DÉFLAGRATION

DE L'EXISTENCE HUMAINE

 

Texte d'Ariel sur l'Émergence de Christ en nous, lors de son apparition finale en ce monde de ténèbres.

 

Par Jean leDuc

Août 2021

 

 

LE CONTRÔLE DES PEUPLES

 

L'ALLIANCE DE LA MÉDECINE À L'INFORMATIQUE

 

LA TYRANNIE DES GOUVERNEMENTS HYPOCRITES

 

LA GRANDE PROSTITUÉE SIONISTE

 

L'INTERPRÉTATION DU PARALLÉLISMEPROGRESSIF

 

LE SIONISME MESSIANIQUE D'ISRAËL

 

LE CODE GÉNÉTIQUE ET L'HEXAGRAMME DES KHASARS

 

LE JUDAÏSME ET LE JÉSUITISME

 

LE VATICAN JUIF

 

VATICAN II INFILTRÉ PAR LES JUIFS

 

 


 

LE CONTRÔLE DES PEUPLES

Depuis l'antiquité lointaine, les hommes craignent la fin du monde, du fait que Dieu a déjà détruit la terre au temps du déluge de Noé. Ils savent aussi que la promesse de la prochaine destruction globale, ne sera plus par l'eau mais par le feu (2 Pierre 3: 12,13). Ils ont scruté le ciel pour en voir des signes avertisseurs. Ils ont observé les changements dans les forces de la nature, pour en éviter les désastres. Ils ont analysé les éléments qui composent notre monde, pour en obtenir le contrôle, afin de prévenir les dangers potentiels. Ils ont regardé partout dans l'univers et sur la terre, pour trouver ce qui pourrait menacer l'existence de la race humaine, sauf en leur propre cœur.

Diverses théories ont été avancées en nos temps modernes, par ceux qui sont considérés comme étant des experts en la matière, pour en expliquer les probabilités. La plus populaire étant que notre terre pourrait être frappée par un astéroïde gigantesque, occasionnant sa destruction totale. Les scientifiques qui maintiennent sérieusement cette théorie, ont même élaborés des plans pour établir des colonies sur d'autres planètes, pour sauvegarder l'existence de la race humaine. Un groupe d'élites, aurait été choisis spécifiquement pour en assurer la survie. Or il est évident que ces gens n'ont jamais lu la Bible, dans laquelle Dieu dit: Même si tu fais ton nid parmi les étoiles, je vais allez te chercher, et tu n'échapperas point.

D'autres ont spéculé qu'une guerre nucléaire mettrait fin à notre monde, et se sont creusés des villes souterraines pour assurer leur survie, afin de tout recommencer après la conflagration. Tandis que d'autres ont considéré qu'une maladie virulente, comme la peste, pourrait décimer des populations entière, menaçant l'existence de la race humaine. Mais aucune de ces choses n'occasionnera la fin du monde, même si les hommes semblent contribuer à leur propre destruction. Mais la destruction dont nous parlons, viendra de l'intérieur et non de l'extérieur. Dieu est Esprit, et son feu dévorant viendra par le moyen interne de l'esprit de l'homme, et tous seront calcinés en une fraction de seconde, et tous seront réduits en poussière d'où ils furent créés. Cette notion se nomme la déflagration de l'existence humaine, c'est à dire: la combustion rapide d'un corps, accompagnée de flammes, de projections de parcelles incandescentes, et de bruits plus ou moins fort. En d'autres mots, une mort horrible des plus affreuses et inimaginables. Les hommes seront consumés debout, en une fraction de seconde qui sera comme l'éternité. Aucun homme ne peut voir la gloire de Dieu et vivre, sauf les élus véritables en qui demeurent la Sainte Présence de Christ. Ceux-ci seront transformés au même moment, en un instant, en un clin d'œil, en une nouvelle existence parfaite et éternelle à l'image de Christ. Mais le reste des hommes périront tous dans la pleine manifestation d'une lumière éblouissante glorieuse qui surgira du cœur des élus. Moïse demanda à Dieu de voir sa gloire. Mais puisque cela est impossible aux hommes mortels, Dieu le cacha derrière un rocher lorsqu'il passa devant lui, pour qu'il ne meurt point. Or ce rocher est Christ, en qui nous sommes et par qui nous sommes.

Or en général, les peuples de la terre ne se préoccupent pas de ces théories, qu'ils considèrent comme des possibilités lointaines de milliers d'années, ou simplement comme des notions insignifiantes, et même comme des fables. Que la race humaine cessera d'exister leur est complètement indifférent. Du temps qu'ils puissent faire cuire leurs steaks sur le BBQ avec une bonne bière froide, plonger dans leur piscine pour se rafraîchir, aller dans des bons restaurants ou au cinéma, ou regarder un match de hockey ou de football, ou voyager vers des pays exotiques dans leurs vacances, ils ne se cassent pas la tête avec de telles choses. Mais tout a chambardé avec l'apparition soudaine du coronavirus, et les gens ont perdu leur liberté illusoire choyée.

 

L'ALLIANCE DE LA MÉDECINE À L'INFORMATIQUE

Dans les nombreuses théories sur la fin du monde, des groupes de scientifiques, spécialistes en médecine, qui avaient considéré qu'une maladie virulente comme la peste, pourrait décimer des populations entière, menaçant l'existence de la race humaine, prirent conscience, dans leurs études du sujet, que la nouvelle technologie de l'informatique pouvait venir à leur aide. Quoiqu'ils avaient de bonnes intentions, au début, pour améliorer la science médicale, ils tombèrent dans un piège habilement conçu par des génies en informatique, notamment l'archi-milliardaire, Bill Gates, directeur de la compagnie Microsoft, et plusieurs autres du même calibre. Tous des membres de loges secrètes, qui incorporent les dirigeants des banquiers internationaux de la maison Rothschild, des chefs des nations comme Joe Biden, Hillary Clinton et son mari Bill, l'homme au cigare vaginal, George W. Bush, Emmanuel Macron, etc., incluant Israël et le Vatican, et mêmes des représentants du mouvement dit Évangélique, de même que des représentants de l'arc-en-ciel, pour élaborer une stratégie de domination mondiale qui bénéficierait à tous, et projetterait l'homme dans un futur glorieux de nouvelles sciences d'un potentiel et de richesses illimitées. La présentation fut tellement alléchante qu'aucun ne put résister.

Appelons ces réunions, le Bal des Macabres, dans lequel le Bouc de Mendez est le centre d'attraction, aux milieux de fêtes orgiastiques, et des enculeurs du hibou bohémien à qui ils sacrifient des enfants. Cette image infernale représente très bien la réalité des choses. Les nouvelles sciences informatiques furent incorporées dans les recherches de la nanotechnologie, et mise entre les mains de laboratoires pharmaceutiques, puis le tour fut joué pour la pandémie chimérique du coronavirus, et son vaccin Antichrist, de même que son passeport diabolique ou carnet sanitaire obligatoire, par lequel ils veulent nous contrôler et forcer à prendre le vaccin qui modifie le code ADN dans le cortex cérébral de l'être humain.

Sans le passeport comme preuve du vaccin, un grand nombre perdent leurs emplois, et les gens ne peuvent plus acheter ni vendre librement les produits nécessaires, ni même se trouver un logis pour demeurer, et encore moins se déplacer librement ou voyager. Nous sommes à la période de la domination de la Bête de l'Apocalypse, dans laquelle tous les réprouvés doivent recevoir la Marque de la Bête, s'ils veulent maintenir leur liberté illusoire. Ne vous y trompez pas, ce n'est pas une question d'être protégé contre un virus, mais une question de contrôle sur les peuples de la terre. Les élus véritables sont protégés, mais doivent néanmoins résister de toutes leurs forces, jusqu'à y laisser leur vie même, si cela deviendrait nécessaire, car notre royaume n'est pas de ce monde. Les choses sont extrêmement sérieuses, ce n'est plus le temps de badiner, le temps des plaisanteries est passé, mais de combattre et résister pour maintenir la foi réelle sous d'extrêmes pressions.

Ne vous imaginez pas pour un instant, que cela n'est qu'une histoire imaginaire de complotistes, car la chose est très réelle, comme vous allez réaliser davantage dans l'ensemble de ce document. Ces groupes sataniques de personnes ignobles et sans scrupules, existent vraiment, et contrôlent tous les aspects de notre société moderne.

Mais ces hommes perfides, avides de pouvoir, négligèrent un point très important dans tout cela, à savoir la Toute-puissance et la colère de Dieu, qu'ils ne purent concevoir à cause de leur orgueil et de leur égocentrisme démesuré. La profondeur infernale de leur corruption diabolique ne connaît aucune borne, dans leurs planifications sataniques pour exterminer le christianisme sous toutes ses formes, et éradiquer Dieu de la pensée de l'homme. La notion de Jésus-Christ doit être remplacée par un nouveau Messie Sioniste, qui deviendrait le centre de leur pouvoir mondial, afin de garder les peuples de la terre sous l'esclavage de leur idéologie tyrannique, de domination subtile et subversive. Ces choses sont mêmes dévoilées dans un document mystérieux du temps de la révolution bolchevique, qui se nomme les Protocoles des sages de Sion

 

LA TYRANIE DES GOUVERNEMENTS HYPOCRITES

Nous sommes, en cette fin des temps, dans le moment même, sous la tyrannie de nos gouvernements hypocrites de poli-ti-chiens galeux, qui veulent notre perte. Comme vous tous, nous sommes dans l'anticipation de l'apparition finale de Christ en ce monde, pour la destruction totale de ce régime dictatorial, et nous savons tous que le jour est éminent. Pour les indécis par rapport au vaccin, sachez que ce n'est pas une question de choix. Si vous suivez le monde, vous périrez avec le monde; si vous suivez Christ vous vivrez éternellement. Mais Dieu a déterminé toutes choses depuis avant la fondation du monde, soit pour le salut des élus, soit la perdition des réprouvés. Or il nous faut ouvrir ici, une petite parenthèse. concernant la date précise du grand jour de notre délivrance, car nous ne voulons qu'aucun ne soit déçue dans son attente et tombe dans le désespoir. Dans un de nos documents antérieurs, nous avons fait un calcul des dates d'évènements prophétiques qui se rapportent à nos temps modernes, dont le résultat de l'équation nous a donné le 14 novembre de l'an 2021, et nous avons été très soigneux pour dire que ce n'était pas une prophétie. L'étape finale de notre calcul fut basée sur le trois ans et demi, ou moitié de la semaine prophétique de sept années du prophète Daniel. Tout comme vous, nous espérons fortement que cela soit juste, car nous désirons aussi retourner à notre maison paternelle le plus vite que possible. Mais il nous faut être réaliste aussi, car il y a toujours la distincte possibilité qu'il faut calculer les sept années prophétiques au complet, ce qui donnerait le 14 mai de l'an 2025, qui tombe précisément, par Dieucidence, le jour de la fête nationale de l'état moderne d'Israël ou Nouvelle Khazarie Sioniste. Ce qui veut dire qu'il va vous falloir plus de patience et de courage dans les épreuves. Néanmoins ces choses ne sont pas des prophéties, mais de simples constatations mathématiques, quoiqu'ils détiennent de fortes probabilités. L'apparition finale de Christ, peut très bien arrivée plus tôt ou plus tard. Nos calculs ne sont pas infaillibles, et nous ne prétendons pas autrement.

 

LA GRANDE PROSTITUÉE SIONISTE

Le livre de l'Apocalypse nous parle de deux "témoins" qui sont tués dans Jérusalem même, juste avant l'apparition finale du Seigneur Jésus (Apo.11:7,8). Sans mentionner toutes les insanités évangéliques sur ce point, précisons que les deux témoins sont un style imagé qui représente le témoignage de la vérité dans l'Ancienne et la Nouvelle Alliance. Qu'ils soient tués, signifie une période à la fin des temps, que leur témoignage contre la grande prostituée est achevé, dans la lumière du dernier moment de l'existence humaine, et qu'il est relevé, après un court temps de trois jours et demi, dans l'exaltation des élus, ce qui est son but final pour l'héritage des saints.

Mais cela nous indique aussi que cette ville mystérieuse, devait redevenir un point de conflit principal parmi les nations de la terre. Il n'y a aucun doute que la prétendue renaissance de l'État d'Israël en 1948, qui est en réalité la renaissance de l'ancien empire des Khazars Sionistes; et la reprise de Jérusalem qui en suivit au début de Juillet 1967, après une guerre de six jours, représentent des facteurs importants dans le déroulement des prophéties du Nouveau Testament. Toutefois, le rôle qu'ils ont à jouer, est loin de celui imaginé par les vipères évangéliques avec leurs aspirations Sionistes d'un royaume Juif national et universel de mille ans, où Christ régnerait dans un temple reconstruit à Jérusalem. En fait, comme nous savons, le Christ des Sionistes est plutôt l'Antichrist dont le but est de détruire le christianisme. Ces choses seront élaborées davantage dans le reste de ce document.

Le Dr. H.C. Heffen, "The Sign of his Coming", nous fait remarquer que "le Seigneur Jésus-Christ n'a jamais dit qu'il était pour établir un Royaume de mille ans sur la terre. Cette doctrine nous provient des Scribes qui revinrent de la Captivité de Babylone et inscrivirent la tradition des anciens et leurs spéculations sur l'Écriture dans le Talmud. Ce fut largement l'influence du Talmud qui porta les Juifs à rejeter leur Messie". Or le Talmud était la pierre angulaire de l'ancien empire des Khazars Sionistes, bien avant la fondation du mouvement Sioniste politique en 1897.

L'histoire profane et chrétienne témoigne clairement sur le début et la fin du "Temps des Nations". Jérusalem fut détruite en l'an 70 pour redevenir la possession du nouvel État d'Israël en Juillet 1967, exactement 70 ans après la fondation du mouvement Sioniste, ce qui correspond par analogie à la déportation à Babylone avant la construction du deuxième temple à Jérusalem. Il n'y a aucun doute qu'il y a un lien prophétique entre ces deux évènements historiques importants. Or la Jérusalem actuelle fut déclarée officiellement la capitale de la nation d'Israël exactement 50 ans après sa reprise, par le président américain, Donald Trump, ce qui correspond par analogie au jour de la Pentecôte. L'année suivante, le 14 mai, 2018, l'ambassade américaine fut déménagée de Tel-Aviv à Jérusalem pour confirmer cette déclaration, une première dans l'histoire des nations modernes. Cet évènement fut loin de plaire au Vatican qui fut pris complètement par surprise. Le pouvoir mondial venait d'être transféré de Rome à Jérusalem, et on vit le surgissement soudain de la pandémie chimérique du coronavirus. Dans l'accord de toutes les dates et analogies de ces évènement, on voit clairement la main de Dieu, qui utilise la folie des hommes pour l'accomplissement de ses dessins. En d'autres mots, l'apparition finale de Christ est sur le point de se réaliser.

 Sur le plan biblique, la Jérusalem actuelle est encore considérée "la ville sainte" par un grand nombre de chrétiens nominaux et de vipères évangéliques, quoiqu'elle soit la source d'une idolâtrie rampante et d'une violence effrénée, qui la caractérise avec précision comme "la mère des abominations". Ceci va sûrement en étonner plusieurs, mais contrairement à l'interprétation courante, la position Pneumillénaire déclare que "la grande ville qui a la royauté sur les rois de la terre" (Apo.17:18), n'est pas la ville de Rome, mais Jérusalem, qui détient maintenant tout le pouvoir et la puissance mondiale, et son but primaire est d'exterminer tout le christianisme de la face de la terre. La "Grande Prostituée", nommée aussi "la Babylone mystérieuse" (Apo.17:1,5), qui est souvent attribuée à l'Église Catholique Romaine, tout simplement parce que Rome est construite sur "sept montagnes" (Apo.17:9), peut porter à la confusion. Sans rejeter ceci entièrement, le symbolisme de ces passages nous porte encore plus loin, pour nous indiquer une union ou alliance entre Rome et Jérusalem, la papauté n'ayant pas le choix de plier le genou aux aspirations Sionistes, pour éviter sa destruction.

Puisque le livre de l'Apocalypse est un texte rempli d'images ou de symboles, il nous convient donc d'interpréter "les sept montagnes" d'une manière figurative qui est en rapport direct avec la Parole de Dieu. Le seul autre passage dans l'Écriture qui correspond au même style imagé, se trouve dans Prov.9:1: "La sagesse a bâti sa maison, elle a taillé ses sept colonnes". Les sept montagnes correspondent ainsi aux sept colonnes de la sagesse, identifiant la ville de Jérusalem sous le règne de Salomon. Ceci nous est indiqué davantage par ce passage de l'Apocalypse: "C'est ici qu'est l'intelligence pour quiconque a de la sagesse" (Apo.17:9); nous indiquant que "la sagesse" est la clé d'interprétation pour obtenir la compréhension de ces passages énigmatiques. En plus, l'image de "la Prostituée" correspond précisément à Jérusalem dans Ez.16:15-43, où elle est nommée "la Prostituée". Nous retrouvons la même chose dans le livre du prophète Ésaïe: "Quoi donc; la cité fidèle est devenue une prostituée" (Es.1:21). Cette cité est décrite dans l'Apocalypse comme "une femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus" (Apo.17:6); ce qui correspond aux paroles de Jésus: "Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés" (Mat.23:37). Face à de telles évidences, il est indéniable que "la grande ville" qui est nommée "la Grande Prostituée", est nulle autre que la ville de Jérusalem, comme l'Apocalypse nous l'indique ailleurs: "Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée dans un sens spirituel, Sodome et Égypte, là même où leur Seigneur a été crucifié" (Apo.11:8).

Toutefois, s'il semblerait que l'Église Catholique Romaine occupe aussi une grande place dans le style imagé de la Grande Prostituée. C'est cet élément mystérieux qui porte à la confusion dans l'interprétation de ces passages. Tous ont manqué de réaliser qu'il existe un rapport étroit entre ce système de religion diabolique et l'ancienne religion d'Israël; particulièrement sa prêtrise, son temple, sa doctrine du salut par les œuvres, et sa persécution des vrais chrétiens. À la destruction de Jérusalem, son temple, et sa religion en l'an 70, l'idéologie de l'Ancienne Alliance trouva place dans une forme bâtarde du Judaïsme sous une couverture prétendument chrétienne. Cette transformation graduelle de l'ancienne religion d'Israël qui se fit dans le plus grand secret, est décrit dans l'Apocalypse comme "le Dragon qui donna sa puissance à la Bête", prophétie qui se rapporte à l'autorité de la loi, fut transférée à l'empereur Constantin, qui donna son pouvoir à la Bête de la mer, l'Église Catholique Romaine, lors du Concile de Nicée en l'an 325. Ceci devient encore plus évident lorsque nous considérons que le mot "Bête", qui en Grec est "Thêrion", porte la même signification que le mot "Echidna" ou "Vipère", employé par Jésus pour décrire la religion du Pharisianisme (Mat.12:34; 23:33). De ce fait, nous voyons que le Pharisianisme et le Catholicisme sont identique dans toutes leurs prétentions, mais avec quelques différences très significatives.

Or l'Église Catholique Romaine, qui est en réalité l'Église Mithriaque du culte du Soleil sous un déguisement chrétien, et plus particulièrement la Cité de Vatican, est nulle autre que la Jérusalem Cryptique ou Mystérieuse qui doit parvenir à l'unité avec la Cité moderne de Jérusalem; ce qui est le but final du Concile de Vatican II (1962-1965), c'est à dire d'établir un deuxième Vatican dans Jérusalem même avec un pape Juif, comme il est dit précisément dans les Protocoles des sages de Sion. Cette alliance infernale fera de Jérusalem le centre mondial de l'œcuménisme dont l'ensemble des éléments se nomme "la Babylone Mystérieuse". Ceci signifie l'union de l'étoile de David, symbole de la Cosmologie Babylonienne, à l'ancien culte du Soleil dont le symbole est la mite du dieu Dagon et les clés du dieu Janus et de la déesse Cybèle, qui sont sur le drapeau du Vatican. Cette alliance sera confirmée aux yeux du monde entier par une visite papale dans Jérusalem même, et ceci se produisit au mois de Mars de l'an 2000, douze ans après que ce texte fut écrit.

Il est logique de penser que l'Antichrist de Rome établira le siège de son pouvoir dans cette ville prostituée, sans être présent en personne, mais par l'alliance d'un concordat secret, et débutera la dernière inquisition avec le support de la Bête qui sort de l'abîme, c'est à dire "l'État moderne d'Israël". Ainsi nous parvenons à la pandémie chimérique du coronavirus.

 Mais la logique ne s'accorde pas toujours avec les faits réels, et quoique l'alliance entre le Vatican et Israël est assuré, il en advient que le déroulement des évènements qui conduiront à l'apogée de cette nouvelle super-puissance, ne suivent pas nécessairement un ordre clair et précis comme nous le voudrions. La question est donc: Est-il vraiment nécessaire que le Vatican établisse un deuxième siège de pouvoir à Jérusalem, dans un temple quelconque réservé à cette fonction, pour dominer sur le monde avec un pape Juif; ou les évènements vont-ils prendre une autre allure sans en changer les prémisses? ce qui est fort probable, à cause des aspirations du Sionisme qui sont de détruire le christianisme sous toutes ses formes, dont le Vatican en est l'image principale aux yeux d'un monde aveugle. Donc soit que le Vatican renonce à toutes prétentions chrétiennes, et plie le genou aux revandications du Sionisme, ou soit détruit complètement, car il n'y a pas de place pour deux super puissances dans le royaume Sioniste à venir, mais qui ne verra jamais le jour, car Dieu lui réserve une grande surprise.

 

L'INTERPRÉTATION DU PARALLÉLISME PROGRESSIF

En se référant au système d'interprétation génial du "parallélisme progressif", la vision de "Babylone Mystérieuse, la Grande Prostituée", contenue dans le chapitre 17 de l'Apocalypse; se rapporte à la section du chapitre 13:1-18, où nous voyons que "l'image de la Bête" correspond précisément à la Grande Prostituée, c'est à dire: à la représentation officielle du pouvoir de l'État moderne d'Israël sortit de l'abîme, à savoir Jérusalem.

Nous avons amplement d'indications que la fin des temps et l'apparition finale du Seigneur Jésus, se produira au moment même de la destruction de la cité de Jérusalem; car il faut que la Jérusalem terrestre disparaisse, pour qu'apparaisse la Jérusalem céleste. Certaines évidences bibliques et historiques, nous porte à penser que le moment final se produira soit trois ans et demi après la reconnaissance officielle de Jérusalem comme capitale d'Israël, c'est à dire le 14 novembre de l'an 2021, ou le 14 mai de l'an 2025, dépendant du calcul de la semaine prophétique de sept années.  Quoiqu'il en soit, tout indique que l'éminence de l'apparition de Christ est à la main, et que nous en verrons la manifestation bientôt.

 

LE SIONISME MESSIANIQUE D'ISRAËL

Trois grandes familles spirituelles se sont affirmées au sein du Sionisme, nous dit Claude Franck, "Le Sionisme" (Il importe de mentionner que le mot Juif représente les Khazars qui étaient tous de foi judaïque, selon la stricte observance du Talmud, et qui habitaient en Russie depuis la conquête de leur royaume):

a) les religieux qui mettent l'accent sur l'aspect traditionnel du Judaïsme;

b) les socialistes qui donnent la priorité au travail;

c) et les révisionnistes pour lesquels l'affirmation de l'indépendance étatique est l'impératif essentiel.

a) le Sionisme religieux est le renouveau spirituel du Judaïsme qui voit dans le retour physique à la terre promise, le début du processus de rédemption nationale, la première phase annonciatrice de la venue des temps messianiques. Le nationalisme juif lui apparaît comme un principe religieux, une force mystique qui représente, non une idéologie, mais un aspect permanent de l'âme juive qui par essence est nationale, et qui ne peut subsister que par un retour à sa racine qui n'est pas pour eux l'Éternel, mais la Terre d'Israël; car seul Israël pour eux est pleinement une Nation, car il symbolise à la fois un principe divin et un principe humain. L'exil aurait séparé la nationalité de la divinité, et le retour à la Terre d'Israël les réunifierait.

b) le Sionisme socialiste est une tendance qui a été longtemps prédominante au sein du mouvement Sioniste. Toute les nuances de la pensée socialiste y ont été représentées et plusieurs formations politiques se sont réclamés de cette idéologie. Moske Hess (1812-1875) fut le précurseur le plus important du Sionisme Socialiste. Trente-cinq ans avant la réunion du premier Congrès Sioniste, ce marxiste avait rompu avec Karl Marx. Le Socialisme Sioniste camoufla l'incarnation de la subversion dans la classe possédante, et transforma la situation du Juif dans la Diaspora pour construire une société Juive régénérée en terre d'Israël. Les analyses de Hess influencèrent tous les sionistes socialistes des deux générations postérieures et, en particulier, les trois illustres représentants de ce courant de pensée: Aharon David Gordon, Nachman Syrkin, et Dov Ber Borochov.

1) Aharon David Gordon (1856-1922), agriculteur le jour et philosophe la nuit, a élaboré une mystique de l'homme et du travail. Il concevait l'univers comme un organisme dont les éléments aspirent à unifier le tout, et l'homme comme une partie relié à l'univers. Quant à la Nation, elle lui apparaît comme le trait d'union entre la vie cosmique et la vie spirituelle de chaque individu. Il insistait sur la nécessité de créer la Nation d'Israël à l'image de Dieu. Il définit la vie cosmique de la Nation comme "la synthèse du paysage naturel de la patrie et de l'esprit du peuple qui l'habite". Cette synthèse est nommée "peuple-homme", mais les aspirations messianiques du Sionisme altérèrent cette synthèse comme "le peuple Dieu" par laquelle ils justifient leurs droits d'une domination mondiale.

2) Nackman Syrkin (1868-1924) fut membre à la fois des "Amants de Sion" et des organisations révolutionnaires Russes; il se fit jusqu'en 1909 le champion du "territorialisme". Il défendit un socialisme utopique, mettant l'accent sur la nécessité d'édifier une société sans classe en Palestine. Le socialisme mystique de Syrkin est une synthèse des enseignements prophétiques et des doctrines du socialisme utopique moderne.

3) Dov Ber Borochov (1881-1917) fut d'abord membre du Parti social-démocrate Russe, avant de rejoindre le mouvement Sioniste. Toute son œuvre tendit à concilier la revendication étatique du mouvement national Juif avec les théories de Karl Marx. Il considérait que ceux qui, dans la Diaspora, se trouvaient au sommet de la pyramide sociale, en formeraient la base en Israël, et tirait sa célèbre métaphore de la pyramide renversée.

Ces trois idéologies de Gordon, Syrkin, et Borochov; s'unissent dans la forme symbolique représentée sur le drapeau d'Israël: l'étoile de David, formée de deux triangles ou pyramides dont l'un pointe vers le Haut et l'autre vers le bas.

c) le révisionnisme Sioniste national se définit comme un monisme fondé sur l'idée qu'il est impossible de servir deux causes à la fois. La situation unique dans laquelle se débattait le peuple juif requérait, que tout fut subordonné à la poursuite d'un seul but: le transfert de millions de Juifs en Terre d'Israël qui entraînerait automatiquement la création d'un État Hébreu dans les frontières bibliques. Pour mener à bien cette entreprise, certaines libertés dans une conjoncture normale, devraient être sacrifiées, pour inscrire dans le programme révisionniste le principe de l'arbitrage obligatoire en matière de conflits sociaux, la stricte limitation du droit de grève, et le lancement d'un financement international destiné à la colonisation pionnière.

Seulement l'Esprit de Christ peut nous éclairer sur l'émergence du Sionisme Khazarien, qui nous est révélé dans sa Parole comme étant "la Bête". L'esprit mystique et subversif du Sionisme a laissé ses traces à travers l'histoire. Nous le voyons à l'œuvre parmi le complot du roi Hérode et des Pharisiens pour faire mourir Jésus, et parmi les intrigues qui se déroulent au courant de l'histoire de la Diaspora. Nous le retrouvons vers 1860 dans un mouvement qui porte le nom de "l'Alliance Israélite" dont l'influence se fait sentir universellement. La source des implications apocalyptiques de l'apparition de "la Bête" et de"la Grande Prostituée", se trouve dans ces paroles prophétiques de M. Crémieux, "Le Juif Talmudiste", président de l'Alliance Israélite: "Un nouveau règne messianique, un nouveau Jérusalem doit prendre la place des empereurs et des papes". Peu après, une organisation prit en charge le rapatriement collectif proposé par l'Alliance Israélite. En 1880, "les Amants de Sion", société fondée en Russie et en Pologne, se donnèrent pour but de préparer l'implantation de colonies agricoles juives en Palestine, les Kibboutz. Le principal idéologue de ce groupement fut Léo Pinsker, auteur d'un pamphlet intitulé "Auto-émancipation" (1882); et dix sept ans plus tard, le premier Congrès Sioniste se réunissait.

Théodore Herzl (1860-1904), né à Budapest, œuvrait depuis 1892 sur le concept d'une organisation Sioniste, et fut le fondateur du Mouvement Sioniste le 4 Juin 1897, précisément 70 ans avant la reprise de Jérusalem au début de Juillet 1967. Ces 70 ans sont reliés d'une manière énigmatique à la déportation à Babylone, quand les Juifs y revinrent sous Néhémie pour rebâtir Jérusalem. Ces choses nous indiquent que tout ce qui concerne l'émergence du nouvel État d'Israël en 1948, la reprise de Jérusalem et son statut international, ainsi que l'apparition de l'Antichrist, furent préfigurées d'avance dans les trames des machinations secrètes conçues par le mouvement Sioniste, ainsi que leurs procédures, les dates et les jours. Herzl fut le premier à considérer le retour à Sion comme un problème essentiellement politique, et seule une organisation politique lui paraissait à même de mener à bien cette entreprise diabolique. Ceci n'est pas étonnant, puisque la politique est le domaine par excellence de Satan, le père du mensonge et du meurtre (Jn.8:44). Ainsi Herzl a créé des institutions qui représentent et légitimisent la volonté nationale du peuple Juif Khazarien exprimé par un pouvoir infernal organisé. Ce pouvoir procède du Congrès Sioniste, qui désigne les dirigeants des principales instances du mouvement: l'Organisation Sioniste Mondiale et, depuis 1929, l'Agence Juive.

Le Sionisme, soutenu financièrement par le Baron de Rothschild, comprenait plusieurs agents du Bolchevisme, dont un certain nombre de ces militaires avaient appartenu pendant la guerre, à la mission de liaison ayant servi dans le Caucase auprès de l'état-major Russe du grand-duc Nicolas. Ils apportaient avec eux un curieux fascicule, "les Protocoles des Sages de Sion", qui révélait le projet apocryphe d'un vaste complot international de domination Juive Khazarienne mondiale. Le Juif Talmudiste, Nachamkes, métamorphosé en Stekloff, fut le premier organisateur de la Presse Bolchevique et y resta le dictateur omnipotent. Il fut le promoteur du "Mouvement sans Dieu". Il a publié à plusieurs reprises, dans le "Pravda", que le Communisme et le Christianisme ne peuvent fusionner sous aucun prétexte et que pour assurer le succès du premier, il faut détruire et faire disparaître toute trace du Christianisme dans les cœurs des populations; ce qui est le but primordial des "Protocoles des Sages de Sion". Le fait que le Communisme et le Sionisme ont un même but, soit la destruction du Christianisme, est certainement une matière de réflexion, considérant que le Capitalisme de nos nations démon-cratiques maintient les mêmes aspirations d'une manière plus subtile; nous indiquant que nos gouvernements sont infiltrés par des agents Sionistes, membres des Illuminati et de la Maçonnerie, pour préparer le chemin de leur Messie, c'est à dire de l'Antichrist. Or comme nous dit Alfred Edersheim, "The Life and Times of Jesus the Messiah": "Le Messie du Judaïsme est l'Antichrist des Évangiles"; c'est à dire du règne mondial du Sionisme et de son pape Juif.

J. Bowyer, dans son livre "Terreur de Sion", nous décrit comment les membres de l'Irgum et de la Stern Gang fondèrent le nouvel État d'Israël sur le meurtre et le feu. Le Dr. Alfred M. Lilienthal, dans son ouvrage "La Connection Sioniste: la paix à quel prix?", nous décrit comment le Sionisme contrôle les médias d'informations et les gouvernements.

Ce qui attriste, est que le Sionisme révolutionnaire avec ses fameux moyens de fraude, de vol, de meurtre, et d'intrigues politiques et religieux, est salué par une certaine classe de chrétiens comme le sauveur divin d'un peuple réprouvé qu'ils considèrent être le peuple élu de Dieu, lorsqu'en réalité il n'est que le peuple de Satan. Ces chrétiens apostasiers sont remplis d'admiration pour cette nation diabolique, au point de l'adoration même; et prouvent par ce fait qu'ils sont marqués du sceau de la Bête qui va les détruire. En jetant un coup d'œil rétrospectif, on est effrayé de voir quelles guerres, quelles révolutions, et quels monstrueux ravages le Sionisme a commis dans tous les domaines, à l'humanité en général, et au Christianisme en particulier. Quel sera notre sort lorsqu'il sera allié au Vatican et aux nations Arabes, lorsque Jérusalem sera échangé pour un pape Juif qui régnera sur le monde entier à partir de cette ville prostituée?

Presque toute la grande fortune mondiale est passée dans les mains d'une poignée de banquiers Juifs Talmudiques, maîtres suprêmes de la Franc-maçonnerie mondiale, qui sous leurs directives mène toute la politique des États vers la réalisation des préceptes du Talmud. Nous savons en plus que le Vatican entretient des relations financières avec la Banque Internationale Juive de la maison de Rothschilds en Angleterre, en France et en Amérique "The Vatican Billions, par: Avro Manhattan".

Paul Claudel, que nous avons cité auparavant, nous dit qu'en 1936, les organisations Maçonniques furent envahies par les Juifs, et que ceux-ci créèrent une grande loge palestinienne à Jérusalem qui comprenait des Catholiques et des Musulmans. Maintenant, nous dit Auguste Rohling, la presse juive jette un défi à la face du monde en se glorifiant de ses plus effroyables crimes. Entre mille autres, l'article du Juif, Marcus Elie Ravage, paru en 1928 dans le "Century Magazine" de Janvier, est un révoltant chef-d'œuvre juif, de cynisme, de bravade et de défi, dont voici quelques lignes:

"Nous sommes des intrus, des destructeurs, des révolutionnaires. Nous nous sommes emparés de vos biens propres, de vos idéaux, de votre destin. Nous les avons foulés aux pieds. C'est nous qui avons été la cause première, non seulement de la dernière guerre, mais de presque toutes vos guerres. Nous n'avons pas seulement été les auteurs de la révolution Russe, mais aussi les instigateurs de toutes les grandes révolutions de votre histoire. Nous avons apporté la désunion et le désordre dans vos vies privées et dans votre vie publique. Nous le faisons encore aujourd'hui. Personne ne peut dire combien de temps nous pourrions encore agir de la sorte. Nous ne vous avons pas laissés en paix. Nous avons eu entre les mains et nous avons renversé le bel et majestueux édifice que vous avez construit. Nous avons renversé votre Dieu, nous avons rejeté de côté l'héritage de votre race et nous avons mis à leur place notre Dieu et nos traditions".

Trevor Ravenscroft, dans son livre "La Lance du Destin", nous dit que "les Protocoles des Sages de Sion" étaient une sorte d'appendice à un ouvrage du professeur Nilus nommé "L'Antichrist" dans lequel était dressé un plan de domination mondiale. Les projets envisagés, inclus parmi tant d'autres: la révolution par le sang, le contrôle de l'économie et de l'information, la destruction du Vatican, la décimation du Christianisme sous toutes ses formes, et l'implantation d'un gouvernement et d'une religion mondiale. Nilus, élève du grand philosophe Soloviev, aurait formulé son ouvrage avec l'aide de Juifs Catholiques qui étaient sous la direction des Jésuites. Ces "Robes Noire", agents du Vatican, y firent inculquer les principes occultes de la Jérusalem cryptique et leurs procédures pour s'emparer de la Jérusalem terrestre et y implanter le siège du pouvoir du Catholicisme. Dès le début, le mouvement Sioniste fut infiltré et influencé par l'organisation Jésuite des Illuminati, avant que les Juifs Talmudistes et Kabbalistes en prennent la direction à travers les loges Maçonniques, puisque les deux avaient un but commun.

Nilus écrivait: "Le nouveau mouvement Sioniste a été créé pour des motifs beaucoup plus sinistres que d'établir en Palestine une patrie permanente pour les Juifs. Son but secret est la domination incontestée du monde entier. À la conférence de Bâle (1897), les rabbins les plus influents d'Europe et d'Amérique s'étaient rassemblés pour dresser des plans en vue d'asservir l'humanité. Ils s'étaient préparés à l'avènement de l'Antichrist. Sous la conduite de l'Antichrist, les Juifs réaliseront leurs buts ultimes". L'Antichrist de Soloviev n'est pas une figure mythique, nous dit Ravenscroft. Il habite l'âme d'un homme de chair et de sang. Il souligne que le plus grand danger était justement celui-là: "La Bête ne ressemble pas à ce qu'elle est. Il est même prévu comment l'Antichrist se manifesterait lorsque son véhicule d'élection se serait remis d'une courte période d'aveuglement. La date à laquelle devaient se produire ces événements et l'âge du véhicule: 33 ans".

Il nous est possible aujourd'hui d'identifier précisément cette "période d'aveuglement" de 33 ans qui aboutira par la manifestation de l'Antichrist en terre d'Israël. Elle correspond à cette période dans laquelle "Satan sera délié pour un peu de Temps" (Apo.20:3,7) pour séduire les nations. Cet esprit d'égarement opère dans les limites que Dieu lui a imposées afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, croient au mensonge et soient condamnés (2 Thes.2:11,12). Considérant qu'il y a une période de 70 ans entre la fondation du mouvement Sioniste en 1897 et la reprise de Jérusalem en 1967; il fut prévu dans les plans secrets des sages de Sion que l'Antichrist apparaîtrait 33 ans après la reprise de Jérusalem, c'est à dire vers la moitié de l'an 2000. Nous pouvons donc nous attendre une visite papale à Jérusalem vers ce temps (comme nous savons, ceci fut réaliser lors de la visite du pape Jean-Paul II à Jérusalem au mois de Mars de l'an 2000).

 


LE CODE GÉNÉTIQUE ET L'HEXAGRAMME DES KHASARS

Les juifs d'origine européenne, les Ashkénazes, représentent environ 90 % des plus de 13 millions de juifs dans le monde aujourd'hui. Pour tenter d'y voir plus clair, une étude publiée dans la revue britannique Genome Biology and Evolution a comparé les génomes (qui forment le patrimoine génétique) de 1287 individus non apparentés descendants de huit groupes de population juifs et de 74 non juifs. Le généticien Eran Elhaik (École de Santé publique Johns Hopkins, Baltimore, États-Unis) a passé au crible ces données, à la recherche de mutations dans le code ADN liées à l'origine géographique d'un groupe.

Ces indicateurs ont déjà été utilisés dans le passé pour faire la lumière sur les origines des Basques ou des Pygmées d'Afrique australe. Parmi les juifs d'Europe, le généticien a trouvé des signatures ancestrales qui pointaient clairement vers le Caucase et aussi, mais dans une moindre mesure, vers le Moyen-Orient. Ces résultats, a déclaré Eran Elhaik, viennent appuyer la théorie rivale de l'hypothèse rhénane, connue sous le nom d'«hypothèse Khazare».

Selon cette théorie, les juifs d'Europe orientale descendent des Khazars, un mélange de clans turcs qui se sont installés dans le Caucase dans les premiers siècles de notre ère et, influencé par les juifs de Palestine, se sont convertis au judaïsme au 8e siècle. Les juifs khazars ont construit un empire florissant, attirant des juifs de Mésopotamie et de l'Empire byzantin. Ils ont tellement prospéré qu'ils ont essaimé en Hongrie et en Roumanie, plantant les graines d'une vaste diaspora. Mais l'empire khazar s'est effondré au 13e siècle, attaqué par les Mongols et affaibli par des épidémies de peste noire. Les juifs khazars ont alors fui vers l'ouest, s'installant dans le royaume polonais et en Hongrie, où leurs compétences en finances, en économie et en politique étaient très appréciées. Selon l'hypothèse khazare, ils se sont finalement répandus en Europe centrale et occidentale: «Nous concluons que le génome des juifs d'Europe est une mosaïque de populations anciennes, incluant des Khazars judaïsés, des juifs gréco-romains, des juifs de Mésopotamie et de Palestine », a expliqué Eran Elhaik. «La structure de leur population a été formée dans le Caucase et sur les rives de la Volga, avec des racines qui s'étendent à la région de Canaan et aux rives du Jourdain», a-t-il poursuivi. Selon Eran Elhaik, l'histoire esquissée dans les gènes est étayée par les découvertes archéologiques, par la littérature juive qui décrit la conversion des Khazars au judaïsme, ainsi que par la langue.

Alors que la réalité s'installe petit à petit qu'ils ne sont pas de la semence du Père Abraham mais plutôt de la lignée du Roi Bulan de Khazarie, les Khazars qui composent la vaste majorité des personnes contemporaines se dénommant «juifs», deviennent de plus en plus frénétiques. Nombreux sont ceux qui ourdissent des mensonges et des mythes, et affublent les intellectuels modernes de l'étiquette de «Gentils». C'est de toute évidence une horreur pour un Khazar d'être réputé être un «Gentil», un «Goy». Après tout, pendant leurs vies entières, il a été inculqué à la plupart des Khazars de la part de leurs rabbins les enseignements flagrants du Talmud concernant l'infériorité des Gentils. Les Gentils, dit le Talmud, sont des «animaux impurs». Leur mission dans la vie est de n'être rien de plus que les «serviteurs» de leurs maîtres Juifs. Pire, le Talmud requiert que «Les meilleurs des Gentils doivent être tués.»

Or, le Juif Khazar – ce qui veut dire quasiment chaque « Juif » sur la planète Terre (au-delà de 80%, en réalité, ndt) – apprend par le biais de l'analyse ADN qu'il ou elle est cette créature détestable qu'il abhorre: un Gentil déviant! Quel choc suprême. Ce qui est ironique est que les intellectuels qui se retrouvent être la cible de la colère des Juifs Khazars sont eux-mêmes des Juifs Khazars. Ces érudits de l'histoire et de la science de l'ADN sont arrivés à la conclusion irréfutable que les Juifs Khazars ne sont pas de la lignée d'Abraham, d'Isaac et de Jacob.

Le respecté Dr. Eran Elhaik, par exemple, de l'Institut McKusick-Nathans de l'Université Médicale Johns Hopkins, a effectué ce que la plupart appellent l'étude définitive sur les origines des Juifs. Elhaik est un généticien moléculaire israélien qui a publié ses découvertes revues par ses pairs dans le prestigieux Oxford Journal, «Genome Biology and Evolution» (biologie du génome et évolution, ndt). Mais Harry Ostrer, professeur au Collège de Médecine de l'Université Yeshua est de l'avis que les Juifs peuvent faire remonter leurs origines jusqu'aux anciens temps d'Israël. C'est la droite «ligne du parti» des Sionistes.

Le problème, c'est que c'est le Dr. Elhaik qui a fait les recherches, pas Ostrer. Quand Elhaik a demandé à Ostrer une copie des statistiques de ses conclusions, Ostrer n'a pas été en mesure d'en présenter. Le Dr. Elhaik, un scientifique du genre «Te fous pas de moi», traite les critiques à ses recherches, lors d'interviews, de «menteurs et d'escrocs». Ils se sont déjà fait leur idée avant de commencer leurs recherches, conclut-il. Ostrer refuse les interviews – un autre indice que ses opinions sont surtout basées sur des présomptions sionistes. Mais il reconnaît que, «certains des marqueurs génétiques communs parmi les Juifs peuvent être retrouvés chez les Palestiniens, aussi.» En d'autres termes, bien qu'il ne puisse produire aucune donnée étayant sa croyance non-scientifique sur l'ascendance des Juifs, le Dr. Ostrer reconnaît que les Palestiniens, eux aussi, ont de l'ADN israélite ! Ostrer, comme certains autres Israéliens, continue à s'accrocher aux anciennes théories, aujourd'hui complètement discréditées, qui n'ont jamais été fondées sur une science de l'ADN et des recherches correctement menées. La conclusion selon laquelle les gens se réclamant d'être «Juifs» sont des Khazars et n'ont aucun lien d'apparenté à l'ancien Israël est étayée par de nombreuses années de recherches scientifiques, historiques et archéologiques.

Il a également été découvert que même des artefacts «juifs» tels que le Gefilte Fish (carpe farcie, plat ashkénaze typique, ndt), les chapeaux de fourrure ronds, et le symbole de l'étoile à six branches proviennent de Khazarie, ce qui est fort intéressant.

L'étoile à six branches ou étoile de David nommée aussi Sceau de Salomon, est reliée intensément à l'occultisme. Cela est un fait très bien connu et indéniable. Même que ce symbole a été adopté par les Sociétés Secrètes des banquiers internationaux comme les Rothschild, famille très impliquée dans l'occultisme comme la Kabbale et la Franc-maçonnerie. Il est aussi très révélateur que les Rothschild ont participé activement à la création de l'état d'Israël moderne. Cela est la raison principale pour laquelle le drapeau du pays porte leur symbole magique. Dans son livre THE SIX-POINTED STAR (l'Étoile à Six Pointes), O.J. Graham explique que l'hexagramme était utilisé dans les anciennes religions à mystère. C'était le symbole de Moloch, Astarté, et Saturne. Cette étoile à six branches est considérée comme étant le symbole de l'Antichrist, symbole de magie noire qui porte le nombre 666 dans sa composition. Elle comporte six triangles, six côtés ou angles, et six pointes, comme trois six s'insérant les uns dans les autres. Ou d'une autre manière, on relève la présence de six angles à gauche, six angles à droite encadrant six angles au centre de l'étoile. D'une certaine manière donc, avec cet aspect de symbolisme numérique, cette étoile s'apparente à la Marque de la Bête, marque liée au nombre 666.

L'étoile de David ou Sceau de Salomon, composée de 2 triangles équilatéraux, s'inscrit dans un cercle et si un cercle a 360° soit — [60° + 60° + 60°] + [60° + 60° + 60°] — un triangle équilatéral possède 3 angles de 60°, soit [60° + 60° + 60°]. Rappelons que les années bibliques se calculent sur une base de 360 jours. Ces mesures permettent de comprendre pourquoi ce signe hautement occulte est lié à la résurrection d'Horus, le Dieu-homme et à la religion à mystères et ses rites initiatiques Babyloniens. Le hiéroglyphe qui représentait Horus ressuscité était une étoile à six branches, devenue «étoile de David» par confusion ou assimilation et «Sceau de Salomon» en connaissance de cause. L'opposition ou l'interrelation qui existe entre les deux triangles figurerait le combat permanent de la lumière et des ténèbres. À la fois mâle et femelle, les deux triangles s'entrelacent pour évoquer l'acte sexuel entre une force active et une passive, selon le schéma infâme du Yin/Yang Chinois bien connu «un peu de bien dans le mal, un peu de mal dans le bien». Ce schéma ancien d'une dualité Bien/Mal associée à des dieux est inconciliable avec le monothéisme biblique. Les triangles sont parfois de couleur alternée blanche et noire pour rappeler cette dualité entre Sagesse et ignorance, lumière et ténèbres, Vérité et erreur ou même magie blanche contre magie noire. Cet aspect sexuel relie directement le «Sceau de Salomon» au caractère phallique de l'obélisque ou «pieu sacré». Il est dit aussi que le triangle pyramidal s'inscrit forcément dans l'étoile car son angle de 42° se place à l'intérieur de celui de 60° et on peut voir par détachement des angles nettement le compas qui coiffe la pyramide et prend de la profondeur avec ces 2 angles où il reste par soustraction -9 et -9 (69-60) en bas dans les angles aigus et le décalage des 2 angles en haut 60 - 42 = 18 (6 + 6 + 6).

La relation de l'étoile de David à la Kabbale juive est discutée par le grand magicien et franc-maçon, Éliphas Lévi (1860), dans son «Histoire de la Magie»: «Cette philosophie occulte, voilée sous le nom de Kabbale est indiquée par tous les hiéroglyphes des anciens sanctuaires et des rites encore connus de la Maçonnerie ancienne et moderne. Le Kabbaliste répète au fond de son cœur, avec «les Sages d'Israël»: Il n'y a qu'un Dieu, et c'est Dieu; ce qui veut dire pour un initié aux vraies sciences: Il n'y a qu'un Dieu, et c'est Dieu; et aussi: Il n'y a qu'un Être, et c'est l'Être, qui interprété selon la science occulte signifie: Ce qui est en Haut, est comme ce qui est en bas; le Tout n'est pas plus grand que la partie, et la partie n'est pas plus grande que le Tout, afin que tous soit Un.» L'étoile de David est le symbole par lequel l'homme se déclare être Dieu lui-même; et ceci est le destin que se donna le Sionisme Messianique d'Israël des Khazars. Il n'est donc pas étonnant de voir que l'étoile de David contienne l'essence même du nombre 666 dans sa composition géométrique: six cotés ou angles, six pointes, six triangles. Nous avons vu qu'elle remonte en fait aux temps anciens de l'Égypte où elle était utilisée dans la magie, la sorcellerie, la divination, l'astrologie et l'occultisme en général. Mais on sait moins qu'elle était aussi associée au sacrifice d'enfants par le feu aux dieux Moloch et Baal.

Dans l'antiquité, le culte du feu était associé au culte du Soleil, c'est à dire au culte de l'intelligence ou culte de Satan, ainsi nous voyons que les enfants des hommes sont marqués pour la destruction par les prouesses de leur intelligence. Ils raisonnent la Parole de Dieu à leur perte, s'imaginant qu'ils peuvent marchander (acheter et vendre) ou coopérer avec Dieu dans le salut de leur âme par leur propre choix ou par les œuvres méritoires de leur obéissance, et c'est exactement là que nous trouvons la vraie marque de la bête. La grâce ne peut s'acheter ni se vendre, autrement elle ne serait pas une grâce mais une œuvre méritoire, ce qui indique que ceux qui veulent se justifier par leurs efforts, leurs actions (la main), leurs pensées (le front) et tout ce qui en découle comme leurs choix individuels, leur obéissance et leurs bonnes œuvres, ou encore leur grand savoir académique, sont marqués du sceau de la bête et sont perdus pour l'éternité. Ils veulent usurper la souveraineté de Dieu avec leur libre choix illusoire, mais Dieu ne leur laisse aucun choix, tous périront et tous subirons les peines éternelles d'un enfer réel. Telle est la signification de la marque, du nom, et du numéro 666, les trois se rapportent à une seule et même chose à savoir «la justification par les œuvres» qui correspond à «la justification par le choix», les deux signifiant une seule et même chose.

Voici la raison pour laquelle les gens de ce monde, les réprouvés, sont tellement attirés, soit d'une manière positive ou négative, par le fait que la nation d'Israël soit réapparue sur la scène mondiale avec le symbole de l'étoile de David. Il existe une attirance occulte et même irrésistible dans le cœur des gens envers la nation d'Israël moderne et conséquemment envers le symbole de l'étoile de David, tout simplement à cause qu'elle glorifie les efforts de l'homme, ses œuvres ou obéissances envers la loi, et l'élève comme un Dieu. Pour la grande majorité des chrétiens, surtout des sectes dites Évangéliques, il se dégage une fierté mystérieuse envers Israël, car ils ont reçu une puissance d'égarement de la part de Dieu pour qu'ils croient au mensonge (2 Thes. 2:11). Pour d'autres comme les Musulmans et nations arabes (les dix cornes de la bête), il se dégage une aversion pour la même nation, une haine que Dieu a mis dans leur cœur pour l'accomplissement de ses desseins (Apoc. 17:16,17).

Or «l'étoile de David», nommée aussi «le sceau de Salomon» par les occultistes, est un symbole sacré qui provient de la Cosmologie Babylonienne, et fut adopté par les Juifs Talmudistes lors de la déportation à Babylone. Ce symbole du Culte du Soleil Babylonien fut par la suite intégré dans la Kabbale juive, livre de la haute magie qui est la plus pure tradition de l'occultisme, pour devenir l'héritage exclusif de la nation d'Israël. Cette étoile est mentionnée dans Actes 7:43: «Vous avez porté le tabernacle de Moloch, et l'étoile de votre dieu Remphan, des figures que vous avez faites pour les adorer; c'est pourquoi je vous transporterai au-delà de Babylone...». La désignation de «Remphan» signifie «Saturne», c'est à dire «Satan». La révélation de cela est importante, elle nous indique qu'au temps du Seigneur Jésus, les Juifs, surtout les dirigeants du peuple, avaient apostasiés et servaient le diable plutôt que le Dieu Suprême et Tout-Puissant révélé à Moïses. Cela est confirmé par le Seigneur Jésus qui s'adresse aux Juifs: «Le père dont vous êtes issus, c'est le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il n'a point persisté dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il dit le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur, et le père du mensonge.» (Jn. 8:44) De même de nos jours, la même étoile nous indique depuis 1948 que tous ceux qui se justifient par leur libre-choix illusoire sont des enfants du diable et sont marqués du sceau de la bête, que ce soit au niveau profane ou au niveau religieux. Il en advient même que nous voyons surgir ici et là des groupes de Chrétiens Sionistes qui se glorifient de cette étoile et la porte fièrement à leur cou, tellement la contagion de la séduction est profonde.

La légende du Sceau confié au roi Salomon par Dieu lui-même appartient à la fois aux traditions juives, chrétiennes et musulmanes. Elle fait de ce Sceau le symbole et l'instrument de sa sagesse surhumaine. Dans l'apocryphe, le livre de la Sagesse, on reconnaît à Salomon, une connaissance infaillible de la structure du monde, des éléments, du commencement, de la fin et du milieu des temps, de l'astronomie, du pouvoir des esprits et des pensées des hommes (Sag. 7:17-21), toutes choses dont il désigne l'ensemble du nom de Sagesse, don de Dieu distinct de la simple intelligence. Il se trouve que toutes les connaissances citées sont en rapport étroit avec la construction et l'utilisation du Sceau, telles que nous le savons envisagées. Un peu plus tard, l'historien juif Flavius Josèphe (37-100 ap. J.-C.), citoyen romain, évoque dans ses Antiquités Juives les pouvoirs magiques de Salomon, à qui il attribue même l'écriture de textes d'exorcismes. L'appellation «Sceau de Salomon» semble, quant à elle, n'apparaître dans la littérature qu'au début du Moyen Âge, en relation avec la légende de ce roi. L'étoile à six branches fut transmise aux futurs musulmans dès le sixième siècle ap. J.-C. par les coptes d'Égypte. Elle est clairement associée à la légende du roi Salomon à la fin du huitième siècle. Le Coran, sans citer explicitement l'existence du Sceau, fait une large part à cette légende concernant ses pouvoirs magiques en accordant au roi Salomon (Sulaïmân ou Soliman) un pouvoir divin sur les démons (les shaïtâns, sourates 21:81-82 et 38:36-38) et les génies (les djinns, sourates 27:17, et 34, 12-14).

La légende du roi Salomon, telle que la rapportent les musulmans, attribue à ce roi la possession d'un talisman circulaire sur lequel figurait l'étoile à six branches, contenant elle-même le nom de leur faux dieu Allah en son centre, éventuellement symbolisé par un point. Elle fait de ce sceau un instrument magique qui lui permettait d'invoquer et de maîtriser, grâce à son pouvoir divin, les démons et les génies qu'il mettait ainsi à son service, en particulier pour édifier de merveilleuses constructions architecturales. Tentons donc alors d'imaginer comment une telle légende a pu se former. Salomon, érudit d'intelligence supérieure, était en possession des connaissances astrologiques chaldéennes et en connaissait les usages divinatoires. Sans doute connaissait-il également l'usage des figures géométriques comme support de méditation. A-t-il, aidé de savants chaldéens, inventé lui-même le Sceau à partir de ces deux notions, à la manière dont les inventeurs du jeu de tarots ont reproduit sur des cartes certains symboles astrologiques dans le but d'en faire des instruments de divination plus aisés à exploiter que les observations astronomiques directes ? À moins que cette pratique, déjà existante, lui ait simplement été transmise. Toujours est-il que, dans l'isolement d'une salle retirée réservée à cet effet, à l'abri des regards profanes et des influences perturbatrices, il va d'abord tracer ou plutôt faire tracer sur le sol cette figure géométrique colorée, ses idéogrammes zodiacaux et ses symboles planétaires, peut-être matérialisés par des chandeliers allumés, puis, dans la prière et le recueillement, concentrer sa méditation face à cette représentation, à la recherche de l'inspiration divine. Peut-être, dans ces instants, a-t-il eu lui-même la révélation de l'histoire du jardin d'Éden, de la tentation et de la chute, comme de celle de Noé ?

Quoi qu'il en soit, il est difficile d'imaginer ce prestigieux monarque préparer seul et sans aucune aide matérielle ce rituel complexe dans le plus grand secret. Des serviteurs ont dû assister et participer, en partie au moins, à cette préparation mystérieuse sans en connaître la véritable finalité. Quelle autre interprétation auraient-ils pu imaginer que d'y voir un rituel d'invocation magique d'esprits surnaturels ? La réussite du roi dans toutes ses entreprises ne s'expliqua-t-elle pas tout naturellement par sa maîtrise sur ces êtres mythiques ? Avec évidemment la permission et l'aide de Dieu, qui seul pouvait avoir conféré au roi un tel pouvoir. Nul secret n'étant un jour dévoilé, voilà comment aurait bien pu prendre naissance, grâce aux indiscrétions de quelques serviteurs, cette légende populaire dont nous avons peut-être retrouvé les traces les plus anciennes, et qui se serait transmise avec ses interprétations déformées dans les traditions orales, indépendamment de l'utilisation mystique et secrète du Sceau que seuls connaissaient quelques initiés sous sa forme complète. Avons-nous réellement pu rétablir l'histoire ? Peut-être un jour de nouvelles découvertes archéologiques fourniront-elles des éléments de réponses. Mais, quand bien même ces réponses seraient négatives, au moins nous resterait-il une belle illustration symbolique pour nous guider dans la lecture de la Bible, à la manière dont l'étoile a guidé les rois mages, comme l'a si bien vu l'évangéliste Matthieu. D'ailleurs, Matthieu n'aurait-il pas rencontré lui-même ses rois mages, tous des chaldéens, sur cette belle étoile de David qui serait peut-être l'étoile de Bethléem ? N'oublions pas que ces choses ne sont que des légendes et qu'on doit les prendre avec un grain de sel. Néanmoins, il semblerait que les occultistes y ont trouvés quelques éléments utiles à leur art de déception.

Mais revenons au point central de notre sujet. De nos jours, très peu des prétendus «Juifs» du monde sont véritablement des descendants d'Abraham. Le Professeur de génétique et de biologie Dan Graur, de l'Université de Houston, sourit face aux plaintes des Sionistes qui nient être des Khazars. Le Dr. Elhaik est «un homme honnête», et ses découvertes génétiques vont droit sur la cible, dit Graur. Le Dr. Dan Graur, un généticien juif de renommée mondiale qui a travaillé à la faculté de l'Université de Tel-Aviv pendant 22 ans et est désormais à l'Université de Houston, sourit à la détresse des Sionistes. Les recherches du Dr. Elhaik, dit-il, sont «très honnêtes». Graur est lauréat de la prestigieuse Humboldt Award, donnée au scientifique en biologie le plus éminent du monde. En 2001, des recherches génétiques du Dr. Ariella Oppenheim de l'Université de Tel-Aviv ont produit des résultats similaires à celles du Dr. Elhaik.

L'étude d'Oppenheim a également trouvé que l'origine des Juifs est en Khazarie, et qu'ils sont d'ascendance Turc même. Elle a également rapporté que certains Palestiniens possèdent les chromosomes dans leur sang qui indiquent qu'ils sont Cohanim et Israélites. Mais les travaux d'Oppenheim n'ont pas remué les Sionistes tant que ça parce qu'elle est assez discrète sur ses découvertes. La colère des Sionistes est donc réservée à Elhaik, dont ils craignent beaucoup les recherches.

Le Dr. Shlomo Sand, professeur d'histoire à l'Université de Tel-Aviv et auteur du best-seller du New York Times, «Comment le Peuple Juif fut Inventé», trouve que l'étude définitive d'Elhaik «tombe sous le sens.» Comment un quelconque scientifique réfuté peut-il le nier? «Certaines personnes, même des scientifiques et des historiens, détournent le regard de la vérité», a remarqué Sand. Pendant ce temps, alors que des scientifiques prosionistes en panique sont incapables de trouver des failles ou des erreurs dans l'étude d'Elhaik, des suprématistes blancs s'y attaquent aussi. Ils affirment que les Juifs sont de vrais Juifs, une race pleine de malice et de haine. «Je ne communique pas avec ces gens-là», atteste Elhaik, vétéran des forces armées israéliennes où il a passé sept ans. En Fait, le Dr. Elhaik ajoute qu'ils ont les mêmes motivations politiques que les Israéliens qui s'opposent à lui. «Ces gens-là sont vraiment des Nazis», ajoute Elhaik, se référant à la fois aux Sionistes et aux suprématistes blancs.

Selon Elhaik, ses adversaires sionistes insistent qu'ils souhaitent uniquement s'assurer que la recherche scientifique ne «diffame» pas les Juifs ou Israël. C'est leur critère non-académique. Mais l'attention principale d'Elhaik, dit-il, ne se porte pas sur le politique. Il s'agit de la génétique des maladies. «Si nous ne connaissons pas la génétique d'un peuple nous ne pouvons pas résoudre ses problèmes médicaux», explique-t-il. Mais beaucoup de Juifs sionistes s'en fichent totalement des pathologies médicales. Ils veulent être des Juifs, pas des Khazars. Ils ont faim d'être inclus parmi l'une des douze tribus d'Israël. C'est seulement si les études génétiques vont dans leur sens qu'ils peuvent continuer à insister que la Terre leur appartienne. «Si Dieu ne nous a pas donné la Terre en tant que semence d'Abraham», expliquait un enseignant juif fanatisé, «nous sommes finis. Les Palestiniens vont gagner la guerre idéologique et le monde se retournera contre nous.» «Tout scientifique spécialiste de l'ADN qui affirme que nous sommes des Khazars et pas le Peuple Élu, est un traître à Israël. Au diable sa science!»

Cela nous rappelle l'Apôtre Paul qui avertissait les Chrétiens de la «sottise des généalogies» (Tite 3:9). Certains Juifs, toutefois, sont plus précis dans leurs conclusions. Henry Kissinger, par exemple, ancien Secrétaire d'État US et maintenant représentant des Rothschild, a récemment (le 17 septembre 2012) téléphoné à Cindy Adams du journal The New York Post. Son éminence grise lui a dit qu'il souhaitait être cité en première page du Post comme ayant affirmé: «Dans 10 ans, il n'y aura plus d'Israël.» Kissinger était-il au courant de la controverse autour des recherches sur l'ADN qui allait bientôt surgir en Israël et parmi les élites du monde entier? Les Élites du Nouvel Ordre Mondial sont-elles prêtes à vider toute l'expérience israélienne avec l'eau du bain?

Will Summer le 15 février 2014

Source: Numidia-Liberum.Blogspot.fr

 

LE JUDAÏSME ET LE JÉSUITISME

Le théologien et Jésuite, Adam Weishaupt, professeur spécialisé dans l'enseignement canonique, a officiellement renié le catholicisme pour entrer dans la Franc-Maçonnerie, alors qu'il enseignait à l'Université d'Ingolstadt en Bavière, dans les années 1770. Éduqué par un jésuite haut placé, il fut installé à la tête des Illuminés de Bavière pour «ressusciter» l'ordre des jésuites, qui venait d'être aboli par l'Église catholique en 1773. Il possédait les deux qualités requises pour cette mission: être à la fois juif et jésuite. De sa forme extérieure religieuse, l'ordre muta dans une forme maçonnique. Ses chefs passèrent des ententes avec la maison Rothschild d'Angleterre. De leur collaboration naquirent les Illuminés, plus connus sous le nom de «Illuminati».

En 1776, la branche de Bavière fut inaugurée. On commença alors à tramer la Révolution Française, début de la terrible vengeance des jésuites sur l'Europe et spécialement sur la France et le Vatican. Cet objectif, exigeant patience et constance, visait la division des masses (les populations nommées goyim signifiant «gentils»), en camps opposés afin d'augmenter les tensions politiques, raciales, sociales, économiques et autres. Par la suite, ces camps devaient être armés, et un incident devait être provoqué pour les pousser à s'affronter et à s'affaiblir les uns les autres, tout en détruisant leurs gouvernements nationaux et leurs institutions religieuses.

Quarante ans plus tard, les jésuites, plus puissants que jamais, étaient réintégrés dans le catholicisme en tant qu'ordre officiel et leur pouvoir ne fut plus jamais menacé. Maintenant il faut bien comprendre pourquoi les jésuites sont importants aux yeux des Khazars talmudistes. À travers leurs frères jésuites, les khaza-juifs ont pris un rôle prédominant dans les affaires de «l'Église» (le concile de Trente). En s'emparant ensuite des sociétés secrètes, les khaza-juifs ont infiltré le côté protestant du christianisme. Aujourd'hui, ils se retrouvent partout dans le monde, dans toutes les sphères de la connaissance humaine.

Lorsque Adam Weishaupt reçut le mandat de réactiver les Illuminés en Bavière, l'élite des jésuites put agir sous une nouvelle couverture commode. Le système d'enseignement de la société était déjà sous leur coupe. Ils possédaient de nombreuses universités et institutions, ce qui leur permettait de façonner le peuple et de sélectionner leurs descendants «moraux». Rien d'étonnant à ce que l'on retrouve ce principe dans les Protocoles des Sages de Sion, ce qui nous indique l'origine de ce document infernal. Cette méthode était déjà bien éprouvée. Weishaupt recruta environ 2000 adeptes. Il leur exposa son objectif qui était de mettre sur pied un gouvernement mondial. Ces hommes possédaient des facultés mentales supérieures, propres à leur permettre de gouverner le monde. Formés par Weishaupt, ils sont devenus, sans s'en rendre compte pour la plupart, des agents jésuites («robes courtes» ou «coadjuteurs temporels»). L'ordre se composait des personnes les plus intelligentes dans les domaines des arts et lettres, de l'éducation, des sciences, de la finance et de l'industrie.

Mais les Illuminés existaient déjà depuis longtemps, avant l'époque de Weishaupt. Ce dernier fut seulement placé à la tête du chapitre de Bavière. Le créateur de la Compagnie de Jésus, Ignace de Loyola, était juif espagnol et probablement descendant direct de la famille royale des Khazars, laquelle s'était exilée en Espagne après la déroute subie face aux russes blancs. Avant de fonder l'ordre des jésuites (vers 1534), il était le chef des Illuminés en Espagne. Il se fit marrano ou «marrane» (juif converti au catholicisme), mais continua secrètement à suivre le Talmud. Lorsqu'il fonda son ordre jésuite, il rédigea les Instructions secrètes de la Compagnie de Jésus, livre dont les préceptes étaient directement issus du Talmud. Rien de moins chrétien et de plus diaboliques que les jésuites !

Le plan de Weishaupt exigeait que ses Illuminés suivent certaines prescriptions qui devaient les aider à réaliser leurs objectifs. – Utiliser la corruption monétaire afin d'obtenir le contrôle de personnes occupant des postes élevés à différents niveaux de tous les gouvernements et des autres champs de l'activité humaine. Une fois qu'une personne influente tombait sous l'emprise des Illuminés par le biais de mensonges et de supercheries, elle devait être gardée en esclavage par l'application d'un chantage politique ou autre, de menaces, de ruine financière, de scandale public, d'attaque physique, et même de mort, dirigés contre elle ou contre ses proches. C'est là une méthode qui est encore utilisée aujourd'hui puisque les dignes descendants et pratiquants de cette méthode sont les créatures mêmes des khaza-juifs jésuites: Le système d'espionnage de la CIA, FBI, Mossad, KGB, Interpol, etc., est répandu dans le monde entier comme une vaste toile d'araignée dans laquelle nous sommes tous autant de mouches.

Les Illuminés, installés dans les facultés des collèges et des universités, devaient recommander aux étudiants dotés de dispositions mentales exceptionnelles et appartenant à des familles nobles ayant des tendances globalisatrices, de se diriger vers un entraînement spécial dans l'internationalisme. Cet entraînement devait se faire grâce aux bourses d'étude octroyées à ceux qui avaient été choisis. Ils devaient être éduqués, endoctrinés, ou subir un lavage de cerveau si l'on préfère, dans l'idée que seul un gouvernement mondial pourrait mettre fin aux guerres courantes et aux tribulations. Les personnes influentes, prises sous le contrôle des Illuminés, et les étudiants spécialement éduqués et entraînés, devaient être utilisés comme agentures (agents espions infiltrés), et placés en arrière-scène, comme en avant-scène, de tous les gouvernements en tant qu'experts et spécialistes. De cette manière, il leur serait alors possible d'influencer les têtes dirigeantes et les amener à adopter des politiques qui pourraient, à long terme, servir les plans secrets des partisans d'un seul ordre mondial.

Les Illuminés devaient obtenir le contrôle de la presse et de toutes les agences qui distribuent de l'information au public. Les services de nouvelles et d'information devaient être biaisés de sorte que les goyim (le peuple) en arrivent à croire qu'un gouvernement mondial serait la seule et unique solution à tous leurs problèmes. La stratégie employée par les Illuminés de Weishaupt est exactement la même que celle utilisée par les khaza-juifs et les jésuites. Dans les Protocoles des Sages de Sion, les khaza-juifs disent s'être servis de la Maçonnerie comme couverture pour occulter leur implication dans les plans d'un «Nouvel Ordre Mondial». La stratégie employée par les khaza-juifs, les Illuminés et les jésuites est la même parce qu'ils partagent le même noyau de croyances occultes babyloniennes et poursuivent un but commun: l'établissement d'un Gouvernement Mondial unique, avec Jérusalem et son Temple comme centre du pouvoir et trône de leur futur messie ou «Pape Juif».

Voilà pourquoi les jésuites, venant tout juste d'être supprimés par le pape Clément XIV, en 1773, trouvèrent nécessaire de reconstituer les Illuminés, ce qui s'avérait une alliance entre les jésuites et la très puissante maison bancaire khaza-juive ashkénaze des Rothschild. Meyer Amschel, chef de la maison des Rothschild, était un khaza-juif allemand éduqué chez les rabbins. Il prit plus tard le nom de Rothschild qui signifie «écu rouge». Amschel utilisa son immense fortune pour financer les efforts révolutionnaires des Illuminés, dont, entre autres, la Révolution Française. Un autre homme ayant contribué à l'établissement des Illuminés se nommait Jakob Frank, un khaza-juif polonais. Son nom de famille était originellement Leibowicz. Il vivait dans la cité allemande d'Offenbach et c'était un maître de la kabbale juive. Il est à noter que la famille Rothschild actuelle est également à la tête du plan de reconstruction du Troisième Temple de Jérusalem, instrument indispensable pour l'intronisation du messie attendu aussi bien par les sionistes, le Nouvel-Âge, la majorité des religions païennes et autres adorateurs d'une forme ou l'autre que Satan emprunte pour se faire adorer. La famille Rothschild et le système bancaire international sont prêts à fournir tous les fonds nécessaires à l'accomplissement de cette dernière étape.

 

LE VATICAN JUIF

Les jésuites firent assassiner le pape Clément XIV par les Illuminés. Ils pillèrent ensuite le Vatican, s'emparant de toutes ses propriétés ecclésiales terriennes de par le monde. Le Vatican apprit sa leçon et, le 7 août 1814, les jésuites furent restaurés en tant qu'ordre catholique par le pape Pie VII. Ils furent dès lors plus forts et plus puissants que jamais. L'on doit comprendre que les jésuites ne se fusionnent pas aux autres organisations mais les absorbent. Comme le Vatican, qui l'apprit à la dure école, tous ceux qui s'allient aux jésuites se retrouvent dans les griffes de la mort. Ils ont absorbé tous ceux qui ont fait alliance avec eux.

L'influence des khaza-juifs, par l'intermédiaire des jésuites, au sein de l'Église catholique romaine, s'est sans cesse accrue au fil du temps. Aujourd'hui, le contrôle des khaza-juifs sur le Vatican est si complet que le pape Benoît XVI, alors qu'il était cardinal et préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, émit une doctrine officielle de la foi catholique acceptant le point de vue khaza-juif disant que le messie est encore à venir. Il y a apparemment double langage dans le document, car il accepte la vision khaza-juive de la venue du messie sans ouvertement rejeter Jésus. Or, par le biais de ses doctrines, l'Église catholique a depuis longtemps renié le rôle rédempteur de Jésus. Le document est renfermé dans un petit livre intitulé «Le peuple juif et les Saintes Écritures dans la Bible chrétienne». Rien de surprenant à ce que cette doctrine «judéo-catholique» ait été rédigée par un jésuite du nom de Albert Vanhoye.

Dans l'ancienne Palestine, les juifs travaillèrent main dans la main avec les romains pour crucifier le Christ. Aujourd'hui les khaza-juifs œuvrent main dans la main avec l'Église catholique romaine dans l'effort commun pour diriger le monde en détruisant le christianisme authentique.

L'entreprise Illuminés ne connaît pas la crise. Les résultats de leur travail se déploient sous nos yeux, à mesure que se précise la consolidation de leur gouvernement mondial. Leur plan d'uniformisation des consciences ira jusqu'au bout, et nous verrons s'incarner devant nous leur dictateur planétaire, qui sera présenté comme un messie rédempteur. Si, conscients de l'atrocité du système qu'il nous prépare, nous voulons nous en extraire, alors il faudra se réunir et s'organiser pour reprendre force et autonomie. Sans cela, nous serons traités comme du bétail humain (voir: Histoire cachée du Sionisme).

 

VATICAN II INFILTRÉ PAR LES JUIFS


Peu nombreux sont ceux qui savent comment le Concile Œcuménique Vatican II a été infiltré par les khaza-juifs pour aboutir à ce tournant inimaginable, ou plutôt à cette cassure déroutante, qui fit table rase de la croyance catholique, pour réhabiliter les juifs du meurtre déicide et faire tomber la responsabilité de ce crime à l'humanité entière ! Mettons de côté la part qui incombe aux musulmans, selon ce décret, puisqu'ils ne croient point à la crucifixion de Jésus, ni à l'idée qu'il mourut, qu'il fut enterré trois jours puis ressuscita, comme dit les Saintes-Écritures. Non seulement parce que la fabulation du Qur'ān le dément nettement, mais aussi parce que pour ces disciples du faux dieu lunaire, Allah, et son faux prophète Mahomet, toute logique scientifique ou médicale ne peut oser admettre qu'un cerveau humain puisse réfactionner après une mort parfaite et un enterrement de trois jours. D'un autre côté, ce même décret, par le fait qu'il impose la responsabilité de ce meurtre à «l'humanité entière », révèle en soi le sous-entendu du décret de l'évangélisation du monde. On voit que le tout était déjà planifié, avant ce Concile, que les musulmans devront être convertis au christianisme dénaturé du catholicisme, tout comme le furent les Serbes en Croatie, et porteront aussi le poids de ce meurtre déicide. Il est clair, selon les Saintes-Écritures, que Christ a été crucifié par les romains sous l'approbation des «Pharisiens Talmudiques» qui en acceptèrent eux-mêmes la responsabilité: «Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants.» (Mat. 27:20-25). Le nombre d'écrits qui aborde ce sujet dépasse sûrement l'étendue d'un modeste article, mais il suffit de rappeler l'affaire Mgr Lefèvre, les dits de Mgr Fellay ou ceux du Cardinal Yves Congar (1904-1995), et son fameux «Journal du Concile» (2002), dont il demanda de remettre la publication jusqu'après l'an 2000.

Ce qui fut entendu au cours des sessions du Concile Vatican II donne la certitude absolue que ce sont les khasa-juifs, faussement convertis, qui menaient le jeu dudit Concile. Le point culminant de ce Concile a été sans doute l'ouverture inimaginable vers le judaïsme-sioniste en réhabilitant les juifs d'un meurtre dont les accusations non seulement se trouvent encore dans les textes ecclésiastiques jusqu'à nos jours, mais qui ont été imposées aux adeptes par la prétendue Église avec une main de fer, meurtres et tortures y compris, à travers l'histoire du christianisme, sa papauté, et leurs écrits. Donc, balayer deux mille ans d'une histoire ecclésiastique aussi surchargée de textes et de batailles internes, devait sûrement avoir comme conséquence logique: l'éloignement des adeptes, laïcs et clergé y compris, appelé justement «l'hémorragie silencieuse de l'Église». C'est la moindre des choses qui puissent arriver suite à un tel renversement !

Cités à titre d'exemples, les principaux pseudo-juifs convertis pour agir de l'intérieur, dont les noms reviennent dans les références, sont les suivants: le Cardinal Augustin Béa, Mgr John Œsterreicher et Mgr Gregory Baum, les évêques Walter Kempe d'Allemagne, Serge Mendez Arceo du Mexique, Cuernavaca, Suenens, Frings, Dœpfner et tant d'autres, sans oublier le fameux Lustiger. Ils furent parmi les acteurs qui répandirent l'idée prétendant que le peuple juif n'est pas le responsable de la mort du Christ, que cette responsabilité incombe à l'humanité entière, et que les juifs ont été injustement persécutés par les catholiques. Théorie forgée dans les cercles les plus intimes du lobby khaza-juif du mouvement Sioniste qui opèrent dans le Vatican en conjonction avec les Jésuites. Il importe de remarquer ici qu'il y a une confusion dans la notion de «peuple juif», le peuple juif du temps de Jésus et ses apôtres n'est pas le même que le peuple juif moderne de la nation sioniste. Le premier était des juifs sémitiques, le deuxième ne l'est pas mais un imposteur.

Ces demandes ont été présentées au Concile au mois de juin 1962 par le Cardinal Béa, qui les reçut directement, comme disent les références, de l'Ordre B'nai Brith, maçonnerie exclusive des khaza-juifs. Inutile d'ajouter que le contact direct entre les loges juives et le Cardinal Béa s'établissaient à travers les juifs convertis. Puis, quelques courants orienteurs se manifestèrent sur la manœuvre judéo-maçonnique sous forme écrite, orale, ou par des cardinaux et des évêques qui intervinrent personnellement, et surtout les deux illustres Label A. Katz, Président de la «B'nai Brith», et Nahum Goldmann, Président du «Congrès Mondial Juif», de sorte qu'ils menèrent la manœuvre à découvert ! La présence de ces deux derniers, deux pseudo-juifs haut placés, dans un Concile catholique pose sûrement des points d'interrogations.

Il est vrai que de nombreux pères refusèrent de discuter la proposition du Cardinal Béa, relatif à la réhabilitation des juifs du meurtre déicide, mais l'offensive a été reprise au cours de la troisième session conciliaire. On leur a demandé un vote favorable, avant qu'il leur soit possible de réfléchir sur les conséquences catastrophiques d'une telle approbation.

Un petit recul révèle que le complot judaïque contre l'Église catholique fut démasqué en février 1936 par le journal «Catholic Gazette» de Londres, organe officiel de la Société Missionnaire Catholique d'Angleterre, dans un article intitulé: «The Jewish peril and the Catholic Church» (le péril juif et l'Église Catholique), qui mettait en garde ses coreligionnaires en rapportant des discussions tenues au cours d'une série de réunions secrètes de khaza-juifs à Paris. Il est intéressant de relever quelques phrases-clé de ces responsables pseudo-juifs "surveillés" à leur insu: «Tant que toute Religion, tout Patriotisme, toute dignité n'auront pas été liquidés, notre règne sur le monde ne pourra venir. Nous avons encore un long chemin à suivre avant de pouvoir détruire notre principal opposant: l'Église catholique. Nous avons fondé de nombreuses associations secrètes qui travaillent pour notre finalité (...), il reste dans notre secret que ces gentils qui, en s'unissant à nous, trahissent leurs propres et leurs plus précieux intérêts. Ces gentils qui arrivent à être membres de nos loges, ne peuvent jamais soupçonner que nous les utilisons pour construire leurs propres prisons, sur les terrasses desquelles nous allons ériger le trône de notre roi universel d'Israël. Nous avons mené une partie de son clergé à se transformer en pionnier pour notre cause. Nous avons poussé quelques-uns de nos fils à s'intégrer au corps catholique avec la mission explicite de travailler beaucoup plus efficacement pour la désintégration de l'Église catholique, en créant en son sein des situations scandaleuses...»

La suite du déroulement: «En plein Concile, et jusqu'au mois de décembre 1963, seule des ecclésiastiques apparaissent comme uniques promoteurs de la réhabilitation du peuple juifs par l'Église catholique. Le premier évêque qui aborda la question fut Sergio Mèndez Arceo, qui s'avère être descendant de Sépharites. Une rencontre entre le Président de la B'nai Brith, Label Katz, Nahum Goldmann, et le Cardinal Béa eut lieu, au terme de laquelle ce dernier reçu un mémoire destiné au Concile, et qui contenait intégralement les thèmes du décret sur les juifs, présenté au cours de la séance plénière !»

En même temps, les media-liges reproduisent et développèrent l'idée qu'il n'existe aucune relation de responsabilité entre les juifs qui crucifièrent le Christ et les communautés actuelles de ce peuple... et le matraquage de propagande se lança avec un gentil petit slogan: «être antisémite c'est être anti-chrétien». Adieu donc Jésus-Christ et les Apôtres qui apostrophèrent si violemment les juifs ! Mais concessions exigent, dit-on, malgré les textes des évangiles... Un paragraphe du journal «Le Monde», du 19 novembre 1963 semble fort révélateur: «L'organisation juive internationale B'nai Brith a exprimé son désir d'établir des relations plus étroites avec l'Église Catholique. Ledit Ordre vient de soumettre au Concile une déclaration dans laquelle est affirmée la responsabilité de l'humanité entière dans la mort de Jésus-Christ. Si cette déclaration est acceptée par le Concile, a déclaré M. Label Katz, Président du Conseil International de la B'nai Brith, les communautés juives étudieront les moyens de coopérer avec les autorités de l'Église (catholique)» ...

Une remarque en passant, le Sieur Béa, un allemand jésuite, plus-ou-moins inconnu parmi ses semblables, fut nommé Cardinal par le pape Jean XXIII. Il prit aussitôt comme principaux collaborateurs deux pseudo-juifs convertis, l'un venant des États-Unis, l'autre du Canada. Quant aux principaux auteurs du décret «De Judaeis», ce sont les juifs convertis Mgr Œsterreicher, ancien prédicateur dans la cathédrale de Saint Patrice de New York, et Mgr Gregory Baum, qui affirma un jour: «Nous, nous ne lisons plus les nombreuses déclarations de Jésus-Christ contre son peuple, contenues dans la Bible», et surtout sa fameuse phrase: «Aucun œcuménisme n'est possible sans la réconciliation de l'ancien et du nouvel Israël». Ce qui révèle amplement les finalités politiques du dit Concile: la réhabilitation a été imposée pour faire passer la reconnaissance de l'État d'Israël par le Vatican.

Il est décevant de voir comment l'Église tend la main à ses bourreaux, et surtout à ces usurpateurs sionistes de la Palestine, qui fondèrent leur État sur trois-cent villages palestiniens aplatis aux bulldozers, l'expulsion de quelques millions de Palestiniens, l'embargo meurtrier à Gaza et des attaques au phosphore blanc, et s'accaparèrent de 98% de la Palestine... Et puis, le pape ose parler de paix, ose formuler une prière à trois pour cette paix ! Et pour boucler le tout, voilà que le tout dernier élu des papes postconciliaires, ce vrai jésuite, a été mettre une gerbe de fleurs sur la tombe du fondateur de l'État d'Israël.

Il est vrai qu'avec ce geste nous sommes loin, très loin même de l'antijudaïsme chrétien, de ces fameux docteurs de l'Église, dans les textes desquels apparaît une nette et ferme dénonciation des erreurs judaïques, principale cause des désordres des temps, comme ils disent... Loin aussi de quelques Apôtres, dont Saint Paul, fondateur du Christianisme actuel, ou des déclarations anti-judaïques de Pie IX, qui non seulement les qualifia de "Chiens" et de "Bœufs", mais déclara que «les juifs représentaient aujourd'hui la Synagogue de Satan». Quel écart !...

Tel a été le plan juif pour pénétrer au sein de l'Église catholique, par le biais de «convertis» ou par l'intermédiaire d'ecclésiastiques affiliés aux loges maçonniques, dans le but de la transformer en un instrument de leur conspiration pour la domination du monde. Si on tient compte des déclarations de Mgr Fellay disant: «il y avait sûrement un plan qui a été élaboré pour la préparation d'un gouvernement mondial et d'une religion mondiale (...), qu'au Vatican même quatre loges étaient présentes à l'œuvre», on saisira, peut-être, un peu mieux ce qui se passe, on saisira surtout que tout cela se passait bien avant qu'on ne parle ouvertement du Nouvel Ordre Mondial...

Nous ne faisons ici que rendre disponible, pour la première fois, de l'information qui fut caché depuis longtemps et qu'aucun chrétien ne s'était donné la peine de rechercher à fond. Il est impératif que vous soyez vigilants en ces temps troublés dans lesquels nous sommes. Prenez courage, et faites confiance à Christ pour toutes choses. Notre Berger sait comment prendre soin de ses brebis. Amen !

 

À Christ seul soit la Gloire

Amen !

 

Rédigé par Jean leDuc sous la direction de Christ

pour la communauté mondiale des élus.