ANNEXE VII.

À LA DATE DE LA NATIVITÉ DE NOTRE SEIGNEUR

(Vol. i. livre II. ch. iii. et autres passages).

Tant de choses, qui n’est généralement accessible, de la fin a été écrit sur ce sujet, et tel accord existe sur la question générale , que seule la plus brève déclaration semble requise dans cet endroit, l’espace à notre commande étant nécessairement réservée aux sujets qui soit n'ont pas été traités de par les auteurs précédents, ou d’une façon ou forme qui semblait faire une nouvelle enquête souhaitable.

Tout d’abord qu'il faut bien admettre que la sécurité absolue est impossible quant à la date exacte de la Nativité du Christ - l’année précise même et encore plus le mois et le jour. Mais en ce qui concerne l’année, nous possédons ces données quant à investir avec une telle probabilité, comme presque se pour élever de la certitude.

1. la date de la première et la plus certaine est celle de la mort d’Hérode le grand. Notre Seigneur était né avant la mort d’Hérode, et, comme nous juger d’après l’Évangile-histoire, très peu de temps avant cet événement. Maintenant, l’année de la mort d’Hérode a été constatée, nous pouvons dire, une certitude absolue, que peu de temps avant la Pâque de l’an 750 A.U.C., qui correspond à environ la 12 avril de l’année 4 avant Jésus Christ, selon notre jugement commun. Plus particulièrement, peu avant la mort d’Hérode, il y avait une éclipse de lune (Jos. Ant. xvii. 6. 4), qui, il est constaté qu’astronomiquement, survenu dans la nuit du 12 au 13 mars de l’année 4 avant Jésus Christ. Ainsi, la mort d’Hérode doit avoir eu lieu entre le 12 mars et la 12 avril - ou, disons, vers la fin du mois de mars (COMP. ant. xvii. 8. 1). Encore une fois, l’histoire de l’Évangile exige un intervalle d’au moins sept ou huit semaines avant cette date pour la naissance du Christ (il faut insérer la purification de la Vierge - dans les meilleurs délais, six semaines après la naissance - la visite des Mages et l’assassinat de la ch PAC à Bethléem et, en tout cas, quelques jours avant la mort d’Hérode). Ainsi la naissance du Christ ne pourrait pas éventuellement eu lieu après le début de février 4 b.c. et probables plusieurs semaines auparavant. Cela nous amène à proximité de la date d’ecclésiastique, le 25 décembre, dans la confirmation dont nous faisons référence à ce qui a été dit au vol. i. p. 187, voir notamment la note 3. En tout cas, souvent répétée, mais l’opposition très superficielle, quant à l’impossibilité de bergers qui tend les troupeaux en plein air à cette saison, doit maintenant être rejetée comme totalement intenable, non seulement pour les raisons indiquées au vol. i. p. 187, mais même pour cela , que si la question doit être décidée en raison de la pluie-automne, les probabilités sont en faveur de décembre par rapport à février - plus qui il est impossible de placer la naissance du Christ.

2. certains peuvent, bien sûr, déduire de l’apparition de « l’étoile » qui a guidé les mages. Cela et pour quelles raisons, nos recherches ont fait ressortir une confirmation de la date de la Nativité, comme indiqué ci-dessus, a été entièrement expliquée en vol. i. ch. vi... (voir spécialement p. 213).

3. sur la taxation de Quirinius, voir vol. i. p. 181, 182.

4. l' historique suivant référence fournies par les Évangiles, c’est que du début du ministère de Saint Jean-Baptiste, qui, selon St. Luc, était dans la quinzième année de Tibère, et quand Jésus était « environ trente ans » (St. Luke iii. 23) . L’accord de cela avec notre calcul de la date de la Nativité a été démontré dans le vol. i. p. 264.

5. une conclusion similaire serait atteint en suivant l’indication assez vague et générale meublée dans St. John ii. 20.

6. Enfin, nous atteindrons l’objectif même si nous suivons la direction historiquement quelque peu incertaine de la date de la naissance de Jean-Baptiste, tel que fourni dans le présent avis (St. Luke i. 5) de son annunication à son père, que Zacharias officiait dans le Temple sous le nom de ' le cours d’Abia ' (voir, ici, vol. i. p. 135). Dans Taan. 29 un nous avons l’avis, dont celui de Flavius Josèphe est d’accord (vi de la guerre. 4. 1. (5), qu’au moment de la destruction du Temple « le cours de Jehoiarib, » qui fut le premier des cours sacerdotales, était en service. C’est sur le 9-10 Ab de l’an 823 A.U.C. ou le 5 août de l’an 70 de notre ère. Si ce calcul, corriger (dont, cependant, nous ne pouvons pas être tout à fait sûrs), alors comptant « courses » des prêtres en arrière, le cours d’Abia, dans l’année 748 A.U.C. (l’année précédant la naissance du Christ) aurait le devoir du 2 au 9 octobre. Cela placerait également la naissance du Christ à la fin de décembre de l’année suivante (749), prendre l’expression « sixième mois » au St. Luke i. 26, 36, dans le sens du mois en cours d’exécution (à partir de la 5ème à la 6ème mois, COMP. St. Luke i. 24). Mais nous répétons que dépendance absolue ne peut pas être placé sur ces calculs, au moins jusqu’en ce qui concerne le mois et le jour. (COMP. ici généralement Wieseler, Synopse et son Beiträge.)