CHAPITRE  III.


HABITUDES, HABITATIONS, ET LES ARTS DES PREMIERS COLONS.

Nous voyons ces émigrés du pays de l’Arménie arrivant sur notre côte, mais au moment où ils passent dans les limites de notre île Le rideau tombe derrière eux, et pendant des siècles, ils sont complètement cachés à notre vue. Quoi dans notre pays au cours des siècles qui se sont écoulés entre la période où elle a été prise par les fils de Gomer et l’avènement de César avec sa flotte, nous pouvons que des conjectures douteuses.

En ce qui concerne un point important, nous Nous craignons qu’il y ait des motifs tolérables pour la conclusion que nous allons maintenant énoncer. Ceux-ci Les émigrés apportaient avec eux l’essentiel de la révélation divine. Lorsqu’ils ont quitté leur première demeure du monde, le premier christianisme du monde, c’est-à-dire l’Édénique, n’avait pas été entièrement obscurcie par le nuage qui s’élève de l’adoration de la nature. Le premier temple idolâtre avait et la forme la plus ancienne du culte idolâtre, celle du soleil et de la corps célestes, avaient été institués, ; mais la dispersion qui s’ensuivit immédiatement avait les émigrants japhethiens, que nous voyons maintenant en route vers l’extrême nord, contact avec les rites de l’idolâtrie naissante, et de ceux qui corrompent et obscurcissent Influences. Ce qui a eu un effet puissant, sans doute, sur ceux qui sont restés plus près du siège de le Nimrod a institué le culte. D’ailleurs, les chefs de cette émigration s’étaient entretenus avec des les hommes qui avaient été dans l’arche avec Noé, et qui se tenaient près de l’autel sur lequel le Père offrit son premier sacrifice à Jéhovah après le déluge. Japhet s’était joint à la rébellion de Nemrod, ou avait jamais adoré dans le grand temple de Schinear. De Japhet, ils avaient appris la connaissance du seul vrai Dieu et la promesse de un Rédempteur, qui devait apparaître dans les âges suivants, et d’une manière qui n’était pas encore clairement comprise, vaguement préfigurée dans la victime sur l’autel patriarcal, devait accomplir une Grande délivrance pour la course. Cette grande Tradition voyagerait avec eux, et certains les rayons du jour primitif brilleraient sur les rivages éloignés de la Grande-Bretagne. On nous a enseigné pour se représenter l’état primitif de notre pays comme celui d’une obscurité ininterrompue. Un calme l’examen de l’époque et des circonstances de son premier peuplement justifie une Vue. Croire en un Dieu, invisible et éternel, et savoir qu’Il entend ceux qui sont en tous les pays qui le prient, qui peuvent dire combien de « pieux craignant » de son nom peut-être y a-t-il eu parmi les premiers habitants de notre pays ? Combien de vies cela peut-il La connaissance s’est purifiée, et combien de lits de mort a-t-elle pu éclaircir ! Les Patriarches eux-mêmes n’avaient pas grand-chose de plus que possédaient ceux que nous voyons se mettre en route vers notre rivage lointain.

Notre idée que les premiers âges de tous nations étaient les plus pures, et qu’à mesure que le temps passait, l’humanité s’éloignait de plus en plus la connaissance du vrai Dieu et s’enfonça de plus en plus profondément dans l’idolâtrie, est corroborée par le fait que le plus ancien manuscrit égyptien connu, et bien sûr le plus ancien manuscrit dans le monde, ne contient aucune trace d’idolâtrie, et ne mentionne pas le nom de un dieu égyptien. 1

Ces colons ont trouvé le climat de leur pays plus tempéré, ses étés moins chauds et ses hivers moins froids, que celle des terres continentales qu’ils avaient traversées en s’y rendant. Ses plaines couverts d’une herbe luxuriante, et offraient de vastes pâturages à leurs troupeaux et à leurs Troupeaux. Des forêts couvraient les flancs des montagnes et, par endroits, de nombreuses étendues s’enfonçaient dans le vallées et straths. Ceux-ci fourniraient en abondance des matériaux pour la construction de habitations, l’une des premières exigences de l’émigrant. Les nouveaux arrivants s’attellent à cette tâche dans le sens suivant. Ils défrichent un espace dans la forêt, ou dans la plaine jungly, en abattant les arbres avec une hachette de pierre. Sur l’aire ouverte, ils plantent des piquets de bois, s’entrelacent avec des caroncules, et les couvrir de paille. Il s’élève un petit groupe de cabanes. Un mur de palissades est couru autour du hameau pour le défendre contre la bête de proie, car jusqu’à présent, ennemis humains, ils n’ont rien à redouter.

Dans au moins un cas, si nous nous trompons Nous ne trouvons pas les traces de ces colons aborigènes, et les monuments commémoratifs, après un si long intervalle, attestent d’une manière touchante la vérité du tableau que nous avons tracé. Le les reliques en question se trouvent aussi loin au nord que le Loch Etive, dans l’Argyleshire. Sous une mousse de tourbe noire, Sur les rives du loch on ne nomme que des plaques de pavé de pierre de forme ovale. Ces trottoirs, lorsqu’on les a creusés, se trouvent éparpillés sur le cendres de bois, restes de la première disparue depuis longtemps ; et autour d’eux s’étendent des portions de pieux de noisetier décomposés, les reliques de la palissade qui formait autrefois les défenses de la campement. Il y avait là un groupe de cabanes en rondins, et à une époque si reculée que la mousse qui couvre maintenant le site jusqu’à une profondeur de huit pieds a eu le temps de pousser au-dessus de lui. 2 Il est touchant de penser que dans ces mémoriaux nous voyons le plus ancien « foyers » en Ecosse. Nous nous imaginons les formes qui s’asseyaient autour de leur Incendies. Ils n’étaient peut-être pas seulement les sauvages que nous sommes si enclins à imaginer. Ils avaient leur leurs joies et leurs peines, comme nous avons aujourd’hui les nôtres. Le cœur humain est le même, qu’il soit bat sous un vêtement de peau de bœuf ou sous un vêtement de fin lin. Il ne revient jamais dans le passé, ou en avant vers l’avenir, à la recherche des éléments d’espoir et de bonheur. Ces colons chérissaient sans doute comme leur trésor le plus précieux, les traditions qui leur étaient les plus précieuses. Leurs pères avaient apporté avec eux de leur lointaine patrie. Ils ne les laisseront pas mourir même dans ce pays rude. Et quand l’hiver s’avance, et que l’orage s’abaisse sur le et les vents rugissent dans le bois de sapins, ou fouettent furieusement les eaux du lac, à côté de la colline. qu’ils ont élevé leurs huttes, les pensionnaires se rassemblent en cercle autour de leurs et le patriarche de la demeure répète à des oreilles attentives les traditions d’un Tôt le jour et une terre lointaine. Les récits du déluge et de l’arche, qui sait, ont peut-être avaient leurs récitants éloquents et leurs auditeurs absorbés. Les « glorieuses espérances » transportés dans notre île par les premiers colons pèlerins seraient accrochés par leur descendants. Seule la connaissance d’eux leur permettait de garder la tête au-dessus de l’obscurité. Pour s’en séparer d’effacer de loin les traces les plus brillantes pour retracer leur passé. Mais Peu à peu, voilées de légendes, ou défigurées et assombries par la fable, ces « espérances » s’éteignirent, ou plutôt, se cristallisèrent dans le rituel du druide.

Les fils de Gomer, qui ont érigé ces frêles sur les rives du Loch Etive, étaient probablement contemporaines des Fils de Cham, qui ont été les premiers constructeurs des pyramides sur les rives du Nil. Les monuments de la Les travailleurs du granit, grâce à la durabilité du matériau, nous restent encore. Le Les édifices périssables des ouvriers en acacia et en gazon ont également été conservés par le mousse bienveillante qui, poussant avec les siècles, les recouvrait au moins au profit de âges futurs. Nous pouvons maintenant les comparer avec les cabanes dans lesquelles leurs frères du Gomer de l’autre côté de l’océan allemand, se trouvaient encore en vie à des époques pas si lointain. Simple, en effet, tant dans le style que dans les matériaux, était l’architecture de ces Cymric maisons, que ce soit dans la plaine allemande ou sur la lande écossaise. Une rangée circulaire de pieux en bois formait leur mur. Le toit était de paille ; Le feu s’alluma sur le sol de pierre, et la fumée s’échappait par une ouverture laissée à cet effet au centre du toit.

Les habitudes des détenus étaient simples. Ils ont été contraints d’adapter leur vie aux conditions du pays dans lequel ils se trouvaient se sont retrouvés. Une atmosphère humide, l’accompagnement nécessaire d’un sol marécageux, assombrissent le ciel d’une brume fréquente et diminuent le pouvoir du soleil de faire mûrir le grain. Le maïs, ils ne le cultivaient pas. Leur longue dévotion à la vie de berger les avait rendus peu familier avec l’art du travail du sol. Qu’en était-il de l’habileté du laboureur qu’ils avaient connue et Les pratiques dans leurs foyers ancestraux avaient été désapprises au cours de leur long voyage. C’est à peine si leurs besoins, car ils sont pourvus par le lait de leurs troupeaux, par le gibier dans lequel ils Leurs forêts abondent, et les poissons dont leurs rivières sont peuplées, qu’ils harponnent avec des piquets aiguisés. Leur robustesse est entretenue par les combats quotidiens dans lesquels ils sont contraints de s’engager avec la bête de proie. Les armes avec lesquelles ils se battent contre ces déprédateurs de leurs troupeaux, et, parfois, les assaillants de leurs villages, C’est très simple. La massue, la hache de pierre, l’arc, la lance à pointe de silex ou d’os, la caisse claire, la fronde, sont les instruments qu’ils manient étant les seuls connus à l’époque eux.

L’invention dort quand les besoins de l’homme sont peu. La nécessité réveille les facultés endormies, et pousse à la culture des arts, lent et tardif dans le meilleur des cas. Il est plus facile de transformer le berger en guerrier que de l’entraîner à devenir un artizan ; La liberté sauvage des collines n’est pas facilement rejetée pour le Diligence minutieuse et application minutieuse de l’atelier. Pourtant, y avait-il des objets d’artisanat qui Ces pèlerins-bergers étaient obligés d’apprendre, nous les trouvons experts dans la construction de canots. Ils ont eu de fréquentes occasions de pratiquer cela au cours de leur long voyage, et les frères et les lacs de leur nouvelle patrie étaient trop nombreux pour leur permettre d’exceller dans cette importante département à la rouille. De nouveaux besoins au fur et à mesure qu’ils se présentent incitent à de nouveaux appareils. Une tente peut suffire comme habitant les plaines de l’Asie, mais non sur la morne lande calédonienne. Les habitants de Celui-ci doit creuser une chambre dans la terre, ou ériger une hutte au-dessus du sol de gazons secs, ou de pierres non taillées, se protégeraient-ils des pluies et du gel. Vêtements de certains tri qu’ils doivent avoir ; car, bien que quelques historiens aient présenté le Calédonien comme courir nu sur ses montagnes, ou se couvrir de peinture au lieu de Nous estimons que cela était incompatible avec l’existence au milieu de la neige et de la glace d’un L’hiver écossais. Une succession de saisons rigoureuses, telles qu’elles sont celles qui accompagnent notre latitude, aurait mis fin au drame de la course avant qu’elle n’eût bien commencé, et au lieu de cela, de s’épanouir dans une vigueur inébranlable pendant des siècles, le Calédonien aurait péri de et l’a laissée aussi désolée et silencieuse que lorsqu’il y a mis le pied pour la première fois. C’est le historien, nous le soupçonnons, qui a peint.

Si le Calédonien se passait de vêtements, Ce n’était que par moments. Il se déshabilla pour donner plus d’agilité à ses membres quand il poursuivait le chevreuil, ou une terreur plus grande sur son visage quand il se débattait avec son ennemi dans bataille; ou bien il se désencombrait pour patauger dans ses marais et nager dans ses rivières. Tenue vestimentaire non seulement nécessaire, mais d’un vêtement d’un genre très substantiel. Les gelées de Calédonie ont été si célèbre qu’on en entendait parler à Rome, et les étoffes légères tissées sur les métiers à tisser de la n’auraient offert qu’une faible protection contre les brumes et les souffles glacés de l’époque. Écosse.

La peau de mouton ou la peau de bœuf formée Un vêtement substantiel et confortable pour l’indigène. C’était sa couverture d’hiver. Le En les cousant ensemble, il lui a appris un peu de couture. Il a utilisé une aiguille d’os avec un tendon pour un fil. Sa robe d’été était plus légère, et, de plus, elle laissait entrevoir un peu de gaieté dans la manière de la couleur, qui ferait ressortir en éclat la figure de la porteur car il a été vu se déplaçant à travers Brown Moor ou Blue Hill. Celui-ci a été fabriqué à partir de la la laine de son troupeau ou le poil de ses chèvres. La fabrication de ces étoffes domestiques initia le Calédonien aux arts utiles du cardage, de la filature et du tissage.

L’habitation autochtone mérite une plus grande description particulière. Ils sont communément connus sous le nom de weems. Ces weems ont été découverts en groupes dans presque tous les comtés d’Ecosse, plus particulièrement dans les dans l’Aberdeenshire, à Buchan, dans le Forfarshire, et même dans les districts les plus sauvages de la Hautes terres. Ils sont presque aussi communs que le cairn sépulcral. Généralement, la surface de l' Le sol ne donne aucun indice sur l’existence de ces habitations souterraines. La lande ou la lande semble parfaitement plat et intact, et le voyageur peut passer et repasser cent fois sans se douter une seule fois qu’au-dessous de ses pieds se trouvent des maisons qui ont été construites il y a des milliers d’années, contenant encore les instruments et les ustensiles des hommes qui vivaient en eux, les quernes dans lesquelles ils moudaient leur blé, les os et les cornes des les animaux qu’ils chassaient, les reliques de leur repas et les cendres du feu sur lequel ils l’a cuit.

Ces weems leur construction montrent à la fois l’ingéniosité et le travail. Ceux que l’on trouve dans l’Aberdeenshire sont construits en blocs de granit plus de six pieds de long, et de huit à neuf pieds de large. Les murs convergent à mesure qu’ils s’élèvent, et le toit est formé de la même manière que dans les édifices cyclopéens de la Grèce primitive et de la temples colossaux du Mexique et du Yucatan, dont les bâtisseurs semblent avoir été ignorants du principe de l’arche. Les grandes dalles ont été faites pour se chevaucher les unes les autres ; le l’espace intermédiaire est réduit à chaque rangée successive, et enfin l’ouverture du haut est ainsi étroite au point d’être recouverte d’un seul bloc, et la voûte achevée. Il n’est pas rare que De petites chambres latérales sont rattachées à la chambre principale. Ceux-ci sont entrés par des passages qui ne sont pas au-dessus de trois pieds de hauteur, et comme preuve de l’inefficacité des outils avec lesquels Ces bâtisseurs primitifs travaillaient, les pierres du mur formant la cloison entre les deux chambres, quoique placées au ras du côté qui se présente à la grande chambre, projeter leurs extrémités étroites dans le côté tourné vers le petit appartement. Les ouvriers manquait d’outils métalliques pour habiller et lisser le était formé de deux dalles verticales ; la largeur entre être suffisant pour l’occupant aux pierres. Si l’on en juge par les indications Dans le cas du mieux conservé de ces weems, la porte glisse à l’intérieur, et par une inclinaison passage trouver son chemin vers la chambre en dessous. C’était, dans bien des cas, la seule ouverture, et servait à la fois de porte, de fenêtre et de cheminée. Dans certains cas, cependant, un petite ouverture, si elle se trouve à l’extrémité la plus éloignée, qui pourrait permettre à la fumée de s’échapper, ou permettre l’entrée d’un peu de lumière. 3 À l’approche d’un ennemi, toute la population d’un district se précipiterait vers ces étroites ouvertures, et disparaîtrait comme rapidement et sans bruit, comme si la terre les avait engloutis, ou qu’ils se fussent fondus en l’air raréfié, laissant l’intrus à la fois étonné et impressionné par leur soudaine et complète disparition.

Ces salles souterraines étaient les adobes d’hiver de leurs constructeurs. Une fois en sécurité en bas, un peu de feu pour dissiper l’obscurité, leur garde-manger reconstitué du butin de la chasse ou des produits du troupeau, ils pour passer à travers les longs mois, et ne serait pas très incommodé par les tempêtes les plus violentes qui ont fait rage au-dessus du sol. Mais nous pouvons imaginer à quel point les occuperaient quand l’hiver toucherait à sa fin, et que le printemps remplirait l’air de ses douceur, et la beauté du premier vert a été vue sur strath et wood, et le début Floweret chercha à échanger ces mornes voûtes de la terre contre les cabanes d’en haut sol fait de gazon et de branches d’arbres, dans lequel ils avaient coutume de passer la chaude jours de leur bref été.

Quand enfin, après des siècles, Le navigateur phénicien, pénétrant dans les replis de la mer du Nord, amarra sa barque sous les falaises blanches d’Albion, ou sous les rochers sombres de Caledonia, l’ingéniosité et les ressources des indigènes furent de nouveau ranimées. L’Invention du Calédonien a été mise en place de travailler à la création de nouvelles formes d’art qui pourraient inciter le commerçant lointain à revisiter son rivage barbare. De nouveaux dessins d’artistes, certains d’entre eux d’une rare ingéniosité et d’une beauté exquise, sont apparus dans la suite sur notre sol, tous originaires de la terre. Enfermés par leurs quatre mers, ces premiers artistes n’avaient pas de modèles étrangers à copier. Néanmoins, bien qu’ils n’avaient étudié dans aucune école de dessin, et malgré le désavantage plus profond dans lequel ils n’étaient que mal servis par les outils avec lesquels ils travaillaient, les produits de leur l’art de chez nous nous surprend et nous ravit par sa pureté, son ingéniosité, son élégance, et la finition de l’exécution. Des dessins plus gracieux n’auraient pas dû être vus dans le célèbres ateliers de Phénicie, ou même dans les ateliers les plus célèbres de la Grèce.

Au fur et à mesure que leur nombre augmentait, d’autres nécessités s’est levé sur eux. Le lien des pèlerins, si fort à leur arrivée dans le pays, commença alors d’être détendu et de perdre son emprise. Ils sentaient le besoin de lois et d’une l’autorité que le Parent pour les gouverner. D’abord vint le chef, dont le règne s’étendait sur une tribu. Lorsque des querelles éclatèrent entre tribus, une autorité supérieure encore, une autorité chef des chefs—était jugé nécessaire pour le gouvernement de la communauté, et le l’application des lois. Le roi arriva. Cela nous amène à cette longue procession de augustes personnages que Fordoun et Boèce font souiller devant nous, et qu’ils Honorez le titre de monarques. Ces potentats lointains et vaguement visibles ne sont peut-être pas de simples ombres après tout ; Il se peut qu’ils aient eu une existence réelle et qu’ils aient exercé une rude la souveraineté en ces temps obscurs ; mais il ne nous appartient pas d’établir leur l’identité, et célébrer encore une fois la gloire de ces exploits valeureux et dignes qu’ils ont été faits pour exécuter sur le champ de bataille, et que, sans doute, s’ils ont jamais ont été réalisés, ont reçu les éloges qui leur sont dus de l’époque où ils ont été accomplis


NOTES

1. Il s’agit du manuscrit connu de égyptologues comme le papyrus Pisse. Il a été trouvé à Thèbes, et se trouve maintenant dans la bibliothèque de Paris. Son auteur était Ptah-hotep, fils du roi Tatkara Assa de la Ve dynastie, de Éléphantesque. Il contient des maximes morales et des exhortations à la pratique de la vertu, et la plupart des remarquable de tous, ne mentionne pas un seul dieu égyptien. — Harkness, Egyptian Life and Histoire, p. 18.

2. Wilson, Annales préhistoriques de Ecosse, p. 76, Edin. 1851.


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