Μ , Μΰ, «douzième lettre! de l’alphabèt grec, se prononce comme le m français. Prise numériquement , elle manque quarante; mais avec un accent au-dessous et à gauche, elle vaut quarante mille .Voyez le tableau de la combinaison des nombres , à la suite de ce'Diclionnaire.

. Μα, particule négàtrpe apec serment· Ma Αία, non.par Jupiter —non certainement. Ον ρλ ' Δία, mém. sign·    .

Mà est quelquefois qffirmatif Μα Αία, par Jupiter Ναΐ pà / σχη-σϊρο», Hom. //. a, oui,

~ j’en jure par ce sceptre. iMotyaitw*»* t    * pincer les

cordes d’une harpe ou d un ’luth; tirer des sons harmonieux d’un, instrument de ,«nuMque à cordes. ^ ^    ^

Μαγάίιον, 5, Λ, diminutif de ρα'/οίς.    #

-ΜΑΓΑΣ, άίος, η, la partie d’un luth ou d’une harpe, #itr laquelle les cordes sonUeedues. IÇay/avcta, ας* f)9 mém· sign, que payfavevpa.

May/avcvpa, ατος,τ&, V. pay/avov. Mayfavivr/j?, S, ô, qui emploie des vénéfices — qui usé de rédiges, d'encliantemens, ’artifices. pfAlT/VNON , « , ,-Λ, 'rënéfice

_prestige ; enchantement ;

plia nue; magie, au fit.—vAt-tilité; adresse ; tour de passe-p3sse—opération qui tient du prestige—illusion opérée par quelque artifice. Aiwapaî τρα-

niXTit xai T* paytip^v payfavcy-

ματα, saint Grég. les tables sjiiciidides et la mervedleu*

ΜΑΓ

industrie des cuisiniers. Γ Moty-Γανον, le verrou ou la barre d’une porte. [Mayfaviv», faire ilhvion par des prestiges; user d'enchantement. [Mayfocvivpa, ατος,    ,    vénéfice—prestiges

—artifice—déguisement artificieux.

Μα?<?α).ια, ας, η, mie de pain ou pâte_ avec laquelle on se net- i

• toyoit les mains après diner, et

Îu onjetoit ensuite aux chiens. I. ρασσω.

Maynct, ας, η, MAGix; art magique—sortilège—vénéfice. R.

payoç.    ^

Mayica , la religion des mages; le culte de Dieu, chez les Perses·

MayttpcTov, ·, τ^>, cuisine. R. piynpoç.

Mayctpcvw, être cuisinier; faire la cuisine.

MayctpcxV, 5, adj· qui concerne le cuisinier ou la cuisine. M«-ynptxài σχ«υη, ustensiles de cuisine. Mayf (£ΐχη, SOUS-ent. τ/χνη, l'art du cuisinier.

MayccptoxÎrç, F"· payitpoç.

ΜΑΓΕΙΡΟΣ, Ô, cuisiniçr. [Ma-γκρισχος, «, petit cuisinier. [ M*yt«picr<?a, ης, η, cuisinière.

Matycvpa , ατος , το , opération magique ; illusion produite par l'effet de la magie ; enchantement; sortilège—prestige. R. payiva».

Maycvç, /ος, Ion· -t}eç, ô , qui pétrit la farine. R. ράσσα.

Maytvttt/îr/. evro, être magicien; exerc'er la magie—opérer dçs prestiges. R. ραγος.

Maycx^ç, i9 adj. MAOIQri.

Μα/Ις, tio;, huche où l’on pé

ΜΛΔ

trit la farine—^baignoire—plat —bassin de balance *R. ριοίσσ». MayjuLa , ατος, rfc, le marc ; la lie d un onguent ; ce qui reste après {’expression des parties les plus fluides. R.pàvou. ΜΑΓΝΗΣ , ητος, ô , aimant, pierre qui attire le fer. [Μά/ν^ς, Magnésien , nom dun ancien peuple de t Asie mineure. [ Ma· γνήσια,ας,η,Magnésie, pille.

Μάρνης , nom d un certain coup de dès·

MÀ'roS, «, ό, mags. Les mages etoient chez les Perses ce que-toient les philosophe* chez les Grecs, apec cette difference que les mages étoient ministres de l'a religion.

Comme les mages étoient sapans dans fart magique, pxyoç se prend aussi adjectivement pottr magicien—qui use de prestige*—qui emploie les sortilèges.

Mayo^ovfa , ας, η, massacre des mages, fete annuelle que les Perses cèle broient en mémoire du jour où Γon avoit massacre les mages qui s'étoient emparés de la souperainetè. R·

μάγος, φόνος·

ΜΑΓΥΔΑΡΙΣ, ιος, η, racine du laserpitium—graine du laser-pi lium, d un arbre qui fournit la gomme aromatique, appelée benjoin.

Μα/φ£η, ~4ς, η, danse efféminée. Maycp£oç, i, o, comédien; bouffon. R. μάγος, άιίίω· Maiay/vctoç, «, ο, qui n’a pas beaucoup de barbe. R. ραίος, yivetov.

Μα<ίαλλ«, épiler.

Μαίβφος, i, adj. cliauve—qui n’a

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ΜΑΘ

pas de poils. [ Μαίαρότης, ιοτβς, v> , cnauveté — manque de poils—chute de poils. [Μαίά-ρω*ις, ιως, η, mêm. sign.

Μαία», -6ΐ,' fut. τήσω, êtr e chauve ; n'avoir point de poils—act. rendre cnauve.

Μαίαβ . être humide ou mouillé. R. μαίος.

Μά££α , Dor. pour μάζα.

Μα<ϊν)?ι^ΐν€(ος, »,    J#».

fiaiaytvdoç.

Μαίιζω, épiler—tf/zj/.êtrerhauve —n’avoir pas de poils. [Μάίι-σις, c®»;, », chauveté—chute des poils.

Μαίκρίριον, v, -Λ, instrument pour épiler— pincctte^/y ten et te de chirurgien — médicament qui fuit tomber les poils; dépi l.i toi re.

ΜΑΔΟΣ, g, ô, chauve; sans poils.

Maie;, ιος, xb9 médicament qui (ait tomber les poils, qui rend chauve.

MifZA, uçf », galette; gâteau— biscuit de mer.

Μαζάω, faire des galettes, des gâteaux.

Μά^ινος, », ων, fait d* gâteau.

Μάριον , v , xb , Μαζϊσχγ), »ς, »,

petite galette ; petit gâteau.

ΜαζονομιΓον , -νόμιον, v, grand

Î>lat dans lequel on apportoit es galettes <?* les gâteaux, pour les distribuer aux convives—grand plat. R. μαζα,

νιμω.

Μαζοσιβχΐης, », i, qui fait cuire les galettes, les gâteaux; pâ-lissier.

ΜΛΖΟΣ, S, o, mamelle—nourrice.

Μάθα;, Dor. pour μαΟ»σιως, gèn. de μάθησις.

Μάθι , μάθοιμι, 5, €*v, ων , 4ντος , aor. 3 , f''. μανθάνω.

Μ&Θινμαι , Dor. pour μαθονμαι , ///. a de μανθάνω.

Μάθημα, ατος, Λ. ce qu*on apprend ; objet a’étude—instruction—leçon.

Μαθήματα, les MATHEMATIQUES. R. μανθάνω.

Μα9ηματιχο;, fcv, qui concerne l'instruction.

Μαθηματιχ^ς, désireux d’apprendre— susceptible d’instruction.

Μαθηματιχΐις, qm concerne les mathématiques. [ Μαθ»μοι-rixhc, mathématicien; habile dans l*s mathématiques. [ Mei-θηματιχως, à la manière des mathématiciens.

ϋαθησίοιι, Ion. pour μάθησή.

MAI

Μαβησομαι, rrai, fut. I wtoy. de μανθάνω.

Μάθ»σ«ς , l’action d'àpprendre , de s'instruire—instruction.

Μαθ»τιία, ας, η . leçon qu'on donne k an disciple—instruction.

Μαθητ/ον , il faut apprendre.

ΜαΟητιν», fut. ινοτω, être disci pie; apprendre— enseigner. [ Μαθητής, S, i, disciple.

Μαθ»τιάω, avoir envie d'apprendre, de s’instruire.

Μαθητές, S, adj. que Ton peut apprendre.

Μαθήτρια , ας , μαθητρις , (Soç , », écolière.

ΜαθοΓσα pour μαθονσα, de μαθων.

ΜαθυΓα , ας , » , mâchoire.

Μαθων , έντος , part. aor. a de μανθάνω.

ΜΑΓΑ , ας, Ιοη. » , »ς , £ , sace-femme — nourrice — grand* -mère.

Μαία ètoit aussi un terme de politesse respectueuse' envers les femmes âgées, comme nous disons en françois , ma bonne mère.

ΜαΓα, Mai A, mère de Mercure.

ΜΑΙΑΝΔΡΟΣ, », S, MÉANDRE, fleuve de Phrygie, dont le cours est très-sinueux.

Μαίανδρος, entrelacement de la broderie—peinture on gravure faite en lignes qui serpentent , en 'lignes spirales , comme des colonnes torses , etc.

Μοιιλς, à&oç, aïenle—nourrice.

Mouicoc, ας, h9 et μαίιυσις, «ως, », état de sage-femme.

Μαίινμα, μαιβντιχΐ>ς, V. μαιινω,

Μαιιντρια, ας, », sage-femme.

, [ Μαιιντριχως, adp. à la manière -des sages-femmes.

Μαιινω , fut. ιυο-ω, et plus souvent μαιινομαι, être sage-femme — accoucher une femme. [Mat'sv-μα, ατος, xb9 fruit d’une femme y enfant nouveau-né ; un enfant fraîchement sorti du sein de sa mère. [ Matev-τιχ^ς, 5, adj. qui concerne l'état de sage-femme. Mauv-Ttx-rj >wi), une bonne sage-femme ; une habile accoucheuse. rf μαιιυτιχύ , sous-entendu t/χνη , l'art ^accouche· une femme.'

Μαιμάχ7»ς, «, ό, furieux: impé-tueux—-doux ; bienveillant — qui purifie. R. μαιμάω.

Μαιμαχ7»ριων, KÉMACTÉRiONj cinquième mois de Vannée alhè-nienne9 qui revenait à notre mois de janvier. [ Μαιμβχ7ήρι«, w,xa> sacrifices que ton of-

MAK 6o3

froit à Jupiter dit μαιμάχ7»)ς, pour détourner les pluigs trop abondantes. R. μάω.

ΜαΓμαξ , furieux ; impétueux ; turbulent.

Μοςιμάσσω, fut. άξω, mém, sign, que μαιμάω.

Μαιμάω , délirer ardemment ; être avide de—être entraîné par un mouvement impétueux; se précipiter avec fureur.

Μαιμω?σω , μαιμωω , mém. sign.

Mat v ας, άίος, η9 furieuse—Mi-nadk ; bacchante. R. μαίνομαι.

ΜαΓνη, ης, μαινίς, (ioç, ή, anchois , poisson.    '

Matv&Yj; » » , β, μα»»^Χτος , «, adj. saisi de la plus grande fureur —activ. qui met en fureur. R. μαΓνοναι , όλος.

MAÎNOHAl, fut. μαινουμαι, aor.

i moy. ιμηνάμην , parf. moy. μιμηνα , être saisi de fureur— êti*e foil, insensé. [Μαιν^μινος, furieux—fou , insensé — qui met en fureur.

Μαιομαι, désirer—se porter vers (juelque chose avec une ardeur impétueuse—chercher, h. μάω.

Μαιοομαι, -ονμαι, être sage-femme —accoucher une femme. R.

μαία.

Μαιωσις, ιως, y, office de sage-femme.

MAI Pii, luire, briller, d9où μαρμαίρω , par redoublement.

Motto>j inspirer de l'ardeur; exciter ; animer. *

Μαιωτιχος, S, adj. mém, sign, que μοηενηχός.

Μαιωτρα, ων, xb, honoraires de* ,la sage-femme;

Μάχαιρος, », adj. heureux ; fortuné. R. μάχθγ*    '

ΜΑ'κλΡ, «ρος, ο, ή y rV, heureux, fortuné; qui vit au sein du bonheur.    |

Μάχαρις, les dieux—les bienheureux, ceux qui après leur mort ètoient admis dans les Champs-Elysées ou dans le Ciel.

Moxapca, «ς 9v>, séjour de la félicité ; séjour des bienheureux » après leur mort ; Champs-Elysées.

Μακαρίζω* fut. ίσω y estimer heureux. [ Μαχαριζομαι, être regardé comme heureux.

Μαχαριος, «, adj % heureux. Ω μα-xaptt χης ιντσίκιίιίας, heureux père ! R. μάχαφ.    _

Μάχαριος, unr homme qui vient de mourir; celui qu’o» ensevelît.    ,

Μαχαρι^τνις , νιτος ? », féiiât«! j boahiiui.

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6o4 MAK

Μαχβφισ/Ας , 5, ô, l'action d’es-timcr heureux, de ranter le bonheur de quelqu'un. a

Maxaptçoç, », b, celui qui est regardé comme heureux; dont on vante le bonheur. Tfc μα-xapiçbv, félicité ; bonheur.

Μακαρίτης, e, ô, un homme heureux. [Μαχβρίτα», le» heureux, ceux qui sont morts. [ Maxo^i-rtçt ιαος9 η, une femme heureuse— femme qui après sa mort est au séjour des bien-^ heureux.

Maxapiw, fut, Att. de μαχαριζω.

Μακαρίως, adv, de μαχχριβς, au sein du bonheur; heureusement.    ^

Μάχαρς, άρτος , ad/, heureux.

ÎMo(χαρτ(ρος, plus heureux. Μαχάρτατος, très-heureux.

Μαχοφτ^ς, », adj. heureux—opulent.

Μαχίοαν^ς, Dor. pour μηχείανός*.

Motxc^o>y , όνος, o, Macédonien.

[ MaxcÆovia , ot;, η , la MaCÉ-dojne. [ Μαχ<£ονιχά>ς, à là manière des Macédoniens. [ M«-xtSoviç), adv. en langage macédonien. [ Μαχκίονίζω, êlre du parti des Macédoniens.

ΜβχΑη , tj ς, VI, et μάχιλλα, ης, η , houe; pioche ; hoyau. R.xiUt».

Μαχισίχρανο^^», ό, Dor, pour μηχ(<7(χρανος, qui a une longue crètc.

Μαχισιχρανος, subst, hupe , oiseau, R. p/Ϊχος, χράνον.

Max«cÀp, ^poç, trait.

Μαχιςηο, adj. long.

Μάχιμος, Dor, pour p^xtçoç,

MAKKOAN, être fou; radoter faire le badin. R. ph, xot~v.

Μαχος, Dor, pour μ%χος.

Μαχρα, adv. longuement ; pro-lixement. R. μοαρός.

Wotxpk pour μξγαΧως, MaxpSc βιβωντα , Horn, marchant à gmnds pas.

Maxpàt, ων, vfc, puits; lacs profonds.

Μαχ£α£ρο*ωτατ·ς, qui court très-loin. R. poutpbç, δρόμος,

Μαχραίων, wvoç, et jiaxptvttoç , », adj, qui vit ou qui a vécu longtemps ; vieux ; qui dure longtemps; qui brave les années; qui est à l’épreuve du temps, n. μαχρΐ>{, αιών, Γτος.

Μαχρχν, adv, loin. [Maxpkv, pour long-temps. Ούχ «ις μαχρ^ν, peu de temps après—bientôt. V. μαχρός.

Μαχρανχην, «νος , qui a le cou long—long; haut. R. ανχην.

MotxptT'toç, », η, mêm, sign, çue jj.a*f>ouoiv. R· fto^t

MAK

ΜαχρηγοριΤν, parler longuement ; être prolixe , être verbeux. R, àypx.

Mxxptjyopca, ας, η, défaut de parler longuement; prolixité; verbosité.

Μαχρό&ος, », adj, qui a vécu long-temps; extrêmement âgé —qui vit (ong-temps. R. βίος, Μαχρο&ότης, ητος , μαχρο£ιωσις , ιως, η, longueur de là vie; vie longue.

Μαχρό&ωλος, », adj, qui a de longues mottes, opposé à μιχρά£*-λος. R. μαχρος , βωΧος. Μχχρογεναος, », qui a un long menton qui a une longue barbe. R. ycvftov. Matxpo&xxlvXoç, » , qui a les doigts longs. R. δχχΊυΧος,

Μαχρόέρομος, », qui fournit une longue course; qui court fort loin ; qui parcourt un long espace. R. fpôuoç.

Μαχρόθιν, adv. de loin. Μαχροθνμιω, fut. ησω, différer de faire éclater sa colère; patienter; souffrir patiemment. [M«-χροθνμία, ας, η, Faction de, etc.; patience ; douceur; longanimité. [Μακρόθυμος, », adj. qui diffère de , etc, ; patient ; qui souffre patiemment — qui sait contenir sa colère. [ MocxpoOu-μως, adv, en différant de , etc. —patiemmeht; avec patience; .avec longanimité. R. Svfiôç. Μαχροχαταληχίος, qui finit par une syllabe longue ou par une voyelle longue. R. μαχρος, χαταληγο»·

Μαχροχανλος, », adj. qui a une longue tige. R. χοο/λός. Μαχρόχεντρος, », adj. qui a un long aiguillon; armé a un long dard ou aiguillon. R. χ/ντρον. Maxpoxepxoç, », qui a une longue queue. R. χίρχος,

Μαχροχ/φαλο;, », qui a une longue tète; qui a la tète pQÎntue. R. χιφαΧν).    '

Μαχροχωλία, ας, η, longueur des membres, dens une période, Μαχρόχωλος, », adj, qui a les membres allongés — dont les membres sont longs, en parlant dune période. R. χωλόν. Μαχοολοέος, », dont la gousse ou dont la cosse est longue. ΜχχροΧογ/ω, fut. ησω, parler longuement ; être prolixe ; être verbeux. [Μοαρολογία , ας, η, prolixité ; verbosité. [ Μαχρό— Üoyoç, », adj. qui parle longuement; prolixe ; verbeux. R.

Aeyta,    ·

Μαχρον , adv. de μαχρος, longuement.

MAK

Μααρ^ν, dans Hom. a haute voix.    '

ΜαχρονοσΓα, ας, η, longueur d’une maladie ; maladie longue. R.

νόσος.

Μαχρ*ναραληχ1(~», finir par un· pénultième longue. ^

Μαχροννόο; , —νν»ς, », qui a la respiration lougue, par oppos. à βραχνιrvooç, qui a la respiration courte. ‘

Μαχρόνν»ν ζωαν, dans Ear· longue vie. R. Ίτνοη.

Motxpotvopta, ας, λ, longue route , long voyage. R. ηόρος, .

Μαχρόβτονς, οίος , qui a les pieds longs. R. *ονς.

Maxp όν/Ι t ρος , », qui a de longues ailes. R. V/<pov.

ΜχχροΜτωγ&ν , ωνος, ο, «JUl a une longue barbe. R. πηγών.

Μχχρορριζίχ, α;. η» longueur des racines. R. ρίζα. e # Μχχρόρριζος, », adj. qui a de longues racines.

Μαχρος, », long , au propre et aa fig. qui dure long-temps. Mar xpov ίγχος, longue pique. Ma-χρος οΤμος, long chemin. Λόγος μχχρίς, long discours ; discours prolixe ou verbeux. Μαχρος βίος, vie longue; vie d’une longue durée. Maxpoc γόοι, de longs gémissemens ; de grands gé-missemens ou de grandes lamentations.

Μαχρος, haut; élevé ; grand. Motxpàt itviptx, des arbre* hauts; de grands arbres. Μαχρλ γυνχ, femme de grande taille ; grande femme. Ol μαχρχ; βσιας χ*χ1ημ«-yot, A ris t. ceux qüi possèdent de grands biens. Μαχρα χνμ,ατα, Ilots qui s'élèvent à une grande hauteur; de grandes vagues.

Μαχοοζ; profond. Φρ/ατα μα-xpoc, Hom. des puits profonds.

VLxxpV, pris adv, pour μιγάΐ\ι&%% grandement. Mocxpà β&ωντχ , Hom, marchant à grands pas. Μαχρον άϋσιν, il poussa un grand cri. Μαχρω pôrov , beaucoup plus facilement. Maxp«j> àptçTj, la meilleure de beaucoup ; qui l'emporte de beaucoup sur les autres. Maxpà* &ττο(χω, j’habite loin. Μαχράν άγοντας, Isocr. ceux qui sont fort éloignés. Maxoàtv χαίρη* φράσαι, Luc. dire adieu pour long-temps. R. μηχος. Voyez μαχρχ, μχχρχν et μαχρον , ci— dessus,

Μαχροσχκλης, /ος, qui a die longues jambes. R. σχιλος.

Μαχρος-ϊλιχης, ιος, qui a une longue tige—dont le tronc est long. R. ςϊλίχος.

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ΜΑΛ

Μαχρότης, ητος, η , longueur. Τ&αχροτομ/ω, tailler de maniéré que la partie restante soit encore longue. R. τψνω. Μαχρότομος, y, adj. taillerie maniéré, etc.; taillé court. Μαχροτράχηλος, w, ad/· qui a un long cou—grand    haut. R.

τράχηλος.    '

Maxpovtjvia, ας, η, long sommeil. R. vtsrvo;. . Μαχροαλυαρίτης, «, o, qui débite de longues niaiseries. R. μα-χρ^ς, φΧυκρ/ω.

Μαχροφνης, naturellement long. R. φνω.

Μαχρόωνλλος , «, qui a de longues feuilles. R. φύλλον·

Καχρόχπρ, (ipo;, qui a une main plus longue que l’autre. R. X“>*

Μαχρογρον/ω, μαχροχρονίζω, être de longue durée ; subsister long-temps.

Μαχροχρόνιος, », qui dure longtemps ; qui est de longue durée. R. χρόνος.

Mctxo ννω, fut. vvu , parf. vyxa, éloignera une grande distance; écarter ou chasser loin de. R. μαχρός»

Μαχρω, μαχρός.

Μ(χχρως, *</?. longuement; pro' lixement—tard, λίαίχρωσις, «ως, η, prolongation -rallongement—prolixité. Μαχίηρ,^ρος, i, μαχ%ς, i, ô, qui fait des galettes; qui pétrit —pâtissier, n. μα'σσω.

ΜοχΊρα·, ας, pétrin; huche—baignoire—mortier.

Maxyva», Ztar. pour μηχύν». Μαχών , aor. a part, de μαχιω μηχ/ω ( thème inus. ) , étendu en long. R. μ~χος.

'Μηχών ( de μηχαομαι )* ayant crié.    t

Μα'χα»ν, ονος, η, Dor. pour μηχων, η, pavot.

ΜΑλΑ , adu. fort ; beaucoup ; extrêmement. [ Μάλα, part. affirm. certainement ; assurément.    ‘

Μαλββαθρον , K μαλό&ραθον. Μάλαγμα, ατος, rb, MALAGME,

cataplasme émollient; topique. R. μαλάσσω.

Μα)αχκα, ας,η, mollesse. M. R. Μαλαχιννιω» être couché mollement. R. ιννη.

Μαλαχία, ας, η, mollesse—calme de la mer; bonace; malacie, maladi· de l'estomac — envie de femme grosse.

Μαλαχίας,», o, mou; efféminé. Μαλαχθώ, être m«u ; effémiuc ;

ΜΑΛ

mollir—être languissant, foible, malade.

Μαλαχίζω, fut. ίσω , amollir ; rendre mou, énerver.

Μαλαχιζομαι, s’amollir , s'énerver; se relâcher—agir mollement—montrer de la foi-blesse ; manquer de courage— être languissant, foible; être d’une santé extrêmement délicate.

Ον μαλαχιςΤον > il ne faut pas agir mollement.

»Μαλαί*(ον,ι», το, parure de femme; toilette.

Μαλαχ/ων, ωνος, ô, mou ; efféminé.

Μαλαχόγπος, y, adj. dont la terre est molle. R. ροιλαχος, >95.

Μαλαχογνωμων , ωνος, qui est d’un esprit doux ; clément. R.

γνώμη.

Μαλαχό<?«ρμος, y, dont la peau ou dont l’écorce est molle. Μαλαχό£«ρμα Sa, œufs dont la coquille est molle. R. ί/ρμα.

Μαλαχόθριξ, τριχος, adj· qui a des cneveux doux—qui a le poil doux. R. £pt£.

ΜαλαχοΌτυρηνος, y, dont le noyau ou dont le pépin est tendre. R.. ιτυρην.

Μαλαχ^ς, -J), b», adj. [ opposé à σκληρές ), mou ; qui n est pas dur. Evvvi iv) μαΧαχτι, Ham. , Od. dans un lit mou. [Μαλαχ^ς, doux y agréable. Μαλαχ^ς ν^ν^ς, doux sommeil. ΐίβτη μαΧαχα, vers doux; vers coulans. [Ma-λαχος, doux, c. à d. qui est d'un naturel doux et facile ; d’une humeur douce; accommodant.

Μαλαχ^ς, en mauvaise part, mou; efféminé— paresseux.; nonchalant; languissant—lent ; qui agit avec lenteur. Δοχων iv tîJ συνα/ω/ίΐ t* 'noXtjix μαΧα- · χΐς «îvat, Thuc. paroittant ne

{>as mettre asset d’activité dans es préparatifs de guerre, ou mettre trop de lenteur dans les préparatifs de guerre. (

Μαλαχόσαρχος, n, dont la chair est molle ou délicate. R. σαρξ.

Μαλαχό^ραχος, *» couvert d’une coquille molle. R. oçpaxov.

Μαλαχότης, ητος, ri, mollesse.

Μαλαχότριχις, plur. </*r μαλαχόθριξ.

Μαλαχόγλοιος, «, dont l’écôrce est molle. R. φλοιός.

Μαλαχίηρ, ΰρος, qui amollit.

Μαλαχίιχος, η, fcv, adj. qui a la propriété d'amollir ; émollient.

ΜαλαχΤος, S, adj. amolli — que l'on peut amollir.

MaXaxfo», amollir; rendre mou.

ΜΑΛ 6ô5

[ Μαλαχννομαι , être amolli—’ s'amollir—-devenir languissant -τ-se relâcher ; mollir. [ Μαλα-χννσις , «ως, ή, amollissement· ΜαΧαχως, ad». mollement—doucement ; délicatement—avec mollesse ; nonchalamment ; languissamment ; avec lenteur. Μαλαχά»ς«χ<ιν ,être languissant, foible ou malade.

Μαλαξις, «ως, η, amollissement. ΜΑΛΑΣΣΩ, -βίτ1» , fut. «ίζ« , amollir--adoucir.

Μαλάχη, ης, η , mauve, plante médicinale. R. μαλάσσω. Μαλιρος, ρά, ρ^ν , ί , adj. qui brûle ; qui consume ; enflam-mé—pernicieux. R. μαλός. ΜΑ'λΗ , ης, η, aisselle. Τ-βτο μά-λης, sous l'aisselle — furtivement ; à la dérobée.

Μάλθα et μάλθη, ης, η, mélange de eire et de poix liquide dont-on frottoit les tablettes à écrire —ciment fait avec de la chaux vive et du saindoux. Μαλθαχ«ννια, ας, η, un lit bien.

mollet. R. «ύνη.

Μχλθαχία, ας , ί), mollesse. ' Μαλθβχιζομαι , s’amollir ; agir mollement ; agir avec nonchalance —manquer d’énergie et d*activité. Ον μαλΟαχις·«ον, il ne f;lut pas agir mollement. £ ΜαΧθαχίζομαι, devenir languissant ; perdre ses forces. Μαλθαχίζ», amollir — adoucir ;

gagner; fléchir.

ΜαλΦαίχινος, y, adj. mou ; délicat. ΜαλΟαχ^ς, 5, adj. mou ; délirât

—mou ; lâche ; efféminé ; nonchalant—languissant; qui est sans forces. [ΜαλΟαλόω, amol· lir.    #

Μαλθαχώίης, «ος, émollient.^ Μαλθάσσω , fut. άξω , amollir — adoucir; apaiser, calmer.

Μάλθαξις, «ως, η, amollissement ; fomentation par des émolliens.

Μαλθόω, fut. ωσω, amollir ; pétrir comme de la cire. [Μαλ-θω<?ης, «ος, adj. mou comme de la cire. R. tUoç. ^ ΜβίλΟων y ωνος, ô, mou; efféminé. ΜΑ'λΙΣ, μαλιη , ης, η,· toux des chevaux. [Ιταλία», avoir la toux.    *    ,

Μαλις, (£ος, Dor.peurμηΧις , (9ος, η, pommier. toàtça, superl. de μάΧα, très; fort ; extrêmement ; principalement ; surtout. Εις τα μά-λις-α , très. Εις τδι μάΧιςα « ου -σιος, très-riche; un des plus riches citoyens. Itv τοΤς μάΧις* -ιτλούσ*9ς, mém. sign. Μάλι<τα

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6υ6 MAM

•σον ηίιΐνβτο, Thuc. le plus qu'il pouvoit. T* p*2Uça, très, le plu*—en très-grande partie.

Mâ«roe, d'abord ; en premier lieu.

M&cra, oui certainement ; très-fort.    ^

Μαλχ/ω, -δ, μαλχι'ω , être transi de froid; être gelé, morfondu.

ΜΛΛΚΗ, ης, η, en^ourdisse-ment des pieds et des mains, causé par le froid; engelure.

Miiitiaw, μαΧχι/ω, mêm. sign. que

fxalxita.

Μάλχιος, », adj. qui glace et engourdit.

Μ* άλλα pour ρη άλλα, Aristoph.

Μάλλον, compar. de μάλα, plus, davantage ( opposé à ητίον , moins ), plutôt. Μάλλον plus que; plutôt que. Μάλλον ο룫«-

. τιρος , plus heureux. Μάλλον tcO £/οντος, plus qu'il ne faut. Μάλλον y&p μιαν την οικίαν της ^τόλβως φαίημιν αν , Arist. car on peut l'appeler plutôt une seule maison qu'une ville. ΙΙολλω μάλλον, beaucoup plus. Oiii» μάλλον , pas plus. Τοσιίτω μάλλον, d'autant plus. Μάλλον pèv »v, bien plus. Ειχος ykç , μαλλο* ί* άναγχαΐον , car il est convenable, ou plutôt il est nécessaire. Aiàc τούτο μάλλον τ/θνΎ)ξγ), c’est une raison de plus pour que tu périsses.

ΙΙαλλοντϊ pour μάλλον.

ΙΙαλλοτσάρηος, », adj'. qui a les

}'oues molles comme de la aine—qui a les joues blanches. R. μαλλλς, irotpcca.

ΜΑΛΛΟΣ, ψ, ό , toison—chevelure longue; boucle, de cheveux·.

Μαλλοφορος, », couvert d’une toison, couvert de laine—mallo-ÏHüre , surnom de Cères, considérée comme déesse lutelaire des troupeaux, et comme celle qui apprit à profiter de leur laine. 'R. φ/ρω»

Μα).λωτ*ς, », adj. velu, laineux; fourré y c. à d. garni de peau avec le poil. [ Μαλλωτΐ), sous-ent. <ît<p0fpa , fourrure.

Μαλό&αθρον, », τ^, feuille d'une plante odoriférante des Indes —arbre de Syrie qui fournit un parfum liquide.

Μαλον, Dor· pour ^ovf », pomme. V. μηλον.

Μαλοπτάρτρος, Dor. pour μηλονά-ρηος.    ^

ΜΑΑΟΣ, η, ον, adj. tendre — blanc—pernicieux.

M?) ocpop/'i», Dor. pour μηλοφορ/ο>, porter des pommes^ R. μ/ίλον,

f/pW.

MAN

Μαμάω, -ω, pour ραιρα*>· MÀMHPA . μχμιρχ, μααιρας, do-ronic romain , plail· . MAMMA, jufifir,, ης, η, μαμμα'α, ας, η, .Tand’mere — mère, terme rf honnêteté a tégard des femmes àgees.

Μαμμά'#θος, » , sot. R. μάμμη ,

χ*υθω

ΜΑΜΜΛΝ , mo/ des enfans qui demandent du pain,

De μ,αμμχν est dérivé le mot françois maman , λ autre signification, et qui est un terme dont les petits enfans se servent au lieu du mot de mère.

Μάρρη , V. ράμμα.

Μαρμία, ας, ή. μάρρη, ης, mère —grand’mere.

Μαμμ·θρ*τσΐος, », élevt* par sa grand’mère — élevé mollement. R. τρ/φω.

Μάκρος, », ô, esclave — valet, domestique.

Mxv, Dor. pour μην , mois·

Mfcv pour μάννα, manne, fl&v, Dor. pour μην, particule. V. μην.

Μανάχις, adv. rarement. R. μαν£ς. Μανας, des esclaves ; des domestiques. R. Μάνης, », o, nom <T esclave.

ΜΑΝΔΑΚΗ, ης, η, ctiir ; peau. Μαν£α*η£ον , tfâV. sur la peau ;

dans la peau—à fond. ΜΑΝΔ\Λ£ΠΌΝ, », το, baiser l.isc*f.

ΜΑΝΔΡΑ, ας, f, étable; parc —caverne—pressoir. ΜΑΝΔΡΑΓ0ΡΑΣ, », ό, MANDRAGORE , plante soporative ; de là vient que ceux qui étoient non-ch alan s et paresseux, ou qui aoient manqué d*activité dans la conduite de quelque affairr9 ■ étoient dits pavipayopav cxarc-vMx/vai, avoir bu de la mandragore.

Μανίρα*/ορ:£ω, boire de la mandragore—donner de la mandragore.

Mav^pocyopÎTTjç οΤνος, vin où il entre de la mandragore.

Μάνίρ£υμα, ατος, τ^, parc. Μαν^ύη, η, ρανίνας. ό, manteau militaire des Perses.

Μανείς, rvcoç, μανιΐσα, ης, part.

aor. a de μαίνομαι.

Μάνης, », ό , esclave—valet — pot—certain jet de dés—Mânes , fameux hérétique. ΜΑΝΘΑΝΩ,/»/. 1 μοΛησομαι {de pαθ/ω ) f parf μιμάθηχα, aor. a ίραθον, apprendre, **«/. : côn-noitre. Μαθε il po3, 5 eraT xai τάίι, enfant , apprenez aussi

i cela de moi. Ταλάντ» toût’ βμαθβν

MAN

Τ?«τ«ρίολος, Aristoph. il en a coûté un talent à Hyperbolas pour apprendre cela. [Μανθάνω, apprendre art. .-enseigner

— concevoir; entendre ; compte ndre.Tc ρόχθων , terme de reproche semblable à f expression française, qui vous a appris à faire cela ? pourquoi r pour qui lie raison ?

Μανία, ας,· Ion. ρανίη, ης, η,

1 μλν;κ ; frénésie ; fureur; passion insensée; fantaisie extravagante—folie ; sottise, h. p^af-vopat.

Μανιάχης, », ô, col lier; bracelet· H. ρτνος.

Mocvtà;, άίος, η , furieuse—<jui rn?d (iirieux. R. ραίνομαι. Μανιχο;. ù, adj. fou; insensé-furieux ; MAN1AQÜE.

‘ Μανιχος, qui rend fou—qui rend furieux.

Mavtxoç, inspiré par la divinité.

Μανιχως , adv. comme ■ us furieux — comme un fou — comme un extravagant — en délire. M. R.

Mavt;, (<?ος, Dor. pour μνίνις, ιος, η. Μανιώδης , ιος , adj furieux — fou; extravagant—sot.

Μανιώδης, <|ui rend fou ; qui aliène l'esprit. R. μαινομ,αι, «Τ<ΐος.

mViSNÀ, ας, η, MANNE, tant ceUt‘ dont il est parlé dans VEcriture, que celle dont on se sert en médecine.    ^

ΜΛ/-ΝΝΟΣ, », μάνος, »,ά, collier;

bracelet.

Μανόχαρνος, «, adj. qui ne porte pas beaucoup de fruits. R.

μανος , χαρ-Βτός.

ΜΑΝΟΣ, η, ον, rare; clair ; clairsemé — mou. spongieux — lâche; mollasse. [Μάνος, su fist. V. μάννος.    .

ΜανοαπΒτοριω, -5, semer clair.

[ Μανόσ«ιορος, », adj. clairsemé R. çrtmepea.

Μαν^ρος, », adj. dont le tissu n’est pas serré; clair, toile claire y etc.

Μανότης, ητος, η, rareté. R. μανος.

Mxvoûp*<,/ir/. de μatvopac. Μανόφνλλος, », nui n'a pas beaucoup de feuilles. R. φύλλ*ον. Μανίω, raréfier; rendre clair; éclaircir — rendre lâche. K.

μανος.

Μαντίία, ας, η, divination; prediction; prophétie; oracle— Taction d interroger Γoracle,; demande d'un oracle. R. ράντις.

ΜαντιΤο», Ion. ιΓίβ^, oracl· ; pré-

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MAP

diction—lieu où l'on rend des

oracles.

Μαντ«ΐ&ς, Ion. iftoç, », adj. qui concerne les devins, les oracles —cjui rend des oracles.

HxvrrvfjLa, ατος, ti, oracle; prédiction.    '

Μαντεύομαι, -«ύσομαι, rendre des ôrncîes ; prédire. Μαντ«ύ«ται ίμ,ηλοξα , Luc. SI rend des oracles ambigus. [Μαντεύομαι, consulter l’oracle. Tfc σνμ<ρ«-pr>w<x X'jTç μαντ«ϋ9μ*νοις, Xèn. ce qui est utile à ceux qui consultent *’:>racle. ^το')ρη?( τοντο μαντ«ύ«?9αι , il o>a consulter i'oracie sur cela. Ι^μαντιύθη *φΐ , i orr«cle leur répondit.

Μ«ντ«ύομαι , conjec turer , présumer; augurer. [ Μαντιυ-τη;, üy o. devin; augure; arus-

• pice. [ Μαντίντιχος, 5, adj. qui concerne le* augures, les devins—habile augure.

Μχντηίη Ion. pour μαντιία.

Μανττμον, μαντιΓον.

Μαντικές, », adj. qui concerne les devins, les augures o / l’art des augures—fatidique. [ Mav πχη, 1 art des devins, des augures; l'art dé prédire.

Μαντι-σόλος, », adj. mêm. sign, que μάντις.

ΜΛΝ'ΓΙΣ, «ως, ô, devin; qui prédit; prophète.

Μάντις, «ος, η , sauterelle—chou.

Μαντοσύνη, ης, η, lû faculté de prédire l'avenir; la divination ; l'art de prédire.

Μαντώίης, toç, adj. fatidique.

Μανντ^;, à, Dor pour μηνντης, 5.

ΜαννΜ pour μηννω·

Μανω<?ης, ιος, mêm. sign, que μανός.

Μάνωσις, ι·ς et «ως, ô, l'action de raréfier . de rendre clair, d’éclaircir—de pl. m'm. sign, queμανοτης· Κ. μανόω.

Μάξις, ιως, η, 1’action de pétrir —galette; gâteau. Η.μάσσω.

Μαα»/«ιν, sync.pour μαρ«τ«7ν,poèt. μασ«ιν , Ιοη. μ«τ»ιιιν , et poèt. re éoubte μ«μαρσ/«ιν, a inf. du verbe μχρσ7ω , prendre.

ΜΑ'ΡΑΓΛΟΣ, », ô, émeraude.

ΜΑ'ΡΑΓΝΑ, ης, η, fouet; la-niere; courroie.

Mâpayot* ων, οί, lieux escarpés.

Ma ΡΑΘΡΟΝ , e, fenouil, plante.

Μάραι, ων, at, les mains, d où viïnf «νμαρης.

MAPAÎNQ, fut. ανω, parf ayxa, paf. _pass. μ«μχραμμαι , Att. μ«μχρ*7aai ,* aor i pass, ^μα-ράνθην , fl :lrir, fiiner—dessécher—consumer peu à peu; éteindre.

MAP

Μαραίνομαι, se flétrir, se faner—tomber en consomption — s’éteindre insensiblement. [ Μάρανσις, «ως, ib. flétrissure; dépérissement. [Μαρασμός , S, ό, mem. sign.

Μαρασμός, MARASME; mai* greur extrême; consomption.

Μαρασμώδης, « ος, accompagné de marasme.

Mapavyi?». être ébloui par la lumiere. R. μαιρω, αν/η'.

Μαρ?αίνω, fut. ανω, être fou, insensé. R. μάργος.

Μαργαρίτης, ». Mapyapir/jç λίθος, perle.

ΜΑ ΡΓΑΡΟΝ . », τ*, perle.

Μαργάω, être fou, insensé. R. uàpyoç.

Μάργη, ης, η, folie—insolence.

[ Μχργη , fèm. de μαργος.

Mapyvict;, «ντος, adj. fou—insolent—libertin ; mêm. sign, que μάργος. ^

Μάργης, v, ô, «Aw. J/^Λ. que pàpyoç.    ^

Mstpyin);, », o, sot, irabécille— lâche.

ΜΛΡΓΟΖ, «, adj. fot|, insensé ; extravagant—insolent, impertinent—libertin. [Μαργοσύνη, ης, folie. extravagance—indolence—libertinage. [Μαρ>ότης, ητος, η, m’m. sign.

Μαρ«ωτις, tioç^.nom d*une espèce de vigne en Egypte.

MA'PH, ης, ptur. μάραι, main,

■i d oii vient «νμχρης.

MAPÎaA, μαρίλη, ης, cendre chaude ; braise.

Μαριλ«ύω, travailler aüprès delà braise.

Μαριλονάτης, », qui avale de la cendrtf chaude, epith. de Vul-ca:n et des autres forgerons. R. Ίτίνω.

ΜΛΡΙΣ, «ως, η, mesure pour les liquides, contenant six colyles.

MAPMAÎPâ, fut. çtpS, reluire; rayonner; être éclatant.

Μαρμάρ«ος, μαρμάρ«ιος, μαρμαρι-

* νος, et μαρμαρόας, «σσα, «ν, de marbre—fait de marbre— blanc con»me le marbre—reluisant comme le marbre — luisant.

ΜαρυΛρΐζω, avoir l'éclat du marbre; reluire comme le marbre.

Μαρμάρινος, V. μαρμάρ«ο;.

Μάρμαρον , », τ^, μάρμαρος, », i,

Μ\λβλε —éilat de marbre; morceau de marbre; que le sculpteur a fa>t sauter en dégrossissant un Itiuc.

Μχρμαρος, 8, adj. blanc.

Μαρμα^ν//;, ης, η, cclat de lu- Λ

MAP 607

mière; étincellement ; lueur brillante—rapidité qui éblouit.

Μαρμαρυγώίης, «ος, rayonnant; qui )ctte des éclats de lumière; étincelant; reluisant.

Μαρμαρυσσω, mém, sign, que μαρμαίρω.

MAPNAMAI, part· μαρνάμ«νος) combattre.

Maptmtv , Ion. pour papwtTv.

ΜΑ ΡΠΤΩ,, fut. άρψω , aor. % «μαρ-σον, parf. moy, μ/μαρνα, prendre ; saisir.

Μαρρον, 5, ro, marre, instrument de vigneron.

ΜΑΡΣΐΠΟΖ, [ΛΛρσιντος et (χάρσιπ-σος, «, ο, μαρσύσιον , -iwtov, -nrwetov , », bourse , £ mettre de Γ argent.

ΜΑΡΤΥΡ, νρος,    témoin.

Μάρτυρας χαλίΓν    «’wayccxGat,

produire μ faire paroitre des témoins ; appeler en témoignage. Μη τταρόντων μαρτύρων , ' sans témoins. Μάρτνρας τονς £ιονς 'ττοιησάμ«νος, Dèm. ayant pris les dieux à lémoiu.

Μάρτνρ, martyr, nom que f Eglise donne à ceux qui ont souffert la · mort pour rendre témoignage à Jésus-Christ et ù la vérité de son Evang le.

Μαρτνρ«ω, fut. rendre témoignage; attester; être témoin, servir de témoin—assurer ; certifier. [ Μαρτυρ«ω, avec le datif rendre un témoignage Honorable h quelqu'un. Μαρτυρώ yif> ύμ?ν, je vous rends ce témoignage honorable. [ Μαρτνρω, se rendre à l avis ou à l opinion d'un autre. Μαρτυρώ τοντοις, Xenm je suis de leur avis. [ Μαρτνρω, montrer; faire voir; déclarer.

Μαρτυρώ», souffrir le martyre, être martyr. V. μάρτνρ.

Μαρτνρ/ομαι, pass, être attesté par des témoins, etc* v

Μαρτ\)ρούμ«νος ûwb τον Πνβύμα-τος, saint Greg, à qui le Saint-Esprit rend témoignage.

Μαρτυρ/ομα« a aussi Ιλ sign.

active.

Μαρτύρημα, ατος, το, ce qu'ou alte&lc; témoignage que Ion reud; déposition.

Μαρτυρι'*, «ς, ^ témoignage; dépositiuu d’un témoin—l’action de rendre témoignage— éloge. [ Μαρτύρ«ον . », το, té-rnui-nrye — témoin — signe* ; indice; preuve—lieu ou sont les reliques des martyrs.

Μάρτνριχος, i, adj. des mar-' tyrs, d’un martyr

MaprjpouM , . témoigner ;

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Go8 ΜΑΣ

rendre ou porter témoignage

—attester, c. a d. appeler en témoignage ; prendre à témoin. Μαρτνρισθαι 3«ους xaî άνθρώττονς, prendre les dieux et lès hommes à témoin. [Mocp-TvpofMtc j«r/ λ quelquefois ta mêm. sign.    m

Ιϊάρτνρος, «, ô, témoin. [Μάρτνς, νος, Of ment. sign.

Μαρνω, Dor. pour ρ»ρνω.

Mopvxoiopuxi pour £»ρυχάο**αι.

Μοίρψαις, Dor. pour μάργας, part. aor. ι </<? μάρ-σΊω.

Μάσα, Z?*r. pour μάζα.

ΜΑΣΑ'ΟΜΑΙ, manger ; dévorer —mâcher. [ Μάσ»σις, «ως. », Taction de manger. [ Μάσ»ρα, «τος, το, ce qu on mange; ie manger.

Μασ&ς, ω, ό,J)or. poor μο&ς, 5, ô.    t

Μάσνμ*, μί<τησις9 V\ μασάομαι.

Μασ»τ»ρ. »ρος, o, qui mange — M asseter, nom des deux muscles qui tirent la mâchoire ( inférieure quand on mange,

ΜΑΣΘΛΗ, »ς, », et μά<χθλ»ς, »τος, cuir amolli; courroie; bride —-peaù ■-souliers.    e

Μά<χ6λ»ς, un mauvais sujet, un vaurien.

Μανθ^ς, 5,0, miimelle.

ΜΑ'ΣΠΕΤΑ, ω», τα, les premières feuilles de l’herbe du benjoin.

Μασσάομ^ι, V. μασάομαι.

Moiaavjfjux, etc. V. μάσνμα, etc.

ΜΑ'ΣΣα, μάτΐω,/*/. *'ξω, pétrir essuyer—exprimer en pressurant—toucher.    f

Μάσσων, ονος, o et », pour ραχρό-τερος, plus long —plus grand.

Μοιάζω, manger—mâcher.

Mac** * «*°« » * * mandibule ; mâchoire—moustache.

M«ço£, ce qu’on mange; ce qu’on mâche·

Μά^αξ, sauterelle.

MocçotpvÇ», manger avec déçoüt ; manger lentement ; mâchonner.

ΜΑΣΤΕΤΰ,/^/· «νσω, chercher; rechercher—désirer. [ Maç«v-

νρος, «.«/fUpVjSp*.4» qui cherche, qui recherche. [Mout»p, Mastère, inquisiteur,

• chcfi les Athéniens. ^

Μάςι pour μάςιγι, de μάζΐξ.

M«ciy<~* »lon-Pour iuu?r™' · Waçiyt^t W· ,<lul fouette; qui- fustige. R. f*àçiÇ. *

*, ô, qui a le dos rayé de coups de fouet—qui se fait continuellement fouetter.

ΊΛχςιγιάω, -ω, avoir besoin d’être fouetté, d’être fustigé, déjre battu de verge*.

ΜΑΣ

Μείγμα, ατος, τι», flagellation, coup de fouet.

ΜαςΊ^οφόρος, v, ô, licteur, chargé tf écarter la foule ; licteur chargé de battre de verges ou de cnâtier ceux qui enfrei-gnoient les réglemens de police, dans les jeux publics de la Grèce. R. φ/ρω.

Moçiy^tt, fut. *>σω, flageller; battre de verges ; fouetter ; fustiger ; châtier ; battre. [Me-ςΊ7«σΐ|χο(, «, adj. digne d’être fouetté, d'être châtié.

Μαο/ωσις, ιως, », flagellation; fustigation.    (    s

ΜοιςΊ^ωτίος, », ον, qui doit être battu de verges, qui doit être fustigé.

Μ<χς(ζ<α9βίΙ. Γξω f fouetter, battre de verges.

ΜΑ'ςτ15> 7ος, », fouet ; lanière ; sangle; éirivicre—fléau de la colère divine; châtiment de Dieu. [Μάςις, tÆoç et ιος, mêm. sign.

Maçiffiriy, Dor. pour fiotçtÇctv·

ΜΑΣΤίΧΗ, »ς, 4, Mastic, gomme d'un arbrisseau appelé len-tisque. Μο^ίχινον ίλαιον , huile de mastic.    ,

Μας-ιω, mém. sign. que μαςιγόω.

Maçoci^;, «ος, semblable à une mamelle—mastoÏdi; il se dit tTun apophyse de Îos temporal qui a la figure d1 un mamelon.

Maçfcç ,5,ô, mamelle — petite colline ; petite éminence.

Μα<Γρω«τιία , ας, » , infâme trafic de femmes, d’eunuques ou de jeunes garçons <^u’on prostitue. [ Μας-ρωβκνω, faire un infâme trafic de, etc. -- prostituer ; livrer à !a prostitution.

Μαςρατσος , i, celui qui fait un, etc.

Moutvç, νος, », recherche. Η.ρ.άω.

Μάς-ωρ, ορος, o, mém. sign, que μ*ςν p.

ΜΑΣΧΑΛΗ, »ς, », aisselle—l’épaule— le creux qui est entre le tronc de l’arbre et les branches—baguette ou branche de palmier — partie de la proue , voisine de l artimon—une grue, machine—les ailes du vaisseau.

Μασγάλιον . s, xk, panier ou corde ae feuilles de palmier.

ΪΗασχαλίζω, couper les extrémités des membres d'un homme qu’on a tué par trahison , et les porter sous les aisselles, ancienne superstition des as s fis-sins f qui s imegi noient échapper ainsi à la vengeance du mort. Ces parties coupees s'ap-pcleienl μασχαλίοματα, ων, %ά.

MAT

Ματχαϋς, ίίος, ^ , aisselle. . Χ

Μασχαλις^ρ, rip ος, ό, corde pour attacher le cheval au char.

Ματά£ω, avoir de vaines idées 9 des idées chimériques—déraisonner—agir sottement—faire des folies. R. μάνην.

Ματ&ιάζω et ματαΐζω, mem· sign.—de pl. tenir des disco u rs en l’air.

Ματαιολογώ, ας, », vains dis-· cours; paroles en l'air; frivolités; inutilités; futilités; inep~ ties. R. μάταιος, λ/p».

Ματαιολόγος, «, adj. qui tient de vains discours; diseur de riens ; qui débite des frivolités ; des niaiseries, des sottises

Ματαιολοιχ^ς, 5, o, qui s'occupe uniquement de choses frivoles, de futilité. R. μάταιος, λ«ίχω.

Ματαιοφρονω, être insensé.

£ Ματαιόφρων, ονος, h , insensé ; îmbécille ; sot.

Ματαιόοραι, agir sottement.

Ματαιοτνονώ», travailler en vnin ; se consumer en efforts inutiles ; prendre une peine inu~ tile ; perdre son temps et sa peine. R. *τόνος.

Ματαιοτνονία, ας, », travail inutile ; peine inutile.

ΜαταιονραγκΤν, mêm. sign. que. ματαιονον/ω. R» πράνσω.

Μάταιος, «, adj. vain.; inutile.

Î Μάταιος, sot ; imbécille ; léger ; rivole. R. μάτπν*

Ματαιοσοου&α, ας, », mem. sign. que χ«νοασου£ία.

Ματα(όσΦαν£ος, », mem. sign. que χ«νάσΦου£ος. R. ο-ατιυίω.

Ματαιοτ«χνια, ας, », application à des arts frivoles; industrie frivole. [ Ματαιοτ«χνος, «, adj. adonné k des arts frivoles ; ui se pinut d'exceller dans es bagatelles. R. τ«χν».

Ματαιότ»ς , »τος , » , vanité ; frivolité. Μοςταιότ»; μα?αιοτ»των 9 vanité des vanités.

Μοιταιόν», fut. ωσω, rendre vain.

Ματαισμώς , 5 , ό , sotte action ; sottise; fridiculité. R. fearat^e*.

Ματαιως, adv. en vain—légèrement; frivolement—sottement

Μάταν , Dor. pour μάτην.

Ματάω , fut. »σω , perdre son temps; agir nonchalamment; être musard — entreprendre avec d’inutiles efforts.

Ματινω, fut. «νσω, pour μαςευω.

Ματιω, chercher; faire des re~ cherches.

ΜΑΤΗΝ, adv. en vain ; inutilement. Μάτ»ν wovtTy , travailler en vain. M«t»v iç\ vovoi} peur

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MAX’

μαΐαΐος Ιςύ, Plat. c'·*! Un tra-

. Tail inutile. Μάτην Ις\, dans Jsoct. pour μάrattov Ις\. Μάτη» , sans raison ; bors de propos ; à tort. Mm«)v X/yiTott, ona tort de dire. [Μάτην , faussement.

Μάτηρ, η, pour μητηρ, mère.

Ματήρ, *ηρος, δ, qui recherche ; inquisiteur.

Jforflpsvw, faire des recherches.

ΜατΤϊς, Eol. pour μοίτιΐς, 2e pers. sing. près.    ματ«ω.

Ματ£α, ας, η, vanité—légèreté-ineptie.

Μχτιολοιχ^ς, 5,5, qui cherche ^ s’enrichir en vendant à faux poids h fausse mesure. .

Μάτος, recherche.

Ματράίβλφος, », pot^r μητρά'Ϊίλφος.

• Μχτρόξ«νος, «ι, o, bâtard. R. ζ«νος.

ΜΑΤΡΓΛΑΗ, ης, η» celle oui fait métier de prostituer des femmes, des filles. [ΜατρυλλεΓον,

«, lieu de-prostitution.

Μ χτρως, ωος, ο , Dor. pour μητρως.

Μ*Υ1ομαι, mèm. sign. μάσσω.

Ματίύα , ας , ^, ragoût ; mets délicat. [ Ματιάζω , se nourrir de ragoûts,

Μάτΐω , fut. ξω, μάσσω*

, Βίανλιας,    »    , épée , coutelas ;

couteau.    .

Μαυλίζω, Λΐ^/w. sign, que μα<·ρ«-tat&a.

Μαυλίς, ί&ος,Ίι, mèm. sign. ftr? μαυλίας.

Μανρόω , obscurcir ; éteindre ; détruire ; perdre.

Μάχαιρα, ας, η , épée—coutelas ; dague; poignard ; couteau. R. μάχ·μαι.    ^

Μαχαιραν χνριχην, P/eAun rasoir.

Μαχαΐρίίιον, «, rb , petite épée.

Μχχαίριον , » , Ά , courte épée ; ^ petit couteau.

Μαχαιρίς, (ίος, η, rasoir. [Μαχαι-ρίίις, ciseaux.

Μαχαιροί/της , * , i , le pendant attaché au ceinluron , et auquel on attache l’épe'e.

Μαναψομαχ/α», combattre avec Tépée. M. R.    -

Μαχαιρονοώς, », o, qui fait des épées , des couteaux, et autres instrumens 9 appelés μάχαιρα.

R. ICOl/w.

ίνΤαχαιροιννλης^ », qui vend des épées , des couteaux , etc. —-armurier. [Μαχαιρο«τωλ«?βν, *, •xb , lieu où 1*·η .vend des* épée* , etc. H. rroi/d». _

3&αχοιιροφόρος , e, i , ceint d’une épée. H. φέρω.

Μαχαιρώνιον, i, xb, glaïeul, herbe.

W*x«tpwrî>ç, », adj. fait eu forme d’épée, de cputelas.

^ ΜΛΨ

Μαχαν* , «ς,    « ,    pour    j

μηχ**), ή.

Μαχατίις , α . Dor. pour μα-χητης, ».

Μαχάω, avoir envie de combattre. Μαχηομινος, poèt. pour μαχ&μενος. Μαχ/ομαι , poèt. pour μάχομαι. Μαχ/οιτο pour μάχοιτο, et μα-χεοιντο pour μάχο^ντο , opt. de μάχομαι.

Μαχ/σσασθαι pour μαχ/σασθαι , infin. aor. ι Λ μάχομαι.

Μαχ«τ7ον et μαχ<ςΥον, il faut combattre. N .

Μάχη, ης, η , combat; bataille— escarmouche—dispute; altercation ; querelle ; contestation. R. μάχομαι.

Μ άσημων, ονος, i , ot/ot. ji/Λ. que μάχιμος.

Μάχησμ^ς, », ô, conhbat.

Μαχητ/ον, μαχης·ίον, il faut combattre.

Μαχητης, 5 . combattant ; guerrier-belliqueux.

Μαχητιχ^ς. », adj. qui aime à combattre—bfelliqueux. Μαχητος, «f, adj. qu on peut attaquer;· dont on peut s’emparer ; qu’on peut vaincre. Μάχιμος, v, adj. belliqueux; guerrier—querelleur.    s

Μάχιμος, propre au combat. R. μάχομαι.

Μαχλας, άίος , η , lascive ; lubrique—courtisane. R. μάχλος. Μάχλης, », ô, lascif; lubrique — libertin.

Μ*χλΙς, ί^ος,η, mèm. sign, que

μαχλάς.

ΜΛΧΛΟΖ, β, mèm. sign. que

, . ..

Μαχλοσυνη, ης, η, incontinence ;

libertinage ; lubricité. R.

α,άχλος.

ΜΑΧΟΜΑΙ, fut. I μαχησομαι et /σομat, fut. 2 μαχοΟμαι , parf. μΕμάχημαι, combattre. Μάχρμαί σοι ιτα7*ράτιον , Λ ris top η. je combats contre toi au pancrace. [Μάχομαι , contester ; disputer ; quereller. Tfc μαχό-atva, des choses contraires les unes aux autres.

Μαχομην pour /μαχομη*.

Μαχβς, ιος, Λ, Dor. pour μη-χανη , machine.

Μαχονμαι , fut. 2 μάχομαι.

ΜΛ Ψ , poèt. pour μάτην , en vnin ; inutilement.

Μαψαΰραι , «ί, vents légers. R.

μΐιψ, ανρ«.    ^    ^

Μαψίίιος, β, adj. vain; inutile ‘—sot. [ Μαψιίίως, adv. on vain ; inutilement—en pur· pert·— saas au^uA moUi.

ΜΕΓ 60r>

Μαψίλοαας, », r/ μαψίφωνος, mcm» sign, que ματαιολ&'/ος.

Μαψυλαχίβς , «, adj. qui aboi* inutilement—grand diseur de riens. R. νλαχ/ω.

ΜΑΩ , parf. μ/μαα    μ/μχχα t

part, μιμαως, μβμ<χν~α ^jJésircV ardemuient 00 passionnément —chercher.

Mè pour ίμΐ, acc. dlyta.

Mî'ya, de μία ας, grand,

[    , ad», grandement 9

beaucoup—très. M/ya φ/pu ^ il importe beaucoup. M/yoc 'ττοΐίΤσθαι, faire grand cas. M/70· ίννασΟαι , être fevètu d’une rande puissance ; pouvoir eaucoup. M/y* άμ«Ινον*{, beaucoup meilleurs ; qui Γemportent de beaucoup sur. M/>oc tppovtTv, avoir une haute opinion de soi-mème. M/ya.muîv* ^s’enfler; s’enorgueillir. Μ(?ά£α>ρος, «, adj. qui fait de rands présens ; généreux. R.

ώρον.

Μ«7«θαρσ·^ς , /ος> rempli d'un· grande confiance — plein de courage. R. £άρσος.

MeyâOecç, Ion. pour μιγ&Χοί. Με'γχθος r Ion. pour μ/γιΟος. Μ^άθυμος, », adj. magnanime.'

R. £υμος.

Μ<7αιρα , ας , η , MÉGÈAE , une des Furies.

ΜΕΓΑ^ΡίΙ, porter envie ; envier. [ Μ«7αιρομ/νος, envié ; qui est un objet d’envie, de ja— louiie. [Mcyaipo), avoir soin; se soucier de ; avoir égard—· réspecter-^jriver ; ôter. Μ*7αχητης , «ος. adj. rempli dV— nonnes baleines—grand comme une baleine. R. χΐΐτος.    f

McyàXa, neut. plur. de μ/y ας.

Μ«γάλα se met aussi pomr μ<-yààw;, adp.

Μιγο^α^ιχηνιχ^ς, v},    ,    qui    com

met une grande injustice; oui aime à commettre de grandes injustices. R. àitx/ω. McyaXcJx’ÎK , /ος , doué d’uuo grande force. R. άλχη. Μ«>αλανορια, ας, ά, Dor. pour μΐ7αληνορία, grand courage. R. &νηρ.

Μεγβύ.άνωρ, »ρθζ, h , Dor. pour μ:7«λην«>ρ , doué d’un grand courage. M. R.

Μ«7βιλχυχ<ω , -C, so vanter. [M«~ γαλανχ^, /·;, μ«7άλαυχος, », qui se vante ; qui a de la jactance. Tàt jAi/άλαυχα, jactances ; forfanteries. [M«yolawx(a, ας, t), jactance; forCanterie. R.

αύχ^ν.

ΜίγοΛιϊον, », Λ, grandeur^ ma-

77

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Gio ΜΕΓ

gnificence—majesté. Μεγαλείο* μύρον, parfum précieux. [Μεγαλεία , merveilles; miracles. Μεγαλεΐος , « , adj. maguifique— grand ; sublime—vénérable—*

, très-précieux.

Jlr/αλειως, adv. magnifiquement — grandement — beaucoup. Μεγάλε ίωςπαρολιγωρείσθαι, /W.èlre grandement méprisé.

Μεγαλειότης , ητος , η, ^Γαμ-deur; magnificence—majesté. Μεγαλ/μσορος y », qui fait commerce de marchandises d’un grand prix—gros négociant, gros marchand. R. ψποοος. Μεγαλε-οηβολος, » , ο , qui fait de ~grande^ entreprises. R. fat, βχλλ».

Μεγάλη ,    de    pr/ας.    v ·

Μβγαληγορ/», parler en termes magnifiques—parler avec em-

Î>hase—se vanter; vanter, re-evcr en termes magnifiques. [ Μεγαληγορία, ας, η, magnificence d’expression — grands mots; emphase. [ Μεγαληγόρος, tt, adj. qui parle en termes magnifiques—plein de jactance. R. αγορεα».

Μεγαληνορία , V. μεγαλανορία. Μεγαληνβρ, V. μεγαλανωρ. Μεγαλητωρ, ορος, qui a un £rand coeur—magnanime. R» ητορ. Μεγαλίζω y fut. ίσω, vanter. [Με-γαλίζο^αι , se vanter—s'enorgueillir. R. μεγας. Μεγαλογνω^οσύνη, ης, 4). grandeur de sentimen»; granaes pensées <—grandeur dans les maximes. [ Μί καλόγνωμων , ονος, ad). qui u de grands sentiment, de grandes pensées . de grandes conceptions. Tfc μεγαλό/νωμον , grandeur di*s pensées. R. γνωμων.

Bïîyouofot, ων, grands chemins, grandes routes. R. όίός. Μεγαλοιίους , οντος , qui a de grandes dents. R. ο£ους. Μεγαλοίνναμ/ο^αι, avoir une grande puissance—être très-puis-saqi. [Μεγαλοίύναμος, », adj.

• très-puissant ; qui jouit d’une grande puissance. R. ^voûtai. Μ*γαλο£ωρε^, ας , η , grande largesse ; munificence R. <î*»pov. .Μεγαλοδωρία, ας, η , grande largesse ; grande libéralité ; munificence. .

|£;γαλό<?»ρος, «, qui fait de grandes largesses. Tb μεγαλόσωμον , présent magnifique.

JJlEya/tOvpo;, », adj. magnanime; clou·.’ d’un grand courage. R.

^να:ς.

Uiya>ot #3ro3, mem. siç*· çue

àiQtr

ΜΕΓ

Μ<>αλοιτο;, », extrêmement mal-‘ heureux- R. οϊτος.

^αλοχβφρος, »', qui produit de grands fruits. R. χαρσός.

Μεγαλόχαυλος, », qui a une grande tige. R. χαυλός.

Μεγαλοχεφαλος, » , qui a une grosse tête. R. χ«φαλη.

M(/«>ox(Wuyo;, », qui affronte de grands dangers. 1\.χίν£υνος.

Μεγαλοχοίλιος, », o, qui a un gros ventre. R. χοιλί«.

Μεγαλοχυμων, ονος, qui soulève d'énormes vagues. R. χύμα.

Μεγοιλομαζος , μεγοιλόαασθος, », η, qui a beaucoup ae sein; qui a de grosses mamelles.

Μεγαλομερεια, ας , η, et μεγαλομε— ρία, ας, η, la composition d’un tour qui est formé de grandes parties—la grandeur d’un vaste empire ; grande domination.

Μεγαλομερης, εος , adj. composé de grandes parties. R. μέρος.

Μεγαλομερως, adv. splendidement ; avec magnificence.

Μεγαλομητνιρ, grand-mère.

Μεγαλόμισθος, », adj. qui reçoit un grand salaire ; qui se fait payer fort cher. R. μισθός.

Μεγαίομυχιότης, » , c *qui pousse de grands mugisseinens — qu’on entend de loin quand il brait, èpith. <!e Vàne.

Μεγαλόνοεα, «ς » η, sublimité d’esprit; haute intelligence.

Μεγαλόνοια se met quelquefois pour νΐτερηφανιία. R. νόβς.

Μεγούονοο; el μεγαλόνβς, doué d’un esprit sublime, d’une haute intelligence. Το μεγαλονουγ , sublimité d’esprit.

Μεγαλο-σλουσιος, », adj. qui possède df* grandes richesses. R.

ττλΰυσιος.

Μεγαλόσλουτος, », mcrn. sign. R. -πλοντος.

Μεγαλοτπολίτης, », ό, citoyen d’une grande ville. R. ττόλις,

Μεγαλοσόνηρος, », adj. qui est d’une grande perversité ; nui commet de grands forfaits. R.

«ονηρός.

Μεγαλο'σους ,    adj.    qui    a    de

grands pieds, n. ττ&νς.

Μεγαλοσραγμοσ^νη , ης, ή , le penchant à faire de grandes entreprises. [ Μίγαλοϊοροί,μων , qui entreprend de grande* choses.

R. 'ττρασσω.    *

Μεγαλο-σρεττης, ε'ος, magnifique; qui convirnt à un grand homme. [ Με/αλο-σρεσως, adv. magnifiquement.

Μεγαλότσνλος, », adj. qui a de grandes portes. R. ττνλη.

M cyxXoraiip'jyος, », qui a de grandes ailes, K. Wïepôv.

ΜΕΓ

Μεγαλορρημονε'ω ,    , fut. #

mèm. sign que μεγαληγορ/ν. Μεγαλορρημοσυνη , ης , η , μεγαλορ-ρημων , V. μεγαληγορία, μεγαλη-γόρ ος.    ^

Μεχαλόρριζοι, », qui a de grandes racines. R. μ?«.    .

Μεγάλος, nomin. ini^s. dont μ* y ας emprunte le gén. μεγάλος. On trouve quelquefois te vocatif

μεγάλε.

Μεγαλοσθενης, ιος, doué' d’une grande force. R. νθινος. Μεγαλόσατλαγχνος , » , qui a une i grande ânpe ; magnanime. R. σ-σλάγχνΟν.    ,

Mcy«ioç«xvç, υος, qui pou^e de grands épis. R. c«XvÇ·    j

Μεγαλοσύνη., ης, η,    grandeur;    ,

magnificence; majesté. Με*/αλο'σωμος, », adj. qui a un grand corps; qui    est    d*une    '

grande corpulence. R. σώμα· ΙΜεγαλοτεχνος, », grand artiste; habile artisan. Το μεγαλότεχνον , grand art. R. τέχνη.    ^

Με/αλ οτιμος , » , adj.    qui    est en    ;

grand honneur ; extrêmement honoré. -Μεγαλότολμος, », adj. qui a une grande audace; qui ose de grandes choses. R. τόλμα.

Με/άλον, ης, etc. V. μεγας. Με/αλονργία, ας, η, magnificence.

R. tpyον.    '

Μεγαλονργος, », adj. magnifi<|ue.

[ Μεγαλουργός, το, l’action d en* treprendre de grandes chostrs. Μεγαλοφθαλμος, » y qui a de grands yeux. R οφθαλμός.

Μεγαλάφλε£ος, », qui a de grandes veines. R. φλε'ψ.

Μεγαλ&φρονεω , avoir des senti— mens élevés—avoir de Γοι-gueil ; avoir une grande opinion de soi-même, une opinion trop avantageuse de soi-même. Μεγαλοφρο*εϊν izrt t5 'ττλκτω, s’enorgueillir ou tirer va'îité de scs richesses. R-φρην. Μεγ«.λοφροσυνη , ης , η> grandeur d'âme ; grandeui* de senti-mens; élévation des sentixnens. Μεγαλοφρων , ονος , ijUl a une grande àme ; qui a de grands sentimehs ; qui a des senti-mens élevés, f Μεγαλοφρόνως, adv. avec des sentimens élevés. Μεγα)οφν·?)ς , toç , doue d une grande âme ; magnanime.

[ Μίγαλοφυιια , οις, fi , magîia-.    n imi le. R. φυη.

Μεγαλόφυλλος, », qui a de grande» feuille*. R. φνλλον.

Μεγαλοφ»νία, ας, η, grande voix.

* [Μεγαλόφωνος, », udj. qui a une grande voix—sublime danji scs discours. R. φα>νη\

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ΜΕΓ

Μτ*αλοψυχία, «ς, grandeurd'âme^ magnanimité — magnificence.

£ Μεγαλόψυχος, h , adj. qui a une grande âme ; magnanime. Με/αλόψυχως ιχιιν, avoir une grande âme. Κ. ψνχη.

Μεγαλυνβ», fut. vv», aor. i tpty<&~ λννα, agrandir; exagérer ; amplifier — vanter ; relever en termes magnifiques. [Με^αλύ-vofxat, se vanter, s’enorgueillir. .

Mt y «λύνω* rendre puissant.

Μχ^αλώννρος , « , qui a un. grand nom ; très-célèbre. R. όνομα.

Μεγο&ως , adv. grandement ; ma-nifiquemeot — grièvement— eaucpup—très.

MtyàWç, dans un grand espace.

Μεχαλα>ς·1, Ion. pour μεγάλης. '

Μεγαλωτννη, ης, J) t mém. sign, çue μεγαλοσύνη.

Mtyavwp, ορος , ©, qui rend les hommes orgueilleux. R. άνηρ.

M/yapa, ων, τ&, Mégare, ville. [ΜεγαρεΓς, «y, les Mégariens.

II Mcyotptxv), le pays de Mégare.

ÎMtyapîç, ίίος, η, mêm. sign. Miyapaii, adp. pour «ίς M/-yctpa , a Mégare. [ M«yotpoe pour iv Mcyatpotç, dans Mégare. [Mcyotpoécv, de Mégare. [M«-γαρίζω, imiter les Mégariens —répandre de fausses larmes, à cause çue le pays de Mégare etoit très-fertile en o gnons, d où étoit penu le proverbe Μιγαριων £<xxpv«, larmesdes Mégariens, c. à d, fausses larmes.

Miyapov, «, Tfc, palais — temple uiaiscn—domicile—étable.

Μεγαρσις, ε»ς, -η, envie—haine.

f Mcyotoroç, 5, adj. envié —

, haï. R. fityaίρω.

ΜΕΓΑΣ, μεγάλη, μιγα, gèn. μιγά-λον , acc. με'γαν, grand—grand, c. à d. avancé en âge—grand,

c. à d. qui jouit d'une grande puissance. Μ/γας £άχ7υλος , * le pouce. Μεγάλη νόσος, l'épilep-sie. Μ/γας βασιλεύς, le grand roi, c. à d. 1© roi de Perse. Α/ρεσθαι μ/γας etανςεσθα: μι;ας,

, Dém. s’agrandir ; devenir plus puissant. Μεγοίλα 7rot*Tv, exagérer; agrandir. V. ptyx, ρεγα'-λως, μίγιςον.

Μεγασθενης, «'ος, mém. sign, çue μεγαλοσύνης.

Μεγαυχης, mém. sign, çue psyd-

λαυχός.    ^

Mcyafpov/«», mêm. sign. çue fuya-Χοφρον/ω.    .    y

Μίγαφρων, mém. sign. ÇU€ ptyx-

Λογρνν.

ΜΕΘ

Μεγ«θος, «βς, το, grandeur; hau* teur—taille , stature t— véhémence—violence.

Μεγεθος, grandeur, au fig-i grandeur d'âme ; magnanimité —dignité ; majesté; sublimité.

Μεγεθουργία, «ς, η, grand ouvrage. R. tpyov.

M«y«0wv», rendre plus grand ; agrandir. R. μ/γηθος.

Μ«γηρατα xtxva, liés, enfans extrêmement aimables. R. Ιροίω.

Μεγις·αν«ς , «v . οί, dat. ptur. με--/ις-ασι, les grands. .

'miy^o*iadv. grandement—beaucoup. Μ/γις-ον £υνασθχι, être très-puissant.

Mtyiçoç, e, adj. superl. de με/ας, très-grand ; très-ample—très-élevé — très - puissant — trèi-difficile. Kaî ito μί/(ς*ον, principalement; surtout—et ce nui est le plus important. Ί7» ci ρίγιςον, et p/ytçov $1, mém. sign. Είς μ,ίγιςα, mém. sign, çue μ/*/ις·ον, adp.

M«£rvo>, ptâita, Att. pour pi3ρ>.

Μείησομαι Yfut. moy. de ptStομαι, pour μείομαί, V. με'£ω.

Μ«£ιμνα~ος, αία, αΤον, adj. qui égâle un médimne. ΙΙ.{χ/<Ϊιμνος.

ΜΈΔΙΜΝΟΣ , ν, ό, MÉDIMNB, ancienne mesure greeçue pour

‘ les solides , çui conte no it six boisseaux romains ou çuaranle pintes de Paris.

Με£οίατο, Ion. pour μ/ίοιντο.

Μι'ίονσα , ης, η» MÉDUSE, /WOT de femme.

Μ^ΔΩ, commander; régner. [Μ/ίων, roi, souverain—commandant. [Μ<£α, avoir soin. [Μβίομαι, mcm. sign.·—de pl. avoir soin de ; s'occuper ae ; songera. [Μεί»«,μ«&νω, mêm. sign, çue μιίω.

MIÇta, ων, τα, parties génitales.

Μιζόνως, adp. Ion. pourptiÇόνως.

Μιζ’ων, Ion. pour μιίζων.

Μ·θ* depant une poyelle aspirée pour μ<τα.

Μιθάλλομαι, sauter d’un endroit dans un autre ; courir par bonds. R. άλλομαι.

Μκθαμόρζο», ^τ/ω., ριθαμορζόραι, changer un» ohosc de place pour l’adapter à une autre— adapter ; accommoder ; ajuster

— changer ; convertir une chose en une autre—corriger; châtier; rendre meilleur. R, άρμόζω.

McGrnxcv, Ion. pour pcGftccy, 3e pers. sing. aor. i de ρΛίημι.

McficcÂov, aor. a de ptBottpfo.

ΜίθιΤραι,    ds    ptQir;p<,

TVÎE0    6n

MiêiTva: , μι^ίΐς, fvτος , infin. et . part. aor. a de μιβίτημι.

M«6irrc pour μιGrivjT».    ‘    '

Μεθιίω pour μώΰ, subj. aor. a Λ μιΟί-ημί.

ΜίθιχΊ/ον, il fîhit participer à.

μζτίχω.

MiOtxlixi;, γ}, ^»vt adj. qui a la propriété de·participer h. ΜεθίχΤος. S, ailj. dont on est participant.    .

Mc9eXt7v, inf aor. a de μιθαιρϊ'ω.. ΜίθΔ/σχω, poèt. pour μίθκιριω. -ΜιθΛχω , ramener en traînant ; retirer en arrière. R. μιτα ,

Πχω.

Μίθ/μιν, αεθ/μβναι, Ion. et Dor.

pour μιθ(7ναι.

McO/ξις, ίως, participation ,* communication. R. εχω. ΜίΟΙξομαι, fut. ι moy. de ptityra. Μίθεορτος , «. Μίθ/ορτος τ,μ/ρα, le lendemain d’une fête. R. éopt/î. Μεθε«χο>chercher en suivant la trace ; suivre la trace. R. îW: Μεθερμηνεύω, fut. ιυσ», interpréter ; traduire. Μεθερμηνίυίΐρ χατα λε'ξιν, traduire mot por\r mot ou littéralement. R. ερμν^ νε^ω.

Με'θες, μιθίτω, impèr. aor. a de μίθίτημι.

Mtôtçàvai, sync.pôur μεθζςα*ίνai, de ρεθίςιημι.

MtQeçoiÇf ωτος, et neuf. μεΟίς-ος, ότος , sync, pour μεθες^χώς , part. parf. de μιΜςϋμι.

Μεθετεον , il faut laisser aller; il faut renvoyer. R peQfapt. M/On , ης, i), ivresse. R. με'Ου. Μεθ^χα * parf. de ptBtvipt.

Μεθηχω,    sign,    çue μι Tip

- j> Μεθηλιχιοομαι, -ουμα».,passer dun âge à un autre. R. ^Xtxla. Μεθηλιχιωσις, «ως»- η y 1e passage d’un âge à un autre. Μεθημεριν^ς, tj^kv, de jour; qui se fait pendant le iour. [Mf-6nptpivop> de tous les jours; qui se fait tous les jours. R. ήμερα.

Μεθγίμοσννη, ης, η , relâchement ; négligence; nonchalance. [Με-θημων, ονος, qui se relâche ; qui se laisse aller à l’abandon ; négligent ; nonchalant.

ΜεΟησω , fut. de μιθίαμι, infin.

μεθτίσερεν, Ion. pour μεθησπν, Μεθιει, Cojftr.pourptBUt, 3?/wj.

sing, imparf. de ptBirtpi. Με8ι/μ«*αι, Dor. pour ptQitvy.i ^

■ iufin près. </* piBvnpc.

Μίθίβν,    pour μεΟίβσβν , 3*

/7/«λ. imparf % de ptBiv&i. Μιθίημι , fut. ησ» , P**rf. εΛα * Λ*/·, ι ΐίχ*Λ imparf. άι», acv. λ

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6ί2 ΜΕΘ

ÿjv, laisser aller ; abandonner —laisser ; négliger—omettre. ΜιΟίτ,μι xh, itôyxartpxxTttv, Xèn. j’omets de faire ce qu il faut.

MfÛitïfxt, permettre. Oi μι-4 Γ4χ« et 3«νπν, epigr. je ne vous ai pas laissé mourir.

( Μιθί-ημι, produire ; pousser. M»0tV4crc βΧ'Χ'-'ίν , Thcoph. il pousse un bourgeon.    e

ΜίΟίιμαι, laisser aller—laisser; abandonner Μ«θ«σ9χ v^v μοΰ , Aristoph. main tenant , laissex-moi aller. R. Τημι. ΐτϊ.θίςψιμ* , fut. μιχαςύνω , parf. jitÜrVwca, aor. ? μιχίςην, établir ou mettre une chose à la pJare d'une autre ; substituer ; introduire une^chose à la place d’une autre. Οοως tx τϊΐς χαθε-^■*jxvtocç πολιτείας άλλην μιχας'η-σω-ιι , Arist. afin de changer la forme du gouvernement.

» changer. McOtçvi^t τον χρώματος, Aristoph. je * change de couleur.

McflcçYjpu, transporter; transférer — chasser — envoyer en exil—forcer à Immigration.

, rarçicner; retirer, retirer quelquun du Ace, etc. ^ M«0»Vx^a»» pass, être établi à la place d’un autre—être changé, etc.

MtûÎçaquu, neut. changer de demeure — émigrer—aljer en exil— mourir. [ Μεθις-ώτες, les exilés—ceux qui sont moru.

[ MtGtça/··*, pisser, dun parti dans un autre; pasier du coté de*. ■

MeQtçay at, dans Homère , se trouver souvent au milieu de ; fréquent or.

Mf6tç«Jo Χυττ^ς, φο%ο\>, dans Pur. cesser de vous affliger, fessez de craindre.

ΜίΟις^τθαι , dans lie rod changer de sentiment.

ΜίΟις·ΛσΟ*ι èrjî irPoL

reculer; se retirer. R. ιςτ,μι.

MïÔtVoii/at, act. eloigner ; «caiter·; chasser.

MftiVov f* μεθίςηχ* ont la sign. neut. comme dans tes aubes composes ίΓίςνμι. Mrrx-f5iy, quitter la vie; mourir. ’X^pto» π pif% Λαχ<οα*.ίΑονι5ν; fitQtç-nxczu, Xer.. Hell, i, les

}>ays qaL avoient abandonné e parti des AtbénTei^û pour celui d^s LncédéinoniMi'. llfOo, après que. R. 2. ^ tfcOo^cfa, ας, ή, surprise; mi· bûches—fraude , tromperie. *ί·θο<ΐινω, fui. «V70J , purf· μ:0&~ ί.-wxα , traiier mclltodique-

ΜΕΘ

ment; traiter avec art—chercher; poursuivre—machiner; tramer contre quelqu’un. . McOo&ïyto», conduire quelqu’un dans un autre chemin que celui qu'il avoit d’abord pris.

R. οίπγιω.    ,

Μβθοίιχος, 5, adj. METHODIQUE \ qui fait avec méthode ou que l’on fait avec méthode.

_ Μίθοδιχη, la méthode, partie de la grammaire qui apprend à parler c orrectement.

Μίθοί*χ»ς, adv. méthodique· ment.    ^ #

Μιθο'άον, «, xb, provisions de bouche pour un voyage tromperie ; fourberie. R. ό<ΐός. MUOoioj, u j .'hy voie courte et méthodique pour enseigner une chose aux autres ou pour l’apprendre soi-mènie ; méthode ; traité méthodique— tromperie ; moquerie ; l’action . de se jouer de quelqu’un. Μβθομιλ/ω, mêm. sign. ou'ôuiUto Μ(θοριξω, confiner à. [Μεθόριόν, v, xo . confins—interstice* intervalle. [ Μιθ ao toç , » , adj. nui confine à; contigu— qui forme la séparation entre deux choses; qui sert de limite. R. ùpος.    '    .

Μεθορμίζω * Μ· ί<τω, faire passer d’un port dans un autre. R. ορμίζω.

ΜΐίθΥ, xb, vin.

MîOvlotv»;, tf, J)or. ας, qui donne le vin, èpith. de Bacchus. R.

ia/0v , άί£ωμι.    .

Mcôv-ivaie; , « , β , surnom de Bacchus. R. με'θν, vin ,' ou ΜίΟύανη, Mélhymne, ville de nie de Lesbos <m il ètoit honoré.

ΜεθνσΗξ , νίγος, adj. pris de vin;

ivre. R. πλάσσω.

Meôviyoivopxc , chausser après quelqM’un, Aristoph.

Μιθνση, »ς, ή, une ivrognesse.

R. «ιε'θνσος.

Μ&ναχω, fut. μίΟυσω, parf μ'.μι-Ουχα, enivrer, au propre et au fig. όσα it’ τό'ΐονΤΪς μιΟ^χονχΛ, Plat, tout ce qui nous enivre de plaisir. [ ΜεΟύσχω, arroser abondamment^ [ Mi6vsxca«c, s’enivrer. EuiB'jtjQri xü v/xlaρος, Luc. il s’enivra de uectar. Μ/Ονσμα, avo;t ce qui enivre. MiOuacr.c^xGoç t «, n, qui joue au coitabe étant déjà ivre—ivre. R. χίχΊχζο;.    '

ΜιΦνσος, tf, fèm. μιθύση, ivre — ivrogne. ·

Μίθν^ερβν pour pitO’ νς-epov, ensuite .

MEI

Mf6u<j-«xV> «> adj. qui s’enirre nisément; enclin à l’ivrogne^ rie; ivrogne. [ Mc6vçu^, qui enivre.    ^

Μιιθυσφαλης, toç, celui que l’ivresse fiit chanceler oa tomber. ΜΓθνσφολ^; ?χ»ο; , pas chancelans d’un homme ivre. Μίθνω, fut. νσω, être ivre, au propre et au fig. ΜβΟνοντις νων, Thèophyl. ivres de plaisir. Μ<θνω , actif, enivrçr. Ήιιαγωγίω,apporter moins; payer moinsv V. μβΐον. R* μιΓον, oTy». MEIA^O, pti$c*,fuf. ιίσω, sourire. f Mti&ijMt, ατος ,    ,    douic

sourire, subst. ; souris.

MsiSttiï ,fut. άνω, sourire. [ Mn-èlapxn et μιιδία-τμα, ατος, το , doux sourire; so«iri$. [ΜιΓίος, toç, τ^, mêm. sign.

Μι«*χ1/ω, avoir moins; avoir une moindre part; être moins bien partagé ; jouir d’un sort moins avantageux; être dans nue condition inférieure; avoir un rang inférieur, f Μίκ'χΤημχ, ατος, xb , -moindre partage ; plus petite part ou portion; sort moins avantageux : rang inférieur; condition inférieure. R. μ$?ον , ?χ».

Μίϊζον , neut. de μίΐζων. [ Hïtt^ov.

pris adrerb. plus; davantage. Μειζονως, adv. plus; davantage —plus grandement—plus qu’il ne faut. Μ(ΐζον«ς λογον, plus qu’on ne peut dire; d’une manière inexprimable. Με<ζάν«*ς λααίοίνιιν, Thuc. estimer une chose au-dessus de sa valeur. Mt Ιζων, ονος, compor. krèg. de μί/ας, plus grand—plus haut —plus désirable; préférable. Mct'Çoiv λό/ov, qui est au-dessus de toute expression, inexprimable. Mcc&0 ^ χ*τ άνθρωπον, Plat, des choses qui sont au-desMis des forces de rhonme. Mit ζόνως χιμάσΰαι, faire pliW grand cas; estimer davantage.

Mec£wv, plus puissant. V. ci-dessus μείζον et μξίζόνως, ad?. Mit Αοις, poèt. pour ρ/λας.

MstV/p», ατος, xb, adoucissement;

ce qui apaise. R. μΛάισνω. MttlixVjfjtoi, i# f adj. propre^ à adoucir—propre à apaiser. MttXixlopj·», mém. sign, que

μΐίλιγμ*.

ΜκλιχΤος, 5, adj. adouci—qui peut être adouci.

M.iltvoj, ί, adj. doux.

Με:λ;ξις, V. μπλίσσω.

Μείλιον, «, το, présent qua Γοη fait à quelqu’un pour.l’adoucir ou pour le gagner—-pri: ν·πβ

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/

MEI

ajoutes à la dot—dot. [Meilio*, mém. si g*, que τιμωρία, dans Àpoll. /. 3.

MElAÎI2Q,/k>. ££ω, emmieller; rendre doux comme le miel.

Il s*emploie plus souvent dans le sens métaphorique : adoucir

, —flatter; attirer; gagner par «les paroles ou des actions engageantes. [ ΜίΛιξις, «ως, η, Faction de, etc. tous les sens du verbe μαΧίσσω.

Μ«ιλΐχια, ων, τλ, sacrifices non sanglans dans lesquels on offroit les fruits de la terre au lieu de verser le sang des victimes.

Μ«ίλιχι*, ης v η y douceur—mollesse; relâchement.

Μ«(λ/χιος et μίΙΧιχος, y, adj. doux; gracieux—flatteur—pacifique; conciJiatoire.

Μίίλιχιως, adv. avec douceur; d’une manière douce, caressante , flatteuse.

M<(λ<χς<?ωρος, e, adj. qui fait de doux présens. fi. μ«ιλίχιος, ίωρ ον.

Μ«»λιχόμητις, ιος, qui est d’une humeur douce; clément. K.

fitfCi*.

V. μκΜχιος.

JfttT'/àu, μίίνας, αντος, deft/νω.

Jtfctov, adv. moins. Mcîov ίχκν,

^ mcm. sign, que μοονβχΐίΐ*, ci-après. Μ«Γον αο«χ«ιν , être moins éloigné.

Ί% fxiTov, le sacrifice offert par le père du jeune homme qui se faisoit inscrire sur le registre de sa tribu lorsqu'il avoit atteint sp majorité, sacrifice ainsi çppele parée que la victime qu'on immoloit étoit d'un moindre poidf que les vie* times ordinaires. [ Micay«ytoj, offrir le sacrifice appelé μιΐον.

Mciov«x7<ci>,yfr/. ni**/, avoir moins; être moins avantage' ; être moins bit· traité—avoir une part moindre, un moindre partage ; un sort moins avantageux—être 4’une condition inférieure , d’un rang inférieur ; èlre inférieur à, avoir Àu désavantage. [ Μειον«χ7ημα, •rcoç , ΤΟ, μειονεξία, ας , η,

moindre part ou partie ; sort moins avantageux ^nferiorile'; désavantage ; moindre condition. H. μ* Γον , «χω.

Μΐ'.ονιζιβ, ας, η, mém. sign. que μ«tovixl ημα.

Μ«ιοτ«ρος, i| moindre.

Hdovpici, ce;, queue écourtée

— le manque d’un· syllabe bièr* ou longue ^ la fin du

ΜΕΛ

vers \ vers qui cloche aux derniers pieds.

MctovpfÇw, avoir la queue>écour-tée eu coupée.

MitiV|>o(, y, adj. qui a la queue écourtée ou coupée—dont les extrémités sont écourtées — (vers) qui cloche aux derniers pieds, η. μεΤον , ojpàL

M*iοω,/ut. ώσω, diminuer. [M«iff-σθαι , être diminué ; être moindre; être inférieur; avoir du désavantage· Oviiv fiytira

μαουσθ&ι των μιγχΧοι -θύοντων, il croyoit que son petit sacrifia; vnloil autant que les grands sacrifices des autres. Μ«ιονμαι τίιν ίία'νοιαν, mon esprit baisse ou s’affoiblit. [Μειονσθαι, mèm. sign, que μ«ιοvtxliXv.

Mitpaxivofxac, entrer dans l’adolescence. [ lÿfctpaxcvopLOtc et fut* οαχιβνομαι , acir en jeune nomme; avoir la fougue et la pétulance de la jeunesse—faire l'enfant. R. μαραξ. ~

Μ««ραχίζομαι, entrer dans l’adolescence.

M«tpocxtov , «, jeune adolescent. [ ltf«tpaxt<rxoç, «f, 6, petit jeune homme. Γ M«ιραχΐσχη, ης, vt petite adolescente.

Μ(ΐρ<χχιόομαι, entrer dans l'ado-

- lescence.

MttpaxMvtç, «ος, adj. de jeune homme; qui ne convient qu’à un jeune nomme ; puéril.

MEÎPAS, «χος, o et ή, adolescent ; adolescente — jeune enfant.

Mtipco pour μίίρον, impèrat. de μίίρομαι.

Mttptvai pour ?μ«ιρ«τα<, ou 3epc&. singf prés. pass, de μείοω.

ME/pîI , parf. pass. μβμαρμαι , AU. «ΐμαρμαι, parf. moy. £μ-μόρα, partager; diviser. [ Κμ-ρορα, j’ai obtenu par te sort; )’ai obtenu; j'ai eu part à; j’ai reçu eh partage. V. ci-dessus « Γμαρμαι.

M«î<, μηνος, Eol. pour μην, mois.

MEÎON, ον·ς, moindre ; plus petit.

Μβίωσις , «ως , ή , diminution. ΜιΓωσιςτψνχ?ίς, diminution des forces de 1 âme ; abattement d’esprit.

Μ«ιωηχος, ï, adj. qui a la propriété de diminuer — diminutif. -

MctuT^ç, Sf adj. diminué—qu’on pout diminuerait, μ«κκ».

ΜιΧαγίβιος, y, adj. etμελά?fit ως, ·>, adj. dont la terre est noire. R. fiAotf, y«r«.

Μι)«τχαρν«$ , m, adj· dont le

MEA 6*3 /

fruit est noir—qui ne produit d'autre fruit qu’ime affreuse obscurité. H. μΛας, χαρ·σός.

Μ«λά?χ«ρως, ω, qui a des cornes noires. R. xc'paç.    ,

ΜώαχχΙρυφος, «, becfîgue, oiseau a'utsi appelé après f automne.

R. xopvtpYj.

Mc)aryχαίτης, y, qui a les cheveux noirs. R. χοάνη-    ■    *

Μ«λά/χ«ιμος, y. T& μίΧάγριμα 9. des endroits où li neige ne tombe pas pendant l'hiver, et

3iii semblent noirs au milieu ’autres endroits blanchis par la neige.

MiXeiyxipoç, » 9 adj. noir.

Μιλα^χιτων , *>νος , vf hi d’une

/ tunique noire ou d’un habit noir. R. χιτων.

Μ«λχ7χ)α(νος, ^ adj. couvert d’un manteau noir. R. χλοιίνα.

Μιλά/χλωρος, v, qui est d’un pâl· foncé—vert et noir. R. χλωρός.

Μ«λα>χολ(χω, être tourmenté par une noire mélancolie; être d’une humeur atrabilaire. R.

χολη· , , .,. .

Μ«)αγχοΧΓα , ας , η , aliénation

d'esprit causée par Tabou-dance d'une bile noire; MÉ-LaNCOLIR. [ Μ«λαγχολιχος, δ, adj. mélancolique—causé par 4a mélancolie. Μ«λα?χολιχον ιτάθος, mélancolie. [ λιχως, adv. avec mélancolie comme les per^nnes mélancoliques.

McXoyyprK, /ος, adj. qui est d’un· couleur noire.

. Μ«λα>χρονκ, /ος, μάάγχροος, -ρονς, μβΧάγχροιης et μιΙάγχρως, οος, mèm. sign. [ Μ«λα7χρώς, ωτος, qui a la peau noire. R. «

Μ«λα<ΐινης, qui excite de noirs tourbillons — qui a de noirs tournans d'eau, de noirs abi-rues. R. μύας, ίιν/ω.

ΜΕΛΑΘΡΟΝ, y, xb, maison; palais.

M(\aQpov, poufre transversale qui soutient le plancher.

MtXatv*,jem. de μΑας.

Μίλαινάηος, aigle noir. R. μ/λας, άιτος.    1

ΜβΧαίψομαι, être noirci—se noircir ; devenir noir.

MtXatlvta, fut. «v», noircir.

Μ«λ«μβαθ/)ς, «ος, que la profondeur fait paroitre noir. R. βάθος.

Μ«λαμ£α^)ς, /eç, teint en noir— dont la couleur est noire. R.

β dital ω.    ^

}1«λάμ£{ος, y, qui mène une vie . obscure. R. βί·ς·

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β«4 ΜΕΛ

Μιλάμβωλος, «, dont les mottes sont noires—fertile. R. βόλος.

Μιλάμ-σι-σλος f *, couvert d’un v île noir. H. ‘ΤΓΓπτλος.

Μιλαμ/σε'ταλος, <t. «jui a les feuilles noires. R. τΥταλον.

Μιλχμ«τ<£&ον , « , -Λ , ellébore noir, plante.

Mààfjuruyoç, « t adj. qui a le der

* îrre noir—robuste. R. *υχ».

Mtbxfxnrjpον, y, το, mém. sign, que μύανρος.

Μιλάμφυλλος, «, adj. qui a les feuilles noires. R. ψύλλον.

Μελάμ^υλλον, v, το, branclie-ursiue, plante.

Μιλάμφωνος, », ·, qui a la voix bas*e ; qui a une voix sourde.

R. ψω/r,

Muav, neut. de μΛας.

Μ*λ«> , su6st. encre—noir , subs t. ftt/λαν ζωγροβριχον, du noir de peintre.

Μελάναυ>>»ς , /ος , qui est d'un noir luisant. R. aOy».

Μιλάν£ιτον, *, (αορ, épée ), dont la poignée est noire. R.

09.

Μ«λαν<$όχος, tr. Μιλαν^οχος x?«r»f encrier. R. μιλάν, <ΐιχομαι.

Μιλάν <?ρυον, «, cœur de chêne—' ▼esserou, herbe qui croit parmi les blés y et dont la graine est noire—thon mariné. R. ίρυς.

Μ«λάν<Ϊρυς, un grand thon , poisson.

Μιλανκ'μων , ονος, vêtu de noir; ui est en deuil. [Μελανιιμονιω, tre vêtu de noir. R. ιζία.

Μιλάνθιμον, camomille,

MtXoivGZvtxt, infin. aor. I pass, de f/LtXatvta.

Μιλανθ»ς, /oç, qui a une fleur noire. R. άνθος. ·

Μιλάνθ(ον, », το, nielle, plante. ΜελάνΦίος «οα, mêm. sign.

Μιλανία', ας, », noirceur; couleur noire. [Μιλανίζω, être noirâtre.

Μιλάνιον, *, το, violette noire. R. fov.

Μιλανό^ραμμος , y, rayé de noir; marque de rayes noires. R. ψροίφω.    1

Μιλανοίοχ«7ον , Ion. xttov, ir, το, encrier. R. μελαν, Æ/χομαι.

Μελανοιιρονιω, ^ μιλανίιμον/ω.

Μελανόθριξ, τριχος, qui a les cheveux noirs; qui a le poil noir. R. £ρίξ.

Μιλανοχάρέιος, », dont le cœur est noir; dont la moelle est noire—qui a l'humeur noire —atroce. R. χ«ρίια.

Μιλανοχόμ»; , μελανοχομος, ft, ο, qui a une chevelure noire. R.

ΧΟμ»·

MEA

Μιλαίέμαλλβς, «, dont la toison est noire. R. φαλλός.

Μελανώματος, «, qui a les yeux noirs. R. ομμα.

Μιλανονιχυιίμων, ονος, vêtu d’habits de deuil. R. μιλάς, νιχυς , ιΓμα.

Mtλ«νάβτΐιρος, «, qui a des ailes noires. R. VJepov.

MtXavoraltρνζ , υγος, mém. sign.

Μιλανός-ολος, it, vêtu d'une robe noire. R. <τολ»'.

Μίλανότης, ητο;, η, noirceur; couleur noire. ,

Μιλάνουρος, «, adj. qui a la queue noire.

Μιλάνουμος, β, i, MÉLANUEE, .poisson dont la queue est tachetée de noir. R. ουρά.

ΜβΧανόφθαΧμος, «r, qui a les yeux noirs. R. οφθαλμός.

Μιλάν οφρυς, υος , qui a les sourcils noirs. R. ο<ρρυς.

Μιλανοχρο»ς, Ιος, qui est d'une couleur noire. R. χρόα.

Μιλάνόχρβ»ς, «τος, qui a le corps noir αν la peau noire. R. χρως.

ViXxyé», S, noircir. R. μιλάς.

Μιλάντατος, _ supcrl. de με'λας , noir, etc. [ Μιλάντιρος, comp.

Μιλκντηρία, άς, », suc Yitrioliciue —liqueur noire qui s’engenare et s épaissit sur le métal.

Μιλάνυίρος, v, qui répand des eaux noires. R. v£csp.

Μιλάνο», rendre noir; noircir.

ΜελανωβΛς, e, adj. qui paroit noir—noir.

Μελχνωσις, «ως, noircissure— tache.    .

MIÎaAZ, αινα, αν, gcn. μ&ανβς, μελα'ντος, adj. noir. Το μιλάν του οφθαλμού , le notor de l'œil. [ Μίλας, profond. V. μιλάν , ci-dessus.

Μ/λασμα, ατος , τ^, noirceur — tache noire — liqueur ndire dont on teignoit les cheveux.

M^AAQ , faire fondre — faire bouillir; liquéfier—amortir— ronsufiier—faire dépérir.

ΜΕΛΕΑΓΡΪΔΕΣ , ων , ai , poules de Guinée, en j4frique~-\f\ïi~ tades—poules d'Inde.

ΜΕΛΕΔΑ^Νίϊ, avoir soin; soigner ; traiter—s'inquiéter de ; se soucier de; s'occuper de; songer à.

Μιλιί», »;, », soin; traitement.

Μιλε'<ΐ»μα > ατος , τ)> , soin ; inquiétude; souci.

Μιλι£»μων, ονος, φ, qui a soin; qui s’exerce.

Μελικών, ώνος, », soin ; cure; traitement—inquietude; souci.

,    Μ«λιο»ν, roi—curateur—tu

MEA „

teur — administrateur — gardien. f Μιλι£ωνιυς, ιως, ô, μ«-λι£ωνλς, S,,adj. mcm. sign.

Μιλι£ο»ν» . »ς , mém· sign.quep.t~ X/Jyj OU μιλιίημα, OU μελικών , soin, etc.

Μιλ/ισσιν , μ«λισσ<ν , pour p/Xtart y dat. plur. de μ/λος.

ΜΕΛΕΘΡΟΝ, h, το, piégé; entraves ; liens à garrotter les membres. R μιλος.

ΜΙΛΑΕΙ, impers. , imparf. Γμιλι , près, impèr. μίλ«τω, fut. μιλ/σ«(9 tf}att, parf. act. μιμΑιχι, p&rf* moy. μ/μηλκ, on a soin ; on s’occupe de; on s'inquiète de; on se soucie de ; Towro μ.Λ·* μοι, j’ai soin de cela; je m’occupe de cela; j’ai cela à coeur. Τούτου μιλιι μοι, mém. sign. Iïipt τούτου ou vvip τούτου μ/Xtt μο(, mêm. sign. OùSht p/Xu μάι Tory σκωμμάτων, je me «OUcie fort peu des railleries. M/Xct μοι, il est de mon devoir. T$ συ/»λ»τ«« μιλιι wipi τ·ύτβν 9 Pol. ces affaires regardent le sénat.

Μ/αηλι, parf. moy. a la sign» du présent piXti.

Μιμηλως, part, dont on n soin; qu’on affectionne; qui plait—actiç. qui prend soin.

Μιλ«τα<, μιμιλ»ται ymém. sign, que μιλιι.

Μιμιλ»μ/νος, dont on a eu soin ou dont on a soin; au-qoel on prend ou auquel on a pris’intérêt—précieux.

Μ«μ«λ»μινος, qui s’inquiète , de.

Μφ«λ»μι'νως, adv. avec soin ; avec une soigneuse application —artistement.

Μιλ»σιται μοι, j’aurai soin.

Μίλιις-ϊ, adv. poèt. pour μιλν^ον.

MAtov, ad», en vain; inutilement ; sans aucun effet.

Μιλιον, neut. de μιλιος, μίλίος-

ΜΕίΛΕΟΣ, β, adj. vain; inutile —sot—malheureux—qui n’est d’aucun effet.

Μιλι^φρων , ονος, accablé de peines d’esprit. R. μιλιος, φρ»ν.

Μ/λιται, Voy. μιλ*t.

Μίλιτάω , fut. »σ« , avoir soin de; s'occuper de—exercer — s’exercer à; s’appliquer h ; s’étudier à ; penser à; méditer à.

Μελετάω, déclamer ; faire son cours de déclamation, dans le sens exposé ci-après au mot μελιται. [ Μελιτάομαι, s’exercer· Μεμίλιτημιναί τεχναι, les arts dans lesquels on s’est rendu hal)ile par un long exercice.

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ΜΕΛ

ης, ,τό, soin ; occupation —exercice—meditation.

McXctor , declamations, çui serv oient de prépamtion aux exercices du barreau y comme les declamations de Sèneçue et de •Quinlilien.

Μίλ/ηψα, ατος, xb 9 exercice.

Mrhnjpkç, », adj· exeroé.

WfXtT>î«ov, il faut s'exercer^-il faut méditer.

Μιλ^τνίριον , », xb9 lieu où l'on s’eierce, où l’on médite.

Μίλιττοτρχος , » , adj'. propre à P exercice, à U méditation— qui aime à s’exercer, à méditer — déclamatoire , dans le sens exposé au mot μιΧΙχαι.

BffÀiT®, impér. de peXtt. ΜιΧ/χω <701, ayçzsoin.

ΒΙ(λ/τωρ, ορος, o, qui a so in de —chargé du soin de.

ΜΛη, plur. de μ/Χος.

Μ«λ*}<Γον, adp. par membres—par pièees. Μ«λιο<Γον τ/pvtiv, démembrer ; dépecer. R. μίΧος.

Wilvjfia, «τος, το, oe dont on a soin ; l’objet aes soins de— soin ; occupation. [ M*lvj<rtç, y "n f et μιΧγινμος ,5,0, mém. sign. K. μ-fXti. .

Μίλτίσις, fut. de μίΧιι.

Μίλησ*τοutfut. impers. V. μιλα.

ΜΑτασίς, «ως, et μίΧηαμύς, g, ό, soin.

ΜΛητοα , poèt. pour μ/Xsrai.

MtXvTtov, il faut avoir soin.

M^AI, ιτος, xb, miel.

MEAÎA, ocç, ή, frêne—lance ou pique faite de bois de frêne.

Μιλιαί^ς, Dor. pour μιΧηηδτίς.

Μιλίαν pour fullcuv.

Μ«λί6ρομος, v, qui rend un son doux. R. μ-ίΧι 4 βρίμα*.

Μίλιγαθ^ς, Dor. pour μιΧιγιιΒιης.

MsXtyr)$y)ç, Dor. yaA*çf /ος, qui aime le miel. R. γηΰίω.

Xfàlynρνς, υος, Dor. αρνς, qui a une voix douce, une voix enchanteresse. R. y>îpvç.

Μίλί/λωσσος, », adj. dont les paroles sont douces comme le miel ; qui charme par la douceur de son éloquence. McXi-γΧωσσωψ «σ/»ν, des vers doux, Aristoph. R. γΧωσσα.

MrXt^Kov, n, xb, rayon de miel.

Ikf tXtJtàv, ωνος, poèt. pour psXtiav, soin.

, Ion. pour μ.ιλιζ’πν-.

Μίλιζω, Dor. ίσ&ω, chanter mélodieusement ; moduler ; mesurer des vers. R. μ/Χος, vers lyrique.

' " Μιλί^ω, couper par morceaux ; 'démembrer ; dépecer. Μ. μι'Χοί, membre»

ΜΕΛ

Μίλίζωρος, », adj. qui a uti goût de miel. [Μιλίζωρον, », τ^, hydromel, boisson.

Μιληο, Ion. pou? μ(ΧΐΛ.

MsXti)<ivi, Dor. οιίής, /ος, doux

e comme du miel. R.^./At, *<ΐνς.

*Μιλιθρ*τ»7ος, », nourri de miel. R. τρ/φω.

Μ«λ(θροος, θρβς, qui rend un son doux. R. £ρόος.

Μώίϊνος, κ, adj. de frêne. R.

MsXtxypta, ας , ή, pusblanchâtre qui sort d'une plaie.

Μ«λιχν)ρΐς , MÉLIC^BIS , tumeur enh is fée formée par une matiere Semblable à du m iel.

MeKxvjpov, », xb, «rayon de miel.

R. xrjpoç.

e, adj. Μιλιχ^ς «οιητίΐί, poëte lyrique. ,

ΜιλΓχ^ατον, », Λ, hydromel, boisson. R. μ/Xt, *«ράω.

MtXtxpaxov y dans Hom. boisson composée de miel et de lait.

ΜιΚχΊαινβ, ^ς, if, mélisse, herbe.

Miltxlàrç, Dor. pour μ/ΧιχΊνς, S,

h, chanteur; joueur de flûte. R. p/λος,    -

Μιλΐλντον, μ^λ/λωτος, », M ELI LOT, plante d une odeur douce, çu on prerid pour le lotus. R. μ/Xt, Χωτός.

MtXiXtSxtvoç 9 μ9 adj. de mé-lilot.

Μιλίμηλον, m, rb, pomme douce; pomme de Paradis. R. μύι,

μηλον.

MtX(vr), νς 9 ιη,, panic, graine semblmhle au millet.

ΜΛινο», », xb, mélisse, herbe.

ΜΛινος, s, mêm» sign. α«λ<νν).

McKot)x1ov , », tà, pain aépice

— gâteau de miel, R. μ/Xt,

ir*yvv/ju.

Mtittjvooç, », adj. dont le souffle est doux. R. irt/ω.

Μίλίρρντος, »{ adj. d’où coule le miel—qui distille du miel—· mielleux — doux comme le miel. R. ρ/ω.

ΜίλίσρΛ , ατος , τ& , chanson ; chant. R. μάίζω.

Μ*λίσματιον , », xbt petite chanson; petite pièce de vers.

Μιλιάς , *, ο, · Taction de couper par morceaux, de dépecer, de démembrer. R. ut-Χίζω.

Wfii<nro>ioç , », adj. MiXcrerov^a upà, sacrifices dans lesquels on fait des libations de miel aux dieux. R. pAr, σσ«ν£ω.

ΜΈΛΙΣΣΑ, -dt7a, vj;, abeille.

[ MeXivvad*y mêm. sign. R.pu)U.

ΜιλισσαΓος, αί», ό , surnom de Jupiter y nourri perdes abeilles. R. μώινσβ.

ΜΕΛ    6i5

Μί^ισσιΤβττ, », τ^, ruche ; essaim d’abeilles.

Μιλισσ«ιος, fia , κσν , », adj\ de miel.    ’

Μ«λκτσινς, /·ς, ό, qui élève de· abeilles.

ΜιΚσσιον , », mém·    μι-

λισσεΤον.

Μίλισσοδο'τανον, », τ^, mélisse, herbe çue'picorent les abeilles.

R. p/Wva, βοχάνν).

Μίλισσοβότο;, uyadj. oùlesabeille# vont picorer.

Μίλισσοχόμος, », ό, celll* ^ui a soin des abeilles; celui qui élève des abeilles. R. μιλίσσα,

χομίω.

ΜβΧισσονομοι, «y, οί , ceux qui élèvent des abeilles.

ΗίΧισσοσ·ος, », ô, conservateur des abeilles, èpith. de Pan. R.

σόος. '

ΜίλισσοτροφιΤον, », ό, lieu OM

Λ Ton élève des abeilles, où l’on place des ruche*. R. τρ/γω.

MiAc σσοτρόφος, », adj. qui nourrit des abeilles; qui élève des abeilles — où l’on élève des abeilles—où les abeilles vont picorer.

Μίλισσουρ^ίχλ, ων, ràc, traité sur les abeilles. R. ίργον.

Μιλισσοφνλλο*, « , mélisse y.herbe çue les abeilles aiment à picorer. R. μ/Χίσσα, ψύλλον.

Μ(λιατσάν , μιΧιτΊων , mvος , ο ,

endroit où sont placécs le» ruches.

Μιλις-οηύς, Ιος, qui distille du miel. R. μΙΧι, ςάζω.

Μιλίταινα, υς, μιΧιχιΙα, ας, r, > mélisse, herbe.

Μίλιταϊος, «, adj. qui est de Π1· de Malte.

Μ<λ(τ«ια, ας, ή , mélisse, herbe.

Μιλίτπον , », xb*, μεΧίτιον , », eau de miel.    ‘    x

MiJi-roV/pov, «, τ^, doux comme le miel.

MsXixfjpioç y et ^tXtrnpbç , à # iv , de miel ; qui est de la nature du miel ; qui a le goût du miel. Μιλιτηρ)»» ày/βιον , pot oil Ton met du miel.

Mf λίτινος^ mêm. sign, çue μίΧιχ^ρός.

MtXtxtov 9 V. μιΧιτίΐον.

MtXixixioÇy ». Μιλίτίπος οΓνος, vin emmieUé.

Μιλ(τ»της λίβος, hyacinthe ou topaze, pierre précieuse.

Μιλιτό*ις . «ντος , adj. mielleux ; emmiellé—doux.

Μ«λ(τόίσσ«, πς, ri, gâteau de miel.

ΜίΧιχοχτωΧ-ης9 », o,, vendeur de miel. R. ττωλ/ω.

Μιλίτόβτωλις, vendeuse de miel.

ίΜιλιτοσωλιω, vçudrc du miel.

L ρλ(, Όυλ««>

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6.6 MEA

ΜιλίτουργιΤον, β, lieu ou se fait le miel.    ^    e

Μ(λιτονα^>ς, S, ô, qui fait Je miel —celui qui tire le miel des ruches. R. μΛ«, fprov.^ Μίλιτ»ργία , ας , η, Faction de faire le miel ; 1? travail des abeilles.    #

Meiiroutla, ης, b, gâteau de miel. Μ«λΐτόφνλλον , « , τΐ> , mélisse , herbe.    e

Μιλιτόβ·, fut. ωσω, assaisonner avec du miel—emmieller. MtTUrlct, Ati. pour μίλισσ*. McXiVIe·*, *, τ*, petite abeille. JfeitTÎiç, mélisse, herbe. t ΜιλιτΙοτρο?etov, m , to, lieu OÙ sont placées les ruches —- endroit où l’on élève des abeilles. K. τρι<ρω.    ·

MiÎUtIoυργίω, élever des abeilles. [Μ«λιτ?ονργ*α, <χς, i, som des abeilles. [MeXtTlowpybçf 5, qui élève des abeilles, R. μΛι, /pyov. Μύιτίητ*, conir. pour μάιτίεσσα. Kthxloûxa, mêm. sign, que [«λιτό ντίβ.    β

Μιλίτϊω^ς, κ·ς * adi. qui est de l'espèce de· abeilles ; qui ressemble aux abeilles. Toc μιλιτ-Ιωίη τSv ζώον, les abeilles; Μ«λ»τ7«ίης, rnâm. sign, que μιΧι-njoto;.

Μα.τΐώ», 5*o«, mê*. sign, fut

μίλισσων.    r

ΗίλιΥΙωμα, V. μιλιτωρχ. # Μίλιτώ^ί, «ος, V/. de miel; mielleux—qui a un gout de miel; doux comme le miel. Μ«λ·**»μα, «τος, τΐ>, gateau fait avec du miel.    ‘

Ηι\ίφ^ος, *, adj. qui a une voix extrêmemeut douce ; qui rend des sons doux. R. μΛι,

<pô«yf«.    ,    i>*

Μελιφ<ν»>ν, ονος, qui delecte 1 ame; qui réjouit les sens. Μιλίφρονα «rrvp^v , dans Hom. le blé qu aiment les chevaux f c. à d. l’avoine , ou, suivant d autres, le tiphe, sorte de blé. R· φρ*· Μελιφυλλόν, t», mélisse, herbe. ^ Μ«λί<ρυρτος, « 9 m^lé de miel.

R. <pVp6».

Κίιλ^λωρος, h , jaune comme le miel.

Μίλιχλωρος , dans Throcr., une brune piquante.R. χλωρός. Μίλιχροος , ονς , μάίχρωος , η , el μελιχρώς , ώτος, ο et η , qui a la couleur du miel. R. χρόα. Macvpbç, 5, doux comme le miel; miellé; emmiellé—qui a la couleur du miel. Μίλίχρβς, V. μίλιχρο'ος.

Μιλ?χρνσος , * , ο, topaie, pierre prccieuse — hyacinthe, pierre 'gréciouse.

MEA

Μίλιχρωος , V. μ«λιχροο{.

Μίλιχρως, V, [Ac\iYpo9ç.

ΜΑχα, ης, ν», aliment préparé avec du lait, et propre à rafraîchir*

Μιλλ&ος, », à demi raort.

Μ«λλίίρην, ινος, o, enfant déjà grand. R. μιλλω, «tpvjv.

Μιλλ/νοσις, ιος, o, futur époux. R. μΛλω, ηοσις.

Μ«λλ/τ3τ1αρμος, f, ô; oui est sur le point d’éternuer. R. ιτ7αρμός.

Μ«λλιφτ)?ος, «, qui va entrer dans l’âge de puberté; qui a quinze ans. R. μ/λλα>, «<ρηβος.

Μ/λλημα, ατος, τ^, μβ^λνισις, ««ς ,

4,    et μ«λλνχ?{ώς, ». ό, retarde

ment ; remise ; délai ; lenteur ; temporisation.    ^    .

Μιλλητης, i , i , temporiseur ; lent ; paresseux ; qui remet

. toujours au lendemain ; qui diffère toujours d’a#ir ; qui manque d’activité. [άΐ«λλητιχ£;,

5,ô,    mêm, sign.

Μ«λλι/ρη, ης, η, celle qui $e dispose à être prêtresse ; qui fait son noviciat. R. itpn-

Μ«λλόγα|*βρος, , ô, gendre futur ; futur époux. R. γαμβρός-

Μιλλόγαμος ,    ,    qui    doit bieutôt

se marier. R. γ<ψ/ο».

Μ«λλοθάν«τος, ·, <jui doit bientôt mourir; cassé de vieillesse.R. θάνατος.    >

Μίλλονιχιάω, -ω, différer comme Nicias, général athénien—être temporiseur. R. Ntxttiç.

Μιλλονυμφη, ης 9/ fjiture épouse ; fiancée. R. ννμφη.

Μίλλονν/χφίος, -νυμφος, », ο, futur époux; fiancé. R. νυμφίος.

Μιλλόσαις, αι&ος, qui approche de l’adolescence ; qui a dix ans. R. iraîç 9

MÉAAft, fut. μ«λλιί<τ· (de μίλλ/ω), aor. ι έριβλλησα, être sur le point de ; être près de—devoir. Μ/λλω trfyimiv , Thuc. je dois envoyer; je suis sur le point d’envoyer.

ΜΛλω, se préparer à —se proposer de. ίμ«λλ· $-n*>vtiv rrtv yvjv, Thitc. il se pré^aroit à faire le dégât dans le pays.

ΜΛλω, devoir.Τί ΐμιλλον σνμ-βουλ«νσ«ίν αύτ^ trotcTv Dém. que de vois-je lui conseiller de faire ?    ^

ΜΛλω, paroitre ; sembler. Kai r/fi ττοτ’ Γμελλον cv àv^px^tv ολ^ίο: uvoa, Hom. moi-mème je

fiaroi.nsois jadis un de* homme* es plus fortunes Μίλλων , futur. T\ υΛλοντ* , l’avenir. Οί μΛλ#ντ«ς, les ffia-gistrats nouvuJl^me»t ^us,

;    · 'MEA'

mahs qui ne sont pas encôtê

• entrés en charge. Μελλονατ; μάχτης f<rtιτθαι , Thuc. le combat étant »ur le point de se livrer.

Μελλνίσων τι ιταθιΐν , Xén, étant sur le 4>oint d’ètre puni*

Μβλλω , tarder , différer ; temporiser; rester dans l’inaction—cesser.

Μ«λλ«τθα( , être différé — avancer lentement.

Μϊλοχοτσί*, ας, η ν l’action de démembrer, de dépecer, de cou- , per par morceaux. R. xôoîw.

MAojmu , j’ai soin i je suis charge' du soin de. ΜΛ«τ*χ se construit impersonnellement, Μ«λ«τα« fxoc, j’ai soin.

ΜΛον , part. neut. de pAcc. μ«λον, ce dont on a soin , ce dont on s’occupe. M«\o^ y{ <y*t (sous-ent. χατα), puisque vous voys occupet de cela.

Μιλόντων , impèr, Att. pour μιλ/-τωσαν, de μ/Xet.

Μ«λοττοι«», composer des vers lyriques ou des chants lyriques.

R. μΛος, tcguù>.

Μιλονού'α, ας, νι, composition de vers lyriques ou de chants lyriques—MÎLOPii, déclamation notée des anciens; l’art de l? composition du chant, dans là musique ancienne.

MJowocV;, S, ô, poëto ly- * rique ; compositeur ae chants lyriques. [Μίλο^οινιτίις, », mêm. sign, R. μ/λος , -σοιβω.

ΜΕΑΟΣ, «ος, το, membre.

ΜΛος , vers. [ Μελν) , vers lyriques ; chants lyriques.

Μ/λος, modulation ; mesure,    *

en musique. Παοχ ιχΰ,ος, littéralement, contre les règles de la mélodie, r. à d. mal à propos ; hors de saison ; inconsidérément; sans raison; sottement.

Μίλουρϊς, sauterelle qui ronge les blés.    ^

HiXvnBpov, 9,rb, jouet. R.μ/>«τ«.

MtXwofuvn, ne, -h , MELPOMim p une des Muses. R. μΛ-ere.

Μ^\ΠΩ, chanter, célébrer dans des hymnes. [Μί'λσομαι, mêm. sign.— de plus, danser au son d’un instrument ou d’une voix.

[ Μίλ^ωίιος |Αΐλ*τ·>£ός, i , chanteur.

Μ«λJ Jp»v, M , r*, petite PJ^ce de vers; petite chanson, n.μ»0.#ς.

MeWi'ci», chanter mélodieusement; moduler d’une manière mélodieuse, f Μίλγί^τ^ς , b , adj. clianté mélodieusement [Μί'γ'λα, ας, n,

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MEM

chant mélodieux. [ Μιλφ&ς, *, ό, qui chante 'mélodieusement— chantre mélodieux— qui compose des airs lyriques. R. μίΧος , άεί£ω.

Μεμαα , parf\ moy. de μάω, lequel a la sign. du présent.

MtfteiOi^xa , Parf de μανθάνω. ·

Μεμαχως , υΤα , V. με'μηχα.

Με^ιαίως pour μεμηΧ*ς, V. μίμηΧα.

Μεμαμεν pour μεμάαμΛν , V. μ/μαα.

Μεμάνημαι, parf. de μαίνομαι.

Μεμάντοιεν, Ion. pour μάρmouv , aor. a opt. de μάρνίω.

Μεμαρμαι , Att. είμαρμαι , parf. pass, de μι (ρω.

Mcjfutpara, parf moy. de μάρητΊω.

Μιμαρντον pour εμοφπον , aor. 2 de μάρτ/Ιω.

Μ/μασαν pour Ιμεμαεισαν, 3e pers. pl. plusque-parf. V· με'μαα , de μάω.

Μεμαως, μεμανΤα, V. με'μαα.

Με'μβΧεσθε , de μ/μ&Χομαι , pour με'Χομαε , j’ai soi η.

Μιρ.βλ(ται pour μιρίηται, V, μ/λπ.

Μψβλίτο    ΙμεμΑητο, plusque-

^iar//. de μ/Χει, on avoit soin ae; on s'occupoit de ; on donnoit ses soins è.

Με'μδΧωχα , sync. pour μεμόΧηχα , de μοΧ/ω.

ΜεμεΧηχως, £roç, ce dont on a eu soin ; ce dont on s'est occupé. R. μΙΧβί.

ΜεμίΧημ/νος, *, V. μ(Χ%\.

ΜεμεΧημε'νως t adp. r. μεΧει.

ΜφΛίίχα, parf. de μίνω.

adp. en partageant en divisant par partie. R. μερίζω.    *

Με μεπ μένος, *, Ion. pour pcQtc-μ/νος, de μενίεμαι, Ion. pour μιθίεμαι.

ΤΛεμετρίαται, 3e pers. pl. purf. pass. Ion. pour μεμ/rpnvtai t de μεχρίω. ,

Μ/μηχα, parf. moy. de μηχάομαι.

ϋΐ/μ-ηΧι , μ/μγ)Χιν , parf. moy. de μΙΧεε.

Μίμνινα, parf. moy. de μαίνομαι.

Μεμίαγχα, -ασμαι, parf. de μιαίνω·

Μεμιγμ/νως, adp. pêle-mêle — confusément. R. μίγννμι.

Μερίζομαι, paulopbst fut. de μίγ~ ννμι. Μεμίχθαι, inf. parf. pass. du même perbe.

ΙΐΙε'μιχα, -ιγμαι, parf. de μίγννμι.

Μεμναίανο, Dor. pour μειχνήτο.

Μίμναμαι, Dor. pour μεμνημοι ι.

Μβμνε'ωτο pour μεμν^το.

M/jiVn pour μεμνηναι, de μίμνημαι.

Μεμν-ημαι 9 parf. de μνάομαι 9 je me souviens. Μεμνημοιι άχβσας vroxl σου, Xèn. je me souviens de vous avoir entendu dire.

MEN

Με'μνημαί σον Χε'γοντος OB at Xtyovra, je me souviens que vous disiez. Μεμνισο Stvwç, etc. souvenez-vous de, etc. c. à d. ayez soin delete. ; n’oubliez pas de y etc. Οσςι iyo> μεμνημαι 9

, Xèn. autant que je puis m'en souvenir. Μεμνημε'νοι avrfev St* άνε^άρησt, Thuc. se rappelant qu il s'étoit retiré.

Μεμνηχα, sync. pour μεμ/νηχα, de μίνω.    .

Μεμν^ο, 9{to, de μεμνγμην, opt. parf. pass, de μνάομαι.

Μεμνψχο, Att. pour μεμν9}το.

ΜεμόΧυσμαι pour μεμόΧνμμαι , de μοΧννω.    -

Μίμονα, parf. moy. de με vio.

Mtjtopa 9 parf. moy. de μείρω.

Μεμορμαι, JSot. pour μεμαρμαι 9 parf ind. pass, de μείρω.

Μβμονσωαίνος, de μουσόω, instruit dans les belles-lettres.

MmorVoç, m, coupable ; qui doit

‘ être accusé, inculpé.

ΜιμντΊΙς 9 5 9 qui mérite des reproches ; coupable — act. qui se plaint ; qui accuse, qui reproche.

ΜΪ^ΜΦΟΜΑΙ, fut. μ/μψομαι, se plaindre dé quelqu'un ; accuser ; inculper — rebrocher quelque chose à quelqu'un ; faire un crime à quelqu'un de quelque chose ; blâmer. [Μ/μψις, εως,^ι, l'action de, etc.; plainte ; reproche; accusation ; j

Μιμγωλύ, 9fç, n t plainte; reproche ; blâme ; accusation.

Μ(^ψ(βολ/ο>, attaquer par des reproches , mém. sign. que

μεμγομαι.

Μεμψιμοιρεω y fut. ησω, se plaindre de son sort—se plaindre—se 'fâcher— accuser ; reproche^. [Μιμψιμβιρία, ας» plaintes qu'on répand sur sa destinée ' —plaintes. [Μιμ^ίμοιρος, », adj. qui se plaint de son sort—qui se plaint ; qui aime à se plaindre; toujours .plaintif. R. μψ-tpouai, μοίρα.

Με'μψις, r. με'μφομαι.    '

Μεμως, ωτος, pour μεμα&ς, part, de μίμαα.

HEN, à là vérité. Cette particule est ordinairement adversative 9 et répond à la particule & qui se trouve dans le membre sui-pant l Συρίαν άχούχις, ον σννιτις 31, k la vérité vous entendez, mais vous ne coihprenez pas. Συ μ.1ν ιτλοντιΤς, iyù πένομαι, vous êtes riche, et moi je suis pauvre.    *

Mhix β 17

Mîv f?étant pas surpi de £}, signifie certes ; assurément. ^

' 1 MÎv car. Mi» iii, tert·! —donc; partant. Mtr^ovv^ dr —mais—partant; donc; au contraire. M/v toi ou με'ντοι, mais — pourtant, cependant. Et ρίντοι, mais si; si au contraire.

Μπαίνω, V. μενεαίνω.

Mtvoafipoçy *y by qui attend son ennemi âe pied ferme ; qui soutient intrépidement le choc de 1 ennemi. R. μίνω9 άνήρ. ,

Me v yap, car, dè μεν γάρ.

ΜΕ^ΝΔΗΣ, bouc—le dieu Paii, qui a des pieds de chevre.

Mcvtatvw y fut. ανω, aor. ι .Ίμενψα, avoir un violent désir; être entraîné par la passion de.

Mtvcafve», être irrité contre quelqu'un; conserver du ressentiment contre quelqu'un. R. μένος.

ΜινιάΓιος, s, o, ,qui soutient intrépidement le choc de l'ennemi; guerrier intrépide.

R. με'νω, ivfïoç.

Mtvlxiuvoç, », by que le bruit des armes et des combattans n'effraie pas; intrépide. R.

χΊνπος.

Μενε-ωΊάΧεμος, n9 qui combat de pied ferme; inébranlable dans son poste. R. πάΧξμος. [

Μενετε'ον, il faut rester. R. μ/να*.

ΜενετΙς, S9 adj. qui peut rester; qui a coutume de rester.

Ou favf-rbç, qui s'échappe: fugitif. Τον ττολίμου oc χαιροί ού μινιτοΐ., Thuc. à la guerre, il laut se .hâter de saisir les momens favorables.

Mmrol ^«ol, les dieux lenfs à punir.

Mtνεχάρμης y μενίχαρμος, e, adj. mêm. sign. que μενεαΊόΧεμος. H.

I χαίρω.

Μενε'ω 9 Ion. pour μενω, fut. u, de μίνω.    .

Μ*νθ^ρ, Τίρος, ο ^ μενβήρη, ης, ή, soin; inquiétude. R. μίνος f $ηράω.    .

Μενθηρίζω y ^tre inquiet.

Μεν\ y Att. pour μεν.

Μίνοβιχί,ς, Ιος y adj. qui réjouit l’âme ; agréable; qui satisfait l'âme — abondant. R. μινος,

«ίχω.    '

Mtvotvàû», -ω, être poussé par nn violent désir — désirer — se proposer de ; avoir dessein de ; rouler dans sa pensée.

Mtvotv^j, 9îç, n9 violent désir — dessein; intention. R. μίνοζ.

ΜίνοττΊόΧεμος , », V. με^ενΊΟεμος.

78    .

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6iS MEP

Μ^ΝΟΣ, ιος, rb, ardeur guerrière ; courage bouillaut — mouvement impétueux de coKre oit de vengeance — colêrç; courrou*.

Mtvoç, force; impétuosité; violence—véhémence.

Mcvouv OU μεν 0v»| V. μι*. ^ M/vTOl , V. piV.

M^NQ, /ff/.fM*»,    μιριινηχα

( ^ μίνιο ), aor. ι εμιινα9 demeurer ; rester—persister—se ( contenter de; s'en tenir à.

M/vtty, être fixe, immuable, constant, invariable. F οχ. un exemple au verbe μ trap pu*.

M/vctv , attendre—attendre de pied ferme—tenir lerme; soutenir, le choc; résister— endurer.

M/vctv, être réservé. Mmt et Six-η, vous serez puni.

Μίμον a, parf. moy. je désire —j'ai dessein; je veux—je roule dans mon esprit. Μιραρχία, ας, J), bataillon de deux mille quarante - huit hommes. Le commandant de ce bataillon sappeloit μεροφ-χ)ς> s, h. R.plpoç, άρχβ*. ΜΕΡΛΩ,fut. tpm»9parf. [χίμερχα, priver—regarder ; euvisager. Μιρίίας, acc. plur. de μ/ρίς. ^ McpcÇ», fut. Ισω, partager ; diviser; distribuer. Ενχτΐ xat βι$Χγ xal 3^pqc μερίζω* τίν βίον , Syn. partageant sa vie entre la prière, la lecture et la chasse. [ MiptÇci, séparer. [ Μιρίζομαι, être partagé, etc.—être divisé en factions, en partis difîérens —participer à; avoir part à—

- prendre pour sa part. ^ ^ ΜιρισρΛς» ·> partage; division ; distribution. R. μ*ίρω. Μ*ρ«λς, », adj. partiel—particulier.    e

Μ«ριχΰς, adp. par parties; par portions — particulièrement.    v

ΜΕΡΙΜΝΑ, »ς, » K soin inquiet ; y inquiétude; sollicitude; peine d’esprit. [ Mtpipau, être inquiet ; être en peine de — songer , à ; s'inquiéter de — rechercher avec une curiosité inquiète.    t

MtptfAvyjrijç, S, o, observateur curieux—inquiet.

Μιρϊς,JSoç, », part; portion-partie. [ Mcpfetç , portions de chaque convive dans un repas. Μ«ρ»ς, faction ; parti. Μιρισμάς, ï, ο9 V. fitpΐζω.

«5,0, qui (ait le partage ; -qui divise.

MEP

Μιρις^ς, ï, adj. divisible; qu’on peut séparer.    ,

Mtptnjç, y , o , qui reçoit sa part de; qui participe à. R. μίρος.

MEPMAfi>Q , μερμ/ρω , songer avec inquiétude*; penser fortement à quelque chose; rêver à quelque chose—vouloir tiouver quelque chose; être en peine ; rouler dans son esprit. Μιρρερος, μερμε'ριος9 », adj. qui ^informe curieusement; qui recherche curieuse ment—curieux; rêveur. [M/p-μερα, choses qui rendent inquiet; choses qu’on recherche curieusement—choses fâcheuses. Mtpjxtpcy ou μερμίρεον x«xovt mal qui jette dans de grandes inquietudes — malheur fâcheux.

Mtppipa ρίζειν, Hom. faire de grandes actions.

Mip ρ-»ρα, ας , ^ , soin inquiet ; inquiétude—curiosité inquiète' —recherche curieuse.

Mcppjpa, léger sommeil au lever de l’aurore ; état de celui qui sommeille au point du jouÎ.

Μϋρρτιρι'ζω, fut. tÇta, mêm. sign, que μεppoupw—de plus, imaginer, inventer; trouver après beaucoup de peine.

M^PMI2, ιθος, », petite corde; corde; ficelle; fil.

Μιρόσινσιν , dat. plur. Ion· de μ/ροψ,

Mipotnfioç, », adj.- de l’homme. M(potv»ta<yr»para, les maux de Thumanité. R. με'ροψ.

Μίρος, toç, , part; partie — portion. E* ft/pu &£<χ»ματος τίβ»ρ« , je regarde comme une injustice. E* ov£tvfeç ctvat jui^n, Dém. n'être compté pour rien. Tovftlv μίρος, suivant mes forces; autant qu’il est en moi. Ή ρ-ί'ρος, autant qu’il est en vous. Ti ctsrc fft »xov μίρος, mém. sign. Tfc fwi&UXov μΐρος, V. ivtooftÀe». Ev μερει, à son tour — alternativement. Κατά ρΥρος, en partie ; par parties. Ex αβρούς, en partie. Μέρος τι et yb μέρος, mêm. sign. üapàc fupoç, mém. sign. a\3c ρι'ρος, tour à tour. Προς μΐρος, à proportion. *

Μί'ροψ, ονος, ο, èpith. de Γ homme. R. μέρος , οψ, C. à d. μχμΛρισμΙ-ν»ν^ «χών owst, qui a une voix articulée. Mcpo«ri;, sous-ent. άνθρω-βτoc, le^ hommes. Mtpo-tvc;, les habitans de Tile de Cos.

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ΜΕΣ

M/<ra£ov, mêm. sign, que ρ.ι σο— £οιον.    ,

Μισαβά», atteler des bœufs — atteler. \\. βοΖς.

ΜισαΥχνλον, «, -cl, mêm. sign, qa uyxvirj. R. μίσος, άγχνΧ-η.

Μ«σ*ζω, être au milieu* Μισα^«-<τ#ις ημέρας, h midi.

ΜεσαιυτίΧιος, μ9 adj. qui commence à grisonner; qui est sijr le déclin de Page; qui est sur son retour. R. μίσος ,

<fro)»oç.

ΜισσΓτατος, », super!. de μίσος, qui est exactement au milieu.

ΜβσαΓχρ,ιον , u, το, mém. sign, que αιταιχιαον.

Mrσαρορι», Ion. peur ρ?σ»·χ£ρια.

Μεσαμζρι*)>ςpour με?ημ$ρ:ν&ς.

Mcaoprptoç, Dor. pour ρΐτ»α/ριοςτ mêm. sign, que μεσημβρινός.

Μισοίραιον, «, το, m*m. sign, fme fAtacvTf'ptov. R, μίση, Àpatat.

Μίσχπος et μ/σατος , mem. sigm. que μίσος.

Μ/σανλος, », adj. qui est an mi— Jieu d’une cour ou entre deux cours ; entre deux salles ou deux appartenions. [Μ/σανλον, », τ)>, vestibule entre deux salles ou deux appartemens— cour entre deux corps de logis. R. αύλ».

Μβσι^Γυαοααι, -ωραι, exiger que celui avec lequel on fait un marché, moyennant une cer-^ taine somme, dépose cette somme dans les mains d'un tiers pour garantie du paiement. On appeloit μεσιγΓ'ίτ,μχ, ατος , το, la somme déposée, et μεσεγίυησαα/νος , ou μεσίγΤιιος, le séque&tre dans les mains duquel on déposoit la somme. Μισι>Γύ»ρια signifie aussi promesse secrète d’une récompense à quelque mag’fetrat ou agent de la république que l’on cherche à corrompre— somme, déposée dans les mains d'un tiers pour être remise à celui que I on a corrompu.

'Μ,εσεγΓνά',μαt se prend aussi passivement : Το μβσν, ce qu'on a déposé dans les mains d'un tiers ou d’un séquestre.

Μίσ/>Γυος , κ, ο , celui qui survient en tiers dans une affaire —médiateur — qui moyenne un accommodement. R. j^/v».

Μίσίντ/ρ'.ον , »,    , MKSFls’TàfiE 9

toile membraneuse située au milieu des intestins qu'elle attache les uns aux autres. H. μίσον , Γντερον.

Μβσβνω, fut. ινσα>, tenir le rai-

e

ΜΕΣ

lîeu; être entre deux—appartenu· autant à un pays qu à un autre. Κ. μίσο;.

Μ /τη ,    μίσος.

Μίτήγχιός, ff. μβσόγχιος·

Μίσνιγνς el μισηγν, ad?· au milieu; entre—en attendant. Miriti;, ιντος, o, médiocre, qui d est n i le premier n i le dern ier dans un art.

ΜβχνΙις, (χος, adj. qui est dans Je moyen âge—qui est sur le de'clin de l’âge ; qui appartient au moyen âge, Μιτηλιχις ôÆov— rt;, m. sign. que ot χννόίοντις.

R. μίσρς, τηΧιχίχ.

Μισ-ημζρίχ, «î, η, midi ; l’heure de midi, έν μίσημ^ρί* » midi.

MtTrjpÇpix f le midi, opposé au septentnon.    .

( N Μίσνμζρινος, », adj. de midi ; du miai. K$v iyprj fuatjpfyuvoç, si vous vous levez à midi. Me— σημερινοί χνχλ ot, les méridiens, cercles de la sphere. Μιστομβριαζω, faire la méridienne.

Μίαηημ&ρίΛζω f mcm. sign. que μ,ίσουρχνίω. Μισνμζριάζα ήλιος, ie soleil est au milieu de course. [ Ιβέτημ^ριάω, mêm sign.

MccTvimtpo;, », h et n % mém* sign.

fue μισόγαιος.    t

Mt(TYjptveiv, garder la neutralité. U«o)}rio;, h, adj. qui tient le milieu; qui ne penche\ii pour un parti ni pour un autre; qui garde la neutralité. ( Mcaircta, otç, à, intervention, médiation. R. μίσος.    e

tffvmvu, fut. tvro, être média-^ teur—interveuir^-s’interposer —être situé entre.

Mitfimç, », médiateur; arbitre —^-qui intervient—séquestre—

, conciliateur; qui ménage une affaire entre deux personnes —truchement; interprète >Ι^ΣΚΟΣ,«peau; toison. Me<r©6a<nicia , ας > interrègne,

£ Μκσο&ασιλιυς, (ως, ό, inter— roi. R. βχσάιΐζ.

Μί αο^οιον, mêm. sign. çuijJZοιον Miaoyxiflt, ας, ή» Pa)s situé au milieu des terres—le milieu deji terres ; le milieu d’un pays. R. r*· . .

Μίο-ό/αιος, », adj. situé au milieu d.e* terres ; situé au milieu du

pays. M. R.

M«oO7£ta, μισόγαος, mém.

ÇUC μισογαίά, etc. . Mco-oyevatTiov, », Λ, fuaoyovtov,

«ro, l’espace qui est entre deux nœuds</’#/? jonc, r/c. 14. yôw.    .    ,    .

ΜΓο·ο7ραφος, », adj* à demi écrit. Μεσό&ιχος, ô> juge placé entre

ΜΕΣ

les deux parties — juge qui tient ou qui doit tenir la balance égale entre les deux parties—juge. R. μίτος, ίι«ϊ· Μίσοφχη, ης, η, et μίσόίμα , «τος, poutre transversale; traverse; poitrail. [ Mtaoiun, le coursier, en terme ae marine. R.

μίσος, άομος.    >

Mcaoxotptvtov , », τ^, le milieu du carpe, ft. χαρτώς, cappe, terme d anatomie, la partie çui est entre le bras et la paume de la main.    ^

ΜισοχρινίΤς χι£νας, les piliers de terre qu’on laisse sous des terres minées pour empêcher qu’elles ne tombent.

• MVIHJIMU Μ 15ΓΙ*ΑΙ *

Miffoxvvtov, t», jarret; jointure du pied et de la jambe. Μισόχνλον , », xb ,. MÉSOCOLON, partie du mésentère çui est attachée au colon. R. μέσος, χωλόν. Μισόλα&ω, intercepter—arrêter quelqu’un au milieu de, au milieu de sa marche, de sa course, etc.—interrompre le cours—interrpmpre celui qui parle. R. μίσος , λαρ,βάνβ·. Μισολαβιον , ρισόλαβον , »,    ,

MjLsolabe, ancien instrument de mathématique inventé pour trouver mécaniquement deux moyennes proportiohnelhs. R-μίσος, Χαμοχνω.

Μισάλ'υχος, », adj. rayé de blanc.

R. λινχός.

Mtaopîpta, »v, x\, Pentre-deux des cuisses. R. μΰρος. Μίσομ.φοίλιον,/», xb, nombril—le milieu d’un bouclier. R. ομ-φαλός.    β

ΜεσόμφαΧος, », adj. situé au roi· Îieu de. μισόμψαΧον, le mi lieu de.    <

ΜεσόμφαΧος , qui a dans son milieu un creux ou une cavité ou un trou.

Μισόν tôt, »v , ot, les rameurs qui manœuvrent au milieu du vaisâeau. R.. νανς.

Μ/σον , V. μίσος.    ^    ^

Μίσονι5χ7ιον, » , το, le milieu de la nuit—minuit. [ Μισονύχΐιος, », adj. du mUieu de la nuit. Μ«σοννχ1ίοις <*ροι<ς, Anacr. a l'heure de minuit. R. ννς.

ΜχσϊαοΧιος , V. ρίσαι«τόλ«ος. ^ Μίφοτνορων, de μισονοράω, UtUS qui traverse le milieu de. R. Ίτορός.

Μεσοποταμία, ας, rtf espace entre deux fleuves; pavs situé entre deux fleuves — Mj&sopotawie, contrée de VAsie ancienne • aujourd'hui U Di orbe kir. R

ΜΕΣ 6-9

ΒΪ<σονυργιον f », xh, mur de fortification qui joiiit deux tours.

R. ηχνργος.

Mcaoτζωρίω, être au milieu <de Tautomne. R. oisxwpa. 7 Mevopcov, ion. p>(90vpt0v, », τ^ » frontière ; lisiere ; limitequi sépare deux pays. R. ορος. ΜΕΣΟΣ, », adj. qui est au niT-lien. Μ/σον σωμχ, le milieu du corps. Μ«'σον ημαγ, le milieu du jour. Εχισθαι μίσος, être tenu par le milieu du corps — ne pouvoir échapper. Ev μίσψ πυρός xt xai γΤ,ς , Plat. entre le feu et la terre. ΓΤΪ μίση 1 ποχαμΰν, pays situé entre des fleuves. Εις μίσον naptivat, pa-roltrc en public—paroitre; sc montrer. Είς τ^ μίσον ér/ttv, ou irpBxyav OÙ φιρειν OU ίμ$αΧ{~/ ,

exposer ; produire ; mettre sous les yeux de tout le monde. Ev μίσω xiQivxi , mêm. sign. Ï?ï tttvop χιΓσβαί, Dém. être exposé ’ a. la vue de tout le monde ; être mis sous les .yeux du public.

Ex μίσον άίσΒαι, dérober aux yeux du public ; ^ faire disparoi tre—faire périr. Ex ρ*σον γίνισθχι, se retirer—être re- > tranché de ia société des hommes ; périr.    '

Μίσος, neutre. Μ/σον iortrbv φυλάτίκν , Lnc. carder la neutralité ; ne se déclarer pour aucun parti. Ot μίσοι των iro-Xirvv , Thuc. les citoyens qui ne sont d’aucune faction, d’aucun parti. V9y. μίσος, ci-après* Μίσος f qui est d’une condition médiocre—médiocre — moyen ; qui est de moyenne grandeur ; qui est entre legrand et le petit—entre le bon et le mauvais. Qt ρ/σοι των *τολιτά>ν, les citoyens d’une condition médiocre, qui sont de la classe moyenne, qui ne sont ni ' rien es m pauvres* Oî ^ov p/<you βίου avdpovot, mêm. sign.

Μίσον «, τ^ , subst. espace entre deux choses; le milieu ; intervalle. Διλ μίσπ , dans ces entrefaites^ dans l'intervalle.

Μίσον , le milieu, c. à d\ terme moyen entre deux extrêmes , entre deux choses différentes ou entre deux défaut^ opposés.    v

Ίχμίσχ, les choses qui d«r leur nature sont indifférentes k qui ne sont ni bomies ni mauvaises.    e    ^    *

Μ/σον, », τΐ>, la moitié. MîV/jv ( sous-ent. οίςν ) βον· α.'Γην. tenir lc milieu.

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6.^ο ΜΕΣ

Μ«<τοσυλλαβ«ω, saisir ou embrasser par le milieu.    , (

Μισοσχι#*ις, «ος, fendu au milieu ou par le milieu. R. σχίσω. Μισό-ηος, ϊΐτος, ή , le milieu. Μεσότοιχον, «, *Λ, et μ«σοτοίχος, μ ι ο, mur mitoyen. K.tcT^oç. Μεσοτομεω, couper par Te milieu.

ίΜισότομος, n, ad). coupé par e milieu. R. τ«μνω. ^ ^ Μ«σουραν/ω, être au milieu du ciel; passer au méridien; être dans le plan du méridien, en parlant du soleil ou tf un astre.

[ Μισονράνημα, ατος, Λ, et με-σουράνησις, «ως, n, le passage d'un astre au méridien. [ Me-σούραν ιος , «, ad)>^ qui est au milieu du ciel ; qui est daas le méridien ; qui passe au méridien. To αεσουρανιον, *, Λ, le milieu du ciel ; le zénith. Μεσουριον , V. μ«σόριον.ν    ^

Μεσοφλ«βιον, «, tfc, espace qui est entre deux veines. R. φλ«'ψ. Μεσόφρυον , β, -Λ , l’entre-aeux des sourcils. R. &φρνς.

Μτσο'χθων , ονος, adj. mêm. sign.

que μεσόγαιος. R. χθων. Μισοχλόος, tf , adj. k moitié vert. Μίσόχορος, », ô, le maitre de chœur, dans un chœur de musique ; celui qui bat la mesure. R. χόρ»ς.    β    e

Mevôo», être au milieu ; être arrivé au milieu; être à la moi-v tié de. Μ«σονντος τον χιιμωνος, au milieu de l’hiver. Μισούσα ήμ/ρα, midi. Μ«σονν τνίς irô-*

. ftioiç, être à moitié chemin. Mcffovv jdtnovm, Plut. être à la moitié du souper ; avoir déjà soupé à moitié. ΜΕΣΠίΛΗ,ης,    néflier. [M«V-

tsartXov, «, T&, nefle. [M«ow-λώίης, «oç, adj. semblable au néflier.

, Μεσσάτιος,, μισσατο;, mem. sign, que μίσος. -Mitfcnoyvç , μισ«ϊ?ν , pour μεστός. Μεσα-^ρης, «ος, qiii est au milieu de sa course en mer. R. μίσος,

Jp/σσω.    ·

Μισσοθί, όθιν, adv. du milieu.

R. μίσος.    .

Μίσσόθι, adv. au milieu—jusqu'au milieu.

Μισσος, poet, pour μίσος. ^ Μεσσοτηρ, 9}ρος, ô, qui s’interpose ; qui sépare les combat-tans. R. μεσοω.

Μισσότομος, adj. coupé par le milieu.    s

Μίτ^οφανης, /ος, qui parolt au milieu.' R. μίσος , φαίνω. ΜΕΣΤΟΣ, 9, adj. plein; remuli. [Mcçétf, fut.taQt», remplir.

MET

Ορ?3ς μ«<τ»σαι, remplir de co-lèr^.

ΜΕΣΦΑ, ppèt. ροαΓμίχρι 9 jusqu'à ce que—jusqu'à.

MiTutropiu, V· μισο-βτωρ/ω.

Μ/σως , adv. irfediocremept — modérément—dans de justes bornes.    e    #

Μ/σ»ς, en tenant le milieu. Μισως ίχων άριτης xal χουιιας, qui n’est ni vertueux ni vicieux. Mira pour μιτις-ι , V. μ/τ«ιμ«.

Μετά, préposition qui se construit avec deux cas , le génitif et Paccusatif , et quelquefois duns les poètes avec t ablatif.

Mirât, suivi du génitif, avec. Μιτχ φίλων , avec des amis. Μιθ* S«Wv, en armes. Μιτά τίνος mai, être avec quelqu’un —suivre le parti de quelqu'un; tenir pour lui. Μεθ ων xb ic—, χαιόν }ς\ μ«τ* Ιχείνων £ θ/ος, ceux qui ont le droit et Ja justice pour eux, ont aussi pour eux la Divinité. Μιτχ Jixatoaru· νης, avec justice ; justement. Μι τα Πλάτωνος , en suivant le sentiment de Platon ; suivant PIëtoil. Mcrk τον» γνμνάζίσθαι, avec de l'exercice ; en s'exerçant.

~ M«t3i, suivi de Γaccusatif, après—-durant.Μ«τάττιν «opr/jv, après la fête. Mtxk τα J«ivà φρονιμωτ«ρος, plus sage après les dangers. Mit* ολίγον, peu après. Mit' δλί?ον τοντων, peu de temps après ceci. MitSc χρόνον, quelque temps après; ensuite. Μιτ^ τον fitov, durant la vie Μ«θ' Ημέρας £vo, Dém. deux jours après. Μεθ* ήμίραν, durant le jour—chaque jour— le jour d'après ; le lendemain, dans Plut. Vie de Lyc. Mcri χιΤρας Γχ«ιν, avoir dans les mains. M«y»ç^v ΙΌνος μετά vt ίνΛς , Hèrod. la plus grande nation du monde ayrès les Indiens. Miyiçov μιθ «otinbv ^υνοιμ/νος, Thuc, qui^, après lui, étoit le plus puissant— qui tc*noit le second rang. Mit k Ævo των φίλων, Luc. avec dtfUX anciens amis; entre deux anciens amis.

Mitx seprend sonventpourhal. Εις ou <friàc. Ος μί μετ απρηχίβς cpt-δχς Ρ*λλιι, Hom. qui me jette dans de vaines quefi lles^ Μιθ’ ομηλιχας, parmi ceux qui sont de votre âge. Μιταχχλλος, Hom. à cause de sa b«*autc. Mît* v*jx; «λαυν«ιν , Hom. piquer droit vers la flotte. Το ^ρυσιιον Γσ)·:·. μιτα χωας, Thcocr. il s em-

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MET

bàrquoit pour la conquête de la toison d'or. Μιτά τ« γην

χαί θάλασσαν ηγιμόνα άναγο-

·ρ«νόντ«ς, Plut, le saluant et le proclamant lieutenant géoéral par mer et par terre. Ηλιτι ji«t* άθαν ατούς μάχαφας, Hès. il a péché contre les dieux immortels. .

Μιτά, avec t ablatif dans les poètes, avec ; entre ; dans. , Αρθμ ov «Bcvto μ«τδι σφίσιν, ils firent alliance avec eux. Mctjc Sc σφισιν όσσα    ,    Horn·

le bruit couroit jparmi eux. Μιτ^ι φρισι, dans 1 esprit. Mirk

Îj«paiv, dans les mains—par es maius. Μ«τλ ςρατω, dans l’armée.

Mer à, sans aucun régime, après cela ; ensuite. ^    ^

Mirât, _ en composition, Sf-gnifie changement, communication.

Μιτα^αίνω , fût. βτησοα&ι , parf . β«£γιχα, aor. a μιτ/οτην , impér. μ«τχ£νιθι, passer. [Μ«τ«βοισις, «ως, vit passage — transition, fig. de rhétor. R. μ:τα, βαίνω·

Μιταδαίλλω, fut. βαλω, parf. βι-βλν}χα, aor. a μ«τ«βοάον , parf moy. μ«ταβ/βολα, tourner; retourner. Μ«τα5άλ)«ιν rit vwrot, tourner le dos; fuir. Μ«ταβάλ-λκν Τ^ν 7^v, retourner la terre, en la labourant.

Μ«ταβάλλ«ιν et μιταβάλλβμαι, changer, neut. et act. Μιτ/βα-λιν v) τχζις, A rts t. l’ordre chan**

gea. Oé μετα^αλλόμίνοί rài [μάτια,

Xèn. ceux qui changent d’habits. Μ«ταέ*λλ«σθαι τρόμους, changer de moeurs. Μ«ταβ*λ-λ«σ6αι *τδσαν μβταβολην , Pht. prendre toutes sortes de formes ; changer continuellement de forme ; èlre un Protée _ Μίταβάλλβιν την τροφήν, di- j gérer.    ,

Μιταβ4λλ«<τθαι, transporter; placer différemment.

Μιταβχλλ*ιν, changer de demeure , de pays ; émigrer.

[ Μιταβάλλισθαι, passer comme transfuge d’un parti dans un autre — dégénérer — changer d’avis—se repentir.    .

Μεταβάλλομαι, vendre ; brocanter ; trafiquer ; faire le commerce par échange. R· μετά , βάλλω.

Μιταβα;, άντος, V. μ«ταβαίνω. Μεταβάσαι, Dor. pour μιταβ^ααι, inf aor. ι de μιταβαίν». Μ«τάβασις, V. μεταβαίνω. Μεταβχτιχος , S, ad)· ‘jui a la faculté de pouvoir cnan&or di

e

MET.

place, de passer d’un Heu dans un autre—transitif, en terme tie grammaire.

Μιταβι'βηχα , V. μεταβαίνω.

>Γϊτάβν)θι, μ*τα5ω, V. μιταβαίνω.

Μιτα£ι£«ζω, fut. άσω, faire pas' ser d’un lieu daris un autre; changer une chose de place— faire changer d’opinion. R.

βιζάζω.

McT<x&^v)Ov)vac , V, μιταδαίλλω.

Μιτα6ληθιχ^ς, g, adj. transmua-ble; susceptible de transmutation ou de transmutabilité. Το ^ [ΐιταζΧτητιχον , ce qui produit le changement , la transmutation ou la transmutabilité. Iffreffltjnxrj, le commerce par échange—Fart de trafiquer, de commercer.

McrotffoOpcvtt, transplanter. R.

βόθρος.    «

Μ*ταβολ«υς, /ος, qui fait le commerce par échange—commet

. çant; trafiquant.

Μ«τα£ολη , ijç, -η 9 changement— transmigration—paraphrase—

1 métabolb , fig. de rhétorique. R. βάλλω.

Μκταέολιχίς, y, adj. mu able ; sujet au changement ; changeant; inconstant.    .

Μίτάβολος, mêm. sign, çue utra-βοΧ,ύς.

Μιτα£ουλιυ«σθαι, changer de dessein—se repentir.

Μίτάβουλος, y, adj. changeant; inconstant. R. βουλή.

Μίταγ/Υλλω t μιχαγί/ΧΧομαι , promettre. R. άγΓ/ΧΧω.

ΜιτάγΓίλος, y, o, messager.

MiToty/iÇo», transvaser; survider ; tirer à clair. [MiTeyfi^ç, y, ô, FactioU de transvaser. R. «yfoç.

Μιταγπτνιων , ωνος, h, HETAGlT— H ion . second mois de Γannée athénienne y qui répond à noire mois de juin. R. ycrrvia.

Mirocyivfçipoç. adj. né après —cadet—plus jeune ; postérieur. R. μίταγίνομαι.

Μιχαγίνομαί etμίναγίγνομαι, naîfre après—être postérieur — être fait d’une autre manière. R.

γίνομαι.

Me ταγινωσχω, fut. μίχαγνωσομαί, parf. μπίγνιαχα , changer de dessein; d’avis; prendre une .autre résolution—se repentir; reconnoitre sa faute; s^men-der. R. γινωσχυ·.    I

Μίτά/νοια, ας, ή, changement de dessein , d’avis—repentir.

Μίτάγνωσι;, rto;, r>, mém. sign, que μίτχγνοΜ.

MET

ΜιχαγραψίΙς, /ος, b, qui transcrit ; copiste. R. γράψω.

Mrrotyçoupv), 9|ς, -η, transcription ; copie ; exemplaire.

Μίταγράψω, réformer un écrit, un arrêt, etc.—changer—abroger—transcrire, copier—transmettre par écrit une chose à quelqu’un — traduire d’une langue dans une autre.

M«Totypà?ctv, casser le jugement des arbitres.    .

Mi ray», fut. άζω, transporter; faire passer—-poursuivre avec son armée.    v

ΜιταγωγΥ), 9!ς, b, transport ; l’action de transférer. R. άγω.

Μίταίαίομαι, participer à un festin. R. δαίομ&ι.

ΜιχαΜογμίνος, y, qui a changé de dessein, d’avis, part. parf. pass, de μιχα&οχ/ω.

Μιταίτίμιος, , i et ύ, mêm. sign, çu Ιν$4\μιος.

ΜίταΛαιτά», changer son genre de vie. R. itαιτα.    .

Μιτα£ι£άσχω, donner à qUelqu’iin une nouvelle instruction à la place de celle qu’il avoit reçue. R. £ι$άσχω.

Μ«τα£ί£ωμ.(, fut. &*σω, aor. a μί-τ/£ων, faire part à quelqu’un de^ quelque chose ; (aire participer ; départir—donner libéralement. [Μιτάίοσις, βως, v, l'action de faire part, etc. ; cortiinuncation—don; libéralité.

MpteÎetix^, 2, adj. qui aime à faire part—libéral; généreux. R. p*xk , ίί£ωμί.

Μίταίίωχω , poursuivre ; chercher ; aller à la recherche ; rechercher. [ Μίτοιfttaxltov , il faut poursuivre, etc. [Mtxa-ίίωχΊοςf y, adj, poursuivi et pris; atteint par ceux qyi le oursuivoient ; rattrapé. R. ιωχω.

Μ(τα<?οχώ», changer d'avis, de sentiment. R. ίοχιω.

ΜιταίοχιΓ μκ9 je suis d’un autre avis—je me repens. M*-Taioxc? σοι ταΰτα βΐΧτίω ιΤναι, Luc. vous croyez maintenant ( ce que vous ti’avifex pas cru d’abord) que ces choses sont meilleures.

Μίταίοξάξω, changer d’opinion, R. δοξάζω.

MtraMpwa, ων, titf dessert. R. iopurov.

Μίταίόρνιος, w, adj. quia soupé.

[ Msraiôptjioç (arec up nom de chose ) ^ qui se fait après souper ; qui suit le souper.

Μιτχ*οσΐς, μπαίονάς, K μιχα-φί^νμι.

MET 6ai

Μιταίουν pour μ(τα<$οννοιι, aor. Λ infin. de μιτα^ί^ωμι. Mtxàiovmoçy yf adj. qui tombe au milieu de. R. Jouwoç. ΜβταίραμιΤν, aor. a infin. de pn-χατρ/χω,

MiTaipopxirjv, adv. en courant après ; en poursuivant, Μιταίρομί), Τίς, course d’un lieu dans un autre — l'action de traverser en courant—excursion.

Μίχάάρομος, y, o, coureur—qui punit ; qui venge. R. ίρόμος. Μίχάαμι pour μίταμι. ΜιταξιύγΓνυ/Αΐ, ζινγννω, fut. ίυξω, changer la plaoe de lattelage. R. ζίνγνυω.

Μετάθίσις, «ως, η, transposition

—changement — mÉtath^sk 9 c. à d. transposition de lettre, comme χρα&α pour xapifa — m^tathÈse , figure de rhéto-riçue, comme dans ce vers latin : Eripis, ut perdas; perdis’, ut eripias. R. χίθιημι.

MiraOfiw, courir après ; poursuivre—traverser en courant. R. 3ιω.    >

Μιτβΐ/ίη», adv. en poursuivant avec impétuosité. ,n. μ«*αΐσσω. McTafÇti, ι^άνω, s’asseoir avec d'autres personnes. R. 7ζω. Μιταιρω, fut. μιταρω, transférer; changer—passerd’un lieu dans " un autre—partir de R. afp». Μίταίσσω , aor. i part, μιταίξας , poursuivre avec impétuosité. R. &W Μίταιτιω, demander une chose . avec d’autres personnes; demander une part de quelque chose.

Μιταιτ/ω, mendier. [ Μιταί-της, iî, et μ/ταιτος, ë, ό, mendiant. R. αίτιω.

Μ«τα»τ«ος, y, complice—ρauteur d'une action. R. alxtas Μίταιφνιος, y, adj. soudain; subit. R. αΓφνης.

Μιταίχριιον , μιναίχμον t y ,χ\>, l’espace qui est entre deux armées

—intervalle, entre deux choses çuelconquès. R. αίχμν. Μιταχαθί'ζω , changer une chose de place—transposer. R. xot-

θίζω.

Μίταχαλί» , mander ; envoyer chercher—rappeler ; faire revenir. R. χαλι».

Μίτάχλτ-,σις, ιως, η, Faction de mander, et autres sens du verbe.

Μίταχάρβτιον, y, tV, MÎTACAftPE , en terme d'anatomie, partie de la main située entre le carpc et les doigts. R. μιτα, xapmfç.

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6*2 MET

Μετάχιιμαι, être transporté ; être changé—être passé à. R. χεΤμχί. Μεταχεμάννυμι, -χερανννω, -χεράω, verser un liquide dans un vase qui contient un autre liquide , pour les mélanger. R.

XtpotVVVfAU    ,

Μεταχερασμα, ριτος,Ά, mélange de deux liquides tempérés l'un par l’autre—ean ti<*de résul-tântd’un mélange d'eau chaude avec de l’eau froide, de manière que l*une et l’autre se tempèrent réciproquement. Cette eau s'appetoil aussi pt-τάχερας νίωρ.

ΜίταχΓαΟε, Hom. mêm. sign, çue μετηλθεν. R. x*«.

MtTotxtvcca , fut. η?» , mouvoir d’un lieu dans un autre — changer; réformer—écarter, f Mtrtxivijtoi, », ad). <jui peut être changé; susceptible de changement; qui n’est pas irrévocable: R. xtv/ω. ταχλοΜο» et μεταχλαΓομαι , fut ανσομαι, déplorer — pleurer.

, R. χλαίω.    ■

ΜεταχλεΓω , appeler d’un autre nom. R. χλκ'ω.

Μετάχλρσις, V, μεταχαλεω. Μεταχοίνωνος, » , ô , mém. Sign,

~ çue xotytavoç.

Μ(ταχθ(λ(ζω,/0/· ίσω, transporter.

R. χαρίζω. f * Μεταχοαμεω, arranger <f une autre manière ; arranger dans un meilleur ordre.

Μεταχονμια, ων , τχ , les espaces ^qui sont entre les divers mondes. R. χόσμος.

ΜίτχχΊίζω, coHstruire' sur un autre plan—créer ou fonder ou établir d'une autre maniéré.

- R. χΐίζω,    .    v

Μεταχυλ(ν<$εω, μιταχυλιω, rouler ufte chose«*d’un lieu dans un autre· R. χυλινίεω.

Μεταχυμιον, », το, intervalle entre les vagues. R. χυμ*.

MtTaxépioçf », qui succède aux vagues—calme ; tranquille.

Μεταχυμιος, qui fait succéder le calme à l'orage. Μεταλαβαίνω, aor. 2, μετεΐαχον, obtenir par le sort une chose à la place d'une autre qu’on avoit déjà reçue du sort; obtenir une chose en échange d’un autrfe—changer de manière d'être.

Μεταλθ7χάνειν , avoir part à ; prendre p »rt. Μάχης μεταλαγχά

* vttv, Plat. prendre p^rt au combat. R. λα/χάνω.

Μίτχλαγχανειν, prendre part à une chose après d’autres per-

MET

sonnes—se^présen ter tard pour · remplir une fonction.

Μεταλαβαίνω , fut, μεταληψομαι , aor. a^LtrAocÇov, purf. μίτκλη-ρa, participer à ; recevoir pour s.i part; obtenir pour sa* pari. Oj μετχλα£ων ictu >1ον    των

ψη<ρων f P’jf >i ..yantpas obte·, nu la cinquième partie des suffrages. Μεταλαμβάνομαιτουτου τον ονόματος, Hèrod. je m’attribue ce nom.

Μεταλαμ&χνω, prendre une cho..e en place d’une autre; recevoir en échange—changer. I rxarta μεταλαδων , Xén. ayant changé d’habits. T « όργανα μετχλχμ&χνοντίς άλλνίλων,

Plat, changeant entr’euxd’ins-trumens.

Μεταλαμ&*νω, recevoir k son tour—recevoir—prendre

Μεταλαμβάνω, user de la fi-gûre de style appelée méTa-

LKPSE.

Μεταλαμβάνω, prendre une chose dans un sens allégorique.

Μ«ταλίησχω / reproduire ; repousser. U. άλ£εω.    ’    '

Μιταλη/ω 9fui. ηξω, cesser ; mettre tin. R. λη/ω.

Μετάληψις, (ως, η, l’action dé prendre part ou d’avoir part ; participation.

Μεταληψις, Faction de prendre une chose à la place d’une autre ; changement—transposition—métalepsB , figure de rhétorique.    ,

Μετάληψις, allégorie.

Μεταλη·»1*χ^ς, » , adj. qui a la faculté ou la propriété de participer à — participant — métaleptique, c. à d. qui a rapport à la métalepse ; qui se dit par métalepse. [Μεταλητ*7ιχως, adv. par métalepse.

Μεταληβ/Γος, », adj. dont on peut être participant—qu’on peut expliquer ^interpréter. R. λαμβάνω.

Μέταλλα, impér. prés, de μεταλλάω.

1 Μέταλλα, plur. de μεταλλον.

Μεταλλαχη, ης, η , μετχλλαξις , εως , η, échange; permutation — changement.

ΜεταλλάτΊω ,fut, ά*ω , parf, μετηλ λαχα , aor. % μετηλλα/ον , échanger—changer. ΜεταλλατΙείν φίλους, lsocr. chajiçer dam is . ΜεταλλατΙείν τον βιον OU sim~ plement μεταλλάτ1ε(ν , mourir. AvTiyôve μεταλλχ-αντος , Pol-Anfigone étant mort. Μεταλ-λατίίίν ε τέραν χ«ρ*ν , changer de pays ; se transplanter dans i*n aulre pays. [ Μιταλλατβσι»,

MET

iJrjoucntle rôle l’un de Fautre* c. à d. çue Paulfait ce que de— rroit ja*re Pierre , et Pierre fait cl' çue devroit faire Paul· Τα μεταλλατίομενα , ce qu’on fait à la place l’un de l’autre.* R. άλλάσσω.

Μεταλλάω, rechercher avec curiosité; s’informer curieusement. R. μεταλλον.

Μεταλλεία, r . μεταλλινς.

Μεταλλενς, ιως, ô, mineur, Celui çui tire les mitaux de leurs mines—qui travaille dans de* mines de met aux—qui exploite des mines. (^Μεταλλίία, ας, η, fouille des mines de métaux ; exploitation d’nne mine —mine, que Γom fait sous une place ; assiégée, [ Μεταλλεντιχ^ς, ί, adj. qui concerne les mineurs ; oui concerne l'exploitation aes mines, ίί μετα/λεντιχ·}), sous-entendu τέχνη , la métallurgie ; l’art de tirer les métaux de leurs mines; l’art de travailler les métaux.

Μεταλλευτ^ς , S, adj. «jue l’on tire de^ la mine—exploité par des miueurs.

Μεταλλενω,fut. ενσω, fouiller de» mines de métaux ; exploiter des mines ; tirer les métaux de leurs mines. Πανθ' δσα με— ταλλενται, Plat. tous les diffé-reus métaux qu’on tire des mines.

Μεταλλενω, rechercher ou s’informer avec curiosité. Μεταλλι^ομαι, être condamné aux mines, c. à d. à travailler dans des mines,

Μεταλλ(χος, S, adj. MÉTALLIQUE, —minéral. [Μεταλλιτης, ·, ô, * μεταλλΤτις , fèm, métallique ; minéral ; ou l’on trouve des mines de métaux. Μεταλλίτις yvj, une minière.

Μετάλλομαι, Ion. pour μεθάλλομαςι. ΜΕΤΑΛΛΟΝ, », το, METAL. Μέταλλα, mines de métaux—mines qu’on fait sous une place assiégée. Ηρξατο ττολιορχων Jta τω» μετάλλων, Pol. il commença le siège par faire des mines. Μεταλλουργεία, travailler dans les

• mines de métaux; être mineur —tirer les métaux des mines et les travailler. [ Μεταλλνρ^ς ^■ St o, mineur, etc. R. tpyov. Μετοίλλω, ptxoàXtTv, pour μεταλλενω^ μεταλλευειν.

Μεταλμενος, sfnc. pour ptûatXXopj-νος, έ/’άλλομαΓ.

Μεταμαζιος, », qui est entre les. deux mamelles. [ Μεταμάζιον ^ », το, l’entre-deux de* mamelles. R. ραζός·

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MET

Mirauo«'£to», sein ; poitrine. Μ<το^νΟα\ω,/*/. μιταυ^σο^ , aor. α μιτ/μαθον, changer sa manière d’apprendre—-renoncer aux choses qii’on nvoit apprises pour en apprendre d attires à leur plate—désap-prèndre. R. μανΟ'ν». <    ·

Μ.ταμιίίβ, érhanger. [ MctoÎui.-Y‘i, twç,    échange—permu

tation. R. αμί棫.

ΜίταμΛα, impers, fui. η'σπ. Me-

τβμΛη μοι χών ίίοη/Λίνων, /j^. **    μιτο'μ'Μι μοι Tî> t?pr>-

/ιΐνον , Hèrod. je me repens de ce que j’ai dit.

Μιταμ/λπα, «ς, η, repentir—chan gement de dessein, d’avis. M»Teuc)yjtixoç t g, adj. sujet à se repentir—qui se repent facilement.    „

Μιταμ«λν)τ^ς, », adj. dont on se repent.

Μιταμιλι», Jon. pour μιταμ/ΧίΐΛ. ΜιτίψίλομΛΐ, se repentir. Mir^c-

™    τ“·;ι    ού    ^^>£ν,

%°\ 1 se repentoient de u avoir pas accepté la freve.

Είς T9 μιτο^ίλησ&ΐίνον -irpo’uviu ,

-λ*λ. se préparer à soi-mèrae un sujet de repentir.

Μ.τά^ΐο,, acc. absolu comme <ξον, <ί<ον , /-/r. ΑντοΓς μίτααβ-»λο», puisqu'ils se repentent — comme ils se repeutoient. Mcra^cieç, b. e, repentir. [Μίτά-ficAoç, «, adj. qui se repeut.

P°Ur ιΤ(ψ,'Χχαι·

•••«(«iif.wf.ii, mixtion; mélange. R. μίγννμι.

Μίταμορφοω, fil. ωσω, transformer; METAMORPHOSER. [)Vf«T0C μορφωσις, «ως, ή, transformation^ métamorphose. U.^opyy,'. *!(τχμο9χίυω, transplanter. R.

μόσχος.

Mixoc^Vxopxt, changer d’habit.

It. άμντισχ/ω.

Mmuftctfypat , μβταμφι/νννμχί , changer d’habit. Tyjv «rrop^ocia

»«τααφι/σομα*,    je    p^en_

drai la pourpre à la pjace de mon manteau philosophique.

Κ. άμφιίννυμι.

Μιταμωλιος, «, e/μ(ταμων ιος, », vain; mutile; qui n’aboutit à nen—qui est de nul effet.

R. piri.    èv5t

Μιταν«χΐν«σχω,///. γνάσω, faire changer d’avis ; fairc renoncer quelqu’un λ son dessein ou a son sentiment ; dissuader» ÎtOUrn» Sneiqu’iin d’une chose. R.f«Tj«,à,ac,y<v<W Miravac/r»jç, », 0, mém. sign, çue

' ^«τανβίς^ς /AfTOt«çeT0Çk 7

MET

MfT«vacjf<woç, », adj. qui passe <1 un Ireu dans un autre.

Μετανβςτχσις, *Ιωί, t0 - y * gration. R. άνίςιημι. Μιτανάς-ατος, », adj. qui émigre ; qui se transplante dans un autre pays; qui s exile—exilé. L M*Tανάςτος, tf, h , mêm. sign. &Î «τανβς-ευ'ω, changer de pays · émigrer—s exiler.    *

Mrravaçtoç, », iwôw. j/^λγ. oue μίτ&ν·χςατ(*,

MirocvaVptccfém. de atra-να<ρος. M. U.

ΜίΓανι^νωσθη, aor. \ pass, de μιτανκγινάσχω.

MrravecW>pai. passer d’ùn lieu dans un autre. R y&, Μιταν/σσομαι,

McTavtÇw, transvaser. ' Mcrccvtpopt, chasser quelqu’un de ses foyers; forcer-à émigrer.

% [ Μ«τανίς-αμα(, êlre chassé de ses foyers, être f^ircé d’émi-grer émigrer. R.    άνΓ-

Μ<τανο«ϋ , changer d'avis, de sentiment, d’opinion —se re-penlir; regretter d’avoir fait ou dp n’avoir pas fait une chose·—revenir à soi—venir à résipiscence. [ Μ«τα*ο/ω , songer après; penser«tiprès coup à une chose. [ Μ«τά*οι«,

», changement d’opinion, de sentiitient ; changement dans la manière dé penser— repentir ; regret d’avoir fait ou de n’avoir pas fait une chose — résipiscence ; retour au bien. R. νοος.    '.

MÉTA3A,    soie.

Μιταξν, parmi; entre; au milieu —durant; pendant. Mtrtfj Ts βχσάίως %Λ\ Των πολιτών, entre le roi et les citoyens, tf yutç," »/*χθρ^ς, /xira^v, ami ou en-neml    *eDan^    milieu

entre I un et l’autre. Mît*^ wtvwroç, pendant qu’il buvoit. Μιτχξν nopeyouc'voi μ-ητι (ςιΰσι, μ*ίπ -ττίνουσ», Xèn. pendant la route, ils ne boivent ni ne mangent. Τούτο μοι pcrx£/ ypat-φοντι l·ort »ovy ^\0c, Isocr. pendant que j’éc'rivois, cela m’est Tenu dans l’esprit. Μ£τ*£υ U-y<o* > pendant la conversation. Πο*λοι α«τ*ξν ovpca, Π y a beaucoup de montagnes entre deux.

» *3    ucraiu    ,

adj. intermédiaire. Ο μιταξί ypovoç, JJê/n. temps intermédiaire. Εν τώ μίταξν ( sous-enf. χρον^), dans Hntervaile. Ti μιτΑ^>, ce qui sVst passé dans cet intervalle ; ce qui s’est

MET 623

pasré entre ce* deux «.'ponties· T" (*"«<“, ce qui est entre deux choses—intervalle; interstice; séparation.

McT«£uloy.iot > **> < > chose dite par parenthèse <- courte <ΙΐκΛ$-

Mon.R    çi,^ 6

Μ«ταξντρ.?1νφ10ν, β( Λ, entre-colonnement.

Μιταοαιΐαχα^ιω , instruire ou ' tlev?r quelqu’un dune autre manière, <r. à d. d’une autre manière que celle dont il avoit '"struit ou élevé. Γ Μιτα-mêm. sig„. R. we7{-Mirnrootvofiai, se reposer à son tour. Mnamminne, J) μάχο,τ., nom. iU cofribattoinnt en'se relayant les uns les autres.

.terftl: *·

Μίτατσίίβω , dissuader — fa»re prendre une autre résolution; faire prendre d’autres senti-mens; faire changer de résolution ou de seutiinens. R.

'Π’ίίθω.

M«T«tw,pS et μ,Towt.pSpLai, essay· en prenant d'autre* moyens—changer; varier. M«T«m«,ert,r„, sync, pour Mn-' β«=»β„„σα,, V pers. plur. opt. aor. i pats, de jmt<xW0oimu. "T'']’-' “’“V- <l»e foa a

dissuade; que l’on a fait chan-

f»U ”j“me"s; à qui on a prendre d’autres senti-, mçns-que l’on peuldissuader7 à qui I on peut fairc prendre d autres sentjmens. MrreWtte.,»»,/ |β(ΛβΙ ; aor ,

, mander: envoyer Chercher; faire venir — en-vojerdemanderquelque chose à quelqu un. [ Μ.τββΛιβομα,. Mf<f. être mande , etc. R*

, * *

Μ«ο™»«α^Λς, β, adj. qu’il faul

mander ; qu’il fbut envoyer chercher, et autres sens de

μίΤΛ&ίμζνω.

MtrawtfLmlhf $\ il faut mander, etc.

M.Trfmuw7ος,    man

de ; rappelé.

Mitowi^ww,/ «μψω, mêm. siçrr.

Ϋ'πμπαπε'μπορη , ^

Of tire.

MiToiwfa^iç *ως# Taction d-mander, d’envoyer chercher; invitation de venir. M. R

Μίτατ»ίσεΓν, aor. a inf. de μ<τχ-wcwl&j.

Μίτα^τΐίνω, jouer après aVo'r changé de pièces, au j,·:; d échecs—changer de place Ir* pièces qu’on avoit mal po^-es —changer. R. ttît?*;.

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624 MET ,    ,

Mtrottm$&&,ful. ήσώ, sauter d'un endroit dans un autre—passer rapidement d'une chose à une autre — sauter alternativement, /un cheval sur un autre, comme tes cavaliers appelés o^ptirvot — repasser en sautant à l’endroit d*où Ton s'é-toit élancé. [Μιτανηώισις, κως, νι, Taction de, etc.—change-gement de saut. R. *τη£άω.

. Hiratvtwla> , fut. μενανεσουμαί , parf. futrottv/olttxa, aor. 2 /«t/-«ycaov, tomber dans un endroit au lieu de tomber dans un autre ; passer à ; retomber.

Ισβ* αί ψΐίφοι αντω cy/νοντο* ti μ{α μόνον μετίντεσεν , ύ tri ρω— ρις·’ £v $ àm&avtv, Esc nine contre Clés. les suffrages furent ésaux : si parmi les juges ixn sein eût opiné autrement, l’accusé étoit condamné à l’exil ou à la mort. £( tpiîi

ροναι μετετΰεσον των ψιίψων ,

* àvivt^ivytcy αν, ,ΡΙαΙ. Apolog. de Socr. si parmi les juges

• trois seulement eussent opiné autrement, j’étois rfpvoyé absous ; littér. si parmi les boules oui servent k mettre son suffrage dans l*une des deux urnes, trois seulement fussent tombées dans une urne plutôt que dans l'autre, j’étois , etc. Τίιν άρχην μετ&νεσου-«rav ttç αν£ρα ίζ Ιδιωτιχον xal άσπρου y/νους, Hèrod. l'empire étant passé à un homme d’une race vulgaire et obscure. Πάλιν / αεταηϊεσουσνις τΐ5ς τύχης 9 Isocr. la fortune étant redevenue contraire.

Mrrwvttrfo», changer, neut % —dégénérer ; se détériorer.

If ιτανλάσσω , —άτ?ω , fut. άσω, changer une figure en une autre, une figure de cire ou d'autre matière—transformer. R. firrât, πλάσσω.

Μιταπλασ/χος* v, ©, Faction de, etc.—métaplasme, figure de grammaire.

Mrtaiarot/ω, fut. ησω, changer la forme d’un ouvrage; refaire d’uneautre manière; changer. MctootouTv νόμον , Dém. déroger à une loi. [ MtTauoi/opwu , s’attribuer, s’arroger; se mettre en possession ae ; s’appro-

frier. [ Mt-rawor*»σις, «ως, νι, action de, etc.—changement

— restauration ; rétablissement ; réparation. [ Μ«τα«οιη-.    », o, qui change-—-qui

restaure ; qui rétablit ; qui répare. R. *οι/ω.

• MET

HcTOV0fy(0(, » , adj. pénal ; mêm. sign, que ποίνιμος.

Μ(τα«ομ«νι, 9jç, η, mêm. sign. que μετανεμάις.

MtTonropivtfrjv, adv. ( de p.iratro— p«vop«c ), en poursuivant.

Mcrotnroptvopiou, aller partir après; suivre — poursuivre; chercher à venger. Τον φόνον τον «τατρ^ς puranropiυόμ.<ν ος , Eurip. poursuivant la vengeance du meurtre de son père· [ Μ(τ«««ρ( iifuit, ambitionner; briguer; courir après; rechercher. ΜιτκνορινιαΟαι t)jv άρχ^ν, Pol. briguer une magistrature. R. tropivopuxt.

HtTavptW, exceller sur tous les autres — se faire remarquer parmi les autres. R. *ρ/«ω.

BfcrotvlôfAcνος, aor. a part. moy. de μεβΜαμοιι.

Mmt/Ιωσίς, «ως » η, renversement , de fortune—révolution "—changement—passage d’un état à un autre—métaptôse, c. i d. changement quèprouve un malade, soit en pis soit en mieux h

Miravvpytov, *, xfc, espace entre deux tours £ ouvrage de fortification qui joint deux tours. R. πύργος.

Μεχοφ{θμιος. », adj. mis au nombre ae. R. αριθμός.

Μ«ταρρ/ω, refluer ; éprouver un flux et reflux ; passer d'un état dans un autre. Των τοιοντων ja nui «çk βουΧευματΛ , xod ov jai-ταρριΓ, ώσσιρ Ευρινος, Arist. les résolutions de ces sortes de .personnes sont invariables, et ne sont pas entraînées par un flux et reflux continuel, comme les eaux de l’Eu ripe. R. ρ/ω.

Μιταρρί«τ7ω, (Μταρριοΐ/ω, jeter vers le côté opposé. R. ρΜω.

Msrdtppoiot, ας, ή, reflux; flux et reflux—vicissitude. R. jurap-ρ/ω.

Μ$τ*ρρυθμίζω, réformer; corriger ; ‘arranger d’une meilleure manière; enan^ér. [Μιτοφρν-θμισις, ιως ,η, 1 action de, etc. —réformation , etc. R. ρυθμός.

Μιταρσιολισχ/ω , s’occuper de vaines disputes ou ae vains systèmes sur les choses cèles-tes—s’occuper de disputes futiles. Γ Μιταρσιολ/σχης. celui qui s occupe de, etc. [ Mc-ταρσιολ<σχία, οις, vaine dispute sur les choses célestes— dispute sur des objets futiles.

JDans P origine p μεταρσιοΧεσ-χ/ω se prenait en bonne part pour dire, disputer ou disserter sur la physique céleste.

MET

Μιταρσιολ<σχ?α, dispute, tnt entretien sur la physique céleste. R. λ/σχη.

Merap<rio)oyrw f μίταρσιοΧογΐα,

m· sign. queμtτo^ρσtohσχtω9 r/r* Meretpvtoç, », adj. haut; élevé; qui est entre le ciel et la terre. McToipertat ν3<ς, vaisseaux en

Êleine mer. Μιτβίβσιος χωρά, autes régions de 1 air.

Μ(τ«ρσιόω, enlever dans les airs. R. μιταίρω. 1 M/tepffiç, «ως, η, transport—· transplantation — transmutation—changement. M. R. Μιτασχιόαζοραι , déménager , changer ae demeure — changer de manière de vivre. [ Mc-τασχίυάζω, faire changer de manière de vivre; faire adopter d’autres habitudes—faire prendre une autre forme, une autre manière d’être ; constituer dans un état différent. R. σκευάζω.

Μιτασχηνόω, fut. ωσω, changer de demeure. R. «rx^vvf.

Μιτασο£/ω , chasser. R. σοβ/ω. Μιταιτοτών, ayant poursuivi; ayant atteint; aor & part, de

* inus.

Μ/τασσαι, ων, aî, brebis de moyen âge; mêm. sign, que |»ση)ί(χις. Μιτασσιύίσθαι, poursuivre impétueusement—poursuivre. Μίτάς-ασις, (ως, r), passage d’un état à un état différent—mutation ; révolution — changement de lieu; changement de demeure —.passage—émigration—changement de manière d'étre — éloignement—mort. R. μ(9ίςημι.

Μιτας-ατ/·ν, il faut changer de demeure ; il faut émigrer.

M R· . ,

Μίτας-ίίχω, venir d’après un

ordre ou une invitation. Uxm μεταςειχων σε, Eur. je viens vous trouver. [ Μεχαςείχω , mander ; envoyer chercher. R. ςείχω.

ΜεταςεΙίΧομαι et μtτaçeX)ω , envoyer chercher; faire veiiir; faire passer d’un Iio»dans un autre—déporter. Rl^/λλω. ΜεΦΛςίνω, fut. νω, gémir par un sentiment de repentir—gémir sur; déplorer. [ Μεταςήομαι, mém. sign. R. ç/νω.

Miraçrjvac, aor. a inf· de μεθίςημι, μιταςϊίσαι, aor. i inf Miraçoiyiî, adv. Στίι» Λ ρετα<-ο«— X«i, Hom. ilsse rangèrent tous sur uné même ligne. R. «τοίχος. Μ<το^οιχκιόω, changer en un. autre élément; transformer. R. ς-οιχβιό».

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' MET

Μεταςονκχίζομ<**, déplorer ; gémir sur» l\.' ς*οναχί£ω.

Μίτοκρατοσείίυω ρ.ΐτας·ρ**Ό·σ«

. δένομαι, transporter son camp dai ^ un autre endroit. R. 'ςραχοττεάιυω.

MfTar-ρεφω, retourner; tourner d’un autre sens—retourner , eu fig. donnerjune autre tournure ; présenter les choses sous une autre face ; tourner dans un sens différent—fléchir —changer. ['ύίεταςρέφομχι^ se retourner ; se tourner vers quelqu’un. [ Μιταςγ>ο«ρη , ης , r!, conversion; mutation. H. ςρε'φω.

ΝίτκιτχιΤι f inf. aor. 2 de μεχίχω.

'^τχ-χγ,μχτίζω .fat. ίσω, transformer ; donner une autre ligure.

Μ«τασχη/*ατισρ.ος, h , ό, tvans-formatioQ R. σχηματίζω. .

Μ'-τχτοίσσω ,Att. μετχτχτίω, changer l’ordre de bataille. [Mtrx-τχτΊομχι , être ran^é dans un autre ordre de bataille—passer d’une armée dans une autre ; passer du côté de f ennemi. R. τχσσω.

McrarxOroi, ensuite. R. fit rit,

“«ÎTOC.    φ

Μίτατ/Οηαι, fut. μιτχθη'τω, transposer; changer une chose de place ; transporter—changer ; rétracter J révoquer; abolir. Mtrϊ.τίθεμιιι rit ειργιμένχ, Xèn. je rétracte ce que j’ai dit. [Μ*τα-'τΟίσΟαι f sans régime, se ré trac-ter—changer de sentiment.

ΜϊτατίΟίΐς, changé—émigré —mort. R. τίθημι.

M-T-/.Tkoitjω, retourner; tourner d un autre sens—changer.

Μίτατρ-'σ^ααι, être retourné; se retourner—avnir soin de ; prendre soin de—avoir égard !*· R. τρίνω.

, £tre élevu parmi. N. XI τα άγη Α?τω).3Τσι, A pot t. il n.t élevé parmi les Etolicns. R. Tp{‘Ÿ<û,

Μ*τν?ρ/χω, courir d un lieu dans un autre—courir après—poursuivre. R. τρέχω.

ΜίτατροΉτο .    > η, mutation ; con-

>er*ion ; changement — soin ; attention.

Μετατρ·σος, », adj. qui peut être changé—changeant ; versatile •—mobile Γ». τρέταω-

Μίτίτρο-σος , qui re.ient— rétabli dans son premier état.

WiTaTvwô'j», f it. ί.ίσω , traiisfor-nier. [ ΜίτΛτ^σωσις ,    ,    η    ,

transformation. IV. τνατίω.

*îîtvvMjtùyfi't. η'σω, parler au willicu de—parier à. R. ocv<fy.

MET

Μίτάνρίβν, adp. après-demain;

le mu lendemain. R. ανριον/ Μεταυτίχα, adp\ aussitôt après. Μητανχι'νιον, », ~b , l’entre-deux des épaules. R. αύχχίν. Μεταφέρω, fut. μ«τ»ίσ·ω, aor. I ρίτη'νί/χ» , transférer , transporter d’un lieu dans un autre —porter tout aulbur.

MitΛψορ/ω , transporter la signification propre d’un mot à une autre signification yc.ùd. parler métaphoriquement.

Μεταφορά , άς , η , MÉTAPHORE , fig. de rhétorique.

Μεταψοοιχύς « «, adj. ûlïsTA-PIlORlQi'E. [ Μίταφοριχω; t adp.

métaphoriquement R. φέρω. Μετχφτ,μι, aor. a μετέφην , parler au milieu de π. γημί. Μετχφορχ, V. μεταφέρω. Μιτ^φόρητος , η , adj. qui peut être transporté.

Μ«τ»φοριχ^ς, V. μεταφέρω.    ‘

Μετσφρχζω, fut. άσω , exprimer d'une autrcnianiere—traduire d’une langue dans une autre —interpréter.

, Μεταφράζομαι, délibérer ensuite R. φρχζω

Μετχψρχσις, t«>, η» MÉTA-purase; interprétation; traduction — manière différente d’exprimer une pensée. [Mî-τχφοχς-ης f à, ô, qui £xpriAic d’une autre manière—traduc-teur—interprète. [Μςτχφρχςι-xh;, qui a la forme d’uno meta pli rase.

Μετχφρενον f n, το , l’entre-deux des épaules» R. <ρρην. Μ«τ*φνοαα» , être transformé ;

change* de nature R. φύω. Μ«ταφντίυω f fut. ενσω , transplanter. [ Μϊταφντ«ία , ας , η > transplantation. R. φντβνω. Μιτα^ον/ο), parler au milieu de —parler à. R. φωνέω. Μιταχειρίζω, fut. ίσα^μετΛχηρΙ-ζομχι, manier—traiter—panser — administrer ; exercer, une fonction.

Mtra^fipiÇottoti, traiter, arec bonté y uvec dur*:te, etc.

Μεταχειρίζομαι t manier, manier tes esprits Λ etc. [Μίταχιι-ρισμο;, », ό, μεταχιίρισις , ί«ς . η, l'action de manier, de tr iter, efc. % et autres sens du perbe—traitement; pan.'ement.

H. *,:>    .

Μιταχίίοιος, ut adj. nui est entre les mains ou dans les mains. Μεταχ/ω, transvaser. R. χίω. M€T*;<0ôvr-ç, «» adj. fcriHîstre— (jui s’élève» en l’air — qui a oui t té lé séjour de b terre. 11. χθοίν.    ^

l MET

Μίταχρ^νίος, a, adj. qui fait une chose quelque temps uprès.

Μιτχχρ'ω, -χρωνννμι, -χρωννυω,

teindre d’une autre couleur, après avoir ôté la premiere-^ transformer ; donner une autre figure. R. χρόω.

Μετχχωριω, passer d’un lieu dane uu autre. d’un séjour dans un autre, d’un parli dans un autre. [ Μίτκχωρητι-, ιως, ή, I action do passer d’un , etc. —passage d un lieu dans un autre, etc.— retraite ; migration ; passage. R. χωο/ω. Μί.ταψα^ω , transporter—déplacer; (aire chauger de pJace.

Μεταψχλχσσειν , transposer. R. 'ΙχΧχσ'τω.    -

Μίτχψηφίζω, tramporter par dé-c..\.*t une fonction d’une personne à une autre. [Mcrxyv}· φισ:ς, «ως, η, décret qui trans-porie d’une personne à une autre. R. ψηφίζω.

Μιταψηφ», changer de dessein.

Μιτ/6αλον, aor. a de μετχΈχΛλω.

M«TtSrjv, aor. a de μετχξχίνΜ.

yitTiyfpx'pt» * écrire une chose dans un autre endroit que celui où elle étoit déjà écrite -r-écrirc une < hose à la place d’une autre uu’on a ciTaçée— chauger une tfécla ration ; changer ce qui a été inscrit. 1». l·/Γράφω.

MtTtyvveO-n , aor. ï pass, de μιτα-y»vwffx«, il a été disütiadé ; il a changé de sentiment. .

Μ«τ/«(ΒΤ£ , poét. pour μεΤε?νε, aor. 2 de μιτίχτω, inus. il parla au milieu <lc. R.

Μετεγνι pour μετησΊ , poèt. pour μ«τη, 3e pers. sing. subj. près, de με'χιιμι.

Μίτπην , opt. prés, de μίτειμι.

McTtÜYjya , parf de /«TaJauffacW

Μ/τειμι ( de μετχ , ε7μt , alh;r ) aller après—poursuivre—^brigue·· ; rechercher ; ambitionner. McTuvat aρχΉν, rechercher une ^îagistrature. ^ Mccuac , poursuivre quehiu’iiu dont*nu veut se venger. [M/tci/m, s\i[-forcer, dam S/n.-~tr,Mtx\ Jajjf -—solliciter q ne lq u’uii de l’appui diujuel ou a besoin, dans Thuc. et A ris top/».

* Mctci/xi, revenir. E\t?«

Tf tfu, Aristojih. je reviens h ce poipt de noire conversation.

Μίτζίμι , passer à. HOv ért} xb T,jp μίταμι , Luc. je passe n^ainlenant à raectisation au sujet du feu.

MiTitjAi , passer du côté de ; passer d’un parti datu .un

79

a -    .

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624 MET ,    ,

Μίτατσηίαω, fut. qe«, sauter d’an endroit dans un autre—passer rapidement d'une chose à une autre — sauter alternativement, d"un cheval sur un autre, comme tes cavaliers appelés άμφi-Kvot — repasser en sau-. tant à l’endroit d'où l’on s'é-toit élancé. [ Βίετα«η£ησ<ς, («>(, vj, l'action de, etc.—change-geznent de saut. R. ιτηίάω.

. Μιτανινίω , fut. μεταητεσονμαι , parf, μιτοησ/σίΜχα, aor. a μετ/-«xcaov, tomber dans nn endroit au lieu de tomber dans un autre ; passer à ; retomber.

I<r*t al ψΐίφοι αντω cyivovTO* et il μία μόνον μιττσεσεν , utaίερω-ρις’ civ ^ άσεΌανεν, Use nine contre Ctès. les suffrages furent égaux : si parmi les juges ixn seul eût opiné autrement, l’accusé étoit condamné à l’exil ou à la mort. £( *ρε7ς ftovai (λίτ/νισον tw ψήφων ,

' àvcvfftvyKv αν, Plat. Apolog. de Socr. si parmi les juges

• trois seulement eussent opiné autrement, j’étois r*ivoyé absous ; littér. si parmi les boules qui servent à mettre son suffrage dans Fune des deux urnes, trois seulement fussent tombées dans une u rne plutôt que dans l'autre, j’étois , etc. Την αρχήν μετανεσον-<ταν ecç άνίρα εξ ί^ιωτιχοΰ χαΐ , άσημου y/νου; , Hèrod. l'empire étant passé à un homme d'une race vulgaire et obscure. Πάλιν / iUTottfi<rov<r*)ç τΐ5ς τ«χης » Isocr. la fortune étant redevenue contraire.

Mcttraritrio», changer, neut % —dégénérer ; se détériorer.

Μ (τοητλάσσω, —οίτΙω, fut. άσω, changer une figure en une autre, une figure de cire ou dautre matière—transformer. R. μετά, πλάσσω.

Μιταολασμώς» ï, δ» Faction de, etc.—mîtaplasme, figure de grammaire.

Μετασοιεω,/β/. ησω, changer la forme d'un ouvrage; refaire d'une autre manière; changer. Mtravotuv νόμον, Dém. déroger à une loi. [ Μετα^τοιε'ομαι, s’attribuer, s’arroger; se mettre en possession de ; s’appro-

frier. [ Μιταβοίησις, «ως, η, action de, etc.—changement

— restauration ; rétablissement ; réparation. [ Mctovomt t)*, «, °i .qui change—^qui restaure ; qui rétablit ; qui répare· R. *01/*.

. MET

McTarerofvtoç, « ,adj. pénal ; mém. sign, que ιτοίνιμος.

Μιτοκνομνη, 95ς, η, mêm.sign. çue μετάνεμ^<{.

Μετανορευοην, adv. ( de μεταττο— ρενομαt ), en poursuivant

Μιτοτβτρρενομαι, aller partir après ; suivre — poursuivre ; cnercher à venger. Tb» φόνον τον «rarpfeç μετατσορενόμενος, Eurip. poursuivant la vengeance du meurtre de son père· [ MiTa«op( j)fnst, ambitionner; briguer; courir après; rechercher. Μετανορευεσθαι τ^ν άρχ^ν, Λ?/, briguer une magistrature. R. πορεύομαι.

Μετατνρεοω, exceller sur tous les autres — se faire remarquer parmi les autres. R. πρινω.

Μετατ»7άμενος, aor, a part. moy. de μεθ&νίαμαι.

Μετάνίωσις , εως, η, renversement , de fortune—révolution

— changement—passage d'un état à un autre—métaptôse, c. i d, changement qu éprouve un malade, soit en pis soit en mieux i

MiTavvpytov, ëf Ά, espace entre deux tours j ouvrage de fortification qui joint deux tours. R. wîpyoç.

Μετα^'θμιος. %, adj. mis au nombre ae. R. αριθμός.

Μιταρρ/w, refluer ; éprouver un flux et reflux; passer d’un état dans un autre. Των το ιόντων με'νει τα βουλενματα , χαΐ ου με-ταρρεΓ, ω<τσερ Ευριντος, Arist. les résolutions de ces sortes de personnes sont invariables, et ne sont pas entraînées par an flux et reflux continuel, comme les eaux de l’Euripe. R. ρ/ω.

ΜεταρρίνΙω, μετα^ρισίεω, jeter v.ers le côté opposé. R. ρι«7ω.

Μετάρροια, ας, η, reflux; flux et reflux—vicissitude. R. μ*τα£-ρεω.

Μ·ταρρυθμΓ?ω, réformer; corriger ; ‘arrancer d’une meilleure manière; enan^èr. [Μεταρρύθμισες, ιως, η, 1 action de, etc. —réformation , etc, R. ρυθμός.

Μεταρσιολεσχεω, s’occuper de vaines disputes ou ae vains systèmes sur les choses céles-' tes—s'occuper de disputes futiles. Γ Μιταρσιολισχης, celui qui s occupe de, etc. [ Me-ταρσιολίσχΓα, ας, η, vaine dispute sur les choses célestes— dispute sur des objets futiles.

Dans Γorigine ^ μεταρσιολεσ-χεω se prenait en bonne part pour dire, disputer ou disserter sur la physique céleste.

MET

Μιταρσιολεσχ ία, dispute. oM entretien sur la physique céleste. R. λέσχη.

Μεταρσιολογκ», μεταρσιολογία, Λ. sign, μεταρσιολεσχεω, r/f# Μίτάρσιος, *, adj, haut; élevé; qui est entre le ciel et la terre. Μκταρσιαι , vaisseaux en

Êleine mer. Μετάρσιος χωρα, autes régions de l air.

' Μεταρσιόω, enlever dans les airs. R. μεταίρω. 1 Μ/ταρσίς, εως, η, transport—· transplantation — transmutation—changement. M. R. Μετασχευαζομαι , déménager , changer de demeure — changer de manière de vivre. [ Me-τασχινάζω, faire changer de manière de vivre; faire adopter d’autres habitudes—faire prendre une autre forme, une autre manière d’être 5 constituer dans un état différent. R. σχευά£ω.

Μετασχηνόω, fut. ωσω, changer de demeure. R. σχηννΐ.

Μετασοβεω , chasser. R. σο&ε'ω. Μετασνάΐ, ayant poursuivi; ayant atteint ; aor^ part. de μιθενω,

* inas,

Μ/τασσαι, ων, «1, brebis de moyen âge; mêm, sign, çue ρ^σηλιχες. Μετασσ«ύ«σθαε, poursuivre impétueusement—poursuivre. Μετάςασις, βως, η, passage d’un état à un état différent—mutation ; révolution — changement de lieu; changement de demeure —.passage—émigration—changement de manière d’être — éloignement—mort. R. μεθί<ρομι.    -

Μεταςατε'·ν, il faut changer de demeure : il faut émigrer. MR.

Μιτας-είχω, venir d'après un ordre ou une invitation. Hxc* μετας-ειχων σε, Eur. je viens vous trouver. [ Μετας^ιχω , mander ; envoyer chercher. R. ς-είχω.

Μετας-εΤίλομαι et μ*τας·/λλω , envoyer chercher; faire veiSir; faire passer d’un lieu dans un autre—déporter. R. ςΥλλ»· Με·ας*/νω, fut, vu, gémir par un sentiment de repentir—gémir sur; déplorer. [ Μετας-ε'νομαι, mcm. sign. R. ςγνω.

Μετα<τηναι, aor. î inf. de μεθίς-ημι^ μετο^ησαι, aor. ι inf Μιτας-οιχι!, adv. Σταν μετα^οι— χεί, nom. ils se rangèrent tous sur uné même ligne. R. ?ο7χος« Μίτας-οιχειόω, changer en un autre élément; transformer. R. ς-οιχειόω.

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' MET

λί£Γ«^ον·ιχίζοαοΗ, déplorer; gémir sur. il.' ς·οναχι£ω. Μίτ>ίρί*το«τί<?ίνω ci ριίτας-ρατο-σι . ii jopiat, transporter son çatnp dar. un autre endroit. R. Vpaeromicvû».

Μετας-ρε'φω, retourner; tourner i    d’un autre sens—retourner ,

*    au fig. donnerjune autre tour

nure; présenter les choses sous une autre face ; tourner diins un sens différent—fléchir —changer. [Μετοι^ρεφομαι^ se relonrner ; se tourner vers quelqu’un. [ Μετα^ροφη , % , •η, conversion; mutation. H. ςριψω.

ΜιταιχιΤ*, inf. aor. 1 de μιτίγω. ηχΊ/ημοίτίζω .fui. ίσα», transformer; donner une autre figure.

Μετασχηματισμός, β, o, transformation U. σχηματίζω. ΜιτχτΛσσ», Ait. μετατάτΐω, changer l’ordre de bataille- [Mtra-τίτΊομχι , être ranpé dans un autre ordre de bataille—passer d'une armée dans une autre ;

Îasser du côté de Pennemi.

I. τχσσα».

Μετατχντα, ensuite. R. μ*τ3ε, cavra. ^

>Ιίτατ*θ?}αι, fut. μιταθησω, transposer; changer une chose de pince ; transporter—changer ; rétracter; révoquer; abolir. ΜετατiOipua: rîc πρη^ενα, Xèn. je rétracte ce que j’ai dit. [Μετα-r rlQ: vbxi, sans régime, se ré t rac-ter—changer de sentiment.

MtrotTftOstç , changé—émigré —mort. R. TtO/jpt.

Mit y-psncj t retourner; tourner d’un autre sens—clianger.

Μετατρ:tjouxit être retourné ; se retourner—avoir soin de ; prendre soin de—avoir égard

a. II. τρίντω.

Μετχτρεφομζί, être <*!eVe parmi. ΜίτιτρζίψΊ AftojicTa’c, Apott. il fut élevé parmi les Ktoliens. R. τρίψω.

Μΐταττρεχω, courir d un lieu dans uuautre—courir après—poursuivre. R. τρίχω.

Μετατροτ™. ^ς, v>, mutation ; conversion ; changement — soin ; attention.

Μετατρ·βτος, t», adj. qui peut être chati/é—changeant ; versatile —mobile R. τρ/τπτω.

Μίτχτροητος f q"i revient — rétabli uans son premier état. ΒΙετατυ ταό'Λ, f *t. ωσω, transformer. [ Μετατντσωσ<ς , ε<νς , -ή , transformation. IV. τύσ/ω. Mî-rgri'îxw , ft. *?σω, parler au milieu de—parler à. R. oevo^.

MET

Μβτάνρίβν, adv. après-demain;!

• le surlendemain. R. ανριον.

Μεταυτιχα, advy aussitôt après.

Μιοτανχε'νιον, « , xb , l’entre-deux des épaules. R. ανχτί*.

Μιτχφ/ρω, fut. μ«τ»ισω, aor. I piiT/jvtyxa , transférer, transporter d’un lieu dans un autre —porter tout autour.

MtTeitpooio», transporter la signification propre d’un mot à une autre signification ,c.àd. parler métaphoriquement.

Μεταφορά , άς , -η , MÉTAPHORE , fig. de rhétorique.

MtTctyoptx'bç, «, adj. MÉTAPHORIQUE. [ $ίίταψοριχώ; t adv. métaphoriquement R. φ/ρω.

Mcxxfr/u:, aor. 2 μετεφηv , parler au milieu de π. γημί.

Μεταφοpot, V. μεταφερω.

Μιταφορητο; , u , adj· qui peut ètie transporté.

Μεταφοριχ^ς, V. μιταφερ».

Μιτσ.ψρχζω t fut. άνω , exprimer d'une autre Vnaniere—Iraduire d’une langue dans une auire —interpréter.

. Μιταφρά^ομοα , délibérer ensuite R. φρχζω

Mît χφρασις, ιως, η, HÉTA-Pürasr; interprétation; traduction — manière différente d’exprimer une pensée. [Me-χ<χφρα(~ης, S, ô, qui exprifue d’une autre maniéré—traduc-teur—interprète. [Μ*ταιφρ*ς·ι-χ'ός, qui a la forme d’uno metaphrase.

Mtrotcppivov, μ, το* l’entre-deux des épaules» R. φρνίν.

Μίταφυομαι , être transformé ; changer de nature R. φνα.

Μιτ«φντίύω 9 fut. «νσω , transplanter. [Μϊταφυτβία , ας , ·η , transplantation. R. φντινω.

Μίταφωνεω, parler au milieu de

:    —parler à. Κ. φωνί«.

Μιταγαρίζω, fut. tc-ce^ μεχΛχειρί-ζιμχι, manier—traiter—panser — administrer ; exercer t une fonction.

ΜετΛ/ίΐρίζομ,αι t traiter, arec bonté , avec dureté, etr.

Μιταχιιρι^ομαι, manier, wa-nit>r tes esprits, etc. [Μίταχιι-ρισμ'ος, 5, ό, μβτΛχα'ρισις , ε«ς . t) , Taction de manier , de tr iter, efc., et autres sens du verbe—traitement; pansement.

R χ£

Μίταχηοίος, n, ad), qui est entre les mains ou dans les mains.

Me-αχ/ω , transvaser. R. χ/ω.

ΜίταχΟο'νιο;, «, adj. Jt-rre^tre— qui s’éleve en Pair—cpii a oui lté le séjour de b terre.

R. χβ«ν.

( MET Ga5

Mtrotxp^vtoî, », adj. qui fuit une chose quelque temps uprés.

Μ£τ®ΧΡ'ω» -χρώνννμχ , -χρωνννω, teindre d’une autre couleur après avoir ôté la prétniere—. transformer ; donner une autre figure. R. χρίω.

Μβτχχωρίω, passer d’un lieu dane uu autre, d’un séjuur dans un autre, d’un parti d.ns un autre. [ Μκ^χωρ^σι-, £Wç, ^ 9 1 action de passer d’un , etû. —passage d un lieu dans un autre, etc.—retraite ; migration ; passage. R. χωρ/ω. Μί,ταψχιρω , transporter—déplacer; faire ebauger de pjace.

Μεταψαλάσσίΐν , transposer. R.

ψαϋσσω.    -    1

Μίτχψ/)φ!^ω, transporter par dé-c. jt une fonction d une personne à une autre. φισ:ς, ίως , décret qui transporte d’une personne, à une autre. R. ψ·ηφ ίζω.

Μβταψνίφ», changer de dessein.

Μιτ/^αλον, aor. a de μίταΖαλΧω.

Mm^v, aor. 2 de μίχ*ξΛίν„.

Mertyîpxyvi écrire une chose dans un autre endroit que celui où elle étoit déjà écrite —écrire une chose à la place d’une autre αιΓαη a cffaçée—

changer une déclaration ; changer ce qui a été iuscrit. R, iy Γράψω.

Μιτιγνωσβ-η , aor. î pass, de μετ«-γινωνχω, il a été dissiwidé ; U a changé de sentiment. _

Mcr/tiCTt , poct. pour μιχιΤνα, aor. 2 de μιτί'κτω, /.vus. il parla au milieu <le. R. mw.

MsTsyrt pour    ,    poét.    pour\

μιτη, 3e pers. sing. subj. prés, de μί'χζιμι.

Mîft tvjv , opt. près, de μ-'τπμι.

Μετεύπφα , parf. de μίχτίχ^άνω.

Μίτιιμι (de μιχχ , (7μι , aller)

aller aprrs—poursuivre -^brigue*· ; recherclier ; ambitionner. Mïtuvxi αρχ>ΐ», rechercher une^ia^istratuie. [ M;aiU(. poursuivre quelqu’un «Jont «ni veut se venger. [Μτ'ηΐμ», s’e[~ forcer, dam S/n.—trailer, ,ΙαϊΠΓ liéroitot. -—so 11 ici 11 r q ne 1 q n* u n de l'appui duquel ou a besoin, dans Thuc. et Aristoph.

" Μετκ/ΐι, revenir. Ktn« pc'-xttai, Aristoph. j« reviens h ce poipt de notre converiation.

Mrrctfà , passer à. îiïv iry} xb μίχαΜ v Luc. je passe maintenant à l’acciuation au sujet du feu.

Μετειμι , passer du côté de ; passer d’un parti dans .un

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G26

MET

MET

MET

autre. Μιτιόντι; -rrp^ç Avramvov, Herod, passant du ciMé d’An-toniii.    ^ ^

Mmifti {de μιτ'α, tly\ , être) èlre avec ; être parmi ; être au niiiicu de—se trouver présent au milieu de. Μιτες-ι μοι , je participe à ; j'ai part à. Mrrîîv αντοΤί οφχϊζ ονίερδς, A ris t. iîs étoient exclus de ^toutes les magistratures, ft; « ριτον αθτοΤ; Εσιίάμν«, Thuc. comme n’ayant aucun drojt sur la v.lle d’Epidamne.

Mcri pour jirtcc* » dans Hero-dote et dans les poêles. Ti <î> ΐ£λ/νν}ς τταρθ/νω τ* σνί p.twc ; jEurip. qu’est ce que votre fille a de commun avec Hélene ? Mttttcivvw, passer i».

Μιτιΐς, Ion. pour p.cÔt»ç» aor· a parti de μεθίημι. ‘

ΜετεΤχον, aor. a de μετ/χω. MsTcxCatviaxi, imparf. Ion. pour μίτ*;*βο«νι;.

MirtxCatvo», fut. -βνσομαι, parf -ëtfnxu, aor. a αιτιξί&ην , etc. paf*er, <Tun char sur un autre, d'un tais seau sur un autre. R. βαίνω.

McTtx$i£aÇ«, débafquer dans un autre eu-droit. R. βιβάζω. McTÊxiufxi , aor. a^pmçtfvv , μ*4·ΐχ^ν»ω utrtxouw, se dépouiller. R. όννώ.

Μί'τίλΟΐ , -oTfXt, ω-, -iTv, -άν, -όντος ,    a de ριτίρχοραι.

Μϊ-Γδαβ -ίνω , /tf/. ζησομαι, passer, ι/1*/* vaisseau dans un autre. R. ίοιβαίνω. ltliTcpucvou ^ inf. Dor. */ Α?λ.

pour ριτιιναι.    .

MtTîVyvtôç, « , tiré d un endroit pour Être inséré dans un autre. U. έμψυχος.

Μιτί^-ψγΧ®6* » ^aire Passer ,,n€ âme a un corps dans un autre [Μίτίαψνχωσις, «ως, y», MÊTEMP-sicrtôs&i transmigration de Time d’un corps dans un autre. R. ^χή·    f

Μετινι^ν, *<>/■. a de fjrt^aive». Me'rcviyxtt’», inf. aor. i ue μιτα-fipùif aor. a prrivxyxov M'tsvsx0iiç»    Pari

pass. de μεταφέρω. -    ,

Htwfr*x*fP*r/'mor

ΜΐτίνσωρΛτωΟίς f «ως, η, trammi-* «ration de J’âme d’un corps Sans un autre, dans le s/s-ùme de la mètempsychose. R

σώϋ.χ·

Hixt&tol* ,fui.-mzrt9»fe*r. a jieTiHr-Wçïiv, -αν«<τ Λι, chasser quelqu’un de sa demeure ; * changer 1 J

jier forcer

de

de de-

Μ«τ«£αντλ/ω, puiser et transvaser ce qu’on a puisé—puiser. R.

αντλία».

Μ(τ(ζ('τιροι, eu* «y adj. quelques-uns ; certains. R. fitrà, ίξ, ϊτιρος.    ^

Μιτιΐ>ν , Ion. pour* txbv, όντος, to y partie. neut. ae μεχειρα. MtrmttTot, adv. ensuite. R. ιιτα. Μιτισιτyj^tvo», changer sa manière de vivre. R. ttftxnitw». Μιτίροίω, tranvaser, mem. sign.

çue ρ.ιτα/Γι£ω. R. Ipàua. ■

Mîtepôoç, J£ol. pour μέτριος. Μιτ/^χιο pour μετίρχου.

Μιτιρχομαι , fut. μετεΧίνσομαί , aller trouver quelqu'un—envoyer chercher—chercher — aller à la recherche de. .

Μ«τ/ρχοραι, prier, supplier. Μίτίρχομαί σ· *τρ^ς θιων ταΰ.Ύΐβ^ς ι cmΓν, Hèrod. je vous conjuré, au nom des dieux,· de dire la vérité.

Μίτ/ρχομαι, adresser la parole ; apostropher ; parler à. Μιτιρχιται χοΤς χοΐς tmtai , Hèrod. elle lui adresse ces paroles.

Μιτ/ρχορβι, poursuivre la vengeance ; se venger ; venger —punir. Μβτ/ρχοραι τον φονιά rù ιατρός, Ant. je me venge du meurtrier de mon père. McvsXGuv γάμνς    νβρισθιν-

t«î, JiuKjp. venger l’outrage tait à l’hymen d1 Hélène. M«-τΤίλθ* τ^ αμαρτίας %μων, S/n. il a puni nos fautes.    .

McTipxope» , poursuivre , c. à d. briguer, rechercher. Την âtyoplxvoutâv μετερχομινον , Plut, briguant l’édilité.    -

Μιτ/ρχβραι, passer d’un lieu 'dans un autre , d’un parti dans un autre—d’une chose à une autre—parcourir.

Μβτιρχο^Λί, méditer; s’exercer sur—traiter.    ,

Μιτ/ρχορχι, avec le datif \ mèm. sign, çue σννιλθιΤν , dans Hom.

MrrtVcrov , fai atteint , aor. a ind. de μεΟ-τσω, inns. Μ(Τ£ΐΤ90μ(Χΐ pour μιχίσομΤΛ , fut. I mo/, dc μεταμι.

Mfriçt«;, ωη;, fem. -ιωσα, y*, Ion. pour ριεθις-ηχώς, part. parf. de μιΟχρημι.

Mittçi , de μετ'ίμι.

Μετισχηχα , μιτεσχον , Parf* aor. a de μετίχω.

Μ«τιθίθην» aor. i pass, de μιχα-τίΟ-ημι.

ΜιτίνχωααΓ,souhaiter. R. εΖχομαι.

meure; forcer d’emigrer. R. IMcr/yr^, dè μ^τάψημt.

j Μιτιχυ, futparticiper à j

avoir part à : partager—avoir en partage. Μιτιχ» tire ou wo , j’ai part avec vous à cela. Ocfffip των xtvivvtijv -ιτλιΤς-ον με'ρος μιθ/ζβσι, Isocr. qui aiiit>nt la plus grande part aux dangers. Μιτιχοντίςμοίραν τιμβων, Herod. ayant part aux honneurs.

Μιτ/χω, être complire. Mt— τ/χιιν φόν» , Hèrod. être complice du meurlre. R.^ît*, ίχο>.

Μίτ·ο>ρί^ω, élever dans les airs— élever—élever le courage ; relever les espérances — exciter à la defection—enfler, enorgueillir.

Μιτεωρίζω , neut. s’élever ; prendre l essor—cingler en haute mer.

Μιχεά>ρ(ζομαι , être élevé — s’élever—cingler en haute mer —s’enorgueillir; s’enfler.

Μιηωρισρ-ος , i , ο , Taction d’élever dans les airs; élévation— orgueil ; hauteur. R. μιτεωρος.

Μιτ«ωροθηρ*ι, ων, ot (éperviers) qui saisissent leur proie dans les airs. R. £v)p«.

Μετιωροχοσιω, battre Fair avoe la rame, if. à d. ne pas aller du fait; divaguer en parlant—travailler inutilement. R. xôw'î».

Μ(τνωρο'λ<σχιω, débiter des rêveries sur ce qui se passe dans les hautes régions de Tair ; en imposer par des discour» scientifiques ; faire parade de sublimes connoîssance». [ M«-τεωρολισχ·/)ς, 5, ô, celui qui débite des, etc. R. λισχη.

MtTttûpoloyip), fut. *ίσω, discourir ou écrire sur ce qui se p«»>se dans les hautes régions de T. ir, sur les hautes sciences , sur les connoissances sublimes. ptfiTfvpoXoyoç, », ô, celui qui, dans ses discours ou dans t>os écrits , traite de ce qui se dans les hautes régions de Tair, etc. [Μ«τίωρολο>ί«, ας, discours ou traité sur ce qui se passe, etc.

MtTMapoÀoytaiMÉTF.OEOLOGm · partie de la physique çui traite des météores. [Mcrceipoioycx*;, MÉTÉOROLOGIQUE.

MirtwpoXoyiw et μ*τεωρο\όγ$ς se prennent quelquefois en mauvaise part, dans le même sens que μιτιωρβ/εσχτ:; et ρ,δτβωρο-λισχ/ω. R. λι/ο».    '

Μιτιωρο-σολ/ω, parcourir les hautes récioTis de l’air—contempler les choses célestes. 11,

ττολεω.

MtTsmpowcpoç, », o, qui sc per

- \

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MET

dans les nues, métaphoriquement. R. «όρος.

ΜΕΤΕΩΡΟΣ, » , adj. haut ; élevé j sublime.'Τίι μετιωρα, les endroits élevés—ce qui se passe dans les hautes régions de l’ai r* MÉTÉORES.

ΜεΤεωρο; , oui s’élève ; qui *c dresse en l’air, comme un cheval gui se dresse sur les pieds de derrière.    1

Μετεωρος, qui est à la surface ; qui n’est pas enfoncé ■—superficiel.

Μιτιωρος, qui est en pleine mer; qui cingle en haute mer.

ΜίΤϊωρος, qui est dans une grande attente—qui est en suspens ; qui balance ; flottant ; clu* attend l’événement pour sc décider—qui est attentif ù une chose. Μιτιωρον, ce qui tient tout le monde en suspens. Mm»peç S(vn , procès pendant à un tribunal. IWw-ρος άρχγ), empire disputé par de· compétiteurs—interrègne.

Μετ/ωρβς, qui se tient prêt n executer un dessein—toujours prêt à entreprendre ; toujours alerte.

Μετ/ωρ ος, tlans Poly be, qui m<*<Jite une défection.

Μετ/ωρος, qui va tête levée —plein de confiance. R. μιτα, cet (ρω.

Μ(τεωρότερος, compar. plus élevé , etc.

Μετεωρότορτος, superl. très-«îevé, etc.

Μ^τίΛ,ροτχό^ος,*, ο, entièrement ;:b iorbé dans de sublimes spéculations. [Μιτίωροσχοινίω, être

enlu rement absorbé dans. etc.

Μι τίωροσχΛτσε ω , A ri stop h. contempler le ciel. R. σχοσιω.

Μετεωροσοφις-ης, «, ό, mem. sign, que μ«τεωρολ/σχ»ς. R.

σοφος.

Μετεωρότιρος, μιτιωρότατος, V. μ-ΐτ/ωρος. ^

Μετιωροφενα!; , αχβ? , h y oui en impose p?r un étalage de sublimes connoissances. R. φιναξ.

Μr τ»ϊ?αν, Ion. pour μιτεΤσαν f 3^ pers. plur. aor. i art. de futttpi (de piràt, eTfit, aller.)

Mct»)vOov , μtxYSXOcv, aor. 2 d* μετ/ρχομοα.

Μίτους, υίος, émigré; étranger.

R. ί'λίίΟω.

>îiT/}v/uto;, », dont la vitesse égale celle des vents. R . ανιμος.

MiTïîopoç , poèt. pour μετ/νρος , haut, élevé ; sublime , etc. To

' pirriopov , ce qui est comme suspendu en l’air, c. à d. qui vVàt pas stable.

MET

Μίτιημΐ pour μιΟίημι.

Μετιθι, près, impèr. de tic μι , (de fxiT*, ιΤμι, il 1er.)

Μετιαχιιν y mém. sign, çue aitc-χιιν, de ρινίζω.

Μίτοίχισια, a;, séjour dans un pays étranger. R. οΐχεω. Mirotxiw , -ω, fut. »>ω , aller s’étnblîr dans un pays étranger —habiter un pays étranger,

- après avoir abandonné sa patrie degré ou de force. [Μετοίχ»* c·;, ιως,», l’action d’aller,

—e'migration.

MiTotxta, Κ. μετοιχος.

Μίνοιχίζω , fut. /σω, tranférer les habitaus d’un pays dans un autre ; foire émigrer—forcer de changer de demeure. []\!ε-*οιχισμος, », ô, transplantation des habitans d’un pays dans un aütre.    t

Mitocxiov, μιτοιχιχος , V. μίφίχος. Μιτο(χο£ομ*ω, faire re construire ; refaire un bâtiment. R. oîxo-£ομ/ω.

Μιτοιχος, β, o, déporté; exilé.

Μιτοιχος, étranger domicilié sur le territoire ou dans la ville d’Athènes , lequel étoit obligé de payer tous les ans un tribut de douce drachmes appelé μετοίχιον, » , xV. Μιτο<-xcxbç άνθρωσος, mém. sign, çue με'τοιχος. Te μετοιχιχα, le droit obtenu par un étranger de s'établir daüs l’Atlique. [Μι-τοεχία, état d’étranger domicilié R. οΓχ3ς.

Μετοιχος, mém. sign, çue ινοιχος, dans Soph. · Μετοίσω, fui. de μεταφέρω. Μιτοιχομαι, envoyer chercher— accompaguer—passer. R. οΓ-λ χομαε.    .

Μιτοιωνιζομαι, prendre de nouveaux auspices — recommencer sous de nouveaux auspices. R. oly/Çoutxt·

Μιτοχλάζω, s’agenouiller ; tomber sur les genoux. R. ύχλοίξ». MiToy, part. neut. de μιτιιμι. Μετονομάζω, appeler d’un autre 1 nom ; donner un autre nom. [Μετονομασί*, «ς^ ή, changement de nom—métonomasib, changement de no/n propre par la traJudion, ci0 ne Mi Ln-chthon ( de μΛαινα , χθων )pour scbward.sert, çui en allemand signifie terre noire. R. μ«τά, ονομα.    .

Mit&w», »ς, », métope ; intervalle carré entre chaque tri-glyphe de la frise dorique. R. μ:τχ} Izjvj.    -

MiTosny, adv. per derrière — ensuite. M* R.

• MET 627

MtromteOc, utxétstaûtv, ad*, derrière , par derrière—ensuite ; après.    »

Μετόσωοον , », τ^>, la fin de l’aL-tointie. [ Μετο-βωρινος, i, qui arrive sur la fip de l’automne

— de 1 automne. Wrrotjoptvà Z$ara, pluies de l'automne Miro'fjwpov, temps où l’on entre dausl’âge viril. R ΟΒΤωρα. Μιτορχιον, ι», το, di>tance entre de* rangées d’arbres ou de ceps de vigne. R. όοχος. Μιτονσι'α , ας, i participation , communication ; socléf 4 ; as-1 socialion ; communauté. R,

μέτα, ιϊμι.

Μιτοχιτιυω, détourner le cours de l’eau ; faire couler d’un autre côté ou du côté opposé —détourner d’yin antre cAté; faire passer d’uu autre côlé. R. όχιτιυω.

Μιτοχίι , >5ς, »> mêm. sign, çue μίθβξις.    ^    >

Μιτοχίι, participe, en terme de grammaire. R. μιτ/χω. x Μιτοχιχ^ς, g, adj. du participe. Μιτοχλιζω,transporter. R. ό^λεν-Λ. Μιτοχος, », adj. qui participe à.

R. μιτε'χω. '

Μετρ/ω, fut. »σω, mesurer, au propre et au fig. Tïj y xp αύτών âxaxt^c τονς ττ-^ας μετρονσιν , Arist. car étant exempts de malice, ils jugent des autres par eux-mêmes.

ΜιτρεΓσθαί, être mesuré —-recevoir quelque chose qu’on nous mesure , en nous vendant ou en nous prêtant. Εν μετρείται ■παρ* yitτονος, liés, son voisin, en lui prêtant, lui fait bonne mesure. Ti &\φιτχ χαθ r,uU/lον μετρούμε voc, Dem. recevant des faunes qu’on leur distribuoit par deux boisseaux.

ΜετριΤν, prêter. [,5ΪετρεΤ^θαι, tecèvoir à titre de prêt ; emprunter. ΜετϋεΓν ttjv irrnv , rendre la pareille ; traiter comme on a été traité.    -

ΜιτριΓν, parcourir l’étendue de. ΤΜ&γάς μ/ya μιτρεΓν , ΙΪΟΒΙκ traverser la vaste mer.

Mrrp»fftç, ιως, » * l’action de mesurer ; mesurage. [Μιτρομ*, ατος, το, mesure, «. à J. **. cjo’on distribue par mesure — la ration de bié qu’on donneit au so'dat pour sa subsistance.

Μίτρητί};, it, ό, MÉTaj/Ak, ' mesure ancienne contena.l quarante-huil setiers, ringt-quatre pintes de Paris. [Ms τρνίττις, inestireur.

> adv. par κ.**

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628    '    MET

sure; comme le* choses qu* oh mesure.

Μετρητές, 5 , adj. mesuré qui se mesiire ; qu’on peut mesurer. [Μετριάζω, être mesuré , dans ses discours ou dans jej acti ns : garder la mesure; se modérer; agir avec mudé-f ration—user ou jouir avec modération—supporter avec modération, patiemment.

JWirptxe;, â> **dj. qui concerne Jes mesures. Il μετριχη τέχνη,

. l’art de mesurer. [Μετριχος, qui^mesure b on.

Μιτριχ'ος, METRIQUE, composé ^de metres. , Μετριο)ΐο'7ος, », adj* modéré dans ses discours.

W:rp:or>jiire:a , ας , η , MÉTRIO-γατιιιε , étal d’une personne (iui m »dere .ses passions et ses douleurs , ft at auquel nsp't— r»ivnt les stoïciens. H. πάθος. Μιτοιοτ^αθεΓν, être dans un état de métiiopathie.

MiTQtotaaQrTv, avoir de rin-dulçjence ; compatir [Μετριοπαθής, », ό . qui est dans un étal de métriopathie — indulgent ; compati *>ant. jUcrptoTÎTOTsto * boire modérément. [‘Mipcowfittïi, ©; qui boit , modérément. U. «ίνω.

. Μ;τριο; » « » adj- mesure ; modern ' —médiocre—modique. Το μ{· -rptcv , mesure, au fig.—modération—médiocrité—modicité. Μ/τρί« ίχων, Dim. ayant tine pelilo somme d argent jytiTpt* τ'χ περί σιαυτ» λε·/εις , J.uc. vous par let modestement de vous même.

μέτριας , a des condi-lions moddries.

Μιτριος, arec un nom de personne , qui garde la mesure ; modéif-—modes e—·qui lient Je milieu entre la foiblesse et la rigidité—qui ose de uiodé ration dans î’exemee de l’au-îorité ; qui traite avec ménagement ceux qui dépendent Je lui. To μετριον, modi >tie, {)[ μέτριοι'* les personnes d’une condition médiocre, c.od. qui jifs sont ni riches ni pauvres.

a'fcc mesure ; modéi*. ment*— suffisamment ; Slwz μετρΐ'·>ς , aver exces.

MîTp-'ü', m< MO' reoient—uu

ne;:—nioiîîqueinenl.

* Aisro'u; , modestement— nv.-c οΙήΐΗ'ΠΠ*, nvec équilé. 4)ί μίτpt'/j: ιτράτίοντί; OU μιτρινς ?χ:ντ£ς , OU‘m. S'g·*, que o: \ ri-dcssLS, Mfxpio; yï-

MEX

petv, supporter avec modération.

MtTpioryjç , ητος, n, mesure , au fig.— modération ; retenue— modestie—médiocrité. Μετριοφρονεί , navoir pas une opinion trop avantageuse de soi-mème ; être modeste, tt. φρη'ν. ^

Μετρίως, / · μέτριος. 1 MLTPON , « , το , mesure, au propre et au fig. "Μίτρα <ρν\ΰ.σ-σεσθαι, Hés. garder la mesure, c. à d. s'éloigner de tout excès. Μετρον ν)£τ,ς , mrm. sign. que ffiri. Μίτρα χελευΟου, Hon. man. sign, quv χε7ευθον.

Μετρον, vaisseau servant à mesurer.

Μί'τρΟν , Μ I TU F. , pied ou mesure de vers.

Μίτρονο’μοι, wv , οί, MÉTRONOMES , i magistrats athéniens chargés de Γinspection des mesures. R. νέμω.

Μετωνυμια, ας , η y MÉTONYMIE, fig. de rhétorique. [ Ήετωνυμι-χος , i , adj. MÉTONYMIQI’E.

[ Μιτωννμιχως, adv. par métonymie. H. όνομα.

MctoitjYjiov, edv· de front. ï\.

μετωηχον.

MtTwwe^;, «. o, qui a le front large. H. ωψ.

Μιτωπιον, «, το, front—rentre-deux des sourcils—gaUianum , gomme l rce d'nne olante de çn *m>* nom—huile a amandes amorcs mêlées de galhanum.

ucç, η, bande servant n centre le front—bande; band?-.Vite.

Μίτωΐΰον , tt t το , front. Μ/τωΒτον άνασσαν, se renfrogner Χαλάν το ■ μέτωπο*% se dérider le front. Το μέτωπα* μ^χννειν τ7>; τάζεως , Xcn. éten<lre le front d’une armé*·*· R <*>ψ·

Μ|τω«το<Γίόσος, », ο, MÉT0P0S-COPF.; qui conjfclure par les traits du vissée ce qui doit arriver à quelqu'un. U. μέ-

τωτ?ον , σχοτ?<ω.

MîO pour μον , gen. Dor. £1γω. ΜΕΚΡΙ, ιimU. prfa jusqu’à, jusques à\Mi/pi Σουσων, jue— qu’à Sitze. Wi/pi , jus-qu’.i un c**rt;iiti p· 4 ’t. Μέχρις cvÜc:vra, ju^qu'iri. Mf/.P1 t'jv ουρανόν , Arist. jusques au ciel. *

IVj/ÿ'p!    ou    τούτου    ,    SOUS-

e ni. χρόνου, jusqu'à ce jour; jusqu’à pré.seutv Μέχρι χβ νυν, jusqu’à présent, ^έ/ρι τ«νος? intv'T 'g. jusques e quand ;

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ΜΗΔ

combien de temps· encore ? Μέχρι «ολλου, long-temps.

Μέχρι, suivi du subj. ou de, tinfit. jusqu’à cc que. Μ«χοι τούτο ίίωρ,εν , Her. jusqy à ce que nous voyions cria.

Μέχρι, suiri de l'imparfait, tant que. Μέχρις riv àivttpo; των τον βίου χάχων , tant qu it ne conuoissoit pas les maux de la vie.

Μεχρις ου et μέχρις Sto*j , mcm. sign, que μίχρ<·· Μ/χρ: μεν ου ησυχαζιν , Esope f taut qu’il se tut.

Mti, conj· ne... pas—non. Mts >£yc, ne dites pas. M-n -rrciii-σαιτε . Dcmostk. aux dieux ne plaise que vous fassiez i veuillent les dieux que vous f ne fassiex pas ! yévoiro , aux dieux ne plaise que ccla arrive! Δ/ootxa μτ> λβλτίθάμεν, je crains que nous ne comprenions pas. Μη ίυν*7σεσθαι àtffiç», Défit· je crains de ne pouvoir pas. Ου ουναμαι μη οΰχ ισαινεΓν , je ne puis m'empècher de louer.

Myj φχσχω, μη λέγω, je me. Μη προστ!7οΐ8ρ.αι, je dissimule.

Μη pour μη^Λμω;, point da tout.    ’    #

Μη, à moins ; si ce n est. Kai τοΰτο wpaVlctv , ονκ àviîf*o> μη ρεθυοντος η -ffacÇovTo; t Arist. un homme ne fait f>oint cela, à moins qu’il ne soit ivre ou qu’il ne veuille badiner. , Μη, de peur que—afin que, suivi de ne.... pas. Μη αυ9:; yr/ωτα οψ).ω, Pfoi. afin que )* ire fasse pas encore rire à nie* dépens.

Μη, si. Kai iripl τ«ν φβρ»ν ηρώτησε μη β<ΧΔ<ΐς ίΐσΐ Plat.

il lui demanda si les impôts étoient lourds.

Μη, interr. Μη oïti ; ρβη.ΉΊ-vous? Μη τις ^λλος τούτο γνωρίζει ; Luc. y a-t-il qnel-qu’autre personne qui sacli* cela ?    \

Μητι, μη τι <ΐη, μητε yt , cl μη'τι */είτ), bien loin de; beaucoup moins; encore moin:».

Μη οτι, non-seuleinèut—j· up dis pas.

Μη yy.p or,, μη yap ye , μη aux dieux ne plaise que cela arrive.

Μη 3ε, Foy. μη$έ.

Μηίαμη , Dor. μηίαμα, nullç part. Mr/iw-taTî , μη'ίαμώς , ΠΟΠ Certes, aucunement.

Μηίαμινο<, », adj. qui n’est d’em-cun prix ; qui ue ifaut rien* K. fr,ô.·μίί.    _

e

ΜΗΔ

Μη-ΐα^οΟίν, d1 aucun côle—d’aucune manière. [ Μήίαμο'θι, ρ,τνοαμόσε, nulle part ; dans

, aucun endroit. R. μιαρός.

Μ/.<Ϊαμος, it, adj. pas même un —aucun ; nul. [Μ^αμάσί, adv. nulle part ; en aucun lieu. [Μιαρού, nulle pari. [Μηδαμώς, adv. aucunement ; nullement ; d’aucune manière ; point du tout. V. pjiopj. R.

fxy)iè, άμος.

lrl*/}d£, fXYio', ni—pas même. Ομηί' fttareîy Ttvt 3(μ:ς, Plat, CC 11U‘il n’est pas même permis de dire.

Μν)ί’ άν cTç, pas même un —personne. R. μη , àt.

Mn-îca, ων , τ*, desseins—conseils. R. μγιδος.

MV)<?CÎV pour jJLYjitV.

NvJtta, ας, η, MÉDÉE, nom de femme.

' Mrjitti1, μ-ηίίμΐΛ, μνιδεν, adj. au. cun ; nul ; personne. Μηίίν λί-

•    ytWf ne rien dire—ne ri«n dire qui vaille. Mv)&v clvai, n’être plus riqn, c. à d. être mort. Μηά'να;, Soph, des hommes nuls, des hommes de néant. Mto^sv ητϊον .yj, non moins que; Autant que.

•    Jlrjico , Ion. pour μ-ηόον impèr. de

μήδομαι.

MtïÎîwotî , adv. jamais. R. μηάί,

Ttéxt.    ■

adv. pas encore.

Μ-/]Ί{8Γωσοτ«, adv. jamais.

^!vj«y«rcpo; , y , adject, ni l’un ni l’autre. [ ΜηίίΤίρως, adv. ni d’une manière ni de l’autre —au genre neutre, en terme de g’ammaire. [ Mo^cr/pwac , ni d’un côte'’, ni de l’autre. R. Ζτιρος, L _

Mto^'oc, «ς, η, la Médie , contrée de t Asie,. [Μ3ί<ΐος, «, adj. Méde.

- Μηδίζω, imiter les Mèdes— être du parti îles Mèdes.

Μηίιχ^ς, S, de Mcdie ; des Mèdes— particulier atjx Mè-di*s. Mvjitxkç    l’oiseau    de

Médie, c. à a. Îe„ paon.

Mv)Jισμbς, », ô, attachement au parti des Mèdes.

Μηδόλως , μηδη δλως, adv. nullement; en^aucune manière; point du tout.

IfvioofAou , fui. ρόσομαί » avQir soin —consulter; délibérer—penser ; méditer'—machiner ; tra-

•    mer.

ΜΗΛ02, toç,    soin—conteil ;

dessein.    ^

Μνϊος, 3, o, y, Mtpna.

Μη&φύνγ}, γ,ς , η,    ;    deS-

fieio ; pensée.

ΜΗλ

\

Μηίοτίον» , rien du tout. R. μηδ\,

ος-ιςs ovv.

Μηίοφόνος, *, ô, qui tue les M cdes. R. μη<$ος , φινω.

Myφΐ*, rien du tout; rien. R.

μτητε . tv.

M^xa, cornes, S où vient μηχ&δις, les chèvres—les agneaux.

ΜΗΚΑ'οΜΛΙ , μπχοίζω , bêler. { Μηχασρ^ς, S, ό, bêlement.

Myjxotç, οίοος, ^ , chèvre—brebis —agneau.

Mvjxowpoç t y. μηχάομαι.

Μ*)χ飫νος, S, adj. long. R. μ^χος.

Mv]x<t( , adv. ne.... plus- Μ/ίχετ* ferertr’ OS'JGri'· xapv)&μοισιν itatln* Hom. que la tête d’Ulysse ne' soit plus sur ses épaules.

Μηχν), νίς, n, bêlement des chèvres.

Μτίχις-α, Hom. enfin—très-loin.

Mvjxcço; » **» àdj. superl. très-long

\ —très-haut. [ Μ^χις-ον, adv. très-loin.

Myjxowouû», allonger; prolonger. R. μ^χος, iroi/ω.

ΜΙΪΚΟΣ, toç, tb, longueur—^prolixité—hauteur [Μηχυνω,/ί*/ υνώ, aor. ι Ιμ-ηχννα, allonger; rolonger—êlre long , au fig. iscourir ou disserter longuement sur quelque chose.

ΜΗΚΩΝ, ωνος, η» pavot ; graine de pnvot—c* rtain excrément

' de poissons à coquille—vesdie

, que le polype a sur le ventre —sable qui se trouve parmi les métaux. [Μηχωνις, ων , οί, certains poissons qui vont en troupes. [ Μηχωνιχος, S, adj. de pavot. [ Μηχώνιον , 8, το, suc. de pavot.

M/jxtuvyj, surnom de Cérès qui en· seigna la première aux hommes

V usage du pavot.

Μηλχττ,ς, «, ό, berger. R. pvjiov.

Μ*ίλατα , ων, τ hi, brebis. M. R.

MEAlÎA, ας, pommier. Mn-\t(x tt(οσιχγ), pêcher. M/jXceixv-£<i>vcoc, coignQSSier. Μηλ/« μ·η-. Sixri, oranger.

ΜνΡ.ειος ^/αηλιος, v, adj. de brebis, de mouton. R. μνίΧον.

MlfAH, »ς, ίο, sonde de chirurgien; spatule.

ΜνΑιζω, avoir la couleur'd’une omine; être d’un jaune tlair; tre jaunâtre. [ Μηλιν^κΐίις, i ος, adj. qui a la couleur d’une pomme, etc. [ Mvfttvoç, », adj. MyjXtvôetç, <ντος, adj. mém. sign. R. μνίΧον.

Mrjico; , mêm. sign. que jarTAtioç.

Μ/ίλίος, e, adj. qui est de l’île de Mélos. MrjUa y7,, ocre de Mélos, dont les peintres faisQiçnt usage. Μηλιος Χίμο;,

ΜΗΛ 629

Aristoph? faim de ÎVfélos, c. à1 d. faim extraordinaire, à cause d'une grande famine qui avo/f régrié dans t île de Mélos,

Μ*Α»ς, »“ΐος, v>,gommier, arbre.

Μηλίς, ίδος,γ), ôcre de Mélos , dont les peintres faisoient usage.    *

Μτ)λοβο>ίω, jeter uno* pomme ^ ciuelqu’un, pour i agacer ; faire /J**s agaceries amoureuses. R. μ7,Χιν , βχΧΧω.

Μπλοβο'τας, «, ό, μν)Χο6ζτης, 8, el μ-ηΧοζοτύρ, ^ρος, i, berger. R. μηΧον, βόω. [ Μηλοβοτί'ω,. être berger.

Μηλόβοτος ,ή, où les brebis paissent ; brouté par les moutons; qui sert de pâturage aux montons—changé en solitude ; désert.    .    ·

MtjXoccIyjç, «ος, semblable à un® pomme ; gui e$t de couleur de pomme—jaunâtre. R. μ^λον,

«Γίος.

Μηλολονβη , *ς, ή » hanneton, insecte volant.

Μϊ)31ο|χ*υ« , α ;, τ,, combat dans lequel on se jette des pommes

' les un$ autres. R. μχχομαι.

Mvj>ô/xe>(, breuvage composé avec du coing et du miel.

Μήλον, 8, Dor. μ.3λον, το , pomme, pnmtnier. Μήλον πιρσιχον , pêche. Μηίιχον μΤίΧον, orange. Κυίωνίον ρ-^λον , COing.

Μ9ΐλον, fruit d’un arbre quelconque—sortie de l’œil nors de la tète [ ΜΤίλα, les joues— les mamelles *-les lèvres.

Μ^λον , brebis ; mouton — chèvre—bœuf.

Μηλονορ.ίν>ς , ίως , et μηΧονόμοςt », ο , Derger. R. νίμω.

Μηλοσχρηος , », dont les joues ressemblent à des pommes— qui a le teint vermeil. R. καρποί.

MffAOî, y, Yit Mélos, une des Cyclades.

Μ?)λέσχοτνος, 8, adj. d’où l’on peut apercevoir des brebis âu des troupeaux. R. ρηλον , σχο-«νιω.

Μιολόσσορος, β', planté de pommiers. H. pvj).ov , σβτιΓρω. '

Μτ-,λόσσοος, 8, qui conserve les brebis. Ή. σνος.

Μ·/)Αθθρφα)?£ω, immoler des brebis. % Γ Μ·^λοσ(ρα>ια% ας, v), sacrifice de brebis. R. σφάζω.

Μ-ηΧοτοόφος, 8, qui nourrit dei brebis. R. τρί'φω.

ΜπΧοφαγΙω, se nourrir de brebis. Γ ΜηΧοφ*·,*;, 8, qui se uowr rit cle brebis R. «ά/ω.    .

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63ο ■ ΜΗΝ,

Μν^οφονος^ y, qui lue les brebis, epith. du loup.

Μ^λοφνλο^, αχος, o, qui garde les brebis. R. φνλα-. /

Mvjioa», sonder , avec une sonde de ch'rurgen—enfoncer avec une spatule les laines dans la chaudière, les laines qu'on veut teindre.    \

Μ^ωθρον, », -r>, teinture—cou-tauvréç ou brioine, plante.

Μηλωσις, ιως, η , l'action de sonder. R. ρ)όυ.

Μη)*>τη,' 7,ς, η, MEI.OTE, peau de brebis avec sa toison—peau. R. JAvUov.

Μ»Αώτης, », ό, berger.

Μτ,λωΐΐ;, μηλωτρί; , ί<?ος, η, cure* oreille. R. a»'/.*.

Μ*>λωψ , ot»oç, ο, semblable à une pomme ; qui a la couleur d'une pomme. R. ωψ.

MllN , conjonction çui répond quelquefois à μεν , et se prend souvent pour <îc, mais ; cependant. Αλλά μην , or, cependant ; mais. ,Γι μην, or; mais. Kat μ^ν , de plus; et même. K*î μην «h, mais, fl μην , certainement ; h coup sur.

MHîï, gén. μ-ηνος, ό, mois, ίς-α-μ/νον μηνος, au coinmcnce-nient du mois, du premier au dix.' Μηνος μίσο^ντος, dans ïc milieu du mois, du dix au Vfngt. Φθίνοντας μηνος, sur la fi n du mois, du ving! au trente. Μην ος τετχρττ) ψθίνοντος, Thuc. le quatrième jour avant la fin du mois , c. à d. le vingt-sixième jour <1j mois,, si le mois a trente jours. Οί μΤ,νις, menstrues.

Μηναγνρτ/ω, faire tous les mois la quête pour Cybcle. [ Mova-yvprης, **, o, le prêtre qui fai-SOlt, etc. R. μην , άγΐίρω.

^ϊτίνανόος, h, menianthe ou trèfle d’eau , plante qui croit dans les marais.

Wv7*r.T0, Ion. pour εμηνατο , dl— μηνάμην t aor. i de ραίνομαι.

MtÎNIl, ης , i, lune. [ Μηνιαίος , », adj. menstruel.

Ήτ,νιχω t mcm. sign, que μηνίω.

MÎlNirS, e/Γος, η, MÉNINGE, membrane qui enveloppe le cerveau— membrane —sédiment du vin, lie dans le tonneau , avant que le vin ait commence C fermenter.

lîv)vtÇw, fut. ίσω, mém. sign, que μην ta».

M^vtO^'oç, 5, o, colère des dieux; roîrre ; courroux ; ressentiment.

, 7T' ;, τ\ , rtJtrf. sign,

■ MHP

MifaïZ, ιος, f>, ’ressentiment, courroux ; animosité

Μηνίσχος, », ό, ombelle qui se met autour de la tête d'une statue—lunule , en terme de gèomèlrie — disposition d’une armée en forme de croissant.

ΙΜηνίσχοι, des croissans—col-îers—bracelets.

Μηνιω, fut. icrw, Parf· **» ^re irriié ; conserver du ressentiment ; avoir de l'animo^ité—* entrer en colère—faire éclater sa colère; faire sentir sa colère. [ Μηνιω/manger ·, mâcher. R. μήνις.

Μηνοη<ΐης, «ος t qui a la forme d’un croissant; courbé en forme de croissant. Το μηνοπ&ς , croissant. Il μηνοειδής, la lune dans son croissant. IV. μηνη,

tlcîoç.    ·

Μη'νυμα, ατος, tfc , indication; dénonciation — découverte —— indice ; marque ; signe ; renseignement. R. μηνύω.

Mirfvvatç , V« μηνυ».

Μηνυτηρ, ηρος, μηνυ^ης, h , qui indique ; qui révèle ; qui donne des renseignemens ; dénonciateur; délateur.

Μηνυτρον , « , το, récompense de celui qui a découvert ou qui découvrira une chose que l’ou a intérêt de connoifre—prix que l’on promet à celui qui, etc.

Μηνυτωρ, ορος, ό, mém. sign, que μηνυτηρ.

Μ11"Ν\ΧΩ, fut. νσω,parf. μιμηννχα, indiquer ; découvrir une chose à quelqu’un; faire connoStre ; donner des renseignemens ; donner avis d’une chose ; avertir de ; instruire de. [ Μη-νυισΟαι, être découvert. [ Mη-νυσις, *»ς , η* l’action d’indiquer , etc.

Μηον , ovoç , pour μ«Τον.

Μηον«Υϊης pour μιιονιχΊης.

Μη* -7?ιβχλης pour μη

M/) -^ιταμής pour μνι ίτπτάμ-ης , aor. 2 subj. /twirtuv».

M/îwotc , adv. jamais—peut-être. R. μΐη, -ÏTOTC.

M»jtToj, adv. pas encore. [ M*î-ττωγί, mém. sign.

M/jpà, ων, τα, pour μηρο\, plur. de μτ,ρος.

Mr,pca7o; , αία , aTcv , a d). de la cuisse, du fémur. MnptaTa oçü, les os du la cuisse. R. μτ,αός.

MlÎi'XNCOS, # , vi, petite corde ; ficelle; ligne à pécher. R. μ.τ;ρυω.    ,

Μι^ό'ον , », mem. sign, que μνρ'ς.

ΙιΓt,γ·},;, ίοζρ oousu dans uiie

MÎT

> misse, èpith. de Bacchus. Il, paW7«* , μηρός.

MHPOS, 5, e, cuisse — jambe.

Γ Μν.ροτομ/ω, coupir la cdlsse. R. τέμνω.

Μτοροτν«ρης, *pç, adj. qui frappe la cuisse. R. τυηΊω. v

Mïîpvypia, ατος, mem. sign. que μτηρνμ a.

Μηρνχ«ίΪΓω , »*Υ]ρυ*α'«, μηρνχ'> et μνφυχίζω, ruminer; remâcher ce qu’on a avalé.

Μηρνχισρι^ς, », ô, rumination. R. μτορνω.

MHPVo, fut. vju, l'ouler le fil autour du fuseau, en filant—-mettre en peloton ; dévider— faire un tissu.* [ Μηρνρχ, ατος , το, et μγ,ρνσμ<χψ le fil qu’otl roule autour du fuseau.

Mr'aao, Ion. pour μ^σω, a* pers. sing. aorf i de μνίοομαι.

Μτίσασβαι, machiner , tramer ; rouler dans son esprit. R.

όομχι*

Μ-ησίαι, Ion. pour μη στ», a® pers. sing. fut. i de μνί^ομαι.

Mtjçi I)or. pour μη içt.

Mrîço, Ion. pour μίμηςo OU ϊμι~ μτ,ςο, 2e pers. sing, plusq parf. de μτηοομαι.    .

Μης-ωρ, ορος, ô, qu» donne conseil ; conseiller—qui délibère avec sagesse. R. £τ5υ©ς.

Μτ,ςωρ , habile. Μης*ωρ άντ?ΐς, habile dans les combats. [ Μη-ς-wp, auteur; celui cjui imagine, qui invente; qui produit un effet.

Μητ’, μητε , conj'. ni. R. μη, τ ι.

Μητ«ιρα, ας, η, mère—prudente; sen?.ée.    .

MlijHP , &Or. μάτηρ, η , gèn. -τ/ρος, -τρος, acc. μητ/ρα, voc. μνίτιρ , dat. pl. μητράφι, mère. Γ Μητιριος , «, adj. maternel, de mere. Voy. le mot μητριά, Σιμνη μητηρ pour Ρβα. ίί r^ç χόρης μίίτηρ, la mère de Proserpine.

Μητί , Voy. μη.

Μητιάασθί pour μητιασΟε, 2e pers. plur. impèr. pass, ou moy. de μητιά».

Μητια'ω, délibérer; tenir conseil —rouler quelquè chose dans son esprit; machiner; méditer.

Μητιιτης, », poèt. μιτι/τα, qui donne conseil—prudent, sage. R. μητ«ς.

Μητίζομαι, μητιομαι, mem. sign, que μητιάω—de plus, s’aviser de faire une chose—disposer; régler. Μητισοραι ΓχΟια, Horn. j’excilerai des naines. R. μ^τις.

Μ/ίτιμα ,Ίίτος, το, Μί,ΊΜ. sign. qu£

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MttT

Ιίητιόπς, tvtî;, avisé; plein de prudence j cloué d’une haute sagesse; plein d’intelligence^— fait avec intelligence*

Μήτ^σμαι , V· μη?(£ομαι.

Μητιο'ωσι pour μητίώσι, de μητιάο».

ΜίΙ'ΠΣ, ίδος, η, conseil—sens —intelligence—prudence; sagesse—finesse; ruse.

Μητις, ινος, personne Ιΐ.μ.ν>, τις.

Μητιω, contr. de μηπάω. ’

Μη'τοι, μ-ηνοιγε, à Dieu ne pïnise que—point du tout—nou-seu-Jemenl. Μητοι πότι Sidmnpav λα'Çoipt, Synr bi Dieu ne plaise que l’éprouve.

M/iro;, toç, το, mêm. stgn. que μητις.    '

Mvirpa, ας, η, matrice—ventre —moelle des arbre*. R. μητηρ.

Μητραγυρτίω, ω, faire la qjjéle pour Cybèle. [Μητ^α^υρτης, », ό , qui fait la quêté pour Cybèle. ». ροτνιρ, ά*/νρτη;·

Μητραί&λφος, h, ό, frère de la, ni ère, oncle maternel.

H μητρά'ΐίλφος, sœur de la mre, lante maternelle. R.·

à'icÀtpoç.

Μητραλωης, β, Λ//. pour μητρα-Χοίας, «, o, qui a tué sa mère; parricide. Κ. μτ,νορ, άλοάω.

Μ^τρεγχύτης, β, ô, mém. sign, nue χατίΟηρ. R. μήτρα, εγχέω.

Μητρη. Ion. pour μητρ*)

Μετριάζω, faire les sacrifices de Cybèle—faire la quête pour Cybèle. R. primp.

Μητρικές, S, adj. de la mère; maternel.

Μη τρις* <£ος, patrie de la mère.

Μητροίίίαχίος, β, ô, instruit par sa mère. R. οΐ'ΐασχω.

Μητρόθεν,    du    côté de sa

mere ; par sa mère.

Μητροχασίχνητος, u, e, frère de la mère, oncle. [ Μη*ροχασι-yvnno , ης , sœur de la mère , tante maternelle. R. χανιρητος.

Μητρςχίον/ω, tuer sa mère, f Μη-τροχίόνος, y, ê, qui a tué sa mere; parricide. [ Μητοοχίο-vta, «ς, ή, awaswuat que l’on a commis sur sa mère. R. χΊείνω.

Μ^,τροχωμ/α, y, μητοόσολις.

ΙΙητρρμητωρ, epoq, 4 « mère de la mère, grand'mere maternelle. R. μητηρ.

Μ/]τρόξίνος, «, adj. bâtard. R.

ζΥνος.

Mr/rpvoxrap, ορος, έ, père de la mere, a tea l maternel.

Μητροινολις, ιως, η» MÊTROPOJ K , h ville-mère d'où étoient sorties des colonies. On dit de même μπτροκ^ψΐΛ, «Çi η, beur-

MtîX

gade d'ou sont sorties des cô-Icwies. Γ Μ^τροσολις, ville capitale—la ville où est née la nu*re de quelqu’utn [ Μητροπολίτης, *, o, qui e>t de la métropole—métropolitain. R. μητηρ , «ολις.

Μητρ©«·ολοι, ω*, al, prêtresses de Cybèle.

Μητρορραίςτος, *, o , qui a tué sa mère ; parricide. R. ραίω , μντ*p. ·    ’    #

Μητρορριτ»1ος, *, ô, rejelé par sa mère, èpith. de Paris. R. ρίτσΊω.

Μτητροψθόρος, «, qui a fait périr sa mère. R. φθείρω.

Μητροφόνος, » , ô , μητροφόντης , β, ό , meurtrier de sa mère ; parricide. R. μητηρ, γίνω.

Μητρυιά, α£, /<?Λ. μητρυιη, τίς, η, marâtre. R. μητηρ. Hésiode α dit, ήμερος μητρυιάς , des jours pernicieux, par apposition à ιημέρας μτητ/ρας , jours favorables. Les autèurs coniques appelaient un beau père μτ,τρυιΐς, comme qui diroit en français un porâtre. [ Μητρυΐΐίίης, εος, adj. de marâtre.

Μητρώα, ων, τα, les cérémonies du culte de Cybèle; les mystères de Cybèle.

Μητρωχχος, S, adj. Μητρωαχαι <xyi£«tat , purifications qu’on faisoit dans les sacrifices de Cybèle.    ^

Μητρώα; et ρηχρωιας, β, ό, Voy. μότρως.

Μητρώο;, ωχ, 5ov, adj. de, la mère ; maternel. Mtjrpâov χώ-p»oy, matrice. [Mvjrpwîov, », to^ sous-ent. άρον, le temple de Cybèle, à Athènes.

Μ»ίτρως, -gen. μνττρω et ρινίτρωος, acc. μν'τρωα, oncle maternel.

Μ*)χανοίχται, poèt. pour μηχανατχι.

Μπχανάω, fut. ησω, machiner ; tramer; inventer.

Μηχανάορια*, être travaillé àrtUtement; être fait avec art-Μ-η^ανάιμαι , signifie, ad. machiner; tramer; brasser— imaginer; inventer; forger — procurer. Πολλοί Ιπ* αϊτω μπ-χανόωνταif Homere, plusieurs ourdissent des trames contre lui. Ψίυίν} μηχαντησασθαι Χόγον, Isocr. forger une fable. Μηχα vecouLou αφί cr/cSbt. ιταντα, Hèrod. je leur procure toutes sortes d’avantages. Μ-ηχανασΟαι j(-λωτα, Xèn. faire rire. [ Μτιχα-vaouat, tâcher de ; (aire ses efforts pour.

Mv)xavi(à(Acyo(, Ion. pêur ροχβνώ-μενοι.

MHXARÛ, 9ΐς, v, machine; rua

MIA ;-6.il

cK’ae de guerre. [ Μηχανή;

1 ressort, dans un sens figuré— mo3 en—artifice—invention— machination; trame—fraude ; stratagème ; ruse. Καοην ira όριζε μηχανήν, Arist. invente uu nouveau ressort, un nouveau moyen. Πλ/xctv μηχανάς, Plat, ourdir des trames Iran— thilëuses; dresser des embûches; machiner des trompe^ ries. Îîpoaatyitv τ«; μνιχοΛν; , Luc. faire jouer tous les ressorts. T i; μτη^ανη ; comment peut-il se faire qut* ? quel moyen que? Τις μπ'/ςαΑ Jixato-σννην τιριςίν c'ÔActv , ω τις ιΐ 'να—

μις ύπαρχε t ; quel moyen d’ètr* juste, quand on e»t puissant? Ονίψί* ρηχανί) ρ.η, il est impossible que.    „

Μηχάνημα, ατος, το, mêm. sign. que μηχανή.

Μηχανητ/ον, il faut ervoloyer tous les moyens; il faut (hire jouer tous les ressorts.

Μηχανητ/ΐς, 3, έ, faiselir de ma*-ctiines; machiniste — mécani~ cien—mariiinateur ; qui machine; qui trame.

Μηχανητίχος, 5, adj. habile machiniste—habile mécanicien— industrieux ; adroit; qui a l’es-

f»r»t inventif—habile à; qui a ’adresse de.

Μηχανιχ'ος, », adj. habile machiniste—habile mécanicien. Il se prend aussi dans la seconde signifie, de μηχανητιχίς, industrieux, etc.    -

Μηχανι^ς, mécanique. U μηχανιχη, la mécanique.

Μηχανιωτης pour μηχανητης.

Μηχανόβιος, mèm. sign, que βιο-μιηχανος.    ‘

Μηχανοιατο, Ian.pourμ^χανοΓντο, opt. près, de μηχαν<ομαι.

Μηχανοσοιος, i, <> e t η, faiseur de machines ; mécanicien — machiniste. R. μηχανή, iroi/ω.

Μηχανορραφία, «ς, machination ; trame frauduleuse. R. ράβ/ϊω.

Μηχανορράφος , 8, adj. machina-teur; artisan de fraudes ; qui ourditdes trames frauduleuses.

Μηχανονργ^ς, », ό, m^m. sign, que μη^χανοΌΟίός. R. μηχανή, «P/cv.    .    k

Μηχαν«τ·, 3*pers. sing, opt.prcs. de μηχανάομαι.

Μηχαρ, ατος, τ'ο , μνίχος, ιος, χΐ, mêm. sign, que μηχανη—effort, dans Lycophron.

Myîwv , ονος, Dor. et Eol. pour με ίων-    ‘    _

Μία, ας. ή, dal. μι5, éf Ion. du masc. un·

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63s Mir

ΜΙΑΙΝΩ,/â/. ανω, aor. ι iufyva, purf, pruiayra, porf. pass, με— μίχμααι, Att. μίμίατμαι, ΟΟΓ. I pass, ίμιάνθην , salir; gâter— souiller — profaner. MiotvOti; αίματι χαϊ χονίησ*, souillé de sang et de poussière.

Μιαίνω, teindre ; colorer. Μια’.φβν/ω , se souiller d’un meurtre. [ Μιακρο'νος, «, adj. souillé d*un meurtre—souillé de sang ; homicide^-sangui-wiire. [ Μιαιφονία , meurtre par leuuel on s’eet souillé ; Vioniicicle R. φίνος. ' Μίχμμα, ατος, τ^, teinture.

ΜivjOiv,poet. po/t/’ip.iat.vQtv, Béot. pour έμιάνθησαν , 3® pers. plur. aor. i pass, de μιαίνω. Μ:?;>ία,ας, rfy souillure—impureté—crime. Κ. μινρός.

Μιαρές, i. adj. souillé—impur

— méchant; scélérat. Αίματι μιαρός, >5uillé de soni;. [Μιαρός seul a quelquefois lu mém. sign.

De μιαρός vient le mot français maraud.

Μιαροφα^εω, manger des viandes immondes. [ Μιαροφά/ος , 8,ό, qui mange, etc. [ Μιαροφα^ία, +ςΨ η, Taction de manger des, etc. II. φχ}ω.

Μιχρΰς, adv. en se souillant ; d'une manière impure—criminellement.

Μίασμα, ατος, το, souillure — tache—crime digne d’expiation—-miasme. [Μιασμος, 8, o, mém. sign. R. μιαίνω. ^    ^

Μιάς-ωρ , ορος, o, qui souille; qui coininuniqne une souillure— impur; souillé—scélérat.[Mitx-çcip, épith. de Mars, homicide.

R. μιαίνω.

Μί/α, adv. pêle-mêle; confusément—indistinctement. [ Mt-^άζομαι, illèler. [ Μ^ας, άίος, ô et -n, mêlé; qui î»e trouve pêle-mêle avec d’autres. Πο/Χοί μι^άίις, Eurip. beaucoup de eus ramassés de divers en-roitS. R. μ’.'/νυω.

Μί /^ά, adv. mcm. sign, que μί/α. 'Μί/ΐτ,ν , mém. sign, que μί·/α. TMU/ci;, «ντο;, opt. et part, aor. 2 pass, de μίγν'ψ*.

Μί/ev, Béot. pour ίμίγν>σαν, 3e pers. plur. aor. 2 pass, de

[Xtyv'Jut.

Mîy/ωσι, Ion. pour μι^ωσι, 3e pers. plur. subj. aor. a pass, de μιγνυμι.

Wr/*)>ivαι , Dor. pour μιγνίναι , infin. aor. *pass. de μί-/νυμι.

«'f®?» x'°> mlx" tion; mulîmfcC^_

WÎrWïMI, p»yvv*>,/«/·    (4c

' MIK

μ/y», inas. ) , parf pass, μΐμ-iy-

ίιαι, aor. i pass, ιμίχθτην , rnè-er ; mélanger ; mixtionner.

Αμ«ζονίί«σσιν /μίξαν νσμ'νην ,

Apoll. ils en vinrent aux mains avec, les Amazones. [ Μί·/νυ-σΟαι, être mêlé, etc.—se trouver dans une réunion,, dans une société; fréquenter—avoir des relations. MtyvuaGat τισΐ , se trouver dans la société de que’ques personnes. Ev τσαλά-μαις μι^ναιτινί, IJom+c.n venir aux mains avec, quelqu’uu. ΜιχΟίί; άλλοίασρΓσι, qui a eu des relations , ou qui a eu commerce avec des étrangers.

Μί/νυσθαι, avoir commerce avec une femme.

Μί^ννσθαι, s’approcher. Mi-γιόμεναι ν/ίσσιν, H oui. s approcher des vaisseaux.

ΜΪ^ας, * , ό, Midas , roi de Phrvgic.

ΜιΜας, nom d* un petit insecte qui ronge les feves, probable-ment te même que celui que nous appelons puceron.

Μιηγόνο;, Jqn. pour μιαιφόνος.

Μίόρας OU μίθρης, le soleil, en langue persane.

Μίθριίάτν*, 8, «, MlTHRIDATE , roi de Pont.    ,

MixxoV, adv. pour μιχρ^ν, un peu.

Μιχχος, S9 Dor. pour μιχρόςψ [Mix-χνλος, dimin. de μχχρός. ^

MixpaiixvjTtxoçj S, ad). <jui commet de petites injustices, op posé à μί^αλαίιχΌΤίχίς. R. μι-χρος , άίιχίω.

Μιχραίτιος, «, adj. qui se plaint de petites choses—vétilleux. R. αιτία.

Μιχρόβιος, e, adj. dont la vie est courte. R. μιχρ^ς , 'β10

Μιχρόβωλος, qui a de petites mottes—peu fertile. R. βώλος.

Μιχρο^/νειος, 8, i9 'et μιxpoycvvç, νος, qui a un petit menton. R. y/vnov.    v

Μιχρ·ίοσία, ας, η, petit don ; petit présent. R. iidwui.

Μιχροθνμεω , être pusillanime.

[ Μιχοοθυμία, ας, r), pusillanimité. [ Μιχρόθυμ^ς, 8, adj. pusillanime. R. ^υμός. ^

Μιχροχκρτσία, ας, petitesse du fruit—production de petits fruits, f Mixpoxapwoç, h, adj. qui porte de petits fruits. R. χαρσός,

Μιχροχ/φαλος, 8 , qui a une petite téte. Κ. χεφαλνί.

Μιχροχίνίννος, e, adj. oui n’îif-fronte qde de petits dangers. R. κίν<Ϊννος.

Μιχροχοίλιος, 8, mii a un petit yentre—iluct. n, wdtx.

MÏK

Μ.χρόχομψος , h damoiseau \ dâ** meret. R. χομψ&ς. k

Μιχροληψία , ας, v), l’action d· recevoir de petits pré»ens — mince largesse qu'on reçoit*

R. μιχρος , λαμοάνω.

Μιχρολογ/ομαι, attacher cV ΓΪγπ-portance à de petites choses ; être vétilleux, minutieux ; s’occuper avec ùii soin scrupuleux et inquiet de pe lites choses —disputersurdr petitescho»e$; s'occuper d'^rguties.

Μιχρολο^ιομαι. en user d'une manière sordide , mesquine— être chiche. R. λ^/ος.

Μιχρολο^ία , α;, -η t importance attachée à de petites choses ; soiu donné a de petites choses — esprit vétilleux —mesquinerie; épargne sordide. [ Μιχρολο/ίχ , discours rempli de minuties; discours

3ui annonce un petit e>orit ; iscours foible d’idée et cVex-pression.

• Μιχρολ&γος, e, qui attache du

Î>rix à des choses de nulle va-ewr ; qui attache de l’importance à des minuties ; vétilleux; minutieux—qui cherche à cou-noitre les plus petites choses; qui s’enquierl des plu-4 petites choses—mesquin ; chiche.

Μιχρολόγως, en attachant du prix, etc. sens de ΐadjectif—* avec un soin minutieux—mesquinement ; sordidement ; chichement.

Μιχρόλνσος, «, qui s’afflige pour le moindre sujet. R. Xvr>vj.

Μίχρομ/ριια , ας, -η9 ténuité d parties. R. μιρος.

MîXjaoμβρη-, «ος, composé de petites p.ipties.

Μιχρόμματος. 8, qui a de petit» yeux. R. ομμα.

Mtxpcuarwlo;, 8,’qui a un petit voi le. R. ‘κίχσΧος.

Μιχρο'ϊτολιτrj;, 8, ô, citoyen d’une petite ville. R. πολίτης.

MtxpOtSO^CTlXOV ,    8, ΤΟ , 1CS lial>î-

tans d’une petite ville.

Mtxpvüôvvjpcç , βψ adj. méchant danrs de petites choses. R. μ1— χρος, -rrovr,poç.

Mixpot:rp(t9£ia, ας, η , mesijuine — rie ; épargnesor«lide. R*^p<oo».

Mtxpo«jp«tc;£voM.at, être mes— uiti; n>er d’u épargne sor-ide*1—pvoir ur sprit ahjoc t.

Ntxpotjpittr , /ος, mes<juin · sordide vil ; »b)ect ; qui des sentimeu »as. [Mtxpomp*-. σως, adv.    v*squiuein, · t —_

d’une mani    îvile, ab ecte.

M ιγ.οοτΰρίσωτΰί    s, qui a un petit

visa^ç^ R·

\

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ΜΙΚ

φιχρίρρχξ, αγος, qui ? de petits grains, de petits pépins. R.

ράξ.

Μιχρόρρις, ou ppc», ινος, qui a un petit nez. R. piv ρίς. ΜΙΚΡΟΣ , * , W, Jit. σμιχρος .

adj. petit—qui n’est pas d'un . grand prix; qui est de peu de ,yaleur ; qui est de peu de conséquence ; peu important. Mi-xpàc φρονβΓν OU μιχρίψ φρονιΐν ,

êÿrç humble.

. Μικρές , opposé à κολνς Mi-xplv μίΧιτος, un peu de miel. Mixpfev χρόνο», en peu de temps. Mtxpÿ npévipov, un peu auparavant. MfxpS Jt7v y ou simplement u.txpoû presque—peu s’en est fallu que. Εις μιχρ'οv π/σανσο, Luc. reposez-vous un peu. ,Κατα μικρόν ττροϊών, Isocr. avançant peu à peu. Μ<τλ μιχρΐ>ν, peu ae temps après. 1

Comparatif, puxportpeç ou «λασσων. Superl. μιχρότατβς ou «Ιάχιςος.

Μιχρές-αχϋς, υ0ς, adj. qui produit de petits épis. R. ςάχυς. Μιχρός-οαος, », qui a une petite bouche—qui a une petite ouverture , un petit orifice. R.

<Γ<>μα.

Μι*ρ6σφυχ7ος, », qui a le pouls foible, f Μιχροσγνξια, ας, foiblesse du pouls. R. σφύζω. Μιχροτνις, »τος,», petitesse ; ténuité; exiguïté.

MtxporpâmtÇoç, e, adj. qui fait maigre chère, ft. τράνιζα. Μιχροτριχος, qui a de petits chevaux ou de petits poils. R. ^p«£·

Mixpov, Voy. μιχράς.

Μίχροφροσννν», »ς, », petit esprit —‘pusillanimité. R. φρ»ν.

Μιχρόφρων, qui a un petit esprit —pusillanime.

Μιχρήρνλλος, », oui a de petites feuilles. H. φώλον.

Mtxootfxorïct, ας, », petite voix.

R. «ρωντί.

Μιχρόφωνος, #, «fÿ*. qui a une petite voix.

Μιχροψυχ/β, être pusillanime— tomber en défaillance.

Μιχροψνχία, orç, », pusillanimité—mesquinerie.

Mexpfyyxoç, pusillanime -—mesquin ; sordine.

Μιχουνω, rendre petit ; diminuer.

R. μιχρζς.

Mtχρως 9 adp. petitement—un peu.

Ού μι χρως, beaucoup.

Mu7/o» , il faut mêler. R. μι-γννω.

Ion. pour «μιμι*7ο, 3e pers.

MIM

j/λ^. plusq.-parf. pass, de μί-

/ννμΐ. *

Mtx7^ç, fcv, adj. mêlé. Μιχνθινος, μιχυλλος, £W μιχν).ος, diminut. dt μιχρος, très-petit. ΜΑα£ pour σμίΧαζ.

ΜΙΜΓΔΟΣ, », β, instrument pour trouer.

Μιλήματα, ων, rît, restes, mêm.

sign, que άντομαγ#χλ(α.

MtXtov, jAiXtxpioy, », Tfc, espace de huit stades; nn mille >c.àd. mille pas. [Μ*λιον, pierre, cause çue les pierres servoient à marquer les mit les. [ Mftiov , nom dune espèce de sapin, ew /fj feuilles duquel ’ les jeunes gens faisaient dès couronnes qu ils port oient da&s les pompes. .

Mftruoç, μίΧτινος, », de minium, de vermillon—-enduit de minium , de vermillon. ΜΛτιιον χρώμα, couleur du miuium. R. μιλτος.

Μι)τ»λ«ρ^ς, /ος, enduit de minium; peint de vermillon; ver-milloné; rougi. R. άλιιφω.

Μάτοττχρνιος, », qui a les joues peintes de vermillon—dont la ^ proue est teinte en rouge de ' minium. R. «apeta. MiixotsTpttjroç, », brillant de vermillon ; brillant d’un beau rouge. R. ιτρ/σω. μ(\· ΓΟΣ, », », miniunt; vermillon-terre rouge—rouille des blés.

Μιλτόω, -ω, enduire de minium; peintes de vermillon ; ver-mi llonner; rougir.

Μιλτώ£»ς, « ος, semblable au minium , au vermillon ; rouge. R. ιΤίος.

Μιλτωρυχια, ας, », l’action de tirer le vermillon de la mine; exploitation d’une mine de . vermilion ; mine d’où l’on tire le vermillon. R. Ορύσσω. Μιλτωρνχος, <r, qui tire le vermillon de la mine.

ΜίΛΦΑΙ, ων , αΐ, et μ&ψνχτeç, ιως, », chute des poils des paupières, lorsqu'elles deviennent rouges et enflammées. MIMÀÎKTAON, », τύ, arbouse ^ fruit de Γarbousier.

Μιααλλόνις, ων, al, et μιμοιΧόνις , bacchantes, d/: μιμιΤσβοιι, parce qu'elles imitoient Bàcchus. ΜΪΜΛΡΚΙΣ, (ως , et μιμάρχυς, I υος, », civet de lièvre. Μιμανλιΐν, imiter le son desflûtes.

R. μιμιΐσθαι, ανλος.

MIMrfOMAI, -ονμαι, fut. μιμ-ητ I σομαι, parf. μ{μ(μν)μ<χι, Militer

— contrefaire; copier. Ovç

MIM 633

ίπτχινΖσΐ μίν , μιμ«vrai è* i «α'νν, Dcm. qu’ils louent, mais qu’ils n’imitent pas. Hpaxl/oe μψπμχχ, Plut, j’ai pris Hercule pour inodele. Μιμ»μ*νος àXtxlopiSot poio»av, Plat, inii*· faut le cri d’une poule. Μιρ»λα'ζω, imiter—représenter. Μιμ»λΙς, », adj. imité; repré-«entr d’anrfÎ nature. [ Μ,μπ-Λίς, habile imitateur; habile à représenter d’après nature.

Μιμ»λ*, l’art d’imiter ; Kart de représenter d'après nature. Mtp»H τ/χν», mém. sigà. [Mi* μπίότ»ς , »τος, », mém. sign. Μιμ»λ3ι, portrait—image. Μιμ»μα, ατος , -Λ , ' imitation ; chose imitée image ; représentation. r Μίμπσις, «ως, l’action d’imiter ; imitation — l’action d· contrefaire.

Μΐμ»τ/ον, il faut imiter.

Μιμ»τ»«,’£?, 0, imitateur—émtrU —qui contrefait.

Λιμ»τιχ>>ς,», adj. habile à imiter, j. M^»Ttx'oç, propre à imiter ; imitatif. H μιμ»τιχ^ , sous-ent. ™'χν», l’art d’iirtiter. Tb μιμ»-τιχον , l’imitation; l’adres»e à imiter. [ Μιμ»πχως, aàr. en imitant ; à la manière dos imitateurs—par imitation. Μ«μ»τΐ»ς, », adj. imitable—proposé à limitation.

Μιμ:χ6ς, », adj. qui concerne les mimes; qui ne convient qu’à des mimes, à des bouffons. R. μίμος.

Μ<μναζ·*>, mém. sign, que μϊμνω.

Mlμν»σ»ψα», se souvenir; se ressouvenir ; se rappeler. [ Mi-μ»»σχω, faire ressouvenir; rappeler à quelqu’un. R. μνάο|*αι. Μιμνω, rester—subsister.

Μ('μνω, attendre—attendra

de pied ferme; soutenir 1· le choc. R. μ«νω.

Μιμογράφος, », fof. μΤμβς.    ·

Μιμολο/ιω, être acteur dans le# mimes; jouer dans les mimes. jM^oXôyoç, b, i, Voy. μΤμος. ΜΙΜΟΣ, *,ô,mime; bouffon; farceur, qui contrefait les ac-tiônset les discours des hommes.

Μίμος, mime, espèce de comédie où I on se permettoit Γ imitation libre et indécento des actions et des discours des hommes. C'est ce que nous appelons aujourdhui le genre poissard. Les acteurs de ces cctmédies étaient appelées μίμοι ou μιμοΧόγοι, et les auteurs , μιμο)>ρα>·ΐ , ( de μιμογράφος ). οος, contr. 5ς, », sipgc.

6g

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634 Μ1Ξ

MIS i acc. Dor. pour ανΛν, αντην, ou t, le, la. Αυτόν μι», soi-mètne; Jui-même. [ Ml» pour avT«;t eux, les. Mlv cpcV0«u,

* J poil, les interroger. [ Ml v pour t αντ» ou αύτ9>ς, de lui ; d elle; son. Hv yàip f*!”» 'ττομυταΤς ά»τη-ση;, Eurip. car si tu rencontres - son cortège.

Μινανθος pour μτηνανθος.

MÎN0A, μίνθη , ης, η, Μϊ'ΚΤΗΕ, •herbe odoriférante.

ΜίνΟος, », 0, et μίΛη, excrément ; étron. [ Μινθόω, rouvrir d’ordures excrémentielles. ,

, MivvO» ; diminuer ; réduire à un petit nombre—affoiblir » ^ di— inintier la force. [ MtvvO», neut. diminuer ; décroître ; dépérir; sécher ; devenir étique. R.'puvv&ç.

McwvO*, ad*, un peu de temps; pour un peu de temps. [ Mt-νννθα^ιος, **» adf* qui est de. courte durée; qui passe vite; passager.

Mtvvptypâ, μινυρισα«, «τος, Λ, gazouillement plaintif.

Μινυρι'ζ-β, fut. ίσ·, gaïOUll-

1er d’un ton plaintif—chanter d’une voix foible et plain-tive—se plaindre d’une voix languissante; geindre. .    .

Mivvpop.cu, mém. sign. Μινυρος, ï, adj. oui gaiouille d’un tou plaintif. fMjvvpiï, petit.

W!*«»pcoi, «, qui e*t de courte diirle ; passager—caduc. R-tip a.

Μίνω;, ωο{, Mwos, nom J homme.

Λ«ξ«.'θ,Μον , m Ά , temp* variable. R. |u(i(, α'βριος.

M:ï«Uflv, ι>*«ς, qu· «»t gree par son père ou par sa mere. 1% ?λληι>.

ΤΛίξις, **ς,·*, mixtion; mélange .—commerce avec unçtemme.

R. ^ίγννρι.    ·

Μ(ξοβ«ρ6«οβς, », «. demi bar bare. R. μ*7*νω> βαροαρος.

Μιξο^ία, ou;, n9 1°!*- /η*,ιης» αίζοοος, », n, endroit ou aboutissent plusieurs chemins rif-férens—le passage entre Scyl la et Charybde. R. όίός.

Μ.ξίβ«ρ, ηρος, demi-bète. Μ.ξί Qfj* άνθροβι·ς, minotaure. n.

Μιζοθριξ, τριχος, qui a lesiche veux à moitié gris. I\. Spiç.

MtHô>cyxo«» », adj. mélédeblanc. R. λιυχός.

^Τιςο-σάρθβνος, », qui ressemble h une fille dans une partie de »ou corps, épith. du sphjnz ,

ΜΙΣ

711/ tf toit un visage de fiUe. R.

<παίρ§(νος.

Ml£oWollQÇ,J7WJ./V/77. que ÇAQ9A-σολιος.

Μίζοφρνς, νος, f^ui a les sourcils , joints l’un à 1 autre. R. o^ppvç. Μίζω, fut. I de piyvvjuLi. Μισαγαθία, ας, η, haine contre les gens de bien ; haine du bien. R. μίσος, αγαθός. Μισα&Χγία, ας, n, haine contre w· frère. R. άί«λ®ός.

Μισοίί* λφος, », qui hait son frère oit ses frères.    .    e

Μισαλα^ων , ονος, ô, qui hait les fanfarons, les gens pleips de jactance. R. άλαζών. Μισαλιξανίρος, #* qui hait Alexandre. R. μΤσος, Αλ«'ξαν<Ϊρος. Μισά/ληλοι, ων, οί, gens qui se hnîssent mutuellement. [M<-σαλληλία, ας, η» haine mutuelle; réciprocité de haine.

R. άλλος.

ΗΐΦβΙιθροσος, v, ·* qui hait les hommes ; misanthrope.

Μισανθρ«Τ5ΐα , ας, »* misanthropie—inhumanité. ■ Μ(?λΐιθρ««ιν», être misanthrope; être ennemi des hommes. R. μισ/ν, ονβρββος. t Mioyuyxcta, ας, ravine ; ravin ; fondrière—mare. R. μΛ<τγ», άγχος.

Μίσγιαι, Ion. pour μίςγΎΐ. McaytiTivw, se mêler—avoir com merce avec une femme.. Μισχητία, ας, n y lubricité effrénée. R.

Micryoitcr), μισγοδία, ας, n, mêm.

sign, que μιζοοία.

ΜισγοΧης , » , cohue. R. μίσγω\ Μίσγομαι, pass, de jxtvyot. ^ Μισγονόμος, β, qui pourrit tout le monde indistinctement R.

. ν/μω.

Μι'σ?ω , fut. ξω , parf μίμιχ<} , mém. sign, que μιγνν»,

Μ<σ<Αλην , tjvoç, qui hait les Grecs. R. £λλην. -

Μίσι», ω, fut. τόσο», pflrf. ηχα , haïr ; avoiren aversion—avoir de la répugnance pour faire une chose. Μ*σ5 at της άναι-διίας, je te hais à cause de ton impudence. [ Μισίομαι, être haï ; être en aversion ; être odieux. Γ Μ{σημα, ατος, το, objet de naine. [ Μ«πότης, », qui hait. R. μΐσος.

Μισητια, et μ»σ^ητία, ας, 19 9 lubricité effrénée. [ Μισ^τιας, «, ο, extrêmement lubrique. Μ.(σητί^«, haïr. R. μίσος. . Μίση τος, », adj. haï; qui est en aversion; qui est un objet de hakie, d’aversion; odieux

ΜΙΣ .

[ Μισητές .'pour μισ^η-Λς, extrêmement lubrique. 1 Μισερόν, b, sujet de haine, ΊΛισθατίοίοσία, ας* n9 paiement; salaire; rétribution; prix; récompense. [ Μισθαττο<Ϊοτ*)ς * 9,

o,qui paie; quidonnele salaire, la récompense, le prix ; rémunérateur. R. μισθός, άνο<ΐι<?_ μ,ι. ΜισΘάριον, », τ^, foihle salaire, modique récompense* ΜισΘαρνίυτιχος, f^. μίσθαρνης·    '

Μίσθαρνης, toç, salarié; mercenaire—qui prend à loyer —

, qui entreprend un ouvrage à forfait .[Μισθαον/ω, être sa la rie; être mercenaire—faire un ouvrage à forfait-r—vendre son travail—ec proslituer pour de l’argent. [ Μισθαρνινω, sign. [ Μ«*9αρνητιχος, μισΟαρ-vevre^oç, », adj. mercenaire. [Μισθαρνητιχ·^, sous-ent. χίχγη, vie de mercenaire. Το μκχβαρ-νητιχ^ν ou μισθοφνινηχίν , ment, sign. [ Μισθαρνία, ας, η, l’action dp travailler moyennant un salaire; travail mercenaire; vie d’un homme qui travaille pour de l’argent—ouvrage à forfait — vénalité, J un juge corrompu, etc. [ Μ(?θ«ρνιχος, mêm. sign, que μισθ<χρνίντιχ&ς* μισθ&ρνιχη , ; sous-ent. x Ιχνη , mêm. sign, que μισΰαρνινχίχή· Μίσθαρνος, mcm♦ sign, que μίσθαρνης·

Βίίσθοφ^χ'β, ας, n j vénalité. d*un magistrat; prévarication d’un magistrat, intéressé. R. *ρχή-Μισθιος, », adj· mercenaire. Μισθοδοσία, ας, *, paiement d’un salaire—paye-^récom-pense—prix.

Μισθο^ο'τιις, », ό, qui donne le salaire,vla pay^e, la solde, le prix, la récompense, [ ΜισΟο-êoxto), donner le salaire ^ la paye, etc. [ Μισθοίοτ<οραι, recevoir le salaire, la paye9 etc. --être stipendié, soldé. Mliaoz, », 0, le prix du travail ; salaire ; récompense—rétribution. Tt μισθόν «par7c(v y Dém; faire quelque chqse moyennant un salaire. On sous-entend devant μισθού la préposition evexa.

Μισθός. solde; paye. Mi<rô5 oixcTv, occuper un logement dont on paie le loyer. Μισθοφορα, ας . η, salaire; payie— appointemens ; gages. R. ψίρ». Μισθοφοριω , être salarié; être payé; être mercenaire; être soldé , stipendié — tirer dti profit de. [ Μισΰο<ρορ«« , actif*

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ΜΙΣ .

«older; stipendier. [ Μισβο®/-pot, trolipes soldées ; soldats stipendiés.    ,

ΎίισΟοψορία, ας, η, rie de soldat stipendié.

Μισθοφοριχος, »> adj, nui concerne Ja paye, la solde—qui fcst soldé, stipendié. Tî> μισΒο-φοριχίν, trou pée* soldées, sti-pèn dires.

Μισθοφόρος, », ô, mercenaire — soldé; stipendié.

Μισθβω,/ut. ωσο^, louer; donner à loyer; affermer—donner nn ouvrage à faire moyennant lin prix—traiter à forfait avec un entrepreneur. Μισβονν αύ-τον, se vendre. [ Μισθούς, louer des 'ouvriers à la jour-—solder; stipendier. [M ισ-Βοϊμ,Λΐ, entreprendre un ouvrage à forfait — prendre à loyer; affermer. [ Μΐρσθωμ/-»oç , loué—soldé. [ Μίαθωμ*, ατος, TO, prix du loyer, du louage — salaire ; appointe-mens—prix de Ja prostitution.

Γ Μ<σ6ωσις, t®ç, i&, l’action de Jouer; louage; fermage—entreprise d’un ouvrage à forfait. [ Μισθωσιμος, *», adj’. loué “-;qu*on peut louer — qu’on doit louer — vénal; mercenaire. [ Μισθωτής, «, o, celui cju» loue—celui qui prend à Jerme, à loyer —entrepreneur d’ouvrages.

Μισθωτικές, *, adj. mercenaire. [ Μισθωτική, état ou vie . de mercenaire.

Μισθωτός, », adj. qui se loue— qui vend son travail; mercenaire —vénal; qui - se vend , fui se vend aux ennemis de son pays, etc. Μισθωτός Φιλι-π·— «ου wpoTtpov, χαί vvv Α'Χιξχν-ορου, d’abord le pensionnaire de Philippe, et maintenant relui d’Alexandre, titre çue Démosthene donne à Esc hi ne.

ΜισΟοτρια, ας, τζ, femme mercenaire; femme qui se vend.

Μίσχαιος, », o, jardin.

μ/ςΚΟΙ, oi, miettes de la tablç. [ *Ιισχίλ)ο<^ », adj. qui ramasse lés miettes—qui est d’üne économie sordide!

*ίισο£*ο£α&ος, », adj. qui hait les les barbares. R. μισιω, βοίρ-

βάρος.

Μ«σο5ασ£*ΐ>ς, £>ς» ·, qui bait les rois. R. βασιλείς.

Ήισόγαμος, » ô, qui a de haver-sioo pour le mariage. R. γάμος.

Μισο^&ης, ηίος, o, ennemi des charlatans. U. γόη;.

Mtaoyvtatoç, *> ô, ennemi des

ΜΙΣ '

femmes—qui hait sa femme. [' Μισογύνη α , ας, η , haine pour les femmes. [ Μισογύνης, Ιος, q .mém. sign, çue μισογ-ύ-ναιος. R. /υνη.

Μισόίημος, », adj. ennemi du peuple—ennemi de ses concitoyens. R. «frjfAOÇ.

Μισό^ιχος, », ennemi des procès R. £ίχη.

ΜισοΘιος, », ennemi de Dieu ou des dieux. R. Sto'ç.    .

ΜίσοΧοηχιχος, », o, qui hàH La-maebus, c. à d. ennemi de la guerrte. R. μισ/ω , Αάμαχος, Lamachus. général çui aimoit beaucoup la guerre.

Μισολο/ί'ω , être ennemi des belles-lettres—être içnoranl. [ ΜίσοΧογία, ας, η, haine pour les belles-lettres. [ Μισολο'γος, β, ο, ennemi des belles-lettres '—ignorant.

MtaoÇcvtdt, a;, vr, haine pour les étrangers—in hospitalité.

Μίσοξίνος, », ô, ennemi des étrangers—inhospitalier. R ξ/νος.

MioroWç, etioç -, qui hait ses enfans—ennemi des enfans. R. wouç.    ■

Μΐ9ο90Χΐμος, », ô, qui hait la guerre; ami de la paix. R.

. ιτόλ«<Α©ς.    '

Μισό«το1ις, ιος, adj, ènnemi de Ses concitoyens. R. ττόλις.

Μισοτ7ο«ιω, haït* le travail. R.

itovoç.

Μισοοτονηρ/ω, ω> haïr les mé-chans; èlre ennemi des mé-chans ou de la méchanceté.

[ Μισουτοντ,ρία, ας, η, haine pour la méchanceté ; haine pour les méchans. [ Μισοβτονη-ρος, », adj. qui hait les médians. μισονόνηρον, haine pour la méchanceté.

Μισοwpdr/f*ù>f, ονος, ennemi des affaires. R. πράγμα.

Μισοττωγων , ονος , h, qui hait la barbe — le mîsopooon , titre tCun ouvrage de Γempereur Julien. R. ιτωγων.

ΜΓΣΟΣ, ιος, rb, haine; inimitié; avers.on. ΜΓσος Παυσανι», Thuâ.^ la haine qu’on portoit à Pau-sanias. ΜΓσος »χ*ιν, haïr—être ha'K Μίσος Γχων -rrapàt ττάντων, Luc. haï de tout le jnçnde. ΜΓσος Γχιι» ·κρός τίνος, Plat. être liai de quelqu’un. .

Μισοσοφος, », ό, ennemi de la sagesse—ennemi de Ja philosophie. R. σοφός.

Mifforcxvo?, », adj. qui hait ses enfans. f MtçOTrxvfa, ας,' η, haine pour ses enfans} ÿe'njti-

MIT 63.-,

mens d’un père dénaturé. R. r/xvov.

Μ<σοτνραννος, », qui hajt les tyrans; ennemi des tyrans au du tyran. R. ρσ/ω, τυράννος.

Μισοτνφος, », ennemi de l’ostentation. Rf τίφσς.

Μισοΰν, nom d'un temple a Hercule dans la Phocide.

MicroyiliTOoç, », ô, ennemi de Philippe. R. Φιΐιιτνος.

ΜισοφιλοΧόγος, », έennemi des gens de lettres.

Μισοφιλος, », 6, qui hait les antis ou l'amitié.

Μισόφρονπς, ennemi de tout souci:    '

Mff*XP»xroç, », qui hait les gens de bien. R. χρηςός. J

Μισόχρις-ος, », ό, ennemi de Jésus-Christ. R. Χοις-ο'ς. ’

Μισο^ιυ^ης, to;, qui liait le mensonge ou les menteurs. Rk

ψίυίος.    e

ΜιςτΛη, ης, η, morceau ^e pain dans lequel on (ait un creux, et dont on se sert comme d’une cuiller , pour prendre du jus ou de la sauce, ce çu'on appeloil μιςνΧχοθαι.

ΜΙΣΤ^λλΩ, couper en petites parties, en petits morceaux. [Μίςυλλον, », >Λ, morceau de pain qu’on jette aux chiens.

ΜΙΣΥ, minéral vitrioli^ue qui se trouve dans les mines de cuivre.    ’

ΜΊΣΧΟΣ, », ô, la queue des fouilles ou des fruits, par laquelle ils pendent à l’arbre.

Μισώ£ης, ιος, adj. odieux. R*

μίσος,

μ/τοΣ, », ό, fil de la trame d’un tisserand—fil. [ Μίτοι ^ cordes d’un instrument de musique. [ Μιτορρα<ρί»ς, /·ς ,· adj. cousu avec du fil. [Μιτοω* tendre la trame d’un tisse* rand ou les cordes d’un ins— . trument.

MÎTPA, ας, η, ceinture—baudrier — ruban — bandeau — mitre-—turban.1 [ Μιτροφο'ρος, n, qui a la tète ceinte d’une OUTRE, d’un bandeau.

Μιτροχίτων, ωνος, dont la tunique est assujétie par une ceinture· R. xhta*. i

Μιτρ^ω , ceindre d’tine mitre ? d’un bandeau.'    '

MÎTifAOS, », adj. qui n’a pas d<; cornes.

MÎTÏÏ , υος, η, premier fonde-*

» ment de la composition miel ; premier travail <L·* abeilles.    '

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6;îG m Ml

Μιχθ-iivat, μιχθιίς, μιχθησομχι, de μίγνυμι. '

ΜΝΑ , ας, ν>, mine. poids de cent drachmes attiques; c ctoitaussi une piece de monnaie valent cent drachmes ou quatre-vingt-dix francs. [ ΜνααΓος et μνιχΐος, et adj, cjui pèse un« mine— t qui vaut une mine. Το μνααΐον, valeur d’une mine —■ poids d’une mine. /

Μνάαpour μνα, a* pers. sing. ind. du ver Le μνάομαι.

Μναας, chèvre que Ton trait.

^ΙναιαΓος, même sign, que μνααΓος.

Μναμηιον , 9 , Dor% pour μνημεΐον.

Μ*αμ·ν«ν0ημ4ΐ>, Dor. pour Ιμνη-μονινΰημιν, ΙΓ· pers. plur. aer. I % 'pass. Ae μνημονβνω. '

Μνοφοσύνα, ας, ά, Dor. pour μνη-μο σννη.

ΜΚα'ΟΜΑΙ, fut. μνηιτομαι, parf.

. μεμνημαι,αοΓ. εμνησθην, rapporter; faire mention : raconter.

. Μνησασθαι «tp* -τται^ς, Hèrod. faire mention du (ils. [ Μνάο-' μ<χί. sç souvenir, se rappeler; avoir soin de ; «songer à. Pa/. ci-dessus μιμνημαί.

■ Μνάομαι, rechercher; briguer ; ambitionner ; aspirer à — aiTecter — rechercher en mariage.

Μνάσπιν, 3 * pers. sing. de μνχσαα, opt. Eol. aor. I pour μνησαιμι, de μιμνησχω.

Mv»7vapour μνησης, a®pers. sing, subj„ aor. i de μιμνησχω.

Μνασιον , », το, mesure contenant deux médimnes.

Μνας-ί'ω, μνοιςκ?σας, μν&ςις, etc. V. μνηςίω, μνηςησας, μνΤ.ς-tç, ctc.

Μνάω, fut. μν-ησω, faire ressouvenir; rappeler à quelqu'un le souvenir d’une chose — faire songer; avertir.

Mv/a, Ion. pour μνα.

Μν/ισθαι, Ion. f.our μνάισβαι. ^

3Jvr»'ai, ας, η, mention—souvenir. Μνκ'αν moitTaôat, faire mention. Μνιίαν *χαν, se souvenir.

Μνιώμίνος, Ion. pour μνωμίνος, se souvenant—aspirant à , etc. et autres sens de μναίομαι.

Mv9ijxa, ατος, το, ce qui serf à rappeler’ le souvenir d’une chose; souvenir—monument —tombeau.

Μνηριατίτηί, v, ad), sépulcral. Μνηματιτης λό/ος, oraison OU éloge funèbre.

ΜνηαίΓον, ir , το , μνημηΐον , mèm. sign, que μνΨιμα. Il signifie aussi f endroit le plus retiré d'une maison où ton garde ce qu'H/ a de plus précieux ; le trésor ; les archives; le garde-meuble.

MKH 1

Ityr'uL*, ης, η, mémoire—mention. Αφ^ μνήμης c(t»<Tv, Isocr. dire de mémoire. Φιριιν iùn μνήμης, Hèrod. garder ou conserver la mémoire. Μνημη*

ττοΐίΓ^αι, Hèrod. faire men-

y % \ / » / tion. Ayeiv oict μνήμης *ν<ρημ»,

S/n faire une mention honorable.    f

Μνημόνευμα, V. μνημονιυφ. Μνημονίύομαι ,pOSS. de μνημονεύω. MvYjuovtvr/oç, v, dont on doit se / souvenir. £Mvtjp.oviv»T*ov,ilfaut se souvenir.

Myy)fiov(VTtxo{. S, ad), doué d’une bonne mémoire.    '

Μνηριονιυτο;, S, ad), dont on se rappelle—mémorable. Μνημονιν», fut. tv<rt», se souvenir; se râppeler ; savoir par cœur. Μνημονινω σοι τ>5ς χάρι-τος, Plat, je me souviens de votre bienfait. [Μ»ημονίν«, faire

- mention; rapporter; transmettre à la mémoire; rappelé rtfflrcortsigner dans se* écrits. [ Μνήμονίνομ/νος, transmis à la mémoire ; mémorable; célèbre. [ Μνημόνινμα, ατος, τΐ), chose transmise à la mémoire ; chose mémorable—chose dont on se souvient—chpse qu on sait par cœur ; un souvenir— chose honorable à la mémoire de quelqu’un. e Μνψονιχ^, i, adf. qui a bonne mémoire. Tfc μννίμονιχον ίχ«»ν, avoir bonne mémoire. [ Mvvr ρονιχος, qui a de la mémoire; qui se souvient de ; qui n’a pas oublié.    '

Μντομονίχος, qui a rapport à la mémoire. Tfe μνημονιχον , la mémoire. Μνημονιχον αμάρτημα, faute commise par défaut de, 'mémoiie; faute de mémoire.

Μνημονιχως, adv. de mémoire; par Coeur. Μνημονιχώς ϊχειν, avoir lionne mémoire, se souvenir. [ Μνημ.ονιχη, %\ς, ιη, sous-ent. χίχνη, Tart d’exercer laf mémoire—mémoire artificielle ; MNÉMONIQUE. T* μννμονιχΛ f préceptes pour aider la inc'moire; règles de la 9 mémoire artificielle. Μνημοσύνη, ης, η, la memoire— Mnémosyne , mère des Muses. Μνημοσννον, », το, ce cjui sert à rappeler le souvenir d’une chose ; monument ; vestige ; témoignage. β    ^

Μννίμων , Dor. μν&μων , ονος, qui se souvient—qui a bonne mémoire—scribe chargé de tenir registre des choses dont il est besoin de cor. «erver le souvenir.

MNH

Μνησαι'ατο, Ion. pour μνησχιντο , 3e pers. plur. opt. aor. i de

μναίομαι.

Mvy)ffx'ffxiT«» , Ion. pour ίμνησΛΤΟ.

ΤΑνησίαι, Ion.,pour μνησγ, a pers. si Kg fut. de μνάομαι.

Μνησθάς, «ντος, aor. 1 part. 4e

μνάομαί.

Μνησίθιος, «, qui se souvient de Dieu ; pieux. R. μνίίσις , Stop.

Μν^σιχαχίΓν , garder le souvenir d'une offense , d’un mal qu*on «a reçu; conserver du ressentiment ; avoir de l’animosité

• ou être porté d’animosité contre quelqu'un. [Μννίφφχί*, ας, η, ressentiment; rancune; animosité. [Μνησιχοαος, «, adj. qui conserve du ressentiment; rancunier, et autres sens de μνησιχΛχιω. R. μνησις, χαχός.

Μνησίχαχος, malveillant.

Μννισιχχχως, adv. avec ressentiment : avec, animosité * avec malveillance.

Mvrjçcta, «ς, η, l’action de rechercher en mariage; pour-‘ suite ; recherche en mariage.

[ Μντηςημα , ατος , το , mém. sign.

lâvnçtwù, ft. tvtfto, rechercher en mariage—se marier. ήχ»ιί-çtvaanaiôat σην , Eurip. j*ai recherché votre fille. γάμον χόρης, rechercher une fille en mariage. [ Mv^çcvccv γάμον ou γόμους, être l’entre— metteur d’un mariage; marier deux personnes*. [ Μνγ)ς·ευσθα«, rechercher en mariage-^AU. èlre recherchée en mariage—* èlre accordée ; être fiancée.

Μνης-ινω. et μνης^νομ^ι9 aspirer à; briguer; ambitionner— acquérir— procurer—> concilier.

Mvyjcn, 7,ς, τη,' épouse.

Μνηςηρ , îlpoç , ο, c^ui recherche uue fille en mariage; prétendant. [Μνηςηριός, », adj. de prétendant ; qui concerne la recherche en mariage. M*», ςηοι& êoipat, présens faits par celui qui recherche en mariage. [Μνιος^ρ, cjui se souvient. [ MvYjçyjpoyovta , ας, 17, le meurtre des prétendans , des amans de Pénélope , dans f Od/ssee. R. μνηςηρ, tptvto.

Μνηςης, », q, mém. sign, que μνηςηρ.    ^    ^

Μνής-ις, coç, η, souvenir*

Μνηςος, », adj. fiancé.

MvTnçpta. ας, η, mêm. sign, que /κρομνηςριφ, peu USlté.

MvTîrpo» , », το , arrhes du mariage. [Μνη^ωρ, ορος, o, qui a donné les arrhes du mariage.

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ΜΟΘ

Vvtiçvf, υος, η, la demande d'une femme en mariage. a

Μντηςωρ, ορος, ô, savant; habile. V· une autre signification au mot μννίςρον.

MNl'ON, β, rb, mous«e; algue, f Μνιοφος , », ad). couvert de mousse , d’algue. [ Μνιι^ς , ιος, mém. sign·

Μ νιω, manger.

MNQY2, avow, premier poil; poil follet—duvet.

Mvwot, ας,,servitude; esclavage. [ Μνωϊτόα, ων , .esclaves.

Μ»»ιο, poèt. pour μνώον, impèr. de μν*>ομα(.    ,

Μνωομαι, poèt. pour μνάομαι, se souvenir , tf/r. [ Μνωιο pour μνωον , souvenez -vous; ayez soin ; songez à.

Μνωοντο, Ion. pour Ιμνωντο.

ΜΟΓΓΟΣ, », «jui a une voix sourde. '

Moyipoç, et μογτηρ^ς, oc, ^v , laborieux ; pénible; malheureux. R. μογος.

Μο*/<ΰμις,    pour    μογονμεν.

Μογ/ω, i/ —iv», fut. ήτοι, et ινσω, travailler—être dans la peine ; souffrir ; éprouver des peines, des afflictions ; essuyer des traverses—endurer; souffrir. Γ Moyc* , être las; être accablé de fatigue ; succomber sous le travail ; succomber à la fatigue.

Î Moyiw, avoir mal, sentir de a douleur, dans quelque partie du corps· [ MoycTorOou , être dans un état de souffrance ; être dans ui> état fâcheux.

Moynpoç , V\ μογίρός.

Μογάοάία, ας, Υ)} difficulté de parler. [ΜογιΧαΧος, », adj. qui parle difficilement; bègue. H.

μόγις , λαλιω.

Μόγις, adv. avec peine ; difficilement; à peine.

ΜΟΓΟΣ, «, o, travail; peiné; affliction; traverse.

Μογοςοχρς, n, η, qui «réside aux travaux del'enfantemenf, èpith. de Diane—qui accouche difficilement. [ Moyoçox/û), accoucher difficilement. R. μόγος, χόχος.

Μ($ΔΙΟΣ, », ô, muid, mesure.

Μ0ΘΑΞ, axoç, o, esclave né dans la maison de son maître.

Μοθενω, détester, haïr—calomnier.

ΜΟΘΟΣ, », e, travail—combat; tumulte.

Μοθ»ρ«, ας, -η, poignée de la rame.

Μ?θων , ωνος, ο, esclave né et élevé dans la maison de son

MOI

maître—qui a des inclinations basses, serviles — importun ; fatigant; fâcheux. [Μοθωνία, ας , -η,. in.' · ience. [ Μοθωνιχ^ς, δ, adj. insolent.

Moi pour ίμο), 3at. <ΓΙγω.

Μοιμυάν, et μοιμνΧΧαν, serrer les lèvres, f Μοιμυλλπν , sucer— manger; mâcher.

Moîpot, a;, Y>, part; portion, partie. Ον σμιχρ&ν συμέάλλισθαι μοίραν, contribuer beaucoup ; être fort utile. Tvj μοίρφ τίνος προς-ιθ/ναι, attribuer à quelqu’un ; regarder une chose comme l’attribut ou le partage de quelqu’un. ,Εν μοίρψ τάτ— Ίίσθαι f tenir Jieu de. Εν φαp-μοίχον uoipqt, Plut, en place de remède, tv παιδιας μοίρφ, Plat. par plaisanterie, e’v ·νί«μ^ μοίργ μ*?άλη %γον, Hé rod. Us ne regardoient pas comme très-important.

ΜοΓραν βχι*ν, convenir; être convenable. Κατά μοίραν , con-venablemeut ; comme il faut.

ΜοΓρα j cohorte ; détachement.

ΜοΓραsort; condition; fortune. Αγαθή μοίρα, heureux sort; bonheur.

ΜοΓρα, le destin* θιία μοΐρα, providence divine—faveur divine. Γ ΜοΓρα £ανάτ», Hom. mort fatale. ΜοΓρα βιόχοιο, terme fatal de la vie.

ΜοΓραι, les Parques.

Μοιραίος, », adj· fatal.

Μοφάω, diviser; partager; distribuer. [Μοιράομαι, recevoir uue part échue par le sort— recevoir en partage.    ,

Motpwtvîç, »oç, né sous un astre heureux — qui est né coiffé, en style familier. R. μοίρα, y/νος.

Mocpia, ας, ri, part.

Μοιρίδιος, », adj. fatal ; qui porte avec soi une destinée inevitable ; qui arrive par l’ordre du destin.

MotpoJox/ω, recevoir une part; recevoir en partage.

Μοιρολαχιω, μοιροΧοχίω, distribuer au sort—recevoir une des parts distribuées au sort ; recevoir en partage. [ Motpo-λόχης, », 6, qui reçoit une des, etc. R. λαχιΓν.

ΜοΓσα, ας, ά, Dor. pour Μονσα, η;, gèn. pl. μοισάν, pour μουσών.

ΜοισαΓος, α, ον , Dor. pour μον-

^ σαΤος.    .

Μοιχοφρια, wv, *jk, amende payée par celui qui est surpris en adultère. Κ. μοιχος, άγρα·

MOÀ 637

MotxdiÇ®, commettre un adultère.    f

Μο<χαλ}ς, fôoç, v), femme accusée du crime d’adultèrè -f- femme coupable d'adultère — adultère, subst.

Μοιχάομαι ,fut. ησομαι, commettre un adultère; être adul-1 tère—violer Μοιχός, οίίος, νι, femme adultère ; femme adonnée à l’adultère.

Μοιχεία, ας, ύ, adultère , shbsl* Μο(χ<ντρια, ας , i, femme adonnée à l’adultère.

Μοιχινω, jut. «νσω, pnrf. «ν*α, commettre un adultère—vio-ler.

Μβιχίνισθαι, se prostituer à des hommes adultères.

Μοιχινισθαι, pass, être vio— lée par un adultère. ( Μο(χί^ιος, », adj· adultérin — fruit d'un adultère.

Motytx^ç, », et μοΓχιος, », ad)* adultère — qui a rapport à l’adultère—adultérin. [Μοιχ»* xb;, enclin à l'adultère. ΜΟΙΧΟΣ, δ, i, adultère. Μέλινος, n t ov, de cuir. ΜΟΛΓΟΣ, ». sac de cuir; sac; bougetteé [ ΜοΧγϊς, », et μοΧ-γνις, δ, méchant ; corrompu —malicieux.    #

Μολινω, couper les rejetons inutiles.

MOAÉa , aor. 2, ϊμοΧον, venir; arriver. Mn$t μοι αχΧανςος 3οί-νατος μόλοι, Sol. èlèg. que ma mort soit pleurée.

Μολιω, aller—courir. [ Mo-λιΓσθαι pour μολιΓν, dans JEsch. Prom.

Μολι^αχθ^ς, ιος, pourμοΧ&δαχθνς, pesant comme du plomb. R. μόλιβίος, άχθος.    .

Μολ(έβαινα, νις,νι, V. μολνβίαινα. Μολιβ^ιος, contr. μολιβ^νς ,    ,

conlr. Sri, itov , contr. δ»ν, de plomb. [ Μολέβάνο*, mém. sign. Μολι&Γις, ίδος , masse de plomb —plomb, qui pend au bas (f une corde quon veut tendre —lame de plomb. Μολι^ουργ^ς, v, o, ouvrier (jui travaille le plomb ; plombier. R. Jpyov.

ΜΟ)ΛΙΒΔΟΣ , μόλυβδος , », ο, plomb, métal·

Μολ(££ο«(£ν)ς> <ος, adj. semblable au plomb. R. ·Τίος.    -

ΜοΧι6οοχο/ω, fondre le plomb ; faire des ouvrages en plomb. R. χ<α>.

Μολιβίόχροος, -χρονς, gèn. ooç, ô», qui a la couleur du plomb. Μολ(££οχρώ{> ωνος, plombé, c·

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638 MOA

à d'. inride—dont le corps est livide.    ,

Μολιβ£οκ?»ς, «ος, V. μολυ£<?ω<?»ς, au moi μόΧν^ίος.

Μοί^ωαα, octoç, xb 9 ouvrage de plomb.

Μολί£<?ωσις, «ως, », soudure.

Μο7ι?ο(, mém. sign, que μολιβίος.

Μόλις, λΛ». à peine; difficile^ rtient; avec peine. Μόλις «ως, Λ^/τ. avec'une certaine difficulté.

Moli'thcc· , poèt. pour μολ/ω.

ΜΟΑΟΒΡΟΣ,. i, gourmand ; parasite—glouton.

MOACfeOYPOZ, *, J, asphodèle, plante.

ΪΤολοΓσα , Dor. pour μολουσ* , de μολίω.

Molopoç, S, adj. fâcheux; désagréable.

MÔaOZ, «, b, travail—combat.

ΜολοσσοΙ, ων, les Molosses, peuple de tEpire. [Μολοασία, «ς » » , et Μολοσαϊς, ίίος, », le pay# des Molosses. Μολοτίί-£«ς xvvrç, */ μ·λοτ1ιχα) χνν«ς, chiens du pays des Molosses; gros dogues.

ΜΟΛΟΣΣ02,8,0, Mc+O55*, pied de vers, compose dê trois longues.

Μαλνριέαι f mêm. sign, que 0or<£a-χίίαι, et των ψαχνών ri γόνατα, Suivant Hesyc.

Μολονρΐς» qui a une rétention d'urine.

Μρλονρίς, ίίος, », mn /«β insecte semblable à une sauterelle. R. μόλις, ουρά.

Μαλουρος, β, ό, λ*/» d'un serpent qui ne fait point de mal.

Μολόχ», »ς, », mauve, plante.

1|ολοχ»τ»ς λίθος, pierre précieuse-

i qui a la couleur de la mauve.

Μολτνάζω , chanter — célébrer.

(Μολτιτας^ς, î, é, chanteur.' Μολττά^ρια, ας,», chanteuse, cantatrice. [ Μολ«», ~ς, »> chant ; chanson ; hymne ; chant qui accompagne la danse; chœur; musique. [ Μολ«»Λν , adv. en chantant ? avec des chants. [ Μολσ»ς*»ς, u, l, chanteur.

Mo^v^acfa,    ci-après μόλν&?ος.

Μολυβ^ινος, V. μολιβ^ινος.

Μολυβής» y· μοΧιβ&ίς.

Κολνβ<ΐιτ»ς, e, ô, de plomb. Mo-ïv&Sïrtç Λιθάργυρος, la troisième sorte de litharge, nui n’est presque qu'uue veine ne plomb.

Μολν£·Ϊοβι£»ς , V". ρόλνβίος.

Μόλνβίβς, «, ό, plomb, métal. [Μολν€<ΐο«ιί^ς, «ος, adj. semblable an plomb. Ri «Τίος.

Μ*).ν6οκρ/^ς, «, o, ouvrier

MON

<juî travaille Ίβ plomb; plombier. R. μόλυβ&ς, Tpyov.

Μολν€<£οφαν»ς » «°ς> qui est ' de couleur de plomb. R. φαίνω.

Μολυβ£οχο/ω, mèm. sign, que μολι££οχο«ω. *

Μολν^Ιω&ος, «ος, qui est de la nature du plomb.

' Μολύβίωμα, Κ. μολιβ^ωμα.

Μολν^αινβ) »ς , _», mèm. sign, que μοΧι$&<;—depl. .boule ou masse de plomb qu’on jette comme le disque — vase de plomb — molybdène , substance métallique dont la couleur appro ch e de celle du plomb, et qui est grasse et douce au toucher — grande persicaire , plante.

Μολν$£ωσις, (ως, », soudure.

Μοίνβος, v, plomb. [Μολν— βοΟς, adj. de plomb. [ Μολν&ς, mèm. sign. que μοΧνΜις. moaVnq,/»/. υνω, aor. χ ίμό- I λννα, parf μιμόλυ/χα , Parf-pass, μ*»όλνμραι, Att. μιμόλνσ-uon, tacher, gâter, salir, souiller. Γμολν*μ>><, i, et μόλυνσής^ ιως, », salissure , tache, souillure, ordure, saleté.

ΜολνρΙς y *^·ς, ih-, sauterelle. Μολυρ^ς, S, adj. lent, tardif*— douloureux—désagréable. Μομβρώ, épouvantail.

Μομφή, νΐς, », Dor. λ, ας, plainte, reproche. ΜομφΤΙς άτιρ, Esch.

• &ans reproché, c. à d. d*une manière irréprochable. Μομφήν «χ««ν , Aristoph. se plaindre

—    réclamer. Μομφας «χ«ιν , 'Eurip. ïtiem. sign. R. μιμφομαι.

Μονα^ιχος, S, adj. unique, singulier, un. Μονα<ΐιχος αριθμός , Punité, te premier des nombres.

Moyjrôtx^ç, solitaire ; monastique. Movtfitxoç βίος, vie solitaire. [Μονα<ΐ»χώς,<Μ^. comme les choses qui sont unes ou qui sont contenues dans4’unité

—    en particulier — soiitaire-merit. R. μονάς.

Μοναίον, adv. seulement^solitairement. «

Μονάζω , fut. à<rtû, mener une vie sofilaire.

Μονοίχανθος, e, o, », (poisson ) qui n'a qu'une arête, η. άχανθα. Μο«αν^ρ«ω, h'avoir qu'un mari.

R. μόνος, άν»ρ.

Μόναρχ/ω, régner seul ; être monarque ; exercer le pouvoir monarchique. [ Μο»οφχονμ«{, être gouverné par un monarque—être soumis à la doroi-nation d'im seul maître.

Μονάρχες , ï , δ, llüüAUQrE.

MON

Μοναρχία, ας, ύ, domination d'un seul ; monarchie.

Μοναρχιχος, S, adj. monarchique. μοναρχιχον, le régime monarchîaue. [ Movatp-Xtrbç, partisan ae la monarchie.    ·

Μόναρχος , mém. sign, que μβνάρχ»ς. R. αόνος, όφχ».

Moviç, αί©4, », l'unitéj le nombre un—MONADE — le point d'un, sur un dè.

Movotç»ptov, », xb, Iblitude ; lieu -où Ton vit seul et ^paré des autres; monastère.

Μονα«τ»ς, i, ό , qui mène une vie solitaire—ermite ; moine. [ Mo-νας-ιχος, 5, qui concerne la { vie solitaire ou tes,hommes solitaires; MONASTIQUE. [ Μονας-t-

χ»ς, qui vit solitairement solitaire.

Movacpt^, α; , » , femme qui vît seule ; femme solitaire ; religieuse; récluse.

Μονάτωρ , ορος, ο. Μονάτο»ρ ?ιτ«νος9 cheval de main, cheval de selle.

Μονανλ/ω, V. μονανλιον.

Μοναυλία, ας, », cél'bat. R. ανλ».

Μονανλιον , « , το, flute d'un simple chalumeau.

Μοναυλ/ω, jouer de la flûte, de la flù’.e appelée μονανλιον.

Μόνανλο<, », adj. qui jou©v de la flûte appelée μοναυλιον.

Μόνανλος, qui rend un son simple, comme celui d*un chalumeau. R. μόνος , ανλός.

Μόνανλος, h, o, qui loge tout seul; célibataire. R. μόνος, αύλ». Κ. μοναυλία.

Μοναχ» ,-adv. f>ar un seul côté ; par un seul endtoit.

Μοναχιχ'ος, S, adj. de moîne ; monacal; monastique.

Μοναχόθιγ , adv. d'un côté seulement.

Μοναχές , 5, adj. unique ; seul— solitaire ; moine.

Μοναχού,^, seulement. ΐ£ντανθα μοναχού, Plut, ici seulement ; ce n’est qu*îci que, etc.

Μοναχως y d’une seule manière.

MovcvTipov, «y t^>} le colon, un des gros intestins. R. «vrepov.

Mov», TJc, »> Dor. μονά, demeure; séjour—retard — lenteur; nonchalance. R. μ/ν<*.

MovrjxoiToç, adj. qui couche $eul; célibataire. R. χβίτ».

Μον»μ«ριος, μον^ρος, et ριονο»-μιρος, e, adj. qui dure un jour. R. »|Αί'ρ«· e

Μονιόρ»ς, «ος , solitaire. Mov»p»ç βίος, vie solitaire. [ Μον»ο»ς ,

Îui n'a qu’un banc de rameurs*

L. Ιρίσσω.

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, MON

"Hoy(οκ, », o, qui vit seul; eolî-taire—sobre.    '

Μόνιμος, e, adj. qui est^à demeure; stable; constant; qui ne change pas de demeure ou àe poste ; sédentaire—durable; solide 1 R. μϊμονα, parf, pwf. de fuW.

Μονιάς, i, i 9' qui va toujours seul; solitaire; sauvage; qui aime les déserts. [Μονώς, sanglier. [Movtfcf, bracelet; collier.

Movctooç, », ο, qui combat monté sur un cheval, et aon sur un char attelé de deux chevaux.

Μονιττσβι j chevaux de selle, chevaux de maid, par opposition à fyuTrtsrot, chevaux atte lés. R. îirtvof.    '

MovoGpbçet μονόδορος, », qui mange tout seul; glouton. ·

Μονόγαμος, », MONOGAME, çui n'a été marié çu'une fois. R. 7*μ9ϊ·

Movoytvtjç, /ος, unique; seul en gendre; seul produit. R. ycvoç.

Mov^y ληνός, » , qui n’a qu'un œil.

R. ·

Μονογνώμονες, ων, ol, personnes qui «ont d’un seul ^et même avis. R. γνώμη,

Μονόγραμμος, yf qui est à simple trait ou d’un seul trait ; crayonné; ébauché—étique; extrêmement fluet. R. γράψω.

Movo£cpx7qc, i, qui n'a qu'un œil. R. μόνος, Jfjpu».    .

Χονό&ς, qui n'a qu’une dent, c. à d. un homme dont toutes les dents ne forment qu'un seul os, tel èjoit, dit-on, un fil S' de Prusias. R. μόνος,

οί«ς.

MovocΙος, uniforme; composé de parties absolument homogènes. R. ιΓίος.

Mov otίρων, ονος, ο, qui n'a qu'un habit, u εΐμα.    *

Μονόζωνος, », ο, qui porte par distinction une ceinture différente de celie des autres.

Μονόζωνος, mém. sign, çue Φΐόζωνος, seul; sans compagnon.    1

MovôÇûtvoi, espions des ennemis — soldats qui vont en parti ou à la découverte, ou

qu'on envoie faire le pillage ; maraudeurs ; voleurs. R. ζώνη. Μονόθυρος, adj. univalve. J.

£υρ<*.    χ

Movoxotfxtrfoç, », adj. qui ne se plie tiu’à un endroit. Μον4*»νλος, «, adi. qui ne pousse qu’une tige. R.

MON

Μθνοχ/ρρτος, », et povôxcpwç, ωτος, ou t», adj. qui n'a qu'une corne. [Μονόχ«ρ»ς, licorne. R. χ»ρας.

Mov οχληρονόμος, », ©, unique héritier. R. κληρονόμος.

Μονόκλωνος, », qui n*a qu’un· branche. R. χλων.

Mevoxoûtoç, », et μονόχοιλος, »,· adj. qui n’a qu'un ventre. R. χοιλια.    "

Μονοχόνίυλσς, qui n'a qu’un condyle , comme le pouce. R. xov-

ίυλος.

Μονοκρατορία, ας, mém. sign.

" Ç**e μοναρχία. R. χράτος.

Μονοχράτωρ, ορος, h, mém. sign. Çue μονάρχης.

Movoxptjwîç ,tiος, ô, qui n’a qu'une chaussure, épith. de Mercure çui donna une de ses deux chaussures à Persie , lorsçue celui-ci alloii combattre la Gorgoqe. R. μόνος, χρη-σις.

Μονόχροτος, », adj. mis en mouvement par une seule impulsion. [ Μονόχροτος . mém. sign, çue μονηρης. R. μό%ος, χρίω.

Μονόχωλος, », adj. qui n’a qu’un membre—qui n'a qu’un membre. en parlant if une période simple ; qui n’est pas composé—uqjforme—qui p'a qu'un tu^au—qui n’a qu’une souche, qu une racine. R. *ώλον.

Μονόχωβτος, r, adj. qui ne se sert que d’une rame en naviguant. R. μόνος, χωυτη.    \

Μο»ο^*χ^ς, Ιος, adj, qui couche seul. R. λίχος.

Μονολημμα,χος, », composé d une seule proposition, comme le syllogisme appelé enth γ même. R. μόνος, λ7ΐμμ<χ. -

Μονόλιθος, », adj. fait d une seule pierre. 11. λίθος.

Μονόλογος, », qui n'a qu'une écorce; qu'une tunique. R.

λ/βτω.

Μονομαχ/ω, combattre seul contre un seul, d'homme à homme; combattre corps à corps. [ Μονομαχία, otç, 4,, MONOMACHIE; combat singulier ; duej. [ Mo-νομάχης, μονομάχος, adj. qui combat seqj contre un seul» gladiateur. R. μάχομαι.

Μονομαχοχροψιΐον , «, το, Jieil où l’on nourris^oit des gladiateurs. R. rpi«ρω.

Μονόμινος, » , adj. trame du même fil que celui delà chaîne. R.

μόνος , μίτος.

Μονόμμαχος, h, b, qui n'a qu’un OBlI. R. ομμα.

Μόνον, adp. seulement. Μη μόνον, άλλα *α«, non-seulement, mais

MON 63 «,

1 encore. M* ^vev ( ^ r mint. tign. Μήο« il, si toutefois ; pourvu qu». Γ Mi pourvu que.    *

Mo»oy.ii ou    0i,

"    . et Ρ·»ο«νχ», pre,!

que. Owi »^,,,,,^ ,ρο«ν„Γ,. Aristaph. pour - lesquels 'vous «re* presque de la vénérât), n. ^eXemp et *    "

verèe '^ροστηχαίνω.

Μβνίξνΐ^, „ adj. fait j.une

yiïxxSis&ui

S™ si if^· “', » “■

oes jeu*. H. ^0,05,

«*(, fils unique. R.

“V^Y0’- “· chemin <has lequel on ne peut aller qu’un à un ; sentier étroit. R. MovowtAJoj, ., qui n’est chaussé que d*un pied. R.    lo

* > vétu d’un simple voile. R. τ,ίαΧο,.    ψ

«,.Λ, table soute-

ax ϊγ" *“'·«-

Μονοβί,ρο,, ,ι q„i „.a

«île, Μοκορτ***. On appeloit ainsi /es édifices roads sans murailles, dont le ddmé étoit soutenu par des eelonnei. R.

<7t/ipoy.

Μβ»οβ7«»οί, », adj.' ΜοκορτοτΕ. c.à d. qui n’a qu’un seul cas, ey \?C f grammaire ; indéclinable. tt.

Moyow»Jt«, Tendre seul,toutes

Jes marchandises d’une même espèce, soit ça*on en ail obtenu le privilège, soit γ*'on Pusurpe en exerçant le monopole. [Mo-νοβωλ.α, «c, ί, l’actioTi de vendre, etc.— monopole. [Mo-νβ&ωλος, », o, qui vend seul /toutes , etc. — monopoleur s accapareur. [Movow^coy,

Td mêm. sign, çue μονοπωλί*. ΒΛονόρριζος, » adj. qui n’a qu’une racine. R. £(ζ«. 1    *

ΜΛορχ,{ ,oç oa t<ü{> i, j, quj on

a coupé un des deux testicules* «. op^tç.

ΜΟΝΟΣ, », adj. seul; unique— singulier—abandonné—séparé de—désert.

Μονοβ-ι'λλτ?, τ)ς,    ^ r nom, d'une

étoile brillante dans les Pteea-des.    <

Μονονιχίω, ne faire qu'un repas

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Ho MON

par jour—manger seul. [ Mo-,οσιτία , ας, η, l’action de, etc. [Μονόσιτος, «,S,qui ne fait qu’un , etc.—qui mange seul. Κ. σίτος.    §

Μονοσχιλ^ς· «ος, qui n a qu une jambe. Κ. σ*Λος.    ;

ϋον^ΟΓχησΊρο^ » »»    Φ11 *lcn^

seul le sceptre -*■ monarque.

R. σχΤΐβχΊρον. .

Μονος-αλης, «ος, envoyé seul. H.

Μονος-ιλ/χης, », */μονο<τΑ*χος, », adj. qui n’a qu’un tronc, qu’une soucbe. R. ρίγος, ς-Λ«-

&*éçtoç, », composé d’un seul OS. R. içiov.

Μοψίςιγος, », qui n est composé que a un seul vers. Tfc μονός-ι-χον , MOWOST1QUK , ipigramme composée d'un seul pers. R. ςίχβς.

Μ·»Μβί· »· J- ï·· ** *eul—

abandonné. R. ς·Λλ». Μονός*ομος, ·* adj. qui n est tran-‘ chant que d’un côté—qui n est pas à deux trafichans. R. ς·όμα.

Μονος-ος, Κμονό<τ«ος.    §

Μονοςροψος, », qui na qu une strophe, parlant a une ode; composé d’une seule strophe.

R. <rpo<pi.

Μονοσύλλαβος, ·, qui n’a quune syllabe ; monosyllabe. i*.

συλλαβή. "    .    ,    ,

Μ*νότ«χνος, j* , adj. qm n a qu un fils ou une fille. R. τ/χνο*. Μονοτόχος, «, qui n’accouche que d’un seul enfant chaque lois qu elle accouche. Ce mot se dit aussi des bêtes çui ne font çuun petit en une pentrée. R. χίχΊω.    m

Μονοτονία, ας, uniformité de ton, MONOTONIE. [Μονότονος,

«, λ//, dit d’une voix monotone— monotone ; uniforme— opiniâtre; obstiné. [Μονοτονο»ς, adp. touiours du même ton \

avec monotonie — uniformément ; avec uniformité. R. τπ'νω.

Μονότροπος,    »    »    uniforme    —

simple; rond; franc — nui aime la vie solitaire — solitaire. Μονότροπος β*ος, Plut. vie solitaire. R. τριτ»ω. Μονοτρόβως * adv. d’une seule manière; uniformément. Μονοτροφία , α ή, nourriture d’un seul animal. R* μόνος, τρ««ρω.    >

J/Ιονονχία, ας, η, célibat. Μονοφα/ιω, manger seul—η ιη-

* viter personne—vivre d une ipaniere sordide. [Μονοφα^ια,

· MON

«ς, 15, l’action de manger seul —économie sordide. [ Movo-ψαίγος, adj. qui mange seul —qui n’invite jamais personne —qui vit d'une manière sordide. R. <ρ<χγω.

Μονόφαντος, v, adj. qui apparolt seul. R. φαινο».

Μονόφθαλμος, «, adj. qui n’a qu un œil. R. έφθαλμός.

Μονόφθο^Γος, », qui n’a qu’un son. R. μόνος, φθ/γ/ομαι.

Μονόφορ&ος, », qui palt seul. R. φιρβο».

Μονοφυές , /ος , unique — qui fi’est pas double — qui n’a qu’une tige—qui n’a qu’une souche, qu’un tronc.

Μονόφυλλος, », qui n’a qu’une feuille. R. φυλλον.

Movôjçctp, ιιρος, qui n*a qu’une mam. R. χιίρ.

Μονόχηλος, », dont le pied a une corne qui est tout d’une pièce ; solipède. R. χηλη.

Μοτοχίτων, ωνος, qui n’est couvert que d’une tunique. R. χίτων.

Μονόχορδος, qui n’a qu’une corde. Το μονόχορδο* , MONOCHORDE , instrument de musique composé d'une seule corde. R. χορδή.

Μονόχροος, conlr. μονόχρους, gén. οου, ου f qui est d une seule couleur. Κ. χρόα.

Μονοχρώματος, », adj. mêm. sign. Tb μονοχρωματον , ΜΟΝΟ-CH ROM ATS. Les anciens appe-

, loient ainsi une peinture d une seule couleur, que nous appelons camayeu.

Μονόχρως, «ντος, mém·sign, çue μονόχροος.

Μονό«, laisser seul ; abandonner. ΜονωθιΙς των συμμάχων, abandonné de ses alliés. [ Μονουμι-νος, seul; solitaire. On trouve dans Platon, μονωθείς ix της δ} τ9ίς tipxlliç, délivré de cette prison. [Μόνωσις, «ως, η* l’action de laisser seul, d’abandonner—abandon—solitude— singularité—unité.

Μονωδιιν, chanter seul sur la scène, sans être accompagné du chqrur ; chanter un solo — chanter une complainte, une élégie — se lamenter. [ Μονψ-δία, ας, η, monologue chante' sans l'accompagnement du chœur , dans les tragédies anciennes—chant élégiaque— lamentations. [ Μονωδος, », adj. qui chante sans l'accompagnement du chœur — rjui déclamé un monologue plaintif. Γ Movcp&ç, poete qui n’in-troauit qu’un personnage dans

MO?

*a pièce. Μονωδιχον ιτοίημ* r poëme où le 'poëte n’introduit qu’un personnage. R. μόνος»

ά<(δω.

Μονωνυζ, νχος, et μονωνυχος, «, adj. dont la corne jest d*un· seule pièce, tels çue sont les pieds des chevaux ; solipède. .R. μόνος, ονυξ.

Μόνως, adv. de μόνος, seulement —uniquement.

Μονωσις, V. μονόω. Μονωτατος, », superl. de μόνος.

Μονωτής, », ο, solitaire. Μονώτι* βιος, vie solitaire. [ Μον«*τΐ, adp. solitairement—en secret.

R. μόνος.

Μόνωτος, », adj. qui n’a qu’une oreille, qu’une anse. R. ωτος, de ους.

Μονωψ, ωνος, ô, qui n'a qu’un œil. R. ωψ.

Μόρα, ας, η, division—tribu-bataillon de sept cents hommes ou âc cinq cents, ou compagnie de trente hommes, chez tes Lacèdemoniens. R. μοΐρα.

Μόργνυμ* , V’. έμόργνυμι.

Μορ/ύλλω, -λλ/ω, traîner le temps en longueur; remettre d’un jour à un autre.

MOPÉA» ας, η, miirier, arbre.

[ Μόρον, «, xi, mure.

Mopi*», être dans la peine, dan» le malheur.    '

Μοριω, ad. diviser en petites parties — râcler—entasser; dissimuler.

Μόρημα, ατος, xb, raclure—tas; monceau. 1

Mopca, «ς, η, part; portion; partie.

Mopta, olivier consacré à Minerve.

Μόριμος, », adj. fatal ; mêm. sign. çue μόρσιμος.

Môptov, », xh , petite part; petite portion ; petite partie—partie —partie du corps—membre — parties génitales.

Μόριος, », adj. partiel.

Mopcç, Γδος, η, part; portion; partie.

ΜορμολυχιΓον, β,    μορμολυχη,

ης, larve—masque de théâtre —spectre hideux — épouvantail. R. μορμω.

Μορμολύτίομοκ , faire pewr, en montrant des spectres, des larves, etc. ; effrayer—détourner quelqu’un d’une chose en lui faisant peur. [ Μορμολυτ7ω, neut. avoir peur; redouter; craindre. Μορμολυτ?ομ/νος το* θάνατον, ayant horreur de 1» mort.

Μόρμορος, », terreur; frayeur·

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MOP

$Ιορμ9£ωαάς, 2, rqui fait ρβΟΓ; terrible. Κ.^ίψ.

Μόρμος, a* adj. effrayant cneux. [ Μορμοι, ων, ol, vaines frayeurs.

taOPMlfPQ, MüRMnRER—se déborder. [Μορμν^ί^ω, imiter le bruit d’un petit ruisseau qui coule parmi des cailloux.

Μορμνσσομαι , épouvanter.

ΜΟΡΜΩ, «ς, η, figure hideuse de femme; masque hideux — marmot—larve—lamie.

Μορμω pour, φ«0. Μορμ» τ3 $ρίσονς, Arsloph. ô l’épou-v.:ntable audace!

Μορμών, ωνοςet όνος, η, lamie—

' Jarve‘; spectre hideux—épou-vantail.

Μόρξν, fut, I de μόργνυμι.

Jj/lopoêixtt» , participer à ; être participant.

Mopoctç, evroç, fatal; pernicieux —mortel.    ’

Mopoctç, qui est un remède efficace ; préservatif ; salutaire.

Mopo'nç, travaillé avec beaucoup de soin. K μόρος.

Μόρον, V. μομ/α.

Mopotsrov/ω, être accablé des coups du destin; être en butte aux rigueurs du sorK R. μόρος, -π-όνος.

Μόρος, «, i, portion—sort; destinée—mort—malheur; accident; infortuue—supplice. R. με ιρω.    *    _

ΜΟΡΟΧΘΟΣ, tf, ·, MOgOCHTB pierre Egypte dont oh se servait pour Blanchir les vê-temens.

"Μορσιμος, e, adj. fatal; fixe par Jes festins; accordé ®ar les desÀs—envoyé par les destins.

Μορσ;μος, soumis au destin; mortel, c.àd. sujet à la mort. R. με ίρω.

ΜΟΡ^ΣΣΩ, fut. υξω, tacher; salir; souiller.

Μορφχ,ας, ά, Dor. pour μορφ^.

Μοογχζω, faire des mines, c. à d. faire des signes ; faire un geste.

’ R. μορφή.

Μορψασμος, f, o, danse dans laquelle on imitoit les mouvement des animiux— dansa bouffonne—mines bouffonnes.

Μορ<ρ«νς* Ιος, Morphêe, dieu du sommeil. R. μορφή, figure, à cause qu'il présente ' dîffé-* rentes figures à Γ imagination de ceux qui dorment.

ΜΟΡ*ώ, νίς, *, forme—figure —-aspect—mine; beauté. Μορφύ imeeov , Hom. grâces du discours. [Μορφίζω, OU plutôt μορ-

tyOS

ψάζν,imiter la forme—se donner une beauté artificielle.

Μορφν^ς, », obscur; ténébreux.

ΜοοφΛς, salts t. le sacre, es-pece de faucon. R. Ζργ»·*.

MopyocrxoTBrcoft, examiner la forme.

11. nov/v.

Μορφόω, δ, /if/, ωσω, parf με-μάρφωχβ, former; configurer; donner une forme. [Μόρφωμα, ατος, τ^>, forme; configuration. ΓΜόρφωσις, εως, η, lection de formel; formation — forme; figure;image. R. μορφή.

Μορφννω, embellir la mine par des ajustemem ; relever la mine par la par.ire ; donner une beanté artificielle·

Μορφω, όος, »ς , η, MORPHO, surnom de Vénus à Lac c de-morne, où sa statue éloit ïailée, et avait dos chaînes aux pieds. R. μορφή.

Μόρφωμα, μόρφωσις, V. μβρφόω.

Μορφωτρια, ας, ή, qui forme.

Μ0ΣΣΤΝ, ννος, ο , tour de bois —mur de bois—? siège; tribunal.

Μοσσυνοιχος, », tour—mur de défense.

Μοσσννοιχος, », ê, logé dans une tour de bois. R. ofxo;. .

Μοσχακριο*, », xb, petit veau. R. μόσχος.

ΊΛοαχίη ou μο*χ9τ, sous-ent. ίορλ, peau de veau.

Μόσχιιος, «, adj. do veau ; lait de peau de veau.

Μοσχπ/ω, fut. ivra, planter de bouture, c. à d. couper des rejetons «F arbre, et les planter en terre pour leur faire prendre racine; marcotter; provigner. [Μόσχ««μα, ατος, Ά, bouture; marcotte ; provin — jeune plante.

ΜοσχτΙ, V. μοσχίη.

ΜοσχιοΛν, adv. comme un veau.

Μοσχ»ας, », o, petit veau—petit agneau-levraut.

Μοσχί&ον, », rb, rejeton; surgeon^ scion—bouture; marcotte.

ΜοαχινοιΤος, v, adj. qui bondit comme une génipse ou un jeune veau.    ·

Μοσχίον , β, Ά, petit veau—-petit agnean—de pl. mèm. sign. que μοσχίδιον.    *

Μοσχοχχρυον, », xb, et μοσχόχα-p'jêtov, «, muscade, no x produite par le muscadier. R. xotpv ov.

Μοσχο-σοι/ω, fut. ηίω, faire un veau ; ce mot exprime dans la Bible, Paction des Juifs,

MOT 641

fuand ils firent un veau d'or·', R. μόσχος, ipj/o.

Μ0ΣΧΟΣ, «, ό, veau—génisse-jeune vache. ΑΓμα των μόσχω* xaî τράγων, Hclr, g, le sang des boucs et des génisses·

[ Μόσχος, rejeton; surgeon; scion—bouture; marcotte.

Μόσχος, adj. jeune; tendre.!

Μόσχος, MUSC, parfum.

Μόσχος μονοχ/ρως, le jour de la nouvelle lune.    *

MoToptov, », xl, mêm. sign, qwe μοτός.

ΜΟΤΟΣ, 5,o, μονή, 9îç, charpie. [ Μοτόω, mettra de la charrie ou une tente dans un· phie.    ·    .

Morîoy/vcioç, ·, i, qui n*a pas beaucoup de barbe.

Μου pour ίμον , gèn. tflyta.

Μονίαι, ων, ·1, vers qui s' engendrent dans les chairs pourries.

M«vvfc|, adv. poèt. à part; en particulier; séparément des autres. Mowot| μάχη, combaf singulier. Μοννλξ xlstvtiv, tuer dans un combat singulier.

Μονναρχος pour μόναρ^ος.1

Μοννιρίτης, », o, qui rame seulj R. ίρίσσ*.

Mouvoy«vt}ç, V. μονογενής.

Μονν^ληνος, Κ. μονόγΐηνος.

Μοννολίχ-ης, V. μονοΧεχης. *

Movvôitôoç, V. μονόλιθος.

Μουνόομαι, V. μαυνόω.

Μοννος, », ο, poèt. pour μόνο;, seul; unique; un.

Μοννέω, rendre.seul; réduire à être seul; laisser seul. [ Mov-νόομαπ> être laissé seul.

MOYNYXÎA, ας, η, Μι/nrcHfxf port d* Athènes où étoit te temple de Diane Munychle, dont la religion avoit fait un asile. Év Μονννχίβ, Dèm dans Tasile de Munychre. [ Mouw-γιος, », adj. qtii habite le port de Munychie. Μουνυχιάθ€ν, adr. de Munychie. fM«v<xtaÇf f à Munychie.

Μβυννχιών, ωνος, o, MÜNYCHION, dixième mois de l'année athénienne.

ΜΘΪΣΑ, ης, v>, Muse — chant mîlsical. Παίτης μονσης Γρ/ανα, Hèrod. toutes sortes d’insîru-mens de musique, f Movî-ac, lei Muses—chansons érotiques.

Μουσα-σολετηρ , ηρος, et μονσαβχο— λί'τωρ, ορος, o. destructeur de la musique — mauvais musicien. II. «sjÔMuui.

Mov?cTov, v ι το, lieu dans lequel le> ΛΤuges étoient honorées et rendoient des oracles—te:np!e des Muses — Heu destiné à ' 61

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64* ΜΟΥ

Fctude des lettres, des beaux-arts ; MUSÉE, [ Muaeîot , ràt, temples ou fêtes en l’honneur des Al uses.    e

Hov?c?ος, », adj, de musique;

musical ·

Moυση^της, », ο , MUSAGÈTE, chef des Muses, èpilh.<T À polio tu R. flyio/iou.

Μουσάτων , qui prélude aux chants des Muses par les sons '· de !a cithare.    <

, -iffiw | -tdio>j disputer le prix du chant.

Μονσιχίΰομαι, composer en musique— exécuter delà musique; être musicien.    t

ΜΟΥΣΙΚΗ, Ϊ5ς, MüSlQüK, l’art de chanter—l'étude des belles-lettres—élégance. [ Μονσ^ς,

S, adj, de musique ; musical ; harmonieux. Movoexk opyava, instrumens de musique. £ Mov-σιχος, musicien; bon musicien; babil e dans fart de chanter. [Μ*υσιχο;, instruit; éclairé; habile. [ΪΙουα’ίχος'/ΜΜίΓφιλόμ.ον-co;> ami des belles-lettres — arnj de la musique^—qui aime à chanter. Tàc μουσικά, musique —accords de musique; airs de musique. [ Μουσικώς, adv. en musique; suivant les règles de la musique — élégamment — habilement; avec(jout—savamment. Μουσιχώτατα, Aristoph. très-savamment.

Μονσιχο<ϊρόμος 1 V. μουσ^ρομος.

poèt, et Dor, pour

μουσι£ειν. .

Μονσ^ρομος, », naroouru parles Muses. R. δρόμος.

Moν«1ησ1ίς, », inspiré par les Muses· R λαμβάνω.    .

Μουτομανιω, avoir la manie de la musique ou de la poésie—être saisi de l’enthousiasme poétique ; être inspiré par les Muses.    #

Ιίουσομανύς, coç, jqui a la manie de chanter, qtfi a la manie de la musique. [. Μονσομανης^Γ/* en bonne party qui est saisi de l’enthousiasme poétique ; inspiré par les Muses. R. μαί*ρμα». Μουσομαν ία, ας, >ι, la mante de la musique, la manie de chanter. Μονσομητωρ> mère des Musej.

R. μονσα, μτ,τόγ·    .

M'TOOOuotco», ω , faire des vers lyriques; faire des vers— chanter en vers—mettre des vers en musique. [ Μουσοσο^ς, », o, auteur de vers lyriques; poète. Πρώτος των ivrαίνωθβ μου-σοποιων , Thèocr. bpigr. le premier des poctû* an^tus.

MOX

Μουσοσολος, », ô, m. Sign·

R. ΊΤολίβ». .

Μουσονρ7<ω, — ω, mettre en mu—

. siquç; composer en musique — moduler — exécuter de la musique. [ Μουσουργία, «ς, η, modulation; l’action de chanter avec mesure; composition musicale ; arrangement harmonieux. [ Μουσουρ^ς, S, o,

c^ui met en musique ; compositeur; chanteur. R. μοΟσα, tpyov.    .

Μουσοω, fut. ωσω , mettre en cadence, cadencer; mettre du nombre et de l’harmonie, dans le style—donner de la grâce ; rendre élégant — instruire dans les belles-lettres. Movçîv, Att. pour μον Ιςίν.

Μοχθ<ω, fut, Υϊ'σω, être Occupé d’un travail pénible—prendre la peine de faire Otie chose.

( Μοχθιω, peiner; être dans a peine; souffrir—être accablé de peines, de malheurs— souffrir, actif. ; endurer; essuyer.

Μοχθηιις , ιντος , ad/, pénible ; douloureux; iâtheux; laborieux—accablé de peines, misérable.    ^

Μέχθημα, ατος, xl, peine, affliction; souffrance—traverse. Μοχθνιρ(«, ®ί, ί, malice; méchanceté ; perversité—vice. Μοχθηρές, », adj, laborieux;jpé-nible—fâcheux — qui est dans un état fâcheux. [ Μοχθηρως, adv. mal. Μοχθηροτιρως, plus mal ; pire. Μοχθηρως *χ«*ν, être en mauvais état; être dans un état fâcheux.    a

Μοχθηρές, accablé de peines, de maux ou de miseres ; misérable. [ Μοχθηρος, méchant; pervers. Τα μοχθηρά, les vices. [ Μοχθηρές, gâté; mauvais; nuisible à la santé.

Μοχθίζοντι, Dor. pour μοχθ ίζου σ t. Μοχθίζω. être dans la peine, dans le malheur, dans 1 affliction. Μ0ΧΘΟΣ, «, δ, travail pénible —peine accablante—misère— souffrance.

Μ*χλ«ία, ας, η, l’action de remuer avec un levier—de fermer au verrou—de- remettre uri os dans sa place naturelle ; de réduire une luxation. [Mo-χλΓυτνίς, », ό, qui remue avec un levier; qui ébranle—moteur—roachinateur. [ Μοχλίον, β, το, μοχλίσχος. », rb, petit levier; petit rouleau. [Μοχλος,

1    £, c, levier; rouleau, sur U-

MYE

fuel onfait rouler desfardcamx —verrou. R. δχλίν».

Μοχλινω % fut. ινσω, remuer avec un levier—fermer une porte au verrou. [ Μοχλ<νσασθαι , machiner ; tramer.

Μοχλος, le bâton durci au feu, avec lequel Ulysse creva Γettl de Polyphcnu.

Μοχλάω, fermer au verrou.

Mwaypa, ας, η, souricière. fMvoc-ypος, », adj. qui fait la chasse aux rats R. μνς,α/ρα.

Μυα^ρος , subst. myagrum, plante.

Μυάχανθος, », asperge saurage, plante.    ·

Μυαξ, αχος, i, moule, poisson à coquille—écaille, coquille.

Μνα'ω, serrer les lèvres—cligner les yeux—se moquer.

Μυγαλνι ou μυγαλ?! et μνγαΧίη , της , η, musaraigne, rat venimeux* I R. -ftiMr).    '

Μνγμα, ατος, το, déchirure.

Μυ>μ·>>, μνγμύς, V. μυζω.    ^

Μυίάζομαι, avoir en aversion;

détester.

Μν£αίνω, pourrir, act. -—faire moisir — humecter—distiller. R. μνδάω.

Μυίαλ/ος, V. μυδάω.

ΜΥΔΑ* CL* fut. ησω, se pourrir par l'humidité; se moisir. [ Mvàr σις,ιως,    humidité—putre'-

faction causée par Γ humid i te —■ moisissure. [ Μν<ΐν)σίς, hu-mepr chassieuse. [ Μν£αλιος, », adj. humide—pourri par l’humidité—moisi.

ΜΥΔΟΣ, », adj. muet.

Μν^όωσαν, poet, pour μνίωσαν , acc. sing. part. fèm. de μνδχω. ΜΥΔΡίΑΣΙΣ, ιως, b, MYDttlASB, affoiblissement de la vue occasionné par la trop grande dilatation de la prunelle. R.

<χμνδροζ»

Mvapoxivtjtv, battre le fer rougi au feu ; forger. [ Μνίροχίντσος, «, δ, forgeron, maréchal. R. μνδρος, τυτσίω.

ΜΥΔΡΟΣ, β, ό, fer rougi au feu —pierre rougie par le fe»i, comme celle des volcans — masse de Ter ou d’autre matière en état d’incandescence; corps incandescent—globe «le feu; boule de feu.

ΜΥΕΛΟΣ, S f o, moelle — cer-, vellé. Μνιλον λινχ>>ν t Soph, le cerveau. [ Μνιλοβις, tvro;, adj. moelleux ; plein de moelle. Μυιλωίνις, ιος, adj. semblable la moelle—moelleux. [ Mvi-λοω, remplir de moelle. yLXtii,fül. ησ», enseigner l«s

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ΜΥΘ

choses saintes ; initier aux mystères’ Je la religion — sacrer, ordonner, c. à d. conférer tes Ordres de f Egtise. β Μν/ω, enseigner, instruire ; initier à une doctrine quelconque. [ Μν»μα ,. ατος, το, initiation—ce qu'on apprend à Pinitié. [Μν»σις, ιως, », ini-<iatinn.

Μυζ/ω, V, μυζω,

MÏ*ZCÏ, fut. μυξω, (aire entendre un son par lenez en fermant Π* bouche—geindre en fermant la bouche—parler bas et entre ses dents; marmotter entre ses dents. [ ΜυζΥω et μυζω, sucer. [ Μυγ/ος, ί, o, son qu’on fait entendre par le nez en fermant la bouche, comme celui gui fait hom ! enfermant la ùouçhe.    .

Mw/^oç, bruit sourd de certains poissons.

Mvγμ), son moqueur qu’on fait entendre par le nez, en fermant la bouche.

Μν»μα, μν»<«ς, Ρ.μυΙω.

Μνθχριον t », τ*, petite fable.

Μνθαρχος, », o, chef de sédition* R. μνβος , &ρχιη.

Mv0ta«, Ion. pour μνθ», ^ pers. sing, de μυθιομαι.

Μνθ/ouat,fut. ιίσομαι, dire; proférer—raconter—s'entretenir

— converser. [ ΜνΟ/σχομοκ, mêm. sign. R. μύθος.

Μυθβνω, fat. twffc, faire un conte, un récit fabuleux ; feindre; supposer. ^Μνθιναα, ατος, rb, conte; récit fabuleux ; liction.

Ms#0»r»p, (5îpoç, o, et μνθ»τίις, », i,‘ orateur; parleur—orateur séditieux—brouillon.

>Iv9tÇ«, dire; parler — parler bas et entre ses dents ; mar-niotter entre ses dents—prédire, prophétiser. R. μύθος.

Üv0<»ç, «f çf séditieux; turbulent.

Μυθ(χί>ς, », fcv, fabuleux.

«îiçopta, ας. », histoire fabu-cuse. R. μύθος, Ίςωρ%

?ό·/ρ*<ρος, », auteurlÛe fables, ti. γράψω. #    ^

9o).oyc'S<o, dire des fables; faire des contes—dire, parler. R. μνθος, Χιγω.

Μνθολογι», fut. ιίσ», diry des fables,,. faire des contes—raconter d’une manière fabuleuse ; embellir par des lic-tious; orner de fictions; mêler 4es fables au récit d’événe-mens vrais—feindre. [ Μνθολο-γίομαα, mêm. sign. [ ΜυΟολογ/ο-fMc:, pass, être raconté d’uae

MYK ‘

manière fabuleuse, etc. ΓTtfv-θοΧογημα, ατος, rb , récit fabuleux , conte ; fiction ; fable. Γ Μυθολογία, ας, ri, histoire fabuleuse—MYTÜOLOGIB. [ Mv-θοΧ6γος, «, i, qui raconte des fables—fabuleux. [MvOoXoyufcç, », adj. nui concerne les histoires fatu le uses — m ytîiolo-6IQÜX. [ Μνθολο^ς, habile à composer des fables—bon fa-1 buliste.

MvOovUçi», forger des fables; feindre, supposer. [ Μνθοσλά-^ς , «, ô , qui forge des fables ; auteur d’histoires fabuleuses. R. πλάσσω.

Μνθοττοώς, δ, ô, mém. sign, çue μυθοπΧάςγς. [ Μνθοσοιΐα, ας, » , composition d’histoires fabuleuses . de fables — fiction ; fable.

ΜΫΘΟΣ,ν, ô, parole; discours. Ovx fybç b /λνθος, Plat, ce n'est pas moi qui dis cela. [ Μνθος, mythe, lable, histoire fabuleuse — tradition populaire; discours populaire ; proverbe. Το τον μύθον, suivant le proverbe, comme on dit ordinairement. [ Μνθος, fable ,

c. à d. apologue—fable, c. à d. sujet d’un poëme épique, dra^ matique, ou d’un roman. 0 wept τ»ν Ùiàfx μΰθος, Ath. la fable du poëme de l’Iliade.

Μνθος i dessein , conseil.

[ Μνθος , sédition , faction ,

, dans un endroit de Γ Odyssée tf Homère. [ ΜνΟω£»ς, ιος, adj. fabuleux.

MTfA, α -, », mouche. [ Μνία-γρος, «, ό , qui prend des mouches. R. ά/ρα.

MvivJa, jeu de colin-maillard

Μνιοθ»ρας, β, ο , qui prend des mouches. R. S»pa.

Μνιοχ/φαλον, », rb t MYOCÊPHALE, tumeur gui se forme à ΓαιΙ sur la tunique uvée R. μυΤα, χ«ραλ».

Μνιοσοβιΐν, chasser les mouches.

[ Mvto<rôff», »ς, », émouchoir, chasse-mouche. [ Μνιοσοβ»ς, », 4, qui chasse les mouches., valet gui ètoit chargé du soin de chasser les mouches, chez les Perses. [ Μνιοσ$6»ς, qui est aux petits soins avec quelqu'un. R. μνΐα,φοβ/ω.

Μνχάομα» s,fut. τηνομαι , μνχάω , mugir, meugler ou beugler; pousser Un cri semblable h un mugissement. On trouve souvent dans Homère le parf. μί-μυχα, et Γaor. a fjtvxov.

Mvx», »ς, », μυχτημα, arof, rbj μυκτι*iÇ, «ως , », μφηθμίς ,2%è, mugissement.

MTA 643

Μνχ», »ς, *hy resserrement,

. obstruction—armoire—fourreau d’épée — champigi^n y d* une mèche de lampe.

Mvx^vat, ων, at, Mycènes, ville du Péloponnèse. [ Μνχ»ν»0«ν, adv. de Mycènes.

Μνχ»ρος, », amande—noix.

ΜΐίΚΗΣ, »τος, OU μνχίις, », ο, ,

champignon, plante spongieuse —champignon d’une mèche de lampe — une garde d’épée —-maladie des oliviers causée par la trop grande ardeur du soleil.

Μνχ»σις , «ως y/fi t μνχ».

Μυχητη;, S, é, mugissant.

Μνχ»τίας, », ό, mugissant ; bruyant. R. μυχχομαι.

ΜΓΚΛΑΙ, ων , at , μυχΧοι, ων , raies noires qui paroissent >ur le cou et sur les pieds des ânes.

Μνχλος, », adj. gourmand — lascif.

Mvxfcç, », ô, muet—méchant ; pervers—arrogant, insolent.

Μνχος, v, ô, impur, scélérat.

MYKTUP, Τίρος, ο, narine; nés —trompe d'éléphant.

Mvxlrjp, ironie ; moquerie ^ raillerie.

Μυχ1γιρίζω, fut. in», narguer; se moquer; railler; go-guenarder* [Μνχ7»ρισμος, », a, Paction de narguer; moque-re» goguenarderie. [ Mv*7»-P‘Ç^i,»» â, mo(|iieur, railleur, gogucyiard. [ Μνχ1»ρόθ«ν , adv. des narines.

Mvx7-ηροττομτυΐς, », ό, humé. R.

murao).

MIÎKilN, ωνος, b, tas; monceau —le bas de Toreille.

Μνλαχρΐς, ίίος, », meunière— rotule du genou — mite * insecte.

Μυλαχροι, »v, 0*, dents molaires.

Μνλαξ, αχος, o, pierre dont on fait des meules—pierre ronde· ^ ζ Μνλιία, ας, mèm. sign.

MYAH, »ς, », meule. T7tv μνλ·/)* ςριψ(iv OU trcptayztv OU Ίτιριφί~ pttv ou ircpu)xvvc(v, tourner lu meule. [Μυλ» , la base inférieure de la meule — çalette qu'on mettôit sur la victime

3uialloitètre immolée—rotule u gertou—mole , c. à d. faux germe—dent molaire.

ΜυΧ-ηψατος, », adj. moulu. R. φάω.

ΜνΚας, », ' ô , pierre de meulière, c. àd. pierre dont on fait des meules.

Μνλιάω, grincer des dents ; claquer des dente, à cause de la

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«44 MTS

ΜΥΡ

rigueur du froid ; grelotter de | poisson de mer et d'eau douce. froid.    —muge    ou chabot,    suivant

Μν).:χ)>ς, ·, adj. de meule. Μυ- I d'autres interprétés. V.

hxlç λίθος, meule—pierre de    ΜυξηχTipες,    ων , ô    , les    narines,

meulière, c. à d. pierre dont j    R. μύξα.

on faitdes meules. Μυλίΐης \t- ' ΜυξΓνος, «, ·, otîvct. //£*. y** 6ος, pierre de meulière. Mv-1    μυξχριο*.

^ίται ôJoWç, dénis molaires. | Μυζώίης, «ος, pdj. semblable à Μύλιος λίθος , mcm. sign, que la morve—morveux, μυλιχές λίθος.    ^    j    Μυξών    ,    ωνος, ô , poisson de Pes-

Ηυλλάς, αίος, η, femme publi- père des mulets.

que; prostituée.    Βίυξωτ9ίρ«ς,    mém.    sign.    çue μυ-

HYAA02, 5, adj.    courbe,    tortu    ξ*ΐτηρ«ς.

—louche.    1    Μνογάλη, mém.' xÿxr. μυ/αλ^.

Μνλλος,    8,    ô,    mulet    ou    sur-    !    Μυοίόχος, et μυο<?όχος, vf adj.

mulet, poisson de mer—gâteau,    j    Φ» sert de retrajhi aux rats.

|ίνλλω, faire signe par un mou- R· &χ*μ*ί·    ^

yement des lèvres—serrer Ιββ.Μυόθηρ, *>po$, h, qui va à la lèvres—avoir    commerce    avec J chasse des rats ;    qui    prend les

une femme.    ra*^· R· ^*Jp*

Μυλόίοντ«ς, ων, oi, dents mo- ! Μυοχό«τρος , «, crotte de souris. !aires.    Μυοχ7όνος, u9 adj.    qui    fait    périr

, les rats. [ Μνοχ1ό»ο« , de la

&ίυλο«ι£4)ς , /ος, adj. semblable à une meirie —rond; orbicu-laire. R. μνλη f «1£ος.

Μύλο-, «y, oî, dents molaires.

mort aux rats. R. χ7«ί*ω-Μυοφονος , s · adj. mem. sign, çue μυox7όνος.

3Μυλ:χλα<Γος, ·, moulu. R. χλάω. Μυο«άρων, ωνος. ιό, brigantinj Μυλ&χ99«ς^ «r, ο, qui broie sous · _ vaisseau léger.

la meule ; meunier. R. χόσίω. ϊΐυλοχόρος, «, ό, qui nettoie la meule. R.'xop/ω.

Κνλος, ¥» ό, meule.

Ιιΐυλόσαρζ, αρχος, q, mole, c. à

d. faux germe. R. σαρξ. ί^υλόω, durcir.

Μυ άσωτον , u , το , oreille-de-sOuris,/t/ffff/V. [Μυοσωτις, ί&ος, η, λ£Λ».    —de pl. parié

taire , plante.

Μυοφόνος, V. μυοχ7ί,νος.

Μυόχοίον, «, το, crotte de souris. R. χφία v de χίζα».

Μυλωίης, mém· sign, ^&έμυλο«(£ης. | Μυό^οίος, «, adj. extrêmement

Βίυλωθριχές, η, fcv, de moulin ; ,    ν1ί·# Μ. R.    .

qui concerne le moulin; qui Μυραίνα, ας, η, murène au lam-sert à moudre.    proie,    poisson    de mer. R.

Μυλωθρις, «^ος, η, meunière—    f*uP°ç- #

boulangère.    Μυρα)ο«φεω    , se parfumer ; se

ΪΤΛωβροί, 5, i, meunier-bou- fr,eer d>^nces. [ Μνρ«λο,-langer. » R.    Va » ™ usape de Pa,rf“"»s.

SIΛ»ν, ονος, et μΜ,, S.oj, J, , de;//f; V ("P?*· ««»·· moulin—lieu où l’on punis- j Μυρεψος, h, o, parfumeur. Γ Μυ-soit les esclaves.    ρ.ψ.χο-,    «,    de    parftin.,

«f»», _TO, *,    «-    “■    35Æ

MfMAP. ορος, βζτο<, Λ, honte    ^    -

opprobre—peur.

]ftfυν£ος, β, ô, muet. R. μυω

Μυρια^ω/ος, ναυς, η, (vaisseau) capable de porter dix mille hommes» R. μυριοι, αγωγός.

Μυν&ς, mcm. sign. çueïyQtoç. M ιώβς */„. dix mille fois Μυνη, ης, prétexte; excuse. Μ„ρ^ρρορος, qui contient ou

MYNOMAI, prétexter; s'excuser; alléguer une excuse, un prétexte.

qui peut contenir dix mille amphores—qui est d’une grande capacité. R. οψ.ψορινς

MTSA , ης, ri, morve—pituite—    Μυρ(ανίρος,    *, qui contient^

I bumeur qui se .trouve dans    !    qui peut    flputenir    dix mille

les huîtres, dans les tortues—\    hommes,    π. άνηρ.

lumignpn d'une lampe [ Μυ-j    Μυριάρχης,    μυρίαρχος,    ·, ô, qui

ξοα,ων, les narines. [Μυξα,ί commande un corps de dix

* ç>v , xk, ei μυξάρια, ων , τα , ; mille homrac$. R. α^χω. çebestes, fruit semblable à une Μνριχς, αίος , , MYfiiAD t ; nom· pruûe., produit par un arbre pre de dix mille. R. μυριοι.

appelé sebestier.

Μυζαζω, être morveux. * |Ιυξγριον , ·, xh f ^>ctit mulet Â

Μυριοκρόρος , u , extrêmement grnna; capable de contenir beaucoup ae monde. R. <^tp«

MYP

Mupfitov , β, τέ, petit pav(tHDf R. μνρος.

Μυρ«λ(χ7ος, qui se recourbe en mille replis tortueux. H. él<-χ7ός.

Μυρι/της, «, qui dure <·*χ mille ans, c. à d, dont la d ir^ t * >i ex'^vMnement longue R f

Μυρίζω , fut. ίσω , parf. ptI. '    -    χ    ,

aor^ l ^μνρισα. parftinii r; - otter d'essences, de potunjade de senteur. R. μνρο;.

MYP1KH, η, tamaris , arbrisseau. [ Μύρτινος, v, adj. de tama:is; fait tl<* tr.mari». [ My-ριχω^ης, «'ος, seuii>lable au tain.* ris.

Μυρίνη, ης, η, myrte.

Μυρίνης on»oç, vin mêlé de liqueur odoriférante. Μυρινίτπς οίνος , farm* sign.

Μυρ'.οίους, οντος, ô, qui a un nombre infini de dents. R. ό£ους.

Μνριοι, ων , adj. dix mille—innombrables ; infini*. Mvptoc Λακεδαιμονίων , dix mille Lacé-démoniens. Πολλάχ(ς μνο(ο< , innombrables. £ Μύρια ίσα, mém. sign, fue μύρια, innombrables.

Μυρίοχαρσος, β, qui produit une grande quantité de fruits. R.

χαρπος.

Μυρ(όλβχ7ος, «i, adj. dit par one infinité de personnes—dit une infinité de fois. R. ïtyta.

Μυριόνεκρος, v, adj. Muptâvcxpot μάχαι , combats où il a péri dix mille hommes. R. vc*ρ*ς.

MvptovTxxc;, dix mille fois.

Μυρ(ο·σλ*σιαί, ων , adj. dix mille fois plus nombreux — infiniment plus nombreux.

Μνριοσ^ς,ιο;, infini; innombrable — extrêmement varié. R. ιτλοθος.

Mupiôfuovç , ο£ους , (jui Λ une ip-nnité de pieds, comme certains insectes. R. ιτονς.

MYPIO-, «. infini; innombrable; immense. Μυρίον ττλη-0ος, multitude innombrable— dix mille personnes. [ Μνρί^ς, infiniment. [Μυρίος, grand; considérable. |ίν μυρίω nttStc 9 Plut, dans une affliction extrême. V. ci-dessus μύριοι.

Μυριο^μ^ριον, », xb , la dix-uiiliLème partie.

Mupteçfeç, », *dj. dix-millième. [Μυριος^ϊ,    nombre    de

dix raille.

Μνριοτης, ^ϊχος, η, nombre infini. R. μυρίος.

Μυριοφόρος, v, V\ Μυριοιφ<χρος.

Μυριογ'/ρτος, *9 charge 4u*l

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MTP

Îrand nombre de fardeaux.

\. φόρτος,

Mvpi&puttov , », xb, mille-feuille, plante. R. φνλλον.

Μυοιόφνλλος, », qui a beaucoup ae feuilles. M. R.

Μυρίνηοος, ους, gén. », qui exhale une odeur de parfum. R. μύρος,

1C νόη.

Μύρισμα, ατος, τΐ>, et μύρισες, », ο. usage de parfums liquides; d’essences.

Μυρις-ιχο-, g, adj. qui sert à paç-ί «mer, à pommader. Μνρΐ'-ίνυαος, *» qui porte une infinie de noms. R. ονομα. Mvo-.fûwoç, », ô, qui a beaucoup id’>eix. R <£ψ.

Mvpfxr.? Dor. pour μνρμηξ. Μυρμηίΰ», ώνος, ^ fourmilière —fourmi.

Μνρμ*>χπον, ».,    , mêm. sign.

que μνρμ^χιον.

Μνρμηχία, ας, η, fourmilière; troupe; foule—poireau; verrue. R. μνρμγ)ζ.

Μυομηχι*, plur. de μυρμ^χιOV.

Μυρμηχί«σις, ««^ eruption de poireaux, de verrues qui démangent— démangeaisons. K

μνρμτηχίζν.

MvpfAvjxtaiû», avoir des poireaux ou des verrues «jui démangent. Μυρμηχίζω, sentir des démangeaisons comme si des fourmis couroient sur la peau. ΜυρμYjxiov, « , r^, tarentule semblable à une fourmi. [Μυρμη'-xta, poireaux; verrues. Μυρμηχίτης λίθος , MYRMÉCITE , pierre précieuse çui porte tempreinte d'une fourmi. Μυρμηχο«ι£ης, /ος, adj. semblable à la fourmi. R. μυρμηξ, «Γ£ος. ΜυρμηχοΙ/ων, οντος, formicaleo, ou fourmi-lion, insecte çui vit de fourmis.

Μνρμνχάίης, ιος, semblable aux fourmis—particulier aux four* mis. R. *Γ*«ς.

9 ,ηχ0ς * f Dor' Ι*νρΐ**ξ>

Eol. βύρμαξ, αχος), fourmi. Λνρμιοόνίς , ων, ol, MYBM1DONS, nom donné aux Eginètes,parce çu ils haèitoient sous terre comme les fourmis.

HfPMOl, «, ô, fourmi. [Mvp-μος, peur.

Μυρμνρω, au?naruREa—troubler. *νρο&&«νος, », NTrqvolAH, sorte de noix aromatique. R.0«>voç.

Μυροθ/χη , ης9 J) f ρ/ μυρο0ηχ<ον , T®> vase ou boite à parfums.    I

*Wo«, pleurer; se lamenter.

[ Μνρομαι, s’飫«l«r ; couler: Itpaoife,

MYP

ΜΙΑΡΟΝ, n, xb, parfum liquide; essence.

Mvpo» pour «μύρον, aor. a de

μυρω.

Mupo'wooç, *ς, », qui exhale une odeur de parfum. R. wv/o». Mupoçroilç, g y adj. parfumeur ; qui compose des parfums liquides, des essences. R. μύρον, iroi/tt.    *

Μνρονόλος, mêm. sign. que μνρο-votôç. R. tro.

Μυροισωλ«?ον , -ιτωλιοv , » , *Λ , boutique de parfumeur. ΓΜυ-ρο«τωλι'ω, vendre des parfums. ΓΜυροβτωλης, », vendeur de parfums ; parfumeur. [ Μυ-ρο-»ωϋς, (Soçr η, parfumeuse.

*. ft μνραιν ος, mâle de la lamproie.

Μνρόω, parfumer; frotter d’essences. R. μνρον.

Μυ'ρρα, ας, MYRRHS. [ Μίρ^α, */

pvppiç* ιό, cerfeuil musqué, plante qui a Codeur de la myrrhe.

Μνρρίνν ou μυρσίνη, i?, myrte. Μυρρινίτης, OU fvjpvtvtxης οίνος, vin où l’on a fait tremper des baies de myrte. Ce pin s'appelait aussi μνρχίχης οΓνος. Mvp^tvoç, », *, myrte.

Mvoptvàv, ωνος, ό, lieu planté de myrtes. [ Μυρ ρινών, qui aspire aux magistratures. à cause que les magistrals portaient des couronnes de myrte.

Μν^ΐς, Γ.μύ#«.

Μνΐρίτης, «t, qui a la couleur de la myrrhe.

MvpatvAatov, ». τ^>, huile de myrte. R. clatov.

Μυρσίνη, ης, -η, myrte.

Μυρσίνη*ov ft«tov, huile de myrte. Μνρσινιτης οΓνος, vin où l’on a lait tremper des baies de myrte.

Μνρσι'νιτης λΙΒος , MYRSIMTE , pierre précieuse qui a Codeur du myrte.    ·

Mwpffivocciwç, /ος, semblable au myrte. R. «faoç.

Μυρτα, ων, rit, baies de myrte. Μυρτ» α, ας, μύρτος, ίίος, ^,myrte.*'

[ Μυρτίίις, Laies de nlyrte. Μυρτιίανον , «, rî>, excroissance

autour du tronc du myrte_

de plus, mém. sign. fiw μυρρ*-νιτης οίνος.

Μυρτίτης, *, 4,^ f'. μυ4ρ»νιτης. Μυρτίτης, tîthymale dont les feuilles sont semblables à celles du myrte.

mVpTOZ, », η, MYRTE, f Μύρτον, m, xlt baie de myrte. [Mvp-towiWov, ë, to % mcm. sign, yut itolvyôyaToy.

ΜΤΣ    6 45

Μυρβ», ' couler, distiller — répandre.    ,

Μυρωίην f faire entendre un chant lugubre plaintif. Μυρωίια, ας, η, odeur de parfums, d'essences. R. μνρον, οζω.

Μέρωμα, «τος, τΐ, parfum liquide ; essence dont on frotte. [ Μνρωσις , «ως, ^ l’action d« parfumer, de frotter d’essences. R. μνρόω.

ΜΤΣ, μυ^ς , ο , POC. ω , μν , ***:. plur. μνΛς f et μΖς , nom. plur. μν«ς r/ μνς, rat—setiris—muscle. Μΰ«ς iptspaTot, Λϊλγ A ris t. des mulots.

Μνσάζω, souiller par un crîm· —•souiller—avoir en horreur y de'tester.

Μυσαι, aor. i dyfe. de μνω. Μυσβρία, ας, i», abomination. [Μυσαρώς, 5, adj. abominable ; détestable; exécrable —scélérat—impur. R. μνσος. Μνσχτίομαι, fut. ξνμαι, parf. μι-Λνσα^μαι, détester; avoir en horreur—avoir en exécration. Μνσαχ&)>ς, /ος, et μνσαχν^ς, »^ adj. mém. sign. que μυσαρός. Μυσίς, coç #/ «ως, η» resserrement; obstruction. R. μ^». ΜυσχΛίθρα μνσχ/λ«<^ρα, crotte de souris.

Μ1ΓΣΟΖ, «ος , crime détestable ; ^ horrible—abomination —sacrifice aux démons.

Μυσος, », adj. mém. sign, -que μνσαρές.

Μνσ»ολίω, errer; rôder; fureter. R. μυς, woÜ/ω. . Muçsxycuy/tt, initier aux mystè-rec de la religion. R. μύς-ης, αγω. Μυς-β/ωχητος, », initié aux mystères sacrés.

Μυς-α/ω^ς, 5, 4, MYSTAGOODE. te prêtre qui initioit aux mystères de la religion. [ Μν?α?ω-y»a, βις, η ,^ office de mysta-gogue ; initiation. [ Μνςν^Μ^ς, celui qui montroit aux étrangers les curiosités d’une ville e$ particulièrement d’un temple. Μυς-Λμης, », è, avare.

Μυ'ςαξ, αχος, η, moustache—ma- ' choire. R. μασαίομαι.

Μυς-ηρ(αχος, g, adj. mystéfieux \ ηιπ cache des secrets. R. μυσ-7yj piov.    ^

Μυςηρ«ον, », το, mystère 4e la religion—chose sainte et secrète qui ne doit être connue que des' initiés—mystère; secret. [^Μυ<ρορ*ω<ΐης, «ος, adj. mystérieux ; mystique—secret.

R. ιΓίο;.

MuçyjptwreSiç qwi$&l , libations

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646

MTT

αιι’οη faisoit à la réception a'un initié.

*> ^ » celui que l'on instruit ou que Ton a instruit dans les cnoses saintes et secrètes de la religion ; initié aux mystères de la religion— versé dans les mystères. [ Μύσ-1ης, mêm. sign, que μνςαγωγίς.

Huçtxhç , S, adj. MYSTIQUE, mystérieux. Tà fivçtxi, mystères.

F Μυς·*χ5ς, adp. mystiquement.

/ R. p<M.

HvçiUu pour μιςνΧάω, couper en petits morceaux. R. <t<» f«îov , ÇtXXtlV.

ΜυςίΧιι t (Μνς-ιΧόωμαι, mém. sign. que fuçvXv), fxtçvX<x6fxat, ci-des· sus.

Mvctvolivtt, célébrer les mystères—célébrer, f MvçtmSXoç ou fivçotvoXo; ,β,ό, qui s’occupe des mystères ; occupé des

» choses saintes; prêtre. [Mvr IttvôXoç, qui a rapport aux mystères—mystérieux. Μυς-ο^όλος ύρι?/ν«ια, jour de fête. [Μνς-t-«xftoç, qui préside aux mystères , èpith. d Apollon. R. xtokiv.

ΜΥΩ    ΜΩΑ

μυχι, dans Hés. il se resserré; il est ferme'—il mugit.

venfs qui se taisent; silence des vents y comrhe dit Racine dans Iphig. Μνώίης, coç, adj. qui concerne les rats ; propre aux rats. [Μνωίης, musculeux. R.

Μνων , ωνος, ô, muscle—endroit nerveux—partie charnue, des bras ou des cuisses—gras de la jambe.

Μυωξία, ας, η , trou de sourk ; nid à rats—discours insultant. R· |*3ç, εχω.

,    .    1 Μυωξος, 5,ô» marmotte.

Μνχι«Τθ{, h , et μύχιος, ι, adi- Μνωτνα, aCC. de μυωψ.

qui vient ou qui s échappé du Μνω1^ω, fut. άσω, être myope , fond de. ΜνχιαΤος çtva7libç , avo*ir ja vue basse—être aveu-profond soupir.    j    g|c.    ne    pouvoir ouvrir les

ΜυχιαΤος et μύχιος, enfoncé ; yeux, profond—caché ; intérieur ; i Μυω»άζ«, cligner les yeux; reculé.    ^    ^    j clignoter. R. μυωψ.

Μνχλος, 5, adj. oisif—Jibertin, Μυωσία, ας, η, trou de souris

ou de rats , nid à rats. V. μυωψ.

posé d’ail, de poireau, de fromage, d’œuf , d’huile et de vinaigre, appelé aussi μυ-σωτόν. R. μυσαρος, parce qu il a un goût très-fort. [ ΜυτΪω-τινω, assaisonne!* fortement; épicer.

Μυχαιτατρς, V. μνχός.

Μυχατος, poèt. pour μύχιος.

Μυχη, mém. sign, que μνχός.

Μυχθίζω, sc moquer; plaisanter; railler.    e    .

Μ«χθιϊ», gémir ; soupirer, j [ Μυχθισμ'ος , β, ό, soupir ; gé- ; missement.

Ηνςις, ίβ ος, η, initiéeaux mystères sacrés — qui initie aux mystères sacrés—mystique.

Μνς-οΜχος, v, qui reçoit les initiés—où les initiés se rassemblent. R. &χομαι.

Μυς-οσόλος, mém. sign, que μυςι-«όλος.

Μυ?οφόρο;,, «, ό, qui porte les choses saintes et secrètes du culte de quelque divinité.

Μνς-ρον , v, xb | cuiller. [ Μυσ-7pov , mêm. sign, que μκτυλη.

Μνςρον , mystre , mesure de t/quiJc.Ilq fxiya μυςρον, le grand mystre , la dix-huitieme partie du cotyle. To μιχρΐ>ν p'çpον, le petit mystre , la vingt-quatrième partie du cotyle.

JJvutpevov , 8, το, souricière, dont le ressort tue la souris—de la mort aux rats. R. μυς, φόνος.

Μυσωτ^ν , V. μυτίωτόν.

Μυταχίζω, accumuler dans une phrase des mots qui commencent ou qui finissent par la lettre μ, défaut qui s'appelle μυταχισμ^ς, β, ό.    .

ϋυτης, 8, o, muet; taciturne— impuissant.

Μυτις, têος, η, narine—museau naseau.    .

Μντις, la liqueur noire que jette la sèche. [Μυτίις, mêm. sign.

Μυτ/ο ς, 5 , adj. muet.    ·

MwrlwToi, V®, aliment com- j

lascif.

Μυχοι'τατος, V. ρ.υχ<5ς.

Μυχμ)>ς, mém. sign, que μυγμός.

Hirxoz, 5, ô, lieu secret; enfoncement , profondeur — le fond de. Μνχος ίόμου, Hom. l'appartement le plus reculé de la maison. Ëv μνχφ του σχάφους, Luc. dans le fond du vaisseau.    e

Μυχ^ς , goWe—sein. Μν^ς

Μυωτσιας, 8, p, mém. sign. Çtse μνωψ, myope Μνωνιασις , «ως , η, myopie , vue basse.

Μυωνίζω, presser aver IVperon. [ Μνωτσιζό^χίνος. pique par l’éperon— piqué par le tao*— — furieux. [ MvojwiÇôftivoç « mém. sign, que μυωσοξων, part, près, de μ.νωττζζω.

i"«X6« » 5onc-MWTWÇ ■    /--------I    »    e

Αίριατίχρς, Pot. et Strab. golfe Μνω-woç, 5, myope; qni a la vue

A ■    * _ »?_____ t»    __î..    ...... Γί    1\^λ·    *» a

Adriatique. ΕΠχίος tv μνχγ Luc. dans le sein de la Grèce.

Μνχαίτατος et μ,υχοίτατος , très-enfoncé , trcs-reculé ; qui est très-avant dans l'intérieur de, ou le plus enfoncé, etc. MT(il, fut. νσω, serrer. Mvcrv xb ςόμοι, fermer la bouche. Mvitv τα xcfllt), serrer les lèvres. Mv«, neut. se fermer ; se serrer. Μυσαντα ς&μΑχ*, Pial. bouches fermées.

Μνω, fermer les yeux. Eî μυοντις oi ττόνητες βαδίζουν , Luc. si les pauvres marchoient les yeux ferme's. Tbv rrtpov των i * ΙψθχΧ[χω> fAuop-cv, Ai ex. Aohr. nous fermons l’un des aeux deux yeux.

m'jci» , cligner , clignoter. Μν«σι τ«ς δφθαλ|Χ8ς οι ανθρωττοι , Alex, les hommes clignent les yeux.

Mv«, neuf, se fermer; se cligner. Μιρυχότα Γλχη, ulcères qui sc sont fermés. Μνοντβς -rrôpot ♦ Arist. pores fermés ou resserrés.

Mjw, n’èlre pas édos, en parlant d'une rose.

, epigr. il se tut. Mt-

basse.

Μυωψ, ωντος, ô, myope ; qui a la vue basse. [ Μυβτσια , ας , ri , myopie; vue basse. R. p-vw,

myo

ΰψ.

Μυωψ, taon , grosse mouche qui tourmente partirulierement les vaches et les bœufs—fureu r ; frénésie. [Μυωψ, éperon avec lequel on pique les chevaux pour les laire aller plus vite: Μυωτις , ι£ος, η , mêm. sign, que ρ,νοσωτίς. 1 ΜυωΛς, η, adj. musculeux. [Μν«-τος, fait de peaux de rats. R. μυς.

Μωχχω, se moquer; tourner en ridicule. R. μωχος. ^

Moma, ας, η, moquerie. [ Μω-χίζω, se moquer.

ΜΩΚΟΣ, 8 , ό, moqueur ; goguenard.    ,β

Μίόλαξ , αχος, ό , ^ vin dont on faisoit des libations dans les traités d’alliahce.

ΜΩΛΟΣ,», o, guerre; combat j    —tuniulte«jil<iiXfc», combattre.

Μώλος, môle, d'un port--logement pour les nautoniers sur le bord de la mer—port creusé par la main des uonuncsw

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ΜΩΜ

Μωλν , υβς, το, moly , plante h laquelle les anciens attribuaient des qualités merveilleuses.

Μωλυζα, η$, -η, tète d’ail. «

1ί£2ΛΥΣ , voç, μώλίξ, υχβς, ignorant». [ Μώλνς, foible; mou ; lent — paresseux , faine'ant ; lâche—languissant ; émoussé.

qui a l’esprit bouché , esprit obtus. [ Μωλννυ ou luu-λνω , émousser — affaiblir ; rendre lâche, languissant. Tac μωΧυόμινα, ce qui se flétrit peu à peu.

ΜΩ\ίϊΨ, owoç, o, jnarque des coups qu’on a reçus—marques des coups de fouet.

Μωμαι, chercher, infin. μωσβαι.

Μωμάομαι ou μωμ/ομαι, blâmer, reprendre ; réprimander—sc moquer, railler. [Μωμημα, ατος, rl ^reproche—moquerie, raillerie. R. μωμως.

Μω/Λβρ, reproche, honte.

Μωμοίσατο, Dor. pour ίμωμ.ΐ)(τιχτο.

Μωμί'ομαι, y, μωμάομαι.

Μωρ,ίυω , fut. cvra, blâmer —-tancer, réprimander.

Μωμ-ημα, V. μωμχομαι.

Μωρ>)τή;, », ô, qui blâme; qui réprimande—qui raille. [ M<e-μντος, », adj. blâmafble ; répréhensible.

ϊϊωμίσχος, », e, la racine des dents molaires ou la partie des dents molaires qui rase la gencive.

.JÿOMOZ, », ô, honte, tache,

* opprobre , ignominie—reproche, blâme. [Μωμος, Momus, dieu fui se moquoit des autres