B, Bêla y 2e lettre de Talphabet grec, se prononce comme notre B français. Les Grecs modernee lui donnent le son du V, et cette prononciation semble autorisée par certains mots que les Latins ont empruntés de la langue grecque, tek que vivot d* Ριώ5 rolo 9

de* βουΧομακ ; vox % de βονι ; voratio, de βορά.    ,

Cette lettre, prise numériquement, marque deux; mais si on met dessous un accent aigu £, elle marque alors deux mille,

ükpour marche. F. βαίνω.

BAA

Βα, cri de ceux qui s appellent 9 hola ! ho! hé! [ Bà, son d'un rire bruyant, ohi oh! oh! (un appel puissant, une forte convocation).

Βαάρας, haara», racine dont Γhis-lorîenjt>sepJt e rae.o nie des ch oses extraordinaires. Eu écart uni tout h merveilleux de son récit, il ptiroil que cet te rucine n'est autre chose que U sensitive. R.

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ΒΑΘ

ÈaoiW, Bparas, lieu ou Γοη trodve celte racine.

BA^BA, son inarticulé; cri d'un enfant< au berceau. [ Β^βάζω ; fa ire en ten tire des sons inarticulés ; pousser des vagîssemens. [ Βαοάλιορ, », το, βα€αΧιςτηρια,

ων, T3t, berceau.

Βα^άχΐης, », 1, βάδαξ, αχος,

o, parleur, bavard—niaiseur.

Botffoù \ cri d’ admiration , oh ,l Β«6αΐ τ>ις ιύ£αιμονιας, oh! quel bonheur ! Ba£aî βα^αίαξ, interj. de plainte, hélas !

Βα£αξ, V. βάβα.

Βαβνλών, ω*ος, η, Babylone, çille d"Assrrie. [ Βαβυλώνιος, v, adj. Babylonien. *

BaJyjv , adç. pas à pas ; pied à pied; lentement. Βά£*ν ίγο-piutaOat, Xcn. aller au pas. η. βχίν».    .

, fut. ίσω, Alt. tu, Dor. foyparf. βιζάδιχΛ, filler ; marcher. Οοον βα&ίζ·ιν, Xèn. faire route, cheminer. Βχ<?ιζ< <îivpo, A ri st. avancez ici. R. βαίνω,

Βάάισις , «ως , η, marche ; Faction d’aller—pas. Βάίκπν «τοκΓσθαι, marcher.

Bà<fi?fi«, ατό;, το, démarche; pas—marche. [Baitafioç, i, ό, mém. signif.

Bail ç ta , W»ç/ov , il faut marcher; il fout aller.

Βαίις^ς, », è, coureur.

ΒαJiçcxoç, », ô, grand marcheur; bon piéton. [Βαίίς^ς,

3, ô, mêm. sign. Βαλ^ς, où Ton peut marcher; praticable.

Βάίος, h9 of chemin.

Bi^yfut. α'σω , aller.

BAZÇlyfut. σω et ξω, parf. β/βαχα, parler; dire;prononcer. [Bal· ξ»ς, «ως, η, parole; discours— un bruit qui court; nouvelle; rumeur—prédiction; oracle.

Βαθ/νιν, Ion. pour βάθιΐαν.

Βαθιοί, profondément. R.

βαθνς,

B«6t pour

Βίθιςος, superl. irrèg. de βαθνς.

Βαθιών, comp, irrèg. de Βαθνς.

ΒχθρκΓον ; adv. par degrés. R.

*. βαθμίς de βαίνω.

Βαθ^ίς, ίίος, 17, degré-gradin; amphithéâtre.

Βαθμώς, », ô, degré, au propre et au figttré — seuil de porte^ Βαθιοί, traces.

ΒΑΘΟΣ, «ος, τ^, profondeur., au propre et au fig.—abîme, au propre et au fig. ; le fond, tf une vallée 9 d'un bois y etc.— l’endroit le plus retiré, d'une maison y etc.

Βάθρα,' ας, η, escalier. [ Βοίθρον0

ΒΑΘ

'    », Ά, degré—banc; siege—:

base ; fondement — sol. R. βαίνω.

Β&θνάγχγις, «ος, adj. qui a de profondes vailées. R. βαθνς, α7χος. Βαθν^ονλος, a, ô et 19, qui a des fues profondes; dont les desseins sont profonds; qui est un homme d'une profonde sagesse ou cTune prudence consommée. R. βαθνς, βονλη. Βαθυ^ίίος, » , adj. dont le terrain ou le sol est profond—fertile. R. βαθνς, y9j.    ^

Βαθνγίνπος, *, o, qui a une barbe épaisse. R. y/ννς. Βαθυγ/ως, ω, adj. mém. sign, què βαθνγειύς.

Βαθν/ηρως, ω, adj. qui est d'im âge fort avance ; décrépit. R. ?95ρας.    ^

Βαθν7>ωσσος, », adj. éloquent— disert. R. γλωσσά.

Βαθν/νοφος, », adj. plongé dans d’épaisses ténèbres. R. γνοψος. Βαθύγνωμων, ονος , o,,un homme dont Je cœur est un abitne ; un homme fort secret—qui

* couve de profonds desseins.

R. βαθνς , γνώμη.

Βαθυίίνης, » , adj. qui a des gouffres profonda. R. Jcvvj. Βαθνίοξος, », adj. qui jouit d'une grande célébrité. R. £ο'ξα. Βαθν£»νος, », adj. qui porte une large ceinture ; orné d'une belle ceinture. R. ζώννι. Βαθνχαμττης9 toς, adj. qui forme de longues sinuosités—extrêmement courbé. R. χοίρσίω. Βαθνχγ>ττ)ς, /ος, adj. épi th. delà mer dans Lucien 9 qui renferme dans son sein d'immenses baleines. R. βαθύς, χ95τος. · Βαθνκληοος, «, adj. qui possède de vastes héritages; qui nage dans l'opulence. R. βαθύς ,

χλωρός.

Βαθνκολτσος, », qui a un beau sein; belle. R. βαθνς, χόλ-σος. Βαθνχρτημνος, », adj. qui présente d'affreux précipices — qui a d’immenses abiines. R. βαθύς,

χρ-ημνός.    '

Ba0vxpv)tartç, , adj. dont les fondeinens sont profonds. R.

χρηψίς. ,

Βαθνχ1/ανος, », adj. qui a de ^ grandes possessions — riche.

R. χίάομαι.

Βαθνχνμων, ονος, adj. dont l’eau est profonde —- profond. R. xvjxa.

Βαθυλ((^ος, », adj. βαθυλ(('μ»ν , ονος, adj. qui a de pras pâturages. U. \\\.μ.ών.

Βαθνληϊος, », adj. qui'produit

- ΒΑΘ ig3

<3'abendantee moissons; fertile. R. λτμ'ον.

Βαθύρ,αλλος, *, adj. qui a une toison épaisse—extrêmement velu. R. βαθύς, μαΧ).ός.

Βαθυ^τα, riom. £ûl. pour βαθνμ-η-τν?ς, «, ό , un homme de grànd jugement;, un homme d’une prudence consommée. R.p#reç.

Βαθύνω, fut. wà^parf. βίζαθυγχα, parf pass, βίξάθυμμ.αι j Alt. vapiat, caver; creuser^ rendre creux. R. βαθνς.

Βαθνξνλος, », adj. Βαθνξνλος <îpv-

Ϊος, A ris t. une épaisse forêt.

I. ^νλον.

Βαθν«τιχρος, », adj. extrêmement amer. Το βαθυσιχρον, l'absinthe. R. βαθύς, ττιχρός.

BaQvvUxafAOÇy tt y h et dont les cheveux sont irisés à grosses bouclesv R. βαθνςt π\όχ<χμος.

Βαθνσλοναιος, », adj. qui possède d'immenses richesses. [ Βαθν·* «τλοντος, », adj. mém. signif R. βαθνς f πΧοντος.

Βαθνρρ«ιτ>?ς, », adj\ aui coule dans un lit profona—très-profond.

ΒαθυρριΓων , ςντος, adj\ mém· sign. R. βαθνς 9 p/cdu

Βαθύρριζος, «, adj\ qui a de profondes racines. [ Βαθνρριζία9 ας 9 νι 9 profondeur des racines. R. βαθνς, ρίζα. t

Βαθνρροος, tjf adj. mém. signif que βαθνρρπτιος.    '

Βαθύς, tXa9 v, adj. profond , au propre et au fig.—Klpw βαθίΐχ,

Erofonde paix. Βαθύς πώγων , arbe épaisse. Βαθύ χ^ροίς, extrême vieillesse.

Βαθύς, gros, épais — vaste , ample.    *

Compar. βαθντιροζ et βαθιών r superl. βαθνταχος et βάθιςος. R. βάθος.

Βαθνϊχαφης, /ος, adj. creusé fort avant ; extrêmement creux-R. βαθνς y oeoctsla».

Βαθνσχιος, », adj. dont l’ombro eût épaisse—qui donne beaucoup d’ombrage— qui ombrage au loin. R. «toc.

Βάθνσ/χ«, ατος, to, profondeur· R. βαθνν·).

Βαθνς-ερνος, », adj. dont la poitrine est profonde; dont' le c«x*ur est profond—q»n a des -retraites profondes, epith. de de la terre. R. βαθύς, c/pvov.

Βαθνςτίριγξ, tyfoç, adj. solidement Appuyé. R. βαθύς, ςερίζ*.

Βαθνς-ρωτος, », adj. couvert (f épais matelas, en parlant d'un Ht. R. βαθύς, çpi0Toç.

ΒαΟ^σχοινος, », adj. <|ui produit

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I

394 BAK

beaucoup de joncs; dont les joncs 'sont très-hauts, ft.

σχ^Γνος.

Βαθντιρος, V. βαθύς.

Βαθντης, υιτο«, profondeur.

R. βαθύνω.

Βαθντριχος, », adj. qui a une chevelure épaisse — couvert de poils, velu. H. βαOvç, 5pίξ. Βαβνφρων, ονος, adj. qui est d’un esprit profond—très-prudent.

II. ypyjv.

ΒαΟνφνλλος, », adj. dont le feyil-lage est e'pais.    (    1

Βαθνχαι'της, », adj. qui a une chevelure e'paisse; qui a une longue chevelure. R. χαίτη. Βαθνχκλος, h, adj. dont les bords' sont très-hauts. R. χ«Γλος. £αϊν*ς, η, ον, fait de branches de palmier; qui concerne les tranches de palmier. R. βαΐς. BAINÇtyfut. βήσομ,αι 9 pa/f. β«'£ηχα ( de βόίω ), parf. Ion. β/£αα, pari, βιβαώς, aor. 1 «£>ισα, et poèt. βγι<τ*, aor. 2 «βην, r/poèt. βην ( βν»ιι ), marcher, aller; s’en aller—monter — faire monter—mettre sur. Bfj (μεν, ffom. il partit pour aller. Bxivctv tcôoa, Eurip. aller d’un pas ferme. Μ«?άλα βαίν«ιν , marcher fièrement ; avoir une dé.narche fière.

Β/?ν)χα, ié suis situé et fixé ; je suis solidement établi; je suis fondé sur. [ Βι&ηχώς, appuyé; fondé, établi—ferme , constant. Tî> βί^ηχίς, fermeté ; solidité. Biffyjxvta μάχη, bataille rangée—combat de pied ferme. Batvciv et βαίνισθαι s*emploient pour Γaccouplement des animaux.

Βαΐον, », rb, branche de palmier.

^.β*ΐς.    ^

ΒΑΙΟΣ, », adj. petit—modique; peu considérable — seul.

[ Βαιον, adv. pey. Βαιον ούτως, si peu.

Βα»ς, plus souvent βαΐον , » , το , branche de palmier. [Βαϊο»ό-

Cor, n, adj. oui ^ porte des ranches de palmier. Βαϊοφό-οος ίορτη, la fête des palmes. Βα'τα, βαίτη, χς, 1ό , peau—habit de pean—tente faite de peau. Βαίτνλος , », ô. nom de la pierre que Saturne dévora au lieu de dévorer Jupiter.

Βαιών , όνος , ο , goujon.

Βαίχανον , », το, sorte de rave ou de chou—graine de rave ou de \chou—remede hépatique. R. β χχχον , άνιιίς, parce que cette graine chasse t ivresse·

BoU», s’eoivrer.

BAK

Βοίχη, η, pont.

Βάχν»λος,    0 , grand niais—“eu

nuque—efféminé.

Βάχχαρ<ς, βάχχαρις, «ως, η, gan-telée Λ campanule, herbe odoriférante. [Baxxaptov , », βαχχά-ptov, », t^, huile de gantelée.

Βάχλα ων, mèm. sig. queτνρ.τ*ανα.

BAx%ptvo>, s’appuyer sur un bâton, comme un vieillard—s’appuyer sur. [ΒαχΊηρία, ας, η, bâton, canne ; bâton ou baguette que les juges tenoient à la main en allant au tribunal, f Βαχ7ηριον, «, το, et βάχΐρον', », rfc, mém. sign. R. βάχΐρον.

Bfitx^prvw, mêm. sign, que βαχΙν>-

Îicvûk [ Baxlpcvpa, ατος, το, ’action de s’appuyer sur un bâton; sur une canne—bâton, canne.    ·

BAKTPON, V. βαχΐ*ρ«νω.

Βάχχχι, ων, αί, bacchantes. R. βάχχος. ^    '*    ,

Bάχχαρις, f*. βάχχοψις.

Βαχχάω, porter une couronne de lierre comme les bacchantes ; s’adonner aux mêmes fureurs ue celles des bacchantes. R.

άχχος.

Βαχχ&αχχος, », ô, acclamation en l’honneur de Bacchus.

Βαχχπα, οις,η, fureur bacchique ; fureur semblable à celle d'une bacchante. R. β.αχχ«Τος.

ΒαχχιΤον , », τ^, temple de Bacchus. [ Βαχχιία , ων, rèt, sacrifices en l’honneur de Bacchus.

Β<χχχ{7αζ, », o, pied composé d’une brève et deux longues, quon employ oitdans les hymnes en Vhonneur de Bacchus.

ΒαχχιΤος, », adj. transporté d’une fureur bacchique—bacchique.

Βοιχχ((ω<?ις>«τος, grand imitateur de Bacchus.

Βάχχ«υμα, ατος, fureur bacchique.

[ Βχχχ/νματα, les bacchanales.

Βαχχινομαι , Κ. βαχχ«νω.

Βαχχιντης, », δ, qui célèbre les bacchanales— ivre ; furieux— bacchique ; qui concerne Bacchus.

Βαχχ(υτ(χΐ>ς, », adj. qui aime à se livrer aux fureurs bacchiques —enclin à l’ivrognerie—qui a rapport aux fureurs bacchiques ; qui inspire une fü® 1 reur semblable à celle des bacchantes.

Βαχχ«ντωρ, ορος, ô, èpith. de Bacchus, qui inspire les fureurs bacchiques.

Βαχ y «νω, célébrer les orgies ; célébrer les bacchanales—s’a-baudonner aux mêmes fureurs

BAA

«jue celles des bacchantes ; se livrer aux plus furieux em-* portemens ; se porter aux derniers excès de l’insolence. ΓΒαχχ«ν<9, ***·· inspirer une fureur semblable à celle des bacchantes. [ Βακχevopat,pass. être transporté aune fureur bacchique.[Βαχχιω, mêm. sign, que βαχχ«ύω et βαχχ«νομαι.

Βοίχχη , ης,,ιό, bacchante—animée d ’une fureur prophétique. Βάχχαι, les bacchantes, les ménades.

Βαχχιάίαι, ων, oc, surnom des Mi lés tens et des Corinthiens.

Βαχχιχ^ς, », adj. bacchique.

Βαχχΐς, Μος, prêtresse d« Bacchus; bacchante.

Βάχχος, », i, Bacchus—transporté d’une, fureur bacchique ■—maniaque—mulet, poisson.

Βαλαχρος pour ψοάαχρός.

Βαλανά/ρα , ας, βαλανά/ργ), v»ç, τη, clef. R. βάλανος, άγρα.

ΒαλανιΤον, «, r^bain. R. βάλανος.

Βαλαν«νω, fut. cvo«», être baigneur-—être garçon baigneur —«ervir; être doméstique— crier; appeler à haute voir. [Βαλανκνς, /ως, ô, baigneur—

curieux. [Βαλανιίτης» »,βαλα-

ν«ώτν>ς, », ô, mèm. sign.

Bal«vv)yàyoç, », adj. qui se nourr rit de glands. R. βάλανος, φα^ν.

Βαλαπο^ρος , », adj. qui produit des glands. R. ?/ρω.

Βαλανίζ’ω, faire tomber des glands; secouer un arbre pour faire tomber les glands. [Βαλανίζω, dans Hippocr., employer un suppositoire fait en forme de gland.

Βαλάνινος, », adj. fait avec du gland. R. βάλανος.

Βαλανίς, ί£ος, η, baigneuse; qui tient des bains. £ Βαλάνι<Γ9αν mcm. sign.

Βαλανιτης, », ô, qui a la forme du gland.

Βαλανοβορος, », ô et \7', mangeur de glands. R. βάλανος, βορά.

ΒΆΛΑΝΟΣ, », δ, gland; et en général toul fruit semblable au gland, marron, châtaigne, etc. —l’arbre qui porte le eland— suppositoire ou pillule laxative en forme de gland. * Βάλανος , verrou ; fermoir. [Βαλανόω, fermer à verrou.

BAAA'nTION. », x\y bourse à mettre de l’argent. [ Βαλαντι'-Jtov, », xl, petite bourse.

Βαλαντιοτο{Λ«7ν , couper la bourse. [ Βαλαντιοτόμος, », ô f coupeur de bourses; filou. R. βαλαντιον, τ/μνω.

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BAA

Βαλανωώβ;, «ως, qui a la forme d’un gland—plein de glands. R. βάλανος, «?£ος.

Βαλανωτγ), yjç, η, cfeenaie,. lieu planté de chênes. R. βάλανος.

BAAAT ΣΤΙΟΝ, », το, fleur de grenadier sauvage.

Βαλ£»£ουχος , V. βαλδίς.

BAABIZ, ιίος, yj, barrière, lieu X4Îoù partoient les chevaux qui dispu/oient le prix de la course

— commencement, entrée.

{ Βαλ£ι£οΰχος, », ô, cjui garde es barrières ; qui se tient à la barrière. R. βαλ£)ς, ίχω.

Βαλ£2ς, mêm. sign, que βάθμ^ς et fp«<σμα.

Βάλι, aor. a impér. ^βάλλω. ΓΒάλ», inter j. de plainte, hélas ! plût à Dieu que !

Βαλ/κν , Ion. etpoét. pour βαλ«~ν.

Βχλια, «ς, ri y maladie des jeux ; opnthalmie.

Βαλώς, S, adj. moucheté; maillé; pommelé-*-rapide; vite.

Βαλιος, Balius, nom dPun cheval d* Achille.

ΒαΧλάντιον, mêm. sign, que βαλάντιο».

Βαλλητνς, υος, η, Taction de jeter, de lancei^-t-jet. R. βάλλ».

Βαλλιζω, danser en trépignant. R. β*ω, ίλλομαι.

Βαλλισμός, », o, danse accompagnée de trépignemens des pieds au son des tambours et des cymbales.

ΒΑ'λΑΩ, fut. βαλω, parf. β{-άληχα ( de βλ/ο> ), aor. a, «5αλον, parf. moy. β/βολα, jeter, lancer, contre quelqu'un—attaquer quelqu’un, avec des trails, etc.—frapper en jetant; blesser, atteindre Βαλλιιν ιτ/τροις, saint Grégoire, assaillir ou at

- taquer à coups de pierre. Βάλ-λ«ιν crxowoy et βάλλ«ιν ivi σχο-«eoy , frapper aü but.

Βάλλω, jeter, sans diriger contre personne ce qu%on jette— jeter, les yeux—répandre, des larmes—mettre , dans sa tête, dans son esprit. Dans cette dernière signification on emploie plus souvent le moyen βάλλομαι:. Βάλλ«σΦα« if' «αντο3 , Hérod. rouler dans sa tète, dans son esprit. ΒάλλκσΦαι χρ*>-«ι^α Αινθιρίας , t*lut. jeter les fondemens de la liberté.

Βάλλω, se met aussi pour xtOrjfjLi f mettre ; placer, βώλ«ιν το άργυριον χοΐς χρανηζίχαις ,

S lacer sou argent chez des anquiers. Βάλλ«ιν ίυο &£ολ»ς, Lit. payer deux oboles.

Βαλλωτη , τος, η, marrube noir, herbe*

ΒΑΠ

Βάλσαμον, », xb, baume. [ Βαλσα-μω^-ης, «ος, adj. qui flaire comme baume ; qui sent bon.

Βαμα, ατος, tV, pour βΤίμα.

Βάμβα , Dor. pour βάμμα.

Βαμβαινω, fut. ανώ, parf. ayxa, former des sons inarticulés; balbutier; bégayer — claquer des dents, par un sentiment de frayeur—grelotter de froid.

Βαμβαλιζω , βαμ£άλω, claquer des dents, quand on a la fièvre ou quand on a peur—grelotter de froid—frissonner de crainte. R. βαμ&αι'νω.

Βαμιν, βαμ«;, allons, Dor. pour βωμ«ν, aor. a subj. de Βήμι.

Βάααα, ατος, -A, teinture — la cnose qu'on teint—la liqueur dans laquelle on trempe, son pain ou jf autres mets; sfcuce. R. βάΐΒτΙω.

Βαμμάτιον*( x6, dimin. de βάμμα.    ’

Βαν pour ίΕησαν, d& βαίνω.

Βαναυσία, V. βάναυσος.

ΒΑ'νΑΥΣΟΖ , », ο, forgeron— artisan ; manouvrier—qui fait un métier ignoble, un métier bien mécanique —qui exerce une profession sédentaire. [Βάναυσος, », adj. mécanique—■ ignoble , bas , vil. Βάναυσος τ/χνη, Arist. art mécanique. Βανανσος φιλότης, Plat, amitié banale. Βάναυσο;, sottement magpifiaue. [Βαναυσια, ας, ή, métier ae forçeron—art mécanique; métier bien mécanique ; métier ignoble ; vil métier —* magnificence ridicule. [ Βανανσιχος, y, adjqui a rapport aux arts mécaniques, aux* forgerons j aux manou-

v ri ers — mécaniaue. Το βαναν-σιχον μ/ρος, la classe des artisans , des ouvriers. ,

Βαναυσονρ/ια, ας, r\> mém. sign. que βανανσία— de pl. ouvrage de forgeron ou d artisan. U.

βάναυσος , fpyov.

Βαναυσονρ^ς, «, ô, forgeron— artisan; ouvrier dans un art mécanique. M. R.

Βάξις, «ος, V. βάζω.

BatsrlvK, », δ, teinturier. R.

' βάτ/Ιω.

ΒαταΊίζω %fut. Γσω, parf. exa, parf. pass. β«£ά«?7ισμαι, plonger dans l’eau — teindre — submerger. ^BawïiÇ» , laver —baptiser.

Βαοΐιχος, », adj. dont on se sert ou dont on peut se servir pour teindre—qu’on peut teindre. R. ΒασΪιζω.

Βάτσίισις, «ος ou ιως, l’action de laver—lavoir—bain.

BAP i»5

ΒχνΤ^σμα, ατος, xb, βασΤισμος, S, ô, l'action de plonger aans l'eau, de laver—immersion— baptême.

Bamltçrjptoy , », xh f lavoir—bai-j^noire — fonts baptismaux.

Βαν7ις^)ς, », o, qni plonge dans l'eau—qui baptse. M. R.

BaujToç·, S, adj. teint; mis en couleur—coloré.

ΒΑΠΤΩ, fui. ψω, parf. β/βαφα , aor. a ίοαφο», plonger dans Teau—laver—teindre—tremper dans. [ Βάνΐω, tremper y ncut.—ktre mis à flot. Βάτ»1», puiser; remplir en puisant.

Βαρα^χιάω, Att pour Βραγχ(άω.

Βάρα/χο; pour βράγχος.

βα'ραθρον , », το, gouffre ; abîme ; large et profonde ouverture de terre—fosse profonde , dans laquelle on jet oit les criminels qui lé t oient condamnés à mort chez les Athéniens—cul de basse-fosse. [Βά-ραθρον, au fig. ; abîme ; perte , ruine, malheur.

Βάραθρος, « , o, digne d’étre jeté aans un culdebasse-fosse.

Βαραθρόω, jeter dans le lieu appelé θάραθρον—jeter dans un cul de basse-fosse. s ^

Βαραθροί&ος, «ος, adj. qui ressemble aux gouffres ; semblable a un abîme; qui est d’une profondeur immense. R. βάραθρο v, <ί£ος.

Βαρβαρίζω, fut. (σω, parf ιχα, favoriser les barbares—imiter les barbares — s’exprimer eu termes barbares. [Βαρ£αρ(σμος, », b, BARBARISME.

Βαρ£αριχ'ος, », adj. barbare ; qui sent la barbarie ; qui ne convient qu’à des barbares. Το βαρβχριχον , barbarie.

Βαρβαριχως , adv. et βυφζα— ρις-t, adv. λ la manière des barbares. R. βάρβαρος.

Βαρβαρισμος, V. βαρζχρίζω.

ΒΑ-ΡΒΑΡΟΣ, », adj. qui parle d*une Jïiauiere barbare ; qui parle en termes barbares— qui fait des barbarismes—qui parle uue laiiguo étrangère. [Βάρβαρος, sauvage, BARBARE —farouche.

Βαρβαρος-ομίω, prononcer d’une maniéré baroare; avoir une pronotH iation vicieuse, comme

- les étra g ers qui parlent une autre langue q*e le:r langue naturelle. [ Βαρόαρο^ομια, ας, η , prononciation barbare, [ Βαρ&ψβςομος > », adj* qui

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196 BAP

rononce d’une manière bar-are. R. βάρβαρος, σ7άμα.

Βριρβαρο<ρων<ω, avoir la vpix d*un barbare—former des sons confus comme ceux d'un barbare —parler d’une manière barbare, c. à d. parler mal une. langue, ne pas s’exprimer purement. { Βαρβαρόφωνοι, to», et , épitpéte des ( 'ariens dans Homcre, qui les appelle ainsi, a cause qu' ils ne parlotentpas purement la langue greegue.

[ Βαρβαρόφωι/ος , », adj. a les deux significations du verbe, qui a la voix d'un, etc.—qui parle, etc. 11. βάρβαρος, φωνη.

Βαρ βαράω-, Μ ώσω , rendre bar- I bare; rendre sauvage et farouche—effarer—soumettre à la domination des barbares. H. βάρβαρος.

Ι^ίρβιλος, «, ό, pêcher sauvage, H venu du noyau d*une pêche.

ΒΑΡΒΙΤΟΣ, 8, βάρβιτσν, e, xb, instrument de musique à plusieurs cordes—luth, lyre. [B«p-βιτιζω, jouer de l’instrument appelé βάρβιτον, jouer du luth.

ΒαρβιτιοΛς, 5, i, qui joue du luth. R. βκρβιτος,

Β&ρ&ιςοςpourβράοκ^ςf superl. de βραίυς, lent.

Βαρια, ας, ύ, pieu; bâton durci au feu—nom d*un poisson.

Βαρ/ω, fut. νίσω, parf ^οίρηχα, charger; faire fléchir sous le poids ; faire gémir sous le poids. [ Βαρ/ομαι, être chargé ’ -—supporter avec peine—être indigné.    .

Βαρ/ως , adv* pesamment ; d’une . manière accablante ; avec peine. Βαρ/ως ?χ(ιν, être «barge, être accablé de ; supporter avec peine. R. βάρος.

Βάοημα , ατος , rfe , pesanteur ; lowrdeur-rr-charge; poids.

BAP12, ιος ou tSoç, to; ou «ως, v», vaisseau—muraille; portique; cour; tour; maison en forme <le tour.

ΒΑΡΟΣ, toç, xbf poids; charge —douleur accablante—pojds, aafig· / gravité, dignité.

Βαρύ, neut. de βαρός.

ΒχρνΛγης, eiç, adj. βαρυαλγητσς, *, adj. accablé do douleur.

Bapua'Ay>jTo;, qui cause une doaieur accablante. R. βαρύς,

άλγος. .

φαρυχχγις pour βαρνηχης.

Βαρυβόας, 8, adj. qui pousse de gra ids çris -r- niugissant. R.

βορ.    ‘

Εαρυβρομος, «, adj. qui gronde «’une manière effroyable, p.

f αρυς , βρίμω.    '    :

BAP

Βαρυγ^ουνος, v, qui fait un Druit épouvantable, èpith. de Jupiter faisant gronder le tonnerre. R. βαρύς, ίονσος.

Βαρυ/λωσσος, 8, ό, oui a une langue insupportable , une mauvaise langue — médisant. R, γλωσσά.

Βαρυγουνατος, 8, ο , βαρυγουνος, ν, ο, qui a les genoux pesans,

c.àd. qui marche pesamment; qui n’est pas agile. R. γόνυ,

Βαρύγυιος, 8, o, qui se traîne avec peine; foible—qui appesantit les membres, qui rend lourd. R. γυΐον.

Βαρυϋαιμον/ω, être accablé d’infortunes; gémir squs fe poids du malheur. [ Βαρνίαιμονια, ας, ή t poids de l’adversité— malheur accablant. [ Βαρυ&χι-imov, ονος, adj. cjui gémit sous le poids de l’infortune. R. βαρύς, οαίμων.

Βαρυίάχρυος, 8, Βαρνίαχρυς, υος , qui verse des torrens «e larmes •—déplorable. R. ίάχρυ.

Βαρύίισμος, «, chargé de chaînes

6esantes—fortement enchaîné. ι. Βαρύς, &t<a. (

Βαρυίόταρα, ας, η, qui cause une douleur accablante. R. βαρύς,

£ί£ωμι.

Βαρνοουσος, 8, adj. qui fait un bruit épouvantable ; qui rend un son effrayant. R. iovwoç.

Βαρυζηλος, 8, o, émule opiuiâtre; rival acharné — ennemi. R.

ζήλος.

Βαρυηκοος, 8, adj. nui a l’ouïe dure, qui entend difficilement

— qui émousse le sens de l’ouïe. [Βαρυηχοιία, ας, η, ouïe dure. R. βαρύς, άχοη.

Βαρυνιχης,· toç, adj. mêm. sign, que βαρυ^ουτνος. R.-βαρύς, ηχος. υθυμ«ω, fut. νίσω, être péni-lement affecté — supporter avec beaucoup de peine—conserver un vif ressentiment. [ Βαρυθυμία, ας, η, peine d’esprit ; indignation ; humeur chagrine — vif ressentiment. [ Βαρύθυμος, 8, ό, péniblement affecté ; indigné; ulcéré. R. βαρύς, 3υμός.

Βαρυθω, êire chargé; être accablé être appesanti. R. Βαρύς.

Βαρνχάρ£(ος, *, adj. qui a l’esprit lourd ; inepte. R. βαρύς, χαρίία.

Βαρυχ/φαλος, 8, adj. qui a la tête grosse et lourde. [ Βαρυχ/φα-λαι, ων,. at, Aréostyles, édifices dont les colmmes sont f cariées, et qui semblent avoir la té te grosse, large et pesante,

4 fpusç de la grandeur tfes

BAP

frontons qui en sont comme la tête, de même que les colonnes en sont les jambes. R. βαρύς, χεφαλη.

ΒαρυχΤυττος, 8, ô, qui frit 11Π bruit épouvant ibK*, epith. de Jupiter faisant gronder h. tonnerre , efalc Ncpt j nt frappant la terre de son trident, n. βαρύς , χΊνισος.

Βαρυλλιχα, »v , xk, BARTLLIQüES ,

f danses en Γ/tanneur d'Apollon et de Diane.

Βαρνλλίον, 8, το, petit poids. R.

βάρος.

Βαρυλυνος, 8, actable de douleur —qui accable de douleur. R, R. λυντη.

Βαρυμάνιος, Dor. pour βαρυρτηνιος.

Bαρυμηνις, toç. adj, dont la colôrc se fait sentir par des effets terribles; dont le ressen’iment est implacable. Το |3αρυμγ)νι, colère implacable; haine mortelle.

Βάρυμνίνιος, 8, Dor. βαρυμάνιος, 8 , adj. mém. sign.—de plΛ frénétique—atteint d’une horrible frénésie. R. μίίνις. .

Βαρυμοχθος, 8, adj. extrêmement pénible ; extrêmement labo-r rieux. R. βαρύς, μόχθος.

Βαρύνομαι, pass, de βαρύνω.

Βαφυνοσος, 8, adj. attaqué d’nne maladie grave—nui cause des maladies graves, n. βαρύς, νόσος.

Βαρυνουσος, e, 4, Ion. attaqué d’une maladie grave.

Βαρύνω , fut. υνώ. parf. βιβαρυ/χα, charger, arcabler—appesantir. Bapt5veiv rîjv χίφαλην, causer une grande pesanteur de tête. [ Βαρύχ/rfy, mécontenter, fa-cher.

Βαρυνομαι, être chargé, être appesanti —s’appesautir—sentir de la pesanteur, dans quel-, que membre. Βαρΰνcodai rîjv x«-φαλην, avoir une grande pesanteur de tête. Βαρυνόμινος τ^ς ηλιχιας, Pol. appesanti par l’âge, [ Βαρυνομαι , être fâché ; être indigné ; supporter avec peine. R. βαρύς.

Βαρυνωτος, 8, όί/η, chargé d’une lourde écaille, comme la iortue.

, R. βαρύς, νωτος, C. à d. dorU le dos est lourd.

Βαρυο£μος, «, adj. qui a une odeur forte , qui sent fort—? dont l'odeur est insupportable.

Βαρυοζος,8, adj. et βαρύοσ— μος, 8, adj. mêm. siçnif. R.

• βαρύς , ο£ω,

Bapuôpyvjroç, 8, adj. outré de colere—sujet k entrer dans yiplçntes çpleres. opyii,

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BAP

Βαρύοσμος > V. βαρνοδμος· β β Βαουττειθης, /ος, adj. qui obéît lentement—qui manque d'activité. R. πείθω.    I

Βαρντσινθ-άς , «ος ,· βαρντσενθος, », adj. accablé de douleur —-plongé dans le deuil — qui p'onge dans le deuil; extrêmement affligeant.

Βαρυτνενθεια, ας. τί, douleur accablante; affliction mortelle; graud deuil—profonde douleur. H. βαρύς, ηε'νθος. φαρυητημΜν , ονος , adj· _ qui a éprouvé de grandes perles, de grands malheurs*—<jui cause de grands malheurs, de grandes pertes. H. πημα. fkcpvtTvctu, fut. qui souffle avec violence. R, *rv/«. Βαρνβτοτμος, », ad;. dont le sort est déplorable ; dont la destinée est malheureuse. R. ιτότμος. JpapverprTT^, mêm· sign· çu'àpt-

ττ ριπής.

Βαρνς , «T’a, v, g. /ος, acc, βαρνν, lourd, pesant — accablant — redoutable—fâcheux—odieux.

Βαρνς, grave, opposé i7οζνς, aigu, en parlaaà du son, etc. n. βάρος. v Βαρνσί^ρος, », adj. dont le fer est lourd R. σίδηρος. Βοιρνςαθμ/ω, βαρνςαθμίζω, avoir du poids ; peser beaucoup ; faire pencher la balance — ajouter du poids; rendre plus pesant. Γ Βαρνςαθμος, », adj. pesant. R. ςάθμη.

Βαρυςενάχω, pousser de profonds gémissemens. [Βαρύς-ονος, qui pousse de profonds gémissemens—qui fait pousser de pro-^ fonds gémissemens ; lamentable; déplorable. R. ςε'νω. Βαρυσνμ^ορος, », adj. accablé de malheurs—(jui succombe sous le poids del'mfortune. R. σνμ-φορα.

Βαρνσφαρα^ος, », adj. qui fait un grand bruit. R. σφάραγος.

Βαρ υχης , ητος , η , pesanteur , lourdeur—humeur lâcheuse.

Βαρντης, pesanteur d'esprit, R. βάρος.

Βαρύτιμος, », adj. qui est d'un grand prix; très-précieux. R. Βαρύς, ημί. [Βαρντιμεω, augmenter considérablement le prix d’une chose ; vendre trop cher. R. βαρύς, τιμή. JktpwTOvi», fut· ήσω, parf. vjxa, prononcer d'un ton grave, t Βαρύτονος, », adj. <jue l’on prononce ou que 1 on doit

Frononcer d’un * ton grave. Βαρντόνως, adv· d’un ton |ffkyé. R. ^αρνς ? τόνο$,

ΒΑΣ

ΒαρνφθογΓος, », adj. èpith. du lion , rugissant. R. βαρύς, φθ^/Γω, c. àd. qui a une voix dont le son est çrave. Βαρυψορτος, », adj. lourd à porter ; pesant. R. φόρτος Bapucppwv , ονος, adj. accablé d'inquiétudes. [ Βαρυφρονεω, être accablé d’inquiétudes, f Βαρυ-φροσνννΐ , ης , η , inquiétude mortelle. R. βαρνς, φρνίν. Βαρνφωνος, », adj. qui a une voix dont le son est grave. Γ Bapv-φωνίω, avoir une voix dont le son est grave—parler sur un ton grave.

Βοφνψωνία, ας, ή, voix dont le son est grave, opposée à la POix aiguë. R. β*ρνς , φωνή. Βαρνψυχος, », adj. qui se laisse accabler par le malheur; qui se laisse abattre. R. ψυχ*ί· Βαρυω<?ίνος, », n, qui accouche péniblement. R. ωδίν. Βαρυωίυνος, %, adj. qui souffre de grandes douleurs—qui cause de grandes douleurs. R. ©Æivvj. Βαρνωπίω, voir avec peine, c. à

d. avoir la vue foible. R. ωψ. Βασανενω, βασανίζω, passer à la pierre de touche—examiner; éprouver; mettre à l’épreuve; faire l'essai—donner la ques1-tion, la torture, pour arracher la vérité—tourmenter ; vexer. R. βασανος.

Βασανισ/χος , S , ô , épreuve — question, torture.'tft. R. Βασαν:ς^»ς, », o, celui qui met à l'épreuve, qui examinc-^-ccIui

fut applique à 'la question. Βασανιςτ?ριον, », το, lieu où on donne 1a question—instrument de la torture—pierre de touche.    '    '

ΒΑ^ΣΑΝΟΣ , » , ô , pierre de touche à éprouver l’or—examen ; épreuve — inquisition r information—question , torture. Dans ce dernier sens on se sert plus souvent du pluriel βάσανοι.

Βασανος, tourment, vexation —maladie douloureuse.

Baveνμα*, Dor. pour βήσομαι · Βασίλεια, aς>η, royauté; autorité souvecaine.

Βασιλέα, reine ; souveraine. R· βασιλεύς·

Βασίλειά», fut. άσω, aspirer à la royauté, à la souveraine puis sance.

j Βασιλεί&ος, », ό, (ils de roi. ΗΒασιλείδιον, », τ^ , petit roi ; roitelet.

Βασίλειον, », τ)>, maison royale; | palais i la çouf,

ΒΑΣ

Βασίλειος, », adj. royal; de roi.

Βασιλεύομαι , V· βασιλεύω. '

ΒΑΣΙΛΕΥΣ, εος, Alt. /ως, poèt. et Ion· tjoç, ό, roi—monarque prince—roitelet, oiseau. M/ya; βασιλεύς, ou simplement βασιλεύς*, le grand roi, c. à d· le roi de Perse. J

Βασιλεντερος , compûr. plus royal, plus auguste — plus digne de la royauté, βασιλεν-τοττος, superl. très-digne de la royauté—le roi des rois—le premier d'entre les rois.

Βασιλεντος, », adj. Βασιλίντον γένος άνΟρώσων, un peuple que la nature a fail pour vivre sous le gouvernement monarchique.

Βασιλεύω,^/, ευσω, régner; do-miner-—ètre monarque. [ Βασιλεύομαι, vivre sous le gouvernement monarchique.

Βασιλεύω, ad. dans la version des Septante, établir un rôi.

Βασιλτ/Ιν), ης, ης, royauté—maison royale; palais; la cour.

ΒασιλνΓίον, mem. sign, ÿueβ<xσίλειov·

Βασιλή’ίος, mcm.sign. çue βισίλειος.

Βασιλείς, ίίος, ή, mêm. sign, çue βασίλεια ( fém. de βασίλειος ) , royale. Βασιληις άρχη, autorité royale.

ΒασιΪίίος, V. βασιλίς.

Βασιλί^ομαι. agir en roi; élre environné ou s’environner de l'appareil de la puissance royale.

Βασιλιχν), 5jç, η, maison royale; palais—palais de juslic^, celui où les rois rendoient autrefois la justice f

Βασιλιχος, », adj. royal. Tb βασι-λιχον , maison royale. Το βασι— λιχον,\)*$ΐ\ΐΓ, plante—basilic.on, excellent onguent suppuratif appelé aussi τετραφάρμακον.

Βασιλίχο>ς, adv. royalement, comme un roi.

Βασίλιννα, ης, βασιλίς, ίδύς, ή9 βασίλισσα, ης t nt reine. [ Βασιλίδες, ων , chaussure que por-r-toient les rois d'Athènes. R.

βασιλεύς.

Βασιλίσκος, », ô, roi d’un petit

Î>ays ; petit roi—étoile dans e cœur du lion , dans la constellation (la lion — basilic, serpent fabuleux — roitelet, oiseau.

Βασίλισσα, V. βασίλιννα.

Βάσιμος, », accessible, praticable —aisé à traverser. , ~~ Βάσιμος, établi solidement ; ferme ; stable. R. βάσις, de βαίνω b

Βάσις, εως, η, marche—pied— pied, j'un verfi rhytlime

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198 BAT

base , en terme de géométrie— base, en terme d architecture.

BAZKAfoQ Jut. iim,parf. (3«S*-vxayxa, aor. I îSoccrxtjva, fasciner ; ensorceler—porter envie —blâmer ; reprendre—calomnier.

Βασχανία , ας , η , fascination ; ensorcellement—envie, haine —calomnie; médisance—discours inspirés par la malveillance ; discours par lesquels on cherche à nuire, discours pleins de malignité.

Bavxotvcoy , g, τ«* , fascination ; charme; sortilège. Η.βασναινω.

Βάσκανος, », ddj. qui fascine; qui emploie des sortilèges —

• envieux — malveillant — cjui cherche à nuire par des discours; qui parle mal de quelqu'un; médisant; calomniateur. [ Βασχάνως, a de. avec un ' esprit d’envie—par envie.

Βασχοσννη , ν>ς, ·η , mêm. Sign, que βασχανίαΐ7 βασχάνιον.

Βάσχω. poèt. pour βαίνω, aller.

Βασμάς, », o, mèm. signif\ que βαθμός,

Βασονμα(, Eol. pour β-ησομαι.

. ΒΑΣΣΑΡΑ, «ς, β<χσσάρη, ης, η, Bassara, nourrice de Bncchus

; —bacchante; prostituée—renarde—tunique ou chaussure que portoient les bacchantes.

Βασσάρκος, », adj. de renard.

Βασσαρινς,’ «ος, Bassareus, sur· .nom de Bacchus. Κ. Βάσσα, Bass a, bourg de Libye, où U ètoit honoré; ou bien, R. Βασσάρα , Bassara.

Βασσαριχ^ς, », adj. de Bacchus; bacchique: qui concerne les orgies, les bacchantes. Τα βασ-σαριχα, histoire de Bacchus.

Βασσάριον, n, petit renard.

Βασσαρις, ίίος, vi, bacchante—-prostituée—renarde.

Βάσσχρος, », renard.

Βάσσος, c ος, t^, mêm. sign, que βησσα.

Βίσανν, ονος, comp. irrèg. de Βαθ^ς, plus profond.

ΒΑΣΤΑΖΩ , fut. άσω, parf. βι^ά-ς-αχα , porter un fardeau , comme Junt les porte-fair — porter en terre; ensevelir. [ Βαςάζω, soupeser—prendre une chose dans sa main pour en connoitre le poids,

Βάςαγμα, otroç, xb, fardeau; ch;*rr;e d’un porte-faix.

Βατί-Χ^ίσθα», mener une vie efféminée et honttkise.

Ιταλός, », adj. mou, effémin ; lâche. R. Βάταλος , Batalus , ïiusiciàn d'Ephese.

BAT

Βατάνιον, », το, plat; assiette.

Bâfre, allez, de j5à, impèr. de βαίνω.

Βατινω, fut. ιυσω, se dit des ac-cou piemens des animaux; βατ* v« se dit des mâles T et βα-τιυοριαι, des femelles. [ Βατ? ùv τα t , dans Théocrite% pour βατιυοντοα.

Bare m, fut. τίσ», aller. [ Βατιω pour, ττατίω, fouler.

Βάττ,ν pour i&jrvjv, d’fâriv.

Barop , ïjpoç, ο, qui marche ; marcheur—le seuil 0» le pas de la porte—borne, dans la carriere.

Βατνίριος, «, adj. qui serj à monter. R. βαίνω.

Βατία, ων, ràc, inures sauvages.

Βαπαχη , νς, τη, espèce de coupe, de gobelet. [ Βατιάχιον, », το, dimin. de βατιαχη.

Βατιίοσχοβτος, f'1'. βατίς.

Βάτινος, «, adj. V. βάτος.

Βα'τιον, », το, mure sauvage.

[ Βατ:ον , dimin. de βάτος. * #

Βατίς, ί£ ος, η, nom d un poisson délicat semblable à la raie. [Βατι^όσχονος, » , adj. qui jette un œil d’envie sur le poisson appelé βατίς, c. à d. friand, gourmand.

* Βατίς , nom d un oiseau.

[ Βατίς, bassile ou fenouil marin, plante.    e

Βάτος, », \η, buisson, qui pro-du il des mures sauvages. Βάτος Ιίαία, buisson du mont Ida, c. à d. framboisier. [ Βάτινος,

», adj. de buisson. [Βάτινα, ων , subst. mûres sauvages.

[ Βχτόίΐς, «ντος, adj. et βατω-Jvjç. «ος, adj. de, buissou — semblable au buisson—de la même nàture que le buisson^-

* fait de buisson. Βατώίις μωρόν , mure de buisson; mûre sauvage. ^

Βάτος, raie, poisson.

Βάτος, », ό, mesure pour les liquides, contenant trois amphores.

Βατός, », adj. accessible; praticable ; aisé à traverser. R. βαίνω.    '

Βατράχι toç, V. βάτραχοςt Βατραχιζ», nager comme une

Êrenouille—se luxer les mem-res en tombant. R. βάτραχος. Βατράχιον , », Λ, petite grenouille —la grenouillette, herbe—renoncule y fleur.    ^

Βατραχίς, ίίος, η, habit teint en couleur de grenouille ou de renoncule ; robe bicarrée, dont se sersoient les anciens acteurs. Βατραχίτνκ , » , i , batrachyte , pierre ainsi nomméet parce qu'on J

BAT

a cru qu elle se trouvoit dans les grenouilles om dans les crapauds ; on lui attribuoit de grandes vertus contre toute sorte de venins—crapaudine, pierre précieuse.

Βατραχομνομαχία, ας, v), ΒΑΤΕΑ-chomYOMACHIE, combat des rats et des grenouilles, nom d'un petit poème grec attribué à Homère. R. βάτραχος, μνς, μάχομΛί. ·

ΒΑ#ΤΡΑΧΟΣ, », £, grenouille— tumeur qui vient sous la langue, particulièrement sous celïe des enfans. [ Βατράχι ιος^ », adj. de grenouille — qui a rapport à la grenouille — dont la couleur est semblable à celle de !a grenouille.

Βατ7ορίζω, bégayer; balbutier, bredouiller--babiller; dire des niaiseries. [ Βατ7αρισμάς% », o, bégayement — balbutiement ; bredouillage — bavardage.

[ BarlaptçrK, if, ô, qui bégaye —qui balbutie; bredouilleur —bavard ; babillard. R. Βάτ7ος, Battus, roi des Cyrènèens, qui étoit begueÿ ou Battus, mauvais poète qui se rèpètoit toujours dans ses hymnes.

Βατ]οϊογίω, bégayer; balbutier; barbouiller—bavarder; ver-biager; tomber dans le défaut appelé baltologie. [ Βαττολογία, ας, ή, BaTTOLOGIE, répétition ennuyeuse dans le discours ; verbiage. R. βάτΐος, λιγω.

ΒάτΙος, », Γ. ci-dessus βατ7αρίζω.

Βατνλν», ν»ς, η, petite femme ; naine. R. βαιός.

Βατώίης, V. βάτος.

Βανβάω, ω, dormir—endormir.

Βανβω, nom de la nourrice d* Cères.

Βαν^ω, fut. ξω, parf. να, aboyer —bredouiller; barbouiller.

Βαυχαλάω, βανχαΐίζω, endormir les enfans en chantant, comme les nourrices.

Βαυχάλιον*, », bocal; vase qui a la gorge fort étroite, ainsi nommé du bruit que Γ eau y fait en tombant, [ Βανχαλις, ιος, vj, mêm. sign.

Baux αλο ς, », adj. délicat; paré; joli. R. βανχος.

Βαυχ^ς, », adj. agréable—délicat. [ Βαυχίζισθαι, vivre délicatement ; mener joyeuse vie. [ Βανχισρια, ατος* xb, joyeuse vie ; vie molle et voluptueuse; délices; voluptés. [ Βαυχισρος, 5, ο, nom dune danse lascire inventée par un certain Banrus. [ Βανχίέις, «y » αί & chautturt

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ΒΔΕ

lie femme. [ Βαυχονανοΰργος, », oetii, insolent—qui se fait un jeu de tromper.

BAlfaH, ι»ς, ΎΙ, βαννος, », o, forge—fourneau; cheminée.

Bvùefitvpour βανζιιν.

Βαφινς, «ος, ό, teinturier.

Βα^νι, γις, ή, immersion-r-trempe, la trempe du fer—teinture— couleur; fard.

B, tache, dans Plut.

Βάκχος, », adj. de teinturier ; de teinture ; qui sert à la teinture. [ Βα?ιχη, 3ς, ή ( sous-ent. τ/χνη ), l'art de teindre ; la teinture. R. βάνΙω.

Βά^ις, ιως, ύ, Faction de plonger dans l’eau ; l’action de tremper , de tremper le fer.

Βάω y thème inusité dont βαίνω emprunte plusieurs temps.

ΒΔΑΛΛΩ, fut. βίαλω , parf \ iZ-ίαλχα, traire ; sucer , téter. [ Β&ίλλομαι, moy. traire. Βάλλομαι , pass, être trait. Β»ς βίάλ-λ«ται ά^φορια, Arist. une vache rempht ae son lait une amphore , c. <ù’ d. une vache, chaoue fois qu'on la trait , rend jusqu'à une amphore de lait. [Βέαλσις, «ως,ιό, l'action de traire, de, etc.—suc.

$£/λλα, *ç, ύ, une sangsue. Β<?/λλα signifie aussi Γarbre appelé ΒίΛλιον. V. ce mot.

ΒίΛλιον, », rl, bdellium» arbre noir et odoriférant de la grandeur ttun olivier—le fruit du bdellium, ce fruit ressemble aux figues sauvages—la liqueur qu’on tire du bdellium, laquelle f épaissit en gomme.

ΒέΑλος, «ος, *Λ, vesse; pet—la mauvaise odeur que jette une lampe mal éteinte. R. βΜω.

Bί«λλω, V. βίάλλω.

Βί«λν>μα, ατος, το, β&λνγυΛς, S, ir exécration; abomination— chose abominable ; objet d’exécration—puanteur. R. βίιλυσ-σομαι.

Β^ιΧνγμίχ, ας, vj , abomination— turpitude—vilenie—puanteur —dégoût—nausée.

Β^ιλνγμιας, u, adj. puant, fétide. M. R.

BδίΧνγμύς , V. β${\νγμα.

BJiXvxToçr », adj. abominable, exécrable. M. R.

BJsXvpia, ας, vj, extrême impudence; cynisme; dissolution; débauche. M. R.

Β&λνρ^ς, », adj. extrêmement impudent; cynique; débauché. [ Β&λνρ£ς, ai», impudemment—dans toute lorte de dis-folutioiu.    ,

BEB*

BAtAlfaoMAI, βΐΜτΊομα

όξομαι, parf. ιΜ/λυγμαι, exécrer; avoir en exécration, en abomination , en horreur — redouter avec horreur.

B£fVvv<76at, βί/νισθαι, péter — décharger son ventre ; aller à la garde-robe.

ΒΔΙ&Ϊ, fut. Ισω et ι£σω, lâcher une vesse ou un pet—puer; sentir mauvais.

Β^όλος, β, ô, mém. signif. que βίΰλος.    Y

Βίύλλω, mêm. sign, que βδίω—de pl. craindre.

Β/£αα, parf moy. de βαίνω.

Βίβαιόομαι, V. βΐ€χιόω.

ΒΈΒΑΙΟΣ, », adj. ferme, stable, solide ; assuré ; sûr. Tfl> β/ζαιον, sûreté; assurance—chose certaine ; chose sûre. BcSatoç avec un nom de personne, sûr; un homme dout on est assuré; sur lequel on peut compter. Β/βαιός ΐςι xhxo ηοινίσιιν , on peut être sûr ou on peut compter qu'il fera cela. D'autres adjectifs^ grecs se construisent de la même manière. V. ίήλος.

Βιβαιόηρος , compar. plus •ferme, etc. Βιβαιότατος, superl. très-ferme, etc.

Βιβαίως, adv. fermement; solidement—avec certitude ; avec une parfaite connoissance de cause.

Β(ξ*ι6της, ητος, ri, fermeté ; stabilité f solidité ; affermissement — sûreté; assurance — constance.

Bcffacôtt, fut. νσ«, rendre stable ; affermir ; ( consolider —ratifier; confirmer; sanctionner—assurer à quelqu’un la jouissance d'une chose—affirmer, confirmer. [Βεβαίωσις, *>, l'action d'affermir, et autres sens du verbe, affermissement ; appui ; fondement.

Β<£α(ωτύς, g, qUi ratifle j

qui confirme ; qui sanctionne ;

- garant.

Βιβαιωτιχ^ς, S, adj. qui sert à confirmer, etc.—confirma-tif— affirmatif, en terme de grammaire. Arjtw, $rfanQtv , et autres particules sont dites βι-ÇatoTtxai, affirmatives.

Bc6ax7ac, 3 pers. parf. pass, de βάζο», dire, parf. βι£<χχα, parf pass. β/€αγμαι.

Βίβαχως, Dor. pour βϊ£γ>χως.

Bttajxsv, sync, pour βίβηχαμίν, parf. de βαίνω.

BtSàfitv , inf. pour βιβηχ/να*, de β/ffvpcα.

Βϊβαρηώς, Ion. pour βίζαρηχως, parf pari .act. de βαρ««.

Βει ijjgi

BcVtx'rav, sync, pour iStSxtiaav , plusq. parf. moy. formé du parf β/Saa.

Βίβαως, ωτος, parf. de β/βαα.

Be&oxa, parf. act. de βαίνω.

Β/βηλος, », Dor. β/βαλος, », adj. profane. [Βιβ^λ,όω, fut. ώσω, parf. β(β>)λωχα, profaner;souiller. f Β(βηλωσις, ιως, η, profanation. R. βτ)λος.

Βιβ(»μ/νος, », tiré avec effort, part. parf. pass, de βια*.

Β(β(&>μ/νος, F", βιόω.

Β/βλαφα, parf. de βΧχν/Ιω.

BeoXviou, Ion. pour β/βλησαι.

Βίβληατοα, Ion. pour β/ξΧ-ηντα».

Βββληατο, pour fàtGlvιντο, plusq. parf. pass, de βάλλω.

Β<βλν)χα, parf. de βάλλω.

Btfovarat pourfitÇôyvxai, de βοάω.

Β<βολιόατα(, Ion. pour βίζόΧπνται,

3 pers. plur. du parf pass, de βολ/ω, jeter.

Βιβολνίατο, Ion. pour iMoXvivxo, plusq. parf.pass, de βοΧίω, pour

βαίλλω.

Βιβολτομόος, part. parf. pass, de βολιω pour βάλλω.

B<Soçpx/^ûtuevος, h , frisé ; qui a les cheveux bouclés \part. parf. pass, de βος-ρυχΐμαι.

Β<β«λα ,' parf. moy. de βόλομαι. ,

ΒΕΒΡΑΣ, αοος, βζμζρχς, άίος, ·, pour μιμβρας, espèce de loche ou tf anchois.

BtGpiyfUvoç; », part, parf. pass. de βρίχ*.

Btsprta, pa/f. moy. de βρίθω.

Βί£ριθως, adv. mêm. signif que βαρνμάως, V. βαρ/ω.

B(βρόντοσθαι, V. βα οντάω.

Βιβροτωμ/νος, V. βροτο/ις.

Β/βροχα, AU. pour βίζριχα.

Βιβρώθω, mem. sign, que βρίσκω.

Βιβρωχα, parf act. du même verbe, f Βιορώς, pour βιβρωχως.

Βιζυσμ-ίνος, part, parf pass, de βυω.

Β/βωχα, parf. de βόσχω.

BtÇafxtvoç, u, Ion. et Dor. pour βίβοημινος, renommé ; célèbre, parf. part. pass, de βοάω.

Βιβωμ/νος, part. parf. pass, de βόσχω.

Βιβως , ωτος, Att. pour βίϋαως.

Bl&rj, eau, en langue phrygienne.

B/ti , Ion. pour β-λ aor. 2 subj. de βαίνω.

Βΐινητ*άω, V. βιντιχιάω.

Βΐι'νω, V. βινιο).

Bctoμ.αι pour βίωσο^αι {fut. moy* de βιόω ), je vivrai, ou pour -πορΓυσομαι, j’irai.

Bit ponte; pour Up «χ«ς.

Βιιράχη mèm. sign, que ri xptrax-

TtXV).

Befpt|, mèm. sign, que ο Γλάρος.

Βι ίω, pour βω, aor. 2 de βαίνω.

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200 BEA

Β/χχίς, pain, en.languephrygienne. ΒεχχισΛηνος, », adj. littéralement

f>lus ancien que le pain et la une, c. è d. extrêmement ancien—qui radote; sot; im-Léciile. H. βεχχος, σεληνη. ΒΆΚΧΟΣ, », βε'χος, », ό, pain, en langue phrygienne— fou ; iinbécille.

Βίχώς, adç. de loin. liiluzvt , dal. plur.poèt. de βΙΧος. Βελεμνον, » . το * m. sign, que βάος. Βελενίτης,*», ό, nom (f une pierre qui se termine en fleche tres-' ai gué y et dans Γ inteneur de laquelle on trouve des choses curieuses.

, Βε'λενος ou βιλίννος,' tr, ô, nom d'un poisson qui ressemble à une fleche.

Βελισιχαρης, et poèt. βίλεσσ«χα— pyjç* «ος, qui aime les flèches —qui se plait à lancer des traits, épith. d'Apollon dans les poètes. R. βΛος, χαίρω. Βελλεροφόντης, », ô,Bellérophon. R. BAXrpoç, ψονεω, parce qua-çant de tuer la Chimère, il tua un fameux brigand nommé B«V λιρος.

Βιλβαχον, », xl, remède contre la blessure dès flèches—dic-tame. R. βίΧος, άχος.

ΒελοΟη'χη, ης, η, carquois ; trousse, à mettre des fléchés. R. βΑος, 3r>xy)

Βελομαντια , ας, ri y BELpMANCIK, divination par les flèches. R. βί\0ς, fxavxtTa. La liclomancie étoit en usage chez les Orien-tauxy et surtout chez les Arabes; elle consistoit à écrire les noms ^ies villes ennemies sur autant de fléchés ; on remuo it ces fie -c/ies dans le carquois, et celle quon tiroit ensuite la première t indiqvoit, par son inscription, la ville quon de voit assiéger la première. ^

Ββλόνη, ης, η, aiguille.

Βελόνη , nom d'un poisson qui a le bec d'une grue, et le dos argenté. R. βΙΧος. ^ BcWii ί^ος,η, petite aiguille Βελονοεχ£ης, «ος, adj. qui a la forme d’une aiguille—pointu comme une aiguille. II. βελόνη, tÎfoç.    β

Βέλον οτσοιχίλτης, », o, qui travaille avec l'aiguille sur une étoffe, sur un habit; brodeur. R. βελόνη, ‘ττοιχίλ/ω.    ^

Βιλονο-σώλης, »( ^ vendeur d’aiguilles. [ Βε>;^όσωλις, ιοος, η, vendeuse d’aiguilles. R. βελόνη, ‘ττωλεω.

BiiowotV;, », ό, qui forge des traits. R. βάος, ποιεω.

BEM

BIÎAOJ, ’ toç, -Λ, dard , trait ; javelot ; flèche — tonnerre ; foudre.

Β/Χος, coup—la douleur du coup.

βΛονς, à la portée du trait, έξω jSiiovç, hors de la portée du trait. >

βέλος, Horn, les douleurs de Tenfantement.

Βιλός-ασις, (ως, η, machine de uerVe pour lancer des traits; aliste. R. β/λος, Tçrjp.t. '

Β«λοσφ«ν£όνη, ης, η , javelot qu’on lançait avec l'arbalète contre les tours de bois, afin d’y mettre le feu par le moyen de la filasse allumée au bout du javelot—trait ; flèche. R. /3Λος, σ<ρ«ν£όνη.

Βελονλχεω, arracher uu trait de la plaie. [Β«λουλχία, ας, η, extraction du fer de la plaie. [ Ββλονλχιχος, », adj. qui concerne l'extraction. [ Βελονλχος, », o, qui extrait le fer de la plaie. [ Βελουλχ^ν , », το, instrument pour arracher le trait de la plaie. R. βε'λος, ϊΧχίω.

Βελτερος, », ό, compar. meilleur ; préférable—excellent— très-sensé. R. βΑος, c. à d. celui qui lance mieux un trait.

Βελτίων, ονος, comp. meilleur. [ Β/λτίβν, adv. et βελτιό-νως, adv. mieux. B/lrtoy ττω— λιΓν, vendre mieux, c. à d. plus cher.

Βελτιόω, fut. ωσω, rendre meilleur—améliorer. ]Βελτι«-σις, «ως, η, l’action de rendre meilleur—réforme —- changement en mieux—amélioration $ amendement.

Β^>τί»ς, contract, pour βάτίονις et β«λτίονας.

Bclrtço;, «, adj. superl. très-bon. Oî β/Χτιςοί των -κοΧίτων , les premiers citoyens de la ville. [ ΒΛ-πς-α, adv. très-bien. R. βε'λτβρος.    -

Βελτ/ω , sync, pour βελτίονα.

Βελτίων, V. βΙΧτιρος.

ΒίΧτίωσις, r. βιλτιόω. .

Βεμϋενω, βεμ£εω, V. β«μ£ηξ.

Β^ΜΒΗΞ , ηχος, η, sabot^ jouet d*en/ans—tourbillon — tournant d’eail. [ Β/μβιξ, ιχος, η, mém. sign.~depl. un rouet h filer—un bourdon, mouche.

Βεμ&/«> , βεμβενω, faire tourner; faire pirouetter. [Β«μ6η-χίζω, mêm. sign.

Βίμβηχιοίω, neul. pirouetter ; tourner, comme tourne un sabot.

Bcp&xt'^w, m.sign. queβφζιιχίζφ.

BHM

Β/μ^(ξ, V, ci-dessus β/μ,ζπζ.

Bβμβρευω, βίμξα/ω, mém. sign. Ot/é βιμΰίω, V. βψξγιξ.

Βψϊριξ , mém. sign. que βέμβι ζ , V. ci-dessus

Β«*ίι5, ιίο-, ί, <·/.ΒΛίίΐ«, ««, $ , nom de Diane chez Us Thrace s.

LBevMctdv, », to, temple de lane. [ Β(ν£ί£κα, ων, τ&, fêtes ou sacrifices en l’honneur de Diane.

Β/νθος. coçi το, profondeur ; le fond. *

Bcvnçoç, Dor. pour βεΧτιςος.

B/cpat pour βήσω, je marcherai, ou pour βωμοίί·

B^PBEPI, coquille qui renferme des perles. '

Β/ρεθρον pour βοίραθρον.

Bcplxvvrat, ων, οί, Bérécyntiens , habitons d'une contrée de ία Phrygie, d où vient que /a Phrygie est quelquefois appelée η BcpcxuvTta, surnom qu om donne aussi à Cybele , à cause quelle étoit adorée en Phrygie.

BETION , », rb, herbe que Γon croit être la même que le dic-tame.

ΒΕΥΔΟΣ, (ος, tV, robe de pourpre—robe ornée de diverses couleurs-—peau de bœuf sur laquelle on s'étend pour dor» unr.

BH, cri des brebis. ΓΒηζβιν, bêler.

Βη)ην, brebis. [Βη'χη, chèvre.

Βηχα , ων , ràe, brebis. [ Βη— xta, petites brebis.

B95 pour iSvi, aor. 2 de βαίνω.

B95yp-a, ατος, τ^, crachat. R.

β-ησσω.

Βηθι, aor. 2 impér. de βιχίνω.

Βηχη, |5ηχα, r. β·η.

ΒΠΛΟΣ, », ô, seuil de la porte. Βηλΐ>ς ^«απϊτεσιος, Hom. le seuil des portes de lOIympe.

Βημα , ατος, τϊ, pas, mouvement quon fait en mettant un pied devant Γautre— pas , Γespace qui se trouve d'un pied à Vautre quand on mesure un terrain.

[ Βηματίζω, fut. ίσω , mesurer avec le pas.

Biifia, l’endroit d’où parle un orateur; tribune; pupitre; chaire ; tribunal. Oi àmo τον βήματος, les orateurs.

Βηματις^ς, », ô, celui qui mesure avet le pas—qui est assis sur un tribunal, comme juge. R. βαίνω.

Βημενα:, Dor. pour βηναι v

Βημι, thème inus dé dont βαίνω, emprunte f aoriste second fàu , impér. Βηθ», opt. βαίπν, suàj\ βω, inf βηνβς;.

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felA

ferts, gèù· β*χϊ>ς9 ή9 la tpux ; te mot se trouve au masculin dans Thuc. μίτοι βνχάς ίσχυρΒ.

Er^ptxtî, ωνι gâteaux, galettes— épées.

Βηοισσίύίΐν, mém· sign, que <rwn-pity , semer.

ΒΗΡΟΣ, », ô, espèce de vêtement.

Βνιρνλλιος λίθος , mém· sign· que βη'ρνλλος, bcril, pierre précieuse, etc·

Bi/ΡΥΛΔΟΣ, y, ô ou η , béril, pièrrcprécieuse de couleur d*eau de mer y appelée par les modernes aiguë marine. [ Βηρνλ-λος, béni, herbe.

Β/ισιψ.ίνος t^aor. i moy. de βαίνω·

Βή7« pour ΐ&ησαν, de βαίνω·

Βήτομαι, fut. moy. de βαίνω, a quelquefois lu force a un présent , comme les futurs de plusieurs autres verbes. De là vient Γimparf. βη'σιτο pour «βη'σβτo, «J montait, il monta.

Β/ίσο;, ιος, t^, vallée; enfoncement.

ΒΗΣΣΛΙ, ων, α', sentiers, qui conduisent à travers les montagnes—halliers ; broussailles —lieux enfoncés; vallons.

Βησσηιις, ιντος, adj. traversé par plusieurs sentiers. ^

Bvicr-tov, «, Λ, carafe en poire ; bouteille.

Β«σσω, Rvxl*,fut. βήξω, tousser.

ΒΤίτα, bêta, seconde lettre de Calphabet gyec.

Βητο^Λς, 2, à, danse. [Βητάρμων, ονος, ô, danseur. Βηταρμ^ς iv6-ολίος, danse exécutée par des hommes armés; la pyrrhique. R. βάω et αρμόζω·

B/jtvj* , pour ΐβητην, aor. 2 de

βν,ίνω·

Βηχιχΐ>ς, », adj. attaqué de la toux ; totisseux—qui a rapport à la toux. y    ^

ΒηχοΛς, béchique ; qui calme la toux; qui facilite 1 expectoration. R. βηξ.

Bïjytov , » » “t ο, pas d'âne, herbe. R. Byjî , à cause qu'elle sert à guérir de la toux.

BÎA, ας,ν, ion. βίη ,ης,η, force.

. Βίη ΐίραχλνίος ( dans les pocies ) pour Ηραχλ/ΐς, ilercuie. Πριά-fioio βίν y Priam.

Βία, impétuosité ; attaque impétueuse— violence; contrainte; oppression. Πρ^ςβίαν, par force. Bta ,&ίων , Kurip. innlgré les Dieux. Βία ημων, malgré nous.    '

, Βί* se dit aussi des choses inanimées : βία πν:νματος, la violence des vents*

BIA

Βία*, ων, des violences ; des

outrages.

Βιάζιο , Ion. , βιάζίυ, Dor* pour βιάζον> imp.près, de βιάζομαι. Βιάζω , faire violence ; forcer ; presser vivement—oppresser —violer. [ Βιάζομαι,pass, ètfe forcé, etc.

Βιάζομαι,, moy. forcer; fairé . violence ; contraindre par la force; arracher par la force; emporter de vive force , de haute lutte—violer—neut. s’efforcer de ; faire effort pour arriver à ; lutter. Βιάζ*σθαι «Γσω, entrer de vive force. Βιά-ζισθαι την φυλαχην OU Æiàc των φνλάχων, Thuc. fbreer la garde.

Βνοίω y fut· ν?σω, parf. βίβιηχα, et βιάομαι, mém. sign if que β^άζω, forcer; opposer; violer, etc. Βιάομαι a aussi la sign.pass, être forcé, etc., être violé, etc. Β.βία.

Βιάθω, partir.

Bcatopaχίω, combattre avec les forces du corps—combattre à force ouverte , non par ruse— lutter de toutes ses forces. R. βίαιος. [Ώιαιομάχας, 8, ό, celui qui combat avec les forces du corps, qui combat à force ouverte , et autres sens du verbe βιαιομαχ/ω.

Βίαιος, », adj. violent—outrageant. Τλ βίαια, des actes de violence. Βίαιόν τι iroictv, Xén. et Luc· commettre qucjque acte de violence. Βίαιων ίίχη, action intentée contre celui qui a commis des actes de violence.

Βίαιος, violent, qui commet des actes de violence.

Βίαιος, violcuté ; contraint ;

• forcé.

Βίαιος fait au fem· βίαιος et βίαια. R. βία. ·

Βιαίως, adv. violemment; de vive force ; par violence. Βιαιότης, ητος, % , violent e, contrainte.

Βιάομαι, V. Cl dessus βιάζω. Βιαρχης, «ος, adj. qui fournit ce qui est nécessaire à la vie. R. βιο', άρχ/ω.    ·

Biftpo/rtp, «ιρος, ô et η, dont les mains sont robustes; dont les bras sont vigoureux—robuste, fort.    ^

Βίαρχος, «, S, chargé de la direction des vivres ; adininis-trateur des subsistances. R.

βίος, ®PX«

Βιάσχιμαι, vivre.

Βιασμός, 2, o, violence; contrainte — violentes agitations de l’âme. R. βία·

BIB aoi

Biitçi;, î, •i.qui emploie la violence ; qui exerce des violences—qui s’empare par violence—violateur.

Βιας-ιχος, e, adj. coactif j qui a force coactive. Βιας-ιχος νόμος, loi coactive.

Βιάω, V. Βιάξω.

Βιβάζω, fut. άσω, se promener J aller; entrer aans.

Βιβάζω, accoupler des ani*· maux y pour la génération. [Bi-βάζομαι, être accouplé.Ilsedik de la femelle qui reçoit le mâle* Βίοασις, «ως, η, accouplement—lit—l'action de sauter en se frappant le derrière avec les deux pieds. H γ avoil des prix établis à Lacèdémone pour celte espèce de saut ; le9 jeunes filles ètoient admises à disputer le prix.

Bt6iç, part. près, de βί^ημι, mêm. sign· que βαίνων.

Β(£άσόω, V% βιζάω.

Βιβαςνς, 2, ο, le mâle qui sert à couvrir des femelles ; étalon ; taureau. R. βι£άζω.

Βιβάω, β&νμι, part. prés, βιβλς, gèn. βιζάντος, marcher; aller; s’avancer; passer. [ Βιβάσθω mem. signif. Maxpi βιβάσΟων,

, Hom. marchant à grands pas.

Βιβλαρι&ον, βιζ\άριον , βιβλίίιον, y, rb, petit livre, livret; petit cahier. R. βίδλος, de βΜος.

Βιβλιαχος, 2, adj. qui est toujours au milieu des livres—· grand lecteur—grand littérateur. M. R.

Βίβλινος οΓνος, vin de Bibline, vignoble dans la Thrace.

ΒιΟ.ιογράφος, 8, ô, copiste, celui qUi tmnscrivoit les ouvrages des auteurs avant Γ invention de Γimprimerte. f Βι^λιο^ρα^ια, ας , métier de copiste, n. βι$λίον, γράφω. De βιζΧιογράφος vient notre mot français bibliographe , un homme versé dans la connoissance des livres. ,

BiÇXtofyxv), ης, η, BIBLIOTH£QÜE. R. ΤιΟημ,ι.

Βιβλιοχάβηλος, V. βιβλι.^ωλ^ς.

Βιβλίον; », Λ, petit livre—livre —registre, cahier — placet— tablettes, f Βιβλία, ων , τλ, les livres sacrés, les saintes écritures ; la Bible. R. βί?Λος.

Βιβλιοπώλης, 8, ô, voc.'βι$7.ιοττωλα, libraire. Βιβλ:οχάσηλος, 8, ô , bouquiniste ; colporteur. R.

βιζλί&ν , χά,ττηλος.

Β&'.ϊταφος , 8, ο, dont les livres restent « nsc velu, r. à d. qui tient ses livres toujours enfermés. R. βιΟίον, τα for.

Λ

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202 BIO

βιβλίοφόρος, β , h , porteur de lettres. R. βιβλίον , φ/ρω.

Βιβλιοφυλάχιον, », rfc, bibliothèque.

R. φυλάσσω.

Βιβλίς, ί&ος, η, petit livre—petite corde kite de Técorce de papyrus. ^

Βίολος, », vit livre. R. βυβλος. ωσχω, manger—se repaître de. R. βρωσχω.

Bicvvtîç , pour βιοΰντίς.

Βίη, Ion. pour βία.

Βιημαχος, », è, mêm. sign, que βιοαομάχ'ας.

Βιϊίσατο, /0Λ. pour Ιβιάσατο, aor. I Λ70;\ dû βιάζομαι.

ΐΜγιφιpour βιγ) ( dal. de βίη ), par ta force.    ·

BÎKOS, «, ό, vase 04 Urne qui a des anses; amphore. [ Βιχί-

ÆlOV, 8, ·Λ, r/ βιχιον, «f, TO,

petit vase, petite urne, petite amphore—petit tonneau.

BINIlQ ,///. »ίσω, se dit de la ceb pu laiton charnelle, et βινητιάω, des désirs de la chair.

&ιο£ότης, », ô, βιο£ωτης, », o, et Βιο&έτωρ, ορος, oui donne la vie

— nourricier. H. βίος, M* t.

Βιοίωρος, ô, Λίί/w. signif. que βιοίότης.

Βιοθάλρ*ος, », ô, qui vit longtemps; vivace, η. βίος, £άλλω.

Βιοθριμμων, ονος, adj. qui nourrit les hommes; nécessaire à la vie des hommes, comme t air, la terrey etc. R. βίος, τρ/γ».

Βιολ·γ/ω, écrire la vie de quel-u’un ; être biographe. R. ίος, λ/χω-

Βιομηχανία, ας, η, habileté à se procurer des moyens de subsistance. [ Βιομηχανος, », adj. habile à se procurer des moyens de subsistance, à trouver des expédiens pour vivre. R. βίος, μηχανή.

Βιοσλανης, /ος, adj. qui cherche sa vie en allant de côté et d'autre, c. à d. mendiant. R. ιτλάνης.

itotjopiçuo;, S, adj. qui fournit à la subsistance de quelqu'un. R. βίος, πορίζω.

ΒΙΟΣ, », ô, vie; le cours de la vie. Βίο* «ύίοκμόνως ίιατιλιΓν , IsOCr. passer sa vie heureusement.

Βίο;, genre de vie; meurs; conduite.

Βίος, les hommes ; le monde, c. à d. le commun des hommes, ό βίο; αισας, tout le genre humain. '

Βίος, vivres, subsistance, les choses nécessaires à la vie — biens ; facultés. Βίον -ττοριζίσθαι, se procurer de quoi vivre.

ΒΙΩ

Biov συλλ/yiσθαι ou χΊήσασβαι OU ττοιιΤαθαι, mém. signif.

Βχος, avec un accent sur la dernière syllabe, arc—corde de Tare. R. βία.

Β(όσσοος, », ό, qui conserve la vi«î: salutaire. R. σόω. 1

(Bimw,/tf/. Γυσω, vivre; subsister ; sc procurer de quoi vivre BioTtta, ας, η, genre de vie.

\* ^‘ος* , , ·

Βιοτη, ης, η ,βιότης, ητος, η , vie;

genre de vie ; condition. M. R.

Βιοτη'σιος, e, adj. vital; cjui entretient la vie; nécessaire à la vie. M. R.

Βιοτιχος, V. βιωτιχός.

Bcônov, », το, condition d'un homme qui vit à l'étroit ; petite vie ; état de celui qui vivote.

Βίοτος, », ό, vie—subsistance, vivres—biens, facultés.

Βίους, aor. a part. de βίωμι.

Βιοφθόρ'Ος, %, adj. qui corrompt la vie, c. à d. qui cause la mort ; mortel. R. βίος, φθιίρω.

Βιό^ρης-ος, » , adj. utile pour vivre, utile à la vie. Η.χοης*ός.

Βιόω, fut. β(ώσω, parf β<£ίωχα, aor. a Ιβίων ( de βίωμι ), vivre.

Βιόομχι y fut. βιώσομαι, vivre, faire vivre. Βιόομαι s'emploie aussi dans un sens passif. Ta σοι χάμοι β(βιωμ/να , Dèmosth. la vie que nous avons menée. R. βίος.    ^

Βιόωνται, Ion. pour βιωνται, de βιάομαι ,pris act. faire violence.

Βίτινα, ης, mêm. sign, que βίκος, urne. [Βίτ?ιννα, ων, τ&, sandales.

Btcjvjy, aor. a opt. de βίωμι:

Βιωμαι , COntr. de βιάομαι.

Βίωμι, thème inus. dontβιίω emprunte le a* aoriste Ιβίων, inf βιωναι y part. βι»ς, όντος.

Βιωνης, *», ό, chargé des approvi-sionnemens, des subsbtances. R. βίος, ών/ομαι.

Βίωσις, <ως,η, l’action de vivre; l’exercice des fonctions vitales —force vitale—vie. [Βιώσιμος, », adj. vital—doué de la force vitale. Βιώσιμον βρίγος, un enfant qui a la force vitale, c.àd. un enfant bien constitué, un enfant qui vivra. Νομίσας οΰχ cTvat βιώσιμον 3-erov τιν«ς 1£ιωτχι χιΓρας «χουσι μείζους των νόμων , Synes. pensant qu’il ne faut pas vivre dans un endroit où quelques particuliers sont plus puissans que les lois. Ούχ âv ην ιώσιμα άνθρώσοισι, Hérod. les ommes ne pourroient pas vivre ou ne voudroient pas vivre, si, etc. Βιώσιμος χρόνος, Murip. le temps d« L vie.

BÀA

Βιωσίμως, adv. Βιώσιμος *V, mrm. sign, que βιώσιμος ιιμι. R. βιόω. [ Βια>τ/ον, Plat, il faut vivre.

Βιωτιχός, », adj. habilla se procurer les choses nécessaires il la vie. [ Βιωτιχος, dans les auteurs ecclésiastiques, séculier ; laïque—occupé des affaires et des soins de la vie humaine— mondain. [ Βιωτιχος, avec an nom de chose y qui regarde les soins de la vie ; qui a rapport à l’entretien delà vie. [Biwtix·;, adv. b la manière dont vit le commun des hommes; selon l’usage de la vie ordinaire—à la manière du peuple.

Βιωτ^ς, », adj. vital. Ουχ Mi μο« βιωτον, je ne puis pas vivre— je suis indigne de vivre.

Βι·<ριλης, /ος, adj. utile à la vie. R βίος, ωψιΧΙω.

Βλάβεν , sync, jpour ioùfârjawr, aor. λ pass., ou pour #fta£cv, aor. λ act.

ΒλαβιΙς, aor. 2 part, pass. dê βΐχταίω.

Βλαβίρ^ς, », adi. nuisible—pernicieux; fatal. R. βλάο7ω.

Β)άβ«ται , V. βλάβω.

Βλάβη , ης, η, lésion ; tort, donv* mage ; préjudice — tort. R. .βΧάνχΊω.

Βλοίβόίΐζ, ίντος, adj. mém. sign, que βλάβιρος.

Βλάβος, «ος, το, mém. sign, qea βλάβη.

Βλάβω, thème inus. dont βΧάνΙω emprunte Γaor. 2 Σλάβον. Γ Βλά-βιται, dans Hom. il est blessé.

Βλα£αρος, », adj. mou ; flasciue.

Βλα^ον, adv. lentement; lâcne-* ment.

Βλάζω, être un imbécille, un sot. R. βλάξ.

Βλαισόνους, ο£ος, β\α<σ<τΒτό$·ης %

», ό, qui a les jambes tour— nées en dehors on cambrées en dehors. Celui qui a tes jambes tournées en dedans ei que nous appelons cagneux, s'appelle en grec ραιβοσχιλης ou ραιβός. R. βλαισές» ιτοΰς.

ΒΛΑΙΣΟΣ, », adj. a la même sign, que βλαισό*χους. Il signifie de pl. boiteux—impotent; paralytique—begue, r. à d. qui a beaucoup de peine à prononcer ce r tain es le t très, comme Dèmosthene, qui ne pou voit prononcer la lettre p.

Βλαισότης, ητος, η» la distorsion des jambes; le défaut d’avoir les iainbes tortues— distorsion. [ Βλχισόω, rendre tortu ; Cambrer en dehors.

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BAA

Βλαισουμακ, se cambrer en fléhors.

■ Βλαίσωσις, (ωςy η, mèm sign. çue βλαισότης.    ‘

Ι&οκιία, ας, η, lâcheté ; fainéantise—inertie. R. βλάξ.

Βλαχινω, fut. ινσω» s'adonner à la fainéantise—h la mollesse— à la débauche—être nonchalant; agir avec nonchalance et négligence—vivre dans la débauche; consumer son bien en vivant dans la mollesse, f Βλάχινμα, ατoc, rb, action d'un homme adonné à la fainéantise, etc. R. βλάξ.

Βλαχιχ^ς, S, adj. mou; lâche; fainéant—sot ; imbéciUe. [ Βλα-xtxà;, adv. lâchement. [Βλαχι-xtoTtpov , comp. adv. plus lâchement—plus sottement. 11. R.

BiouctçaTo;, », superl. de βΧάζ.

Βλαχω^, ιος, ad), mêm.sign.çue βλαχίχος, [ B\<xxta<$tçtpov , adv. mém. sign. que βΧαχιχως et βλα-xt xtrctpov. R. βλάχικας, tTtoç.

ιμα, ατος, ti, détriment; dommage; tort. R. βλάβτίω.

Κλανοςf d f o, chassieux—myope.

JJAAZ, adj· mou; lâche; paresseux — sot, imbécille — lâche; fanfaron. (Βλαζ, nom tf une espèce de poisson.

Zftatrftxbç, », adi. nuisible ; préjudiciable. R. βλά«/?ω.

JIAA'üTQ y fut. <tyta,parf β/ξΧαφα, aor. a ιδλαβον, parf./ moy. β/-£λ«£α, nuire; faire du tort ; causer du dommage—blesser. BiarcjJfcv χίλινθον, Àfo/w. mettre obstacle à Ja marche de quelqu’un. [Βλά«1ομα(, éprouver un dommage, une perte, une injustice. // a aussi la mém. sign. Çue *ροσχό«τΪιιν ΐμτσο-ύίζισθαι.

ΡΛΛΧΤΑΝΰ , fut· βΧαςνίσω ( de βΧας/ω ), porf. βι£λά<τηχα ; germer, produire des bourgeons; pousser, croître.

Βλα?άνω, naître; tirer son origine de. [Βλας-άνω, act. produire.

Βλας-c Τον f y 9 τ}>, βλάσίη , ης, η , bourgeon, bouton ; rejeton , au propre ft au figuré— prod uc-tion. R. Βλασίάνω.

Βλάσ7ημα , ατος, τ^ p mém % sign.

ΒΧάσΊτησις, τως , η, germination ; pousse ; fructification. [ΒλασΙη-*ιχος, », adj. qui a la ïorce de pousser ; qui est assez fort ^our^produire des bourgeons.

$λασ7ιχος, », adj. qui se hâte de produire des hourgeons \ qui

* pousse vite*

BAE .

Βλασ7οχο?τ/ω, détruire les bourgeons, les boutons. R. βλα-

σίος, χόταΊω.

Βλασϊολοy/ω, tailler, la vigne, les arbres fruitiers, etc. [ Βλαττί o-Χογία , «ς, η, la taille. R. βλα-σ7ος, λί/ω.

Βλασ7ος, », ο, βλάσ7ον, », το, bourgeon—rejeton. R. βλα-σΤάνω.    ‘

Βλασγημιω, fut. >5σω, injurier, invectiver — calomnier ; mé -dire—noircir la réputation de quelqu'un—blaspiiémeh.

Βλοίσ<ρημος, », adj. qui cherche à noircir la réputation de quelqu'un par de mauvais discours —qui injurie, qui invective; et autres sens du verbe. T* βλάσφημα, invectives, injures; calomnies—blasphèmes.

Βλασφημία, ας, η, et βΧα-σφημοσννη, ^ς, η, invective, injure; reproche infamant— calomnie ; médisance —blasphème. R. βΧάνΙω, φημη. BAAYTAI, ων , αί , βλανίες, ων, chaussure. [Βλαντίον , » , τ^ , sandale ; pantoufle. [Βλαντ«ν, nouer sa chaussure; attacher ses sandales.

Βλαχας, Dor. pour βληχά;. Βλάχνον, », το, pouliot, plante aromatique.

Βλαψιγονία, ας, η, littéralement lésion du (etus, c. à d. maladie des abeilles, qui les einpèche d’avoir des essaims. R. βΧάνΙω, 7©νη.    ^    ^

Βλάψις,    Taction    de nuire,

de léser—lésion, tort, dommage. R. βλάτ»7ω.

Βλαψίφρων , ονος, ô, qui a l’esprit dérangé;fou. R.βλά<?7ω, φρην. Βλιίμην , ιΤο, ιΓτω, aor. 2 opt. de βλτ,μι. [ Βλιΐς, frappé , aor. a part.

Βλιχψυξος, », h, adj. morveux —lâche, facile à tromper. R.

Βλιμιαίνω, jeter autour de soi des regards terribles, des regards . mcuacans ; effrayer de ses regards — s’enorgueillir. R.

βλι'μμα.    ,

Βλι'μμα, ατος, rfc, βλινος, «ος, τ^, aspect—regard ; coup-d’œil— visage. R. βλ/σω.

BA^TSNA, ης, η, morve. [ Βλιν-νος, », adj. morveux—sot, niais.

Βλ«ννω<ΐης, ιος, adj. mêm. sign. R. βλιννα, ιΤ^ος.

Βλινος, ιος, το, mèm. signif. çue βλιννα. [ Βλινωίης, mém. sign. çue βλβννωίης.

Βλινάζοντις , mèm. signif\ çue < βλινοντις*

BAH αο3

^λινι^αίμων, ονος, adj. qui regarde de travers et avec un air menaçant. R. β)ισ»,

δαίμων.

Βλιητιτνζω, cligner. R. β\ιπω. Βλ/πτησις, βΧήσ».

Βλ/τσος, ιος, το, mém. signif ÇU9 βΧίμρΛ.

BAÉIR2, fut. ψω, parf φα, regarder; envisager, pie'witv avoir la vue perçante. Açpa-üàcç βλισκν, A rift· lancer de* regards foudroyans. Βλ/οκν ττρός τινα, tourner ses regards ' vers quelqu’un, c. à d. mettre -son espérance en lui. BÀiVuv ιωός τι, avoir égard à une chose. Βλ/ατκν χάτω, baisser les

- yeux, Une chose inanimée est diteat/fsiβΧε'παν χάτω, décliuer.

BWnv, voir, c. à d. n'étre pas aveugle; être doué de la faculté de voir.

BXrWû», prendre {jarde à.

Βλάκα , vivre ; jouir de la lumière.

Βλιοησις, ιως,, et plus sou-vent βΧΙψις, ιως, l’action de regarder ; dVnvisagcr; la vue.

[ Βλ/νησις, mem. signif. çue

βΧ([Λ[ΧΛ.

Βλισος , βλισσ^ς, Sf, adj. mèm.

sign, çue βΧαισός, bègue, etc. ΒΧ/τυγις, ων t βΧ/χυγις, ων, qlI , niaiseries; bagatelles. ΒΑ^ΦΑΡΟΝ , » , το , paupière.

[ ΒλεφαρΙς , ίίος, η, el plus sou· vent ou plur. βλι^αρί&ς, ων, ai, les cils des paupieres—les paupières. Γ ΒΧίφοιρίζω, fut· ι<τω, ciller—aignoter.

Βλ/ψις, V. βΧΙντω.

Βλη^ην, adv. en jetant. R. βάΧΧω· Β).ηθΓ(,*, ιντος, aor· \ part, pass.

de βοίλλω. ^    ^    ^

Βλήμα, ατος,το, laction dejcter;

jet ; coup. R. βάΧΧω.

Βλημά^ω, mém. sign, çue (ftιμάζω. Βλ-ομαι pour βιβλημαι.

Βλημινος, Ion. ρΟϋΐβιβλ^μινος. Βλημι, thème inus. dont βάλλα emprunte quelques temps. Βλης-ρίζω, jeter, ballotter. [Β).η-ςρισμος, », ό, l’action de jeter» de ballotter. R. βχΧΧω.

Βλησω, fut· de βοίλλω.

Βλητιχο;, », adj· exposé aux traits , aux blessures , a^x coups. M. R.

Βλητο pour îS/CXv)to , phtsç. parf, ^ βάλλω.

Βλητ^>ς,», βλητος, »,    frappé

—frappé d'apoplexie. M. Il· Βλητοί, ων · ot , Subst. lêS roues d’un char.

Βλνίτρο*, », «, clou d« 1er—, cheville.

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2©4 ΒΛΩ

Ρ/ηχα, Par. pour βΧηχ^· JS^lHXA^OWAI, ωυ,αι, fut. ησομα:, parf. βίδλ^ημαι, bêler—pousser (Jes vagissemens.

Β'.ν/χ&ς, ά$ος} η, brcb)S.    '

ρλ/ίχισθαι, poèt. poyr βΧ'η'χχτθχι. Βληχ*}, Î3Î, ΤΟ, βΧνχ-ημχ , ατος , το, bêlement—vagissement, dans Eschyle, fûvjxvjuoç, v, adj. niais; nigaud; sot.

Biyfatoy, mêm. sign, que βΧιηχράν. Β/.οχρον, S, το, fougère. ^ΛΗΧΡΟΣ, i, adj. foible—hébété. [ ΒΧνχρος, dans Pind fort; impétueux.

mem. sign, que βίνχων. 1&γ)/ωογ)ς, to;, adj. qui a l’air de bêler—nigaud; niais. R./fty^y},

«Τίος.    *

Β>ηχων, ονος, ό, βληχωνιον, 8, το, pouliot sauvage, herbe. R. ’ βλτοχααθα», parce quitfait bêler les l/rçbis.

Ι&ηχωνιοις, e, ô, décoction de pouliot.

Β.'ιμ-ίÇt*, fut. ά^ω, palper; ma, nier—-reconnoitre avec la main le sexe des oiseaux, quand on les achèle· [ ΒΚμασις, ιως, η, l'action de palper, etc.

EîîS, adv. assidûment; avec continuité.

Γλιτάς , οί£ος, -η , femmelette ;

chétive femme. U. βΐίτογ. Βλιτομαμας , «t , βΧίτομχς , «, δ, bot ; irnbécille. it. β) ITOV, blette, herbe fede, et ρ αμμάν , mot que répètent les en fans.

BAÎTON, «, το, blette, herbe potagere très fude — fade et sans goût.    .

JJAITTQ,/*/.    exprimer    le

miel ou le lait—exprimer. B/îtcov , ονος, ô, sot, imbccüle. ΒΛΟΣΓΡΟΣ, 5, adj. terrible à voir ; farouche. Il se prend que 't/uefois en bonne part, pour ^ire quelqu'un qui a une mine imposante; une inine propre à lui attirer un respect mêlé de crainte—terrible ; dangereux; mauvais.

Βλοσνρωσις, iJcç, η, βΧοσνρωτζος,

v, ό, qui a le regard terrible; dont l'aspect est terrible. R.

βίοσνρος, crsrn.

BaVzû, fi\vt),ful. υσ«, aourdre ; jaülir; découler—act. répandre, faire couler. [ Βλυς^ρΐ;, ί£ος, η, jaillissant; coulant en abondance—abondant.    .

Ελνσσω, faire jaillir ; faire couler;

répandre.

Χ^ωΒρ)>ς , h ,. adj. haut, élevé ; grand—qui saute pour s'élever —verdoyant. R. βΧΛϊχω.

; B0E

ΒΛΩΜΟΣ, 5,δ, bouchée; morceau, de pain, etc.

ΒΛΩΣΚ.Ω, fut. βΧωσω ( de βΧωω ), allpr, venir, arriver—paroitre —croître—crier. [Βλώσις, ιως, τό, arrivée—siège.

Βοάα, poct. pour βο$ de βο&ω.

Boxxvxt, Ion, pour * βόα.

Booiypiov, », το, bouclier fait de peau de bœuf sauvage ; bou*-clier de buflle. Tor βοα/ρ'α , boucliers, etc. — dépouilles remporte'es sur les ennemis. R. βονς, άγριος.

Βοά/ριος, v, adj. inculte, sauvage—sot; stupide. M. R.

Βοαίρ&μος, Dor. pour βοηΧρόμος.

Βοαθοδς, », Dor.pour βον$όος.

Βοάμα pour βοημα,

Βοοίνθιμον, β, το, βουφθχΧμον, 8, το, œil de bœuf, plante. R. βοΰς, άνθος OU οφθαλμος . parce que la fleur ressemble à Γœil d'un bœuf.

Bo'ot; , <*χος, βονιξ, νιχος, βωξ, ωχος, ό, bœuf marin, poisson ainsi appelé, parce qu il mange quelquefois comme un bœuf R. β*ς.

Booipcov, 8, το, de bœuf; qui concerne les bœufs*

Βοαρμία, *ς, ή, qui attelle les bœufs pour labourer, épith. de Minerve. R. /3οας, χρμόσαι.

Βοας, acc. pl. de βΐ;, des bœufs —par synecdoche, des peaux

. de bœufs ; des boucliers.

Boàûjc, Dor. pour βοωσι.

BoavÀtov, β, το, étable à bœufs. R. ,3ονς, avÀyj. [ Βοανλος, 8, ό, mém. sign.

ΒΟΑΩ, βοω,β/Ι. ησω ( et souvent βοησομat ),parf. βιζοτηχχ, Crier , ousser des cris, des clameurs. Βοάω, act. suivi d'un accus. ir«* en criant—demander en criant; appeler en criant, à haute voix—publier partout— chanter à haute voix—célébrer; rendre célébré.

Βοω se dit aussi des choses inanimées—retentir; gronder; mugir.

Boctaας, η, Ion. βοιίγ), tjç, el p0ct. βοίγι ( sous-ent. iop'x ), peau de bœuf—bouclier fait de peau de bœuf. R. βοΖς.

Βο«ιαχος, 5, adj. et βοιιχος, S, adj. fait de peau de bœuf. [ Βοιιαχος et[Sotixo;, de bœuf. Το βοα/.1+ xpratç, ou simplement xh βοιιχον , chair de bœuf.

Βό((ος, 8, adj. βοιος, 8, adj. de bœuf; qui a rapport au bœuf

— #rand , gros. Δ<ρμa jSoetcv , peau de bœuf. Bocia pvyxrx, Jrist. des mots ronflans. R. βοΖ;.

ΒΟΗ

Botuç, /ος OU {(ας^ ό, Courroie , faite de peau de bœuf-^-cible,

M. R.

Boij, 7ις, vi, cri; clameur.

Βοή, coiqbat. Bo/jv àyaôoç, Nom. vaillant guerrier.

Βοη, aecf'urs, R. βοχ<*.

Boîj, Dor. pour βde βοχω.

Bovjyfv^î, /ος, née d’un boeuf, épith. d'abeilles, ners comme celles dont il est parle à la fin du quatrième livre des Geor— giqi.es dans f épisode d'Jristèe. R. βονς, '/πνομαι.

Βθ¥}£ρθίΛ{ω, /*/. >ίσ&ι, voler au secours; accourir au secours.

Βον)£ράμος, β , , i , et Dor. βοαίρόμος, 8, tjui vole au secours. R. βογ), δρόμος.

Βοηίρίμιος , 8 , mém. sign, oïie βογβρ ομος—ι de pl. auxiliaire; secourable, tutélaire.

Βοτ/ίρομια, ων, xkr boedro-mies, fêtes quon cèlèbroit à Athènes pendant le mois appelé /5οτ/ίρομιών , à cause de la victoire que Thésée avoit remportée dans ce mois sur les Am·*zones.

Βοτ,ίρομιων, όνος, ό, boédromion, troisième mois de Γannée alitent en ne , lequel répond à notre mois (F août.

Βοτ)(?ρόμος, V. βον>£ρομΙω.

ΒοηΟχρχος, 8, ό, <jui commande les troupes auxiliaires. R. βοηθος, αρχα».

ΒοηΟίια, ας, η, secours—troupe auxiliaire. [BoyiOtiat, ων, ai, des secours. R. βονθίω.

ΒΟΗΘΆΩ, fut. ησω, parf. βί£ο·ή-θτηχχ , vciïir au secours—envoyer du secours—secourir— protéger; embrasser la défense de ; embrasser la cause de— aider; seconder.

Βον;θ/ω, nm relier à la rencontre de l'ennemi ; accourir pour attaquer.

Βοτηθοΰμαι, être secouru — s’aider de—se sentir soulagé, se trouver fort bien, d'un re-mede qu'on a pris. Ταυτ»5 μοι βι6ογ}θγ)μινον r/r/ovet φιλοσοφία

χαΐ φι7οις, Plat, cette raison m*avoit engagé à «renir au secours de la philosophie et de mes amis.

Βοήθημα, ατος, το, secours —remede ; médicament. [Bov>-θηματιχ^ς , 8, adj. propre à secourir ; seeourable—efficace ; utile ; salutaire.

Βοηθητ/ον, il faut secourir. R. βο-ηθίω.

Βοηθτΐτ«χ^ς, e, adj. qui est en état de secourir; qui aime à secourir; sçcourable. [ BonGwx^

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BOI

<ο7ς φιλοις, A ris f. secourable à ses amis.    (

Βογ)Β>ΐτιχ>>ς, auxiliaire.

Βονθόος, », et βοτηθίς, », o, qui vole au secours, c.à d. qui court au cri de celui qui l'appelle ; auxiliaire.    '

Βοτ,θοος, vaillant guerrier— militaire. R. βο$ , Stw, c. à d. IwT βονιψ £/ω, j’accours au cri.

Βοη)ία?ια, ας, η, Ion. l’action de chasser devant soi des bœufs ou des troupeaux qu*on a enlevés.

Βοηλατ/ω, fut. νσω, chasser devant soi les bo;ufs qu’on a enlevés—pousser ou aiguillonner des bœufs—être bouvier.

Βοτ,λάτν);, », b, qui chasse devant soi les bœufs ou les troupeaux qu’il a enlevés —

3ni pousse ou qui aiguillonne es bœufs—bouvier. [Βοηλάτις, ι£ος, η , fèm. de βοηλατ«ς. ΓΒου}-λατιχν), 9jç, *j, l’art de conduire les bœufs; le métier de bouvier. R βονς, ίλαύνω.

Βότ,μα, Dor. Βόαμα, ατος, τ\9 cri ; clameur; vocifération. R-βοάω.

Bovjv, I)or. pour βοχν , de βοάω.

Βοηνόμος, «, ό , qui fait paitre les bœufs ; bouvier. R. β»ς, ν/μω.

Βόηξ, τοχος, V. βόαζ.

Βοής, «, ô, qui crie; nui pousse des clameurs—criâra. R. βοάω.

Βοητνς, vo{, η, cri ; clameur ; vocifération. M. R.

Βοθριζω, V. βόθρος.

$άθΡΟΣ, », ο, trou; fosse— gouffre—puits; creux dans une roche—lavoir—auge.

Βοθρίζω, jeter dans la fosse ; entraîner dans la fosse.

Βόθριον, », τ ο, petite fosse— petit creux ; alvéole , tf une dent—bothrion, petit ulcère creux qui se forme sur la cornée transparente et sur Popaque.

Βοθρ5σθ<χ(, rester creux après ?voir été pressé par un corps étranger.

Βόθννος, », o, mêm. sign, que βόθρος.

Βοϊίάριον, tf, Λ, βοίδιον, », rbf bouvillon ; génisse. R. βονς.

Βοΐϋπς, μ* o, mém. signif que -ττράος, «ύηθ·»)ς.

Βοΐχλεψ, qui enlève des bœufs, èpitk. de Mercure. R. βονς,

x\stal*t.

BoVxoç, mém. sign, que βοικχός.

Βοιω*αρρ(/ω , commander aux

’ Béotiens—être préteur chex les Béotiens—être béotarque.

Βοιωτοίρχνις, h , βοιωταρχος , », ô, commandant des Béotiens— commandant chçx les BeQfciepc; béotarque. [ Bote»- |

BOA

τοφχίΛ, ας, η t commandement chet les Béotiens— préture chex les Béotiens; béotarebie. R. βοιωτος, άρχω.

Βοιοττιάζω, parler la langue des Béotiens—embrasser le parti des Béotiens. R. βοιωτός.

Βοιωτιαχος, S, adj. qui concerne les Béotiens ; particulier ou propre aux Béotiens.    ^

Βοιωτιχος, », adj. de :Jéotie—-qui a les manières d’un Béotien— qui est un vrai Béotien, V. ta seconde signifie, de βοιωτός.

ΒΟΙΩΤΟΣ, S, ό, βοιώτιος, »,adj. Béotien—stupide. Το βοιώτιον, stupidité. Les Béotiens pas-soient pour avoir l'esprit extrêmement grossier. il Βοιωτία, la Béotie. Βοιωτις ytj, mêm. sign. Βοιωτις ywbi un« Béotienne.

Βοιωτονρ/ίς, neuf, de βοιω-τουρ/νις, «:e qui a été fait en Béotie. R. βοιωτοο, tpyov.

Βολαΐ, ων, αί, douleurs de Pen-iantement. R. βολ·ο de βάλλω.

Βολαιος, », adj. impétueux. R. βάλλω.

Βολβάριον, », rl, petit ognon— petite bulbe. R. βολβός.

Βολβίνη, πς, V), ciboule; ciboulette. Μ. R.

Βολβίον , », xl, mém. signif. que βολβάριον.

Βόλβιτον, », τ^, fiente, de bœuf ou de vache—fumier.

Βολβο€ΐ£))ς, /ος, adj. oui a la forme d’un ognon—bulbeux. R. βολβός, πίος.

ΒΟΛΒΟΣ, », ο, ognon—bulbe— racine ronde.

Βολβύίης, «ος, adj. bulbeux. R. βολβός , tTÆoç.

Βολ/ω, fut. ϊίσω, parf. βίβόληχα, parf moy. β/βολα, jeter; lancer ; frapper. [ Βίβολιομ/νος, parf. parf. pass, frappé ; atteint. [ Βόλτ>σις, «ως, η, Faction de jeter, de frapper.

Βολιών, ωνος, ο, fumier—tas de fumier—le lieu où l’on amasse du fumier. R. βάλλω.

Βολν), 95ς, η, l’action de jeter,' de lancer, de frapper—trait — javelot — coup ; blessure — erte. Βολαΐ οφθαλμών, coûp-*œil. Ηλιου βοΧαΙ, coup de soleil. M. R.

Βόλησις, V. βολ/ω.

Βολίς, ώος, r>, javelot; flèchfc— sonde. [ Βολίζω, jeter la sonde en mer, pour en connoitre la profondeur.

Βολίτινος, », adj. de fumier. *

Βόλιτον, », το, βόλιτος, », ό, fiente d’âne ou de bœuf.

BoXoxlvtrfa, *ις, bruit des dés, des dés èjouer. R. βόλος, χΊνττος.

BOO 2o5

Βόλος, », o, l’action de jeter— l’action de jeter le filet ; coup de filet—un filet de pêcheur. Βόλον Ίτριασθαι, Ptut. acheter un coup de filet. Βόλος xvStvrt*’ χ^ς, un coup de dé.

Βόλος, fronde.

Βόλος όίόντων, perte des dents qui marquent l’âge, dans certains animaux. R. βάλλω.

Βοαβαίνω, fairç un bruit semblable à un bourdonnement— bourdonner. R. βόμβος.

Βομβαλοβομβαξ, V. βομβη^ό*.    '

Βόμβυξ, V. βομβνιίόν.

Βομβινντι, Dor. pour βομβονσ*.

Βομβεω, fut. νίσω, bourdonner ι comme les abeilles—murm u rer —gronder—résonner — ronfler—«bruire. R. βόμβος.

Βομβηίον, adv· en bourdonnant—avec bruissement ; avec brvit. [’Βομβαξ et Βοαβαλοβομ-βάξ, A ris top h. en bourdonnant. R. βομβος.

Βομβτίίΐς, ιντος, adj. qui bourdonne—bruyant— qui retentit d’un bruit sourd—ronflant.

Βομβητής, », ό, quibourdonne-r-qui fait du bruit ; qui étourdit.

M. R.

Β($ΜΒΟΣ, », ο , bourdonnement des abeilles—rbourdonnement, en général—murmure—bruissement ; bruit.

Βομβόλη, τις, η, nom cT une espèce if abeille qui bourdonne plus que les autres—vase à étroite embouchure. [Βομβνλιος, «, ο , mêm. sign.—de pl. moucheron, mouche bruyante.^ Βομβνλιος · ανθρωνος, homme inutile. R. βό/λβος,

Βΐμβυλιάζω se dit du bruit que font les boyaux dans Γestomac. Βο^βνλιάζπ, Aristoph.lt venir· lui grouille. M. R.

Βομβνλιος , V. βομβυλη.

BCÎMBrS , υχος, e, ver à soie.

[ Βομβύχιον, », το, petit ver à soie. [ Βομβνχια, ων , τα, insectes de l’espèce des vers à soie—ouvrage des vers i soie ; habit* de soie.    e

Βομβνχια ( de βόμβος ) , insectes bourdonnans.

Β0ΝΑΣΟΣ, », ô, et βόνασσος , », t, taureau sauvage, qui a la crinière cf un cheval.

Βοοβοσχος, », ô, qui mène paître les bœufs; vacher. R. βοΰς, βόσχω.    (

Βοόγληνος, », adj. qui a de grands yeux—qui a de beaux yeux. R. βονς , Mvvj.

Βοοζόχιον, «, το, paire de bœufs. R. βονς, ζν/ον.

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aoS BOP

Βοοβντης, », o, qui immole des bœufs. R. βονς , £v«.

Βο·χ1ασία, ας, η, immolation des bœufs.

Βοονόμος, », o, mém. signif que βοοβοσχός.

Βοορραιςτος, », i, qui tue des bœufs, èpith. du taon. R. βονς, fdttft».

Βοοσφαγία, ας, η, /<W7. β·οσφαγ4ΐη, ης, η, égorgement des bœufs; sacrifice ou immolation de bœufs. R. βονς, σφάζω.

Βοοτρόφος, », ô, qui nourrit des bœufs — qui fait paître des bœufs; bouvier. R. βονς, τρε'φω.

Βοόω, poèt. pour βοάω.

ΒΟΡΑ , ας, η, nourriture, les animaux—fourrage; pâture. Ce mot se trouve dans Hérodote appliqué à Vhomme.

Bopffopcoç , » , ό , bourbeux ; boueux; fangeux. R βόρβορος.

Βορβορίζω, ressembler à de la boue ; sentir la boue, c. à d. avoir un goût pareil à celui de la boue—act h. gâter, salir, tacher. R. βόρβορος.

Βορβορ^χοίτης, ι, ô, qui couche dans la boue, dans la vase, épi!h. de la grenouille, dans les poètes. R. χοι'τη.

ΒΌΡΒΟΡΟΣ, », ό, bourbe ; boue.

Βορβοροτοίραξις, (ως, ό , Aristoph. latéralement , qui remue la boue, c. à d. un brouillon qui remplit l’Etat de trouble et de confusion. R. βόρβορος, ταράσσω.

Βόρβορό», couvrir de houe — changer en boue—tacher de boue; salir ; gâter. R. βόρβορος.

Βορβορν/η, βορβορνγμος , V. βορ-βορνζα».

ΒΟΡΒΟΡ^ΖΩ, bruire—faire un bruit sourd. Il se dit particulièrement du bruit que font les intestins. [ Βορβορν/μος, », ô, βορ€ορνγγ), ης, η * grouillement des intestins, borborysme oh borborygme. Le Dictionn. de V Académie porte également tes deux mots.

Βορβορώίης, ι ος, adj. plein de noue; bourbeux. R. βόρβορος, εί$ος.

Βορβορωνος, », adj. extrêmement sale.. J Βορβορονη, ης,η, mot d HipponaX) qui a le même sens

Îue le mot français barboteuse. I. βόρβορος, ΰψ et htϊη.

ΒΟΡΙΑΣ, », ô, Jon. βορ/ης, »,

BoeÉe , l'Aquilon; le vent du nord. IlpVç βoptαν της <?τόλ«ως, Thuc. au nord de la ville.

Bopcfltfiu, ων , ai, les enfans de Borée, Zètkus et Calais*

ΒΟΣ

Βορ/ηθι», adv. du nord; du côte du septentrion. R.Bop/uç.

Βορεασμοί, ων, oc ,fêtes à Athenes en l'honneur de Borée pour obtenir des rents favorables pendant la navigation*

Bop*V)Ôiv, Βοριάς.

Βορ/ης, Ion. pour Βορ/ας. ’

Bop ai;, poèt. pour η βόρειος, fém. de βόρειος.

Βάρκος, », adj. βορ«(αΓο;, «, adj. de Borée; boréal. Βόριια *»«-μ*τα, les veuts du nord. To βόρειον ( sous-e nie udu χλίμα ou μέρος ), le septentrion. Tàt βό-ptia, les régions septentrionales.

Τΐ> βόρειον, cllébori ne, plante appelée aussi &λ(βορίνη.

Βορεω et βορεάο, poèt.pour Bop/», de Borée.    ·

Bopyj, Ion. pour βορά.

Βορηίάς, mêm. sign, que βορειάς.

Βορηιος, », poct. pour βόρειος.

Βόρμαξpour μνρμηξ, fourmi.

Βορος, », ο, qui dévore ; glouton. [ Βορωτατος, superl. extrêmement glouton. R. βορά.

BôppaGcv, mêm. sign, queβορ/η6(ν.

Βορράς, α, Ion. Βοερής, Borée.

ΒορριΓο» pour βόρειον, neut. dp βόρειος, όταν γ βορρεΤον , Xèn. quand le vent est au nord.

Βορωτατος, V. βορός.    ,

Βοσις, ιως, η, nourriture; pâture. R.βόω.    ·

Βοσχάίιος, », ό, qu'on élève ou qu'on nourrit pour engraisser; volatile domestique.

Βοσχχς, οίίος, η, qui paît—qu'ou nourrit dans une basse-cour, comme les volatiles domestiques.

Βοσχας, oiseau semblable au canard.

Βοσχχς, poix gluante. ίΧ.βόω.

Βοσχ/ω, mêm, sign. que βόσχω.

Βοσκη, η;, η, nourriture, pâture. R. βόσχω.

Βόσχημα, ατος, το, l'animal qui paît; bétail. [Βοσκήματα, bestiaux. [ Βοσχηματω£ης, s ος , adj. de bétail; qui sert au bétail— qui mené paître le bétail.

Βόσχησις , (ως , η , Taction de paître ou de faire paître.

Βοσχητ/ον, il faut faire paître. R. βοσχ/ω.

Βοσχις, ιίος, η, mêm. sign, que βοσχχς.

Βόσχομαι, pass, de βόσχω.

Βοσχος, », ο, berger.

ΒΟΣΚΩ y fut. βοσχησω {de βοσχ/ω), faire paître; mener paitre— nourrir. R. βόω.

Βόσνορος, », o, Bosphore, dé-èroù de mçr , ainsi nommé

BOT

parte qtiuu b<puf peut le traverser , ou parce que le Bosphore de Tkrace fut autrefois trai'crsé par la changée >em vache. Βόαπσορος, détroit. [Βοσ-χαόριος, », adj, du Bosphore. R. βονς , irop·;.

Βός-ρνξ, νχος, ό , V, βόσςρυχος.

Βοςρνχγι$'ον, adv. en boucles ; en forme de boucles; en frisure. R. βός-ρνχος.    _

Β°τ/»νχι*, ων, xà, marc des raisins et des olives.

Βος-ρνχίξω, Iriser; boucler—cala-miitrer—neuf, se friser ; avoir ses cheveux bouclés. [ Βοςρν— χίζω, chercher à orner; employer des ornemens recherchés, dans le style, etc.

Β0ΣΤΡ1ΧΟΣ, », ό, et βός-ρνξ, νχος, ό, boucle, de cheveux ; —touffe de cheveux ; cheveux frisés et boucles—frisure — anneau; crochet. [ Βοςρωχοι, nom de certains petits insectes ailes. [ Βος-ρυχιον, », το, petite t boucle ; petit crochet.

Βος-ρνχώίης, (ος, adj. bouclé ; frisé. R. βόςρυχος, εΐ&ος,

Βος-ρνχονμα» n est usité qu'au parf. pari. [ Β(βος>ρνχωμ/νος , » , frisé ; bouclé.

Βοτοίμια, ων , t3c, pâturages ; herbages. R. βόω.

Βοτοίνη, ης, η, herbe; gazon. [ Βοταν^ω, sarcler les mauvaises herbes. [ Βοτανισμος, û, ό, l’action de sarcler.

Βοτανιχος, », adj.i\\\\ a rapport aux herbes — fait avec des

' herbes. H βοτανιχη π&ρίδοσις , traité sur les herbes; ouvrage sur la botanique. Τα βοτανιχ^ι, médicamens faits avec des herbes.

Βρτανι^ης, », ο, herboriste ; botaniste.

Βοτανολογ/ω, cueillir des herbes. R. βοτάνη ,

Βοτανω^η;, toc, adj. qui est de couleur d’herbe ; semblable à de l'herbe—fertile en herbes ; plein d'herbes. R, βοτοίνη , εΐ&ος.

BoTtcpa, V. βοτηρ.

ΒοτίΓρίς, ων, οί, cabanes de bcx1-gers; huttes.

Βοτ/ω, paître ; faire paître.

Βοτηρ, ηρος, ό, pasteur, paire, berger. [Βότιιρα, ας, ri,fent+ de βοτηρ. Γ Βοτηριχος, », adj. de pâtre ; de bergtr ; pastor».

Botov, i, to, bétail, troupeau.

Βοτος, S, ô, nourriture; pâture.

Βοτρνέιον, », το, grain de raisin —petit raisin; raisin maigre. [ BoTpv£<ov , ornement de 1+

\ lé te des femmes. R. βίτρυς.

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Betpv&v, âii\ par gmppes—en forme de grappes—étant au^i serrés les uns contre les autres ue des grams de raisin. R. στρνς.

Βοτρνηρ^ς, 5, adj. irai est de la même espèce que le rai*in.

Ti /5otvHry)pi, des raisins.

Botj>v*j<p4poç, », h et M, qui porte des raisins. R. βότρνς, φ/ρω.

Βοτρνίτης, », ό. Βοτρνίτης λίθος, botryte, perle qui ressemble à ttne grappe de raisin.

Borpwtrcç, *£ος, ηΐ Βοτρνί-Λς χαί-pfTa, calamine, pierre minérale.

ΒβτρνρΛς, », 3, vendange.

Βοτρυ άδωρος, », adj. qui donne des raisins, épith. de la paix dans Aristophane, λ cause çuen temps de paix les vignes sont mieux cultivées. R. βότρνς,

<?ώρον.

Βοτρυόίΐς, ^«ντος, adj. oui a la forme d’une grappe ae raisin —qui se tortille comme les filets crochus de la vigne. K.

„ βότρνς. ·

Βοτρνόορ-at, oZfxat, se former en grappes de raisin ; produire· des grappes de raisin.

Βοτρυος-αγης, «ος, adj. qui découle de la grappe de raisin. R. βοτρνς, çciÇf.

Ββτρνος-ιφανσς, », ό, couronné de raisins, épith. de Bacchus dans les poètes, çui le surnomment encore ΒοτρυοχαΓηι»ς , v, ό, c. à d. celui dont la chevelure est entrelacée de raisins. R.

βότρνς, χαίτη.

ΒίίΤΡϊΣ. υ*ς, ό, raisin; grappe —botrys ou bote TDK, plante ainsi appelée è cause çuelle ressemble à une grappe de raisin; on C appelle aussi piment. [ Βότρνς, surnom des Pléiades.

* Βότρνχος, », ό , queue d’une grappe de raisin.

Ιοτρνήόης, co;, adj. plein de •grappes—qui a la forme d’une grappe — qui porte son fruit par grappes. R. βότρνς, tîfoç.

Βοτρνων, ©v^ç, i, grappe de raisin.

Boy, parti chie çui augmente la force du mot auçuelon la joint. R. βονς.

Βονέοώις, cJoç, βονβαλος, a, ô, buffle.

Βούβαρος, », adj. grand; gros. Γ Bον&ίρ«ς, ·, ο, subst. un homme grand et stupide — boutfi d orgueil. R. βονς et

βάροζ.    ^

Bov^tia, ων, fài, chairs de bœuf.

Βονβόσιον, », rb, pâturage pour les boeuft. R. ρίον;, βό*.

BOT

4) y voracité; gloutonnerie. R. βονς, βόσις.

Βονβότας, α, Dor. pour βουϊότης , », 4, qui fait paître les bœufs ; pâtre. R. βονς, βάω.

Βονβοτσς, · , adj. (lieu) qui fournit aux hœul* de bons pâturages. M. R.

Bο«£ρω<τ(ς ou βον^ω^ις, ιως, η, faim dévorante — douleur amère. R. βον, βρωσις.

ΒΟΤΒί^Ν, ωνος, ό, aine—tumenrs dans l'aine; bubon—tumeur, en général. [Βονβωνιοίω, avoir des tumeurs dans l’aine, des bubons—avoir une tumeur.

Bov£o>ytov, », τΐ , espar-outfe, plante çui guérit les ubons.·

Bov&uvoXTrftn , BtTBOWOCÈtE , descente de boyau , qui fait une tumeur dons l'aine au lieu de descendre dans la bourse des testicules. R. βονβών, χνίλη.

Bovycfoç, », adj. plein de jae-tance ; vantard. R. βον, y*i&>.

Bovycvyj;, Ιος, ùdi. né d’un bœuf, c. k d. des entrailles d'un bœuf, de la maniéré dont Virgile t expose h la fin du quatrième livre des Géorgîçues. R. βονς, ytivofiai.

Βοννλωσσον, », etβον'/λωσατος, 8, ό, Süglosê , plante potagere et médicinale. R. βονς cl yluvza, parce çue les feuilles de la bu-glose ressemblent à la langue tf un Intufpar leur figure et par leur âpreté.    '

Βονγλωσσος, sole, poisson.

Βον^λωσσος, », adj. disert; qu» a le talent de la parole.

Βονί/ψιον, »» το, .cuir de bœuf. R. βονς, ί«ψ «ω de δίφω.

Βού£ορος, a, adj. qui écorche un bœuf. [ΒονΙορος, pass. Βονίορα ηαατα , lies, jours les plus favorables pour écorcher un bœuf ou tout autre animal. R. βονς, £<ρω.

Βον£ρομ/ω, précipiter sa course ; accélérer le pas. [Βονίρομία, a;, ή, course précipitée; marche accélérée; rapidité. R. βον, δρόρ. ος.

BovÇvyov , », une paire de bœufs. R. βονς, ζνγον.

ΒονΟιρης, «ος, adj. ( lieu ) où les bœufs paissent—où les bœufs paissent pendant l’été. R. β»ς, £«ρος.

Βονθοίνης, v, Dor. Βονθοίνας, qui dévore un bœuf, épith. d1 Hercule. R. βονς, £οίνη.

Βονθνσία, ας, η, grand sacrifice de bœufs; sacrifice solennel.

I Βινθννιος, », adj. qui cou-

boy 207

cerne l'immolation des bœuf*. Βονόνσιος vv£, nuit pendant laquelle on immole des bœufs.

Βονθντιω, fut. yjVw , immoler des bœufs ;. offrir un grand sacrifice—immoler; sacrifier* [Βονθντης, », ό, qui immole des bœufs—qui immole des victimes.

Βονθντο;, », adj. mêm. sign. çue Βον6ν<τιος. R. βονς,3νω.

Bovtcpcvo) .fut. «νσω, immoler un bœuf 00 dès bœufs. R. ίιοινω.

ΒονχαΤος, », βονχος, », et βωχος f », ό, bouvier—moissonneur.

Bêvxavtçjptov, «, Λ, trompette. [ Βονχαν(«^ις« », & , un trompette , celui qui sonne de la trompette.

Βουχοτσαι, ων, et?, crache ; rate-· lier. R. βονς, χοίνΊ·.

Βον*οίρ<Ϊιος , » , adj. Βονχβίράος λίθος, turquoise, pierre précieuse çui ressemble à un cœur de bteuf R. βονς, χαρίία.

Βονχ/ντης, », ô, qui pique les bœqfs avec l’aiguillon; bouvier ; laboureur. [Bovxcvrpov, », τ)> , aiuiillon. R. βονς, χ<ντιω·

Bev*fpo>î,y, βονχ/ραος, », βονχ/-ρας, ατος, qui a des cornes de bœuf, surnom de Bacchus.

Βονχ/ρως, foin grec, herbe.

Βουχ«φ«λος, », Βουχ/φοώας, », à, Bu· céphale, cheval d Alexandre. R. βονς, χιφοάη , parce çu'il porto it la marçue a une tête de bmuf ; c*étoit autrefois la coutume d imprimer çuelçues nargues aux chevaux.

Βονχλβψ, ι-Βτος, o, qui vole des bœufs. R. βονς, χ);π1ω.

Βονχολιω, fut. ησω , parf. xa, faire paître des bœufs—faire paître; nourrir. Γ Βονχολά» , repaitre, au fig. ; flatter, tromper. Bov-χολίΤν ίλνίσιν, repaitre d’espérances ; flatter par des espérances. [ Βονχολίω, adoucir > soulager.

Βονχόλησις, «ως, η, l’action de flatter, de tromper ; d’adoucir, de soulager. [Β»χολημα, οιτος,το, adoucissement, soula^emeuU

Βονχολητης, », l, trompeur. R. βονχολ/ω.

BovxcXca , ων, toi, pl. de βονχολ<ον p troupeau de bœufs; on trouve aussi βονχολία, au fém. βονχο-λίαι βοων , A poll, des troupeaux de bœufs.

Βονχολια'ζω , βωχολ(«^ω et βωχο— λιάσ^ω, fut. άσω el οί^ω, jouer sur la flûte des chansons pastorales—disputer le prix du chant pastoral.

Βονκολι«σ/ώς. « , δ , chant pastoral accompagné du son

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de la flûte et de trépignemens de pieds.    —

Βονχολια^;, S, o, berger qui joue sur la flûte des chansons pastorales. H. βονχόλος.

Βονχολίζω t mêm. sign. çue βονχο-λια'ζω. [Βονχολισμ'ος, u, ο, chanson de berger.

Βονχολιχ^ς , δ , adj. pastoral ; BUCOLIQUE.    ,

Βονχόλιον, ·, Λ, troupeau de bœufs.

Βονχολισμ^ς, V. βονχοΧΙζω.

Βουχόλος , «, « , Dor. βωχοΧος, bouvier ; pasteur. R. ββς, χόλον.

Βον^ρνζος, », adj. mèm. signif. çue βλ«χ«μνξος. η. βονς, χόρνξα.

Βονχος, V. βονχαίος.

Bovxpoivtov, », -Λ, mufle de veau, plante.

Βονχρανον,β, ti, tète de bœuf— casque fait avec une tète de bœuf. R. βονς, χρανίον.

Βονχρανος, », qui a une té te de bœuf, surnom d'Achéloûs dans Sophocle.

Βουλοΰος, », adj. conseiller ; conseil le re , èpilh. de Jupiter et de Minerve. R. βουλή,

Boνλαρχ/· , être le / président d'une assemblée délibérante,

i d'un sénat, etc. R. βονλη, «ρχω.

Βονλαφόρος, V. βονΧηφορος.

*Βονλ«ία, ας, η, Ion. βονΧίίν), ης, fonctions sénatoriales. Η.βονλνί.

Βονλ«νμα, ατος, rh, chose délibérée ; le fruit d'une délibération — délibération ; résolution ; conseil. R. βονλβνω.

Βονλ«νμάτ(ον, », το, dimin. de βονλινμα.

Βούλίνσις, ιω;, η, délibération; consultation. M. R.

Βονλινται , dans Lucien, les membres de,l'Aréopage.

Boνλιντβος, », adj. qui doit être mis en délibération. [ Βονλ«ν-Tcov, il faut délibérer.

Βουλ<υπ}ρ(ον, », τ\>, salle d'une assemblée délibérante ; salie d’un conseil, d'un tribunal, d’un sénat.    e    *    '

BovXcut«ς, 5,ό, qui délibère—sénateur— conseiller—membre d’une assemblée délibérante.

Βονλ«ντιχ^ς, », adj. sénatorial— affecté aux sénateurs. Tfe βον-λ«ντιχον , l’assemblée du. sénat —voix deliberative ; la faculté de délibérer.

Βονλ«ντιχος, qui donne conseil ; qui est avocat consultant M. R.

ΒονΧιντ6ς, », adj. qui est le sujet de la délibération—que l’on peut mettre en délibération.

ΒουΑ(νω, fut. «νσω,.parf \ β*5βν-Μνχα, délibérer j consulter \

BOY

agiter dans son esprit—former le dessein ; résoudre ; statuer ; arrêter*—conseiller de; être d’avis de. Tà β«£ονλ«νμ*να, ce

3ui a été délibéré; arrêts, écrets. [Βονλ«νω, être sénateur; être membre d’une assemblée délibérante.

Βονλ«νομα<, moy. mêm. sign, çue βονΧίνω. Βουλίυον βρα£<ως , Isocr. délibérez lentement [ Βουλώνομαι, décider ; résoudre ; prendre la résolution, la détermination.

BOTA1Î , 9ίς, -η, conseil ; volonté ; arrêt—délibération; consultation.

Βουλί), sénat ; conseil d’état; assemblée délibérante— le lieu où s’assemble le sénat, salle du conseil, y. σν7χλ»τος.

Βονλημα, ατος, τ^, βουλησις , «ως, ή, volonté; résolution—opinion; avis; sentiment.

Βουλής, ηντος, adj. sénateur. R. βονλη.

Βονλησις, «ως, V. fiovXyu*.

Βονλητιος, », adj. qu’il faut vouloir-— ( chose ) qu’il convient de vouloir.

Βονλητιχος, 5, ô, volontaire.

Βονλτ)τος, », adj. qui dépend de la volonté.

Boνληφόρος, v,odi. qui porte conseil — conseiller. [ Βονληφόρος, celui sur lequel roule tout le gpuvernement — qui préside aux conseils. R. βονλη, ψ/ρω.

Βονλία, ας, *, conseil.

Βονλιμία, ας, η, βουλιμος, », I, boulimie, ja m excessive accompagnée de foiblesse et de dépérissement.

Βονλιμιοίζω, άονλιμιάω, être attaqué de la boulimie—être tourmenté d'une faim excessive. R. Βον , λιμός.

Β»λιμόσσω, β»λιμότ7ω, m. sign.

ΒΟΥΛΟΜΑΙ, βονΧίομ,αι, fut. βον— λτοσομαι, parf. βίβονλημαι, parf moy. />«'<>©νλα, vouloir; désirer —aimer mieux—penser ; prétendre; être d’une opinion, d'un sentiment.

Βούλομαι, pouvoir — devoir r-exiger.

Βούλομαι a tes mêm. sign, en grec çue le mot vouloir en français , çuand nous disons : vouloir du bien; çue veut dire ce mot? les enfans veulent être menés par ta crainte; ce jet tf eau ne veut pas aller.

ΒονλντΙς, fi, ό , le temps où l'on dételle les bœufs, le soir. R.

βονς, λυω.

Βονμα^ος, βονμασθος, *> '<>, grosse

BOT

grappe de raisin. R. βον,

Çfcç, parce çuelle ressemble à une mamelle.

Βονμιλία, ας, η, Βουμιλιος , », ό9 nom d'une espèce de gros frêne çui croit en Macédoine. R. βδ ,

μίλια.

Βονμολ/ος, », ό , qui trait les vaches. R. βονς, άμ/Χγω.

Βονν«£ρος, »,’ό, un grand chevreau. R βον , ν«βρός.

Βοννιχς, οίίος, η, nom tf une especé de navet. [Bovvtov, e, tfc, mêm. sign.    ^

ΒοννΙς, (δος, -η, pays rempli de hauteurs.

Βουνο£ατ«ω, aller par les hauteurs. R. βοννος, βαίνω.

Bovvoct^;, «'ος, ο ctv), montueux ; «jui s'élève en collines.

Βοννομος, v, adj. où les bœuf· paissent—qui peut servir de pâturage aux bœufs. R. βονς, νιμω.

Βοννοτ»ατιω> mêm. sign, çue βον-νο?ατ/ω. R. fiovvbç, irocrc·».

ΒΟΥΝΟΣ, ί, ό, hauteur, tertre —-colline. [ Βοννώ^ης, u , adj. rempli de collines—qui s’élève en colline R. βονν^ς, >Γ£ος«

ΪΒοννος , monceau ; amas. Bovvoî, mêm. sign, çue βωμοί, autels.

Βονναις, ι&ος, ό, grand garçon ; gros garçon. R. βον, ιταΤς.

Βονσαις, «ίος, adj. (deβονς)f mêm. sign. çue βονγινιής.

Βοντσαλος, «, ό, terme de mépris 9 gros âne.

Βονσαλος, grand lutteur. R. βον, ιταλη.

Βονισάμμο»ν% ονος, ό, qui possède beaucoup de bœufs — riche.

R βονς, Ατάομαι.

Bovcrctva, ας, η, synon. de βον· λιμία.

ΒονΑτιλάτης, v, ô, bouvier. R. βον, ττίλάω, c.àd. qui s’ap — proche des bœufs.

ΒονσλάςΊος, «, ο, statuaire qui fait des bœuts de plâtre, ou a autre matiere. R. βονς, ηλάσσω. 9

Βούσλινρον , v , το , oreille de lièvre, plante. ^

Βονσλτ,χΊρον, «, το, aiguillon pour piquer les bœufs. R. βονς 9 «λνίχΐρον.    ,    }

Βονπληξ, ^ος, aiguillon, fouet, pour faire avancer les bœufs— courroie de peau de bœuf.

Βοννλγ)/«ς, ων, avec l'accent sur lapremiere syllabe, frappés par les bœufs. R. βονς, πλάσσω.

Βοντ»οίμγ)ν , ινος , ο , bouvier ; pâtre. R. βονς, «οιμην.

Βονσολος , ■, i, qui est toujours avec'Jes bœufs; bouvier; va- , clicr. R. βονςβ ϋολιιι·

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ÊÔY

Éovtropoç, u9 adj'. Bov«rop$i β&λοΐ, broches pour Ciire rôtif* de grands quartiers de bœufs. R. II. βοΰςy *τ*Τρω.

Bcvexprjçn;, cwç , ή f bupreste , mouche cantharide qui empoisonne les animaux qui Γavalent en paissant. R. βονς , ηρτηθω , enflammer, parce que cet insecte cause une inflammation mortelle.

fiouerpeepος ,1, adj. qui a un bœuf peint sur Ja proue. R. βονς, πρώρα.

Bovtσρωρός 3vata, sacrifice de cent brebis et d’un bœuf.

BvjWÎivov , «, to, trèfle, herbe.

Bof 2 ,    βοΐ>ς, Dor. βως , ô el ν>,

bœuf; vache—par synecdoche, peau de bœuf; bouclier; fouet fait de pftui de boeuf; courroie.

B»;, nom d'un certain poisson.

Βονς signifie aussi une pièce de monnoie qui portoit 1 effigie d’un bœuf; de là le proverbe : βονς «wî γΧωτίτ) β/οηχίν , il a un bœuf sur la laugue, en parlant de quelqu'un qui avoit reçu de f argent pour ne point parler.    .

gâteau en form^ de croissant.

Βονς, un bœuf, au fig.; un gros Jourdaut ; uu homme stupide.

Βονς-α^ιον , v, t^j βονς-αθμον, «, tV, βονςχσιον , u , το , βονςασις9 «ως, n, étable h boeufs; vache· rie. R. βονς, Tçnpt.

Bwçpoffmfàv, adv. en se retournant comme les bœufs qui labourent—en écrivant en bous-Trophédon , ancienne maniéré <Técrire de la gauche à la droite et ensuite de la droite à la gauche, sans discontinuer la ligne, η. βονς, <τρ/φω, parce quon tour not t à la fin de la ligne à peu près comme les bœufs qui ont fait un sillon. Les pit s ànciennes inscriptions grecques sont en boustro-r* phedon.

Βονς-ροφος, «, adj. labouré par des bœufs; laboure.

Βοντνχα, ων, τ\, liltèr. figues aussi grosses qu’un bœuf, c. à d. grosses figues.

Bev«'f*-/ew, immoler des bœufs. 11. βονς, σφάζω.    ,

Βονταρος pour βοντομος.

Βοντας, α, Dor. peur βονηης ou βότης, *, bouvier; pâtre, berger. R. βοω. [ Βοντης, adj. Βονταν φόνον, un sacrifice de bœufs; une hécatombe. Bovrcieitv, immoler un bœuf. R. βονς, xtXsv,

ΒΟΩ

Βοντιμος, u, adj. qui est du prix d’un befeuf—qui a coûté . un bœuf ou autant qu'un bœuf, c. à d. autant qu une certaine

p'cce de monnoie appelle βονς, fr. ci-dessus βονς. R. βονς, tiw.

Βοντομος , v, ό y βοντομον , «, τ^ , butomvs ou jonc fleuri,plante. R. βονς, τιμνω, parce que les bœufs aiment cette plante.

Βοντορος, e, mém. sign, que βον-φόρος. R. βονς, τπρω.

Βοντροφο;, ν, Βοοτροψος, 8, ό, bou-

* vîer; vacher^ η. βονς, τρίψω.

Βοντννος, *, ό, celui qui assomme les bœufs dans les sacrifices. R. βοΖς, τνπΊω.

Βοντνρον, n, το , beurre. [Bam-ptvoç, m, adj. de beurre. R.

βονς , τνρός.    ^

Βονφα/ος, », ο, qui mange un bœuf en un seul repas, épith. d*Hercule. R. βονς, φάγω.

Βονφαρος, e, adj. labouré—labourable.    .

Βονφθοώμον, d, τ)>, œil de bœuf, plante. R. βονς, £φθχ)μο;,parce que la fleur ressemble à C œil d un bœuf.

Bovyôvo;, *, è, celui qui immole les bœufs dans les sacrifices.

ΪΒονφονί'ω, immoler des bœufs. Βονφένια,ων , τ* , BUPHOHIES, fêtes célébrés à Athenes en t honneur de Jupiter Polien , dans lesquelles on lui immoloit un bœuj. R. βονς, φ/νω.

Βοντρορ^ς, *?, à, qui fait paifne les bœufs; vacher; bouvier.

ίΒονφορ$/ω, fnire paitre des œufs. [Βονφορ&α; o>v, troupeaux de bœufs. R. βονς * <ρ/ρ?ω.

Βονχανίνις, /ος, capable de contenir un bœuf—capable de contenir beaucoup de choses; dont la capacité est considérable. R. βΓΌς, χαίνω.

Βοω, theme inus. dont βοσχω emprunte le fut. et le parf.

Βοώ^ν y Att. pour βοάοιμι.

Bcufuvoç pour βοχόρ^νος.

Βοων pour ISοοίον , imparf. de βοάω.

Βοαίνης, ν, ο, qui achète des bœufs; qui est chargé d’achu-ter les victimes pour les sacrifices. R. βονς , ών/ojwu. ^

Bowvyjtoç, «, adj. qui a coûté un bœuf; pour Γachat duquel on a donné la pièce de,monnoie appelée βονς. V. te mot. M. R

Βοώντι, Dor. pour βοώ-τί ou βοάνσι.

Βοωττης, u, ô, masc. et βοώβπς, iooc« "h,    <i'*i a de* vei x «le

bœuf—qui a de grands yeux, de beaux ) eux ; anciennement les grands yeux ètoieni regar-

BPA 209

dès commè une partie de la beaute des femmes. R. βύς, ωψ.

Βοωτ/ω, fut. ήσω, parf. ηχ*, labourer. R. βονς.

Βοώτ^ς, β, ό, bouvier.

Βοωη?ς, je bouvier, constellation de i hemisphere boreat proche de la grande ourse, remarquable par une étoile brillante qui s*y trouve, appelle άρχίονρος, arefure.

Βοωψ, ωτνος, o, boope, poissojt de mer, dont les yeux sont tres-grands relativement à sa taille. R.jS ονς, όψ.

Bpoi^itoc, V. ppoiStvç.

Βραβιΐον, « , rb, le prix du combat; le prix—sceptre royal. R.

βρ*β*νς.

Βρα£ίνο'*αι, V. βρχζν'ς·

ΒΡΑΒΕΤ2, /«;, i, βςββη^ς, 3, ό , qui donne le prix du combat ; juge du combat—Juge, arbitre—qui déride.

. Βρα&ινω, f «νσω, parf. evxot, donner le prix du combat; être le juge ou l’arbitre du combat — être juge, arbitre ^ en général—régler ; ordonner; modéreç. [ BpaSciot, ας, w, Ja fonction de donner le pri^ du combat, et autres sens dt» verbe—jugement ; décision— discussion.

BpctWa, «v, τàt, prunes de J)amas. R. βορλν, βάλλ«ιν, parce tjtf elles lâchent le ventre.

Βραγχαάίος, n, adj. enroue'. R.

βράγχος.

Βραγχάω, βρχγχιάω , βραγχιάζω , être enroué. Μ. R.

Βράγχια, ων , τ ht, les ouies d’un poisson — le gosier d’un cochon.

Βρα/χιάω , V. βρα^χα'ω.

*^e«» petit ver qui pate la racine du chêne et cel.'t du hlé.

ΒΡΛΓΧΟΣ, μ, ô, βράγχος, eoç, τ^, enrouement.

Βραγχωίης., «ος, adj, enroué. R.

# βράχος, tUος.

‘Βρα'ίχ. ανθνς , £ol. pçur ^αίοί-μανθνς.

Βρ«^<7α , fcm. de βροώνς. Β^α^ιΓα^

subst lenteur.

Βρχ^/ως, ad>\ tardivement, tard

— lentement — nonchalamment. [ BjoaivTtpov, cornp. et βράίον, pius tard, etc. Bp a-ίυτβτβ, superl. et βράδχςον, trè>- tard, etc. R. βραίνς.

Bpx'îcvoç, i, Ëol. pour pa^tyoç.

Bpx'îtov, V. βραάίως. *

Βραίις-ος · V· βραίνς.

Lf.-aiooç, V. βραίντνίς.

Βρα^ν, neuf, de βραοί-, βριιΛ, lenteur; relard.

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«jto BPÀ .

Βραίνγλωσ^ ος ^ n, ad). lent à parler ; qui a la parole traînante —qui parle difficilement—oui n’a pas le talent de la parole.

Το βρα^υγλωσσον, lenteur à parler. R. βραδύς, γλώσσα. Bpa£v£(vti;» /ος, ad), cjui tournoie lentement; qui se meut lentement. R. βραδύς, δίνη. $ρα£νχαρ«τος, η» adj, qui porte des fruits tardifs. R. χαρ-σός. Ι^ραίννοος, νονς, νοον, νου, qui a l'esprit lent; <jui n’a aucune vivacité dans l esprit.

Βρα&ίνοια, ας, ri, lenteur d’esprit :    conception lente ;

défaut de vivacité dans l’esprit. R. βραίνς, ν^ος.

Βραδύνω, fut. ννω, tarder. R.

βραδύς. ·

Βρα£υ«ηιθν)ς, /ος, ad), qui est lent à obéir—sur lequel la persuasion agit lentement —

— qu’on a de la peine à persuader. R. βραδύς, fCtiOm. ^

. 0paJv»«tr!/« , avoir la digestion lente, la digestion pénible.

[ Bpaâs&tMa, ας, η , BEAD Y-pepsie, digestion lente. R.

βραδνς, ir/«7Q».

Βρα£ντ?λο/α>, naviguer lentement •—naviguer avec peine, à tause des vents contraires. R. βραδύς, <ΐτλόος.

' Βρκ^ννορος, y 9 adj. lent à marcher — qui. passe lentement. ΒραΙύνορα Ιδίσματα, des mets difficiles à passer, c. à d. difli-ciles à digérer. R. βραδύς, ηείρω.

BpotWopic», être lent à marcher.

Βραίνσονς, οίος, adj. qui a la démarche lente ; qui est lent à marcher. R. -κονς.

ΒΡΑΔΎΣ , tXa, w , adj. tardif ; lent; nonchalant—qui a l’esprit lent ■— compar. β ραδίων , βράσσων et βραδνηρος, super t. βράδκςος et βραδύτατος , V. βραδν.    '    '

ΒραδνσχΜς,    adj. mêm. sign.

' que βράδννονς· R· βραδνς,

σχΛος.

Βραοντατα , V. βραδ/ως.

Βραδ^ττ,ς, Τίτος, ·η , et βραδί, Ιος, το , lenteur; retardemeat — nonchalance.

^ρα^ντοχος, » , qui accouche tard ou difficilement. [ Βραίντοχος, avec Γaccent sur Γantépénultième , qui a été enfanté tard oh diflicileroent. R. τίχ7ω.

•ΒΡΛ ΖΩ, βρίσσ·»', fut. άσω ( de β;>άω*), bouillir avec violence —jeter ou pousser dehors en bouillonnant. [Βρά£ισθα<, être

I*eté dehors par la violence des touiUtras—èttç extr&ucmcQt

Vif.

âgité; être extrêmement secoué. [Βράζω, concentrer sa , douleur.

ΒΡΑ'θΥ,βράθνς, sariaière, herbe. Βράχανον, », rfc, légume s dut» age. Bpaxctv, mêm. sign. que σννι/ναι.

Bp axe ς, ων, mêm. sign, çu ’άναξν-ρίδ(ς.    e

Βράχος, coç, το, braies; culotte. Βράξ(ς, (ος, νι, voix—fenommée. Βράσμα, ατος, το, βρασμός, », δ, ébullition; agitation de l’eau qui bout—agitation, secousse. R. βράσσω.

Βρασματωίης, ι·ς, adj. qui s'agite comme l’eau cjui est en ébullition—qui s’agite par saccades multipliées. Γ«λ<*ς βρασματωδτης, un rire convulsif, c. à d. un rire fou et extravagant. R.

βράσμα, ίΐδος.

Βρασμός, V. βράσμα,

Βράσσω, /Λ βράζω.

Βράσσων, ωνος, comp. de βραδνς— βρ άσσων, οντος, part, de βράσσω. Βρατάχνς, metath. pour βατράχ»ς. Βράτίκν pour βράσσαν.

Βραννία, ων, τλ, cavités de la terre.

Βραχ/α, ων , τλ, bancs de sable; basses; bas-fonds; écueils. R. βραχν*.

Βραχ/η, Ion. pour βραχιΓα, fém.

d* βρ*χνς.

ΒραχιΤν, aor, a inf. de βράχω. Βραχύς, aor. i part.pass, de βρ/χο». Βραχ/ως, adv. brièvement ; en peü de mots—légèrement; un peu.

Βραχιένιον, « , τ^> , βραχιονις^ρ, $ρος, ό, bracelet. R. βοαχίων. Βράχιςος, superl. de βραχύς. BPAXÎQN ονος, ô, bras—muscle —force. Βραχίων signifie proprement la partie gui i étend depuis le coude jusqu au poignet. Βραχίων, comp. de βραχύς. Βραχμανις, ων, ot, Drachma η es, philosophes indiens.

Βραχν&ος, », adj. dont la vie est courte; à qui la nature n’a donné que peu de temps à vivre. J Βραχυ&ότης, ητος, v>, vie courte, courte existence. R. βραχνς, βίος.

ΒραχυδωΧος, », adj. qui n’a nue de petites mottes ; qui n est pas lécond. R. βώλος. Βραχνγνωμων, ονος, ο, qui a l'intelligence courte ; qui a l’esprit court. ΒραχυγνωμονΙςιρος, comp. qui a l’intelligence plus courte — gui a moins de sagacité ; moins d’instinct. R. βραχνς,

γινωσχω.

Βραχυδρομος, », è, qui ne court pas long-temp·—founut

BPà

pas une longue carrière.

βραχύς » δρόμος.

Βραχ'/χατ^ηχΊος, », adj. (vers ) ui finit par une syllabe brève. Βραχυχαταληχ7/ω , fut.    ,

nir par une syllabe brève ; le mot finir est pris ici dans un sens neutre. Βραχυχατοίλν>χ7<» μίτρα, des vers auxquels il manque le dernier pied. βραχνς, χαταληγω.

ΒραχυχομΙω , n'avoir pas une longue chevelure: porter le» cheveux courts. R. βραχίς , %6μη.

Βραχύχωλος, », adj. qui a les • membres courts ; trapu. Bpoc— χνχωλος, chez les rhéteurs, sa dit des périodes dont les membres sont courts. R. χωλόν. Βραχνλογ/ω. s’exprimer brièvement; èire concis; être laconique. R. βραχνς, Xtytù. Βραχνλο^τ/ον, il faut s'exprimer en peu de mots—il ne taut pas de longs discours.

Βραχυλογία, ας, τη, l’action de s exprimer brièvement ; rapidité dans le discours—concision ; laconisme—bbachylo-GIE, fi g. de style semblait e i celle appelée ίσννίιτον. Βραχνλέγος, », adj. dont les discours ne sont pas longs, qui s’exprime brièvement; concis dans ses discours ; laconique. Βραχν^.«ρν)ς , /ος, composé de petites parties; mince. [ Bpa-χυμ/pcta, ας, vi, petitesse des parties. R. βραχνς, ρ/ρος. Βραχυμογνις, /ος, adj. (jui travaille peu de temps; qui n’est pas capable d’un long travail.’ K.

βραχνς>    t

Βραχυμυΰία, ας, y, mêm. sign* que βραχνΧογία. R. μύθος. Βραχννω, faire bref ou brère, c. à d. faire une syllabe ôrert dans un vers. [ Βραχυντιχος , g, adj. qui rend une syllabe brève R. βραχύς.*    ^

Βραχννωτος, », adj. qui a un peti! dos; une petite croupe. B. βρ<*χνς,νωτος. ^    ^

Βραχνόνειρος, », adj. qui a d< légers songes—qui a peu ώ songes—qui est semblable i un »onge rapide. R. βραχύς ovctpoç.

ΒραχνσαραληχΙιΤν, avoir la pénul tieme brève, en termes de ver sificatiou. [ Βραχν«αράλ^χ7α ων, τα, (mots) dont la pénul tieme est breve.

Βραχνννοος, », adj. qui a II respiration courte et pressée dans les maladies infiammo' (oircs^ R* βραχνς,

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BPÂ

ϋρκχνπτορος, * » <*dj. dont lê irai et est court. R. wόρος.

BPI

bpa'xû,/»/. ξ« , <n?r. a Κρ«χΛ 11

craquer; faire du bruit. Βρ/γμα, «τος, τΐ>, βριχμα, ατος, ei βρle sinciput,

Βραχν^ριζος, e, adj. qu^ a les racines courtes. ( Βραχνρριζία, βς, Vi, petitesse des racines.

R. ρίζα.

ΒΡΑΧΥ Z, «Τα, t, court; bref; petit—qui n’est pas capable de.

Êv βρα^ίΤ, en peu de^ temps— en un instant; soudain. Il si-gnifieplus souvent, en peu de mots ; de même que Æiàc βραχιων, tarée βοαχυ, peu à peu; insensiblement. 'Βραχύ te, un peu ; tant soit peu—un peu de ' temps ; un moment. Βραχύ irpfc TYÎ; JiQriç, Plut, un peu avant le point du jour. βραχν f ροντί-Çctv , Dèm. avoir peu de soin; négliger.

Βραχν, adj'. chose de peu de valeur, de peu d'importance. Βραχ/ος άξιος, Pial, méprisable. Βραχύ, chose qui ne demande pa s un grand travail.

Βραχυτιρος et βραχιων, comp. plus court, etc. [Βραχύτατος et βράχιςος, super/. très-court, etc, Βρ«χν<τ*λ/χ^ς, », adj. qui a la tige courte. R. ς·Λ*χος. Βραχυ?ομος, », adj. qui a une petite bouche; <]ui a un petit orifice, une petite ouverture. R. ςίρΛ.    %    m

Βραχνανμβολος, », adj. qui paienn petit écot. B. βραχύς, συμβολή. Βραχυτιλης, «ος> ad/, qui arrive bientôt à sa un; qui finit bientôt. Βραχυτ*λης βιος, vie courte. R. τΑος.

Βραχύτατος, », sup. de βραχύς. Εν βραχύτάτιρ ( sous-ent. ίήι»), en très-peu de mots.

Βραχυτ** , ν>τος , t, brièveté ; abréviation — foiblesse. R.

Pp«x*· ,.    .    .

Βραχυτομος, », adj.. coupé court; écourté—devenu moindre par les retrancheraens qu’on a faits. [ Βραχντο{ΐ/ω, écourter \ couper ae manière que fce oui reste soit court ou petit. R. r/fiye».    #    .    ,

Βραχυτράχηλος, », adj. qui na pas le cou long. R. τράχηλος. Βραχννννος, », adj. dont le sommeil est court; qui dort très-peu de temps. R. vevoç.

qui a les feuilles courtes. R. jpvUov. Βραχυχρόνιος, « , adj. dont la durée est courte. R. χρόνος. Βραχυωτος, » , adj. qui a les oreilles courtes*—cjui a de petites'anses. Rv    gén, α*ς.

ΓΓ Af * 9    1 ·    ' i «    1 .

la partie supérieure de la tète. R. βρ/χω, à cause que cette partie est tres~humide dans les enfans.

BpcxcxU, cri des grenouilles. BPËMn, fut. βριμω, parf moy β/βρομα, ΤΒΜΜΪΑ — bruire murmurer— gronder—mugir —-menacer en frémissant ; frémir de colère. t Βρ«νθι£, βρ«νθις, Vf laitue. ΒΡώίθΟΣ , », b, arrogance ; orgueil ; faste—^sorte d'oiseau. [Βρβνθυομαι, être arrogant ; être enflé d’orgueil—avoir une démarche fière—frémir de colère —murmurer entre ses dents. Βρ/τας,άίο;, -A, statue ; simulacre. θ«ων βριτη, dans Esck. les statues des Dieux. Βρ«φοχ7ονία, ας, το, infanticid massacre d’enfans. R. βρ/φος, xlctvc*.

ΒΡΈΦΟΣ, «ος, enfant, celui qui rient de naître, ou qui est encore dans te sein de sa mjere. ix βρβφους et àmb βρ/φους, dès la plus tendre enfance.

Βριφος se dit aussi des ani maux.

Bptforpoftîov, », tV , * lieu destiné a nourrir et k élever des enfans, R. βρ/φος, νρ/φω.

BptipviXtof , » , xb, petit enfant.

Βρίχμα, βριχμϊς, V. βρ//μ«· ΒΡέχα, fut. ξω, parf. χα, aor. a Κραχ ον, parf\ moy. β^ροχα, mouiller; détremper; tremper—arroser.

Βρ/χω, boire. [ Βι$ρ«>μ/νος, qui a bu; un peugris.

Βρ«χ«, pleuvoir.

Βρον}, 9ίς, mouillurt— humidité—pluie.    * *

BPliîZÛ, cracher en toussant. [Bp37P«, «τος, τ>>, ce qi^on crache en toussant. R. βή*σω. BpT, particule inséparable qui augmente la force des méts auxquels on la joint.

Βρίαρος, », adj. fort; robuste [ Βριάριως, ω, δ* Bnarée, géant. R. βριον». f . Βριαρόχ«ιρ, «ιρος, of qui a les mains fortes; qiu a les bras vigoureux. R. βριοφίς, χιίρ. BPIA'a, fut* άσω, rendre robuste —>rendre puissant—neuf, être robuste—être puissant.[Βριάω, multiplier; augmenter. e BPÎZÛ, fut. ίσω et ίξω, dormir en sortant dé taxé, quand on

BPO 211

M trop mangé—dormir; reposer.

BptÇà, όος. η, déesse aui préside à la divination par les songes. [ Βριζομάντις, deviu qui interprète les songes.

Βρ«ί«υος, », ό , qui crie d’une voix forte, èpith. de Mars. R* βρ?, άννω.

Bptéijç, «'ος, mêm. sign. que βρι~ θυς, qui est plus usité.

BpftofMM, V. βρ(Βω.

Βρίθος, «ος, τ^, et βριθοσυνη, νκ, y,, lourdeur ; pesanteur ; poids.

R. βρ(9<*.    '

Βριθννοος, », adj. épith. if Apot~

Ion, qui donne un esprit sensÿ —qui est d*un esprit sensé. R. βρι$νς, νόος.

Bptéuç, /ος, adj. lourd; pesant.

R. βρίθω·

ΒΡίθα, fut. ίσω, parf \ moy. (Jt-

βριθα,^/βρίθομαι, être pesant,

lourd—être surchargé-—génirr sous le poids; succomber sous le poids; s’affaisser ou être affaissé—pencher; décliner— pencher vers son déclin £ aller en décadence ; tombet çn ruine.    '

BpiÔc*, fondre sur; toiûbc* avec impétuosité, ro άοι-çtpbv «όρισαν, Plut, il? fondirent sur la gauche.

Βρίθω, être plein de; être chargé de. ΣταφυλτΙσι μ/ya βρί-»ι θονσαν άλ*τί)», Hom. une vi^n* chargée de raisins. [ Βρίθω, metapb. avoir du poids; èlre redoutable. Xupl βρίθιιν, Soph* être redoutable par la fore· de son bras, άριμάζω, rugir comme un lioo. R. PpiW

Βριμαίνω, βριμαίνομαι, s cnnam— mer de colère j frémir de colère.

Βρίμ*, tjç, force; puissane· —menace. R. βρΓ.    ^

Βριμ*)<Γον , adv % en frémissant d· colère. ‘

Βριμόομαν, οΟμαι, frémir décoléré; s'enflammer de colère— effrayer par des menaces. Βρισάρματος, », adj. qui charg· le char ; qui fait plier le char sous son poids. R. βρίθω, άρμα* Βρ/ςΣΟΣ, »y ô, hérisson de mer. Βρό^χια, ων, τλ, bronches ou bronchies, vaisseaux de la trachée-artere, qui conduisent l'air dans le poumon — les concavités du poumon. R%

βρό/χος*    ,, p

Βρογχιάζω, avaler, devorer. n* βρόγχος.    ,

Βρογχοχτίλη, ης , BROHCHOCELEj

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2i3 . ΒΡΟ

Î'oître on grosse tumeur qui se orme à la gorge entre la peau et la trachée-artère. R. βράχος,

χηλ/j.

ρρόΓΧΟΣ, », ô, gorge; la trachée-aï tère.

Βρο^χωτηρ, 9}ρος, ô, l’ouverture d’une robe oü d’un vêtement , par laquelle on passe la trie pour le mettre ou pour le quitter.

Bp όίον, », το, Eol. pour ρόίον.

Βρομ/ω, mém. sign, que βρ/μω.

Βρόμιος, ν, ό, frémissant, surnom de Bacchus R. βρόμος, frémissement.

Bp ορί ζομαι, se livrer aux transports furieux des bacchantes.

Βρόμος, e , δ , frémissement , bruissement ; bruit, semblable à celui de la mer ou des vents —mugissement. Βρομος se dit aussi du pctillement de la ^flumme. R. βρ/μω.

Βρ^μωίης, ioç , adj. qui exhale une odeur inf.rte; fétide. On écrit plus SOUWnl βρωμωίης.

ΒροντλΤος, », ô, tonnant, èpith. de J.piter. R. βροντή.

Βροντάω, fut. ησω y parf. nxot, ton-nei ; la ire gronaer le tonnerre.

Ερο.τχω , impers, βροντό*, il tonne, c. à d. le tonnerre gronde. M. R.

BpovTtToy, i, xl, V endroit du théâtre ou Von imitait le bruit du tonnnrt, en jetant des pierres dans des vases d'airain.

BPONTÏÎ.Ÿj;, i, le tonnerre.

Βρ&ντησιχ/ραννος, », adj. oui fait

f;ronder le tonnerre et uriller es eclairs. R. βροντή , xtpauvoç.

Βροντοσο^ς, », ό, qui fait le tonnerre; qui produiLle tonnerre R, «ou».

Bpovrw'itjç, ιος, semblable au Unnerre — foudroyant, R, β,.νντη.

Βροταχος pour βάτραχος.

Βρότπος et βρ©τ*ος, », adj. qui concerne les mortels; mortel. Βρο'τεος χρως, Hés· corps mortel. R. βροχόί. [ Βροτητιος, y, adj. mvm. s 'gn. Βροτησια Ipya, ouvrages des hommes.

Βροτοβάμων, épith, du pain dans 2'hàocrite.

Βροχογτ,ους, νος, ô, qtri a la voix de l'homme—qui imite la voix de l’homme, en parlant d*un perroquet. R βροτίς , γχ,^υς.

Βροτοίοκαων , ·νος, ό, demi-dieu.

BpoToi:it)', Ιος y adj. cjui a une figure humaiue. R. cTtfoç.

BpcTcis,·, rvroç, δ, couvert # de sang et de poussière; couvert

BPT

d'urTsang corrompu. R. βρόχος, sang mêlé de poussière.

ίΒίβοοτωμινο', parf. part, de poTovptct, mém. sign, que βρ©-

ΧΟΐΐς.    '

Bpoτοχ7όνος, », δ, meurtrier des mortels ; homicide. R. βροχος,

χ1(ΐνω.    ·

BporoXotybç, 5, δ , destructeur des mortels, èpith. de Mars dans Homere. R. βροτίς, \ο\γός. BPOTÔ2,ï, δ, mortel; homme. [ Βροτοί, plur. plus usité, les mortels, les humains, ti βροχή, une fvmme [ Βρ&τος (avec Γaccent sur la pénultième ), sang •mêlé de poussière ; sang corrompu.

Βροτο<Γν·/ης, ιος, adj. qui hait les hommes — qui est haï des hommes. R. ςυγίω.

ΒροχόφνΙος, », δ, qui trompe les hommes. R. φηλ/ω.

Βροχόω ,fut. ωσω, souiNer de sang et de poussière. R. βροχός. [ Βροτοω ( de βροχΐς , mortel), rendre mortel : revêtir de l’humanité. [ Βροτοσαμ/νος, qui ' s’est revêtu de l’humanité; qui s’est fait homme, sàint Grég. en parlant de Jèsus-Christ. Βροΰχος, y, o, sauterelle. R.

βρνχω, ronger.

Βρονχ/ως, Eol. pour βραχίως. ΒροΖχος, m vn. sign, que βρονχος.

» t * βριΧω'

ΒΡίίχθΟΣ, », δ, gosier—bouteille—de pl. mrm.fign. çue οϊί/ον -τομα, suivanr le srhol. de Nie. [ Βροχθίζω, fut. ίσω, avaler gloutonnement j dévorer.

Βρογβωατης, «ος, o çt vj —- λίμ*γ,

βροχθω^ης, marais qui a peu d’eAu.

Bρ·χιχω<$πς, toç, η, humide et tendre.

Βρόχος, y, 0, corde à nœud coulant; lipn — lacs; collet.

[    ί£°ζ> * t rnr'm. sign.

• Βρόχος, », δ, corde propre à se pendre—licou; filet, lacet, lacs, rets.    "

Βροχω, dévorer; engloutir. Ce verbe est inusité au présent de même çue ses composés άνα-€ρόχω et χατχζρόχω, mais on trouve dans Homère àvaSpo^tc* et x«Taffpo|nc.

ΒουαΊΓω , mem. sign, que βρνω. Bp'jyir,y, adv. en grinçant des dents ; en rugissant—en frémissant. R. βρΟχω.

Bpvvu*, ατος, το , morsure. Bpu/μος, yy δ, grincement de dents — frémissement. R.

βρνχ9.

BPY

JSVt%Ct,fut. Ztù.parf va, avaler gloutonnement ; (ïévorer — mordre ; ronger—grincer des dents.

Βρύλλω, s’armuer à boire; bu-votter. U. βρΰν.

BPY N, cri, par lequel demandent à boire les evfans qui ne savent pas encore parler,

BPTON, », τfc, mousse. Bpvov θαλάσσιον , mousse marine ; algue,

Βρυον, houblon, plant r —. coraline, plante çni crotl sur tes ràrhers baignes par la mer.

Βρυον, grappe du peuplier bia.'c.

Βρυονία, ας, η, V. βρυωνία.

Βρυοφόρος, y* adj. tout moussu ; qui produit de la mousse; qui se couvre de mousse. Η.βρνον,

φ/ρ».

Βρ’5ο^μος, », A, morsure. R, βρυχω.

Βρυόω , couvrir de mousse.

Γ Βρνωθείς, moussu ; couvert de mousse. R. βρνον.

Βρυσις, cwç, η, V. βρυω,

Ιίρντια, ων, toc, marc de raisin.

Bp'JTyjp, Eol. pour puxyp.

Βρντον, «, το, et βρυτο^ », 5, cervoise, espece de biere. R\ βρνω.

Βρυτίος, y, δ, nom d*une espcee de hérisson marin.

Βρυχίω, mander gloutonnement ; dévorer — faire du bruit en maugeant>R. βρνχω. ·

Βρυχαλ/ος, adj. rugissant. R. βρνχω.

Βρυχανα, niêm. sifn çue βυχατη.

Βρυχάομαι, ωμαι, rugir—mugir —gronder—braire. [ Βρνχα— v^at, pousser des hur’emens, dans la douleur. R. βρυχω.

ΒρυχιΛς, yt δ, fièvre accompagnée de craquemens de dents —fièvre.

Βρνχ^, ?»ς, *1, rugissement. R.

βρνχω.    -    ^

Βρνχν,^ον, adv. en gnnςant des dents; en rugissant—en frémissant.    .

Βρνχηθμίίς, g, δ, βρνχν>μ«, ατβς, το, rugissement. R. βρνχω.

Βρνχιος, y, adj. qui grince des dents; frémissant. R. βρυχω, Βρνχιος , submergé — qui submerge. R. βρίχω. Chez les auteurs, βρυχιος je trouve dans cette seconde signifie. ; peut-être faut-il lire βρόχιος.

Bρνχμίς, y, δ, grincement dft dents — bruit — morsure. R. βρυχω.

BPi XClyfut. fo,parf χα, grincer des dents — rùgir. [ Βρνχω,

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ΒΡΩ

frissonner, aux approches de la fievre ou dans la fievre.

[ Βρν£ω se dit aussi du bruit des flots. RtSpu^tv ptya χνμα, Horn, les vagues énormes ni ii pissent. '

*ΡΓΩ, fut. ^ρνσω , parf. β<βρνχα, sourdre ; jaillir : sortir ou s'échapper avec abondance, en partant de Γeau—pousser, en parlant d*une plante — bour-

!;eonner, en parlant de la vigne. Βρνω, être rempli—abonder; ourmjller. lîv ττο'λει τα?ς ήίο-*αΐς ppvov*vj, Lib. dans une une viHe où l’on trouve tous les pjaisirs. [ Βρνσις, «ως, ή, l’action de sourdre ; jaillissement—éruption.

Βρνώ&ος , «ω; , adj. moussu — mou ; flasque. R. βρνον.

Βρύων toc, ας, νι, bryoine ou cou-levrée, plante — courge sauvage , plante qui porte la coloquinte* R. βρνω. [ϋρνω/ις, ί£ος, η, mêm. sign.

Βρω^α, oroç, aliment; nourriture; mets. [ Βρωμά, ce qui a été mangé; ce qui a été rongé. R. βρωσχω.

Βρ*>ματίζω , ^ donner de la nourriture; alimenter; nourrir.

Βρωμαομαι, ωμαι, avoir failli— braire, en parlant d"un àne qui a faim.

Βρωμοίομαι, puer ; sentir mauvais, en parlant du bouc et autres animaux semblables.

Βρωμβτίζω , V. βρωμά.

Βρωματώίης, ιος, adj. qui sent mauvais; puant. R. βρωμάς, ciÆoç.

Βρωμ/ω, fut. ησω, sentir mauvais ; puer , en parlant tf un houe et (f autres animaux semblables. R. βρωμος.

Βρ«μη, τις, νι, nourriture; aliment; mets. R. βρωσχω.

Bρωμν£εε;, εντός, ό, qui brait. R. βρωμάομαι.

Βρώμηνις, ιως, νι $ l’action de braire.

Βρωμης^ς, 5, δ, βρώμητωρ , ορος, , c ,* qui brait. ,

Βρωμι, βε'βρωμι, mêm. sign, que βρωσχω.

ΒΡΩΜΟΣ, *, è, mauvaise odeur; puanteur, comme celle des boucs y etc.

Βρωμος, mêm. signif. que βρώμη.

Βρωμος , et plus souvent βρομο;, avoine.

Βρωμω<?ης, coç, adj. puant; fétide. R. βρωμος, ciioç.

ΒΥΘ

ΒρωσιΓω, avoir faim ; avoir appé-; tèt. R. βρωσχω.

Βρώσιμος, « , adj. bon à manger ; qui se mange ; cjui sert. de nourriture ; nutritif. βρω-σιμα, mets ; alimens. R» βρωσχω.

Βρώ?ις, ιως, η, In nourriture ; le manger—mets; alÎmcnsr—l’action de manger, de rouger. R. βρωσχω.

BP ΩΣ ΚΩ, fut. βρω?ω, parf. β%-βρωχα, parf. pass, βίζρωμαι , manp’r — brouter — paître. [ Βι£ρώσχω et βεβρώθω, mêm. sign.

Βρωχίος, V. βρωτός.

Βρωττ,ρ, Τίρος, é, qui mange, cp 'th. de la dent dans les poètes.

Βρωπχος, 5, adj. grand mangeur ; qui a bon appétit..

Βρωτίμη, ης, η, pain de farine mêlée de son; pain bis.

Βρωτος, S, βρωχίος , « , adj. bon à mançer; qui sert d’alimens. [Bp «τον, h , subst. alimens; noirrriture. R. βρώσχω.

Βρωτυς, υβς, η, aliaiens; nourriture—pâture. R. βρωσχω.

ΒΥΑΣ , ο , hibou.

Βν&αριον , «, το, feuil le de papier faite avec l’éc/ne de l’arbrisseau appelé βνέλος, c. à d. avec Γécorce du papyrus, y.

Βν&ενος, «, adj. fait avec Técorce du papyrus—de jonc ; fait avec du jonc. V. βνβλος.

Βνβλιον, «, το, papier fait avec l’écorce du papyrus. Quand ce papier êsi écrit y on tappelle βιοΤίον—cordage.

ΒΥΒΛΟΣ, y y η, papyrus, petit arbrisseau d* Egypte arec Vè-corce duquel on faisoit du papier, des cordages, etc.

Βυβλος, papier—livre.

Βυζάντιον , e, τ^>, Bysnnce, appelée aujourd'hui Constantinople. Βυζαντβς et Bv£oiv/tcoi, les habilans de Bysance.

Βυζη^ , V. βυξω.

Βνζω , remplir autant qu’on peut, remplir à" force; eu-, tasser—fare i r—bo urre r.

Βνζω ( de βΰ ) se dit du vagissement des enfans.

Βνζω ( de βνας ) se dit du cri du hiboh.

Βυζην, adv. d'une manière serrée; en un tas, en masse.

1 Βυθίζω, fut. (σω, parf. txot, sub! merger; couler à fond. R.

J βυθός.

Βυθιος. », adj. qui est au fond de l’eau-—qui a été coulé à fond—qui vit sous les eaux— qui sç fait sous les eaux. M· R·

ΒΥΣ a«3

Βυθιως, adv. profondément —sous les flots,

Βυθμην OU βυθμ)»ς , le fond —» autre, caverne.

ΒΥΘ0Σ, a, ο , le fond de l’eau; le fond d’un gouffre—profondeur; le fond, l5x βυθόν, de fond en comble.    '

Βυθοτρ«φης, /ος, adj. nourri dans le fond des eoux—qui nourrit dans le fond des eaux, R. βυθός , τρέφω.

Βνχάνη , ης , η , trompette ; trompe; cor; cornet. [Βυχα·^ νίζω, sonner de la trompette ; trompetter; corner. [ Bvxa-S, ô; ef βυχανίηης, v, un trompette. R. βυζω.

Βυχος, ί, o, tributaire.

Βυχίης, «, ο, bruyant; qui ré-sonne-—-qui mugit. R. βνζιιν.

BvxUç, S, adj. misérable. .

Βυλλος , s , adj. extrêmement rempli. [ Βυλλόω , remplir , boucher; obstruer. R. βνωΓ

Βυνη, ης, η, cervoisie, etpece de, biere. R-βνω, remplir, parce que forge mouillé s'enfle.

Βυομαι, V. βνω.

Βυπτίίω, Eol. pour β««7ω.

Β“/ΡΣΑ,ης,η, peau apprêtée; cuir.

Βνρσινος, », adj. de cuir, fait <ie cuir. [ Βυρσίνη, ης, η, courroie ; fouet de cuir.

Βυρσίυς., «ος, Ait. εως, b9 corroyeuf ; tanneur. [ Βυρ-σΐυω, préparer des cuirs ; être corroyeur.

Βνρσινος, V. βυ^να.    -    .

Βυοσις, ίίος,η , peau ; cuir. R. βυρσα.-

Βυρτβί/ψης, * , b , corroyeur ; tanneur. [ Βνρσοίεψ/ω, être corroyeur. [ Βυρσοίβψιχ^ς, 5, adj. qui a rapport h Tapnrèt des cuirs, à la ta*nnerie—dont les corroyeurs se servent pour Tapprét des cuirs. R. βυρσα,

«ΐιψεω.

Βυρσοιπαγης t Ιος, adj. f^arni de cuir ; convert de cuir. R. £υρσα, ‘ττη'/ννμί.

Βνρσοτνοιος, S, b. corroyeur. R'. βνρσα , 'κοιιω.    v

Βνρσοτσώλης, λ, b, qui vend des cuirs—corroyeur. R. βυρσα, «ωλ/ω.

Βυρσότονος, 8, adj. couvert d*une pt‘au tendue. R. βυρσα, τιίνω.

Βυρσοω, couvrir de cuir. R. βνρ«α.

Βνσανχην, ινος, i, qui renfonce son cou dans ses épaules; cλ que font, suivant 4ri stole, les ^ens astucieux. R. βυ«, #vW».

Βύσμα, ατος, xb , ce cjui bouche, ce qui obstrue. [B-'^ua, especa 4e bourse ou besace. n. βνω.

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2i4 ΒΩΛ.

Ρυσσαυχην pour βνσανχηι».

Βνσσινος, », V. βνσσος, lin.

Βυσσοβαρ^ς, /ος, adj. qui tombe jusqu au fond à cause de sa pesanteur. R. βνσσος, βαρύς.

Βυσσοίορινω, méditer profondément; combiner profondément dans son esprit—machiner secrètement. Ή. βνσσίς, άομενω.

Β^σσόθεν,/rdv. du fond. R. βνσσός.

Βνσσος, Ζρλ. pour βυθ^ς. Éç βνσσ6ν χωρεΐν, courir à sa perte— aller en decadence; tomber en ruine.

ΒΝΣΣΟΣ, »,fi, lin très-fin. [Βύσ-ortvoç, », adj. Βνσανον φάρος, voile ou robe de lin très-fin. Βύσσινα ρήμara, Plut. des expressions ftobles et élégantes.

Βνσσόφρων, ©νος, δ , qui réfléchit

Srofondément ; qui médite ans le fond de son âme, R. βνσσίς, φρ-ην. "

Βυσσωμα, ατος, xb , profondeur.

. R. βυσσίς.

Βυς-αζ , αχος, pour μν<Γ«£.

Βνς-ιχος, ». ο, rempli ; qui regorge. Κ. βνω.

Bvçpa, ας, η,    sign, que

βύσμα.

ΡιΩ W ΒΥΩ, fut. βνσω, parf βε'ονχα , boucher ; fermer ; obstruer—remplir de ; farcir de—constiper. [ Βυω ; couvrir.

Βω, βης , de β/ω, βείω, pQct. β/νις, ion. aor. a Jtf/y. dè βαίνω.

Βω<£ιον, *, rb, pour βοίϊιον.

Βωθιιν , 7/?λ. pour βοτοθεΐν.

% ΒωχοΧιαξεΤ;, Dor. pour βουχολιά-σιις,y*, βουχολιάζω.

£ωχολια'σ&ν, Dor. oour βονχοΧιά-

, Çîv, r/ βωχολιάσσω, Dor. pour βονχοΧιάζω.

Βωχολας^ς, Dor. pour βονχοΧχαςής ·

Βωχολιχος, », pour βονχολιχός..

Βωχος, Dor. pour βονχος, bou-

' vier; vacher—moissonneur, Thèocr.

Βώλοι, Dor. pour βονΧ-η.

Βωλάχιον , « , το, dimin. de βωΧαζ, petite motte de terre; petite glèbe. [ Βωλάριον , », το, /n^/zy.

$ωλαζ, αχος, η, motte; glèbe. R. βώλος.

BojXvjfbt , adv, en forme de motte» de glèbe—par morceaux; par éclats. M. R.

Βώλιον, », Λ, petite mott° ; petite glèbe; triques faites de . jnottes. £ Btilcyoç, », adj. fait

ΒΩΜ

fle mottes de terre—construit avec des briques. R. βώλος..

Βωλίτη; , iqç, ό, champignon J mousseron.

BwÜokÎyiç, /ος, adj. semblable à une motte, à une ^lebe—qui est en motte ; qui est par mottes ; plein de mottes. R. βώλος, ιΤίος.

Βωλοχον/ω , briser les mottes ; herser. [ Βωλοχοντία , ας, ή, Faction de herser; hersage. R. βώλος, χόχαΐω.

ΒΩΛΟΣ, », νι, motte, glèbe — champ—masse. Βώλως Αρμενία, terre d’Arménie, terre rouge médicinale. Βώλος σιίηρ*, masse de fer. Βώλο; χρυσία, Hurip. le soleil—littér. masse d*or.

Βωλοςροφία, ας, η, littér. Faction de retourner les moites, c. àd· seconde façon qu'on donne

* aux terres labourées ; second labour ; binage. R. βώ\ος, ςρεφω.    v*

Βωλοτόμος, n, o et νι, qui coupe ou qui fend les mottes. H.

βώλος , τ/μνω.

Βωλώώας , coç , mém. {iga· que

βωλοιι&ός.

Βωμάχενμα, ατος, τ^>, bouffonnerie ; flagornerie. R. βωμαξ.

Βώμχζ, αχος, ο, mêm. sign, que βωμολόχος, il signifie quelquefois petit autel.

Βωμ<νσις, ιος et ιως, ή, Faction de dresser ou d’ériger un autel. R.. βώμος.

Βώμιος, », adj. qui concerne les autels. Bufjitoi ισχάραι , feux des autels. ΒωμΓοι renverrai, gardiens des autel*. Βωμία «λοκρος, Eurip. biche destinée aux autels, au sacrifice. R. βωμός.

Βωμίς , ίίος, η, petit autel. Μ. R.

Βωμιςρία, ο*ς, νι, prélresse, Μ. R.

Βωμοει&νις, «ος, adj· jait en forme d’autel ; qui ressemble à un autel. R. βωμός, «Τίος.

Βωμολοχ c ύομαι, fut. ενσομat, et βωμοΧοχινω, Jut. ινσω, faire ou dire des bouffonneries; laire Je bouffon^flagorner.

ΒωμοΧόχίυμα, ατος, τ^, bouffonnerie ; flagornerie.

Βωμολοχία, ας, ή, boufFonnerie, opposé À εντρανεΧία, enjouement. R. βωμολόχος.

Βωμολοχ/ω, mêm, sign, que βωμο-Χοχενω.

Βωμολόχος, », ο, littér. qui se caçhe près des autels pour

ΒΩΤ

enlever les offrandes ; sacii-lége; impie; criminel.

Βωμολόχος, », o, bdïlffon— flagorneur. Γ Βωμολοχιχος, i, adj. de bouffon, de flagorneur; qui sent la bouffonnerie, la flagornerie ; qui ne convient qu'à un bouffon, à un flagorneur. R. βωμός, λοχάω. Βωμολόχως, adv. bouffonnement ;

comme un bouffon. M. R. Βωμόνείχνίς , (ος , δ, qui lutte auprès de· autels, enpartani des jeunes Lacédémoniens qui disputaient auprès des autels, de Diane à qui recevroit le plus de coups de fouet sans jeter un seul cri. R. βωμός9 νείχω,

ΒΩΜΟΣ, », δ, base—hauteur.

Il signifie plus souvent autel. Βωμονς irotc7cr6ac, Ilér. dresser ou ériger des autels. [ Βωμ^ς, temple, dans ΓŒdipe de Soph«

—les degrés d’un palais, suivant Vauvilliers et autres commentateurs.

Βωμοτρίαι, ων, at, femmes employees au service deâ’autels. Βων pour βουν, acc. sing, de βως, Dor. pour βονς, βοϊς—acc. pl. βονς, βως, ·dal. βωσι βων , dans Horn, bouclier. V· βονς. Βωνίπος, », δ, bouvier—paysan» R. βονς,    '    .

Βωζ, οχΐς, ι!}, bœuf marin,

Βως, Dor. pour βονς.

Βωσαι, Ion. et Dor. pour βο^σοκ % aor. ι inf de βοαω.

Βωσας, βωσομαι, etc. poét. pour βοτησας, βοτ,σομαι , etc. de βοαίω,' Βως-ίιρ, νΐρος , δ , berger. JR. βόβ». Βωςρεομ/ς, Dor. pour βως-ptομ«ν , 1re pers. plur. subj. de βωςρ/ω. Βωςρ-ησομεςpour βωçpησoμ(v.

Βως-ptω , fut. ήσω , Dor. pour βοάω, crier ; appeler à grands cris, etc.

Βωτας , a , Dor. pour βοννης y i, berger.

Βωττ)ρ, ^ρος, δ, pâtre; berger. R. β·ω.

Βώτης, h, δ, berger. Βωτtç,fém.

bergère. M. R.

Βωτιοίνκρος, «, δ, qui nourrit des hommes courageux; qui pro-t» duit des hommes courageux. R. βώσκω, άνηρ.

Βωτίον, v, το, petit tonneau, βωτις , V. βώτης.    ’

Βωτώ, mêm. signif que βοόζω, crier, etc.

ορος, by berger. R. βό«α^