CHAPITRE I.
LE MONDE JUIF À
L’ÉPOQUE DU CHRIST - LA DISPERSION
JUIVE À L’EST.
Parmi les moyens vers l’extérieur
par lequel la religion d’Israël a
été préservée, l’un des plus
importants a été la centralisation
et la localisation de son culte à
Jérusalem. Si pour certains les
ordonnances de l’ancien Testament
peuvent à cet égard semble étroit et
exclusif, c’est au moins douteux,
que sans une telle disposition
Monothsiem lui-même aurait pu
continuer comme une croyance ou un
culte. Compte tenu de l’état du
monde antique et des tendances
d’Israël durant les premiers stades
de leur histoire, l’isolement strict
était nécessaire afin de préserver
la religion de l’ancien Testament de
ce mélange avec des éléments
étrangers qui seraient rapidement se
sont avérées fatales à son
existence. Et si une source de ce
danger avait cessé après l’exil des
années soixante-dix en Babylonie, la
dispersion de la plus grande partie
de la nation parmi ces mœurs et
civilisation influencerait forcément
eux, rendu la continuation de cette
séparation d’aussi grande importance
comme avant. À cet égard, le
traditionalisme même eu sa mission
et son utilisation, comme une haie
autour de la Loi de rendre sa
contrefaçon ou modification
impossible.
Chaque fois
qu’un Roman, un grec ou un asiatique
pourrait se promener, il pouvait
prendre ses dieux avec lui, ou
trouver kindred de rites au sien. Il
a été bien autrement avec le juif.
Il a n'eu qu’un seul Temple, celui à
Jérusalem ; qu’un seul Dieu, lui qui
avait autrefois trônaient là entre
les chérubins, et qui était encore
roi de Zion. Ce Temple était le seul
endroit où un prêtre nommé Dieu,
pure pourrait offrir des sacrifices
acceptables, que ce soit pour le
pardon du péché, ou pour la
communion avec Dieu. Ici, dans
l’obscurité impénétrable du
sanctuaire intérieur, dont le seul
grand-prêtre pouvait entrer une fois
par an pour l’expiation plus
solennel, s’était tenu à l’arche, le
leader du peuple dans la Terre
Promise et le tabouret sur lequel le
שכינה avait reposé. Cet autel doré
est passé le nuage dans l’encens,
symbole d’Israël accepte les
prières ; ce chandelier à sept
branches jeter son indicatif
lumière, perpétuelle de la
luminosité de la présence du Pacte
de Dieu ; sur cette table, en
quelque sorte devant la face de
Jéhovah, a été mis, semaine par
semaine, « le pain du visage5
5 ,
,
« un repas sacrificiel constant dont
Israël a offert à Dieu et par lequel
Dieu à son tour alimenté son
sacerdoce choisi. Sur le grand autel
de sang-aspergé de sacrifice fumé
les quotidiennes et festives brûlé
offrandes, présentées par tout
Israël et pour tout Israël, où les
joueurs dispersés ; alors que les
tribunaux vastes du Temple ont été
rempli non seulement par les
indigènes palestiniens, mais
littéralement par « Juifs hors de
toutes les Nations sous le ciel. »
Autour de ce Temple se sont réunis
les souvenirs sacrés du passé ; à il
s’accrochait à l’espoir encore plus
lumineux de l’avenir. L’histoire
d’Israël et toutes leurs
perspectives sont inextricablement
liées à leur religion ; alors qu’on
peut dire que sans leur religion
qu’ils n’avaient aucun antécédent et
sans leur histoire aucune religion.
Ainsi, histoire, patriotisme, la
religion et espoir aussi bien fait à
Jérusalem et le Temple comme le
centre de l’unité d’Israël.
Il ne
pourrait l’état dépressif de la
nation modifier leurs points de vue
ou ébranler leur confiance. Ce qui
importait, elle, que la Idumæan,
Hérode, avait usurpé le trône de
David, attendez donc sa propre
culpabilité et leur soumission
présente concernait les ? Israël
avait traversé les eaux plus
profondes et se tenait triomphant
sur l’autre rive. Pour siècles
apparemment désespérée serfs en
Egypte, ils n’avaient pas seulement
été livrés, mais avaient soulevé la
matin-chanson inspirée par Dieu du
Jubilé, car ils ont regardé en
arrière le bord de la mer une fente
pour eux, et qui avaient enterré
leurs oppresseurs dans leur force et
leur fierté. Encore une fois, pour
lasses années leurs prisonniers
avaient pendu harpes de Sion par les
rivières de cette ville et l’empire
dont grandeur colossale, partout où
ils se sont tournés, doit ont
procédé aux étrangers dispersés le
sentiment de désolation de désespoir
absolu. Et pourtant, que l’empire
avait émietté en poussière, en
Israël avait encore pris racine et
surgi. Et maintenant rien de plus
qu’un siècle et demi se sont
écoulés, depuis un danger plus grand
encore qu’une d'entre elles avait
menacé la foi et l’existence même
d’Israël. Dans sa folie d’audace, le
roi de Syrie, Antiochus IV.
(Epiphane) avait interdit leur
religion, a cherché à détruire leurs
livres sacrés, avec une férocité
impitoyable forcée sur leur
conformité aux rites païens, profané
le Temple en dédiant à Zeus
Olympios, ce qui est traduit par
« pains de proposition. » une
constante sacrificielle et même
élevé un autel païen sur celle de
l’Holocauste.
6
6
Pire que
tout, ses méchants projets avaient
été favorisés par l’apostat deux
grands-prêtres, qui avait outvied
uns des autres dans l’achat et
ensuite prostituer l’office sacré de
Dieu oint.
7
7
Pourtant,
loin de là dans la montagne
d’Éphraïm,8
8
Dieu avait
soulevé, pour eux, la plupart aide
inattendue et improbable. Seulement
trois ans plus tard et, après une
série de brillantes victoires par
hommes indisciplinés sur la fleur de
l’armée syrienne, Judas le Maccabee,
vraiment Dieu marteau9
9
a purifié le
Temple et restauré son autel sur le
même jour10
10
sur lequel le
« abomination de la désolation »11
11
avait été
mis en place à sa place. Dans toute
leur histoire l’heure la plus sombre
de leur nuit avait déjà précédé
l’aube d’un matin plus lumineux que
ceux qui avaient encore cassé. C’est
ainsi que d’une seule voix tous
leurs prophètes avaient invités leur
attente et l’espoir. Leurs dires
étaient remplies plus considéré le
passé. Ils deviendraient pas
également vrais en ce qui concerne
cet avenir beaucoup plus glorieux
pour Sion et pour Israël, qui devait
être inaugurée par la venue du
Messie ?
Ni n’avons
tels les sentiments des Juifs
Palestiniens. En effet, ce sont
maintenant une minorité. La majorité
de la nation constitue ce qu’on
appelait la dispersion ; un terme
qui, cependant, n’est plus exprimé
son sens originel de bannissement
par le jugement de Dieu,12
12
absence de
Palestine étant maintenant
entièrement volontaire. Mais la
souffrance est d’autant plus qu’il
fait référence pas à l’extérieur,13
13
son
utilisation continue ne mentionnait
un profond sentiment de tristesse
religieux, de l’isolement social et
politique strangership14
14
au milieu
d’un monde païen. Pour bien que,
comme Josephus a rappelé à ses
compatriotes,15
15
Il n’y avait
"aucune nation au monde qui n'avait
pas parmi eux une partie du peuple
juif," puisqu’il a été « largement
disséminée sur tout le monde parmi
ses habitants, »16
16
Pourtant, ils
avaient trouvé nulle part une vraie
maison. Un siècle et demi avant
notre ère nous vient d’Egypte17
17
-où les Juifs
possédaient des privilèges
exceptionnels - ostensiblement des
païens, mais vraiment de la juive18
18
Sibylle,
cette lamentation d’Israël-
Encombrement avec ton numéros de
chaque océan et le pays-
Encore une
offense à tout autour de ta présence
et de la douane !
19
19
Soixante
ans plus tard le géographe grec et
l’historien Strabon témoigne le
similaire de leur présence dans tous
les pays, mais dans le langage que
montre comment vrai avait été la
plainte de la Sibylle.
20
20
Les raisons
de cet état de by-and-by volonté
sentiment apparaissent. Qu’il
suffise pour l’instant que, tout
inconsciemment, Philon raconte son
sol plus profond et celle de la
solitude d’Israël dans le monde
païen, en parlant, comme les autres,
de ses compatriotes comme dans
« toutes les villes de l’Europe,
dans les provinces de l’Asie et dans
les îles ,' il les décrit comme,
partout où il séjourne, ayant mais
une métropole - pas, Alexandrie,
Antioche ou Rome - mais « la ville
sainte avec son Temple, dédié au
Dieu très-haut. »
21
21
Une nation, la
grande majorité a été dispersée sur
la terre entière habitée, avait
cessé d’être un extraordinaire et
devenir une nation mondiale.
22
22
Pourtant son cœur battre dans
Jerasulem, et là, la pierre
angulaire reversée à ses membres
plus éloignés. Et ce, en effet, si
nous le comprenons à juste titre,
fut le grand objet de la
« dispersion juive » dans le monde
entier.
Ce qui a
été dit s’applique, peut-être, d’une
manière spéciale, à l'
Ouest, plutôt qu’à l'
orientale « dispersion ». La
connexion de ces derniers avec la
Palestine était tellement proche que
presque de sembler une continuité.
Dans le récit de la rencontre
véritablement représentatif à
Jérusalem sur que jamais mémorable
fête des semaines,23
23
la division
de la « dispersion » en deux
sections grande - orientaux ou Trans-Euphratic
et le Western ou helleniste - semble
clairement marquée.
24
24
Dans cet
arrangement précédent inclurait
« les Parthes, Mèdes, Élamites et
habitants en Mésopotamie, » Judée
permanent, pour ainsi dire, au
milieu, tandis que « la Bretes et
Arabians » représenterait
généralement les plus éloignés
outrunners respectivement de l’ouest
et la Diaspora orientale. Le premier
cas, comme nous le savons depuis le
Nouveau Testament, couramment porté
en Palestine le nom de la
« dispersion des Grecs, »25
25
et de
« Hellénistes » ou « Grecs ».
26
26
En revanche,
les Juifs de Trans-Euphratic, qui
« habité Babylone et beaucoup
d’autres les satrapies, »27
27
ont
été inclus avec les Palestiniens et
les Syriens sous le terme
« Hébreux », de la langue commune
dont ils parlaient.
Mais la
différence entre les « Grecs » et
« Hébreux » était beaucoup plus loin
que simplement de la langue et
étendu à l’entière direction de
pensée. Il y avait des influences
mentales à le œuvre dans le monde
grec, d'où, dans la nature des
choses, il était impossible même
pour les Juifs de se retirer, et
qui, en effet, étaient aussi
nécessaires à l’accomplissement de
leur mission comme leur isolement du
paganisme et leur connexion avec
Jérusalem. En même temps que c’est
tout naturellement que les
Hellénistes, placés comme ils
étaient au milieu de ces éléments
hostiles, veuille intensément être
juifs, égal à leurs frères de l’est.
En revanche, pharisaïsme, dans son
orgueil de pureté morale et de la
possession des traditions maori,
avec tout ce qu’il en cause, n’a pas
caché son mépris pour les
Hellénistes et déclare ouvertement
la Grecian bien inférieure à la
Babylone « dispersion ».
28
28
Que ces
sentiments et les soupçons qui
qu’elles engendraient, avaient
frappé profondément dans l’esprit
populaire, apparaît dans le fait,
que même dans l’église apostolique
et que, dans ses premiers jours,
différends pourraient éclater entre
les Hellénistes et Hébreux,
découlant de soupçonné de relations
peu amènes et injustes fondée sur
ces préjugés sectionnelles.
29
29
Loin des
autres était l’estimation dans
laquelle les Babyloniens étaient
détenues par les dirigeants du
judaïsme. En effet, selon un point
de vue de l’il, Babylonia, ainsi que
le terme « Syrie » dans le grand
Nord comme Antioche, était considéré
comme faisant partie de la terre
d’Israël.
30
30
Tous les
autres pays était considéré comme en
dehors de « la terre », comme la
Palestine a été appelé, witht
l’exception de Babylonie, qui a été
estimé dans le cadre de celui-ci.
31
31
Syrie et en
Mésopotamie, vers l’est vers les
rives du tigre, étaient censées
avoir été dans le territoire qui
avait conquis le roi David et ce
fait idéalement pour toujours comme
la terre d’Israël. Mais c’était
juste entre l’Euphrate et le tigre
que les colonies plus importantes et
les plus riches des Juifs ont été, à
tel point qu’un écrivain plus tard
eux désigné en fait « la terre
d’Israël. » Ici, Nehardaa,
sur le Nahar Malka,
ou le canal royal, qui passe de
l’Euphrate au tigre, était la plus
ancienne colonie juive. Il se
vantait d’une Synagogue, a dire
avoir été construit par le roi
Jechoniah avec des pierres qui
avaient été apportées du Temple.
32
32
Dans
cette ville fortifiée les vastes
contributions destinées à être le
Temple ont été déposées par les
Juifs de l’est et là, ayant été
transmises vers leur destination
sous escorte de milliers d’hommes
armés. Un autre de ces villes-Trésor
Juifs était Nisibis, dans le nord de
la Mésopotamie. Même le fait que la
richesse, qui doit avoir tenté
cruellement la cupidité des païens,
pourrait être en toute sécurité
stockée dans ces villes et
transportée en Palestine, montre
comment grand la population juive a
dû, et comment beaucoup influencer
leur général.
En général,
c’est la plus grande importance à
retenir en ce qui concerne cette
dispersion orientale, que seule une
minorité des Juifs, composé au total
d’environ 50 000, retourné à
l’origine de Babylone, d’abord sous
Zorobabel et par la suite sous
Esdras.
33
33
Ni leur infériorité
se limitait à un nombre. Les plus
riches et les plus influents des
Juifs sont restés derrière. Selon
Flavius Josèphe,34
34
avec qui
accepte sensiblement Philon, un
grand nombre, estimé à plusieurs
millions, peuplé les provinces de
Trans-Euphratic. À juger par le
nombre de ceux tués dans les
soulèvements populaires (50 000 à
Séleucie seul35
35
), ces
chiffres ne semblent pas grandement
exagérées. Une tradition plus tard
eu, était si dense que la population
juive dans l’Empire perse, que Cyrus
a interdit le plus retour des
exilés, peur que le pays devrait
être dépeuplé.
36
36
Tellement grand et
compact un corps est rapidement
devenu un pouvoir politique.
Aimablement traitée sous la
monarchie persane, ils ont été,
après la chute de cet empire,37
37
favorisée par les
successeurs d’Alexandre. Quand à son
tour la règle de Macedono-syrienne
donna lieu à l’Empire parthe,38
38
les Juifs forment,
de leur opposition nationale à Rome,
un élément important de l’est. Tel
était leur influence qui, plus tard
en l' an 40
a.d., le légat romain a
rétréci de provoquer leur hostilité.
39
39
En même temps
il ne doit pas penser que, même dans
ces régions favorisées, ils étaient
complètement sans persécution. Ici,
l’histoire enregistre également plus
d’une histoire de conflits sanglants
la part de ceux chez qui ils
habitaient.
40
40
Pour les
Palestiniens, leurs frères de l’est
et de la Syrie - à qui ils avaient
erré en vertu de la règle favoriser
des rois Macedono-syrienne (le
Seleucidæ) - étaient en effet avant
tout la Golah, ou
« dispersion ». Pour eux le
sanhédrin de Jérusalem intimidé par
feu-signaux de haute montagne au
sommet de montagne au début de
chaque mois pour le règlement du
calendrier festif,41
41
même si ils
expédiés ensuite messagers en Syrie
dans le même but.
42
42
À certains
égards la dispersion orientale a été
placée sur un pied d’égalité ; dans
d’autres, sur même un niveau
supérieur à celui de la mère patrie.
Dîmes et prémices à l’état prêt,43
ou Terumoth
43
attendus
entre eux, tandis que le
Bikkurimou prémices à l’état
frais, devaient être portées de la
Syrie à Jérusalem. Contrairement aux
pays païens, dont poussière très
souillé, le sol de la Syrie a été
déclaré propre, comme celui de
Palestine lui-même.
44
44
Pour ce qui
est pureté d’origine était, les
Babyloniens, en effet, se
considèrent comme supérieurs à leurs
frères palestiniens. Ils l’avaient,
que lorsque Ezra a pris avec lui
ceux qui sont allés en Palestine, il
avait quitté la terre derrière lui
aussi purs que la fleur de farine.
45
45
Pour
l’exprimer dans leur propre mode :
en ce qui concerne la pureté
généalogique de leurs habitants
juifs, tous les autres pays ont été,
par rapport à la Palestine, comme la
pâte mélangée avec du levain ; mais
la Palestine lui-même était telle
aux côtés de Babylonie.
46
46
Il a été
maintenu même, que les limites
exactes peuvent être retracées dans
un quartier, au sein duquel la
population juive avait lui-même
conservé non mélangés. Grand mérite
était à cet égard également attribué
à Esdras. Dans le mode habituel
d’exagération, affirmait-on, que, si
toutes les études et recherches
généalogiques47
47
avait été mis
en place, ils se seraient élevé à
plusieurs centaines de
chameau-charges. Il y avait,
cependant, au moins cette fondation
en vérité, qu’ont été remis au
travail et beaucoup de soin sur la
préservation de documents complètes
et précises afin d’établir la pureté
d’origine. Quelle importance
attachée à elle, nous savons par
l’action sur Ezra48
48
à cet égard et du
stress que Josephus fixe sur ce
point.
49
49
Documents officiels
d’origine comme étant considérée la
prêtrise étaient conservés dans le
Temple. En outre, les autorités
juives semblent posséder un registre
officiel général, Hérode a ensuite
ordonné à brûler, pour des raisons
qui n’est pas difficile d’en
déduire. Mais depuis ce jour, se
lamente un rabbin, la gloire des
Juifs a diminué !
50
50
N’était pas
simplement la pureté d’origine de
qui pouvait se vanter la dispersion
de l’est. En vérité, Palestine
devait tout à Esdras, le babylonien,51
51
un homme si
distingué qui, selon la tradition,
la loi aurait été donnée par lui, si
Moïse n’avait pas précédemment
obtenu cet honneur. Mettant de côté
les diverses ordonnances
traditionnelles qui le Talmud
attribue à lui,52
52
Nous savons, par les
écritures, ce qui avait été son
activité pour de bon. Nouvelle
situation avait apporté de nombreux
changements au nouvel État juif.
Même la langue, orale et écrite,
n’était autre que précédemment.
Plutôt que les caractères utilisés
anciennement, les exilés ont apporté
avec eux, à leur retour, ceux
désormais commun, ce qu’on appelle
lettres hébraïques carré, qui est
entré progressivement en usage
général.
53
53
54
54
La langue
parlée par les Juifs n’était plus
hébraïque, mais Aramæan, tant en
Palestine qu’en Babylonie ;
55
55
dans l’ancien
l’Ouest, dans le second cas le
dialecte oriental. En fait, les gens
du commun étaient ignorants de
l’hébreu pure, qui est désormais
devenu la langue des élèves et de la
Synagogue. Là encore, un
Methurgeman, ou un interprète,
devait servir à traduire dans la
langue vernaculaire, que les parties
de l’écriture sont dans les services
publics,56
56
et les
allocutions prononcées par les
rabbins. Ce fut l’origine de la
soi-disant Targoumim,
ou paraphrases de l’écriture. Dans
les temps les plus reculés, en
effet, il était interdit du
Methurgeman pour sa traduction de
lire ou d’écrire un Targoum, peur
que la paraphrase sont à considérer
à partir d’une autorité égale à
l’original. Il a été dit que,
lorsque Jonathan sortit son Targoum
sur les prophètes, on entendit une
voix venant des cieux pour
prononcer : « Qui est ce qu’a révélé
mes secrets aux hommes ? »
57
57
Pourtant,
ces Targoumim
semblent avoir existé depuis une
période très tôt, et, au milieu les
rendus souvent incorrectes et
variables, leur nécessité doit avoir
fait lui-même plus en plus sentir.
Par conséquent, leur utilisation a
été péremptoirement sanctionnée
avant la fin du deuxième siècle
après Jésus Christ. Il s’agit de
l’origine de nos deux existants plus
anciens Targoumim:
celle d’Onkelos (comme on
l’appelle), sur le Pentateuque ; et
que sur les prophètes, attribué à
Jonathan, le fils d’Uziel. En effet,
ces noms ne représentent pas, avec
précision la paternité de la plus
ancienne Targoumim, plus
correctement considérées comme
recensions plus tard et faisant
autoritées de ce qui, dans une
certaine forme, avaient existé
avant. Mais bien que ces travaux ont
eu leur origine en Palestine, il est
à noter que, sous la forme dans
laquelle à l’heure actuelle, nous
possédons les, ils sont le résultat
des écoles de Babylone.
Mais la
Palestine doit, si possible, une
dette encore plus grande à Babylone.
Les nouvelles circonstances dans
lesquelles les Juifs ont été placés
à leur retour semblaient rendre
nécessaire une adaptation de la Loi
de Moïse, si pas de nouvelle
législation. En outre, la piété et
le zèle maintenant attaché eux-mêmes
à l’observance vers l’extérieur et
l’étude de la lettre de la Loi.
C’est l’origine de la
Mishnah, ou la deuxième loi, qui
visait à expliquer et à compléter la
première. C’est là la seul juive
dogmatique, au sens véritable, dans
l’étude dont la sauge, le rabbin,
érudit, scribe et Darshan,58
58
ont été
engagés. Le résultat de celui-ci a
été le Midrash, ou
enquête, un terme qui a été ensuite
communément appliquée aux
commentaires sur les écritures et
prédication. Dès le départ, la
théologie juive divisé en deux
branches : la halakha
et la Haggadah. Le
premier (à partir de
halakh, d’aller) était, pour
ainsi dire, la règle du chemin
spirituel, et, lors de la fixation,
avait encore plus d’autorité que les
écritures de l’ancien Testament,
puisqu’il a expliqué et appliqué
ces. En revanche, la
Haggadah59
59
(à partir de
nagad, à dire) a été
seulement le dicton personnels de
l’enseignant, plus ou moins utile
selon son apprentissage et
popularité ou les autorités dont il
pouvait citer en sa faveur.
Contrairement à la
halakha, la Haggadah
n’avait aucun pouvoir absolu, soit
quant à la pratique de la doctrine,
ou une exégèse. Mais le plus élevé
serait son influence populaire,60
60
d’autant
plus dangereux le doctrinal de
licence qui lui a permis. En fait,
étrange que cela puisse paraître,
presque tous l’enseignement
doctrinal de la Synagogue doit être
dérivé de la Haggadah - et c’est
aussi caractéristique du
traditionalisme juif. Mais, tant
dans la Halakha et Haggada, la
Palestine était l’obligation
profonde de Babylonie. Pour le père
de halakhique étude était Hillel, le
babylonien, et parmi les aggadistes
populaires il n’est pas un nom plus
connu que celui d’Eléazar le mède,
qui a prospéré dans le premier
siècle de notre ère.
Après cela,
il semble presque inactif pour
s’enquérir si, durant la première
période après le retour des exilés
de Babylone, il y avait des
académies théologiques régulières à
Babylone. Même si, bien sûr, il est
impossible de fournir la preuve
historique, on peut craindre en
douter qu’une communauté si grande
et si intensément l’hébreu
n’auraient pas été indifférent à
cette étude, qui a constitué la
pensée principale et l’engagement de
leurs frères en Palestine. Nous
comprenons cela, puisque le grand
Sanhédrin en Palestine exercé
suprême autorité spirituelle, et à
cet capacité ultimement réglé toutes
les questions religieuses - au moins
pour une fois - l’étude et la
discussion de ces sujets aurait
également dû être principalement
exploitée dans les écoles de la
Palestine ; et que même la grande
Hillel lui-même, quand encore un
étudiant pauvre et inconnu, doit ont
erré là pour acquérir
l’apprentissage et l’autorité qui, à
cette époque, il ne pouvait pas se
mettre dans son propre pays. Mais
même cette circonstance implique,
que ces études étaient au moins à
bord et a encouragé en Babylonie.
Comment rapidement peu de temps
après l’administration des écoles
babyloniennes augmenté, jusqu'à ce
qu’ils ont non seulement éclipsé
ceux de Palestine, mais finalement
hérité de leurs prérogatives, c’est
bien connue. Toutefois, dès lors,
les Palestiniens dans leur orgueil
ou la jalousie peut sneer,61
61
que les Babyloniens
ont été stupides, fier et pauvres
(« ils mangeaient pain sur
farine »),62
62
même ils ont
dû reconnaître que, « lorsque la loi
était tombé dans l’oubli, elle fut
restaurée par Ezra de Babylone ;
quand il a été une seconde fois
oubliée, Hillel le MEAC babylonien
et recouvrés et quand encore une
troisième fois il est tombé dans
l’oubli, rabbin Chija proviennent de
Babylone et lui a donné le dos une
fois de plus. »
63
63
C’est alors
cette dispersion hébreu qui, dès le
début, constitue vraiment la majeure
partie et la force de la nation
juive, et qui a été également son
avenir religieux de mentir. Car
c’est un de ces faits étrangement
significatifs, presque symboliques,
dans l’histoire, qui, après la
destruction de Jérusalem la
suprématie spirituelle de la
Palestine, passé à Babylone, et que
le judaïsme rabbinique, sous la
pression de l’adversité politique,
volontairement lui-même transféré
aux sièges de dispersion des
ancienne d’Israël, comme si à
ratifier par sa propre loi, ce que
le jugement de Dieu avait auparavant
exécuté. Mais bien avant cette
époque le babylonien de
« dispersion » avait déjà étendu ses
mains dans toutes les directions.
Plus au nord, il s’était répandue à
travers l’Arménie, le Caucase et sur
les rives de la mer Noire et à
travers les médias à ceux de la mer
Caspienne. Vers le sud, il a étendu
dans le golfe Persique et à travers
la vaste étendue de Arabia, Arabia
Felix et la terre des Homerites
peuvent ont reçu leurs premières
colonies juives de la rive opposée
de l’Éthiopie. Il avait passé dans
la mesure où l’Inde à l’est.
64
64
Partout nous
avons des avis distincts de ces
vagabonds, et partout, ils
apparaissent comme des liens les
plus étroits avec la hiérarchie
rabbinique de la Palestine. Ainsi le
Mishnah, dans une section
extrêmement curieux,65
65
nous dit comment aux
Sabbats les juives d’Arabie pourrait
porter leur voile long et ceux de
l’Inde le foulard autour de la tête,
coutumière dans ces pays, sans
encourir de la culpabilité de
profaner le jour Saint d’inutilement
transportant ce qui, aux yeux de la
Loi , serait un fardeau ;
66
66
alors que
dans la rubrique pour le jour des
Expiations, nous avons, il a noté
que la robe que le grand-prêtre
portait « entre les soirs » du grand
jeûne - ce qui est, comme
l’après-midi assombri en soirée - a
été des plus coûteuses trucs
« Indienne ».
67
67
Que parmi
cette vaste communauté il aurait dû
être la pauvreté, et qu’en même
temps, comme les Palestiniens
ricana, apprentissage peut-être
avoir été laissé pour le pin en
veulent, nous pouvons facilement
croire. Car, comme l’un des rabbins
qu’il avait dans l’explication du
Deutéronome xxx. 13: « la
sagesse n’est pas « beyond the sea »
- autrement dit, il ne sera pas
trouvée chez les commerçants ou
commerçants, »68
68
dont l’esprit doit
être absorbé par le gain. Et c’est
le commerce qui achetés aux
Babyloniens, leur richesse et leur
influence, bien que l’agriculture
n’est pas négligée. Leurs caravanes
- de chameau dont les pilotes, par
ailleurs, pas très flatteur est
rendu compte69
69
-porté les
riches tapis et tisse des étoffes de
l’Orient, ainsi que ses précieuses
épices, à l’Ouest : généralement par
le biais de la Palestine aux ports
Phéniciens, où une flotte de navires
marchands appartenant aux banquiers
juifs et expéditeurs était prête à
les transmettre à tous les
trimestres du monde. Ces princes
marchands étaient vivement conscient
de tous les passants, non seulement
dans le financier, mais dans le
monde politique. Nous savons qu’ils
étaient en possession de secrets
d’Etat et chargée d’assurer les
subtilités de la diplomatie.
Pourtant, quelle que soit sa
condition, cette orientale
Communauté juive a été intensément
hébreu. Seulement huit jours de
marche - bien que, selon les idées
occidentales de Philo de celui-ci,
par une route difficile70
70
-séparait de
Palestine ; et chaque pulsation Il
vibrait en Babylonie. C’est dans la
partie plus éloignée de cette
colonie, dans les plaines de
l’Arabie, que Saul de Tarse a passé
ces trois ans de pensée silencieuse
et inconnu du travail, qui a précédé
sa réapparition à Jérusalem, lors de
la combustion nostalgie du travail
parmi ses frères , enflammée par le
séjour prolongé chez ces Hébreux des
Hébreux, il a été dirigé à cette
œuvre étrange qui a été la mission
de sa vie.
71
71
Et c’est parmi la
communauté de même que Peter a écrit
et a travaillé beaucoup,72
72
au milieu des
découragements dont nous pouvons
former une conception de l’orgueil
triste de Nehardaa, que jusqu'à la
fin du IIIe siècle elle n'avait pas
comptait parmi ses membres un
converti au christianisme.
73
73
En ce qui a été dit,
aucun avis n’a été prise de ces
vagabonds des dix tribus, dont les
traces sans voie ferrée semblent
aussi mystérieux que leur sort après
la cessation. Les talmudistes nommez
quatre pays comme leurs sièges.
Mais, même si nous devions joindre
historique foi à leurs déclarations
vagues, au moins deux de ces
localités ne peut avec certitude
être identifié.
74
74
Seulement
jusqu'à présent tous d’accord quant
à nous orienter vers le Nord, à
travers l’Inde, l’Arménie, les
montagnes kurdes et le Caucase. Et
avec cette concordance entre la
référence curieuse en ce qu’on
appelle IV. Esdras, qui les localise
dans une terre appelée Arzareth,
terme qui a, avec une certaine
probabilité, été identifié avec la
terre d’Ararat.
75
75
Josèphe76
76
décrit comme
une multitude d’innombrables et
vaguement les localise au-delà de
l’Euphrate. La Mishna est muette
quant à leurs sièges, mais traite de
leur future restauration ; Rabbi
Akiba nier et Rabbi Eliezer il
anticiper.
77
77
78
78
Une autre
tradition juive79
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les localise
par la légendaire rivière Sabbatyon,
qui devait pour cesser ses flux sur
le Sabbat hebdomadaire. Ceci, bien
sûr, est une reconnaissance
implicite de l’ignorance de leurs
sièges. De même, le Talmud80
80
parle de
trois localités où ils avaient été
bannis : le quartier autour de la
rivière Sabbatyon ; Daphné, près
d’Antioche ; tandis que le troisième
a été éclipsé et caché par un nuage.
Plus tard
Juifs avis connecter la découverte
finale et le retour des « tribus
perdues » avec leur conversion en
vertu de ce second Messie qui, par
opposition aux « fils de David » est
de style « le fils de Joseph, » à
qui la tradition juive attribue ce
qu’il ne peut pas réconcilier avec
la dignité royale de « le fils de
David » et qui, si appliqué à lui,
entraînerait presque inévitablement
vers le haut les concessions plus
larges dans l’argument chrétien.
81
81
En ce qui
concerne les dix tribus, il n’y a
cette vérité qui sous-tend
l’hypothèse étrange, qui, comme leur
apostasie persistante du Dieu
d’Israël et son culte avait leur
couper son peuple, pour
l’accomplissement de la volonté
Divine promet d’eux dans les
derniers jours impliquerait , en
quelque sorte, une seconde naissance
pour les rendre une fois de plus
Israël. Au-delà de cela, nous
voyageons principalement dans la
région de la conjecture. Les
enquêtes modernes ont fait ressortir
les nestoriens,82
82
et plus récemment
avec presque une preuve convaincante
(jusqu’ici comme tel est possible)
pour les Afghans, comme les
descendants des tribus perdues.
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83
Ce mélange avec et
déchéance dans, Gentile nationalités
semble avoir été avant l’esprit de
ces rabbins qui a ordonné que, si à
l’heure actuelle un non-juif mariés
une juive, une telle union devait
être respecté, car l’étranger
pourrait être les descendants des
dix tribus.
84
84
En outre, il
y a lieu de croire que partie
d'entre eux, au moins, avait
fusionné avec leurs frères de l’exil
plus tard ;
85
85
alors que
nous savons que les individus qui
s’étaient installés en Palestine et,
vraisemblablement, d’ailleurs, ont
pu à la descente de trace d’eux.
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La
grande masse des dix tribus était
encore à l’époque du Christ, comme
dans le nôtre, perdu à la nation
hébraïque.