CHAPITRE XXIII.


L’INTÉRIEUR DE L’ABBAYE—LA ROUTINE DES SERVICES QUOTIDIENS. — LES DEVOIRS DES DIFFÉRENTS FONCTIONNAIRES. — L’AVANTAGE DE LA SOCIÉTÉ

Laisser nous allons à l’intérieur de l’abbaye, et nous examinerons les dispositions et l’ordre de la maison, et Remarquons en particulier comment les moines passent les heures de la journée. Un pays pieux et généreux Le patron a fait tout ce qui était en son pouvoir pour les exempter de toute inquiétude mondaine et les quitter libres de consacrer chaque minute et chacune de leurs pensées à l’exécution de leurs devoirs spirituels. Les lis des champs qui « ne peinent pas et ne travaillent pas non plus spin », ne sont pas plus exempts de soucis que ne le sont les habitants de ce petit Éden. Le La malédiction primitive, qui condamne l’homme à manger son pain à la sueur de son visage, est là inconnu. Des terres, des tènements, des immunités, des héritages de toutes sortes, David les a prodigués eux. Vient maintenant la question importante de savoir ce pour quoi tant a été fait faire pour les autres ? Quels sont les services rendus au monde par ceux qui possèdent de tels des richesses et des loisirs aussi illimités ? Cette question, nous serons mieux à même de quand nous aurons vu l’intérieur de l’abbaye et la routine de ses devoirs.

Le jour monastique était divisé en sept temps ou des périodes. À chaque division, on sonnait la cloche de l’abbaye, on assemblait les moines, et l’on Le service fixé pour l’heure a été dûment accompli. La première division était PRIME, soit six heure du matin, l’heure étant prise sur le cadran de l’abbaye, car les horloges n’avaient pas n’a pas encore été inventé. Les moines se levèrent à cette heure, et, après les prières, ils dirent la messe pour l’âme du fondateur et des bienfaiteurs. Le petit déjeuner a bien sûr suivi. Ce repas expédié, il qu’un « chapitre » ait besoin d’être tenu. Si un frère avait transgressé les règles du couvent, ou tomba dans d’autres fautes, son cas fut porté devant la l’examen du chapitre, et il a été traité comme son offense a été jugée méritée. La discipline du couvent était très peu spirituelle. Le moine peccant devra peut-être subir une flagellation. Ce châtiment était administré avec plus ou moins de sévérité. Là était une règle, sans doute, qui réglait le nombre des rayures, mais leur intensité aussi bien que celle des le nombre doit être pris en compte dans l’estimation de la douleur de l’infliction ; et de voir Ils étaient administrés par des frères compatissants qui pourraient eux-mêmes un jour être rattrapés dans une faute, nous pouvons conclure sans risque de nous tromper que ceux dont le devoir était d’administrer cette La discipline penchait du côté de l’indulgence. Ou le coupable était vêtu d’un vieux sac, ou Il devait marcher pieds nus dans ses tiroirs, ou errer dans l’enceinte du couvent portant la lanterne de pénitence. Il y avait une touche d’humour dans cette discipline, mais nous peuvent douter qu’elle ait beaucoup contribué à convaincre du péché ou à cultiver la sainteté.

À neuf heures de l’après-midi, on TIERCE, qui n’était marqué par aucun droit spécial. L’avant-midi a été passée par les pères dans le l’occupation ou l’amusement qui convenait le mieux au goût de chacun. Quelques-uns les prirent pour d’autres à la copie des manuscrits, en particulier des écrits des Pères et des Pères les légendes des saints, ou l’embellissement des missels. Ces derniers ont été exécutés avec un Une habileté rare, une précision étonnante et une beauté riche et brillante. Autres des pères goût pour le jardinage, passé les heures dans cette délicieuse occupation.

À midi, c’est au tour du SEXT. Les moines, jetant Le livre, la plume et la bêche se pressèrent dans le réfectoire et se mirent à table. Tous et toutes dîné à la même table. Ils mangeaient en silence, tandis que l’un d’entre eux leur lisait. Le Les sujets de conversation n’étaient pas alors nombreux, et les membres de la confrérie avaient de nombreux d’autres occasions d’échanger des idées, et le livre à l’heure du repas était d’autant plus supportable dans la mesure où personne n’était obligé d’écouter. Les bons moines, absorbés dans leur plat, même être complètement inconscient de ce qui était lu.

Les NONES étaient de deux à trois, quand le les moines, après avoir dîné, se sont promenés dans le jardin ou se sont promenés hors de l’enceinte de l’abbaye, ou bavardaient avec les bourgeois de la Canongate, avec lesquels ils vivaient ordinairement en bonne santé. voisinage. À quatre heures, ou peut-être plus tard, vinrent les vêpres. À sept ans, tous étaient On s’attendait à ce qu’ils soient à l’intérieur des portes pour chanter COMPLIES. Après que ce souper fut servi, et que ce dernier Le repas de la journée terminé, les pères se retirèrent dans leurs dortoirs et les couchèrent sur un matelas de paille ou de paille, sous une seule couverture avec un cône qui brûlait dans leur cellules toute la nuit. À minuit, ils furent de nouveau appelés de leurs lits à Mattins et louer. Ceux-ci dûment exécutés, ils retournèrent dans leurs dortoirs et dormirent jusqu’à PRIME. Ils se sont ensuite levés pour suivre la même routine. Ainsi passa le jour, ainsi s’écoulèrent tous les jours de l’année, et passa toutes les années de la vie. La confrérie conventuelle, comme une horloge jour après jour et année après année, frappant prime, et tierce, et sexte, et complies, jusqu’à ce que la mort vienne sonner les grandes complies finales, et le pauvre moine tomba dans un sommeil plus profond et un silence plus profond que celui même de l’homme. couvent, d’où, espérons-le, il n’y en a pas beaucoup qui se réveillèrent pour chanter des mattins et des louanges dans la lumière matinale du jour éternel.1

Énumérons les officiers de l’abbaye, avec leurs différentes fonctions. Notre description ne se limite pas à une abbaye particulière, elle s’applique à l’ensemble de cette catégorie d’institutions. Une abbaye n’était pas vraiment une église, et bien que relevant de la catégorie d’un établissement religieux, l’esprit qui y dominait n’était pas religieuses, mais laïques et mondaines. C’était un royaume en miniature.

D’abord vint l’abbé. Il était le monarque de Le petit royaume. Il exerçait une influence autocratique. Il doit obéir à la règle de l’abbaye : était son premier devoir, de même que le premier devoir des détenus était d’obéir à l’abbé. Un haut niveau Et le puissant seigneur était l’abbé. Son état et sa magnificence étaient royaux. Quand il est sorti tous les Il devait lui rendre hommage, et pour cela il était précédé de ses aumôniers portant les enseignes de sa dignité. Lorsqu’il visitait une église ou un monastère, les cloches sonnaient, Les prêtres et les moines s’avancèrent, et, se formant en procession, ils l’accueillirent avec toutes les marques d’honneur et de révérence. Les abbés mitrés prirent le pas sur les autres. Dans en vertu de la baronnie temporelle attachée à leur charge, ils siégeaient au Parlement, chevauchaient jusqu’à combattent dans une cotte de mailles, apparurent sur le champ de chasse avec un faucon au poignet, ou ont fait le tour en tant que juges. L’abbé pouvait conférer l’investiture de la chevalerie, et Parfois, il était le parrain des enfants de la famille royale de sang.

Après l’abbé vint le prieur. Il était dans le prieuré ce qu’était l’abbé dans l’abbaye, son chef et son chef. Lorsque le prieur résidait dans le Abbey était bien sûr le subordonné de l’abbé, son vice-gérant. En l’absence de l’abbé il exerçait son autorité, qu’il démit bien sûr au retour de l’abbé. Le prieur, lui aussi, était un personnage très pieux, et on l’attendait avec toutes les marques de le respect et la révérence. Il avait des chevaux et des serviteurs pour son usage, et quand il se montrait En public, sa suite était presque aussi imposante que celle de l’abbé, à qui il était tenu d’être pas très inférieurs en sagesse et en sainteté. Il avait le pouvoir d’emprisonner les réfractaires canons, mais non de les expulser de la communauté. Il y avait un prieur pour dix canons.

Le fonctionnaire suivant en grade était le chantre ou chalumeau. Cette charge ne pouvait être remplie que par un moine qui avait été éduqué dans la monastère depuis l’enfance. Il présidait à la psalmodie, office d’une grande importance, Le culte monastique consistait en grande partie en des services choraux. Le chantre a été inculpé avec le soin d’autres choses que les chants. Il était le gardien des robes sacrées ; il distribuait à chacun l’habit dans lequel il devait paraître aux fêtes publiques, et quand il Le cortège sortit, il prit place à sa tête. Il était, d’ailleurs, conservateur des archives, c’est-à-dire bibliothécaire en chef, une fonction peu onéreuse de nos jours.

Vint ensuite le cellérier. Il était chef de l' commissariat de l’abbaye ou du prieuré. Il devait veiller à ce que les et de fournir des provisions quotidiennes aux détenus. Il doit veiller à ce qu’il n’y ait pas de Il n’y avait pas de pénurie dans la grange de l’abbaye, pas de pénurie ou de pincement à la table du réfectoire. Il doit Ne permettez à personne de se mettre à table avant que l’abbé et le prieur n’aient pris place, et quand le repas est terminé, il doit ramasser les cuillers et les autres vases et les porter à la cuisine, où ils devaient rester sous sa garde. Il devait faire l’honneur de la cuiller de l’abbé, en la portant dans sa main droite et les cuillers des chanoines en sa gauche.

Venait ensuite le trésorier ou économe. Il percevait les rentes des domaines de l’abbaye, acquittait les salaires des serviteurs et payait toutes les sommes dues pour les travaux faits pour l’abbaye. Le sacristain devait découvrir l’autel après l’Évangile, et porter une lanterne devant le prêtre qui allait de l’autel à l’église. lutrin. Il avait la charge des vêtements sacrés, des cloches, des bannières, des coupes, des cierges, des nappes d’autel et des hosties pour la communion. Il a eu le privilège de dormir dans l’église, ce qui n’était permis à personne d’autre, sans permission spéciale de l’abbé. Autre l’aumônier. Entre autres devoirs propres à sa charge, l’aumônier devait acheter des vêtements et des chaussures, et les distribuer aux veuves et aux orphelins à Noël. Il a dû collecter le vin laissé à table après le dîner, et le donner en aumône. Le cuisinier présidait la cuisine, avec une équipe d’assistants. La charge n’a jamais été conférée à personne d’autre qu’à ceux qui l’avaient fait. ont fait de l’art leur étude. L’infirmier, comme son nom l’indique, avait la charge des malades, prenant soin de leurs repas, et tous les jours, après les complies, aspergeant leurs lits de saintes Eau. Il devait veiller à ce que personne ne restât au lit sous prétexte d’être malade quand les mattins et les Avant minuit, il fit le tour de son infirmerie, lanterne à la main, pour savoir qui était vraiment malade et qui n’était que paresseux. Dans les cas de mort subite, il avait le pouvoir d’entendre la confession et d’administrer l’absolution. Vient ensuite le Porteur. Il avait une confiance responsable, car la sécurité de la communauté dépendait de ses fidélité. Un moine d’âge mûr et d’un caractère établi était généralement choisi pour cela Publier. Il dormait à la porte, et quand on sonna la cloche pour les complies, il ferma la porte à clef portes et porta les clefs à l’abbé.

Le Réfectionneur, comme son nom l’indique, avait charge de tout ce qui appartenait à la table du réfectoire, ses tasses, ses pots, ses plats, ses serviettes ; Il doit veiller à ce que tous soient purs. Il était tenu de fournir de nouveaux joncs cinq fois par an pour joncher le sol du réfectoire, et aussi pour distribuer le vin aux moines qu’on allait chercher dans la cave de l’abbé. Le chambellan avait la charge de la Appartements. Il était responsable de la literie, des vêtements, des peignes et d’autres choses nécessaires à la les moines. Il devait « une fois par an faire balayer le dortoir et la paille des lits changé. « Les moines devaient aller aux bains quand il le jugeait nécessaire. »2 Enfin, il y a eu le Hospitalière. Son devoir était de recevoir l’étranger ou le pauvre voyageur, et de les conduire à l’hospice de la chambre d’hôtes.

Telle était l’organisation intérieure de l’abbaye et prieuré. C’était parfait. De sa tête, l’abbé, qui siégeait solennellement dans son chambre somptueusement meublée, jusqu’au portier et à l’hospitalier, qui attendaient à la porte Pour recevoir le pèlerin, chacun avait sa place et son travail, et l’établissement s’en allait avec la régularité et la régularité d’une machine habilement construite. Dûment l’abbaye On sonna la cloche. Les moines sortent de leurs cellules à son appel, avec des psaumes et des psalmodier. Les fêtes de l’église étaient dûment observées. Un cierge a été allumé sur le tombeau du fondateur et messe dite pour son âme. Les pères se mirent à table et se retirèrent pour dormir. L’ordre, la ponctualité et l’obéissance de la petite communauté sont admirable; Mais nous sommes tentés de dire : « Avancez, vous ne faites que marcher en cercle. » Vous avez chanté, médité et prié assez longtemps à l’intérieur des murs de l’abbaye, ouvrez les portes et que toute cette dévotion refoulée s’écoule dans le travail entrepris dans le monde extérieur. De À quoi servent tous ces actes pieux et ces saintes pensées, s’ils périssent à l’endroit où ils sont morts. n’ont pas enfanté et ne portent pas de fruit pour le bien-être des hommes ? Le pays qui a fait des sur le meilleur de ses vastes acres pour votre usage, s’attend à un tel service de votre part, et s’il n’est pas rendu, il n’y a aucune raison pour que l’abbaye existe ; Car l’abbaye est là pour le pays, et non le pays pour l’abbaye.

En clôturant ce chapitre, nous nous penchons un instant sur la question de savoir dans quelle mesure les abbayes et les monastères ont-ils contribué à l’illumination de la leur âge et les progrès de la civilisation ? Certains ont décroché ces institutions en tant que inestimable, et déplorait leur renversement comme une perte irréparable pour la cause de la connaissance et la religion. Nous ne voulons pas déprécier leurs services ; Au contraire, nous sommes prêt à les estimer au plus haut ; Nous sommes encore incapables de voir que le monde leur doit beaucoup, ou a eu quelque grand sujet de regretter leur extinction. Nous pouvons admettre que quelques-uns de leurs détenus, malgré la méchanceté inhérente au système, étaient des personnes dignes ; qu’ils étaient mieux informés que la majorité des laïcs de leur temps ; que certains d’entre eux ont fait preuve d’une diligence et d’une habileté égales dans la transcription des manuscrits et dans l’enluminure missels ; qu’ils connaissaient un peu de chirurgie, qu’ils faisaient l’aumône de leur abondance, et qu’ils étaient toujours prêts à accueillir le Palmer, dont, en échange de la bonne humeur de monastère, ils espéraient avoir des nouvelles du pays d’où il était venu. Nous pouvons aussi que leurs domaines et leurs fermes étaient mieux cultivés que les terres de leurs voisins, leur capitale plus riche et des serfs plus nombreux leur permettant d’exercer une l’élevage avancé. Et nous sommes ravis aussi de penser que dans le monastère il y avait un peu d’âmes vraiment pieuses qui étaient parvenues à la connaissance et à l’amour du Sauveur à partir d’une page d’Augustin ou d’un verset de la Bible, et qui chérissait la vie divine dans cette l’air désagréable, en buvant à des sources secrètes, ni en buvant seuls, car quelquefois ils réussir à conduire les autres vers les mêmes eaux vives ; mais quand nous aurons énuméré tout cela, Nous avons donné la somme de tout ce que les monastères ont fait pour leur âge.

De l’autre côté, nous nous demandons quel a été leur religion? Quel pouvoir pourrait-il avoir pour élargir la compréhension ou purifier le cœur ? Il ne peut manquer d’être évident pour tous qu’il se trouvait principalement dans les viandes et les boissons, dans le le port d’un certain habit, dans la pratique des jeûnes et des pénitences, dans la l’accomplissement de certaines cérémonies, la répétition de certains chants et prières, des cierges brûlants et des messes chantantes. Mais où est le récit de leurs travaux dans la plantation ? les écoles, en instruisant les jeunes, en consolant les malades et les mourants, ou en portant les lumière du christianisme sur les terres païennes. Nous possédons les splendides annales de l’Église de Columbia; Nous voyons ses missionnaires se hâter à travers les mers avec la nouvelle de la vie nations assises dans l’obscurité. Mais où avons-nous un tel récit de l’Église romaine dans Écosse? Loin de dissiper la nuit, elle laissa les ténèbres s’épaissir, siècle après siècle, jusqu’à ce que l’Ecosse, jadis l’école de l’Europe, fût devenue presque aussi une terre barbare, comme avant que son grand apôtre ne mette le pied sur son rivage.

On plaide souvent que le moine institutions de Rome étaient les meilleures dispositions pour le bien public que l’époque admettait de. Il n’y a pas une particule de vérité ou de force dans ce plaidoyer. Elle est effectivement réfutée par le fait qu’à un âge plus précoce, et à des époques encore plus peu propices, on a trouvé possible de créer et de maintenir en activité une classe d’institutions, d’un ordre beaucoup plus élevé, à la fois intellectuellement et religieusement. Il n’y a pas d’époque plus sombre, et de pays plus barbare que était l’Ecosse quand Colomba a traversé la mer pour la planter avec des écoles de l’évangélique foi. Les institutions colombiennes, au lieu de succomber à l’obscurité qui les entourait, s’est attaqué à elle et l’a conquise. Si l’abbaye avait en elle une parcelle de pouvoir spirituel aurait triomphé de la même manière. Le fait est qu’il n’a jamais fait cette tentative. Comme l’abbaye système développé la dégénérescence de l’âge a augmenté ; l’obscurité s’épaississait ; les arts et les lettres s’étaient levées avec Iona, et elles étaient tombées avec Iona. Le scribe expert et la ruse artificier disparut d’Écosse. Le raffinement des siècles passés avait fait place à semi-barbarie ; tandis que l’abbaye, riche en vastes arpents, en carillons sacrés et en moines roses, regardait complaisamment une terre mourante dont se moquait sa grandeur. En vérité, le « Abbey » a créé l’époque, et ce que certains en défendent, c’est son plus fort condamnation. La piété de l’abbaye était la pantomime, son savoir était le dilletante, et sa civilisation laquait la barbarie. Afin de sauver les derniers vestiges des Lumières et la religion, il a été jugé nécessaire au moins d’éliminer complètement le système. Il s’agissait d’une Ne convient qu’aux enfants et aux dotards, et si jamais le monde retombe dans la dotation Il rétablira le système monastique.


Notes

 

1. Voir Monasticon, i. 8, 9, 10.

2. Monasticon, i. 15.


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