LES GÉNÉRATIONS DES CIEUX ET DE LA TERRE
Par Jean leDuc Avril 2019
La faille de la créature rationnelle L'extermination de la race adamique L'augmentation de la connaissance
L'ASTRONOMIE DES ANCIENS PEUPLES L'observation du ciel à la Préhistoire Les astronomes des temps anciens
Les constellations et l’astrologie L’observation et les mesures du ciel La naissance de la science occidentale
LES MYSTÈRES DE SIRIUS L'ÉTOILE DU CHIEN Dans les anciennes civilisations La tribu des Dogons et l’Atlantide
Telles sont les générations des cieux et de la terre, quand ils furent créés, au moment que L’ADMIRABLE ESPRIT DES VIVANTS façonna la terre et les immensités infinies. (Genèse 2:4; Bible de Machaira 2020).
Il est reconnu que l'auteur de la Genèse a volontairement utilisé des allégories et des expressions figuratives qui, à cause d'un contexte culturel différent éloigné de plusieurs siècles, sont difficiles à comprendre par les gens modernes. Même que le grand historien Juif, Joseph Flavius, qui vers l'an 100 de notre ère qui écrivit son «Histoire et Guerres des Juifs», affirme qu'à partir de Genèse 2:4 Moïse commença à s'exprimer d'une manière figurative. Mais il y a aussi un autre fait 'a remarquer dans ce passage, à savoir la mention de «générations». Dans les traductions française classiques ou traditionnelles de la Bible on trouve plutôt le mot «origine», mais le terme original est précisément celui de «génération» comme il est retrouvé dans la célèbre Bible anglaise de la King-James. Pourquoi les savants qui ont travaillés à la réalisation de la King-James ont-ils choisi d'utiliser le terme «génération» plutôt que son synonyme «origine» est fort curieux. Ils étaient loin d'être des ignorants car ils étaient tous des professionnels en linguistique et plusieurs d'entre eux parlaient de nombreuses langues. Ils savaient donc parfaitement ce qu'ils faisaient, en plus nous savons qu'ils ont été dirigés par la main de Dieu dans cette traduction de cette Bible renommée dans toutes les nations de la terre. Certes que le mot «génération» peut vouloir dire «origine» mais il est rarement utilisé de cette façon. Il est plutôt utilisé pour décrire «une descendance, une postérité, une population, une race», ce qui nous indique la forte probabilité que Genèse 2:4 nous parle «des peuples des cieux et de la terre». Si tel est le cas, et tout semble nous indiquer que ce l'est, comment expliquer cette notion énigmatique. Que la race humaine, au début des temps, était répandue dans tous les confins de l'univers est presque inconcevable à l'esprit de l'homme constipé intellectuellement, et à la science contemporaine. Elle est même inacceptable par les théologiens et les exégètes, les pasteurs et les instructeurs des Saintes-Écritures, la notion est même ridiculisée par eux car ils ne peuvent en concevoir la possibilité et encore moins la réalité. Qu'il y avait des mondes habités d'êtres intelligents dans les sphères de l'immensité, et non seulement sur notre Terre, est un sujet qui est généralement considéré comme étant de la science-fiction.
Mais, et il y a un «mais», le Texte Sacré nous réserve des surprises, comme c'est souvent le cas, afin d'ouvrir notre esprit à ses instructions qui ne plaisent pas toujours à l'homme borné par son bagage intellectuel et religieux, mais aussi par son orgueil et sa défiance. Pour entrer dans les mystères de Dieu et les merveilles de sa Création, il faut commencé par s'humilié et admettre que nous ne connaissons absolument rien sans qu'Il nous en donne la révélation selon le bon plaisir de sa Volonté Souveraine et pour la gloire de son Nom.
Il y a un passage intéressant dans Genèse 5:3 qui nous dit «qu'Adam vécut cent trente ans» avant d'engendrer «un fils à sa ressemblance, mais selon son image charnelle, et il lui donna le nom de Seth». Or le mot «Seth» signifie littéralement «le substitut, le remplaçant, la renommée», car Seth était le substitut ou le replaçant d'Abel le Juste que Caïn, son frère, avait tué. Mais il y a plus, car il nous est dit dans le v.6 que «Seth engendra Énosh», ce qui est fort intéressant car le mot «Énosh» signifie «la défaillance, la mortalité» nous indiquant que ce fut à ce point que la mortalité entra dans la race humaine. En d'autres mots Seth a été engendré à l'image d'Adam, c'est à dire à son image charnelle de disgracié et cela produisit la mortalité dans l'homme. Il est donc clair qu'avant cela la race humaine était une race d'immortels et que le 130 ans de l'existence d'Adam se rapporte avant la chute en Éden. Or «Adam» est un terme singulier qui représente un pluriel pour désigner «la race humaine», c'est à dire une multitude infinie d'êtres vivants mâle et femelle qui furent créés avant la rébellion engendré par l'indépendance de l'homme pour se faire maitre de son destin. Genèse 5:2 nous indique clairement que le nom «Adam» se rapporte à tous les mâles et femelles de la race humaine. Il ne s'agit donc pas d'un seul homme et d'une seule femme, de deux individuels comme nous l'enseigne la théologie traditionnelle, mais d'une multitude innombrable créée en pleine maturité. Au début de son existence, la race adamique initiale avait été donnée la puissance et l’autorité de régir toutes les lois universelles sur tout ce qui existe dans la Création, l'homme avait été établi comme le Maître de l'univers sous la tutelle de l'Esprit des vivants. Il eût donc un temps dans lequel la race adamique initiale avait une existence parfaite et illimitée. La pureté de leur être était comme le soleil en plein midi et comme l'éclat des étoiles dans les cieux où ils firent leur demeure. De cela ils furent nommés «les fils de la lumière» tellement ils brillaient de la Sainte Présence de l'Esprit des vivants en chacun d'eux, et ils éclataient d'une joie et d'un bonheur indescriptible parmi les galaxies étoilées de l'immensité infinie. On ne peut même s'imaginer le genre de civilisation qu'ils avaient et qui provenait surement de l'épanouissement de leur existence admirable de merveilles en merveilles, car le péché n'existait pas encore, il n'avait pas encore pénétré la conscience de cette race glorieuse.
Le livre de Job 38:4-7 nous dit que «lorsque la Pierre Angulaire fut posée par l'Esprit des vivants dans la période qu'Il établi les fondations de la terre, que les étoiles du matin résonnaient ensemble, et que les fils de L’ESPRIT DES VIVANTS* en proclamaient la joie». La Pierre Angulaire était nulle autre que la promesse du Messie à venir pour le rachat de ses élus qui a été donnée à la race adamique initiale après la chute en Éden, tel qu'il est mentionné dans Genèse 3:15 que plusieurs nomment «le Proto-Évangile». Or l'expression «les «étoiles du matin» se rapporte directement aux fils de l'Esprit des vivants qui peut se traduire aussi par «les constructeurs puissants». Il n'y a aucun doute ici qu'il s'agit de la multitude innombrable de la race adamique initiale, la génération des peuples des cieux et de la terre qui habitait partout dans l'univers, et qui jouissait d'une unité parfaite comme étant un seul homme. Ils étaient comme un seul corps, tout comme les élus sont tous membres du Corps de Christ, une composante indivisible dans laquelle chacun est conscient de l'autre et de tout l'ensemble en même temps. Cette forme d'existence est incompréhensible au commun des mortels, mais elle sera révélée de nouveau à l'apparition finale de Christ en ce monde de ténèbres, lorsque nous serons tous transformés en son image pour former le Nouvel Homme, une race céleste et éternelle qui participera à la gloire de Christ pour l'éternité.
Il nous est dit que la race adamique initiale vécue pour 130 ans avant sa déchéance et sa destruction totale. Mais si nous considérons cela dans un sens spirituel, c'est à dire au sens figuratif comme le fait l'apôtre Pierre dans 2 Pierre 3:8 «pour L'ADMIRABLE un jour est comme mille ans, et milles ans sont comme un jour», il est fort possible que le nombre d'années soit beaucoup plus considérable que l'on puisse s'imaginer. Par exemple, seulement pour vous donner une idée, en se basant sur un calendrier moderne de 365 jours nous aurions donc 365,000 ans x 130 qui nous donnerait 47,450,000 ans. Toutefois le calendrier de ce temps n'était pas comme le nôtre, puisque les astres, incluant la Terre, n'avaient pas la même position que de nos jours. Le nombre d'années peut être beaucoup moins que cela. Néanmoins il est surement dans les milles années. Cela n'est pas surprenant puisqu'il est dit que les hommes d'avant le déluge de Noé vivaient jusqu'à 900 ans, s'il ne s'agit pas de génération plutôt que de personnes particulières, ce qui changerait beaucoup les notions traditionnelles que nous avons sur cette ancienne civilisation des constructeurs puissants.
La faille de la créature rationnelle Figurativement, la race adamique initiale était comme une chaîne, brisé un seul maillon de la chaîne serait de détruire l'unité de tout l'ensemble, et c'est exactement ce qui se produisit. Nous voyons dans Genèse 3:5 que l’homme n'était pas satisfait de sa position de créature, il voulait s’approprier de la divinité de son Créateur en déclarant son indépendance pour devenir maître de son propre destin, autant sur la vie que sur la mort. La faille de la créature rationnelle était qu'elle n'est pas le Créateur et qu'elle devait dépendre de Lui pour exister. L'homme avait été donné une loi d'interdiction par l'Esprit des vivants, mais cette loi l'irritait au plus haut degré, il en était indigné et ne pouvait la tolérer. En la raisonnant en son esprit, il décida de la rejeter et de s'établir lui-même maître de sa vie tout comme son Créateur est le Maître de la Vie et il en subit de graves conséquences, nous les ressentons encore de nos jours. L'homme a payé cher pour sa rébellion contre Dieu et il le payera jusqu'à la fin des temps et même au-delà pour l'éternité.
La chute de l'homme a engendrée toutes les épreuves et conflits dans l'intervalle entre la rébellion originale en Éden et la destruction de la race adamique initiale lors du déluge de Noé. L'Esprit des vivants s'était retiré du cœur des hommes et sa colère s'abattit sur eux (Genèse 6:3,7). Les répercussions ont été universelles et toute la race adamique initiale subit la colère de Dieu qui s'abbatit sur elle pour l'anéantir et toute une civilisation merveilleuse disparue de la face de l'univers, laissant derrière elle que des ruines d'une connaissance oubliée dans la nuit des temps. Mais nous trouvons une prophétie dans le livre de l'Ecclésiaste 1:9-11 qui nous dit que l'histoire se répète:
Les êtres humain de cette période, nos premiers ancêtres, avaient assurément une grande intelligence car ils furent donné la maîtrise de l'univers, tout dans la création était sous le contrôle de cette race parfaite (Genèse 1:28-30) crée à l'image de Dieu (Genèse 1:26). Les hommes, à ce temps, étaient littéralement des géants physiques, intellectuels, et spirituels. Les confins de l'univers leurs étaient accessibles et ils habitèrent parmi les sphères de l'immensité célestes qui a ce temps pouvaient supporter la vie. Il y a de nombreuses évidences qu'ils avaient même des vaisseaux qui pouvaient voyager dans l'air, sous l'eau, et dans l'espace. Nous pouvons donc être sûrs qu’ils ont compris les enjeux de leur tentation avec une profonde clarté avant de poser le geste fatal.
La Chute de l'homme a déséquilibrée toute la Création qui fut soumise à la servitude de la vanité (Romains 8:19-23), et ses extrémités ne furent plus disponibles à l'homme rebelle et déchu dont l'existence fut réduite à des raisonnements charnels captieux et au dépérissement de la mort. Ces êtres lumineux et rayonnants de la Sainte Présence de l'Esprit des vivants, devinrent enténébrés, confus et désordonnés. Mais ils avaient encore de grandes connaissances de différentes sciences qui surpassent notre imagination, mais elle devenait égocentrique et graduellement obscurcie par le péché. Or quoiqu'il en a forcé la porte à plusieurs reprises pour retourner faire son nid parmi les étoiles, l'homme ne réussira jamais à retourner parmi ses anciennes demeures car tout a été chambardé lors de la révolution primaire d'une guerre cosmique entre les fils des ténèbres (Caïn) et les fils de la lumière (Abel), dans laquelle ces derniers ne furent pas les vainqueurs et furent entièrement détruit par la science des injustes qui voulaient soumettre toute la race adamique initiale à ses turpitudes pour dominer sur eux, dans une tentative insidieuse d'annuler la promesse du Messie à venir pour le salut des élus.
L'extermination de la race adamique Mais l'Esprit des vivants éleva et édifia la génération de Seth pour remplacer celle d'Abel lorsque la mort pénétra dans le cœur de l'homme. Mais la génération de Seth devint aussi corrompue par l'influence des fils du serpent. La race entière devint tellement corrompue que sa destruction était imminente, mais l'Esprit des vivants choisi de préserver Noé et sa famille pour tout recommencer, après qu'un astéroïde gigantesque en provenance d'une planète éclatée qui frappa la terre, occasionnant les eaux du déluge universel pour exterminer la race adamique initiale et tout ce qui se trouvait sur le Continent Terre original de Pangée, avant qu'il fusse fragmenté dans un désastre apocalyptique au temps de la Tour de Babel, car les hommes étaient retombés dans la déchéance totale. N'oublions pas que ce qui est arrivé se reproduira de nouveau à la fin des temps dans lesquels nous sommes présentement et aucun n'échappera sauf les élus qui sont destinés à la gloire éternelle pour former une nouvelle race parfaite qui n'aura pas de fin.
Flavius Josèphe, un politicien et historien juif vivant au premier siècle de notre ère, a dû répondre aux doutes du monde intellectuel de Rome du premier siècle où il vivait en déporté. Dans son œuvre Antiquités judaïques, Flavius Josèphe offre à ses lecteurs les commentaires suivants (Livre I, chap. 3, sect.9): «Noé vécut après le déluge 350 ans, qu'il passa toujours heureusement; il meurt âgé de 950 ans. Que personne, comparant la vie de ces anciens à la nôtre d'un nombre d'années si restreint, n'aille tenir pour faux ce qui est raconté de ces hommes: qu'on ne se figure point, parce que nul aujourd'hui n'atteint dans son existence un âge aussi avancé, que ceux-là non plus n'aient pu la prolonger à ce point. D'abord, ils étaient aimés de Dieu et nés de Dieu lui-même; leur nourriture les rendait plus propres à durer davantage; il est donc vraisemblable qu'ils ont pu vivre aussi longtemps. Ensuite, c'est pour leur vertu et c'est pour faciliter leurs recherches dans l'astronomie et la géométrie, inventées par eux, que Dieu leur accordait cette longévité; ils n'auraient rien pu prédire avec certitude s'ils n'avaient vécu que 600 ans, car c'est là la durée de la grande année. J'ai là-dessus le témoignage de tous ceux, Grecs ou Barbares, qui ont écrit des antiquités: Manéthon, qui a fait les annales des Égyptiens; Bérose, qui a rassemblé ce qui concerne la Chaldée; Mochos, Hestiée ainsi que Hiéronyme l'Égyptien, auteurs d'histoires phéniciennes, sont d'accord avec moi; Hésiode, Hécatée, Hellanicos, Acusilaos, ainsi qu'Éphore et Nicolas, rapportent que ces premiers hommes vivaient mille ans. Mais sur ce sujet, que chacun décide comme il lui plaira.». Il mentionne aussi que les gens de la période d'avant le Déluge "furent les inventeurs de cette sagesse particulière qui concerne les corps célestes et leurs ordres; ils avaient des inventions qu'ils utilisèrent dans l'astronomie et les découvertes géométriques". Lorsque nous considérons qu'une personne vivait de huit à neuf cent ans dans cette période, il n'y a aucun doute que la capacité intellectuelle et la technologie de ce temps, surpassaient de loin celles de notre civilisation moderne (Ec.1:9-11).
L'augmentation de la connaissance Les connaissances et les technologies ont également augmenté rapidement au cours des 1656 années de la Création au Déluge. L’humanité a construit des villes (4:17), avait des ranchs de bétails (4:20), composait et jouait de la musique (4:21), et avait découvert la métallurgie, y compris comment faire des alliages comme le laiton, et avait des connaissances avancées dans la géométrie, l'astronomie, la physique quantique, la médecine, le voyage interplanétaire, et beaucoup plus encore. Nous sommes loin de l'image moderne du premier homme comme étant un simple cultivateur qui labourait sa terre avec des outils rudimentaires. Imaginez-vous une race de géants super intelligents répandue parmi les sphères de l'immensité spatiale, et vous ne ferez qu'égratigner la surface du début de comprendre cette ancienne civilisation. Bien que chaque homme avait environ 900 ans pour perfectionner divers métiers, il avait également la même quantité de temps pour développer de mauvaises attitudes et de mauvaises habitudes. Ce que quelqu’un pense et fait devient une partie de son caractère. Tout comme une personne aurait pu devenir très habile à la métallurgie pendant cette époque, elle aurait également pu perfectionner l’art de mentir, de tricher et de voler. Même après seulement quelques centaines d’années, l’homme serait devenu incroyablement méchant et cruel. Et, encore une fois, il devait y avoir des milliards de personnes comme ça à cette époque !
Devant les intellectuels de l'empire romain, Flavius Josèphe défend donc les affirmations de la Genèse en évoquant des historiens non-juifs de l'Antiquité qui affirment également la réalité des vies prolongées avant (et pendant une période assez brève, après) le Déluge. Flavius Josèphe semble expliquer le phénomène de la longévité antédiluvienne en affirmant que les antédiluviens possédaient des capacités disparues depuis et avaient accès à des aliments dotés de propriétés revivifiâtes. Pour la génération qui nous entoure, les affirmations de la Genèse sont invraisemblables, mais c'est une attitude qui a peu de racines sur le plan historique. On demandera évidemment quel est le lien avec la Genèse et la question de la durée de vie incroyable des antédiluviens? Eh bien on y arrive justement. Voyons la déclaration dans Genèse 1:31: «Et Dieu vit tout ce qu'il avait fait et voici, cela était très bon.». Dieu a donc inspecté sa Création, soit la biosphère, les animaux et l'homme et n'y a trouvé aucun défaut. Si nous admettons cette perfection initiale, il en découle que les premiers humains n'auraient pas connu de mutations, leur structure cellulaire et leur génome seraient donc parfaits, sans défauts, comme le Créateur l'avait prévu. On peut donc présumer qu'ils auraient pu vivre à jamais s'ils avaient évité le péché. En effet, la Bible nous dit à plusieurs endroits que la mort (et la maladie) est entrée dans le monde, suite à la rébellion de l'homme. Si donc on accepte le postulat d'une Création initiale parfaite, alors en toute logique, il faut supposer que cela soit également vrai sur le plan génétique. Il en résulte que les maladies congénitales et diverses dysfonctions génétiques que nous connaissons trop bien aujourd'hui n'existaient pas initialement et sont apparues, depuis la Chute (graduellement ou pas?) et sont liées à la dégradation subséquente de l'information génétique créée par Dieu dans le génome. Cela concorde tout à fait avec l'affirmation des Écritures indiquant que les populations humaines avant le Déluge vivaient BEAUCOUP plus longtemps que nous (au-delà de 900 ans en général). Bien qu'un tel phénomène nous semble étrange, du point de vue de la théorie de l'information, c'est tout à fait logique.
L'ASTRONOMIE DES ANCIENS PEUPLES Il y a un problème posé par les connaissances astronomiques des anciens peuples. Malgré des indices probants, il paraît difficile d’admettre que les Anciens parvinrent, de quelque manière, à connaître l’infiniment petit, mais il existe également des preuves qu’ils connurent l’infiniment grand.
Personne ne peut dire comment les peuples de l’Antiquité furent capables d’obtenir leurs informations sans instruments de haute précision qui, apparemment, leur faisaient défaut. Cette contradiction entre une instrumentation rudimentaire et une connaissance approfondie a embarrassé les scientifiques et les historiens. On trouve par exemple, aux sources classiques, des références à la parallaxe solaire. Mais le plus important est la parallaxe diurne ou parallaxe géocentrique d’un astre qui est l’angle sous lequel on verrait, depuis cet astre, le rayon terrestre (r) aboutissant au lieu d’observation (A). Cet angle est négligeable pour les étoiles. En revanche, c’est de lui qu’il s’agit quand on parle de la parallaxe d’un astre du Système solaire. Pour un lieu d'observation (A), la parallaxe est maximum lorsque l’astre est à l’horizon (angle ATP de 90º), c'est la parallaxe horizontale. Cette dernière atteint elle-même sa valeur maximale pour un lieu situé à l’équateur (le rayon de la Terre étant plus grand à l'équateur), la parallaxe horizontale équatoriale. Les calculs de parallaxe sont souvent ramenés à une parallaxe horizontale équatoriale. Par exemple, la parallaxe horizontale équatoriale du Soleil vaut 8,794″. Le rapport de la parallaxe horizontale équatoriale moyenne du Soleil et de la parallaxe horizontale d’un astre fournit une valeur approchée de la distance d’un astre du Système solaire, en unités astronomiques.
Dans les temps modernes, la première observation de la parallaxe du Soleil fut faite par William Gascoigne en 1640 au moyen d’un treillis placé devant une lentille télescopique. Les sages de l’Antiquité ne sont pas connus pour avoir possédé des télescopes. Comment découvrirent-ils la parallaxe solaire ? Observer le déplacement apparent du Soleil parmi les étoiles, illusion produite par le supposé mouvement de la Terre qui en réalité ne bouge pas mais demeure stable dans le vide de l'espace, nécessite une instrumentation perfectionnée.
Dans le Timée, qu’écrivit Platon il y a près de 2,400 ans, le philosophe rapporte le dialogue d’un grand prêtre égyptien avec Solon, le législateur grec. Un fait curieux en découle: les sages du pays des Pyramides connaissaient la présence des astéroïdes dans l’espace et leurs collisions occasionnelles avec la Terre. Voyons le passage en question: Alors un des prêtres, qui était très vieux, lui dit : « Ah ! Solon, Solon, vous autres Grecs, vous êtes toujours des enfants, et il n’y a point de vieillard en Grèce. » A ces mots : « Que veux-tu dire par là ? demanda Solon. - Vous êtes tous jeunes d’esprit, répondit le prêtre; car vous n’avez dans l’esprit aucune opinion ancienne fondée sur une vieille tradition et aucune science blanchie par le temps. Et en voici la raison. Il y a eu souvent et il y aura encore souvent des destructions d’hommes causées de diverses manières, les plus grandes par le feu et par l’eau, et d’autres moindres par mille autres choses. Par exemple, ce qu’on raconte aussi chez vous de Phaéton, fils du Soleil, qui, ayant un jour attelé le char de son père et ne pouvant le maintenir dans la voie paternelle, embrasa tout ce qui était sur la terre et périt lui-même frappé de la foudre, a, il est vrai, l’apparence d’une fable; mais la vérité qui s’y recèle, c’est que les corps qui circulent dans le ciel autour de la terre dévient de leur course et qu’une grande conflagration qui se produit à de grands intervalles détruit ce qui est sur la surface de la terre.
Le grand prêtre égyptien parle ici de l'explosion de la planète Nod, nommée aussi Vulcain et Phaéton, qui était situé entre Mars et Jupiter et qui était la demeure de la race des carbonisés ou fils du serpent, les caïnites, qui avaient été chassés de la Terre par l'Esprit des vivants et interdit d'y revenir sous peine d'un châtiment éternel. Ce sont eux qui déclenchèrent une guerre cosmique contre les fils de la lumière lorsque la race adamique initiale fut divisée en deux camps, le camp de la génération des justes sous la désignation du nom d'Abel et considérée comme étant insignifiant par la grande majorité de la population à cause de son attachement à la promesse du Messie à venir; et le camps des fils des ténèbres de la génération des injustes sous la désignation de Caïn qui tenait la race adamique initiale sous l'esclavage des plaisirs de la chair. Mais la vengeance de l'Esprit des vivants fini par atteindre le camp des des fils des ténèbres, et la planète Nod fut détruite avec tous ses habitants. Les fragments de cette planète formèrent la ceinture d'astéroïdes d'où provienne de nombreuses météorites que l'on nomme des étoiles filantes, et qui frappèrent la Terre pour occasionner des désastres incalculables à travers l'histoire, particulièrement au temps du déluge et au temps de la construction de la Tour de Babel lorsque «l'Admirable Esprit des vivants descendit pour voir la ville et la tour qu'avaient bâties les fils des hommes» sous la forme de Melchisédech (Genèse 11:5).
Rien n’est plus clair ! Le sage fait allusion aux astéroïdes dans l’espace et à leur écrasement accompagné d’explosions sur notre planète. La géologie révèle, aujourd’hui, qu’une météorite énorme tombant en Arizona il y a 50,000 ans produisit une explosion dévastatrice. Le cratère Barringer (1,20 km de large) demeure le témoignage de cette chute. La Terre porte des cicatrices du même type en Arabie saoudite, en Australie et en Afrique ; quant à la Lune, elle en est littéralement criblée, de même que Mars qui était la lune de la Planète Nod avant que celle-ci éclate dans une explosion catastrophique et qui la projeta temporairement hors de son orbite pour s'approcher dangereusement de la Terre. Au même temps une autre météorite colossale tomba dans la région du Yucatan au Mexique qui détruisit toutes vies et fragmenta l'écorce terrestre pour soulever les montagnes et pour former les continents que nous connaissons de nos jours, car à cette période la Terre était d'un seul continent lorsque Noé sorti de l'arche avec tous les animaux qui purent se rependre facilement partout à sa surface. À ce temps l'Amérique du Sud était relié à l'Afrique et l'Amérique du Nord à l'Europe et celle-ci à l'Asie, l'Italie était reliée à la Lybie, l'Égypte était un vaste marais, le tout formant une seule terre, même que les montagnes que nous connaissons dans nos temps modernes n'existaient pas encore. La dévastation terrible causée par cette météorites au temps de la Tour de Babel, détruisit de grandes multitude de personnes et d'anciennes civilisations. Ce fut à ce temps que le rocher du Gibraltar se fendit comme frappé par la massue d'Hercule, laissant pénétré les eaux de l'Atlantique dans le basin de la Méditerranée qui était peuplé de nombreuses nations, dont l'Atlantide qui était située dans la région de Santorin et de la Crète qui formait une seule terre à cette époque, est la plus reconnue. Les nombreux bouleversements géologique reformèrent la Terre comme nous la connaissons de nos jours. Il serait presque impossible de nos jours de retrouver la location exacte de toutes ces anciennes civilisations puisque la surface de la Terre à complètement changée depuis ce temps.
Collationner, puis évaluer correctement les données se rapportant aux phénomènes insolites de la nature ne peut être réalisé que par des générations d’hommes de science. Les sages de l’Égypte ancienne ou terre de Mitsraïm méritent ce titre.
L’Académie des sciences, en France, fit une communication écrite, vers la fin du XVIIIe siècle, pour contester les vues des anciens savants égyptiens: « A notre époque éclairée », est-il dit, « il reste encore des gens assez superstitieux pour croire que des pierres tombent du ciel. » N’est-ce point encore là un exemple du triomphe périodique de l’ignorance, même à une « époque éclairée » ?
Force est de convenir qu’un héritage scientifique de la race adamique initiale, de ces peuples des cieux et de la terre, s’est transmis, de génération en génération, pendant des milliers d’années en dépit des guerres, des famines, des épidémies et autres fléaux qui, souvent, détruisirent des civilisations entières.
L'observation du ciel à la Préhistoire Longtemps avant l’époque des des palais et des châteaux, il existait, à ce qui est nommé par la science moderne déficiente «l'âge des cavernes», une solide tradition astronomique. Une série de cavités sur le rocher, dit des Pierres Folles, à la Filouzière, en Vendée, ont été identifiées comme des cartes du ciel. Les constellations de la Grande Ourse, de la Petite Ourse et des Pléiades sont figurées par des groupements précis de petits trous percés dans le roc.
Si l’astronomie n’eut pas de but pratique pour les chasseurs, habitants des cavernes, l’observation des étoiles n’en éveilla pas moins leur intérêt. Des milliers de notations remontant à la période glaciaire sont disséminées en Europe, de l’Espagne (Canchales de Mahoma et Abrigo de la Vina) à l’Ukraine (Gontzi). Elles se présentent, sous forme de traits verticaux, de lignes et de points, peints ou gravés sur la pierre ou sur l’os.
À ce qui est nommé le Paléolithique supérieur - qui supposément s’étend approximativement de 35 000 à 8 000 ans avant J.-C. - un grand nombre de ces notations peuvent se découvrir dans les subdivisions azilienne, magdalénienne et aurignacienne. Le fait qu’un type d’art linéaire a existé de façon ininterrompue dans la préhistoire pendant quelque 30 000 ans est, en lui-même, significatif. Ce genre de découverte incite à réviser nos jugements sur les facultés intellectuelles de l’homme au dernier stade de l’ère glaciaire et même avant car la science des fils du matin a traversée le déluge, Noé en ayant préservé des écrits qui lui furent dérobés par Nemrod et son groupe d'initiés afin de dominer sur le monde entier, étant déifié comme le dieu Soleil de l'Empire du Soleil. Son but était de retourner parmi les étoiles pour établir son trône dans l'ancienne habitation de la race des carbonisés des fils des ténèbres. Mais cet endroit n'existait plus, il du se contenter de Mars sur laquelle se trouvait les ruines d'une colonie de cet ancien monde. Il est fort probable que ses descendants s'y trouvent encore de nos jours et possiblement sur d'autres corps célestes dans notre système planétaire.
Les astronomes des temps anciens Les premiers encyclopédistes vécurent dans la Grèce antique. Ils n’avaient pas seulement récolté, classé et assimilé les connaissances des civilisations plus anciennes d’Égypte et de Sumer, mais ils étaient parvenus d’eux-mêmes à de brillantes conclusions. « La Terre est un globe », enseignait Pythagore à ses disciples de Crotone au VIe siècle avant notre ère. « Je veux découvrir les dimensions de cette Terre », a dit Eratosthène (v. 276-194 av. J.-C.), le conservateur de la Bibliothèque d’Alexandrie. Il nota qu’à Syène, en plein sud, le Soleil était au zénith au jour correspondant au solstice d’été et à 7 degrés de la verticale, à Alexandrie, le même jour. Par la géométrie, il obtint un chiffre pour estimer la circonférence du globe et, ainsi, établir son diamètre. Aussi singulier que le fait puisse paraître, il n’y avait que 80 kilomètres d’écart entre le chiffre énoncé par Eratosthène pour le diamètre polaire et celui qu’accepte, actuellement, notre astronomie moderne.
Lorsque Mégasthène, ambassadeur de Grèce aux Indes, aborda le sujet de l’astronomie au cours de l’audience que lui accordait le roi Chandragupta Maurya, en 302 av. J.-C., ce dernier déclara : « Nos brahmanes croient que la Terre est une sphère. ». L’ancien livre Surya Siddhanta contient des calculs assez précis du diamètre du globe et de la distance qui sépare celui-ci de la Lune. Le Rig Veda, texte sacré de l’Inde, renferme un curieux passage concernant les « trois terres » - les unes dans les autres. Le globe terrestre se compose, effectivement, de trois zones: le noyau interne, le noyau externe et l’enveloppe, recouverte d’une croûte mince. Il fallut les progrès de la science et le perfectionnement des instruments pour faire constater la véracité du Rig Veda. Le Mahabharata, littéralement « La Grande Guerre des Bhārata », autre livre sacré des Indoues, nous parle d'une guerre avec les fils du serpent, les Nâgas, qui est livrée avec des engins qui volent dans le ciel, sous l'eau et dans l'espace et qui se nomment des Vimanas propulsés à la vitesse de la pensée par des moteurs de mercure. Il donne même une description très détaillée de leur construction et des armes foudroyasses qu'ils utilisent, fort semblables à des armes nucléaires que nous possédons de nos jours. Des endroits aux Indes furent complètement décimés et sont encore radioactifs de nos jours.
La science des Nâgas ou fils du serpent avait été répandue sur la terre à un certain moment donné, particulièrement au temps que Nemrod, sous la direction de son père Cush, construisit la Tour de Babel en utilisant cette ancienne connaissance. Il est même rapporté qu'à cette période des prêtre de l'ancienne Égypte faisaient flotter dans les airs d'énorme blocs de granite par la science de l'anti-gravité en projetant un son distinct dans un champ magnétique qui fit soulever les énormes pierres utilisés pour construire les pyramides et d'autres monuments. Cela n'est pas si étrange puisque les scientifiques de nos jours expérimentent avec cette même science pour développer le voyage spatial. Ce fut en effet le but de Nicolas Tesla de créer un vaisseau spatial qui utilise l'énergie du magnétisme pour se propulser dans l'espace. Assurément ces projets sont gardés secrets par les forces militaires qui s'en réservent la puissance. Il y a même des évidences qu'ils utilisèrent un tel engin pour se rendre sur Mars vers 1952 où se trouvait déjà une base militaire administré par qui ? nous ne le savons quoique nous en avons une bonne idée. Il s'agit possiblement d'un groupe d'allemands qui se rendit sur Mars en 1945 vers la fin de la deuxième guerre mondiale, dans un vaisseau spatial qu'ils avaient construit. De nos jours, le président américain, Donald Trump, annonce la formation d'une flotte spatiale, mais cette flotte existait déjà au temps du président Reagan qui en dévoila l'existence accidentellement. D'énormes vaisseaux spatiaux flotte présentement autour de la terre sans que ses habitants en soient conscients. Pourquoi ? Serait-ce un système de défense contre un ennemi inconnu qui proviendrait du fin fond de l'univers; ou pour la préparation d'une guerre avec des nations de la terre qui va se déclencher bientôt ? Nous l'apprendrons tous lorsqu'il sera trop tard. Nous ne nous faisons pas d'illusions, car nous savons que la terre va être complètement détruite avec tous ses habitants lors de l'apparition finale de Christ en ce monde dans un scénario apocalyptique, même que l'univers entier va y passer, et cela va se produire en un clin d'œil. Donc soyons prêt pour le grand voyage car ces choses vont surement arrivées, elles ont été prophétisées d'avance depuis très longtemps et ne manqueront pas de se réaliser au temps déterminé.
Les Mayas étaient un peuple vraiment étrange qui ressemblait beaucoup aux égyptiens. En fait, le livre sacré des Mayas, le Popol Vuh, une expression quiché, nous dit qu'ils provenaient de l'Égypte et qu'ils traversèrent à pieds une terre qui se trouvait dans la mer Atlantique pour se rendre au Yucatan dans le Mexique. C'est pourquoi que leur culture avait beaucoup de similarité avec celle des égyptiens. Or cette traversée se comprend quand nous savons qu'au temps de la Tour de Babel l'Amérique du Sud était relié à l'Afrique formant une seule terre avant la catastrophe de l'astéroïde qui frappa cet endroit de plein fouet et sépara les continents. Or le mot «Maya» provient de l'Hébreu «Mayim» qui signifie «eaux». Les Mayas était un des peuples qui furent sauvés des eaux de ce cataclysme. Mais ce ne fut pas sans subir de nombreux ravages et sans la mort d'un grand nombre.
L’ancien Mexique était parvenu à un degré incroyable dans le domaine des connaissances astronomiques. La durée de l’année est de 365,2422 jours, selon notre estimation moderne. Le calendrier grégorien est basé sur 365,2425 jours, mais pour les Mayas, ce temps était de 365,2420 jours qui se trouve le plus rapproché du chiffre sidéral. En d’autres termes, les vieux Indiens de l’Amérique centrale avaient un calendrier plus précis que le nôtre en notre âge de science !
Les Mayas Copan donnaient au mois lunaire une durée de 29,53020 jours , les Mayas Palenque l’estimaient à 29,53086 jours . Les calculs astronomiques ont actuellement obtenu le chiffre de 29,53059 jours.
Comment les Mayas arrivèrent-ils à leurs résultats sans les chronomètres et autres instruments de précision que nous possédons aujourd’hui ? Le chiffre exact se situe, on le voit, à mi-chemin entre les estimations des Mayas Copan et des Palenque.
Au Guatemala, la stèle d’El Castillo, à Santa Lucia Cotzumahualpa, représente le passage de Vénus sur le disque solaire le 25 novembre 416. Cette découverte fut faite par C.A. Burland qui en donna la communication au Congrès international des Américanistes, tenu à Copenhague du 8 au 14 août 1956. Au cours de la réunion, Burland constata que « les astronomes cotzumahualpans étaient des scientifiques sérieux et précis ».
Il est de fait que pour parvenir à une connaissance aussi poussée d’un événement astronomique de ce genre, de nombreux siècles d’études continuelles et ininterrompues furent nécessaires. Il est possible que nous ayons, jusqu’ici, mal daté le début de la civilisation en Amérique centrale.
L’astronomie telle que nous la connaissons est née en Mésopotamie après le Déluge, une région située entre le Tigre et l’Euphrate, qui correspond à peu près à l’Irak actuel. Le territoire, tour à tour dominé par différentes civilisations, a connu une histoire très riche et a pris une place fondamentale dans l’histoire de la science occidentale.
La première grande période historique de cette région est la civilisation sumérienne, qui s’établit autour de -5300 et qui voit en particulier la naissance de l’écriture, sous forme cunéiforme, entre -3500 et -3000. Vers -1900 commence une première période où la Mésopotamie va être dominée par la cité de Babylone. C’est la période paléo-babylonienne, qui unifie la région pendant 300 ans jusqu’à la chute de Babylone aux mains des hittites vers -1600. Ceux-ci ne vont pas s’attarder, mais rapidement laisser la place aux cassites jusque vers -1155.
La région est ensuite dominée par l’influence grandissante des assyriens, un peuple du nord de la Mésopotamie. L’empire néo-assyrien est établi en -911 et dure jusqu’à la chute de la capitale Ninive en -612, aux mains des babyloniens et de leurs alliés mèdes et scythes.
Babylone reprend alors son influence et c’est l’ère la plus riche en découvertes, l’empire néo-babylonien (aussi connu sous le nom d’ère chaldéenne), qui commence en -626 et durera jusqu’à la conquête par les perses en -539.
La civilisation sumérienne se distingue par un développement très poussé des mathématiques, aussi bien en arithmétique qu’en algèbre et en géométrie. Les mathématiciens sumériens créent par exemple des tables de multiplication, de division, de racines carrées et cubiques et commencent à résoudre des équations algébriques.
On notera en particulier que Sumer développe un système sexagésimal, basé sur le nombre 60, plutôt que notre système décimal fondé sur le nombre 10. C’est à cette civilisation que nous devons la division du cercle et du ciel en 360 degrés et la division des heures en 60 minutes puis en 60 secondes.
Nous ne saurons probablement jamais pourquoi les sumériens ont choisi le nombre 60 comme base. Un avantage possible de ce système est que le nombre 60 est divisible par beaucoup de facteurs, en particulier 2, 3, 4, 5, 6 et 10. C’est en fait le plus petit nombre divisible par tous les entiers de 1 à 6. Cette propriété pouvait fournir plus de flexibilité que la base 10 pour subdiviser des mesures en fractions égales. Ce système permet en tout cas d’exprimer de grands nombres en utilisant peu de symboles, ce qui aura facilité le développement des mesures et calculs.
Les constellations et l’astrologie Les astronomes sumériens veulent se repérer plus facilement dans le ciel. Pour ce faire, ils associent certaines étoiles qui apparaissent proches dans le ciel en groupes plus faciles à reconnaître. Ils inventent ainsi les constellations les plus anciennes comme le lion, le taureau, le scorpion et le capricorne.
Les premiers textes astrologiques encore en existence datent de l’ère paléo-babylonienne. Les prédictions sont alors basées sur la position de la Lune dans le ciel, en particulier sur sa position lors de l’apparition du premier croissant au début de chaque mois. Les prédictions de cette époque ne s’appliquent pas aux individus, mais plus généralement au futur du pays, à ses récoltes, à ses guerres ou épidémies.
Une fameuse série de tablettes de l’ère cassite, Enuma Anu Enlil, montre une évolution vers des prédictions basées sur la position apparente des planètes dans le ciel, en particulier Vénus et Mars. Vénus est alors associée à Ishtar, la déesse de l’amour, et ses pérégrinations sont supposées permettre des prédictions sur l’amour et la fertilité. Par contre, la planète Mars est associée à Nergal, le dieu de la guerre et des enfers, et les prédictions se rapportent à des futurs conflits et guerres.
Une approche plus systématique de l’observation du ciel est décrite dans un ensemble de tablettes qui datent de l’époque assyrienne, vers l’an -1000, et ont survécu jusqu’à nos jours: les tablettes Mul Apin. Celles-ci classent les étoiles et constellations en trois groupes bien délimités et associés à trois dieux. Au Nord Enlil, le dieu du vent, le long de l’équateur céleste Anu, dieu du ciel, et au Sud Ea, dieu des eaux douces. La grande majorité des constellations dans ces tablettes correspondent à celles du monde grec et sont donc à l’origine de l’organisation du ciel que nous utilisons aujourd’hui.
L’aménagement du ciel sera complété un peu plus tard sous l’empire néo-babylonien qui divise le zodiaque en 12 signes de 30 degrés, nommés d’après leur constellation principale. Tous les éléments de l’astrologie sont alors en place -nous notons cela pour des raisons historiques, l’astrologie n’a évidemment aucune crédibilité dans la science moderne.
L’observation et les mesures du ciel Vu leur intérêt pour l’observation du ciel, en particulier pour des raisons astrologiques, les civilisations mésopotamiennes ont fourni des contributions majeures dans l’observation du mouvement apparent des corps célestes et l’établissement d’un calendrier.
Les astronomes paléo-babyloniens établirent un calendrier luni-solaire, basé à la fois sur le mouvement apparent de la Lune et celui du Soleil. A la base, l’année est formée de 12 mois lunaires, le mois ayant une longueur variable de 29 ou 30 jours. Évidemment, comme l’année réelle basée sur le mouvement du Soleil est un peu plus longue que 12 mois lunaires, ce système de base se serait lentement décalé avec le temps. Pour que le cycle des saisons reste fixe par rapport au calendrier, les paléo-babyloniens ajustent donc leur calendrier de base en intercalant un treizième mois lorsqu’ils le jugent nécessaire, environ tous les trois ans.
Durant cette même période, les astronomes commencent à prendre note de la date du premier lever de la planète Vénus comme « étoile » du soir et de son dernier coucher comme « étoile » du matin. La fameuse tablette Ammisaduqa, qui a survécu, nous fournit ces données sur une période de 21 ans. Les babyloniens se rendent compte que le mouvement de Vénus est périodique, c’est-à-dire se reproduit à l’identique après un certain intervalle. Ils réalisent aussi pour la première fois que l’étoile du matin et l’étoile du soir ne sont qu’un seul et même astre.
Sous l’empire néo-babylonien va s’établir un enregistrement plus détaillé, systématique et ininterrompu du mouvement de la lune, des éclipses, des conjonctions avec des étoiles brillantes, mais aussi d’évènements non astronomiques comme tremblements de terre, épidémies et niveau des eaux. Les astronomes babyloniens découvrent en particulier que le cycle des éclipses se répète tous les 18 ans (le cycle métonique).
Ces observations précises et continues vont permettre aux astronomes babyloniens de prédire à l’avance de nombreux mouvements et phénomènes, par exemple le déplacement quotidien de la lune par rapport aux étoiles, le moment où des éclipses peuvent se produire, ou bien l’intervalle de temps entre le lever et le coucher du Soleil.
La naissance de la science occidentale Nous devons à l’astronomie mésopotamienne l’arrangement du ciel en constellations, la division des heures en soixante minutes et des minutes en soixante secondes, mais aussi des mesures systématiques du ciel sur des siècles. L’étude des cieux progressera encore sous la domination perse, mais c’est avec l’invasion d’Alexandre le Grand, en -331, que le savoir babylonien sera transmis aux savants grecs, en particulier Aristote, qui passeront à l’étape suivante.
En effet, les babyloniens ne mesuraient le mouvement des astres que pour établir des tables de position et faire des prédictions astrologiques. Ils étaient d’excellent observateurs et mathématiciens, mais ne s’interrogèrent pas sur la nature des planètes et n’essayèrent pas de comprendre pourquoi celles-ci suivaient des trajectoires particulières dans le ciel. Il faudra attendre le miracle grec pour que l’on commence à s’interroger sur la nature de ces étoiles vagabondes et qu’apparaissent les premiers modèles géométriques du monde.
LES MYSTÈRES DE SIRIUS L'ÉTOILE DU CHIEN
Sirius se trouve dans la constellation du Grand Chien et est de ce fait connue comme »l’étoile du chien ». (si vous savez reconnaître la constellation d’Orion, il suffit de regarder en-dessous à gauche, vers l’est, pour repérer Sirius. Ne pas le confondre avec Jupiter. Sirius scintille, alors que l’éclat de Jupiter est fixe. Il est vingt fois plus brillant que notre soleil et deux fois plus massif. La nuit, Sirius est l’étoile la plus brillante du ciel et son éclat bleu clair n’a jamais manqué d’intéresser les astronomes depuis l’aube des temps. Il n’est pas étonnant que Sirius ait été révéré par pratiquement toutes les civilisations. Mais existe-t-il autre chose au-delà du simple fait de son observation ?
Des artefacts d’anciennes civilisations ont révélé que Sirius avait une grande importance en astronomie, mythologie et occultisme. Les Écoles de Mystères le considèrent comme un »soleil derrière le soleil » et, par là même la vraie source d’énergie de notre soleil. Si la chaleur de notre soleil maintient le monde physique en vie, Sirius est considéré conserver le monde spirituel en vie. Il est la »vraie lumière » qui brille à l’est, la lumière spirituelle, alors que le soleil illumine le monde physique, considéré comme une grande illusion.
Le fait d’associer Sirius au divin et de même le considérer comme le berceau des »grands enseignants » de l’humanité n’est pas seulement ancré dans la mythologie de quelques civilisations primitives : c’est une croyance répandue qui a survécu (et s’est même intensifié) jusqu’à aujourd’hui.
Dans les anciennes civilisations Dans l’Égypte ancienne, Sirius était vu comme la plus importante étoile du ciel. Sur le plan astronomique il fut en fait le fondement de tout le système religieux égyptien. Il était révéré en tant que Sothis et était associé à Isis, la déesse maternelle de la mythologie égyptienne. Isis est l’aspect féminin de la trinité formée par elle-même, Osiris et leur fils Horus (Osiris - Isis - Horus ou Le Père, la Mère, et le Fils, trinité égyptienne qui fut adaptée par Athanase et proposée au Concile de Nicée en l'an 325 de notre ère. Avec une légère modification elle est devenue la trinité classique dite orthodoxe et considérée comme nécessaire au salut de tous les pseudo-chrétiens). Les anciens égyptiens tenaient Sirius en tel égard que la plupart de leur déités était associée, de près ou de loin, à l’étoile. Anubis, le dieu de la mort à tête de chien, avait un lien évident avec l’étoile du chien et Toth-Hermès (Cush le petit fils de Noé et père de Nemrod était l'interprète des dieux et Nemrod son fils était le dieu soleil de l'intelligence. Ce sont eux qui construisirent la Tour de Babel, c'est à dire la Tour du Chaos ou Pyramide de Chéops, car Cush est Chaos en Chaldéen et Chéops en égyptien. Chez les grecs il devint Mercure le messager des dieux), le grand enseignant de l’humanité, était aussi lié ésotériquement à l’étoile Sirius qui détenait un grand rôle dans la construction de la Pyramide de Chéops connue aussi comme «la Tour de Babel.
Le système de calendrier égyptien était basé sur le lever héliaque de Sirius qui survenait juste avant l’inondation annuelle estivale du Nil. Le mouvement céleste de l’étoile était également observé et révéré par les anciens grecs, les sumériens, les babyloniens et d’autres nombreuses civilisations. L’étoile était donc sacrée et son apparition dans le ciel s’accompagnait de fêtes et célébrations. L’étoile du chien annonçait la venue de la chaleur et des jours de sécheresse de juillet et d’août, donc le terme populaire était la »canicule » (du latin »canis », le chien.
Plusieurs chercheurs en occultisme auraient prétendu que la Grande Pyramide de Gizeh était construite en alignement parfait avec des étoiles, spécialement Sirius, ce qui a été découvert récemment comme étant véridique. L’éclat de ces étoiles aurait servi dans des cérémonies de Mystères égyptiens. Des découvertes scientifiques récentes relatives à la Grande Pyramide et à ses mystérieuses cheminées d’aération ont amené les chercheurs à confirmer plus l’importance de Sirius pour la Pyramide. Dans les mystères égyptiens l'aération représente le souffle de la vie, tout comme le Pharaon était considéré comme étant la vie de son peuple, le pouvoir suprême, le Souverain Pontife, le maître et interprète des mystères de la vie.
L’alignement de l’étoile avec la Grande Pyramide de Gizeh soulignait aussi la divinité du Roi et de la Reine. Orion (assimilé au dieu Osiris) s’aligne avec la Chambre du Roi tandis que Sirius (assimilé à la déesse Isis) s’aligne avec la Chambre de la Reine.
Un aspect fascinant de Sirius est la cohérence de son symbolisme et les significations qui s’y rapportent. Plusieurs grandes civilisations ont vraiment associé Sirius à un personnage ressemblant à un chien et visualisé l’étoile soit comme la source, soit comme le but final d’une force mystérieuse. Pour l’astronomie chinoise et japonaise, Sirius est connu comme »l’étoile du loup céleste ». Plusieurs tribus indigènes d’Amérique du nord se sont référés à l’étoile en termes canins: les tribus Seri et Tohono O’odham du sud-ouest décrivent Sirius comme un »chien qui suit le mouflon », alors que les Blackfoot (indiens américains) l’appellent »Visage de chien ». Les Cherokees couplaient Sirius avec Antarès comme étoile-chien gardienne du »Chemin des Âmes » (un des aspects des Mystères égyptiens). La tribu du chien au Nebraska le connaissait comme »l’étoile du loup », tandis que d’autres branches de la tribu le nommaient »l’étoile coyote ». Plus au nord, les Inuits d’Alaska l’appelaient »chien de la lune ».
La tribu des Dogons et l’Atlantide
En 1971, l’auteur américain Robert Temple publia un livre controversé intitulé Le mystère de Sirius, dans lequel il prétendait que les Dogons (une ancienne tribu africaine du Mali) connaissaient des détails sur Sirius impossibles à connaître sans un télescope. Selon lui, les Dogons avaient compris la nature binaire de Sirius, qui est en fait, composé de deux étoiles nommées Sirius A et Sirius B. Ceci amena Temple à penser que les Dogons avaient des connexions »directes » avec des êtres de Sirius. Pendant que certains pourraient dire « Vous ne pouvez pas être de Sirius » (désolé), un grand nombre de sociétés secrètes (qui ont eu historiquement dans leurs rangs certaines parmi les personnes les plus influentes au monde) et de systèmes de croyances enseignent une connexion mystique entre Sirius et l’humanité.
Dans la mythologie dogon, l’humanité serait née du Nommo, une race d’amphibiens qui étaient des habitants d’une planète entourant Sirius. Ils seraient »descendus du ciel dans un vaisseau accompagné de feu et de tonnerre. » et auraient communiqué une connaissance approfondie aux humains. Ceci a conduit Temple à établir la théorie que les Nommos étaient des habitants extraterrestres de Sirius qui voyagèrent vers la terre à un moment donné dans un lointain passé pour enseigner les anciennes civilisations (comme les égyptiens et les Dogons) sur le système d’étoiles de Sirius ainsi que sur notre propre système solaire ou plutôt système planétaire. Ces civilisations intégreront ensuite les enseignements des Nommos dans leurs religions et les feront converger vers leurs Mystères.
Le système mythologique dogon est remarquablement semblable à ceux d’autres civilisations telles que les sumériens, les égyptiens, les israélites et les babyloniens, car il inclut le mythe archétypal d’un »grand enseignant qui vient du ciel » (lien possible avec la notion qu'au début des temps la race adamique initiale était répandue partout dans l'univers). En fonction de la civilisation, ce grand enseignant est connu soit comme Énoch, Thot ou Hermès Trismégiste et aurait appris des sciences théurgiques à l’humanité. Dans les traditions occultes, on croit que Thot-Hermès (Cush, le père de Nemrod) a enseigné le peuple d’Atlantide situé dans le basin de la Méditerranée, qui, selon la légende, serait devenu la civilisation la plus avancée au monde avant que le continent tout entier ne soit submergé par un grand déluge (des versions d’une inondation peuvent être retrouvées dans les mythologies d’un nombre incalculable de civilisations). Les survivants de l’Atlantide voyagèrent par bateau vers plusieurs pays, dont l’Égypte et la Grèce, où ils transmirent leur connaissance avancée. Or le roi d'Atlantide était Atlas, un des noms sur lequel Nemrod, déifié comme le dieu soleil, était connu. Nemrod avait dérobé les écrits sur la science des fils du matin que Noé avait amené avec lui dans l'arche et utilisa cette connaissance pour dominer sur les peuples. Les occultistes pensent que l’inexplicable ressemblance entre civilisations éloignées (comme les mayas et les égyptiens) peuvent s’expliquer par leur contact commun avec les atlantes, ce qui est fort possible puisque Nemrod et ses initiés avaient accès au monde entier par la science de la race adamique initiale qui contenait les instructions sur la construction de machine volante, et la fabrication d'armes terribles qui pouvaient détruire des nations complètes en un clin-d'oeil.
Thot-Hermès Trismégiste (Cush le père de Nemrod, l'interprète des dieux) est-il l’équivalent du Nommos des Dogons, qu’ils pensent être originaire de Sirius ? Des anciens textes concernant Hermès le décrivent comme un enseignant de mystères qui »venait des étoiles », c'est à dire de la race adamique initiale. De plus, Thot-Hermès était en lien direct avec Sirius dans la mythologie égyptienne. Mais, comme nous savons, l'enseignement en provenance de Sirius était celui des fils du matin, particulièrement de la race des carbonisés qui vivaient sur la planète Nod et qui fut détruite dans un cataclysme effroyable au moment du déluge de Noé. Or Thot-Hermès Trismégiste (Cush le père de Nemrod, l'interprète des dieux) vivait après le déluge et ne pouvait venir de Sirius, il s'agit plutôt ici d'un enseignement figuratif qui représente cette étoile comme la lumière de la connaissance des fils du serpent. En réalité Sirius est la représentation du fruit interdit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal qui élève l'homme à la stature de la divinité en se déclarant indépendant et maître de son destin. En d'autres mots, Sirius est la lumière de Lucifer, c'est à dire «le culte de l'intelligence», le serpent dans la conscience de l'homme rebelle et déchue dont la volonté est esclave de la chair et du péché.
L’interprétation de la mythologie d’anciennes cultures n’est pas une science exacte et les liens sont de manière inhérente et difficiles à prouver. Pourtant le lien symbolique entre Sirius et une connaissance occulte est apparue tout au long de l’histoire et a continuellement voyagé à travers les âges. En fait, il est révéré aujourd’hui comme il y a des millénaires. Les sociétés secrètes modernes, telles les Franc-Maçons, les Rosicruciens et la Golden Dawn (qu’on considère comme ordres hermétiques par le fait que leurs enseignements sont basés sur ceux d’Hermès Trismégiste), attribuent toutes une extrême importance à Sirius. Un regard averti sur leur symbolisme donne un aperçu de la profonde connexion entre Sirius et la philosophie occulte. Mais la lumière de Lucifer n'est pas réservés aux sociétés secrète, son enseignement se trouve aussi dans le christianisme contrefait moderne avec sa notion philosophique hérésiarque du libre-choix qui a envahie toutes ses branches comme un cancer généralisé incurable.
Depuis l’aube de la civilisation jusqu’aux temps modernes, depuis les tribus disparues d’Afrique jusqu’aux grandes capitales du monde moderne, Sirius a été – et est toujours – vu comme un donneur de vie et lumière de l'intelligence. Malgré la disparité entre les cultures et les époques, les mêmes mystérieux attributs sont donnés à l’étoile du chien pour les chiens galeux de ce monde enténébré, qui peut nous faire nous demander: comment toutes ces définitions peuvent-elles se synchroniser si parfaitement ? Existe-t-il une source commune à tous ces mythes concernant Sirius ? L’étoile du chien est invariablement associée à la divinité et considérée comme source de connaissance et de pouvoir. Ces connexions sont particulièrement évidentes quand on examine les enseignements et le symbolisme des sociétés secrètes, qui ont toujours enseigné un lien mystique avec ce corps céleste particulier. Existe-t-il un lien secret entre l’évolution humaine et Sirius ? Déverrouiller ce secret reviendrait à déverrouiller l’un des grands mystères de l’humanité, et pourtant la réponse se trouve dans le troisième chapitre de la Genèse.
A Christ seul soit la Gloire
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