CHAPITRE XVIII.
L’INTENDANT INJUSTE - DIVES ET LAZARE - NOTES AGRICOLES JUIVES - PRIX DES PRODUITS - DOCUMENTS ÉCRITURE ET JURIDIQUES - "PURPLE" ET FINE TOILE DE LIN - JUIVES NOTIONS D’HADÈS.

( De St. Luc xvi.)

Bien que très différentes dans leur objet et enseignement, le dernier groupe de paraboles prononcés au cours de cette partie du ministère de Christ sont, au moins en apparence, reliés par une pensée de premier plan. Le mot par lequel on aurait les enchaîner est la justice. Il y a trois paraboles des justes des Nations Unies: l’intendant injuste, le propriétaire injustes et le distributeur injustes ou le juge. Et ils sont suivis par deux autres paraboles du Self-justes : autosatisfaction dans son Ignorance et ses dangers en matière de soi-même ; et autosatisfaction dans sa dureté et ses dangers en ce qui concerne d’autres. Mais quand cette connexion vers l’extérieur a été marquée, nous sommes allés à la plus grande longueur. Beaucoup plus près est la connexion interne entre certains d'entre eux.

Nous notons, premier et surtout, entre les deux paraboles de premières. Enregistré dans le même chapitre,4517 4517 St. Luc xvi. et par la même occasion, ils ont été adressés le même public. Certes, la parabole de l' Intendant injuste a été principalement parlée « à ses disciples : »4518 4518 ver 1. celle Dives et Lazare aux Pharisiens. 4519 4519 ver. 15. Mais alors le public du Christ à l’époque comprenait des disciples et des pharisiens. Et ces deux classes dans le public se trouvait dans la relation particulière entre eux, qui est exactement s’est réunie dans ces deux paraboles, afin que l’un peut dire qu’il ont vu le jour sur l’autre. Car, les « disciples », à qui était adressée la première parabole, n’étaient pas principalement les apôtres, mais ces « publicains et les pécheurs » dont Jésus avait reçu, au grand dam des pharisiens. 4520 4520 St. Luke xv. 1, 2. Eux qu'il enseignerait concernant le Mamon de l’injustice. Et, quand les pharisiens ricané à cet enseignement, il il se retourner contre eux et montrent que, sous l’autojustification,4521 4521 St. Luc xvi. 15. qui leur a fait oublier que maintenant le Royaume de Dieu a été ouvert à tous,4522 4522 ver. 16. et imaginez qu’il s’agissait des seules faites d’une loi4523 4523 ver. 17. qui, dans leur pratique quotidienne ils ont notoirement rompu,4524 4524 ver. 18. il jeter comme péché profonde et grande aliénation de Dieu que celle des pécheurs méprisaient. Leur est peut-être pas le Mamon de, mais il pourrait être que pour l’iniquité ; et, alors qu’ils ont ricané à l’idée de faire de leurs amis de Mamon qu’elles recevraient dans les tabernacles éternels de ces hommes, eux-mêmes qui connaîtrait en fin de compte un réajustement terrible avant Dieu suivrait sur leur négligence à l’aide de Dieu et leur emploi uniquement pour soi de telle Mamon comme leur appartenait, couplée comme il était avec négligence rude et fier de ce qu’ils considéraient comme des damnés, Lazare, qui était abandonnée et affamés de leurs portes très mal couvertes.

Il sera ont été observés, que nous mettons un accent particulier une fois de plus sur le lien historique et le sens premier des paraboles. Nous les liraient au regard des circonstances dans lesquelles elles ont été prononcées - alors s’adressait à une certaine catégorie d’auditeurs et comme se référant à ce qui venait d’adopter. L’application historique une fois déterminés, les leçons générales peuvent ensuite être appliquées à la plus large. Ce point de vue historique va nous aider à comprendre l’introduction, connexion et sens, des deux paraboles qui ont été décrites comme étant les plus difficiles : celles de L’intendant injuste,4525 4525 qui souhaite voir les différents points de vue et les interprétations de cette parabole on se reportera aux commentaires modernes et surtout à l’archevêque de fosse des Notes sur les paraboles (13e éd.). p. 427-452. et de plongées et Lazarus.

Tout d’abord il faut se rappeler, qu’elles étaient destinées à deux classes différentes dans le même public. Dans les deux le sujet y a injustice. Dans la première, qui est adressée à la récemment convertis publicains et les pécheurs, c’est l’intendant injuste, recourant injustes de ce qui avait été engagé à son administration de son maître ; dans la deuxième parabole, qui s’adresse aux Pharisiens se justifient, ricanant, il est le possesseur injustes, qui utilise seulement pour lui-même et pour le moment ce qu’il a, alors qu’il quitte Lazare, qui, selon lui, est misérable et mal couvertes, à mourir de faim ou de périr, lettre morte, à sa porte très. En accord avec son objet et adapté à la partie de l’auditoire adressée, la première parabole pointe une leçon, tandis que la seconde fournit un avertissement. Dans la première parabole, que nous dit-on, que le pécheur lors de la conversion devrait apprendre de sa vie antérieure du péché ; dans le second, que le pharisien se tromper, fier doit apprendre comme considéré la vie qui lui semblait tellement juste, mais était en réalité si vide de Dieu et de l’amour. Il s’ensuit - et il s’agit de la plus haute importance, surtout dans l’interprétation de la première parabole - qu’il ne faut pas s’attendre à trouver des équivalents spirituelles pour chacune des personnes ou des incidents introduites. Dans chaque cas, la parabole ne forme qu’une illustration des leçons, parlée ou implicite, dont Christ fera part à l’un et l’autre classe dans son auditoire.

I. la parabole de l’intendant injuste. -Conformément à la règle d’interprétation juste fixée, nous distinguons - 1. La parabole de l’illustration. 4526 4526 St. Luc xvi. 1-8. 2. sa morale. 4527 4527 ver. 9. 3. son application dans la combinaison de la morale avec certaines des caractéristiques de la parabole. 4528 4528 VV. 10-13.

1. la parabole illustrative. 4529 4529 VV. 1-8. Cela peut dire convergent vers le point mis en évidence dans le verset finales :4530 4530 ver. 8. la prudence qui caractérise les relations des enfants de ce monde en ce qui concerne leur propre génération, ou, pour traduire les formes Juifs de la sagesse avec laquelle ceux que ça n'intéresse pas pour le monde à venir choisir les moyens d’expression dans notre propre phraséologie, plus efficace pour la réalisation de leurs objets de ce monde. C’est cette prudence par lequel leurs objectifs sont donc effectivement obtenu, et lui seul, qui est mis en avant « les enfants de lumière », que celle permettant d’apprendre. Et la leçon est la plus pratique, que celles adressées principalement avaient jusqu’ici été parmi ces hommes du monde. Laisser tirer le serpent de sa sagesse et de la colombe son innocuité ; les enfants de ce monde, leur prudence comme considéré leur génération, alors que, en tant qu’enfants de la lumière nouvelle, ils faut se rappeler le but supérieur pour qui cette prudence devait être employé. Ainsi serait que Martin qui est « d’injustice », et que certainement « périt, » devenue nous Trésor du monde à venir - nous accueillir là et, si loin de le « échec », s’avérer permanente - nous accueille dans les tabernacles éternelle . Ainsi, aussi, aurons nous fait des amis de la « Mamon injustes, » et celui qui, de sa nature, doit être rejetée, devenir éternel gain - ou, pour traduire en phraséologie talmudique, ce sera des choses dont un homme apprécie l’intérêt dans ce monde , alors que la capitale reste pour le monde à venir.

Maintenant, il ne peut être difficile de comprendre la parabole. Son objet est simplement de montrer, la manière la plus frappante, la prudence d’un homme mondain, qui est non entravé par aucune autre considération que celle d’atteindre sa fin. Dans le même temps, avec la sagesse du singulier, l’illustration est alors choisie comme que sa matière (materia), « le Mamon de l’injustice, » peut servir à point une leçon de vie pour les nouveaux convertis publicains et les pécheurs, qui avaient autrefois sacrifié tout pour la saké, ou dans la jouissance des, que Mamon. Tout le reste, comme la question, qui est le maître et qui le steward et autres semblables, nous rejeter, étant donné que la parabole est destinée uniquement à titre d’illustration de la leçon à enseigner par la suite.

Le lien entre cette parabole et ce que le Seigneur avait dit précédemment concernant les pécheurs, de retour à qui nos remarques ont déjà indiqué, est également attestée par l’utilisation du terme « gaspiller » (διασκορπͺζων), dans l’accusation portée contre le steward, tout comme le fils prodigue a « perdue » (διεσκͺρπισε) sa substance. 4531 4531 St. Luke xv. 13. Seulement, dans le cas présent, la propriété a été confiée à son administration. En ce qui concerne le propriétaire, sa désignation comme « riche » semble destinée à marquer combien grande était la propriété s’est engagée à l’intendant. Le « intendant » n’était pas, comme dans St. Luc xii. 42-46, un esclave, mais un employé pour les FC de l’administration des affaires de l’homme riche, moyennant un préavis de licenciement. 4532 4532 St. Luc xvi. 2, 3. On l’accusa - le terme impliquant malveillance, mais pas nécessairement une fausse accusation - pas de fraude, mais de l’émaciation, probablement par la vie tumultueuse et de la négligence, les biens de son maître. Et son maître semble avoir convaincu lui-même que l’accusation était vraie, puisqu’il lui donne à la fois des préavis de licenciement. Ce dernier est absolu et ne pas rendue dépendante sur le « compte de sa gestion, » qui est seulement posée comme, bien entendu, nécessaire, quand il renonce à son bureau. Ni l’intendant soit refuser la charge ou plaider toute atténuantes. Sa grande préoccupation face plutôt, pendant le reste de son intendance, avant qu’il renonce à ses comptes, de prévoir son soutien futur. La seule alternative devant lui à l’avenir est celui du travail manuel ou de mendicité. Mais pour le premier il n’a pas de force ; de ce dernier, il est retenu par la honte.

C’est alors que sa « prudence » suggère un dispositif par lequel, après son licenciement, il peut, sans mendier, être reçus dans les maisons de ceux qu’il a fait des amis. 4533 4533 une parabole semblable se produit dans Vayyik. R. 5 (vers la fin) sur un agriculteur « prudent ». Quand les affaires vont mal avec sa ferme, il habille lui-même dans son meilleur, met sur un mien gai et apparaît alors devant son propriétaire. Par bien tourné, flattant les réponses à l’enquête sur le bétail et les cultures, il réconcilie donc favorable, que lorsque le locateur s’enquiert enfin ce qu’il voulait, et il demande un prêt, il reçoit double la somme qu’il avait demandé à. Il doit être porté à l’esprit, qu’il est encore steward et, à ce titre, a le plein pouvoir d’écoulement pour des affaires de son maître. Alors que, par conséquent, il envoie pour les uns après les autres des débiteurs de son maître et indique à chacun de modifier la somme dans le cautionnement, il ne propose pas leur falsification ou fraude, mais, en remettant la partie de la dette - si elle avait été engagé comme loyer en nature , ou que le prix des produits achetés - il agit, même si unrighteously, mais strictement dans le cadre de son droit. Ainsi, ni le commissaire ni les débiteurs pourraient être accusés de criminalité, et le maître doit ont été frappé avec l’habileté d’un homme qui avait ainsi assuré une disposition future de nouer des amitiés, pour autant qu’il avait les moyens de le faire (ere sa Mamon d’unrighteousnes s a échoué).

Quelques avis archéologiques peuvent aider à l’interprétation des détails. D’après le contexte, il semble plus probable, que les « obligations », ou plutôt « écrits » de ces débiteurs ont été écrits reconnaissances de dette, que, comme certains ont supposé qu’ils étaient, les baux des fermes. Les dettes dont l’intendant éliminés diversement, selon qu’il souhaite gagner plus ou moins favorables, ont été considérables. Dans le premier cas, ils sont présentés à « une centaine bain d’huile, » dans le second comme « une centaine Cor du blé. » En ce qui concerne ces quantités, nous avons la difficulté préliminaire, que trois types de mesure étaient en usage en Palestine - celui de la « Wilderness », ou, la mosaïque originale ; celui de « Jérusalem », qui a été plus d’un cinquième plus grande ; et celle de Sepphoris, probablement la mesure galiléenne commune, qui, à son tour, a été plus d’un cinquième plus grand que la mesure de Jérusalem. 4534 4534 voir Herzfield, Handelsgesch, pp. 183-185. J’ai procédé sur son calcul. Je me dois d’ajouter, qu’il y a peu de sujets sur lesquels les déclarations d’écrivains sont plus incompatible ou confus. Les déclarations faites dans le texte sont tirées des sources juives . Pour être plus précis, un galiléen était égale à 3/2 mesures de « Désert ». En supposant que la mesure a été le galiléen, un bain4535 4535 l’écrivain dans l’arrêt Smith Dict. Bibl., vol. iii. p. 1740 b, se trompe en disant que « le bain est la plus grande des mesures liquide. » Selon Ézéchiel xlv. 11, le Chomer ou Cor = dix bain / épha, a été également appliqué aux liquides et solides mesures. Le bain (un dixième du Chomer ou Cor) = trois seah ; le seah = deux hin ; le hin = journal des douze ; le journal = espace de six oeufs. En outre, un trente-seconde du rondin est considérée comme égale à une grande (table), un soixante-quatrième à une cuillère de grêle (dessert). aurait été égal à un grenier Metrêtês, soit environ 39 litres. En revanche, la soi-disant « mesure de désert » correspondrait aux mesures romaines, et, dans ce cas, le «bain» seraient les mêmes que l’amphore, ou s’élèvent à un peu moins de 26 litres. 4536 4536 cette différence entre le « désert », ou « Mosaïque » et la mesure « Galiléen » supprime la difficulté (soulevée par Thenius) quant à la capacité de la « mer d’airain » dans le Temple de Salomon (1 Rois vii. 23, 26 ). Le bain doit être calculée, non selon le galiléen (= Metrêtês = environ trente-neuf litres), mais selon la mesure de « Désert » (= amphore = environ vingt-six litres). Ce dernier est la mesure adoptée par Flavius Josèphe. 4537 4537 la lecture en ant. xv. 9. 2 : « Le Medimni grenier, » est évidemment erreur de copiste pour « Metrêtai. » 4538 4538 ant. viii. 2, 9 ; COMP. ix. 4, 5. Dans la parabole, le premier débiteur était dû 100 de ces « bain » ou, selon la mesure galiléenne, sur les 3 900 litres d’huile. En ce qui concerne la valeur d’un bain d’huile, peu de renseignements peut provenir des déclarations de Flavius Josèphe, puisqu’il ne mentionne que les prix dans des circonstances exceptionnelles, soit au cours des années particulièrement abondantes,4539 4539 ii guerre juive. 21. 2. ou bien au moment de la guerre et de siège. 4540 4540 vie, 13. Dans le premier, une amphore ou 26 litres, du pétrole semble avoir récupéré environ 9d. ; mais il faut ajouter, que, même dans une telle année, cela représente un rare coup de business, puisque l’huile a été immédiatement revendus par la suite pour huit fois le montant et ce - 3s. pour la moitié d’une amphore d’environ 13 litres - représenterait probablement un guerre-prix exceptionnellement élevé. Le prix équitable car il aurait probablement été 9d. Pour la Michna nous informe, qui l’ordinaire « fûts de faïence » (le Gerabh) qui s’est tenue chaque Seah 2 ou 48 Journal, soit environ 26 litres. 4541 4541 Terum. x. 8. Encore une fois, selon un avis dans le Talmud,4542 4542 Jérémie Baba M. iv. 2, p. 9, d. 100 « barriques », ou, Seah 200, ont été vendus pour 10 dinars (vraisemblablement en or), ou argent de 250 dinars, égales à environ 7l. 10s. de notre argent. Et comme la salle de bain (= 3 Seah) a tenu une troisième plus d’un de ces « tonneaux », ou Gerabhin, la valeur du bain d’huile 100 probablement s’élèveraient à environ 10l. de notre argent et la rémission de l’intendant, bien sûr, de 5l.

Le deuxième débiteur due « Cor d’une centaine de blé » - autrement dit, dans la mesure sèche, dix fois la quantité de l’huile du premier débiteur, étant donné que le CDR était dix épha ou le bain, l' épha trois Seah, l' Seah six Qabhet le Qabh quatre journaux. Cela doit garder à l’esprit, puisque le sec et les mesures de fluide étaient précisément les mêmes ; et ici, en outre, leur calcul triple (le « désert », la « Jérusalem » et le « galiléen ») obtenue. En ce qui concerne la valeur du blé, nous apprenons4543 4543 de M. Baba 105 b, vers le milieu. que, en moyenne, quatre Seah de semences étaient censés produire un Cor - qui est, sept fois et demie leur montant ; et qu’un champ de 1 500 coudées de long et 50 de large devraient croître un Cor. Le prix moyen d’un Cor de blé, acheté non circoncis, s’élevait à environ 25 dinars, ou 15s. Frappant une moyenne entre le plus bas prix mentionné4544 4544 Peah viii. 7 ; Erub. VIII. 2 ; Baba B. 91b. et le plus élevé,4545 4545 baba B 91 a. nous en déduisons que le prix de 3 Seah ou un épha serait de deux shillings à moitié-un-État et par conséquent d’un Cor (ou 10 épha) du 20 au 25 shillings (probablement c’est un peu plus que cela coûterait). Sur ce calcul ne le CdR centaines constituerait une dette de 100l. à 125l. et la rémission de l’intendant (de 20 CDR), une somme de 20l. jusqu'à 25l. Relativement faible, que ces sommes peuvent paraître, ils sont en réalité grande, se souvenant de la valeur de l’argent en Palestine, qui, sur un calcul faible, il pourrait être cinq fois plus grande que dans notre propre pays. 4546 4546 que cela apparaîtra du coût de la vie, du travail, & c. Ces deux débiteurs ne sont mentionnées que sous forme d’instances, et donc l’intendant injuste facilement assurerait lui-même amis par la « Mamon injustes, » le terme Mamon,4547 4547 le mot doit être écrit avec un m. Voir Grimm v. s. On notera, étant dérivé du mot syriaque et rabbinique du même genre ({hébreu} de {hébreu} = {hébreu}, {hébreu}, de répartir). 4548 4548 Grimm (après Drusius) il dérive {hébreu}, mais cela est peu vraisemblable. La dérivation de Lagarde (AP. Kautzsch, p. 173) semble très difficile. Buxtorf (s. v.) en grande partie, mais pas très satisfaisante, discute de son étymologie. La vue du texte a la sanction du Levy.

Un autre point sur lequel connaissance avec l’histoire et les habitudes de l’époque jette de la lumière, c’est comment les débiteurs pourraient si facilement modifier la somme mentionnée dans leurs obligations respectives. Pour, le texte implique que cela et pas la rédaction d’une nouvelle liaison est destiné ; puisque dans ce cas ancien aurait été détruit et ne pas redonné pour modification. Il serait impossible, dans les limites actuelles, à entrer pleinement sur le sujet intéressant d’écriture, matériel d’écriture et des documents écrits parmi les anciens Juifs. 4549 4549 je dois ici renvoie généralement à la monographie de Löw (Graphische Requis. u. Erzeugn., 2 vol.). Ses déclarations nécessitent, cependant, parfois à être rectifié. Voir aussi Herzfeld, Handelsgesch. 113 p. & c. et Note 17. Il suffit de donner ici les avis plus brèves.

Les matériaux sur qui a écrit les Juifs étaient des plongeurs les plus aimables : feuilles, à partir d’olives, palmiers, la gomme de caroube, & c. ; l’écorce de la Grenade, la coquille de noix, & c. ; les peaux préparés des animaux (cuir et parchemin) ; et le produit du papyrus, utilisé bien avant l’époque d’Alexandre le grand pour la fabrication de papiers hygiéniques et écrits talmudique connu dans du même nom, comme Papir4550 4550 sot. 49 b. ou Apipeir,4551 4551 Kel. xxiv. 7. mais plus fréquemment par celle de Nkurunziza - probablement à partir des bandes (Norbert) de la plante dont il a été fait. 4552 4552 Löw, u. s. vol. i. pp. 97, 98. Il est curieux d’apprendre qu’en ce temps-là aussi vieux papiers est allé à l’épicier. (M. baba 56 b.) Mais ce qui nous intéresse plus, comme nous le rappelle la « tablette » (πινακͺδιον) sur lequel Zacharias a écrit le nom du futur Baptiste,4553 4553 St. Luke i. 63. est la circonstance qu’il porte non seulement le même nom, Pinaqes ou Pinqesa, mais qu’il semble avoir été d’une telle utilisation commune en Palestine. 4554 4554 de jadis nous vient l’avis de la Gillayon (Ésaïe viii. 1) - une tablette lisse de bois, métal ou Pierre - et de la Cheret, ou stylet (Ésaïe viii. 1) et le Et, qui signifie sans doute non seulement un stylet , mais aussi un calamus (PS. xlv. 2; Jérémie viii. 8.) . Elle se composait de minces morceaux de bois (la Luach) attachés ou ficelées ensemble. Le Mishnah4555 4555 Kel. xxiv. 7. énumère trois types d'entre eux : ceux où le bois était recouvert de papyrus,4556 4556 tellement Sachs, Beitr. z. Sprach u. Alterth. Forsch. vol. i. p. 165 ; mais Löw (u. s.) semble d’avis différent. Ces où il était recouvert de cire et ceux où le bois a été laissé plain à écrire sur avec de l’encre. Ce dernier était de nature diverse. Encre noire a été préparé de suie (le Deyo) ou de substances végétales ou minérales. 4557 4557 le Deyo semble avoir été une substance sèche qui a été transformée en encre noire. Encre de noix de Galle semble être d’invention ultérieure. Gomme arabique et égyptien (Qumos et Quma) et vitriol (Qanqanthos) semblent également avoir été utilisé4558 4558 Shaab. xii. 4. par écrit. Il est curieux de lire de l’écriture en couleurs et avec l’encre rouge ou Siqra,4559 4559 u. s. et même d’une sorte d’encre sympathique, fabriqués à partir de l’écorce de la cendre et mis en évidence par un mélange de gomme et de vitriol. 4560 4560 Jérémie Shaab 13 d. vers le milieu. Nous avons aussi lu d’une or-encre, que celui dans lequel la copie de la loi a été écrit qui, selon la légende, le grand-prêtre avait envoyé à Ptolémée Philadelphe aux fins d’être traduit en grec par la LXX. 4561 4561 Jos. Ant. xii. 2. 10. Mais le Talmud interdit les copies de la loi en lettres d’or,4562 4562 mais le savant affirme qu’il étaient dans son pays ces textes écrits en lettres d’or, et que par conséquent l’interdiction talmudique aurait pu seulement appliquer pour les copies utilisées dans les Synagogues ( De Havercamp éd. de Flavius Josèphe, vol. i. p. 593, Note e.) ou plus probablement tel que le nom divin a été écrit en lettres d’or. 4563 4563 Shaab. 103 b; Sopher. i. 9. 4564 4564 ne pas de faire une distinction entre toutes les portions des Saintes Écritures et aussi de l’idée kabbalistique curieuse que, en quelque sorte, chaque mot dans la Bible contenait le nom divin. Par écrit, un stylo, Qolemos, faite de roseaux (Qaneh4565 4565 Shaab. viii. 5. ) a été utilisé et la référence dans une épître apostolique4566 4566 3 John 13. à l’écriture « avec encre et plume » (διͺ μͺλανος καͺ καλͺμου) estime même son homologue verbal dans le Midrash, qui parle de Milanin et Qolemin (encre et stylos). En effet, le public « écrivain » - un métier très courant dans l' Orient4567 4567 que nous lisons un, Ben Qamtsar, qui a écrit quatre lettres (le Tetragram) à la fois, détenant quatre roseaux (Qolemosin) en même temps entre ses quatre doigts (Yoma 38 b). Le grand R. Meir a été célébré comme un copiste, spécialement de la Bible, où les travaux, il est dit avoir fait environ 8s. hebdomadaire, dont, il est indiqué, il a passé un tiers sur sa vie, un troisième sur sa robe et une troisième sur la charité aux rabbins (Midr. Eccles. ii. 18, éd. Warsh. p. 83 b, les deux dernières lignes). Les codex de R. Meir semblent avoir incarné quelques variations du texte commun. Ainsi, dans les Psaumes écrit-il Halleluyah en un mot, comme cela avait été une interjection et non de la façon orthodoxe, en deux mots : Hallelu Yah (Jérémie Meg. 72 a). Son Codex semble également avoir eu des notes marginales. Ainsi, sur les mots « très bons » (hébreu {}), Genèse i. 31, il a noté « la mort est bonne » ({hébreu}), une sorte de rébus, pour appuyer son point de vue, que la mort était à l’origine de Dieu et créé par lui - une nécessité naturelle plutôt qu’une punition (Ber. R. 9.). De même, sur la Genèse iii. 21, il a changé dans la marge la {hébreu}, « peau, » du texte dans {hébreu}, « légère », ce qui rend « vêtements de lumière » (u. s. 20). Encore une fois, dans Genèse xlvi. 23, il est parti sur l’hébreu {} de {hébreu}, rendant « Et le fils de Dan était Chushim » (u. s. 94.). De même, il a changé les mots, c’est xxi. 11, {hébreu}, « le fardeau de la Duma» Roma, {hébreu} (Jérémie Taan. p. 64 a, ligne 10 de haut) -allait avec un Qolemos, ou Calame, derrière son oreille, comme un signe de son emploi. 4568 4568 Shaab. i. 3. 4569 4569 de même, le charpentier a effectué une petite règle en bois derrière son oreille. Avec la plume de roseau, nous devrions parler de ses accompagnements nécessaires : le canif,4570 4570 déjà mentionné dans Jérémie xxxvi. 23et dans le Mishnah, appelé Olar, {hébreu}. Kel. XII. 8. l’écritoire (qui, quand il double, à l’encre noire et rouge, faisait parfois de la faïence, Qalamarim4571 4571 Kel. ii. 7. ) et le souverain4572 4572 Kel. xii. 8. -Il est considéré par la plus stricte définie comme illicites d’écrire tous les mots des Saintes Écritures sur tout matériel non doublé, sans doute pour s’assurer que corriger écriture et la lecture. 4573 4573 Meg. 16 b. 4574 4574 lettres, autres documents ou des ballots de marchandises, ont été scellés avec une sorte d’argile rouge.

Dans tout cela, nous n’avons pas parlé à la pratique de l’écriture sur le cuir spécialement préparé avec du sel et de farine,4575 4575 Meg. 17 a; 19 a. ni à la Qelaph, ou le parchemin dans le sens plus strict. 4576 4576 Shaab. viii. 3. Car ici, nous sommes surtout intéressés par le mode commun de l’écriture, que sur le Pinaqes, ou « tablette » et en particulier sur cette recouvert de cire. En effet, la cire de tenue un petit navire était généralement attaché à elle (Pinaqes sheyesh bo beth Qibbul shaavah4577 4577 Kel. xvii. 17. ). Sur une telle tablette ils ont écrit, bien sûr, pas avec un Calame, mais avec un stylet, généralement du fer. Cet instrument se composait de deux parties, qui pourraient être détachés les uns des autres : le disque dur a fait « écrivain » (Kothebh), et le « buvard » (Mocheq) qui était plat et épais pour aplanir les lettres et les mots qui avait été écrits ou plutôt Grez-Doiceau dans la cire. 4578 4578 Kel. xiii. 2. Il ne peut y avoir aucun doute que reconnaissances de dettes et autres opérations, étaient ordinairement écrit sur ces tablettes couvertes de cire ; car non seulement la référence directe faite lui,4579 4579 AB. iii. 16. mais il existe des dispositions spéciales en ce qui concerne les documents où il y a ces ratures, ou plutôt les effacements : comme, dont ils ont besoin pour être noté dans le document,4580 4580 baba B. 161 b. sous quelles conditions et comment les témoins sont dans ce cas d’apposer leurs signatures,4581 4581 u. s. 163 a, b; 164 a. tout comme il existe des injonctions particuliers comment témoins qui ne savait pas écrire sont d’apposer leur marque.

Mais même si nous avons ainsi constaté que « les obligations », dans la parabole doivent ont été écrits sur cire - sinon, éventuellement, sur parchemin - où le Mocheq, ou le buvard, pourrait facilement effacer les numéros, nous avons aussi les preuves qu’ils n’étaient pas, comme si souvent, écrit le « comprimés » (le Pinaques). Pour, le terme grec, par lequel ces « obligations » ou les « écrits » sont désignées dans la parabole (γρͺμματα4582 4582 St. Luc xvi. 7. ), est le même qu’est parfois utilisé dans les écrits rabbiniques (Gerammation) pour une reconnaissance de dette ; 4583 4583 SEM. R 15. 4584 4584 les désignations pour le formulaire général (Tophos, ou Tiphos (Gitt. iii. 2), = fautes de frappe) et pour les clauses spéciales (Toreph = Tropos) étaient de dérivation grecque. Pour le texte intégral des documents juridiques différents, on se reportera à la Note ix. à la fin de l’édition de Sammter de Mets de Baba. p. 144-148. Combien de documents de ce genre légalisme juif doit avoir inventé, puisse être recueillie de la circonstance que Herzfeld (u. s. p. 314) énumère les différents types de pas moins de trente-huit d'entre eux ! Il semble qu’il y avait certaines formes de ces et documents similaires, préparés avec des espaces laissées en blancs à remplir (Gitt. iii.2) le mot grec de Hebraised correspondant au terme plus couramment utilisé (syriaque) Shitre (Shetar), également principalement dénote « écrits », et est utilisée spécifiquement pour ces accusés de réception. 4585 4585 baba M. i. 8. 4586 4586 l’expression plus complète a été Shetar Chobh, une écriture de dette (Baba M. i. 6), ou Shetar Milvah (Gitt. iii. 2), une lettre de divorce prêt. D'entre eux, il existait deux types. La plus formelle Shetar n’est pas signée par le débiteur du tout, mais seulement par les témoins, qui étaient d’écrire leurs noms (ou marques) immédiatement (pas plus de deux lignes) ci-après le texte du document, pour éviter les fraudes. Dans le cas contraire, le document ne posséderait pas la validité juridique. Généralement, il est encore attestée par le sanhédrin4587 4587 l’attestation de la Cour a été appelée Qiyum Beth Din, « la mise en place de la Cour, » Ashra, ou Asharta, renforcer, ou Henpheq (Baba Mez. 7 b), littéralement, la production, c'est-à-dire devant le Tribunal. par trois, qui a signé de manière ne pas de laisser une seule ligne vacant. 4588 4588 baba B. 163 a, b. Ce document contenait les noms de créancier et débiteur, le montant dû et la date, assorties d’une clause y attacher les biens du débiteur. En fait, c’était une sorte d’hypothèque ; toutes les ventes de biens étant, comme pour nous, sous réserve d’une telle hypothèque,4589 4589 Babha B. x. 8. qui portait le nom Acharayuth (probablement, « garantir »4590 4590 pour la dérivation et l’effet juridique du terme, voir Löw, vol. ii., p. 82. ) Lorsque la dette a été payée, l’obligation légale a été tout simplement retournée au débiteur ; si payé en partie, soit un nouveau cautionnement a été rédigé, ou une réception donnée, qui s’appelait Shobher4591 4591 Babha M. 7. ou Tebhara, parce qu’il « brisé » de la dette.

Mais à bien des égards différents ont été ceux des obligations qui étaient les reconnaissances de dette pour les achats effectués, tels que nous supposons que ceux d’été qui sont mentionnées dans la parabole. Dans ce cas, il n’était pas rare à renoncer totalement aux témoins, et le document a été signé par le débiteur lui-même. Dans des obligations de ce genre, le créancier n'avait pas l’avantage d’un prêt hypothécaire en cas de vente. Nous avons exprimé notre conviction que la parabole fait référence à ces documents, et nous sommes confirmé en cela par la circonstance qu’ils portent non seulement un nom différent des liens plus formels (la Shitre), mais celui qui est peut-être le plus exact rendu de la Terme grec ({hébreu},4592 4592 Babha B. x. 8. par « écriture de la main, » « billet »4593 4593 bien qu’il soit certain que les lettres de crédit ont été utilisés par les Juifs de vieux, il y a une raison suffisante pour croire que « factures » ont d’abord étaient introduite sur le marché par les italiens et non par les Juifs. ). Pour être complet nous ajoutons, en ce qui concerne l’exploitation de terrains, que deux sortes de baux étaient en cours d’utilisation. Sous le premier, appelé Shetar Arisuth, le locataire (Aris = οͺρος4594 4594 mais Guisius (dans Surenhusius' Mishna, vol. i. p. 56, 57) donne une dérivation différente et interprétation qui le lecteur savant peut consulter pour lui-même. ) a reçu une certaine portion du produit. Il pourrait être un locataire à vie, pour un certain nombre d’années, ou même un motoculteur héréditaire du sol ; ou il peut le sous-louer à une autre personne. 4595 4595 Babha B 46 b. Dans le deuxième type de bail, le fermier - ou Meqabbel - a signé un contrat pour le paiement soit en nature, lorsqu’il s’est engagé à verser un montant stipulé et invariable de produire, auquel cas on l’appelait un Chokher (Chakhur ou Chakhira 4596 4596 la différence entre l' Aris et le Chokher est dit dans Jérémie Bikkur. 64 b. ), ou bien un certain loyer annuel net en argent, lorsqu’il fut appelé un Sokher. 4597 4597 la différence entre le Chokher et le Sokher est exprimée en Tos. Demai vi. 2. Ugolini (Thes. vol. xx. p. CXVII., cxx.) non seulement rend mais copie ce passage à tort. Une aubaine plus composite de laisser la terre et de prêter de l’argent pour sa culture mieux est mentionnée dans B. Mez. 69 b.

2. à partir de cette digression un peu allongée, nous revenons à l’avis de la morale de la parabole. 4598 4598 St. Luc xvi. 9. Il est mis dans ces mots : « faites à vous-mêmes amis sur [aide] le Mamon de l’injustice, qui, quand elle doit échouer,4599 4599 cela, et la lecture correcte n’est pas « ils seront échouent, ». ils vous reçoivent dans les tabernacles éternels. » De ce qui a été dit précédemment, le sens de ces mots offre peu de difficultés grave. Il nous faut encore rappeler les circonstances, qu’elles étaient destinées principalement à convertis publicains et les pécheurs, à qui l’expression « Mamon de l’injustice » - qui sont proches des analogies et même une copie exacte de4600 4600 dans le Targ. sur Hab. ii. 9, {hébreu}. dans le Targum - aurait un sens évident. Chez nous, aussi, il y a pas quelques qui peuvent se sentir sa pertinence comme ils revenir sur le passé, alors que pour tous, qu'elle porte un indispensable mise en garde. Encore une fois, l’ajout de l’article défini ne laisse aucun doute, que « les tabernacles éternels » signifient la maison céleste bien connue ; dans quel sens le terme « tabernacle » est, en effet, déjà utilisé dans l’ancien Testament. 4601 4601 i. PS. xv. ; xxvii. 5, le dernier étant réaliste entendu dans Siphra. 4602 4602 COMP. Schöttgen ad loc. Mais dans l’ensemble que nous considérer (comme précédemment évoquée) comme une adaptation à la parabole de la célèbre rabbinique disant, qu’il y avait certaines grâces dont un homme apprécié l’avantage ici, alors que la capitale, pour ainsi dire, est resté pour l’autre monde. Et si on exige une interprétation plus littérale, on ne peut que se sentir le devoir incombant à ces publicains convertis, nay, dans un sens, pour nous tous, de vouloir faire pour nous-mêmes de la Mamon - que ce soit de l’argent, des connaissances, de force, ou d’occasions, qui, pour beaucoup, a , et à tous mai si facilement, devenir celle « d’injustice » - telle une durée et une application spirituelle : gain des amis grâce à elle, que, « lorsqu’il échoue, » comme échouent il doivent quand nous mourons, tous peuvent ne pas être perdu, mais plutôt de nous rencontrer dans le ciel. Ainsi chaque action faite pour Dieu avec ce Kel allait devenir un ami pour nous saluer que nous entrons dans le monde éternel.

3. les charactéristiques de la parabole et de son application à l’auditoire de Christ résulte de sa ressemblance avec ce qui se passe dans les écrits juifs. Ainsi, le raisonnement que la loi n'aurait pas pu être donnée aux nations du monde, puisqu’ils n’ont pas observé les sept commandements noachique (dont Rabbinism suppose avoir été donné aux païens), est illustré par une parabole dans laquelle un roi est représenté comme avoir un emploi deux administrateurs (Apiterophin) ; une par rapport à l’or et l’argent et l’autre sur la paille. Ce dernier a rendu lui-même soupçonné, et - continue la parabole - lorsqu’il s’est plaint qu’il n’avait pas été mis au cours de l’or et l’argent, ils lui dirent : tu imbécile, si tu as rendu toi-même soupçonné en ce qui concerne la goutte d’eau, seront ils s’engagent à toi de l’o Trésor f or et l’argent ? 4603 4603 Yalkut, vol. i. p. 81 a, lignes 19 & c, Duhaut. Et nous semble presque entendre les mots mêmes du Christ : « celui qui est fidèle4604 4604 sans doute l’équivalent pour rabbinique {hébreu} accredituset utilisé dans le même sens. dans ce qui est le moins est fidèle aussi en grande partie,' en cela du Midrash : « l’un Saint, Béni soit son nom, ne donne pas grands choses à un homme jusqu'à ce qu’il a été jugé dans une petite affaire ;' qui est illustrée par l’histoire de Moïse et de David , qui ont tous deux appelés à règle de guidage fidèle de moutons. 4605 4605 SEM. R., éd. Warsh., p. 7 b, vers le milieu.

Ne considérant que l’esprit juif serait familiarisé avec ces modes d’illustration, il aurait pu aucune mauvaise compréhension de la parole du Christ. Ces publicains convertis pourraient penser - et donc peut-être certains d'entre nous - que leur était une sphère très étroite du service, un de peu d’importance ; ou bien, comme les pharisiens et comme tant d’autres parmi nous, que l’administration fidèle des choses de ce monde (« le Mamon de l’injustice ») avait aucune influence sur la possession des richesses vrais dans l’autre monde. En réponse à la première difficulté, Christ fait remarquer que le principe du service est le même, qu’elles s’appliquent à beaucoup ou peu ; que celui était, en effet, rencontre préparation d’et, en vérité, le test de l’autre. 4606 4606 St. Luc xvi. 10. « Celui qui est fidèle » - ou, pour paraphraser le mot (πιστͺς), celui qui a prouvé, est accrédité (répondant aux spécifications {hébreu}) - "le moins du monde, est également fidèle [accrédités] en grande partie ; et qui le moins du monde est injuste est également en beaucoup injuste. » Par conséquent, si un homme a échoué dans un service fidèle de Dieu en sa matière mondaine - dans la langue de la parabole, s’il n’était pas fidèle dans le Mamon de l’injustice - pourrait il chercher le vrai Mamon, ou les richesses du monde à venir ? Pas son infidélité à la gérance inférieure impliquerait inaptitude pour le plus élevé ? Et - toujours dans la langue de la parabole - si ils n’avaient pas été fidèles dans la gérance simple, « dans ce qui était un autre, » il est susceptible qu’ils auraient été exaltés de gérance de l’entreprise individuelle ? Et l’application ultime de tout cela, que dividedness était impossible au service de Dieu. 4607 4607 ver. 13. Il est impossible pour le disciple de faire la séparation entre les questions spirituelles et du monde et d’essayer de servir Dieu dans le seul et Mamon dans l’autre. Il n’y a absolument aucune différence au disciple, et notre usage courant des mots profane et spirituelle est dérivé d’un terrible malentendu et d’erreur. Pour le profane, rien n’est spirituelle ; et pour le spirituel, rien n’est profane : aucun serviteur peut servir deux maîtres ; vous ne pouvez servir Dieu et Mamon.

II. la parabole de Lazareet de plongées . 4608 4608 St. Luc xvi. 14-31. -Bien que principalement parlée aux Pharisiens et pas pour les disciples, pourtant, tel qu’il apparaît actuellement, c’est parlée pour les disciples. Les paroles du Christ avaient touché plus d’un point sensible dans le cœur des pharisiens. Cette consécration de tous à Dieu comme la condition nécessaire du service spirituel élevé, puis de plus debout spirituel - comme il s’agissait de « appropriation » - comme ils prétendaient, était un dicton très dur. Il a touché leur convoitise. Ils auraient été tout à fait prêtes à l’entendre, non, qu'ils ont cru que le « véritable » trésor avait été commis à leur confiance. Mais que son état était, qu’ils devraient se prouver Dieu-consacré à « la Mamon injuste, » fidèles à l’emploi de celui-ci dans celui pour lequel elle a été confiée à leur gestion, c’était ne pas à la charge. Ni encore, que ces perspectives se tiendrait pour les publicains et les pécheurs, alors qu’ils étaient retenus de ceux qui étaient les gardiens de la Loi et des prophètes. Mais ils étaient fidèles à la Loi ? Et quant à leur revendication d’être les « propriétaires », la parabole du riche Owner et de son roulement exposera comment infidèle qu’ils étaient en « beaucoup » ainsi que « peu », en ce qu’ils prétendaient en tant que propriétaires ainsi que dans leur intendance - et ce , sur leur propre projection de leurs relations avec les publicains et les pécheurs : le Lazare qui campaient à leurs portes.

Vu ainsi, les versets qui introduisent la deuxième parabole (celle de la Dives et Lazare) apparaîtra, pas « DEMONTAGE dictons, « certains commentateurs voudraient nous faire croire, mais plus étroits avec la parabole à laquelle ils forment la préface. Seulement, ici en particulier, doit nous rappeler, que nous avons seulement des discours de Notes de Christ, fait des années auparavant par celui qui l’avait entendu, et contenant le strict contour - comme il étaient, le tremplin-de l’argument qu’il a procédé. Essayons de le suivre. Comme les pharisiens, ayant entendu ce qu’a dit le Christ, leur convoitise a été touchée. En outre, il est dit qu’ils ont tourné en dérision lui - littéralement, « tourne vers le haut de leur nez à lui. » 4609 4609 St. Luc xvi. 14. Le geste moqueur, avec qui ils ont fait à ses disciples-publicain, s’accompagnerait en se moquant de mots dans lequel ils exaltent et comparer favorablement leurs propres revendications et debout avec celui de ces nouveaux disciples du Christ. Non seulement de réfuter mais à réfuter, pour condamner, et, si possible, pour les convaincre, a fait l’objet du discours et la parabole du Christ. Un par un, leurs moyens ont été repris et s’est avérés tout à fait insoutenable. Ils étaient des personnes qui, par faux semblants et de la justice vers l’extérieur, a cherché à apparaître juste devant les hommes, mais Dieu savait que leur cœur ; et celui qui a été exalté chez les hommes, leur position pharisaïque et permanent distant, abomination devant lui. 4610 4610 ver. 15. Ces deux points font l’objet principal de la parabole. Son objet premier était de montrer la grande différence entre les « devant les hommes » et le « devant Dieu ; » entre les plongées tel qu’il apparaît aux hommes dans ce monde, et qu’il est devant Dieu et sera dans l’autre monde. Encore une fois, le deuxième objet principal de la parabole était pour montrer que leur pharisaïque permanent et permanent d’écart - le roulement des plongées en référence à un Lazarus - qui était la gloire du pharisaïsme devant les hommes, était une abomination devant Dieu. Encore un troisième objet de la parabole est en référence à leur convoitise, l’usage égoïste qui ils faits de leurs possessions - leur Mamon. Mais un égoïste constituait une utilisation injuste ; et, comme tel, rencontrerait un châtiment pire que dans le cas de l’intendant de l’infidèle.

Mais l’analyse comparative de la parabole pour revenir à la partie introductive du Christ, nous partons pour le prseent. Après avoir montré que les revendications des Pharisiens et leur classement écart de pauvres pécheurs étaient une abomination devant Dieu, Christ combat ces motifs de leur portée, qu’ils étaient les gardiens et les observateurs de la Loi et des prophètes, tandis que les pauvres pécheurs n’avait aucune revendication sur le Royaume de Dieu. Oui - mais la Loi et les prophètes avaient leur terminus ad quem à Jean le Baptiste, qui « a apporté la bonne nouvelle du Royaume de Dieu. » Depuis lors « tout le monde » devait entrer par résolution personnelle et « force ». 4611 4611 COMP. St. Matt. XI. 12 et nos remarques sur le passage. Oui - il est vrai que la loi ne pouvait manquer dans un tittle de celui-ci. 4612 4612 St. Luc xvi. 16, 17. Mais, notoirement et dans la vie quotidienne, les pharisiens, qui donc a parlé de la Loi et a fait appel à elle, ont été les disjoncteurs constants et ouverts de celui-ci. Assister ici à leur enseignement et la pratique en matière de divorce, ce qui vraiment implique une violation du septième commandement. 4613 4613 ver. 18.

Ainsi, lorsque compte tenu du fait que, comme indiqué précédemment, nous avons ici uniquement les « têtes », ou plutôt les « pierres de gué, » argument du Christ - de notes par un auditeur à l’époque, qui ont été par la suite donné à St. Luke - nous percevons clairement, comment étroitement liés sont le apparemment disjointes des phrases qui préface la parabole, et comment bien ils introduisent il. La parabole lui-même est strictement des Pharisiens et leur relation avec les publicains et les pécheurs qu’ils méprisaient, et à l’intendance dont ils s’opposaient pensées de leur propre entreprise individuelle. Avec une sagesse infinie et de la profondeur, la parabole raconte dans deux directions : en ce qui concerne leur usage égoïste des richesses littérales - leur convoitise - et en ce qui concerne leur usage égoïste des richesses figuratifs : leur justice pharisaïque, qui a laissé le pauvre Lazare à leur porte aux chiens et à la famine, ne pas conférer sur lui la punition de leurs soi-disant banquets festifs riches.

En revanche, il sera nécessaire dans l’interprétation de cette parabole de garder à l’esprit que ses détails paraboliques ne doivent pas être exploitées, ni doctrines quelconques provenant de celles-ci, soit quant au caractère de l’autre monde, la question de la durée du futur e peines, ou l’amélioration morale possible de ceux de Gehinnom. Toutes ces choses sont étrangers à la parabole, qui vise uniquement à un type, ou l’exemplification et l’illustration, de ce qui est destiné à être enseignée. Et, si la preuve était nécessaire, il serait certainement assez de se rappeler, que cette parabole est adressée aux Pharisiens, à qui Christ aurait guère communiqué de détails sur l’autre monde, où il a été tellement réticent dans son enseignement à ses disciples. La parabole tombe naturellement en trois parties.

1. Dives et Lazare avant et après la mort,4614 4614 VV. 16-22. ou le contraste entre « devant les hommes » et « devant Dieu ; » l’utilisation injuste des richesses - littérales et figuratifs ; et les relations des plongées pharisaïque au publicain Lazarus, comme devant les hommes et que devant Dieu : le « exalté chez les hommes », « une abomination devant Dieu. » Et l’application de la parabole, c’est ici le plus révélateur, que les aumônes étaient si hautement estimé parmi les pharisiens et que le pharisien typique est ainsi mis devant eux, sur leur propre performance, le pécheur typique.

La parabole s’ouvre en affichant, pour nous, « un homme riche », « vêtu de pourpre et de byssus, joyeusement en tirent tous les jours dans la splendeur. » Tout ici est en caractère. Sa robe est décrit comme le plus beaux et les plus coûteuses, pour byssus et pourpre étaient les matériaux plus coûteux, seulement inférieur à soie, qui, si authentique et non mélangés - au moins trois sortes de soie sont mentionnés dans les Écritures juives anciennes - valait son pesant d’or. Byssus - dont il n’est pas encore tout à fait certain, si c’était de chanvre ou de coton - et purple étaient en fait fabriquées en Palestine, à la fois mais les meilleures byssus (au moins à l’époque4615 4615 dans plus tard fois byssus palestinien semble avoir été en grande réputation. Voir Herzfeld, Handelsgesch. p. 107. ) est venu d’Egypte et l’Inde. Les vêtements blancs du grand-prêtre le jour des Expiations ont fait de lui. 4616 4616 Yoma iii. 6, 7. Pour faire passer sur des comptes exagérées de son coût,4617 4617 Yoma Jérémie iii. 6, p. 40, d. robe du grand-prêtre de Pelusian linge pour le service du matin du jour de l’expiation était censée avoir coûté environ 36l. ; celle de lin indienne pour la soirée du même jour environ 24l. Bien sûr, ce genre de choses serait, s’il est de fabrication maison, que faite en Galilée ou en Judée,4618 4618 Jérémie Kidd. 62 c. être beaucoup moins cher. Comme considéré pourpre, qui a été obtenu à partir des côtes de Tyr,4619 4619 Shabb.26 a. laine de violet-pourpre a été vendu sur cette période par poids4620 4620 Kel. xxix. au rythme d’environ 3l. le Roman livre, bien qu’il serait, bien sûr, beaucoup le prix varient.

Tout à fait dans ce luxe - malheureusement pas rare parmi les Juifs très haut-placés, depuis le Talmud (bien que, sans doute, exagérément) parle de la robe du grand-prêtre corrompu comme ayant coûté plus de 300l. 4621 4621 Yoma Jérémie iii. 6. -a été la fête tous les jours, dont la dénomination donne l’impression de compagnie, de gaietéet splendeur. Tout cela est, bien sûr, destinée à énoncer que les égoïstes qui utilisent cet homme fait de sa richesse et au point le contraste de son roulement vers Lazarus. Aussi ici chaque détail est destinée à marquer la pitiableness de l’affaire, comme il se détachait avant plongées. Le nom - même pas souvent mentionné dans n’importe quel autre réel et jamais dans n’importe quel autre histoire parabolique - lui dit : Lazarus, Laazar, une abréviation courante Elazar, en quelque sorte, « Dieu aide lui! » Ensuite, nous lisons que he « a été coulée »4622 4622 la meilleure lecture du ver. 20 est celle adoptée dans la Version révisée : ' et un certain pauvre, nommé Lazare - seulement que nous devrions rendre « a été coulé. » ( ͺβͺβλητο) à son entrée, comme pour marquer que les porteurs étaient heureux de jeter leur fardeau importun. 4623 4623 que je ne peux souscrire à Dean Plumptre , que le nom de Lazare avait été choisi avec une référence particulière et comme un avertissement, le frère de Marthe et Marie. Si Lazare de Béthanie était donc pour être averti en ce qui concerne l’utilisation appropriée de ses richesses, son nom aurait été donné à des plongées et de ne pas le mendiant. Mais par ailleurs, peut-on un seul instant croire que Christ serait de toute manière ont introduit le nom de Lazare de Béthanie dans telle une parabole, il être vivant au moment ? Rien, sûrement, pourrait être plus éloigné de son mode général de l’enseignement que l’introduction de telles personnalités. Posée là, il était à la vue du pharisien comme il sortit est venu en ou assis dans sa Cour. Et comme il regardait, il était recouvert d’une répugnante maladie ; comme il a entendu parler de lui, il prononça une pitoyable demande à remplir avec ce qui tombait de la table de l’homme riche. Pourtant rien n’est fait pour aider sa misère corporelle et, comme le mot « désirant » (ͺπιθυμͺν) indique, sa nostalgie pour les « miettes » demeure insatisfait. Aussi égoïste dans l’usage de sa fortune a été plongées, tellement misérable Lazarus dans son point de vue ; Auto-satisfaits et apitoyé était donc le pharisien, si malheureux dans ses yeux et si besoin le publicain et pécheur. « Oui, même les chiens sont venus et lécher ses plaies » - car il doit ne pas être comprise comme une atténuation, mais comme une aggravation de ses maux, qu’il a été laissé aux chiens, dont l’écriture en est toujours représentés comme des animaux impurs.

C’est ainsi devant les hommes. Mais comment était-il devant Dieu ? Il la relation s’est inversée. Le mendiant est mort - pas plus de lui ici. Mais les anges » l’a emporté dans le sein d’Abraham. » Laissant de côté pour le présent4624 4624 pour cela, voir livre V. ch. vi. l’enseignement juif concernant la « après la mort », nous sommes frappés avec la sublime simplicité de langage figuratif utilisé par le Christ, contre les fantaisies sauvages et sensuelles de l’enseignement rabbinique ultérieure sur le sujet. C’est, en effet, le vrai, que nous ne devons pas regarder dans l’enseignement de ce langage parabolique pour Christ de sur le « après la mort. » En revanche, alors qu’il me disait rien de ce qui était essentiellement divergentes au moins, le point de vue plus pure divertit sur le sujet à l’époque - car sinon l’objet de l’illustration parabolique aurait perdu - et pourtant, tout ce qu’il a dit doit, lorsque dépouillée de ses détails paraboliques, être conforme aux dispositions fait. Ainsi, le transport vers le haut de l’âme des justes par les anges est certainement conformément à l’enseignement juif, bien que dépouillé de tous détails légendaires, comme sur le nombre et les salutations des anges. 4625 4625 Kethub. 104 a; Bemidb. R 11, éd. Warsh. p. 42 b; Targ. sur apriete iv. 12. Mais c’est aussi pleinement en conformité avec la pensée chrétienne de la Ministère d’anges. Encore une fois, en ce qui concerne l’expression « Sein d’Abraham », il se produit, mais pas fréquemment, dans écrits juifs. 4626 4626 4 MACC. xiii. 16 ; Kidd. 72 b, 1ère ligne. 4627 4627 mais je ne peux pas penser avec la Grimm (Kurzgef. Exeg. Handb. z. d. Apokr. Lief. IV. p. 347) que l’expression se réfère à une fête de communion. En revanche, l’appel à Abraham, notre père est tellement fréquent, que sa présence et ses mérites sont donc constamment invoqués ; notamment, il est donc expressément désigné comme celui qui reçoit (hébreu {}) le pénitent au paradis,4628 4628 Erub. 19 a. que nous pouvons voir comment congruente surtout à l’enseignement juif plus élevé, qui ne traitait pas dans les descriptions grossièrement sensuelles de Gan Édenou Paradis, le membre de phrase « Sein d’Abraham » doit avoir été. Ni sans doute il peut être nécessaire de faire valoir l’accord avec la pensée chrétienne d’une expression figurative, qui nous compare aux enfants couché avec amour dans le sein d’Abraham comme notre père spirituel.

2. Dives et Lazare après la mort:4629 4629 St. Luc xvi. 23-26. Le « grand contraste » pleinement réalisé et comment faire pour entrer dans le Royaume. -Ici aussi l’intérêt principal centres de plongées. Il a aussi est mort et enterré. Ainsi se termine tous ses exaltedness devant les hommes. La scène suivante est dans l’Hadès ou le shéol, le lieu des esprits désincarnés avant le jugement final. Il se compose de deux divisions : celle de consolation, avec tous les fidèles se sont réunis à Abraham comme leur père ; l’autre de tourment ardent. À ce jour conformément à l’enseignement général du Nouveau Testament. En ce qui concerne les détails, ils représentent évidemment le point de vue actuel à la fois parmi les Juifs. Selon eux, le jardin d’Eden et l’arbre de vie ont été la demeure de la Sainte. 4630 4630 Jérémie Targ. sur Genèse iii. 24. Nay, dans la croyance commune, les mots de la Genèse ii. 10: « une rivière ferma l’Eden pour arroser le jardin, » a indiqué que cet Éden était distinct et supérieur à, le jardin dans lequel Adam avait été initialement placé. 4631 4631 Ber. 34 b. En ce qui concerne, nous lu que les justes dans le Gan Eden voir les méchants dans Gehinnomet se réjouir ; 4632 4632 Vayyik. R. 32, commençant. et, même, que les méchants dans Gehinnom Voir la séance juste embellie au Gan Eden, et leurs âmes sont troublés. 4633 4633 US p.48 b, lignes 8 et 9 de haut. Toujours plus marquée est le parallélisme dans une légende raconté4634 4634 Midr. sur Eccles. i. 15, éd. Warsh. p. 81 b. vers le milieu. environ deux compagnons méchants, dont l’un était mort impénitent, tandis que l’autre en voyant il avaient se sont repentis. Après la mort, le fort de Gehinnom vu le bonheur de son ancien compagnon et murmura. Dit que la différence de leur sort était due à la pénitence de l’autre, il souhaite avoir espace pour lui est attribuée, mais a été informé que cette vie (la veille du Sabbat) le délai de fourniture pour le prochain (le jour du Sabbat). Encore une fois, il est conforme à ce qu’étaient les points de vue des Juifs, que les conversations pourraient avoir lieu entre des personnes décédées, dont plusieurs cas légendaires sont donnés dans le Talmud. 4635 4635 Ber. 18 b. 4636 4636 selon certains des commentateurs ceux-ci étaient, toutefois, rêves. Le tourment, surtout de la soif, des méchants, est mentionné à plusieurs reprises dans les écrits juifs. Ainsi, en un seul endroit,4637 4637 Jérémie Chag. 77 d. la fable de tantale se répète apparemment. Les justes apparaît à côté de ressorts délicieux, et les méchants avec sa langue desséchée au bord d’une rivière, les ondes qui sont éloignent sans cesse de lui. 4638 4638 COMP. aussi Jérémie Sanh. 23 c vers le milieu. Mais il y a ce contraste très marqué et caractéristique, qui dans la légende juive du béatifiés est un pharisien, tandis que le pécheur tourmenté par la soif est un publicain ! Avant tout et que le marquage la grande différence entre les idées juives et enseignement du Christ, nous remarquons qu’il n’y a pas d’analogie dans les écrits rabbiniques à l’instruction dans la parabole, qu’il y a un fossé large et infranchissable entre le paradis et la Géhenne.

Pour revenir à la parabole. Quand nous lisons que les plongées dans les tourments » leva les yeux », c’était, sans doute, de l’aide, ou, au moins, la lutte contre. Puis il s’est tout d’abord perçu et reconnu la relation inversée. Le texte se répète avec insistance ici : « et il,' - littéralement, celui-ci (καͺ αͺτος), comme si, pour la première fois, il a réalisé, mais seulement pour mal compris et mal appliqué il, comment facilement surabondance peut ministre soulagement extrême nécessité - ' appelant (savoir sur = invoquant) dit : « Père Abraham, aie pitié de moi et envoie Lazare. » » L’invocation d’Abraham, comme ayant le pouvoir et d’Abraham comme « Père », est naturellement la part d’un juif. Et notre Seigneur n’exprime pas ici ce qui était vraiment, mais introduit uniquement des Juifs comme parlant selon les notions populaires. Par conséquent, il n’implique pas nécessairement la part de plongées soit glorification de descendance charnelle (gloriatio carnis, comme Bengel a), ni une idée latente qu’il pourrait encore disposer de Lazare. Un juif aurait enthousiasmé « Père Abraham » dans de telles ou de circonstances analogues, et de nombreuses déclarations analogues pourraient être citées dans la preuve. Mais surtout dire est ce que le pharisien riche devrait contempler dans le sein d’Abraham, dont il prétendait être, ce qui, à ses yeux, spécialement de l’enfant avait été pauvre Lazare, couvert d’ulcères morales et, religieusement parlant, jeté à terre devant sa porte - non seulement pas admis à la communion de son banquet religieux, mais pas encore d’être nourri par les miettes qui tombaient de sa table et pour être laissée aux chiens. Et c’est le point culminant du contraste qu’il devrait maintenant avoir à invoquer et cela en vain, son ministère, le chercher aux mains d’Abraham. Et ici, nous rappelons également la parabole précédente sur, avant qu’il ne manquera, se faire des amis avec le Mamon de l’injustice, qu’ils peuvent nous accueillent dans les tabernacles éternels.

Nous rappelons que les plongées limitent maintenant sa demande aux dimensions plus humbles, demandant seulement que Lazarus peuvent être envoyés à tremper le bout de son doigt dans le liquide de refroidissement et donc lui donner même le plus petit soulagement. Pour cela, Abraham répond, mais dans un ton de pitié : « Enfant » encore décidément - affichage de lui, tout d’abord, la justesse de la position actuelle des choses ; et, d’autre part, l’impossibilité de toute modification, comme il l’avait demandé. Plongées avaient, de son vivant, a reçu ses bonnes choses ; qui avaient été ses choses, il avait choisi comme sa partie et ils les utilisent pour soi-même, sans communiquer d’eux. Et Lazare avait reçu de mauvaises choses. Maintenant, Lazare était réconforté et plongées dans la tourmente. C’est le bon ordre - pas que Lazare était rassuré parce que dans ce monde qu’il a subie, ni encore que plongées était tourmenté parce que dans ce monde, il avait eu des richesses. Mais Lazarus a reçu là le confort qui avait été refusé à lui sur la terre et l’homme qui avait fait ce monde sa bonne et obtenu il son partie, dont il avait refusé même les miettes aux plus nécessiteux, a maintenant reçu la récompense rencontre de son comble , une vie sans amour, égoïste. Mais, en plus de tout cela, ce qui en soi est juste et approprié, les plongées avaient demandé ce qui était impossible : aucune relation sexuelle ne pourrait se tenir entre le paradis et la Géhenne et sur ce compte4639 4639 le rendu exact in ver 26 est ; « à condamner cette (ͺπως, donc également en ver. 28) eux qui passerait de d'où vous,' & c. un grand et infranchissable gouffre existait entre les deux, afin que, même si ils le feraient, ils ne pouvaient pas, passer du ciel à l’enfer, ni encore de l’enfer à ceux dans le bonheur. Et, bien que les déclarations doctrinales ne devraient pas être tirées d’illustrations paraboliques, nous suggérons que, au moins autant que cette parabole va, semble-t-il d’écarter l’espoir d’un changement graduel ou de transition après qu’une vie perdue au service du péché et de soi.

 

3. application de la parabole,4640 4640 St. Luc xvi. 27-31. montrant comment la Loi et les prophètes ne manquera pas, et comment nous devons faire pression maintenant dans le Royaume. Il semble une étrange méprise la part de certains commentateurs, que la demande suivante de plongées indique un changement commençant de l’esprit de sa part. Dans un premier temps, cette partie de la parabole est seulement destinée pour illustrer la nécessité et le seul moyen de la conversion à Dieu - la recours à la Loi et les prophètes étant les plus aptes que les pharisiens fait leur vanter d’eux et le refus de toute spéciale Camille miraculeuse mise en place la plus catégorique, que les pharisiens avaient demandé pour « un signe du ciel. » En outre, il faudrait plus de charité ordinaire pour découvrir un changement moral dans le désir que ses frères pourraient - être pas convertis, mais pas de venir à cet endroit de tourment !

Qui a rejeté, par conséquent, cette idée, nous trouvons maintenant plongées plaidant que Lazarus peuvent être envoyés à ses cinq frères, qui, comme nous en déduisons, étaient de la même disposition et la vie, comme lui-même l’avait été, à « témoigner leur » - le mot impliquant plus qu’ordinaire, même sincère, témoignage. Vraisemblablement, ce qu’il demandait si ardemment à être attesté, qu’il était, plongées, tourmenté ; et l’effet escompté, pas du témoignage, mais de la mission de Lazare,4641 4641 ver. 30. dont ils sont censés avoir connu, a été, que ceux-ci, ses frères, ne parvienne pas au même endroit. Dans le même temps, la demande semble impliquer une tentative à l’autojustification, comme si, au cours de sa vie, il n’avait pas d’avertissement suffisant. Par conséquent, la réponse d’Abraham est formulée n’est plus sur un ton de pitié, mais implique une réprimande sévère de plongées. Ils ont ne besoin d’aucun témoin-porteur : ils ont Moïse et les prophètes, qu’ils écoutent. Si les témoignages nécessaires, leur a été donné, et il suffit - une réponse ce qui plairait spécialement aux Pharisiens. Et lors de plongées, maintenant, peut-être, comme beaucoup enclin à l’autojustification, comme sur le message à ses frères, remonstrates qui, bien qu’ils n’avaient pas reçu ce témoignage, encore « si on arrivé à eux d'entre les morts, » ils se repentent, la finale et, comme, hélas ! l’histoire a montré depuis la résurrection du Christ, la vraie réponse, c’est que "s’ils n’écoutent pas [donner ne pas entendre à] Moïse et les prophètes, ni qu’ils seront sous influence4642 4642 c’est le sens réel du verbe πεͺθω à la voix passive. Le rendu « persuader » est déjà Targumic - ce qui lui donne le sens de déplacement ou d’influencer l’intellect. Nous l’autre sens, que d’influer sur la volonté de repentance, semble plus probable qu’elles ont été destinées. [déplacé : leur intellect de croire, leur volonté de se repentir], si un ressuscité des morts. »

Et ici, la parabole et la mise en garde aux Pharisiens, brusquement se détachent. Quand ensuite on entend la voix du maître,4643 4643 ch. xvii. C’est en aimant demande aux disciples de quelques-unes des leçons qui ont été impliqués dans ce qu’il avait parlé aux Pharisiens.