Γ, Gamma, troisième lettre de l’alphabet grec, se prononce coipme^ le g français , avec celte différence que y«, γή, y«y, 7*, se prononcent gué, guê, gueu, gui.

Quand y se trouve devant les lettres y, x, ξ, il se prononce comme v t ainsi ày-Γ«λι, ayxt<rpa, αγχις*, ay£a>, se prononcent; angué/é, anhis-tra, ankista , anxd. ΓαΤα se prononce gaya, y«i, gajr*

Le' y remplace quelquefois le v, ainsi, au lieu décrire μψ&υνχΛ, parf. de αολυνω , les Grecs écrivent fUfioXvyxx.

Γ pris numériquement vaut trois, mais avec un trait au-dessous, y, il vaut trois mill*. Γ’ pour yi. *'    t

Γλ, Λολ pour y/. Ey«v ya pour «y«i yi, pour moi.

Γά, y*v, Dor. pour y*, y^y, la terre. .

Γαβαθα hcbreu, lieu élevé. Γά$ις , /»<*/ hébreu , hauteurs ;

lieux élevés. r«y«i7tt λίθος, jayet 01* jais, pierre bitumineuse, noire et luisante. R. Γ«τ*ις, », Gages, fleuve de Lycie, et Γά/ac, ων, ai, Gagés, ville de Lycie ou ton trouve cette pierre. * tayfcà^t», fut. tco», chatouiller, pour faire rire.

ToyJofttov, yay/oAto»à)(, V. yayftUov yàyfttoiAaç. ràyΓάλος, « , adj. changeant ;

léger; inconstant.

Tayfàuri, ης, ιό, yeiyfmov, », rfc, yayJap«ùv, ωνος, â_, filet de pécheur; verveux—cavité ; concavité. Γ«γΓαρών sign, de plus le nombril. R. y«5, prendre. ΓαγΓαρευς, «'ος, ό, pêcheur.

{ray/αμουλχος, i, ό , qui retire e filet de l'eau; pêcheur. R. yày Γάρον , «λχω.

ΓαγΓαίννι, *ις, écrouelles; tumeur.

rayfiTcç ou yoyÏÏTvjç, gangite, nom dune pierre précieuse. R. r*y-Γης, Gange, fleuve'ou elle se trouve. Il ne faut pas confondre cette pierre avec celle appelée yeyxrq;, qui se consume dans le feu, au lieu que celle-ci ny perd rien.

ΓΑΓΓΛίοΝ, «, xh, GANGLION, petits nœuds ou pelotons formés dans différentes parties du corps par la réunion de plusieurs nerfs qui se rencontrent ^tumeur dur* ajp tendon#

... I

TA!

des pieds et des mains, causée par la lassitude des nerfs ou par un coup—lovpe; tumeur.

reyHiwivjç, *ος, adj. gan-gliforme , qui « 4a forme du ganglion.

Γοφ/αλιον , γαγΓαλ(ώ£ν)ς, mêm. sign, que yayOtov, yayAtejiy);.

Toiyfpatvoί, ας, -h, GANGRififi. R. yp atvco.

Γαγfp utvtxlç, 3, adj. gangi*é-neux—qui se gangrène—«-sujet à la gangrène—qui a apport à la gangrène. Γ rctyJpotivtxotl νοραϊ, ulceréfc où la grangrène s'est mise.

ΤαγΓρ*ινζο[ΐ&ι9 être gangrené. Tà yayfpaivoupcva, parties du corps attaquées de la gangrène.

Γα-/Γραίνωσ«ς, «ως, η, dégénération en gangrène.

Γά<ΐ««ρα, ων, r<k, ile de Cadix, •ville de Cadix. [ Γα<?«ιριχος, », de Cadix.

ΓΑΔΟΜΑΙ, çe réjouir , êlre charmé.    e

ΓΑΖΑ, ιις, ιό, mot persan çui signifie le palais du roi avec ses ameublemens, ses tributs et ses richesses particulières. // se prend aussi pour toutes sortes de biens et de richesses, pour trésor. [ Γάζ*, Gaza, ville d’Asie.

Γαζοφνλάχίον, v, rb, le garde-meuble de la couronne ; le trésor—garde-meuble, en général— lieu où Ton enferme tout ce qu’on a de plus précieux. [ Γαζοφυλάχιον, coÎFre en forme de tronc, dans lequel on meltoit l'argent qu'on apportait au temple du Seigneur à Jérusalem—l'endroit où l’on garde les richesses du temple, et quon appelle ordi-dinairement le trésor.

Γαζοφυλαξ, βαος, £, garde du trésor; trésorier. R. ya'Ça, φυλάνσω.

ΓαθβΓν, Dor. pour ?ηθ« ~v.

Γαθυλλίς, fjoç, η, mêm. sign. que χηθυλλις du ίνιθνλλι'ς.

ΓαΤα, ας, η, ya/η, vjç, ή, Suêst. poét. la terre—région—patrie —pays—champ, f ΓαΤα χντ^ et yaîa χωφη, V. χυτ^ς et χωγός. R. yvj. On trouve quelquefois dans les poètes αΓα, par aphé-

i rese, pour yala. Φνσιζόος aîa, la terre qui produit ce qui est nécessaire à la vie. Hom. IL /. 3.

Γαιάλοχος, *, h et y, qui a son

h lit sur la ter^e, c, à d* fui

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ΓΑΑ 4i5

habite stn* le eontinent terrestre — mêm. sign, ^a’^wn-ρωτης. R. yaîa, λ/χος.

Γαιάοχος, V, γχπηοχος.

Γαίίσχον, Ion. pour tyatov, imparf. de ya/οκ

racrj, Ion. pour yata.

Γ«ίϊΐ9ιν( adv. de la terre.

ΓαινΤίος, «, adj. de la terre, terrestre. TiTufcv γαιηιον νιον tHom. Tityus, fils de la Terre. R. y7,.

Γαιηογος, n, adj. yα(άοχος, *, dieii ou déesse tutélaire a’un pays, d’une ville. [Γα^οχβς, », epith. de Neptune, qui environne la terre. R. o cyjv yTjy συν/χων9 suivant Γ interprétation ta plus usitée.    .

Γα·κ}ονχος, mêm. sign.

Γαιογράφος , β , ô , GÉOGRAPHE. mem. sign, que γβωγρ*φος* Κ γαΤα, γράψω.

Γαιορωρ<α , V. γαιωρωρία.

ΓαΓος, m, adj. terrestre—attaché à la terre ; qui cultive la terre. ΓαΓος άνιρος, vent qui souffle de la terre iur la mer, pat opposition à ceux 'qui viennent de la mer. R. y»j.

Γαιουχος, *, adj. nui ceint la terre—qui possède la terre·

R. y9j, ίχω.

ΓΑΙΣΟΣ, S, o, arme à hampo de fer, dont se se'rvoient les anciens Gauhis et d autres peuples.

ΓαΓταί, ων, αί, les laboureurs.

ΓΑΪΩ, se glorifier; être fier. '

Γαιωίης, «ος, adj. terrestre. R.

y7i, tîf ος.

Γαιωρωρια, ας, agriculture.

ΓαχΓνας, », ô, tremblement de terre. R. y7j, x»»/».

Γάχινος, Dor. pour yrjxiyoç.

ΓΑΛΑ, gén. ycQax7oç, «Λ, lait. Γαλα σχις·ΐ>ν, petit lait, en terme de médecine. Ô του γά-λαχΊος χύχλος, voie lactée, cm terme d'astronomie. Γάλα τ«-θρορβώρινον, lait qui se met en grumeaux, c. à d. du lait qu» se tourne. Γάλα ορνίθων, le Jait des poules, expression proverbiale chez les Grecs pour désigner une chose rare, ou bien une abondance extraordinaire de toutes choses, Γάλαχ7ος est le gén. du nom. yάλα£, inus. doù se forme te dat. pl. λάλ a£u

Εν γαλαζι rptcpoptvoi f i*lalm

nourris de lait.

Γαλαθηνές , 5, adj. qui tette encore ; il se dit plus souvent des OflUOfMS* Γ«λα0*νοΐ χοίροι, des-

y Google

* i6 ΓΑΛ

cochons de laii. R.yb&a, y/ω «fc τιτθός.

Γαλαχίιάω, être pif ία de lait. R.

7«λ*.

Γο^χχ1ί^ΐ(( ων, οί, laitances. R.

γάλα.    ^    (

ΓαλαχΚ^ω, avoir la blancheur da lait.

ΓαλαχΊιχος, î, adj. de lait—lai— teut-^qui rend du lait, en parlant des fleurs et des plantes.

Γαλάχΐινος, », adj. m· sign. [ ΓαλοίχΊινα , friandises foites avec du lait. R. γάλα. Γαλαχίίτη;λίθος, GÀLACTlTZ,pierre de coaleur cendrée. R. γάλα, parce qu étant mise dans l'eau, elle lui donne une couleur laiteuse.    .

Γαλαχίοειίης , /ος , adj. blanc.

comme du lait. R. γάλα, ιίέος. Γαλαχίοχόμος, ·, ό, «]ui porte le lait; berger. R. γαλα, χομ/ct. ί'αΧαχΊοομαι, γαλαχίονμαι. ΐαλαχ1ονοτ/ω, boire du lait; vivre de lait. [ ΓαλαχΊο-Ηχότγκ, v, ô, qui boit du lait; qui vit du lait de ses troupeaux, comme les Scythes et autres peuples. R. γάλα, 'ϊτινω.

Γαλχκίοτροφ/ω, fut. ησω, nourrir . de lait.

Χα\αχ1ονμ*ι, se convertir en lait —dégénérer en humeur laiteuse. R. γάλα.    ^

Γαλαχίουργος, δ, o, qui prépare des alimens où il entre du lait —qui pâtisse avec du lait—cjui fait des friandises—pâtissier. R. γάλα, Γργον.

Γαλακίονχιω, avoir du lait; allaiter; nourrir de lait. [ Γαλα-χΊονχος, *. 1f), qui a^ du lait; qui allaite. R. γάλα, ίχω. ΧαλαχΊοφάγος, e, ô, qui se nourrit de lait—galactopjiage , nom quon a donné à des peuples dont le lait ètoit la principale nourriture.

ΓαλαχΊοχροος, ϊς, gén. ό». », adj. qui a la couleur du lait. R. 7flcla, χρο'α.

•ΓαλαχΊώίης, *oç, adj. de lait—qui ressemble au lait—qui en a le goût ou la couleur. Τίωρ γαλα-χΊωάες et το γαλαχίώίίς , lait clair; petit lait. R. /άλα, ιΤίος. Γαλά/ίωσις, *ως> n» conversion en lait—degeneration en hu, meur laiteuse.

Γαλάχίωσις, GALACTOSE, changement du chyle en lait. R. γάλα.

Γαλοίνα, Dor. pour γαλήνη.

Γα>7 i-ίας χνχλος, galaxie , en terme de j’hysiaue ; voie lactée, la— quelle s appelait encore ô τον

ΓΑΛ.

γάλαχ7ος χνχλος. [Γαλαξίας, mêm. sign, que μοροχθος et λινχο-γραφίς.

Γοάάται, ων , ο! , les Galates, peuple de la Galatie, contrée de ΓA*ie mineure. Plytarque donne ce nom aux Gaulois qui prirent Home, et qu'il fait descendre des (kites.

Γαλατίχος, i, adj. dçs Gaules. Γαλατιχην ττολιν Ναρ£ωνα, Nar-boitne, ville des Gaules, Plut. Γαλοιτιχο^ πόΧιμος , la guerre coptre les G.iulois, Plut, dans la vie de Camille. Γ Γαλατχως, adt\ à la manière des. Gaulois.

Γαλάτιον , V. yxkmv.

Γαλαώνν), ης, η, sœur du mari ou belle-sœur de l'épouse. R.

y άλω;.

Γαλ«ά-/ρα, ας, cage de 1er— souricière. R. γαλ/η, *ypa.

Γαλιινς,/ος, ô, chaton, le petit d'une chatte. R. y a). 95-

ΓΑΛ^Η, you95, Çjç, η, belette; chatte. ^

Γαλιο&ΐολον , n, το , galiopse, plante semblable à Γortie. R.

γαλ/ης , βίο'λος. Ÿ. γαλίοψις.

Γαλίοίίίτος, /ος, adj. semblable à la belette—qui eàt de la même espèce que les belettes. [ Γα-λ(ο<(£<~ς, poissons qui ressemblent aux belettes, c. à d. lamproyes. R. γαλή, «7£ος.

ΓαλΑς, i, ô , lamproye ou murène, poisson qui ressemble à la belette. R. γαλή.

-Ταλίρος, Sj adj. serein. R. γαλήνη [ Γαλίρω^ος, 5, adj. qui a le visage serein. R.yotAcpoç,

Γαλιώίης, «ος, mém. sign, que yoJcoft^yjç.

Γαλεώνναος, « , ô , lamproye.

Γαλιωτης, «, ό , nom if un lézard, ennemi du serpent.

Γαλη, 7içt V. yx/iV,.

Γαληίϊνς, V. γαλιβενς.

Γαληναία, ας, η, mcm. sign, que γαλ/j νη.    '

Γαλγ)ναΓος, β, adi. serein—-calme ; tranquille. R. γαληνη.

Γαλήνης, /ος, mcm. si fin.

Γαληνάω, mêm. sign, que ycà-ηνιάω.

Γαληνπα , ας , η , tranquillité ; sérénité ; calme.

ΓΑΛΚΝΗ, ης, n, sérénité—tran-uillité; front serein—gaieté e visage. [Γαλήνην, m*m.s:gn. que γοιληνως, adv. dans Jlum. Oc i’ iXcfûct yoù"nvr>v.

Γαληνιζω, devenir serein— devenir calme, tranquille.

Γαληνιάω, être serein; être calme . au propre et au fig.    ’

Γαλγ,νόω, rendre serein, etc.

Γαλήνης, /ος, et yo^Y)yιαίος, », mêm. sign, que yoànvtuo;.

ΓΑΜ

ϊ'αληνιαι’ος, m. sign, que yoJln#ftÎeç.

raitjvcff^ç, ï, ο, /αληνότης, vit sérénité.

Γαληνός, m,}m. sign. que yoJirjvaToç-

Γαλτ}νό«, V. yoJ7)vn.

Γαληνως, adr. datis le calme.

Γαληρος et    m?m.    sign.

<fue yoJipo; et yoJtpro«b;ÿ qui présente un aspect riant.

r«Xcàyxo»v, ωνος, h , qui a les bras courts. R. yo^îî, ά-/κ4».

Γαλιαι, ων, petits ânes.

Γαλιάω, être lascif; être lubrique. R. yoJivj.

Γαλι£<νς, /ως, ô, petit chat ; chat«

Γάλιον , n, Ά, et yak<xriov 9 v9 . galium, nom tf une herbe.

Γαλι^ς , ï, ό, jardin.

ΓαλΓοψις, (ως, ή, gaüopse, grânde herbe semblable à T ortie. R· yaλ/ης οψ»ς , figure de belette p parce que fa fleur en a la figure i on la nomme aussi yedtcο'&ίολον deyaiXé^i β^όΧος, crepitus mus-telæ, parce que ses feuilles en ont f odeur.    t

Γαλίς, mem. sign, que yaXt6ç.

ΓοάλαΤος 9 V. y άλλος..    ·

Γάλλιο», ας, η, la Gaule.

ΓΑΛΔΟΣ ? v y ο . eunuque — prêtre de Cybèle, ainsi nommé du fleure Τ&Χος, Gal lus, en Phrygie, sur lequel ils fai— soient leurs cérémonies. [ Γαλ-λαΤος, v, adj. qui concerne les prêtres de Gybèle. [ Γοίλλος , » 9 ô, Gauiois, dans Plut.

Γοώονχ/ω, ώ, allaiter. [To^ovyi'oc^ ας, η, l'action d’allaiter—Faction de tetter. R. *άλα, ίχω.

Γάλως , gén. λω , yxktaç , όος, ei yaλόως, gén. γαΧοω, belle-sœur. R. y aka, lait, et yo^vivv), sérénité, à cause de Γamitié sincere qui doit régner entre de si proches parens.

Tàjuuxt, Jior. pour yrjpMt, aor. i inf. de youi/ω.

ΓαριΛρίνω, fat. «νσω , marier—se marier. 11. yapSpoç.

Γαμβρια, ων , τα, présent00 repas donné par le gendre.

ΓΑΜΒΡΟΣ, «, ό, gendre—beau-ppre — beau-lrere — parent ; allié.

Γαμ(τ/ον,* il faut se marier. R.

•/opceu.

Γααιτη , ri;, rj, γαμ/ης , η , épouse.

[ Γαμ/της, «,ό, époux. îSÎ. R.

ΓΑΜ^Ω,/δ/. I ηαω ou /οτω, aor. I ίγχμίσα OJ r)?a, et ΐγτ,μα ( de y au/ω ) , se marier ; epouser-[ΓαμιΤν, se marier, en parlant de t homme. Γαρ,ίΓσθαι se dit de la femme qui sc marie, hyr^t rijv Θ et ; v , Arist^h. il épousa

Thétis. Τ&μονμίντι, b nouvelle

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, " τΜ '

àiariée. ΓαμηθιΤσα τ5 Aivctqt,

Plut. .mariée à Ënée.

Γαμ9{ςα*, prendre une fille en mariage,, et yayJaau par un «, donner une fille en mariage* ce çue les Grecs modernes ont appelé ίγ/αμίσαι.

Γοργία, ας, η, préséns de noces —dot.    '

Γαμήλια, ·>*, toc , GAMiuBS, fête» nuptiales, chez les anciens; noces.

Γαμήλιος, ir,    nuptial, conju-

Γ1—qui préside au mariage. Γαμήλιος, èpith. des Dieux qui près idole ni aux mariages, Jupiter, Junon, Vénus ét ΓHymen. R. γαμ/ω.

Γαμήλιων, ωνος, o, GAMÉLI0N, mois de tannée grecque, répondant au mois a octobre ou de janvier.

Γαμτΐσαι, aor. I inf. de yοψΐω.

ΓαμησιΓω, avoir envie de «e marier. R. γαμ/ο».

Γαμητ/ον, il faut se marier. '

Γαμίζ», fut. ίσω, donner une fille en mariage. [ Γαμίζισβαι, être donnée en mariage.

Γαμιχος, », et poèt. yάμιος, », J, adj. nuptial. Γαμιχή χλίννι, le lit nu pliai. ΓαμιχοΙ νόμοι, les lois sur le mariage. Ti γαμιχά, les noces. R. γαμ«».

ΤαμΙσχω, mém. sign, çue γαμίζ*.

Γάμμα, gamma, troisième lettre de Γalphabet grec.    ^

Γααοχλοττια, (aire des larcins à r hymen—commettre un adultère. [ Γαμοχλσβτβς, », nui fait des, etc. n. γάμος, χλΑΛτ.

Γάμοροι, »v, ceux «|uî travaillent à la terre — mem, sign. çue y»topyo\ om κληρούχοι.

Γάμος, », b , */ γάμο*, «y, oî, noces; mariage — repas des VlOCes. Γάμον Τβτίας Λαβι , Plut, il prit Tatia pour femme. R. γαμίω.    -

Γαμος-ολώ·, faire les apprêts de la noce. [ ΓαμαςΆος, », ό, qui fait lus apprêts, de la noce —qui règle Ja cérémonie des noces. R. ς-Λλω.

ΓαμοτβλίΤν , faire les noces.

R* Τ(λ«0».

Γαμφ ai , «v, oï , γαμφηλα), Sv , joues — mâchoires—museau ; grouin.

Γαμψός, », adj. recourbé ; crochu. Γ Γαμψοτης, ητος, η, courbure; forme crochue. [ Γαμψ·!·?), 95ς, mêm. sign. R. χάμσίω.

ϊαμψωννξ, ν^ος, ό, γαμ^ωννχος,

«, ό, qui a les ongles crochus- R. γαμψές, ονυζ.

Γάμω , thème inus., dont γαμΛ> emprunte le % aor* ίγαμον·

tAP

Γα»/», bfiller. [ ΓανΜ» , mêm.

V**'    ....

ΓΑΝΟΣ, ιος, Ά t joie,; plaisir— l’éclat—éclat ; le bnllant d’une chose. [ ΓανΙω,'/β/: ura,parf. «xa, réjouir ; charmer—reluire ; éclater.

Γάννμαι, γαννομα*, SC réjouir, è t arrivée de çuelçifun ; recevoir avec des transports de

ioie;    ,    A

ΓαννμηΙης , * , ô , Ganymède ,

jeune prince troyen, cnlf^è par Jupiter pour lui servir occitan-son. R. ^νος, μ3£ος.

Γαννρ^ς, », adj. gai, joyeux— agréable. R. γάνος.

Γαννσχομαι, m. X///7. çue γάννμαι*.

Γανντί1ϊ7ν, réjouir ; causer de de Tagrément—vivre joyeusement*

Γανωίης, ιος, adj. qui a un air de gaieté; qui otfcre l’image de la gaieté—riant ; fertile : riante prairie, champ fertile.

* R. γάνος, ιιίος.

Γάνωμα, οττος , τ)>, γ^&σις, <ο»ς, b, mêm. sign. φπΤγάνος.

Γα«ιλ(7ν, négliger, mêm. sign, çue 6μιλ<7ν.    .

Γαρ, partie, car; c'est que. ràcp, interrogatif , - est-ce que ? lî ykf ιταρ’ αυτού Γλᣫς ; Soph, m’avez-vous reçu des mains d’un autre?

ΓΑΡΓΑίΡΠ , briller j luire — vibrer—palpiter.

Topyafp», abonder ; regor-

; ger ; être plein* Ανίρων άρίςων «3σα yàpyaipti ττόλις, Crat. toute la ville est pleine de gens courageux. [ Γάργαρα, Ος , η, ΠΚΐΙ-titude — abondance. R. yap, son du gosier, et γνρνς, voix, son.

TX9TAAÎZCl,fut. ίσ·, chatouiller

—chatouiller, au fig.; délecter; flatter. [ Γαργαλισμος , », γάργαλος, », ο, γαργάλη , ης, η, chatouillement, au propre et au fig. ; délectation.

Γάργαρα, *ς9    ^, V. γαργαίρω.

[ Γάργαρα, Gargare, ville de la Troade,

ΓΑΡΓΑΡΕΩΝ, Çvoç, b, la gorge ; le gavion, en style familUr; la luette. [ Γαργαρίζω, garga^ riser. [ Γαργαρισμ^ς, i, ο ,

, GARGARISME.

Γάργαρος, », η, Gargare, ville de

. la Troade au pied du mont Ida, appelée aussi Γάργαρα. Γ Γάργαρον , », xb, promontoire a Ida.

l’APON, «, xb , garurn , saumure fort estimée des anciens, et aui étui fade avec les entrailles d'an poisson nomtnè γάρος,

ΓΑΣ    ±»7·

Γοφν/îuv #/ yoLpuiv ,. Dor. pour* yapvciv , infin. de yapvw, Dor.

arynpvm, parler—chanter—* iller-    .

Γοίσος, », ό, un vieux routier. Γας·«ριον, », το, V. γα«ρίρ· Γοατιρόνλη^ , F. γαςύρ.

Γας-ίρόχιιρ, Γ. γας-ρο'χβίρ.

ΓΛΖτήρ, τ/ρος τρ^ς, ^, ventr# —petit ventre, en terme#anatomie—λ* ventricule où se fait là digestioa~gourmandise.

^ Γα^<ρό«ληξ, ηγος, b, qui est d'une gourmandise insatiable* R. γα^ηρ, ventre, , aiguillon, c. à d· dont le ventre est aiguillonné par les mets.

Taoçtpiov, », xb, vase qui « un gros ventre ; cruche au large ventre.

Γα<^ορ<ς, Woç, ravej chou-rave , plante potagère. (Γα?ρα{«* ας, mêm. sign.    *

Γώτρα, ας, γάς-ρη, ης, fond d un vase—carène dfun vaisseau. R. γας-ηρ.

Γαςρί-ίιον, », τ^, petit ventre| ventricule.

Γαςρίζω, fut. (*tè, remplir son * ventre ; se remplir la panse— activ. régaler amplement ses convives—faire boune chore— frapper sur le ventre. R. >αςηρ; Γας·ρ»ρ«ργος, », ô^gastromane ; excessivement gourmand ; goinfre. [ Γαστριμαργία, ας, η, gas-

■ tromame j gourmandise insa-* liable i goinfrerie. [ Γαςριμαρ-γ»ω, être gastromane. R.γαςνΐίρ* ventre, μάργος, fou.

Γά<τριος, », b, γάςρις, ιος, b9 adonné à soit ventre ; gourmand. R. γαςτίρ. [Γοίς-ρις,attaqué des vers qu’on appelle

Λμινθίς.    ^

Γας-ρισμος, », b^ torarilé ; glou·^ tonnerie; goinfrerie. M. R. Γοιςρις·«^ος, camp. de γάςρις* Γαςρο€ορος , mem. sign. çue γας-ρΓ-

μ*Ρ7°$·    #    ,    ,

rajpociJijç, /·ς, adj. qüi a là forme· oPuni ventre—ventiu* R. cT£oç.

Γα^ροχνημία, «ç, η , γ*ςροχνι/)μιον m *,xbt le gras de la jambe; la mollet. R. χνημη, jambe.

Γα^ρ^λογΓα, ας» η, GASTIlOLOCIEf

traité ou discours sur le venire9 c. à d. sur la bonne cktre.

Γα^ρολόγος, », b, gü itrol' ^ue^ celui çui traite dans se* ouvrages ou àans sej discour, de la benne ch ere. R. γας^ρ, ΓοκτρομαντίΓί »ς, Λ» ga^trontan^ ne, sorti Je divirtatlon çui sa j*. isoit en parlant du vintre am avec dis bouteilles à lafgA

sA

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218 ΓΑΩ

rentré remplies feau claire.

[ Γα^ρομοιντινομαι, exercer la gastromancie. R.yac'ip, μαντύα. Γαςρονομίχ, ας , η, gastronomie, ouvrage où Con traite du choix des oilmens* R. 7*<rty » ventre, νόμος, loi ou législation du ventre.

Γας-ροοίίπ;, », adj. qui a une forge panse —' ventru. R.

*    ya^Vjp , οΐί/ω.

T<xçpvm(on j ονος, o, m, sign.

■ çue γ<χςροοί$*ις. R. *ίων. Γα^ροροαφΐα, ας , GASTHORAPHîB, future qu’on fai® pour réunir

*    led plaies du b^s-ventre. R. yacnp , pavltt, coudre.

r«cpô<pt><x, ·, o* qui aime son ventre. ; qui s'est fait un dieu de son ventre. R. yeçty >

φιλ/οι.

Γαςρόχίφ, ctpoç, ό, qui remplit son ventre avec le travail de ses mains, c. à d. oui vit du travail de se» mains. R. yaçfy, X*‘P*

Ταςρά^ς, ιος, ventru. R. 7«çty, clioç.    ^ t

Γαίς·ρων , ωνος, ô, mém. sign, çue yaVptç.    '    #

Γατομί'ω, Dor. pour yvixopt*. ΓΑΤΑΟΣ, 5,ô, terrine à traire le lait. R. ycûa.

ΓοΛλ<*, petit vaisseau marchand—la sentine.

Γανρηξ, 5χος, ô, et yovp*K, ιος, j/^λ. y«3poi·

Γαυρ/αμα, ^· yowptocoi.

Γ«υρι*ω, fut. α'σω , <?/ γανριάομαι, faire vanité de ; triompher ; s'enorgueillir—être fier; être arrogant. Ce verbe je dit aussi de la fierté et des bondi d'un *. checal. [ Γανρίαμα, ατος , -Λ, orgueil; fierté; arrogance. R. yttvpoç.    ^    ^

Γανριχ^ς, i, adj. yowpottivjç, «ος, adj. etγαυριζ, wtoç, bt superbe, glorieux ; mèm. sign, çueyxûpo ΓΑΪΡΟΣ,μ, λ//, fier, superbe, aftier; hauUift, orgueilleux;

' arrogant—i^ui tire vanité de ; qui s’enorgueillit 4e. Γανρο; Λβω, fier ou enflé de sa prospérité. Το */αν»ξ>ον , fierté ; caractère hautain; arrogance, orgueil- [ Γαυρότης, ητος, η,

•    mem. sign. *    λ    t

laypow et yavpoo^ai, mem. sign.

' çue γαυριοίω. Mt) yaVpov <τοφι·«,

Phoc n^ vous glorifiez pas ae 1 voire saceste. Γανρονμ«νον tv-Vivtfa, fier de sa naissance. ΓΑΤ2(3N, S, χ\ , tortu. [Γαναόω ,

*    vendre tortu.

ί^ϊφ-jTov , Dor. pour γήγνχον.

nesi u*de çuau parf My.

ΓΕΗ

y/yaa, je suis né-—je suis. Kaat-yvviTot y*yccaat, ils sont frères. fftoç ycya«s, venant de naître ; étant encore enfant. ri, partie, du moins ; pour le moins — certainement. Λ a souvent la force de la particule potentielle av. ÉvopuÇcv tl τους Μηίους άσθβνκς iroiiiatu, ιτο(»“ των ye ôv των WptÇ ρφ£ίως £ρξ«ιν, Xén. il pensoit que s'il venoit à bout a’affoiblir les Mèdes, e il jArviendroit facilement ensuite à soumettre tous les peuples voisins. Et ολον, ptpoç yc, Dém. sinon le tout y au moins une partie.

Γ/α, ας, et par conlr. ^ , y^ç,

V.fti. ^    '

Γιάοχος, eve/n. sign, çuè γαιήοχος, èpith. de Neptune.    ·

r«y*« f α;, parf. moy. de yâta. Γ«/αθ«ς, ότος, Dor. pour yiyn^wç, verbe yyjGfw.

Γίγάχω, εις, t% y poét. pour yiyvopat. Ttyiptv, ycya/μιν,    pour yc-

yaivac, de ycyoïa. rcy/vvjpuxi, parf. de γίνομαι. Γ«?«νοίμην , yiycvoi^iOa , poét. pour ytvoiftnv ^/yivoifuOa,^ ycivofUtt. r«yt}Oà>ç, ότος, patt. moy. deynftla», gai, joyeux. fΓβ^&ότως, adv. gaiment, joyeusement.

Γ/yova, parf moy. V. ycvopac. r^pffffuai, Parf% P°ss. de γροίφω. r/yetfva , γνωω.

Γί^ωνίμι», Dor. pour yiyevrîv. riywvcuv pour lyiyuMuy, imparf.

de yi/uif/u.

Γί'/ων/ω, fui. ιόσο», élever la voix; parler d’un ton haut; crier; pousser des clameurs, des vociférations. [ Γίγωνησις, ια>ς, ή, cri—vocif4ration. [ Γβ-γωνηχίον, il faut parler haut— il faut crier. R. yvuw. Γίγ^νίσχω, parier d’un ton haut, de manière à se faire entendre de loin—crier. R. yvo»o>. Γιγωνόχωαος, «, adj. qui crie dans les rues. rryovôx«^tac γυ-ναΓχις, des femmes qui remplissent ies rues de leurs cris. R. yiyo*v/w, χωμν».

Tcywvoç. 5, adj. prononcé d’une voix haute—^facile à entendre. R. yv«Md. r«y»v«» V. yv«%>.

Γιγως, «rojj/eeryiyflÎMç, deylyaa. ΓΪΚΝΝΑ, ης, η, 00/ hébreu;

gène, torture, supplice; enfer. Γ«ν)«όνος,    «, ό, agriculteur.

ΪΓίτ)«τον/οι, ας, Ίό, agriculture. Γιητβτόνιχος^ «. adj. qui concerne l’agriculture. R. 7^ 9 πόνος,

ΓΕΙ

r*c«pôrv)< » » * ό, qui laboure la terre; laboureur. R.,y3, άροω.

Γίΐνοίμην , ^/. pour iyc(voip.viv , «or. I de ycfoopou.

ΓΕ/νΟΜΑΙ, P.    ^    ytfyu,

inus. ), aor. i cycivoi^^v, engendrer, donner le jour. Eycivaro, et poèt. ycivotro, il donna le jour; elle donna le jour. Γ«ι-ναμινιο, une mère. Oï yctvo^L/-voi, ceux qui nous ont donné le jour; nos parens. Les poêles emploient yccvcvfou et yctvopuvoç dans le sens pass, être né 9 ètré engendré.

Γβιοχόμος, t, ô, laboureur ; cul-* tivateur. R. yvl, xofuw.

Γίίομόροί, ων, ot, colons à qui on a distribué des terres. R. y9f, μόρος.

Γποτνόνος, «, ô, qui travaille à la terre ; laboureur. R. y55, ιτότος.

Γ((οτόαος, «, b. qui fend le sei» de la terre; laboureur. R. y9îf τ/μνω. tb yiMT^ov , la charrue.

Γιίσιον , », rfc, «v^uv. j/^a. γιΓσον.

Γιίσιινονς, γίΐσινο&ίζω f V. yc7<rov»

ΓΕΙ ΣΟΝ et yctvny , *,    ,    lar

mier, ι/ι terme d'architecture, bord du toit ; la partie saillante qui est hors de l’aplomb de la muraille, et qui empêche que l'eau ne coule le lon^ du mur. ΓιΓσο» désigne en général taut ce çui forme saillie et avancement , comme le garde-vue d'un casçue, etc.

Γκσίσονς, οίος, b , la pièce de bois qui soutient le larmier. Ttc9tvo£iÇ«, mettre la nièce de bois qui soutient le larmier.

Γ ΓκνΓνό£ισ(ς, «ως, η, ytun-mô-ύισμα, ατος, τ^, la mise de la pièce de bois qui , etc. R.

yc?9ov , Ίτους.

ΓιΓσος, «·ς, xi, chapiteau.

ΓίΓσσον , V. >ιΓτον.

Γίΐσιΐόομαί, ovuat, être recouvert d'un entablement, d’un larmier ( V. ycîonov )—former une saillie, \in avancement; être constrnit en forme de larmier. [ Γβΐσσωμα, ατος, rfc, entablement, faitage; larmier. j[ Γβίσ-σωνις, «ως, 4, construction d· l'entablement, du larmier· R* yctaov. ·

r«tT<tiva, ας, *ι, voisine. R. ytixut.

Ttift(at ας, rt, y«trv/a<riç, WK, η, y uisinage ; proximité. R. ytΓτων.

Tsxjrvttxtù , yiiTyiàÇ®^ /e/.«ff«, ètr· jVoisin—-être toiein, au fig. ; /être approchant; avoir de la. ! ressemblance , du rapports ' Γίίχνιάζίΐν τn οίχίχ, habiter l»

1 maiion voisin·· Μ. λ

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ΓΕΑ

frtrtvcvtt et γπτον/*, S, être voisin, contigu. [ Γ«*τύ»>ρα, «τος, rfc, γκτόν^σις, «βς, *, γίΐχονιΛ , «ς , η , voisinage ; proximité; contiguïté.

Γ«τώηινος, «, adj* voisin·

ΓΕΡΤΟΝ, ονος, adj. voisin* — voisin, am fig. ; approchant ; semblable. fcc ytixéwv pot, ce qui m*avoisine.

•Γιι«μ« , my , ot, gardes champêtres—voisins qui ne sont pas de la même nation ; étrangers. R. 7*5, ονρος.

ΓΛ«, splendeur au soleil.

Γι)ΐ«ζο, Dor* pour yclom.

ΓβλαΤν, Boi. pour yùSiê*

r^Mcfv, avoir envie de rire. R. ytkim.

Γιλάσι^ος, v, adj* risible, ridicule. R. ycXci*.

Γ.λασ.νοι, «v, o», les dents de devant, ainsi nommées parce qu'on les montre en riant—les rides que le rire forme sur le visage. M. R.

Γώοίσινος, *, o, un rieur; celui <Ιφ fait profession de rire toujours et de tout ; surnom donné è Démocrite.

ΓΑοσμοι, «τος, «A, le ris; le rire.

Γιλαςίλς, i, i, rieur; moqueur.

Γιλα?ιχ^ς, », adj. qui a la faculté de rire. Ζωον vi^cçix^v, l’ani- I mal qui a la faculté de rire, dénomination donnée à Γhomme par tes philosophes anciens, à cause quil est le seul de tous les animaux à qui la nature ait donné la faculté de rire, ou en terme de philosophie. la risibilité.    _

Tàaufrç, if adj. risible; ridicule; digne de risée. R. ycXou*.

Γβλα^νς, v«{| v, ris; rire.

ΓΕΛΑ Û, fut. γιλαίσ·· et ytlcfoopat, parf. ytylXotxUf m parf* pass* y*yl- ‘ λαvftou , rire ; se rire de ; se moquer de-être charmé, se réjouir d'une chose. Γιϋάν χαχοίς ou rmt χαχοΓς ôûÜUtv, rire des maux d'autrui.

Γ(λα» se dit aussi des choses inanimées, avoir une face riante—briller; être embelli.

Γ^ΛΓΗ, *)ς, η, mercerie—teinture. [ Γιλγοννλικ, «t, b, marchand mercier. [ Γιλγοβταώ/ω, être marchand mercier. R. ytXyri y ‘KtuXlm*

re^groGcva», tromper.

ΓΪΑΠΖ, ιος ou ilo(, Ÿ)f cateu de l'ail ; gousse d’ail.

Γι^ι^ομαι, se former en gousses; être composé de plusieurs gousses qui tiennent )es unes aux autres.

ΓΕΝ

Ti\y*Vt*Xriçt V. ylïyr\.

Tikytùf teindre, colorer. R. y/Χγη.

Γ»Χ/ω, Dor* et Ion. oouryιλάω.

Γιλ/α», reluire, briller. B. yfka.

Γίληντι, Eût. pourιγαλ^νν».

rd»t*Çw , fut. άσο», dire des choses qui font rire—faire le plaisant, le farceur, le bouffon. [ Γιίοιασμάς, », ô, plaisanterie; facétie; bouffonnerie, f Γιλοιας^κ » « » b , plaisant ; facétieux—bouffon.

Γώοΐιος, poét. pour yAocoç. '

Γ/λο<ος, », ytloîoç, «, adj. plaisant; risible—ridicule. TV7«-λοΓον, mot pour rire ; badinage ; plaisanterie — ridiculité -^ce qui est propre à (aire rire.

Γ«λο?ος, avec un nom de personne f qui fait rire; plaisant; facétieux. R. ycXau».

Γ·λοί»ς, adv. de manière k faire rire ; plaisamment—ridiculement.

Γ*λό«ν, Ion* pourytXSv.

Γιλύος, », ô, bouffon. R. γιλβίω.

ΓΑως, ωτος, 7^»ç, a», accus. γίΧ*ν , ris; rire —·risée. Γιΐφ txOotvov, Horn* ils moururent de rire, aufig.—TlXtox* *rap/-j(t«» , faire rire. ΓΛωτα irou7-σθα* ou τΐθ(σβαι, faire rire aux dépens de quelqu’un. ; ridiculiser quelqu'un. Γ/λ»τα χαταν-τλϋσαί τίνος, jeter du ridicule sur quelqu'un, couvrir quelqu'un de ridicule. ΤίΧως σαρδόνιος . ris sardonique.

Γιλως, au fig. face riante; sérénité.    ,

Γελωτινος, mêm. signif que χατα-γίλαςος*

rdofovot/v , chercher k faire rire; faire le bouffon. [ Πχ»-Totvoita, ος, ·η, l’action ou l’art de faire rire. [ ΓίλωτοβοΛς, 5,

o, oui cherche k faire rire; bouffon. R. yftwif «roue.

Γ·ρίζω, fut. ίσω, remplir—charger. [ iYfAισ/χα, ατος, xb , ce qui sert à remplir; remplissage— charge.

Γή&ος, ιος f xb, plénitude. R. γ/ρω.

Γ^ΜίΙ, fut. m8, parf. moy. 7/-γομΛ, être plein, être rempli— être chargé. Γι’μα, être plein, au fig. Γ/αοντις θράσους , Plut. remplis d’audace.

Γ«νάρχ»;, β, b , chef de la race ; la lige, c. à d. le premier pere duquel sont sorties toutes les branches d'une famille. R. 7/νος, άρχή.    ^

TcviJi , άς, ή, 7«*rfc,    ,    η    ,    race,

fimilk — génération — pro-

ΓΕΝ

création ; descendons — âge d'homme, espace de trente années ; c'est dans ce sens que les anciens disoient que We ri or avoit vécu trois âges d homme. Τίς ytviàtv ; de quelle race êles-vous ? éeri τίις τιμίτ/ρο^ y«vcJç, Dém* de notre temps, de 90s jours. R. ?«ίνομαι.

Γ«νιαλο7ά», faire la généalogie, la sienne ou celle des autres —se dire issu de; se faire descendre de. Αψ ον ιόντων tyt-ν«αλο7»Τ ρ»)τρόβι*, Plut, duquel il prétendoit descendre par sa mère. Γ Πνιαλογώο, faire l’histoire anne chose en remontant k son origine.

Tfvtoloyia, ας, e^RÉALO-6IB, dénombrement d’aïeax; histoire de l'origine, de la population, et de l’état présent a une famille. R. 7/νος, Xtyt»,

Ttv ta) oytxbç 9 i, adj. 6ÉltAlO< CIQUB. [ Γ*ν«αλ070ς , m , ο , généalogiste.

Ttviâxtçpour ytvitâxtt, barbue.

Γβνιύ, ion. pour ytnà.

Γ<νιν}λθ7/«» pour yivtaXo7/e».

Γκν/ηφιν, Jon. et poet, pour ytvtfj.

rry/θλα, Ion* pour yt»fo\yk* '

ΓινΛλν», *K, *9 torigine; race; génération. Ερ3ς ί^ιισ» 7tv«-θλτ)ς, Hom. ils sont issus de ma race. R. 7/νος.

Γινιθλία, ων, τα, célébration d· l'anniversaire de la naissance —présent fait le jour anniversaire de la naissance.

Γ«νιβλιαχ^ς , 5 , 4 , adj* géné-thliaque, adj. en partant d un discours ou poème , composé sur ta naissance d'un enfant—

Î;énéthliacjue ^ sués t. c. à d, aiscur d horoscopes — celui qui tire l’horoscope de quelqu'un en examinant l'état du ciel au moment précis de >a naissance. [ Γ«ν€0Αΐα)ο7{«, ας, ύ, généthÜalogie, c. h d* la divination pratiquée par les çénéthliaques — horoscope [ Γίνιθίιαλ^ος, », o, géné-thliaque, faiseur d'horoscopes R. yt»/Wv), λ^ος.

Γινιθλί^ς, άίος, rj, jour natal. R 7«vc«i.

Γινίθλίίίος, », adj. natal—qui a rapport à la naissance.

Γιν/βλιος , », adj. natal—qui préside k la naissance, ép.:th. de Jupiter et de Neptune dans les poètes : de Jupiter comme fauteur de la Fécondité, et de 1 Neptune, parce qu'il est te Dieu des eaux, qui donnent la vie à tout* lf 7iv<&uo( ripwpa,

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ΓΕΝ

pu simplement * yivARi·;, le jour de la naissance. Tfe yiv«-felcov, la naissance — le jour natal.

Γ<ν«θλον, «, x\, fils ; descendant ; race.

3Γ«ν«ιάζω, mêm. sign, que ytvttow».

r«v«tètç, ojioç, t», poil follet —

' duvet — barbe—menton. Προ f9|ç ycvitoiJoç ίιίάσχιις τους yl-ροντας, saint Grcgt avant d'avoir de la barbe au menton , vous vous m^lei d'instruire les vieillard'·. Γ«ν<ιςίΐ«ς, les poils de la barbe.

. ri»«o(Ç» ,    f    com

mencer à avoir de la barbe; entrer dans l'âgedepuberté—-avoir de la barbe. R. 7«νυς.

^ινπάσίων, Dor. pour y«vit<x£cev.

Γ«νπάω, commencer à avoir de la barbe—avoir de la barbe. Fivitury σιμνως , qui a une barbe respectable, Είς άνίρα 7«ν«ιων, Theocr. qui commence à avoir la barbe d'un homme, R. 7/vctoy.

Γ«ν«ι>?τ»ς, a, 1, Dor. pour yt-vicifaç , et 7«vtr)V»Ç » «», δ , ymtefnjç, e, adj. barbu, ad fèm. γίνίΐάτις, barbue.

Γ/veiov, e, x'b, menton—barbe. On trouve sou*enè\ ytvtia au pluriel pour yivciov.

r/vtiov pour γνάθος , mâchoire.

Γ<ν<ο, Ion. pour yivου, et ylvov pour <7cvov, aor. a ind. de

γίνομαι.

Τη f*** i «v> f3t, le jour delà naissance—célébration du jour de la naissance. R γιίνομχι.

ΓίνίσίΛχος, » , m^m. sign. que

^νίθλιαχος*

Γ*»ΐσ«*ρχ»)ΐ, *, l'auteur de la nature. R, ymvις, «ρχη.

Γ£>χσ(ονρ7>>ς, h, adj’. pour ycviacofpy));, g, «f<f0Sr, W/7ï. R. '/ίνισις, fp70v,

J*/vt9(ç, «ως, origine; naissance; génération—ce qui a reçu 1a naissance ; de 7«ν«σις vient Genèse , nom du prem'er liere de T Ancien Testament, qui contient ίhistoire de la création du monde.

Ttvlxac, Dor. pour γινίτης, père.

Tev cVtepe, V. yivvr£p.

Γβνίτή,    nai^ance;    ori/ine.

Γ«νιτ>}ρ, îîpoç, 7«vctv)Çj 5, é, 7«vr-τωρ, ορος, ô, qui donne la naL.anre; père [ revrrupot, ας, ib. mc're. [ Γ«ν*'τας, », dans Soph. fil·».

Γεν*τ»λλ»ς. ιίος, tq , qui preside a la génération, épith. de Vénus.

TtvtT*>pt P.ytvtxrif.

ΓΕΝ

Τ/ν«υ, Dor. pour iyfay, ear. a moy. de γΐνομοβι·

Γ/yv), enfans, de γινος.

Ttvntia , pee. de ytvntç, une ÿaehe.

Γίνεται, ων , oc, ceux qui sont liés dans la même tribu, dans les tribus d Athenej.

Γίνητ^ς , » , ô , adj. né ; engendré.

rtvtxfcç, g, adj. général—génitif, Ttvtxr) πΊίασις, le génitif ^ en terme de grammaire.

Γινβχως, ad p. généralement; en général.

Γ/ννα, >jç, riy race; (ignée.

Γ«ννά<?ας, 8,o, qui est de bonne race; bien né; généreux.

ΓινναΤος, β, adj. qui est de bonne race, de noble exfraction— bien né—noble, aufig. ; généreux ; mâle ; fort. // se dit des choses animées et des choses inanimées. Γινναίοι χαρ-erol , d'excellens fruits Γ«ννα7αίό£ύν*, Soph, une violente douleur. Γ Πνναιως, adv. comme un nomme bien né—«noblement ; vaillamment ; en homme d'honneur.

Γινναιόηης, tjroç, ri, l'avantage d'ètre bien né ; excellence qu’on tire de sa nature — valeur. R. γίνομαι.

Γινναρχ*;, «, ô, la tige; le premier pere; c'est dans ce sens qu .4dam et Eve sont appelés γιννάρχΛί. R. ytvoçt κόχη.

Γ/ννας, », o, oncle, frère de la mere. R. γίνομχι.

Ttwxxo pour syûvixxo 9 Eol. aor. x moy. du verbe γίίνομχι.

Γ«ννάω , fut. >ίσω , engendrer ; produire — enfanter. Γ«νν*ί-σασα, mère, rfiovy) λύσην γιννρ, Plat, le plaisir enfante la douleur. [ Πννάομο» t moy. mém. sign, que y«ννάω [ Γιννάομαι, pass, naître de. 1».7«vvv}0*) Τιλά-μωνος, Isocr. il eut pour pere iY|amoti.

Γίνν/}μα , ατος, x)> , ce qui a été engendré; progéniture— rijee. [ Γ·νντίμαχχ, enfans — productions1, fruits , de ta terre. [ Γίννκ^α-πχος f », adj. generatif—q.n a la faculté de procréer, drengendrer, d'enfanter.

Γιννησις , «ως, Dor. γίνν*9ΐς , «ως, ή, génération ; procréation. INI. π.

Γ(ννηχτ);, SI, ο, père [Γ«ννητ«*ρα, α;,η, mere Μ. U. -

Γιννητιχ^ς , », adj. qui a la fa-· culté générative — genital. M. R.

ΓΕΡ

ITtr/νιχϊς, », adj. né; engendré —mortel. [ r«yytrri>ç, naturejr par opposition à wotirrlç , adoptif. { Γ«νγγ)τως, ad p. è la manière des (hoeés qui ont été engendrées.

Γινχηχίύψ, ωρος, «, qui · donné la naitsance; père.

Tcyyix^ç, », mém. sign, que y«y-ναΤος. [ Γ«ννιχως, adv. par la force d'un bon naturel ; bravement ; généreusement. R.

γινος.

Γινοίατο, Ion. pour Jtvocvre, et γίνοιχο, aor. a opt. de γίνομαι.

Γίνοίμαν f Bor. pour ytvοίμπν. *

Γ«'νος, «ος , %)>, race ; lignée; famijle—nation. Σύρος'γήβς, Syrien de nation. Tfc Svrixov 7«yoç, la race des mortels; le genre humain. Tb των yiWo-φονντων 7/νος, les philosophes. Γινος, genre, en terme philosophique.

r«y«t Jtaf/peev, A ris t. être d’un genre différent. Tfon, plur. enfans.

Γίνου^ς, », ô, qui est de la même race; de la même*nation. R. ytvoç.

Γ&ίΤΑ, ων, xk, les entrailfe».

ΓΕΝΤΙΑΝίί, ης, iy gentiane, herbe.

Γ«ντο, Ion. poét. pour iysvtxo, il est mts quelquefois pour ÏXaÇtv, il prit.

TtvyÇ, mém. signif. que γίννς.

ΓΕΝΤΣ, voç, -η, menton; mâchoire—fil ou tranchant, dune épée—scie—hache.

Γ«νυς, cheveux blancs ; vieil-le>se , dans Théocr.    '

Γ«ρα, contr. pour 7«ρατα.

Γ«ραίος, rivage. V. α\γισίΧ6ς.

Γιρχζω, yipoupo), récompenser; honorer d'une récompense—» honorer. Tcparpciv, dans Plut. donner une pique pour récompense à ceux qui combattent vaillamment. R. 7«ρας.

Γ«ραΛς, », i, un vieülard. [ Γι-patà, ας, ri, une femme âgée ; une femme respectable par son âge.

Γ«ραώς, », adj. de vieillard; vieux , compar. 7«ραιτ«ρος pour 7«ραιότ«ρος ; superl. γιραίχ*τ+ζ püjr Ytpatoxaxoç. R. yιρων.

Γβραίρω, /Λ 7«ράζω.

Γ«ρα/τ«ρος, V. γιραιός.

Γιραιω, mtm. sign, que ytpctipu.

Γιραλ/ος, m?m. sign, que ynpoîk%o^

XepavSpvov , », το t un vieil arbrç, II. 7/ρων , £ρύς.

Γ«ρά*(ον, «, rb, grue, machine à soulever les plus grands fardeaux— geranium, bec <U gtue , plante. R. γίρχνος, *

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ΓΕΡ

ftfwotorla, «ς, ή, troimefcu de grues qui paissent. B. βίω, y/ρανος.

ΓΕΡΑΝΟΣ, *, b elt, erue, oisea*~-grue, matii**—danse inventée par Thésée, et dans laquelle ολ figurait sa sortis du labyrinthe. [ Γιράνος , huche —

. de pl. nom d'urne machine de théâtre pour enlever up personnage Jans Us airs ; ce que mous appelons la gloire·

Γιροώς, 5, δ, vieillard respectable· B· ?/p«9.

Γ«ραρ^ς, e, adj. honorable; respectable ; auguste, comp. yipa-pcifipof. R. y/ρας.

ΓΕΡΑ2, gén. ατος, αος, 5ç, tk,

■    prix, récompense honorifique —honneur.

|Trpe(9puo(, ·, adj. honoré—digne d'être honoré, d’être récompensé—honorifique. J[ Γίρασ-τ - μιος , Eurip. de vieillard —? vieux.

Τίρίςιος* *» If du douzième

■    mois de t année des Eacèdémo· nie us.

Γ*ρασγο(>ος, s, ô, 7«ρατοφ4ρος , «f «, qui remporté un prix ; honoré d’une récompense. R. γίρας,φίρω.

Tcpyvpa, ας, n, gargouille.

Γ«ρίης, «, γίρ&ος et y (pi toç, s, S, tisserand; tissutier. [ Γερ<Κα,

• fém. de y/p^nç· r<pca pour y/ραα, plar. de γΐρας. Γιρηνιος, «, o, vénérable parson âge, èpith. de Nestor dans Γ Iliade. R. y/ρας. rtpovreyoy&i , faire l'éducation d'un vieillard ; instruire exr former μη vieillard. f Γβρον-ταγωγ^ς, S, i, celui qui lait, etc. R. y/pa»v, âyo».

FcpovTctoç, s, adj. de vieillard— qui concerne les vieillards ou la vieillesse. [ ΓιροντιαΤος, *, a4j. mêm. sign. R. ytpo». Γβροντίας, a f b9 aïeul.

Γ(ροντιοί« t vieillir—-commencer à radoter—ee ressentir de la vieillesse.

Γίρον-τιΛς, «, *#· de vieillard-— destiné ou réservé aux vieillards—particulier aux vieil-lards—particulier à la vieillesse. Γιροντιχη ηλίχια, l'âge de la vieillesse. Γ Γιροντιχως, adv. <jn vieillard, f ΓιρΙντιο», *, το, petit vieillard. ΓιρΛντοίιίάσχοιλος, μ , ο, précep— ‘ teur des vieillards ; iiui a pour disciples des vieillards, c. à d. qui a des disciples indociles, n. y/ραν, δ^άσχρΛος. Γ(ρο»τοχ«<Μ?οι , μ , το , lieu OÙ

ΓΚΥ

Γοη a soin des vieillards r— hospice des vieillards. R· y«-

ρω* , χομ/α>,

Γιρουσια, ας, η t le sénat—ambassade. [Γιρονσιας^ς, δ, o, sénateur.

Γ*ρονσιος, «, adj. vieillard—qui convient aux vieillards*—que l'on donne aux vieillards — honorable; que Ton donne à quelqu’un par honneur. Γ«-povvtov opxov, un serment de vieillard, c. à d. un serment inviolable.    '    ^

Γιρονσιον , v, A , le vin qu'on distribuoit dans les repas aux chefs les pins distiu-tgués par leur valeur et par Teur prudence. γ£ρΛ)Ν , *, xb, bouclier de jonc ou d'osier, principalement en usage chez les Perses—banne ; dais; parasol; parapluie, fait de peaux, et dont se servoient les petits marchands sur les places publiques—la couverture d’une échoppe. i ΓιρραΊια, «v, τα, nattes de jonc ou d'osier.

Γ/ρν*ος, », ô, petite grenouille. Γ/ρνς et γβρντας, vieillard. r^PttN, οντος, * * , vieillard — sénateur—personnage respectable. [ Γιρων , avec un nom de chose, vieux ; usé.

Γ/ρων,, quenouille.

Γ«ρωνΙα, ας, η, mém. signif que

y tp owlet.

Γιται, ων . ot, les Gètes. [ Γιτιχίι, 9ΐς, η, le pays des Gètes. Γιυθμ^ς, ί, β, etytynα, ατος, Λ, gout — dégustation. [ Γινμα, essai de vin. R. yfva>.

Γινματίζω, goûter; déguster. [ Γίυμ<χτισμΐ>ς, i, o, lac— ■ tion de, etc.

Γινμίθα pour ytytvfuBa, nous avons goûté, de y«vopou. Γίνομαι, fut. «νσομαι t goûter — déguster ; tâter — dévorer —■-goûter de f au fig. — expérimenter; faire l’épreuve de.

Tevw , faire goûter ; faire tâter, au propre et au fig.— goûter. *    e

r«vç/o«, il faut faire goûter. Γίνσις, «ως, ή, dégustation—gustation—goût.

ΓινςΥον , V. yiv·.

Γ«ν^ριον, «, . xl, tasse, pour goûter le vin ou autre liqueur. Γιν^ιχος, 5, adj. gustatif. Γινς-ιχον νβνρον, le nerf gustatif. R.yiu*#. Γινc^ç, S, h, qui se fait sentir au nerf gustatif; qui tombe sous le se*w du goût —que

ΓΕΩ

Γοη peut ' goûter ; qui peut ✓ servir de nourriture. M· R.

Γιτίω, V. γίνομαι.

ΓΕΦΥΡΑ, ης, ή, pont. [ Γ/φυραι, «y, l’intervalle ou le chimin qui e&t entre deux escadrons, 'Γίψνρίζν, brocarder quelqu'un, se railler de lut. V, 7«φνριςτός.    .

Γιφνριασμ^ς, mêm. sign. qOe y«<pv-ρισμός.    β    ,

Γ«^ρνριον, 9, το, petit pont. ^ ΓίΦνρισμώς, δ, ό, brocard ; rail-Jerie. V. γίψνριςνς. r««vptçnç, 5, β, qui lance de· brocards, qui fait des railleries, R. γ/φνρος, pont, à cause que ceux qui se tenaient assis sur le pont qui conduisoit au temple d’ Eleusisy s'amusoient à railler les passons. H. y/(pvpa. rc<pvpowo<tû>, faire un pont — joindre par un pont. [ Γιφνροτ · «οώς, fi, ô, qui fait des ponts —ingénieur des ponts et chaus-^ sécs. R. yitpvpa, i*ot/«.

Γ«ρνρό<ΰ, fut. QA<rw, joindre^ par un pont—construire ou jeter un pont, ΐίγιψυροίσ* iroT«uov, il joignit par un pont les deux rives du { Seuve ; il fit ieter un pont sur le fleuve. Τονς -ττοτα-' μονς 7«<ρνρωσαι νιχροΓ;, Eue. faire des ponts de cadavres. Ptutarque a dit de même en partant £ Alexandre, ιτοταρονς νκχροΤς ytyftovpe^/vovç ίι«?η, il

passoit les fleuves sur des ponts de cadavres. [ Γϊφνρωμα', ατος, το, pont jeté sur un fleuve ; construction d’un pont. [ Tc-φνρα»της, δ, xb, qui construit des ponts—ingénieur des ponts et chaussées, n. y/yv»pa. ri«*ypa<pco>, fui. ι$σω , faire la description du globe terrestre, être géographe. R. y>î» γράφω.

Γιω/ραφία, ας, η , GÉOGRAPHIE.

Γ«»7ραφιχ^ς, i, adj. géographique — habile géographe.

[ Γιωγραφιχα t ouvrages on traités de géographie.

Γ«·?ράφος, », ô . géographe. Γιο»«ΐα«σια, ας, η, GÉODÉSIE, partie de la géométrie qai enseigné a mesurer et à diviser les terres. R. y9|, ία Γω.

Γιάίης, €βς, adj. de terre—ter-resû*e — terreux. Tà y«*»·>*» χωρία, les pays où le terroir n’est point sablonneux, pierreux, où la t*’rre est bonne et franche. Γίβίίης i'Oo;, géode.

, pierre creuse et de couleur de fer rouille, contenant de la terre ou du sable, qu'on entend

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322 ΓΕΩ

remuer lorsqu'on la secoue. R. rn , tTJoî

Γίωλοφία. ας, η, colline; élévation ; hauteur.

Γιωλονον, β,    , mêm. sign.

Γ*^ ,ÿj;9 e, adj. 'éminent, élevé —un homne stupide, qui n’e*t bon à rien. U.

λόφος.

Γ*ωμΐτρης, v, ·, qui taiesure la terr , c. à d, GÉOMÈTRE— arpenteur. [ Τιωμιτρίω, mesurer la terre; être géometre être arpenteur. [ Γ«ωρ«το««, apprendre les principes ae la géométrie.

Γιω^ατρια, ας, η , GÉOMÉTRIE f scienre ainsi apjeUe de γη, pcVpo», mesure de la terre, parce que c est la nécessité de mesurer les terrains qui a fait trouver les premiers principes de la géométrie.

Ttufit?pixbç,2,//dj. GEOMETRIQUE;

qui a rapport à la géométrie. Γιομιτριχλ προζλημαχα, des problèmes de géométrie. [ Γ«ωμ?-Tpçxi» ( s»us-ent. τέχνη ), la science de la géométrie.

Γ««ρτριχο{, versé dans la géométrie.

Γ«ωα«τριχως, adv, géométriquement—en proportion géométrique.

rc<i>fityr)£, «ος, adj. mêlé de terre ; terreux. R. yîj, μ(γ*νμι.

Γιωαόροι , ων , ot , ceux entre lesquels on a partagé les terres d’une colonie ; les colons. [ Γιωμοριον, s, rb, portion de terre. U. γη , put ρω.

Γιων όρος, v, ô, qui fait le partage des terres, entre des colons, des héritiers, etc. II. y9S,

Vl/Xû».

Γ«ων«ίνης, v, ô, qui manque de terre ; pauvre—qui travaille à la terre. R. γϋ, ««via.

TkWoÎij , plur* de ^«έττονς.

Γ«*σον«ω, fut. ησω, travailler à Ja terre. [ Γ«ωινονία, ας, η, agriculture. [ Πωνόνος, m, c, agriculteur.

Γ«&Μ7ον(χ^ς, S, adj. «pii con-ferue l’agriculture. T* y««>«©-*tx«, traités sur l’agriculture. R. y7t, -πόνος.

?»ώσοϋς, οίος, ό, qui a les pieds dans les champs; agriculteur. R. y7i, τνοΟς.

Γ(ωργιω , fut. ησω, être agriculteur—activ. cultiver ; exploiter—cultiver, au fig, Γ«ωρ7«~ν τ%\ συμψορχς9 saint Grèg. exploiter les calamités publiques, c.àd. profiter des malheurs publies pour s’eurifbir.

ΓΗΘ

Τίώργνμα., ατος , Λ, culture de la terre—travaux de PagrU culture—champ cultivé.

Γ«ωρτ^σιμος, m, adj. labourable ; susceptible de culture

Γ«ωρ/(α, ας, η, agriculture. —culture, au propre et au fig. Ttvpyiçt τον vov , culture de l’esprit, dans saint Grégoire.

[# Π'ορ/ία, guéret ; champ cultivé ; champ.

Γιωργιχύς, ÿ, adj. qui concerne l’agriculture ou I agriculteur ; rural, champêtre. Γ«ωρ7<χάί σχ«ν9, le* instrumens aratoires. H yt<*pyixv) ( sous-ent. T6cv*> )> la science de l’agriculture.    >

Γ«ωρ7ΐχ^ς,βversé dans l’agriculture—qui préside à l’agriculture, èpith. de Janns dans Plut.

r<o»pytxàt, ων, τα, ouvragessur l'agriculture, d'où vient le nom de GÉORGiguEs, donné au poème de Virgile sur l'agriculture.

Ttvpyiov, β,    ^    terre    labourée    ;

jachère—moisson ; fruit.

Γιώργος, S, o, agriculteur; cultivateur,    ’

Γ«ωρ?ώίν)ς, ιος, adj. qui concerne 1 agriculteur ; rustique. Karài το γιωργν&(ς, Plat, à la manière des agriculteurs. R. γιωργος, «Τ<ίος.    .

Γ«ωρις, ων, γιωραι, ων , ot, gardes champêtres. R. y9î, ονρος.

Γ«ωρνχ«Γν, creuser la terre ; (aire des fossés. Γ Πωρνχος, e, ô, qui creuse des fosses, pour des plantations. R. y/J, ορύσσω.

Γιωτόμος, m, ô, qui fend le sein de la terre ; laboureur. R. 7η,

τέμνω,

Γ(ωφαίνιον, 8, xb, mine, minière.

Γ7Ϊ 9 gcn. γ%;, η, mèm. sign, que ya7a.

Χνιγινίχης, 8, γηγινης» Ιος, adj. né de la terre ; produit par la terre. Γη/βνίΓς, les enfans de la terre ; Its géans. R. yîî, γίνομαι.

Γη&ον xb , petit champ ; petit fonds de terre. R. γ%

Γηθιν , adv. de la terre ; de terre. M. R.

Γηθ«νω, γνθομαιι κ γηθω et γπθΐω, fut. γηθτησω , parf 7«/ηθηχ« , parf. moy. γ/γνιθα, se réjouir, être charmé. [ Γβγηθότως, adv. gaiment ; joyeusement. R.

γ*θθς.

ΓΗΘΟΣ, «ος, xb, 7ηθοσννη, ης, $, joie; gaîté.

β Γηθό^ννος ,    8    ,    adj. gai ,

joyeux. [ Γηθοσννως, adf, çaî-ment.

ΓΗΡ

ΓΐίβΥΟΝ, γτ/jxtιον , 8, xb, ;ni)9vUI(» (&ος, η, ciboulette; civette. Γηθω, V. τηθ«νω.

Γηϊνος, «, yifcoç, «, adj. de 1» terre, terrestre. R. 7$.

Γηίτης, 8, ο, agriculteur. R. yÇf. Γηχινος ,    8,ô,    xDor.    yoxtvoç 9

qui ébranle la terre ; qui fait trembler la terre. R. γϊ>, χινίω» Γηλίχης, (ος, adj. qui couche parterre ; à qui la terre sert de lit. R. γη, λ«χος.

Γήλοφος, h, ο, éminence ; colline.'

R, y*î, λό<ρος.

Γ^μη , aor. ι inf. de γαψ,ύ». ' Γηουχος, mém. sign. que /αιηοχος. Γη^ίίον , 8, xb , Dor. oûur γάτη-&ov, », champ, fonds de terre —pièce de terre appartenant à une ferme, comme an jardin9 an clos. R. y^î, iti&ov.9 Γη«τ«*τ/)ς, Ιος, o et 4i, qui tomb· sur la terre* R. yn,

Γησονιω, γψαονία , 7ηβτο>ιχ^ς , /η-ταόνος, mem. sign. queγ^Φτnvi»9 γιων ον ία, y««Mvovtxoç, γκ*·σ6νος. Γηραι'ος, δ , adj. vieux ; vieilli. R. 79|ρας. [ Γηραλ«ος , poet, mêm. sign.    #

Γηραμα, ατος, xb9 vieillissement. Γηραναι pour γηράσαι f V, γηράσχω. Γηράνιον , 8, r'b, vieillesse. Γηράντκσσι , Jon. pour yripaat , dat. pl. de 7ηρας. β β rffPAX, ατος, αος, «ς, vieillesse, f Γηράσχω , τηράω , fut, γπρασω 9 par/.. yty*jpax«, infin. γπράσα* ( ae γτηρνιμι ), vieillir.

Γηροον , «, το, vieillissement. ^ Γηρο6οσχί«, nourrir un vieil— lard ; nourrir ses parens dans leur vieillesse. [ Γηροβοσχια, ας , η , Taction de , etc, [ Γηρο-$οσχ*>ς, 3,q, qui nourrit, etc. R. γΤιρας , βόσχω.

ΓηροχορβΤβν, μ, τ^, heu où I on a soin des vieillards—hospice de la vieillesse. R. γΤιοας, xojUo»· Γηροχορβω, avoir soin d’un vieillard ; fournir à quelqu’un tout ce qui lui est nécessaire dans sa vieillesse.    %

Γτηροχομίοι, ας, ή, Paction d’avoir soin d’un, etc,—οέκο-comie , partie de la médecine qui traite du régime que doivent observer les vieillards.

Γηροχομ,ιχ^ς, δ, adi. qui concerne l’entretien d’un vieillard. 1% γνιροχομιχον μ/ρος , GÉR0C0M1E y V. γηροχομία,

|V}pôxo(Aoç, 8, ô, celui qui

Îirend soin d’un vieillard, <jui ournit à l’entretien d’un vieillard,    ^    f

Γηροτροφ«ϊον, 8, rb, lieu où 1 on nourrit les vieil laid», R. ρα;, τρ«φ».

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ΓΙΓ

Ι^ρβτροφι ·», fut. ησβ» , γηροτροφΓα ,

ας, γηροτρόφος, «, mem. sign. que γηροβύαχ/ω f γνροβοσχία, y»r ρο$οσχος.

Γψ«|*α, «τος, τ^, voix, son. R.

yfyvç*.

Γηρνονιυς, ίβς et 95ος, ο, Γηρνονης, β, & , Géryon, vaincu par Hercule.

ΓΗΡΊΓΣ, νος, voix; son. [ Γη-pv»« parler; dire-—faire entendre un son de (a bouche. Γν)Π«ον, F. γηθυον.

Γιίτης, *», ô, agriculteur. R. 7η. Γητο^/ω, fendre le sein de la te rre { labourer. [ Γ^τβμος, «, ό, qui fend. etc.; laboureur. R. rn, τ/μνί». ^ ^

Τηψάγος, *, o, qui vît de la terre, c. à d. qui est réduit à vivre de racines—pauvre. R. fn , ψάγω.

Γηχντον f « , -Λ, la terre franche ; la bonne terre, c. à d. celle çui es lapant le iuf Fvjvpou, mêm. sign. çue yn»p ai. riyeh»Tot7oç, «, adj. ytyavtttoç, * , de

«<knt—gigantesque; énorme.

I. yiyeç.

Γιγανηαίος, ·, adj. de géant—\ grand; énorme. riyavTtcu», imiter les géans; ressembler aux géans, r. £ d. avoir leur impiété el leur férocité.

M. R.

Γιγαντοΐ/της, *, 4, ytyoevroX^reep, ορος, ί , exterminateur des géans, èpith. de Jupiter.

rtyovroX/tiç 9 $, et yiyavroM-τίιρα, qui donne la mort aux géans, èpith. de Minerre çui aida Jupiter à exterminer lès géans. n. γίγας, hX/ω. Τιγαννομαχία, ας,^, GIGAUTOMA-chix, combats dés géans de la fable contre les Dieux. R. yiyaç, μβίχη.

Γιγάντωσης, coç, adj. semblable aux géans — gigantesque , énorme. R. γίγας, «Τίος. Γ1ΓΑΡΤΟΝ, «, rfc, pépin de raisin—noyau, de prune, de cerise, d'olive, <?/r. [l\yapT»-£ης, coç, adj. plein de pépias —semblable à des pépins. R.

yiyapTov , «Τίος.

Ciy<xç, αντος, & ,· géant. R. τ?!, yoc«, parce aue les géans ètoient fils de la Terre, selon la fable —homme d’une grandeur démesurée.

ΠΓΓΙΔΙΟΝ, ·, r*? passerage, plante, ou cerfeuil, herbe. ΓΙΓΓΑΙΣΜΟΣ, 5, 0, chatouillement— rire qu’on provoque en chatouillant.

Γr/Aof,    ·, nain; nabot. .

TIN

ΓιγΠνμοιιί^ς , δ , adj. gingly-moïde ; qui est en forme de ginglyme. Γ ΓιγΠνμονσθαι, être ginglymoïde; s’emboîter.

ΠΓΓΑΥΜ0Σ, 5, ô, gond de porte

— charniere — baiser sur la bouche. [ ΓιγΠνμίς , η , GIM-OLYHE, articulation par laquelle deux os s'embotlent et sont mobiles en deux sens, comme une charnière.

ΓίίΤΡΑΣ, *, ô, nom d'une petite flite çui apoit un son triste el lamentable. [ ΓιγΓραίν», jouer de la flûte appelée yty/ρας. [ rty/pouve» se dit aussi du cri de’Pfùe.

rty/ραντ^ς, 5, adj. que Ton a joué sur la flûte appelée yiyfpeç. f ΓιγίρασμΙς, S, 0, le son du yty/ρας.

ΤίγΧνμοι, m. sign, çue ycyHvpoç.

Γίγνομα*, V, γίνομαι.

Γιγνωσχα, V. γιννσχφ.    (

Γίννος, *, $, mulet, engendré d*un chepal et dune Ancsse.

ΓΪΝΟΜΑΙ, yiyvopat » fol* ytwfeo— μαι, parf. y«ycvv^«t (ζ/^ίναομαι, àtiu. ), aor. 1 iycνηθην, aor. 2 Λ0/. fy* νομήν, porf moy. γ(-yova ( Λ yci'và» ), naître, et autres significations exposées dans les exemples sut pans.

Γίνομαι , γίγνομαι , naître. Ytyyaèat χαΧως, être d’illustre naissance ; êtr de bonne fa« mille, riyvev^ac τύραννον ιτατρίς, être né d’un tyran. £χας-ος ηίΗΜν ονχ αντο» ρ.όνβ» ysvoycv y Plat, chacun de nous n’est pas né pour lui seul, mais pour la patrie. Tcyovwç «τη «Γχοσι, ΛΓ^/r. âgé de vingt ans.

Γίνομαι y devenir — être — arriver. Γ/yove *τλονσιος, il est devenu riche. Γίνομαι c«< ταν-της τ55ς γνώμης, JJèm. je suis dans cette opinion. Γίνομαι σοι, ίι ?χθρ«ς, A ri st. je suis votre ennemi, rivcodai &aro τίνος,être séparé de quelqu'un. Γίνισθαι ΐφ «τ/ροις , Thucjd. mettre ses espérances dans les autres ; se reposer sur les autres. Tt y/yovi; qu’est-il arrivé? Tiyoviv wçc, etc. il arriv.i que, etc. ycvorro, à Dieu ne plaise. Γίνομώης γημης, le bl'uit s'étant répandu.

Γίνομαι , être appliqué b. Γίνομαι ιτρος τοντο, iv τοντφ et Ίτιρϊ τοντο, je suis occupé ou je m’occupe de cela. Γίνόμ«ος àvrh «ραζίων ^xcivwv, Plut. ayant cessé d’être occupé de ces affaires-Ià.

Γίνομαι, verbe de mauee*-

TAA 2î5

nfent, venir—parvenir—arriver—approcher. JÜ«r«î ty/viro feî ιτοταμω, Hèrod. quand if fut arrivé sur le-» bords du fleuve. Γίνονται τταλιν vtarli toZj ^«μαίοίς, Plut, ils tombent de nouveau sous la domination des Romains. Γινέμινος «αυτοί, étant revenu à lui-même.

Γίνομαι employé impersonnellement , ytvcTui σοι χαλως, tout va bien pour vous.

riyv£<70ai, suivi d*ùn nom de personne au ξέη. être esclave de, appartenir à. £&»xc Σάτνρβ (αντον TTOTi yrvopi'vejj, Dèmosth. il donna à Satyre qui avoit été son esclave.

T* yiyv^Atve, revenus ; fruits, Λ1 la terre y du travail ou du commerce. .

Γιγνόμχνον signifie çuelyurfois légitime ; juste ; équitable ; convenable; raisonnable. Oû γι/νόμ«ναι «inxWcç, espérances absurdes.

ΠΗΰΧΚΰ, ytyvwoxw, fut. yvwao-μαι (Λ yv&>),    lyvwxa,

aor. 1 Ιγνωσα, λλγ. a iyv«v ( da yvtt^Ai ), impèr. aor. a yySôi, opt. yvoίην , Jiri/. yv», inf yv5-va«, part, yvovç, connoitre — reconnoitre — comprendre ; concevoir—sentir —- s’apercevoir. Γνώθι σ«αντον, connoi»-toi toi—même. Γιχωσχω ητ7ο* Αν, Aristoph. je sens mon infériorité. ^ Ovtw yivunrn ως ovii «ανσομ/νον ίμοΖ , Luc. saches que je ne cesserai pas.

ΓινωτΜ», penser; être dans une opinion—statuer; arrêter—juger. Π<ρι τοντων οντ» yiyvttoxft»., Χτλ. tel est mon sentiment sur ces choses. l£y— ν·»χώς, ayant résolu de. A^ixos tyv«xt ircpi ΐμον i Ζ«νς, Luc. Jupiter a porte contre moi une sentence injuste.

Γινώσχ*), connoitre — avo;* commerce, avec unefemme.

Γινώσχω \ pass, être connu, etc.—venir k la connois-sance; venir à être connu. Le pari. Ιγνωσμινος, statué, jugé, a çuelçuefois la sign, act ire, ayant jugé.

Γλοί'/ος, to», x\y poèt. pour γ<&%, lait. [rXayip^ç, », adj. et γ)*-yo'tiç, «ντο\>adj. défait; l;.i*· teux. [ Γλαγόων, οντος, qui dt*^ vient laiteux — qui n'est pas encore en parfaite maturiîé.

ΓΑΑΖΩ, aor. a ϊγΧαδον, étendrç ses ailes—crier.

ΤΧαχΊοψάγος, mém. sign, çue jaJ.ay xfoya'705.

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4i4 ΓΑΑ.

Γλάμη, νις , Dor. γΧάμα, chassie.

Ν [ Γλαμάω, être chassieux. [ Γλα-ρνρΐ>ς, 5, adj. γλαρω^ς, «ος, γλάρων, ονος, chassieux, [ Γλά-μνξος, «, mém* sign. Γ Γλαρυ-ξίάω, être chassieux, η. λ*»μι».

ΓΛΑΝΙΣ , (<ίος, η, λ*λι Λβ poisson qui mange Vamorce sans avaler f hameçon.

ΓλαΑς, mêm. sign, que ή vat να, l’hyène.

Γλοτσίω, fut. άψ», creuser — taille^. R. γλάφ«.

ttapU» (ίος, Y>, outil pour tailler et polir tes pierres; marteau ointu d’un côté et tranchant e l’autre. R. γλαίφω.

Γλ αν xi oc», (Γ oit vient te part, γλαν-xtowv , /ολ. pour γλαυχιών, lan -c<*r de »es yeux bleu* de* re

fards terribles—devenir bleu. {. γλαυχο'ς.

Γλανχίζω, devenir bleu, azuré —avoir la vue trouble.

rWiov, *, A, glaucium, plante du Levant y appelée autrement pavot cornu. Γλαυχίον est aussi le nom d'un certain oiseau qui a les yeux bleus. [ Γλανχίσχος, «,

h, nom d'un certain poisson ÿui a les yeux bleus.

Γλανχιος, », mém, sign, que γλανχός.

Γλαυχιόων, Ion. pour γλαυχιων. V.

γλαυχιοίω.    ^

Τλοηίχόμματος, v , b, qui^ a les yeux bleus. R. yXavàç, ομμα.

ΓΛΑΥΚΟΣ, S, adj. bleu ; azuré ;

3ui est couleur d’eau ; qui est e la couleur de vert de mer.

Γλαυχ^ς, qui a les yeux bleus.

Γλανχότης, ητος. η, couleur bleue ; couleur d’azur; couleur d’eau de mer.

Τ^ανχόφθοάμος, 8, o, mem. sign, que γλαυχόμμανος. R. γλανκ^ς,

οφθαλμός.    β

Γλανχόχρου;, οο%ypoet. qui est de Couleur bleue; azuré ; qui est d’un vert de mer* R. γλανχός.

Γλαυχώίης, toç, adj. qui a la figure d'une chouette ; qui ressemble à une chouette. R-γλανξ, «Γίος.

Γλανχωμα, ατος, A, GLAUCOME, maladie de Cœil causée par f épaississement de t humeur cristalline qui devient de couleur verdâtre. Η.γλαυχός. [Γλαν-χωσις, «ως, η, mém. signif.

Τλ<*νχώ«πς, ιδος, η, qui a les yeux b'eus, épith. de Pallas. R. γλαυκές, ωψ.    ^ e

Γλανκώσης, *» γλοιυχοτβΛς, 5, adj. γ/αυχώψ, «σος, qui a les yeux bleus. R. γλαυκές, ωψ.

Γλανχωσις , V. γλαύκωμα.

Γλανχωψ, V’. γλανχ«*rni*

fAl

ΓΑΑΓί, gèn. γλαι^Λς, η, cllOUétW.

[ Γλαυξ, nom tPune espèce de monnoie marquée d'un hibou, chez les Athéniens—nom d'une sorte de danse—nom d*une cer· taine herbe qui donne du lait aux femmes qui en mangent.

fiotvpov, mém. sign. que σ«μν·ν.

ΓΛΑΥΣΣΩ, voir—briller.

Heifu, νος, A, cavern· ; antre ; grotte. R. γλαίφ·».

Γλα?υρία, V. γλαφυρός.

Γλαφβρ^ς, 5, adj. Creux; cavé;' creusé ; profond — bien fait ; élégant ; qui a bonne grâce— ajusté ; accommodé. [Γλα*νρ«ς, adv. élégamment; avec grace; avec goflt.

ΓλοΜρυρία, ας, élégance; forme agréable ; bonne grâce.

Γλοιφυρότης, ητος, mém. sign. que γΧαφνρία. R. γΧάψ».

T\X*Qyfut. \<*9parf ψα, creuser— tailler, sculpter.

Γλάχων , ωνος, η, Dor. pour γλη-χων, pouliot, herbe, la même que le βληχων, d'ou pient βΧν-χομαι, J>èler, parce quelle fait bêler les brebis.    .

Γλπνος, V. γλΓνος.

Γλίνχαγωγ$>ς , S, adj. propre il transporter du vin doux. Γλιν-χαγω'/φς βνρσa, outre dans la-uelle on transporte du vin oux. R. γλ«νχος, άγω.

ΓΑΕΪΚΟΣ, ioç, A, moût, vin doux. [ Γλιυχινος, y, adj. de vin doux ; qui a le gout ou la qualité de vin doux — qu’on exprime comme du vin doux, fttvxivo* «λαιον, la première huile , celle que rend Γolive avant quelle ait été mise sous le pressoir.

Γλινξις, ι«>ς, VI , du moût cuit ; du vin cuit.

Γλ/cpapa, Dor. pour βλξ'ψαρίχ.

Γλήμη, ης, v> j chassie. [ tXmpJuê, être chassieux. R. Xvprj.

ΓΧν)μω£της, c»ç , adj% cha$-sieux. R. γΧτίμνι, πίος.

Γληνια, »v, t i, étoiles—pierreries étincelantes; raretés d’un grand prix. R. γληνη.

TAWÎNH, ης, η, le brillant de Tceil; la prunelle de l’œil— l'œil—rayon de miel. Γληνη , petite fille — poupée. Καχη /ληνη, Hom. fille timide.

Γλν>νη, emboiture des os.

Γληνος, «ος, τοy étoile—lumière.

ΓΛΙ^ΧΩϊϊ , ωνος, η , pouliot , herbe, V. γΧάχων.

Γληχωνιτης οΓνος, vin de pouliot.

Γλία, ας, η, j colle.

Γα«

Ήιαβμάχ, jeuer ; sharia user αΦ·?# envie.

Γλίνη, mêm. sign. que ρννος p ordures.

Γ ΑΙΝΟΣ, «, érable blanc, orire-

Γλιόω, jouer.

Γλισχραίνο», rendre visqueux ; conglutiner. R. γλισχρος.

ΓΧίσχ^Μμα, ατος, x6 , conglutination ; viscosité.

Γλισχρινοααι, être serré, c. à être d numeur épargnante ; vi- < vrê chichement. R. >λισχρος.

ΓΛ^ΣίΡΟΣ, ·, adj. visqueux ; rongluliné; dur, à la manière \ du cuir.

Ήίνχρος, glissant.

Γλ/σχρος, très-épargnant ; qui est d’une grande parcimonie.

Γλίσχρος. économique; mince; mesquin ; sordide — ladre —* sale, malproprevrtfo^pv) τίχγ-*, Luc. un pauvre métier.

Γλίσχρος, malheureux; tin

. pauvre diable, en style familier*

ΓλΙνχρως, adv. d'une manière visoueuse—de manière à faire glisser—en glissant— avec la plus grande parcimonie ; mesquinement, et autres sens de T adj.—de pl. avec difficulté, avec peine. Γλίσ-χρος £àv, vivre chicnement.

Γλισχρότης, vjtoç, ^ viscosité; conglutination — pas glissant; danger*de glisser—parcimonie , sordide avarice ; mesquinerie; ladrerie. R. γλίσχρος.

Γλισχρ»£ης, ιος, adj. semblable à ce qui est visqueux, à ce qui est conglutiné. R. γλίσχρος,

«Η?Ος.

Γλίσχρων , ονος, b, qui désire ar4· demment, de γλίχομαι. *    .    .    ,,

Γλίσχρνν, malheureux; qui a de la peine à vivre, de γλίσχρος.

Γλίσχρως, adv. V. γλίσχρος.

Γλίτίον, y 9 Ά, ordures ,· crasse du corps.

ΓΛ1 ΧΟΜΑΙ, désirer; ambitionner ; aspirer à ; convoiter ; vouloir-—*/* pl. croître ; s’engraisser. Γλίχομαι vrcpî τ>ΐς Acv—

0*ρίας, Hérod. je suis partisan de la liberté. [ Γλίχορ.α«, jouera

Γλοια^ω, clignoter; cligner les yeux. R. γλοιός.

Γλ^ιλς, αίος, ή , une jument mauvaise, malicieuse.

Ποιης, ητος, ο, mêm. sign. ÇÆ*e

γλο^ς.

ΓΛΟΙΟΣ, «, adj. foible, débile—. sale, malpropre — méchant -malicieux.

, Γλοιός, qu’on ne peut jamat*

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ΓΛΥ

tenir ; gui trouve toujours moyen d'échapper lorsqu'on croit le tenir—qui s'échappe comme une anguille, en sir le familier.

Ποώς, subsi. crasse de la peau, particulièrement la crasse ae ceux çui s*ètoient frottés dhuile.

. Ποιονββη, devenir gluant ; ^encrasser. ‘

Ποιωάΐς, *·ς, ad), visqueux ; gluant—crasseux. T% yXoiS&tç, crasse. R. γλοώς, ΐι£ος. Γλοιωίως, adp. à la manière de ceux cjui clignent les yeux , lorsqu ils succombent au sommeil. R. 7Χοιάζ ctv. rtovri*f w,t3i, deux corps durs et saillans placés k l'entrée du cerveau.

Ποντ&ς, g, ©# le derrière—la cuisse. R. ylot^ç.

Γλνζω, avalér, engloutir. Γλυχάζω, devenir doux; se dul— cifier. R. ylwxvç.

Γλνχαινω, rendre doux ; dulrifier; édulcorer. [Γλνχανσις, ιως ( l'action de, etc. [ Γλνχασμα, οτος, το, γλυχασμΪις, g, i, douceur. M. R.

, ΤΧ\>χί<χ pour yX\jxt~a,fém. de γλνχνς. ΓλνχιΤα, ας, -η, même herbe çue celle appelée γλυχυρριζος. · ΐΑνχ«ρος, g, adj. doux—agréable, compar. yλvxcpωτfpeς. R. γλνχνς. Γλνχισρώς, m. sign, que γΧυχασμός. rX'Jxtav, /λύχις-βς, comp. et superl.

de yXvxvç.

Γλυχόης, moç, adj. un peu doux;

doucereux. M. R. îWv, neutre de γλνχνς.

Γλνχυαχης pour γΧυχνηχης, Γλνχνίαχρνς ,υος, ό, γΧνχν&άχρυος, «, I, qui répand de douces larmes, epith. de t Amour dans 1    les poètes. R. ylvxvç, èàxpv.

Γλνχνίιρχης, ιος, adj. qui a les yeux doux ; qui jette un doux regard—doux à voir. R. &tp%*.

*    ίΐνχυηχης, «ος, adj. qui rend un

soq doux. R. ήχος.

Γλνχνθυμος, «, adj. qui fait une douce impression sur l’âme; ’· doux; suave ; délectable. [Γλν-χνθνρς, act. qui s'abandonne 1    à la volupté de l'âme.

1 Γλνχ&νμος, qui est d'un ? naturel doux.

Πνχυθνμία, ας, 4, douceur que l'âme éprouve ; délecta-lion—volupté de l'âme, dans 1    le systeme d Epicure—fainéan

tise, paresse ; aversion pour le

•    travail.

Γλυχνθυαια, douceur de ca-wctyre. R. γΧνχνς,

ΓΛΥ

Γλυχνχαρνος, «, ad?, qui porte des fruits doux. [ Γλνχνχαρ-σ/ω, produire des fruits doux. R.

γλνχνς, χάρνος.

Γλνχυμιίλινος, «, adj. qui est d'une humeur extrêmement douce—dont les paroles sont douces comme le miel. R. ylvxuç, μίίΧιχος.

Γλνχνμη, m. sign, çue yλvxvpp<Çα.

^Γλνχνμηλον, *, *fc, pomme douce. R. μηλον.

Πνχύνιχρος, *, adj. qui a une douceur mêlée d’amertume, ipilh. de ΓAmour. R. yXuxvç,

Γλυχνρ£|ζα, ης, ylwxvpptÇo» , *, yXvxvpptÇoç , «f, ο , réglisse , plan e médicinale. R. γΧνχ\>ς, Ρ*£«· >f #    e

Πνχνρριζτπτς οίνος, du vin où Ton a fait tremper de la réglisse.

ΓΛΥΚΌΣ, ιΓα, v, adj. doux-doux, au figuré; délectab'e ; agré.ible, compar. γλνχίων , γΧυσσων , yXvxurtpoç , superl, γΧνχιςος , yXvxvraroç.

Γλνχν , vin fait de raisins desséchés au soleil avant d’ètre cueillis. [ Γλνχν, par antiphr. du fiel.

Γλυχνσί<ΐη, ης, pivoine , fleur.

Γλνχνς-ρνφνος, », adj. Jionl la douceur est mêlée d'un goût d'amertume—doux et amer en même temps. R. y)vxv(, ςρυφνος.

Γλνχντν)?, Ύΐτος, i, douCçur. R. yλvxvς.

Γλνχνφωνος, «, adj. qni a une voix douce, qui chante agréablement. [ Γλνχνφωνια, ας, η, voix douc«*; chant doux. R. yXvxvç, φωνι$.

Γλνμ^α, ατος, rb, sculpture—ciselure — gravure—ouvrage de sculpture, ouvrage de gravure. R. yAνφω.

Γλυ«7^ρ, 9îpος, i, yXW7^, 5, i, sculpteur—graveur. M. R.

ΓλνοΤος, g, adj. qui peut être sculpté—sculpté—gravé.

Γλνσσων pour yivxvrt^oç, comme βράσοτνν pour βραδυνζρος.

Γλνφανβς, *, adj. dont on se sert pour graver, pour sculpter.

Γλνφιιον, *, -Λ, ciseau de sculpteur, de graveur—burin.

Γλνφβνς, /ως,    sculpteur—gra

veur.

, 3ς, ύ, entaillure ; gravure —ce qui a été gravé—ce qui a été sculpté; ouvrage de sculp· ture—gravure—qlyphz, canal creusé en rond ou en angle, çui sert dornament. R. y>vr«>.

£λνφΙς, ίίος, ή, 1e «raa de la

ΓΛΩ sa5

flèche où se met Iîi corde Tare. Γλνφ^ις xatâptov, canifs à taiiler es p urnes , les plumes dont se serpoient les anciens.

ΓX\Kf*ùy ful. ψω, parf y/^λνφα, graver en bosse—reiever ea Bosse-grave»· en creux ; sculpter, ciseler—pitlir. R. γΧάφ*.

ΓΛ&ΣΣΛ, ΥΚ, "η, Ait. yieîtfa, Jon. γΧωσστι, l.m^ue, organa de la parole. Ποα^οΓ; yap η γΧοτϊα npvrp/χξΐ ΤΥ/ς ώανοιας, tiocr. beaucoup de gens parlent avant d’avoir pensé γΧάσ-σρς λ/y ctv , dir*» de bouche, d· vive voix. [ Γλωσση, I;tn0ue, idlàme dun peuple; langage. Ayvwçor*roc την */λωσααν , Thue. s exprimant dans une langue absolument inconnue.

Γλώσσα, terme étranger , façon de parler particulière à une nation, à un auteur — mot emprunté d’une langue étrangère—terme suranné— terme obscur.

Γλωσσά, languette d'un instrument à veut. Γλωσσαι vtao— ίημάτων, cordons de souliers.

ΓλΉσσαλρ/ω, avoir sans cesse la démangeaison' de parler ; être un grand babillaru—dire des niaiseries.

Γλωσσαλτης, /ος, adj. tourmenté de la démangeaison de parler, grand babi lard Γλωσσαλyéα, ας, η, démangeaison de pari* r ; babil—niai-Seiie. R. y^eva, άΧγος.

Γλωσσαρτος, u, adj. babillard; iaseur. [ Γλωσσoφyι'αf ας, loquacité; babil; jaserie. R. γΧίϊνσα, ipyo;.

Γλωσσάριον , «, xh, petite langue.

Γλωσσασν<{,· ιίος, o et y % liltèç. k qui sa langue sert de bouclier, c. à </. qni se défend avec la langue, qui combat avec la parole. R. yλωσσα, άσβτί;.

Πωσσηματιχον, g, terme d’un· langue étrangère; tern «obscur ou peu usité ; terme qui a besoin d'interprétation. R. yÀéwaa.

Γλωσσίς, r. yλωτ7»;.

ΐΧωσαογάςο*, ορος, o, qui gAgn· avec sa langue de quoi vivre. R. -/λωσσα, yarvjp.

Γλωσσογράφος, *, o, celui qui fait des glossaires; scholiaste; commentateur^ H. yλωσσα, yp«V».    .

Γλωσσοκ^ης, g, adj. qui a la for:ne d’une latigue ou ^l’unt languette. II. 7λωσσα,

Γλωσσοχαίνοχον opyavov', initru— ment qui tient la langue ;imU-jélie; 6Lossocatoci&£ , imtra-

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aaG ΓΝΑ

ment de chirurgie qui sert h

abaisser la langue et à ΐassu-jetir contre les parties intérieures de la bouche, afin de découvrir daus le fond les maladies qui y surviennent, β.

- γλωσσά, χατ/χ».

Γλωσσοχομ*Ταν, ν , γλωσσάχΟμον , »,

xi, GI.OSSOCOK1^instrument de chirurgie en forme de coffre long, dont on se servo it autrefois pour réduire les fractures et les luxations des cuisses et des jambes — petite malle — petit coffre, où les anciens serroient les languettes de leurs fiâtes— cage—1-bière, cercueil.

Γλώσσοχρατ/ω, être maître de sa langue; savoir se taire. R. γλώσσα, χρατ«ω.

Γλω<π7ο<:ροφ/ί«ι, avoir une grande volubilité de lanffue; avoir la langue bien pendue, en style familier. R. γλωσσά, ςρ/ψω.

ΥΑωσσάτμητος, «, adj, qui a la langue coupée. [ Γλωσσοτομώ», fut. ησω, couper la langue à quelqu’un. R. γλωσσά, τ«'μν«.

Γλωσσοχαριτ/ω, fut.    , dire des

choses flatteuses, pour capter la bienveillance — être obligeant de la langue, c. à d. être obligeant en paroles et non en effets ; ne donner nue des paroles. R. γλώσσα, χάρις.

Γλωσσώίης, ιος, adj. qui est fait en forme de langue ou en forme de languette — qui ^ a beaucoup de Manque; babillard. R. γλωσσά, «Tooç.

Γλωτίιχος, », adj. qui concerne la langue—dont on se sert comme d’une langue. R.

γλωσσά.

Γλωτίϊς» ίίος, 3, languette de flûte—la glotte; la luette— le roi des cailles, oiseau.

Γλωτ1ογα'ς·ωρ, V. γλωσσογά<τ»ρ.

Γλωτ1οχομ«7ον , mém, sign. que γλωσσοχομιΓον.

Γλωτΐο«τοι/ω, faire des languettes de flûte. ΓΓλωτίονοιητιχη, 9|ς, ή , l’art défaire des, etc. [Γλωτ7ο-wotfa, ας, ή* l’action de faire des, etc. [ Γλωτ7ο»οώς, S, ô, celui qui lait, etc. R. γλώσσα,

ΤΓΟΙί'ν.    ·

Γ*<ΛτΊοςροφί'(Λ, F". '/Χωσσοςροφίω.

Γλώχις, ων, αί, les barbes de l’épi ; les épis ; du nom. inus. γλώ£.

ΓΛΩΧΙΣ, yXcaylv, Γνος, η, pointe d'un trait, d’un javelot, d’une épée—angle.

Γ.Υν'ΘΟΣ, », γνάθμος, », e, joue; mâchoire; bouche. Il xam χν.ΐ -η άνω γνάθος, la mâchoire iûîtrieure et supérieure. Γ/ά-

ΓΝΤ

θος, dans Hjèrod. la mâchoire inférieure. Γνάθους φνσ$ν, enfler les joues. Γνάθος se dit des animaux et surtout des chevaux. Γναθόω, frupper sur la joue. Γνάθο»», ονος, parasite.

Γναμσΐΐς, 5, adj. courbé, recourbé—qu’on peut courber —qu’on peut fléchir, au propre et au fig. R. χβίμσΊω.

Γνοίμ-Βΐ/ω , fat. γνάμψ», courbern recourber; fléchir, au propre et au fig. —déchirer—carder.

*Dans ce dernier sens, on dit mieux γνάτ»7ω.

ΓνάσΤω, γνάφω, peigner; carder.

Γ Γνάψις, ie*ç , η , l’action de, etc. R. γ*ά«7ω.

Γνα<ράλ»ον, »,’vfc, pied de chat, plante dont les feuilles sont couvertes d*une espèce de coton cardé. R. γνά<ρω. On se servoit.de ce coton au lieu de boufre, pour les matelas.

Γνάφαλον, *, Ά, la laine nui tombe des drape quand on les carde; bourre. R. γνάγω.

ΓνοΗραλώίης, ιος, adj. cotonneux ; laineux—-mou comme de la bourre. R. γνά<ραλον, «Τίος. .

Γναγιυς, /ος, ô, foulon ; cardeur.

ί ΓναφιΤον, », A f boutique de oulon , de cardeur. R. γνάφω.

rvayryrixfcç, ff, adj. qui concerne le métier de foulon— dont les foulons se servent.

Γναφινω, être foulon, cardeur.    '

Γναφιχος , mêm. sign, que γναφιυτίχός.

Γναφ^;, », ô, chardon à bonnetier; chardon à foulon, plante.

Γνάφω, V. γνάτσ7ω.    ,

Γνάψις, y. γνά®7ω.

Γνήσιος, », adj. dont l’origine

’ est légitime; légitime; vrai, rviiffionretliçj enfans légitimes.

[ Γνήσιος, qui n’est pas altéré —qui n’est pas fardé. [ Γν;ησιό-της, légitimité. [ Γνησίως, adv. légitimement—sans être altéré. R. γα'νομαι.

Γνοίην , γνοΰς, V. γινώσχω. *

Γνό^αλλον, mêm. sign, que γναφαλόν .

Γνοφ«ρ^ς, », adj* γνοφώίης, «ος, ténébreux, sombre. R. γνέφος.

Γνοφ/ω, mêm. sign, que γνοφοω.

ΓΝΟΦΟΣ, «, ο, ténebres; obscurité. [ Γνοφόω, couvrir de ténèbres, obscurcir. [Γνογωέης, «ος, adj. ténébreux.

Γιν», £ol. pour νόω.    *

Γννξ,. adv. à genoux ; sur les genoux; un genou en terre; «n s’agenouillant. Πινών γννξ,

ΓΝΩ

Aaat tdtabé sur les genoux·

R. γόνν.

Γνω, V. γινώσχω. Γ Γνω est mis quelquefois pour fyvûi.

Γνωθι, aor. 2 impér. du verbe γινώσχω.

Γνώμα, ας , Dor. pour γνώμη-Γνώμα, ατος, το , chose qui sert à faire connoétre une autre chose —la dent qui fait connollre l’âge du cheval. R. γνο'ω. Γνωματινο». prononcer une sentence, une maxime—parler par sentences — juger, discerner— prendre le dessein.

[ Γνωμάτινμα^ ατος, rht pa-rôle sentenaeuse; sentence; maxime· R. γνώμη.

Γνώμη, ης, η, sentiment; opinion — intention. Ταντην τη* γνώμην *χω, tel est mon sentiment. Ως άναχωρησοντ«ς την γνώμην ιΐχον , Thuc. ils se pro-posoient de se retirer. Γνώαη* -ττοχίΤσθαι, prendre la résolution; résoudre, arrêter. Γ»ω-μην etmοφα(ν«σθα:, Dém. exposer son sentiment, son opinion. γνώμης τιν^ς, J)èm. d’après l’avis de quelqu’un. Éx μίας γνώμης, d’un consentement unanime. Κατàt γνώμη», à souhait ; selon ses désirs,; à son gré ; comme on le souhaà-toit. Παράι γνώμην / contre son attente ; contre toute attente. Κατ {μην γνώμην, à mon avis, à mon sens, suivant mon opinion ou mon jugement. [Γν*>μ*, au datif, pris adverb, de propos délibéré; de dessein prémédité; à dessein; de dessein formé; exprès.

Γνώμη , décret ; sénatus-‘ consulte.

Γνώμη, conseil, prudence, bon sens, raison—esprit ; âmt Γνώμη χρησάμ«νοι, Dèm. faisant usage de leur raison. Γνα>μη> «Τχον «ρ^ςτην «ιρηνην, Thuryd. ι leur esprit étoit disposé à la | pâix. Τι» οΓίσθ/μ< γνώμην Γ^«ιν, Jsocr. dans quelle situation j d'esprit croyet-vous que je sois r

Γνώμη, sentence; maxime de morale, précepte.

ΓνβριιΛν, adv. |»ar tête, en recueillant les opinions de chacun successivement. Γναρη^ι <ιτννθάν«σθαι, demander à chacun son avis, c. à d. former ' un sénatus-consulte d’après les opinions manifestées, et nos par assis et lej>éy ou d*autre manière.

Γνωμι, de yf£&f inus. Γ· γινωτχω.

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ΓΝΩ

Γνιψί&ον, «, «Λ, petite sentence, petite maxime ; petite raison.

Γν«μι£οτ/«», donner ton avis, son opinion. R. γνώμ-η, ίιίωμι.

Γνβιρχίς, g, adj. ONOMIQOK, sentencieux. [ rWaixâ;, adv. sentencieusement.

Γνπμώογίω, parler sentencieusement ; moraliser — remplir son discours de maximes, de sentences. R. γνώμη, ΪΙγω.

[ ΓναμολοτητΙον , il faut employer les sentences.

Υ'»'αμ.ο\ογί<χ , α^, η, Faction d'énoncer une sentence, de s’exprimer par sentence, de semer ses ouvrages de sentences; ton sentencieux; genre sentencieux; sentence. [Γν»-μίΛογιχΙς, 5, adj. qui a rapport au genre sentencieux.

I Γ»ω,χολβ7ΐχω;, adv. sentencieusement, dans le genre sentencieux. R. γνώμη ,ίι'γω.

ΓνωμοΧογος, β, ô et νι, qui s’ôX— prime par sentences; sentencieux.

FvwjAoytx^g, V. γνώμ&ν.

Γνωμοτυνίχ, ας, -η, l’art d’exprimer fortement une sentence, f ryw/jtorwtjoî, », ô, qui a l'art d'exprimer fortement une sentence—sentencieux. R. γνώμη, rvt»o£.

Τνωμοτνσιχως , adv. mèm. sign, que γνρμολογιχώς ci-dcssus.

Τνώμων, ονος, adj. qui prend connoîssance d’une cnose ; connoisseur ; inspecteur — prudent ; sensé. [ Γνάμονοι, nom de certains magistrats athéniens, qui remplissaient des fondions à peu près semblables à cëlles de nos anciens prutf hommes.

Γνώμην , rjui sert à faire connoitre; indicateur—gnomon , le slyle d'un cadran so-taire. Ot γνώμονις^ les dents qui marquent, dans certains animaux dont les dents font connoitre f âge.

Fvwfuw, quart de cercle, instrument de mathématiques.

Γνωμονιχίς, i, adj. il y>t*fio-vixtj ( sous-ent. τ/γνη ), la gno-monique, l’art de faire des cadra os solaires.

Γνα>ρονιχ^, qui a rapport à la gnomonique.

Γν«μονιχ^, habile, expert; entendu, ç. à d. qui s*entend à une chose.

Γϊωριζν, fut. Ισω, parf. Ιγνώριχ*,

connoitre — reconnoitre — (aire connoitre ; faire faire connoîssance ; mettre quel-

ΓΝΩ .

qu’un en rapport avec un autre. R. 7<νωσχω.

Γνώριμος, e f adj. connu; qui peut être conuu—facile à connoitre —connu , c. à d. célèbre.

[ Τνώριμρς, une personne qui est Je notre connoîssance, avec laquelle on a des liaisons ou des relations, mais qui est moins pour nous que φίλος, un ami. [ Γννρίμ»ς, adv. familièrement , et autres sens de C adj.

Γνώρισις, «<*ς,    , l'action de con

noitre , de reconnoitre, de faire connoitre. ΙΙολλην χάοιν βι^ά σβι τνις Btairnvë γνωρίσ*ως. Plat. je vous sais beaucoup de gré de m’avoir fait connoitre ‘ Tlléétête. R. γνώριζα.

Γνώρισμα, ατος, τ&, chose qui sert à faire connoitre ou reconnoitre une autre chose ; indice; signe indicatif; marque di tiuctive — ornement— curiosité, les curiosités tfftne ville. Γνωοίσματα 4?,; ]3ασιλ<ίας, les marque*» de la royauté.

M. R.

Γνώριμης, S, b, qui prend connaissance; connoi^eur—devin—charlatan.

Γνωρις-cxfc;, 5, adj. qui sert à faire connoitre ; indicatif. M. R.

Γνώσεαί, Ion. pour γνώτη. fut, moy. de γι+ώσΉ&.

ΓνωσιρχχΙω , reconnoitre son infériorité — renoncer à un

, commit iuégnl—veuir à résipiscence; renoncer à sa première opinion. De γνωσιμαχίω tient le nom de Gnosimat/ues, hérétiques qui condamnoient tontes les connoissancei. R. γνώσις, μάχομαι.

Γνώσβς, ιως, V), connoîssance— science; doctrine. R. γινωσχω.

Γνωςιος, u , adj. qui doit être connu. [ Γ»«ς·{ο», il faut connoitre.

Γνωςήρ, îîpo;, b, qui prend con-noissance; qui connoit; qui reconnoit—instruit.

Γνω<της, v, 4, qui,connoit, qui sait—devin—-charlatan.

Γνως^ιώς, S, adj. qui a la faculté de connokre, le talent de connoitre. 1% 7vt>?tx)>v, le talent de connoitre ; la faculté de connoitre. [ Γ*ως·*χ«; , adv. avec la faculté de connoitre.

. Oi Γνως-ixcî , les GNOSVIQUES, hérétiques qui se vantaient d'avoir des connoissnnces et des tumierâs surnaturelles* R.

ytVMffx».

Γν»ς)>ς, S, adj. qui peut être connu; facile à connoitre — connu; reconnu. Μ. K.

ΓΟΗ 2a7

IWAç, 3, adj. connu—ami-*-frèrer— parent. [ Γν»τη, sœur —amie—parente.

Γ*ωω ri est usité qu'au parf moy. yl/wa pour ytyvM*, j'ai crié de manière à me faire entendre —j’ai poussé des cris, des cbtr meurs.

Du parf. moy. y/ywva, se forme le présent γ$γώνω, cnûr —dire. Γ(7«ιν« μοι, Soph, dites-moi ; racontet-moi.

Γνώωνι, poèt. paur yvâcrt, aor. ai subj. de 7tvM(rxe#.

ΓΟΑΩ, fai. γνηστα et yo«9t», déplorer ; lamenter ; gémir.

[ Γοά<9/«αι, gémir. [ Γο^θιΐς, pass, qui a été pleuré.

Γoyfpoç, v, i , congre, poisson— congre, tumeur ronde qui se forme sur le tronc des arbres, sur tou t. de f olivier.    ,

ΓογΓρώνπ, νις, νι, GOAGRONI, /tf-meur ronde qui vient à ta gorge, semblable à celle appelée γο/Γρος. Cette tumeur se nomme encore goitre, rornfaa, frt. va», gronder, murmurer. r»yfwÇe> se *dit aussi des pigeons, roucouler. royftJcvt», arrondir, donner uipe forme ronde.

royf&«v/*a , arej , ouvrage de forme ronde, n. yùyîfAv\.

reyf^îj, yjç, ή, y®7Γυλίς, ίίος, yjf, rave—bol; pilule—un pain rond. [ Γ«?/νλ&<ον, v, τ)>, petite rave—petite pilule—petite balle.    ·

ΓογίνΧίζφρ mêm. sign. que γογίν-Xi'Jta.

Γβ/Γνλιος, «, adj. fait en forme ronde; rond. R. ςρογίυΧος* ΓογίνΧις, ί&ος, adj. ronde.

[ roy/νλΐς, snbst. rave. ΓογΓυλόσχτονος, «, adj. qui a uno tente de forme ronde; une maison de forme ronde. R.

yoyf^coç, ffxvjvy).

Γο/Αίλό», mêm. sign. que ytyΓυλ«£«.

R. ςρογίνίος.

ΓογΓνσ^ς, i, o, murmure. R,

γργίΰζω.

ΓογΓνςνις, i, i, qui murmure. rdyJuoxfcç, S, adj. enclin h murmurer, qui aime à murmurer.

Γοιρΐ>ς, », adj. gémissant ; lamentable; déplorable. R. yooio>.

Γόη, νις, pour yo*»T<fa, ας.

Γοκίμ«να(, infin. Dor. de yoxt* Γονίμων, ονος, &dj. gémissant;

déplorable. .

ΓΟΗΣ, ν»τος, i, enchanteur, ex terme de magie ; magicien i qui trompe par des prcsîi^t’*; charlatan; imposteur.

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2*8 TON

Γοηπία, eç, η, magîje, encKan— tome ni—imposture; fourberie —Go ATI B espece de magie par laquelle on iwoçuoit les genie* malfaisant pour nuire aux hommes.

Γο*>τινω, fut. «ύσω, enchanter, an terne de mage; fa ci ner ; séduire par de» pr&»ti e* — tromper. [ Γοητίνμα, prestige —fourberie. 14. yétj;.

Γοητιχ^ς, S9 auj. marque-propre à fasciner, à em hanter —fait pour tromper.

Τόμος, *, o9 charge d un vaisseau ; rar^ai&on. R. yipti. [ Γομοω, charger.

Γομφιάζω, avoir mal aux dents —avoir tes dents engourdies. B. γόμφος.

Γομφίασ'.ς, ί·;,η , γομφιασμύς, i, ô, mai aux dents, au moment de la dentition—" engour-discernent des dents—claquement des dents. R. γόμφος.

Γομφίος, at, ô, dent màchelière ou molaire.

Γομφιό^ονττος , s , adj. qui retentit .>ous l··» dents molaires. R. γομφίο; t £ονΦος.

Γόμφοι» α/ιος, <o;, adj. cloué. R.

γόμφος, ιπ,γνψι.    ,

Γ0ΜΦΟΣ, *, «, clou ; gros clou—» coin.

Γομφ&τομος, *, adj. percé de clou».

Γο/χφο«ο,yî//. «σω, c-ouer—construire ; assembler, en terme de charpcntcr c.

Γόμφβοσις, ιως, η, l'action de clouer, et autres sens du verbe —assemblage ; réunion de plusieurs pièces de rapport en line seule pièce. Γ Γόμφωσίς, gond enfoncédans la muraille, et sur lequel tourne la porte ; le tenon çui entre dans la mortaise s'appelle γιγΧυμ,ος. [ Γομ-φωσ(ς, GOHPHOSK, en Itrme a anatomie, c. à d. articulation immobile par laquelle les os sont emboîtés l’un dans l’autre comme un clou ou une cheville d «iis un trou.

Γόμφωμα, ατος, «Λ , OUTrage Cpmposé île pieces clouées ensemble—assemblage, en terme*

• de charpenterie.

Γομφωτηρ , $ρος , h , qui dr‘ue, qui assemble; charpentier; constructeur.

Γομφω-πίριον , *», tV, ce dont on se sert pour fairç des a*sem-Wa jes—cheville ; clou.

ΓομΛ>ωτος, «, adj. doué—

«ssomblé. .

«'agenouiller. R, y&v.

ΓΟΝ

Γονάνιον, a,    , petit genou.

Ni. R.    n.

ΓονατβομβΓ, ονμβ», se nouer ; formel4 des nœuds à sa liçe, en parlant <Tune plante çut e noue. Γ Γονατωέης, «ος, adj. noué. l{. yovw, «Γίος.    '

Γο>«/α, V. yovivf.

Γον«υς. «ος, ο , père, mais le plur γονsT;.« >gnfi le père et la m*re, les parens. R. γ«('νομαι.[Γον«νω, engendrer; produire; il se dit plus sou cent des choses inaniméesr, telles çue les arbres, etc.

Γονιία, ας, q, l'action de produire.

Γονή, 9î;, génération; procréation — n’s; rejeton — le petit d’un animal — produc-tiMn; fruit de la terre ou des arbres. Πα^χάρνον /ovî|: βρύων, qui abonde en fruits de toute espèce [ Γονή, genre. [Γονη, er.fantemeut — naissance — origine.

Γονίι, semence—génitoires.

Γόνιμος, b, adj. génital; prolifique ; qui a une vertu produc live — fécond, au propre et au fig Γόνιμος ιτοιητίίς > un poëte fécond. R. γονή. [Γονίμως,adv. avec fécondité.

Γονό«ις, ιντος, adj. fertile, fécond. R. γπνομαι.    '

Γονόύροι* , ας, η , yovofρνα, ας, η » GONO&RnEEj g>ηο rhee benîgne. [Γονό,^ροιος, λ y ©, qui a une gonorrhee.

Γονορρνιω, fut. *ίσ« , avoir une ^onorrhée. R. γονη,ριω.

Γονορρνης, v, o, mem. sign, çue , yovôppotoç.

Γόνος, h, ô9 génération; procréation—fils; rejeton—petit, des animaux—origine ; race— semence.

Γονος, i, adj. fécond. [ Γον-ν6ς y Ion. mêm. sign. 0 γούνας, lieu fertile.

ΓΟΝΤ, gén. γοψνος, yovvoç et yova-τος ( de γόνας, tous. ), dat. 70WÏ, yovvl, notn. plur. yowa, yovva, yôvara, yovuotra, dat. 70* νασι, yoûvaat, yovyfai , yovvcaac, 70 νart rot, genou—nœud, tf un jet d* arbre , etc. Γόνυ xouxtsleiv , fléchir le genou. ΠροσνίνΊων χοις yova<xi ou wpoç xk yoyara, tombant aux geuoux de,

Γοννα , au fig. puissance. Ταντα ^«ων iv /ούνασι xerrat, Ilom. ces choses sont en la puissance des Dieux.

rcvvxàtyeo», fléchir le genou. (Ύο-ννκλινν);, «'ος, adj. qili fléchit Je enou. [Γοννκλισία, ας, l’action c fléchir le genou ; suppJica-

ΓΟΡ

tiôn faite h genoux — génnr flexion. R. yo^w, χ)ίνω.

Γοννχροτοι, ων , οί, ceux qui ont Us jambes courbées en dehdr* —qui ont les genoux trembla n s f par suite (f intempérance —timides. R. )ΐόνν, χρότος. row9if(e*,y«/. yjM, tomber aux g· uoux de quelqu’un, pour le supplier — s’agenouiller. R. iclwl*.

Γοννβιτίΐζ , Ιος , ô , i|tii tombe, etc. R. yovu, irΙνΊω. ■ Γόος, v, oy gémissement; deuil.

R. yocu».    4

Γοόωσα, Jan. pour γοωσα. rôpyitoç, v, adj. de Gorgone. ropy«(V7 χ«φαών), tète de Oor-gone. [ rôpynx 9 masques, des anciens acteurs. R. Γοργή, ropycvu, se hâter; précipiter sa

• marche. R. γοργός.

ΓοργοΧόγα, ας, η , qui porte gravée sur son casque une tète de Gorgone, èpith. de Pallas.

[ Γοργοίόφας, «, ô , guerrier qui porte sur son casque une téte de Gorgone. IL Topy»,

λόφος.

Topyôv«ç, ων , aï, les Gorgones. [ ropyovtcoç, 11, adj. de Gorgones. Tfe yopyôvctov, téte de uorgone—masque, des anciens acteurs R. Topytô. ropyovoiToç, », adj. sur le dos duquel est peinte une* tète de Gorgone—affreux à voir. Γοργόομαι, montrer plus de vivacité, plus d’activité—montrer de la fierté. R. γοργές.

ΓΟΡΓ0Σ, S9 adj. vif; actif; ardent; rapide. [T5> yopy^>», vitesse ; promptitude; agilité; vivacilé. [ropyo-niç, ητος, η, célérité ; vélocité ; vivacité ; activité — terreur.

Γορτ-οφόνος, «, ο , èpith. de Persêe. TR. Γοργ&, φ/νω, c. à d. quia tué ia Gorgone.

Topyvpa, ας,η, canal souterrain; égout; aqueduc; gargouille. R. y7J, δρνσσβ).

Γο ayw, όος, η, la Gorgone; méduse—objet épouvantable; la terreur.

Γοργωνης, tioç, 1η9 celle dont l’aspect est aussi terrible que celui de Méduse, épith. de Pallas. R. Tcpyà, «Γψ

Γοργωπϊς, h, γοργωντης 9 y f celui dont l’aspect est aussi terrible que celui de Méduse

— qui lance des regards effroyables.    ·

Γοργως , adv. de γοργές 9 vite ; promptement ; avec agilité, avec célérité ; rapidement ; yiveraeat.

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ΓΡΑ

Γ*ρτν|, K SpTX/Ç.

Γουν pour γ ουν , de γ%, ουν, donc —car—<lu moins—à la vérité —certainement.

Γούνα, V.jôw.

Γοννάζομαι, fut. fltmusi, embrasser les genoux ae quelqu'un cju’on supplie. R. yow.

Γοννατα, V. yovu.

Γοννιομαι, γουνάομαί , γουνόομαι, tomber aux genoux de quelqu’un; embrasser ses genoux ee le suppliant—supplier. R. γόνυ.

Γοννοναχης, /ος, adj. qui a de gros genoux; épais, n. yow, *αχνς.

Γονν^ς, V. yovoç. *

Γοννος pour yovvoç, gin. de yow.

Τονί-ης , ιος, adj. gémissant f lamentable ; déplorable. R. 7Ô0Ç, cc£oç.

ΓΡα'ΒΙΟΝ, «,    ,    bots    de    chêne

ou d'yeuse, ou même de tarbre qui porte la poix dont on fai-soit des torches ou flambeaux,

Γρά£(ον, V. γραΤα.

ΓΡΑΓΑ, ας y ή ( deytpcuh), gèn. plur. ypttôtvpour γραιών , vieille femme, [tpatètovet ypà&ov, a, r)>, une petite vieille.

Î ΓραϊχΙς* î, adj. de vieille emme. [ ΓραΤα, la peau qui environne le nombril.

ΓΡΑΙΚ0Σ, », Grec. [

adv. à la manière des Gftcs.

Γραίνω, manger. R. γράω.

Γραιοομαι, oûftai y de γραία, devenir vieille; vieillir.

Γροας, ίίος, -η y mêm. sign, que 7paT«.

Γραιωσίας, », qui a la figure d’une vieille femme.

Γράμμα, ατος, rb, écrit; livre» Γράμματα StÇuütta, PluL les livres des Sibylles.

Γράμμα, lettre, e. àd. caractère de Γalphabet—lettre ; épitre ; missive [ Γράμμα , Taction d'écrire, écriture. [ Γράμματα , les lob écrites.

Γράμματα, les lettre», les sciences, έύνινικλ γράμματα, les lettres grecques.

Γράμματα, les actes publics; les registres d'un banquier, et £ autres personnes publiques— inventaire ; catalogue ; répertoire.

Γράμματα. tribun ni.

Γράμμα, peinture; on trouve plus souvent γραφή aans ce sens,

Γραμμάριον, «, semoule, ta

vi ugt-quatrieme partie de f once ch et les anciens,    .

Γραμμακια», ας, *, charge de

greffier , de secrétaire —

ΓΡΑ

compte; calcul. [Γραμματιία, littérature ; connoissance des belles lettres. R. γράφω. Γραμματιί&ον, », rb, tablettes; livret ; album ; petit registre-école.

Γραμματιιον , V. γραμματενς· Γραμματιυς , /ος , ο , greffier ; écrivain; secrétaire; copiste. Γραμματιυς, dans le Nouveau Testament, Scribe; interprète de la loi de Moïse.

Γραμματιυς, maître d'école.

Γραμματιν* , être greffier ; être secrétaire.

Γραμματικόν, ι,τ^, tablettes; livret ; album ; cahier—testament; codicile — déposition par écrit—billet; obligation; reconnoissance — registre de banque.

ΓραμμαηΓον, école.

Γραμματιιον , coffre — fort ; caisse.

Γραμμαπΐα, τΐι, actes publics —procès-verbaux—documens. Γραμματηφόρος pour γραμματοφόρος. Γραμματίας, », o, prime-émeraude, pierre précieuse. Γραμματί&ον, «, Λ, petite lettre ; petite épitre—billet ; cédule— déposition par écrit—livrel ; tablettes; album—école. R. γράμμα, de γράγο.

Γραμματίων, enseigner la grammaire ; être maître décote. Γΐ7ραμματισμ«νος ίοΰλος, esclave lettré. £ Γραμματιςής, », b, gbammatiste; maître d'école —copiste—greffier^ [Γραμμα-xiçixbç, », adj. qui a rapport à la grainiftaire; grantmatical. Γραμματιχιύομαι , enseigner la grammaire. f Γραμματιχ^ς, i, ‘ adj. qui concerne la grammaire ; grammatical, vji ?ραμ-ματιχη ( scfUs-ent. τιχνη ), la grammaire. [ Γραμματ»χ^ς, grammairien ; grammatiste ; maître d'école. [ Γραμματ«χώς t adv. grammaticalement.

Γραι&ματιχ^, sur lequel ou laquelle on a gravé des lettres. Γραμμάτιο*, », τί, petite lettre. ■ Γραμματις*));, » , b , et γραμματιςι-χΐς, 8, adj, V, ci-dessus γραμ-ματί£α·.

ΓραμματοΙιΙβΦχαλιΤον, *, τ^>, école. [ ΓραμματοίΜσχαΙος , » , ο 9 γραμματο£ι£ασχαλί£η; ,    »    ,    ο    ,

maître d’école. R. γράμμα, £<£άτχα·.    '

Γραμματοχνφβν ,. «νος , ό, misérable scribe ; misérable maître d'école. R. γράμμα, χνφων. Γραμματοφόρος , », ο, γραμματηφόρος, », b, porteur de lettres; messager· Κ. γράμμα, φ»ρ«.

ΓΡΑ sat)

Γραμματοφνλάχιον, «, τ^, le lieu dès archives publiques — le greffe. R. γράμμα, φνΧάσστα.

Γρααμη , ης, η» li^ne—rentrée die la carrière; 1 endroit d’où partoient les combattans, lequel étoit marqué par une ligne tracée sur ta terre. Γραμμή xv— χίοτιρης, l'iris, dans t ail. .

ΓραμμαΙ , tes cinq lignes qu*on traçoit dans le jeu appelé ζατρίχιον. Celle du milieu s'appelait γραμμή it pic , la ligne sacrée, et le pion qui étoit sur cette ligne ne poupoil être dérangé quà la dernière extré mité ; de là le proverbe : το» itvb γραμμές χινιΓ Àίθον ( sous— ent. Itpaç ), il déplace le pion de la ligne sacrée, c. à d. il ï» recours aux dernières extrémité*.    e

Γραμμικές, 5, adj, linéaire. Γραμμ:χαΙ &τΒο$ειξιις , démonstrations par lignes, démonstration des problèmes linéaires, en géométrie.

Γραμμικές, », habile li résoudre les problèmes lineaires.

Γραμμοιι&κ* ιος, adj. qui a ki figure d'une ligne; linéaire.

[ Γράμμοtt&&ς , adv. suivant une direction linéaire.

Γραμμωτής, ιος, adj. qui a la figure d’une ligne — étroit et long—effilé. R. γράμμα, «Τ£ος·

Γράνιχος, », ô, le Granique, fleuve,

Γρά-σις, ιδος, η, la dépouille du serpent, et aussi de tout autre animal qui mue.

Γραταίιον , il faut écrire. R. γράφω.    *

Γρα-crlrjp, 9ίρος, ό, un écrivain.

Γράετϊης, », o, sillonné de rides.

ΓρασΤος, 5, ad)i. écrit. ΓρανΤος ν$μος, loi écrite.

ΓροναΊΙς, νος, η, marque des coups sur le corps ; raies sur le dos; écorchure. R. γράφω,

ΓΡA?ΣΟΣ, », γράσσος, », b, or-dufes qui s’amassent dans ta laine des brebis—le Suint de .la laine des brebis—puanteur d'aisselle—odeur de bouc ou de bouquin.*

Γράατνος, », adj, fou, insensé.

ΓΡΑ'ΖΣΟΣ, », ο, cri des soldats, au commencement du combat.

Γράς-ις, ιως, η, gason, herbe.

Γράσων, «νος, ·, qui sent le bouc ou le bouquin—insensé.

Γρανς, ολς, η, vieille femme—

Î>eau ridée qui se forme sur a bouillie et sur la surface des liquides exposés à l'action du feu—puanteur d’aisselle.

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23ο ΓΡΑ

Γραφπ'ίιο», «, γραψίΐον, «, Λ, stylet à écrire—pioceau. .

Γραγινς, «ως, ©, peintre—écrivain.

Γραφώ» pour γράφω.

Γραφτι,^ς, 4), écriture; écrit— peinture — tableau —accusation. Ανοφ/pctv γραφήν, intenter une accusation. [ Γραφή, visage fardé. [ Γραφαί, dans les auteurs ecclés. les Ecritures, c. à d. les Saintes Ecritures.

Γραφιχ^ς, S, adj. qui sert à écrire. Γραφιχ^ν ρ-Λαν , l’encre dont on se sert pour écrire. Γραφ«χον pctOpov, mêm. sign. Γραφιά owvoμις, le talent d'écrire , opposé à αύτοσρ^έιας-οτί) , le talent d’improviser.

Γραφικός, habile écri\'ain.

Γραφιχος, habile peintre. JÎ

ntxvi, l’art de la peinture u dessin. [ Γραφιχώς, adv. comme un peintre ; en représentant vivement les chases; en faisant en sorte que le lecteur sïmagine voir, et non pas lire.

Γρ»φ|ο«ί<?γ}ς, «ος, l’apophyse sty-Joïde, ea terme d'anatomie— l’ergot d’un coq. R. ypatpiov , «Γίος.

Γραφιον, *,*)>, γραφ\ς, «βος, η , stylet, dont les anciens se ser-voient pour écrire—pinceau.

Γραφίς, dessin; esquisse.

Γραφίσχος, S, ό, instrument chi-rurgieat pour extraire le fer d'urne plaie.    *

Γράφομαι, V. γράφω,

ΓΡΑΦΩ, fut, ψω, p°rf. γίγρχφα', cè mot signifia d abord, graver des lettres ou des marques sur la pierre ou sur le bois; dans les auteurs postérieurs à Homère, il signifie écrire, tracer des caractères alphabétiques— Écrire une lettre—écrire en prose. IlotrtV 7) γοχγαν, Isocr. écrire en vers ou écrire en prose. Γράφ«ιν mpt τίνος*, Arist, écrire sur quelque sujet.

Γράφ«<*, arrêter; décréter; décerner. Γοάφκιν το» <τόλ<μον, décréter qu on fera la guerre. Tpàfttt vépov , porter une loi. Γραφήν ψηφ(σμα, proposer un fiécret à la sanction du peuple.

Γράφω, intenter une action ; accuser. Dans ce sens on emploie aussi le moy. Γράφομαι σ« «ροέοσίας, Plut, je vous accuse de 'trahison.

Γραφήν, inscrire; mettre au ■ombre de.

Γράφω, crayonner ; peindre.

ΓΡΟ

Au lieu de γράφω, on trouve quelquefois γραφίω, fut, ypa-φήσω, parf γιγράψηχα,

ΓΡΑΩ {d'où vient γραίνω ), fut. γράσα», manger—sculpter.

Γραώδης, «ος, ad/, de vieille femme — semblable à une vieille femme. R. γραΖς, tîfος.

ΓρτηγορΙω, f. ήσω, parf. moy. ίγρ-η-yopa, veiller; ne pas dormir. Ε'/ρηχορώ;, qui veille, opposé à νβνώίης, un dormeur. [ Γρυ-γόρνισις, ιως, n, Faction de veiller ; vigilance. [ rp^yopixfcç, S, adj. qui veille; vigilant.

Γ Tpnyopvrrto*9 il faut veiller.

R. CJttpCO.

Γρπγόρσιον^ «, ce qui empêche de dormir; ce qui fait veiller. R. ypyjyop/ω, aiyt !ρω.

Γρηγορωτιρον, adv, avec plus de vigilance. M. R.

Γρτ,>ορώς/><?///" (γρτηγορως.

ΓρνίΥος, », adj. de vieillefenunc —vieux ; antique. R. ypavç.

Γρηνιχος pour Γράν<χος.

Τρπντίζω pour γριττίζω, pécher— pécher, aufig.—tirer au profit.

Γρ^νς , gén. ypribç, dat. yprjt, 7pwç f gén. γρήύος, vieille femme.

Γρίνος, y, o, peau.

rpttvi/a, aç, 4), pèche—gain— âpreté au gain. R. yptwoç.

rpitvcvç, «oç, o , pécheur—âpre au gain—qui raccommode des filets. [rpttwwM, pécher—être intéresser; cherchera gagner.

rpcwTjiç, Uo;, ri, l’art de pécher.

Γρι&ίζω, pécher—avoir de l'avidité pour le gain. [ Γρί^ισμα, ατος, τ^, pèche—gam—avidité pour le gain.    .

ΓΡΥΠΟΣ, », o, filet de pécheur.

Γρίφων, ωνος, ô, pécheur—celui qui raccommode les filets. R.

γρίττος.

Γριφασβαι, écrire ; griffonner— déchirer avec les ongles ; égratigner.

Γριφο«<£γ)ς, /ος , adj. qui ressemble à un griphe; captieux —désagréable. £ rpu^wfcjç, «ος, adj. embrouillé, énigmatique. R. ypê^oç, tïtoç.

Γρίφος, », ©, filet de pécheur— GRIPI1E, énigme ou quest·on captieuse, qu'on se faisoit un jeu de proposer pendant le souper : ceux qui ne pou~ voient la résoudre étoient sou-mis à une peine, [ Γριφβνω , résoudre un griphe, une énigme.

Γρομφχ;, ά$ο;, -η , une vieille truie. R. γρνζω.    .

ΓρομφιΤς, ων, oc , peintres. R. γρχφω.    .

ΓΡΥ

Γρένθων f premières leçons qu’on ‘ donne à ceux qui apprenuent à jouer de la flutfe; apprentissage des joueurs de flûte. R. ypv, peu de chose, τόνος, ton. ΓΚίϊΦΟΣι ι, ό, javelot—;proprement, c’est le fer de la lance qu’on fiche en terre. R. %p6<r-σος, frange, parce qu'il est ma bas comme la frange est au vêtement,' [ Γροσφομάχο;, «, vé-lite qui combat avec le javelot, avec le javelot appelé ?ρά<τφος.

[ Γροσφοφόρος , mem. signif ΓΡΥ ouypZ, rognure d’ongles-^-un rien; un fétu. Ov£< you ivjtxpivaro, il n’a pas répondu le plus pefit mot.

Τρύζω, fut. νξω, parf. νχα, gro-

• gner, en parlant d'un cochon —gronder, murmurer—par-1 1er en treses dents ; marmotter.

Γρνζω, ouvrir la bouchç· rpvÇciy ού τολμά, il n'ose pas ouvrir la bouche, c. à d. il n'ose souffler le mot. Γρύχ7ο»

, Ιςtv νμίν , vous ose? souiller ï Γρύλλη , πς9 η, grognement.

[ Γρνλλίζω,’grogner. [ Γρνλλι-τ-μ^ς, 5, ό, grognement. [Γρνλ-λ«ων, ωνος, ô , ypvUoç, β , ο ,

pourceau. R. γρνζω.

Γρνμαήι, α;, ·η, besace. [ Γρ\>-ααιοσωΧης, «, ô, vendeur de besace. R. ypvua^a, ττωλ/ω. -ΓρνΜΐ, ων, vieilles souches de chênes ou d'autres arbres.

Γρνξ, ordures des ongles.

Γρνιναι, mi, nids de vautours.

On dit aussi γνχσχί.

Γρυ«ταίιτος, «, o, l'aigle au bec çrochu. R. γρνψ, αι«τός. Γρνναίνω, se courber; devenir courbé, comme les vieillards.

Γονσάλιον , ypvvàvtoy , » , τ^ , vieillot ; courbé par les années. ΓΡΥΠΟΣ, «, o, qui a le nez aquilin—qui a le bec recourbe. [ Γρυσος, «, adj. recourbé ; crochu.

Γρυτ*ο'ττ>ς, vjtoç, ri , COUrbure; forme crochue.

Γρννόω, recourber; courber en forme de bec d'aigle—faire devenir courbé. [ Γρνσωσις, «ως, -η, Γ action de recourber ; l’action de, etc. R. ypwô;. Γρυσμος, S, i, grognement. R.

γρυζω.    ^

Γρυτάρ^ς, *, mêm. sign, que ypv-χονωΧ^ς.

Γρντάρια, ων , t3c# ypvryif t»ç, ^ , vieux habits, vieux soulier, etc.; friperies. [ Γρντοβίίλης, v, ô, marchand de vieux habits; fripier. R. Γρνπ de γ$»>

κωλ/ί».

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ΓΤΙ

tyvf, υττ\ς, *, gryphon, o/seaq çui a le nez crochu çomme Vaigle.

Γρ<»*οί<?<(, β>*, βί, truies.

Tpwrn, ης, ής, caverne—creux d’un rocher mijié par le temps.

Î Γρώνος, n y adj. creux, pro-ond—qui écoute toujours les autres sans jamais parler lut-même. R. ypaw.

ΓΥΑ, ας, Ion. yv*j, -ης, yv/«, ας, ή, champ—arpent—chemin— fossé. [ Γνης, é, mêm. sign. —depl. la partie de la charrue où Ton met le coutre—le cou, du corps humain.

Fàua, «v, rot, câbles avec les-

3uels on amarre un vaisseau u côté de la poupe—amarres d'un vaisseau—voiles de l’an-tenue.

Γναλον, h, xb, le creux, de la main-—le fond, d*un vase — cr^ix; concavité; vallon.

Γναλος, u, adj. que l’on peut prendre avec la main—creux;

* concave.

Γναλος, *, sub st. un cube, une pierre qui a la forme d’un parallélépipède. R. yvïov. Γνγα'ίας νρνσος, or que Gygès, roi ,de Lydie, offrit a Delphes.

Γν«, mêm. sign, que y va.

Τνης, ββ, Ja pièce de bois qui reçoit le coutre de la charrue —mêm. sign. yue y va.

Γν^τνις, 8, δ, boiteux. ·

Γνία, ας , νι, V· γόα.    ,

Γυ«αλ*ης, Ιος, adj. qui exige la force des membres ; où l’on déploie la vigueur des membres*. R. yvcov, ouiXV}.

Γνιοβορος, », adj. qui consume les membres—dévorant. R. /vio* , βόρος.

Τυιο&άμας, 8, adj. qui dompte les membres, u. δοψιάω. Γνιοχορος, e, adj. q^ui consume les membres—qui fatigue les membres. R. xop/tt. rrfON, 8, x\, membre, lel que le pied, la main. [ Γν?α, les pieds—les pieds et les mains.

[ ToTovy le corps. · . rvcoofixi, y, yvtoo. rvtoW<?«t, ω», aΣ, entraves ; liens qui énr.halnent les pieds. R.

yvïov , nlSat. .

Γνιος, », adj, boiteux—estropié mem. sign, que νοσωίη-. Γνιοταχης, /ος, adj. qui dessèche les membres ; qui rend étique, épi Ut. de la pauvreté. R.yvîov,

τηχω.    f

Γνιονχος, #, adj. qui tient les membres enchaînés. R. yv7o*, ιχα.

ΓΥΜ

Γυιέχαλχος, β, adj. qui a des membres d’airain — très-robuste. R. yvîoy , χαΧχός.

IW*>, fut. ώσω , estropier — rendre boiteux — énerver. ΓΓνιόβ», écourter; raccourcir. R. yvTov.    ,

Γνλιανχην, tvoç, adj. qui a le cou lon^ et étroit. R. yv)Ufcç, αΰχήν.

ΓΥΛΙΟΣ, », panier où les soldats serroient ce qui leur étoit nécessaire ; petite manne où ils serroi^nt leurs provisions de bouche—havre-sac.

Γυμνάζω, fut. άσω, s’exercer— act. exercer quelqu'un. Γυμνά-ζαν ri» ‘KÛtfAov, Plut, s’exercer à la guerre. Γυμνάζω τονς «α7-ίας ταυτλ ‘frottev, Xén. j’exerce les enfans à faire cela.

, Γνμ**ζομαι iparf γίγυμνασμοιι, s exercer—être exercé à. [Γυμνάζομαι , s’exercer aux combats gymniques. Cette signification moins fréquente que les deux autres est néanmoins la significationpropre du verbe γυμνάζομαι. ft. yvpivbç, nu, parce que les anciens étoient nus ou presque nus pour se livrer aux exercices du corps.

Γνμνίις, άίος, h, qui s’exerce, dans le gymnase ou dans la palestre — exercée, dressée. H yv/Ανλς, exercice.

Γνμνασία, ας, η, Taction de s exercer; exercice—habileté, acquise pari exercice. R.yv^o'ç.

Γυμνασιάρχης ,    γυμνάσιoy.

Γυμνάσιο*, e, xb , GYMNASE, le lieu où les Grecs s’éxerçoient à lutter, à jeter le disque, et à d’autres jeux propres à donner au corps dû tu force et de la souplesse.

Τυμν&νιον, lieu d’efcercice— exercice. R. γυμνός.

Γυμνασιάρχης, », ô, γυμνα-σί?ΡΚος> * >** > Çynrna4Îan|ue, officier qui avoit la surintendance du gymnase. .

Γυμνασιαρχ/ω, être gyrana-siarque. [ Γνρ,βσ,«ρχίβ) a; > charge de gymna&iarque.

Γνμνασις, <6»ς,ιb, γύμνασμα, ατος, xb, exercice. R. γυμνάζω, de γυμνίς.

Γυμνούς, β, ό, GYMNASTS, officier proposé dans le gymnase à l’éducation des athlètes, et chargé du soin de les former aux exercices auxquels leur complexion lès rendoit plus propres — instituteur chargé d’exercer les enfans dans la palestre, ou de les former à d’autres exercices.

ΓΥΜ s3i

ΓυμναςιχΙς, », adj. GYMS ASTIQUE, appartenant aux exercices dtt corps. [ Il yvfuaçiéq, çjç la

* GYMNASTIQUE.

Γνμνας·ιχ*>ς, habile dans les exercices gymniques.

Γυμνν,ΧΙς, s, o, qui est réduit par sa pauvreté à aller nu. R. γυμνός.

Γνανίις, 9ίτος, i, yvpwfmç, », % soldat armé à 1a légère—nu. L ÏVvyjTia, ας, ^ troupe d· soldats armés à la légère, f IV-μνηηυω, être armé à la légère —être nu.

ΓυμνιχΙς, », adj. GYMNIQUI. Les anciens donnoient ce nom (t*?τ jeux publics bit les athletes comiaitoient nus. Γνμνιχοΐ êe/S-les combats gymniques.

R* γυμνός.

Γν/ivoJujxopac, être aperça tout nu. R. γυμvbς, δ/ρχομαι.

Γυμνόχαρπος, », adj. dont let fruits sont nus, sans enveloppe ou sans écorce, comme tes pommes, etc. R. γυμνΙς,*αρ+ός.

Γυμνοομαι, pass, de γυμνό». '

Τυμνο+aitta, ας, i, gymnase d enfans, gymnase où tes en-fans s éxerçoient tout nus chez les Lacédèmoniens et d'autres peuples de la Grèce. [ Γνρνο-eatJi'a, danse che* les Lacé-démoniens, dans laquelle les danseurs étoient nus. R. yvu»^

-ιταΓς.

Γνμ>β«ονς, oJoç adj. γυρνονί-ίτ)ς, e, qui a les pieds nus.

Γυμνονόίν,ς, », é, qui va pieds nus. [ Γνμνονο&ω, aller piedi nus. ΓΓ«,χ«,»οίία, af, i,

1 action d aller pied* nus. [Γ·-μνο*τοά(αι, chœur d'enfans la-cédémonieiu dansa ot les pieds nus dans les fêtes qu’on célé-broit en. l’honneur des guerriers morts pour la patrie.

Γυμνονό&ον,' », rb, danse ou 1 on a les pieds nus.

Γυμνονο$1& se dit encore de fa célébration de certaines fêtes on f on alloii les pieds nus. R. γυμνός , ηους.

ΓΓΜΝΟΣ, », adj. nu—qui n’est point armé. Γνμνίς «σθνίνος # Hér. dépouillé de ses habits.

Γυμνοσοφις-αί, ων , οί, GYMNOSO-PHISTES, philosophes indiens. R. σοφις^ς, γυμνός, DU, parc* qu'ils vivaient nus dans les forêts.

Γυμνοταίρμαχος, » ,γυμνόσνιρμος, », adj. GYMNosPsaiix, nom donné aux plantes dont Icf graines sont à découvert et sans enveloppe.

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23a ΓΤΝ

Γνανότης, *τος,^, nudité. .

Γνμνόω,fut. ώσω, mettre nu; dé· p oui 11er—dépouiller, au fig. ; privei^—épuiser. Γνμνώσας cb ξκρίίιον, Hèr. ayant tiré son épée du fourreau.

Γνμνωσις, «ως , νι, l’action de mettre nu ; de dépouiller. R. γυμνός,

Τυνα, Dor. pour γυνιη.

Γνναι, vocatif de γυντό·

Γνναιχάνηρ , gén, γνναιχάνίρος , ο, efféminé; mou. R. γυννι, άντί p. Γνναιχάριον ,    ,    τΐ>, petite femme.

Γνναιχ«ΐος, «, adj, de femme ; féminin. Γνναιχιία φωνή, voix de femme. ΓνναιχίΤος χόσμος, toilette d'une femme. Γνναι-xcia 3(9;) Plut, la bonne déesse, chez les Romains,

[ Γνναιχ«?ον , *, το, GYNECEE, appartement des femmes chez tes Grecs, [ Γνναιχ«Τα, ων, t3c , menstrues. R. γυνή,

Γνναιχνκη, ης, η, mém, sign, çue yvvatxcîov. -Γυναιχ^ος, Ion. pour γυναιχύος, Γνναιχιας, «, ο, un homme efféminé. R. 7WVKJ.    -

Τυν&ιχίζα y agir en femme—avoir les manière* d'une femme— devenir femme, c, à d. s'efféminer. On dit aussi dans te même sens γυν*ιχίζομ%ι, ΓνναιχιχΙς, i,adj.çftéminé. M. R. ΓνναιχισμΙς, 5, δ , superstition de femme ; faiblesse a esprit d’une femme. [ Γνναίχιστς, «ως, v), l'action de se conduire en femme ; imitation des manières . des femmes. [ Γνναιχι<?ΐ, adv. en femme ; à la manière des femmes. R. yvvyj.    t

Γνναιχο«ι<?^ς, /ος, adj. qui^ a la figure d’une femme—qui ressemble à une femme. R. γυν$, «Τίος.

Γνναιχόθνμος, *, b , qui a le cœur d'une femme—timide—vétil-leux.frweitxôdvfia^adt'. comme une femme. R. γυν>), $υμός. Γνναιχοι/ρηΐζ, ων , ol, ceux qui épient les femmes, comme le vautour épie sa proie· R. γυν-h , «ραξ.

Γνναιχοχόσμοι, ων , οί, nom de magistrats athéniens chargés de punir tes femmes déréglées. Γνναιχοχρασία, ας , τ>, passion dé· régle'e pour le« feiutnes. Γνναιχοχρατ/ομαι, se laisser dominer par les femmes—vivre sous l’empire d'une femme ou des femmes.

ΓνναιχςχρατονμΥνοι, les maris

Î[ui se laissent dominer par les emmes. Γν»αιχοχρχτ&νμινο; se

ΓΤΠ

dis oit encore de certains peuples réduits en esclavage par les Amazones. R. γυνή, χρατ/ω.

Γνναιχοχρατία, ας, ih, l*em—*

Sire des femmes ; l’ascendant es femmes ; l'empire d'une femme sur son mari—GYNÉ-cocratik; Etat où les femmes peuvent gouverner.

ΓυνοΜχοαανιω, avoir la passion des femmes, être adonné aux femmes. [ Γνναιχομανία, α;, νι, la passion des femmes [ Γνναι-χομανης, /ος, νι, qui a la pasâion des femmes. H.ywv), μαίνομαι.

Γνναιχόμιμο;, «, ô, qui imite les femmes; qui affecte les manières des femmes. R. yvvv), μιμ«~σθαι.

Γνναιχόμορφος , β, ô, qui a la figure d'une femme.

Γνναιχονομία, ας, "h, charge de gynéconome. R. γυν^ι, ν/μω.

Γνναιχονόμοι , «v , οί, GYNJÉCO— nomes, magistrats athéniens chargés de veiller sur les meurs des femmes.

Γνναιχονληθιης, «ος, adj'. rempli de femmes ; où le sexe abonde. R. γυν^ι, ηΧ-ηθω,

Γνναιχονρισης, /ος, adj,' qui convient aux femmes. [ Ivvouxo-

' «bpt-ατως, adv. comme il convient aux femmes. R. yvv^,

«ρ/βτω.

Γνναιχοφίλας, v , b, Dor. yvvouxo-φίλης, h, qui aime les femmes ; adonné aux femmes. R.yvvvi, φιλ/ω.    \

Γυναιχόφωνος, i, adj, qui a une voix de femme. R. γυννι, φωνν).

Γνναιχώ£ης, ιος, adj, efféminé. Tfc ?νναιχω<?«ς, ce qui convient aux femmes, dans le même sensjfue το /νναιχοοριντις. R. yvvi), <ι£ος.

Γνναιχών , ωνος, ο, χνναιχωνίτης, *,δ, γνναιχωνιτις, ι£ος,ύ, GYNECEE, appartement des femmes chez les anciens,

Γνναιχων~τ ς , réunion de femmes; sérail.

Γνναιμαν/ω, γνναιμανης, γυναιμα~ via, mém. sign, çue γυναιχομα-ν/ω, ^νναιχομανης, γυναιχομο*ία.

Γνναι ον , <*, Λ, petite femme; femmelette.

Γννανίρος, «, ο, qui est des deux sexes—efféminé. R. yvvîj, άνηρ.

ΓΓΝΙΪ , gén, γυναιχίς, νι ^deγυvaιξ, inus.), voc. γυν&\^ femme— épouse.

Γννις, poèt, yvvvtç, ιίβς, hf efféminé. R. yvvv).

Γνναι, V, γννχτό.

Γντααίίτος, s, ό, aigle qui ressemble au vautour. R. τνψ,

ΓΩΑ

IWeiptov- b, «I, nid de vautour —retraite des oiseaux de.proi· —caverne ; repaire.

Γυ-βτ?), νίς, νι, nid de vautours.

[ IWal, nids de vautours— cabanes sous terre ; cavernes ; repaires. R. χνψ. '

Γνβπνος,κ, ν,γυ\· ^

Γυργαθον, «, b , panier d'osier ; corbeille. R. ?υρός.

Γνριία, ας, déchaussement de n yigne. R yvpôi·

Γνρινω, to'irner en rond, comme une girouette ; tournoyer , pirouetter—act. faire tourner en rond.

Γνρνίτομος, «, adj, coupé c» rcu— lairement. R. γύρος, τ/μνω.

ΓνρΤνοι, ων, têtards, petits de la grenouille.

Γνριος, «, adj. qui est circulaire , et qui* a un mouvement de rotation.    (

Γνρις, «ως » ή» la fleur de la (àrine. [Γνρίτη;, *, qui est fait de fleur de farine. R. γΰρος.

Γνρό^ρομος, «, adj. qui tourne rapidement, comme une meule. R. γΰρος, δρόμος.

Γνροβιίης, /ος, adj. qui a une furme circulaire — entortillé en rond. [Γνρο>ι£ως, adv. cir-culairement—en rond.

ΓΤΡΟΣ, 5, adj. courbé—arqué —rond.

ΓνρΙς, S, ô, suêst. fosse.

Γνρος, « , ô, un rond ; une ligne circulaire—un tour en rond.

Γνρέω, fut. ώσω, courber ; arquer.

Γνρόω, faire tourner en rond ; rouler ; replier en rond —entourer d’une bordure.

Γνρόω, planter.

Γνρωμα, ατος , cercle ; rond.

Γνρωσι<, «ως, Taction de faire tourner en rond, de rouler.

ΤΧΎ, ν«Λς, ô , vautour. [ Tvtrc-νος, «, adj, de vautour.

Γν^ος , u , b , GYPSE , plâtre. Dans thistoire naturelle, om nomme gypses ou pierres gyp-seuses toutes celles çue le feu change en plâtre. R. y$, Γ}ω.

Γνψόω, enduire de plâtre ou de

gyp*e·    e

Γω, contr. de /αω, inus. prendre

— engendrer ; enfanter — se réjouir; se glorifier.

Γω^Γαμη, νις, η, vei*veux—filet de p*ècheur.    .

Γω>ιοι, ων, οί, cavernes dans les rochers qui sont auprès de la mer*—cavernes ; antres. [ Γ«^

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tiîtf

}»1ι, «» , τ&, retraites ; endroits propres à se cacher dans les fieux où il y a des enfonce-mens. R. χοιλος.

Γων, Ion·. pour γονν , du moins;

donc, etc,

Γωνατα, Dor. pour γόνατα. rûNÎA, 05, ^, angle; coin, iv ταΐς χωνιοuç tu» πλάτη* v , à tOUi les coin* de rue.

Γωνία , coin ; Heu retiré ; •adroit qui n’est pas exposé

, êtXr* t delta, quatrième lettre de l’alphabet grec, se prononce comme le d français. Les Ioniens et les Do·*· riens mettent è à la place du 9 , disant. ofyb pour οσμή, et quelquefois à la place du γ, comme Æi, icfc, pour yη, γ-75;; ils le mettent aussi à la place du £ et du τ. Les Béotiens le mettent à la place du ζ, mais

• en le redoublant, 5ipi^dv pour à t ρίζαν.