Ces deux mots hébr., dans le passage au texte défectueux de 2Sa23:8, ont été pris par les LXX, faute d'un meilleur sens, pour unsurnom ou un deuxième nom de Joseb-Bassébeth; c'est pourquoi nosanciennes versions (Ost., Mart.) les ont conservés comme nomspropres, d'ailleurs des plus énigmatiques. On est d'accordaujourd'hui pour suivre les deux parallèles, du verset 18 et de1Ch 11:11, et pour rectifier le texte en y lisant un verbe etson complément: «C'est lui qui brandit sa lance...»