ANNEXE III.

RABBINIQUE VUES QUANT À LA LÉGALITÉ DES IMAGES, DES REPRÉSENTATIONS PICTURALES SUR LES PIÈCES DE MONNAIE, ETC..

(Voir vol. i. p. 89, note 3.)

Sur ce point, autant apprécié des images, des statues et des pièces de monnaie, les vues des rabbins ont subi (tels qu’indiqués dans le texte) changements et modifications selon les circonstances de l’extérieur du peuple. Les opinions antérieures et plus strictes, qui a absolument interdisant toute représentation, sont relâchaient dans la Mishna et encore plus loin dans le Talmud.

En retraçant cette évolution, nous célébrons dans un premier temps qu’une distinction était faite entre avoir ces représentations picturales et faisant usage d’eux, dans le sens de la vente ou le troc ; et encore une fois entre faire et trouver leur. Le Mishnah interdit seulement de telles représentations d’êtres humains que portent dans leur main un symbole du pouvoir, tel que personnel, oiseau, globe, ou comme le Talmud ajoute, une épée, ou même une chevalière (Ab. Z. iii. 1). Les commentaires expliquent que cela doit faire référence à la faisant usage d’eux, car leur possession était, en tout cas, interdit. Le Talmud ajoute (AB. Z. 40 b, 41 a) que ceux-ci étaient généralement des représentations des rois, qu’ils ont été utilisés à des fins d’adoration, et que leur interdiction s’appliquait qu’aux villages, pas vers les villes, où ils ont été utilisés pour l’ornement. De même, le Mishnah ordonne que tout portant une représentation du soleil ou la lune, ou d’un dragon, était d’être jeté dans la mer morte (Ab. Z. iii. 3). En revanche, le Talmud cite (AB. Z. 42 b) une proposition (Boraita), à l’effet que toutes les représentations des planètes étaient autorisées, sauf ceux du soleil et lune,6324 6324 Nasi r. Gamaliel fait utiliser des représentations de la lune au cours de l’interrogatoire des témoins ignorants en vue de la fixation (par la nouvelle lune) au début du mois. Mais cela doit être considéré comme une exception à la règle de nécessaire. de même toutes les statues sauf ceux de l’homme, et toutes les images sauf ceux d’un dragon, le débat devant conduire à la conclusion que dans deux, sinon dans tous les cas mentionnés, les directions talmudiques reportez-vous à conclusion, ne pas faire de tel. Si sévère, était en effet, la loi considérée chevalières, qu’il était interdit, avoir porté le travail sur eux, et seuls ces chiffres étaient autorisées comme ont coulé au fond de la surface, bien que même dans ce cas on ne doit pas être utilisé pour l’étanchéité (AB. Z. 43 b ). Mais c’est déjà une concession, accordée apparemment à un célèbre rabbin, qui avait une telle bague. Encore plus loin dans le même sens est l’excuse, encadré à une période ultérieure, pour les rabbins qui vénéraient dans une Synagogue qui avait une statue d’un roi à l’effet qu’ils ne pouvaient pas être soupçonnés d’idolatrie, depuis la place, et donc leur comportement , était sous le contrôle de tous les hommes. Cette tendance plus libérale avait, en effet, était à une période beaucoup plus tôt, dans le cas du Nasi Gamaliel II., qui a fait usage d’un bain public à Acco où se trouvait une statue d’Aphrodite. La Mishna (Ab. Z. iii. 4) met ce moyen double dans sa bouche, qu’il n’était pas allé dans le domaine de l’idole, mais l’idole est entré en lui, et que la statue était là pour l’ornement, pas pour le culte. Le Talmud fait sienne, en effet, ces arguments, mais d’une manière montrant que la conduite de la grande Gamaliel n’était pas vraiment approuvé (AB. Z. 44 b). Une statue utilisée à des fins idolâtres était non seulement d’être pulvérisées, mais la poussière monter aux vents ou dans la mer, de peur qu’il pourrait servir possible sous forme de fumier à l’âme ! (Ab. Z. iii. 3.) Ceci peut expliquer comment Josephus hasarda même à blâmer King Solomon pour les chiffres sur la mer d’airain et sur son trône (ant. viii. 7. 5), et comment il peut exciter une populace fanatique à Tibériade, pour détruire le Palais d’Hérode Antipas, car elle contenait des « figures de créatures vivantes » (vie 12). 6325