CHAPITRE VII.
EN JUDÉE ET SAMARIE - UNE ESQUISSE DE L’HISTOIRE DE SAMARITAIN ET LA THÉOLOGIE - JUIFS ET SAMARITAINS.

(St. John iv. 1-4.)

Nous n’avons aucun moyen de déterminer combien de temps Jésus peut avoir attardé à Jérusalem après que les événements enregistrement dans les deux chapitres précédents. L’évangélique narrative1850 1850 St. John iii. 22. seulement marque une période indéfinie, qui, comme nous jugeons de probabilité interne, ne peut pas ont été prolongées. À partir de la ville, qu'il se retira avec ses disciples à « pays », qui créa la province de Judée. Là il a enseigné et ses disciples baptisés. 1851 1851 St. John vi. 2. 1852 1852 le baptême de la préparation pour le Royaume n’aurait pas pu être administrés par lui qui a ouvert le Royaume des cieux. De ce qui avait été jusqu'à dernièrement assisté à Jérusalem, ainsi que de ce que doit ont été connu que le témoignage antérieur de Jean-Baptiste qui le concernent, le nombre de ceux qui professe adhésion au nouveau Royaume attendue et furent baptisés en conséquence, a été aussi grand , dans cette localité, comme avait présenté à la prédication et le baptême de John, peut-être encore plus importante. Un rapport exagéré a été fait aux autorités pharisaïques :1853 1853 l’évangéliste rapporte le message qui a été apporté aux Pharisiens dans les mots dont il a été rendu. « Jésus fait lever et baptizeth plus de disciples que Jean. » 1854 1854 St. John iv. 1. D'où, au moins, nous en déduire, que l’opposition des dirigeants du parti pour le Baptiste a été maintenant réglée, et qu’elle est étendue à Jésus ; et aussi, quelle veille attentive, ils ont gardé la nouvelle liberté d’action.

Mais ce qui semble à première vue étrange est la double circonstance, que Jésus où à un moment ont s’installa à telle apparemment proximité de Baptiste et qui, à cette occasion, et là-dessus, il aurait dû permettre ses disciples à administrer le rite du baptême. Que ce dernier ne doit pas être confondu avec le baptême chrétien, qui a été présenté seulement après la mort du Christ,1855 1855 Rom. iv. 3. ou, pour parler plus exactement, après l’effusion du Saint-Esprit, a besoin d’aucune explication particulière. Mais nos difficultés qu’augmentent, comme nous le rappelle la différence essentielle entre eux, s’est échoué sur celle entre la Mission de Jean et de l’enseignement de Jésus. Dans le premier cas, le baptême de préparation repentant pour le Royaume à venir avait sa signification la plus profonde ; pas de même en présence de ce royaume lui-même et dans l’enseignement de son roi. Mais, même si c’est par ailleurs, l’administration du même rite par John et par les disciples de Jésus, apparemment très proches, ne semble pas seulement inutile, mais il pourrait donner lieu à une méprise de la part des ennemis et de malentendus ou de jalousie de la part de faibles disciples.

C’est effectivement le cas quand, à une occasion, un débat a surgi « la part des disciples de Jean avec un juif, »1856 1856 cela et pas « les Juifs », est le mieux lire. sur le thème de la purification. 1857 1857 St. John iii. 25. Nous ne savons pas le point spécial en litige, ni semble-t-il d’une grande importance, étant donné que ces « questions » vous suggère naturellement eux-mêmes à un ergoteur ou adversaire1858 1858 probablement la discussion originaire avec les disciples de Jean - l’opposant étant un juif ou les personnes qui se disent disciple du Christ, qui a désapprouvé leur point de vue. Dans un cas ils ont selon lui serait trop faibles ; dans les autres trop élevé. Dans les deux cas le sujet en litige ne serait pas baptêmes, mais le sujet général de purifications - un sujet de toute cette gamme dans la théologie juive, que l’une des six sections dans lesquelles la Mishnah ou droit traditionnel est divisé, est spécialement consacré à IT. qui a rencontré ceux qui administraient le baptême. Ce qui nous intéresse vraiment, c’est, qu’en quelque sorte ce juif objecteur doit ont connecté ses dires par un renvoi aux disciples du baptême de Jésus. Pour, immédiatement après, les disciples de Jean, dans leur zèle douloureux pour l’honneur de leur maître, lui apporta tidings, dans la langue du doute, sinon de la plainte, de ce qui leur semblait gêner les travaux de Jean-Baptiste et presque une présomption sur la partie de Jésus. Bien que pleinement conscient de leur grave erreur, peut-être en proportion comme nous le sommes, nous ne pouvons mais honorer et compatis avec ce mitonné pour leur maître. La mission pénible de l’ascète grand tirait à sa fin et que sans succès tangibles autant il était préoccupé. Pourtant, aux âmes sensibles de la plus élevée, de le voir serait d’être arrêtés ; à l’entendre, pour s’en convaincre ; pour en savoir, serait à aimer et à vénérer lui. Jamais auparavant cette profonde sincérité et la réalité avait été témoin, ce dévouement, cette humilité et abnégation et tous dans ce grand cause qui mis le feu à chaque cœur juif. Et puis, dans le haut-le jour de son pouvoir, quand tous les hommes avaient rassemblé autour de lui et accroché sur ses lèvres ; quand tout s’est demandé si il annoncerait lui-même comme le Christ, ou, du moins, comme son précurseur ou comme l’un des grands prophètes ; Lorsqu’un mot de sa part serait ont allumé cette multitude dans une frénésie d’enthousiasme - il avait pas accordé tout pour lui-même et a fait à l’autre ! Mais cette « venir One, » à qui il avait porté le témoin, avait été jusqu’alors tout à fait autre que leur maître. Et, comme si cela n’avait pas été assez, les multitudes, qui venaient autrefois à Jean, maintenant ont afflué autour de Jésus ; Nay, il avait même unsurped celui fonction distinctive reste à leur maître, humble comme il était. Il était évident que, détesté et surveillée par les pharisiens ; vu, aussi, par la jalousie impitoyable d’un Hérode ; négligé, si ce n’est pas supplanté, par Jésus, la mission de leur maître touchait à sa fin. Il avait été une vie et le œuvre de souffrance et de renoncement à soi-même ; Il s’apprêtait à mettre fin à la solitude et de tristesse. Ils ont dit rien expressément à se plaindre de lui à Jean qui avait porté le témoin, mais ils ont dit de ce qu’il a fait, et la façon dont tous les hommes sont venus à lui.

On peut dire la réponse qui fait de Jean-Baptiste, marque le point culminant de sa vie et le témoignage. Jamais auparavant il était si tendre, presque triste ; jamais plus humble et autonome qui refuse, plus sincère et fidèle. Le réglage de sa propre vie-soleil devait être le lever d’un infiniment plus lumineux ; la fin de sa Mission, le début d’une autre beaucoup plus élevé. Dans le silence, qui a été maintenant rassembler autour de lui, il a entendu mais une seule voix, celle de l’époux, et il se réjouissait en elle, bien qu’il faut écouter en silence et la solitude. Pour cela, il avait attendu et travaillé. Non la sienne propre, mais ce qu’il cherchait. Et maintenant qu’il était venu, il s’est contenté ; plus de contenu : sa « joie était maintenant remplie. » « Il doit augmenter, mais je dois diminuer. » C’était l’ordre juste et bon. Avec ces que ses derniers mots publiquement parlé,1859 1859 le prochain événement a été l’emprisonnement de John par Hérode. ce Aaron du Nouveau Testament unrobed lui-même, où il se coucha à mourir. Sûrement parmi ceux qui sont nés de femmes il y n'avait pas un plus grand que Jean.

Que ce sont ses dernières paroles, publiquement parlé et enregistré, peut, toutefois, nous expliquer pourquoi cette occasion exceptionnelle Jésus a sanctionné l’administration par ses disciples du baptême de Jean. Il n’était pas une régression de la position qu’il avait prises à Jérusalem, ni causé par le refus de ses prétentions messianiques dans le Temple. 1860 1860 cette étrange suggestion faite par Godet. Il n’y a aucune régression, seulement de la progression, dans la vie de Jésus. Et pourtant, c’est seulement à cette occasion que le rite a été administré en vertu de sa sanction. Mais les circonstances étaient exceptionnelles. C’était le dernier témoignage de John à Jésus, et il a été précédé par ce témoignage de Jésus à Jean. Bien divergent, presque opposées, à compter de la première qu'avaient été leur parcours, cette sanction pratique la part le baptême de Jésus de Jean, quand Baptiste était sur le point d’être abandonné, trahi et assassiné, a été le témoignage plus haut du Christ lui. Jésus a adopté son baptême, où ses eaux à jamais cessé de circuler, et donc il bénit et consacré à eux. Il a commencé le travaux de son ancêtre et il continua. Le rite baptismal de John administré en association avec la sanction de Jésus, a été le témoin plus élevé qui pourrait incomber à elle.

Il n’y a aucune nécessité pour supposer que John et les disciples de Jésus fut baptisés à, ou très proche de, au même endroit. Au contraire, telle juxtaposition immédiate semble, pour des raisons évidentes, peu probable. Jésus était dans les limites de la province de Judée, tandis que John fut baptisé à Aon (les ressorts), près de Salim. Le site de ce dernier n’a pas été identifié. Mais la tradition la plus ancienne, qui la place quelques miles au sud de Bethshean (Scythopolis), à la frontière de la Samarie et la Galilée, il a en sa faveur, qu’il situe la scène du dernier travail public de John près du siège d’Antipas Hearod, dans dont le Baptis de puissance t a été si peu de temps pour être livré. 1861 1861 qu'aucuns moins de quatre localités n’ont été identifié avec AON et Salim. Ewald, Hengstenberg, Wieseleret Godet, il cherchent sur le Sud frontalier de Judée (fr-rimmon, Néh. xi. 29, COMP. Josh. XV. 1, 32). Cela semble tellement improbable sous peine d’exiger la discussion. Dr. Barclay (ville du grand roi, pp. 558-571) estime qu’il a quelques miles de Jérusalem dans le Wady Fâr'ah, mais admet (p. 565), qu’il y a des doutes sur la prononciation arabe de cette sauvage. Le lieutenant Conder (tente-travail en Palest., vol. i. p. 91-93) estime qu’il est dans le Wady Fâr'ah, qui mène de Samarie à la Jordanie. Ici il a décrit la plupart imagées « les sources » « dans la vallée ouverte entourée de collines désolées et informes, » avec le village de Salim trois milles au sud de la vallée et le village de ' Ainân quatre miles au nord du cours d’eau. Contre cela il y a, cependant, deux exceptions. Tout d’abord, AON et Salim auraient été en Samarie. Deuxièmement, si loin d’être à proximité de l’autre, AON aurait été sept milles de Salim. Mais déjà il y a des causes à le œuvre pour retirer leurs présents sphères d’activité de Jésus et son précurseur. En ce qui concerne le Christ, nous avons la déclaration expresse,1862 1862 St. John iv. 1. que les agissements du parti pharisaïque à Jérusalem l’a amené à se retirer en Galilée. Et, comme nous nous réunissons dans l’avis de Saint-Jean, le Baptiste maintenant participait à cette hostilité, si étroitement liés avec Jésus. En effet, nous osons la suggestion que l’emprisonnement de Jean-Baptiste, bien qu’occasionnés par son franc-parler reproche d’Hérode, était en grande partie en raison des intrigues des pharisiens. Un tel lien entre eux et Hérode Antipas, nous avons une preuve directe dans une tentative similaire pour parvenir à l’élimination de Jésus de son territoire. 1863 1863 St. Luke xiii. 31, 32. Il n’aurait pas été difficile à réveiller les soupçons d’une nature tellement méchant et jaloux comme celle d’Antipas et cela peut expliquer le récit de Josèphe,1864 1864 ant. xviii 5. 2. qui attribue l’emprisonnement et la mort de Jean-Baptiste simplement peur suspecte d’Hérode d’influence illimitée de John avec le peuple. 1865 1865 ant. xviii. 5. 2 : « mais pour certains des Juifs, semble-t-il, que la destruction de l’armée d’Hérode est venu de Dieu, et, en effet, comme un juste châtiment en raison de ce qui avait été fait pour John, qui a été surnommé le Baptiste. Pour Hérode ordonne lui d’être tué, un homme bon et qui commandait les Juifs d’exercer la vertu, aussi bien quant à la justice envers l’autre et la piété envers Dieu et donc à venir au baptême. Pour que le baptême soit acceptable pour lui, si ils ont fait usage, non pour le rangement (rémission) de certains péchés, mais pour la purification du corps, après que l’âme avait précédemment été purifié par la justice. Et quand d’autres étaient venus en foule, car ils étaient extrêmement déplacés en entendant ces paroles, Hérode, craignant la peur que cette influence de son sur le peuple pourrait conduire à une rébellion, car ils semblaient prêts à faire quoi que ce soit par son avocat, a jugé meilleur, avant toute nouvelle devrait arriver à travers lui, pour lui mettre à mort, plutôt que, lorsqu’un changement survient dans les affaires, il pourrait avoir à se repentir. », COMP. aussi Krebs. Observationes en mi novembre test. Fl. Jos. p. 35, 36.

Laissant pour l’instant le Baptiste, nous suivons les traces du maître. Seulement, ils sont suivis par le disciple qui a le mieux compris leur direction, et qui seul nous a laissé un enregistrement du début du ministère de Christ. Pour Saint Matthieu et Saint Marc, indiquer expressément l’emprisonnement de Jean-Baptiste comme leur point de départ,1866 1866 St. Mark i. 14; St. Mark iv. 12. et, bien que St. Luke ne dit pas cela en il commence typiquement avec l’enseignement public d’évangélique du Christ dans les Synagogues de Galilée. Pourtant, le récit de St. Matthew1867 1867 voir spécialement St. Matt. IV. 13 à la fin. se lit plutôt comme un bref résumé ; 1868 1868 je suis tellement fortement impressionné par ce que je ne suis pas sûr au sujet de la théorie du Godet , l’appel des quatre apôtres enregistré par le Synoptists (St. Matt. IV. 18-22; St. Mark i. 16-20; Saint- Luc c. 1-11), ont vraiment eu lieu pendant le premier séjour de notre Seigneur à Capernaüm (St. John ii. 12). Dans l’ensemble, toutefois, les circonstances enregistrées par les Synoptists semblent indiquer une période dans le ministère du Seigneur au-delà de ce séjour au début à Capernaüm. celle de Saint-Marc apparaît comme une succession de rapides croquis ; et même celui de St. Luke, mais avec le plus profond effet historique que les autres, contours, plutôt que de l’histoire. St. John seul ne professe donner un récit du tout dans le sens ordinaire ; mais il sélectionne des incidents qui caractérisent tant que se déroule la signification de cette vie et enregistrements des discours qui ouvrira son enseignement plus profond ; 1869 1869 St. John xx. 30, 31, xxi. 25. et lui seul raconte ce ministère au début de la Judæan et la traversée de la Samarie, qui a précédé les travaux de Galilée.

La route plus courte de Judée en Galilée, dirigée par le biais de Samarie ; 1870 1870 Jos. Vie, 52. et cela, si nous pouvons créditer Josephus,1871 1871 ant. xx. 6. 1. est généralement pris par les galiléens sur leur route vers la capitale. En revanche, les Judæans semblent surtout ont fait un détour par le biais de Peræa, afin d’éviter de Samarie hostile et impur. Il s’est trouvé ne relèvent pas de notre Seigneur pour étendre son ministère personnel, en particulier à son ouverture, au-delà des frontières d’Israël,1872 1872 St. Matt. x. 5. et l’expression, « Il doit doit passer par la Samarie, »1873 1873 St. John iv. 4. ne peuvent viser que l’opportunité dans les circonstances, de prendre la route plus directe,1874 1874 archidiacre Watkins, je ne peux accepter que le « doit aller » était en ordre « pour enseigner en Samarie, comme en Judée, les principes de la vraie religion et de culte ». ou bien à la volonté d’éviter Peræa dans le siège du gouvernement d’Hérode. 1875 1875 Soo Bengel et Luthardt. Ces préjugés en matière de Samarie, que ceux qui a touché l’adepte de Judæan ordinaire, n’influencerait pas, bien sûr, la conduite de Jésus. Mais grand car elles étaient sans aucun doute, ils ont été excessivement exagérés par les écrivains modernes, induit en erreur par le partiales citations d’ouvrages rabbiniques. 1876 1876 a fait couler beaucoup comme sujet de Samarie, le sujet n’a pas été tout à fait satisfaisante traitée. Certains des passages mentionnés par Deutsch (Smith Dict. de la Bible, vol. iii., Art. Samaritain Pentat. p. 1118) ne peut être vérifiée, probablement en raison d’erreurs de l’imprimante.

L’histoire biblique de cette partie de la Palestine qui portait le nom de Samarie ne doit pas ici être répétée. 1877 1877 COMP. 1 Rois xiii. 32; xvi. 24 & c. ; Tiglath-Piléser, 2 Rois xv. 29; Salmanazar, xvii. 3-5 ; XVIII. 9-11 ; Sargon. XVII. 6, & c. Avant la déportation finale d’Israël par Salmanazar, ou plutôt de Sargon,1878 1878 COMP. Smith Bible Dict., Art. Sargon ; et Schrader, Keil-Inschr. test de Alte. u. d. 158 p. & c. le « Samarie » auquel ses opérations étendues doivent pouvoir considérablement rétréci en dimensions, non seulement en raison des conquêtes précédentes, mais également de la circonstance que l’autorité des rois de Juda semble avoir s’étendait sur une grande partie de ce qui une fois constituaient le Royaume d’Israël. 1879 1879 2 Chron. xxx. 1-26; xxxiv. 6. Probablement la Samarie de l’époque comprise peu plus que la ville du même nom, ainsi que de certaines villes et les villages contigus. C’est d’un intérêt considérable pour se rappeler que les lieux, à qui les habitants de Samarie ont été transportés,1880 1880 2 Rois xvii. 6. ont été identifiés avec une telle clarté que ne laissent aucun doute raisonnable, qu’au moins certains des descendants des dix tribus, mélangés ou non mélangés avec les Gentils, il faut chercher parmi ce que l'on appelle maintenant les Chrétiens Nestoriens. 1881 1881 bien sûr, pas toutes les dix tribus. COMP. précédentes remarques sur leurs migrations. En revanche, c’est pas pratique d’importance pour notre but actuel déterminer les localités exactes, d'où les nouvelles « Samaritains » ont été amenés à prendre la place des exilés Israélite. 1882 1882 2 Rois xvii. 24-26; COMP. Ezr. IV. 2, 10. Il suffit, que l’un d'entre eux, peut-être ce qui a contribué aux principaux colons, Cuthah, meublé le nom Cuthim, par lequel les Juifs par la suite constamment désigné les Samaritains. Il a été conçu comme un terme de reproche,1883 1883 St. John viii. 48. pour marquer qu’ils étaient de la course à l’étranger,1884 1884 St. Luc xvii. 16. 1885 1885 l’expression ne peut pas, cependant, être pressé comme impliquant que les Samaritains étaient de sang entièrement païenne. et à récuser tout lien entre eux et les Juifs. Pourtant, il est impossible de croire que, au moins dans les derniers temps, ils ne contenaient pas un mélange considérable d’éléments Israélite. Il est difficile de supposer, que la déportation originale était si complète quant à laisser aucune trace des premiers habitants Israélite. 1886 1886 COMP. 2 Chron. xxxiv. 6, 9 Jérémie xii. 5; Amos c. 3. Leur nombre serait probablement être gonflé de fugitifs de l’Assyrie et par des colons juifs dans les temps troublés qui suivirent. Par la suite, comme nous le savons, ils ont largement augmentés apostats et des rebelles contre l’ordre des choses établies par Esdras et Néhémie. 1887 1887 Jos. Xi d’ant. 8, 2, 6, 7. De même, pendant la période des troubles politiques et religieux interne, qui a marqué la période de l’adhésion des Maccabées, la séparation entre les Juifs et les Samaritains puisse guère ont été généralement observée, d’autant plus qu’Alexandre le grand placés dans l’étroite juxtaposition. 1888 1888 COMP. Herzfeld, Gesch. d. Volkes Isr. ii. p. 120.

Les premiers colons étrangers de Samarie apporté leurs propres formes d’idolâtrie avec eux. 1889 1889 2 Rois xvii. 30, 31. Mais les arrêts providentielles, par lequel ils ont été visités, a conduit à l’introduction d’un judaïsme fallacieux, consistant en un mélange de leurs superstitions anciennes avec des doctrines juives et des rites. 1890 1890 VV. 28-41. Bien que cet état de questions ressemblait à celui qui avait obtenu dans le Royaume d’Israël original, peut-être juste pour cette raison, Esdras et Néhémie, lors de la reconstruction de la communauté juive, a insisté sur une stricte séparation entre ceux qui étaient revenus de Babylone et les Samaritains, résistant également leurs offres de coopération et de leurs tentatives d’entrave. Cela aigri le sentiment national de jalousie existent déjà et a conduit à cette hostilité constante entre les Juifs et les Samaritains qui s’est poursuivie jusqu'à ce jour. La séparation religieuse est devenue définitive quand (à une date qui ne peut être précisément fixe1891 1891 Jost pense qu'il existait même avant l’époque d’Alexandre. COMP. Nutt, Samar. Hist. p. 16, Note2. ) les Samaritains ont construit un temple rival sur le Mont Garizim et Manassé,1892 1892 la question difficile, s’il s’agit du Sanballat du livre de Néhémie, est examinée par Petermann (Herzog Real-enc. vol. xiii. p. 366). le frère de Jaddua, le grand-prêtre juif, après avoir refusé d’annuler son mariage avec la fille de Sanballat, fut contraint de fuir, et est devenu le grand-prêtre du nouveau sanctuaire. Dorénavant, par l’affirmation insolente et la falsification du texte du Pentateuque,1893 1893 , pour une critique très complète de ce Pentateuque, voir M. Deutsch Art. dans Smith Bible-Dict. Gerizim a été déclarée légitime centre de culte, et les doctrines et les rites des Samaritains présentaient une curieuse imitation et l’adaptation de ces fréquentes en Judée.

Nous ne pouvons suivre ici en détail l’histoire des Samaritains, ni expliquer les dogmes et les pratiques propres à eux. Ce dernier serait le plus difficile, parce que tant de leurs points de vue était simplement des corruptions de ceux des Juifs et parce que, de l’absence d’une littérature ancienne authentifiée,1894 1894 COMP. le sketch de celui-ci en de Nutt Samar. Hist. et Petermann Art. l’origine et la signification de nombre d'entre eux ont été oubliés. 1895 1895 en tant qu’instances, on peut citer les noms des anges et des démons. Un de ceux-ci est appelé Yatsara (hébreu {}), qui Petermann dérive Deut. xxxi. 21et Nutt de Exode xxiii. 28. Je n’ai aucun doute, ce n'est qu’une corruption du Yetser haRa. En effet, ce dernier et Satan sont expressément identifiées dans Baba B. 16 a. Beaucoup des points de vue Samaritain semblent seulement corruptions et adaptations de ceux actuellement en Palestine, qui, en effet, dans les circonstances, pourrait s’y attendre. Suffisant, cependant, doit dire pour expliquer les relations mutuelles à l’époque où du bien, le Seigneur, assis sur Jacob parla première aux Samaritains de mieux adorer « en esprit et en vérité » et ouvert que bien d’eau vive, qui n’a jamais depuis cessé à couler.

L’histoire politique du peuple peut être dit en peu de phrases. Leur Temple,1896 1896 les Juifs baptisé {hébreu} (Ber. R. 81). Frankel ridiculise la dérivation de Reland (Monte de Garis iii. apud Ugolini, Thes. vol. vii. p. 717, 718), qui explique le nom comme πελεθοͺ ναͺς, stercoreum delubrum, correspondant à la désignation de samaritain du Temple à Jérusalem comme {hébreu} titre brun. Frankel lui-même (Palast. Ex. p. 248) dérive de l’expression de πλͺτανος en référence à Genèse xxxv. 4. Mais cela semble tout à fait insoutenable. Non le terme est peut-être un composé de {hébreu} pour cracheret ναͺς? auquel a été fait référence, a été construit, pas en Samarie, mais à Sichem - probablement en raison du poste occupé par cette ville dans l’histoire ancienne d’Israël - et sur le Mont Gerizim, qui dans le Pentateuque samaritain a été substitué à mont Ébal dans Deut. xxvii. 4 . C’est Sichem également, avec ses associations sacrées d’Abraham, Jacob et Joseph, qui est devenu la véritable capitale des Samaritains. Le sort de la ville de Samarie, sous le règne d’Alexandre est incertain - un compte a parlé de la rébellion de la ville, l’assassinat du gouverneur macédonien, la destruction conséquente de la Samarie et l’abattage d’une partie et le transport du reste, de son habitants de Sichem,1897 1897 COMP. Herzfeld, u. s. ii. p. 120. alors que Flavius Josèphe ne dit rien sur ces événements. Lorsque, après la mort d’Alexandre, la Palestine est devenue le champ de bataille entre les souverains de l’Égypte et la Syrie, Samarie ont souffert encore plus que les autres parties du pays. Dans 320 b.c. Il passa à la règle de la Syrie à celle de l’Égypte (Ptolémée Lagi). Six ans plus tard1898 1898 dans 314. Il redevint syrienne (Antigone). Seulement trois ans plus tard,1899 1899 en 311. Ptolémée reconquis et il a tenu pendant un temps très court. Sur sa retraite, il a détruit les murs de la Samarie et d’autres villes. En 301, qu'il passa à nouveau par traité aux mains de Ptolémée, out en 298 c’est une fois de plus ravagé par le fils d’Antigone. Après cela il a connu une saison de calme sous la domination égyptienne, jusqu'à ce que le règne d’Antiochos III (.) le grand, quand il passa à nouveau temporairement et sous son successeur, Séleucos IV. (Philopator),1900 1900 187-175. définitivement sous domination syrienne. Dans les temps troublés d’Antiochus IV. Épiphane,1901 1901 175-164. les Samaritains ont échappement au sort des Juifs en rejetant tout lien avec Israël et après leur temple de Jupiter. 1902 1902 selon Jos. Ant. xii. 5. 5, ͺλλͺνιος; selon 2 MACC. vi. 2, ξͺνιος. Dans le concours entre la Syrie et les Macchabées qui a suivi, les Samaritains, comme pourrait s’y attendre, a pris le parti de l’ancien. Dans 130 b.c. John Hyrcanus détruisirent le Temple sur le Mont Gerizim,1903 1903 il est très probable que la date 25 Marcheshvan (nov.) dans le Megill. TAAN. fait référence à la prise de Samarie. Les deux le Talmud (Jérémie Sot. ix. 14 ; Sot. 33 une) et Josephus (ant. xiii. 10. 7) se réfère à un Bain QV annonçant cette victoire à Hyrcan alors qu’il exerça son ministère dans le sanctuaire à Jerusalem. qui ne fut jamais reconstruit. La ville de Samarie a été prise plusieurs années après1904 1904 entre 113 et 105. 1905 1905 n’est pas que quelques-uns des événements de la vie d’Hérode étaient liés à Samarie. Il épousa la belle et infortuné Mariamme (ant. xiv. 12. 1) ; et là, trente ans plus tard, ses deux fils ont été étranglées par ordonnance le tyran jaloux (ant. xvi. 11. 2-7). par les fils de Hyrcanus (Antigone et Aristobule), après siège d’un an et la défaite successive des armées syrienne et égyptienne de soulagement. Bien que la ville était maintenant non seulement détruite, mais effectivement mises sous l’eau pour achever sa ruine, il fut reconstruit par Gabinius peu avant notre ère,1906 1906 ant xiv. 5. 3. et considérablement agrandie et embellie par Hérode, qui l’appelait Sebaste en l’honneur d’Auguste, à qui il a élevé un temple magnifique. 1907 1907 ant. xx. 8. 5 ; Guerre des Juifs i. 21. 2. Sous la domination romaine, la ville des privilèges très appréciés - avait même un Sénat de ses propres. 1908 1908 ant. xviii. 4. 2. Par l’une de ces coïncidences frappantes qui marquent la règle de Dieu dans l’histoire, c’était l’accusation portée contre lui par ce Sénat Samaritain qui a conduit au dépôt de Pilate. Aux côtés de Samarie ou Sebaste, nous avons déjà marqué comme peut-être capital plus important et comme le religieux, l’ancienne Sichem, qui, en l’honneur de la famille impériale de Rome, a finalement obtenu le nom de Flavia Neapolis, qui a survécu dans le moderne Naplouse. Il est intéressant de noter que les Samaritains ont eu également des colonies, mais pas dans la même mesure que les Juifs. Parmi eux nous pouvons citer ceux d’Alexandrie, Damas, en Babylonie et même certains les rives de la mer rouge. 1909 1909 COMP. Nutt, Samar. Hist. p. 26, note et les autorités citées il y.

Bien que non seulement dans le Nouveau Testament, mais dans 1 MACC. x. 30et dans les écrits de Flavius Josèphe,1910 1910 voir spécialement guerre iii. 3. 4, 5. Palestine occidentale est divisée en provinces de Judée, Samarie, et Galilée, les rabbins, dont les idées ont été façonnées par les observances du judaïsme, ignorer cette division. Pour eux la Palestine se composait uniquement de Judée, Peræa et Galilée. 1911 1911 pour par ex. Baba B. iii. 2. Samarie apparaît simplement comme une bande intervenant entre la Judée et en Galilée, étant « le pays de la Cuthæans. » 1912 1912 par ex. Jérémie Chag. iii. 4. Néanmoins, il ne était pas considéré comme pays païens, mais rendu propre. Les deux la Mishnah,1913 1913 Gitt. vii. 7. et Josèphe1914 1914 war iii. 3. 4, 5. marque Anuath ({hébreu}) comme la limite sud de Samarie (en direction de Judée). Vers le nord que s’étendait à Ginæa (l’antique En-Gannim) sur le côté sud de la plaine de Jezréel ; à l’est, il est bordé par la Jordanie ; et à l’ouest par la plaine de Saron, qui a été compté comme faisant partie de la Judée. Ainsi, il occupe les anciens territoires de Manassé et Ephraïm et prolongé environ quarante-huit milles (Nord et Sud) par quarante (est et Ouest). Dans l’aspect et le climat, il ressemblait à Judée, seulement que le paysage était plus beau et le sol plus fertile. L’hostilité politique et religieuse séparation entre les Juifs et les Samaritains représentent jalousement leur mutuelle. Sur toutes les manifestations publiques, les Samaritains a pris le parti hostile aux Juifs, alors qu’ils ont saisi toutes les occasions de blessant et insultant. Ainsi, à l’époque d’Antiochos III. ils ont vendu beaucoup de Juifs dans l’esclavage. 1915 1915 ant. xii. 4.1. Par la suite, ils ont cherché à induire en erreur les Juifs à distance, à qui, au début de chaque mois (si important dans les arrangements fêtes juives) a été intimidé par phare feux, par allumage des signaux parasites. 1916 1916 Rosh hachage. ii. 2. Nous lisons aussi qu’ils ont tenté de profaner le Temple à la veille de la Pâque ; 1917 1917 ant. xviii. 2. 2. et qu’ils convainquent et tué les pèlerins sur leur route vers Jérusalem. 1918 1918 ant. xx. 6. 1. Les Juifs a riposté en traitant les Samaritains avec toutes les marques de mépris ; en les accusant de mensonge, de folie et irréligion ; et, ce qu’ils se sentaient plus vivement, de renier leur à partir de la même race ou religion et ce dans les termes les plus offensives de supériorité supposée et fanatisme bien-pensants.

Compte tenu de ces relations, on se demande presque à la franchise et la modération parfois affichée envers les Samaritains dans les écrits juifs. Ces déclarations sont d’une importance pratique dans cette histoire, étant donné que des tentatives ont été faites pour montrer quels articles de nourriture les disciples de Jésus pourraient avoir acheté en Samarie, dans l’ignorance que la quasi-totalité aurait été licite. Cependant, notre enquête ici est quelque peu compliqué par la circonstance qu’en écrits rabbiniques, comme à présent existant, le terme Samaritains (Cuthim1919 1919 que la traduction plus exacte serait, bien entendu, être Kuthim, mais j’ai écrit Cuthim en raison de la référence à 2 Rois xxvii. 24. En effet, pour diverses raisons, il est impossible toujours à adopter un système uniform et exact de translittération. ), pour éviter la censure de la presse, a été souvent volontairement substitué à « Sadducéens », ou « hérétiques », j’ai. e. chrétiens. 1920 1920 ainsi en Ber. 57 b Cuthæan est évidemment utilisée pour « idolator. » Une instance de l’usage juif du terme Cuthæan pour chrétien se produit en Ber. R. 64, où l’autorisation impériale pour reconstruire le Temple de Jérusalem est censée avoir été frustré par l’intrigue Cuthæan, le texte ici évidemment allusion par cette expression pas aux Samaritains, mais aux chrétiens, toutefois idiotes l’accusation portée contre eux. Voir Joël, Blicke dans d. Relig. Gesch. P. 17. COMP. aussi Frankel u. s. p. 244 ; Jost, Gesch. d. Judenth. i. p. 49, Note2. Ainsi, lorsque1921 1921 dans Sanh. 90 b. les Samaritains sont chargés de nier dans leurs livres qu’il est possible de prouver la résurrection du Pentateuque, la véritable référence est supposée avoir été écrits hérétiques sadducéen ou chrétien. En effet, les termes hérétiques, les Sadducéens et les Samaritains sont utilisés de façon interchangeable, qu’une enquête approfondie est nécessaire, pour montrer dans chaque cas, lequel d'entre eux est vraiment destiné. Encore plus fréquent est l’utilisation du terme « Samaritain » ({hébreu}) pour « inconnu » ({hébreu}), ce dernier et pas strictement Samaritain descente étant destiné. 1922 1922 Frankel cite comme une instance notable de ce dernier, Ber. viii. 8 et on entend la preuve, le Jerus. Talmud sur ce Mishnah. Mais, pour des raisons bientôt à s’expliquer, je ne suis pas prêt en l’occurrence à adopter son point de vue. L’échange populaire de ces termes éclaire sur la désignation du Samaritain comme « un étranger » par notre Seigneur à St. Luc xvii. 18.

En général on peut dire que, même si sur certains points de l’opinion juive est resté toujours le même, le jugement prononcé sur les Samaritains et en particulier quant à des rapports sexuels avec eux, variés, selon qu’ils ont montré plus ou moins active hostilité envers les Juifs. Ainsi le fils de Sirach correctement exprime le sentiment de mépris et aversion, lorsqu’il a qualifié les Samaritains comme « le peuple insensé » que son « coeur abhorré. » 1923 1923 Eccl. 1. 25, 26. Le même sentiment apparaît dans early Christian Pseudepigraphic et dans les écrits rabbiniques. Dans ce qu’on appelle « Le Testament des douze patriarches » (qui date probablement du début du IIe siècle), « Sichem » est la ville des fous, tournée en dérision par tous les hommes. 1924 1924 test. Levi vii. Il était tout naturel, que devraient être interdit aux Juifs de répondre par un Amen à la bénédiction des Samaritains, en tout cas jusqu'à ce qu’ils ne savaient pas qu'elle avait été correctement parlée,1925 1925 Ber. viii. 8. puisqu’ils n’étaient ni dans la pratique, ni en théorie considérée comme coreligionnaires. 1926 1926 Sheq. i. 5. 1927 1927 comme dans le cas des païens, ni Temple-hommage, ni aucun autre que les offrandes votives et de libre-arbitre ont été reçues de leur part. Pourtant, ils n’étaient pas traités comme les païens, et leurs terres, leurs ressorts, thermes, maisons et routes ont été déclarées propres. 1928 1928 Jérémie Abhod. Z. c. 4, 44 p. d.

La question a été examinée, si elles devaient être considérées comme « lion-prosélytes » (de la peur des lions), ou comme authentique convertit ; 1929 1929 Sanh. 85 b; CHULL. 3 b; Kidd, 75 b. et, encore une fois, s’ils devaient être considérés comme païens. 1930 1930 Jérémie Sheq. 46 b. Ceci et la circonstance que les professeurs différents à des moments différents a donné juste en face de réponses à ces questions, prouve qu’il n’y avait aucun principe établi sur le sujet, mais que les opinions varient selon le palier national des Samaritains. Ainsi, nous sommes fait dire expressément,1931 1931 Jérémie Demai iii. 4. qu’à un moment donné leur témoignage et leur orthodoxie religieuse étaient plus crédité que chez les autres, et ils ne sont pas traités comme des gentils, mais placés sur le même plan comme un juif ignorant. Une différence marquée de l’opinion ici l’emporte. La tradition plus ancienne, représentée par Simon le fils de Gamaliel, les considère comme dans tous les égards comme Israélites ; 1932 1932 COMP. aussi Jer. Dem. vi. 11 ; Jérémie Ber. VII. 1 ; et Jérémie Keth. 27 a. alors que la jurisprudence subséquente (Rabbin Jehuda Saint) aurait eux considérés et traitement comme païens. Encore une fois, il est expressément mentionné dans le Talmud de Babylone,1933 1933 Ber. 47 b. que les Samaritains ont observé la lettre du Pentateuque, alors qu’une seule autorité ajoute, que de ce qu’ils ont observé qu’ils étaient plus strictes que les Juifs eux-mêmes. 1934 1934 COMP. Chull. 4 a. Cela, en effet, il est prouvé en ce qui concerne plusieurs ordonnances. En revanche, les autorités plus tard encore une fois leur reprochent à la falsification du Pentateuque, inculper d’adorer une colombe,1935 1935 Chull. 6 a. et même quand, après complément d’enquête, ils leur dispense de cette accusation, attribuent leur vénération excessive pour le Mont Garizim à la circonstance qu’ils adoraient des idoles que Jacob avait enterré sous le chêne à Sichem. À la même haine, causée par la persécution nationale, nous devons imputer des expressions telles que1936 1936 Chull. 104 c. que lui, dont l’hospitalité reçoit un étranger, a lui-même à blâmer si ses enfants doivent aller en captivité.

L’expression, « les Juifs n’ont aucun contact avec les Samaritains, »1937 1937 St. John iv. 9. trouve sa contrepartie exacte1938 1938 Megill. 2. dans le présent : « Puis-je j’ai jamais posé les yeux sur un Samaritain ; » ou ailleurs, « peux j’ai jamais levée en société avec lui ! » Un rabbin dans Cæsarea explique, comme étant la cause de ces changements d’avis, qu’anciennement les Samaritains avaient été attentifs de la Loi, dont ils n’étaient plus ; une déclaration répétée sous une autre forme à l’effet que leur respect de celui-ci a duré aussi longtemps qu’ils se trouvaient dans leurs propres villes. 1939 1939 Jérémie Abhod. ZAR. v. 4. Questions a procédé jusqu’ici, qu’ils étaient totalement exclus de bourse. 1940 1940 Chull. 6 a. L’extrême limite de cette direction,1941 1941 Shebhyith viii. 10. Si, en effet, la déclaration s’applique aux Samaritains,1942 1942 l’expression s’applique littéralement aux idolâtres. est marquée par la déclaration, que, pour prendre part à leur pain était comme manger la chair de porc. C’est encore amélioré dans un ouvrage postérieur rabbinique,1943 1943 Yalkut ii. 36 p. d. qui donne une histoire détaillée de comment les Samaritains avaient conspiré contre Esdras et Néhémie et l’interdiction posée sur eux, alors que maintenant, non seulement s’est vu interdire tous rapports sexuels avec eux, mais leur pain déclarée comme la chair de porc ; prosélytes ne devaient ne pas être reçu d’eux ; ni ils aurait part à la résurrection des morts. 1944 1944 dans Jérémie Kil. ix. 4, 9. 32 c (au milieu) la question de la résurrection est discutée, quand on dit que les habitants de samaritain de Palestine, loin de profiter des bienfaits de cette période, seraient feront en sections () ou, faites comme chiffon [ ?]), et ensuite brûlé vers le haut Mais il y a une grande différence entre toute cette extravagance et les opinions qui prévalait à l’époque de Jésus. Même dans le tractate rabbinique sur les Samaritains1945 1945 Massecheth Kuthim, à Kirchheim, Septem Libri parvi Talmudici, pp. 31-36. Il est admis, que dans la plupart de leurs usages, ils ressemblent aux Israélites, et de nombreux droits et privilèges sont concédés à eux, d'où un païen aurait été exclu. Ils sont soit « reconnu » sur de nombreux points ; leur viande est déclarée propre, si un Israélite avait assisté à sa mise à mort, ou un bon Samaritain a mangé 1946 1946 Chull. 3 b. leur pain1947 1947 dans Jérémie Orlah ii. 7, la question est discutée, combien de temps après la Pâque, il n’est pas légitime d’utiliser le pain cuit par les Samaritains, montrant que, normalement, il était légal. et, sous certaines conditions, même leur vin, sont autorisés ; et la perspective finale se tient hors de leur réception dans la Synagogue, lorsqu’ils ont renoncé à leur foi dans le Mont Garizim et reconnu Jérusalem et la résurrection des morts. Mais tolérance juive est allé encore plus loin. À l’époque du Christ, toute leur nourriture a été déclaré licite. 1948 1948 Jérémie Abhod. ZAR. v. 4. Il ne pourrait donc aucune difficulté car considérait l’achat de vivres par les disciples de Jésus.

Il a déjà été dit, que la plupart des doctrines particulières des Samaritains provenaient de sources juives. Comme on peut le prévoir, leur tendance était sadducéen plutôt que pharisaïque. 1949 1949 le point de vue doctrinal, les manifestations festives et la littérature des Samaritains d’une version ultérieure, ne peut pas être discutés dans ce lieu. Pour plus amples renseignements, nous nous référons à ce qui suit :, les Articles dans le dictionnaire de Smith de la Bible, de Winer Bibl. Real-Wörterb. et en particulier de Herzog Real-Encykl. (par Petermann) ; Juynboll, commentaire. dans Hist. Gentis Samarit. ; Jost, Gesch. des Judenth. ; Herzfeld, Ariel. des judisch. Volkes, passim; Frankel, Einfluss der Paläst. Exeg. pp. 237-254 ; Nutt, esquisse d’histoire Samaritain, & c. Néanmoins, Samaritain « sages » sont désignés. 1950 1950 Gitt. 10 b; DNE. 33 b. Mais il est difficile de former une opinion tranchée le point de vue doctrinal de la secte, en partie par le retard comparative de leur littérature, et en partie parce que le Rabbinist charges contre eux n’est pas absolument fiables. Il semble au moins douteux, que vraiment, ils niaient la résurrection, comme l’affirme les rabbins,1951 1951 Siphré sur engourdi. XV. 31; Sanh. 90 b. dont les pères ont copié l’accusation. 1952 1952 Épiphane, Hæres. iv., xiv. ; Leontius, De Sectis viii. ; Grégoire le grand, Moral. i. xv. Grimm (Die Samariter & c., p. 91 & c.), non seulement fortement défend la position des pères, mais estime que les Samaritains ne croyaient même pas en l’immortalité de l’âme et soutient que le monde est éternel. La « Chronique de Samaritan » datant du XIIIe siècle, mais Grimm maintient qu’il incarne l’opinion antérieure de ce peuple (u. s. p. 107). Certes, ils détiennent cette doctrine à l’heure actuelle. Ils croyaient fermement à l’unité de Dieu ; ils ont tenu la doctrine des anges et des démons ; 1953 1953 cela semble incompatible avec leur incrédulité de la résurrection et aussi met en doute les témoignages patristiques à leur sujet, puisque Leontius accuse faussement de rejet de la doctrine des anges. Épiphane, en revanche, attribue leur croyance aux anges. RLANDE maintient, qu’ils considéraient les anges comme simplement « pouvoirs » - une sorte d’abstractions impersonnelles ; Grimm pense il y avait deux sectes de Samaritains - un croyant, l’autre ne pas croire, aux anges. ils ont reçu le Pentateuque à partir de la seule autorité Divine ; 1954 1954 pour leur horrible distorsion de l’histoire biblique juive plus tard, voir Grimm (u. s.), p. 107. ils jugeaient Mont Garizim lieu choisi par Dieu, maintenant que seul il n’avait pas été couvert par le déluge, comme l’affirme les Juifs du mont Moriah ; ils étaient plus strictes et zélée dans ce que de droit biblique ou traditionnel, ils ont reçu ; et enfin, et plus important encore, ils ont regardé à la venue d’un Messie, dans lesquels se réaliserait la promesse, que le Seigneur Dieu soulèverait un prophète du milieu d’eux, comme à Moïse, en qui ses paroles devaient être , et à qui ils doivent écouter. 1955 1955 Deut. xviii. 15, 18. 1956 1956 on attend que ce Messie serait enfin convertir toutes les nations à Samaritanisme (Grimm, p. 99). Mais il n’y a aucun motif historique de l’avis de M. Nutt (esquisse de Samar. Hist., p. 40, 69) que l’idée d’un Messie, le fils de Joseph, qui détient si grande place dans la théologie rabbinique ultérieure, était d’origine Samaritaine. Ainsi, alors que, à certains égards, leur accès serait plus difficile que de ses propres compatriotes, mais dans d’autres, Jésus s’y trouver un sol mieux préparés pour la semence Divine, ou, du moins, moins encombrés par les chardons et l’ivraie du traditionalisme et pharisaïque bigoterie.