Ο.Ομι*;ών, Omicron, quinzième lettre de l'alphabet çrec, se prononce comme Yo français clans iiôr'r, moderer. Les jkoliens changent Γο en u, disant £νυμα pour ννίμα. Les Dorien* le cban^nt en * * disant ^à-ηΑλων pour ^.ττολλων.

Ο , pris numériquement, lr-le tnbieau de. îa combinaison des nombres, à la fin du Dictionnaire.

0 , vj, xà, art. prepo*. le, la. 0 «ΐίτττάτος, le n;ailre : r, £/σ·«χοίνα,

, la maîtresse. J) est quelquefois emphatique * Ù% sitartv ό Ομηρος, comme a dit le cé!e’t>re Homère. Λ7*0^»ι , un ii< n quelconque. To àyotO'jv , le bien par excellence, c. à d. le souverain bi η. Το καλ^ν, le beair— l'honnête, par excellence. [ (j a quelquefois la mvme signifie a-tion qu ô ir«Ti, ό υίο;, le fils. Κνρος ό KofaÇvJGV, Cyrus,fils de Cambyse.

O est quelquefois sous-ent. comme Σ-τρομ&νί^ης Διοτιμ# , Thuc. Strombichide, fils de Diotime.

0 devant un adverbe, lui donne la signification (Γun adj. comme ô -rouat, pour ô τταλαιος, ancien. Ο άνω, ό κάτω, V, ccvw r/ xàt'j. O wxvv, remarquable.

. Ο , devant un participe, a la signification de Γarticle relatif ο,-, qui, comme ô λυόμενος, pour ος )/y*Tat , #'/ ος ikîyixo} qui est dit ; qui étoit dit.

0 [xtv , o St, V. μίν. O )l, celui-ci.

0, dans les poètes, est mis ‘    quelquefois pour αντος ou txcTvoç

OU »TOÇ.    e

Ο, quelquefois pour ος, qui, τ5 pour 5, de qui.

0 , avtc une préposition suivie ih :on régime, a quelquefois "lu f.rce d'un nom , ot άμφϊ Σω-χράτην, Socrate. Ot h χύει, Jes maeitrats ; Ici premiers d’une ville ; les premiers de riiltat. Oî -rrcpî αντον * ses amis.

0 προς αΓματος,Νοη parent, y.

07 à s»i;i rang alphabe^ue.

To, suivi d Un / : finit fy a la force d'un nom , comme το crtny , τ& φα·/ίΓ*, le boire , le mander. Το , le mot. Το άριτή àsTÎxtivxt τώ xxxix , le m**t ô ^ctyj Cst oppose au mot καχία. Τοχρω-μο»ι oT; Λτΐιχον «V't » Cette fa-Çtin dt* parler, χρί>αχι οΓς «χω, Appartient aux Attiques.

OBi'

Te , poét. xb» pour r'voç; de qui ? de qui ; duquel, sans interrog.

Ί75 , poét. xlfù pour m», et sous-ent. xpotato ou x6mta ou χρόνω , ou quelqu autre mol semblable.

T m, suivi d'un inf. parce que; à cause «pie. [ T«, donc ; cV.st pourquoi; c’est pour cela que. To, la—paria—ici—r>ar ici. Tyï xat T/i , çà et là. Tri, par Cjj vnuven ; de cette maniéré ; ainsi—ici : dans ce lieu-ci—* dans ce liou-ià—où. Tat dans les poètes y pour al. Tat τρισ-cat pour ai τρισσχι.

Ο αντος ,*. V. αντ<ίς.

Ο , neutre de 3ς.

Οχ, ας,η, peau de brebis—bord ou frange d’une robe. R. oV-Οα, ας, r>, cormier, arbre. [ Ôx, ων , τα , cormes, fruit du cor-mier.

Oap , femme; épouse—noccs. Οαοίζω, converser; causer; irentretenir. [ Οαρισριο;, i /ο , conversation ; colloque; entretien.

[ Oaptrîjç, h, o, qui converse ; ui s'entretientavec quelqu’un. Ονρις^;;, νος,η, conference ; colloque ; entretien , particulièrement Γ entretien secret d un mari avec sa femme.

Ozpcçlç, commerce; rela-^ tion ; fréquentation, θορίων , dans Pindare, pour

0 CÎnirav , Orion.

Oapot, ων , pour oapeç , femmes ; épouses—entretiens; conversations ; conférences—conseils ^—délibérations.

Oofnv , adr. Et; o^ivjv, h la vue;

en présence de. 1». Svrlofxat. Οβ^λαια, ας, -η, ( ραφν) ), η, suture longitudinale du crane.

η , ο ,    (    âprcç    )    f    pain

rôti à la b,,r>che , qu on portoit dans tes fêtes de Va ce h us. Ceux qui les port oie al étoient appelés ô6cha<po'pot, ων , ot, R. οόίΑος, φε'ρω.

Οβελίζω , y. ί&ιΧός.

0ΐιΧ:ΤΛΐ;, «, ό, ODÎLISQPE -

lame d’épée.—petite broche ; alcne.

Ο?:λ'.σχο)νχνίον , » , το , obélisque au bout duquel il y a une lanterne , pour éclairer ceux qui voyagent la nuit.

Ο^Αίσχο/ν^νος , mêm. sign, que ξν).;).νχνου/ο;. θ5£·λί*τρ.ος » V. οοΐ/.ος.

ΟΚΚΛΟΣ, 5î,ô, brcclie.

Ο^λος, marque dont on se

ΟΓΚ

seproit ^potir indiquer une chose à corriger dans un ouvrage , contrée une virgule o» un coupdongfr [ 0*caî£<o , faire des nf*tes cri’itjues; noter dans un ouvrage les endroits à corriger. [ (ΚίλισρΛς, », o, l'action de , etc.    *

ΟβοΑίαΓο;, », adj. et ·βο)«μ*Τος ,

», adj. qui concerne les obole>—uMiraire.

OCiA-.rixY), -n;. η. l’art dSmas-scr des o1o!»*>; l’art d’ev^rcer PuMJrH , dans le sens exposé au mol Ά0 or-ατ/ω.    ,

ΟΒΟΛΟΣ, «, ο , obole, ancienne ' mmnoe if Jthe ne s qui valoif la s i.r lente part 'e d'u; c drack m e ( e’i'''ron trois sois de t'rancr').

[ dCUcçaT/fo, exercer Γusure —prêter à la petit': semaine.

Γ O^oÀoraTiî;, «, ô, usurier.

Γ OÇoÀoçotTtxrj , ηζ f* *1 % î’art dVxerctr l’usure^ R. οβολος ,

, · e θβολος·άτ«ς « usurière.

0€pta el ô^potaxa, ων , rie, pe^tJ d animaux — oursons ; lionceaux.

0£ριμόγνιος, », adj. cmi a des

x membres robustes^ n. yvTc». όβριρ-οίργος , i, qui aigit avec violence. R. tpyov.

ΟβριρΛθυρβς . «, qui a un caractère violent—doué d’un grand courage. R. 2νμ.6ς.

Οδρια'/σάτηρ, -τσάτωρ, ορος, et -τ»*τρος, » , ό , el -ττάίχρνι, της, rt9 né d'un père puissant. R. '

Ίτάτηρ.    !

Οβριμος, «, ô et fi, fort, robuste ; | puissant—impétueux ; violent ; emporté; fougueux. R. βριχω. OIîPVZON ( χρνytov ) , »,το, or j pur ; or épuré.

0*/^οα?ος, v, adj. né depuis huit jours. U. c^Iooç.

O^oà;, άίος, -η , le nombre Luit; v une huitaine.

Ογδοος, «, adj. et poèt. OyÆoaroç,

», huitième. Cyioo^ μην , Plut. b* huitième mois; le mois d’octobre. R. ΙχΊω. όν-ίοηκοντα, ·ί, at, τ^6, quatre-vingts.

Ο/ ίοηχονταετης, c ος , ^/-τ&ντηζ, «, qui a quatre-vingts ans; octogénaire. R. froç.

O/îjοηχος-^ς, quatre-vingtième. Ο/Ίώκοντα, fon.pour oy$orjxovxac.

Oyt i >ïye * Toyi, de ό et ye, y. ô. Oyxatyv, P'. oyxtov.

ΟΓΚΑ'ΟΜΑΙ, braire, f Ο/χτ^μος ·

», ο, l'actiou de braire; le cri

de i’Aue.

/

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ΟΔλ

<5γχη, η;, η, angle ; crochet— β grandeur. R. ογχος.

Ο/χηθμΙς , V· ογχάομχι. , Ογχηρο;, 5, adj. enfle; grand; énorme—plein de fasle. R.

β β'/ΧΟί-    ^    ^

OyxYiçïjç, », ô, qui brait; l’âne. ( R. ογχάομαι.

Oyxtae, ων, at, monceaux; tas. O/xtvoç, v, ô, petit crochet. Oyy^ov , ζγχαιον , το, e'tui; gaine —carquois. * όγχολογ/ω, dire d’une manière emphatique ; enfler; grossir; exagérer; vanter dans uii style pompeux. R. λόγος, ογχος. χ Ογ rôouxt , Ϋ. ογχό ο.

ΟΓΚΟΞ, «, ό, tumeur; enflure —masse; grosseur; lourdeur.

Ογχος , enflure , au fig. ; faste; orgueil.

Ογχος, pris en bonne part, gravité; majesté; amplitude.

Ογχος , crochet ; saillie — avance.

Ογχόω, fit. ώσω, parf. &γ-χωχα, enfler; grossir; exagérer; agrandir. [ όγχόομαι, être enflé; s’enfler, au propre et , aU'fig· ; s’enfler d'orgueil. OyxvÜoao» , s’enfler, se gonfler— s’enfler d’orgueil ; s’enorgueil-m lir—former de grands desseins. Ο/χυλος, «, adj. enflé—orguéil-leux.

όγχώίης, toç, adj. enflé; bouffi;

gonflé; volumineux.

Ογχωσις, ιω-, η r Faction d’enfler, de grossir, an propre et au fig. j R. &γχόω.

Ο/χωτ^ς, 5, adj. enflé; grossi. 0ΓΜΟΣ, b, ô, sillon—chemin; sentier. ^ [ Oypcvo», tracer un si?lon ; sillonner.

M    ’    t    ,    ,

ΟΓΧΝΠ, ης·, y>, poirier sauvage ; poirier franc—poirier—poire sauvage—poire, οίαγμλς, i, o, subst. mem. sign.

I ϊΰ’οδχζηνμος, V\ ο<?α£ίω.

ΟίαΓος, y, adj. vénal ; qu’on

{>eut acheter—qui sert à faire e voya^ R. οδός.

ΟδχχΙάζω, irriter ppr de légères ^ morsures. R. 1$<ίξ.

Οίάί, adv. avec les dents; à belles dents ; en serrant les dents. Οίοιξ "χιιν , retenir avec les dents—retenir fortement. R. èJov;. * ϋ£αζ<ω , éprouver une douleur causée par une morsure —sentir des picotemens douloureux— mordre [ 0£<χξ*)<τμο;} ύ, ό y démangeaison douloureuse des dents. [ όδαξισμος, mcm. sign. [ Q^içtxb;, ü, adj.

ΟΔΟ

mordicant ; qui cause une de-matigeaison douloureuse aux ? dents. M. R.

(Μάξω, mém. sign. çu*b$x£to>. xce et oêt<a, fut. ησω, donner des provisions pour le voyage w —vendre—acheter. R. οίός. Oit, r,it,xôit9 celui-ci, celle-ci, ceci, όμιν , Sit, K fuv. ΜιχρΙ τονίβ, jusqu’à ce temps-ci. [ TyjJi, y. I.

Ôitia, ας, départ; route. R. οδός. Oftïbç, Dor. pour οβολός.

OJto;, mêm. sign. qu"o$αΓος. Οίιντης, 5, ô, voyageur.

Ô$iwa\ fut. (ύσω, parf. wifvxa, faire route; être en chemin; voyager. Ννχίωρ xat μιθ’ -ημέραν όίιυιιν, voyager le jour et la nuit. ΓαΓαν oievetv, voyager par terre.

Ôoto), y. oàxtû.

Οίηγ/ω, fut. ησω, servir de guide ; être conducteur ; guider ; conduire. [ 0£ηγητηρ , νίρο; , ό£ηγη-T^.* *t ®» guide; conducteur.

[ (Μηγητιχος, S, adj. propre à servir de guide. [ όδη/ία, ας, η, conduite ; Faction de servir

# de guide. ’

θ£η>άς., s,b, guide; conducteur. t R. ο£ος

* άγω.    j

Ole, Att. pour Sic.

Oitoç, y, qui est d’un heureux augure pour le voyage.

(Μίας,qui montre le chemin, èpith. de Mercure dent on plaçait la statue dans les chemins pour indiquer la route aux voyageurs. ό-ΐίτης, », Dor. ας, a, ô, voyageur. Οδμχομαι, sentir j flairer. [ Οδμη,

, Ίς,η, odeur. R. οζω.

11' a unc odeur forte, f Οομηνος, vf et enμω$τ,ς , ιος, adj. €\u\ a beaucoup d’odeur; ode riféran t. ό^οιοόχος, «, qui sc tient en embuscade sur les chemins, qui attend les voyagetirssur les chemins, pour tes dépouiller, e/c.—voleur.de grand chemin.

[ O<?oc£oxfo», sc tenir en, etc., sens de I adj. R. ϋος, οοχχζω. Ο-ίοιτ^λαν/ω, s’égarer dans le che. min ; errer de coté et d’autre.

H. πλάνη üioitffo ριω, -ω , f^ire route; voyager; marcher. [ Ôiotwo-ptatf ας, η ,f route; voyage; marche. [ Ο<ίο<·σοριχος, 5, adj. qui concerne la route ou les voyageurs.    ôioιτσορ’.τη*,

hahitde voyage. [ÔfètrïDp.xly,

S, το , itinér;iii e. [ Oiomootr y, u, rb, ce qu’on donue pour

0Δ0    66»)

récompense ou pour salnire à un conducteur, à un guide, à lin ^ compagnoit de voyage. [ Oiottσορος, m, ô, qui fait route ; voyageur—compagnon f de voyage. R. -ritpw.

Oiovratγρα,ας,η, davier, instrument de dentiste pour arracMer les dents. R. ο^ους, άγρα.

. (Wovteyeyi*, i, το, mèm· 9 sign R. όίγω.

Ο<ΐονταλγ«ω, avoir mal aux dents. [ Οδονταλγία, ας, η , OD0HTAL-gie, mal de dents. R. ο&ονς^

ά\γίω.

ÔiovTtaatç, ιως, η, dentition-, sortie naturelle des dents de-puis ίenfance jusçu'à f adolescence. [ (Μοντιάω,commencer à avoir des dents; être dani Ie( moment de la dentition.

ÎOiovTtôt, les dents lui percent'; es dents lui viennent. Οίΐοντογλυφίς, tioç, ift, λ^Λτόγλυ— φον, «, -Λ, cure-dent. R. Ιδπς 9

γλύφω.

OiovTôetiyjç, «ος, adj. qui a la f<)rme d’une dent; odoktoÏde.

Il se dit de t apophyse de la seconde vertèbre du cou, parce qu'elle ressemble en quelque sorte à une dent. * Οίοντομάχης, h, i, qui combat averties dents; à qui les dents e servent d’armes. R. μάχομαι. Οίοντοξ/«της, ô, lime de dentiste, pour limer les dents cariées. R. ξίω-0ιΪοντότριμμ<χ, α¥ος,*Λ, poudre à nettoyer les dents. R. τρίζω. Οδοντοφόρος, 11, adj. qui a des ^ dents—dentelé. R. φίρω. Ο^οντοφν^ς, «ος, adj. ( enfant ) à qui les dents commencent à pousser. [ όΐοντοφνΐύΐ, ας, η, dentition. [ Ôiovroφυΐω, mcm. sig*. qu ciioyftâc·). [ Ο<ΐοντοφνης, né des dents, comme les hom— mes qui naquirent des dents jetées par Cadmus. R.    , φν/ω.

ίΜοντοω, armer de den|s: denteler. Γ diovtMtiç, 5, adj. dent tele. R. οίους.

Oiotyoeiw, faire un chemin; construire des chemins ; rendre raticable—frayer le chemin quelqu’un, f cUotyocoûtai , on me fraye le chemin; j’avance, je fais des progrès. R. ό<ΐος, froitu.

Ο^σσοαω, assujétîr à mie mélhode ; réduire en méthode; réduire en art—tracer une marche méthodique ; Irai-ter méthodiquement. [ Ô$ô-‘ΕΤΟίησις, $ω:, η, construction d’un chemin; ouverture d’un·

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C7o ΟΔΤ

route, d’un chemin—accès ouvert—l’action de frayer un chemin, au fig. et autres sens du rerbe. [όίοητοιητιχος, 5, adj. quia la propriété d’ouvrir un chemin, de frayer une route, [(ίίο-σοώς, i,b, constructeur Je chemius; qui entretient les grandes routes ; odopoik , charge chez tes Athéniens.

S O«twif«, ας, ιό, charge ’odopoie.

ΟΛΟΣ, 9, ή, chemin ; route. Tvjv. t/pn» , ouvrir un chemin ; percer une route. £xv<vtty Tvj;.ôio0, JPlut.&'ùcarter du chemin. Διαμχρτύν χλς 12ου, Thuc. s’étant trompé de chemin ; s’étant é«;aré. Προ l$ii fTvatj^lrccbnimode, être utile, être à propos , contribuer Waucoup—être sous la main ; être à la portée de. Ôooû «ά-prpyoy , en passant ; chemin faisant; pour le dire en passant.

Ô<îVç, chemin, au fig. ; voie —méthode ; moyen ; conduite;

f>lan de vie—secte. (Mol θιοΰ , e* voies de la Providence. ÔTï>ς Θιοΰ, le chemin qui conduit à Dieu.

Ôftç , provisions -pour le voyage.

0Λς, embûches dressées sur le chemin.

ό&ς,départ; voyage—route % qu’on fait. Ο Γος pour ον&ς, seuil.

Oionovw, examiner le chemin. ό^οςάχης, *, ô, qui garde les r chemins.

()ioçp»i«a, ας, η, la construction on l’entretien des roules. 11. ς*ρ<*ννν«.

Oiovpyjç, ο£ονρές, όίοΰρος, β, b,

/Λ.ν». signif. ça'oSbι^χος. R.

ojpoç.

ΟΛΟΥ2, ivxος t o, acc. οίίντβ, dat.plur.biου*ι, dent—pilon —odonte, apophyse de ta seconde vertébré du cou. €)Ϊ9φνλαξ, αχος, qui garde les chemins; qui veille à la sûreté des chemins. Γ όίοφνλαί-, m*nt. sign. çu^oSotSoxo;. H. φν\χσσ<*. όΉω, ~St fut. ωσν, infin. oMtcv^ ô-ioîîv , montrer le chemin ; guider; conduire. [ ΟίοΟμαι, on me guide, etc. R. 'οδός.

(Ηυνάορ,οα, V Ι&ννάω. .

O'jvapl·; t Dor. pour βιίννηρ^ς ,

. p*. H*·    ,, ,    .

<'>jvvx?xi pour o4\»vav). 2 pôrs.

sing. près, ind c. d δίυνβομαt. όΐυνάω, causer de lat douleur; faire souffrir. [ Olvvxcfxa; ,

OZO

sentir de la douleur; souffrir.

R. eiwn.

ÔATîiiï, ης, n, gén. plur. Eot. cÎvvccoïv , dat.pl. ion έ£ννη<πν, douleur, soit physique , J0// morale. ,    .

divv*pfc;, i, %adj. douloureux; pénible. [ àWiopÎK, douloureusement. ό^ννήγαχος,η, cjui apaise la douleur; q*i fait cesser la douleur. R. φάω, όίυριο, Ion. pour bàCpov, près.

impèr. //’olvpcp.at.

QO'jpuXf ατος, to, et όίυρμές, S, ό, lamentations; pleurs; gé-rnk^menj.

<j ΑΊΡΟΜΑΙ, y*/. οίυρονααι ^pnrf. ωίνρραί, se lamenter ; être éploré — gémir—pleurer: déplorer—r^émir sur·—raconter en pleurant ou en gémissant, όϊυρτιχος, e, adj. qui s'abandonne facilement aux p’-ur*; aux lamentations; platnlif; pleureur. Το δ<ΐυρτιχ<ίν . ton pleureux; penchant à se lamenter. [Οουρτιχως, adv. à la manière de ceux qui sont sujets à se lamenter ou à se plaindre. [ όίυρτιχος, déplorable; lamentable.

CM υσσατο ροατωδνσσατ ο, d' οοννσω. 0£νσσ*ία,ας,η, OotssÉE,poème it Homere. R. Οίυσσίυς, «ως, ο, Ulysse.

0ΔΥΣΣίϊ, aor. ι moy. άΧυσσάμην* m se fâcher; se mettre en colere. ÔUi, Att, pour ωία, parf.

^ moy. ίίοζω.

ÔlroSri, ^ς, η* odeur.

0?ω£η, jtt. pour oStaètif plusq. pa^f. ίΡοζω.

ôdoiiuçûtt , Atl. pour ωίυς-0it, 3e pers. sing, parf . pass. </’ό·ΐνσσ». 0*ων, όντος, Ion. pour οίονς. ’ 0'?σι, Jon. et Eût. pour tivi, d'il·,. Οζαινα, ης, η, 07ÈNE, ulcere p/tride du nei çui cxhalc une odeur'wfecte—puanteur [θ£α:· v«, polype; poisson qui jette une mauvaise odeur. [ Οζαινικές, qui concerne l’oiène — qui a un oiêne. R. ο£ω. OÇaivTri;, ιίος, η , qui a une odeur d’oxene ; infecte. ^ 6Çyj,y)î, ή % puanteur d’haleine —cuir d’onagre.

ÔÇoOvfcrtï .ης,YJ, latrines—cloaque.

R. Τιθημ,ι.

0ζοΆ«νος, ë, noueux ; rameux. ^ R. όζος.

ΟΖΟΣ, u, ô, nœud d’arhre ; branche; rameau —nnssue. όχι; Αρηος, (i'> de Mors, c. rà d. homme-belliqueux.

01

Οζοςόμος, u , adj. qHji a mauvaise haleine. R. ςόμ*.

O^iïcOac, devenir noueux.

Οζνγε; pour ομίζυγβς.

ΟΖΩ , fut. οζήσω et «σ«, Pnrf~ <5ζη*χ, puff· moy+ ^αι ^Aitm oXtùJx, sentir. OÇnv ρο^ων , sentir la rose, c. àf d. avoir ’ une odeur de rose. OÇ«iv vvja— Ίίΐας t avoir l'haleine d’ua homme qui est à jeun. Φοτον cÇetv, avoir une odeur cadavéreuse. âftçoy IÇciv, sentir très-bon, c. à d. t^vhaler une odeur tre*-afréahle.

Οζ'+άης t «ος, noueux; rameux.

( R. οζος.

Ο-'^Χης, qm a une odeur forte;

|iliant. R. οΓ»ί».

ij'i, ης, conrÎ T, arbre.

OÔfv,    d’où— c’e^t pourquoi

—pour lequel motif. OOcv f d’où ; par où: en con»n,uence

— de quelque part que ce soit.

[ Oôfvtjrp,/?* W sign. [ciOevovv, d’ailieurs. R. ος.

ΟθΗ , tjc, η , soin ; égard ; con-sidéntion. [Οθινω, οθ/ω, δθ·-μαι, avo r soin; prendr·* en considi*ratiou ; avoir égard.

(Ϊθι , Sôiwcj), OU. 09iwep <τν«ς »v-ioy ,    où    les    coclious

dormoient. R. o;.

0θν«Γος, «ta, «Τον , étranger. R.

^ νόθος.    .

όθομαι . Voy. oôvj.

ΟΘΟΝΗ, ης, η, linge; drap; serviette — voile de navire. [Οθο'νιον, h, -Λ, petit linge. d9o'wa, η;,η, giroflier, plante. ÔOovotsroto?, î, o, ouvrier en toile ; tisserand — linger. R.

côOVY) , *Olttù.

Φριξ, οθριχος, sytfc.pour ομόθριξ. Οθροος pour όμόθροος, 8 , ά.

Οάρ^£ΐς, «ντος, udf. apre; rude —escarpé. R. Οθρνς, ü<THEOS, montagne très-escarpée.

Οθω , mouvoir — avoir soin — avoir égard à.

ΟΟώς, adv. aussilôt.

Ot, nom. plur. de b , n, x*, 1«· Ha souvent la force de Vart. relatif ot, qui. Οί ΰμγϊ τονς λόγους, les gens de lettres. 0« ira άξι»σι»ς* les hommes constitués en dignité. Ot ά«Λ ξ«-νης, les étrancers. #Λ Ο.

Οΐ, Λί?/«. plur. ά'ος , qui·^

Οί, adv. do lien, où. Qt χ*τ*-cryï)7ovffi, on ils aborderont. Ot yti;; en quel endroit de la terre ? OT «?«>y«ta; ιτροιληλνθΐ, à quelle débauche il s est livré ! I)cm. phil.    β

Ot,pr.ino?n, /*./ datif, à soi-même h lui-même—-à lui—à elle.

O?, devant une voyelle, pour ota.

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ΟΙΔ

O? , interject, de douleur, hélas! al| ! QcfAot τάλ«ς, ali ! cjue je suis malheureux ! Οψοι j-ων χάχων, mèm. sign. O? tue Îîcay}» , malheureuse que je suis ! Cette interjection se met qaelqnefois en bonne part. Oifx* ώς τί^ομαι , dieux ! quelle joie jVprouve !

Oîot, ας, η, peau de brebis — cormier, arbre.

θΓα, neut. plur. d*οΓος.

θΓα, adv. comme.

ΟΙαΧογ, adv. seulement.

θΓ«ι, ων, at, hameaux , villages.

ΟΙαχίζω t fai Γσω, gouverner; diriger; régir. R. οίαξ.

Οίάχιον , », rb, petit gouvernail.

ΟΙήχίσ&α, ατος, το, direction ; conduite; gouvernement.

Οΐαχιςης , 5, ç , qui tient le gouvernail; pilote; gouverneur.

ΟΙαχοςρίψος, u, ô , qui fait tourner le gouvernail ; pilote. [Οίαχος-ροφ/ω, être pilote ; tenir le gouvernail. R. οΓαχος, fén, d’ottx*, ςριγω.

OlAS, αχος* o, gouvernail—la barre du gouvernail.

Oioivcp, adv. (tomme; attendu que—à savoir. OTot τ«, mêm. sign. R. ofoç.

Οίάτπος, », adj. de brebis. Oioi-T«tov χρ/ας, chair de brebis.

ΟΙατ\ς, *<foç, η, où les brebis pâturent. R. οϊς.

Οιάω, être seul. R. oToç.

Οί’γννω, V. οϊγω.

Ο.’Γΰ, fut. οΓξω, parf. Ζχα, et ΐνχα,parf. moy. tmya, ouvrir. [Otyvv**, mêm. sign. [ΟΓγνυ^αι, pass, être Ouvert, imparf. ώϊ-yvvfAtjv.

OTJa, «ς, t, parf. moy, <ΛΓίω.

Οίίαινω ι/οί&νω, enfler; gonfler—s'enfler, neut. Oiiatvti θάλασσα, la mer s enfle ; la mer est grosse. Οι^αίνω* s'enfler , Wtf/. Οιίβ/vopai, s'enfler, au * propre et au figuré — être en ‘ fluctuation; être dans l'agitation. R. ο?£<ω.

ΟΙίαλ/ος, *, adj. enfle'; gonflé —bouffi—humide.

Οΐ£άνω et ol&avofxat, mém, sign, que οΐ&αίνω et oiSou'vcfxzi.

Oïda<r0a , Kol. pour οΓ<ΐας, 2* pers. sing. parf. moy. d\X$oi.

ΟΪΔΈία et o\$x<ù , fut. >ίσω, parf. i (Sirixct, être enflé ; être gonflé, au propre et fig. ; s'en fier ; grossir. OiitT πράγματα f la tem- ’ pète se forme ; forage grossit, en parlant tPun orage politique,

ΟΓίτψα, ατό.;, το, tumeur ; enflure; gonflement — ŒDÉme, tumeur molle causée pat des,

OUI

humeurs phlegmatiques on visqueuses.

Οΐίτηαα, au fig. enflure du , cœur; orgueil, j ΟΓίτίματώίης^ ιος, adj. (ED^MA-

I TEUX ; qui est de la nature de ! l'œdème.

ΟΓίησι;, ιως, tumeur; gonflement.

ΟΙδινχοδψχ, ·, Œdipe, roi de Thebes. On dit aussi O’Iiwouç, οίος et ΟΓίισος, v R. otStTv t «oûç, c. à d. qui a les pieds enflés, parce que, ayant tu les pieds percés au moment de sa naissance, il les eut toujours depuis gros ef enfles. [Otitwô-Æîioç, », adj. d’Œdipe.

Οΐ<?(<7χω, enfler ; gonfler—enfler, neut.

OÎfya , ατος, Λ, sync, pour of-( διημα,

! Οίήλατο'κς, «ντος, adj. agité par

1 les flots—inquiet. joTivov, n, τ)>, truffe, j ΟΓίος , mêm. sign, qu'ofôypa.

■ Ouou, Ion. pour οϊ-η, a* pers, sing. près. d'oTopiat.

Οί*άνος, », qui n’a qu'un habit.

R. οΤος, ιανος.

ΟΓιι, Att. pour ofrj, etοΐομαι. Oiitv), peau de brebis.

Oftcç, », adj. de brebis. [Outtj et oÎi'yi , sous-ent. Sopk, peau de brebis. R. oVç.

ΟΓισσι, dat. pl. Ion. */*οΓς. dtreat, V, οΓω.

Οι/της, ιος , pour οαοιίηης, qui est du même âge. R. Ζμοιος, froç. dizfi, νος, η, malheur, misère; peine. [ OïÇvpfcç, i, adj, malheureux—funeste. [Οίζυω, éprouver des malheurs ; des peines—être malheureux.

ΟΓ»), dat. fèm. d?οΓος.

OtVj , yjç, cormier, arbre. Οΐηθήνοα , aor. i infin.pass. //‘οΓω. OîriVov, », το, gouvernail. Oir<xiiÇccYf Jon. pour oiaxiÇtiv.

Οι ηχης , V. βίτηξ.

Oirixtov, », τ^, mêm. sign, que

θ2»Χ(θν.    ·

OtVj/Aot, ατος, τ^, ce qu'on pense; opinion—haute opinion qu'on a de soi-inènie—présomption arrogante ; suffisance. [Oc’vjpà-τιον, h , rb, dimin. se dit de celui qui a un petit air suffisait

{ Οΐνματίας, », ô, qui a une îaute opinion de soi-même ; présomptueux OfyjÇ , Ion. pour cfa^.    ,

Orwffcç , ιως, -η , m. sign, qu'οιτ,μα. Οιησομαι , fut. d*οΓοραι.

O.V'tiov , it faut croire; il faut pi'nser. [Οίηττί;, h , i, qui peuiu ; qui cioit.

OIK 67i

ΟΓΓα», ων , al, peaux de brebis* θΓ*α, parf. moy. du verbe >Γχω t pour ïoixa.

Oixa^r, Dor. orrait ς, adv. à la maison. Ou«ji νοςη^, revenu à la maison. V. ofxofliv, θ(χα^ι. R. οΤχος.

Οΐχαάις , Dor. pour orxa&t. jOîxàiiç, «v, ou , figues qui ne iont pas mûres. iOtxavo;,», adj. domestique, j Οιχάριον, «, petite maison—pe-' tite chambre, t Ofxaat pour ioixa&t Oîxieaxoç, », adj. mèm. sign, que οιχιΐος.

OtxcTov , V. olxnoç.

Otxtto-mpayto) f s'occuper de ses propres affaires ( par opposi-tfjn^ à irokiTtvtaQai , gérer les affaires publiques )—ne se mêler que de ses affaires. Γ Otxno-ταραγία, ας, l'action de, etc. —vie privée. R.oixtîoç,irp«aw. OÈxcîoç, i, adj. domestique; fa— m i lier—ami ; parent—concitoyen; compatriote. Katk tb c!xs7ov, Thuc. à cause de ht parenté ΟΙχίίος ( opposé à *ot-ν^ς et άλλο'τριος ), particulier ; qui appartient en propre. Των βίχΐίων ς-ιρηθίίς, Her, privé de ses biens. Τα olxtTaf biens, propriétés. On dit aussi τα ct’xera, en parlant de sa maison , de sa patrie , que Thucyd,. appelle aussi τ/jv oîxtÎxy, jous-ant. 7^v. Otxiîa iton7v, rendre commun ; faire part ; communiquer.

GtxtToç ^convenable ; proprp à ; adapté à—conforme à la nature. [ Οίχίΐότ*}·, ητος> familiarité—-habitude—-auii'ié —liaison ; relation habituelle

— parente.

Otxcccta,fut. ωσω, pU/f. ωχ(ίωχα, rendre faniiiier —. concilier ; rapprocher; unir; adapter; accommoder; confornjerv[0«r x**»f**i et otxticto , .se cou—

• Cilier; s attacher , s attacJnr quelqu'un par des bienfaits, de, —attacher quelqu'un a sa personne. [Oixttàpctt , concilier. Ρχκωσατο irpbç αντον τ*ς «ςλι-ταςτβτο , Plut, cela lui concilia les cœurs de tous les citoyens.

[ Otxctlo» et oîxitvpiai, s’approprier ; s’attribuer; s'arroger ; se prétendre maitre de. ÙlxttSv-rtç τας τ&τι χαΐνμήας tritia ο&ς ψ Thuc. se prétendant tnait.es de C6' qu’on appeloit les neuf chemins.    *

Οίχιίωμα, ατος, τ&, rapport naturel ; sympathie».

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67:

OIK

OixJwv, poèt. pour οίχιων, près.

part. ac. dοϊχίω.

Οίχπως, ad v- domestiquement ; familièrement— amicalement avec bienveillance.Οίχκ'ω* f/nv ?τρο'ς τινα, être lié d’amitié avec quelqu’un. >Οιχ«»ως χρν*-6αί Ttvc, mém. sign. £θ·χ«Γως, convenablement à ; d une manière qui répond à.

Oixitoxrif y «ως , *ï » I.action de s’attacher quelqu’un par les liens de Pamitie—familiarité ; liaison—Paction de s’attribuer, de s’approprier ou de s’arroger quelque chose.

Ofxcvrt, Eof. pour οίχιΓσι, 3e pers. plur. près, du verbe cfxtjp. OîxcWi, Dor. pour οΐχ/ουσι , 3e pers. plur. près. d ο’χιω. Oîxtofttvv), tqç, v, la terre, y. oc—

xovfityt).

Otxcicta, ας, fi, et otxtTta, a;, »l, famille—maison.

OîxcTtvouLoct , être domestique , être attaché au service de quelqu’un. [Οίχιτης, domestique ; serviteur. [Οίχιτις , «ίος, η, domestique; servante. Ot-χιτης, », «/- OÎXCTIÇ, tfoç, adj. de U maison; domestique, adj.

Οίχετιχ^ς , », adj. de domestique —servile. To oîxtxixbv, les domestiques ; la class*: des domestiques—domeslicite. Oîx«rrç, ιίο«,*, servante. V. ·ί-XCTtlî*    .

aixt'uc , «»ς, *, domestique—esclave.    *

Oîxrjvxcc,    pour olxovvrc4

,ΟΙχ/ω,ω,/*/. iw9farf<*twAi

aor. ι ωχησα» habiter; demeurer—vivre.    .

Οίχιω, administrer; gouverner. [OÎ*£V«t. *tre hlb,lé, habiter—gouverner ; re' cir*. administrer. ^

Oîxbv>fj.»vtj ♦ ης, ’î» terre habitable—l’univers.    #

Ion. pour οίχνχς, <Γοιχ«νς. ων, xàc, choses de la maison; propriétés; biens. Oiwii*).    famine·.

OWflïoî. ton. pour ο!χ«.ος. θΓν^.«σθ«, /οη· pour ΟΓχημα, ««î. Λ, logement; de meure; domicile—-chambre— pr*lson—-tour—tente — chau-niiere. [ οΓχ^υ.α, lieu de prostitution. lira’ elxiija-ατβς ίς·ά»«ι, prostituer. [Οΐ«ΐ(«ίτιο», «, to,

’ petit logement; chambre. 0!xW*«î. Ion Pour (Λίνος, porf:part, pass Ο'κη'ίΐμος, », adj. habitable. [O.-

χ4αΨ», «, «iu ou PeUl

OIK

habiter; l<?gement; édW%ce— prison ; lieu de débauche. . ΟΓχτίσις, ιω;, η, habitation; séjour ; demeure. ^

OixTrjTop » îjpoç, 0, habitant. OtxrjT?ip«ov, », το, lieu qu on peut habiter; logement; demeura Οίχηης, «, b , habitant.

Οίχητιχος, i, adj. qui a coutume de se faire ou de se procurer uu logement, une demeure. OtxtjT<5pia,*ων|, x%9 meubles; ustensiles.

ΟίχηΛς, », adj. habitable—ha<-bité. e Οιχητωρ, βρος, o, habitant—co* Ion.    ^    e

ΟίχΓα, etç, η, maison—famille; racé. [ Oc x c'a, maisons, etc.— nids.

Olxtaxo;( », ad/. qui est dans la maison—domestinue.    ^

Otxtitoç , », adj. domestique ; privé—particulier.

OîxcJtov, », τ>», petit logement ; maisonnette ; humble réduit; cabane; hutte; loge —juchoir ; pigeonnier ; volière.

ΟΙχίζω, fut. (σω, parf. ωχιχα, bâtir ; construire. Oixtsat -tto-3u*, bâtir une ville. Γ Οΐχίζω,

5lacer dans une habitation, ans une demeure—placer ; établir. [Οίχιζω, rendre habitable. [ Οϊχίζω , établir des colons dans un pays. [ Oîxt'Ço-fAai,étre bâti, construit—être placé ; habité—être situé.

Ο!χισρ.ος, », ό, et οΓχισις, «ως, η, l’action de bâtir, de construire , et autres sens dWrXÇtA. [ ΟΓχίσις , maison. Οιχιητ/};, », 0, esclave acheté. Oixc'ov, *,xl, mém. sign, çvoixta */·οιχος—de pl. petite maison ; maisonnette.

ΟΓχισις, ^Qςet εως, η, V. οΐχίζω.

ΟΙχίσχ* , η; , η , et ο'χίσχος, », ο , mem. sign, çdoixiftov.

Οίχισμος, », ό, V. οιχίζ’ω.^    ^

Οιχι^ης, », ô, qui^ bâtit ; qui construit—qui assigne h quelqu’un un logement, une demeure; qui établit des babi-tans dans une colonie—fondateur d’une ville.

Olxtçtxô»;, adr. comme ceux qui bâtissent des villes ou qui établissent des colonies Olxoycv·?);, «ος j adj. né dans la maison—qui n’a pas été acheté —domestique—parent. [ Otxo-yevr54, esclave né dans la , maison.

Otxo&Wotva, η;, η, la maîtresse

OIK

de la maison; la mÎ*re de fa— mille. H. οΤχος, ίίτσόττις.

Οιχο<ΐεστ3τοτιω, fui. η<τ», être le maître de li maison ; être chef de maison; être père de famille. [ Οίχο£(σνάτν>ς, u, ô, chef de maison; père de famille. [ ΟιχοίιατΒτοτιχος, m , i/dj-qui convient au chef de la maison, au maître du logis , au père de famille; ijui 'concerne le chef de la maison, etc. R. οΓχος, άισποτης.

OïxoJofjLita f fut. η?», parf. άχοί^-

Cvixa , bâtir une maison — âtir; construire; faire bàlir. [ Otxo^ofAcofAou, sc faire bâtir une maison — faire bâtir — bâtir; construire—construire, au fig., construire unpoème, etc. [ OîxoÆoavjfta, «τος, édifice ; bâtiment; construction; structure. [ Olxofofik, νΐς, ή , mcm. sign.—-depl. édification. [ Οί-χοίομησις, «ως, η, construction; structure. [Otxoiop.trrix'kçv », adj. qni concerne le constructeur , Péditicateur. [ Οί*ο-JopYixtxri, 7};t ή, l’art de construire — l’architecture. R.

$εμω·

OlxoSoula , ας , η , édification ; structure—maçonnage ; construction. [ Οιχοίομ,ιχος , 5, adj. qui concerue Pédificaleur, le constructeur. [Oxxo^o^cxyj, sous-ent. τ/χνη, Part de bâtir—l’architecture. fOïxoÆopuxoç, habile arc hitecte; habile maçon. [Ot-χοίομιχως, adp. comme les bons architectes—comme les architectes—comme ceux qui bâtissent.

Οίχο^ο'μος, » , ό . édilicateur ; constructeur; maçon.

ΟΓχοθεν, adp. de la maison. ΟΓ-xoGcv οΓκα^ί, expr. proverb, de la iriaisciirà la maison, c. à d. le présent ne sort pas de fa maison, dut. lettre 36 [ ΟΓχο— θίν, de son propre mouvement ; de soi-même ; par soi-mèine.    ·

OîxoGt, adp. à Ja maison. [ ΟΓχοι, m w.sign. O otxoc, qui est à la maison—qui est dans sa patrie —domestique.

Otxouiavia, ας, η, la manie de bâtir. R. μανία.

OîxôvSc, adp. n la maison.

Olxov/μων pour οΐχονόμος.

Οιχονομ/ω , fut. νίσω, parf. ωχονο-μ-tixa y administrer les biens d’une malson—gouverner une maison — être intendant de maison. [Οιχονο^/ω, ad minis— trer, régir; gouverner—ar-

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01K '

IHtàger ; disposer; régler. [Ôî-χονομίω, distribuer; dispenser. ΟίχονομοθίΐσΛ χροφγ), Id nourriture qui se distribue dans tout le corps. [ Οίχονομψτιχος,

5, adj. qui concerne l'administration ou le gouvernement domestique. [ Οιχονομία t ας, η, administration 'des biens de la maison ; gouvernement domestique —' administration ; gouvernement—distribution ; dispensation; répartition, , Oixovopuoc, économie—ordre; arrangement—disposition, en termes de rhétorique, économie d'un discours, d une pièce de théâtre. [ Οιχονομία, la Providence—les vues de la Providence—l’incarnation de Jésus*Christ. [ ΟΐχονομικΙς, S, adj. qui concerne l’administration de la maison ou des Liens de la maison—qui concerne l'économie ; économique.^ [    j    qui    sait

administrer (les biens d'une maison; bon économe. [Οίχο-νομιχη, l'art d'administrer les biens d’uné maison, l'économie, la science économique. rOixovof*.txo»ç , adv. à la manière tie ceux qui administrent les biens d’une maison — avec économie ; économiquement.

OtxovôjxoÇf 8)ô, qui adminis· tre les biens d'une maison ; intendant; régisseur; économe

— dispensateur; distributeur. H» οΓχος, ν/μω. y.xôzjifov , u, xb, emplacement d*une maison—-sol ; terrain sur lequel on bâtit une maison otf sur lequel a été bâtie une mai* son détruite.

D’xo«reie;, g, adj. fait à la maison , Soph. £ Ot’xottrotfc; , subst.

3ui construit une maison ou es maisons; architecte ; constructeur de bâtimens. yxovroptTçtt ων, xk, ustensiles de ^ménage. R. πόρος.

!)IK02, *, o, maison. Οί χατ’ ou ον , les domestiques. Τα χατ* oTxov, les biens de la maison. ΑΣ χατ* oTxov xaxovtpayixt, les malheurs domestiques. Κατ’ oixov ou χατ* ο?χ*ς, dans chaque maison; par maison—domes-tiquement. A*tοΓχβ, en campagne; en voyage.

οΓχος, maison—race;famille —biens; fortune ; propriété. ΟΓχος, 5alte à manger, frxo; , Ion. pour ioixoç.

JixoacTcot, ας, η, repas qu'on prend chez soi ; un ordinaire. £θιχόσιτβς, », i, qui mange

OIK

chez lui—qui vit de son bien ; qui a de quoi vivre—qui est encore nourri dans la maison de son père, ûtxaatxoi μαθ-ηχα), écoliers oui ne sont pas en, pension chez leur maître, qui se nourrissent chez eux ou dans la maison de leur père. Olxôm-xot γχμot, noces qu’on fait k la maison,et auxquelles on u’in-vite que les parens et les amis. R. οΐχος, σΐχος.

Otxo<7xotsrtxov , i, xb , présage qu'on tire de ce qui s’est passé dans une itiaisou, par exemple si Von y a vu un serpent. "

Οΐχοχραγντς f coç, adj. nourri à la maison—esclave né dans la maison. R. χρίφω.

OïxoxptSrtÇ, S, ο, οίχοτριψ, ιζο;,

b, esclave né dans la maison ■—fils d'un esclave. [ o-xetp:-ffouov, «, το t mém. sign. fl. χρίζω.    (

Oîxov/Atvy), ης, η, SOUS-ent.

toute la terre habitable; toute la terre. [Otxovpifvtxoç, 5, adj. qui concerne toute la terre; universel; général—Œcuménique. [ Oixovfxivixy) , adv. dans toute la terre ; universellement.

OÎxovj»cw, fut. vivo», garder la maison ; se tenir à Ta maison —se tenir renfermé, quand on est dans la douleur. [ Olxovptto, mener une vie oisive. £ Oixov-

(νημχ, αχος, τ^, ce nui garde a maison—la garde ae la maison—femme qui garde la maison; servante. [ Ocxoupta, otç,

V, résidence à la maison ; assiduité à se tenir à la maison, h veiller dans la maison. [ Oî-xvptotf vie sédentaire; oisiveté.

[ Οίχ·νρ(χ^ς, v, adj. qui a coutume de rester à la maison; qui se tient toujours chez lui ; sédentaire. Tb otxovpixov, assiduité à rester à la maison, à traiter les affaires domestiques. [Otxovoiov, n, το, récompense ou salaire de celui qui a gardé la maison ou cjui a eu soin de la maison en 1 absence du maître [ Oîxoupca, ων, joujoux qu'une mère donne à un enfant qu’elle laisse à la maison. [Οίχονρ^ς, i, ô, qui garde la maison ; concierge — qui veille à la maison ; qui a soin de la maison. [Οίχνρος, homme sédentaire; casanier; qui vit dans l’oisiveté, dansTéloigne*-ment des affaires publiques. Οΐχουρος xv«v, chien qui reste

OIK 673

λ la maison, et ne va pas à la chasse. R. οΓχος, ονρος. Οΐχοψθοριΐν, dilapider son bien , sa fortune ; se ruiner—ruiner

—dilapider. [ ΟΙχοφθορία, ας, ·η9 ruine d’une maison ; dilapidation d'une fortune. [ Οίχοφθό-ρος, a, adj. qui ruine une maison, une famille; oui dilapide une fortune ; qui dilapidé sa fortune; qui se ruine. R. φθείρω, οΤχος.

Οΐχογνλαχ/ω, garder la maison.I ( Οίχοφυλαξ, αχος, ·, gardien de la maison. [ Οίχοφυ)άχί«ν, Hm xb, mêm. sign, qa'olxovpiov. Οϊχΐίίρπμα, ατος, το, οΐχΐιψμχ, ατος, compassion; pitié.

Οix7ccpo>, fut. βρω, ιρ-ησω, aor. f ωχ7 stpa, avoir pitié ; avoir compassion. [ ΟΙχΊείρομαι, Atre Ull objet de pitié ; exciter la compassion 4 R. οιχΊος.

ΟίζΊιζω f fut. ίσω , · olxl 'ζομαι ψ avoir pitié ; avoir compa^siou ; s’attendrir. [ ΟϊχΊίζομ&ι, chercher à attendrir; exciter U compassion. [ ΟΙχΊισμΙς, S, o9 οΤχΊισμχ, «τος, xb, discours par lequel on cherche à attendrir.

[ OMixoç, 5, adj. attendris, santj propre à exciter là compassion. [Oîx7ep|xoç, S, b, commisération ; pitié ; attendri»se-

mfinl. [ ΟΙκΊίρμων , ονος, ό,

sensible à la pitié ; compatissant—miséricordieux.

ΟΐχΊισμος, V, οΙχΊίζω.

Οΐχ7ις·ος, Vι οίχ7ρος.    ’

OIKT02, «, o, commisération^ ÎJ*tié ; compassion — lamcnt;i-‘ tion—pleqrs. [ Otxlo., motive-mens propres à exciter la com-assion , dans un discours. Οικ7ο'τιρος, h , co/npar. p!u« igne de pitié.

Olxipk, adv. d'une manière pitoyable, lamentable.    ’    'r-

Oïx7ptÇi<rOar, avoir pitié·

ΟΙχΙρογοΙω, pousser des ens lamentables. R. γοάω. * ΟΙχΤροΧογίχ, ας, η, discours propre à exciter la compassion ; discours dans lequel on déplore un malheur. R. oîx7poç, ΧΙγω. Olxlpbç, S, adj. digne de compassion, de pitié ; pitoyable— attendrissant; touchant.

Oixlpéxtpo', comp. plus digne de compassion , de pitié ; plus misérable. [ Οίχ7ρ^τατβς, super!. très-digne de pitié, de compassion ; très-misérable — extrêmement déplorable. [Ofx7<-çoç, mèm. sign, qu'olxlpixxxo'.

[ Oîx7tça et οίχΊίςωςt adc. di manière à exciter la plu·

(    1

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674 OIN

grande compassion} de la ifia-nière la olus tourhante, la plus attendrissante; de la manière la plus misérable.

Ou1où(, adv. mêm» sign, que tlxlpat.

ΜχΊοοχο/ω , s’abandonne!1 aux plainte^ Κ.χεω.

Ο’χίρως, V. οιχίροζ. ^ θίχ<«;, Alt. pour «οιχως, semblable, rtc.

Oixv<p()îi;| ioç · adj. ntile h une maison, à une famille. [Oîxw-φΰως, d'une manière utile à toute un· faillie, [όίχωφώία, *ς, η, économie qui fail le soutien d'une maison. R. οΤχος, άριλπω. *

0ΐμ* ρονοψημ*.    m    .

Οιμχι, contr. pour οιομαι^ le crois ; je pense—à ce que je crois— sans doute ; probablement ; si je fte me trompe ; si j’ai bonne mémoire. V. οΓω.

se ruer; se jeter avec impétuoéite ; se précipiter. R. c^5;* ^ . /» OÎMH> yîC, λοιμός, », o elm, cliemin; sentier—cercle ; rond —-verge; baguette—rangée— li-ne—raie.

Οπ*η, chant—discours—histoire—voix; parole. ^ ατος, Λ, impétuosité irruption. R« oîpow·.

Oijiot, y» of.

Οιμος, y οϊμν). m Οιμωγϊ, ?ϊς, η, gemissement; lamentation. R. οίριωζω.

, fit. , s abandonner aux gétnissemens; se lamenter —déplorer, pleurer , acliv* pleurer une perte, etc.

Οιμώζω» être puni—se re penlir. Οιμώξεις μχχρχ, tu t’en repentiras long temps , terme ' de menace Οίμωζαν Xtyttv xtvty souhaiter que quelqu'un soit puni — souhaiter du mal à * quelqu’un. R. of.

ΟΙμ»*Η* adv. en gémissant; en se lamentant.

^/déplorable; la mentable.    t

Ot^ia, ας, -h, lamentation j gémissement.

Ow9rrcc. /οϊς.    #

Οίνο^ωγος, Sf adf. qui transporte du vin—propre a^ transporter du vin. R. οΓνος, *γω.

Οϊνάνθη,ης,    fleur de la vigne

sauvage ou de la lambrusque —raisin de la lambrusque.

Otvoivôtj, filipendule, plante —CF.NAüTH E, plante. OWv9iv«î, », #«'/. fait avec d« la

OÎN

fleur oBiZvec du raisin de lambrusque—fait d’œnanthe. Οίνα»Ώς, nt fleur de la vigne. ΟΖνα^/ος, y. οϊναφον. ôtvotptÇo, V*. ofvotpov. ^ e Olvdiptov r g, χυ f petit vin; piquette-    .

ΟΓναρον, », tfc, feuille de vigne —pampre. [ Olvapsoç , », adj. de pampre.

Oîvap/Ç», ébourgeonner. ΟΓναφβς, », ô, arboisier—arbouse. Οίνος, αδος, n, vignoble—pigeon ramier.    ,

Οίναχόης, ιβς, appesanti par le vin) ivre. R. αχθβς. ^ Ο'νχω, mener uue vie solitaire. OlvAaiêv, «, το , vin mêlé d’huile.

R. οΤνος, ίλαιον*    .    #

Οίνφο^ς, i,t, qui aime le vin.

R.

f ραω.

Otvivofxac, boire du vin. (

Οίνιών , ωνος, ό, cave; celhet*. Oîviwv , Ion. pour οίνων , gén plur. d*ofvn.

OTvti , νις, h, vigne.    e

Οίνηρος, 5, adj. vineux; qui a un goût de vin—qui sert à contenir ou à transporter ou â mesurer du vin.    e

ΟΙνηρνσις, u»;, η, vase pour^puiser du vin ; broc. R. άρυω. Otvi^« άοος, η, pigeon ramier. ΟΙνίζομαι, -ίζω, avoir un goût de vin; sentir le vin—acheter du vin.

Ofvcvo;, de vin—fait avec du vin Οίνίσχος,», ô, petit vin ; piquette. Oîvupipioi, WV, sacrifices .que les adolescensfaisoientà Hercule, le jour où ils se faisoient recevoir dans leur phratrie. ΟΙνιςγ)ρ!&, ας, η, vase plein de vin . avec leqpel on faisoit des libations à Hercule.

Οινοέαρ/ω, poèt. -αριίω, être plein de vin ; être appesanti par le vin; être plongé dans l’ivresse. [Οινοβαρης, ιος, adj. plongé dans l’ivresse. R. οΤνος, βαρνς. Οινό^αλα, αχΤος, το, boisson composée de vin et de lait. R. yaXa. Otvôyapov , », χ>>, sauce faite avec du vin et de la saumure de poisson.

Oivoytvçcw , goûter au vin ; tâter au vin. R. yevo». ^ Οινοοόχος,    », qui contient du

vin. R. δίχομ·χί.

Οίνο δότης y », I)or. ας, α, ο, qui donne le vin , èpith. de Bacchus. R. iiiwpLi.    e

0«νόκςy βντος, adj. vineux; qui a un goût de vin.

ΟινοηθίΜ, passeï du vin à la cou-loire ou à la chausse ; clarifier du vin. [ OtveiîÔvjrÎji, ï, ô, «e-

OIN

tuî qui passe du, etc., etc. ft νΓΘ».

Οίνοθγίρας, », ô, ilfOTHÈBE t plante çui a Vodeur du vis*. R.

^vjpa.

Otvoiv}taio<, », adj. pris de vin;

ivre—ivrogne. R. λαμβάνω. Οίνομαν^ς, ιος, adj. <jui aime pas. sionnémen^ le vin. 11. οοος,

μαίνομαι.

OtvôjuLi).(, ιτος, rfc , breuvnge com-pus<: devin et de miel. R, ρ'λ. ΟΊνομητωρ, ορος, la mère du vin, c à d'. la vigne.

OÎvov, », -Λ, feuiHe de vigne: pampre.

Otvomtir), ης, et otvc&gfov , . , x\ , champ fertile en vin—vignoble—vigne.

Οίνόσιάος, », fertile en vin. F-οΤνος, tsr/iov.    ^

Οίνοσληθ^ς» «ος, fertile en vio R. ιτλν#ος.    e    #

Οίνονλχνητο;, », adf. a qui f* vin donne une démarche vacillante ; qui s’égare de soit chemin pour avoir trop bu. R. οΪνος, *κλάνγ).

Οινο-σλ-^ξ, >?705» pris de vin' ivre—ivrogne. R. «ληστ». Otvovroifa, ας, ih, fabrication du vin.

Otvotsxotoç, 5, qui fait, le vin.

[ Oîvo-cjotco», faire le vin. 1‘

^TOtCQ).    ^    ^    t

ΟΝοαΦσια, ας, η, l’action de boire du vin—l’usage du vin. Οινοοοτάζω et οίνο&οχίω 9 boire du vin—ee gorger de vin. U.

•πίνω.

Otvo-cror/ip , îi^oç , et ojvowcrrçç, s. ô, qui boit «jlu vin; buveur —ivrogne. [Οίνον&τις, ιίος,τ, fèm. femme adonnée au vin; biberonne. '

Oivctaloi» », ο, ŒNOFTE , censeur qui çeilloit à réprimer Ut\ débauches çui pouvaient <e\ glisser dans les festins. R.

Ο&ίομ&ι.    ^    ^

OîvoV^ç. qui veille sur !c vin ; préfet du festin rhar^é d’éclairer la salle et de partager également le vin entre le> convives.

ΟίνονχωΧίω t fut. ν>σω, vendre dtt vin ; être mnrdhand'de vin; cabaretier. [Οίνοισόλνις, », ό, qui vend du vin. [Οίνοσώλιο. , », το, lieu ou Pou veud dis vin ; cabaret. R. ttco)sV. οΓνος, », ό, vin. Παρ’ οΓνον t en buvant.

Οινόσ-σονίος, u/^adj. Οίνόσ-σον iot ^νσι'αι, des >ac.riüces dans lesquels on fait des libaiionJ . de vin. R. wtyov&i.

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010

qui conserve lé via. 3Ί*ον;ιχι , V. otvofl».

>ιγ.;σίχ, ης, η, otvovrîa, ης , ^.ileau fail avec du vin et dü miel.

Οινονσσα, nomd'uneherbeqai enivré les corbeaux et les ch iens. 3tvo<pcp-)){, ιος, enclin à boire ;

ivrogne, υίνόφλυ- , νγος, adj. Οι’νοφλνχίος, ir, qui se gorge de vin ; ivrogne. [ ΟΙνοφλυγίω , se gorger de vin; s’euivrer. [Οίνοφλνγία, ai, η, ivrognerie. Κ. <ρλνζω

OU <pAV77Q*.

[);νοφόρβ;, », qui porte·du vin— dans lequel on porte du vin.

11. 9*pce.

βίνοφνλας, αχος, i, qui garde le vin; sommelier.

ΟΓνίφυτον , » , Λ, vignoble; endroit où l’on récolte du viu. li. φνα>.

Οινοχοκία, $ 9 ofîice d’échan-SOQ. R. χιω.

Οίνοχοιω , οίνοχοίυω , verser à boire—être échanson. [ Οίνο-

fsoûpoi, on me verse à boire. Οίνοχοη, ης , ή , vase qui ser-voit à verser dans les coupes le vin puisé dans le cratère-rase qui servoit dans les libations. [ Ot? οχ βήμα, ωτος , το, vin que verse lYcbanson—vin uu l'on vertfoit aux convives ans les repas solennels. [Otvo-χοος, », ό, échanson. M. R.

0.7»χρώ;, ώτος, adj. cjui a la couleur du vin. R. χροα.

ΟΓ^ψ, οσος, adj. qui a la couleur Hti vin—noir. R. oTveç, ίψ. *

,    -£», changer en vin.

[Ο’νόω, enivrer. [ Οίνίσθαι, v*! re changé en vin—être ivre ; être gris; élre eu pointe de vin. ΟΣ*ωίης, «o% y adj. vineux; qui a un goût de vin. R. ιΤίος.

O’v'j» , ώνος, ô, cellier; cave, υΐνω^ο;, », adj. qui a la couleur du vin—semblable à des raisins mûrs—noirâtre. R. ωψ. ΟΓνωσι;, «ως, η, commencement d'ivresse; pointe de vin. ΟΓνωτρο; , «, ό, échalas.

O:    ifilt. I if* otyet».

Oio'5to;, oui mène one vie soli, laire. R. oTo;, βιος.

Ο'οζζτης, », b, qui fait paître son troupeau dans des lieux écartes ; qui s’éloigne des autres bergers—.qui mène un genre de vie^ particulier ; qui ne prend conseil que de lui-mème. R. βθ<Λ.

Ο’όγαΐίο;, », o, mom. sign. quo

μινογχμος.    *

OtîÇatoç, », mém, sign, que μο-véÇ«>e^.

010

Οίβξωνος, seul, sans compagnon.

Oîofcv, adv. d’un seul côté; d'un seul endroit. R. οΓος.

OèlOt, adv. seulement ; séparément.    ,

Οίοθντης, », ô, qui sacrifie une brebis. R. £ï?, θν«>.

Oîoxi^cvç, <ος , el vîoç, Si, qui n a

?u une corne. R. οΓος , χί'ρας. OioxfjVi»;, ντος, mem. sign.

ΟΓομαι, οΓμαι, imparf. ώμην , fui. οιησομαι , p**f. pass, άημχι , aor. ι Μπθην, je crois, etc, Vof, οΓω. *

οΓον , adv, seulement , d*©Τος, seul.

ΟΓον, avec un esprit rude, d* οΓος, comme; de même que ; tel que; comme si. O?ov ίή ΙΙγω, par exemple. A «y» <ft το τοίον£« otov , m'a. sign. [Otov, presque; à peu de chose près. [ΟΓον, c'est-à-dire.

Οΰχ otov..... iU’ ov^ , tant

s'en faut... qu’au contraire. Ονχ otev <*φιλ(~ν ίνναιτ’-αν τους φιλονς., αλί’ ovJi αυτήν σα>ζ«ιν , Pot. tant s’en faut qu’elle puisse être utile à ses amis, qu’elle ne peut pas même se sauver elle-même.

Μη οΓον se construit comme Αχ οΓον#*

ΟΓον , neut. if ο»*-, V. οΓος.

Ocovtl, coniine ; de même que.

Οίονόρος, », o, qui pait seul—

3ui fait paître les troupeaux ans des lieux écarté/. R.

Oto;, νΐμβ».

0?OV T t , y. oto<.

Οίοσιίιλος, », ό, qui n’a qu’une chaussure ; qui n'a qu’une la-lonniere. R. οίος, πίδιΧον.

ΟΝ^όχος, », laineux comme la toison d’une brebis. R. oï;, ιτόχος.

Οιοσολίω, vivre seul—vivre dans des lieux solitaires.

Çîow&oç, », qui vit seul ou dans des lieux solitaires — écarté j solitaire—désert. R. *Γολ«ω.

Ol ονόλος, «, adj qui est tou*

K' iurs avec les brebis; berger.

. οΓς , ιτολιω.

θΓθΣ , οΓη, οΤον, adj. seul.

ΟΓος, avec un esprit rude, quel. Βούλομαι νμΓν <irot*jaa( φανιρ^ν οΤον tripl ανΛν iytνομήν, lsocr. je veux vous faire voir quel j’ai été envers lui, ou quelle conduite j’ai tenue à son égard. ΟΓον ‘τπ-ττοίηχας; dieux! quelle artion vous avez faite !    [ Oloç, précédé

de τ·ι·ΰτος, tel que. Παο/ξ» y*Q$T0V COUVttV tld» 5T«p «v

0ΙΣ 675

tu ^raptiO^rri χράνφ, lsocr. je me montrerai l«I que je me suis montré par Je passe'. Quelquefois τοιοΰτος est sous-entendu. ΟΓος μη otJuiTv au lieu de τοιοΰτος οιος μη i-ftxtT* , tel qu’il ne souroitcommettre une injustice ou qui est incapable de commettre une injustice. Ταΰτα uiv οΐα ά^ιςιΓ-χθαι, ces choses sont telles qu’on ne peut les croire. Εντιτνχηχας ςοϊχω oî<f μητι ΧυπιΤ&ϋ-χι, JLnc. ' vous avet fréquente un stoïcien incapable de s’aftliger, ou qui n’est pas homme h s'affliger. Ανδρος ον^αμως οΤ«τ* ψιν^ίσθαι, d’un hoinmeincapablede men· tir. Οΰχ οια y(Wo{ «5*α ττρατ-Ίόμ.ιν , Kurip. nous ne (disons pas des choses capables de faire rire, ouàts choses ridicules, an lieu dé ον τοιαΟτα    oui    v

οιοί Ιςιν αζια γίΧωτος. 07«j» σοι άν-îpc, Xen, à un homme tef que vous, au lieu de rotovry àvfpi οιος σν. TcTi οΤοις τ« ημΓν , à des hommes tels que uous, au lieu de τοΓς τοιοντοις οΓ»ι η^ιιΓς. Βίος oto; αδρότατος, 1^ vie la plus molle. Ού&ν /«p 01 ov <xx»ctv avroû T3Û νεμον , J)ém. car il n’est rien tel que d’ouïr les propres termes do la loi. [Οιος, qui peut; capable de. Ούχ οΓος iroiîTy «-/αθο^ς xxî ^ιχαιονς τονς -ττολιτας , Arist. qui ne peut rendre les citoyens bons et justes.' θΓ«ς τι ιΐμ}, je puis ; j’ai la faculté de. Oto'v rs, il est possible ; ou peut ; il est permis. Oi^ οΤός τι ιίμι , je ne veux pas ; je refuse ; je fais malgré moi.

Otoomp, et quelquefois 0T0; «cp, οιος iroTt , of*ç οη ττοτι % οΓος ίητσοτ’ oOv , quelconque ; qui que ce soit ; quel que ce puisse être. ΟΓος wcp, a qcel~ quefois la même signifie, quf οΓος , quel.

Οιος OU Z'ioç, ffén. if ·?; OU d*ti$.

Οιοφάγος, », adj. qui dévore le» brebis. R« οΓος, φόίγω.

ΌΙοχίταν , ·νο%9adj. qui n’a eju’una tunique—qui manque d habit. R·. otoç , χιτ»»;

Οίοχίτων, qui porte une tu** nique de laine. R. βιος.

Οκ’σω, rendre désert—désoler— priver de. R. ©Τος.

Otrvip, plur. ^*09cr«p.

USvlmrov ,»,Λ, crotte de^mou; tou; crottin.    "

012, βΓος, ou oïç, oio;, ô e/ή % acc. ·Τν, brebis ■*— mauton.; beHer. '

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ΟΓ;, dat. plur. <Γος—οΤς pour Ιφ οΐς. ϋΓς ιτ(σόνθα?ι, à cause des choses qu'ils ^>nt souffertes.

θΓς, quant à ce que; en tant que ; sous le rapport de. Ofi-aro , 3e pers. sing, aor· i moy. poet. pour ωησατο, de οΓο^&αι , fut. οινίσομοιι, aor. i moy. ύησά-μην , ω, ατο.

ΟΤσ*, près. impèr. du près. οΓσω, formé du fut. οΓσω, du verbe «ριρω.

Ο'σινμις, J5tfr. et Eol. pour otaro-fxcv , plur. fui. /oi«>.

ΟΪσθα, srne. pour οΜασθα, ,£W. pour cMa;, a* pers.    /wr^·

moy. plia, ας, Λ «Γ<?ω.

ΟϊσΟιίς, aor- ι ^w/. pass. dofe-ραι. croire, soupçonner, <μι </’£ίω, porter. ,

ΟινΟησομχι, fut. pass, de γιρω. Otcrpia , ατος , *Λ , Faction d’em-portei ; de transporter. R.

Ο’τόχαρσος, », fruît du saule.

R. οίσνα t xo^tsi;. θΓσο|ΧΛΐ, οισονααι, fut. moy. de <pifpiafful. ο:σω.

ΟΪσον , /7^r ι impèr. de ο<ω */&ΐω, fut. οΓσω.

Ο σον, », *τ>, câble ; amarre. R.

οΓω , porter. ·

.Οισοφάγο;, », ο, ÉSOPRAGE, *77-παί mcmbrqneux qui conduit les alimens depuis la bouche jusque dans C estomac. Οισσάτη, ης, ή * crasse des moutons—crotte ; crottin. R. oï; ,

ττχτιω,

Οίσττη, η;, η, rri*m. sign, que oiovtry).    '

Φίτοτω^ν), corne du pied de Ja brebis— crasse de niQufou— % rroltiq.

OV^àp-evo;, οίσσατο , dToiofiat.

0:-7C3v, il faut porter, il faut supporter. R. οίω.

ΟΙςίος, «, ό , qui doit être porté ou supporté.

a, ατος, , flèche lancée ;

-    trait. R. »ι<7(νω·

Οί^ιυτηρ, τίρος, et oîçcwrî);, », o, qui lance dès flèches; archer. OV-cvm, lancer une flèche contre ; assaillir de trails. R.

-    ®t<rÎî* . ,

(Vice Jo'x», tjç , η, étui où l’on

met les flèches; carquois. R.·

R. έϊς-ος , ίΙχΟμΛΙ.

Οϊςοθνίχη, ης, η, mcm. sign.

% R. τίΟ-ημι.

Oïçoç, », ô, flèche; trait.

Oïçfcç, », adj. supportable. R.

©Γω, porter.

Οϊςονχος \ » , qui contient des Oeches, € pitié. du carquois. R. »/v.

Οίς-ράω, fut. η'σω, et ot^pcw, aor. I pass. ώ?ρη'θην , être tourmenté par Je U*on ; être mis en fureur par la piqûre du taon— ètiye en fureur, comme si on étoit piqué par le taon^ être emporté par un mouvement de fureur ; être saisi de frénésie— être transporté d’une fureur poétique.

OiVpaut et οΙ^ρι», faire sentir la piqûre du taon-—outrer de colère;rendre furieux; transporter d’un mouvement frénétique—aiguillonne;*; exciter. OlçpStxat., être piqué du taon, cl autres sens neut. ou pass, de οίςράω.

OtçpY)<ft>v, adp. à la manière des bœufs niqués du taou ; comme un furieux.

OcqMjuç, ·»τος, adj. semblable à un animal piqué du taon ; outré de colère ; furieu? ; frénétique. R. οΓςρος.

Oiçpvjîavia , ας , η , mouvement de fureur de l’animal piqué

■ du taon — transport furieux ; emportement de la passion— aiguillon—ce qui nous pousse ' violemment à quelque action; passion furieuse qui nous entraîne ·

ΟίςοτηΧαν/ω, faire sentir la piqûre au taon ; tourmenter; agiter; rendre furieux. [Οί^ρηλατ/ομαι, être tourmenté par le taon — être emporté par un mouve-men» de fureur; £tre entraîné par une passion insensée. R.

oîçpoç , tX<XJVû>.

Οιςργιμα , ατος, τ^>, et οίτρησι; , «ως, η, aiguillon—au fig. passion furieuse par laquelle ou est entraîné ; frénésie—rns-sion insensée pour les femmes.

O’cpoooifû), tourmenter ; aiguil-lonuer — frapper de vertige. R. οΓς-ρος , βάλλω.

OÎçpoJtvYjro;, », adj. qui tournoie étant pinué par le taon —que le vent fait tournoyer— frappé de Vertige. R. oTçpo;,

itvttù.

Οί<τρο*τληξ, νίγος, adj. piqué par le taon—furieux ; agité par des mouvemens de fureur — frappé de vertige. R. ιτ^ησσω.

ΟΙΣΤΡΟΣ, »j ô, taon—aiguillon; aufig. passion qui rend furieux.

Οίς-ρύω, tourmenter ; rendre furieux ; rendre fou—mêm. sign, que oiçpjio».    '

Ο’ςρόίηζ, «ος, adj. qui a l’aird’être tourmenté par le taon—fu-liüux; fi-appc 4c vertige. ,

ôfzYA, «ς , v», saule; osier, [Ocawïvoç, », adj. d*osier.

Oîruociio'xoç, », ô, mint. sign. R.

πλ/χ«.

ΟΙσνρνργ)>ς, &,    ,    qui    fait    des

vases et des instrumens d'osier ; ouvrier qui travaille en osier ; vannier.

Οίσνση , ης t , crotte de mouton ; crottin. [Oicrvtw}, le suint de la laine de mouton ; crasse

au’on tire de la laine avaut e la laver — laine qui n’a point été lavée ; laine grasse.

[ ΟΰτυνΙς > cioç , νι , οίσνττος , », i , mêm. sign. [ Οισυπνιρος , » , adj. et ο(συ«νω<$η;, «ος, adj· qui n’a point été lavé ; gras , en parlant d une toison ; imprégné de suint.

ΟΓσω , Dor. οίσω, fut. de φιρ» — ΟΓσω, présent formé du futur οΓοτω { impèr. οΓσ«, porte ; apporte.

ΟΓτη , ης, η , Œta, mont de Thes salie.

θΤτιν«ς, nom plur. d%ç\%.

ΟΪΤΟΣ, », i, misère, calamité; malheur—mort—fin malheureuse ; trépas.

Οίφ/ω et οΐφάω, être lascif; avoir commerce avec une femme.

ΟίφΛης, «ος, adj. lascif. [ΟιφΛ:;, ‘Οος, η , lascive. R. 0ttpt<u ou οιφάω.

ΟιχΙοντι , Dor. pour οιχ/ουσ» , «ΰσι, dοΐχεω, porter.

ΟΓχηριαι pour ωχνιμαι, parf \ d*of-χομαι.

‘Οΐχνίνται , Ton. pour γχν/νται , 3β pers. plur. parf \pass, dοιχομαι.

Οιχησομαι , fut. α οιχομαί. *

0:χθ*ις, «vîoç, part, aor. ι pass. d'ciyiA.    '

Οι’χμη , η; , η , servante.

ΟΓχνίσχον , imparf. Ion. d**1χν{**

ΟΙχνινσι, Dor. pour οίχνοννι.

Ο:χν«ο>, mêm. sign. γαοΤχ·μΜΐ.

Οίχοίαχο , Ion. pour οιχοί*τ· , 3e pers. plur. opt. près. ίΓοΐχομαι.

ΟΙ ΧΟΜΑΙ, fut. οιχτητομαι , parf. ωχηρ,αι , aor. I ώχηθην , s’efl aller; partir—se retirer. 9χ«τ* νιττοητΊτίμίνoç f Hom. il s’envo-loit. Πάντα οΓχ«τα«, tout est perdu. ΟΓχεται o«' aot Z <ac Ι^ο-μ&ίων i-ημος %at τ^ -»τλ«Γς·οι» τον ς-ρατίωτιχβν , I(ér. c'en est fait du peuple romain et. de la plus grande partie de i’arméc. θΓχ«αθαι , mourir. Οιχο/χοος, absent—mort. θΓχ«σ€αι *>à , parcourir.    -

Οϊχφχα, parf. Ion. ppar γχτ,χχ 9 du près. inus. οΐχΰυ , je ni‘«mi allai— je suis perdu ; ç'ea lait de moi.

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ΟΙΩ

ΟΙΩ) porter ; apporter ; n'est usité qu*au fut. οΓσω, et dans les temps qui en dérivent, οίσο-μαι, je porterai—je serai porté. On trouve dans A ris t. οισθησο-jiokc, je serai porté.

ΟΙΩ ou oîû», croire; penser.ÀWà

■ μιν οΐω γίυξίσθαι, liés, mais je crois qu’il fuifa.

ΟΓω est mis quelquefois pour ω; οίομβκ, à ce que je crois, comme je le pense. Ενιιτά y ®Γο>, ?νώσιαι, vous connollrex, je crois, dans la suite. [θ?ω, je conjecture, je soupçonne; j’espèxe. [ Ofopt , et poèt. ètofiat, fut. οΐ-ησομοιι (d’οΐίομαι), parf \ ώηθ^ν ,t penser ; croire ; présumer. Ως ofopxi, suivaut mon opinion ; à ce que je pense. Ως est quelquefois sous-ent., ix oftt , άνχ/χασθ^σιτΛΐ , Plat, ne croyei-vous pas qu*il sera forcé de , etc. ? [Οΐομαι, soupçonner — conjecturer — çspérer ; attendre. Ourote, pass. il paroit, il semble. Ovx αφρων ο ζιΐνος bttrat, Horn, cet étranger ne paroit pas dénué de bon sens.

ΟΙωνίζομαι y fat. ίσομαι, augurer; présager—prendre à augure ; prendre à mauvais augure— prendre les auspices· R. οιωνός. Οίωνιχος, S, adj. augurai. Οίωνιχν), sous-ent. ίπις-ημπ, la science des augures ; Part de tirer des présages. . '

Οιωνισμα, «τος, ri , auspice ; au-

Î;ure; présage. ΟΙωνκτμa ftstlv, icureux présage. ΟΊωνισ^α cvô-iiov, présage qu’on tire de ce qu’on observe en chemin. ΟΙωνις-άριον, *, rb , chose dont on tire un présage, un augure —lieu où l’on prend les auspices ; où les augures consultent l’avenir, par l'observation du pot, du chant ou de ( l'appétit des oiseaux.

Οιωνός, 3, b, augure · arus-pice. [ Otû>vtç*cx^ç , adj. augurai. [ Oiotviçtxri , sous-ent. Ιταις-ημ-η, la science des augures ; l’art de tirér des pré, sages , du chant, du vol et dê l'appétit des oiseaux. To otavtçi-xov, mém. sign. ptwvofywTος, « , adj. dévoré par les oiseaux. R. βρω<τχω. ΟιωνοΟίττης, », o, qui tire des présages , du vol, du chant et de ίappétit des oiseaux. R. οιωνός,

Ttôrjjxi.

OîwvoaotvTtç, t»ç, J, qui fait des

, - prédit tioT*s en observant les ©iscaux. [θί«»0{Μ(ντίίβί, ας, ή,

ΟΚΑ

prédiction faite par l’observation des oiseaux. [Ot«vo|iov-rtxij, sous-ent. ίητιςτίμι, science des augures. R. οΐωνος, μαντ«ς. Οίωνοσοίος, », ô , augure ; arus-pir.e. R. «τολ/ω.

ΟΙΩΝΟΣ, » , ό , oiseau , particulièrement tes oiseaux carnassiers—oiseau dont on observe le vol, le chant ou l’appétit, pour en tirer des présages— augure ; présage ; auspice. Οιωνόν «Οψην, j’ai auguré. Οίωνοίς

?:pt}<xct/xrvoç αίσ^οις, les auspices ui aÿiint été favorables. Oc i«c τ5» οΙωνων, les augures. Tbv οιωνόν (ίί'χοααι , j’accepte I’au-gure. [Οιωνός, signe. Οΐωνοσχονκΐο* , », rb , lieu dans lequel on prend les auspices, par C observation des oiseaux / lieu où les augures exercent leur ministère. OlunonoW» et οΐωνοσχοπουμαί, remplir la fonction d’augure ; observer les oiseaux. [ Οιωνοσχονια , ας, ή, observation des oiseaux , pour tirer des présages de leur vol, de leur chant et de leur appétit. —fonction d’augure. [ Οίωνο-σχόβος, », ©, augure ; arus-, pice. [ ΟΐωνοσχοτΕτιχ&ς , » , adj. augural, f Οΐο»νοσχοτ?(χν), sous-ent. tmtçvuv , la science des augures. R. σχοντίω.    .

θ7»ς, adv. de quelle manière ;

comment—comme.

ΟΙωτΙς, », adj. fait de peaux de ^ brebis. R. οϊς.

Οχα, ï)or. pour 3tc , quand.

OxôXtûyfut. rXi, aor· I toxetia, aborder. Ωχ«λλον τ^ς ν^«ς ,

^ Hé rod. ils abordèrent. R.xiXU». Oxev , neut. de Zvxtv. όχχα, Dor. pour Zxt, quand, όχχος , «, ô, ail.

OxÀocÆtat, «ς,    ,    agenouillement

R. 6χΧϋίζω.

ÔxXoi&'a;, » , ô , qui s'agenouille. Οχλαίί'α; ί»^»ος, ou simplement οχλαί/«ς, un *iége pliant ; un e pliant.

'Οχλα&αω, mêm. sign. qubxkiÇ<a. Οχλαοον, adv. mém. sign. ?χ’όχλά£. ΟΚΑΑΖΩ , fut. οίσω, s’agenouil- I 1er ; tomber sur les genoux— plier, au fig. ; succomber ; s’abattre ; perdre courage.

[ Οχλασις, »»ς, ih, agenouillement. *

Οχλασμα, ατος,το, mem. sign. Οχλ&ξ, adv. à genoux; sur le# genoux ; en s’agenouillant.

„ [ Οτάαςι, m^m. sign.    .

ΟΔνσις, οΔασμα, F. ΙΔ'ήζω.

s y. βχλ^.

ΟΚΡ    677

Oxvca» , fut. *σω , parf. &χψγ)χα , aor. I ωχννσα , poèt. ixvttu , être paresseux; agir avçc nonchalance— différet ou tarder par paresse.    '

Οχνιω, craindre de ; ne pa* oser. Ούχ &xvy)?o> x«l τοντο etaefr, Luc. je ne craindrai pas de dire encore. Oxva» μίι, etc. je crains qqe , etc. Ov£tv<x xwiv-vov όχνησας, prAt à braver to us les dangers. [Ôxv/opou , crain-f dre. [Oxv/m , ne pouvoir pas. ' Oxvyjpc'oc, ας, $ , paresse.

Oxvvjpfcç, », adj. paresseux ; lent ; nonchalant—timide; peureux; pusillanime. [ dxvyjρω^, adv. nonchalamment ; lentement. Οχνητ/ον, il· faut agir avec len-*· teur ; il faut craindre ; il faut balancer à.

Oxvta, ας, iparesse ; lenteur —crainte.

ΟΚΝΟΣ ,·,ο9 paresse ; fainéantise ; lenteur ; nonchalance— crainte; peur.

Οχνος, nom if une espèce de héron·

Οχνος, Oc MUS , cordier dent une ànesse rongeoit la corde à mesure qu'il la faisoit ; de là le proverbe, ovvcmi τον Ox# ον την ^tuptyfa, il file la corde d’Ocnus, en parlant de quelqu'un qui fait un ouvrage dont il ne retire aucun profit. Οχνωίηζ, «ος, adj. paresseux; fainéant ; nonchalant—timide ; peureux.

0χόθ<ν, Ion. pour ΟχοΓος, Ion. pour otaoXος.

Οκοσος. Ion. pour izrà<rος.

Ôxért, Ion. pour otvôrc.

όχου pour otsrov , où—après qne.

dxtiTa, Dor. pour ocro?a.

Οχριά^ω , Ιχριχομχι , ' s’aigrir , t s’exaspérer. R. Sxptç.

ΟχρΓας, accus, plur. de Sxptç , t ιος, τη , hauteur ; sommet. ΟχρΤασθαι, mê&i. sign, que τραχν-vccdai.

οκρ/βας , αντος, ô, l’endroit de la scène sur lequel déclament les acteurs—la scène-échelle—chevalet de*peintre/ tfxpcftxt, bélier sauvage. R .

<χχρον , βόίω.

OxpiottJ-ης, «ος, oxpiôctç, irrOç , adj. qui a de longues protu-^ bérances—raboteux et pointu* R. οχρις.

Οχρις, ιος, ιό* éminence; hauteur; sommet—longue prptu-béranre. όχρνοιις , mtcî f horrible—glaré

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G7ft OKT

d* froid; glacé de frayeur. R*

ν,ο·;ος.

όχΊάιδοος, v, <itiî a huit liases ou }iuit faces. [ Οχΐάκίρον, », «, octaèdre, en terme de géométrie, corps réguler terminé par huit faces égalés çui sont des triangles èquilalèraax. R. •χΐω, tip α ©χίαιτορίς» espace de liuit ans ; octaÉtéeidp , cycle ou lcrme de huit ans , au bout desquels on ajoutait trois mois lunaires : ce cycle fut en usage jusqua Γinvention de celui de dix-neuf par Méthon.

Οχίαιτη;, ιος, adj* qui est de huit ans; qui «.lure ou qui doit durer liuit ans,; qui dure depuis huit ans. K. οχϊύ, ίτος. OxTxcuç, tioç , η p fem* «της.

ΟχΙαημιρος , v , adj. qui dure huit jours—qui se fait le hui-f tième jour. η. οχΤώ , ty'*Va* Cxlxxi; , adv* huit fois. [0<1αχισ-χίλιοι , ων , adj. huit mille. ChtJocxtσχιϊϊη άτσϊς, Herod, pour ΙχΊοίκισχίΧιοι ΰτζη&ηφόροι , huit mille soldats armés de bou-clicrs. R. οχΐάχις, χίλ<β·. Ôxlàxmp.ος, «, qui a huit rayons, èpith. de la roue dans JJom. R. χρήμη*    .

Οχ1 χχ όσιοι t at, et, huit cents.

0x1 μηνιαίος, v, adj. né depuis huit mois— né le huitième t mois. R. ρην.

Ο^χαηνος, «, qui est de huit ^ mois. M. R.

Οχ'ϋσηγυς, «ος , adj. haut on long de huit coudées. R. π^χνς Ο χΐχσλάσιος, n , adj, octuple;

huit fois plus grand. Οχ1ασό<ΐης, « , ό , οχίάσονς, ο<ΐος, j adj. qui a huit pieds. [Οχία-wcivi;, long de huit pieds, ttylaeîieç, βν, ot, ceux qui ne os se dent que doux bœufs ou ont la ferme n’est que d’une charrue. R. οχΐώ , πϋ'ς.

9*7φ νρ.ος, «, cl οχΊχρνμος , qui a li ni t timons. R. ρυμός. Ρ*7χςνΧος, h , qui a huit colonnes ; orné de huit colonnes. R. ÇvVoç. .

ΟχΤηρης, ιος, adj. qui a huit rangs de rameurs. R. {ρ«σσα». OKTii. indeel. lniit ό οχ1ώ άριά-μος , le nombre huit.

Οχτώ£ριος, ν , le mois d’octobre. Εΐί&Γς όχίωβρίαις , aux ides 9 d’octobre.

Οχ1οχαί<?ηχα , dix-huit. R. δχ1ω, xaî, itxa^

Οχ1ωχαι«ΐιχχ«τηχυς, «.ος, adj. qui a dix-huit coudées. R.

ΟΛΕ .

Ι ΟχΙ wc«{£rx ατος , » , adj. dix- hui— t •icme.

Οχίωχαιοιχιτ'κ , ιος, ·γπ):, a, qui a dîx-huit arts. R. Γτος. ΟχΊκόχτηχνς, / . δχ'ϊά'σηχνς. ΟχΊωτρΧ.ίσιος , /Λ οχΐ^ισλα’σιος. ΟχΙώοου;, ο<ΐος , qui a huit pieds —le scorpion.

Οχχ’ ά, Dor. pour on η, [(5χχ*, devant une voyelle aspirée, pour Sxxet. όχχί» , porter ; soutenir—épuiser. [ Οχχίομαι, être ou tenu , èîre porte ; s’appuyer sur ou être assis sur.’ R. οχος.

Οχχη , νίς, η, appui; soutieu ;

bâton ; canne.

Οχχος, ν , poèt. pour οχος,

Oxo>; pour Ζτνως.

Οχωχιυω, avoir; contenir. R.

,**“■ . . Ολαίργυρος, «, qui est entièrement d’argent ; qui est d’argent massif. R. 2λος, άργυρος. Ολβιχζω et όλβίζω , regarder comme heureux ; vanter le bonheur de. R. oKtoç. 0λβΐ9γ«<τ«ρ , opo-, qui place son bonheur dans la bonne chere t R. ολβιος , ya^np.

Ô)otoiaip.»v , ονος , adj. qui jouit d’un sort fortuné ; qui .est heureux. R. ολβιος , δαίμων. ÔKtoio'mç , e, ô, qui donne le bonheur ou les richesses. R. £c*îu>ti».

όλβιοιρ/ος , « . qui procure le bon heur ou les richesses, rpith* d'Apollon. R. toy<iv.

Ολβιος, tf, adj. heûreuv ; fortuné ;

riche. R. ολβος Ολ*ο<ΐοτ ηο, ~ρος , ό, et ολβο^ότης, â, qui donne le bonheur ou les richesses. [Ολβοίότιιρίΐ ; ας, η , fin. d'oXGo Æor/jp. R. £ί£ωμι. ΟΛΒΟΣ, «, ό, félicité; bonheur —richesse ; prospérité Ολβοφόρος, », qui apporte des richesses ; qui enrichit. Ot oXGoyopot θιοι, lv$ dieux dispensateurs des richesses. R. φ/ρω.

ΟΧίισχιν , poèt* pour ωλ« ; imparf.

t Λλ/«. .    .    .

0λ·Φ»ιος, » , t adj. pernicieux; mortel. [ OhVpiov , adv. mortellement.'R. οΙΧυμι.

ΟΧιθρος , «, ο , porte ; ^ruine ; destruction—mort. [ OXt9poçr peste; ^éau; ruinç, en partout d'un homme qui est le fléau île son pays, etc.

0λι?τ*ι, 3e pers* sing. fut. a moy.

ίΙ'οΧΧυμι , fut. 2 moy.. ùXovjaoiK Ο^ίχρανον , tf , το , OLECRANB , npnphys* qui termine Vos du toude* R. ôAc'vy), xpa oy^

> ΟΛΙ

Ολ/xw, perdre; faire périr—eau-λ»*γ la perte : causer la ruino.

[ ΟΧ/χομχι , périr. H. oXXjfxi.

OXtpbv , mâm. sign* que ^σώ'ΐίς. OliVita, Roi. pour ô/fVot'.ftt, opt· aor. i d*o)t).vp.t , f il. o Όλι<πίν»»ρ , ορος , cjui perd les homines; pemirîeuv; destructif— mortel. R.'oi^vat , άνηρ.

Ολ/σΟαι, ipf. aor* a moy. d'ZXXvui, Ολισιθηρ, ~ρος, qui détruit les btMes fér^ctï* ; exterminateur di?s monstres. R. XXÏvut, $-ηρ· ΟΧ/σχω, m *tn. sign. qvoXtxta.

Ολίσα·* , poèt. pour ώλισα , aor. i

tf OAÀvpt.

OifVtov , fr. clcçiev.

Oijrop , ^ρος, ό , fem'»n. olmtpa, ας, η, qui dt'lniit ; qui fait périr; destructeur; exUrmi—

^ uateui*.

Οληαι, Ion.pour ολνι, 2epers.sing< subj. aor. 2 moy. d*οΧΧνμκ.

ÔXtya , adv. un peu—peu; rare-** men!. R. bXiyος. dityxtpLi'» , ας , η , appauvrissement du sang. [Ολί/αιρ-ος , » , adj. qui a le sa:ig appauvri ; qui a peu de sang. R. Ιλίγος , αΤρια.    «

d)Uy*xtç, adv. rarement , peu soureut — avec retenue. R.

οΧίγΟξ

OXiyxviptv, manquer d’hommes; être réduit à un petit nombre d’hormncsfltfd’hauiiaiis; n’ètro point peuplé.

Qhyxvàpix, α;, η, petit nom· bre d’honunes ; le manque d’hommesdéfaut de popu-laiion ; la rareté des hommes,

R. άνηρ.

Ολι^ανθρωητία , ας , n , mttdn sign. R. άνθρωσο:.

OÀtyapic^, ας η, un petit diner ;

un petit ordinaire. R.apt^ev. Ολι?αρχης, «o;, adj* qui set contente de peu—frugal. [Ολιγαρ-χ«ια et ολιγαρχία , a; , η , qualité de relui qui sait se contenter de peu ; tempérance ; frugalité. R. ολίγος.

Το ολι/αρχίς, mè/r+ sign, que ολιγοφχιία.

Ολιγαρτία, ας, η , disette de pa:·.

R. ολίγος, ά^τος.

0*λιγαρχ/ω, être membre «Tun gouvci ncme.nt oligarchique.

[ όλιγαρχιομαι , vivre sous ua couvei nemeut oligarchfque.

R. ολίγος, άρχ>7· ‘

Ολ’.γαρχία, OWOARCHIB , gouver-ueuient d’un petit nombre dc personnes.

Ολιγαρχίας , OLIGASCniQUE —*

partisan de i’çii^ai'cliie^

-J

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ΟΛΙ

«χ?ς, qui possède peu

de ch.imps. H. ανλαξ.

Ολι/αυλαξ , subsi. un petit

» Pays:    .

Ολιγαχ^θιν, adv, d’un petit nombre d'endroits ; de quelques

# endroits.

Ολγαχοΐ, adv.en peu d’endroîls. (ΪΧιγητπΧίω 9 mêm. sign. çu'bï 170-wc λ/ω.

Oltyr/fBflÎYt, ης, manque de forces; défaillance; faiblesse. 11. s &λι?ος, πΛω.    .

Ολι/ηροσ^α , α; , η» un petit champ. R. άρόω.

ΟλΓ/ις-ος, «, adj. très-peu nombreux ; qui est en très*petit nombre, enpeite quantité; très—petit Oiiy^ev οι«ςγ|ί* , très-petit intervalle—très-petite distante. Δατσανη τ’ ολιγιςη, Hcs. très-peu de frais ; très-petite dépense. Δι’ οΧιγίςων^ très-peu, si peu que rien, Ος o).ty»ça , je moins qu’il pst pos-^ silile. £ Ολι^Γς-ω;, adç, en très—' pétit nombre—très-peu.

Oicytçaro}, mcm. sign, çulXi-ywroç, tres-peu nombreux, etc. C5ityo«tp^a , ας, η , V', ΙΧιγαιμία, ΟΧιγόαιμος , * , V, οΧίγαιμος. OXiyôÇfç, v , qui ne vit pas t long- temps. R. ΙΧίγος, 5ι#ς. ΟΧιγογνωρων , ονος, adj. qui a peu ^ de soin ; négligent. R. γνώμη. ΟΧιγογόνατος,ϊ, nui n'a pas beaut coup de nœuds. R. 7/w. Olcyoyovoç, », adj, qui n’est pas fécond. R. 70'νος.

Ol«yoirijç, /ος, adj, qui a peu de besoins ; qui se contente de peu. R. ί/ω.

, ÔXiyoftta, ας, i,, et bXvyo&iia ,

% le peu de besoins OJ.tyoJiatfoç, «, qui vit de peu; t frugal. R. éloitxa.

Ολι/όίονλος, μ , adj. qui a peu /d'esclaves. R. iοΰλος. Ολιγοίραν/ω, être languissant ; être sans forces—être près de rendre le dernier soupir.

[ Ολιχοίρανης , /ος , adj. languissant ; foible ; que sa force abandonne. [ ÔXiyotfpavix, ας, τ>, langueur; faiblesse ^défaillance. R. êp%w.

Ολιγοιλαιάω, produire peu d’huile ; rendre peu d nuile. R.

fiouov.

Ο^γο/της , ιος. -«τί}ς , ϊ, né depuis peu «années—dont la durée est de peu d'années.

[ OiiyotTtV, ας, %, petit nombre d’années. R. «τος. ^ Οϊίγοζος, h, adj, qui n’a pas beaucoup de hranohes ; qui ,

OAI

n*a pas beaucoup de nœuds.

R. οζος.

ΟΧιγόθιρμος, * , qui a peu de t chaleur. R. Ειρμός.

Ολιγόκαρδος, if, adj. qui produit t peu île fruits. R. χαροός. Ολιγόχανλος, if, qui pousse peu t de tiges. H. χανΧός.

OÀcyo^aOtjç, /ος, qui a appris peu de choses ; peu instruit. R. μανθάνω.    '

ΟΧιγόμισθος, e, qui reçoit un modique salaire ou une modique 1 ^ solde. R. μισθός.

Ολι/ό^χνθος, «, ô, qui parle peu ; qui s’exprime brièvement. [OityopvQia, ας, η, peu de paroles ; briéveté du langage ;

' laconisme. R. μύθος.

Ολίγον, adv. d’bXiyoç , peu. ΟΧιγον /ο<χως, peu ressemblant ; qui ti’a aucune ressemblance. όΧίγον δσον, très-peu ; si peu que rien. ΟΧΙγον ίσσον , un peu moins.

Œ170V , presque—peu s'en faut ou peu s'en fallut que. ΟΧίγον συνισατάσαντο τους «roXc-pfovç tîç την πόΧιν , Plut, peu s'en fallut (jue les ennemis en les poursuivant n’entrassent avec, eux dans la ville. [όΧίγον s'emploie dans le mrme sens. OXiyov άνηοίθηpeu s'en fallut # qu’il ne fiât tué. V. bXfa. Ο\ιγόνταις,αι#ος, qui a peu d’en-fans. R. «ai;.

OÀi/ο-σιλ/ω et 0XtyiQtsxtXsto , être faible, débile) être sans forces ; être épuisé, exténué. [ (^170-vtXla, ας, ^ , et bXi?yivtXÎYty η;> η, faiblesse; débilité; épuisement. R. bXtyoç, xttXa, ΟΧιγόνιςος , it, peu croyable ; peu diffne de ioi ; peu digne de confiance, [(fotyo'tinçoç, act. dans ΓEvangile, qui a peu de e faï ; incrédule. R. irtVt;· Ολΐ7οητο</ω, diminuer. R. «irot/ω. Ο>»7οσοσία, ας, η, sobriété , dans It boire. [ (Wt/owort*, boire peu ; être sobre. [ όΧιγοποτης,

», o, qui boit peu; sobre; tempérant. R.wotoç, de vriw. οΧιγόνΊιρος, «, qui n'a pas beau·

^ coup de plumes. R. -nltpôv. OXtyétJvpoç, e, adj. qui produit peu (|e blé. R. πνρος.

ΟΛΊΓΟΣ, «r, adj. petit; peu. Ολί/ν) ίατίάνη, à peu de frais. Ολι'7&ς χρόνος f un court espace de temps ; peu de temps ; peu de jours*peu de mois, άλ^ον χρόνον, sous-ent, %ax\ ,.un peu de temps ; pour un peu de temps ; pendant un court espace de, temps. ÔK7ov ·βί χρί- J

OAI 67 ^

, en peu de temps, ϋντος SkU yov, dans un court «space dé ^.temps. Mct’ έλiyov , peu de temps après. Πρ^ς όλί/ον , pour peu de temps* Δ»* ΙΧϊγων ϊγραψ&ρ j'ai écrit en peu de mots.

ÔXJyov διάζωμα, petit inter» valle^ petite distance. aW/cc χ7ις AijXi/ οΧΐγον, il est peu éïoi-ί i*e de Délos. bXtyow, de près. Ai* bXtyov, de près; à une petite distance. Δ*' IXiycu axotJowvTiç, observant de prés. A» bXiyy , sous-entendu χρί- ' vov, en un instant; aussitôt; promptement, ύξ bXiyov, de près. jXiyu, sous-ent. χρéva, en un instant; subitement. Ev bXfyp, dans un petit espace. Ες bXfyov άψίχιτο ·κ5ν ςράπνμα yexV^vat, Thuc. peu s’en fallut que toute larmée ne fût vaincue, (ίλι/ον Uιησι» <V««9c7v flç/ Τ^ν βουΧϊν , Plut. peu s*en fallut qu'il ne fit irruption dans le sénat. ÔXtyov itto χάρIV ϊχιι* touroeç, Isocr. peu s en faut que je ne leur sache gré. Ολί/ον αντων araavτις ο» παρόντις, Plat, presque tous ceux qui étoient présens. Κατ' oityov ci τταρ bXtyov, peu ^ peu; petit à petit; insensiblement. Κατ* bXtyv', les uns après les autres; successivement.^ Παρ’ 0)^70v , presque. Rap^ oJiyov JiXQtv iitnvattTt ou trap    Àv/Savcv, peu s’en

est fallu qu’il ne mourut.

^ dit7ος, petit; mince. ÏIcpl ολίγον irociîaôai, faire peu ae

CHS. OXiyy έσϊ f d’unt VOIJC faible, n

OXtyot, les citoyens les plus considérables d’une ville ; lee membres d*un gouvernement oligarchique.

,    ®^yov cL~dess:js , et

ΙΧίγω ci-après.

ÔXiyovixlv, manger peu ; être sobrft. Γ ÔAt/offctca, ας, ^ , sobriété; frugalité. [ ΟΧιγόσιχος,

%,adj, oui mange peu; frugal; sobre. R. σίτος. όΧιγόςιχος, n, adj. qui confient peu de rangées, pèu de lignes, peu de vers. R. ς-Γχος.

0Χιγος)>ς9 S, adj. accompagné de peu de personues; ayaut peu , de nionde avec lui. [O^oçfcç, mrm. sign. çu’bXiytçoç,

0λΐ7ος*^ς χρόνος, mêm. sign. ÇU*ÔX(yoç χρόνος.

ΟΧιγόχης, ητος, le peu; le \ petit nombre; la rareté. 0λΐ7·τοχ/ω, û’âlrt pas fécond.

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6£ο ΟΛί

Γ όλιγοτοκία, ας, ^, défaut de fécondité. [ όλιγοτόχος, qui n’est pas fécond. R. ολίγος » 'τίχΊω.

Ολιγότριχος 9 v, adj· qui n a pas beaucoup de cheveux ou de poils. R. 3ρίξ. ' Ο)ΐ7»τρο^ο(, v y qui se contente d'une petite nourriture—qui ij’est guère nourrissant ; peu nutritif. R. ολίγος, τρ«φω.

Ολίγον , V. δλίγον et ολίγος. Ολιγόωρος, «, qui a peu d*eau; qui n’est pas aquatique—qui n'a pas besoin d’être beaucoup arrosé. R. νίωρ.

Ολιγοφιλία , ας* fi9 petit nombre d’amis —- disette d'amis. R.

φίλος.

6λ;γοφόρος ( οΤνος ) , ( vin ) qui ne porte pas beaucoup d’eau,

c. à d. pin çui ti est pas fort en couleur % vu f in foible. R.

, *. .

Φλιγόφρων, ο*ος, ΛΛ^/. qui a un

petit esprit; pi^sillanime. R.

,?ΡΓν·    .    1

Ολιγόννλλος, », qui a peu de

feuilles. R. ψύλλον.

.Ολιγόχο«ω, -ω , rendre peu. [όλι.-γόχοος, ολιγόχους, adj. qui rend peu ; qui ne rapporte pas beaucoup , en parlant de certaines semences, R. χι«.

Ολιγοχορίία, α«, ή, petit nombre *de cordes. R. χορίη. όλιγοχρηματία, ας, η, peu d’argent ; pauvreté. R. χρ*ίμ«· όλιγο^ρόνιος, «, qui dure peu; qui est de courte durée. R.

χρόνος.    ..    .    ,

©λιγόχνλος, v, adj, qui a peu de suc. R· χνλός.

Ολιγοψυχία), *5, fut. ησω, mêm. sign. */ue μιχροψνχ«ω. R. ολίγος,

Ολιγοψυχία, ας, r,, mém, sign.

que μικροψυχία, όλιγόψνχος, », mêm. sign, çue μικρόψυχος.

Ολιγόω, fut. ωσω, réduire a un petit nombre; diminuer—rapetisser. R. ολίγος.’

Cfa/γω, fut lieu d'oXtyov decant un comparatif \ peu. Ολίγω izpézc-pov, peu auparavant. Ολίγ* v<;tpov, peu après. 0)ίγω*Χ(ΐ8ς, un peu plus nombreux, όλίγω iç χιλίους, au nombre de mille environ. όλιγωριω, avoir peu de soin ;

l négliger; s'inquiéter peu d’une chose. [ 0λιγωρητ/ος, «, adj. qui doit être négligé—méprisable· ['Ολιγωρία, ας, η, négligence j incurréj mépris—oubli.

ΟΛΚ

]£v ολιγωρι^ *τοι«Γσ0αι, négliger ; dédaigner—oublier, ύλίγωρός, h , qui a peu de soin ; qui néglige ; qui se soucie fort peu de—qui méprise. [ Ολ«γω-ρως, adv. négligemment—avec, mépris. Ολιγώ^ως «ίχον -τούτων , J)ém. ils néghgeoient ces choses. R. ωρα.

Ολίζων, ονβς , adj. petit -—plus petit ; moindre. [ όλιζόω, rendre moindre ; diminuer.

[ ό^ιζόπρος, ». adj. moindre ; plus petit. R. όλ/γ·ς. .

Ολικός, à, adj. total; universeL [ (]λιχ«1ς, adv. totalement ;

# universellement. R. 2λος. Ολίσθαινα», mêm. sign, çuhlieQtt*. (5λισ6«ω, fut, ησω, aor, 2 ωλισθον, glisser ; tomber; s’échapper de.

(5λίσ6ημα, ατος, xb, tf/έλίσθη· σις, ιως, η, glissade—glissement; chute.    ,

<5λισθη«ις, «ντος, adj, et δλισ-Οηρος, 5, adj, sujet à glisser, sujet à tomber — enclin à. [Ολισθηρές, qui glisse aisément des mains; qui s’échappe facilement. [ όλισθηρ^ς, glissant. <5λ(σ6ηρ)>ς -rôtareç, endroit glissant. [ Ολισθηρός, qui est cause que l’on glisse. Cette dernière signifie, est rare. R. ολισθος. άισθογνωμ«Γν, perdre la téte, au ^figuré.

ΟΛΙΣΘΟΣ, «, ô, glissade ; glissement ; chute—qualité par laquelle une chose est sujette à glisser des mains.

0λχ<χ£ιον, β, rb, petit bâtiment de transport. R. όλκάς,

Ό\χάζω, trainer. R. Πχω. όλκαία, ας,    queue—queue du

. l*on‘ . όλχαΤ&ν, μ , Ά, bassin ; cuvette, dans laçuelle on rince des go· belets—timon du vaisseau. ΟλχαΓος, h . adj. que l’on traine. όλχίις , άίος , η , bâtiment de transport ; vaisseau marchand —vaisseau, όλχινς , «ως, ô , qui traîne les filets—pécheur, όλχιω, trainer un bâtiment de transport, όλκί), νΐς, η, Faction de trainer —force entraînante ; force attractive; attraction — trait de la balance—pente, inclinaison.

όλκ·?), poids; ce qui entraîne

— drachme, f Ολχη«ις, «ντος, adj. pesant ; lourj). όλκηιον . », το, pièce de bois auprès de la carêne du vaisseau, à laquelle on attache les càblcs avec lesquels en traine un pais·

OAO

seau de la mer sur te rU'dgf, ou du ripage sur la mer.

(ΐ^χηρης, «ος, adj. qui s’avance en se traînant, èpith. du serpent· R. /ρ/σσ». όλκιμος, », adj. qui s'étend sans se casser; ductile—qui file, en parlant tf une liçueur—facile à étendre, όλκίον, », tV, vase de cuivre-bassin—grand cratère—tiraoa de vaisseau*

Ολκοί, ων , ot, machines pour trainer les vai <*eaux de là terre sur la mer ou de la mer sur la terre, όλκος, », ο, traînée ; cours ; courant—sillon; trace que laisse une chose qui passe; sillage d’un vaisseau — rarapement d*un serpent—aqueduc.

ΟλχΙς, extension, allongement—courroie, trait ; corde, avec laçuelle on tire; câble, όλχ^ς, attraction—poids, όλκ^ς, araignée, όλκ'ο;, le corps—la partie du corps depuis le cou jusqu'aux cuisses; le tronc»

όλκ^ς, », adj. attractif; qui a une force attractive—sédui-m sant ; attrayant.

Ολληαι, Jon. pour ίλλη ou ολη v aor. 2 moy. stibj, </*ολλυμ: oU όλλύω.

ΟΛΛΥΜΙ, ολλύω, fut.l\t<j<ù (éfo\ltaf inus. ), parf. dftexa, Att. &λώ-, λ«κα, aor. ι «ίλισα^parf. mor« ω λα ( if ολλω ) , Alt, ίλωλα y fat.

2 ad. ολω , aor. 2 moy. ώλόμην , perdre—perdre, c. à d. faire périr; causer la perte de, la ruine de—faire perdre; enlever. [Ολλυμαι, être perdu ; périr. Ον κλ/ος ov ttor Wtttat , Hom. dont la gloire ne mourra jamais. [ Ολοιντο oa okotarà9 quVs périssent! lerme d'imprécation.

Ολμ«ιος, S y et όλμίσχος, 8, or petit mortier de forme cylin-t drique. R. 2λμος.

Ολμοτ?οώς, «, ô, qui fait des mortiers. R. δλμος, -»τοι«ω. ΟΑΜΟΣ, β, ό, mortier de forme cylindrique—coupe—tronc du corps humain.

όλμος, le dessus du trépied, ta partie sur laçuelle étoit assise la prelrcsse. όλοypwfito 9 fut. ησω, écrire en entier, sans supprimer aucune lettre du mot quart écrit, ou sans emprunter le secours tf une main étrangère. R. 3λος, γράφω, όλο^χίνλος, », ( vers) composé

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ΟΛΟ

to tit entier de dactyles. R. t ϊάίΊΆος.

Ολοερ>ος, », malfaisant; nuisible.

R. cio'ic, tpyo».

ΟΛΟΘΟΤΡΙΟΝ, », Λ , HOLOTHURIE, esprce de zoophytes ou d’ animaux marins semblables à des éponges. R. ολος,

Ολοθρινω, fut lùcru, perdre; faire périr; exterminer. [ Ολο-epiwtftç, ·ως, η, perte ; meurtre. [ d).o9ocuri)ç, », ô, qui perd; qui fait périr; extermi-f uateur. R. oUvfii.

Ολοίχτο , Ion. pour ©λοιντο , 3e pers. plur. opt. aor. a moy. td'o%A^vutt aor. i moy. ώλέμην. OXoî'io;, », adj. m’/n. sign. que t aoo«.

Ολοιτροχος, e, adj. rond comme e une roue. R. τριχω.

Ολοχαρσόω, brûler la victime tout entière. [ Ολοχχρττωμα, ατος , Tb , r/ όλοχάρσωσις , ιως ,* v, sacrifice dans lequel la victime étoit consumée tout entière par le feu; holocauste. t R. Ζ\οζ , χαρτσόω.

Ολοχαυς-ον , », το , HOLOCAUSTE , victime consumée tout enticre par le feu dans un sacrifice— holocauste, c, à d· sacrifice dans lequel toute la victime étoit consumée par le feu. U. ολος, χαίω.    .

Ολοχαντ/ω, όλοχαντάω, consumer-une victime tout entière par le feu. £ Ολοκαύτωμα , ατος , το , victime consumée tout entière par le feu ; holocauste.

[ Ολοχαυτωσις, ιως, ή, holocauste, dans les deux seas de victime et de sacrifice. Ολοχληρία, α;, η, intégrité, c. à d. état parfait d%une chose qui est saine—intégrité, c. à d. état un tout qui a toutes ses parties· R. XA^JpOÇ.    .

όλόχληρος, »,^ adj. héritier universel. Γ Ολ^χληρος, tout entier; total; universel—entier ; qui n’a point été entamé; parfaitement saiu dans toutes ses parties ; qui est dans son entier. Εις το άλέχληρον, en tota-

• hlé.

(ίλ^χνημος, », adj. qui a les jambes saines et entières—qui jouit de tous ses membres—qui n’est point entamé ou dépecé. R.

τ χν*ίμη.

Ολολυγη ,9jç, η , et δλολυγμ^ς, 5, ô , hurlement ; pleurs accompa— s gnes de cris ; sanglots. Ολολνγων , όνος, η, hurlement — cri du mâle de la grenouHie, çuand il appelle ta femelle. Ολβλν/ων, chomtte—foulque.

0Λ0

όΛΟλΐΖΩ, fui. ξω, aor. ι ώλό- ! λν*α, parf. ώλόλυχα, parf pçss. ώλολυ^αχι, hurler ; pousser des hurlemens, dans t affliction ; pousser des cris lamentables —jeter des grands cris. Ολο·ιιλι))ς, /ος, adj. qui a tous ses membres; composé de tous les membres nécessaires h l'existence de l’individu—qui est dans son entier; qui n’est point entamé. K.

. . ΟλοοΓτοοχος, v, adj. (avec Γesprit rude) rond comme une roue ; rond. [ Ολοοιτροχος ( avec tes— prit doux ), qui extermine en courant—qui détruit tout sur sou passago. R. τρ/χω..

(ίλ '>ος, a, adj. pernicieux ; mortel ; destructeur. R. ολλναι. Ολοόφρων, ονος f adj ( uvec un esprit rude ) qui prend soin de tout; qui vaille atout—qui jouit de tonte la plénitude de sa raison et de sou jugement. [Ολοόφρων (avec un esprit doux), qui roule dans son esprit des desseins pernicieux; mediant; pernicieux. R. ?p>jv. (3)οσορ-γ>νρο;, », qui est tout entier de pourfrt'e. 1*. ολος, κορφνρχ. Ολόσίερος, s, adj. dont le corps est entièrement couvert de plumes—dont les ailes sont tout d’une piece, comme les ailes membraneuses de la chauve-souris—dont les ailes nesont pasdéchiréts. R.«7ipôv. ΟΛΟΠΤΩ, arracher — écorcer; , peler.

Ολόανρος, », δ, blé cuit. R. ττυρό|.

Ολορρ^ος, », adj. se traduit somme s'il y avoit ab* 2λ*ι τ»5 ρίζη, avec toute la racine. 0λο£ p ιζος <χνασχοΙτζ>ΊιτΛΐ , on l'arrache avec toute sa racine, [όλορριζπ, adv. avec toute la racine; radicalement—totale-^ment. R. ρίζα. θλο<, », ο, mcm. sign, que ^λος. ΟΛΟΣ, », adj. tout ; tout entier. OXoy Ιττοίησε yevynv τ)> τώίν Εναντίων, Xén. il mit en fuite toute l’armée des ennemis. Ta 2λα, l'universalité des choses; l’univers. Το ολον, mêm. sign, de plus , toute Γespèce—toute l’affaire. &ςε Ζλον cîwtTv, Plat. pour tout dire; en un mot ; en somme. On dit aussi dans le même sens το ολον et το <î’ ολον; en un mot. ( Voy. ci-après une autre sign, de τΐ ολον. lit pi των ολων χινίνντυπν , Plut. commettre toute sa fortune au hasard d'uu combat.

010 G«i

T^ ολον , vu ολω et roTç 2λοΓ;,

entièrement; totalement; tout-t a-lait. Δι’ ολων % mcm. sign. Ολοτοριχος, «, adj. qui est tout ^ entier de soie. K. σηρ.

ΟλοτίαλοxxXy;j.?4t », i, mauvais t joueur de flûte.

ΟΧ*?(<?ηρ«ς, », cjui est tout entier de fer. R. σ'ίηρος, όΧτΓος, u, eniieren.ent osseux; qui est tout os; qui est d’uu seul os. [<j),0Vtov, holosteon, poisson du Nil—iiolosteon, apece de plantain. R. ολος, Ιςιόν.

όλοσφνρατος, », adj. et έλοσφν-pvî).ατςς, », adj. qui est d’or d’argent massif, ou de toute autre matière, suivant Vadjectif qui se trouve joint au mot όλοσφνρατος ou όλοσφνρτίλα-τος. Κρα??ος cv vit* itprj XauSà— vit ίοχον ολοσ^νρηλατον χρυσήν , Jos. Crassus enlève dans le temple une poutre qui étoit d’or massif.

Ολο'τχίοης, ιος, adj. entier—principal. ϋλοσχερής xtvivvoç, Pot. combat au hjsard duquel on livre toute sa fortune—combat qui va décider notre destioée. [ υλο»χίρ*ς'*ρος, », plus ample —principal. Εις «λοσχ'ρ/ς-ατα, Jjtoscor. dans les parties les plus minces, f Ολοσχιρως, adv. entièrement; totalement. R.

^ολος, χα'ρ.

ΟΛΟΣΧΟΙ, ων, ο!, queues dee fruits, par lesquelles ils lien-f nent à f arbre.

Ολο'σχοινος, », ô, η, jonc marin, sorte de jonc épais qui a la t:ge boueuse. R. σχοΓνος. 0λοτ*λ^, coç, entier; total—* parfait , accompli ; achevé. [ όλοτίλως, adv. entièrement; totalement — parfaitement ; t complètement. R. ηΧίω. ÔUvnç, τ,τος, ^ , intégrité, c. àd. état d'une chose qui est dans son entier. R. δλος.

Ολονμαι, fut. may* d’^v^t. Ολοφλνχΐΐς, Γίος, η, pustule; ampoule. Γ Ολοφλν/ίος , », adj. couvert ae pustules. Γ όλοφλν?-ίων, Λος, η, pustule; ampoule. Un trouve dans Throcr. όλοφν/ίών , et dans quelques auteurs όλοφνχΐΐς, pustule, am· t poule. R. 3λος, φλνξω. Ολοφνίν^ς, », adj. déplorable;

lamentable. R. όλο»νζω, pieu-e rer ; déplorer ; se lamenter. Ολο^ρνχ72ς, V". όλοφλυχ'Κς. Ολοφύρομαι, fut. iuat, se lamenter; pleurer; lamenter; Jé-plorerj plaindre—avoir pitié.

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682 ΟΛΥ 1

£ Ολαγ>υρ|/ΐ>ΐ , », ο, ft iUwvp-ctç, «ως,η , lamentation, pletirs —chant lu^ubi e. [ Ολοφνρτιχ'ος,

5, adj. sujet à se lamenter;,,

sujet 3 se plaindre.

Οΐοφύϊο; ι «ι o y ijui périr les plantes ; pernicieux malicieux; méchant ; artificieux. R. έλοος, φως.

Ολοχροος, -χρ*»ς* qu» est tout entier d'une seule et même couleur. R. χρο«·

Ολόχρυσος, v, qui est tout d or ;

qui est d’or massif. R. χρνσ<5;. όλοψνχως, adv. de toute son âme; de tout son cœur. R. ψυχτα-

ΟΛΠΗ, ης, η, Dor. οΧνα , cruche à l’hutie; vnse à mettre de l’huile; Thuilier.

(ίλ^ι, vase où Ton verse du vin. [ÔWt;, iîoç, r>, mêm. sign. ώναπία y ας y-h, OlYMPIK , ville de f Elide en Grèce. Il y avoit un temple , et devant le temple un bois où étot honoré Jupiter Olympien. [ Ολυμσία, 1 art de combattre dans les jeux olympiques, Aristoph.

(hvpwi*, «v , τα, jeux olym-

Îûques, qui se ce le b rot eut tous es quatre ans à Olympic y en ίhonneur de Jupiter. ΟΧνμνια <irotiîv, ou aytcv, célébrer les jeux olympiques, Ολνμ^ια vi* x«*, vaincre aux jeux olympiques. 0)ν|*βι*άνιλ/σΟοκ, remporter la palme aux jeux olympiques. 0*λνμ«π« <Γΐφανίσθα» , être couronné aux jeux olympiques.

Quelquefois on trouve avec Ιλύμβπα tadj. T* μι*/*λ«, comme dans Lucien, τω b\ juts ta xa Utyûa vivtx*W, à celui qui a remporté la victoire dans les jeux olympiques. Ολνμτχια tpa-ui?y xb çoioiov, dans les apoph-thegmes de Plutarque , lisez plutôt U 0Χνμταίχ ou ολνμσιοίσ», ad*, à Oiympie,

Ολύμπια, neut. plur. diXvfA-t*toç, V. δλνμν'.ος.

, o>v p al y surnom des Muses y comme filles de Jupiter, maître de l'Olympe. R. ρΧυμντος.    ,

Ολνμισίαξι, adv. de lieu */ de mouvement. Οίνν-πίαζι «aoeîvat, Thuc. venir à Oiympie. [ Ολνμ-«?αQt*,adv. d1 Oiympie. Ολυμ-«ίαθιν «λθων, venu d Olym—

<5\^®.«χ5>ς, î, eij· d’Oiympie

Olympique. ^ e O) jjxwik;, aioç, v « victoire remportée aux jeu* olympiques.

ΟΛΩ

àvcXâtuvc; , Jlérod. qui a remporté la victoire aux jeux olympiques.

d/vjxtytà;, combat des jeux olympiques , suivant Suidas.

0λυμσ«ας, OLYMPIADE. espace de quatre ans qui servoit aux Grecs à compter leurs années Cette manière de compter tiroit son origine de Γinstitution des jeux olympiques qu on célébrait tous tes quatre ans pendant cinq jours auprès de la ville d Olympic.

όλ'ψτηας y vent de nord-

OllO.st.

Ολνμ^Λς, Olympus, mere d' Alexandre.    ,

O/vfi/BTtai-Ti, adv. pour tv Ολυμrsia , à Oiympie. Το Ολνμτσιάσιν upoy , le temple d’Olympie. "Ncxav ολνμσιοίji , vaincre aux jeux olympiques. On trouve dans les apophthegmes de Plutarque y νικών «v ολνμ·βκάσιν ; mais la proposition cv paroit dévoir ctre iupprimee. Ολνμ·σ:χος, », ad), mem. sign.

qu'lXvfx tjiaxcç.

ÔXvfLTJiovtxriÇ. », by vainqueur aux jeux olympiques. R. Ολνμ-t?ta, νιχαω.

Ολύμπιος, », e, de 1 Olympe , qui habite ΓOlympe—céleste. Ολνμσιοι Scoî, Îes dieux olympiens , Jupitery Kept une y Platon y Mars Λ Apollon y Vulcain y Junon , Z7esta , Minerve, itères y Diane cl Vc nus*

Ολύμπιος, y, bf vent de nord-ouest.

Ολνμτσόνΐε pour «tç ολνμσο* , dans l’Olympe.

ΟΛΥΜΠΟΣt », ô, Olympe , montagne de Thés salie, si élevée qu' eVe semblait toucher les cicur , suivant t opinion des anciens. R. όλος, Χαρίσω, c. à

d. toute brillante, if ou vient que dans les poètes Ουμττος , olympe, est pris pour le ciel, le séjour des dieux. <5λΥΪηΘΟΣ , », ο , figue qui n’est pas mure ; figue qui ne devient jamais mûre. [ Ολυνθοφοριω, produire des figues qui ne deviennent jamais mûres-^-pro-duirc des avortons. Γ Ολυνθο-φ&ρος, », adj. qui produit des, etc. sens du verbe. [ ΟΧννθάζω, rendre les figues sauvages bonnes à manger.

Ολννθος, », i y OlYNTHE, ville de Thasalie.

OAYPA, ας. *, blé qui ressemble à l’épautre. ^

Ολώοn, ccç, adj. noir comme

OMA

l’encre que jette la sèche. R-ΙΧΙς pour 5οΧός. όΧωιος, », adj. m. sign, qulï·βς. ΟΧωΧα, Alt. pour ωΧα, parf. moy.

d'o).Xvp.i.

δΧως, adv. en totalité ; totalement ; entièrement ; tout-à-fait—universellement, en général— enfin, en un mot — certes, sans doute. dfAaicva, rassembler, ramasser.

R. ομαίος. dpait'w, faire du bruit ; être bruyan».    #

Οααίον, alv. sommairement ;

en abrégé.

Ομα&ος, », o, rassemblement; multitude rassemblée dans on lieu — bruit d%une multitude rassemblée. R. oj^cç.

Ομαιμος y », adj. (jui est du mètne sang; frère; sœur.    ^

Ofxatfi.ocvvTj, ης, v>, consan^ui-nité ; parenté ; fraternité.

Οααιρν,ονο;, adj.m*?m. sign. quZpatpoç.[Opawoytçepoi ψ »,

compar. plus proche parent. Π. όμός, αιμα.

Ομαιχμος, », adj. qui joint ses armes avec celles d*un autre; confédéré ; allié—compagnon d’armes. [ όααιχαΓα,    η,

association entre deux ou plusieurs guerriers; confédération; alliance offensive ou défensive. R. αιγμτ,.

Οριαλη, adv. ensemble.

Ομαλές, ιος, f’~ ίμαΧός· όμαΧίζω ,fut. ίσω , aplanir, iimr, mettre de nivrau ; égaliser ; rendre égal—adoucir ou réprimer la férocité.

Ομαλίζω, ramener à lVga-lité, à Γégalité politique.

Ομαλίζω , neut. aqir avec égalité; a;»ir ou procéder avec uniformité—être égal.

Ορια).ί£ο|Λαι et ομαλύνομαι , pass, être égalisé ; aplani, etc. —Aire ramené à Pénalité—se fairc d’une manière uniforme. Ομαλι<τμ^>ς, », ό, l’action d aplanir , de mettre de niveau, d’égaliser; de prononcer du même ton*

ΟΜΑΛΟ2, 5, r/ôiiaHç, «oç, adj. plan; uni ; qui présente une surface unie ; qui est de niveau. T b bμaAoψy plaine. Ομβ-λης Statxay égalité ciyiie. (kow&TYiî, νιτος,    égalité—uni

formité.

Ομαλύνω, mita% sign, qu*ομαλίζω· όμαλως, adv. également — tiitï-formément — am même degr^ —Uauquillemea^.

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0 \I II

Ôfxstortta, fat. ησω, aUer avec ; aller ensemble ; suivre ; accompagner.

OMAPTH , adv. poèt. mcm. jv^/r

çu ομϋ.

Οραρτήι ην , adv. mêm. sign, çue

CUM.

O^atpr/frYj», dans Hom. *r/ ^ Λϊ// pour ωμχρτησχτην.

άίος, ή, !.i totalité ; Γΐιπί-c ver*alité; ia ma»se—multitude. Οιχαπτις, cîoç, o, qui porte le i >nc!ier avec un autre, c. à d. compagnon d’ari.ies. R. fyAç,

άσ-ετις.

Ομανλος, iîj qui s'accorde avec; cjui* est en harmonie avec — , qui répond à. R. ανλο'ς.

OuZpya, pleuvoir—faire pieu-v voir R ομζρος.

Ομϊριημα, ατος, jh, pluie. [ 0μ-Çpnvος, î, adj. et 6μϋρηρΙς, », pluvieux.

0μ.~ρί<χς, η, pluie d’orage ;

averse. [ Ομ5ρίζ», mouiller;

^ arroser.

OpÇptuoiaxrprij ης, 09, «Λ». J/^ΛΤ.

çu &£ριμθ9ακτρη.

Ομοριμόισατρος , », mêm.    çue

M δβριμόισατρβς.

Ρ«μος, h , <ii/. mêm. sign, çue

οορίμος.

Ομβριος, », de pluie* Ομζριον 9 νοωρ, eau de pluie.

Ομ£ροολυ£ω* , οντος, ô, qui répand la pluie. R. £μ£ρος,

/3λν£ω.

ΟΜΒΡΟΣ, β, ô, pluie. £()μβροφό-ρο;, », qui porte la pluie. OuÇpo-tpépot νιφΛαι, nuages charges de pluie. Κ. φ/ρω.

0μ*θ»«ος, », qui est de la même e nation. R. ίμΐ;, ϊ9νος. ôutrto;, H, adj. qui habile la tnéme maison. l{, i~(x. Ô^rjvîTr)-, », qui couche dans Je même lit ; mari. [ <1μ«υνιτ«ς, |ί,δ>» épouse. R. ομος, (ύνη. Ομ.ίυιος, », mari. RI. H.

Ourr/tf u; , «t», adj. rassemblés. R. ctyitptû.

Ομηγνρις + ιως , η , multitude rassemblée ; ras.emblemcnt ; f»ule. [ Ομγιγνρίζομαι, rassembler dans un iricme lieu; assembler ; rassembler. R.

^ ayvpi;.

O^Ona, ας, *, similitude nu ressemblance de mœurs. [όμνίθ/ις, ιβς , adj. cjui a les même® mœurs. R. ήθος.

Oi^Atxta, a;, et Ion. YK, ή, égalité dVij;e; le même à^-r«*ux qui oui le ui^me âge. [

«lui a le latkue âge.

11. ithv.U*

OMI '

Ομηλνς, ν^ος , compagnon de t voyage. R. βλινΟω.

O'.opita, ας, η, faction de dont ner en otage—oiage. R. ομηρος. Ομηοπος, », ομηρος.

Ομηοιυμχ, ατος, rfc , Otage—gage;

assurance. M. R. όμνιρίύω, être donné enotoge; f servir d’otage.

Ομ-ηριω, fut. ησω, se rassembler eu un lieu ; se rencontrer avec quelqu’un—être d’accord avec—accompagner. όμηρίδης9 »t ô, imitateur d’Homère; sectateur d'Homère—

‘ rapsode — descendant d’Ho-mere. f 0μηρ(&αι, les descen-dans de ceux qui furent donnés en otage, à l'occasion d'un traité çui termina ta guerre entre les maris et tes femmes t dans Pile de Chio. R. όμηρος· Ομηρίζω, imiter Homère ; emprunter les expressions ou les

Îiensées d'Homère—chanter es vers d’Homère—être rapsode.

ΟμηριχΙς, », adj. d'Homère ; qui concerne Homère ; qui se trouve dans Homère ; dont il est parlé dans Homère. 0μη-pixx fan, vers d’Homère. Tî> ομηριχο* t ce vers d’Homère; cette parole d’Homère. [όμη-pcxoç, imitateur d’Homère— fait sur le modèle d'Homère— dans lequel on retrouve le ton ou le génie d’Homère. [ Ομη-ριχως, ad*, k la manière d'Ho-mi^re; comme fait Homère.

Γ Ομηριςης, », ô, qui chüllle les vers d’Homère—rapsode.

Oayyv'xivrρα, ων, rà, et ομηρο-Χί'ντρωνβ; , ων , ot , centoilS

d’Homère. R. χ/ντρον.

Ομηρομάςιξ, ιγος, ο, HOIUÉRO-AiASTix, c. à d. fléau d’f Join ère, surnom donné à ΖοέΙέ. R.

Ομηρον , », το, otage — gage ; nantissement.

0ΜΗΡΟΣ, », ô, otage — gage; nantissement.

(ϊαηρος, », i, Homère, te prince des poètes, grecs.’ R όμηρος „ otage, à cause quit servit (f otage dans ta guerre çui se fit de son temps, entre les lta6 i fans de Smyrne et de Colophon. D'autres ètymolo-gjs tes dêrirent όμηρος de μη οραν, na pas voir, à cause çue ce poêle était aveugle.

Ομιλα'Ϊον , poèt. pour ομχϊηδόν.

ΟμιΧ/ω, fut. ησω, pa?f. ώμΛηχα, aor, l ωαιΑησα , fréquenter ;

L hanter; av.oir coiumci?ce; avoix

OMI GS3

des relations avec quelqu'un. ΣοφοΤς ομιΧων x αντ^ς ixtr.vri σοφος, en fréquentant ies sages, vous deviendrez sage vous-même. Atsfc t» Γσ» όμιλιΤν Tivt, Thuc. traiter d’égal à é^aî avec quélqu un. Ομιλώ οντω wpoç ae, c’est ainsi qre je me conduis avec vous. Ομιλΰν rt»t ιτρος χαριν ou -ττρος ηδονην , Isocr. faire sa co*ir à quelqu'un ,par son assiduité auprès de sa per-sonne ou par des propos « f rea -h les ; car όμιλιΐν signifie aussi, converser avec quelqu’un ; avoir des entretiens avec lui; s’aboucher;nvoir afin ire à quelqu’un—avoir affaire ou avoir commerce avec une femme. ΟμιλίΤν χαι τοΓ; «τρα/μασι xal Tôt*,· άνθρ>ucrot; ουνασΟαι , Isocr. savoir manier également et le* hommes et les a&iires. R.

ομιλο;.

ÔuJt7v, s'appliquer k ; s’adonner à; cultiver, cultiver la philosophie, etc.

Oftâuv, s'approcher de — atteindre—toucher.

0{uXtTt ,    &    rassembler    ;

s'attrouper.    *

Ôuiio-^v, adv. par troupes; par bandes ; en foule ; pêle-mêle ; en se mèhtnt.    ■

όμίΧημα , «τος , τ'ο , visite de politesse, d’honnêteté—aôin*

^ r|u*on rend à qucl^u’un^ ΟμιΙητης, 5, e, qui a des restions fréquentes ou des entretiens fréquens avec quelqu’un ^ —disciple; auditeur.

Ομιλϊΐτίχ^ς, »,' adj. qui est d*urk agréable comiaerce , d’un Ko* commerce; qui est d’agréable société ; poli ; aff»b!e. όμιΧίχ, ας, η, fréquentation; habitude ; commerce ; liaison ; société—conversation ; entretien ; conférence [ όμάία, relations journalières d’un disciple avec sou maitre. [0μιλΓ«„ société, du mari et de ia fctntne — commerce , ifurt. homme avec une fcuuue.

Ομ-.λΐΛ trpo; ίονλους, b manière de se conduire avec sea. enclaves.

Ομιλία, Ion. ομι\(η9 rassemblement; réunion; troupe.

όμίΧιοα, homélies ; prédications.

ΟΜΙΛΟΣ, »,*&, trouper multitude; fou Ip—assemblée—réu^ nion [ ύμίΧψ56prend tycit<u0 fois aaverè. potir Ο^Χοςχ troupe de

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684    0    MO

troupe de soldats en marche —détachement, ό λίχίω, fut. νίτω , et όμίχω, fut.

ξο, uriner.

ΟΜΙΧΛΗ, Ion. ομίχλη, y)ç, »i, nuage—troub'e ; tumulte ; désordre; confusion Ομιχλωογ),*, ιος, attj. nébuleux — ténébreux—couvert de brouil-^ lards.

Ομιχμα, sync. pour ομίχνμα, ατος, urine η. όμιχ/ω.

(Τμμα , ατος, τ^> » objet de la vue; spectacle—aspect; vue; face -o il. R. otffloriat.

Ouucert’otov et ομμχτιον , », τΐ>, pt*{ii œil.

Op;JLaTOÇ*r-y;ç , «c* , adj. privé de • la vue. R. r*MfJU*, ç.plco.

OwctTO'j, dr *· ?»or f!i*s yeux ; fair·* voir—rendre. c Lu voyant Otuvv . près, impér. act. pour Ôf».vv01.

ϋ’·'?ίΥΛϊΙ , ςμννω 9 fit. ομτσω , parf. ώμοχα , Ait. ^ομωμ&χa ( a optra ), jurer; (aire *er-menî. Ομννναι τονς θιους, jur»*r par les dieux. Κατά τταιυνν cuvvvat » jurer sur la tète de ses enfans. fldovt <îè ^po; *μ btvTov, //o/m. il m’a jure' ; il m’a assuré avec serment. Ομννειν «ΐς TOV OviTcUtOV, Plut^ prêter serment à Vitellius. [Ομνυμαι, mcm. sign. q>t'ομνυμι. όμνΛίγμία , α; , tq , F. ομαιχμος. 0μ?χρ(9μος, », adf qui est du même nombre. II. όμος,

κριθμό;.

(ip.oj»via?, #x8ç, compris dans le même sillon; voisin. ôfj.^ioroç, », adj. qui se nourrit des mêmes alimens; qui fait usage de la même nourriture ; qui mène le même genre de ’ vie. R. ομος,βιόω.

/ας, adj. rpïi pousse en même temps. R. όμος , βΐ.αςίω, pousser, en partant des plantes.

()μ*βΜμ»ος, », mêm. sign, que συαίωμ ος. ίίμο^οίλαχίος, » , nourri du même kit ; frère de lait—frère. R. 7ctXa.    ·

da?V*’A^p(?1 f ων , oî , geridres d’un même beau-père; époux dont les femmes sont sœurs. R γαμβρός-dvoyarp'oç , », et ôaoyo?cwf . °?®Ç» ô, sorti du même seiu ; frère utérin. R. γας·ήγ.

^vov/vrioi, «ς % νι, parenté ; consanguinité. [Ομογενής, /ος, adj. qui est de la même rj\cç; payent—-frère. R. y<V*v    .

» RCVXOQÈNR , qu;

OMO

est du même genre. [Ομογινως,

adv. p^r homogénéité.

Ομογ/νιος , V. όμογνιος.

Ομόγλωσσος, όμόγλωτίος, »,fqm

parle la même langue. [ Ομο-γϊωτΊ/ο, parler la même langue.

R. y)w77a.

Ομογνιο;, d"ψογ/νιος, qui est de la même r »ce ; pareut—frere. Üuôyvtci £coi, les dieux pénates. [ Ομογνιος, surnom de J .pthr comme auteur et protecteur des familles. R. y/voç. Ομογν«μων , ονος , qm,    du

même sentiment- f O^yvtùuo-viv ,f’t.    , être du même

sentiment :    être du même

avis, être tfareord. Ο-χο,νωμο-vfîv iy.'jz'j, être d’arrord avec 5oi-mêniC. R. γνώμη.

Ομόγονο;, 8, adj. qui est d<* la même famille; paient — frère

— qui esl de 5a même nation —rjvii est du même p,enre. Ta ovAyova, les choses qui so,.t du même genre. R. γει'νομα*. Ομο'νραμμος, », ô, HOLOGRAMME. On appel oit athlètes honio-gramines. ceux qui tirotent au sort la même lettre, et qui par cette raison devaient combattre fnn contre Γautre. R. γραμμα. Ομ&ίαμος, ω, Dor. pour ομο'^μος. όμόίίλφος, », o, frère. R. «ΐελφυς. Ομο-ίεμνιος, », adj. qui couche dans le même lit ; époux ; épouse. R. ί/μνιον.    ^

Ομοίημ/ω, se mettre au niveau du peuple ; conformer sa con-duiic à celle d’un homme du peuple.

()μο<?ημος, », adj. qui est de la même nation — qui conforme sa conduite ou ses mœurs à celles du peuple ; populaire. R. όμος, ^Τίμος. ϋμο<?ιαϊτος, », odj. uî suit le même genre de vie — commensal ; camarade de logis. R. ίια'.τα. όμο-ΐοξ/ω, être de la même opinion. [ Ομοοοξι'α , ας, η , conformité d’opinions; accord de sentimens—gloire érj;a!e. Ομνίςςος, », adj. qui est de la même opinion—qui s’est acquis une gloire égale—également illustre—également glorieux.

Ομο<ΐερτσιος, », adj. qui assiste au même souper; couvivc. R.

Æ'JpSXOV*

(>μνίουλος, », compagnon d*es-

cl^vj^Ov R. ίοίλ .ς.    ^

ύμ™??:*·:** x -n, courir avçc ; courir de campa£»;e; concous

OMO

rir—marcher de front-^-allet

de pair. R. «μον, ίρ^μος. όροονναμο;, », qui a la même force. R. ίύναμις.

<5μοι0νης, /ος, adj. qui rst de U même nation, i^. Γ?>ος.

Ομοιιίή: , /ος, adj. UU» ^^t de

la niLine espece ; »jui ts «lit même genre. R. aooc.

0μοcpxf;//&;. το, IvbitPii >ti àe la i» eme demeure; son. ir .’i gv tis luLi.ri.it s in ie    -

teit un renrer.tv,:> <lat» » ίΛ lîHu-e •îic.’iite. ’Λ    Γ^-.'

Ol'jîzuç, », m. sgn. q^ : tit όμιλος. », <;ii a le êiiie n -je; ti;ii a le m *me objet d’émuia tjo.i. R. λος-όμοζυγζω, etr * sous le ir»ê»ne j()U^. R. ôpc^yvîç, /ος, et OMO-

ζυ/'-ς» »i Q^j q11* rsJ sons le v eme jou^—époux.[Of#.' Çwyto, ct;,vj. éti.t de ♦ eux », û sont nou> le même    état du

nr.rir.p.e· R·    ζί^ννμι.

όμο^νΐ, j/ος, cheval attelé avee un autre.

ΟμοτίΟης, £ος, qui a les mêmes

inœur^ H. ηθος.

Ομο0ί)ααος, », qui a le même lit au la. même chambre.

Ομοθεν. adv. du îiiêine lieu- 0 ομίΰζν 'τ;φυχώς, né des même parens—né du même père. [duo'Otv , de près. dμόθεoς, »k qui est également dieu. R. £ίός. όμοΒηρος, », compagnon de r basse. R. 3ripa.

ΟμοΟρονος, », qui est assis sur le même trône—qui partage la royauté. R. θρόνος. Ομόθοοος, », qui dit la même chose; qui est d’accord. K* £ρ·ίος.    %

ΰμοΟνμαΛ», adç. unanimement. .    1\. ^νμβς.

Ο^οΟνμία, ας, iq, unanimité.

Ομόθυμος, », unanime.

Ομοια, adv. de même que; commis Ομοια τοΓς ττολλοΤς, comme ^ vulgaire.

Ομοιάζω % fut. άσω, parf. ώμοιαχ?» être semblable ; ressembler ^ R. ομοΤος. [ Ομοιάζω, βί/. âSsl' miler a.

Ομοιϊος , poct. pour ομοΤος. Ομοίοβιος, et όμοιοβςοτος, », qui vit de la même manière. H* fuoç.

Ομοΐοολας-ανειν , pousser de ^ même manière. R. jSÀa'ri’y·

Ôpctoyi'vttct, ας, ΙΙΟΒΙΟΟΕΝΕΠ^· [ OaoivycvOî «    adj·    UOMO"

β i N K. R. y/vcç. djàctwtfvrç, /^s» ‘V’i la «wmi

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espèce ; qui est d'une nature

% semblable. R. ιΤίος.

OfACt i9pl£, y. οθριξ.

Ôiioto/ypTji'ai f produire des fruits se»nbla>.Ies à ceux d’un autre arbre.

Ομο:όχαρ«τος, e, adj. qui I orie des fruits, etc. R. xapwôç. Ofto cto Oj;, n, adj. semblable à ^ l’oroe. Ζμοιος, χριθη. Ομοιολογία, ας, η, monotonie tinris le discour.» R. λόγος. Ομοιομερής, /ος, composé de parties similaires. [ Ofxotontptta f ας, η, homogénéité des par-^ ties similaires. R. μφος, Ομοιον, V. όμοιος.

Ομοιοπαθές ou όμοτ»αθής, «ος, adj, qui a les mêmes affections, les mêmes passions, quun autre homme ou çue d'autres hommes ; affecte' de la même manière— —qui éprouve les mêmes acci-t dens. R. wàôoç ΟμοιοπαΟως OU ομοζιαθως, adv. avec les mêmes affections ; avec les mêmes passions. [ όμοιοσάθπα, ας, η, conformité d'affections , de passions ou de sentimens— OMOPATHLK y figure du discoursy çui consiste à émouvoir quelqu'un eλ réveillant dans son cœur les sentimens communs à tous les hommes, comme dans ce vers que Virgile met dans la bouche de Turnus pour at-fendrir Knée : Fuit et tibi talis Anchises genitor, etc. [ όμοιο-tjaOtü» et όμο-σαθω, avoir les mêmes affections ; avoir les mêmes goûls— être affecté de même, de même çu un aulre homme ou d'autres hommes. f M. R.

ΟμοιοττροσωοΙω, être de la même personne, en terme de gram-tnaire. f Ομοιοτιρόσωνχος, » , adj, qui est de la même personne. R. πρόαωτσov.

ΟμοιόηΊεροι , o>v, ( oise^ttx ) qui ont le même plumage. [ΓΪμοιό-rsltpa, ων , t3c . semblables aux t oiseaux. R, -rrJepov.

ΟμοιόπΊντος , terminé par des cas semblables. [ Ομοιοιο7ωτον,

», το, Homoptote , figure de style, lorsque par exemple deux membres d une période finissent par deux accusatifs, ou pur deux autres cas semblables. R.

^ πίτζΊω.

Ομοιό*η»οος, », adj, semblable;

au froment. R. πνρός.

QaoZoç, », adieclif, semblable; pareil ; e'gal. Την δμοίαν ά«ο-âhatj rendre la pareille. τ« ομνιΗ, pareillement—réci-prôquement. Εκ Qftty* égale* j

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ment ; a des conditions égales —de pair—dans un cas pareil.

'    [ ΟμοΓος, le même ; qui ne se

dément pas.

Οποίος, utile ; propre—proportionné. Πανθ’ όμοια ηας άνηρ αντω iron?, Soph, tout homme lait^ce qui lui est utile.

Ομοιον, «, το, similitude;

Î>arilé ; ressemblance —'simi-itude , fig. de rhétorique.

Ομοιον , adv. semblable-ment ; pareillement ; de la même manière.

Ομοισσημος, », adj, oui a la f même signification. R. σνίμα. Ομοιότχίνος, », adj, qui a le même habillement, le même ajustement, ou le même équi-' page. R. σχ<νος.

Ομοιός-ομος, », adj. qui a la même bouche—qui a la métne figure —cjui présente le même front. R. ςόμα.

Ομοιοσχτ,μον/ω, fut. ησω, être de la même forme—conserver la même position—avoir le même extérieur. [ Ομοιοσχημων , ονος, adj.qui est de la même forme; uniforme. Ομοιοσχημονις *rpo-τάσβις, Arist. propositions qui ** ont la même forme, c. à d.

qui sont affirmatives ou nega-t tives. R. σχήμα.

Ομοιοταχης, Ιος , adj. qui se meut avec une vitesse semblable , avec une vitesse semblable à celle d'an aulre corps, R. τ τάχος.

Ομοιοτιλίυτον, », τ)>, H0MCE0TÎ-LEUTON , figure * du discours quand les membres d'une période finissent par des verbes ou des noms a une même terminaison. II. τίλίυτη. . Ομοιότης, ητος, η, ressemblance ;

similitude.

Ομοιοτροπία, ας, η t manière semblable — mœurs semblables. [Ομοιότροπος, », adj, qui est de la même manière ; semblable. Και οσα τούτοις άλλα ττίς {πιμεΧείχς ομοιότροπα, Arist. et toutes les autres choses qui demandent le même soin que celles-ci. [ 0μοιότροσ»ς, qui a les mêmes mœurs ;t qui a le mîhnc caractère. [ Ομοιότροπη» etομοιοτρόνως, adv. delà même manière — avec les mêmes mœurs. R. τρότσος.    ,

Ομοιόω , fut. «σω , parf ΰμοιωχα, parf. pass, ώμοίωμαι , rendre semblable. [ 0μοι$μαι , être rendu semblable ; ressembler,; imiter ; avoir l’air de. [ Ομοιόω, comparer; assimiler; égaler. |    [ όμϊΐϋμςν , êltO ^iniilé 3}QIc*

OMO 685

όμοιόω -ιτρ^ς, accommoder à ; proportionnera, [όμοιόω, être semblable ; ressembler à ; imiter.

όμοιωθημιναι, Dor. pour ομοιωθη-f ναι, Infin. aor. i pass αομοιόω* Ομοίωμα, ατος, το, image ; simulacre ; figure ; ressemblance % représentation. «

- , Ο^οιωματιχος i , adj. qui exprime ou qui marqué similitude , en terme de grammaire· Ομοιωματιχον ίνχίρόνμα, adverbΦ de similitude, tel que έμοΓως. όμοιω;, adv. d'όμοιος, sembla— blement, pareillement—de lat même manière. όμοίωαις, t«ς, η, l'action d’assimiler, de comparer; explication d’une chose par le moyen d’une comparaison—comparaison , fig. de rhétorique, Ομοιο>σις, mém, sign,> çuê f ομοίωμα, dans ΓEvangile, > Ομοιωτης, ». â, qui imite les f objets, qui les représente. Ομόχατσνοι, ων , ο!, qui vivent à la mème^ fumée , li Itéraient, c. à d. qui sc servent du même foyer; qui habitent sous le 9 même toit. R. ο^ς, χάννος, .^μόχασος, », adj. qui mange au même râtelier—qui mange à la même table. R. όμος,

χάση.

Ομοχλάω, exhorter en criant oh en menaçant; crier d’une voix menaçante; gourmander —animer les chevaux par des cris. [ Ομοχλη , νίς, η , exhort a t Jo n accompagnée de cris ou de Tnenaces—menaces; reprô-ches. [ Ομοχλητηρ, νΐρος , ô, qui exhorte en criant, ou en me· naçant, etc. sens du verbe ομο-χλάω. R. ομας, χ/λομαι.

Ομοχλησάσχω pour ομοχλαω* Ομόχλητος, », qui a le même ' nom qu'un autre. R. χαλά». Ομόλιχίρος, », nui( couche dans le même lit. f ΟμόλιχΊροι, ων , le mari et la femme. R. Xlxlpov, Ομολογία), fut. ησω , parf, ώμο— λόγηχα, être du même avis ; consentir ; convenir ; accor-<ler, accorder une chose à celui contre lequel on dispute. Ομολογώ σοι τ»το, je suis de votre avis sur ce point ; je vous accorde cela. Ομολογ»μ«* άλλη-lot; . ou simplement ομοΐογνμιν , il est convenu entre nous ; nous convenons de part et d'autre. R. λόγος.

ΟμολογΑ>, promettre; stipuler ; promettre à quelqu un une rîu»« qu’il a demandée.

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686 OMO

ήζίΐν ώμολόγνιαα, Plat. ai promis de venir. [ Ομολογώ, faire vœu de.

Ofioloyw, avouer ; convenir. ύμο\όγτχτ( φόνον , il s’avoua l'auteur du meurtre. OfioXoyuv , faire profession

e. [ Ομολογ«~ν , approuver ; ratifier ; homologueb.

ϋμολογ<ω, capituler, entrer en composition; traiter avec quelqu'un.

Ομολογ« îvOat, act. convenir; accorder. [ Ομολογ«Γσ6αι, pass. être accordé ; être une chose convenue. όμολογβιται μ}ν γχρ ryjv *τόλιν τημων *ρχatoràrr,v «7νat, isocr. on convient généralement ou tout le monde s'accorde à dire que notre ville est la plus ancienne de toutes les villes. Ομολογώ νωϊν, etc. Plat, il fut convenu entre nous que, etc. Ομολφγκμοοι Xsyot, discours dans lesquels tout est d'accord ; dans les-

auels il n’y a aucune contraction. [(^λολογ»μ«νον, », convenable ; conforme ; analogue.

ΟμοΧογίΐσθαι f être promis, f Ομολογν$«ΐς, promis. [ Ομο-1ογ»μ/νως, adv. de l'aveu d# tout le monde—de l’aveu de —convenablement à ;conformément à ; d’une manière ana, loRue.

Ομολόγνιμα, ατος, το, ce dont on est convenu ; poinl accordé de part et d’autre , entre personnes qui disputent; article de convention.    #

0μο1ογγ)τίον , il faut avouer; il faut convenir.

Ομολογία, ας, ή, consentement; assentiment—accord, convenance.

Ομολογία, pacte; condition; capitulation ; composition ; stipulation. Ομολογία Inxcctxer, à des conditions raisonnables. [Ομολο>ι«, par composition, par capitulation. Παρας^σασΦαι ηόΧιν ομολογία, Thuc. forcer uns ville à capituler. 2υν«'$ησαν χαθ ομολογίαν, ils vinrent à composition; ils entrereot eu accommodement, όμολογία, aveu—confession.

9μ;λογος, » , adj. qui consent ; qui est d’accord : qui est du même avis—proportionné à ; accommodé à;analogue—Homologue , en terme de géométrie. [ Ομολογώ;, adi\ d’accord; avec consentement—convenablement; d’une manière ana-Igçue eu proportioouée. όμ®-

OMO

λόγως ΐχων, convenable ; analogue. [ όμολόγως , ouverte-tment, sa us hésiter. M. R. Ομολογ»μ«νως, adv. V. à la fin drt verbe όμολογιω.

Ομ'Λοχκ, ov , οί, soldats de la f même cohorte. R. λόχος. Ομομζθης, ro;, adj. qui a reçu i la même instruction; qui a appris les mêmes sciences. R. μανθάνω.

Ομομαςιγίας, », ô, camarade de fustigation ; compagnon d’esclavage. R. μάςιξ.

Ομομήτριος , », et ομομήτωο , ορος, ό, ι»η de la même mère ; frère ^ utérill. R. όμ^ς , μητηρ.

Oaov, mcm. sign. γϋ*ομοΐον , semblable , etc.

ΟμΙ>ν, adv. semblablement —de la même maniéré—ensemble.

όμόνιχρος, », adj. semblable aux morts ; frappé de la même corruption que les morts. R.

όμος, νιχρός.

Ομονηίνβί, », frère utérin. R.

vvjivç.

όμονοιΓον, », t^, le tempfe de la Concorde.

Ομονοιω % -5, fi ηαω,p. ώμονόηχα, être de la même opinion, du même avis. Ομονοβμιν ταντα , nous sommes d’accord sur ces chosps. [ Ομονο/ω, vivre dans l'union, dans la concorde, en bonne intelligence, [(5μονογ»τι-χος, » y adj. propre à entretenir ou à établir la concorde— —ami de la concorde. Γ Ομόνοια, ας, n» concorde; bonne intelligence. [ Ομονόος, contr. ομόν»ς, »t adj. qui est de !.. mime opinion—qui est d’ac-cord-’-qui vit dansla concorde, en bonne intelligence. R. vôo;. Ομονσιος, ομ»σιβς, », adj. qui a la même essence ; consubstan-tiel. [ <3μο»σιότης , τ,τος, νι, con-substantialité. R. «σια. όμοτσαθ-τ,ς , «ος , mêm. Sign, que ομοιοπαθής-Ομοσαθω, mêm. sign. φηΊμοιο— τααΟιω—de pl. être du même avis ; être d’accord ; donner son assentiment.

Ομότ^αΐ'ίΐς, ων, οι, enfans jumeaux. R. τταΐς.

Ομοπάτριος , » , né du même père, mais non de la même mere.

^μο-ατάτωρ, ορος t mcm. sign, que t ομοπάτριος. 11. τ-ατΥ)'»· Ομοισλίχνι;, «ος , et όμόσλίχίος , »,

f adj plié ensemble. R. têkixta Ομόσλοος, contr. όμότ»λ«ς , », qui navigue avec d!*aulre*j coin.-

OMO

paiïnon de voyage , sur un vaisseau. R. ιτλ©ος.

Ομόπολις , poét. θμότ»1ολις , «ως, qui est de la même ville. R. -ιτόλις.

O|iôo1ip9t, ων . adj. qui volent, ensemble—qui *on^ du même

t    —semblables, n. Vl«pôv.

Ομόν/Ιολίς, V\ Αμόσολι;.

Ομόβτ7ωτος, V. ομοιόσΊωτος.

ΟΜΟΡΓΝΤΜΙ .fit. Ιμόρζω,ρα/f. ωμορχα ( J'ouôpyto ), essuyer , nettoyer — imprimer ; empreindre.

Ομορ/ω, —ω, fut. νίσω, confiner; êlre continu; être voisin; être limitrophe. [Ομοιος, « , adj. qui confine ;tcontinu ; voisin ; limitrophe. H όμορος, sous-entm X'ôox, pays voi-i’i ; p'»ys limi-trophf* Ομορος ττόλιαος, guerre avec un peuple voisin. Tb ο,αα-pov . voisinage—les confins. H. ope;.

Ομορό<ριος , » , adj. qui habile

e jous le même toit. R. οροφ>ς.

Ομορόίίθρος, », qui a droit d'usage dans un même ruisseau ; 1 riverain.^ R. ptîlîpov.

Ouof poOie·,* faire du bruit conjointement avec d autres; faire du bruit à l’unisson, comme plusieurs rameurs qui meuvent tous leurs rames au même instant. [Ομορρο0«ω, être d’accord ; consentir—aider ; secourir. R. ρόθος.

Ομόρροος, ομόρρ»ς, », qui joint ses eaux à celles d’un autre ruisseau ou d’une autre rivière ; qui coule dans le même lit. [ Ομόρόοια, ας, ô , l’action de couler dans un même lit— confluent. R. ομος, ρ«ω.

Ομορνα-μος , » , voisin. [Ομορυσ^Αΐν) 9 *}* » ή > voisinage. R. ρνσμ&ς.

Ομορω, tr. ομορ«ω.

ΟΜΟΣ , η, adj. semblable , pareil. [ Ομο;, mêm.% sign, qne b αύτος, le même. Ομον Ιιχος , le même lit.

Ομόσαι , inf. aor. I έ/’οανυμι , fut. ομόσω.

Ομό<τ«, adv. dans le même lieu , au meine endroit. Ομόοτ« tt'va* ou όμόσ» χωράν, en venir aux mains; engager le combat—* aller au-devant de l’ennemi. Ομόσί γίγνισΟαι, être aux prises avec l’ennemi. Ομόσ« wopcvca-0-311 , JJrm. convenir ; tomber d’accord ; accepter une condition, un arraupement. Οαο·7* χωρ£~ν ou όμόσ« ΐ«ναι, aber a«i^

[devant de, dans un sens figure ; prévenir, aller au devaui d'*ιλ dangerh de*

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OMO

Opoct^ Jon. pour ωαοσι, 3« pers. sing. aor. i d'iuov.

• Όμοσθίνης, eoç, doué d’une Ton e égaie, égale à crlle (f an autre. H. σΘ/νος.

Ôae<ntJvot , ων, oi, qui mïm^ent du pain d·· ia ni^me huche ; un ménage. H. σιττύ*} Ομοσιτ/ο», êtr«‘ commensal [Ομόσιτο;, », adj. commensal. I». σίτος.

Ομόσχινος, «, (jui se 5ert des mèines armes ou d’armes semblables , semblables à celles d'un autre—«|iii se sert tirs mêmes instrument ou dûs même* ustensiles. R. axrûo;. όμοσχην/ω et όμοσχηνοω , J >f4ïr eous la même tente, être compagnon d’armes—lot^er avec, f Ομοσχ-ηνίχ , ας , η , 1 action de , etc. [Ορίτχ'ηνος, » , ό , qui loge sous in même tente ; compagnon d’armes. R. σχηνη Ομόσπονδος , » , ό , nui prend part aux même* libations — confédéré ; aUié ; ami. R.

awoviyj.

Ομοσττορο;, » , sorti du même sang ; frère. [Ομόσοτορος , dans Soph, est pris artiv. Tà ηαχρ\ς Ιμοσπορός rt xal φονίνς , tils

incestueux et parricide. R. ^ 4Ttrttρω.    ·

Όμοσσαι β ©μόσσας , port, pour ομόσαι, &μόσα;, ctC. ίΓζμννμι Ομόςιγοι, ων , adj. qui habitent sous le même toit ; camarades de logis. R. Çtyri. όμοςιχχω . -ιω. aller de compagnie ; aller ensemble ; accompagner. R. ςιίχω.

όμόςοιχος, Ιμός·.χο» , adj. placé dans la même ligne, djus la même rangée—compagnon ou compagne. R. çoT/oç.

(5μ6ςιλος, h , q , envoyé avec d’autres; compagnon de voyage ; compagnon. R. ς·/λλω. όμόςοργος , # , qui aime autant qu’il est aimé. R. ςίργν. Ομόσφνρος , » , compagnon de voyage—frère. R. σφύρα. Ομοσχνίμων , mfm.sign, ^’όμοιο-σχνμων , uniforme.

(ΙαοτχγιΤ; , ων , adj. placés dans le même rang ; dans le même ordre. [ Ομοτ«7«>ς , adv. dans le même rang ; dans le même ordre , dans le même ordre ecclesiastique. R. τάσσω. Ομοτάλαντος, m, adj. qui est du même poids, du même prix. R. τάλαντον. όμόταφος, » , adj. enseveli dans le même tombeau. R. τχφος. όμοταχω;, adv. avec une vitesse

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semblable, semblable à Celle' d'un autre ; avec la même vitesse. U. τοίχος.

ΟροτκλιΓς, «ων, adj. soumis au menu· tribut. R. τ«λος. Ομοτ<ρμων , ονος, adj. qui coniine; continu; voisin; limi-^ trophe. R. τ/ρμα.

Ο^οτίχν/ω, -ώ , prolesser le même art ; être de la même profession qu'une autre personne. [Ομότιχν^ς, », ô, qui professe le même art ; qui est du même méiier—m*m. sign. que σίντιχνoç.

Ομοτιχ^ς, », aJj Ομοτιχά ièuppy)-[jar<x , adverbes de jurement, en terme de grammaire. R.

ομνυμι.

Ομοτιμίχ, β; , r> , égalité d’hon-xietir, de rang, de considération. ("Ομότιμος, », adj. tjui jouit o’un ran» égal a celui d’un autre ; égal en dignité— <jui jouit d’une considération égale ; également honoré. [ Ομοτίμως, adv. dans un rang égal ; avec, une considération

# égale. R. τιμνί.

Ομότιτθος , » , adj. qui a eu la même nourrice; frère de lait. f R. τιτΟη.    1

Ομότοιχος, », adj. séparé par un mur inito)eu. R. τοίχο;. · όαότονο;, β , adj. également tendu—qui est toujours sur le même ton ou àw même ton-monotone—uniforme. [ όμο-τονως, adv. sur le même ton ; sans changer de ton ; avec une égale tension ; à ia maniéré des choses également tendues; avec monotonie — uniforme-t ment. R. ôu.^;, Tcivt». Ομοτρχπίζος, qui mange h la même table ; commensal. R. ôw.o; , τρχητίζχ. όμότρίχot , ων , ot , qui ont les mêmes cheveux—qui ont le e mêiiie poil. R. 3ρίξ.

Ομότροπος , v, adj. qui a les mêmes mœurs—qui a le même caractere—semblable—\*onve-nable ; conforme. R. το^ιτος. Ομοτροφος, », adj. qui est nourri ou élevé avec d’au 1res ; commensal—qui sert à l’entretien de personnes nourries ensemble. R. τρίψω.

Ομοτρογοίω, m vn. sign. qucttAX-τροχχω.

0μ3 , adv. ensemble ; dans le même lieu. [Opii?, avec. Otoî; Qtxj, Soph, avec le secours des dieux.

Ομ$f en même temps; à la fois ; également—de la même , manière.

OMO 6 87

t Ομ2 , proche , auprès de. Ορω ToAatvory £vpv<^txvtv oun i«-μαοτα την Κρ/οντος, Soph, jtf vois auprès de la malheureuse Eurydice la feuime de Créon.

[ Ctus , presque ; à peu près-environ. Ope rt , mcm. sign, qu’ôpi , ensemble *— à peu prés, etc.

défiai , fut. Λ moy. ^’opwfj.i t je jurerai , etc.

(J|aovw&V*wî t » . adj. consubslan-liel. R. v-ero f ΐςνιμι.

Op spew , Ion. pour όμοριη.

Ομβριος, et Ζμνρος , « , Ισα* pour ομορος.

Ομνσιος , « , adj. consubstantiel.

[ Ομπσιότης, ν»τος, η , consubs-tantialité; unité de substance.

R. iatat.

Ομόφθογίος , β , adj· qui a lé même son. R. φθόγίος.

ΟμόγΧοιος, », adj. qui a une écorce semblable à et lie d’au uutre arbre. R. φλοιός.

Ομόψοιτος, » , qui va de compa--gnie avec d’autres; qui accompagne. R. φοιτάω.

Ομοφρ*£μων , 4»νος, adj. qui forme un dessein de concert avec un autre ou avec d’autres—qui est du même avis—qui est d accord — unanime. R. φράζω. [Ομοψρχ^Υΐς, /oç, mêm. sign.

όμοψρ**/» , avoir les mêmes in -tentions, avoir la même volonté , ta même volonté que ttautres personnes; être dtt même a*is ; être d’accord j être unanime. R. φρην.

Ομίφρων , όνος , adj. qui est <îu même sentiment — qui n’a qu’un m^riie esprit, qu’üne même volonté, avec une autn personne nu d'autres personnes. [Οροφοοσύνν), ης, f), accord de semimens , d’opinions ; concorde; unanimité.

ΟμοψνΥΐς , Ιος , adj. qui est de la même nature. R. φύω.

Ομόφυλος, e, adj. ejui est de la même tribu—qui est du même sexe—qui est du même geuru —qui est de la même espèce. R. ομώς, φνλη.    ‘

Ομοφων/ω , fut. -ησω , avoir fnr mime voix, la même voir qtte celle ttun autre; faire entendre le même son—être h l’unisson ; être d’accord — parler la même langue ; employer le même langage. [Ομοφωνία, α.ς t ih , ressemblance de la voix— accord d’une voix avec unit autre ou avec d’autres ; concert ; unisson—chant simple j cJwpt qui n'a point d’ac-

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688 ΟΜΠ

compagnement. [(5μόφωνος, #,-adj. qui a la même voix ; qui fait entendre le même son, et autres sens du verbe ομργω-ψΐω. [θμοφωνο»ς, adf*. avec la même voix ; d’accord ; à l’unisson. U. fWVV).

Ομοχοίνιχίς , «ν, οί, soldats ou esclaves dont la ration est chaque jour d'un chœnix , V χοίνιξ. [ (ίμοχοινίχις , ceux qui mettent en rommuu la ration qu’ils reçoivent chaque jour, et qui contribuent chacun aux frais de la dépense commune.

Ομόχροια, «ς, η, Ion. όμοχροιίη, ης, ressemblance de couleur —une seule et même couleur. A(« την όμόχροιαν , JCén. à cause qu'ils ont la même couleur ; à cause qu'ilç. ont une seule et même couleur. R. χρόα.

Ομοχρονιω, être du même temps ; être contemporain. [Ομόχρονος, «, adj. qui est du même temps, du même âge j contemporain. R. χρόνος.

όμοχροος, -χρνς, gén. én et οος> adj’. qui est de la même couleur ; qui est d'une seule et même couleur.

Ομόψηφος, «, adf, dont le suffrage est conforme à celui des autres—-qui f est de la même opinion. [Ομόψηφος, dont le suffrage est compté avec celui des autres ; qui est admis à voter ou à donner son suffrage. (Ομόψηφος, dans T hue γ d. pour ίσο'ψήφος. R.    ος.

Ομόψνχος, m, adj. qui n’a qu'un même esprit et qu'une même volonté avec une autre personne ou avec d’autres personnes—qui vit dans le plus parfait accord de sentirnens avec, etc. ■— unanime. [ Ομο-ψυχως, adv. dans le plus parfait accord de sentirnens; unanimement ; d'un commun accord , d’on sentiment unanime, à l’unanimité. R. όμος, ψυχη.

Ομόω , verbe inus. dont ΐμνυμι emprunte le fut. οαο'σω.

avec un esprit rude, unir. [ΟμβσΟαι , s’unir. ^

Ομ-σνιιάχιιρ, ιιρος, adj. qui donne d’une main libérale — abondant ; copieux. R. ομβινιιος,

Xttp.

ÔMÏTNH , vjç , v) , les fruits de Cérès ; le blé—aliment, nourriture. [ Ομτανιιος , v , adj. ϊμτπνιος , » , ομβτνη^ος , S , adj. qui sert de nourriture; nourricier ; vital. [Ομτσνιιον et ομσ-νιον, », ce ^ui noue fait

ΟΜΦ

/ respirer et vivre ; ce qni est la source de Ja vie ; nourriture , aliment. Ομηνια Δημη'τηρ, Cérès, la nourricière des* hommes. Ομετνιον ν<?ωρ, l'eau , qui est une des sources de la vie. Ομντνιον νιφος , Soph. nuage chargé des eaux nourricières fde l'homme.

Ομφοίχη, ης, ή, verjus, suc acide qu'on tire du raisin vert. R. ^ ομφαξ.

Ομφαχίας , acide comme du raisin verl—fait de raisin vert.

Ομφαχίας, au fig. ; aigre. Ομψαχίχς βυμίς, esprit aigre ; humeur aigre.    -

Ομφαχίζομαι. cueillir les raisins verts—voler.

Ομφάχινος, v, adj. fait avec du raisin vert—fait d'un fruit qui n’est pas encore mûr.

Ομφάχιον , h , verjus, suc du raisin verl.

Ομφαχις, ίδος, η , la tasse d’un gland.

Ομφαχίτης, », fait avec du raisin vert.

Ομφαχίτις , ιδος , η , petite ΙΙΟΓΧ ( de galle.

Ομφαχάμιλι, ιτος, tb, médicament conyjosé de miel et de verjus.

' R. ομφχζ , μίλι.

Ομφοιχορράζ , ομφαχοραξ , &γος OU άγος , dont les grains ne sont pas mûrs. R. ράξ.

(5μφαχωίης, ιος, adj. acide comme e du raisin vert.

Ομφαλητομία , ας, η. et Ιμφαλο-τομία, ας, amputation du nombril. [ Ομφαλητόμος , « , et &μφχ-λοτόμος, », η, qui coupe le nombril ; sage-femme. R. 0μ-φαλος, τιμνω.

Ομφάλιον, «, το , le milieu élevé (l’un bouclier ; la bosse d’un bouclier.

Ομφαλις-yip , ηρος, ο , instrument tranchant avec -equel la sage-femme fait l’amputation du nombril à l'enfant qui vient de naître. R. ομφαλος.

Ομφαλόκς , ιντο;, adj. (fui a un nombril — fait en forme de nombril—qui a la figure du nombril—dont le milieu est bosselé—courbé en voûte.

ΟμψΛ/.όχχρηιος, », adj. dont le fruit ressemble au nombril. On donne ce nom à une plante appelle aparine ou grateron. R. ομφοώος, χαρσος.

ΟΜΦΑΛΟΣ , 5, ô, nombril—le milieu ; le centre—le centre d’une année—le milieu élevé ou la bosse ou le centre d’un bouclier — petite boule ronde

ONA

qui se mettoit au bout de ta

baguette sur laquelle on rou-loit les ouvrages des amieris —le nœud d'une figue, d’une

Îtomme , d’une poire , etc. t a clef d'une voûle.

Ομφα)ώίτς, to;, adi. qui a la f forme du nombril. R* ιΓίος. Ομβαλωτος, δ, adj. fait en forme ae nombril—dont le milieu m est bosselé.

ΟΜΦΑ3 , αχος , η , raisin vert J verjus — olive qui n’e>t pas ‘encore mûre—fruit vert. ΟΜΦΙΙ, ης , η, réponse donnée par la Divinité; oracle divin —voix.

Ομφηΐίς, ιντος , adj. fatidique; t prophétique—vocal.

Ομφητηρ , ηρος, ό , qui rend des oracles ; prophète ; devin. R. » έμφνί.    _

Ομφώλαξ, αχος , mém. sign, que ' όμορος. R* ωλα£.

Ομώμοχα, Alt. pour ωμο»χα. Ομωνυμ/ω, avoir le mêmet nom qu’une autre chose. [ Ομωνν-μία, ας, η, nom commun à des choses différentes—«:»jhÎ-voque. [Ομώνυμος, s , adj. qui porte le même nom qu’une autre chose, quoiqu'elle soit de nature différente ; homonyme. R. ονομα.

Ομώνυμος, qui a plusieurs sens différens ; qui désigne plusieurs choses différentes ; équivoque. (Ομώνυμοι λΐ'ξιις , mots qui ont des synonymes —mots synonymes.

Ομωνυμως, adv. de même nom. Ομωνυμως χαλιΤσθαι , être appelé du même nom.

Ομνννμως , sous une seule et même dénomination. Ομωρόφιος , h , et ομωροφος , 8 , qui habite sous le même toit. R. οροψος.

Ομως , adv. ιΓομ^ς , semblable-ment; de la même maniéré —d’une seule et même maniéré — également ; pareillement. [    , suivi du datîf,

autant que; non moins que; de même que ; ainsi que.

όμως, cependant; néanmoins ; toutefois. [Ορως δε , ομω; ê' av , ομ«ς μ/ντοι , ομως μ*ν f f mêm. sign. [Ομως <ic, quoique. Ομωχ/ται , dieux honorés dans le même temple et Sur le même autel. R. Γχω.

Ον , arc. sing. masc. ^*ος, ·η, S, —cv, partie, près. neut. , ^ »σα, ον , ^ιιμί. Γ.,ων.

Οναγρος, v , ό , ONAGRE , âne Sauvage. R. βνος, ίγρ6ς. .

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. ONE

Ôveyptoç, », adj. d'onagre; (qui conc erne les onagres.

Οναγρόβοτα, ων , Ta , lieux où paissent les onagres ; lieux propres à servir de pâturage aux onagres. H. βόσχω. · Ovaco , V, OYYjfjLi.    ,

Ovatov , h , xo , plus utile ; meilleur ; preferable. H. ëynpi. Ovapuxt , opt. άνοιξην , V.,ovnp-i ONAP, indècl. f songe ; trêve. Kar’ o^ap, 0e simplement ovap, en^songe—en dormant.

Ovap , ombre , au fig. Ovap iXtuBspixç, une ombre de li-% berté.

Ονχριον, », το, petit âne. R.ovoç. OvxvtT t Dor. pour ονη<τιι.

Ονασις, Dor. pour ονησις.

Ονατιχΐ>ς pour όνητιχός.

Ovfix, pl.t. neut. /oviio;.

Child t ας, tq , sous-ent. iopSt, ^ peau d’âne.

Οί/icop, ατος, to. utilité; avantage; profit. [ ΟνιΓατα , choses utiles — alimens ; mets. R.

%VV)fJLt.

Ôvititta, ας, η, f/&Wi£ca, ας, ι&, honte ; opprobre ; déshonneur. R. ovetioç.

Ovitietoç, », adj. &yit£toç, g, outrageant ; déshouorant ; diffamatoire.

Ovttftctf y. &v(t£ifa.

ΟνίΐΧίζω , fut. ισω, ParJ· ών«»<ΐιχα, outrager ; injurier — reprocher ; hlâmer ; accuser—reprocher queltiue rhoseii quelqu’un pour lui faire honte ; reprocher d une maniéré injurieuse. [ dvcjicÇopL«t , être outragé, etc. [θν«ίίι<τμα, ατος, *** i propos outrageant ; reproche injurieux ou déshono-% raut ; insulte—outrage. ΟνιΓίιος, y. ovctitioç.

Ονί£^ισ**ος, 5·, ô, Taction de reprocher, de (aire un reproche offensant—reproche injurieux ^ ou offensant.

DvftJ(t-})p, 7,ρος, o, ivftit çhç, 3 » δ , nui reproche [Ονκίις-ίχ^ς»

S, adj. de reproche, dvnitçtxoç λό/ος, discours dans lequel on reproche quelque chose à quel-t qu’un—reproche offensant. û*u<?içbç, », adj. honteux ; déshonorant ; outrageant ; injurieux [Ονπίις-ος, déshonoré ; qui doit être déshonoré. 6μειδος, ιος, τ6 , opprobre ; déshonneur ; honte—reprot he offensant ; parole outrageante ; injure; inculte Εις οναδος χα-rxçrjaat τινα, déshonorer quelqu'un; ie couvrir.de honte.

ONE

(‘Ovtiioç, en bonne part, gloire J ^ lonneur.    ¥

Ονυβς, «r, adj. d’âne.)Oycta, sous-ent. iopà, peau d'âne. [Ov«îov, », το, lieu destiné à loger des ânes.

Ονιιος , Ion. όνηΐος, », adj. utile J avantageux. R. Svvjpu. dvccpocta , «v , τλ , songes ; rêves —chimères. On trouve quelquefois te gén. singul. ov tip ατος et le datif όν«ι'ρατ(.

O'vc/peto;, « , adj. des songes ; qui a rapport aux songes. f!v ονϊ?ρ£ίη<τί -ιτνλτpet, Horn, dans le palais des songes.

Ovttpoxptfyjç, », ô, oui explique ou cjui interprète les songes. OvitpoxocTixoç, 3, adj. qui concerne l’explication des songes; qui sert à l’interprétation des songes.

Ονκροχριτιχ^ς , habile à expliquer ou à interpréter les t songes. R. cvttpoç, κρίνω. ΟνιιροΧογία, ας , η , discours OU traité sur les songes. R. Χόγος. Ovitp‘'pxvT«ç, «ως, o, devin qui

S rédit l’avenir par le moyen ^ es songes. R. Svtipoç, μάντις. Ovctpov , v , r. ονιιρος.

Ον(ΐρόΐ!τληχ1ος, », adj. frappé d’un so»nge—sujet à être alarmé par des songes. R. πλνίσσω. Ovitpo-σολΐω , s’occuper de Fin-tet prétation des songes ; deviner l’avenir par le moyen des songes — tromper ; amuser quelqu’un par de vaines chimères. [dvttpoOToiic#, songer; voir en songe ; réver de—rêver, au fig., se livrer à des rêveries, à de vaines imaginations. [ Ον«ιρο-ατόλος, », ô, qui fait profession d’expliquer les songes ou de prédire l’avenir par le moyen des songea— celui qui prédit l’avenir par le moyen des songes? qu’il a eus lui-même. R.

Ovtipoç, », ο, sonçe ; rêve ; vision dan» le .sommeil. Κρινασθαι ou νσοχρίνασθαι oviipuç, expliquer ou interpréter les songes. Δινρ γιίσθαι ονιίρνς , mem. sign. ’ Ο/προς, le dieu du repos. Oviipov , », τ^ , soupe, i*êve ; ce qu’on voit en songe.

Oviip^axowoç, «. mêm. sign, que ovftpoxptrnç. R. «our:».

Ονπρόφαντος, », révélé en songe.

R. φαίνω.

Ovctpôtppwv, ovo;, adj. habile à interpréter les songes. R.^p^v.

Οιαιρωγμος, » , o, iOUge lascif. R.

•νίιρώτ/*).    ♦

ONH 68nt

Ακρωξι«ως , $ , l’action de songer, de rêver ; songe.

Ονιφώσσω, -τ^ω,////. ξω, songer ,

^ rêver—avoir des songes lascifs. Ονιυος , » , ô , moulinet; tourniquet, pour enlever ou tirer des fardeaux.

Ονινω , tourner le moulinet. [θν«ύομαι, tourner le moulinet —bander ou tenir tendu paD le moyen du moulinet.

Ovew , thème inus. dont ovyju»

} emprunte te futur IW,?».    *

OvTjy^atoç et 4νη)άς, S, ânier. R·

ον·ς, άγω.

Ονηϊος, »,tî, Ion. pour Svttoç,' utile. [ Ov*ftV°ç* », supert. très-utile—qui excelle. [ Ovyfiço' ^ compar. dans A poil, plus utile· R. ovvjpi. όνη\άπης, 8, ô, ânier. [&ηλατ«ω, être ânier ; conduire un ân· ou des ânes. R. £νος, IXαννω. ΟΝΗΜΙ, ôvitiifit, fut. έννίαω (Λ-*w», inus.), aider; être utile; être avantageux; servir. 2« τίτό γι γ~φας ùvvjvci, Hom. tel sera l’avantage aue vous pro·* curera votre vieillesse. [<)vv)/xat>f pass. «vofMu et hvivo^iat , être aidé ; retirer de l’utilité, de J’avantage; recueillir du fruit·' Αλλοι ôvcvavTat όρωντις , etc» Plat, il est utiJe^our les autres de voir, etc. £μ«λλιν όί^α τ-~ς «avHpyiaç èvricacQai , Srn. il alloit recueillir le fruit de soa artifice. [Ονασβαι, aider, dans Sjrn.    "

(ϊναιο # a* pers. sing. prés. opt. jouisses de ; fasse le ciel que vous jouissiez de, qi© vou* trouviez , que vous obte-· niez.

Ovrjat, blâmer; reprocher; foire des reproches offensam , des reproches injurieux. £dva-μαι, mêm. sign.

Ονησιαί, Ion. pour iv>f<nj, 2e pers* t sing. fut. i tf Ôyr/pat.

Ον-ησιι, 3* pers. sing, du futur èy/σω—èvrjatt, Alt. pour Ινησγ , d οννίσομαι.    '    ·

dvW^poç, n, qui fournit ce qui est Utile—bienfaisant, f Ovrjac-ίώρα , bienfaisante , èpith. dé % la terre. R. ôy/ω , δωρπφ. Ονύσψος, *tadj. qui peut aider ; secourable—utile ; avantageux.

R. OVTJfAt.

Ονησις, «ως, ιζ, aide ; .secours ;

assistance—utilité ; avantage ; t fruii.    ^

Ονητιχος, g, adj. utile ; avant a* t geux; qui peut servir, θνητός, i, adj. dont on peut ÀQUir.

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€>j ο    ΟΝΟ

Ονν^ς> répréhensible ;Jblâ-mable.    β β    β

Ονητωρ, ορος, ο, qui aide—utile. ΟΝΘΟΣ, «, ο , fumier, de cheval ou de bauf. [όνθηλινω, fumer. Ονθνλ{«ο», fut. ινσο», apprêter délicatement ;    savoir    bien

assaisonner des mets. [ OvOw-Xsvai;, <ως, ιό, apprêt délicat ; assaisonnement ; raffinement de cuisine.

Ôvtaîai, «», «î, fumier d'âne.

R. ονος.    ^

dvtiiot, ων, τα, fumier de cheval ou d’âne.

Ονίάον, «, Ά, petit àne ; ânon. Ονιχος, 5, adj. d’âne ; qui appar-, tient à l’âne—lourdaud. Μύλος ©νιχ^ς, celle des deux meules qui est au-dessus de l’autre «ans un moulin.

Ovivvjpt, mêm. sign. φίίηψχ· Ονιος, », adj. utile.

Ovcç, Weç, rit fumier d'âne.

‘ Ονίσχος, », petit âne; ânon — essieu d’un moulinet — cloporte-chenille—merlu, scie, poissons. [ Ονίσχος, scie de serrurier, suivant Hèsych. όνκτχω, aider j être utile. R.

OVVjfJLl·

OvTrtç, têoç, v, origan, plante. Ονο£ατ/ω, accoupler un âne avec une jument. ( Ονοβατ/ω, neut. se dit de Vaccouplement de fàne avec la jument. R.

ονος, βαίνω.

Ονοβάτις, ι£ος, νι 9 femme promenée sur un âne, punition établie à Cumes contre les femmes surprises en adultère.

[ όνόβιςις, mêm. sien. όνόβλιτον, *, Λ, blette, herbe polagere. ^    ^

ψόορυχις, sainfoin, herbe. Ovoyvpoç, mêm. sign, fif’avayvpος. Ονοχ/νταυοος ,    », ο , ^ monstre

moitié nomme et moitié âne. dvox('v<faç, », Ινχίνδιος, et bv6-χννίος, », o, ânier.    ^

Ονέχληα y ας, ri » orcanette, herbe. Ονοχρόταλος, »,ô, ONOCEOTALE; pélican, oiseau aquatique. R. ονος, χρίτος, à cause que te cri de cet oiseau ressemble au braire d*un âne. dvoxéwo;, «, o, qui fait tourner la meule d’un moulin ; qui travaille dans un mouKn à bras*. R. δνος, χό»1ω. dvixwioç, », T), qu» a des pieds d'âne. V. Ιμ«τονσα. R. χώλον.

6 NOM A , poèt. οννομα , Eol. οννμα, ατος, rfc, m ni. Τίθ«σθαι ονομα, donneru^ nom; nommer. [ O^o^a, nom, en terme de grammaire—mol ; parole

^ ONO

Ονομα, nom ; célébrité ; renom.

Ονομα, prétexte. Mer* Ονομάτων χάλων, sous de beaux pré-t textes.

Ονομάζω,/β/. άσω, pnrf ώνίμαχα, parf.pass. ωνέμασμαι, nommer; appeler. Tîjv μ^ν À pc-την , τί)ν il Σοφρωσννην ώνίμασι, Plut. il donna à l’une le nom d’A-rete , et à l'autre celui de So-phrosyne.

Ονομάζω, nommer, c. à d. prononcer le nom d’une personne ou d’une chose—spéci-ftcij dans un recensement ou dénombrement chaque personne ou chaque chose par son nom.

Ονομάζω , dire ; énoncer. l?4T9t xal άρρητα Ινοροίζων, /?em. disant également ce qu’il fal-loit dire et ce qu’il falloit taire.

Ονομάζω, célébrer ; chanter; vanter : on trouve plus souvent dans cette signification le pari, pass, ώνομασμινος , célèbrfc ; renommé.

Ονόααθ«ν, Bèot. pour ώνομάθησαν, 3^ pers. pl. aor. I pass. /’Ονομάζω.

Ονομαθίτιω, fut. ι£σω, nommer, c. à d. imposer un nom. [ Ovo-μαθ/της, », δ, qui impose un nom ou des noms. R. ένομα, τίθνιμ».

όνομαfut. δνοσομαι, aor. 1 ώνο-σά/ftvivblâmer; reprendre— reprocher—insulter; outra-t ger. U. βνημί.

Ονομαίνω, fut. ανω, aor. t ώνομήν a, mêm. sign, ?α’&ν·μάζω. Ονοααχληίτον, adv. en appelant enaque personne ou enaque chose par son nom ; nom par nom ; nominativement. R. ?νομα , χαλιω.

0»9μαχ)η<ΐην χαλιΓν signifie quelquefois : appeler quelqu un par son nom propre. Ονομαχλητωρ, ορος, ô, celui oui est chargé td’aller inviter des personnes λ un repas—nomen-clateur; celui qui nomme les citoyens à ceux qui ont intérêt ?de les connoitre. M. R. Ονομάχλυτος. », adj. dont le nom est célèbre ; renommé. R

χλντός.

Ονομασία, ας, η, dénomination ;

' désignation par le nom ; nom Ονομασμα, ατος, Λ, dénomma— t tion ; nom.

Ονομαςτόρια, ων, τα , ONOMASTi— El es , fêtes que Coa cèlèbroil le jour où Von% donnoit à quel·

ONO

quun le nom qu'il Jerait porter.

όνομας-Ι, adv. nominativement; par le nom. Ον·μ«ς) xaJUTv ou irp«7070|)(v(iv, appeler quelqu’un par son uom. [ Ονομα-?ιχ^ς, 5, adj. qui sert^à nommer ; appellatif. Ονομαςιχύ -κΊωσις, ou simplement èvoμα-çcxvj, le nominatif, en terme de grammaire. Ονομας-ιχύ τ/χνη, Îart d’imposer des noms aux choses. [ Ονομα?<χ^ν, ï, το , lexique ; dictionnaire.

όνομαςίς, 5, Λ^/ qui peut être nommé—qui doit être nommé. Ovx όνομας^ς, qui ne doit pas être nommé ; dont le nom ot de mauvais augure—exécrable.

Ονομας-^ς* célèbre ; renommé. [ dvομοίως , adp. avec \ célébrité; glorieusement R.

Ονομάζω.

0νο(χατογραφ1ω, tenir registre des noms. [ Ονοματο?ράφος , qui tient registre des noms. [ dvo-μανγρχφία f ας, τη , registre des noms — catalogue de noms— nomenclature. R. ypà<po>.

όνοματοθισία, ας , η , Pactioa d’imposer t un nom ou des noms. [ Ονοματοθβτης, · *, ô, qui impose un nom ou des t noms. R. τίθημ*.

Ονοματοθΐ7ρας, », ό, qui épilogue sur les mots—qui (orge de nouveaux mots. R. 3»'pa.

Ονοματ·λο7ος, », of nome n dateur; celui qui dit les noms des citoyens à ceux qui ont in-

# térêt de les connoitre. R. \ίγω.

Ονοματοιτο((ω, forgelr de nouveaux noms, de nouveaux mob — former des noms ou des mots par onomatopée. V. όνοματβ-ντοιία.

Ονοματονοι/ω , nommer ,

c. à d. imposer un nom, donner un nom à une personne ou à une chose.

dv©ματοτίτοι^ς, », ô, qui forge des noms ou des mots. [ Ovoua-Tot7G(fa, ας, η , l’action de ior-ger des noms ou des mots—-onomatopée , formation d’un mot dont le son est imitatif de la chose qu’il signifie, tel que les mots glouglou, trictrac, cliquetis, etc.

Ονοματονργος , 5, o, qui forge des noms ou des mots ; qui impose des noms aux choses. R. Tpyo*. Ovotjopiov , », τ^, pet-d’âne, plante. R. 2νος, -iropi>). Ονό-σνξος, », ô, oWopyxe, espècs de chardon.

ONOZ, v, âne. [ Ονος, rj 3fem.

ΟΝΟ

â η esse. [ Ονοι, les deux ânes, nom de deux petites étoiles dans le signe du cancer. [ Ονος, merlu , poisson — cloporte , infecte.

όνος, nom d'une espèce de sauterelle.

Ονος, celui qui, étant vaincu dans un certain jeu appelé c-jpoivi'a, ou dans un autre jeu appelé δς-ραχίνία, étoit obligé de faire tout ce qu’on lui disoit, ce çuon appeloit ονος xaOîîaOetc, faire l’âue, de la même manière que nous disons en français faire la béte, dans certains jeux de cartes.

Ονος, eteieu ; tourniquet ; moulinet.

Ονος, fuseau. [Ονος, la meule d'en haut, dans un moulin.

Ονος, le point d'un au jeu „ de dés.

Ovoctç, (*>ς, 4it blâme ; reproche* v R. iVou.

Ονοστρλίς, Woç, -η, ONOSCBLIDE ,

monstre fabuleux qui avoit des cuisses d’âne, qu on appe-loit aussi δνέσχιλος, », 6, OMOs-m CELE. R. σχ/λος, 2voç.

Ονοσμα, ατος, το, OHOSME, plante qui a trois feuilles longues de trois doigts y couchées par terre sans avoir de lige, ni de fleur ni de semence.

Ovo^ç, », adj. blâmable; répréhensible—dont on peut faire un reproche ; qui peut donner lieu à des reproches. [ Ονοτ^ς, â , adj. mêm. sign.—de pl. qui se plaint de son sort—pauvre ;

i. cadiant. R. δνόω. v

νος, η, blârne; répré— lîcnsion; reproche; plaiute. Ονοτα^ω , blâmer; reprendre— reprocher en termes offensans ou insultans.

Ονοτος, V. ονοςός. (

Ονοφορβος, «, ο, qui fait paître des ânes; qui nourrit des f ânes; âuier. R. φ/ρ(>ω. Ονοχ«;λίς » /ος, τ^, δνόχ«ιλος, », δ orcanette, herbe. [ Ονόχηλον, », τϊ>, mêm. sign.

Ονόχνιλος, β, ô, terme qui signif e littéralement qui a les pieds d’un âne, nom injurieux que tes païens donnoient dans le premier siecle au Dieu des chrétiens, parce que ceux-ci adoroient le Dieu des Juifs. qui, suivant les idolâtres, étoit représenté sous la figure d'un âne. R. ονος, χηλη.

ÔvOM , fut. όνοσω , reprocher ; blâmer—faire des reproches offensans; insulter.

0Ξ\

Οντα , οντίς, βντος, Svxt, V. Jv. Οντως, adv. (/«y), réellement ;

vraiment.

Ovvua, /s#/, pour Svofia.

Οννμαζω, Eol. pour &vo/xdt£o», fut. ξα».

(ίγυμαίνω pour ovouatvo).

ONTS, νχος , i, ongle—sabot, r. £ d. corne du pied de certains animaux — serres; griffe, ΐΐξ ονύχων, dès l'âge le plus tendre. Δ»’ ονυχος àxpiSovv, travailler un oi*vrage avec l'exactitude la plus scrupuleuse ; polir avec le p'us grand soin—examiner avec la ,plus scrupuleuse ri-

f;ueur. Εξ ονυχών τ^ν λ/οντα, à ’ongle on connoit le lion, proverbe, pour dire : que par les moindres choses on juge'de quoi un homme est capable.

Οννξ, crochet; croc—torture; question.

Οννξ, taie blanche sur l*œil.

Οννξ, bout blanc des feuilles de rose par lequel elles sont, attachées à la tige.

Οννξ, caïeu de l’ail.

Οννξ, ONT X, pierre précieuse —albâtre ; vase d’albâtre pour mettre des parfums—nacre de perle.

Οννχιζω , fut. (σω, parf. άνυχιχα, couper ou rogner les ongles— faire une marque en donnant un coup d’ongle — examiner avec la rigueur la plus scrupuleuse; être un grand épilo-gueur. [ όννχίζω, ôter d’une rose la partie appelée οννξ. Οννχινος, » , adj. d’onyx ; qui ressemble à 1 onyx—qui a la couleur ou la forme d’une nacre de perle—fait avec la matière grasse nui se trouve ' dans les nacres ae perle. Ονυχιον, *, petit ongle — albâtre, pierre de la nature du marbre.

Οννχις^ρια, ων, τ\, ciseaux pour couper les ongles.    '

0ννχ(της9 », «. Οννχίτνις λίθος, e albâtre.    *

ΟννχΤτις, ιίος, ·η. ΟννχΤτις xaf-ps(<x, cadmie calamine veinée comme l’albâtre. Οννχοει£ης, /ος, adj. qui a la forme d’un ongle—semblable f à l’onyx. R. eTSoç.    e

όνω$πς, ιος, adj. d’âne—qui est de l’espèce de l’âne—qui est de la nature de l’âne—semblable à l'âne. R. ονος. ONftNIÎ, ιως, y, arrête-bœuf, plante.

,Οξαλϊ;, fif oseille, fierce,

ΟΞΥ 6tji

Γ Οξαλ'ς, vin poussé ou éventé.

t R. δξνς.

Οξοίλριν), n ς,    saumure mêlé·*

avec du vinaigre — saumure aigrie.

0ξ/α et δξ«Τα, pour δξ/ως, adv. d’une voix aiguë', d’une voix perçante—à haute voix.

ΟξιΤα, ας, mém. sign, que $ Χόγχγι, a ou vient le proverbe it’ όξιίας δραμιΤν qui a la même signif. que lrs\ ξνροΟ ιςασθαι

ΛχμΤ,ζ , K. ζνρόζ.    '

Ο^ιΓαιί ων, αί, OXIES, îles situées à Γ extrémité du golfe de Co-rinthcy prés de Γembouchure du fleuve Achetons· Homère les appelle £&άς.    ^

Οςειαν , gèn. plur. fém. Dor. pour ? οξειών , ^’οξνς»

Οξίίίίον , «, το , vinaigre.

Οξi^latov, ift τί, assaisonnement t d’huile et de vinaigre.

OÇe<ùi%adv.d'h*vçt promptement^ vite—avec zèle; avec empressement ; avec activité ; —vivement. [ Οξ/ως , d’une manière aiguë* ; cette dernière signification est rare. όξηρ^ς, S, adj. qui a une odeur ou un goût de vinaigre—qui sert h mettre du vinaigre.

% d£cpbv àyfiïον , vinaierier.

Οξίζω, être aiere ; être hesaigre ;

( être acide, n. δξνς.

Οξίνα, νις, $, herse de laboureur. Οξινης, v, δ, vin poussé ou éventé ; vin qui tourne au besaigre. Οξινης £νρος, Arist. humeur , aigre ; aigreur de caractère. ΟξΙς, ίίος, η, vinaigrier, vase à mettre du vinaigre—mesure de marchand de vinaigre, f contenant un cotyle. Οξονώλης, » . ο , marchand de vinaigre. R. *τωλ/ω.

Οξος, «ος, το , vinaigre—vin be-saigre. R. δξνς· οξν, /ος, xb, subst. pointe—subtilité , de la vue—vivacité * de Γesprit, de timagination, etc. [Οξν, aigreur; acidité—ton aigu de la voix—célérité ; vitesse. f (i;v, adv. Οξν |5λ/βrciv , avoir la vue oerçante , la vue subtile· (5ξν , Arist. chantant d'un ton aigu. Οξν <*χ«ων, Plat, qui a l’oreille fine, c. à

d. f oreille bonne. [Οξν, promp-% teincnt; vite ; avec vivacité. Οξνα, ας, η, οχτΕ , espèce de % sapin.

Οξνάχκνθα, ας, η, épine-yinetle , arbrisseau épineux. [ Ο^νάχαν-θος, », δ et v), aubépine — blanche épine. R. άχανθα. Οξνοίλ^, viiuiçro mêlé Aa il. ά)γη.

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6«)2 ΟΞΥ

Οξύβαφον , -βάφιον    ,*®·®

à metlre du vinaigre — vinaigrier. [ (ί;ν£αφος, v» ô, mcm. sign.—de pl. mesure contenant la quatrième partie du cotyle—cotyle, c. à d. cavité d'un os dans laquelle un autre os s*articule. R. βά-σίω.

Οξνβίλτ,ς, «'ος, aigu; pointu — armé de pointes; hérissé de piquans.

όξνδιΗς, qui lance rapidement un trait—qui est ariné ^ d’un dard. R. οξίς. (3Λος.

Ο-νβλεψί'α, *$, subtilité de la vue; vue perçante. R./!ftt'«w,

Οξυβο'ας, Ιξνζόης, », η, qui pousse un cri aigu, un cri perçant. R. βοάω.    e    <

Οξυβολ/ω, lancer avec rapidité.

R. βοΧνί.

Οξύ/αλα, axloç, xb, lait aigri— fromage (ait avec de la menthe, du thym , de la coriandre, de l’ognon, de l’origan, de la sarriette et du sel. [0£vya)àx1i-yος, », adj. fait avec du lait aigri. R. '/άλα.

O;jyotpov, v. το, sauce composée de saumure et de viïiaigre. R. γάρον.

Ôl'jyliov, », %b9 saindoux; vieux, oing.

C'uymtçç, «, & , qui a le menton pointu. R. ycvttov.

Οξύγλυχνς, us, v, adj. aigrelet; aigret. [ Οξύγλυχν et δξνγλυχίς, /oç, το, potion composée de miel et de vinaigre. R. γλυχύς.

O^yooç, », adj. qui pousse dans la douleur des cris aigus ; dont la douleur éclate par des cris perça ns. R. yioç. ^    ^

νξυγρίφος,», adj. qui écrit vite; tachygraphe. R. γράψω.

Οξυγώνιος, y, i, η, OXYGONE ou acutangle , en termes de géométrie. R. ywvt'a.

Οξυί/ρχίΐα et οξνδιρκ^α, ας, v?, vue perçante ; subtilité de la vue; force de la vue. [ OÇy-àtpxitô, fut. γίσ«, avoir la vue perçante, la vue subtile. [ Οξν-ïipxrjç, coç, adj. quia la vue perçante, la vue subtile. [ Οξν itpxtçtpoç , y, cornp. , οξυίιρ-χ/ςατος, », superl. Tb όξν<ΐίρχ«ς, mêm. sign,. y^’ô'vOf^xtta. [Οξυ-Jtpxtx^ç, », adj. qui sert a for-tilier la vue.

ΡξυίοΟχ/ω, fui. foia9m**m· sign, quiξνδίρχ/ω. [ Οςνδορχη;, mém. sign, ^ί/’οξυ-ΐΐρχης—de pl· qui serf b fortifier la vue.

dvjiaoxta, n\êm^ sigo. que λ ρ /îia.

ΟΞΥ

Οξνιίορχιχ^ς, y y adj. qui sert à fortifier la vue. R. ί/ρχω.

Οξύη, η;, η, mêm. sign, qu*οξύα.

(ίξνηχοΐα, ας, η, finesse de l'ouïe ; oreille fine. [Οξυηχοος, », adj. qui a l’oreille fine. R. άχ»ω.

όξχτηγος, «», qui rend un &on ^ aigu. R. ήχος.

Οξύθηχίος, y, aiguisé en pointe.

f R. £γίγω.

Οζνθνμ/ω , fut. τ{ςτω , être d’une humeur colérique ; être colère ; s’emporter pour le moindre sujet—l'tre vif; avc’:r des vivacités. Οξυθυρία, ας, η* humeur colérique; promptiUide à s'emporter pour le moindre sujet ; vivacités*

Οξνθυμία, «v, t», balayures; ordures , quon depose a-x coins des rues—immondices, 'f Οξυθυμια f fourches patibulaires.

Οξυθυμιας, y, οξυθυμος, », adj. qui est d’une humeur colârique ; prompt à s’emporter pour le moindre sujet; qui est vif; qui a des vivacités

— qui se met dans de violentes colères. R, £υμ·ς.

όξύϊνος, e, adj. fait, d’oxyc, V. οξύα.

Οξυκάρίιος, y, adj. mêm. sign. ^//οξύθυμος. R. χαρίια.

Οξυχάρηνος, » , adj. qui a la tête pointue. R. χάρηνον.

Οξυχε'ΐροζ, », η, cèdre, de Γ espère de ceux qui unties feuilles dures , pointues et épineuses , et dont le tronc est noueux. R. χι&ρος.

Οξυχ/ρατος, », et οξυχ/ρως , ω, qui t a des cornes pointues. R. χιρας.

Οξνχεψαλος, », qui a la tète pointue. R. Χ(ψΟΛΥ)

Οξυχίνητος. y, adj. prompt à se mettre en ibouvemout- prompt à s’irriter. R. xivc*.

Οξυχοΐα et έξύχοος, mcm. sign, qu'l^vrinpia et οξύηχο ος.

Οξύχρατον', β, το, 0XYCH.AT , melange d eau et de vinaigre. R. xcpao».

Οξνλάβίΐα, ας, promptitude à entreprendre ; activité. R. λαμβάνω. ,

Οξνλαβ/ω, saisir avec rapidité— entreprendre promptement.

Οξυλα&κ, coç , qui saisit avec rapidité—qui fond rapidement sur sa proie. [θ£υλά£ος,», adj. prompt à entreprendre ; actif ; vif; qui a beaucoup de vivacité dans tout ce qu'il fait.

d:v).àCoç, » j, sqbst* ten^Ucs ; pinçe.

ΟΞΥ

Ο^νλάν«θον, », -Λ, patience , herbe potage re.

Οξνλι'σαρος , » , adj. οξυλιτσΎ}; , /ος, adj. gras et vinaigré. Οξνλι-*της άρτος, pain vinaigré. R. ituro;.

Οξνλοβω , ouïr promptement ; avoir Γοιιϊ»* bonne R λοβος.

Οξνμάλα, wv , τα, pommes acides. U. μηΧοΥ.

Ot- jp-cXi , ctoç , τ^ , OXYMRL, LrCU-vagt fait deau de mery de miel et de i>‘naigre R. pitlt.

Οςνρ,ί'ριμνος, », adj inventé arec un «'tpriî subtil. R ftcptjxva.

Οςυρ.νραίνν), *jç * "h * brusc , myrte sauoage R. μυρσίνη.

Οξνρριτινο;, », adj. fait de mvrte sauvapr.

όξνμ’<»ρβν , », tî>, fausse pointe, c. à d. mauvaise pointe cTesprit ou tn au ta is jeu de mot f, comme dans ce vers de Virgile : Num capti potuere capi ? etc. R.

μν&ός.

Οξννκ, /»/, *v« , parf. w^uyxe, aiguiser—exciter; aiguillonner; animer, R. i^wç.

Οξύνω, faire aigrir, faire devenir aigre ou acide. [ Οξύνω, sneui. devenir ai^re ou acide.

[ Οξύνοριαχ, devenir aigre ou acide.

Οξύνω, prononcer ou écrire une syllabe avec un accent aigu, t en terme de grammaire.

Οξυόίΐς, cvtoç , adj. fait du bois d’oxye , V. ^ξύα.

ΟξνσαΟος , adv. Οξυ-σαθως tytiv , sentir une vive douleur ; être vivement affecté ou péniblement affecté—être dans une situation pénible. R. *τάθος.

Οξύνιινοι, », dévoré par la faiin ; famélique. R. ττεΓνα.

Οξυ»«υχη;, Ιος , adj. très-amer. R. -τηύχη.

Οξύσιχρος, », adj. tnem. sign. R, ττικρος.

dξυτyoίfω , fut. ησω, avoir les pieds agiles—se hâter ; faire diligence. [ Οξυ«τοίια , ας. η, célérité; agilité; hâte; diligence. R. οξύς , *r»ç.

Οξύσοροτσωλης, δ, o, qui vend des fruits confits au vinaigre. R. irw/SO>.    „

Οξύσορος, » , adj. qui passe rapid ement-^-qui pénètre rapidement dans les veines; qui passe promptement dans le sang- [ Οξύβορα et o£wopta, «v, t3i, médicamens oui passent promptement dans le sang, qui opèrent prompte^ weut* w. içôpoç,

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ΟΞΥ

Οξνσ«ς, οίος, adj. agile; alerte. t R. ττϊς.

Οξνττραρος, «, dont la proue est armée d’un éperon pointu. R. πρώρα.

Οξυριγμίχ, ας, 'ht OXYREGMIB, àcreiè du fluide stomacal gui cause des rapports aigres. [ Οξυριγμιάω, avoir des rapports aigres^ causes par l’oxy-rcgmie. [ Οζνρίγμιωδνς , to; , adj. qui est sujet h des rap-9 ports aigres. R. Iptvyu. Οξνρόίινον, « , rb, et οξνρρόίι-νον , », OXYRRHODIN, liniment composé d'huile rosat et de vir.aigre rosul. R. ρόίον. Οςν^ρίττ^, /ος , adj. qui se glisse rapidement ; qui se meut rapidement·*—agile.

Οςνρροσος, *, adj. qui se fait en Irès-peu de temps; qui s'opère ou qui s’exécute en peu de temp*—qui change en peu d’instans—passager ; qui passe rapidement—agile. R. piW. Οξνρριν, οξυρρ»ς, tvoç, qui a le , nez pointu. B. pfy.

Οξνρυγχος , όξνρρνγχος, tf, ο, OXY-

binqce , poisson du Nil, Æa-noré chez les Egyptiens—Οχγ-hinque , ville d Egypte, consacrée au poisson appelé oxy-rinque.

Οξνρυγχίτης , ef &, qui est de Ja ville d’Oxyrinque. R. όξνς, ρν/χος, à cause que ce poisson avoit un museau pointu. ΟΞΥ2, *Γα,υ, adj. ajgu; pointu —subtil; perçant.Οψίςέξντάτη, vue très·perçante.

Οξυς, aigu; perçant, en parlant de la çoix, du son, etc. ΟςιΤα προσωδία , ton aigu. Οξυ βφτόσας, ayant jeté un cri perçant.

t Οξύς, aigu , métaph. ; vif. Οξίΐα Ιδυνιη , douleur aiguë. 0-41Γα νόσος ou &ζυ νόσημα, maladie aiguë, c. à d. maladie qui se terminé en peu de temps par la mort ou la guérison, όξηαχ μιΧιδωναι, vives inquiétudes, όξνς îfrioç, soleil vif; soleil ardent. Οξυς àywv , action vive ; combat opiniâtre. Οξυς άνηρ , homme vif ; homme rempli d’activité—homme vif, c. àd. qui s'emporte aisément; qui est colère.

Οξυς, aigre; acide.

Οξυς, prompt ; vite ; preste ; agile—prompt à imaginer ou à exécuter. Καιρός οξυς, occasion qui s’échappe rapidement.

y.    ^

P;v?i substi iss rcios.

ΟΞΥ

t O^jç, alleluia, plante. Οζυςομος, u, qui a un ber.ou un museau pointu—qui parle ou chante d’une voix aiguë—qui m a une pointe aiguë. R. ςόμα. Οζυσχοινος, v, ό , jonc marin. s R. σχοΤνος·

Οξυτιγχίως, o, trempé dans le vinaigre ; imbibé de vinaigre; vinaigré. R. τίγΓω.

Οςντινης, Ιος, qui se termine en pointe aiguë. R. πίνω.

Οξυτepov, adp. comp. /οξί;. Οξυ— τιρον βλίνίΐν τη Λνγχ/ως, Α ή st. avoir la vue plus perçante que Lyncée. f Ο-υτιοον est d'ailleurs le neutre d'tfvrtpoç, compar. d*©ξυς, dont le superl. est όξυ-, Γάτος.    ^

Oçvtyi; t vjtoç, η, aigreur ; âpreté ; acidité ; acrimonie—âpreté de caractère ; âcre té dans l’humeur; humeur colérique — vivacité—vivacitédansl’action, dans le travail ; activité. Οξυ-της αγωνος, la vivacité du combat. f O^vr/jç, célérité ; vélocité.

Οξυτης, ton aigu. β Οξυτης, pénétration d’esprit; vivacité d esprit; vivacité d’i-t magination ; sagacité., Οξυτόχιον , v ,    ,    ( ψάρμαχον ) ,

( remède) qui accélère l’ac-t couchement. R. τίχΊω.

Οξυτόχος, «, η» qui accouche promptement; qui fait accoucher promptement; qui accé-e 1ère 1 accouchement.

Οξύτονος, «, adj. qui finit en pointe — terminé par un son aigu—qu’où prononce avec un accent aigu ; dont la dernière syllabe se prononce ou s’écrit avec un accent aigu.

Οξύτονοι γόοι, dans Soph, gé-missemens poussés d’une voix aiguë ; cris perçans de la douleur. R. τιίνω.

Οζυτον/ω, se terminer en pointe—-se rétrécirpar le bout. Οζνγρων , ονος, adj. qui a de la

Îiénétration d’esprit — qui a ’esprit vif; qui a l'imagination vive—qui a de la sagacité. t R. φρ*ίν.

Οξυφυλλος, v, adj. qui a "des feuilles pointues. R. φυλλον. Οξυφωνία, ας, η, voix aiguë,

[ Οξύφωνος, », adj. qui a une , voix aiguë. R. φ«νη.

Οξυχβιρ, ttpος, qui a la main

E reste ; qui est preste et ha-„ ile en travaillant. Γ ο’ξυχίΐρια , ας, ή, prestesse de la main.

, R· X«‘p·

-h, humeur <oJé-

ΟΠΕ 6y3

ri que—vivacité. [ όξυχολο;, κ, adj. qui a une humeur col»'— ri«|ue ; qui a des vivacités ; dont la bile s’échaùlfe aisément. R. χοΧτί.    .

Οξνοκσ/α», avoir la vue perçante f la vue subtile. [ d;jvrrh; ft έξυωιτης, eoç, adj. qui a la vue perçante , la vue subtile.

{ Ο;νωβίς·»τος, superl. qui Λ a vue très-perçante.[ΟξνωσΓα, α;, η, vue peiçante ; vue subtile. [Ο^υωτϊίας, v , mém. sign.

^ qu έξνωΓτνις. H. όττίομχι. Οζνωταος, S , aHj. m*m. sign, que έξυωσης, mais il es/moins usité· όξώδνις, toç, adj. qui a de l’ai-

Îreur ; qui est d’un goût acide. f L tT*ος.

ΟξωΛς, vinaigre. R. οξος.

Os , poèt. pour S, gén. ίίος, qui.

Om\ orra, arc. d'οψ, voix, etc. Οσα, Dor. pour Zvrn, où—dü la manière dont ; selon que, t etc. V. Ztyvj.

Ovru&tv, suivre ; accompagner. Otara&ç, i, ô, (jui suit ; qui accompagne ; qui est de la suite ae—suivant, valet de pied—compagnon. R. èmxÇco. ΟΠΑΖΩ ,fut. άσω,suivre—poursuivre ; presser. [ όσχζομαι,

' èlre poursuivi ; être pressé.

Οπάζω. faire accompagner quelqu’un par un autre ; donner un compagnon Ou des compagnon.^. [ Ο&χζομαι, se faire accompagner, se faire suivre ; prendre pour compagnon ou pour suivant ; recevoir pour compagnon ou pour suivant.

. % Οσχζω, donner; faire pré-t sent. 1

Οβταΐα, ας, η, vase de terre h potier.

ΌνχΤον f y, Λ, orifice d’un vase—bouche d’unecheininée. R. οττη.

Omxvixa, Dor. pour ovrr,v(xa. Οσάσαις, Eol. pour omβίσας, αν— τος, part. aor. i d'b-aaÇta. Οσοίσσω, fut. Ion. pour οπασωχ Οσατρος, » , sync, pour ομόταα-: τοος, né du même pere ; frère. j R, πατορ.    ,

Otrx'wv , ονος , mcm. sign. que οπαδός*

Onrtp, neut. ίΓΖσηιp. Γ Owtj» se met quelquefois pour oawcp. Owtuopiai, fa'rc des pre'di< tions ; rendre des oracles ; présager.

R. οψ.

OpTtvno , m*m. stgn. qu orattasvo ou orjitjlivta·

Qvwr j oycj, 5, Ion. pour èroawv,

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6y4 ΟΠΙ

ΟΙΤΗ, 7,ς, η, trou—fenêtre ; j >ur; ouverture. R. ο«/!ομαι.

ΟΠΗ , conj. où—par où. hytvyov οση η<}νναντο, Xén. ils fuyoient par où ils pouvoient. [ Οση-•ctoxt, clans quelque endroit que ; partout OÙ. Πάντα; τ*ς Ελληνας τιις οσησοxt χατοιχίντας Εύρωστος $ Ασίας, Plut, tous les Grecs, en quelque endroit de l’Europe ou de l’Asie qu’ils fussent établis.

Οση αν, en quelque lieu que. Οση αν ίλθω, Plut, en quelque lieu que j’aille.

Ow), comme ; suivant que ; selon que ; de la manière dont. Ôexrj αν άρις-α γιγνωσχω— <πν , Thuc. de la manière qui leur paroitra la ^meilleure ou la plus utile. [ Oeno^dc quel-ue manière que. Οση τνχη, e quelque manière que la fortune en décide ; à tout hasard ; quel que soit l’événement. Ota» -n-orc ytyovt, de quelque manière que cela se soit tait. Οση «v , de quelque manière que ce soit. Εσθ’ οσνι, dans quelque endroit— quelquefois—en quelque fa^on. Υμ3ς τίτς <?οχ5ντας brmxisv etvat, Plat, vous qui paroisseï être

3uelque chose, c. à d. jouir c quelque autorité.

Οσηίίΐίω « οοηίιω, suivre ; accompagner ; être avec. R. οχπάζω.

Οση'ίητηρ, ηρος, ο, et οσηΛς , mém. sign, ^α'οσαοο'ς.

Οβτηλίχοσίν ( //’όση , ηλίχος , ιτν ) , quelque grand. K^tv όσηλιχον-8V μ/γεθος λάβ^σιν , Arist. a quelque grandeur qu’ils parviennent.    "

όσηνιχα, conj. quand; lorsque —puisque. R. οσ8, ηνίχα.

Οσ^σοτϊ, V.onsn.

Οσητ:ov, », το, alêne, instrument pour trouer. R. οση.

OcryjTiav , V. οση.

Oa , ô ( tvooç ) , ( fromage ) dont le lait a été caillé avec le sur laiteux du figuier. R. Wç.

Οσι*νος, S, adj. respectable — contre lequel ou laquelle on doit se tenir en garde—redoutable. R- οσις.

Οσίζομαι, respecter; révérer; avoir des égards pour—avoir égard à ; prendre garde à. ό-αίζοοΛu, pass, pour άμεί-

βοα«(. Οσιζομ/νη χχρι;, bienfait par lequel on paie un bienfait ; marque de reconnois-sance. R. ôtrtç.

dotÇ«», faire une incision à un arbre, po -9 en recueillir *le fnc

ΟΠΙ

eu les larmes. [ Οσισμος, S, c, incision faite à uu arbre , pour en etc. Γ Οσισμα , ατος , xh, le suc ou les Jarmes qu’on recueille de la tige ou ae la racine d’un arbre. R. έσός.

Οσιΰβν , Ion. pour οσισθίν.

Owcov, », xb, opium, suc tiré des tètes de pavot. R. οσός.

Otjictcuo , et plus souvent οσι-σΐ«υω, regarder attentivement; épier ; regarder d’un œil curieux. [ OtfriWCUT^p, ηρος, ό, qui épie ; qui observe ; qui regarde d’un œil curieux. U. οισίομαι.

ΟΠΙΣ, tfoç, ri, vengeance divine — soin ; considération ; égard.

Οσ«σαμβώ , rétrogradation. R. οσισω, άμβαίναν pour άνά£αί— vsiv.

Οντισθεν , adp. et οσισθι , par derrière ; derrière. ôtnaQtv μα, Plat, derrière moi ; après moi. Οεπσό«ν ιτοκΤσΟκι, laisser ou mettre derrière soi , c. à d. vaincre; avoir l’avantage sur —prendre les devants.ΟΣ οσισ-8cv, ceux qui ont été vaincus. Tàt Γμσροσθιν αμα xat rit ZmtaOtv IStXv, Xèn. regarder ce qu’on a devant soi et derrière soi.

Οσισθιν, ensuite; dans Ja suite ; après. Ο οσισθιν, postérieur.

OotîGcv ou otjtOt, mcm. sign. qu'oiaicQsv ou οσισθε. Σΐη ί’ oxsiBtv , il se tenoit derrière.

[ Οσιθίν «Tvat signifie quelquefois , être absent; n’être pas présent.

Οσίσθβναρ, αρος, τ^, le dessus de la main, la partie -de la main oppoièe à celle qu'on appelle la paume. R. .S/vap.

ΟσίσΟιος, 8, adj. de derrière. Tà οσ/σθια σχελη, les jambes de derrière , dans un quadrupède. Οσίσθιον χχγμχ, la queue d’une arme'e. Τα οσίσθια, les choses passées. ^

Οσισθί'υς, adv. derrière ; par derrière.    β

Οσισθοβάμων, ονο;, adj. qui va à reculons, comme les écrevisses — qui rétrograde. R. βαίνω.

Οΰπσθόγοαγθς, 8, adj. OPISTHO— gr-αρπε; qui est écrit au^ revers. R. ovjiaQtv , par derrière, 7ρα^ω, j’écris. Ce mot se dit d'un ouvrage écrit sur les deux cotés ; ccttr distinction vient de Γusage ou ètoient les anciens de ne pas écrire s.r le revers du pppier.

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ΟΠΙ

όσισβόίιτο;, μ, adj. lié par derrière. R. ici».

(Ητυθό'Ϊομος, 8, ô, le derrière d’une maison—le derrière d'un temple—bâtiment derrière la citadelle d’Athènes, dans lequel an conservoit le trésor public. R. ίομος.

Οσισθοχχλινθος, e, adj. qui suit par derriere ; suivant. R. χΛ«υθ©ς. Οτσισθόχιντρος. 8, adj· dont 1 aiguillon est pbcé à la queue ou dans le ventre, en parlant de certains animaux. R. xcvrpov. Οσίσθοχομη; et οτσισθόχομος ,    8    9

V. άχρόχομος. R. StrtaOs , χομτη. ΟτσισθοχρητπτΓ^ίς, ων , at, chaussure de femme. R. κροτσίς. Οσισθοχυφωσίς , «ως, rj, courbure de l’épine du dos. R. xvt»7o». Ο’τσισθονομοι βόις, bœufs qui paissent en allant à reculons. R.

otJtçjQt, νίμω.

Οσισθό-σορος, 8, b , qui va à -re— culons; qui rétrograde. [ Οβτισ-Θό-Βίορος, mrm. sign, qu'hmr θοχΑίυθος. R. -ττόρος. 0σισθότσ8ς,ο<Ϊβ;, qui va derrière; qui suif ; attaché aux pas de— qui recule. R. irSç. Οσισθορμιω, reculer; rétrograder—aller à reniions.

Οσισθορμητος, 8 , qui recule,

et autres sens du verbe. R. t ^

, ορμη·

Οσισθοσφ£νίόνη , ης, η , réseau qui tient les cheveux assujé-tis par derrière, et dont uue partie flotte sur les épaules. R. σφίνΐόνη.

Οσισθότονος, 8, ô, OPISTnOTOSOS, contraction de nerfs, qui porte toutes les parties du corps en arrière, en sorte qu’il forme une espèce d’arc. Ceux qui sont attaqués de cette maladie sont appelés ©‘βπσθοτονιχοί. R. oxjiaût , Tttvc*.

Ο-σισθοφάλαχρος, 8, chauve par derrière, èpith. de V Occasion. R. φαλακρός.

Οΐπσθοφνλαχί·), faire la garde en se tenant à la queue de l'ai— niée ; être à l’arrière-garde. [ΟσίσΟοφνλαχία, ας, η , arriéré-garde. [ Ο*χισθο<ρυλαξ , αχος, ό , qui est à l’arrière-garde. R. φνλάσσω. όΐΰΐσμχ, οτπσμος, V. oweζω. Οσίσσω, poèt. paur έχτίσω. Οσις-ίρίς, 8, compar. d*htal<Tta, qui vient à la suite ; qui suit par derrière. [ Οττίς&χος, *, supert. le deroier de tous; qui est à la queue.

ΟΠΙΣίΙ, pnét. οτσισσω , adv. en arriéré—par derrière—à rc-

e

οπλ

eulons ; λ rebours. Οσίσω xtt, Horn, relournex- vous - en. Avrâyor/fv οίχαί’ οταίσσω, il le ramena à la maison. Δΐίσι ί’ 4tai σσω YcTpaç, il lui lia les mains derrière le dos. Είς τ’ νπίσσω, en arrière ; h reculons ; à rebours. [ Οσίσω , prépos. après. (5 Ιταισω τίνος, qui vient après quelqu’un ; qui suit

Quelqu’un. [ όοίσω, ensuite—

y ans la suite; à l’avenir.

Οσίων, ονος, ο , inspecteur.

OvtXa, ων , τ& , armes. Εν 5·σ)οι; 7<ν<σ6αι, Thuc. être en armes. ($σλοις £taxpivc?Oat f Dèm. dé· cider un différend par la vole des armes; vider une querelle l’épée à la main. Ον)α λαμ«χρν-νισθαι , Xén. polir ses armes. Λα£όντες S τι ίχάςα Ίταρ/τυχιν οπΧον , Plut, se faisant une arme de tout ce qui leur tom-boit sous la main. OwXot τταρ/-

3ονται, Thucyd. ils fournissent es armes. όρλαχινιΓν, prendre les armes. Εφ' οσίοις ·ησαν, ils avoient les armes à la main. Πρ^ς 2«Αα ύρχϋντο, Ath. ils dansoient tout armés, όσλον σνμφντον, arme donnée par la nature. R. %vtXov.

OtrXoc , instrumens ; outils, d'un forgeron , d'un naulon-nier, et de tout métier quelconque.

&aXa t câbles ; cordes. R. oraXov.

Οσλοίρια, ων , toi, petites armes.

ΟmXta , fut. ι}?» , armer.

ΟαΗ ,    ,    corne    du    pied des

quadrupèdes ; sabot.

Οσλ/ζω, fut. (σω , parf. ΰταΧιχα , armer. [θ«χλίζομαι .parf. ωζτΧισ-p*c, s’armer. 1)ζτΧίζισθαι £ρά-σα , Soph, s'armer d’audace. [Οσλινριινως, adç. en armes— a la manière des gens armés.

ΟπίΧίζισβαι , se préparer à l'ouvrage ; s'apprêter.

ΟττΧίζω et οπλίζομαι , équiper; préparer; apprêter, àép-«rov ώσλίζοντο, Horn, ils pré— paroient te souper.

όνϊισις, ιως, η , armure ; armes. [ Οτνλισμ^ς , « , ô , l’action d’armer — armure. [Οβτλισμα , ατος, το, armure —armement ; appareil guerrier—câble de vaisseau.

Ο«τ)ις·«νω , armer—porter les armes.

OwXicnç, y , b , ‘armé — soldat sous les armes.

Ο-σΧιχαγ^γος, i (νανς), (vaisseau) ^ui transporte des soldats pe-

ΟΠΑ

samment armçs. R. ierlirης,

t αγωγή.

Οσλι«υω y fut. cv?6>, être pesam· ment armé — commander · à des soldats pesamment armés. Ô-αΧίτης ,8,0, qui est armé , qui porte les armes ; soldat sons les armes. Βαρύς όπΧίτης , ou simplement btsXtτης , soldat pesamment armé.

ΟντΧίτης y adj. Οσλίτης δίαυλος , double stade parcouru par ua homme armé.

Οσλιτιχΐ)ς , S , adj. qui concerne les soldats pesamment armés. όνλ(τιχν) μάχ·η9 combat entre des soldats pesamment armés —action où l'on combat de pied ferme. Οσλιηχ^ £ώρα£, cuirasse d'un soldat pesamment armé. ΊΙ όνλιτιχίν , bataillon de soldats pesamment armés.

0»)?τις, tJoçf, -η , armée—femme arpiée. [θ»λ»τι<ΐ«ς, statues de femmes que l'on représente armées.

Οπ\ιτο$ρ6μ.ος , η , b , qui court tout armé , en disputant le prix de la course avec d*autres concurrens également armés.

[ UwXtroipofxtœ , courir tout f armé. R. ΙτχΧίχνις, δρόμος. Ο-ατΧιτοτοάΙ-ης , β , ο , qui lutte f tout armé. R. ivakn.

Οτσλοίοτίω, distribuer des armes. R. <îl<?»{!(.

OtvloGvÇxv), tjç , vt y magasin d’armes , arsenal. R. χίθημι, ΟττΧομαι, s’armer—être armé— être apprêté ; être préparé— act. armer— apprêter— pré-fparer.

Ονλομαν/ω, -ω, avoir la passion des. armes ; ne respirer que la guerre. R. μαίνομαι.

ΟχΒτΧοραχΙω, combattre avec tes armes militaires. [Οσλομαχία, ας , η , combat où l'on fait usage des armes militaires. ^Ονλομάχος, «, ό , <jui combat avec des armes militaires. R. w μάχομαι.

ΟΠΛΟΝ , h , τΐ> , arme. V. ci-dessus IraX a.

Οτ?λοτ?9ΐ/ω , -ω , fabriquer dee armes. [ όβτλο-σοιία , ας , η t fabrication d’armes. [Oraio-* «τοώς, 5,ό, qui fabrique des armes ; armurier; fourbisseur. R. ΖταΧα, «roue».

ΌτνΧοσχοταία , ας , *}, inspection ou visite des armes, pour voir si elles sont en bon élnt. R. <7Xtt?7ouat.

Οσλοτίράων, gén. plur. Eol. pour , ονλοπρων.

ΟΠΟ 6y5

Οτπϊότιρος, n y comp, plus jeurfe. [Οσλ&τατος , u , superl. le plus jeune.

ÔtjXértpoç y qui est en âge de porter les armes. R. δσλον.

ΟντλοψορΙω , fut. τίσω, porter les armes—èlre garde-ou-corps ; garder la personne d’un souverain. [ Οτχλοφόρος , s, adj. qui porte les armes ; garde-du-corps ; garde de la personne d*un souverain. [Οσλογoptopat, avoir une garde autour de sa personne ; avoir des gardes-du-corps. R. φβρω.

Ο-σοβαλσαμον , u , τ^ , suc de baumier ; baume , sorte de résiné liquide d'un goût aromatique , qui découle du baumier f

Îuand on y a fait une incision. t. ότ?ος , βάλσαμβν.

ϋνοέαΐώς, i, adj.'à* qui ; à qui —de quel pays. Οσοίαο^ 3* ou άφο£ασος ouv, de qui que ce soit—de quelque pays que ce soit. R. Ztrov , iatatoov.

όταόιις y poét. pour brSjattç.

d-crôOcv , poét. oirCToGtv , adt>. d’où ; ôtjéQt* ίησοΟίν , de quelqu’endroit que ce soit ; de quelque part que ce soit.

Orsoi y adç. où. Ϊθ’ δσοι χρ*ίσ«ις , Aristoph. va où tu voudras. Ot»ot àv ou 3t»o« “ττοτι , en quel-qu’endroit que ; partout où, Οσοι ιτροσωτάτω, Eur. très-loin.

liwoTe, adç· ^ôooToç, comme ; de la même manière que.

όσοι^ησοτι , adç. de quelque ruaniere que ce puisse être. Οσοκίτόατοτ ^(^ννάμην , Plat. par tous les moyens que je pus employer.

Ο-σοΤος, h , adj. et poèt. οπ-σοΤος, quel. Οπττοίνις S' «σΐ vyj^ç άφί-χιο ; Hom. sur quel vaisseau êtes-vous arrivé ? Τοιβτος όσοΐος ou τοίος «σοΤος , tel que. ΟσοΤοι τινίς άν ο! ΐΓροςΌίται ιΐσ'ι, τοιβτοι xai οί vt» αντιις lts\ rb -ττολν γίγνονται, Jsocr. les sujets sont ordinairement tels que ceux oui les gouvernent. Quelquefois on sous-entend τοι«τος oit τοΤος, comme : Tp ό-σω όοοίφ άν λύνονται, de telle manière qu’il leur sera possible.

ΟσοΤος, τις, mèm. sign, çu οποίος.

Οσοίοσίη , btsoioair.zjoxt, όσοιοσ-ίησοτ’ ϊν , ou οτΒτοιοσ^ΥΤΚΓοτίν , oüoio<rcrsp , otjoiocrav , ovsoicçi-cmv , quelconque ; quel <;n’il soit ; quel qu’il puisse èlre.

, Qt3os9f7tvoc?v πράγματος t de

^ueîqu’aiTuire que ce soit*

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Cy6 ΟΠΟ

Owotavxivav «ίρη'νην, une paix quelconque, όσοίως, adp. de la manière dont —d'une manière quelconque* Οτ^οίω; Sv οΓοσ-τ’ u, de la manière dont il me .sera possible; comme .je pourrai. Otioxaptracrov , », ro, OPOCARPASE, uc vénéneux qui tue en faisant dormir. R.frto));, χάρσασος. Οσοκιννά^ιω/Λον , », το , cinnamon* e , sorte d'aromate. Οσοσάναξ, αχος, ό, ΟΡΟΓΑΝΑΧ ο ίο résineux-gommeux qu on t. re (Tune plante du Levant, qu'on nomme grande berce ou panacée. H. nxv ixsopat , remédier à tout, à cause des propriétés merveilleuses que les anciens attribuaient à cette plante.

ΟΠΟΣ, », · , suc qui coule d'un arbre auquel on a fait des incisions ou sans qu'on ait fait d'incision ; benjoin ; suc laiteux.

0τ*6ς, suc du lasefpitium— le laseïpitium.

Οσος, suc laiteux du figuier propre à faire cailler le lait. Οισοσαχις, adç. combien de fois —toutes les fois que. Ο«τοσαχ«σ»ν , adp, toutes les fois

3ue ; chanue fois nue ; autant e fois qu il plait de.. Οσοσασλασιος , « , adj. de combien d’espèces; de combien de manières.

Οσοσασλασιοσ»», fèm. δσοσανλα-σιαSv, de quelque nombre d’es-peces que.

Οσοσαχνϊ, adv. en combien de lieux — en combien de manières—dans tous les lieux où. Οτσοσος , poét. οιτσοσος , » , adj. combien grand ; combien de —aillant que ; aussi grand que. EftTYj; οττττοθιν tact xai όττοτοσα xfât άν/τλης , Jfom. dis quel est ton pays, et combien tu as essuyé de traverses. Hpcro όσο?», A th. sous-ent. Ις\ , il lui demanda quel en étoit le prix, ou combien cela coûtait. Οσόσος itifîçoç , autant qu il est possible. Λαβόντίς οσοσον •vvavrott uitTçov , \én. I ayant ^ pris aussi grand qu'il leur est possible , ou en ayant pris en aussi «rande quantité qu’il leur est possible.

Οσοσ&σύν, όσοσοοησοτι, οττοσος·ί-σ»ν , quelque grand qu'il soit—■ quelque grand qu'on veuille ; aussi grand qu'on voudra. OtCToorovïy χρόνον , aulaut de temps qu'on voudra ou qu'on

ΟΠΟ

pourra. Οφον*τινοσΖνπριάμανοί9 achetant à quelque prix que ce soit, ou aussi cher qu on voudra, llya/ov its ό σας «y» -ιτ)«{ς·*ς ίίυναμ,ην , Xén, j'en ai emmené en aussi grand nombre u'il m’a été possible. OctoVoi h , quelques—je ne sais combien. Otrôvaç Svj rjptpaç àtro— acriTv , s'abstenir de manger pendant je ne sais combien de jours, όσοσοι âv , combien que ce soit ; en quelque nombre que ce soit—aut.int qu’il y en en a ou qu’il y en aura.

Otffôora y«, quant à. Οσοσα yt irs\ τω κλντω, Luc. quant à la fortune , si l’on fait attention à la fortune.

Ütffâaocmp , mêm. sign. que δρόσοι άν. Quelquefois il est mis pour ot, qui. όσο'ς-ος f * f adj. le quantième ; quantième.

ΟσοςΌα^ησοτΐ ét δσος-οσίν , adj, Otjeçoffï» ιΓη, quel aue soit son rang ou son orare numérique, aans le nombre de personnes ou de choses dont t il fait partie.

OtSTorav ou omôr , V. Imoxe. Ovotc, adp^ quand ^ lorsque ; dès que ; puisque. Οσο'ταν , mêm. sign.    '

Omortiv, toutes les fois que —en quelque temps que. Otjôrtpoç, », adj. poèt. διτσάπρος, lequel des deux ; l'un des deux —qui vous voudrez des deux. Otvotcooi et ottrorepov, adp. de laquelle des deux manières— si, quand il y a doute entre deux choses. [ άσότtpoç Sv , OtJOTtpOÇ SlJtVOTC , ΟΧϊότίρος ουν

ou οηοτίροσΒν f lequel des deux que ce soit ; lequel des deux uue ce puisse être—lequel des deux vous voudrez—l'un des deux ; l'un ou l’autre. v ΟττοτΙρωθΐ* f adp. de l'un des deux côtés—quel que soit ce-( lui des deux côtés dont. Οσοτ/ρως, adp. de laquelle des deux manières ; ue quelle manière, avec ou sans interrogation , et quand il y a doute entre deux choses, [όττοτίρος cl όσοτ/ρως hv , οσοτιρως αν , ors ο τ/ρως SùaoTt, de laquelle des deux maniérés ; de quelque manière que , lorsqu'il s'agit seulement de deux maniérés différentes. Ο-πτοτ/ρως Je σνμ$i-Çy)kiv , de quelque manière que cela soit arrivé.

Οχζοτίρωσί, adp. vers lequel des deux côtés.

ΟΠΤ

adp. où. Ifv S1 IpvtS offri tjpt, Xénoph. s’il demande oü je suis.    twa <Stv βον-

lofiai, allant où je voudrai.

Ον», puisque. Ôtr» il xaî ti Xoyy Tifjxuptjtv τ,ζίαν X<x[x&xvtitt ritjy, etc. J)ém. puisqu'Hs ju-geoient à propos de punir même les discours, à plus forte raison, etc,

<5t?« αν , ou simplement om, en quelque lieu que ; en quelque endroit que. Ôtt* π ore γΤίς «Γης, en quelque endroit de (a terre que vous soyez, [dox^, ότσουίησοτι, îtjovtacp Stv , Zz*ow ουν ou όσουονν , en quelque endroit que; quelque part que ce soit; partout où vous voudrez. Et Stcrov ίη ιταντος οντοι tvyxacv«t, s’ils sont dans quelque endroit de la terre. Ô«* fiiv, onrov . quelquefois. . . . quelquefois—tantôt.... tantôt.

όσου pïÿ « ίς «νίαιμονια» , 5 tar o w il «ίς ολιγωρίαν, Plut tantôt vers la fortune, tantôt vers la pauvreté.

Οττσα, Dor. pour Ζττττη.

Ottfgaxa pour ορμχτα,

Οπητη t poét. pour 2wi), où. Οπσημος pour %μος.

Ônwnvixa pour ότπηνίχα.

ΟιτσοΤος, V, όσοΓος. όιτσο'χα , Dor, pour otsy&rc f t quand.

Ο-ίτσόσ·, adp. pour όνόσ«, en f quelque endroit que.

Οπσότ·ρος, poét. pour otaôrtpoç.

„ R* ιτότ«ρος.

Οττσως pour Ζζινς. όταΐάζω , voir. [ Οσ7*£ομ«ι , être vu.

0βτ7«λ«ος, », adj\ rôti; crillé.

^ R. ourloce·.

ΟσΊανιΓ#» , Ion, otalavifiov , cuisine; rôtisserie.

Οσ7αν«ος, omlavoç ou όσ7α»^ς, t mcm. sign. qu'ov/JaXtoç.

ΟπΙανία, ας, rf, vue; regard. R. t ο©7ορ.αι.    1

Ovflâvtov i », mém. sign, qu'hral*— vtXov.

Owîavfcç, mêm. sign, qub-alaàtoç. Οπτ7άνω , voir. [ Οσ7άνοραι être vu.

Ον/Ιασία , «ς , η , vision ; apparition.

ΟΠΤΑ Ω, fut. ητ«, perf, ΖπΊ-ηχΛ 9 pass. ωπ1ημ.αι, rôtir, griller.

[ rit»7acpL«i , être rôti , être grillé—être brûlé, par le so— lei/, etc. — brûler, au fig.9

> brûler (f amour, etc,

Οσίίος. », ad/. qui doit être vu· [Oe7 tî> i il faut voir.

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ΟΠΩ

citar7cJacvoç, bor. pour lu]ovjuvoç.

ΟταΊ η , Dor. pour oral à t 3e pers. t sing. près. ind. ίίοταίοίω.

Owlyjx^;, S, adj.^ qui a Ja force ou^ la propriété de rôtir, de , griller, de brûler.

Otr/rjp, ~φος, ô, celui qu’on envoie pour s’assurer d’une chose par ses yeux; espion. ^ H. οτσΊομαι.

OaliQpta , ων , τ^, les présens que l'époux faisoit à l'épouse le premier jour où il la Yoyoit—ce qu on donne pour ^ avoir vu une chose.

ΟταΊησιμος, », adj. qui peut être rôti ou grillé—qu’on fait ordinairement rôtir ou griller. R.

Οσϊησις, ίως, y\ , l’action de rôtir ou de griller. 4

ôvrlnxcov, il faut rôtir ou griller.

Ocrîixà, ων , τα, mèm. sign, que b-rxhxr) ci-après.

Ornltxbç, », adj. visuel, avec le secours, duquel on voit — optique. OejJtxoi vfvpa, NERFS OPTIQUES. [ ΟσΊιχγ) , Τίς,Υ) t OPTIQUE , science qui traite de la lumière , des lois et des phénomènes de la vision. R.

^ OT37opt.au.

QmltXος, »f ©, oeil, en langue dorienne.

Otirltiixtç, tioç , η, OpTI-XÉtis, surnom sous lequel Minerve avoit un temple à Lacè-dèmone. Ce temple lui fut bâti par Lycurgue qpres une émeute dans laquelle il perdit un œil.

ΟσΊοιαΧίασις, ιως, ή, maladie des yeux.

Οσίοιαλοϊ, ων, ot, yeux.

OQTOMAi y fut. οψορ,αι, parf. ωμ-jiolt, aor. ι ωφθτην , aor. i moy. «i’iocfMjv , parf. moy. ωτατα , et AU. <£w»t»a, voir.

Ωμμαι λ la sign. pass, j’ai éié VU. [ ΩίψΥγος, VU. [ Ωγθην, je fus vu ; j apparus.

OctUç, », adj. rôti; grillé. R. ονχΐάο».

ôvlri yvi, terre cuite.

Qexfaç, » ( d’οσίομαι), que l’on voit; exposé à la vue.

dnïiû,étre marié; avoir une femme. Tov yàtp otarvictç τταΤία, vous êtes marié avec sa fille. Λωχίν otrutitv £vyav/pa νίν, il lui donna sa fille en mariage.

ÎOwviofxou, être mariée ; être ’épouse de—être reçue dans le lit de. OtwuTat vxsb τον άν-όρίς, Plut, elle a commercé avec un homme.

<5rσώίπς, toç , adj. plein de siicî plci^4’iUJ sujî lailjsux. U. vmls.

ΟΠΩ .

pour Sma, parf. moy. î

d* οτΰΊομαι.    *    (

Οαωυτη, 7{ς, vue; aspect. '

[ Οσωνν) et plus souvent ονω- ! t tjei, yeux.    t

(^αωβτοτηρ, ΐφος, ô , qui observe;

^ qui épie—inspecteur.

Οτπωτσόπς , nom. plur. d&-Β7ω«χώ;

( tfoTS<Λ7Β<Χ ).

ΟΠΩΡΑ, ας, n, automne. Πιρι ΤΛν ονωραν , -dans l’automne. iwfy rijv'όνωραν, avant l’automne. ίϊυώρης, pendant l’automne, comme on dit 5/ρους,

Î>endant l’été ; ηρος, pendant e printemps. Ν/α οοωρα, fin de l’été.

Οσωρα, âge mûr.

Οσωρα, fruits de l'automne, pommes, poires, etc.

Otrop* signifie quelquefois , l’été.

Οσωριΰντ*ς, Dor. ponrh-aonioZv-«i, part. /όφωριω, >/. 2 ^ tf orstùριζω.

Οταωρίξω t cueillir les fruits de l’automne—vivre des fruits de l’automne ; manger des fruits, f Οζτωρίζομαι, mêm. sign, que % οηωρίζω.

Ο ντάρας, », adj. fait avec les fruits d’automne. [ Οι»ωριχη, OPûrice, remède fuit % avec tes fruits d*automne. Οσωριμος, », adj. fertile en fruits d’automne; fertile en % fruits.

Ονω^νος, ». adj\ d’automne; qui appartient à l’automne—

Ïui paroit pendant l’automne. ΟσωρινΙς, qui tire son nom e l’automne.

CÎwtepta^ç, », ô , l’action de cueillir les fruits d’automne. Οτσωρίων, ωνος, mêm. sign, que t ώνωρωνης.

Οσωροθτοχγ), ης, η, serre à mettre les fruits d’automne; fruitier. t R. τιθιομt.

Οντωροφορ/ω , fut. >}σω, produire des fruits d’automne ; être fertile en fruits. R. φιοω. ,ό&ωροφόρος, », adj. mem. sign.

qu 6&ώρ(μος.

Οοτωροφυλαξ, αχος. ô, gardien des iruits; gardien des vergers. [ Οτρωρο<ρνΧ%χ(ον, », tb, cabane de celui qui garde les e vergers. R. «ρνλαίσσω.

Otνωρω/τ,ς, », è, qui fait le commerce de fruits; fruitier. R. ώνιομΛΐ.

δνηος, conj. comment; comme. Ερωτας οσως, etc. vous^deman-dei comment, etc. Οτνως SI cc-ΐω ; comment saurai - je ? Εοξον tt?ω; ΐθίλ{*ς? Horn, fait#*

ΟΙΙΩ 697

rfomme vous veuleï. Ovt« Ζ-αως βοηθώ ίχω, Plat, ie^n’ai aucun moyen de secourir. Ovx faô* Ζντως ώνησιται i^movôîv , Arist. il n’est pas possible qu’il achète, ou il n’achètera jamais. £yca fàv ovv ovx ÎVô* οσως atyrj-· σοααι, il me sera donc impos-siblede me taire. Α).λ’ ούχ tçiv,

OVX sçtv «oûjç -ημάρητί , άν’ίρις,

Αθηναίοι, Dèmosth. non, Athé-nimis, non, vous n’avez poinl failli. Ovx cσθ οτνως ού^ ομονογί-σομιγ, Jsocr. il n’est pas possible que nous ne soyons pai d’accord.

Οσω?, que. Οροι δτ*ως, σχ^ “Bici Ζτιως, ou ριλιτω σοι ο«τω;, aye* soin que ; veillez à ce que. Op« oto-ως μη, prenez gard# que. Quelquefois on sous-en· tend devant Ζττως les verbes 2ρα, σχοσίΐ ou μάΐτω.

Οσως , comme , dan/ les poètes, se met ordinairement après te nom. Λ<ων Ζ-αως, Jiurip. comme uu lion. Δμωϊς ϊταως* comme une esclave.

^ Owoiç, combien. ΟΪσθα Ζταως w θαρραλέος ; Luc. sais-tu combien j’étois hardi ?

(ίσως, afin que. &aτως άχού-σντςηχίΐς, Xèn. vous venez afin d écouter.

^ Ονως pour Zvt, que. ίσμΐ* ^νως, Thuc. nous savons que.

°««ς ν*χι<τ«, avec la plus grande vitesse; avec toute J* diligence possible, δνως ΐχουσι τάχονς, avec toute la vitesse dont ib sont capables.

Ονχ ο«τως, non-seulement, suivi de ne pas; bien loin de^ Ονχ Ζνως άνχινράτ7ovacv , χαι σνς·ρατ«ν·ν··ιν , non—seulement ils ne s’opposent pas h ses entreprises, mais même ils combattent avec lùi. Φημ* y^a χλ\ yvvcuÇl χ«λ«Γς, ρνχ ' Ζ·Όως 0Γνλλαμ£άν«ιν ίς xb ιν^ορφοτιρον, όίλλα χαι ίναντιονσθαι τον χ6σμογ τον ιτολνν, Luc. je dis que la grande parure, bien loin do rejever les attraits d’unie belle femme, est au contraire nuisible à sa beauté. Olèï μνημο-

νίύσιιν tiç την χιςιραιοιν txt ψνην τ^»ν Αία, ονχ Ζχαως χα« τν^ιχαντχ its* αντοΓς άγαναχίήσίΐν , L//C. je

croyob cjue Jupiter, bien loin d’élre si fort irrité de cria, ne s’en rappelleront pas même* le lendemain.

Ôσως άν , comment — afin que—de quelque manière que ce puisse être.

Ινωσ^ήζ3&χί, όσων-

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€«>8 OP A'

fanτοτοΰ» , δβτωσονν et δ«Τ6>?ιουν, de quelque manière que^ ce puisse être ; d’une manière ’ quelconque ; en quelque façon que ce sôit; de façon ou d'autre. OvcP ό-σωσουν , d'aucune manière ; en Aucune manière ; pas le moins du monde. Ow<T οτσως-ιουν > pas le moins du monde. Oua, ô«ra>çtvv Ιγνωριζον το *>ς άνΟρ&ισους τοντους, Dem. je ne connoissois pas du lout ces liommes-là. Quelquefois on supprime la négation devant ότσωσ-Itovv, comme treup x*\ ίπωςιαν άληθης îv ή μαρτυρία , Dèm. SI le témoignage n’étoit aucunement vrai.

(Ινωσουν, outre la signifie, ci-des sus marquée à ότσωσδ-h, s 'unifie encore de quelle ma4 nière ; comment. f ΧΗτως ?τνχε, au hasard. ^ όράΛς, ων , α», un pays de bois.

R. hpyάς.    <

Οραμα, ατος, τ^, ce qu’on voit; vue ; vision — spectacle. R. δραίω.    g    e

Οραμνος , v , feuille — petite branche. R. ραμνος. όράομαι , V. οράω,

Ορασις, «ως , η , la vue ; ΓοΓΜΠβ de la vue ; la faculté pai\la-quelle on voit ; celui des cinq sens par lequel on aperçoit les objets. K. δρα'ω.

Ορατές, δ, o, spectateur; contemplateur.

Ορατιχος, Sf adj. doue de la faculté de voir—qui peut voir, [όρατιχος, qui concerne la vue; visuel—optique, adj. όρατιχ-ο ένναμις, la faculté par laquelle on voit. Tfc δρατιχον, la prunelle.

όρατο, Ion. pour ωρχτο OU ίωρατο, 3epers. siug. imparf. ^δράομαι. Ορατές, δ, adj. visible ; qui beut être vu ; qui ejt Fobjet de la vue.

(JPA'Cl,/*/. δψομαι (d*Mομαι), parf. ίωραχα , aor, a tiio» ( ίιΐδω ), voir ; regarder ; envisager t—^aperce voi r—sentir —examiner; considérer. Ορω ιξαμαρτανων, Eurip. je vois que je fais une faute. Ορω σοι τούτων Ινήσον, Xèn. je vois que vous aurez besoin de ces choses. Πρ^»ς ιτλδν ορω, Eurip. je songe h m'embarquer. OpSrWafciv, pour δρω flrp^ç tù τταάιν, Xèn. je cherche à frapper.

Ορω, avoir soin de; veiller à ce que; pourvoir à ce que.

O pa μν ou    μ-î),    prenez

garde que.

ΟΡΓ

Opyi, 5ç| a, Dor. pour Spy/.

Opyoί£ω,/ά/. οίσω, exciter; animer; rendre prompt. [ όργάζω signifie plus souvent amollir ; délayer, macérer, pétrir — imbiber.

Οργαίνωf irriter; mettre en colère. R. οργή-Οργάν-η, ης , ouvrière, èpith· de Minerve, R. fpyov.

ΟΡΓΑΝΟΝ, »firb9 outil; instrument. Opyava ττολιμων , ms-trumens de la guerre. Opyavov pLHacxov, ou simplement opyavον, instrument de musique. [ O p— yavov , machine , machine sim-

r1*·.

Opyavov, oegane , dans le corps humain.

Opyavov, ouvrage. [ Qpyavt-xbv , δ, adj. instrumental — organique. [ Ooyavotiroibç, δ, δ, qui fabrique des outils , des instrumens, des machines.

[ dpyavowoifa, ας, η, fabrication d’iustrumeus, d’outils, de machines — mécanisme. Φωννίς opyavowotfa , le mécanisme ae la voix. [ Opyavo-«οιητιχ-?), ης, η, sous-entendu τ/χνη, l'art de fabriquer des machines ou des instrumens de guerre.

ΟΡΓΑ Σ, οί^ος, η, bois consacré à un dieu ; bois sacré—champ sacré , quit est défendu de cutti-; ver— terre labourable—vigne. Οργασμός, 5 , h , ORGASME, mouvement impétueux des humeurs du corps humain qui cherchenlàs'évacuer.R. οργάω. ΟΡΓΛΩ, fut. ησω, parf. ωργηχα, désirer avec une vive impatience—être en rut; être en chaleur—fermenter; travailler —s'échauffer ; s’animer.

Opyco>v, ωνος , δ, ministre des dieux ; prêtre sacrificateur.

[ Opyeôïvat, «y, prêtresses.

ΟΡΓΉ , 5ίς , η , colère. Ai* opyrjy ou δκ opyvîç, de colère ; par colère ; en colère. At’ opyvjç ou h èpytj Γχιιν rtvàt, être irrité contre quelqu’un. On dit dans le même sens ιτοιιισΟαί τινα ev fcpyti , ôpyyjv Γχ«ιν for» τινα, ou δρ*/·ίjv «χί*ν ιτρός τινα, ou δργην «xetv τινί. Opyij φ/pctv τι, être irrité d’une chose. ΤιθίσΟαΓ τι tlç opyrjv, Dèm, mfim. sign. Εις èpyov ηροχαΐίίσθαι ou xaOtçαναι, ou ^rpoocyciv nvà , allumer la colère de quelqu’un ; irriter quelqu un. Opy>îç τύγχανε tv drapai τίνος, être l’objet de la coltre de quelqu'uu.

t ΟΡΓ

Opy^, naturel ; ΓβΓΠΓίΛΓβ ; goût ; inclination—mœurs.

Opy^j pour -πίσσα 9 poix.

OWlA t «v, τα, les fêtes de Racchus; les orgies ; les bacchanales. [ Opyta, sacriftces ; cérémonies ; mystères.

OoytâÇtt», célébrer les orgies, les (êtes de Racchus ; faire des sacrifices à Racchus — faire des sacrifices, à un dieu qttelconçae: célébrer des mystères. Opyi*-Çciv τ^ν , Plat apaiser un dieu par des sacrifices. ΙιροΓς

iwoppyjTotç opyia7»7at St'bv ,

Plut, célébrant les mystères de la déesse. Των icpâv opyia-ζομ/νων, Plut, pendant qu’on offre les sacrifices ou pendant qu’on célèbre les mystères.

Οργιάζομαι, a quelquefois la sign, active ^’èpyiaÇw.

όργιχζω, initier aux mystères , aux cérémonies d un culte.

Opyiourp.^, S y ôt célébration des sacrifices ou des mystères — sacrifices ; mystères.

[ Opytας^κ , β , δ , qui célèbre les sacrifices ou les mystères —qui préside à la célébration des sacrifices ou des mystères.

[ Opytaçtxfc;, δ , adj, qui concerne la célébration des sacrifices ou des mystères —· propre h émouvoir l’ànie , a exciter les passions.

Opyicxa», mém, sign, qu ôpytoi^o». Οργίζω, fut, ίσω, parf. capytxa, allumer la colere de quelqu'un ; irriter. [ <3ργΙζοα<χι, parf. <wpyισμαι, aor. ι ώργίτθην, se mettre en colère; s’irriter. M-î» οργις?χ , ne vous fâchei pas t c, à d. permettez-moi de le dire ; soit dit sans vous offenser.

Tb Ιογιζόμινov, la colère.

Οργίζω,mcm. sign.qu οργίζω. Οργίλος, μ , adj. qui est enclin 3ι la colère ; qui est d'une humeur colérique. [ OpytÀoTïjç, ητος, η. humeur colérique ; penchant à la colère. dpyiç«ov, il faut se mettre en colere; il faut s'irriter. Opytcix^Çf δ, adj. enclin à la colère—propre à irriter ; capable d'irriter. R. οργή, ΟΡΓΤΙΑ , ας, η, aune ; trois coudées—mesure de six pieds o* de dix pieds—trois pas géométriques. [ ΟργνιαΓος, a, adj. long d'une aune ou de trois coudées— qui est de l’épaisseur ci’une. brassée.

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OPR

Οργυιόω, étendre les bras. Qptyinv, adv. en étendant les m membres. R. Ιρίγν· i\ptyp.α, ατος, το, ce qu’on étend, ce qu’on allonge — allongement ; extension. [ Qptyux, pas, Γ espace qui se trouve a un pied à l autre quand on marche, QPt'ra, ορίγνυρ,ι, Iptyvvta , fut. ίζω, parf. ωριχα , étendre la main — donner ; présenter ; offrir. Χκρα ip/γκν, tendre la main, au fig, , c. à d. secourir ; aider. [ Ορ/γω , frapper avec la main, ou en allon-

Î'eant une arme qu'on a dans a inaiu.

Optyofxat, être étendu ; étendre. Xccpi Ιρίξΰίσθω « qu’il tienne la main étendue, ou qu*îl étende la main. [ Optyo-fiau , prendre avec les mains étendues—chercher à prendre avec les mains étendues. , Ορίγομαι , désirer ; avoir envie. HavTc; άνθρωποι ri tîif'vat Ιρίγονχχι φυσκ , Arist. tous les hommes ont naturellement ^ envie de savoir.

Opteav, Dor, pour Ιριίων, gén, ptur. dbptToç. όριι&ς,    ,    η, de la montagne ;

qui est sur la montagne; qui vit sur la montagne. [ Ορκάς, montagneuse. Ορκλς χωρα , pays montagneux. [Ορκά&ς, Ohéades, nymphos des mon-^ tagnes.

Op«tαυλός, », adj. qui habite les montagnes. R. ορος, ανλν). Ορίΐβατίω f gravir les montagnes; parcourir les montagnes.

Ορκβάτης, », ô, qui gravit les .montagnes; qui parcourt ^ le·* montagnes. R. ορος, βαίνω, Ορκβριμ/τής, », ό, qui gronde sur la montagne. R. βρψω. OPEÎrANON, », xb , opiyxvov , », origan, plante médicinale. R. Ζρος, γάνας, parce qu'elle se plait sur les montagnes.

Opttyxvoç et Ιρίγανος, » , mém.

, si*"\ , .

Opuytvbçy Ιος * adj. né sur la montagne. R. yttvojxat. Opit&pifAoç, », adj. qui parcourt ^ les montagnes. R. èpôp.ος.    ,

Opetxoç, », adj. de mulet o*t de mule ; oui concerne les mulets ou les mules; traîné par des mules ou des mulets. R.

ορ»υς.

Op c ix71 τος T β, ΙριίχΊιςος, », adj. l>Ati sur la montagne. R. ορος,

9 χΊίζω.

Ορ£ΐμαΚί*ς, ων , «ί , pommes de suoatagues. R. βρος, ριλις.

( ΟΡΕ

Ορκνόμος, »t adj, qui pait sur les montagnes. [ Ορκον ομιω , paître sur les montagnes. R.

Vljfttt.

Ορκν^ς, », adj. de montagne; montagneux—qui croit sur les montagnes. H χωρ* δρκνίι f ou simplement èpnvrj, pays montagneux. R. ορος.

Οριιοιχος, », adj, qui habite les t montagnes. R. ορος , οΤχος. Ορκοχόμος, », V. ορίωχομ,ος. Ορκονομας, a, Dor. pour ορκο-νόμης, », qui pait sur les mon^ tagnes. R. νιμω.

Ορκος, », fém. ορκος ou hptta, mém, Stgn. βορεινός. Ορκος χωρα, ou simplement ri ξρκος, un pays montagneux. [ Ορκος, qui vit sur les montagnes — qui croit sur les montagnes ; que produit la montagne. Opèta μήλα,{pommes de montagne. BXcu^&a όρκον , regard farouche ; air sauvage. [Ορκος, Ore us. surnom de Bacchus, honoré sur les montagnes.

Ορκον , », xb , renouée, plante.

Ορκοχαρ^ις, /ος, adj. qui se plait sur le» montagnes. R. χαίρω. Opcim) αργός > », o, cicogne de montagne, espèce d aigle. R. κιλαργές.

Ορκσολω, mêm. sign, ^β’όριονο)». Opttt/lûta, α;, η, orme de mon-ν tag ne. R. triiXea.

Qpttxnç, », o, qui habile les montagnes; montagnard. R.

• **· t

Ορκτνητος, », ô, bûcheron. [Optt-

tvptTï, >ι;, η, métrer de bûcheron. R. τννίω.

Opttro»p, ορος, ô, habitant des montagues; montagnard—sauvage.

dptc<fοίτης, », ô, qui parcourt les montagnes; qui fréquente les montagnes. R. φοιτάω, όρκ'χαώχος, », ô, laiton ; oripeau, espece de cuivre, [ Opt'χαλχος, », adj, fait de laiton. R. χαλ- I » *‘ . OpixV«>, fut, ησω, mém, sign, Ϋ^οριχθίω, plus usité. djpixÎixt*, S, adj, doué de l’appétit conCUpiscible ; sujet à convoiter ? convoîteux — qui convoite. TV&ptx7ixfcv, l’ap^tf-tit concupisciole : l*appetit , fgcmltè par laquelle tàme se porte à désirer quelque chose pour la satisfaction des sens, Tbipcxltx^y, la partie de l’âme ou réside l'appétit; le siège de , la convoitise. Tb opixîtxbv, l ap-

OPE 699

petit, c, à d. le désir de man~ ger.

Oatxltxoç, », adj. qui donne $ de l’appétit. R. ορίγω,

Οριχ7ος, », adj. que l’on a coutume de convoiter ; que tout le môrde convoite. Tb ôpcx7ov , désir ; vœu.

Opcxlbç , étendu ; allongé. Δέρατα optxlk, piques dont on porte des couns à Tcnnemi , ou avec lesquelles la main allonge des coups à 1’ennemi, à la différence de celles appelées Αόρατα ηάΧτα, piques lancées à tour de bras contre Peut nerni.

Opt ζxi, ορεζασΟαι, infin, aor, t mact. et moy. d ορίγω.

Οριζις, ιως, appétit; convoitise ; tenvie—appétit, c, à d.

% envie de manger.

Opcoxlpoç, », 0, muletier./R.

bptvç, χομ/ω. [ Οριοχομος, qui

1 ( a soin des montagnes. R. ορος. Opto»™, Ion, pour ωροντο , 3e t pers. plur. imparf. pass, dορω. Optozjoltoi , -ώ, fréquenter les montagnes ; parcourir les montagnes. R. rtol/ω.

OptoviXivov, », t^, le persil des ' montagnes. R. ορος, <rAcvov. OpeoTÛtvoç, », b, paysan des mon-^tagnes; bûcheron. R. Tvtar7«. Ορ/?αυλος, β, 0, situé sur une montagne ; qui habite sur les montagnes — parqué sur les , montagnes. U. aOiyj.

Ope<r$xTYiç, », mêm. sign. que ' ορκβο»χης, όρίσ&ος, », qui vit sur les mont tagnes. R. ορος , βίος. ΟρκαΓχοιτος, uradj. qui couche ( sur les montagnes. R. κοιτάω. Ορι<τχν·μος et bpt<raivo[Aος, », adj, qui pak ou que l’on fait paître , sur les montagnes. R. vtp*. Ορισίοιχος, », cdj.qm habite sur 9 les montagnes. I\. «Τχος. ΟρισΓτροφος, », adj, nourri sur T la montagne. R. τρίψω. Ορκτχινω, vivre sur les montagnes * Ορ/σχιος, », ό, qui se plaît à l’ombre des montagnesèpith~ %de Bacchus. R.. ορος, σχια. Ορ£σχ»ος, », ô, qui couche sur les montagnes ; qui vit sur les v montagnes. R. xciw.

ΟρίσσαχιΧος t V. όρ/σαινίος-Ορισσι pour opt σι, dal. pl. d ορος. Ορισσίνομ,ος9 V. iptvtνΟμος.    "

όρισσιτροφος, V, όριαάτροφος. Ορίςιρος, ur adj. habitant des montagnes ^ moatagnard ^— sauvage. [ Ορ/ς^>ς,.», 0, m 'm>,

% sign.—O reste, nom propre.

àâoi% n9 hab*laute des

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7'>o · ΟΡΘ

montagnes. Ννμφαt οριςιά&ις, nymphes de3 montagnes ; Oréades.

Οοεσφιν pour optai, dat. pl. d ορος. Ορινς, Jon. ονριυς, «ος , mulet; mule. Ô ^νίλυς Ορινς, mule.

Ο άρρην οριυς, mulet. R. όρος, montagne, λγ cause que cet animal est propre à travailler dans les montagnes.

Opcwç, gén. Dor. pour ορούς,

4    </*cpo;.

Optvw*, fut. «νσω 9 garder. ' Ορεχθιω, désirer; avoir envie—être indigné—soupirer; gémir —résonner; faire du bruit. Ope», Ion.pour όράω.

Ορια, mèm. sign, quo ρω. Οριωχόμος, », ô, qui a &oin des mulets; muletier. R. xoucot. Ορίωσολιω , être occupé auprès des mulets; être muletier. R -ττολ/ω.

Οριωτσωλτος, », δ, marchand de mulets. R. ττωλιω.

^ Ορη, Dor.pourlpa, impér. έΓδράω, lîpTiac, Jon. /wiyr optj, 2e /cts.

prés, pass· do «ω. cipvjç, Dor. pour opç;9 dopà*a9 tu , ^ vois.    s

OpOayaptVxoi, K. op6p*yop?axoi. OpOayopixoç, », ô, cochon de lait. OoOor., 7/7//. pour ορθαι,

pass. dopta. [ Ορθαΐ, fèm. pl. ^’ό'ρθος.    '

OpOati, ων . αί, balcons; galeries λζ saillies hors des bâti-

mens.

Op6evv, Dor. pour ορθονν· Ορθινω, dresser; redresser; soutenir droit. R. ορθός.

Ορθί;, sous-ent. oèviy mém. sign.

q&’opQcS;.

Ορθια, ας, η, Droite, surnom sous lequel étoit honorée à La-cèdèmone une statue de Diane, si bien liée avec des brins de sarment, qu elle ne poupoit v pencher d aucun côté:

Ορθιοι, fém. ou neut. d'cpQioç. Ορθια, pris adverb\ pour cp9;cv , d’une voix forte et soutenue. OpOiaor, adv. vers ou dans les endroits élevés; dans les che. Tiiins roides.

όοΟιάζω ,fut. acw, dresser ; redresser — parler d’uie voix forte et soutenue—prédire ; prophétiser ; r* ndre des réponses prophétiques. [Ορθ/ασ-pοι, otTOr « τ)>, parole prononcée d’une veix forte et soutenue. Κ. ορθός.

Ορ'λ'ας, αχος, ο, partie inférieure ^ du fnât,

QftOtα<ψα , V.    ·

ΟΡΘ ,

Ορθιόχωσοι, ων , οί, qui se redressent pour pousser la rame plus fortement. R. xomio.

Ορθιος, », adj. qui s’élève ou qui monte en ligne droite. Ορθιος ©Τμος, chemin roide. [ Ορθιος. droit; qui se tient droit — ferme; qui n’estjpas pendant. Ορθιον £φι«Γοις το ονς, Luc. dressant lesoreilles. Ορθιος νόμος, air qu'on chante d’une voix élevée et soutenue. [ Ορθια ou ορθιον àvciv, chanter d’une voix forte et soutenue.

Ορθιος, qui s’étend en ligne droite; dont la direction est en ligne droite. Ορθιον «pivyciv, fuir par un chemin droit ou par un chemin qui va en montant. Προ; ορθιον , vers ou dans les endroits élevés, dans les chemins roides.

Ορθιον, adç. d’une voix forte et soutenue, comme on le voit dans t exemple ci-dessus. Ορθίa φάλα·/ξ, phalange qui a plus de profondeur que de Iront. Ορθοβατ/ω ,fut. νίσω, marcher en e se tenant droit. R. βαίνω. 0ρ0ο5ο'ας, », é, qui crie d’une voix forte et soutenue. R. βοάω. Ορθ&ζολος, ») Jancé droit. R.

^ βάλλω.

OpOoyoYj, ης, η, qui se lamente d*une voix forte et soutenue.

. R. yôoç.

Ορθογρουρ/ω, fut Jvtrto, écrire les mots suivant l’orthographe ; ORTHOGRAPHIER. R. δρθος , γράγω.

OcOeypa^ia, ας, ί, ORTHOGRAPHE—ORTHOGRAPHIE, C àd. dessin d’un édifice représenté sur un plnn dans ses véritables proportions ; coupe perpendiculaire d’un ouvrage. Ορθονωνιος, êpGoywvcç, », rectangle ; qui est à angles droits. R. γωνία.

Ορ0ο<?οξας·ιχως, adp. suivant une opinion conforme à la vérité. R. ίόςα.    '

Ορθο<?ο£/ω, penser bien; être un homme bien pensant ; être dans une opinion conforme à la vérité—avoir une opinion saine, une opinion orthodoxe. [ OpCa(îoÎia, ας, η* opinion saine ; opinion conforme à la vérité ou à la droite raison— ORTHODOXIE.    W

όρθόοόξος , * , adj. qui pense bien ; bien pensant — orthodoxe. R. ορθός, δόζχ. ΟρθοέρομΛ», courir droit à ; aller en droite li^ne ;t aller par le

droit «llCMttP. [ Opô&rjpo^o;,

ΟΡΘ

o, qui court droit à; qnî va en droite ligne, etc. R. *pe'f±f». Οοθόίωοον, », το, empan, sorte de mesure qui est depuis Γextrémité du pouce jusquà celle du petit doigt. quand ces deux extrémités sont aussi éloignées Γune de Γautre qu elles peu vent fetre—palme, espèce de mesure. R. δωρ ov.

.dpOotwcta, ας, η, style V.orrect ; énonciation correcte— usa^c des mots propres dans le discours. [ Ορθοίντω , s’exprimer correctement; employer les mots propres. R. erao;.

Ορθόθριξ, gén. ορΟότριχος, dont les cheveux se dressent ou se hérissent sur la tète; dont les cheveux sont dressés mu hérissés sur la tète—dont les crins ou les poils se hérissent, se dressent; dont les crins ou les poils sont hérissés ou dres-t sés. R. θρίξ.

Ορθοθνρ-n, ης, i, porte élevée.

t R. £ύρα.    ^

Ορθόχανλος, », adj. qui a la tige droite. R. χανλός.

Ορθοχ/ρατος, », c, et δρθοχίρως, ω, qui a les cornes droites; qui^dresse les cornes.

Ορ&όχβρως, dont les cheveux se dressent ou se hérissent sur la tète, par un sentiment d horreur. R» χ«ρας.    e

ΟρΟόχμαιρο;, », adj. qui dresse la tète ou les cornes; dont la tête au les cornes sont dressées. R. xpatpa.

Ορθοχρανος, », qui dresse ou qui élève la tète—élevé. R.xpavov. OpOoVJov , » , το , roideur d’un membre qui ne peut se plier. R. xwlov.    *

ΟρθόΧα).ος, », qui parle d’un ton hout et soutenu. R. >o&oç. OpÔoÀoy/t», -ω, s’exprimer correctement—faire une suppu^ tation exacte. R.i/y«. Ορθομάζιος, », η, qui a la gorge ferme. R. γάζος.    ^

Ορθομάντεια , ας, v>, prédiction exactement accomplie, f Ορθό-μαντις, ιος, o et vj, dont les predictions s’accomplissent exactement; vrai prophète.

Ορθόνσμος, », b et r,, qui distribue 'avec équité; nui fait une exacte répartition. R. ν/ρΛ>.

Ορθόνoo;, -νονς, », adj. qui a l’esprit droit, le sens droit — qui a des intentions droites; qui a le coeur droit. R. νόος. OpOowÀrjç, viyoç (Τ^ττσος), (chev.il) qui se cabre en frappant avec les pieds de devant* R. oaft;»

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ΟΡΘ

f5pôotsrvotoc, ας, η, ΟΗΤΗΟΡΝΕΕ, oppression qui empêche de respirer , à moins qu on ne se tienne droit. [ Ορθοσνοιχος, S, adj. qui a une orihopne'e. R.

ττν/ω.

OpQoOoSiq, -5, marcher droit. ^ R. Ορβόζτονς.

OpOotaroXtç, toç, qui conserve lès villes dans un bon état. R.

^ -πόλις.

Ορθόσους, οίος, qui marche droit. t R. opOoç* -ττους.

OpGoirrpayrty , réussir. R. ιτράσσω.

ΟρθοττΊίρο;, «, qui a les plumes ^ droites. R. irlepôy.

ΟΡΘΟΣ, », adj. droit; qui se tient droit ; qui est debout — dressé. [ Op9ai άχοαΐ , oreilles dressées. [ Ορθός, qui s’étend en ligne droite ; qui va en li^ne directe ; qui va tout droit. Il opQyj, sous-entendu γοπιψ.-η ou 7«vtoc , une li^ne droite—un angle droit. Upô; ορθήν, en ligne droite—à angle droit—par une roule en ligne droite; par le chemin droit.

Ορθός, droit, c. à d. qui a

■ t* à me droite, le ctcur droit. [Ορθός, droit ; équitable; juste.

Ορθός, vrai. Ορθωλο/ω, vraiment; réellement. Ορθά* ττολι-Tiîoct, des gouvernemens vraiment dignes de ce nom.

Ορθός οίνος, vin pris en telle quantité, qu’on peut toujours se tenir debout ou marcher droit, par opposit. à σφαλερός οΤνος , vin pris en telle quantité que l’on chancelle ou qu’on ne peutrse tenir droit.

Φρθος-αίην et ορθοςαάον, adp. en , se tenant droit; debout.

Ορθος<χ£ί<χς et έρθσς-άίιος , », qui se tient droit ; qui est debout. [ ΟρΟόςαδος, mêm. sign. Ορθο-«Γα^ιας χιτων , tunique sans ceinture ; tunique détroussée. Γ Ορθοςασις , βως , η , attitude droite. [ Ορθος-άτης, », adj. qui se,tient droit; qui est debout. [θρθος-άτης, «, b , subst. pilier; montant—contre-fort; jambe de force—poteau.    .

Ορθότος, ν>τος, η, droiture ; rectitude; justesse. Ορθότης βίον, vie bien réglée- Ορθο'της èvo-μα'των, noms appliqués avec , justesse.

ΟρθοτΓτθιος, μ, η, qui a la gorge ferme; dont les mamelles 11e , sont pas pendantes. R. τιτθός.

OpOovouiM, -ω, M. ησω , couper en droite ligne ; ouvrir un chemin droit.

Ορθοτορος,    adj\ qui coupe en

ΟΡΘ

droite ligne. [ Ορθο'τορος, », adj. coupé en droite ligne ; coupé droit. R. τι'μνω. Ορθοτριχις , ων, οί, plur. d'ορθό-, θριξ.

Ορθονμ&ι, V. ορθόω.

Ορθοφνί'οααι , s’élever en ligne , droite; croître en hauteur— monter en futaie. [ Ορθοφυης, Ιος, adj. qui s’élève en ligne droite; qui croit en hauteur —qui monte en futaie. [ Ορθο-ψΛα , oc . η , croissance en hauteur. R. φυω.

Ορθο^α/της, », o, qui dresse sa crinière. R. χαίτη.

Ορθοω, fut. ωσω, dresser; re-dresser—relever, au propre et au fig.x[ OpGovfxat, se dresser; sc redresser, se relever.

Ορθο'ω, rendre droit ; dresser, une regte.

Ορθο'ω , pousser ou faire avancer en ligne droite. [ Op-θοΰμαι, réussir—être en bon état. Ή» ορθουαινον, heureux succès ; réussite. Hv μ>, ορθοθγ;, si l’affaire ne réusMssoit pas. ί)ρθ«(α/νη -πόλις, une république bien constituée. R. ορθός. Ορθ(>αγορ'<τχος, », ό. cochon de lait. R. ορθρος, αγοράζω , parce quon les promenoit le matin pour les vendre.

Ορθραγορίσχος, nom d* un poisson de mer, qui grogne quand on le prend.

Ο ρθρ <υω et όρθρίυofxat, faire quel- I que chose au point du jour, de grand matin—être matinal ; se lever matin. [Ορθρίζω, fut. ίσω , mcm. sign. — de pl. aller 011 venir le matin chez quelqu’un.    '    v

Ορθρινές , β , et ορθοιος , » , adj. du matin ; du point du jour— qui fait quelque chose de grand matin—qui se fait de grand matin. Ορθριοι ηλθον, ils vinrent de grand matin. OpOptov ainv, chanter dès Je point du jour. Tfc opGptyov , sous-ent. xaxbt · au point du jour ; de grana matin.

Ορθριοχόχχνζ, νγος, qui chante dès le point du jour comme ^le coq. R. χόκχυξ.

Ορθριος, V, ορθρινός.

Ορθριοφοίτης, », b , qui arrive de ? grand matin. R. φοιτάω. Ορθροβόης, Dor. ορθροβόας, α, δ, qui crie dès le point du jour; qui chante dès le point du jour, épith. du coq.    ,

OpOpoyovj, ης , η , qui gémit dè& le point du jour* R* ycoûu.

OPI 701

Ορθρολάλος, » ,· ô , qui parle ou

# qui jnse des le point du jour. ΟΡΘΡΟΣ , « , rfe , le point du jour. Τον ζρθρov ç/vitv, géinir „ dès Je point du jqur. ïlcpl τ\>ν ορθρον ou ττ^ος τον ^ορθρον , ail point du jour. Α^α ορθρω, dès le point du jour. Ορθρ» βαθ/ος, ou ■Kept βαθυν ορθρον , f avant le jour.

Ορθωθη , 3e pers. sing. aor. i de ôpOàfpiat.    ,

Ορθως, adp. bien ; comme il faut. AtrcxIrtvocTt ορθως -ττοίΗντ·?* Xén. vous avez bien fait de le tuer. Oùx ορθώς «σοίησας ΙχΤχς t vous n’avez pas bien fait de publier. Ορθως ίχπ τα τοίοιυτα ρ,ψφισθαι, Plat. on a raison de blâmer de pareilles choses. T& ρ.η ίρΟως^ Γχοντα , Thucyd.

% choses injustes.

Ορθωσια, ας, η, mêm. sign, que ο ρθωσις.

Ορθωσ» α, α;, η, OllTHOSIB , surnom de Diane, supposée secourir les femmes en travail d'enfant, et généralement tous les hommes dans leurs entreprises Ορθοίσιος Ζευς, Jupiter Stateur, ou Japiter qui relève ceux qui sont tombés, qui soutient ceux qui sont prêts à' ^ fléchir:

ΟρΟωσις, ιως, η. redressement— ^direction. [ όρθωτηρ , 5ίρος, ό , qui redresse ; qui relève.

Opta, ων; τα, plur. </3ptov, confins; limites; bornes.

Οριαχης, /ος, qui couche sur les-montagnes.

Ορι5ρ«ρ«της , » , Dor. ας, α , qui gronde sur les montagnes ou du haut de la montagne. R,

t ορος, βρ(μ.ω.    ,

Opiy*v»Ço>, être semblable à l’origan ; avoir un goût semblable à celui de l'origan. R. optyavov.

dptyavov, mêm. sign, qu'hpctyavov.· Optyavov βΧι-astv, Arist. pêttr Jpip.lt SXtrsrtty, lancer des regards sévères ou menaçans. Opiyavrtr.ç οΤνος, vin d’origan. Opiyavo;, », 0, mém. sign, que opttyavov.

Ορι-/νάσθα£, désirer, convoiter— combattre ; attaquer. R. ορίγω. OptSpofxix , ας, η , course sur les montagnes. [Ορί^ρ·ρος, », adj. qui parcourt les montagnes. R. ορος , Spsp-ω. όρίζω, fut. ίσω, parf. pass. «pt«r-fxat, homer; terminer—marquer Ifs bornes ; déterminer les limites. Ωρισρ/νη oîxta, mai-^ son sur laquelle on a mis une

/

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7°2 OPI

marque pour annoncer qu'elle est hypothéquée ; maison hypo théquce.

όρίζω ci ορίζομαι , définir Tfcv φό£ον &ρίζοντ'χι προσδοχίοιν χλχη, Arist. ils définissent la crainte, l’attente d’un mal.

Ορίζωt déterminer—juger; estimer; penser.

Ορίζω, fixer ; marquer. Ôpta* μ/πι Ϋ,μίρα , jour fixe ; jour marqué.

Ορίζω, statuer ; établir ; fixer. [Ορίζω, établir pour but ; re-arder une chose comme le ut.

. Ορίζω, séparer ; diviser. Opt-Çwv tvjv Ασίαν τη Λιβνη, Jlér. qui sépare l’Asie d'avec ΓΑ-frique.

Ορίζω , joindre ensemble ; faire que des choses tiennent ensemble, mèm. sign, que σνμ· φυκν. li. ορος.

Ο ριζών , οντος, ό , HORIZON, cercle de la sphere. U. ορος.

Οριχοιτος, «, ό, qui coucbe sur les montagnes. R.opoç, χοιτάω. Οριχίς, 5, adj. qui concerne la definition; qui roule sur une définition ; qui dépend d’une

4 définition. H. δρος.

ΟοίχΊιτης, » , 6 , qui habite sur les montagnes, η. ορος, χΊίζύ. Ootxywrcw, se dresser sur la ^ pointe des pieds. R. χναΊω. Οριμ*\ί&)ς, ων # al, pommes de montagne ; pommes sauvages. H. ορος, μηλις.

ΟΡΙΝΔΗΣ , « , jpain fait d’une semence semblable au sésame, chez les Ethiopiens—rii, suivant d*autres interprétés.

Dans Athénée , liv. 3 , au λ lieu(Γορνίδ-ης, ilfùutlire ορινίης. Ορ».νος, r . ορπνός.

Opt y» , fut. ινω , émouvoir — t roubfer — exciter ; jmusser ; animer — soulever. [ Opt'vo-pi*t, être ému , etc.—être mis en fuite ; prendre précipitamment la fuite. U. ορω.

Οριος , «, adj. qui concerne les bornes, les limites—qui préside aux bornes, aux limites. Optôç 5ώς, le dieu Therme. [ Optov, «, το, borne; limite. ^ Optoç, mém. sigr^. quip&Xoç. ΟρίατλαγχΊος, s , qui erre sur les montagnes. [ Ορι-σ/αντις , «ος, ^ adj. mèm. sign. R. -πλανάω. Ορισμοί, ατος , *Λ , borne — ce qu’on se propose de faire ; résolution; détermination. U.

f ορίζω.

Οριτμτς, i, o, definition—i’ac-

opk

tion de déterminer d’une ma-niere prél ise.

Optç/j;, «, ô, qui marque les limites des champs ; arpenteur—qui fixe les droits respectifs entre les parties adverses; juge; arbitre. ($ρις·ιχΐ>ς, £, adj. qui sert à définir ; qni cofrcerue la définition. Οριςιχ^ς λόγος , definition. ,

Ôpirpt'f'n;, /ος, adj. et ορίτρογος, nt adj. nourri sur la montagne. [Οριτρόφος, qui nourrit sur les montagnes. R. ορος, τρέφω.

Ορί/αλχος, mem. sign. qulpti— , χαλχος.

Οριχάομαι , désirer ; convoiter. λ R. ορέγομαι.

Ορχχθος , ν, ό , endroit où l’on fait sécher les figuos. R. etργω. Opxoivt) , vj;, η , haie—clôture— prison ; parc de mouton—bercail-filets; rets. R. «Tργω. Ορχασχτγ)ς, β , qui trompe en faisant des sermens auxquels il n’est pas fidèle. R. ορχος , àtjàrrj.

Ôpxn, ης,*, huilier; vinaigrier —boite à mettre du fard. R.

ιΐργω.

Ορχια , plur. d*Zpxtov.

Opxt ζω , fut. ίσω , parf ωρχιχα , faire jurer; faire prêter serment ; lier quelqu un par un serment; exiger de quelqu’un un serment. [ Ορχισμϊις, 5, ô , l’action de faire jurer, etc. , R. ορχος.    ^

Opxtov , w, τ^> , traité scellé par un serment — sermeut- T« ορχια, ce qui sert à sceller un serment.

Opxtoç, », ô* par lequel on jure; ue l’on atteste. Ορχιος 3ιί>ς, ieu par lequel ou par le nom duquel on jure—dieu que l’on prend à témoin.

Γινόμενό» των ορχίων δμολο— γιων , Plut, les traités ayant été scellés par des sermens. Ορχισμος , V. όρχίζω,

ΟΡΚΟΣ , if, ό , serment ; jurement. Ôpxον ομοσ&ι Tty}, Thuc. s’engager envers quelqu’un par serinent ; faire sermen t on prêter serment à quelqu’un. Opxcv διδότω μοι, Eurip. qu’il .nie fasse serment. Ήομίζων XcXvxevott T^v opxov, Pol. s’imaginant qu’il étoit délié de son serment [ Ορχόω , fut. ωσω , mêm. sign, qulpxίζ&.

OPK Y NOS , n , ό , thon , gros poisson de mer,

Opx<i»u.Joca, ων, τά, sacrifices par

ΟΡΜ

lesquels on scelloit des traités.

R. opxo;, ομννμι.

Ορχωμοσια, λ; , η , et ορχωμόσιοψ , «, το, sfrment.

Ορχωμττε'ω , fut. rtz’ù , sceller lin traité par des sermens.

Ορχωμόττ;; , tt, ô . qui s’est lié par serment. [ (>p<wfxorix^ç, », adj. qui sert a affirmer avec serment, conune <ont les ad· t verbes vvj μα, vat μα, νη tc*v Jiat.

Ορχωταί, ών , οί, députés charges tie faire prêter serment.

ΟΡΜΑΘΟΣ, S, ô, rang; rangée —.série ; enchaînement ; s’-ite —tresse ; ligne ; traînée. μαθός χάχων , enchaînement de malheurs. [ Ορμαθίζω, enchaîner, c. à d. fin iner un enchaînement de plusieurs choses. Τ«ς μαργαρίτας ορμχθίζαν , enfiler des perles. Ορμαθός, lieu secret ; caverne ; répaire.

Ορμάθω , aller ; tendre à.

Ορμαίνω, fut. ανώ, parf. ωρμοτ/χ<χ f se précipiter ; se jeter avec impétuosité—rouler dlans son esprit ; méditer. [ όρμαίνω, exciter.

Op μας-αι , 3e pers. sing. parf. pass, pour αρμος-αι , Jon. pour ηρμoçat , du verbe αρμόζω.

Ορμάω , fut. νίσω , parf. όΓρμτοχβ , se jeter avec impétuosité ; se précipiter; fondre; s’élancer —s’échapper impétueusement —se porter avec ardeur vers un objet; s’appliquer à—se jeter, au fig. ίίρμυσι ιτρ^ς τνιν /μσορίαν, Plut, il se jeta dans le commerce.

Ορμάω, suivi d*un infinitif 9 s’appliquer à—prendre la resolution subite; former le dessein ; se proposer de. Ωρμησεν «αντον άνβλιΤν , Plut. il prit Subitement la résolution de se tuer. [ Ορμάω , désirer ; avoir envie de—entreprendre ; commencer— se mettre à. Ορμχ irautv, Plut, il se met à le frapper.

ϋρμάω, act. exciter; pousser ; mettre en mouvement. Ορμαν ιτόλιμον , exciter la guerre. Mats ορμψν wpbç nckt-μον signifie courir aux armes; entreprendre la guerre. Ορμφν το çpàτ«υμ« , mettre l’armée en mouvement.

Ορμαομαι, s’appliquer fortement à ; tourner tous ses efforts ou tous ses soins vers line chose—entreprendre—se préparer à ; se disposer à— être prêt à ; être empressé de; être porté à ou enclin à.

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ΟΡΜ

Ορμωμαι, partir ; se mettre en route—se mettre en mouvement—s'avancer vers—partir de, au fig.—commencer par.

Ορμάομαι , entrer. Ëwni-ii ««ç η&ιν ôpfxàro, Xén. lorsqu'il entroit daus i’age de puberté.

Ορμημ/νος -ποταμος , Plat. fleuve rapide.

Ορμγ)θί~σa βΧάςν , bourgeon ‘‘f qui s'empresse d’éclore. Oputaro , Ion. pour ωρμηντο , 3e ptrs. pl. plusq.-par/, pass, du verbe άρμάω.

Opfxttà , «ς, ·η , mém. sign, qüe w όρμία.    '

Ορμ,ΐνος , H , S/ne. pour Ιρόμίνος , part. près. pass, d opta , qui va d un mouvement précipité ; impétueux.

Ορμινος, u , subst. asperge sauvage ; tige ou tuyau^ de plante—tige de chou. [ Ορμι-von;, ιντος, adj. qui a poussé f sa tige ; qui est monté.

Ορμίντης ,5,o, pécheur. R.

όρμ ιοί,

Ορμ*», fut. ησω, être *a l'ancre —être en station — aborder; mouiller, dans une rade, etc.

R. όρμος.

ύρμ/ωμινος, Ion. pour όρμωμινος , parf. part. pass, doppxta.

OPMlJ « »>« > ή /impétuosité ; mouvement impétueux — mouvement d’armée — choc, dans un combat—effort·

όρμ), départ;—commencement ; début. Etxrjv ηοηδ/γμι-νος ôppLYjv, Horn, attendant que je commence. [ Ορμ-ί), entre-

• prise. Ορμ-ov εσχον, Plut, ils entreprirent.

Oppy», mouvement de l'âme ; désir ; inclination ; passion. [jOpfxt}, instinct; impulsion. EÀcytv ώ; ôpfxvi Ttve χρησαιτο άαιμονίω, Plut, il disoit qtril agissoit par une certainetinspiration de la divinité. [θομγ>, appétit conctipiscible, en terme philosophique, c. à d. l’appétit par lequel l'âme se porte vers un objet qui lui plait.

Ôpp>, résolution subite, dp;*}), impression que les , objets font.sur l'âme.

Ορμη^ν , adv. avec impétuosité. ^Ρμνμα, ατος, -Λ, objet vers lequel l’àmese porle avec, impétuosité—mouvement impétueux de l’âme vers un objet , —efTort.

νρμνττ,ριον, », τ^, aiguillon; éperon ; fouet ; tout çe qui

OPN

sert h faire avancer plus vite un cheval.

OppoTYjpiev , 8, το, lieu d'où l’on sort poui* fondre sur l’en-neini—place d'armes—fort— t asyle—retraite.

Ορμννιχ'ος, S, qui est d'un naturel impétueux—fortement enclin à ; qui a u ne violente propension à — que l’on pousse facilement ά. Το ορμητιχ'ον, impétuosité-violente .propension à.

Ορρητιχ^ς, qui a la propriété d'exciter à ; excitatif.

Op^yjTty^;, adv. avec impétuosité. Ορμητιχως «χι«ν, être entraîné par un mouvements par un désir impétueux; avoir ^ une violente propension à. ΟΡΜΙΑ, ας, η, ficelle; petite corde de crins de cheval; ligue de pêcheur.

Ορμνηϊύος ,8,ô, pêcheur. ' R. βάλλω.

Ορμίζω, fol. Ισω, fqire entrer un vaisseau dans une rade, dans un port—ancrer un vaisseau.^ [ όρμίζισθαι , aborder— mouiller ; jeter l'ancre. R.

, όρμος.    '

ΟρμιιηξόΧος, V. ορμιά.

ΟΡΜΙΝΟΝ , 9,τΙ, ormin, plante appelée aussi orvale ou toute bonne. Γ Ορμίνωίης, ιος, adj. f semblable à l’orvale.

Ορμίσις, (ως,-η, aclion d’aborder ; abord ; mouillage ; ancrage ; station d’un vaisseau dans une 9 rade ou dans un port R. ορμος. Ορμίσκος, «, petit collier. ΟΡΜΟΣ , 8,ô, collier ; ornement du col.

Ορμος, station des vaisseaux —mouillage ; abri pour des vaisseaux; hâvre; rade—port.

όρμος, nom d'une espèce de danse.

t Ορμοι, cordons de souliers. OpvawiTtov, «, xb, petit oiseau.

% R. ορνις.

Ορνιοθτηρενχιχγ), 9ίς, η, mém. sign. m qu'opviOoOviptvrixyj.

Opvcov , 8, το, oiseau. Opv«o«TtTta, ων, petits oiseaux. Ορνι%τ9ωλιίον , h , xb, lieu où l'on vendde:» oiseaux. Γ ΟρνιοντωΧης, 8, h, marchand d oiseaux; oif seller. R. ορνις , πωλ/ω. OpveoarxoWft), -ω, observer les oiseaux, c. h d. être augure. [ όρνιοσχόνος ,8,ô, augure ; celui qui observe le vol des oiseaux, leur chant, leur manière de manger pour en tirer des présages. R. σχοσιω.

OPN 7«î

Opvc£«, changer en oiseau.

Opvstâir,;, ιος, semblable aux e oiseaux.

Ορνιώηος , β, o, oiselier.

Ορνίδπς, Voy. la note du mot

έρίνίης.

Ορνιθα^ριυτης , h, o, oiseleur.

^ R. ορνις, αγρίντης.

Ορνιθάριον,' Κ, τ'ο, petit oiseau t—petit d’oiseau—poussin. OpvtÔcioc, ας, η, augure, mcm. sign, ^qu οίωνομαντιta. T7î; ôpvi-Οιιας, dans Plut. Vie de Lyc. ; lisez plutôt τ-^ς όρθιας, sous—

, entendu Αρτιμιίος.

Ορνίθίίος, oovtôio;, s, et ίρνίθιος, 8, adj. de poule—d’oiseau. OpyiGtta, ώ^ι, œufs de poule. ΟρνιΟκο» χο/ας, chair d’oiseau

> ou de poule.

OpviGcioç et ορνίΟιος signifie quel-f quefois le coq.

Ορνιθίνω, .être oiseleur. [ dpvi-θιντης, δ, o, oiseleur. t (ίρνιθ(νομ<χι, être augure. OpvcGcaxat, ων, t3c, histoire des t oiseaux.

Ορνιθιοις, μ, ο. ΟρνιΟ'ας χκμων f hiver qui fait périr les oiseaux.

, OpyiOiat , ων , OIINITHIES. Les Crées appelaient ainsi les vents du printemps qui régnent lorsque ^ les oiseaux de passage t reviennent dans nos climats. OpviGtxoç, S, adj. d'oiseau. Ορνίθιον , 8, rbt petit oiseau—N ( petit d’oiseau-pousMn- le coq/ Ορνίθιος, a, ov, mcm. sign, que t ορνίθfeoç.

Ορνι0ο^οσχιΓον, 8 , ο, volière— lieu où Ton nourrit des poules t ou des oiseaux. R. βοσχω. Ορνιθόγαλο* , u, ORNITHOGALE ,

% plante bulbeuse.

Opvtôoyovia, ας, -η, la génération t des oiseaux. R. yrtvopat. ΟρνιΒόγονος,η, ό, né d'un oiseau. ΟρνιΟοθηρα , ας, v), métier d’oiseleur — oisellerie. R. όρνις%

ΟρνιθοΟ-ηρας,f8, Dor. α, l, oiseleur. [ ΟρνιθοΟτιράω, être oiseleur.

ΟρνιΟοθηρίντίχγ), 7[ς, y,, l’art de

{irendre des oiseaux; Târt de 'oiseleur; oisellerie. Ονιθοθηρινω, être oiseleur. M. R. ΟνΑοχάντηΧος, », i, qui VeuJ

i des oiseaux. R. χοίσπλος. OpvtOoxôoç, 8, augure. R. opviç, f xoΙω, Ion. pour νοεω. OpvfGoioyo;, u, h, oiseleur. R.

% ορνις, \1γω.

ΟρνιΟομανίω, -ω; avoir une grande passion pour le» oiseaux ; aimer passionnément les oiseaux. [ όρνιφομαν*; f loçf if

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7o4 ΟΡΝ

Mjui a une grande , etc. [ Opve-

6ου.ανια, ας, r), passion démesurée pour les oisesux { manie pour les oiseaux. R. ορνις , pou? op.au    ^

Ορνιθονβ^Γον , »heu ou Ion nourrit des oiseaux ou des

Ïtoules ou de la volaille ; vo— ière ; poulailler; basse-cour.

R.    ^    .

Opvt0<matç, αι£ος, o, petit d oiseau—poussin. R· 'τταΓς. ÔpviQomiàn , *1;, rets; filets, pour prendre des oiseaux ; réseaux. R. ■*«'<*'i·    .

Ο>ίθοτ*ώλης, », ô, qui vend des oiseaux; marchand d oiseaux. R. ορνις, 'ΓτωΑ«ω.

ÔpYtQocrxom/ω,    *^rc augure.

£ Ορν(θοσχο«ια, a;, 19 y fonction d’augure.    f

dpvi9ooxôwo;., », ô, augure, /w/ot. //£//· ^β’&ρνβοσχο-σος. Ορνιθβ-τροφιΤον , «, το, mcm. sign.

y//opvi0ovop.cîov. R. τρ«φω.· ΟρνιΟοτροφ/ω ,    -ω, élever des

oiseaux; noôrrir des poules ou de la volaille—-avoir une volière ; être oiselier. [ O?»·-«οτροφ.'α, ας,*, le soin d élever des oiseaux , de nourrir des poules ; entretien d une fcasse-cour, d'une voliere. ίορν,θοτρίφος. », i, qui élève Ses oiseaux, etc. et autres sens du verbe όρνιθοτροιρίω.. R.Tpiy»·

Οην.θοφ^ος, », ό, qui niante les oiseaux oales poules. U. oaya.    .    .

■Opv.o οφυης, ιος, ad), petit d oiseau—poussin. R. φνω.

Ορνιθόω, changer en oiseau. όρ,.ΟΑς, «o;, adj. semblable aux oiseaux; qui est de la nafure des oiseaux.

Ορνιθώ^ις xoQtat,ventricules semblables à ceux des oiseaux. Ορνίθων , ωνος, ο , mcm. sign. que ορνιθονομεΤον , », το. ^

Ορνιξ, ,χος, Dor. pour η»*. OFNI2, ιθος, β et ί, acc. ορνιν ou opvtOat, oiseau—poule ; coq. Γ όονις, oiseau dont le vol ou le chant sert d’augure, de présage—augure; présage. Ka-,0i όρννθι;, mauvais augure ;

mauvais présage. Α^ιο. ορ«ιθ<ς,

heureux augure ; heureux presage. ί>ρ»ιβιαΐσ<», sousd heureux auspices, όρνιθα riiSt tu-CCOV iro.i!f«0«<, Eur. nous regardons cela comme un bon augure.

Ρρννμαι, V. ορνυμί.

OpvvtAtv , ppvvuivac, Dor. pour

opvvvai, d opwfAt.

4pvv[it, exciter; animer ; mettre

OPO    /

en mouvement ; faire leveïw soulever. [ Ορνυσθαι, se ineltye en mouvement ; se lever*— précipiter ses pas; se hâter. Ορνύω, mém. sign. qu'ορνυμι. dpo $<χγχη « ης ι ^ » o rob anche, plante ainsi nommée d*opoCoq , oROBE, plante. et ay*w, serrer, suffoquer, parce qu'elle fait périr 1orohe et les autres légumes parmi lesquels elle croit.

Οοόβαγχος, »·, p* OROÎANCHE—outre de cuir.

Οροβχ&ς, ων , ott, qui parconrent les montagnes, èpith - des bêles sauvages. [Οροβάσις, nymphes des motitagnes; Oréades. R.

Zpος, βαίνω.

ΟΡΟΒΟΣ, », o, OROBE, plante legumineuse. [ Ορόβινος, fait d’orobe. [ Οροοίας et έοοβιτος,

», adj. semblable à l’orobe.

[ ΟροβιαΤος, qui est de la gran- -cleur de l’orobe. [ Opo£tov »^ », xh, petit orobe; graine do-robe-

Opoyxrj, vjç, Vf ορογχος, », ο, sommet d*une montagne ; cime ; fauteur. R. ορος , ογχος.

Opoyvta, /ρλ. pour ώρο/υΓα, fèm. if ώρογως , parf. part. mojr. ^oprycu.    ·

ΟΡ0ΔΛΜΝΟΣ, », ô, jet d’arbre; surgeon ; petit rameau. [ Ορο— ίαρι;, t^o;, tj, mcm. sign. OpoÆtfiviàosç, ων , α: , qui C°U— client sur les montagnes. R. ορος, d/txvov.    ^

ϋροθ/αια, ων, ri^ ligne de demarcation ; limites ; bornes.

Î Οροθεσία, ας, ·η, fixation des imites. [ βροθίΐης, ». ό, qui fixe les limites d’un champ ou d'un pays— arpentèur-juré. R. ορος, τίθημι-Οροθννω, exciter; animer; pousser—troubler. R. ο ρω. ,    ^

OpotTvtaroç, », ό,bûcheron. [Opoc-τνσΊος, », i, bûcheron—pasteur. R. «ρος · τνχιΐω.

Ορομ,αι pour ορωα.αι.

Οροααι, pass. ί/’ορω. [ Ορόμινος, part, présent. dporxaXiôcç , pour opeta μ?ίλα. Ορον , »,    ,    bois    qui écache les

olives dans le pressoir.

Ορον, », το, pressoir. OPO^TION, », oronce, herbe qui ôte la couleur de la jaunisse. Οροντο, Ion. pour ωρ·ντο , ί/’ωρω. Opotucîiov, », τ^>, plateau d une montagne — petite colline ; éminence. R. ορος, -itéÎiov. Opourvytov , V. oppotavytov.

, ΟΡΟΣ, cvî , xo, mgntagne , mont

OPO

—plancher ; la . partie sup^· rieure d’une chambre ; p!a-fond^-toit—la partie du pied voisine des doigts—le bois ijui écache les olives dans le pressoir.

Ορος pour ορρος, petit-lait ; sérosité qui se sépare du lait quand il se caille—sérosité.

ΟΡΟΣ, », i, borne ; limite ; frontière—extrémité—cippe élevé pour marquer les bornes—· borne, au fig.', limite. Ορ»ς των ονιων τιθισθαι , Plut. L^r-ner tftf^fixer le prix des denrées. Ορος των γαίμων 9 Plut. le temps fixé pour le mariage.

Ορος, le but; la fin , la fin çiion se pivpose—règle , régla des actions, etc.

όρος, définition.

Ορος, marque que l’on met sur un bien hypothéqué , comme sur une maison ou un champ, pour avertir que ce bien est déjà le gage d'une créance.

όρος, loi; règlement.

Ορος, bois qui écache les olives ou qtii écrase les raisins dans le pressoir. On trouve dans cette signification ορος e écrit avec un esprit doux. ΟροσΛινβν pour οριοσΛινον. Οροσσίζιος, », ό, pinson des montagnes, oiseau. R. ίρος, <mr ιζτη.

Ορονοω OU ορουβω, mem. sign.

qu έρονω.

Op ου civ ω, mém. sign. qu"op*v<a. Οοονω , fut. ονσω , parf. ωρονχα , fondre sur; s’élancer sur; se précipiter sur—précipiter ses pas. [ Ορουμα, ατος, τ^, mou" vement impétueux, saut ; élan. R. ορω.

Οροφή, ης, toiture*, couverture de maison; toit—lambris; plafond. R. Ιρίγω. Οροφνιφορος, »« ad), surmonte 00 couvert d’un toit—qui porte un toit, èpith. de la tortue et d'autres animaux semblables. R. tpc'pe*.

Οοοφίας, », δ, qui habite sous les toits, comme les rats, etc. Opo-φιας οφίζ, serpent qui va a la chaise des rats sous les toits, όροφοιτων, ώντος, adj. qui parcourt les montagues. R. opo;> φοιτάω.

όροφος, », 0, toit—voûte—roseau, qui sert à couvrir des maisons. R. «ρ/φω.

Οροφοω, —ώ, fut. ώσω, pajrfi ώρώ-φο^χα, couvrir uuc makion)

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ttPP

faire une toiture ou ün toît— voûter. [ (3ροφω«ης, ιως,ύ) l'action de, etc. [ Ορςφωμα, ατος, το , couverture d’une maison j ^toit—voûte.

ϊ)?οχΘος, mêm. sign, çupptyxoç. Oiô», mêm. siga. ÿw’ôppoo).

Oo '/ων, poèt. pour bpSv , plur. c ροών τις pour όρωντις , près, part. act. du ver6e όράω. Oporavri , Dor. pour épooxrt OU όοοίσι, 3e pers. ptur. près. act. /οραω.

Οροωτ* pour opSrt, a® pers. plur.

opt. prés. act. dôpxta.

6p »σ*χ*, Dor. pour Ζρντηχα, V. M Ζρπτγιζ.

Ορ-σετον, », mêm. sign, çu'op-vîov , oiseau.

ΟΡΠΗ2, tjxoç, ô,    ορυταξ,

rejeton qui pousse du pied de l’arbrej^scion, surgeon, rejeton. [ Ούττη?, ^/7/zs l’aiguillon d un bouvier.' [Ορσνιή, dans Eurip. javelot fait avec ua rameau droit et rond. Ορ&α , poèt. pour o pa.

Ορροίιάω, tomber sur le der-% riere. R. oppoç.

T)p£o-nrwycov, opoovycov , dvpotru-ytov , », Tb, le bas de I épine du dos ; Pextrémité de l’os wrrum ; ta croupion—l’extré-milé de Pos de la sèche?, du

• muge cl du mélanure. [ Oppo-«ju/to», queue des oiseaux, V.

o jpsé. [ 0γροττνγοςιχΊος , », qui a des raies sur le crotipion ou v nu bas de la grande a rite. ΟΡΡΟΣ, ό ,mêm^ sign, que „ *pbç, petit lait, etc.

Ο’ρος, «, e, la raie qui va par le milieu du scrotum jusqu’à l’anus—l'extrémité de l’os sacrum—l’os sacrum—le croupion.

Oppôej, faire tourner en petit lait, en sérosité. [ Opplopac, evp.a«. se tourner en petit lait, en sérosité ; devenir aéreux. li. ορρος.

όίρωδίω, avoir peur; craindre;

redouter. R. £ρρος.

Ορρωί«*ς , adv avec crainte ;

craintivement ; timidement. Ορρωίη;, ιος, séreux. Το έρρωίις, sérosité. R. è£po;.

Ορρωίης, qui s'étend jus-cju^ii la queue. R. ορρος. Oppw'ît'a, ας, n, crriinie, peur. Ο’ρΛϊίί'α %ν μ·?», on craignoit (iue. Ev    ?χω, je re

doute. Κ. υρρωίίω.

Ορρ»«π99α, Υ}ς, η, sérosité qui *e sépare, de la poix quand on la fait cuire. R, frppbç,

OPT

Ορσαι f inf. EoL pour Spat, aor* I dopta , fut. Eol. op<70*. όρσίτχω, mêm. sign, qu'opto. R. ^ ωρσα, aor. i d ο ρω.

Ορσίο , opcriv */ ©ρ<ϊο, levei-vous, impèr. dopvopai, /τγΛγ. formé % du fut. £ρσω, d’Sptt.    .

Opct*/vvat£, αι*ας, ô , qui met les femmes en mouvement, èpith. t de Bacchus. R. ορω, 7ν»η. OpaÎxluvioç, », i, qui excite du bruit—qui fait gronder le tonnerre. R. ίρω, χ7υ«?ος. Ορσ(νΐ^ς, cc», qui pousscî les nuages. R. ίρσω, ftd. Eàl.

^ dορω , νιφβς.

Ορσίσιίος, β, ί, qui ébranle la p terre R. *r«£ov.

Opo'twçrtjç *ος, qui vole d’une aile rapide—qui vole haut ; f qui a Je val élevé. R. «iWac. Ορσίπσνς, oi§çt ô, qui précipite les pas; qui accélère la marche. M R. ττοΰς.

Ορσο , V. ορσιρ.

Ορτοίάχνη, t;ç, ^, chenille qui ( ronçe les choux. R. ίαχνω. ' Ορσοθνρα, ας, τό, fenêtre haute et grande — porte grande et . t éîeVe'e. R. 5υρα.

Ορσολοτνιυω et ορσοΧοττ/ω , troubler par la guerre—tourmenter. R. Χοτσός.

Ορσορόα &ρβ·ορόχα, trou par lequel s’échappe Tenu d’une fontaine—robinet. R. p/«.

Ορσοτριαίνη;, e, /?or. ορσοτριαί-»ας, α, qui agite son trident' èpith. de Neptune. R. ?ρω,

' τρίαινα.

dpo“v«5pa, ας, ή, trou par lequel l’eau s’échappe avec rapidité —robinet» R. ίρσω, Ζ%ωp.

Ορσω , Eol. pour $ρω [ Ορσφ pour ^ τολμώ, j Ose.

Ορ<τω , fut. Eol. dtptù.

Op τάζω , /(ΡΛ. pour Ιορτχζω. ΟΡΤΑΛΙΣ, >/ioç, r, , poulette— oule. Γ Ορταλι^β, commencer étendre les ailes ; s'essayer à voler—-prendre l’essor, uufig. ; commencer à s’élever , à s’agrandir. [ Ορταλιχίυς, ιως , ·, et ορτοίλιχος , », ô, poussin— poulet — coq. rf ΙρτοίΧιχος f poule.

OprJj, v;, Ion. pour «ορτη. Ορτνγοχοσία, ας, τζ, jeu dans lequel ou s’exerce à tuer des Cailles placées rn ligne circulaire, en les frappant sur la téte avec le doigt. R. ίρτυξ,

xétjloj.

Oprvyoziwoç, e, b, qui joue au t j>*ii appelé ipTvyoxoxarta. Ορτν/ομανΓα, ας, y, passioij démesurée pour lt· caillée; nja-

ΟΓΦ foS:

nie pour les cailles. R. ίρτυξ9

ραίνομαι, όρτυ^ομητρα, α;·, j, le rale, oiseau que i es chasseurs appellent , le roi des caillrs. R. ορτνς. Ορτντοσωλτ,ς, «, β , qui vend de< , cailles. R.    -    1

Ορτυ/ττροφιΤον, », r'>, lieu où Γοα , nourrit des cailles. R. τρίψω. Optuyo^poç, » . è, qui p0rte une » vaille. R. ορτνζ, ψίρω. ι OPTTS, wyoç, ό, caille—plan tin 9 M herbe.

Owy(çtp/ur. dlpx>l. dpwyrj, -75;, I action de fouir, de creuser la h rre, de faire des fossés-—fouille—fossé; 'fos^c. ¥ R. ορνσσω.

Opvypa, ατος, rb, fossé; fosse-fosse où I on jetoii i e.» cri mi, wels, à the nés. R. Ορυ^μα^ς^ο/ΖΑ ςρυμα^'ος, à X

hruit; fracas.

OPjfZA, vjç ,rtj, et ϋρνζιο*, if j το p f ri λ , /<?/■/<· de grain.

Oi jxli’ov, il faut creuser.

O pu*7np , vîpo;, o, fossoyeur; pionnier; travüHt«ur ; qui fouilfc les terres; qui fouit;

( qui fait une fosse. U. opu^çm». Opvx'îbç, »., adj. foui ; creusé. Ta^pcç ôpvx7»), fos^é creusé.

Ορνχ7ος, fossile cpi'on tire du sein de la terre. Αλς opvx« f 7bv, sel fossile.    ‘

Οονμα7ί'ος> », ο, bruii ; tumulte ;

, fracas.

Οουξ, vyoç, machine de guerre so«$ laquelle le» pionniersi alloient à courect à la sape; madrier—espace de chèvre dû Gétulid, qui n'a qu’une corne, dont le pied est fourchu, et qui a la pointe dit poil tourheu vers la tète.

OpviÇtç, V, bpv<r<Tta.    .

ΟΡΙί^ΣΣίΙ, ipvr7*>, fat. £ω, pdrf. (ίϊρυχα, Att. ορωρν'χα, aor' * fyvyον , parf pass, «ζ^ν/μαι, fouir; creuser—tirer du seia de la.terre ; déterrer. [Ορύσσω, enfouir dans la terre ; planter. Γα?ας ορνξας, Soph, r.y.mt enfoui dans la terre, όρ-ύσσειν t3c yvT^t, mettre des plantes en terre. [ (ίρνσσω, décli^üsser, déchausser des arbres, clc.

όρνσσω, percer. Γ Ορνξις^ •ως, ft, l’action de fouir, de creuser, de planter, et autres JfÆf ορνο·σω. [ ΟρνχΛ , ν)ς , vî .

jÿ*.--groin de cochon ou de sanglier.

Ορ^ανενω, avoir soin des orphp-hns, des pupilles; être tuteur —avoir soin. R. ορψavo'f.

Ορφανινομαι, être orphelin · Ôî;

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7o6 ΟΡΧ

être pupille—être sows la tutelle de.

Ορφανή, vi;, orpheline ; pupille· ύργ«ν(«, «ς, Ï, Aal d’orphelin.

υ ,^γ.'ζω,/ί/ί·. iua,perf. ip^tUa, rcnJre orphelin-^privcr. Op

- φανί^ιιν    priver de la vie.

Ορφανίζω, mêm· sign, que δρφανίυω, avoir soin des, etc.

», "‘i’/· dc pupille; d’crphclin; qui concerne le* orphelins les pupilles. Ορφα-vtxài χρηρατα, biens d un pupille. [ Ορφανιχος, orphelin ; pupille·    .

ύργανίς*;, », δ, qui a soin des orphelins ou des pupilles; tuteur; curateur. *    ^

ΟΡΦΑΝΟΣ, η, ov, adj. orphelin, pupille—privé de ; qui maif-/que de.    ,

ΟρφανοτροφίΤον, »,'t^, heu ou l’on nourrit des orphelins ; hospice pour des orphelins.

[ Ορφανοτροφ/ω * nourrir w ««lever des orphelins; veiller à l’éducation des orphelins ou des pupilles.    e    .

όρφανοτροφος, », δ, qui nourrit ou qui élève des orphelins , des pupilles. R. τρ/φω.

1$ργχ*(>ω f fut. wffei, rendre or-oh elin—-priver de.

ΟρφίΤος, «, adi. dOrphée. Op* ψεΐοι Zfivm , hymnes d’Orphée. R. όρφβ^. «ος, δ, Orphée.

<Jpf tortXeçriç, 5, δ, cjui initie aux mystères d'Orphee. R. -riivj. ΟΡΦΝΗ , ης, η , Dor. ορφνα, té nebres, obscurité.

όρφναΐος, e, adj. δρφνη«»ς , ιντος, adj. ténébreux; obscur; noir.

Ορφναία, ας, η, saisi, obscurité; nuit; ténèbres.At’ δρφναίας, au milieu des ténebres.

Ορφνώίης, «oç, adj. sombre noir.    „    ,.

όρφνιος ci ορφνινος, », adj. noir ; dont la couleur est noire.    ‘

Ορφνιον , », r>>, δρφνίς, ίδος η, habit noir.

Ορφνος, », adj. ténébreux; obs cur ; noir.    ^    e

C)p?oSomç, », δ, qui nourrit des orphelius, des pupilles ; tuteur £ Ορφοβοτία, , η , tutelle

R. ρό».

ΟΡΦΟΣ,», Λ//. δρφώς, orphu* poisson de mer qui se tient caché tout Γhiver dans, tes cavernes. R. ορφν*

ΟρχοΣXY), ης, η, terre couverte ^ d’arbres sauvages. R. ορχος. Opv«(ioç, ». δ, princej *e>uy·-

raiu~-chef. R. άρχη'.

OPX .

dpx^i, άίος,    haie — grosse

olive.    '    %

δρχατος, «, δ, plantes alignées ;

rangée, arbres, Wr. R. $ρχος. Ορχ(iiiov , δρχίίιον , e, testicule. R. ορχις.

OPXEOMAI, fut. ησοααι, **r. I ώρχησααην. danser; sauter — trépigner ae joie—se mouvoir; te remuer. Πρ^ς 5τ*λα ωρχίντο, Athèn.f ils dansoient tout armés. Ωρχιίσατο rîjf «υρριχην , /Yir/. il dansa la pyrrhique, F. ιτνρ£ι'χη. [Ορχ/ω et δρχ/oixat, mouvoii—faire sauter en 1 air —élever.

dpxtcfxat, représenter une action par la danse ou par les roouvemens du corps, danser une pantomime. Ορ^ιΓσθα» rfcv Αϊαντα r danser l’Ajax, c. 4 ά danser une pantomime où ton représente Γ aient are / Ajox. ΟρχίΓσθαι ΊτροσωσιΓον, jouer un personnage dans une pièce.

OpXfvvtai, Dor. pour lρχοΰντα», ίΓορχιοραι.    β    #

Ορχη'Γον , δρχιιΛν , adv. virilement. R. ορχις.

Ορχηθμ^ς et δρχησρώς, », ·> danse.

# R. opxiofxat.    "

Ορχηρα, ατος , τ^, et ορχη*(ς, Μ»ς, η, danse.

Ορχης·ηρ,    >    »*    ®>

danseurjsauteur— pantomime.

Ορχη«τιχος, η, ον, de danseur ; qui concerne les danseurs oir la danse, όρχηςιχ^ vyptroç , souplesse de corps semblable à celle d*un danseur. H δρχη-çtxti, l’art de la danse, l’oa-CHKSTIQüe , un des deux principaux genres de ta gymnastique. ancienne; it comprenoit la danse, la eu bis tique et la sphéristique. [ Ορχης-txîjç, dau-seur ; qui aime la danse. Ορχης-οίιίάσχαλρς, », o, maître de danse. R. διδάσχαΧος. Ορχης-ρα, ας, η , ORCHESTRE. On appeloit aimi chez les Grecs la partie la plus basse du théâtre sur la quel !e on executoit les danses. A Home, c eloit f endroit où étoient placés les séna teurs. Nous donnons aujourd'hui ce nom à Γendroit où sont placés les musiciens.

Ορχης-ρΙςι »ίος, η, danseuse.

Ôp γης*υς, ύος, η, 1 art de la danse.

Ορχίλος, », δ, oncHiLB, oiseau ennemi de la chàuette. OpxiW&n, ης, η, cordon des testicules—-hernie. [ί)ρχίσ«<ΐ«, ων, τα. testicules. R.

7Zî£y).

0]?ΧΙ$, ι»ς, i, testicule—tttli-

eule de chien, plante fui est une espèce de satyrion·    ,

Ορχκ, grosse olive»

Ορχις, têtard.

ΟΡΧΟΣ, », δ, plantes aligniics; disposition de plants faîte par distances égales en ligne d rortc; rangées ; rangs des ceps «le vigne—jardin. Κατ’ 3ρχ4ς > par rangées, par files.

Ορχο répit*, fut. ^9», couper les testicules; faire eunuque — châtrer. [ Ορχοτ·ρ»α, ας, castration. R. ορχις, τ/^νω. OPQ, fut. δρω et ορσ», parf* Ζρχα , parf moy. Spa , Λ II. ορωρα, aor. a wpov , Ait. cρω-ρον , exciter—pousser—soulever. [Ορωρα, à la sign, act. et pass. Νιΐχος ορωρ* ,m Hom. une dispute s’éleva. [ Opopat, être exaté , etc ; se lever se mettre en mouvement. Çlpx* tivat, il se mit en marche.

Du parf. moy. ορωρα se forme le présent δρωρω, qui a la même signfication que opt**

ÔpS, contr. pour δράα.

Ορωατο, Ion. pour δρφντ· , 3e pers. plur. optatif présent d o-

ραίομα·..

Ορω*ΐ«ω, V. δρρ

Ορωίι'α, ας, i , mcm. sign, fut

' δρρωίία.

Ορωην , ης , η * Att. pour opaotfu , /r/vir. d’bpat*.

OpSpai, contr. pour δράοριat.

Ορων, gèn. plur. d*opoç9 opcoç. Ορων , /par/,    >    act.    contrast

/δράω.

Ορωρα, Att. pour Spa , parf.

moy. dopta.

Ορωρ#χατο , 3®    plur.    plasq.

parf. jpass. Ion. pour 4ρωρΐ>-

pcvoi ησαν, έ/’δρΓ/ω, JMSrf. «tpi-χα , «^//. δρωριχα, yPATJ. 4Sp«y-

μχι, Att. bptoptyp.ai.    ,

Ορώρηχα, J^arf. act. red. νωρηχα, parf. do pita.

Ορωρον , y///, pour ωρον, Α7Λ 9

·<Γ ορω.

Ορώρυχα. y^//. pour&pvxp., parf act. α ορύσσω.

Opctfpvy/xfvo; pour ωρνγμίν ος y part· parf. pass, dτρυσσω.

Ορώρω, le verbe opay.

Ορώσαι, plur. fèm. du part. //y/.

όρων, ι/'οροίω. άς, rit S, Λ/i. rel. lequel; laquelle; qui—βτ» pour %, duquel—«τψ pour ω. auquel — ότων , desquels ; ae chacun ; de qui que ce soit. Χρωραι οίς ίχω, je me sers de ce que j’ai.

ός pear τΐς, quel j quL tf*

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021

i<~l <£/ftot, il fait voir quel il est. Ae* rjv αιτίαν , pour quelle cause. [ Ogpour τις, quelqu’un., A ς pi* , xtrkç 31, pour τινλς

Îtfcv , Teviç SI, celles-ci ; celles-à, ou les unes, les autres.

Pouf δτβς , ou ixtîvoç , lui —tel Ος x«l Sç, celui-ci et celui-là. H γογ ιτ·λ/μ« όαριςνς, Hom. car tel est le commerce de la guerre.

" ^ ός/tpur ιος ou σγ/τιρος, son. ψ tfv Ίτ^σ«ν , son mari.

Οσα, Foy. δσος.

Οσάχις, adv. toutes les fob que;

chaque fois que. [ όσάχι, mém.

, siSn'

Οσαφλασιος, » , et οαασλασίων , ονος, adj. de combien d’espèces; de combien de manières·

Οσα; , OCC. fém. plur. ι/’δσος. Ο-ας ττατάξγ), sous-ent. -κϊτ,->«ς, combien il aura donné de coups.

0σαχ9Ϊ ττίρ 5v ^v «ΐννατ^ν , Plat.

autant qu'il étoit possible — e de toutes tes forces.

Οσαχ», adv. en quelque lieu que ce soit ; quelque part aue ce puisse être—toutes les lois que.

Ος·αχ»ς, adv. de toutes les manières dont—de quelque manière quo ce soit—toutes les fois que.

<5^7*, yFyi, oyt, art. rel. lequel la vérité; qui.

©σίοντι, Dor. pour &Γ»σι, 3· pers. plur. du près. [ όσ&> pour οζ<αβ    ·

Οσί'-αος , t(a, icov , adj. qui se lait chaque année; annuel. R.

troj.

Οσημ/ραι, adv. chaque jour. R. n δσαι, ήμ/ραι.

Οσια , t>v , t&, f'’. f σιος.

Οσια, ας, /<>λ. όσίη, η , justice divine^; loi divine—chose licite. Οσία iç), ou simplement •cia, il est permis. θΓς οσίη 3υ«ιν fçt, Hèrod. auxquels il est permis de sacrifier. Νομίσας ιτσλλην όσίαν ri πράγματος ,

Aristoph. croyant la chose absolument licite.

Οσία, obsèques ; derniers devoirs, que ton rend aux morts.

Οσία, expiation.

Οσιας 7νιχα ou οσίας χάριν, par manière d’acquit ; pour Ja forme.

ΟΣΙΟΣ, », adj. saint; juste— pur ; innocçnt. Ονχ δσιοχ η>Η— ^αι προσοιαζ'ισύαι, etc. Plat. je regarde comme uu crime

ΟΣΟ

de faire violence, etc. Οσιον içi ^ il est permis.

Οσια, obsèques ; derniers devoirs. Ta irtpl r»; £νησχόντας ·σια, les derniers devoirs qu’on rend aux morts. Τα ττρ^ς τον; νονίΓς octa, devoirs envers les parens.

Οσιος, public—qui n’est point consacré aux dieux—profane. Quelquefois το Sarov est mis pour t^ itplv, ce qui est sacré; ce qui est juste.

Οσιοτης, νιτβς, η, sainteté ; piété envers les Dieux. ύσιοω4 S,fut. ωσω, sanctifier; purifier ; expier—consacrer.

Οσιέα», rendre les derniers devoirs.

β Οσι^ω, profaner; souiller. Οσίως, adv.^ saintement—justement. [ Ojiwrcpov, plus justement. Οσιος £ιαχι~σθαι, être pur.

Οσιβτδρ, νίρος, h, je prêtre qui immoloit les victimes dans le ^temple de Delphes.    ^

Οσχι ou Saxe v, poèt. pour ος &v, I % acc. Svxi, quiconque.

Οσμάβμαι, -ωμαι, flairer ; sentir.

# R. , «Γοζω.

Οσμλς, άίος, η, plante appelée arréte-bœuf.

Οσμη, ?ϊς, η, et &σμώς, », è, odeur , bonne ou mauvaise. Οσμ^ν «χ«ιν, avoir de l’odeur, en mauvaise part ; sentir mauvais.

όσμηοης, /ος, et οσμηρές, k, fcv , qui jette de l’odeur* odori-9 férant.

Οσμνλη , δσμνλία, οσμνλος, polype, pqisson. [Οσμνλιον, t, xb, et δσμνλίίιον, «, -Λ, petit polype. R. οσμή, à cause de t odeur forte quhl exhale.

Οσμοβίης, to;, adj. mêm. sign.

„ qu'οσμηρής.

Οσοι ίη, gètl. όσων , adj. plur. ίΓοσος, autant qu’on Λ-oudra ; je ne sais combien; quelque t nombre qu’il y en ait. Οσοιμηνβς , lisez, séparément Iqqi μήνις , V. δσος.

OctoiCTip, 3σβς.

Οσον , adf. 4/2σος,    quelquefois

οσα» combien; autant que. Οσον δύναμαι ΛΛ οσα âvv&uai, autant qu’il m’est possible. Οσα εμί ^ινωσχιιν, autant que je puis comprendre. Ονχ 8σον yi μ' ιΐί/ναι, Arht. non pas, que je sache. Est-il venu quelqu'un ? non pas, que je sache , etc. Οσον ίμ£ι£α(ωσασθ ai xi v(xyhl%, Plut, autant qu’il faut pour a*sureç 1# victoire. Tt-

ΟΣΟ 707

σ£»ν ?σ«ν, jusqu’il ce que ; autant qu’il faut ou autant

1 qu’il est nécessaire pour.

Οσον, environ, ίσον &ισχι\ιαι, environ deux mille, (ίσον τι, environ. Οσοντι £ι·Βτηχ«α ξν)α, Hèr. des bms longs d'environ deux coudces.

O\fyov c7ov, un peu; tant JOÎt peu. Οσον /3*iov et y.xpbf 2σον , ou utxpov Ϊσον t7Cv , mêm. sign. Ολίγοι δσοι, en tres-petit nombré.

όσον μ ον ον , ou simplement δσον , seulement.

όσον μ-îj, excepté que , jwî de ne.... pas. Οσον μη i tri— ψανσαι, excepté qu’il ne Ta , pas touché ; seulement il ne l’a pas touché.

όσον », οα οσονιί, presque. T* Tiîyoç οσον«χ άσιτίτΛίςΌ f

Je mur étoit presque fini. Οσοννχ ^η, οσον ντνω, r/ βσον «ί/τσω , presque—bientôt ; SOUS'peu ; dans Je plus court délai. Οσον αντίχα, bientôt ; sous peu.

όσον ττλι?ς*ον, le plus qu’il est possible ; extrêmement. Eyà yàip ίώσβ* 2σον ης xal άλλος JyftvoTi Γίωχι,    je donne

rai autant que qui^que ce soit ait jamais donné. Οσον τ*χις«, avec la plus grande vitesse, όσον τοίχος,    sign. Οσον

τβχ** » le plus vite qu’il pût. Οσον σθινος, avec la plus grande force. V. δσβς.

ÜTO»eif, δσος.

0202, u, adj^ combien granit —quel—aussi grand que ; autant que. Ovx àyvo«» οσον τ^ μ/γιθος «pyov «νίςαμΑι, Isocr. je n’ignore pas quel grand ouvrage j’entreprends. Οσης σοφίας άνασίμττλησιν αντνς ! de quelle sagesse il les remplit ! θανμα^ς οσος , admirable ; merveilleux, θανμας^ν 2σβν, admirablement ; c^’une manière étonnante. Οχλος wwip-φνης δσος, Aristoph. une foul· immense. Μνρία δσα, un très~ grand nombre.

όσος, quelconque ; qui. όσο» eiZaot-atf, quelconques. Voy. δσος. Πάντις δσοι, toutes les personnes quelconques ; tous ccux qui. Πάντα δσα, toutes les choses quelconques ; tout ce que. Παν δσον η» ορατον, tout ce qui étoit visible. ΕΪίως wav τα δσα /®ρα-?ον Dèni\ sachant tout ce que j’avois fait. Quelquefois tcavra csl ioui-ent. Ονχ Je*    .

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yo8 ΟΣΟ

oàŸ oσα Soir) vk ·κρ«7μΛΤβ* j^tcOai ίεΓ» Dèm. il faut recevoir L iil^ù tout ee qu· nous voudrons, mai» tout ce qu’amène»^ le caurs des <'vén*>-rncns. (ϊσον φιλοσοφ&ν , tout e ce «|ii*i! y a de philosophes,

* r; à d. tous le;v pbttosopkes. r Οσον yùo'Ctov ,e,toijs ceux qui aiment D;/t*u. όσαιτνι, clrvitfe année ; annuellement. Οσαι wpat t à toutes les heures. Λσαι νυχ7ες, chaque nuiL %αι jiTJviç, chaque mois. Οσα* /ut-pcsi, chaque jour; Journellement.    λ    ~

(J701, combien de. il τ~* pun'ocuv Σσας    1    A risfoÿ/ι.

ob l combien elle a de rides !

Οσον Ira cxcfvu, Dèm. 1 autant qu’il ëtoit en lui. Ojov r/ νμΐν , autant qu’il est eu

• vous j autant qu’il dépend de vous. Οσον το χατ* ijxe, quant

& m^i; p,f>ur re Π11* me concerne. Οσ*ί (ϊνναμι;, de toutes ses forces. iV    xa®*

$σον , autant que ; en tant que. Καθ’ &σον ιχαςος βιος τ’ ηίν , autant que chacun pouvoit. ραθ* 8σον ίννατον , ιις 8σον ίυνατον, autant qu’il est pos- . a»b!e. ύ,ψ' όσον χρόνον, ** sîfB-plemant χρόνον , combien de temps? E?’ οσο* χρόνον, tans inlerr. ; tant que ; pendant tout le temps que* E?* ίσον , mtrii. sign. lhe δσα qu 4φόσα, autant que. liv ?σ«ρ, tant que—jusqu a ce que.

ΰσος, suivi oa prérédè de I «τοσουτος, aussi gra*d que. Οεοΐς ΐνχορ/χ,ι πασι $σν+ «υνΛαν *x ων lyiè <ΐιατελ«5 rrj *r£Xx, τοσαυ- f •nrjv vwàp£at μ.et 'nxp* υμώνT JJé>yi. je prie tous les dieu* de vous inspired pour moi une bienveillance proportionnée au s;èle constant que j’ai toujours «u pour la république. όισως ϊσοντσερ toc7ç τπια'ις των αλ)ων I •χροτ/χκς, χοσουχον xdî ταΓ' «ρ«ταΤς αυτών <?/οισεις, Isocr. afin que v<uis soy et élevé au dessus des autres hommes au tant par les vertus que par lui honneurs dont vous Mes revêtu. Où^oi τοσ«υτον αίρεί ό 0£oç, Stfov avOprroov otopOtiio-ci x«i σωπορίγ, Orèg. Dieu n’aime rien tant que l’amendement tt le salut ne l’Iioipme. όσον ττρ^ς /itÇcvot #yxov τ-ΤΪς «pv^; J./aoiüv)xcv orîjv ρασιλεΐαν λαχών, roac^tv Tciciova ά,-ίσαιτοθνίσεται λο>ον, days. relui a «qui la loyauté est échue en partake, a vu compte d’au|,u:t i

ΟΣΣ

plu» rigoureux qu’il anra élé revêtu djine plus grande puissance. όσ·ρ ιτρ^ότιρον fy« xotc ^uavflpo)tBCTtpov τοντφ iuXtyô-’prp 9 rooovry pfùlôv j*ow χατ«— φρίνιι, j9Ân. plus j’usois de ménagemtat et de douceur, en traitan' avec lui, plus il me. mcfiif-'it*    τ&σ°^Τ0ν

àxpt€iç ιπιζνΐΊίΐγ, if1 Ζσον ή xi

tipayfiaTûç «,^σις t«rt crat ,

recbtTcher l’exactitude autant que le comporte la na^ ture de chaque c ho^e. T«»

βαρβάρων «wi τοσουτον χρατ*?ν , δσον tv 4σφαλΐ(* χαταςΐσαι τ^ν νωραν , Jsocr. vaincre les barbares autant qu’il est nécessaire pou** mettre le pays eu sûreté.

όσο*..... τοσοΰτοι, autant

de...... Hue, dans un sens

numérique. Τοσουτου; ληψν} <rp«“ τιωτας, ίσους &v βοΆνθ^ζ, Dàm. vous prendrez autant de spl-dais que vous voudrei.

0<rmtp, ^wtp , otvip, qui ; tous ceux qui. R. 2ς.

Ootrfpovv, mém. sign, çubçισονν. ΟΣΠΡΙΟΝ, u, xl, légume. ÔTorptoiffcàiiQÇ, 9, ttfèm. δσσ^ιο-9Sikiçt tfoçy qui vend des légumes. R. fatsrpio», -ττώλ/β*. Οσοζχ^ηνι ^ΐ, semblable à un légume; qui est de l’espèce des legumes.

Ocrrrpicivn;, « ♦ ivqui achète des légumes. [ Οσττριωνία, ccç, r|, la comii>is!Û(>n d’acheter des

léf;umrs· f’1 * OVl&fMU·

Ο'^σρο/.εων, ovtoç, g, oroban/he.

^ R. έλ/ω.    .--

ΟΣΣΑ, η;,    voix—renommée

— bruit—oracle — présage — prédiction.

Οσσ«ι Ossa, mont dê Tbes-" salie.

Οσσαι, poèt. pour Ζσat.

Οσσάχι, poet, pour όσάχις. όσσάηος, e, p9ur ·σο;, combien grand, etc. [Oovofrtov, adv coni-^ bien-autant que; en latU q’ie. Οσσε, lesyeui, pour owe, duel ίΓΖσσνς, coç.

Οσσε ta, ot7c’«, «ς , ^ , divination ; prédiction—religion, f Οσσ^νν-μas, οτΐ«υοα.αι, présager; augurer; prévoir. R. οσσ*. 0σσ«ίς» tu vois, 2e pers. ain$.

près. d'î<3<jiù, je vois.

Ôjcv;, vjç, -h) Ossa, tRcnldc Tkes-

Si· lie.

Οσσίχβς, Dor. pour οσος. [‘Ο^σι-ν χον pour ίσον.

Οσσοις, dat. plur. ίΓοσ<τος9 œil. 0;î512: , voir. R. οσσος.

prvourc, prévoir; présager

ΟΣΤ

—augurer; prédire-—-imaginer; inventer; méditer dans son esprit ; penser à ; songer b. R.οσσ*.

Οσσον , οσσοντ’, pour Serov, όσσος, », poét. pour δσος.

Οσσος, «, ρ, et ο?σος, ιβς, τ^, n œil. R· ‘ίσσορχι pour omlopat. Οσσψ pour δσω.

Oçoc, plur. d'içiv.

Oçà pour bçtct.

Oçàypa, ας, ιό, pince, de chiror^-gien—davier. R. oç/ov, <x>p«. Ος-αχ^;, mêfn. sign, çuàçαχός. Οςάριον , , r ο, petit os. R. ôçien. Ος·αφΐς, Ait. pour άςαφίς.

Ôçtifém. rtx%, qui, pron. relatif [θς-c, et plus sQutealZc^ τε, el qui. Oçiïvoç, a, adj. fait d’os. BL. oçiei. ΟςΊοκοΊσος, V* bçoxéxsnç· O/zfUyta, ας, rj, ouvrage «lui traite des os; ostîologie. R.

^ Xcyeo. %

ΟΣΤΈΟΤί, Sv, gén. t*, 2 9 t>j , os;

ossetnenl—uoyau. Ος-ονν upov, f l’os sacrum; coccyx.

Oçcô^tv, poèt. pour ος-wv, des os. Ος-ινος, mêm. sign. ρα’Ιςιίνος. Oçtç, ηνις, 2 τι , gèn. οντινος , ^ςι-»ος 9plur οίηνις, gén. etc. qui, pron. relatif O, xt ίτροσχοΓτο ‘τνηΧου τφ xovvy, Hèr. la boue qui étoit attachée à la perche. [ Ος-ις, qui, interrog. ; quel. Ιδρωτα «χας·ον ^ντινα tXntfa εχεt, Thuc. il demandoit à chacun quelle espérance il avoit. Ερωτά ο, ti -jrotiT, il lui demande qu’est-cc qu il fait, ότι, pourquoi; pour quelle raison. Ovx oT&t ô τι ίιΓ, etc. isocr. je ne vois pas pour quelle raison.

<5<TI{ , qui que ce soit; quelconque. ός-ις iî, qui que vous soyez.. Οςις ου» ο ποο^σας, λ/yct *Ζχας, quel que soit celui qui a fait l’ouvrage, Voici ce qu*il dit· Ο, τι ίτνχ«ν , quoi que ce soit; une chose quelconque.

«7.S. si qu^lqu^un. Οςις Itjotypvj, si quelqu’un y touche.

όςις ά> , fèm, ηχις λ» , quiconque; qui que c$ soit; quel qu’il soit, ός-κ ουν et ές-ινονν, m Un. sign, ίΐτινιουν χρόνο, d’une manière quelconque (ίττουν α)).ο, toute autre chose quelconque. Μ*ΐ»’ ότ*»ν , pas le moins du monde; pas rt'ème un tant soit peu. Mv)Æ* oneiv Ÿpovirrct?, abiolun^’ut dépourvus de bon sens.

Ôçt?(?*fGXOTîf dut. οτ·ΐ'ΐ·Λ7Γβτί, quelqu’un qu’on ne nomme point , je ne «iis cjui, ASscài^

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ΟΣΤ

' δς-iç ?·τΙ t quelconque ; quel «fu’il soit; quel. Ητις icotI χα-Xttxoti, Luc. quel que soit le oom qu’on Im donne. .

Ος-iç iron içi, Hèrod, de .quelque endroit qu’il soit.

HvTtvatiroTS γνώμην ίχιι , (en voyant ) quelle opinion il a.

Oç-towtp, quiconque—qui.

CÎ^vç t« pour Ζςΐζ, qui, pron. % relatif.

O^-crviç fxvtXbç, moelle des os. ΟΣΤΛΙΓ2, içityfeç, η , étiu· celle ; flamme tremblante — boude de cbeÎtux ; frisure; anneau.

^ Ος-λι^Λς, tendvonsdelavigne. ΟςοΘνίχν, tjç, n» bicre où ion enferme les ôssemens des raorts. R. oçtov, r(9y){xi. Oçoxovjoç, », adj, qui casse les OS. [ dçoxotjoç ôivvtj, 05Τ^0-çopx , douleur aiguë qui affecte aussi vivement que si on ave t les os brisés. R. oç/ov, %6-σΙω. fJçoXoyla>, ramasser les ôssemens ' d’un corps réduit en cendre, pour les ensevelir—rechercher avec eoin, etc. [Ος-ολ/γος,», ο, qui ramasse des osseuiens. R. I*V«.

Ôçopax(a, ας, η> δςΌμχχιβν, », xi y combat au jeu d'osselets, R. μάχομαι.

Oçovv, contr pour Içrev. Οςοφανίω, montrer les os ; être extrêmement maigre.Oçoyavc?, v on lui voit les os. R. <p*tvc#.

Ος-cχρνης, /©ς, adj. naturellement s osseux. R. bçtov , φνω. Ογαχίνς, /ος, e, potier. R,

oçpotxoy.

Ος-ραχίας, », S, ostraeile, pierre précieuse extrêmement dure, qui '    ressemble à nne écaille d'huitre

% el qui polil comme le ponce. Οςραχίζω, V. Ιςραχισμός.

Oçpακίνδα, le jea de croix ou pile, avec une coquille dont % un côté est enduit de poix. Οςράχινος, », adj. fait de^terre à potier; pétri d’afgile. όςράχινα ffXtVTQ j de* vases de terre ou % d’argile—vaisselle de terre. OçcxKiov , », xb y petite coquille; petite écaille—onjx, pierre précieuse.

Orpexiç, Uo$y ri, pomme de pin -—pignon, amande qui se trouve t dans les pommes de pin. Qçpocxtepb;, », osTiucisMB, jugement par lequel les Athéniens bannissoient pour dix ans les citoyens que leur puissance y leur mérite troo éclatant9 ou tors f ery iees rendaient suspects

ΟΓΓ

à la jalousie républicaine. R. ζςραχον, coquille , parce qrton donnait son suffrage en écrivant le nom de^ f accusé sur une coquille. Γ Οςραχίζω, condamner par le jugement de l’ostracisme.

OçpoxÉTViç, », b,semblable h une écaille, à une coquille-MJST.iA-cite; coquille d’huitre pétrie liée.

Οςραχίδιρμο;, »f adj. 05TRAC0-DIBMK, en parlant des animaux dont la peau est une coque dure ou une écaille — couvert d’une coque, d’une écaille, d’une coquille—tes-tacé. R. oçpaxov , δίρμα. ΟΣΤΡΑΚΟΝ, », xb, vase de terre cuite-—tt)iÎe—carreau; brique —écaille; coquille, de poisson ou d œufs. Oçpàxov ntpiçpofh , mém. sign, qu'hçpaxivix ci-dessus, d oit vient Γ expression métaphorique bçpàx* μ*τασ/σοντος, par une révolution subite; par un changement subit.

Ôçpaxoi, coquille sur la-

Îjuelle on éenvoit son suf-rage dans le jugement de l’ostracisme. *(b Zçpaxov imtft-pttv t donner son suffrage contre quelqu’un, dans le jugement de 1 ostracisme.

Ος-ραχον est mis quelquefois 9pOur ιξοςραχισμός.

Οςραχάνωτος, », adj. dont le dos est couvert d’i^ne écaille ; test tacé. R. νωτος.

Ος·ζαχογορ{α9 ας, -η, condamnation de quoiqu’un par le jugement de l’ostracisme. F. oçpa-t χισμίς. R ος-ραχον, ψίρω. Οςραχίω, fut. «ίσω, rendre dur comme une écaille; durcir —

Setriiier. f Οςραχόομαι , se urcir romine une écaille — ee pétrifier. [Ως-ραχωμ/νη, epu-▼erte d’une coquille, ou d’une écaille, ou d'une écale.

Ος-ραχώJvjç, ιβ;, adj. semblable a une écaille—testacé.

Oçpta ou oçptta, plur. d'oçptov % ou doçpttov.

Οςρίΐογραφνς. Ιος, adj. teint en w pourpre. U. γράφω.

Oçpttoçy », adj. bçpcιώδης, to;, et bçottûi*);, toç, semblable à une nuilre; qui est de la nature de l’huitre—qui est du genrfr des testacés—semblable aux animaux testacés—-semblable à la pourpre.

ΟΣΤΡΕΟΝ, », et Sçpaov, », xby huitre; poisson à coquille; animal testacé — couleur de pourpre qu’on tire de certains

, ΟΣΧ 709

poissons k coquilles, et particulièrement de ceux qu'on appelle pourpres.    _

Oçptviriçy V. bçpuoç.

Οςρυς, υος, β, Ιςρύα, ας, *, osTRYB, àrbre qui ressemble % au frêne.

Οςωδης, ιβς, adj: osseux—rem-

> pli d'os. K. bçiov Oj<ppxitov, », «ri, et bvfpavxrr ptov, », xby cassolette. 02ΦΡΑ/ΝΟΜΑΙ , fu{. «νονμαι , sentir; flairer. [ Οσγραινίμίνος toû >ayeû, ( chien) qui sent le lievre. [ Οσφραινομινος, passif, qu'on^ent; qit’on flaire; dont on respire l’odeur. Οσφρανττ'ριον , y. batppâiiov. Οσφρανχ^ς, », b, qui sent; qui flaire—passiv. que l’on neut sentir; dont on peutre<piVer f l'odeur—dont l’odeur ranime. Οσφραντικές,^ », adj. que Ton peut sentir ou flairer—qui tombe sous le sens de l'odorat: dont on peut respirer l’odeur.

Οσφραντιχβ et δσφραντ&, eaux de senteur; poudres de senteur—odeurs ; parfums.

Οσφραντικές, qui a de l’odo-rat—f|ui a un bon odorat.

Οσφραντιχέν , 5, xbt la faculté de l’odorat—finesse de l’odorat—l'odorat, le sens qui a pour objet les odenrs.

Οσφραντική δύναμις , mrm. sign, qu'bafpavxixét.

Οσφραντές, », adj. mêm. sign. f qu οσφρανχιχος.

ΟσφράτπΛ( ,fut. b<τφp^4σoμat , SCn-s tir; flairer.

Οσφρασία, ας, η , odeur.

Ο7γρτησις, (ως, -η , l’odorat—sénateur. Γ Οσφρησιις, les narines. Οσφρητιχός, mêm. sign, ^’οσφραντικός.

Οσφρητος, /Λ. sign, ^α’όσφραντάς. Οσφρωμινος, part. près, d'baypâo-μαι.    ,

ΟΣΦΥ Σ, νος, ·η f aCC. itraùy cm Ισψϊν y les reins—les flanev;

^ 1rs côtés.

ΟΣΧΚΑ, ας, v>, bourse , qui ren' r ferme les testicules.

Οσχιον, » , xb, et οσχίος, », ô , branche de vigne chargée de rai»ins murs—jeune branche de vigne ; provin—crosse lie ; marcotte de vigne—bourse, qui renfermev les testicules— scrçtum. [ Οσχος , », ô , et

* * S » v t mêm. sign, que οσχβον.

Οτχος, branche.

Osyotoôpix, «y, τ« ,

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7 «ο ΟΤΙ

phobies , fetes grecques en Γhonneur dc Bacchus et de Minerve, instituées par The-sèe. Η. οσχος\ φ/ρω, parce que tous ceux qui assistaient à cetfe cérémonie port oient des branches de vigne, chargées de raisin.

Οσχοφ^ρος, v, λ//, qui porte des branciics de vignes chargée; dc raiiins.

$xav ou ot1 £v, conj· lorsque ;

quand—puisque.

ÔTE , conj. quand { lorsque ; puisque. Εσθ' ore, quelquefois. Or« pù, & moins que ; si ce n’est. Or* #vv et îtî, ou Z , rs, puisque. ÔxtSr , toutes les fois que. ότι et plus souvent ·τ> , quelquefois — tantôt, ότι μι» τοΰτο, οτί <Γ cxcTvo, tantôt ceci, tantôt cela.

Ort itcp et Zxt «) mêm. sign· fo'Zxt , quand ; lorsque.

O, tc pour Ζςις, qui.

Orco , Zttv , Ion. pour οτβ.

Οτ/οισι pour 8τοις.

Οτι5», V. ci-dessus Sr·.

Οτιυ, Ion. pour or*.

Orra, Ion. pour ©τ®.

ΟΤΙ, conj. que. ΕΓτσιν οτι β titrai, Xén. il dit qu’il vouloit. Ούχ Sri, non que. Ούχ Zxt %ψ* τ#τοις Tkaxlôv τίνος r,vtyxaxo t non que dans cette partie il ait été inférieur à personne. Ονχ οτι μνι χ*λον ιΤναι οΤμαι, Luc. non que je ne croie qu’il est honnête de, etc. M-ί) Zxt yi, bien loin de. Ούχ ort et μ·)) οτι, non-seu-lement—non-seulement, suivi de ne pas. MJ» ort ίίιωτνιν Tivfc, «Wât τον μιγαν βαα-ιλια, Plat. non-seulement quelque particulier, mais même le grand ΓΟΙ. Ούχ 2τι ημων Τίνα -ττροσβλί-ι voyrrç , άλλ* βίΐ άλληλβς, notl-' seulement ne regardant aucun de nous, mais même ne se regardant point entre çux. Tc •tc , quelle est la raison pour laquelle ? Te οτι ημίΤς ούκ ι·>v— νηθνιμίν ίκβαλιΤν αύτό; d’où vient que nous n’avons pu le cbas-ser. Ort s'emploie dans le même ^ sens : ©τι μάλις·’ ίλτίλυθας \{ytiv έχρΰν, Aristoph. il faut dire quelle est la raison principale pour laquelle vous êtes venu. Quelquefois οτι est explétif, et peut se rendre par ainsi. Αίγιις 2τι, ιτ\ύσι6ς ιιμι , dans CApocal. ne 'peut pas d;re , vous dites que je suis riche , m*is vous parlez ainsi ( en vOUS-irçême ), je $xtn riche,

OTtt

e. à d. von* vous enlrelenex. •n vous-même de votre richesse.

Ôti suivi tfun superlatif en augmente la force. Οτι τα-χις-α, avec la plus grande vitesse. On dit aussi dans le même sens οτ: τάχος.

On    mai»—or.

Ôxt Jh xi ; pourquoi ?

Ors μ^, h moins que ; si ce n’est—excepté. Ού yap tiv χρην-η ΐτι μη μία, Thucyd. il n’y^avoit qu’une seule fontaine. Οτι μο se prend d'ailleurs dans la Signif. naturelle : ίπχνυσθαι 2τι μ·ΐ» αισχρά, montrer que ces choses ne sont pas honteuses. Οτι xi Sh ; pourquoi f Ôti signifie très-souvent pa rcë que ; à cause que. Οτι μίν αύΛς «Γρατιυίτοα , parce qu’il fait la guerre en persemne.

Οτι^ι et οτιητί j pourquoi ? pour quelle raison ?

Ô, τι, neut. dZçις, ce qui ; qui—quoi ; qu’est-ce que. ΐίρωτί S, τι iront, îl lui demande qu’est-ce qu*il fait. Ο, τι se prend quelquefois pour £ιά τ», pourquoi.

On met une pirgule après Z , pour ne pas confondre Z , τ«, pronom avec οτι, conjonction.

Ô, τι «♦, quelconque ; quoi que ce soit* Ο, τι ôv ττράξης, quelque chose que vous fassiez, ότι h, οτιητΓ. y. ci-dessus Zxt. Οτινα pour Svtiv*, et οτινας pour ιίς-ινας, V. οτις.

Οτιδν, neuf, dbçtaur, V. Ζςκς, Οτις, poèt· pourZqn, qui; quel ; quiconque. Οτις x mtopxov bjjoauri, tout homme qui a fait un parjure. ΟΓσω ykf χ«1 χρνσ^ν 2τις νσοχείριος Γλθγ), Hom. j apporterai tout l’or qui §e trouvera sous ma main.

Acc. δτινα pour Ϊντινα, et m οτινα, pl. neut. pour 5τινα.^ Οτλος ,    ,    ô    ,    peine    ;    travail    —

rudes épreuves ; traverses — misère. ΓΟτλιω et ότλινω, avoir de la peine ; souffrir ; essuyer des traverses; être malheureux. [ Oxacw , act· souffrir ; endurer; supporter. [Οτλημα, ατος , x\ , , peine ; misère ; traverse. [Οτλτ'μων, ωνος, adj. malheureux. Κ. ταλάω. ΟΤΟΒΟ-, e fb, et ίτίοβος, brûit ; tufriiilte; fracas—son. [Οτοβιω el ότίο&ω, faire du bruit ; retentir.

βτοις et bxloici . Ion. pour οις-ισι dal· p(ar. dZçti, auxquels

Ο^ΤΩ

b qui—k quelques-uns. Uxf9 ©τιοισι, Hèr. chez lesquels. OTOTOf, V. ΙχΊotoT.

ÔtotvÇiiv , dire ; èroroT, pleurer.

R. δτοτοΓ. .

Οτ*, Ion. ίτιο, ©-?ιο ei urtv , pour δ, duquel ; de cquî. Ôrm χάρίν # c’est pourquoi. 2t» et c£ Zxe, ou Ιξό τ», depuis que. ίίως 2th eé μ/χρι Zxv , jusqu’à ce | que—tant que. 0τ»ί·ί>, de qui que ce soit. Οτβ iv> ‘TraptyA»}aà*-τος, Tordre ayant été donné ! par on ne sait qui. Ôth&jwot* eyixa, pour ^uoi que ce soit. 0τι»»ν , de qui que ce soit.

<5tPÀ , ας, i? 9 la queue d’un coq. Οτραλιως, adv. promptement ; diligemment ; avec activité. R.

bxpVYtÜ.

Οχρνιρος, S f prompt ; diligent ; w actif. M. R.

Οτριχνς, ων, οί, pour Ιμοι6χριχες , qui ont le même poil—qui t ont la même crinière. Οχρνγηφάγος , » , ό , ment. sign, que χρυγηψάγοζ, qui mange les fruits de Cérès. ότρννιω, mêm. sign· qu οτρννα». Οτρυντνίρ, 9»ρος, i , qui excite ; qui pousse ; qui presse ; qui anime. R. Ιτρννω.

Οτρνντυ;, υος, ri, incitation ; excitation—sollicitation pressante. ΟΤΡΤΝίϊ ,/*/· ww» exciter ; pous-#serj amnier—presser; hâter. ΟτΙα , mêm· sign, quoaea·

ÔtÏi , poét. pour Zxt.

ÔxTtta, ας, ri, divination ; prédiction— religion. [ ο’τΐίΐαι , songes vains. 11. Λτΐινομαι.

Ôxlto pour oTio.

ÔtIινομαι , mém. sign. qu*οτ-νινομαι · δχΐι , poèt. pour ?τι.

Ο, χΊι , poct. pour Z , τι. Ζιυς τβ« ί·ΙΥ} , Ζ , χΊ ι ιάλις·* ιθΑιις, Hotn* que Jupiter vous accorde tout ce que vous désirez le plus. ϋ , τϊι , pour «îiot τ«. Ονλτ,ν ô j τΐι iraOoi ( iÇcpciivov ) , ( ils lüi demandoient ) d’où lui venoft cette cicatrice.

Ô, rhxt, Z , τΐιχιν , poét. pour o^i-Ονομ’ tupto Z , t1ixc Stir,; -ιταιίβς izaiSi φί>φ, Hom. cherchez un nom que vous donniez à votre petit-lils.    ^

Οτίοβιω et oxIoGoç, V. otoSoç. ΟτΊομαι, mêm. sign, qu ©σσινομβι· ΟτΙοτοΓ, cri de douleur, hélas ! Οτω pour îSxivi , dat· doçiç , i qui ; ài quiconque. Εν οτω y»V voito, Thuc. h quelque cho.< qu’il s’appliquât.    ^

, à quiconque ; à <^ui qi *

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OT

te soit. [ΟτΜονίσβτί, mém. sign*

Οτωίησοτί σννωχισΐ την rrcpocv , Esc h. que) que soit celui à qui il a marie l'autre*» 1 _

Or<uv pour ωντινο»» , gén, plar. ίΓΙςις , desquels—de qui que ce soit.

Ôtfîv pour φτινιονν, à quiconque ; à qui que ce soit.

Ôtai irott, mêm* sien. çuhxtain— de plus, de quelle manière.

Ου, Ion. pour ισω, 2·pers. sing. de V aor. a moy. ipy, ημι, bien a· pers. de Vimparf. du même verbe.

O j , de son , gén. ίΓος, pour ΙΙς, son.

Ον , duquel , gén. d*oç, qui. [Ov, ou, adv. de lieu. [θνττ«ρ, mêm. sign. Ou γης ; dans quel endroit de la terre ? OÜ xaxwv ; à quel degré d’infortune ?

O Y devant une consonne, ex devant une voyelle, «χ devant une aspi-reef βχϊ, né gat. non ; ne pas; ne .. . pas. Ονχ ίρχισθαι, ne pas venir. Τοντο β ποιήσω, je ne ferai pas cela, pvx ιΤπ-ον μίν ταντα t ix έγραψα it * βίι ?<ρραψα μίν , ix Ιινρι?£ινσα it * ftii ivrpt'vStvva μ«ν , ftx Γπιισα i« Θηβαίος * άλλ* άτ»ο της άρχη* ifà πάντων αχρι τνίς τιλιντης &«ξ/>λ-Ôov, etc. Mem, je ne proposai pas cela de vive voix, sans le proposer par écrit ; je ne le proposai pas par écrit sans me charger de l'ambassade ; je ne me chargeai pas de l'ambassade sans y réussir et sans persuader les Thé-bains; mais je commençai, je continuai, je consommai l'ouvrage, etc.

Ον, interr. Ovx iy&> «Xcyoy ; Luc. ne disois-je pas ?    7

En latin deux négations votent une affirmation, mais en grec plusieurs négations rien valent qu'une, et se fortifient tune Vautre. Ονχ ?ς·ιν iilv «νχΐΐς έννατωτιρον , Chrys. non, il n’est rien de plus puissant que la prière. Quelquefois néanmoins deux négations valent une affirmation. Ονχ ίσθ’ Ivmç •vx ΐξιλω ix της dixιας, Aristoph. je le chasserai de la maison.

Quelquefois i est redondant comme : iiiv μχλλ*ν Αίολινσι ti •v xoLt σψΐ7ΐ χαϊ τοΓ; αλλοίς, lier, pas plus aux Eoliens qu’à eux mêmeset auxautresGrecs.

Ov yàp άλλ* Γχβ ^(«χως , mêm.

, sign, quitta yàp χαχως , V. ci-après & yàp αλλα.

Quelquefois i mis dorant un

OT

fer be ne doit pas néanmoins se construire^ avec ce verbe, mais avec un autre, comme : •m άνθρώσ» yiv«<rxitv prv ft φησαντος, c. à d. xi St άνθρων* φησαντος u}y μ ycvuTxrtv , cet homme disant qu'il ne con·-noissoit pas. Ον *ημι , je nie.

Ov est souvent suivi Je différentes particules avec lesquelles il reçoit divers sens y et çue nous allons exposer par ordre alphabétique.

Ov yàp, car, Suivi de ne pas. Ον yap jyrew ψιυίεται , 2 yàp •Sfjpuç αντω, /Y*/. car assurément en disant cela il ne sau-roit parler ëontre la vérité, attendu que le mensonge ne peut sortir de la bouche d’un dieu. On trouve souvent ft yàp, ainsi redoublé. Ov yàp ; interr. H*cst-ce pas ? Ov yàp iràvv σοι χ*τοί<ίηλον ; Xèn. est-ce que vous ne voyex pas clairement ? Ov yàp ίχρην ; Luc. ne falloit-il pas ?

Ov yàp s'emploie dans Vindignation , dans le reproche ou dans une remontrance pive, de même qu'* yàp ίη, dans cet endroit de V Odyssée d'Homère, liv. 5. Tixvov itxbv, ‘TtoTév σ« ttroç φυγ*ν tpxος o jovrwv ; m yep in τοντον pi» iWArvaa; »όον αντη, ως. etc. ma fille, quelle pa-role^ est sortie de ta bouche ? quoi ! n’as-tu pas décidé toi-inème que, etc.

Ov yàp άλλα, et i yaproi άλλα, car ; cependant,    sign,

çue χαι yàp. *

Ov yàp 4» , car autrement, suivi d'une négation. Ov yàp «v ttoti «τόλμων, /%*/. car autrement ils n’auroient jamais osé.

Ov yàp av tr>, à Dieu ne plaise que je croie ! Ov yàp fri, mém. sign. — de plus, K. ci-dessus & yàp y à la fin de Valinéa.

Ov yàp ίησου, ci-dessus ov yap.

Ov yàp όττως, cit1 non.-seu-lement. Ov yàp £ττως μή, car non-seulement , suivi tf une négation. Ov yào οσω; μη ^ισΟι, ί/r. άλλά xai , Dèm. car non-seulement vous ne pensiez pas, etc. mais encore, etc.

θ'!» yàp h, non certainement ; non sans doute , mêm. sign, çu'kx oTuai. Ov yàp îv , «γη, Xen. non certainement, répondit-il.

Ov yoep -ne, M€Ol. sign. f*'i yàj> irjvg·

OT

Oj y4pxoi άλλά , mém. sign. f"*" yào άλλά.

Ον έήτοΒ et ϋησβ,, nulle** ment ; en aucune manière ; en aucune sorte. Il est souvent interrogatif Ov iritsn χλ\ σν iT των το («των oi νομΓζκο'ι ; etc. Xèn. ne seriex-vous pas aussi, ou bien est-ce <jue tous s r rie* aus>i du nombre de ces personnes qui pensent? etc. Ov-

àr’-mv χαχον τ» ΪΙγων «μαντών )/-

ληβα ; Plut, ne me seroît-il pas échappé quelque sottise ? ok bien est - ce qu’il m’est échappé quelque sottise f

Ov fàixa, point du tout, lorsqu'on répond négativement.

Ον μά, terme de jurement.

Ον μά Δ»« , non, par Jupiter! Μά Δια, a la mém. sign., de sorte çue u ne sert ici çtdà fortifier la négation.

Ον μάν, Dor. pour ft pvfy.

Ον μ«» $n, non certainement, quand on répond négativement.

Ovftty*y, non certainement; non sans doute—car ; suivi de ne pas. Ap' ov» ovü Hcycy 9

ωσ«τ«ρ ovJ) Ιγραψcy , ηνιχα ipydm σχσΟαί τι isot xaxoy νμδς ; ονμι-·

**» î» itwiîv «τιρω, j)èm. mai· lorsqu'il s’agissoit de vous nuire, s absicnoit-il de rien proposer de vive voix ou par écrit? non, c’est alors qu’il ne laissoit aux autres rien à dire, ou bien c’est alors qu'il s’emparoit exclusivement de la tribune. Δ(ά τάς τών irpor/puy tvcoyiateç ονσας νσ^ρμιγ/θης ( «μΐν*ν tfaot TÎç Sy τ%λίχ«5 ) , à cause des bienfaits que l’Ètat / doit à nos prédécesseurs, bienfaits d’une grandeur sans borne, et par là au-dessus de toute expression. Xpa ihXsM* χγ icXérif j % T^y xtv<iv>oy i^e-«τλά/η ; νμιννν, fut-il séduit

Î>ar l’argent ou ébranlé par a crainte du danger ? point du tout. Οΰμινιιν a quelquefois la même sign. çuk^t\ toi oy «μην. Ονμιννν y« f mcm. sign. çu'efJievxQi y«.

Ούμιντνως, /wtvw. sign, çue μηδαμώς.

Ον μ/ν rot, ifxlvxot γβ, non cependant, non pa.v pourtant. Oi p«v Tôt -ϊτοίντας y« , i yàp ηίννατο, pas tous néanmoins; car il ne le pouvoit pas. Ον μΐ*

Toi άλλά , et 2 μιν toc άλλ«ί ^yi.

néanmoins ; cependant. Α*λλ ft μιντο» mêm, sign. Ονμιντοι, point du tout ; nullement % dans une réponse négative.

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712 ΟΤΔ

Ον μΑ non.; nullement ; pojnt du tout. OvJtWr* W«v γψϊψ ov pr) ycvuyrsu των ίιόντων, Dem. jamais nous ne' faisons rien de ce qui est nécessaire. Ov p η -itoTc, jamais. Ον μη ττοτβ χ1η-οόαίθα, /'/β/. jamais nousn’ac-

tjuerrons. Ον μη, ne..... pas.

Ον pb ^χωψης y A ristoph. ne tous moque* pas.    ,

Ον μην, W i μην y«, et cependant , suivi d'une négation^ mais non. Ηγίμαι τοίννν , « è-νίρις ΑθηναΤο», χαΐ «î μηϋν •V ίΧχον xarnyopcîv Moite , i«tv£r«pa ην & μι'λλω Xtyctv &ν «Ιρηχα * £(χαί«»ς όν νμίς *χ των •Ιρημινων χαι χαταψηφ/σασΦαι « χαΐ τιμάν αντω των έσχατων * β • μην ίντανθ’ Γς^χι tfc ιτράγμα;, etc.

* ./ta». je crois, Athéniens,

2ne quand je n’aurois rien i ire de plus contre Midias, el

3ue je ne pourrois produire 'autres griefs pl«i» considérables, vous devriei le condamner sur ceux <jue j’ai déjà produits, et lui faire subir les derniers chàtimens ; et cependant ~vous n’avet pas tout entendu.

Ον μ^ν kXÜ*., 4 μη* y*, ear; mais. Ον μην άλλ* «y«»y« •Τμαι, Dèm. car je pense. Ov pj)v άλλ* ίςω τ£«»ς ivpfcBat τοίΗτνς , Pol. mais supposons

3u’on trouve des lieux ainsi is posés. Ον μην άλλ& χα» , mais surtout ; mais principalement.

Ονμη>7«* K i μην. ^

Ον μ^ν iii , i pw rrt, mêm. tign. qu'* μην.

Ον μην *», pas encore cependant. Ov μι/Çv 'κω τδτο β»λ«σ-6αι icy«cv, Dem. ne vouloir pas encore néanmoins dire cela.

ci-après ix et »χ jAhh /»/■ rang alphabétique.

«va, ας, η y mêm^ s/gn. qa'Z<xt οη οίη. [Ova, »ων , τα, mem. sign, qu'oot, οων.

Ούαΐ, interject, malheur ! ο/ΑΣ,ατος, xb, poét. pour*ç, oreille. [Ονατα,^Λ oreilles —anses.    #

Ουχτιος, » , adj. qui esta 1 extrémité de—qui est au fond de. Ούατο'ιις, «ντος, adj. qui a des oreilles ; qui a des anses. „ ΟΟνΠα, «ς, ή, et quelquefois àyxfa, once, doucïeme partie de la livre romaine.

©ioaToç, », adi. bas—terrestre «—qui sort ae terre—qui dc-meuressous terre. H. »ίάς. Οϋαμη, et Dor. δίαμα, adv. nullement ; en aucune iria^ aière—nulle part,

ÔYA

Ον<ίαμιν>κ* », adj. de rien; qui n’est d’aucun prix ; qu’on ne doit compter pour rien. R. uStiç.    ·

Ον£αμόθι*, adv. d aucun lieu } d’aucun côté—de personne.

Ονχ αλλοθιν πίαμοθΐν , Dé In. de nul autre endroit.

Ονίαμόθι, adv. nulle part. Ovia* μόθι τΤίς y~t$, Luc. dans aucun endroit de la terre.

Ούί«μ>)ς, », adj. aucun; nul.

R. «ίί, άμός. V θύσαμε T!, adv. nulle part ; dans aucun endroit ; vers aucun côté.    '

Ονίαμ», adv. Mém. sign. quiïa-μόθι.

Ον£αμως, adv. d’aurune manière ; nullement; point du tout. Ον£αμη, ονίαμως, nullement. Ονίας, ατος, xb, pavé-terre. Ovtft, ni ; et non ; mais non , pas même. Ον<Γ οναρ, pas même en songe. Oviè ypv, pas même un fétu. Oui αν otcbv , ytvYixxt , quelque chose qui en arrive. Ovf âv ÔTt»v «o**}, Dèm. quoi qu'il fasse dans la v suite.

Ovi’ 3v itç pour »ie)ç av. Ovi* à<ycijv, nullement.

Ovii «ίς pour «iicç, aucun. OvÜ μη pour *Sï ou pour » μ/ν Tot, V. ».

Ovi^ μην, mêm. sign, que i μ/ν rot , V, ».

OvÜ μη-σοτί, et jamais.

Ovii μη ιτοτ« y«v>îa«ται, .Ρ/λ/. et jamais il ne sera.

Ov<Te -Λτολλ» Λγ, m. sign. que ίτολλ» i«T, il s’en faut de beaucoup.

Ôvi/ rt tttù, pas encore aucun. Εσθλ^ν t »i/ τι ffw «Τσας Γσος, Hom. vous n’avez encore dit aucune bonne parole. Ovi«' -rt *»τω , pas encore.

Ovi/ τ» -σω?, nullement ; en aucune manière.

Ovi* oXty» èit pour noXXS i«T, il s’en faut de beaucoup.

Ovi’ οντωσΰν, nullement; en aucune maniéré. OvJ* β·σ«σ»ν otnoçtiv , pas le moins du monde ; pas même un tant soit peu ; pas du tout.

Ovî* Zvtov pour ix όσιον ou kvéutov t impie ; criminel.

OvJ’ Serov è<T δσσον , mêm. sign, ou bà' ονχωςιϋν , ci dessus. O-vi ό-, Tt »v , rien du tout. Ovi’ & μλ, /wr-w. sign, que m, ni.    f    #

Ovi’ v<p* ίνος ponrvtr β^οος, par aucun.

Ov£’ et malgré cela; /wr

ΟΥΔ ·

fi £ une négation,    &&* &4

«τ«ρ»ς «ρρνσατο, Ham. et malgré cela il ne put sauver ses companions.    _

Oviciv, dans A ristoph. pour Crin», rien.

ΟνίβΙς, , W*v, adj. aucun ; nul—d’aucun prix; de rien.

Ovi«v«çt des nomme*de rien, c. à d. méprisables. Ovi/va xtv-iwov ivTtviv »x ντ»«μ*ιν«τ οί -rpoyovoi,    il n'est aucun

danger auquel ne se soient exposés nos ancêtres. ^

Ovicv «Τναι, n’être plus rîen 9 c. à d. être mort—être perdu —être ruiné.

Ovüv >«y«(v , ne rien dir« qui vaille ; dire des riens.

Ovicv cpyov , V, tpyov.

Ovicv ητΤον et eiiv^ tkaxlov\ non moins; pas moins.

Ovitv μχλλον i/»iev tc μαΧλον,

λas plus ; pas davantage—nul-ement, dans Euripide.

Oiiiv tc , pour ϋαμωζ, nullement ; point du tout. Oviev

T» χαλ«τ»5 -ιτρ^ματος ««τιθνιχιΤς,

Xén. vous demande* une cnose qui n’est pas du tout difTioile.

Ovi>v ?Ttpov άλλ' ^, presque ; quasi ; peu s’en faut.

Ovitv otc»v , rien du tout. Oviev ττρα7μα, V· irpSypa. Owo/v irv, rien encore ; pas encore.

Ovièv se met souvent pour », non.

Ovi/xor·, Ion. pour SitmoTt.

Ovitv , V· »^£ΐς·    ^    ^

Ovicvcca, ας,#η , nullité; néant —vilité. Ytai τΤί; eisvtia; rî!ç Ιμνίς, Plat, à cause de ma nullité ou à cause que je suis un komme de rien.

OvicvJç, V. »iccç. ^

ΟνΛν ό σωρός, », ad), qui ne mérite aucun soin—méprisable ; vil. R ίοΥ,ς, ωρα*

Oviivoci), fut. ωσω , réduire à rien.

Ovicvvww, adv. pas encore. Ovi/ση, adv en aucune manière. R. Î<Te,

Ovi/tyoTf , adv. jamais. ^ Ovi/tsTM, adv. pas encore, point du tout. -    e

OvictarcdcroTc, adv. jamais ; en aucun temps.

Ονί/τιρ»ς, », adj. ni l’un ni 1‘autre ; auriin des deux. 06-ij-epa hvopoi“oi, dûs noms neutres , en terme de grammaire. [ () jhx£M$tv, adv. ni d’un côté, ni de l’autre; d’aucun des diuix côtés. [^OvitT/pcûç , adv. ni d’une manière> ni de

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οτκ

Fatitre ; d’aucune des deux manières—au genre neutre, en terme de grammaire.

Ovftrtptuet, adv. ni d’un côte, ni de l’autre ; vers aucun des deux côtés.

θύ£*τι Tree et ài/ tt mtù , pas encore.

θύεσαι pour bfàv&i, aor. i inf.

d*b<it<a.

Ού£ολως et ii’ 3λ«>ς, nullement ; en aucune manière.

ΟΤΔΟΣ, ιος, rl, pavé—terre— plancher.

Ον<Γος pour ôfoç, chemin.

ΟνΛς, 3, ô, le seuil de la [ porte ; le pas de la porte—l’entrée , au propre et ûu fig. Γν>-

Î>otoç &Λ;, I’entree de la vieil-esse ; mais on trouve aussi 1er) γνραος »&*, au sortir de la vieillesse ; c.àd. aux approches de la mort.

Ον£οτ(ουν, rien du tout. R. ovii,

Zçctovv.

Oi<îoTtovv, adv. nullement; en aucune manière.

Ονθ’ pour oCOt, devant une voyelle aspiree.

ΟΥΘΑΡ, «τος , τ^ , mamelle ; tétine—fertilité; fécondité.

Ονθαο, nom d'un mets exquis.

Ονθίΐς, ινος, adj. pour ονίιΐς, personne ; aucun. Φιρη Se »0iv, Arist. il n’importe en rien.

OvOf'vciot, mcm. sign. ^’ovjivtia.

Ούθιτtpoç pour ού£/τιρος.

Ονθην et ov6v)v toit ou ού £ην, non certainement. Ού $ήν jitv πάλιν ανθις ivviati £νρος ά/ηνωρ vu — χιίιιν βασιλέας ύνιι<ΐ«ίοις ixatta— σιν, /fo/w. assurément il n’osera plus dans son audace insolente attaquer les rois par des discours injurieux.

Ovfyfov , h , xb, wot if une cer-tairte herbe d'Egypte.

Ovx*, y///, pour ο ix. Ovx* rvî; βαρβάρου μντρίς yt/ονως , &?/?/*.

né d’une mère barbare.

Oùxi non, ^ι ού. £ Ούχ αμυω,

(· pour ovx αν πω, point du tout; nullement. [θύχ àv ί*), 8<ίαμως ον, et ovx αν τι, mêm. sign.

Ovx ΐς* Ιψ* Ζτω των ittVTpay-ρινων, dans aucune des choses qui ont été faites.

Ovx ?σθ’ Zvso'j, nulle part; dans aucun endroit.

Ούχ Ισθ’ Ζπως, ou ovx ϊςιν &σως, nullement. Ovx ίσθ’ 2βως σνγ* αντ^ς ν^ιαινιις , certainement vous n’avex pas l’esprit sain. Ούχ ίσΰ’ Ζτνως ούχ ίχιτι ρον τα χρ^μαν*, certainement vous avez mon argent. Dans ce dernier exempte les

OTΛ

deux négations valent une affirmation.

Ovx tçtv Ζςις, personne J Ούχ ΐςtv οίτινις, mém. sign. Ovx ϊςιν clxivii «vr^ovται, Plut, personne ne s abstient.

Ovx f<x0* e, n, rien.

Ovx M' Stc, jamais.

Ovx ccpvjai irot>)ffCiv , pour ΐγησι ον ‘ττοΐ^σιιν , il dît qu’il ne le feioit pas.

Ovx in , plus, avec une négation. Ovx av αψίθιί-ης τι tri, Luc. on ne te laissera plus échapper. Ovx tri ον μ/ι «νρησιις, vous ne le trouverez plu*. On écrit aussi cvxi'tc tout d'un mot.

Ovx ίχω οτχως, je ne puis; je ne sai* comment.

Ovx yÎxiçol , ion. pour ονχ τ?χιςα, surtout ; principalement.

Ovx riv βονλορ/νω μοι ταντα, Xèn. cette condition ne me plaisoit pas.

Ovx οιμαι se rapportant à un membre de phrase précédent dans lequel it γ a une négation, se traduit comme s'il y avoit simplement οΤμχι. Καί it μιη ri αντών άλϊίθις içtv, catrotp ούχ οΤμχι, Thuc. et si aucune des choses n’est vraie, comme je le pense, il<ratp ούχ οΓραι est pour ωστνιρ οϊμαι ούχ άληθίς «Γνα», comme jt crois effectivement qu’aucune de ces choses n’est vraie.

Ούχιτι, V. ci-dessus ovx, cinquième alinéa de cette colonne. Ούχ* pour οΐχί. v Ovxovv, conj. c’est pourquoi— donc, avec une négation. Ovxhv γίνωσχομιν, nous ne connois-sons donc pas. Ovx ow, non. Αλλα pr) άρχιτ/χ7ων βονλιι ytvl-σθαι ; ουχονν iyo»7* €ψή , Plut, ne voulex-vous pas être architecte? non, répondit-il.

Ovxovv avec un accent circonflexe, eet-ce que? suivi d'une négation ; n*est-ce pas ? Ούχον» χριίνιμχ yt αΧφπχ ; Xen. la farine n’est-elle pas utile ? Ovxovv , sans doute — car — donc—c’est pourquoi. Ovxovv ôMi, car—au reste. Voy. ov. Ονχω, Ion. pour οδτσω.

Ονχων , Ion. pour ovx ou ovxovy. Ονχως, Ion. pour ον-βτως.    J

Ούλα2 , ων , αί , orge — farine d’orge rôtie mêlée avec du sel, dont on saupoudroif la tête de la victime qui alloit être immolée.

Oviotî , plur* <Tονλί», cicatrice , etc.

OrA 7 » 3

Ού)αρ\ς, ν, δ, bataillon serré—■ troupe de cinquante cavaliers formant un carré — essaim e d'abeilles. R. ούλος.

Ούλίις, àSος, ή , crépue; bouclée —épaisse.

Ούλβίις, bourses; sacs.

Oviotcpo;, », adj. mort; défunt.

[ ΟύλαφηφοριΓν, emporter les morts.

Ονλι, impèr. tTονλω, portei-vous, bien.

Ονλιω, mcm. sign. çu'oZ\ty.

Ον/η, y};, v), plaie fermée; cicatrice. Ov) x< φνσιχαϊ , signes , c. à d. taches naturelles sur la peau.

Ονλι^ος, », adj. et ου\ιος, », pernicieux; mortel. H. ίΜνμι.

Ονλίος, auteur de la sauté; sauveur, surnom ious lequel ' Apollon et Diane étaient invoqués. R. oCW

Ούλοβίρος, » , adj. qui dévore des choses pernicieuses, des choses mortelles. R. ονλος, βορά.

OvW/ttjç, », o, poignée du moissonneur; gerbe; botte. [ Ov).o'-^ctov,», tI>, lien de chaume, pour lier les gerbes. R. £λο;, οΥω.

ΟυλόΟριξ, «χος, ο, quia les cheveux crépus. R. ονλος, $ρίξ.

Ούλόθνρος, », adj. mem. sign. qu όλοο<ρρων. R. ονλος, άυμός.

Ούλοθνσία, ας, n , sacrifice entier; sacrifice auquel il ne manque rien. R. ολος, Svçta.

Ούλοθνηω, répandre sur la victime U farine appelée ούλαι — immoler. R. ονλος,

Ονλοχάρηνος, », et ούλοχιφαλος, », adj. qui a les cheveux crépu*. R. ονλος^ χΛρηνος, χιφαλτ).

ΟύλοριΗς, ιος, adj, mêm. sign. qu'cXopâris, qui a tous ses membres; qui a tous les membres qui constituent son être ;

?ui est parfaitement constitué. ΟνΧομύια, ας, et ον\ομύί·η, ης, constitution parfaite—inié-grité. R. δλος, μαΧος. ,

Ούλόρινος, η, ον, poét. pour οΧί-ρινος, aor % a pari. moy. d'oXXvuty

Îiernicieux ; mortel ; nuisible ; atdl.

Ονλον, », rh ) gencive. R. ονλος.

Ονλο)>ς, poèt : pour ολοος, pernicieux, etc.

OTΑΟΈ.pourοΧοϊ>ς, pernicieiix,r/r. Ονλος pour 2λος, tou t, etc. Ονλος. « , adj. tendre ; mon ; délirât—doux; mollet ;doni II»; U Ονλος, qui a les cheveux crépus—crépu; crêpé:; frisé ; bouclé; tortillé—seVré; concis.

Ονλος, », ό, subst. butte; gerbe,

y

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7*4 ΟΥΠ

Ονλος, hymne qu’oii-chantoit en l’honneur de Cérès.

Ουλος, mèm. sign. çu'*ov\oç.

Ονλότης, ητος, η, cheveux crépus ; frisure ; boucle-état sain ; sainte; salubrité—mollesse—le moelleux, duneètoffe, etc.

Ονλότριχις, ων , plur. ^’ονλοθριξ.

Ονλότριχος , 8, m. sign. quiiX6Qpi%.

Ονλόφνίλος, s, adj. qui a les feuilles crêpées , les feuilles fripées, les feuilles ridées. II. ονλος, φνλλον.

Ονλοχόϊον et ovXoyoeîov , 8 f rb , petit vase oil ron mettoit la fariue appelée ονλαί. R. χόος.

Ονλόχντα, ων , ràt, ονλοχνται, ων , αί , mêm. sign, çu ονλαί. R* ούλα), χ/ω.

Ονλοχνται, paniers où l’on raet-toit la farine appelée ονλαί.

Ονλο'ω, cicatriser. [ Ονλουσθαι, se cicatriser. R. ούλη.

Ονλνμηχος, Jon. pour Ολυμπος.

[ Ονλνμ-σόνίβ pour oXuptJovSt ou <ίς όλνμ-σον.

Ονλω, se bien porter; être en bonne santé. [ OvXt, terme de politesse, portex-vous bien. R.

ουλος.

Ojfxivovv, V. ci-dessus ov.

Ονμές pour ό Ιμος, τ* ονμέν pour xb «μο'ν.

OY H, fdonc ; c'est pourquoi—enfin ; à la tin ; pourtant — toutefois — certainement. Il a quelquefois la mêm. sign. que yovv; quelquefois il est explétif y comme dans άς ïv ,

•    >    f τ ^    » t    y » τ

t tarit ovv , ουτ ovv, ttx ovv, βίος ovv , ox*oîoç ovv , pour ώς , Imt, ovtc , tixx, οΓος , ÔtjoTc*.

OZvtxa pour ov ?ma, çarce que ; à cause que. [ Οννιχα pour tovtow fvfxa, à cause de cela;

- c’est pourquoi. [ Ovvtxa pour fvcxdt, à cause de.

06’ ovvcxa, Soph, parce que.

Maô* ovvixoc, liotn. apprenez que.    .

Ovvtxcv , mém. sign, quhtxx.

Οννισθί pour ovcoOc » pers*près.

d ovop.au

Οννομα, οννομάζω , οννομαίνω, ©v-νομας-ος, poèt. pour ονομα , etc.

Οννομάχλντος , β, ό, poèt. pour ένομάχλντος.    ,

Ου νομάρχης, «, ό, /ΡΛ. pOUT β νομάρχης.    ^

Οννομας-ές pour ον ομαλός.

Ονς , J)or. pour ό βς.

Ovmp,    </Λ8στ«ρ.[θνίσιρ,

adv. de lieu, où.

Οναπτρισίος pour ô imixptfaioç , digne d’être foulé aux pieds; méprisable.

Ovwo9t, nulle part ; dans aucun endroit. R* ςν, ire0t.

OTP

Ovtvoxa r/ ovootc > jamais» R. ον ,

ΊΓΟΤί , ΊΓΟΧα.

Οννω , pas encore — jamais.

[ O-JtJMpour ov. Ov«jo ίννάσαι, Aristoph. tu ne peux pas.

Ονσως <?/ ον πως, point du tout; nullement.

ΟΥΡΑ, α;,    , queue, la queue

des animaux. Celle des oiseaux s'appelle plus particulièrement ορροντνγιον. [ Ovpa, arrière-arde ; queue de l’armée. Oupot, pouppe.    ^

Ονρα, ων, τίι, mêm. sign, qu*ονροι, limites.

Ονραγ/ω , conduire l'arrière-

fjarde—être à la queue; être e dernier; venir le dernier.

[ Ονράγιος, *, adj. qui est à la queue ; qui est le dernier.

Ovpayta, ας, η, l’arrière-garde.

Ovjaayoç, 5, ·, qui conduit l’arrière-garde—qui est à la queue de Farinée; qui ferme la marche. R. ούρα, άγω.

ΟνραΤος, e, adj. qui a rapport à la queue. To ονραΓον , la queue —les derniers rangs—la dernière partie. II ονραία, mcm. sign. ; la queue, etc.

Ονράνη , ης, η, uretère; condjit par lequel l’urine descend des reins dans la vessie—pot de chambre. R. ovpov.

Ουρανία, 0^ , Ion. Ονρανίη , ης, η, Uranie , une des Muses, celte qui préside à Γastronomie. R. ονρανές, ciel.

Ουρανία, jeu qui consiste à jeter une balle en Pair el à la prendre de volée. [ Ονραγιάζω, jouer au jeu appelé ουρανία.

Ουράνια, ων, sous-ent. vÆotra, eaux du ciel; pluies, pl. neut.

d ουράνιος.

Ονρανίαφι, poèt. pour ονρανι'α.

Ονρανίίης, «, ô, du ciel ; habitant du ciel—enfant du ciel ; qui e$t d’une origine céleste.

Ονρανιζομαι, s’élever au ciel.

Ονράνιος, 8, adj. du ciel ; céleste —habitant du ciel.Ot ουράνιοι, les habitans du ciel ; les dieux. Tèc ουράνια , eaux du ciel ; pluies Vo^. ci-dessus ούρανΓα. Ονράνιόν γ οσον , pour 3ανμά-σιον 2σον , Aristôph. d’une maniéré étonnante; d’une maniéré merveiiteuse ou extraordinaire.    ‘

Ονρανίσχος, 8, ô, pavillon fait en rond; dais; ciel de lit; ciel d’une tente royale.

Ονρανισχος , palais de la bouche — couronne australe, constellation. R *νραν©ς.

OTP

Ονραν'ων , ωνος, o, mcm. sign· {Μ’ονρανίοης.    ^

Ονρανοβάμων , ονος , adj. qui monte au ciel. R· ονρανος , ραίνω.

Ονρανογνώμων, ονος, adj. verse dans la connoissance des choses célestes. R. γνώμη. Ονρανοίιιχίος, 8, adj. qui se montre au ciel. R. ονρανος, ίΐίχννμι* ‘

Ονρανοίρομος, 8 , adj. qui s’élève au ciel. R. ^ρομος.

Ονρανόιις, ιντος , adj. céleste. Ούρανο(σσα ν«τηνη, poils qui sont sur les bords de la lèvre supérieure ; moustache—palais, de la bouche.

Ονραν&θιν , adv. du ciel.

Ονρανοθι, adv. dans le ciel. Ούρα-νο'θι ιτρω, devant le ciel ; dans les airs.

Ονρανολ/σχης, 8, ό, qui cause ou qui débite des coûtes sur les choses célestes. R. βρανος, λ/σχτ3· Ονρανομηχης, «ος, adj. si haut qu’ii touche le ciel;^qui s’élève jusqu’au ciel. Αθο» ουράν ομηχη, Plut, le mont Alhos qui cache sa cime dans les CieuX. R. μ/ΐχος.

Ονρανοσιτης, «ος, tombé du ciel| venu du ciel. R. πίταΊω. ΟνρανόσλαγχΊος, », adj. qui erre daus la région cclcîte. R. ιτλαζ»· ΟΥΡΑΝΟΣ, «, ό, ciel--le Ciel, pere de Saturne—l’air—palais de la bouche.

Ούρανος, dans le Ttmée de Platon, le inonde. Les Perses appelo.ent «ραν«ς, les lenles j-oyales , à causes de leur forme ronde.

Ovpavoac, adv. de lieu et de mouvementy au ciel; dans le ciel.    ,

Ονρανοσχόσος , 8, o, URANOsCOPF, poisson de mer qui a les jeux places sur la tète et tournés vers te ciel. R. έρανος, oxocuo>> Ονροινοσχόττος, 8, ô, qui coffi-temple le ciel.

Ονρανδχος, ί, o, habitant du ciel*

R. Ιχω.

Ούρανο'-ραντωρ, ορος, dont l’éclat reluit jusqu’au ciel. R. φαίν«· Οΰρανοφοιτάω, aller dans le ciel» lréqucnter le ciel. R. φοιτώ*· Ούρανοιροιτης, 8, ό , qui V* dans le ciel, etc.

Ονρανοφόρος, 8, adj. dont le pii" fond est rond, dont le lani' bris est en forme de ciel; sur' monté d’un ciel. R. ovpa»oi> φί'ρω.    t

Ονρανόφρων , ονος, dont 1 esprit , n'est occupé que de* chose*

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dti ciéî—f*eux; religieux. H. φρην. .

Ονρotvοφντιυτος , Η, adj. dont Pori-gine est céleste. Η. φντινω. Ουρανοχρωμ.ατος, «, qui est de ?a même couleur que le ciel ; azure. R. χρώμα.

Ονριιος pour Spttoç , «, o» Ονρ/ομαι,    ^«ρ/ω.

Ούριαιοιχος , «, pour ορισίοιχος. OupcacyoïTTjç , i, aptoyotrà; ,

.    qui    fréquente    les

montagnes; qui parcourt les montagnes; qui demeure sur 1*® montagnes. R. κρος, φοιτάω. OOprvç , /ος, /*»*/. pour èptv; , 6, mulet ; mule.

Ουριυς, /ως, ο , gardien ; garde. R. «ρ0ς.

Ονρ/ω, fut. ησω, uriner j rendre par le* urines. R. îpov.

Ονρ/ω, garder, Ifs si ch.

Ο !»ρ/ων pour »ρων , ί/’βρος , vent Oopn, ης, /λλ.    &pJc    |    ας.

ΟΤΣ

» if    ..... .... r 1

η^ρνδόχος pour δρο-ίσχος.

Ουρήθρα, οτ.ς, η, URETRE ; canal ^par ou sort l’urine. R. «pov.

Ογρημ*, ατος, rb, Wine.

OvprjpVç, pi, pbv , adj. qui reçoit | Urine. Ονρηρ'ον άγΓιΤόν , pot de chambre.

Ονρησηω , avoir envie d’urinfer

Ojpvjcrt? , ΐως, l’aclion d’uriner.

Ον-οηττ,ρ, ~ρος, ό, ÜRÉTÈRE, nom de deux canaux qui portent f arine des reins dans la vessie.

OjiT/jVw'j), —ω, avoir envie de p'sscr—avoir un relâchement oans la vessie.

Ovoyjti*});, v», bv, adj. diurétique ; qui Tail uriner—aphrodisiaque Ούρν,τιχ^ς Tro'pc;, mêm. sign, ^'«ρκίθρα, urèlbre.

Ονρηπχος >ί«ν, Axis t. qui irrine beaucoup. ’

ί>νρητρίς, ίίος, η> pot de cliam-l>re; urinai.

Dipt*, ας, -h , sousent.irva^, vent favorable. É* βρίας eti&ifov, par un vent favorable. ΛΛ ϊριος.

Ονρια, (ai , loi. pour 2oi*, «y, limites; bornes ; confins.

όνοίαχος, », i , le fer qui est au bout de la lance. R. bp*.

Οχιρίζία, fut. a κριω, pousser par un vent favorable ; faire voguer heureusement — faire prospérer ; seconder. R. «p OÇ.

Ουρι^ω , Ion.pourίρίζω, borner, servir de limite, et autres sens de ορίζω.

O'jpiOpttaloq, poct.pourορίτριτοίος, k, nourri sur la montagne.

Ojptvov tàby, et tip toy ώον , œuf sans germe. R. «ρος.

Ojp'.cÿ?i>t.sO, ω, ê!re pousse par un veutfavorable ; voguer heu- (

reusemenl—prospérer. [ Ow-ριοορόρος, adj. qui est poussé par^un vent favorable, etc. R. Spιος, ίρόμος.

Ονριον , «, rb, garde—prison. R.

?ρος. /Ί ci-dessus ϊρινον. Ονοιος, », adj. qui a un vent favorable; accompagné d’un vent favorable—heureux; favorable. ΟνρΓα irvov» ou simplement #ρία, vent favorable. Πλο'ος ονριος, navigation heureuse. Ey ονρίω ιτλιΓν, voguer par un vent favorable. Εξ

βρίων OU /> ûpidt; ττλίΤν, mêm.

sign. — de plus, prospérer; être secondé par la fortune. Ονρια Siîv, «voir un vent favorable. Ούριος άνεμος ou simplement mpiος , ün vènt favorable.

tyjptο; , a, ov tpourolpouoç. Ονρισμά, Ton.poutop<σμα, </*ôpi£«. Ojpirptnrli', », adj. nourri sur la montagne. R. ?ρ, τρ/φω. Ονριω , fit. 2 //’âpiÇ».

. ης, g,ot de chambre ; urinai—vessie. R. îpov, ίΖ/ομαι. '

Ούροίόχο*, *, adj. qui reçoit 1 urine. Ονρο£οχος χν^ις, Ja vessie.

OTPO^, », rb, urine.

Ovpov pour ουρος ou îpoç, limite ; borne.

Ôvpot^Vov, M> èppowvycov.

ΟΤΡΟΣ, vent favorable; bon vent—bonne fortune — occa* siou favorable. Aibç ίρος, un vent favorable. Êa>; δν ίς upov χατας·5τι, JTm. jusqu’à ce qu’ils aient un vent favorable.

Ονρος, v, o, garde : gardien —inspecteur; qui veille sur— —sauveur—roi.

Οΐρος, ιος, rb, pour £ρος, toç, ro9 montagne, etc.

Ουρος,e9btpourΖρ9ς, limite, borne.

Ovpbç f St chemin creux par * lequel on traine le vaisseau du rivage sur la mer.

Ovpb; pour ορος, sérosité, etc. OJpot5p./«, couper la queue.

R. »plc, np v ω.

Ονοοω , mêm. sign, çu1 βρίζω. Oùpvftiç t/vovtcç, nerfs qui s’étendent jusqu’à l’extrémité d’un os.

Ονς, ωτίς, rb , plur. ωτα , oreilles.

Τα ωτα rtrt^aûiftv OU παρ/χην , 7ταραί«/ναι, prêter l’oreille.

Είς ονς >/yfiv, dire à Toreille. Τον λνχον ωτων χρ*τιιν , Plut. tenir le loup par les oreilles. Ωτων άνηρτησθαι, Luc. avoir l’oreille au guet. Ανατιfvetat

OTT 715

tff ωτος, /%f/. on lui tire Γο-reijlc.

ftra, oreilles, tfun vase; anses.

£1 τα /^ασιλ/βς , les oreilles du prince, r. 4    ceux qui

rendent compte au prince de ce qu ils ont entendu ; espions.

*,ur' ^»    S» qui;

ou a ος, son.

Ο^σα , ης, fèm. d'à* , part.pris. d\ipi. Διχων ix «a«v, pendant la^ vacance des tribunaux. Ουσα wo')»ç, Dêm. ville qui subsiste encore. li ίσα ά/5χη, véritable souveraineté, ούχ Ζσα &ί**ι, jugement nul. rf ix Ϊσβ, Plat, fausse ; qui n’est pas vraie ou véritable.

Ονσά, plur. du nom in. Zy ov. ΟνσΓα,ας,η, esisence—substance; matière—-être ; individu.

Ουσία, signifie quelquefois la nature.

Ουσία, et aupf'tr. βσίαι, facultés ; biens; fortune—patri-moine—argent [ ΟύσΓα a quelquefois la mêm. sign, que ov-νβσια. χο'τη, commerce avec une femme.

Oicriapyea, ας, iÇ, le principe de la substance ou des substances — le pouvoir de creer ou de changer les substances , de former l’evence· il. άρχω.

Ονσίίιον, », petite fortune ; petit bien. R. &7ta.

Ονσιοω, former Tessence ; donner l’ètre ; créer — revêtir f d’une substance. [ Ούσίωσις, Taction de former l’essence ; de , etc. ; substantialitd. f Ov-σιϊσόαι, pass, être revètw d'une substance—être une.su balancé·/ R. M*.

Ονσιώίης, toç, essentiel—substantiel. f Ον<7ΐάχ?ως , adv. substantiellement —^ essentiellement. R. όσια.

ΟναΓωσις, ιως, η% V. l7iéto.

Ονσον, g, rb, câble de vaisseati^

Oυς-tvos t acc. plur. d’δςις.

Ovr au pour «ri <îp«.

Ovra pour βτασ*, aor. i indic. d'à τάζω. ïr. «τζω.

Ούτάριν , itxarvat, pour έταίναι f infin. prés^dumpu, inus. bn;s-ser-

Ούτοίμινος et δτασρ/νος, blessé. R.

irxta.

ΟΤΤΛ'α , fut. ησω, δτ^« , tftocTxrti^ βτημ,ιyfut. άτω, blesser; fraiser. [Οντησ»ς, ιως, ft. Inaction de blesser—blessure.

OvTt, ni—non—pas même. [Ouc

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7*6    ΟΥΤ

fiîjv , mêm. sign. qu* f«v toc , ni, cependant. n O0V «v, mém. sign, quuTt. [ Ojti ttco-, pas encore.    ^

Οντ£ π, nullement ; point du tout.    ^    ,

Οντε, duquel, gèn. d'iqt.

Οντιρος, Ion. ponr ô ετίρος.

Οντημι,    βτχω.

Οντησις, «ως, η, ^ #τ*ω. Οντητιιρα, ας , η , qui blesse. R.

HTOCO».

Οντι, non; ne pas. ^

Οντι yt, bien loin de.

OvTt fjLtv S'n, cependant, avec une négation. 0>τι rt«v i*> λυθη-σεσθε' 7£, Plat, cependant vous up serez nullement dissous. Οντιίανος, ί, ô, qui n’est d’aucun prix; un hoiinne de rien H «rtç, ixvoç. v' ^ ^ oîtiot;, ων, nom donné a des a'gi mens captieux de Chryslppe. K. «TtÇj    ,    ^

Οντινος, gèn. ίίόςις. [ Ονπνοσ»ν , gên, d'oçισκν.    ,

Ojtictm, non pas à la vérité ;,nul-lemeift.

Oj Titre ; intcrr. est-ce que par hasard ?    ^

Οϊτισω . pas encore. θανιΓν αντον ΐτιττω £ελω , Soph, je ne veux pas encore qu’il meure. Ουτισω ou».; est-ce que vous ne croyez pas encore ?

Οντΐς pour ώτίς.

Οντις , gèn. βτινος, personne , aucun. Κ. ΰ , τις.

Οντοι et treot yt, ni.

Οΰτος, αντνι, τδτο , gèn. tutu , ταντης, Τ8Τ»> celui-ci , ce, ret. Οντός τοι, Διόμ.·*}ί«ς, àvrjp , #τοι ίε' rat tnmoi S; νωϊν -ττίφχνσχε Δόλων , Hom. Diomède, voici l’homme et les chevaux rjue 13olon nous a indiques. Οντος ixtuος, le voilà ; c’est llii-même. Δ(λ ταντα , pour ces causes; c'e-it pourquoi. Τ»τ«ν ?vexa , tn~'tn. sign. K«t ταντα μεν i/> ταντα, voilà ce c|ui en est. Οντος τις pour trrûo-t, celui—Cl;

Οντος, celui-là. Οντος fitv 'ττανάρίς’ος, ος αύΛς *ταντα νόηση, fies, celui-là doit être mis au premier rang, qui en toute « occasion sait prendre par lui— même un bon conseil. Ko» T3tvTa, et surtout. Μ«τα ταντα, *près cela. ^    ^

Οντος , toi. Ci 5τος_ Afav , Soph, ù toi, Ajax ! Οντός* τι <ττο«Γς; Arist. hola! toi , qu’est-ce que tu fais ? Οντος Awo/Ào-ϋωρος 8 7Γ«ρφ.ενΐις; Plut, et toi, Apollodore, est-ce que tu

n'attendras pas?,E®iaxcç «τος,

Arist. tieus-loi en repos, toi.

OYX

Οντος est mis quelquefois pour tytô. Νοω «τος, Luc. je comprends moi-même, V. τοντβ et τάντη.

Οίτβσΐ pour utqç, celui-ci, etc.

Ου το» y devant une consonne , et £τως devant une voyel/·, ainsi ; de cette manière. ^ Hy 5τως , Thuc* il çn e'toit ainsi. Οντως ^ινωσχίτι , ώς iii ι*ανσομενΗ μ» , Luc. sachez que je ne cesserai ^pas. ίΐς τ~ς *7Γα'.ίενσίως $ννοψ.£-νγίς την n/xtrrpav ψνχην cvipy*-τιΤν , #χω itaxtioro την γνώμην, Jsocr. so\er. persuadé que l'instruction fait beaucoup de bien à Pàfne. Οντ«ς «««χομαι των àitxcav , ώ; ϋ«*ς άλλος των «ο-)ίτων, Jsocr. personne ne s’abstient autant qüe moi de toute injustice. Mv>i£voç «τως , ώς τ« itxata iiT φοοντίζ’ίΐν , J>cm. il faut avoir soin principalement d’èîri* }u->te. Ojtco; tryχχΊ·ησ<χν , tozrvTt? όλ»3ς το* ϋλλ^^ος 'ttcctoo-Onusv-ης, Isocr. ils furent aussi indignés que si toute la Grèce eut été ravagée.

Οντως, ώς, autant que. Oùocv 5τως c *νφραιν«Ϊ, ώς τ)> σν-viiioç χαΟοιρον, Greg, rien ne contribueautant à nous rendre gais qu’une bonne conscience.

Οντως, si; tellement—tant. Τις 5τω ρ^ίθνρός cçtv , Ος-ις â β*άή· σίται, ou ώς·£ i βαΧισΟαι, Isocr. qui est-ce qui est assez lâche pour ne pas vouloir? Οντω ιτιθανώς ζΧίγον f Plat, tant étoit persuasif ce qu'ils disoient.

Οντως, oui, en réponse. Σν <χρα τ* μ.Ιν ώφελίντα, χρήματχ nyn ; dans Xén. regardez-vous les choses utiles comme des biens ? A quoi T autre interlocuteur répond : 3τως, oui.

Οντως ovato, terme de souhait , allons, courage.

ΟύτωσΪ, Alt. pour δτως, ainsi y etc. Εάν «Γιτω artoal , Plat, si je parle ainsi. Ε>Ίνς «τωσι, Dém. si près.

Ονχ, V. δ. Ούχηκ'-τα pour βχ ηχ:ς·α, V\ -ηχιςα. Ονχ £σσον , V. ίσσον. Ονχ οΓον, V. οΓον. Ούχ οσως , V. οσως. Ονχ Ζσον , V. 2σον. Ούχ ότι , V. δτι.

Ονχ ώς, non comme. Ούχ ώς fist, non comme il falloit.

Ονχ ώς, bien loin de. Ονχ ώς τοΐΗτ»ς άχ«σαι λό/8ς , bien loin d’avoir entendu de pareils discours.

Ονχ t , mcm. sign, que ov. Il se met quelquefois après le verbe. Xph it ονχΐ, Syn. cela ne coiivicut pas.

ΟΦΕ

0<P «litov , », et oytitov, », tô, petit serpent. R. ο?ις·

Οφίιλίσιον , n * τ ο , dette· IV.

&γίΐλω.    *    ,

άρηλιτης, «, ο , débiteur. [θ?«ι-λ«τις, cio;, η, débitrice—celle que l’on a obligée, r. a d. celle à qui o»» a çendu un service dont elle doit avoir obligation. M. R. όψίΐϊεω , Att. pour οφείλω.

Οφιίλ/ΐ , ης, n , et ίγιίΧ/ψΛ, ατος, τ» , dette.

Gfi'hitai , pass. d*byt0.tù·

Οφιιλον pour ωψίΐΑον , imparf d'oyuXoi*

deptιλόντως, adv. comme cela se doit; comme il convient; comme il faut.

ΟΦΕ^Λdyfut. δφειλητω (^oφ«(λεω, inus. ) porf. ώψιίληω , aor. i ώφιλλα , aor. 2 wKf «)ov OU^ ot?i Aol ou ^ιλλον , devoir. Oytlï.tu y.n$tv\ , ne devoir rien à personne , n'être débiteur de personne. Αμφοτεροις νμίν^ οφίΓ/ω * Xèn. je vous# ai obligation à tous deux. Ατιμοτβρος των οφειλοντων τω ivjp.oeic»>, isoc. plus déshonoré que ceux qui doivent une amende au trésor public. Οί ό<ριιλοντ«ς, les débiteurs. T^> οφίίλορίνον , cè qui est du ; une dette. Σοι μΤσος Uptur rôti ) τοντω i« xot* «^t&ç. Sy/t* vous êtes digne de haine, et lui au contraire est digne de compassion.

Ο^ίΐ/.ω, cire condamne, (t une amende ; pa)er, une amende ; encourir, une âmend'·, une peine ; èlrcsujelà; être tenu à ; être tenu de. Π«ντ«χο*· σιας £ραχ[χχς οφιίλην, Jsocr. être condamné à une amende de cinquante drachmes, όφΐί-λεις pot χαχον, il faut que je vous fasse le mal que vous m’avez fait. ΒροτοΓς απασι χατ-θχνιΤν οφείλεται, Men. tous Its homines sont sujets à la mort. Dans cet exemple, χατθανίΓ/ est pour το χατθανειν ou pour · ^aivaTOç , la mort. ΟφίΟ.ΐταί χατΟαν.Τν , dans Eurip. il faut mourir.

Οφείλω, suivi d'un inf. je dois —il faut que; il est nécessaire que. Aeytiv οφείλω, Hèrod. il faut que je parle.

Οφείλω, joint à un inf, fit quelquefois précédé de la pat~ ticule είθε ou αιθ« «w ώς, et alors le verbe qui est à Γinf. prend la sign, d'un opt. At5 5φ*ι).ον μεΤναΙ, Hom. plut à Dieu c;iie je lu se resté. Ω; t.q'iv tfyiU*

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ΟΦΕ

&Φολ«σθαι, dernier livre de ΓΗ. plut à Dieu que j’eusse péri auparavant! Ici ωφίλλ’ est pou* «»φελλα, aor. i {/"cytCkta, mais dans le septième livre de fil., ou f on trouve encore ω; np\v ώ'φελλ άσολεσθα:, ici ωφιλλ* est pour ωφελλ* , 3e pers. sing. </’ωφελλον, Ion. pour ωφελον , aor. a ί/υψιΓλω. Quelquefois tinf. qui devroit être joint à ci»φίλον, est sous-entendu, mais alors le verbe auquel appartient cet infinitif se trouve exprime dans la phrase précédente Myjifi -/ιννωσχων , ως μ-ηδϊ ωφελον, Dèm. ne le con-Tioissant pas, et plût à Dieu que je ne le connusse pas encore ! comme s'il γ avoit ώς μ nie νΰν ύψιλον γιγνωσχα*. Quelquefois tiQt ou ώς est sous-ent. 12φελον «χλισιΤν βίον , Soph. plut aux dieux que j'eusse abandonne la vie! M/j οφιλον νικάν, Ifèr. plût à Dieu que je n'eusse pas vaincu! E’mii/jic ci μνίσοτ' ωφιλί σνν/βγ», Dèm. c. à d. lorftiy) èt συνεζη a pvjwoT* ωφελε σνμβαίνειν, après (|u’il fut arrive des choses telles que nous devrions souhaiter qu'elles ne fussent jamais arrivées.

Οφελον s emploie quelquefois adverbialement, et se joint , a for s avec lou le s les personnes. H οφελον η» άς»«β, plut à Dieu qu’elle fût digne !

Of t λος s'emploie aussi dans le même sens.

Οφε'λλιμος, » , adj. utile. R. οφείλω. Οφείλομαι, paSS. βΡόφε'λλω.

Οφε/λον pour ωφελλον, poèt. pour ωψιΧον, aor. a tf οφιίλω. Voy. οφει'λω.

Οφελλον rr/ ///λγ.γ/ Γimparf poèt. dIIa;‘J^oç οφελλε, pour «fyελλε, dans Hom. tout le peuple devoit.

Οφ/λλω, devoir. Οφείλετε ταΰτα -rενεσθαι , Hom. vous devez faire cela. [ Οφείλω s'emploie de la même maniéré qu'L<pti\ta, //ΡΛ7 /*f particules optatives ιΓΟα, αίθε , ώς.

ΟΦ^ΛΛΩ, augmenter; accroître; agrandir ; accumuler. Οντι χρλ fxvOov οφ/λλειν , Horn, il n’est pas besoin de parler davantage.

Οφ/λλω , aider ; secourir ; entretenir; être utile; rendre service.

* #

Οφελαα, «τος , τΐ>, accroissement ; augmentation. [ Οφελμα, ba-layure; ordures; immondices ^ —balai,

Oythvpour&fil'iv, aor.2 dlvtiXra.

ΟΦΘ

froy. à la fin ifoytiho la si/fn. dΖγΛον , quand il est précédé ^ de *Γβc, «Γ0ί, ώς.

Οφε^οντως, ment. sign. qu'bftt-λοντως.

Οφι λος, pris adverbialement, Pi?/. la note à la fin du verbe ο φειλω.

Οφελος, εος, το, utilité; avantage; fruit qu'on retire; inté· s rèt ; prolit—usage. R. οφείλω. ΟφεΛσιμος, », adj. utile. Μ. Κ. Οφελτρον , », xb, balai. [Οφελτρευω, balayer , nettoyer ; rendre propre—orner; parer—épous· st*ter.

Οφΐως·«φυλν>, ιης, $, un câprier, arbrisseau.

Οφθαλ^α, ας, η, ΟΡΠΤΙΙΑΪ.ΜΙΕ; inflammation des yeux—cécité; privation de la vue. [ Οφθαλ-μιαίω, avoir iine ophthalmic; avoir mal aux yeux—avoir la vue franpée par un objet; être épris de; regarder d’un œil d’envi^—être ébloui de la vue de—voir d'un œil de chagrin ; avoir les yeux blessés, de la vue du bonheur d'autrui, etc. t R. οφθαλ aoç.

Οφθαλμία?, «, ό, nom d'un poisson semblable à celui qui est ? appelé μελάνονρος.

Οφθαλμικόν, », τ^, petit œil. Οφθαλμίζομαι, avoir une ophthal-t mie; avoir mal aux yeux. Οφθαλμικός, 5, adj. OPHTHAL-MIQUE ; qui concerne les yeux ou la vue. Οφθαλμικά φάρμακα , ou simplement οφθοιλμιχά, remèdes ophthalmiques ; re. nièdes propres à guérir le inal d’yeux. [ Οφθαλμικός, un oculiste.

ΟφθαλρΤης. ιίος, -η ; OPHTHALMITIS , Surnom sons lequel J.ycurgue éleva un temple à Minerre, en mémoire de ce qu ayant eu Γ ail crevé dans Une émeute, il avoit été sauvé par le peuple.

Οφθαλμο^ολεω, jeter les yeux sur —regarder d’un œil d’envie— regarder d’un œil amoureux. R. οφθαλμός, βάλλω.

Οφθαλμό δουλειά, ας , η » empresse* inent à servir quelqu un au moindre coup d’œil ; soin officieux— ae’ivité d'un esclave lorsqu’il est sous les yeux de t son maitre. R. ιονλος. Οφθαλμός, », b , œil. Εν δφθαλμοΓς, devant les yeux ; sous les yeux. Εν όφθαλμοΤ; «Τνα», être sous les yeux—être considéré; être estimé; attirer sur soi tous les regards. Εξ έφθαλμων 7*>/σ0αι f èlre dérobé ou se dé

ΟΦΙ 717

rober ?» la vue ; disparoitre. Etc οφθαλμού -Βταραφυλάτΐιιν, observer de l’œil; avoir les yeux sur ; Cpier. ΤρΓς οφθαλμοΤς προ— -ΒΓίμισειν, suivre des yeux. Οφθαλμόν «κχεκομμίνος b Φιλ(«τπος , Dèm. Philippe ayant eu un œil crevé^ Δισβτότον όφθχλμος , l’œil du tnaitre, c. a d. la présence du maitre. Οφθαλμός /ίασιλ/ως, l’œil du roi, c. à d. celui qui rendoit compte au roi de ce qu’il avoit vu ; celui que le roi envoyoit dans les provinces en qualité d’inspecteur. On appelait aussi μο* , les préfets des festins chargés d’écbirer la salle des repas et de partager également le vin entre les convives.

Οφθαλμέ, metaphor. ΨυχΤίς οφθαλμός, Luc. la vue de l’esprit. Σικ»λιας οφθαλμός, l'orne— ment de là Sicile; la gloire de la Sicile. Εις παΓς 2o* yjv μοι λ ο ΐΉτο ς, οφθαλμος βίου , Kurip. un soul enfant me reetoit, le soutien de ma vie.

Οφθαλμός, bandage sur l'œil. [ Οφθαλμοί, trous par lesquels on passe les avirons.

Οφθαλμός, œil, c. à d. l’endroit par où sort le petit bourgeon de la vigne et des arbres fruitiers, et par où Ton insère l'eute ou la greffe d’un arbre.

Οφθαλμό;, l’embouchure 9 t d'un fleuve, etc.

Οφθαλμοφανής, /ος, adj. qtli tombe sous le sens de la vue; visible; qui paroit à la vue; qui sc montre aux yeux ; apparent— clair; évident; qui saute aux yeux. Οφθαλμοφανή Ιδιώτη, choses évidentes pour l'homme le moins éclairé. [ Γ)^0«λμοφανο;, adv. visiblement; clairement; évidemment; manifestement. Οφθαλμοφανως ΙδιΤν , voir manifestement ; voir. évidemment. R. οφθαλμός , φαι νω.

Οψθα)'/.ήδτης, ιος, adj. qui a la s forme d’un œil. U. «ΤΪος. Οφθνίναι, aor. I inf. if οτηΊομαι. Οφιακος, », adj.^qui concerne les serpens ^ [ Οφιακα , ων , τα 4 livres qui traitent des serpens. R. οφις.

Οφιασις, ιως, η, OPHIASE* maladie qui fait tomber les cheveux et le poil en quelques endroits du corps, de sorte qu'ilparoit moucheté comme celui dxun serpent. R. οφις.

όγίδιον, », xb, petit serpent— peti^ poisson semblable au congre.

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ΟΦΛ

Oyiytvyjs, mint. sign, qa'oftitytrn;. ΟψιΤιπς , mém. sign. γα'οψίτης. Οφιοβόλος, β, ο, q»ji perce le serpent de scs traits, èpith.

^ d’ Apollon. R. βάλΧν. Οφιοβο'ρος, #, adj. quhdévore les ^ serpens. R. όφις, βορά. Oyioycvt}?, «oç, adj. ΟΡΠΙΟΟΕΪίΕ , nom de certains hommes gui rapport oient leur origine à un serpent transformé depuis en héros, et qui avoient la propriété d'être craints par les ^ serpents. R. οφι;, γίνος.

ΟψίόέιηχΊος , « , mordu par un , serpent. R. οφις, ίάχνω. O’ftottShi, «o;, qui a la forme d’un serpent. R. «Τ-ίος.

Ογιοας , ισσ* . t* , adj. mém. sign, qu οφιώ&ος.[Οφι3σσα, OPHItTSSE, nom que porta d* abord file de Üliodes — Ophictsse , nu jour-dit ni Formentcra—oPHirssF., herbe yui croit dans /’Ethiopie, et qui inspiroit à ceux qui en a voient mangé vne peur si grande des serpens qu'ils se ï donnoient la mort eux mrmes. 6φιοχ7ινη, V)Ç, Y) t OPHIOCTÈNE, espece de scolopendre qui tue % les serpens. R. xhivca.

Οφιομάχνις et οφιομάχος, v, OPHIO-jvtaque, c.àd. qui combat les serpens, surnom de Γ Jsis égyptienne et de f ichneumon.

Οφιομάχης, nom d'une espère de sauterelle qui n'a pas d'ailes. R. οφις, μάχομ«t.

Οφι&νιος, g, adj. de serpent. Ούρν>

^ οφιονιη , queue de serpent.

Ôf ctjoi;, οίος, qui a les pied* d'un serpent, c.àd. qui rampe.

( U. iroO;.

Οφ:ο'σχορίον , β, , nil sauvage— câprier, arbrisseau. Οφιος-άφυλον , «, το, couleuvrée ;

brioine à racine blanche. Οφίουρος, u, adj. qui a la queue d un serpent. R. οφις, ουρά. Οφιοΰσσα, V. οφιόιις.

Οφιονχης, eoç, et όφιουχο;, «* ο, le Serpentaire , constellation. R. οφις, ίχω.^

Οφ:οφά/ο;, «, ο, ΟΡΗΙΟΡΗΛΟΕ,

nom donné à des peuples d'L·-t/ι topic qui se nourrissaient de serpens. R. οφις, ψάγω.

OMS, co; ou twç, 6, serpent—

' anguille — bracelet—ophiase, maladie. V. οψίχσις.

Οφίτης /ι'όος , ορπιτε , marbre tacheté comme 1a peau d'un . àerpent.

όψιμης, ιος, adj. de serpent— qui a I* forme d’un serpent— pl«in de serpens.

Oflxé'jùy mJm. sign. çuïf\<ù.

ΟΦΡ

, V. οφλω.

Οφληρα, ατος, rb, amende ; peine —dette. R. οφλο».

Οφλησις, ιως, ιό. état de débiteur; t obligation de payer—dette.

Οφλισχάνω et οψΧίσχω, mrm. sign, qu οψλω. ΟφΛίσχάνιίν τ/jv Çvjutav , être condamné à une amende, une peine ; être mulcté. CkoÀirrxàvciv‘/ι/ωτα , être digne de r ^p, de moquerie; èlre ri-dieu te , apprêter à rire. Οφλι<r-χάνιιν «νοιαν , être regardé comme un fou par tout le monde.

Οφλοΐ, άϊν , οί, débiteurs.

Ογΐω, fut. οφλητω, pnrf. ωφίηχα, èlre condamné; être muicté ; être condamné à une amende.

[ ΟψΧων, condamné. ΩφΛν)χύς rijv Sixrw <?ιχαιως, J)èm. condamné justement. Τάλαντα Ssxct ωψΑτ,χξ'ναι , être condamne à payer dix talens. Δίχην θανάτου oi^Aetv t être condamne à mort. GcfAccv τόν itxriV cpvjfitjv , être condamné par défaut. c. à d. pour n'avoir pas comparu en justice au jour fixe. Δι'χην ào-y/ας ώγληχώς, Plut, condamné pour crime d’oisiveté. KiotuT,; evexa τά; ιύθννας οφλιιν , Esc h. être condamné pour crime de peculate// de concussion, pour infidélité dans le maniement des deniers publics. Λέίχως οφλων, injustement condamné, ΐίφλπν t ία ο ημοσίω t devoir une amende au trésor public; tant qu'on n avoit pas payé, on ètoit déchu du droit de citoyen. .

Οφλω, être accusé de; être taxé de; encourir le reproche —être coupable de; être redevable ; être débiteur; devoir. lIÀtxvjv αν ώφΧηχίπς ταρά-νοιαν ! Dem.-Ae. quelle folie on croiroit ijue vous êtes atteints! c. à d. on vous regar-deroit comme les plus insensés des hommes. Κιν^υνιύιτι ιτιχρο-τάτην ôyÀyJyat fWôrrjra, Phal. vous risquez de passer pour être extrêmement cruels. Ιΐφλη-χα αισχυνών , Dèm. je dois avoir bonté. [(5-fÂeiv yAwTa, m. sign. ^//οφλισχάνΐιν yr),wTa. l·', όφλισ-χάνω.

Οφνϊς, ‘^ος, υ> , charrue.

ΟΦΡΑ, conj. afin que. ΟφρχΓον,ς, aiiSi que vous voyiez, όφp\ «ττ«χ»τγ), aiin qu’il apprenne.

Oj>oa, jusf|u\> ce que. Oyoa με /xi/1 ναιτιον} i-njtXctjc', yio'-yv άνΐμόζ tî xai vcîfaa , Jlom. |Us-qii'h ce que le.s vents et 1rs (îots ιιΓυη^οιιΙ potiisé contre vo*

ΟΦΡ

fprrrs Ovpa ιτοτί , jnsqn*».

Οψη βτυτοΓο wotÎ ςομ& θεκΜ*—

■ ίοντος, Apol. jusqu’il l’cmbou-cViure du Themiodon.

Οφρα, tant que. Οφρ& ί’ μι τ' ΑχαιοΤσι ποΧίμιζον , ////λ». tant que je conibaltois aven les Grecs. όφρνα, αζ, et ίψρνν , vjç , ^, mém, sign, qu οψρνς. [ Οψρυα , ων , τχ, lieux situés sur les sommets des montagnes—baies.

Οψρνχζ», remuer le sourcil ; sourciller—hausser les sourcils avec fierté ; prendre ^irs de hnuteur ; agir avt*o hauteur. R. Ιψρνς.    .

Οφρυανασττασίΰν;ς, v, ό, qui hausse fièrement le s sourcils; superbe ; arrogant. R. άναοτ?ά*>.

Οφρυρω, être situe sur des monts sourcilleux ou sur des rochers sourcilleux ; être situé sur des hauteurs montagneuses.

Οψρνη , m. sign, ψ/οψρνχ. Οψρνπ ψάμμος, dans Iférod. d'autres Usent Ιφρυη ψάμμον, montagne . de sable.    %

Οψρνχνιηζος, tt, adj. qui se gratte les sourcils, c. à d. honteux; timide. R. Ιφρυς, χνά*».

Οφρυοπς εντός, adj. sourcilleux —montagneux; plein de collines et de rochers—situé sur des monts sourcilleux ou sur une montagne sourcilleuse ; situé sur des rochers on sur desror.hcrssourcilleux—élevé; qui domine sur toute la plaine.

Opjovôti;, orgueilleux—emphatique. R. οψρνς.

Οφρυοοραι, Ιψρυovuai, mcm. sign, qu hφρυάζω.

Οφρν&σχίο;, », adj. ombragé par les sourcils. R. σχία.

ΟΦΡΥΣ, υος, sourcil. Οφρ^ων χεφαΛ^, la partie des sourcils qui est du coté du ne*. Οφρυων evoa, la partie des sourcils qui est du côté des tempes. Tà; έφρυς cvvayctv, froncer les sour- ' cils; se renfrogner. οφρν; atpetv ou εσα'οπν ou Àvaacrâv , hausser les sourcils; prendre un air de fierté; avoir Pair

- hautain ; avoir une mine fière. Τίιφιλη cxppvsjv, air sombre ; air renfrogné ; 1111 front chargé d’ennuis, comme dit Racine dans Jphigcnie. .

Ορρυς, air hautain ; hauteur; fierté; gravité orgueilleuse— emphase ; pompe aifectée,dans le discours,

O-ipΟ; , sommet, hauteur; éiuineuce — bord escarpé ,

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OXE

d*une rivière, etc.; escnrpe— , ment.

Οφρνωίης, coç, ^’.semblable à des sourcih»; sourcilleux; élevé; prominent; saillant. H. typù*, ^ «Τίος.

Οχα, mcm. sign, ραϊξοχχ.

Οχ αν ον , », rfc, ethyx^, ης , 4 , poignée du bouclier, r. ~àr d. espece danse par laquelle on tenoit le bouclier dans le combat—bandoulière attachée au bouclier, laquelle servoit à porter le bouclier sur f épaule t —lien ; attache. R. Γχω.

Ρχιία,,ας,η, accouplement; coït. R. οχιυω. ·

ώχιΤα, ων, r3t, les mâles

Î|ti on emploie h couvrir des emelles, comme les étalons, les (aureaux appelés robins, etc. On trouve quelquefois le sing. οχ«Γον, comme dans Dinarque, «fvovvrou αου rfcv ΐττατον οχ«Γον , ilsm’acfiètent mon étalon. Γ ΟχίΓον signifie aussi voiture; char—lieu praticable pour les voitures.[cfxi?oç, », adj. qu’on élève comme étalon, comtnei % robin, ou comme belier,etc* ΟχΙομαι, pass. ί/’οχ/ω.

Ox«ojpt pour οχισι , dal. plur.

, ^οχ°;, char.

OxcTita, ας, 17, dérivation, terme dhydraulique ; détour qu'on fait prendre aux eaux—saignée faite à une rivière; conduite il eau d u^i lieu «t un autre ; conduit d’eau. [ όχ/τίνμα, ατος, xb9 canal de dérivation; aqueduc. [ Οχιτινω, fut. *υσω , laire un canal de dérivation ; dériver des eaux — tirer un canal ; faire une saignée à une r* viere. [ Οχιτίνω, aufig. conduire d un lieu dans un autre; détourner; transporter.

Οχιτγ)>ος, 5, o, qui dérive des eaux; qui fait un canal de dérivation. [ Οχ«τη/ος, au fig. conducteur ; conductrice.

[ νχιτηγία, ας, ^, dérivation —arrosement fait par des canaux de dérivation. [ 0χ(τη?<ω, dériver des eaux; arroser pur des canaux de dérivation. R. t ®Χιτ^5»

Οχίτιον, », «Λ, peiil ruisseau;

„ nlet d’eau.

Οχιτλον , h , το, mém. sign, que , οχ«Γον.

Qxiroxp&yov, g, τ^>, l’ouverture par laquelle l’eau entre dans un canal, dans un aqueduc^ ou dans un tuyau. R. οχιτ^ς,

ΟΧΚΤΟΣ, ί,,ο, conduit d’eau ;

OXE

canal de dérivation; canal; aqueduc — saignée, c. à d. rigole que f on fuit pour amener Γ eau dans une prairie, dans un jardin, etc.

Οχ«τΙ>ς, ruisseau; ru.

, ,0»·™?, égout ; cloaque. Οχιυομχι , pass. d'οχιυω Οχ«υμα, ατος, xb, semence — t coït. R. οχίυω.

>i»    vJoç,    i,    ce    qui

sert à retenir, à assujétir, à tenir en état, comme la bride du béguin dun enfant y etc.—lien : cordon; couiroie. ίμ%ς Ζς 0Γ va ανΟίρίωνο; c-χινς τ/τατο τρυ-φαλπης,^ Hom. la courroie qui attarhoit son armet par dessous le menton. ÔGt ζωηρός &Χ~[ζ xpyvciot σνντχον, à Ten-droit où fes agrafes d’or qui attachoient le baudrier se joi-noient. 0χ»υς irvlS» , barre de <*is avec, laquelle on barricade une porte. Απωσιν όχΤίας, Horn. il ôta les barres avec lesquelles Ja porte étoit barricadée. x Οχΐυς, scrotum. Οαχεον est plus usité dans ce sens.

Οχιντη, VÎ;, qui a reçu le mAle; qui a été couverte — femelle qu’on nourrit pour être couverte.

Οχιντ>)ς, », ô, le mâle qu’on emploie à couvrir des femelles, comme un étalon, un robin, etc.

[? Οχιντύς, quand on parle de l'homme, extrêmement lascif —un débauché. R. oytvtu.

Οχ»υτιχ*>ς, 5, adj. lascif/ jVl. R.

OXE^Q, fut. »νσω, couvrir — être couverte, en parlant des animaux qui s'accouplent.

[ OxtutaOôct, recevoir le mâle ; être couverte.

Oxt<ayfut. ησώ , porter—supporter ; soutenir, au propre et au fig. A την όχ«Γν , supporter un malheur.

Οχ/ω, neut. aller à cheval ; être porté sur.

Οχω* pour οχιυτιχως «χων, lascif.

Οχ/ομαι t. être porté sur un char—être porté, sur un cheval, sur un vaisseau, etc.—être traîné sur 0χ(ΤσΒχι Six τ7,ς άγοοας, défiler stir la place publique, en parlant des cavaliers qu*on passe en revue. E®’ IXratSi et itar èXtriotoy έρζίΓσόαι , Plat, et si ristoph. se flatter

d’un espoir. [ υ^Γσθα», être

Soutenu. £ui Tcyoç οχονρ/νη η

• γϋ; Grtg. sur quoi la terre est-elle soutenue? [ Οχ«ΐν0α»,

ΟΧΛ 7i9

Ifre monté par un cavalier_

être mené par un cavalier, en parlant a*un cheval R. ζχος, νχη* 9ϊς, η, nourriture: ali— , ment. R. Γχω.

oxije; , plur. ά'Ιχινς.

ΟχΥΜα,αη;, ri, voilure ; char· chariot. Οχτ,μα    voil

ture publique, voiture aue t L· fat fournis soit à ceux qui

voyageaient par ordre duprince. . H· «*««·

Ojftiei;, ίως, η, transport sur une voiture, sur un rhar—

I action d aller à cheval; éuui-m talion.    1

Οχθα , mém. sign. ^«’οχ0^.

***>> se fccber; s indigner — supporter avec peine—être oiFensé. [0χθγ)<τ<ς, «ως, η, indignation—peine ; déplaisir.    '

ΟΧΘΠ, ης, ^ et οχ0ος, β, δ, bord escarpé d un fleuve; nve* rivage—parapet d’un fossé— tertre ; monticule;butte; colline; éminence.

Οχθη, travail.

Οχθο*, lèvres d une plaie ,

# dures «t relevées.    ,

ΟχΟηρ'ος, 5, adj. montagneux:

„ eleve ; montant. R.

Οχ#η<πς, V, οχθ/».    .    *

Οχ0ί£ω, mêm. sign,

H> ** frange ; bor-

Voy. ξχΟη.

Οχθωβος, mêm. Sign. 9αΖχΒ*<ζος. Οχθω^ης, f0Çj adj. inontagneu*

—raboteux —noueux —qui a f des protubérances. R. οχθη. Οχλαywylv, amasser le peuple, attrouper—soulever le peuplr.

Γ ΟχΧαγωγΙς , » , è , qui amasse le peuple, et autres sens du verte; démagogue,

*, τδ , rassemblement; attroupement; soulèvement; émeute.

R. όχλος, ά/ω.

Οχ>ιΖμχι, Ion. pour Ιχ\2μ<χι, pass. αοχΧιο).

Οχλίνς , cwç, ο, levier—penture ; gond—barre—verrou— lien—-char. R. έχλινω.

ÔXAETû , fut. ίυςχί, mouvoir * remuer.    v’

Οχ γ» ^ fut. ησω, remuer ; troubler , agiter. [ Οχλοΰα*{ et οχλίν^α*, Ion. être troubÎé, etc.

ΟχΧονμάη , chemin fréquenté par la multitude.

Οχλώ, tourmenter; incommoder ; importuner. [ όχλού-$ être tourmente , etc.

Οχλω, neut. souffrir; res-

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720 OXA .

sentir de la peine—être indisposé ; être malade- , Οχληρός, », adj. piein de troubles ; tumultueux ; turbulent, όχλορος , importun ; fati-ant: incommode; ennuyeux; éplaisant; qui esta charge, όχλήρος, qui suscite dvs embarras , des traverses ; qui tourmente; qui persécute; qui vexe. Τέ έχληρέν , importunité ; traverse ; contrariété ; embarras ; persécution. R. όχλος, δχλησις, ιος, η, trouble; tumulte —peine; v«*xalion; traverse; contrariété ; embarras: importunité; persécution. R. όχλος, όχλιζω , pousser avec un lévicr —remuer ; mouvoir de place. Οχλιχος, », adj. populaire—de pl. mêm. SÎgn. ^’οχληρος. Οχλοχοσίω, exciter le peuple ; agiter la multitude ; soulever le peuple. [ Οχλοχο«τος, «, ό, qui excite le peuple, et autres sens du verbe. [ όχλοχοσία,ας, η , l’action d'exciter le peuple, d’agiter la multitude, etc. R.

οχ)ος, χό-σίω.

Οχλοχοτπτ/ω a aussi la me me sign. que ίημοχοσιω , et όχλο-χοΈτία, ας, η, 1& mcme sign. que ίημοχο-σια.

Οχλοχρατιομαι, -ουμαι, vivre sous l’ochlocratie ; être gouverne par le bas peuple ; être régi par la multitude. R. όχλος, xpaτ«ω.

Οχλοτσοιιω, mèm. sign. qu’οχλα-' γωγίω. R. όχλος , îtouci)·

ΟΧΛΟΣ, », ç, foule; peuple; multitude. Ot οχλοι * pour b έχλος, la multitude ; le peuple ; le vulgaire. Kpivtt άμιινον βχλος -ιτολλα η ιΓς ος-ισουν , Arist. dans beaucoup d’affaires le peuple juge mieux que qui que ce soit.

Οχλος, grand nombre Οχλος <rc?v veuv, un grand nombre de vaisseaux. Οχλος πραγμάτων, une foule d’affaires.

όχλος, peine; embarras; traverse; contrariété; importu-jiité—ennui. At’ οχλου itvat ou yivtcBat, faire delà peine; susciter des embarras, des traverse*— ennuyer ; fatiguer. ^ Δι’ οχλου ti ναι signifie aussi quelquefois être dans la bouche de tout le monde.

At* οχλον ττοιίίσθαι, prendre du dégoût pour une chose ; dédaigner; mépriser; être ennuyé de.    e

Ογλοτιρ«τ/)ς, ιος, adj. qui plaît à la multitude. R. όχλος, τιρσω. Οχλουμαι, Vι οχ*eta.

ΟΨΑ

όχλώίης, «ος, adj. plein de troubles; agité—tumultueux ; orageux. [ Οχλ*ί<ΐης , qui est d’une humour chagrine , d’une humeur inquiète; nui est d’humeur fâcheuse , cl’un caractère morose; importun; incommode ; gênant. Tb έχλω-ίες, trouble, agitation, tumulte—morosité ; humeur fà-cheuse ; humeur inquiète; ennui , dégoût—fném. sign, que το όχ λήρον, V. οχληρος.

Οχμα , mcm. sign, quïyjx*.

Οχμά,ω , fut. οίσω, retenir —presser ; serrer — porter ; soutenir ; servir d’appui. R. ?χω.

όχνη, mêm. sign, ^ζ/ογχνη.

Οχονα, dans Hèrod., lisez οχανα. ΟΧΟΣ, », ο, qui peut contenir ; qui sert à contenir. Ου yàty ισαν λιμινις νηων οχοΐ, Horn, il n y avoit point de ports qui pussent recevoir les vaisseaux.

Οχος, ce qui sert à retenir ; lien; corde; attache. [Οχος, roue. R. Γχω.

ό^ος, »,yô, char; voiture ;

, chariot. [ Οχος, «ος, το, mèm.

, sign.    ^    ,

Οχυρο'ομαι, mêm. sign, qu έχυράοτ μαι, pass, έ/’ιχυρόω. Il a quelquefois un sem actifs et signifie munir; fortifier.

Οχυρόττατος, », o, lieu fortifié pn^la nature. R. οχυρος, πα-t£t d. lieu par lequel on peut passer en toute sûreté. Οχνρος, », adj* mèm, sign, que , * f 4 . Οχνρότης, tjToç, y, mcm. sign.

^ζ/ίχυρότης.    ^

Οχυρόω , fut. ώατω, mem· sign.

qu Ιχνροω.

Οχύρωμα , ατος, τέ , mem. sign. ^&’ιχυρωμα—de pl., fort ; forteresse ; château ; château-fort; lieu où il y a garnison—garnison—appui ; soutien.

Οχυρως , mèm. sign, ^/ιχυρως.

ΟΨ, &τ»ές, η, voix—chant—présage; augure.

Οψ , Ceil. R. οσϊομαι. όψαμάτης, », ό, qui moissonne tard. R. οψΐ,άμάω.^

Οψανθης, «ος, qui fleurit tard. R. άνθος.

Οψανον , », τέ , vue—visage; face —voix.

όψοίομαι, ωααι , manger quelque chose avec son pain. R. οψον. Ofa'ptov , », xb , diminut. d'opov. y. oyov.

όψχοιον , petit poisson ;■ poisson.

ΟΨΙ

Οψαρντης, » , è, qui laboure tard ; qui laboure trop tard. R. οψ« ,

άρ eu.    '

Οψαρτυσία, ας, η, Tart d'apprêter les viandes; l’art de faire ' la cuisine. R. οψον , άοτνω. Οψαρτντης, », o, qui apprête les mets ; cuisinier.

Οψαρτυτιχές, », adj. qui a rapport à l’art d’apprêter les viandes, à l’art de faire la cuisine; qui a rapport à la cuisine ou au cuisinier. O|otp-rjrt-χαϊ γλωσσαι, mots dont^se servent les cuisiniers. Οψαρτν— xixbv βιζΧίον, livre qui traite de fart d’apprêter les viandes. Το οψαρτντιχον et τα οψαρτντιχά, mêm. sign. [ Οψαρτυτιχη, l art d’apprêter les viandes ; l’arl de faire la cuisine.

Ογαρτνω, apprêter le? viandes;

apprêter les mets. M. R.

ΟΨΕ , adv. tard; long-temps après ; après bien du temp* ; à la fin~après. θψ« τνίς ώρας, long-temps après l’heure marquée; long - temps après le temps marqué. O^t tvî; r,^:xtoc* y sur le déclin de 1 âge. Οψ« τϊ,ί ημιρας, sur la fin du jour; sur le soir. Ες έψι, mêm. sign. Οψ* àqf, è\jtc ποχe, à la fin ; entin; avec bien de la peine, όψι, trop tard, όψιακ, Ion. et δψιι, Att. pour οψη, tu verras. R. cmlofxat. όψπω, avoir t*nvie de voir—désirer. R. οσΤομαι.

Οψιω, fut. ησω, tarder ; être ^ lent ; être tardif. R. iφι. όψημα, ατος, τέ, ce qu’on mange avec le pain ; mets—viande ; bonne cnère, c. à d. chair d’animaux terrestres ou aquatiques. R. οψον. όψΐ, ta\rd. Il ne s'emploie quen composition, comme όψιανθης , ιος, adj. qui fleurit tard.

Ô^ta, Vι οψιος.

Οψιαιτατα, adv. d*b^tatxaxoç 9 y.

' oyioç.

d*]/tatTtp05 et Ιψιαιτατος, V. οψιος. Οψίανθης, ιος, adj. qui fleurit tard. R. όψΐ , άνθος, όψιβλας-ιω, pousser tard , c. è d. pousser après que les autres arbres ou après que les autres plantes ont poussé ; par opposition h 'npoïQoçavttv, pousser avant lesaulrcsarbresoeravaut les autres plantes.

όψιβλα^ης »    > adj. et t-

βλχς-ος, », adj. qui pousse tnrd. R. β).α.ςάηα.

Οψιγαμιον, », το , mariage fait après l’âge fixé par.la loi. όψι-

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ΟΨΙ

SUvi, poursuite juridique contre celui qui s’étoit mariée après l'âge fixé par la loi , dans la République de Lacé■*· dèrnone, ou il γ a foil des peines établies contre ceux qui se mari oient après t âge fixé par % la loi.. R. ύψί, 7»αος.

^ψίγαμος, », i et ή * qui s'est marié lard : qui s’est mariée tard.

.M- R. ^

Οψιγεν^ς, /ος, adj. né tard. R.

,    · γείνομαι.

<)^tyovtov, »f , la postérité, όψι/όνος, ». adj. né tard. [όψί-yovec , les descendons. Το οψ«-, yovov , la postérité. R. γόνος, όψιε'ς'αχος et οψιε'ςερος pour οψιο-^ χαχος et άψιότιρος , V". οψιο; όψίζω % fut. ίσ», faire une chose tard on tardivement ; faire une chose le soir ; tarder. Καίπεο μ&Χα οψίζων, Xen. quoiqu’il arrivât beaucoup tfop tard. Ου ττροσίεσαν τ«ς όψίζοντας,Xcn. iis n’admirent pas c ut qui arrivoient trop tard. [ OjaÇo-p-at a la mrm. sign, qtiοψίζω, ft signifie de plus, faire une rhose après que le temps de la faire est passé; être en retard. R. οψ/. rôftxapwïM, produire des fruits tardifs, [Οψιχαρ-σία,ας,η, Ρ,ΓΟ" durtion de fruits tardifs. [ Οψί-χαρ-σος»», adj dont les fruits sont tardKs. R. χαρ-σός. όψίκΑίυθος, μ ," ο cl η, qui voyage le soir—qui arrive le soir ; emi voyage ou qui arrive tard. R. xc)îv$©ç.

<Ϊψιμαθης, «oç, adj. qui a commencé tard à apprendre ; qui n’a appris que dans un âge avancé—peu instruit ; peu lettré. Οψιμαθές τοντων, qui n*a appris ces choses que dans un âge avancé. [ΟψιμάΟπα, ας, et Ιψιμαθία, ας, instruction acquise dans un âge avancé;

• instruction tardive, [οψιμαθιω, commencer tard à apprendre ; apprendre dans un âge avancé. [ Οψιιχαθτίσα;, n’ayant acquis de l'instruction que dans un âèe avancé ; n’ayant appris que dans un âge avance. R.

μανθάνω· όμορος, », adj. qui meurt le -soir—qui meurt lard. Ιΐ.μόρος. Όψιμος, », adj. du soir; qui arrive ou qui se fait le soir— tardif; qui vient tard. Tstov Ίτροϊριον χαϊ οψιμον, la pluie du matin et du soir.

Ο'Ιιος, », ( compar οψιεςίρος #/ i'fiaiTtpeç, supgrl* έψι/ςοςτος,

0Ψ0

δψιαίτβτος et Ιψιόχαχος) , lard ; tardif—du soir; qui se fait le soir—qui fait une chose le soir.

Γ όψιαίτατα , adv. très-avant dans la soirée; très-avant dans

•    la nuit—tres-tard ; d’uue manière fort tardive. Γ όψία , ας, η, sous-eut. <2>ρα, le soir, la soirée.

Οψ»α διιΧη , le soir. Δ(ίλης Ιψίχς, sur le soir; dans la

soirée.

Οψινο'ος, », adj. qui commence tard à être sage; dont la sagesse est tardive. R. οψε, νόος.

Οψιοτη; f ητος, η, retard, retardement—tardivet é, en terme de jardinage. R. οψιος.

0ψίπΧ*χος, », adj. qui n’est devenu riche que fort tard. R.

^ *ττλ»τος

Οΐις, «ως, η, Taction de voir; la vue. Εις ίψιν îivat, être vu. Év οψπ, sous les yeux;^ la vue de.fO^fecç. les yeux. Αμφόχερας

•    αταοζεζΧηχάς ±ας οψιις , Plut. ayant perdu les deux yeux.

θψ»ς, aspect ; face ; mine— apparence ; figure. Hv ic xai την οψιν φοβιρτότατος, Hérod. son aspect^ même inspiroit la terreur. Οψιως cvtxa, pour la montre ; pour la forme ; en apparence.

Οψις, spectacle, rf μεγαΐνρ— γηθεΤσa οψις, Phil, la magnificence du spectacle.

(ψς, vision ; apparition; ce qu'on voit dans un songe. Οψιν cî£tv Αλέξανδρος xaxk xhç νσνβς, Plut. Alexandre eut eu songe une vision.

dvftç, masque de théâtre , qui imitait parfaitement la figure de celui que les poètes comiques traduisoient sur le théâtre—personnage de théâtre— imitation exacte sur le théâtre de ce qui se passe dans ^ la société^ R. οπΊομαι.

Οψισρά?, «, ô, retard, retardement ; lenteur. R.

Οψ(?Γ7ορ/ω y fut. ησω, semer tard. [ Ογίστίτορος , », adj. que l’on seme tard—qui doit être semé tard R. Ιψ} , σπείρω.

οψιτΛίς-ος , », adj· achevé tard

— qui s’accomplira tard. R.

•    ,    * τίλ/ω.

Οψίτορο;, », adj. coupé tàrd ; taillé tard—que Ton a coutume de tailler tard R. τίμνω.

Οψιψανές, ιος, adj. qui riaroit le soir—qui paroit tard. n. φαίνω.

Οψόβαιρον , », το , vase où Ton met des mets liquides, des sauces. R. ityov, βά-αΊω.

t ΟΨΟ 72*

Ο$ο£αί£αϊος, », ό, habile cuisi· '

#    nier. R. οψον, <?αιί<χλοω. Οψοίίία, ας, η, le manque d·

mets , de viande , lorsqu'on mange sonpuin sec. R. $ίω. d^cAoyia, ας, vj, traité sur Tart

*    de la cuisine , traité sur Tart d’apprèter les poissons délicats. { Οψολο/ος, », o, celui qui dans un ouvrage traite de Tart de la cuisine ou de Tart d’apprêter les poissons déli—

t cats. R. ê\J/ov f Χεγω.

Οψομανές, ιος , adj. qui aim· passionnément la bonne chère ou les poissons délicats. RfcJ m Sipov , μαίνομαι.

ΟΨΟΝ, »,τ^, ce (]uvon mange» avec son pain ; viande; mets ; bonne chere, c. à d. chair d’animaux terrestres et aqua-titjues.    ·

Οψον, poisson ; poisson délicat.

Οψον, assaisonnement, ai* propre et au fig.

Οψα , comestibles cuits — poissons de mer.

(î^ev, le marché d*Athènes où 1 on vendoit des comesti-·

% bles.

όψονομεω, mêm. sign. qu'h\t*vιω. Οψονόμος, » ô , 0PS0N0ME, nom

■ des magistrats athéniens charges de réprimer le taxe des ^ tables. R. £ψον , νεμω. Οψο-σοι/ω,fut. ησω, apprêter 1er mets ; assaisonner les viandes; [ O^omot/ojxat, mêm. sign« R· οψον , ποκω.

Οψοσοιητιχ^ , i?, adj. quia rapport au cuisinier ou à fa cuisine; qui a rapport à Tart d’apprêter les viandes—dont on se sert pour ’’apprêt ou. l’assaisonne ment des viandes.'

ίΟψοισοιηπχ^ς, habile cuisinier. (5ψο«Γοιητιχί*, sovs-ent. τ/χνη ou επιςήμη, Tart de la cuisine ; Tart d’apprêter les mets, [όψο-ΈτοΓόΛς, «, adj. qui concerne Tart de la cuisine—dont on sa sert à la cuisine. [ ÔfotarbtVxrj , m^m. sign, ^ζ/’όψοσοιητιχη. ΟψοσοΛς, », o, qui af>préte lea mets; cuisinier. F(>fot»pvoç, », ot mrm. sign R. πόνος. Οψοΐτώλη;, β, ô, qui vend des mets, des coroe\!;bles, de» friandises. [θψ;*τωλ<ς, ιίβς,η, frm. */’οψο«τωλ/κ. [ ΟψοπωΧιον 9 is, xb , el ΙψοποΧία, <χς, η , lieu où JVm vend des mets, des viandes, des comestibles · marché; halle—maison d’urç traiteur. R. Ιψον. ττωλί». 0}ο;, b, médtani ; pervers.

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ΟΨΩ

[ οψοφόρος, avec un nom de Ι chose inanimée y qui sert à I porter des mets, à porter des > viandes, h porter la bonne chère. R. tyov ,. φ/ρα. οψών, ωνος, O, endroit où l'on serre des mets, des viandes;: garde - manger — panier de pourvoyeur ; panier dans lequel on porte des viandes ; nier dans lequel on porté bonne chère—cantine. ΰψων/«, faire la provision des viandes; acheter la bonne' chère. [ όψώνης, », 4, qui fait la provision des viandes, etc. ; pourvoyeur; maître d’hôtel, όψωνητιχ^ς, S, adj. qui achète les provisions de viande, etc., mèm. sign. ^’δψώνης. [ όψωνη-thoç, qui s’entend & acheter les provisions de viande, à acheter la bonne chère;habiIo

ΠΑΓ

v

ΟΩΡ

pourvoyeur; bon maître cTLd-

*

Ofe»/a, «;.ηι achat de viandes ; achat de la bonne chère—char· ge^de pourvoyeur; de maulre

όψωνιά^ω, K Ιψφ ttov.

Οψώνιον, m, tfe > ce ou’on mange avec le pain, mem. sign. çae οψβν.    .

όψών ιον ) t, tV , signifie plu* souvent la ration qu’on a ou noil chaque mois aux soldats ; I V;-tape ; vivres — paie ; solde Γ όψωνιάζω, donner la ration ; fournir les vivres; donner la solde — nourrir ; entretenir. [ Οψωνιοίζομαι, recevoir la ration ; recevoir la solde. [ όψ*τ-νιασιώς, «, ô, ration; livres—* f solde.

Οωρων , mém. sign. çue yvvauxwv j des femmes.

ΠΑΓ

722 ΟΨΟ

ϋψοφα>*ω t aimer extrêmement ta bonne chère; être très-gourmand—être un grand mangeur de poissons.

Οψοφάγος, « , £ , qui aime extrêmement la bonne chère —qui a grand appétit; très-gourmandgrand mangeur de poissons, particulièrement de ceux tftt on regardoit comme les plus délicats entre les poissons de mer appelés ·ψα.

όψοψαγία, ας, ύ, amour extrême de la boune chère — grand appétit—amour extrême des poissons—avidité en mangeant; gourmandise. R. ίψον,

φάγω.

όψοφιλια, ας, η, amour de la bonne chère. R. «ριλ/ω.

όψοφόρος, s t 4 , qui porte des mets ; qui porte des viandes ; qui porte la bonnç chère.