I, lérra, Iota 9 neuvième lettre de l'alphabet grec, se prononce comme IV français. Prise numériquement, elle marque dix : mais avec un accent aigu au-dessous, ι, elle vaut dix mille. it * n tf I«, voix. il. αν». Ια, force. R. Τς. ία, fém. ί/Υος, seule ; une seule et même. la f plur. f fov , violette. £ά£«ς yvvanctç, femmes d'Iome. ίά$ω, dormir. ίάζω9 imiter les Ioniens—em- f>loyer la langue ionienne ou e dialecte ionien. /άθ^ν , aor. t d*i xop.at. ΙΑΙΝΩ, fut. *v3, faire chauffer ; ^ faire tiédir—liquéfier ; dissoudre—amollir—aiToser. iaivm 9 réjouir, remplir de Joie. Iαχος, S9 adj. de l’Ionie. Ιαχχος , »y o, Iaccdüs , surnom 4* Bacchus—h>mne en l'honneur de Bacchus—statue de * Bacchus. R· ίάχχ«· IAM ίαχχά^α, crier comme ceux qui célebrent les bacchanale^ —crier. R.'M. ίάχχω, crier, pousser des clameurs. ίΑ'ΛΕΜΟΣ, 8,ô, chant plaintif; triste élégie, ίάλιμος, 8, adj. malheureux, ίάλιμος, 8, ό, IaL^MUS ,yi/x de Calliope, auteur de froides é le g'es , (f oh vient le proverbe ψνχρότιρος χαΐ oixlpoctpoç Iαλ/μον , plus froid et plus plaintif qu’Iahme. Ιαλ(μίζω, pleurer ; déplorer. ί*\ψα>δη;f coç, adj. froid, au fig. # —sot, inepte. R. Ιάλιμος, cc<îoç. 1 άλλος, 8,ô, trait mordant; rail-t lerie, brocard. R. Ιάλλω. ΙΑΑΛΩ, fat. αλ£, lancer, jeter — étendre ou tendre — atta- # quer, assaillir—courir f voler. Ιαμα, ατος, το, médicament, re* mede—guérison. R. ίάοαai. ΐαμ£ανλι7ν, accompagner du son de la flûte le chant des vers iambiques. R. ίαμ£ο;, αύλ/ω. ίαμβηο^ράφος, 8, o, compositeur de vers iambiques — faiseur d'iainbes, c. à d. auteur de IAM pièces satiriques, à cause que les anciens ' cmployoieat souvent V iamb e dans les satires. R. ίαμβος, ypotfo·. Ιαμ&ιΐον, 8 , τ^ , vers iambicpie. ίάμβίιος, 8, adj* composé d’iam-bes; iambique. ίάμ&ολος, 8, adj. satirique, mé-v disant. Ιαμβιζω , et l αμδιάζω , fut. (σι» et ιάσο*, faire des satires en vers iambiques—injurier ; insulter, invectiver. ίαμ?(χ9ς, 5, adj* composé d’ïambes ; iambique. ιαμβογράφος, 8, o, qui fait des vers iambiques, poëtè iam-bltliie. R. Γαμβος, ypacfw. Ιαμβοσοχος, £, ô, mcm* sign· „ R. 7rot/û>. - ΙΑΜΒΟΣ, 8, ό, ΙΑΜΒΕ, pied composé d*une breve et d*une longue dans la versification latine et dans la grecque, [ίαμβοι , ver» iambiques. * Iom-Çoc , ceux qui contrefont les discours ou les actioiv» des autres ; bouffons—vers satiriques de bouffons. Îojfcvv), mcm. sign, qutlcquvri. Digitized by t^ooQle IAT k %,»6*.». ?. Heu rendit de bor»; lieu où il croit beaucoup d'arbrisseaux. ητΟην, aor. i pass, d* Ιαίνω. ί»»θtvoç, », adj. violet ; pourpré. Ιανθον , », το 9 fleur violette \ couleur violette. R. fov. iâvixkav, b, w, Janicule, mon-jî lagne ei forteresse de Borne· I AOMA.I, Ζμαι, fut.' Μσop.at V/ Ιήσofjuxt , aor. ι Ιάβην , Γαμαι, traiter ; panser ; guérir—remédier k. Kaxov χαχω ϋσθαt, Thuc. remédier k un mal par un autre mal. [laopat, pass, être guéri. ÎAOTa , lancer; jeter — attaquer ; assaillir ^assaillir din-jures, etc.—nuirç. ÎA'lITS, vyoç, ô, ÎAPYX, vent du nord-est. . Λς, άίος, ^ Ionienne, ίάς yÇ», r Γ Ionie. Ιάς διαΧιχΊος, le dialecte m Ionien. , " laai i plùr. d<Tpt, ils vont, liâtpourliTatf dl-npi, ils envoient ιάσιμος, », adj. que Ton peut guérir-r-act. qui a la vertu de e*^r*rJ! *ω;» β“*“ . rts<m, R. ictopat. IAUOÏtfi , ης, » > petit liseron , Mt*e. ' Ιούτρώς, », ô» chant lugubre. Ιασώίζΐιν , ressembler an jaspe , avoir la couleur du jaspe. 1ΑΣΠΙ2, eioç, η, JASPE , pierre ; précieuse. Ιασύ, όος, »ç, ô, Iaso, déesse de ia guérison, fille d* Esculape, ίάσβτν, Jason , ümi d* homme, ίατηρ, 3ίρος, $, médecin.7 ίατηριος, tortxV;, i, adj. qui a la vertu de guérir. [ ίατηριη , la médecine. Ιατορία , ας ^ Ion. fo , Γης , η , la médecine.' [ΐατορια, ας, Υ0Λ. *η f fat, η, traiterrtent ; guérison. . fotto;, », adj. qu'on peut guérir, ίατραληρίης, », ô, médecin qui f;uérit par les frictions, par es fomentations, et autres remèdes extérieurs. [ Îarpaitctsr-TixJl , 9»ς , η > iATBALEmQrE , partie de là médecine qui guérit par, etc. H. ιατρός, άΐκ'φω. Îorrpcta , ας f ri, gaérlson. ίβτριΓοι», », Vb > logis -du médecin ; maison de aanté ; laboratoire de chirurgien ou d'apo-"thicaire. ίατρίΤα, tSt, honoraires da médecin. ίάχρινσ ις, ι»ς, η, traitement des malades: guérison. * ' /■ Γ ' ' ' larpcvù» , jut, «νσω , txxpivopat , traker; guérir—remédier i— ΙΓΔ exerce* la profession de médecin. ' fdhpia, ας, et ΐατ'ρινη , ης , femme qui exerce la profession de médecin. Ιατριχη, 9ίς , η , sous-eut. χίχνπ, la médecine; l’art de guérir, ίΐατριχος, 5, adj. qui concerne la médecine ou tas médecins ; médical; habile médecin. Ιατριχως, adv, à la manière y des médecins. Ιατοολογ/ω, traiter de la médecine , dans un ouvroge, R. * Ιατρός , Xty», Ιατρόν, ». xb , honoraires d’un médecin; prix de.la guérison, ίατ^ος, S , ό,. médecin--(Jill guérit ; qui remédie à—chirur- 1eien; . . r Ιατροτιχνης, », of qui professe la médecine. R. *«χνη. ^ iATTATAI , cri de dùulcur, hélas [ ί«τΊαταιάξ f mem· sign. . i ÎAÏ, cri d'indignât ion* dêplainte, holi ! hélas ! . fav , dans Aristoph., cri de celui qui répond à la voix de celui qui J appelle—holà ! lié bien ? ίαν/σχω, Ion. pour iotvca. r ίανθμώς, », ô , lieu de repos-— séjour — demeure ; repaire ; tanière. ίαυοΓ, mêm. sign, qulixv. IAT ft , fut. ΪΛνσο», séjourner ; passer le temp$—dormir. Iαφέτης , » ,f ô , qui lance des flèches, épith. it Apollon. R. a5,i»ij,P * Ιαχίω, fut. ησν, crier^—dire ou parler en criant. [ Ιαχη , 91; , •h , et ίάίχημα ατος , x% t cri ; claineur—vocifération, [ίαχη-fxara, c hants en l’honneur de tiatchus dans les orgies. ΙΑΧΩ, fut. fa, crier; pousse^ des clameurs—résonner; retentir. ίαων, ονος t o, poél, pOurXwi, " ΐΒΔΗί , 8, o, la chevilleàu trou qui est au fond du navire . ■et par ^quel on fait écouler l’eau m qui ÿ est entrée. -IBHPI2, passerage , plante. ΙΒΙΣ , ιιΪος et ιος, rj, ibis , oiseau d Kgypte qui sf nourrit de serpens. : ΙβίΣΚΟΣ, », β, guimauve, herâe, ΐβν, Jon. adv. beaucoup—grandement. f&So·, crier. R. lyf-n portier dans leqùel on pile; [ lySiov , » , το , petit mortier. ίγ£ίζν, courbcr et relever aller- ΙΔΙ 487 . nativement lés épaules, comme ceux qui pÎ!cntdu»*\:nmortiefv l ypat, parf d ίχνι^μάι, I fyvyx f ας , η , jarret. r II A , Ida, montagne de Phngie . et de Crète. ( ... w ί&ίλιρος, 8* ô , η ^ sudolrifiqife; chaudy R. Γίος. Μαν^ς, » , adj. bean. * lie, Att. tif, aor. a imper. dk ciic0 , voyex ; vsoici. [ti«, ii vit 9 aor. a indie. dtX&u. [ ift pour tyt. ' · - - ISta , ‘ ας , η , espèce ; cfcnrft— forme—idsb. [ ii«« * beauté , t dans Plut, vie de PéricL l ii/fjLiv , Îifv pour Ktiti9 m*n a ,ΐφβ»ν Iitpft^ qui aitne dè» l'instant .ftù^l voit; prompt à «’en— , fla mroer. - I <$ιστμ f Ion* pour fit. * . ii«Y0^r, /ος γ difforme ; hideiux. ‘ R. ti/d, «χΟος. ' ' .·' ' ' ’ ίΐ/ο> ,* lôn. pour cfiedr. * ΙΔΗ , Ion. pour fi*.5 · - ' 0 livjOiv , λΛ». du rpont I^a. lirjat, Ion. pour i$y , aor. i Subj. d(Tia». f ifâfxayv, ΐ£μων , ονος, adj, ^v^qt ; habile; expert. R. «Γί». , , tiriv, et Eol. ppur iSttf. ίίηοατος, 8, qui a une figure ^ aimable; beau. R. cifV, iic^t, Λ?λ. ïicvj, adv,. én particulier ; pnrticulièremetit, opposé άδημοσίφ OUxotvÿ. 1{ίχ irpaxlmv'f Eurip. de son autoritée privée, séparément; à parL Ιδιαζόντως, adv. en personne privée—en particulier—d'une manière particulière. , fitaÇc», fut. οίσω, ètfe séparé des autres ; être en son particulier —vivre en son particulier ; vivre à sa manière, à sa fan-taisle. [ Ιδιάζω* , particulier ; e propre. ' Ιδιαίτατος, superl. et lïiaixtpc; , ’ corn par. d'ίδιος. iiiaçvj;, », ô, qui vit en son particulier j, qui mène^uiue vie retirée. ‘ ( / ' ; ÎitxVç, » , λ//\ spécial ; partico-lier. [ lotxa»;, adv,. spéciale— ment—à part. _ fiioÇov^cvccv , ne prendre conseil que de soi-méme. R. Γ&ος* βονΧη, Ϊίΐ07«νης, «'ος, adf. qui est d’un genre particulier. R. ^Γίιος, 7«'ν°ς, ^ ίδιογνωρον/ν, se conduire par ses opinions particulières ; avoir des opinions 3 soi. [ Îitoyvwpiwv, ονος, adj. celui qui se conduit par, ôte. R. Γίιβς , γνωρη. Digitized by t^ooQle 488 ΙΔΙ Ï£iôypayov, s, τ&, écrit autographe. R. ίίιος , γράψω. ν Ι*βιολογία , ας, η , manière particulière de s’exprimer. R. λόγος. ïitofAopf ος , μ , adj. qui est d’uoe forme particulière. R. μοργή. ί&οξινία, ας, ·η, droit particulier d'hospitalité, d*homme à homme, et non de peuple à peuple. R» ξ/νος. Ι^ιβξ(νο(. « . i-y liteÇifot, ceux , .qui sont liés particulièrement entre euxtpar le droit d'hospitalité , en vertu d'une amitié particulière, et non d*une alliance entre leurs pilles respectipes. j^iov«0c(« , otç f η , IDI0PATH1K , maladie propre à quelque membre, à quelque partie du corps—inclination particulière pour une chose. R. W«î , πάθος. î&tomaQfa , mérn· sign, çumtxo- v «ταθ^ς. . ^ ϊάιοταο.Ιομαι, s’approprier; s’attribuer— se concilier—s’adjoindre. R. t&iqç, ποιίφ. I^ioopoy/w, se mêler de ses w propres affaires—mener une rie privée. [ f «feowpayia, ας, y , Je soin 0» la gestion de ses propres affaires — vie privée. £ ίδίο-σράγμων, ονος, b, celui qui ne se mêle que de ses ^ affaires. R. Wcoç , πλάσσω. ^ ΐίιοτ&ραζια, ocç, η, utilité particulière ; intérêt particulier. # M. R. 1ΔΙ02, α, ον, adj. propre ; par- · ticulier—privé—-qui est d une espace particulière ; spécial ; singulier. Την Iitav γιωρ/ουσι, jtnst. ils cultivent leur propre territoire. Κατ' lit αν, en particulier; séparément. fi ιός-ολος, «, îJtôçoXoç νους, vaisseau que quelqu'un a équipé à ses propres frais , ou qu'il a lqué pour lui seul. R. ς-Λλω. f ίιοσυγκρισία, ας, constitution particulière du corps; tempérament particulier. R. f&oç, σνγχρισις. Ϊ$\οσνςάχ*ς, *, adj. qui subsiste par soi-même. i$ιότής, -ητος , ·η, propriété ; nature particulière ί&οτρό-ατως, adp. d’une manière particulière. R. τρόττος. e Ιδιότροπος , « , qui se nourrit d'une manière particulière— qui se nourrit à part. R· ^ος, ro ttpta. iiioxetfïQv, v, x^> ,t chose que l’on a faite ou écrite de sa main, f ί^»©χ«ίρως , adp. ί&οχιίρως vwôypaÿat, écrire de sa propre main. 11. γράφν* ΙΔΡ i&iôtü, ccftovpioK , mêm. sign, çue * tilOtSTOlCOJAOU. Ι&σις, «ως, η».émission de la sUeur*, sueur. i&toi, fut. ίσω, suer. . {iiotμα, ατος, r^», nature particulière ; propriété—langage particulier, idiome. ί&ως, adp. d’une manière particulière! particulièrement — à part. iSlmç, ιως, ύ, l’action de s’ap-ï proprîer. R. 1$ιόω. iliuTtia^ ^, vie privée — inhabileté; ignorance. i&ttûjtvt», fut. tv<7ù>, mener une vie pnrée —· être inhabile, ignorant, [ί&ωτης, », b, qui mène une Vie privée f par opposition à ό ιτολίΉυορινος, Celui qui est dans les charges publiques, dans lés magistratures. [ίί*ωτης, un particulier—un homme du peuple, un homme du commun Βίος ιδιώτης, vie privée. [ f&ûrat,. les ignorans, opposé à oc πι -τ?αι£ινμ/νο(, les gens instruits. ί<ΐ<ί»τιχΐ>ς, ^, fcv, ndj. qui appartient aux particuliers; particulier. ί&ωτιχως, adp. à la manière des particuliers; vulgairement. ΐ£ιωτ(ς, tioç, η» privée; parti-cullère. . f Φωτισμός, ï, b, tour de phrase particulier à une langue ; idiotisme— état de simple particulier. Ιίμιν pour tlêtvai, savoir, ou pour Τσιχμιψ , ir* pers. pl. près. dïcmpt, ou pour fôoptv , ire pers. pl. aor. 2 Τίον, ou pour l<ft7v f aor. 2 inf. /tfico, voir, liptvai, sync, pour titasvat, Dor. pouriiêivatf savoir; connoitre. ίίριοσννη, î)î, , science ; habileté. R. 'σηρ.ί. Γίμων , ονος, i, savant; habile. ΙΔΝ0Ω,', courber; plier; ployer —tordre—tendre. ' ίίοίατο , Ion. peur fiîotvro , 3e pers. plur. opt. aor. 2 moy. m d«Γίω. Ι^αομοα, être vu. R. iï$ta. l£ov, je vis, aor. 2 tftfào». 1ΔΟΣ, «ος, xly sueur—air chaud et étouffant, fjoaav pour fio», 3* pers. plur. aor. 2 d'tïSta. Ùcv, adp. voici; voilà que. R. cfiw. [ iSoù, aor. 2 imp. moy. du reroe «Γίω. I, fem. , ΐίόντος, aor. a pari. d\Xou>. lipfia et lopin, a;, Ion. lipirj, ης IEM science; habileté. [l£p(Ç,t«Kf f adj. savant; habile. R. Γσηρ-ι. I &ρόω , poèt. ι£ρωω, fut. ά,», parf. ι S P taxa, suer—suer, λιΤ yfr.; travailler beaucoup. R. ίορως. ilpvfta , ατος , Λ y bâtiment $ ouvrage construit * par quelqu'un—appui, fondement — temple. Ιορύματα Sttav, PlatL les temples des dieux.{iôpv;xa , ^ demeure. I^pvfMU , Γ. Ι^ρυω. ϊίρυρ,ι et ίίρννω, aer. i pass. Itfpôvôyjv, mém. sign, fu lèpvm —lipuvομαι, V. ι^ρνω. ΐίρυσις, ιως, *, établissementç fondation—siege. ίίρυτ/ον, il fâüt établir; il faut Î>lacer — il faut s’asseoir ; il aut se tenir en repos. Ow« f Ιίρντιον , il faut agir. Ιίρυτος, i, adj. appuyé sur an fondement; afferpi. îapVo,/*/. νσω, fairé asseoir— placer; poster—ériger, dresser. · Ιδρύομαι, Τίρυμαι, être placé —être établi, érigé, dressé— être établi solidement — êtrç situé—être assis—actip. plâ-· cer, poster, etc. et autres sign. act. d*l$pv». [ f£pv»«», mèm. signif çu'ifpvta. ï&pvvopatt, être assis-—être posté—être appuyé sur. i&pS pour iipvrt ou cJpôrra 9 ι/’ι^ρως. ί$ρύς , ωτος , l, sueur—suc 01$ liqueur qui découle. Γτίς t£pâ>-τ<ς, les sources qui jaillissent du sein de la terre. Ι^ρωσις, ιοις, η, émission de la sueur ; provocation de la sueur. 1<?ρωτιχος, t), ov, adj.7iCC0\iX\imé à suer; qui sue facilement— qui provoque la sueur f sudo-riüque. iSpuxomoun, provoquer la sueur; faire suer- [ Îipcucowo^ç, ï, adj. qui fait suer. [ ΐίρωτο-ooui, ας, ri, provocation de la sueur. R. t^po>st «ocm». ΐίρωω, f^. ίοροω. ί<Τών, «Οσα, gén. όντος, part. aor. t 2 d*cri». ίίως, liuTa, sachant, pour είίως ou ιΙ$Ύ)χως, parf part, dttàc*. Ic, allez, impér. dttpi. [ le* il alloit, 3e pers. sing, d*fov 9 . uî>:u' . IcGc, c/τω, impér. ίΠτ,μι. Ι(»ς, ίίΤσα, üv, gén. ίιντος, part. m près. ^ϊημί. Itpai, ayec mm esprit doux ^ et Digitized by ΙΕΡ Ttfiat t avec un esprit rude, V. t . r I (pv, tcfxcvat, pour «/ναι, w/ t ΐΓινίμι. ^ Ittuv, iifUvoti, /«ιμ*. ίι» pour ΐισαν t 3* pers. /Αλ imparf \ ίΓΊνιμι. Ιιρά, «V| vk, Κ. ίβρόν. I ίιρλ, δς, M upfc νόσο;, épilepsie. ί,0«, non d'une certaine confection médicinale. itpht nom d’α/r ^<r//Y serpent que fuient les grands serpens. . iipi, l’ancre sacrée; celle 3u’on jette dans un pressant anger e t Itpvyftloç, >, ô, celui nui an. nonce le jour des solennités religieuses. ίέPAS, αχος, ô, épenrier; faucon—oiseau de proie. [ I«por «ι'σχος, ·, i, dimin. ,d*Up&Çf petit épervier. jfpatομαι, fut. άσομαι , exercer les fonctions sacerdotales ; être e prêtre—être fait prêtre, ïtpepxt», être à la léte de l’ordre hiérarchique. icpapyvK» β, ô, qui est à la tête de 1 ordre hiérarchique ; qui a la souveraine autorité dans les choses sacrées. [ ί*ραρχία, «ς, ύ, autorité souveraine dans les choses sacrées—hiérarchie, ç. à d. l’ordre et la subordination des divers degrés de l'état ecclésiastique. ίχραρχιχος, S, adj. hiérarchique. R. Upbç, άρχ4· ^ itpert jt* «νσω, ί«ρατ«ύομαι, exercer Jes fonctions sacerdotales. θβος u icpoiTCvc, Hèrod. le dieu dont il étoit le prêtre. [ Îtporrcvofuu, être prêtre. [l«-ρχηνμΛ , ατος, vfc , tf/ («ρ«τ«ια, ας, ^ , sacerdoce ; fonctions sacerdotales, ίιρατιιον, », rbt sacristie; char pelle; lieu saint; sanctuaire, itpocrtxoç, iy adj". sacerdotal — destiné à des usages sacrés. O» Itpartxoij les prêtres. li iipot-nxv), la philosophie sacrée. I ίράων pour αρών, g. pl. f.d'ltpος. 1/pcta, ας, ύ, /m. up ιό», tjç, prêtresse. ^ ( 1 cpcôv , «, r^, victime ; hostie· ίιοΐίτης,ι, i, prêtre, jipiv;, /ως, ό, prêtre; aruspice. [ hptwoffut. βύσω, immoler; sacrifier—dédier; consacrer. itph, Ion. pour \tp<Xf fém. dltpbç —ccp^i, prêtresse, iepiftov , «, Λ , victime, pour tcpcTov. ί«ρίς, tfeft prêtresse» IEP {«ροβοτανη, η;, ^ verveine. R. iepfeç, βοτάνι}. ίίρογΧνψίης, », ô, tcpoyXvcpoç, «t, ô, qui grave des hiéroglyphes. . [ itpoyXvtpixb, ων, τα, HIEROGLYPHES, caractères ou figures qui contenaient un sens mystérieux t et dont les Egyptiens se se/voient dans tes choses qui regardaient la religion, les sciences et les arts. itpoylv<fixk ?ρ«ρματα, caractères hiéroglyphiques. R. («ρ^ς, γλνφω. ίιρογραμματίνς, ιως, ô, nom du pretre égyptien qui présidoit à Γexplication des mystères de la religion. R. ΰρ^ς, ηρχψά.^ icpoypavta, «;, q, représentation des choses divines par certains signes. B. tcpVç, γράφω. ^ itpootfxexaXoÇf e, o, qui enseigne les choses sacrées, Jes rits religieux —qui initie aux mystères sacrés. li. ίιίαίσχαλος. ίιρόίονλ·ς, *, o, employé au service divin ; bedeau, ίιροθιτ/ω, instituer des cérémonies religieuses, des rits religieux. [ ϊιροθιτης, s, ô, celui qui institue des, etc. R. ΰρίς, τίθημι. Îcpodvroç, Uf adj. immolé à 1«| minière des victimes sacrées; immolé religieusement ; immolé aux dieux. Tà tepoflvra, victimes sacrées. ί»ροθντον θάνατον, la mort de celui qui se dévoue pour la patrie. R. Itpfcç f £ύω. iepοχ/ρνξ, νχος, o, héraut sacré, celui qui faisait faire silence pendant la célébration des sacrifices ou des mystères sacrés. R. ttpoç, »opv£. . ίΐοοχόμ,ος, *, ίΐροχόμ*;, «I, è, chargé du soin des choses sacrées ; sacristain. R. χομ/ω. ifpoioytw, parler ou discourir sur les choses sacrées; réciter lesv choses sacrées. [Ιβρολο/ία, ας, ri , discours sur les choses sacrées; récitation des paroles t de la liturgie. R. ίίρ«ς, Χίγω, Icpopvjvta, ας, η, la tête^du premier jour du mois—Jour de fête qui se 'trouve dans un mob—jour de fête. R. pfv. e iepofjLifVfxmr , ονος , i , écrivain sacré ; qui tient registre de tout ce qui a rapport au service divin et au culte—maître des cérémonies dans^ l’église — gardien des archives du temple. [ ίιρομν/μονις , les députés , que chaque ville de la Grèce envoyait au conseil des Amphictjons. R. ίιρος, μν/μη. ^ιρομν<ρις, , ô , celui qui .est IEP 4% chargé d’initier aux mystères sacrés. [ i «ρομνς-at, ceux qui les premiers ont établi les cérémonies religieuses. itpépvρτος, h y myrte sauvage. ] «pW, i% το, chose consacrée à la divinité—sacrifice—victime —-templej chapelle, lieu saint. [ Ispkf sacrifices—victimes. ] νρονιχύς, if o, vainqueur dans les jeux qui se célebroient en ' l’honneur des dieux. R. νίχη. ItpovXaçot, ων, ri, images des choses sacrées. [ itpovXxçia, ας, ri, représentation des choses sacrées par des signes. R. (tpoç, irhVcv. 1 cpovoi/ω, fat. π'σω, faire des sacrifices—consacrer ; dédier. ίιροσοΛί, i, ôt sacrificateur, ίtpofsfotot , les prêtres qui offroient des sacrifices aux Euménides. [ Îtpoooua, ας, vj, fonction dés prêtres qui, etc. [ i(ponrot/tét être du nombre des prêtres qui, etc. R. irot/o»* tpotaptvrbç, toç f qui a la sainteté reauise dans les choses saintes —oigne de la majesté du sacerdoce; conforme k la sainteté du culte—saint. R. π ρίπτω. iEPOI, 5, adj. sacré; saint— consacré^ la divinité—excellent; divin—inviolable ; dont la personne est sacrée. IcpooxoWw, faire les fonctions d’aruspice; consulter les entrailles des victimes. R. ίιρος, σχο-σίω. ίιροσχονια, ας, fonction d’aruspicc. iepοσχονος, », &, aruspice. ispοσυλιω, commettre un sacri-lége—enlever ou dépouiller sacrilégement. J iepoovWa, ατος, vi, ce qui a été enlevé sacrilégement — vol sacrilège. ίίιροσυλΓα, ας, à, sacrilège. itpoevXβς, », adj. sacrilège, ί ιροσνλως, adv. sacrilégement. ÎipoTcXcitiç, i, ô, celui qui est chargé d’initiér atix mystères sacres ; prêtre — évêque. R. Ιιρλς, τίΧίω. itpôτυτϊος,"·, ο, qui porte l’empreinte d’une figure sacrée. R. tepoç, tvwI*. itpovpytto, faS. τίσω, remplir des fonctions sacrées; être employé au service divin—faire des sacrifices—opérer saintement — dédier ; consacrer. [ Icpovpyovpot, être sacrifié. Tà Ιιοονρχηθ/ντα, victimes immolées. [ί·ρονργο5μα«, mém. sign. fif’Upovpyà». [ Îffpovpyta, ας , rt, fonctions sacrées—célébration 6a Digitized by t^ooQle J du service divin; sacrifice.R. # Upfcç, «pyov. ^ 1ιροφ*»τ/«, fut. -être hié rophante. [ Ιιροφαντης , ï, o, celui qui ensei^noil les choses sacrées aux initiés — hiéroPHANTE y c. à d. le pontife qui présidoit aux mystères d’Eleusis et de quelques autres tem- 5les de la Grèce—le premier es prêtres. [ Ιιροφα*τιχΐ»ς, S, adj. qui concerne l'hiéro- })hante. [ ίιροφαντιχως* adv. à a manière des hiérophantes. R. îepVç, I«ροφαντία, ας, νι, charge d’hié-' rophan^e. ftpevoçoç, », 4, HltnOPHORB, celui qui portoit les choses sacrées dans les cérémonies # religieuses. a 1ιρο<ρυλα£|. αχος, o, commis à la garde aes choses sacrées ; sa-rr&stain ; trésorier. [ l'tpoyv-λάχιο* f a, τ», lieu où l’on garde tes choses sacrées ; sacristie ; trésor. R. φνλοίσσο». icpοψαλτ*ις, a, 4, qui chante dans ies cérémonies religieuses ; chantre d'église. R. Upfcç, ^ ψ*λλ*>. ίιρ&ω, fut. mod, consacrer ; dédier—initier—faire l’inauguration. [ lipufia, ατος, ce qui est consacré, dédié. R. . . . liptiyvfu; 9 a « o* qu* * U® nom sacré — HiiaoMTMB , nom - d'homme. icpSç, adç. saintement—excellemment. R. ίιρός. iepMovvv), η{9 v, sacerdoce. iET , cri de dérision, ho ! ho ! i lia, lancer ; jeter — envoyer — émettre. iÇavi) f ης, vêtement de peaux de chèvre. ÎÇavM, ΙζΙω,/at. ivA. parf. 7Çt»xa, faireasseoir—établir; instituer —neut. s’asseoir—s'affaisser— pencher vers sa ruine \ périr. R TÇ«. JÇV^a, ατος, tfe, sédiment —affaissement. ΪΖΩ, fut. Τσ·», faire asseoir; placer sur un siège—neut. être assis. ■ ίζομαι, être assis—s’affaisser—pencher vers sa ruine; périr. ^ * j*, f Ion. pour îα, fèm. dlος. [ Irj, aor. % subj. d op. t. [ Ιη, subj. [în, pourb, j’étois. III , voix; cri. [fa , cri de joie dans les acclamations en l’honneur d*Apollon. fa ncxav ou im -τόκων , Pseau ! R. frappe mon (ils, cri de Latone à Apollon y lorsqu 'il combattait contre le serpent Python ; de là vient que dans A poil, et Soph. Apollon est appelé îyTioç fa, ivtf th. cri de dérision, ho ! t ho ! ho ί e ΙιΓίος, β, qui lance des traits, èpith. d’ Apollon. R. Tyjpt. faïoç, qui guérit, èpith. d'Apollon. R. îaofxxi. V. ci-dessus le mot I*. l-ηίοι κάκτοι, dans Soph. travaux dans lesquels on invoque le secours d’Apollon ou de Diane, littèr. dans lesquels on s'écrie ίη τταιών—ί>ίϊος, lamentable, déplorable, ίηχοττος, qui guérit les douleurs et les fatigues* R. Ιάομαι, χάνος. Iy}λα , aor. ι dΓάλλω. ίιηλιμίςρια, ας , ή, pleureuse ; femme qu’on louoit pour pleurer dans les funérailles. ÎriXtuoç, a , poét. pour ίάλιμος. Ιημα pour ίαμα. Ιημι, imparf. Tvjv ou Ttov, fut. nfffu, porf. fixa, aor. I yjxa, aor. a nv, jeter, lancer—envoyer—émettre. • ftuat, désirer, souhaiter ; avoir envie de, parf «Γ/χαι, aor. i past. Γθην et ttQnv, aor. a t/χην , aor. 2 part. moy. ΐμίνος. Ιίμαι, esprit doux, aller impétueusement—aller. I ttxev, Ion. pour tivat, en-m voyer. Ι*ιος, a, lamentable; douloureux. R. M. fniWqvy f surnom d*Apollon, V. Ιησ«, U envoie. R. ιπμι· [Ι«σι, il va. R. cc)au Itja!, Ion. pour no, a®pers. sing, subj. aor. a detfic, aller. [ Ιτρσ» pour Γτρ, 3e pers. sing, da même temps. ή(σΐ|λο;, Ion. pour Ιάσιμος. ΪΗΣΟΥΣ , JÉSUS, farrjp, lrrr/ις y îtjrpVç , Ion. pour· larrif, médecin. ίθα>ιντ)ς , Ιος y qui est d’une naissance légitime—indigène. R. ίθυ, yccvopittt. ΐθχχν)) τος, νι, Ithaque 9 lie. ίθαχησιος, a, adj. d’Ithaque. Ιθα^^ς, à, adj. qui a de la vélocité ; agile ; prompt. ίθιΓα, fém. ίΓίβνς. ÎO/ως, /ολ. pour ινΟε*ς9 adv. avec célérité—-droit—directement ; ^aussitôt. I0t va , pour fc, impér. d'ttxi. m [ ϊθι, adv. allons ; courage. lOjxa, «τος, ti, pas. R. ·ζυκ. Ιθν t adv. d*lBuç, droit à ; en droite ligne; en droiture—au-f devant de; à la rencontre de. Ιθν£ολος. a. adj. lancé droit à. R. m-y βάλλω, ίθυίιχχς, a, ô, dont les juçe-mens sont remplis d’équité. R. ίθνς, iixTj. 1$υ£ρομος, af ô, qui court-en droite ligne ; qui court droit à ; qui suit en couraot le droit chemin. R. δρόμος. Ιθνθριξ , gén. !θύτρ(χος , mêm. ^ sign. çu'tvQvQpiÇ. ίθυχ/λtuôoç' a, qui suit le d^oit chemin. R. χέλενθος. . ίθυρ,αχια , ΟΕς, η, /<?«. ιθνμαχιν), ν>ς, l’action d’aller droit à l’ennemi, de combattre à force Ouverte. R. μάχομαι· Ιθνντ), ης, Γθννσις, ί»ς, η, direction. R. Ιθυς. ίθυντατα, adv. superl. ^ίβυς, avec t beaucoup de droiture. l$vvrtipa , ας , η , directrice ; cona uct rice, ίθυνττιρ , 3ρος, iQwrviç, a, iOvvTwp, ορος, ο, qui dirige; qui conduit—qui régit; frein ; bride· Ifut. w5, diriger; gouverner — diriger en homme droit et incorruptible—redresser ; corriger ; punir — neut. aller droit; aller directement à, mém. sign. qu'iQv*. R. «θνς. ίόννόρος, a, qui va droit; qui va directement. R. Ϊθνς, no-ρίνομαι. l’OuvItu», ωνος, 4, qui vole droit ; porté rapidement, cm ligne oroite. R. &v;, «éropiat. ίθΊ?Σ , Ιος y adj. droit; direct; qui est ou qui va en droite ligne—droit, au fig. ; équitable. "È* t9îç î0cfyjç, en droiture—ouvertement — à force ouverte. ÎOvç, νος, v 9 impe'tuosité avre laquelle on se «porte directement vert une chose—mouvement impétueux de l’âme. ίΟυτατος, superl. de Σθνς, très-droit. e ftwrivtj;, ιος y qui s’étend en ligne droite—droit, [fôvrtvtca, ας, η, extension en ligne droite; droit chemin. R. Ι9νς, rtivm. Ϊθυτης, at o, directeur. ίθντομος, a. adj. coupé en droite ligne; droit. R. 10νς9 χ/μ»*. Ιϋντριχις y plur. #/*$νθρ«<· ίθυ», fat. ύσο», aller droit k ; se porter impétueusement vers un obiet—avoir envied f ; è tre ( ·’»»tramé par le dé*ir de. R. lOw;. Digitized by t^ooQle ικιι iifot ressembler à la rouille de fer—se rouiller, ft. ιός. Ικανοο|Αα», devenir propre à — suffisant—capable. R. ίχανος. ΙΚΑΝΟΣ, «, adj. propre à — suffisant — capable — digne— assez graçd ; assez nombreux. Ex Ixav» ( s ou s-tnt. xpévy ), déjà; depuis long-temps.Îxav* ©Λς, long chemin, ixâvfcv «oisîV, Diog, faire ce qu’orl demande. ίχα*ο2 τ»ς χαχ»ς «tpri-ρνχπν, Plut, assez nombreux pour écarter les médians, lxa* ©της, ητος, η, l’avantage d'étre propre à ; aptitude ; suffisance ; capacité, ixenr*», fut. wet», rendre propre t à ; rendre suffisant. Ιχάνο», venir; arriver—aller trou· ver quelqu'un. R. Tx«. ίΜβκνως. adv. suffisamment; assez . — abondamment — passablement. Tfc tiT^eç ίχαν ως ίχιι, Thuc. ce mur est d’une grandeur raisonnable , est #asser grand, [ΐχανως, très. Ιχ£?ω; μ*λας, très-noir, [ίχανως, bien ; comme il faut. 1x^9$ el ïxCko^y Λ*, i^ey, semblable. [ lxt\ ό» , fut· ωσω, f rendre lemblable. U. t?x«. aor, a j/’ίχν/ομαι.. ίχ<?ία, ας, η, prière#; euppli-f cottons- R. ίχν/·μχ(. Ιχ/σιος, tev, suppliant. [ ί»€<τίος, èpith· </<? Jupiter, ( protecteur des supplions. ix/rotç, α, Î)or. pour ίχιτης. IxtTtiflt, ας, η, supplication. R. # Ιχ/της. , IxcrcvM, fut. «tîff», supplier— implorer en suppliant le recours de. [ ίχ/χινμα, ocroç , rfc, supplication ; genre de suppli-r cation. Ιχίτηριος, sync. U7nj»iff, », adj. porté ou présenté par des sup-puans; qui convient à des sup-plians. f ixtrppla, ας , yi , rameau d’olivier entortillé de laine ^que portoieat ceux qui supplioient—prière—supplication—placet ; requête. , ίκΐέτΠΣ,», ό| suppliant—*celui que Ton supplie. KxcTiiwç, », o, mém, sign, que Ιχίσιος. ΙχιηκΙς, t», Vv, adj, dont se servent les supplians ; qui convient aux supplians—porté ou présenté par des supplians. Ιχιτις, iSoi, ή) suppliante. 1 xnat, Job. pour Tt^p, oPpers, sing. t subj. aor. a Ιχμάζ* έΐίχμαίνω, renare humide —humecter—«mollir. R. Ιχμίς. , ΙΛΆ ΙχμβΤος, y, adj. qui répand l'hy-midi té , èpith. dé Jupiter, [ίχ-^ μαλιος, g, adj. humide. ΙΚΜΛΣ, dtJo;, η, humeur, <*. £ d. substance fluide; humidité ; vapeur. ixfiavUf ας, vif humidité; température humide. ; ιχμάα» pour λιχμά», vanner. 1 ïxficvoçpour ίχόμινος,partie, aor. a tflxvtofiat, nui pousse vers Tendrait où 1 on va ; favorable. [ fxpcvoç, d*txfj.%tt | humide. IKNJÉOMAI, βμαι , fut. Γξομαι , parf ι ιγμαι, λολ. a ίχ^ην , venir ; parvenir ; arriver—entrer dans ; se glisser dans— supplier, conjurer. Ιχνπσθαι, convenir, e. à d. être convenable, compétent. Ιχνρυμ/νη ωρα, temps COJlve-nable ; temps compétent, fxvcvvrat pour txvïvrai. ίχνονμινος, V’. ίχν/ομαι. ix^evjxâW;, convenablement; # d’une manière compétente. Ixouufv , JJor. ixotfxotv , opt. aor. à UÎxVtOfJMl. ίχομην , aor. a d*lxv topat. IKPÎQtf, », tillac; pont d’un vaisseau—échafaud;, plancher —‘pieux ; perches. [ ίχριο«ι»7*ς, », o, qui fait des planchers, des éctiafauds, etc. R. ùptsv, I iniyvvjutt. Ixpt»v, construire un échafaud, un théâtre, un plan- ■ cher; planchéier. ίχριόφιν , iadèûlim. pour txpfo*. Ix7«p, ado, proche — nouvellement; recemment — vite ; promptement—soudain. lxltp(xto et ZxIrpoo^ou, avoir la jaunisse. [ ixltptxl;, 5, W ix7«-p««in<, toç, tf#/. qui a la jaunisse—qui a rapport h1 la iau-^ disse. R. TxTtpoç. ΙΚΤΕΡΟΣ, «, δ, jaunisse. [fx7c-toçf adj. semblable λ a jamiissc —· qui annonce la jaunisse; qui est un signe ou un symptôme de jaunisse. [ fx-7rpo$, loriot, oiseau* 1x7»)e», ηρο;, & et $, suppliant, suppliante. . ix7vip(oç, ixmÇptoç. ixVf», fait de peau de fouine. I R. hVf. Τνος, Ιχ7?νος, », d, milan. I ίκτίΣ, *ίβς# η, fouine—furet. fx7·, tfÎypr,*, plusç. parf. d"ix»to-μαι. fx* t fui. Τξ«, ι Γξβ, venir. I iXailtj par escadrons—en troupe, β. Hu· ^ IAE 491 lie®» * Jon. ΤληΟ* » prés, ihtpèr. éffUtu, soyez propice. V. Ιλά». îXaofiat f y· îlot»· Γλαος, », o, il//. ?Xc«k, c», prd- Sice ; favorable ; secourable— oux ; bon; clément — gai t joyeux. R. Ux*. iXàpta, ων , τλ, HILARIES , fêtes grecques et romaines eu Γhonneur de Cyhèle. R. Ιλαρός. Ιλαρό;, à, Vv, adj. joyeux—heureux—facHe ; affable. Tb «λ«-pfcv , gaité ; joie. [ ίλ«ρ^τ»>; , ^ » galté ; belle humeur; enjouement. \{XapU»% fut. ώσ», et Ιλβρυν», rendre gai ; égayer; réjouir. ίλαρχος, g, lt peete qn$ chante des vers gais et plaisan*. Γ Iixpq^r», chanter des, elr, [Î>optdt^«, ας, τό, l’action de chanter des, etc, R. ίλαρίς, tafv). iXdpxriç, y, commandant d’un escadron de cavalerie , de soixante-quatre hommes. [ ftap-ylxt 07, commandemeut d’un, etc. ίλαρφέ/», ίλαρψ^ς, (λαρφ^ία, Κ. t Ιλαρός. Ιλχσσιαι, Jon.pourIXàmι, a subj. 4Γ\Χ&9χομαι· Ιλασχβμαι,/ζ//. ιλασομαι r/ i\a*9pat, p pass.Tkάσμαι, rendre propice; apaiser — faire un· sacriüre propitiatoire—expier, [ίλάσχο-uat, pass, devenir propice. [1hxàîhnt, soÿezpropice.fi λαα-μ/νος, offert en expiation, ίλασμ^ς, J, e, propitiation—l'action d’anaiser, de rendre propice , ae rendre favorable , d’adoucir — réconciliation — faveur propice. faa<pffptov* », ri, propitiatoire ; Un appelle ainsi dans f Ecriture Sainte une table df or très-pur » qui ètoit posée au - dessus de tarche, et couverte eu partie des aites des deux chérubins qui étoient aux deux côtés de torche, ÛΛςήριρς, (a , cov, adj. qui a la-vertu de rendre propice; pro— pitiatoirc. (λλά, et ιλνιμι, fut. v<tvk,parf. ϊληχa, être propice, [ίλα'ομ111». rendre propice*—apaisé r. [ f>x-6t, soyez propice. [Γληβι, mcm, t sign. ΙΑ£ΟΣν 5, S, trou dans lequel se cache le serpent—retraite ; tanière. R. till*. ÎXtbç % mém. sign. qu'tihi$. Γλβος^, », ô, poèt~ pour Ϊλαβς* [ 1λ«(ίο», rendre propice. Digitized by ^.ooQle 4θ2 ΙΛΛ Ϊλεως, α, Atl. pour Τλαος, propice ; miséricordieux—favorable, bon, clément — gai, joyeux. [ illtoK, adv. dune manière propice— favorable^· ment—gaiinent. ^ iharjpio*, », το, propitiatoire. V. ίλα<7ηρ«ον. . ίλη, troupe—escadron de cavalerie , ae soixante-quatre cavaliers—escadron. R. iftio». 1λ»0ι pour Τλαθι, V. Titjfxx. ^ Ιλη'χησι , Ion. pour ίληχτρ , subj. </’ίλ»'χ», thème inusité dont on rericontre quelquefois t optatif Ϊλιίχοις , ω Z«v, sois propice , ό Jupiter; pardonne, ô Jupiter, ίλημ», mem. sign. qu\\x*. ΙΛΙA Z, βίος, ή, Iliade, poème tfHomere. ίλιας χάχων , prov. un deluge de maux. ίλιχ;, adj. Ιλιχς χωρη, le pays d'llion ; les champs troyene. [ ϊλιοα^ς, » ,¥ adj. d’Ilion ; JTroyen. R. Ιλιον. ίλι>Γιάΰ> , . V. Qey/oç. ίλ^ξ, »>Γος, ή, tournant d'eau— agitation d’un, esprit irrésolu. ftiyfoç, », b vertige ; éblouissement , c. à d. vue trouble— perplexité d'un esprit agité de diverses pensées ; embarras d'un homme qui ne sait quel parti prendre. [ίλφΓίά*. avoir des vertiges ; avoir des éblouis-semens—être dans une grande perplexité. e fttov.S, Ilion; Troie. [ίλιο'-6cv, adv* d'llion. [Ιλιόθιy adv. à Ilion , dans Troie. [ Ιλιοφι pour Γλιου , gcn, iffkiov. Ιλαίνω, rouler les yeux ; regarder de travers. R. Γλλος. ^ ίλλ^ς, οίίος, ή, lien tordu ; lien fait avec de l’osier tordu ou avec d'autre matière flexible. ίλλχς, grive, de Γespece la plus petite. ÎUt£«, regarder de travers. R. * * Ιλλομαι, pass, ίΤιλλο». ί AΑΟΣ, κ ) ο , œil. [ Ιλί^ς, n , adj\ louche, bicle. ’ ίλλω, cligner les yeux; tourner les yeux—faire semblant de ne pas voir. ίλλ<ι>, rouler; entortiller, ίλλω, lier, garotter—enfermer. * ίλλορχ*, être roulé; être mu; rouler, neut. ; tourner, neut. —être lié; être retenu; être fixé ou assujéti. ji)ceaxta>, Ιλλωβπζ» , cligner les / yeux—-être de connivence. Ιλλώσϊω, regarder de travers—èlr· louche. M* li- IMA ftvôct;, «ντος, adj. limoneux f fangeux. R· Ιλύς. ΙΛΥΣ , νος, ή, limon; boue— Jie , du vin. * ίλνστσχομαι, mêm, sign, que βιλνσφάομα t. . Ιλντσασις, βως, rampe-f ment. Ιλυω, fut. ν?ω, couvrir de limon, de boue. R. ιλύς. iXvufa;, mcm.sign, qu'ûvotiç. Ιμα, ατος, pour *ψα9 habillement , vêtement. R· ιω. ίμαίος, », adj. /μαϊαμιλη, chansons que chantent ceux qui tournent la meule ou qui tirent de l'eau d'un puits. Ιμάνηνο(, η, ον, de courroie, de lanière ; fait de nerfs de bœuf. Î|U(yf0T0|Utt, couper les cour-roi es. Γίμαντοτόμος, »,ô , qui coupe les courroies. R. Σρλς, τ/μνω. ίμ«ντό«ους, efoçy qui a les pieds tortus. R. ίμάς , ιτους. ίμαντώ^ης, co^l semblable à une courroie, flexible comme une courroie. R. βΓίος. ίμχντωσ<ς, «ως, pièce de bois qui • sert de chaîne dans les murailles faites de charpente et de maçonnerie — cordon de cuir qui lie les souliers ou les sandales. I ΜΑΣ , cÎvtoç, ô, courroie, lanière ; sangle — escourgée , fouet de cuir—cible—bandage de roue—mal de gorge / quand elle devient maigre et se dessèche. ’ ίμοίσθλν), ης, ή, fouet de cuir, lanière. ίμαίσσω, fut. αίσω, fouetter avec un fouet de cuir — fouetter ; battre. ίματι£ιον y n, xb y petit habit — petit manteau, ίματίζω, fut. ίσω, parf. Ιματιχα, pass. ίμχτισμαι, habiller. R. ίμοίτιον. . ίματιοχανηλος, », ό, qui achète et revend des habits; fripier. -R. χοίβηλος. ίματιοχλ/νΐης» », ô, voleur d’habits. R. χλτνίω. ίμοτηομισθης, ίματιομισθωτης, », ot qui loue des habits, aux chore ges y aux comédiens, etc. R. μισθός. ίμχπον, », ·Λ, habit—habillement ; vêtement — manteau qu'on mettoit sur la tunique —la toge romaine — couverture—bonnets* chapeau, ίμχ-tux πόλιως, murs d'une ville. INA ίμ*τιο«ωλης, », qui vend des habits. R. iroJlfu. ^ Ιματιόβτβλις , ι£ος y vendeuse ^ habits. Ayopx ifiartomvXtç, marché où l’on vend des habits. Ιμαηοφυλχχιον, »t l'armoire au linge ; garde-robe. ίματιοφύλαξ, αχος, ο , officier de la garde-robe — valet de garde-robe., ίμαησμος, », garde-robe, c. à d. linge et hordes, R. iματίζω. fjMtTw^yoi, Sy i, qui fait de» habits ; tailleur. [ ίματονργιχ^ς » », adj. ίματουργιχη, sous-0ftt. τκχνη, métier de tailleur. R. ιμχτιον, cpyov. ίμ«», fut. ΐίσω, tirer avec une corde de cuir—puiser. R. Ιμοίς. ÎMEÎPiî, ίμ«ίρομαι, désirer, avoir envie, [ίμ/ρθην, aor. x pass. j'ai désiré. 11·"·. fxc t plur. du près, indicat. d*(Τμι, nous allons—nous irons. [ Ιμ;ν, pl. de t imparf du même ^ verbe, nous allions. Ιμ«ν pour Itpœvy et ι/μαν m , Ion, et Dor. pour ievae. ίμίρα, ας, ή, Himère , ville de , Sicile. [ ίμ/ρας, ·, b, Himère, fleuve de Sicile, » iptpottÇy ισσα, tv , adj, désirable •—aimable, gracieux,agréable. w R. Iptipm. ^ Γμιρος, », ό,«désir, envie—passion; amoureux désir. Ιμβρος, Cupidon, dieu des désirs amoureux , et frere de f Amour. ίμιρος, charme attrayant des yeux. îftpoç, », adj. désirable ; qui ' excite le désir ; aimable; attrayant ; doux. % ίμίρόγωνας, k, qui a une VOl* douce, une voix enchanteresse. R. Ιμείρω, φωνή'. ' jutpt^, ^ν , adj, mém, sign· qa'tfxtpott*. ίμιτος, ή, bv, tiré avec une corde de cuir; puisé. R. Ipw. ίμονία , ας y ή t corde de cuir attachée à un seau de puits * corde à puits, [ίμονιος-ρόφος, », bt qui (ait le métier de tirer de reau d’un puits, ίμονιοίν , rester long-temps à la selle. ÎN,"/tom d'une certaine mesure, [ Iv pour owt^v et αύτ^ν, lui-même; elle-même, [iv, fibre; m nerf—force. f INA, conj, afin que. Afferroîve το , il vint pour voir. ( Iva, quoique ; quand même. lv« μη, de peur que; a moins que; I si ce n est que. Γνα χί ou (ν«τί| Digitized by t^ooQle ΙΞΙ pourquoi ? fva ti τάντα λ/γκς , Plat, pourquoi dite»vous cela? fva, adv. de lieu, oui là; partout. Πατρις 7^ Ις-ϊ ιτ3σ , Tv étvnpavlvi τι; «v, stristoph. la patrie est partout où Ton est nenreux. Lès Latins ont dit : % ubi benè, ibi patria. Ινάω, vider—-faireévacuer; purger. Ινίαλλομαι , paroitre semblable — apparoitre , paroitre aux yeux. [Ινδαλμα, ατος, ^apparence , image. R. ct£». ÏN ΔΙΚΟΝ , », t'o , poivre—épiante semblable au poivrier—indigo, couleur. Îiieimjç, v, conquérant del’inde, êpith. de Bacchus. R.' Γνέος , βλλνμc. ' ÏNEÛ, vider — faire évacuer ; pur^er^ [ f νηθμίς, », à , éva-t cuation; purgation, lvtov, «, derrière de la tète ; oc-ci put. R. fç. ’ petit enfant—petite fille. ίνΛς, 5, δ, poulain ué d’un cbe-f val et d'une ânesse. Iwvofiou, pleurer. lvOCtÂfcç, fOÇ , ίν«£*)ς, («ς, sem blable à une fibre—fibreux , «nerveux. R. «ç ; cTioç. Ινόφλοιος, », adj. dont Γécorce est fibreuse, membraneuse. R. ?ς, φλοίος. ^ 13, ίχος, η, petit ver qui ronge les vignes. Σoei, aor. i infin. dixv topai. Iζάλος, », adj. qui saute snr βα dans; impétueux — lascif. R. ^ ΐξνς, άλλοθι. ΐξίαι pôur ϊξγ), ^Τξομαι, fut. I Λ (XVtOfJLOCt. ίξιντης, 5.ο, /tor. ftiVTètç, 5, qui prend les oiseaux avec de la glu; oiseleur. β Ιξίυτηριον, «, -Λ, chasse aux ' oiseaux; oisellerie. ■ ÏÇcvrtx>)ç, 5, adj. qui concernç les^ oiseleiirs ou l'oisellerie ; qui sert aux oiseleurs ou à 1 oisellerie — enduit de glu. f ίξβντιχος κάλαμος, gluau. ' Ιξίντ^ια, ας, r>, fém. ^ιξιντ^ς, qui.prend les oiseaux avec la glu—qui attire et qui retient fortement ce qu'elle a pris, èpith. de la Fortune. Ιξβνω, prendre les oiseaux avec la glu; aller à la chasse aux oiseaux. R. Ιξός. ίξία, ας,, η, glu—varice. [ UU9 f nom d une plante bulbeuse. Ιξιβορος , ίξοξόρος, ' ëf' adj. qui avale la glu—qui vit de élu. R. fiopk. 6 άφαγος, ΙξαφοίΙγοςρ *, mêm. sift. R# φ*. ΙΟΣ ÎÇtoitç, ίντος, ddL eluant; visqueux—mortel. Κ. Ιξός. Γί.«, ιως, η, arrivée» R. ?χ«>. Ιξομαι, fut. I* dtxvtopat. ΙΞΟΣ, 5, i, Αο/. βισχίς, glu— gluau —perche 4*oiseleur — gui, plante—varice. Ιζ^ς, adj. chiche, sordide, e avare. Ιξοφάγος, V* Ιζι£όρος. ISÏ*2, νος, 4 · les reins·, ϊξάίης, ιος, visqueux; gluant— t tenace. R. ιξός. Ιοβολto>. lancer dés(flèches—jeter du venin. [ Ιοβόλος, », ô, <jui lance des flèches ; qui jette du venin. R. Λς, βάλλω. ioiôpoç, » , o, qui se nourrit de venin—«qui se neurrit de fiel et d'amertume. R.ftç,βορά. · Ιοβό^ρνχος, », adj. qui a des cheveux bruns/ ÎeyW»n, ή, qui a les yeux noirs. R. Γον , yXvjvvi. iofomç, Ιος, qui est d’un violet foncé. R. fov, £ν*<ρος. ί·£όχν>, ης, η, et Ιο&όχος, » , udL qui est un étui à flèches. R. cfcç, ât'xopou* ^ Ιηι^ς » «ος, adj. qui a une teinte de rouille — rouillé. R. Ihç. f] Îoccinç9 semblable à la vio-ette—violet y pourpré—brun. R. fov 9 ιι^ος. iôtii, «ντος, adj. mém. sign, fiîl octtfyjç. ίοχχςηt ης, η, Jocaste, nom de m femme. totfu, aor. 2 opt. ΆΓμ', aller. Ιομι/ης, ιος, mêlé de venin; venimeux. W. ftç, μίχννμί. ίόμωρος, «, ό, qui lance des traits ; combattant. R. foç, μ-ο'ρος. Ιον, *, τ^, violette. fov, μλ a d*tlpt, aller, fov, ί^Γος. ί·ν9λς, άίος, η, couverte de duvet, de poil follet—'velu—qui a des varices. 10ΝΘ02, «, ô, poil follet; duvet; racine de poil qui commence à pousser, fôçpou , ονμαι, fut. Ιωσομαι, se rouiller—-être rouillé. V. Ιόω. iotgιτνλος, «, η, qui porte un voile de couleur violette. R. fov, «τατλον. ίονλόχαμος, «, adj. qui a des > cheveux bruns, ίΟΡΚΟΙ, «v, ot, nom de certains chevreuils. ΙΟΣ, 5, ô, trait î javelot; ftèche y —venin—rouille de métaux. Ιος, Γα, fov, adj. seul ; tin — un seul et même. Îoç/favo;, h, adj. qui porte une 1ΠΠ 4*)3 couronne de viçlcttcs. R. fov, C«V«· . , Οόνης, ητος, η, dessein, volonté. R. Ϊημι. Ιοτόχος, ·, vénéneux » venimeux. R. ftç, rfxlt». ίοτνβτης, ι ο; , (ο'τννος, |, frappé d'un trait d’une flèche. R. tv o/? ou. ÎOÎ , fW de douleur, hélas ! fov, ha! marque aussi Id joie, */ alors il s'écrit quelquefois fov. ίον£αΐ£α, fut. ίσω , judaîser. f ίovJaïxfcç, 5, adj. judaïque, f IoviaVcl, adv. à la manière ^ des-Juifs. Ιονλος, β, ό, le premier poil qui vient au menton tdes jeunes gens ; duvet. [ ΙονΧίζω , s· couvrir de duvet ; entrer dans l’âge de puberté. R. ίκλος, fvo». ' Ιονλος, iusecte qui a plusieurs pieds—^cloporte. iovXt&ftiç, toç, adj. qui est de l'espèce des insectes à plusieurs pieds—semblable aux insectes à plusieurs pieds. R. Γονλος, ιΤίος. Ιοψόρος, » r adj. venimeux. ÎoWatpa, ας, η, qui aime à Tancer des flèches , èpith. du Diane. R. tbç9 χαίρω. ίοχ/atpx a quelquefois aussi Ha signification ^’iocfoxoç. fôw, rouiller. [ ίόομαι, se rouiller—être rongé par la rouille. ' R. ιός. Iνης, ων, oî, vers qui rongent λ les vignes. Itvvcoç, », adj. du four. R. tavôç. iwlrn;, h , cuit dans le four, ίττνολ/βης, ητος, 6, lwολίβτίτιον , », το, vase ou chaudrOn pour faire bouillir de l’eau dans un four. R. Ινν^ς, λι'βη;. ftsrvowoioi, 5, qui èoustruit des fours, des fourneaux. R. ItJvb;, Trot/». Îtyvoç, ttrvoç f », ô, four, fout-„ neau — cloche — tourtière — cheminée — cuisine — lampe. Î Itvvoce, fut. ωσω, jeter dans # e four—brûler dans le four. ΙινοχΊόνος, », qui fait périr les vers qui rongent les vignes. ¥ R. "ψ, χΊ(ίνω. Ιχνος, », o, souricière—lieu où Ton foule les draps—-peine, supplice — le prétoire — boisson. Γνος, pression. Ινόω, presser—fouler. imrayptrai, «v, et, les trois officiers que lés éphores de Lacédémone chargeoient de lever des troupes de cavala-rie. R< ίππος, àytιρ'ω. Digitized by t^ooQle *94 ιππ IiMfeypot , ων, ci, chevaux sau-e vages. R. ΤτΑσος, xypjo;. lmsrotywy^ç, ü, ή, (sous, ναΰς) bâtiment de mer propre à trans-f porter de? chevaux. H. ίγω. Ιπ-νάιτος , « , grand aigle — monstre né d'un aigle femelle e el d’un cheval. iicmxÇttrOat, all<*r à cheval ; cbe-vaocher. [ ftroxaG*!;, qui a apnris l'équitatiop. [ liraà-ζ<σβα<, être monté par un cavalier. R. imro;. iww*xvif ης, q, fromage de lait de jument. ÎirwaxenTiçeî , mêm. signif. que ίττσοτοςότα·* ΙιηναλιχΊρνων , όνος » ό , grand COfJ. R. tltlBOÇ, άλίχΐρυρν. inraouiSaç, I)or. pour ίττβαλι'οης, *, ô, cavalfer. Îirwocpiov, a, tV, petit cheval, ίκναρχιω, fat. fa*, être corn— mandant de U cavalerie; être hipparque. [Γτπ*αρχος, a, o, hipparque ; commandant de ]a. cavalerie. [ Iirwopxta, ας , η, commandement de là cavalerie, f 1 ττναρχιχοϊ, 2, adj. qui concerne le commandant ou .le commandement de la cavalerie —habile hipparque. i'tretT^ , βίο ο; , ή. ]7Tf»^ç vàifcç, l’ordre équestre; Tordre des chevaliers. [ ϊπσά?, tribut que payoit la classa des citoyens athéniens qui s'appeloit Ιπνχς. lwvac£c{ θυσία», les sacrifices qui s’offroient au nom de cette classe de citoyens. IirvMta, (açf ή, l‘action d’aller à cheval—équitation, ίιΐφχσιμιος, a, ad), où Ton peut aller à cheval; praticable pour la cavalerie. [ ίπσασιμο;, qui se laisse mener, comme un cheval se laisse mener par le cavalier. Jfro«cy>{t i, ô,^ cavalier—qui va à cheval. T ΙηναςΊ, adv* à la maniéré des cavalieàs — en cavaliék. («y, al, les barrières, d*où partoient Us chevaux dans les combats du cirque. U. ιιτνος, «Hpi'upu. Îirmta, «(, ri, l'action d’aller à cheval—-équitation. Iinvtioç, «ία, m», adj. de cheval; de cavalier — équestre; traîné par des chevaux. Jtrtvcpaçtjç* i, et ·ιτνιρ«»ς, »τος, i, qui aime les chevaux ; qui a la passion des chevaux. R.ipotw. ifrwtpe»;, la passion des chevaux. r R. tire#;, ίρος. Ικνινμα , ατος , , l’actioa ΙΠΠ d'aller à cheval—diem i nr que l'on fait à cheval—trotte, ίιπτώς, /ως, plur. («trcî;, cava- rr Ιιη»«υσις, ιως, l'action d’aller à cheval. invrtvta, fut. vun*», aller à cheval ; être cavalier. i, mêm. sign, qdlrrvra- γωγος. . ΙΐΓπτηΛν, adv. comité les chevaux. ÎiraHikaia, ας, équitation; profession d'écuyer—manège; exercice qu’on fait faire au cheval. R. Ticwôç, ίλαννω. -iiçdm\à<rtoçf a, adj. où l'on peut aller & cheval ; praticable pour la cavalerie. ί™*λατ/ω, pousser ut* cheval ; piquer un cheval; exercer ** travailler u^ cheval; aller à cheval. [ ίττ»»λάτης , e, i, cavaliér. 1\.?ιτ«ος, ίλαννω. Ιιτοη)ατ9( , it, mém. sign. qrfiircm\cÎ9tôç. 1πντημ.ολγοΐ, 5v, οί, qui vivent du lait de jument, nom d'un peuple dans Homère. Îfftsrtatpia, ας, η, HIPPIATIIIQUE ; médecine vétérinaire. Γ Iireia· χρος, «, ο, médecin dies chevaux ; médecin vétérinaire. R. ιατρός. ifftttiiov 9 a, τ^>, petit cheval. ÎirvixW, S, cavalerie. Imrtx^, yj, ov, de cavalier — dont se sert le cavalier — traîné par des chejaux. ïw-•èrexv) reyvv), équitation. [ fw-«xixo;, Don cavalier. Îwwixrj, subst. nom d9une plante, qui ôte la faim et la soif aux chevaux. Iirvo;, y, de cheval—de cavalier; traîné pat* des chevaux; équestre. [ Γιτβιος, surnom donné è Neptune qui fit sortir de terre un cheval. Ι-ττοτιοχαίτης, a, Dor. Ι-ττβτιοχαί— τας, a, ·, fait de crins de cheval. ίτττ*ιοχάρρ.ης, Dor. ικντιοχαρμας, a, ô, qui aime les chevaux— qui combat âi cheval. Κ. χαίρω. Îtrvt; , ίίος , v>. iwwtç ισθής, habit de cavalier. ίιηνοβάμΜν, ονος, adj. qui monte h cheval ; cavalier. Στρατόν (trivo£o(fA9va, cavalerie. 1 *wo-£άι*ονα ρνηιατα, Aristoph. de grands mots ; fdes mots emphatiques. [ Ιιταοβάηβς, 9, et ίχνους, », i, cavalier. R. Ττττσος, βαίνω. Ιπτνόβινος, très-lascif. R. βιν/ω·
i ««ββάη; » v « Of qui i^ourrit des chevaux ; qui élève des chevaux, pour les combats dans les jeux publics—riche ; f opulent. R. Twtboç, βόω. ΐΊηνόέοτος, «, adj. qui nourrit des chevaux, c. b d. où les chevaux trouvent des pâturages; où l’on élève des chevaux— propre à nourrir des chevaux. M. R. ίκ«οβονχο)ος, 9, qui fait paîtra des chevaux. R. βονχολος. Iiraroβρωτος « a, adj. mangé par des chevaux. R. Ttreroç, βρώσχω. Îmroyipavoi, «v , ο» , qui sont portés par de grandes grues contmje par des chevaux. R. R. ytpavoç. licvrôyXùtcrvoy, >, t)>, HIPPOOLOSSI ou laurier alexandrin, plante. R. Τιτνβς, γλωσσά, langue de cheval, parce qu'on a remarqué de la ressemblance entre Us feuilles de cette ptante et la langue d un cheval. ' itrvoyvcifittv, ονος, 4, qui distingue parmi les jumens celles qui sont pleines. R. Τιτνος, γινωσχω. / , l*r*rôyuwot, «v, oî, qui sont portés par de grands vautours comme par des chevaux. R. Two*, τνψ. ίπντοδαμο;, « , qui dompte les chevâitx. R. ^ααβίω. Ιιτβτό^ασυς, ιία, v, adj. fail de crins très-épais. R. £ασν;* ίιτσό^ιτμα, ων, t*, ce qui tient le cheval attaché — licol ; sangle; lien di cuir. Ιΐίύοί/τη;, v, qui tient le cheval attaché. R. £/<». f-7τ«τοίιωχ1ας, a, Dor. pour ϊτπσο— £ιώχ1ν>ς, β, ό, qui pdusse l«s chevaux à la course: qui fait coil ri r les chevaux. R. ίττβτος, £<ωκω. # ί^τβτοίρβμία, ας, ή» courses de chevaux; combat de chevaux à ta course. [ ϊ-ιτσοίρομος, a, o, hippodrome , lieu destiné aux courses de chevaux —t cirque ; - manège. R. ίρόμος. [l-irtro^pô-μιος, a, adj. ίιτσο£ρόμ.ιος ρινιν , Plut. mois où Ton donne des combats de chevaux à la course. firoôOcv,*^*’. de cheval. R.?trvoç. ίχ«οθ5λαι, ων, ol# poulains qui tettent des jumens. R. θηλάζω, ίιτνόθοος, a, qui court à cheval. R. 7*π*ος% θβός. ίιτνοχάμντη, ι»ς, ί«νόχαμ.«ος * a, ο, HIPPOCAMPE, cheval marin. < iirvoxAiuOoj) a, qui voyage à Digitized by t^ooQle ΙΠΠ cheval—qui a fait beaucoup de chemin. · . iwtsroxfσταυρός^ «, ô et·}>, HIPPOCENTAURE , monstre fabuleux t moitié homme et moitié cheval· 1*νοχομ/ω, avoir soin des chevaux ; être écuyer. f ίπποχό-μος, «, b, écuyer. [ ίκνόχομο^, ·, adj. fait de crins de chçvaL R. Timroç , χομ/ω, χομη. Irrwoxopvçrjç, S, b9 qui combat 6 cheval. R. χβρνς. I τΓβτοχρατιa» , avoir l'avantage dans un conribat de cavalerie—. vaincre par le moyen de I» cavalerie ; s’emparer avec la cavalerie. [ Inmoxpaxia, ας, τ», victoire remportée par la cavalerie — avantage dans un v combat de cavalerie. Ιηττόχροτος. », adj. qui retentit du bruit des chevaux. R, χρέτος. iwwoXxma&ov , », xb , par elle , herbe· ίηόλνχος, », 0, HlPPOLYTB, A// Λ Thésée. R. ?ir«roç, Ανω. «ος, Λ, H1PPOMANE, morceau de chair noire qui y engendre au front d'un pou· lain, tf/ que les anciens regardaient comme la matiere d'un filtre tres-puissant. [ί™ομαν«ς, fureur d'uue jument en chaleur. ί*νομαν«ω, être passionné pour les chevaux — être en chaleur . en parlant d*une t jument, η. Τιτσος, μαίνομοκ. iTOoaavyjç, /ος, qdj. qui a une folle passion pour les chevaux ; qui aime trop Ie4 chevaux. [ïir-90fAa*riç, extrêmement lascif Ιιτσομανία, ας, v)t folie passion pour les chevaux. . Iιτνομάραθρον , » ,. Λ, fenouil sauvage, herbe. iirvoμαχιω, combattre à cheval. I πσομαχης, ίησοααχας, α, tf/ ίπταομαχος, », o, qui combat à cheval. f itctoμαχία , ας, combat à cheval. R. Ίππος, μάχομαι. ΙπνομοΧγΙς, », qui vit du lait de jument, comme faisoient les Créions. R. άμ/Χγω. ίπττόμορφος, », qui a la forme d’un cheval. R. μορφή. ίττσονομος, 8, έ, /wArr. j/^ι. fVtf itrero^ôrvjç. R. ν/μω. ί«ττονωμας , α, èpith. du soleil dans Aristophane—qui pousse ses chevaux. R. νωμαω. ίιτνέομαι, devenir cheval; être cheval. R. ίιπνος. Îir«oi9vipa<, ων, al, porte-mau-teau du cavalier ; bougettes. R. τηίρχ. I ιταο»&λ*ς, ·, 4, qui s’occupe dej ΙΠΠ chevaux ; qui aime I*s chevaux; qui nourrit et dresse des che, vaux, pour les combats. R. iro\i*. Ιπντοσόταμος, v, o, HIPPOPOTAME, cheval de rivière. R. ποταμός. iwwowtiXviç, », b, vendeur de chevaux; maquignon. R ιτωλιω. ΙΠΠΟΣ, » , b el *, cheval ; cavale ; jument, li ΐηνος signifie quelquefois cavalerie. Mvpfa £ιτ*τος, dix mille cavaliers, firwoç θούριος, cheval de bois, machine de guerre semblable au bélier, et servant à renverser les mura'lies. ϋΤττσος, Hippus ,nom itun certain poisson. Γ ίιτνος, clignement perpétuel îles yeux. firwoç, en composition, marque une grandeur démesurée , ou la grandeur tt une chose plus grande qu'une autre de la même espèce, comme Ιηοσ/-Itvov , », , ache ou persil , plus grand que le pyersil ordinaire. /‘irwoçoKrta, ας , * , l·irwoçàatov , ·, xb, écurie. R. Τς>ιμχ. imoçpxxqyoç, e, b, général de la cavalerie ; maître de la ca-valeriê. R. ς-ρατν^ός. Ittwoσννη, νις , $ , habileté à monter à.cheval; adresse.d’un cavalier, d’un écuyer—adresse à mener un char! Itrwomç, », nom in. poèt. ίττβχότα, cavalier—de pl. mém. sign, que φνγάς.^ ίπνχοχοξότης, «, cavalier qui se sert de l'arc ; archer à cheval. R. ΤίΡβτος, τόξον. IirwoTpo<p««, nourrir des chevaux ; élever et dresser des chevaux pour les combats à la course. [ ίπτβοχροφί*, ας, ιό, nourrissage de chevaux ^ίηχτότροψος, » , qui nourrit s chevaux ; qui élève et dresse des chevaux pour h\» combats à la course, η. τρ/φω. Ιπβτοννφια, ας, Ion. t*, ιης, fierté d’un cheval — fierté ; faste. R. τύφος, fwwovpcç, ύ , qui a une crête de prins de cheval. R. ουρά. IirwKptç, queue de cheval ; prêle, plante. iiemofôp&Q*, η , xb , lieu où l’on fait paître des chevaux ; haras. ίΐΓ*τοφόρ£ος , et (««Κίφορ&ν;, /ως, ο, qui fait paître des chevaux ; gardeur de haras. R. φ«ρ£ομα(. Ιπνοχοίρμας, a, Dor. pour Îtoo-χ«ρμν»ς, « , b, qui aime les chevaux—qui combat à cheval. R. χαίρω. Itpwwitj;, «a;, adj. semblable au cheval. Ü. «Toe,*. ΙΣΑ <95 Uwàv, ωνος, b 9 écurie, ίττβων/ω , fut. 1)C«», acheter des, chevaux. [ÎirCTùïvyjç, », 0, qui achète des chevaux ; xnaqui- 5non. [iitmvta, ας, 17, achat e chevaux ; commerce de „ chevaux. R. ών/ομαι. ΙΠΤΑΜΑΙ, fut. ιτ7ν)σομ««, aor\ a Μοίμν» , voler. Γατ7ω , ^//. pour Ϊβίασω, d*fttl%· μην, imparf d'txalouim. ΙΠΤα μ f«i», fut. ιγω, nuire— blesser. ίρλ, xbt 9 ptur. d’lpU f Ion. pom (ipov. Ipai, 3v , b , assemblées ; lien d’assemblée. R. «2ρω. Ιρκη, tpvjtv), Ion. pour Itpfta, prêtresse. ίρ«υς ^0*/* ΐ«ρ«νς, prêtre. Ιρ«νω pour Up«νω« ίρ/ω pour tip/ω, dire. îpifau, A*, -pour {«petοι, prêtresses. iptftov, », Ion* pour U(fclov, vic, ^ time. \ If>»£ » /e». pour ίΐραξ, épervier· fpiîTcipa, ας, prêtresse. ίΡΙΓΓΕΣ , ων, a!, artères. ΓΡΙΣ, »ίος, «ος, «ως, η, Γλγγ«β-del—Uis, mes su gère des dieux ^-4a Renommée. ίρις, iris, plante—glaïeul ; flambe, plante, [ίρινος, «,adj* d iris ; de glaïeul ; de ftambe. Ipk , tris, la partie colorée de l’œil qui environne la prunelle. # Ιρις, pierre d'iris* dans laquelle on voit les couleurs d§ t arc-en-ciel. , ίρμίςροητ *1ρμ1ς, suite, ίρμοφνλαξ pour ιιρμογΑα£. Ιρον , ϊ# /wi/r Itp^v , temple — victime. ' fpkç pour !«ρ^ς, sacré, etc. [ Iplç, 9 , b , j«ij/· irus. ^ mendiant—meodiani. Ιροφαντης, ipoavvrtpourUροφ«ίντης, («ροσννν). Ipv ·Γρω, nouer, tf/c. fibre—nerf— veine— dos—force, vigueur. Ισα, adv. <ίΪοος9 également. ίσάγΓιλο^, », égal aux anges. R. Τσος, άγΓ«λος. iowÇw.yii/. οίσω, égaliser; rendre égal—*tfjf/. être égal ; être balancé. R. ίσος. ίσαΤος . αία, αίον , égal—sem-blable ; pareil—équitable. JaWtt, mém. sign. qu’l<r*Ç*. Îcoiwç, également ; autant f de fois. 12AAB, vk, 10, habit de peau de ahèvre—robe fourrée. Digitized by t^ooQle 4y6 ΙΣΘ Γσααι, Dor. pour Γσημ*, savoir. iwiuMot, ·, β , égal dans le combat ; capable de tenir tète a. R. Γσος, άμιλλα, f σαν pour «Γσαν, if *‘v ,plusq.-parf. Slip- " . Ισαν pour Γσασαν , d'iay*t imparf. ^Γσημ*· ίσάν«μος, 8, qui égale les vents en vitesse. R. άν«μος ίσαντ», Dor. pour Γσασ:, ils savent, ισάξιος , α, ον , qui est d'en prix égal ; égal ; équivalent. Ισάριθμος, », δ, η, égal eu nombre. R. αριθμός, ίσας, α»*ος, Λ*γ/· prés, θ'ίσημι. ίσασαι Γση , a* per s. près. indie. ^Γσαμα*, i nus. ^ Ισασα* pour Γσαν, ils savoient, imparf. d*î<rnpt. ΪΣΑ'τΙΣ , ι*ος, η, laitue sauvage, —guède ; pastel, plante dont on emploie le suc à teindre en bleu foncé. ίσατΛ&κ, «ος. adj. qui a la couleur de la laitue sauvase, etc. Ϊσαχως, adv. également ; d’autant de manières. , ίσκονy », το, temple d’Isis. 1σ«ω, égaler. * Îfviyopiwi lonfjyoo/ομβι » parler avec une égale liberté. [Icnoyopfa, ας, *»· priviloge de parler avec «ne égale liberté, égalité de droits. R. àyofuvo». v ί<Λλιξ, txoç, qui est du même ige. R. ^hxla. ' ίσημ,ρία, «ς, r,. «‘fialilé Iou" et des nuits — équinoxe. K* «σο<, ημ/ρ«· ^ β ï<TTTW.iptvVi ^ι» » adj. Tioxial. f σημερινές trvo^ç, blé qu’on sème à l’équînoxe du printemps ; blé de mars. On dit aussi Ιστ'μαρος irvpfcç. ΪΣΗΜΙ , ίσης , Γσησ*—Γσμεν ponr ίσαμ«ν—Γς-e pourUvzt—ιςι pour Γσαθι, impèr. —Γ£μ« v pour Γσμ«v, savoir ; connoltre. ίσημοιρος, V■ ισομοιρος. Ϊήρνψος, », adj. garni d’un <gal nombre de rameur». iViipw:, «·«. adj. (‘«al , pareil. /oYipat; ψβφοι, i^alile de *uf— ira g es. R. tp/σσω. ίσηριθμος, mém. sign. qu'l<r*ç>iQu-o<. Ισθ» pour Γσαθι, sache? , impèr. d'Unix, [ίσθι, <ΛίμΙ, soyei. Γ ίσθι, <ΛΤμι, aile*. . ίσθμια, ων, «λ9 jeux istbmiques isthmiens, jeux célèbres par tes Grecs dans Γisthme de Corinthe, en Γhonneur de Neptune. R. Ισθμός. ίσθμιάζω, célébrer les jeux isthmiques—-vivra mal i sc>a ΙΣΟ aise ; ne pas mener une vie saine. ( ίσθμιαχ^;, Ισβ^ί > »» isth-mique ou istbmien. ίσθμιας , ά&ος , η. ίσθαιας νίχη , victoire remportée dans les jeux isthmiques. ίσθμιά<ϊ«ς σνονίαι, trêve qui duroit tout le temps des jeux isthmiques. ίσθμιο», », Λ, ornement du cou ; collier. e rO/Χιος, «, ίσθμιωτης, », i, habitant de l’isthme, c. à d. de Γisthme de Corinthe. Ισθμιος f surnom de Neptune qui a voit un temple dons t isthme de Corinthe. ίσθμοΓ pour «Y ίσθμω, dans Tisthme. ΙΣΘΜΟΣ, «, o, ISTHMS—détroit, gorge, défilé—gosier—col d’un vase. ίσθμιοι, «ος, adj. semblable à, nn isthme. R. «Τίος. Γσι pour ιΤσι, ils vont. R. «Τμ«. Ισιαχ^ς, 5, adj. initi£ aux mystères d’Isis—prêtre d’Isis. ΙΣΙΚΟΣ , s , δ , Icrtxrov , « , rb , andouille, saucisse ; tiachis de viande Ισις, ιίος, η, Isis , déesse des m Egyptiens. % % % Ισχω pour εΓτχω f savoir—assimiler, comparer. Ισμ«ν pour Γσαμιν . nous savons, ίσμηνιος , qui sait tout , èpith. d'Apollon. R. Γσημι.^ Ισοβαθής, coc, adj. qui est d'une é^le profondeur. R. βάθος, ίσόβολος, », adj. qui est d’un poids égal. e ίσογωνιος « » , adj. équiangle— rectangle. R. Γσος, >ωνια. iMtvtyii, » , égal à un arbre. R. lîtvipo». e ίσοίtaira, ης , r,, genre de vie uniforme—genre de vie semblable à celui d’autres personnes. [ ίσο^ιαιτος , ^ » , qui mène un genre de vie semblable à celui d’autres personnes ou d'une autre personne—qui suit toujours le même régime de vie. R. Γσ©«, it aura. # ίσόιίομον, », t* . maçonnerie où les assises sont de pierres toutes égales. ίσοίρομά», égaler à la course ; courir aussi vite, f Ισοίροαη-σαντίς, courant aussi vit»· l’un que l’antre on les uns que Iei autres. [ ίσόίρομος, », ο , qui court aussi vite. R. Jp»f*». ίσο«ΐνναμι«, avoir une puissance j égale à celle d’un aulr^-avoir la même fbree. [ Iσβίν»αμ·ς , ΙΣΟ *» q^i jouit d’une égale puissance. R. iwvoywi. ^ ^ ίσοβλχης, /ος, qui ést d*un poids égal. R. îhu*. ' ( ίσο«τ«ς, coç, ti, la petite jou— barbe, plante. Ισοζνγνς , Ιος » ισόζνγος , « , et Ισόζνξ, νγος , égal; pareil. R. ÇV70Ç. e ίσόθ<ος, », égal i un dieu ; comparable à un dieu. R. £«ός. ίσοχιν^ννος , » , qui court un danger pareil. R. χίν<ΐνν©ς. ίσοχλκης, «ος t également célébré. R. χλί'ος. ϊσόχλήρος, », dont le sort est égal à celui d’un autre; dont^ le partage est égal à celui d’un autre ; à qui le sort a assigné une part égale à celle d’un autre. R. χλήρος, ίσοχλινης, «#ος, qui penche autant d’un côté que de l’autre. K. χλ('νω. e · ίσοχο'ρ^φος, », dont la cime é— leve aussi haut que celle d'une autre chose — également distingué. R. xepvfj. Uil^UC. il. _ ίσοχρΛτης, «'ος, qui a une puissance égale. [ΐσοχοάτ«ια et îcro-χρατία, ας, η, égalité de puissance. ίσοχρατης, IsoCRATI, auteur grec. R. χβάτος. ίσοχωλος, », composé de membres égaux, [ίσοχωλία, ας, η. égalité de membres, dans une période. R. χωλόν, ϊσόμαχοι , ων , oi , égaux dans Ι· confbat. R. Γσος, μάχομαι. ίσομ«7«θης, «ος, adf. gui est égal en grandeur ; qui est d’une grandeur égale. Η.Γσος,μ«7«θος. ίσομιρης, «ος, adj. qui reçoit une part ou une portion égale, à celle d un autre ou des autres. R. μ«ρος. Ισομίτρητος, » , adj. et ίσόμ«τρος , « , adj. qui est d une égale mesure. R. μ«τρον. ίσομ«'τ4τ6τος, » , qui a un front égal. R. μ/τω«τον. Ισομη'χης, «ος, qui est d’une égale longueur. R. μΐΐχος. ^ Ισ9μοιρ«ω,_/ϊ//. ησω. recevoir une part éjîple. R. μοΓρα. Ισομοιρια , ας. η, portion égale—part égale. ίσόμοιρος, », qui reçoit une .. part égale. ^ ίσον, adv. égalerosnt. R. Γσος. Το Γσον, égalité—part égale— égalité de droits. ίσ^ν«ιρος, », adj.C'#A à un songe; vain. R. Γσος, ον«ιρος. ίσονομ/ο['-3ΐ, vivre sous le ré{»inne de i1 égalité politique ; jouir Digitized by ΙΣΟ des rtêmes droits politiques. [ ίσονομιχος, ». qui aime à vivre sous le régime de, etc. [ Ισόνομος, », quivit sous le,etc. f Ισονομία ας . η . égalité politique— distribution faite avec égalité. Κ. νόμος. Ισοσαλης, /ος, ίσοτταλος , *β , adj. égal à la lutte; égal dans le combat ; égal en forces—égal; pareil. Ισοκαλιΐς χίν£υνοι, combats également dangereux. [ίσο-«ταλως. adv. à forces égales ; avec un é^al avantage. Η.ττάλτ). Ισοοαχ^ς ,7ος,qui est d’une épaisseur égale. K.irajçvç. Ισόσιέον, », Λ, plaine. Ί<τότα^ος~ », adj. dont la surface est plane; qui est uni, qui est de niveau avec une autre chose. R. Wlov. Ι*£κνιχυς, t ος, qui a le même nombre de coudées. R* ^χνς. f σοσλαττις, *ος, qui est de la niéiue largeur. Το Ισοπλοπ·};, larqeur égale. R. ιτλατνς. ίσόβλιυρος , » , qui a les côtés égaux : qui a les côtes égales t —équilatéral. R. ττλιυμοί. ϊσοβτληθτις, /ος, o et y, égal en t nombre. R. ίσος, ιτλΤίθος. Ισοβτοΐιτηα, ας, ή , égalité politique. R. tc&tç. ίσο·βτολΓταί, ων , ©I, citoyens qu^ jouissent des mêmes droits t politiques. Ισορροσ/», ne pencher ni d’un côté ni de l autre ; être en équilibre—être d’égale force ; n’ètre ni inférieur ni supérieur à un autre; être égal; aller de pair avec. ' Ισορροπία, ας, -η 9 équilibre ; égalité. Icrcpoowo;, », adj. qui est en équilibre equipollent—équivalent—égal à. f σόρρορος μαί-, combat dans lequell’avan-fage est égal de part et d’autre. m R. Γσος, pirata. ΙΣΟΣ ou Jli02, », adj. égal ; pareil. Ισον σοι ιίσφ/ρω, Dem. je contribue autant que vous. Ισον ào/^ttv, Thuc. être ir la même distance. Ετ»1 τοίς Γσοις x*i όμοίοις, à des conditions égales. Εσϊ τη fyrç xoil όμοί^, mr/n. sign. Tfc Γσρν, égalité — part égale—égalité de droits; égalité politiq ue. Toîç Γσοις άμιί-βισθαι, rendre la pareille. Ισα **), de même que; comme, ίσα x«t cx/rat, comme des supplions. Ισος. juste, équitable; raisonnable. Ισος, égal en nombre. Εχων τ^ς Γσας vatvç, Xèn. ayant un ΙΣΟ | ëgal nombre de vaisseaux. Kô- ! ρ»ς ίταΊα χαι χο'ρας τ^ς ίσας . sept ν garçons et àutant de filles. Ισοσθινκά,'ας, ή, égalité deforce. Γΐσ·σ$ινν>ς, ιος. adj. doué ’ d’une force égale — égal en • , force. R. σΟ/νος. ΙσοσχίΑ/ίς, ιος, isocèle , en terme , de géométrie. R. σχΛος. Ισός-αθμος, », qui est d’un poids égal, qui pèse autant. R. ς·αθμός. ίσος-άσιος, » , qui est d’un poids égal-—qui est d’un prix égal— t équivalent. Ισοταλάντος, », qui est d’un poids égal. R. ταίαντον. Ισοταχυς, ιος, ό, égal en vitesse. [ ίσοταχω; , adp. avec une t égale vitesse. R. ταχνς. Ισοτί)^ , /©ς, qui paie les mêmes impôts que les autres—étran*- Ser qui jouissoit des même'· roits que les citoyens à Athènes, mais qui ne pouvoit J devenir magistrat. R. Γσος, τΛος. Ισότης, τοτος, -η, égalité', dans t ordre polttiçuc ; égalité de f droits. R. Γσος. Ισότιμος, », qui est d’un prix égal ; équivalent. Ισότιμος, », oui jouit d’un honneur égal, d une considération égale, [ίσοτιμία, ας , ή, égalité d honneur ; considéra-1 tion égale ; condition égale. R. Τ*μη. ^ Ισοτνραννος, », &, qui exerce une autorité égale à celle d’un ty-t ran ; despotique ; tyrannique. Ισονψης, /ος, qui est d'une hauteur égale ; aussi haut quei R. fyoç. ίσο<ραρίξω, égaler; être égal.'R. t φ/ρω. » Ισοφόρος, », ô, qui porte un poids égal ; égal en grandeur. M. 11. ίσοφυης, /ος, qui o*t de la même nature—égal. R. φύω. Ισοχίίλης, /ος, qui mohte jusqu'aux bords de la mesure ; # qui est ras. R. χιϋος. Ισοχρονιω, vivre ou durer un temps égal ; avoir une égale durée, f ίσόχρονος, », qui a une égale durée—Isochrone. , ft· ΧΡονο«· Ισόχροο;, », dont la couleur est ^ pareille. R. χρόα. Ισόψιπφός, », qui obtient un égftl nombre de suffrages — dont l'autorité est égale * celle d’un autre dans une délibération— dont les quantités numériques sont égales. [ Ισοψγ>φία , ας, ^, autorité égale dans une déli-bération-^-é^al nombre de suffrages. [ίσοψηφος, dans Thuc. qui traite d’égal à égal. R. ψ^φος. I5T (σόψνχβς, », è, q„i aune âme pareille à celle d’une autre— t unanime. R. ψνχ£ Ισο'ω, fut. ωσω, rendre égal; égaler à. [ Ισώσασθαι, s’égaler ; „ être égalé à. b * Ις-αμαt, V. ις^μ». · ίςχνω , Ις-χω , fut. ςησω, mêm. Sign. çu’îprtfAt , établir—arrê-f ter; réprimer—peser. savo*r> Pour ί’ς-^ον, ΪΣΤΙΙΜΙ, fut. çj<yt0 (de ς£ω) , parf. fçoxa et îçrixa, aor. a *cmvy parf. pass. ις-αμαι, poser ; dresser; élever; ériger— établir ; placer—arrêter; réprimer; empêcher; retenir.— fieser, mettre dans la balance. 1 ça ναι y a), xi·/, Drm. criger une statue d’airain, ίς-αναι rk 2ra, dresser Jes oreilles. îçvjat ràj A ris t. cela fait dresser les cheveux à la tête. * * Ι<Γ«μα(, être debout ; se te-nir^ ferme ; se dresser — se désister; cesser; s’arrêter — persister; insister—s’opposer. fç-ανται τρίχις, les cheveux se dressent sur la tète. fçaaGci tτρός Ttva, faire tête ou tenir, tête à[quelqu’un, ίς-αα/voto μν νος, Horn, au commencement du mois. Ου ςησ*τα* άίιχων, Dèm. il ne cessera pas de commettre des injustices. ί<Γ«μα« , ériger , dresser. Τρόσαιον 7ς·«το , Xèn. il dres-soit un trophée. [ ΐς-αμαι, pt<ss, être dreSsé, etc. Des deux parf. içotx» ettçr>%«9 le premier ata signif active, et le second la sign ff. pass. ils conservent cette signif. flans les composés de içnfxi. Éçvjxivai, être situé, etc. [Ες^οχώς, ferme;stable. [EV>jvf second aor., a la signif. n<>ut. et pass, dans Ίςνηιι et dans scs composés, ςία pour içl<x. 1<-ιητόρΐον, », Ion. pour <ς-»ατό-ptoy. 'ς’ιο'ίρομιΓν, voguer à pleines ' voiles et par un vent favorable. R. Ιςίον , ίριμω. rçiôv, » , τ^, tissu—voile—voiie τ de vaisseau. R. ίςός. Ις·ιορρ<χφος, », qui coud les voiles, de vaisseau—rusé. R. ΐςίον , * paw? ω. - ÎçoSoινς, eoç+ ο , ιςοδόϊ , η;, îÔ, timon. R troç, /Sovç. içooéxn, tj; , η, le coursier, sur lequel pn abat le màt du vak- ; seau , en terme de marine. 1». ίς-ος, ίιχομαι. j 63 ed by Google f» «<, ή, antenne. fçoWÆn, n$f le pied du mât ίςορίω9 içopia , içoptxoç, etc. 7ςωρ. e î» mât de vaisseau—le cylindre auquel sent attachés les (ils de la chaîne, dans le métier dun tisserand—la toile, fue /ait te tisserand, , Ιςονργία, ας, travail de tisserand. Γ Îçovprr», fai^ de la toile. [ïçovpyixoç, », adj. qui concerne le tisserand ou la tissera nderie. [ Îçovp7ixvi, sous-ent. τ/χνη, Part du tisserand; la tisseranderie. R. îçoç, ϊργ o». îçpoç, »*S, Danube, fleuve f Al· temagne. Γ Iççoi et Γς-pcoi , «v, ceux qui habitent le long du Danube. , îç» pout Γσατω, imoèr. présent d"%<rnp.\., qu’il sacne. ïçta pour Γς-ασω, a* pers. sing, imper. moy. (ίίςημι, arrêtez-vous. ÎZTQP, ορος, adj.qui sait; <jui .connoit ; instruit de ; habile dans—témoin—juge; arbitre. Içopcaψ s’instruire par soi-mème d'une chose; prendre connoissance de—connoitre. f çopctt, parcourir pour s’ins- - truire. ίς·ορ9|σ*ι την X«*p«* > P'ul. voyager dans un pays pour en prendre une connoissance exacte. ίςορίω, transmettre à la postérité ; consigner dans une histoire—rapporter. [ίς-ορονσι, les historiens rapportent. [Îço-prjTou, on dit, on rapporte. Ιςορεω , s'informer ; demander—chercher. Içop/t», apprendre en questionnant , apprendre par ouï-dire. Îçop A*, mettre sous les yeux ; (aire voir} exposer aux regards. fçooia, ας, ή, l'action de s'instruire, de prendre con-noissancc— recherche —■ con-noissmee—vo\age qu’on fait pour s’instruire. Îçopia, HISTOIRE. [ içcpixb;, », adj. historique. içoptxac ζητήσεις , Plut. recherches historiques. Tà cçoptxi, les monument de l'histoire. [ içopi-*lc, historien—hou histoiieu. £/^οριτωτατος, tres-bon historien [ ίς*οριχ«ς , adp. historiquement ; à la manière des historiens. Î<*eptw, «, preuve ; argument. f çopiôypoqpoç, HISTORIOGRAPHS. R. γράφω. ■ ίςοριοσυγίραφtlç , /ως, i, hist toriographe. · Ισχάλβ», », t%, petite figue # sèche. l^«iow«3l»}ç, », ô, vendeur de ligues sèches, f Ισχα&νολις, *ί·ς » ^ 9fcm. vendeuse de figues sèches. Κ. Ισχ^9 «ολ/ω. ίσχαιιχος. », qui a la vertu d'ar-f réter le sang. R. Γχω, «Ijui. Ισχαινβ», amaigrir ; rendre maigre—dessécher. R. ισχνός. Ισχαλ/ος, «, maigre, dé-e charné. Ισχαναί^ι, poét. pour ΙσχανΛ, de ισχανάω. Ισχαναω , retenir, arrêter—dé-^ sirer. R *χω. Ινχαίνω, retenir; arrêter. Ιαχ^ί, aioç, n, figue sèche — t ligue sauvage—olive. R. Ισχνός. Ισχάσχω, mêm. sign. ^β’ισχχχω. ίσχίμη , ισχψ(ναι, pour ?χ<<ν· , Ισχίο, ΐαχιν , pour ισχον, impèr. d'iv χομαι. ίσχι'χς , ά9ος, ή, goutte sciatique. [ ίσχιαίιχος, «, adj, qui a la goutte sciatique — qu'on emploie pour guérir la goutte sciatique. ίσχίον, « , τ^, ischion, enferme éf anatomie, celui des os du bassin dans lequel s embotte la Vie du femur—le haut de la hanche—la hanche—la cuisse. « , 1ΣΧΙΣ, <ο>ς, v?, reins. Ισχναίνω 9 amaigrir; rendre maigre — déchamer -— exténuer. [ Ισχνανσις , c»;, n» amaigrissement , maigreur, [ίσχναλτος, n, adj. maigre, décharné. [ ίσχναντιχος , » , qui rend maigre. R. Ισχνός. \ ΙΣΧΝΟΣ, i , adj. maigre ; grêle ; décharné, ίσχν^ς χαραχίϊ,ρ, le genre simple, en terme de rhétorique, été. [ίσχνότης, ητος, ή » maiçreur. [ 1σχνόφ»νος, « , adj. qui a la voix foible , qui a une voix grêle—qui balbutie; qui ânone. [ Ισχνοφωνία, ας , η , foiblesse de la voix— bégaiement. R. ισχνές, φωνή-Γσχνόω, m:m. sign. qu Ισχναίνω, ίσχομαι, être tenu; être retenu —s’attacher à ; tenir à—s’arrêter ; se retenir ; cesser de. , R./x». Ιχοvpta , ας. -η , ISCHURIR, Suppression ou rétention d’urine. R. ισχω, 8oov. Ισχνρίζομαι, faire usage de se· forces; faire tons ses efforts; s’efforcer — placer sa force dans , s appuyer sur, se tenir fort de—se faire fort ae—assurer, affirmer. R. Ισχυρός. Ισχνρογνάμων , σνος, ferine dans son ^ sentiment — opiniâtre ; obstiné—entêté. , Îoxvpyvefioayvn, ν»ς, 1h7 opiniâtreté, obstination, résolution inébranlable. R. ΙσχνρΙς, γνωμν ΙσχνογΏτοι/ω, rendre fort; for-tiuer ; affermir. R. ποι/ω. ίσχνρόρριζος, », adj. qui a de fortes racines—fortement enraciné. R. ρίζα. ίσχυρίς, », adj. fort"; robuste— fiuissant. Τα της ηόίίωςισχυρ^ t es forces d'une ville, [ίσχυρω;, ad», fortement—beaucoup — avec un zèle ardent. ίσχυρόω %fut. ωσω , mém. sign, qu Ινχνρovoittt. . ΙΣΧΓΣ, νος, ή f dat. ΓνχυΤ, acc. Ισχνν , force du corps—force —puissance. [ ίσχνω, fut. v?», être fort ; être robuste—pouvoir; avoir la force de—pouvoir, au fig. ; être puissant— avoir du crédit, de l'influence; avoir de l'efficacité. Ισχν, mém. sign, quïx*, avoir. £v ισχον τ^ σωμα , nui se porte bien ; qui estd une bonne constitution. I σχω, tenir—retenir ; arrêter; empêcher. ίσχβ, valoir. Ισχω, faire jaillir. Ισχω, décroître , baisser, . 9 neut. Ισως, adv. également—peut-être, celle seconde signif est plui usitée. Ιταλός, »,ό, taureau; bœuf. ΙτοΛία, ας, ή , Italie. *[ ίτα-λοΐ, ων, habitans de l'Italie, les premiers hab itans de la contrée. [ Ιταλιωται, habitans de l’Italie, ceux qui sont renus s1 y établir après les premiers habitans appelés ίταλοί. t Ιταλικός, », adj. d’Italie. Ιταμές, », adj. téméraire; hardi effrotité ; impudent. [ ίτχμάς, adp. témérairement — hardiment— impudemment, [ΐτα-μίτνις, η το;, ή, témérité; audace téméraire—impudence. R. Γτης. ITfcA , ας , ή , ίτ/η, ης, ή * saule, arbre. Ιτηνος, », adj. de saule, f lrca, dans Euripide, lance , pique. Ιτιών , ων·ς, i, lieu planté Digitized by ΙΧΘ de saules. K. U'vai, aller, parce què le saule pousse vite. ITHX, », ô, téméraire; audacieux; entreprenait—vaillant; brave. [ Γης · impudent ; qui foule aux pieds toutes les < on·-siderations ; que rien n'arréle —pauvre; mendiant, ίτητιον pour Ixtov, il faut aller, ίτνιτιχ^ς, téméraire, hardi — qui rend téméraire, qui rend hardi* R. Γηις· ΙΤΡΙΛ, xàc, le bas-ventre, # l’abdomen. Irpio», «, xh, gâteau—pâtisserie m délicate—massepain. . Ιτ7α>, Dor. pour Γς-ω, qu’il sache. ΙΤΤΣ, veç, ri, rond; circonférence ; tour—les bords d’une chose ronde Irw, qu’il aille—qu'il s’en aille, impér* tf ιΤμι. νίς, rit et iuypÀç,», i, cri aigu, cri perçant—sifflement. [ ίνζω, pousser un cri aigu, un cri perçant—cri« r—siffler —jouer de la flûte—dim avec une voix rustique. R. J ov. Ιο/ξ , νγίος νι, hochequeue, oiseau* [ Ivy|, nom d*un petit oiseau dédié à Venus, et quon employait dans les enchante-mens de la magie. [ Ινγξ f attrait ; charme séduisant—art de séduire. ÎvÇ» , V. ivyj. ï-x?/)î, 5, o, nom. poét* îvx?3t, qui sirâe ; dont la voix est sifflante — qui pousse un cri ^ aigu, un cri perdant. R. ίνζω. », adi. courageux; généreux; vaillant—fort; robuste. R. îft.· îtfi adç. fortement ; puissamment — vaillamment, généreusement. Ιγιος, », adj. fort; robuste — gras; bien nourri; bien por-^ tant. * Ιχθνχω , f it. αίσω t pécher. R. Ιχόΐίζ, poisson. ix0v "ολινς, Ιως. 4, qui pique les poissons avec le trident ; pècm*ur.f[ Ιχόνββλος, h, mcm. sign. [ ίχΟν$οΧ/«, piquer les paissons avec, etc. R. Ιχθύς, βχ'Δω. iyQ jêiov, », Λ, petit poisson. ίχθνηΐ'Μτοι, «v, xi, cca.I'es de poisson. ixevV«;. », i, marchand de poisson. , J /Qvοβολ/ο·, etc. V. ΐχβν^οΐινι , etc. ^χ9ν^^ρ<»τος, «s, adj. dévoré par k* portons· R· ppem· IXN ΙΩΝ .499 po ixév< Ιχβυόιις, -οισσα, tv f gén, **τος, I ίχνιγρ*φ(α , «ς , v, plan» d*um oissonneux. édifice, etc* ; dessin. R. γρχφ«β· voxcvxpov , », xV, trident; ΙΧΝΟΣ, coç, Ά, empreinte du croc, pour harponner des pois- pied de l’homrfte ou de l’a ni r sons ; harpon. ^ rnal—vestige ; trace, au propre Ιχθνοχολλα, ας, νι, colle de pois- et aufig.-~pied—pas: marche, son—Je grand esturçeon qui ίχ^οοχονίω f observer la trace*— fournit !a colle de poisson. | suivre à la trace. R. σχο««ο». IxOvoicy/» , discourir sur les ; fxiîp ^ £ρος 9 « f humeur aqueuse ; poissons. ίχθυόμ αν τις, ·»ς, ô, devin qui firédit l'avenir en observant ( es entrailles des poissons. Ιχθυοοβίλαινα, νις, η, vendeuse de poisson; harangère. R. nwXc». ίχθνοσβαλιΓον, «f, xi, marché aux poissons, ίχθνοτνωλης , » , Tendeur de poissons. ’ ίχθυοτροφ c?ov, », xo, vivier* ίχθνοτροφιχίς, yj, bv , adj* qui aime à nourrir des poissons, dans un vivier. R. xpey». ίχθνοχρόφος, », ô, qui nourrit des poissons, dans un pivier— Sioi&ionneux. _ νοφαym, vivre de poissons, [^θνοφά/ος, », ô, qui vit de poissons — IGHTYOPllAGB. R. . **?·* . ; ΙΧΘΥΣ, υος, o, poisson—march ç j sérosité—sang aqueux; sang qui se tourne en eau—sanie; &qng corrompu. , ίχ»ρ, rosée; vapeur légère, espece de sang qu' Homere ultri-bue auj dieux , lesquels {dit il) , ne se nourrissant ni des don· de Cér s, ni des présens de Bacchus, n'ont pas un sang terrestre et grossier comme le ndtre ; ov yxp σίτον ί$ονσ', o4 TKivovfr* αΓθονα οίνον, etc. //· liv. 5, v* 34i. i ίχνροκ^ς, Ιος, adj. semblable à ■ une humeur séreuse—séreux} i sanieux. R ίχύρ, ιΐ£ος. 1 ίχ»ρρο/ω, distiller une humeur 1 séreuse; jeter de la sanie. R. * . Ιψ, gén* ΓβΛς, ver q\ii ronge le· cornes, les vignes, les bois. R. ain poissons. [ Ϊχ6νό#„; .»«, fya0/H)l,rtya d't^.r,,, Λ0Λ , ad,. poissonneux —semblable TW(J£ £χ^\α] . ’ au poisson. Γίγθυωίώς, adv.k * Λ/.., la manière dcï poissons. Κ.,ITOÎ.’ 8. ίχβ^» «Weî. I » *Ψοςι •'"re. ίχν«·.«, «, adj. qui poursuit; qui * f" n suit la trace de. R. fyvot· ; *¥» ^ ^Γ·«* flcche» «* ίχνοίο^αι, suivre à- la piste; *ê*edj. Ιος, un, etc. chercher en suivant la trace. suby. prés, d Ίημχ. [ ίχνιια, ας, n, l'àction de *<*, î°,fille <flnachus. suivre à la piste, de suivre â idl interj. exclamat on de dou~ la trace, de chercher la piste,, leur, hclas! ah! ίύ το3ΐαςΐ de chercher la trace. Soph, ah, malheureux que je ίχνίνμων, ονος, i, ICHNEUMON, suis! ίω ίω xpoα/μήχον /όωίν- rat d* Egypte, ennemi du cro- νων 1 ô blessures douloureuses ! codile t qu’il tue* R. Ιχνιντη;. ' ί«ίpour ΐάου, impér. /ixpjuu* 1 χνώω, fut. ιυσω, chercher à la ί«τβ, Béot. poar ζγωγχ* pijte; chercher la trace de— iaril, ?ΐς, η, couvert; abri; suivre h 1a piste; suivre à la retraite — rivage — souffle — trace. [ΐχν<νσ(ς, ίως, n, Tartion voix; cri. * , de, etc. [ _Ιχ*ιι/τήΡ, ŸSç«{, et h.f adj, Tiolel — bnin. R. toy. Iwinç y rouillé—vénéneux. R. ιός. ΪΩΗ , 9S;, η, voix ; eri ; clameur —souille. »χν«νvhç, n, 0, celui qui ch crche à la piste, qui cherche la, etc. 1 et autres sens du verbe. ίχνη)«τ/«, fut. τησω , suivre h la pist<~ ; suivre à la tr;ice; suivre la trace de—rechercher, [ϊχ- . , . % νν)λασία, ας, η, Faction de lw' ' Pour ou ·»·«««· POUIW suivre à la piste, etc. et αν I res , suite—ilaniem* uK'caee. sent du ve'be* [ ίχ^%της, », 4, {***' » β1**1*15* » eJc* qui suit à la pi^te; qui suit à la allons, imper, d nut. tmee—<jri r^cherctie—l ives- lùv, allant, d't\p.K. ^ tlgatcur R. «χνος , tkanta. j ίωντα , ας, ιό» ΙοΜΙ. Γ Ιωνιχ^ς·, », Ιχνιον, », χ\, vestige, trace. j ai j. loi.ieu. [ ίων y;, adi\ à ίχνοβατης, ï, ô, qui suit à la1. la manière des lo vus—avec piste. U. (kuvea. i mollesse-[ίωνις, ίίο„ louiunne. Digitized by t^ooQle 5oo ΙΩΝ [ Ιονίζω, imiter les Ioniens. 11. ίων, Ion , fils de Xuthus. fomoi, S;, ή, lieu rempli de violettes—un pied'de violettes. ^ R. ÏQV. Ιωνίζω, iovtxoç, V’. Ιωνία. I&T Ιωρος, », i, lieu élevé; montagne. ίωτα, icHa , neuvième le/Ire de talphu^et grec. ■ {ωταχίζω, mettre dans une phrase plusieurs mots de suite
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