CHAPITRE XXI.
LA MORT ET LES RASSEMBLEMENTS DE LAZARUS - LA QUESTION DES MIRACLES ET DE CE MIRACLE DES MIRACLES - VUES DE NÉGATIF CRITIQUE SUR CETTE HISTOIRE - ENTERRER-RITES JUIFS ET DES SÉPULTURES.

(St. John xi. 1-54.)

À l’écoute de l’enseignement du Christ, nous passons une fois de plus pour suivre son travail. On se souviendra, que la visite à Béthanie divise la période de la fête de la dédicace à la dernière semaine de Paschal en deux parties. Il constitue également le prélude et la préparation pour les terribles événements de la fin. Pour, c’est à cette occasion que les membres du Sanhédrin formellement résolus sur sa mort. Il restait maintenant seulement à s’installer et réaliser les plans afin de donner effet à leurs fins.

Il s’agit d’un aspect de celui-ci. Il n’y a encore un autre et plus solennelle un. La résurrection de Lazare marque le point culminant (pas dans la Manifestation, mais) du ministère de notre Seigneur ; C’est le point culminant d’une histoire où tout est miraculeux - la personne, la vie, les mots, le travail. En ce qui concerne lui-même, nous avons ici la preuve plus complète tant de sa divinité et l’humanité ; en ce qui concerne ceux qui ont été les témoins, la plus haute manifestation de foi et d’incrédulité. Ici, sur cette hauteur, les deux façons enfin rencontrer et une partie. Et de ce point haut - non seulement de la résolution de la Sanhedrists, mais de la résurrection de Lazare - nous avons notre premier aperçu clair sur la mort et la résurrection du Christ, dont la résurrection de Lazare était le prélude typique. À cette altitude, aussi, nous ont une perspective sur le rassemblement de l’église à son tombeau vide, où les précieux mots prononcés sur la tombe de Lazare a reçu leur sens - jusqu'à ce que la mort ne sera pas plus. Mais surtout faire nous maintenant penser que c’est le Miracle des Miracles dans l’histoire du Christ. Il avait, en effet, avant il a ressuscité les morts ; mais il avait été en Galilée lointaine et dans des circonstances essentiellement différentes. Mais maintenant, ce serait un si bien connu comme Lazare, aux portes de Jérusalem, aux yeux de tous les hommes et au milieu d’un cadre qui n'admet pas d’erreur ou de doute. Si ce Miracle est vrai, nous nous sentons instinctivement tout est vrai ; et Spinoza avait raison en disant :4775 4775 cité par Godet (ad loc.). que si il pouvait croire à la résurrection de Lazare, il déchire en lambeaux, son système et acceptons humblement le credo des chrétiens.

Mais est-ce vrai ? Nous avons atteint un stade de cette histoire où une telle question, toujours plus douloureuse, peut sembler presque déplacée. Pour, progressivement et avec plus de clarté, nous avons appris la fiabilité des enregistrements évangélique ; et, comme nous l’avons suivit, la conviction s’est aggravée dans la joyeuse assurance, lui qui parlait, vécu et j’ai agi comme nul autre, c'est-à-dire dans l’acte même du Christ de Dieu. Et pourtant nous nous poser ici cette question encore une fois, en raison de son importance absolue et infinie ; parce que cela peut être considéré comme le moment plus forte et décisif dans cette histoire ; car, en vérité, c’est à la foi historique de l’église ce qui la grande Confession de Pierre était à celle des disciples. Et, bien qu’une telle enquête peut sembler comme la secousse d’une discorde dans la mélodie du ciel propre, nous poursuivre, sentant que, ce faisant, nous sommes ne pas discuter de ce qui est douteux, mais plutôt énonçant la preuve de ce qui est certain, pour la confirmation de la foi de nos he Arts, et, comme nous avons humblement confiance, pour la mise en place de la foi car c’est en Jésus.

Tout d’abord, nous devons ici une fois de plus se rencontrent, toutefois brièvement, la difficulté préliminaire en ce qui concerne les Miracles, dont la résurrection de Lazare est, nous ne dirons pas, les plus grands - pour comparaison n’est pas possible sur ce point -, mais les plus remarquables. Sans aucun doute, un Miracle va à l’encontre, non seulement à notre expérience, mais aussi aux faits sur lesquels est fondée notre expérience ; et ne peut s’expliquer que par une interposition Divine directe, qui est aussi contraire à notre expérience, bien qu’on ne saurait logiquement à sont contraires aux faits sur lesquels que l’expérience est fondée sur. Au-delà de ce qu’il est impossible d’aller, depuis l’argument pour d’autres motifs que d’expérience, que ce soit phénoménal [observation et données historiques] ou réel [connaissance des lois et principes] - nécessiterait des connaissances aussi bien de toutes les lois de la Nature et de tous les secrets du ciel.

D’autre part (comme indiqué dans une précédente partie4776 4776 voir vol. i, p. 559. ), pour faire valoir ce point seulement sur le terrain d’expérience (réelle ou phénoménal), n’étaient pas seulement de raisonnement à priori, mais dans une spirale infernale. Il reviendrait vraiment à cela : une chose n’a pas été, car il ne peut pas ; et il est impossible, parce que, pour autant que je sache, il n’est pas et n’a pas été. Mais, pour nier sur telle avant jugement à priori la possibilité des Miracles, en fin de compte implique une négation d’a la vie, Dieu qui règne. Car l’existence d’un Dieu implique au moins la possibilité, dans certaines circonstances, il peut être la nécessité rationnelle, des Miracles. Et les mêmes motifs d’expérience, qui racontent à éviter l’apparition d’un Miracle, seraient appliquerait aussi contre la croyance en un Dieu. Nous avons comme petit motif dans l’expérience (de nature physique) pour l’un comme pour l’autre. Ce n’est pas dit pour décourager la demande, mais pour le bien de notre argumentation. Pour, nous en toute confiance affirmer et contester l’expérience de celui-ci, que refus de croire en un Dieu, ou le matérialisme, implique infiniment plus de difficultés et qui à chaque étape et en ce qui concerne toutes les choses, que la foi des chrétiens.

Mais nous nous sentons instinctivement qu’un tel Miracle, comme la résurrection de Lazare appelle pour les formules plus simplement logiques. Cœur et l’esprit ont soif de plus élevé que la question de ce que peut être logiquement possible ou impossible. Nous voulons, pour ainsi dire, les preuves de vie, et nous l’avons. Nous l’avons, tout d’abord, en la personne de Dieu incarné, qui non seulement est venu pour abolir la mort, mais dans la continuité de la maladie et la mort dont la présence était impossible. Et nous l’avons également dans le récit de l’événement lui-même. C’était, en effet, une demande absurde de prouver un Miracle, étant donné que pour ce faire était de montrer qu’il n’était pas un Miracle. Mais nous pouvons poser rationnellement ces trois choses : Premièrement, pour montrer, qu’aucune autre explication n’est rationnellement possible que celle qui se déroule sur le fondement de son être un Miracle ; Deuxièmement, pour montrer, que ce point de vue de celui-ci est cohérent avec lui-même et avec tous les détails de la narration ; et, Troisièmement, qu’il est en harmonie avec ce qui précède et ce qui suit le récit. Les deuxième et troisième de ces arguments seront les résultats de notre étude de l’histoire de cet événement ; le premier, qu’aucune autre explication du récit n’est rationnellement possible, doit maintenant être brièvement tenté.

Nous pouvons ici faire disparaître, comme ce qui serait ne sont traitée par un familier avec les enquêtes historiques, l’idée qu’un tel récit pourrait être une invention absolue, sans fondement sur aucun fait. Encore une fois, nous pouvons mettre de côté aussi répugnants à, au moins anglais, commun de sens, la théorie selon laquelle le récit concorde avec l’idée que Lazare n’était pas vraiment morts (donc les rationalistes). Ni toute personne, qui avait la moindre sympathie avec le point de vue moral des Évangiles, examinerait l’opinion de M. Renan,4777 4777 dans les éditions antérieures de sa Vie de Jésus. que c’était tous une « pieuse fraude » concoctée entre toutes les parties, et que, afin de convertir Jérusalem par un miracle de signal, Lazarus avait lui-même habillé comme un cadavre et mis dans le tombeau familial. Guère plus rationnelle est M. les dernières suggestions de Renan , que c’était tout un malentendu : Marthe et Marie d’avoir dit à Jésus le souhait d’amis, qu’il devrait faire quelque miracle notable pour convaincre les Juifs et suggérant qu’ils croiraient si l'on Rose de la mort, quand il a répondu, qu’ils ne croiraient pas même si Lazarus est passée de sa tombe - et que la tradition avait transformé cette conversation dans un événement réel ! Ni, enfin, anglais bon sens facilement croirait (avec Baur), que le récit entier était une composition idéale pour illustrer ce qui doit être considéré comme la déclaration métaphysique : « Je suis la résurrection et la vie. » Entre nous, au moins, aucune réfutation sérieuse de ces et des vues similaires peuvent être nécessaires.

Ni les autres théories avancées nécessitent discussion allongée. L’explication mythique de Strauss est, qui comme l’ancien Testament avait enregistré des cas de lever d'entre les morts, alors que la tradition chrétienne doit doit attribuer le même au Messie. Pour cela (sans répéter la réfutation détaillée faite par Renan et Baur), il suffit de répondre : l’histoire précédente de Christ avait déjà offert ce cas, pourquoi inutilement se multiplient eux ? En outre, s’il avait été « une légende », tels plein et détails minutieux n’auraient pas ont été introduites, et tandis que l’élément humain ont été supprimé, le miraculeux serait ont été beaucoup plus accentué. Qu’une autre théorie sur le sujet exige un avis : que l’auteur du quatrième Évangile, tradition ou plutôt précoce, avait transformé la parabole de la Dives et Lazare dans un événement réel. En réponse, il suffit de dire : tout d’abord, que (comme indiqué précédemment), il n’y a aucun lien entre le Lazare de la parabole et lui de Béthanie ; Deuxièmement, que, si elle avait été une parabole transformées, les caractères choisis n’auraient pas été des personnes réelles et qu’elles étaient ces ressort clairement de la mention de la famille dans des circonstances distinctes dans les trois évangiles synoptiques,4778 4778 St. Luke x. 38 & c. ; St. Matt. XXVI. 6 & c. St. Mark xiv. 3. dont l’auteur du quatrième Évangile était pleinement conscient. 4779 4779 St. John xi. 2. Enfin, dans le Godet remarques, tandis que la parabole se ferme en déclarant que les Juifs ne croiraient pas même si on ressuscita des morts, le récit se termine sur cette sage :4780 4780 St. John xi. 45. « Plusieurs donc des Juifs, qui sont venus à Marie et virent ce qu’il a fait, crurent en lui. » 4781 4781 je ne comprends pas, si oui ou non m. Abbott (Encycl. Brit., Art. « Évangiles, » p. 837, 838) détient le « exactitude historique » de ce récit. Dans une note de pied, il n’invoquera son « discussion complète » comme étranger à la fin de son essai. Il nous renvoie, cependant, à la parabole du Dives et Lazare, ainsi que les observations à ce sujet de Lightfoot dans son Hebr. Horæ et de Wünsche dans ses Beitr. z. Erl. d. Evangelien. J’ai ont examiné avec soin tous les deux, mais ne peut pas voir qu’un ou les deux contribuent à quoi que ce soit pour aider à notre compréhension de la résurrection de Lazare.

Compte tenu de ces propositions d’explications, nous lançons un appel au lecteur impartial, si l’un d'entre eux rationnellement des comptes concernant l’origine et l’existence de cette histoire dans la tradition apostolique ? En revanche, tout est clair et cohérent sur la supposition de la vérité historique de ce récit : la minutie des détails ; la vivacité et la pictorialness du récit : la façon caractéristique dont Thomas, Martha et Mary parlent et agissent, conformément à ce que nous lisons d'entre eux dans les autres évangiles ou dans d’autres parties de cet Évangile ; l’affection humaine du Christ ; la simplicité et la majesté de la manière du Miracle ; et les effets de celui-ci sur un ami et ennemi. Il y a, en effet, présente une difficulté (pas, opposition), que l’événement n’est pas mentionné dans les évangiles synoptiques. Mais nous savons trop peu du plan sur lequel les Évangiles, considérés comme la vie du Christ, ont été construites, pour nous permettre de tirer toute conclusion suffisante du silence de la Synoptists, alors que nous savons que le Judæan et Jérusalem Ministère du Christ, sauf pour autant que c’était absolument nécessaire de se référer à elle, ne relèvent pas du régime des évangiles synoptiques et fait l’objet spécial de celle de Saint-Jean. Enfin, nous devons nous rappeler, que dans l’état de la pensée l’introduction d’un autre récit de lever d'entre les morts ne puisse pas ont leur paraissait d’une telle importance comme il nous apparaît dans l’état actuel de la controverse - plus particulièrement, puisqu’il allait bientôt être fo Ferrari par une autre résurrection, l’importance et la valeur probante dont loin éclipsé un tel événement comme la résurrection de Lazare. Leurs lecteurs galiléens a eu l’histoire de l’élevage du fils de la fenêtre à Nain et de la fille de Jaïrus à Capharnaüm ; et le monde romain avait non seulement tout ça, mais la prédication de la résurrectionet de pardon et de la vie au nom de ressuscité, avec démonstration oculaire de la puissance miraculeuse de ceux qui il a prêché. Il est resté pour le disciple bien-aimé, qui était seul sous la Croix, seul à se tenir debout sur cette hauteur d'où il avait premier aperçu pleine et intense lors de sa mort et la vie qui jaillit de lui et se jette dans le monde entier.

On peut maintenant, non perturbées par des exceptions préliminaires, nous abandonner à la supériorité et la solennité de ce récit. Peut-être plus brièvement nous commenter le mieux.

Il était en Peræa, que ce message atteint tout à coup le maître de la maison bien rappeler à Béthanie, « le village de Marie » - qui, bien que jeune, est pour des raisons évidentes pour la première fois dans cette histoire - « et sa soeur Martha, » concernant leur ( frère cadet) Lazarus : « Seigneur, voici celui que tu aimes est malade ! » Ils sont apparemment les mêmes mots qui « les soeurs » ordonna leur messager dire. Nous notons comme un fait important pour être stocké dans notre mémoire, que le Lazare, qui n’avait même pas été mentionné dans le seul compte préservé pour nous d’une précédente visite du Christ à Béthanie,4782 4782 St. Luke x. 38 & c. est décrit comme « celui qu’aimait Christ. » Ce qu’un écart d’innombrables événements entre les deux visites du Christ à Béthanie - et quelle modestie devrait il nous apprendre en ce qui concerne les déductions de la circonstance que certains événements ne sont pas enregistrés dans les Évangiles ! Le messager a apparemment rejeté Christ avec cette réponse : « cette maladie est pas jusqu'à la mort, mais pour la gloire de Dieu, afin que le fils de Dieu soit glorifié ainsi. » Ici, nous devons garder à l’esprit que cette réponse a été entendue par ceux d'entre les apôtres étaient présents au moment. 4783 4783 de la non-mention de Pierre ainsi que la prédominance de Thomas, il semble au moins douteux, que tous les apôtres ont. Ils seraient naturellement déduire que Lazare ne mourrait pas, et que son rétablissement se glorifier Christ, soit comme ayant prédit, ou prié pour elle, ou elle effectue par sa volonté. Pourtant sa vraie signification - même, comme nous le voyons maintenant, son interprétation littérale, était, que son résultat final ne devait ne pas être la mort de Lazare, mais qu’il devait être à la gloire de Dieu, afin que Christ comme le fils de Dieu puisse être rendu manifeste. Et nous apprenons, combien plus complète sont les paroles du Christ qu’ils semblent souvent à nous ; et comment vraiment et même littéralement, ils peuvent porter un tout autre sens que semble notre honnête malentendu d'entre eux - un sens qui ne divulguera uniquement l’événement, l’avenir.

Et encore, sans doute au moment même quand le messager a reçu sa réponse, et où il aurait pu l’amener aux sœurs, Lazare était déjà mort ! Ni - et cela doit être marqué en particulier - ne ce awaken doute dans l’esprit des sœurs. Nous semblons entendre les mots qui, à l’époque, ils l’ont dit les uns aux autres quand chacun d’eux par la suite répété au Seigneur : « Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. » 4784 4784 selon la meilleure lecture, les mots sont les mêmes, mais la position du pronom personnel μου « mon » frère est significativement différente (voir Westcott ad loc.). Ils pensaient probablement que le message avait atteint lui trop tard, que Lazare aurait vécu si Christ avait été requise dans le temps, ou a été en mesure de venir - en tout cas, s’il avait été là. Même dans leur plus grande angoisse, il n’y avait aucune défaillance de confiance, sans aucun doute, aucune clôture pesant des mots de leur part - seulement la confiance de l’amour. Pourtant, tout cela en Christ savait que Lazare était mort, et encore il a poursuivi deux jours entiers où il était, ses travaux de finition. Et encore - et cela est nettement remarqué avant toute chose, comme lui en ce qui concerne son retard et à sa conduite après - « il aimait Marthe et sa sœur et Lazare ». Il n’y avait eu aucune histoire après la cessation, ou s’il pas été connu à nous, ou avant on a appris, qu'il aurait pu paraître autrement - et dans des circonstances similaires, il autrement nous semble souvent. Et encore une fois, ce majestueux calme, quelles affections Self-restraint of Human et sublime conscience du pouvoir divin dans ce délai : c’est une fois de plus le Christ endormi, tandis que les disciples sont désespérés, dans l’écorce presque submergé dans la tempête ! Christ est jamais à la hâte : surtout, sur ses courses de l’amour. Et il n’est jamais à la hâte, parce qu’il est toujours sûr.

C’est seulement après que ces deux jours que le Christ brisa le silence quant à ses desseins et Lazarus. Bien pensées lui doivent avoir été présentes avec les disciples, aucun n’osait demander la punition, bien que pas de doutes, ni encore de la peur. C’est aussi de la foi et de confiance. Enfin, quand a terminé son travail dans cette partie, il a parlé d’abandon, mais malgré tout pas d’aller à Béthanie, mais en Judée. Car, en vérité, son travail à Béthanie était non seulement géographiquement, mais en réalité, partie de son œuvre en Judée ; et il a dit aux disciples de son dessein, simplement parce qu’il connaissait leurs craintes et leur enseignerait non seulement pour cela, mais pour toutes les occasions futures, quel principe appliqué à eux. Car lorsque, dans leurs soins et d’affection, ils ont rappelé le « rabbin » - et l’expression ici pots presque sur nous - que les Juifs « même maintenant cherchaient à Pierre » lui, il a répondu en disant, en langage figuré, que nous avons chacun notre journée de travail de Dieu , et que tant qu’elle dure aucun ennemi peut raccourcir ou casser vers le haut ou travailler. La journée avait douze heures, et alors que ces a duré aucune mésaventure ne subirait le lui qui marchait dans la façon dont [il ne bronche pas, parce qu’il voit la lumière de ce monde]. C’était autrement quand la journée était passé et la nuit venue. Quand le jour de notre Dieu-donné a mis, et avec elle la lumière étée retirée qui jusqu’ici empêché notre trébuchant - puis, si un homme est allé à sa manière et en son propre temps, pourrait telle mésaventure s’abattre sur lui, « car », au sens figuré lumière dans la nuit et vraiment guidanc e et la direction de la manière, « la lumière n’est pas en lui. »

Mais il s’agissait d’une partie seulement de ce que Jésus dit à ses disciples en préparation pour un voyage qui publierait ces conséquences énormes. Il a parlé prochaine de Lazare, son « ami », comme « endormi » - dans le sens figuré juif (ainsi que Christian) fréquent de celui-ci,4785 4785 ce qui concerne l' usus juif de l’expression « dormir » pour les décès, voir livre III. chap. xxvi. et de son y aller réveiller de sommeil. Les disciples relierait naturellement cette mention de son cours à Lazare avec sa visite proposée de Judée et, dans leur enthousiasme pour l’empêcher de ce dernier, qu’il ne pourrait y avoir aucun besoin d’aller à Lazarus, étant donné que le sommeil a été, selon des notions juives interposée , un des six,4786 4786 Ber. 57 b. ou, selon d’autres,4787 4787 Ber. R 20. cinq des symptômes ou des crises au rétablissement d’une maladie dangereuse. Et quand le Seigneur alors clairement dit il, « Lazare est mort, » ajout, ce qui devrait ont suscité leur attention, que pour eux, il était heureux qu’il n’avait pas été Béthanie avant l’événement, car maintenant qui viendrait qui fonctionnerait foi en eux et a proposé d’aller à la dea d Lazarus - même dans ce cas, leur toute l’attention était tellement absorbé par la certitude du danger de leur maître bien-aimé, que Thomas n'avait qu’une seule pensée : car il devait en être ainsi, qu’ils aillent et mourir avec Jésus. Si peu est-ce qu’ils avaient compris le langage figuré sur les douze heures sur lequel le soleil de Dieu a brillé pour nous éclairer sur notre chemin ; tellement qu’ils n’avait la leçon de foi à leur enseigner dans la résurrection de Lazare !

Nous savons déjà la maison heureux tranquille de Béthanie. 4788 4788 voir chap. v. de cet ouvrage. Quand Jésus il a atteint, « Il a trouvé » - probablement de ceux qui l’a rencontré par le moyen de4789 4789 COMP. St. John xi. 20. 4790 4790 dans cette affaire, enquête du Christ donnerait une autre instance de son auto-exinanition dans sa grande Humiliation de « devenir obéissants. » -que Lazare avait été déjà de quatre jours dans la tombe. Selon la coutume, il pourrait être enterré le même jour qu’il était mort. 4791 4791 Moed K. 28 a; comp Sanh. 46 b. En supposant que sa mort avoir eu lieu lorsque le message de l’aide a été livré, alors que Jésus a continué après que deux jours entiers à l’endroit où il était, cela laisserait environ une journée pour son voyage de Peræa à Béthanie. Nous ne savons pas, en effet, le lieu exact de son séjour ; mais il doit avoir été quelques célèbre centre d’activité en Peræa, étant donné que les sœurs de Béthanie n’avaient aucune difficulté en envoyant leur messager. Dans le même temps que nous concluons également que, au moins à cette époque, une sorte de communication avoir existé entre le Christ et ses disciples plus intimes et amis, tels que la famille de Béthanie - par lequel ils ont été tenus informés du plan général de ses Mission-voyages et d’une station centrale de son séjour temporaire. Si Christ à ce moment-là occupé une telle station centrale, nous pouvons plus facilement comprendre comment certains des disciples de son galiléen, pour un bref espace, aurait pu absent chez eux galiléennes, l’arrivée de la nouvelle sur Lazarus. Leur absence peut expliquer la position dirigeante prise par Thomas ; peut-être, aussi, en partie, l’omission de ce récit des évangiles synoptiques. Un autre point peut être d’intérêt. En supposant que le voyage à Béthanie pour avoir occupé un jour, nous suggérons ce qui suit dans l’ordre des événements. Le messager des sœurs quitte Béthanie le dimanche (il n'aurait pas pu être le jour du Sabbat) et atteint Jésus le lundi. Christ s’est poursuivie en Peræa deux autres jours, jusqu'à mercredi et sont arrivés jeudi à Béthanie. Vendredi, la réunion de le Sanhedrists contre le Christ a eu lieu, alors qu’il se reposa de Béthanie, le vendredi et, bien sûr, le jour du Sabbat et revint à Peræa et « Éphraïm » le dimanche.

Cela peut être un endroit commode pour l’ajout au compte déjà donné,4792 4792 lorsque relatant l’histoire de l’éducation des fils de la veuve à Nain, livre III. chap. xx. dans le cadre de l’enfouissement des fils de la veuve de Nain, tels les détails des observances juives et rites,4793 4793 un récit intéressant (à laquelle j’ai reconnaîtrait les obligations) est donné dans une brochure par Dr Perles, tiré à part de Frankel Monatsschrift. comme peut illustrer l’histoire actuelle. Se référant à la description précédente, nous reprenons, en imagination, notre présence à l’endroit où le Christ a rencontré le catafalque à Nain et encore une fois donné vie aux morts. Mais nous n’oubliez pas que, comme nous sommes maintenant en Judée, les pleureurs loués - les deux hommes-deuil (car il y avait ces) et deuil-femme - suivrait et non, comme Galilée, précéder, le corps. 4794 4794 Shaab. 153 un; COMP. également en ce qui concerne Jérusalem (où a régné la coutume galiléenne), Semach. iii. 6. Le récit nous déduire que l’enterrement de Lazare n’a pas lieu dans un commun enterrer-sol, qui a été jamais plus près d’une ville que 50 coudées,4795 4795 baba B. 25 a. endroits secs et rocheux étant choisis de préférence. Ici, les tombes doivent être dehors au moins un pied et demi. Il a été jugé un déshonneur pour les morts à être, ou marcher dessus, le gazon d’une tombe. Roses et autres fleurs semblent avoir été plantés sur les tombes. 4796 4796 COMP. Perles, u. s. p. 25. Mais, de cimetières ou de lieux-communs enterrer, apparaissent dans les temps les plus anciens ont été utilisés uniquement pour les pauvres,4797 4797 2 Rois xxiii. 6; Jérémie Xxvi. 23. ou pour des étrangers. 4798 4798 St. Matt. XXVII. 7; Actes i. 19. À Jérusalem, il y avait aussi deux endroits où les criminels exécutés ont été enterrés. 4799 4799 Sanh. vi. 5. Tout cela, il est inutile de dire, en dehors de la ville. Mais il y a une preuve abondante, que chaque lieu n’avait pas son propre enterrement-sol ; et que, pas assez, disposition devait être faite pour le transport d’organes. En effet, un lieu d’enfouissement n’est pas mentionné parmi les dix conditions pour chaque communauté juive organisée entièrement. 4800 4800 il s’agissait : un palais de justice, prestation pour les pauvres, une synagogue, un bain public, un secessus, un médecin, un chirurgien, un scribe, un boucher et un maître d’école. Les dénominations, les tombes et à l’enterrement-endroit lui-même, sont d’intérêt. En ce qui concerne les premiers, nous mentionnons comme « la maison du silence ; » 4801 4801 Targ. sur Psaume cxv. 17. « la maison de Pierre ; » 4802 4802 Moed K. 9 b. « l’hôtellerie », ou, littéralement, « lieu où vous passerez la nuit ; » « le divan ; » « le lieu de passage » ; « la vallée de la multitude » ou « des morts ». Le cimetière a été appelé « la maison de tombes ; » 4803 4803 Erub. iii.1 ; Tohar. III. 7. ou « la Cour d’enterrer ; » et « la maison de l’éternité. » Par un euphémisme, « pour mourir » a été désigné comme « aller se reposer, » ' été achevé ; » « recueillie au monde » ou « à la maison de la lumière ; » « retrait » ou « cachée ». Enterrement sans cercueil semble avoir continué la pratique depuis bien longtemps, et les règles sont disponibles, comment une fosse, la taille du corps, devait être creusé et entouré par un mur de pierres non serties pour éviter la chute de la terre. Lorsque par la suite terre-enterrements devaient être défendus contre l’idée de Pârsî de crémation, théologiens juifs plus entièrement a examiné la question de l’enterrement et décrit les mises en accusation du corps au sol comme une sorte d’expiation. 4804 4804 Sanh. 46. C’était une curieuse pratique ultérieure, que les enfants qui étaient morts quelques jours après la naissance ont été circoncis sur leurs tombes. Pas un mois les enfants ont été enterrés sans cercueil ni deuil et, comme certains ont pensé, dans un endroit spécial. 4805 4805 Keth. 20 b. Dans le cadre d’une récente controverse, il est intéressant d’apprendre que, par souci de paix, tout comme les pauvres et les malades des gentils pourraient être nourris et soignés ainsi que ceux des Juifs, donc leurs morts pourraient être enterrés avec ceux des Juifs , mais pas dans leurs tombes. 4806 4806 Gitt. 61 a. En revanche, une personne méchante ne faut pas enterrer à proximité d’un sage. 4807 4807 Sanh. 47 a. Suicides n’étaient pas accordés les honneurs de ceux qui étaient morts de mort naturelle, et les organes de criminels exécutés ont été portées dans un endroit spécial, d'où les parents peuvent après un temps de retirer leurs os. 4808 4808 u. s. 46 a. L’enterrement terminé par terre coulée sur la tombe. 4809 4809 Ber. 8 a.

Mais, comme nous l’avons déjà dit, Lazare était, est devenu son poste, pas posée dans un cimetière, mais à huis clos sa propre tombe dans une grotte - sans doute dans un jardin, le lieu de prédilection de l’inhumation. Bien qu’en termes d’étroite amitié avec Jésus, il était évidemment pas considéré comme un apostat de la Synagogue. Pour, chaque indignité a été montrée à l’enterrement d’un apostat ; les gens devaient même tableau eux-mêmes dans des vêtements blancs festives pour faire la démonstration de joie. 4810 4810 Semach. 2. Ici, au contraire, que nous nous rassemblons de la suite, toutes les marques de sympathie, de respect et tristesse avaient été démontré par le peuple dans le quartier et par des amis dans la Jérusalem voisine. Dans ce cas il serait considéré comme un privilège d’obéir à la direction rabbinique du accompagnant les morts, afin de montrer l’honneur pour les trépassés et la bonté envers les survivants. Comme les sœurs de Béthanie étaient ' disciples, nous pouvons bien croire que certaines des manifestations plus extravagantes du deuil étaient, si ne pas distribué avec, pourtant modifié. Nous pouvons peine à croire, que les « pleureuses » embauchés alterneraient entre louanges extravagants de la mort et invite les préposés se lamenter ; 4811 4811 i. Semach. 6. ou que, comme c’était leur habitude, ils frapperait sur leur poitrine, battre leurs mains et tableau de bord sur leurs pieds,4812 4812 Moed K. 27 b. ou diviser en pleurs et chansons de deuils, seul ou en chœur. 4813 4813 US 28 b, où aussi le texte leurs lamentations. Selon toute probabilité, cependant, l’oraison funèbre serait livrée - comme dans le cas de toutes les personnalités4814 4814 Jérémie Moed K. i. 5. -soit dans la maison,4815 4815 baba B. 100 b. ou à l’une des stations où les porteurs a changé, ou sur le lieu d’enfouissement ; peut-être, s’ils passés, dans la Synagogue. 4816 4816 Meg. 28 a, b. Il a été noté précédemment, quelle valeur extravagant, dans les derniers temps, accompagnait ces oraisons, comme indiquant des fois la vie de l’homme sur la terre et sa place dans le ciel. 4817 4817 Shaab. 153 a. Les morts était censé pour être présent, écouter les paroles de l’orateur et en regardant l’expression sur le visage les auditeurs. Il ne servirait aucune fin bon pour reproduire des fragments de ces oraisons. 4818 4818 beaucoup d'entre eux dans Moed K. 25. Leur caractère est suffisamment indiquée par les remarques ci-dessus. 4819 4819 voir Zunz, Zur Gesch. u. L. p. 304 à 458. Moed K. 25 b , nous avons les présages miraculeuses à la mort de grands rabbins : colonnes pleurant ou statues aplatissement ou d’éclatement, le sang qui coule, les étoiles qui apparaissent, arbres déracinés, arches, flexion, & c.

Lorsque vous pensez de ces tombes dans les jardins,4820 4820 Nicolai (De Sepulchr. Hebr, un livre sans grande valeur) donne une illustration picturale à la p. 170. nous en revenons donc naturellement à celui qui, pendant trois jours, qui s’est tenue le Seigneur de la vie, que tous les détails deviennent profondément intéressants. Et c’est, peut-être, mieux leur donner ici plutôt que par la suite, d’interrompre, de telles enquêtes, nos pensées solennelles en présence du Christ crucifié. Non seulement les riches, mais même les modérément aisée, avait des tombes qui leur est propre, qui probablement ont été acquis et préparés longtemps avant ils étaient nécessaires et traités et hérités comme privés et biens personnels. 4821 4821 baba B. 100 b. Dans ces grottes, ou les tombeaux rupestres, les corps ont été portées, ayant reçu l’onction avec beaucoup d’épices,4822 4822 Ber. 53 a. avec myrtle,4823 4823 Paris. 6 a. aloès et, à une période ultérieure, également avec l’hysope, huile de rose et rose-eau. Le corps est habillé et, à une période ultérieure, enveloppé, si possible, dans les chiffons usés qui à l’origine un rouleau de la Loi avait eu lieu. 4824 4824 Meg. 26 b. Les « tombes » étaient « rupestres » naturelle ou « grottes »4825 4825 Mearta. Babha Mets. 85 b; Baba B. 58 a. ou bien grandes voûtes fortifiées, avec des niches sur les côtés. Une telle « grotte » ou la « voûte » des 4 coudées (6 pieds) des 6 coudées (9 pieds) de longueur, largeur et 4 coudées (6 pieds) hauteur, contenait des « niches » pour huit cadavres - trois sur chacun des côtés longitudinaux et deux à l’extrémité opposée à l’entrée. Chaque « niche » était de 4 coudées (6 pieds) de long et avait une hauteur de sept et d’une largeur de six handbreadths. Comme ces enterrer « niches » ont été creusés dans les murs, ils étaient appelés Kukhin. 4826 4826 pas Kokim. La différence, en ce qui concerne l’entrée dans ces grottes, entre Juifs et tombes phénicienne, voir Conder, « Heth et Moab, » p. 93. Les plus grandes grottes ou les voûtes étaient de 6 coudées (9 pieds) de larges et 8 coudées (12 pieds) de long et a tenu treize organismes - quatre le long de chaque mur latéral, trois face à et une de chaque côté de l’entrée. 4827 4827 baba B. vi. 8. Ces chiffres s’appliquent, bien sûr, seulement à ce que la Loi exige, lorsqu’une voûte avait été contractée pour. Lorsqu’une personne construit une pour lui, les dimensions des murs et du nombre de Kukhin pourraient, bien entendu, varier. À l’entrée de la voûte a été « une Cour » 6 coudées (9 pieds) carré, de tenir le catafalque et ses porteurs. Parfois deux « caves » ouvert sur cette « Cour ». Mais il est difficile de décider si la deuxième « cave, » parlé, a été conçu comme un ossary4828 4828 cela dépend en partie si, avec Rachi et Perles (p. 29), nous considérons {hébreu} comme un ossariumou, avec Levy, considérer comme = {hébreu}, « la maison de deuil, » Ber. 6 ( b ) COMP. Schwab ad loc.). (ossarium). Il est certain, qu’après un certain temps les os ont été recueillis et mis dans une boîte ou un cercueil, après avoir d’abord reçu l’onction avec vin et huile et être maintenues ensemble par des enveloppes des toiles. 4829 4829 Jérémie Moed K. i. 5 ; SEMACH. 12 et 13. Cette circonstance explique l’existence des coffres mortuaires, ou osteophagi, si fréquemment trouvés dans les tombes de la Palestine par les explorateurs fin, qui ont été incapables d’expliquer leur signification. 4830 4830 lettres COMP., (un) par Dr. Chaplin, pinte. Stat. octobre 1873, p. 155 ; (b) par M. Clermont-Ganneau, AP. 1874, p. 95, & c. ; (c) Dr. Chaplin, pinte. Stat. janvier 1876, p. 9 ; (d) Art. par le capitaine Conder IB. p. 18, & c. Cette clarté4831 4831 voir, notamment, le capitaine Wilson rapport dans le troisième Quart. Stat. (1869), p. 66, & c. est très regrettable, lorsque nous lisons, par exemple, telle une « poitrine » comme trouvée dans une grotte près de Béthanie. 4832 4832 récupération de Jérusalem, p. 494. Parmi les explorateurs4833 4833 M. Clermont-Ganneau. a découvert sur les fragments d’inscriptions en Hébreu. Jusqu'à présent, seulement quelques inscriptions de memorial hébraïque ont été découverts en Palestine. Les plus intéressantes sont celles à ou près de Jérusalem, datant du premier siècle avant JC. à première a.d. 4834 4834 que les supposée inscriptions (avant le christianisme, israélite) anciennes en Crimée sont maintenant généralement attribuées à une date plus tardive. COMP. Harkavy, Altjud. Denkm. Il y a, en outre, beaucoup d’inscriptions trouvés sur des tombes juives hors de la Palestine (à Rome et autres lieux), écrite en mauvais grec ou Latin, contenant, peut-être, un mot hébreu et se terminant généralement par shalom, « paix » et orné de juif symboles, tels que le chandelier à sept branches, l’arche, les emblèmes festives de la fête des Tabernacles et d’autres. 4835 4835 voir Schurer, d. Gemeinde Verf. Juden in Rom. Schurer a réuni quarante-cinq des plus intéressantes de ces inscriptions. En général, les conseils ne pas à lire ces inscriptions,4836 4836 horay. 13 b. comme elle affecterait la vue, semble impliquer la pratique courante consistant à inscriptions memorial en Hébreu. Ils semblent avoir été gravées sur le couvercle du coffre funéraire, ou sur le Golel, ou grand Pierre « roulé » à l’entrée de la voûte, ou à la « Cour » conduisant dedans, ou bien à l’intérieur des murs d’encore une autre érection, en sur les voûtes du bien tes,4837 4837 que cela est expressément indiqué dans Moed. K. 8 b, lignes 7-9. et qui était censé pour terminer l’enterrement-endroit ou Qebher.

Ces petits immeubles brochante sur les tombes peuvent avoir servi d’abri à ceux qui ont visité les tombes. Ils servaient également de « monuments, »4838 4838 en raison de la pauvreté de certains des sages, il a été déclaré qu’il ne fallait pas de monuments : leurs actes étaient leurs monuments (Jérémie Shequal. ii. 7, p. 47 a). dont nous lisons dans la Bible, dans les apocryphes,4839 4839 1 MACC. xiii. 27-29. et dans Josèphe. 4840 4840 ant. xvi. 7.1. 4841 4841 le premier rend compte exagéré du grand monument érigé par Simon Maccabeus en l’honneur de son père et ses frères, le second fait référence à un monument érigé par Hérode sur la tombe de David. Dans rabbinique écrits, qu'ils sont fréquemment mentionnés, principalement par le nom de Nephesh,4842 4842 sur l’utilisation du mot Nephesh comme signifiant non seulement « l’âme » et « personne », mais appliqué également à la, le lecteur trouvera quelques remarques très intéressantes dans l’App pas. Miscellas. à de Pocock Porta Mosis, p. 19, 20, 75-78 et dans Pagnini, Thes. Ling Sanct. le colonel 1658, & c. « l’âme », « personne » - transférée dans le sens de « monument »,4843 4843 Erub. v.1 ; SHEQ. II. 5. ou, sous le nom plus scripturaire de bamah,4844 4844 Ézéchiel xliii. 7. Probablement la deuxième clause de is liii. 9 doit se lire ainsi : "et avec les riches son sépulcre." ou, par le Greco-araméen,4845 4845 {hébreu}. ou l’appellation hébraïque pour un bâtiment en général. Mais des pierres tombales portant des inscriptions nous ne trouvons pas n’importe quel enregistrement dans travaux talmudiques. Dans le même temps, l’endroit où il y avait une voûte ou une tombe a été marquée par une pierre qui a été gardée blanchie,4846 4846 Moed K. i. 2. pour avertir les passants contre l’attentat à la pudeur. 4847 4847 St. Matt. XXIII. 27 Moed K. 6 a.

Nous sommes maintenant en mesure pleinement à se rendre compte de toutes les circonstances et les environs à l’enterrement et déclenchement de Lazare.

Jésus était venu à Béthanie. Mais dans la maison de deuil ils ne savaient pas. Comme Béthanie était seulement environ quinze stades - ou environ deux miles - de Jérusalem, dont beaucoup viennent de la ville, qui étaient en termes d’amitié avec ce qui était évidemment une famille distinguée, étaient venu dans l’obéissance à l’un de la plupart directions rabbiniques de liaison - celle de réconfortant les pleureuses. Dans le cortège funèbre les sexes sont séparés, et la pratique probablement prévalu à l’époque de la femme de retourner seul de la tombe. Ceci peut expliquer pourquoi par la suite les femmes se rend et revient seules au tombeau de notre Seigneur. Le deuil, qui a commencé avant l’enterrement,4848 4848 , sur le thème de « deuil » je dois voir généralement le chapitre correspondant dans « esquisses de vie sociale juive. » avaient été partagées par les amis qui assis silencieux sur le terrain, ou étaient occupés à préparer le repas de deuil. Comme la société a laissé les morts, chacun avait pris congé du défunt avec un « allez en paix ! » 4849 4849 Moed K. 29 a. Puis, ils avaient formé en lignes, à travers lequel les pleureuses passées au milieu des témoignages de sympathie, répété (au moins sept fois) comme la procession stoppé sur le retour à la maison de deuil. 4850 4850 baba B. 100 b. Commence alors le deuil dans la maison, qui a vraiment duré trente jours, dont les trois premiers étaient ceux des plus grands, les autres, pendant les sept jours, ou de la semaine spéciale de tristesse, de deuil moins intense. Mais le jour du Sabbat, comme le jour Saint de Dieu, a été déformé deuil tous - et donc « ils se sont reposés le jour du Sabbat, selon le commandement. »

Dans ce foyer de disciples ce deuil n’aurait pas pris ces formes violentes, comme lorsque nous lisons que les femmes avaient l’habitude d’arracher leurs cheveux,4851 4851 Jérémie Kidd. i. 8. ou d’un rabbin qui se flageller publiquement. 4852 4852 AB. d. R. Nath. 25. Mais nous savons comment les morts pourraient être parlés de. À mort les deux mondes ont été dit pour rencontrer et baiser. 4853 4853 Jérémie Yebam. 4 d. Et maintenant ils qui étaient décédés virent Dieu. 4854 4854 Siphré, vers la fin. Ils étaient au repos. Ces beaux passages comme Psaume cxii. 6, Prov. x. 7,4855 4855 Ber. R 49. Ésaïe xi. 10, dernier alinéa et c’est lvii. 2,4856 4856 Shaab. 152 b. ont été appliqués à eux. Non, les saints morts devraient s’appeler « la vie ». En vérité, ils nous connaissaient et invisible nous entourait encore. 4857 4857 Ber. 18 b, 19 a; COMP. Héb. xii. 1. Ni ils jamais mentionner sans ajouter une bénédiction sur leur mémoire. 4858 4858 Yoma 38 b; TAAN. 28 a.

Dans cet esprit, nous ne pouvons douter, les Juifs étaient maintenant « réconfortant » les soeurs. Ils mai ont répété des mots comme ceux cités comme la conclusion d’un tel discours Consolateur :4859 4859 Kethub. 8 b. "Le Seigneur des consolations ({hébreu}) peut vous consoler ! Bienheureux être celui qui console les pleureuses ! " Mais ils pouvaient difficilement imaginer comment littéralement un souhait comme ça était sur le point d’être remplies. Car, déjà, le message avait atteint Martha, qui se trouvait probablement dans un des appartements extérieurs de la maison : Jésus revient ! Elle s’empressa de rencontrer le maître. Pas un mot de plainte, pas un murmure, ni doute, s’échappa de ses lèvres - seulement qu’au cours de ces quatre amer jours ces deux sœurs doivent ont si souvent dit à l’autre, lorsque le luxe de la solitude a été accueilli, que s’il avait été là leur frère n’aurait pas d IED. Et même maintenant - quand il était tout trop tard - quand ils n’avaient pas reçu ce qui leur avaient demandé de lui par leur messager, il doit avoir été, parce qu’il n’avait pas demandé, mais il a dit que cette maladie n’irait pas jusqu'à la mort ; ou bien parce qu’il avait retardé pour travailler jusqu'à ce qu’il viendrait. Et encore elle vite qu’elle détient, que même maintenant Dieu lui donnerais que ce soit, il a demandé. Ou, plus ils signifiait-il : étaient-ils ces mots de prophétie inconscient, ou la vue et le son des choses célestes, aussi parfois viennent chez nous dans notre passion de la douleur, ou bien à ailes pensées de foi trop tôt au-delà de notre vision ? Ils n’auraient pas pu être l’expression d’un espoir réel du miracle sur le point d’avoir lieu, ou Martha n'aurait pas par la suite cherché à l’arrêter, quand il leur ordonna de rouler la pierre. Et pourtant n’est pas pour autant, que, lorsque qui vient à nous que notre foi avait une fois osé suggérer, voire à l’espoir, nous nous sentons comme si c’était tout aussi grand et impossible, qu’une très physique « ne peut pas être » qui nous sépare de lui ?

C’est en vérité très et littéralité que le Seigneur voulait dire, quand il a dit Martha son frère passerait encore une fois, même si elle a compris son mots de la résurrection au dernier jour. En réponse, Christ a souligné lui la connexion entre lui et la résurrection ; et, ce qu’il a parlé, qu’il a fait quand il a ressuscité Lazare d'entre les morts. La résurrection et la vie ne sont pas des cadeaux spéciaux à l’église ou à l’humanité, mais sont connectés avec le Christ - le résultat de lui-même. La résurrection des justes et la résurrection générale sont la conséquence de la relation dans laquelle l’Eglise et l’humanité en général debout au Christ. Sans le Christ il n’y aurait pas de résurrection. La plupart littéralement He est la résurrection et la vie - et ce, le nouvel enseignement sur la résurrection, a été l’objet et le sens de la résurrection de Lazare. Et est donc cette résurrection de Lazare les perspectives, aussi, à sa propre résurrection, qui est « les prémices de la mort. »

Et même si la spéciale, alors présents, demande ou plutôt la manifestation de celui-ci, serait dans l’élevage de Lazare - encore cette doctrine, qui l’accompagnait, est à "tous les croyants :' ' celui qui croit en moi, même si [si], il meurt, vivra ; et quiconque vit et croit en moi ne mourra pas pour toujours "4860 4860 c’est non seulement le rendu littéral, mais le parallélisme de l’ancien membre de la phrase (« même s’il meurt, vivra ») - où la « vie » n’est ni spirituel, ni l’Éternel, mais la vie en opposition à la mort physique - semble exiger cela, plutôt que le rendu de la A.V. et le R.V. (à l’Æon) - où peut-être nous pourrions, pour commentaires, mentalement insérer le signe d’une pause (-) entre les mots « mourir » et « pour toujours », ou « à l’Æon. » C’est seulement lorsque nous pensons de la signification des paroles du Christ précédentes, comme impliquant que la résurrection et la vie sont le résultat de lui-même et viennent chez nous qu’à travers lui et en lui, que nous pouvons comprendre la réponse de Martha à sa question : « Crois-tu cela ? » Oui, Seigneur, j’ai cru que tu es le Christ, le fils de Dieu [avec une référence particulière au message d’origine de Christ4861 4861 St. John xi. 4. ], Celui qui vient dans le monde [« le venir One dans le monde »4862 4862 éventuellement il pourrait être : « Celui qui devait venir, » viendrait, comme {hébreu} ou {hébreu} dans ce cas, ce serait une autre preuve de Hebraisms dans le quatrième Evangile. = du monde promis, prévu, venez Sauveur].

Quoi d’autre passé entre eux nous pouvons recueillir uniquement d’après le contexte. Il semble que le maître « appelé » pour Marie. Ce message Martha maintenant hasted pour offrir, même si « secrètement ». Mary était probablement assis dans la chambre de deuil, avec ses chaises contrariés divans et autres jetons mélancoliques de deuil, comme c’était la coutume ; entouré de beaucoup de ceux qui étaient venus à réconforter ; elle-même, nous pouvons guère de doute, silencieux, ses pensées loin de ce monde à, et dont le capitaine était lui « Le chemin, la vérité et la vie. » Comme elle a entendu de sa venue et l’appel, elle est passée de « rapidement », et les Juifs la suivirent, sous l’impression qu’elle allait encore une fois à visiter et à balayer devant la tombe de son frère. Pour, c’était la pratique pour visiter la tombe, surtout pendant les trois premiers jours. 4863 4863 Semach. 8 ; TAAN. 16. Quand elle s’approchèrent de Jésus, où il se trouvait encore, à l’extérieur de Béthanie, elle était oublieuse de tout autour. C’était, comme si la vue de lui fondu ce qui avait gelé la marée de ses sentiments. Elle pourrait tomber à ses pieds seulement et répéter les mots pauvres, avec lequel elle et sa sœur ces quatre avaient Las jours tentaient de couvrir la nudité de leur chagrin : pauvres mots de consolation et pauvres de foi, qu’elle n’a pas, comme sa soeur , rendre encore plus pauvres d’en ajoutant la pauvreté de son espoir à celui de sa foi - la pauvreté de l’avenir à celle du passé et du présent. Pour Martha qui avait été le maximum, à Marie, c’était le minimum de sa foi ; pour le reste, c’était beaucoup, beaucoup mieux d’ajouter rien de plus, mais tout simplement à adorer à ses pieds.

Il doit avoir été une scène profondément touchante : l’effusion de son chagrin, le caractère absolu de sa foi, l’appel muet de ses larmes. Et les Juifs qui ont été les témoins ont été déplacés comme elle et j’ai pleurés avec elle. Ce qui suit est difficile à comprendre ; encore plus difficile à expliquer : non seulement du choix de la langue, qui est particulièrement difficile, mais parce que sa difficulté vient d’encore plus difficile d’exprimer ce qu’elle est destinée à décrire. L’expression, « gémie dans l’esprit, » ne peut signifier que le Christ « a été déplacé avec indignation dans l’esprit, » puisque cela n’aurait pas pu être la conséquence de voir les larmes de Marie et de quoi, nous sommes convaincus, a été la véritable émotion des Juifs. Des interprétations diverses,4864 4864 pour un brève mais excellent résumé des vues principales sur le sujet, voir Westcott, ad loc. qui loue elle-même plus à nous, qui rendrait l’expression : « Il avec véhémence déplacé son esprit et troublé lui-même. » Un, dont aperçu de ces questions est particulièrement profond, nous a rappelé4865 4865 canon Westcott. que ' les miracles du Seigneur n’étaient pas provoqués par le simple mot de pouvoir, mais que d’une manière mystérieuse, l’élément de sympathie est entré en eux. Il a enlevé les souffrances et les maladies des hommes dans un certain sens en les prenant sur lui. » Si, avec ce point de vue plus juste de sa condescendance à et l’union avec, l’humanité comme son guérisseur, en prenant sur lui de ses maladies, nous combinons la déclaration faite auparavant à la résurrection, comme pas un cadeau ou avantage, mais le résultat de lui-même - on peut, en quelque sorte , ne comprends pas, mais pouvoir regarder dans, la profondeur insondable de ce camarade-souffrances anthropique qui était du fait d’autrui et rédemptrice, et qui, avant de devenir la résurrection de Lazare, secoua son être tout intérieur, lorsque, dans les paroles de Saint Jean, ' il avec véhémence, déplacé de son esprit et troublé lui-même. »

Et maintenant, chaque trait est en accord. « Où avez vous mis ? » Si véritablement humain - comme si lui, qui s’apprêtait à ressusciter les morts, avait besoin de l’information où il avait été mis ; Si véritablement humain, aussi, dans la tendresse sous-jacente de l’adresse personnelle et l’absorption de l’énergie toute Theanthropic sur la puissante charge sur le point d’être levée et levée de suite. Donc, aussi, comme ils lui ordonna Venez et voyez, étaient les larmes qui sont tombées de lui (ͺδͺκρυσεν), pas comme la violente lamentation (ͺκλαυσεν) qui éclatent de lui à vue et la vision prophétique de Jérusalem voué. 4866 4866 St. Luke xix. 41. Pourtant, nous pouvons penser guère que les Juifs, interprété à juste titre quand ils il attribué seulement à son amour pour Lazarus. Mais sûrement il n’a pas une touche de malice ou d’ironie, seulement ce que l'on ressent à être tout à fait naturel dans les circonstances, lorsque certains d'entre eux il a demandé à haute voix : « pourrait pas celui-ci, qui a ouvert les yeux des aveugles, ont forgé afin que [dans l’ordre], celui-ci devrait également pas mourir ? " Peine, il était même incrédulité. Ils avaient donc dernièrement assisté à Jérusalem que le Miracle, tels qu’avaient « ne pas été entendus » « depuis le commencement du monde ; » 4867 4867 St. John ix. 32. qu’il semble difficile de comprendre comment, car il y avait la volonté (dans son affection pour Lazarus), il a pas le pouvoir - ne pas de lui lever d'entre les morts, pour qui ne s’est pas pour eux, mais pour empêcher son mourir. Était là, puis, une barrière dans la mort ? Et c’est cela et pas de l’indignation, qui a provoqué une fois de plus cette récurrence Theanthropic sur lui, lorsque le nouveau « avec véhémence déménage son esprit. »

Et maintenant, ils étaient dans la grotte qui était la tombe de Lazare. Il leur ordonna de rouler côté la grande pierre qui couvrait son entrée. 4868 4868 in St. John xi. 41 les mots, « de l’endroit où les morts a été posée, » devraient être omis, ne pas dans les meilleurs MSS Au milieu de la pause terrible qui a précédé l’obéissance, une seule voix n’a été déclenchée. C’était celui de Martha. Jésus n’a pas parlé d’élevage Lazarus. Mais ce qui devait être fait ? Elle aurait pu difficilement croire qu’il souhaitait simplement contempler une fois de plus le visage de la mort. Quelque chose sans nom avait saisi de lui. Elle n’osait pas croire ; elle osait pas ne croient pas. A elle, peut-être, pas redouter un échec, mais se sentent appréhensions, quand la pensée du Christ qu’en présence de commençant la corruption devant ces Juifs - et pourtant, comme nous l’avons si souvent, toujours aimer même dans l’incrédulité ? C’était l’idée juive commune que la corruption a commencé le quatrième jour, que la goutte de fiel, qui avait chuté de l’épée de l’ange et causé la mort, était alors travailler son effet et que, comme le visage a changé, l’âme a pris son congé définitif de la o lieu de passage f le corps. 4869 4869 Abh. Z. 20 b; Ber. R. 100 ; Vayyik. R 18. Qu’une seule peine Jésus parla de doux reproche, de rappel de ce qu’il avait dit lui juste avant et du message qu’il avait envoyé en entendant tout d’abord de la maladie de Lazare,4870 4870 St. Jean xi 4. mais, ô pleine de majesté calme et conscience de la force Divine. Et maintenant pierre a été roulée. Nous nous sentons tous que la chose de montage ici était la prière - pourtant pas de pétition, mais grâces que le père « entendu » lui, ne pas aussi considéré les rassemblements de Lazare, qui était son propre travail, mais dans l’ordre et l’organisation de toutes les circonstances - comme la pétition et le remercier sgiving ayant pour objet les qui se tenait près, car il savait que le père lui a toujours entendu : que si il pourraient penser, que le père l’avait envoyé. Envoyé du père - pas de venir de lui-même, ne pas envoyé de Satan - et envoyé pour faire sa volonté !

Et, faisant de cette volonté, il a été la résurrection et la vie. Une seule commande forte parlée dans ce silence ; un appel fort à cette couchette ; un éclair de lumière propre de Dieu dans ces ténèbres et les roues de la vie s’installe à nouveau à la sortie de la vie. Et, toujours pieds et poings liés avec bandes [« bandes », Takhrikhin] et son visage avec la serviette, Lazarus s’avança, frissonnant et silencieux, dans la froide lumière de la journée de la terre. Dans cette multitude, désormais plus pâle et frissonnant qu’était-il l’homme lié dans les bandes, le seul majestueusement calme, qui avant avait été si profondément déplacé et troublé lui-même, comme il leur ordonna maintenant « Perdre lui et laissez-le aller. »

Nous ne savons aucuns plus. Saintes écritures dans ce prouve également son origine Divine et la réalité de ce qui est enregistré ici. Le voile momentanément levé est tombée à nouveau sur l’obscurité du lieu très Saint, dans lequel est seulement l’arche de sa présence et de l’encens nuageux de notre adoration. Ce qui est arrivé par la suite, comment ils lui délié, ce qu’ils disaient, ce Merci, ou louange, ou culte, les sœurs parlaient et quels ont été les premiers mots de Lazare, nous ne connaissons pas. Et tant mieux. Lazare n’a souvenir de la punition du passé fin ou n’était-ce pas plutôt le déchirement de la tombe une véritable déchirure du passé : la prise de conscience si soudaine, la transition si grande, que rien de la vision lumineuse subsistaient, mais ses impress - juste comme un merveilleusement belle juive la légende veut, qu’avant d’entrer dans ce monde, l’âme d’un enfant a vu tout du ciel et l’enfer, du passé, présent et avenir ; mais que, comme l’ange frappe sur la bouche pour réveiller il dans ce monde, tous les autres a passé de l’esprit ? Encore une fois, nous disons : nous ne connaissons pas - et c’est mieux ainsi.

Et ici s’interrompt brusquement ce récit. Certains de ceux qui l’avait vu crurent en lui ; d’autres se précipita vers Jérusalem pour lui dire aux Pharisiens. Puis a été hâtivement rassemblés une réunion de la Sanhedrists,4871 4871 Sur le sanhédrin, voir plus loin, dans le livre V. ne pas de le juger, mais pour délibérer sur ce qui devait être fait. Qu’il faisait vraiment ces miracles, il ne fait aucun doute parmi eux. De même, tous, mais un ou deux avaient sans aucun doute quant à la source de ces miracles. Si vrai,4872 4872 le doute quant à leur réalité, bien sûr, viendrait les Sadducéens dans le sanhédrin. On se souvient, que tant Caïphe et les prêtres chef appartenaient à cette partie. ils étaient de satanique Agence - et tout le plus formidable qu’ils étaient, plus certainement ainsi. Mais si vraiment de puissance satanique, ou simplement une illusion satanique, une chose, au moins, était évidente, que, si il était encore moins, tous les hommes seraient croient sur lui ? Et puis, si il a dirigé le mouvement messianique des Juifs comme nation, comme la ville juive et Temple et Israël comme nation, périrait dans la lutte avec Rome. Mais ce qui devait être fait ? Ils n'avaient pas le courage de, bien que le souhait, meurtre judiciaire, jusqu'à ce que celui qui était le souverain sacrificateur, Caïphe, leur a rappelé l’adage juif bien connu, qu’il "vaut mieux un seul homme meure, que la communauté périsse." 4873 4873 Ber. R. 94 ; COMP. aussi 91 et le Midr. sur l’Ecclésiaste ix. 18. Pourtant, malgré tout, celui qui parlait était le grand-prêtre ; et pour la dernière fois, avant en parlant de la phrase il il parlait à jamais contre lui-même et le bureau, qu'il a occupé, a parlé à travers lui la voix de Dieu, pas en ce qui concerne les conseils de meurtre, mais cela, que sa mort devrait être « pour cette nation » - nay , comme Saint Jean ajoute, non seulement pour Israël, mais de rassembler dans un seul pli tous le maintenant enfants de Dieu dispersés.

Il s’agissait de la dernière prophétie en Israël ; la peine de mort contre vrai grand-prêtre Israël mourut prophétie en Israël, est décédé grand-prêtre d’Israël. Il avait parlé de phrase sur elle-même.

Cela a été le premier vendredi de la sombre détermination. Désormais il suffirait aux plans de concert pour mener à bien. Quelqu'un, peut-être de Nicodème, envoyé le mot de la réunion secrète et la résolution de la Sanhedrists. Que vendredi et le prochain Sabbat Jésus reposait à Béthanie, avec le même calme majestueux dont il avait fait preuve à la tombe de Lazare. Puis il se retire, loin de là dans les limites obscures de Peræa et de la Galilée, dans une ville dont l’endroit est maintenant inconnu. 4874 4874 « Ville » « appelé Ephraim» n’a pas été localisé. Des auteurs plus modernes l’identifier avec le Ephraim, ou Ephron, de 2 chroniques xiii. 19, dans le quartier de Béthel et à proximité du désert de Bethaven. Mais le texte semble exiger une place à Peræa et à proximité de Galilée. COMP. p. 127. Et là, il continua avec ses disciples, retirés par les Juifs -, jusqu'à ce qu’il ferait son entrée définitive dans Jérusalem.