L’Origine de la secte Baptiste
et de l’abomination du baptême par Immersion
par: Jean leDuc
La Diffusion des Églises Baptistes
Le Baptême par Immersion: Une Abomination
On peut comprendre que nul ne soit sensé connaître automatiquement les différences qui existent entre les notions bibliques et les sectes prétendument chrétiennes. Plusieurs pensent parce que le nom de Christ est prononcé lors d'une réunion, que les participants ont la Bible à la main, et que l'on y fait de grandes campagnes d'Évangélisation, que tout ce qui s'y déroule est forcément chrétien et en règle avec les Écritures.
A cause d'un manque de discernement spirituel, une grande multitude a succombé à l'ensemble de l'enseignement hérétique proposé par une grande variété de gourous qui se disent pasteurs et évangélistes. Cette race de vipères qui égarent et trompent la foi, sont des agents d’esprits démoniaques qui les ont induits les premiers en erreur. Selon 2 Thess. 2: 9, l'apostasie théologique est étroitement associé à l'intervention satanique. D'après 1 Jean 4: 1-6, les faux prophètes sont des instruments du Malin. C'est à travers eux que l'esprit malin exerce son pouvoir de séduction. De son côté, Apoc. 9: 1-11, montre que c'est l'intérêt des démons que de propager l'erreur doctrinale. Les démons y apparaissent comme des sauterelles qui ravagent les consciences, mais ne peuvent toucher que ceux qui ne sont pas scellés par Dieu. De la même façon, les lettres adressées dans ce même livre aux Églises de Smyrne et de Philadelphie nous apprennent qu'une Église dans sa totalité peut devenir apostate. Ceci est encore plus évident dans 2 Cor. 11: 13-15, qui nous dit :
"de tels hommes sont de faux apôtres, des ouvriers qui se déguisent en apôtres de Christ. Et cela n'est pas étonnant, car Satan lui-même se déguise en ange de lumière. Il n'est donc pas surprenant que ses ministres se déguisent aussi en ministres de justice..."
C'est dans cette optique que mon exposé dévoilera pour la première fois que les Baptistes ne sont pas ce qu'ils prétendirent être. Le fait que les Églises Baptistes sont sectaires ne signifie pas qu'il ne s'y trouve pas de vrais chrétiens parmi eux. Le Seigneur sait garder les siens et il arrivera un temps où ses élus devront sortir de ces sectes pernicieuses ou périr avec elles.
Les Baptistes sont fier de déclarer qu'ils ne sont ni des Protestants ni une secte et que Jésus-Christ lui-même est leur fondateur. Ces prétentions audacieuses se trouvent particulièrement dans une de leurs brochures qui s'intitule "La Piste de Sang; ou l'Histoire des Églises baptistes depuis le temps de Jésus-Christ leur fondateur, jusqu'à nos jours". La Préface de cette brochure nous dit "que Jésus-Christ a institué la première Église baptiste à Jérusalem", et quoique ceci ne se trouve nullement dans la Bible, cette Préface poursuit son audace en disant que "la Bible a une voix d'autorité pour les Baptistes". Nous voyons donc ici une des premières tendances de l'hérésie baptiste qui est de faire dire à la Bible ce qu'elle ne dit pas pour tordre le sens des Écritures à son avantage. Or il est évident que la Bible n'est pas leur autorité, mais leur imagination fertile qui fait de leurs spéculations des déclarations dogmatiques qu'ils disent être la vérité. A vrai dire, je n'ai jamais lu un document tellement remplit d'insinuation trompeuses et de falsifications historiques telles qui se trouvent dans cette brochure. Je laisserai donc leur propres paroles les condamner. Selon l'auteur de ce livre, le Dr. J.M. Carroll, personnage important au début du 20" siècle parmi les Baptistes du Texas et dans la Convention baptiste du Sud, les Baptistes se veulent les descendants de Jean-Baptiste:
"Ces étiquettes religieuses telles que: Catholique, Luthérien, Réformé, Anglican, etc, ne viennent ni du Christ, ni de Ses apôtres. Le Seigneur donna à Jean le nom "le Baptiste", à cause de l'œuvre spéciale qu'il allait effectuer..."; "La religion chrétienne connut une période de puissant et extraordinaire développement pendant les cinq premières années de son histoire. Cela fut le résultat, d'abord, de l'initiative originale et merveilleuse de Jean-Baptiste, l'homme éloquent du désert..."; plus loin l'auteur nous dit que Jean-Baptiste fut "le premier à enseigner la doctrine que détiennent les Baptistes de notre temps".
Or nous savons que historiquement les Baptistes n'existèrent point avant le début du 17" siècle. Les archives historiques sont précisent pour nous indiquer que leur fondateur officiel ne fut pas le Seigneur Jésus-Christ, mais un nommé John Smyth, ancien Anglican qui fut influencé par l'enseignement des Mennonites. Smyth fut de foi Arminienne, c'est à dire un disciple du libre choix hostile à la Souveraineté de Dieu dans le salut enseigné par le Calvinisme. Nous reviendrons sur son cas plus tard. Cette obsession des Baptistes avec Jean-Baptiste, que plusieurs associent aux Esséniens et à leurs rituels de purification, nous donne une piste pour trouver la source et l'identité des mouvements Baptistes modernes. Il nous convient donc ici de regarder la source de ces mouvements.
Le terme générique "baptisme" qui vient du grec BAPTISMA désignent une doctrine particulière du baptême et de l'Église comme communauté des baptisés. Dans un sens large sont baptistes tous les groupes qui se réclament de cette doctrine. Ainsi les Pentecôtistes, les Adventistes, les Mennonites, et même les Témoins Jéhovah sont Baptistes, sans toutefois appartenir aux groupes fondés par John Smyth que l'histoire retient sous l'appellation spécifique de baptisme. En un sens encore plus large, on peut qualifier de Baptistes des mouvements dans lesquels la pratique d'une ablution ou d'un bain d'eau joue un rôle central. On a pu ainsi parler d'un mouvement baptiste dans les Religions à Mystères, les Sociétés Secrètes et dans l’occultisme. En ce sens, ceux qui pratiquent l’Hindouisme, le Vaudou et la religion Wicca sont des Baptistes.
L'article de Yves Guionie nous donne ici quelques précisions sur la source des mouvements Baptistes que se réclament les Sectes Baptistes modernes:
"La pratique baptiste est liée aux mystérieux esséniens et aux rituels de purification qui occupaient une place prépondérante, voire obsessionnelle, dans leur spiritualité. Les bains rituels pratiqués consistaient, outre les ablutions communes à plusieurs religions, en des séances d’immersion effectuées avant les cérémonies liturgiques ou avant certains repas pris en commun. La particularité du phénomène baptiste pratiqué à Qûmran - là où les ruines ont été dégagées - est son caractère répétitif. On retrouve ce schéma dans la plupart des rituels religieux. A la différence des chrétiens ultérieurs, il y a lieu de penser que les esséniens envisageait l’immersion comme un acte de purification et que ce dernier ne revêtait pas pour eux, ni pour les disciples de Jean-le-Baptiste à la même époque, le caractère unique et " eschatologique " (du grec eschaton = événement lié à l’extrémité, à la fin des temps) et messianique que lui a conféré Jésus... Le sens du baptême essénien était compris comme un rite de purification reproductible à l’infini. Avec eux, le baptême par immersion devient un acte unique qui transcende l’histoire.
Une piscine destinée aux bains rituels a été découverte à Qûmran dans les bâtiments conventuels des esséniens. Restaurée, on y voit un escalier en pierre menant dans une fosse dont l’usage originel est sans ambiguïté. Les ruines du " monastère " mises à jour par les archéologues révèlent un système complexe de canalisation et de conduction d’eau depuis les flancs marneux des monts environnants ravinés par les torrents qui s’en écoulent durant les rigoureux hivers palestiniens. De même, des citernes ont été découvertes dont la fonction primordiale était le stockage et la conservation du précieux liquide indispensable au culte de la Communauté. Quant on sait que cette région désertique des rives de la mer Morte est l’une des plus chaudes du globe avec une température estivale voisine de 50°C, on ne peut qu’être admiratif quant à l’obstination des architectes de l’époque à réaliser leurs travaux hydrauliques dans cette désolation naturelle…
Le baptisme a connu diverses fortunes au cours des siècles. Outre les variantes modernes du baptisme chrétien, dérivées des mouvements Pentecôtistes et sa doctrine de la " Descente de l’Esprit-Saint " sur le baptisé adulte, il convient de citer surtout les ultimes descendants du Baptiste que sont les Mandéens qui, il y a quelques années encore, procédaient à des baptêmes dans l'Euphrate en Irak et en Syrie de même que dans les marais du Golfe aux confins de l’Irak et de l’Iran. Les mandéens ne sont nullement chrétiens et leur sont hostiles puisqu’ils considèrent Jésus comme un faux disciple et les chrétiens comme des hérétiques! On voit là toute la complexité des rapports de lointain " cousinage " entre les divers mouvements spirituels qui ont essaimé au Moyen-Orient durant plus de deux millénaires ! Aujourd’hui, après les conflits sévères qui ont ensanglanté l’histoire de l’Irak moderne, il ne resterait que quelques centaines, sans doute moins, de mandéens à pratiquer le baptême rituel dans les rivières et les points d’eau vive…".
Il n'y a aucun doute qu'il existe des liens étroits avec les anciens Esséniens et les Baptistes modernes, particulièrement l'obsession qu'ils maintiennent avec le rituel de purification du baptême par immersion qui, contrairement à ce que disent plusieurs, ne fut point pratiqué par Jean-Baptiste ni approuvé par le Seigneur Jésus, comme nous allons voir plus tard, car ils auraient brisé la loi de Moise. En plus, les archives historiques nous indiquent clairement que les Baptistes adoptèrent le baptême par immersion seulement qu'après l'an 1643, nous montrant qu'une succession d'Églises Baptistes qui pratiquèrent le baptême par immersion depuis le temps des apôtres, n'est qu'un mensonge grossier conçu pour égarer les indolents (Jay E. Adams, Meaning and Mode of Baptism, 1975; J.H. Shakespeare, Baptist and Congregational Pioneers, 1906; J.D. Hughey, Die Baptisen, Cassel, 1959; G. Rousseau, Histoire des Églises baptistes dans le monde, Paris, 1951).
Au début des premiers siècles, certains comme les Donatistes avaient adopté la pratique de rebaptiser ceux qui avaient tombé dans des fautes graves comme l'apostasie, l'hérésie, le meurtre, et l'adultère. Ainsi nous dit J.M. Nicole (Précis d'Histoire de l'Église): "Étienne I (254-257) entra en conflit avec Cyprien, parce que ce dernier rebaptisait les hérétiques, ce qui était contraire à l'usage romain". C'est de là que nous avons le mot "anabaptiste" qui signifie "rebaptiser". Il faut spécifier qu'il n'avait aucun groupe spécifique qui se nommait "les Anabaptistes" en ce temps. Ceci nous indique clairement qu'il n'était nullement question de rebaptiser des gens simplement à cause qu'ils avaient été baptisé dans leur enfance comme prétendent les Baptistes dans "La Piste de Sang":
"...et puisque certains avaient adopté le rebaptême de ceux baptisés déjà dans leur enfance, on les appela aussi Ana-baptistes... C'est un fait significatif, bien établi dans l'histoire, que déjà au quatrième siècle on employait le nom d'Ana-baptiste, pour désigner ceux qui refusaient de se joindre à la hiérarchie, qui rejetaient le baptême de personne baptisées dans leurs enfance, qui rejetaient la doctrine de la régénération baptismale, et qui exigeaient le rebaptême de toute personne ayant quitté la hiérarchie pour se joindre à eux... Vers la fin du seizième siècle, le préfixe "ana" ne fut presque plus employé, ni les autres appellations, et le nom raccourci de "Baptiste" les remplaça".
Il n'y a aucun doute que les Baptistes s'identifient avec les Anabaptistes et à d'autres groupes comme les Pauliciens, les Petrobrussiens, les Bogomilles, les Albigeois et les Vaudois pour donner de la crédibilité à leur dénomination et impressionner leurs proies. Or J.H. Shakespeare nous dévoile des faits historiques précis sur ces choses:
"C'est une falsification historique complètement erroné de confondre les Baptistes avec les Anabaptistes. Qu'il existe certaines ressemblances est incontestable, mais ils sont marqué l'un et l'autre par des différences d'origines, de doctrine, et d'idéaux sociaux et politiques. Un point de ressemblance, le refus de baptiser des enfants, a complètement aboli, pour plusieurs historiens, tout le champ des distinctions entre ces deux groupes. "Il n'existe aucune justification", dit l'évêque Creighton, "pour associer les Baptistes avec la secte fanatique qui infesta l'Allemagne au début du 16" siècle." Cette secte exécrable apparût en Angleterre pour la première fois en 1535 avec l'arrivé de dix Hollandais...
Le terme Baptiste se rapporte plutôt indirectement aux Séparatistes anglais qui étaient Congrégationalistes, dont un groupe de dissidents Hollandais refusa le baptême aux enfants, et avec lesquels les Baptistes d'aujourd'hui ont une succession théologique et spirituelle. Mais le terme Anabaptiste doit être réservé au mouvement semi-social et semi-religieux qui débuta en Suisse avec la Guerre des Paysans, et qui se répandit en Allemagne et en Suède sous le nom de "Révolution de l'homme Commun". Socialement ce groupe tomba dans de grands excès en rejetant l'ordre et l'autorité civile. Religieusement, la marque distinctive des Anabaptistes est qu'ils ont toujours dénié que Christ prit un corps de chair de la vierge Marie.
Or les points de vues des Anabaptistes qui rejettent la divinité de Jésus-Christ ne furent jamais adopté par les Baptistes. Après le grand Congrès de Buckholt en 1536, un prêtre de Frise, Menno Simons, ressortit des décombres de l'Anabaptisme ses éléments seins et raisonnables, et débuta l'Église Mennonite avec laquelle les premières Églises Baptistes du début du 17" siècle furent en communion. La vérité est, que même si les Anabaptistes firent surgir la question sur le baptême, ils furent complètement d'importation étrangère, un élément répugnant; et la naissance des Églises Baptistes fut entièrement indépendante d'eux".
J.M. Nicole ajoute à ceci en nous disant que les Anabaptistes "s'opposaient, par conséquent, au baptême des enfants, et rebaptisaient leurs adhérents; d'où leur sobriquet d'anabaptistes ou rebaptiseurs... En doctrine ils niaient la prédestination et insistaient sur la nécessité des bonnes oeuvres comme fruits de la justification... Quelques-uns de leurs prophètes se mirent à annoncer la venue prochaine du règne de mille ans, et un certain Jean de Leyde rêva de l'établir à Munster, en Westphalie. Son gouvernement sombra dans l'immoralité, la cruauté et le ridicule, sous les coups de l'armée épiscopale".
Will Durant (The Story of Civilization: Part VI; The Reformation, 1957) est encore plus précis dans sa description des Anabaptistes: "Les sectes les plus radicales prirent le nom de Anabaptistes de leur insistance que le baptême reçu dans l'enfance doit être répété lorsqu'une personne devient mature, et le récipient devait volontairement et en connaissance de cause faire une profession de sa foi chrétienne. D'entre les divisions à l'intérieur de cette Secte, ceux qui suivirent Hans Denck et Ludwig Hatzer dénièrent la divinité de Christ, disant qu'il fut un homme très pieux qui nous racheta non par son agonie sur la croix mais par l'exemple de sa vie. Denck exalta la conscience individuelle au-dessus de l'Église, de l'État, et même de la Bible". En se voulant les descendants des Anabaptistes, il n'est donc pas difficile de voir où nos Baptistes modernes ont prit leurs fausses doctrines sur le baptême, sur la conscience, et sur la Bible; nous indiquant pourquoi plusieurs de leurs dirigeants sont des maîtres dans la manipulation historique, psychologique et textuelle.
Il est amplement prouvé et historiquement incontestable que les Églises Baptistes sont issues du courant de la Réforme et non du premier siècle comme ils prétendent. Au début du 17" siècle existaient en Angleterre des Églises Congrégationalistes qui, contrairement à l'Église Anglicane officielle, se voulurent indépendante de l'État et lui résistèrent. Le célèbre John Bunyan, qui écrivit "Le Voyage du Pèlerin", était un Puritain et non un Baptiste comme le prétendent encore une autre fois ces sectes de rembobineurs. Suite à des persécutions, certains Congrégationalistes se réfugièrent en Hollande. Grâce à des contacts avec une communauté Mennonite vers la fin de 1609, un de ces réfugiés, John Smyth, arriva à la fausse notion que seul le baptême des croyants est conforme à la Bible. Après sa mort, son ami Thomas Helwis retourna en Angleterre et y fonda la première Église Baptiste officielle. En cette période plusieurs émigrèrent en Amérique, et parmi les premiers émigrés se trouva Roger Williams, fondateur de la première Église Baptiste à Providence dans le Rhodes Island. Les Baptistes prétendent que John Smyth et quelques autres furent baptisés par immersion en 1602. Mais nous avons des preuves historiques solides et incontestables à l'appui qui affirment le contraire et qui nous indiquent que les Baptistes falsifièrent les documents sur ce sujet.
J.H. Shakespeare (Baptist and Congregational Pioneers, 1906) nous dit: "Nous devons traiter maintenant de la falsification grossière des Minutes de l'Église de Crowle à Lincolnshire, qui fut désigné dans le but de prouver que Smyth fut baptisé par immersion dans la rivière Don. Le Rev. Jabez Stutterd, ministre Baptiste de l'Église de Crowle, déclara qu'en 1866, il fut montré sept ou huit feuilles en décomposition d'un vieux document qu'il copia attentivement. Ce document apparemment disait: "Le 24 Mars, 1606. Ce soir à minuit l'Ancien John Morton baptisa John Smyth, vicaire de Gainsborough, dans la rivière Don. Il faisait tellement noir qu'il nous fallut des torches. L'Ancien Brewster pria et Mr. Smyth fit une bonne confession. Il marcha deux mille dans son linge trempé et froid. Tous nos amis étaient présent..." Il vaut la peine de remarquer les erreurs évidentes dans ces quelques lignes. Premièrement, Smyth est devenu un Baptiste seulement en 1608. Deuxièmement il ne fut jamais vicaire de Gainsborough. Et troisièmement le temps était clair le soir du 24 Mars, 1606, car la lune était pleine le soir d'avant. Le Dr. Dexten a démontré clairement que ce document était une falsification maladroite et l'exposa en détail".
En plus, G. Rousseau déclare dans son "Histoire des Églises baptistes": "Jusqu'en 1643, les baptistes pratiquèrent le baptême par infusion (ou effusion: verser de l'eau). Puis ils adhérèrent à l'immersion, qu'ils considèrent aujourd'hui comme la seule forme admissible". Nous voyons ainsi que les Baptistes sont habiles non seulement à tordre le sens des Écritures, mais aussi le sens de l'histoire.
Shakespeare continu en nous disant que John Smyth "forma la première Église Baptiste. Il n'y a aucun doute qu'il tomba sous l'influence de l'enseignement des Mennonites (qui en ce temps pratiquèrent le baptême par effusion), et que vers la fin de Mars, 1609, il arriva à une décision définitive qu'il publia dans son livre "Le Caractère de la Bête". C'est dans ce livre qu'il déclara que "les enfants ne doivent pas être baptisé"... Smyth et son groupe rencontrèrent donc une difficulté insurmontable, car si le baptême des enfants n'était pas valide, il n'avait personne pour le baptisé (puisqu'il était un ancien Anglican de foi Arminienne); et il ne voulut point se tourner à ce moment vers les Anabaptistes Hollandais pour recevoir le baptême d'eux. Il résout donc le problème selon sa logique et se baptisa lui-même selon la manière des Mennonites qui était par effusion en ce temps. Il fut nommé ainsi l'auto-Baptiste (self-Baptist). Par après, ayant des remords de conscience à cause qu'il s'était baptisé lui-même, lorsque l'Église Mennonite était située non loin de lui; lui et quarante autres personnes confessèrent leurs erreurs de s'avoir baptisé eux-mêmes et appliquèrent pour devenir membres des Mennonites. Il se sépara de Helwys qui considérait que Smyth avait péché contre le Saint-Esprit en doutant de son baptême. Les Mennonites refusèrent de l'accepter dans leur milieu. Thomas Helwys quitta Amsterdam avec son Église au début de l'an 1612 et forma la première Église Baptiste en Angleterre. Il est à remarquer que Helwys était un Arminien tout comme Smyth et que les deux avaient répudié les doctrines de la Prédestination et de la Grâce irrésistible. Dans sa Confession de foi, Smyth avait déclaré que "les enfants sont conçus et nés dans l'innocence et sans péchés, et sont sauvé s'ils meurent. Dieu n'a pas prédestiné personne à la destruction"; il enseigna aussi qu'il était mal pour un ministre d'avoir un livre ou une traduction de la Bible devant lui lorsqu'il prêchait". Il faut spécifier qu'à mesure que des Églises Baptistes furent formées, elles de divisèrent en deux camps dont un était Arminien et l'autre Calviniste; et quoique nous pouvons louer dans un certain sens les Églises Baptistes Calvinistes, il en advient qu'elles n'ont jamais abandonné leur fausse doctrine sur le baptême par immersion. Quoique la grande majorité des Baptistes ont honte de dire que John Smyth fut leur fondateur et qu'ils font tout pour détourner cette vérité historique, il en advient que certains Baptistes le reconnaissent très bien comme «le fondateur du baptisme» (voir le site de La Fédération des Eglises Evangéliques Baptistes de France).
La Diffusion des Églises Baptistes
Comme la mauvaise herbe, les Églises Baptistes se répandirent rapidement, en particulier celles qui étaient Arminiennes avec leur faux Évangile du libre choix, car cette fausse doctrine est plaisante aux oreilles de ceux qui cherchent à valoriser les efforts de la dignité humaine. Aujourd'hui les Églises Baptistes sont présentes dans la plupart des pays du monde. Même si c'est aux États-Unis qu'elles sont le plus nombreuses, elles s'accroissent rapidement dans de nombreux pays en particulier en Afrique, en Amérique du Sud et dans certains pays d'Asie. En Europe, c'est en Grande-Bretagne (berceau du baptisme), en Allemagne, en Roumanie et en Ukraine qu'on trouve un nombre important de ces Églises. Les premières Églises Baptistes françaises ont été crées au début du 19" siècle dans le nord de la France. Des dissensions doctrinales autour de l'attitude à tenir par rapport au libéralisme ont provoqué une division parmi les Églises Baptistes. Au Canada, le baptisme officiel compte, au total, 663,360 adhérents (dont 27,505 au Québec et plus du tiers de son effectif, soit 264,625 membres, en Ontario). Curieusement, c'est en Nouvelle-Écosse, pourtant une petite province, qu'on trouve, après l'Ontario, le plus grand nombre de baptistes canadiens, soit 98,490.
Depuis 1970, une nouvelle étape de croissance s'amorce avec plusieurs nouvelles implantations d'Églises, particulièrement au Québec où on voit le poison de l'Arminianisme faire ses ravages. "Le 7 décembre 1972, un groupe de pasteurs et de responsables de l'Association d'Églises Baptistes Évangéliques au Québec se réunirent à Montréal dans le but de discuter des moyens d'assurer la formation d'ouvriers qui devenait de plus en plus pressante. À cette rencontre, M. Ivor Greenslade, missionnaire en Amérique latine, a fait part au groupe de son expérience dans le domaine de l'enseignement théologique décentralisé au moyen de cours programmés. Les pasteurs présents nommèrent un comité composé de MM. J. Alexanian, É. Beau et W. Phillips et chargé d'étudier davantage la question. Au printemps de 1973, le comité présentait ses recommandations aux pasteurs de l'Association qui les accueillirent chaudement. Le 12 janvier 1974, le Séminaire Baptiste Évangélique du Québec (SEMBEQ) a été inauguré à l'Église Baptiste Béthel de St-Laurent". Dans la ville de Hull, un petit groupe se forme à cette période, dirigé par le pasteur Jacques Alexanian qui est assisté de l'Évangéliste Guy Lavoie. Cette Église Baptiste marque le début de l'apostasie au Québec. Alexanian se révéla être un homme raffiné, subtil, pédant et dominateur qui est de foi Arminienne. C'est avec raison qu'il fut surnommé le Pape Baptiste par plusieurs. Il n'hésita pas à utiliser la manipulation et l'intimidation pour arriver à ses fins, et se forma un cercle de Serviteurs en Formation pour assurer sa position. Des conflits de tous genres se déclarent, particulièrement au niveau doctrinal et familial, et des jeunes chrétiens s'opposèrent vigoureusement à ses manigances. Celui-ci chercha à écraser les non-conformistes par toutes sortes de pressions, allant même jusqu'à tenir des réunions fermée pour prier pour la mort d'un jeune chrétien qu'il avait déclaré son adversaire. Ayant déclaré que la Bible, telle que nous l'avons, n'est pas inspirée et qu'elles contient plusieurs passages qui ne sont pas la Parole de Dieu, le Seigneur Jésus suscita trois membres de son assemblée pour s'opposer à son apostasie, notamment "Jean-Pierre Pothier, Jean Leduc, et Armand Laliberté". Les tords que causa cette vipère à plusieurs enfants de Dieu sont incalculable. Dans une réunion d'affaire, une dizaine de personnes s'opposèrent à ses tactiques diaboliques et sortirent de cette Église pour former un nouveau groupe. Alexanian était le Directeur de SEMBEQ, nid de l'apostasie au Québec, où il forma des clones à son image qui sont envoyé pour ravager la moisson de Dieu avec leurs fausses doctrines.
Le Baptême par Immersion: Une Abomination
Puisque la Parole de Dieu enseigne clairement que sous la loi le mode des rituels baptismaux fut par aspersion (Exode 29: 1, 4; Nombres 4: 3; 8: 5-7; Hébreux 6: 2; 9: 8-12) ou effusion (répandre ou verser de l’eau : Ezch. 36: 25), nous devons considéré l’immersion comme une fausse doctrine et une pratique étrangère à la foi chrétienne. Du fait que le baptême d’eau est issu de la loi et des prophètes, nous indique que les Baptistes font de Jésus un faux Messie et un pécheur qui aurait brisé la loi des rituels baptismaux enseignés par Moise en se faisant baptiser par Immersion. Ils annulent ainsi le sacrifice de la croix pour eux et tiennent pour rien le sang de l'aspersion (1 Pierre 1: 2) qui a été versé pour la purification de nos péchés.
Dans le but de prouver leur fausse doctrine du baptême par immersion, les Baptistes utilisent souvent Rom. 6: 3-5 pour laver le cerveau de leurs victimes. Or ces passages indiquent clairement que nous avons été baptisé en "la mort" de Christ. Christ est mort sur une croix et c'est dans sa mort sur cette croix que nous sommes intégré ou baptisé; les mérites du sacrifice de Christ et l'aspersion de son sang nous sont ainsi attribué par la foi qui nous est donnée. Mais les Baptistes enseignent que notre baptême ou identification avec Christ se rapporte spécifiquement à son ensevelissement dans le tombeau, annulant ainsi subtilement la valeur du sacrifice de la croix pour nous et renversant l'Évangile. Christ est mort sur la croix et non dans la tombe. Ainsi, par la prédication de leur faux Évangile, les Baptistes se retranchent eux-mêmes du salut qui nous est offert gratuitement dans le sacrifice de la croix.
Les Saintes-Écritures nous indiquent clairement que ce sont les ennemis de Dieu qui sont immergé sous les eaux et jamais les enfants de Dieu, les meilleurs exemples étant le Déluge de Noé et l’exode du peuple Hébreux poursuivit par Pharaon et son armée qui périrent immergé sous les eaux. Dans le contexte de ce dernier événement, nous voyons dans 1 Cor. 10: 1, 2 que le peuple Hébreux fut « baptisés par Moise en la nuée et en la mer », et nous savons qu’ils ne furent point immergé sous les eaux dans ce baptême mais que ce fut bel et bien les Égyptiens qui le furent. Ce qui est davantage intéressant est que nous trouvons dans la Parole de Dieu que le mot Gomorrhe, ville relié à Sodomme, signifie « immersion, submersion ». Nous pouvons donc voir que la secte infeste des Baptistes a attrapé la gonorrhée spirituelle parce qu’elle s’est prostitué à des fausses doctrines.
Aucun passage des Écritures n'est plus utilisé hors de contexte que celui de Matt. 28: 19 pour justifier le rituel légaliste du Baptême d'eau. Mais nous avons beau regarder ce verset dans le Grec, le Syriaque, le Latin, l'Anglais, où dans le Français, et nous arrivons complètement à sec car il ne s'y trouve aucune goutte d'eau. Le mot "Baptisé" employé par Jésus porte donc une autre signification que celle qui lui est attribuée généralement par le Christianisme Conventionnel, particulièrement lorsqu'on considère que ce n'est point "les disciples" que Jésus dit de Baptiser, mais "les Nations". Le mot grec "Baptizô" dans ce passage est relié aux cérémonies d'ablutions ou rituels de purifications de l'Ancien Testament (Héb. 6: 2; 9: 10), nous indiquant que Jésus utilise ce mot dans le sens de "Consacrer" les nations en leurs enseignant le message de sa Parole vivante (Jean 15: 3), et non de les plonger dans un réservoir d'eau pour noyer leur conscience, ce qui serait qu'un lavage de cerveau.
Or, si le baptême par immersion n'est pas biblique, d'où provient-il ? Le Dr Aleaxandre Hislop nous donne la réponse dans son livre remarquable: Les Deux Babylones: «Dans les mystères Chaldéens, avant de donner aucune instruction, on demandait avant tout à ceux qu'on allait initier, de recevoir le baptême en signe d'une obéissance aveugle et complète. Nous lisons dans des auteurs anciens un témoignage direct du double fait du baptême et de sa signification. Dans certains rites sacrés des païens, dit Tertullien, faisant spécialement allusion au culte d'Isis et de Mithra, l'initiation se fait par le baptême 2. Le mot initiation signifie clairement qu'il fait allusion aux mystères de ces divinités. Ce baptême se faisait par immersion.» Nous avons ici la preuve indéniable que le «baptême par immersion», tel que pratiqué parmi les sectes immersionnistes modernes, provient des religions à mystères babyloniennes. Leurs affirmations que Christ fut baptisé par immersion témoignent du fait que le Messie qu’ils adorent est le dieu des mystères Chaldéens, le faux Messie.
Selon Jamel Attar, "l'Église Baptiste est une assemblée qui réunit des personnes de différents milieux culturels et sociaux. Elle enseigne l'autorité de la seule Écriture, la Bible, le salut par la grâce seule, la justification par la foi en Jésus seul et non par les oeuvres".
Or il est important de remarquer qu'ils ne mentionnent jamais quelle Bible est leur autorité, signifiant que toutes les Bibles sont pareilles lorsque ceci est entièrement faux. Nous savons que la grande majorité des Baptistes français utilisent la Bible Segond et la Bible en Français Courant, et que ces deux versions sont basées sur un texte pollué et tendancieux qui est supporté par l'Église Catholique, à savoir le Codex Vaticanus. Quelques-unes de ces Églises utilisent toutefois la Bible Ostervald et la Bible Martin qui sont basées sur le texte pur des Réformateurs, à savoir le Texte Reçu. Lorsqu'ils disent qu'ils enseignent le salut par la grâce et non par les œuvres, il faut comprendre qu'ils présentent ce salut sur la base du libre choix de croire, et non sur la Souveraineté de Dieu. De ce fait ils font de la Foi une faculté intellectuelle méritoire, c'est à dire une œuvre, et non un Don de Dieu (Actes 13: 48; Rom. 10: 17; Éphé. 2: 8, 9; 2 Tim. 1: 9). Le salut qu'ils proclament est donc un faux Évangile.
L'autorité normative de la Bible: "que ce soit en matière de doctrines ou en matière de comportement du croyant, c'est l'enseignement biblique, et lui seul, qui doit trancher".
Cette belle déclaration cache le fait que l'enseignement biblique est souvent tordu et interprété par les pasteurs baptistes à leur avantage et dans un contexte qui supporte leur dénomination ou plutôt "Domination ou Démon-animation". Pour les Baptistes, la seule Bible inspirée et libre d'erreurs qu'ils reconnaissent comme autorité final sont les Autographes qui furent écrit de la mains des prophètes et des apôtres. Puisque ces écrits n'existent plus et que nous en possédons seulement des copies, ces apostasiés déclarent par leurs paroles subtiles et subversives que nos traductions et versions de la Bible ne sont plus inspirées ni libre d'erreurs. Leur foi et leur salut sont donc basé sur une Bible fantôme qui n'existent plus et qu'ils n'ont jamais vue. Ils ne peuvent donc prétendre être des chrétiens et encore moins de croire que la Bible dont nous avons est la Parole de Dieu..
Le sacerdoce de tous les croyants: "chaque croyant a un libre accès auprès de Dieu sans avoir besoin de clergé, ou même d'Église. Cela amène chaque croyant à se sentir responsable de sa vie spirituelle et de son témoignage".
Il faut remarquer ici que le libre accès auprès de Dieu est souvent entravé par l'enseignement des pasteurs qui s'érigent en modèle à suivre, pour que la liberté du croyant dépende entièrement de leur autorité illusoire. Leur fausse conception d'église, qui est en réalité qu'une organisation basée sur des sophismes et des conjectures sur la Parole de Dieu, leur donne la capacité de capturer les consciences des croyants, les obligeant par toutes sortes d'intimidations d'assister à leur culte de peur d'être accusé "d'abandonner leur assemblée". Il n'y a aucun doute qu'en ce milieu nous voyons les dirigeants de cette secte exercer un contrôle sournois sur leurs membres, comme le témoigne un grand nombre qui en sont sortit par la grâce de Dieu.
L'autonomie de l'Eglise locale: "les Baptistes pensent que chaque Église locale doit être responsable elle-même de sa vie et de sa gestion".
Ceci est le domaine d'exploitation par excellence où des pasteurs vivent et s'enrichissent au dépend des membres de leurs églises. Plutôt que d'aller travaillé honnêtement, ces paresseux utilisent des moyens de pressions psychologiques pour dérober leurs membres. Ces parasites tordent l'Écriture et imposent le principe de la dîme qui était désigné uniquement à la loi dans l'Ancien Testament, proclamant ainsi un Évangile de Prospérité.
La conception symbolique des sacrements: "la Bible montre que les deux ordonnances, le baptême et la Cène, sont des signes, des symboles. Le baptême par immersion n'est donné qu'aux personnes en âge de discerner, de choisir de devenir chrétien, comme l'exprimait Tertullien déjà au 2e siècle, "nul ne naît chrétien, mais il doit le devenir". La conversion personnelle à Jésus-Christ peut seule faire de quelqu'un un chrétien".
Ces deux ordonnances sont le pivot même de l'existence de leur dénomination. La Parole de Dieu déclare clairement que le Baptême n'était pas par immersion mais par aspersion ou effusion (Nom.8: 6, 7; Ézéch. 36: 25-27). Le baptême est aussi vieux que la loi. La loi est remplie de purifications cérémonielles. Ce sont des baptêmes ! Ce fait est CAPITAL. Le baptême de Jean-Baptiste n'était pas quelque chose de nouveau pour les Juifs. Depuis l'époque de Moïse, on connaissait des cérémonies de baptêmes. Il ne peut pas y avoir de doutes à ce sujet puisque le Nouveau Testament appelle les purifications de l'Ancien Testament des baptêmes. Il est écrit en Hébreux 9:10: "Ce sont là des ordonnances charnelles, relatives seulement à des aliments, des boissons et diverses ablutions, et imposées jusqu'à un temps de réforme." Le mot "ablution" de notre version n'est pas la meilleure traduction; il ne rend pas avec exactitude le sens original. Le mot original est "baptismois", c'est-à-dire baptêmes. L'auteur inspiré de l'épître aux Hébreux, donc, parle des diverses sortes de baptêmes de l'Ancien Testament.
Il est crucial de noter que la loi n'a jamais commandé d'immersions, mais elle a commandé souvent des aspersions. Et il n'y a aucun doute au sujet de la manière dont on baptisait. Il n'y a aucun doute parce que l'épître aux Hébreux elle-même décrit cette manière, au même chapitre, aux versets 13, 19 et 21: ces baptêmes se faisaient par aspersion. Il est significatif que le baptême, à son origine, était administré par aspersion, et non pas par immersion. A moins de découvrir des preuves irréfutables que cette façon de baptiser ait été changée, nous sommes obligés de considérer que les autres baptêmes de la Bible furent accomplis par aspersion. Mais nulle part la Bible ne parle de tels changements. Au contraire, le Nouveau Testament lie constamment les baptêmes de l'Ancien Testament avec les baptêmes du Nouveau Testament. Le même mot est utilisé tout le long de la Bible. En plus, Jean 1: 31 indique clairement que le baptême d'eau était désigné uniquement pour manifester le Seigneur Jésus à Israël qui accomplissais la loi et les prophètes, et que son utilité cessa avec les pratiques ou ordonnances de la loi (Col. 2: 14, 22, 23) lorsque Jérusalem fut détruite en l'an 70. L'histoire nous indique clairement que le baptême par immersion est issu de Gomorrhe, des Esséniens et des religions à mystères telle que le Mithraïsme et le culte de Isis. Il est donc très important de remarquer que le fait de dire que Jésus fut baptisé par immersion fait de lui un pécheur qui aurait brisé la loi et conséquemment un faux Messie. De ceci les Baptistes sont coupables, et d'encore plus. Mais nous avons la consolation qu'ils seront immergé dans le lac de feu pour l'éternité où leur maître réel les attends.
A CHRIST SEUL SOIT LA GLOIRE