L’islam, religion tolérante par nature ?
NIGERIA AFFAIRE MISS MONDE
La journaliste menacée d'une fatwa de mort Après Salman Rushdie condamné à mort par l'ayatollah Khomeiny pour avoir écrit "Les Versets sataniques" et Taslima Nasreen menacée de la même peine pour avoir dénoncé les violences contre les hindous au Bangladesh. c'est au tour de la journaliste nigériane Isioma Daniel de voir sa vie compromise par une fatwa décrétée à son encontre. Les dirigeants du Zamfara, l'un des États composant le Nigeria. ont appelé les musulmans à la tuer parce qu'elle avait écrit un article jugé blasphématoire à propos de l'élection de Miss monde. Pour rappel, notre consœur avait suggéré que le prophète Mahomet aurait pu choisir pour épouse l'une des reines de beauté participant à la compétition. Son texte avait provoqué de violentes émeutes. Pour Tukur Umar Dangaladima. le commissaire chargé de l'Information au Zamfara, Isioma Daniel pourrait toutefois échapper à la mort, du moins si elle n'est pas musulmane. Elle devrait alors se convertir à l'Islam. Par contre si elle l'est déjà, son sort est définitivement scellé. Elle devra mourir pour avoir insulter le prophète. Dans ces conditions, la journaliste a préféré l'exil. De son côté. le gouvernement fédéral du Nigeria a rejeté comme nulle et non avenue cette fatwa. Au nom de l'État de droit, le ministre de l'Information a promis qu'elle ne serait pas appliquée.
C’est sous prétexte de « blasphème » que plus de 200 personnes ont trouvé la mort lors des incidents qui se sont déroulés dans le cadre de l’élection de « Miss Monde 2002 » au Nigeria. Une fois encore, les musulmans ont montré à quel point ils méprisaient les opinions qui ne concordaient pas avec les leurs mais aussi, et surtout, la vie humaine. Car, en écrivant que Mahomet aurait pu choisir pour femme l’une des candidates au titre de « miss », la journaliste Isioma Daniel n’avait fait que s’inspirer de ce que fut la vie du prétendu prophète.
Une fois encore, les musulmans se sont posés en « victimes » plutôt que d’admettre la vérité et de la regarder en face. L’article incriminé ne fut qu’une excuse pour fomenter des troubles et assassiner les malheureux qui avaient le tort de ne pas être musulmans.
Le comble, c’est que les faits se sont produits dans un pays qui fut islamisé par la force et ce, par les tortionnaires arabes qui firent, pendant plusieurs centaines d'années, les malheurs de plusieurs millions d’Africains de race noire en les razziant pour les vendre comme esclaves et ce, bien avant que les européens ne s'y mettent à leur tour aux XVIIe et XVIIIe siècles. Remarquons d'ailleurs que si ce sont les occidentaux qui ont mis fin à l'esclavage, les musulmans pour leur part n'ont jamais encore officiellement ni dénoncé l'esclavage ni n'ont jamais demandé pardon aux descendants des millions d'esclaves dont ils furent directement responsables. Les musulmans ne peuvent en fait rien faire en ce sens puisque le coran, parole de Dieu selon l'islam, est truffé de recommendations et de préceptes liés aux esclaves. Il y a d’ailleurs quelque chose d’indécent dans le comportement d’un homme de race noire qui se soumet à l’islam (74), la religion des marchands d’esclaves qui, de l’Egypte et du Maghreb, organisèrent le plus honteux de tous les commerces. Le summum de l’indécence et de l’inconséquence fut atteint chez les «black muslims » (75) d’Amérique du Nord puisque les noirs américains -contrairement aux noirs africains - ne furent pas contraints à s’abaisser d’une telle manière. Ils le firent volontairement et, fort heureusement pour eux, le ridicule ne tue pas. Il n’empêche que le mouvement des Blacks Muslims - très médiatisé aux USA et dans le monde du fait de l’adhésion d’une poignée de personnalités du sport et du show-business - favorisa le prosélytisme musulman et la diffusion des thèses islamiques radicales.
L’intolérance des musulmans devient chaque jour de plus en plus évidente. Forts de l’impunité dont ils jouissent et des appuis dont ils disposent (ceux des pays du « bloc arabo-musulman »), ils se permettent de fomenter des troubles pour des prétextes futiles et de lancer des « fatwa de mort » pour un oui ou pour un non.
Sur internet, ils n'hésitent pas à lancer ouvertement des appels au jihad contre les sites qui ne font pas l'apologie de l'islam (dont le présent site) en incitant au « hacking », c'est à dire au piratage et au sabotage informatique. C'est bien entendu totalement illégal mais la tolérance Occidentale qu'il est obligatoire de manifester envers la « modération » islamique fait que, à l'image de Mahomet leur « beau modèle », ils réussissent effectivement parfois dans la plus parfaite impunité une crapuleuse « razzia » informatique avec la « bénédiction d'Allah ».
Source : http://oumma.com/forum/showthread.php?t=113220
Source : archive http://oumma.com/forum/showthread.php?t=119887
Dans le cas des incidents graves qui ont fait 215 morts et plus de mille blessés (selon la Croix-Rouge) dans la ville nigériane de Kaduna, il conviendrait de se saisir des dirigeants du Zamfara et de les traduire devant un tribunal international sous l’inculpation d’incitation à la haine et d’appel au meurtre. Il conviendrait, par ailleurs, de mettre un terme aux aides qui sont accordées à des pays incapables d’imposer le respect des droits les plus élémentaires de l’homme, de la femme et des enfants et de juger ceux, parmi leurs dirigeants politiques et religieux, qui se rendent coupables d’actes criminels.
La première page du bel (et courageux) article d’Eric Conan (L’Express - n°2671 - 12 septembre 2002). On y voit un jeune agitateur brandissant le coran devant un policier (britannique). A noter la mention qui figure sur cette page : « Non, le monde musulman n’est pas victime de l’Occident, mais de son propre archaïsme et de l’incurie de ses dirigeants. Non, les musulmans de France ne doivent pas « adapter » la laïcité mais s’y plier... » !
Le comble, c’est que les prétendus « musulmans d’Europe » se sont mis à adopter, chez nous, des attitudes qui les enverraient directement en prison dans les pays régis par la loi coranique ! C’est notamment le cas dans les écoles publiques (voire privées) où ils se montrent agressifs vis-à-vis du personnel enseignant et n’hésitent plus à contester les programmes ou les modes de notation des travaux scolaires. Dans une « école » coranique, ces mêmes individus n’oseraient même pas relever la tête. A la moindre incartade, ils recevraient des coups de bâton !
On relève, par ailleurs, que de très nombreux musulmans commettent, chez nous, des délits et des crimes qui seraient punis avec une extrême sévérité dans les régions du monde où la charia tient lieu de justice. Rappelons qu’un simple vol - délit considéré comme « mineur » dans les pays occidentaux - pourra être puni par l’amputation d’une main (les deux en cas de récidive) dans un pays tel que l’Arabie saoudite. Ne devrait-on pas, dès lors, appliquer la charia à tous ceux qui, en Europe occidentale, revendiquent haut et fort leur appartenance à l’islam tout en prônant le rejet et la non-observance des lois édictées par des « mécréants » ? Ce ne serait que justice (76) même si cela contreviendrait à notre « sens des valeurs » et à notre principe d’« égalité devant la loi ».
Ci-dessus, l’Asie à la mort de Gengis Khan (1227) et en 1939. On voit comment l’empire arabo-musulman a « rétréci au lavage » au fil des siècles. L ,Arabie Saoudite - qui n ,est guère habitable que dans ses régions côtières -représente à peine le tiers de ce qu’était l’Arabie au début du XIIIe siècle. Elle a perdu ses possessions d'Afrique du Nord (hors cartes) et toutes ses conquêtes du nord et du nord-est. En Arabie même, on a vu se constituer toute une série d'états indépendants dans le sud et le sud-est de la péninsule (Yémen et émirats).
Les Arabes ont cependant toujours rêvé de reconquérir leurs anciennes possessions et même de repartir à la conquête de nouveaux territoires par islam interposé comme il se doit. L'Europe est même devenue leur objectif prioritaire car la démocratie y est faible et le nombre des immigrants musulmans très élevé. Grâce à l'appui financier (direct ou indirect) des « rois du pétrole », les islamistes ont mis en place une politique fondée sur la corruption.
Les textes reproduits sur cette pages et sur les pages précédentes sont extraits d’un encart accompagnant l’article de « L’Express ».
On constate que, de plus en plus fréquemment, de « jeunes cons » (il faut bien les appeler par leurs noms), sans culture, ni éducation, se permettent de critiquer les programmes scolaires, de perturber les cours et d’insulter les membres du corps enseignant.
On comprend que les enseignants aient peur de ces petits voyous islamisés qui jouent aux caïds dans les écoles, d’autant que les instances de tutelle, bien loin de faire leur travail, prêchent la « modération » et refusent de prendre les sanctions qui s’imposent.
Déjà dans les années 80, une enseignante belge s’était plainte du fait que, dans sa classe qui servait pour des cours du soir d’enseignement coranique, elle retrouvait le portrait d’Attaturk en lieu et place de celui du roi des Belges. Il y avait déjà là une volonté évidente de provocation de la part des jeunes musulmans qui fréquentaient ce local public. Mais aucune mesure n’avait été prise par les autorités communales à l’encontre des fauteurs de troubles.
Ce laxisme est caractéristique de la pleutrerie des démocraties européenne, ce dont profitent les agitateurs islamistes. Si rien n’est fait pour corriger rapidement le tir, il faut s’attendre à voir les mouvements de droite et d’extrême droite tirer profit de cette situation très grave. L'éviction de Lionel Jospin par Jean-Marie Le Pen au deuxième tour de l'élection présidentielle Française le 21 avril 2002 est un signe clair (sauf apparemment pour les socialistes !).
Il convient notamment que les élèves qui perturbent l’enseignement de cette manière soient écartés des établissements et placés, jusqu’à leur majorité légale, dans des « maisons de correction » comme il en existait encore dans les années 50-60.
Mais que faut-il penser de cet établissement des Hauts-de-Seine qui engage des surveillants d’origine maghrébine et leur permet de se comporter en agitateurs dans l’établissement ? L’un de ces deux individus ira même jusqu’à arborer une « tenue islamique » pour mieux jouer au « caïd » et au « redresseur de torts » à la manière musulmane. On croit rêver ! Et pourtant cet exemple n’est pas unique !
Qu’attend-t-on pour sanctionner tous les « ben-Laden-en-herbe » qui osent s’attaquer ouvertement - et avec de plus en plus de morgue - aux lois et aux règles de vie des pays où ils sont venu quémander un travail ou un asile ? Faudra-t-il des émeutes ou des combats de rues pour que les autorités politiques et administratives daignent enfin prendre leurs responsabilités ? Faudra-t-il que les citoyens européens, excédés, se constituent, eux aussi, en milices répressives et punitives ?
Attention, nous sommes près, très près, du précipice
Au choix : L'islam, la dhimmitude... ou la mort.
Les « écoles » coraniques enseignent une notion, trop peu connue des occidentaux, qui a pour nom la « dhimmitude » (de « dhimmi », celui à qui s’applique la « dhimma »).
On ne trouve que fort peu de définitions correctes du « dhimmi » et de la « dhimmitude ». Même les grandes encyclopédies n’y font référence que de façon pratiquement accidentelle. C’est notamment le cas pour l’ « Encyclopedia Universalis » dont nous extrayons le paragraphe reproduit ci-après.
Le mouvement de distribution des terres, commencé sous les califats de Omar et de Othman, a continué largement, au profit des proches et des familiers des califes omeyyades et des gouverneurs. Les terres, à l’origine seulement concédées à ferme et à titre viager, deviennent de véritables propriétés privées, susceptibles de transactions commerciales : peu à peu se constituent de grands domaines privés que leurs propriétaires arabes, résidant dans la capitale, Damas, ou dans les grandes villes, laissent à des fermiers indigènes le soin d’exploiter ; ce développement de la propriété privée - qui accapare les bonnes terres - entraîne une diminution des revenus tirés par l’État de l’impôt foncier. L’État augmente alors les impôts auxquels sont astreints les non-musulmans (impôt foncier ou kharadj, et capitation ou djizya), ce qui a pour conséquences la multiplication des conversions et l’accroissement du nombre des mawali, qui, en principe, ne devraient plus payer que la dîme et les impôts religieux ; mais, l’administration n’ayant pas tenu compte des modifications intervenues, les mawali manifestèrent leur mécontentement et beaucoup d’entre eux rejoignirent les mouvements d’opposition. Le calife Omar II (717-720) introduisit alors des réformes en faveur des mawali et des mesures restrictives à l’égard des dhimmi (protégés), qui furent systématiquement éliminés de l’administration, ce qui provoqua la désorganisation de celle-ci.
Cet extrait est significatif des effets pervers de la prétendue « libéralité » des musulmans vis-à-vis, non pas des « non musulmans » (comme indiqué ci-dessus) mais des « gens du livre » qui acceptent de se soumettre à la dictature islamique en payant la « capitation » (terme « politiquement correct » pour désigner une forme ignoble de racket). Car la notion de « dhimmi » ne s’applique qu’aux seuls « gens du livre », à savoir aux juifs et aux chrétiens. Les autres sont purement et simplement passés au fil de l’épée s’ils ne se convertissent pas illico à l’islam. Les plus « chanceux » étaient réduits à l’état d’esclave !
Cependant, comme l’indique le texte de l’Universalis, malgré le paiement de la rançon censée assurer leur « protection », les dhimmis ont toujours été soumis à des pressions de toutes sortes et nombreux sont ceux qui ont fini par se convertir « pour avoir la paix ». Il en résulte que, dans les pays conquis, tous ceux qui n’ont pas été tués ou qui n’ont pas pu s’échapper ont fini, tôt ou tard, par se « soumettre » d’une manière ou d’une autre.
L’essor de l’islam est donc dû, non à des conversions volontaires mais, dans la toute grande majorité des cas, à cette forme odieuse de terrorisme religieux.
Les autres grandes encyclopédies ne font aucunement allusion à la « dhimmitude », soit par ignorance du fait (pour les éditions anciennes), soit parce que, dans le contexte actuel, il est « politiquement incorrect de parler de cela ». Il ne faut surtout pas « choquer les pauvres musulmans », n’est-ce pas ?
Une fois n’est pas coutume, nous reproduirons un article extrait d’un périodique qui ne figure pas parmi les lectures préférées des membres de notre équipe. Il s’agit, en effet, d’un périodique publié en Belgique par un parti francophone appartenant à la mouvance d’extrême droite. A défaut de proposer les bonnes solutions aux problèmes que nous rencontrons, l’extrême droite pose souvent les bonnes questions. Les deux articles que nous avons décidé de reproduire sont, en outre, de très bonne facture. Ils ne sont pas outranciers et ont manifestement été rédigés par quelqu’un qui connaît très bien le monde arabo-musulman et l’islam.
Le premier article, signé M.S., s’intitule précisément « Islam et dhimmitude - Le choc des civilisations ». Le second, signé « Augustin », concerne le statut des moines (catholiques) en islam. Ils ont été publiés en septembre 2002.
Nous ne citerons pas le titre du périodique - pas plus que le nom du parti dont il est l’organe - afin de ne pas faire de publicité pour une mouvance dont nous rejetons les façons d’agir. Le fait que nous ayons agréé les deux articles reproduits ci-après, ne constitue en aucune manière une caution des organisations fascisantes de Belgique ou d’ailleurs. Nous aurions pu publier ces articles sans faire mention de leur origine mais c’eut été manquer à l’honnêteté intellectuelle qui prévaut dans nos rangs. Nous avons donc préféré jouer le jeu de la transparence et les faire précéder du présent avertissement.
Il ne faut jamais jeter le bébé avec l’eau du bain.
Le fait que Brasillach se soit retrouvé dans le camp fasciste n’enlève rien à la qualité de son œuvre littéraire. Il en va de même pour la qualité et la pertinence de ces deux articles, issus d'une revue qui ne mérite vraiment pas le détour mais qui a été la seule à oser publier des vérités que les « âmes bien pensantes » refusent d’entendre, avec tous les risques que cela comporte pour la démocratie. Car ces vérités là, nous devrions les trouver dans nos journaux, dans nos magazines, pas seulement dans les feuilles de chou de l’extrême droite fascisante. Nous devrions les entendre à la radio et à la télévision au lieu de subir les mensonges éhontés que colportent des hordes de journalistes « aux ordres ».
Qu’il s’agisse du « péril musulman » ou d’un autre péril, tout aussi réel, - qui réside dans le retour en force des partis favorables à un « ordre nouveau » - c’est l’ignorance, l’aveuglement, la servilité et la passivité qui constituent les facteurs favorables au développement de ces périls qui menacent gravement nos démocraties. Nous devons donc nous imprégner de la notion de « dhimmitude » si nous ne voulons pas que nos enfants deviennent des « dhimmi » et que nos petits-enfants soient un jour contraints de se « soumettre » à l’islam comme le firent les Perses, les Syriens, les Egyptiens puis des millions de pauvres Africains et Asiatiques qui furent réduits en servitude par les hordes arabes. Sans oublier les Ibères d’Espagne qui, pour échapper aux impôts levés par Roderic, ouvrirent toutes grandes les portes de leur pays aux Sarrasins venus du Maghreb par le détroit de Gibraltar.
Le coran exhorte tout musulman à se comporter en « fedayin », autrement dit en « combattant du djihad contre les infidèles pour le triomphe de l’islam ». Le « bon musulman » a le devoir « sacré » de soumettre les « incroyants » et de conquérir tous les territoires qu’ils « contrôlent illégalement » (autrement dit la terre entière) afin que la « parole d’Allah » (ou plutôt celle de Mahomet) y règne jusqu’au « jugement dernier ».
Ca, ce n’est pas nous qui le disons : c’est la « loi » islamique découlant du coran, celle-là même qui est enseignée dans toutes les « écoles » coraniques, y compris en Europe occidentale !
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ISLAM ET DHIMMITUDE - LE CHOC DES CIVILISATIONS
La dhimmitude dépend d'une loi divine, appliquée à tous les peuples conquis par jihad (1) pendant plus d'un millénaire, sur trois continents. Les « Infidèles » se convertissaient ou devenaient dhimmis (2) et étaient réduits à une condition humiliante et sous-humaine.
(1) Jihad- Guerre sainte ; sacralisation des razzias de Bédouins, transformées en politique légale et théologique.
(2) Dhimma - Système rançon-protection qui garantissait la vie et la sécurité en échange d'une totale soumission
La dhimmitude est née des décrets de Mahomet au VIIIème siècle. Elle impose l'infériorisation du dhimmi, chrétien ou juif, et sa différenciation avec le musulman : seul un adulte musulman peut être témoin; les cultes doivent se passer en silence; les dhimmis doivent porter des signes distinctifs; toute critique du Coran ou des lois islamiques est punie de mort; le dhimmi ne peut posséder d'armes. De plus, le dhimmi doit être humble et reconnaissant à la loi islamique qui lui épargne la vie.
La perfection de l'oumma (3) implique la perfection de son histoire, de ses conquêtes, de ses lois. Par là-même, elle légitimise le statut de dhimmi. Cette vulnérabilité, imposée par la loi, a induit peur et servilité dans la mentalité dhimmi.
(3) Oumma - Communauté arabe
Bat Ye'or est née en Egypte. Elle est de nationalité britannique et vit en Suisse. Elle a écrit de nombreux articles et livres sur la condition des non-musulmans vivant sous l'islam. Son dernier livre examine les tendances qui poussent vers une « dhimmitude occidentale » au XXe siècle, inévitable sans une ré-évaluation des concepts de jihad et de dhimmitude. Cette évaluation, rendue encore plus essentielle depuis les actes terroristes de jihad qui ont choqué l'Amérique le 11 septembre 2001, n'a encore jamais été entreprise. C'est pourtant de là que viendra le succès d'une réconciliation entre judaïsme, chrétienté et islam, (www.fnb. be/dhimmitude. htm)
En Orient, la glorification des conquêtes et civilisations islamiques a réprimé l'histoire des dhimmis au point d'imposer une lecture islamique de la Bible qui supprime son affiliation judéo-chrétienne et la rattache au Coran, renversant l'ordre entre les trois religions.
Dans les universités occidentales, on enseigne le concept d'un jihad pacifique qui idéalise la société islamique et le désir nostalgique de sa restauration en Europe. Les ouvrages apologétiques occidentaux se basent sur le négationnisme historique, oubliant conquêtes, esclavage, déportations, massacres... et insistent sur la «cohabitation pacifique» (le Mythe de l'Andalousie). Ce mythe est colporté par les réseaux pro-palestiniens pour justifier le remplacement d'Israël par une Palestine arabe multiculturelle et démocratique. Il a polarisé le conflit antiisraélien et la glorification du terrorisme international en « juste cause
Arafat a déclaré : « Nous étions sous l'impérialisme romain. Nous avons envoyé un pécheur palestinien, appelé St Pierre, à Rome » Et il termine par : « Jésus était le premier fedayin (4) palestinien qui a porté son épée le long de la route où, aujourd'hui, les Palestiniens portent leur croix. »
(4) Fedayin - littéralement, combattant contre les chrétiens pour le triomphe de l'islam.
Ainsi, les religions chrétiennes et juives sont dépossédées de leurs fondations historiques.
MANIPULATION ET CULPABILISATION DE L'OCCIDENT
La dénonciation de la résistance aux premières invasions arabes, des Croisades, de l'impérialisme, de la colonisation, de la création d'Israël, ont tenté d'impliquer que l'Europe avait une dette morale vis-à-vis des Palestiniens et du monde musulman. Pourtant, en insistant ainsi sur la culpabilisation de l'Occident, on minimise les causes de ces guerres : destructions d'églises en Terre Sainte, les déportations, conversions forcées, jihads et génocides, tels qu'en Arménie. La propagande a utilisé la culpabilité européenne, amalgamant juifs persécutés et arabes palestiniens, Israéliens et nazis. Les lobbies euro-arabes ont exploité la Shoah pour châtier l'opinion publique occidentale, réticente à l'immigration de musulmans originaires d'États qui, eux-mêmes, tolèrent à peine leurs dhimmis.
DU TIERS-MONDISME A L'ISLAMISATION ET A L'ANTISEMITISME
Des observateurs ont noté que le processus d'islamisation du tiers-monde dépendait d'alliances entre gauchistes et mouvements révolutionnaires islamistes. L'idée de base était d'utiliser les fondamentalistes pour mobiliser les masses au nom d'une guerre sainte contre le colonisateur, détournant les frustrations sur le modèle antioccidental: nationalisme, sécularisme, égalité des sexes et des religions, symbolisent les tactiques diaboliques de la conspiration occidentale pour détruire l'islam. En Occident, ce mouvement a développé l'antisionisme comme autoprotection pour dériver l'agression vers un parti tiers, politique traditionnelle des communautés arabo-chrétiennes orientales, transposée au niveau des États européens. L'Europe s'est ouverte à l'immigration musulmane pour fusionner les deux rivages de la Méditerranée : le mélange des populations, la destruction des chauvinismes nationalistes et l'abolition des frontières créent l'émergence d'un bloc hostile à Israël qui contrebalancerait l'influence des États-Unis. Mais la rencontre entre chrétiens et musulmans exige une certaine conversion à l'islam («attitude de dialogue») et a pour corollaire que les chrétiens se sont rendus dépendants de l'ordre islamique. La vocation chrétienne des Églises orientales au service de l'islam a donné au clergé arabo-chrétien la mission apostolique de répandre la propagande islamique par les canaux religieux occidentaux; d'encourager et de donner un support pratique et moral au terrorisme anti-israélien (en utilisant le thème du désespoir palestinien); de diaboliser Israël; de dissimuler l'islamisation et la purification religieuse des sociétés arabes avec toutes ses restrictions discriminatoires vis-a-vis des chrétiens. Elles ont fait de l'élimination de l'État juif une priorité plus importante que la défense des droits de leurs propres communautés. Les travaux missionnaires tiers-mondistes, basés sur le rejet du judéo-christianisme, identifié avec l'exploitation capitaliste, ont développé, par le biais du clergé, le mouvement d'islamisation en Europe.
Les ruines d'églises, comme de synagogues, éparpillées en Afrique du Nord, au Proche-Orient, en Arménie, en Mésopotamie, révèlent l'étendue des persécutions religieuses là où, un jour, vivaient des populations dhimmis. Avant la conquête arabe, ces régions étaient majoritairement chrétiennes...
L'abstentionnisme de l'Europe et des Églises dans la condamnation des violations des Droits de l'Homme des pays musulmans, le silence au sujet de l'esclavage et des génocides commis au sud du Soudan, la ré-islamisation des Balkans, l'attitude laxiste envers les millions de musulmans d'Europe, la politique anti-israélienne, sont des symptômes de soumission de l'Occident à la shari'a (5) qui ont décalé les lignes de front des conflits en Europe même. La guerre de l'OTAN contre les Serbes (en compensation de la Guerre du Golfe) a répété tactiques euro-palestiniennes : contrôle des médias, démonisation des Serbes, banalisation de la Shoah en pillant les histoires juive et serbe... Ces stéréotypes appliqués aux Serbes manquent de toute rationalité et pourraient s'appliquer à n'importe quel autre groupe. Cette politique de l'Europe a été planifiée, exécutée et proclamée par ses propres responsables politiques, démocratiquement élus ainsi que par ses guides spirituels. L'histoire jugera de leur silence en ce qui concerne la destruction de la chrétienté orientale par la Syrie et les Palestiniens, de leur responsabilité pour la diffusion de la dhimmitude en Europe, de leur obéissance passive aux pressions politiques et de leur désir obsessif de voir la disparition d'Israël... L'actuelle situation chaotique et dangereuse est le résultat de l'incroyable irresponsabilité des dirigeants européens, ces trente dernières années.
M.S.
(5) Shari'a - Législation islamique sacrée. basée sur le Coran.
L'Oumma a été élue par Allah entre les nations et a le devoir de prendre possession de son héritage, le monde entier, pour que la parole d'Allah règne universellement: le jihad consiste à rendre aux musulmans ce que les infidèles contrôlent illégalement, selon la loi divine.
L'idéologie du jihad est fréquemment dissimulée dans la phraséologie de type tiers-mondiste. Le jihad fait, de tout terrain conquis, une possession islamique jusqu'au jour de la résurrection. Cela inclut : l'Espagne, le Portugal, la Sicile, la Grèce, les Balkans, l'Arménie, l'Inde... Selon la conception islamiste, le refus du nationalisme n'est pas limité à l'État d'Israël: il est enraciné dans la conception de l'humanité qui devrait obligatoirement être assujettie à la shari'a (5). Le nationalisme n'a aucune légitimité: l'illégitimité d'Israël est incorporée dans celle de l'Occident.
Toutes les régions conquises l'ont été par jihads qui ont provoqué réfugiés, esclavage et massacres sur trois continents. Après les conquêtes, les peuples dhimmis sont restés des majorités ethniques : les définir en tant que minorités falsifie la nature de leur identité historique.
Le second article est lié au premier puisque, en terre d’islam, les religieux juifs et chrétiens ont un statut de « dhimmis », du moins dans les pays islamisés où ils sont tolérés (ce qui n’est pas les cas en Arabie saoudite et dans pas mal d’autres pays musulmans).
Vers une renaissance de la « Sainte Vehme » ?
L’extrême arrogance des musulmans fondamentalistes risque fort de réactiver les guerres de religion au sein même de l’Union Européenne.
Dans les milieux chrétiens les plus radicaux, on parle de la résurgence d’organisations que l’on croyait mortes à jamais. C’est notamment le cas pour une société secrète qui fut très active du milieu du XIIIe siècle jusqu’au début du XIXe et qui se nommait la « Chevalière et Sainte Vehme ». Au plus fort de son existence, elle regroupait plus de cent mille « initiés » et disposait de plusieurs centaines de « tribunaux secrets » qui jugeaient les méfaits au nom de la communauté chrétienne.
On ne connaît pas le sens exact du mot « vehme ». Selon d’aucuns, il dériverait du latin « fama » (renommée, réputation) tandis que selon d’autres, il s’agirait d’une forme spécifique de l’Allemand « Fehm » (drapeau, bannière), voire même de l’Arabe « Fehm » (sagesse), lequel aurait été rapporté des Croisades par les chevaliers teutoniques. Il est certain que les procédures « judiciaires » de la Vehme rappelaient les méthodes expéditives des Croisés et des armées arabes qui s’opposèrent pendant plusieurs siècles pour le contrôle de la prétendue « terre sainte ».
Il semble, cependant, que les tribunaux aient rendu la justice avec une certaine équité. C’est la cruauté avec laquelle les sentences étaient appliquées qui a heurté les historiens modernes.
La « sainte » Vehme était ainsi nommée parce qu’elle s’était donnée pour objectif de défendre les Dix Commandements et les principes fondamentaux de la foi chrétienne. En cela, elle ne différait guère des tribunaux islamiques dont elle était le pendant chrétien.
Née en terre germanique (en Westphalie), cette puissante organisation secrète étaient, selon un document datant de 1490, déterminés à poursuivre et condamner :
• Ceux qui révélaient les « secrets de Charlermagne » ( ?)
• Ceux qui pratiquaient ou introduisaient l’hérésie
• Ceux qui s’écartaient de la foi et tombaient dans le paganisme
• Ceux qui commettaient un parjure
• Ceux qui pratiquaient la sorcellerie et la magie ou qui passaient un pacte avec le Malin
• Ceux qui révélaient les secrets de l’organisation
En outre, les tribunaux de la Vehme jugeaient les délits suivants :
• Dégradations volontaires commises dans des églises, des chapelles ou des cimetières
• Vols
• Viols
• Violences envers des femmes en couches
• Trahison publique
• Brigandage
• Tyrannie
• Homicides cachés ou publics
• Vagabondage
• Sacrilèges
La « sainte » Vehme se comportait donc comme une branche occulte de la Sainte Inquisition, une branche qui ne relevait pas de l’autorité cléricale. Son organisation préfigure celle des loges maçonniques (qui n’apparaîtront qu’au XVIIIe siècle) et plus particulièrement de la « maçonnerie noire ».
Au sein de cette « société », le groupe le plus actif était celui des « Schoppen », lesquels étaient recrutés par un haut dignitaire du Tribunal et initiés d’une manière particulière. Avant d’être admis à titre définitif, le recruté passait par les stades de l’ « Ignorant » puis par celui de «Sage » ou « Connaissant »(Wissende). Pour son initiation, le candidat devait se présenter tête nue devant le Tribunal et répondre aux questions portant sur sa probité et ses qualifications. Puis, genou à terre, le pouce et l’index posés sur la lame d’une épée et sur un hart, il prêtait le « Grand Serment » en présence du « Comte » de la société.
Les tribunaux vehmiques se déplaçaient d’une région à une autre. Dans certains cas, leur venue était annoncée et les habitants qui se savaient coupables d’un délit grave ou d’un crime avaient le droit de quitter le pays dans les vingt-quatre heures qui suivaient l’ouverture du procès public. Mais s’ils étaient toujours là à l’expiration du délai, le pasteur leur administrait les sacrements et ils étaient froidement exécutés par le bourreau (généralement par pendaison). Les sentences allaient de la proscription à la mort en passant par la dégradation publique. Les corps des pendus étaient abandonnés aux corbeaux et aux bêtes de proie tandis que leurs biens étaient confisqués. Les prévenus qui prenaient la fuite avant de comparaître étaient déclarés « Fehmbar » (punissables par le Vehme). Tout groupe de trois initiés qui venait à le rencontrer avait le droit, et même le devoir, d’exécuter la sentence. On retrouve le même principe dans la « fatwa » islamique. Une fois lancée, il est un devoir pour tout « bon musulman » d’en être l’exécuteur.
Les juges secrets de la Vehme vivaient au milieu de la population et certains d’entre eux avaient la réputation d’être « très humains ». Ils n’étaient pas autorisés à prévenir quelqu’un verbalement, ou par écrit, des poursuites dont il allait être l’objet mais, bien souvent, ils s’arrangeaient pour lui indiquer, par signes, qu’il était placé sous surveillance. Un vieux livre de droit expose les méthodes de la Cour vehmique du duché de Brunswick. On y apprend que des « Fehmenotes » (informateurs de la Vehme) étaient sélectionnés pour surveiller les citoyens et fournir des renseignements sur les agissements des suspects (à la manière des « patrouilles arabes » d’Anvers). C’est sur la base de ces rapports que la Cour vehmique décidait de se transporter à tel ou tel endroit pour juger tel ou tel individu ou groupe d’individus, voire l’ensemble de la population.
L’un des sceaux utilisés par les tribunaux de la Vehme.
Les tribunaux secrets de la Vehme ne furent jamais totalement abolis par les autorités. Tout au plus furent-ils « réformés » par certains monarques. Et l’on prétend que les « loups garous » nazis (groupes qui refusèrent la capitulation et continuèrent à harceler les troupes d’occupation jusqu’à la fin des années 40), tout comme les « organisations de résistance à l’occupation communiste » (en Allemagne de l’Est) étaient des résurgences de la « Chevalière et Sainte Vehme ».
Aujourd’hui, de telles groupes se réorganiseraient en vue de « bouter l’Arabe » hors d’Allemagne et hors de l’Europe.
On parle, non seulement d’une renaissance de la Vehme (en Allemagne) mais aussi de la mise sur pied de milices de gauche qui seraient nommées « Justice de MAI » (MAI = Milice Anti Islamique), notamment en France et dans le Benelux.
Une chose est en tous cas certaine : les milieux d’extrême-droite attendent qu’une occasion propice s’offre à eux pour justifier la réactivation de leurs milices privées, lesquelles s’entraînent depuis plusieurs décennies et sont prêtes à « casser de l’Arabe ». Le très dangereux comportement de la LAE est une occasion rêvée pour ces activistes racistes et xénophobes. On vient de le voir à Anvers.
Ne pas sanctionner ce comportement serait donner raison à une extrême-droite européenne dont on a toujours dit, non sans raison, qu’elle posait les vrais problèmes mais fournissait les mauvaises solutions !
La Grande-Bretagne, pays traditionnellement « ouvert » et foncièrement attaché à la libre expression, berceau de la Franc-Maçonnerie, semble avoir pris conscience de la gravité de la situation. Les mesures qui viennent d’être prises au Royaume-Uni (perquisition et fermeture de la mosquée de Finsbury Park) doivent être regardées comme « historiques » et comme un avertissement pour le reste de l’Europe. De son côté, la France tente de réagir mais beaucoup plus « timidement ». Et pour cause puisque, dans ce pays, la communauté musulmane a profité depuis longtemps de la faiblesse des institutions, minées par « l’esprit de mai 68 », entre autres, (78) pour organiser ses ghettos et instaurer des « zones de non droit » où la loi coranique et la loi du plus fort ont supplanté les lois civiles et laïques de la république. En Belgique, le pouvoir politique - inopérant et corrompu -semble encore plus incapable de réactions radicales et saines que si l’on considère la situation française et, dans l’Union européenne, les peuples anglo-saxons et germaniques seront sans doute plus « réactifs » que les francophones et les latins, laxistes et permissifs par habitude.
De tous les pays francophones, la Suisse est actuellement le seul qui soit en mesure de réagir efficacement (compte tenu de son système politique spécifique impliquant la «démocratie directe ») mais il ne s’agit pas d’une nation strictement francophone mais d’un pays dominé par la pensée germanique (comme une bonne partie de la Belgique).
Il est en tous cas essentiel que les Européens réagissent très rapidement, avant que n’interviennent les décisions relatives à l’ « élargissement ». En effet, si les Polonais - catholiques indécrottables -viendront grossir les troupes des « anti islamiques », on ne peut avoir qu’une confiance très limitée dans les pays de l’ancienne Europe de L’Est qui hébergent des communautés musulmanes. Quant à la Turquie - dont le cas a déjà été évoqué - ce doit être un « niet » pur et simple. Et il n’y a guère qu’une pression très vive de l’opinion publique qui puisse contrebalancer, auprès des décideurs politiques, l’influence prépondérante des technocrates opportunistes et corrompus qui défendent les intérêts du grand capitalisme et du libéralisme « mondialiste ».
« Humanistes de tous les pays, unissez-vous contre le fascisme islamique » ! C’est en paraphrasant le slogan cher aux communistes (du moins aux quelques survivants...), que nous terminerons ce chapitre qui, nous l’espérons, vous aura convaincu de la pertinence de nos arguments et de la qualité de nos intentions.
Attachés aux Droits fondamentaux de l’Homme et du Citoyen (mais aussi de la Femme et de la Citoyenne) ainsi qu’au principe de la laïcité, nous ne pouvons pas demeurer sur la défensive face à une situation qui dégénère de jour en jour. Nous devons prendre part au combat, à la lutte contre les oppresseurs musulmans et contre leur bras armé : le terrorisme international d’inspiration islamique.
Nous devons combattre ben Laden et sa bande de criminels. Mais nous devons aller bien au-delà de ce combat de première urgence. Nous devons couper définitivement les ailes à l’islamisme et - pour tout dire - à l’islam. Nous devons débarrasser le monde de cette religion dangereusement rétrograde. Nous devons dénoncer le coran pour ce qu’il est : un livre dangereux, très dangereux. Tel sera notre combat fondamental, notre « lutte finale ». Camarades, groupons-nous et demain, nous sauverons le genre humain !
A la « Ligue Arabe Européenne » - et autres foyers de la sédition islamique - opposons notre « Ligue Européenne Contre le Terrorisme REligieux », ligue humaniste ouverte à tous les hommes et à toutes les femmes de bonne volonté qui refusent l’intolérance, le harcèlement moral et la dictature religieuse.
Ensemble, nous vaincrons les forces du mal et de l’obscurantisme !
L’homme qui a besoin des « injonctions divines » - ou autres « révélations » - pour organiser sa vie est un bien piètre individu. Il ne vaut guère mieux que l’âne qui obéit à la loi de la carotte et du bâton. Car c’est bien de cela qu’il s’agit. En promettant le « royaume des cieux » aux « bons croyants » et la damnation éternelle aux « impies », les prêtres et les « docteurs de la foi » ne font qu’appliquer aux humains la loi de la carotte et du bâton. Ils les traitent comme des animaux. La carotte se nomme « paradis » tandis que le bâton se nomme « enfer ».
Et il est bien pauvre celui qui a besoin d’une carotte pour faire le bien et d’un bâton pour s’abstenir de faire le mal !
Le « Juste », le vrai Juste, c’est l’homme libre qui fait le bien parce qu’il estime devoir le faire en son âme et conscience, non pour « obtenir une récompense ». C’est l’athée qui ne craint ni dieu ni diable mais qui s’abstient de faire le mal par simple respect d’autrui et de lui-même. Celui-là - et celui-là seulement - est un homme digne de ce nom.
Quant aux criminels qui torturent ou tuent leurs semblables en invoquant un dieu - quel qu’il soit -, ils ne méritent pas d’être appelés « hommes ». Le pauvre cafard et la malheureuse araignée méritent notre respect, pas les « fous d’Allah » et autres cinglés du même acabit. Ceux-là, nous devons les éliminer comme nous éliminons les animaux dits « nuisibles ». Et puisqu'ils le revendiquent, accordons leur que la loi des hommes ne leur est pas applicable (79).
In Memoriam
Les pauvres gens qui périrent dans les attentats du 11 septembre furent les innocentes victimes de la folie furieuse des islamistes mais aussi de l’aveuglement et de la cupidité des dirigeants américains.
De F-D. Roosevelt, à G.W. Bush, les présidents américains furent le soutien du régime saoudien et de la faction musulmane la plus intégriste, celle des wahhabites, celle de ben Laden et d’al Qaïda, celle des milices fascistes de la LAE.
Le coran, un livre de tolérance et de paix ?
Le Qoran (80) fut rédigé dans la langue du Hedjaz avec des emprunts à différents dialectes des contrées environnantes. On considère que c’est le premier livre en prose de la langue arabe bien que la plupart des versets (« ayet » en Arabe) soient écrits de manière à rimer. On prétend que c’est Abou Bakr, le premier khalife, qui décida, en 633, de réunir les « révélations » de Mahomet dans un livre qui deviendra le coran.
Tout porte cependant à croire que c’est Omar, le « fidèle compagnon de lutte » de Mahomet, qui eut cette idée. On sait d’ailleurs que cet ancien esclave avait un sens politique très aigu et qu’il avait eu une très grande influence sur le « prophète ».
La première « collection » des révélations mahométanes - qui ne portait pas encore de nom - fut celle dite « de Saïd ibn Thâbit » cependant que la première édition définitive et « officielle » (autorisée par le calife) fit son apparition sous Othmân, le troisième khalîfe. Elle était destinée à s’imposer vis-à-vis des différentes éditions qui avaient vu le jour au cours des vingt années qui séparaient la première collection de l’édition dite « officielle ». En effet, ces éditions primitives différaient toutes entre-elles, ce qui était pour le moins gênant. Othmân imposa « sa » version et fit détruire toutes les autres. Rien ne prouve, cependant, que la version qu’il avait approuvée était la bonne, d’autant qu’Othmân appartenait à une faction qui était en rivalité ouverte avec les plus proches disciples de Mahomet. Ceci démontre, en tous cas, qu’il n’existe pas de certitude en ce qui concerne l’authenticité du coran.
Mahomet est mort en 632 et, bien que les premières « collections » aient été réunies dès 633, ce n’est que vers 655 que le coran sera diffusé tel que nous le connaissons aujourd’hui. Et rien ne permet d’affirmer que la version « officielle » est la meilleure. C’est seulement celle qui arrangeait le mieux le calife de l’époque.
Dans l’édition d’Othmân, les sourates (soûrat = rang ) ont été arbitrairement classées en fonction de leur longueur et non par ordre chronologique. On trouve d’abord les plus longues et, à la fin, on trouve les plus courtes La sourate II comporte 286 versets cependant que les dernières n’en comportent que quatre à six. En tête du livre, formant la première sourate, on peut lire une prière qui n’a rien de strictement musulmane. C’est une invocation en sept versets, une louange à dieu qui se termine par Amen. Les sourates CXII, CXIII et CXIV (112, 113 et 114), tout à la fin du coran, sont aussi des exceptions. La sourate CXII est la profession de foi musulmane et ne comporte que quatre versets : « Dis : dieu est un ; C’est le dieu éternel ; Il n’a point enfanté et n’a point été enfanté ; Il n’a point d’égal ».
Ce classement bizarre donne au coran un aspect incohérent et peu attractif. C’est en vain que l’on chercherait à rattacher les sourates aux évènements qui ont marqué la vie de Muhammad. Dans le coran « officiel », les sourates de la Mekke - au nombre de quatre-vingt-dix - et celles de Médine (vingt-quatre) se retrouvent mélangées sans autre ordonnance que le nombre de versets.
Exemplaire manuscrit du coran. Jusqu’au XIe siècle, il fut écrit en coufique, la plus ancienne des écritures arabes. C’es Ibn Muqha, vizir de Bagdad (846-940), qui imposera l,écriture Naski dont l’un des développements sera nommé « Rayhani ». Après le XIIIe siècle, on verra apparaître les caractères Thuluth, spécialement étudiés pour le coran et, finalement, l’écriture Mahaqqaq. Tous les exemplaires primitifs du coran furent détruits sur ordre du calife Othmân. C’est la version qu’il fit rédiger qui est, aujourd’hui encore, considérée comme « officielle ».
Dans certains cas, des versets de la période médinoise se retrouvent accolés à d’autres, plus anciens (époque mekkoise). Il semble aussi établi que pas mal de « révélations » ne figurent pas dans le coran « officiel », notamment les verset dits « sataniques » (voir l’ouvrage de Salman Rushdie).
Certains historiens ont tenté, en s’appuyant sur la tradition, de rétablir l’ordre chronologique des sourates mais cette méthode, sujette à caution, a été abandonnée au profit d’autres (dont celle de Noldeke) qui se basent sur la langue et le style.
Le plus ancien exemplaire connu du Qoran d’Othmân date de 776 (il s’est donc écoulé 136 ans entre la mort de Mahomet et la réalisation de ce livre). Il est rédigé en Arabe primitif, langue écrite qui ignore les signes des voyelles brèves, les signes diacritiques et est incapable de préciser si les verbes sont conjugués à la seconde ou à la troisième personne, à l’actif ou au passif. Aux VIIIe et IXe siècles, les califes préconisèrent d’avoir recours à des « lectures » du coran qui se fondaient sur la tradition orale et non plus sur le texte écrit. Au IXe siècle, il y avait déjà sept lectures différentes du coran. Elles conservèrent longtemps une certaine primauté car elles ne divergeaient que sur des aspects jugés « secondaires » par les califes. Par la suite, il y en eu dix, puis douze, puis quatorze. Certaines de ces lectures « ultérieures » présentent des divergences importantes par rapport à l’interprétation officielle. Comme quoi, la « parole de dieu » est bien loin d’être perçue de la même façon par tous les musulmans. Ceci remet évidemment en cause la notion de « communauté unique ». Il n’y a pas « un » islam mais « des » islams.
Dans les sourates dites « de la Mekke » (premier groupe dans l’ordre chronologique) - les plus anciennes - on trouve surtout la volonté de faire adhérer les Arabes polythéistes à l’idée d’un dieu unique. Elle sont écrites dans un style enflammé. Brèves, incisives, violentes, elles prédisent la résurrection des morts et le jugement dernier. Elles s’inspirent directement des textes hébraïques. Mahomet s’adresse aux « païens ». Il les fustige, il condamne leur idolâtrie et il les menace de la damnation éternelle. On distingue parfois trois sous-groupes dans les sourates de la Mekke. Le premier correspond à la toute première période des révélations mahométanes, celle de la passion, de l’enthousiasme et des images grandiloquentes. Ces sourates sont relativement courtes. Sur quarante-huit de ces sourates, on en dénombre vingt-trois qui comportent moins de vingt versets et quatorze qui en ont moins de cinquante.
Le second sous-groupe indique que la passion a fait place à la méditation. Le style poétique s’efface pour une prose plus réaliste. Le
langage se fait plus contemporain (si l’on considère le VIIe siècle, bien sûr) avec abandon des formulations « à l’ancienne ». Ces sourates sont au nombre de vingt et une.
Le troisième sous-groupe est marqué par un style encore plus prosaïque. Les sourates de cette troisième époque annoncent déjà celles de Médine. Le style est négligé et les redites de plus en plus nombreuses. Le verset 24 de la sourate XXXIX dit d’ailleurs : « Dieu t’as révélé la plus belle parole, un livre dont les paroles se ressemblent et se répètent. A leur lecture, le corps de ceux qui craignent le Seigneur est saisi de frissons,... ». Il n’est pas impossible que ce verset soit apocryphe et destiné à justifier, à posteriori, les nombreuses répétitions qui émaillent le coran.
Les sourates du second groupe, celle de Médine, sont au nombre de vingt-quatre. Ce ne sont plus que des énoncés de règles sociales et juridiques, parfois rituelles. Longues, fastidieuses à la lecture, elles n’ont rien à voir avec les « révélations divines ». Ce n’est qu’une sorte de « code » que Mahomet tente de faire avaliser par son dieu unique.
Parfois regardé comme « libéral » à l’époque où il fut édicté (81), ce code de vie est devenu totalement anachronique. Il n’a plus aujourd’hui la moindre valeur, sauf pour des peuples analphabètes (ou presque) à qui l’on peut encore faire avaler des couleuvres grosses comme des poteaux téléphoniques !
Ces sourates tentent d’endiguer la consommation des boissons alcoolisées et de la viande de porc (copiant en cela le Talmud des Juifs) ainsi que le penchant immodéré des Arabes pour les jeux de hasard.
On y trouve des ordonnances fiscales et militaires mais aussi et surtout des appels à la guerre et tout un fatras de lois civiles régissant l’homicide, le vol, l’usure, le mariage, l’adultère, les héritages et la pratique de l’esclavage. Ces lois s’inspiraient très visiblement de celles qui étaient imposées par la théocratie juive, tout comme la plupart des rites musulmans (comme le jeûne du Ramadan qui copie celui des Juifs ou encore les rituels relatifs à l’abattage des animaux destinés à être consommés). C’est sans nul doute sous cet aspect que le coran apparaît le plus nettement comme un mauvais plagiat des textes religieux propres au judaïsme.
Le coran, sous cet aspect-là est un texte totalement désuet, un simple témoignage des coutumes et des lois en usage au VIIe siècle dans la péninsule arabique. Le coran laissait subsister des coutumes anciennes telles que l’esclavage (toujours pratiqué de nos jours dans certains pays musulmans), la polygamie et la loi du talion, des coutumes qui ne peuvent plus être admises par des nations véritablement évoluées. Le coran avait surtout un effet pervers, celui qui déniait aux hommes le droit d’instaurer des lois autres que celles voulues par « allah ». C’était la porte ouverte à tous les abus, à tous les crimes, notamment celui du « caillassage » des femmes adultères ou simplement supposées avoir commis l’adultère. C’est ce qui permet, à l’aube du IIIe millénaire, de « caillasser » (lapider) à mort de très nombreuses femmes dans les pays qui n’ont pas compris que le coran n’est rien d’autre qu’un très vieux livre, rédigé par un homme brutal, arrogant, agressif et ambitieux, un livre qui, sur le plan social, politique et juridique, n’a plus aucune valeur.
Sur le plan théologique, le seul qui mérite encore un minimum d’intérêt, le coran s’inspire, comme il a été dit précédemment, des textes juifs et chrétiens. Mahomet a inscrit l’islam dans la filiation d’Abraham et d’Ismaël mais il n’a pas cessé, tout au long de ses « révélations » de traiter les Juifs et les chrétiens de menteurs. Malgré ses appels à la « concorde », il semble avoir voué une haine sournoise vis-à-vis des Juifs. C’est cette haine que l’on retrouve dans le conflit israélo-arabe, un conflit qui dure depuis plus de deux mille ans et qui empoisonne la terre entière. D’ordre territorial autant que religieux, c’est une haine quasiment fratricide qui oppose de lointains parents. C’est une « vendetta » à la manière des bédouins du désert, violente, implacable et menée au nom de dieu. Le même dieu unique et « miséricordieux » qui sert de prétexte aux massacres les plus horribles !
Et dire que l’on ose prétendre que ce dieu existe ! Et dire que l’on ose prétendre que les hommes et les femmes doivent respecter des règles et de lois surannées que ce dieu invisible auraient dictées à un berger presqu’illettré (mais pas sot du tout) né dans un trou perdu de la péninsule arabique !
Calligraphie du nom de Mahomet.
L,orthodoxie musulmane interdit, du moins en principe, de représenter dieu et son prophète.
Cependant, comme nous l’avons vu dans la première partie de cet opuscule, il existe bon nombre de miniatures et d’enluminures représentant Muhammad.
Quant aux peuples « convertis » à l’islam, ils l’ont été par la force des armes, par la violence. Dans toutes les régions du monde qui eurent à subir la domination arabo-musulmane, la tactique fut la même : la conversion ou la mort ! Il y a d’ailleurs un net contraste entre ce qui s’est passé en Arabie et dans les territoires conquis hors Arabie. En Arabie, les musulmans firent, dans les premiers temps de l’islam, preuve d’une certaine « souplesse ». Ils toléraient la pratique des autres « religions du livre » (judaïsme et christianisme) moyennant le paiement d’une sorte de redevance (un tribu).
Dès que les conquêtes musulmanes eurent franchi les limites du monde arabe (Afrique, Asie mineure, Inde, Europe centrale,... ) l’attitude des vainqueurs changea radicalement. Ils se lancèrent dans les conversions massives et forcées, tout autre culte que l’islam étant interdit. C’est à présent la règle dans tous les pays islamisés et cela pose, d’ailleurs, la question de la non-réciprocité. Les pays non musulmans n’ont aucune raison d’accorder un caractère « officiel » à l’islam puisque, dans les pays musulmans, les autres cultes ne sont pas tolérés.
Cela a d'ailleurs un effet pervers qui est aux antipodes de ce que l'on pourrait attendre : reconnaître l'islam démontre aux ressortissants des pays qui ne reconnaissent rien en dehors de l'islam que c'est effectivement l'islam qui est supérieur à toutes les religions puisque l'islam est reconnu partout alors que ce n'est PAS le cas des autres religions. Par voie de simple conséquence, aux yeux des musulmans, les adeptes des religions autres que l'islam sont bien inférieurs aux musulmans puisque incapables de se faire reconnaître et contraints de reconnaître l'islam. Il n'y a que les ânes pour être incapables de comprendre une chose aussi simple et pour s'obstiner à imaginer que la tolérance entrainera la réciprocité, alors même que la réalité de l'expansion de l'islam en Europe et le recul du christianisme en pays musulmans démontre le contraire depuis des années !
En Arabie proprement dite, il n’y a jamais eu d’édifices religieux voués aux autres religions mais dans d’autres secteurs géographiques où le judaïsme et le christianisme étaient pratiqués bien avant la création de l’islam, chapelles, églises et synagogues ont été fermées, reconverties en mosquées (comme l’église Ste Sophie de Constantinople), parfois mêmes détruites ou affectées à des usages divers. C’est ainsi que dans la médina de Tunis, on peut voir une ancienne église catholique qui a été « convertie » en local du parti unique au pouvoir. A la place de l’autel, se trouve une immense photo du général ben Ali.
Intransigeants et intolérants chez eux, les musulmans voudraient que les Européens - qu’ils prennent, trop souvent avec raison, pour des c... -soient, tout au contraire, pleins de « bienveillance » et de « tolérance » à leur égard. Ben voyons !
Il ne faut, en tous cas, jamais perdre de vue que les musulmans se croient « sortis de la cuisse de Jupiter », donc supérieurs à tout le monde car c’est ce qu’on leur enseigne dans les écoles coraniques. Les « mécréants », les « infidèles » sont des individus de rang inférieur au leur, des « chiens d’infidèles » qu’il convient de mépriser et, le cas échéant, d’éliminer. Car telle est la volonté d’Allah telle qu’elle s’est exprimée par la voix du « prophète » !
C’est ainsi que dans l’éditorial du bulletin du « Centre islamique de Genève » (n°5 - mai 1997), on peut lire que : « Tous ceux qui défendent les valeurs de l’islam sont frappés par le contraste qui existe entre la richesse de la culture musulmane et la pauvreté de la perception qu’en ont un grand nombre d’occidentaux... ».
S’il est vrai que les Arabo-musulmans de la « grande époque » furent les promoteurs d’un certain « courant culturel et artistique » (notamment dans le domaine de l’architecture), on ne peut pas s’extasier sur une prétendue « richesse de la culture musulmane » puisque cette culture est, par son essence religieuse, une culture figée, rétrograde, théocratique et donc naturellement antidémocratique. C’est notamment le cas dans le domaine littéraire et dans les arts dits « classiques » (musique, danse, peinture, théâtre,...). Si les Occidentaux perçoivent la culture musulmane comme étant « pauvre », ce n’est pas par méconnaissance de cette culture (comme essayent de le faire croire les « centres islamiques ») mais par la réalité de ses lacunes et de son anachronisme.
Les musulmans ne seront jamais des « citoyens du monde » comme les autres aussi longtemps qu’ils ne s’affranchiront pas du coran et qu’ils ne reconnaitront pas le caractère pernicieux de ce livre. Mais s’ils reconnaissaient cette réalité, ils cesseraient d’être musulmans !
On continue donc à tourner en rond. Réformer l’islam relève de la mission impossible.
L'ancien vice-Premier ministre iranien, Abbas Amir-Entezam, qui a osé réclamer un référendum sur l'avenir politique du pays et les lois islamiques, a été expédié en prison pour avoir . On sait ce qu’il est advenu à Hachem Aghajari, cet intellectuel iranien qui avait osé affirmer que les musulmans n’étaient pas des singes qui devaient suivre aveuglément un chef religieux et qui plaidait pour un « protestantisme islamique ». Il fut immédiatement condamné à mort (le 6 novembre 2002) par les ayatollahs, lesquels n’ont accepté une révision en appel de la sentence coranique que pour des raisons relevant de la diplomatie internationale. Notons, en passant, qu’avant d’être mis à mort, Aghajari aurait dû subir une « peine annexe » de 74 coups de fouet !
Voilà bien la « grande richesse culturelle » de l’Islam, n’en déplaise aux propagandistes de Genève !
C’est par l’intolérance, la violence et l’ignorance que l’islam parvient à maintenir sous sa férule des millions d’être humains. Telle est la « Trinité islamique ». Sans cette triste constante, cette religion n’aurait déjà plus beaucoup d’influence dans le monde. Elle en aurait sans doute bien moins que le christianisme ou le judaïsme. Née dans un contrée aride aux mœurs violentes, la religion musulmane ne peut pas concevoir que l’on puisse remettre ses principes en question. Car elle sait que la remise en question de ces principes archaïques et inhumains aurait pour effet d’entraîner sa perte à plus ou moins brève échéance. Pour survivre, l’islam est condamné à la violence et à l’intolérance. Il n’est donc pas « réformable » et l’idée même de « protestantisme musulman » est incongrue. Autant vouloir inventer l'eau sèche !
De même, l’islam ne peut accepter le principe de l’œcuménisme. La religion musulmane s’est toujours posée en concurrente directe des autres religions. L’islam ne peut pas « composer » avec les autres religions, hormis temporairement en attendant d'avoir la supériorité qui permettra à l'islam d'« éliminer », d'« éradiquer » les autres religions, par tous les moyens et notamment par le djihad. Et il n'y a pas de "petit" ou de "grand" djihad contrairement à cee que l'on tente de nous faire avaler. Il n'y a qu'un seul et unique djihad : la guerre.
Dans le cas des chrétiens, vis-à-vis desquels il ne nourrissait pas une haine aussi profonde que vis-à-vis des Juifs, Mahomet a voulu se montrer relativement « compréhensif », tout en ravalant Josuah (Jésus), fils de Myriam (Marie), au rang de simple apôtre puisque, selon sa profession de foi, le dieu unique n’avait pas enfanté. Il rejeta également la thèse de la crucifixion en affirmant que les Juifs avaient fait crucifier un homme qui ressemblait à Jésus, non Jésus lui-même ! Il mettra ainsi pas mal d’acharnement à nier les dogmes qui voulaient faire de Jésus le fils de dieu. En cela, il ne faisait que perpétuer la vieille polémique qui opposait Juifs et chrétiens. Il cherchait même à l’envenimer pour en tirer avantage. Pour Mahomet, qui avait reçu des rudiments d’enseignement religieux basés sur l’Ancien testament, Jésus était un concurrent. Il fallait donc le faire passer pour un imposteur.
Les similitudes qui existent entre l’Ancien testament et le coran sont nombreuses. Mais elles ne peuvent apparaître qu’après avoir lu les deux textes, ce que les musulmans ne font jamais puisque être musulman c'est admettre que le coran est le seul livre qu'il faut connaître... S’ils prenaient la peine de le faire, ils s’apercevraient que Mahomet n’a pas inventé grand-chose et que son « livre sacré » n’a rien d’une révélation divine mais tout d'une mauvaise copie.
L’islam, religion de la soumission, doit d’ailleurs son nom à un épisode de la Bible. C’est la soumission inconditionnelle d’Abraham - qui accepte de sacrifier son fils Isaac à la volonté divine - qui a inspiré à Mahomet le nom de sa nouvelle doctrine religieuse. Il se considérait comme le dernier héritier des patriarches bibliques et des prophètes. (Depuis, d'autres ont affirmé, ou affirment encore, comme Michel Potay d'Arès, en Gironde, la même chose. Fort heureusement, les lois modernes ne leur permettent pas de fonder autre chose que des sectes à la nocivité réduite.)
Mahomet s’est d’ailleurs exprimé sur un ton très proche des patriarches bibliques et des prophètes, un ton qui, hormis celui des toutes premières sourates, est peu mystique. C’est le ton d’un législateur, d’un « politique », bien plus que d’un « illuminé ».
A ce fond hérité de l’Ancien testament, Mahomet a superposé toute une série de coutumes préislamiques comme le pèlerinage à la Mekke, la culte de la pierre noire, la croyance aux djinns ainsi que les traditions des populations d’Ad et de Thamoud. Il a assaisonné le tout de quelques considérations propres à son clan ou strictement personnelles. Ainsi naquit la doctrine islamique.
Cette doctrine, bien que n’ayant rien de « divine », s’est imposée au monde arabe qui l’a ensuite imposée ou « revendue » à d’autres peuples. Car les Sémites ont toujours été d'excellents commerçants capables de vendre n’importe quelle camelote comme s’il s’agissait de l’or du Pérou !
La doctrine islamique est dangereuse dans le sens où elle ne laisse place à aucune spontanéité dans les rapports que l’homme prétend avoir avec son dieu. Pour les musulmans, imprégnés du fatalisme arabe, les révélations du coran s’interposent entre le « créateur » et sa « créature ». Discuter ces révélations est un blasphème. Les critiquer est un crime. Allah est, en outre, une entité abstraite, non humaine, qui n’admet pas d’hypostases. En cela, il est typiquement sémite, inabordable, incompréhensible et tout puissant. Bien plus encore que le Yahvé des Hébreux, Allah est un dieu de colère dont l’homme doit s’interdire de comprendre et de juger les desseins. C’est l’aboutissement d’une vision fataliste du monde qui est propre aux peuples des régions désertiques ou peu favorisées par la nature. Astreints à de dures conditions de vie ou aux calamités naturelles, ces peuples sont naturellement enclins à croire que l’homme n’a aucun pouvoir réel sur le cours des choses et sur ses propres actions. C’est de ce fond de fatalisme arabe que découle la vieille rengaine des musulmans : Inch'Allah, Si Allah le veut ! C’est une forme de servilité et d’incapacité à prendre son destin en main.
Et pourtant, on trouve, dans le verset 27 de la sourate XXX, une phrase qui dit : « C’est ainsi que nous exposons nos enseignements aux hommes doués d‘ intelligence ». Cette phrase, isolée de son contexte, a fait dire à d’aucuns que la doctrine coranique n’est pas aussi fataliste qu’on ne voudrait le dire. Il existe même différentes traductions de cette phrase qui permettent d’accentuer cette impression. L’une d’elles dit « Ainsi nous exposons intelligiblement nos signes (c’est-à-dire les révélations de Mahomet) à un peuple capable de raisonnement ». Toutefois, si l’on resitue cette phrase dans le contexte du verset 27 et de la sourate XXX, on ne lui trouve aucune signification indiquant que Mahomet a voulu permettre à ses disciples de « raisonner ». L’islam est bel et bien une religion de soumission totale à des dictats religieux. C’est une religion qui correspond au tempérament sémite et qui n’a donc strictement rien d’universelle.
Conçu pour des esprits simples et frustres, traditionnellement fatalistes, le coran était destiné à les persuader du fait que les choses de ce monde sont secondaires, qu’il faut se soumettre aux ordres et aux lois d’ici-bas tout en se préparant à accéder à un paradis doré sur tranche mais purement virtuel, aussi virtuel que nos très modernes jeux vidéos.
Comme il est facile de promettre quand on sait que l’on ne devra pas tenir ses promesses !
On retrouve d’ailleurs des tendances au fatalisme dans l’Ancien testament et même dans le nouveau. C’est normal puisque le judaïsme et le christianisme ont vu le jour dans des régions à peine plus accueillantes que le désert d’Arabie. Mais cette tendance très contestable à la non-détermination s’est surtout affirmée dans le coran. Elle ne conditionne plus guère le comportement des chrétiens. Seuls les Juifs ultra-orthodoxes et les musulmans se complaisent encore dans ce fatalisme religieux aux effets pervers.
Abraham conduisant son fils au sacrifice. Détail d’une tapisserie du XVIIe siècle d’après S. Vouet (Musée du Louvre). C’est la légende d'Abraham qui a très vraisemblablement amené les mahométans à donner à leur nouvelle religion le nom d’ « islam ».
De tous les courants spirituels, les religions qui imposent une « soumission totale » sont incontestablement les plus nocifs. Le fait, pour un être humain, de renoncer à son libre arbitre au profit de prétendues « lois divines » (dont il ne peut pas vérifier la valeur et la pertinence) est une attitude indigne. Si elle peut se comprendre chez les peuples peu évolués et peu éduqués, elle est inadmissible dans les sociétés dites « évoluées ».
Certaines sectes musulmanes prirent conscience très tôt de ce problème. Ils tentèrent de restreindre la toute puissance d’Allah qu’ils estimaient incompatible avec sa justice.
La notion de « libre arbitre » étant contradictoire ave celle de la « toute puissance divine », des musulmans se regroupèrent pour élaborer une doctrine qui avait pour effet de limiter le « décret divin » ou « qadar » (application dans le temps du décret divin). Ils furent, de ce fait, nommés « qadarites ». A l’opposé, les partisans de la contrainte divine absolue furent baptisés « jabirites ». Sous la dynastie des Omayyades, les qadarites se joignirent au groupe des « mo’tazilites » (ceux qui s’écartent) qui prônaient une doctrine intermédiaire. Ce troisième groupe fut à l’origine de la première école du « kalam » qui se donna pour mission de défendre les articles de la foi islamique contre les théories des philosophes grecs et ce, en leur appliquant une argumentation présumée rationnelle.
L'art d'« accommoder » le coran
Les musulmans ont, de tous temps, été des esclavagistes très actifs (85). Sous le règne des Abbassides - et malgré les timides recommandations du coran - l’esclavage devint une véritable institution dans le monde arabo-musulman. Rares, très rares, furent les « fidèles » qui firent « acte de piété » en affranchissant un ou plusieurs esclaves. On ne se limita même plus aux esclaves « importés » des régions non musulmanes. Il y eu des esclaves musulmans et, en sus, les Arabes inventèrent le principe de l’esclavage héréditaire. Considéré comme un bien mobilier, l’esclave était la pleine propriété de son maître. Ce bien était transmissible par héritage ou par vente. Assez bien traités lorsqu’ils entraient au service d’une famille aisée, les esclaves subissaient, par contre, les effets d’une exploitation éhontée lorsqu’ils appartenaient à l’Etat. Confiés à des fonctionnaires sans scrupules - qui jouissaient d’une impunité totale - ils étaient battus, astreints à des travaux pénibles et mal nourris. Et pourtant, selon la loi coranique, l’Etat était censé être l’émanation de l’islam !
Le droit islamique permettait, certes, à tout esclave de se « racheter » en versant une somme convenue à l’avance (et en fonction de la tête du client !). Mais combien y en eut-il de ces esclaves qui parvinrent à réunir la somme nécessaire ? Bien peu en vérité. En outre, l’esclave affranchi (maulâ) entrait d’office dans la tribu de son ancien maître qui demeurait son tuteur légal.
Les serviteurs du palais khalifal et de la grande aristocratie étaient essentiellement recrutés parmi les peuples non musulmans et majoritairement en Afrique. On ne dira jamais à quel point ils eurent à souffrir des caprices et des vices des castes dirigeantes, bien vite corrompues par le pouvoir et la richesse. Rien qu’à Baghdad, on comptait des milliers d’eunuques, noirs et blancs. En 917 de notre ère, le khalîfe Al-Moqtabir en fit défiler plus de 7.000 devant les envoyés du basileus de Bysance. Comme tous les eunuques, ils étaient attachés au service du harem.
Vers la même époque, en occident, il y avait certes des seigneurs qui régnaient de façon féodale sur des serfs taillables et corvéables à merci, mais il faut remonter aux romains pour trouver une pratique généralisée de l'esclavage. Quand on nous rabat les oreilles avec la prétendue « dette » de l'occident vis à vis de la civilisation musulmane, on peut sourire...
On sait, d’autre part, que certains esclaves de sexe mâle -spécialement choisis - tenaient le rôle de « mignon » (ghilmân en Arabe) dans le cadre de relations homosexuelles. A ce titre, ils bénéficiaient de faveurs spéciales. Ils étaient richement habillés, se parfumaient et entretenaient leur corps avec grand soin. Notons, à ce propos, que le coran ne condamne pas formellement l’homosexualité masculine, laquelle a toujours fait bon ménage avec l’islam, n’en déplaise aux musulmans « rigoristes ».
C’est ainsi que le verset 20 de la sourate IV peut se traduire ainsi : « Si deux individus parmi vous commettent une action infâme, punissez-les tous les deux. Mais s’ils se repentent et s’amendent, laissez-les tranquilles car dieu aime à pardonner et il est miséricordieux ». Compte tenu du verset qui précède, « si vos femmes commettent l'action infâme, l'adultère,... », l’ « action infâme » dont parle le coran n’est autre qu'un adultère entre deux personnes mais sans qu'aucune femme n'y participe, donc un adultère entre hommes seulement, c'est à dire soit l'homosexualité soit la pédérastie. Et l’on voit que pour les hommes, les recommandations sont beaucoup, beaucoup plus que clémentes en cette matière car le verset 19 (celui qui précède) recommande, pour les femmes adultères... de les enfermer dans des maisons jusqu’à ce que la mort les visite (ou que dieu leur procure un moyen de salut) ! ! !
Il est un fait que l’avilissement de la femme avait, sur la société musulmane, de très fâcheuses répercussions, notamment en matière de mœurs. Dans les « Mille et une nuits » - ce grand classique de la littérature arabe, la femme est désignée comme l’ennemi. Elle est la cible d’une forme particulière de misogynie née de la guerres des sexes imposée par l’islam. Sous le règne des khâlifes Hâroun ar-Rachid et Al-Amine (fils du précédent), les homosexuels tiennent carrément le haut du pavé. Ils se commettent au vu et au su de tout le monde en compagnie des « ghilmân » et les poètes adressent leurs vers à des éphèbes encore imberbes. Car l’homosexualité islamique se teinte souvent de pédophilie, exemple du prophète oblige, lui qui avait pris parmi ses épouses une fillette de six ans !
Al-Amine, encore lui, s’entoure non seulement de ses mignons (parfois très jeunes) mais il ne dédaigne pas ses « pagesses », de très jeunes filles qui s’habillent en garçon et portent cheveux courts et turbans. On trouve donc, à la cour des califes, des hommes habillés comme des femmes et des filles habillées en garçons. Quand au khalîfe Al-Motawakkil, on ne lui prête pas moins de quatre milles concubines qui, selon la tradition orale, partageaient toutes sa couche !
Selon le droit islamique, la société se décompose en plusieurs classes sociales dictées, comme on s’en doute, par des considérations strictement religieuses. En premier, viennent les musulmans, libres ou esclaves. En seconde place, on trouve les « gens du livre », non musulmans « tributaires » (payant tribu. Le terme moderne est : « rackettés ») qui bénéficient du statut de « dhimmi ». Ce sont des Juifs et des chrétiens qui acceptent de se soumettre à la domination musulmane et jouissent, de ce fait, de certains privilèges. Ils occupent souvent une position assez enviable dans la vie sociale sans pourtant être regardés comme égaux par les musulmans. On les retrouve fréquemment dans l’administration, les finances ou les professions que l’on qualifie aujourd’hui de « libérales ». Bien que détestés sur le plan théologique, les Juifs furent souvent protégés du fait de ce statut et de leurs aptitudes pour le commerce, le droit et les affaires d’argent. C’est ainsi que la tradition veut que ce soit un Juif nommé Isaac qui servit d’interprète lors de la rencontre qui eut lieu, en 797, entre l’ambassade de l’empereur Charlemagne et le khalife Hâroun ar-Rachîd. C’est lui qui, toujours selon la tradition, aurait ramené à Aix-la-Chapelle l’éléphant offert par le calife, ses chefs étant morts en cours de route.
L’histoire nous enseigne même qu’en Egypte, de 1044 à 1047, le vizir n’était autre que le Juif Ben Sahl, favori de la mère du sultan. Ce qui fera dire à un satiriste de l’époque : « Egyptiens ! Ecoutez le conseil que je vous donne : devenez Juifs car le ciel lui-même est devenu Juif ! ».
De tels exemples de « réussite sociale » demeurent cependant exceptionnels. Les dhimmis, ces étrangers qui avaient refusé de se convertir à l’islam, formaient surtout le gros des populations paysannes car les Arabes (les vrais, pas les peuples « arabisés ») ont, de tous temps, été réfractaires aux travaux agricoles. Ce sont des guerriers nomades - à la rigueur des commerçants - mais pas des agriculteurs(86), qu'ils méprisent.
Les musulmans s’intéressèrent d’ailleurs d’autant mieux au commerce que Mahomet lui-même avait été commerçant (après avoir épousé sa première femme, veuve d’un riche négociant mekkois).
Le « prophète » n’avait jamais condamné l’enrichissement par le commerce. Il ne s’en était pris qu’aux pratiques frauduleuses. Il n’y a donc pas incompatibilité, pour un musulman, à faire du commerce tout en se rendant en pèlerinage à la Mekke. Il désignera même ses gains commerciaux sous le nom de « Grâce de dieu ». Et la sunna en rajoute en faisant dire à Mahomet : « Le marchand sincère et de confiance sera, au Jugement dernier, parmi les prophètes, les justes et les martyrs ». Omar, le « compagnons de route du prophète » aurait été encore plus loin en déclarant : « Je ne puis en aucun lieu être aussi agréablement saisi par la mort que là où je traite des affaires, des marchés pour ma famille en achetant ou en vendant ».
Aujourd’hui encore, le musulman est regardé comme un « marchand né ». Quant aux « pratiques frauduleuses » proscrites par le coran, elles ne concernent que les échanges entre musulmans. Il n’est pas interdit, en islam, de « rouler un infidèle ». Il en résulte que, chez les commerçants musulmans, les prix sont habituellement « à la tête du client ». Indépendamment de la tradition du « marchandage », les prix de départ sont toujours plus élevés pour les « mécréants ».
L’expansion économique arabe a accompagné et parfois même précédé les conquêtes militaires et politiques. Et l’on peut dire que c’est aux citadins et aux commerçants, bien plus qu’à ses guerriers, que l’islam doit sa propagation rapide. Mieux vaut s'en souvenir.
On notera aussi que le développement du commerce entraîna des dérives dans le domaine de la loi coranique. C’est ainsi que le coran condamne une pratique nommée « ribâ », terme qui désigne l’accroissement de la fortune par le prêt. Il ne s’agissait cependant pas d’un simple « intérêt » mais du doublement pur et simple de la somme prêtée en cas de non remboursement à la date de l’échéance. Cette coutume n’était pas spécifiquement Arabe. Elle était également pratiquée par des prêteurs Juifs et chrétiens. Et Mahomet, dans son coran, de fustiger les Juifs qui transgressaient leurs lois interdisant l’usure. ll n’empêche que, malgré les prescriptions du coran, des prêteurs musulmans continuèrent à pratiquer la ribâ et, à fortiori, le prêt à intérêts. Ils se conformèrent un temps aux prescriptions de leur « livre », abandonnant aux Juifs et aux chrétiens la pratique des prêts à intérêts. Mais, l’attrait du profit fut plus fort que le respect du coran et ils contournèrent le problème en usant de stratagèmes juridico-religieux.
A la longue, les prêteurs musulmans se révélèrent même nettement moins scrupuleux que les dhimmis. Eternellement soucieux de la « Loi », mais aussi et surtout de tous les moyens permettant de la contourner, ils devinrent des maîtres incontestés du prêt à intérêt et de l’usure. A tel point que, dès le IXe siècle, la cité musulmane bénéficiera d’un statut autonome qui est en parfaite contradiction avec le principe islamique de l’omma. Elle passera petit à petit sous le contrôle des banquiers qui avaient la haute main sur l’ensemble des activités économiques. Ils instaurèrent ainsi - contre l’esprit et la lettre de la « Loi » - un système purement capitaliste, le premier du genre, qu’ils exporteront ensuite en Europe.
Nous avons aussi vu, dans les précédents chapitres, comment Mahomet et les chefs musulmans ont toujours su s’accorder des « dérogations divines » leur permettant de contourner les « interdits » du coran.
Certains dogmes coraniques ne furent pratiquement jamais respectés par aucun musulman. C’est le cas pour celui qui stipule que, de sa naissance à sa mort, le « bon musulman » n’a besoin que d’un seul livre : le coran. C’est en se référant à ce dogme que le calife Omar - l’un des disciples de Mahomet - avait donné ordre de brûler toutes les bibliothèques (notamment lors de la prise d’Alexandrie par ses troupes). Mais, concrètement, rares, très rares, sont les musulmans qui se sont conformés à ce dogme imbécile. Heureusement car, sans cela, il n’y aurait jamais eu de littérature arabo-musulmane.
Les « islamistes purs et durs » sont en contradiction avec leurs principes lorsqu’ils éditent des livres, des brochures ou des journaux. S’ils étaient les « parfaits croyants » qu’ils prétendent être, ils s’en tiendraient au coran et rien qu’au coran, non ? Que dire de ces « centres islamiques » qui sont obligés d’éditer des « bulletins » pour expliquer le coran (à leur façon, bien évidemment) ?
D’autres « prescriptions fondamentales du coran » sont régulièrement transgressées par les roublards et les petits malins.
Exemple de contournement (ici, à propos de l'avertissement à l'entrée du présent site)
Ce contournement a été proposé sur le forum http://oumma.comforum/showthread.php?t=113220
Tel est le cas pour les interdits alimentaires et notamment l’interdiction de consommer tout ce qui provient du porc (87). Nous verrons au chapitre suivant que les dirigeants religieux qui sont à l’origine du commerce dit « halal » savent contourner les problèmes - et camoufler les entourloupes - de mille et une manières.
Comme quoi, quand ils le veulent (ou quand ils le peuvent), les musulmans savent fort bien « accommoder » les prescriptions du coran. Ils sont comme les adeptes des autres religions monothéistes qui jouent les bigots devant leurs coreligionnaires et leur clergé mais se vautrent dans le « péché » quand ils sont loin de chez eux ! Il n’y a que les plus intransigeants - donc les plus bêtes - parmi eux qui prétendent s’en tenir à une application stricte et inconditionnelle des prescriptions anachroniques du « livre inimitable » !
« Inimitable », le coran l’est certainement par son incroyable archaïsme et, pour tout dire, par son incohérence et sa stupidité. La bible n’a certes jamais été un parfait exemple de limpidité et de logique mais, à part quelques petits groupes d’illuminés et de demeurés, dont les plus connus sont les Témoins de Jehovah, on ne trouvera plus de communauté chrétienne qui soit encore assez stupide pour prétendre que ce livre doit être interprété et observé « à la lettre ». Par contre, pour des dizaines de millions de musulmans, le coran demeure « la parole de dieu » que nul ne peut contester ou transgresser. Et c’est là que le bât blesse !
En tant que tel, le coran est un redoutable instrument de pouvoir entre les mains des petits et gros malins qui savent s’en servir pour manipuler les masses tout en contournant habilement les interdits lorsque cela les arrange. Ce fut le cas jadis pour le christianisme mais, de ce côté là, les choses se sont quelque peu arrangées. Aujourd’hui, le problème ne se pose plus guère qu’avec l’islam et, de ce côté-là, les problèmes risquent d’être beaucoup plus difficiles à résoudre. Notons enfin que les « princes arabes » ne sont pas les derniers dans le domaine des magouilles sordides. Il a été démontré au chapitre 6 que les dirigeants saoudiens, bien loin d’être des « seigneurs du désert » n’étaient que des voyous, des profiteurs et des manipulateurs.
Récemment, le prince Nayef bin Sultan bin Fawwaz al-Shaalan -époux d’une « princesse de sang royal » (sic) et banquier (installé en Suisse comme il se doit pour un banquier saoudien) - s’est retrouve impliqué dans un trafic de drogue international. C’est lui qui aurait fait transiter par la France deux tonnes de cocaïne destinées à être revendues dans toute l’Europe. L’affaire se passait en mai 1999 et la drogue avait été dissimulée dans un avion protégé par l’immunité diplomatique (voir le n° 2524 de « L’Express » - 18 novembre 1999). Le Saoudien se retrouve impliqué dans ce trafic par le biais d’une prétendue « femme d’affaires » nommée Doris Mangeri (actuellement sous les verrous en Floride).
Al-Shaalan et Doris Mangeri sont considérés, par la « Drug Enforcement Administration » (DEA = administration américaine de lutte contre la drogue) comme les têtes pensantes d’un réseau de passeurs qui devait permettre à la cocaïne colombienne d’entrer en Europe (voir « L’Express » du 26 décembre 2002). Ils se connaissent depuis qu’ils ont fréquenté la même université de Floride, dans les années 70. L’un joue de son statut diplomatique, l’autre de sa double nationalité (colombienne et américaine). Selon le dossier établi par la DEA, al-Shaalan aurait dû percevoir 20 millions de dollars pour le transport des deux tonnes de cocaïne qui ont été saisies en France. C’est à son domicile saoudien, à Riyad, que les « réunions de travail » auraient été organisées en vue de ce transport. Selon certains témoignages, le Saoudien aurait même été présenté personnellement aux « patrons » du cartel colombien, en septembre 1998. Les policiers américains on pu reconstituer le trajet suivi par les deux tonnes de cocaïne, depuis le Venezuela jusqu’à Paris en passant par l’Arabie Saoudite. Dissimulée dans des valises, la drogue arriva à l’aéroport du Bourget le 16 mai 1999. Elle fut ensuite acheminée vers un pavillon de la banlieue parisienne (Noisy-le-sec) où elle devait être répartie entre les différents passeurs et revendeurs. C’est là qu’elle fut saisie par la police française (informée par un indicateur). Sur la base de 60 à 70 euros le gramme, les deux tonnes de « poudre » auraient pu produire un bénéfice plus que substantiel !
Si la police américaine a pu remonter jusqu’au « prince » saoudien, c’est grâce aux aveux de quatre « repentis » interpellés en 1999 dans le cadre d’une opération de grande envergure (opération « millénium »). La responsabilité d’al-Shaalan fut confirmée par le colombien Gustavo Gonfrier arrêté à Noisy-le-Sec puisqu’il déclara que « le coup était monté par un haut dignitaire saoudien chargé de s’occuper des mouvements d’argent pour son pays ». Cette version fut accréditée par la présence, dans les valises contenant la drogue, de bouteilles d’eau minérale « Al-Qassim » et de dattes provenant d’Arabie saoudite.
Ci-contre, un des pains de cocaïne colombienne qui ont été saisis en juin 1999 à Noisy-le-Sec. Ils avaient été introduits en France grâce à l’avion d’Al-Shaalan. On remarque nettement la « marque de fabrique » qui figure en relief sur le pain : une croix gammée ! Pour les Arabo-musulmans, le trafic de drogue serait une excellente arme pour amoindrir l'Occident !
Il n’empêche que, malgré les lourdes preuves qui pèsent sur lui, al-Shaalan est toujours libre de ses mouvements. Il s’est même entouré des meilleurs avocats du barreau de Genève (Maîtres Haissly et Gully-Hart) pour défendre ses intérêts. Ceux-ci admettent que leur client avait déjà été impliqué dans un trafic de stupéfiants en 1984 mais, bien entendu, ils prétendent qu’al-Shaalan n’est pour rien dans le trafic de 1999 et qu’aucune suite ne sera donnée à la plainte déposée contre lui. La « crapule princière » pourra donc continuer à mener ses « petites affaires » tout à son aise sans être inquiété par qui que ce soit et en continuant à être couvert par l’immunité diplomatique. On sait, par ailleurs, qu’une délégation saoudienne a tenté de rencontrer le juge d’instruction de Bobigny qui s’occupe du dossier. Tentative d’intimidation ou de corruption ?
Car, du côté du régime saoudien, il n’est pas question d’incriminer le gendre de l’héritier du trône (d’autant qu’un frère d’al-Shaalan a épousé une autre fille de l’héritier royal). C’est ainsi qu’une « commission d’enquête » saoudienne a, bien évidemment, conclu à l’innocence de ce trafiquant de haut vol. Dans cette affaire, ce sont les « sous-fifres » et les porteurs de valise qui trinqueront tandis que le « gratin » s’en tirera avec les honneurs. Et pourquoi pas avec les excuses des polices américaines et françaises tant qu’on y est ?
En attendant, une cinquantaine d’exécutions capitales ont eu lieu au pays de ben Laden en 2002. Toutes ont été prononcées en vertu de la « charia », parfois pour des délits mineurs. Plusieurs de ces condamnations concernaient des ventes de drogue. Mais la charia ne s’applique pas à tout le monde. Elle ne s’appliquait pas à Mahomet et à ses successeurs (les califes). Elle ne s’applique pas, non plus, aux roitelets du désert. Elle ne s’applique qu’aux petits, aux sans grade. Ca, c’est une chose que l’on n’apprend pas dans les « écoles » coraniques. Les petits musulmans ne savent pas que si on leur impose une totale soumission aux « lois coraniques », leurs dirigeants, eux, se fichent de la charia comme de leur premier thé à la menthe !
Dans nos écoles à nous, on nous enseigne une fable de Jean de la Fontaine. Une fable qui dit « Selon que tu seras puissant ou misérable, etc., etc... ». Nous, au moins, on est prévenu !
Nous avons vu par ailleurs - au chapitre 7 - que les musulmans étaient très habiles dans l’art de contourner les interdits à caractère sexuel. Outre ce qui a été dit au début du présent chapitre, on a vu que des « lectures subtiles » du coran permettaient de faire, avec la bénédiction du coran, ce que ce même livre interdisait par ailleurs.
Nous avons également souligné que si le coran interdit aux musulmans de se voler entre eux, il n’interdit nullement aux mahométans de voler les « infidèles ». Pour pas mal d’entre eux, c’est même devenu une sorte de sport. Et c’est finalement en vertu des « lois coraniques » que des musulmans trouvent « normal » de tuer les « incroyants », de voler les non musulmans (et même les musulmans qui n’appartiennent pas à la même branche de l’islam), de pratiquer la traite des être humains (esclavage, prostitution,.), de s’adonner aux trafics de drogues, etc. Il est bien pratique ce coran, non ?
Voleur ou terroriste international?
Samedi en fin de journée, la police d'Ans a peut-être arrêté sans le savoir un terroriste qui manigançait un attentat sur notre territoire. Les chances sont certes faibles, mais l'affaire a été prise très au sérieux par le parquet de Liège et même par le parquet fédéral. Tout commence de manière somme toute très banale. Mouhammed. un jeune homme d'origine palestinienne né à Beyrouth en 1977 est arrêté aux caisses du Super GB d'Ans. Il tente en effet de passer sans payer en emportant une série d'articles. Dans sa veste, munie d'une poche sans fond et recouverte de papier alu pour dé-jouer le système antivol des caisses. on retrouve des choses aussi diverses que du fromage, de la viande, du shampooing, de la nourriture pour chien, de l'after-shave... Mouhammed est surpris et arrêté. Les choses prennent une autre tournure lorsque les policiers entreprennent une perquisition au domicile liégeois de l'intéressé. Ils ont en effet découvert des GSM, de la lingerie fine, des autoradios, des appareils photo et au matériel hi-fi, sans compter un pistolet d'alarme, le tout manifestement volé. Pendant tout ce temps, Mouham-med semble calme, du moins jusqu'au moment où les policiers se penchent sur son ordinateur. Là, ils vont en effet découvrir des photos de personnalités américaines, toutes liées à l'actualité internationale... Ils mettront aussi la main sur des photos et des documents relatifs au palais de justice et de la bourse de Bruxelles. Mouhammed s'est alors énervé, expliquant qu'il préférait mourir plutôt que de voir son ordinateur saisi. Entendu pour le vol et le recel, il a été placé sous mandat d'arrêt. Son ordinateur a été confié à des spécialistes et l'enquête se poursuit. JEAN-MICHEL CRESPIN
Ils sont de plus en plus nombreux les musulmans qui, à présent, se réfugient derrière des alibis « religieux » pour tenter de justifier des délits et des crimes qui relèvent du droit commun. L’article reproduit ci-dessus (groupe Sud Presse - mardi 22 avril 2003) nous parle d’un certain « Muhammad » dont le comportement est pour le moins « ambigu » et qui appartient, sans nul doute, à la catégorie des pseudos terroristes qui, tout en rêvant de tuer des personnalités américaines ou de faire sauter la bourse de Bruxelles (?), n’en sont pas moins de minables voleurs à la petite semaine !
En Belgique comme ailleurs, de très nombreux arabo-musulmans se sont « spécialisés » (si l’on peut dire) dans les vols en tous genres, souvent avec violence. Atavisme, sans doute ? On les retrouve très souvent dans des affaires de « home jacking » ou de « car jacking » (vols à domicile et vols de voiture avec violence). En Belgique, plus des deux tiers des délits de ce genre sont commis par des ressortissants étrangers parmi lesquels de nombreux musulmans.
Début du procès du car-jackeur Hammani
Le procès en appel d'une bande de car-jackeurs — dont Mohammed Hammani etdeux autres membres avaient été condamnés à des peines de 10. 8 et 2 ans de prison par le tribunal correctionnel de Louvain pour tentative de meurtre, vol avec violence, enlèvement et incendie — s'est ouvert mardi devant la cour d'appel de Bruxelles, rôle néerlandophone. Faute de preuves, huit membres présumés d'une bande avaient été libérés en première instance. Le ministère public avait décidé d'aller en appel. Le chef de la bande, Mohammed Hammani, âgé de 23 ans. avait lui aussi interjeté appel de sa condamnation à 10 ans de prison.
Les faits s'étaient déroulés à la suite d'un home-jacking manqué. Le 8 mai 2001. Hammani et trois complices avaient en effet tenté de voler une Porsche dans une habitation de Keerbergen. Le propriétaire du luxueux véhicule avait ouvert le feu sur les malfrats. Mohammed Hammani ainsi que le propriétaire avaient été blessés.
Les quatre car-jackeurs avaient finalement pris la fuite et jeté leur dévolu sur un autre véhicule dont le propriétaire, cette fois. avaitété emmené jusqu'à Bruxelles. Blessé, Hammani s'était ensuite présenté à l'AZ-VUB de Jette où il avait pu être arrêté. Devant la cour d'appel, les personnes qui ont participé à l'enquête ont raconté le déroulement des événements et fourni le détail des échanges de coups de téléphone entre les malfrats avant les faits. Cette analyse a révélé que M. Hammani avait effectué un repérage à Keerbergen le soir qui a précédé les événements.
Hammani a déjà fait l'objet de lourdes condamnations pour des faits similaires. Il purge actuellement une peine de 4 ans pour des car-jackings. Il est également suspecté d'être l'auteur d'une fusillade qui. en avril 2002, avait causé la mort d'un policier qui l'avait pris en chasse sur la E314 à Rotselaar.
Le procès se poursuivra mercredi.
Décidément les « Muhammad » se suivent et se ressemblent. On comprend mal pourquoi de tels individus ne sont pas expulsés définitivement hors du territoire européen. En plus d’avoir à subir leur violence et leur incivisme incurable, les citoyens européens doivent, en outre - et c’est un comble - supporter les frais de procédure judiciaire et ceux qui découlent de leur incarcération !
Dans un article publié par le groupe Sud Presse en date du Mercredi 23 avril 2003, un autre Muhammad a assassiné sa femme nommée... Khadidja ! La pauvre ne devait pas être aussi riche que la première femme du « prophète » !.
Outre les aspects spécifiques d’ « accommodement » de la loi coranique qui viennent d’être évoqués, on se reportera au chapitre 2bis de la présente étude pour les aspects historiques qui ont contribué à forger la pseudo législation qui conditionne la vie des musulmans. Ils permettent de mieux comprendre les dérives de cette législation et les « astuces » qui ont été utilisées par les musulmans pour contourner les interdits coraniques et ce, dès les premiers temps de l’islam