L'AMOUR DE LA VÉRITÉ
par Jean leDuc
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L'ATTACHEMENT
SENTIMENTAL
NOTORIÉTÉ DE
L'AMOUR CHARNEL
L'IDÉAL
DE LA SOIF DU VRAI
AIMER SEULEMENT CE
QUI EST RÉEL
LE GRAND
JOUR DE PURIFICATION
LA
CONVICTION ET LA CERTITUDE
L'ATTACHEMENT
SENTIMENTAL
Certes que le mot
amour est un des
plus populaires
parmi les gens du
monde et aussi parmi les
évangélique du
christianisme
contrefait moderne. Tous reconnaissent
que l’amour de la vérité
est un attachement à
la révélation dans
les
Saintes-Écritures,
et une
caractéristique indispensable
dans la vie
chrétienne,
puisque le Seigneur
Jésus a dit de
lui-même: «JE SUIS
le chemin, la vérité
et la vie». Aucun
n'objectera que aimer la vérité
c’est d’abord aimer
Jésus, et dans le
monde évangélique
les voies d'un tel
amour sont variées
et équivoques pour
atteindre ce but.
L'attachement à
Christ et donc à la
vérité est
ainsi le principe
vital qui
souffre grandement
d'une problématique
au niveau de
l'interprétation, et
pour les sectes
évangéliques il
s'agit clairement d'un
attachement
sentimental plein
d'affection ou de
tendresse qui
réchauffe leur cœur,
évidence d'une
marche selon la
chair et non selon
l'Esprit.
Cela est largement
du à l'influence de
nombreuses femmes
qui prennent plus en
plus de place et
d'autorité dans ces
milieux sectaires de
vermines et de
parasites. Dans ces
milieux de rêveries
déplorables, la
recherche de ce
sentiment même de
bien-être est pour
eux la vérité et son
absence est
évidemment le
mensonge, ils
marchent ainsi dans
la duplicité des
illusions de leurs
émotions, et qui ne
sait que rien n'est
plus instable que
les émotions. Il n'y
a aucune assurance
dans une telle
démarche et cela
signifie qu'il n'y a
aucune foi, car la
foi est l'assurance
même (Héb. 11:1), et
où il n'y a pas de
foi il n'y a pas de
salut. En d'autres
mots, ceux qui
marchent par leurs
émotions ne
connaissent pas la
grâce du salut et
demeure dans la
perdition. Le salut est
par la grâce et non
par les sentiments
ou émotions,
autrement nous
serions sauvé un
jour, perdu l'autre,
et sauvé de nouveau
le jour suivant. Or aimer
Jésus c’est
clairement, comme la
Bible nous enseigne,
un attachement
inhérent à tout ce
qui est vrai de sa
personne et de ses
enseignements, mais
ce principe
essentiel est
déformé et manipulé
au sein des nids de
vipères évangéliques.
La Bible nous
apprend à marcher
dans l'amour, non
seulement à faire
des études ou
écouter des
prédications sur
l'amour, mais la
grande majorité, si
non pas tous, n'ont
aucune notion
véritable de ce
qu'est réellement l'amour et la
vérité. Ils marchent
seulement selon la
conception d'une
approximation issue
de leur imagination
qui les mène à la
perdition.
Chez les
évangéliques l'amour
est un visage à deux
faces, une qui
regarde vers le
monde et l'autre qui
regarde vers leur
nombril, en d'autres
mots il s'agit d'un
narcissisme débridé
qu'ils nomment du
christianisme, car
après tout la Bible
n'enseigne-t-elle
pas qu'il faut
s'aimer soi-même
avant d'aimer son
prochain.
Dans le Grec
original le mot
«amour» ou «agapao»
détient le sens de
«résignation»,
notion qui incorpore
le renoncement de
l'Esprit des vivants
dans son incarnation
pour le rachat de
ses élus, ce qui
nous indique que
l'amour divin est
«un sacrifice».
Tandis que le mot
«vérité» désigne ce
qui est «absolu» ou
«ultime», et rien
n'est plus haut que
la divinité même de
l'Admirable Esprit
des vivants. Avoir
l'amour de la vérité
signifie donc
littéralement «être
résigné à l'absolu,
à ce qui est ultime
et suprême» car là
seulement réside la
certitude. Cet idéal
n'est pas réalisable
pour l'homme, il
nécessite une
intervention divine,
une révélation
directe de la part
de l'Esprit des
vivants en
Jésus-Christ dans sa
Parole inspirée,
révélation qui est
accordée à ses élus
seulement. Il ne
s'agit donc pas d'un
sentiment mais d'une
déclaration certaine
de la Sainte
Présence qui vient
habiter en nos cœurs
et à laquelle nous
sommes résignés en
toute humilité pour
être dirigés et enseignés dans
toutes ses voies.
Mais parmi la
mouvance
évangélique,
baptiste,
darbyste, pentecôtiste,
charismatique
(toutes vagues
confondues), et
autres vermines de
la sorte, il n'y
a aucun doute que
l'amour de la vérité
est un
attachement
sentimental qui
stimule les
émotions et qui
pousse les gens à
ressentir des
frissons ou
palpitations
plaisantes,
impressions de
sentiments exagérés
qui justifient leurs
convictions et leurs
actions, bonnes ou
mauvaises,
valorisant ainsi
leur libre-choix
illusoire et la
dignité humaine
d'une nature
complètement
corrompue et esclave
de la chair et du
péché. Pour eux
il s'agit non de
l'amour de la
vérité, mais de
l'amour de leur
vérité, de la
conviction de leurs opinions ou
prétentions qu'ils
cherchent
aveuglement à
imposer à tous. En
d'autres mots, parmi
cette mouvance
évangélique
infernale, l'amour
de la vérité est une
décision personnelle
issue d'une volonté
supposément libre qui dirige le
cours sentimental de leur vie.
Néanmoins tous n'ont
pas la même
interprétation sur
le sujet, car pour
un grand nombre
l'amour est avant
toutes choses un
sentiment bien avant
une décision
d'aimer. Spécifions
que dans l'ambigüité
de l'interprétation
évangélique sur
l'amour, plusieurs
de leurs enseignants
affirment qu'il y a
une claire
distinction entre la
décision et les
émotions et en ce
sens l'amour même ne
serait pas un
sentiment mais un
principe qui
l'engendre et
stimule les
émotions. Quoiqu'il
en soit, ces gens
décident eux-mêmes d'aimer car
ils s'imaginent être
maître de leur
destin, la décision
ou libre-choix étant
le point déterminant
dans cette hérésie
de l'amour.
Un des chefs en file
de cette mouvance en
Amérique est une
femme bien connue,
une télévangéliste
nommée Joyce Meyer.
Voici ce que cette
réprouvée dit sur ce
sujet: «La marche
dans l'amour est
composée de
plusieurs pas
différents, chacun
étant une décision à
prendre. Il ne faut
pas croire que les
choses vont se
passer
automatiquement !
L'amour n'est pas un
sentiment,
effectivement je
n'aime pas les gens
en fonction de mes
sentiments, mais
l'amour est une
décision que nous
devons prendre.
Marchons dans
l'amour !». Ce
que cette réprouvée
enseigne est de la
pure perversion, de
la prostitution
spirituelle très
commune dans les
bordels
évangéliques.
NOTORIÉTÉ DE
L'AMOUR CHARNEL
Ce que nous
retrouvons parmi les
sectes évangéliques
est loin d'être
«l'amour de Dieu»,
il s'agit plutôt
d'affection et de
complaisance, c'est
à dire d'un amour
charnel ou amour
mondain envers les
hommes et les choses
de ce monde. Tel est
le sens du mot
«affection» dans le
Grec ou «philios»,
terme qui désigne
«amitié,
attachement,
complaisance,
dévotion,
dévouement, émotion,
inclination,
intérêt, passion,
penchant, respect,
et tendresse». Avoir
des émotions est
chose normale pour
tous, chrétien comme
non chrétien, mais
cela n'est pas
l'amour de Dieu au
sens propre du terme
«agape, agapao»
comme nous avons vu
dans le chapitre
précédent. En
d'autres mots,
l'affection de
l'être humain est
purement charnelle,
elle n'est pas
spirituelle et ne
peut prétendre à
l'être. L'affection
dégage des
sentiments mondain
tandis que l'amour
de Dieu est une
disposition de
renoncement ou de
résignation, c'est à
dire «un sacrifice»
qui peut être
désigné aussi comme
étant «l'amour
sacrificiel» de Dieu
pour le rachat de
ses élus.
Bibliquement
parlant, une telle
disposition est
impossible à l'homme
car personne ne peut
se racheter
lui-même, aucun ne
peut expier ses
propres péchés,
l'expiation se
trouve uniquement
dans le sacrifice de
la croix. Cette
disposition est en
Christ et dans le
cœur de tous les
chrétiens
authentique en qui
l'Esprit de la
Sainte Présence de
Christ fait sa
demeure. Marcher
dans l'amour de Dieu
ou plus
particulièrement
dans l'amour de la
vérité est de se
déplacer et
progresser dans une
telle disposition de
confiance en Christ
pour toutes choses
dans notre vie,
déplacement et
progression qui ne
vient pas de la
chair ni de nos
efforts, mais de
l'Esprit de Christ
qui nous pousse à
agir dans l'humilité
de la résignation
afin d'être dirigé
et instruit de Lui
pour notre formation
à la gloire de son
nom. Spécifions que
l'expression «amour
de Dieu» signifie
proprement
«résignation de
l'Esprit des
vivants» et indique
le principe divin de
«renoncement», c'est
à dire de se
sacrifier soi-même
pour une cause
précise afin
d'atteindre un but
déterminé, comme
nous l'indique si
bonnement l'apôtre
Paul dans ces
merveilleux passages
de son Épître aux
Philippiens:
«Ne
considérez pas
chacun votre propre
intérêt, mais aussi
celui des autres.
Ayez en vous les
mêmes sentiments que
Jésus-Christ, lequel
étant la
transformation
unique
de L’ESPRIT DES
VIVANTS
éternel,
ne s'est point
attribué injustement
la conformité à
L’ESPRIT DES
VIVANTS; mais s'est
privé lui-même de
cette conformité, en
assumant sur lui
l'aspect d'un
serviteur, devenant
semblable à tous
genres d'hommes. Et,
ayant paru dans la
nature du genre
humain, il s'est
abaissé lui-même, en
se rendant obéissant
jusqu'à la mort,
même
jusqu'à
la mort de la croix.
C'est pourquoi
aussi, comme ESPRIT
DES VIVANTS exalté à
la suprématie, il
lui a été donné un
Nom qui est
au-dessus de tout
nom; afin qu'au nom
de JÉSUS, tout ce
qui est dans les
cieux, et sur la
terre, et sous la
terre, fléchisse le
genou, et que toute
langue confesse
Jésus-Christ comme
étant
L’ADMIRABLE, le Père
de gloire, et
L’ESPRIT DES VIVANTS
éternel.»
(Phil.
2:4-12; Bible de
Machaira 2016).
La notion de l'amour
chez les
évangéliques est
entièrement
contraire à la grâce
de Dieu, elle se
rapporte plutôt à la
loi et aux
commandements ou
décalogue que ceux
sous l'Ancienne
Alliance étaient
dans l'obligation
d'observer sous
peine de mort.
Nombreux sont ceux
parmi les
évangéliques et
surtout parmi les
pentecôtistes et les
charismatiques, qui
cherchent à se
sanctifier eux-mêmes
par l'observance des
commandements de la
loi afin de se
justifier devant
Dieu et les hommes.
Cette hérésie est
plus répandue que
nous puissions nous
imaginer, ce poison
a infecté tous les
niveaux du
christianisme
contrefait moderne,
au point même que
plusieurs maudissent
littéralement la
grâce souveraine et
inconditionnelle
qu'ils nomment l'hypergrâce
(grâce suprême),
pour adopter une
grâce conditionnelle
à leurs caprices qui
valorise leurs
efforts et la
dignité humaine
qu'on peut nommer l'hypogrâce
(grâce soumise) et
qui est en réalité
une disgrâce.
L'obéissance devient
ainsi une fonction
vitale du salut et
de sa préservation
par la persévérance
d'efforts ou de
choix personnels qui
le maintiendrait
actif dans la vie du
croyant qui s'y
applique. La
subtilité de cette
fausse doctrine est
presque
inimaginable, elle
est complètement
paradoxale et
insupportable, elle
est une des pires
abominations jamais
conçue par l'homme
et on peut la
qualifier
précisément comme
étant une doctrine
de rébellion,
tellement elle est
subversive et
exprimée habilement
dans une duplicité
inouïe pour
renverser la grâce
de Christ.
Leur point de vue
général nous est
présenté comme tel:
«Nous montrons
notre amour pour
Dieu en observant
ses commandements
et en appliquant ses
principes. Ce n’est
pas difficile. Loin
d’être pesantes,
les lois de Dieu
ont pour but de nous
aider à mener une
vie agréable,
réussie et heureuse
(Isaïe 48:17, 18).
En vivant en
conformité avec les
conseils de notre
Père céleste, nous
lui témoignons notre
profonde
reconnaissance pour
tout ce qu’il a fait
en notre faveur.
Malheureusement,
dans le monde
actuel, trop peu
éprouvent cette
reconnaissance. Nous
ne voulons pas être
indifférents, comme
certaines personnes
qui vivaient du
temps où Jésus était
sur la terre. Il a
guéri dix lépreux,
mais un seul est
revenu sur ses pas
pour le remercier
(Luc 17:12-17).
C’est à celui-là,
assurément, que nous
voulons ressembler,
et non aux neuf
ingrats !». Un
autre évangélique
déclare: «Jésus
nous fait comprendre
que l'important
c'est de faire les
choses par amour,
dans la pratique des
commandements,
des enseignements ou
des instructions du
Seigneur. Nous
lui obéissons, nous
cherchons à faire sa
volonté et ce qui
lui est agréable,
parce que nous
l'aimons.».
Plusieurs nous
disent qu'il faut
servir Christ avec
affection, mais la
Parole de Dieu nous
dit le contraire, le
seul moyen de servir
Dieu et de lui
plaire est par la
foi et uniquement
par la foi (Jean
6:28,29; Héb. 11:6).
Un autre évangélique
écrit: «Le
plus grand
commandement:
MAÎTRE, quel est
le plus grand
commandement de la
loi ? JÉSUS lui
répondit: Tu aimeras
LE SEIGNEUR, Ton
DIEU, de tout ton
cœur, de toute ton
âme, et de toute ta
pensée. C’est le
premier et le plus
grand commandement.
Et voici le second
qui lui est
semblable: Tu
aimeras ton prochain
comme toi-même.
Matthieu 22:36-39.
Aimer LE
SEIGNEUR, Son DIEU:
C’est obéir à Ses
Commandements.
Car l’amour de
DIEU consiste à
garder Ses
Commandements,
dit 1 Jean 5:3, en
rajoutant ceci: Et
Ses Commandements ne
sont pas pénibles.
C'est de
l’obéissance à LA
PAROLE DE DIEU
que dépend le
bonheur du chrétien.
On ne peut pas
prétendre aimer LE
SEIGNEUR sans
consentir à se
soumettre à Sa
Volonté. Aimez
L'ÉTERNEL, vous qui
avez de la piété !
L'ÉTERNEL garde Ses
Fidèles, ordonne
Psaume 31:24.
Quiconque aime
L’ÉTERNEL sera
délivré de tout mal,
selon le Psaume
91:14 qui déclare:
"Puisqu’il M’aime,
JE le délivrerai; JE
le protègerai
puisqu'il connaît
MON NOM". Aimer LE
DIEU D’AMOUR est un
signe de
reconnaissance
envers CELUI qui
nous a aimés LE
PREMIER, révèle 1
Jean 4:19. C'est
pour cela qu'il est
écrit: "Tu aimeras
LE SEIGNEUR, Ton
DIEU, de tout ton
cœur, de toute ton
âme, de toute ta
force et de toute ta
pensée, et ton
prochain comme
toi-même" rappelle
Luc 10:27. En effet,
quiconque aime Son
PÈRE CÉLESTE est un
enfant béni. Aimer
son prochain: Cela
consiste à lui faire
ce que tu voudrais
qu’il te fasse;
comme dit LE
SEIGNEUR JÉSUS dans
Matthieu 7:12 : Tout
ce que voulez que
les hommes fassent
pour vous, faites-le
de même pour eux,
car c’est la loi et
les prophètes. Qui
n’aimerait pas qu’on
lui fasse du bien ?
Ou bien qu'on lui
témoigne de
l'affection ?
Lorsqu’on fait le
bien, ce bienfait
revient vers soi.
Car l’âme
bienfaisante sera
rassasiée, et celui
qui arrose sera
lui-même arrosé,
promet Proverbes
11:25. Suivons
l’exemple du
Samaritain qui fut
ému de compassion et
secourut un Juif en
détresse, nonobstant
le conflit qui
existait entre leurs
deux peuples,
raconte Luc
10:33-37. C'est la
mise en pratique du
commandement de
l'amour envers DIEU
et notre prochain
qui préserve des
conflits dans les
assemblées, les
familles, et la
société.».
L'œil vigilant et
attentif aura
remarqué que la
position des
évangéliques sur
l'amour, comme nous
venons de voir plus
haut, est basée sur
un mélange de
passages qui
proviennent autant
de l'Ancien que du
Nouveau Testament,
et reliés ensemble
pour ériger leur
doctrine
prétentieuse et
répugnante à propos
de l'amour de Dieu,
de l'amour de la
vérité, de l'amour
du prochain, et même
de l'amour du monde
qui est une
abomination à Dieu.
On voit clairement
que leur doctrine
est élaborée
complètement sur les
principes de la loi
et non de la grâce.
Un des passages
principaux qu'ils
utilisent pour
ériger leur doctrine
de disgrâce nous dit
clairement que
l'amour de Dieu est
«le plus grand
commandement DE LA
LOI», et non
de la grâce, et
cela est confirmé
par le Seigneur
Jésus lui-même (Mat.
22:36) qui ne peut
mentir comme les
évangéliques le font
en déformant la
vérité. Personne,
absolument personne
ne peut aimer Dieu
de la façon que le
Seigneur Jésus le
décrit et encore
moins son prochaine.
Les évangéliques ne
peuvent même pas
obéir parfaitement à
la loi de leurs
pays, encore moins à
la loi de Dieu qui
est beaucoup plus
rigide et sans
pitié. Aucun homme
ne peut observer la
loi et s'en
justifier, la loi a
été donné pour
manifester le péché
et pour nous diriger
à Christ afin d'être
délivré de son
fardeau et de sa
condamnation, et non
pour continuer à
l'observer en
prétendant être sous
la grâce. Il est
clair que les
évangéliques n'ont
jamais appris à
différencier entre
la loi et la grâce,
ils mettent tout
dans un même panier
et les gens y pigent
comme il leur semble
bon.
Pourquoi une telle
hérésie, pourquoi un
tel égarement,
pourquoi une telle
confusion dans les
pensées des
évangéliques ?
Pourquoi
persistent-ils à
déformer la vérité
sur ce sujet
essentiel au salut
des âmes ? La
réponse est pourtant
simple, mais ils se
refusent de la voir
à cause de leur
orgueil et de leur
arrogance qui les
maintient captifs
dans les chaînes de
l'ignorance. La
cause est que leur
théologie est
arminienne et cela
ils ne peuvent même
pas le comprendre.
Expliquons le d'une
façon plus simple à
cause de leur
cerveau hébété car
ils sont tous
spirituellement
constipés. Bref, ils
sont tous des
disciples du
libre-choix, tous se
basent sur les
principes d'une
décision personnelle
pour contribuer à
leur salut et leur
sanctification par
les efforts du
«choix de la foi» ou
«choix de croire»
d'une volonté
supposément libre,
mais qui est en
réalité esclave de
la chair et du
péché. Tel est
l'enseignement de
l'arminianisme, que
les évangéliques en
comprennent le sens
ou non en change
absolument rien, ils
sont les disciples
d'une théologie
infernale qui les
mêmes directement en
enfer et cela Bible
à la main tout en
chantant des
cantiques de
louanges, scénario
presque inimaginable
mais toutefois bien
réel. Cette doctrine
de rébellion n'est
pas nouvelle, elle
est en effet la base
de la chute dans le
Jardin d'Éden, son
nom a peut-être
changé à travers
l'histoire mais son
principe demeure le
même. L'illusion du
libre choix est ce
qui engendre
l'hérésie de l'amour
tellement populaire
parmi les sectes
évangéliques du
christianisme
moderne contrefait.
Loin de démissionner
de leurs faux
raisonnements, ils
persistent davantage
dans leurs
prétentions égoïstes
tout en affichant
leurs délires
psychotiques comme
étant la vérité
même. Leur
prétention à l'amour
de Dieu ne peut
faire autre que de
les pousser
inévitablement dans
des voies
d'obéissances aux
commandements dans
une folle tentative
de justifier leurs
transgressions de la
loi qu'ils
prétendent observer
sans réaliser que
cela est une chose
impossible. Mais par
obéissance, beaucoup
s'imaginent juste et
déclarent dans leur
prière aimer Dieu
plus que tout, ils
ne savent pas ce
qu'ils disent, c'est
leurs émotions qui
parlent, ils
s'imaginent plaire à
Dieu lorsqu'en
réalité ils
s'opposent à lui et
en sont des ennemis,
triste situation des
réprouvés qui
refusent de voir les
conséquences de leur
faux amour.
L'IDÉAL
DE LA SOIF DU VRAI
Vérité et mensonge sont sans
aucun doute opposé l'un à l'autre, il est entièrement impossible que
les deux puissent coexister ensemble. Une personne est soit dans la
vérité ou dans le mensonge, il n'y a pas de zone grise dans ce
domaine. L’amour de la vérité est forcément la haine de la
duplicité, on peut le décrire comme étant une soif qui nous pousse à chercher ce qui est derrière les
apparences, à découvrir ce que l’on pressent. Agénor de Gasparin,
théologien calviniste de l'église réformée, écrivait ceci: «Il est beau, il
est bon, ce besoin de vérité ! Par lui on cherche, et par lui on
trouve. Elle est idéale, cette soif du vrai ! Par elle l’homme
s’élève au-dessus des bas-fonds; par elle, il refuse de se tromper
lui-même; par elle, il aspire à ce ciel dont le bonheur se compose
en partie de la possession de la vérité; par elle, il entrera, tôt
ou tard, en contact avec Celui qui se nomme « le Dieu de vérité ».
L’apôtre Paul met en garde contre tout ce qui peut nous influencer à
rejeter cette soif de la vérité. Se fermer à la vérité, c’est se
fermer à la vie et à tout espoir de salut. Résistons donc aux
marchands d’illusions et armons-nous de courage pour découvrir la
vérité, même lorsqu’elle ne nous flatte pas. La vérité ne blesse pas
le cœur de l’homme sincère, mais elle tranche dans le vif pour le
délivrer du mensonge. Ouvrons-nous à l’amour de la vérité». De
beaux sentiments, mais malheureusement l'église réformée moderne
s'est prostituée à l'idolâtrie du culte de l'intelligence, se
croyant sages ils sont devenus fous et ont substitué l'amour de la
vérité pour l'adoration de leurs opinions, suivant ainsi le courant
de l'apostasie mondiale évangélique. Nous comprenons davantage
pourquoi l'église réformée refuse obstinément de se réformer car son
orgueil démesuré l'aveugle à la vérité, sa flamme a été éteinte et
elle est devenue une église morte qui ne produit que de la
corruption. Situation vraiment triste lorsque nous considérons qu'à
son origine elle maintenait fortement
les doctrines
de la grâce qu'elle a tellement diluées qu'elles demeurent
maintenant sans force dans ces milieux idolâtres, puis elle
s'attaque honteusement aux
hyper-calvinistes ou
christophiliens qu'elle devrait supporter et qui seuls les
maintiennent rigoureusement et sans fléchir. C'est l'envers de la
médaille, d'une église anciennement persécutée, elle est devenue
maintenant une église persécutrice contre ceux qui sont possédés par
la Vérité.
Il importe aussi de
mentionner que la Christologie des «amis de Christ» ou «Christophiliens»
est extrêmement radicale et donc souveraine, sa base est un
Hyper-calvinisme intransigeant qui ne fait aucune concession à la
duplicité du christianisme contrefait moderne. L'hyper-calviniste
est fondamentaliste en ce qui concerne les doctrines essentielles de
la grâce, il est inflexible et radical dans sa défensive de la
vérité. Spécifions qu'il s'agit d'un radicalisme en faveur de la
vérité et non des institutions. La vérité a toujours été tranchante,
ferme, invariable, immuable, intransigeante, et ceux qui la
proclament ne peuvent se permettre de plier le genou et être
accommodant envers tous. Une vérité qui est complaisante n'est pas
la vérité mais de la duplicité. Évidemment une telle attitude n'est
pas appréciée par les tièdes pour qui la foi est regardée comme
étant un sentiment doux et agréable à tous. Ceux qui maintiennent
cette position tépide et répugnante qui est celle des évangéliques
modernes que nous voyons surtout chez les pentecôtistes et les
charismatiques, seront vomis de la bouche du Seigneur:
«Je connais tes œuvres; je sais que tu n'es ni
froid ni bouillant. Oh ! si tu étais froid ou bouillant ! Ainsi,
parce que tu es tiède, ni froid, ni bouillant, je te vomirai de ma
bouche.» (Apoc. 3:15,16) Or l'Hyper-calvinisme est l'essence
même de la réforme spirituelle des derniers temps, et contrairement
à ce que disent ses antagonistes qui répandent la désinformation à
son sujet, il est purement et solidement biblique.
L'Hyper-calvinisme est la position officielle des Christophiliens ou
Amis de Christ et ses défenseurs sont inflexibles et inébranlables.
La Vérité divine engendre
la résignation (amour) divine comme principe perpétuel et éternel,
ce qui est l'essence même de son existence. La lumière de la Vérité est évoquée par une totale
honnêteté, humilité et une concession sans compromis pour devenir un avec
elle par la puissance de la Sainte Présence qui habite en nous. Ce n’est qu’en
se résignant à la Vérité que le renoncement (amour) divin peut être
vécu. La résignation (amour) divine est inconditionnelle, ce qui signifie qu’elle est
toujours «renoncement» (amour), elle ne cesse jamais d’être
privation (amour), et ne peut être
rien d’autre qu’abnégation (amour). Cependant, un tel détachement
(amour), une telle démission (amour) de la raison, ne peut être connu
que si on vit dans la Vérité, dans Celui qui est l'Absolu et le
Suprême, et cela n'est possible que par la puissance de la Sainte
Présence qui l'a déterminé ainsi de toute éternité dans son décret
d'élection envers ses élus.
L’Amour ne peut pas demeurer
dans un temple profane rempli de non-Vérité où grouillent des idées
bruyantes, orgueilleuses, égocentriques et limitées poussé par un
esprit d'indépendance qui se veut maître de son propre destin par
son choix de croire. Dans un tel vacarme et parmi
tant de distractions, les murmures de la résignation (amour) ne peuvent être ni
entendus, ni pris en compte. La résignation (amour) qui est regardée
faussement par les évangéliques comme étant douce, tendre et réconfortante, ne peut s’installer que dans un temple humain où toutes les ombres
ont été percées à jour et dissipées par l’Épée de la Vérité; ce
temple a ainsi été lavé du mental orgueilleux et du cœur craintif.
La lumière de la Vérité disperse l’encombrement des pensées et
libère le mental des idées égotiques, des croyances séparatives ou
sectaires et
des opinions conceptuelles, qui ne sont au mieux que des
déformations de la Vérité. La Vérité réduit au silence la langue
bien pendue de l’ego, créant ainsi l’espace nécessaire qui permet
au renoncement divin d’être entendues par
le cœur.
La Vérité purifie le cœur et
l’esprit, elle rétablit ainsi la véritable vision qui s'empare de
notre raison et nous permet de
faire l’expérience du rayonnement de l’abnégation dans le sacrifice
de Christ. Elle vide le moi de
tout ce qui est faux et crée un sanctuaire dans lequel le
renoncement de l'Esprit des vivants peut
alors demeurer. Quand le cœur et l’esprit sont unis et ont appris à
simplement à se résigné à la Vérité pour elle-même, dans sa propre lumière,
sans essayer d’ajouter ou d’enlever quoi que ce soit à la Nature
déjà parfaite de la Vérité, alors le sacrifice de Christ rayonne en toute plénitude.
Jésus, notre Admirable
Souverain, a dit: «Et
la
cause
de cette condamnation, c'est que la lumière
de ce raisonnement
est venue dans cette disposition, et que les hommes préfèrent les
ténèbres
de l'ignorance
plutôt que la lumière
de ce raisonnement,
parce que leurs agissements sont
grandement
déréglés. Car quiconque agit en dérèglement hait la lumière
de ce raisonnement,
et ne vient point à la lumière
de cette observation,
de peur que ses agissements ne soient rejetés. Mais celui qui agit
selon la vérité vient à la lumière
de ce raisonnement,
afin que ses agissements soient manifestées, parce qu'ils sont
produits par L’ESPRIT DES VIVANTS.» (Jean
3:19-21; Bible de Machaira 2016).
Les
évangéliques
n’aiment pas la Lumière de la Vérité, car elle révèle ce qu’il y a de mauvais en
eux; ils aiment l’obscurité car elle couvre leurs nombreuses
duplicités et de cette façon ils peuvent plus facilement déformer la
vérité afin de manipuler plus aisément les cancres et les crédules. La lumière de la Vérité
révèle en effet la tyrannie des ténèbres, les expulsant hors de leur
cachette. La Vérité expose tout le faux qui a été propagé durant
d’innombrables générations sur terre, pour tromper une humanité
crédule face à un christianisme contrefait qui séduit de grandes
multitudes. La Vérité révèle tout et, dans les temps de crise, son Épée
est enfoncée dans le cœur du monde par Volonté divine, afin d’ouvrir le chemin à la
résignation pour les élus de l'Admirable Esprit des vivants.
AIMER
SEULEMENT CE QUI EST RÉEL
Aujourd’hui beaucoup de
supposés chrétiens partout
dans le monde croient que l'amour inconditionnel signifie:
tout respecter et tout tolérer, et ils pensent qu’ils sont aimants quand ils aiment
le moi de la personnalité, particulièrement des pasteurs et de leurs entreprises.
Spécifions qu'en réalité l'amour sentimental qu'ils professent n'est
pas inconditionnelle mais conditionnelle à leurs efforts,
obéissance, ou persévérance comme nous l'avons déjà mentionné. Cependant
même si Dieu serait amour dans le sens sentimental qu'ils le
comprennent, la vérité est que «Dieu ne respecte pas les personnalités»,
il dédaigne l'imposture et il détourne sa face des réprouvés, il
hait les ouvriers d'iniquité et fera périr tous ceux qui profèrent
le mensonge (Psaumes 5:5,6). Donc, la
Vérité ne valide pas le moi de la personnalité puisque tous sont
pécheurs et privés de la gloire de Dieu (Romains 3:23). La Vérité sait que
l’idée d’un moi séparé ou indépendant est une illusion et qu’attribuer de la
substance à ce moi est un leurre (artifice spécieux dont l'apparence
séduisante est destinée à tromper). Comprenons ici, dans le contexte
que nous étudions, que ce qui est réel n'est pas l'aspect physique
des choses, mais la nature spirituelle de la Vérité comme étant la
manifestation concrète de la résignation comme principe de
renoncement qui doit être démontré dans la démarche chrétienne par
ceux qui sont résignés à la révélation de la Vérité par la puissance
de la Sainte Présence de Christ qui les habite, les dirige et les
instruit. La Vérité et le renoncement (amour) ne voient que
ce qui est réel dans le sens de cette révélation qui leur donne la
certitude de la présence de Christ en eux. La Vérité et la
résignation (amour) n’accordent aucune
considération à ce qui n’est qu’une illusion, prétention ou opinion. Ainsi,
le renoncement (amour) ne peut
pas se résigner (aimer) au moi illusoire de la personnalité; le
renoncement (amour) ne peut
se résigner (aimer) qu'à ce qui Vrai et certain, parce ce que c’est
la réalité de la révélation de Christ en nous et le mensonge ou
duplicité n'habite pas en Christ, tout en lui n'est que certitude (2
Corinthiens 1:19).
Les évangéliques, baptistes,
darbystes, pentecôtistes, et charismatiques, pour qui les
sentiments sont empreints d’un amour sentimental ou résignation conditionnel, personnel ou
intéressé – amour qu'ils ont déterminés comme étant dogmatique et réactif
pour tous et chacun – exprime
un faux ou pseudo amour. C’est un pseudo amour parce qu’il ne
résonne
pas dans la Vérité de la révélation de Christ. Ce genre d’amour
sentimental est passager et ne dure que
jusqu’à ce que la fausseté qui le maintient est remise en question
et exposée à la lumière de la Vérité. Quand elle se sent menacée,
l’attirance artificielle de cet amour se transforme rapidement
en disgrâce, traits de jalousie, arrogance, intimidations, possessivité, suspicion, méfiance, haine,
et agression. Nous en avons amplement de preuves avec la secte
exécrable de la sorcière de la Vigerie, Michelle d'Astier, qui est
de la troisième vague charismatique; et avec le nègre blanc
Christian Becquet, démon réel et gourous malicieux de la secte
messianique au Cameroun; les deux étant originalement convertis dans
une église baptiste charismatique. Étrange n'est-ce pas que ces deux
énergumènes proviennent de la même source pour s'attaquer à la
vérité, car ils ne peuvent tolérer d'être exposé pour ce qu'ils
sont, des prétentieux arrogants et malfaisants, des imposteurs qui
déforment la vérité à leur guise afin d'obtenir une reconnaissance
mondaine pour leur faux ministère, afin qu'ils puissent se glorifier
sur le dos des crédules qui ne demandent pas mieux que de croire en
leurs ragots, car ils ne sont pas résignés à la vérité pour êtres
sauvés (2 Thessaloniciens 2:10-12).
En cette ère de culture de
l’intellect, un grand nombre de prétendus chrétiens sont très occupés par leurs
propres versions de la Vérité, mais ceci est le plus grand de tous
les leurres, car il n'y a qu’une seule Vérité,
qui est la Vérité de Dieu ou Vérité divine de l'Admirable Esprit des
vivants. En d'autres mots, il n'y a qu'une seule notion absolue et
suprême, celle qui vient de la Sainte Présence de Christ en ses
élus. La Vérité n’est ni
connaissance, ni sagacité, et pourtant la lumière de la Vérité
accorde Sagesse à l’homme qui, dans ses manières d’être, se conforme
à elle. La Vérité n’accorde aucune valeur aux croyances et aux
opinions. Elle ne se préoccupe pas de tel ou tel point de vue, de
telle ou telle idée, qui ne sont que projections d’un esprit
ignorant et prétentieux. Toutes les notions conçues par soi-même, provenant de
perceptions ignorantes, ne sont pas du tout reconnues par la Vérité,
car elles n’ont pas de fondement dans la réalité révélée en
Jésus-Christ. La Vérité ne
reconnaît que sa propre nature: ce qui est divinement réel dans
l'absolue de son existence. Aucune mesure
d’actions porteuses d’espoir, de paroles étudiées et d'agissements «d’amour et de lumière» ou de «paix sur la Terre» qui n’est pas
ancrée dans une authentique réalisation spirituelle de la révélation
en Christ, ne peut ouvrir
la voie vers la vraie résignation (amour) et la paix éternelle
issues de la certitude de cette révélation glorieuse. Au mieux, de telles
notions peuvent inspirer les gens à chercher la réalité dans des
concepts philosophiques ou théologiques, mais ce
n’est que la pure Vérité de la révélation de Christ elle-même qui puisse guérir les
pécheurs appelés à la renaissance dans le sacrifice de la croix; rien d’autre qu’Elle ne peut transformer ces
cœurs enténébrés
pour qu’ils deviennent des fils de la lumière qui habitent dans la
lumière véritable de la révélation suprême dans l'humilité de la
résignation absolue, car telles sont les paroles de Jésus:
«quiconque s'élève sera abaissé, et quiconque
s'abaisse sera élevé» (Luc 14:11); «Mon instruction, c'est que vous
vous sacrifiez les uns pour les autres, comme je m'ai sacrifié pour
vous. Nul n'a un plus grand dépouillement (renoncement) que celui
qui donne sa vie pour ses amis.» (Jean
15:12,13; Bible Machaira 2016).
L’Amour sacrificiel arrive
toujours derrière l’Épée
de la Vérité, parce que les sectes évangéliques sont devenue excessivement induite
en erreur, leur conscience étant obscurcie par une fausse
identification au Corps de Christ. La résignation à l'absolue ou
amour de la vérité, ne peut pas pénétrer dans le cœur des
évangéliques tant que leur cœur résonne dans les émotions d'une densité de fantasmes
créés par eux-mêmes. La chrétienté est devenue si polluée, ténébreuse et
chaotique de par les chimères et l’ignorance de prétendus chrétiens, que
relativement peu de gens peuvent voir ou
entendre le murmure délicat du chant éternel de la résignation en
Christ qui résonne dans la Vérité. Il est pour
ainsi dire inexistant pour la conscience endormie des évangéliques
avec toutes ses sectes mystiques et extatiques qui s'extasient
devant les délires d'une conscience déréglée.
Ainsi la Vérité doit nettoyer et remettre de l’ordre sur le chemin
pour le retour ou renaissance de l’abnégation dans le cœur des gens
qui se disent chrétiens. La Vérité doit préparer un champ fertile
dans la chrétienté pour que le renoncement divin puisse de nouveau s’épanouir dans le cœur
de ceux qui sont appelés à la grâce depuis avant la fondation du
monde. La formidable puissance de la Vérité, c'est à dire de
l'essence absolue et suprême de la réelle révélation de Christ, mettra à genoux
tout ce qui est faux en ces derniers jours de préparations pour
l'apparition finale de la gloire éternelle de l'Admirable Esprit des
vivants, afin d'exalter la résignation de Christ et de ses élus sur le trône
éternel de la majesté divine.
LE GRAND JOUR
DE PURIFICATION
Ceux qui
aiment la Vérité, c'est à dire ceux qui sont résignés à l'absolue de
la révélation, et qui sont donc consacrés à servir la Vérité sans
compromis ou préoccupation personnelle, se réjouiront grandement de
l’éclatement et de la dissolution des principes ténébreux d'un
christianisme contrefait, de même que de
tous ses mensonges et prétentions. L’apparition finale de la Vérité
au dernier jour
peut être appelée le Grand Jour de Purification, car c’est
précisément ce qui va se passer sur le plan mondial. Une fois que les
prolongements tordus des chimères de l’homme seront tranchés par
l’Épée de la Justice et jetés dans le Feu, les élus, comme des vases
précieux, pourront être remplis à déborder du renoncement de
l'Esprit des vivants dans la lumière éblouissante d'une alliance
éternelle et céleste. La Vérité est donc le grand Rédempteur ou Libérateur de
tous les élus depuis le début jusqu'à la fin des temps. Sa lumière
glorieuse va bientôt nous libérer de l’ombre noire
sous laquelle elle a lutté tout au long des âges pour respirer
spirituellement l'essence même de l'Esprit des vivants, et nous
serons tous élevés dans un état sublime
de joie et de liberté sans fin.
Mais beaucoup de supposés
chrétiens et de prétendus pasteurs
aujourd’hui craignent encore la manifestation finale de la Vérité. Ceux qui aiment l’obscurité, craignent l’Épée parce que la
lumière de la Vérité qui approche, présage la fin d’un monde
corrompu dans lequel ils prospèrent égoïstement, et que la
manifestation finale de la Vérité signifie le commencement d’un
nouveau monde où justice et équité règneront éternellement. Il ne
s'agit donc pas d'un royaume chimérique et temporaire de 1,000 ans
sur terre, comme l'enseignent les imposteurs, mais d'un royaume
céleste et sans fin. Le Seigneur Jésus nous dit clairement
«Mon royaume n'est pas de ce monde» (Jean
18:36), c'est à dire que sa Souveraineté n'est pas de cette
disposition charnelle et mondaine, elle est spirituelle, céleste, et
éternelle. Mais les évangéliques veulent absolument un royaume
terrestre et temporaire et pour établir leur perversion de la vérité
qu'ils déforment à leur guise avec un millénarisme chimérique, ils
ont inventés toutes sortes de notions plus absurdes l'une que
l'autre, érigeant le tout dans une complexité inouïe de visions
utopiques irréalisables qui en séduit de grands nombres, ne pouvant
saisir à cause de leur esprit orgueilleux et égoïste, la pleine
vérité des paroles du Seigneur Jésus qu'ils contredisent
honteusement. Dans la confusion de leurs de leurs vaines
imaginations, nous retrouvons les fausses doctrines suivantes:
l'enlèvement secret de l'Église; deux retours de Jésus, un à
l'enlèvement et l'autre après une période de sept ans tandis que
pour d'autres il s'agit d'une période de trois ans et demi; un
Antichrist politicien qui dominera sur le monde et persécutera les
chrétiens; la reconstruction du temple à Jérusalem; le
rétablissement de la nation d'Israël comme peuple de Dieu; le
rétablissement de la sacrificature lévitique et des sacrifices; la
possibilité d'être sauvé après le retour de Jésus; deux
résurrections des morts, une à l'enlèvement et l'autre à la fin du
mille ans; une guerre littérale avec Jésus et ses anges contre les
puissances et les armées des nations; et nombreuses autres insanités
de la sorte que les réprouvés gobent comme des friandises.
La Vérité apportera en
dernier lieu la
fin de l'orgueil, de l’égoïsme, de l'indépendance, de la cupidité, de toutes les chimères et de
l’égotisme, et la fin du paradigme victime/agresseur, devenu une
réalité habituelle pour la majorité des gens aujourd’hui dans le
christianisme contrefait moderne. Une transformation prodigieuse se
produira en un clin d'œil, lorsque la Vérité surgira du cœur des
élus pour les assembler en un seul Corps et tout œil le verra. La
lumière qui en jaillira sera tellement grande et tellement puissante
qu'elle remplira l'univers au complet, les ténèbres ne pourront
point résister et tout ce qui existe, tant des mondes que des
étoiles, du règne animal que du règne végétal, et toute la race
humaine seront anéanties dans un embrasement effroyable pour faire
place au monde nouveau d'une nouvelle race céleste et éternelle. En
tant qu'élus nous nous y retrouverons tous, mais les exclus ou
réprouvés périront tous dans le feu dévorant de notre Dieu
Souverain, le Seigneur Jésus, l'Admirable Esprit des vivants à qui
appartient toute puissance et toute gloire.
Malgré cela la défiance
évangélique persiste dans sa rébellion et refuse tout changement. C’est toujours le cas
dans un monde enténébrée et dysfonctionnelle que la Vérité revient
d’abord pour extraire les racines pourries des anomalies erronées
qui ont propagé erreur et vice dans le sol profane de l’égoïsme. Au
moment de la fin – Le Grand Jour de Purification – la Vérité tendra
son miroir pour que chacun puisse voir enfin ce qu’il est devenu et
quel maître il sert. Au jugement dernier il n'y aura pas
d'incroyants, l’homme n’aura plus d’autre choix que de
faire face à la Vérité et à lui-même en toute honnêteté, de regarder,
voir et pleurer sur sa condition lamentable, alors le trie sera
fait, les élus seront séparés des exclus, et chacun sera soit
condamner aux peines éternelles ou au bonheur éternel, tel qu'il fut
stipulé de toute éternité dans les décrets d'élection et de
réprobations.
LA CONVICTION
ET LA CERTITUDE
En toute conscience nous
vous disons: «Vivez dans la vérité – c'est-à-dire dans la véracité, dans
la sincérité, dans l’authenticité, dans l'évidence et dans
l’exactitude de la révélation en Jésus-Christ qu'il accorde à ses
élus. A moins que vous préfériez, comme les évangéliques, la fausseté, le mensonge,
la tromperie, l’hypocrisie, l’erreur, la déformation, la
manipulation, l'intimidation, la domination et la diffamation. Voila ce qu'un
nommé Abel Allen a
dit à propos de la vérité: «La vérité est constructive, l'erreur est
destructrice. La Vérité élargit l'esprit, l'erreur la contracte.
Seule la Vérité prépare l'esprit à recevoir plus de vérité. L'erreur
repousse la vérité. Elle invite d'avantage à l'erreur. La Vérité
élargit l'esprit, l'erreur le confond et l'affaiblit. La Vérité
émancipe l'homme; l'erreur l'asservit». Qu’y a-t-il de si difficile
à comprendre, ce qu’est la vérité ? Pourquoi préférez-vous vivre
dans le mensonge ? Il est certes plus facile de vivre dans le
mensonge et nos illusions – comme il est plus facile de ne rien
faire.
La vérité est la justesse
et la précision. La Vérité est la Vie, car on ne peut nier la force
de vie en Jésus-Christ qui nous fait renaitre des décombres de
l'incertitude. On peut se nier mais cela n’effacera jamais qui nous sommes,
des pécheurs perdus sans la grâce de Jésus-Christ. La Vérité est courage et force,
mais sans Christ nous ne pouvons rien. Elle demande de la conviction et de la
certitude, et ces choses nous sont attribués gratuitement dans les
mérites du sacrifice de la croix. Elle est la
rectitude intellectuelle, le raisonnement droit, elle est l’évidence même
de la Sainte Présence de Christ. Elle en est l'évidence,
comme l'évidence que le soleil se lève à tout les jours, même si
parfois il est caché par les nuages. La Vérité est belle tel une
fleur qui s'épanouit, la Vérité est douce comme de la musique a nos
oreilles. Souvent elle fait mal à entendre car elle est
intransigeante et tranche comme une Épée à deux tranchants, mais elle est nécessaire
pour l'équilibre de toute chose dans la vie du chrétien authentique. La
Vérité est l'Amour, non pas l'amour sentimental de
soi et des autres, mais la résignation envers les frères et les
sœurs dans une confiance certaine que Christ les éclairera pour la
gloire de son nom, car elle est un gage de confiance, d'ouverture,
et de courage dans la démarche de la révélation. La Vérité est une force véritable qui transforme la
noirceur en une lumière selon la puissance de son essence qui est le
renoncement divin en Jésus-Christ, l'Esprit des vivants manifesté
dans la chair. Elle est la conviction et la certitude de sa Sainte
Présence en nous qui nous donne la foi dans ses principes.
Cessez de réagir a tout et
réfléchissez deux minutes, voyez les deux cotées de la médaille et
même les choses sur 360 degré et non seulement sur un degré. Vous
n’avez pas qu’un seul œil mais bien deux, n’est-ce pas ? La loi est
claire il y toujours deux coté en toute chose. Il y a le positif (la
Vérité) et le négatif (le mensonge) et les différents degrés entre ces
deux pôles sont les réalisations progressives de la conscience pour
en saisir la révélation sous la direction de l'Esprit des vivants
qui en a déterminé les voies. La Vérité est puissante. Elle est évidente,
réaliste et clair comme de l’eau de source. La Vérité est le principe,
le postulat de ce qui est certain. On est certain d’exister et
d’être conscient, on est certain qu'il n'y a aucune certitude sans
Christ.
Le mensonge est une
déviation de la Vérité, une transgression de son essence vitale, et
plusieurs marchent dans cette voie tortueuse sous prétention d'être
dans la Vérité lorsqu'ils en ont qu'une contrefaçon. La duplicité met un doute et l’incertitude partout
tel un cancer qui ronge l'esprit. On peut bien se faire des a croire mais cela n’en
fait pas une vérité factuelle, ce n'est que des impressions d'une
approximation trompeuse qui forme des opinions sophistiqués pour
séduire les consciences. La Vérité doit être attestée
et être confirmée dans la balance de l'exactitude de la révélation
que nous recevons en Christ. La Vérité est une
garantie de son authenticité. La Vérité produit les bons fruits de
l'assurance de Christ et
le mensonge les mauvais fruits de la duplicité charnelle. De toute l’histoire humaine
le mensonge n’a jamais produit rien de bon, a part sa faible lumière
opaque. Le mensonge, la manipulation, les intrigues, les conspirations sont des
fruits mauvais qui n'apportent que la destruction. Ils sont les
fruits d'une énergie de peur et de lâcheté comme nous retrouvons
chez les évangéliques. Il peut être difficile de
faire la part des choses. Néanmoins, à ceux qui ont reçu le
discernement de l'Esprit des vivants, cela nous apporte la véritable
réalité des choses établis dans l’indiscutable certitude que Christ
en nous est la Vérité et qu'il nous enseigne toutes choses en du
temps d'après le bon plaisir de sa volonté souveraine et absolue.
A Christ seul soit la Gloire
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