LEXIQUE HÉBREU

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Texte Massorétique Hébreu

Texte Reçu Grec


Dictionnaire Biblique J.A. Bost


La Bible de Machaira 2016


Bible Martin 1744 avec codes de la Concordance Strong Française



 

 

Toute notre Concordance est relié au texte de la Bible Martin 1744

 

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Conçue pour la Bible de Machaira, la Bible Ostervald, et la Bible Martin

 

PORTFOILIO DE LA CONCORDANCE STRONG FRANÇAISE

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ATTENTION

Le format Pdf est très lourd et sera lent à ouvrir dépendant de la vitesse de votre connexion Internet.

Il en est ainsi de même avec les nouveaux formats Portfolio et Virtuel, quoique un peu moins lourd.

 

 

- Saisissez un mot ou un code Strong Hébreu pour en voir la définition (entre 1 et 8853)

- Saisissez un mot ou un code Strong Grec pour en voir la définition (entre 1 et 5878)

 

 L'OUTIL D'ÉTUDE BIBLIQUE PAR EXCELLENCE

Une première sur le web, la Concordance Strong Française avec moteur de recherches, vous donne la capacité de trouvé un mot dans la Bible avec son numéro ou Code Strong, ainsi que ses définitions dans le Hébreu et le Grec et tous les passages dans lesquels ce mot apparaît.

 

Signification de deux expressions populaires qui se trouvent dans une Concordance:

 

1 - TWOT: Theological Word book of the Old Testament. Abréviation anglaise qui se rapporte aux mots de l'Ancien Testament (Livre des mots théologiques de l'Ancien Testament).

2 - TDNT: Theological Dictionary of the New Testament. Abréviation anglaise qui se rapporte aux mots du Nouveau Testament (Dictionnaire théologique du Nouveau Testament).

 

  • Le Lexique Hébreu original de la Concordance Strong sur ce site a été augmenté du Theological Dictionary of the Old Testament (1917-1975) de Johannes Botterwerck et Helmer Ringgren.

  • Le Lexique Grec original de la Concordance Strong sur ce site a été augmenté du Thesaurus Graecae Linguae (1572) de Henri Estienne, fils de Robert Estienne, retrouvé dans le Dictionnaire Grec-Français (1860) de J. Planche.

Ce système de codage Strong fut créé spécifiquement pour la King James anglaise et fonctionne avec toutes les versions de la Bible qui ont les mêmes manuscrits qu'elle comme base de leurs traductions: la Bible d'Olivétan, de Calvin, de Genève, de Martin, de l'Ostervald, de la Matter, de l'Épée, et de la Machaira. Malheureusement, en français, les codes Strongs sont apparus premièrement dans la Bible Segond qui est basée sur différents manuscrits reconnus comme défectueux et dénaturés. A cause de cela, plus que souvent dans la Segond, les codes ne s'accordent pas précisément avec les définitions des termes originaux, considérant en plus qu'il y manque un grand nombre de mots, de versets, et de paragraphes (voir: Comparaison de versions).

 

Pour faciliter l'étude des textes bibliques, James Strong, (1822-1894), professeur d'exégèse biblique, dirigea plus de 100 personnes pour publier, en 1890, sa concordance des mots hébreux et grecs. Lui et sa femme y travaillèrent pour au-dessus d'une trentaine d'années. Chaque mot racine (on ne compte pas toutes les déclinaisons des verbes...) est numéroté, pour l'hébreu de 1 à 8674 (Ancien Testament) et pour le grec de 1 à 5523 (Nouveau Testament). La concordance contient également des précisions grammaticales et des informations supplémentaires. Il est important de savoir que la Concordance de Strong n'est pas un Dictionnaire et il ne faut pas en abuser comme tel, car il y aurait un danger réel d'interpréter un mot en dehors de son contexte adjacent, linguistique et historique. Elle a été conçue pour donner simplement une courte définition des mots hébreux et grecs sans entrer dans tous les détails de la signification d'un mot. Elle n'est donc pas l'autorité finale sur le sens d'un terme biblique, il faut se référer à des dictionnaires spécialisés en linguistique qui se rapportent directement au Hébreu et au Grec de la Bible pour cela, comme le Dictionnaire Hébreu-Français de Sander et Trenel, et le Dictionnaire Grec-Français de J. Planche. Même qu'un bon dictionnaire français sur les synonymes comme celui du Dictionnaire CRISCO est grandement utile dans ce domaine pour trouver en notre langue les expressions justes qui se rapportent aux originaux des Saintes-Écritures. Il nous faut aussi une connaissance de base sur l'étymologie et une bonne compréhension de l'histoire des anciens peuples. C'est un travail long et pénible mais grandement enrichissant. Mais tout cela est sans valeur réelle si on a pas l'Esprit de la Sainte Présence de Christ en nous pour nous diriger, car nous arriverions à des fausses conclusions et à des notions inexactes qui induiraient en erreur les gens simples. N'est-ce pas cela que font présentement les érudits académiques prétentieux, de même que les faux docteurs et pasteurs astucieux qui sont à la base de toutes les sectes dites chrétiennes et évangéliques qui dirigent leurs troupeaux de sycophantes?

 

Pour chaque mot, la concordance donne le mot dans la langue d'origine (hébreu, chaldéen, araméen, grec), le mot translitéré (conversion en alphabet latin), l'origine du mot (vient d'une autre langue, formé à partir d'un mot plus court...), sa prononciation (en phonétique), sa catégorie lexicale (nom, verbe, ...), ses différentes traductions en français dans la Bible, et les définitions qu'il peut prendre selon les contextes.

 

Certains passages de l'Ancien Testament sont en Araméen et d'autres en Chaldéen, cette information est donnée pour les mots en question mais ils demeurent classés dans le lexique hébreu.

 

Comme nous l'avons déjà mentionné, James Strong a construit sa concordance à partir de la traduction anglaise King James (KJV) qui fut publiée en 1611 au désespoir du catholicisme qui a tout fait pour bloquer sa parution, mais sans succès évident car Dieu protégeait sa Parole inspirée. Malheureusement ce fut complètement le contraire avec le christianisme français qui sombra très tôt dans l'apostasie, et regrettablement la version Louis Segond 1910 (LSG) basée sur le manuscrit corrompu et défectueux du Codex Sinaïticus a été utilisée pour traduire la Concordance Strong en français. Les deux traductions n'ont absolument rien en commun, la première, la King James, fut basée sur les principes calvinistes de la souveraineté de Dieu; tandis que la deuxième, la Segond, fut basée sur les principes de l'arminianisme qui élève la souveraineté de l'homme au même niveau que Dieu par sa doctrine du libre-choix de la souveraineté de l'homme, préceptes qui sont la base même du catholicisme. En fait, nous savons de nos jours que Louis Segond ne croyait pas en la divinité de Christ ni en l'inspiration et l'Autorité des Saintes-Écritures, ce qui en dit gros pour la forme de christianisme qui utilise sa version pour instruire les crédules dans les voies d'un faux évangile qui dépend du choix de l'homme et non plus de la souveraineté de Dieu comme nous retrouvons dans le calvinisme. Tous les spécialistes en la matière reconnaissent que les textes originaux sur lesquels sont basées ces deux traductions ne sont pas les mêmes, ce qui mène inévitablement à des différences majeures. Pour la première, la King James, il s'agit des textes authentiques, scellé par le sang des martyrs et assurés par la providence de Dieu à travers l'histoire; tandis que pour la deuxième, la Segond, il s'agit de textes contrefaits compilés sous la science des suppositions d'une Critique Textuelle nébuleuse qui donne qu'une approximation de la vérité.

 

Dans la Concordance Strong, les textes originaux ont été utilisés pour créer les lexiques hébreu et grec contenant tous les mots de la Bible. Qu'il soit clair pour tous que par « textes originaux » nous signifions le Texte Massorétique Hébreu pour l'Ancien Testament, et le Texte Reçu Grec pour le Nouveau Testament. Aucuns autres textes ne peuvent prétendent détenir un tel honneur, ni la Septante Mythique ni les manuscrits de la Mer Morte (comprenez qu'elle n'est pas morte pour rien). A chaque mot dans les textes originaux a été attribué un numéro qui permet d'obtenir dans le Lexique Hébreu ou le Lexique Grec le sens qu'il détient, outil très utile pour ceux qui n'ont aucune connaissance de ces deux langues mais qui veulent approfondir leurs études sur la Parole de Dieu. Ceci est le fruit de la technologie moderne qui permet à tous de comprendre toutes les langues sans vraiment les connaître. Vous pouvez aussi chercher un numéro ou un mot dans le « Moteur de recherches » qui vous donnera automatiquement la signification et tous les endroits ou versets dans lequel ce mot apparaît, même dans des dictionnaires bibliques qui vous donnent plus de précisions. Si plusieurs mots correspondent, ils sont listés pour que vous obteniez du discernement sur les sens variés d'un même terme utilisé dans différents contextes.

 

De façon plus intéressante, les numéros Strong vous indique où chaque terme est suivit d'un ou plusieurs numéros se rapportant aux termes originaux utilisés et parfois à leur grammaire. Ainsi, vous pouvez savoir quel mot original a servit pour traduire tel ou tel mot en français et ainsi connaître tous les sens que peut revêtir le terme biblique. Vous remarquerez qu'un seul mot porte souvent un grand nombres de nuances ou synonymes qui sont adaptables à différents contextes. Ceci vous donne la capacité de changer un mot dans une traduction pour un autre qui en détient le même sens mais d'une manière plus profonde et plus précise, ouvrant ainsi en votre esprit différents niveaux de compréhension en la profondeur de la révélation divine. Soyez sans crainte, vous n'altérez pas la Parole de Dieu en agissant ainsi, vous approfondissez seulement la compréhension du message qu'elle donne dans un contexte donné et cela vous donne de réaliser pourquoi certaines traductions de la Bible n'utilisent pas les mêmes mots pour exprimer un même principe. Mais attention, nous l'avons déjà mentionné, ce que vous apprenez sur le sens des mots n'est aucunement l'autorité finale et aucun ne peut prétendre qu'il en est ainsi sans se référer à des dictionnaires spécialisés sur la matière. Sans connaissance réelle des langues originales il est trop facile de s'égarer dans toutes sortes de fausses notions. Une telle étude approfondie permet d'élargir la compréhension du texte biblique qui, comme pour toute traduction, peut perdre de sa profondeur en omettant des compréhensions plus larges ou légèrement différentes.

 

L'outil de recherche des lexiques Hébreu et Grec permettent la recherche d'un Sstrong, c'est-à-dire un numéro universel utilisé par tous les lexiques bibliques de toutes les langues de la terre, d'un mot hébreu ou grec, ou d'un mot français de l'Ancien ou du Nouveau Testament, même que les textes originaux permettent de dire que le Nouveau Testament fut transmit oralement de l'araméen puis traduit en grec dans un style qui dégage les mœurs du temps. La principale raison de cette traduction orale fut l'importante place de la langue grecque comme langue universelle de l'époque, un peu comme l'anglais de nos jours. Mais il ne faut jamais oublié que le Seigneur Jésus et ses disciples ne parlaient pas le Grec mais l'Araméen, une forme commune de l'Hébreu populaire parmi le peuple de cette époque, le strict Hébreu étant réservé aux élites de la société pour les fonctions cultuelles et sacerdotales de la loi mosaïque.

 

Il importe de remarquer que l'Hébreu était une langue sacrée et que le Grec était une abomination pour eux, jamais ils n'auraient considérer traduire les Saintes-Écritures en cette langue, un tel blasphème aurait été la mort certaine de ceux qui auraient tentés de le faire. La notion populaire d'une Septante grecque ne tient pas devant ces faits, elle est un mythe (voir: La Septante Mythique). Ceci garantissait la transmission orale des textes puisque l'expression vocale était exclue de cette restriction. Cela nous indique que le Grec commun de l'époque, utilisé par l'apôtre Paul et ses assistants, était teinté d'expressions hébraïques qui reflétaient les mœurs du temps associés à la nation d'Israël et non à ceux de la nation Grecque, et cette réalisation est essentielle dans la traduction du Grec au français ou en n'importe quelle autre langue, car nous ne pouvons pas comprendre le sens des termes grecs selon les notions du peuple Grec traditionnel, mais selon les règles du peuple Judéen de cette période de l'histoire.

 

Une telle réalisation complique beaucoup la compréhension de la traduction des textes grecs du Nouveau Testament, car la grande majorité des traducteurs ne prennent pas cela en considération, ils en ignorent même la réalité. En fait, la grande majorité des traducteurs ne sont même pas chrétiens, plusieurs rejettent l'inspiration des Saintes-Écritures et d'autres nient la divinité de Christ. Ils interprètent les textes d'après les principes de l'éclectisme et selon les mœurs grecques, et non selon les mœurs hébraïques, tout comme le font la majorité des gens qui se disent chrétiens. Le résultat d'une telle approche linguistique n'est pas sous la direction du Saint-Esprit et occasionne inévitablement des fausses conclusions qui ne peuvent faire autre que de produire des perturbations dans l'enseignement qui en résulte. Il faut se le mettre dans la tête une fois pour toutes, le Grec du Nouveau Testament n'est pas le Grec de la nation de ce nom, mais une forme commune de cette langue (le Koinè) qui rejoignait la forme commune du peuple hébraïque ou l'araméen, Ceci veut dire que toutes traductions des textes du Nouveau Testament doivent absolument prendre cela en considération, si elles veulent demeurer fidèles au sens réel des expressions des significations sur les termes utilisés pour décrire la révélation de Dieu. Comment pouvons-nous comprendre la Parole de Dieu autrement à moins d'avoir un mandat pour la déformer et séduire les gens afin d'obtenir le monopole de leur foi et de leur conscience? Voila l'utilité essentielle des codes de la Concordance Strong, elle donne au commun du peuple la capacité de connaître la vérité sur la source de leur foi qui provient des Saintes-Écritures: «La certitude vient donc de ce qu'on entend; et de ce qu'on rapporte de la déclaration de Dieu.» (Rom. 10:17; Bible de Machaira).

 

 

A Christ seul soit la Gloire