ANNEXE IX.

LA LISTE DE L’ANCIEN TESTAMENT PASSAGES MESSIANIQUES APPLIQUÉS DANS LES ANCIENS ÉCRITS RABBINIQUES

(Vol. i. livre II. ch. v.)

LA liste suivante contient les passages dans l’ancien Testament appliqué au Messie ou aux temps messianiques dans les plus anciens écrits juifs. Ils s’élèvent au total à 456, ainsi réparties : 75 du Pentateuque, 243 des prophètes et 138 de la Hagiorgrapha et soutenu par plus de 558 citations distinctes des écrits rabbiniques. Malgré tous les soins du travail, on peut difficilement espérer que la liste est assez complète, bien que, nous l’espérons, n’important passage a été omis. Les références rabbiniques pourraient ont considérablement augmentés, mais il semble inutile de citer la même demande d’un passage dans beaucoup de différents livres. De même, dans un souci de l’espace, seulement les plus importantes citations rabbiniques ont été traduits in extenso dans sa. Les travaux rabbiniques, d'où les citations ont été apportées sont : les Targoumim, les deux Talmudset les Midrashim plus anciens, mais ni le Zohar (comme la date de sa composition est contestée), ni aucun autre Travail kabbalistique, ni encore les Midrashim plus jeunes, ni, bien sûr, les écrits des rabbins plus tard. J’ai, cependant, fréquemment cité l’ouvrage bien connu Yalkut, parce que, malgré la date relativement tardive, c’est vraiment, comme son nom l’indique, une collection et les écrits et sélection de plus de cinquante ancienne et présente des passages maintenant pas autrement accessible pour nous. Et j’ai ai moi-même bénéficié plus facilement, que j’ai été forcé à contrecœur à la conclusion que même les Midrashim préservée nous ont occasionnellement été trafiqué à des fins controversées. J’ai cité la meilleure édition de Yalkut (Francfort a. M., 1687), mais dans le cas des autres Midrashim, j’ai été obligé de me contenter de ces réimpressions plus récentes que j’ai possédé, au lieu des éditions anciennes et plus chers. En citant les Midrashim, non seulement la parasha, mais surtout aussi le folio, la page et souvent même les lignes sont désignés. Enfin, il ne reste qu’à reconnaître en général que, autant que possible, j’ai moi-même bénéficié du labeur de mes prédécesseurs - spécialement de ceux de Schöttgen. Pourtant, malgré tout, je peux, dans un sens, réclamer ces références aussi comme le résultat de mes propres travaux, puisque je n'ai pas moi-même bénéficié des citations sans comparaison avec les œuvres dont ils ont été présentés - un processus dans lequel pas quelques passages cités devait être rejetée. Et si n’importe quel étudiant devrait arriver à une conclusion différente de la mienne en ce qui concerne tout les passages ci-après cités, je peux lui assurer au moins que mine sont le résultat de l’étude plus attentive et sincère, que je pourrais donner à l’examen de chaque passage. Avec ces remarques préliminaires, j’ai procéder pour donner la liste des anciens passages Testament Messianiquement appliqués dans les anciens écrits rabbiniques.

 

Dans Gen. i. 2, l’expression « Esprit de Dieu, » s’explique du « l’esprit du roi Messie, » se référant à l’est. XI. 2 et le « mouvement sur le visage de l’abîme » de « repentance » selon Lam. II. 19. Ainsi, dans le Ber. R. 2 et en ce qui concerne le premier point aussi en Ber. R. 8, dans Vayyik. R. 14 et dans d’autres endroits.

GEN ii. 4 : « Ce sont les générations - {hébreu} - des cieux et de la terre, » prises dans le cadre de la Genèse iii. 15 et Ruth iv. 18. nous relevons parmi les plus curieux interperations messianiques en Ber. R. 12 (éd. Warsh. p. 24 b). Il est à noter que les mot « générations futures » ({hébreu}) est toujours écrit dans la Bible sans l’hébreu {} qui est l’équivalent pour le chiffre 6, sauf dans Genèse ii. 4 et Ruth iv. 18. Pour indiquer que, à la suite de Genèse ii. 4 l’automne a eu lieu, dans lequel Adam a perdu {hébreu} - six - choses : son éclat glorieux (Job xiv. 20) ; vie (Genèse iii. 19)) ; sa stature (Genèse iii. 8 - soit par 100, 200, 300 ou même par 900 coudées) ; le fruit de la terre ; les fruits des arbres (Genèse iii. 17) ; et les lumières célestes. Nous avons vu maintenant pourquoi dans Genèse ii. 4 - avant l’automne - l’hébreu {} est encore en {Hébreu}, car à cette époque, ces six choses n’étaient pas encore perdues. Mais l’hébreu {} réapparaît dans le mot {hébreu} dans Ruth iv. 18, parce que ces six choses doivent être rstored à l’homme par « le fils de Pérets » - ou le Messie (COMP. pour chacune de ces six choses : JG v. 31 b; Ésaïe lxviii. 22; Lévitique xxvi. 13; Zacharie. VIII. 12; C’est xxx. 26). Il est ajouté que, bien que - selon le rendu littéral du Psaume xlix. 12 (en Hébreux ver. 13) - l’homme n’est pas resté non déchus en une seule nuit, mais, par souci du jour du Sabbat, les lumières des bateaux ne étaient pas éteints jusqu'à après la clôture du Sabbat. Quand Adam vit le darknes, il est ajouté, il avait très peur, disant : il peut-être, dont il est écrit : « il écrasera ta tête, et tu seras meurtrir son talon, » vient pour molester et m’attaquer, et il dit : « Sûrement l’obscurité couvre moi. » Cet extrait de courious au moins montré dans quel contexte la Synagogue appliqué GEN iii. 15. Le même se produit essentiellement dans Shem. R. 30.

Gen iii. 15. ce passage connu est paraphrasé, avec mention expresse au Messie, dans le Targum de Pseudo Jonathan et le Targoum de Jérusalem dite. Schöttgen conjectures que la désignation talmudique de « talons du Messie » (Sot. 49 b, ligne 2 du haut) en référence à la venue proche du Messie dans la description des troubles de l’époque (COMP. St. Matt. x. 35, 36) peut avoir été choisi en partie dans le but de ce passage.

GEN iv. 25. la langue d’Eve à la naissance de Seth : « des semences une autre » est expliquée comme signification « semences qui vient d’un autre endroit, » et dénommé le Messie en Ber. R. 23 (éd. Warsh. p. 45 b, lignes 8, 7 en partant du bas). La même explication apparaît deux fois dans le Midrash sur Ruth iv. 19 (dans la généalogie de David, éd. Warsh. p. 46 b), la deuxième fois dans le cadre de Psaume xl. 8 (« dans le rouleau du livre il est écrit de moi » - bim'gillath sepher - Ruth appartenant à la classe {hébreu}).

Dans le cadre de Gen. v. 1, il est à noter en Ber. R. 24, roi Messie ne viendra pas jusqu'à ce que toutes les âmes prédestinées pour elle sont apparus dans des corps humains sur terre.

Dans Gen. VIII. 11 le Targum de Pseudo-Jonathan fait remarquer que la feuille d’olive, apporté par la colombe, est extraite de la monture du Messie.

Gen. IX. 27. La promesse, que Japhet habitera dans les tentes de SEM, est paraphrasée dans le Targum de Pseudo-Jon. en ce sens, que ses descendants doivent devenir prosélytes et habiter dans l’école de sem - qui semble se référer aux temps messianiques.

Dans le cadre de Gen. XIV. 1, nous sommes rappelés en Ber. R. 42, que quand on voit les nations en guerre ensemble, nous pouvons attendre la venue du Messie.

La promesse en Gen. XV. 18 devrait être enfin réalisé à l’époque du Messie, en Ber. R. 44.

Dans le cadre de Gen. XVIII. 4, 5, il est à noter (Ber. R. 48, éd. Warsh. p. 87 b) que les mots d’Abraham à ses hôtes angéliques devaient être retournés en bénédiction pour les descendants d’Abraham, dans le désert, dans le pays de Canaan et dans les derniers jours (messianiques). Se référant uniquement à ce dernier point, les mots « laissez un peu d’eau être extrait, » est mis en parallèle avec les « eaux vives » dans Zach. XIV. 8; « se laver les pieds, » avec Is.iv. 4 (le lavage de la saleté des filles de Sion) ; « repos sous l’arbre, » avec Ésaïe iv. 6: « il y aura un tabernacle pour une ombre dans la journée de la chaleur ; » « J’ai va chercher un morceau de pain, » avec cette disposition, PS. lxxii. 16: « il y aura une poignée de maïs dans la terre, » & c. Aussi les mots : « Abraham courut vers le troupeau, » sont mis en parallèle avec Ésaïe vii. 21 (ce qui est plus important ici appliqué aux temps messianiques) ; et enfin, les mots, « il se tenait par eux, » avec Mic. II. 13: « le disjoncteur est Montez devant eux. » 6427 6427 en effet, cette parasha de Bedr. R. contient d’autres parallélismes similaires entre Genèse xvii. et les temps messianiques. La même interprétation se trouve dans Bemid. R. 14 (éd. Warsh. p. 55 a), les références aux jours messianiques étant d' Ésaïe xiv. 2; xxx. 25 ; XLI. 18 ; VI. 4 ; et iv. 6.

La dernière phrase du Gen. XIX. 32 est interperted (Ber. R. 51, éd. Warsh. p. 95 a), comme référence, comme les mots d’Eve sur Seth, au Messie - le péché des filles de Lot étant expliquées sur le terrain de leur croire que toute l’humanité avait été détruits dans le jugement qui a renversé de Sodome.

La promesse en Gen. XXII. 18 est aussi expliqué de manière messianique dans Bemid. R. 2 de (dir. W. P. 5 b), dans le cadre de nombres ii. 32 où on montre un peu curieusement dans quel sens Israël est d’être comme le sable de la mer.

Gen. XXXIII. 1. Le Midrash cela lie avec Ésaïe lxvi. 7et fait remarquer que, avant la naissance de l’oppresseur première, dernier Rédempteur est déjà né.

Dans Gen. XXXV. 21 le Targum de Pseudo-Jon. paraphrase « la tour de Eder » (à Bethléem) comme le lieu d'où le Messie serait révélé.

Sur Gen. XXXVIII. 1, 2 il y a tout à fait remarquable messianiques commentaires en Ber. R. 85.

Gen. XLIX. 1. Le Targum de Pseudo-Jon. Notes, que la fin qui viendrait le Messhah n’est pas révélée à Jacob. Une déclaration similaire se trouve dans le Midrash sur le passage (Ber. R. 98, éd. Warsh. p. 173 a), où il est dit de Jacob et Daniel qu’ils ont vu la fin, et pourtant il a été par la suite caché d’eux. Le passage cité dans le cas de Daniel est Dan. XII. 4.

Gen. XLIX. 9. L’expression « jeune lion, » s’explique du Messie dans Yalkut 160 (vol. i. p. 49 c), pas moins de cinq fois ; tandis que le terme « il a formulé, » est appelé le Messie en Ber. R. 98.

Gen. XLIX. 10. Cette prédiction bien connue (sur lequel Voir la disciussion complet et interessant dans Raym. Martini, Pugio Fidei) se trouve dans Yalkut, u. s., appliqué au Messie, par une citation du Psaume ii. 9. Cette expression « Shiloh » est également appliqué au Messie, avec l’ajout de curieux, que dans les derniers jours de toutes les nations seraient apportent des cadeaux lui. Comme le Targoum Onkelos, Pseudo-Jonathan et le Targoum de Jérusalem, ainsi que Sanh. 98 b, le Midrash sur le passage et que sur Prov. xix. 21et Lam. i. 16, où il est rendu shelo, « dont il est, » voir l’expression « Shiloh » et, en effet, le passage entier, le Messie ; Le Midrah Ber. R. (99, éd. Warsh. p. 178 b) avec une référence particulière à Ésaïe xi. 10, tandis que la promesse en ce qui concerne ânesse le petit d’est mis en connexion avec Zach. IX. 9, l’accomplissement de cette prophétie s’attendre ainsi que celle dans Ézéchiel xxxvi. 25 (« je répandrai eau pure »). Une autre déclaration remarquable se produit dans le Midrash sur le passage (Ber. R. 98, éd. Warsh. p. 174 b), qui s’applique le verset à l’entrée lui de dont il est écrit : Zach. IX. 9. Puis il lavait son vêtement dans le vin (Genèse xlix. 11), qui s’explique en ce sens l’enseignement de la loi à Israël et ses vêtements dans le sang des raisins, qui s’explique en ce sens qu’il ramènerait leur de leurs erreurs. L’un des rabbins, cependant, remarques qu’Israël n’aurait pas besoin d’être enseigné par le roi Messie, dans les derniers jours, puisqu’elle a été rédigée (Ésaïe xi. 10), « lui doivent les païens recherchent. » Dans l’affirmative, alors pourquoi devrait le Messie. Venez, et ce qu’il fera à la congrégation d’Israël ? Il va racheter Israël et donnez-leur des trente commandements, selon Zacharie. XI. 12. Le Targum de Pseudo-Jon. et le Targum de Jérémie s’appliquent également verset 11 au Messie. En effet, si générale était cette interprétation, que, selon la croyance populaire, pour voir un palmier dans ses rêves était de voir les jours du Messie (Berach. 57 a).

Gen. XLIX. 12 est également appliqué au Messie dans le Targum de Pseudo-Jon. et le Targoum de Jérusalem. Est donc aussi verset 18, mais pas en termes exprès.

Dans Gen. XLIX. 17, dernière phrase, dans sa relation avec ver. 18, le Midrash (Ber. R. 98) voit une référence à la grande déception de Jacob en se méprenant sur Samson pour le Messie.

Dans la prophétie de Gad dans Gen. XLIX. 19 il y a une allusion aux jours messianiques, comme Élie devait être de la tribu de Gad (Ber. R. 99, éd. Warsh. p. 179 un). Il y a, cependant, en Ber. R. 71, vers la fin, un différend s’il était de la tribu de Gad, ou de la tribu de Benjamin, à l’issue de laquelle Elijah apparaît et s’installe le différend d’une manière assez sommaire.

Sur Gen. l. 10 le Midrash, à l’issue du Ber. R., remarques que comme ils avaient pleuré, donc en jours messianiques Dieu se transformerait leur deuil en joie, citant Jérémie xxxi. 13 et c’est li 3.

Ex. IV. 22 est référé au Messie dans le Midr. le Psaume ii. 7.

Sur Exod. XII. 2, « que ce soit le début du mois, » il est fait remarquer dans Shem.R. 15 (éd. Warsh. p. 24 b) que Dieu ferait dix nouveautés dans les derniers jours, ceux-ci étant marquée par les passages suivants : est lx. 19; Ézéchiel xlvii. 9; XLVII. 12 ; Ézéchiel xvi. 55; Est liv. 11; Ésaïe xi. 7; Osée ii. 20; Ésaïe lxv. 19; Ésaïe xxxv. 8; Ésaïe xxxv. 10. De la même façon sur num. xii. 1 nous avons, en SEM. R. 51, un parallélisme entre l’ancien testament, leurs institutions et ceux des derniers jours, laquelle est xlix. 12 et lx. 8 sont censés pour appliquer.

Sur Exod. XII. 42 le Jerus. Targoum fait remarquer qu’il y avait 4 nuits remarquables : celles de la création de l’Alliance avec Abraham, de la première Pâque et de la rédemption du monde. et que comme Moïse sortit le désert, donc le Messie viendrait hors de Rome.

Sur Exod. XV. 1. Il est à noter dans la Mekhilta (éd. Weiss, p. 41 a) que cette chanson sera reprise en jours messianiques, seulement avec beaucoup de grande portée, comme expliqué dans Ésaïe, lx 5 ; LVIII. 8 ; XXXV. 5, 6 ; Jérémie xxxi. 13; et Ps.cxxvi. 2.

Ex. XVI. 25 est appliqué au Messie, il dit que, si Israël observait seulement un Sabbat selon le commandement, le Messie immédiatement viendrait (Jérémie Taan. 64 a).

Ex. XVI. 33. Cette manne, il convient de noter à Valérie. éd. Weiss, p. 59 b, devait être préservé pour les jours du Messie. C’est xxx. 15 est même expliqué dans Jérémie Taan. i. 1.

Ex. XVII. 16 le Targum de Pseudo-Jonathan se réfère aux temps messianiques.

Exod. XXI. 1. Shem. R. 30, ed Warsh. p. 44. b45, notes sur le mot « arrêts » un certain nombre de choses liées à l’arrêt, montrant comment Balaam ne pouvait pas rêver l’avènement de la délivrance future (Numb. XXIV. 17), car il devait périr ; mais qu’Israël devrait s’attacher à la grande espérance appuyée dans Genèse xlix. 18; Ésaïe lvi. 1; LIX. 16 ; et surtout Zach. IX. 9, de laquelle un redering différent est proposé.

Sur Exod. XL. 9, 11, il n’y a dans le Targoum Pesudo-Jon. Référence distincte pour le roi Messie, sur le compte de laquelle l’huile d’onction devait être utilisé.

La promesse (Lev. XXVI. 12) est également appelé à ce dernier, ou messianique, jours dans Yalkut 62 (vol. i. p. 17 b).

Lev. XXVI. 13 s’applique aux temps messianiques. Voir nos remarques sur Genèse ii. 4.

La promesse de la paix dans la bénédiction d’Aaron Num. VI. 26 est appelé à la paix du Royaume de David, selon Ésaïe ix. 7 (Siphré num., paragraphe 42, éd. Friedmann, p. 12 b).

Num. VII. 12. Dans ce contexte, il est marqué que les bénédictions de six qui ont été perdues à l’automne sont d’être restauré par le fils de Nahshon, c'est-à-dire le Messie (Bem. R. 13, éd. w. p. 51 un).

Dans le Targoum de Jérusalem sur Num. XI. 26 la prophétie d’Eldad et Médad est censé avoir été en ce qui concerne la guerre des jours plus tard contre Jérusalem et à la défaite de Gog et Magog par le Messie.

Dans Num. XXIII. 21, le terme « Roi » est expressément visée au Messie dans le Targum Pseudo-Jon. Donc aussi Num. xxiv . 7 dans le Targum de Jérémie.

Dans Num. XXIV. prédiction de Balaam 17 de l’étoile et le Sceptre est appelée theMessiah dans le Targoum Onkelos et le Targoum Pessudo-Jonathan, ainsi que dans Jérémie Taan. IV. 8 ; Deb R. 1 ; MIDR. sur complainte. ii. 2. De même, versets 20 et 24 de cette prophétie sont attribuées dans le Targum de Pseudo-Jon. au Messie.

Num. XXVII. 16. Dans le cadre de ce verset, il est remarqué que son seul esprit vaut autant que tous les autres esprits, selon Ésaïe xi. 1 (Yalkut, vol. i. p. 247 une).

Deut. i. 8 est appliqué à l’époque du Messie en Sphré, 67 a.

Dans les commentaires de Tanchuma sur Deut. VIII. 1. (éd. Warsh. p. 104 b, 105 a) il y a plusieurs allusions à Mesianic jours.

Deut. XI. 21 s’applique à le Siphré par. 47 (éd. Friedmann, p. 83 a) à l’époque du Messie.

Dans Deut. XVI. 3 l’enregistrement de la délivrance d’Égypte est censé pour être exploitée à l’époque du Messie, dans Spihré, par. 130 (éd. Friedmann, p. 101 a). Voir, également, Ber. i. 5.

Sur Deut. XIX. 8, 9, il est à noter, en Siphré sur Deut., par. 185 (éd. Friedm. p. 108 b), que trois d'entre eux étaient en terrtiory jamais possédés par Israël, cela devait être accompli dans les temps messianiques. Voir aussi Jer. Macc. ii. 7.

Dans Tanchuma sur Deut. XX. 10 (par. 19, éd. Warsh. p. 114 b) l’offre de paix dans une ville hostile est appliqué à l’action future du Messie aux Gentils, selon Zacharie. IX, 10 ; C’est ii. 4; et Ps lxviii. 32; alors que, d’autre part, la résistance d’une ville à l’offre de paix est assimilée à la rébellion contre le Messie et le jugement qui en découle, selon Ésaïe xi. 4.

Deut. XXIII. 11 est généralement appliqué à la soirée du temps, quand Dieu se laver les ordures des filles de Sion (Ésaïe iv. 4) ; et les mots : « quand le soleil est tombé » à quand le roi Messie viendrait (Tanchuma sur par. Ki Thetse 3, éd. Warsh. p. 115 b).

Deut. XXV. 19 et Deut. xxx. 4 sont désignés par le Targoum Pesudo-Jon. les temps messianiques. Dans ce dernier passage le rassemblement d’Israël dispersé par Élie et elles soient présentées par Messie, sont parlées de. COMP. aussi Bem. R., trois dernières lignes.

Sur Deut. XXXII. Siphré 7 (par. 210, éd. Friedm. p. 134 a) fait la belle observation, qu’ils étaient dans les afflictions de tout Israël à retenir les choses bien et confortables que Dieu leur avait promis pour le monde furture et en connexion avec cette là est une référence particulière à l’époque du Messie.

Sur Deut. XXXII. 30 Siphré (p. 138 a) marque son accomplissement dans les jours du Messie.

Sur Deut. XXXIII. 5 le Targum de Jérémie parle d’un roi dont les tribus d’Israël doivent obéir, ceci étant évidemment le roi Messie.

Deut. XXXIII. 17. Tanchuma sur Genèse i. Alinéa 1 (éd. Warsh. p. 4 a) cela s’applique au Messie. Donc également en Benidb. R. 14.

Deut. XXXIII. 12. L’expression, « il couvrira lui, » parle de ce monde ; « long de toute la journée, » à l’époque du Messie ; et « il habitera entre ses épaules, » dans le monde à venir (Sebach. 118 b).

Juges. v. 31 : « qu’ils que lui être comme le soleil lorsqu’il va de suite dans sa puissance, de l’amour » est appliqué aux temps messianiques dans Ber. R. 12. Voir nos remarques sur Genèse ii. 4.

Sur Ruth ii. 14 : « viens ici au moment de la viande, » le Midr. R. Ruth 5 (éd. Warsh. p. 43 a et b), a une interprétation tout à fait remarquable. En outre l’application du mot « manger, » qu’au-delà de l’instant présent, à l’époque du Messie et à nouveau sur le monde à venir, ce qui est de suivre ces jours-ci, le Midrash applique le tout mystiquement au Messie, c'est-à-dire « viens ici, » qui est , s’approcher du Royaume, « et manger du pain, » qui est, le pain de la royauté, « et tremper ton morceau dans le vinaigre » - ce sont les souffrances, comme il est écrit dans Ésaïe liii. 5, « Il était blessé pour nos transgression. » « Et elle s’est assise à côté de moissonneurs » parce que son Royaume devait encore être mise en dehors de lui pendant une courte période, selon les Zach. XIV. 2; « et il a atteint son grain séché » parce qu’il il restaurera à lui, d’après Ésaïe xi. 4. R. Berachiah, au nom de R. Levi, ajoute, que le second Rédempteur devrait être comme le premier. Comme le firrst Rédempteur (Moïse) est apparu et a disparu et est réapparu après trois mois, donc le deuxième Rédempteur apparaissent également et disparaissent et redevenir manifeste, Dan. XII. 11, 12 mis en lien avec elle. COMP. Midr. sur apriete ii. 9; Pesik. 49 a, b. Encore une fois, les mots : « elle a mangé, a été suffie et à gauche, » est ainsi interprétées à Shaab. 113 b: elle a mangé - dans ce monde ; et a été suffi - à l’époque du Messie ; et à gauche - pour le monde à venir.

Encore une fois, le Targum sur Ruth je. 1 parle du Messie ; et encore une fois sur Ruth iii. 15 paraphrase six mesures d’orge comme se référant aux six autres justes, dont le dernier était le Messie, et qui étaient chacun d’avoir six des bénédictions particulières.

Ruth IV. 18. Le Messie est appelé « fils de Pérets, » qui restaure ce qui avait été perdu à l’humanité à la chute d’Adam. Voir nos remarques sur Genèse ii. 4.

L’interprétation messianique de Ruth iv. 20 a déjà été donné au titre iv de la Genèse. 25.

1 Sam. II. 10. Le dernier article de cette promesse est compris par le Targoum (et est également une partie de la Medrashim) comme s’appliquant au Royaume du Messie.

2 Sam. XXII. 28. Dans un passage talmudique (Sanh. 98 a, ligne 19, & c., par le bas), qui contient de nombreuses références à la venue du Messie, son avènement est prévu dans le cadre de ce passage.

2 Sam. XXIII. 1 est appliqué par le Targum à la prophétie de David, au sujet de la suite des temps messianiques.

2 Sam. XXIII. 3. Le « préjudiciel dans la crainte de Dieu » est désigné dans le Targum l’élévation future place du Messie.

En 2 Sam. XXIII. 4 la lumière au lever du soleil du matin est expliquée dans le Midrash sur le passage (paragraphe 29, éd. Lemberg, p, 56 b, lignes 7-9 de haut), comme s’appliquant à l’apparition du Messie.

L’expression, 1 rois , iv. 33, qui parlait de Solomon d’arbres, est appelé dans theTargum sa prophétie concernant les rois qui devaient régner dans cet âge et dans celui du Messie.

Le nom « Anani, » en 1 Chr. III. 24, le Targum remarques que c’est le Messie, l’interprétation est que le mot anani est connecté avec le mot écrit de la même manière (non ponctué) dans Deutéronome vii. 13et traduit là « nuages », dont l’explication est donné en Tanchuma (par. Toledoth 14, p. 27 b).

Ps. II. pouvait s’y attendre, est traitée comme plein de références messianiques. Pour commencer, Ps. II. 1 est appliqué à la guerre de Gog et Magog dans le Talmud (Berach. 7 b et Abhod. Zarah 3 b) et aussi dans le Midrash sur Psaume ii. De même, le verset 2 est appliqué au Messie dans Abhod. Zach, u. s., dans le Midrash sur Psaume xcii. 11 (éd. Warsh. p. 70 b, ligne 8 du haut) ; en Pirqué de R. Eliez. c. 28 (éd. Lemberg, p. 33 b, ligne 9 de haut). Dans Yalkut (vol. ii. par. 620, p. 90 a, ligne 12 du bas), nous avons la comparaison suivante remarquable sur les mots, « contre Dieu et son Messie, » les assimilant à un voleur qui se trouve un air de défi derrière le Palais du roi et dit : si je trouverai la sorte n du roi, je vais poser détenir sur lui et crucifiez-le et le tuer avec une mort cruelle. Mais le Saint-Esprit se moque de lui, « celui qui est assis dans les cieux doit rire. » Sur le même verset le Midrashon Psaume ii. a une vanité curieuse, destinée à montrer que chaque qui se sont levés contre Dieu et son peuple pensait qu’il était plus sage que celui qui l’avait précédé. Si Caïn a tué son frère tandis que son père était en vie, oubliant qu’il y aurait d’autres fils, Esau a proposé d’attendre après la mort de son père. Pharaon, encore une fois, blâmé Esaü pour sa folie en oubliant que dans le même temps Jacob aurait des enfants et par conséquent proposé de tuer tous les enfants mâles, tandis que Haman, ridiculisant la folie du Pharaon en oubliant qu’il y avait des filles s’est de détruire l’ensemble fixé gens ; et, à son tour, Gog et Magog, ridiculisant la myopie de tous ceux, qui les avait précédés, en prenant l’avocat contre Israël tant qu’ils ont eu un Patron dans le ciel, tout d’abord a décidé d’attaquer leur Patron céleste et après qu’Israël. Auxquels s’appliquent les mots, « contre le Seigneur et contre son oint. »

Mais pour revenir à Ps. II. 4 est appliquée de manière messianique dans le Talmud (Abhod. Z. u. s.). Ps. II. 6 est appliqué au Messie dans le Midrash sur 1 Samuel xvi. 1 (par. 19, ed, Lemberg, p. 45 a et b), où il est dit que les trois mesures de souffrances6428 6428 quant à ces trois mesures de souffrances et la proportion tombant à l’âge de la mer de Messie aussi le Midrash sur Psaume ii. 7. une personne consomme le roi Messie, dont il est écrit (is liii.) « Il était blessé pour nos trangression. » Ils disent au roi Messie : où Thou veulent habiter ? Il répond : cette question est également nécessaire ? À Sion, ma montagne Sainte (Psaume ii. 6). (COMP. aussi Yalkut ii. p. 53 c.)

Ps. II. 7 est cité comme Messianique dans le Talmud, parmi un certain nombre d’autres citations messianiques (Sukk. 52 a). Il y a un passage très remarquable dans le Midrash sur Psaume ii. 7 (éd. Warsh p. 5 un), dans lequel l’unité d’Israël et le Messie dans la vision prophétique semble clairement indiqué. Traçant le « décret » par le biais de la Loi, les prophètes et le Hagiograph, le premier passage cité dans Exode iv 22 : « Israël est mon fils premier-né ; » le second, les prophètes, c’est lii. 13: « Voici mes serviteurs doivent aborder avec prudence » et est xlii. 1 : « Voici mon mon serviteur, que je défends ; » le troisième, des hagiographes, PS. cx. 1: « Le Seigneur a dit à mon Seigneur : » et encore une fois, Psaume ii. 7: « Le Seigneur dit à moi, tu es mon fils, » et encore cette autre disant (Dan. VII. 13) : « Voici, l’un comme le fils de l’homme est venu avec les nuées du ciel. » Cinq lignes plus bas, le Midrash même, en ce qui concerne les mots « Tu es mon fils, » observe que, quand l’heure Vienne, Dieu lui parle de faire un nouveau Pacte et donc il parle : « ce jour ai j’ai engendré » - c’est l’heure où il devient son fils.

Ps. II. 8 est appliqué en Ber. R. 44 (éd. Warsh. p. 80 a) et dans le Midrash sur le passage, au Messie, avec cette curieuse remarque qu’il y avait trois de qui il était dit « Ask me » - Solomon, Achaz,6429 6429 le Midrash donne deux explications très curieux de son nom. et le Messie. Dans le Talmud (Shukk. 52 a) le même passage est très curieusement appliqué, il a suggéré que, quand le Messie, le fils de David, vu que le Messie, le fils de Joseph,6430 6430 sur la double Messie, ou plutôt l’installation des Juifs sur ce sujet, voir dans le texte du chapitre. Je ne peux que croire que les mots « Fils de Joseph » dans le Talmud sont une correction ultérieure et maladroite, étant donné ce qui suit évidemment s’applique pour le fils de David. serait tué, dit-il au tout-puissant, je cherche rien de toi, sauf la vie. À laquelle la réponse a été : la vie avant que tu m’avais parlé, comme David, ton père a prophétisé de toi, Psaume xxi. 4.

Ps. II. 9 sera désigné dans nos remarques sur Psaume cxx.

Ps. XVI. 5 est discutée en Ber. R. 88, dans le cadre de la coupe qui butler de Pharaon a vu dans son rêve. Ce produit Midrash à parler des quatre coupes nommés pour la nuit de la Pâque et d’expliquer leur signification de diverses manières, entre autres, contrastant les quatre tasses de fureur, qui Dieu rendrait les nations boire, avec les quatre coupes du Salut dont il donnerait à Israël dans les derniers jours, c'est-à-dire Psaume xvi. 5; Psaume cxvi. 13; Psaume xxiii. 5. L’expression, Psaume cxvi. 13, rendue dans notre V. A. « la Coupe du Salut, » est dans l’original, « la coupe des délivrances » - et s’explique comme impliquant un pour les jours du Messie et l’autre pour les jours de Gog.

Le verset 9, le Midrash sur le passage dit : ' ma gloire doit se réjouir du roi Messie, qui dans la furture se lèveront de moi, comme il est écrit dans Ésaïe iv. 5: « sur toute la gloire une couverture. » " Et le Midrash continue « ma chair habitera en sécurité » - c'est-à-dire après la mort, pour nous enseigner que la corruption et le ver ne régnera sur elle.

Ps. XVIII. 31 (dans le verset d’Hébreux 32). Le Targum explique ceci en ce qui concerne les œuvres et les miracles du Messie.

Ps. XVIII. 50 est appelé dans le Talmud de Jérémie (Ber. ii. 4, p. 5 a, ligne 11 du haut) et dans le Midr. sur Lam. i. 16, au Messie, avec cette remarque curieuse, ce qui implique le doute qu’il soit vivant ou mort : « le roi Messie, s’il appartient à la vie ou la mort, son nom doit être David, selon le Ps. XVIII. 50. »

Ps. XXI. 1 (2 en Hébreu) - le roi il parlé de s’explique par le Targum d’être roi Messie. Le Midrash sur le passage divergeante lui avec Ésaïe xi. 10, sur laquelle Rabbi Chanina ajoute que l’objet du Messie est de donner certains commandements aux Gentils (et non à Israël, qui sont à apprendre de Dieu lui-même), d’après le passage dans Ésaïe ci-dessus qutoed, ajoutant que les mots « son repos sera glorieux » signifie que Dieu donne au roi Messie de la gloire, comme il est dit : « Dans ta force le roi réjouiront, » dont la force est un peu par la suite expliqué que le Royaume (éd. Warsh. p. 30 un et b).

Verset 3 applique-t-on messianiques dans le Midrash sur le passage.

Ps. XXI. 3 (4 dans l’hébreu). Seulement quelques lignes plus loin en bas dans le Midrash même, parmi les candidatures messianiques remarquables, est celle de ce vese au Messie, où aussi l’expression « Jéhovah est un homme de guerre, » et « Zidkenu de Jéhovah, » sont appliqués au Messie. 6431 6431 l’idée d’un lien organique entre Israël et le Messie semble aussi à la base de ce passage. COMP. aussi second livre R. 8, où il est à noter que Dieu lui couronneront avec sa propre Couronne.

Verset 4 est appliquée Messianiquement Sukk. 52 un.

Ps. XXI. 5 (6 en Hébreu). La première partie de ce verset. Yalkut sur num. xxvii. 20 (vol. i. p. 248 une, ligne 10 du bas) s’applique à la gloire du roi Messie, immédiatement citant la deuxième clause dans la preuve de son messianique application. Ceci est également fait dans le Midrash sur le passage. Mais peut-être l’une des plus remarquables applications de celui-ci est souvent appelée R. 15, p. 63 b, où le passage est appliqué au Messie.

Enfin dans le Ps. XXI. 7-8 dans l’hébreu, l’expression « roi » est appliquée dans le Targum au Messie.

Dans l’ensemble, puis, on peut le remarquer que Psaume xxi. tout au long de considérait comme Messianique.

Sur Ps. XXII. 7-8 en Hébreu un remarquable commentaire s’affiche dans Yalkut sur Ésaïe, lx., appliquant ce passage au Messie (la seconde, ou fils d’Éphraïm) et en utilisant presque les mêmes mots dans lesquels les évangélistes décrivent le comportement Moqueur des Juifs sur la Croix.

Ps. XXII. 15 (16 en Hébreu). Il y a une application remarquable de la même façon au Messie de ce verset dans Yalkut.

La promesse en Ps. XXIII. 5 fait référence dans la zone. R. 21 à la diffusion de la grande fête devant Israël dans les derniers jours.

Ps. XXXI. 19 (20 en Hébreu) est dans le Midrash appliqué à la récompense que dans les derniers jours, Israël recevrait pour leur fidélité. Également en Pesiqta, p. 149 b, à la joie d’Israël en présence du Messie.

L’expression en Ps. XXXVI. 9, « Dans ta lumière nous verrons la lumière, » est appliquée au Messie dans Yalkut Isaïe lx. (vol. ii. p. 56 c, ligne 22, partant du bas).

L’application du Ps. XL. 7 au Messie a déjà été noté dans nos remarques sur Genèse iv. 25.

Ps. XLV. est partout considéré comme Messianique. Dans un premier temps ; le Targum rend verset 2 (3 en Hébreu) : « Ta beauté, Ô roi Messie, est supérieure à celle du fils de l’homme. »

Verset 3 (4 en Hébreu) est appliqué dans le Talmud (Shaab 63 a) au Messie, même si d’autres interprétations de ce verset suivent immédiatement.

L’application du verset 6 (7 en Hébreu), au Messie dans une copie du MS. du Targoum a déjà été relatée dans une autre partie de son livre, tandis que les mots, « ton trône est pour toujours et jamais » sont introduits dans la connexion avec la promesse que le sceptre woul d s’écarte pas Juda en Ber. R. 99, éd. Warsh. p. 178 b, ligne 9 du bas.

Le verset 7 le Targum mais pas dans l’édition vénitienne (1568), a : "toi, Ô roi Messie parce que tu aimes la justice,' & c. COMP. Levy, Targum. Wörterb. vol. ii. p. 41 a.

Le Midrash sur le Psaume traite exclusivement de l’inscription (dont elle dispose de plusieurs et interprétations importantes) avec les premiers mots du Psaume et avec les mots (version 16), "au lieu de tes pères doivent être tes enfants,' mais en même temps elle clairement indique que le Psaume s’applique à l’époque messianique, ou ce dernier.

Sur Ps. l. 2 Siphré (p. 143 a) fait remarquer que quatre fois Dieu semblerait, le dernier étant à l’époque du roi-Messie.

Ps. LX. 7. Souvent appelée R. sur num. vii. 48, Revel. 14 (éd. Warsh p. 54 a) contient un échange de vues très curieux aggadique sur ce verset. Mais il aborde aussi l’opinion de sa référence au Messie.

Ps. LXI. 6 (7 en Hébreu). « Tu seras ajouter des jours aux jours du roi, » est rendu par le Targum : « Tu seras ajouter jours aux jours du roi Messie ». Il y a un lustre curieux sur ce Pirqé d. R. Eliez. ch. 19 (éd. Lemberg, p. 24 b), dans lequel Adam est censé avoir pris 70 de ses années et ajoutés à ceux du roi David. Selon une autre tradition, ce qui représente Adam vivant 930 ans, il s’agit, 70 de moins de 1 000, qui constituent, devant Dieu, un jour, et si la menace avait été littéralement accomplie : dans la journée tu en mangeras, tu mourras.

Ps. LXI. 8 (9 en Hébreu). L’expression, « que je peux tous les jours effectuer mes vœux, » est appliquée dans le Targum jusqu’au jour où le Messie est oint roi.

Ps. LXVIII. 31 (32 en Hébreu). Sur les mots « Princes viendra sortir d’Égypte, » il y a un commentaire tout à fait remarquable dans le Talmud (Pes. 118 b) et dans le second livre R. sur Exode xxvi. 15, & c. (dir. Warsh. p. 50 b), dans lequel on nous dit que dans les derniers jours, toutes les nations seraient apporter des cadeaux pour le roi Messie, commençant par l’Egypte. ' Et a peur qu’on penser qu’il (le Messie) il accepterait pas d’eux, Saint écrit au Messie : accepter d’eux hospitalier entertainment,' ou il pourrait être rendu, "accepter d’eux ; ils ont donné divertissement accueillant à mon fils. »

Ps. LXXII. ce Psaume aussi a été considéré par l’ancienne Synagogue comme partout messianique, comme en témoigne le fait que le Targum rend le tout premier verset : « donner la phrase de ton jugement au roi Messie et ta justice au fils de David le roi ,' qui est re-repris par le Midrash sur le passage (éd. Warsh. p. 55 b) qui lui applique explicitement le Messie, se référant à Ésaïe xi. 1. De même, le Talmud s’applique ver. 16 aux temps messianiques (dans un passage très hyperboliques, Shaab. 30 b, ligne 4 à partir du bas). La dernière phrase du verset 16 est appliquée, à Marie. 111 b, ligne 21 de haut, puis en le Midr. sur l' Ecclésiaste i. 9, au Messie envoyant vers le bas de la manne comme Moïse. 6432 6432 Voir le passage dans Sanh. 96 b & c. donné à l’issue du présent appendice.

Verset 17. Dans Sanh. 98 b; PSE. 54 un; Ned. 39 b, les différents noms du Messie sont discutés et également en Ber. R. 1 ; dans Midr. sur Lam. i. 16et Eliez Pirqé de r. c. 3. L’une d'entre elles est indiquée comme étant Jinnon, selon Psaume lxxii. 17.

Verset 8 est appliqué dans Pirqé de r él ch. 11, au Messie. Yalkut (vol. ii). c’est cadre 8 (p. 54 c), parle du « Autre Rédempteur » comme le Messie, appliquant à lui PS. lxxii. 8.

En commentant la rencontre de Jacob et Esaü, le Midr. Ber. R. (78, éd. Warsh. p. 141 b) remarque que tous les dons que Jacob donna à Ésaü, les nations du monde reviendrait au roi Messie - le prouve par une référence au Ps. LXXII. 10 ; alors que dans le Midrash souvent appelée R. 13, il est noté que comme les nations apporté des cadeaux à Salomon, donc ils apporteraient leur au Messie roi.

Au même endroit, un peu plus haut, Salomon et le Messie sont assimilés comme régnant sur le monde entier, les passages de preuve étant, outre d’autres, Ps. LXXII. 8, Daniel vii. 13 et ii. 35.

Sur l’application au Messie du verset 16 nous avons déjà parlé, mais aussi sur celui du verset 17.

Ps. LXXX. 17 (dans l’hébreu 18). Le Targum paraphrase « le fils de l’homme » par « Roi Messie. »

Ps. LXXXIX. 22-25 (23-26 en Hébreu). Dans Yalkut sur Ésaïe lx. 1 vol. ii. p. 56 ( c), cette promesse est désignée à la délivrance future d’Israël par le Messie.

Encore une fois, verset 27 (28 en Hébreu) est appliqué dans le second livre R. 19, vers la fin, le Messie, spéciale référence étant faite à Ex. iv. 22, « Israël est mon fils premier-né. »

Verset 51 (52 en Hébreu). Il y a un remarquable commentaire là-dessus dans le Midrash sur l’inscription de PS. xviii. (éd. Warsh. p. 24 a, la ligne 2 du fond), à qui il est énoncé qui comme Israël et David ne chantent pas jusqu'à l’heure de la persécution et de reproche, alors quand le Messie viendra - « rapidement, de nos jours » - la chanson ne sera pas déclenchée jusqu'à ce que le Messie est mis reprocher, selon Psaume lxxxix. 52 (51) et jusqu'à ce qu’il tombera devant lui les idolâtres méchants àl Dan. II. 42, et les quatre royaumes àl Zach. XIV. 2. À cette heure la chanson ressusciteront, comme il est écrit Psaume xcviii. 1.

Dans le Midr. sur apriete ii. 13 , il est dit : Si vous voyez une génération après un autre blasphème, attendre les pieds du roi Messie, comme il est écrit : Ps. LXXXIX. 53.

Ps. XC. 15. Le Midr. Remarques (éd. Warsh. p. 67 b) : les jours où tu as affligé nous - autrement dit, les jours du Messie. Sur qui fait suite à une discussion sur la longueur des jours du Messie, R. Eliezer maintenant qu’ils sont 1 000 ans, citant les mots « comme hier, » un jour étant de 1 000 ans. R. Joshua détient qu’ils étaient 2 000 ans, les mots « le temps », ce qui implique qu’il y a deux jours. R. Berachiah tient qu’ils étaient 600 ans, séduisant à Ésaïe lxv. 22, parce que la racine de l’arbre périt dans la terre en 600 ans. R. José pense qu’ils sont des années 60, selon Psaume lxxii. 5, les mots « tout au long de toutes les générations » (dor dorim) étant interprétée : Dor = 20 ans ; Dorim = 40 ans : 20 + 40 = 60. R. Akiba dit : 40 ans, selon les années dans le désert. Les rabbins disent : 354 ans, selon les jours de l’année lunaire. R. Tony pense à 7 000 ans, reckoning le 7 selon les jours de l’époux.

Sur Ps. XC. le Midrash conclut en dessinant un contraste entre le Temple construit que les hommes, et qui a été détruit et le Temple des jours ce dernier ou messianiques, que Dieu reposerait, et qui ne devrait pas être détruit.

Ps. XCII., versets 8, 11, et 13 (7, 10 et 12 dans notre V. A.), sont interprétés Messianiquement Pirqé de r él, ch. 19. Dans le Midrash sur le verset 13 (12 dans notre V. A.), parmi d’autres belles applications de la figure du Psaume, qui est le Messie, le fils de David. La note sur le Midrash sur l’expression « comme un cèdre du Liban », tel qu’appliqué à Israël, est très belle, elle assimilant à du cèdre, qui, bien que chassés et courbés par les vents du ciel, ne peut pas être déracinée de sa place.

Ps. XCV. 7, dernier alinéa. En SEM. R. 25 et dans le Midrash sur apriete v. 2 (éd. Warsh. p. 26 a), il est à noter que, si Israël fait pénitence seulement un jour [sinon correctement observé même un Sabbat], le Messie fils de David immédiatement viendrait. [Le passage entier dont est tirée cette référence est extrêmement intéressant. Elle introduit Dieu dit à Israël : mon fils, ouvrir la porte de pénitence seulement aussi petit que le chas d’une aiguille pour moi, et je vais ouvrir à vous porte à travers laquelle, voitures et wagons viendra en. On dirait une contrepartie aux paroles du Sauveur (Rev. iii. 20) : « Voici, je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, je vais venir lui. "] Sensiblement le même point de vue est prise dans Sanh. 98 un, où les jetons de la venue du Messie sont décrits - et aussi en Jérémie Taan. 64 a.

Ps. CII. 16 (17 en Hébreu) est appliqué en Bereshith r 56 (éd. Warsh. p. 104 b) aux temps messianiques.

Ps. CVI. 44. Sur ce qu’on discute dans le Midrash un temps messianiques, énonçant les motifs de cinq sur laquelle Israël est racheté : à travers les souffrances d’Israël à travers la prière, par les mérites des Patriarches, par la repentance envers Dieu et à l’époque de « the end ».

Ps. CX. s’applique partout au Messie. Dans un premier temps, il sous-tend évidemment le Targumic du ver. 4. de même, il est proposé dans le Midr. sur Psaume ii. (bien que l’application principale de celui-ci à Abraham). Mais dans le Midrash sur PS. xviii. 36 (35 dans notre V. A.), Ps. CX. verset 1, « assieds-toi à ma droite » est particulièrement appliqué au Messie, alors qu’Abraham est censé être assis à la gauche.

Verset 2, « La tige de ta force. » Dans une interprétation mystique très curieuse des contributions annoncées qui Tamar demandait, par le Saint-Esprit, de Juda, le joint est interprété comme signifiant le Royaume, le bracelet comme le Sanhédrin et le personnel comme le roi Messie, avec une référence particulière à xi is. et Ps. CX. 2 (Beresh. R. 85, éd. Warsh. p. 153 a) de la même façon en Bemid. R. 18, dernière ligne, le personnel d’Aaron, qui dit avoir été entre les mains de chaque roi jusqu'à ce que le Temple a été détruit et depuis puis ont été cachées, doit être restaurée au roi Messie, selon ce verset ; et dans Yalkut sur ce Psaume (vol. ii. Par. 869, p. 124 c) ce personnel est censé pour être le même que celui de Jacob avec qui il a traversé le Jourdain et de Juda et de Moïse et d’Aaron et le même que David avait dans sa main quand il tua Goliath, qu’il soit aussi celui qui sera restauré à la M Essiah.

Verset 7 est également appliquée aux temps messianiques, quand le flux du sang des méchants devrait sortir, et les oiseaux viennent boire de cette inondation dans Yalkut (u. s. col. d).

Ps. CXVI. 9 est en Ber. R. 96, censés indiquer que les morts de Palestine vivraient tout d’abord à l’époque du Messie.

Ps. CXVI. 13 a été déjà commenté.

Sur Ps. CXVII. 33 le Midrash remarque qu’il y en a trois qui a demandé la sagesse de Dieu : David, Salomon et le roi Messie, ce dernier selon Psaume lxxii. 1.

Ps. cxx. 7 s’applique au Messie dans le Midrash (p. 91 a, éd. Warsh.), la première clause mis en connexion avec Ésaïe lvii. 19, en ce qui concerne les relations du Messie avec les païens, la résistance étant décrite dans la deuxième phrase et le résultat dans le Psaume ii. 9.

Ps. CXXI. 1 est appliqué en Tanchuma (par. Toledoth 14, éd. Warsh. p. 37 b. Voir aussi Yalkut, vol. ii. 878, p. 127 c) au Messie, avec une référence particulière à Zach. IV. 7 et c’est lii. 7.

Ps. CXXVI. 2. Dans Tanchuma sur Exode xv. i. (dir. Warsh. p. 87 a) ce verset est appliqué aux temps messianiques dans une description extatique, qui successivement lx is. 5, Ésaïe lviii. 8, is xxxv. 5, 6, Jérémie xxxi. 13et PS. CXXVI. 2, sont regroupés comme tous s’appliquant à ces derniers jours.

La promesse en Ps. CXXXII. 18 est appliqué dans Pirké de r él ch. 28 aux temps messianiques et verset 14 de Ber. R. 56.

Donc Ps. CXXXIII. 3 en Ber. R. 65 p. 122 a, lignes de clôture.

Les mots en Ps. CXLII. 5 sont appliqués en Ber. R. 74 à la résurrection d’Israël en Palestine à l’époque du Messie.

Les mots : "lorsque tu awakest,' en Prov. VI. 22 sont appliqués messianiques dans Siphré sur le Deutéronome (éd. Friedmann, p. 74 b).

Dans Midr. sur Eccl. i. 9 longuement, il est démontré que le Messie serait adopter de nouveau tous les miracles du passé.

La dernière clause de Eccl. i. 11 est appliqué à l’époque du Messie dans le Targum.

Eccl. VII. 24 est ainsi paraphrasé dans le Targum : "Voici, il est éloigné du fils de l’homme qu’ils doivent savoir ce qui a été fait depuis le début du monde, mais un mystère est le jour de la mort - et le jour où viendra le roi Messie , qui peut le trouver hors de sa sagesse ? »

Dans le Midr. sur Eccl. XI. 8 il est à noter que, cependant, beaucoup d’années, un homme pourrait étudier, son apprentissage serait vide avant l’enseignement du Messie. Dans le Midr. sur Eccl. XII. 1 il est à noter que les jours mauvais sont celles des malheurs du Messie.

Cantiques. Ici, nous avons tout d’abord le passage talmudique (Sheb. 35 b) dans laquelle le principe est posé, qui chaque fois tout au long de ce livre est nommé Salomon, sauf dans les chap. viii. 12, elle s’applique, pas à Salomon, mais à celui qui a été sa paix (il y a ici un jeu sur ces mots et sur le nom de Solomon).

À Cant. je. 8 le Targum rend cet ajout : "ils doivent être nourris dans la captivité, jusqu’au moment que j’enverrai pour eux le roi Messie, qui va les nourrir au calme."

Le verset 17 le Targum contraste donc également le Temple construit par Salomon et le Temple de loin supérieur à être construit à l’époque du Messie, dont les poutres devaient être faits des cèdres du paradis.

Cant. II. 8, bien qu’appliquée par la plupart des autorités à Moïse, est par d’autres visées au Messie (Shir haShirim R., éd. Warsh., p. 15 a, vers le milieu ; Pesiqta, éd. Buber, p. 47, b). Cant. II. 9 est appliquée messianiques dans Pesiqta, éd. Buber, p. 49, a et b.

Le même peut être dit du verset 10 ; alors que dans le cadre du verset 12, dans une application similaire, c’est lii. 7 est cité.

Dans le cadre du verset 13, dans le même Midrash (p. 17 a), rabbin Chija bar Abba parle de quelques grands comme passe à proximité de l’époque du Messie, c'est-à-dire, que les méchants doivent être détruits, citant quant il est iv. 3.

Cant. III. 11, « le jour de son espousals. » Dans Yalkut sur le passage (vol. ii. p. 178 d) cela s’explique : « le jour du Messie, parce que l’un Saint, Béni soit son nom, est assimilé à un époux ; « comme l’époux se réjouit au cours de la mariée » '- et « le jour de la joie de son cœur, « que le jour où le sanctuaire est reconstruit, et Jérusalem est racheté.

Le dévers. IV. 5 le Targum introduit à nouveau la double Messie, celui du fils de David et l’autre le fils d’Ephraïm.

Apriete iv. 16. selon un avis dans le Midrash (p. 25 b, ligne 13 du bas) cela s’applique au Messie, qui vient du Nord et construit le Temple, qui est dans le sud. Voir aussi souvent appelée R. 13, p. 48 b.

Sur apriete v. 10 Yalkut remarques qu’il est blanc à Israël et le rouge aux Gentils, selon Isaïe lxiii. 2.

Yalkut apriete vi. 10 (vol. ii. p. 184 b) possède quelques belles observations, tout d’abord, assimilant Israël dans le désert, et Dieu les actes puissants là, au matin ; et en ajoutant ensuite que, selon une autre opinion, cela lumière du matin est la rédemption du Messie : pour que, lorsque le matin se lève, l’obscurité s’enfuit devant lui, donc obscurité tomberont sur les royaumes de ce monde quand le Messie viendra. Et encore une fois, comme le soleil et la lune apparaissent, alors le Royaume de la Messaih apparaîtront également - les commentaires d’illustrations plues trace.

Cant. VII. 6. Le Midrash commente ainsi à ce sujet (parmi d’autres explications) : Comment fair dans le monde à venir, comment agréable à l’époque du Messie !

Le dévers. VII. 13, le Targum raconte : "quand il doit plaire à Dieu pour délivrer son peuple de captivité, puis il dira au Messie : le temps de la captivité est révolu, et le mérite des justes sera doux devant moi comme l’odeur du baume.'

De la même façon sur apriete viii.1, le Targum a elle : "et à qui le roi Messie ne doit être révélé à des congrégations d’Israël, et les enfants d’Israël doivent lui dire, venez et être un frère nous et montons à Jérusalem et il suce avec toi le sens de la Loi, comme un enfant en bas âge maternel de sa mère. »

Le dévers. VIII. 2 le Targum raconte : « je prendrai toi, Ô roi Messie et te fera monter dans mon Temple, là tu vas m’apprendre à trembler devant l’Éternel et de marcher dans ses voies. Il nous tiendrons la fête du Léviathan et boire le vin vieux, qui a été maintenu dans ses raisins dès le jour du monde a été créé, et des grenadiers et des fruits qui sont préparés pour le juste dans le jardin d’Éden. "

Le verset 4 du Targoum dit : « le roi Messie dira : J’adjure vous, mon peuple, la maison d’Israël, pourquoi vous devriez s’élever contre les païens, à sortir de la captivité, et pourquoi devriez vous vous rebellez contre la puissance de Gog et Magog ? Attendre un peu, jusqu'à ce que ces nations sont consommées qui montent pour lutter contre Jérusalem, puis le Seigneur du monde vous souviendrez et ce sera sa bonne volonté de vous libérer. »

Chap. viii. 11 est appliquée de manière messianique dans le Talmud (Shebhu. 35 b), et est donc le verset 12 dans le Targum.

(Il convient toutefois de remarquer qu’il existe de nombreuses autres références messianiques dans les commentaires sur le Cantique des cantiques.)

Est. i. 25, 26, est ainsi expliqué dans le Talmud (Sanh. 98 a) : « le fils de David ne viendra pas jusqu'à ce que tous les juges et les dirigeants en Israël doivent avoir cessé ».

De même est. II. 4 est interprétée de manière messianique dans Shaab. 63 a.

Is iv. 2 que le Targum s’applique distinctement à l’époque du Messie.

Is iv. 4 a déjà été commenté dans nos remarques sur Genèse xviii. 4, 5et de nouveau sur Deut. xxiii. 11.

Versets 5 et 6 sont signalés en connexion avec le service antérieur d’Israël en contribuant à et en faisant le Tabernacle dans le désert, et il est à remarquer que dans les derniers jours Dieu rendrait il à eux en les couvrant d’un nuage de gloire. Ceci, dans Yalkut (vol. i. p. 99 c) et dans le Midrash sur Psaume xiii., ainsi que dans le Psaume xvi. 9.

Is vi. 13 est mentionné dans le Talmud (Keth. 112 b) aux temps messianiques.

La référence d’Ésaïe vii. 21 à l’époque messianique a déjà été discuté dans nos notes sur Genèse xviii. 7.

Ésaïe viii.14 est appliqué aussi messianiques dans le Talmud (Sanh. 38 a).

Is ix. 6 est expressément appliqué au Messie dans le Targum, et il y a un commentaire très curieux dans Debarim r 1 (éd. Warsh., p. 4 a) dans le cadre d’une discussion aggadique de Genèse xliii. 14, qui, toutefois fantaisiste, en fait une application messianique de ce passage - aussi souvent appelée R. 11.

Verset 7, « L’augmentation de son gouvernement et de la paix n’aura pas de fin, » a été déjà mentionné dans nos commentaires sur num. vi. 26.

Est. x. 27 est dans le Targum appliqué à la destruction des gentils avant le Messie. Est. x. 34, est citée dans le Midrash sur Lam. i. 16, dans la preuve qui en quelque sorte la naissance du Messie devait être liée à la destruction du Temple.

Est. XI., tel qu’il sera facilement cru, est interprété de manière messianique dans les écrits juifs. Donc, pour commencer dans le Targoum sur les versets 1 et 6 ; dans le Talmud (Jérémie Berach. 5 a et Sanh. 93 b) ; et dans un certain nombre de passages dans les Midrashim. Ainsi, verset 1 au Bereshith R. 85 sur Genèse xxxviii. 18, où aussi PS. cx. 2 est cité et en Ber. R. 99, éd. Warsh., p, 178 b. Dans Yalkut (vol. i. p. 247 d, vers le haut), où il est décrit comment Dieu avait montré Moses tous les esprits des dirigeants et des prophètes en Israël, depuis cette époque, vers l’avant, jusqu'à la résurrection, il est dit que tout cela avaient une connaissance et un seul esprit , mais que le Messie avait un esprit qui était égal à tous les autres réunis, selon xi is. 1.

Sur le 2ème verset voir nos remarques sur Genèse i. 2, tandis que dans Yalkut sur Prov. iii. 19, 20 (vol. ii. p. 133 a), le verset est cité dans le cadre des temps messianiques, quand par la sagesse, la compréhension et la connaissance, la Temple sera construit à nouveau. Voir aussi sur ce verset pirq. d. r. El 3.

Le xi Ésaïe. 3 le Talmud (Sanh. 93 b, lignes 21 & c. depuis le sommet) a une explication curieuse. Après avoir cité ch. xi. 2 titre messianique, il fait un jeu sur les mots, « de compréhension rapide, » ou « parfum », telle qu’elle pourrait être rendue et suggèrent que ce mot {hébreu} est destiné à nous enseigner que Dieu lui a chargé avec les commandements et les souffrances comme meules ({hébreu}). Immédiatement après, de l’expression « il ne doit pas juger après la vue de ses yeux, mais le réprimander avec équité pour les humbles de la terre, » il est déduit que le Messie connaissait les pensées du coeur, et il est ajouté que, comme Kokhabh de Bar a été incapable de le faire , il a été tué.

Verset 4, « il frappera la terre avec la verge de sa bouche, » est Messianiquement appliquée dans le Midrash sur le Psaume ii. 2et dans celui sur Ruth ii. 14 - également dans Yalkut is lx.

Verset 7 a été déjà remarqué au sujet de l’Exode xii. 2.

Le verset 10 voir nos remarques sur la Genèse xlix. 10 et PS. xxi. 1.

Verset 11 Messianiquement, appliquée dans Yalkut vlo. i. p. 31 b et vol. ii. 38 a, comme aussi dans le Midrash sur le Psaume cvii. 2.

Verset 12 est Messianiquement appliqué dans ce passage curieux dans le Midrash sur i Lamentations 2, où il est indiqué que, comme les enfants d’Israël péché depuis {hébreu} à {hébreu}, donc Dieu serait dans le confort de ces derniers jours en provenance {hébreu} à {} passages de l’écriture hébraïques} (c'est-à-dire par le biais de tout l’alphabet), dans chaque cas cité.

L’application messianique d’Ésaïe xii. 3 est suffisamment établie par l’ancienne pratique symbolique de déverser de l’eau sur la fête des Tabernacles.

Dans le cadre de Ésaïe xi. 5 le Midrash sur les Psaumes cxviii. 23 tout d’abord parler de l’émerveillement des Egyptiens lorsqu’ils virent le changement en Israël de la servitude à la gloire de leur Exdous, puis ajoute, que les mots devaient, par son Saint-Esprit, s’appliquer aux merveilles des derniers jours (éd. Warsh. p. 85 b).

Sur Ésaïe xiv. 2, voir nos commentaires sur Genèse xviii. 4, 5.

Ésaïe xiv. 29, xv. 2, xvi. 1 et xvi. 5 sont messianiques appliquées dans le Targum.

C’est xviii. 5 s’applique de la même façon dans le Talmud (Sanh. 98 a) ; et c’est xxiii. 15 dans Sanh. 99 une.

C’est xxi. 11, 12 est dans Jérémie Taan. 64 aet dans la SEM. R. 18, appliqué à la manifestation du Messie.

Ésaïe xxiii. 8 le Midr. Eccl. i. 7 voit une référence curieuse pour le retour de la richesse de ce monde en Israël en jours messianiques.

Ésaïe xxiii. Messianiquement, 15 est appliqué dans le Talmud (Sanh 99 a) où l’expression « un roi » est expliquée comme faisant référence au Messie.

Ésaïe xxiv. 23 est appliqué de manière messianique dans le passage curieux souvent appelée R. cité dans Genèse xxii. 18; également en souvent appelée R. 13 (éd. Warsh. p. 51 un).

La promesse remarquable dans Ésaïe xxv. 8 s’applique aux fois du Messie dans le Talmud (Moed Q. 28 b) et dans ce commentaire plus ancien Siphra, (Yalkut i. p. 190 d s’applique le passage vers le monde à venir). Mais l’interprétation plus remarquable est que ce qui se produit dans le cadre c’est lx. 1 (Yalkut ii. 56 c, ligne 16 du bas), où le passage (est. XXV. 8) est après une expostulation la part de Satan en ce qui concerne le Messie, appliqué à la coulée dans la Géhenne de Satan et des gentils. Voir aussi nos remarques sur Exode xii. 2. En Debar. R. 2, Isaïe xxv. 8 s’applique à la destruction de la Jetser ha-Ra et l’abolition de la mort en jours messianiques ; en SEM. R. 30 au temps du Messie.

Verset 9. Tanchuma sur Deutéronome s’ouvre avec un record de comment Dieu pourrait fonctionner tous les miracles, dont il avait fait preuve dans le désert, d’une manière plus complète pour Sion dans les derniers jours, le dernier passage cité dans cet article en est. XXV. 9. (Tanchuma on Deut. éd. Warsh. p. 99 a, ligne 5 du bas).

D' Ésaïe xxvi. 19 il y a application messianique dans le Midrash sur l’Ecclésiaste i. 7.

D' Ésaïe xxvii. 10 SEM. R. 1 et Tanchuma sur Exode ii. 5 (éd. Warsh. p. 64 b) remarque que, comme Moïse, le Messie, qui livrerait son propre des adorateurs de faux dieux, soient porté vers le haut avec ce dernier dans le pays.

Verset 13 est citée dans le Talmud (Rosh. hachage. 11 b) dans le cadre de la délivrance future. Donc aussi dans Yalkut, i. p. 217 det Pirqé de R. El ch. 31.

Ésaïe xxviii. 5 est ainsi paraphrasé dans le Targum : « À ce moment-là le Messie de l’Éternel des armées sera une couronne de joie. »

Ésaïe xxviii. 16 que le Targum s’applique apparemment au Messie. Au moins, si Rachi (sur le passage) le comprend.

C’est xxx. 18 est appliqué de manière messianique Sanh 97 b; verset 15 Jérémie Taan. i. 1.

L’expression dans Ésaïe xxx. 19, « il doit être très aimable à toi, » est appliqué au fond du Messie dans Yalkut sur Zeph. III. 8 (p. 84 c).

Le verset 25 voir nos remarques sur Genèse xviii. 4.

Verset 26 est appliqué aux temps messianiques dans le Talmud (Pes. 68 aet Sanh. 91 b) et de même altitude Pirqé de R. 51 et second livre R. 50. Donc également en Ber. R. 12. Voir nos remarkes sur Genèse ii. 4.

Est. XXXII. 14, 15. Sur ce passage le Midrash de Lam iii. 49 commentaires nettement qu’il est l’un des trois passage dans laquelle mention du Saint-Esprit fait suite à la mention de la rédemption, les deux autres passages soit c’est 22, suivie de lxi. 1 et Lam. iii. 49.

Est. XXXII. 20. La première clause est expliquée par Tanchuma (par. 1. éd. Warsh. p. 4 a, les trois premières lignes) à appliquer à l’étude de la Loi et la seconde pour les deux Messies, le fils de Joseph étant assimilé au bœuf et le fils de David à l’âne , par conséquent à Zach. IX. 9; et même le verset est Messianiquement visé au deb R. 6 (éd. Warsh. Vol. iii. p. 15 b), dans une pièce très curieuse sur les mots dans Deut. xxii. 6, 7, où le respect de ce commandement est censé pour hâter l’avènement du roi-Messie.

Ésaïe xxxv. 1. c’est l’un des passages cités dans Tanchuma sur Deut i. 1. (ed. Warsh. p. 99 a) parmi les miracles que Dieu ferait racheter Zion dans les derniers jours. De même, est verset 2 dans ce chapitre.

Ésaïe xxxv. 5, 6 est à plusieurs reprises demandé aux temps messianiques. Ainsi, dans Yalkut i. 78 cet 157 une; en Ber. R. 95 ; et dans le Midrash sur Psaume cxlvi. 8.

Verset 10 est appliqué uniformément à l’époque messianique dans le Midrash sur Psaume cvii. 1, tandis que dans le même temps il est à noter que cette délivrance sera accomplie par Dieu lui-même et non plus par Elijah, ni par le roi Messie. 6433 6433 Signor Castelli fait remarquer dans son traité savante (Il Messia, p. 164) que la rédemption est toujours attribuée à Dieu et pas au Messie. Mais la distinction est sans importance, vu que c’est en effet le œuvre de Dieu, mais par le Messie, alors que, d’autre part, les écrits rabbiniques consulter fréquemment délivrance d’Israël auprès de l’Office du Messie. Une référence similaire se produit dans Yalkut (vol. ii. p. 162 d), à la fin du commentaire sur le livre des chroniques, à laquelle il est fait remarquer que, dans ce monde, la délivrance d’Israël a été accomplie par l’homme et a été suivie de captivités fraîches, mais dans la ce dernier ou messianiques jours leur délivrance s’accomplirait par Dieu et ne serait pas plus être suivie d’une captivité. Voir aussi second livre R. 15 et 23.

Est. XL. 1 est l’un des passages dénommés dans notre notice sur Ésaïe xi. 12, ainsi que sur Ésaïe xxxv. 1.

La même remarque s’applique aux versets 2 et 3.

Verset 5 est appliquée également messianiques dans Vayyikra R. 1 ; Yalk. II. 77 b vers le milieu.

Le verset 10 Yalkut, en discutant Ex. xxxii. 6 (vol. i. p. 108 c) aborde l’opinion, qui, à l’époque du Messie d’Israël, aurait une double récompense, en raison des calamités qu’elles avaient subi, citant Ésaïe xl . 10.

Est. XLI. 18 a été déjà indiqué dans nos remarques sur Genèse xviii. 4, 5.

Verset 25 est manière messianique appliquée à Bem. R. 13, p. 48 b.

L’expression « Le premier », au ch. xli. 27, est généralement appliqué au Messie ; dans le Targum, selon Rachi ; Bereshith r 63 ; en Vayyikra R. 30 ; et dans le Talmud (Pes. 5 a) ; donc également en Pesiqta (éd. Buber) p. 185 b.

Ésaïe xlii. 1 est appliqué dans le Targum au Messie, comme dans le Midrash ou Psaume ii.; et dans Yalkut ii. 104 p. d. Voir aussi nos commentaires sur Psaume ii. 7.

Sur Ésaïe xliii. 10, le Targum rend « Mon serviteur » par « Mon serviteur du Messie. »

La promesse dans Ésaïe xlv. 22 figure aussi parmi les choses futures mentionnées dans le Midrash sur les Lamentations, dont nous avons parlé dans nos remarques sur Ésaïe xi. 12.

Ésaïe xlix. 8. il y a un remarquable commentaire là-dessus dans Yalkut lors du passage, à l’effet que le Messie souffre à toutes les époques pour les péchés de cette génération, mais qui le jour de la rédemption de Dieu serait réparer tout cela (Yalk. ii. p. 52 b).

Ésaïe xlix. 9 est cité comme les paroles du Messie dans Yalkut (vol. ii. p. 52 b).

Verset 10 est l’un des passages dénommés dans le Midrash sur les Lamentations, cités dans le cadre de Ésaïe xi. 12.

Verset 12 a déjà été remarqué dans notre remarqué sur Exode xii. 2.

L’expression « confort » dans le verset 13, le titre messianique « Menachem » est dérivé. COMP. le Midrash sur Prov. xix. 21.

Verset 14 applique-t-on messianiques dans Yalkut ii. p. 52 c.

Verset 21 est également l’un des passages dénommés dans le Midrash de Lamentations, cités sous PS. xi. 12.

Le verset 23 il est fait remarquer dans Vayyikra R. 27 (éd. Warsh. p. 42 a), que les bénédictions messianiques étaient généralement préfigurées par des événements similaires, comme par exemple, le passage cité ici dans le cas de Nabuchodonosor et Daniel.

Une application messianique de la même expression se produit également dans les paragraphes 33 et 36, en contraste avec le mépris qu’Israël éprouve dans ce monde.

Le second alinéa du verset 23 est appliqué au Messie dans le Midrash sur Psaume ii. 2, quant à être remplie lorsque les gentils doivent voir les jugements terribles.

Verset 26 est également appliqué à la destruction des païens dans R.33 Vayyikra (fin).

C’est Li. 12 est l’un des passages dénommés dans le Midrash de Lamentations, cité dans nos commentaires dans Ésaïe xi. 12.

C’est Li. 12 et 17 sont parmi les passages visés par nos remarques concernant is xxv. 9

IIL est. 3 est appliquée messianiques dans le Talmud (Sanh. 97 b), tandis que le dernier alinéa du verset 2 est l’un des passages cités dans le Midrash sur les Lamentations (voir Ésaïe xi. 12).

La célèbre déclaration d’évangélique en est. LII. 7 est ainsi commenté dans Yalkut vol. ii. p. 53 ( c) : À l’heure quand le One Sainte, bénie être son nom, rachète Israël, trois jours avant le Messie vient d’Elijah et se tient sur les montagnes d’Israël et pleure et pleure pour eux et dit pour eux : Voici la terre d’Israël, combien de temps vous tient dans une terre sèche et déserte ? Et sa voix se fait entendre du bout du monde à la fin du monde, et après qu’il leur dit : paix est venu au monde, la paix est venu au monde, comme il est dit : beaux sur les montagnes, & c. Et quand les méchants l’entendent, ils se réjouissent, et ils disent un à l’autre : paix nous est parvenue. Le deuxième jour, il doit reposer sur les montagnes d’Israël et dira : bon est venu au monde, est bien venu dans le monde, comme il est écrit : qui apporte de bonnes nouvelles du bien. Le troisième jour il doit venir et se sur les montagnes d’Israël et dire : Salut est venu au monde, le salut est venu au monde, comme il est écrit : qui publie le salut.

De même, ce passage est cité dans Yalkut sur Psaume cxxi. 1. Voir aussi nos remarques sur apriete ii. 13.

Verset 8 est l’un des passages dénommés dans le Midrash sur les Lamentations cités plus haut et fréquemment dans d’autres endroits comme Messianique.

Verset 12 applique-t-on messianiques dans le second livre R. 15 et 19.

Verset 13 est appliqué dans le Targum expressément au Messie. Sur les mots « il sera exalté et loué » nous lisons dans Yalkut ii. (Par. 338, p. 53 c, lignes 7 et c. par le bas) : il doit être supérieur à Abraham, à qui s’applique Genèse xiv. 22; plus élevé que Moïse, dont nombres xi. 12 est fondée ; plus élevé que les anges tutélaires, qui, dit-on, Ézéchiel i. 18 . Mais lui il s’applique cela en Zach. IV. 7: « qui es-tu, grande montagne O ?' « Il était blessé pour nos péchés et brisé pour nos iniquités et le châtiment de notre paix est sur lui et avec ses meurtrissures nous sommes guéris. » R. Huma affirme, au nom de R. Acha : toutes les douleurs sont divisés en trois parties ; une partie va de David et les Patriarches, l’autre à la génération de la rébellion (Israël rebelle) et le troisième au roi Messie, comme il est écrit (PS. ii. 7), « mais j’ai mis mon roi sur ma Sainte colline de Sion. » Suit alors une citation curieuse du Midrash sur Samuel, dans laquelle le Messie indique que sa demeure est sur le Mont Sion, et cette culpabilité est liée à la destruction de ses murs.

En ce qui concerne is liii. nous rappeler, que le nom messianique de « Lépreux » (Sanh. 98 b) est expressément fondé sur elle. Ésaïe liii. 10 est appliquée dans le Targoum sur le passage vers le Royaume du Messie.

Verset 5 est Messianiquement interprété, dans le Midrash sur Samuel (éd. Lemberg, p. 45 a, dernière ligne), où il est dit que toutes les souffrances sont divisés en trois parties, dont un portait le Messie - une remarque qui est mises en relation avec Ruth ii. 14. (Voir nos commentaires sur ce passage.)

C’est liv. 2 devrait être fulfulled dans les temps messianiques (Vayyikra R. 10).

C’est liv. 5. dans le second livre R. 15, cela est expressément appliqué à jours messianiques.

C’est liv. 11 est plusieurs fois appliqué à la gloire messianique, comme, par exemple, dans le second livre R. 15. (Voir nos commentaires sur Exode xii. 2.)

Est donc le verset 13, comme dans Yalkut (vol. i. 78 c) ; dans le Midrash sur les Psaumes xxi. 1; et dans d’autres passages.

C’est NV. 12 est renvoyé aux temps messianiques, comme dans le Midrash sur Psaume xiii.

Ésaïe lvi. 1. voir nos commentaires sur Exode xxi. 1.

Verset 7 est l’un des passages dans le Midrash sur les Lamentations que nous avons citée dans Ésaïe xi. 12.

Sur Ésaïe lvii. 14 Bemidhar r 15 (éd. Warsh. p. 64 a) exprime une idée curieuse sur la pierre d’achoppement, comme mystiquement le mauvais penchant et ajoute que la promesse s’applique à l’enlèvement de Dieu de lui dans le monde à venir, ou bien il peut être en jours messianiques.

Verset 16 reçoit dans le Talmud (Yeb. 62 a et 63 b) et dans le Midr. sur Exxl. i. 6 le commentaire suivant de curieux : « Le fils de David ne viendra pas jusqu'à ce que toutes les âmes sont terminées qui sont dans le Guph » - (c'est-à-dire la préexistence des âmes est enseignée, et qu’elles sont conservées dans le ciel jusqu'à ce que l’un après l’autre apparaît sous forme humaine et que le Messie est maintenu en arrière jusqu'à ce que tous ceux-ci sont apparus), une preuve de cela étant dérivé d’Ésaïe lvii. 16.

De même chap. lix. 15 s’applique aux temps messianiques dans Sanh. 97 aainsi Midr. sur apriete ii. 13; et le verset 19 dans Sanh. 98 un.

Verset 17 s’applique aux temps messianiques dans Pesiqta, éd. Buber, p. 149 une.

Verset 20 est l’un des passages mentionnés dans le Midrash sur les Lamentations citées plus haut. (Voir Ésaïe xi. 12.)

C’est lix. 19, 20, s’applique aux temps messianiques dans Sanh. 98 a. Pesiqta 166 b , c’est de la même manière appliquée, la forme singulière (plene) dans lequel le mot Grondin (Rédempteur) est écrit prises pour indiquer le Messie comme le Rédempteur dans le plein sens.

Is lx. 1. Ceci est appliqué dans le Targum aux temps messianiques. De même, il est expliqué dans Ber. R. i. en ce qui concerne les Dan. II. 2; en Ber. R. 2 ; et aussi en mais R. 15 et 21. Dans Yalkut nous avons quelques remarques très intéressantes sur le sujet. Donc (vol. i. par. 363, p. 99 c), commentant Exod xxv. 3 & c., dans une description très curieuse de Dieu dans le monde à venir le retour en Israël les différentes choses qui on avait offert pour le Tabernacle, l’huile est mis en connexion avec le Messie, se référant à Psaume cxxxii. 17 et is lx. 1. encore une fois, p. 215 c (au commencement de la Parashah Behaalothekha) nous avons, tout d’abord, une très curieuse comparaison entre le travail du Tabernacle et celui des six jours de la création, après quoi la question est posée : Pourquoi Moïse fit sept feux, et Salomon soixante-dix ? Pour cela la réponse est donnée, que Moïse déracinée de sept nations devant Israël, tandis que Salomon régnait sur toutes les soixante-dix nations constituant, selon les idées juives, le monde. Sur ce, il est ajouté, que Dieu avait promis, que qu’Israël avait éclairé pour sa gloire, les lumières dans theSanctuary, donc il dans les derniers jours comblerait Jérusalem de sa gloire, selon la promesse dans Ésaïe, lx. 1 et également mis en place au milieu de celui-ci li SMTG, selon Zeph. i. 12. Encore plus clairement, est l’interprétation messianique d' Ésaïe, lx. mis en évidence dans les commentaires dans Yalkut sur ce chapitre. Une partie de celui-ci est tellement curieuse qu’il peut trouver ici un lieu. Après avoir expliqué que cette lumière pour lequel Israël est à la recherche est la lumière du Messie, et que Genèse i. 4 a vraiment elle, il est ajouté que cette mesure vise à nous enseigner que Dieu attend avec impatience l’âge du Messie et de ses œuvres avant la création du monde et qu’il cachait cette lumière pour le Messie et sa génération sous son trône de gloire. Sur de Satan lui pour qui cette lumière était destinée remettre en question, la réponse est : pour lui qui dans les derniers jours te conquérir et couvrir ton visage de honte. Sur lequel Satan demande au pour rencontrer et quand on le voit lui, tombe sur son visage et dit : J’avoue que c’est le Messie qui sera capable de me jeter dans les derniers jours et tous les Gentils, dans la Géhenne, d’après Ésaïe xxv. 8. À cette heure toutes les nations vont trembler et dire befire Dieu : qui est-ce dans sa main, nous tombons, quel est son nom, et quel est son but ? Sur lequel Dieu répond : il s’agit d’Ephraïm, le Messie [le deuxième Messie, le fils de Joseph] ; « Ma justice est son nom. » Et donc les commentaires s’allume au toucher sur le Psaume lxxxix. 23, 24et 26, d’une manière plus profondément intéressante, mais qu’il serait impossible ici pleinement à donner (Yalkut, vol. ii. Article 359, p. 56, c). Dans le col d il y a plus loin remarquables discussions concernant le Messie, dans le cadre de la guerre dans les jours où le Messie devait être révélée et la sécurité finale d’Israël. Mais le passage plus remarquable de tous, nous rappelant l’histoire de la tentation, presque, c’est que qui lit comme suit (ligne 22 & c. par le haut) : c’est une tradition de nos rabbins que, à l’heure quand le roi Messie arrive, il se dresse sur le toit du Temple et proclame à eux, que l’heure de leur délivrance est venu, et que s’ils croyaient qu’ils auraient réjouissez-vous dans la lumière qui était passé sur eux, comme il est écrit (est. LX. 1), « lève-toi, resplendis, car ta lumière arrive. » Cette lumière serait pour eux seuls, comme il est écrit (ver. 2), « car les ténèbres couvrent la terre. » En cette heure aussi Dieu prendrait la lumière du Messie d’Israël, et tout devrait marcher à la lumière du Messie et d’Israël, comme il est écrit (ver. 3), ' gentils viendra à ta lumière et les rois à l’éclat de ton lever. » Et les rois des nations devraient lécher la poussière sous le pied du Messie, et devraient tous tombent sur leurs faces devant lui et devant Israël et dis : soyons serviteurs à toi et à Israël. Et le passage continue à décrire la gloire des derniers jours. En effet, l’ensemble de ce chapitre peut être considéré comme plein d’interprétations messianiques.

Après cela, il scarecely faut dire que versets 2, 3 et 4 s’appliquent de la même façon dans les Midrashim. Mais il est intéressant de remarquer que le verset 2 est spécifiquement appliqué aux temps messianiques dans le Talmud (Sanh. 99 a), en réponse à la question quand le Messie doit venir.

Le verset 4, le Midrash sur apriete i. 4, les mots « nous seront heureux et se réjouissent en toi, » a la belle illustration suivante. Une reine est introduite dont mari et les fils et gendres aller dans un pays lointain. Bonnes nouvelles sont présentées à elle : tes fils sont revenir. Sur lequel elle dit : Cause de joie j’ai, mes belles-filles vont se réjouir. Ensuite, bonnes nouvelles sont présentées à elle que ses gendres sont à venir, et elle est ravie que ses filles vont se réjouir. Enfin, la bonne nouvelle est présentée : le roi, ton mari, vient. Sur lequel elle répond : c’est en effet parfaite joie, joie unpon joie. Alors dans les derniers jours seraient les prophètes Venez et dis à Jérusalem : « tes fils doivent provenir de loin » (verset 4), et elle va dire : quelle joie c’est pour moi ! -« et tes filles doivent être soignées à tes côtés, » et encore une fois qu’elle va dire : quelle joie c’est pour moi ! Mais quand on dira à son (Zach. IX. 9) : « Voici, ton roi vient à toi ; Il est juste et d’avoir le Salut, » puis Zion dira : c’est en effet la joie parfaite, comme il est écrit (Zach. IX. 9), « D’allégresse, fille de Sion, » et encore une fois (Zach. II. 10), « chanter et réjouis-toi, fille de Sion ». En cette heure, elle dira (Ésaïe lxi. 10) : « Je me réjouirai en l’Éternel, mon âme sera joyeuse en mon Dieu. »

Verset 7 est appliqué messianiques dans le Talmud (Agnus. SAR. 24 un).

Verset 8 est appliqué messianiques dans le Midrash sur Psaume xlvii. 13.

Dans le cadre du verset 19 dans Yalkut (vol. i. p. 103 b), nous lisons que Dieu a dit à Israël : dans ce monde vous êtes engagé (ou s’occupa) avec la lumière pour le sanctuaire, mais dans le monde à venir, pour le mérite de cette lumière, je vous envoie le roi Messie , Qui est assimilé à une lumière, selon Psaume cxxxii. 17 et c’est lx. 19, « le Seigneur sera pour toi une lumière éternelle. »

Verset 21 est donc mentionné dans le Talmud (Sanh. 98 a) : « rabbin Jochanan a dit, le fils de David ne viendra pas, jusqu'à ce que tout soit juste ou être injuste :' l’ancien selon Ésaïe, lx. 21, ce dernier selon est. LIX. 16.

Verset 22 sert également de manière messianique dans le passage talmudique ci-dessus cité.

Ésaïe lxi. 1 a déjà été mentionné dans nos remarques sur Ésaïe xxxii. 14, 15.

Le verset 5 il y a une curieuse histoire associée (Yalkut, vol. i. par. 212, p. 64 a, lignes 23-17 par le bas) dans lequel, en réponse à une question, ce qui allait devenir des nations à l’époque du Messie, la réponse est étant donné que chaque nation et e m qui avait persécuté et se moquaient d’Israël serait voir et on confond et n’avoir aucune part dans la vie ; mais que chaque nation et un royaume qui n’avait pas alors traité avec Israël viendrait et être fermiers et vignerons en Israël à l’époque du Messie. Une déclaration semblable à cela se trouve dans le Midrash sur Eccl. ii. 7.

Verset 9 s’applique également aux temps messianiques.

Verset 10 est l’un des passages àl Tanchuma sur Deut i. 1 cité dans Ésaïe xxv. 9. Dans Pesiqta, éd. Buber, p. 149 un, le verset est expliqué comme s’appliquant à la gloire de l’apparence du Messie.

Ésaïe lxii. 10 a déjà été mentionnée dans nos remarques sur Ésaïe lvii. 14.

Ésaïe lxiii. s’applique au Messie, qui vient de la terre après avoir vu la destruction des païens, dans Eliez Pirqé de r. c. 30.

Verset 2 a été relaté dans nos commentaires sur apriete v. 10. Il est également cité en référence messianiques jours dans Pesiqta, éd. Buber, p. 149 une.

Verset 4 est expliquée comme pointant à l’époque du Messie, qui est censés pour être 365 ans, selon le nombre de jours solaires (Sanh. 99 a) ; alors que dans d’autres passages des Midrashim, la destruction de Rome et la venue du Messie sont jointes avec le jour de la vengeance. Voir aussi le Midr. sur Eccl. xii. 10.

Ésaïe lxiv. 4 (3 en Hébreu). Dans Yalkut sur c’est lx. (vol. ii. p. 56 d, ligne 6, & c., en partant du bas) Messianique est demandée de ce passage dans un récit légendaire de la sept tentes qui ferait du Messie, de chacune d'entre elles continuer quatre filières du vin, lait, miel et balsam pure de Dieu. Puis, Dieu est représenté comme parlant des souffrances que le Messie devait subir, après quoi le verset en question est cité.

Ésaïe lxv. 17 est quouted dans le Midrash sur les Lamentations, dénommés dans nos remarques sur Ésaïe xi. 12.

Verset 19 est l’un des passages àl Tanchuma sur Deut i. 1. Voir Ésaïe xxv. 9.

Au verset 25, nous avons le renvoi indicatif curieux suivant en Ber. R. 20 (éd. Warsh. p. 38 b, ligne 6 par le bas) dans le cadre de l’automne : dans les derniers jours, tout doit être guéri à nouveau (encore une fois restauré) sauf le serpent (Ésaïe lxv. 25) et les Gabaonites (Ézéchiel xlviii. 19). Mais une application encore plus étrange du verset se produit dans le Midrash même (par. 95, éd. Warsh. p. 170 a), où les clauses de l’ouverture de celui-ci sont cités avec cette remarque : Venez voir tout ce que le Saint, Béni soit son nom, a frappé dans ce monde , Il guérira dans les derniers jours. À qui s’ensuit une dissertation curieuse, pour prouver que tout homme semblerait après la mort, exactement comme il avait été en vie, si aveugle, sourd-muet ou hésitants, nay, même dans la même robe, comme dans le cas de Samuel quand Saul vu lui - mais qui par la suite Dieu guérirait la disea sed.

Ésaïe lxvi. 7 s’applique aux temps messianiques dans Vayyikra r 14 (dernière ligne), et sont donc certains de ces versets suivants dans les Midrashim, notamment sur GEN xxxiii. 1.

Est. LXVIII. 22 est appliqué aux temps messianiques dans Ber. R. 12. Voir nos remarques sur Genèse ii. 4.

Jer. III. 17 est appliqué aux jours messianiques dans Yalkut sur Joshua iii. 9 & c. (vol. ii. p. 3 c, ligne 17 du haut), et est donc verset 18 dans les commentaires sur les mots de apriete i. 16 « notre lit est vert, » l’expression étant entendu des dix tribus, qui avaient été emmenés captifs au-delà de la rivière Sabbayon ; mais quand vint de délivrance de Juda, Juda et Benjamin seraient aller vers eux et les rapporter, qu’ils pourraient être CLD des jours du Messie (vol. ii. p., 176 d, ligne 9 & c. par le bas).

Jérémie v. 19 est mentionné dans l’Introd. l’Echa R. comme l’un des trois passages permettant de déduire de l’apostasie d’Israël la venue proche du Messie.

L’expression « speckled bird » à Jérémie xii. 9 s’applique au Messie dans Eliez Pirqé de r. c. 28.

Le dernier mot dans Jérémie xvi. 13 faite à la base du Chaninah, nom donné au Messie dans le Talmud (Sanh. 98 b) et dans le Midr. sur Lam. i. 16.

Le verset 14 Mechilta a elle, que dans les derniers jours l’Exode ne serait pas plus mentionné en raison des merveilles plus alors connu.

Sur Jérémie xxiii. 5, 6, le Targum raconte : « Et je susciterai à David le Messie le juste. » C’est l’un des passages d'où fonction rabbiniques vues, un des noms du Messie est dérivé, viz : Jéhovah notre justice. Ainsi, dans le Talmud (Babba Bathra 75 b), dans le Midrash sur les Psaumes xxi. 1, Prov. xix. 21et dans celui sur Lamentations i. 16.

Le verset 7 voir nos remarques sur Jérémie xvi 14. Dans le Talmud (Ber. 12 b) ce verset est distinctement appliqué à jours messianiques. Jérémie xxx. 9 est appliquée messianiques dans le Targoum sur le passage.

Jérémie xxx. 21 s’applique au Messie dans le Targum, ainsi que dans le Midrash sur les Psaumes xxi. 7.

Sur Jérémie xxxi. 8, 3rd clause, Yalkut a un messianique interprétation, bien qu’extrêmement tiré par les cheveux. En général, les versets suivants sont messianiques interprétés dans les Midrashim.

Verset 20 applique-t-on messianiques dans Yalkut (ii. p. 66 c, fin), où il est censé faire référence au Messie alors emprisonné, lorsque toutes les nations se moquent et hochent la tête vers lui. Une interprétation plus remarquable se produit toujours dans le passage sur Ésaïe lx. 1, dont nous avons déjà parlé. Quelques extraits plus loin il peuvent être intéressants. Ainsi, lorsque les ennemis du Messie fuient devant lui. Dieu est censé pour faire un accord avec le Messie à cet effet : les péchés de ceux qui sont cachés avec toi entraîne toi à mettre sous un joug de fer, et ils vont faire avec toi comme avec ce veau, dont les yeux sont couverts et ils vont s’étouffer ton esprit sous le joug, et en raison de leurs péchés ta langue doit s’attacher à ta bouche. Sur lequel le Messie s’enquiert si ces troubles sont de mise pour nombreuses années et les réponses de Saintes qu’il a décrété une semaine, mais que si son âme était dans la douleur, il serait immédiatement dissiper ces chagrins. Là-dessus, le Messie dit : Seigneur du monde, avec l’allégresse et la joie du cœur, je le prends sur moi, à condition que pas un seul d’Israël ne périsse, et que non seulement les seules doivent être enregistrées qui sont dans mes jours, mais aussi ceux qui sont cachés dans la poussière ; et que non seulement les morts doivent être enregistrées qui sont dans mes jours, mais aussi ceux qui sont morts depuis l’époque du premier Adam jusqu'à maintenant ; et non celles, mais aussi ceux qui sont nés prématurément. Et seulement ceux-ci, mais aussi ceux qui sont entrés en tes connaissances à leur création, mais n’ont pas encore été créées. Donc je suis d’accord, et donc je prends tout sur moi. Dans le hebdomad quand le fils de David vient, ils mettent des poutres de fer et doivent rendre un carcan au cou, jusqu'à ce que sa stature est courbé vers le bas. Mais il pleure et pleure et élève sa voix en haut et dit devant lui : Seigneur du monde, ce qui est ma force, mon esprit et mon âme et mes membres ? Je ne suis pas chair et de sang ? En cet honneur, David (le fils de David) pleure et dit : « ma force est asséché comme un tesson ». En cette heure l’un Saint, Béni soit son nom, dit : Ephraïm le Messie, mon seul juste, tu as déjà pris cela sur toi avant les six jours du monde, maintenant ton angoisse sera comme mon angoisse ; pour partir du moment que Nebucadnetsar, malin, a venir détruit ma maison et brûlé mon sanctuaire et j’ai envoyé en captivité mes enfants parmi les enfants des gentils, de ma vie, et par la vie de ta tête, je n'ai pas assis sur mon trône. Et si tu ne veux pas Me croire, voir la rosée qui est sur ma tête, comme il est dit (apriete v. 2) « ma tête est remplie de rosée. » À cette heure le Messie lui répond : Seigneur du monde, maintenant je suis apaisé, car il suffit que le serviteur qu’il est comme son maître (son qui nous rappelle notre Seigneur disant : St. Matt. x. 25 ). R. Isaac remarques alors que dans l’année où le roi Messie sera révélé, toutes les nations seront élèvera uns contre les autres (nous avons déjà cité ce passage dans un autre endroit, ainsi que sur le Messie debout sur le toit du Temple). Il suit alors comme une tradition des rabbins : dans les derniers jours, les pères doivent se lever au mois de Nisan et lui dire : Ephraïm, le Messie, notre justice, bien que nous sommes ton père, tu es mieux que nous, parce que tu as supporté tous les péchés de notre s ons et mesure difficile et mal a passé sur toi, comme n’a été passée sur ceux d’avant ou sur ceux après. Et tu as été pour rire et la dérision aux nations dans un souci d’Israël et tu as a demeuré dans l’obscurité et dans la brume et tes yeux n’ont pas vu la lumière, ta lumière se cramponnait à toi seul et ton corps a été séché vers le haut comme le bois et tes yeux furent assombries par le jeûne, et ta force a été séché vers le haut comme un postsherd. Et tout cela en raison des péchés de nos enfants. C’est ta volonté que notre fils doivent jouir la bonne chose qui Godhad affiché à Israël ? Ou peut-être en raison de l’angoisse que tu as souffert pour eux, parce qu’ils ont liés toi dans la maison de la prison, veux-tu pas donner leur son ? Il leur dit : pères du monde, tout ce que j’ai fait je l’ai fait pour votre bien et pour le bien de vos enfants, qu’ils peuvent jouir que la bonté dont l’un Saint, Béni soit-il, a fait preuve en Israël. Puis lui dire les pères du monde : Ephraïm, Messie, notre justice, être tu réconciliés avec nous, parce que tu as réconcilié ils Maker et nous. R. Siméon, fils de Pasi, à cette heure l’un Saint, Béni soit son nom, exalte le Messie pour les cieux des cieux et s’étend sur lui la splendeur de sa gloire, en raison de l’Organisation des nations du monde et les Perses méchants. Puis les pères du monde pour lui dire : Ephraïm, Messie, notre justice, sois leur juge et fassent ce que désire le ton âme. Car à moins que la miséricorde a été multipliée sur toi, ils auraient longtemps exterminé toi soudain du monde, comme il est écrit (Jérémie xxxi. 20) « Est Ephraim mon cher fils ? » Et pourquoi est l’expression : « J’aurai sûrement la miséricorde » [en Hébreu redoublée : « avoir pitié je vais avoir pitié »], mais que la première expression « miséricorde » se réfère à l’heure où il était tenu en prison, quand jour après jour ils claquèrent avec leurs dents et cligna de le œil avec leur e Oui et hocha la tête et l’échelle-ouvert la bouche, comme il est écrit dans le Psaume xxii. 7 [8 en Hébreu] ; tandis que la deuxième expression « J’aurai miséricorde » se réfère à l’heure quand il est sorti la maison-prison, quand non seulement un Royaume, pas deux, vint contre lui, mais 140 royaumes est venu en rond autour de lui, et le One Saint, Béni soit son nom, lui dit : Ephraïm, Messie, mon seul juste, n’ayez ne pas peur, pour tous que ces périra par le souffle de ta bouche, comme il est écrit (Ésaïe xi. 4). Tant que cette citation peut être, son intérêt semble suffisante pour justifier son insertion.

Jérémie xxxi. 31, 33 et 34 sont appliquées aux temps messianiques dans Yalkut (vol. i. p. 196 c; 78 c; et en vol. ii. p. 54 bet p. 66 d).

Jérémie xxxiii. 13. la fin du verset est ainsi paraphrasée dans le Targum : « les gens doivent encore apprendre par les mains du Messie, » tandis que dans Yalkut (vol. i. p.105 d) il est fait mention d’un rassemblement de décupler d’Israël, le dernier - dans le cadre de ce verset - dans les derniers jours s.

Sur Lam. j’ai. 16 il y dans le Midrash R. (dir. Warsh. p. 64 b) l’histoire curieuse de la naissance du Messie dans le palais royal de Bethléem, qui se produit aussi dans le Talmud de Jérémie.

Lam. ii. 22, premier alinéa. Le Targum ici Remarque : Thou wilt proclamer la liberté de ton peuple, la maison d’Israël, par la main du Messie.

Lam. iv. 22, premier alinéa. Le Targum ici Remarques : après ces choses cessent ton iniquité et tu vas être mis en liberté par les mains du Messie et par les mains d’Elie le prêtre

EZ xi. 19 est appliqué sur le grand changement spirituel qui devait avoir lieu dans les jours messianiques, quand les convoitises seraient prises hors cœur (deb R. 6, à la fin ; et aussi dans d’autres passages midrashique).

Ézéchiel xvi. 55 est dénommé parmi les dix choses que Dieu renouvellerait en jours messianiques - la reconstruction des villes ruinées, y compris de Sodome et Gomorrhe, étant la quatrième (Shem. R. 15, éd. Warsh. p. 24 b).

Ézéchiel xvii. 22 et 23 est distinctement et très joliment appelé le Messie dans le Targum.

Ézéchiel xxv. 14 s’applique à la destruction de toutes les nations par Israël à l’époque du Messie dans souvent appelée R. sur nombres ii. 32 (par. 2, éd. Warsh. p. 5 b).

Ézéchiel xxix. 21 figure parmi les passages appliqués jusqu’au moment où le Messie viendrait, dans Sanh. 98 un.

Est donc Ézéchiel xxxii. 14.

Ézéchiel xxxvi. 25 est appliqué à l’époque messianique comme dans le Targum et dans Yalkut (vol. i. p. 235 a), comme notre dans le Talmud (Kidd. 72 b).

Le verset 27 voir nos remarques sur le chap. xi. 19.

Ézéchiel xxxix. 2 est appliqué Messianiquement souvent appelée R. 13, Warsh. p. 48 b.

Ézéchiel xlvii. 9 et 12 sont cités comme la deuxième et les troisième choses dont Dieu se renouveler dans les derniers jours (Shem. R. 15) - le second étant, que les eaux vives devraient aller hors de Jérusalem et le troisième, que les arbres devraient porter leurs fruits chaque mois, et le malade guéri par eux.

À Ézéchiel xlviii. 19 que le Talmud (Baba B. 122 a) a le commentaire suivant de curieux, que la terre d’Israël seraient divisé en tribus treizième, les treizième appartenant au Prince et ce verset sont cité comme preuve.

Dan. II. 22 Messianiquement, appliquée dans le Ber. R. 1 et dans le Midr. sur complainte. i. 16, où il donne lieu à un autre nom du Messie : le Lightgiver.

Verset 35 est appliquée de la même façon le Eliez Pirqé de r. ch. 11 et verset 44 ch. 30.

Dan. VII. 9. Ce passage a été interprété par R. Akiba comme impliquant qu’un trône a été fixé pour Dieu et l’autre pour le Messie (Chag. 14 a).

Dan. VII. 13 est curieusement expliqué dans le Talmud (Sanh. 98 a), où il est dit que, si Israël s’est comporté dignement, le Messie viendrait dans les nuées du ciel ; si autrement, humble et monté sur un âne.

Dan. VII. 27 est appliqué aux temps messianiques dans Bem. R. 11.

Dan. VIII. 13, 14. Par une combinaison très curieuse ces versets sont mis en connexion avec Genèse iii. 22 (« homme est devenu comme un des nôtres ») et on soutient que, dans l’innocence primitive et la gloire de l’homme messianique jours serait rétablie à lui et il devenu comme l’un de la êtres célestes, Ber. R. 21 (éd. Warsh. p. 41 a).

Dan. IX. 24. Dans Naz. 32 b il est à noter que celui visé à la fois quand le deuxième Temple devait être détruit. Donc aussi dans Yalkut, vol. ii. p. 79 d, lignes 16 & c. par le bas.

Dan. XII. 3 s’applique aux temps messianiques dans un beau passage de Shem. R. 15 (à la fin).

Dan. XII. 11, 12. Ces deux versets reçoivent une interprétation messianique particulière et que par l’autorité des rabbins. Il fait valoir que, comme Moïse, le premier Rédempteur, est apparu et a été retiré pour un temps et puis réapparu, ce serait la deuxième Rédempteur ; et l’intervalle entre sa disparition et réapparition est calculée à 45 jours, est arrivés à en déduisant les 1290 jours de la cessation du sacrifice (Dan. XII. 11) depuis les 1 335 jours de Dan. XII. 12 (Midr. sur Ruth ii. 14, éd. Warsh. p. 43 b).

Osée ii. 2 est expliquée dans le Midr. PS. xlv. 1 comme impliquant rachat de qu’Israël serait quand ils étaient au plus bas.

Osée ii. 13 est l’un des trois passages mentionnés sur Jérémie c. 19.

Osée ii. 18 est citée dans la SEM. R. 15 (sur Exode xii. 2) que la septième des dix choses que Dieu ferait de nouveau dans les jours messianiques.

Osée iii. 5 s’applique au Messie dans le Targum et de là le Talm de Jérémie. (Ber. 5 a) dérive du nom de David comme l’un de ceux donnés au Messie.

Osée vi. 2 est appliqué messianiques dans le Targum.

Hos. XIII. 14 s’applique à la délivrance par le Messie de ceux d’Israël qui se trouvent dans Gehinnom, dont il rend libre ; -le terme Zion étant entendu du paradis. Voir Yalk. sur c’est le paragraphe 269, COMP. Maas. de r. Joshua en Beth ha-Midr de Jellinek. II. p. 50.

Hos. XIV. 7 est appliqué de manière messianique dans le Targum.

Joel ii. 28 est expliquée dans les Midrashim comme désignant les derniers jours, quand tout Israël sera prophètes (souvent appelée R. 15 ; Yalkut i. p. 220 cet autres lieux).

Joel iii. 18 s’applique de la même façon dans les Midrashim, comme dans le Psaume xiii. et dans d’autres. La dernière phrase de ce verset est expliquée dans le Midr. sur l' Ecclésiaste i. 9 de laisser entendre que le Messie causerait une fontaine miraculeusement à surgir, comme Moïse a fait dans le désert.

Amos iv. 7 est Midr. sur apriete ii. 13 appliqué à la première des sept années avant l’arrivé du Messie.

V d’Amos. 18 est un des passages produites dans le Talmud (Sanh. 98 b) d’expliquer pourquoi certains rabbins ne souhaitent pas voir le jour du Messie.

Viii d’Amos. 11 s’applique aux temps messianiques dans Ber. R. 25.

Amos ix. 11 y a un passage remarquable messianique. Ainsi, dans le Talmud (Sanh. 96 b) où le Messie est appelé le « fils de the Fallen », le nom s’explique par une référence à ce passage. Encore une fois, en Ber. R. 88, dernières trois lignes (éd. Warsh. p. 157 a) après avoir énuméré les délivrances inattendues dont Israël avait connu autrefois, il est ajouté : qui aurait pu s’attendre que le tabernacle déchu de David devrait être suscité par Dieu, comme il est écrit ( Amos ix. 11) et qui aurait dû s’attendre que le monde entier devrait devenir un bundle (étant rassemblés en une seule église) ? Pourtant, il est écrit Zeph. III. 9. COMP. aussi la longue discussion dans Yalkut sur ce passage (vol. ii. p. 80 a et b).

Obadiah versets 18 et 21 sont appliqués du Royaume et le temps du Messie avec deb R. 1.

Micah ii. 13. voir nos remarques sur Genèse xviii. 4, 5. Le passage est cité également messianiques dans le Midrash sur Prov. vi. (éd. Lemberg, p. 5 a, deux premières lignes).

La promesse dans Michée iv. 3 est appliquée à l’époque du Messie dans le Talmud (Shaab. 63 a).

Est donc la prédiction dans le verset 5 dans le second livre R. 15 ; alors que le verset 8 sont donc commentées dans le Targum : « Et toi Messie d’Israël, qui vas être masqué en raison des péchés de Sion, à toi est le Kingdom come. »

Le passage de côteau, Micah v. 2, est certes messianique. Ainsi, dans le Targum, dans le Eliez Pirqé de r. c. 3 et par les rabbins plus tard.

Verset 3 est appliqué dans le Talmud, le fait que le Messie ne devait ne pas venir jusqu'à ce que le Royaume hostile s’est répandue pendant neuf mois dans le monde entier (Yoma 10 a), ou encore, sur la terre entière d’Israël (Sanh. 98 b).

De la même façon Micah vii. 6 s’applique aux temps messianiques dans Sanh. 97 aet Sota 49 b; également dans le Midr. sur apriete ii. 13. Et est donc le verset 15 dans Yalkut (vol. ii. p. 112 b.)

Dans Michée vii. 8, l’expression, Jéhovah doit être lumière pour moi, est considérée à l’époque du Messie avec deb R. 11, éd. Warsh. vol. v. p. 22 a.

Nahum ii. 1. voir nos remarques sur Ésaïe lii. 7.

Habacuc ii. 3. cela s’applique aux temps messianiques dans un remarquable passage Sanh. 97 b, qui sera cité dans son intégralité à la fin de la présente annexe ; aussi dans Yalkut, vol. ii. p. 83 b.

Habacuc iii. 18 s’applique aux temps messianiques dans le Targum.

Sophonie iii. 8. les mots rendus dans notre A.V. « le jour où je me lèverai pour le butin » sont traduits « de témoignage » et appliqués au témoignage de roulement de Dieu pour le Messie (Yalkut, vol. ii. p. 84 c, la ligne 6 du haut).

Verset 9 est appliquée à la conversion volontaire des gentils à l’époque du Messie dans le Talmud (Abhod. Zarah, 24 a) ; et en Ber. R. 88 ; et le verset 11 dans Sanh. 98 un.

Aggée ii. 6 est expressément appliqué à la rédemption de venir à deb r 1 (éd. Warsh. p. 4 b, ligne 15 du haut).

Zacharie. J’ai. 20. Les quatre charpentiers il parlés de sont diversement interprétées dans le Talmud (Sukk. 52 b) et dans le Midrash (souvent appelée R. 14). Mais les deux d’accord que l’un d’eux se réfère au Messie.

Zach. II. 10 est l’un des passages messianiques auxquels nous avons parlé dans nos remarques sur Ésaïe lx. 4. Il a également une fonte messianique dans le Targum.

Zacharie. III. 8. La désignation « Succursale » est expressément appliquée au roi Messie dans le Targum. En effet, c’est un des noms propres du Messie.

Verset 10 est cité dans le Midrash sur PS. lxxii. (éd. Warsh. p. 56 a, en haut) dans une description du temps futur de la paix universelle.

Zach. IV. 7 est généralement appliqué au Messie, expressément dans le Targum, ainsi que dans plusieurs des Midrashim. Ainsi, en ce qui concerne les deux clauses de celui-ci, en Tanchuma (par. Toledoth 14, éd. Warsh. p. 37 b et 38 a).

Verset 10 est expliquée Messianiquement Tanchuma (u. s.).

Zach. VI. 12 est universellement admis pour être messianique. Ainsi, dans le Targum, le Talmud de Jérusalem (Ber. 5 a), dans le Eliez Pirqé de r. c. 48 et dans les Midrashim.

Zacharie. VII. 13 est l’un des trois passages censées marquer la venue proche du Messie. Voir nos remarques sur Jérémie c. 19.

Zacharie. VIII. 12 est appliqué aux temps messianiques dans Ber. R. 12. Voir nos remarques sur Genèse ii. 4.

Zacharie. VIII. 23 est l’une des prédictions censées être remplie dans les temps messianiques, il a été noté toutefois qu’il se réfère à la directive dans le droit dans ce passage remarquable sur Ésaïe lx. 1 dans Yalkut ii. p. 56 d, dont nous avons déjà parlé.

Dans Zacharie . IX. 1 le nom « Chadrakh » est mystiquement séparés en « Tchad », sharp et « rakh, » douce, le Messie étant celui des païens et l’autre aux Juifs (Siphré sur Deut. p. 65 a, Yalkut i. p. 258 b).

Verset 9. l’application messianique de ce verset dans toutes ses parties a déjà à plusieurs reprises été indiquée. Nous pouvons ajouter ici qu’il y a beaucoup de traditions sur ce cul sur lequel le Messie doit monter ; et si ferme était la croyance en elle, qui, selon le Talmud, « si quelqu'un voit un âne dans ses rêves, il verront Salut » (Ber. 56 b). Le verset est cité également messianiques dans Sanh. 98 un, à Eliez Pirqé de r. c. 31 et dans plusieurs des Midrashim.

Le verset 10 voir nos remarques sur xx Deut. 10.

Zacharie. x. 4 est appliquée de manière messianique dans le Targum.

Zach. XI. 12 est expliqué messianiques en Ber. R. 98, mais avec cette remarque, que les 30 pièces d’argent s’appliquent aux 30 percepts, qui le Messie est de donner à Israël.

Zacharie. XII. 10 est appliquée au Messie, le fils de Joseph dans le Talmud (Sukk. 52 a) et que donc le verset 12, il n’est, cependant, une différence d’opinion whetherthe gémissant est causée par la mort du Messie les fils de Joseph, ou encore en raison de la concupiscence diabolique (Yetser haRa).

Zacharie. XIV. 2 comprendra facilement avoir été appliqué aux guerres des temps messianiques et cela dans beaucoup de passages des Midrashim, comme, en effet, sont des versets 3, 4, 5, et 6.

Verset 7. la remarque intéressante suivante survient dans Yalkut sur Psaume cxxxix. 16, 17 (vol. ii. p. 129 d) sur les mots « aucun d'entre eux. » Ce monde est pour une durée de 6 000 ans ; 2 000 ans, c’était des déchets et désolée, 2 000 ans marquent la période en vertu de la Loi, 2 000 ans qui sous le Messie. Et parce que nos péchés sont augmentés, ils sont prolongent. Comme ils sont prolongent, et comme nous faisons un an dans sept une année sabbatique, donc Dieu dans les derniers jours fera un jour par an observer le Sabbat, le jour est de 1 000 années - à laquelle s’applique le verset dans Zacharie juste cité. Voir aussi Eliez Pirqé de r. c. 28.

Verset 8 est Messianiquement appliqué en Ber. R. 48. Voir nos remarques sur Genèse xviii, 4, 5.

Verset 9 est, bien sûr, appliquée aux temps messianiques, comme dans Yalkut i. p. 76 c266 aet vol. ii. p. 33 c, Midr. sur apriete ii. 13et dans d’autres passages.

Malachie iii. 1 est appliqué à Élie comme précurseur du Messie dans Pirqé de R.Eliez. ch. 29.

Verset 4. souvent appelée R. 17, un peu avant la clôture (éd. Warsh. p. 69 a), ce verset semble être appliquée à des sacrifices acceptables en jours messianiques.

Le verset 16 34 de R. Vayyikra (éd. Warsh. p. 51 b, ligne 4 à partir du bas) a la remarque suivante curieuse : si l’un plus tôt a fait le commandement, les prophètes a écrit vers le bas. Mais maintenant, quand un homme observe le commandement, qui écrit vers le bas ? Elijah et le roi Messie et le Saint, Béni soit son nom, fermez-le à leurs mains, et un livre commémoratif est écrit, comme il est écrit mal. iii. 16.

La promesse au verset 17 est étendue aux jours messianiques dans le second livre R. 18.

Dans Malachie iv. 1 (en Hébreu iii. 19) le commentaire suivant de curieux produit dans Bereshith R. 6 (p. 14 b, lignes 15 et c. par le bas) : « le globe du soleil est enfermé, comme il est dit, il fait un tabernacle pour le soleil (Psaume xix.). Et un bassin d’eau est saisi. Lorsque le soleil sort, Dieu refroidit sa chaleur dans l’eau, peur qu’il doit brûler tout le monde. Mais dans les derniers jours Saint prend hors de son fourreau, et avec ça brûle vers le haut les méchants, comme il est écrit Malachie iv. 1. »

Verset 2 (iii. 20 en Hébreu) est dans le second livre R. 31 cité dans le cadre de Exode xxii. 26et a expliqué jusqu'à ce le Messie viendra. »

Verset 5 est, bien sûr, appliqué à l’ancêtre du Messie. Ainsi, dans beaucoup d’endroits, comme dans le Eliez Pirqé de r. c. 40 ; Debarm R. 3 ; dans le Midrash sur apriete i. 1; dans le Talmud et dans Yalkut à plusieurs reprises. 6434 6434 de l’examen du vieux passages de Testament, toute référence aux sacrifices a été omis, parce que, bien que la Synagogue qui s’est tenue la doctrine de le vicariousness et le caractère expiatoire de ces sacrifices, aucune mention se produit du Messie à leur égard.

Les passages ci-dessus, nous ajoutons quelques-uns des livres apocryphes, en partie comme indiquant les points de vue concernant le Messie que les Juifs avaient dérivé de l’ancien Testament et en partie à cause de leur accord avec le traditionalisme juif comme déjà expliqué par nos soins. Ces passages doivent donc être jugés en relation avec les idées rabbiniques du Messie et de jours messianiques. C’est dans ce sens que nous lisons, par exemple, l’adresse à Jérusalem, Tobit xiii. 9 à la fin. COMP. ici, par exemple, nos devis sur Amos ix. 11.

De la même façon Tobit xiv. 5-7 peuvent être comparés avec nos devis sur Psaume xc, c’est lx. 3et notamment sur Zach. VIII. 23, également sur Genèse xlix. 11.

Sagesse de Salomon iii. 7, 8 peut être comparée à nos remarques sur Ésaïe lxi. 1.

Ecclus. xliv. 21 & c. et xlvii. 11 peut être comparée avec nos devis sur Psaume lxxxix. 22-25; Psaume cxxxii. 18; Ézéchiel xxix. 21.

Ecclus. xlviii. 10, 11. Voir les commentaires sur Ésaïe lii. 7, également nos références sur Malachie iii. 1; Malachie iv. 5; Deut. xxv. 19 et xxx. 4 ; Lam. ii. 22. Sota IX. 15 Elijah est représenté comme soulevant des morts.

Baruch II. 34, 35 ; IV. 29 &c. ; et ch. v. sont si profondément selon rabbinique et, en effet, avec une vue Scriptual, qu’il est presque impossible d’énumérer des références spéciales.

Le même peut être dit de 1 Macc. II. 57 ; lors de ces passages que iv. 46 et xiv. 41 point vers l’avant pour le ministère d’Elie comme résoudre les doutes, comme cela est fréquemment décrite dans le Talmud (shekels ii. 5 ; Hommes. 45 a, Pes. 13 un; et dans d’autres lieux).

Enfin, 2 MACC. ii. 18 est entièrement développés dans les descriptions rabbiniques du rassemblement d’Israël.

Il peut peut-être aussi bien ici d’ajouter la discussion messianique dans le Talmud, auquel ces fréquentes ont évoqué (Sanhédrin, partant des deux dernières lignes de p. 96 bet se terminant à la p. 99 a). La première question est celle posée par un rabbin de l’autre, s’il savait quand le fils de the Fallen viendrait ? Sur qui fait suite à une explication de ce classement, basé sur Amos ix. 11, après quoi il est ajouté qu’il serait une génération dans laquelle les disciples des sages seraient diminuées, ainsi que le reste des hommes consomment leurs yeux pour la douleur et des souffrances terribles Suivez donc que mutuellement, que l'on n’avait pas cessé avant le début de l’autre. Ensuite, on donne une description de ce qui devait arriver durant le hebdomad quand viendrait le fils de David. La première année ce serait être selon Amos iv. 7; dans la deuxième année, il y aurait des fléchettes de famine ; dans la grande famine de troisième année et la mortalité terrible, suite à laquelle la loi serait oubliée par ceux qui ont étudié ce. Dans la quatrième année, il y aurait l’abondance, et pourtant aucune abondance ; la grande abondance de cinquième année et grande joie, et retour à l’étude de la Loi ; dans la sixième année voix (annonces) ; dans les guerres de septième et à la fin du septième fils de David viendrait. S’ensuit un échange de vues sur l’ordre de la sixième et septième campagne, quand Psaume lxxxix. 51 est définie. Ensuite, nous avons une description de l’état général pendant ces jours. Lieux sacrés (académies) servirait pour les plus viles fins, Galilée être dévasté, Gablan dévasté, et les hommes de Gebul errent de ville en ville et pas de trouver miséricorde. Et la sagesse des scribes serait endommagée, et ceux qui craignent le péché être abhorré, le visage de cette génération serait comme celle d’un chien et vérité tombe en panne, selon Ésaïe lix. 15. (Ici une question secondaire est déclenchée). Le Talmud continue ensuite à peu près les mêmes termes pour décrire l’ère messianique, dans lequel les enfants seraient rebelleraient contre leurs parents, et comme l’un de l’anarchie générale, quand Sadduceeism universellement prévaut, augmentation de l’apostasie, étude de la diminution de la Loi ; et, en général, la pauvreté universelle et le désespoir de la rédemption, l’indifférence croissante de la loi se faite remarquer comme spécialement qui caractérise les derniers jours. R. Kattina a dit : le monde est pour une durée de 6 000 ans, et Pendant un millénaire, c’est de mentir désolée, selon Ésaïe ii. 17. R. Abayi lieu que cet État serait depuis 2 000 ans, selon Osée vi. 2. L’avis de R. Kattian a été toutefois, considérés comme pris en charge par la présente, que dans chaque période de sept il est une année sabbatique, la journée ici = 1000 ans de branlante et repos - l’appel d' Ésaïe ii. 17; Psaume xcii. 1et du Cross. 4. conformément à une autre tradition, le monde était à 6 000 dernières années : 2 000 dans un état de chaos, 2 000 en vertu de la Loi et 2 000 étant le messianique âge. Mais en raison des péchés d’Israël, ces années ont été pour être déduit qui avait déjà passé. Sous l’autorité d’Élie, il a été déclaré que le monde ne durerait pas moins de quatre-vingt cinq Jubilés, et que, dans le dernier Jubilé, le fils de David viendrait. Quand Elijah a demandé que ce soit au début ou à la fin de celui-ci, il a répondu qu’il ne savait pas. En outre demandé si l’ensemble de cette période serait tout d’abord s’écouler ou non, il a répondu de la même façon, son sens étant censé être celui jusqu'à ce terme personnes ne devaient ne pas espérer l’avènement du Messie, mais après ce terme, ils ont été chercher. Une histoire est liée d’un homme étant remplie, qui avait dans ses mains un document écrit en caractères hébraïques carré et en Hébreu, dont il prétend avoir obtenu des archives persans, et dans lequel il était écrit que 4 290 ans après la création du monde aurait pris fin. Et puis seraient les guerres des grandes mer-monstres et ceux de Gog et Magog et le reste du temps serait à la fois du Messie, et que le One Saint, Béni soit son nom, serait seulement renouveler son monde après les 7 000 ans ; pour qui, cependant, un rabbin objets, ce qui en fait 5 000 ans. Rabbi Nathan parle d’Habacuc ii. 3 comme un passage si profond quant à descendre dans les Abysses, condamner l’opinion des rabbins qui cherchait le sens de Daniel vii. 25et du rabbin Samlai, qui de même s’occupa lui-même avec Psaume lxxx. 5 et de Rabbi Akiba, qui habitait à Aggée ii. 6. Mais le premier Royaume (babylonien ?) était pour durer soixante-dix ans ; le second (Asmonæan ?) de cinquante-deux ans ; et la règle du fils de Kozebhah (Bar Kakhabh, le faux Messie) 2,5 ans. Selon le rabbin Samuel, s’exprimant au nom du Rabbin Jonathan : que les os de ceux soit cassé qui calculer la fin, parce qu’ils disent, la fin est venue et le Messie n’est pas venu, donc il ne viendra pas du tout. Mais encore attendent de lui, comme il est dit (Hab. ii. 3), « si elle goudronneuses, attendez qu’il. » Peut-être tu veux dire : nous attendre pour lui, mais il n’attend pas pour elle. Sur ce point, lisez Ésaïe xxx. 18. Mais, dans l’affirmative, ce qui fait obstacle à elle ? La qualité de jugement. Mais dans ce cas, pourquoi devrions-nous attendre ? Afin de recevoir la récompense, selon le dernier article de is xxx. 18. Sur qui fait suite à un examen plus approfondi. Encore une fois, Rabh maintient que toutes les limites de temps en ce qui concerne le Messie sont passées, et qu’il seulement dépend désormais repentance et les bonnes oeuvres quand il viendra. Ce rabbin Samuel s’opposait, mais vue de Rabh a été appuyée par le Rabbin Eliezer, qui a dit que si Israël se repentit ils seraient être rachetés, mais si non ils ne seraient pas être rachetées. Rabbin Joshua ajouter, que dans le second cas, Dieu soulèverait sur eux un roi dont les décrets serait difficiles comme ceux de Haman, quand Israël se repentent. L’opinion de Rabbi Eliezer a été corroborée par Jérémie iii. 22, qui s’opposait Rabbin Joshua en citant Ésaïe lii. 3, qui semble impliquer que la rédemption d’Israël n’était pas tributaire de leur repentir et les bonnes œuvres. Sur ce Rabbin Joshua a rétorqué en citant Malachie iii. 7, qui à nouveau Rabbin Joshua a répondu par en citant Jérémie iii. 14et le rabbin Eleizer en citant Ésaïe xxx. 15. Ce Rabbin Joshua répond par Ésaïe xlix. 7. Rabbi Eliezer a ensuite exhorté Jérémie iv. 1, sur lequel le Rabbin Joshua répliqua de Dan. XII. 7et donc effectivement silencieux Rabbi Eliezer. Sur ce Rabbi Abba a énoncé qu’il n’était pas une marque plus claire du terme messianique que dans Ésaïe xxxvi. 8. À laquelle Rabbi Eliezer a ajouté Zach. VIII. 10. Là-dessus, la question se pose quant à la signification des mots « ni était là toute paix, lui qui est sorti ou est venu po ' à cette Rabh a répondu qu’il a appliqué aux disciples des sages, selon Psaume CXVII. 165. Sur lequel le rabbin Samuel a répondu qu’à ce moment-là tous les entrées serait égal (c'est-à-dire que tous doivent être sur le même pied de danger). Rabbi Chanina a fait remarquer que le fils de David ne viendrait pas jusqu'à après que le poisson avait été demandée pour les malades et ne pas trouvé, selon Ézéchiel xxxii. 14 dans le cadre de Ézéchiel xxix. 21. Rabbin Chamma, le fils du rabbin Chaina, dit que le fils de David ne viendrait pas jusqu'à ce que la domination vile sur Israël avait cessé, faisant appel à Ésaïe xviii. 5, 7. R. Seira dit que Rabbi Chanina dit : le fils de David ne viendrait pas jusqu'à ce que le fier a cessé en Israël, selon Zeph. III. 11, 12. Rabbi Samlai, au nom de Rabbi Eliezer le fils de Rabbi Simeon, dit que le fils de David ne viendrait pas jusqu'à ce que tous les juges et les dirigeants avaient cessé en Israël, selon Ésaïe i. 26. Ula dit Jérusalem ne doit ne pas être remboursées, sauf par la justice, selon Ésaïe i. 27. On passe sur les propos du rabbin Papa, comme ne pas ajouter à l’objet. Rabbin Jochanan dit : si tu vois une génération qui diminue de plus en plus, attendent de lui, selon 2 Sam. XXII. 28. Il a également ajouté : si tu vois une génération sur laquelle de nombreux chagrins viennent comme un ruisseau, attendent de lui, d’après Ésaïe lix. 19, 20. Il a également ajouté : le fils de David ne vient pas sauf dans une génération où tous sont justes, ou tous coupables - l’ancienne idée étant basée sur Ésaïe lx. 21, ce dernier est lix. 16 et xlviii. 11. le rabbin Alexander dit, que Rabbin Joshua le fils de Lévi visées à la contradiction dans Ésaïe lx. 22 entre les mots « en son temps » et encore « je hâterai, » et il explique ainsi : si elles le méritent, je hâterai et sinon , en son temps. Une autre contradiction semblable entre Dan. VII. 13 et Zach. IX. 9 est ainsi réconcilié : si Israël le méritent, il viendra sur les nuées du ciel ; Si elles ne sont pas méritants, il viendra des pauvres et monté sur un âne. Après cela il est fit remarquer que Sabor le roi ricané à Samuel, disant : vous dites que le Messie doit venir sur un âne : je lui enverrai mon cheval splendide. À qui le Rabbi répondit : s’agit-il de cent couleurs, comme son âne ? Rabbin Joshua, le fils de Lévi, vu Elijah, qui se tenait à la porte du paradis. Il lui dit : quand le Messie viendra ? Il a répondu : lorsque ce Seigneur viendra (signifiant Dieu). Rabbin Joshua, le fils de Lévi, a déclaré : J’ai vu deux (lui-même et Élie), et j’ai entendu la voix de trois (sans compter que les deux anciens la voix du fils de Jochai et lui dit : vais j’atteindre le monde à venir ? Elijah a répondu : si elle veut le Seigneur. Sur qui suit la même Remarque : J’ai vu le Messie à venir ? À laquelle la réponse est : aller et lui demander toi-même. Et où il demeure-t-il ? À la porte de la ville (Rome). Et quel est son signe ? Il demeure chez les pauvres, les malades et les frappé. Et tous supprimer la liaison et lient à nouveau les blessures dans le même temps, mais il annule (c'est-à-dire le bandage), relie chacun séparément, afin que s’ils appellent pour lui ils ne peuvent pas trouver lui engagé. 6435 6435 Vienne l’édition du Talmud a plusieurs lacunæ sur cette page (98 a) Il est allé à sa rencontre et dit : la paix soit sur toi, mon rabbin et mon Seigneur. Il a répondu à lui : la paix soit sur toi, tu les fils de Lévi. il lui dit : wilt quand tu viens, mon Seigneur ? Il a répondu à lui :-le jour. Puis il se tourna vers Elijah, qui lui dit : ce qu’il a dit à toi ? Il m’a dit : fils de Lévi, la paix soit sur toi. Elie lui dit : il a assuré, toi et ton père du monde à venir. Il lui dit : mais il m’a trompé car il a dit : Je viens d’aujourd'hui, et il n’est pas venu. Il lui dit que par les mots « à jour » il voulait dire : aujourd'hui si vous entendez ma voix (Psaume xcv. 7). Rabbi José a demandé à ses disciples : quand viendra le fils de David ? Pour cela, il a répondu : Je crains que vous allez me demander aussi un signe. Sur lesquels ils lui a assuré qu’ils ne le seraient pas. Sur ce, il a répondu : lorsque cette porte (à savoir de Rome) tombe et être construite et tombe à nouveau, et ils n’ont pas de temps à le reconstruire jusqu'à ce que Vienne le fils de David. Ils lui dirent : Rabbi, nous donner un signe. Il leur dit : avez vous pas m’a promis qu’ye ne demanderait pas un signe ? Ils lui dirent : Nonobstant le faire. Il leur dit : Si donc, les eaux de la grotte de Pamias (l’une des sources du Jourdain) seront transformés en sang. En ce moment, ils ont été transformés en sang. Le rabbin continue alors de prédire que la terre serait être envahie par des ennemis, chaque écurie étant rempli de leurs chevaux. Rabh a déclaré que le fils de David ne viendrait pas jusqu'à ce que le Royaume (c’est à dire de domination étrangère) devrait s’étendre sur Israël depuis neuf mois, selon Micah v. 3. Ula dit : qu’il Vienne, mais je ne voie pas lui et dit Raba. Rabbin Joseph dit : qu’il Vienne, et puis-je être dénichée digne de rester dans l’ombre de la bouse de son cul (selon certains : la queue de son cul). Abayi dit Raba : pourquoi cela a été le roulement de vos paroles ? Si en raison de la douleur du Messie, nous avons la tradition que Rabbi Eliezer a demandé à ses disciples, un homme comment peut-elle être libéré les souffrances du Messie ; sur laquelle on leur a dit : par vous-mêmes mêle avec la Torah et bonnes œuvres. Vous êtes un maître de la Torah, et vous avez de bonnes œuvres. Il a répondu : peut-être péché pourrait conduire à l’occasion du danger. À cette réponse réconfortante sont donnés par les écritures, comme Genèse xxviii. 15et d’autres passages, certains d'entre eux étant soumis à des commentaires détaillés.

Rabbin Jochanan ont exprimé une aversion similaire de voir les jours du Messie, sur lequel Resh Lakish a suggéré qu’il pourrait être sur le terrain d' Amos c. 19, ou plutôt sur celui de Jérémie xxx. 6. Sur ce, cette crainte avant que Dieu est représenté par la considération que ce qu’on appelle le service ci-dessus est pas comme ce qu’on appelle le service ci-dessous (la famille ci-dessus n’est pas comme la famille ci-dessous), de sorte qu’une seule espèce peut l’emporter sur l’autre. Rabbi Giddel dit, que Rabh, qu’Israël serait se réjouir au cours des années du Messie. Rabbin Joseph dit : certainement, qui d’autre aurait se réjouir en eux ? Chillak et Billak ? (deux imaginaires noms, ce qui signifie que nul). Ceci, afin d’exclure les mots du Rabbin Hillel, qui a dit : il n’y a pas de Messie pour Israël, voir ils ont lui avait à l’époque de Hezikiah. Rabh dit : le monde a été créé uniquement pour David ; Samuel, pour Moïse ; et le rabbin Jochanan, pour le Messie. Quel est son nom ? L’école de Rabbi Shila dit : Shiloh est son nom, selon Genèse xlix. 10. L’école de Rabbi Jannai dit : Jinnon, selon Psaume lxxii. 17. L’école de Rabbi Chanina dit : Chaninah, selon Jérémie xvi. 13. Et certains disent Menahem, fils de Hezikah, selon Lam. i. 16. Et nos rabbins disent : The Leprous One de la maison du rabbin, est son nom, comme il est écrit est liii. 4. Rabbin Nachman dit : s’il est parmi les vivants, il est comme moi, selon Jérémie xxx. 21. Rabh dit : s’il est parmi les vivants, il est comme rabbin Jehudah le Saint et si parmi les morts, il est comme Daniel, l’homme très aimée. Rabbin Jehudah, Rabh a dit : Dieu déclenchera à eux un autre David, selon Jérémie xxx. 9, un passage qui de toute évidence pointe vers l’avenir. Rav Papa dit Abaji : mais nous avons cette autre écriture Ézéchiel xxxvii. 25, et les deux termes (Messie et David) stand connexes comme Auguste, César. Rabbi Samlai témoigne Amos c. 18, une parabole de la bite et la chauve-souris qui cherchaient la lumière. Le coq a dit à la chauve-souris : Je regarde pour la lumière, mais à quoi sert la lumière pour toi ? C’est arrivé à un sadducéen qui dit au rabbin Abahu : quand le Messie viendra ? Il lui répondit : quand les ténèbres recouvrent ce peuple. Il lui dit : Dost thou l’intention de me maudire ? Il a répondu : il est dit dans l’écriture c’est lx. 2. Rabbi Eliezer a enseigné : les jours du Messie sont quarante ans selon Psaume xcv. 10. Rabbi Eléazar, fils du Asariah, a déclaré : des années soixante-dix, selon Ésaïe xxiii. 15, « selon les jours d’un roi, » le roi il parlé d’être l’unique roi, le Messie. Le rabbin a dit : trois générations, selon Psaume lxxii. 5. Rabbin Hillel dit : Israël n’a aucun plus de Messie, car ils lui avaient à l’époque d’Ézéchias. Rabbin Joseph dit : Dieu pardonne Rabbi Hillel : quelle Ézéchias habitait-elle ? Pendant le premier Temple. Et Zacharie prophétisa au cours du deuxième Temple et dit : Zach. XI. 9. Nous avons la tradition que Rabbi Eliezer dit : les jours du Messie sont quarante ans. Il est écrit Deut. viii. 3, 4et à nouveau en Ps xc. 15 (montrant que les jours de réjouissances doivent être comme ceux de l’affliction dans le désert). Rabbi Dosa dit : quatre cents ans, citant Genèse xv. 13 dans le cadre du même psaume. Rabbin aientt 365 ans, selon l’année solaire, citant Ésaïe lxiii. 4. Il a demandé la signification des mots : « le jour de la vengeance est dans mon cœur », rabbin Jochanan leur a expliqué : J’ai il manifeste à mon cœur, mais pas à mes membres et le rabbin Simon benLakish : À mon coeur et pas aux anges tutélaires. Abimi a enseigné que les jours du Messie devaient durer pour Israël 7 000 ans (une Divine mariage-semaine), d’après Ésaïe lxii. 5. Rabbi Jehudah dit, que le rabbin Samuel, que les jours du Messie devaient être à compter du jour que le monde a été créé jusqu'à maintenant, selon Deutéronome xi. 21. Le rabbin Nacham dit : à partir de l’époque de Noé jusqu'à maintenant, d’après Ésaïe Liv. 9. Rabbin Chija, ce rabbin Jochanan a dit : tous les prophètes ont prophétisé seulement en ce qui concerne les jours du Messie ; mais en ce qui concerne le monde à venir, œil ne voit pas, Ô Dieu, à côté de toi, ce qu’il a préparées pour lui qui attendra pour lui (Ésaïe lxiv. 4). Et cela s’oppose à ce que dit le rabbin Samuel, qu’il n’existe aucune différence entre ce monde et l’époque du Messie, sauf que la domination étrangère cesserait. Sur lequel le Talmud s’éteint à discours lors de son repentir et sa relation avec la parfaite droiture.

Longue comme cet extrait peut être, il va au moins montrer les différences infinis entre l’attente rabbinique du Messie et l’image de celui présenté dans le Nouveau Testament. Sûrement l’idée messianique, comme réalisé dans le Christ, ne pouvait pas proviennent de l’opinion courante à cette époque !