37, Xi, quatorxième lettre de l'alphabet grec, se prononce comme le x français. Les A ttiques changent souvent le 9 en ξ, comme ξυν pour σνν. Les Doriens mettent ξ à la place du double sigma <t», ' comme £ιξος pour £ίσσος. Le ξ se change quelquefois en x, et le x en ξ, comme ix, Ιξ. 3 , pris numériquement , inarque soixante. Voyez le tableau de la combinaison des nombres, à la fin du Dictionnaire. SAÎNQ, fut, ocv», parf. ?ξαγχ« , carder; peigner — aéchirer— frapper; appliquer un coup. Satvctv «pta, ou Çafaetv των «pu«v y carder de la laine. Sai-vicv -ιΛηγ^ς, appliquer des coups violens ; faire des blessures. Satvttv tlç nvp , expression proverbiale y se donner ' une peine inutile ; perdre sa peine. [ 3αίνιον , », ·τ^, et ξά-vtov, instrumenta carder la laine—table d« cuisine où Ton coupe la viande. £ανάω, se lasser à carder la laine —être las ; être rendu. [ 3ά-νησις y ιως , ^ fatigue, causée par le cardage, 5ανθίας, «, b , qui a les cheveu* blonds. R. ξανθός. a ανθίζω, fut. ίσω, rendre blond; rendre jaune — être blond ; être jaune. [Ξάνθισμα, ατος, το, Faction de rendre blond ou jaune—couleur jaune. Ξανθίζομαι, devenir jaune ; jaunir. £ανθιχ^ς , », δ, mois d'avril, chez les Macédoniens, [ SavOtxa, x\, sacrifice qu'on faisoit dans ce mois pour purifier l'armée. SavOtov, My la petit· bardane, plante, Ξάνθισμα, ατος, τ^, V, ξανθίζω. 3ανθό?«ως, «, dont la terre est jaune. R. ξανθές, γ7ί, Ξανθόθριξ, τριχος, qui a les cheveux blonds. R. £ρίξ. [Ξανθο-χάρηνος, », adj. mém. sign. 3ανθοχόμης , », Dor. ας, «t, et ξανθόχοα,ος, », qui a les cheveux blonds. R. χόμη. ΖΑΝΘΟΣ, », adj, jaune; blond —rpux—brun—brillant—couleur de feu. Ξάνθος y 9,0, Χαιγγπε , fleuve dé la Troade. 3ανθονσθαι, jaunir, neutre, R. ξανθός. Εανθόχροος , mêm, sign, çue ξανθός. 3άνιον, », τ&, V, ξαίνω. 5άντης, η, b, cardeur. [Savri-χ^ς, i, adj, qui concerne le cardeur ou le cardage. [ 3av-τιχη, sous-ent. τ/χνη , l'art de carder. 3άσμα, ατος , τ&, ce qui a été cardé. R. ξαίνω. 3«ινα«άτης, », pour ξ«νανάτΐ|ς, 2ui trompe les étrangers; les Ôtes. R. ξ/νος, άντατιω. Ειινηϊον , ξιίνιον, poét. pour ξ/— vtov , η, x'b. Scivia, ξ«ινίη, V, ξ«νία. 3«ινίζω, ξιινιχ^ς, ξ«ινω£όχος, etc, V, ξινίζω , ξινιχίς , etc. 3«ινο£όχος pour ξίνοάόχος. 3<7νος pour ξ/νος. 2«ινονννη,ης,^, et^tvorim, hospitalité ; droit d'hospitalité, mêm, sign, çue ξι via. 3ιινονσθαι/7<?/ίΛξ«νο3σθα«, décrit*. Zcvay/ω , fut. ησω , et ξιναγωγίω. servir de guide aux étrangers —donner l'hospitalité. [ Siva-7ΐΓσθ*ι, recevoir l’hospitalité. SEN [ Siy«yov|i/ioç, étranger. R. f/νος, &γω. 3«να?/ω , enseigner aux étrangers les usages et coutumes nationales. * S«vayî>ç et ξινάγωγ\ς, », b, guide des étrangers, pour leur montrer les curiosités d'une ville y etc, Siva/^ς, S, 19 commandant des troupes étrangères, des troupes prises à la solde. [ S«-vayta, ας, η, commandement des, etc.—détachement j escadron. . Scvayo>γΙω, S, V", ξιναγιο. 3t*αγωγές, V, ξιναγός. 3ιναοάτας, α , ô, et ξινα«άτης, », b , qui trompe les étrangers, les hôtes. [Ξ«νασάτη, ης, η, et ξινανατία , ας, η , l'action de tromper les étrangers, les hôtes. R. ξ/νος, άτχαχάω. Ξινιυω, être étranger ; ignorer. 3/νη, ης, sous-ent, ou χώροι, pays étranger. 3«νηϊον, », xb, mêm, sign, çue ξ/vtov. Ξινηλασία , ας, ^ , XÉI^ÉLASIC, interdiction faite aux étrangers du séjour d'une ville. (?é-, toit le nom tfune loi établie par Lycurgue à Lac è démon c. 3«νηλασία t bannissement ; proscription , des arts dangereux, etc. 3<νηλατ/ω, chasser les étrangers; établir la xénélasie ; interdire aux étranger^ le séjour d'une ville ou d'un pays; proscrire ; bannir. R. ξ/νος, 1)αννω. 3«νία, orç, 4i, Ion. ξινίη, ης, qualité dVtranger. Ξινιας ίιωχίσβ«« ou ξινίας φιν^ιιν, être poursuivi tomme étranger, c, à d Digitized by t^ooQle €64 SEN être accusé en justice^ comttie ayant usurpe les droits de citoyen. Εινίας άλίσχισθαι, Luc. mém. sign. Sivta, liaison entre person-nés unies par les liens de l'hospitalité ; droit réciproque d'hospitalité, qui passait des peres aux enfans en montrant certaines marques. Κοινώνω ξ(-*Γας αντω, Plut, je suis uni avec lui par les liens de Γhospitalité. Eivta pot içt ·ηρ\>ς αντον, mem. sign. Snvftjv σνν-τίθίσθαι, s'unir par les liens de Thospitalite. Ειινίην èia-\ λυίσθαι, rompre les liens de l'hospitalité. Ety'^n» et ζβινιζω, donner l'hospitalité; loger — traiter avec bienveillance; faire un bon accueil—gratifier. Ζινίζομαι, recevoir l’hospitalité — recevoir les présens qu'il est d’usage de faire aux hôtes—loger che* quelqu'un , Voy. ci-après une autre signif , avoir une langue et des mœurs étrangères ; faire des choses étranges, des choses extraordinaires, dçs originalités — être étrange, extraordinaire , original—-parler un langage extraordinaire, étrange , nouveau—avoir un style original, en mauvaise part. [ ScvcÇe*, étonner par la nouveauté , par l'originalité. [ E«-νίζομαι, être étonné par la nouveauté, par l'originalité— trouver étrange ; être déconcerté; être dépaysé. Itvcx^ç, *, adj. et ξπνιχος, étranger-barbare. Emxoî μισθοφόρο c, troupes étrangères qui sont à la solde d'un roi ou d'une république. Ecvtxà αμαρτήματα , fautes commises envers les étrangers. Emxi ôp-Χήματα, devoirs envers les étrangers. Sivtx^ βίος, vie d’un homme qui ne prend aucune part aux affaires publiques : vie privée. [Eivtxfcç, hospitalier ; qui concerne l'hospitalité. Scvixt) φιΧία, amitié entre personnes unies par Jes liens de l’hospitalité. Zcvtx^ τροίσιζα, table à laquelle on reçoit l'étranger avec lequel on est uni par les liens de l’hospitalité; table hospitalière, appelée par Hom. ξι vin τράwc-Çot. Εινιχην σνρβονλην σνρ£ον— λινήν, Plat, conseiller en bon hôte , c. à d. donner un conseil tel qu'on doit le donner , SEN & celui avec lequel on est uni par les liens de l’hospitalité. Sivcxov, le tributque payoient chaque année les étrangers domiciliés dans une ville. Stvfev, adv. £κνιχως, adv. à la maniéré des étrangers. S/νιος, », adj. et Αίϊνιος, hospitalier ; qui concerne les hôtes oa les étrangers. Ztvfa τρ«τ*·ζ«, table hospitalière. V. ci-dessus £ιν<χος. ΓΕ/νιος, protecteur des droits de l'hospitalité, épith. de Jupiter. E/vcov, », TO, Çtfvtov , et poèt. ξιινηϊον, présent fait à l'hôte qu’on reçoit; don hospitalier — présent fait à des ambassadeurs étrangers. E«i-νιων τυχών, Hèrod. qui reçoit l’hospitalité; logé. Εσΐ ξ/νια χαλιΓν, offrir l'hospitalité, ό cwî των ζινιων , maréchal-deslogis. Είνισμος, », ô , faction de donner l'hospitalité ; hospitalité donnée à quelqu'un ; hospitalité. [ Ε/νισ(ς, ιως, η, mêm. sign. Εινισρος, nouveauté d'une chose à laquelle on n’est pas accoutumé; qualité d'une chose étrangère à une autre. Scvmve», vivre en pays étranger; vivre hors de sa patrie—voyager ; mener une vie errante. ΐ'ΞινιτΙβνομαι , mêm. sign.—de jpl. être à la solde d'une république étrangère ou d'un prince étranger. [Εινιτιια, ας, η, séjour ou voyage en pays étranger — endroit où on loge ; maison hospitalière. EivoioxiTov , », -Λ, etÇtvo£o%t?ov, lieu où l'on donne l'hospitalité ; maison hospitalière — hospice—auberge ; hôtellerie. [Εινο^οχος, β, ·, ξινοδόχος, et poèt. ξιινοίοχος, celui qui doune l'hospitalité ; hôte ; aubergiste. R. ζ/νος, δέχομαι. Ε<νο£οχ/ω, S, donner l'hospitalité. [Ξινοίοχία, ας, l'action de , etc. Εινο^οχος, V. ξινο£οχος. Scvoxlov/ω, tuer des hôtes ou des étrangers. Γ Ε«νοχ7ον(α, ας,η, meurtre d un hôte ou d'un étranger. [Eivoxï όνος, meurtrier d'un nôte ou d'un étranger ; qui tue des hôtes ou des étrangers. R. ζ/νος, xltivta. Είνολασία, (<νολατ/ω, V. ζινηλασί*. ΣινοΧογιω, mffut. ησω, recruter ou enrôler en pays étranger. [ Σινολογία, ας, η , recrutement ^enrôlement de soldats étrangers. [ EtveXéyctoy, ariQée com· SEN ' priséede soldats étrangers, [“2^ νοΧόγος9 », ό, celui qui recrute en pays étrangers. R. ξ/νος, λ//«. Ξινομαν/ω , aimer jusqu'à la folie Jes modes étrangères , les ha-billemens étrangers, les marchandises étrangères , etc. [ Ecvouxvta, ας, η, passion pour les modes étrangères ; amour extraordinaire pour les étrangers. R. μαίνομαι. Εινονοώ/ω, être troublé ou déconcerté à la vue d’une chose, comme si elle étoit nouvelle et extraordinaire — s'effaroucher d'une chose nouvelle , d’une chose à laquelle on n'est pas accoutumé—être déconcerté; être tout désorienté· R. πάσχω. SivovaOitij rester interdit en voyant entrer des étrangers. ΕΙιΝΟΣ , poèt. ξιΓνος, · , adj. étranger; barbare — étrange; inouï ^extraordinaire, li ξ«νη y sous-ent. χώρα, ou , pays étranger — terre étrangère. S/vov πράγμα , chose étrange , chose extraordinaire. [E/voc, soldats tirés d'un pays étranger ; troupes mercenaires. É/voc ιτόλιμοι, guerres (ftran-gères, par opposition à 'rt&cp.oi ίμφνΧιοι, guerres civiles. Ε/νος, hôte, c. à d. celui à qui on donne l’hospitalité— hôte, c. à d. celui qui donne l'hospitalité—celui avec lequel on est uni par les liens de l'hospitalité. Sivoçovtç, ιως, η, lieu où l’on reçoit les hôtes ou les étrangers—auberge; hôtellerie. R. "ςημι. ' Εινοσυνη, V. ξιινοσννη. Είνοτροφ/ω, solder des troupes étrangères. [ Ε«νοτρο<ρία, l’action ae^ etc. [Ε<νοτρόφος, », o, celui qui solde, etc. R. τρ/φω. Stvoûfio» et Çrcvoûpat, Ion. recevoir l'hospitalité ; loger chez quelqu'un en qualité d’hôte ou d'étranger [ Scvoûuat, être uni par les liens de 1 hospitalité. R. ξ/νος. Εινοφον/ω , ξινοφονια, ξινοφονος , mrm. sign, que ξ«νοχ7ον«ω, etc. Εινοφων/ω, se servir d’un terme étranger βα barbare, de termes étrangers ou barbares, d’un stvle étranger ou barbare. [ Εινοφωνία, ας, ή, terme étranger ou barbare; style étranger ou barbare R. φωνή- Sîvoc', donner l’hospitalité. jLu pass, ζίνονμαι est plus usité· Digitized by t^ooQle Srvv&tov , « , petit étranger, terme de mépris Scvùv, ωνος, ό, lieu destiné à recevoir les étrangers ; auberge, hôtellerie—hospice— maison ou l’on soigne les étrangers malades. 2Λ«*ς f adv. à la manière des étrangers; comme un étranger. Si V ω σι;, «*>ς, η, aliénation d’esprit; égarement ; délire. Stpoç, i, ΐ»ν, poèt. pour ξηρ}>ς, * sec, aride. Ξι'σις, «ως, η, V. £/ω. Ξι'σαα , ατος, το, Κ. ξ/«. Είσμβ; , δ, δ, racloir; racloire; ratissoire; ripe, <·λ terme de tailleur de pierre ; rabot, varlope , en terme de menuiserie. R. ζ/ω. S*V*K» Vf Ô, selier, mesure romaine qui ètoit la sixieme partie du congé. Siçoç, S, adj. raclé, ratissé— poli, dolé. Sc^ovpyfa, ajs "ht l’art de polir, dedoler, de raboter. R. ξιςος, fpyov. SfVpov, rb, mêm. sign, que ξ«σμός. SÉilt fut. irxtû^ parf, pass. Γξ<σμαί, racler; ratisser—polir; doler — rayer, biffer. Εζισμ/νον ty-χλημα, accusation rayée du registre ; accusation annulée. [ Ξι'σις, «ωςt vit l’acfiou de racler, de polir, et autres sens du verbe. [ S/σμα, ατος, xb, ce qu’on ôte en raclant; raclure, sciure.^ Svjvfcî, «, o, tronc. 5*>pît, ας, t, sous-ent. y7iy la terre. £ηραινω, Jut. ανω, parf. ίξ-ηρχγχα, aor. ι 1\ήρψκχ, parf . pass. V&t pαμμαι , Att. -ασμαι, sécher„ rendre sec; dessêclier; gendre aride.[Ξηραίνομαι, sécher; devenir sec; devenir aride; être frappé de sécheresse. OvÆtv £ασσον ξηραίνιται ίαχρυον» , Apott. rien ne tarit plus vile que les larmes. Cicéron traduit : Lacryma nihil citiùs arcscit, ut dicit rhetor Apollonius. 5/)ραλο(φ{«, se frotter d’huile en 4 plein air et au soleil, comme fui soient les athlètes—se frotter d’huile sans s’ètre baigné. Γ Ξηραλοιφία, ας, j> , et ξηρα'λπ-Y«ç > «ως » ή » l’action de, etc., sens dn verbe. R. ξηρΐ>ς, άλπ'φω. 2ηραμ*χ/λινος, adj. qui est de la couleur des feuilles de vigne . mortes. R. ξηρός, άμ-αβλος. j Ξηρανθιΐς, part. aor. i de > ξηραίνω. Ξηρανσις, «ως, η, l'nction de sécher, de desséchera dessèchement ; sécheresse ; aridité ; siccité. R. ξηραίνω. Ξη^αντ/ον', il faut faire sécher; il faut dessécher. Ξηραντικός, ÿ, adj. qui a la propriété de sécher, de dessécher. Ξηροιομαι, se sécher. R. ξηρός. Ξηρασία, ας, η, sécheresse—XÉ-RaSIE , maladie dts cheveux qui les empêche de croître rt les rend semblables à un duvet couvert de poussière. Ξηριον, », το, médicament de poudres serbes. Ξηρο£ατ»χος, », adj. qui marche sur la terre; terrestre, par opposition à ύίρο£ατίχ^ς, qui va dans l’eau, aquatique. R. βαίνω. f ΞηοοίιωτιχΛς, 5, adj. qui vit sur la terre; terrestre. R. βίος. Λ·ηροτ.Λχοζτ/λίχ , ας, ή, imitai ion maigre et seche. R. χαχοζηλι a. Ξηρόχαρττος, », dont les fruits ne sont point succulens juteux. R. χαρττος. Ξηροχ/φαλος, «, 5, qui a la tête sèche. R. ΧΓφαλη. j Ξηροκόλλα, ης, η, soudure à sec ^ employée par les orfèvres. *ηροχολλυριον , « , χο , collyre composé de matières sèches ^ ou desséchées. R. χολλυ'ριον. Ξηρομνρον, », onguent d’aromates SeCS. R. μνρον. Ξηοονομιχος, », adj. qui paît sur la terre, et non point dans l eau, comme les animaux aquatiques. R. νιμω. Ξηροποι/ω, fut. ησω, rendre sec; sécher. R. «τοι/ω. · Ξηροτσυρία, ας, η, bain d’éiuves, c. à d. l’action de se faire suer dans une etuve, sans se baigner. R. ξηρός. ΞΗΡΟΣ , », adj. sec ; aride. MîVpa ξηρά, mesures de choses sèches, comme le froment, etc. ! Ξηρός (<?ρώς, suçur sèche, c.àd. ï ceile qu’on se procure par l’exercice et le travail, et non par les bains chauds. Ξηρός S •3^/ος , éluve où Ton se procure une sueur sèche. Ξηρΐ>ς λίθος, 2 pierre sèche, c. à d. pierre posée sur une autre sans aucune espèce de ciment. Το ξη- s p^v , lieu sec. Νανς tm\ τί» ξηρω -ίΓοίίΓν , Thuc mettre les* vaisseaux à sec. Γ Ξηρός, sec, mort, en parlant μ un membre qui ne prend phts de nourriture, au d’ un homme qui ri a p!us d'e*- ’ prit s vitaux. [ Erfioç, sec, c. à d, extrêmement frugal ou sobre. • [ Ξηρός, sec, en parlant if un ■ style denue d'agrémens. i Ξηρόσαο/ος, M. adj. dont la chair est seche. R. σάρζ. ; Ξηροτης, ητος, η, sécheresse ; aridité. - Ξοροτρι^ία . ας, η, friction sèche. ■ *η(οοτρο«ρι*ος, ί, mem. sign, que ςηροοιωτ:χο'ς. R.rpe'f». Ξνροψαγίω , se nourrir d’aiimen» • secs. [ Ξηρ^α/α , ας, η, XÉRO- • Magie. On donnoit ce nom ' dans la primitive Eglise, à • Γabstinence aes ci retiens, qui ne mangeoient pendant le ca-rente que du pain et des fruits secs. Ξηροφθαλμία, «;,η, XÉllOPHTHA • MIE, inflammation seche des yeux avec douleur et démangea'-son. Ξηρο'φθαλμος, *, attaqué de xérophthalmie. R. ξτ,ρ'ος, l * θαλμος. Sip.; o« ξ-jpU, ίίος, ί,'glaïeul, herbe. Stcpfcütov, e, to, mcm. sign, que ζιφίάιον. «oç, adj. qui a la rnaîn a la garde de son épée; prêt ^ à frapper. R. ξί?0ς, άρω. Ξιφηφορ/ω , ^ porter une épée ; ' ètrf* armé d'une épée. Σιψ-ηψορία, ας, η, port d’une *épee. Ξ.'ρηφορος , «, adj. armd a une epée; un porle-épée. R. ^ξίφος, φεφω. ξιφίας. Γ Ξιφίας, «, adj. Ξιφίας χομη'της, comete chevelue, appelle aussi ζιγηψόρος χομη'της. Ξιφίίιον, ν, το, el ξίφιον , 8, petite épeV ; petit poignard—glaïeul, flambe, herbe. Ξιφίζω, saufer en étendant la main en forme d’épée. Ce saut s appelait ξίφισμα, ατος, το, OU ξιφισμός, 5, ο. Αττοξιφιζω , faire le saut appelé ξιφισμός, ou bien cesser de faire ce saut. Ξιφιόν, V. ξιφί^ιον. Ξιφις-ηρ, vîpoç, h , <?/ξιφ*ς^ , 5, 5, baudrier ; ceinturon auquel on attache l’épée—fourreau. , ίίος, ô, combat avec l’épée. R. ξίφος. Ξιφοίρ/σανον, « , rb, ' épe'e recourbée en forme de faucille. R. <ΐρ/ττανον. Ξιφοϊΐίης , /ος, adj. qui a la forme d une epee. Ξιφοκ^ης /σίφυσις, XIPIïoîde, nom d'un cartilage qui' est au bas du sternum , parce qu'il est aiçu el ressemble un peu à la pointe d'une Vfêû. lî. ξίοος, ι*οος. «4 Digitized by t^ooQle 66G SYÀ · Ειφ#θηχ*ϊ , τ,ς , 5, fourreau d'une épée—-carquois. II. τίθ/jut. Κ’ιφοχίον/ω, tuer avec une épée. [ΕιφοχΊόνος, «, ô, qui tue ou ' qui a tué avec une épe>. ,[ Si-αχίκΤονος, tué d'un coup d’épée. tl. χ7είνω. Ειψομάχαιρχ, ας , ιό f grande épée· R. ζίψος, μάχαιρχ. SÎ402, coç, τ®, épée; poignard —pointe—glaïeul, herbe qui ressemble à une èpee—museau pointu d'un poisson appelé £<φ'*'· Siï>ov)rfta3 otç , ιô, l'action de tirer lVpée du fourreau. [ Ξιφονλχ^ς, i, ό,-ηιιί a tiré l’épée du fourreau. η. ζίψος, Πχω. Ειφονργος, «, ο r/ ή, qui forge des épées ; armurier. B. ipyov. Είανον, a , t)>, ce qui a été poli en raclant; ce qui a été dolé — raclure ; sciure—bois sculpté ; ouvrage de sculpture en bois ou en pierre—statue de bois ou de pierre. R. ξ*». [ Sooivo-γλνφος, v, o, qui fait des sla-tues. H. φλνφ«· ' Sootvovotfoc, a c t t), composition de statues—profession de statuaire. R. ξόανο*, iro(t«. Εοίς, (δος, ιη9 racloir; grattoir— instrument propre à sculpter; ciseau de sculpteur. R. ξιω. Εονθότσίερος, v, adj, qui a les ailes jaunes. R. ξονθΐ>ς, nlspov. Εονθος, S, adj. {aune; roux — prompt; rapide. Zvàln y vjç, νι , ξυηΧη , *îç , , racltir — rabot—ciseau -t- hache — salure. ΕνγΓινν*; pour συγΓιννίς. &νγ Γεωργός pour σνγΓεωργός. Svyfvοίμων pour ονγΓνωμων. Ενγχάτθανε , poct. pour συγχατί-Oavc χ aor. 2 de σν/χαταθνήσχω. ΣνγχομV. συγχομιάιη. Ενγχρονω pour σνγχρο'ϊω. Εν/χωρ t η, Ion. pour σνγχωρία. Ενζν/ος pour σνζνγος. Ενηλη » ξνάλν]. Ενλ«λόν), τος* ιό, bob d'aloës. R. ξνλον , άλόν). ^νλάριον, β, *Λ, rejeton ; surgeon — petit morceau de bois — petite planche. R. ξνλον. Ενλι»α, ας, η, l'action d’aller faire du bois, d’aller ramasser du bois — le bois qu’on a coupé — bois de charpente , de menuiserie. ΕνΜ;, /ος, o, qui va à la provision de bois ; qui va faire du bois; bûcheron. [ Ενλινο- £g« , aller à la provision de ois; aller faire du bois. [Ξυ- SYA λ^ορος, *, ©, qui ronge le bois. R. βορά· ΑνΧνγίω 9 transporter du bois. [ Switj/oç, î, adj. qui trans- Î>orte du bois. R. άγω. •ηφιον t «, ti, petit pieu ; écha-las, m*m. sign. que ξνλάριον. Ενλί^ω y ζνΧίζομΛΐ y mcm. sign, que ξυλινομαι [ΕνλίσρΛς, 5, ô, mêm. sign. que ξνλίία. [ Ξυλίζομαι, ramasser. Ενλιχος, i, adj. de bois, fait de bois. Ξνλινος, Wy adj. de bois, fait de bois — de cotonnier. Sνλίνη χνων y églantier. Ενλινοι xapmot, fruits des arbres. Ξνλινον -rrvp, feu fait avec du bois. Ενλενα λίνα, coton. Ενλισμος, V. ζνΧΙζω. Ενλλαμ£άναΙ 9 , et autres commençant par un ξ, cherchez σνλλαμ&άνω, σνλλη&ΐν)ν , etc. S^loScAaaaoy , v , το , bois de l’arbre d’ou découle le baume —l'arbre d’où coule le baume. Ενλο*«ΐης, ιος t adj. semblable au bois; ligneux. R. ξνλον, ιΤίος. Ενλο6ν?χ>ι y Wy νι, bûcher; chantier. R. τίθημι. Ενλαχασσ'χ, ας, τη, bois de casse. R. χασσία. Ενλοχερατα, ων, τα, COSSUS,gousses, h. χι'ρας. Ενλοχίννάμωμον, «, xb, bois de l'nrbre appelé cinnamomum. SwXcxoi)», »?, vi y colle pour assembler des pièces de bois. R. χολλα. ΞνλοχοxsltAy donner la bastonnade; bâtonner. [ Svloxowie, ας, νι, bastonnade; volée de coups de bâton. ενλοχόσος, m, o, qui coupe du bois;propre à couper du bois — qui coupe du bois avec son bec, comme le pivert. R χόττίω. Ευλολυχνόννος, Μ, o, chandelier de bois. R. ^χνον^ρς. Ενλοριανιω, pousser beaucoup de bois;être très-branchu et très-feuillu. R. ραίνομαι. ΞυΧομάχαίρα, ας, epée de bois— pique. R. μάχαιρα. ET AON, «, το, bois—bâton; pieu — banc — entraves de bois. # [Sv).a, ce qui est de bois. Ξυλον, cotonnier. Ενλο'ττονς, ο£ος, <jui a un pied de bois ou une jambe de bob. R. woOç. Ευ λοτόμος, », qui coupe dubois; propre à couper du bois. R. τχμνω. Ενλουργ/ω, travailler le bois ; être charpentier, menuisier. [ Sw-λο-’ρ/ιχας, s, adj. qui a rap— Digitized by ΞΥΜ- port au menuisier, au charpentier; qui a rapport à la menuiserie. H ξνλΗργιχ^, l’art de travailler le bois—état de menuisier, de charpentier— la menuberie, la charpenterie. [ ϊυλονργι^, ων , r*, OU-v rages de menuiserie, de charpenterie. [Eviewpyô;, 5, «jui travaille le bois ; qui fait des ouvrages en bois—menuisier, charpentier. R. ίργον. Ενλδτθαι, V- ξνλόω. Ευλοφάγος, », adj· qui ronge le bois, comme le ver appelé a r tison. R. φάγω. Ενλοφθέρος, «t, adj. qui gâte le bois. [Ξνλοφθ&ρον, «t, το, afti-son, ver qui ronge le bois. R. φθείρω. Ενλογοpivy fut. ^9ta % porter du bois—porter un bâton , comme Diogene et les philosophes de sa secte. Ενλοφορία, ας, η, l’action de porter du bois ; transport de bois. [ Ξνλοφόρος,Β, o, qui porte du boi*—valet d'armée; gouiat. [ Ενλσφόρος qui porte un (>âton à la main , comme Diogène et les philosophes de sa secte. Ευλοφίριος , d, ( éoprîi ) les XT-LOP HO RI ES, fete chez les Jaifsy dans laquelle on portait des ratneaux verts. R. φερ«·. Ενλόφραχ7ος, «, défendu par des harrieres. R. φράσσω. Ξυλοχάρτια, tablettes de bois , pour écrire. U. ζνλον , χάρτας. Ενλοχος, », ιό» lieu planté d'arbres; hallier—repaire; tanière. Ενλόω , ω, changer en bois ; boiser ; planchéier; construire en charpente. [Σνλονσβάιι, devenir bo'iseitx; devenir ligneux; être boisé ; planchéié ; être construit en charpente. Ενλνφ<ον, mcm. sign, que ξνλη-φιον. Ξνλώίης, ιος, adj. hoiseux ; ligneux—qui pousse beaucoup de bois; qui pousse beaucoup de rejetons. R. ξνλον , «Τίος. ΕΛωσις , εως, η, construction en charpente ; charpenterie -— charpented’une maisou ; plancher—boberie—toiture. EvfA^atT] pour σνμΖαίτ), 3e pers. sing. opt. aor. 2 de crupL&xt'v*». Ενμβαίνω , ζνμ.$*Χ).μ> , et offres commençant par un ξ, cherchez σνα.£αλλω , σνμβαίνω, ctr, Svpi^yjTo, Att. pour ayjw,^t^XtiV9 , pers. sing, plusq. parf. pass. de σνμ£άλλω. e ' ΞΤΝ · . Ζ-'μγι, γ%, η, démangeaison. S-'μμαχος, V. σύμμαχος· Svawa; pour συμ-σας. , Ζυμπιχαίω y. συμττίη/Ιό». Ξ·;μγιρομαι , συμφι'ρομχι. Σ'ίηγημι, Γ. συμγ/i/tt. Συμcpspk, F. συμφορά. Sέμψυχος, συμ*ρυχος· Ενν , ei Ion. pour συν, avec. 2vvxy*((oi' σννα?χ«ια. Ξυνα/Ί», Ait, ρο ur «jvvayo·. Ξννα«(<?ω pour avvactô». Svvaiue;, V//. pour συναιμος. Ξνναιτιος pour σνναίτιος. ΞυνχΧίζισθαι pour avvaKÇtadac. ΞνναμφΙτιροι pour συνχμφόχιροι. Εννάων , Dor. pour ξννών , pari. prt's. de συν et μι. Svv iti /ατο , /0/r. */ //. pour συν- «J/'Îîvto , plusq· parf. de συνδέω. Swict'xoac , vingt ensemble. R. <Av , |Γχ09(. Swrijrot, /ûa. et Att. pour Vw-νηχα y aor. i de συνΐημα. Su»(T* , poèt. ξννι£ΐα , ων , τα. Ξννιιμι ξυνίΎΐμι. /Λ σννκριι et συνίημι. Ξννιτσιλαμβχ'νοραι, f'’. συνι-σιλαμ,-ζάνομαι. Svvcpyc pour σννι7pyi , de συνιίργω. Svvipyî»;, y· συνιργός. Ξνίνβς, imper· aor· a Att. de <rv-νινιμί. . Γ. σννίσις. Svviro;, », adj. pour συνιτές. Σννιχο), K συνιχω. Ξνν~ , adv. en commun. 2υνη&ος, », adj. qui vit avec un nufre; camarade; compagnon de table — qui est de même Age. II. βίος. Svv/îyopoç* f''. συνήγορος· Εννηϊος , » , commun, de £woç. Ejvy,w , ονος, commun—qu» participa à—‘compagnon de — complice de. Sw ίχσι, 3e pers. plur. indic. près, de ξυνιιμι, pour σννβιμι. 'Ζυνίζω pour ξινίζω. £>νίη^ιι, Att. F. συνίιΐμι. Evvtov pour ξννίονν, de (υνιιω, pour σννίημι. SvYtfBt pour συνισθι, de σννπρι. Svvt^yjfAi pour συνίςνιμι. Evvtç»p pour σννί^ωρ. Ξυνιάν, ovtoî , part. aor. a de ξυνίνιμι, 0ir ςυνίΐαι pour συναμι. Svvvivοφως , όχος, et fcm. -φνΓα, α;, port. parf. Att. de συννίφχα. 2νννιφ«λος pour συψνιφιΧος. Ξννοί/α, <7 ξννο^ος, pour συνοδία £/ σννο'ΐο;. . Ewotxia pour cvjotxtx. Συνοίσω pour σννοίσω^ fut. a ^ συμγίρω· ΞΥΣ ' Ευνομαίμων pour συν όμαιμων. Ξννος, v, adj. commun, wAw. /ign. çue άλλοιτρο κάλλος. [ Εννοώ, conjoindre *; allier — rendre commun — communiquer — dire faire en commun. Γ Swift; , ιντος , adj. poli ; aolé. Ξννονσ»ας·οΛς, V, σννουσιαςιχός. 2ννοχη, ης, η, Att.pour συνοχή. 3νν?ω, V. ζυνος. Ξνντιίνα pour συνχιίνω· SwTI^CCet, f'’. OWTlllta. Ενντνχία, f'I συντνχία. Ξννωμόται, συνωμοχαι. Ξννών pour σννών , de crvvct^t. Ξννωρίς, Ait.pourσυνωρ\ς, ι^ος,η. Ξνο«ις , ισσα, cv , poli. R. ξνω. Svoaat, pass, de ξνω. 2υράω, -tw,fuf. ησω, raser, faire Ja barhe ; faire le poil. [ Sv-p*û», mém. sign· SvpcT iv χρω, express. proç. il e^t à craindre que. SvptîV >covt« , entreprendre une chose trcs-difïi-cile ; littéral, raser le lion. [ Evpaofiac, -Suat, être rasi? ; se raser; se faire raser. R. ξυρο.;, rasoir. Ξυρηχης , ιος , et ξυρ*σιμός, v , adj. qui peut être rasé, qui a besoin d’ètre rasé. Ενρησις, ιως, η, l’action de raser. Ξνρι'ας , », ô, rasé; tondu. R. ^νρο'ς. Svptov, », x^9 rasoir. Ζυρο&οχτ)', ης , η , el ξυροθηχη, ης, />, étui de rasoir. R. τίόηρι, ζνρός. Ξυρομχι, raser—se raser; se faire raser ; être rasé. 2υρος, », adj· tranchant, propre à raser. Ενρος, 5, δ, subst. rasoir. Xρήσον xt vjuîv ξνριν , Arist iph. préte-nous un rasoir. Etsrt ξυρ» ΊςασΒαι axu^ç, express. pros. être dans It moment critique ; dans le moment fatal ; littér. être sur le tranchant du rasoir. AvQpumcav σωτηρας ictî ξνρβ' ηοη ιόντων, Tkéocr. Id. 27 ( (Castor et Pollux ), ces dieux tulé-I air es qui sauvent les mortels au moment ou ils courent le plus grand péril. R. ξνα». αυρνμχι, y. ξυρχω. Ζύσιίος, «, vieillard sec, et qui a des démangeaisons. Ενσίς, ΐω;, η, l’action de raser —démangeaison. Ξύσμα , ατος, raclure ; la poudre ou Pordure qu’on emporte eu raclant,en frottant—carackire gravé sur des tablettes de cire wdans un livre. ■ 1 ΞΥΩ 667 ενσματώίης, /ως, adj. semblable à des raclures, à des ratûsures* aux ordures qu,’on emporte de dessus la peau en raclant ou en frottant. ' Ξυσρη, 7,ς, η, et ξυσμϊς , », ο, démangeaison. Μ. R. Ανσσιτος, y. σνσσίτος. 2υς-ας, οίίος, η, vigne plantée sans alignement.* R. συν·, Ίςνιμι, 2νς·ασις, «ως, y. συςασις. Svçi>p , «po>» ô, qui rase—qui gratte— grattoir —, ciseau, de scalpteur ; rip·*, instrument de tailleur de pierres — spatule , scapei—l:»ncctte. [Ξυςτίριον , 8, xb, scalpc.l—lanceltc. 2υς·»χ^ς, S, adj. qui a la propriété de racler, de frotter. SvçixV , qui s’exerce dans le xystC , y. ξνς-ον OU ξυςός. ΕυςΊς, ίδος , η, étrille—manteau de diverses couleurs — manteau de pourpre — trahéc — robe déliée et ae diverses couleurs. Κ^αφις·ιι).αμ/να xxv ξυσ-χΐδα τας Κλtaoiça;, Théocr. , Id. 2 , et couverte du voile de Cléariste (ou du manteau de CÎéariste, suivant M. G ail.) 2νς*οβο)ος, », o, qui lance un javelot, un, dard. R. ξνς-^ν» . β&Χω. 2υς·ο«> », ο , javelot ; dard— χ ystk , allée couverte où les athletes ^exerçaient dans le mauvais temps, y. ξυςος. Svcbç, 8, adj· raclé ; gratté ; po-Ji—rasé. Ξνς-ος,», subst. xtste, alUe couverte où les athletes s'exerçaient dans le mauvais temps —portique ; promenade cou' verte. Ζυςοφόρος, 8, adj. armé d’un javelot. R. ξυ<ς\ν, φ/ρω. Svçpa, ας,η, étrille—strigile, V· ς\ιγγ\%—instrument pour faire une infusion dans les oreilles. [ Sv^pt;, ί$*ς f fi, même signification. Ξυςρολϊίχνθος , . mêm. sign· çua çleyyiio^xvôoç. 2ύς-ρον , «, το, étrille ; strigile— ratloir; ratissoire. 3νω, fut. νσω, parf. «ξυχαy p/trf > pass, ιξυσμαι, racler; ratisser —polir en raclant ou grattant. [Ξνω, gratter ; se frotter contre. Tbv ξυοντα άνηζνκ ονος , Arista deux ânes se grattent luu l’auLre. e Ξνω, avoir des démangeaisons. Ξύω, inscrire—graverw
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