LE RENONCEMENT

DE GÉNÉRATION EN GÉNÉRATION

Par Jean leDuc

Juillet 2021

 

LE PRINCIPE VITAL DU RENONCEMENT

 

L'INVERSION PRIMITIVE DU PRINCIPE

 

LE RENONCEMENT DANS LES GÉNÉRATIONS SUCCESSIVES

 

LA MODERNISATION DU RENONCEMENT

 

LE PRESSENTIMENT DE LA PRÉSENCE DE CHRIST

 


 

LE PRINCIPE VITAL DU RENONCEMENT

Rien, absolument rien n'est plus important que le renoncement de l'Esprit des vivants en faveur de ses élus, et en retour le renoncement des élus envers l'Esprit des vivants. Plus précisément, la Sainte Présence est elle-même le renoncement, et le renoncement est lui-même la vie éternelle. Sans le renoncement envers l'Esprit des vivants une personne est perdue pour l'éternité. Pour les élus, le renoncement est la réalisation qui leur est donnée dans leur conscience, par la puissance l'Esprit des vivants, de leur petitesse, de leur bassesse, de leurs faiblesses, de leur fragilité, de leur insignifiance, de leurs imperfections, de leurs défauts, de leur importance, de leur indépendance, de leurs péchés, de leurs mesquineries, de leur simplicité, de leur superficialité, et de leur corruption; choses qu'ils doivent abandonner et rejeter pour leur correction, afin d'être affermi dans la droiture. Bref, il s'agit du renoncement de soi-même, et de tout ce que nous sommes, nos passions, nos désirs, nos opinions, nos pensées, etc.. En d'autres mots, nous renonçons complètement à nous-même pour obtenir Christ comme notre Substitut, et la puissance de sa résurrection et de son exaltation, pour notre glorification.

 

Un tel processus nous abaisse dans l'humilité devant la croix de Christ, et se produit, non par notre puissance ou notre volonté, mais par la puissance de l'Esprit des vivants, qui a déterminé toutes choses depuis avant la fondation du monde, et devant lequel on doit plier le genou en toute soumission. Ceci est la base de la manifestation de l'Esprit des vivants dans l'histoire de la race humaine.

 

Cette manifestation se produisit en deux phases, sous la loi de l'Ancienne Alliance et sous la grâce de la Nouvelle Alliance, et nous dévoile deux aspects différents de la Sainte Présence. Sous la première Alliance la Sainte Présence n'habitait pas en permanence dans le cœur des élus. Elle descendait ou plutôt elle venait sur les prophètes et sur certaines personnes, comme une huile sanctifiante versée sur leur tête, qui leur donnait l'énergie nécessaire pour accomplir leur ministère. De façon interne, elle utilisait en premier la loi de la conscience, nommée aussi loi d'interdiction; puis par après la loi de Moïse, pour agir parmi les peuples, et surtout parmi ceux qui avaient été choisis pour des fonctions particulières. Mentionnons par exemples le prophète Élie qui pouvait faire descendre le feu du ciel, arrêter ou faire venir la pluie, et ressuscita même un mort. De même Samson qui avait reçu une force prodigieuse de l'Esprit des vivants, et tua des milles Philistins. Sa force n'était pas dans ses cheveux, mais dans la toute-puissance de l'Esprit des vivants qui reposait sur lui. Aussi avec le roi David qui tua un lion et un ours de ses propres mains, puis tua le géant Goliath et lui trancha la tête avec son épée. La Sainte Présence de l'Admirable Souverain Suprême était constamment sur David, son bien-aimé, mais le délaissa lorsqu'il sombra dans le péché. Tous ceux qui tombèrent dans le péché furent abandonnés par la Sainte Présence et laissé à leur sort, malgré leur repentance, ils subirent tous des conséquences désastreuses pour leur insoumission et leur rébellion, car la loi est intransigeante et impitoyable envers le péché et le pécheur.

 

Mais sous la deuxième Alliance, la Sainte Présence demeure en permanence dans les élus, à moins qu'une personne soit réprouvée et rejetée de la grâce, étant exclue de toutes les promesses de Dieu pour sa perdition éternelle. Dans cette deuxième phase, une personne n'est plus sous la loi des ordonnances, mais sous la grâce de la foi. Elle peut néanmoins déchoir de la grâce si elle cherche à se justifier par les œuvres de la chair, car cela revient à se justifier par les œuvres de la loi, car les deux sont identique et fonctionnent sur un même principe, à savoir la rébellion. C'est à dire que si une personne cherche toujours des excuses pour un péché, un mauvais comportement, une mauvaise attitude, plutôt que de s'humilier en toute soumission dans la confession de son péché, elle est en danger d'un châtiment éternel, si elle persiste à tenter de se justifier, ou s'obstine dans son entêtement pour se donner raison de ses actions. Un cas particulier serait que dans une telle condition lamentable, une personne dise: Jésus est en moi et je ne peux le perdre, insinuant par cela qu'il est impossible pour elle de perdre son salut. Mais elle a que partiellement raison, car en vérité elle ne peut pas perdre ce qu'elle n'a pas. Son affirmation est ainsi clairement une tentative de justification charnelle, pour couvrir son péché et son manque de connaissance. L'Esprit de Christ ne cherche jamais à se justifier, mais s'abaisse toujours dans l'humilité du renoncement, donnant ainsi l'évidence de sa Sainte Présence en une personne. Le contraire indique que la Sainte Présence s'est retirée d'une telle personne à cause de son état de rébellion. En d'autres mots, sa lumière a été éteinte et elle sera vomie de la bouche du Seigneur. Ce principe se retrouve aussi dans les avertissements du Seigneur aux sept églises de l'Apocalypse, particulièrement au chapitre 2: 4,5. Aucun ne peut argumenter ce principe, car il repose solidement sur la fondation de la vérité révélée en Jésus-Christ. En plus, si son Esprit témoigne en nous que nous sommes véritablement enfants de Dieu, il témoigne aussi conséquemment en nous si une autre personne a le même Esprit qui demeure en elle. Cela est ce qui se nomme le discernement des esprits ou attitudes du cœur, par lequel nous sommes donnés de reconnaître ce qui est vrai de ce qui est faux.

 

Ne vous imaginez pas, que nous parlons de ceux qui ont le pressentiment d'êtres chrétiens ou élus, qu'à cause que vous êtes sous la grâce, que vous ne pouvez pas être déchu de la grâce et perdre votre salut, si vous ne vous soumettez pas aux injonctions de Christ, ce qui serait une rébellion qui a pour conséquence la damnation éternelle. La grâce n'est pas une excuse pour continuer à vivre dans le péché, et dans une vaine tentative d'essayer de vous justifier par vos faiblesses ou vos manques de connaissances. L'essence même de la grâce est l'humilité du renoncement en la soumission à Christ, et l'humilité du renoncement de soi-même pour Christ, en abandonnant votre indépendance ou importance que vous pensez avoir. Si la grâce de la foi est une assurance inébranlable dans le renoncement ou sacrifice de la croix en faveur des élus seuls, elle est aussi une période temporaire entre le sacrifice de la croix et le jugement dernier, qui paraîtra à la fin des temps. Il s'agit d'une période d'épreuves pour purifier la foi, et pour le perfectionnement graduel du renoncement. Ceux qui la refusent ou se rebellent, assurent leur perte, comme il a été déterminé d'avance dans le décret de réprobation. Tous paraîtront devant le tribunal de Christ pour être jugés selon leurs œuvres. Ceux qui chercheront à se justifier, verront leur damnation. Mais ceux qui s'abaisseront dans l'humilité de la soumission, seront sauvés, car Christ a pris sur Lui la responsabilité de leur condition comme leur Substitut,

 

Selon l'autorité suprême des paroles du Seigneur Jésus Lui-même: «Ne soyez pas surpris de cela; car l'heure vient que tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix, Et sortiront: savoir, ceux qui auront bien fait, en résurrection de vie; et ceux qui auront mal fait, en résurrection de condamnation» (Jean 5: 28,29). Cela ne signifie pas que nous serons sauvés ou perdus par les choses que nous faisons ou que nous avons faites, autrement il n'y aurait aucune espérance pour les élus. Dans le Grec, l'expression «bien faire ou mal faire» est poieo et signifie «mettre en évidence», et dans le cas de «bien faire», elle est suivie du mot agathos qui signifie «avoir une bonne nature, une nature gracieuse», c'est à dire une nature qui provient de la grâce, à savoir la nature de Christ qui nous habite par sa Sainte Présence. Mais dans le cas de «mal faire» le mot est phaulos, et signifie «avoir une nature ordinaire, légère, mauvaise», ce qui se rapporte à la nature humaine déchue et corrompue qui cherche toujours à se justifier. Donc à ce niveau, déchoir de la grâce et perdre son salut est non seulement possible, c'est un fait assuré pour ceux qui se rebellent contre la Sainte Présence de Christ. Mais un élu véritable ne se rebellera jamais, au contraire il va persévérer jusqu'à la fin, car il est gardé dans la voie de la vérité par la puissance de l'Esprit des vivants. Mais le faux frère périra dans ses turpitudes. Ainsi le salut et la perdition sont basés sur deux natures différentes d'après le choix de Dieu, qu'il a déterminé d'avance dans le décret de la double prédestination, avant la fondation du monde. En d'autres mots, un réprouvé ne sera jamais sauvé, quoiqu'il fasse. Mais un élu sera sauvé par ce que Christ a fait pour lui. C'est à dire que nous ne sommes pas sauvés par ce que nous faisons, mais par ce que Christ a fait pour nous comme notre Substitut dans son sacrifice de renoncement en notre faveur. Nous ne sommes donc pas nos propres sauveurs, mais Christ est le seul Sauveur de ses élus.

 

L'INVERSION PRIMITIVE DU PRINCIPE

En tant qu'élus, nous sommes dans une progression de renoncement du péché dans la chair, car le péché n'existe plus en l'Esprit pour les élus, en vue de notre transformation en une existence humano-divine dans une nouvelle création. Mais avec la race adamique initiale ou générations des cieux et de la terre, les choses sont à l'inverse. Il ne s'agit pas d'une progression mais d'une régression qui dura 130 années, jusqu'à ce que le péché apparaisse dans le cœur de l'homme. Dans le livre de la postérité ou génération d'Adam (Genèse 5: 1), il est dit que Dieu créa Adam ou l'homme à sa ressemblance. Mais au v.3 il est dit que l'homme ou Adam vécu 130 ans avant d'engendrer un fils, non à l'image de Dieu, mais à son image, et qu'il nomma Seth, qui, lui au v.6, engendra un fils qu'il nomma Énosh.

 

La première chose que nous remarquons, est qu'Adam, terme singulier qui représente un pluriel pour désigner une multitude ou plus précisément une race, a vécut 130 années avant de se faire une renommée charnelle qui engendra la mortalité dans la race humaine. En d'autres mots, la race adamique initiale exista 130 années dans la pureté d'une existence humano-divine, avant que le péché de rébellion surgisse du cœur de l'homme. Ainsi la période de 130 années peut signifier aussi un temps indéterminé d'une très grande étendue, puisqu'à ce point du début de la création, le temps toucha à l'éternité, et tout était d'une perfection sublime. Nous voyons ces choses dans Genèse 1: 31 où l'Esprit des vivants dit, après avoir créé la race adamique initiale, que «tout était d'une suprême excellence», et par le fait que le mot Seth signifie «renommée, substitut, remplaçant», et le mot Énosh signifie «mortalité, défaillance». En d'autres mots, lorsque le péché fut manifesté, l'Esprit des vivants remplaça la pure existence de la race adamique initiale, par une existence de mortalité et de défaillance, ce qui mit en action le principe du renoncement, par la soumission à ses instructions.

 

La race adamique initiale vivait donc au début dans un état d'existence presque identique à celle de la grâce du salut, dans lequel nous sommes, mais comme étant achevé puisqu'il n'y avait pas de péché, et que tous se réjouissaient dans la Sainte Présence de l'Esprit des vivants. Il y a toutefois quelques différences importantes, surtout dans le fait que les choses vont à l'inverse de notre position présente ou actuelle. Premièrement ils n'avaient pas atteint le plein potentiel de leur conscience d'existence, ce qui nécessita que Dieu leur impose une loi d'interdiction pour éveiller leur conscience à leur état de créature. Deuxièmement la Sainte Présence de l'Esprit des vivants n'était pas intrinsèque à leur existence humano-divine, elle commença à opérer en eux seulement avec la loi d'interdiction qui devint la loi de la conscience en tous les hommes, et pour tous les temps, de génération en génération. Troisièmement le principe du renoncement ne pouvait entrer en vigueur avant que la loi engendre la tentation, qui produisit la chute occasionnée par la rébellion. À partir du moment de la chute en le Jardin d'Éden ou Enclos de la Grâce, les choses devinrent dans le sens progressif que nous connaissons.

 

Lors de ce qui est généralement nommé, la tentation par le serpent dans le Jardin d'Éden, on voit en réalité que la race adamique initiale, qui agissait comme un seul homme, ayant tous une même conscience et une même volonté, rejeta en bloc le renoncement de soi, et fut condamnée à une mort certaine, et que l'Esprit des vivants leur donna la promesse d'un Messie à venir pour les délivrer et les restaurer en pleine communion avec Lui. Toutefois il avait déterminé d'avance que seulement certains jouiraient de la promesse en leur faveur, et que le reste demeurerait séquestré dans leurs raisonnements serpentins. Ce principe se nomme la double prédestination, qui contient le décret d'élection et le décret de réprobation.

 

LE RENONCEMENT DANS LES GÉNÉRATIONS SUCCESSIVES

Dans toutes les générations de Seth à Noé, le renoncement progressa avec grandes difficultés, dû au fait que le cœur de l'homme s'était considérablement endurci dans sa rébellion, et ils avaient surpassé le point de non-retour. L'homme fut déchu et rejeté de la promesse, mais Dieu avait choisi huit personnes, dans une population de milliards, pour que la promesse se réalise au temps déterminé, après qu'il détruisit tous les habitants de la terre par un déluge universel.

a) Du temps de Noé et ses fils, jusqu'à Abraham, nous voyons que le début de cette période était celle d'un monde complètement nouveau, dans tous les sens du terme. Noé était le symbole, l'image, modèle ou archétype du renoncement de l'Esprit des vivants, qui marquait le début d'une nouvelle existence pour la race humaine. Il avait renoncé à son ancienne vie dans un monde corrompu et dépravé, qui avait été complètement détruit, à cause de sa rébellion, pour tout recommencé à nouveau dans une pleine humilité et soumission à l'Esprit des vivants. Sa femme et ses enfants, Sem, Cham, et Japhet, marchaient dans ses voies, et se partagèrent toute la terre pour la repeupler, en maintenant le plus grand respect pour l'autorité de leur père qui était le chef de la race humaine. Sem était le père de la race brune, Cham le père de la race noire, et Japhet le père de la race blanche, et tous étaient des géants au niveau physique et au niveau intellectuel, et ils avaient de grandes connaissances sur différentes sciences. Même que Noé avait amené avec lui dans l'arche, les registres de la connaissance des anciens constructeurs puissants ou fils du matin de l'existence, pour les préserver. Il ne faut pas s'imaginer qu'au début de la création, que l'homme n'était qu'un simple laboureur. Au contraire, il était super intelligent, au-dessus même de ce qu'on puisse s'imaginer. Dieu n'a pas créé des ignorants, mais une race qui détenait de grandes connaissances qui surpassent les bornes de notre compréhension moderne.

 

Après un certain temps, Noé planta une vigne et s'enivra du vin nouveau de sa nouvelle existence, en laquelle il se réjouissait grandement, et avec raison. Coucher nu dans sa tente pour se rafraîchir de la chaleur du jour, son fils Cham le vit et se moqua de lui à ses frères, apportant la honte sur son père. Mais ses frères, Sem et Japhet le réprimandèrent sévèrement, puis prirent un voile et entrèrent de reculons dans la tente de Noé, et couvrirent la nudité de leur père pour qu'il ne devienne un sujet de railleries parmi les peuples de la terre.

 

Lorsque Noé apprit cela après son réveil, il fut fort irrité contre son fils Cham qui s'était moqué de son autorité, et il maudit Canaan, le fils de Cham. C'est à dire que les descendants de Cham, la race noire, porteraient la malédiction de leur père pour tous les temps, jusqu'à la fin des temps, et seraient ainsi esclaves des descendants de Sem et de Japhet. En revanche il bénit Sem et Japhet d'une grande prospérité, aux niveaux matériel et spirituel. Depuis la race noire se moque toujours des autorités, et ne détient aucun respect pour les autres races des hommes, car dans son orgueil elle se croit supérieure à tous. Mais l'orgueil engendre toujours la ruine. La pauvreté, la misère, et les malheurs les accompagneront tout le temps de leur existence en ce monde, car ils refusent la soumission du renoncement envers l'autorité suprême que Dieu a établi. Néanmoins il y a toujours des exceptions, car l'Esprit des vivants a déterminé d'en sauver quelques-uns qui participerons à l'héritage des saints avec nous, pour former un nouveau peuple, une nouvelle race céleste et éternelle.

 

b) Le début des conséquences de la malédiction sur la descendance de Cham, fils de Noé, ne tarda pas à se manifester. Le renoncement rencontra une sévère opposition avec la grande apostasie mondiale de Nemrod, et le culte d'adoration du soleil interne des initiés, ou culte de l'intelligence, qu'on peut nommer aussi le culte de l'estime de soi. Quoique les peuples ignorants adoraient l'astre dans le ciel, les Chaldéens de l'Empire Sumérien, s'enfoncèrent davantage dans le mystère d'iniquité, de ce qui est nommé les profondeurs de Satan. Cette apostasie infernale consistait à séduire les peuples de la terre, pour qu'ils rejettent le renoncement de l'Esprit des vivants, en magnifiant leur indépendance par des connaissances ou sciences humaines extraordinaires, voir même surnaturelles. Les mathématiques ingénieuses dans la construction de monuments colossales qui surpassent la compréhension de nos sciences modernes, en donnent les évidences pour nous dévoiler un système d'idolâtrie grandement sophistiqué. Cush, un des fils de Cham (Genèse 10: 6) et père de Nemrod, fut déifié comme père des dieux, Nemrod fut déifié comme fils des dieux, et sa femme Sémiramis fut déifiée comme mère des dieux. Ces trois rebelles firent construire la fameuse tour de Babel, la porte des dieux, qu'on nomme de nos jours la pyramide de Chéops, le symbole de la rébellion et de l'idolâtrie par excellence.

 

c) D'Abraham à Jacob et les douze tribus d'Israël, le renoncement de l'Esprit des vivants, fit du progrès, mais uniquement parmi le peuple hébraïque. La soumission du renoncement se voit surtout en ce qu'Abraham offrit son fils unique en sacrifice à l'Admirable Souverain suprême, mais un ange arrêta son bras. Cet exemple suprême du renoncement est repris et accomplis dans le sacrifice de la croix. Abraham offrit son fils et l'Esprit des vivants prit un corps de chair et s'offrit Lui-même comme Fils pour nous racheter de la malédiction de la loi.

 

Jacob, fils d'Abraham, combattit avec l'Esprit des vivants pour avoir son Nom, et persévéra jusqu'à la victoire, et fut grandement bénis. Il fut donné le nom d'Israël, nom qui signifie «celui qui persévère avec l'Esprit des vivants». Mais il fut blessé à la hanche pour l'empêcher de s'en orgueillir. De lui sont nées les douze tribus d'Israël selon la chair, en laquelle se trouvait l'Israël de Dieu selon la promesse.

 

Joseph, fils de Jacob, qui était un type ou préfiguration du Messie à venir, était un modèle d'humilité qui est l'essence du renoncement. Il fut donné une position de haute importance par le Pharaon d'Égypte, et fit venir son père et ses frères pour y habiter. Ils y habitèrent dans l'humilité du renoncement en toute liberté, jusqu'au temps de Moïse, le grand législateur de la loi. Cette période est marquée par un décalage de 400 ans, dans laquelle il y eut de grands bouleversements géographiques. Des nations et des peuples disparurent, et la terre fertile de l'Égypte devint sablonneuse par un accru des eaux de la Méditerranée, occasionné par l'explosion d'un énorme volcan dans la région de la Crète.

 

d) De Moïse à David, le principe du renoncement fut grandement magnifié par la loi de notre Admirable Souverain Suprême. Moïse qui écrivit les cinq premiers livres de l'Ancien Testament, ainsi que le livre de Job, sous l'inspiration et la direction de l'Esprit des vivants, fut donné par révélation de codifier la loi de la conscience en dix principes ou commandements, qui furent inscrits sur des tables de pierre prodigieusement, par la puissance de notre Admirable Souverain Suprême. La loi de Dieu ou loi morale devint ainsi la règle du renoncement en Israël, et prépara le chemin pour la manifestation du Messie, à savoir Jésus le Christ, dont Moïse avait prophétisé la venue. Ce fut cette prophétie qui bouleversa Saul de Tarses sur le chemin de Damas, lorsqu'il en reçu la révélation dans une lumière éblouissante, qui le rendit aveugle pour quelques jours.

 

e) Au temps de David, le renoncement de l'Esprit des vivants était grandement fortifié, en ceux que le Seigneur avait choisi, pour l'accomplissement de ses dessins, concernant le Messie promit.

 

Berger, guerrier redoutable, puis roi d'Israël, David, au sommet de sa gloire, se rend coupable d'un acte grave: il commet un adultère avec Bethsabée, la femme d'un de ses généraux. David va encore plus loin car il se débrouille pour faire assassiner le mari gênant. Suite à l'intervention du prophète Nathan, David prend alors la mesure de la gravité de ses actes. Il s'en repent sincèrement, mais le mal est fait. À cause de la faute de David, la violence est entrée dans sa famille et se prolongera même après la mort du roi. Les conséquences de ne pas se soumettre au renoncement ne sont jamais plaisantes.

 

Le successeur de David est son fils Salomon, un roi qui s'illustrera par sa grande sagesse dans le gouvernement d'Israël. Guerrier, musicien et poète, l'écriture de nombreux psaumes compilés dans le Livre des Psaumes lui est traditionnellement attribuée. Salomon fit construire un temple magnifique d'une richesse inestimable à l'Admirable Souverain Suprême. Mais malgré toute sa sagesse et sa grande renommée, il désobéit au principe du renoncement, en s'alliant avec six cent femmes et un grand nombre de concubines, et se prostitua à leurs dieux. Après sa mort, la nation d'Israël fut divisée en deux, et les peuples sombrèrent dans l'idolâtrie la plus abjecte. La notion du renoncement fut complètement dissipée dans leur rébellion contre l'Esprit des vivants, et ce fut la déchéance totale.

 

f) De David à Jésus le Messie fut une période grandement troublée, pleine de conflits et de guerres. L'histoire d'Israël est marquée par les conquêtes d'Alexandre le Grand, par ses généraux les Ptolémées, par l'opposition des frères Maccabées, par les guerres romaines, et par la montée en pouvoir d'Hérode le Grand sur Israël.

 

Jésus le Messie est né miraculeusement à Bethléem de Judée, sous occupation romaine. En d'autres mots, la vérité fut manifestée au milieu de la duplicité, la corruption avait atteint son sommet, et la destruction de Jérusalem et d'Israël était à la main. Pour mettre le sceau à cela, Jésus fut condamné par les Juifs et crucifié par la main des romains, dans la démonstration la plus sublime du renoncement de l'Esprit des vivants.

 

Le but de ce sacrifice suprême n'était pas pour délivrer la nation d'Israël de ses oppresseurs, car sa ruine avait été décrétée depuis avant la fondation du monde, mais pour délivrer l'Israël spirituelle du Dieu vivant de l'oppression du péché. En d'autres mots, le renoncement de Christ sur la croix, était strictement pour le salut de ses élus véritables, et leur garantissait l'assurance de posséder la vie éternelle, dans une nouvelle existence humano-divine. Tous les aspects de cette grâce merveilleuse incorporaient la notion primaire du renoncement, l'élection dans la prédestination, la propitiation dans le rachat des péchés, l'expiation des fautes commises, la réparation dans la formation, la réconciliation des relations brisées avec l'Esprit des vivants, la justification dans l'innocence qui nous est attribuée dans le sang de Christ, l'adoption comme fils de Dieu dans une nouvelle famille, la transformation dans l'émancipation totale au jour de l'émergence de Christ de ses élus, l'identification complète avec l'essence de son existence éternelle, et notre glorification en Lui et avec Lui dans l'ensemble de tous les saints. Toutes ces merveilles, et plus, sont à nous dans la grâce du salut qui nous est donné dans le renoncement du sacrifice de la croix.

 

g) De Christ à la fin des temps est nommé la période de la grâce, en laquelle l'appel à renaître est proclamé dans toutes les nations de la terre, pour le salut des élus qui s'y trouvent, mais aussi pour la condamnation et la destruction des nations, comme il a été déterminé d'avance de toute éternité. Ce principe est celui de l'épée à deux tranchants, un qui donne la vie et l'autre qui donne la mort. C'est le temps de la séparation du blé et de l'ivraie par diverses épreuves.

 

Tous seront éprouvés pour la purification de leur foi, et cela implique l'humilité de l'abaissement, la conversion du cœur, la correction des pensées, des raisonnements, et des attitudes. La rectification est le principe vital de la grâce du salut, elle est absolument nécessaire pour séparer les faux chrétiens des élus véritables, car tous ne sont pas des nôtres, il y a beaucoup de faux frères parmi nous et il faut savoir comment les déceler afin de les extirper de notre milieu, autant douloureux que cela puisse être, car ils n'ont aucune part avec nous. Soyez donc vigilants et utilisez du discernement pour éviter l'erreur dans ce domaine crucial.

 

Le renoncement dans la conversion initiale, est la porte d'entrée dans la grâce du salut, et de ce fait l'explication demande beaucoup de précision, pour éviter que de sérieux problèmes puissent surgir plus tard, et occasionner des situations désastreuses. Jésus dit que «si quelqu'un veut être son disciple, il doit renoncer à soi-même et porter son fardeau», cet enseignement est tellement vital à la grâce du salut, que nous ne pouvons pas le négliger, et surtout de ne pas le prendre à la légère. Le principe du renoncement dont nous parlons ici, est d'être réduit forcément dans la poussière de l'humilité, dans la réalisation de notre état de corruption et de perdition, dans une crise de larmes et de lamentations profonde, dans laquelle nous devons abandonner totalement notre vie à Christ sur la croix. En d'autres mots, il s'agit d'avoir atteint le bas fond de notre vie de pécheur et de rebelle, pour être relevé dans une nouvelle vie en considérant le sacrifice de la croix en notre cœur tortueux et complètement dépravé. Mais cela est complètement impossible à l'homme, il faut absolument une intervention divine pour lui donner la reconsidération nécessaire de son état d'être, et l'attirer à la croix dans la réalisation du renoncement suprême en sa faveur. Si une personne dit avoir une différente expérience, sa conversion est fausse et illusoire, et nécessite une correction afin qu'elle parvienne à la vérité et soit sauvée. Vrai que nous avons tous des différents caractères et des différentes expériences dans la vie, mais le principe se maintient car nous sommes tous pécheurs.

 

Dans ce principe de conversion essentiel, rien, absolument rien n'est de l'homme, tout est de l'Esprit des vivants qui a déterminé toutes choses d'avance avant la fondation du monde. Cela nous indique que l'appel irrésistible à la grâce du salut, ou convocation à renaître, est restreinte et sélective, et s'applique strictement à une catégorie de personnes qui a été choisie pour la recevoir avec tous les aspects de ses merveilles, à savoir ses élus véritables. En d'autres mots, l'Esprit de Christ est Celui qui abaisse forcément ses élus dans la poussière de l'humilité, et les traîne par les cheveux comme des esclaves désobéissants et rebelles qui se lamentent avec cris de résistance du traitement qu'ils reçoivent et qu'ils considèrent injuste, jusqu'au pied de la croix, et lèvent leur tête pour qu'ils regardent Celui qui est crucifié, dans un esprit de reconsidération face à leur condition. Celui qui n'est pas abaissé dans la poussière de l'humilité, n'est pas des siens.

 

Si nous mentionnons toutes ces choses, c'est que plusieurs ont emprunté une méchante voie pour parvenir à la croix. Si votre conversion s'est produite dans une église, lors d'un appel du pasteur à venir en avant pour recevoir Christ pour votre Sauveur personnel, ou que vous le fassiez en privé à la maison sous les mêmes directives ou principes similaires, votre conversion est fausse car elle n'est qu'une contrefaçon. Vous avez accepté un faux Jésus dans votre cœur, et vous avez reçu un faux esprit qui vous mènera dans la duplicité, et vous aveuglera en vous faisant penser que vous êtes dans la vérité. Il en est de même si votre conversion s'est produite dans un groupe ou église de maison, dans une réunion de prières, ou dans une campagne d'évangélisation. Très peu sont conscient que le Jésus proclamé dans ces endroits malsains, est le faux Jésus, deuxième personne de la trinité chimérique babylonienne, c'est à dire le diable sous déguisement d'un sauveur personnel. La grande majorité de ceux qui se disent chrétiens et même élus, ont le père du mensonge pour sauveur. Ils doivent aller en prière devant le trône de Dieu et renoncer à cet imposteur, pour être rectifié dans la voie de la vérité, autant pénible que ce soit, autrement la perdition éternelle les attend. Cela implique par nécessité de renoncer à tous vos faux raisonnements sur ce sujet, amener toutes vos pensées, vos idées, toutes vos théories, et toutes vos opinions captives à Christ. Puis nous vous recommandons de lire et relire T.U.L.I.P.E., Les doctrines de la Grâce, de même que PréDestination ou PostDestination, afin de vous fortifier dans la vérité. Mais tous n'écouteront pas cet avertissement car ils ont été prédestinés à l'exclusion de la grâce, et en subiront les conséquences éternellement.

 

LA MODERNISATION DU RENONCEMENT

En nos temps contemporains de déchéances spirituelles, il n'est étrange de voir que le renoncement a été modernisé pour plaire aux caprices des hommes. On le nomme souvent avoir de bonnes intentions, ou prendre de bonnes résolutions pour améliorer sa vie, afin d'être plus acceptable dans une société complètement déséquilibrée, en recherche constante de l'estime de soi pour se valoriser. Les analyses psychiatriques sont à l'ordre du jour, pour rectifier les comportements et les attitudes. Des conseillers perfides altèrent les pensées et les raisonnements de gens malavisés, qui mettent leur confiance en de tel charlatans qui les exploitent à tous les niveaux. On a fait du renoncement de l'Esprit des vivants une expérience en relation sociale, qui délivre ou libère les gens de leurs inhibitions, sur des choses interdites par la morale chrétienne. Le monde moderne a sombré dans la décadence la plus profonde de toute l'histoire humaine.

 

Pourrait-on espérer quelque chose de positif de la part du christianisme moderne ? Impossible, car le renoncement de l'Esprit des vivants ne fait même pas parti du répertoire du chrétien moderne. Ils en sont complètement indifférents, et s'il advient qu'ils en entendent parler, il le regarde comme une fable de grand-mère qui n'a plus aucune valeur pratique de nos jours. Mais certains tarés en ont même déformé le sens pour lui donner la signification qu'il faut donner régulièrement sa dîme et des offrandes à son église, ou donner quelques miettes de leurs revenus aux itinérants sur la rue, ou encore de contribuer à quelques organisations charitables. Mais aucun ne renonce réellement à soi-même, tout ce qu'ils font est pour leur propre édification et leur propre gloire.

 

Le renoncement de l'Esprit des vivants a complètement été dévalorisé, et la race humaine en payera les conséquences.

 

Déjà les jugements de Dieu s'abattent sur les hommes de la terre depuis de nombreuses années, et les hommes refusent toujours de se repentir, et de reconnaître sa Souveraineté. Mais finalement le jour de vengeance de l'Esprit des vivants commença à se manifester avec la pandémie du coronavirus, et les choses iront en empirant dans le monde entier, jusqu'à la destruction totale de la race humaine qui sera pour bientôt.

 

LE PRESSENTIMENT DE LA PRÉSENCE DE CHRIST

Tous chrétiens authentiques et élus véritables, connaissent la grâce du salut, et peuvent l'expliquer clairement et avec joie, sans aucune confusion, même s'ils n'utilisent pas des termes théologiques pour la décrire, mais ils peuvent l'expliquer en leurs propres mots même s'il y manque quelques détails. Évidemment tous n'ont pas le même niveau de connaissance, car nous sommes tous dans un processus d'apprentissage, mais ils purent au moins en donner les notions rudimentaires avec une grande clarté et empressement. On ne peut se dire chrétien et ne pas être capable de répondre à cette question essentielle, on ne peut se dire dans la lumière et demeurer dans les ténèbres. Si nous sommes vraiment dans la clarté, il n'y a pas de confusion dans ce domaine crucial. Même que c'est une grande joie d'en partager les principes. Rien en effet n'est plus naturel pour un chrétien authentique. On pourrait même nommer ce principe le partage du pain de vie. Dans une réunion de frères et de sœurs en

christ, qui généralement de nos jours se fait par vidéo, car nous nous trouvons tous dans différents coins du monde, une personne ne vient pas pour apprendre, mais pour partager ce qu'elle a appris pour l'édifications des autres, et pour l'utilité commune. Si vous n'avez rien à dire, n'assistez pas à de telles réunions de groupe. Prenez plutôt le temps de vous soumettre à l'apprentissage de Christ afin d'être utile à tous

 

Dans une discussion récente avec une personne supposément chrétienne depuis plusieurs années, et qui se considère élue, nous lui avons posé la question: Peux-tu nous expliquer c'est quoi la grâce du salut ? Elle ne le pouvait pas, et était toute confuse, nous demandant de lui donner la réponse. Nous avons insisté deux autres fois, en lui disant de nous répondre avec l'Esprit de Christ qui supposément habitait en elle, ajoutant que si elle ne pouvait pas répondre qu'elle n'était réellement pas chrétienne. Entendant cela, elle se mit à nous dire des idées décousues d'une croyance fragmentée, et de notions morcelées empruntées aux sectes dites évangéliques. Puis elle dit: Jésus est en moi, et personne ne peut me l'enlever. Nous avons donc cessé la discussion car il était évident que nous n'avions pas le même Esprit. Mais elle avait raison de dire que personne ne pouvait lui enlever son Jésus, car personne ne veut de son faux Jésus et son esprit de duplicité. Elle n'avait qu'un pressentiment de la présence de Christ, et sa foi n'était que de la présomption scindée d'un manque de connaissance qui porte à une ruine inévitable. En d'autres mots, sa foi était purement émotionnelle, et non réelle (voir: Le désastre de la foi émotionnelle). Le pire est qu'elle refusa la correction et coupa la communication, mettant le sceau à sa réprobation. L'Esprit du Seigneur nous remit en mémoire qu'il avait dit participer à plusieurs réunions à tendances charismatiques, et nous fit réaliser que là était la source de son problème. Cela n'est qu'un exemple parmi tant d'autres, pour vous indiquer que tous ne sont pas des nôtres, et qu'il nous faut être vigilants.

 

Le Dictionnaire Crisco nous donne la signification du mot pressentiment comme étant: «Prévision confuse, irraisonnée (d'une chose à venir ou non encore connue, généralement défavorable). ― Connaissance confuse, irraisonnée (d'une chose présente qui n'apparaît pas clairement)».

 

Ce terme est relié à la divination, à l'intuition, la présomption, et au sentiment ou émotion. Nous touchons ici à des aspects du satanisme et au spiritisme avec ses puissances occultes ou surnaturelles, c'est à dire aux profondeurs du domaine corrompue de la nature humaine déchue, dans la plénitude de ses duplicités et perversions. En d'autres mots, il s'agit ici de l'héritage exclusive des réprouvés qui établissent le monopole sur leurs propriétés par des sanctions et des sorts, charmes ou enchantements qu'on nomme de la logo-magie. C'est à dire un état d'ensorcellement, de maléfices et de malheurs qui partage l'esprit d'une personne, ou une situation particulière qui s'oppose à Christ et à la vérité révélée, qui se nomme aussi une possession démoniaque. La possession peut être d'une moindre intensité à la plus grâce, mais il y a néanmoins toujours une captivité de l'âme et de l'esprit. En science moderne de la psychologie, cela est nommée une névrose ou psychose qui peut avoir des effets moindres à désastreux, mais le patient ne peut jamais en être délivré complètement, car la cause leur demeure incertaine, ils ne peuvent que traiter de telles conditions avec des drogues puissantes qui occasionnent plus de problèmes.

 

Au niveau du christianisme contrefait moderne, ces choses se manifestent surtout parmi les mouvements pentecôtistes et charismatiques, où nous trouvons des dérèglements de conscience, et des emportements de tous genres, souvent dans des frénésies collectives, des comportements étranges, et des inspirations mystiques. Nous sommes en plein dans le domaine du faux Jésus, d'un faux évangile, et d'un faux esprit qui s'empare de la conscience de gens crédules et ignorants. Ceux qui trempent dans ces déceptions subtiles en échappent point, ils sont marqués pour le restant de leur vie. C'est le cas ou situation de la personne avec laquelle nous avons parlé plus haut, et elle n'est pas la seule dans cette condition déplorable, il s'en trouve par milliers de nos jours. Ces gens sont séquestrés dans leur conscience, ils sont esclaves d'un Jésus imposteur qui leur donne l'illusion d'être chrétiens, lorsqu'ils sont en réalité des fils du diable, des disciples de Satan.

 

À moins d'une intervention miraculeuse, ils ne pourront jamais s'en sortir, ils vont demeurer les prisonniers du faux Jésus qui domine dans leur conscience.

 

Faut-il se résigner au désespoir ? Non ! absolument pas ! Notre Dieu est Tout-puissant, rien ne lui est impossible. Tous nous nous devons comprendre qu'il a désigné le décret de réprobation et que sa volonté est immuable. Nous devons espérer que sa délivrance d'une telle personne fasse partie de son décret d'élection, car ses voies sont mystérieuses, et ses pensées sont au-dessus de nos pensées. Mais il nous faut donc aussi réaliser, que nos désirs ne sont pas nécessairement sa volonté, et nous devons nous soumettre au fait qu'il est le Souverain Suprême et Maître absolu sur toutes choses. Même qu'il nous est interdit de prier pour le péché qui mène à la mort, c'est à dire de prier pour la délivrance de ceux qui ont commis le péché impardonnable contre le Saint-Esprit ou Sainte Présence de Christ. Puissions-nous constamment communier avec Lui dans la grâce de sa Sainte Présence qui nous habite, et Lui être toujours reconnaissant pour sa délivrance et sa protection. En vérité, en vérité, nous vous disons, sa grâce nous suffit, car sa puissance agit en nos faiblesses. Amen !

 

A Christ seul soit la Gloire

Amen !

 

Rédigé par Jean leDuc sous la direction de Christ

pour la communauté mondiale des élus.