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Dictionnaire
Plusieurs raisons justifient l'apprentissage de la lecture de
l'hébreu. Pour parler la langue, vous devez savoir comment lire et
prononcer les lettres. Juifs et candidats à la conversion doivent
apprendre l'hébreu, car la plupart des prières à la synagogue sont
exclusivement ou principalement en hébreu. Pour préparer un voyage
en Israël, c'est aussi une très bonne idée. Quelle qu'en soit la
raison, apprendre à lire l'hébreu est un sujet passionnant.
L'alphabet
hébraïque
Grammaire
Hébreu
1-
Apprenez les lettres et leur prononciation. L' "aleph-beit"
hébreu compte vingt-deux lettres et cinq d'entre elles s’écrivent
différemment quand elles sont placées à la fin d'un mot.
Souvenez-vous que toutes ces lettres sont imprononçables telles
quelles car ce ne sont que des consonnes. Si vous essayez de les
prononcer, ce sera comme de prononcer les consonnes de l'alphabet
français, sans les voyelles. Un peu dur à l'oreille ! Ceci étant,
voici toutes les lettres de l' Aleph-beit hébreu, dans l'ordre:
•א
Aleph. C'est peut-être la lettre de l' Aleph-beit la plus facile à
apprendre. En fait, toute seule elle n'a pas de son. Elle ne
s'entend qu'accompagnée d'une voyelle. Lorsqu'elle se trouve à la
fin d'un mot, elle ne se prononce pas. Un peu comme le "E" muet en
français.
•Beit (בּ) et Veit (ב). Bien que ces lettres semblent différentes
en raison de leur sonorité différente, elles sont considérées comme
une seule et unique lettre. Beit a un point au milieu, et Veit n'en
a pas. Beit rend le son "B", mais n'a pas réellement de
prononciation jusqu'à ce qu'une voyelle lui soit ajoutée. Vet se
prononce "V", mais a aussi besoin d'une voyelle pour être lue.
•ג Guimel. Beit et Veit étant essentiellement la même lettre,
celle-ci est la troisième lettre de l'Aleph-beit hébreu. Elle se
prononce comme un «G» dur, comme dans «guitare», jamais comme le «G»
de « girafe». Souvenez-vous-en lorsque vous le rencontrez dans un
mot. Cependant un guimel suivi d'une apostrophe (') se prononce "DJE"
comme "Johnny".
•ד Daleth. Comme on pourrait s'en douter, Daleth donne le son
«D». Comme pour toutes les autres lettres de l'Aleph-beit, il lui
faut une voyelle pour la prononciation.
•ה Hé. Le Hé est un "H" aspiré comme dans "Haricot". Il est
souvent placé à la fin d'un mot, comme parfois le Aleph.
•ו Vav. Le Vav a le même son que le Veit, mais c'est une autre
lettre.
•ז Zayin. Cette lettre se prononce comme le «Z» de «zéro».
•ח 'Hêth. 'Hêth est l'une des lettres les plus connues en hébreu.
Elle sonne un peu comme un raclement de gorge. Comme un genre de
rugissement du fond de la gorge, en plus doux .
•ט Têt. Têt se prononce "T" comme dans "tango".
•י Youd. Cette lettre se prononce comme le "Y" de "youpi".
Parfois - surtout au milieu d'un mot - il se prononce "I", comme
dans "Italie".
•Khaf, (כּ) Kaf (כ), Khaf Sofit (ךּ), et Kaf Sofit (ך). C'est une
des lettres qui peut prêter le plus à confusion. Bien que l'on
puisse croire que ce sont quatre lettres différentes, en fait il
s'agit de la même lettre. Khaf est prononcé comme 'Hêth, et Kaf se
prononce comme le "C" de "colline". Khaf Sofit se prononce comme 'Haf,
mais il est toujours placé à la fin d'un mot. Le Kaf Sofit se
prononce comme le Kaf, mais se rencontre aussi seulement à la fin
d'un mot. Bien que cela puisse sembler déroutant de prime abord,
continuez simplement sur votre lancée. Avec la pratique, tout
deviendra clair.
•ל Lamed. Lamed donne le son "L" comme dans "lune".
•Mêm (מ) et Mêm Sofit (ם). Encore une fois, ce sont les mêmes
lettres, mais sous une version légèrement différente lorsqu’elle se
trouve en fin d'un mot. Elles donnent le son "M", comme dans "maman".
Le Mêm Sofit ressemble au Mêm, sauf qu'il est fermé en bas et paraît
un peu plus carré.
•Noun (נ) et Noun Sofit (ן). Le Noun et le Noun Sofit se
prononcent comme le "N" de "nuit". Vous ne trouverez le Noun qu'au
début ou au milieu d'un mot, tandis que le Noun Sofit se trouvera à
la fin.
•ס Same'h. Le Same'h rend le son "S" comme dans "silence". •ע
Ayin. C'est l'une des lettres hébraïques les plus difficiles à
prononcer pour les non autochtones, puisque les langues latines et
germaniques ne possèdent pas de sonorité équivalente. Cependant on
en trouve des sonorités du même type dans d'autres langues
sémitiques, comme l'arabe et le syriaque. En général, on le traite
comme le aleph, c'est-à-dire comme une consonne muette, en ne
prononçant que la voyelle qui est dessous. Toutefois, si vous voulez
essayer de le prononcer comme il se doit, il vous faudra faire appel
à un son venant du fond de votre gorge... Cela demande un certain
entrainement, si ce n'est un entrainement certain !
•Pé (פ) Fé, (פּ)
Fé Sofit(ףּ) et Pé Sofit (ף). Le Pé se prononce comme le "P" de
"papa", et le Fé comme le "F" de "forêt". Le Fé Sofit est la version
finale du Fé, tandis que le Pé Sofit est la version finale du Pé.
•Tsadi (צ) et Tsadi Sofit (ץ) (très souvent appelé Tsadik par
erreur). Le Tsadi et leTsadi Sofit se prononcent "tse" comme dans
"tsar" ou "mouche tsé-tsé". On trouve le Tsadi Sofit seulement à la
fin d'un mot. Suivi d'une apostrophe (') le Tsadi se prononce "Tch"
comme dans "Tchèque".
•ק Qof. Qof se prononce "K" comme dans "kilo".
•ר Rech. Cette lettre donne le son «R», comme dans «repos».
•Shin (שׂ) et Sin (שׁ). La seule différence entre les deux est un
point. Celui du Shin se trouve en haut à droite, celui du Sin en
haut à gauche. Shin se prononce "CH", comme dans "Chef". Sin donne
le son «S», comme le Same'h.
•ת Tav. Le Tav a le même son que le Tet: comme le "T" de "tango"
Lettre |
Cliquez pour écouter |
Correspondance et exemple |
|
ALEPH
|
"a" comme dans
"aba"(papa) |
|
BET
|
"b" comme dans
"aba"(papa). Peut aussi se prononcer "v", quand il n'est pas
accentué. |
|
GIMAL
|
"g" comme dans
"guadol" (grand) |
|
DALET
|
"d" comme dans
"dekel" (palmier) |
|
HEH
|
"h" commme dans
"hineh" (voici) |
|
VAV
|
"v" comme dans
"vashti" (de l'histoire de Pourim)
Peut aussi être utilisé comme voyelle "o" et "ou". |
|
ZAYIN
|
"z" comme dans
"zemer" (musique) |
|
H'ET
|
"h" gutturale,
comme dans "h'amor" (âne) |
|
TET
|
"t" comme dans
"tembel" (stupide) |
|
YUD
|
"y" coome dans
"yesh" (il y a) |
|
KAF
|
"c" comme dans "catouv"
(écrit) |
|
LAMED
|
"l" commme dans
"lama" (pourquoi?) |
|
MEM
|
"m" como em "mamtera"
(système d'arrosage) |
|
NUN
|
"n" comme dans
"nudnik" (raseur) |
|
SAMECH
|
"s" comme dans "sigaria"
(cigarette) |
|
AYIN
|
"a" comme dans "ayin"
(oeil) |
|
PEH
|
"p" comme dans "pilpel"
(piment) |
|
TZADI
|
"tz" commme dans
"tzipor" (oiseau) |
|
KUF
|
"k" comme dans "kumkum"
(bouilloire) |
|
RESH
|
"r" comme dans "regel"
(pied) |
|
SHIN
|
"sh" comme dans "shalom"(paix) |
|
TAV
|
"t" comme dans
tapuz" (orange) |
2- Apprenez les voyelles. Les voyelles hébraïques sont ajoutées aux
consonnes pour produire un son. Par exemple, Same'h tout seul se lit
«S», mais avec un petit trait dessous cela devient «sa». Les
voyelles hébraïques sont généralement faciles à apprendre avec un
petit peu d'entrainement.
•אַ Pata'h. Le Pata'h est une petite ligne
qui, placée sous n'importe quelle lettre, donne le son «A» comme
dans "baba".
•אָ Kamats. Le Kamats rend le même son que le Pata'h et ressemble
presque exactement à celui-ci. La seule différence, c'est qu'il
possède une petite ligne dans sa section médiane.
•וֹ 'Holam Malé. Le Cholam Malei est en fait la lettre Vav avec
un point au-dessus. Cela donne le son «O», comme dans "beau".
Toutefois, cela ne crée pas le son «VO», car le "V" est perdu
lorsque le point est ajouté.
•בֹּ 'Holam 'Hasser. Cette voyelle ne peut pas aller sur toutes
les consonnes, ce qui explique pourquoi il y a aussi un 'Holam Malé.
Lorsque ce petit point est placé au-dessus (ou légèrement à gauche,
mais toujours au-dessus) d'une consonne, le son «O» s'ajoute au son
de la consonne.
•אֶ Ségol. Le Ségol est formé de trois points en forme de
triangle placé en dessous d'une lettre. Ces trois points ajoutent le
son "É" comme dans "été" à la consonne. Par exemple, si on l'ajoute
au Beit il se prononce "Bé".
•בֵּ Tséré. Le Tséré est formé de deux points horizontaux placés
en dessous d'une lettre (à ne pas confondre avec le sh'va vertical).
Il ajoute le son "É" à une consonne, comme le Ségol. Par exemple,
l'ajout de cette voyelle au Vet crée le son "Vé".
•מְ Sh'va. Le Sh'va ajoute le son "E" à la consonne. Il est formé
de deux points placés verticalement en dessous de la lettre. Placé
sous un Mem il donnera le son "me".
•וּ Chourouk. Cette voyelle crée le son "OU", comme dans "doux".
Cette voyelle ne s'ajoute qu'au Vav, qui perd son "V" dans le
processus.
•אֻ Koubouts. Le Koubouts est formé de trois points en diagonale
placé sous une consonne, descendant vers la droite. Il crée le son «OU»,
comme «nous» ou «roue». L'ajout du Koubouts au Bet fait "bou".
•אֲ 'Hataf Patach, 'Hataf Ségol, et 'Hataf Kamatz. Le 'Hataf est
formé de deux points verticaux qui s'ajoutent au Pata'h, au Ségol,
ou au Kamats afin de raccourcir la voyelle. Un peu comme un staccato
en musique, qui raccourcit la note.
•נִ 'Hirik. Le "Hirik rend le son "i", comme dans "Italie" ou "si".
Il est formé d'un point placé sous la consonne. Par exemple, un 'Hirik
sous un Bet donne le son "bi".
•רָ Kamats Katane. Cette voyelle ressemble au Kamats, sauf que la
deuxième ligne n'est pas réellement attachée au milieu. Le Kamats
Katane donne le son "O", comme «dos».
3- Entraînez-vous. Tout cela peut paraître compliqué au début, mais
avec un peu de pratique, vous serez un expert en un rien de temps.
Envisagez d’engager un professeur ou de parler à un ami qui connait
l’hébreu. •Si c'est un ami qui vous apprend à lire, ce sera beaucoup
plus agréable pour vous car vous pourrez apprendre en vous amusant,
la personne pouvant se servir d'exemples tirés de votre vie pour
vous faire découvrir l'hébreu. •Si c'est un ami qui vous apprend à
lire l'hébreu, essayez de ne pas vous laisser distraire et de garder
les yeux sur l'objectif afin d'en tirer un bénéfice.
Comment
faire les lettres hébraïques
( cliquez sur une
lettre pour voir le fonctionnement )
L'ALPHABET ARAMÉEN
L'alphabet araméen est un ancien alphabet consonantique. Cet alphabet est historiquement important car quasiment tous les
alphabets moyen-orientaux modernes en descendent, ainsi que de
nombreuses écritures non-chinoises d'Asie du centre et de l'Est, du
fait de l'usage répandu de l'araméen comme lingua franca et langue
officielle de l'Empire neo-assyrien et son successeur, l'Empire
achéménide. Ses graphèmes ne servent à noter que les consonnes, les
voyelles n'étant pas indiquées. Il est écrit de droite à gauche. Parmi les écritures contemporaines, l'Alphabet hébreu
est le plus proche de l'alphabet araméen impérial du Ve siècle av.
J.-C., comportant les mêmes lettres et, pour la majeure partie, des
formes identiques. L'araméen était en effet la langue du peuple
commun parlée par le Seigneur Jésus et ses disciples.
L'alphabet araméen est un alphabet consonantique:
Le tableau suivant donne les formes des graphèmes de
l'alphabet araméen impérial, utilisé au
Ve siècle
av. J.-C..
Lettre |
Unicode |
Nom |
Valeur |
Correspondances |
Hébreu |
arabe |
Syriaque |
Brahmi |
Nabatéen |
Kharosthi |
|
U+010840 |
Ālaph |
[ʔ],
[aː],
[eː] |
א |
ا |
ܐ |
|
|
|
|
U+010841 |
Bēth |
[b],
[v] |
ב |
ﺑ |
ܒ |
|
|
|
|
U+010842 |
Gāmal |
[ɡ],
[ɣ] |
ג |
ﺟ |
ܓ |
|
|
|
|
U+010843 |
Dālath |
[d],
[ð] |
ד |
د,
ذ |
ܕ |
|
|
|
|
U+010844 |
Hē |
[h] |
ה |
ﻫ |
ܗ |
|
|
|
|
U+010845 |
Waw |
[w],
[oː],
[uː] |
ו |
و |
ܘ |
|
|
|
|
U+010846 |
Zain |
[z] |
ז |
ز |
ܙ |
|
|
|
|
U+010847 |
Ḥēth |
[ħ] |
ח |
ﺧ,
ﺣ |
ܚ |
|
|
|
|
U+010848 |
Ṭēth |
[tˤ] |
ט |
ط |
ܛ |
|
|
|
|
U+010849 |
Yudh |
[j],
[iː],
[eː] |
י |
ﻳ |
ܝ |
|
|
|
|
U+01084A |
Kāph |
[k],
[x] |
כ,
ך |
ك |
ܟ,
ܟ |
|
|
|
|
U+01084B |
Lāmadh |
[l] |
ל |
ﻟ |
ܠ |
|
|
|
|
U+01084C |
Mim |
[m] |
מ,
ם |
ﻣ |
ܡ,
ܡ |
|
|
|
|
U+01084D |
Nun |
[n] |
נ,
ן |
ن |
ܢ |
|
|
|
|
U+01084E |
Semkath |
[s] |
ס |
ﺳ |
ܣ |
|
|
|
|
U+01084F |
ʿĒ |
[ʕ] |
ע |
ﻏ,
ﻋ |
ܥ |
|
|
|
|
U+010850 |
Pē |
[p],
[f] |
פ,
ף |
ﻓ |
ܦ |
|
|
|
,
|
U+010851 |
Ṣādhē |
[sˤ] |
צ,
ץ |
ﺻ |
ܨ |
|
|
|
|
U+010852 |
Qof (lettre) |
[q] |
ק |
ﻗ |
ܩ |
|
|
|
|
U+010853 |
Rēsh |
[r] |
ר |
ر |
ܪ |
|
|
|
|
U+010854 |
Shin |
[ʃ] |
ש |
ﺷ,
ﺳ |
ܫ |
|
|
|
|
U+010855 |
Tau |
[t],
[θ] |
ת |
ﺗ,
ﺛ |
ܬ |
|
|
|
Les premières inscriptions en araméen font usage de
l'alphabet phénicien. L'alphabet araméen se développe à
partir de celui-ci au cours du temps. L'araméen devient
lingua franca du Moyen-Orient, son écriture
complémentant tout d'abord le cunéiforme, puis le
remplaçant comme système prédominant. Vers 500 av. J.-C., à la suite des conquêtes
achéménides de la Mésopotamie sous Darius Ier, le vieil
araméen (en) est adopté par les conquérants comme
véhicule de communication écrite entre les différentes
régions de l'empire. L'araméen impérial est très
standardisé; son orthographe est basée plus sur des
racines historiques que sur un quelconque dialecte et il
est inévitablement influencé par le vieux-perse. Pendant des siècles après la chute de l'empire
achéménide en 331 av. J.-C., l'araméen impérial — ou une
version suffisamment proche pour rester reconnaissable —
exerce une influence sur les différentes langues
iraniennes indigènes. L'alphabet araméen donne ses
caractéristiques essentielles à l'écriture pehlevi. Un ensemble de trente documents araméens de Bactriane
sur cuir, récemment découverts et dont l'analyse est
publiée en 2006, rendent compte de l'usage de l'araméen
dans l'administration achéménide de Bactriane et de
Sogdiane au IVe siècle av. J.-C.4.
L'usage répandu de l'alphabet araméen conduit à son
adoption progressive pour écrire l'hébreu. Avant cette
adoption, l'hébreu est écrit en alphabet paléo-hébraïque,
un système d'écriture plus proche de l'alphabet
phénicien. L'évolution de l'alphabet araméen à partir du phénicien étant un
processus graduel, la division des alphabets entre ceux qui dérivent
directement du phénicien et ceux qui en dérivent via l'araméen est
un peu artificielle. En général, les alphabets de la région
méditerranéenne (Anatolie, Grèce, Italie) sont considérés comme
dérivant du phénicien, adaptés vers le VIIIe siècle av. J.-C.; ceux
de l'Est (Levant, Perse, Asie centrale, Inde) sont considérés comme
dérivant de l'araméen, adaptés vers le VIe siècle av. J.-C. à partir
de l'alphabet araméen impérial de l'empire achéménide. Après la
chute de celui-ci, l'unité de l'alphabet est perdue et il se
diversifie en un certain nombre de cursives. Les alphabets hébreu et nabatéen, tel qu'ils sont écrits lors de
la Rome antique, ont peu changé stylistiquement par rapport à
l'alphabet araméen impérial. Une écriture Hébreu cursif (en) se développe dans les premiers
siècles du Ier millénaire, mais elle reste restreinte à un statut de
variante utilisée à côté de l'écriture non-cursive. L'Hébreu était
réservé pour l'élite du peuple (sacrificateurs,
pharisiens, sadducéens, hérodiens) et pour les textes
sacrés; tandis que l'Araméen était plutôt la langue
commune du peuple, des soldats, des commerçants et des
paysans. À l'époque contemporaine, l'araméen biblique, les dialectes
néo-araméens juifs et la langue araméenne du Talmud sont écrits avec
l'alphabet hébreu. Le syriaque et les dialectes néo-araméens
chrétiens font usage de l'alphabet syriaque.
Le Texte Massorétique Hébreu (
pdf )
Le Texte Massorétique Hébreu
( texte )
La
Bible bilingue Hébreu-Français
Le Pentateuque -
La
Genèse,
L’Exode,
Le
Lévitique,
Les Nombres,
Le
Deutéronome
Les Prophètes -
Josué,
Les Juges,
Samuel,
Rois,
Isaïe,
Jérémie,
Ézéchiel,
Osée,
Joël,
Amos,
Obadia,
Jonas,
Michée,
Nahoum,
Habacuc,
Cephania,
Haggaï,
Zacharie,
Malachie
Les Hagiographes -
Chroniques,
Les Psaumes,
Job,
Les Proverbes,
Ruth,
Le
Cantique des Cantiques,
L’Ecclésiaste,
Les Lamentations,
Esther,
Daniel,
Ezra / Néhémie
Le Texte Massorétique en livre virtuel
LEXIQUE HÉBREU DE LA
CONCORDANCE STRONG FRANÇAISE
(
voir le Pdf
du Dictionnaire Hébreu-Français
)
Le Dictionnaire Hébreu-Français en livre virtuel
AVANT-PROPOS
aleph (alef) |
beth (veth) |
guimel |
daleth |
hé |
waw (vav) |
zayin |
heth |
teth |
yod |
caph (khaf) |
lamed |
mem |
nun |
samech (samekh) |
ayin |
pe (fe) |
zade (tsadi) |
koph (qof) |
resch (resh) |
sin (shin) |
taw (tav) |
|
|
|
LES FINALS (NON
SIGNALÉS DANS LE MENU DE NAVIGATION DU DICTIONNAIRE)
final kaph |
final mem |
final nun |
final pe |
final tsadi |
|