Psaume 126
Après avoir éprouvé la délivrance, le cœur du fidèle trouve son centre en Sion, car il en sera ainsi. Combien Sion avait été abaissée, selon le Ps. 124 ! (comp. És. 29:4 ; 17:12-14, et d’autres passages). [126:1] Et maintenant c’était comme un songe, tant la joie était complète, tant elle était inattendue ! [126:2] Les nations elles-mêmes reconnaissent la main du Seigneur. [126:4] Mais le fidèle attend la pleine bénédiction et demande à l’Éternel de rétablir ses captifs pour que cette bénédiction soit entière. Cependant Dieu s’était déjà manifesté ; [126:5] et, pour le fidèle qui s’était chargé de son témoignage dans la souffrance, dans la honte et l’opprobre, il y avait maintenant une moisson d’allégresse. Il en est toujours ainsi, car ce n’est que par la souffrance qu’arrive la joie parfaite, le témoignage de Dieu étant placé dans un monde d’iniquité.