CHAPITRE XXXVI.
L’ALIMENTATION DES QUATRE MILLE - À DALMANUTHA - « LE SIGNE DU CIEL » - JOURNEY TO CÆSAREA PHILIPPI - CE QUI EST LE LEVAIN DES PHARISIENS ET DES SADDUCÉENS ?

(St. Matt. XV. 32- xvi. 12 ; St. Mark viii. 1-21.)

ILS pourraient bien se réunissent à Jésus par milliers, avec leurs désirs de corps et âme, ces moutons errant sans un berger ; pour son ministère dans cette circonscription, comme autrefois en Galilée, s’apprêtait à tirer à sa fin. Et ici, il est remarquable, que chaque fois que son séjour prolongé et Ministère dans une circonscription ont été mené à son terme avec certains repas du soir, pour ainsi dire, un divertissement festif de sa part. Le ministère galiléen avait fermé avec l’alimentation de cinq-mille, les invités étant pour la plupart de Capharnaüm et les villes autour, autant que de Bethsaïde (Françoise), beaucoup du nombre probablement en route vers la fête pascale à Jérusalem. 3590 3590 COMP. ch. xxix. de cet ouvrage. Mais maintenant à la deuxième disposition pour les quatre mille, avec laquelle son ministère Decapolis fermé, les invités n’étaient pas strictement Juifs mais semi gentils habitants de ce quartier et de ses environs. Enfin, son ministère de Judæan fermé avec la dernière Cène. À la première « repas », les invités Juifs seraient fain ont proclamé lui Messie-roi ; à la seconde, comme « fils de l’homme, » il donne alimentaire à ces multitudes de Gentils qui avoir été avec lui ces jours-là et consommé toutes leurs victuailles pendant leur séjour avec lui, il ne pouvait ne pas envoyer loin jeûne, peur qu’ils devraient s’évanouissent en passant. Et la dernière fois, comme le vrai prêtre et le Sacrifice, il nourrissait lui-même avec la vraie fête Paschal, où il les envoya de suite seul dans le désert. Ces trois « repas » semblent donc connecté, chaque menant vers le haut, en quelque sorte, à l’autre.

Il peut, en tout cas, y avoir peu de doute que cette deuxième alimentation de la multitude s’est déroulée dans la Décapole Gentile, et que ceux qui s’assit pour le repas étaient principalement les habitants de ce district. 3591 3591 cela ressort de l’ensemble du contexte. Mgr. COMP. de Ellicott Histor. LECT pp. 220 et 221 notes. Si c’est légal, au départ de l’histoire stricte, afin d’étudier la symbolique de cet événement, par rapport à l’alimentation précédente de cinq-mille qui étaient Juifs, quelque peu singulière différences vont se présenter à l’esprit. À l’occasion ancienne il y avait cinq mille nourris avec cinq pains, quand douze paniers des fragments ont été laissés. La seconde fois, quatre mille ont été nourris de sept pains et sept paniers des fragments recueillis. C’est au moins curieux, que le numéro cinq de la provision pour les Juifs est que le Pentateuque, tout comme le nombre douze correspond à celui des tribus et des apôtres. En revanche, dans l’alimentation des gentils, nous célébrons le numéro quatre, qui est la signature du monde et sept, qui est celle du sanctuaire. Nous aurait pas par n’importe quel moyen appuyez dessus, comme s’il s’agissait, dans le récit des coïncidences narratives, conçus ; mais, juste parce qu’ils sont limite, nous avons à cœur, sentiment qu’il y a plus de limite symbolique dans les manifestations de Dieu tous les - dans la nature, en histoire et en grace - que rencontre l’oeil de ceux qui observent le simplement phénoménal. Non, pas presque semble-t-il, comme si toutes les choses furent jetés dans le moule des réalités célestes et « pains de proposition » de la terre tous les « Pain de sa présence » ?

Sur tous les points généraux les récits de l’alimentation de la miraculeuse de double sont alors parallèles, qu’il n’est pas nécessaire encore à examiner cet événement en détail. Mais les circonstances concomitantes sont tellement différentes, que seulement les critiques négatives plus téméraire pourrait insister, que l’un et le même événement avaient été présentés par les évangélistes comme deux occasions distinctes. 3592 3592 pour un résumé des grandes différences entre les deux miracles, COMP. BP. Ellicott, u. s. p. 221, 222. Les déclarations de Meyer ad loc. sont insatisfaisantes. Les grandes lignes de la différence quant au nombre de personnes, la disposition et la quantité de fragments de gauche, ne peuvent être négligées. En outre, à l’occasion ancienne le repas a été fourni dans la soirée pour ceux qui avaient disparu après le Christ et l’écoutait toute la journée, mais qui, dans leur hâte hâte, était venu sans vivres, quand il ne rejetterais pas les faibles et affamés, parce qu’ils avaient été tellement occupé f ou le pain de vie qu’ils avaient oublié celle de la terre. Mais cette seconde fois, de l’alimentation des gentils, la multitude avait été trois jours avec lui, et quels moyens de subsistance qu’ils avaient apporté doit ont échoué, alors que, dans sa compassion, le Sauveur n’enverrait pas eux dans leurs foyers, jeûne, peur qu’ils devraient s’évanouissent par la façon. Il ne pourrait pas se sont abattues sur ces Gentils, qui étaient venu au Christ pour se nourrir de leurs âmes. Et, il faut garder en vue, que Christ a rejetées, n’est pas, comme avant, parce qu’ils auraient fait de lui leur roi, mais parce que lui-même était sur le point de départ de la place ; et que, en les envoyant à leurs foyers, il ne pouvait pas parvenir à m’évanouir en passant. Encore une autre différence réside même dans la désignation des « paniers » a marqué dans laquelle les fragments de gauche s’étaient rassemblés. À la première prise de nourriture, il y avait, comme le montre le mot grec, les petits paniers en osier que chacun des douze portent dans sa main. À la deuxième tétée qu’ils ont été les grands paniers, dans quelles dispositions, pain principalement, ont été stockées ou transportées pour des voyages plus longs. 3593 3593 l' κͺφινος (St. Matt. XIV. 20) était le petit handbasket (voir ch. xxix), tandis que le σπυρͺς (le terme utilisé dans l’alimentation des quatre mille) est la grande disposition-panier ou panier, telle que celle dans laquelle Saint Paul a été laissé tomber par-dessus le mur à Damas (actes IX. 25). Ce qui le rend plus marquée est, que la distinction des deux mots est maintenue dans la référence aux deux miracles (St. Matt. XVI. 9, 10). Pour, à la première occasion, quand ils passaient sur le territoire israélite - et, comme ils pourraient le penser, quitté leur maison pour un temps très bref - il n’y n'avait pas que le même besoin de prendre des dispositions pour le stockage des approvisionnements nécessaires comme sur le second, alors qu’ils étaient sur un parcours allongé et en passant par, ou rester en territoire païen.

Mais la différence la plus notable nous semble ce - que la première fois, ceux qui ont été nourris étaient des Juifs - sur le second, gentils. Il y a un trait peu exquis dans le récit qui est frappant, bien que totalement limite, preuve de celui-ci. En se référant à la bénédiction qui parla de Jésus pendant le repas d’abord , il a été noté,3594 3594 voir ch. xxix. que, en stricte conformité avec la coutume juive, il a seulement rendu Merci une fois, sur le pain. Mais aucune telle coutume ne gouvernerait sa conduite lors de la distribution de la nourriture aux païens ; et, en effet, sa s’exprimant la bénédiction sur le pain, alors qu’il était muet lors de la distribution des poissons, aurait probablement donné lieu à des malentendus. Nous trouvons, en conséquence, qu'il a expressément dit qu’il non seulement a donné Merci sur le pain, mais aussi parla la bénédiction sur les poissons. 3595 3595 St. Mark viii. 6, 7. Ou devrions nous, lorsque limite marquant ces évidences, omettre de noter, qu’à la première occasion, qui était immédiatement avant la Pâque, les invités étaient, comme trois des évangélistes expressément États, allaient sur « l’herbe, »3596 3596 St. Matt. XIV. 19; St. Mark vi. 39; St. John vi. 10. certain temps, à l’occasion de présente, qui doit avoir été quelques semaines plus tard, quand à l’est, l’herbe serait être consumé, nous dit-on, par les deux évangélistes qu’ils étaient assis sur « le terrain ». 3597 3597 littéralement, « sur la terre. » Même la difficulté, soulevée par certains, quant à la répétition étrange de réponse des disciples, les résultats, en partie, de non-espérance et, par conséquent, non-croyance et encore en partie aussi de ce doute que tend vers la foi : « d'où nous aurions, dans un lieu solitaire, 3598 3598 le mot ͺρημια signifie un endroit particulièrement isolé. tant de pains que de remplir si grand une multitude ? » semble nous uniquement confirmative de la narration, donc psychologiquement vrai est-il. Il n’y a aucun besoin pour les excuses ingénieux,3599 3599 de Bleek. que, dans le souvenir et la tradition du premier et au second ravitaillement, la similitude des deux événements a conduit à une plus grande similitude dans leur narration que la situation réelle serait peut-être ont justifié. Réflexions intéressantes sont proposées ici par la remarque,3600 3600 par Dean Plumptre, ad loc. qu’il n’est pas facile pour nous transporter dans la position et les sentiments de ceux qui avaient assisté à un tel miracle que celui de la première alimentation de la multitude. "Nous pensons que de la puissance comme inhérente et, par conséquent, permanente. Pour eux, il pourrait sembler intermittent - un cadeau qui vont et viennent. » Et cela peut sembler porté par le fait que, depuis lors, leurs désirs avaient été fournies de la manière ordinaire, et que, même à la première occasion, ils avaient portés à recueillir vers le haut les fragments du repas fourni par ciel.

Mais plus que cela nécessite d’être dit. Tout d’abord, nous devons ici une fois de plus nous rappellent, que l’ancienne disposition avait pour les Juifs, et les disciples pourraient, de leur point de vue, Eh bien doute ou au moins pas supposer, que le même miracle approvisionnerait la nécessité des gentils et la même planche entourés par juif et les gentils. Mais, en outre, la répétition de la même question par les disciples vraiment indiqué seulement un sentiment de leur propre incapacité et pas un doute de la puissance du Sauveur d’approvisionnement, depuis à cette occasion qu'il était pas, comme dans le premier cas, accompagné par une demande de leur part , de renvoyer la multitude. Ainsi, la répétition même de la question peut être une référence humble vers le passé, dont ils ont osé pas, dans les circonstances, demander la répétition.

Pourtant, même s’il en était autrement, l’oubli étrange du miracle fin du Christ chez les disciples et leur étrange répétition de la même question qui avait une fois - et, comme il pourrait sembler à nous, à jamais - été répondu par acte merveilleux, n’est pas nécessaire nous surprendre. Leur du miracle de la part de Christ doit jamais avoir été le nouveau, sinon il aurait cessé d’être miraculeuse. Ni le fait qu’ils jamais réaliser pleinement, jusqu'à ce qu’après sa résurrection, ils compris et se prosternèrent devant lui comme Dieu incarné. Et il est réaliser seule foi de ce qui il devait progressivement évoluer au cours du ministère de Christ sur la terre, qui nous permet d’appréhender l’aide Divine comme, pour ainsi dire, incarné et jamais réellement présents dans le Christ. Et pourtant même ainsi, combien de fois nous faisons, qui ont alors cru en lui, oublier la disposition Divine qui nous est parvenue jusqu'à ces derniers temps, et le répète, mais peut-être pas avec le même doute, pourtant avec la même envie de certitude, les questions avec lesquelles nous avions dans un premier temps rencontré ch du Sauveur allenge de notre foi. Et même à la dernière, il rencontre, comme le prophète, en vue de l’apparemment impossible, par : « Seigneur, tu sais. » 3601 3601 Ézéchiel xxxvii. 3. Plus souvent, hélas ! il rencontre incroyance, croyance, incroyance ou doute, engendrée par l’incompréhension ou l’oubli de ce qui passé l’expérience, ainsi que la connaissance de lui, il y a longtemps devrait avoir écrit d’indélébile sur nos esprits.

À l’occasion, dénommée dans le récit précédent, ceux qui avaient pris ces derniers temps l’avocat ensemble contre Jésus - les pharisiens et les Hérodiens, ou, pour le dire autrement, les pharisiens et les Sadducéens - n’étaient pas présents. Pour, ceux qui, politiquement parlant, ont été « Hérodiens, » pourrait également, bien que peut-être pas religieusement parlant, mais du point de vue juif Saint-Matthieu, être désigné comme, sinon comprennent, les Sadducéens. 3602 3602 comparer, cependant, vol. i. p. 238, 240 et reservez V. ch. iii. Où l’élément politique a été dominant, la distinction religieuse ne peut pas être si clairement marquée. Mais ils devaient bientôt réapparaître sur la scène, que Jésus est venu à proximité le territoire juif d’Hérode. Nous supposons que l’alimentation de la multitude ont eu lieu dans la Décapole et probablement sur ou à proximité, la rive orientale du lac de Galilée. Comme Jésus a envoyé loin la multitude dont il en avait assez, il prit le navire avec ses disciples et « est venu dans les régions frontières de Magadan, »3603 3603 St. Matt. XV. 39. 3604 3604 il faut tout juste dire que la meilleure lecture est Magadan, pas de Magdala. ou, comme dit Saint-Marc, « les parties de Dalmanutha. » « Les frontières de Magadan » doivent faire référence évidemment au même district que « les parties de Dalmanutha. » Celui peut marquer le point extrême de la vers le sud de l’arrondissement, l’autre vers le Nord - ou bien, les points Ouest3605 3605 on a ingénieusement suggéré, que Magadan pourrait représenter un Megiddo, étant une forme intermédiaire entre la Meguiddon hébreu et le Asyrian Magadu. et à l’est - dans la localité où lui et ses disciples s’est posés. C’est, bien sûr, qu’une suggestion, depuis « Magadan », ni « Dalmanutha, » a fut identifiée. Cela que seulement nous en déduire, que l’endroit était proche, mais pas dans les limites du territoire strictement juif ; depuis son arrivée il les pharisiens sont dits « sortir »3606 3606 St. Mark viii. 11. -un mot « qui implique, qu’elles résidaient ailleurs, »3607 3607 canon Cook dans le « commentaire du Président, » ad loc. même si, bien sûr, dans le quartier. En conséquence, nous chercherions à Magadan au sud du lac de Tibériade et à proximité des frontières de la Galilée, mais au sein de la Décapole. Plusieurs sites ont des noms un peu similaires présents. En ce qui concerne le nom de Dalmanuthaétrange et non juif, ces conjectures totalement improbables ont été faites, qu’une basée sur l’étymologie peut être dangereuse. Si nous prenons de Dalmanutha résiliation araméen - uthaet considèrent l' initiale de comme préfixe, nous avons le mot Laman, Liminou Liminah ({hébreu}, {hébreu}, {hébreu} = λιμͺν ), qui, en Hébreu rabbinique, désigne une baie, ou portet Dalmanutha aurait pu être le lieu d’une petite baie. Peut-être, c’était le nom donné à une baie près de l’antique Tarichæa, le moderne Kerak, si terriblement célèbre pour un combat de mer, ou plutôt une horrible boucherie des pauvres fugitifs, quand Tarichæa a été prise par les Romains dans la grande guerre juive. Proches alentours, le lac constitue une baie (Laman) et si, comme l’affirme un écrivain modern, 3608 3608 Sepp, AP. Böttger, Topogr. Lex. zu Fl. Josèphe, p. 240. la forteresse de Tarichæa fut entourée par un fossé alimenté par le Jourdain et le lac, ainsi que la forteresse peut se transformer en une île, on voit une raison supplémentaire pour la désignation de Lamanutha. 3609 3609 gardant à l’esprit que Tarichæa était le dépôt principal pour le salage du poisson pour l’exportation, les disciples ont pu avoir des liens avec le lieu.

C’est dans le territoire juif de Galilée, à proximité, que les pharisiens est venu maintenant « avec les Sadducéens » tentant de lui avec des questions et désirant que ses revendications devraient être mises à la réussiraient ultime de « un signe du ciel. » Nous comprenons tout à fait un tel défi, la part des Sadducéens, qui seraient ne croient pas la Mission du Christ céleste, ou, en effet, à l’aide d’une expression moderne, n’importe quelle connexion précité-naturaliste entre ciel et terre. Mais, dans la bouche des Pharisiens, il avait une signification particulière. Certains prétendus miracles avaient été témoins, ou a témoigné, comme fait par le Christ. Comme ils représentaient désormais-puisque Christ posé des réclamations qui, selon eux, seraient incompatibles avec la doctrine reçue en Israël, a prêché un Royaume tout à fait autre que de celui de l’espérance juive - était en litige avec toutes les coutumes juives - plus que cela, était un disjoncteur de la La w, dans ses commandements plus importants, car ils ont compris eux - il s’ensuivait que, selon Deutéronome xiii., il était un faux prophète, qui ne devait ne pas être écouté. Puis, aussi, doit les miracles qu’il été forgé par la puissance de Béelzéboul, « le Seigneur de culte idolâtre, » le même prince des démons. Mais il y avait eu des signes réels, et pas tout cela aurait une illusion ? Laisser leur montrer « un signe »,3610 3610 le mot utilisé ici serait, à en juger par les instances analogues, être {hébreu} (Oth) et pas {hébreu} (Siman), comme le suggère Wünsche , même si le mot est formé à partir du grec σημεͺον. Mais le rabbinique Siman me semble avoir une nuance différente. et laissez que signe proviennent directement du ciel !

Deux instances saisissantes de la littérature rabbinique indique, que cette demande des Pharisiens a été selon des notions et les pratiques. Nous lisons que, lorsqu’un certain rabbin a été interrogé par ses disciples sur le moment de la venue du Messie, il a répondu : « J’ai peur que vous allez me demander aussi un signe. » Quand ils ont promis qu’ils ne le ferait pas, il leur a dit que la porte de Rome tomberait et être reconstruite et tombe encore une fois, quand il ne serait pas temps pour la restaurer, où le fils de David est venu. Là-dessus ils ont pressé lui, malgré sa protestation, pour « un signe », lorsque cela a été donné eux - que les eaux qui issus de la grotte de Pamias ont été transformés en sang. 3611 3611 Sanh. 98 une dernière 4 lignes. 3612 3612 Toutefois, ceci (et, à cet égard, la Haggadah prochaine aussi) peut ont voulu être pris dans un sens allégorique ou parabolique, bien qu’il n’y a aucun indice donné à cet effet. Encore une fois, en ce qui concerne « un signe du ciel », il est dit que Rabbi Eliézer, lorsque son enseignement a été contestée, a interjeté appel successivement à certains « signes ». Tout d’abord, un robinier-déplacé à sa soumission une centaine, ou, selon certains, quatre cents coudées. Ensuite, les voies d’eau ont été faites à l’écoulement vers l’arrière ; puis les murs de l’Académie se pencha en avant et ont été arrêtés uniquement à la demande d’un autre rabbin. Enfin, Eliezer, s’est exclamé : « Si la Loi est que j’enseigne, laissez-le être prouvée du ciel ! » quand une voix tombé du ciel (le Bain QV) : « Qu’ont vous faire avec Rabbi Eliézer, pour le Halakhah est tel qu’il enseigne ? » 3613 3613 baba Mez. 59 b, ligne 4 de haut, & c.

Ce n’était, par conséquent, aucune chose étrange, quand les pharisiens demandé de Jésus « un signe du ciel, » afin d’attester de ses revendications et l’enseignement. La réponse qu’il donna a été parmi les plus solennels, dont les dirigeants d’Israël pouvaient avoir entendu et il parla dans la profonde tristesse de l’esprit. 3614 3614 St. Mark viii. 12. Ils lui avaient demandé pratiquement un signe de sa messianité ; certains vindication frappante du ciel de ses affirmations. Il serait donné eux seulement trop tôt. Nous avons déjà vu,3615 3615 voir ch. xxvii. vol. i. p. 647. qu’il y avait une entrée du Christ dans son Royaume - une justification de sa réclamation kingly devant ses sujets révoltés apostats, lorsqu’ils qui n’aurait pas amené à régner sur eux, mais trahi et crucifié, aurait leur communauté et de ville, de leur régime et Temple, détruit. Par la lumière sinistre des flammes de Jérusalem et le sanctuaire ont été les mots sur la Croix pour être lu de nouveau. Dieu pourrait faire valoir ses prétentions en jetant bas l’orgueil de leur rébellion. L’incendie de Jérusalem a été la réponse de Dieu au cri des Juifs, ' Away avec lui - nous n’avons pas de roi mais César ;' les milliers de croix sur laquelle les Romains pendèrent leurs captifs, le terrible pendant de la Croix sur le Golgotha.

C’est sur ce point, que Jésus mentionné dans sa réponse les pharisiens et les Hérodiens de « Sadducéen ». Comme c’est étrange ! Hommes pouvaient discerner par l’apparition du ciel que la journée serait équitable ou orageux. 3616 3616 bien que certains des meilleurs MSS omettent St. Matt. XVI. 2, compter « Quand c’est le soir, » à la fin de la version 3, la plupart des critiques sont d’accord qu’il devrait être conservé. Mais les mots en italique dans les versets 2 et 3 devraient être laissés de côté, afin de marquer les exclamations. Et pourtant, quand tous les signes de l’orage, qui détruirait leur ville et la population, étaient clairement visibles, ils, les chefs du peuple, n’a pas pu les percevoir ! Israël a demandé « un signe » ! Aucun signe n’il faudrait la terre condamnée et la ville autre que celle qui avait été donné à Ninive : « le signe de Jonas. » 3617 3617 ainsi, selon la meilleure lecture. Le seul signe à Ninive était AVERTISSEMENT solennel de Jonas de près le jugement et son appel à la repentance - et le seul signe maintenant, ou plutôt "à cette génération aucun signe,'3618 3618 St. Mark viii. 12. a été le cri d’alerte d’arrêt et l’amour appel au repentir. 3619 3619 St. Luke xix. 41-44.

C’était mais un naturel et presque nécessaire, séquence, « laissés qu’il a quitté. » Une fois de plus le navire, qui portait lui et ses disciples, étend ses voiles vers les côte de Bethsaïde-Julias. Il se rendait à la limite extrême de la terre, à Philippes Cæsarea, dans la poursuite de son but de retarder le conflit final. Pour la grande crise doit commencer, qu’il finirait, à Jérusalem et à la fête ; il commencerait à la fête des Tabernacles,3620 3620 St. Jean vii. et il mettrait fin à la Pâque suivante. Mais en passant, les disciples eux-mêmes ont montré combien peu même eux, qui avaient si longtemps et étroitement suivi Christ, comprenaient son enseignement et comment enclin à malentendu rendus leur dulness spirituel. Pourtant, il n’était pas si brute et impliquerait tout à fait incompréhensible, comme la commune la lecture de ce qui s’est passé.

Quand le Seigneur a touché l’autre rive, son esprit et son cœur étaient encore pleins de la scène d'où il avait passé ces derniers temps. Car en vérité, sur cette demande pour une enseigne l’avenir d’Israël semble se bloquer. Il n’est peut-être pas présomptueux de supposer, que le voyage à travers le lac avait été accompli dans le silence de sa part, si profondément étaient esprit et le cœur absorbés avec le sort de sa propre ville royale. Et maintenant, quand ils ont débarqué, ils transportaient à terre les disposition vides-paniers ; car, comme, avec son habituelle attention aux détails, notes de Saint-Marc, qu’ils avaient seulement apporté une miche de pain avec eux. En fait, dans l’excitation et la hâte « ils ont oublié de prendre du pain » avec eux. Si quelque chose en rapport avec ceci arrêté l’attention de Christ, il rompt enfin le silence, parlant de ce qui était tellement sur son esprit. Il les a avertis, comme beaucoup, ils avaient besoin, du levain avec laquelle pharisiens et les Sadducéens avaient, chacun à leur manière, levain et tellement corrompue,3621 3621 le sens figuré de levure, comme ce qui moralement corrompu, était familier aux Juifs. Ainsi, le mot {hébreu} (Seor) est utilisé dans le sens de « levain moral » qui entravent la marchandise en Ber. 17 un tandis que le verbe {hébreu} (chamets) « à être venu au levain, » est utilisé pour indiquer la détérioration morale hachage Rosh. 3 b, 4 a. le pain sacré de la vérité de l’écriture. Les disciples, conscients que dans leur hâte et l’excitation ils avaient oublié le pain, mal compris ces paroles du Christ, mais pas dans la manière totalement irresponsable dont les commentateurs supposent généralement : comme signifiant « une mise en garde contre l’achat de pain de son ennemis. » Il est quasi impossible, que les disciples auraient pu comprendre l’avertissement du Christ en ce sens quelque chose - même indépendamment de l’examen, qu’une interdiction d’acheter du pain de pharisiens ou Sadducéens aurait impliqué une impossibilité . L’incompréhension des disciples était, si injustifiable, au moins rationnelle. Ils pensaient que les paroles du Christ implicite, qu’à son avis, ils avaient pas oublié d’apporter le pain, mais délibérément omis de le faire, dans l’ordre, comme les pharisiens et les Sadducéens, à « obtenir de lui un signe » de sa messianité Divine - nay, à obliger à montrer ces - qui de disposition miraculeuse dans leur envie. Le simple soupçon a montré ce qui était dans leur esprit et a souligné leur danger. C’est ce qui explique comment, dans sa réponse, Jésus réprimandés, non pas par un manque total de discernement, mais uniquement pour « peu de foi. » C’est leur manque de foi - même levain des Pharisiens et des Sadducéens - qui avait proposé une telle pensée. Encore une fois, si l’expérience du passé - leur propre question répétée deux fois et la réponse concrète qu’il avait reçue dans la prestation miraculeuse de non seulement assez, mais à revendre - leur avait appris quelque chose, il aurait dû être de croire, que la disposition nécessaire de leurs désirs par le Christ n’était pas « un signe », tels que les pharisiens avaient demandé, mais quelle foi en doutez jamais du Christ, quand après, ou en attente sur, lui. Puis ils ont compris vraiment, qu’il n’était pas du levain du pain qu’il avait invités à eux se méfier - que ses paroles mystérieuses ne portaient aucune référence au pain, ni à leur prétendue omission pour l’amener dans le but de soutirer un signe de lui, mais il a souligné l’extrême plus réel danger de « l’enseignement des Pharisiens et des Sadducéens, » qui avait reposant sur la demande d’un signe du ciel.

Ici, comme toujours, Christ suggère plutôt que donne l’interprétation de sa signification. Et c’est la Loi de son enseignement. Notre modernes pharisiens et les Sadducéens, aussi, trop souvent demandent de lui un signe du ciel dans la preuve de ses affirmations. Et nous avons aussi trop souvent mal comprendre son AVERTISSEMENT nous concernant leur levain. Voyant le magasin rare dans notre panier, notre peu de foi est occupé avec des pensées au sujet des signes possibles en multipliant le seul pain dont nous disposons, oublieux que, là où le Christ est, foi mai jamais s’attendre à tout ce qui est nécessaire, et que nos soins ne devrait être qu’en ce qui concerne la teachi ng susceptibles de levain et de corrompre qui sur lequel nos âmes sont nourris.