CHAPITRE III.
LES DERNIERS ÉVÉNEMENTS EN GALILÉE - L’HOMMAGE DE L’ARGENT, LE DIFFÉREND EN PASSANT, L’INTERDICTION DE LUI OMS NE POUVAIT PAS SUIVRE AVEC LES DISCIPLES ET L’ENSEIGNEMENT QUI EN DÉCOULE DU CHRIST.
(St. Matt. XVII. 22, xviii. 22 ; St. Mark ix. 30-50; St. Luke ix. 43-50.)
Maintenant que la retraite du Seigneur dans les frontières plus grande de la terre, à Philippes Cæsarea, était connu pour les Scribes, et qu’il était encore entouré et suivi par la multitude, il n’y aurait aucun autre objet dans sa retraite. En effet, l’heure était venue qu’il se réunisse pour lequel il avait été et était toujours, préparer les esprits de ses disciples - son décès à Jérusalem. En conséquence, on le retrouve une fois de plus avec ses disciples en Galilée - ne pas à respecter,3743 3743 ni à la parcourir comme autrefois à des fins de missionnaire, mais préparer son voyage à la fête des Tabernacles. Le peu d’événements de ce bref séjour et de l’enseignement lié à elle, peut se résumer comme suit.
1. mise en évidence, peut-être, comme la synthèse de l’ensemble, nous avons maintenant la répétition claire et catégorique de la prédiction de sa mort et sa résurrection. Alors qu’il garderait son actuel séjour en Galilée aussi privée que possible,3744 3744 Il soulignerait fain donc cet enseignement à ses disciples, qu’il doit s’enfoncer dans leurs oreilles et leurs souvenirs. Car c’était, en effet, le plus nécessaire pour eux compte tenu de l’avenir immédiat. Encore l’annonce seulement rempli leur cœur aimant avec plus de tristesse ; ils comprendre il pas ; non, ils ont été - peut-être pas anormalement - peur de lui demander à ce sujet. Nous nous souvenons, que même les trois qui avaient été avec Jésus sur le Mont, ne compris pas ce qui devrait signifier le ressuscitant d'entre les morts, et que, par la direction du maître, ils ont gardé la Vision d’ensemble de leurs collègues-disciples ; et, tout en pensant, nous peine me demande que, de leur point de vue, il a été caché d’eux, afin qu’ils ne pourraient pas il perçoivent.
2. il est à la dépression causée par son insistance sur ce terrible qu'avenir, la crainte constante de près de danger et le désir qui en découle de ne pas « offenser » et donc provoquer ceux dont les mains, Christ leur avait dit, qu'il devait souffrir, que nous traçons l’incident sujet de l’hommage-argent. Nous pouvons difficilement croire que Peter aurait répondu comme il le faisait, sans l’accord préalable de son maître, n’avait pas de telles pensées et craintes. C’était un autre mode de dire « Qu’être loin de toi » - ou, au contraire, essayé de le garder comme il pouvait de Christ. En effet, nous pouvons difficilement réprimer le sentiment, qu’il y avait une certaine quantité de cachotteries de la part de Peter, comme s’il avait appréhendé que Jésus n'aurait pas souhaité lui d’agir comme il l’a fait et aurait bien gardé toute la transaction de la connaissance de son maître .
Il est bien connu que, sur le terrain de l’injonction dans Exode xxx. 13 & c., tous les mâles en Israël, depuis vingt ans vers le haut, devait chaque année contribuent au Temple-Trésor de la somme d’un demi-sicle3745 3745 du sanctuaire,3746 3746 autrement dit, une commune shekel, ou deux drachmes attique,3747 3747 équivalent à environ 1s. 2d. ou 1s. 3d. de notre argent. Si l’ordonnance biblique original avait été prévu d’instituer une contribution annuelle régulière, les Juifs de la Dispersion auraient considéré probablement à la lumière un acte patriotique ainsi que religieux.
Les indications précédemment à ce sujet quelques autres peuvent être ajoutées. La famille du chef du Sanhédrin (Gamaliel) semble avoir apprécié la distinction curieuse d’apporter leurs contributions au Temple-Trésor, pas comme les autres, mais ont été jetés vers le bas devant celui qui a ouvert la Temple-poitrine,3748 3748 quand ils ont été immédiatement placés dans la zone d'où, sans délai, les sacrifices ont été fournis. 3749 3749 Encore une fois, les commentateurs expliquent un certain passage dans le Mishnah3750 3750 et le Talmud3751 3751 comme impliquant que, bien que les Juifs en Palestine avaient dû payer l’hommage-argent avant la Pâque, ceux des terres avoisinantes pourraient apporter avant la fête des semaines et ceux de ces pays lointains comme la Babylonie et médias aussi tard que la fête des Tabernacles. 3752 3752 Enfin, bien que le Mishnah établit il, que les biens de ceux qui pourraient être saisis, qui n’avait pas payé le Temple-hommage par la 25e Adar, c’est peine croyable que cela obtenu à l’époque du Christ,3753 3753 en tout cas en Galilée. En effet, cela semble implicite dans la déclaration de la Mishnah3754 3754 et le Talmud,3755 3755 que l’une des « treize trompettes » dans le Temple, dans lequel les cotisations ont été exprimées, était destinée aux shekels de l’actuel et l’autre pour ceux de l’année précédente. Enfin, ces contributions-Temple étaient en premier lieu consacrées à l’achat de tous les sacrifices publics, c'est-à-dire ceux qui ont été offerts au nom de toute la congrégation d’Israël, comme le matin et le soir sacrifices. On se souviendra, que c’était un des points en litige féroce entre les pharisiens et les Sadducéens, et que l’ancien perpétué leur triomphe en marquant son anniversaire comme un jour de fête dans leur calendrier. Il semble une ironie terrible du jugement3756 3756 Quand Vespasien a ordonné, après la destruction du Temple, que cet hommage doit désormais être rémunéré pour la reconstruction du Temple de Jupiter Capitolin. 3757 3757
On se souviendra que, peu avant la Pâque précédente, Jésus avec ses disciples avaient quitté Capharnaüm,3758 3758 Que leur retour à cette dernière ville que pour le Sabbat, et que, comme nous l’avons indiqué, ils ont passèrent les premiers jours de Paschal sur les bords du pneu. Nous n’avons, en effet, aucun moyen de savoir où le maître avait attardés dans les dix jours entre le 15 et le 25e Adar, en supposant que les arrangements Mishnic avoir été en vigueur à Capharnaüm. Il n’était certainement pas à Capharnaüm, et on doit aussi avoir connu, qu’il n'avait pas monté à Jérusalem pour la Pâque. Par conséquent, quand il a dit à Capharnaüm, que le rabbin de Nazareth venait une fois de plus à ce qui semble avoir été galiléen sa maison, il était tout naturel, qu’ils qui a recueilli le Temple-hommage3759 3759 aurait dû appliquer pour son paiement. Il est fort possible, que leur application peut ont été, sinon vous y êtes invité, encore accéléré, par la volonté de lui associer une violation si bien connu une obligation, ou encore par une curiosité hostile. Lui, qui a pris des vues si étrangement différents des observances juives, et qui a fait ces revendications extraordinaires, détiendrait l’obligation de payer le tribut de Temple ? Avait il été en raison de son absence, ou de principe, qu’il n’avait pas payé il dernière saison de la Pâque ? La question qu’ils se mettent à Pierre implique, au moins, leurs doutes.
Nous l’avons déjà vu quels motifs a incité la réponse hâtive de pierre. Il pourrait, en effet, également dans le cas contraire, son imprudence, ont donné une réponse affirmative à la question, sans d’abord consulter le capitaine. Car il semble peu douteux, que Jésus avait sur reprises anciens respecté la coutume juive. Mais les questions étaient totalement changées. Depuis la première Pâque, qui a marqué sa première apparition publique dans le Temple à Jérusalem, il l’a expliqué - et tout dernièrement en termes plus explicites - qu’il était le Christ, le fils de Dieu. Avoir payé maintenant le Temple-hommage, sans explication, pourrait avoir impliqué un très grave malentendu. Compte tenu de tout cela, l’histoire dont nous sommes saisis semble naturel et simple aussi bien. Il n’y a aucun prétexte pour la construction artificielle mises sur elle par les commentateurs, pas plus que pour la suggestion, que telle était la pauvreté du maître et de ses disciples, que les accessoires de petite somme pour le Temple-hommage devaient être fourni par miracle.
Nous l’image de nous-mêmes sur ce sage. Ceux qui ont reçu le prix hommage avaient venir à Pierre et peut-être rencontré dans la Cour ou le couloir et lui demanda : « Votre professeur (rabbin), n’il paie pas le didrachma ? » Bien que Peter hâtivement a répondu par l’affirmative et ensuite entré dans la maison pour se procurer la pièce, ou encore de rendre compte de ce qui a passé, Jésus, qui avait été dans une autre partie de la maison, mais était conscient de tous, « attend lui. » 3760 3760 S’adressant à lui dans la langue gentiment comme « Simon », il a fait observer l’état réel de la matière par une illustration qui doit, bien entendu, pas être trop littéralement enfoncée, et dont le sens est : dont un roi compte-t-elle d’impôt pour le maintien de ses palais et les officiers ? Sûrement pas sa propre famille, mais autres. L’inférence de la ce, comme considéré le Temple-hommage, était évident. Comme dans tous les enseignements juifs parabolique semblable, on indiquait seulement en principe général : « Puis sont les enfants libres. » Mais malgré tout, que ce soit comme Peter avait souhaité, bien que pas sur le même motif. Ne laisser aucune infraction inutile être donné ; car, assurément, ils n'auraient pas compris le principe sur lequel Christ aurait refusé l’argent de l’hommage,3761 3761 et tout malentendu, la part de Peter était désormais impossible. Encore Christ serait encore défendre son titre royal. Il paiera aussi pour Peter et payer, comme le roi du ciel, avec un Stater, ou un morceau de quatre-drachme, miraculeusement pourvu.
Vu ainsi, il est, nous soumettons, un objectif moral et l’enseignement spirituel dans la fourniture du statère hors de la bouche du poisson. L’explication rationaliste de celui-ci pas besoin d’être sérieusement envisagée ; pour toute interprétation mythique, il n’y a pas l’ombre d’appui dans un précédent biblique ou l’espérance juive. Mais le récit dans sa littéralité a un sens vrai et élevé. Et si nous avons voulu marquer la différence entre sa simplicité sobre et les extravagances de légende, nous tenons à rappeler nous-mêmes, non seulement de la célèbre histoire de l’anneau de Polycrate, mais de deux quelque peu kindred Haggadah juif. Ils sont tous deux destinés à glorifier le mode juif du Sabbat. L’un d’eux porte qu’un Joseph, connu comme « le honourer » du Sabbat, avait un voisin de riches païens, à qui la Chaldæans avait prophétisé que toutes ses richesses viendrait à Joseph. Pour rendre cela impossible, l’homme riche a transformé tous ses biens en un magnifique bijou, dont il a soigneusement caché dans sa tête-gear. Puis il a pris le bateau, donc aussi pour toujours afin d’éviter le voisinage dangereux du juif. Mais le vent a soufflé sa tête-gear dans la mer, et la gemme a été avalée par un poisson. Et voilà ! C’était la saison des Sainte, et ils ont mis sur le marché un poisson splendid. Qui achèterait il mais Joseph, pour ne rien mettre comme il serait se préparent à célébrer la journée par les meilleurs qu’il pouvait fournir. Mais quand ils ont ouvert le poisson, le gem a été trouvée dedans - l’être moral : « Celui qui emprunte pour le Sabbat, le Sabbat lui remboursera. » 3762 3762
L’autre légende est similaire. C’était à Rome (dans le monde chrétien) qu’un pauvre tailleur est allé au marché acheter un poisson pour un repas de fête. 3763 3763 Seul était en vente, et pour cela, il y avait une concurrence acharnée entre le serviteur d’un Prince et le juif, le second à la dernière de l’acheter pour pas moins de douze dinars. Lors du banquet, le Prince demanda à ses serviteurs pourquoi aucun poisson n’a été fourni. Lorsqu’il a déterminé la cause, il a envoyé pour le juif avec l’enquête menaçant, comment un pauvre tailleur pouvait se permettre de payer douze dinars pour un poisson ? « Mon Seigneur, » répondit le juif, « il est un jour où tous nos péchés sont remis, nous, et nous ne devrions pas honorer il ? » La réponse satisfait le Prince. Mais Dieu a récompensé le juif, car, lorsque le poisson a été ouvert, une pierre précieuse a été trouvée dans ce document, qu’il a vendues et jamais par la suite vécu du produit. 3764 3764
Le lecteur peut guère manquer de marquer la différence absolue entre les même les plus belles légendes juives et de n’importe quel caractère dans l’histoire évangélique.
3. l’événement suivant enregistré dans les Évangiles s’est déroulée en partie sur le chemin de la montagne de la Transfiguration à Capharnaüm et en partie à Capharnaüm, immédiatement après la scène connecté avec l’hommage-argent. Elle est enregistrée par les trois évangélistes, et il conduit à des explications et avertissements, qui sont racontées par Saint-Marc et Saint-Luc, mais principalement par St. Matthew. Cette circonstance semble indiquer, que ce dernier a été l’acteur principal dans ce qui a causé cet enseignement spécialisé et l’avertissement du Christ, et qu’il doit avoir coulé très profondément dans son cœur.
Comme nous le regardons, à la lumière de l’état puis mentale et spirituelle des apôtres, pas dans ce qui, peut-être naturellement, nous considérons, ce qui est arrivé ne semble pas difficile à comprendre. Comme St. Mark met,3765 3765 par la façon dont ils avaient contesté entre eux lequel d'entre eux serait le plus grand - comme St. Matthew explique,3766 3766 dans le Royaume messianique du ciel. Ils pourraient maintenant plus attendent avec confiance son avènement court entre l’annonce mystérieuse de la résurrection le troisième jour,3767 3767 qu’ils seraient probablement relient avec l’entrée en vigueur du jugement dernier, suite à la mort violente du Messie. D’un différend, graves et même violents, parmi les disciples, nous avons preuve dans l’exhortation du maître, tel que rapporté par Saint-Marc,3768 3768 dans la direction du Seigneur comment traiter avec un frère fautif et dans l’enquête répondant de pierre. 3769 3769 Ni nous pouvons être à perte à percevoir son occasion. La distinction décernée seulement sur les trois, en étant repris de la monture, peut ont réveillé des sentiments de jalousie chez les autres, peut-être de l’exaltation dans les trois. Aussi bien l’esprit qui John affiché dans son interdiction sévère de l’homme qui n’a pas suivi avec les disciples,3770 3770 et la négociation bien-pensants de Peter tout pardonner les infractions supposées ou réelles d’un frère,3771 3771 témoigner de tout sauf de l’état d’esprit que nous nous attendions après la Vision sur la monture.
En vérité, plus incongru que cela puisse paraître pour nous, il repense à la lumière de la résurrection, jour, nay, presque incroyable - évidemment, les apôtres étaient encore considérablement sous l’influence de l’esprit ancien. C’était la vue commune juive, qu’il y aurait des distinctions de rang dans le Royaume des cieux. Rarement, il peut être nécessaire de le prouver par des citations rabbiniques, car tout le système de Rabbinism et de pharisaïsme, avec sa séparation d'avec le vulgaire et les ignorants, il incombe. Mais même à l’intérieur du cercle enchanté de Rabbinism, il y aurait des distinctions, en raison de l’apprentissage, du mérite et même de favoritisme. Dans ce monde, il y avait ses favoris spéciaux, qui pouvaient commander quoi que ce soit à la main, utiliser l’illustration rabbinique, comme un enfant gâté de son père. 3772 3772 3773 3773 Et dans l’âge Messianique Dieu assignerait cabines à chacun selon son rang. 3774 3774 En revanche, beaucoup de passages pourrait être cité bearingon le devoir d’humilité et d’anéantissement. Mais l’accent mis sur le mérite y attacher à cette montre aussi clairement, qu’il était la fierté que les singes d’humilité. Une seule instance,3775 3775 SUSMENTIONNEE, suffira à titre d’illustration. Lorsque l’enfant du grand rabbin Jochanan ben Zakkai était dangereusement malade, il a été restauré par la prière d’un Chanina ben Dosa. Sur ce, le père de l’enfant a fait remarquer à sa femme : « Si le fils de Zakkai avait tout au long de la journée mettre sa tête entre ses genoux, aucune attention n’aurait été donnée à lui. » « Comment est-ce ? » a demandé à sa femme ; « est plus grand que toi Chanina ? » « Non, » fut la réponse, « il est comme un serviteur devant le roi, alors que je suis comme un prince devant le roi » (il est toujours là et a donc des perspectives de qui j’ai, comme un Seigneur, ne bénéficient pas).
Comment profondément enracinées étaient ces pensées et sentiments, apparaît non seulement à partir de la dispute des disciples soit dit en passant, mais de la demande présentée par la mère de Zébédée et son fils à une période ultérieure, en contraste terrible avec la Passion près de notre Seigneur. 3776 3776 Il vient, en effet nous surprendra plus douloureuses et aussi malheureusement incongrue, cette pénétration autonome constante, affirmation de soi et égoïsme faible, charnel ; ce Judaïsme insignifiante face à l’abnégation totale et d’abnégation du fils du Man. sûrement, le contraste entre le Christ et ses disciples semble parfois presque aussi grande qu’entre lui et les autres Juifs. Si nous mesurer sa Stature, ou comprendre la distance infinie entre ses objectifs et enseignant et ceux de ses contemporains, que ce soit par rapport à même les meilleurs de ses disciples. Il doit avoir fait partie de son humiliation et l’auto-examen de garder avec eux. Et n’est-il pas, en un sens, encore tellement en ce qui concerne nous tous ?
Nous avons déjà vu, qu’il y avait tout à fait suffisant occasion et du matériel pour un tel différend sur le chemin de la montagne de la Transfiguration à Capharnaüm. Nous supposons que Peter ont été seulement lors de la première avec les autres. À en juger par la question plus tard, combien de fois il a été de pardonner le frère qui a péché contre lui, il peut avoir été tellement profondément blessé, qu’il a laissé les autres disciples et a précipité l’avec le maître, qui serait, en tout cas, séjournent dans sa maison. Pour, ni lui, ni Christ semblent avoir été présent quand John et les autres a interdit à l’homme, qui ne suivrait pas avec eux, pour chasser les démons au nom du Christ. Encore une fois, les autres disciples seulement entrèrent à Capharnaüm et entra dans la maison, tout comme Peter avait opté pour le statère, pour payer le Temple-hommage pour le maître et pour lui-même. Et, si la spéculation soit admissible, nous suggérons que le frère, dont infractions Peter trouvé il est si difficile de pardonner, a été nul autre que Judas. Dans un tel différend soit dit en passant, il, avec son point de vue Judaistic, serait particulièrement intéressé ; peut-être, il peut avoir été son principal instigateur ; Certes, il, dont le caractère naturel, au milieu de ses contrastes à celle de Pierre, présenté autant de points de ressemblance avec elle, pour plusieurs motifs, serait spécialement jaloux et antagonistes à lui.
Tout à fait normal compte tenu de ce conflit est d’ailleurs un autre incident du voyage, qui est lié par la suite. 3777 3777 Que nous juger, John semble avoir été l’acteur principal peut-être, en l’absence de Peter, il a affirmé la direction. Ils s’étaient rencontrés à celui qui a été chasser les démons au nom de Christ - avec succès ou non, il faut tout juste se renseigner. Si largement avait foi en la puissance de Jésus étendu ; tellement réel était la croyance dans la soumission des démons à lui ; Si respectueuse a été la reconnaissance de lui. Un homme, qui, délaissant ainsi les méthodes des exorcistes Juifs, appartenant à Jésus dans le visage du monde juif, ne serait pas loin d’être le Royaume des cieux ; en tout cas, il ne pouvait pas rapidement parler mal de lui. John avait, au nom des disciples, lui interdit, parce qu’il n’avait pas précipité dans son lot en tout avec eux. C’était tout à fait dans l’esprit de leurs idées concernant le Royaume messianique et de leur différend, qui, de ses proches disciples, serait plu là. Et encore, ils pourraient se tromper sur les motifs de leur conduite. Si ce n’était pas près d’impertinence d’utiliser ces termes, nous aurions dit qu’il y avait une sagesse infinie et la gentillesse dans la réponse que le Sauveur a donné, quand mentionnés sur le sujet. D’interdire à un homme, dans de telles circonstances, serait soit invité par l’esprit du différend en passant - ou d’autre doit reposer sur la preuve que le motif était, ou l’effet serait finalement (comme dans le cas des fils de Scéva) pour diriger les hommes « de dire du mal » du Christ, ou d’entraver le travail de ses disciples. Assurément, telle ne pourrait pas été le cas avec un homme, qui a invoqué son nom et peut-être connu son efficacité. Plus que cela - et voici un principe éternel : « Celui qui n’est pas contre nous est pour nous. » celui qui n'oppose pas les disciples, est vraiment pour eux - un dicton encore plus clair, quand nous adoptons la meilleure lecture St. Luke,3778 3778 « Celui qui n’est pas contre vous est pour vous. » 3779 3779
On reproche dans le présent, ainsi que l’instruction, profondément cohérente avec cette autre, quoique apparemment différentes, disant :3780 3780 « Celui qui n’est pas avec moi est contre Me. » la distinction entre eux est double. Dans un cas c’est « pas contre », dans l’autre c’est « pas avec » ; mais surtout il se trouve dans le présent : dans un cas il n’est pas contre les disciples dans leur travail, tandis que dans l’autre c’est - pas avec Christ. Un homme qui a fait ce qu’il pouvait avec cette connaissance du Christ qu’il possédait, même s’il ne respectaient absolument pas avec eux, était « pas contre » eux. Une telle personne doit être considérée comme jusqu’ici avec eux ; au moins être a fortiori, gauche à celui qui savait toutes choses. Un tel homme ne parlerait pas légèrement mal du Christ - et c’était tout les disciples doivent soigner, sauf si, en effet, ils ont cherché leur propre. Tout autre était tel qu’il est considéré la relation d’une personne devant le Christ lui-même. Il la neutralité est impossible - et ce qui n’était pas avec le Christ, par ce seul fait était contre lui. La leçon est le personnage d’envergure plus profond, et la distinction, hélas ! toujours négligé - peut-être parce que le nôtre est trop souvent l’esprit de ceux qui a voyagé à Capharnaüm. Pas, qu’il est sans importance à suivre avec les disciples, mais que ce n'est pas la nôtre d’interdire tout travail effectué, mais imparfaitement, en son nom, et que la seule question est vraiment vitale - si un homme est décidément avec le Christ.
Tels furent les incidents en passant. Et maintenant, tout en refusant de Christ leur différend et, en effet, tout ce qui peut sembler personnel dans la question, les disciples, en entrant dans la maison où il était à Capharnaüm, que lui a adressée, cette enquête (qui doit être inséré depuis les premiers mots de St. Récit de Matthew) : « Qui, ensuite, est plus grand dans le Royaume des cieux ? » C’était une question d’ordre général - mais Jésus perçut la pensée de leur cœur ; 3781 3781 Il savait tout ce qu’ils avaient contesté en passant,3782 3782 et maintenant leur sujet demandé. Le récit de Saint-Marc est plus graphique. Nous avons presque voir la scène. Dévasté par la conscience « ils ont tenu leur tranquillité. » Comme nous le lisons les mots supplémentaires :3783 3783 « Et il s’assit, il semble comme si le capitaine avait une première allée accueillir les disciples à leur arrivée, et, sans tarder, elles, « pleine de leur différend, » portaient leur enquête pour lui dans la Cour ou l’antichambre, où ils ont rencontrent, quand, lire leurs pensées , Il avait tout d’abord poser la Counter-question de la recherche, ce qui a fait l’objet de leur litige. Ensuite, ouvrir la voie à la maison, « il s’assit, » non seulement pour répondre à leur demande, qui n’était pas une véritable enquête, mais pour leur apprendre ce que tellement ils devaient apprendre. Il a appelé un petit enfant - peut-être de Peter petit fils - et le plaça au milieu d’eux. Pour ne pas s’efforcer qui était plus forte, mais d’être totalement sans conscience de soi, comme un enfant - ainsi, devenir tourné et changé tout à fait à l’esprit : « converti », était la condition pour entrer dans le Royaume des cieux. Ensuite, quant à la question de la grandeur là, c’était vraiment l’un de la grandeur du service - et qui était le plus grand service, ce qui impliquait la plupart abnégation. Joignant l’action à l’enseignement, le Sauveur béni prit l’enfant heureux dans son bras. Non, d’enseigner, de prêcher, à faire des miracles, ni à accomplir de grandes choses, mais de faire le plus humble service pour l’amour du Christ - amoureusement, sincèrement, en tout, soi-forgetfully, simplement pour le Christ, était à recevoir le Christ - nay, de recevoir le père. Et le plus petit service, comme il pourrait sembler - même le donnant une tasse d’eau froide dans cette esprit, ne perdrait pas sa récompense. Béni cette enseignement aux disciples et à nous ; leçon de Béni, qui, en ces siècles de canicule, a été d’une indicible rafraîchissant, tant pour le donneur et le receveur de la tasse d’eau au nom du Christ, dans l’amour du Christ et pour l’amour de Christ. 3784 3784
Ces mots au sujet de recevoir Christ et la « réception au nom du Christ, » avaient agité la mémoire et la conscience de John et lui fit demi me demande, moitié peur, si ce qu’ils avaient fait en passant, en interdisant à l’homme de faire ce qu’il pouvait au nom du Christ , a eu raison. Et il a dit et a reçu l’enseignement post-obligatoire et supérieur sur le sujet. Et, plus que cela, Saint-Marc et, plus complètement, Saint Matthieu, enregistrement des nouvelles instructions à cet égard, dans lequel Saint-Luc se réfère, sous une forme légèrement différente, à une période un peu plus tard. 3785 3785 Mais il semble tellement congruente à cette occasion, que nous concluons on le parlait alors, bien que, comme les autres énonciations,3786 3786 peut ont été par la suite rediffusé dans les mêmes circonstances. 3787 3787 Certes, la poursuite pas plus efficace et demande à l’esprit des Juifs, de l’enseignement de notre Seigneur pouvaient être conçu que celle qui suit. Pour l’amour du Christ va plus loin que la condescendance de recevoir un enfant, totalement non pharisaïque et non rabbinique puisqu’il s’agit. 3788 3788 Tenir compte des faiblesses d’un tel enfant - à son mental et moral de l’ignorance et la folie, pour nous adapter à lui, à retenir notre connaissance plus complète et de renoncer à notre liberté de feutre, alors que ne pas « d’offenser » - de ne pas donner l’occasion d’achoppement pour ' un de ces petits ,' que si grâce à notre connaissance le faible frère pour lequel Christ est mort ne périsse : il s’agit d’une leçon qui atteint encore plus profondément que la question, quelle est la condition d’entrée dans le Royaume, ou quel service constitue la véritable grandeur dedans. Un homme peut entrer dans le Royaume et faire service - pourtant, si, ce faisant il ne pas tenir compte de la Loi de l’amour à la little ones, beaucoup mieux son travail devrait être brusquement écourté ; mieux, une de ces grandes meules, tournés par un âne, ont été accrochées sur son cou et il jeta dans la mer ! Nous faisons une pause pour noter, une fois de plus, la judaïque et, par conséquent, présentation, réglage du récit évangélique. Le Talmud parle aussi de deux types de meules - le tourner à la main ({hébreu}),3789 3789 dénommé à St. Luc xvii. 35; l’autre tourné par un âne (μͺλος ͺνιλͺς), tout comme le Talmud parle aussi de « l’âne de la meule » ({hébreu}). 3790 3790 De même, la figure sur une meule de moulin pendu autour du cou se produit aussi dans le Talmud - bien que là comme figuratif des difficultés presque insurmontables. 3791 3791 Encore une fois, l’expression, « c’était mieux pour lui, » est une expression bien connue rabbinique (Mutabh hayah lo). 3792 3792 Enfin, selon Saint Jérôme, la punition qui semble fait allusion à dans les paroles du Christ, et dont nous savons qu’ont été infligées par Auguste, était réellement pratiquée par les Romains en Galilée sur certains des leaders de l’insurrection sous Judas de Galilée.
Et encore une plus grande culpabilité serait très certainement engagée ! Malheur au monde ! 3793 3793 Occasions de trébucher et infraction viendra sûrement, mais malheur à l’homme par l’intermédiaire duquel ces ravages a été forgé. Alors, quelle est l’alternative ? Si c’est une question entre l’infraction et une partie de nous-mêmes, un membre ou un membre, si utile - la main, le pied, le œil - puis laissez-le plutôt être retranché du corps, aussi douloureux, ou toutefois apparemment très bien, la perte. Il ne peut pas être aussi grand que celui de l’être tout entier dans le feu éternel de la Géhenne, où leur ver ne meurt pas, et le feu n’est pas éteint. 3794 3794 il main, pied ou oeil - pratique, poursuite ou recherche - ce qui nous amène consciemment aux occasions de trébucher, il doit être résolument mis de côté au vu de la perte incomparablement plue de remords éternels et angoisse.
Ici Saint-Marc a brusquement rompt avec un dicton dans laquelle le Sauveur fait application générale, même si le récit est encore poursuivi par St. Matthew. Les mots signalés par Saint-Marc sont si remarquables, que si bref, nous avions presque dit tronqué, au point de nécessiter une attention particulière. 3795 3795 Il nous semble que, tournant de cette pensée que même les membres qui sont destinés à être utile peuvent, dans certaines circonstances, doivent être coupés pour éviter la plus grande perte, le Seigneur a donné à ses disciples cela comme la synthèse finale et l’explication de tous : « Car tout le monde doit être salé pour le feu »3796 3796 - ou, comme un gloss très précoce, qui a étrangement s’est glissée dans le texte,3797 3797 paraphrasé et expliqué, « tous les sacrifices doivent être salée au sel ». 3798 3798 Personne n’est apte pour le feu sacrificiel, personne ne peut lui-même être, ni offrir quoi que ce soit comme un sacrifice, à moins qu’il été tout d’abord, conformément à la loi Lévitique, couverte de sel, symbolique de l’incorruptible. "Le sel est bon ; mais si le sel,' avec lequel le sacrifice spirituel doit être salée pour le feu, "a perdu sa saveur, avec quoi va vous assaisonnez ?' Par conséquent, « avoir le sel en vous-mêmes », mais ne laissez pas que le sel être corrompu en faisant TI une occasion d’infraction à des tiers, ou entre vous, comme dans le litige soit dit en passant, ou dans la disposition d’esprit qui a conduit à elle, ou en interdisant aux autres de travailler qui ne suivent pas avec vous , mais « être en paix entre vous. »
À cette explication de la parole du Christ il peut, peut-être, d’ajouter que, de leur forme, ils doivent avoir transmis une signification particulière aux disciples. C’est une loi bien connue, que chaque sacrifice brûlé sur l’autel doit être salé avec du sel. 3799 3799 En effet, selon le Talmud, non seulement chaque telle offrande, mais même le bois avec lequel le feu sacrificiel s’enflamma, était saupoudré de sel. 3800 3800 Sel symbolisé aux Juifs de cette époque l’incorruptible et le plus élevé. Ainsi, l’âme a été comparé à du sel, et il a été dit concernant les morts : « Secouer le sel et jeter la chair aux chiens. » 3801 3801 La Bible a été comparée au sel ; était donc l’acuité de l’intellect. 3802 3802 Enfin, la question : ' si le sel a perdu sa saveur, avec quoi seront vous assaisonnez ? » semble avoir été proverbiale et se produit dans exactement les mêmes mots dans le Talmud, apparemment pour désigner une chose qui est impossible. 3803 3803 3804 3804
Plus complètement anti-pharisaïque et anti-rabbinique comme tout que cela était, ce que Saint Matthieu davantage les rapports mène encore plus loin dans la même direction. Nous semblent voir Jésus tenant toujours cet enfant et, avec une référence évidente à l’outrage juif pour ce qui est petit, pointez sur lui et s’appliquent, de toute autre manière qu’ils avaient déjà entendu parler, le rabbinique d’enseignement sur les anges. Dans la vue juive, 3805 3805 seulement le principal des anges devant la Face de Dieu dans le rideau voile, ou Pargod, tandis que les autres, se situait dans des classes différentes, se trouvait à l’extérieur et attendu son instigation. 3806 3806 La distinction qui a apprécié l’ancien a toujours été pour contempler son visage et d’entendre et de connaître directement les conseils divins et des commandes. Cette distinction était, par conséquent, l’un des connaissances ; Le Christ a enseigné que c’était un amour. Pas le plus exalté dans la connaissance et mérite, ou une valeur, mais simples, plus inconsciente de soi, plus réceptive et s’accrocher - plus à Dieu. Chercher de la terre au ciel ; Ces représentant, il peut être, gardien, anges, plus proche de Dieu, ne sont pas celles de la connaissance plus profonde de l’avocat de Dieu et commandes, mais ceux de simple, humilient grâce et la foi - et donc apprennent, non seulement ne pas de mépriser un seul de ces petits, mais qui est vraiment plus grand dans le Royaume des cieux !
Vu sous cet angle, il y a rien d’incongru dans la transition : « car le fils de l’homme est venu pour sauver ce qui était perdu. » 3807 3807 Cela, sa plus grande condescendance quand il est devenu le bébé de Bethléem, est aussi sa plus grande exaltation. Celui qui est le plus proche du père et, dans le sens plus spécial et unique, toujours regarde sa Face, est celui qui est devenu un enfant et, comme le fils de l’homme, s’abaisse plus bas, pour sauver ce qui était perdu. Les mots sont, en effet, considéré comme faux par la plupart des critiques, car certains manuscrits principaux les omettre, et qu’ils sont censés avoir été importés de St. Luc xix. 10. Mais un tel transfert d’un contexte tout à fait sans rapport avec cette section3808 3808 semble inexplicable, alors que, sur l’autre main, le verset sous formes de question, non seulement une transition apt, mais presque nécessaire, à la parabole de la brebis perdue. Il semble donc difficile de l’éliminer sans suppression également de cette parabole ; et pourtant, il s’adapte plus magnifiquement dans le contexte global. Qu’il suffise pour l’instant de constater cela. La parabole s’est répétée plus en détail dans une autre connexion,3809 3809 dans lequel il sera plus commode de l’examiner.
Encore une profondeur supplémentaire de l’amour chrétien restait à être montré, qui, tout individu-oublieux, ne cherche pas ses propres, mais les choses des autres. Cela aussi ont porté sur les circonstances de l’époque et le différend entre les disciples, mais allée bien au-delà de ce et énoncés de principes éternels. Jusqu'à présent, il avait été question de pas chercher soi-même, ni garde de grandes choses, mais comme le Christ et semblable à Dieu, à condescendre aux tout-petits. Que se passe-t-il si mal réel avait été fait et juste infraction donnée par un « frère » ? 3810 3810 Dans ce cas, également, le principe du Royaume -, négativement, c'est-à-dire que d’oubli de soi, positivement, celle du service de l’amour - tout d’abord chercherait le bien du frère fautif. Nous marquons, ici, le contraste à Rabbinism, qui ordonne que le premier une proposition doit être faite par le délinquant, pas l’offensé ; 3811 3811 et même prescrit cela pour être fait en présence de nombreux témoins et, si nécessaire, répété trois fois. 3812 3812 En ce qui concerne le devoir de montrer à un frère de sa faute et la tendresse délicate de le faire à huis clos, pour ne pas lui faire honte, Rabbinism parle le même que le maître de Nazareth. 3813 3813 En fait, selon la loi criminelle juive, châtiment ne pourrait pas être infligé à moins que le délinquant (même la femme soupçonnée d’adultère) avait déjà été averti devant témoins. Pourtant, en pratique, les questions étaient très différentes : et non plus ceux qui se retrouvent qui prendrait le reproche, ni encore comme étaient dignes de l’administrer. 3814 3814
Tout autre était dans le Royaume de Christ, où la théorie a été laissée non définie, mais la pratique est clairement indiquée. Ici, en aimant faire face, de convaincre de sa faute, lui qui l’avait fait, n’était pas humiliation ni perte de dignité ou de droit, mais véritable gain : le gain de notre frère pour nous et finalement au Christ lui-même. Mais même si cela devait échouer, l’offensé ne doit pas renoncer à son service d’amour, mais se conjuguent en elle d’autres avec lui afin de donner le poids et l’autorité à ses remontrances, comme n’étant ne pas le résultat du sentiment personnel ou préjudice - peut-être, aussi, d’être témoins bef minerai le tribunal divin. Si l’opération a échoué, un dernier appel il faudrait la part de l’église dans son ensemble, qui, bien sûr, pourrait seulement être fait par le biais de ses représentants et dirigeants, à qui l’autorité Divine avait été commise. Et si qui ont été rejetées, l’offre de l’amour, comme toujours dans l’Évangile, passerait en danger du jugement. Pas, en effet, que ce devait être exécuté par l’homme, mais qu’un tel délinquant, après le premier et le deuxième avertissement, devait être rejetée. 3815 3815 Il devait être traitée comme c’était la coutume en ce qui concerne un païen ou un publicain - pas persécuté, méprisé, ou évitée, mais pas reçu dans l’Église-communion (un païen), ni admis pour fermer des relations familières (un publicain). Et cela, comme nous l’entendons, jalonne le mode de ce qu’on appelle la discipline de l’église en général et plus particulièrement en ce qui concerne les torts causés à un frère. Discipline a donc exercé (qui mai Dieu restaurer nous) a la plus forte sanction Divine, et la réalité plus sérieuse s’attache à elle. Pour, en vertu de l’autorité que le Christ a promis à l’église en la personne de ses dirigeants et représentants,3816 3816 ce qu’ils lié ou délié - déclarée obligatoire ou non obligatoire - a été ratifiée dans le ciel. N’était-ce pour se demander à. L’incarnation du Christ a été le lien qui lie la terre au ciel : à travers elle tout ce qui a été convenu à la communion de Christ, comme ce qui devait être posée, serait fait pour eux de son père qui était dans le ciel. 3817 3817 Ainsi, la puissance de l’église a atteint jusqu'à ciel grâce à la puissance de la prière en son nom qui fait de Dieu notre père. Et donc, au-delà de l’exercice de la discipline et l’autorité, il y avait l’omnipotence de la prière - « si deux d'entre vous s’accordent... comme toucher quoi que ce soit... il doit être fait pour eux » - et, avec elle, l’infinie possibilité également d’un service plus élevé de l’amour. Pour, dans le plus petit rassemblement dans le nom du Christ, sa présence serait, 3818 3818 et avec elle la certitude de la proximité et l’acceptation, avec Dieu. 3819 3819
Il est amèrement décevant que, après ce type d’enseignement, même un Peter - immédiatement après, ou peut-être après que qu’il avait eu le temps de réfléchir et appliquez-le - viendrait au maître avec la question, combien de fois il devait pardonner à un frère fautif, imaginer qu’il était plus que satisfait aux nouvelles exigences, si il a étendu à sept reprises. 3820 3820 Ces traits montrent mieux que des discussions élaborées, la nécessité de la mission et le renouvellement du Saint-Esprit. Et pourtant il y a quelque chose de touchant dans la simplicité et l’honnêteté avec laquelle Peter va au maître avec telle une mauvaise compréhension de son enseignement, comme s’il était complètement entré dans son esprit. Certes, le vin nouveau a été l’éclatement les vieilles bouteilles. C’était un principe de Rabbinism que, même si l’auteur du méfait avait fait une restauration complète, il n’obtiendrait pas de pardon jusqu'à ce qu’il avait demandé de lui dont il avait fait du tort, mais qu’il s’agissait de cruauté dans ces circonstances de refuser le pardon. 3821 3821 La Jérusalem Talmud3822 3822 Ajoute la belle Remarque : « que ce soit un jeton dans ta main - chaque fois que tu showest miséricorde, Dieu va montrer la pitié sur toi ; et si tu ne ShoWest pas miséricorde, ni Dieu montrera pitié de toi. » Et pourtant, c’est une règle établie, que le pardon ne devrait pas être étendu de plus de trois fois. 3823 3823 Malgré cela, la pratique était terriblement différente. Le Talmud rapporte, sans blâme, la conduite d’un rabbin, qui pardonnerait pas une légère très petite de sa dignité, si demandée par le délinquant pendant treize années successives et que le jour des Expiations - la raison d’être, que le rabbin offensé avait appris par un TR suis que son frère fautif atteindraient la plus haute dignité, après quoi il feint inconciliables, pour forcer l’autre à migrer de Palestine à Babylone, où, unenvied par lui, il pourrait occuper la première place ! 3824 3824
Et donc il doit semblé à Pierre, dans son ignorance, un tronçon de charité pour étendre le pardon à sept, au lieu de trois infractions. Il ne bougèrent pas pour lui, que l’acte même d’infractions numérotation marqué un externalisme qui n’avait jamais conclu, ni compris l’esprit du Christ. Jusqu'à sept fois ? Nay, jusqu'à soixante-dix fois sept fois ! 3825 3825 Le sens évident de ces mots était d’effacer tous ces repères. Pierre avait encore à apprendre, ce que nous avons, hélas ! trop souvent oublier : que comme le pardon du Christ, alors que des chrétiens, ne doit pas être calculé par numéros. Il est qualitatif, pas quantitatif: Christ pardonne le péché, pas de péchés - et celui qui a fait l’expérience, suit ses traces. 3826