VI Derniers voyages. Après quelques brèves indications au sujet des rapports que Pauleut avec les Juifs de Rome, peu après son arrivée, le livre des Actess'achève brusquement sur ce renseignement, qui n'est pas uneconclusion: «Paul demeura deux années entières dans un logement qu'ilavait loué; il recevait tous ceux qui venaient le voir, prêchant leRègne de Dieu et enseignant ce qui concerne le Seigneur Jésus-Christ,avec une entière liberté et sans aucun empêchement» (Ac 28:30et suivant). Cette liberté de Paul fut sans doute d'autant plus grandequ'il était prisonnier et sous la sauvegarde autant que sous lasurveillance d'un légionnaire romain. Une tradition, par ailleurs suspecte,mais ici très acceptable, spécifie que l'apôtre convertit son gardien.Elle se rencontre avec la dernière salutation de l'épître aux Philippiens,vraisemblablement composée à Rome: «Tous vous saluent, etprincipalement ceux qui sont de la maison de César» (Php 4:22).Dans la même lettre, Paul reconnaît lui-même héroïquement leprivilège et les avantages de sa captivité au point de vue de sonapostolat (Ac 1:12,14). Il est probable, d'après ce dernierpassage, que Paul avait converti non seulement son gardien, maisbeaucoup d'autres légionnaires, d'où ce paradoxe d'un homme d'autantplus libre qu'il est prisonnier. Qu'advint-il ensuite? L'auteur desActes le racontait-il dans une conclusion qui s'est perdue? Nevoulait-il pas plutôt l'indiquer dans un autre livre qu'il n'a pointécrit ou qui n'est point parvenu jusqu'à nous? De toute façon, ilapparaît que la vie de Paul a dû se prolonger au delà de ces deuxannées de captivité à Rome, sinon Luc n'aurait pas laissé pour unautre ouvrage la mention de la mort de l'apôtre. Il est même légitimede supposer qu'il lui restait à écrire un chapitre important d'unecarrière apostolique non encore achevée. Les épîtres dites pastorales (voir ce mot), si elles sontauthentiques, viennent ici combler un vide mystérieux. Ellessupposent, en effet, des voyages qui ne trouvent point leur placedans la trame historique des Actes et des autres épîtres. La lettre àTite mentionne un séjour en Crète, et la décision de passer un hiverà Nicopolis, en Epire. Carte: Voyage à Rome. 1ere captivité. Arrestation et emprisonnement à Jérusalem.--De (Ac 21:18-23:22)Jérusalem à Césarée, par Antipatris.--A (Ac 23:23-32)Césarée; emprisonnement et procès.--De (Ac 23:33-26:32)Césarée à Rome, par: Sidon, Myra, Cnide, Beaux-Portsen Crète.--Départ (Ac 27:1-13) de Crète; tempête; naufrage àMalte.--Séjour (Ac 27:14-44) à Malte.--De (Ac 28:1-11)Malte à Syracuse, Rhégium, Pouzzoles.--De (Ac 28:12-14)Pouzzoles à Rome par la voie Appienne, le Forum d'Appius, lesTrois-Tavernes.--Paul (Ac 28:15) à Rome (Ac 28:16-31). Dans 1 Tim., il est question d'un voyage de Paul en Macédoine,alors que Timothée a la charge de l'Église d'Éphèse. 2Ti faitallusion à des voyages à Corinthe, Milet, Troas. Il est impossibled'insérer ces déplacements, dont certains ont été prolongés, dans lecours du troisième voyage missionnaire, ainsi que le suggèrentquelques rares auteurs. Que resterait-il pour le séjour à Éphèse, surlequel les Actes nous donnent des renseignements formels? D'autrepart, 2Ti suppose une captivité bien différente de celle quedécrivent les Actes ou l'épître aux Philippiens. Lorsqu'il écrit à cesderniers, l'apôtre est plein de confiance quant à l'issue de sonprocès. Sans doute il a envisagé la mort avec tranquillité, et mêmeavec joie; mais, par amour pour les Églises et pour l'oeuvre duChrist, il espère survivre et compte bien revoir prochainement seschers Philippiens (Php 1:19-25 2:24). Lorsqu'il écrit 2Tim., Paul ne jouit plus de la grande liberté que lui avait assuréele régime de la custodia militaris: tous l'ont abandonné; il adéjà comparu devant ses juges; il est lié comme un malfaiteur; letemps de son départ approche; il a achevé sa course; il va êtreimmolé (2Ti 2:9 4:6,16). Il semble donc que l'apôtre ait subideux captivités de caractère très différent et séparées par lesvoyages mentionnés dans les épîtres pastorales. D'autre part, destémoignages importants font penser que Paul a bien réalisé le projetde voyage en Espagne auquel il avait fait allusion dans l'épître auxRomains (Ro 15:24,28); or, il n'a pu le réaliser que dans cemême intervalle. Clément de Rome, dans son épître aux Corinthiens,vers, rend à Paul ce témoignage: «...après avoir enseigné la justiceau monde entier, il est arrivé jusqu'au terme de l'Occident; il arendu témoignage devant les préfets; puis, il a été ôte du monde, etil s'en est allé au saint lieu...» (1Co 5:7). L'expression:«terme de l'Occident» ne peut pas désigner Rome, centre de son vasteempire méditerranéen, mais l'extrême pointe espagnole, les colonnesd'Hercule. Apollonius de Tyane (Vie de Philostrate) écrivait:«Gadès (Cadix) est située au terme de l'Europe», et Strabonspécifiait que les confins de ce monde, à l'Occident, sont lescolonnes d'Hercule à la pointe de l'Ibérie (II, III). Harnack, Zahn,et un grand nombre d'auteurs, sont bien d'accord que le témoignage deClément veut indiquer un voyage de Paul en Espagne. Le fragment deMuratori, vers 180, confirme ce témoignage (Paul, délivré de sacaptivité, est venu jusqu'en Espagne). Les Actes apocryphes supposentégalement cette tradition. Enfin, la date de la mort de Paul, tellequ'elle ressort de certains témoignages patristiques, est aussi àconsidérer, car elle oblige à supposer une prolongation telle de lavie de l'apôtre qu'elle implique une libération et un complémentconsidérable d'activité. Eusèbe place la mort de Paul tout à fait àla fin du règne de Néron, c'est-à-dire vers l'année 68. Une oraisondu IV e siècle, étudiée par Ramsay, permet d'aboutir à la date 67.Cet ensemble d'indices et de témoignages paraît suffisant pourconclure fermement, avec la majorité des auteurs catholiques etprotestants, à une libération de Paul après les deux ans de captivitéromaine mentionnés par les Actes (Bleek, Ewald, Neander, Godet,Spitta, Zahn, Harnack, Lietzmann, etc.). Si Paul a été libéré, il dut l'être avant l'incendie de Rome etle massacre des chrétiens en juillet 64. Un autre indice favorable àl'hypothèse de la libération peut être ici mentionné. La traditionn'a qu'une voix pour affirmer que Paul, en qualité de citoyen romain,fut décapité. On pense bien que, s'il avait été captif au moment oùNéron déchaîna la plus sauvage des persécutions, sa qualité decitoyen romain n'aurait pas pesé lourd et ne l'aurait pas empêché deservir aux jeux du cirque ou, torche vivante, à l'illumination desjardins impériaux. Selon toute vraisemblance, Paul n'était pas à Rome en juillet 64.Il en était parti après son acquittement, quelques mois plus tôt. Bleek estime que Paul se rendit en Espagne aussitôt; Farrar jugeque l'apôtre dut renoncer tout à fait à son projet, et il en donnecomme preuve que les épîtres pastorales n'en font pas mention, maissupposent un certain nombre de voyages dans le bassin oriental de laMéditerranée. Il convient, semble-t-il, de faire justice et à latradition pastorale et à la tradition clémentine susmentionnée; ellesne s'excluent nullement. Paul, libéré après quatre ans de captivité, est partagé entredeux désirs, deux projets anciens: porter l'Évangile enEspagne (Ro 15:24-28), la plus romanisée des provinces romaines,ou revoir ses Églises d'Orient (Php 1:26,Phm 1:22). Il les aréalisés l'un et l'autre, si l'on en croit la tradition (Clément deRome, canon de Muratori, oraison du IV e siècle, apocryphes) et sil'on veut situer normalement dans la vie de Paul certains détailsbiographiques des épîtres pastorales tenues pour authentiques. Lepassage de Clément donnerait à penser que le voyage en Espagne fut ledernier acte de la vie de Paul, avant l'épilogue du martyre. Riend'étonnant d'autre part, que le premier souci de Paul, aprèsl'imprévu considérable d'une captivité de quatre ans et sans renoncerdu tout à ses projets antérieurs, ait été de revoir d'abord lesrégions jadis évangélisées par lui. N'est-ce pas ce que déjà ilcomptait faire lorsqu'il écrivait de Césarée àPhilémon (Phm 1:22), puis de Rome aux Philippiens (Phil 1:26)?Si l'on en juge ainsi, l'itinéraire suivant apparaîtra commeplausible, sans exclure d'ailleurs d'autres possibilités: Après sa libération, Paul se dirige vers l'Orient. Il s'arrêtedans l'île de Crète, où il laisse son disciple Tite, afin d'yorganiser les Églises (Tit 1:5). Avant de repartir pour laMacédoine, il écrit à Timothée, qui voudrait le rejoindre, de resterà Éphèse et de l'y attendre. Il rappellera et renouvellera cetterecommandation dans une lettre postérieure (1Ti 1:3 3:14). Paulrevoit ses Philippiens, comme il l'espérait, peu avant salibération (Php 1:26). Il écrit à Tite pour lui donner rendez-vousà Nicopolis, où il va passer l'hiver (Tit 3:12). De Nicopolis,en Épire, Paul se rend à Éphèse, ainsi qu'il l'avait annoncé àTimothée (1Ti 1:3 3:14 et suivant). Il passe par Corinthe, où illaisse Éraste (2Ti 4:20). D'Éphèse, Paul va sans doute àColosses, réalisant ainsi le projet formé à Césarée quatre ou cinqans auparavant; il visite peut-être, par la même occasion, Laodicéesur son chemin, Hiérapolis, et d'autres Églises touchées par salettre circulaire aux Éphésiens (voir art.). Il s'arrête à Milet, oùil laisse Trophime malade (2Ti 4:20). Paul reprend alors son grand projet de voyage en Espagne. 11 partd'Éphèse pour Rome, par Troas, où il laisse un manteau chezCarpus (2Ti 4:13). Il poursuit par la Macédoine, suivant la voieEgnatia d'un bout à l'autre, de Néapolis jusqu'à Dyrrachium, surl'Adriatique. Il fait la courte traversée de Dyrrachium à Brundisium(Brindisi), gagne Tarente, et, suivant la via Appia sur tout sonparcours, il arrive à Rome. Il s'y arrête sans doute, pour aider lacommunauté dispersée, terrorisée, en grande partie détruite, à sereformer. De Rome en Espagne, jusqu'au terme de l'Occident, plusieursitinéraires se présentent à lui, tous courants et sûrs: le trajet parterre, en suivant les côtes, ou le même détour par mer. Dans les deuxcas, il a pu s'arrêter en Gaule, à Massilia (Marseille), comme lesuppose l'historien catholique Zeiller, et à Narbo Martius(Narbonne). M. Camille Jullian a fait observer justement queMarseille, ville grecque et résidence de nombreux Orientaux, étaitl'un de ces beaux champs de propagande comme Paul les aimait. Paulpeut aussi avoir suivi le trajet direct, par mer, d'Ostie à Tarraco(Tarragone), en traversant le détroit de Taphros (Bonifacio), entrela Corse et la Sardaigne. De Tarraco, il peut avoir continué, soitpar terre, soit par mer, jusqu'à Carthago-Nova (Carthagène), et, delà, pour éviter le passage difficile des colonnes d'Hercule, parterre jusqu'à Gadès (Cadix). Peut-être fut-il arrêté là même, auterme de l'Occident, et ramené à Rome, pour une seconde captivité, ladernière. Il écrivit alors 2 Tim., quand l'issue fatale de ce nouvelet dur emprisonnement ne faisait pour lui aucun doute (2Ti 2:94:6,8). La tradition est unanime à affirmer que Paul subit le martyre àRome, sous le règne de Néron. Suivant Tertullien et toute latradition postérieure, il fut décapité sur la route d'Ostie. Autémoignage de Clément de Rome, dans le passage cité plus haut (9:7),Paul fut martyr devant les préfets. Rome n'en avait habituellementqu'un. Or, en 67, Néron décida qu'il y en aurait deux, pendant unvoyage et un séjour qu'il fit en Achaïe au printemps. Paul pourraitdonc avoir été condamné et exécuté sous le gouvernement des préfets,pendant l'absence de l'empereur. La tradition spécifie: le 29 juin;ce serait, si l'on pouvait retenir ce jour, le 29 juin de l'année 67. Les Actes apocryphes donnent sur ce tragique dénouement de la viede l'apôtre de nombreux détails, dont quelques-uns ont une valeurmystique à retenir, mais dont il est impossible de déterminer lasubstance historique, assurément très mince. La veille du supplice,Paul aurait été enfermé dans un cachot de la prison Mamertine, prèsdu Forum. Il en fut tiré de grand matin, pour marcher au supplice. Ildit au centurion: «Crois au Dieu vivant; Il me ressuscitera, moi ettous ceux qui croient en Lui!» Vers la porte d'Ostie, au Sud-O, de laville, une femme, le front couvert d'un voile, attendait son passageet lui dit tout en larmes: «Paul, homme de Dieu, souviens-toi de moidevant le Seigneur Jésus!» Reconnaissant Plautilla, une patricienne,protectrice des chrétiens, Paul répondit joyeusement: «Je te salue,Plautilla, fille de l'éternité! Prête-moi!e voile dont tu couvres tatête. Au moment du supplice, j'en couvrirai mes yeux comme d'unsuaire, et je te laisserai ce gage de mon affection en Christ.» Ilstraversèrent le Tibre, et suivant la route d'Ostie, ils gravirent unplateau; ils s'arrêtèrent enfin près d'un pin, dans un vallon, dontles sources limpides portaient le nom d'Aquas Salvia? L'apôtredemanda un instant pour se recueillir. Il pria debout, les mainsétendues vers l'Orient, s'adressant en hébreu à quelqu'und'invisible. Puis, conformément à l'arrêt, il subit une dernière foisle supplice du fouet. Enfin, on lui banda les yeux avec le voile dePlautilla; il se mit à genoux et tendit le cou en silence, et toutfut accompli! Quelques fidèles, prévenus, se tenaient à distance ettransportèrent le corps dans une maison chrétienne à proximité, surla route qu'ils venaient de suivre: la maison de Lucina. C'est làque, d'après la tradition catholique, le corps de Paul reposajusqu'en 258, date à laquelle, suivant la même tradition, il futréuni à celui de Pierre, dans la nécropole de la voie Appienne. On letransféra, au IV e siècle, sous l'autel de la basilique dédiée àl'apôtre: Saint-Paul-hors-les-murs. Tous ces détails n'ont d'intérêt que par la piété qu'ilsexpriment, car leur historicité se réduit à peu, sinon à rien.Qu'importent, au demeurant, les détails matériels d'une fin glorieuseet les pérégrinations posthumes d'une dépouille terrestre, lorsqueson possesseur fut le héros de l'invisible Esprit, celui quiproclamait victorieusement: «Nous ne regardons pas aux chosesvisibles, mais aux invisibles, car les choses visibles ne sont quepour un temps, mais les invisibles sont éternelles!» (2Co 4:18). Carte: de la Libération au martyre. (Hypothèses suggérées).--Libération de Paul.--De (Ac 28:30,Php1:12-26) Rome en Crète, où Paul fait un séjour, et laisse Tite afind'y organiser les Eglises.--Avant (Tit 1:3) de partir pour laMacédoine, Paul écrit à Timothée de rester à Éphèse et de l'yattendre.--Paul (1Ti 1:3 3:14) en Macédoine, revoit sesPhilippiens.--Paul (Php 1:26) écrit à Tite et lui donnerendez-vous à Nicopolis, en Épire, où il passe l'hiver.--Il (Tit3:12) écrit de nouveau à Timothée de l'attendre àEphèse.--Paul (1Ti 1:3 3:14) se rend de Nicopolis à Éphèse, enpassant par Corinthe, où il laisse Éraste.--D'Ephèse (2Ti 4:20),Paul va sans doute à Colosses (Phm 1:22), en passant parLaodicée, peut-être aussi Hiérapolis.--Il s'arrête à Milet, où illaisse Trophime malade.--Paul (2Ti 4:20) veut réaliser sonprojet de voyage en Espagne (Ro 15:24-28); il se rend à Rome parTroas (2Ti 4:13), la Macédoine, la voie Egnatia, deThessalonique à Lychnidas (Ochrida), Dyrrachium (Durazzo), Brundisium(Brindisi), Tarente et la voie Appienne.--Voyage en Espagne jusqu'«au au terme de l'Occident», (Clément: 1Co 5:7; Canon Muratori)soit Gadès (Cadix); itinéraires possibles: 1° par terre, le long des côtes, par Genua (Gênes),Massilia (Marseille), Narbo Martius (Narbonne), Tarraco (Tarragone),Carthago Nova (Carthagène), Gadès (Cadix); 2° par mer, soit en longeant les côtes, avec escaleset débarquements, soit directement d'Ostie à Tarragone (parcoursterrestre de Carthagène à Cadix, pour éviter le passage des colonnesd'Hercule [=détroit de Gibraltar]).--Paul, arrêté en Espagne,est ramené à Rome, d'où il écrit 2 Tim., peu avant sonmartyre (2Ti 4:6-8). BIBLIOGRAPHIE --Parmi les innombrables études sur Paul, où l'élément biographique, chronologique ou géographique tient une place notable, on peut signaler: --Félix Bungener, St Paul, sa vie, son oeuvre et ses ép., 1867.--Renan, St Paul, 1869.--Godet, Introd. N.T., t. I, 1893.--Schneller, d'après Gindraux qui le traduit librement, L'apôtre Paul et le Monde ancien, 1898.--E. Baumann, St Paul, 1925.--M. Goguel, Les ép. pauliniennes (1e et 2 e part.), 1925-26.--Farrar, The Life and Work of St. Paul (2 vol., 1879).--Ramsay, St. Paul the Traveller and the Roman Citizen, 1895; Hist. Comm, on the Galates, 1899; Paulineand other Studies, 1906; The Cities of St. Paul, 1907.--A. Westphal, Les Apôtres, 1918.--Il convient d'y ajouter les articles sur Paul dans les Encyclopédies religieuses ou spécialementbibliques, notamment ceux de Zahn, dans RE; de Bousset, dans die Relig. In Gesch. und Gegenw.; de Findlay et Maclean, dans DB et HDB Nous mentionnerons encore comme présentant un intérêt spécialpour l'étude des voyages de Paul:--Rams.w, The hist. Geog. of Asia Minor, 1890; The Church in the Roman Empire, 1893; The Cities andBishoprics of Phrygia, 1895; Roads and Travels in N.T. (dans HDB, V, 1904). CARTES Cartes schématisées ou croquis pour vues d'ensemble,dans Arnold, Chart of Paul's Journeys, 1897;Stirling, an Atlas illustrating the Acts of the Apostles and theEpistles, 1926. H. Cl.