à l’homme pour faire de bonnes œuvres et s’élever à la hauteur de la visio Dei (la vision de Dieu). Les sacrements signifient, non pas simplement une vérité générale, mais une promesse nous donné et accepté par nous et servent à renforcer notre foi en ce qui concerne la réalisation de cette promesse, Genèse 17:1-14; Exode 12:13; ROM. 04:11-13. Visiblement, ils représentent et approfondir notre conscience de, les bénédictions spirituelles de l’Alliance, du laver de nos péchés et de notre participation de la vie qui est en Christ, Matthieu 03:11; Marc 1:4, 5; J’ai Cor. 10:2, 3, 16, 17; ROM. 02:28, 29; 6:3, 4; GAL 03:27. Comme des signes et des sceaux, ils sont des moyens de grâce, c'est-à-dire des moyens de renforcer la grâce vers l’intérieur qui est forgée dans le cœur par le Saint-Esprit.
3. L’UNION SACRAMENTELLE ENTRE LE SIGNE ET CE QUI EST SIGNIFIÉ. Ceci est généralement appelé le sacramenti forma (forma signifiant ici essence), parce que c’est exactement la relation entre le signe et la chose signifiée qui constitue l’essence même du sacrement. Selon le point de vue réformé c’est: (a) n’est pas physique, comme la revendication des catholiques romains, comme si la chose signifié étaient inhérentes à la signe et la réception de materia externa nécessairement comportait une participation à la Materia interna; (b) ni local, comme les luthériens représentent, comme si le signe et la chose signifiée étaient présents dans le même espace, ce que les croyants et les incroyants reçoivent le sacrement complet lorsqu’ils recevront le signe; (c) mais il est spirituel, ou comme Turretin exprime il, relative et moral, de sorte que, où il est reçu le sacrement dans la foi, la grâce de Dieu l’accompagne. Selon ce point de vue, le signe extérieur devient un moyen employé par l’Esprit Saint dans la communication de la grâce divine. Les liens étroits existant entre le signe et la chose signifiée expliquant l’utilisation de ce qu’on appelle généralement « langage sacramentelle » dans lequel le signe est mis pour la chose signifiée ou vice versa, 17:10; Actes 22:16; J’ai Cor. 5:7.
D. LA NÉCESSITÉ DES SACREMENTS.
Romain catholiques soutiennent que le baptême est indispensable pour tous pour le Salut, et que le sacrement de pénitence est également nécessaire pour ceux qui ont commis des péchés mortels après le baptême; mais cette confirmation, l’Eucharistie et l’extrême onction ne sont nécessaires que dans le sens qu’ils ont été commandés et sont éminemment utiles. Protestants, en revanche, enseignent que les sacrements ne sont pas absolument nécessaires au Salut, mais sont obligatoires en vue du précepte divin. Une négligence délibérée de leur utilisation se traduit par l’appauvrissement spirituel et a une tendance destructrice, comme toute désobéissance délibérée et persistante à Dieu l’a. Qu’elles ne sont pas absolument nécessaires pour le Salut, suit: (1) le caractère spirituel libre de la dispensation de l’Évangile, dans lequel Dieu ne lie pas sa grâce à l’utilisation de certaines formes extérieures, John 04:21, 23; Luc 18:14; (2) du fait que l’écriture ne mentionne la foi seule comme condition du Salut, John instrumentale 05:24; 06:29; 03:36; Actes 16:31; (3) du fait que les sacrements ne proviennent pas de foi mais présupposent et sont administrés où la foi est supposé, actes 02:41; 16:14, 15, 30, 33; I Corinthiens 11:23-32; et (4) du fait que bon nombre ont été réellement sauvés sans l’usage des sacrements. Pensez aux croyants avant l’époque d’Abraham et du pénitent voleur sur la Croix
E. LES SACREMENTS DE L’ANCIEN ET DU NOUVEAU TESTAMENT PAR COMPARAISON.
1. LEUR UNITÉ ESSENTIELLE. Rome prétend qu’il y a une différence fondamentale entre les sacrements de l’ancienne et ceux du Nouveau Testament. Il maintient que, comme le rituel complet de l’ancienne Alliance, ses sacrements étaient aussi simplement typiques. La sanctification forgée par eux n’était pas en interne, mais purement juridique et préfigure la grâce qui devait être attribué sur l’homme à l’avenir, en vertu de la passion du Christ. Cela ne signifie pas qu’aucune grâce interne accompagnée leur utilisation à tous, mais simplement que ce ne était pas effectuée par les sacrements, à ce titre, telle qu’elle n’est dans la nouvelle dispensation. Ils n’avaient aucune efficacité objective, ne pas sanctifier le bénéficiaire ex opere operato, mais seulement ex opere operantis, autrement dit, à cause de la foi et la charité avec laquelle il a reçu les. Parce que la pleine réalisation de la grâce, caractérisée par ces sacrements dépendait de la venue du Christ. les saints de l’ancien Testament ont été enfermés dans le Limbus Patrum jusqu'à ce que Christ a conduit les sortir. En fait, cependant, il n’y a aucun différence essentielle entre les sacrements de l’ancienne et ceux du Nouveau Testament. Cela est prouvé par les considérations suivantes: (a) dans I Corinthiens 10:1-4 Paul attribue à l’église de l’ancien Testament ce qui est essentiel dans les sacrements du Nouveau Testament; (b) en Rom. 04:11 il parle de la circoncision d’Abraham comme un sceau de la justice de la foi; et (c) compte tenu du fait qu’ils représentent les mêmes réalités spirituelles, les noms des sacrements de deux dispenses sont interchangeables; la circoncision et la Pâque sont attribuées à l’église du Nouveau Testament. J’ai Cor. 5:7:02: 11 et le baptême et l’Eucharistie à l’église de l’ancien Testament, I Cor. 10:1-4.
2. LEURS DIFFÉRENCES FORMELLES. Nonobstant l’unité essentielle des sacrements des deux dispensations, il y a certains points de divergence. (a) entre Israël, les sacrements avaient un aspect national en plus de leur signification spirituelle comme des signes et des sceaux de l’Alliance de grâce. (b) aux côtés des sacrements, Israël avait beaucoup d’autres rites symboliques, tels que des offrandes et des purifications, qui, pour l’essentiel, convenu avec leurs sacrements, tandis que les sacrements du Nouveau Testament se tiennent absolument seuls. (c) les sacrements de l’ancien Testament pointés vers l’avant au Christ et ont été les joints d’une grâce qui devait encore être mérité, tandis que ceux du Nouveau Testament repointer vers Christ et son sacrifice dûment rempli de la rédemption. (d) en harmonie avec la dispensation d’ancien Testament entier, une moindre mesure de la grâce divine accompagné de l’utilisation de l’ancien Testament sacrements qu’est maintenant assuré par la réception fidèle de ceux du Nouveau Testament.
F. LE NOMBRE DES SACREMENTS.
1. DANS L’ANCIEN TESTAMENT. Durant la dispensation de vieux, il y avait deux sacrements, à savoir, la circoncision et la Pâque. Certains théologiens réformés étaient d’avis que la circoncision a commencé parmi Israël et provenait de ce peuple de l’ancienne Alliance par d’autres nations. Mais il est maintenant tout à fait clair qu’il s’agit d’une situation intenable. Dès les premiers temps, les prêtres égyptiens étaient circoncis. En outre, circoncision est trouvée parmi les nombreux peuples en Asie, en Afrique et même l’Australie, et il est très improbable qu’ils ont tous il dérivé Israël. Seulement entre Israël, cependant, est-il devenu un sacrement de l’Alliance de grâce. Comme appartenant à la dispensation de l’ancien Testament, c’était un sacrifice sanglant, symbolisant l’excision de la culpabilité et la pollution du péché, et qui oblige les gens à laisser le principe de la grâce de Dieu pénétrer toute leur vie. La Pâque était aussi un sacrement sanglant. Les Israélites s’est échappé le châtiment des Egyptiens en substituant un sacrifice, qui était un type de Christ, Jean 01:29, 36; J’ai Cor. 5:7. La famille sauvée a mangé l’agneau immolé, symbolisant l’acte de s’approprier de foi, beaucoup comme le manger du pain dans la Sainte Cène.
2. DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. L’église du Nouveau Testament a également deux sacrements, à savoir le baptême et la Cène du Seigneur. En harmonie avec la nouvelle dispensation dans son ensemble, ce sont les sacrements non sanglante. Cependant, ils symbolisent les mêmes bénédictions spirituelles qui ont symbolisé par la circoncision et la Pâque dans la dispensation de vieux. L’église de Rome a élargi le nombre des sacrements à sept d’une manière totalement injustifiée. Les deux qui ont été institués par le Christ il ajouté confirmation, la pénitence, ordonnances, mariage et extrême-onction. Il cherche le terrain scripturaire pour confirmation en actes 08:17; 14:22; 19:6; Hébreux 6:2; Pour pénitence dans Jas. 05:16; pour les commandes dans I Timothée 04:14; II Timothée 1:6; pour mariage dans Éphésiens 05:32; et pour l’extrême onction à marquer 06:13; Jacques 05:14. Chacun de ces sacrements est censé pour transmettre, en plus de la grâce générale de sanctification, une grâce sacramentelle spéciale, qui est différente dans chaque sacrement. Cette multiplication des sacrements crée une difficulté pour l’Eglise de Rome. Il est généralement admis que les sacrements, pour être valable, doivent ont été instituées par le Christ; mais le Christ a institué deux seulement. Par conséquent, les autres ne sont pas des sacrements, ou le droit d’engager leur doit également être attribué aux apôtres. Avant le Concile de trente, beaucoup, en effet, affirmé que les cinq autres ne étaient pas institués par Christ directement, mais par les apôtres. Toutefois, le Conseil, proclame hardiment que tous les sept sacrements ont été institués par le Christ lui-même et donc imposé une tâche impossible sur la théologie de son église. C’est un point qui doit être accepté par les catholiques sur le témoignage de l’église, mais qui ne peut pas être prouvée.
QUESTIONS pour études supplémentaires: A le terme musterion la même signification dans le Nouveau Testament comme il l’a dans les religions de mystère ? Sont les enseignements du Nouveau Testament concernant les sacrements empruntés les cultes à mystères, comme une école récente des réclamations de critique de Nouveau Testament ? L’affirmation de cette école est correcte, que Paul représente les sacrements comme efficace ex opere operato? Pourquoi les luthériens préfèrent parler des sacrements comme les rites et les actions plutôt que comme des signes? Ce que comprennent-ils de la materia coelestis des sacrements ? Qu’entend-on par la doctrine catholique romaine d' intention dans le cadre de l’administration des sacrements ? Quelle exigence négative Rome estime n’est nécessaire chez le receveur du sacrement ? Est-ce correct décrire la relation entre le signe et la chose signifiée comme une unio sacramentalis? En quoi consiste la gratia sacramentalis dans chacun des sept sacrements de l’église catholique romaine ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, p. 483-542; Kuyper, Dict. dogme., De Sacramentis, pp. 3-96; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 466-526; Vos, Geref. Dogme. V. de Genademiddelen, p. 1-35; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 727-757; McPherson, Chr. dogme., pp. 422-431; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 419-450; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Ch. pp. 504-540; Valentine, Chr. Theol. II p. 278-305; Pieper, Christl. Dogme. III, pp. 121-296; Caftan, dogme., p. 625 à 636; Pape, Chr. Theol. III, pp. 294-310; Miley, Syst. Theol. II, p. 389-395; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., pp. 305-314; Moehler, symbolisme, pp. 202-218; Schaff, nos pères' foi et le nôtre, p. 309-315; Bannerman, l’église II, pp. 1-41; MacLeod, le ministère et les sacrements de l’église d’Écosse, pp. 198-227; Carle, les sacrements, pp. 11-44; Burgess, la foi protestante, pp. 180-198.
IV. Le baptême chrétien
A. LES ANALOGIES DU BAPTÊME CHRÉTIEN.
1. DANS LE MONDE PAÏEN. Baptême n’était pas quelque chose d’absolument nouveau à l’époque de Jésus. Les Egyptiens, les Perses et les hindous, tous avaient leurs purifications religieuses. Il s’agissait encore plus présent dans les religions grecque et romaine. Parfois, ils ont pris la forme d’un bain dans la mer, et parfois elles ont été effectuées en saupoudrant. Tertullien affirme que, dans certains cas, l’idée d’une nouvelle naissance était liée à ces lustrations. Beaucoup nos jours érudits tenir que le baptême chrétien, autant qu’il a été enseigné par Paul, doit son origine à des rites semblables dans les religions de mystère, mais une telle dérivation ne dispose même pas d’apparence en sa faveur. Alors que le rite d’initiation dans les religions de mystère implique une reconnaissance de la divinité en question, il n’y a aucune trace d’un baptême dans le nom d’un Dieu. N’y a aucune preuve que l’influence de la divine pneuma, plutôt importante dans les cultes à mystères, était déjà connecté avec le rite de lustration. En outre, les idées de mort et de résurrection, dont Paul associé de baptême, ne rentrent pas dedans avec le rituel de mystère du tout. Et, enfin, la forme de la taurobolium, qui est censé pour être la plus frappante analogie qui peut être cité, est tellement étranger au rite du Nouveau Testament au point de rendre l’idée du calcul de ce dernier de l’ancien semble tout à fait ridicule. Ces purifications païens ont très peu en commun, même dans leur forme extérieure, avec notre baptême chrétien. En outre, il est un fait établi que les religions de mystère n’a pas fait leur apparition dans l’Empire romain avant l’époque de Paul.
2. CHEZ LES JUIFS. Les Juifs avaient beaucoup de lavage et de purifications rituelles, mais ceux-ci n’avaient aucun caractère sacramentel et n’étaient donc aucun signes et des sceaux de l'Alliance. Mais la Parole de Dieu dit autrement ici. Le Tabernacle, que Dieu avait commandé au peuple d'Israël de construire dans le désert de Sin, et qui était lié à tous les services religieux et cérémonies de ce peuple fut, comme nous le dit l'apôtre Paul, la figure, «l'ombre des biens à venir» (Hébreux 8:5; 10:1; Colossiens 2:17). En fait, la nation d'Israël tout entière, aussi bien que ses lois, ses services, et ses cérémonies religieuses, servaient de type ou symbole. Il n'y a aucun doute que toutes ces choses détenaient un caractère sacré ou sacramentelle et servaient de signes anticipatoires ou prophétiques de la Nouvelle Alliance à venir. Le baptême de Jean était issu des ordonnances ou rituels de purifications sous la loi et servait de signe annonciateur de la venue du Messie. Après avoir rencontré son but le baptême d'eau fut abolie avec toutes les ordonnances de la loi (Colossiens 2:14). Le seul baptême pour le chrétien est celui de la foi qui nous introduit en Christ (Romais 6:3-8) et aucun autre (voir: Le seul vrai baptême). Le baptême chrétien dont parle l'auteur ici n'existe tout simplement pas. Ce rituel a été adopté par des églises ou sectes supposément chrétiennes afin de se donner quelque crédibilités aux yeux des crédules et des ignorants. Le soi-disant baptême des prosélytes ressemblait davantage au baptême chrétien. Quand les païens ont été incorporés en Israël, ils ont été excisées et, au moins dans les derniers temps, aussi baptisé. Il a longtemps été une question discutable, si cette coutume était en vogue avant la destruction de Jérusalem, mais Schuerer a démontré de façon concluante par des citations de la Mishna que c’était. Selon les autorités juives, citées par le mur dans son Histoire du baptême infantile, ce baptême devait être administré en présence de deux ou trois témoins. Enfants de parents qui ont reçu ce baptême, s’il est né avant le rite a été administré, ont été également baptisés, à la demande du père tant qu’ils n’étaient pas de l’âge (les garçons 13 ans et les filles de douze), mais s’ils étaient d’âge, qu’à leur propre demande. Les enfants qui sont nés après le baptême de la mère ou des parents, ont été comptabilisés comme propre et par conséquent n’a pas besoin de baptême. Il semble cependant que ce baptême était aussi simplement une sorte de cérémonial de lavage, un peu en ligne avec les autres purifications. On dit parfois que le baptême de Jean a été dérivé de ce baptême des prosélytes, mais il est clair que ce n’était pas le cas. Quelle relation historique il pourrait avoir existé entre les deux, c’est tout à fait évident que le baptême de Jean était enceinte de significations nouvelles et plus spirituelles. Lambert est tout à fait correct quand, en parlant des juives lustrations, dit-il: « leur but était, en enlevant une souillure cérémonial, pour rétablir un homme dans sa position normale au sein de la communauté juive; Le baptême de Jean, d’autre part, visant à ceux qui ont soumis transférant dans une nouvelle sphère, la sphère de préparation définitive pour le Royaume de Dieu qui s’approchait. Mais par-dessus tout, la différence réside dans ce que le baptême de Jean ne pouvait jamais être considéré comme une simple cérémonie; Il a toujours été animée par le biais et avec une signification éthique. Un nettoyage du coeur du péché a été non seulement sa condition préalable, mais son souci permanent et son but. Et en le cherchant et incisif prédication avec qui il a accompagné, Jean gardé du naufrage, car il serait sinon ont tendance à faire, au niveau d’un simple opus operatum. »
Une autre question qui appelle aux fins d’examen, est celle de la relation entre le baptême de Jean à celle de Jésus. L’église catholique dans les Canons de Trent ceux qui disent que le baptême de Jean a égalé celle de Jésus dans l’efficacité et qu’il concerne, ainsi que les sacrements de l’ancien Testament, comme purement typique maudit. Il prétend que ceux qui ont été baptisés par John n’a pas reçu la grâce baptismale réel dans ce baptême et ont été à un moment plus tard re-baptisés, ou, plus correctement exprimées, baptisés pour la première fois de la manière chrétienne. Les anciens théologiens luthériens a maintenu que les deux étaient identiques que but et l’efficacité ont été concernés, tandis que certains de ceux plus tard rejeté ce qu’ils considéraient pour être une identité complète et essentielle des deux. Quelque chose de semblable peut être dit des théologiens réformés. Les théologiens anciens généralement identifié les deux baptêmes, tandis que ceux d’une plus récente attention directe date à certaines différences. John lui-même semble attirer l’attention sur un point de différence de Matthieu 03:11. Certains trouvent aussi une preuve de la différence essentielle des deux dans Actes 19:1-6, qui, selon eux, enregistre un cas dans lequel certains, qui ont été baptisé par Jean, ont été rebaptisés. Mais cette interprétation est en doute. Il semble être exact de dire que les deux sont essentiellement identiques, mais diffèrent sur certains points. Le baptême de Jean, comme le baptême chrétien, (un) a été institué par Dieu lui-même, Matthieu 21:25; John 01:33; (b) était lié à un changement radical de vie, Luc 1:1-17; Jean 01:20-30; (c) s’établissait en relation sacramentelle avec le pardon des péchés, Matthieu 3:7, 8; Marc 1:4; Luc 3:3 (COMP. AC 02:28) et (d) a employé le même élément matériel, à savoir l’eau. Dans le même temps, il y a plusieurs points de divergence: (a) le baptême de Jean appartenait encore à l’ancienne dispensation et comme tel, pointés vers l’avant au Christ; (b) en harmonie avec la dispensation de la loi en général, il a souligné la nécessité de la repentance, mais pas tout à fait à l’exclusion de la foi; (c), il était prévu pour les Juifs seulement et par conséquent représente le particularisme de l’ancien Testament, et non l’universalisme du Nouveau Testament; et (d) étant donné que le Saint-Esprit n'avait pas encore été répandu en plénitude pentecôtiste, il n’était pas encore accompagnée aussi grand une mesure des dons spirituels comme le baptême chrétien le plus tard.
B. L’INSTITUTION DU BAPTÊME CHRÉTIEN.
1. IL A ÉTÉ MIS EN PLACE AVEC L’AUTORITÉ DIVINE. Baptême a été institué par le Christ, après qu’il ait fini le travail de réconciliation et il avait reçu l’approbation du père dans la résurrection. Il est digne d’avis qu’il a préfacé la grande commission par ces mots: « toute autorité a été donnée à moi dans les cieux et sur la terre. » Revêtu de la plénitude de cette autorité de médiateur, il a institué le baptême chrétien et donc rendu obligatoire pour toutes les générations suivantes. La grande commission est formulée en ces termes: « allez donc (autrement dit, parce que toutes les nations sont soumises à moi) et faire des disciples de toutes les nations, les baptisant au nom du père et du fils et du Saint-Esprit: Enseignez-leur à observer préjudi jamais je vous ai commandé. » Matthieu 28: 19, 20. Le formulaire complémentaire dans Marc 16:15, 16, se lit comme suit: « allez par tout le monde et prêchez l’Evangile à toute la création. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé; « mais celui qui disbelieveth sera condamné. » Ainsi les éléments suivants sont clairement indiqués dans cette commande faisant autoritaire: (a) les disciples étaient à sortir dans le monde entier et prêcher l’Évangile à toutes les nations, afin d’amener les gens à se repentir et à la reconnaissance de Jésus comme la promise Sauveur. (b) ceux qui ont accepté le Christ par la foi devaient être baptisés au nom du Dieu trinitaire, comme un signe et le sceau du fait qu’ils avaient conclu une nouvelle relation à Dieu et ainsi ont été contraints de vivre selon les lois du Royaume de Dieu. (c) ils devaient être interjeté en vertu de la Ministère de la parole, non pas simplement comme une proclamation de la bonne nouvelle, mais comme une exposition de mystères, les privilèges et les devoirs, de la nouvelle Alliance. Pour l’encouragement des disciples, Jésus ajoute les mots « et lo, moi (qui suis revêtu de l’autorité pour donner ce commandement) suis avec vous toujours, jusqu'à la fin du monde ».
2. LA FORMULE BAPTISMALE. Les apôtres devaient spécifiquement baptiser eis à onoma tou patros kai tou huiou kai tou archiepiskopou pneumatos (dans le nom du père et du fils et du Saint-Esprit). La Vulgate a rendu les premiers mots «eis à onoma» du Latin « in nomine » (dans le nom), suivie d’un rendu « Im namen. » de Luther Les mots sont donc faites pour signifier « sur l’autorité du Dieu triune. » Robertson donne ceci comme leur signification dans sa grammaire du Nouveau Testament grec, p. 649, mais ne parvient pas à donner aucune preuve pour cela. Le fait est que cette interprétation est mais intenable. L’idée de « sur l’autorité de » est exprimée par membre de phrase en toi onomati ou le plus court un fr onomati, Matthieu 21:9; Marc 16:17; Luc 10:17; John 14:26; Actes 3:6; 09:27, etc.. préposition eis (en) témoigne plutôt d’une fin et peut donc être interprété comme signifiant « par rapport aux, » ou « dans la profession de foi dans l’un et l’obéissance sincère à un. » Il est tout à fait en harmonie avec ce quand Allen dit dans son commentaire sur Matthew: « la personne baptisée a été symboliquement présenté « dans le nom du Christ, » c'est-à-dire, devint son disciple, autrement dit, est entré en état d’allégeance envers lui et communion avec lui. » C’est le sens donné par Thayer, Robinson et, de façon substantielle, aussi par Cremer-Koegel et Basan, dans leurs lexiques. C’est aussi celui adopté par les commentateurs, tels que Meyer, Alford, Allen, Bruce, Grosheide et Van Leeuwen. Cette signification du terme est pleinement confirmée par l’expressions parallèles comme eis ton Mousen, I Cor. 10:2; EIE pour onoma Paulou, I Cor. 01:13; soma de poule eis, I Cor. 12:13; et eis Christon, Romains 6:3; GAL 03:27. Argument du docteur Kuyper touchant ce point se trouve à l’Uit het Woord, Eerste Serie, Eerste Bundel. Il me semble que nous devrions traduire préposition eis par « en » ou « to » (c'est-à-dire « à " ») le nom. Le mot onoma (nom) est utilisé dans le sens de l' hébreu shem comme une indication de toutes les qualités par lesquelles Dieu rend connus, et qui constituent la somme totale de tout ce qu’il est pour ses fidèles. Deissman dans sa Bible Studies fait référence à des exemples intéressants de cet usage particulier de mot onoma dans les papyrus. Interprété sous cet angle, la formule baptismale indique que par le baptême (autrement dit, ce qui est signifié par le baptême) le bénéficiaire se trouve dans une relation particulière à la révélation divine, ou à Dieu comme il a s’est révélé et a révélé qu’il sera pour son peuple et en même temps devient devoir de vivre à la lumière de cette révélation.
Il n’est pas nécessaire de supposer que, lorsque Jésus a employé ces mots, il leur conçu comme une formule à utiliser jamais après. Il simplement utilisés comme descriptif du caractère du baptême dont il a instauré, à l’instar des autres expressions semblables servent à caractériser les autres baptêmes, actes 19:3; J’ai Cor. 01:13; 10:2; 12:13. on dit parfois avec un appel à ces passages comme actes 02:48; 08:16; 10:48; 19:5 et aussi Rom. 6:3 et Galates 03:27, que les apôtres n’a évidemment pas utilisé la formule trinitaire; mais ce n’est pas nécessairement implicite, bien qu’il soit tout à fait possible, car ils ne comprenaient pas les paroles de Jésus dans la grande commission que prescrire une formule définitive. Il est également possible, toutefois, que les expressions utilisées dans les passages indiquent servi à souligner certains détails concernant le baptême des apôtres. Il est à noter que les prépositions sont différents. Actes 02:38 parle d’un baptême epi toi onomati Jesou Christou, qui se réfère probablement à un baptême sur la confession de foi de Jésus comme le Messie. Selon actes 10:48 ceux qui étaient présents dans la maison de Corneille furent baptisés fr onomati Jesou Christou, pour indiquer qu’ils ont été baptisés à l’autorité de Jésus. Tous les autres passages mentionnent un baptême eis à onoma Jesou Christou (ou tou kuriou Jesou), ou simplement un baptême eis Christon. Ces expressions peuvent simplement servir à souligner le fait que les destinataires ont été mis en relation spéciale que les apôtres prêchaient et ont été ainsi subordonnés à lui comme leur Seigneur, Jésus Christ. Mais, quoi qu’ait été la pratique dans l’âge apostolique, il est évident que lorsque l’église a par la suite senti le besoin d’une formule, il pourrait trouver pas meilleure que celle contenue dans les mots de l’institution. Cette formule était déjà en usage au moment la Didachè (L’enseignement des douze apôtres) (c. 100 AP. J.-C.).
C. LA DOCTRINE DU BAPTÊME DANS L’HISTOIRE.
1. AVANT LA RÉFORME. Les premiers pères considérés baptême comme rite d’initiation à l’église et généralement considéré comme elle aussi étroitement liée à la rémission des péchés et de la communication de la nouvelle vie. Certaines de leurs expressions semblerait indiquer qu’ils croyaient en la régénération baptismale. En même temps il convient de noter que dans le cas des adultes, ils ne considéraient pas de baptême comme efficace en dehors de la bonne disposition de l’âme, et qu’ils ne considéraient pas le baptême comme absolument essentiel pour l’ouverture de la nouvelle vie, mais plutôt il considéraient comme t Il complète l’élément dans le processus de renouvellement. Baptême des enfants était déjà courant à l’époque de Origen et Tertullien, bien que ce dernier elle découragé au motif de l’opportunisme. L’opinion générale était que le baptême ne doit jamais être répété, mais il n’y avait pas d’unanimité quant à la validité du baptême administré par les hérétiques. En cours de temps, cependant, il est devenu un principe fixe ne pas à re-baptiser ceux qui ont été baptisés dans le nom du Dieu triune. Le mode de baptême n’était pas en litige. A partir du deuxième siècle l’idée peu à peu gagné du terrain que le baptême fonctionne grosso modo comme par magie. Augustine même semble avoir considéré le baptême comme efficace ex opere operato dans le cas des enfants. Il considérait le baptême comme absolument nécessaire et être maintenu que non baptisés enfants sont perdus. Selon lui, baptême annule la culpabilité initiale, mais ne supprime pas totalement la corruption de la nature. Les scolastiques à vue première partagée d’Augustin, que dans le cas d’adultes baptême suppose de foi, mais peu à peu une autre idée a gagné le dessus de la main, à savoir, que le baptême est toujours efficace ex opere operato. A minimisé l’importance des conditions subjectives. Ainsi la conception catholique caractéristique du Sacrement, selon laquelle le baptême est le sacrement de la régénération et d’initiation à l’église, a progressivement pris le dessus. Il contient la grâce qu’il signifie et cela confère à tous ceux qui ont ne mis aucun obstacle dans la voie. Cette grâce a été considérée comme très important, car (a) il définit une marque indélébile sur le destinataire en tant que membre de l’église; (b) offre de la culpabilité du péché originel et de tous les péchés réels engagés jusqu’au moment du baptême, élimine la pollution du péché, bien que concupiscence demeure et ensembles homme libre de punition éternelle et de toutes les peines temporelles positives; (c) fonctionne le renouveau spirituel de l’infusion de la grâce sanctifiante et des vertus surnaturelles de la foi, l’espérance et l’amour; et (d) intègre le destinataire dans la communion des saints dans l’église visible.
2. DEPUIS LA RÉFORME. La réforme luthérienne n’a pas tout à fait se débarrasser de la conception catholique des sacrements. Luther ne considérait pas l’eau dans le baptême comme l’eau courante, mais comme l’eau qui était devenue, par la parole avec son pouvoir divin inhérent, une gracieuse d’eau de vie, un bain de la régénération. Grâce à cette efficacité divine du mot sacrement effets de régénération. Dans le cas des adultes Luther fait l’effet du baptême dépend de la foi chez le receveur. Se rendant compte qu’il ne pouvait pas jugé ainsi dans le cas des enfants, qui ne peuvent exercer la foi, il a occupé en même temps que Dieu par sa grâce prévenante fonctionne la foi en l’enfant inconscient, mais plus tard professé l’ignorance sur ce point. Plus tard les théologiens luthériens conservé l’idée d’un enfant en bas âge-foi comme une condition préalable pour le baptême, tandis que d’autres conçu du baptême comme produisant une telle foi immédiatement. Dans certains cas entraîné l’idée que le sacrement fonctionne ex opere operato. Anabaptistes couper le noeud gordien de Luther en niant la légitimité du baptême des enfants. Ils ont insisté sur la baptiser tous les demandeurs pour l’admission à leur cercle, qui avait reçu le sacrement dans l’enfance et ne considère pas cela comme un re-baptême, mais comme le premier vrai baptême. Avec les enfants eux n’avait aucune valeur dans l’église. Calvin et la théologie réformée repose sur la supposition que le baptême est instituée pour les croyants et ne fonctionne pas mais renforce la vie nouvelle. Naturellement, ils ont été confrontés à la question de savoir comment les enfants pouvaient être considérées comme croyants, et comment ils pourraient être renforcées spirituellement, voyant qu’ils ne peuvent encore exercer la foi. Certains simplement souligné que les bébés de croire que les parents sont enfants de l'Alliance et comme ces héritiers des promesses de Dieu, y compris également la promesse de la régénération; et que l’efficacité spirituelle du baptême n’est pas limitée au temps de son administration, mais continue à travers la vie. La Confessio Belgica exprime également cette idée en ces termes: « Ni ce baptême se servir nous qu’au moment où l’eau est versé sur nous et reçu par nous, mais aussi à travers tout le cours de notre vie. » d’autres sont allés au-delà de cette position et a soutenu que les enfants de l'Alliance étaient considérées comme présumée régénéré. Ce n’est pas équivalent à dire qu’ils sont tous régénérés, lorsqu’elles sont présentées pour le baptême, mais qu’ils sont censés être régénéré jusqu'à ce que le contraire ressort de leur vie. Il y avait aussi quelques uns qui considérait le baptême comme rien de plus que le signe de l’Alliance externe. Sous l’influence des Sociniens, arminiens, anabaptistes et rationalistes, il est devenu tout à fait habituel dans de nombreux cercles de nier que le baptême est un sceau de la grâce divine et à le considérer comme un simple acte de profession de la part de l’homme. De nos jours, beaucoup de personnes qui se disent chrétiens ont complètement perdu la conscience de la signification spirituelle du baptême. Il est devenu une simple formalité.
D. LE MODE APPROPRIÉ DU BAPTÊME.
Baptistes sont désaccord avec le reste du monde chrétien dans leur position ce trempage ou immersion, suivie d’émersion, est le seul mode de baptême; et que ce mode est absolument indispensable de baptême, parce que ce rite est censé symboliser la mort et la résurrection de Jésus Christ et la conséquente mort et la résurrection du sujet du baptême avec lui. Deux questions se posent, par conséquent, et il est préférable d’en tenir compte dans l’ordre suivant: (1) quelle est la chose essentielle dans le symbolisme du baptême ? et (2) est immersion le seul mode de baptême ? Cet arrêté est préférable, parce que ce qui est ancien est le plus important des deux, et parce que la réponse à la seconde dépendra en partie sur celle donnée à la première. Puisque le baptême d'eau est issu des rituels de la loi, le mode était clairement l'aspersion ou l'effusion, ces deux modes étant reconnus comme étant les seuls valides. Toutefois, puisque le baptême est abolie avec toutes les ordonnances de la loi, le mode n'importe plus pour le chrétien, mais la grâce de la foi du salut en Christ détient toutes importances.
1. QUELLE EST LA CHOSE ESSENTIELLE DANS LE SYMBOLISME DU BAPTÊME ? Selon les baptistes, immersion, suivie d’émersion, est la chose essentielle dans le symbolisme du baptême. Un abandon de ce serait équivalent à abandonner baptême lui-même. L’idée vraie baptismale, disent-ils, est exprimée en coucher dans et l’entrée vers le haut, hors de l’eau. Qu’une telle immersion implique naturellement un certain lavage ou purification, est quelque chose de purement accidentel. Baptême serait baptême même si on étaient plongé dans quelque chose qui a pas de propriétés nettoyantes. Ils fondent leur opinion sur Mark 10:38, 39; Luc 12:50; Romains 6:3, 4; 02:12. Mais les deux premiers passages expriment simplement l’idée que Christ soient submergés par ses souffrances à venir et ne parle pas du sacrement du baptême du tout. Les deux derniers sont les seuls qui n’ont vraiment aucune incidence sur la question, et même ce ne sont pas au point, car ils ne parlent pas directement de n’importe quel baptême avec de l’eau du tout, mais le baptême spirituel ainsi représentant. Ils représentent régénération sous la figure d’un mourant et un lever à nouveau. Il est certainement tout à fait évident qu’ils ne font pas mention du baptême comme un emblème de la mort et la résurrection du Christ. Si le baptême était représentée ici à tous comme un emblème, il serait comme un emblème de croyant mourant et ressuscitant. Et puisqu’il s’agit seulement d’une manière figurative de représenter sa régénération, il ferait le baptême une figure d’un personnage.
La théologie réformée a une conception tout à fait différente de la chose essentielle dans le symbolisme du baptême. Il trouve cela dans l’idée de purification. Le Catéchisme de Heidelberg demande 69 en Question: « Comment est-il signifié et scellé te dans le Saint baptême que vous avez une partie dans l’unique sacrifice du Christ sur la Croix ? » Et il répond: « par conséquent, que le Christ a nommé le lavage à l’eau à l’extérieur et ajouté la promesse que je me suis suis lavé avec le sang et l’esprit de la pollution de mon âme, c'est-à-dire de tous mes péchés, aussi certainement que je me suis suis lavé extérieurement avec de l’eau par qui la souillure du corps est souvent lavé. » Cette idée de purification était la chose pertinente dans toutes les eaux de rinçage de l’ancien Testament, ainsi que dans le baptême de Jean, PS. 51:7; Ézéchiel 36: 25; John 03:25, 26. Et on peut supposer que, à cet égard, le baptême de Jésus a été entièrement conforme aux précédents baptêmes. S’il avait voulu le baptême comme un symbole de quelque chose de totalement différent, il a instauré, il aurait indiqué cela très clairement, afin d’éviter tout malentendu possible. De plus, l’écriture est tout à fait clair que le baptême symbolise le nettoyage spirituel ou purification, actes 02:38; 22:16; Romains 6:4 f.; I Corinthiens 06:11; Tite 3:5; Hébreux 10:22; J’ai PET. 03:21; Apocalypse 1:5. C’est exactement le point sur lequel la Bible insiste tous, alors qu’il ne représente jamais coucher et venir comme quelque chose d’essentiel.
2. L'IMMERSION EST-ELLE LE SEUL MODE DE BAPTÊME ? L’opinion dominante généralement en dehors des cercles de Baptiste, c’est que, aussi longtemps que l’idée fondamentale, à savoir, celle de la purification, expression de trouvailles dans le rite, le mode de baptême est tout à fait indifférent. Il peut être administré par immersion, par coulée ou épanchement ou en saupoudrant. La Bible utilise simplement un terme générique pour désigner une action visant à produire un certain effet, à savoir, le nettoyage ou la purification, mais nulle part détermine le mode spécifique dans lequel l’effet doit être produit. Jésus n’a prescrit un certain mode de baptême. Évidemment, il n’accorde pas autant d’importance à lui comme le font les baptistes. Ni ne les exemples bibliques de stress de baptême n’importe quel mode particulier. Il n’y a pas un seul cas dans lequel on nous dit explicitement juste comment le baptême a été administré. Les baptistes affirment, toutefois, que le Seigneur a fait commande baptême par immersion, et que tous ceux qui l’administrent de façon différente agissent en ouvrent la désobéissance à son autorité. Pour prouver leur affirmation, ils font appel aux mots bapto et baptizo, qui sont utilisés dans l’écriture pour « pour baptiser. » Le second mot semble être une forme intensive ou frequentative du premier, même si en général utilisation la distinction ne tient-elle pas toujours. Bapto est fréquemment utilisé dans l’ancien Testament, mais apparaît dans le Nouveau Testament seulement quatre fois, à savoir, dans Luc 16:24; John 13:26; 19:13 et dans ces cas ne fait pas référence au baptême chrétien. Baptistes étaient très confiants en même temps que ce verbe signifie seulement « plonger »; mais beaucoup d'entre eux ont changé d’avis depuis Carson, une de leurs plus grandes collectivités, sont venus à la conclusion qu’il a aussi un secondaire signifiant, à savoir « colorant », afin qu’on en est venu à signifier « teinture par immersion, » et même, « à la teinture d’une manière » auquel cas il a cessé d’être expressif de mode. La question plus avant de savoir, si baptizo, qui sert à la 76 fois, et qui est le mot employé par le Seigneur dans les paroles de l’institution, a été dérivé de bapto dans son primaire ou dans son sens secondaire . Et le Dr Carson répond qu’il est dérivé de bapto dans le sens de « à plonger ». Il dit: «Bapto, la racine, j’ai démontré qu’ils possèdent deux significations et deux seulement, « par dip » et « à la teinture. » Baptizo, je l’ai affirmé, a une signification. Il a été fondé sur le sens premier de la racine et n’a jamais admis le secondaire... Ma position, c’est qu’il toujours signifie pour plonger; ne jamais exprimer autre chose que de la mode. » Les baptistes doivent maintenir cela, s’ils veulent prouver que le Seigneur commanda le baptême par immersion. Mais l'immersion ne provient pas des Saintes-Écritures mais des anciennes religions à mystères et est encore utilisée de nos jours par ceux qui se donnent au mysticisme. Il y a clairement rien de réellement chrétien dans l'immersion, sauf l'image quelle donne de la destructions des ennemis de Dieu (le déluge de Noé, l'armée de Pharaon détruite sous les eaux).
Mais les faits, tels qu’ils apparaissent à la fois classique et Nouveau Testament grec, ne justifient pas cette position. Même m. Gale, qui était peut-être le plus savant auteur qui cherchaient à le maintenir, senti contraint par les faits de la modifier. Wilson dans son travail remarquable sur le Baptême infantile, qui est en partie une réponse au travail de m. Carson, cite Gale comme disant: « le mot baptizo peut-être n’exprime pas donc nécessairement l’action de mettre sous l’eau, comme en général une chose d’être dans cette condition, quelle que soit la façon dont il s’agit de l’être, si elle est placée dans l’eau, ou l’eau vient dessus; en effet, mettre dans l’eau est la façon la plus naturelle et la plus courante et est donc, généralement et assez constamment, mais c’est peut-être pas nécessairement implicite. » Wilson indique avec certitude que, selon l’usage grec, baptême s’effectue de diverses façons. Il dit: « laissez l’élément baptisant englober son objet, et dans le cas de liquides, si cet état relatif a été produit par immersion, épanchement, écrasante, ou dans tout autre mode, usage grec reconnaît comme un baptême valide. » Il poursuit plus loin pour montrer en détail qu’il est impossible de maintenir la position que le mot baptizo signifie toujours une immersion dans le Nouveau Testament.
Il est évident que les mots, bapto et baptizo, avaient d’autres importances, tels que « à laver », « se baigner » et de « purifier par le lavage. » L’idée de laver ou de purification est progressivement devenu l’idée importante, tandis que celle de la manière dont cela s’est produit se retira de plus en plus dans l’arrière-plan. Que cette purification a été parfois effectuée par aspersion, ressort clairement du Nom. 8:7; 19:13, 18, 19, 20; PS. 51:7; Ézéchiel 36: 25; Héb. 09:10. Judith 12,7 et Marc 7:3, 4, nous ne pouvons pas penser éventuellement tremper. N’est-ce possible en relation avec les passages suivants du Nouveau Testament: Matthieu 03:11; Luc 11:37, 38; 12:50; Romains 6:3; I Corinthiens 12:13; Héb. 09:10 (cf. versets 13,14,19, 21); I Corinthiens 10:1, 2. Étant donné que le mot baptizo ne signifie pas nécessairement « à plonger », et parce que le Nouveau Testament ne fonctionne pas dans tous les cas explicitement affirment que le baptême a eu lieu par immersion, le fardeau de la preuve semble reposer sur les baptistes. Est Jean le Baptiste capable de l’énorme tâche de plonger les multitudes qui ont afflué vers lui dans le Jourdain, ou il simplement verser de l’eau sur eux comme certains des inscriptions début semble indiquer ? Les apôtres trouver assez d’eau à Jérusalem, et qu’ils ont les moyens nécessaires, pour baptiser les trois mille en une seule journée par immersion ? Où sont les preuves pour prouver qu’ils ont suivi une autre méthode que le mode de l’ancien Testament des baptêmes ? Ne les actes en aucune manière que Paul a laissé la place où Ananias trouvé lui, d’être immergé dans une piscine ou rivière, 09:18 indiquer ? Ne pas le compte du baptême de Corneille crée l’impression que l’eau devait être intentée et que ceux qui sont présents, c’est droit dans la maison ? Actes 10:47, 48. Existe-t-il des preuves que le geôlier à Philippes fut baptisé pas dans ou près de la prison, mais a entraîné ses prisonniers sur le fleuve, afin qu’il peut être immergé ? Aurait il osé pour les emmener à l’extérieur de la ville, lorsqu’il a été ordonné de les garder en toute sécurité ? Actes 16:22-33. Même le compte du baptême de l’eunuque, actes 08:36, 38, qui est souvent considérée comme la plus forte preuve scripturale pour le baptême par immersion, ne saurait être considérée comme une preuve concluante. Un examen attentif de l’utilisation de Luc de préposition eis montre qu’il a utilisé non seulement dans le sens de en, mais aussi dans le sens à, alors que c’est tout à fait possible de lire la déclaration pertinente dans le verset 38 comme suit: « et ils ont tous deux descendit à l’eau, les deux Philippe et l’eunuque et il le baptisa. » Et même si les mots visaient à transmettre l’idée qu’ils sont allés vers le bas dans l’eau, cela ne peut encore prouver le point, pour selon les représentations picturales des premiers siècles ceux qui ont été baptisés par un épanchement souvent se trouvaient dans l’eau. Il est tout à fait possible, bien sûr, que dans l’âge apostolique, certains ont été baptisés par immersion, mais le fait que le Nouveau Testament insiste nulle part pour cela prouve qu’il n’était pas indispensable. Immersion est un bon mode de baptême, mais c’est baptême par épanchement ou en saupoudrant, puisqu’ils sont tous symbolisent la purification. Les passages dénommés dans ce qui précède prouvent que l’ancien Testament nombreux lavages (baptizings) a eu lieu en saupoudrant. Dans une prophétie concernant le renouvellement spirituel de l’époque du Nouveau Testament, le Seigneur dit: « Je répandrai sur vous une eau propre et vous serez purifiés, » Ézéchiel 36: 25. L’affaire signifié dans le baptême, à savoir, l’esprit de purification, a été répandu sur l’église, Joel 02:28, 29; Actes 2:4, 33. Et l’auteur d’Hébreux parle de ses lecteurs comme leurs cœurs purifiés d’une mauvaise conscience, Héb. 10:22.
E. LES ADMINISTRATEURS LÉGAUX DU BAPTÊME.
Catholiques romains considèrent baptême absolument nécessaire au Salut; et parce qu’ils considèrent comme cruels pour rendre le salut de toute personne dépendante de la présence fortuite ou l’absence d’un prêtre, elles aussi en cas d’urgence permettent baptême par d’autres, en particulier par des sages-femmes. Malgré l’opinion contraire de Cyprien, ils reconnaissent le baptême des hérétiques, à moins que leur hérésie implique un déni de la Trinité. Les Églises réformées ont toujours agi sur le principe que l’administration de la parole et des sacrements vont de pair, et que par conséquent l’enseignement aîné ou le ministre est l’administrateur seulement légitime du baptême. Le mot et la Sainte-Cène sont réunis dans les paroles de l’institution. Et parce que le baptême n’est pas une affaire privée, mais une ordonnance de l’église, ils soutiennent également qu’il doit être administré dans l’Assemblée publique des croyants. Ils ont généralement reconnu le baptême des autres églises, sans exclure les catholiques romains et aussi des diverses sectes, sauf dans le cas des églises et de sectes qui niaient la Trinité. Ainsi, ils ont refusé d’honorer le baptême des Sociniens et des unitaires. En général, ils ont considéré comme un baptême comme valide qui était administré par un ministre dûment accrédité et au nom du Dieu trine. Ainsi on voit que l'Église dite Réformée ne s'est pas entièrement purgés des pratiques malsaines du catholicisme, puisqu'elle garde encore en son sein les aberrations du cléricalisme et du formalisme, ainsi que sa fausse doctrine de la Trinité. Le Protestantisme est vraiment l'enfant de sa mère, la Grande Prostituée qui siège à Rome.
F. LES SUJETS APPROPRIÉS DU BAPTÊME.
Le Baptême est destiné seulement pour les êtres doués de raison dûment qualifiés, à savoir, croyants et leurs enfants. Rome perd de vue ce dans la mesure où elle s’applique le sacrement également aux horloges, bâtiments et ainsi de suite. Il y a deux classes à laquelle elle doit être appliquée, à savoir, les adultes et les nourrissons.
1. BAPTÊME DES ADULTES. Dans le cas d’adultes baptême doit être précédé d’une profession de foi, de la marque 16:16; Actes à 02:41; 08:37 (ne pas trouvé dans quelques MSS.); 16:31-33. c’est pourquoi l’église insiste sur cette profession avant de baptiser les adultes. Et quand une telle profession faite, cela est accepté par l’église à sa valeur nominale, sauf si elle a de bonnes raisons objectives de douter de sa véracité. Il n’appartient-elle pas à sa province à fouiller dans les secrets du coeur et donc à passer sur l’authenticité de cette profession. La responsabilité incombe à la personne qui en fait. La méthode de regards sur l’état interne du cœur, afin de déterminer l’authenticité de sa profession, est Labadistic et pas en harmonie avec la pratique des Églises réformées. Étant donné que le baptême n’est pas simplement un signe et un sceau, mais aussi un moyen de la grâce, la question se pose quant à la nature de la grâce, forgée par elle. Cette question est soulevée ici, uniquement en ce qui concerne le baptême des adultes. Compte tenu du fait que, selon notre conception réformée, ce baptême suppose régénération, foi, conversion et justification, ce sont sûrement ne pas à être conçu comme forgé par elle. À cet égard, nous nous distinguons de l’église de Rome. Même les luthériens, qui attribuent une puissance supérieure au baptême comme un moyen de grâce la do réformée, d’accord avec ce dernier sur ce point. Ni le baptême ne fonctionne une grâce sacramentelle spéciale, consistant en ce que le destinataire est implanté dans le corps de Jésus Christ. Incorporation de croyant dans une union mystique avec le Christ est aussi supposée. Parole et les sacrements fonctionnent exactement le même genre de la grâce, sauf que le mot, à la différence de la Sainte-Cène, est également joué un rôle important dans l’origine de la foi. Le sacrement du baptême renforce la foi, et parce que la foi joue un rôle important dans toutes les autres opérations de la grâce divine, elles sont aussi grandement bénéficiés par ce dernier. Baptême représente avant tout un acte de la grâce de Dieu, mais parce que les personnes qui se disent chrétiens doivent lui présenter volontairement, il peut être considéré du côté de l’homme. Il y a dedans une offre et un don de Dieu, mais aussi une acceptation de la part de l’homme. Par conséquent, le baptême signifie aussi que l’homme accepte l'Alliance et assume les obligations qui lui incombent. C’est un cachet, non pas simplement d’une offre, mais d’un offert et accepté, c'est-à-dire d’un pacte conclu.
2. BAPTÊME DES ENFANTS. C’est sur le point de baptême des enfants que l'on trouve la plus importante différence entre nous et les baptistes. La cale de ce dernier, comme m. Hovey, un auteur de Baptiste, l’exprime, « que seuls les croyants en Christ bénéficient du baptême, et que seuls ceux qui donnent des preuves crédibles de la foi en lui devraient être baptisés ». Cela signifie que les enfants sont exclus de la Sainte-Cène. Dans toutes les autres dénominations, cependant, ils la reçoivent. Plusieurs points nécessitent une attention dans le cadre de ce sujet.
a. la base biblique pour le baptême des enfants. On peut dire d’emblée qu’il n’y a aucune commande explicite dans la Bible de baptiser des enfants, et qu’il n’y a pas une seule instance dans laquelle on nous dit clairement que les enfants ont été baptisés. Mais cela ne pas nécessairement baptême infantile non biblique. Le sol scripturaire pour qu’il se trouve dans les données suivantes:
(1) l’Alliance faite avec Abraham était principalement une Alliance spirituelle , bien qu’il y avait également un aspect national, et de cette Alliance spirituelle, la circoncision était un signe et un sceau. C’est une procédure injustifiée des baptistes de fractionner ce Pacte dans deux des trois alliances différentes. La Bible fait référence à l’Alliance avec Abraham plusieurs fois, mais toujours au singulier, Ex. 02:24; Lévitique 26: 42, II Rois 13:23; J’ai Chron. 16:16; PS. 105:9. Il n’y a pas une seule exception à cette règle. La nature spirituelle de cette Alliance est prouvée par la manière dont ses promesses sont interprétés dans le Nouveau Testament, Rom. 04:16-18; II Corinthiens 06:16-18; Galates 3:8, 9, 14, 16; Héb. 08:10; 11:9, 10, 13. il découle aussi du fait que la circoncision était clairement un rite qui avait une signification spirituelle, Deut. 10:16; 30:6; Jérémie 4:4; 09:25, 26; Actes 15:1; ROM. 02:26-29; 04:11; Philippiens 3:2; et du fait que la promesse de l’Alliance s’appelle encore « l’Évangile » Galates 3:8.
(2) le présent Pacte est toujours en vigueur et est essentiellement identique à la « nouvelle Alliance » de la dispensation actuelle. L’unité et la continuité de l’Alliance dans les deux dispenses découle du fait que le Médiateur est la même chose, des actes 04:12; 10:43; 15:10, 11; GAL 03:16; I Timothée 2:5, 6; I Pierre 1:9-12; la condition est la même, à savoir, la foi, Genèse 15:6; (Romains 4:3); PS. 32: 10; Hébreux 2:4; Actes 10:43; Hébreux 11; et les bénédictions sont les mêmes, à savoir, justification, Psaume 32: 1, 2, 5; Ésaïe 01:18; Romains 4:9; Galates 3:6, régénération, Deut. 30:6; PS. 51:10, les dons spirituels, Joel 02:28, 32; AC 02:17-21; Esaïe 40: 31 et la vie éternelle, Exode 3:6; Hébreux 4:9; 11:10. Peter a donné à ceux qui étaient sous la condamnation le jour de la Pentecôte l’assurance que la promesse a été faite pour eux et pour leurs enfants, actes 02:39. Paul affirme dans Rom. 04:13-18; GAL 03:13-18, que l’octroi de la loi n’a pas fait la promesse d’aucun effet, afin qu’il reste est titulaire de la nouvelle dispensation. Et l’auteur d’Hébreux souligne que la promesse faite à Abraham a été confirmée par un serment, afin que les croyants du Nouveau Testament peuvent dériver le confort de son immuabilité, Hébreux 06:13-18.
(3) de la nomination de Dieu nourrissons partagent dans les avantages de l’Alliance et a donc reçu la circoncision comme un signe et le sceau. Selon la Bible, l'Alliance est clairement un concept biologique, et sa réalisation se déplace le long des lignes organiques et historiques. Il y a un peuple ou une nation de Dieu, un tout organique tels que pourrait seulement être constitué par les familles. Cette idée nationale est naturellement très importante dans l’ancien Testament, mais le plus frappant, c’est qu’il n’a pas disparu quand la nation d’Israël avait atteint son but. Il a été spiritualisé et donc repris dans le Nouveau Testament, afin que le peuple du Nouveau Testament de Dieu est aussi représenté en tant que nation, Matthieu 21:43; ROM. 9:25.26 (Comp. Hosea 02:23); II Corinthiens 06:16; Tite 02:14; I Pierre 2:9. Les nourrissons ont été examinées durant la dispensation vieux comme faisant partie intégrante d’Israël comme peuple de Dieu. Ils étaient présents lorsque l’Alliance a été renouvelée, Deut. 29:10:13; Josué 08:35; II Chron. 20:13, avait une valeur dans la congrégation d’Israël et étaient donc présents dans leurs assemblées religieuses, II Chron. 20:13; Joel 02:16. Compte tenu de ces riches promesses comme ceux dans Ésaïe 54:13; Jérémie 31: 34; Joel 02:28 nous attendrait guère les privilèges de ces enfants à être réduite dans la nouvelle dispensation et ne serait certainement pas chercher leur exclusion de n’importe quel permanent dans l’église. Jésus et les apôtres n’a pas exclu leur, Matthieu 19:14; Actes à 02:39; I Corinthiens 07:14. Une telle exclusion semblerait d’exiger une motivation très explicite à cet effet.
(4) dans la nouvelle dispensation, le baptême est par l’autorité divine par ce qui suite pour la circoncision comme signe initiatique et sceau de l’Alliance de grâce. L’écriture fortement insiste là-dessus que la circoncision peut servir non plus à ce titre, actes 15:1, 2; 21:21; Galates 2:3-5; 5:2-6; 06:12, 13, 15. Si le baptême n’a pas pris sa place, puis le Nouveau Testament n’a aucun rite d’initiation. Mais Christ clairement par ce qui suit il ainsi, Matthieu 28: 19, 20; Marc 16:15, 16. Il correspond avec la circoncision dans le sens spirituel. Circoncision visés à la coupe loin du péché et à un changement de cœur, Deut. 10:16; 30:6; Jérémie 4:4; 09:25, 26; Ézéchiel 44: 7, 9, donc le baptême se réfère à la lessive loin du péché, actes 02:38; J’ai PET. 03:21; Tite 3:5 et spirituels du renouvellement, Romains 6:4; 02:11, 12. Le dernier passage clairement relie la circoncision avec le baptême et enseigne que la Christ-circoncision, c'est-à-dire, la circoncision du cœur, signifié par la circoncision dans la chair, a été accomplie par le baptême, c’est par là quel baptême signifie. Cf. aussi GA 03:27, 29. Mais si les enfants ont reçu le signe et sceau de l'Alliance dans l’ancienne dispensation, la présomption est qu’ils ont sûrement un droit de le recevoir dans la nouvelle, dont la piété de l’ancien Testament ont appris à regarder vers l’avant comme beaucoup une dispense plus complète et plus riche. Elles sont exclues il nécessiterait une déclaration claire et sans équivoque en ce sens, mais au contraire se trouve, Matthieu 19:14; Actes à 02:39; I Corinthiens 07:14.
(5) comme indiqué dans ce qui précède, le Nouveau Testament ne contient aucune preuve directe pour la pratique du baptême des enfants à l’époque des apôtres. Lambert, après avoir examiné et pesant toutes les preuves disponibles, exprime sa conclusion en ces termes: « le témoignage du Nouveau Testament, puis, semble pointer à la conclusion que le baptême infantile, pour dire le moins, n’était pas la coutume générale de la âge apostolique. » Mais il ne faut pas surprendre personne qu’il n’y a aucune mention directe du baptême des nouveau-nés, pour une période missionnaire comme l’âge apostolique, l’accent serait naturellement tomber sur le baptême des adultes. En outre, des conditions n’étaient pas toujours favorables au baptême des enfants. Convertit n’aurait pas à la fois une conception adéquate de leur Pacte aux fonctions et responsabilités. Parfois d’un seul des parents a été transformée, et il est tout à fait concevable que l’autre ne s’y opposerait le baptême des enfants. Souvent, il n’y avait pas une assurance raisonnable que les parents seraient éduquer leurs enfants pieusement et religieusement, et encore cette assurance était nécessaire. Dans le même temps, la langue du Nouveau Testament est parfaitement cohérente avec une continuation de l’administration organique de l'Alliance, qui exigeait la circoncision des enfants, Matthieu 19:14; Marc 10:13-16; Actes à 02:39; I Corinthiens 07:14. En outre, le Nouveau Testament parle du baptême des ménages à plusieurs reprises et ne donne aucune indication que cela est considéré comme quelque chose hors de l’ordinaire, mais plutôt se réfère à elle comme une question bien sûr, actes 16:15, 33; J’ai Cor. 01:16. Il est tout à fait possible, bien sûr, mais pas très probable, qu’aucun de ces ménages figurant des enfants. Et s’il y avait des nourrissons, il est moralement certain qu’ils ont été baptisés ainsi que les parents. Le Nouveau Testament ne contient certainement aucune preuve que les personnes nés et élevés dans des familles chrétiennes ne peuvent pas être baptisés jusqu'à ce qu’ils en sont venus à des années de discrétion et ont professé leur foi dans le Christ. Il n’y a pas la moindre allusion à une telle pratique.
(6) mur dans l’introduction à son Histoire du baptême infantile fait remarquer que dans le baptême des prosélytes enfants de prosélytes étaient souvent baptisés ainsi que leurs parents; mais Edersheim dit qu’il y avait une divergence de vues sur ce point. Naturellement, même que si cela se produisait, ce serait la preuve rien jusqu'à présent dans le baptême chrétien est concerné, mais il irait pour montrer qu’il n’a rien d’étrange dans une telle procédure. La première référence historique au baptême des enfants se trouve dans les écrits de la seconde moitié du IIe siècle. La Didaché parle d’adulte, mais pas du baptême des enfants; et tandis que Justin fait mention des femmes qui sont devenus disciples du Christ de l’enfance (ek paidon), ce passage ne mentionne pas le baptême, et ek paidon ne signifie pas nécessairement la première enfance. Irénée, parlant du Christ, dit: « Il est venu pour sauver par des moyens de lui tous ceux qui, à travers lui, sont nés à nouveau à Dieu, les nourrissons et petits enfants et garçons et jeunes et vieux hommes. » Ce passage, bien qu’il ne mentionne pas explicitement le baptême, est généralement considéré comme la première référence au baptême des enfants, puisque les premiers pères si étroitement associé baptême régénération qu’ils ont utilisé le terme « régénération » pour le « baptême ». Que baptême des enfants était très généralement pratiqué à la fin du IIe siècle, est évident d’après les écrits de Tertullien, bien que lui-même a jugé plus sûr et plus rentable de différer le baptême. Origen parle d’elle comme une tradition des apôtres. Il dit: « Pour cela aussi c’était, que l’église avait des apôtres une tradition (ou ordre) pour donner le baptême même aux nourrissons. » le Concile de Carthage (A.D. 253) prend le baptême des enfants pour acquis et discute tout simplement la question, si elles peuvent être baptisés avant le huitième jour. Partir du deuxième siècle, baptême des enfants est reconnu régulièrement, même si elle a été parfois négligé dans la pratique. Augustine déduire du fait qu’il était généralement pratiqué par l’église dans le monde entier en dépit du fait qu’il n’était pas fondé en conseils, qu’il était selon toute probabilité, réglée par l’autorité des apôtres. Sa légitimité ne niait pas jusqu’aux jours de la réforme, lorsque les anabaptistes s’y opposaient.
b. Objections au baptême des enfants. Quelques-unes des plus importantes objections au baptême des enfants nécessitent une attention brève.
(1) la circoncision était simplement une ordonnance charnelle et typique et comme tel, était destinée à disparaître. Pour mettre le baptême à la place de la circoncision, est tout simplement de continuer l’ordonnance charnelle. Ces ordonnances charnelles ont pas leur place légitime dans l’église du Nouveau Testament. De nos jours, que cette objection est soulevée par certains dispensationalistes, tels que Bullinger et O'Hair, qui prétendent que le baptême institué par Jésus est connecté avec le Royaume, et que seulement le baptême de l’esprit a une juste place dans l’église. Le livre des actes marque la transition entre le baptême d’eau pour le baptême d’esprit. Naturellement, cet argument se révélerait tout baptême, adult ainsi que de l’enfant en bas âge, illégitime. Dans cette représentation de la matière les dispensations juives et chrétiennes sont placées par rapport à l’autre comme charnelle et spirituelle, et circoncision est censée appartenir à l’ancienne. Mais cet argument est fallacieux. Il n’y a aucun mandat pour le placement de la circoncision au total sur un niveau avec les ordonnances charnelles de la Loi de Moïse. Bannerman, dit: « la circoncision était indépendante de l’introduction ou l’abolition de la Loi de Moïse; et aurait continué l’ordonnance permanente pour l’admission dans l’église de Dieu comme le sceau de l’Alliance de grâce, pas de baptême avait expressément désigné comme un substitut pour elle. » On peut admettre que la circoncision a fait acquérir une certaine signification typique dans la période de la mosaïque, mais c’était avant tout un signe et le sceau de l’Alliance déjà faite avec Abraham. Dans la mesure où c’était un type qu'elle cessé naturellement avec l’apparition de l’antitype, et même comme un sceau de l'Alliance il fait moyen pour un sacrement non sanglante expressément institué par le Christ pour l’église et reconnu comme tel par les apôtres , puisque le Christ a mis fin une fois pour toutes à l’effusion de sang dans le cadre de le œuvre de rédemption. À la lumière de l’écriture, la position est tout à fait insoutenable, que le baptême est connecté avec le Royaume plutôt qu’avec l’église et est donc juif et non chrétienne. Les paroles de l’institution condamnent ce point de vue, et donc le fait que sur l’anniversaire de l’église néotestamentaire Pierre exigé de ceux qui ont été ajoutés à ce qu’ils devraient être baptisés. Et si on dire que Peter, être un juif, a toujours suivi l’exemple de Jean le Baptiste, il peut être souligné que Paul, l’Apôtre des gentils, aussi nécessaire que ses convertis baptisés, actes 16:15, 33; 18:8; J’ai Cor. 01:16.
(2) il n’y a aucune commande explicite que les enfants doivent être baptisés. Cela est parfaitement vrai, mais il ne réfute pas la validité du baptême des enfants. Il convient d’observer que cette objection est fondée sur un principe d’interprétation dont les baptistes eux-mêmes ne sont pas vraies quand ils tiennent que les chrétiens sont tenus pour célébrer le premier jour de la semaine comme leur Sabbat, et que les femmes doivent également prendre part à la Lor d.ieu souper; car ce sont des choses pas explicitement commandés. Ne peut pas le silence de l’écriture être interprété pour et non contre, baptême des enfants ? Pendant vingt siècles enfants avaient été formellement lancés dans l’église, et le Nouveau Testament ne dit pas que cela doit cesser maintenant, bien qu’il n’enseigne que la circoncision ne peut pas plus servir à cet effet. Le Seigneur lui-même a institué un autre rite, et le jour de la Pentecôte, Pierre dit à ceux qui se joignirent à l’église que la promesse est pour eux et leurs enfants et à la suite autant que le Seigneur lui-même appellera. Cette déclaration de Peter prouve au moins qu’il avait encore la conception organique de l'Alliance à l’esprit. En outre, la question peut être soulevée comment Jean-Baptiste lui-même peut prouver la justesse de sa propre position par une commande expresse de l’écriture. La Bible partout commande à l’exclusion des enfants du baptême ? Le fait que tous ceux qui sont nés et élevés dans des familles chrétiennes doivent professer leur foi avant qu’ils sont baptisés de commande ? De toute évidence, il n’y a aucune de ces commandes.
(3) une objection étroitement liée, c’est qu’il n’y a aucun exemple de baptême des enfants dans le Nouveau Testament. Il est parfaitement vrai que la Bible ne pas explicitement dit que les enfants ont été baptisés, même si il informer nous du fait que le rite a été administré aux ménages ensemble. L’absence de toute référence précise au baptême des enfants trouve son explication, au moins dans une large mesure, dans le fait que l’écriture nous donne un record historique de le œuvre missionnaire des apôtres, mais ce aucune trace du travail qui a été exploitée dans la ml organisée urches. Et ici, aussi, les tableaux peuvent être facilement allumés le Baptiste. Il va nous montrer un exemple du baptême d’un adulte qui avait été né et élevé dans un foyer chrétien ? Il n’y a aucun danger qu’il ne le sera jamais.
(4) la plus importante objection au baptême des enfants élevé par les baptistes, est que, selon l’Ecriture, le baptême est conditionné sur une foi active se révélant dans une profession honorable. Maintenant, il est parfaitement vrai que la Bible pointe vers la foi comme une condition sine qua non pour le baptême, Marc 16:16; Actes 10:44-48; 16:14, 15, 31, 34. si cela signifie que le bénéficiaire du baptême doit dans tous les cas de manifestations donnent une foi active avant le baptême, puis naturellement, les enfants sont exclus. Mais si la Bible indique clairement que seuls les adultes qui ont cru ont été baptisés, il fixe nulle part la règle qu’une foi active est absolument essentielle pour la réception du baptême. Baptistes nous référer à la grande commission, car elle se trouve dans Marc 16:15, 16. Compte tenu du fait qu’il s’agit d’une commande de missionnaire, nous pouvons aller de l’avant sur l’hypothèse que le Seigneur avait en tête une foi active dans ces mots. Et bien il n’est pas explicitement indiqué, il est tout à fait probable qu’il considérait cette foi comme une condition sine qua non pour le baptême des personnes destinées. Mais qui sont-ils ? De toute évidence, les adultes des nations qui devaient être évangélisé, et par conséquent le Baptiste n’est pas justifié à interpréter comme un argument contre le baptême des enfants. Si il insiste sur cette opération, néanmoins, il faut savoir que ces mots s’avérer trop bien même pour lui sur sa construction et donc ne prouvent rien. Les paroles de notre-Sauveur impliquent que la foi est une condition sine qua non pour le baptême de ceux qui, grâce aux efforts de missionnaires de l’Eglise, soient amenés à Christ et n’impliquent pas que c’est aussi une condition sine qua non pour le baptême des enfants. Baptiste généralise cette affirmation du Sauveur en apprenant qu’il rend tous les contingents de baptême sur la foi active du destinataire. Il fait valoir comme suit: la foi Active est la condition sine qua non du baptême. Les bébés ne peuvent exercer la foi. Donc les enfants ne peuvent pas être baptisés. Mais de cette façon ces mots pourraient également être interprétées dans un argument contre Salut infantile, puisqu’ils impliquent mais prévoient expressément que la foi (la foi active) est la condition pour le salut. Correspondre le Baptiste ainsi trouverait grevée par le syllogisme suivant: la foi est la condition sine qua non du Salut. Enfants ne peuvent pas encore preuve de foi. C’est pourquoi les enfants ne peuvent être sauvés. Mais il s’agit d’une conclusion dont le Baptiste lui-même serait reculer.
c. le terrain pour le baptême des enfants.
(1) la position de nos normes confessionnelles. La Confessio Belgica déclare dans l’Art. XXXIV, ce que les enfants nés de parents de croire « devaient être baptisé et scellé avec le signe de l’Alliance, comme les enfants d’Israël étaient anciennement excisée sur les mêmes promesses qui sont faites pour nos enfants. » Le Catéchisme de Heidelberg répond à la question, « Sont les enfants aussi se faire baptiser ? » comme suit: « Oui, car depuis ils, ainsi que les adultes, sont inclus dans l'Alliance et l’église de Dieu, et étant aussi bien rédemption du péché et l’Esprit Saint, l’auteur de la foi, à travers le sang du Christ a promis à ceux non moins aux adultes, ils doivent aussi par le baptême, comme un signe de l’Alliance, rameaux dans the Christian Church et de distinguer les enfants des infidèles, comme l’a fait dans l’ancienne alliance ou testament par la circoncision au lieu de quel baptême a été institué dans la nouvelle Alliance. » Et les Canons de Dordrecht contient la mention suivante en I, Art. 17: « car nous sommes pour juger de la volonté de Dieu dans sa parole, qui témoigne que les enfants des croyants sont saints, pas par nature, mais en vertu de l’Alliance de grâce, dans lequel ils ainsi que leurs parents sont inclusif, pieux parents ne devraient ne pas douter les élus ion et le salut de leurs enfants qu’il plaît à Dieu d’appeler hors de cette vie à leurs débuts (Genèse 17:7; Actes à 02:39; I Corinthiens 07:14). » Ces déclarations de nos normes confessionnelles sont tout à fait conforme à la position de Calvin, que les enfants de les croire parents, ou ceux qui ont un seul parent croyant, sont baptisés sur la base de leur relation de l’Alliance. la même note est frappée dans notre formulaire pour le baptême des nouveau-nés: « Puisque, alors, baptême est venu à la place de la circoncision, les enfants doivent être baptisés comme les héritiers du Royaume de Dieu et de son alliance » Il est à noter que toutes ces déclarations sont basées sur le commandement de Dieu à circumcize les enfants de l'Alliance, pour en fin de compte ce commandement est le terrain du baptême des enfants. Sur la base de nos normes confessionnelles, on peut dire que les enfants nés de parents de croire sont baptisés au motif qu’ils sont enfants de l'Alliance et sont ainsi les héritiers des tout-complet-promesses de l’Alliance de Dieu, qui comprend également la promesse de la pardon des péchés et le don du Saint-Esprit à la régénération et de sanctification. Dans l'Alliance, Dieu fait pour eux une subvention ou un don de façon formelle et objective, exige d’eux qu’ils seront en bonne et due temps accepter cela par la foi et promet d’en faire une réalité vivante dans leur vie par l’opération du Saint-Esprit. Et compte tenu de ce fait, l’église doit considérer comme potentiels héritiers du Salut, doit les considérer comme obligé de marcher dans la voie de l'Alliance, a le droit de s’attendre que, sous une administration de l’Alliance fidèle, elles, s’exprimant en général, vivra dans l'Alliance et est en devoir de les considérer comme briseurs de Pacte, s’ils ne respectent pas ses exigences. C’est seulement de cette façon qu’il pleinement justice aux promesses de Dieu, qui doit dans toute leur plénitude s’approprier de foi par ceux qui viennent à échéance. Ainsi l'Alliance, y compris les promesses de l’Alliance, constitue l’objectif et le fondement juridique pour le baptême des enfants. Le baptême est un signe et un sceau de tout ce qui est compris dans les promesses.
(2) les divergences d’opinion parmi les théologiens réformés. Théologiens réformés souscrivaient pas tous dans le passé et ne sont pas même maintenant tous d’accord, dans leur représentation de la terre du baptême des enfants. Beaucoup de théologiens des XVIe et XVIIe siècles a pris la position décrite dans ce qui précède, à savoir que les enfants des croyants sont baptisés, car ils sont dans l'Alliance et sont ainsi les héritiers des promesses de Dieu, y compris un titre, riches non seulement à régénération, mais aussi pour toutes les bénédictions de justification et de la rénovation et sanctifiant l’influence de l’Esprit Saint. D’autres, cependant, tout en reconnaissant la vérité de cette représentation, n’étaient pas entièrement satisfaits avec elle. Ils ont insisté sur le fait que le baptême est quelque chose de plus que le sceau d’une promesse, ou même de toutes les promesses de l’Alliance; et qu’il n’est pas simplement le sceau d’un bien futur, mais aussi des biens spirituels présents. La vue est devenu assez répandue que le baptême est administré aux nourrissons sur le terrain de la régénération présomptive. Mais même ceux qui ont accepté que ce point de vue n’avait pas tous d’accord. Certains combinés ce point de vue de l’autre, tandis que d’autres il a substitué à l’autre. Pour commencer, certains sur l’hypothèse que tous les enfants, présentés au baptême sont régénérées, tandis que d’autres cela suppose qu’en relation avec les enfants élus. La divergence d’opinion entre ceux qui croient que les enfants des croyants sont baptisés au motif de leur relation de l’Alliance et de la promesse de l’Alliance et ceux qui trouvent ce motif dans la régénération des présumés a persisté jusqu'à nos jours et a été la source d’une vive controverse, en particulier dans les pays-bas au cours de la dernière période du XIXème et du début du XXe, siècle. Le Dr de Kuyper au premier parle de régénération présumée comme le sol du baptême des enfants et de nombreux facilement accepté ce point de vue. G. Kramer a écrit sa thèse splendide sur Het Verband van Doop fr Wedergeboorte surtout dans la défense de cette position. Plus tard, le Dr de Kuyper n’a pas utilisé cette expression plus et certains de ses disciples ressenti la nécessité de discrimination plus prudente et parle de la relation de l’Alliance comme la moraleet la régénération présumée comme le spirituel, au sol de baptême des enfants. Mais ce n’est pas une position satisfaisante. Dr. Honig, qui est également un disciple et admirateur de Kuyper, est sur la bonne voie quand il dit dans sa récente Handboek van de Gereformeerde Dogmatiek: « Nous ne pas baptiser les enfants des croyants sur le terrain d’une hypothèse, mais sur le terrain d’une commande et un acte de Dieu. Enfants doivent être baptisés en vertu de l’Alliance de Dieu » (mine de traduction). Présomptive régénération naturelle ne saurait être considérée comme le fondement juridique du baptême des enfants; Cela se trouvent seulement dans la promesse de l’Alliance de Dieu. En outre, il ne peut pas être le sol dans tous les sens du terme, puisque le sol du baptême doit être quelque chose objectif, comme les partisans de la vue en question eux-mêmes sont contraints d’admettre. Si on leur demande, pourquoi ils supposent la régénération des enfants, présenté au baptême, ils peuvent seulement répondre, parce qu’ils sont nés de parents, c'est-à-dire de croire, parce qu’ils sont nés dans l'Alliance. Naturellement, pour refuser que la régénération présumée est le fondement du baptême des enfants, n’équivaut pas à dire que c’est tout à fait injustifié de supposer que les enfants en bas âge des croyants sont régénérées. Il s’agit d’une question qui doit être considérée selon ses propres mérites.
Il peut être bien de citer à cet égard la première moitié du quatrième point de Conclusions d’Utrecht, qui ont été adoptés par notre église en 1908. Nous traduisons cela comme suit: « et, enfin, en ce qui concerne le quatrième point, qui, de régénération présomptive, est préoccupé, Synode déclare que, selon la confession de nos églises, la graine de l'Alliance doit, en vertu de la promesse de Dieu, faire présumé d’être régénérées et sanctifiés dans le Christ, jusqu'à ce que, à mesure qu’ils grandissent, le contraire ressort de leur vie ou leur doctrine; qu’il est, cependant, moins correct de dire que baptême est administré aux enfants des croyants en raison de leur régénération présomptive, étant donné que le sol du baptême est la commande et la promesse de Dieu; et qu’en outre l’arrêt de la charité, avec laquelle l’Eglise suppose la graine de l'Alliance d’être régénéré, veut absolument pas dire que c’est pourquoi chaque enfant est vraiment régénéré, car la parole de Dieu enseigne qu’ils ne sont pas tout Israël qui sont d’Israël et il est dit d’Isaac: en lui ta postérité appellera (Romains 9:6, 7), ainsi que dans la prédication, il est toujours nécessaire d’insister sur l’auto-examen grave, puisque seuls ceux qui doit avoir cru et avoir été baptisé seront sauvés. »
(3) objection de conscience à l’opinion que les enfants sont baptisés en raison de leur relation de l’Alliance. Il a été dit que, si les enfants sont baptisés au motif qu’ils sont nés dans l'Alliance et sont donc les héritiers de la promesse, ils sont baptisés pour un autre motif que les adultes, puisque ceux-ci sont baptisés en raison de leur foi ou leur profession de foi. Mais ce n’est guère correct, comme Calvin, déjà souligné en son temps. Le grand réformateur a répondu efficacement à cette objection. Ce qui suit est une traduction de ce que Kramer dit respecter la position de Calvin sur ce point: « Calvin trouve occasion ici au sujet du baptême des enfants, maintenant qu’il a franchi le point de vue de l'Alliance, pour dessiner la ligne plus loin. Jusqu'à ce point, qu'il n’a pas appelé l’attention sur le fait que les adultes sont trop baptisés selon la règle de l'Alliance. Et c’est pourquoi il peut sembler qu’il y avait une différence entre le baptême des adultes et des enfants. Les adultes se faire baptiser en raison de leur foi, les enfants, en raison de l’Alliance de Dieu. Non, le réformateur déclare, la seule règle selon laquelle le fondement juridique sur lequel, l’église peut administrer le baptême, est l'Alliance. Cela est vrai dans le cas des adultes, ainsi que dans le cas des enfants. Que le premier doit d’abord faire une confession de foi et de conversion, est due au fait qu’ils sont en dehors de l’Alliance. Pour être admis dans la communion de l'Alliance, ils doivent d’abord apprendre les exigences de l'Alliance, et puis la foi et la conversion ouvrent la voie au Pacte. » La même opinion est exprimée par Bavinck. Cela signifie que, après que adultes trouver entrée dans l’Alliance de la foi et la conversion, ils reçoivent le sacrement du baptême sur le terrain de cette relation de l’Alliance. Le baptême est également pour eux un signe et le sceau de l'Alliance.
d. baptême infantile comme un moyen de la grâce. Le baptême est un signe et le sceau de l’Alliance de grâce. Il ne pas signifier une chose et sceller une autre, mais définit le sceau de Dieu sur ce qu’elle signifie. Selon nos normes confessionnels et notre formulaire pour l’administration du baptême, il signifie le lavage de nos péchés, et ce n’est qu’une expression brève pour l’élimination de la culpabilité du péché dans la justification et pour l’élimination de la pollution du péché en sanctification, qui est, cependant, l’imparfait dans cette vie. Et si c’est ce qui est signifié, puis c’est aussi ce qui est scellé. Et si il se dit, comme c’est parfois dans notre littérature réformée, que le baptême scelle la promise(s) de Dieu, cela ne signifie pas simplement qu’il se porte garant de la véracité de la promesse, mais qu’il assure les destinataires qu’ils sont les héritiers désignés des bénédictions promises . Cela ne signifie pas nécessairement qu’ils sont déjà en principe en possession du bien promis, même si cela est possible et peut-être même probable, mais certainement signifie qu’ils sont désignés héritiers et volonté reçoit l’héritage, à moins qu’ils se montrent indigne de lui et de le refuser. Dabney attire l’attention sur le fait que phoques sont souvent accolés aux pactes promissoire dans lequel la dispensation de la marchandise Promise est conditionnelle.
Mais le baptême est plus qu’un signe et un sceau; comme tel, c’est aussi un moyen de la grâce. Selon la théologie réformée il n’est pas, comme la revendication des catholiques romains, le moyen de lancer les travaux de la grâce dans le coeur, mais c’est un moyen pour le renforcement de celui-ci ou, comme c’est souvent exprimée, l’augmentation de la grâce. Cela donne lieu à une question assez difficile dans le cadre de baptême des enfants. On peut facilement voir comment le baptême peut renforcer le travail de la foi chez le receveur adulte, mais il n’est pas tellement évident comment il peut fonctionner comme un moyen de grâce dans le cas des enfants qui sont totalement inconscients de la signification du baptême et ne peut pas encore preuve de foi. La difficulté, avec qui nous sont confrontés ici, naturellement, n’existe pas pour le petit nombre d’érudits réformées qui nient que le baptême renforce simplement une condition antérieure de la grâce et la réclamation qu’il « est un moyen pour la suite de la grâce dans une forme spécifique et pour la fin spécifique de notre régénération et ingrafting dans le Christ. » Tous les autres doivent, bien sûr, faire face au problème. Luther a aussi lutté avec ce problème. Il a fait l’efficacité du baptême dépend de la foi du destinataire; mais quand il réfléchit sur le fait que les bébés ne saurait avoir la foi, il a été porté à croire que Dieu par sa grâce prévenante a forgé une foi naissante en eux par le baptême; et, enfin, il a évoqué le problème les docteurs de l’église. Les théologiens réformés résolvent le problème en attirant l’attention sur trois choses, qui peuvent être considérées comme des solutions de rechange, mais peuvent aussi être combinés. (1) il est possible de supposer (pas la certitude) que les enfants offertes pour le baptême sont régénérées et sont donc en possession du sperme fidei (la semence de la foi); et de tenir que Dieu par le baptême en quelque sorte de mystique, dont nous ne comprenons pas, renforce cette semence de la foi chez l’enfant. (2) il peut également être appelée sur le fait que l’exploitation du baptême comme un moyen de grâce n’est pas nécessairement restreint à l’instant de son administration pas plus que celui de la Sainte Cène est limitée au temps de sa célébration. Il peut en ce moment même servir en quelque sorte mystérieux pour augmenter la grâce de Dieu dans le cœur, s’il est présent, mais peut-être aussi joué un rôle important dans l’augmentation de foi plus tard lorsque la signification du baptême est clairement comprise. C’est clairement enseigné dans la Confessio et la Confession de Westminster. (3) encore une fois, il peut être souligné, comme a été fait par certains théologiens (par exemple Dabney et Vos) que baptême des enfants est aussi un moyen de grâce pour les parents qui présentent leur enfant au baptême. Elle sert à renforcer leur foi dans les promesses de Dieu, de travailler en eux l’assurance que l’enfant pour lequel ils sont auteurs a un droit de propriété dans l’Alliance de grâce et de renforcer en eux le sens de la responsabilité de l’éducation chrétienne de leurs enfant.
e. l’extension du baptême aux enfants des infidèles. Naturellement, seuls les enfants des croyants sont les sujets appropriés du baptême des enfants. À plusieurs égards, toutefois, le cercle a été agrandi. (1) les catholiques romains et ritualistes de l’église anglicane se rendent sur l’hypothèse que le baptême est absolument nécessaire au Salut, étant donné qu’elle véhicule une grâce que l'on peut obtenir d’aucune autre manière. C’est pourquoi ils le jugent leur devoir de baptiser tous les enfants qui viennent à leur portée, sans s’informer quant à la condition spirituelle de leurs parents. (2) certains l’appellent l’attention sur le fait que la promesse s’applique aux parents et aux enfants d’enfants et des enfants, même à la millième génération, Psaume 105:7-10; Ésaïe 59:21; Actes à 02:39. Compte tenu de ces promesses, ils soutiennent que les enfants dont les parents ont quitté l’église n'ayant pas ainsi renoncé à leurs privilèges en tant qu’enfants de l'Alliance. (3) il y a ceux qui externaliser l'Alliance en le rendant coïncide avec l’Etat dans un Etat et l’Eglise. Un enfant anglais, a, à ce titre, tout autant droit au baptême comme il l’a pour la protection de l’État, indépendamment de la question, que les parents soient croyants ou non. (4) certains ont pris la position que le fait que les parents sont baptisés, assure également leurs enfants d’un titre pour le baptême. Ils considèrent la relation personnelle des parents au Pacte comme tout à fait sans importance. Églises ont parfois agi sur ce principe et enfin nourrissait une catégorie de membres, qui n’a pas eux-mêmes assumé la responsabilité de l'Alliance et cherchait encore le sceau de l’Alliance pour leurs enfants. En Nouvelle Angleterre, c’était connu comme l'Alliance à mi-chemin. (5) Enfin, le principe d’adoption a été appliqué, afin d’obtenir le baptême pour les enfants qui n’avaient pas droit à lui dans le cas contraire. Si les parents étaient inaptes ou réticents à se porter garant pour l’éducation chrétienne de leurs enfants, d’autres pourraient intervenir pour garantir cela. Le principal motif pour cela a été demandé à 17:12.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Quelles sont les différentes significations des mots bapto, baptisoet louesthai? A John le Baptiste baptiser par immersion ? L’eunuque (actes 08:38, 39) a été baptisé de la sorte ? Est le Nouveau Testament n’importe où mettre l’accent sur la nécessité d’un mode particulier de baptême ? Est la doctrine du baptême biblique ? A sa droite jamais remis en cause avant la réforme ? Comment expliquer la montée de la négation de l’anabaptiste au moment de la réforme ? Quelle est la conception de Baptiste de l’Alliance avec Abraham ? Comment expliquent-ils Rom. 04:11 ? Que disent nos normes confessionnelles quant au motif sur lequel les enfants sont baptisés ? Quelle est la position de Calvin sur le terrain sur lequel les enfants et les adultes sont baptisés ? Quels dangers pratiques sont liées à la doctrine de la régénération présomptive ? Que diriez-vous position de Dabney que le baptême est un sacrement au parent ainsi quant à l’enfant ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV., pp. 543-590; Kuyper, Dict. dogme. de Sacramentis, pp. 82-157; ID., Voto E II, pp. 499-566; III, pp. 5-68; Hodge, Syst. Theol. III. p. 526-611; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 728-799; Dick, théologie, donne des conférences LXXXVIII-LXXXIX; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., pp. 444-464; Vos, Geref. Dogme., De Genademiddelen, p. 36-134; Ibid., De Verbondsleer en de Geref. THEOL.; Strong, Syst. Theol., pp. 930-959; Hovey, Manuel de théol. et de l’éthique, pp. 312-333; Pieper, Christl. Dogme., III, pp. 297-339; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 540-558; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 305-335; Mueller, Chr. dogme., pp. 486-505; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., pp. 314-322; Schaff, nos pères' foi et le nôtre, pp. 315-320; Pape, Chr. Theol. III, pp. 311-324; Lambert, les sacrements dans le Nouveau Testament, pp. 36-239; Wilson, le baptême des enfants; Carson, sur le baptême; Ayres, baptême chrétien; Seiss, le système de Baptiste examiné; Armstrong, la Doctrine des baptêmes; Merrill, baptême chrétien; McLeod, le sacrement du Saint baptême dans la vie Divine dans l’église; Blanc, pourquoi les enfants sont baptisés; Bannerman, L’église du Christ II, pp. 42-127; Kramer, Het Verband tusschen Doop fr Wedergeboorte; Mur, histoire du baptême des enfants; Wielenga, Ons Doopsformulier; Schenck, la Doctrine presbytérienne d’enfants dans l'Alliance.
V. la Cène
A. LES ANALOGIES DU REPAS DU SEIGNEUR PARMI ISRAËL.
Tout comme il ont a des analogies avec le baptême chrétien parmi Israël, il y avait aussi des analogies de la Cène du Seigneur. Non seulement les païens, mais aussi entre Israël, les sacrifices qui ont été apportées étaient souvent accompagnées de repas sacrificiels. C’était surtout un trait caractéristique des offrandes pour les paix. Ces sacrifices, seul le gras adhère à l’intérieur a été consommé sur l’autel; la vague-cancer du sein a été donné à la prêtrise et le soulèvement dû au gel-épaule pour le prêtre officiant, Lév. 07:28-34, tandis que le reste constitue un repas sacrificiel pour l’offreur et ses amis, pourvu qu’ils aient déjà été levitically propres, Lév. 07:19-21; Deut. 12:7, 12. Ces repas enseignement d’une manière symbolique que « étant justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus Christ. » Ils étaient expressives du fait que, sur la base du sacrifice offert et accepté, Dieu reçoit son peuple en tant qu’invités dans sa maison et s’unit avec eux en communion joyeuse, la vie communautaire de l'Alliance. Israël a été interdit de prendre part au repas sacrificiels de gentils exactement parce qu’il exprime leur allégeance à d’autres dieux, Exode 34: 15; Nombres 25: 3, 5; PS. 106:28. Les repas sacrificiels, qui a témoigné à l’union de Jéhovah avec son peuple, ont été des saisons de joie et d’allégresse et ainsi ont été parfois abusés et a donné l’occasion de réjouissances et de l’ivresse, j’ai Sam 01:13; Prov. 07:14; Ésaïe 28: 8. Le sacrifice de la Pâque était également accompagné d’un tel repas sacrificiel. Contre les catholiques romains, Protestants parfois cherché à défendre la position que ce repas constitué de l’ensemble de la Pâque, mais il s’agit d’une situation intenable. La Pâque était d’abord un sacrifice d’expiation, Exode 12:27; 34:25. n’est pas seulement qu’on appelle un sacrifice, mais dans la période de la mosaïque, il était aussi reliée avec le sanctuaire, Deut. 16:2. L’agneau était tué par les Lévites, et le sang a été manipulé par les prêtres, II Chron. 30: 16; 35: 11; Ezra 06:19. Mais si c’est d’abord un sacrifice, ce n’est pas tout; C’est aussi un repas, dans lesquels l’agneau rôti se mange avec du pain sans levain et des herbes amères, Exode 12:8-10. Le sacrifice passé à droite dans un repas, qui plus tard est devenu beaucoup plus complexe qu’il ne l’était initialement. Le Nouveau Testament attribue à la Pâque une signification typique, j’ai Cor. 5:7 et donc ont vu en elle non seulement un rappel de la délivrance d’Égypte, mais aussi un signe et le sceau de la délivrance de l’esclavage du péché et de la communion avec Dieu dans le Messie promis. C’était en rapport avec le repas pascal que Jésus a institué l’Eucharistie. En utilisant les éléments présents dans l’ancien, il effectue une transition très naturelle à ce dernier. De la fin, certains critiques a cherché à jeter un doute sur l’institution de l’Eucharistie par Jésus, mais il n’y a aucune raison de mettre en doute le témoignage des Évangiles, ni le témoignage indépendant de l’apôtre Paul dans I Corinthiens 11:23-26.
B. LA DOCTRINE DE LA CÈNE DU SEIGNEUR DANS L’HISTOIRE.
1. AVANT LA RÉFORME. Même dans l’âge apostolique, la célébration de l’Eucharistie a été accompagnée par agapae ou amour-fêtes, pour laquelle le peuple a apporté les ingrédients nécessaires, et qui a parfois conduit à des abus tristes, I Cor. 11:20-22. En cours de temps, les dons ainsi apportés étaient appelés les oblations et les sacrifices et ont été bénis par le prêtre avec une prière d’action de grâces. Peu à peu ces noms ont été appliquées aux éléments dans l’Eucharistie, afin que ceux-ci pris le caractère d’un sacrifice apporté par le prêtre, et action de grâce est venu à être considéré comme une consécration de ces éléments. Alors que certains des premiers pères église (Origène, Basile, Grégoire de Nazianze) conservé la conception symbolique ou spirituelle du Sacrement, d’autres (Cyril, Grégoire de Nysse, Chrysostome) tenue que la chair et le sang du Christ ont été dans certains combinés moyen avec le pain et le vin dans le sacrement. Augustine a retardé le développement réaliste de la doctrine de l’Eucharistie pendant une longue période. Alors qu’il a fait parler du pain et du vin en corps et sang du Christ, il fait la distinction entre le signe et la chose signifiée et ne croyait pas à un changement de substance. Il a nié que la méchante, bien que recevant les éléments, a également reçu le corps et a insisté sur l’aspect commémoratif de la Cène du Seigneur. Pendant le moyen âge les Augustins vue a été progressivement transplanté par la doctrine de la transsubstantiation. Dès 818 A.D. Paschasius Radbertus déjà formellement proposé cette doctrine, mais a rencontré une forte opposition part Rabanus Maurus et Ratramnus. Au XIe siècle une furieuse controverse éclata à nouveau sur le sujet entre Bérenger de Tours et Lanfranc. Ce dernier a fait la déclaration grossière que « le corps même du Christ s’est vraiment tenu dans la main du prêtre, cassé et mâchées par les dents des fidèles. » Ce point de vue a été finalement défini par Hildebert de Tours (1134) et désigné comme la doctrine de la transsubstantiation. Il a été formellement adopté par le quatrième concile de Latran en 1215. Plusieurs questions se rattachent à cette doctrine ont été débattues par les scolastiques, tels que ceux concernant la durée du changement du pain et du vin en corps et sang de Jésus Christ, la manière de la présence du Christ dans ces deux éléments, la relation entre la substance et accidents, l’adoration de l’hôte et ainsi de suite. La formulation définitive de la doctrine a été donnée par le Concile de trente et est enregistrée dans Sessio XIII de ses décrets et Canons. Huit chapitres et onze Canons sont consacrés à elle. On peut citer seulement les points essentiels ici. Jésus Christ est vraiment, vraiment et substantiellement présent dans le Saint Sacrement. Le fait qu’il est assis à la droite de Dieu n’exclut pas la possibilité de sa présence substantielle et sacramentelle dans plusieurs endroits en même temps. Par les paroles de la consécration, la substance du pain et du vin est transformée en corps et sang du Christ. Le Christ tout est présent sous chaque espèce et chaque particule des deux espèces. Chaque personne qui reçoit une particule de l’hôte reçoit le Christ ensemble. Il est présent dans les éléments, avant même que l’auteur les a reçus. Compte tenu de cette présence, l’adoration de l’hôte est mais naturelle. Les effets du sacrement une « augmentation de sanctifier grâce, grâces particulières de réelles, rémission des péchés véniels, préservation du péché (mortel) grave et l’espoir confiant du salut éternel. »
2. PENDANT ET APRÈS LA RÉFORME. Les réformateurs, tout le monde, a rejeté la théorie sacrificielle de l’Eucharistie et la doctrine médiévale de la transsubstantiation. Ils diffèrent, cependant, dans leur construction positive de la doctrine biblique de l’Eucharistie. À l’encontre de Zwingli, Luther a insisté sur l’interprétation littérale des paroles de l’institution et sur la présence corporelle du Christ dans l’Eucharistie. Toutefois, il a substitué à la doctrine de la transsubstantiation que de consubstantiation, qui a été défendue longuement par Occam dans son De Sacramento Altariset selon laquelle Christ est « dans, avec et sous » les éléments. Zwingli refusé absolument la présence corporelle du Christ dans l’Eucharistie et a donné une interprétation figurative aux paroles de l’institution. Il a vu dans le sacrement principalement un acte de commémoration, bien qu’il ne nie pas que le Christ est présent spirituellement à la foi des croyantsen elle. Calvin a maintenu une position intermédiaire. Comme Zwingli, il a nié la présence corporelle du Seigneur dans le Sacrement, mais à la différence de l’ancien, il a insisté sur la présence réelle, bien que spirituelle, du Seigneur dans la Cène, la présence de lui comme une fontaine de la vertu spirituelle et l’efficacité. En outre, au lieu de soulignant la Cène du Seigneur comme un acte de l’homme (que ce soit de commémoration ou de profession), il a souligné le fait que c’est l’expression première de tous un don gracieux de Dieu pour l’homme et seulement accessoirement un repas commémoratif et un acte de profession. Pour lui, ainsi que pour Luther, c’est avant tout un moyen divinement désigné pour le renforcement de la foi. Les Sociniens, arminiens et Mennonites ont vu dans l’Eucharistie seulement un mémorial, un acte de profession et un moyen d’amélioration morale. Sous l’influence du rationalisme, cela est devenu la vision populaire. Schleiermacher a insisté sur le fait que l’Eucharistie est le moyen par lequel la communion de vie avec le Christ est conservée de manière particulièrement énergique au sein de l’église. La plupart des théologiens Mediating, tout en appartenant à l’Eglise luthérienne, a rejeté la doctrine de la consubstantiation et s’est approché de la vue calviniste de la présence spirituelle du Christ dans l’Eucharistie. Le Repas du Seigneur était une ordonnance de la loi qui faisait partie de la célébration de la fête de Pâque. Il détenait un caractère anticipatoire ou prophétique qui annonçait la mort du Messie. Jésus, la veille de sa mort, ordonna à ses disciples de l'observer du temps de son vivant, mais à sa mort sur la croix le signe prophétique a été accompli à la lettre et fut abolie avec toutes les autres ordonnances de la loi. En garder l'observance est de se remettre sur la loi. De nos jours cette pratique fleure l'idolâtrie des éléments qui la compose. Jésus n'a jamais institué ce rituel de la loi dans un sens perpétuel jusqu'à la fin du monde, ce qui serait contraire à la liberté qu'il nous accorde sous sa grâce dans laquelle nous ne sommes plus sous aucune obligation d'observer les pratiques de la loi. Tout de la loi a été abolie par le sacrifice de la croix et disparue à toujours lorsque Jérusalem et le temple furent détruit par les armées romaine en l'an 70, ne lassant aucune trace de sa gloire ancienne.
C. LES NOMS SCRIPTURALES POUR LE REPAS DU SEIGNEUR.
Alors qu’il y a qu’un nom unique pour le sacrement initiatique du Nouveau Testament, il y a plusieurs pour le sacrement en examen, qui sont dérivés de l’écriture. Ils sont les suivantes: (1) kuriakon Deipnon, l’Eucharistie, qui est dérivé d’I Cor. 11:20. C’est le nom plus commun dans les milieux protestants. Il semble que, dans le passage indique l’Apôtre veut faire une distinction pointue entre le sacrement et l' agapae, que les Corinthiens concernant avec elle et dont ils ont abusé, ce qui rend les deux presque incongru. L’accent est sur le fait que ce dîner du Seigneur. Il n’est pas un souper où les riches invitent les pauvres comme leurs invités et de les traitent ensuite mesquin, mais une fête dans laquelle le Seigneur accorde pour tous en abondance riche. (2) Trapeza kuriou, la table du Seigneur, un nom qui se trouve dans I Corinthiens 10:21. Corinthien gentils offertes aux idoles, et après que leurs sacrifices s’assit au repas sacrificiels; et il semble que certains de l’église de Corinthe pensé qu’il était permis de se joindre à eux, voyant que toute chair est comme. Mais Paul souligne que sacrifier aux idoles sacrifie aux démons, et que se joindre à ces repas sacrificiel est équivalente à l’exercice de communion avec les démons. Ce serait absolument contraire à assis à la table du Seigneur, confessant allégeance à lui et exercice de communion avec lui. (3) Klasis tou artou, la fraction du pain, un terme qui est utilisé dans les actes 02:42; cf. aussi actes 20:7. Alors qu’il s’agit d’un terme qui, selon toute probabilité, ne se réfère pas exclusivement à la Cène du Seigneur, mais aussi pour les fêtes de l’amour, il certainement comprend également le dîner du Seigneur. Le nom peut encore trouver son explication dans la fraction du pain comme cela a été ordonné par Jésus. (4) Eucharistiaet eulogia, bénédiction, action de grâces, termes qui sont dérivées d’I Corinthiens 10:16; 11:24. dans Matthieu 26: 26, 27, nous lisons que le Seigneur prit du pain et béni et prit la coupe et rendit grâces. Selon toute probabilité, les deux mots ont été utilisés de façon interchangeable et consulter une bénédiction et l’action de grâces combinés. La coupe de l’action de grâce et de bénédiction est la coupe consacrée.
D. INSTITUTION DE LA CÈNE DU SEIGNEUR.
1. DIFFÉRENTS COMPTES DE L’INSTITUTION. Il y a quatre différents comptes de l’institution de l’Eucharistie, un à chacun des synoptiques et dans I Corinthiens 11. John parle de la consommation de la Pâque, mais ne mentionne pas l’établissement d’un nouveau sacrement. Ces comptes sont indépendants et servent à compléter, un de l’autre. De toute évidence, le Seigneur n’a pas terminé le repas de la Pâque avant il a institué l’Eucharistie. Le nouveau sacrement a été relié avec l’élément central du repas pascal. Le pain qui est mangé avec l’agneau fut consacré à un nouvel usage. C’est évident du fait que la troisième coupe, généralement appelée « la coupe de bénédiction » a été utilisée pour le deuxième élément dans le sacrement de nouveau. Donc le sacrement de l’ancien Testament passé dans celui de la nouvelle d’une manière plus naturelle.
2. LA SUBSTITUTION DU PAIN PAR L’AGNEAU. L’agneau pascal avait une signification symbolique. Comme tous les sacrifices sanglants de l’ancien Testament, il a enseigné le peuple que l’effusion de sang était nécessaire à la rémission des péchés. En plus de cela, il avait un sens typique, pointant vers l’avant pour le grand sacrifice qui serait porté dans la plénitude des temps pour ôter le péché du monde. Et, enfin, il a également eu une importance nationale comme un mémorial de la délivrance d’Israël. C’était mais il est naturel que, lorsque le vrai agneau de Dieu a fait son apparition et était sur le point d’être tué, le symbole et le type devraient disparaître. Le tout-suffisant sacrifice de Jésus Christ a rendu tous les autres effusion de sang inutile; et donc il était tout à fait normal que l’élément sanglante devrait céder la place à une autre non sanglante qui, comme lui, avait des propriétés nourrissantes. En outre, à travers la mort du Christ le mur central de partition a été divisé, et la bénédiction du Salut ont été étendue à tout le monde. Et dans cette perspective, il était tout à fait naturel que la Pâque, un symbole avec une saveur nationale, soient remplacés par celui qui ne comportait aucune incidence sur le nationalisme.
3. SIGNIFICATION DES DIFFÉRENTES ACTIONS ET DES TERMES.
a. actions symboliques. Tous les comptes de l’institution de l’Eucharistie font mention de la fraction du painet Jésus indique clairement qu’il était destiné à symboliser la rupture de son corps pour la rédemption des pécheurs. Parce que Jésus a rompu le pain en présence de ses disciples, théologie protestante en général insiste sur le fait à ce sujet que cette action ait toujours lieu aux yeux du peuple. Cette importante transaction devait être un signe, et un signe doit être visible. Après avoir distribué le pain, Jésus prit la coupe, il bénit et il donna à ses disciples. Il ne semble pas qu’il a versé le vin en leur présence, et donc ce n’est pas considéré comme essentielle à la célébration de l’Eucharistie. Dr. Wielinga déduit, cependant, parce que le pain doit être brisé, que le vin doit également être versé, aux yeux des communiants. Jésus a utilisé naturellement du pain sans levain, car c’est le seul type à portée de main et le vin ordinaire qui a été largement utilisé comme boisson en Palestine. Mais ni l’un ni l’autre est soulignée, et par conséquent il ne s’ensuit pas qu’il ne serait pas admissible à l’utilisation de levain de pain et un autre type de vin. Les disciples a sans doute reçu les éléments dans une position allongée, mais cela ne signifie pas que les croyants peuvent ne pas prendre part d'entre eux dans un coin, à genoux, ou debout, la position.
b. mots de commande. Jésus accompagne son action avec les mots de commande. Quand il a donné le pain à ses disciples, il dit: « prenez, mangez. » Et en lançant cette commande, il avait sans aucun doute dans l’esprit, non pas simplement une alimentation physique, mais une appropriation spirituelle du corps du Christ par la foi. Il s’agit d’une commande qui, s’il s’agissait tout d’abord des apôtres, était destiné à l’église de tous les âges. Selon Luc 22:19 (comp. I Cor. 11:24) le Seigneur a ajouté les mots: « Cela faites en mémoire de moi ». Certains déduire de ces mots que la Cène instituée par Jésus n’était plus qu’un repas commémoratif. Il est tout à fait évident, cependant, particulièrement de John 06:32, 33, 50,51; I Cor. 11:26-30, qu’il devait être bien plus que cela; et dans la mesure où il a eu signification de memorial, il a été conçu comme un mémorial de l’ouvrage sacrificiel du Christ plutôt que de sa personne. Il y avait un autre mot de commande dans le cadre de la coupe. Après que distribuant le pain du Seigneur aussi prit la coupe, rendit grâces et dit: « Buvez ye tous d’it » ou (selon Luc), « prenez ceci et divisez-la entre vous. » Il est clair que la coupe ici signifie pour ce qu’elle contient, la coupe n’a pu être répartie. De ces mots, il est parfaitement évident que le Seigneur avait l’intention le sacrement à être employé dans les deux genres (sub utraque specie), et que Rome ne va pas en retenant la coupe des laïcs. L’utilisation de ces deux éléments permis à Christ donner une représentation vivante de l’idée que son corps a été brisé, cette chair et de sang ont été séparés et que le sacrement fois nourrit et vivifie l’âme.
c. mots d’explication. Le mot de commande en relation avec le pain est immédiatement suivi par un mot d’explication, qui a donné lieu à vives contestations, à savoir, « Ceci est mon corps ». Ces mots ont été interprétés de différentes manières.
(1) l’église de Rome fait la copule « est » emphatique. Jésus a voulu dire que ce qu’il a tenu dans la main était vraiment son corps, bien qu’il ressemblait et je déguste comme pain. Mais il s’agit d’une position complètement intenable. Selon toute probabilité, Jésus parlait araméen et n’utilisé aucun copule du tout. Et alors qu’il se tenait devant les disciples dans le corps, il ne pouvait pas très bien dire à ses disciples en toute sincérité qu’il tenait son corps dans sa main. En outre, même le point de vue catholique, il ne pouvait pas dire honnêtement, « Ceci est mon corps, » mais ne pouvait que dire, « C’est maintenant de mon corps. »
(2) Carlstadt a estimé roman que Jésus, lorsqu’il a prononcé ces mots, a fait à son corps. Il a fait valoir que le neutre touto pouvait se référer pas d' artos, qui est masculin. Mais pain peut très bien être conçue comme une chose et ainsi dénommé neutre. En outre, une telle déclaration aurait été plutôt stupide dans les circonstances.
(3) Luther et les luthériens aussi stress le mot « est », bien qu’ils admettent que Jésus parlait au sens figuré. Selon eux la figure n’était pas une métaphore, mais une synecdoque. Le Seigneur voulait simplement dire à ses disciples: Si vous avez du pain, vous avez mon corps, moins, et avec elle, bien que la substance des deux reste distincte. Ce point de vue est grevée par la doctrine impossible de l’omniprésence du corps physique du Seigneur.
(4) Calvin et les Églises réformées comprennent les paroles de Jésus métaphoriquement: « il s’agit (autrement dit, est l’abréviation) mon corps. » Une telle déclaration serait juste aussi intelligible aux disciples comme autres déclarations similaires, tels que, « Je suis le pain de vie, » John 06:35, et, « Je suis le vrai CEP, » John 15:1. Dans le même temps, ils rejettent l’opinion, généralement attribuée à Zwingli, que le pain signifie simplement le corps du Christ et soulignent le fait qu’elle sert également de sceller la miséricorde de l’Alliance de Dieu et de transmettre la nourriture spirituelle. À ces mots, Jésus ajoute une autre déclaration, « qui est donné pour vous. » Ces mots selon toute probabilité pour exprimer l’idée que le corps de Jésus est donné au profit ou l’intérêt, des disciples. Il est donné par le Seigneur pour garantir leur rédemption. Naturellement, c’est un sacrifice non seulement pour les disciples immédiats du Seigneur, mais aussi pour tous ceux qui croient.
Il y a aussi un mot d’explication dans le cadre de la coupe. Le Seigneur rend la déclaration importante: « cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang, même que qui est répandu pour vous. » Luc 22:20. Ces mots transmettent un contraste implicite entre le sang du Sauveur, que le sang de la nouvelle Alliance et le sang de l’ancienne alliance mentionné dans Exode 24:8. Ce dernier a été qu’une représentation ténébreux de la réalité du Nouveau Testament. Les mots « à vous » ne s’appliquent pas plus large qu’ils ne le font dans la déclaration faite dans le cadre de la tranche de pain, « qui est donné pour vous. » Il ne doit ne pas être comprise en ce sens sans restriction « à tous les hommes sans discernement, » mais plutôt dans le sens restreint de « pour vous et pour tous ceux qui sont vraiment mes disciples. » Les finales des mots en I Cor. 11:26, « Pour autant de fois que vous mangez ce pain et boire cette coupe, vous proclamer la mort du Seigneur jusqu'à ce qu’il a arrivé, » pointent vers la signification pérenne de la Cène du Seigneur comme un mémorial de la mort du Christ; et clairement intime qu’elle devrait être célébrée régulièrement jusqu'à ce que le retour du Seigneur.
E. LES CHOSES SIGNIFIÉ ET SCELLÉ DANS LA CÈNE DU SEIGNEUR.
1. LES CHOSES SIGNIFIÉ DANS LE SACREMENT. C’est une des caractéristiques d’un sacrement qu’elle représente un ou plusieurs vérités spirituelles au moyen de signes sensibles et vers l’extérieur. Le signe extérieur dans le cas de la Sainte Cène comprend non seulement les éléments visibles employés, mais aussi la fraction du pain et du coulage du vin, l’appropriation du pain et du vin en mangeant et en buvant et eux la communion en communion avec les autres . Les points suivants devraient être mentionnées ici:
r. c’est une représentation symbolique de la mort du Seigneur, I Cor. 11:26. Le fait central de la rédemption, préfigurée dans les sacrifices de l’ancien Testament, est clairement énoncé au moyen de symboles significatifs du sacrement Nouveau Testament. Les paroles de l’institution, « cassé pour vous » et « hangar pour beaucoup », soulignent le fait que la mort du Christ est un sacrifice, au profit et même dans la place, de son peuple.
b. il symbolise aussi la participation du croyant dans le Christ crucifié. Dans la célébration de l’Eucharistie les participants non seulement regardent les symboles, mais reçoivent eux et eux se nourrissent. Au sens figuré, ils « mangez la chair du fils de l’homme et boire son sang, » John 06:53, autrement dit, ils ont symboliquement approprié les avantages garantis par la mort du Christ.
c. qu’il représente, non seulement la mort de Christ comme objet de foi et l’acte de foi qui unit le croyant au Christ, mais aussi l’effet de la présente loi comme donnant la vie, force et joie, à l’âme. Cela est implicite dans les emblèmes utilisés. Tout comme le pain et le vin, nourrissent et dynamiser la vie corporelle de l’homme, alors Christ soutient et anime la vie de l’âme. Croyants sont régulièrement représentés dans l’écriture comme ayant leur vie et la force et le bonheur, dans le Christ.
d. Enfin, le sacrement symbolise également l’union des croyants entre eux. En tant que membres du corps mystique de Jésus Christ, constituant une unité spirituelle, ils mangent du même pain et boire le même vin, I Cor. 10:17; 12:13. recevant les éléments, l’un de l’autre, ils exercent une communion intime avec l’autre.
2. LES CHOSES SCELLÉS DANS LA CÈNE DU SEIGNEUR. Le dîner du Seigneur est non seulement un signe, mais aussi un sceau. C’est perdu de vue par bon nombre de nos jours, qui ont une vision très superficielle de ce sacrement et la considèrent simplement comme un mémorial du Christ et comme un signe de profession chrétienne. Ces deux aspects du Sacrement, à savoir, comme un signe et comme un sceau, ne sont pas indépendants des uns des autres. Le sacrement comme un signe, ou — autrement dit, le sacrement avec tout ce que cela signifie, constitue un sceau. Le joint est attaché aux choses signifiés et est un gage de l’Alliance grâce de Dieu révélée dans le sacrement. Le Catéchisme de Heidelberg dit que Christ a l’intention « de ces signes visibles et les annonces de contributions afin de nous assurer que nous sommes comme vraiment les participants de son vrai corps et le sang, à travers le travail de l’Esprit Saint, que nous recevons par la bouche du corps ces jetons Saintes en souvenir de H im; que tous ses souffrances et obéissance sont aussi certainement nôtre comme si nous nous avions nos propres personnes a souffert et il fit satisfaction à Dieu pour nos péchés. » Les points suivants entrent en considération ici:
a. il prête au participant le grand amour du Christ, a révélé dans le fait qu’il s’est rendu à une mort honteuse et amère pour eux. Cela ne signifie pas simplement qu’il témoigne de la réalité de ce sacrifice, l’abandon de soi, mais qu’il assure le participant croyant de la Cène du Seigneur qu’il a personnellement fait l’objet de cet amour incomparable.
b. en outre, il s’engage le croyant participant de la Sainte-Cène, non seulement l’amour et la grâce du Christ en maintenant s’offre à eux comme leur Rédempteur dans toute la plénitude de son Rédempteur travaille; mais lui donne l’assurance personnelle que toutes les promesses de l’Alliance et toutes les richesses de l’offre de l’Évangile sont siens grâce à un don divin, afin qu’il ait une réclamation personnelle sur eux.
c. encore une fois, il ne ratifie pas uniquement au participant croyant les riches promesses de l’Évangile, mais il lui assure que la bénédiction du Salut est siens en possession effective. Aussi sûrement que le corps est nourri et rafraîchi par le pain et le vin, aussi sûrement est l’âme qui reçoit le corps et le sang à travers la foi du Christ même maintenant en possession de la vie éternelle, et aussi sûrement qu’il recevra toujours plus abondamment.
d. Enfin, le Seigneur s Cène est un sceau réciproque. C’est un insigne de profession, la part de ceux qui participent de la Sainte-Cène. Chaque fois qu’ils mangent le pain et boivent le vin, ils professent leur foi en Christ comme leur Sauveur et leur allégeance à lui comme leur roi, et ils s’engagent solennellement une vie d’obéissance à ses commandements divins.
F. L’UNION SACRAMENTELLE OU LA QUESTION DE LA PRÉSENCE RÉELLE DU CHRIST DANS LA CÈNE DU SEIGNEUR.
Cette question que nous entrons à ce qui a longtemps été et est encore, l’occasion pour les divergences d’opinions considérables dans l’église de Jésus Christ. Il n’est nullement une opinion unanime quant à la relation du signe à la chose signifiée, c'est-à-dire, quant à la nature de la présence du Christ dans l’Eucharistie. On compte notamment quatre vues qui entrent en considération ici.
1. LA VUE DE ROME. L’église de Rome conçoit l’union sacramentelle dans un sens physique. Il se justifie guère, cependant, en parlant de toute union sacramentelle du tout, car selon sa représentation il n’y a pas de syndicat au sens propre du mot. Le signe n’est pas joint à la chose signifiée, mais fait place à elle, depuis les anciens cols dans ce dernier. Quand le prêtre prononce la formule, «hoc est corpus meum», pain et vin changent en corps et sang du Christ. Il est admis que, même après le changement les éléments regarder et le goût de pain et du vin. Alors que la substance des deux est changé, leurs propriétés restent les mêmes. Sous la forme du pain et du vin, le corps physique et le sang du Christ sont présents. Le sol supposé scripturaire pour cela se trouve dans les paroles de l’institution, « cette est mon corps » et à John 06:50 ff. Mais l’ancien passage est clairement tropical, comme ceux dans Jean 14:6; 15:1; 10:9 et autres; et ce dernier, littéralement compris, apprendrait plus que les catholiques romains se serait prêt à accorder, à savoir, que tout le monde qui mange la Cène du Seigneur va au ciel, alors que plus personne qui ne parvient pas à manger, il obtiendra la vie éternelle (cf. versets 53,54). En outre, verset 63 pointe clairement vers une interprétation spirituelle. En outre, il est tout à fait impossible de concevoir le pain que Jésus a rompu comme étant l’organe qui a été la manipulation et il est à noter que l’écriture appelle pain même après on le cense avoir été trans-étayées, I Cor. 10:17; 11:26, 27, 28. ce point de vue de Rome viole également les sens humains, où il demande à nous faire croire que ce qui a un goût et ressemble à pain et le vin est vraiment de chair et de sang; et la raison humaine, où il faut croyance en la séparation d’une substance et de ses propriétés et en présence d’un corps matériel en plusieurs endroits en même temps, qui vont à l’encontre de raison. Par conséquent, l’élévation et l’adoration de l’hôte est également sans aucun fondement adéquat.
2. LA VUE LUTHÉRIENNE. Luther a rejeté la doctrine de la transsubstantiation et remplacé par la doctrine connexe de la consubstantiation. Selon lui le pain et le vin restent ce qu’ils sont, mais il y a dans la Sainte Cène néanmoins une mystérieuse et miraculeuse présence réelle de la personne de Christ, corps et le sang, dans, sous et parallèlement, les éléments. Lui et ses partisans soutiennent la présence locale du corps physique et le sang du Christ dans le sacrement. Luthériens parfois nient qu’ils enseignent la présence du Christ dans l’Eucharistie, mais ensuite ils attribuent au mot « local » un sens non conçu par ceux qui attribuent cet enseignement leur. Quand on dit qu’ils enseignent la présence locale de la nature physique du Christ, que cela ne signifie pas que tous les autres organes sont exclus de la même portion de l’espace, ni que la nature humaine du Christ est nulle part ailleurs, comme, par exemple, dans les cieux; mais il ne veut pas dire que la nature physique du Christ est localement présente dans l’Eucharistie, que magnétisme est localement dans l’aimant, et que l’âme est localement dans le corps. Par conséquent, ils enseignent également le soi-disant manducatio oralis, ce qui signifie que ceux qui participent à des éléments dans la Sainte Cène mangent et boivent le corps du Seigneur et le sang « avec la bouche corporelle » et ne consiste pas seulement à elles d’ouvrir ces par la foi. Indignes communiants aussi les recevoir, mais à leur condamnation. Cette vue est sans grande amélioration sur la conception catholique, bien qu’elle n’implique pas le miracle maintes fois répétée d’un changement de fond moins un changement d’attributs. Il fait vraiment les paroles de Jésus moyenne, « cela accompagne mon corps », une interprétation qui est plus probable qu’un des autres. En outre, elle est grevée par la doctrine impossible de l’omniprésence de la nature humaine glorifiée du Seigneur, dont plusieurs luthériens auraient volontiers jeter.
3. LA VUE ZWINGLIENNE. Il y a une impression très générale, pas tout à fait sans fondement, que les avis de Zwingli du dîner du Seigneur était très défectueux. Il est généralement allégué avoir enseigné que c’est un simple signe ou un symbole, au sens figuré représentant ou signifiant vérités spirituelles ou bénédictions; et que sa réception est une simple commémoration de ce que Christ a fait pour les pécheurs et surtout un insigne des chrétiens de profession. Cela ne rend guère justice au réformateur Suisse, cependant. Certaines de ses déclarations sans doute véhiculent l’idée que lui, le Sacrement n’était qu’un rite commémoratif et un signe et le symbole de ce que le croyant s’engage dedans. Mais ses écrits contiennent également des déclarations qui pointent vers une signification plus profonde de l’Eucharistie et le contempler comme un sceau ou gage de ce que Dieu fait pour le croyant dans le sacrement. En fait, il semble avoir changé son point de vue quelque peu au cours du temps. Il est très difficile de déterminer exactement ce qu’il croyait en cette matière. Évidemment, il voulait exclure de la doctrine de la Sainte Cène de tout mysticisme inintelligible et montre un penchant excessif sur le côté de la sobriété et la simplicité dans son exposition. Il s’exprime parfois à l’esprit que c’est un simple signe ou un symbole, une commémoration de la mort du Seigneur. Et bien qu’il en parle en passant aussi comme un phoque ou donner en gage, il certainement ne fait pas justice à cette idée. En outre, pour lui, l’accent tombe sur ce que le croyant, plutôt que sur ce que Dieu, annoncées dans le sacrement. Il a identifié la consommation du corps de Christ par la foi en lui et une confiance confiant sur sa mort. Il a nié la présence corporelle du Christ dans l’Eucharistie, mais n’a pas nié que Christ est-il présent de manière spirituelle à la foi du croyant. Christ est présent uniquement dans sa nature divine et dans l' appréhension de l’auteur croyant.
4. LA VUE RÉFORMÉE. Calvin s’oppose à la doctrine de Zwingli de la Sainte Cène, (a) qu’il permet à l’idée de ce que le croyant ne dans le sacrement d’éclipser le don de Dieu et (b) qu’il voit dans la consommation du corps de Christ rien plus ni supérieure à la foi en son nom et de la confiance en sa mort. Selon lui, le sacrement est relié non seulement avec les précédents travaux du Christ, avec le Christ mort (que Zwingli semble penser), mais aussi avec le présent travail spirituel du Christ, avec le Christ qui vit dans la gloire. Il croit que Christ, quoique pas corporel et localement présent dans la Cène, est encore présente et apprécié dans sa personne entière, aussi bien du corps et du sang. Il met l’accent sur la communion mystique des croyants avec toute la personne du Rédempteur. Sa représentation n’est pas tout à fait claire, mais il semble vouloir dire que le corps et le sang du Christ, bien qu’absente et présenter localement seulement dans le ciel, communiquer une influence vivifiante pour le croyant, lorsqu’il est dans l’acte de réception des éléments. Qu’influence, même si c’est vrai, n’est pas physique mais spirituel et mystique, est véhiculé par le Saint-esprit et est conditionnée à l’acte de foi selon lequel l’auteur reçoit symboliquement le corps et le sang du Christ. Quant à la façon dont cette communion avec le Christ est assurée, il y a une représentation binaire. Parfois, elle est représentée comme si par la foi, l’auteur de la communication soulève son cœur vers le ciel, où Christ est; parfois, comme si le Saint-Esprit apporte l’influence du corps et du sang du Christ jusqu'à l’auteur de la communication. Dabney rejette positivement la représentation de Calvin comme si l’auteur de la communication participe du même corps et sang du Christ dans le sacrement. C’est sans doute un point obscur dans la représentation de Calvin. Il semble parfois trop insister sur la chair et le sang littéral. Cependant, ses paroles sont peut-être être comprise de manière sacramentelle. autrement dit, dans un sens figuré. Ce point de vue de Calvin se trouve dans nos normes confessionnelles. Une interprétation très commune du point douteux dans la doctrine de Calvin, est que le corps et le sang du Christ sont présents seulement virtuellement, autrement dit, selon les termes de m. Hodge, que « les vertus et les effets du sacrifice du corps du Rédempteur sur la Croix sont faites prese NT et sont effectivement transmise dans le sacrement du récepteur digne par la puissance du Saint-Esprit, qui utilise le Sacrement, tout comme son instrument selon son souverain. »
G. LE REPAS DU SEIGNEUR UN MOYEN DE GRÂCE ET SON EFFICACITÉ.
Le sacrement de l’Eucharistie, instituée par le Seigneur lui-même comme un signe et le sceau, est ainsi également un moyen de la grâce. Christ a instituée au profit de ses disciples et de tous les croyants. C’était clairement l’intention du Sauveur que ses disciples devraient tirer profit par participation à celle-ci. Cela découle du fait qu’il a instituée comme un signe et le sceau de l’Alliance de grâce. Il peut aussi facilement être déduites de la symbolique de manger et boire, qui pointent vers nourriture et accélère, et de tels passages comme John 06:48-58 (indépendamment de la question, si cela se réfère directement à la Sainte Cène ou non) et j’ai Cor. 11:17.
1. LA GRÂCE REÇUE AU REPAS DU SEIGNEUR. L’Eucharistie est destiné pour les croyants et pour les croyants seulement et n’est donc pas un rôle déterminant dans le œuvre de grâce dans le cœur du pécheur. La présence de la grâce de Dieu est présupposée dans les coeurs des participants. Administré Jésus à ses disciples profès seulement; selon les actes 02:42, 46, ils croyaient persévéraient dans la fraction du pain; et dans I Cor. 11:28, 29, souligne la nécessité de l’auto-examen avant participant à la Cène du Seigneur. La grâce reçue dans le Sacrement ne diffère pas en nature de ce que les croyants reçoivent par l’intermédiaire du mot. Le sacrement simplement ajoute à l’efficacité de la parole et donc à la mesure de la grâce reçue. C’est la grâce d’une sans cesse plus étroite communion avec le Christ et de la nourriture spirituelle et accélère, une assurance croissante du Salut. Les noms de l’église catholique romaine spécifiquement sanctifiant grâce, grâces particulières de réelles, la rémission des péchés véniels, préservation du péché mortel, ainsi que l’assurance du Salut.
2. LA MANIÈRE DANS LAQUELLE CE GRACE EST FORGÉ. Comment le Sacrement ne fonctionne pas à cet égard ? Est la Cène du Seigneur en quelque sorte une cause méritoire de la grâce conférée ? Il confère-t-elle grâce quelle que soit la condition spirituelle du destinataire, ou non ?
a. catholique la vue. Pour les catholiques, l’Eucharistie n’est pas simplement un sacrement, mais aussi un sacrifice; C’est même pas d’abord un sacrifice. C’est « la réforme non sanglante du sacrifice de la Croix ». Cela ne signifie pas que la Cène du Seigneur Christ réellement décès du nouveau, mais qu’il subit un changement externe, qui est en quelque sorte équivalent à mort. Le Seigneur ne parlait du pain comme son corps qui fut brisée pour les disciples et du vin en son sang qui a été répandu pour eux ? Controversialists catholiques donnent parfois l’impression que ce sacrifice a uniquement un caractère représentatif ou commémoratif, mais ce n’est pas la véritable doctrine de l’église. Le sacrifice du Christ dans l’Eucharistie est considéré comme un vrai sacrifice et est censé pour avoir valeur propitiatoire. Lorsque la question se pose, ce que ce fond de sacrifice pour le pécheur, les autorités catholiques commencent à couvrir et pour parler le langage incohérent. La déclaration de Wilmers dans son Manuel de la Religion chrétienne, qui est utilisé comme un manuel dans beaucoup d’écoles catholiques romaines, peut être donnée à titre d’exemple. Il dit à la page 348: « par le fruit du sacrifice de la messe, nous comprenons les effets qu’elle produit pour nous, dans la mesure où c’est un sacrifice d’expiation et impetration: (a) pas seulement surnaturel grâces, mais aussi naturelle faveurs; (b) la rémission des péchés et de la peine à cause de leur. Ce que Christ mérité pour nous par sa mort sur la Croix est appliqué à nous dans le sacrement de la messe. » Après le sacrifice de la Messe est un sacrifice d’expiation, la dernière phrase semble dire que c’est après tout seulement un sacrifice dans lequel ce qui méritait de Christ sur la Croix est appliqué aux participants.
En ce qui concerne l’Eucharistie est un sacrement, l’église catholique romaine enseigne que cela fonctionne, ex opere operato, c'est-à-dire, « en vertu de l’acte sacramentel lui-même et non en vertu des actes ou la disposition du bénéficiaire ou de la solvabilité du ministre (ex opere operantis). » Cela signifie que toute personne qui reçoit les éléments, he perverse ou pieux, reçoit également la grâce signifié, qui est conçu comme une substance contenue dans les éléments. Le rite sacramentel lui-même traduit grace à l’acquéreur. Dans le même temps, elle enseigne également, de manière plutôt irrégulière, il semblerait que les effets du sacrement peuvent être partiellement ou complètement frustrés par l’existence d’un obstacle, en l’absence de cette disposition qui rend l’âme capable de recevoir la grâce, ou par la faute du prêtre de l’intention de faire ce que l’église ne.
b. l’opinion dominante protestante. L’opinion qui prévaut dans les églises protestantes, c’est que le Sacrement ne fonctionne pas ex opere operato. Ce n'est pas en soi une cause de la grâce, mais simplement un instrument dans la main de Dieu. Son bon fonctionnement dépend, non seulement sur la présence, mais sur l' activité, de la foi chez le receveur. Mécréants peuvent recevoir les éléments extérieurs, mais ne reçoivent pas la chose signifiée ainsi. Certains luthériens et les épiscopaliens église haute, cependant, dans leur désir de maintenir le caractère objectif du Sacrement, clairement manifeste un penchant vers la position de l’église de Rome. « Nous croyons, enseigner et avoue », dit la formule de concorde, « que non seulement les vrais croyants en Christ et comme approche dignement la Cène du Seigneur, mais aussi l’indigne et incrédules recevoir le vrai corps et le sang du Christ; en telle sorte, néanmoins, qu’ils tirent de là ni consolation, ni la vie, mais plutôt en tant que cette réception se tourne vers leur jugement et leur condamnation, à moins qu’ils soit converti et repens-toi (I Cor. 11:27, 29).
H. LES PERSONNES POUR QUI LA CÈNE DU SEIGNEUR EST INSTITUÉE.
1. LES PARTICIPANTS APPROPRIÉS DU SACREMENT. En réponse à la question, « pour qui est la Sainte Cène instituée ? » dit le Catéchisme de Heidelberg: « pour ceux qui sont vraiment mécontent avec eux-mêmes pour leurs péchés et encore faire confiance que ceux-ci sont pardonnés par souci de Christ et qui leur reste infirmité est couvert par sa passion et sa mort; qui aussi aspirent plus à renforcer leur foi et à modifier leur vie. » À ces mots, qu'il semble que la Sainte Cène a été instituée pas pour tous les hommes indistinctement, ni même pour tous ceux qui ont une place dans l’église visible du Christ, mais seulement pour ceux qui se repentent sincèrement de leurs péchés, confiance que ceux-ci ont été couverts par l’aton ING le sang de Jésus Christ et sont désireux d’augmenter leur foi et de croître en sainteté véritable de la vie. Les participants de la Cène du Seigneur doivent être pécheurs repentants, qui sont prêts à admettre qu’ils sont perdus en eux-mêmes. Ils doivent avoir une foi vivante en Jésus-Christ, afin qu’ils font confiance pour leur rédemption dans le sang expiatoire du Sauveur. En outre, ils doivent avoir une bonne compréhension et l’appréciation de la Cène du Seigneur, doivent discerner la différence entre elle et un repas commun et doivent être impressionnés par le fait que le pain et le vin sont les jetons du corps et du sang du Christ. Et, enfin, ils doivent avoir une volonté Sainte pour la croissance spirituelle et croissant conformité à l’image du Christ.
2. CEUX QUI DOIVENT ÊTRE EXCLUS DE LA CÈNE DU SEIGNEUR. Étant donné que l’Eucharistie est un sacrement d’et pour l’église, il s’ensuit que ceux qui sont à l’extérieur de l’église ne peut pas prendre part à elle. Mais il est nécessaire de préciser les limites encore plus loin. Pas encore tout le monde qui a sa place dans l’église peut être admis à la table du Seigneur. Convient de noter les exceptions suivantes:
a. les enfants, bien qu’ils étaient autorisés à manger la Pâque à l’époque de l’ancien Testament, on ne peuvent permettre de prendre part à la table du Seigneur, car ils ne peuvent pas satisfaire aux exigences de digne participation. Paul insiste sur la nécessité de l’auto-examen avant la célébration, quand il dit: « Mais laisser un homme faire ses preuves et donc il mange du pain et boive de la coupe », j’ai Cor. 11:28, et les enfants ne sont pas en mesure d’examiner eux-mêmes. En outre, il souligne que, afin de prendre le dîner d’une manière digne, il faut discerner le corps, I Cor. 11:29, c'est-à-dire, pour distinguer correctement les éléments utilisés dans la Sainte Cène et ordinaire pain et du vin, en reconnaissant les éléments tels que les symboles du corps et du sang du Christ. Et c’est aussi, au-delà de la capacité de l’enfant. C’est seulement après que qu’ils en sont venus à ans d’un pouvoir discrétionnaire qu’ils peuvent être autorisés à se joindre à la célébration de l’Eucharistie.
b. ces mécréants que peut éventuellement être dans les limites de l’Eglise visible n’ont aucun droit à prendre part à la table du Seigneur. L’église doit exiger de tous ceux qui désirent célèbrent la Cène de crédible profession de foi. Naturellement, elle ne peut pas regarder dans le cœur et pouvez seulement baser son jugement concernant un candidat à l’admission sur sa confession de foi en Jésus Christ. Il est possible qu’elle avoue parfois hypocrites les privilèges de la pleine communion, mais ces personnes en participant à la Cène du Seigneur seront seulement manger et boire arrêt à eux-mêmes. Et si leur incrédulité et leur impiété devient évidente, l’église devra exclure de la bonne administration de la discipline de l’église. La sainteté de l’église et du sacrement doit être sauvegardée.
c. même les vrais croyants peuvent ne pas prendre part l’Eucharistie dans toutes les conditions et dans chaque État d’esprit. La condition de leur vie spirituelle, leur relation consciente avec Dieu et leur attitude envers leurs collègues chrétiens peut-être être telles que de disqualifier à s’engager dans un tel exercice spirituel comme la célébration de l’Eucharistie. C’est clairement impliqué dans ce que dit Paul dans I Cor. 11:28-32. Il y avait des pratiques au sein des Corinthiens qui vraiment fait de leur participation à la Cène du Seigneur une moquerie. Lorsqu’une personne est consciente d’être séparé du Seigneur ou de ses frères, il a pas sa place appropriée à une table qui parle de la communion. Il faudrait indiquer explicitement, toutefois, que manque de l’assurance du Salut ne besoin pas dissuader quiconque de venir à la table du Seigneur, puisque la Sainte Cène a été instituée dans le but de renforcer la foi.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Est il possible de prouver que le dîner du Seigneur a pris la place de la Pâque de l’ancien Testament ? Comment ? Est-il permis de couper le pain en carrés avant l’administration de la Cène du Seigneur et d’utiliser la coupe individuelle ? Ce que signifie le terme « présence réelle » dans le cadre de ce sacrement ? La Bible enseigne-t-elle qu’une telle présence réelle ? Si oui, est il favorable à l’idée que la nature humaine du Christ est présente dans l’état d’humiliation, ou dans celui de la glorification ? Qu’entend-on par la doctrine réformée de la présence spirituelle ? Le discours de Jésus dans Jean 6 s’applique-t-elle vraiment à la Cène du Seigneur ? Comment Rome défend-elle la célébration de l’Eucharistie sous une seule espèce ? Comment la conception de la Sainte Cène comme un sacrifice a‑t‑elle pris naissance ? Quelles objections sont là pour cette notion ? « Manger le corps » simplement équivaut à croire en Jésus-Christ ? Communion ouverte est défendable ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, p. 590-644; Kuyper, Dict. dogme., De Sacramentis, pp. 158-238; Vos, Geref. Dogme. V. de Genademiddelen, pp. 134-190; Hodge, Syst. Theol. III, p. 611-692; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 800-817; Bannerman, L’église du Christ, II, pp. 128-185; Cunningham, les réformateurs et la théologie de la réforme, p. 212-291; Valentine, Chr. Theol. II, p. 335-361; Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Ch., pp. 558-584; Browne, Exposition des trente-neuf Articles, p. 683-757; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 464-532; Carle, Le Salut Christian, pp. 179-204; Pieper, Christl. Dogme. III, pp. 340-458; Pape, Chr. Theol. III, pp. 325-334; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., p. 327-349; Moehler, symbolisme, pp. 235-254; Schaff, du père de notre foi et la nôtre, pp. 322-353; Otten, Manuel de l’Hist. du dogme II, pp. 310-337; Hebert, souper du Seigneur , (deux vols.) cf. Index; Ebrard, dogme Das vom Heiligen Abendmahl, FC. Indice; Calvin, instituts, livre IV, chapitres 17 et 18; Wielenga, Ons Avondmaalsformulier; Lambert, les sacrements dans le Nouveau Testament, pp. 240-422; MacLeod, le ministère et les sacrements de l’église d’Écosse, pp. 243-300.
LES ERREURS DU SACRAMENTALISME
Définitivement la déviation de la foi réelle la plus répandue est celle qui donne une importance capitale à des symboles, rituels ou phénomènes religieux qui ont pour but soit la sanctification de celui ou celle qui en est l’objet, ou pour avoir une reconnaissance d’être membre d’une église ou dénomination quelconque. Dans plusieurs milieux on confère un caractère sacré aux éléments de ces symboles ou rituels, l’eau dans le baptême, le pain et le vin dans la Cène, qui frôle l’idolâtrie. Même si plusieurs les regardent uniquement comme des symboles, on en fait des rituels obligatoires pour devenir membre d’une église ou pour participer à des fonctions d’un caractère clos réservés uniquement à ceux qui les ont reçus. Ils sont les moyens par excellence de manipulations au sein des dénominations qui les utilisent pour justifier leur existence et pour exploiter leurs membres. L’union mystique de la Présence de Christ est regardée comme s’appliquant de quelques façons, soit aux éléments ou soit au croyants qui y participent. Ceci est la plus pernicieuse de toutes les erreurs sur la nature de l’union mystique. Objectivement elle fait de la grâce de Dieu un élément substantiel, ou subjectivement elle prétend confirmer les bénédictions de la grâce sur le participant qui les regarde seulement comme un symbole ou un mémorial. Elle a tendance à rendre soit l’église, le ministre ou pasteur, dépositaire de la grâce qui est transmise soit aux éléments ou à la pratique des rituels. Pour toutes ces raisons et pour plusieurs autres, nous devons consacrer de la place à ce sujet important.
Inutile de détailler les erreurs et les abominations du Catholicisme Romain – par rapport au Catholicisme Protestant. Le sacrilège de la Messe et le dieu galette du culte solaire des papistes ont été reconnus et condamnés par un grand nombre de chrétiens à travers l’histoire. Il s’agit plutôt ici de se concentrer sur les Moyens de Grâce du Protestantisme qui inclus les deux sacrements ou ordonnances du Baptême et de la Sainte-Cène nommée aussi le Repas du Seigneur et la Pâque Chrétienne. Bien que le terme «Moyen de Grâce» est employé par eux dans un sens plus large qui inclus les sacrements ou les ordonnances, il importe d’affirmer dès le début qu’il existe seulement cinq Moyens de Grâce réels dans les Écritures: 1) la Parole de Dieu; 2) la foi; 3) la prière; 4) la louange; 5) la communion fraternelle. Cela dit, le Protestantisme, incluant plusieurs groupes dissidents, ajoutent aux Moyens de Grâce certains moyens ou pratiques extérieurs par lesquels ils affirment que le Saint-Esprit préserve la foi. S’il est vrai que le Saint-Esprit engendre et fortifie la foi par les Moyens de Grâce mentionnés ci-haut, il en advient que ce n’est pas le cas avec le Baptême d’eau et le Repas du Seigneur, tels qu’ils sont compris généralement. Le concept des sacrements ou ordonnances est une offense sérieuse à l’union mystique de la Sainte-Présence de Christ en nous, si non un blasphème dangereux. Selon le Protestantisme, la définition d’un sacrement est «une ordonnance Sainte de Dieu, instituée par le Christ, dans laquelle, par un signe visible ou sensible, la grâce de Dieu est représentée et appliquée aux croyants. Ceux-ci expriment en retour leur foi et leur obéissance envers Dieu en y participant activement d’une foi sincère». Or, non seulement que les sacrements ou ordonnances ne sont pas nécessaire au salut, le Saint-Esprit n’a besoin d’aucun intermédiaire pour appliquer sa grâce. En disant qu’un croyant doit exprimer sa foi et son obéissance en participant aux sacrements ou ordonnances, ce concept tombe dans l’Arminianisme dont l’enseignement est de plaire à Dieu par son obéissance, selon son libre-choix. Comme signe extérieur, seul la Parole de Dieu peut engendrer le moyen de la foi par laquelle nous recevons la grâce, et cela est un don gratuit de Dieu qui n’a aucun rapport avec l’obéissance de l’individuel (Romains 10:17; Éphésiens 2 :8). Personne ne peut contribuer quoi que ce soit ni coopérer avec l’Esprit pour recevoir la grâce. L’Esprit se sert aussi de la prière, de la louange, et de la communion fraternelle pour que nous récoltions les bénédictions qui découlent de la grâce. Ceux-ci n’engendrent pas la foi mais la fortifie. Les sacrements ou ordonnances sont non seulement inutiles dans ce domaine, ils entravent la foi en remettant le croyant sous des pratiques issues de la loi, et s’opposent au ministère vicarial de Christ qui a été baptisé à notre place et qui a participé au repas de la Pâque à notre place afin d'accomplir la loi pour nous. Prétendre que Christ a institué ces rituels après nous avoir délivré de la loi et de ses ordonnances (Colossiens 2:14), est une déviation sérieuse par rapport à la foi, si non un renversement complet de la foi même que l’Écriture nomme «l'apostasie».
a) Le Baptême d’eau:
On dit qu’après sa résurrection, Christ a institué le baptême d’eau. Les passages principaux utilisés pour légitimer le rituel du baptême d’eau sont: Matthieu 28:19; Marc 16:16. Il est dit que dans ces passages Jésus a chargé ses disciples de baptiser d’eau ceux qui venaient à la foi. Mais, comme il fut démontré souvent auparavant, on a beau regarder ces passages dans le Français, l’Anglais, le Grec, et l’Araméen et on y trouve aucune goutte d’eau. Pour voir un baptême d’eau dans ces passages il faut l’introduire dans le texte sous la base d’une conjecture, en d’autres mots il faut faire dire à la Bible ce qu’elle ne dit pas. A vrai dire, la théologie des diverses églises et dénominations est remplie de telles conjectures. La subtilité de la légitimation du baptême d’eau se trouve dans l’affirmation de plusieurs qu’il remplace la circoncision sous la loi (Colossiens 2:11,12). Ici les embûches sont les mots «ensevelis» et «baptême». Le mot «ensevelis», que nous retrouvons aussi dans Romains 6:4, en porte plusieurs à la confusion et les prétentions sont nombreuses à ce niveau. Dans le Grec, le mot «ensevelis» est «SUNTHAPTÖ» et signifie «être enveloppé, caché en, unir avec, assimilé, être incorporé, être intégré, être absorbé, être identifié». Ces passages n’indiquent pas que nous avons été ensevelis avec Christ dans le tombeau, mais que nous avons été unis à lui ou intégré en sa mort et sa résurrection. Nous avons été «incorporé» dans la mort de Christ, et Christ est mort sur la croix et non dans la tombe. Inverser cela serait renverser l’Évangile, et c’est exactement cela que font ceux qui pratiquent le baptême d’eau par immersion, nous indiquant que le baptême de cornichons est anti-biblique. Le gros du problème réside avec l’interprétation du mot «baptême». Le fait aussi que le mot «baptême» est un mot translittéré et non une traduction n’aide pas le cas. Nous avons tellement été conditionnés depuis des siècles par différentes religions à tendances chrétiennes, que notre esprit associe inconsciemment le mot baptême avec l’eau. Aussi, un des facteurs importants dans ce contexte est l’indolence de ceux qui se disent chrétiens. Ils veulent à tout prix éviter de se donner la peine de vérifier de tels sujets, et préfèrent suivre aveuglement l’enseignement de leur église ou de leur pasteur. Ils refusent de penser pour eux-mêmes de crainte d’offenser leurs dirigeants spirituels avec la vérité, ou d’être exclus de leur église pour avoir pris position contre leurs doctrines. Une telle indolence fait lever le cœur et plusieurs seront vomis de la bouche du Seigneur à cause de cela (Apocalypse 3:16). Or quand l’Écriture parle d’un baptême d’eau, elle ne manque pas de l’indiquer clairement (Luc 3:16). Ce qui veut dire que l’expression «baptiser» n’implique pas toujours que de l’eau soit présente. Ce qui veut dire aussi que le mot «baptiser» détient une autre signification que celle qui lui est généralement attribuée. L’apôtre Pierre décrit clairement la signification du mot baptême comme «l’engagement d’une bonne conscience» (1 Pierre 3:21), et non point un rituel de purification par l’eau. Comme nous voyons, les mots «baptême» et «engagement» sont interchangeables. Dans le Grec, la racine du mot «baptême» qui est «BAPTO» porte différentes nuances dont «ablution, blanchir, innocenter, expier, consacrer, laver, mouiller, tremper, plonger, immerger, baigner, noyer, abîmer, remplir, teindre». Mais dans le contexte de l’évidence que nous apporte l’apôtre Pierre, nous obtenons la réalisation que le mot «BAPTO» est un mot composé de «BA» et «APTO». Ce fut la pratique courante en utilisant des mots composés d’enlever une voyelle si celle-ci était suivie immédiatement d’une voyelle similaire. Ainsi «BA-APTO» devient «BAPTO», et il est intéressant de voir que «BA» signifie littéralement «un appel» et que «APTO» signifie «engager».
BA
Dictionnaire Grec-Français de M. Quenon
BA
Dictionnaire Grec-Français de J. Planche
APTO - 1
Dictionnaire Grec-Français de J. Planche, pg. 185
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APTO - 2
Dictionnaire Grec-Français de J. Planche, pg. 186 |
Le terme «APTO» porte aussi les nuances de «cri, allumer, enflammer, nouer, attacher, fixer, accrocher, lier, prendre, s’emparer, saisir». Nous entrons ainsi dans l’essence réelle du mot baptême, et nous voyons que le Seigneur Jésus n’a pas chargé ses disciples de baptiser d’eau «les nations» (Matthieu 28:19,20), ce qui serait un non-sens, mais de «les appeler à s’engager» dans la foi en son sacrifice expiatoire vicarial et en sa résurrection. En faisant ainsi, nous voyons que Marc 16:16 dit: «Celui qui aura cru, et qui aura été ENGAGÉ, sera sauvé…», démontrant que la foi et l'engagement sont une seule et même chose. La structure grammaticale de ce passage nous indique que la foi est relié intrinsèquement à l’engagement, car c’est par la foi que nous sommes ENGAGÉS dans les mérites du sacrifice de Christ; nous avons été ENGAGÉS ou INTRODUIT dans sa mort et dans sa résurrection (Romains 6:3-5), nous sommes LIÉS à Lui par le fait qu’il est notre substitut. De même la traduction de Matthieu 28:19 devient: «Allez donc et instruisez toutes les nations, les consacrant au NOM unique du Père, savoir du Fils, c'est à dire de la Sainte Présence divine.»
Puisque tel est le cas, le baptême d’eau n’est plus d’aucune utilité, en fait, il n’a plus sa place dans l’économie de la grâce, rituellement ou symboliquement. Pour faire le point, il est important de remarquer que le baptême d’eau n’est pas un nouvel élément dans le Nouveau Testament qui apparaît à l’improviste comme le poil proverbial dans la soupe du Texte Sacré. Le fait que les pharisiens reprochèrent à Jean le Baptiste de baptiser (Jean 1:24-26) est l’évidence qu’ils connaissaient déjà cette pratique. En plus, leur question, «Pourquoi donc baptises-tu, si tu n’es point le Christ, ni Élie, ni le prophète?», est l’indication que le baptême d’eau était déjà connu des prophètes de l’Ancien Testament. En fait, le contexte de Jean 3:23-26 indique clairement que le baptême d’eau faisait partie des rituels de purification de la loi. La preuve de ceci se trouve dans Hébreux 9:10 où nous voyons dans le Grec que le mot «BAPTISMOÏS» ou «baptême» a été traduit par «ablutions» et non immersion, le terme étant au pluriel pour indiquer qu’il y avait plusieurs différents baptêmes ou ablutions sous la loi, comme l’indique aussi Hébreux 6:2. La forme ou mode d’application de l’eau est aussi décrite dans l’Ancien Testament. Dans la prophétie d’Ézéchiel, le mode est l’effusion (verser de l’eau), «je répandrai (verserai) sur vous des eaux nettes» (Ézéchiel 36:25); dans la loi, le mode est l’aspersion, «tu feras aspersion sur eux de l’eau de purification» (Nombres 8:5-7), les deux formes étant valides sous l’Ancienne Alliance. Le baptême d’eau détenait un caractère prophétique dont le but était d’annoncer la manifestation du Messie à Israël, et c’est exactement cela que Jean le Baptiste, le dernier des prophètes de l’Ancienne Alliance, déclare dans Jean 1:31. En d’autres mots, à la manifestation de Jésus, le baptême d’eau avait accompli son but et n’était plus nécessaire. Que les premiers disciples continuèrent pour un temps à utiliser cette pratique, est tout simplement du au fait que la loi resta en vigueur du temps que le temple demeurait, jusqu’à sa destruction finale en l’an 70. Pour une période transitoire de quarante ans après la résurrection et l’ascension du Seigneur Jésus, la loi et la grâce coexistèrent ensemble pour servir de signe aux Juifs que le Royaume de Dieu traversait les frontières d’Israël pour être annoncé aux Gentils. Les Juifs qui se convertissaient sous la grâce continuèrent quand même à observer la loi, mais ils n’imposèrent point cette pratique aux Gentils qui n’avaient aucun rapport avec la loi donnée à Moïse (Actes 15:4-29), et cela est important à remarquer pour nous qui ne sommes pas Juifs de sang, mais d'Esprit. Or, puisque Jésus a accompli parfaitement la loi pour nous comme notre substitut, et qu’il a aboli toutes ses ordonnances par son sacrifice sur la croix (Colossiens 2:13-15), il est évident que le baptême d’eau qui faisait parti des ordonnances fut aboli aussi. Que le baptême d’eau continua d’être pratiqué après le départ des apôtres, fait parti de l’avertissement de l’apôtre Paul contre les faux docteurs et les fausses doctrines qu’il avait prévu (Actes 20:28-31). Paul déclare qu’il y a maintenant «un seul baptême» (Éphésiens 4:5), celui d’être ENGAGÉ dans la mort et la résurrection de Christ (Romains 6:3-5; Colossiens 2:11,12). Ainsi coule à pic le sacrement ou ordonnance du baptême dans les eaux stagnantes de son inconsistance.
Considérant tout ce qui vient d’être dit, il n’y a aucun doute que le baptême d’eau, tel que pratiqué par les églises, les dénominations, et les groupes dissidents, sert à remettre le croyant sous la loi après lui avoir annoncé la grâce. Dans ces milieux, le baptême d’eau n’est pas un moyen de grâce mais un moyen d’exploitation. Tout chrétien réel doit être conscient du danger qu’encours une telle perversion de la foi (Galates 1:6,7; 2:4; 3:2,3; 5:4). Mais il y a plus à cette perversion que l’on puisse s’imaginer. Non seulement qu'elle est une attaque à l’union mystique du salut qui annule les mérites du sacrifice de la croix, elle est marquée aussi par la déviation du cléricalisme qui dérobe le croyant de sa liberté en Christ. Les Protestants, tout comme les Catholiques Romains et plusieurs autres sectes comme les Évangéliques, considèrent le baptême d’eau comme légitime seulement lorsqu’il est administré par un ministre dûment accrédité, sauf dans quelques exceptions rares. Non seulement une telle position ne se trouve nul part dans la Bible, mais elle contredit catégoriquement le ministère spirituel ou universel de tous les croyants «d’annoncer les vertus de Celui qui nous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière» (1 Pierre 2:9). Aussi, cela va contraire à l’enseignement de Jésus qui dit: «Quiconque voudra être le premier entre vous, qu’il soit votre serviteur» (Matt. 20:27). Or, les ministres accrédités ne sont pas des serviteurs mais des administrateurs. Leur autorité administrative n’est donc point légitime mais usurpatrice. Les premiers disciples n’avaient aucune accréditation d’une université ni d’un séminaire, et pourtant ils baptisaient plusieurs personnes (Jean 4:1,2). Nous ne disons point ceci pour légitimer le baptême d’eau que nous savons aboli, mais pour condamner ceux qui dominent sur la foi des fidèles (1 Pierre 5:2,3). Nous ne sommes point appelé à la servitude mais à la liberté, ne laissez donc personne dominer sur votre foi par la ruse des accréditations, car le simple disciple vaut plus que tous les administrateurs prétentieux qui s’établissent comme médiateurs de la grâce de Dieu. Ils sont accrédités des hommes et non de Dieu, mais «nous avons reçu l’onction de la Brillante Présence de Christ qui nous enseigne toutes choses, et en laquelle il n’y a point de prétentions» (1 Jean 2:27).
b) Le Repas du Seigneur:
Selon le concept des religions chrétiennes, le baptême doit précéder la participation au Repas du Seigneur. Encore une fois on se retrouve avec des prétentions accréditées qui veulent nous imposer une déviation sérieuse par rapport à la foi. On prétend que le Repas du Seigneur, nommé aussi la Sainte-Cène, l’Eucharistie, la Sainte-Communion, la Pâque Chrétienne, autant que le baptême, est une institution et un commandement de Dieu institué par le Seigneur Jésus, et qu’il doit demeurer en usage jusqu’à la fin des temps. Plus que le premier, ce sacrement ou ordonnance est d’un caractère sectaire qui divise le peuple de Dieu. En effet, selon eux, les personnes qui désirent recevoir le pain et le vin doivent être premièrement baptisés d’eau par immersion avant d’être admises à la Table du Seigneur, car il paraît qu'on y sert des cornichons dans le repas. Certains vont jusqu’à dire que le Baptême d’eau et la Sainte-Cène sont des moyens de justification et de rémission des péchés, et de ce fait ils ne considèrent point qu’ils font parties de la loi, mais qu’ils sont le pur Évangile. Tandis que d’autres n’y voient qu’un symbole ou un mémorial qui confirme et fortifie la foi des participants. La subtilité de la légitimation du Repas du Seigneur se trouve dans l’affirmation qu’il remplace la Pâque juive. Néanmoins toutes ces prétentions, il en advient que la Sainte-Cène a été célébré par Jésus et ses disciples à l’intérieur de la Pâque juive, et que cette célébration fut un rituel issu de la loi qui faisait parti de l’Ancienne Alliance. Ceci est indéniable et dire le contraire serait de le pure folie, si non un manque sérieux de discernement par rapport à la vérité. Il est abhorrant de voir tant de chrétiens qui se disent libérés sous la grâce, continuellement s’obstiner à vouloir se remettre sous la servitude des ordonnances de la loi.
Sous la loi, la Pâque est liée avec l’élément central de l’agneau pascal. Le pain sans levain était mangé avec des herbes amers et l’agneau, et fut consacré par son caractère prophétique qui trouvait son accomplissement en Jésus-Christ qui est «le pain du ciel» (Jean 6:32-35) et «l’Agneau de Dieu» (Jean 1:29). Toute la cérémonie de la Pâque était une célébration qui anticipait la venue du Messie pour le rachat des péchés de son peuple. En d’autres mots, la Pâque était une cérémonie prophétique et vicariale, prophétique car elle annonçait la venue de Christ, vicariale car Christ nous inclus en son sacrifice expiatoire sur la croix où il est mort comme notre substitut. En ce sens, le pain rompu et le vin (non du jus de raisin) représentaient le corps brisé du Seigneur et son sang versé. Cette cérémonie pascale était désigné uniquement pour le temps de la loi. En aucune façon elle anticipait une continuité sous la grâce pour se reproduire dans un mémorial symbolique. Les représentations du corps et du sang de Christ, même au moment où le Seigneur et ses disciples participèrent à la Pâque, étaient uniquement des anticipations du drame de la croix qui était pour se produire le lendemain de leur célébration prophétique. Jésus n’a jamais ordonné l’observation d’un rituel de la loi à perpétuité comme mémorial de son sacrifice. En fait cela irait à l’encontre de son œuvre achevée dans son sacrifice parfait qui ne peut se répéter, et du fait qu’il a accompli la loi dans sa totalité pour nous.
Le Repas du Seigneur n’est pas un signe visible perpétuel de manger et de boire des éléments symboliques, ni est-il un acte de profession de foi et d’obéissance de la part de ceux qui y participent. Il n’est point un sceau attaché à la chose signifiée, ni une garantie de la réalisation de celle-ci pour donner aux croyants l’assurance qu’ils sont l’objet du grand amour de Christ dans son don de soi. Mais le Repas du Seigneur est beaucoup plus que cela. Pour en pénétrer le mystère, il suffit de savoir quelle est la signification des paroles de Jésus «faites ceci en mémoire de moi» (Luc 22:19; 1 Corinthiens 11:23-26). Il ne s’agit pas de s’arrêter sur les paroles «Prenez, mangez : ceci est mon corps» et «ceci est mon sang», car comme nous avons vu, le pain et le vin furent des éléments anticipatoires dans la Pâque depuis Moïse jusqu’à Jésus. En faisant un rapprochement de sa personne avec les éléments du pain et du vin, Jésus confirmait qu’il était le Messie longuement attendu, et qu’il était l’Agneau de Dieu désigné à la boucherie du sacrifice expiatoire. Mais les paroles «faites ceci en mémoire de moi» ont une portée plus vaste et un sens plus profond de l’union mystique. Chose certaine, Jésus ne signifiait pas par ces paroles de prendre littéralement un morceau de pain et un peu de vin en mémoire de Lui. Le Seigneur connaît très bien nos faiblesses humaines et ne mettrait point devant nous des éléments qui risqueraient de nous faire tomber dans l’idolâtrie. Le sens de ces paroles se trouve dans Jean 13:15 dont les évènements du contexte se déroulent dans la même célébration de la dernière Pâque: «Car je vous ai donné un exemple, afin que, comme je vous ai fait, vous fassiez de même». L’Écriture nous indique clairement que ces paroles furent prononcées dans le contexte de la Pâque (Jean 13:1) «après le souper» (Jean 13:2). Dans son enseignement à ses disciples lors de la célébration de la Pâque, Jésus confirme la signification de ses paroles «faites ceci en mémoire de moi» en disant: «Nul n’a un plus grand amour que celui qui donne sa vie pour ses amis» (Jean 15:13). Voici donc le sens réel de ses paroles, «faites ceci en mémoire de moi», non un rituel de la loi dans lequel nous mangeons un morceau de pain et buvons un peu de vin, mais «un exemple» que nous devons suivre et appliquer premièrement envers Lui et deuxièmement envers les frères dans la foi. Comme il a renoncé à tout pour nous, nous devons renoncer à tout pour Lui: «Ainsi quiconque parmi vous ne renonce pas à tout ce qu’il a, ne peut être mon disciple» (Luc 14:33). Ces paroles sont d’une intensité vaste et profonde qui débordent par-dessus la coupe céleste qui les contient pour répandre sur les frères les bénédictions de la grâce dans un exemple pratique. L’enseignement central des paroles «faites ceci en mémoire de moi» est l’amour sacrificiel dont le nom en Grec est «l’AGAPÉ». Comme nous devons renoncer à tout pour Christ, nous devons renoncer à tout pour les frères en qui Christ demeure par sa Sainte et Brillante Présence. Ceci est la seule ordonnance ou le seul commandement que Jésus a donner à ses disciples lors de la Pâque: «C’est ici mon commandement: Que vous vous aimiez l’un l’autre, comme je vous ai aimés» (Jean 15:12). Ceci est l’exemple du témoignage vivant que nous devons porter devant le monde: «En ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour l’un pour l’autre» (Jean 13:35). C’est ici le vrai Repas du Seigneur et celui qui n’y participe pas ou qui rejette cet enseignement n’est pas chrétien et n’a point la vie éternelle en lui (Jean 6:53,54).
Sous la Nouvelle Alliance, il n’existe plus aucun signe matériel visible qui transmet la grâce ou fortifie la foi, choses qui n’étaient que «l’ombre des biens à venir» (Hébreux 10:1) et qui furent «abolies» (Hébreux 12:27). Tous les éléments cultuels qui servaient de signes visibles sous l’Ancienne Alliance de la loi, étaient d’un caractère prophétique comme des préfigurations qui indiquaient la venue du Messie. Une fois le ministère vicarial de Christ accomplit, tous les éléments de la loi n’étaient plus nécessaires, ayant réalisés leur but ils furent abolis et remplacés par la liberté de la grâce qui détient uniquement un caractère spirituel de la Sainte Présence de Christ en nous. Puisqu’il n’y a aucune ordonnance de la loi qui est valide sous la grâce, nous réalisons que Jésus n’a jamais institué aucun sacrement ou ordonnance comme le Baptême d’eau et le Repas du Seigneur, et que ces choses ne sont que les fruits de l’imagination maladive du raisonnement humain qui désire monopoliser la grâce dans le but de remettre les croyants sous la servitude de la loi. Ils ne sont donc pas des Moyens de Grâce mais des moyens d’exploitation qui servent aux dirigeants spirituels des différentes religions dites chrétiennes, dans le but de justifier leur existence inutile et de remplir les coffres et les poches de ceux qui manipulent les gens et les circonstances en leur faveur.
Sachant ces choses, nous pouvons maintenant procéder à regarder l’enseignement de l’apôtre Paul concernant le Repas du Seigneur. Paul affirme que sous la grâce «nous ne connaissons plus Christ selon la chair» (2 Corinthiens 5:16), c’est à dire qu’il n’y a rien qui soit charnelle qui puisse prétendre donner une connaissance de Christ qui soit valide. Précisons immédiatement que la Parole de Dieu ou la Bible, quoique écrite et imprimée sur du papier matériel ou physique, ne peut être considérée comme un élément charnel mais spirituel, car elle respire de la Présence de Dieu même, et les mots qu’elle contient, c’est à dire la structure grammaticale, sont des paroles vivantes et éternelles déterminées par Dieu de toute éternité. Elle nous a été donnée dans le temps, elle sera présente au jugement dernier, et elle sera pour toute l’éternité servant de témoignage à la gloire de Dieu en Jésus-Christ qui en est l’Auteur par son Saint-Esprit qui l’habite. Cela dit, selon l’enseignement de l’apôtre Paul dans 2 Corinthiens 5:16, les éléments de l’eau dans le Baptême, le pain et le vin dans le Repas du Seigneur, utilisés par les religions, ne sont d’aucune utilité pour nous donner une représentation de Christ, «car les choses anciennes sont passées et toutes choses sont devenues nouvelles» (2 Corinthiens 5:17). Ces éléments nous donne plutôt une fausse représentation de Christ que l’apôtre Jean nomme de l’idolâtrie (1 Jean 5:20,21). Dans un contexte où Paul nous parle de l’idolâtrie pour nous aviser de la fuir, il souligne ce changement «des choses anciennes qui sont devenues nouvelles» en disant: «La coupe de bénédiction, laquelle nous bénissons, n’est-elle pas la communion du sang de Christ? Et le pain que nous rompons, n’est-il pas la communion du corps de Christ?» (1 Corinthiens 10:16). Éloignons de nous le faux concept religieux de la communion qui consiste à manger un morceau de pain et boire un peu de vin, car le mot «communion» signifie «être associé, être uni dans une même foi». Par ces paroles, Paul ne confirme pas ici l’institution d’un sacrement, il ne donne aucune approbation à une ordonnance qui consisterait en des éléments matériels ou physiques, il établit plutôt un parallèle ou une comparaison entre une chose ancienne et une chose nouvelle. Même plus, il souligne fortement que les choses anciennes de «l’Israël selon la chair» sont «des idoles» qui ont un rapport avec «des démons», et il ne veut absolument pas qu’un chrétien sous la grâce «participe à la Table du Seigneur et à la table des démons» (1 Corinthiens 10:18-21). Il avait souligné ce point du changement des choses anciennes à des choses nouvelles, en disant: «Nettoyez donc le vieux levain, afin que vous deveniez une nouvelle pâte, comme vous êtes sans levain; car Christ, notre Pâque, a été immolé pour nous. C’est pourquoi, célébrons la fête, non avec le vieux levain, ni avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec les pains sans levain de la sincérité et de la vérité» (1 Corinthiens 5:7,8). Dans l’essence de son message du changement de toutes choses, Paul fait ressortir deux aspects importants qui soulignent l’amour de Dieu ou l’Agapé: la communion avec Christ, et la communion avec les frères dans l’amour sacrificiel de Dieu qui est «le renoncement à soi-même». Il élabore ceci dans ses reproches aux Corinthiens qui se réunissaient pour célébrer l’Agapé dans une attitude d’hypocrisie qui ne manifestait point l’exemple du renoncement que Christ avait ordonné (1 Corinthiens 11:17-34). Ils avaient remplacés les signes extérieurs de la loi par la manifestation extérieur des dons miraculeux de l’Esprit, laissant ainsi de côté l’amour sacrificiel de Dieu dans leurs agissements envers l’un l’autre, et Paul devait corriger cette déviation atroce par rapport à la foi. Il importe de souligner de nouveau que les dons miraculeux de l’Esprit étaient seulement pour cette période transitoire dans laquelle la loi et la grâce coexistèrent lors de l’enfance de l’Église, et que par après, ayant accomplit leur but, ils cessèrent et furent remplacés par la révélation totale de l’amour sacrificiel de Dieu dans l’achèvement parfaite des écrits du Nouveau Testament (1 Corinthiens 13:8-10). Ce fait est souligné par la permanence de l’amour sacrificiel qui est le plus grand don que nous puissions avoir (1 Corinthiens 13:13), car le renoncement à soi est la révélation de Christ en nous et en sa Parole écrite. Les reproches de Paul sont justifiés, car chacun se pressait de prendre son repas en particulier afin de ne pas partager avec ceux qui n’avaient rien (1 Corinthiens 11:21,22). Le partage est la conséquence directe et logique du renoncement, il est l’évidence de la Présence de Christ en action, le témoignage de la mort et de la résurrection de Christ qui, par son ascension, est venu habiter en nos cœurs par l’Esprit de sa Brillante Présence. Le refus de partager porte des conséquences désastreuses et n’est point acceptable dans le corps de Christ. En se référant à la Pâque que le Seigneur célébra avec ses disciples, Paul souligna dans le chapitre 11 de 1 Corinthiens l’importance capitale du renoncement en montrant qu’il fut un commandement direct du Seigneur (1 Corinthiens 11:23-25) qui avait renoncé à toutes choses pour nous. C’est en effet par le renoncement que «nous annonçons la mort du Seigneur», car le renoncement est une mort en soi-même, et le partage en est l’évidence aux yeux du monde (1 Corinthiens 11:26; Jean 13:35). «C’est pourquoi» celui qui participe au renoncement de Christ en offensant les frères «est coupable envers le corps et le sang du Seigneur.» (1 Corinthiens 11 :27), car il «ne discerne point» que nous sommes «le corps du Seigneur» (1 Corinthiens 11:29) par la Sainte Présence de Christ en chacun de nous. Le refus de partager dans l’église des Corinthiens fut la cause pour laquelle il y avait «beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts» (1 Corinthiens 11:30). «C’est pourquoi», lorsque les frères s’assemblent, ils doivent s’attendre (1 Corinthiens 11:33), c’est à dire qu’ils doivent compter sur l’un et l’autre dans l’entre aide mutuel pour donner l’évidence de l’union mystique en chacun d’eux. Sans entre aide plusieurs frères et sœurs sont condamnés à la misère, à la pauvreté, à la privation, à la détresse, et même périssent par l’attitude abominable et scandaleuse de ceux qui refusent de partager. C’est ici, en effet, que se trouve le vrai repas du Seigneur dans le renoncement à soi pour Christ et le partage entre les frères. Celui qui n’y convient point ne fait pas parti du corps de Christ, et ce n’est point en mangeant un morceau de pain ou en buvant une coupe de vin que sa condamnation va être enlevée.
Étant conscient maintenant que le vrai Repas du Seigneur n’est pas un sacrement ou une ordonnance de manger un morceau de pain et de boire une coupe de vin, la question surgit: «Existe-t-il un danger quelconque si un chrétien, en connaissance de cause de ce qui vient d’être dit, participe quand même au pain et au vin avec des frères d’une même foi qui en n’ont aucune connaissance?». Il est évident que l’on ne peut dire à un chrétien de «ne pas manger, de ne pas goûter, ou de ne pas toucher» (Colossiens 2:22), mais dans ce domaine il doit exercer beaucoup de discernement. S’il n’a pas de discernement qu’il se prive, car il ne sait pas reconnaître encore le vrai corps de Christ, c’est à dire qu’il n’a pas la capacité de savoir qui sont les vrais chrétiens et qui ne le sont pas. Mais pour un chrétien bien avisé, il n’y a aucun danger du temps qu’il déclare sa conviction ouvertement et affirme qu’il participe seulement à une tradition et non au vrai Repas du Seigneur. Il a la responsabilité de ne pas trahir ses convictions et d’induire en erreur ceux avec qui il se trouve. S’il craint de déclarer sa conviction qu’il se retire, car pourquoi voudrait-il recevoir une condamnation pour un morceau de pain et une coupe de vin. Aussi avec les frères il doit partager le pain de la vérité ou s’abstenir et se dissocier de ceux qui ne mangent pas du même pain. S’il a faim, qu’il mange chez-lui son propre pain et boive son propre vin, et ainsi il en récoltera des bénédictions. Mais dans une assemblée de frère où l’amour sacrificiel est en action, s’il en advient que de temps en temps par méconnaissance ils partagent littéralement le pain et le vin, que le chrétien bien avisé y participe s’il le désire, mais sans oublier de déclarer la vérité sur le sujet, car le pain que nous mangeons est le pain de la vérité. Non d’imposer son point de vue, mais de partager sa conviction dans la douceur de l’Esprit, dans la sagesse et dans l’amour, car Christ est celui qui nous dirige et nous instruit dans ses voies. Les sacrements ou ordonnances sont des traditions qui n’ont «qu’une apparence de sagesse dans un culte volontaire, et dans une certaine humilité charnelle» (Colossiens 2:22,23), qui ne conviennent point à la liberté de la grâce que nous avons en Christ. Mieux que cette tradition soit abolie totalement, qu’elle soit complètement éradiquée du corps de Christ, que de l’allouer de continuer à faire dévier la foi de l’union mystique. Partagez plutôt le pain de vie qui est la Parole de Dieu, et le vin de la joie qui est la communion de l’Esprit, et entraidez-vous l’un l’autre dans un amour fraternel sans hypocrisie.
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SIXIÈME PARTIE
La Doctrine des dernières choses
Chapitre introductif
A. ESCHATOLOGIE DANS LA PHILOSOPHIE ET LA RELIGION.
1. LA QUESTION DE L’ESCHATOLOGIE NATURELLE. Une doctrine des choses dernières n’est pas quelque chose qui est propre à la religion chrétienne. Partout où les gens ont sérieusement réfléchi sur la vie humaine, que ce soit dans l’individu ou de la course, ils n’ont pas simplement demandé, d'où il printemps, et comment il venu à être ce qu’elle est, mais aussi, où est il lié ? Ils ont soulevé la question, quelle est la fin ou le destin final de l’individu; et quel est le but vers lequel la race humaine est en mouvement ? Homme périr au moment du décès, ou il pénétrer dans un autre État de l’existence, de bonheur ou de malheur ? Les générations d’hommes viendra et aller dans une succession sans fin et finalement sombrer dans l’oubli, ou est la course des enfants des hommes et la création tout entière de passer à quelque divin telos, fin conçue pour lui par Dieu. Et si la race humaine est passer à quelque condition finale, certains idéale, peut-être, seront les générations qui ont venu et reparti y participer en aucune façon et dans l’affirmative, comment; ou le qu’ils ne servent comme une voie menant à l’apogée de grande ? Naturellement, seuls ceux qui croient que, comme l’histoire du monde a eu un commencement, il sera aussi ont une fin, peuvent parler d’une consommation et ont une doctrine de l’eschatologie.
2. LA QUESTION DE L’ESCHATOLOGIE EN PHILOSOPHIE. La question de la destinée finale de l’individu et de la course a occupé une place importante même dans les spéculations des philosophes. Platon enseignait l’immortalité de l’âme, c'est-à-dire son existence après que la mort et que cette doctrine est resté un principe important en philosophie jusqu'à l’heure actuelle. Spinoza n’existait pas pour elle dans son système panthéiste, mais Wolff et Leibnitz a défendu avec toutes sortes d’arguments. Kant a insisté sur l’untenableness de ces arguments, mais néanmoins conservé la doctrine de l’immortalité comme un postulat de la raison pratique. La philosophie idéaliste du XIXe siècle il exclu. En fait, comme le dit Haering, « panthéisme de toutes sortes est limité à un certain mode de contemplation et ne conduit pas à une « ultime ». » Non seulement les philosophes ne reflétaient sur l’avenir de l’individu; ils croyaient aussi profondément sur l’avenir du monde. Le stoïciens a parlé de monde-cycles successifs et les bouddhistes, du monde-Age, dans chacun d’eux un monde nouveau apparaît et disparaît à nouveau. Kant même spéculé sur la naissance et la mort des mondes.
3. LA QUESTION DE L’ESCHATOLOGIE DANS LA RELIGION. C’est surtout dans la religion, cependant, que nous nous rencontrions avec les conceptions eschatologiques. Même de fausses religions, le plus primitif ainsi que les plus avancées, ont leur eschatologie. Le bouddhisme a son Nirvana, Mahométisme, son paradis sensuel et les Indiens, leurs terrains de chasse heureux. Croyance en l’existence de l’âme apparaît partout et sous diverses formes. Dit J. T. Addison: « la croyance que l’âme de l’homme survit à sa mort est donc quasi universelle que nous n’avons aucune trace fiable d’une tribu ou nation ou une religion dans laquelle elle ne prévaut. » Il peut se manifester dans la conviction que les morts sont toujours planant autour et à proximité à portée de main, dans le culte des ancêtres, dans la recherche de rapports sexuels avec les morts, dans la conception d’un monde souterrain peuplé de morts, ou dans l’idée de la transmigration des âmes; mais il est toujours présent dans une certaine forme ou autres. Mais dans ces religions, tout est vague et incertain. C’est seulement dans la religion chrétienne que la doctrine des choses dernières reçoit une plus grande précision et porte en lui une assurance qui est divin. Naturellement, ceux qui ne sont pas content pour reposer leur foi exclusivement sur la parole de Dieu, mais rendent éventuel sur l’expérience et sur les délivrances de la conscience chrétienne, courent un grand désavantage ici. Alors qu’ils peuvent rencontrer, éveil spirituel, d’illumination divine, de repentance et de conversion et peuvent observer les fruits de l’exploitation de la grâce divine dans leur vie, ils ne peuvent pas l’expérience ni voir les réalités du monde futur. Ils doivent avoir à accepter le témoignage de Dieu concernant ceux-ci, ou continuer à tâtonner tout dans l’obscurité. Si ils ne veulent pas construire la maison de l’espoir sur les désirs vagues et indéterminés, ils auront à se tourner vers la terre ferme de la parole de Dieu.
B. ESCHATOLOGIE DANS L’HISTOIRE DE L’ÉGLISE CHRÉTIENNE.
Prenant la parole en général, on peut dire que christianisme n’a jamais oublié les glorieuses prédictions concernant son avenir et celui du chrétien individuel. Le chrétien individuel ni l’église pouvait éviter de penser à ceux-ci et trouver le confort dans les. Parfois, cependant, l’église, porté vers le bas avec les soucis de la vie, ou empêtré dans ses plaisirs, pensé peu de l’avenir. En outre, il est arrivé à plusieurs reprises qu’il penserait à un moment plus de cela et à un autre moment, plus de cet élément en particulier de son espoir. En jours de défection l’espérance chrétienne grandit parfois sombre et incertain, mais il n’est pas mort complètement. En même temps il faut dire qu’il y a jamais eu une période dans l’histoire de the Christian Church, où était le centre du chrétien pensé eschatologie. Les autres loci de théologie dogmatique ont chacun eu leurs temps de développement spécial, mais cela ne peut pas dire de l’eschatologie. On peuvent distinguer trois périodes dans l’histoire de la pensée eschatologique.
1. À PARTIR DE L’ÂGE APOSTOLIQUE AU DÉBUT DU VE SIÈCLE. Dans la première période, l’église était parfaitement conscient de l’éléments séparés de l’espérance chrétienne, comme, par exemple, que la mort physique n’est pas encore mort éternelle, qui fréquentent les âmes des morts, que Christ est encore à venir, qu’il y aura un bienheureux la résurrection du peuple de Dieu, que cela sera suivi d’un jugement général, dans lequel malheur éternel sera prononcée sur les méchants mais les pieux est récompensée avec la gloire éternelle du ciel. Mais ces éléments étaient simplement considérés comme tant de parties séparées de l’espoir et n’étaient pas encore dogmatiquement interprétés. Bien que les différents éléments ont été très bien comprises, leur relation n’était pas encore clairement considérée. Dans un premier temps, il semblait comme si l’eschatologie a été d’une manière équitable pour devenir le centre de la construction de la doctrine chrétienne, car dans les deux premiers siècles Chiliasme était plutôt importante, bien que pas aussi importante que certains voudraient nous faire croire. Il s’est avéré que, cependant, l’eschatologie n’était pas développée dans cette période.
2. DÈS LE DÉBUT DU VE SIÈCLE À LA RÉFORME. Sous la direction de l’Esprit Saint, l’attention de l’église a été réalisée du futur au présent, et Chiliasme fut peu à peu oubliée. En particulier sous l’influence d’Origène et Augustine, anti-Chiliastiques vues est devenue dominantes dans l’église. Mais bien que ceux-ci étaient considérés comme orthodoxes, ils ne étaient pas pensées et développées systématiquement. Il y avait une croyance en une vie après la mort, dans le retour du Seigneur, dans la résurrection de la morte, dans le jugement final et dans un Royaume de gloire, mais très peu réflexion sur la manière de ces. La pensée d’un matériau, le Royaume temporel fait place à celle de la vie éternelle et le Salut futur. En cours de l’époque, l’église est placée dans le centre de l’attention, et l’église hiérarchique a été identifié avec le Royaume de Dieu. L’idée a gagné du terrain qu’en dehors de cette église, il n’y a aucun Salut, et que l’église a déterminé la formation pédagogique pour l’avenir. Une grande attention a été versée à l’état intermédiaire et en particulier à la doctrine du purgatoire. À cet égard la médiation de l’Eglise a été portée à l’avant-plan, la doctrine de la messe, de prières pour les morts et des indulgences. Comme une protestation contre cet ecclésiastique, Chiliasme nouveau a fait son apparition dans plusieurs sectes c’était en partie une réaction de nature piétiste contre l’externalisme et mondanité de l’église.
3. DEPUIS LA RÉFORME JUSQU'À NOS JOURS. La pensée de la réforme centrée principalement sur l’idée de la demande et l’appropriation du Salut et cherche à développer l’eschatologie essentiellement à partir de ce point de vue. Bon nombre des anciens théologiens réformés traitent simplement comme adjuvant à sotériologie, traitant de la glorification des croyants. Par conséquent, qu’une partie de l’eschatologie a été étudiée et présentée à la poursuite du développement. La réforme adoptée ce que l’église primitive a enseigné concernant le retour du Christ, la résurrection, le jugement définitif et la vie éternelle et écarté la forme grossière de Chiliasme qui est apparu dans les sectes anabaptistes. Dans son opposition à Rome, elle reflète une bonne affaire sur l’état intermédiaire et a rejeté les divers principes mis au point par l’église catholique romaine. On peut difficilement dire que les églises de la réforme a fait beaucoup pour le développement de l’eschatologie. Dans le piétisme Chiliasme a à nouveau fait son apparition. Le rationalisme du XVIIIème siècle conservé de l’eschatologie simplement l’idée simple d’une immortalité incolore, de la simple survie de l’âme après la mort. Sous l’influence de la philosophie de l’évolution avec son idée d’un progrès sans fin, il est devenu, sinon obsolète, au moins obsolète. Théologie libérale a totalement ignoré les enseignements eschatologiques de Jésus et tous l’accent sur ses préceptes éthiques. En conséquence, il n’a aucune eschatologie digne de ce nom. Autre - façon de mondanité faite pour cela - mondanité; la bienheureuse espérance de la vie éternelle a été remplacé par l’espoir social d’un Royaume de Dieu exclusivement de ce monde; et l’ancienne assurance respectant la résurrection de la gloire de la morte et à venir a été supplantée par la vague confiance que Dieu peut avoir des choses encore mieux dans le magasin pour homme que les bénédictions dont il jouit maintenant. Déclare Gerald Birney Smith: « dans aucun domaine sont les changements de pensée plus marqués que dans la partie de la théologie qui traite de la vie future. Là où les théologiens utilisé pour nous parler en détail concernant la « dernière chose », ils maintenant énoncés en termes assez généraux la base raisonnable pour la confiance optimiste dans la continuité de la vie au-delà de la mort physique. » À l’heure actuelle, cependant, il y a quelques signes d’un changement pour le mieux. Une nouvelle vague du pré-millénarisme est apparu, qui n’est pas limitée à des sectes, mais a aussi trouvée entrée dans certaines églises de nos jours, et ses partisans suggèrent une philosophie chrétienne de l’histoire, fondée notamment sur l’étude de Daniel et l’Apocalypse et aider à fixer l’attention une fois de plus sur la fin de l’âge. Weiss et Schweitzer appelé l’attention sur le fait que les enseignements eschatologiques de Jésus étaient beaucoup plus importantes dans son schéma de pensée que ses préceptes éthiques, qui après tout représentent seulement une « Interimsethik ». Et Karl Barth souligne également l’élément eschatologique dans la révélation divine.
C. LA RELATION DE L’ESCHATOLOGIE AU RESTE DE LA DOGMATIQUE.
1. MAUVAISES CONCEPTIONS QUI MASQUENT CETTE RELATION. Quand Kliefoth écrit son Eschatologie, il s’est plaint du fait qu’il y avait encore jamais paru un traité complète et adéquat sur l’eschatologie dans son ensemble; et demande en outre l’attention sur le fait que, dans dogmatiques, il travaille souvent apparaît, non pas comme une division principale uniforme avec les autres, mais simplement comme un appendice fragmentaire et négligé, tandis que certaines de ses questions sont discutées dans autres loci. Il y avait de bonnes raisons à ses plaintes. En général on peut dire que l’eschatologie est même maintenant les moins avancés de tous les locus de théologie dogmatique. En outre, il a été souvent donné une place très subalterne dans le traitement systématique de la théologie. C’était une erreur de Coccejus qu’il arrangé l’ensemble de la dogmatique selon le schéma des pactes et donc traitée comme une étude historique plutôt qu’à une présentation systématique de toutes les vérités de la religion chrétienne. Dans un tel régime eschatologie pourrait seulement apparaître comme le dernier épisode de l’histoire et pas du tout comme l’un des éléments constitutifs d’un système de vérité. Un débat historique des dernières choses que peut faire une partie de l' historia revelationis, mais ce titre ne peut être introduit comme faisant partie intégrante de la dogmatique. La dogmatique n’est pas un descriptif, mais une science normative, dans lequel nous visons à absolu, plutôt qu’au simple historique, vérité. Dans l’ensemble, théologiens réformés ont vu que ce point très clairement et donc discuté des dernières choses d’une manière systématique. Cependant, ils n’a pas toujours fait justice à elle comme l’une des principales divisions de la dogmatique, mais il a donné une place subalterne dans l’un des autres loci. Plusieurs d'entre eux il concevaient simplement comme une opération avec la glorification des saints ou la consommation de la primauté du Christ et il a présenté à l’issue de leurs discussions objectives et subjective sotériologie. Il en résulte que certaines parties de l’eschatologie reçu l’accent, tandis que les autres parties étaient pratiquement négligés. Dans certains cas, l’objet de l’eschatologie a été divisé parmi les différents loci. Une autre erreur, parfois faite, devait perdre de vue le caractère théologique de l’eschatologie. Nous ne pouvons souscrire à la déclaration suivante de Pohle (catholique romaine) dans son ouvrage sur l' eschatologie, ou la Doctrine catholique des dernières choses: « l’eschatologie est anthropologique et cosmologiques plutôt que théologique; car, bien qu’il traite de Dieu comme le consommateur et le juge universel, à proprement parler, dont le sujet est l’univers créé, c'est-à-dire l’homme et le cosmos. » si l’eschatologie n’est pas la théologie il n’a aucune place dans la dogmatique.
2. LA CONCEPTION CORRECTE DE CETTE RELATION. Étrange à dire, le même auteur catholique dit: « L’eschatologie est la Couronne et le point culminant de la théologie dogmatique, » qui est parfaitement correct. Il est l’un des locus de théologie, dans lequel tous les autres locus doivent provenir d’une tête, à une conclusion définitive. Le Dr de Kuyper souligne que chaque autre locus a laissé quelques questions sans réponse, à laquelle l’eschatologie doit lui fournir la réponse. En théologie, c’est la question, comment Dieu est finalement parfaitement glorifié dans le travail de ses mains, et comment le Conseil de Dieu est réalisé intégralement; en anthropologie, la question, comment l’influence perturbateurs du péché est complètement vaincue; dans la christologie, la question, comment le œuvre du Christ est couronné par la victoire parfaite; sotériologie, la question, comment le travail du Saint-Esprit enfin émet dans la rédemption complète et la glorification du peuple de Dieu; et en ecclésiologie, la question de l’apothéose finale de l’église. Toutes ces questions doivent trouver leur réponse dans le dernier lieu de théologie dogmatique, ce qui en fait le véritable couronnement de théologie dogmatique. Haering témoigne de la même chose quand il dit: « comme une question de fait, il (eschatologie) apporte une lumière sur chaque section unique de doctrine. Est l’universalité du dessein salvifique de Dieu, est communion personnelle avec un Dieu personnel, a affirmé sans réserve, est l’importance permanente du Rédempteur a confirmé, le pardon du péché, conçue comme une victoire sur la puissance du péché — sur ces points le eschatologie doit lever tous les doutes, même lorsque les déclarations indéterminées qui ont été faites dans les parties précédentes ne pouvaient pas à la fois être reconnues comme tel. N’est pas difficile de découvrir la raison de cela. Dans la doctrine des choses dernières, la communion entre Dieu et l’homme est définie suite aussi remplie, et donc l’idée de notre religion, le principe chrétien, est présentée dans sa pureté; pas, cependant, comme une simple idée dans le sens d’un idéal qui n’est jamais complètement réalisé, mais aussi parfaite réalité — et on sait quelles difficultés sont implicites dans celui. Il doit par conséquent apparaît Enfin, dans la présentation de l’eschatologie, si pas plus tôt, si la réalité de cette communion avec Dieu a reçu son sans restriction. »
D. LE NOM « ESCHATOLOGIE ».
Divers noms ont été appliqués au dernier locus de théologie dogmatique, dont de Novissimis ou eschatologie est le plus fréquent. Kuyper utilise le terme Consummatione Saeculi. Le nom « l’eschatologie » est issu de ces passages de l’Ecriture qui parle des « derniers jours (eschatai hemerai), Ésaïe 2:2; Michée 4:1, « the last time » (eschatos ton chronon), j’ai PET. 01:20 et « la dernière heure, » (eschate hora), j’ai John 02:18. Il est vrai que ces expressions se réfèrent parfois à la dispensation de Nouveau Testament entier, mais malgré cela, ils incarnent une idée eschatologique. Ancien Testament prophétie distingue seulement deux périodes, à savoir, « cet âge » (olam hazzeh, Gr. houtos aion) et « l’âge à venir » (Ollamh habba', Gr. aion mellon). Comme les prophètes représentent la venue du Messie et la fin du monde comme coïncidant, les « derniers jours » sont les jours immédiatement précédant les deux la venue du Messie et la fin du monde. Nulle part, ils tracer une ligne claire distinction entre une première et une seconde venue du Messie. Dans le Nouveau Testament, cependant, il devient parfaitement évident, que la venue du Messie est double, et que l’âge Messianique comprend deux étapes, l’âge Messianique présente et la consommation future. Par conséquent, le Nouveau Testament dispense peut être considérée sous deux aspects différents. Si l’attention est fixée sur la future venue du Seigneur, et tout ce qui précède, il est considéré comme appartenant à « cet âge », alors les croyants du Nouveau Testament sont considérés comme vivant à la veille de cet événement important, le retour du Seigneur dans la gloire et la consommation finale. Si, en revanche, l’attention est centrée sur la première venue du Christ, il est naturel de considérer que les croyants de cette dispense que déjà, mais seulement en principe, vivant dans l’âge futur . Cette représentation de leur condition n’est pas rare dans le Nouveau Testament. Le Royaume de Dieu est déjà présent, la vie éternelle est réalisée en principe, l’esprit est le gage de l’héritage céleste, et croyants sont déjà assis avec Christ dans les lieux célestes. Mais tandis que certaines des réalités eschatologiques sont donc projetés dans le présent, ils ne sont pas complètement réalisés jusqu’au moment de la consommation future. Et quand on parle de « eschatologie », nous avons à l’esprit plus particulièrement les faits et les événements qui sont liés à la seconde venue du Christ, et qui marquera la fin de la dispensation actuelle et marquera le début de la gloire éternelle de l’avenir.
E. LE CONTENU DE L’ESCHATOLOGIE: ESCHATOLOGIE GÉNÉRAL ET INDIVIDUEL.
1. GÉNÉRALITÉS L’ESCHATOLOGIE. Le nom « l’eschatologie » attire l’attention sur le fait que l’histoire du monde et de la race humaine atteindra enfin sa consommation. Il n’est pas un processus indéfini et sans fin, mais une véritable histoire de passer à une fin divinement désigné. Selon l’Ecriture que fin viendra comme une crise puissante, et les faits et les événements associés à cette forme de crise, le contenu de l’eschatologie. Strictement parlant, ils déterminent aussi ses limites. Mais parce que les autres éléments peuvent être inclus sous la tête du générale, il est d’usage de parler de la série d’événements qui est connecté avec le retour de Jésus Christ et la fin du monde comme constituant l’eschatologie générale, — une eschatologie dans lequel tous les hommes sont concernés. Les sujets qui nécessitent une attention à la présente section, sont le retour du Christ, la résurrection générale, le jugement dernier, la consommation du Royaume et la dernière condition des pieux et les méchants.
2. LES DIFFÉRENTES ESCHATOLOGIE. Sans compter que ce général, il y a aussi une eschatologie individuelle, qui doit être pris en considération. Les événements nommés peuvent constituer l’ensemble de l’eschatologie au sens strict du mot, mais nous ne pouvons pas rendre justice à cela sans montrer comment les générations qui sont morts participeront aux épreuves finales. Pour l’individu, que la fin de l’existence actuelle est livré avec la mort, qui transfère lui complètement du présent dans l’ère future. Dans la mesure où il est retiré de l’âge présent avec son développement historique, il est introduit dans l’âge futur, qui est l’éternité. Dans la mesure même où il y a un changement dans la localité, il y a également un changement d’æon. Les choses touchant la condition de l’individu, entre sa mort et la résurrection générale, appartiennent à l’eschatologie personnelle ou individuelle. La mort physique, l’immortalité de l’âme et de l’état intermédiaire appel à discussion ici. L’étude de ces sujets servira de raccordement de la condition de ceux qui meurent avant la parousie avec la consommation finale.
I.la mort physique
L’idée biblique de la mort comprend la mort physique, spirituelle et éternelle. La mort physique et spirituelle sont naturellement discutées dans le cadre de la doctrine du péché et la mort éternelle est considéré comme plus particulièrement en général l’eschatologie. C’est pourquoi une discussion de la mort dans tous les sens du mot semble être sa place dans l’eschatologie individuelle. Pourtant il peut difficilement être pas pris en considération tout à fait dans le but de relier les générations passées avec la consommation finale.
A. LA NATURE DE LA MORT PHYSIQUE.
La Bible contient quelques indications instructives quant à la nature de la mort physique. Il parle de cela de diverses manières. Dans Matthieu 10:28; Luc 12:4, il est parlé de la mort du corps, par opposition à celui de l’âme (psuche). Ici le corps est considéré comme un organisme vivant et le psuche est évidemment le pneuma de l’homme, l’élément spirituel qui est le principe de sa vie naturelle. Ce point de vue de la mort naturelle sous-tend également la langue de pierre dans I PET. 03:14-18. Dans d’autres passages, il est décrit comme la cessation de la psuche, c'est-à-dire de la vie animale ou de la vie, ou comme la disparition de cette, Matthieu 02:20; Marc 3:4; Luc 6:9; 14:26; John 12:25; 13:37, 38; Actes 15:26; 20:24 et autres passages. Et, enfin, elle est également représentée comme une séparation de corps et âme, Ecclésiaste 12:7 (COMP. Genèse 2:7); Jacques 02:26, une idée qui est aussi basique à ces passages comme John 19:30; Actes à 07:59; Phil. 01:23. Cf. aussi l’utilisation de l' Exode dans Luc 09:31; II Pierre 01:15, 16. Compte tenu de tout cela on peut affirmer que, selon l’Ecriture, la mort physique est une cessation de la vie physique de la séparation de corps et âme. Il n’est jamais un anéantissement, bien que certaines sectes représentent la mort des méchants comme tel. Dieu ne pas anéantir quoi que ce soit dans sa création. La mort n’est pas une cessation de l’existence, mais une rupture des relations naturelles de la vie. Vie et mort ne sont pas opposés les uns aux autres comme l’existence et la non-existence, mais sont opposés, comme différents modes d’existence. Il est tout à fait impossible de dire exactement ce que la mort est. On parle de lui comme la cessation de la vie physique, mais alors immédiatement se pose la question, tout ce qui est la vie ? Et nous n’avons pas de réponse. Nous ne sais pas ce que la vie est dans son être essentiel, mais il sait que dans ses relations et ses actions. Et l’expérience nous enseigne que, où elles sont dissociées et cessent, mort saisit. La mort signifie une rupture dans les relations naturelles de la vie. On peut affirmer que le péché est la mort en soi , car il représente une rupture dans la relation vitale dans laquelle l’homme, créé à l’image de Dieu, se dresse à son créateur. Cela signifie la perte de cette image et par conséquent perturbe toutes les relations de la vie. Cette rupture est également assurée grâce à cette séparation de corps et âme, qui est appelé la mort physique.
B. LA CONNEXION DU PÉCHÉ ET LA MORT.
Pélagiens et Sociniens enseignent que l’homme a été créé mortel, ne consiste pas seulement en ce sens qu’il pouvait être une proie à mort, mais dans le sens où il était, en vertu de sa création, en vertu de la Loi de la mort et en cours de temps devait mourir. Cela signifie que Adam n’était pas seulement sensible à la mort, mais qu’il a effectivement fait l’objet d’elle avant qu’il ne tombe. Les partisans de ce point de vue répondaient principalement par le désir d’échapper à la preuve pour le péché originel, dérivé de la souffrance et la mort des nourrissons. Science de nos jours semble confirmer cette position en insistant sur le fait que la mort est la Loi de la matière organisée, car elle porte en elle la semence de décomposition et de dissolution. Certains les premiers pères de l’église et certains théologiens ultérieurs, tels que Warburton et Laidlaw, font valoir que Adam a été en effet créé mortel, c'est-à-dire soumis à la Loi de dissolution, mais que la loi a été efficace dans son cas, seulement parce qu’il a péché. Si il avait fait lui-même d’être obéissant, il aurait été élevé à un état d’immortalité. Son péché provoqué aucun changement dans son être constitutionnelle à cet égard, mais en vertu de la sentence de Dieu lui a laissé sous réserve de la Loi de la mort et lui de l’aubaine de l’immortalité, dont il aurait pu sans subir la mort dévalisé. Sur ce point de vue l’entrée actuelle de la mort, bien sûr, reste pénale. C’est une vision qui pourrait être faite pour s’intègrent très bien dans la position supralapsaire, mais n’est pas exigée par la présente. En réalité cette théorie ne vise qu’à la place les faits, comme ils sont révélées dans la parole de Dieu, avec les remarques incidentes de la science, mais même cela ne le faites pas impératif. Supposons que science a prouvé de façon concluante que la mort a régné dans le monde végétal et animal avant l’entrée du péché, puis il serait encore s’ensuit pas nécessairement qu’elle prévalait également dans le monde des êtres rationnels et morales. Et même s’il était établi sans l’ombre d’un doute que tous les organismes physiques, l’homme inclus, maintenant portent en eux les germes de la dissolution, ce ne serait pas encore prouvé que l’homme n’était pas une exception à la règle avant la chute. Dirons-nous que la toute-puissance de Dieu, par lequel l’univers fut créé, n’était pas suffisante pour maintenir l’homme dans la vie indéfiniment ? Par ailleurs nous devons garder à l’esprit les données mentionnés dans les écritures suivantes: (1) Man a été créé à l’image de Dieu et ce, compte tenu de la condition parfaite, dans laquelle l’image de Dieu existait à l’origine, semble à exclure la possibilité de sa réalisation en lui les germes de dis solution et la mortalité. (2) la mort physique n’est pas représentée dans l’écriture comme le résultat naturel de la continuation de l’état initial de l’homme, en raison de son incapacité à élever à la hauteur de l’immortalité par le chemin de l’obéissance; mais à la suite de sa mort spirituelle, Rom. 06:23; 05:21; I Corinthiens 15:56; Jacques 01:15. (3) scripturaires expressions certainement point à la mort comme quelque chose d’introduire dans le monde de l’humanité par le péché et comme une punition positive pour le péché, 02:17; 03:19; ROM. 05:12, 17; 06:23; I Corinthiens 15:21; Jacques 01:15. (4) la mort n’est pas représentée comme une chose naturelle dans la vie de l’homme, une simple chute court d’un idéal, mais très nettement est une chose étrangère et hostile à la vie humaine: c’est une expression de la colère divine, PS. 90:7, 11, un jugement, Rom. 01:32, une condamnation , Rom. 05:16 et une malédiction, gal 03:13 et remplit le cœur des enfants des hommes avec dread et peur, simplement parce qu’il est considéré comme quelque chose d’anormal. Tout cela ne signifie pas, toutefois, qu’il peut-être pas mort dans un certain sens du mot dans la création plus bas en dehors du péché, mais là encore, l’entrée du péché a évidemment une servitude de la corruption qui était étranger à la créature, Rom. 08:20-22. En stricte justice, Dieu aurait pu imposée mort sur l’homme dans toute l’acception du mot immédiatement après sa transgression, 02:17. Mais par sa grâce commune il restreint l’exploitation du péché et la mort et par sa grâce spéciale en Christ Jésus He conquis ces forces hostiles, Rom., 05:17; I Corinthiens 15:45; II Timothée 01:10; Héb. 02:14; 01:18; 20:14. la mort accomplit son travail pleinement que dans la vie de ceux qui refusent la délivrance de ce qui est offert en Jésus Christ. Ceux qui croient au Christ sont libérés de la puissance de la mort, sont restaurés à la communion avec Dieu et sont dotés d’une vie sans fin, John 03:36; 06:40; ROM. 05:17-21; 08:23; I Corinthiens 15:26, 51-57; 20:14; 21:3, 4.
C. LA SIGNIFICATION DE LA MORT DES CROYANTS.
La Bible parle de la mort physique comme une punition, comme « le salaire du péché. » Étant donné que les croyants sont justifiés, cependant et ne sont pas plus obligé de restituer toute satisfaction pénale, la question se pose naturellement, pourquoi ils doivent mourir ? Il est évident que pour eux l’élément pénal est supprimé de la mort. Ils ne sont plus en vertu de la Loi, soit comme une exigence de l’Alliance des œuvres un pouvoir condamner, car ils ont obtenu un pardon complet pour tous leurs péchés. Christ est devenu une malédiction pour eux et donc supprimé le châtiment du péché. Mais si c’est le cas, pourquoi Dieu toujours juge nécessaire de conduire à travers l’expérience douloureuse de la mort ? Pourquoi il pas simplement les transférer vers le ciel en même temps ? On ne peut affirmer que la destruction du corps est absolument indispensable d’une sanctification parfaite, car qui est contredite par les exemples d’Enoch et Elie. Il ne satisfait ni à dire que la mort définit le croyant libre des maux et les souffrances de la vie présente et des entraves de la poussière, en libérant l’esprit du présent corps grossier et sensuelle. Dieu pourrait effectuer cette délivrance aussi par une transformation soudaine, tels que connaîtront les saints vivants au moment de la Parousie. Il est évident que la mort des croyants doit être considérée comme le point culminant des châtiments que Dieu a ordonné pour la sanctification de son peuple. Alors que la mort en soi reste un mal réel naturel pour les enfants de Dieu, quelque chose de naturel, qui est redouté par eux comme tel, il est fait inféodé à l’économie de la grâce à leur avancement spirituel et à l’intérêt du Royaume de Dieu. La seule pensée de la mort, les deuils à travers la mort, le sentiment que les maladies et les souffrances sont annonciateurs de la mort et la conscience de l’approche de la mort, — ont tous un effet très bénéfique sur le peuple de Dieu. Ils servent à humilier les orgueilleux mortifier charnel, pour vérifier la mondanité et favoriser l’esprit spirituel. Dans l’union mystique avec leur Seigneur les croyants sont faites pour partager les expériences du Christ. Tout comme il entra sa gloire par la voie des souffrances et la mort, ils peuvent entrer trop sur leur récompense éternelle que par le biais de sanctification. La mort est souvent le critère suprême de la force de la foi qui est en eux et elle appelle souvent frappantes manifestations de la conscience de la victoire à l’heure même d’apparente défaite, j’ai PET. 04:12, 13. Elle complète la sanctification des âmes des croyants, afin qu’ils deviennent à la fois « les esprits des hommes justes rendu parfaits, » Hébreux 12:23; 21:27. La mort n’est pas la fin pour les croyants, mais le début d’une vie parfaite. Ils entrent dans la mort avec l’assurance que son aiguillon a été supprimé, I Cor. 15:55, et que c’est pour eux la porte du ciel. Ils s’endorment en Jésus, II Thess. 1:7 et savent que même leur corps vont enfin être arrachés hors de la puissance de la mort, d’être pour toujours avec le Seigneur, Romains 08:11; I Thessaloniciens 04:16, 17. Jésus a dit: « Celui qui croit en moi, même si il meurent, mais il doit vivre. » Paul avait la conscience bienheureuse que, pour lui de vivre était le Christ, et mourir était gain. Donc il pourrait aussi parler en jubilant notes à la fin de sa carrière: « J’ai combattu le bon combat, j’ai fini le cours, j’ai gardé la foi: désormais il est désarmé pour moi la Couronne de la justice, dont le Seigneur, le juste juge , donne moi ce jour-là; et pas pour moi seulement, mais aussi pour tous ceux qui ont aimé son apparition, » II Timothée 4:7, 8.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Ce qui est l’idée fondamentale de la conception biblique de la mort ? C’est simplement le résultat naturel du péché la mort, ou est-ce une punition positive pour le péché ? Si c’est ce dernier, comment est ce possible de prouver par les écritures ? Dans quel sens était homme, comme il a été créé par Dieu, mortel; et dans quel sens, immortel ? Comment pouvez vous infirmer la position de la pélagiens ? Dans quel sens a mort a réellement cessé d’être mort pour les croyants ? Quoi sert-il la mort dans leur vie ? Quelle est la puissance de la mort complètement terminée pour eux ?
LITTÉRATURE: Dick, LECT sur Theol, pp. 426-433; Dabney, syst et polémique Theol., p. 817-821; Litton; Introd.. au dogme. THEOL., pp. 536-540; Pieper, Christl. Dogme. III, p. 569-573; Schmid, dogme . Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 626-631; Pape, Chr. Theol. III, pp. 371-376; Valentine, Chr. Theol., II, p. 389-391; Hovey, eschatologie, pp. 13-22; Dahle, vie après la mort, pp. 24-58; Kenneday, St. Conception des dernières choses, pp. 103-157; de Paul Strong, Syst. Theol. pp. 982 f.; Pohle-Preuss, eschatologie, pp. 5-17.
II. l’immortalité de l’âme
Dans ce qui précède, on a fait observer que la mort physique est la séparation de corps et âme et marque la fin de notre existence physique actuel. Nécessairement, il implique et entraîne la décomposition du corps. Il marque la fin de notre vie présente et la fin du « corps naturel ». Mais maintenant se pose la question, ce qu’il advient de l’âme: la mort physique apporte sa vie à sa fin, ou il continue d’exister et de vivre après la mort ? Il a toujours été la condamnation ferme de l’Eglise de Jésus Christ que l’âme continue à vivre même après sa séparation d'avec le corps. Cette doctrine de l’immortalité de l’âme réclame de brèves considérations à ce stade.
A. DIFFÉRENTES CONNOTATIONS DU TERME « IMMORTALITÉ ».
Dans une discussion de la doctrine de l’immortalité il faut avoir à l’esprit que le terme « immortalité » n’est pas toujours utilisé dans le même sens. Il y a certaines distinctions qui sont tout à fait essentielles, afin d’éviter toute confusion.
1. dans le sens le plus absolu du mot, l’immortalité est attribuée seulement à Dieu. Paul parle de lui dans I Timothée 06:15, 16, comme « le bienheureux et seul potentat, le roi des rois, le Seigneur des seigneurs, qui seul possède l’immortalité. » Cela ne signifie pas qu’aucun de ses créatures sont immortels dans tout les sens du terme. Compris dans ce sens sans restriction, cette parole de Paul enseignerait aussi que les anges ne sont pas immortels, et ce n’est certainement pas l’intention de l’Apôtre. La signification évidente de sa déclaration, c’est que Dieu est le seul être qui possède l’immortalité « comme une dotation originale, éternelle et nécessaire ». Quelle que soit l’immortalité peut être attribuée à certaines de ses créatures, est subordonnée à la volonté divine, est leur ont été conférés et a donc eu un commencement. Dieu, en revanche, est nécessairement exempt de toutes les limitations temporelles.
2. l’immortalité dans le sens de l’existence de continues ou sans fin est également attribuée à tous les esprits, y compris l’âme humaine. C’est une des doctrines de la religion naturelle ou de la philosophie que, lorsque le corps est dissous, l’âme ne partage pas sa dissolution, mais conserve son identité comme un être individuel. Cette idée de l’immortalité de l’âme est en parfaite harmonie avec ce que la Bible enseigne au sujet de l’homme, mais la Bible, religion et théologie, ne sont pas principalement intéressés à cette immortalité purement quantitative et incolore, — le nu a continué d’existence de l’âme .
3. encore une fois, le terme « immortalité » est utilisé dans le langage théologique pour désigner cet état de l’homme dans lequel il est entièrement libre des graines de désintégration et la mort. En ce sens du mot homme était immortel avant la chute. Clairement, cet État n’excluait pas la possibilité de devenir l’homme sujet à la mort. Si l’homme dans l’état de rectitude n’était pas sujet à la mort, pourtant, il est responsable envers elle. C’était tout à fait possible que par le péché il serait assujetti à la Loi de la mort; et comme une question de fait qu’il entrait une victime à elle.
4. Enfin, le mot « immortalité » désigne, en particulier en langue eschatologique, que l’état de l’homme dans lequel il est insensible à la mort et ne peut éventuellement devenu sa proie. L’homme n’était pas immortel dans ce sens le plus élevé du mot en vertu de sa création, même s’il a été créé à l’image de Dieu. Cette immortalité aurait résulté si Adam avait respecté la condition de l’Alliance des œuvres, mais peut maintenant seulement le résultat de le œuvre de rédemption que c’est terminé dans la consommation.
B. LE TÉMOIGNAGE DE LA RÉVÉLATION GÉNÉRALE À L’IMMORTALITÉ DE L’ÂME.
La question du travail, « si un homme meurt, il vivra encore ? » (Job 14:14) est l’un des intérêt vivace. Et avec elle que la question revient sans cesse, si les morts vivent encore. La réponse à cette question a pratiquement toujours été positive. Bien que les évolutionnistes ne peuvent admettre que la foi en l’immortalité de l’âme est une dotation initiale de l’homme, mais on ne peut nier que cette foi est pratiquement universelle et se trouve même dans les formes le plus bas de la religion. Sous l’influence du matérialisme, beaucoup ont eu tendance à douter et même à nier la vie future de l’homme. Pourtant cette attitude négative n’est pas celui qui prévaut. Dans un récent colloque sur « L’immortalité », contenant les vues du sujet une centaine d’hommes représentatif, les opinions sont pratiquement unanimes en faveur d’une vie future. Les arguments historiques et philosophiques de l’immortalité de l’âme ne sont pas tout à fait concluantes, mais sont certainement importants témoignages de l’existence personnelle et consciente de l’homme. Ils sont les suivantes:
1. L’ARGUMENT HISTORIQUE. Le consensus gentium est tout aussi forte dans le cadre de l’immortalité de l’âme, car il est en ce qui concerne l’existence de Dieu. Il ont toujours été des savants incrédules qui a nié l’existence de l’homme, mais en général on peut dire que la croyance en l’immortalité de l’âme se retrouve chez toutes les races et les nations, quels que soient leur stade de civilisation. Et il semblerait qu’une notion si commune peut être considérée comme un instinct naturel ou comme quelque chose impliquée dans la constitution même de la nature humaine.
2. L’ARGUMENT MÉTAPHYSIQUE. Cet argument repose sur la simplicité de l’âme humaine et déduit de ce son indissolubilité. Mort question est dissoute en ses parties. Mais l’âme comme une entité spirituelle n’est pas composé de différentes parties et est donc incapable de division ou de la dissolution. En conséquence, la décomposition du corps ne procède pas avec lui la destruction de l’âme. Même lorsque celui-ci périt, ce dernier reste intact. Cet argument est très ancien et était déjà utilisé par Platon.
3. L’ARGUMENT TÉLÉOLOGIQUE. Les êtres humains semblent être dotés de capacités presque infinies, qui ne sont jamais entièrement développées dans cette vie. Il semble comme si la plupart des hommes commencent à peine à accomplir certaines des grandes choses auxquels ils aspirent. Il y a des idéaux qui sont loin de réalisation, des appétits et des désirs qui ne sont pas remplies dans cette vie, des désirs et des aspirations qui sont déçues. Maintenant, on prétend que Dieu n'aurait pas conféré aux hommes ces capacités et talents, uniquement pour les rendre échouent dans leurs réalisations, n'auraient pas comblé le cœur avec ces désirs et aspirations, qu’à les décevoir. Il doit avoir donné une existence future, dans lequel la vie humaine va se concrétiser.
4. L’ARGUMENT MORAL. La conscience humaine témoigne de l’existence d’une règle morale de l’univers qui exerce la justice. Encore les exigences de la justice ne sont pas respectées dans la vie présente. Il y a une répartition très inégale et apparemment injuste du bien et du mal. Les méchants souvent prospèrent, augmentent de la richesse et ont une part abondante de la joie de vivre, tandis que les pieux fréquemment vivre dans la pauvreté, de rencontre avec revers douloureux et humiliants et souffre beaucoup d’afflictions. Par conséquent, il doit y avoir un futur État de l’existence, dans lequel la justice va régner en maître, et les inégalités du présent seront ajustées.
C. LE TÉMOIGNAGE D’UNE RÉVÉLATION SPÉCIALE À L’IMMORTALITÉ DE L’ÂME.
Les preuves historiques et philosophiques pour la survie de l’âme ne sont pas tout à fait démonstratifs et oblige donc pas de croyance. Pour une plus grande assurance dans cette affaire, il est nécessaire d’ordonner à le œil de la foi de l’écriture. Ici, aussi, nous devons compter sur la voix de l’autorité. Maintenant la position de l’écriture à l’égard de cette question peut sembler à première vue un peu douteuse. Il parle de Dieu comme le seul qui a de l’immortalité (I Timothée 06:15), et prédicats jamais cela de l’homme. Il n’y a aucune mention explicite de l’immortalité de l’âme et encore moins toute tentative de le prouver de façon formelle. D'où les Russellites ou Autoristes millénaire souvent contestent théologiens pour pointer vers un passage unique dans lequel la Bible enseigne que l’âme de l’homme est immortel. Mais même si la Bible ne mentionne pas explicitement que l’âme de l’homme est immortel et ne cherche pas à prouver de façon formelle, tout plus qu’il ne cherche à présenter une preuve formelle de l’existence de Dieu, cela ne signifie pas que l’écriture nie ou contredit ou même ne tient pas compte il. Il suppose que dans beaucoup de passages clairement que l’homme continue son existence consciente après la mort. En effet, il traite la vérité de l’immortalité de l’homme très autant qu’il le fait que l’existence de Dieu, autrement dit, il suppose que cela comme un postulat incontesté.
1. LA DOCTRINE DE L’IMMORTALITÉ DANS L’ANCIEN TESTAMENT. L’affirmation a été faite à plusieurs reprises que l’ancien Testament et en particulier le Pentateuque, n’enseigne pas en quelque sorte l’immortalité de l’âme. Maintenant, il est parfaitement vrai que cette grande vérité se révèle moins clairement dans l’ancien que dans le Nouveau Testament; mais les faits en l’espèce ne justifient pas l’affirmation selon laquelle il est absent de l’ancien Testament en tout. C’est un fait bien connu et généralement reconnu que la révélation de Dieu dans l’Ecriture est progressive et augmente progressivement dans la clarté; et il va de soi que la doctrine de l’immortalité dans le sens d’une vie éternelle bienheureuse, ne pouvait être révélé dans tous ses repères après la résurrection de Jésus Christ, qui « a apporté la vie et l’immortalité à la lumière, » II Timothée 01:10. Mais tout cela est vrai, on ne peut nier que l’ancien Testament implique l’existence consciente de l’homme, soit dans le sens d’une immortalité nue ou la survie de l’âme, ou d’une vie future bienheureuse, de plusieurs façons. C’est implicite:
a. dans sa doctrine de Dieu et l’homme. La racine même de l’espoir d’Israël de l’immortalité a été trouvée par sa croyance en Dieu comme son créateur et Rédempteur, son Pacte de Dieu, qui leur manquerait jamais. Il était pour eux la vie, l’Éternel, le Dieu fidèle, dont Fellowship, ils ont trouvé satisfaction parfaite, la vie, paix et joie. Seraient ils ont haleté après lui comme ils le faisaient, ont confié à lui complètement dans la vie et la mort et ont chanté de lui comme de leur part pour toujours, s’ils se sentaient que tout ce qu’il leur a offert était, mais pour un bref laps de temps ? Comment pouvaient ils dérivent réel confort la rédemption promise de Dieu, s’ils considéraient la mort comme la fin de leur existence ? Par ailleurs, l’ancien Testament représente l’homme créé à l’image de Dieu, créé pour la vie et non pour la mortalité. À la différence de la brute, il possède une vie qui transcende le temps et contient déjà en soi un gage d’immortalité. Il est fait pour la communion avec Dieu, est mais peu inférieur aux anges, et Dieu a mis l’éternité dans son cœur, Eccl. 03:11.
b. dans sa doctrine des enfers. Dans l’ancien Testament, on nous apprend que les morts descendent dans le séjour des morts. La discussion de cette doctrine appartient au chapitre suivant. Mais quel que soit l’interprétation correcte de l' ancien Testament le séjour des mortset tout ce que peut dire de la condition de ceux qui ont descendu dedans, cela est certainement représenté comme un état d’existence plus ou moins consciente, bien que pas un seul de bonheur. Homme entre dans l’état de bonheur parfait que par une délivrance de sheol. Dans cette délivrance, nous atteignons le véritable noyau de l’espérance de l’ancien Testament d’une immortalité bienheureuse. C’est clairement enseigné dans plusieurs passages, comme PS. 16:10; 49: 14, 15.
c. dans ses fréquents avertissements contre la consultation des morts ou «esprits familiers, » c'est-à-dire, les personnes qui ont été en mesure d’invoquer les esprits des morts et de transmettre leurs messages pour les enquêteurs, Lév. 19:31; 20:27; Deutéronome 18:11; Ésaïe 08:19; 29:4. l’écriture ne dit pas qu’il est impossible de consulter les morts, mais plutôt semble présupposer la possibilité alors qu’il condamne la pratique.
d. dans ses enseignements concernant la résurrection des morts. Cette doctrine n’est pas explicitement enseignée dans les livres précédents de l’ancien Testament. Christ fait remarquer, cependant, qu’il a été enseigné de manière implicite dans la déclaration, « je suis le Dieu d’Abraham et le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob, » Matthieu 22:32, cf. Exode 3:6 et reproche les Juifs pour ne pas comprendre les Ecritures sur ce point. En outre, la doctrine de la résurrection est explicitement enseignée dans ces passages comme Job 19:23-27; PS. 16:9-11; 17:15; 49: 15; 73:24; Ésaïe 26: 19; Daniel 12:2.
e. dans certains passages frappants de l'Ancien Testament qui parlent de la jouissance du croyant en communion avec Dieu après la mort. Ce sont pour l’essentiel identique avec les passages dénommés dans ce qui précède, à savoir, Job 19:25-27; PS. 16:9-11; 17:15; 73:23, 24, 26. ils respirent l’attente confiante de plaisirs en présence de Jéhovah.
2. LA DOCTRINE DE L’IMMORTALITÉ DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. Dans le Nouveau Testament, après que Christ a apporté l’immortalité et vie à la lumière, les preuves naturellement se multiplient. Les passages qui contiennent ces peuvent encore être divisés en différentes classes, comme se référant:
a. pour la survie de l’âme. Une pérennité des justes et les méchants est clairement enseignée. Que les âmes des croyants survivent, ressort de ces passages comme Matthieu 10:28; Luc 23:43; John 11:25 f.; 14:3; II Corinthiens 5:1; et plusieurs autres passages rendent tout à fait évident que le même peut être dit des âmes des méchants, Matthieu 11:21-24; 12:41; Romains 2:5-11; II Corinthiens 05:10.
b. la résurrection par laquelle le corps s’effectue également à partager dans l’existence future. Pour les croyants la résurrection signifie la rédemption du corps et entrée dans la vie parfaite en communion avec Dieu, la bénédiction pleine d’immortalité. Cette résurrection est enseignée dans Luc 20:35, 36; Jean 05:25-29; I Corinthiens 15; I Thessaloniciens 04:16; Phil. 03:21 et autres passages. Pour les méchants la résurrection signifie aussi une existence renouvelée et maintien du corps, mais cela peut difficilement être qualifiée de vie. L’écriture appelle la mort éternelle. La résurrection des méchants est mentionnée dans Jean 05:29; Actes 24:15; Apocalypse 20:12-15.
c. de la vie bienheureuse des croyants en communion avec Dieu. Il existe de nombreux passages dans le Nouveau Testament, qui insistent sur le fait que l’immortalité des croyants n’est pas une simple existence infinie, mais une vie enthousiaste de bonheur en communion avec Dieu et Jésus Christ, la pleine maturité de la vie qui est implantée dans l’âme w ien que sur terre. Cette volonté est clairement soulignée dans ces passages comme Matthieu 13:43; 25: 34; Romains 2:7, 10; I Corinthiens 15:49; Phil. 03:21; II Timothée 4:8; Apocalypse 21:4; 22:3, 4.
D. OBJECTIONS À LA DOCTRINE DE L’IMMORTALITÉ PERSONNELLE ET MODERNE QUI SE SUBSTITUE À ELLE.
1. LA PRINCIPALE OBJECTION. Croyance en l’immortalité de l’âme pendant un certain temps a connu un déclin sous l’influence d’une philosophie matérialiste. Le principal argument contre il a été forgé dans l’atelier de psychologie physiologique et fonctionne un peu comme suit: l’esprit ou l’âme n’a aucune existence indépendante substantielle, mais est simplement un produit ou une fonction de l’activité cérébrale. Le cerveau de l’homme est la cause productrice de phénomènes mentaux, tout comme le foie est la cause productrice de la bile. La fonction ne peut pas persister lorsque l’orgue se désintègre. Lorsque le cerveau cesse de fonctionner, le flux de la vie mentale s’arrête.
2. SUBSTITUTS POUR LA DOCTRINE DE L’IMMORTALITÉ PERSONNELLE. Le désir d’immortalité est si profondément implanté dans l’âme humaine que même ceux qui acceptent les dicta de la science matérialiste, chercher une sorte de substitut à la notion mis au rebut de l’immortalité personnelle de l’âme. Leur espoir en l’avenir suppose qu’une des formes suivantes:
a. l’immortalité raciale. Il y a ceux qui se consoler à l’idée que l’individu continuera à vivre sur cette terre dans sa postérité, à ses enfants et petits-enfants, d’innombrables générations. L’individu demande à être indemnisée de son manque d’espoir dans une immortalité personnelle dans l’idée qu’il contribue à sa participation à la vie de la course et continuera à vivre dans ce. Mais l’idée qu’un homme vit dans sa descendance, quelque peu de la vérité, elle peut contenir, peut difficilement servir de substitut pour la doctrine de l’immortalité personnelle. Certes, il ne rend pas justice aux données de l’écriture et ne satisfait pas les plus profonds désirs du coeur humain.
b. l’immortalité de commémoration. Selon le positivisme, c’est l’immortalité seulement nous devrions désirer et recherchez. Tout le monde devrait viser à faire quelque chose pour établir un nom pour lui-même, qui restera dans les annales de l’histoire. Si il le fait, il continuera à vivre dans les cœurs et les esprits d’une postérité reconnaissante. C’est aussi loin de l’immortalité personnelle dont l’écriture nous amène à attendre. C’est d’ailleurs une immortalité où seuls quelques-uns seront partageront. Les noms de la plupart des hommes ne sont pas enregistrées sur les pages de l’histoire, et beaucoup de ceux qui sont alors enregistrées sont vite oubliées. Et dans une large mesure, on peut affirmer que le meilleur et le pire partagez-le alike.
c. l’immortalité de l’influence. C’est très étroitement liée à la précédente. Si un homme fait sa marque dans la vie et accomplit quelque chose qui est de valeur durable, son influence se poursuivra longtemps après qu’il a disparu. Jésus et Paul, Augustin et Thomas Aquinas, Luther et Calvin, — ils sont tous très bien vivantes dans l’influence qu’ils exercent à l’heure actuelle. C’est parfaitement vrai, cette immortalité d’influence n’est qu’un piètre substitut pour l’immortalité personnelle. Toutes les objections soulevées contre l’immortalité de commémoration, s’appliquent également en l’espèce.
3. LE RECOUVREMENT DE LA FOI EN L’IMMORTALITÉ. À l’heure actuelle l’interprétation matérialiste de l’univers a fait escale pour une interprétation plus spirituelle; et par conséquent la foi en l’immortalité personnelle gagne une fois de plus favor. Dr William James, en souscrivant à la formule suivante: « la pensée est une fonction du cerveau, » refuse que cela logiquement nous oblige à ne croient pas à la doctrine de l’immortalité. Il soutient que cette conclusion des scientifiques est basée sur la croyance erronée que la fonction dont parle la formule est nécessairement un productif fonction et fait remarquer qu’il peut aussi être une permissive ou transmissif fonction. Le cerveau peut transmettre simplement, et dans la transmission, couleur, pensé, tout comme un verre coloré, un prisme ou une lentille réfringents, peut transmettre la lumière et en même temps déterminer sa couleur et son orientation. La lumière existe indépendamment de la vitre ou de la lentille; Si la pensée existe aussi indépendante du cerveau. Il vient à la conclusion qu’on peut, dans la stricte logique, croire en l’immortalité. Certains évolutionnistes maintenant fondent la doctrine de l’immortalité conditionnelle sur la lutte pour l’existence. Et ces scientifiques comme William James, Sir Oliver Lodge et James H. Hyslop, attachent grande importance à des communications avec les morts. Sur la base des phénomènes psychiques, la première était enclin à croire à l’immortalité, alors que les deux autres il a embrassé comme un fait établi.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Est la doctrine de l’immortalité dans le Pentateuque ? Comment expliquer la rareté comparative des preuves pour elle dans l’ancien Testament ? Sur ce qu’il a fait Platon fonder sa croyance en l’immortalité de l’âme ? Comment Kant juger des arguments physiques habituelles pour la doctrine de l’immortalité ? Y a-t-il n’importe quel endroit de la croyance en l’immortalité personnelle dans matérialisme ou le panthéisme ? Pourquoi la doctrine de ce que l'on appelle « immortalité sociale » échoue à satisfaire ? Est-l’immortalité de l’âme dans le sens philosophique identique à la vie éternelle ? Comment devrions nous juger des réputés spiritualiste communications avec les morts ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 645-655; Kuyper, Dict. dogme., De Consummatione Saeculi, pp. 3-24; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 713-730; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 817-823; Dick, LECT sur Theol., conférences LXXX, LXXXI; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., pp. 535-548; Heagle, les morts vivent-ils encore; Dahl, vie après la mort, pp. 59-84; Salmond, La Doctrine chrétienne de l’immortalité, cf. Index; Mackintosh, l’immortalité et l’avenir, pp. 164-179; Brown, L’espoir chrétien, cf. Index; Randall, le nouvel éclairage sur l’immortalité; Macintosh, la théologie comme une Science empirique, pp. 72-80. Althaus, Die Letzten Dinge, pp. 1-76; A. G. James, l’immortalité personnelle, pp. 19-52; Rimmer, les preuves de l’immortalité; Lawton, le drame de la vie après la mort; Addison, la vie au-delà de la mort, p. 3-132.
III. l’état intermédiaire
A. LA VUE BIBLIQUE DE L’ÉTAT INTERMÉDIAIRE.
1. LA REPRÉSENTATION BIBLIQUE DES CROYANTS ENTRE LA MORT ET LA RÉSURRECTION. La position habituelle des Églises réformées est que les âmes des croyants immédiatement après la mort, pénétrer sur les splendeurs des cieux. En réponse à la question, « quel confort la résurrection du corps donne toi ? » dit le Catéchisme de Heidelberg: « que non seulement mon âme, après cette vie, doit être immédiatement répercutée vers le haut au Christ son chef, mais aussi que cela mon corps, soulevée par la puissance du Christ doivent à nouveau être Unis avec mon âme et comme le corps glorieux du Christ. » La Confession de Westminster parle dans le même esprit, lorsqu’il est dit que, au moment du décès, « les âmes des justes, étant alors rendue parfaite dans la sainteté, sont reçus dans les plus haut des cieux, où ils Voici le visage de Dieu dans la lumière et la gloire, en attente pour le plein rédemption de leurs corps. » De même, la Confession helvétique déclare: « Nous croyons que les fidèles, après la mort corporelle, aller directement au Christ. » Cette opinion semble trouver justifiaient amplement dans les Ecritures, et il est bon de prendre note de cela, étant donné que durant le dernier quart de siècle que certains théologiens réformés ont pris la position que croyants au moment du décès pénétrer dans un lieu intermédiaire et d’y rester jusqu’au le jour de la résurrection. La Bible enseigne, cependant, que l’âme du croyant séparé de corps, pénètre dans la présence du Christ. Paul dit qu’il est « prête plutôt à s’absenter de l’organisme et d’être à la maison avec le Seigneur. » II Cor. 5:8. Aux Philippiens il écrit qu’il a un « désir partir et d’être avec le Christ, » Phil. 01:23. Et Jésus a donné le malfaiteur repentant la joyeuse assurance, « aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis, » Luc 23:43. Et pour être avec le Christ est aussi d’être dans le ciel. À la lumière de II Cor. 12:3, 4 « paradis » ne peut être qu’une désignation du ciel. Par ailleurs, Paul dit que, « si la dissolution de la maison terrestre de notre tente, nous avons un bâtiment de Dieu, une maison ne pas faite avec les mains, éternelle dans les cieux, » II Cor. 5:1. Et l’auteur d’Hébreux Bravo les coeurs de ses lecteurs avec cette pensée, entre autres, qu’ils « sont venus à l’Assemblée générale et l’église des premiers-nés qui sont inscrits dans les cieux, » Hébreux 12:23. Que l’état futur des fidèles après la mort est grandement préférable à l’heure actuelle il appert clairement les affirmations de Paul II Cor. 5:8 et Phil. 01:23, cité plus haut. C’est un État dans lequel les croyants sont vraiment vivant et pleinement consciente, Luc 16:19-31; Je th. 05:10; un état de repos et de bonheur sans fin, 14:13.
2. LA REPRÉSENTATION MENTIONNÉS DANS LES ÉCRITURES DE L’ÉTAT DES MÉCHANTS ENTRE LA MORT ET LA RÉSURRECTION. Le Catéchisme de Westminster dit que les âmes des méchants après mort » sont jetés dans l’enfer, où ils restent dans les tourments et obscurité totale, réservés au jugement du grand jour. » Par ailleurs, il ajoute: « En dehors de ces deux endroits (ciel et enfer) pour les âmes, séparées de leur corps, l’écriture reconnaît aucun. » Et la Confession helvétique continue après la citation citée plus haut: « de la même manière, nous croyons que les mécréants sont jetés tête baissée dans l’enfer, de d'où il n’y a pas de retour ouvert pour les méchants de tous les offices de ceux qui vivent. » La Bible éclaire très peu directe sur ce sujet. Le seul passage qui peut vraiment venir en considération ici est la parabole de l’homme riche et de Lazare dans Luc 16, où Hadès désigne l’enfer, lieu de tourment éternel. L’homme riche s’est retrouvé à la place de tourment; son état a été fixé pour toujours; et il était conscient de son sort misérable, a demandé des mesures d’atténuation de la douleur, il souffrait et voulait avoir ses frères a mis en garde, afin qu’ils pourraient éviter un destin semblable. En plus de cette preuve directe, il n’y a également une preuve inférentielle. Si les justes pénétrer leur état éternel en même temps, la présomption est que cela est vrai des méchants aussi bien. Nous partons d’une considération ici quelques passages, qui sont d’interprétation incertaine, à savoir, j’ai PET. 03:19; II Pierre 2:9.
B. LA DOCTRINE DE L’ÉTAT INTERMÉDIAIRE DANS L’HISTOIRE.
Dans les premières années de the Christian Church, il y avait peu de réflexion d’un état intermédiaire. L’idée que Jésus reviendra bientôt comme juge fait l’intervalle semblent être de peu de conséquence. Le problème de l’état intermédiaire se pose lorsqu’il est devenu évident que Jésus ne retournerait pas à la fois. Le problème réel qui ont vexé les premiers pères, était de savoir comment concilier jugement individuel et des représailles à la mort avec le jugement général et châtiment après la résurrection. Pour attribuer trop d’importance à l’ancienne semble voler à l’autre de sa signification et vice versa. Il n’y avait pas d’unanimité parmi les premiers pères de l’église, mais la majorité d'entre eux a cherché à résoudre la difficulté en supposant un état distinct intermédiaire entre la mort et la résurrection. Dit Addison: « pendant des siècles la conclusion générale a été largement acceptée qu’un souterrain Hades justes jouissent en guise de récompense ne correspond pas à leurs futur ciel et les méchants souffrent d’un certain degré de punition ne correspond pas à l’enfer de leur futur. L’état intermédiaire est donc une version légèrement réduite de châtiment ultime. » Cette opinion a été exprimée, mais avec quelques variantes, par des hommes tels que Justin Martyr, Irénée, Tertullien, Novatien, Origène, Grégoire de Nysse, Ambroise et Augustin. Dans l’école d’Alexandrie, l’idée de l’état intermédiaire passé dans celui d’une purification progressive de l’âme, et cela en cours de temps ouvert la voie à la doctrine catholique du purgatoire. Il y en avait, cependant, qui a favorisé l’idée que, au moment du décès, les âmes des justes immédiatement introduites ciel, à savoir, Grégoire de Nazianze, Eusèbe et Grégoire le grand. Au moyen-âge, la doctrine d’un état intermédiaire a été retenue, et à cet égard, l’église catholique romaine a développé la doctrine du purgatoire. L’opinion dominante était que l’enfer a reçu en même temps les âmes des méchants, mais que seuls ceux des justes qui sont exempts de toute tache de péché, ont été admis à la fois dans la béatitude du ciel, pour profiter de la visio Dei. Les martyrs ont été habituellement comptés parmi les rares favorisées. Ceux qui avaient besoin de davantage de purification ont été, selon le point de vue répandu, détenus au purgatoire pour une période plus courte ou plus longue, peut nécessiter le degré du péché restant et étaient là extrait du péché par un feu purificateur. Une autre idée, qui a également été développé dans le cadre de la pensée de l’état intermédiaire, a été que du Limbus Patrum, où l’ancien Testament les saints ont été détenus jusqu'à la résurrection du Christ. Les réformateurs, tout le monde, a rejeté la doctrine du Purgatoire et aussi l’idée d’un véritable état intermédiaire, qui comportait l’idée d’un lieu intermédiaire. Ils ont tenu que ceux qui sont morts dans le Seigneur, à la fois entré dans la béatitude du ciel, tandis que ceux qui sont morts dans leurs péchés en même temps, est descendus aux enfers. Cependant, certains théologiens de l’époque de la réforme suppose une différence de degré entre le bonheur de l’ancien et le jugement de ce dernier avant le jugement définitif et leur bonheur final et la répression après la grande assises. Parmi les Sociniens et les anabaptistes il y en a certains qui a relancé l’ancienne doctrine tenue par certains membres de l’église primitive, que l’âme de l’homme dort depuis l’époque de la mort jusqu'à la résurrection. Calvin a écrit un traité pour lutter contre ce point de vue. La notion même est préconisée par certaines sectes Adventiste et l’Autoristes millénaire. Au 19e siècle, plusieurs théologiens, surtout en Angleterre, en Suisse et en Allemagne, a accepté l’idée que l’état intermédiaire est un état de probation supplémentaire pour ceux qui n’ont pas accepté Christ dans cette vie. Cette vue est maintenue par certains jusqu'à présent et est un principe favori des universalistes.
C. LA CONSTRUCTION MODERNE DE LA THÉORIE DE SHEOL-HADES.
1. DÉCLARATION DE LA DOCTRINE. Il y a plusieurs représentations de la conception biblique de sheol-Hadès dans la théologie de nos jours, et c’est tout à fait impossible d’examiner chacun d’eux séparément. L’idée est très répandue à l’heure actuelle que la conception de l’ancien Testament du séjour des morts, dont celle d' Hadès dans le Nouveau Testament est censé pour correspondre, a été empruntée à la notion païenne de la pègre. Il est jugé que selon l’ancien Testament et le nouveau, à la fois les pieux et les méchants à mort entrer dans la demeure lugubre des ombres, le pays de l’oubli, où ils sont voués à une existence qui est simplement un reflet rêve de la vie sur terre. La pègre est en soi ni un lieu de récompenses, ni un lieu de punition. Il n’est pas divisé en différents compartiments pour le bien et le mal, mais il est une région sans distinction morale. C’est un lieu de conscience affaiblie et d’inactivité slumbrous, où la vie a perdu ses intérêts et la joie de vivre est transformée en tristesse. Certains sont d’avis que l’ancien Testament représente sheol comme la demeure permanente de tous les hommes, tandis que d’autres trouvent qu’elle détient sur un espoir d’évasion pour les pieux. Nous rencontrons parfois avec une représentation quelque peu différente de la conception de l’ancien Testament, où le séjour des morts est représenté comme divisé en deux compartiments, à savoir, paradis et Géhenne, le premier contenant soit la totalité les Juifs ou seulement ceux qui observaient fidèlement la Loi et l’embrassant ces derniers païens. Les Juifs seront livrés depuis le séjour des morts lors de la venue du Messie, tandis que les gentils resteront à jamais dans la demeure des ténèbres. La contrepartie de Nouveau Testament de cette conception des enfers se trouve dans sa représentation de l’Hadès. Il ne tient pas simplement que les Hébreux divertir la notion de telle une pègre, ni que les auteurs bibliques parfois hébergés eux-mêmes officiellement dans leurs représentations aux vues des païens dont ils parlaient; mais que c’est la vue biblique de l’état intermédiaire.
2. LA CRITIQUE DE CETTE REPRÉSENTATION MODERNE. Dans l’abstrait c’est, bien sûr, possible que l’idée d’une localité distincte, qui n’est ni ciel ni enfer, dans laquelle sont regroupés tous les morts et où ils restent, soit en permanence soit que certains résurrection communale, était plus ou moins courante dans le populaire Hébreu pensé et mai ont donné lieu à certaines descriptions figuratives de l’état de la mort; mais il peut difficilement être considéré par ceux qui croient en l’inspiration plénière de la Bible comme un élément des enseignements positifs de l’écriture, puisqu’il contredit clairement la représentation mentionnés dans les écritures que les justes à la fois entrer dans gloire et les méchants à la fois descendre à la place de punition éternelle. En outre, les considérations suivantes peuvent être exhortées contre ce point de vue:
a. la question se pose, si la vue du shéol-hades, maintenant si largement considéré comme mentionnés dans les écritures, est fidèle à fait ou non. Si c’était vrai à fait à l’époque, quand les livres de la Bible ont été écrits, mais n’est pas plus fidèle à fait aujourd'hui, la question surgit naturellement, ce qui a amené le changement ? Et s’il n’était pas fidèle à fait, mais était une vision résolument fausse — et c’est l’opinion répandue —, alors le problème se pose à la fois, comment ce point de vue erroné pourrait être toléré et sanctionné et y enseigna positivement par les écrivains inspirés de l’écriture. Le problème n’est pas soulagé par la considération, préconisée par certains, que l’inspiration de l’écriture ne procède pas avec elle l’assurance que les saints de l’ancien Testament étaient correctes quand ils parlaient d’hommes entrant dans un endroit souterrain au moment du décès, parce que non seulement ces les Saints, mais aussi les écrivains inspirés de l’écriture employée langue qui, en elle-même et indépendamment des autres enseignements clairs de l’Ecriture, pourrait être ainsi interprétée, num. 16:30; Psaume 49: 15, 16; PS. 88: 3; PS. 89:48; Eccl. 09:10; Ésaïe 05:14; Osée 13:14. Ont été ces écrivains inspirés par erreur, quand ils parlaient des justes et les méchants comme descendant dans le séjour des morts? On peut dire qu’il y avait le développement dans la révélation concernant le futur destin de l’homme, et nous n’avons aucune raison de douter que sur ce point, comme sur beaucoup d’autres, ce qui était tout d’abord obscure peu à peu gagné en précision et clarté; mais cela ne signifie certainement pas que le vrai développé à partir de la valeur false. Comment cela pourrait-il être ? Le Saint-esprit il juge opportun pour l’homme qu’il reçoit d’abord fausses impressions et obtenir des vues erronées et ensuite échange ces cours de temps pour un bon aperçu de la condition des morts ?
b. Si la représentation scripturale sheol-Hadès est vraiment un endroit neutre, sans distinction morale, sans la bénédiction d’une part, mais aussi sans douleur positive sur l’autre, un lieu auquel tous pareils descendre, comment peut-on l’ancien Testament résistent à la descente des méchants dans le séjour des morts comme un avertissement, comme il le fait en plusieurs endroits, Job 21:13; PS. 09:17; Prov. 5:5; 07:27; 09:18; 15:24; 23:14 ? Comment peut la Bible parle de la colère de Dieu brûler là, Deut. 32: 22, et comment il peut utiliser le terme sheol , synonyme d' abaddon, c'est-à-dire la destruction, la Job 26: 6; Prov. 15:11; 27: 20 ? Il s’agit d’un terme fort, qui est appliqué à l’ange de l’abîme à 19:11. Certains cherchent échapper à cette difficulté en abandonnant le caractère neutre des enfers et de supposer qu’il a été conçu comme un monde souterrain avec deux divisions, appelées dans le Nouveau Testament paradis et de la Géhenne, l’ancien le destinée demeure des justes et ce dernier que des méchants; mais cette tentative ne peut résulter dans la déception, pour l’ancien Testament ne contient aucune trace d’une telle division, bien qu’il parle de sheol comme un lieu de punition pour les méchants. En outre, le Nouveau Testament identifie clairement le paradis avec le ciel dans II Corinthiens 12:2, 4. Et, enfin, si Hadès est la désignation du Nouveau Testament du séjour des mortset tous pareils y aller, ce qu’il advient de la doom spéciale de Capharnaüm, Matthieu 11:23, et comment il peut être photographié comme un lieu de tourment, Luc 16:23 ? Quelqu'un pourrait être enclin à dire que les menaces contenues dans certains des passages mentionnés se référer à une descente rapide dans le séjour des morts, mais il n’y a aucune indication de cela dans le texte que ce soit, sauf dans Job 21:13, où c’est explicitement déclaré.
c. Si une descente aux enfers était les sombres perspectives sur l’avenir, non seulement des méchants, mais aussi des justes, comment peut-on expliquer les expressions d’attente joyeuse, ou la joie face à la mort, tel que nous trouvons dans Nombres 23:10; PS. 16:9, 11; 17:15; 49: 15; 73:24, 26; Esaïe 25: 8 (comp. I Corinthiens 15:54) ? L’expression dans le Psaume 49: 15 peut être interprétée comme signifiant que Dieu délivrera le poète hors sheol ou de la puissance des enfers. Notez également ce que dit l’auteur d’Hébreux de l’ancien Testament héros de la foi en Hébreux 11:13-16. Le Nouveau Testament, bien sûr, parle abondamment de la joyeuse perspective des croyants sur l’avenir et enseigne leur bonheur consciente dans l’État désincarné, Luc 16:23, 25; 23:43; Actes à 07:59; II Corinthiens 5:1, 6, 8; Phil. 01:21, 23; Je th. 05:10; EP 03:14, 15 (« famille dans les cieux, » pas dans «Hadès»); Apocalypse 6:9, 11; 14:13. dans II Corinthiens 12:2, 4 « paradis » est utilisé comme synonyme avec « le troisième ciel ». Dans le cadre de cette représentation claire du Nouveau Testament, il a été suggéré que les croyants du Nouveau Testament étaient privilégiés, supérieurs à ceux de l’ancien Testament, en recevant un accès immédiat à la béatitude du ciel. Mais la question peut être posée, quelle base est là pour assumer une telle distinction ?
d. Si le mot shéol désigne toujours la région ombragée à laquelle les morts descendent et jamais a un autre sens, puis l’ancien Testament, bien qu’il ait un mot pour le ciel comme la demeure bénie de Dieu et des saints anges, n’a aucun mot pour l’enfer , le lieu de destruction et de punition éternelle. Mais c’est seulement en supposant que, dans certains passages, sheol désigne un lieu de punition où que vont les méchants dans la distinction des justes, que les avertissements visés sous b avoir n’importe quel point. Le séjour des morts est effectivement parfois en contraste avec shamayim (cieux) comme dans Job 11:8; PS. 139:8; Amos 9:2. L’écriture parle aussi de la plus profonde ou plus bas shéol dans Deutéronome 32: 22. La même expression se retrouve dans le Psaume 86:13, mais dans ce passage est évidemment utilisée au sens figuré.
e. Enfin, il convient de noter qu’il y avait une divergence d’opinions entre les savants sur l’objet exact de la descente dans le séjour des morts. L’opinion dominante est que l’homme dans son ensemble est l’objet. L’homme descend dans le séjour des morts et d’une certaine façon obscure continue son existence dans un monde d’ombres, où les relations de vie reflètent encore ceux sur terre. Cette représentation semble être plus en harmonie avec les déclarations de l’Ecriture, Genèse 37: 35; Job 7:9; 14:13; 21:13; PS. 139:8; Eccl. 09:10. Il y a certains qui soulignent le fait que le corps est inclus. Il y a danger que « Cheveux gris » de Jacob est traduits vers le bas au shéol, Genèse 42: 38; 44: 29, 31; Samuel arrive comme un vieil homme recouvert d’une robe, j’ai Samuel 28: 14; et « La tête hoar » de Shimei doit être ramenée à sheol, je rois 2:6, 9. Mais si le séjour des morts est un lieu où que tous les morts vont, corps et l’âme, ce qui est ensuite posé dans la tombe, qui est censé pour être un autre endroit ? Cette difficulté est prévenue par ces savants qui affirment que seules les âmes descendent dans le séjour des morts, mais on peut difficilement dire d’être en harmonie avec la représentation de l’ancien Testament. Il est vrai qu’il y a quelques passages qui parlent des âmes comme descendant dans, ou comme étant en, sheol, PS. 16:10; 30:3; 86:13; 89:48; Prov. 23:14, mais il est un fait bien connu qu’en Hébreu, le mot nephesh (âme) avec le suffixe pronominal est souvent, surtout dans le langage poétique, équivalent au pronom personnel. Certains théologiens conservateurs a adopté cette interprétation de la représentation de l’ancien Testament et trouvé dedans soutenir leur idée que les âmes des hommes sont dans un certain endroit intermédiaire (un endroit avec distinction morale et divisions distinctes, toutefois) jusqu’au jour de la résurrection.
3. INTERPRÉTATION DE SHEOL-HADES. L’interprétation de ces termes n’est pas facile, et en proposant une interprétation nous ne désirent pas donner l’impression que nous parlons avec une certitude absolue. Une étude inductive des passages dans lequel figurent les termes dissipe rapidement la notion selon laquelle les mots shéol et Hadès sont toujours utilisés dans le même sens et peuvent dans tous les cas être restitué par le même mot, que ce soit des enfers, état de la mort , tombe, ou l’enfer. Cela ressort également clairement dans les diverses traductions de la Bible. La Version de Hollande rend le terme sheol en grave dans certains passages et en enfer dans d’autres. St. James ou Version autorisée emploie trois mots dans sa traduction, à savoir, grave, enferet fosse. Les réviseurs anglais conservé assez incohérente grave ou fosse dans le texte des livres historiques, mettant le séjour des morts dans la marge. Ils ont conservé enfer seulement dans Ésaïe 14. Les réviseurs américain éviter la difficulté en conservant simplement l’original dans leur traduction les mots shéol et Hadès . Bien que l’opinion a acquis une grande monnaie que le séjour des morts sont simplement la pègre à laquelle tous les hommes descendent, ce point de vue n’est pas unanime. Certains des érudits antérieurs identifiés simplement le séjour des morts et la grave; d’autres la considèrent comme le lieu où les âmes des morts sont conservés; et encore d’autres, dont on mentionnera Shedd, Vos, Aalders et De Bondt, soutiennent que le mot shéol ne pas toujours avoir le même sens. Il semblerait que le dernier avis mérite de préférence, et que ce qui suit peut être dit concernant ses différentes significations:
a. les mots shéol et Hadès ne désigne pas toujours une localité dans les Ecritures, mais sont souvent utilisés dans un sens abstrait pour désigner l’état de la mort, l’état de la séparation de corps et âme. Cet État est souvent localement conçu comme constituant le Royaume de la mort et est parfois représenté comme un bastion avec gates, qui lui seul qui a les clés peut verrouiller et déverrouiller, Matthieu 16:18; 01:18. Cette représentation locale est selon toute probabilité, basée sur une généralisation de l’idée de la tombe, dans laquelle l’homme descend quand il entre dans l’état de la mort. Étant donné que les croyants et les mécréants à la fin de leur vie entrent dans l’état de la mort, on peut très bien dire au sens figuré qu’ils sont sans distinction dans le shéol ou Hadès. Ils sont tous pareils, dans l’état de la mort. Le parallélisme montre clairement ce que l'on entend dans un passage comme I Samuel 2:6: « Jéhovah tue et fait encore en vie; Il tend vers le bas au shéolet tend vers le haut. » Voir aussi Job 14:13, 14; 17:13; 14; PS. 89:48; Osée 13:14 et plusieurs autres passages. Le mot Hadès est manifestement servi plus d’une fois dans le sens non local de l’état de la mort dans le Nouveau Testament, actes 02:27, 31; Apocalypse 6:8; 20:28. dans les deux derniers passages, nous avons une personnification. Puisque les termes peuvent indiquer l’état de la mort, il n’est pas nécessaire de prouver qu’ils ont jamais faire référence à tout ce qui concerne les justes et les méchants semblables, mais seulement qu’ils ne pas désigner un lieu où les âmes de tous les deux sont réunis. De Bondt attire l’attention sur le fait que, dans de nombreux passages le terme que Sheol est utilisé au sens abstrait de la mort, de la puissance de la mortet du danger de mort.
b. lorsque le shéol et Hadès désignent une localité dans le sens littéral du mot, ils se réfèrent soit à ce que nous appelons habituellement l’enfer, ou à la tombe. Descente aux enfers est menacé comme un danger et comme une punition pour les méchants, PS. 09:17; 49: 14; 55:15; Prov. 15:11; 15:24; Luc 16:23 (hades). L’avertissement et danger figurant dans ces passages est perdu au total, si le séjour des morts est conçu comme un lieu neutre où tout aller. De ces passages, il s’ensuit aussi qu’il ne peut pas être considéré comme un lieu avec deux divisions. L’idée de telle une divisé shéol est empruntée à la conception païenne de la pègre et ne trouve aucun appui dans les Ecritures. C’est seulement de sheol comme l’état de la mort que nous pouvons parler comme ayant deux divisions, mais ensuite, nous parlons au sens figuré. Même l’ancien Testament témoigne de ce que ceux qui meurent dans le Seigneur pénétrer une jouissance plus complète de la bénédiction du Salut et donc, ne descendent pas dans n’importe quel monde souterrain au sens littéral du mot, nombres 23:5, 10; PS. 16:11; 17:15; 73:24; Prov. 14:32. Enoch et Elie ont été repris et descendre pas dans un monde souterrain, Hébreux 11:5 ff. En outre, le séjour des morts, non seulement comme un État, mais aussi comme un lieu d’est considéré comme dans les liens les plus étroits avec la mort. Si la conception biblique de la mort est comprise dans sa signification profonde, dans son sens spirituel, il facilement on le verra que le séjour des morts ne peut pas être la demeure des âmes de ceux qui meurent dans le Seigneur, Prov. 5:5; 15:11; 27: 20.
Il y a également plusieurs passages qui semblent désigner la tombe shéol et Hadès . Il n’est pas toujours facile à déterminer, cependant, si les mots font référence à la tombe ou à l’état de la mort. Voici quelques-uns des passages qui entrent en considération ici: Genèse 37: 25; 42: 38; 44: 29; 29: 31; Iier Rois 2:6, 9; Job 14:13; 17:13; 21:13; PS. 6:5; 88: 3; Eccl. 09:10. Mais bien que le nom du shéol est également utilisé pour la tombe, il ne suit pas nécessairement que c’est l’utilisation originale de la parole, d'où son utilisation pour désigner l’enfer est empruntée. Selon toute probabilité, l’inverse est vrai. La tombe est appelée sheol, car il symbolise les choses vers le bas, qui se rattache à l’idée de destruction. Pour les croyants le symbolisme biblique est modifié par l’écriture elle-même. Paul dit qu’ils descendent dans la mort comme un grain est semé dans la terre, quelles sources d’une nouvelle, une plus abondante, une vie plus glorieuse. Dans l’ancien Testament, le mot que shéol est plus souvent utilisé pour tombe et moins souvent pour l’enfer, tandis que dans l’utilisation correspondante d' Hadès dans le Nouveau Testament au contraire contient.
D. LES DOCTRINES CATHOLIQUES DE ROMAIN RESPECTANT LA DEMEURE DE L’ÂME APRÈS LA MORT.
1. PURGATOIRE. Selon l’Eglise de Rome, les âmes de ceux qui sont parfaitement pures au moment du décès sont immédiatement admis au ciel ou la vision béatifique de Dieu, Matthieu 25: 46; Phil. 01:23; mais ceux qui ne sont pas parfaitement nettoyés, qui sont toujours accablés par la culpabilité de péchés véniels et n’ont pas porté la peine temporelle à cause de leurs péchés — et c’est la condition de la plupart des fidèles au moment du décès — doivent se soumettre à un processus de nettoyage avant de pouvoir ente r dans la béatitude suprême et les joies du ciel. Au lieu d’entrer au ciel en même temps, ils entrent dans le purgatoire. Purgatoire n’est pas un lieu de stage, mais un lieu de purification et de préparation pour les âmes des croyants qui sont sûrs d’une entrée ultime dans le ciel, mais ne sont pas encore aptes à entrer dans la béatitude de la vision béatifique. Pendant le séjour de ces âmes du purgatoire, qu'ils souffrent de la douleur de la perte, c'est-à-dire, l’angoisse résultant du fait qu’ils sont exclus de la vision bienheureuse de Dieu et aussi supporter « la peine du sens, » c'est-à-dire, souffrent de douleurs positives, qui touchent l’âme. La durée de leur séjour au purgatoire ne peut être déterminée au préalable. La durée ainsi que l’intensité de leurs souffrances varie selon le degré de purification encore nécessaire. Ils peuvent être raccourcies et allégées par les prières et les bonnes œuvres des fidèles sur la terre et surtout par le sacrifice de la messe. Il est possible que l’un doit rester au purgatoire jusqu’au moment du jugement dernier. Le pape est censé ont compétence sur le purgatoire. C’est sa prérogative particulière d’accorder des indulgences, alléger les souffrances du purgatoire ou même à destination d’eux. Le principal soutien de cette doctrine se trouve dans II Maccabées 12:42-45 et par conséquent dans un livre qui n’est pas reconnu comme canoniques par les Protestants. Mais ce passage se révèle trop, c'est-à-dire plus que les catholiques romains eux-mêmes peuvent constamment admettre, à savoir, la délivrance possible des soldats du purgatoire qui était mort dans le péché mortel de l’idolâtrie. Certains passages de l’écriture sont également censés pour favoriser cette doctrine, comme Ésaïe 4:4; Michée 7:8; Zach. 09:11; Malachie 3:2, 3; Matthieu 12:32; I Corinthiens 03:13-15; 15:29. qu'il est parfaitement évident, cependant, que ces passages peuvent être faits pour soutenir la doctrine du purgatoire seulement par une exégèse très forcé. La doctrine ne trouve absolument aucun appui dans les Ecritures et en outre, repose sur plusieurs fausses prémisses, telles que (a) que nous devons ajouter quelque chose à le œuvre du Christ; (b) que nos bonnes œuvres sont méritoires au sens strict du mot; (c) que nous pouvons réaliser des oeuvres de supererogation, travaille plus les commandes de service; et (d) que le pouvoir de l’église des touches est absolu au sens judiciaire. Selon lui l’église peut raccourcir, soulager et même de mettre fin aux souffrances du purgatoire.
2. LE LIMBUS PATRUM. Le mot Latin limbus (frange) a été utilisé au moyen-âge pour désigner deux endroits sur la frange ou de la périphérie de l’enfer, à savoir, le Limbus Patrum et Limbus Infantum. Le premier est l’endroit où, selon les enseignements de Rome, les âmes des saints ancien Testament ont été détenus dans un état d’attente jusqu'à la résurrection du Seigneur d'entre les morts. Après sa mort sur la Croix de Christ est censé sont descendus dans la demeure des pères, pour les libérer de leur internement temporaire et porter en triomphe au ciel. Il s’agit de l’interprétation catholique romain de la descente du Christ aux enfers . Hades est considéré comme la demeure des esprits défunts, ayant deux divisions, un pour les justes et l’autre pour les méchants. La division habitée par les esprits des justes était le Limbus Patrum, connu pour les Juifs dans le sein d’Abraham, Luc 16:23 et le paradis, Luc 23:43. On affirme que le ciel n’était pas loisible à tout homme jusqu'à ce que Christ avait également fait propitiation pour le péché du monde.
3. LE LIMBUS INFANTUM. Il s’agit de la demeure des âmes de tous les enfants non baptisés, indépendamment de leur descente de païens ou de parents chrétiens. Selon l’église catholique enfants non baptisés ne peuvent pas être admis au ciel, ne peut pas entrer dans le Royaume de Dieu, Jean 3:5. Il y avait toujours une répugnance naturelle, cependant, à l’idée que ces enfants devraient être torturés en enfer, et les théologiens catholiques ont cherché un moyen d’échapper à la difficulté. Certains pensaient que ces enfants pourraient peut-être être sauvés par la foi de leurs parents et d’autres, que Dieu pourrait la commission aux anges de se baptiser. Mais l’opinion dominante est que, même si elles sont exclues du ciel, qui sont expédiées à un lieu à la périphérie de l’enfer, où ses terribles incendies n’atteignent pas. Ils restent dans ce lieu pour toujours sans aucun espoir de délivrance. L’église n’a jamais défini la doctrine de l' Infantum Limbus, et les opinions des théologiens varient quant à l’état exact des enfants confiné dedans. Toutefois, l’opinion dominante est qu’ils souffrent aucune punition positive, aucune « douleur de sens », mais sont simplement exclus de la bénédiction du ciel. Ils savent et aiment Dieu par l’utilisation de leurs pouvoirs naturels et ont le bonheur complet naturel.
E. L’ÉTAT DE L’ÂME APRÈS LA MORT UNE EXISTENCE CONSCIENTE.
1. L’ENSEIGNEMENT DE L’ÉCRITURE SUR CE POINT. La question a été soulevée, de savoir si l’âme après la mort reste activement consciente et est capable d’action rationnelle et religieuse. Cela a parfois été refusé au motif général que l’âme dans son activité consciente dépend du cerveau et par conséquent ne peut pas continuer à fonctionner lorsque le cerveau est détruit. Mais, comme déjà indiqué dans ce qui précède (p. 677 f.), on peut bien douter du bien-fondé de cet argument. « C’est », pour reprendre les mots de Dahle, « fondé sur l’erreur de confondre le travailleur avec sa machine. » Du fait que la conscience humaine dans la vie présente transmet ses effets à travers le cerveau, il n’est pas nécessairement qu’il peut travailler d’aucune autre manière. En soutenant l’existence consciente de l’âme après la mort, nous ne placer aucune dépendance sur les phénomènes du spiritualisme de nos jours et ne dépendent pas même sur des arguments philosophiques, même si celles-ci ne sont pas sans force. Nous recherchons notre preuve la parole de Dieu, en particulier dans le Nouveau Testament. L’homme riche et Lazare converser ensemble, Luc 16:19-31. Paul parle de l’État désincarné comme un « être à la maison avec le Seigneur » et comme quelque peu à désirer au-dessus de la vie présente, II Corinthiens 5:6-9; Phil. 01:23. Sûrement, il parlait peu après que la mode sur une existence inconsciente, qui est une quasi-inexistence. Dans Hébreux 12:23 croyants sont dit être venu... « les esprits des hommes à la perfection, » ce qui implique certainement leur existence consciente. En outre, les esprits sous l’autel réclament à grands cris de vengeance sur les persécuteurs de l’Eglise, Apoc. 6:9, et les âmes des martyrs sont dit à régner avec Christ, Apocalypse 20:4. Cette vérité de l’existence consciente de l’âme après la mort a été refusée dans plusieurs formes.
2. LA DOCTRINE DU SOMMEIL DE L’ÂME (PSYCHOPANNYCHYE).
a. déclaration de la doctrine. C’est une des formes dans lesquelles l’existence consciente de l’âme après la mort est refusé. Elle soutient que, après la mort, l’âme continue d’exister comme un spirituel individuel étant, mais dans un État inconscient repose. Eusebius fait mention d’une petite secte en Arabie qui est de cet avis. Durant le moyen-âge, il y avait un peu ce qu’on appelle Psychopannychians, et au moment de la réforme, cette erreur a été préconisée par certains des anabaptistes. Calvin a même écrit un traité contre eux, sous le titre Psychopannychia. Au XIXe siècle, cette doctrine a été soutenue par certains de la Irvingites en Angleterre, et de nos jours, c’est une des doctrines préférés du Russellites ou Autoristes millénaire de notre propre pays. Selon ce dernier corps et âme descendre dans la tombe, l’âme dans un état de sommeil, ce qui revient vraiment à un état de non-existence. Ce qu’on appelle la résurrection est en réalité une nouvelle création. Pendant le Millénium les méchants auront une seconde chance, mais si ils ne montrent aucune amélioration sensible au cours des cent premières années, ils seront anéantis. Si durant cette période, qu'ils témoignent d’une modification de la vie, leur probation se poursuivront, mais seulement pour finir dans l’anéantissement, si elles restent impénitents. Il n’y a aucun enfer, pas un endroit de tourment éternel. La doctrine du sommeil de l’âme semble avoir une fascination particulière pour ceux qui ont du mal à croire en une reprise de la conscience en dehors de l’organisme corporel.
b. le supposé scripturaire garantit pour cette doctrine. Preuve de cette doctrine de l’écriture se trouve surtout dans ce qui suit: (1) Ecriture représente souvent la mort comme un sommeil, Matthieu 09:24; Actes 7:60; I Corinthiens 15:51; Je th. 04:13. Ce sommeil, il est dit, ne peut pas être un sommeil du corps et il faut donc un sommeil de l’âme. (2) certains passages de l’Ecriture enseignent que les morts sont inconscients, PS. 6:5; 30: 9; 115: 17; 146:4; Eccl. 09:10; Esaïe 38:18, 19. Il s’agit à l’encontre de l’idée que l’âme continue son existence consciente. (3) la Bible enseigne que les destins des hommes seront déterminés par un jugement définitif et seront une surprise pour certains. Par conséquent, il est impossible de supposer que l’âme pénètre sur son destin immédiatement après la mort, Matthieu 07:22, 23; 25: 37-39,44; John 05:29; II Corinthiens 05:10; 20:12 f. (4) aucun de ceux qui ont été ressuscité d'entre les morts ont toujours donné n’importe quel compte de leurs expériences. Cela peut être mieux compris dans l’hypothèse que leurs âmes étaient inconscients dans leur état désincarné.
c. examen des arguments présentés. Les arguments précédents soient exaucées comme suit dans l’ordre dans lequel ils ont dit: (1) il est à noter que la Bible ne dit jamais que l’âme s’endort, pas plus que le corps le fait, mais seulement la personne mourante. Et cette représentation scripturale est simplement basée sur la similitude entre un cadavre et un corps endormi. Il n’est pas improbable que l’écriture utilise cette expression euphémique, afin de suggérer aux croyants l’espoir réconfortant de la résurrection. En outre, mort est une rupture avec la vie du monde autour de nous et en ce jour est un sommeil, un repos. Enfin, il ne faut pas oublier que la Bible représente les croyants comme jouissant d’une vie consciente dans la communion avec Dieu et Jésus Christ immédiatement après la mort, Luc 16:19-31; 23:43; Actes à 07:59; II Cor. 5:8; Phil. 01:23; Apocalypse 6:9; 7:9; 20:4. (2) les passages qui semblent enseigner que les morts sont inconscients sont manifestement destinés à souligner le fait que, dans l’état de l’homme mort, peut pas plus prendre part aux activités de ce monde actuel. Hovey, dit: « le travail de l’artisan est arrêté, la voix du chanteur est étouffée, le sceptre du roi tombe. Le corps retourne à la poussière, et la louange de Dieu dans ce monde cesse pour toujours. » (3) il est parfois représentée comme si la destinée éternelle de l’homme dépend d’un procès au dernier jour, mais c’est évidemment une erreur. Le jour du jugement n’est pas nécessaire de prendre une décision concernant la récompense ou la punition de chaque homme, mais seulement pour l’annonce solennelle de la phrase et la révélation de la justice de Dieu, en présence des hommes et des anges. La surprise dont certains passages témoignent se rapporte au sol sur lequel repose le jugement plutôt qu’à l’arrêt lui-même. (4) il est vrai que nous ne lisent pas qu’aucun de ceux qui ont été soulevées d'entre les morts, jamais rien racontés leurs expériences entre leur mort et la résurrection. Mais il s’agit d’un simple argument de silence, qui est tout à fait inutile dans ce cas, étant donné que la Bible enseigne clairement l’existence consciente des morts. Il peut bien être, cependant, que ces personnes étaient silencieux au sujet de leurs expériences, mais cela peut facilement s’expliquer sur l’hypothèse selon laquelle ils n’étaient pas autorisés à dire à leur sujet, ou qu’ils ne pouvaient pas donner un compte dans le langage humain. Cf. II Cor. 12:4.
3. LA DOCTRINE DE ANNIHALATIONISME ET DE L’IMMORTALITÉ CONDITIONNELLE.
a. déclaration de ces doctrines. Selon ces doctrines, il n’y a pas d’existence consciente, si toute existence du tout, des méchants, après la mort. Les deux sont un dans leur conception de l’état des méchants après la mort, mais diffèrent sur quelques points fondamentaux. Annihilationism enseigne que l’homme fut créé immortel, mais que l’âme, qui se poursuit dans le péché, est par un acte positif de Dieu déchue du don de l’immortalité et finalement détruits ou (selon certains) deuil pour toujours de la conscience, qui est pratiquement équivalent en étant réduits à l’inexistence. Selon la doctrine de l’immortalité conditionnelle, en revanche, l’immortalité n’était pas une dotation naturelle de l’âme, mais est un don de Dieu en Christ à ceux qui croient. L’âme qui n’accepte pas de Christ finalement cesse d’exister, ou perd toute conscience. Certains des partisans de ces doctrines enseignent une durée limitée de soucieux de la souffrance pour les méchants dans la vie future et ainsi de conserver quelque chose de l’idée de punition positive.
b. ces doctrines dans l’histoire. La doctrine d’annihilationism a été enseignée par Arnobe et les Sociniens précoces et par les philosophes Locke et Hobbes, mais n’était pas populaire dans sa forme originale. Au siècle précédent, cependant, la vieille idée d’annihilation a été reprise avec quelques modifications sous le nom de l’immortalité conditionnelle et sous sa nouvelle forme trouvée faveur considérable. Il a été préconisé par E. White, J. B. Heard et le gendarme de prébendes et rangée en Angleterre, par Richard Rothe en Allemagne, par A. Sabatier, en France, par E. Petavel et Ch. Secretan en Suisse et par C. F. Hudson, W. R. Huntington, L. C. Baker et L. W. Bacon dans notre propre pays et par conséquent, mérite une attention particulière. Ils ne pas tous mettre la doctrine sous la même forme, mais convenu dans la position fondamentale que l’homme n’est pas immortel, en vertu de sa constitution originale, mais est rendu immortel par une loi spéciale ou le don de la grâce. Pour ce qui est les méchants sont certains maintiennent que ceux-ci conservent une simple existence, mais avec une totale perte de conscience, alors que d’autres affirment qu’ils périssent tout à fait comme les bêtes, peut-être après des périodes plus ou moins de souffrance.
c. Arguments avancés en faveur de cette doctrine. Prise en charge de cette doctrine se trouve en partie dans la langue de certains des premiers pères de l’église, qui semble impliquer au moins que les seuls croyants reçoivent le don de l’immortalité, et en partie aussi dans certaines des théories plus récentes de la science, qui nie qu’il n’y a aucune sci scientifiques de preuve de l’immortalité de l’âme. Toutefois, le principal soutien pour elle, cherche dans l’écriture. Il est dit que la Bible: (1) enseigne que Dieu seul est par nature immortelle, j’ai Timothée 06:16; (2) jamais parle de l’immortalité de l’âme en général, mais représente l’immortalité comme un don de Dieu à ceux qui sont dans le Christ Jésus, John 10:27, 28; 17:3; Romains 2:7; 06:22, 23; Galates 6:8; et (3) menace les pécheurs avec « mort » et de « destruction, » affirmant qu’ils « périront, » des termes qui sont considérés comme signifiant que les mécréants se réduira à inexistence, Matthieu 07:13; 10:28; John 03:16; ROM. 06:23; 08:13; II Thess. 1:9.
d. examen de ces arguments. On ne saurait dire que les arguments en faveur de cette doctrine sont concluants. La langue des premiers pères de l’église n’est pas toujours exacte et auto-cohérent et admet une autre interprétation. Et la pensée spéculative des âges a été dans l’ensemble, favorable à la doctrine de l’immortalité, alors que la science n’a pas réussi à prouver l’inexistence d’elle. Les arguments bibliques soient exaucées dans l’ordre comme suit: (1) Dieu est en effet le seul qui possède l’immortalité inhérente. L’immortalité de l’homme est dérivée, mais ce n’est pas équivalent à dire qu’il ne possède pas en vertu de sa création. (2) dans le deuxième argument l’immortalité nue ou le maintien en existence de l’âme est confondue avec la vie éternelle, alors que ce dernier est un concept beaucoup plus riche. La vie éternelle est en effet le don de Dieu en Jésus Christ, un cadeau qui les méchants ne reçoivent pas, mais cela ne signifie pas qu’ils ne continueront pas à exister. (3) le dernier argument suppose arbitrairement que les termes « mort », « destruction », et « périr » dénotent une réduction à la non-existence. C’est seulement l’on littéralisme qui peut gérer cela et alors seulement dans le cadre de certains des passages cités par les partisans de cette théorie.
e. Arguments contre cette doctrine. La doctrine de l’immortalité conditionnelle est clairement contredite par l’écriture, où il enseigne: (1) que pécheurs comme saints continuera à exister pour toujours, Ecclésiaste 12:7; Matthieu 25: 46; Romains 2:8-10; 14:11; 20:10; (2) que les méchants subiront le châtiment éternel, ce qui signifie qu’ils seront pour toujours consciente de douleur qu’ils reconnaître comme leur désert juste et donc ne sera pas anéanti, cf. les passages de mentionner; et (3) qu’il y aura des degrés dans la punition des méchants, tandis que l’extinction de la conscience ou n’admet aucun degrés, mais constitue un châtiment qui est la même pour tous, Luc 12:47, 48; ROM. 02:12.
Les considérations suivantes sont aussi résolument opposées à cette doctrine: Annihilation (1) irait à l’encontre de toute analogie. Dieu ne pas anéantir son travail, même si il peut changer sa forme. L’idée biblique de la mort n’a rien à voir avec l’anéantissement. Vie et mort sont exacts opposés dans l’écriture. Si mort signifie simplement la cessation d’être ou de la conscience, la vie doit signifier que la continuation de ces; mais en fait, cela signifie beaucoup plus que cela, cf. Romains 8:6; I Timothée 4:8; J’ai John 03:14. Le terme a une connotation spirituelle, et a donc le mot mort. L’homme est spirituellement mort avant il tombe une proie à la mort physique, mais cela n’entraîne pas une perte de conscience, Éphésiens 2:1, 2; ou J’ai Tim. 5:6; 02:13; Apocalypse 3:1. (2) annihilation peut difficilement être appelée une punition, car cela implique une prise de conscience de la douleur et de mal-désert, alors que, lorsque l’existence se termine, la conscience aussi cesse. On pourrait dire au plus que la crainte de l’anéantissement serait une punition, mais cette punition ne serait pas proportionnée à la transgression. Et naturellement la crainte d’un homme qui n’a jamais eu en lui l’étincelle de l’immortalité, sera jamais égale à celle de celui qui a l’éternité dans son cœur, Eccl. 03:11. (3) il est fréquent que de gens considèrent l’extinction de l’être et de conscience une chose très souhaitable, lorsqu’ils se Las de la vie. Ces une telle peine serait en réalité une bénédiction.
F. L’INTERMÉDIAIRE PAS A UN ÉTAT DE PROBATION SUPPLÉMENTAIRE.
1. DÉCLARATION DE LA DOCTRINE. La théorie de la soi-disant « deuxième probation » trouvé faveur considérable dans le monde théologique du XIXe siècle. Il est soutenu, entre autres, Mueller, Dorner et Nitzsch en Allemagne, par Godet et Gretillat en Suisse, par Maurice, Farrar et Plumptre en Angleterre et par Newman Smythe, Munger, Cox, Jukes et plusieurs théologiens Andover dans notre propre pays. Cette théorie est à l’effet que le salut par le Christ est encore possible dans l’état intermédiaire pour certaines classes ou, peut-être, pour tous; et qu’il est offert sur sensiblement les mêmes conditions qu’à l’heure actuelle, à savoir, la foi en Jésus-Christ comme Sauveur. Christ se fait connaître à tous ceux qui ont encore besoin de lui pour le Salut, et l’acceptation de lui est invitée sur tous. Nul n’est condamné à l’enfer sans être soumis à ce test, et seulement ils sont condamnés qui résistent à cette offre de grâce. L’État éternel de l’homme ne sera pas irrévocablement fixé jusqu’au jour du jugement. La décision prise entre la mort et la résurrection décidera, si on sera enregistré ou non. Le principe fondamental sur lequel repose cette théorie, est qu’aucun homme ne périra sans avoir reçu d’offre une occasion favorable pour connaître et accepter Jésus. L’homme est condamné uniquement pour le refus obstiné d’accepter le Salut offert en Jésus Christ. Les opinions diffèrent, cependant, les personnes à qui l’occasion gracieuse d’accepter Christ sera offert dans l’état intermédiaire. L’opinion générale est qu’il sera certainement étendue à tous les enfants qui meurent en bas âge et aux païens adultes qui, dans cette vie, n’ont pas entendu parler de Christ. La majorité détiennent qu’il sera encore accordée à ceux qui vivaient dans les terres chrétiennes, mais dans cette vie présente jamais considéré les revendications du Christ. Encore une fois, il y a grande diversité d’opinions quant à l’Agence et les méthodes par lesquelles cette œuvre de Salut sera distribuée à l’avenir. Par ailleurs, si certains divertissent le plus grand espoir quant à l’issue des travaux, d’autres sont moins optimistes dans leurs attentes.
2. LE FONDEMENT SUR LEQUEL REPOSE CETTE DOCTRINE. Cette théorie est fondée en partie sur des considérations générales de ce qui pourrait être attendu de l’amour et la justice de Dieu et sur un désir facile à comprendre pour faire fonctionner le Miséricordieux du Christ aussi inclusif que possible, plutôt que sur n’importe quel solide fondement scripturaire. Le principal fondement scripturaire pour qu’il se trouve dans I PET. 03:19 et 4:6, qui sont censés enseigner que Christ dans la période entre sa mort et sa résurrection a prêché aux esprits dans l’Hadès. Mais ces passages meubler mais une base précaire, car ils sont capables de tout à fait une interprétation différente. Et même si ces passages n’enseignaient que Christ est allé réellement dans le monde souterrain de prêcher, son offre de Salut s’exercerait uniquement dans ceux qui sont morts avant sa crucifixion. Ils se réfèrent également aux passages qui, selon leurs estimations, représentent l’incrédulité comme le seul motif d’une condamnation, comme John 03:18, 36; Marc 16:15, 16; Romains 10:9-12; EP 04:18; II PET. 2:3, 4; J’ai John 4:3. Mais ces passages prouvent seulement que la foi dans le Christ est le chemin du Salut, qui n’est nullement identique à prouver qu’un rejet conscient du Christ est le seul motif de condamnation. Incrédulité est sans aucun doute un grand péché et celui qui se démarque en bonne place dans la vie de ceux à qui le Christ est prêché, mais ce n’est pas la seule forme de révolte contre Dieu, ni le seul motif de condamnation. Hommes sont déjà sous la condamnation quand Christ est offert à eux. D’autres passages, comme Matthieu 13:31, 32; I Corinthiens 15:24-28; et Phil. 2:9-11 sont tout aussi peu concluants. Certains d'entre eux trop prouvent et par conséquent ne prouvent rien.
3. ARGUMENTS CONTRE CETTE DOCTRINE. Les considérations suivantes peuvent être exhortées contre cette théorie: (a) l’écriture représente l’état de mécréants après la mort comme un État fixe. Le passage plus important qui entrent en considération ici est Luc 16:19-31. D’autres passages sont Eccl. 11:3 (d’interprétation incertaine); John 08:21, 24; II Pierre 2:4, 9; Jude (comp 7-13. J’ai PET. 03:19). (b) il représente aussi invariablement le jugement final venir tel que déterminé par les choses qui ont été faites dans la chair et il ne parle jamais de cela comme un lien de dépendance sur ce qui s’est produite dans l’état intermédiaire, Matthieu 07:22, 23; 10:32, 33; 25: 34-46; Luc 12:47, 48; II Corinthiens 5:9, 10; Galates 6:7, 8; II Thess. 1:8; Héb. 09:27. (c) le principe fondamental de cette théorie, qui seulement le rejet conscient du Christ et son Évangile, provoque des hommes à périr, est non scripturaire. L’homme est perdu par nature, et même péché originel, ainsi que tous les péchés réels, le rend digne d’une condamnation. Le rejet du Christ est sans aucun doute un grand péché, mais il n’est jamais représenté comme le seul péché qui mène à la destruction. (d) l’écriture nous enseigne que les gentils périront, Rom. 01:32; 02:12; Apocalypse 21:8. Il n’y a aucune preuve de l’écriture sur lesquels nous pouvons fonder l’espoir que les païens adultes, ou même de gentils enfants qui n’ont pas encore venu à ans d’un pouvoir discrétionnaire seront sauvegardées. (e) la théorie d’une probation future est également calculée d’éteindre tout zèle missionnaire. Si les gentils peuvent décider quant à l’acceptation de Christ à l’avenir, il ne peut qu’apporter un jugement plus rapide et une augmentation à plusieurs, s’ils sont placés devant le choix maintenant. Pourquoi ne pas les laisser dans l’ignorance aussi longtemps que possible ?
QUESTIONS pour étude complémentaire: Est la position défendable que sheol-hades toujours désigne un monde souterrain où que tous les morts vont ? Pourquoi est-ce répréhensible à croire que la Bible dans ses déclarations concernant le shéol et Hadès reflète simplement les notions populaires de la journée ? Nous devons supposer que les justes et les méchants à mort entrer dans une résidence temporaire et provisoire et n’entrez pas à la fois sur leur destinée éternelle ? Dans quel sens est l’état intermédiaire seulement transitoire ? Comment a fait apparaître la notion de purgatoire ? Comment les catholiques conçoivent le feu purgatorial ? C’est le feu simplement purifiant ou aussi pénale ? Quel élément sonore certains luthériens reconnaissent dans la doctrine du purgatoire ? Quel mélange d’hérésies nous répondent avec dans Dawnism millénaire ? L’état intermédiaire, selon l’Ecriture, représente-t-il un troisième aion entre l' aion houtos et le aion ho mellon? Est l’accent biblique sur le présent comme « le jour du Salut » en harmonie avec la doctrine d’une probation future ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV., p. 655-711; Kuyper, Dict. dogme., De Consummatione Saeculi, pp. 25-116; Vos, Geref. Dogme. V, Eschatologie, pp. 3-14; Hodge, Syst. Theol. III, pp. 713-770; Shedd, dogme . THEOL. II, pp. 591-640; Dabney, syst et trouvailles. THEOL. pp. 823-829; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 548-569; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 392-407; Pieper, Christl. Dogme. III, p. 574-578; Miley, Syst. Theol. II, pp. 430-439; Wilmers, Guide de la Chr. Rel., p. 385-391; Schaff, nos pères' foi et le nôtre, pp. 412-431; Ligne, châtiment futur, pp. 348-404; Shedd, Doctrine de châtiment sans fin, pp. 19-117; Roi, futur châtiment; Morris, y at-il Salut après la mort? Hovey, eschatologie, pp. 79-144; Dahle, vie après la mort, p. 118-227; Salmond, Chr. Doct. d’immortalité, cf. Index; Mackintosh, l’immortalité et l’avenir, p. 195-228; Addison, la vie au-delà de la mort, p. 200-214; De Bondt, Wat Leert Het Oude Testament Aangaande sa Leven Na Dit Leven? p. 40-129; Kliefoth, Christl. Eschatologie, pp. 32-126.
Eschatologie générale
I. la seconde venue du Christ
Tandis que les prophètes ne distinguent pas clairement une double venant du Christ, le Seigneur lui-même et les apôtres rendent tout à fait clair que la première venue sera suivie d’une seconde. Jésus visé à son retour de plus d’une fois vers la fin de son ministère public, Matthieu 24:30; 25: 19, 31; 26:64; John 14:3. Au moment de son ascension anges a souligné son futur retour, actes 01:11. En outre, les apôtres parlent de lui dans les nombreux passages, actes 03:20, 21; Phil. 03:20; I Thessaloniciens 04:15, 16; II Thess. 1:7, 10; Tite 02:13; Héb. 09:28. Plusieurs termes sont utilisés pour désigner ce grand événement, dont voici les plus importants: (1) apocalupsis (dévoilement), qui pointe vers la suppression de ce qui entrave désormais notre vision du Christ, j’ai Cor. 1:7; II Thess. 1:7; I Pierre 1:7, 13; 04:13; (2) epiphaneia (apparition, manifestation), un terme qui fait référence à du Christ sortant de suite un fond caché avec les riches bénédictions de Salut, II Thess. 2:8; J’ai Timothée 06:14; II Timothée 4:1, 8; Tite 02:13; et (3) parousie (présence de lit.), qui pointe à l’entrée qui précède la présence ou se traduit par la présence, Matthieu 24:3, 27, 37; I Corinthiens 15:23; I Thessaloniciens 02:19; 03:13; 04:15; 05:23; II Thess. 2:1-9; Jac. 5:7, 8; II Pierre 01:16; 3:4, 12; J’ai John 02:28.
A. LE SECOND AVÈNEMENT UN ÉVÉNEMENT UNIQUE.
Les Dispensationalistes aujourd'hui distinguent un venue future double du Christ, bien qu’ils cherchent parfois à préserver l’unité de l’idée de la seconde venue en parlant de ces deux aspects de ce grand événement. Mais étant donné que ces deux sont en réalité représentée comme deux événements différents, séparés par une période de plusieurs années, chacune ayant un but des siens, ils peuvent difficilement être considérés comme un seul événement. Le premier d'entre eux est la parousie ou tout simplement « l’entrée » et se traduit par l’enlèvement des saints, parfois représenté comme un ravissement secret. Cette venue est imminente, autrement dit, il peut se produire à tout moment, puisqu’il n’y a aucun événement prévu qui doit précéder son occurrence. L’opinion dominante est que Christ ne vient pas sur terre en ce moment, mais demeure dans la haute atmosphère. Ceux qui meurent dans le Seigneur sont ressuscités d'entre les morts, les saints vivants sont transfigurés et ensemble ils sont pris pour rencontrer le Seigneur dans les airs. D'où cette venue est aussi appelée le « à venir pour ses saints, » j’ai th. 04:15, 16. Elle est suivie d’un intervalle de sept ans, au cours de laquelle le monde est évangélisé, Matthieu 24:14, Israël est reconvertie, Rom. 11:26, de la grande tribulation survient, Matthieu 24:21, 22 et Antichrist ou l’homme de péché sera révélé, II Thess. 2:8-10. Après ces événements, il y a une autre venant du Seigneur avec ses saints, j’ai th. 03:13, qui s’appelle « la révélation » ou « le jour du Seigneur », dans laquelle il Vienne sur terre. Cette entrée ne peut être appelée imminente, car elle doit être précédée de plusieurs événements prédits. Ce Christ venir juge les nations de la vie, Matthieu 25: 31-46 et inaugure le Royaume millénaire. Ainsi, nous avons deux allées distinctes du Seigneur, séparées par une période de sept ans, dont l’un est imminent et l’autre n’est pas, celui est suivie de la glorification des saints et l’autre par le jugement des nations et l’établissement du Royaume. Cette construction de la doctrine de la seconde venue est très pratique pour les dispensationalistes, puisqu’il leur permet de défendre l’opinion que la venue du Seigneur est imminente, mais n’est pas justifiée par l’écriture et qu’il porte en lui les incidences non scripturaires. Dans II Thess. 2:1, 2, 8, les termes parousie et « jour du Seigneur » sont utilisés indifféremment et selon II Thess. 1:7-10 la révélation mentionné dans le verset 7 se synchronise avec la parousie qui apporte la glorification des saints dont le 10e verset parle. Matthieu 24:29-31 représente la venue du Seigneur au cours de laquelle les élus se réunissent comme suit immédiatement après la grande tribulation mentionnée dans le contexte, alors que selon la théorie de l’examen il doit se produire avant la tribulation. Et enfin, selon cette théorie, l’église ne passera pas par la grande tribulation, qui est représenté dans Matthieu 24:4-26 en synchronisation avec la grande apostasie, mais la représentation de l’Ecriture dans Matthieu 24:22; Luc 21:36; II Thess. 2:3; I Timothée 4:1-3; II Timothée 3:1-5; 07:14 est tout à fait différent. Sur la base de l’écriture, il devrait être maintenu que la seconde venue du Seigneur sera un événement unique. Heureusement, certains Premillenarians ne pas d’accord avec cette doctrine d’un double seconde venue du Christ et en parler comme une nouveauté injustifiée. Frost, dit: « il n’est pas généralement connu, et pourtant c’est un fait incontestable que la doctrine d’un ravissement résurrection et leur enlèvement est une interprétation moderne — je suis tenté de dire, une invention moderne. » Selon lui, elle date de la journée d’Irving et Darby. Un autre Premillenarian, à savoir, Alexander Reese, met en place un argument très fort contre cette idée dans son ouvrage sur Le proche avènement de Christ.
B. GRANDS ÉVÉNEMENTS PRÉCÉDANT LA PAROUSIE.
Selon l’Ecriture, plusieurs événements importants doivent avoir lieu avant le retour du Seigneur, et par conséquent il ne saurait être remise imminente. À la lumière de l’écriture, on ne peut soutenir qu’il n’y a aucun événement prévu qui doit encore se passer avant la seconde venue. Comme pourrait s’y attendre compte tenu de ce qui a été dit dans ce qui précède, Frost, malgré son dispensationalisme, rejette la doctrine de l’imminence. Il préfère parler de la venue du Christ comme « imminente ». Prise en charge de la doctrine de l’imminence du retour du Christ se trouve dans les instructions de l’écriture selon laquelle Christ vient après « a très peu de temps, » Héb. 10:37; ou « rapidement, » Apocalypse 22:7; dans les exhortations à regarder et à attendre sa venue, Matthieu 24:42; 25: 13; 16:15; et dans le fait que l’écriture condamne la personne qui dit: « Mon Seigneur tarrieth » (ou « delayeth sa venue »), Matthieu 24:48. Jésus enseigna en effet que sa venue était proche, mais ce n’est pas le même que l’enseignement qu’il était imminente. En premier lieu il faut avoir à l’esprit que lorsqu’il parle de sa venue, il ne pas toujours à l’esprit l’avènement eschatologique. Parfois, il se réfère à sa venue au pouvoir spirituel sur le jour de la Pentecôte; parfois à sa venue au jugement dans la destruction de Jérusalem. En second lieu lui et les apôtres nous enseignent que plusieurs événements importants devaient survenir avant son retour physique au dernier jour, Matthieu 24:5-14,21,22,29-31; II Thess. 2:2-4. Donc il ne pouvait pas très bien considérer et représentent sa venue comme imminente. Il est évident aussi que, quand il a parlé de sa venue plus près, il ne voulait pas dire pour le représenter comme immédiatement à portée de main. Dans la parabole des livres il enseigne que le Seigneur des serviteurs sont venus à compter avec eux « après une longue période », Matthieu 25: 19. Et la parabole des livres a été parlée dans le but de corriger la notion « que le Royaume de Dieu doit apparaître immédiatement, » Luc 19:11. Dans la parabole des dix vierges, l’époux est représenté comme « endormir », Matthieu 25: 5. Ceci est en harmonie avec ce que dit Paul dans II Thess. 2:2. Peter a prédit que les moqueurs seraient poseraient disant: « où est le jour de sa venue ? » Et il enseigne ses lecteurs à comprendre les prédictions de la proximité de la seconde venue du point de vue divin, selon qui un jour est comme mille ans et mille ans sont comme un jour, II Pierre 3:3-9. Pour enseigner que Jésus considère la seconde venue comme immédiatement à portée de main, se faire pour représenter comme erreur, depuis presque deux mille ans aurait déjà écoulé depuis cette époque. Maintenant, la question se pose, comment pouvons-nous être invités à surveiller l’entrée ? Jésus nous enseigne dans Matthieu 24:32, 33, pour surveiller la venue à travers les signes: « quand vous verrez toutes ces choses, sachez qu’il est proche. » En outre, nous ne devons pas interpréter l’exhortation à regarder comme une exhortation à balayer le ciel pour les signes immédiats d’apparition du Seigneur. Nous devrions plutôt voir en elle une exhortation à être éveillé, d’être vigilant, de se préparer, à être actif dans le œuvre du Seigneur, de peur que nous soyons dépassés par une catastrophe soudaine. Les grands événements suivants doivent précéder la venue du Seigneur.
1. LA VOCATION DES GENTILS. Plusieurs passages du Nouveau Testament soulignent le fait que l’Évangile du Royaume doit être prêché à toutes les nations avant le retour du Seigneur, Matthieu 24:14; Marc 13:10; Romains 11:25. Beaucoup de passages témoigne du fait que les gentils entrera dans le Royaume en bon nombre au cours de la nouvelle dispensation, Matthieu 08:11; 13:31, 32; Luc 02:32; Actes 15:14; ROM. 09:24-26; EP 02:11-20 et autres passages. Mais ceux qui sont indiqués ci-dessus renvoient clairement à l’évangélisation de tous les pays comme le but de l’histoire. Maintenant, il le fera difficilement affirmer que l’Évangile a déjà été proclamé parmi tous les peuples, ni que les travaux d’un seul missionnaire dans chacune des nations du monde seraient réunirait toutes les exigences de la déclaration de Jésus. En revanche, il est tout aussi impossible de maintenir que les paroles du Sauveur réclament la prédication de l’Évangile à chaque individu des différents pays du monde. Ils nécessitent, cependant, que ces nations comme des nations doit être soigneusement évangélisé, afin que l’Évangile devient une puissance dans la vie du peuple, un signe qui appelle pour décision. Il doit être prêché leur témoignage, afin qu’il peut dire que l’occasion a été donnée à choisir pour ou contre le Christ et son Royaume. Ces mots impliquent clairement que la grande commission doit être effectuée dans toutes les nations du monde, afin de faire des disciples de toutes les nations, c'est-à-dire parmi les gens de toutes les nations. Ils ne justifient pas l’espoir, toutefois, que toutes les nations seront dans son ensemble accepte l’Évangile, mais seulement qu’il trouve des adhérents dans toutes les nations et sera donc joué un rôle important en apportant dans la plénitude des gentils. À la fin des temps, il sera possible de dire que toutes les nations ont été faites au courant de l’Évangile, et l’Évangile en témoignera contre les nations qui n’a pas accepté.
On comprendra facilement de ce que nous dit dans ce qui précède que les dispensationalistes beaucoup ont tout à fait une vision différente de l’affaire. Ils ne croient pas que l’évangélisation du monde doivent être, ni qu’il sera, terminé avant la Parousie, qui est imminente. Selon eux, il va vraiment commencer à ce moment-là. Ils font remarquer que l’Evangile a indiqué dans Matthieu 24:14 n’est pas l’Évangile de la grâce de Dieu en Jésus Christ, mais l’Évangile du Royaume, qui est tout à fait différent, les bonnes nouvelles que le Royaume est une fois de plus à portée de main. Après que l’église a été retirée de cette scène terrestre, et avec lui l’Esprit Saint demeure est allé — qui signifie vraiment, après les conditions de l’ancien Testament ont été restaurées —, puis l’Évangile avec lequel Jésus commença son ministère va à nouveau être prêché. Il va être prêché dans un premier temps par ceux qui ont été convertis par tout enlèvement de l’église, par la suite peut-être par Israël converti et un messager spécial, ou, en particulier au cours de la grande tribulation, par le croyant reste d’Israël. Cette prédication sera merveilleusement efficace, beaucoup plus efficace que la prédication de l’Évangile de la grâce de Dieu. C’est durant cette période que les 144,000 et la grande multitude que personne ne peut dénombrer d’Apocalypse 7 seront convertis. Et de cette façon la prédiction de Jésus dans Matthieu 24:14 seront remplies. Nous rappelons que cette construction est celui qui les Premillenarians plus âgés n’a pas accepté, qui est aujourd'hui encore rejetée par certains Premillenarians de nos jours. et qui certainement ne pas recommande lui-même à nous. La distinction entre un Évangile de double et un double seconde venue du Seigneur est intenable. L’Évangile de la grâce de Dieu en Jésus Christ est le seul évangile qui sauve et qui donne entrée au Royaume de Dieu. Et il est absolument contraire à l’histoire de la révélation, qu’une inversion aux conditions de l’ancien Testament, notamment l’absence de l’église et de l’Esprit Saint demeure, devrait être plus efficace que la prédication de l’Évangile de la grâce de Dieu en Jésus Christ et le don du Saint-Esprit.
2. LA CONVERSION DE LA PLEROMA D’ISRAËL. L’ancien et le Nouveau Testament parlent d’une conversion future d’Israël, Zacharie 12:10; 13:1; II Corinthiens 03:15, 16 et Rom. 11:25-29 semble pour ce connecter avec la fin des temps. Premillennialists ont exploité cette doctrine scripturaire pour leur usage particulier. Ils soutiennent qu’il y aura une restauration nationale et la conversion d’Israël, que le juif nation sera rétablie en Terre Sainte, et que cela va prendre placent précédant ou pendant le règne millénaire de Jésus Christ. Il est très douteux, toutefois, si l’écriture justifie l’espoir qu’Israël sera finalement rétabli en tant que nation et sera comme une nation se tournent vers le Seigneur. Certaines prophéties de l’ancien Testament semblent prédire cela, mais celles-ci doivent être lues à la lumière du Nouveau Testament. Le Nouveau Testament justifie-t-il l’attente d’une future restauration et la conversion d’Israël comme une nation ? Ce n’est pas enseigné ni même nécessairement implicite dans ces passages comme Matthieu 19:28 et Luc 21:24, qui sont souvent cités en sa faveur. Le Seigneur a parlé très clairement de l’opposition des Juifs à l’esprit de son Royaume et de la certitude qu’ils, qui pourrait en quelque sorte être appelés enfants du Royaume, perdraient leur place dans ce document, Matthieu 08:11, 12; 21:28-46; 22:1-14; Luc 13:6-9. Il informe les méchants Juifs que le Royaume est dépossédé et donné à une nation enfanter les fruits, Matthieu 21:43. Et même quand il parle des corruptions qui, en cours de temps, vont s’insinuer dans l’église, il rencontre des troubles, et de l’apostasie qui s’ensuivra Enfin, il ne pas allusion à tout rétablissement éventuel et la conversion du peuple juif. Ce silence de Jésus est très important. Maintenant, on peut penser que Rom. 11:11-32 enseigne certainement la transformation future de la nation d’Israël. De nombreux commentateurs adoptent ce point de vue, mais même sa justesse est soumise à un doute considérable. Dans les chapitres 9-11, l’Apôtre aborde la question, comment les promesses de Dieu à Israël peuvent être conciliées avec le rejet de la plus grande partie d’Israël. Il souligne tout d’abord dans les chapitres 9 et 10 qui la promesse s’applique, non à Israël selon la chair, mais à l’Israël spirituel; et en second lieu que Dieu a toujours ses élus parmi Israël, qu’il y a parmi eux encore un reste d’après l’élection de la grâce, 11:1-10. Et même le durcissement de la plus grande partie d’Israël n’est pas la fin définitive de Dieu, mais plutôt un moyen dans la main pour apporter le salut aux païens, afin que ceux-ci, à leur tour, de profiter des bienfaits du Salut, peuvent provoquer Israël à la jalousie. Le durcissement d’Israël sera toujours seulement partiel, pour tous au cours des siècles suivants il y aura toujours certains qui acceptent le Seigneur. Dieu continue à rassembler ses élu vestige hors les Juifs au cours de la toute nouvelle dispensation, jusqu'à ce que la plénitude (pleroma, autrement dit, le nombre des élus) des païens soit entrée et tout donc (de cette manière) Israël (son pleroma, c'est-à-dire la nombre total de vrais Israélites) est sauvé. « Tout Israël » doit s’entendre comme une désignation, pas l’ensemble de la nation, mais le nombre de l’ensemble des élus du peuple de l’ancienne Alliance. Premillenarians prendre le verset 26 pour signifier que, après que Dieu a terminé son dessein avec les païens, la nation d’Israël sera sauvée. Mais l’Apôtre a dit au début de son analyse que les promesses ont été pour l’Israël spirituel; Il n’y a aucune preuve d’un changement de la pensée dans la section intermédiaire, afin que cela viendrait comme une surprise à 11:26; et l' adverbe houtos ne peut signifier « après cela », mais que « de cette façon. » Avec la plénitude des gentils, la plénitude d’Israël viendra aussi en.
3. LA GRANDE APOSTASIE ET LA GRANDE TRIBULATION. Ces deux peuvent être mentionnés ensemble, car ils sont imbriqués dans le discours eschatologique de Jésus, Matthieu 24:9-12, 21-24; Marc 13:9-22; Luc 21:22-24. Les paroles de Jésus a sans doute trouvent un accomplissement partiel dans les jours précédant la destruction de Jérusalem, mais évidemment auront un autre accomplissement à l’avenir dans une tribulation dépassant de loin tout ce qui a été vécue, Matthieu 24:21; Marc 13:19. Paul parle aussi de la grande apostasie dans II Thess. 2:3; I Timothée 4:1; II Timothée 3:1-5. Déjà vu quelque chose de cet esprit d’apostasie à son époque, il veut clairement faire comprendre à ses lecteurs qu’il utilisera beaucoup plues propcrtions dans les derniers jours. Ici encore dispensationalistes aujourd'hui diffèrent de nous. Ils ne considèrent pas la grande tribulation comme un précurseur de la venue du Seigneur (la parousie), mais pense qu’il va suivre « l’entrée », et que par conséquent l’église ne passera pas à travers la grande tribulation. L’hypothèse est que l’église va être « caught up, » pour être avec le Seigneur, avant que la tribulation avec toutes ses terreurs ne rattrape les habitants de la terre. Ils préfèrent parler de la grande tribulation comme « le jour des détresses de Jacob, » puisqu’il sera un jour de grande détresse pour Israël, plutôt que pour l’église. Mais les motifs dont ils présenter ce point de vue ne sont pas très convaincant. Certains d'entre eux dérivent toute la force qu’ils ont de leur propre notion préconçue d’un double seconde venue du Christ et par conséquent aucun sens pour ceux qui sont convaincus qu’il n’est aucun élément de preuve pour une telle double à venir dans l’écriture. Jésus a certainement mentionne la grande tribulation comme l’un des signes de sa venue et de la fin du monde, Matthieu 24:3. C’est de cette venue (parousie) qu’il s’exprime tout au long de ce chapitre, il ressort de l’utilisation répétée du mot parousia, versets 3,37,39. Seulement, il est raisonnable de supposer qu’il s’exprime de la même venir au verset 30, une entrée qui, selon le verset 29, suivra immédiatement après la tribulation. Cette tribulation affectera également les élus: ils seront en danger d’être dévoyées, Matthieu 24:24; pour eux que les jours d’agonie seront raccourcies, verset 22; ils seront rassemblés hors de toutes parts du monde lors de la venue du fils de l’homme; et ils sont encouragés à rechercher quand ils voient ces choses arrivera, car leur rédemption approche, Luc 21:28. Il n’y a aucun mandat pour limiter les élus pour les élus d’Israël, comme le font les Premillenarians. Paul représente clairement la grande apostasie comme précédant le second avènement, II Thess. 2:3, et rappelle à Timothy du fait que grievous fois viendra dans les derniers jours, j’ai Timothée 4:1, 2; II Timothée 3:1-5. À 07:13, 14 saints du ciel sont censés sont sortis de la grande tribulation, et dans Apocalypse 6:9, nous trouvons ces saints de prier pour leurs frères, qui étaient toujours victimes de persécution.
4. LA RÉVÉLATION DE LA VENUE DE L’ANTÉCHRIST. terme antichristos se trouve uniquement dans les épîtres de Jean, à savoir, en I Jean 02:18, 22; 4:3; John II 7. Selon la forme du mot est concernée, il peut décrire (a) celui qui prend la place du Christ; puis « anti » est prise dans le sens de « au lieu de »; ou (b) celui qui, tout en assumant le couvert du Christ, s’oppose à lui; puis « anti » est utilisé dans le sens de « contre ». Celle-ci n’est plus en harmonie avec le contexte dans lequel le mot se produit. Du fait que Jean utilise le singulier à 02:18 sans l’article, il est évident que le terme « antichrist » était déjà considéré comme une dénomination technique. On ne sait pas, si John en utilisant le singulier avait en tête un Antéchrist primordiale, dont les autres auxquelles il se réfère étaient simplement des signes avant-coureurs ou précurseurs, ou simplement censé incarner le principe inscrit dans plusieurs antéchrists, le principe du mal qui milite contre le Royaume de Dieu. Antéchrist représente-t-il clairement un certain principe, I Jean 4:3. Si nous gardons cela à l’esprit, nous allons aussi réaliser que, bien que John est le premier à utiliser le « antichrist » de terme, le principe ou l’esprit a indiqué qu’elle n’est clairement mentionné dans les écrits antérieurs. Comme il y a dans l’écriture un développement marqué clairement dans la délimitation du Christ et du Royaume de Dieu, ainsi il est aussi une révélation progressive de l’Antéchrist. Les représentations diffèrent, mais augmentent de la précision à mesure que progresse la révélation de Dieu.
Dans la plupart des prophètes de l’ancien Testament, nous voyons le principe de l’iniquité dans l’Organisation des nations impies qui se montrent hostiles à Israël et sont jugées par Dieu. Dans la prophétie de Daniel, nous trouvons quelque chose de plus précis. Le langage utilisé il meublé bon nombre des caractéristiques de la description de Paul de l’homme de péché dans II Thessaloniciens. Daniel trouve le principe méchant, impie, incorporé dans la « petite corne », Dan. 7:8, 23-26 et il décrit très clairement à 11:35 ff. Ici encore l’élément personnel n’est pas tout à fait désireux, bien qu’il n’est pas tout à fait certain que le Prophète est la pensée de certains roi particulier, nommément Antioche Épiphane, en tant que type de l’Antéchrist. La venue du Christ naturellement elle appelle ce principe son spécifiquement anti- formechrétienne et Jésus il représente telle qu’incarnée par différentes personnes. Il parle de pseudoprophetai et pseudochristoi, qui prennent position contre lui et son Royaume, Matthieu 07:15; 24:5, 24; Marc 13:21, 22; Luc 17:23. Afin de corriger la conception erronée des Thessaloniciens, Paul attire l’attention sur le fait que le jour du Seigneur ne peut pas venir, « sauf que l’apostasie vient en premier, et l’homme de péché soit révélé, le fils de la perdition. » Il décrit cet homme de péché que « celui qui oppose et s’élève contre tout ce qui est appelé Dieu ou adoré; alors qu’il est assis dans le temple de Dieu, présentant lui-même comme Dieu, » j’ai Thess. 2:3, 4. Cette description nous rappelle naturellement de Dan. 11:36 et suiv. et clairement les points à l’Antéchrist. Il n’y a aucune raison pour laquelle il doute de l’identité de l’homme du péché, dont parle Paul, et l’Antéchrist mentionnées par Jean. L’Apôtre voit le « mystère de l’iniquité » déjà au travail, mais assure à ses lecteurs que l’homme du péché ne peut pas sortir jusqu'à ce que qui (ou, « il qui ») restraineth provient de la route. Lorsque cet obstacle, peut être quelque chose comme ça (il est diversement interprété), est enlevé, il se produira « dont la venue est selon le travail de Satan avec tout pouvoir et signes et prodiges mensongers, » les versets 7-9. Dans ce chapitre, l’élément personnel est présupposée dans l’ensemble. Le livre de la révélation trouve le principe anti-chrétienne ou le pouvoir dans les deux bêtes à venir de la mer et la terre, Apocalypse 13. Le premier est généralement pensé pour désigner les gouvernements, les pouvoirs politiques ou certains monde-empire; la seconde, mais pas avec la même unanimité, à la fausse religion, fausse prophétie et fausse science, en particulier les deux premiers. Cet adversaire, ou principe adverse, John dans ses épîtres appelle enfin « Antichrist ».
Historiquement, il y a eu des opinions différentes concernant l’Antéchrist. Dans l’ancienne église a beaucoup soutenu que l’Antéchrist serait juif, se faisant passer pour le Messie et au pouvoir à Jérusalem. De nombreux commentateurs récents sont d’avis que Paul et autres à tort qu’un empereur romain serait Antéchrist, et que John avait manifestement Nero à l’esprit à 13:18, puisque les lettres dans les mots Hébreux pour « empereur Nero » sont exactement équivalents à 666 , 13:18. Depuis l’époque de la réforme, beaucoup, parmi lesquels réformé aussi savants, regardés sur la Rome papale et parfois même sur certains pape particulière, comme l’Antéchrist. Et la papauté en effet révèle plusieurs traits de l’Antéchrist, comme il est décrit dans les Ecritures. Il le fera encore guère pour l’identifier avec l’Antichrist. Il est préférable de dire qu’il y a des éléments de l’Antéchrist à la papauté. Positivement, nous pouvons seulement dire: (a) que le principe anti-chrétien était déjà à le œuvre dans les jours de Paul et John selon leur propre témoignage; (b) qu’il atteindra sa puissance la plus élevée vers la fin du monde; (c) que Daniel photos politique, Paul l’ecclésiastique et Jean dans le livre de l’Apocalypse les deux côtés de celui-ci: les deux peuvent être des révélations successives du pouvoir anti-chrétien; et (d) que sans doute ce pouvoir sera enfin concentré dans un seul individu, l’incarnation de toute méchanceté.
La question du caractère personnel de l’Antéchrist est toujours un sujet de débat. Certains soutiennent que les expressions « Antéchrist », « l’homme du péché, le fils de perdition, » et les chiffres dans Daniel et l’Apocalypse sont simplement des descriptions du principe impie et anti-chrétienne, qui se manifeste dans l’opposition du monde vers Dieu et son Royaume, tout au long de toute l’histoire de ce Royaume, une opposition parfois faible, parfois plus fort, mais plus forte vers la fin des temps. Ils ne regardent pas pour n’importe quel un Antéchrist personnelle. D’autres estiment qu’il est contraire à l’écriture pour parler de l’Antéchrist simplement comme une puissance abstraite. Ils soutiennent qu’une telle interprétation ne fait pas justice aux données de l’écriture, qui parle, non seulement d’un esprit abstrait, mais aussi des personnes réelles. Selon eux « Antichrist » est un concept collectif, la désignation d’une succession de personnes, qui manifeste un esprit impie ou anti-chrétiens, comme les empereurs romains qui ont persécuté l’église et les papes qui se livrent à un travail semblable de persécution. Ils ne pensent même pas d’un Antéchrist personnels qui sera en lui-même la concentration de toute méchanceté. L’opinion plus générale dans l’église, cependant, qui est en dernière analyse, le terme « Antichrist » désigne une personne eschatologique, qui sera l’incarnation de toute méchanceté et représente donc un esprit qui est toujours plus ou moins présent dans le monde, et qui a plusieurs précurseurs ou les types dans l’histoire. Cette opinion a prévalu dans l’église primitive et semble être le point de vue scripturaire. On peut dire ce qui suit en faveur il: (a) la délimitation de l’Antéchrist dans Dan. 11 est plus ou moins personnelle et peut faire référence à une personne définie comme un type de l’Antéchrist. (b) Paul parle de l’Antichrist comme « l’homme du péché » et « le fils de perdition ». En raison de l’étrange hébreu utilisation des termes « homme » et « fils », ces expressions en soi peuvent ne pas être concluantes, mais le contexte favorise clairement l’idée personnelle. Il s’oppose, s’érige en Dieu, a une révélation définitive, est le seul sans foi ni loi et ainsi de suite. (c) tandis que Jean parle de plusieurs antéchrists déjà présent, il parle aussi de l’Antichrist, au singulier comme celui qui est encore à venir dans le futur, j’ai John 02:18. élément (d) même dans l’Apocalypse, où la représentation est largement symbolique, le personnel ne manque pas, comme, par exemple à 19:20, qui parle de l’Antichrist et son subordonné comme étant jeté dans l’étang de feu. Et (e) comme Christ est une personne, ce n’est que naturel de penser qu’Antéchrist sera également une personne.
5. SIGNES ET DES PRODIGES. La Bible parle de plusieurs signes qui seront des signes avant-coureurs de la fin du monde et de la venue du Christ. Il mentionne (un) des guerres et des rumeurs de guerres, des famines et des tremblements de terre en divers lieux, que l'on appelle le début du travail, le travail, en quelque sorte, de la Renaissance de l’univers au moment de la venue du Christ; (b) la venue de faux prophètes, qui seront égarent beaucoup, et de faux Christs, qui montreront de grands signes et des prodiges pour induire en erreur, si possible, même les élus; et (c) de peur présages dans le ciel avec soleil, lune et étoiles, quand les puissances des cieux seront ébranlées, Matthieu 24:29, 30; Marc 13:24, 25; Luc 21:25, 26. Puisque certains de ces signes sont d’un genre qui se produisent à plusieurs reprises dans l’ordre naturel des événements, la question se pose naturellement de quelle manière ils peuvent être reconnus comme des signes de la fin. L’attention est généralement appelée sur le fait qu’ils différeront d’incidents antérieurs dans l’intensité et l’étendue. Mais, bien sûr, cela ne satisfait pas entièrement, car ceux voir ces signes ne sait jamais, si il y avoir aucune autre indication, si les signes dont ils sont témoins n’a pas peuvent être suivis d’autres signes d’une plus grande étendue et l’intensité. Donc attention doit également être appelée sur le fait qu’il y aura, lorsque la fin est proche, une remarquable combinaison de tous ces signes, et que les événements naturels seront accompagnées de phénomènes surnaturels, Luc 21:25, 26. Jésus dit: « quand vous verrez toutes ces choses, savoir qu’il est proche, même aux portes. » Matthieu 24:33.
C. LA PAROUSIE OU LA SECONDE VENUE ELLE-MÊME.
Immédiatement après les présages de citer « le signe du fils de l’homme doit être vu en venant sur les nuées du ciel, » Matthieu 24:30. À cet égard noter les points suivants:
1. LE TEMPS DE LA SECONDE VENUE. L’heure exacte de l’avènement du Seigneur est inconnue, Matthieu 24:36 et toutes les tentatives des hommes, à savoir la date exacte s’est avérée erroné. La seule chose que l'on puisse dire avec certitude, sur la base de l’écriture, est qu’il reviendra à la fin du monde. Les disciples demandèrent au Seigneur. « Ce qui sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ? » Matthieu 24:3. Ils le lien entre les deux, et le Seigneur ne pas intime en quelque sorte que c’est une erreur, mais plutôt suppose la justesse de celui-ci, dans son discours. Il représente les deux comme synchroniser dans Matthieu 24:29-31,35-44: COMP. Matthieu 13:39, 40. Pierre et Paul parlent aussi des deux comme coïncidant, I Cor. 15:23. 24; II Pierre 3:4-10. Une étude des concomitants de la seconde venue aboutit au même résultat. La résurrection des saints sera l’un de ses concomitants, I Cor. 15:23, j’ai th. 04:16, et Jésus nous assure qu’il suscitera eux au dernier jour, John 06:39, 40.44, 54. Selon Thayer, Cremer-Koegel, Walker, Salmond, Zahn et d’autres, cela ne peut signifier le jour de la consommation, — la fin du monde. Un autre de ses concomitants sera le jugement du monde, Matthieu 25: 31-46, en particulier l’arrêt des méchants, II Thess. 1:7-10, qui Premillenarians lieu à la fin du monde. Et, enfin, elle réalisera également avec elle la restauration de toutes choses, actes 03:20, 21. La forte expression de « rétablissement de toutes choses » est trop forte pour faire référence à rien de moins que la restauration parfaite de cet état de choses qui existaient avant la chute de l’homme. Il pointe vers la restauration de toutes choses dans leur état, et cela ne sera pas trouvé dans le Millénaire des Premillenarians. Même péché et la mort continuera de tuer leurs victimes au cours de cette période. Comme l’a souligné dans ce qui précède, plusieurs choses doivent se produire avant le retour du Seigneur. Cela doit garder à l’esprit à la lecture de ces passages qui parlent de la venue du Seigneur ou le dernier jour de plus près, Matthieu 16:28; 24:34; Hébreux 10:25; Jac. 5:9; J’ai PET. 4:5; J’ai John 02:18. Ils trouvent leur explication en partie dans le fait que, considérés comme du côté de Dieu, avec qui un jour est comme mille ans et mille ans sont comme un jour, l’entrée est toujours près de; en partie dans la représentation biblique de l’époque du Nouveau Testament comme constituant le dernier jours ou la dernière fois; en partie dans le fait que le Seigneur en parlant de son prochain ne pas toujours avoir à l’esprit son retour physique à la fin des temps, mais peut faire référence à sa venue à l’Esprit Saint; et en partie dans la perspective prophétique caractéristique, dans lequel aucune distinction claire n’est faite entre l’entrée immédiate du Seigneur dans la destruction de Jérusalem et de sa venue définitive pour juger le monde. Sectaries ont souvent fait la tentative de fixer l’heure exacte de la seconde venue, mais ces tentatives sont toujours illusoires. Jésus dit explicitement: « Mais de ce jour et l’heure connaît personne, ne pas même les anges des cieux, ni le fils, mais le père seul, » Matthieu 24:36. L’instruction concernant le fils probablement signifie que cette connaissance ne figurait pas dans la révélation qui lui comme médiateur devait apporter.
2. LES MODALITÉS DE LA SECONDE VENUE. Les points suivants méritent l’accent ici:
a. il sera une entrée personnelle. Ceci découle de la déclaration des anges aux disciples sur le Mont de l’Ascension: « Ce Jésus, qui a été reçu de votre part dans le ciel, alors viendra de la même manière qu’ye virent lui va au ciel, » actes 01:11. La personne de Jésus a été en les laissant, et la personne de Jésus reviendra. Dans le système de nos jours il n’y a pas de place pour un personnel de modernisme retour de Jésus-Christ. Douglas Clyde Macintosh voit le retour du Christ dans « la domination progressive des individus et la société par les principes moraux et religieux du christianisme essentiel, c'est-à-dire par l’esprit du Christ ». William Newton Clarke dit: « aucun retour visible du Christ sur terre ne doit être prévu, mais plutôt l’avance longue et régulière de son Royaume spirituel.... Si notre Seigneur sera mais compléter l’entrée spirituelle qu’il a commencé, il n’y aura aucun besoin d’un avènement visible à rendre parfait sa gloire sur la terre. » Selon William Adams Brown « non pas par une catastrophe brutale, il peut être, comme dans l’espérance chrétienne au début, mais par la méthode plus lente et plus sûre de conquête spirituelle, l’idéal de Jésus doit encore gagner l’assentiment universel qu’elle mérite, et son esprit dominent le monde. C’est la vérité qui symbolise la doctrine du second avènement. » Walter Rauschenbusch et Shailer Mathews parlent en des termes similaires de la seconde venue. Tout le monde, ils interprètent les descriptions rougeoyantes de la seconde venue du Christ comme des représentations figuratives de l’idée que l’esprit du Christ sera une influence croissante, omniprésente dans la vie du monde. Mais il va sans dire que ces représentations ne font pas justice aux descriptions trouvées dans ces passages, comme actes 01:11; 03:20, 21, Matthieu 24:44; I Corinthiens 15:22; Phil. 03:20; Colossiens 3:4; I Thessaloniciens 02:19; 03:13; 04:15-17; II Timothée 4:8; Tite 02:13; Héb. 09:28. Modernistes reconnaître quand ils parlent de ces derniers comme représentant la juive ancienne façon de penser. Ils ont une lumière nouvelle et meilleure sur le sujet, mais c’est une lumière qui pousse plutôt dim étant donné les événements du monde d’aujourd'hui.
b. ce sera une entrée physique. Que le retour de l’Éternel sera physique découle de ces passages comme actes 01:11; 03:20, 21; Héb. 09:28; Apocalypse 1:7. Jésus reviendra sur terre dans le corps. Il y a certains qui identifient l’entrée prévue du Seigneur avec son spirituel à venir le jour de la Pentecôte et comprendre la parousie pour signifier la présence du Seigneur spirituelle dans l’église. Selon leur représentation le Seigneur a fait revenir dans l’Esprit Saint le jour de la Pentecôte et est désormais présent (d'où parousie) dans l’église. Ils mettre un accent particulier sur le fait que le mot parousia signifie présence. Maintenant, il est évident que le Nouveau Testament parle d’une spirituelle venue du Christ, Matthieu 16:28; John 14:18, 23; 03:20; mais cette venue, que ce soit à l’église le jour de la Pentecôte ou à l’individu dans son renouveau spirituel, gal 01:16, ne peut être identifiée avec ce que la Bible représente comme la seconde venue du Christ. Il est vrai que le mot parousia: présence, mais Vos Dr correctement fait remarquer que, dans son usage religieux eschatologique, cela signifie également arrivée, et que, dans le Nouveau Testament, l’idée d’arrivée est dans la au premier plan. En outre, il faut avoir à l’esprit qu’il existe des autres termes dans le Nouveau Testament, qui servent à désigner le second avènement, nommément apokalupsis, epiphaneiaet phanerosis, chacun de qui pointe vers une entrée qui peut être vu. Et, enfin, il ne faut pas oublier que les épîtres se réfèrent à la seconde venue à plusieurs reprises comme un événement qui est encore à venir, Phil. 03:20; I Thessaloniciens 03:13; 04:15, 16; II Thess. 1:7-10; Tite 02:13. Cela ne cadre pas avec l’idée que l’arrivée était déjà un événement du passé.
c. il sera une entrée visible. Ceci est intimement liée à la précédente. On peut dire que, si la venue du Seigneur sera physique, il sera également visible. Cela semble suivre comme une évidence, mais les Russellites ou Autoristes Millénaire ne semblent pas à le croire. Ils soutiennent que le retour du Christ et l’inauguration du Millénaire s’est déroulée invisible en 1874, et que le Christ est venu au pouvoir en 1914 dans le but de retirer de l’église et en renversant les royaumes du monde. Lorsque l’année 1914 passe sans l’apparition du Christ, ils ont cherché un moyen d’échapper à la difficulté de la théorie pratique qu’il est resté dans la clandestinité, parce que les gens ne manifestent pas de repentance suffisante. Christ est venu, donc et est venu de manière invisible. L’écriture ne nous laisse pas dans le doute, cependant, quant à la visibilité du retour du Seigneur. Nombreux passages témoignent, comme Matthieu 24:30; 26:64; Marc 13:26; Luc 21:27; Actes à 01:11; Colossiens 3:4; Tite 02:13; Héb. 09:28; Apocalypse 1:7.
d. il sera une entrée soudaine. Bien que la Bible nous enseigne d’une part que la venue du Seigneur sera précédée par plusieurs signes, il enseigne en revanche de manière tout aussi énergique que l’avènement se fera soudaine, sera plutôt inattendue et aura les gens par surprise , Matthieu 24:37-44; 25: 1-12; Marc 13:33-37; I Thessaloniciens 5:2, 3; Apocalypse 3:3; 16:15. ce n’est pas contradictoire, car les signes prévus ne sont pas de nature à désigner l’heure exacte. Les prophètes souligné certains signes qui précéderaient la première venue du Christ, et pourtant sa venue a eu beaucoup de surprise. La majorité du peuple ne payé aucune attention aux signes que ce soit. La Bible laisse entendre que la mesure de la surprise au second avènement du Christ sera dans une proportion inverse à la mesure de leur vigilance.
e. il sera un glorieux et triomphe à venir. La seconde venue du Christ, bien que personnelle, physique et visible, sera encore très différente de sa première venue. Il ne rentrera pas dans le corps de son humiliation, mais dans un corps glorifié et pour l’habillement royal, Héb. 09:28. Les nuées du ciel sera son char, Matthieu 24:30, les anges son garde du corps, II Thess. 1:7, les archanges ses hérauts. I Thessaloniciens 04:16 et les saints de Dieu son escorte glorieuse, je th. 03:13; II Thessaloniciens. 01:10. Il viendra comme roi des rois et Seigneur des seigneurs, triomphants sur toutes les forces du mal, après avoir mis tous ses ennemis sous ses pieds, I Cor. 15:25; Apocalypse 19:11-16.
3. L’OBJET DE LA SECONDE VENUE. Christ reviendra à la fin du monde vue d’introduire l’âge futur, l’Éternel état de choses, et il fait cela en inaugurant et en complétant deux événements puissants, à savoir, la résurrection des morts et le jugement final, Matthieu 13:49, 50; 16:27; 24:3; 25: 14-46; Luc 09:26; 19:15, 26, 27; Jean 05:25-29; Actes 17:31; Romains 2:3-16; J’ai Cor. 4:5; 15:23; II Corinthiens 05:10; Phil. 03:20, 21; Je th. 04:13-17; II Thess. 1:7-10; 2:7, 8; II Timothée 4:1, 8; II Pierre 03:10-13; Jude 14, 15; Apocalypse 20:11-15; 22:12. dans la représentation habituelle des écritures, comme déjà nous dans ce qui précède, la fin du monde, le jour du Seigneur, la résurrection physique des morts et le jugement final coïncident. Ce grand tournant apportera également la destruction de toutes les forces du mal qui sont hostiles au Royaume de Dieu, II Thess. 2:8; 20:14. Elle peut être mise en doute, si n’importe qui aurait lu les passages pertinents de toute autre manière, si Apoc. 20:1-6 n’a pas été créé par certains comme la norme par laquelle tous le reste du Nouveau Testament doit être interprété. Selon Premillenarians, la seconde venue du Christ servira principalement le but d’établir le règne visible du Christ et ses Saints sur la terre et d’inaugurer le véritable jour du Salut pour le monde. Il s’agira de l’enlèvement, la résurrection des justes, les noces de l’agneau et des jugements sur les ennemis de Dieu. Mais autres résurrections et jugements suivra à divers intervalles, et la dernière résurrection et le jugement final seront séparés de la seconde venue de mille ans. Les objections à ce point de vue bénéficient en partie au cours des précédentes et seront en partie mentionnées dans les chapitres suivants.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Pourquoi ne peut pas le terme parousie simplement être rendu « présence » partout où il se trouve ? Dans quels sens différentes est la Bible parle de la venue du Christ ? Comment devrait-on Matthieu 16:28; 24:34 être interprété ? Le discours de Jésus dans Matthieu 24 parle d’une seule venue ? La doctrine de la restauration nationale des Juifs implique nécessairement la doctrine du Millenium ? Les passages suivants enseignez une telle restauration: Matthieu 23:39; Luc 13:35; 21:24; Actes 3:6, 7 ? Daniel réfère-t-elle à Antioche Épiphane en tant que type de l’Antéchrist dans Daniel 11:36 ff. ? Comment les bêtes de l’Apocalypse 13 sont liées à l’Antéchrist ? Convient à l’homme du péché, dont Paul parle, être identifié avec l’Antichrist ? Quelle est la puissance retenue mentionné au II Thess. 2:6 et 7 ? Les apôtres instruisit que le Seigneur pourrait revenir au cours de leur vie ? Le Nouveau Testament justifie l’idée que l’expression « the end » ou « la fin du monde » signifie simplement « la fin de l’âge » ?
LITTÉRATURE: Bavinck, dogme. IV, pp. 712-753; Kuyper, Dict. dogme., De Consummatione Saeculi, pp. 117-245; Vos. Geref. Dogme. V, Eschatologie, pp. 22-23; ID., Pauline eschatologie, pp. 72-135; Hodge, Syst. Theol. III, p. 790-836; Pieper, Christl. Dogme. III, pp. 579-584; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 407-411. Schmid, Doct. Théol. du Ev. Luth. Église, pp. 645-657; Strong, Syst. Theol., p. 1003-1015; Pape, Chr. Theol. III, p. 387-397; Hovey, eschatologie, pp. 23-78; Kliefoth, Eschatologie, pp. 126-147, 191-225; Mackintosh. L’immortalité et l’avenir, pp. 130-148; Kennedy, St. Conceptions des dernières choses, pp. 158-193; de Paul Salmond, la Chr. Doct. d’immortalité, pp. 241-251; Snowden, la venue du Seigneur, pp. 123-171.
II. vues millénaire
Il y en a certains qui se connectent avec l’avènement du Christ à l’idée d’un millénaire, immédiatement avant ou immédiatement après la seconde venue. Alors que cette idée n’est pas partie intégrante de la théologie réformée, il mérite néanmoins examiner ici, car il est devenu assez populaire dans de nombreux milieux. Théologie réformée ne peut pas se permettre d’ignorer les opinions millénaristes répandue de nos jours, mais il doit définir sa position à l’égard de ceux-ci. Certains de ceux qui s’attendent à un millénaire à l’avenir tenir que le Seigneur reviendra avant le nouveau millénaire et sont donc appelés Premillennialists; mais d’autres pensent que sa seconde venue suivront après le Millénaire et sont donc appelés post-millénaristes. Il existe un grand nombre, cependant, qui ne croire pas que la Bible garantit que l’attente d’un millénaire, et il est devenu habituel de la fin de parler d’eux comme Amillennialists. La vue Amillennial est, comme son nom l’indique, purement négative. Il maintient qu’il n’existe aucun motif suffisant scripturaire pour l’attente d’un millénaire et est fermement convaincu que les faveurs de la Bible l’idée que la dispensation actuelle du Royaume de Dieu sera immédiatement suivi par le Royaume de Dieu dans sa forme de consommé et éternelle. Il est conscient du fait que le Royaume de Jésus Christ est représenté comme un éternel et non comme un royaume temporel, Ésaïe 9:7; Dan. 07:14; Luc 01:33; Hébreux 1:8; 12:28; II Pierre 01:11; 11:15; et que pour entrer dans le Royaume de l’avenir est d’accéder à un éternel État, Matthieu 07:21, 22, à entrer dans la vie, Matthieu 18:8, 9 (cf. le contexte précédent) et d’être sauvés, marquer 10:25, 26. Certains Premillenarians ont parlé de amillénnialisme comme une nouvelle vue et comme l’une des plus récentes nouveautés, mais ce n’est certainement pas en accord avec le témoignage de l’histoire. Le nom est en effet nouveau, mais la vue à laquelle il est appliqué est aussi ancienne que le christianisme. Il avait au moins autant de partisans que Chiliasme parmi les pères de l’église de la deuxième et troisième siècles, censé avoir été l’apogée du Chiliasme. Il a été le point de vue plus largement acceptée, est le seul avis que soit exprimée ou implicite dans les grandes Confessions historiques de l’église, et a toujours, depuis l’opinion répandue dans les milieux réformés.
A. PRÉMILLÉNARISME.
Puisque le pré-millénarisme n’assume pas toujours la même forme, il peut être bien pour indiquer brièvement la forme dont il est généralement admis dans le passé (sans notant toutes sortes d’aberrations), et puis pour suivi cela avec un plus une description détaillée du plus dominant prémillénariste théorie de nos jours.
1. LE PRÉ-MILLÉNARISME DU PASSÉ. L’avis d’Irénée peut être donnée que celle qui correspond le mieux à celle des premiers siècles chrétiens. Le monde actuel durera six mille ans, correspondant aux six jours de la création. Vers la fin de cette période les souffrances et les persécutions de la pieuse volonté augmentent considérablement, jusqu'à ce que finalement l’incarnation de toute méchanceté apparaît en la personne de l’Antéchrist. Après que qu’il a terminé son travail destructeur et a hardiment s’est assis dans le temple de Dieu, Christ apparaîtra dans la gloire céleste et triomphe sur tous ses ennemis. Il sera accompagné par la résurrection physique des saints et l’établissement du Royaume de Dieu sur la terre. La période de félicité millénaire, une durée de mille ans, correspondra jusqu’au septième jour de la création, — le jour de repos. Jérusalem sera reconstruite; la terre donnera ses fruits en abondance riche; et paix et la justice prévaudra. À la fin des mille ans le jugement final s’ensuivra, et une nouvelle création s’affiche, dans laquelle les rachetés vivra pour toujours en présence de Dieu. Dans GENERALITES cette représentation est typique des vues eschatologiques des premiers siècles chrétiens, mais ils doivent différer dans certains détails. Dans tous les siècles suivants et jusqu’au dix-neuvième siècle, pensée millénaire est demeuré sensiblement le même, bien qu’il y a des aberrations étranges dans certains des sectes. Étude continue, cependant, a conduit à la poursuite du développement et à une plus grande clarté dans la présentation de certains de ses détails. Les principales caractéristiques de l’affichage courant peuvent être un peu dit ce qui suit: l’avènement prochain du Christ au monde se trouve à proximité et sera visible, personnelle et glorieux. Il va être précédée, toutefois, certains événements, tels que l’évangélisation de toutes les nations, de la conversion d’Israël, de la grande apostasie et de la grande tribulation et la révélation de l’homme du péché. Sombres et éprouvantes fois sont donc encore en magasin pour l’église, puisqu’elle devra passer par la grande tribulation. La seconde venue sera un événement de grand, unique, exceptionnel et glorieux, mais il sera accompagné par plusieurs autres portant sur l’église, sur Israël et sur le monde. Les saints morts ressusciteront et transfigurée de la vie, et ensemble ils se traduira pour rencontrer le Seigneur qui viennent. Antéchrist et ses alliés méchants seront tués; et Israël, l’ancien peuple de Dieu va se repentir, être sauvé et restauré vers la Terre Sainte. Alors on établira le Royaume de Dieu, prédit par les prophètes, dans un monde transformé. Les païens seront tourneront vers Dieu en abondance et être intégrées dans le Royaume. Une condition de la paix et la justice prévaudra sur toute la terre. Après l’expiration de l’État terrestre de Christ d'entre les morts est ressuscitée; et cette résurrection sera suivie par le jugement dernier et la création d’un nouveau ciel et une nouvelle terre. De manière générale, on peut dire que c’est le type du pré-millénarisme préconisée par des hommes tels que Mede Bengel, Auberlen, Christlieb, Ebrard, Godet, Hofmann, Lange, Stier, Van Oosterzee, Van Andel, Alford, Andrews, Ellicott, Guinness, Kellogg, Zahn, Moorehead, Newton, tranchées et autres. Il va sans dire que ces hommes différaient par certains détails.
2. LE PRÉ-MILLÉNARISME DU PRÉSENT. Au deuxième trimestre du XIXe siècle, une nouvelle forme du pré-millénarisme a été introduite sous l’influence de Darby, Kelly, Trotter et leurs disciples en Angleterre et en Amérique, un pré-millénarisme épousant dispensationalisme. Les nouveaux affichages ont été popularisées dans notre pays notamment par le biais de la Scofield Bible et sont largement diffusés à travers les œuvres des hommes tels que Bullinger, F. W. Grant, Blackstone, gris, argent, Haldeman, les deux Gaebeleins, Brookes, Riley, Rogers et une foule de d’autres. Vraiment, ils présentent une nouvelle philosophie de l’histoire de la rédemption, dans lesquels Israël joue un rôle de premier plan et l’église est mais un intermède. Leur principe directeur invite à diviser la Bible en deux livres, le livre du Royaume et le livre de l’église. Lire leurs descriptions des relations de Dieu avec les hommes il est perdu dans un labyrinthe déroutant des pactes et des dispenses, sans un fil d’Ariane pour donner un guidage sûr. Leur tendance qui sème la discorde se révèle aussi dans leur programme eschatologique. Il y aura deux allées deuxième, deux ou trois (si pas de quatre) résurrections et également trois arrêts. En outre, il y aura aussi deux peuples de Dieu, qui, selon certains, seront éternellement séparés, Israël s’attarder sur la terre et l’église dans le ciel.
Le texte suivant donnera une idée du régime prémillénariste qui jouit de la plus grande popularité aujourd'hui:
a. son point de vue de l’histoire. Dieu traite avec le monde de l’humanité au cours de l’histoire sur la base de plusieurs pactes et selon les principes des sept dispensations différentes. Chaque dispensation est distincte, et chacun d’eux représente un critère différent de l’homme naturel; et puisque l’homme ne respecte pas les tests successifs, chaque dispensation se termine par un jugement. La théocratie d’Israël, fondé sur le Mont Sinaï, occupe une place particulière dans l’économie divine. C’était la forme initiatique du Royaume de Dieu ou le Royaume du Messie et avait son âge d’or à l’époque de David et de Salomon. Dans le sentier d’obéissance, il pourrait ont augmenté dans la puissance et la gloire, mais en raison de l’infidélité du peuple, il a été finalement renversé, et les gens ont été emportés à l’exil. Les prophètes prédit ce renversement, mais a également apporté des messages d’espoir et a soulevé l’espoir que, dans les jours du Messie d’Israël, se tourne vers le Seigneur dans le vrai repentir, le trône de David serait rétabli dans la gloire inégalée et même les gentils partageront les bénédictions du futur Royaume. Mais quand le Messie est venu et a offert d’établir le Royaume, les Juifs n’ont pas montré le repentir requis. Le résultat fut que le roi n’a pas établi le Royaume, mais Israël s’est retiré et est allé dans un pays lointain, Report de la mise en place du Royaume jusqu'à son retour. Avant de quitter la terre, cependant, il a fondé l’église, qui n’a rien en commun avec le Royaume, et dont les prophètes a jamais parlé. La dispensation de la loi rendit pour la dispensation de la grâce de Dieu. Au cours de cette dispense, l’église est recueillie par les Juifs et les non-Juifs et forme le corps du Christ, qui partage désormais à ses souffrances, mais va une fois, comme l’épouse de l’agneau, partager sa gloire. De cette église du Christ n’est pas le roi, mais la tête divine. Elle a la tâche glorieuse de la prédication, pas l’Évangile du Royaume, mais l’Évangile de la grâce libre de Dieu, parmi toutes les nations du monde, de réunir hors d’eux les élus et suite à être un témoignage pour eux. Cette méthode s’avérera être un échec; Il n’affecteront pas les conversions à grande échelle. À la fin de cette dispensation Christ reviendra tout d’un coup et effectuer une conversion beaucoup plus universelle.
b. son eschatologie. Le retour du Christ est imminent maintenant, autrement dit, il peut venir à tout moment, car il n’y a aucun événement prévu qui doit toujours faire précéder. Cependant, sa venue se compose de deux événements distincts, séparés les uns des autres par une période de sept ans. Le premier de ces événements sera la parousie, quand le Christ apparaîtra dans l’air pour répondre à ses saints. Tous les justes morts seront alors ressuscités, et les saints vivants vont être transfigurées. Ensemble, ils seront enlevés dans les airs, célébreront le mariage de l’agneau et seront alors toujours avec le Seigneur. La traduction des saints vivants est appelée «l’enlèvement, » parfois «l’enlèvement secret». Alors que le Christ et son église sont absents de la terre et même le Saint-Esprit habite a disparu avec l’église, il y aura une période de sept ans ou plus, souvent divisée en deux parties, dans lequel plusieurs choses arrivera. L’Évangile du Royaume sera encore une fois être prêché, principalement, semble-t-il, par le croyant reste des Juifs, et les conversions à grande échelle seront traduira, bien que beaucoup continueront toujours à blasphémer Dieu. Le Seigneur commencera à nouveau faire face à Israël, et il sera probablement en ce moment (même si certains disent que ce sera plus tard) converti. Dans la seconde moitié de cette période de sept ans, il y aura un temps de tribulation inégalée, dont la longueur est toujours un sujet de débat. Antéchrist est dévoilé et les coupes de la colère de Dieu seront déversées sur la race humaine. À la fin de la période de sept ans la «révélation» va suivre, c'est-à-dire la venue du Seigneur à la terre, maintenant pas pour mais avec ses saints. Les nations de la vie sont maintenant jugées (Matthieu 25, 31 et suiv.), et les moutons séparent des boucs; les saints qui sont morts pendant la grande tribulation sont ressuscités; Antichrist est détruite; et Satan est lié pendant mille ans. On établira désormais le Royaume millénaire, un Royaume réel visible, terrestre et matériel des Juifs, la restauration du Royaume théocratique, y compris le rétablissement de la royauté Davidique. Dans ce document que les saints régneront avec Christ, les Juifs sont les citoyens naturels et beaucoup de gentils adopté citoyens. On établira le trône du Christ à Jérusalem, qui deviendra aussi à nouveau la place centrale de culte. Le temple sera reconstruit sur le Mont Sion, et l’autel sera à nouveau lattes avec le sang des sacrifices, même d’et intrusion-offrandes pour le péché. Et bien que le péché et la mort prétendra toujours leurs victimes, ce sera un moment de grande fécondité et de prospérité, dans lequel vie des hommes sera prolongée et le désert fleurira comme la rose. Dans ce temps le monde sera rapidement converti, selon certains par l’Évangile, mais selon la majorité, par des moyens totalement différents, tels que la comparution personnelle du Christ, la jalousie suscitée par la bénédiction des saints et surtout grande et terrible jugements. Après le Millénium Satan sera délié pour un peu de temps, et les hordes de Gog et Magog assemblent contre la ville sainte. Les ennemis sont, cependant, dévorés par le feu du ciel et Satan est jeté dans l’abîme, où la bête et le faux prophète ont précédé. Après cette petite saison les méchants morts ressuscitent en hausse et apparaissent en jugement devant le grand trône blanc, Apoc. 20:11-15. Et puis il y aura un nouveau ciel et une nouvelle terre.
c. certaines variations de cette théorie. Premillenarians sont certainement pas tous d’accord quant aux détails de leur schéma eschatologique. L’étude de leur littérature révèle une grande variété d’opinions. Il y a imprécision et incertitude sur de nombreux points, ce qui prouve que leur construction détaillée est de valeur plutôt douteuse. Alors que la majorité de nos jours Premillenarians croire en une règle visible venir de Jésus Christ, même maintenant certains prévoient qu’une règle spirituelle et ne cherchent pas une présence physique du Christ sur la terre. Bien que les mille ans d’Apocalypse 20 sont généralement interprétés littéralement, il y a une tendance de la part de certains à les considérer comme une période de plus ou moins longue durée indéterminée. Certains pensent que les Juifs seront convertis tout d’abord et puis ramenés à la Palestine, alors que d’autres sont d’avis que cet ordre sera inversé. Il y a ceux qui croient que les moyens utilisés pour la conversion du monde seront identiques à celles actuellement utilisées, mais l’opinion dominante est qu’autre moyen sera substitué. Il y a une divergence d’opinion également quant au lieu où les saints ressuscités habitera pendant leur règne millénaire avec le Christ, sur terre ou dans le ciel ou aux deux endroits. Les opinions diffèrent beaucoup, trop, en ce qui concerne la poursuite de la propagation de la race humaine durant le Millenium, le degré du péché qui préséance à ce moment-là et la domination continue de la mort et de nombreux autres points.
3. OBJECTIONS ÀU PRÉ-MILLÉNARISME. Dans la discussion du second avènement il la vue prémillénariste déjà subit particulièrement rigoureuse et critique, et les chapitres suivants sur la résurrection et le jugement final offrira encore occasion d’un examen critique de la prémillénariste construction de ces événements. C’est pourquoi les objections soulevées à ce stade sera de nature plus générale, et malgré cela, nous pouvons seulement payer attention sur certains des plus importants.
a. la théorie est basée sur une interprétation littérale de la délimitation prophétique de l’avenir d’Israël et du Royaume de Dieu, qui est tout à fait insoutenable. Cela a été souligné à plusieurs reprises dans des œuvres sur la prophétie comme celles de Fairbairn, Riehm et Davidson, dans le remarquable travail de David Brown sur le Second Avènement, dans le volume important de Waldegrave sur Millennarianism du Nouveau Testamentet dans le œuvres plus récentes de m. Aalders sur Verbonds De Profeten des Oudenet Het Herstel van Israël Volgens het Oude Testament. Le dernier volume est entièrement consacré à une étude exégétique détaillée de tous les passages de l’ancien Testament qui pourrait porter en aucune façon sur la restauration future d’Israël. C’est un travail en profondeur qui mérite une étude attentive. Premillenarians soutiennent que rien de moins qu’une interprétation littérale et accomplissement satisfera aux exigences de ces prévisions prophétiques; mais les livres des prophètes eux-mêmes contiennent déjà des indications qui pointent vers un accomplissement spirituel, Ésaïe 54:13; 61:6; Jérémie 03:16; 31: 31-34; Osée 14:2; Michée 6:6-8. La prétention que les noms « Sion » et « Jérusalem » ne sont jamais utilisés par les prophètes dans un autre qu’un sens littéral, que l’ancien toujours dénote une montagne et ce dernier, une ville, est clairement à l’encontre de fait. Il existe des passages dans lesquels les deux noms sont employés pour désigner Israël, l’église de Dieu de l’ancien Testament, Ésaïe 49: 14; 51:3; 52: 1, 2. et cette utilisation des termes passe juste au-dessus dans le Nouveau Testament, gal 04:26; Hébreux 12:22; 03:12; 21:9., il est remarquable que le Nouveau Testament, qui est l’accomplissement de l’ancien, ne comporte aucune indication que ce soit de la restitutio in integrum de la théocratie de l’ancien Testament par Jésus, ni une seule prédiction positive incontestée de sa restauration, tandis qu’il ne contient des indications abondantes de l’accomplissement spirituel de la promesse donnée à Israël, Matthieu 21:43; 02:29-36, les actes 15:14-18; ROM. 09:25, 26; Hébreux 8:8-13; I Pierre 2:9; Apocalypse 1:6; 5:10. pour plus de détails sur la spiritualisation trouvé dans l’écriture, le travail du Dr Wijngaarden sur L’avenir du Royaume sont consultables. Le Nouveau Testament ne favorise certainement pas la littéralité des Premillenarians. En outre ce littéralisme atterrit dans toutes sortes d’absurdités, car il s’agit de la restauration future de toutes les conditions historiques anciennes de la vie d’Israël: les grandes puissances du monde de l’ancien Testament (Egyptiens, Assyriens et Babyloniens) et le les voisins des nations d’Israël (les Moabites, les Ammonites, les Édomites et Philistins) doivent apparaître à nouveau sur la scène, Ésaïe 11:14; Amos 09:12; Joel 03:19; Michée 5:5, 6; Apocalypse 18. Le temple devra être reconstruit, Ésaïe 2:2, 3; Michée 4:1, 2; Zacharie 14:16-22; Ézéchiel 40-48, les fils de Tsadok devra à nouveau servir de prêtres, Ézéchiel 44: 15-41; 48:11-14 et même des offres de péché et d’intrusion devront encore être mis sur l’autel, pas de commémoration (comme certains Premillenarians aurait-il), mais pour l’expiation, Ézéchiel 42:13; 43: 18-27. et en plus de tout cela, la situation modifiée serait rendent nécessaire pour toutes les nations à se rendre à Jérusalem d’une année à l’autre, afin de célébrer la fête des tabernacles, Zacharie 14:16 et même de la semaine à la semaine, se prosterner devant Jéhovah, Ésaïe 66: 23.
b. la théorie de ce qu’on appelle Report, qui est un lien nécessaire dans le système prémillénariste, est dépourvue de toute base scripturaire. Selon lui, Jean et Jésus a proclamé que le Royaume, autrement dit, la théocratie juive, était à portée de main. Mais parce que les Juifs n’ont pas se repentir et croire, Jésus a reporté sa mise en place de sa seconde venue. Le point tournant marquant le changement est placé par Scofield dans Matthieu 11:20, par d’autres dans Matthieu 12 et d’autres encore plus tard. Avant ce tournant Jésus ne concernait pas lui-même avec les païens, mais il a prêché l’Évangile du Royaume d’Israël; et après cela il ne prêchait pas plus, le Royaume mais seulement a prédit sa venue future et offert reste à la Las d’Israël et les gentils. Mais on ne saurait soutenir que Jésus ne pas se préoccuper de gentils avant le tournant supposé, Matt. 8:5-13; John 4:1-42, ni qu’après elle, il a cessé de prêcher le Royaume, Matthieu 13; Luc 10:1-11. Il n’y a absolument aucune preuve que Jésus a prêché deux Évangiles différents, tout d’abord l’Évangile du Royaume, puis l’Évangile de la grâce de Dieu; à la lumière de l’écriture, cette distinction est intenable. Jésus n’a jamais eu à l’esprit le rétablissement de la théocratie de l’ancien Testament, mais l’introduction de la réalité spirituelle, dont le Royaume de l’ancien Testament n’était qu’un type, Matthieu 08:11, 12; 13:31-33; 21:43; Luc 17:21; John 3:3; 18:36, 37 (COMP. Rom. 14:17). Il ne pas reporter la tâche pour laquelle il était venu dans le monde, mais effectivement établirent le Royaume et parlé plus d’une fois comme une réalité présente, Matthieu 11:12; 12:28; Luc 17:21; John 18:36, 37; (COMP. 01:13). Cette théorie tout report est une fiction relativement récente et est très répréhensible, parce qu’il brise l’unité de l’Ecriture et du peuple de Dieu d’une manière injustifiée. La Bible représente la relation entre l’ancien Testament et le nouveau que celui du type et antitype, des prophéties et épanouissement; mais cette théorie avance que, tandis que le Nouveau Testament devait initialement être un accomplissement de l’ancien, il est vraiment devenu quelque chose de tout à fait différent. Le Royaume, autrement dit, la théocratie de l’ancien Testament, a été prédite et n’était pas rétabli, et l’église n’était pas prévu, mais a été créé. Ainsi, les deux sont désagrège et celui devient le livre du Royaume et l’autre, à l’exception des Évangiles, le livre de l’église. En outre, nous obtenons deux peuples de Dieu, celle naturelle et l’autre spirituel, celui terrestre et l’autre céleste, comme si Jésus ne parlait pas de « un seul troupeau et un seul pasteur, » John 10:16, et comme si Paul n’a pas dit que les païens ont été greffés sur le vieil Olivier , Romains 11:17.
c. cette théorie est également en opposition flagrante avec la représentation biblique des grands évènements de l’avenir, à savoir, la résurrection, le jugement final et la fin du monde. Comme l’a montré dans ce qui précède, la Bible représente ces grands événements comme la synchronisation. Il n’y a pas la moindre indication qu’ils sont séparés par un millier d’années, sauf cela se trouve dans Apocalypse 20:4-6. Ils ont clairement coïncident, Matthieu 13:37-43,47-50 (séparation entre le bien et le mal à « la fin » pas mille ans auparavant); 24:29-31; 25: 31-46; Jean 05:25-29; I Corinthiens 15:22-26; Phil. 03:20, 21; I Thessaloniciens 04:15, 16; Apocalypse 20:11-15. Ils se produisent lors de la venue du Seigneur, qui est aussi le jour du Seigneur. En réponse à cette objection Premillenarians souvent laissent à penser que peut-être le jour du Seigneur mille ans longtemps, afin que la résurrection des saints et le jugement des nations prend place dans la matinée de cette longue journée et la résurrection des méchants et le jud jugement du grand trône blanc se rencontre dans la soirée du même jour. Ils font appel à II Pierre 3:8... « un jour est avec le Seigneur comme mille ans et mille ans sont comme un jour. » Mais cela peut s’avérer difficilement le point, pour les tableaux pourraient facilement être tournés ici. Le même passage pourrait également servir à prouver que les mille ans d’Apocalypse 20 mais une seule journée.
d. il n’y a aucun fondement biblique positif que ce soit pour le Premillennial découvre une double isolation, ou même d’une résurrection trois ou quatre fois, comme l’exige leur théorie, ni pour la diffusion du jugement dernier sur une période de mille ans en le divisant en trois jugements. Il est pour le moins très douteux que les mots, « c’est la première résurrection » dans Apocalypse 20:5, se référer à une résurrection physique. Le contexte ne nécessite, ni même favorable à ce point de vue. Ce qui semble favoriser la théorie d’une résurrection double, est le fait que les apôtres souvent parlent de la résurrection des croyants seulement et ne se réfèrent pas à celle des méchants du tout. Mais cela est dû au fait qu’ils écrivent aux églises de Jésus Christ, pour les connexions dans lesquelles ils aborder le sujet de la résurrection et le fait qu’ils désirent souligner l’aspect sotériologique de celui-ci, I Cor. 15; Je th. 04:13-18. D’autres passages parlent clairement de la résurrection des justes et des méchants en un seul souffle, Dan. 12:2; John 05:28, 29; Actes 24:15. Nous allons examiner cette question plus avant dans le chapitre suivant.
e. la théorie prémillénariste empêtre elle-même dans toutes sortes de difficultés insurmontables avec sa doctrine du Millénaire. Il est impossible de comprendre comment une partie de la vieille terre et de l’humanité pécheresse peut exister à côté d’une partie de la nouvelle terre et d’une humanité qui est glorifiée. Comment les saints parfaites du corps glorifiés peuvent avoir communion avec les pécheurs dans la chair. Comment les saints glorifiés peuvent vivre dans cette atmosphère chargée de péché et au milieu de scènes de mort et de décomposition ? Comment le Seigneur de gloire, le Christ glorifié, peut établir son trône sur la terre tant qu’il n’a pas encore été renouvelé. Le chapitre XXI de l’Apocalypse nous informe que Dieu et l’église des rachetés relèvera leur suit sur terre après que le ciel et la terre ont été renouvelés; alors, comment peut-on soutenir que Christ et des saints habiterai là un millier d’années avant ce renouvellement. Comment pécheurs et saints dans la chair sera en mesure de se tenir en présence du Christ glorifié, voyant que même Paul et John ont été totalement débordés par la vision de lui, actes 26: 12-14; 01:17 ? Betterave a vraiment dit: « nous ne pouvons concevoir se mêlaient ensemble sur la même planète, certains qui n’ont pas encore de mourir et autres qui sont passés par la mort et ne mourra pas plus. Une telle confusion de l’âge présent avec l’âge à venir est dans le dernier degré improbable. » Et Brown crie: « ce qu’un bâtard état de choses est la suivante ! Quel un abhorré mélange des choses totalement incompatibles avec l’autre ! »
f. seulement scripturaire cette théorie repose sur Apoc. 20:1-6, après qu’un contenu de l’ancien Testament a été répandu en elle. Il s’agit d’une base très précaire pour diverses raisons. (1) ce passage se trouve dans un livre hautement symbolique et est certes très obscur, comme il ressort de différentes interprétations de celui-ci. (2) l’interprétation littérale de ce passage, telle que donnée par les Premillenarians, mène à une vue qui ne trouve aucun appui ailleurs dans les Ecritures, mais est même contredite par le reste du Nouveau Testament. Il s’agit d’une objection fatale. Son exégèse exige que les passages obscurs de l’écriture soit lu à la lumière de ceux plus claire et pas vice versa. (3) même l’interprétation littérale des Premillenarians n’est pas systématiquement littérale, car elle rend la chaîne dans le verset 1 et, par conséquent, la liaison du verset 2 figuratifs, souvent conçoit des mille ans comme une longue mais indéfini période et modifie le âmes de verset 4 dans les saints de la résurrection. (4) le passage, à proprement parler, ne dit pas que les classes appelées (les saints martyrs et ceux qui n’adoraient pas la bête) ont été ressuscités d'entre les morts, mais simplement qu’ils ont vécu et régnèrent avec le Christ. Et cette vie et régner avec Christ est censée constituer la première résurrection. (5) il n’y a absolument aucune indication dans ces versets que le Christ et ses saints sont vus statuant sur la terre. À la lumière de ces passages comme Apoc. 4:4; 6:9, il est beaucoup plus probable que la scène est posée dans le ciel. (6) il mérite également d’avis que le passage ne mentionne pas que ce soit de la Palestine, de Jérusalem, du temple et des Juifs, les citoyens naturels du Royaume millénaire. Il n’y a pas une seule indication qu’il s’agit en aucun cas concernés par ce règne de mille ans. Pour une interprétation détaillée de ce passage de la Amillennial point de vue, nous nous référons de Kuyper, Bavinck, De Moor, Dijk, Greydanus, Vos et Hendriksen.
B. LE POSTMILLÉNARISME.
La position du postmillenialisme est à l’opposé de celle adoptée par pré-millénarisme respectant le temps de la seconde venue du Christ. Il maintient que le retour du Christ suivra le millénaire, qui est supposé pendant et à la fin de la dispensation de l’Évangile. Immédiatement après lui, Christ viendra pour inaugurer l’ordre éternel des choses. Dans la discussion du postmillenialisme, il sera nécessaire de distinguer deux formes différentes de la théorie, dont l’un s’attend le Millénaire à réaliser grâce à l’influence surnaturelle du Saint-Esprit, et l’autre s’y attend à venir par un naturel processus d’évolution.
1. LES DIFFÉRENTES FORMES DE POSTMILLÉNARISME.
a. la forme antérieure. Au cours des XVIe et XVIIe siècles, plusieurs théologiens réformés aux Pays-Bas enseigna une forme de Chiliasme, qui maintenant s’appellerait le postmillenialisme. Parmi eux étaient des hommes bien connus tels que Coccejus, Alting, deux Vitringas, d'Outrein, Witsius, Hoornbeek, Koelman et Brakel, dont certains ont considéré le millénaire comme appartenant au passé, d’autres pensaient de lui comme cadeau, et encore d’autres cherché dans le le futur. La majorité c’est prévu vers la fin du monde, juste avant la seconde venue du Christ. Ces hommes ont rejeté les deux idées principales des Premillenarians, à savoir que Christ reviendra physiquement règne sur la terre pendant mille ans, et que les saints seront ressuscités à sa venue et régneront alors avec lui dans le Royaume millénaire. Alors que leurs représentations diffèrent dans certains détails, l’opinion dominante était que l’Évangile, qui s’étendra progressivement à travers le monde entier, sera en fin de compte devenir infiniment plus efficace que c’est à l’heure actuelle et débouchera sur une période de richesse spirituelle bénédiction pour l’église de Jésus Christ, un âge d’or, dans lequel les Juifs partagera également dans les bénédictions de l’Évangile d’une manière sans précédent. Ces dernières années, certains tel postmillenialisme a été préconisé par D. Brown, J. Berg, J. H. Snowden, T. P. Stafford et A. H. Strong. Le théologien nommé dernier dit que le millénaire sera « une période dans les jours plus tard de l’Église militante, lorsque, sous l’influence particulière de l’Esprit Saint, l’esprit des martyrs doit comparaître à nouveau, vraie religion être grandement accélérée et relancée et le membres des églises du Christ deviennent tellement conscience de leur force en Christ qui ils sont, dans une mesure inconnue avant, triomphe sur le pouvoir du mal au sein et sans. » L’âge d’or de la volonté de l’église, on le tient, suivie d’une brève apostasie, un terrible conflit entre les forces du bien et du mal et par la présence simultanée de l’avènement du Christ, la résurrection générale et le jugement final.
b. la forme plus tard. Beaucoup de nos jours que le postmillenialisme est d’un type tout à fait différent et préoccupations elle-même très peu de choses sur les enseignements de l’écriture, sauf comme une indication historique de ce que les gens une fois cru. L’homme moderne a peu de patience avec les espoirs millénaires du passé avec leur dépendance totale envers Dieu. Il ne croit pas que le nouvel âge va être inauguré par la prédication de l’Évangile et le travail d’accompagnement de l’Esprit Saint; ni qu’il sera le résultat d’un changement cataclysmique. D’une part, on croit qu’évolution amènera progressivement le millénaire, et d’autre part, que l’homme lui-même doit inaugurer le nouvel âge en adoptant une politique constructive du monde-meilleur. Dit Walter Rauschenbusch: « notre principal intérêt dans n’importe quel millénaire est le désir d’un ordre social dans lequel la valeur et la liberté de chaque être humain moins seront honorés et protégées; dans laquelle la Fraternité des hommes est exprimée dans la possession commune des ressources économiques de la société; et dans lequel le bien spirituel de l’humanité sera défini au-dessus des intérêts de profit privé des groupes tout matérialistes... Quant à la manière dont l’idéal chrétien de la société est à venir, — nous devons passer de la catastrophe au développement. » Shirley Jackson Case demande: « allons nous attendons toujours à Dieu de mettre en place un nouvel ordre par voie catastrophique ou nous endossons la responsabilité d’amener notre propre millénaire, croyant que Dieu travaille en nous et dans notre monde et le vouloir et de travailler pour son bon plaisir ? « Et il lui donne la réponse dans les paragraphes ci-après: « le cours de l’histoire présente un long processus de l’évolution de lutte par lequel l’humanité tout entière s’élève constamment plus élevé dans l’échelle de la civilisation et de la réalisation, amélioration de sa condition de temps en temps par le biais de ses compétences et son industrie plus. Vu dans la longue perspective des âges, carrière de l’homme a été une réelle ascension. Au lieu de plus en plus pire, le monde se trouve à être constamment croissante mieux... Depuis l’histoire et la science montrent que la plus-value est toujours le résultat de la réalisation, l’homme apprend à conjecturer que les maux encore leur devront être éliminées par l’effort intense et une réforme graduelle, plutôt que par l’intervention catastrophique de la Déité... La maladie est d’être guéri ou empêché par la compétence du médecin, les maux de la société devraient être réglées par l’éducation et de la législation et catastrophes internationales doivent être évitée en établissant de nouvelles normes et nouvelles méthodes pour faire face aux problèmes inhérents. En bref, les maux de la vie sont à être guéri par un processus graduel de traitement curatif plutôt que par une annihilation soudaine. » Ces citations sont tout à fait caractéristique de beaucoup de nos jours le postmillenialisme et il n’est pas étonnant que les Premillenarians réagissent contre elle.
2. OBJECTIONS AU POSTMILLÉNARISME. Il y a quelques très sérieuses objections à la théorie Postmillennial.
a. l’idée fondamentale de la doctrine, que le monde entier sera progressivement gagné pour le Christ, que la vie de toutes les nations est en cours de temps transformé par l’Évangile, que la justice et la paix régner en maître, et que les bénédictions de l’esprit sera po mesurée sortir en abondance plus riche qu’avant, afin que l’église connaîtra une saison de prospérité exceptionnelle juste avant la venue du Seigneur, — n’est pas en harmonie avec l’image de la fin des âges dans l’écriture. La Bible enseigne en effet que l’Évangile se répandra dans le monde entier et exerce une influence bienfaisante, mais ne nous amène pas à attendre la conversion du monde, soit en cela un âge à venir. Il insiste sur le fait que le temps qui précède immédiatement la fin sera un temps de grande apostasie, de tribulations et de persécution, un temps, quand la foi d’un grand nombre se refroidira, et quand ceux qui sont fidèles au Christ fera l’objet d’amères souffrances et même dans certains cas scellera leur confession avec leur sang, Matthieu 24:6-14,21,22; Luc 18:8; 21:25-28; II Thess. 2:3-12; II Timothée 3:1-6; Apocalypse 13. Post-millénaristes, bien sûr, ne peuvent très bien ignorer totalement ce qui est dit sur l’apostasie et la tribulation qui marquera la fin de l’histoire, mais ils le minimiser et représentent comme prédire une apostasie et une tribulation à petite échelle, qui ne seront pas influer sur le cours principal de la vie religieuse. Leur espoir d’une condition glorieuse de l’église en fin de compte, est basée sur des passages qui contiennent une description figurative, soit de la dispensation de l’Évangile dans son ensemble, soit du bonheur parfait du Royaume externe de Jésus-Christ.
b. l’idée connexe, que l’age actuel ne finira pas dans un grand changement cataclysmique, mais passera presque imperceptiblement dans l’âge à venir, est tout aussi non scripturaire. La Bible nous enseigne très explicitement qu’une catastrophe, une intervention spéciale de Dieu, apportera le règne de Satan sur la terre à une fin et inaugurera le Royaume qui ne peut pas être ébranlé, Matthieu 24:29-31, 35-44; Hébreux 12:26, 27; II Pierre 03:10-13. Il y aura une crise, un changement si grand qu’il peut être appelé « la régénération, » Matthieu 19:28. Aucuns plus que les croyants ne sont progressivement sanctifiés dans cette vie, jusqu'à ce qu’ils sont pratiquement prêts à passer, sans beaucoup plus changer, dans le ciel, va le monde progressivement être purifiés et préparés ainsi d’accéder à l’étape suivante. Tout comme les croyants doivent encore subir un grand changement au moment du décès, donc doit le monde subissent un changement énorme quand vient la fin. Il y aura un nouveau ciel et une nouvelle terre. Apocalypse 21:1.
c. l’idée moderne que l’évolution naturelle et les efforts de l’homme dans le domaine de l’éducation, de la réforme sociale et de la législation, apportera progressivement dans le règne parfait de l’esprit chrétien, conflits avec tout ce que la parole de Dieu enseigne sur ce point. Il n’est pas le travail de l’homme, mais le œuvre de Dieu pour apporter dans le glorieux Royaume de Dieu. Ce Royaume ne peut être établi par naturelle mais seulement par des moyens surnaturels. C’est le règne de Dieu, établie et reconnue dans le cœur de son peuple, et ce règne jamais peut être rendu efficace par des moyens purement naturels. La civilisation sans régénération, sans changer le surnaturel du coeur, n’apportera jamais dans un millénaire, une règle efficace et glorieux de Jésus-Christ. Il semblerait que l’expérience du dernier quart de siècle doit ont forcé cette vérité sur l’homme moderne. Le développement très vanté de l’homme ne nous n'a pas encore apporté en vue du Millénaire.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Quelle est l’origine historique du pré-millénarisme ? Etait-ce réellement l’opinion qui prévaut dans les deuxième et troisième siècles ? Ce qui a été vue Augustin du Royaume de Dieu et du Millénaire ? Sont le Royaume de Dieu et l’église distincte ou identiques dans l’écriture ? Est un naturel national et autres spirituel et universel ? Luc 14:14 et les enseigner à 20:35 une résurrection partielle ? N’importe quelle partie d’Israël constituera une partie de l’Epouse du Christ ? La mariée sera terminée quand Christ reviendra ? Les post-millénaristes ne sont nécessairement évolutionnistes ? L’optimisme des post-millénaristes, que le monde devient progressivement mieux, est justifiée par l’expérience ? La Bible permet de prévoir des progrès continus pour le Royaume de Dieu jusqu'à la fin du monde ? Est-il nécessaire de supposer un changement cataclysmique à la fin ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme, IV, p. 717-769; Kuyper, Dict. dogme., De Consummatione Saeculi, pp. 237-279; Vos, Geref. Dogme. Eschatologie V., p. 36-40; ID., L’eschatologie de Pauline, pp. 226-260; Hodge, Syst. Theol. III, p. 861-868; Warfield, le Millénaire et l’Apocalypse dans la Bible, pp. 643-664; Dahle, vie après la mort, p. 354-418; D. Brown, le Second Avènement; Ch. Brown, l’espoir de sa venue; Hoekstra, Het Chiliasme; Rutgers, pré-millénarisme en Amérique; Merrill, la seconde venue du Christ. Eckman, quand Christ reviendra; Heagle, cette bienheureuse espérance; Cas, l’espoir millénaire; Rall, pré-millénarisme moderne et l’espoir chrétien; Fairbairn, la perspective prophétique des Juifs (par Pieters); Berkhof, Premillennialisme; Riley, l’évolution du Royaume; Bultema, Maranatha; Berkhoff, De Wederkomst van Christus; Brookes, Maranatha; Haldeman, la venue du Seigneur. Snowden, la seconde venue du Seigneur. Blackstone; Jésus est à venir; Milligan, est l’âge du Royaume à portée de main? Peters, le Royaume théocratique; Ouest, les mille ans dans les deux Testaments; Argent, retour; de l’éternel Bullinger, Comment profiter de la Bible; Waldegrave, Nouveau Testament millénarisme; Feinberg, pré-millénarisme et amillénnialisme; Gæbelein, l’espoir des âges; Hendriksen, plus que vainqueurs; Dijk, Het Rijk der Duizend Jaren; Aalders, Het Herstel van Israël Volgens het Oude Testament; Mauro, l’Évangile du Royaumeet l’espoir d’Israël; Gel; La seconde venue du Christ. Reese, l’avènement qui s’approchait du Christ; Wyngaarden, l’avenir du Royaume.
III. la résurrection de la mort
La discussion du second avènement du Christ provoque naturellement une un examen de ses concomitants. Avant tout parmi ceux-ci est la résurrection des morts ou, comme c’est parfois appelée, « la résurrection de la chair. »
A. LA DOCTRINE DE LA RÉSURRECTION DANS L’HISTOIRE.
À l’époque de Jésus il y avait une divergence d’opinions parmi les Juifs respectant la résurrection. Tandis que les pharisiens croyaient en elle, les Sadducéens n’ont pas, Matthieu 22:23; Actes 23:8. Quand Paul parlait de lui à Athènes, il s’est entretenu avec dérision, actes 17:32. Certains des Corinthiens nié, I Cor. 15 et Hymenæus et Phyletus, à son sujet comme quelque chose de purement spirituel, a affirmé qu’il était déjà de l’histoire ancienne, II Tim. 02:18. Celse, un des premiers adversaires du christianisme, fait surtout cette doctrine le cul du ridicule; et les gnostiques, qui considérait l’affaire comme foncièrement mauvais, il a naturellement rejeté. Origène a défendu la doctrine par les Gnostiques et Celse, mais encore ne croyait pas que le corps qui a été déposé dans la tombe serait soulevé vers le haut. Il a décrit le corps de la résurrection comme un corps nouveau, raffiné et spiritualisé. Si certains des premiers pères partagent son avis, la majorité d'entre eux ont souligné l’identité de l’organisme actuel et le corps de la résurrection. L’église déjà dans la Confession apostolique a exprimé sa croyance en la résurrection de la chair (sarkos). Augustine fut d’abord porté à souscrire à Origène, mais plus tard a adopté l’opinion répandue, bien qu’il n’a pas jugé nécessaire de croire que les différences actuelles de taille et stature seraient poursuivrait dans la vie à venir. Jérôme a insisté fortement sur l’identité du présent et du futur organe. L’est, représentée par des hommes tels que les deux Gregories, Chrysostome et Jean Damascène, manifeste une tendance à adopter une vision plus spirituelle de la résurrection à l’Ouest. Ceux qui ont cru dans un rayon millénaire venir d’une résurrection double, que des justes au début et que des méchants à la fin du règne millénaire. Pendant le moyen âge les scolastiques spéculé beaucoup de choses sur le corps de la résurrection, mais leurs spéculations sont pour la plupart fantaisistes et de peu de valeur. Thomas Aquinas semble surtout avoir spécial d’information sur la nature de l’organe de la résurrection et sur l’ordre et la manière de la résurrection. Les théologiens de l’époque de la réforme ont été généralement admis que le corps de la résurrection serait identique avec le corps actuel. Toutes les Confessions grandes de l’église représentent la résurrection générale comme simultané avec la seconde venue du Christ, le jugement final et la fin du monde. Ils ne séparent pas un de ces événements, comme la résurrection des justes et celle des méchants et la venue du Christ et la fin du monde, par une période de mille ans. Les Premillenarians, d’autre part, insistent sur une telle séparation. Sous l’influence du rationalisme et à l’avancée des sciences physiques, certaines des difficultés avec lesquelles la doctrine de la résurrection est grevée se sont accentuées, et ainsi le libéralisme religieux moderne nie la résurrection de la chair, et explique les représentations bibliques de celui-ci comme une représentation figurative de l’idée que la personnalité humaine complète continuera d’exister après la mort.
B. PREUVE SCRIPTURAIRE DE LA RÉSURRECTION.
1. DANS L’ANCIEN TESTAMENT. On dit parfois que les connus de l’ancien Testament de pas de résurrection des morts, ou il ne sait que dans ses derniers livres. L’avis est assez commun qu’Israël a emprunté sa croyance en la résurrection d'entre les Perses. Mackintosh, dit: « des preuves solides existe pour l’hypothèse que l’idée de la résurrection est entré le mental hébraïque de la Perse. » Brown parle un peu de même: « la doctrine de la résurrection individuelle tout d’abord apparaît en Israël après l’exil et peut-être due à l’influence persane. » Salmond a aussi mentionne ce point de vue, mais il prétend qu’il n’est pas suffisamment justifiée. Il dit: « la doctrine de l’ancien Testament de Dieu est lui-même assez pour expliquer toute l’histoire de l’ancien Testament-conception d’une vie future. » De Bondt arrive à la conclusion qu’il n’y a pas un seul peuple parmi ceux avec qui Israël est entré en contact, qui avait une doctrine de la Résurrection qui pourrait avoir servi d’un modèle pour la représentation de celui-ci, qui était en vigueur entre Israël; et que la foi dans la Résurrection qui trouve son expression dans l’ancien Testament n’a pas trouvent son fondement dans les religions des gentils, mais dans la révélation du Dieu d’Israël. Il est vrai que nous ne trouvons aucune des déclarations claires concernant la résurrection des morts avant l’époque des prophètes, bien que Jésus a trouvé qu’il était déjà implicite dans Exode 3:6; cf. Matthieu 22:29-32 et l’écrivain d’intimates de Hébreux que même les patriarches se réjouit de la résurrection des morts, Hébreux 11:10, 13-16, 19. Certainement, des preuves ne manquent pas qu’il y avait une croyance en la résurrection longtemps avant l’exil. Il est impliqué dans les passages qui parlent d’une délivrance de sheol, Psaume 49: 15; 73:24, 25; Prov. 23:14. Il trouve son expression dans la fameuse déclaration de Job, 19:25-27. En outre, il est très clairement enseigné dans Ésaïe 26: 19 (un passage tardif, selon les critiques) et dans Daniel 12:2 et est probablement impliqué aussi dans Ézéchiel 37: 1-14.
2. DANS LE NOUVEAU TESTAMENT. Comme on peut le prévoir, le Nouveau Testament a plus à dire sur la résurrection des morts que l’ancien, car il apporte le point culminant de la révélation de Dieu sur ce point à la résurrection de Jésus Christ. Par rapport à la négation des Sadducéens, Jésus affirme la résurrection des morts de l’ancien Testament, Matthieu 22:23-33 et parallels, cf. Exode 3:6. En outre, il enseigne cette grande vérité très clairement dans Jean 05:25-29; 06:39, 40, 44, 54; 11:24, 25; 14:3; 17:24. le passage classique du Nouveau Testament pour la doctrine de la résurrection est I Corinthiens 15. D’autres passages importants sont: I th. 04:13-16; II Corinthiens 5:1-10; Apoc. 20:4-6 (d’interprétation douteuse) et 20:13.
C. LA NATURE DE LA RÉSURRECTION.
1. C’EST UNE ŒUVRE DU DIEU TRINE. La résurrection est une œuvre du Dieu triune. Dans certains cas, on nous dit simplement que Dieu suscite les morts, nul ne soit spécifié, Matthieu 22:29; II Corinthiens 1:9. Plus particulièrement, cependant, le travail de la résurrection est attribué à son fils, John 05:21, 25, 28, 29; 06:38-40, 44,54; I Thessaloniciens 04:16. Indirectement, elle est également désignée comme une œuvre de l’Esprit Saint, Rom. 08:11.
2. C’EST UNE RÉSURRECTION PHYSIQUE OU CORPORELLE. Il y en avait à l’époque de Paul, qui considérait la résurrection comme spirituel, II Tim. 02:18. Et ils sont nombreux en ce jour qui ne croient qu’en une résurrection spirituelle. Mais la Bible est très explicite dans l’enseignement de la résurrection du corps. Christ est appelé les « prémices » de la résurrection, I Cor. 15:20, 23 et « le premier-né des morts, » 01:18; Apocalypse 1:5. Cela implique que la résurrection du peuple de Dieu sera comme celui de leur Seigneur céleste. Sa résurrection est une résurrection corporelle, et ils auront de même nature. En outre, la rédemption de Christ dit aussi inclure le corps, Rom. 08:23; I Corinthiens 06:13-20. Dans Romains 08:11 que nous dit explicitement que Dieu par son esprit suscitera notre corps mortel. Et c’est clairement le corps qui est en bonne place avant que l’esprit de l’Apôtre dans I Corinthiens 15, cf. en particulier les versets 35-49. Selon l’Ecriture, il y aura une résurrection des corps, c’est pas une création entièrement nouvelle, mais un corps qui sera dans un sens fondamental identique avec le corps actuel. Dieu ne crée pas un nouveau corps pour chaque homme, mais suscitera l’organe même qui a été déposé dans la terre. Cela ne peut seulement être déduit de l’expression « résurrection », mais il est clairement indiqué dans la Rom. 08:11, I Cor. 15:53 et est davantage impliquée dans la figure de la graine semée dans la terre que l’Apôtre emploie dans I Corinthiens 15:36-38. De plus, Christ, les prémices de la résurrection, de façon concluante l’identité de son corps à ses disciples. En même temps l’écriture rend parfaitement évident que le corps sera grandement modifié. Le corps du Christ n’était pas encore pleinement glorifié au cours de la période de transition entre la résurrection et l’ascension; Pourtant, il avait déjà subi un changement remarquable. Paul se réfère au changement qui aura lieu, quand il dit qu’à semer une graine, nous ne pas semer le corps qui doit être; Nous n’entendons pas prendre la même semence hors de la terre. Pourtant, nous n’attendons pas d’en tirer quelque chose qui est dans un sens fondamental identique avec les semences déposées dans la terre. Bien qu’il y a une certaine identité entre la graine semée et les graines qui se développent hors de lui, pourtant il est aussi une différence remarquable. Nous serons changés, dit l’Apôtre, « pour ce corruptible doit revêtir l’incorruptibilité, et ce corps mortel soit revêtu de l’immortalité. » Le corps « est semé dans la corruption; Il est déclenché dans l’incorruptibilité: il est semé dans le déshonneur; Il est déclenché au pouvoir; Il est semé un corps naturel; Il est déclenché un corps spirituel. » Le changement n’est pas incompatible avec le maintien de l’identité. On nous dit que même maintenant chaque particule dans notre corps change tous les sept ans, mais à travers elle tout le corps conserve son identité. Il y aura une certaine connexion physique entre le corps de vieux et le nouveau, mais la nature de cette connexion n’est pas révélée. Certains théologiens parlent d’un germe restant d'où le nouvel organisme se développe; d’autres disent que le principe d’organisation du corps reste. Origène avait quelque chose de ce genre à l’esprit; alors ne Kuyper et Milligan. Si nous gardons tout cela à l’esprit, la vieille objection contre la doctrine de la résurrection, à savoir qu’il est impossible qu’un corps pouvait être soulevé vers le haut, composé des mêmes particules qu’il constituent au moment du décès, puisque ces particules passent en d’autres formes d’existence et peut-être dans des centaines d’autres organes, perd de sa vigueur complètement.
3. C’EST UNE RÉSURRECTION DES JUSTES ET LES MÉCHANTS. Selon Flavius Josèphe, les pharisiens a nié la résurrection des méchants. La doctrine d’annihilationism et celle de l’immortalité conditionnelle, qui tous deux, au moins dans certaines de leurs formes, nient la résurrection de l’impie et enseignent leur anéantissement, embrassée par beaucoup de théologiens, a également trouvé faveur dans ces sectes comme l’adventisme et Dawnism millénaire. Ils croient en l’extinction totale des méchants. L’affirmation est faite parfois que l’écriture n’enseigne pas la résurrection des méchants, mais c’est clairement erronée, Dan. 12:2; John 05:28, 29; Actes 24:15; Apoc. 20:13-15. En même temps il faut avouer que leur résurrection ne résiste pas une place importante dans l’écriture. L’aspect sotériologique de la résurrection est clairement à l’avant-plan, et ceci s’applique aux justes seulement. Ils, à distinguer les méchants, sont ceux qui profitent de la résurrection.
4. C’EST UNE RÉSURRECTION D’IMPORTATION INÉGALE POUR LE JUSTE ET L’INJUSTE. Breckenridge cite I Corinthiens 15:22 pour prouver que la résurrection des saints et pécheurs a été achetée par le Christ. Mais on peut difficilement nier que le deuxième « tous » dans ce passage sont en générales seulement dans le sens de « tous ceux qui sont dans le Christ. » La résurrection est représentée comme résultant d’une union vitale avec le Christ. Mais, certainement, seulement de croyants dans une telle relation de vie pour lui. La résurrection des méchants ne peut pas être considérée comme une bénédiction méritée le œuvre médiatrice du Christ, si elle est connectée avec cela indirectement. C’est un résultat nécessaire de différer l’exécution de la peine de mort contre l’homme, qui fait le œuvre de rédemption possible. Le report a entraîné la séparation comparative de la mort temporelle et éternelle et l’existence d’un état intermédiaire. Dans ces circonstances, il devient nécessaire de relever les méchants d'entre les morts, afin que mort dans son plus large étendue et dans tout son poids pourrait leur être imposée. La résurrection n’est pas un acte de rédemption, mais de justice souveraine, la part de Dieu. La résurrection des justes et les injustes ont ceci en commun, qui, dans les corps et les âmes, sont réunis. Mais dans le premier cas, cela se traduit par une vie parfaite, tandis que dans ce dernier cas, elle émet dans l’extrême peine de mort, John 05:28, 29.
D. LE TEMPS DE LA RÉSURRECTION.
1. LA VUE PRÉMILLÉNARISTE RESPECTANT LE TEMPS DE LA RÉSURRECTION. C’est l’opinion commune parmi les Premillenarians que la résurrection des saints est séparée par un millier d’années de celle des méchants. Ils semblent presque à considérer comme une vérité axiomatique que ces deux classes ne peuvent éventuellement survenir en même temps. Et non seulement cela, mais le type du pré-millénarisme qui prédomine aujourd'hui, avec sa théorie de la double seconde venue du Christ, ressent le besoin de poser en principe une troisième résurrection. Tous les saints d’anciennes dispenses et de la dispensation actuelle sont ressuscités à la parousie ou la venue du Seigneur. Ceux encore en vie à ce moment-là sont changés en un instant, en un clin de œil. Mais durant les sept années qui suivent la parousie que mourir de nombreux autres saints, surtout dans la grande tribulation. Ceux-ci doivent également être levé, et leur résurrection aura lieu à la révélation du jour du Seigneur. sept ans après la Parousie. Mais même à ce stade ne peut pas très bien cesser de Premillenarians. Depuis la résurrection à la fin du monde est réservée pour le méchant, là doit être une autre résurrection des saints qui meurent au cours du Millénaire, qui précède celle des méchants, car les deux ne peuvent pas être levé en même temps.
2. INDICATIONS SCRIPTURAIRES QUANT À L’HEURE DE LA RÉSURRECTION. Selon l’Ecriture, la résurrection des morts coïncide avec la Parousie, avec la révélation ou le jour du Seigneur, ainsi qu’avec la fin du monde et précédera immédiatement l’arrêt général et final. Certes, il ne favorise pas les distinctions prémillénaristes à l’égard de cette doctrine. En plusieurs endroits, il représente la résurrection des justes et celle des méchants comme contemporains, Dan. 12:2; John 05:28, 29; Actes 24:15; Apoc. 20:13-15. Tous ces passages parlent de la résurrection comme un événement unique et ne contiennent pas le moindre indice que la résurrection des justes et celle des méchants seront séparés par une période de mille ans. Mais ce n’est pas tout ce que l'on puisse dire en faveur de l’idée que les deux coïncident. Dans Jean 05:21-29 Jésus associe la pensée de la résurrection, y compris la résurrection des justes, avec la pensée de l’arrêt, y compris l’arrêt des méchants. En outre, II Thess. 1:7-10 représente clairement la parousie (contre 10), la révélation (contre 7) et l’arrêt des méchants (contre 8,9) comme coïncidant. Si ce n’est pas le cas, langue semble avoir perdu son sens. En outre, la résurrection des croyants est directement lié à la seconde venue du Seigneur dans I Corinthiens 15:23; Phil. 03:20, 21; et j’ai th. 04:16, mais il est aussi représenté comme se produisant à la fin du monde, John 06:39, 40, 44, 54 ou au dernier jour. Cela signifie que les croyants sont ressuscités au dernier jour, et que le dernier jour est aussi le jour de la venue du Seigneur. Leur résurrection ne précède pas la fin d’une période de mille ans. Heureusement, il y a plusieurs Premillenarians qui n’acceptent pas la théorie d’une résurrection triple, mais qui néanmoins s’accrochent à la doctrine de la résurrection une double.
3. EXAMEN DES ARGUMENTS POUR UNE RÉSURRECTION DOUBLE.
a. l’accent est placé sur le fait que l’écriture, tout en parlant en général de la résurrection ton nekron, c'est-à-dire « des morts », à plusieurs reprises fait référence à la résurrection des croyants comme une résurrection ek nekron, c'est-à-dire, « out of the dead ». Premillenarians restituer cette expression, « parmi les morts, » afin que cela impliquerait que les nombreux morts restent encore dans la tombe. Lightfoot affirme également que cette expression désigne la résurrection des croyants, mais Kennedy a dit: « il est absolument aucune preuve de cette affirmation définitive. » C’est également la conclusion à laquelle Vos Dr vient après une étude attentive des passages pertinents. En général on peut dire que l’hypothèse que l' expression he anastasis ek nekron doit être rendu « la résurrection parmi les morts, » est entièrement gratuite. Les lexiques standards ne savent rien de tel un rendu; Cremer-Koegel interprète l’expression pour signifier « de l’état de la mort » et cela semble être l’interprétation plus naturelle. Il est à noter que Paul utilise les termes de manière interchangeable dans I Corinthiens 15. Bien évidemment en parlant de la résurrection de lui seul, de croyants ne cherche pas à insister sur le fait qu’il s’agit d’un caractère spécifique, car il utilise le terme plus général à plusieurs reprises, j’ai Cor. 15:12, 13, 21, 42.
b. premillenarians en appelle également à certaines expressions spécifiques, telles que « une meilleure résurrection, » Hébreux 11:35, « la résurrection de la vie, » John 05:29, « la résurrection des justes, » Luke 14:14 et « la résurrection des morts en Christ, » j’ai th. 04:16, — qui se référer à la résurrection des croyants seulement. Ces expressions semblent déclencher cette résurrection comme quelque chose d’autre. Mais ces passages prouvent simplement que la Bible distingue la résurrection des justes des méchants et aucune preuve que ce soit les moyens qu’il y aura deux résurrections, séparées les uns des autres par une période de mille ans. La résurrection du peuple de Dieu diffère de celle des infidèles dans son principe de mouvement, dans sa nature essentielle et dans son dernier numéro et peut donc très bien être représentée comme quelque chose de distinctif et à désirer bien au-delà de la résurrection de la méchants. L’ancien ne, et ce dernier n’a pas, délivrer les hommes de la puissance de la mort. En dépit de leur résurrection mécréants demeurent dans l’état de la mort.
c. un des principaux passages preuve des Premillenarians pour une résurrection de double se trouve dans I Corinthiens 15:22-24: « car comme dans Adam tous meurent, donc aussi dans le Christ tous revivront. Mais chacun dans son propre ordre: Christ les prémices; puis ceux qui sont en Christ, à sa venue. Ensuite viendra la fin, quand il remettra le Royaume à Dieu, même le père. » Dans ce passage, ils trouvent trois étapes de la résurrection a indiqué, à savoir, (1) la résurrection du Christ; (2) la résurrection des croyants; et (3) la fin (comme ils l’interprètent) de la résurrection, c'est-à-dire la résurrection des méchants. Argent il met plutôt pittoresque: « dans la résurrection Christ et nombreux saints qui s’élèvent dans et autour de Jérusalem apparaissent comme la première bande. Plus de 1900 ans après ' ceux qui sont en Christ, à sa venue "apparaissent comme la deuxième bande. « Puis », mais pas immédiatement, « viendra la fin » (verset 24), le dernier grand corps comme une bande de créatures triste fin de la procession. » On notera que l’idée « pas tout de suite » est aussi présente dans le texte. L’argument est que parce epeita (à l’époque) dans le verset 23 se réfère à un temps au moins 1 900 ans plus tard, le mot eita (à l’époque) au verset 24 se réfère à une période de 1000 ans plus tard. Mais il s’agit d’une simple hypothèse sans aucune preuve. Les mots epeita et eita signifient en fait la même chose, mais aucune d'entre elles n’implique nécessairement l’idée d’un intervalle de temps. Notez l’utilisation epeita dans Luc 16:7 et Jacques 04:14 et que eita dans marque 08:25; Jean 13:5; 19:27; 20:27. que les deux mots peuvent être utilisés pour ce qui se produira immédiatement et celui qui se produit seulement après un certain temps, alors que c’est une pure hypothèse que la résurrection des croyants est séparée par une longue période de temps de la fin. Une autre hypothèse gratuite, c’est que « la fin » signifie « la fin de la résurrection. » Selon l’analogie de l’écriture, il pointe vers la fin du monde, la consommation, le moment où Christ prononcera le Royaume au père et vous avez mis tous les ennemis sous ses pieds. C’est le point de vue adopté par les commentateurs comme Alford, Godet, Hodge, Bachmann, Findley, Robertson et Plummer et Edwards.
d. un autre passage auquel l’appel Premillenarians est I Thessaloniciens 04:16, « car le Seigneur lui-même descendra du ciel avec un cri, avec la voix de l’Archange et avec la trompette de Dieu: et les morts en Christ ressusciteront premièrement. » Ils en déduisent que ceux qui ne sont pas morts en Christ ressusciteront vers le haut à une date ultérieure. Mais il est parfaitement clair que ce n’est pas l’antithèse que l’Apôtre a en tête. La déclaration qui suit n’est pas, « alors les morts qui ne sont pas en Christ seront élèveront, » mais, « alors nous qui sommes vivants, qui sont à gauche, sont avec eux être rattrapé dans l’air: et ainsi serons-nous toujours avec le Seigneur. » C’est franchement admis par Biederwolf. Dans ce passage, tant dans l’un Paul précédent parle de la résurrection des croyants seulement; que des méchants n’est pas dans son domaine de compétence du tout.
e. le plus important passage à laquelle se réfèrent les Premillenarians est Apoc. 20:4-6:... « et ils ont vécu et régnèrent avec le Christ mille années. Le reste de la mort vécue n’est pas jusqu'à ce que les mille ans devraient être terminés. C’est la première résurrection. » Ici les versets 5 et 6 font mention d’une première résurrection et cela, dit-on, implique qu’il y aura une seconde. Mais la supposition que l’écrivain parle ici d’une résurrection corporelle est extrêmement douteuse. La scène dans les versets 4-6 est évidemment posée, pas sur la terre, mais dans le ciel. Et les termes employés ne sont pas évocateurs d’une résurrection corporelle. La voyante ne parle pas de personnes physiques ou morales qui ont été suscités, mais des âmes qui « vécu » et de « règne ». Et qu’il appelle leur vie et régner avec Christ « la première résurrection. » Dre Vos suggère que les mots, «ce (emphatique) est la première résurrection, » peut-être même « un désaveu pointu d’une interprétation plus réaliste (Chiliastique) de la même phrase ». Selon toute probabilité, l’expression fait référence à l’entrée des âmes des saints sur l’État glorieux de la vie avec le Christ au moment du décès. L’absence de l’idée d’une résurrection double peut bien nous faire hésite à affirmer sa présence dans ce passage obscur d’un livre si plein de symbolisme comme l’Apocalypse de Jean. Chaque fois que la Bible mentionne la résurrection des justes et les méchants ensemble, comme dans Daniel 12:2; John 5:28. 29; Actes 24:15, il ne contient pas le moindre soupçon que les deux doivent être séparés par un millier d’années. En revanche, il n’enseigne que la résurrection aura lieu au dernier jour et sera immédiatement suivie par le jugement dernier, Matthieu 25: 31, 32; Jean 05:27-29; 06:39, 40, 44, 54; 11:24; Apocalypse 20:11-15.
QUESTIONS pour étude complémentaire: La Confession apostolique parle de la résurrection du corps, ou de la résurrection de la chair ? Comment expliquez-vous le changement de l’un à l’autre ? Pas tous les Premillenarians ont-ils à proposer une autre résurrection des justes en plus de celles qui se produisent à la parousie et la révélation ? Comment Premillenarians interpréter même Dan. 12:2 dans un argument pour une résurrection de double ? Comment trouvent-ils un argument pour cela dans Philippiens 03:11 ? Ce qui est le principal argument des libéraux modernes contre la doctrine d’une résurrection physique ? Que Paul signifie, lorsqu’il parle du corps de la résurrection comme un soma pneumatikon, I Cor. 15:44 ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, pp. 755-758, 770-777; Kuyper, Dict. dogme., De Consummatione Saeculi, pp. 262-279; Vos, Geref. Dogme. Eschatologie V., p. 14-22; ibid.. L’eschatologie Pauline, pp. 136-225; Hodge, Syst. Theol. III, p. 837-844; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., pp. 829-841; Shedd. Dogme de . THEOL. p. 641-658; Valentine, Chr. Theol. II, pp. 414-420; Dahle, vie après la mort, p. 358-368, 398-418; Hovey, eschatologie, pp. 23-78; Mackintosh, l’immortalité et l’avenir, pp. 164-179; Snowden, la venue du Seigneur, pp. 172-191; Salmond, la Chr. Doct. d’immortalité, pp. 262-272, 437-459; Kennedy, St. Conceptions des dernières choses, p. 222-281; de Paul Kliefoth, Eschatologie, pp. 248-275; Brown, L’espoir de Chr., pp. 89-108; Milligan. La résurrection des morts, pp. 61-77.
IV. le jugement dernier
Un autre de l’importants concomitants du retour du Christ est le jugement dernier, qui sera de & de nature générale. Le Seigneur vient à nouveau dans le but de juger les vivants et expédie chaque individu à sa destinée éternelle.
A. LA DOCTRINE DU JUGEMENT DERNIER DANS L’HISTOIRE.
La doctrine de la chose jugée générale effectuée depuis les tout premiers temps de l’ère chrétienne, lié à celui de la résurrection des morts. L’opinion générale était que les morts seraient soulevés vers le haut, afin d’être jugés selon les actes accomplis dans le corps. Comme un avertissement solennel a été soulignée la certitude du présent arrêt. Cette doctrine est déjà contenue dans la Confession apostolique: « De là il viendra pour juger les vivants et les morts. » L’idée dominante était que ce jugement serait accompagné de la destruction du monde. Dans l’ensemble les premiers pères de l’église n'a pas spéculé beaucoup sur la nature de la chose jugée, bien que Tertullien constitue une exception. Augustin a cherché à interpréter certaines déclarations figuratives des écritures concernant le jugement. Au moyen-âge, les scolastiques abordé ce sujet plus en détail. Eux aussi, a estimé que la résurrection des morts serait immédiatement suivie par le jugement général, et que cela marquerait la fin des temps pour l’homme. Il doit être généralisé en ce sens que toutes les créatures rationnelles apparaîtra en elle, et qu’il apportera une révélation générale des actions de chacun, bien et le maléfiques. Christ sera le juge, tandis que d’autres seront liés à lui au jugement; pas, cependant, comme les juges au sens strict du mot. Immédiatement après le jugement, il y aura une conflagration universelle. Nous partons d’une considération certains autres détails ici. Les réformateurs partagent ce point de vue en général, mais ajouté peu ou rien à l’opinion dominante. Le même point de vue se trouve dans toutes les Confessions protestantes, qui affirment explicitement qu’il sera un jour de jugement à la fin du monde, mais n’entrez pas dans les détails. Il a été l’avis officiel des églises jusqu'à nos jours. Cela ne signifie pas qu’aucune autre vue ne s’exprime. Kant déduit l’impératif catégorique de l’existence d’un juge suprême qui serait redresser tous les torts dans une vie future. Schelling dans son fameux dictum, « l’histoire du monde est le jugement du monde, » manifestement considéré l’arrêt simplement comme un présent processus immanent. Certains n’étaient pas enclins à accorder la constitution morale de l’univers, ne croyait pas que l’histoire se déplaçait à quelque fin morale et donc refusé l’arrêt futur. Cette idée a donné une interprétation philosophique Von Hartmann. Dans la théologie libérale moderne, qui met l’accent sur le fait que Dieu est immanent dans tous les processus de l’histoire, il y a une forte tendance à considérer l’arrêt principalement, sinon exclusivement, comme un présent processus immanent. Beckwith, dit: « en ce qui concerne son (de Dieu) avec les hommes il y a aucune tenue en suspens, aucune suspension de n’importe quel attribut de son être. Le jugement n’est donc pas plus vraiment à l’avenir qu’il est présent. Mesure où Dieu est l’auteur de celui-ci, il est aussi constante et perpétuelle comme son action dans la vie humaine. Ajourner le jugement à une future heure public est à méconnaître de la justice, comme si elle était dormante ou suspendu, entièrement lié aux conditions de l’extérieur. Au contraire la sphère de la justice doit être recherchée pas d’abord sans mais à l’intérieur, dans la vie intérieure, dans le monde de la conscience. » Dispensationalistes croient sincèrement au jugement futur, mais parlent des jugements au pluriel. Selon eux, il seront un jugement de la Parousie, un autre à la révélation du Christ et encore un à la fin du monde.
B. LA NATURE DE LA CHOSE JUGÉE.
Le jugement dernier dont parle la Bible ne peut pas être considéré comme un processus spirituel, invisible et sans fin, qui est identique à la providence de Dieu dans l’histoire. Ce n’est pas équivalent à un déni du fait qu’il y a un arrêt providentiel de Dieu dans les vicissitudes des individus et des Nations Unies, mais il peut ne pas toujours être reconnu comme tel. La Bible nous enseigne clairement que Dieu même dans la vie présente visites mal par punition et récompense le bien avec la bénédiction, et ces punitions et les récompenses sont dans certains cas positifs, mais dans d’autres cas apparaissent dans les résultats naturels providentielles du mal commis ou du bien fait, Deut. 9:5; PS. 09:16; 37: 28; 59:13; Prov. 11:5; 14:11; Ésaïe 32: 16, 17; Lam. 5:7. La conscience humaine témoigne également de ce fait. Mais il est également manifeste par les écritures que les jugements de Dieu dans le présent ne sont pas définitives. Parfois, le mal continue sans peine, et le bien n’est pas toujours récompensée avec les bénédictions promises dans cette vie. Les méchants à l’époque de Malachi ont enhardi à crier, « Où est le Dieu du jugement ? » Malachie 02:17. La plainte a été entendue à l’époque: « il est vain de servir Dieu; et quel bénéfice est que nous avons gardé son exposé, et que nous avons parcouru mélancoliquement devant Jéhovah des armées ? Et maintenant, nous appelons le fier heureux; Oui, ceux qui travaillent la méchanceté sont constitués; Oui, ils ont tentent Dieu et évasion, » mal. 03:14, 15. Job et ses amis étaient aux prises avec le problème des souffrances des justes, et était donc Asaph dans le Psaume 73. La Bible nous enseigne à espérer un jugement définitif tant que la réponse décisive de Dieu à toutes ces questions, la solution de tous ces problèmes, ainsi que l’élimination de toutes les anomalies apparentes du présent, Matthieu 25: 31-46; Jean 05:27-29; Actes 25: 24; Romains 2:5-11; Héb. 09:27; 10:27; II Pierre 3:7; Apocalypse 20:11-15. Ces passages ne se réfèrent pas à un processus, mais à un événement très précis à la fin des temps. Elle est représentée comme accompagné d’autres événements historiques, comme la venue de Jésus-Christ, la résurrection des morts et le renouvellement du ciel et la terre.
C. DES VUES ERRONÉES CONCERNANT LE JUGEMENT.
1. LE JUGEMENT PUREMENT MÉTAPHORIQUE. Selon Schleiermacher et de nombreux autres chercheurs allemands les descriptions bibliques du jugement dernier doivent être comprises comme des signes symboliques du fait que le monde et l’église seront finalement séparé. Cette explication permet d’évaporer l’idée d’un jugement judiciaire permettant de déterminer l’état final de l’homme public. C’est une explication qui sûrement ne fait pas justice à des déclarations fermes des écritures concernant le futur jugement officiel, public et la déclaration finale.
2. L’ARRÊT EXCLUSIVEMENT IMMANENTE. Dicton de Schelling que « l’histoire du monde, c’est le jugement du monde » sans aucun doute contient un élément de vérité. Il y a, comme l’a indiqué dans ce qui précède, les manifestations de la justice punitive de Dieu dans l’histoire des nations et des individus. Les récompenses ou les punitions peuvent avoir un caractère positif, ou peuvent être la conséquence naturelle du bien ou mal fait. Mais quand de nombreux chercheurs libéraux prétendent que le jugement divin est totalement immanent et dépend entièrement de l’ordre moral du monde, ils ne certainement pas rendre justice aux représentations de l’écriture. Leur point de vue de l’arrêt comme « Acting » fait à Dieu un Dieu inutile, qui n’observe et approuve la répartition des récompenses et de punitions. Il détruit complètement l’idée du jugement comme un événement extérieur et visible, qui se tiendra à un moment précis dans le futur. En outre, il ne peut satisfaire les désirs du coeur humain pour la parfaite justice. Les jugements historiques sont toujours seulement partielles et parfois impressionnent les hommes comme une parodie de justice. Il a toujours été et est toujours l’occasion pour la perplexité de Job et Asaph.
3. LE JUGEMENT PAS UN SEUL ÉVÉNEMENT. Premillenarians de nos jours parlent de trois différents futurs jugements. Ils font la distinction: (a) un jugement des saints ressuscités et vivants à la parousie ou la venue du Seigneur, qui a pour objectif de revendiquer publiquement les saints, récompenser chacun selon ses œuvres et assignez à eux leurs places respectives dans les prochaines Royaume millénaire. (b) un jugement de la révélation du Christ (le jour du Seigneur), immédiatement après la grande tribulation, dans lequel, selon l’opinion dominante, les nations païennes sont jugées comme des Nations Unies, selon l’attitude qu’ils ont contractées à la Evangéliser le reste d’Israël (le moins des frères du Seigneur). L’entrée de ces nations dans le Royaume dépend du résultat. Il s’agit de l’arrêt mentionné dans Matthieu 25: 31-46. Elle est séparée de son arrêt antérieur par une période de sept ans. (c) un jugement des méchants morts devant le grand trône blanc, décrite dans Apocalypse 20:11-15. Les morts sont jugés selon leurs œuvres, et ils déterminent le degré de la peine qu’ils recevront. Ce jugement sera plus d’un millier d’années plus tard que la précédente. Il est à noter, toutefois, que la Bible parle toujours du jugement futur comme un événement unique. Il nous enseigne à regarder vers l’avant, pas de jours, mais pour le jour du jugement, John 05:28, 29; Actes 17:31; II Pierre 3:7, aussi appelé « ce jour-là, » Matthieu 07:22; II Timothée 4:8 et « le jour de la colère » et la révélation du juste jugement de Dieu, Rom. 2:5. Premillenarians se sentir la force de cet argument, car ils répondent qu’il peut être un jour de mille ans. En outre, il y a des passages de l’écriture qu’il est tout à fait évident que les justes et les méchants apparaissent en arrêt pendant une séparation définitive, Matthieu 07:22, 23; 25: 31-46 Romains 2:5-7; 11:18; 20:11-15. en outre, il convient de noter que le jugement des méchants est représenté comme un corollaire de la parousie et aussi de la révélation, II Thess. 1:7-10; II Pierre 3:4-7. Et, enfin, il faut avoir à l’esprit que Dieu ne juge pas les nations comme des nations où éternelles questions sont en jeu, mais seulement des individus; et qu’une séparation définitive entre le juste et le méchant ne peut éventuellement faire jusqu'à la fin du monde. Il est difficile de voir comment quelqu'un peut donner une interprétation tolérable et auto-cohérente de Matthieu 25: 31-46, sauf sur la supposition que l’arrêt visé est le jugement universel de tous les hommes, et qu’ils sont jugés, non pas comme des Nations Unies, mais en tant qu’individus. Même Meyer et Alford qui sont eux-mêmes Premillenarians envisager c’est l’exposition seulement défendable.
4. LA CHOSE JUGÉE INUTILE. Certains considèrent le jugement final comme tout à fait inutile, car le destin de chaque homme est déterminé au moment de sa mort. Si un homme s’est endormi en Jésus, il est sauvé; et si il meurt dans ses péchés, il est perdu. Puisque la question est réglée, aucune autre enquête judiciaire est nécessaire, et donc un tel jugement final est tout à fait inutile. Mais la certitude du jugement futur ne dépend pas de notre conception de sa nécessité. Dieu nous enseigne clairement dans sa parole qu’il y aura un jugement définitif, et que s’installe l’affaire pour tous ceux qui reconnaissent la Bible comme la norme définitive de la foi. Par ailleurs, l’hypothèse sous-jacente à laquelle cet argument procède, à savoir, que le jugement final est dans le but de déterminer quel devrait être le futur État de l’homme, est totalement erronée. Il servira plutôt d’afficher avant toute créature rationnelle la gloire déclarative de Dieu dans un acte formel, médecine légale, qui agrandit d’une part sa sainteté et la justice, et sur l’autre main, sa grâce et la miséricorde. En outre, il faut avoir à l’esprit que le jugement au dernier jour différera de celle à la mort de chaque individu dans plus d’un titre. Il ne sera pas secrète, mais public; Il n’auront pas trait à l’âme seulement, mais aussi pour le corps; Il n’aura pas référence à une seule personne, mais à tous les hommes.
D. LE JUGE ET SES ASSISTANTS.
Naturellement, le jugement final, comme de Dieu tous les ad opéra supplémentaire, est une œuvre du Dieu triune, mais l’écriture il attribue notamment à Christ. Christ en sa qualité de médiateur sera le futur juge, Matthieu 25: 31, 32; John 05:27; Actes 10:42; 17:31; Phil. 02:10; II Timothée 4:1. Ces passages comme Matthieu 28: 18; John 05:27; Philippiens 2:9, 10, le rendent tout à fait évident que l’honneur de juger les vivants et les morts a été donné à Christ en tant que médiateur en récompense de son œuvre expiatoire et dans le cadre de son exaltation. Cela peut être considéré comme l’un des honneurs couronnement de sa royauté. En sa qualité de juge, aussi, Christ est de sauver son peuple de la terre: il termine leur rédemption, publiquement le justifient et supprime les dernières conséquences du péché. De tels passages comme Matthieu 13:41, 42; 24:31; 25, 31, on peut en déduire que les anges lui aidera à cette grande œuvre. De toute évidence, les saints seront, dans un certain sens, s’asseoir et juger avec Christ, Psaume 149:5-9; I Corinthiens 6:2, 3; Apocalypse 20:4. Il est difficile de dire juste ce qu’il s’agira. Elle a été interprétée comme signifiant que les saints seront condamner le monde par leur foi, tout comme les Ninivites aurait condamné les villes incrédules du temps de Jésus; ou qu’ils seront simplement rallier à l’arrêt du Christ. Mais l’argument de Paul dans I Corinthiens 6:2, 3 semblerait exiger quelque chose de plus que cela, car aucun des deux interprétations suggérées prouverait que les Corinthiens étaient capables de juger les questions qui se posent dans l’église. Bien que les saints ne peuvent s’attendre à connaître tous ceux qui apparaissent dans le jugement et de répartir les pénalités, pourtant ils auront quelque part véritable actif dans le jugement du Christ, bien qu’il soit impossible de dire juste ce qu’il s’agit.
E. LES PARTIES QUI SERONT JUGÉS.
L’écriture contient des indications claires d’au moins deux parties qui seront jugés. Il est évident que les anges déchus seront tiendront debout devant le tribunal de Dieu, Matthieu 08:29; I Corinthiens 6:3; II Pierre 2:4; Jude 6. Satan et ses démons seront réuniront leur destin final au jour du jugement. Il est également tout à fait clair que chaque individu de la race humaine devra comparaître devant le siège du jugement, Eccl. 12:14; PS. 50.4-6; Matthieu 12:36, 37; 25: 32; Romains 14:10; II Corinthiens 05:10; 20:12. Ces passages certainement laissent aucune place pour l’affichage de la pélagiens et de ceux qui suivent dans leur sillage, que le jugement final sera limité à ceux qui ont apprécié les privilèges de l’Évangile. Ni ils favorisent l’idée de ces sectaires qui détiennent que les justes ne s’appellera pas en jugement. Quand Jésus dit dans Jean 05:24, « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole et croit lui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et vient pas en jugement, mais a passé hors de la mort dans la vie, » il signifie clairement au vu du contexte , qui viendra le croyant pas à la condamnation jugement. Mais elle est parfois contestée que les péchés des croyants, qui sont graciés, certainement ne seront pas publiés à ce moment-là; mais l’écriture l’amène à espérer qu’ils seront, bien qu’ils ont, bien sûr, se révélera comme péchés pardonnés . Hommes seront jugés pour « chaque mot ralenti, » Matthieu 12:36 et « chaque chose secrète, » Rom. 02:16; J’ai Cor. 4:5, et il n’y a aucune indication que ce soit qu’il se limitera aux méchants. En outre, il est parfaitement évident d’après ces passages comme Matthieu 13:30, 40-43,49; 25: 14-23,34-40,46, que les justes se présentera devant le siège du jugement du Christ. Il est plus difficile à déterminer, si les bons anges feront l’objet du jugement final dans tous les sens du terme. Dr. Bavinck est enclin à en déduire I Corinthiens 6:3 qu’ils le seront; mais ce passage ne prouve pas le point. Il pourrait le faire, si mot aggelous ont été précédés de l’article, qui n’est pas le cas. Nous lisons tout simplement: « ne savez-vous pas que nous jugerons les anges ? » En raison de l’incertitude liée à cette question, il vaut mieux se taire. Autant plus, que les anges sont clairement représentés seulement comme ministres du Christ dans le cadre de travaux de jugement, Matthieu 13:30, 41; 25: 31; II Thess. 1:7, 8.
F. LE TEMPS DE L’ARRÊT.
Bien que le temps de l’arrêt futur ne peut être absolument déterminé, il peut être fixé relativement, c'est-à-dire, par rapport à d’autres événements eschatologiques. Il sera clairement à la fin du monde actuel, car ce sera un jugement passé sur toute la vie de chaque homme, Matthieu 13:40-43; II Pierre 3:7. En outre, il sera un accompagnement de l’entrée (parousie) de Jésus Christ, Matthieu 25: 19-46; II Thess. 1:7-10; II Pierre 3:9, 10 et suivra immédiatement après la résurrection des morts, Dan. 12:2; John 05:28, 29; 20:12, 13. La question qu’il sera immédiatement précéder, coïncider avec ou suivre immédiatement, le renouvellement du ciel et la terre, ne peut être réglée avec certitude sur la base de l’écriture. 20:11 semble indiquer que la transformation de l’univers aura lieu lorsque le jugement commence; II Pierre 3:7, qui vont synchroniser les deux; Apocalypse 21:1 et que le renouvellement du ciel et la terre suivra le jugement. Nous ne pouvons parler d’eux d’une manière générale comme concomitants. Il est également impossible de déterminer la durée exacte de l’arrêt. L’écriture parle du « jour du jugement, » Matthieu 11:22; 12:36, « ce jour-là », Matthieu 07:22; II Thessaloniciens. 01:10; II Timothée 01:12 et « le jour de la colère, » Romains 2:5; Apocalypse 11:8. Nous n'avons pas déduire de ceux-ci et passages similaires qui il sera un jour d’exactement vingt-quatre heures, depuis le mot « jour » est également employé dans un sens plus indéfini dans l’écriture. En revanche, cependant, l’interprétation de certains des Premillenarians, que c’est une appellation de la période entière millénaire, ne peut pas être considérée comme un plausible. Lorsque le mot « jour » est utilisé pour désigner une période, c’est une période qui, ensemble, se caractérise par une caractéristique particulière, généralement indiquée par le génitif qui suit le mot. « Le jour de détresse » est donc la période qui se caractérise tout au long par ennui, et « le jour du Salut » est la période qui est dans son intégralité, réputée pour son affichage en suspens de la faveur ou de la grâce de Dieu. Et on ne peut certainement être dire que la période millénaire des Premillenarians, tout en commençant et finissant par un jugement, est tout au long d’une période de jugement. C’est plutôt une période de joie, de la justice et de paix. La caractéristique de celui-ci n’est certainement pas celle de jugement.
G. LA NORME DE L’ARRÊT.
La norme par laquelle les saints et les pécheurs sont jugés sera évidemment la volonté révélée de Dieu. Ce n’est pas la même pour tous. Certains ont eu le privilège au-dessus des autres, et cela ajoute naturellement à leur responsabilité, Matthieu 11:21-24: Rom. 02:12-16. Cela ne signifie pas qu’il y aura des conditions différentes de Salut pour les différentes catégories de personnes. Pour tous ceux qui apparaissent dans l’entrée de jugement, ou exclues, ciel, volonté dépendant de la question, qu’ils soient revêtus de la justice de Jésus-Christ. Mais il y aura des degrés différents, tant de la béatitude du ciel et de la punition de l’enfer. Et ces diplômes seront déterminés par ce qui se fait dans la chair, Matthieu 11:22, 24; Luc 12:47, 48; 20:47; Dan. 12:3; II Corinthiens 9-6. Les Gentils seront jugés par la Loi de la nature, inscrit dans leur cœur, les Israélites de l’ancienne dispensation par la révélation de l’ancien Testament et que seulement et ceux qui ont aimé, sans compter que la lumière de la nature et la révélation de l’ancien Testament , la lumière de l’Evangile, seront jugés selon la lumière plue qu’elles ont reçues. Dieu donnera à chacun son dû.
H. LES DIFFÉRENTES PARTIES DU JUGEMENT.
Ici, nous devons distinguer:
1. LA CAUSAE COGNITIO. Dieu prendra connaissance de l’état des affaires, de la vie entière passée de l’homme, y compris même les pensées et les intentions secrètes du cœur. C’est symboliquement représentée dans l’écriture comme l’ouverture des livres, Dan. 07:10; 20:12. Les pieux des jours de Malachie a parlé d’un livre de souvenir écrit devant Dieu, Malachie 03:16. Il s’agit d’une description figurative qui est ajoutée pour compléter l’idée de l’arrêt. Un juge a généralement le livre de la Loi et l’enregistrement des personnes qui comparaissent devant lui. Selon toute probabilité la figure dans ce cas fait simplement référence à l’omniscience de Dieu. Certains parlent du livre de la parole de Dieu comme le livre de la Loi et du livre du souvenir que le livre de la prédestination, enregistrement privé de Dieu. Mais il est très douteux que nous devrions préciser dans ce mode.
2. LA PROMULGATIO SENTENTIAE. Il y aura la promulgation de la phrase. Le jour du jugement est le jour de la colère et de la révélation du juste jugement de Dieu, Rom. 2:5. Tout doit être révélé devant le tribunal du juge suprême, II Corinthiens 05:10. Le sens de la justice exige. La sentence prononcée à chaque personne ne sera pas secret, ne connaîtra pas à cette personne seulement, mais sera publiquement proclamée, ainsi qu’au moins ceux en aucune manière concernés sauront. Ainsi la justice et la grâce de Dieu seront allume dans toute leur splendeur.
3. LA EXECUTIO SENTENTIAE. La phrase des justes cédera la béatitude éternelle et celle de la misère éternelle méchante. Le juge va diviser l’humanité en deux parties, comme un berger sépare les brebis des boucs, Matthieu 25: 32 ff. Compte tenu de ce qui sera dit de leur état final dans le chapitre suivant, rien de plus besoin d’être ajoutée.
V. l’État Final
Le jugement dernier détermine et naturellement conduit donc l’état final de ceux qui comparaissent devant le siège du jugement. Leur état final représente une misère éternelle ou béatitude éternelle.
A. L’ÉTAT FINAL DES MÉCHANTS.
Il y a surtout trois points cet appel aux fins d’examen ici:
1. LE LIEU AUQUEL LES MÉCHANTS SONT CONDAMNÉS. Dans la théologie de nos jours, il existe une tendance évidente dans certains cercles d’écarter l’idée de punition éternelle. Les Annihilationists, qui sont toujours représentés dans ces sectes comme l’adventisme et Dawnism millénaire et les défenseurs de l’immortalité conditionnelle, nient l’existence des méchants et ainsi rendre un lieu de punition éternelle inutile. Dans la théologie libérale moderne, le mot « enfer » est généralement considéré comme appellation figurative d’une condition purement subjective, dans laquelle les hommes peuvent se trouver alors même que sur la terre, et qui peut devenir permanente à l’avenir. Mais ces interprétations ne font certainement pas justice aux données de l’écriture. Il ne peut y avoir aucun doute raisonnable quant au fait que la Bible enseigne la persistance des méchants, Matthieu 24:5; 25: 30, 46; Luc 16:19-31. En outre, dans le cadre de l’objet de « l’enfer » la Bible utilise certainement droit termes locaux le long. Il appelle l’endroit de tourment Géhenne, un nom dérivé de l’hébreu ge (terrestre, ou vallée) et hinnom ou hinnom beney, c'est-à-dire Hinnom ou fils de Hinnom. Ce nom a été initialement appliqué à un Sud-Ouest vallée de Jérusalem. C’était l’endroit où les méchants idolâtres sacrifié leurs enfants au dieu Moloch en l’obligeant à passer par le feu. Donc, il était considéré comme impur et a été admise en jours plus tard « la vallée de tophet (crachat), comme une région totalement méprisée. Les feux brûlaient constamment là pour consommer les abats de Jérusalem. En conséquence, il est devenu un symbole du lieu de tourment éternel. Matthieu 18:9 parle de dix geennan tou puros, la Géhenne du feu, et cette forte expression est utilisée comme synonyme avec de pur à aionion, le feu éternel, dans le verset précédent. La Bible parle aussi de « une fournaise de feu, » Matthieu 13:42 et d’un « lac du feu, » 20:14, 15, qui forme un contraste avec la « mer de verre semblable à cristal, » Apocalypse 4:6. Les termes « prison », j’ai PET. 03:19, « l’abîme », Luke 08:31 et « tartare, » II PET. 2:4 sont également utilisés. Du fait que les conditions précédentes sont toutes les désignations locales, nous pouvons déduire que l’enfer est un endroit. En outre, les expressions locales sont généralement utilisées à cet égard. L’écriture parle de ceux qui sont exclus du ciel comme étant « en dehors » et comme étant « jeté dans la Géhenne. » La description dans Luc 16:19-31 est certainement tout à fait locale.
2. L’ÉTAT DANS LEQUEL ILS VONT CONTINUER LEUR EXISTENCE. Il est impossible de déterminer avec précision ce qui constitue le châtiment éternel des méchants, et il nous appartient de parler avec beaucoup de prudence sur le sujet. Positivement, on peut dire qu’il se composent à l’alinéa a une absence totale de la faveur de Dieu; (b) une perturbation sans fin de vie à la suite de la domination complète du péché; (c) positifs douleurs et souffrances dans le corps et l’âme; et (d) Ces châtiments subjectifs comme les affres de la conscience, l’angoisse, le désespoir, pleurs et des grincements de dents, Matthieu 08:12; 13:50; Marquer à 09:43, 44, 47, 48; Luc 16:23, 28; 14:10; 21:8. de toute évidence, il y aura degrés dans la punition des méchants. Ceci fait suite à de tels passages comme Matt. 11:22, 24; Luc 12:47, 48; 20:17. leur peine soit proportionnée à leur péché contre la lumière qu’ils avaient reçues. Mais néanmoins, il sera le châtiment éternel pour chacun d’eux. Cela est clairement dit dans les Ecritures, Matthieu 18:8; II Thess. 1:9; 14:11; 20:10. que certains nient qu’il y aura un feu littéral, parce que cela ne pouvait affecter les boissons spiritueuses telles que Satan et ses démons. Mais comment savons-nous ceci ? Notre corps fonctionne certainement sur notre âme en quelque sorte mystérieux. Il y aura une punition positive correspondant à notre corps. C’est sans doute vrai, cependant, que beaucoup de langage concernant le ciel et l’enfer doit s’entendre au sens figuré.
3. LA DURÉE DE LEUR PEINE. La question de l’éternité de la punition future mérite une attention plus particulière, cependant, car il est souvent refusé. Il est dit que les mots utilisés dans l’écriture pour « éternelle » et « eternal » peuvent simplement signifier un « âge » ou une « dispense » ou toute autre période longue de temps. Maintenant on ne peut douter qu’ils sont tellement habitués à certains passages, mais cela ne prouve pas qu’ils ont toujours ce sens restreint. Il n’est pas le sens littéral de ces termes. Chaque fois qu’ils sont tellement habitués, ils sont utilisés au sens figuré, et dans ce cas, leur utilisation figurative est généralement assez évidente de la connexion. En outre, il y a des bonnes raisons de penser que ces mots n’ont pas ce sens restreint dans les passages que nous avons évoquées. b dans Matthieu 25: 46, le même mot décrit la durée des deux, la béatitude des saints et la peine des méchants. Si celle-ci n’est pas, à proprement parler, l’incessante, n’est le premier; et encore bon nombre de ceux qui doutent de la punition éternelle, ne doute pas de la béatitude éternelle. (b) d’autres expressions sont utilisées qui ne peut être annulée par l’examen mentionné au cours des précédentes. Le feu de l’enfer est appelé un « feu inextinguible » marquer à 09:43; et c’est des méchants, dit que « leur ver ne meurt pas », marquer à 09:48. En outre, le gouffre qui séparera les saints et les pécheurs à l’avenir est censé être fixe et impraticables, Luc 16:26.
B. L’ÉTAT FINAL DES JUSTES.
1. LA NOUVELLE-CRÉATION. L’état final des croyants sera précédée par le passage du monde actuel et l’apparition d’une nouvelle création. Matthieu 19:28 parle de « la régénération » et agit 03:21, de « la restauration de toutes choses. » Dans Hébreux 12:27, nous lisons: « Et ce mot, encore une fois de plus élèveront la suppression de ces choses qui sont secoués (ciel et terre), à partir de choses qui sont faites, que ces choses qui ne sont pas ébranlés (le Royaume de Dieu) peuvent rester. » Pierre dit: « mais selon sa promesse, nous attendons de nouveaux cieux et une nouvelle terre où la justice, habite » II Pierre 03:13, cf. vs 12; et John a vu cette nouvelle création dans une vision, Apoc. 21:1. C’est seulement après que la création de nouvelle a été établie, que la nouvelle Jérusalem descend du ciel de Dieu, que le tabernacle de Dieu est placé chez les hommes, et que les justes pénétrer leur joie éternelle. La question est souvent posée, si ce sera une toute nouvelle création, ou un renouvellement de la création actuelle. Les théologiens luthériens favorisent fortement l’ancien poste avec un appel à II Pierre 3:7-13; 20:11; et 21:1; tandis que les théologiens réformés préfèrent cette dernière idée et trouvent un soutien pour elle dans Psaume 102:26, 27; (Héb. 01:10-12); et Hébreux 12:26-28.
2. LA DEMEURE ÉTERNELLE DES JUSTES. Beaucoup conçoivent des cieux aussi comme une condition subjective, que les hommes peuvent profiter du présent, et qui dans la voie de la justice deviendra naturellement permanente à l’avenir. Mais ici, aussi, il faut dire que l’écriture présente clairement le ciel comme un lieu. Christ est monté au ciel, qui ne peut signifier qu’il est allé d’un endroit à l’autre. Il est décrit comme la maison de notre père avec beaucoup de manoirs, Jean 14:1, et cette description cadrerait guère une condition. En outre, les croyants sont dit à l’intérieur, tandis que les mécréants sont sans, Matthieu 22:12, 13; 25: 10-12. l’écriture nous donne des raisons de croire que les justes n’hériteront pas ciel, mais la toute nouvelle création, Matthieu 5:5; Apoc. 21:1-3.
3. LA NATURE DE LEUR RÉCOMPENSE. La récompense des justes est décrit comme la vie éternelle, c'est-à-dire non seulement une vie sans fin, mais vie dans toute sa plénitude, sans toutes les imperfections et les perturbations du présent, Matthieu 25: 46; Romains 2:7. La plénitude de cette vie est appréciée en communion avec Dieu, qui est vraiment l’essence de la vie éternelle, Apoc. 21:3. Ils verront Dieu dans le Christ Jésus face à face, trouvent entière satisfaction en lui, seront réjouira en lui et seront glorifier. Nous ne devrions pas penser les joies du ciel, cependant, comme exclusivement spirituelle. Il y aura quelque chose correspondant à l’organe. Il y aura reconnaissance et des relations sociales sur un plan surélevé. Il ressort également de l’écriture, qu’il y aura des degrés dans la béatitude du ciel, Dan. 12:3; II Corinthiens 9:6. Nos bonnes œuvres sera la mesure de notre gracieuse récompense, bien qu’ils ne méritent pas elle. Malgré cela, cependant, la joie de chacun sera parfait et complet.
QUESTIONS pour étude complémentaire: Pourquoi le sens moral de l’humanité demande un jugement futur ? Quel précurseurs historiques d’un jugement définitif l’écriture se réfère-t-il ? Où se déroulera le jugement définitif ? Quel encouragement est là pour les croyants dans le fait que le Christ sera le juge ? Ne pas l’expression que celui qui croit au fils » n’entrera en condamnation, » John 05:24, prouver que les croyants ne seront pas jugés ? Ce qui fonctionne entrera en compte dans le jugement final selon l’Ecriture ? Si tous les croyants héritent la vie éternelle, dans quel sens est leur récompense, selon leurs œuvres ? Le jugement ont pour but d’informer sa Dieu mieux avec les hommes ? Quoi cela sert-il ? Hommes seront finalement perdus que pour le péché de consciemment rejeter Christ ?
LITTÉRATURE: Bavinck, Geref. Dogme. IV, p. 777-815; Kuyper, Dict. dogme., De Consummatione Saeculi, pp. 280-327; Vos, Geref. Dogme., Eschatologie p. 32-50; Hodge. Syst. Theol. III, p. 844-880; Shedd, dogme . THEOL. II, pp. 659-754; Ibid., Doctrine de châtiment sans fin; Dabney, syst et trouvailles. THEOL., p. 842-862; Litton, Introd.. au dogme. THEOL., p. 581-595; Beckwith, réalités de Chr. Theol., p. 361-382; Drummond, Studies in Chr. Doct., p. 505-514; Macintosh, théol. comme une Science empirique, p. 205-215; Dahle, vie après la mort, p. 418-455; Mackintosh, l’immortalité et l’avenir, p. 180-194; 229-244; Roi, futur châtiment; Hovey, eschatologie biblique, p. 145-175; Von Huegel, la vie éternelle; Alger, histoire de la Doctrine d’une vie Future, p. 394-449, 508-549, 567-724; Schilder. Wat est de Hemel; Vos, L’eschatologie de Pauline, pp. 261-316; Kliefoth, Eschatologie, pp. 275-351.
LES DEUX POINTS DE VUE ESCHATOLOGIQUES PRIMAIRES
VUES AMILLÉNAIRE
Les amillénaristes voient dans le millénium un nombre symbolisant l'état béni des saints. L'amillénarisme a l'avantage d'être l'interprétation eschatologique la plus juste des Écritures. L’approche amillénariste rejette l’interprétation littérale du millénium (Apocalypse 20:1-10), Christ ne régnera donc pas mille ans sur la terre. Cette approche a été érigée en doctrine par Augustin (mort en 430 ap. JC) qui considérait le millénium comme étant un royaume spirituel dans le cœur de tout converti à Christ, comme nous le voyons dans les Évangiles. Mais si Augustin donna une forme à cette doctrine, il en est pas pour autant l'auteur, car cette interprétation d'un Royaume spirituel est celle de l'Église primitive des apôtres et des premiers disciples, comme nous avons vu au début de ce document. Ce règne avance au fur et à mesure que l’Évangile progresse dans la vie de l’Église. L'erreur magistrale d'Augustin est qu'il voyait l'Église comme une institution ou organisation plutôt qu'un état d'être spirituel. Le posmillénarisme et l'amillénarisme ont en commun la croyance en un retour visible du Christ pour le jugement, lequel sera suivi de l'état final. Ils rejettent l'enseignement de deux résurrections corporelles séparées par un laps de temps. Ils rejettent aussi la doctrine dispensationnaliste de l'enlèvement et du second retour comme constituant deux retours distincts antérieurs au millénium. Ils enseignent que le millénium est relié à l'ère de l'Église comme institution. La doctrine postmillénaire trouve aussi ses racines dans les pensées d'Augustin, car malheureusement celui-ci croyait en un règne de 1000 ans historique qui s'accomplirait pendant l'ère chrétienne. Son enseignement était que la première résurrection consistait dans la nouvelle naissance des croyants et que Satan fut lié au début du ministère de Jésus-Christ lorsqu'en réalité il fut lié seulement à la croix. Cependant, cet enseignement historique du 1000 ans s'est trouvé en difficulté quand, à la fin du dixième siècle, il devint évident que le temps alloué passait sans un second retour de Christ. Quelques-uns comprirent alors que le nombre 1000 était symbolique et devait inclure plus que les 1000 ans réels. D'autres ont cru que le millénium s'était terminé au moment de la Réforme.
La doctrine amillénaire est similaire au postmillénarisme en ce qu'elle nie aussi que l'ère actuelle de l'Église sera suivie d'un règne de 1000 ans du Christ sur la terre. Cependant la différence de base consiste dans ce qu'elle rejette l'idée que le millénium ait une signification littérale quant au nombre. Deux savants allemands, Duesterdieck et Kliefoth, ont développé cet enseignement environ 150 ans après l'interprétation de Whitby. Ils réfutent la doctrine prémillénaire des deux résurrections et aussi la doctrine post-millénaire du 1000 ans littéral à l'intérieur de l'ère chrétienne. Ils croient que le règne de 1000 ans consiste en un nombre symbolique concernant la plénitude de l'état béni des saints.
Dans son affirmation que le Royaume est présent actuellement, l'amillénarisme est en parfait accord avec les Écritures. Dans cette position, la présence du Royaume indique qu'il est aussi à venir dans la manifestation finale de sa gloire. Tandis que la terre court vers sa fin, que les forces du mal semblent se multiplier et qu'une période de persécution et de tribulation s'abat sur l'Église avant la Parousie, l'espérance amillénariste demeure intacte. Un des plus grand défenseurs de l'Amillénarisme, William E. Cox, «Amillennialism Today», nous décrit ce système d'interprétation: «Le caractéristique général de l'Amillénarisme est qu'il refuse un règne littéral de Christ sur la terre. Satan est conçu comme étant attaché depuis le premier avènement de Christ. L'ère actuelle entre le premier et le deuxième avènement est l'accomplissement du Millénium. Certains de ses adhérents sont divisés sur le point du millénium, à voir s'il est un accomplissement terrestre dans l'Église ou s'il est un accomplissement céleste avec les saints qui sont présent avec Christ dans le ciel. L'Amillianisme peut être résumé dans l'idée qu'il n'existe aucun Millénium sauf maintenant, et que l'état éternel suit immédiatement le deuxième avènement de Christ.».
Nous pouvons diviser l'Amilliénarisme en trois écoles de pensées:
1) l'Amilliénarisme historique qui considère l'importance d'événements historiques spécifiques comme étant l'accomplissement de certaines prophéties du Nouveau Testament. Le danger de cette position est de confiner le millénium à une certaine période de l'histoire comme fit Augustin qui croyait que le monde était pour terminer en l'an 650. Très peu tiennent cette position de peur de s'égarer dans des faux raisonnements sur le millénium et dans des spéculations imprécises;
2) l'Amilliénarisme intermédiaire dont l'enseignement est que le millénium se rapporte uniquement aux saints qui sont présent avec le Seigneur dans le ciel;
3) l'Amilliénarisme indéfini ou spirituel qui est supporté par la majorité des chrétiens Protestants depuis la Réforme. Cette position enseigne que tous les saints, vivants et morts, règnent présentement avec Christ dans un millénium continuel entre les deux avènements. Grosso modo, l'Amilliénarisme a plus de fondement scripturaire que le Postmillénarisme ou le Prémillénarisme, mais malheureusement, son refus de préciser certaines prophéties dans leurs contextes historiques évidents, comme la prophétie de l'Apocalypse qui décrit l'Israël moderne comme étant la Bête qui surgit de la terre des nations en 1948, laisse cette position dans une situation déficiente et délicate. Toutefois il faut considérer que la position Amillénariste fut fondée avant l'accomplissement historique de cette prophétie qui est considérées uniquement dans la position Pneumillénaire. Nous pouvons dire, en effet, que la position Pneumillénaire est une extension factuelle et contemporaine de la position Amillénaire.
Il nous convient maintenant de parler de la structure littéraire du livre de l'Apocalypse, exposée d'une manière remarquable par le regretté William Hendriksen, un ardent amillénariste, dans son livre «Plus que Conquérants» qui est difficilement trouvé de nos jours. Ce système formidable d'interprétation unique, nommé «Parallélisme Progressif», divise le livre de l'Apocalypse en sept sections qui s'étendent parallèlement les unes à côté des autres. Ceci nous donne le moyen par excellence pour comprendre ce livre énigmatique. Chaque section dépeint le développement progressif de l'histoire entre les deux avènements de Christ, ainsi chaque section reste parallèle à la section qui la précède et à celle qui la suit:
1) la première section est constituée des trois premiers chapitres du livre;
2) la deuxième section consiste des chapitres 4 à 7;
3) la troisième des chapitres 8 à 11;
4) la quatrième des chapitres 12 à 14;
5) la cinquième des chapitres 15 et 16;
6) la sixième des chapitres 17 à 19;
7) la septième des chapitres 20 à 22.
Ce système d'interprétation nous montre clairement que le Millénium est l'âge durant lequel l'Évangile est proclamé et dans lequel nous nous trouvons présentement. Nous recommandons fortement ce système à ceux qui désirent étudier le livre de l'Apocalypse sérieusement.
VUES PNEUMILLÉNAIRE
L'interprétation pneumillénaire est la même que la position amillénaire spirituelle, sauf que celle-ci prend son nom du Grec «Pneuma» qui signifie «l'Esprit» et «le vent», et par conséquent exprime plus précisément «un Millénium Spirituel» du règne de Christ dans ses élus sur la terre comme au ciel. Le terme «amillénarisme» détient une négation du fait qu'il signifie littéralement «pas de millénium», mais celui de pneumillénarisme est plus précis pour exprimer la vérité d'un Royaume spirituel de Christ dans le cœur de ses élus. De son nom, cette position est très peu connue puisqu'elle a été développée seulement en l'an 1978 au sein d'un christianisme marginal non institutionnalisé et libre comme le vent de l'Esprit. Cette interprétation du Royaume millénariste spirituel de Christ prit forme sous la plume de Jean leDuc, auteur même de ce document, lorsqu'il fut donné de comprendre que la nation moderne d'Israël s'oppose radicalement à tout ce que la chrétienté traditionnelle s'imagine sur cette nation qui a surgi de la terre des nations en 1948, renaissant de ses cendres comme le Phénix dans la mythologie antique.
Le pneumillénarisme est fondée sur «l'Alliance de la Grâce» qui se manifeste dans le règne présent de Christ dans le cœur de ses élus qui le reconnaissent comme «le Roi des rois» dont le Royaume est spirituel et actif dans le moment même. Ainsi ceux qui attribuent le millénium à un temps futur dans lequel Christ établirait un règne littéral de mille ans sur la terre, s'opposent à ce que le Seigneur Jésus règne sur eux dans le présent même et s'attaquent à la grâce du salut. Le pneumillénarisme est une position radicale qui exalte Christ comme Dieu et Roi, et ne fait aucune concession à ceux qui s'opposent au règne souverain de la grâce de Dieu, et qui compromettent la vérité des Écritures par leur tiédeur, leur laxisme, ou leurs opinions personnelles ou collectives. Le pneumillénarisme est strictement souverainiste en ce qu'il affirme avec les Écritures que Dieu détient une souveraineté absolue dans le salut et la sanctification de ses élus, tout comme l'enseigne les doctrines de la grâce énumérée dans TULIPE, document historique de la Réforme qui est crucial et extrêmement important, étant chargé d'autorité et demeurant toujours d'actualité. Ainsi dans son ensemble le pneumillénarisme s'oppose farouchement au prémillénarisme des sectes dites Évangéliques qui déforment le salut par la grâce seule pour en faire un salut par les œuvres d'une décision personnelle qui valorise le libre-choix illusoire de l'homme. L'eschatologie pneumillénariste est relié étroitement à la sotériologie puisque le Royaume c'est aussi le Roi de gloire dans son ministère de Rédemption.
Il va presque sans dire que le pivot du pneumillénarisme est la présence même de Jésus en ses élus. De cette présence elle enseigne, non un retour, car le terme retour implique une absence et Christ est toujours présent avec nous (Matthieu 28:20), mais l'émergence de la Présence de Christ de ses élus qui les transformera à son image dans une lumière glorieuse, et tout œil le verra en chacun d'eux lorsqu'ils seront réunis en un seul Corps dont la tête est Christ glorifié. Cette émergence marquera la fin des temps et le début d'une nouvelle race céleste et éternelle dans la gloire de Christ que l'Apocalypse nomme «les noces de l'Agneau». Contrairement à l'amillénarisme, pour le peneumillénarisme l'Église n'est pas une institution mais un état d'être spirituel qui est l'appel irrésistible de la grâce à être délivré de la condamnation du péché et à renaître dans une vie nouvelle et éternelle. Tel est l'enseignement du Seigneur Jésus, notre Dieu et notre Roi.
Les sept points principaux du pneumillénarisme:
1- Le baptême de Jésus (oindre le Saint des saints Daniel 9:24) marque la fin de la 69ie semaine de la prophétie de Daniel et le début de la 70ie semaine. A son baptême Jésus prit sur lui la charge de Souverain Sacrificateur pour l'expiation de nos péchés dans son sacrifice sur la croix.
2- La 70ie semaine de Daniel (Daniel 9:27) se rapporte à la Nouvelle Alliance dans le sang de Christ qui fit cesser la valeur des sacrifices sanglant dans le Temple pour la purification des péchés du peuple Juif, et non à un futur Antichrist qui ferait alliance avec Israël pour sept ans. Puisque chaque semaine de Daniel est de sept années, le fait que Christ fut «retranché à la moitiés de la semaine» indique que le ministère de Jésus fut précisément de 3 ans et demi. Les trois autres années qui restent s'appliquent au moment de la Pentecôte lorsque Christ revient, comme il l’avait promis (Jean 14:18-20), pour habiter le cœurs de ses disciples par sa Sainte Présence, débutant ainsi le temps de la grâce entre son premier avènement et son apparition finale à la fin des temps. C’est ce qu’on nomme «le Royaume millénariste spirituel» en accord avec ce que dit l’apôtre Pierre (2 Pierre 3:8,9), et qui dit en plus: «Vous aussi, comme des pierres vivantes, vous êtes édifiés, pour être une maison spirituelle, une sacrificature sainte, afin d'offrir des sacrifices spirituels agréables à Dieu, par Jésus-Christ.» (1 Pierre 3:5). Le pneumilénarisme est solidement ancré dans cette position d’un Royaume spirituel qui est relié au salut par la grâce souveraine des élus de Dieu.
3- L'Église est un état d'être spirituel et non une institution organisée (1 Pierre 2:9,10). Elle est l’appel à renaître dans un Royaume spirituel par l’habitation de la Sainte Présence de Christ.
4- Satan a été attaché à la croix et non à la naissance de Christ (Colossiens 2:14,15; Apocalypse 12:10,11)
5- Le règne de mille ans mentionné dans l'Apocalypse est le règne spirituel du temps de la grâce entre le premier avènement de Christ et son apparition finale (Apocalypse 20:1-10; 2 Pierre 3:8-13).
6- Que Satan est délié de sa prison vers la fin du millénium, se rapporte à la grande apostasie d'un faux peuple de Dieu, et plus précisément à l'Arminianisme des sectes dites Évangéliques qui séduisent un grand nombre avec un faux évangile du libre-choix et avec des faux dons miraculeux (2 Thessaloniciens 2:2-12). L'Antichrist est non un homme mais une doctrine qui élève la dignité humaine au rang de la divinité. Cette doctrine d'un christianisme contrefait est l'Arminianisme qui s'oppose à la souveraineté absolue de Dieu dans la grâce du salut et de la sanctification. Elle trouve son apogée dans la papauté, dans l'Israël moderne, et dans le mouvement Évangélique, les «trois esprits immondes semblables à des grenouilles, les trois esprits diaboliques contre lesquels nous combattons» présentement, combat d'une guerre spirituelle qui se nomme «la bataille d'Armageddon» (Apocalypse 16:13-16).
7- Il n'y a pas d'enlèvements de l'Église pour rencontrer le Seigneur dans les airs, mais une exaltation des élus dans les nuées de sa Présence qui les incorpore tous en un seul Corps éternel qui forme le Nouvel Homme (1 Thessaloniciens 4:16,17). Cette exaltation correspond au surgissement de Christ du cœur de ses élus à l'aboutissement de la période de la grâce qui transformera chacun d'eux en son image et les unira en un seul Corps glorieux pour l'éternité (1 Corinthiens 15:49-54; 2 Thessaloniciens 1:6-10; 2 Corinthiens 3:18). |
A Christ seul soit la Gloire
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