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On ne se hasardait à aucune idolâtrie publique jusqu'au règne du petit-fils de
Sémiramis, Arioch ou Arius.
Cedreni Compendium
, vol. I, p. 29-30.
Plutarchi Opera
, vol. II, p. 366.
Mots du
Gradus ad Parnassum
sur la cause de la chute de Vulcain, dont on
voit l'identité avec Nemrod
.
PLUTARQUE,
De Iside
, vol. II, p. 369.
THÉVENOT,
Voyages
, P. I, ch. VII, p. 514.
Col. KENNEDY,
Mythol Hindoue
, p. 221, 247, avec la note.
ibid
. p. 200, 204, 205. Dans l'exercice de ses fonctions, comme dieu du
remède, Vichnou, dit-on, arrache les épines des trois mondes. (MOOR,
Panthéon
, p. 12). Les épines étaient un symbole de malédiction comme il
l'est exprimé dan
HOMÈRE,
Iliade
, liv. V, v. 339-340.
L'expression
dans le sens sacerdotal est nsha eon. En
chaldéen, la première lettre a devient i (iôn, iniquité). Et, nsha, porter,
devient nusha au participe présent, soit nusa car les Grecs n'avaient pas de
sh. De ou Da, est le pronom démonstratif pour ce ou le Grand. Dionnusa
signifie donc le grand porteur des péchés. Les païens classiques avaient la
même idée de l'imputation du péché comme le montre le langage d'Osiris à
propos d'Olenos qui prit sur lui une faute injustifiée :
Quique
in
se
crimen
traxit,
voluitque
videri,
Olenos esso nocens.(OVIDE,
Métam
,, vol. II, p. 486)
Sous le poids du péché imputé, Olenos souffrit tant qu'il en mourut et fut
pétrifié sur la sainte montagne d'Ida, ce qui montre son caractère sacré. Voir
MAHAWANSO, XXXI,
apud
POCOCKE,
L'Inde en Grèce
, p. 185.
ATHENAEUS, liv. XV, p. 675.
WILKINSON,
Les Égyptiens
, vol. IV, p. 189.
ibid
. p. 310.
RUSSSELL,
L'Égypte
, p. 99.
WILKINSON,
Les Égyptiens
, vol. IV, p. 310, 314.