Psaume 133
[133:1] Maintenant les frères habitent ensemble dans l’unité. [133:2] C’est
comme l’huile de l’onction d’Aaron, qui, répandue sur sa tête, communiquait à
tout le reste le parfum de la faveur divine ; [133:3] comme la rosée abondante
de l’Hermon, qui, quelque élevée que fût sa source, portait sa puissance
rafraîchissante là où Dieu avait commandé la bénédiction et la vie pour
l’éternité1. Je ne vois pas la nécessité de chercher près de l’Hermon quelque
montagne du même nom, mais plutôt le contraire.
1 C’est un des deux passages de l’Ancien Testament, où il est parlé de la vie éternelle ; l’autre est en Daniel 12 [(v. 2)] ; les deux la présentent comme devant être accomplie au temps de la bénédiction à venir. Je n’ai pas besoin de dire que, dans le Nouveau Testament, elle est pleinement révélée en Christ et que celui qui croit en Lui a la vie éternelle.