CHAPITRE VI.
VIE POLITIQUE ET RELIGIEUSE DE LA DISPERSION DE JUIVE DANS L’OUEST - LEUR UNION DANS LE GRAND ESPÈRE DU LIBÉRATEUR DE L’ENTRÉE.

Il n’était pas seulement dans la capitale de l’Empire que les Juifs jouissent des droits de citoyenneté romaine. Beaucoup en Asie mineure pouvaient se vanter de ce même privilège. 327 327 Jos. Ant. xiv. 10, passim ; Actes xxii. 25-29. Les dirigeants de Seleucidic de Syrie avaient auparavant accordé kindred privilèges sur les Juifs en de nombreux endroits. Ainsi, ils possédaient dans certains droits de deux villes : le statut de Roman et les privilèges de la citoyenneté asiatique,. Ceux qui ont aimé les premiers avaient droit à un gouvernement civil leur propre, en vertu des archontes de leur choix, tout à fait indépendante de l’État et les tribunaux des villes dont ils ont vécu. En tant qu’instances, on peut citer les Juifs de Sardes, Éphèse, Délos et apparemment aussi d’Antioche. Mais, si légalement habilité à elle ou pas, ils probablement partout a revendiqué le droit de l’autonomie et exercé, sauf en temps de persécution. Mais, comme nous l’avons déjà dit, elles aussi possédaient, en outre, au moins dans de nombreux endroits, les privilèges de la citoyenneté asiatique, au même titre que leurs concitoyens païens. Ce double statut et la juridiction aurait pu conduire à des complications graves, si les archons n'avaient pas limiter leur autorité aux intérêts strictement communales,328 328 ix COMP. actes xix. 14 . 2. sans interférer avec l’administration ordinaire de la justice et les Juifs soumis volontairement aux sentences prononcées par leurs propres tribunaux.

Mais, en vérité, ils jouissent encore plus que la liberté religieuse et les privilèges communautés. C’est tout à fait dans l’esprit de l’époque, que potentats amicales à Israël accorde tant de largesses sur le Temple de Jérusalem et contre les Synagogues dans les provinces. Le magnifique porche du Temple a été « orné de » nombreux ces « cadeaux dédié. » Ainsi, nous lisons des offres de coûteuses répétées par les Ptolémées, d’une couronne d’or qui Sosius offert après il avait pris Jérusalem en conjonction avec Hérode et de bonbonnes en riches dont Auguste et son épouse avait donné au sanctuaire. 329 329 Jos. Ant. xii. 2. 5 ; XIII. 3. 4 ; AG. AP.II. 5 ; Ant. xiv. 16. 4 ; Guerre, c. 13. Et, bien que cet Empereur même loué son petit-fils pour quitter Jérusalem unvisited lors de son voyage d’Egypte à la Syrie, pourtant lui-même prévoyait un sacrifice quotidien en son nom, qui n’a cessé lorsque la dernière guerre contre Rome fut proclamée. 330 330 Jos. Seconde guerre. 10. 4 ; II. 17. Même le fait qu’il y avait une « Cour des gentils » avec écran en marbre magnifiquement ornementé, roulement comprimés qui, en Latin et en grec, a averti païens ne pas à aller plus loin,331 331 l’un de ces tablettes ont dernièrement été fouillés. COMP. « le Temple : son ministère et les Services dans le temps du Christ, "p. 24. prouve que le sanctuaire rassemblait en grande partie par d’autres Juifs, ou, selon les termes de Josèphe, que « elle s’est tenue à révérence par nations aux extrémités de la terre. » 332 332 war iv. 4. 3 ; COMP. la seconde guerre. 17. 2-4.

En Syrie, où, selon Flavius Josèphe, le plus grand nombre de Juifs vivaient,333 333 guerre, vii. 3. 3. ils ont connu la faveur spéciale. À Antioche, leurs droits et immunités ont été enregistrées sur les tables d’airain. 334 334 guerre, vii. 5. 2.

Mais, en effet, la capitale de la Syrie était l’un de leurs stations préférées. On se souviendra quelle importance attaché à elle dans l’histoire des débuts de the Christian Church. Antioche était la troisième ville de l’Empire et poser juste en dehors de ce que les Rabbinists désigné sous le terme « Syrie » et toujours considérée comme Terre Sainte. Ainsi, il forme, pour ainsi dire, un poste avancé entre les Palestiniens et le monde païen. Sa Synagogue chef était un édifice magnifique, dont les successeurs d’Antiochus Epiphanes avaient donné le butin que ce monarque avait apporté du Temple. La liaison entre Jérusalem et Antioche était très proche. Tout ce qui s’est produite dans cette ville était très surveillé dans la capitale juive. La diffusion du christianisme il doit ont excités profonde inquiétude. Attention car le Talmud ne doit ne pas se permettre d’informations importunes, qui aurait pu conduire à autre méfait, nous savons que trois des principaux que rabbins sont allés là pour une mission - on peut en douter peine pour arrêter les progrès du christianisme. Encore une fois, nous trouvons à une période ultérieure un record de controverse religieuse à Antioche des rabbins et des chrétiens. 335 335 COMP. généralement Neubauer, géogr. du Talmud, p. 312, 313. Pourtant, les Juifs d’Antioche étaient strictement hellénistique, et une fois un grand rabbin a été incapable de trouver parmi eux une copie du même livre d’Esther en Hébreu, qui, par conséquent, il devait écrire de mémoire pour son usage dans leur Synagogue. Un ajustement placer cette grande frontière-ville, fréquentée par les Hellénistes, en relation étroite avec Jérusalem, le berceau du nom « Chrétien », d’envoyer un Paul sur sa mission dans le monde païen et d’obtenir pour elle une Charte de citoyenneté beaucoup plus noble que celle des laquelle l’enregistrement a été gravées sur des tablettes d’airain.

Mais, quelque privilèges Israël pourrait en profiter, l’histoire enregistre une série presque continue de tentatives, de la part des communautés parmi lesquelles ils vivaient, à les priver non seulement de leur immunité, mais aussi de leurs droits communs. Parmi les raisons de cet antagonisme, nous plaçons l’absolue contrariété entre le paganisme et la Synagogue et l’isolement social qui a rendu nécessaire le judaïsme. C’était manifestement illégale pour le juif même « tenir compagnie, ou venir à l’un d’une autre nation. » 336 336 actes x. 28. Se quereller avec cela, a été de trouver à redire avec la Loi et la religion qui fait de lui un juif. Mais par ailleurs, il n’y avait que l’orgueil de la descente, creed, lumières et privilèges nationaux, qui Saint-Paul se résume donc graphiquement comme « faire de se vanter de Dieu et de la Loi ». 337 337 COMP. Rom. ii. 17-24. Cependant différemment qu’ils pourraient l’ont exprimé, Philo et Hillel auraient été à celle de savoir la supériorité absolue du juif comme tel. Les prétentions de ce genre doivent avoir été le plus provocant, qui la populace en tout cas l’envie la prospérité dont l’industrie juive, le talent et capital garanti partout. Pourquoi cette société étroite et étranger possèdent tous les droits civiques et est encore exempt de bon nombre de ses charges ? Pourquoi les leurs réunions devraient être exemptées le « illicita diplôma ? » pourquoi ils sont les seuls puissent exporter une partie de la richesse nationale, à consacrer à leur superstition à Jérusalem ? Le juif ne pourrait pas bien feindre tout intérêt réel en ce qui a donné sa grandeur à Ephèse, il attractivité à Corinthe, son influence à Athènes. Il était prêt à profiter d’elle ; mais sa pensée intime doit avoir été mépris, et tout ce qu’il voulait c’était calme et la protection de ses propres activités. Quel intérêt s’il avait eu avec ces querelles mesquines, ambitions ou des dessins ou modèles, qui agite la populace turbulente dans ces villes grecques ? Ce qu’il se souciait pour leurs réunions populaires et les discussions bruyantes ? La reconnaissance du fait que, en tant que Juifs, ils étaient étrangers dans un pays inconnu, rendus fidèles pour le pouvoir en place et les acquis de la protection des rois et des Césars. Mais il a aussi réveillé la haine de la population.

Que tel aurait dû être le cas, et ces membres dispersées ont été réunis en un seul corps, sont un fait unique dans l’histoire. Son seul véritable explication doit être recherchée dans une impulsion Divine supérieure. Les liens qui unissaient ensemble étaient : une commune croyance, une vie, une commune centreet une commune espère.

Partout où séjourna le juif, ou toutefois il peut différer de son brethern, monothéisme, la mission Divine de Moïse et l’autorité de l’ancien Testament, ont été tout aussi à tous les articles incontestés de la croyance. Il peut bien avoir été que le juif hellénistique, vivant au milieu d’une hostilité, curieuse et la population calomnieuse, ne se souciait pas d’exposer sur sa maison et les montants de porte, à droite de l’entrée, la mezouza,338 338 Ber. iii. 3 ; Meg. i. 8 ; Moed K. iii. 4 ; Hommes. III. 7. COMP. Jos. Ant iv.8.13 ; et le tractate Mezuzah à Kirchheim, libri Septem Talmud. parvi Hierosol. p. 12-17. à laquelle était annexée la parchemin plié que, sur vingt-deux lignes, percer les mots de Deutéronome iv. 4-9 et xi. 13-21, ou d’attirer l’attention par leur ampleur à la Tephillin,339 339 St. Matt. XXIII. 5; Ber. i. 3 ; Shaab. VI. 2 ; VII. 3 ; XVI. 1 ; Cateur. x. 1, 2 ; SHEQ. III. 2 ; Meg. i. 8 ; IV. 8 ; Moed. Q. iii. 4 ; Sanh. XI. 3 ; Hommes. III. 7 ; IV. 1 ; Kel. XVIII. 8 ; Miqv. x. 3 ; Yad. III. 3. COMP. Kirchheim, Tract. Tephillin, u. s. p. 18-21. ou phylactères sur son bras gauche et le front, ou même de faire observer le Tsitsith,340 340 K. Moed iii. 4 ; Eduy. IV. 10 ; Hommes. III. 7 ; IV. 1. COMP. Kirchheim, Tract. Tsitsith, u. s. p. 22 à 24. ou franges sur les frontières de ses vêtements. 341 341 les Tephillin était jointe une transcription de l' Exode xiii. 1-10, 11-16 ; Deut vi. 4-9; XI. 13-21. Le Tsitsith étaient portés dans l’obéissance à l’injonction dans nombres xv. 37 etc.. ; Deut. xxii. 12 (COMP. St. Matt. IX. 20; XIV. 36 ; St. Mark v. 27; St. Luke viii. 44). Peut-être, en effet, toutes ces manifestations peuvent à ce moment-là pas ont été jugées incombant à chaque juif. 342 342 , il est remarquable qu’Aristée semble parler seulement des phylactères sur le bras et Philon de ceux pour la tête, tandis que la LXX. prend la commande entièrement dans un sens métaphorique. Cela a déjà été souligné dans ce livre d’apprentissage gigantesque, Spencer, De jambe. Héb. p. 1213. Frankel (Uber d. Einfl. d. Pal. Exeg., p. 89, 90) tente en vain de contredire la déclaration. L’insuffisance de ses arguments a été pleinement démontré par Herzfeld (d. Gesch. Volk. ISR. vol. iii. p. 224). En tout cas, nous ne trouvons pas de mention dans les écrivains païens. De même, ils pourraient facilement garder hors de la vue, ou qu’ils n’ont ne peut-être pas eu le confort, pour leurs purifications prescrites. Mais dans tous les lieux, car nous avons des preuves abondantes, où il y avait au moins dix Batlanim - hommes chefs de ménage qui ont eu le loisir de se donner à l’assiduité - ils avaient, depuis l’antiquité,343 343 actes xv. 21. un seul et, si possible, plusieurs Synagogues. 344 344 συναγωγͺ Jos. Ant. xix. 6. 3 ; Guerre, ii. 14. 4, 5 ; VII. 3. 3 ; Philon, Quod omnis probU liber, éd. Mangey, ii. p. 458 ; Συναγͺγιον Philon, Ad Caj. II. p. 591 ; Σαββατεͺον Jos. Ant. xvi. 66. 2 προσευκτͺριονPhilo, Vita Mosis, lib. III., ii. p. 168. Lorsqu’il n’y avait aucune Synagogue il y avait au moins un Proseuche,345 345 actes xvi. 13 346 346 προσευχͺ Jos. Ant. xiv. 10 vie 23, 54 ; Philon, dans Flacc. II. p. 523 ; Annonce Caj. II. p. 565, 596 ; Epiphan. Haer. 1xxx. 1. COMP. Juven. Sat. iii. 296 : ' Ede ubi consistas ? en tant que te quæro proseucha ?' ciel, ouvert après la forme d’un théâtre, généralement à l’extérieur de la ville, près d’une rivière ou la mer, dans un souci de lustrations. Ceux-ci, comme nous le savons par les auteurs classiques, étaient bien connus aux païens et même fréquentent par eux. Leur observance du Sabbat, leur jeûne tous les jeudis, leur jour d’expiation, de leurs lois relatives aux denrées alimentaires, et leurs pèlerinages à Jérusalem - toutes trouvées sympathisants parmi les gentils judaïsants. 347 347 COMP., entre autres, Ovide, Ars Amat. i. 76 ; Juv. Sat. xvi. 96, 97 ; Hor. Samedi i. 5. 100 ; 9. 70 ; Suet. Août 93. Ils regardaient encore pour voir, comment la lampe du Sabbat s’enflamma et les prières solennelles parlées qui marqua le début du Sabbat. 348 348 Persius c. 180. Mais pour le juif, la Synagogue était le lien d’union dans le monde entier. Là, ils ont rencontré les jours de Sabbat et fête à lire, à partir du lectionnaire même, les mêmes leçons-l’écriture libellée par leurs frères dans le monde entier, et à dire, selon les mots de la même liturgie, leurs prières communes, attraper des échos du magnifiques Temple-services à Jérusalem. Les païens doivent ont été frappés avec crainte car ils ont écoutaient et regardé dans l’obscurité de la Synagogue la lumière mystérieuse à la fin loin de rideaux, où les oracles sacrés se trouvaient avec révérence, enveloppé dans des revêtements coûteux. Ici l’étranger juif aussi se trouverait à la maison : les mêmes dispositions que dans son propre pays et les services connus et les prières. Un accueillant de bienvenue au Sabbat-repas et dans de nombreux une maison, de s’être appuyé sur lui, et aide prêt être proférées lors de travaux ou de procès.

Pour, plus profonde de toutes les condamnations était celle de leur commune centre; plus fort de tous les sentiments était l’amour qui le liait à la Palestine et à Jérusalem, la cité de Dieu, la joie de toute la terre, la gloire de son peuple d’Israël. « Si je t’oublie, Ô Jérusalem, que ma main droite oublie sa ruse ; laisser ma langue s’attacher à la toiture de ma bouche,' helléniste et orientale également réalisé ce. Comme le sol de sa terre natale, les actes de son peuple, ou les tombes de ses pères dessiner le vagabond lointain à la maison de son enfance, ou remplir l’alpiniste dans son exil avec désir irrépressible, donc les sons que le juif entendu dans sa Synagogue et les observances, dont il a gardé. N’était pas avec lui, simplement question de patriotisme, d’histoire ou d’association. C’était un principe religieux, une espérance spirituelle. Aucun vérité plus n’ancré dans la conscience de tous, que celle de Jérusalem seuls hommes pourraient vraiment adorer. 349 349 St. John iv. 20. Comme Daniel de l’ancien dans son heure d’adoration s’est tournée vers la ville sainte, donc dans la Synagogue et dans ses prières chaque juif tourné vers Jérusalem ; et tout ce qui pourrait donner à penser, faute de révérence, lors de la recherche dans ce sens, était considéré comme un péché grave. De chaque Synagogue dans la Diaspora le Temple-tribut annuel est passé à Jérusalem,350 350 COMP. Jos. Ant. xiv. 7. 2 ; XVI. 6, passium ; Philo, De Monarchia, éd. Mangey, ii. p. 224 ; Annonce Caj. II. p. 568 ; Contra Flacc. II. p. 524. sans aucun doute, souvent accompagnée de riches offrandes votives. Peu nombreux, qui pourraient entreprendre ou à s’offrir le voyage, mais devaient à un moment ou un autre disparu la ville sainte à participer à l’une des grandes fêtes. 351 351 Philo, De Monarchia, ii. p. 223. Philon, qui était détenu par le même sort comme la plus fanatique Rabbinist, avait lui-même été un de ces envois par ses concitoyens d’offrir des prières et des sacrifices dans le grand sanctuaire. 352 352 Philon, dans un fragment conservé dans Euseb., Præpar. Ev. VIII. 13. Ce que le Temple était dans l’estimation d’Israël, et que sa perte augure, pas seulement pour eux, mais pour le monde entier, sera montré dans une dernière partie de cet ouvrage. Opinions et sentiments de ce genre nous aident à comprendre, comment, sur une grande fête, comme États de Flavius Josèphe sur une autorité suffisante, la population de Jérusalem - à l’intérieur son ecclésiastique frontières - pourrait ont gonflé le nombre énorme de près de trois millions. 353 353 guerre vi. 9. 3 ; COMP. ii. 14. 3

Et pourtant, il y avait un lien encore plus fort dans leur commune espère. Que hope a fait tous, partout où épars, retour à la Palestine. Pour eux la venue du Messie implicite sans aucun doute la restauration du Royaume d’Israël et, dans une première partie dans ce document, le retour des « dispersé ». 354 354 même Maïmonide, malgré sa volonté de minimiser l’espérance messianique, admet ce. En effet, chaque juif pieux pria, jour après jour : "proclamer par ta trompette notre délivrance, relever d’une bannière de rassembler nos dispersés et nous rassembler des quatre extrémités de la terre. Béni sois-tu, Ô Seigneur ! Qui rassembles les parias de ton peuple d’Israël. » 355 355 il s’agit de la dixième des dix-huit bénédictions (ou plutôt dix-neuf) dans les prières quotidiennes. D'entre eux les premiers et les trois derniers sont certainement les plus anciennes. Mais ce dixième aussi date d’avant la destruction de Jérusalem. COMP. Zunz, Gottesd. Vortr. d. Juden, p. 368. Cette prière a inclus dans sa généralité aussi les dix tribus perdues. Ainsi, par exemple, la prophétie356 356 Osée xi. 11. a été rendue : « Ils m’empresse venez ici, comme un oiseau hors d’Égypte, » - se référant à Israël d’autrefois ; « et comme une colombe sur le terrain d’Assyrie » faisant référence aux dix tribus. 357 357 Midr. Sur apriete i. 15, éd. Varsovie, 11 p.b. 358 358 COMP. Jérémie Sanh. x. 6 ; Sanh. 110 b: Yalk. Shim. Et même ces vagabonds, si longtemps perdu, étaient donc incontournable dans le domaine du bon-pasteur. 359 359 la suggestion faite par Castelli, Il Messia, p. 253.

C’est vaut la peine pour dépister, comment universellement et chaleureusement la fois orientale et occidentale le judaïsme chérissaient cette espérance de rendement de tout Israël sur leurs propres terres. Les Targoumim porter mention répétée 360 360 notamment dans le cadre de Ex. Xii. 42 (à la fois dans le Pseudo-Jon. Et Jérémie Targum) ; Engourdi. XXIV. 7 (Jérémie Targ.) ; Deut xxx. 4 (targ. Ps.-Jon.) ; Est xiv. 29; Jérémie xxxiii. 13; Osée xiv. 7; Zacharie. x. 6. M. Drummond, dans son « Messie juif, » p. 335, cite le Targum sur Lamentations. Mais cela remonte à longtemps après la période talmudique. et bien qu’il y a question de savoir la date exacte de ces paraphrases, il ne fait aucun doute, qu’à cet égard, ils représentaient les vues de la Synagogue à l’époque de Jésus. Pour la même raison, nous pouvons recueillir du Talmud et premiers commentaires, ce qu’Israël espérait en ce qui concerne le retour de la « dispersée ». 361 361 comme chaque phrase qui suit nécessiterait une ou plusieurs références à différents ouvrages, le lecteur, qui peut être désireux de vérifier les déclarations dans le texte, est généralement désignée Castelli, u. s. p. 251-255. C’était une belle idée à assimiler Israël à l’Olivier, qui n’est jamais dépouillé de ses feuilles. 362 362 men. 53 b. La tempête du procès qui avait balayé il était, en effet, envoyée en jugement, mais ne pas de détruire, seulement pour purifier. Malgré cela, les persécutions d’Israël avaient servi pour les empêcher de devenir mélangé avec les païens. Ciel et la terre pourraient être détruits, mais pas d’Israël ; et leur délivrance finale dépasserait de loin en marvellousness que de l’Egypte. Le vent soufflerait afin de regrouper les dispersés ; non, s’il y avait un seul israélite dans une terre lointaine cependant, il serait rétabli. Avec tous les honneurs les nations ramènerait leur. Les patriarches et tous les justes seraient élèverait pour partager les joies de Patræ de la nouvelle possession de leurs terres ; nouveaux hymnes, mais aussi les "anciens" seraient élèverait à la louange de Dieu. Non, les limites de la terre s’étendrait bien au-delà de ce qu’ils avaient toujours été et faites comme large comme initialement promis à Abraham. Ne serait-ce jamais prendre possession d’eux, ni ces joies succédera jamais de douleurs. 363 363 la fiction de deux Messies - un le fils de David, l’autre le fils de Joseph, le dernier étant connecté avec la restauration des dix tribus - a été démontré de façon concluante la date post-chrétienne (COMP. Schöttgen , Horæ HE i. p. 359 ; et Wünsche, Leyde d. Mess. p. 109). Éventuellement, il a été inventé pour trouver une explication à Zach. XII. 10 (COMP. Succ. 52 a), tout comme le Socinien, doctrine de l’Assomption du Christ dans le ciel au début de son ministère a été inventé au compte pour St. John iii. 13. Au vu de ces attentes générales, nous ne pouvons marquer à quel merveilleuse sobriété les apôtres a posé la question à Jésus : « Wilt Thou en ce moment restaurer le Royaume d’Israël ? » 364 364 actes i. 6.

Espoirs et attentes telles que celles-ci s’expriment non seulement dans les écrits de Talmudical. Nous les trouvons tout au long de cette catégorie très intéressante apocalyptique de la littérature, les pseudépigraphes, celle qui a déjà été mentionnée. Les deux premiers d'entre eux, le livre d’Hénoch et les Oracles sibyllins, sont tout aussi catégoriques à ce sujet. La voyante dans le livre d’Hénoch comporte Israël à l’époque messianique à venir dans des voitures, ainsi que la charge sur les ailes du vent de l’est et ouest et du Sud. 365 365 livre de fr. ch. lvii. ; COMP. xc.33. Plus de détails de cet heureux événement sont fournis par la Sibylle juive. Dans ses déclarations, ces trois événements sont reliées entre elles : la venue du Messie, la reconstruction du Temple,366 366 B. iii. 286-294 ; COMP. B. c. 414-433. et la restauration de la dispersion,367 367 b. iii. 732-735. Quand toutes les nations porterait leur richesse à la maison de Dieu. 368 368 b. iii. 766-783. 369 369 M. Maurice Vernes (Hist. Des Idées maïtre. pp. 43-119) soutient que les écrivains d’Hénoc et ou. Sib 3 attendu cette période en vertu de la règle des Maccabées et considéré l’un d’eux comme le Messie. Elle implique une lecture particulière de l’histoire et une imagination vive, pour en arriver à une telle conclusion. Ce dernier trait nous rappelle spécialement leur origine hellénistique. Un siècle plus tard la même confiance joyeuse, seulement peut-être plus clairement formulée, apparaît dans le soi-disant « Psautier de Salomon. » Ainsi le dix-septième Psaume fait irruption dans cette souche : « Bénis sont ceux qui vivront à cette époque - la Reunion des tribus, qui Dieu amène. » 370 370 PS de sol vxii. 50 ; Comp. aussi PS. xi. Et pas étonnant, puisque ce sont les jours quand « le roi, le fils de David, »371 371 Sal PS. xviii. 23. Après avoir purgé Jérusalem372 372 v. 25. et détruit les païens par la parole de sa bouche,373 373 v. 27. serait de réunir un peuple Saint dont il règle avec la justice et juger les tribus des siens,374 374 c. 28. « en les divisant sur la terre selon les tribus ; » quand « pas étranger veut plus habiter parmi eux. » 375 375 VV. 30, 31.

Une autre pause et nous rejoindre le temps où Jésus, le Messie est apparu. Connaître les caractéristiques de cette époque, nous nous demandons tout juste que le livre des Jubilés, qui date de cette période, aurait dû être rabbinique dans son casting plutôt apocalyptique. Encore là encore la référence à la gloire future est distincte. Ainsi, nous dit-on, qui, bien que pour sa méchanceté, Israël avait été dispersé, Dieu aurait « rassembler tout à partir du milieu des païens, » « construire parmi eux son sanctuaire et habiter avec eux. » Que sanctuaire devait "être pour toujours et à jamais, Dieu apparaît aux yeux de tout le monde et tout le monde reconnaît qu’il était le Dieu d’Israël et le père de tous les enfants de Jacob et le roi sur la montagne de Sion, d’éternité en éternité. Et Sion et Jérusalem doivent être Sainte. » 376 376 livre de Jub. Ch. i. ; COMP. aussi ch. xxiii. Lorsque vous écoutez ce langage de, peut-être, un contemporain de Jésus, nous pouvons dans une certaine mesure comprendre l’indignation populaire dont une telle accusation appellerait en arrière, que l’homme de Nazareth avait proposé de détruire le Temple,377 377 St. John ii. 19. ou qu’il pensait simplement des enfants de Jacob.

Il y a une pause menaçante d’un siècle avant d’en arriver aux prochain travaux de cette classe, ce qui porte le titre de la quatrième livre d’Esdras. Ce siècle avait été décisif dans l’histoire d’Israël. Jésus a vécu et est mort ; Ses apôtres étaient sortie pour porter la bonne nouvelle du nouveau Royaume de Dieu ; l’église avait été fondée et séparée de la Synagogue ; le Temple a été détruit, dévasté de la ville sainte et souffrances d’Israël fait l’objet, comparées à celle qui les premiers troubles pourraient presque être oubliés. Mais déjà la nouvelle doctrine avait frappé ses racines profondément tant dans l’est et dans le sol hellénistique. C’était étrange, en effet si, dans de telles circonstances, ce livre n’aurait pas être différent de tout ce qui l’avait précédée ; inconnu encore, si des esprits Juifs sincères et ardent coeurs juif était restée totalement affectés par le nouvel enseignement, même si la doctrine de la Croix continua une pierre d’achoppement et l’annonce de l’Évangile un rocher d’infraction. Mais peut-être nous pourrions difficilement ont été préparés à trouver, comme dans le quatrième livre d’Esdras, des vues doctrinales qui étaient totalement étrangères au judaïsme et évidemment dérivé du Nouveau Testament, et qui, en cohérence logique, semble mener à elle. 378 378 la partie doctrinale de l’IV. Esdras peut affirmer être saturés avec le dogme du péché originel, qui est totalement étrangère à la théologie comme rabbinique et Judaïsme hellénistique. COMP. Vis. i. ch. iii. 21, 22 ; IV. 30, 38 ; Vis. III. ch. vi, 18, 19 (éd. Fritzsche, p. 607) ; 33-41 ; VII. 46-48 ; VIII. 34-35. La plus grande partie de l’ouvrage peut être décrit comme jetant agité, la voyante étant agitée par le problème et les conséquences du péché, qui, ici, pour la première et seule fois est présenté comme dans le Nouveau Testament ; par la question, pourquoi il n’y a donc peu de ceux qui est sauvés ; et surtout par ce qu’il faut un juif doit avoir semblé le mystère impénétrable, terrible, de souffrances et de bannissement. 379 379 qu'il semble presque comme si il y a un parallélisme entre ce livre et l’épître aux Romains, qui, dans sa partie dogmatique, semble successivement à relever ces trois sujets, bien que de tout autre point de vue. Comment le traitement est différente, pas besoin d’être racontée. Pourtant, autant que nous pouvons le voir, aucun autre moyen de salut n’est indiqué que celui de travaux et de justice personnelle. Tout au long de là est un ton de tristesse profonde et intense sérieux. Il semble presque parfois, comme si on entendait le vent de la nouvelle dispensation balayer devant elle les feuilles desséchées de l’automne d’Israël. Jusqu'à présent, pour la partie principale du livre. La deuxième, ou apocalyptique, partie, s’efforce de résoudre le mystère de l’Etat d’Israël en annonçant leur avenir. Ici aussi trouvent un écho des déclarations du Nouveau Testament. Ce qui doit être la fin, on nous dit dans la langue inimitable. Son « fils », dont le très-haut a longtemps préservé, pour livrer « la créature » par lui, est soudain apparaître sous la forme d’un homme. De sa bouche procède comme malheur, feu et la tempête, qui sont les tribulations des derniers jours. Et comme ils doivent rassembler pour la guerre contre lui, il se tiendra sur la montagne de Sion et la ville sainte doit descendre du ciel, prêts, et il doit détruire tous ses ennemis. Mais une multitude de paisible est désormais réunie pour lui. Ce sont les dix tribus, qui, à se séparer de la manière des païens, avait erré loin de là, miraculeusement aidé, un voyage d’un an et demi, et qui ont été maintenant de même restaurés par Dieu sur leur propre terre. Mais en ce qui concerne le « fils », ou ceux qui l’accompagnaient, nul sur terre serait en mesure de voir ou de les connaître, jusqu’au jour de son apparition. 380 380 vis. vi. ch. xiii. 27-52. 381 381 le mieux lire est ' in tempore diei ejus. (v. 52). "

Il semble tout juste nécessaire terminer la série de témoignage en se référant au détail à un livre, intitulé « The Prophecy et Assomption de Moïse, » et à ce qu’on appelle l’Apocalypse de Baruch, le serviteur du prophète Jérémie. Tous deux datent probablement une période un peu plus tard que le quatrième livre d’Esdras, et les deux sont fragmentaires. Celui prévoit distinctement le retour des dix tribus ; 382 382 prophète. et Ass. MOS. iv. 7-14 ; VII. 20. l’autre, dans la lettre aux tribus neuf ans et demi, bien au-delà de l’Euphrate,383 383 AP. barre. xxvii. 22. avec laquelle le livre se ferme, conserve un silence inquiétant sur ce point, ou plutôt fait allusion à lui dans la langue qui a si fortement nous rappelle l’avis négatif exprimé dans le Talmud, que nous ne pouvons pas aider à soupçonner un lien interne entre les deux. 384 384 dans Sanh. 110 b nous lisons, « nos rabbins enseignent, que les dix tribus n’ont aucune partie à l’époque à venir, car il est écrit « le Seigneur drave eux hors de leurs terres en colère, en colère et à la grande indignation et jetèrent dans un autre pays ». « La drave Seigneur de leurs terres » - à l’époque actuelle - « et jeter dans un autre pays, » dans l’ère à venir. » Curieux d’accord avec cela, Pseudo-Baruch écrit dans les tribus de neuf ans et demi pour « préparer leurs cœurs à celui qu’ils avaient cru auparavant, » moins ils devraient souffrir « dans les deux époques (ab utroque sœculo), » menés captifs dans celui et tourmenté dans d’autres (Apoc. barre. lxxxiii. 8).

Les écrits dont nous avons parlé ont toutes une teinte résolument hellénistique de la pensée. 385 385 ainsi, par exemple, l’affirmation qu’il y a des personnes qui ont rempli les commandements de Dieu, Vis. i. ch. iii. 36 ; le domaine de la raison, iv. 22 ; v. 9 ; générales bénédiction messianique pour le monde entier, Vis . i. ch. iv. 27, 28 ; l’idée d’une loi dans leur esprit, comme celui dont parle Saint Paul dans le cas des païens, Vis. III. ch. vi. 45-47 (éd. Fritzsche, p. 609). Ce sont uniquement des instances, et nous appelons en outre la distribution générale du raisonnement. Encore qu’ils ne sont pas le résultat de l’hellénisme pur. C’est donc avec intérêt particulier que nous nous tournons vers la Philo, le grand représentant de cette direction, pour voir si il reconnaîtrait une idée donc purement nationales et, que cela puisse paraître, exclusif. Ni nous retrouvons ici en cas de doute. Si universelle a cette croyance, si profond la conviction, non seulement dans l’esprit, mais dans le coeur d’Israël, que nous pourrions trouver guère plus distinctement, il exprime que par le grand Alexandrin. Cependant peu l’état d’Israël peut être, nous dit-il,386 386 de Execrat. éd. Frcf. p. 936, 937. ou dispersés cependant le peuple jusqu’aux extrémités de la terre, le banni serait, sur un signe donné, être libéré en une seule journée. En cohérence avec son système, il retrace cet événement merveilleux pour leur conversion soudaine à la vertu, qui rendrait leurs maîtres honte de tenir plus longtemps dans la servitude ceux qui étaient tellement mieux qu’eux. Puis, rassemblement que par une impulsion, dispersées retournerait de Hellas, depuis les terres des barbares, des îles et des continents, dirigés par une apparition Divine, surhumaine invisible aux autres et visibles seulement à eux-mêmes. À leur arrivée en Palestine met les déchets et le désert serait habité la terre aride transformé en fécondité.

Toutes nuances de différence, alors, l'on peut constater dans l’expression de ces vues, tout prévoir la délivrance d’Israël, leur restauration et future gloire prééminente et ils sont tous relient ces événements avec la venue du Messie. Il s’agissait de « la promesse » à qui, dans leur « instant service nuit et jour, les douze tribus, » cependant cruellement opprimée, espéré à venir. 387 387 actes xxvi. 7. À cette « parole prophétique » « les étrangers dispersés » dans toutes les terres seraient « en tenir compte, comme à une lampe qui brille dans un endroit sombre, » jusqu'à l’aube de la journée, et l’étoile du jour est passé en leur cœur. 388 388 2 PET. i. 19. C’est ce qui donne un sens à leur culte, leur rempli de patience dans la souffrance, séparés des nations autour et jamais fixé leurs coeurs et leurs pensées sur Jérusalem. Pour la « Jérusalem » qui dépassait était « mère » de tous. Encore un peu de temps, celui qui viendrait devrait venir et pas demeurer - et puis la bénédiction et la gloire leur serait. À tout moment la joyeuse nouvelle pourrait éclater sur eux, qu’il était venu, lorsque leur gloire allait briller en dehors d’une extrémité des cieux à l’autre. Tous les signes de son avènement venait de passer. Peut-être, en effet, le Messie pourrait être déjà là, prêt à se manifester lui-même, si peu de temps comme la voix de la repentance d’Israël appelée de sa cachette. N’importe quelle heure cette bannière peut être plantée au sommet de la montagne ; cette épée étincelante être dégainé ; que la trompette sonore. Puis plus près et encore plus proche, doit être leur connexion avec Jérusalem, alors que leur salut tirait nigh ; plus sérieux leur désir, et plus envie leur regard, jusqu'à l’aube de ce jour depuis longtemps attendu teinté le ciel de l’est avec sa luminosité.