ANNEXE I.

PSEUDÉPIGRAPHE ÉCRITS

(Voir vol. i. p. 37, 38 et d’autres des lieux).

SEUL le compte plus brève de ces peut être donné en ce lieu ; à peine plus qu’une énumération.

I. le livre d’Enoch. -Comme le contenu et la littérature de ce livre remarquable, qui est cité par St. Jude (VV. 14, 15), ont été entièrement décrites dans de Smith et de Wace Dictionary of Christian Biography (vol. ii. p. 124-128), nous pouvons ici l’appelons plus peu de temps.

Il nous vient de Palestine, mais a seulement été conservée dans une traduction éthiopienne (publié par Mgr Laurence [Oxford, 1838 ; en anglais trad. 3e éd. 1821-1838 ; Trad. allemande de A. G. Hoffmann], puis à partir de cinq différents MSS par professeur Dillmann [Leipzig, 1851 ; en allemand trad. Leipzig, 1853]). Mais même la traduction éthiopienne n’est pas de l’original hébreu ou en araméen, mais d’une version grecque, dont un petit fragment a été découvert (ch. LXXXVII. 42-49 ; publié par Cardinal Mai. COMP. aussi Gildemeister, Zeitschr. d. d. Morg. GES. pour 1855, pp. 621-624 et Gebhardt, Merx' Arch. ii. 1872, p. 243).

En ce qui concerne le contenu de l’ouvrage : An Introduction de cinq brefs chapitres et le livre (qui, toutefois, ne contient pas quelques passages fallacieux) se compose de cinq parties, suivis d’un épilogue adapté. Les portions plus intéressantes sont ceux qui racontent la chute des anges et ses conséquences, de voyages extasiés Enoch à travers le ciel et la terre, et de ce qu’il a vu et entendu (ch. vi.-xxxvi.) ; les portions apocalyptiques sur le Royaume des cieux et l’avènement du Messie (lxxxiii-xci.) ; et, enfin, les discours exhortation (xci.-cv.). Si l'on ajoute, qu’elle est envahie par un ton de foi intense et sérieux sur le Messie, « dernières choses » et autres doctrines spécialement mis en évidence dans le Nouveau Testament, son importance sera compris. Au total, le livre d’Hénoch contient 108 chapitres.

D’un point de vue littéraire, il a été convenu (par Schurer et autres) en trois parties: - 1. Le œuvre originale (Grundschrift), ch. i-xxxvi. ; LXXII.-cv. Cette partie est censée date d’environ 175 b.c. 2. les paraboles, ch. xxxvii.-liv. 6 ; cadre 3-lix. ; LxI.-lxiv. ; LXIX. 26-lxxi. Cette partie date aussi avant la naissance du Christ - peut-être de l’époque d’Hérode le grand. 3. Les Sections dites noachien, ch. liv. 7-NV. 2 ; LX. ; LXV.-lxix. 25. À celles-ci s’ajoutent ch. cvi. ainsi que la conclusion ultérieure dans ch. cviii. Les dates de toutes ces parties, il est impossible de parler sans aucun doute.

II. encore plus grande, mais un droit différent, s’adapte sur les Oracles sibyllins, écrite en hexamètres grecs. 6314 6314 que pour l’essentiel, nous avons accepté la critique savante du professeur Friedlieb (Oracula Sibyllina, 1852.) Dans leur forme actuelle, ils se composent de douze livres, ainsi que de plusieurs fragments. Passant sur deux grands fragments, qui semblent avoir formé la majeure partie de l’introduction au livre III., nous avons (1) les deux premiers livres. Ceux-ci contiennent la partie d’une ancienne et helléniste Sibylle juive, ainsi que d’un poème par le Pseudo juif-Phocylides, dans lequel les mythes païens concernant les premiers âges de l’homme sont curieusement soudés avec les vues de l’ancien Testament. Le reste de ces deux livres se composait, et le tout mis ensemble, pas plus tôt que la fin du IIe siècle, peut-être par un chrétien juif. (2) le troisième livre est de loin le plus intéressant. Outre les fragments déjà mentionnées, VV. 97-807 sont l’oeuvre d’un juif helléniste, profondément imprégnée de l’espoir messianique. Cette partie datant environ de 160 avant notre ère, tandis que des versets 49-96 semblent appartenir à l’an 31 avant JC. Les dates de repos (VV. 1-45, 818-828) d’une période ultérieure. Nous devons ici limiter notre attention à la plus ancienne partie de l’ouvrage. Pour notre propos actuel, nous pouvons arranger en trois parties. Dans la première, la Théogonie antique païen est refondue dans un moule juif - Uranus devient Noah ; SEM, Cham et Japhet sont Saturne, Titan et Japetus, tandis que la construction de la tour de Babylone est la révolte des Titans. Puis est racontée l’histoire du monde, le Royaume d’Israël et de David formant le centre de tout. Ce que nous avons appelé la seconde est la partie plus curieux de l’ouvrage. Elle incarne les oracles des anciens païens, pour ainsi dire, dans une recension de juive et entrelacés avec des éléments Juifs. La troisième partie peut-être être généralement décrits comme des païens, polémique et apocalyptique. La Sibylle est soigneusement hellénistique en esprit. Elle est fort et sincère dans ses appels, "BOLD" et insolente dans le ton de sa fierté juive, timide et triomphant dans ses anticipations. Mais la circonstance plus remarquable, c’est que cette judaïsants et la Sibylle juive semble avoir passé - mais peut-être seulement dans les parties - comme les oracles de la Sibylle appelée antique, qui avait prédit aux Grecs la chute de Troie et ceux de la Sibylle de Cumæ , qui, dans l’enfance de Rome, Tarquin le superbe avait déposé dans la capitale, et que comme tel il est cité par Virgile (dans son 4e églogue) dans sa description de l’âge d’or.

Les autres livres Sibyllins guère besoin de dire. Les 4e, 5e, 9e et 12e livres furent écrits par Juifs égyptiens à des dates variant entre les années 80 et le troisième siècle de notre ère. Livre VI. est d’origine chrétienne, le travail d’un Judaising Christian, sur la seconde moitié du IIe siècle. Livre VIII., qui incarne la partie juive, est aussi de l’auteur est chrétien, et sont donc les livres X. et XI.

III. la collection de dix-huit ans les hymnes, qui dans leur ours version grecque, le nom de Le Psautier de Salomon, doit initialement ont été rédigés en hébreu et datant de plus d’un demi-siècle avant notre ère. Ils sont le résultat d’une âme intensément sérieux, même si nous ne rencontrons pas assez les expressions de Pharisiac auto-religiosité. 6315 6315 COMP. par exemple, ix. 7, 9. C’est un moment de tristesse nationale dans lequel le poète chante, et il semble presque comme si ces « Psaumes » visait à relever une ou l’autre des pensées leaders dans les Psaumes de David correspondants et à faire, en quelque sorte, application d’eux pour les circonstances existantes ces. 6316 6316 ce point de vue qui, pour autant que je sache, n’a pas été suggéré par la critique, sera confirmée par une lecture attentive de presque tous « Psaume » dans la collection (COMP. les trois premiers avec les Psaumes de trois ouvertures dans le Psautier davidique). Est notre « Psautier de Salomon », en quelque sorte, un commentaire historique par la typique « sage » ? Et notre collection n’est qu’un fragment ? Bien qu’un peu Hellenisttic dans son casting, la collection respire l’espérance messianique ardent et une foi inébranlable en la résurrection et la récompense éternelle et la répression (iii. 16 ; xiii. 9, 10 ; xiv. 2, 6, 7 ; xv. 11 à la fin).

IV. un autre ouvrage de cette catégorie - «Genesis peu», ou «Le livre des Jubilés» - a été préservé pour nous dans sa traduction éthiopienne (bien qu’une version latine de la partie de celui-ci a récemment été découvert) et constitue un commentaire aggadique sur Genesis. Professant d’être une révélation à Moïse pendant quarante jours sur le Mont Sinaï, il veut remplir les lacunæ dans l’histoire sacrée, spécialement en ce qui concerne sa chronologie. Son caractère est exhortatives et d’alerte rapide, et il respire un fort esprit contre Rome. Il a été écrit par un palestinien en Hébreu, ou plutôt Aramæan, probablement à l’époque du Christ. Le nom, le « Livre des Jubilés, » est dérivé de la circonstance que la chronologie de l’écriture est organisée selon des périodes de Jubilé de quarante-neuf ans, cinquante d'entre eux (ou 2 450 ans) étant comptés depuis la création jusqu'à l’entrée en Canaan.

V. parmi les écrits Pseudépigraphe, nous incluons également 4e livre d’Esdras, qui figure parmi nos apocryphes comme Esdras 2 ch. iii.-xiv. (les deux premiers et les deux derniers chapitres étant fausses ajouts). Les travaux, originellement écrit en grec, a seulement été préservé dans la traduction en cinq langues (Latin, arabe, syriaque, éthiopienne et arménien). Il était probablement composé vers la fin du premier siècle après Jésus Christ. De cette circonstance et l’influence du christianisme sur l’esprit de l’écrivain, qui, cependant, est un juif fervent, son intérêt et son importance peuvent être tout juste exagérés. Le nom d’Esdras a probablement présumé, parce que l’auteur souhaite traiter principalement du mystère de la chute d’Israël et de la restauration.

Les autres écrits Pseudépigraphe sont :-

VI. l' Ascension (ch. i-v.) et la Vision (ch. vi.-xi.) d’Ésaïe, qui décrit le martyre du Prophète (avec une interpolation chrétienne [ch. iii. 14-iv. 22] attribuant sa mort à la prophétie du Christ et contenant des parties apocalyptiques), et puis ce qu’il vit dans le ciel. Le livre est probablement basé sur un compte de juif plus âgé, mais est principalement de chrétien hérétique authroship. Il n’existe que dans les traductions, dont qui en éthiopique (avec les versions latine et anglaise) a été édité par Archibishop Laurence.

VII. The Assumption of Moses (probably quoted in St. Jude ver. 9) also exists only in translation, and is really a fragment. It consists of twelve chapters. After an Introduction (ch. i.), containing an address of Moses to Joshua, the former, professedly, opens to Joshua the future of Israel to the time of Varus. This is followed by an Apocalyptic portion, beginning at ch. vii. and ending with ch. x. The two concluding chapters are dialogues between Joshua and Moses. The book dates probably from about the year 2 b.c., or shortly afterwards. Besides the Apocalyptic portions the interest lies chiefly in the fact that the writer seems to belong to the Nationalist party, and that we gain some glimpses of the Apocalyptic views and hopes - the highest spiritual tendency - of that deeply interesting movement. Most markedly, this Book at least is strongly anti-Pharisaic, especially in its opposition to their purifications (ch. vii.). We would here specially note a remarkable resemblance between 2 Tim. iii. 1-5 and this in Assump. Mos. vii. 3-10: (3) ‘Et regnabunt de his homines pestilentiosi et impii, dicentes se esse iustos, (4) et hi suscitabunt iram animorum suorum, qui erunt homines dolosi, sibi placentes, ficti in omnibus suiset onmi hora diei amantes convivia, devoratores gulæ (5) ... (6) [paupe] rum bonorum comestores, dicentes se haec facere propter misericordiam eorum, (7) sed et exterminatores, queruli et fallaces, celantes se ne possint cognosci, impii in scelere, pleni et inquitate ab oriente usque ad occidentem, (8) dicentes: habebimus discubitiones et luxurian edentes et bibentes, et potabimus nos, tamquam principes erimus. (9) Et manus eorum et dentes inmunda tractabunt, et os eorum loquetur ingentia, et superdicent: (10) noli [tu me] tangere, ne inquines me ...’ But it is very significant, that instead of the denunciation of the Pharisees in vv. 9,10 of the Assumptio, we have in 2 Tim. iii. 5. the words ‘having the form of godliness, but denying the power thereof.’

VIII. The Apocalypse of Baruch. - This also exists only in Syriac translation, and is apparently fragmentary, since the vision promised in ch lxxvi. 3 is not reported, while the Epistle of Baruch to the two and a half tribes in Babylon, referred to in lxxvii. 19, is also missing. The book had been divided into seven sections(i.-xii.; xiii.-xx.; xxi.-xxxxiv.; xxxv.-xlvi.; xlvii.-lii.; liii.-lxxvi.; lxxvii.-lxxxvii.). The whole is in a form of revelation to Baruch, and of his replies, and questions, or of notices about his bearing, fast, prayers, &c. The most interesting parts are in sections v. and vi. In the former we mark (ch. xlviii. 31-41) the reference to the consequence of the sin of our first parents (ver. 42; comp. also xvii. 3; xxiii. 4; liv. 15, 19), and in ch. xlix. the discussion and information; with what body and in what form the dead shall rise, which is answered, not as by St. Paul in 1 Cor. xv. - though the question raised (1 Cor. xv. 35) is precisely the same - but in the strictly Rabbinic manner, described by us in Vol. ii. pp. 398, 399. In section vi. we specially mark (ch. lxix.-lxxiv.) the Apocalyptic descriptions of the Last Days, and of the Reign and Judgment of Messiah. In general, the figurative language in that Book is instructive in regard to the phraseology used in the Apocalyptic portions of the New Testament. Lastly, we mark that the views on the consequences of the Fall are much more limited than those expressed in 4 Esdras. Indeed, they do not go beyond physical death as the consequence of the sin of our first parents (see especially liv. 19: Non est ergo Adam causa, nisi animæ suæ tantum; nos vero unusquisque fuit animæ suæ Adam). At the same time, it seems to use, as if perhaps the reasoning rather than the language of the writer indicated hesitation on his part (liv. 14-19; comp. also first clause of xlviii. 43). It almost seems as if liv. 14-19 were intended as against the reasoning of St. Paul, Rom. v. 12 to the end. In this respect the passage in Baruch is most interesting, not only in itself (see for ex. ver. 16: Certo enim qui credit recipiet mercedem), but in reference to the teaching of 4 Esdras which, as regards original sin, takes another direction than Baruch. But I have little doubt that both allude to the - to them - novel teaching of St. Paul on that doctrine. Lastly, as regards the question when this remarkable work was written, we would place its composition after the destruction of Jerusalem. Most writers date it before the publication of 4 Esdras, Even the appearance of a Pseudo-Baruch and Pseudo-Esdras are significant of the political circumstances and the religious hopes of the nation.

Pour vos critiques et de fragments d’autres pseudépigraphes de l’ancien Testament, COMP. Fabricius, Codex Pseudepigraphus Vet. Test., 2 t. (éd. 2, 1722). Le Psautier de sol, IV. ESDR. (ou, comme il le dit, IV et V. EDD.), l’a de Baruch et l’hypothèse du mois, ont été édités par Fritzsche (lèvres. 1871) ; autres Juifs (hébreu) O. T. Pseudepigraphs - bien que d’une date ultérieure - à beth haMidrash de la de Jellinek (6 vols.), passim. Un examen critique de la littérature du sujet serait ici déplacée.