CHAPITRE VIII.


942-971 apr. J.-C.

LES RÈGNES DE MALCOLM I. — INDULF. — DUFF — CULLEN — LE SEUL TALENT DE L’ÉCOSSE.

Malcolm I., fils de Donald, fut le successeur de Constantin, le monarque que nous avons vu, dans une ancienne chapitre, descendant du trône pour passer son âge dans le monastère de Saint-Culdean de St. Andrews. Avec Malcolm Ier s’ouvre une série de règnes obscurs qu’il était ennuyeux et sans aucun profit à chroniquer. Constantin avait laissé à son successeur un héritage de troubles politiques, dont le règlement occupa les premières années de la vie de Malcolm. règne. La tâche était difficile. L’esprit de la nation s’était abaissé, ses bras ses chefs les plus braves tombés au combat, et la violence levant la tête dans le mais le nouveau roi s’attaqua virilement aux maux qui l’assaillaient sur tous les fronts. Côtés. Il s’arrangea d’abord avec ses voisins d’Angleterre ; il donna ensuite aux Danois de savoir que c’était à leurs risques et périls s’ils mettaient le pied sur la terre écossaise pendant qu’il remplissait le trône. Enfin, il s’attelle à l’œuvre de rétablissement de l’ordre dans son pays. Il purgé ses tribunaux de la corruption des juges vénaux. Il contraignait par les terreurs de sa justice ceux que le sens de l’équité et de la L’honnêteté ne pouvait pas se retenir. Il réprima d’une main ferme l’anarchie qui s’était développée sous l’ancien règne. Ces mesures firent de tout homme paisible son ami ; mais ils n’ont pas tous ceux qui se plaisaient au vol et au pillage, et ils n’étaient pas peu nombreux, ses ennemis. Il était occupé à poursuivre des brigands à Moray, et à essayer de faire de son pouvoir sceptre au-delà de la Spey, la limite d’Alban, lorsqu’il périt sous le poignard d’un assassin. La Chronique picte dit que les hommes de Moerne l’ont tué à Feteresso, dans le paroisse de Fordun, Kincardineshire ; Mais les chroniques postérieures enlèvent la scène de son mort plus au nord, et déclarent qu’il a été tué par Ulurn par les Moravienses, ou peuple de Murène. 1 rue Berchan place sa tombe à Dunotter. La mort de Malcolm eut lieu en 954, au treizième année de son règne.

Malcolm Ier fut remplacé par Indulf, le fils de Constantin L’événement le plus notable du règne d’Indulf fut une nouvelle invasion de la Danois. Ces visites, qui devenaient de plus en plus familières mais pas plus bienvenues, sont venues se préparer le patriotisme de la nation lorsqu’elle risque de se relâcher. Les Scandinaves ont traversé la dans une flotte de cinquante navires. Ils ont ravagé les côtes méridionales de l’Angleterre. Intention Cependant, après avoir amassé plus de butin avant de retourner dans leur pays, ils ont navigué vers le nord et entra dans le Firth of Forth. Leur apparition répandit la terreur sur les deux rives de l’estuaire. Les timides quittèrent leurs maisons et s’enfuirent. Les courageux se hâtèrent vers la plage, et se rassembla en si grande force que les Danois jugèrent prudent de se retirer. En déposant le bouton Après le mois de mai, leurs galères contournèrent le « neuk » de Fife et entrèrent dans le estuaire de la Tay. De nouveau, une phalange de combattants déterminés bordait les rives de la et les envahisseurs virent qu’il n’y avait pas non plus de lieu d’atterrissage sûr. Ils ont navigué et, longeant les côtes de l’Angus et de Mearns, ils arrivèrent au large de Buchan, cherchant tout le chemin un ruisseau non gardé, ou une baie dans laquelle ils pourraient faire courir leurs galères et lâchèrent leurs hordes dévastatrices comme une volée de vautours sur la terre. La côte hérissé de défenseurs prêts à se battre avec l’ennemi s’il ose atterrir et le jeter dans les vagues. Les envahisseurs mirent leurs gouvernails et s’enfuirent jusqu’à la côte danoise. C’était une feinte. Après avoir disparu dans le bleu, ils réapparurent soudainement. À la découverte de la côte Sans surveillance, ils débarquèrent sans opposition dans le Banffshire, près de Cullen. On leur a donné peu de temps pour piller et tuer. Indulf ne tarda pas à les rejoindre, et les deux armées furent installées dans des combat. Les Danois furent poussés et conduits à leurs navires, et hissèrent les voiles, cette fois en Ils s’enfuirent dans leur pays. Le roi Indulf était tombé au combat, et le Le trône d’Écosse était de nouveau vacant. 2

Un autre événement dans le court règne d’Indulf de huit ans, faut-il le noter. Son père, Constantin, s’étant enfui devant Athelstan, avait abandonna les Lothiens, et avec les Lothians une ville destinée à être un jour la capitale de la L’Ecosse, pour les Anglais. Ce que le père avait perdu, le fils l’a récupéré ; car dans l’Indulf jours où Édimbourg reprit sa place parmi les villes écossaises, pour ne plus possession d’étrangers, ou être gouverné par un autre sceptre écossais qu’un sceptre écossais.3

Duff, le Noir (962), était le nouveau roi. Il était un excellent prince, si l’on en croit les annales incertaines de ces temps lointains. Fordun l’appelle un homme d’une simplicité de colombe, mais la terreur des rebelles, des voleurs et des Voleurs. Cullen, le fils de son prédécesseur, tenta de s’emparer de son trône, en violation de ce qui était en ce temps-là l’ordre établi de la succession, même que le frère ou Le neveu et non le fils succéda au monarque défunt. Cullen porta sa cause devant les tribunaux. champ de bataille et a été vaincu. Parmi les tués se trouvait Dunchad, abbé de Dunkeld.4 On se demande ce qu’il a à faire dans la bataille. L’incident, cependant, est important. Il nous dit qu’un grand Le changement s’était opéré dans la charge d’abbé. Les possessions temporelles de l' Les abbayes avaient été disjointes des devoirs spirituels de l’office, et ces Les institutions en étaient venues à avoir une double tête. Les terres, converties en terres héréditaires, seigneurie, appartenaient à des familles de haut rang, et les devoirs spirituels étaient remplis par un prieur. Cela nous permet de comprendre pourquoi un abbé doit apparaître en armes sur le champ de bataille, et son cadavre sera trouvé parmi les tués quand le combat aura pris fin.

Duff le Noir s’était justifié sur le son droit de régner, mais maintenant il était attaqué par un ennemi dont les armes étaient impuissant à le défendre. Le roi fut saisi d’un étrange désordre. Ses médecins l’ont fait ne comprend pas sa maladie ; Ils n’ont certainement pas réussi à le guérir, et en conséquence ils l’ont trouvé commode de le rapporter à une cause que leur art ne leur permettait pas de combattre. Le King, disait-on, languissait sous le pouvoir flétrissant des mauvais sorts. Sa maladie l’empêcher de superviser personnellement l’administration de la justice, ce qui a été équivaut presque à une suspension du gouvernement ; car, à moins que le roi ne fût présent pour passer et de la voir mise à exécution, le crime resta impuni. Le Roi La maladie était une occasion en or pour le voleur et le brigand. Les impies ont ciré le de la croyance confiante que le roi était sur son lit de mort, et qu’il ne serait plus jamais se mit à la tête des affaires. Duff, cependant, a falsifié ces mauvais augures. Tremblant Guéri de sa maladie, il se leva de sa couche, à la terreur du malfaiteur, et se mit à demander des comptes aux maraudeurs de tous les degrés, du serf au noble. Le roi, selon aux chroniqueurs ultérieurs, visita les comtés de Moray et de Ross, qui étaient devenus des foyers d’incendies criminels et de rébellion. Il parvint à appréhender les meneurs, et, les amenant à Forres, il les fit exécuter publiquement. Mais cet acte de juste vengeance, qui Le roi espérait inspirer une crainte salutaire de la loi dans les districts où elle était flagrante. réduit à néant, offensa moralement le gouverneur du château royal de Forres. Parmi Ceux qui avaient expié leurs crimes sur la potence étaient quelques-uns des les parents de sa femme, pour la vie desquels ils auraient supplié le roi en vain. Ils attendaient l’occasion de se venger. Sur son chemin vers le sud, le roi s’arrêta pour passer la nuit au château de Forres. Occupés à retrouver leurs repaires Les fatigues du roi avaient été grandes, et son sommeil était profond. Le Les gardes à la porte de sa chambre ont été drogués. À minuit, deux assassins furent admis dans son chambre à coucher, et ceux-ci firent promptement leur cruelle besogne.5 Comment le cadavre du monarque écorché et mutilé devait-il être éliminé ? Le matin révélerait l’acte sanglant de la nuit. Dans l’obscurité, le courant de une rivière voisine fut détournée de son cours, une tombe fut creusée à la hâte dans le lit de son canal, et quand le corps du roi assassiné y eut été déposé, les eaux furent rallumés, et l’on fit couler le ruisseau dans son lit accoutumé. Le spot l’endroit où le cadavre royal était caché était près ou sous le pont de Kinloss. Le régicide, malgré cet ingénieux moyen de le dissimuler, ne resta pas longtemps sans être découvert, et ne le fit pas non plus. ses auteurs échappent au châtiment que leur crime méritait. Le corps du roi fut exhumé et transporté à Iona. Sa mort est placée en 967.

Cullen, fils d’Indulf, qui, comme nous l’avons dit, avait tenté d’arracher la couronne du front d’un homme plus digne que lui, tenait le sceptre. Le pouvoir qu’il avait si ardemment convoité, il le possédait maintenant légalement, mais notoirement et honteusement abusés. Les historiens s’accordent à dire que Cullen, le fils d’Indulf, fut l’un des pires rois qui aient jamais régné sur les Écossais. Il n’a pas mis de à ses plaisirs licencieux. John Major l’appelle « l’Écossais Sardanapale. 6 Il a infecté la jeunesse de la nation d’un vice qui, entre tous les autres, sape la vertu virile, et est fatal à la noble résolution. Les soucis du gouvernement ont été négligés : Les nobles s’enfuirent de sa cour, et le peuple fut dépouillé pour maintenir les réjouissances de la palais. Une telle conduite ne pouvait avoir qu’une fin violente. Un assemblage de l' Les états se réunirent à Scone pour concerter les mesures destinées à corriger les désordres de l’État. Cullen fut invité à les rencontrer, et sur son chemin, il fut surpris et tué à Methven par Rohard, thane de Fife, dans la famille duquel ses liaisons avaient apporté le déshonneur et la détresse. Il avait régné quatre ans et six mois. 7

L’Ecosse, à cette heure, ne donnait que peu de promesses d’atteindre jamais la haute destinée à laquelle il semblait si sûrement et si rapidement sous Columba et ses successeurs immédiats. Sa force avait été affaiblie en le chemin ; elle s’était détournée de la seule route qui menait au but qui, dans les années précédentes, il s’était efforcé avec tant d’ardeur d’atteindre. Il semblait destiné à retomber dans son barbarie, et ne jamais voir le bon pays d’une liberté spirituelle et politique parfaite. L’Ecosse n’avait reçu qu’un seul talent : il lui incombait donc d’autant plus de Conservez ce talent, échangez-le et utilisez-le pour en tirer le meilleur parti possible. Quelques-uns de ses voisins avaient reçu dix talents. Ils avaient été doués d’amples territoires, avec un sol fertile, avec un climat délicieux, et les arts et les lettres qui leurs ancêtres les avaient perfectionnés et leur avaient transmis. Mais aucune de ces riches dotations n’a été était tombé dans le lot du « pays de la bruyère brune et des bois hirsutes ». L’Ecosse avait n’a reçu qu’un seul talent, et ce seul talent, c’était le christianisme biblique. S’il devait s’échanger et devenir riche et grand, et devancer ses voisins avec leurs dix talents, eh bien ; mais s’il pliait son unique bien dans une serviette et l’enterrait dans la terre, qu’est-ce qui l’aurait L’Ecosse d’ailleurs ? Il avait tout dilapidé et n’avait rien devant lui dans les âges à venir mais la pauvreté et le servage.

Il ne s’agissait plus d’une simple théorie qui n’avait pas encore fait ses preuves. Écossais. Ils avaient mis à l’épreuve la puissance de leur unique talent, et ils avaient vu qu’il avait en lui le promesse d’une plus riche récompense à ceux qui commerceraient avec elle sur le marché de la monde entier que les dix talents de leurs voisins de France, d’Italie et d’autres pays. C’était Iona, c’est-à-dire le christianisme biblique, qui avait fait brûler l’Écosse comme une lampe dans les âges pas si lointains. C’est ce qui attirait de loin les rois et les princes sur son rivage, et les rendit fiers de respirer son air, et de converser avec ses sages, et la sagesse de ses écoles. Quand Iona se leva, les feux de Baal cessèrent de flamber, et les cruels sacrifices du druide n’étaient plus offerts. Puis Scot et Pict, à la place de se rencontrer dans des luttes mortelles sur le champ de bataille, se sont réunis pacifiquement dans le sanctuaire. Le Calédonien peint a disparu de ses straths et de ses collines natales : le sauvage transformés en civilisés. La charrue s’en alla pour faire la guerre à un ancien stérilité, et d’inviter le champ stérile à se réjouir parce que le temps était venu pour le jaillissement de fleurs et l’ondulation des moissons dorées. Commerce était en train de produire ses premiers bourgeons dans ce tendre printemps. L’artisan perfectionnait la ruse de sa main droite en réalisations familiales. L’architecture entraînait son habileté naissante à l’érection d’un plus grand nombre de structures prétentieuses que la hutte construite en acacia. Le métier à tisser envoyait des étoffes de des textures plus fines et des couleurs plus riches, ce qui montrait que l’art du tisserand était encore loin d’avoir atteint les limites de ses ressources. Le commerçant avait commencé à faire des entreprises au-delà des mers, et les visites de retour du marchand étranger donnèrent un puissant stimulant à la l’industrie du pays par l’échange offert de marchandises nationales avec des marchandises étrangères Produits. La merveilleuse transformation qui s’opérait maintenant sur la face du pays était la d’influences aussi silencieuses, mais aussi irrésistibles que celles par lesquelles le Printemps transforme le paysage le faisant sortir de la mort pour le faire entrer dans la vie et la beauté ; mais toutes ces influences avaient leur source à Iona. L’Ecosse trafiquait avec son seul talent, et récoltait une centuple.

Mais les hommes du Xe siècle ne sont que faiblement appréhendé tout cela. Leurs pères de la sixième et de la septième le voyaient clairement, et savaient ce qu’il en était c’est ce qu’ils ont fait lorsqu’ils ont jeté les bases d’Iona. Ils ont appelé à l’existence une église, simple et pur, dont la glorieuse mission est de redresser les conditions morales et spirituelles. l’équilibre de la chrétienté qui avait été détruit par la corruption du christianisme dans son sièges originaux, et réparer ainsi le tort fait au monde par les églises qui avaient trahi leur grande confiance. C’était une entreprise audacieuse, mais ils ont agi avec foi, et la foi est la la plus vraie prévoyance et la plus haute qualité d’homme d’État. Son œuvre seule perdure, s’élevant triomphante sur l’opposition et la défaite temporaire, et de survivre aux changements et aux révolutions qui les stratagèmes astucieux du simple politicien de l’Église et de l’État, et enterrer le nom et la la renommée de leur auteur dans l’oubli. Mais les hommes des Xe et XIe siècles, L’Écosse s’était affaiblie dans une vertu qui a fait la force de tous les hommes forts dans tous les pays. et qui était éminemment la force de leurs pères. « À quoi bon ! » avait commencé à se demander : « Est-ce que ce credo démodé nous fera du bien ? » Il a peut-être servi à guidez nos pères, mais notre ciel s’éclaire d’une lumière nouvelle ! Certes, nous ne le ferons pas Si nous échangeons le pâle et mourant rayon d’Iona contre la gloire naissante de cette ancienne et l’église apostolique qui a son siège sur les Sept Collines. Ne soyons pas singuliers ; Ne nous laissons pas nous séparer du reste de la chrétienté ; Ne demeurons pas toujours en dehors de la monde habitable. C’est ce que parlaient beaucoup d’Écossais. Comme il est évident qu’ils avaient commencé à méprisaient leur « unique talent » et l’enterraient dans la terre.

Un déclin s’était amorcé et demandait une correctif immédiat. Cette force spirituelle qui avait son siège dans le cœur des gens, et, bien qu’invisible, il a agi nuit et jour sur la nation, en la nourrissant et en la soutenant l’ordre, a été en grande partie retiré, et à moins qu’il ne survienne quelque terrible danger d’absorber tout passions dans la grande passion de l’enthousiasme pour le pays, la nation consommera et s’épuisent dans les inimitiés, les outrages et les querelles sanglantes, qui, dans le relâchement de leur grand lien de cohésion, ont déjà déformé le pays, et, continuant à finira par la détruire, convertissant la gloire du VIIe siècle en Au revoir du onzième. Mieux vaut que le cruel Viking brûle et tue, que cela L’Écossais devrait tomber par la main de l’Écossais ; et que les étrangers dans les temps à venir le pays déchu, et disent : Ses fils n’ont pas péri dans une bataille pour leur indépendance, ni dans une étaient-ils écrasés par la force des armes étrangères ; Leur perte est venue d’eux-mêmes. Ils ont permis à leur lumière de s’éteindre, et maintenant ils sont assis dans les ténèbres.


NOTES

1. Picte. Chron. Le celtique de Skene Ecosse, i. 364, 365.

2. Chron. Pictorum, n° 5. Innes. Sur la lande à l’ouest de Cullen se trouvent plusieurs tumuli de différentes tailles, que l’on croit être les monuments commémoratifs de cette bataille.

3. Chronicon PictorumEnquête de Pinkerton, vol. I, p. 496.

4. « Bellum inter Nigrum (Duff) et Caniculum (Cullen) super Dorsum Crup, in quo Niger habuit victoriam, ubi cecidit Duchad abbas Duncalden. » –Pict. Chron. Les Annales d’Ulster sous l’année 965 mentionnent une bataille entre les hommes d’Alban eux-mêmes, dans laquelle beaucoup furent tués, et parmi les d’autres l’abbé de Dunkeld.

5. « Vir pacificus, sed tempore ejus partes boreales latrones pertrubarunt, quos dum comprehendere perrexit in cubiculo occisus À l’heure actuelle, il n — Major, Hist. Scot., Lib. III. Cap. Iv.

6. Major, Hist. Scot., Lib. iii. casquette. iv. Dans l’extrait donné sur une page précédente des Chroniques des Pictes, il est appelé Caniculus, un petit de Cu, un chien ; une expression qui implique le mépris, et qui semblent laisser entendre que Cullen était le personnage sans valeur qu’on lui a représenté.

7. Une chronique anglaise dit que Cullen est tombé dans la bataille contre les Britanniques. Il a été suggéré que l’auteur voulait probablement dire le Plaines écossaises. Guthrie’s History of Scotland, vol. I, p. 188 ; Buchanan Hist. Scot., Lib. vi. vers 79. C’est aussi dit dans les Pictes. Chron. : « Culen et frater ejus Eochadius occisi sunt a Britonibus.


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