faire la différence entre le vrai et le faux, car ils n'ont pas le discernement entre
la souveraineté absolue du Dieu Tout-Puissant, et le prétendu libre-arbitre de
la dignité humaine. On conseille donc aux «brebis» d’avoir la foi et de
demander, dans leurs prières, que Dieu leur évite la perdition, au risque de se
faire dévorer par les «loups» de la nouvelle Jérusalem à la Christian Becquet.
La sacralisation du ministère pastoral a eu des conséquences dramatiques
dans tout le christianisme. La plus grave est l’aveuglement qui se produit dès
que quelqu’un dit: «Je suis pasteur», ce que le démon Christian Becquet ne
manque jamais de souligner dans toutes ses discussions insensées, comme si
une telle affirmation serait une formule magique pour impressionner les
crédules et obtenir quelque crédibilité. Dans la pensée de beaucoup, cela veut
dire: «PAS TOUCHE», sous peine de malédiction, mais tous ne sont pas des
andouilles et ne craignent aucunement de mettre de tels imposteurs à leurs
places. Le titre de pasteur provoque chez plusieurs une sorte de respect
craintif, même quand on se trouve en face d’un mercenaire, d’un auto
proclamé, d’un loup, d’un marchand du temple, ou d’un forban de la pire
espèce: il y en a beaucoup, forcément, puisque le titre à lui seul, d'après ces
imposteurs, promet une sorte d’immunité d’office donc d’impunité, quoi qu’on
fasse. Cela se traduit d’ailleurs souvent dans les faits, par une omerta
consensuelle. Comme pour les prêtres pédophiles: on étouffe le scandale et on
les laisse continuer sévir, ailleurs tous ces renards qui se sont emparés de la
vigne de Dieu. On entend des horreurs de toutes sortes: des « pasteurs »
voleurs, malfaisant, et pervers comme Christian Becquet, violeurs, dépravés, et
bien sûr abusifs. Mais les victimes se voient toujours ordonner: «Tais-toi, il ne
faut pas toucher aux oints de Dieu» ! Oints par qui, au fait ? Car ce sont les
faux oints qui sont féroces contre les vrais oints de Dieu pour qu’ils ne
puissent pas parler !!!! Et aux plus fragiles en sus: vous savez, touts ces
«petits», ceux qui ont leur cœur attaché au cœur du Seigneur, et qui aiment
tant écouter les paroles de Jésus qu’ils n’ont même pas le temps de s’occuper
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